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1 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plète, avec résolution des membres. Tous ces symptômes sensitifs, moteurs , intellectuels, peuvent se combiner de mille fa
ndue, que j'ai lue, et dont je reparlerai en traitant des fonctions motrices du cerveau, est devenue un mémoire publié à Nap
(1877-1879), le mémoire de Dario Maragliano sur les localisations motrices dans l'écorce cérébrale 1, ils avaient voulu te
ces deux régions du cer- veau, en d'autres termes, que les centres moteurs des bulbes oculaires et des paupières doivent ê
que l'est, par exemple, le centre du langage articulé aux centres moteurs des lèvres et de la langue. Les réactions syner
ien peu connues, on le sait. Des centres sensoriels, sensitifs et moteurs de l'oeil et de la vision ont été, entre autres,
isement des fibres optiques varie parfois comme celui des faisceaux moteurs des pyramides, ainsi que l'ont montré les reche
tres sensoriels de l'écorce, analogue à celle qui, pour les centres moteurs , produit l'épilepsie d'origine cor- ticale. L'i
es sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie est aux centres moteurs » (p. 151). Elles constituent une sorte d' « ép
hallucinations. Le même processus irritatif qui envahit les centres moteurs de l'écorce, atteint les centres sensoriels et
onditions de durée et d'intensité, détermine, appliquée aux centres moteurs , des convulsions épileptiformes, appliquée aux
importante : de même que le diagnostic topogra- phique des lésions motrices de l'écorce, soit irritatives, soit destrutrive
iquer les faits de mentation normale ou anormale *. » Les centres moteurs , sensitifs et sensoriels constituant l'écorce c
ôt à croire qu'elles dépendaient de l'excitation directe de centres moteurs siégeant dans la zone corticale du centre de l'
, mêlés aux éléments sensoriels, ou isolés en îlots, des éléments moteurs des muscles des organes périphériques des sens
- soriels diffèrent-ils de ceux qu'on observe en excitant la zone motrice de Hitzig ? Les auteurs italiens ne le ' Aug. T
surdité verbale apparaît tantôt seule, tantôt associée à l'aphasie motrice , ou à des troubles paralytiques de la motilité
rmation de leurs vues sur la coexistence des éléments sensoriels et moteurs , partant des fonctions de la sensibilité et de
cellules du stratum convolutum et de la fascia dentata, à la sphère motrice ou pshyco-motrice 1. Quant au centre cortical d
il tombe spontanément. Etat actuel (11 mars 1889). - Incoordination motrice très marquée : Le malade peut à peine marcher à
e manifestement les symptômes douloureux et la plupart des troubles moteurs du tabes. Chaque suspension a lieu, nous l'avon
te dès les pre- miers effets de la suspension, sur l'incoordination motrice ,' puis sur les douleurs fulgurantes, l'anesthés
- ter ; 2° diminution extrêmement remarquable de l'incoordination motrice pendant la marche. Le malade, sans ca,nne, peut m
s, avec crises de douleurs ful- gurantes très vives, incoordination motrice , marche et miction difficiles, signe de Romberg
ce dernier médecin : c'est celui d'un tabétique atteint de troubles moteurs oculaires chez lequel ceux-ci ont diminué depui
que : la sensation de soulage- ment et le retour de la coordination motrice se font sentir aussitôt après chaque séance et
urs fréquentes, l'impotence sexuelle ont disparu : l'incoordination motrice , le signe de Romberg ont cessé d'exister. Un ma
I. ETUDE analytique au MOYEN DE l'excitation ÉLECTRIQUE DES RÉGIONS MOTRICES DU CERVEAU DU SINGE (MACACUS SINICUS); par Ch.
t fort et prolongé ; comme résultat : absence complète de réactions motrices du côté des membres et des yeux. '. Ce n'est qu
la suppuration par défaut d'antisepsie. L'excitation de la région motrice leur a donné les mêmes résul- tats que ceux de
donné les mêmes résul- tats que ceux de Ferrier; mais cette région motrice peut être divisée en un certain nombre de dépar
es dans la protubé- rance la plupart des fibres s'arrêtent au noyau moteur ; quelques- unes cependant, sous la forme radicu
able cepen- dant que cette racine-là est en relations avec le noyau moteur du côté opposé. Le trijumeau n'a pas de relatio
riences sur des chats de trois à six mois. Conclusions : Les fibres motrices ont leur centre dans la moelle même. Quant à la
out à coup surgir deux syndromes (la capralalie et l'incoordination motrice ) témoins à leur tour de dégénérescence mentale
ogie '154 SOCIÉTÉS SAVANTES. de la langue. Diminution de la force motrice . Mouvements et dé- marche incertains. Persistan
ATOMIE PATHOLOGIQUE. pyramidales; visibles surtout dans les régions motrices et dans la corne d'Ammon où elles sont énormes,
upées par nids comme on les trouve à l'état normal dans les régions motrices , ainsi que l'a indiqué Betz; elles sont, au con
t abondantes; à part cela l'aspect est le même que dans les régions motrices gauches. La première frontale et le lobe occipi
es cornes antérieures de la moelle, une atrophie des fibres du nerf moteur et des muscles auxquels ces fibres se distribue
. M. RITTI lit au nom de M. CoTARD une note sur l'ORIGINE PYCIIO- motrice du délire. D'après cet auteur, c'est de la suract
IIO- motrice du délire. D'après cet auteur, c'est de la suractivité motrice que dans la manie, par exemple, naîtraient les
élancolie dépressive, c'est par suite de la dépression de l'énergie motrice , que le malade se trouve consécutivement séparé
sulte de la corrélation admise par tout le monde entre les éléments moteur et psychique. Les hallucinations seraient aussi
i, d'après M. Cotard, secondaires et subordonnées à l'automa- tisme moteur . M. GaRNIER fait observer que dans la deuxième
u troisième pé- riode de la paralysie générale, alors que l'énergie motrice est souvent fort déprimée, les idées de grandeu
lors à une période antérieure où elles sont nées lorsque l'activité motrice était accrue. M. Soutzo (de Bucharest) réclame
par les malades à des personnes étrangères. D'où le nom de psycho- motrices qu'il propose de leur donner. 11 conclut que if l
e de Baillarger est avant tout un trouble fonc- tionnel des centres moteurs du langage articulé ; 2° elle tient à la fois d
pulsion,' d'où le nom d'hallucination psycho-7notrice; 3° l'élément moteur qu'elle sociétés savantes. 277 7 renferme est
de sa race. AI. HEHZEN (de Lausanne), à propos du RÔLE DES centres moteurs , montre qu'en cas d'ablation d'un centre moteur
u RÔLE DES centres moteurs, montre qu'en cas d'ablation d'un centre moteur chez un animal nouveau-né, ce n'est pas le cent
i l'on ne connaît pas explicitement la sen- sation de l'innervation motrice centrifuge, il n'en est pas moins vrai que tout
ésenté pendant la vie aucun phénomène morbide du côté des fonctions motrices ou sensorielles. Ces lacunes, occasionnées par
mp- tômes joints à de l'aphasie et à des désordres sensi- tifs ou moteurs dans sa forme accompagnée, la migraine ophtalmi
me, hémiopie, céphalalgie, vomissements)sans aphasie, ni phénomènes moteurs . Depuis elle ne se plaint plus que d'embarras d
ait assez justement avec ce qui se passe pour l'épilepsie partielle motrice dont les accès ne sont eux aussi qu'un syndrome
triques, mais il y a dispa- rition à peu près complète des cellules motrices dans les deux cornes antérieures. Il existe enc
un certain volume. On retrouve les mêmes désordres dans les régions motrices , dans le lobe occipital. Là toutefois, elles so
on sont encore plus visibles, à cause- du grand nombre des cellules motrices en ce point '. (Bourne- ville et Pilhet, Soc. a
NTAIRES. I. On convient généralement aujourd'hui queles centres moteurs ou psycho-moteurs de l'écorce cérébrale, comme
, n" .ïl, pag. 337 et n" 52, p. 28. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 361 motrice a été divisée « en petits carrés de deux milli-
ordes et des luttes sur la réalité d'une localisation des fonctions motrices du cerveau est fermée; le calme règne dans les
nels de la vision n'est guère moins avancée que celle des centres moteurs ; elle est seulement moins connue, et, jusqu'ici
. Certaines régions du cerveau sont en rapport avec les fonctions motrices ou sensitives de telle ou telle partie du corps
is quelle est la nature de ces centres corticaux, qu'on a appelés « moteurs » parce que, en effet, leur excitation expérime
rimentale ou leur irritation pathologique détermine des réactions motrices , simples ou convulsives, de la face, des extrém
ules nerveuses de ces centres ? Rien de plus net que les paralysies motrices qui succè- dent à l'ablation et aux lésions des
s deux gyrus sigmoïdes ne présente point pour cela de para- lysie motrice proprement dite, si l'on entend par ces mots un
r a été enlevé, peut encore courir, pourquoi l'ablation des zones motrices du chien, une fois les effets du traumatisme op
nk ne les ont jamais vus s'amender et disparaître quand les régions motrices avaient été exactement enlevées sur les deux hé
les du mouvement volontaire consécutifs aux destructions de la zone motrice ? « Je les ai considérés, dit Hitzig, dans deux
tative », c'est-à-dire comme l'effet de la destruction des images motrices de telles ou telles catégories de mouvements vo
tituants de la kinesthésie), théorie pour laquelle les centres dits moteurs de l'écorce cérébrale sont les origines central
le dans les parties correspondantes du corps, si bien que la zone motrice ne serait qu'une manière de surface sensible, d
réflexes. Il y a la théorie de Munk, pour qui la prétendue zone motrice , subdivisée en « sphères sensibles », où sont c
sensibilité générale et du mouvement. Il y a la théorie, absolument motrice , de David Fer- LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 365
David Fer- LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 365 rier, dont les centres moteurs sont tout à fait dis- tincts anatomiquement des
sens musculaire. Il y a la théorie de Charcot, pour qui les centres moteurs corticaux sont le siège des représentations mot
qui les centres moteurs corticaux sont le siège des représentations motrices qui précèdent nécessairement l'accomplissement
héorie de François Franck, qui, adversaire de la théorie de centres moteurs par eux-mêmes, autonomes, incline décidément ve
ce réflexe des éléments excitables de l'écorce, et pour qui la zone motrice , assimilée à une surface sensible périphérique,
sensible périphérique, n'est que le point de départ d'incitations motrices volontaires, l'appareil incitateur de réactions
ncitations motrices volontaires, l'appareil incitateur de réactions motrices volontaires, dont les véritables appareils mote
de réactions motrices volontaires, dont les véritables appareils moteurs ou d'exécution sont les cellules nerveuses du b
tations des divers mouvements qui déterminent la véritable action motrice , par un mode assimilable au méca- nisme puremen
ranck, des centres d'association volontaire, plutôt que des centres moteurs proprements dits. Ces centres, il les appelle «
s moteurs proprements dits. Ces centres, il les appelle « psycho- moteurs », parce qu'ils commandent par leur action tout
ommandent par leur action toute psychique à de véritables appareils moteurs . « En envisageant, dit-il, les mouvements produ
aires) » (1). Aussi le faisceau pyramidal, qui transmet aux centres moteurs bulbo- médullaires les incitations motrices de
qui transmet aux centres moteurs bulbo- médullaires les incitations motrices de l'écorce céré- brale, constitue-t-il, au poi
il, au point de vue physiologique, un système afférent aux cellules motrices du bulbe et de la moelle. Il y a la théorie d
ales de Dechambre, 2" série, XII, 577. Cf. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau, 299. 1 Après la section circulair
circulaire ou circonvallation d'une région limitée, éprouvée comme motrice , F. Franck et Pitres ont vu se conserver les mo
nts dépendant de la section corticale circonscrite, et la paralysie motrice succéder à l'ablation de la même région, si bien
l'ablation de la même région, si bien que « les points dits centres moteurs conservent tout au moins une influence directri
ré leur séparation du reste de l'écorce ». (Leçons sur les fondions motrices du cerveau, p. 371.) Tout au contraire, Manque,
on dugyrus sigmoide lui-inètne. 31ariqtie en conclut queles centres moteurs n'ont point de fonctionnement spontané, autonome,
périmentales sur le mécanisme de fonctionnement des centres psycho- moteurs du cerveau. Bruxelles, 1885, p. 104, 125). Cf. Va
et Paneth, ne permettent guère encore de décider si les « centres moteurs » ont ou n'ont point par eux-mêmes d'influence
tres de la sensibilité générale et spéciale, bref, si ces prétendus moteurs de la machine animale doivent, pour agir, être
e reste du cerveau. Que l'on songe aux cas bien constatés d'aphasie motrice et d'agraphie consécutifs à des surdités et à d
des cécités verbales. Stricker, qui a tant insisté sur les images motrices , dit expressément que toute représentation de c
d'un objet en mouvement ne saurait faire naître en nous aucune idée motrice : pour qu'elle naisse, il nous faut reproduire
mus- culaires constituent seuls la condition du réveil de l'image motrice . Quand il se représente, par exemple, le vol de
dire d'autres théories encore sur la nature probable des fonctions motrices du cer- veau, il y a celles des auteurs italien
368 PHYSIOLOGIE. sana et Lemoigne, « les centres de l'innervation motrice ont leur siège en dehors des hémisphères cé- ré
déterminer l'activité volontaire des vrais centres de l'innervation motrice , mais ils ne le font qu'à la manière des sensat
sculaire, d'une part, et, d'autre part, par des centres d'idéations motrices . Avant d'indiquer l'évolution de cette doctrine
ensibilité générale observés dans les lésions corticales de la zone motrice . C'est cette zone . 1 Lllssana et Lemoigne, Des
one motrice. C'est cette zone . 1 Lllssana et Lemoigne, Des centres moteurs encéphaliques (Arch. de physiol. norm. et p2tla
RVEAU. 369 que Tripier et Gilbert Ballet ont appelée « sensitivo- motrice ». Exner, enfin, professe, on le sait, que « les
s du corps se confondent en général avec les centres ou territoires moteurs de l'écorce cé- rébrale ». Les temps sont donc
générale et de la motilité volontaire dans les lésions des centres moteurs du cerveau '. Aujourd'hui Nothnagel ne croit
les lésions des parties de l'écorce qui déterminent des paralysies motrices entraînent après soi des troubles de la sensibi
tent d'être étudiés avec soin... » Dans le cas de Déjérine, la zone motrice corticale était seule lésée; les conducteurs se
puy, De la perte de la sensibilité après la destruction des centres moteurs . L'auteur rappelle que Horsley, au congrès de B
ghton (188G), a rapporté qu'après avoir fait l'ablation des centres moteurs corticaux chez trois malades qui présentaient d
alylica. Neurol. Centralblatt, 1886, 480. De même que les fonctions motrices de l'écorce, celles de la sensi- bilité général
e con- ception théorique de la nature des paralysies corti- cales motrices . Selon lui, le lobe pariétal soutiendrait les m
entral, que la circonvolution de Broca, par exemple, avec le centre moteur cortical de l'hy- poglosse. Une lésion de la ci
Une lésion de la circonvolution de Broca peut produire une aphasie motrice sans paralysie de l'hypoglosse; d'autre part, u
l pourrait produire une ataxie pure des extré- mités sans paralysie motrice , et, d'autre part, une lé- sion des circonvolut
e lé- sion des circonvolutions centrales déterminer une paralysie motrice sans abolition du sens musculaire '. Pour local
célèbre physiologiste anglais, pour qui les fonctions de la zone motrice sont distinctes de celles des centres cor- tica
des principales conceptions théo- riques de la nature des fonctions motrices de l'écorce 1 Nothnagel . - Weber die Localisat
Entre toutes les conceptions théoriques de la nature des fonctions motrices du cerveau, celle qui domine et l'emporte chez
ne du côté de Ferrier. En d'autres termes, les phéno- mènes d'ordre moteur , consécutifs aux lésions destruc- tives, soit e
struc- tives, soit expérimentales, soit pathologiques, de la zone motrice , ne semblent pas être de nature ataxique ou réf
Bianchi z, 'Palmerini \ Tonnini, etc., considèrent ces troubles ^ moteurs comme parétiques ou paralytiques. Ainsi, .après
l'écorce cérébrale dont l'ir- : ritation donne lieu à des phénomènes moteurs , et la - destruction à des paralysies, doivent
ion à des paralysies, doivent être regardés comme «de vrais centres moteurs volontaires, capables, sans l'intermédiaire d'a
rs volontaires, capables, sans l'intermédiaire d'aucun autre centre moteur , de tfaire fonctionner les divers appareils mus
centri cerebrali di movimento (Sperintentale, 1876). ' Des centres moteurs encéphaliques. Recherches physio-pathologiques .
endent habituellement, » p. 135. Les viais centres d'innerva- rtion motrice ne sont pas d'ailleurs, pour ces auteurs, ainsi q
haliques. » 3 Sulsignificato della eccitazione elettrica della zona motrice corticale. - Archivio ilal, perle malalie nervo
perle malalie nervosc, 1881. « Ces centres sont de - vrais centres moteurs psychiques... Il n'est pas prouvé que la fonction
ychiques... Il n'est pas prouvé que la fonction dévolue aux centres moteurs volontaires puisse être accomplie par d'autres
ne altération de cette fonction chez les animaux. opérés de la zone motrice . Ainsi, les aires excitables- du cerveau sont d
e motrice. Ainsi, les aires excitables- du cerveau sont des centres moteurs , et ne sont pas- autre chose. Si, au lieu d'êtr
spondants, la nature de ces centres n'en appa- raît pas moins comme motrice . Ce qui est vrai, c'est que ces aires motrices
raît pas moins comme motrice. Ce qui est vrai, c'est que ces aires motrices de l'écorce cérébrale ne sont pas les seuls et
OLOGIE. teurs italiens expliquaient les suppléances des fonctions motrices détruites, le caractère transitoire des troubles
nctions motrices détruites, le caractère transitoire des troubles moteurs et le retour de la motilité volontaire dans les
automatiques, si bien que le chien privé de ses centres corticaux moteurs , de ses « centres de motilité volontaire », com
ire. « Aussi n'appelons-nous pas ces centres corti- caux simplement moteurs , mais hsJc7ao-nzotetcrs. » Toutefois, pour cons
el et voulu aux mouvements des mammifères privés de leurs centres moteurs corticaux, Luciani et Tamburini ont admis non s
corticaux, Luciani et Tamburini ont admis non seulement des centres moteurs corti- caux et des centres moteurs basilaires :
admis non seulement des centres moteurs corti- caux et des centres moteurs basilaires : ils ont doué ceux-ci des mêmes pro
litive, pourrait suivre deux voies pour se transformer en impulsion motrice : 1° celle des centres psychomoteurs corticaux;
: pendant plus d'un sièçle, on les a consi- dérés comme des centres moteurs , et l'on a attribué l'hémiplégie typique à la l
la lésion de ces ganglions. On sait aujourd'hui que les paralysies motrices dues aux hémorrhagies du noyau lenticulaire ou
étruits et transformés en kystes sans qu'il ait existé de paralysie motrice , pourvu que la capsule interne fût demeurée int
l travers les masses grises des corps striés, et que les impulsions motrices volontaires émanant de l'écorce cérébrale prenn
'écorce cérébrale prennent une autre route. De ce que les fonctions motrices , si longtemps attribuées aux ganglions de la ba
t Lemoigne, les couches optiques seraient des centres d'innervation motrice du bras, de la main et des doigts, par conséquent
ses mains. Les paralysies produites par les lésions de ces centres moteurs seraient proportionnelles iL l'étendue des lésion
rs seraient proportionnelles iL l'étendue des lésions.- Des centres moteurs encéphaliques, 1877, 1. 1. LES FONCTIONS DU CER
es corps striés auraient surtout des fonctions sensitives, et non motrices , mixtes en tout cas '. A la vérité, les résulta
), et s'atrophie secondairement aux lésions destructives de la zone motrice . Il en résulte- rait que la restitution partiel
térations de la motilité qui suivent les mêmes lésions de la zone motrice corticale. Si l'animal survit assez longtemps a
emps au traumatisme opératoire, tous ces troubles d'inner- vation motrice , dus aux lésions du noyau caudé, fini- raient p
ènes d'hyperthermie unilatérale observés dans un cas d'hémiplégie motrice droite, l'observation clinique et anatomo-patho
tzig (1874), dans les lésions superficielles de l'écorce de la zone motrice ', sans que les ventricules latéraux aient été
rts inverses existant entreledéveloppementdes fonctions des centres moteurs corticaux et celui des prétendus centres moteur
ctions des centres moteurs corticaux et celui des prétendus centres moteurs basi- laires chez les mammifères. Chez l'homme,
t l'importance est en raison inverse du développe- ment des centres moteurs corticaux, et par conséquent du volume du faisc
et des cliniciens italiens qui tenaient pour la nature pu- rement motrice , non ataxique ni sensitive, des phénomènes cons
édecin de Padoue, croient à la nature ataxique de ces dé- sordres moteurs et supposent, avec Schiff, qu'une lésion de la
sciences médicales de Dechambre, p. 592 ; Leçons sur les fonctions motrices du cerveau, p. 387. Hitzig aussi s'est rangé il
les assimiler à des centres d'actions réflexes, non à des. centres moteurs , etc., le professeur de Florence- témoignait qu
nsibilité à la douleur et à la pression est conservée. Cette ataxie motrice des extrémités est l'effet, non d'une paralysie
ette ataxie motrice des extrémités est l'effet, non d'une paralysie motrice , mais d'une para- lysie de la sensibilité tacti
u- queuses, consécutive aux lésions destructives des centres dits moteurs , Schiff rapporte qu'il a trouvé un grand nombre
es faisceaux pyrami- daux, ces deux sortes de fibres, sensitives et motrices , formant un même système et représentant, les u
oses connues ou connaissables. Si Hitzig a découvert les troubles moteurs consécutifs aux lésions de la zone excitable, S
ois et le fond du sillon crucial du chien, on obtient des réactions motrices correspondantes des membres du côté opposé. En
ont l'excitation détermine ces mouvements est, on le sait, purement motrice . Là sont « les centres véritables du mouvement
ue de sensibilité dans ses expériences sur les fonctions de la zone motrice . Il a donc localisé ailleurs, sur le lobe parié
Bechterew, par exemple, lui demande : Si un chien, dont le centre moteur de la patte antérieure droite a été enlevé, ne
ue sont venues à Schiff les 1 Bechterew. - Physiologie de la région motrice de la substance corticale du cerveau. (Archives
'on .observe chez le chien après l'ablation de la prétendue .zone motrice , apparaissent après la section des .cordons pos
cinq jours après la section de ces cordons, l'excitation de la zone motrice demeurait sans effet. Les résultats contraires
propagerait jusqu'à l'écorce 2; de là l'inexcitabilité de la « zone motrice ». Suivant Horsley, la perte des réactions motr
é de la « zone motrice ». Suivant Horsley, la perte des réactions motrices de l'écorce est due à une lésion 'des faisceaux
n 'des faisceaux latéraux des pyramides; d'après Schiff, .la zone motrice ne serait qu'un centre trophique pour les cordo
Schiff sur la nature réflexe des effets de l'excitation de la zone motrice , l'ancien professeur de physiologie de Florence
dons postérieurs de la moelle sont en relation directe avec la zone motrice corticale, et que, si cette zone n'est plus exc
en même temps que les cordons postérieurs, Schiff a lésé la voie motrice des pyramides ' ! III. Frappé de la force des
s ' ! III. Frappé de la force des arguments des deux théo- ries motrice et sensitive, Tamburini chercha, dès 1876, dans
conciliation de ces doctrines contraires sur la nature des centres moteurs corti- caux. La théorie éclectique qu'il présen
et « sortie » de la matière, ne peuvent désigner que les éléments moteurs et sensitifs de cette zone 2. Hitzig aurait donc
minées de l'écorce, l'inexcitabilité des zones environnant l'aire motrice , la localisation des convulsions et des paraly-
ticale, plaidaient fortement, aux yeux de Tamburini, pour la nature motrice de ces centres. D'autre part, les phénomènes d'
ransmises par l'appareil spi- nal, et les transformer en impulsions motrices volon- taires. « Il doit donc exister nécessair
ensitive, devenue perception consciente, se transforme en impulsion motrice . » Ces points devaient être en grand nombre et
GIE. excitable. Celle-ci d'ailleurs n'est plus confinée à la zone motrice . Car les effets de l'électrisation des régions
e diffèrent en rien de ceux qu'on observe en excitant les centres moteurs de la zone-de Hitzig». Les mouvements du pavill
nt l'existence, dans les aires sensorielles de l'écorce, d'éléments moteurs , confondus avec les cellules de sensibilité spé
des sens, parvenues à ces centres, s'y transfor- ment en impulsions motrices volontaires des muscles des organes de ces sens
s du mouvement et de la sensibilité. « Nous croyons que les centres moteurs et les centres sensoriels qui concourent à l'ef
397 talé que les effets qui suivent la destruction d'un cen- tre moteur cortical ne consistent pas uniquement en une pa
ralysies psychiques. Luciani soutenait que, mêlés aux vrais centres moteurs des différents groupes mus- culaires, et foncti
centres sensitivo-moteurs. Et de même qu'il existerait des centres moteurs confondus avec les cen- tres sensoriels de la v
s de la vue et de l'ouïe, il existerait, confondus avec les centres moteurs de la zone exci- table, des centres de sensibil
e exci- table, des centres de sensibilité générale. « Les centres moteurs , disait Luciani, ne se trouvent pas localisés d
ouvent pas localisés dans l'aire corticale appelée jusqu'ici « zone motrice », dénomination à abandonner, puisque cette zon
nomination à abandonner, puisque cette zone n'est pas exclusivement motrice . Toutes les différentes régions de l'écorce son
régions de l'écorce sont, à des degrés divers, semées de centres moteurs spéciaux. Pour être sûr d'avoir détruit tous le
es moteurs spéciaux. Pour être sûr d'avoir détruit tous les centres moteurs , il faudrait donc enle- ver toute l'écorce céré
ndante. C'est ainsi que Bechterew a déterminé, en dehors de la zone motrice proprement dite, des points aussi constants que
énéraux. Or ces points excito-moteurs n'appartiennent pas à la zone motrice , c'est-à-dire au gyrus sigmoïde, où se distribu
ne sont point dus non plus à la propagation du courant aux régions motrices , car si on isole ces centres par la méthode des
bien différenciés queceux qui résultent de l'excitation de la zone motrice proprement dite. Mais, en dépit de ces caractèr
nés à la surface de l'écorce sont bien, pour Bechterew, des centres moteurs véritables, des points d'origine de faisceaux m
, des centres moteurs véritables, des points d'origine de faisceaux moteurs indépendants, dont les fibres centrifuges vont
ployer des courants plus intenses que pour les centres de la région motrice , prouverait qu'ils ne sont pas, comme ceux-ci,
to) : ? ob ? ce df a SMance ' ' Bechterew. Physiologie de la région motrice de la substance .co1,ticale du cerveau. {Archiv
77 sq.) 400 PHYSIOLOGIE. Il existerait donc des centres corticaux moteurs de deux sortes : les uns facilement excitables,
ovoque déjà des mouvements des membres, alors que celle des centres moteurs difficile- ment excitables demeure encore sans
roduits qu'une semaine environ après l'apparition des réac- tions motrices des membres, dues à l'excitation du gyrus sigmo
pothèse générale de Tamburini. Quel que soit le centre de la zone motrice extirpé, les altérations du mouvement et de la
théoriques d'Albertoni sur la nature fonc- tionnelle des « centres moteurs » sont en accord avec celles de Tamburini, dont
ni, dont il adopte l'hypothèse de la constitution mixte des centres moteurs et sensoriels. Il en résulte que la dénominatio
e, partie des points les plus différents de l'écorce, l'impulsion motrice volontaire devait passer par certaines régions
certaines régions plus particulièrement considérées comme psycho- motrices , pour atteindre les faisceaux en rapport avec l
rices, pour atteindre les faisceaux en rapport avec les noyaux gris moteurs de la moelle épinière. Ces régions corticales «
gions corticales « psycho-motrices ne seraient don qu'indirectement motrices : elles ne provoqueraient des mouvements que pa
sibilité générale, consécutifs aux lésions destructives des régions motrices de l'écorce, nous mènerait trop loin,- si nous
sibilité tactile et musculaire, ainsi que celles des « idéations motrices ", représentent pour Luciani ce minimum de déso
tal : 1° Après une' extirpation partielle ou totale de la zone dite motrice ,' · les phénomènes de parésie ou de paralysie a
E. tionnels varie avec l'étendue de ces lésions. Si toute la zone motrice des membres est détruite, et si cette destructi
cutifs à l'extirpation circonscrite de différentes aires corticales motrices d'un hémisphère sont-ils limités exclusivement,
sitivo-motrices qui succèdent à la .décortication isolée d'une aire motrice quelconque, s'étendent plus ou moins à d'autres
uelconque de la zone excitable, 'on se fonde, non sur les réactions motrices des excita- lions électriques, mais sur les eff
pothèse de l'identité des fonctions des corps striés et des régions motrices de l'écorce, Luciani, Tamburini et Seppilli pou
que la moelle soit très excitable. Exner professe que chaque zone motrice est en rapport avec les mouvements des deux côt
des commissures transversales qui relient les cellules des nerfs moteurs symétriques : l'impulsion volontaire, transmise
ntirait là, à un certain niveau de l'axe spinal, sur les cellules motrices des muscles du côté opposé et sur celles du côt
é lésé chez les chiens, après des lésions destruc- tives de la zone motrice , par Bianchi et d'Abunl ! o\ comme par llarchi
Algeri3. Bianchi a puse convaincre de la bilatéralité des désordres moteurs chez le chien, consécutifs à une lésion unilaté
s de la motilité volontaire, qui succèdent aux lésions de la zone motrice ou des faisceaux pyramidaux croisés, ne sont pa
ez des ani- maux qui ont subi des mutilations étendues de la zone motrice . A les voir, personne ne dirait qu'ils sont hém
uchant les effets des destructions partielles ou totales de la zone motrice sur l'excitabilité de la substance* blanche du
pou près exactement égal à celui qui est nécessaire pour qu'un nerf moteur séparé de la moelle cesse de réagir aux excitatio
ovale cesse d'être excitable dans la portion qui constitue la gerbe motrice après l'ablation de l'écorce correspondante. » (L
l'ablation de l'écorce correspondante. » (Leçons sur les fonctions motrices du cerveau, XXVIII' leçon.) DE L'HYSTéRO-ÉPILEP
alentissement de motilité se remarque de même dans tous les muscles moteurs . La bouche se remplit d'une salive à tel point
vant en arrière dans l'ordre sui- vant : facial inférieur - branche motrice du trijumeau - branche oculaire du facial -patt
ues et des tubercules quadrijumeaux antérieurs contient des centres moteurs destinés à des mouvements coordonnés d'une cert
perdu l'ouie dans le sens technique du mot, ni que leur appareil moteur soit réduit à l'impuissance. Kast a jadis publi
usique pour exciter la coordination des mouvements. Enfin l'aphasie motrice , qui généralement n'est pas congéniale, s'accom
éludie l'hémiplégie dans quatre grandes maladies : l'alaxie loco- motrice progressive, la sclérose en plaques, l'hystérie,
1. Cécité expérimentale chez un chien' par Richet, 283. Centres moteurs , par Herzen, 284. Cérébrale ,arrêt des hémorrha
2 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
termédiaire, aux membres, les ordres de la volonté ; que les cellules motrices des cornes antérieures tiennent sous leur dépenda
Broca. On sait que la destruction des circonvolutions de la zone dite motrice produit, si elle est générale, l'hémiplégie compl
iques et celle qui relève d'une lésion organique spinale (impuissance motrice , rigidité, exagération des réflexes tendineux, co
eux ou dans les muscles qu'il faut chercher la cause de l'impuissance motrice . Un examen plus attentif du membre affecté va n
ou dans la paralysie infantile, quand il y a destruction des cellules motrices , ou bien encore dans les paralysies faciales grav
ui semble très légère, relativement peu douloureuse, et l'impuissance motrice qui est considérable. Un appareil silicate, maint
n présence d'une arthrite indolore, il puisse exister une impuissance motrice aussi prononcée. Ce n'est que quatre mois après l
présence d'une arthrite légère, lorsque les phénomènes d'impuissance motrice ou l'atrophie sont bien constatés, s'exposer à po
le centre spinal, et là il modifie les centres dont émanent les nerfs moteurs et les nerfs qui président à la nutrition des mus
es nerfs centripètes articulaires et les cellules d'origine des nerfs moteurs et trophi-ques des muscles extenseurs (crural dan
e de la moelle, en dehors de la région où, au contraire, les cellules motrices sont dans l'état de torpeur que nous supposions t
yperexcitabilité de la substance grise et en particulier des cellules motrices des cornes antérieures, un état spécial que j'ai
pètes en général, augmentent l'excitation déjà exagérée de la cellule motrice ; la mesure est comblée, et le nerfcenlrifuge tran
er. A ces lésions trophiques des muscles correspond une impuissance motrice , d'autant plus accentuée que l'amyotrophie est el
divers muscles qui meuvent la jointure, par l'intermédiaire des nerfs moteurs correspondants. » M. le professeur Duplay, dans p
ui, à leur tour, réfléchissent cette excitation par la voie des nerfs moteurs sur les muscles, tant extenseurs que fléchisseurs
nt de la mémoire. Il y a, dans cette forme, prédominance des troubles moteurs , embarras de la parole, tremblement des mains et
auche. — Douleurs permanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire.— Troubles de la m
ifesté dans le membre inférieur gauche un certain degré d'impuissance motrice , gênant considérablement la marche et la station
'accident la douleur eut cessé à peu près complètement, l'impuissance motrice se montra à un haut degré ; car, pendant un autre
is sans fatigue, ainsi qu'il le fait aujourd'hui. Cette impuissance motrice d'un membre à la suite d'une sciatique n'est poin
5 mars, alors que les douleurs commencent à s'atténuer, l'impuissance motrice était cependant portée au plus haut degré ; un se
t à la rigueur s'expliquer, en admettant une lésion des tubes nerveux moteurs , développée au-dessous du point contus, en conséq
ée de telle façon que les éléments ganglionnaires, les cellules dites motrices , sont profondément altérés ou détruits; ainsi, pa
ième période, période parahjtique, est caractérisée par l'impuissance motrice des membres supérieurs. La paraplégie cervicale s
ndheit). — Observation : Début brusque ; hémiplégie droite et aphasie motrice qui disparaissent ; hémianopsie, alexie incomplèt
sulter, le 3 mars 1883, il n'existe plus de paralysie, plus d'aphasie motrice , il peut écrire couramment et régulièrement; mais
remiers jours, il y a eu, le plus souvent, un certain degré d'aphasie motrice , qui s'est peu à peu dissipée plus tard, laissant
t : l'image commemorative auditive, l'image visuelle et deux éléments moteurs , à savoir l'image motrice d'articulation et l'ima
auditive, l'image visuelle et deux éléments moteurs, à savoir l'image motrice d'articulation et l'image motrice graphique. Me
éléments moteurs, à savoir l'image motrice d'articulation et l'image motrice graphique. Messieurs, Dans l'ouvrage importan
image commémorative auditive, l'image visuelle et enfin deux éléments moteurs , c'est-à-dire appartenant à la catégorie du sens
sens musculaire, à savoir: 1'imagemotrice 1 d'articulation et l'image motrice graphique ; la première, développée par la répéti
verbale. On pourrait, suivant le même principe, dire qu'il y ^amnésie motrice verbale — celle-ci se montrant d'ailleurs plus ou
ailleurs plus ou moms accentuée, suivant les cas — lorsque les images motrices , soit d'articulation, soit graphiques, seront en
autres enfin ont recours directement à l'un ou à l'autre des éléments moteurs . 1. Image motrice: Bevoegungsbilder dans la nom
ours directement à l'un ou à l'autre des éléments moteurs. 1. Image motrice : Bevoegungsbilder dans la nomenclature de M. Kuss
consentir à désigner sommairement sous les noms de visuels, auditifs, moteurs , les représentants de chacun de ces grands types,
é question plus haut. Grâce à la persistance des éléments auditifs et moteurs du mot, la compensation s'est établie au point qu
sculaire progressive du type Duchenne-Aran. La lésion des noyaux gris moteurs , spinaux ou bulbaires est le fait unique, ou tout
attaque est chez notre malade souvent marquée par une sorte d'aphasie motrice qui, en général, ne dure pas plus de huit ou dix
ésion cérébrale en foyer, corticale, étroitement limitée dans la zone motrice , au centre brachial et consécutive elle-même à l'
une lésion cérébrale corticale, principalement localisée dans la zone motrice du bras; mais il ne s'agit pas là d'une altératio
ouls de Corrigan ; pouls capillaire sensible au front. La paralysie motrice du membre supérieur gauche, qui se présente inert
ue du cœur, foyer qu'on pouvait supposer limité étroitement à la zone motrice du bras, une telle lésion, dis-je, pourrait rendr
, avec cette vue. En effet, la limitation à un membre de la paralysie motrice , sans participation, à aucune époque, du côté cor
instant, pendant une longue période de près de 10 mois. La paralysie motrice n'était pas complètement guérie, sans doute, car
le chiffre 10. Donc, ainsi que je vous l'ai annoncé, si l'impuissance motrice n'est plus absolue comme autrefois, elle persiste
c anesthésie du bras et de l'épaule. — Examen du malade : impuissance motrice avec flaccidité, anesthésie pour tous les modes d
gré les divers traitements qui ont été mis en œuvre, A. Impuissance motrice . Porcz... ne peut imprimer aucun mouvement volont
d'ailleurs exclusivement les parties du membre où il y a impuissance motrice , se limite du côté des parties voisines restées s
ui paraissent toutes deux également légères. En résumé, impuissance motrice absolue des muscles de l'épaule, du bras et de l'
musculaire, dans toutes les parties qui correspondent à la paralysie motrice ; absence complète de rigidité des parties privée
5e année, n° 7, 10 juillet 1585, p. 604.) vint à lui, la paralysie motrice des divers segments du membre était absolue, comm
in, april 1884, pp. 70 et s.) miné, en ce qui concerne la paralysie motrice et les troubles trophiques, tant musculaires que
nier, il y a lieu d'admettre également, en tenant compte des troubles moteurs et des troubles trophiques qui seront tout à l'he
s, destructives, portant sur toutes les branches, tant sensitives que motrices du plexus brachial. Si maintenant nous revenons
uable de la non-participation des doigts et de la main à la paralysie motrice et à l'anesthésie, si fortement accentués cependa
t Titres, Elude critique et clinique de la doctrine des localisations motrices dans Vécorce des hémisphères cérébraux de l'homme
igidité; bien au contraire, nous notons expressément que la paralysie motrice est ici remarquable par la mollesse, la flaccidit
bon nombre de cas de lésions corticales localisées à l'un des centres moteurs , la sensibilité cutanée et le sens musculaire peu
itées aux circonvolutions médianes, dans lesquels, outre la paralysie motrice , on a noté expressément que la sensibilité était
e toujours, si l'altération est restée limitée exactement aux centres moteurs , sans empiéter sur les régions limitrophes du lob
bral du côté opposé à la paralysie et, plus précisément, dans la zone motrice du bras qu'il faut la placer. De plus, pour rendr
ques travaux récents, qu'elle n'est pas étroitement limitée à la zone motrice , et qu'elle s'étend en arrière des circonvolution
cette opinion les preuves abondent. Oui, dans notre cas, la paralysie motrice , l'anesthésie et le reste se rapportent à l'hysté
dait d'une lésion dijnamique localisée dans l'écorce grise de la zone motrice brachiale, du côté opposé à la monoplégie. L'exis
taques que s'est manifesté tout à coup, le 21 mars, dans la paralysie motrice , l'amendement que vous pouvez constater aujourd'h
e 70, elle ne donne à gauche que le chiffre 10. Donc si l'impuissance motrice n'est pas absolue comme autrefois, elle persiste
quez-le bien, paralysies imaginaires; car, en somme, ces impuissances motrices développées par le fait d'un trouble psychique so
Nov. 1869. et pouvant se traduire à l'extérieur par des phénomènes moteurs correspondants. S'il en est ainsi, on conçoit que
somnambu-lisé l'idée d'un état morbide, par exemple de l'impuissance motrice d'un dé ses membres, cette paralysie se réalise e
t ce que nous nous proposons d'examiner actuellement. L'impuissance motrice que nous venons de provoquer chez Greuz..., par s
tique spéciale ; mode d'action de ce dernier agent; images psychiques motrices . Bons résultats du traitement. Messieurs, Nou
ticulation du coude. Aussitôt que, pour cette jointure, l'impuissance motrice est devenue complète, vous voyez que la zone d'an
du membre supérieur, épaule, coude, poignet, que porte l'impuissance motrice , les mouvements des doigts restant parfaitement l
euz..., la mo noplégie, en déterminant par suggestion l'impuissance motrice des doigts, laquelle est, vous le voyez, immédiat
n de l'anesthésie qui correspond, pour chaque segment, à la paralysie motrice . Actuellement je vais répéter chez une autre hy
réflexes tendineux, dans les segments du membre frappés d'impuissance motrice *. On peut, cependant, je tiens à le faire remarq
r, même chez les hystériques hémianesthé-siques, obtenir la paralysie motrice , sans accompagnement aucun de troubles de la sens
siques, auxquelles j'ai suggéré, purement et simplement, la paralysie motrice du membre sans rien dire de la sensibilité. J'ign
entre elles, mais, en réalité, parfaitement identiques : impuissance motrice avec flaccidité des parties, insensibilité cutané
t fait naître chez ceux-ci comme chez celles-là, l'idée d'impuissance motrice du membre. Or, en raison de l'obnubilation du moi
ile, en conséquence d'une action d'inhibition exercée sur les centres moteurs corticaux, par l'idée fixe d'impuissance motrice
rcée sur les centres moteurs corticaux, par l'idée fixe d'impuissance motrice ; et c'est. à cette circonstance surtout que sera
triques ait pour effet de raviver dans les centres, la représentation motrice , condition préalable de la mise en jeu de tout mo
is-je, qui pourraient être mis en œuvre, dans le cas où l'impuissance motrice serait complète au commencement du traitement, ag
James Mill) ; Rappel idéal du mouvement à exécuter (Bain) ; Intuition motrice (Maudsley) ; Faculté locomotrice (W. Hamilton); R
mettre à profit l'influence dynamogène du centre visuel sur le centre moteur , conseillons-nous à nos malades de regarder toujo
, etc., mais déterminer, même temporairement, une véritable paralysie motrice et sensitive d'un membre, cela dépasse les mesure
-thésie de la peau, puis des parties profondes et enfin une paralysie motrice transitoire complète du membre, avec perte du sen
sisté dans une anesthésie superficielle et profonde, avec impuissance motrice absolue, sans rigidité musculaire et que, par con
ever, puisque l'occasion s'en présente, que ces troubles sensitifs et moteurs sur lesquels j'appelle ici votre attention et qui
uit une aneslhésie culanée et profonde en même temps qu'une paralysie motrice plus ou moins accentuée» lesquelles, vraisemblabl
tion, de la calorification, de l'innervation (anesthésie et paralysie motrices ) avec menace de sphacèle. Tous les accidents, en
elle je m'étais jusque-là rattaché sans réserve, — que les paralysies motrices hystériques paraissent être régulièrement marquée
point que je veux relever surtout pour le moment, par une impuissance motrice totale avec flaccidité complète. Eh bien, Messieu
ons obtenus dans cette série d'études 1 : L'existence d'une paralysie motrice sur le membre mis à l'épreuve n'est pas nécessair
me très bien caractérisé : aphonie, chuchottement impossible, aphasie motrice . — Conservation des mouvements généraux des lèvre
tion des mots ; il est privé, en d'autres termes, des représentations motrices nécessaires pour la mise en jeu du mécanisme de l
a parole articulée. Il s'agit donc là, en définitive, d'une aphasie motrice , et j'ajoute, purement motrice ; espèce rare, trè
donc là, en définitive, d'une aphasie motrice, et j'ajoute, purement motrice ; espèce rare, très rare dans le domaine de l'aph
caractère pratique de la plus haute importance — que, dans l'aphasie motrice organique, même la plus complète, le malade pouss
avez combien sont rares, dans le domaine organique, les cas d'aphasie motrice pure, sans complication. A la perte des représent
hasie motrice pure, sans complication. A la perte des représentations motrices du langage articulé, s'ajoutent, en pareil ca, je
oire des mouvements d'articulation qui existe, ce n'est pas l'aphasie motrice qui est en scène, mais bien Y anarlhrie, conséque
érique. Epis-taxis fréquentes, plusieurs tamponnements. L'impuissance motrice des membres inférieurs, d'abord imparfaite, est d
de la sensibilité offrent donc un contraste profond avec des troubles moteurs . D'ailleurs, pas d'atrophie des muscles dont les
n vient à déterminer chez elles, par voie de suggestion, la paralysie motrice et sensitive totale du membre inférieur, répondan
otions relatives au sens musculaire sont abolies et que l'impuissance motrice se montre en même temps très accentuée. Donc, e
ordres de faits, le mécanisme de la production, tant de l'impuissance motrice que de l'anesthésie, est le même, Or, quand chez
ez le sujet somnambulisé on suggère par la parole ridée d'impuissance motrice d'un membre et qu'on voit cette idée se réaliser
tre que cela dépend d'une lésion dynamique affectant celles des zones motrices etsensitives de l'écorce grise cérébrale qui, à l
ments d'une jointure, hanche, genou, cou-de-pied, etc., l'impuissance motrice de cette jointure entraine avec elle, à peu près
tels que sensation de lourdeur, parfois aneslhésie réelle et parésie motrice plus ou moins accentuée. Pour un choc d'une inten
du choc local, et, en particulier, dans les phénomènes sensitifs et moteurs qui s'y rattachent qu'il faut chercher le point d
ont naître, en quelque sorte tout naturellement, l'idée d'impuissance motrice du membre ; et cette idée, en raison de l'état me
înent à peu près nécessairement avec elles un sentiment d'impuissance motrice des membres inférieurs, et, au plus haut degré, s
odifiés (1er novembre 1886). La disparition subite de la paraplégie motrice , à la suite d'une attaque qui présente tous les c
ant 3 ou 4 jours; de telle sorte qu'on peut affirmer que la paralysie motrice n'a pas été immédiatement complète. 5° Le malade
participation de la face qui n'a jamais été intéressée. La monoplégie motrice est complète; seul le trapèze peut élever l'épaul
qui a abouti à la production d'une monoplégie complète, sen-sitive et motrice , laquelle persiste telle quelle depuis 18 mois; q
cérébral produit par le choc nerveux. On remarquera que la paralysie motrice n'a pas été complète du premier coup et que, dans
as par conséquent, comme dans les autres du môme genre, l'impuissance motrice ne s'est complétée qu'à la suite d'une sorte d'él
onduit à admettre, avec bon nombre d'auteurs, que les représentations motrices qui précèdent nécessairement l'accomplissement d'
omplissement d'un mouvement volontaire, s'effectuent dans les centres moteurs corticaux où elles trouvent leur sub-stratum orga
b-stratum organique, et plus précisément, dans les cellules nerveuses motrices de ces centres. Elles seraient principalement con
s soit kinesthôtiques, soit visuelles persistant, les représentalions motrices proprement dites venaient à faire défaut, en cons
nséquence d'une lésion survenue dans les cellules nerveuses du centre moteur cortical d'un membre, ou dans les prolongements q
!- \ pellier, avait déjà, en 1789, reconnu l'existence, de paralysies motrices dépendant de la perle du sotivemr^e if^ force.m.Q
On comprendrait par ce qui précède que la suggestion d'impuissance motrice puisse, ainsi qu'on l'a dit (p. 336), déterminer
qu'on l'a dit (p. 336), déterminer chez quelques sujets une paralysie motrice complète sans accompagnement d'un trouble quelcon
mal, sont en relation directe ou indirecte avec les centres corticaux moteurs , peuvent être affectés plus ou moins profondément
«Comme les nerfs reçus par les muscles sont principalement des nerfs moteurs qui y conduisent le stimulus émané du cerveau...
aît pas être clans les muscles, mais bien dans les cellules nerveuses motrices ... Nous n'avons pas seulement la sensation d'un m
t à exécuter. La sensation de mouvement est donc liée à l'innervation motrice , c'est pourquoi nous l'appelons sentiment d'inner
st en grande partie initiale, centrale et réalisable dans les centres moteurs . — Suivant M. Maudsley (Physiolog. de l'Esprit, t
paraît que c'est dans la partie frontale des circonvolutions (centres moteurs corticaux) que sont emmagasinés les résidus des s
es résidus des sensations musculaires dont nous lirons nos intuitions motrices ... » « Les parties de la surface du cerveau, qui
» « Les parties de la surface du cerveau, qui agissent comme centres moteurs , sont le siège... de la conception du degré et de
sitives, et le siège de leur résurrection idéale, de même les centres moteurs des hémisphères, outre qu'ils sont le siège de mo
duction idéale. Nous avons ainsi une mémoire sensilive et une mémoire motrice , des idées sensitives et des idées motrices ; les
e sensilive et une mémoire motrice, des idées sensitives et des idées motrices ; les idées sensitives étant des sensations raviv
es ; les idées sensitives étant des sensations ravivées, et les idées motrices étant des mouvements ravivés ou idéaux, les mouve
, 1882, pages 209, 165 et appendice) émet l'opinion que « les centres moteurs , où qu'ils soient situés, sont des parties dont l
si l'on attribue l'activité de ce centre sensitif à celle des centres moteurs ... Le substratum cérébral de l'esprit ne comprend
donc, en aucune manière, les processus qui ont lieu dans les centres moteurs du cerveau, où qu'ils puissent être situés. En d'
les comme étant en partie immédiatement dues à l'activité des centres moteurs . » À l'appui de la théorie proposée plus haut,
vement prémédité, les uns éveillent exclusivement les représentations motrices proprement dites, d'autres les représentations ki
rs, à notre consultation du mardi, s'est présenté un cas de paralysie motrice , à début brusque, digne de fixer votre attention;
une lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou des nerfs moteurs et qui constitue le type delà lésion trophique? —
ante de toute lésion des cornes antérieures de la moelle et des nerfs moteurs . Dans ce cas, il ne peut môme plus y avoir de con
l prononce a, é. Les jours suivants, il paraît présenter de l'amnésie motrice ; on écrit devant lui Varsovie en français et en
ique dans la portion laryngée et, dans l'espèce, paralysie des filets moteurs du laryngé supérieur. L'examen laryngoscopique,
hystérique, nous trouvons en _même temps de l'aphonie et de l'aphasie motrice . C'est en effet là un des traits typiques de ce p
ttement la notion visuelle de l'orthographe des mots ; mais « l'idée ( motrice graphique) des lettres ne lui revenait pas; » ell
onservé l'image visuelle, l'image auditive et peut-être aussi l'image motrice d'articulation (on ne peut juger de cette dernièr
tsjoujûteurs du mot : l'image auditive, l'image visuelle, -~Yîmage motrice d'articulation, Y image, motrice graphique du fnl
ditive, l'image visuelle, -~Yîmage motrice d'articulation, Y image, motrice graphique du fnlîl, M. Charcot signalait un bien
qui représentent le plus haut degré, les amnésies auditive, visuelle, motrice d'articulation et motrice graphique qui répondent
aut degré, les amnésies auditive, visuelle, motrice d'articulation et motrice graphique qui répondent au degré le plus faible.
établir une suprématie absolue des centres sensoriels sur les centres moteurs , au point d'admettre que ces derniers ne sont mis
g » en est un bel exemple. C'est là une preuve évidente que le centre moteur d'articulation a son existence propre et peut fon
. De même pour les centres auditifs CA.C, CA.M. Quant aux centres moteurs soit de Xarticulation, soit de Y écriture, des re
Centre auditif commun. — CAM, Centre auditif des mots. — CLA, Centre moteur du langage articulé. — CLE, Centre moteur du lang
tif des mots. — CLA, Centre moteur du langage articulé. — CLE, Centre moteur du langage écrit '. \. La disposition des centr
e en rapports intimes avec le centre visuel commun, de même le centre moteur du langage écrit, CLE, est en rapport avec le cen
le centre moteur du langage écrit, CLE, est en rapport avec le centre moteur commun du membre supérieur, et le centre moteur d
apport avec le centre moteur commun du membre supérieur, et le centre moteur de [articulation verbale, CLA, est en connexion é
nt, en effet, que des centres d'impression. Au contraire, les centres moteurs de l'articulation et de l'écriture sont rattachés
à ces mouvements, il finit par les comprendre; dans ce cas, le centre moteur qui préside à l'articulation des mots vient au se
le mot qu'il entend et en saisit alors le sens; ici, c'est le centre moteur graphique qui vient au secours du centre auditif.
s du centre visuel. Les impressions plus fortes fourniespar le centre moteur graphique, viennent ici mettre en valeur les impr
l suppléé par le centre graphique, et le centre auditif par le centre moteur d'articulation, et cela, parce que la mémoire des
uel et auditif paralyse le centre d'articulation et produit l'aphasie motrice ou l'agraphie. La raison de ces variétés c'est qu
posés plus haut, on aura affaire à des visuels, à des auditifs, à des moteurs graphiques, à des moteurs d'articulation, ou, e
aire à des visuels, à des auditifs, à des moteurs graphiques, à des moteurs d'articulation, ou, enfin, à des indifférents, lo
, les uns sont des auditifs, les autres des visuels, quelque-uns «des moteurs ; aussi est-il aisé de comprendre, ainsi que l'a
as 1. On peut dire par exemple que M. le Pr Strieker est surtout un moteur . On comprend aisément combien en présence de va
ntre auditif amener, •outre la surdité verbale, une véritable aphasie motrice , bien que la circonvolution de Broca ne soit le s
auche. — Douleurs permanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire. — Troubles de la
indheit). — Observation : Début brusque; hémiplégie droite et aphasie motrice qui disparaissent; hémianopsie, alexie incomplète
nt l'image commémorative, auditive, l'image visuelle et deux éléments moteurs , à savoir l'image motrice d'articulation et l'ima
auditive, l'image visuelle et deux éléments moteurs, à savoir l'image motrice d'articulation et l'image motrice graphique......
éléments moteurs, à savoir l'image motrice d'articulation et l'image motrice graphique........................................
c aneslhésie du bras et de l'épaule. — Examen du malade : impuissance motrice avec flaccidité, aneslhésie pour tous les modes d
tique spéciale ; mode d'action de ce dernier agent; images psychiques motrices . Bons résultats du traitement....................
me très bien caractérisé : aphonie, chuchottement impossible, aphasie motrice . Conservation des mouvements généraux des lèvres,
orexie hystérique, 240. Aphasie (Des différentes formes d'), 154; — motrice pure dans le mutisme hystérique, 427. Articulai
3 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
e des différents nerfs cérébraux, et entre autres, des nerfs optique, moteur oculaire, hypoglosse (atrophie et dégénération gr
nces spéciales, de produire les symptômes de ,'ataxie (incoordination motrice et douleurs fulgurantes) dans les membres supérie
ans un des Mémoires de M. Pierret. Chez cette femme, l'incoordination motrice , ainsi que les douleurs fulgurantes, avaient exis
s la forme généralisée. Les dou-leurs fulgurantes et l'incoordination motrice occupaient aussi bien les membres inférieurs que
seules tout le tableau clinique, sans accompagnement d'incoordination motrice ; alors elle peut exister seule, les faisceaux de
largissent à la fois en dehors et en dedans, lorsque l'incoordination motrice s'ajoute à Il n'est pas sans intérêt de recherc
caractérisée par des douleurs fulgurantes vives et une incoordination motrice très accentuée, était depuis longtemps constituée
se du côté droit était manifeste-ment atrophiée. Les grandes cellules motrices présentaient des altérations profondes ; celles q
peuvent être suivis jusqu'à ce groupe externe des cellules nerveuses motrices . C'est vraisemblablement par la voie de ces tubes
exion avec les filets radiculaires, d'où émanent les racines spinales motrices . Quant aux autres prolongements cellulaires, qu'o
es principales. Dans la première, il s'agit d'une véritable paralysie motrice , avec ou sans contracture, occupant l'un des memb
es supérieurs, lors des mouvements intentionnels, une inco-ordination motrice s'exagérant par l'occlusion des yeux, et en tout
ont envahies, les membres supérieurs seront atteints d'incoordination motrice . Enfin, la paralysie et la contracture apparaîtra
ou bulbaires, tels que les nerfs optiques, par exemple, ou les nerfs moteurs de l'œil. Sous ce rapport, il y a un parallèle
me encore. Ce sont: Io Les symptômes céphaliques (paralysie d'un nerf moteur avec toutes ses conséquences, amblyopie plus ou m
e, et qui pourrait recevoir la désignation de période dincoordination motrice , le tableau clinique se compose, en premier lieu,
ynergie, c'est-à-dire association vi-cieuse et intempestive des actes moteurs élémentaires, asyner-gie qui a pour résultat de t
s douleurs existent seu-les pendant longtemps avant que des désordres moteurs ne viennent s'y adjoindre. Il y a lieu de se dema
fulgurants, alors qu'il n'existe encore aucune trace d'incoordination motrice . Des vomissements presque incessants et extrême
ie. Quand l'ataxie s'est pleinement confirmée et que l'incoordination motrice s'est développée, les crises gastriques ne dispar
veloppée spontanément (arthropathie des ataxiques). L'in-coordination motrice ne s'est manifestée chez lui que quelques mois pl
gurantes, pendant plus de cinq ans, sans accompagne-ment de désordres moteurs , chez M. T... Le diagnostic était rendu facile, d
gulières. Il n'existe, chez cette femme, aucun signe d'incoordination motrice . 4°Audib..., âgée de 36 ans environ, souffre de
che (arthropathie des ataxiques). Quelques symptômes d'incoordination motrice existent depuis un an à peine. Je n'insisterai
e puisse être affecté. Mais, le plus ordinairement, ce sont les nerfs moteurs oculaires qui sont envahis les premiers. C'est pa
est restée à peu près stationnaire. Les symptômes d'incoordination motrice ont cependant com-mencé à s'accuser il y a quelqu
, il n'existait au moment de l'accident aucun signe d'incoordina-tion motrice . Les jambes n'étaient pas projetées de côté et d'
autre et aucune cause mécanique n'était intervenue. L'in-coordination motrice ne s'est montrée qu'en 1866. Plus tard (1870), l'
ants pour établir que la moelle est, dans ces circonstances, le grand moteur des symptômes ? \J arthropathie des ataxiques s
cas: Succession des symptômes. — Prédominance, an début, des troubles moteurs : parésie, paralysie avec flaccidité, rigidité te
vont inaugurer la série des accidents nouveaux ? Sont-ce les troubles moteurs ou les troubles sensitifs ? Cet ordre de successi
ions, aucune espèce de sensations. En revanche, les troubles purement moteurs , la parésie ou la paralysie plus ou moins complèt
l en soit, Messieurs, la réalité paraît être que tan-tôt les troubles moteurs (parésie des membres inférieurs), tan-tôt, au con
douleurs articulaires, etc.), ouvrent la marche. IV. Les troubles moteurs , en tout cas, ne tardent pas à prédo-miner, dans
Du côté correspondant au siège de la lésion spinale, la pa-ralysie motrice occuperait à la fois le membre supérieur et le me
i n'aurait pas lieu dans l'hé-miplégie spinale. De plus, les troubles moteurs concomitants — parésie, paralysie avec ou sans co
insi que se produit l'hémianesthésie croi-sée. Quant à la paralysie motrice qui s'observe au-dessous de la lésion hémilatéral
ls, par conséquent, il n'est pas nécessaire de revenir. L'impuissance motrice ne tarderait pas à survenir, et les muscles des m
r-taines conditions, avoir pour résultat d'occasionner une pa-ralysie motrice limitée, au moins pendant quelque temps, aux deux
que, on a proposé d'admettre que les conducteurs pour les incitations motrices volontaires des membres thoraciques occu-pent, da
périphérique des nerfs. — Dans celle-ci, vous le savez, l'impuissance motrice est précédée et accompagnée de douleurs vives (ps
co-brachiale de la moelle épi-nière pourrait déterminer une paralysie motrice bornée aux membres supérieurs. Vous n'ignorez pas
on cervicale de la moelle épi-nière, et ayant déterminé une paralysie motrice limitée aux membres supé-rieurs. Ces deux faits o
e, à l'état d'isolement, c'est-à-dire indépendants de toute paralysie motrice des membres, constituant pour ainsi dire, pendant
ocu-laires, précédant quelque temps le développement de la para-lysie motrice dans les membres inférieurs. Il s'agissait, dans
ment commença à s'affaiblir dans les membres inférieurs. La paralysie motrice s'accusa aussi pro-gressivement dans ces membres
s nerfs périphériques. Les douleurs pseudo-névralgiques, la paralysie motrice et l'anesthésie, varieraient nécessairement de si
la substance grise, à savoir : Yappareil des cellules nerveuses dites motrices , lesquelles, comme vous le savez, ont pour siège
é pour la transmission des impressions sensitives, que les impulsions motrices volontaires et réflexes doivent nécessairement, e
s, elles seraient destinées surtout à la transmission des excitations motrices et auraient, peu de rapport avec la sensibilité.
e, si ce n'est très accessoirement et comme par hasard, les fonctions motrices , au contraire, sont lésées profondément. Cette
vement sont, de toute nécessité, altérés simultanément. Les fonctions motrices et la nutrition des muscles, sont seules affectée
stème musculaire de la vie animale, se traduisant par une impuissance motrice et une atrophie plus ou moins accusées, sont, ain
convient d'établir une distinction importante. Tantôt l'impuissance motrice , survenue dans un certain nombre de muscles ou gr
tion fasse reconnaître. Le muscle est d'abord paralysé, les fonctions motrices sont anéanties d'une façon plus ou moins complète
gine, le siège de troubles trophiques très accentués et l'impuissance motrice , en pareille circonstance, semble être en quelque
ent aux régionsde lasubstance grise occupées par les grandes cellules motrices , dont elle détermine l'atrophie et même la destru
ns un peu ac-cusées de la sensibilité, contrastant avec une paralysie motrice aussi absolue, aussi complète, est un des caractè
mann. — Klin. Vortrtige, p. J . 1° Invasion brusque de la paralysie motrice qui atteint du premier coup son summum d'intensit
minution de nombre et de volume qu'avaient subie les grandes cellules motrices , altération qu'on peut cependant très nettement r
Société de Biologie, 1864, p. 187. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infantile a été, pour la premiè
on ou l'atrophie granuleuse d'un certain nombre de cellules nerveuses motrices et, en outre, l'existence de plusieurs foyers de
faisceaux blancs dans la moitié correspondante de la moelle. Iules motrices étaient altérées profondément, bien qu'à des degr
s sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses motrices , qui se trouve déjà mentionnée dans les cas de MM
cussion en règle à propos du rôle que je prête aux cellules nerveuses motrices dans la production des lésions trophiques des mus
depuis la publication de notre travail. Ainsi la lésion des cel-lules motrices se trouve expressément signalée dans une ob-serva
e très cir-conscrit qui correspond à un groupe ou agrégat de cellules motrices (Fig. 9). Comment concevoir que cela puisse être,
de fonctions propres, comme sont les grandes cellules nerveuses dites motrices ? C'est ainsi que, suivant la théorie émise par M.
ît évident, d'après tout ce qui précède, que les cellules nerveuses motrices sont bien réellement le siège pri-mitif du mal. L
nfirmer la théorie d'après laquelle f appareil des cellules nerveuses motrices serait le premier foyer et comme le point de dépa
uelle dura pendant plus d'une semaine, et fut suivie d'une paraly-sie motrice complète des quatre membres brusquement développé
e des parties, portant uniformément sur les quatre membres. L'inertie motrice avait été remarquée déjà pendant la durée de la f
mélioration très notable s'est opérée en ce qui concerne la puissance motrice et la nutrition dans les membres supérieurs ; aux
de ces cornes qu'occupent les grandes cellules ganglionnaires, dites motrices . Rien, jusqu'ici, n'est venu contredire cette pro
e part, à cette mo-dification sénile de la cellule, l'affaiblissement moteur et les altérations des muscles des membres, qui s
). 5° Enfin, une dernière forme d'altération de la cellule nerveuse motrice est celle que l'on désigne quelquefois sous le no
toute la série des acci-dents qui bientôt lui succèdent. La paralysie motrice , marquée par la suppression de la tonicité muscul
de la désorganisation dont souffre l'appa-reil des cellules nerveuses motrices . De cette même lésion des éléments ganglionnaires
ra nécessairement, à l'instar de la paralysie infantile, la paralysie motrice avec l'atrophie rapide des muscles paralysés pour
fois déjà, savoir: la lésion atrophique aiguë des cellu-les nerveuses motrices . D'un autre côté, les phénomènes sur lesquels j'a
éresse les cornes grises antérieures et, par conséquent, les cellules motrices , mais elle ne s'y limite point, et elle attaque a
'à la myélite aiguë diffuse. Les symptômes communs sont: la paralysie motrice avec flaccidité complète, amoindrissement hâtif d
lysie infantile, relè-vent de l'atrophie aiguë des cellules nerveuses motrices . 1 Charcot. — Leçons sur les maladies du systèm
pinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses motrices cbt ici consécutive: elle se surajoute à une lési
quanon, et parfois la seule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et les nerfs moteurs périphériques, par une atrop
seule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et les nerfs moteurs périphériques, par une atrophie plus ou moins pro
substance grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des cellules motrices . Pour ne parler que des faits dans lesquels une
laires postérieures — douleurs ful-gurantes spéciales, incoordination motrice , etc. 3° Divers types de myélite centrale, spon
ns de travaux français. (.T.-M. GharcoO. que les cellules nerveuses motrices subissent des altérations plus ou moins profondes
n point limité de la moelle épi-nière à la région dorsale ; l'inertie motrice occasionnée dans les membres inférieurs par la su
ffection l'atrophie progressive des membres frap-pés d'incoordination motrice n'est pas une complication très rare. C. On peu
ésion, dont il s'agit, porte nécessairement sur les grandes cel-lules motrices . La névroglie peut être, elle aussi, affectée ;
lusivement dans l'aire des cornes antérieures. Les cellules nerveuses motrices présentent là tous les degrés pos-sibles de la dé
lbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses motrices , névroglie), dans la moelle et dans le bulbe. —Al
e altération de la substance grise antérieure ou des racines spinales motrices et je rappellerai, à ce propos, que l'hémiplégie
cas, elles portent et sur la névroglie et sur les cellules nerveuses motrices qui sont en plus ou moins grand nombre dégénérées
es de la moelle et, par conséquent, comme servant d'origine aux nerfs moteurs bulbaires. Cette affectation n'est guère douteuse
point de vue morphologique, tant d'analogie avec les grandes cellules motrices de la moelle, se montrent atrophiées ou dé-truite
à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la paralysie motrice . — Contracture permanente spasmodique. — Absence
a sclérose la-térale symétrique, avec atrophie des cellules nerveuses motrices dans les cor-nes antérieures à la région cervical
e protopathique; le premier d'entre eux consiste en une impuissance motrice , promptement développée qui, si elle ne précède p
manière générale, que dans l'amyotrophie protopathique, l'impuissance motrice relève en grande partie de l'atrophie des masses
nts. Il s'agit, dès l'origine, d'un affaiblissement de la puissance motrice et quand celle-ci, pour la première fois, fixe sé
un assez haut degré pour rendre compte à elle seule de l'impuissance motrice . En somme, il s'agit, dans ce cas, d'une véritabl
tré-mulation plus ou moins durable. Ainsi, Messieurs, l'impuissance motrice tient moins à l'af-faiblissement de l'innervation
re, et sur ces points un grand nombre des grandes cellules ner-veuses motrices avaient subi une atrophie très pronon-cée f; M.
igatoire, de la contracture, dans les membres paralysés. La paralysie motrice est ici déterminée j par la formation du foyer de
Souvent les muscles des membres in-férieurs, frappés d'incoordination motrice , sont seuls envahis (Laborde, Duménil). Dans le c
tels que : douleurs fulgurantes, troubles ocu-laires, incoordination motrice , etc., seraient toujours là pré-sents, pour éclai
s'ensuit une marche tantôt ascen-dante, tantôt descendante. L'inertie motrice s'accompagne d'une flaccidité très prononcée des
, des lésions très délicates, telles que sont l'atrophie des cellules motrices 1 Duchenne (de Boulogne). — Electrisat. localis
mées. La névroglie y avait sa transparence accoutumée et les cellules motrices , en nombre normal, n'offraient, dans les diverses
ent, dans les membres inférieurs, les premiers symptômes de paralysie motrice . La paralysie s'aggrava progressivement et s'éten
birent un accroissement de volume remarquable, bien que l'impuissance motrice persis-tât au même degré. A l'autopsie, les mus
t atro-phiées ; en outre, un bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices , présentaient une atrophie plus ou moins accusée
des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules nerveuses motrices . Rien, à mon sens, n'est moins justifiable que ce
que dans les deux cas, si l'altération porte sur les grandes cellules motrices , il s'en suit forcément la production d'une amyot
le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices ) et les zones radiculaires antérieures (trajet in
raire, reste limité, pendant toute la durée de son cours à l'appareil moteur . Il se caractérise surtout, en somme, dans son ét
pas oublié, et bien longtemps avant que ne paraisse l'incoordina-tion motrice d'où l'affection tire son nom, des troubles diver
quelle que soit l'intensité de ces symptômes appartenant à la sphère motrice , la sensibilité reste intacte : pas d'aneslhésie,
de l'ataxie locomotrice du moment où les phénomènes d'incoordination motrice viennent se surajouter aux troubles de la sensibi
es fonctionnels de la vessie ou du rectum, des paralysies des muscles moteurs oculaires, des lésions musculaires trophiques, et
électrique, s'empara successivement desmembres frappés d'impuissance motrice . La langue elle-même fut intéressée en dernier li
oit, qui bientôt, en même temps que le moignon, fut pris de paralysie motrice avec flaccidité. Au bout de quelques jours de tra
moelle, d'y abolir, par exemple, momentanément, le jeu des fonctions motrices et des actes réflexes. Si, l'encéphale étant dé
nentes ; — crises annoncées par un sifflement aigu. — Hallucina-tions motrices . — Traitement par le sulfate de quinine ; doses,
t de gauche à droite. Quoi qu'il en soit, cette sorte d'hallucination motrice est con-stamment suivie d'anxiété vive, de pâleur
cès. Je vous rappellerai en passant que cette sorte d'hallucination motrice n'est point, passez-moi l'expression, toujours pl
iques. — Trou-bles de la sensibilité générale et spéciale. — Troubles moteurs : leur ressemblance avec les mouvements choréique
u point de vue de la sensibi-lité, puis au point de vue des fonctions motrices . Je vous fais voir, en premier lieu, la malade co
) J'aborde maintenant le second point à savoir : l'étude des troubles moteurs que présente cette femme. Ces troubles sont très
tranquille, au repos, il n'y a dans le membre presque aucun désordre moteur ; par contre, dans l'acte de porter un verre à la
en pla-ques, de la trémulation des hémiplégiques, de l'incoordination motrice des ataxiques, etc., et qui, en revanche, les rap
itive, cet état en ce qui concerne du moins le caractère des troubles moteurs ne s'éloigne par aucun trait essentiel de la chor
oréepost-paralytique, la limitation exacte et indéfinie des désordres moteurs à un seul côté du corps. La préexis- tence d'un
tionnels. J'en reviens actuellement au cas de Ronc... Les désordres moteurs que nous avons étudiés chez cette malade ne sont
foyer intra-cérébral d'hémor-ragie ou de ramollissement, la paralysie motrice , si le cas est favorable, s'atténue progressiveme
ecousses choréiques font abso-lument défaut ; seulement, si l'inertie motrice est incomplète, il peut se faire, principalement
ions sensitives, il est des faisceaux de fibres douées de proprié-tés motrices particulières et dont l'altération déterminerait
ontracture per-manente. Relations entre la céphalalgie et la région motrice du cerveau. Lésions : Pachyméningite gommeuse. —
un, éclata un 3e accès ; cette fois la durée des phénomènes de Y aura motrice a été plus longue et le malade, avant de perdre c
. Après avoir reconnu, tout d'a-bord, l'absence chez lui de paralysie motrice , — et à part la céphalalgie, — de troubles quelco
es) sont désignées par les travaux récents comme représentant la zone motrice , ou, autrement dit, comme la seule région de l'éc
être mis à exécution, l'insuccès sera l'exception *. 1 La paralysie motrice transitoire d'un membre, survenant tout à coup, s
plus banales et souvent inaperçues, par une sorte d'explosion d'actes moteurs désordonnés, convulsifs, soudains, portant sur le
ction des dégénérations secondaires à la suite des lésions de la zone motrice corticale, voir Charcot, Leçons sur les localisat
ette date, dans les membres supérieurs, aucune trace d'incoordination motrice . Vers le milieu de juillet 1873, G..., au momen
nger. Elle a peu de force dans la main de ce côté et l'incoordination motrice est très-pro-noncée dans tout le membre, que les
, modifiés seulement, depuis quelque temps déjà, par l'incoordination motrice . Après ces éliminations successives, on est con
26e leçons. Paris, 1870. Sur la tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans cer
ratives, on croit recon-naître qu'un bon nombre de cellules nerveuses motrices , dans les diverses régions de la moelle, ont augm
ouissant de leurs fonctions, diminuant de jour en jour, l'impuissance motrice se serait développée paral-lèlement jusqu'au jour
et sur-tout des mains, plus caractéristiques encore. L'impuissance motrice et l'atrophie n'ont également marché que fort l
oupe faite au-dessus des olives. — Les noyaux d'origine du facial, du moteur oculaire externe et de l'auditif nous ont paru pr
estions qu'on lui adresse. La langue est atteinte d'une impuissance motrice à peu près absolue en même temps qu'elle présente
nt, elle est aujourd'hui abso-lument confinée au lit. L'impuissance motrice , complète dans le membre supérieur gauche, est un
re des oli-ves. — Cette coupe qui contient les noyaux du facial et du moteur oculaire externe ainsi que celui du trijumeau (po
ux grandes cellules nerveu-ses des cornes antérieures, cellules dites motrices ; les cellules des cornes postérieures ne paraiss
alytique aussi prononcé. D'où faut-il faire dériver cette impuissance motrice indépendante de la lésion trophique des muscles?
s très délicates, — telles que sont l'atrophie des cellules nerveuses motrices et la sclérose des cornes antérieures de la subst
évroglie y avait sa transparence accoutumée et les cellules nerveuses motrices , en nombre normal, n'offraient, dans les diverses
nt, dans les membres inférieurs, les premiers symptômes de pa-ralysie motrice . La paralysie s'aggrava progressivement et s'é-te
birent un accroissement de volume remarquable, bien que l'impuissance motrice persistât au même degré. A l'autopsie, les muscle
nt atrophiés ; en ou-tre, un bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices présentaient une atrophie plus ou moins accusée e
des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules nerveuses motrices . Rien à mon sens n'est moins justifiable que cett
s des commissures qui paraissent surtout agir. — Au cou, les troubles moteurs semblent siéger dans les muscles peaucier et ster
i précèdent, il ressort que ces trois malades présentent des troubles moteurs anormaux semblables ou ne différant qu'en ce qu'i
partielle. Ainsi, nous avons une analogie dans la forme des troubles moteurs , une analogie dans les conditions de développemen
as : Succession des symptômes. — Prédominance, au début, des troubles moteurs : parésie, paralysie avec flaccidité, rigidité tem
pinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses motrices est ici consécutive: elle se surajoute à une lési
lbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses motrices , névroglie), dans la moelle et dans le bulbe. —Al
à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la paralysie motrice . — Contracture permanente spasmodique. — Absence
nentes ; — crises annoncées par un sifflement aigu. — Hallucina-tions motrices . — Traitement par le sulfate de quinine ; doses,
iques. — Trou-bles de la sensibilité générale et spéciale. — Troubles moteurs : leur res-semblance avec les mouvements choréiqu
contracture per-manente. Relation entre la céphalalgie et la région motrice du cerveau. Lésions : Pachyméningite gommeuse. —
................ 407 III. Sur la tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans cer
e progressive, 292. — partielle du cerveau, 365, 467. Aura, 319 ; — motrice , 374 : — laryn-gée, 412. B Bandelettes extern
112. Cautérisation avec les pointes de feu, 350. Cellules nerveuses motrices (Tu-méfaction des) dans les myélites, 414 ; — 164
Dans la sclérose latérale amyotrophique, 442. H Hallucinations motrices , 340, 346, 352. Hématome, 90, 273. Hématomyélie
72. Hypochondrie, 33. Hystérie ovarienne, 361. _ I Incoordination motrice , 27. Irritation spinale, 120. k Kystes hydati
sion, 319. (v. Moelle épinière.) — Tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe dans certains cas de —, 41
,261, 453. — Lésions des muscles, 445, 456 ; — des cellules nerveuses motrices , 469 et suiv. —Pseudo-hypertrophique, 117,283,4
4 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tutifs, tels que les représentations, les émotions, les tendances motrices ou inhibitoires, sont à cetîe heure prématu- ré
nsées, volitions \ aboutissent toujours finale- ment à une réaction motrice , volontaire ou automatique, consciente ou incon
trop diffus, où les images se transfor- ment aussitôt en réactions motrices , la désintégration des centres nerveux a lieu,
e l'individu, servent d'issue aux états d'excitation, aux décharges motrices du cerveau. » Ces mouvements peuvent être acqui
e les maîtriser et de les con- tenir, bref, le pouvoir d'inhibition motrice , est, on le sait, un caractère d'organisation s
nt directement des ganglions de la base et du bulbe sur les centres moteurs pour y provoquer une réaction automatique céréb
tations transmises des zones « sensitivo-idéatives » aux centres moteurs corticaux : les cas de tics convulsifs, sur les
e de ces troubles ; 4° par excitations fonctionnelles des résidus moteurs (résidui di moto). ' Il n'est pas rare d'observ
automa- tisme des centres nerveux cérébro-spinaux. Les élé- ments moteurs de ces régions conservent encore la trace des r
'idées, et, de fait, ce sont des résidus d'images 40 PHYSIOLOGIE. motrices . La faible énergie musculaire que déploient enc
mènes psychiques sont ici frappés au même coin que ces phénomènes moteurs élémentaires : diffusion, in- cohérence, arhyth
tion volontaire se pré- sente comme une ligne brisée; l'innervation motrice est désordonnée et affaiblie eu même temps; les
bles, est dû à Tamburini '. Dans son mémoire sur les hallucinations motrices , ce savant n'a eu qu'à rappeler les idées vraim
ive, non seulement des hallucinations, mais de toutes les réactions motrices qui, à quelque degré que ce soit, accompagnent
e doit provoquer à la fois, s'il s'agit par exemple d'un centre « moteur » : 1° le réveil des images de sensibilité tac-
s enjeu pour la production du mouvement. La sensation d'innertion motrice , c'est la conscience de l'excitation fonctionne
brale, excitation qui a lieu en même temps que celle des éléments « moteurs » de ce centre. La représentation d'un mouvemen
s et musculaires, qui ac- compagnent la phase centrifuge d'une idée motrice quoiqu'il n'y ait point de mouvement effectué,
motrice quoiqu'il n'y ait point de mouvement effectué, les nerfs moteurs et les muscles sont affectés, à l'état faible,
s caractérisent, selon Tamburini, les processus des représentations motrices : 1° la phase centrale est constituée par le ré
u mouvement; il, La phase centrifuge est constituée par l'impulsion motrice qui, du même centre, va vers les nerfs et les m
ns, aponévroses, etc.) consé- cutivement à l'arrivée de l'impulsion motrice . Cette 44 PHYSIOLOGIE. dernière phase est la
le voit dans les hallucinations des amputés, sans que les images motrices et la conscience du mouvement accompli fassent
ou frappées d'anesthésie tactile et musculaire : l'éveil des images motrices et la projection de ces états internes au dehor
les hallucinations du mouvement. Cette genèse des hallucinations motrices vaut pour toutes les hallucinations en général,
entres de l'écorce cérébrale, et non pas seulement les centres dits moteurs , sont mixtes. et sont par con- séquent, à la fo
tie correspondante du corps, et des points de départ des impulsions motrices en rapport avec ces parties. Le mécanisme des h
es en rapport avec ces parties. Le mécanisme des halluci- nations motrices des membres et de la face ne diffère donc point
isuelle, une sensation des mouvements de l'oeil, une représentation motrice , consciente ou in- LES FONCTIONS DU CERVEAU. 45
la propriété d'être impressionnées ou sensibles. Les réac- tions motrices sont le fait des appareils périphériques des mo
e à un mode de sensibilité. « C'est particulièrement dans la sphère motrice du langage articulé que les hallucinations de l
int d'idée délirante de persé- cution. Il s'agit donc bien d'images motrices morbide- ment intenses, telles que le sont cell
- cination de cette nature, le siège de l'hallucination ver- bale motrice est localisé dans la région inférieure de la FA
tout. La condition nécessaire et suffisante d'une halluci- nation motrice verbale pure est la production simul- tanée dan
uvements correspondant à la projection des représentations verbales motrices ; 2° d'un cou- rant nerveux centrifuge qui, suiv
, ou du larynx, est capable de produire isolément une hallucination motrice corrélative, il n'y a pas de raison pour qu'une
ant sur d'autres aires corticales, n'y détermine des hallucinations motrices de n'importe quelle région correspondante du co
mo- trices graphiques des médiums écrivant, les halluci- nations motrices que nous éprouvons tous eu rêve lorsque, sans n
aut d'une tour ou dans un précipice, etc., enfin les hallucinations motrices de tant d'aliénés et de spirites qui croient vo
olition est infime, comparée à celle où doit s'exercer l'activité motrice inconsciente, mise en jeu consécutivement, et q
cot et Richer, sous le titre c Sur une forme spéciale d'impuissance motrice des membres inférieurs par défaut de coordinati
de de son service. atteinte de cette « forme spéciale d'impotence motrice des membres inférieurs 1. » Weir Mittchell décrit
ittchell décrit égale- ment les mêmes troubles sous le nom d'Ataxie motrice hysté- risque 5. Erlenmeyer dans son traité « U
e de Paris, 1868. 3 Charcot et Richer. - Sudi una forma d'impolenza motrice degli arti inferiori per diffetto de coordinazi
um Reports, 1873. l'hit. 7'rüres., vul. 179, 1888. hg. 3. - Aires motrices d'après Horsley et SchifTer. Ifamstrl11U ! tend
tion des différents mouvements innervés par les racines réspectives motrices des plexus brachial et crural, de telle sorte q
nd Lumbo saa al plexuses. (Proc. Roy. Soc., 1881.) Fig. L - Aires motrices de Beevor et Horsley. Aukte, cheville du pied ;
tion importante et très discutée de la signification des, réactions motrices qui ré- sultent de l'excitation électrique des
ent qu'ils soient la preuve de l'excitabilité directe des ré- gions motrices dans le sens propre du mot, car ces mouvements
produits par l'exci- tation périphérique, ou bien ils peuvent être moteurs dans le sens qu'ils sont dus à une excitation d
dus à une excitation de parties en rapport direct avec les tractus moteurs ou les'nerfs moteurs, ou bien ils peuvent être l'
de parties en rapport direct avec les tractus moteurs ou les'nerfs moteurs , ou bien ils peuvent être l'un ou l'autre. La m
calisée de ces centres dont l'excitation donne lieu à des réactions motrices définies. Une observation attentive des réactio
thèse, que quelques-uns peuvent être dus à l'excitation des régions motrices proprement dites, tandis que d'autres doivent,
ec les différentes formes de sensibilité aussi bien que les centres moteurs , principalement sinon exclusi- vement. L'existe
ux yeux. A part la perte de la vision, il n'y aucune autre perte ni motrice , ni sensitive. La sensibilité des globes oculai
la destruction des plis courbes ne produit aucun autre symptôme ni moteur ni sensitif, il n'y a ni ptosis ni paralysie ocu-
sibilité spéciale ou gé- néiale et absolument sans aucune paralysie motrice . Les résultats contraires obtenus par quelques
rimaires ou secondaires des autres centres ou tractus sensoriels ou moteurs . Dans les expériences de Goltz, les troubles de
REVUE DE PATHOTOGIE MENTALE I. DE la CIIORLE ET d'autres phénomènes moteurs chez les aliénés ; par M. KOEPPE : -I, (A1'Ch,
ramidaux ont dégénéré. Planche à l'appui. P. K. XII. Des TROUBLES MOTEURS QUI présentent CHEZ LES aliénés un CA- RACTÈRE
ticale et bulbaire (en ce qui concerne l'acoustique, et les racines motrices de l'appareil d'arti- culation) ou simplement c
ne pas dépasser 3 milligrammes. Ce médicament paralyse les centres moteurs et sécrétoires, ralentit le pouls et la respira
malades, paraplégique et alcoolique, cette variété d'incoordination motrice que M. le professeur Charcot appelle le steppag
au lieu de survenir brusquement comme les douleurs, ces phénomènes moteurs se manifestèrent peu à peu, augmentèrent d'inte
tée à une seule jambe, et il est assez remarquable que la paralysie motrice soit, comme la douleur, plus prononcée le matin
se et, j'entends par là la recrudescence transitoire des phénomènes moteurs et sensitifs il se pro- duisit, sur la partie p
énéral abolis simultanément, bien avant même que l'incoordination motrice n'ait commencé à se manifester). Cette absence du
ien peu d'ataxiques, j'en- tendsdeceux quiontdéjàdel'incoordination motrice , quinepré- sentent ou n'aient présenté, àun mom
i, jusqu'à cejour, ont repré- senté les tubes nerveux, sensitifs ou moteurs , comme des con- ducteurs indifférents. - D'au
ulté, que la paralysie des saturnins, étant presque exclusivement motrice , du moins dans l'immense majorité des cas, il fal
toute nécessité, supposer que le plomb n'est nuisible qu'aux nerfs moteurs , et nullement ou faiblement aux nerfs sensitifs
selon toute vraisemblance, que résultent les troubles sensitifs et moteurs . Mais peut-être serait-ce aller trop loin que d
aître simultanément ou successivement des phénomènes sensitifs et moteurs dans des territoires nerveux absolument indépen-
périphériques ? Enfin, dans notre cas, la limitation des phénomènes moteurs , sensitifs et tro- phiques dans une partie rest
ncontesté, c'est l'action trophique permanente des grandes cellules motrices des cornes antérieures sur les fibres nerveuses
ogues et j'ai observé, comme M. Pitres, la disparition des cellules motrices dans les différents étages de la moelle corresp
tique détermine un trouble de l'influence 12,o- phique des cellules motrices de la substance grise dans la ré- gion d'où ce
e l'hémisphère » et ayant été doué par ce même auteur de propriétés motrices en plus de ses propriétés sensitives, cela a su
péciale et partielle de la moelle épinière avec perte de la mémoire motrice dynamique et statique '. Nous nous rangeons plu
ne « paralysie émotive * suivie d'une auto-suggestion d'impuissance motrice . On peut s'imaginer le mécanisme par une influe
ée de s'occuper exclusivement et subitement de l'impotence figurée, motrice et statique. On peut se représenter cette derni
pnotisé « Tu ne peux plus marcher », il rencontrait une impuissance motrice complète, après l'injonc- tion « Tu ne sais plu
aire, attention), mais non des sensations simples et des impulsions motrices organisées : les gan- glions de la base, les co
iiiioff n'ont pas pu différencier les tractus sensitifs des tractus moteurs de la colonne latérale, et concluent que les deux
nes anté- rieure et postérieure (fig. 25), il y avait une paralysie motrice * presque complète dans la jambe du même côté,
troubles psychiques apparurent, mais sans symp- tômes sensitifs ni [ moteurs . Le seul phénomène qui pût dès lors être rattac
-Ouest (30 octobre 1887) K ^ P. K. V. Examen anatomique DES NERFS MOTEURS , DES NERFS mixtes ET DES RACINES ANTÉRIEURES DA
les cas de Oppenheim et Siemerling). Cette dégénérescence des nerfs moteurs périphériques et des racines antérieures de la
spinal a ouvert la marche; les lésions de l'ap- pareil périphérique moteur se sont plus tard surajoutées. P. K. VI. Obse
ner lesquelles d'entre elles appartiennent au spinal ou à la racine motrice de la première paire cervicale, ou même à l'hyp
noyaux originaires des nerfs crâniens. Ce sont les noyaux des nerfs moteurs qui paraissent le plus éprouvés. P. K. XXXVII
e à la coordination des mouve- ments, mais en agissant sur l'écorce motrice de l'hémisphère céré- belleux, puisque les deux
ont aux cellules cérébelleuses, et, de là, aux cellules de l'écorce motrice du cerveau, avec lesquelles elles sont en rela-
s impulsions centripètes; elles sont en relation avec les processus moteurs dépendants de l'entretien de l'équilibre et des
e que les impulsions émanées du cervelet qui règlent aussi l'écorce motrice sont également celles qui provoquent les sensa-
ice sont également celles qui provoquent les sensa- tions. L'écorce motrice arrête le centre des réflexes musculaires dont
t variables : tantôt on trouve une lésion très profonde des trajets moteurs une hémiplégie avec contractures et un développ
et c'est à elles que correspondent en réa- lité les manifestations motrices , pathologiques. Il s'agirait donc chez les tiqu
er, il est question d'un foyer de ramollissement ayant atteint le moteur oculaire commun dans son passage à travers le p
e, une tumeur par exemple, qui agirait en comprimant à la fois le moteur oculaire commun et le pédoncule dans sa partie
nne du pédon- cule cérébral. Dans ce cas très évidemment l'oculo- moteur commun n'avait pas dû être touché. Gintrac 2 et
376. 326 CLINIQUE NERVEUSE. par une paralysie alterne de l'oculo moteur commun d'un ; côté (côté de la lésion) et des m
simple rapport qu'une même lésion puisse atteindre simultanément le moteur oculaire commun et le pédoncule et produire en
roupe- ment des divers noyaux qui constituent l'origine réelle du moteur oculaire commun et dont chacun parait animer un
nons de faire, il est aisé de concevoir que la lésion de l'oculo- moteur commun puisse être intra ou extrapédoncu- l lai
insiste sur l'existence de ces paralysies incomplètes de l'oculo- moteur que parce que nous allons avoir à discuter tout
thralgies douloureuses s'amendèrent et firent place à une impotence motrice complète, c'est-à-dire à une hémiplégie droite
omène qui aurait pu donner à réfléchir à cette époque, la paralysie motrice était, paraît-il, accompagnée d'une hémianesthé
aujourd'hui. Serait-il donc sous la dépendance d'une paralysie du moteur oculaire commun et réduirait-il à néant la séri
nce, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les paralysies du moteur oculaire com- mun étant jusqu'ici inconnues dan
d la coexistence de symp- tômes oculaires d'un côté, et de troubles moteurs des membres du côté opposé, était si imprévue q
ne pouvait être fléchie. La face était respectée. Cette hémiplégie motrice se serait accompagnée de perte de la sensibilit
ue le bégayement n'est lié a aucun trouble des organes sensitifs ou moteurs . Donc, voici quels sont les signes principaux d
la capsule interne. Les fibres sensithes étant séparées des fibres motrices dans la capsule interne, on se demande si ces f
si ces fibres. jusque là distinctes, se fusionnent avec des fibres motrices dans l'écorce (comme le pensent quelques-uns) ou
ux excitations sensitives. Les membres n'avaient pas de paralysie motrice , mais on aurait dit qu'ils étaient lourds et mala
tabli par les fibres associés qui unissent cette région aux contres moteurs de l'écorce. On n'a pas pu produire la perte to
us a été détruit, la circonvolution marginale et les autres centres moteurs de voisinage et leurs fibres sont plus ou moins l
l'hippocampe du lobe falciforme, suffisamment éloignée des centres moteurs et de leurs fibres conductrices, pour assurer 1
ents volontaires et qu'ils font anatomiquement partie de l'appareil moteur . On a établi par des expériences sur les singes
nvolution du pli courbe. Ainsi était détruite presque toute la zone motrice de la convexité de l'hémisphère, les centres de l
la section de physiologie, et la position des lésions dans la zone motrice , et leur limitation furent définitivement prouv
s l'énergie des mouvements des membres ' * Leçons sur les fonctions motrices du cerveau. 1887. ' Sitzung s b - d IViener Aka
gré d'amélioration, même quand on a détruit entièrement les centres moteurs d'un hémisphère, et cette amélioration est plus
urd'hui, il est hors de doute que les lésions corticales de la zone motrice de l'homme telles qu'elles détruisent et non pas
nt manifestes après une extirpation unilaté- rable de leurs centres moteurs , cependant en réalité la guérison n'est jamais
it paralysé d'une façon permanente par la destruction des centres moteurs du côté opposé. Mais dans sa dernière intéressant
ruction profonde etétendue(mais probablement incomplète) de la zone motrice de l'hémisphère opposé. La pos- sibilité de l'u
t claire- ment les expériences de Goltz, de l'intégrité des centres moteurs de l'hémisphère intact; car quand ces centres s
ralysé d'une façon permanente. Il dit : « Un chien dont les centres moteurs des deux hémisphères ont été détruits ne peut s
». L'impuissance dépend de la destruction sy- métrique des centres moteurs dans les deux hémisphères; car si les centres m
e des centres moteurs dans les deux hémisphères; car si les centres moteurs d'un côté et les régions occipitales de l'autre
geant. Ce qui est vrai de la représentation bilatérale des facultés motrices dans chaque hémisphère, parait aussi s'appliquer
aux facultés en général et aux sens spéciaux. A part la paralysie motrice , je n'ai jamais pu découvrir le moindre trouble d
lité tactile, spéciale ou genérale après la destruction des centres moteurs . On peut observer l'absence ou le défaut de réa
enlevé le lobe falciforme et de celui dont on a extirpé les centres moteurs est si frappant qu'on ne peut douter que dans l
preuve de la sensibilité générale après la destruction des centres moteurs . « Nous avons vu, disent-ils, suffisamment pour
ncée par quelques-uns que les cellules super- ficielles de l'écorce motrice sont sensitives, ils ont detruit dans un cas le
chiens démontre aussi clai- rement 3 que la destruction de la zone motrice corticale n'altère pas la sensibilité du côté o
chien, dont on avait, quelque temps auparavant, détruit les rentres moteurs de l'hémisphère gauche. L'animal répondait inva
e. Au réveil du sommeil narcotique, l'ani- mal montra des désordres moteurs caractéristiques dans les mem- bres droits, et
e de la sensibilité tactile en général après les lésions de la zone motrice , et je vais maintenant examiner en détail les d
xcitants sensitifs qui peut aussi bien s'expliquer par l'incapacité motrice que par l'altération sensitive, ou bien ces tro
roubles sensitifs sont dus à la lésion d'autres parties que la zone motrice de l'écorce. Ceci s'applique plus particulièremen
incontes- table que chez l'homme la paralysie par lésion de la zone motrice est dans la majorité des cas essentiellement mo
ion de la zone motrice est dans la majorité des cas essentiellement motrice et ne s'accom- ' pagne d'aucun désordre delà se
observé plusieurs cas et réuni beaucoup d'autres lésions de la zone motrice certicale avec paralysie, dans les- quelles les
rai aussi que dans un bon nombre d'autres cas de lésions de la zone motrice , on a observé un certain degré d'altération de
des observations cliniques de maladie céré- brale, que les centres moteurs et les centres de la sensibilité tactile et gén
l- ques fois au moins sinon toujours, accompagnaient la paralysie motrice . Les données sur lesquelles ces conclusions sont
ion particulière et un symptôme particulier. Dans le cas de la zone motrice , il a été démontré que des lésions destructives
e des lésions destructives produisent invariablement -une paralysie motrice , locale ou généralisée suivant la position et l
tendue de la lésion. Un seul cas de paralysie par lésion de la zone motrice corticale sans trouble de la sensibilité est su
ité était intacte (dans un de ces cas une grande partie de l'écorce motrice était excisée'). Dans 37 l'état de la sen- sibi
a sensibilité disparaît enfin pendant t que persistait la paralysie motrice . Dans ce cas, la lésion atteignait le gyrus for
nt avoir existé que de dire que chez certains individus les centres moteurs et tactiles peuvent coïncider, tandis qu'ils sont
isés peut être prise comme une preuve de la coïncidence des centres moteurs et sensitifs. Elle peut prouver la contiguïté p
cune des formes de la sensibilité géné- rale, tandisque l'affection motrice était des plus prononcées. Il n'y a aucun rappo
ledegre de l'altération de la sensibilité et celui de la paralysie motrice . La paralysie motrice a éte absoule, tandis que
on de la sensibilité et celui de la paralysie motrice. La paralysie motrice a éte absoule, tandis que l'altération de la se
it légère et confinée a un ou au plus 2 à 3 doigts; ou la paralysie motrice a été limitée, tandis que l'altération de la se
tile, d'abord obser- vée a ensuite disparu, tandis que la paralysie motrice a persisté. Et quand, en plus, nous considérons
té musculaire et tactile peut être abolie en l'absence de paralysie motrice , état que l'on peut reproduire expérimentalemen
du lobe falciforme nous avons une preuve de plus que les centres moteurs et sensitifs de l'écorce sont anatomiquement disl
aiitsl'uli de l'autre et que nous ne pouvons attribuer la paralysie motrice à aucune altération de la sensibilité tactile o
sieurs comme la caractéristique des lésions de la zone corticale motrice doit être, à mon avis, regardée comme le commence
de la sensibilité tactile ou muscu- laire des doigts dans l'écorce motrice . Comme preuve à l'appui, je vous décrirai avec
nérale du côté opposé du corps. Les lésions corticales de la zone motrice causant une paralysie complète peuvent se produ
t lui-même et non par un courant centri- fuge, naissant des centres moteurs . Nous n'avons. je crois, aucun sens de l'innerv
nt des parties en mouvement. L'énergie des centres et de l'appareil moteur n'est révélé à la conscience que par le fonctio
mouvements particuliers sont effectués. La destruction des centres moteurs corticaux paralyse la puissance d'exécution, ma
effectués par un cerveau consistant seulement en centres visuels et moteurs . Dans ces cir- constances, la vision serait pri
ii y a un ensemble d'impressions non senties qui guident l'activité motrice du cerveau en le mettant en relation automatiqu
senties le nom de « Kinesthésies » et il considère que les centres moteurs sont le siège de ces kinesthésies ou sens du mo
sont le siège de ces kinesthésies ou sens du mouvement. Les centres moteurs sont donc, suivant lui, en réalité des centres
ressions kinesthésiques était l'excitant immédiat des vrais centres moteurs dans la moelle, il en résulterait que les soi-d
oteurs dans la moelle, il en résulterait que les soi-disant centres moteurs seraient des centres indépendants d'activité sa
ls de l'écorces. Des expériences montrent cependant que les centres moteurs ne sont pas des centres d'action indépendants,
cordons pyramidaux. Ces expériences indiquent donc que les centres moteurs de l'écorce ne sont pas des centres d'action in
silifs au moyen des fibres qui les unissent. Si les vrais centres moteurs étaient seulement dans la moelle, on s'attendra
es de la moelle développés en cor- - respondance avec les capacités motrices de l'animal. Dans pareil cas, les centres moteu
ec les capacités motrices de l'animal. Dans pareil cas, les centres moteurs de. la moelle de l'homme chez lequel les * Cent
Phys. Bd. XVII, 1883. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 417 capacités motrices sont plus variées et plus parfaites, seraient dé-
eau, et re- lativement à la taille de l'animal, les centres spinaux moteurs de l'homme sont moins développés que ceux des a
e façon absolue que ceux de beaucoup d'ani- maux dont les capacités motrices sont d'ordre inférieur. Le dé- veloppement des
tés motrices sont d'ordre inférieur. Le dé- veloppement des centres moteurs de la moelle correspond à celui des combinaison
fférents segments du corps, tandis que le développement des centres moteurs corticaux correspond à la multiplicité et la com-
ticaux correspond à la multiplicité et la com- plexité des facultés motrices volontaires. De ces différentes considérations,
inconscientes, ou comme un sens de l'innervation, mais qu'ils sont moteurs dans le même sens précisément que les autres ce
s sont moteurs dans le même sens précisément que les autres centres moteurs et que, quoique unis fonctionnellement et organ
ont encore douteuses. Analomiquement, elle est reliée aux cordons moteurs de la capsule interne. Ces cordons, suivant les r
dégénérescence peut être prise comme une preuve de la signification motrice de ces régions. De semblables dégénérescences o
8 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. les régions frontales avec les noyaux moteurs de la moelle. Les dégénérescences dans ces part
oduit au- cun symptôme physiologique découvrable soit sensitif soit moteur . Mais j'ai trouvé dans plusieurs cas, qu'après
tête et les yeux, il n'y avait aucun autre trouble, ni sensitif ni moteur . Dans ce cas, les corps striés étaient aussi bl
érimentales, unilatérale ou bilatérale pour ce qui est des facultés motrices ou sensitives en général ; et dans plusieurs ca
idée déhranre ou non est un groupe d'images visuelles, audi- tives, motrices , etc., et l'idée, quelque abstraite qu'elle soit,
e nerf émet son rameau cutané. L'électrisation guérit les accidents moteurs et sensitifs. P. KERAVAL. XXXVII. Casuistique d
auditif verbal et aux voies de conduction qui le relient au centre moteur d'articulation, respectant au contraire celles qu
e dans le noyau lenticulaire qui n'avait donné lieu à aucun trouble moteur ou sensitif. M. Magnan fait remarquer qu'il est
ans la majorité de cas il faut incrimi- ner une lésion de la région motrice de l'écorce cérébrale. Au point de vue clinique
(service des) en France, 472. Amnésie traumatiqueet paralysie du moteur oculaire commun par Sc'tnell, 265. Annales tE
ère (lésions des lobes pa- riétal et frontal d'un - sans troubles moteurs ni sensoriels), par Jensen, 276. Hôpitaux d'a
292; disso- ciée du sciatique poplité, par ,\lussalongo, 263; du moteur oculaire commun avec amnésie traumatique, par
5 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans les régions sensitives et postérieures comme, dans les régions motrices et antérieures de la moelle. Dans chaque tube n
s délicates. Sans doute, on peut observer parfois quelques troubles moteurs , un peu d'incertitude dans la démarche, un lége
comme symptôme détermi- natif des formes catatoniques les troubles moteurs typiques, qui se joignent à la maladie mentale
nt à la maladie mentale où entrent aussi les symptômes d'excitation motrice et les symptômes de l'enlè- vement de la foncti
ymptô- mes psychiques existent aussi des phénomènes, des troubles moteurs avec caractère de convulsions. » Au nombre des
dique (dont les périodes viennent d'être citées) et avec troubles moteurs . Dans les formes atypiques certaines phases de
s certaines phases de psychose isolées, ainsi que certains troubles moteurs peu- vent manquer. Le symptomo-complexe décri
de changements se font opérés en lui. Il a toujours la même inertie motrice , comme avant, occupe toujours la même place sous
place sous l'escalier, où il reste accroupi : du côté de la sphère motrice pas- sive on peut constater un nouveau symptôme
sions sensorielles et des symptômes d'inhibition et d'excitation motrice . On observe chez le malade un négativisme très ma
re des grimaces, et de rire sans cause ; en même temps l'inhibition motrice s'accentuait ; au commencement de la maladie on
les symptômes d'atonie ensemble avec des symptômes d'excita- tion motrice (rire, grimaces); 3° le cours atypique, puisque
lie avec délire épisodique, parfois avec hallucinations et troubles moteurs caractéristiques, ne ressemble à aucune forme d
as de démence pré- coce qui peut se compliquer par de tels troubles moteurs , comme ici. C'est justement la prédominance d
moteurs, comme ici. C'est justement la prédominance des troubles moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans la régio
moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans la région psycho- motrice , qui nous donne le droit de reconnaître ici la fo
de la catatonie complète, nous voyons alors tantôt un enchaînement moteur total, tantôt une excitation motrice subite.
ns alors tantôt un enchaînement moteur total, tantôt une excitation motrice subite. Par conséquent, nous pouvons exclure ic
et une grande allonité, qui souvent -était suivie d'une excitation motrice si forte qu'on était obligé d'isoler la malade. D
même actuellement deux états : état d'altonité et état d'excitation motrice uniforme. Pour la plupart de temps la malade se
on état d'attonité elle manifeste des phénomènes d'une excitation motrice , qui aussi est très stéréotype. Si elle se met à
était sans modifications visi- bles. Les phénomènes d'enchainement moteur prédominaient. Le plus souvent la malade était
savoir : début de la maladie par un délire mélancolique, inhibition motrice , négativisme, stéréotypie, verbigération, etc.
que, mais tout de même il est difficile d'admettre que l'inhibition motrice , la stéréotypie et les autres phénomènes catato
E LA DÉMENCE CATATONIQUE. 35 Encore Kahlbaum disait que les centres moteurs s'alté- raient en premier lieu dans la maladie
tout de même alors on reçoit des réflexes céré- braux sur la sphère motrice , tellement particuliers, qu'ils font supposer l
our combien et de quelle 36 ' CLINIQUE MENTALE. manière la sphère motrice est-elle intéressée dans la patho- génie des di
toniques ? Prenons le- premier symptôme catatonique, l'enchaînement moteur , la discénésie et les poses stéréotypes habitue
Mais ici on ne peut pas du tout parler de l'exci- tation du centre moteur du discours. Les images de dis- cours ne se for
i de nouveau on peut constater la .fonction incomplète de la sphère motrice corticale. En outre, c'est surtout le symptôme
r Mandoline » (Fremmer). Pour achever avec l'analyse des troubles moteurs catato- niques, nous voulons nous arrêter encor
blissement de la transmission des centres corticaux aux conducteurs moteurs . Quoiqu'on observe quelquefois la catalepsie da
e, je dois remar-- quer que les poses stéréotypes et l'enchaînement moteur l'atonité présentent seulement des différents d
, qui était toujours assis « accroupi », présentait un enchaînement moteur , et quand il marchait recourbant son corps et e
ut être cité en faveur de la participation primordiale de la sphère motrice dans la catatonie, ce sont les troubles d'inner
'admettre dans la catatonie quelque trouble grossier dans la sphère motrice de l'écorce cérébrale ; assurément dans la péri
até- rales les excitations lumineuses à tous les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil, des troisième, quatrième et sixième pa
ellules sont munies d'une énorme quantité de collatérales des voies motrices qui vont de haut en bas ? fibres cortico-protub
supplémentaire du ruban de Reil, qui apporte les fibres des noyaux moteurs du bulbe; on la suit, enfin, à travers la capsu
à travers la capsule interne, jusqu'à l'écorce des circonvolutions motrices . 7. Les systèmes cérébelleux dégénérés sont les
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 4. cales examinées (frontales, motrices , pariétales et occipitales), c'est l'écorce de
e, indique que dans la moelle adulte les prolongements des cellules motrices sont encore plus gros, plus longs et plus pauvr
s différences de mesures, de rythmes, de températures, de réactions motrices et sensibles qui caractérisent les deux sujets.
ui atteint généralement- aussi certaines portions du protoneurone moteur et du système sympathique. Les altérations histol
» . R. C. XXVIII. Recherches expérimentales sur les localisations motrices spinales; par 13RISSAUD et B.1UER. (Journal de
d'un jeune homme de dix-huit ans qui était atteint d'une paraplégie motrice avec contracture et trépidation dans les membre
ns des conduc- teurs qui joignent le. centre intellectuel au centre moteur et le centre visuel des caractères au centre se
ésordre observé d'abord peut ? expliquer par une lésion des centres moteur et sensoriel. Ce qu'il y a de particulier en l'es
de particulier en l'espèce c'est l'amélioration préalable du centre moteur , avant celle du centre sensoriel. Bien qu'il eû
re sensoriel tout autant que de celle du centre mo- teur. L'aphasie motrice transcorticale ne peut s'expliquer par une lési
motrice transcorticale ne peut s'expliquer par une lésion du centre moteur . On peut sans difficulté s'expliquer, pour le r
peut sans difficulté s'expliquer, pour le rétablissement du centre moteur , l'amélioration graduelle de l'écriture spontanée
par la suspension et le plan incliné fait disparaître ces troubles moteurs , mais à ce moment la langue qui jusque-là, étai
reich et l'hérédo-ataxie. R. Charron. XIV. La question de l'aphasie motrice sous-carticale, par le Dr Ladame. L'auteur a
eurs ont prétendu caractériser la forme sous-corticale de l'aphasie motrice . La lésion corticale, trouvée à l'autopsie, per
l'on a considérés par erreur comme carac- téristiques de l'aphasie motrice , dite sous-corticale, s'observent 'dans la lési
à topographie radiculaire des ' troubles sensitifs et des troubles moteurs ; par les Dra CESTAN et HUET. REVUE DE PATHOLO
a topographie des troubles sensitifs, et souvent aussi des troubles moteurs . Les deux observations rapportées par les auteu
us l'influence des lésions médullaires, peuvent, comme les troubles moteurs , affecter une disposition radiculaire (Revue ne
ymptômes principaux sont la dysphémie la dyslexie, la dyséchophémie motrice . ' B. Pamg1'aphie. Les symptômes principaux son
nq centres suivants : 1° trois centres de mémoire verbale, auditif, moteur , visuel; 2° un centre endophasique de même nom
paraphasies endopha- siques. G. Examen de la zone sensorielle ou motrice de même nom que le centre lésé et du fonctionne
ctionnement inadéquat du centre par rapport à l'expression (centres moteurs ), on a la sensation (centres sensitifs) ; 3° les
s diffèrent, suivant qu'il s'agit d'un visuel, d'un auditif ou d'un moteur . L'aboulie essentielle et son traitement psycho
echerches sur l'origine réelle et le trajet intercéribral des nerfs moteurs par la méthode de la dégénérescence wallérienne
Les suggestions intra-hypnotiques sont elles- mêmes subdivisées en motrices , sensitives, psychiques et d'actes (p. 179). L'
cependant intermédiaires entre les centres réflexes et les centres moteurs volontaires déjà CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET
st commun de rencontrer chez les aliénés des troubles des fonctions motrices de l'iris; toutefois la paralysie générale fourni
de cas que toutes les autres formes de folies réunies. Les troubles moteurs de l'iris se constatent par des observations por-
suelle ; c) à l'excitation cutanée ou sympathique; 6° états irido- moteurs liés à l'accomodation ou à la convergence. L'aute
6 novembre quand il est frappé d'un ictus apoplectique avec aphasie motrice , paralysie flasque du bras droit, légère parési
ux, survenant pen- dant l'enfance et se traduisant par des troubles moteurs et de la débilité mentale; par W.-Ai. BECHTEREW
aques; l'état mélan- colique chez elle était accompagné d'agitation motrice , de refus d'aliments et de résistance à tout ce
lypémaniaque de véritables bouffées de mégalo- manie avec troubles moteurs ; enfin la démence une fois établie, ne perd jam
ican Journal of lazsa- nity, juillet 1902, p. 53, 61). Phénomènes moteurs : irritabilité mécanique du facial ; exagé- rat
ance de la Société du 4 juin 1903, il y a une paralysie latente des moteurs oculaires dans l'hémiplégie organique. Chez les i
Cette lésion, serait un défaut d'association des centres graphique, moteur , auditif et du langage en un point théorique où
ite sensitive, caractérisée par l'absence habituelle de dé- sordres moteurs . ' f. Tétanie par action toxique, générale et à
ntermittent. La malade a eu une attaque congestive suivie d'aphasie motrice qui n'a persisté qu'un mois. A l'ophthalmoscope
onnabilité méningo-cérébrale qui aura pour conséquence une réaction motrice , mais réaction qui sera limitée à une petite ré
cèdent souvent, en effet, et parfois même de beaucoup, les troubles moteurs de la grande attaque,,confusion men- tale, ou s
ient produites comme à l'ordinaire. Il semble donc que les neurones moteurs supérieurs soient aussi, et peut-être surtout a
est un réflexe cutané extra-pyramidal, c'est-à-dire dont les fibres motrices suivent la voie thalamo-spinale ainsi que le pr
ment de la parole. L'auteur admet dans ce cas l'intégrité des voies motrices cortico-spinale et mésencéphalo-spinale et de la
es mé- dullo-cérébello-corticales, tandis que le second est d'ordre moteur , centrifuge, exprime une variation de l'état du
che maxillaire supérieure du trijumeau et son noyau sensitif, noyau moteur de la branche inférieure du facial. Réflexe de
branche inférieure du trijumeau, noyau sensitif de celui-ci, noyau moteur du trijumeau. Il est exagéré dans la paralysie
Observation d'hémiplégie droite à développement lent, avec aphasie motrice incomplète. Puis, graduellement, faiblesse, maux
llissement du cerveau en rapport avec des tuber- cules de la région motrice de l'écorce de l'hémisphère gauche; il se peut
n que de rares fibres dans les cor- dons postérieurs), la paralysie motrice avait conservé jusqu'à la fin les caractères de
n des éléments de leur diagnostic differentiel. G. C. LI. Paralysie motrice et sensitive consécutive à l'injection de bichl
le liquide céphalo-rachidien. Il en est résulté une paralysie vraie motrice et sensitive du périné et des organes con- tenu
NSELME et 13UGT présentent un malade atteint de lèpre avec névrites motrices et sensitives et hypertrophie considécable des
distribution des branches nerveuses hypertrophiées. - La névrite motrice s'accompagne d'atrophie et de DR très pro- nonc
ause de la douleur ressentie dans l'aine. Par ailleurs la paralysie motrice n'est pas complète, elle est sous la dépendance
que; tumeur qui d'emblée est l'occasion de troubles sensitifs, puis moteurs dans le membre supérieur correspondant. Malgré
en cause; je n'en veux pour preuve que la distribution des troubles moteurs qui n'ont rien à voir avec la paraplégie ou l'h
l'hémiplégie de cause médullaire ou cérébrale. Ici l'impuis- sance motrice n'est point complète, il y a plutôt une véri- t
ces paralysies sont complètes. La paralysie est plus sensitive que motrice et les types clas- siques sont l'exception. Les
- tance qui facilite leur envahissement. Le facial, l'auditif, le moteur oculaire externe, le pneumo- gastrique, le spin
les racines rachidiennes et provoquant des symptômes douloureux et moteurs à origine radiculaire. La pachyméningite extern
tumeurs des nerfs peuvent donner lieu à un complexus douloureux et moteur , capable d'induire en erreur à un examen superf
phiques ; la prédomi- nance des troubles sensitifs sur les troubles moteurs et la subordination étroite de ceux-ci à ceux-l
matoire qui attaque un nombre quelconque de racines sensitives ou motrices , à leur sortie de l'espace sous arachnoïdien et q
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 substance réticulée grise ou champ moteur de Meynert ; elle s'éten- dait, dans le sens tr
ues, MM. Leclerc et Angiel concluent que chez leur sujet le neurone moteur périphériquefonc- tionne normalement. Tous les
les mouvements qui peuvent s'effectuer sans le concours du neurone moteur supérieur ou plus exactement de l'écorce cérébr
pie-mère et enchâssés dans la substance grise. Au niveau de l'aire motrice et particulièrement au voisinage de la scissure
ois, en pleine déchéance, et l'autopsie montre au niveau de la zone motrice gauche une ulcération corticale avec ostéité hy
stiques ou spirites conduisant à l'hallucination voulue des centres moteurs ou sensitivo-sensoriels sont comparables à l'in
évrites, les polynévrites, c'est-à-dire dans les lésions du neurone moteur périphérique. Les auteurs ont constaté le contr
ont constaté le contraire dans des cas d'altération du protoneurone moteur . Dans les hémiplégies anciennes avec contractur
orteur : M. le Ur DERNY, de Paris. 2° Neurologie. Des localisations motrices dans la moelle. Rapporteur : NI. le Di. SANO, d
ment des symptômes tabétiques (douleurs fulgurantes, incoordination motrice , abolition des réflexes, lésions atro- phiques
cale, PAU N. VASCIIIDEetCL. VURPAS Le rapport entre l'impulsion motrice et l'acte génital est un point de psycho-physio
sur des aliénés nous ont montré un rapport étroit entre l'impulsion motrice et le rapprochement sexuel, et nous ont permis
e, qui, à notre avis, est la plus haute expression du déclanchement moteur et traduit la forme la plus achevée de l'avalan
anchement moteur et traduit la forme la plus achevée de l'avalanche motrice . I Nos travaux ont porté sur différents ordre
ncourent à montrer les rapports étroits, qui unissent l'impulsion motrice et l'acte sexuel. Les sujets, chez lesquels il
Impulsions génitales. » Cette malade, qui présentait des impulsions motrices , passait de longues heures à pousser les cris d
'étu- dier ici, c'est le parallélisme dans l'évolution des images motrices , d'une part dans les impulsions et de l'autre dan
tion dictée par les faits : « Une fois mis en jeu l'automa- tisme ( moteur ) paraît suivre certaines lois, par lesquelles s
ême mouvement, le tout commandé par l'évolution d'une image mentale motrice . Cette image s'ac- compagne d'une vague conscie
e...» » Par le seul fait d'avoir l'esprit concentré sur une image motrice non définie, pour ainsi dire, le sujet exécutait
parer en d'autres termes ce déclanchement automatique à l'avalanche motrice , qui évoluait physiologiquement et psychologiqu
ultante inconsciente et immédiate de l'avalanche mentale de l'image motrice . Et lorsque le mouvement augmentait, les excita
orsque grisée par le déclanchement automatique greffé sur le cliché moteur de l'acte en exécu- tion, le sujet s'arrêtait a
l'acte sexuel au point de vue mental c'est avant tout une impulsion motrice qui se répète et réapparaît au champ de la cons
laquelle fait suite une phase clonique et enfin le relâche- ment moteur . L'acte sexuel ne serait à nos yeux, que le plus
éveloppement, que l'épanouissement et l'achèvement du déclanchement moteur provoquant une avalanche motrice. Le plaisir gé
et l'achèvement du déclanchement moteur provoquant une avalanche motrice . Le plaisir génital doit vraisemblablement être r
sir génital doit vraisemblablement être rap- porté à cette griserie motrice , qui, arrivée à son summum se traduit par un ét
mentale, se détachant pour ainsi dire de son objet qui est l'image motrice dans sa rapide évolution. L'état moteur particu
son objet qui est l'image motrice dans sa rapide évolution. L'état moteur particulièrement instable et changeant tra- dui
oteur particulièrement instable et changeant tra- duit une activité motrice puissante et s'harmonise de la sorle avec cette
se dépense. Toutes ces considérations montrent le rôle de l'image motrice dans l'acte sexuel ; et cliniquement, certains au
iquement, certains auteurs ont voulu voir de l'épilepsie, affection motrice , une maladie génitale, un trouble sexuel, soit
dérations pour étayer et déterminer le rôle et la valeur de l'image motrice dans l'acte sexuel. L'influence de la musique s
e'aussi dans le même sens. L'influence de la musique, sur l'image motrice et l'état moteur est manifeste. L'entraînement
sens. L'influence de la musique, sur l'image motrice et l'état moteur est manifeste. L'entraînement provoqué dans l'arm
ale, et ont montré que la musique est un tonique efficace de l'état moteur . D'un autre côté, la musique a une action très
tion parallèle des images psychiques et particulièrement des images motrices . Pendant l'audition d'un morceau de musique, X.
à l'évolution parallèle et similaire dans ces deux états de l'image motrice . L'état oculaire est sou- vent d'un précieux se
suite est l'expression de l'activité » et de l'intensité de l'image motrice , qui dans la rapidité du déclanchement et de la
faiblesse qui suit l'acte sexuel est la traduction de l'épuisement moteur qui suit l'excitation génitale. Nous donnerons
de la thèse que nous soutenons, à'savoir l'impor- tance de l'image motrice dans' la vie sexuelle; constituée qu'elle est p
trice dans' la vie sexuelle; constituée qu'elle est par l'avalanche motrice , il est tout naturel de trouver dans l'excitati
er dans l'excitation génitale une véritable dérivation de l'énergie motrice , accaparée dans une sphère limitée et ne pouvan
nséquent pas se manifester avec son inten- sité normale dans l'état moteur général, ainsi qu'en témoi- gnent des expérienc
périences précises qui montrent l'affaiblisse- ment et l'affolement moteur pendant l'excitation sexuelle. Une autre questi
d'abattement ? La raison nous semble précisément dans l'épuisement moteur dû à l'excès de l'in- tensité de l'image motric
t dans l'épuisement moteur dû à l'excès de l'in- tensité de l'image motrice . Lorsque nous parlons de l'épuisement moteur no
tensité de l'image motrice. Lorsque nous parlons de l'épuisement moteur nous dési- gnons, s'entend, l'image motrice; l'
parlons de l'épuisement moteur nous dési- gnons, s'entend, l'image motrice ; l'état psychique, et non la fatigue organique,
ssurément pas d'un épuisement mus- culaire, mais bien d'une fatigue motrice . Et, lorsque nous disons fatigue motrice, c'est
e, mais bien d'une fatigue motrice. Et, lorsque nous disons fatigue motrice , c'est l'image mentale du mouvement que nous vo
image mentale du mouvement que nous voulons désigner. C'est l'image motrice qui acquiert une intensité et un éclat particul
actères spécifiques et la rapidité de leur succession; 'l'avalanche motrice , si l'on peut ainsi dire, provoque une sorte d'
'état mental et principalement des impressions et repré- sentations motrices , comme on l'observe à la suite d'un tra- vail m
n seulement l'élé- ment musculaire a été épuisé, mais aussi l'image motrice qui devenait plus intense a mesure que la fatig
ens. Si, en effet, l'activité sexuelle se rapproche de l'activité motrice , les mêmes modifications biologiques, ou plutôt d
s'exprime le professeur Potain au sujet des rapports de l'activité motrice et de l'augmen- tation de la pression sanguine
t encore un autre ordre d'études qui nous montre le rôle de l'image motrice dans l'acte sexuel; c'est l'influence de la mus
système musculaire. Il y a une véritable tension de tout le système moteur se tradui- sant grosso modo, d'une façon généra
itude musculaire qui suit l'acte génital. Il semble que l'équilibre moteur ait atteint une stabilité manifestée par de l'i
semblé la conséquence de l'épuisement temporaire de l'acti- vité motrice dans sa condition psychologique d'image motrice
e de l'acti- vité motrice dans sa condition psychologique d'image motrice , 1 5° Enfin, l'élévation brusque de la pression
que nous tentons de faire entre l'excitation sexuelle et l'activité motrice , ou plutôt tend à montrer le rôle de l'image mo
et l'activité motrice, ou plutôt tend à montrer le rôle de l'image motrice et de l'élément moteur dans la genèse, le dével
ou plutôt tend à montrer le rôle de l'image motrice et de l'élément moteur dans la genèse, le développement et l'évolution
nital consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'état moteur qui, arrivé à son maximum, présente une phase t
ans la production de cet état et de ces différentes phases, l'image motrice joue le rôle primordial. L'acte génital consist
s différents stades sus-indiqués. c) Dans l'acte sexuel, le système moteur tout entier est intéressé et intervient. L'équi
système moteur tout entier est intéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un état d'excitation et de poten
t qu'à la suite on relève des phénomènes de fatigue et d'épuisement moteur . d) L'excitation motrice se traduit également p
des phénomènes de fatigue et d'épuisement moteur. d) L'excitation motrice se traduit également par des phé- nomènes circu
respiratoires, qui parais- sent consécutifs aux phénomènes nerveux moteurs , en sont la conséquence et les traduisent en de
conséquence et les traduisent en dehors. e) Les érotiques sont des moteurs et, d'une façon géné- rale, presque tous les mo
iques sont des moteurs et, d'une façon géné- rale, presque tous les moteurs sont des érotiques. f) Dans toute sa marche et
st due à l'évolution et à la tendance au déclan- chement de l'image motrice et de l'état moteur. Tous les préparatifs, tous
et à la tendance au déclan- chement de l'image motrice et de l'état moteur . Tous les préparatifs, tous les accessoires qui
iter les désirs génésiques, sont surtout des excitations de l'image motrice . Tous les sens peuvent, selon chaque individual
chaque individualité, présenter une action excitatrice de l'état moteur , plus ou moins développée et accentuée selon les
le emmagasinement de potentiel pour traduire au dehors l'excitation motrice suffisante. Il sem- ble que, pour que le potent
rieures adoptées.' Ces états témoignent d'un état d'affaiblissement moteur dont le type est donné par la neurasthénie et a
érale, etc.), et cette 376 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. insuffisance motrice exige un renfort et un excédent dans la charge
en préciser le sens et la portée de nos observations. Entre l'image motrice propre- ment dite et l'image motrice devenue se
os observations. Entre l'image motrice propre- ment dite et l'image motrice devenue sexuelle, il y a unedif- férence aussi
sychologiques, ou plutôt des éléments men- taux qui forment l'image motrice dans sa nature intime. L'image motrice propreme
- taux qui forment l'image motrice dans sa nature intime. L'image motrice proprement dite possède en elle-même tous les é
e proprement dite possède en elle-même tous les éléments de l'image motrice sexuelle, sauf l'émo- tion ; l'image motrice or
es éléments de l'image motrice sexuelle, sauf l'émo- tion ; l'image motrice ordinaire se résoud et s'achève dans ses élémen
soud et s'achève dans ses éléments constitutifs, tandis que l'image motrice sexuelle se développe et se constitue au contra
bien. particulière, qui porte à la faire considérer comme l'image motrice la plus intense et la plus émotive, c'est-à- di
otion généralisée et réellement extériorisée. Il semble que l'image motrice sexuelle met en action de nombreux centres nerv
nt le plus haut degré de cristallisa- tion. Entendons-nous; l'image motrice ordinaire est une image complexe, riche d'éléme
ie de l'image sexuelle, mais en décrivant ses rapports avec l'image motrice ordinaire, rapports intimes et peu mis en lumiè
uelques considérations, afin d'éviter toute confusion entre l'image motrice ordinaire et l'image motrice sexuelle. Ces quel
d'éviter toute confusion entre l'image motrice ordinaire et l'image motrice sexuelle. Ces quelques données, nouvelles à not
ques données, nouvelles à notre connaissance sur le rôle de l'image motrice dans l'acte sexuel, nous laissent espérer que n
s- culaires sont très marqués de ce côté. Il pense que les filets moteurs accessoires passent par la voie du sous-orbitaire
côté sain. Il doit donc y avoir, en un point quelconque, des filets moteurs qui se détachent du facial pour gagner le sous-
lement de support mécanique, mais représentent le mécanisme vaso- moteur des centres cérébraux les plus élevés, servant à
et des accès de palpitations allant jusqu'à la crise d'angor vaso- motrice . M. Bouveret fait remarquer l'utilité de recher
re causée par un courant industriel continu, d'une force électro- motrice de 500 volts. , Les symptômes présentés par le
ments se sont développés sous l'influence de l'irritation des voies motrices extra-pyramidales. Quant à la paranoïa hallucin
ts de telle ou telle sensation ? Nous savons que dans les cen- tres moteurs les plus élevés, ce sont moins les muscles indivi
ns sensorielles soient beaucoup plus complexes que les associations motrices . Bien que l'auteur pense, avec Tamburini, que l
tendue influence de la cécité sur les troubles spinaux sensitifs et moteurs du tabès. MM. P. Marie et A.4LÉIiI. -Une opinio
z cette malade, un foyer de ramollissement a lésé ces zones vaso- motrices en même temps qu'il a atteint le faisceau pyramid
brale qui le rend gai, exubérant, loquace, et accélère le processus moteur , ce qui le rend dangereux. L'attention s'affaib
ésente tous les caractères d'un paralytique général. Comme troubles moteurs on note de l'ophtalmoplégie interne, du tremble
ones sen- soriels ne sont pas en relation directe avec les neurones moteurs , et, par conséquent, le retard se produit là où
ctement ni indirectement de décharge spontanée partant des neurones moteurs spinaux. Il accepte avec lui la possibilité que
ion, et, puisqu'il y a de bonnes raisons d'asso- cier les fonctions motrices au système pâle ou pyramidal, il est aussi fort
e bataille de la neurologie. La question de l'existence des centres moteurs ou même des centres sensorio-moteurs repose sur
rvenue dix ans plus tard. Trépanation, gliome kystique de la région motrice droite, amélioration. M. L... fait remarquer qu
ait remarquer que malgré la présence d'une grosse lésion de la zone motrice droite, les crises ont toujours gardé l'allure
le gliome du malade en question, malgré sa situation en pleine zone motrice , a donné seulement des crises et ce n'est qu'au
troubles sensitifs trois ans après le commencement des para- lysies motrices . Propagation des douleurs fulgurantes aux extré-
éïque chronique et chez plusieurs malades présentant une excitation motrice très marquée. Ainsi, donc, la présence du micro
te chez le malade, existe encore un territoire accessoire du centre moteur de la parole qui aide à celte articulation inte
ieff pense que le centre de BROCA apparaît comme un centre purement moteur ; l'association des images idéatives, visuelles,
es images idéatives, visuelles, auditives et d'autres, avec l'image motrice de la parole se fait, évidemment, dans un autre
sléi-éolypie est caractérisée par la durée anormale de'~ impulsions motrices , qu'il s'agisse de la contracture permanente d'
teneur en sucre du -, par Lannois et l3o\llud, 494. Localisations motrices spinales. Recherches expérimentales sur les-,
il)i(;tlldire dans le diagnostic de la faciale, par Barri. 243. - motrice etsensitive consécutive à l'injection de biuhlu
topographie radlculaite ries troubles semilif, et des trou- bles moteurs , par Cestan et Huet. 70. Une observation anatom
influence de la cé- cité sur les troubles spinaux sen- sitifs et moteurs du -, par Marie (P.) et Lui-i, 417. Tabétique
6 (1911) La pratique neurologique
erche des troubles fonc- tionnels du système nerveux oculaire, tant moteur que sensitif, des moyens d'une précision très g
er- mettent de constater avec précision un trouble nerveux oculaire moteur ou sensitif; l'hypothèse ne doit venir que plus
sont la cause du trouble constaté. La moindre parésie d'un muscle moteur de l'oeil est toujours consta- table et même 11
ubles fonctionnels du système nerveux oculaire (nerf optique, nerfs moteurs du globe, nerfs des muscles intrinsèques, nerfs
nsidérations par les méridiens intermédiaires. Si une des fonctions motrices du globe (adduction, abduction, élévation, etc.)
D (Morax). - 1.'ig. 19. Champ du regard dans la paralysie du nerf moteur oculaire commun de l'OG. - L'excursion normale
une lésion des voies optiques. Ils proviennent d'un trouble nerveux moteur du muscle ciliaire. Ils peuvent exister avec un
aux du mésucéphale; elle trouve là une voie de retour par les nerfs moteurs du globe. 11 existe là un arc réflexe complet a
, un centre (noyaux du mésocéphale), une voie centrifuge (les nerfs moteurs de l'oeil). ' Coupez les voies optiques en avan
te du fond de l'oeil à l'ophtalmoscope. ni PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES Symptômes. Strabisme. - Le strabis
s ou en dehors du point de passage habituel. PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 511 Le regard prend alors un aspect
res variétés de nystagamus (Voir Nystagmus). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 61 Diagnostic A l'aide DE la DIPLOP
précédents qui accompagnent les parésies ou paralysies des muscles moteurs des globes servent à établir le diagnostic. Ils s
rs. Supposons qu'il n'y en ait qu'un seul. Lequel des douze muscles moteurs des globes est atteint de paralysie ? La paraly
paralysé, et de rechercher ensuite quel est celui des douze muscles moteurs des globes dont la paralysie amène les mêmes tr
e schémas symptomatiques des paralysies de chacun des douze muscles moteurs des globes. Il existe des méthodes plus simples
st projetée en dehors (diplopie homonyme). . PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 65 Voilà le diagnostic fait par la'
rillé. 1 1 Fig. 48. - Schémas de diplopie. PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 67 Diagnostic quand plusieurs muscl
ctères de la diplopie (tig. 48 et ! >-9). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GDOBES. 69 70 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREI
de l'entrecroisement à différentes hau- teurs des voies nerveuses motrices des yeux, de la face et des membres (fig. 51)
M. 0. E, dans la partie supérieure de la protubérance, les fibres motrices des membres au- dessous dans le bulbe. C'est d'
aire C, destiné et montrer l'entre-croi- sement successif des voies motrices des yeux, de la face et des membres. Le traje
otrices des yeux, de la face et des membres. Le trajet des libres motrices est indiqué par les cordons blancs m,1 ? )Il, i
sion L, (pédonculaire) coupe le M. 0. C. entrecroisé et le faisceau moteur de la face et des membres non entre-croisé (s
le) coupe le Il. 0. E. et le facial entre-croisés, et le faisceau moteur des membres non entre-croisé (syndrome de 311ll
re-croisé (syndrome de 311llal'fl-Guhler). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DÈS GLOBES. 71 côté (côté de la lésion) ; paral
eures (les deux yeux regardent à droite). PARALYSIES 'DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 75 Syndrome de Benediht (de Vienne)
il existe une hémiplégie alterne attei- gnant légèrement la force motrice , mais produisant des troubles accen- tués de
els. Paralysies dissociées. Les noyaux d'origine des nerfs oculo- moteurs , bien qu'assez unis les uns aux autres, offrent n
érieure, extrinsèque. Dans certaines condi- tions, tous les muscles moteurs du globe (0. unilatérale) ou des globes (0. bil
les dépendant du M. 0. C. que ceux innervés par le pathétique et le moteur oculaire externe. Cependant, la musculature int
est obligé de mouvoir la tète ou le corps. PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 75 Cette ophtalmoplégie souvent hér
ncéphalite analogue- à la poliomyélite, une altération des cellules motrices des noyaux d'ori- gine des nerfs moteurs des ye
e altération des cellules motrices des noyaux d'ori- gine des nerfs moteurs des yeux. L'allure de cette ophtalmoplégie peut
second (paralysie radiculaire), il y a seulement paralysie d'un des moteurs oculaires- externes,, et si l'on demande au mal
u M. 0. E. (paralysie radiculaire) (llorax). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 77 6° Paralysie par lésion des cent
Ómmodateur; I, constricteur de l'iris; M, 31, M, muscles extrinsèques moteurs du globe oculaire; MOC, nerf moteur oculaire co
M, 31, M, muscles extrinsèques moteurs du globe oculaire; MOC, nerf moteur oculaire commun; P, nerf pathétique; MOE, Nerf mo
aire; MOC, nerf moteur oculaire commun; P, nerf pathétique; MOE, Nerf moteur oculaire externe; non, noyaux d'origine du mot;
ébrale. Ils sont réunis entre eux et aux noyaux d'origine des nerfs moteurs de l'oeil par des tractus nerveux, dont l'ensembl
éphaliquc du côté opposé. Il se fait dans la PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 1 7 ! 1 région protubérantielle sup
, vont nous aider à comprendre les paralysies associées. Troubles moteurs oculaires associés. Au-dessus des noyaux bulbo-
nt de beaucoup les plus fréquentes. Dans certains cas, les troubles moteurs oculaires associés amènent une déviation latéra
sociés. Déviations conjuguées. a) Déviations conjuguées d'origine motrice . Les déviations conjuguées peuvent résulter d'une
s de la déviation. Ce sont là des déviations conjuguées par trouble moteur , des déviations d'origine motrice. Elles s'observ
déviations conjuguées par trouble moteur, des déviations d'origine motrice . Elles s'observent dans des lésions siégeant su
s d'origine sensorielle. A côté des déviations conjuguées d'origine motrice , paralytique ou convulsive, par lésion des ocul
s oculogyres, il peut exister des déviations conjuguées sans lésion motrice , d'origine sensorielle. La déviation conjuguéee,
ns les déviations oculai- res de ce groupe, constater aucun trouble moteur paralytique ou convulsif. Mais le domaine de ce
e sera bien défini qu'après de nouvelles recherches sur l'intégrité motrice . On est encore en droit de douter de l'existenc
s, la déviation conjuguée d'un côté étant le PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 81 f résultat d'une, paralysie, du
n action réflexe irido-dilatatrice. Un exemple : si on sectionne le moteur oculaire commun en arrière du gan- glion, il y
is branches du trijumeau; S, branche ophtalmique , du trijumeau; M, moteur oculaire commun; V, carotide; G0, ganglion ophtal
avec ou sans participation de l'accommodalion et des autres muscles moteurs des globes (Voir Accommodation). Cette mydriase s
e intrinsèque du globe ou bien toucher en même temps d'autres nerfs moteurs du glohe (type associé). - On ne sait pas exact
urbure du cristallin sont bien difficiles à apprécier. Paralysie du moteur oculaire commun. La paralysie du moteur oculair
s à apprécier. Paralysie du moteur oculaire commun. La paralysie du moteur oculaire commun quelle qu'en soit la cause, tra
de la paupière est accompagnée de la paralysie de quelques branches motrices du globe oculaire ou d'une paralysie des muscle
ts volontaires; les membres infé- rieurs sont pris d'incoordination motrice ; les réflexes rotuliens disparais- sent. C'est
llard-Gubler. On voit même la superposition d'une paralysie alterne motrice et d'une paralysie alterne sensitive. C'est dan
. D, cervelet avec D', ses noyaux cen- traux. E, noyaux des nerfs moteurs bulboprotubérantiels. F, F', tuber- cules qua
rance, montant les rapports du noyait de Deiters avec le facial, le moteur oculaire externe, .la racine descendante du triju
binier, montrant les connexions du noyau de Deiters avec les noyaux moteurs et sensitifs des nerfs mesocephaliques, avec le c
rétion du cérumen dans les sclé- roses diverses, etc. E) Réflexes moteurs spasmodiques. Ils sont nombreux : un des plus c
ansmission d'excitations au noyau de Deiters et par lui aux. noyaux moteurs oculaires et aux tubercules quadrijumeaux antérie
Je renvoie sur ce point à la thèse de F. Chavanne. . F) Réflexes moteurs paralytiques. - Ils sont plus rares que les pré
le, la chute de la paupière, la diplopie par paralysie dissociée du moteur oculaire commun. La plus fréquente et la plus i
ertige proprement dit serait « un trouble objectif d'incoordination motrice résultant d'un désordre de l'appareil d'orientati
iscéraux divers peuvent s'associer aux £ vertiges et aux phénomènes moteurs qui en sont la suite. Les plus fréquents de ces
ntation subjective et par des troubles objectifs d'in- coordination motrice . Il peut être direct ou indirect : il est, direct
région rolamlique. Elles s'accompa- gnent de troubles psychiques et moteurs variables, de céphalalgie, de vomissements, par
1't-ElJin considère ces sensations connue dues à des troubles vaso- moteurs portant sur le labyrinthe; lIitzig veut y voir un
ible, limités seulement sur ce point par le degré de leur paralysie motrice . Il existe; un autre type d'anarthrie tout à fa
de la phonation et de l'articulation. La dysarthrie est un trouble moteur des organes de la phonation ; elle peut être d'or
s classiques, les aphasies en deux groupes principaux, les aphasies motrices , les aphasies sensorielles. Dans chacun de ces
'APHASIE. ' 217 anarthrie répond cliniquement il l'ancienne aphasie motrice sous-corti- cale ; elle en diffère par sa local
e sous-corti- cale ; elle en diffère par sa localisation, l'aphasie motrice pure des classi- ques étant liée il la destruct
ction cor- ticale de la ;'je frontale suffit il provoquer l'aphasie motrice vraie ou apha- sie de Broca; dans la théorie de
ucllement d nue extension des lésions en avant vers les territoires moteurs . De même I'héinianopsie, que l'on observe assez f
rthrie. Dans 1 anarthrie (correspondant cliniquement il ; l'aphasie motrice pure ou sous-corticale), le langage intérieur est
oint change ? seules, la conception et la localisation de l'aphasie motrice élite corticale ou vraie, ont subi des modificati
tilité. Elle consiste donc en un (rouble intellectuel des réactions motrices soumises à la volonté. Nous n'avons pas à discu
'apraxie les objets sont reconnus et que seule fait défaut la façon motrice de s'en servir (Lewandowsl : p), dans l'agnosie l
- téresse jamais les actes simples quasi-automatiques. C) Apraxie motrice de Kleist (1907). = Cette apraxie intéresse les
simultanément d'une diminution de l'intelligence, d'une altération motrice et d'un certain degré d'anesthésie. Il en est ain
Il convient de distinguer avec soin l'agnosie tactile des paralysies motrices ou sensitives, l'agnosie visuelle des cécités p
à la fois il deux mots différents à l'aide de deux images verbales motrices et que l'hallucination verbale motrice implique
ide de deux images verbales motrices et que l'hallucination verbale motrice implique la participation du centre moteur d'ar
l'hallucination verbale motrice implique la participation du centre moteur d'articulation, on comprendra aisément que si l
est parce qu'ils n'ont pas à leur disposition à la fois deux images motrices différentes, l'une servant à l'hallucination, l'a
ensent ce qu'ils voudraient dire, il se produit une hallucina- tion motrice verbale, par suite de laquelle les mots s'échappe
so- rielles, les hallucinations coenesthésiques. les hallucinations motrices . Les hallucinations sensorielles comprennent le
tc., elles appartiennent d'ailleurs il la classe des hallucinations motrices . Les hallucinations motrices on) été étudiées p
eurs il la classe des hallucinations motrices. Les hallucinations motrices on) été étudiées par Sellas; les sujets per- ço
téressant une fonction spéciale, celle du langage dans ses éléments moteurs : « C'est l'hallucination verbale motrice, orale
langage dans ses éléments moteurs : « C'est l'hallucination verbale motrice , orale ou graphique, con- sistant dans la perce
ou visuelles, de mots entendus ou lus, mais sous la forme d'images motrices à l'aille des mouvements adaptés de l'articulat
Ces malades n'entendent pas parler. ils sentent, parler. Le centre moteur d'articulation est en jeu dans ces hallucinatio
mbre infini de fibres nerveuses, qui tantôt se mélangent aux fibres motrices pour constituer un nerf mixte, tantôt forment à e
ives se trouvent indifféremment mélangées aux fibres descen- dantes motrices dans tout le segment postérieur de la capsule int
one sensitive, au niveau du cortex, comme du reste celle de la zone motrice , est une question actuellement à l'ordre du jou
soutenant que .la zone sensitive dépassait, les limites de la zone motrice , en arrière dans la région du lobe parié- tal.
lutions rolandiques (Fa et Pa) représentaient à la fois des centres moteurs et sensitifs. Cette doctrine, qui récemment e
irconvolution pariétale ascendante ne faisait pas partie de la zone motrice ; cette dernière s'étendant uniquement en avant du
conception classique sur les localisations corticales : 1° La zone motrice est cantonnée en avant du sillon de Ilolamlu (fro
frontales) ; la frontale ascentfaufc. représente la circonvolution motrice par excellence. La participation de la pariétal
e Brown-Sequard, elle occupe le côté corres- pondant à la paralysie motrice (Dejerine). F) Sens musculaire. - tc tenne de-s
que nous venons d'énumérer,va souvent de pair avec lïm'om01na- lion motrice ou ulctxic. Ce phénomène étant étudié dans une au
nt étudié dans une autre partie de ce traité, à propos des troubles moteurs , nous n'avons pas à nous en occuper ici. Signal
le, paralysie obstétricale). Ici. les sujets, de par leur impotence motrice , n'ont jamais pu apprendre il reconnaître par la
ons céré- brales peut se faire brusquement comme celui des troubles moteurs , à la suite d'un ictus; il peut aussi être lent
f. Les troubles sensitifs, marchant alors de pair avec les troubles moteurs , s'installent petit à petit et sont précédés de
ce. Durée. L'hémianesthésie accompagne ordinairement une hémiplégie motrice homologue, mais elle est loin d'en être une com-
ure que quelques jours ou quelques semaines, alors que les troubles moteurs persisteront des années ou indéfiniment; d'autres
suivre une marche légèrement régressive et parallèle aux troubles moteurs (hémianesthésie persistante); d'autres fois, enfi
les troubles sensitifs qui persistent indéfiniment et les troubles moteurs qui Pratique veuuoi,. 20 , [ROUSSY] 1 506 '
ux mêmes lois que celles qui régissent la distribution des troubles moteurs dans l'hémiplégie. Lorsque les troubles sensiti
- tence de fibres sensitives homolaté- rales analogues aux fibres motrices , ou encore l'existence d'une lésion centrale,
le ou sous-corticale. Elle accompagne habituellement une hémiplégie motrice très pro- noncée avec contracture; elle peut co
hémianesthésie observée, abstraction faite de tout autre symptôme ( moteur ou aphasique) pouvant l'accompagner. Certains a
même temps de l'hémi- plégie plus ou moins marquée. Les troubles moteurs peuvent être par- fois très atténués; dans ce c
ports qu'affectent les fibres de projection des voies sensitives et motrices (soit entre elles, soit avec les origines radicul
. Habituellement les troubles sensitifs se superposent aux troubles moteurs et l'on a des « paralysies alternes sezsitivo-uot
nt par ses modalités propres que par son association aux phénomènes moteurs , des caractères particuliers dont l'ensemble cons
absent, la non-participation de la face aux troubles sensi- tifs et moteurs plaide en faveur d'une* lésion médullaire. Dans l
la moelle par coups de tranchet; laminectomie. A droite, paralysie motrice du membre inférieur, avec hyperesthésie pendant
différents. Parfois les troubles scnsitifs, comme les phéno- mènes moteurs du reste, apparaissent brusquement et s'installen
l'affection. La paraplégie sensitive peut accompagner la paraplégie motrice , mais elle n'en est pas une complication nécess
mplication nécessaire; nombreux sont en effet les cas de paraplégie motrice sans troubles sensitifs. Par contre, les troubl
érie, au contraire, on observe des troubles sensitifs sans troubles moteurs . Les rapports d'intensité qu'affectent entre eu
teurs. Les rapports d'intensité qu'affectent entre eux les troubles moteurs et sensitifs sont également variables. A une pa
bles moteurs et sensitifs sont également variables. A une paralysie motrice spasmodique intense peuvent correspondre des tr
raplégie sensitive marquée correspond ordinaire- ment une paralysie motrice grave. Lorsque la paralysie est flasque, totale
e dernier cas, les troubles sensitifs peuvent exister sans troubles moteurs , ce qui ne se voit pas dans les anesthésies para-
ingomyélique permettra de faire le diagnostic. Lorsque les troubles moteurs et sensitifs sont associés, on procédera comme
e hémiplégique. Rarement. ils sont croisés par rapport aux troubles moteurs . Les modalités d'altération de la sensibilité p
ébrales, on l'a vu, les troubles sensitifs, à l'instar des troubles moteurs , présentent habituellement une topographie seg-
rachis, les troubles sensitifs s'accompagnent toujours de paralysie motrice homologue il topographie parallèle et répondant
e parallèle et répondant à la distribution périphérique des racines motrices intéressées, ce qui se comprend, étant donné qu
achidien les fibres sensitives sont intimement mélangées aux fibres motrices dans le nerf. Dans les cas de lésion intm-rac
ules sont lésées, les troubles sensi- tifs s'associent aux troubles moteurs (paralysie radiculaire sensilivo- 111Ol¡'ice de
paralvsies radiculaires sont ordinairement à la fois sensitives et motrices ; elles se présentent suivant des types différents
tic de paralysie radiculaire, s'ajoutent ordinairement des troubles moteurs répondant à l'innervation motrice des mêmes racin
outent ordinairement des troubles moteurs répondant à l'innervation motrice des mêmes racines (5" et (;' cerv.), soit une p
peu sur les faces antérieure et postérieure du membre. La paralysie motrice occupe tous les petits muscles de la main et les
conservé sa sensibilité normale ,(2`' et 5e dors.). Les troubles moteurs consistent en une monoplégie brachiale totale et
rès fréquentes en clinique ; l'anesthésie, de même que la paralysie motrice , occupe des régions appartenant à la fois au segm
elle (cône. terminal qui se trouve à ce niveau); aussi les troubles moteurs sont habituels et consistent en une paralysie f
ueue de cheval, constitué par des troubles sphinctériens, génitaux, moteurs et sensitifs, 'à topographie radiculaire dans l
racines inférieures et postérieures. On observe alors des troubles moteurs à distribution radiculaire corres- pondant aux
paralysie dont les troubles sensitifs, aussi bien que les troubles moteurs , revêtent une distribution du type net- tement
urir, pour le diagnostic, aux autres symptômes concomitants (signes moteurs , sphinctériens, trophi- ques, examen de la colo
trophi- ques, examen de la colonne vertébrale, etc.). Les troubles moteurs prédominent habituellement comme extension sur
formes presque exclusivement sensitives et des formes sensitivo- motrices (ce sont les formes qui nous intéressent ici), et
(ce sont les formes qui nous intéressent ici), et enfin des formes motrices . Les formes sensitives peuvent, à leur tour, se
eints. Tantôt les troubles sen- sitifs sont associés aux troubles moteurs (paralysie des nerfs mixtes, névrites sensitivo
xister seules (névrites sensitives pures) ou associées aux troubles moteurs (névrite sensitivo-motrice). Dans ce der- nier
trice). Dans ce der- nier cas, le parallélisme entre les phénomènes moteurs et sensitifs est loin d'être constant. 5° Top
, comme les anesthésies organiques, des phénomènes d'incoordination motrice . Les hystériques s'habillent, écrivent, prennent
e dite- sensilivo-sens01'ielle, Parfois associée à une hémi- plégie motrice homologue, elle peut exister seule. La monoplég
e déterminent pas de gène dans les mouvements ni d'incoor- dination motrice ); mobilité, fugacité; modifications par la sugges
elle qu'on observe le plus fréquemment en clinique. Les troubles moteurs affectent le plus habituellement, chez les hystér
s'occuper des troubles sensitifs, rechercher la nature des troubles moteurs . L'examen du malade dénionlre-t-il que cette hémi
nique et hystérique. Si rhemiauesthesie existe seule, sans troubles moteurs , sans modifi- cation des reilexes, on pensera,
fin des palpitations. D'ordre local. : ce sont des phénomènes vaso- moteurs , de la rougeur ou pâleur de la peau, des modifica
l'affection en cause ; associées il d'autres symptômes sensitifs ou moteurs , elles concourent à compléter le tableau clinique
perte du réflexe constricteur. Cette attaque de para- lysie du nerf moteur oculaire commun, ordinairement passagère, peut
Les crises douloureuses sont souvent accompagnées de troubles vaso- moteurs et sécrétoircs. Au début des accès on observe par
té- rieures. Parfois aux troubles sensitifs s'ajoutent des (roubles moteurs il topographie radiculaire. La leucocytose du l
es accès les téguments de la face sont hypercsthesies. Des troubles moteurs sont observés (htepharospasme, mouvements des c
ce qui s'explique par l'extension du nerf sciatique. Des troubles moteurs sont fréquemment observés. La marche est par- f
pri's Lévy et Baudouin. M4 NÉVRALGIES ET ALGIES. milieu des nerfs moteurs importants qui l'entourent. Pour atteindre le f
- TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. - 425 quer Lévy et Baudouin. Les nerfs moteurs oculaires sont situés, en effet, au sommet de c
e par les voies centrifuges à la périphérie sous forme d'excitation motrice . Si le point de départ de l'excitation périphér
iculièrement sur les plus sensitives ou qu'elle atteigne les libres motrices . Si la névrite porte sur la jambe et respecte l
ion, en plus de l'exagération des réflexes, il existe une paralysie motrice , de l'hyperes- - lhésie avec une zonesus-jacent
1-58 RÉFLEXES. luge et emprunte les racines antérieures des fibres motrices du nerf crural. En résumé, les organes consti
a moelle; 4" La substance muse médullaire : 5" Le nerf centrifuge moteur ; 't ()° Les muscles. Chacun de ces organes es
ertain degré de tonus nerveux est indispensable dans les cel- lules motrices , et, pour que ce but soit rempli, il est nécessai
cessaire qu'il y ait persistance de ces connexions, de ces cellules motrices avec les centres nerveux supérieurs. Comment
otrices avec les centres nerveux supérieurs. Comment les cellules motrices reçoivent-elles l'influx nerveux des centres su
Par le D' O. CROUZON L'hémiplégie est, par définition, la paralysie motrice d'un côté du corps, mais il se produit dans les
phénomènes surajoutés n'appartenant pas directe- ment à la fonction motrice et épie l'on a cependant coutume d'étudier à pr
damment l'un de l'autre. [CROUZON.] 4ü4 HÉMIPLÉGIE. Les muscles moteurs des globes oculaires participeraient générale-
de leur force musculaire. Dans un orand nombre de cas, les troubles moteurs du côté réputé sain sont dus en réalité à de pe
fait un examen bien insuffisant pour confondre avec une hémiplégie motrice certains cas de douleurs unilatérales des membr
à une véritable hémiplégie. Il existe un état singulier d'impotence motrice des membres qui n'est pas l'hémiplégie et qui e
de membre- HÉMIPLÉGIE. If 71 1 Une lésion intéressant, la portion motrice de la capsule interne donne tou- jours lieu à u
syndrome de Weber (hémiplégie des membres d'un côté et paralysie du moteur ocu- laire commun de l'autre côté). Ce dernier
récités la lésion pourra intéresser soit l'hypoglosse, soit le nerf moteur oculaire externe, soit le trijumeau, et alors,
ri- HÉMIPLÉGIE. 475 hution de la paralysie aux différents groupes moteurs est, d'après Mann, à peu près la même que dans
ONA PARAPLÉGIE par le Dr MOUTIER La paraplégie est la paralysie motrice des membres inférieurs. Elle peut être d'origin
évolution de para- plégies organiques dans lesquelles les accidents moteurs ne se manifes- tèrent qu'après une période, de
et, chez les spastiques, par les altérations secondaires du neurone moteur périphé- rique : cellule de la corne antérieure
e.) L'atteinte du faisceau pyra- midal se traduit par la paraplégie motrice incomplète avec augmentation de la réflectivité
s troubles électriques disparaissent en même temps que les troubles moteurs . La durée de l'accès peut être de quelques heur
ien postérieur, sacro- coccygien antérieur. Insertions. Les muscles moteurs du coccyx sont dégénérés chez l'homme. L'ischio
ges GUILLAIN - TOPOGRAPHIE CEREBRALE LES LOCALISATIONS CORTICALES MOTRICES D'après les auteurs classiques, la zone cortica
RTICALES MOTRICES D'après les auteurs classiques, la zone corticale motrice siégerait au niveau des circonvolutions rolandi
ieure. Trois territoires principaux existent dans la zone corticale motrice : le territoire du membre inférieur,. le territ
u membre supérieur, le territoire de la face. Ces trois territoires moteurs sont échelonnés de haut en bas. Le territoire d
la plupart des neurologistes assignent aux différents terri- toires moteurs du cortex. En prenant en considération les obse
ie et les résultats de l'excitation électrique de la zone corticale motrice , les auteurs (Keen; Mills, Horsiey, etc.) ont i
ez les animaux et en particulier chez les singes, des terri- toires moteurs très spécialisés au niveau du cortex. Depuis qu
rveau humain, admettent également le siège prérolandique de la zone motrice . 0. Vogt, Campbell, Broadmann, Gordon Holmes et
ent que la circonvolution frontale ascendante est la circonvolution motrice par excellence et que .les parties antérieures
que ainsi que le pied de Fi et de F, participent aussi à cette zone motrice . Rossi et Roussy font quelques réserves sur la
sur la participation possible de la pariétale ascendante à la zone motrice . De toutes ces constatations cliniques et expér
al est principalement prérolandique. Les localisations cérébrales motrices chez l'homme sont intéressantes à connaître spé
is des mo- P,flATIQUE NEUROL. - 58 [G. GUILLAIN. Mg. 1. Centres moteurs corticaux de l'orang (Simia salyrus) (l'alri;s.Be
on corticale sont exception- nelles chez l'homme. Fig. 2. Centres moteurs corticaux du 11lacaclIs sinicus, d'après Reevor e
ey ( IS90j. . - -... (Figure empruntée il Moral.) Fig. 3. Centres moteurs d'après l'observation des sujets trépanés (d'aprè
aires périphériques musculaires correspondant aux aires corticales motrices sont les régions articulaires; les nerfs cortic
après cet auteur, sont [G. GUILLAIN,] Pig. 4 et 5. Zone corticale motrice du chimpanzé (d'après Grunbaum et Sherrington).
res m'ont paru mériter d'être adjointes à ce texte : 1° Les centres moteurs corticaux de l'orang (Simia satyrus) d'après Be
ès Ch. K. Mills (1904). TOPOGRAPHIE CÉRÉBRALE. 597 2° Les centres moteurs corticaux du llacacus sinicus d'après Reeyor et
llacacus sinicus d'après Reeyor et Horsley (1890); 5° Les centres moteurs de l'homme d'après l'observation des sujets tré
ation des sujets trépanés (d'après Lamacq) ; 4° La zone corticale motrice du chimpanzé, d'après Grunbaum et Sherrington (
ître, car les chirurgiens interviennent fréquemment sur les centres moteurs corticaux. La figure 8 montre la topographie de
e et ligne sytviennc (d'après Poirier). "598 TOPOGRAPHIE MÉDULLAIRE MOTRICE . répond au haut de Romande » (Poirier). Ce poin
ins auteurs admettent l'exis- tence dans la moelle de localisations motrices pour des muscles isolés ou des muscles ayant la
même fonction physiologique, d'autres l'existence de localisations motrices métamériques segmentaires, d'autres l'existence
es métamériques segmentaires, d'autres l'existence de localisations motrices en rapport avec les nerfs périphériques. La plu
erfs périphériques. La plupart des recherches sur les localisations motrices spinales ont été faites chez les animaux, le ch
ue s'il existait dans l'axe antérieur de la moelle une localisation motrice segmentaire, on devrait observer en cli- nique
hie à topographie radiculaire.. D'après Dejerine, les localisations motrices médullaires sont des locale sations radiculaire
la for- mation d'un gros tronc nerveux, ne communique pas sa force motrice au tronc tout entier, mais uniquement aux fibre
onc définitif des filets nerveux qui naissent des différents noyaux moteurs superposés, et des racines qui leur corresponde
nt, une même racine fournira il plusieurs muscles. Ainsi les fibres motrices répondant il tel mouvement déterminé sont égale
radiculaires sensi- tives. Faisant le parallèle entre l'innervation motrice et l'innervation sensitive, Sherrington a montr
siologistes, il faut rapprocher, dans cette étude des localisations motrices radiculaires, les travaux électro-physiolo- giq
nateur. TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. ' ' 605 Tableau de l'innervation motrice des nerfs rachidiens 1. 604 SEMEIOLOGIE .DES PA
ares. Les paralysies radicu- laires sensitives pures, sans troubles moteurs concomitants, sont excep- tionnelles. Le diag
près leur accident, ils ont généralement disparu., . Les troubles moteurs observés dans les paralysies radiculaires trauma-
ES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. la topographie de la paralysie motrice . Or cette bande d'hypocsthésie est souvent fuga
radiculaires, mais de même que les types schématiques de paralysie motrice ne se rencontrent pas toujours en clinique, de
- tiques, les troubles de la sensibilité correspondent aux troubles moteurs par leur topographie radiculaire. Les troubles
aucuns. Les troubles sensitifs sont moins profonds que les troubles moteurs , ils sont moins durables. Ces faits que la clin
eurs cylindres- axes ou du moins leur attrition, d'où une paralysie motrice , et que dans . LES PARALYSIES RADICULAIRES. CI9
ndispensable chez l'enfant pour voir la topographie de la paralysie motrice . Il existe fréquemment chez les enfants, en mêm
es sensitifs peuvent être beaucoup plus. accusés. que les symptômes moteurs , car il est possible que les lésions portent pr
souvent de paralysies d'autres nerfs crâniens (trijumeau. auditif, moteur , oculaire externe). Ces divisions sont très schém
l'existence possible de diplégies faciales. Paralysie de la branche motrice du trijumeau. Cette paralysie peut avoir une or
matiser les différents types cliniques des paralysies de la branche motrice du trijumeau, de même que l'on schématise les d
périphériques, nucléaires et centrales. 1 a paralysie de la branche motrice du trijumeau pour conséquence la paralysie des
rygoïdiens sont aussi paralysés. Lorsque la paralysie de la branche motrice du trijumeau est bilatérale l'élévation du maxi
s sont paralysés, ainsi dans les paralysies bulbaires, les troubles moteurs , la difficulté de la phonation et de la dégluti
yse de la Sem. méd.) a récemment attiré l'attention sur un symptôme moteur particulier que l'on observe dans les cas de pa
vérique des cordes. Ceci correspond ELANNOIS.] Fiir. 1. - Centres moteurs corticaux (lu larynx (d'après Semon et Horsley).
LARYNX. w au noyau postérieur du pneumogastrique, lés autres fibres motrices de ce nerf provenant du noyau ambigu dont la pa
il nous suffira de rappeler que celui-ci se divise Fig. 2. Centres moteurs bulbaires du larynx (d'après Semon et Horsley).
ranches dont l'inférieure (nerf laryngé externe) fournit des filets moteurs au muscle crico-thyroïdien et dont la supérieure
-roïclicn. On admet généralement que le nerf récurrent est purement moteur et qu'il innerve seul tous les muscles du laryn
la branche interne du spinal. Pour certains auteurs l'inner- vation motrice du larynx viendrait tout entière de la dixième pa
larynx. C'est là un des points les plus contestés de la pathologie motrice du cerveau. Si l'on s'en rap- porte il ce que n
é de lésions du vago-spinal, on a noté des paralysies du facial, du moteur oculaire externe, du sympathique, associées ou no
l'atrophie musculaire n'est pas toujours un effet de la para- lysie motrice , mais qu'elle en peut être une cause. L'atrophi
e et action trophique, transmises toutes deux par la voie des nerfs moteurs , c'est la seconde qui est seule ou primitivemen
hique peut être dû à l'altération en un point quelconque du neurone moteur périphérique, neurone qui va de la cellule radi
voir être dû aussi à l'altération en un point quelconque du neurone moteur central, c'est-à-dire de la voie pyramidale qui
conduit l'excitation dynamique des cellules corticales aux cellules motrices de la moelle; mais sans doute dans ce cas l'altér
par l'intermé- diaire d'une modification pathologique de la cellule motrice . Enfin, ce même trouble trophique parait pouvoi
, parfois des. douleurs à caractère fulgurant, une incoor- dination motrice plus ou moins intense des quatre membres; un trem
704' Ci ? . - " - -- - rmOPllOESMUSGULA11OES. par les troubles moteurs et trophiques, par la cypho-scoliose parfois ex
e qu'on la suppose due à un trouble purement dynamique des cellules motrices de la moelle, trouble transmis par la voie des
fois l'atrophie présente une localisation conforme à la topographie motrice médullaire et qui paraît bien démontrer son ori
randes cellules de la corne an- térieure et sur les centres vaso- moteurs . L'amyotrophie des hémiplégiques est parfois
une paralysie d'origine périphérique. Toutes les lésions des nerfs moteurs ou mixtes provoquent des paralysies suivies d'a
: ils manquent cependant à la suite des lésions des nerfs purement moteurs , qui sont l'exception, mais existent à la suite
lus violentes et plus persistantes. Le rétablissement des fonctions motrices et sensitives peut être complet au bout d'un te
lysies radiculaires totales, on observe la combinaison des troubles moteurs , sensitifs et trophiques des deux formes précéden
complet en un ou deux mois. Plus rarement les troubles sensitifs et moteurs se développent en quelques jours, plus rarement
ces cas les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les troubles moteurs ou inver- sement. L'atrophie musculaire présent
névrites les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les troubles moteurs ou inversement. Quel que soit le mode de début,
ptômes sont souvent dissociés et uniquement sensitifs ou uniquement moteurs (para- lysies amyotrophiques dans les cas de Jo
sont disséminées et intéressent indifféremment les nerfs sensitifs, moteurs , mixtes, crâniens, le phréni- que, le pneumogas
e, etc. Dans la grippe des névrites provoquent souvent des troubles moteurs ou sensitifs diffus ou localisés avec ou sans a
t fréquente, les troubles sensitifs ne sont pas rares. Les troubles moteurs et trophiques peuvent s'étendre aux muscles du
on par l'arsenic se révèle souvent par les symptômes sen- sitifs et moteurs d'une polynévrite mixte ; ces troubles atteignent
soit f [A. LÉRI.] 724 ATROPHIES MUSCULAIRES. trophiques, soit moteurs ; mais tous ces troubles sont souvent isolés di
aigrissement général, de véritables névrites localisées sensitives, motrices et trophiques. La question des atrophies muscul
le tabes une dé- générescence et une atrophie des grandes cellules motrices . Mais la forme la plus ordinaire de l'amyotroph
ue nous avons cités plus haut ont constaté des lésions des cellules motrices de la moelle, et dans les trois observations de
tabétiques reconnaisse pour cause tantôt une atrophie des cellules motrices , tantôt une névrite primitive. Mais il est des
le tabes qui certainement en- trent pour une part dans ces troubles moteurs et trophiques; ce sont les lésions vasculaires
sidérée comme due à l'inhibition du pouvoir trophique de la cellule motrice médullaire; elle résulte presque toujours du dé
troite, sur le muscle à électriscr et plus volontiers sur son point moteur . Denoyès (') a constaté que les courants de hau
doit sa tonicité et. que les muscles lisses n'ont d'autre fonction motrice que celle du sarcoplasma; or les recherches de
tous les muscles qui doivent se contracter synergiquement un influx moteur proportionné au degré nécessaire de leur contract
ctères différents suivant la partie lésée des voies sen- sitives ou motrices . L'incoordination ne sera pas d'ailleurs la consé
es sensitives d'une part, voies cérébelleuses, probablement surtout motrices , d'autre part, doit avoir pour conséquence l'appa
out d'une sorte de paraplégie tout à fait transitoire, d'un trouble moteur fonc- tionnel véritable ; peut-être ce symptôme
lésion des voies sensitives postérieures, une altération des voies motrices latérales, elles produisent soit un pseudo-tabes
diphtérique, etc... peu- vent s'accompagner à la fois de symptômes moteurs et de symptômes sensitifs, parésies, douleurs f
rveau ne joue à la fois dans la sensibilité et dans la coordination motrice qu'un rôle res- treint ; la meilleure preuve en
tive, l'incoor- dination cérébelleuse est essentiellement d'origine motrice . Celle diver- gence d'origine donne à l'incoord
II. INCOORDINATION CÉRÉBELLEUSE Origine : trouble de coordination motrice par lésion de l'appareil cérébelleux. A. TITUBA
dination, aucun n'a donné les brillants résultats de la rééducation motrice : c'est aujourd'hui la vraie méthode de choix d
soux). PRINCIPES GÉNÉRAUX DES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE RÉÉDUCATION MOTRICE La rééducation motrice, telle qu'elle était pra
UX DES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE RÉÉDUCATION MOTRICE La rééducation motrice , telle qu'elle était pratiquée depuis longtemps
ssifs et PRINCIPES GÉNÉRAUX DES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE RÉÉDUCATION MOTRICE . 787 de mouvements actifs, pratiqué méthodiquem
es aveugles. I. Nous négligeons ici les principes de la rééducation motrice dans les tics; nous l étudierons il l'arlicle «
Nous avons exposé un peu longuement cette méthode de rééducation motrice ; les résultats souvent excellents qu'on en peut o
s crâniens, zone où s'entre-croisent les grandes voies sensitive et motrice cérébro-spinales, le bulbe présente une séméiolog
ymptômes bulbaires. Au niveau du bulbe se rencontrent les faisceaux moteurs direct et croisé, le ruban de Reil, le faisceau c
ons grises con- tinuant à ce niveau les cornes médullaires : noyaux moteurs de l'hypo- glosse, du spinal et du pneumogastri
ale également homonyme. b Il existe d'autres variétés de paralysies motrices , soit que le faisceau pyramidal se trouve attei
on est une terminaison de la plus grande fréquence. Aux symptômes moteurs précédents se superposent, mais avec une import
fois de kératite neuro-paralytique. On a signalé une incoordination motrice secondaire aux troubles f sensitifs étendus et
exus symptomatique s'ajoutent le plus habituellement . desaccidents moteurs du type cérébral. Ces diffé- rentes altérations
a dysphagie apparais- sent, qui ne rétrocéderont plus. Ces troubles moteurs en revanche peu- vent être, nous le verons, des
s de la phonation et de la déglutition l'emportent sur les troubles moteurs des membres. Il va de soi que ce malade pourra pr
bation de la motilité qui se caractérise par un excès de l'activité motrice et se traduit cliniquement par des accès de con
sont les muscles de la vie végétative qui sont le siège de troubles moteurs convulsifs, il est préférable de parler de spas
vent être soigneusement différenciées d'une série d'autres troubles moteurs , dont voici les princi- paux. Les contractures
uel mécanisme celles-ci s'effectuent, quel est l'élément du système moteur neuro-musculaire qu'il faut ici incriminer. Le
rique. Mais qu'est-ce qui sollicite le système nerveux, les centres moteurs Lulbo-spinaux à trop d'activité ? On admet que
ous enseignait que si l'on vient il exciter chez l'ani- mal la zone motrice du cerveau d'un côté, dans la région rolandique.
isse le faire prévoir. Mais d'autres fois on note quelques troubles moteurs , de l'agitation, des secousses musculaires qui an
rties périphé- riques, soit aux organes, hallucinations, phénomènes moteurs des épi- septiques. - 5'ne, Ibis la convulsion
remière convulsion limitée, gagnait par contiguïté tous les centres moteurs voisins. D'autres fois, elles sont généralisées
lsives, très semblables à celles de l'adulte : aura le plus souvent motrice , lmis phase de convulsions toniques, de convulsio
té le symptôme initial de l'accès et affectent la forme de troubles moteurs , sensitifs, sensoriels ou psychiques et viscéraux
ntrer serait longue. Contentons- nous de signaler ici, dans l'ordre moteur , les secousses musculaires, les tremblements, l
r de trembler, la lI'élllopllObie (Mcigc) peut accentuer le trouble moteur . 6" Évolution du tremblement. Le tremblement pe
nr ! JI(']lle1ts : ce sont, comme l'a montré Brissaud, des troubles moteurs dépendant d'une irritation siégeant sur un poin
, il devient capricieux. On peut noter également quelques prodromes moteurs , ce sont alors des contractions isolées, des mu
l'affection est alors constituée. A la période d'état, les troubles moteurs ont les caractères que nous avons décrits aux m
vements involontaires, on constate dans la chorée d'autres troubles moteurs . Nous avons déjà vu qu'il y a rarement inté- gr
ue ces troubles y sont particu- lièrement fréquents. Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous deux formes, ou bien il
de la chorée paralytique ou chorée molle dans laquelle les troubles moteurs dominent la scène : le malade semble paralysé, et
que, qu'il s'a- gisse ou non de la chorée héréditaire. Les troubles moteurs n'ont d'autre particularité que de provoquer un
issent par accès et doivent être considérées parfois comme une aura motrice ou un équivalent épileptique, quelquefois comme d
un hémiplégique et il en présentera tous les signes. Les troubles moteurs , nous l'avons dit, sont plus accentués, il existe
queur. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES TICS I. Caractères des réactions motrices . - Le tic est un mot- vement-convulsi-1, c'est-
nce également excessive dans le tic en fait une véritable impulsion motrice , certains ont mérité d'être dits « tics obsédan
sentiments que, dans leurs sensations mêmes et dans leurs réactions motrices , vaso-motrices, secrétoires et viscérales. P11.
er, avec que les images mentales en général, et les représentations motrices en particulier, ont chez ces sujets a une intensi
motivité ('). Nous avons insisté, dans l'analyse tant des réactions motrices que de l'état mental du liqueur, sur les nombre
e véritable émotion et une certaine angoisse : cette représentation motrice revient a la conscience toujours plus intense j
intense jusqu'à ce que le mouvement soit exécuté. )) ( car.vs. Etat moteur des aliènes. Revue de psychiatrie, l ! )0 ? ) O
ulièrement importante est celte représentation excessive des images motrices riiez des sujets qui présentent le déséquilibre
s, dans ces mêmes cas, on observe une intensité anormale des images motrices semblable il celle des tiqueurs. « On peut consid
, est la cause de celle véritable incoordination. Le déséquilibre moteur apparaît non seulement dans tous les carac- tèr
geste initial et avec sa cause, mais encore dans tous les troubles moteurs que nous avons décrits comme conséquences de l'ét
l mental des tiqueurs : exagération et brusquerie de tous les actes moteurs , (\chopraxie, catatonisrne, impulsions et obses
comme aussi indis- pensable il la définition du tic que le trouble moteur lui-même ; le mou- vement cOl1Yulsil' ne peut ê
pes : tics psychiques ou obsessions tIC111el1SCS, psycho-moteurs et moteurs , suivant que l'acte moteur suit plus ou moins i
essions tIC111el1SCS, psycho-moteurs et moteurs, suivant que l'acte moteur suit plus ou moins immédiatement et fatalement, a
un groupe naturel étendu de mala- dies ou les (roubles musculaires ( moteurs ou trophiques) et les troubles mentaux qui les
entale dans la définition du tic, elle n'est pas tout, le phénomène moteur est indispensable, et c'est par un abus de lang
iquement, il est du à une irritation matérielle portant sur le nerf moteur dont dépendent les muscles enjeu ou sur un des
sive, la déchéance mentale évolue en même temps que le déséquilibre moteur . La chorée électrique de Dubini, très rare, se
d et ses élèves, Meige et L'cinclel. Elle comprend ; la rééducation motrice et la psychothérapie. La rééducation motrice co
prend ; la rééducation motrice et la psychothérapie. La rééducation motrice comporte des exercices de gymnastique raisonnée
le passait jusque-là pour un adjuvant. Les exercices de rééducation motrice applicables aux tiqueurs compren- nent, dans la
Tous ces exercices constituent une méthode de « discipline psycho- motrice » ; « à l'inverse des méthodes d'éducation physiq
eproduire. » De plus, on doit s'efforcer de maîtriser les réactions motrices et les contractions musculaires excessives, qui
tic, mais au niveau de tous les muscles, en vertu d'un déséquilibre moteur général. On doit s'efforcer aussi de développer
ue ce qui est altéré ce n'est ni le muscle, ni le nerf ou le centre moteur , mais bien le contrôle corti- cal volontaire.
YNONYMIE On a donné le nom de crampes fonctionnelles à des troubles moteurs très variés qui n'ont comme caractère commun qu
terme « spasme » suppose une irritation organique du tronc nerveux moteur ou d'un point d'un arc réflexe, et le terme « név
le seul qui ne préjuge en rien ni de la forme clinique des troubles moteurs ni de leur pathogénie : or ces troubles nous pa
A) Crampe des écrivains. On désigne sous ce nom tous les troubles moteurs qui ne surviennent que dans l'acte d'écrire et qu
nnellement survenir chez ceux qui écrivent fort peu. Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous des formes extrême- m
ampe des écrivains; elles n'ont qu'un point commun, le déséquilibre moteur et, comme résultat, l'impossibilité d'écrire.
de raideur. Les caractères de début et d'évolution de ces réactions motrices , les phénomènes qui s'y trouvent associés, le t
ils diffèrent tout autant chez les divers sujets que les réactions motrices elles-mêmes. Dans la grande majorité des cas, l
ues sont plus ou moins apparents; dans cer- tains cas, les troubles moteurs apparaissent nettement comme la consé- quence d
on de la volonté et de Vémotivilé, comme une ahou- lie, une amnésie motrice . Par tous ces caractères on peut dire que les c
é des cas, le seul traitement vraiment t eflicace est Inrééducation motrice , la gymnastique rationnnello. passive et active
s, du vitiligo, de l'hyperkératose, sans compter les troubles vaso- moteurs , les viciations de la sécrétion sudorale et les a
crotisme du pouls, puis de souffles cardiaques et de troubles vaso- moteurs . La tension artérielle semble a priori abaissée
les lésions péri- phériques, mais dans ce dernier cas aux accidents moteurs se superpo- sent des troubles de la sensibilité
que (diphtérie, angines diverses), souvent accompagnée de .troubles moteurs généralisés. La paralysie peut êtrè unilatérale :
La paralysie ou l'atrophie des muscles innervés par un des nerfs moteurs des doigts ou la contracture de leurs antagoniste
est totale ou partielle. Le domaine musculaire de plu- sieurs nerfs moteurs peut être atteint en même temps totalement ou p
e Babinski caractéristique de la syphilis (Vaquez). La paralysie du moteur oculaire commun survenant subitement, est égale
s sphincters sont presque toujours intacts et, comme troubles vaso- moteurs , on ne peut que signaler les syncopes et les accè
érébral, l'absence habituelle de rétraction du ventre, de paralysie motrice des membres, de parésie vaso-motrice, sphinctérie
ite par Loepcr, dans laquelle font complètement défaut les troubles moteurs convulsifs ou paralytiques et la stase papillaire
r sa durée, plus longue, l'absence de paralysies, de troubles vaso- moteurs ,, de température, du coma apoplectique, compliqué
'accumulateurs. On augmente ainsi progressivement la force électro- motrice prise sur la batterie. L'intensité du courant aug
va- nique sont de différents ordres et se manifestent sur les nerfs moteurs et sur les muscles, sur les nerfs sensitifs, su
élec- trotoniques et des effets dits catalytiques, Sur les nerfs moteurs et sur les muscles, le courant galvanique, dans
qucs. Il y a lieu de croire que ces effets d'excitation des organes moteurs sont en grande partie dus il l'action sur les n
organes moteurs sont en grande partie dus il l'action sur les nerfs moteurs ou sur les muscles des pro- duits de l'électrol
.COURANT GALVANIQUE CONTINU. 211 On observe encore sur les nerfs moteurs des effets du courant gaha- nique constant ayan
rant descendant est celui qui suit la direction de l'influx nerveux moteur ; il est réalisé lorsque le pôle positif est placé
rant. - . Les nerfs sensitifs seraient donc soumis, comme les nerfs moteurs , aux modifications de l'électrotonus. Ils diffè
teurs, aux modifications de l'électrotonus. Ils diffèrent des nerfs moteurs en ce sens qu ils paraissent davan- tage exci
ent élevée, se manifeste par la contraction du muscle. Sur un; nerf moteur , cette excitation se traduit par la contraction d
des états V : 11tL11tLES de fermeture et d'ouverture sur les nerfs MOTEURS ET sm LES MUSCLES. Pour le moment, nous nous oc
le moment, nous nous occuperons seulement de l'excitation des nerfs moteurs et des muscles, et nous exposerons les résultats
t en état permanent, puis au moment de l'ouverture. Sur les nerfs moteurs , l'excitation produite peut être résumée par le
alvaniques normales correspondent sen- siblement à celles des nerfs moteurs ; elles ne s'en distinguent que par de faibles d
ire par l'action de pèles virtuels. Fie. 21 (d'après Erb). Points moteurs de la tête et du cou. -1. 1. Muscle- frontal;
Court fléchisseur du pouce; 28. Adduc- teur du pouce. 11. Points moteurs du membre supérieur (face postérieure). -1. Delto
uellement l'examen avec ce pôle. Fin. 25 (d'après Erb). A. Points moteurs de la cuisse (face antérieure). 1. Nerf crural; -
(point commun); 10. Droit antérieur; 11. Vaste externe. B. Points moteurs du membre inférieur (face postérieure). -1. \erf
échisseur commun des orteils; 16. Nerf tibial postérieur. C. Points moteurs de la jambe (face anti;ro-estcrne). 1. Jambier an
s A LGLECTRO-DL1G\OSTIC et au traitement f Pour exciter les nerfs moteurs et les muscles striés avec les courants faradiq
Dans l'application des courants faradiques, pour exciter les nerfs moteurs ou les muscles en vue du traitement ou en vue de
e polaire, il y a parfois avantage pour la faradisa- tion des nerfs moteurs , aussi bien au point de vue de l'lleetro-ùiagi1¡)
courants un peu plus forts, il s'y ajoute des excitations des nerfs moteurs et des muscles, surtout lorsque l'électrode exc
l'électrode excitatrice se trouve à la hauteur des points électro- moteurs ; avec des courants encore plus forts, l'excitati
es. p . 1238 APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. davantage aux nerfs moteurs et aux muscles et plus particulièrement à ceux
oesthésie qui existe. Ces courants forts peuvent agir sur les nerfs moteurs et sur les muscles, soit au niveau de l'électrode
adique est employé dans certaines conditions pour exciter les nerfs moteurs et les muscles striés. Il pré- sente surtout de
ffections du système nerveux et dans les affections de l'appa- reil moteur , l'excitabilité faradique et l'excitabilité galva
énie et l'hystérie, alors même qu'elles donnent lieu à des troubles moteurs plus ou moins accentués. Il en est de même dans u
lièrement dans celles qui atteignent plus spécialement les neurones moteurs cen- traux. Il en est parfois de même dans les
quinzaine d'années sous les dénominations de déplacement des points moteurs , réaction de dégénérescence à distance, ou modi
souvent elle prédomine sur l'excitation produite au niveau du point moteur ; de plus, elle se montre aussi altérée qualitat
Dans les maladies du système nerveux qui portent sur les neurones moteurs périphériques et se développent en suivant un pro
vue du diagnostic. Elle indique qu'il existe des lésions du neurone moteur périphérique. File ne permet pas de reconnaître
sances, si les lésions ont pour origine les cellules des neu- rones moteurs (cornes antérieures de la moelle, noyaux du bulbe
x du bulbe et de l'isthme de l'encéphale), ou les racines nerveuses motrices qui en partent, ou les fibres nerveuses dans le
ue la DR est une expression symptomatique de lésions des neu- rones moteurs périphériques, il est facile de voir dans quelles
ême dans des cas d'hémorragie ou de ramollis- sement, si les noyaux moteurs de ces nerfs ou les fibres radiculaires qui en
rigine articu- laire ou on n'observe pas la DR. Dans les troubles moteurs des névroses, hystérie, neurasthénie, chorée, m
é, dans les paralysies 1. Dans certains cas de lésions des neurones moteurs périphériques susceptibles d'en- traîner de la
ensitifs une formule d'excitation assez semblable à celle des nerfs moteurs . Ils ont vu ainsi que les effets d'excitation des
dant l'exploration électro-diagnostique de l'excitabilité des nerfs moteurs et des muscles, on a besoin de [«rendre une notio
vec une. même force électro- RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE DU CORPS. 1285 motrice sur l'un et l'autre point. La comparaison ainsi f
de la résistance n'est pas constante, même avec des troubles vaso- moteurs accentués. Dans la poliomyélite antérieure aigu
ace les maladies qui portent plus particulièrement sur les neurones moteurs centraux, soit dans l'encéphale, soit dans la moe
s les maladies qui portent plus parti- culièrement sur les neurones moteurs périphériques, soit au niveau des cellules de c
Dans ce second groupe nous ferons entrer des maladies de l'appareil moteur atteignant plus particulièrement les muscles.
DÉPENDANT DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREMENT SUR LES NEURONES MOTEURS CENTRAUX DANS L'ENCÉPHALE ET DANS LA MOELLE C
ctions atteignant plus spécialement dans l'encé- phale les neurones moteurs centraux nous prendrons les paralysies par hémo
ux manifestations symptomatiques dépendant des lésions des neurones moteurs centraux s'ajoutent parfois des manifestations dé
s, radiculaires. ou funicu- laires, telles que paralysies des nerfs moteurs du globe oculaire, paralysie faciale, etc. ; le
DÉPENDANT DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREMENT SUR LES NEURONES MOTEURS PÉRIPHÉRIQUES Les aflections atteignant plus pa
RIQUES Les aflections atteignant plus particulièrement les neurones moteurs périphériques bénéficient en général beaucoup p
ement par l'électricité que les affections portant sur les neurones moteurs centraux. Pour éviter des redites trop nombreus
lquefois tardivement à traiter lés atrophies muscu- et les troubles moteurs laissés par des poliomyélites, qui n'ont pas en
t parfois se produire des complications occa- sionnant des troubles moteurs qui ressemblent beaucoup à ceux de la poliomyél
aiguë avec manifestations symptomatiques prédominant dans la sphère motrice et qui affectent ainsi une ressemblance plus ou
ins atrophiés, soit que dès le début les cellules de leurs neurones moteurs périphériques aient été aussi lésées, comme dans
a donné le nom de cellulo-névritcs, soit que les lésions des nerfs moteurs aient été primitivement intenses et aient entraîn
es et aient entraîné consécuti- vement des altérations des cellules motrices des cornes antérieures. Dans certaines polynévr
es, etc., prennent une assez grande importance, il côté de troubles moteurs assez prononcés aussi parfois, plus effacés d'a
e vertébrale et l'autre sur les parties des membres où les troubles moteurs et sensitifs sont prédominants; le bain électrode
ter définitivement le traitement électrique. Paralysies des nerfs moteurs du globe oculaire. Dans le traite- ment de ces
ossibles. Affections à processus chronique portant sur les neurones moteurs périphériques. Les paralysies et les atrophies
t les atrophies musculaires qui résul- tent de lésions des neurones moteurs périphériques et qui se développent plus ou moi
ne dystrophie primitive des muscles et non de. lésions des neurones moteurs périphériques comme les atrophiées musculaires
ont dues il des névrites avec lésions s'étendant aussi aux neurones moteurs ; l'examen électro-diagnostique fait généralement
névralgies. Dans les névralgies avec névrites, lorsque les neurones moteurs sont atteints et qu'il existe de la DR plus ou
e aussi en considération le traitement de ces troubles de la sphère motrice . Pendant la période aiguë de la névralgie le trai
comme il a été indiqué pour le traitement des lésions des neurones moteurs périphériques. Les indications précédentes, don
s atténuées, tandis que d'autres montrent des troubles sensitifs et moteurs plus ou moins prononcés el suivent une évolutio
riphériques où se manifestent les douleurs. Contre l'incoordination motrice on a cherché a agir moins sur les mus- des eux-
musculaires et présence de la DIS indiquant l'atteinte des neurones moteurs périphériques, il y a lieu d'ap- pliquer le tra
t déjà indiqué contre ce genre de lésions. Les paralysies des nerfs moteurs des globes oculaires sont assez 1'1'1 ? quentes
u traitement des troubles qu'elle entraîne par lésions des neurones moteurs périphériques. Les troubles dus aux lésions des
re et circmn-orhitaire, on reporte la petite électrode sur le point moteur de l'orbiculaire des pau- pières. On a eu soin
uscles sterno-hyoïdien et stemo-thyroïdien en excitant leurs points moteurs . Ce troisième temps dure de 5 à 5 minutes. Dans
Apraxie idéo-motrice de Liepmann, 22'2. idéatoire de Pick, 22a.- motrice de Kleist, 225. Aran-Duchenne (Svndrome -), 6
Centres de réception corticaux de la sen- sibilité générale, 277. moteurs cor- licaux, 595, 594. du larynx, 1157. Centr
ale, 277. moteurs cor- licaux, 595, 594. du larynx, 1157. Centres moteurs bulbaires du larynx, 658. nerveux. Percussion e
. Pénétration des ions, 1208. Effets physiologiques sur les nerfs moteurs et sur les muscles, 1210. Électrotonus, 1211. E
s des états va- riables de fermeture et d'ouverture sur les nerfs moteurs et sur. les muscles,. méthode d'excitation pola
Dermatoses neu1'otl'ophiques, 915. Déviations conjuguées, d'origine motrice , 79. d'origine sensorielle, 80. - Para- lysie
adies de l'encéphale et de la moelle, 1288, - Maladies des neurones moteurs périphériques, 1295. Électrodes, 1201. Dimens
es -effets de l'état variable du courant galvanique, 1219. Points moteurs , 1220. Re- cherche du seuil de l'excitation, in
leurs centraux. Hémiplégie cérébrale, 1288. ? Maladies des neurones moteurs périphériques, 1295. Poliomyélite, 1296. Poly
loration de la motilité intrinsèque, 22. - paralysies des muscles moteurs , 58. Glossy-skin, 111a. Goitre exophtalmique.
entrales, z de la vue, de l'ouïe, du goût, cénes- thésiques, 258. motrices , 259. Valeur séméiologique, 240. Hématémèses
aies, 1 146. Innervation cutanée, topographie radi- culaire, 520. motrice des nerfs . rachidiens, 605. Insomnie, z. -.
Recherche, 481. - Valeur séméiologique, 482, 485. Kleist (Apraxie motrice de -), 225. Klippel (Atrophie numérique de -),
979. Traitement électrique des paralysies, 1509. Larynx. Centres moteurs corticaux, 657. centres moteurs hulhaires, G58
paralysies, 1509. Larynx. Centres moteurs corticaux, 657. centres moteurs hulhaires, G58 ? Maladies, 036. TIIOVBLES seksi
(Syndrome de -), 508. - pied bot, 1052. Localisations corticales motrices , 592, 597. - radiculaires motrices. 599. Lomb
1052. Localisations corticales motrices, 592, 597. - radiculaires motrices . 599. Lombaire (Syndrome - des lésions mé- du
lgie, 587. - Injection d'alcool, 425. - médian, paralysie, 652. - moteur oculaire commun, pa- ralysie, 69. et parahsie d
riculaires, 128. - -, névralgie, 586. - ? paralysie de la branche motrice , 627 f Nerfs, lésions, atrophies musculaires co
urs émergences avec les apophyses épi- neuses, 527. , innervation motrice , 605. - Rapports entre leurs émergen- ces méd
des paupières. Voy. Gndoplilalnaie. paralytique. - de la branche motrice du trijumeau, Ü 2'i. - du moteur oculaire ext
paralytique. - de la branche motrice du trijumeau, Ü 2'i. - du moteur oculaire externe d'origine auriculaire, 145.
ine pé- . rijihérique, atrophies consécutives, 71o. - des muscles moteurs des globes ocu- laires. Symptômes. Strabisme, 5
par lésion des centres et voies supra-nucléaires, 77. - Troubles moteurs oculaires associés. Dé- viations conjuguées, 79
tions quantitatives et qualitatives, 1247. - Déplacement des points moteurs , 1248. - Formes de la réaction par- tielle, 1
cices du tronc, 795. - Exercices des mem- bres supérieurs, 796. - motrice des li- qUC1l1'S, 895. Réflexe abdominal, 454
e mâchonne- ment, z. - Diagnostic, 891. - Traitement. Rééducation motrice des tiqueurs, 895. - Gymnastique respira- toi
s affections des nerfs, 351. - dans l'hystérie, 355. - médullaire motrice , 598. - nwnopleyique des troubles de la sen-
ide céphalorachidien, M 55. - ol)h- talmique, 955. Zone corticale motrice , 595. 62590. - Imprimerie LAnutOE, 9, rue de Fl
7 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
rémité supérieure de cette circonvolution est occupée par les centres moteurs (A) du membre supérieur du côté opposé. Des sil
n pariétale ascendante. Dans une partie de ce lobule réside le centre moteur du membre supérieur (À), qui s'étend jusqu'à l'ex
nes antérieures de la substance grise de la moelle épinière (cellules motrices ). — Dimensions, forme, corps, noyau, nucléole, pr
otoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des cellules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules pyramidales. Cel
es de la substance grise de la moelle épinière, dites encore cellules motrices . La descrip-tion abrégée que je vais vous tracer
d'une façon spéciale plus d'une analogie remarquable. Les cellules motrices sont des cellules sans membrane dis-tincte dont l
anatomistes. Il consiste en ce que la plupart des cellules nerveuses motrices , toutes, peut-être, possèdent, en outre des prolo
els sont, Messieurs, les principaux caractères des cellules nerveuses motrices spinales; il est temps de mettre en regard d'elle
t de manière à rappeler des prolongements de protoplasma des cellules motrices spinales. Ces prolongements se résolvent-ils dans
rolongement spécial analogue au prolongement cylindrique des cellules motrices spinales. C'est, dans un cas comme dans l'autre,
ndes cellules et les cellules géantes — et d'autre part, les cellules motrices des cornes antérieures et ces analogies, déjà pre
on, le département des cellules pyramidales gi-gantesques ou cellules motrices par excellence. 11 comprend la circonvolution fro
cellules dans les points désignés par Fritsch et Uitzig comme centres moteurs , autrement dit dans les parties quiavoisinent l
s derniers traits permettent de les rapprocher des cellules nerveuses motrices des cornes antérieures de la moelle épinière. L
ts de protoplasma, les prolongements ner-veux, attributs des cellules motrices . Il paraît naturel de se demander si ces cellul
rir du développement et de donner de la sorte naissance à des centres moteurs supplémentaires, destinés à remplacer les centres
vent se reproduire dans un mem-bre, malgré la destruction d'un centre moteur , phénomène dontla guérison plusieurs fois constat
dans les Archives de physio-logie, 1874.) placer les fameux centres moteurs et c'est là aussi que la cli-nique, avec le secou
mnes. les expériences de Ferrier sur le singe, le siège des centres moteurs des membres. Vous voyez, d'après la distribution
cérébrale peut être dite cen-trale, pour la distinguer des paralysies motrices qui résultent quelquefois de la lésion de certain
très bas du côlé du pédoncule, ces lésions déterminent une paralysie motrice qu'accompagne à peu près nécessairement la contra
in mixte, la paralysie du sentiment s'accompagnera d'une hémiplégie motrice plus ou moins accentuée. Mais il peut arriver que
par com-pression. L'effet produit sera une hémiplégie, exclusivement motrice , du côté opposé du corps (Fig. 22). Tantôt, s'éte
a-nesthésie cérébrale viendront se surajouter à ceux de l'hémiplé-gie motrice . Les deux figures 24 et 25 vous permettront faci-
econnu pendant la vie les symp-tômes susdits, à savoir : L'hémiplégie motrice avec hémianes-thésie et post mortem l'existence d
ne cicatrice linéaire ochreuse, l'hémianesthésie et même la paralysie motrice , mal-gré la destruction d'une partie du noyau len
ement ; le plus souvent, il s'y associe un certain degré de paralysie motrice : celle-ci, au contraire, se montre seule, sans a
me temps que les membres d'un côté du corps sont frappés d'hémiplégie motrice et, quel-quefois, aussi, d'anesthésie. Rien de mi
de déterminer, en même temps que l'hémiopie latérale, une hémiplégie motrice , et peut-être, en outre, l'hémianesthésie. Une lé
nfluence des lésions de ces régions sur la production de l'hémiplégie motrice . — Faits expérimentaux. — Concordance entre eux e
ux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : impuissance motrice , contrac-ture permanente. — Atrophie musculaire p
cours de ces leçons (Leçons VIII et IX, p. 92-93), que l'hémiplégie motrice vulgaire, sans accompagnement de troubles de la s
ent le tractus blanc (capsule interne), donnent lieu à une hémiplégie motrice non seule-ment très prononcée, mais encore de lon
ion cen-trifuges et qu'elles transmettent à la périphérie l'influence motrice développée soit dans l'écorce grise du cerveau, s
es chez les ani-maux. On sait depuis longtemps (1) que les troubles moteurs pro-duits chez la plupart des animaux par la dest
n, et. à plus forte raison chez un reptile, ne produit pas de trouble moteur qu'on puisse comparera une hémiplégie. Les choses
lation, chez le chien, de la sub-stance grise dans les ré-gions dites motrices de l'écorce cérébrale déter-mine une parésie temp
Veyssière, opérant la section de la capsule interne. une paralysie motrice bien dessinée et qui rappelle l'hémiplé-gie qu'on
e, comment le noyau lenticulaire, le noyau caudé et les régions dites motrices de l'écorce grise des hémisphères, pourront se su
que les foyers qui détruisent, dans une certaine éten-due, les fibres motrices de la capsule interne ont pour consé-quence à peu
lement une des causes prin-cipales de la persistance de l'impuissance motrice , dans les cas qui nous occupent. Il faut égalemen
sur le terrain de la clinique. On sait, en effet, que l'impuis-sance motrice , une contracture passagère d'abord, puis per-mane
, vous distinguez : 1° les cornes antérieures avec les cellules dites motrices et l'origine des racines antérieures; — puis les
intéressent nécessairement l'appareil des grandes cellules nerveuses motrices . Ainsi, voilà, de par l'anatomie pathologique,
lus tard, ces faisceaux seraient en relation directe avec les régions motrices de l'écorce du cerveau. Or, ces régions elles-mêm
sure, réunissant les parties du cerveau, présidant aux déterminations motrices volontaires avec les parties de la moelle présida
e chien; tandis que, par contraste, ces régions excitables ou centres moteurs existent déjà, d'après les observations de ïarcha
e où elles entrent pro-bablement en rapport avec les grandes cellules motrices . III. Maintenant, Messieurs, nous devons essa
tes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions dites motrices qui se dévelop-pent les premières. Messieurs,
la protubérance, soit, par exem-ple, au niveau de l'origine des nerfs moteurs oculaires com-muns. Reconnaissons d'abord les par
sont disposés des groupes cel-lulaires où prennent racines les nerfs moteurs oculaires com-muns. En avant de ce point, on dist
ent, vous le voyez, à la région que l'on dési-gne sous le nom de zone motrice . (Lobule paracentral, extré-mité supérieure des c
stance grise des circonvolutions rolandiques, autrement dit des zones motrices . Somme toute, je vous le répète, il n'y a guère q
es les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont 'les régions dites motrices qui se développent les premières, se mettent en r
dé-génération du faisceau pyramidal dans un cas de lésion des centres moteurs hémisphériques. — B, dégénération du faisceau dir
Importance de la connaissance des plis du cerveau. -- Circonvolutions motrices . — Vicq d'Azyr (1785). Rolando (1829). Lèuret (18
ignées depuis les travaux de Hitzig et Férrier sous le nom de centres moteurs , c'est-à-dire dans la substance grise des circonv
mis de localiser les régions dites psycho-motrices ou plus simplement motrices ; et je sai-sis l'occasion de vous faire remarque
de vous faire remarquer en passant, que cette dénomination de centres moteurs n'implique dans mon esprit aucune idée physiologi
régions de l'écorce du cerveau dont la lésion occasionne des troubles moteurs dans certaines parties déterminées du côté opposé
fibres musculaires. — A, Cellules géantes des circonvo-lutions dites motrices . — B, Cylindres axes. — C, Cylindres axes recouve
té entre l'extrémité terminale des fibres pyramidales et les cellules motrices multipolaires ; il est même très vrai-semblable—
phie et même la dispari-tion complète d'un certain nombre de cellules motrices . M. Hallopeau, dans le service de M. Vulpian, a
aines et en nombre normal.— B, corne antérieure gauche ? les cellules motrices ont disparu, sauf la partie la plus externe et à
. 17 lysie et hyperesthésie ; de l'autre côté, absence de paralysie motrice , mais anesthésie) (4), L'autopsie démontre que la
s cornes antérieures où elles se mettent en rapport avec les cellules motrices . Mais il possible que quelques-unes d'entre elles
nes anté-rieures, et plus précisément encore, dans les cellules dites motrices . 2° En est-il de même pour les racines postérie
u chien, vous rappeler ce que nous avons déjà dit des circonvolutions motrices de cet animal. Quelles sont les parties homologue
reconnu, à la surface du cerveau du chien, des régions excitables et motrices qui, fonctionnellement, ont la même signification
a même signification que les circonvolutions rolandiques. Ces régions motrices du chien sont, en quelque sorte, groupées autour
s'agissait chez l'homme d'une lésion portant sur un point des régions motrices . A cet égard il me suffira de vous citer quelques
Pitres : « Chez le chien unohésion corticale siégeant dans la zone motrice peut être suivie de dégénération secondaire de la
, c'est-à-dire les éléments cellulaires ganglionnaires, sont les unes motrices ou kinésodiques ; les autres, destinées à la tran
régions de la moelle où elles entrent en connexion avec les cellules motrices , par l'intermédiaire d'une disposition anatomique
aisceaux antéro-latéraux peuvent-ils être rapprochés encore des nerfs moteurs par leurs autres pro-priétés ? — Non pas absolume
ns antéro-latéraux, et par eux seulement, que passent les incitations motrices vo-lontaires. Il n'y a pas ici, comme pour la sen
ar le malade lui-même. —Actuellement, il existe encore une para-lysie motrice complète, absolue, ou peu s'en faut, de tout un c
er? Ou, inversement, est-il pour tou-jours condamné à une impuissance motrice le privant de l'u-sage régulier de ses membres? E
ment la persistance indéfinie plus ou moins complète de l'impuissance motrice dans les membres paralysés. Ainsi, vous le voye
depuis longtemps qu'il fait habituellement défaut dans l'impuissance motrice liée au tabès ataxique, à la paralysie de cause c
paire, se réfléchit sur le muscle triceps par la voie de la racine motrice correspondante qui n'est autre qu'une des princip
ourcissement actif incessant, et qui ne disparaît que lorsque le nerf moteur correspondant a été sectionné. La contraction ton
e en contraction n'est repré-sentée que par 4, 28 °/0. Quand, le nerf moteur étant coupé,' la tonicité du muscle est abolie, l
ncessante sur tous les muscles où elle produit, par la voie des nerfs moteurs , le tonus musculaire ... Cette action continue de
extrémités des fibres nerveuses du faisceau pyramidal et les cellules motrices de la corne correspondante. Ces connexions sont t
s'affectent à leur tour. Or, cette lésion, communi-quée aux cellules motrices , serait purement dynamique ; elle ne correspondra
, etc.) quirobsèdent déjà depuis plusieurs années. L'incoor^-dination motrice ne s'est déclarée cependant que depuis huit ou di
ltiques tendineux et cutané dans l'ataxie locomotrice. — A, cellule motrice de la moelle épinière. --E,E, cellules aesthésodi
utané conservé intact daps l'ataxie. — K, racine antérieure ou nerf moteur . — T, segment postérieur ou centri-pète de l'arc
rcs diastaltiqu.es tendineux et cutanés dans l'hystérie. —A, cel-lule motrice de la moelle épinière. -- E,E, cellules aisthésod
eur centripète de l'arc diastalti-que. — E, racine antérieure ou nerf moteur . — P,A,M, arc diastaltique cutané affecté dans l'
erminales des fibres nerveuses du faisceau pyra-midal et les cellules motrices des cornes antérieures, dans toute la hauteur de
retentit sur l'élément ganglionnaire. Ainsi communiquée aux cellules motrices , cette lésion serait purement dynamique, ne s'acc
reconnaître qu'il ne reste pas localisé dans l'élément ganglionnaire moteur . Il s'étendrait par diffusion aux autres éléments
eraient touchées à leur tour d'une façon analogue. Or, les cellules motrices ou kinésodiques et les cellules sensitives on œst
ression de la moelle épinière. Considérons exclusivement les troubles moteurs et admettons qu'ils ou-vrent la scène. Cela, d'ai
e, résultat évident de l'interruption des conducteurs des incitations motrices dans les cordons antéro-latéraux et plus particul
entale, qu'une lésion transverse hémilaté-rale, produit une paralysie motrice aussi bien dans le membre opposé que dans le memb
ce grise. — Transmission des impressions sensitives et des impulsions motrices . Les lésions systématiques de la substance gris
gé pour la transmission des impressions sensitives et des impressions motrices volon-taires ou réflexes ; de telle sorte que, si
paraissent destinées exclu-sivement à la transmission des impulsions motrices et n'ont aucun rapport avec la sensibilité. II.
fondamentaux du groupe : 1° Les muscles sont frappés d'impuissance motrice . La para-lysie est plus ou moins complète; mais —
toire considérer la subs-tance grise elle-même, mais encore les nerfs moteurs qui y prennent origine, et aussi les muscles stri
hysiologiquement, elles représentent un sys-tème. La cellule nerveuse motrice , avec ses prolongements multiples, peut être à la
elui qui met l'organe cellulaire en continuité directe avec les nerfs moteurs , de telle sorte que le tube nerveux moteur, dans
é directe avec les nerfs moteurs , de telle sorte que le tube nerveux moteur , dans sa partie essentielle qui est le cylindre a
ndre axile, n'est qu'une émanation de la substance même dè la cellule motrice . Aujourd'hui, l'on sait en effet que, par son ext
capitale, lejour où il a démontré que chez les tardigra-des, le nerf moteur se termine par un filament unique au niveau d'u
çais, anatomiquement par-lant, une solidarité intime entre la cellule motrice , le nerf moteur et la fibre musculaire; en réalit
ent par-lant, une solidarité intime entre la cellule motrice, le nerf moteur et la fibre musculaire; en réalité, on peut les c
ôté, quant à présent du moins, qu'une lésion des muscles ou des nerfs moteurs puisse retentir sur l'élément ganglionnaire et en
a paralysie des membres supérieurs, caractérisée par de l'impuissance motrice , des con-tractions fibrillaires et de la raideur.
l a fait une remarque absolument identique ; il signale l'impuissance motrice très prononcée des membres inférieurs, avec conse
e, la grande distance qui sépare les pyramides antérieures des noyaux moteurs , on est bien obligé d'admettre que la sclérose du
rnes antérieures de la substance grise de la moelle épimère (cellules motrices ). — Dimensions, forme, corps, noyau, nucléole, pr
otoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des eellules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules pyramidales. Cel
nfluence des lésions de ces régions sur la production de l'hémiplégie motrice . — Faits expérimentaux. — Concordance entre eux e
ux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : impuissance motrice , contrac-ture permanente. — Atrophie musculaire p
tes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions dites motrices qui se dévelop-pent les premières............,...
Importance de la connaissance des plis du cerveau. — Circonvolutions motrices . - Vicq d'Azyr (1785). Rolando (1829). Lèuret (18
aire. — Indépendance des arcs diastaltiqucs réflexes. ¦— Ataxie loco_ motrice ; hystérie avec hémianesthésie : hémiplégie de ca
ce grise. — Transmission des impressions sensitives et des impulsions motrices . Les lésions systématiques de la substance gris
anglionnaires ou pyrami-dales, 21 ; — Leur analogie avec les cellules motrices de la moelle épinière, leur structure, leurs pro-
22, etc. ; — géan-tes, 23, 31, 34, 41, 233, 235 ; — araignées, 25 ; — motrices anté-rieures, 19, 244 ; — kinésodiques, 284 ; — œ
ures, 19, 244 ; — kinésodiques, 284 ; — œsthésodiques, 284. Centres moteurs , 11, 42; — leur développement, 213. Centre oval
8 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sme, la suggestion, ou les délires plus accentués de LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 47 possession en rapport avec un dédoublement
à la persistance de l'obsession. THÉRAPEUTIQUE. La Rééducation motrice dans les maladies du sys- tème nerveux. Ses app
a pratique des maladies nerveuses qui ne connaisse la rééducation motrice et ne sache que, grâce à cette méthode, il est dé
de cette grosse question. Nous parlerons d'abord de la rééducation motrice en général, nous chercherons à la définir, à mo
hui de conduire la réédu- cation des ataxiques. I. La Rééducation motrice . Ce n'est qu'au siècle dernier que les progrès
es, mais leur emploi était demeuré tout empirique. LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 49 Vers 1820, l'École suédoise, avec Ling et s
incipe et se proposaient alors le même but : développer les organes moteurs , afin d'aug- menter et de perfectionner leurs f
e déficit dus à la destruction plus ou moins com- plète des organes moteurs ; tous les efforts des médecins tendaient à la
te idée nouvelle que si les deux termes organe et fonction, système moteur et mou- vement, sont évidemment dans une étroit
odifier dans une large mesure. Considérant, par exemple, le système moteur d'un homme de développement moyen, l'observatio
les caractères morphologiques et l'apparence extérieure des organes moteurs ne se sont pourtant pas modifiés, c'est leur i-
; les muscles ne représentent que la partie inférieure du système moteur neuro-musculaire, ils ne font qu'obéir passivemen
est que, sous l'influence de l'exercice bien dirigé, si les organes moteurs paraissent être demeurés les mêmes, leurs fonct
s, leurs fonctions se sont singulièrement modifiées. LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 51 Une pareille idée jetait un jour tout nouve
pas les effets possibles de l'éducation physique et de l'éducation motrice en particulier, mais ce n'était guère que les i
çaient d'en faire bénéficier; pour les malades atteints de troubles moteurs on cherchait surtout à atteindre et reconstitue
t d'abord que les idées que nous avons exposées sur l'éduca- tion motrice ne se sont précisées que peu à peu et n'étaient
ure a favorisé cette susceptibilité de reconstitution des fonctions motrices : c'est ce qui arrive chez les hémiplégiques, p
ires, mais, s'ils faisaient ainsi jusqu'à un certain LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 53 point de la rééducation, c'était inconsciem
'ataxie des tabétiques, mais encore à diffé- rents autres syndromes moteurs ; enfin, après avoir ouvert ce nouveau chapitre
licat, sans toutefois détruire complètement les éléments du système moteur neuro-musculaire, toutes les fois, notamment, q
spoir est légitime, tel est le premier principe de la rééducation motrice . Remarquons qu'il peut s'appliquer aussi bien aux
ente ; d'autre part, si les fonctions dépendant des centres nerveux moteurs présentent normale- ment des localisations cons
donc, elle aussi, de première importance en matière de rééducation motrice . La rééducation, c'est-à-dire la méthode basée
6 THÉRAPEUTIQUE. volontaires est un bon moyen d'activer les centres moteurs ou de les suppléer et de réveiller, tant au poi
thé- rapeutique par le mouvement propre à rétablir les fonctions motrices altérées ou abolies, encore faut-il ne pas se fai
le déterminé d'abord de quels éléments sont constitués les troubles moteurs correspon- dants à chaque cas particulier, et,
ments; pourtant il est indispensable de rappeler les LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 57 principaux facteurs des troubles moteurs, d
r les LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 57 principaux facteurs des troubles moteurs , d'indiquer sur quels points portera en pareil
58 THÉRAPEUTIQUE. elles comportent dans la correction des troubles moteurs des conséquences pratiques importantes, mais il
ier les mouvements à proprement parler et notamment la coordination motrice dont il n'a pas jusqu'ici été ques- tion. Or, j
rmes plus clairs Mr. Raymond, les associations et les coordinations motrices . Nous rappellerons que les pre- mières, concern
us automatiques. Selon que les mouvements simples, les associations motrices , seront altérés ou que leurs adaptations foncti
âche sera pourtant différente. C'est là une première LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 59 distinction importante à établir, mais ce n
us ne connaissions pas tout le mécanisme nerveux de la coordination motrice , quoique certains points soient en discussion,
: dans l'ataxie tabétique comme dans beaucoup d'autres syndromes moteurs , chaque muscle envisagé individuellement se montr
on se propose, nous l'avons dit, la recons- titution de la fonction motrice . Parfois, en effet, la fonction seule est troub
ntenant de chercher à comprendre le mode d'action de la rééducation motrice , et cela, non LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 61 seul
ode d'action de la rééducation motrice, et cela, non LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 61 seulement au point de vue théorique, mais e
du médecin à celle du malade, est la rééducation en cas de troubles moteurs d'ori- gine corticale, chez les tiqueurs par ex
l'intermédiaire du système nerveux, or il s'agit en cas de troubles moteurs d'affections essentiel- lement chroniques et el
que nous avons données comme les principes mêmes de la rééducation motrice : la faculté qu'ont les éléments nerveux de rég
de régénérer leurs fonctions compromises : la possi- LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 63 I)iliLé de voir certains centres acquérir d
s tout encore de connaître les principes généraux de la rééducation motrice , la physiologie patholo- gique des mouvements,
fin il doit s'être livré à une étude complète des grandes fonctions motrices . Prenons-nous comme exemple la Station et la Lo
grand compte des symptômes observés concurremment avec les troubles moteurs , des troubles sensitifs par exemple, de l'état
à indiquer pour quelles affections on peut employer la rééducation motrice . Pour cela le plan naturel consisterait à rappr
a fonction intéressée les affections dans lesquelles la rééducation motrice trouve ses indications. Nous ferons remarquer q
s, chez les choréiques, dans le torticolis mental. LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 65 5° Mouvements des globes oculaires. Dans
la sensibilité est importante pour le rétablissement des fonctions motrices . Si la rééducation a pu ouvrir devant elle un c
e vague gymnastique destinée à rétablir empiriquement les fonctions motrices compromises, ou encore qu'elle ne représente qu
de réparation et de suppléance fonctionnelles. 2° La rééducation motrice représente une des applica- tions les plus larg
ntéresse particulièrement la pathologie nerveuse. 3° La rééducation motrice résume l'ensemble des procédés qui visent spéci
procédés qui visent spécialement le rétablissement de la fonction motrice . 4° Il est parfois utile de l'associer à d'autr
cation des ataxiques. Après avoir jusqu'ici parlé de la rééducation motrice en général et de ses nombreuses applications, n
i a réclamé la priorité dans ce genre de traitement. LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 67 Enfin plusieurs auteurs considèrent Mortime
ables pour la réalisation de certains efforts volon- LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 69 taires, à analyser le mécanisme de la march
'anatomie normale et la physiologie de tous les éléments du système moteur . 2° Les divers facteurs d'anomalies des mouveme
es con- naître parfaitement, de chercher à corriger les fonctions motrices altérées. L'étude de l'incoordination au cours
nus quant à leur existence, mais leurs conséquences au point de vue moteur méritent d'être précisées. La diminu- tion habi
stème nerveux et quelle part aux muscles dans la genèse de troubles moteurs des ataxiques, mais encore faut-il ne pas les o
e par des considérations d'ordre mécanique plusieurs LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 71 L des irrégularités, des à-coup qui se prod
ui ont été énumérés jusqu'ici, sont indépendants de la coordination motrice puisqu'ils concernent les muscles isolés et non
, du simple au complexe. Nous avons déjà distingué les associations motrices de la coordination pro- prement dite, nous avon
embre considéré, on comprend que le rétablissement des associations motrices avec tous leurs éléments exige déjà beaucoup d'
tement l'automatisme des mouvements fonctionnels. LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 13 Il est indispensable encore de procéder pou
s exercices de détails, les mouvements partiels sont LA RÉÉDUCATION MOTRICE . '0 réglés au lit dans le décubitus, c'est-à-di
se pose pas en cas de tabes fruste ou de tabes bénin sans troubles moteurs , d'autre part, l'impotence ou seulement l'incap
tique ataxique sans complications spéciales, il faut LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 117 < encore déterminer quel est le moment
nutieuses relativement aux mouvements qu'il exécu- · LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 79 tera en son absence. Autant ces derniers, s
habitudes, de recons- tituer par l'exercice de nouveaux mécanismes moteurs chez des malades ; heureusement dès les premièr
Une question souvent posée est celle de savoir si la réé- ducation motrice est compatible avec l'emploi des autres thérape
t poser la question à un point de vue plus pratique. LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 81 Le malade, naguère impotent et immobilisé d
montre néanmoins que l'on peut attendre beaucoup de la rééducation motrice . Nous pouvons maintenant citer quelques observa
ans, officier. Tabès confirmé datant de sept ans. Incoordination motrice datant de deux ans. Le malade a dû renoncer au
e ans, salle Cruveilhier. Tabétique depuis cinq ans. Incoordination motrice depuis quatorze mois. Celle-ci dont la marche a
depuis deux mois la malade n'a pas quitté le lit. Au LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 83 début on la transporte sur un brancard jusq
téressant le tronc et le membre inférieur gauche. Le LA RÉÉDUCATION MOTRICE . 85 malade marche seul encore, mais sans assura
ntreprise pour chacune des affections judiciables de la rééducation motrice , on ver- rait alors combien les conditions qu'e
tion ; à plus forte raison différeront-elles selon que les troubles moteurs seront d'origine médullaire ou d'origine cortic
elle. C'est l'ensemble de ces méthodes qui constitue la rééducation motrice , laquelle n'est elle-même qu'une application de
lus vite : asymétrie réactionnelle qui correspond à une asymétrie motrice et sensorielle, et qui a été déjà observée dans l
citant se distribue également aux deux noyaux, l'effet des cellules motrices se règle d'après le degré de la lésion. 11 n'es
. Garçon de dix-sept ans, présentant depuis six mois une paraplégie motrice , flasque, avec hypotonie musculaire, troubles s
dérivées. La fonction sensitive favorise l'intégration, la fonction motrice , la désintégration. Mais l'équivoque et l'indécis
pe d'instincts. L'intelligence éclaire la vie, mais n'en est pas le moteur . De ce que l'intelligence n'est pas tout le car
écembre : Région ro- landique. Questions restées dans l'urne : Nerf moteur oculaire commun; Racines postérieures. M. Halbe
embre : Racines postérieures, Ques- tions restées dans l'urne. Nerf moteur oculaire commun; Plancher du quatrième ventricu
état général est resté bon, mais elle présente des troubles vaso- moteurs de la face et des mains. La malade qui fait le
dernière est une tendance à l'acte, un ordre donné par les centres moteurs en état d'éréthisme, mais sans pour cela que l'
raine M. Goldflam à localiser la maladie dans les centres corticaux moteurs . Si le foyer purement mental du mouvement volon
fé. Elle comprend encore la parole et l'écriture. C'est une aphasie motrice corticale accompagnée des troubles graphiques e
et les phénomènes convulsifs lémoi- gnent d'une lésion des régions motrices de l'hémisphère droit. Il n'y a ni traumatisme,
ion. IL pense que la destruction d'une certaine portion des régions motrices ne détermine pas chez tout le monde un égal dés
re, un musicien, nn savant de cabinet, se traduira par des troubles moteurs et sensitifs dissemblables ; dissemblables surt
exemple vers le .centre modérateur du coeur, vers le centre vaso- moteur etc. L'anémie cérébrale en résulterait. On peut
trouble fonctionnel, une altération encore invisible des cel- lules motrices , abolissant leur fonction motrice et respectant l
encore invisible des cel- lules motrices, abolissant leur fonction motrice et respectant leur fonction trophique, puisque
on de dix-sept ans qui présente une paralysie totale et complète du moteur oculaire commun gauche, avec une paralysie part
e du moteur oculaire commun gauche, avec une paralysie partielle du moteur oculaire commun droit (complète pour les nerfs
l'âge de la malade, cinquante-neuf ans, que son désordre mental et moteur ira croissant ; peut-être même est-elle menacée
à, un observateur, qui n'aurait pas assisté au début des troubles moteurs de la malade, et qui n'aurait pu entendre les exp
els. On peut dire qu'ils ont autant d'habileté à déformer les actes moteurs que d'autres en ont à les perfectionner. Aussi
perfectionner. Aussi ont-ils toujours à bénéficier d'une discipline motrice méthodique. M. CMuzoN montre les moelles de tro
racines. Ces fibres sont électivement celles qui vont aux cellules motrices des cornes antérieures. C'est là une loi qui lui
cte une allure toute spéciale et se complique parfois de phénomènes moteurs dont on ne retrouve pas les lionto- logues sur
n toujours, on retrouvera les points de Valleix. Quant aux troubles moteurs , ils n'existent pas, et il ne faudrait pas se l
quelques cas la grande névralgie faciale s'accom- pagne de troubles moteurs , et ceux-ci, bien reconnus, ont permis de diffé
nier cas l'électricité vient-elle exercer une action sur le réflexe moteur lui-même, en ce sens que, produisant une action
une action analgésique sur les extrémités périphériques, le réflexe moteur centrifuge perdrait parallèlement de son intens
ue, en effet, décèle, dans des territoires assez limités de la zone motrice , des lésions caractérisées par une multiplicati
ur trajet protubérantiel et bulbaire. Les noyaux des nerfs crâniens moteurs sont sains. Enfin, les muscles de la langue, du
ion périphérique du nerf sciatique intéressant seulement les fibres motrices descendant plus bas que le genou, on est condui
xcès, sans cause et sans but, est un tic. La première manifestation motrice d'un tic REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 27f>
u. Tout tic comporte donc à la fois un trouble mental et un trouble moteur : ce trouble mental consiste dans une insuffisa
de tabès avec absence de douleurs fulgu- rantes et d'incoordination motrice et dont le signe le. plus marqué a été une atro
ccentuée des fibres). 1. C. I.X. Un cas de polynévrite tuberculeuse motrice ; par M. DECROLY {Journal de Neurologie, 1900, n
cutanés; 2° que le voile du palais ne reconnaît pas son innervation motrice dans le facial; 3° que dans la paralysie pseudo
ladie de Thomsen ou de paralysie pério- dique familiale, le trouble moteur résume à lui tout seul tout le syndrome cliniqu
eur résume à lui tout seul tout le syndrome clinique, et ce trouble moteur est lui-môme constitué par la perturbation mome
e besoin. Mais, dans le tic, ces caractères sont viciés : le rythme moteur n'obéit plus à la loi du moindre effort, le besoi
s spinales, présente beaucoup de variétés dans les grosses cellules motrices ce réseau a une structure plus compli- quée, pl
il est vrai, eu égard à la gravité de l'affection, et des troubles moteurs , mais aussi, et surtout, des complications trop
ui nous donne les renseignements de son observation. Comme troubles moteurs , il y aurait quelquefois quelques légers soubre
a des quinzaines d'accalmie complète. On ne constate ni troubles moteurs , ni troubles trophiques, et il n'y a à signaler
chevelu. Hyperesthé'ie de la langue et des gencives. Comme troubles moteurs , il y aurait eu (nous n'avons pu en être témoin
nce- ments qui durent un quart d'heure en moyenne sans phénomènes moteurs ni convulsifs d'aucune sorte, sans aura précurseu
crimes sadiques, périodiques et stéréotypés. - Du râle de l'image motrice dans la vie sexuelle. M. Cl. VURPAS. A la suite
des sujets sains, soit sur des aliénés, au sujet du rôle de l'image motrice dans la vie sexuelle, nous avons été ame- nés à
II. La musique exerce une influence manifeste aussi bien sur l'état moteur général, dont elle est un tonique, que sur la vie
te génital, semble indiquer l'épuisement temporaire de l'acti- vité motrice dans sa condition psychologique, l'image motrice.
re de l'acti- vité motrice dans sa condition psychologique, l'image motrice . IV. L'élévation brusque de la pression sanguin
luence d'une excitation sexuelle, tend à montrer le rôle de l'image motrice et de l'élément moteur dans la genèse, le dével
sexuelle, tend à montrer le rôle de l'image motrice et de l'élément moteur dans la genèse, le développement et l'évo- luti
sujet est tout sensibi- lité, consiste précisément dans un trouble moteur , dans une insuf- fisance ou impuissance de l'im
n trouble moteur, dans une insuf- fisance ou impuissance de l'image motrice . De ces différentes constatations, MM. Vaschide
nital consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'état moteur . Dans sa production et ses différentes phases l
l'état moteur. Dans sa production et ses différentes phases l'image motrice joue le rôle primordial. b. Dans l'acte sexuel,
motrice joue le rôle primordial. b. Dans l'acte sexuel, le système moteur tout entier est intéressé et intervient. L'équi
système moteur tout entier est intéressé et intervient. L'équilibre moteur total arrive à un état d'excitation et de poten
qu'à la suite on relève des phénomènes de fatigue et d'épuise- ment moteur . c. L'excitation motrice se traduit également p
s phénomènes de fatigue et d'épuise- ment moteur. c. L'excitation motrice se traduit également par des phénomènes circula
s, vaso-moteurs, respiratoires, qui sont consécutifs aux phénomènes moteurs , en sont la conséquence et les traduisent au de
onséquence et les traduisent au dehors. d. Les érotiques sont des moteurs , et d'une façon générale presque tous les moteu
rotiques sont des moteurs, et d'une façon générale presque tous les moteurs sont des érotiques. e. Dans toute sa marche et
onsiste dans l'évolution et la tendance au déciauchement de l'image motrice et de l'état moteur. Tous les préparatifs, tous
ion et la tendance au déciauchement de l'image motrice et de l'état moteur . Tous les préparatifs, tous les accessoires qui
citer les désirs génésiques sont surtout des excitateurs de l'image motrice . Tous les sens peuvent selon chaque individuali
lon chaque individualité présenter une action excitatrice de l'état moteur , plus ou moins développée et accentuée selon les
rs observations. Entre l'image mo- trice proprement dite et l'image motrice devenue sexuelle, il y a une différence aussi b
t des éléments mentaux, qui constituent la nature intime de l'image motrice . L'image motrice proprement dite possède en ell
aux, qui constituent la nature intime de l'image motrice. L'image motrice proprement dite possède en elle-même tous les é
e proprement dite possède en elle-même tous les éléments de l'image motrice sexuelle, sauf l'émotion; l'image motrice ordin
les éléments de l'image motrice sexuelle, sauf l'émotion; l'image motrice ordinaire se résoud et s'achève dans ses éléments
d et s'achève dans ses éléments consti- tutil's, taudis que l'image motrice sexuelle se développe et se cons- 380 SOCIÉTÉS
et bien particulière, qui porte à la faire considérer comme l'image motrice la plus intense et la plus émotive, c'est-à-dir
tion généralisée et réellement extériorisée. Il semble que l'image motrice sexuelle mette en action de nom- breux centres
sur la sexualité puisse servir d'argument pour expliquer la nature motrice de cette influence, la musique étant une excita-
cer sur le pro- cessus génésique, sans l'intermédiaire de l'élément moteur . M. Vurpas cite l'exemple d'une femme normaleme
. Il apparaît de ces observations que l'espace visuel et l'espace moteur sont irréductibles et que ce dernier peut devenir
e céphalalgie, ni de ver- tige. La parole est régulière. L'appareil moteur , la position du corps est volontaire ; la démar
morbide, probablement, était localisé dans la région des centres. moteurs de l'écoree de l'hémisphère droite; mais il était
asme qu'ils résument nettement ainsi : « En présence d'une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale ne prend pas et n
pris part, nous dirons : ce n'est pas un tic. Et si cette réaction motrice est la conséquence de t'irritât ! on pathologique
nal, nou-. ajouterons : c'est un spasme. En présence d'une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale prend ou a pris p
pris part, nous dirons : ce n'est pas un spasme. Et si ce phénomène moteur , où se reconnaît la partici- pation à un moment
ous pourrons ajouter : c'est un tic. » 11 y a parmi les réactions motrices de simples réflexes spinaux, parmi lesquels se
t d'autres réactions coor- données en vue d'une fonction, des actes moteurs fonctionnels, résultant tantôt d'un besoin cong
et nous les approuvons, que le tic exige deux éléments : l'élément moteur et l'élément psy- chique. Ils montrent le dange
on pouvait, par des transitions insensibles, allier des phénomènes moteurs , dont l'origine est une lésion anatomique, aux
s moteurs, dont l'origine est une lésion anatomique, aux phénomènes moteurs qui ne sont que la manifestation toute secondai
oyons qu'il faut borner le domaine des tics à celui desphé- nomènes moteurs . L'étiologie des tics est celle de la plupart d
un tic, n'a été démontrée de façon probante. L'étude de la réaction motrice du tic ne peut être faite d'une façon précise,
: la sensation de fatigue disparait avec la céphalée et l'asthénie motrice . Les fonctions digestives se régularisenl. Le s
a paralysie labio-glosso- laryngée. Due à l'altération des neurones moteurs des noyaux d'origine des septième, neuvième, di
la jambe de l'homme. G. D. XXVII. Sur la localisation des centres moteurs . du biceps crural, du demi-tendineux et du demi
les auteurs ont recherché avec soin les modifications des troubles moteurs qui se sont pro- duites au cours des derniers j
iège extra et intra-médullaire des lésions. Quant aux localisations motrices qui se prêtent moins lâchement à la conciliatio
est segmentaire; Parhon, Goldstein trouvent que la distribu-, tion motrice est segmentaire pour certaines régions seulement.
polyomyélite infantile) peuvent déterminer en réalité des troubles moteurs , non à disposition segmentaire, mais à dispositio
ivement musiciennes, soit par nature, soit par éducation. Aboulie motrice systématisée. Traitement par la suggestion hypn
a volonté ne pouvant animer ses jambes. Il s'agissait d'une aboulie motrice systématisée chez une hystérique. Une tentative
cinq ans après, je fus rappelé auprès d'elle. Cette fois, l'aboulie motrice s'était localisée aux mem- bres supérieurs. La
u'on a affaire ici à un trouble diffus de la nutrition des éléments moteurs du cerveau; mais on ne peut nier ici (comme le
manière favorable sur les idées obsédantes. Concernant les troubles moteurs et les modifications de conscience, les auteurs
Les auteurs admettent trois types d'impulsions : 1° les impulsions motrices pures, à réflexe direct, sans action inhibitoir
ès les tableaux d'Edinger et de Jakob les principales localisations motrices et sensitives, c'est-à-dire la représentation d
r- tout avec l'appareil de Sommer pour l'étude des manifestations motrices dans les trois dimensions. La troisième salle ser
différences caractéristiques qui permettent de dis- tinguer le type moteur du type sensitif. Le premier est surtout accent
ition spéciale (radiaire) de leurs fibres, rappelant un peu le type moteur mais aussi voisine du type calleux ( ? ), 6°
if (centripète) des organes centraux doit correspondre un trousseau moteur . Le système de projection de l'écorce semble sa
départ de la vaso-paralysie est dans l'écorce au niv au des centres moteurs des membres. La physiologie n'y contredit pas ;
physiologie n'y contredit pas ; on sait, en effet, que les centres moteurs des membres sont susceptibles d'influencer la cir
le malade dont j'ai présenté l'observation récemment. La paralysie motrice des deux membres supérieurs avait été précédée
que. Au début, vertige, vomissements et un hoquet incessant. Sphère motrice normale. Affaiblissement du réflexe patellaire
cérébelleuse avec tendance à tomber à droite. Parésie de la portion motrice du trijumeau du coté droit et du nerf pathétiqu
deurs; lesprolongementsprotopiasmatiques,appar- tenant aux cellules motrices de la corne antérieure, étaient pauvres en appe
ures; les contours des prolongements protoplasmatiques des cellules motrices sont plus réguliers et moins sinueux et, en som
observé seulement sur les ramifi- cations terminales des dendrites motrices et sur un grand nombre de ramifications des cel
ont. Trépanation. Guéri- son, par Matile et Bourquin, 99. Aboulie motrice systématisée. Trai- tement par la succession hy
Vill-Noes, 280. IDIOrE. Une idiote à l'état sauvage, 318. Image motrice . Du rôle de l'- dans la vie sexuelle, par Vurpa
que. La-, par Cuyer. Moelle épinière. Voir Golgi. -, Voir Centres moteurs . -. Voir Queue de cheval. Mo) ! )'mr< ! su
'l'rois cas de palustre, par Matins, 282, Un cas de tuberculeuse motrice , par Decroly. 283. PORF..NCI',1'11. LIES. Les
- chez quelques aphasiques, par Marie Vaschitle, 292. Rééducation motrice . Voir Système nerveux. Réflexes. Des- musculo
ulbalreprécoce, par Collet,185. Système nerveux. La rééducation motrice dans les maladies du - Ses applications à l'ata
9 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(27-28°R.) et de l'iodure de potassium à l'intérieur, les troubles moteurs des membres inférieurs s'étaient considérableme
ans l'articulation du genou et dans la tibio-tarsienne que la force motrice est bonne. La sensibilité douloureuse à la pres
age le matin. Une légère exophtalmie de l'oeil droit. Les muscles moteurs de l'oeil ne sont point atteints. La vue est no
rtain degré de méningite chronique, dont dépendaient les troubles moteurs des membres inférieurs, la paralysie atro- phiq
On n'observe pas ces tremblements du côté droit. Pas de troubles moteurs au tronc (diaphragme, thorax, muscles abdominaux,
a), alalie (de Lordat), première variété d'aphasie, amnésie verbale motrice , d'articulation, d'après la définition de Ilart
ion faite sur l'oeil par le mot (langage écrit ou imprimé); l'image motrice d'arti- culation (actes de l'organe de la parol
motrice d'arti- culation (actes de l'organe de la parole); l'image motrice graphique (actes de la main dans l'écriture), r
re audi- tif des mots qui est frappé, une amnésie verbale visuelle, motrice d'ar- ticulation, motrice graphique, si ce sont
est frappé, une amnésie verbale visuelle, motrice d'ar- ticulation, motrice graphique, si ce sont les centres visuel, moteur
d'ar- ticulation, motrice graphique, si ce sont les centres visuel, moteur du langage articulé, moteur du langage écrit qu
aphique, si ce sont les centres visuel, moteur du langage articulé, moteur du langage écrit qui sont atteints. D'où cette
ns des quatre formes d'aphasie : 1° l'aphé- mie, ou amnésie verbale motrice d'articulation; 2a l'agraphie, ou amné- sie ver
verbale motrice d'articulation; 2a l'agraphie, ou amné- sie verbale motrice graphique ; 3o la cécité verbale, ou amnésie verb
enant nous occuper, est au contraire à peu près définitive. La zone motrice est en effet la mieux connue à l'heure actuelle
rimentation physiologique, qui prime ici pour l'étude des fonctions motrices du cerveau la démons- tration anatomo-clinique.
e se trouve en rapport immédiat avec le centre d'expression verbale motrice graphique des mouvements coor- donnés communiqu
iers auteurs est la date des premières recherches sur les fonctions motrices du cerveau. Le centre cortical des mouvements d
ogie) du Dict. Deelt. 18. François Franck. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau (Réactions volontaires et organiques
accès, montrent qu'il y a similitude complète entre la topographie motrice du cerveau de l'homme et des singes supérieurs
membre supérieur à l'endroit où ce centre se confond avec le centre moteur de la face ; pour ceux du gros orteil, immédiat
ur dans le lobule paracentral. Disons en terminant avec les centres moteurs des membres chez l'homme, que sans être circons
c/t ! ) ? 1877.) Nouvelle contribution à l'étude des localisations motrices . (liev. mens., nov. 1878.) ! Hallopeau et Girod
c. Gaz. nzéd. 1882, 52. - Prévost. Contribution à l'étude du centre moteur cortical du membre inférieur. Th. Paris, 1881,
itres. Etude critique e t clinique de la doctrine des localisations motrices dans l'écorce des hé- misphères cérébraux de l'
tion* et quelques faits anatomo- cliniques 1, commun à la branche motrice du Trijumeau 1. Avec hémianopsie, nous arrivons
l commun au grand hypoglosse, au facial infé- rieur et à la branche motrice du trijumeau avec le centre d'expression verbal
la branche motrice du trijumeau avec le centre d'expression verbale motrice d'articulation des mouvements coordonnés communi-
ive à donner comme caractéristique une dilatation primitive vaso- motrice , laissant de côté la méningite dont on aurait pu
ins dans certains cas. la production de quelques-uns des troubles moteurs . On sait combien fréquentes sont chez les hystéri
tique à ce qu'on veut lui faire faire, mais pas de troubles d'ordre moteur . Se promène un peu seule, pleure beaucoup. 30
e prédo- minant c'est la présence des troubles du système nerveux moteur , au point de vue psychique, l'état de mélancolie
la sensibilité deux ob- servations d'ataxie résidant sur le système moteur et non sensitif - quatre observations de mouvem
des ataxiques, prouvant que l'incoordination est d'origine purement motrice une observation montrant que les mouvements spo
ern, l'ataxie serait générale- ment due à une altération des fibres motrices centrifuges ; la preuve, ajoute-t-il, c'est que
ésentant les symptômes caractéris- tiques delà lésion des noyaux du moteur oculaire externe, du trijumeau, du facial, de l
tanée correspond, à très peu de chose près, à celle de la paralysie motrice , ce qui prouve que les origines réelles des ner
prouve que les origines réelles des nerfs sensitifs et des nerfs moteurs du plexus brachial émanent de la même région de l
onservée. Jamais en effet on n'observe une véritable incoordination motrice dans cette maladie. Les mouvements involontaire
IABÉTIQUE AVEC LÉSIONS SEULEMENT MICROSCOPIQUES DES circonvolutions MOTRICES ; par R. Lépine et L. BLANC. Voici le résumé de
pelle la para- lysie générale bien plus par l'ensemble des troubles moteurs que par les manifestations psychiques (mégaloma
sont aussi décernées, la première à M. Tacussel (Essai sur le tabes moteur ) et la seconde à M. Aubry (Contagion du meurtre).
nulle part. Chaque pédoncule cérébral doit renfermer les tractus moteurs et sensitifs nécessaires à la totalité du corps.
propose. La machine peut être mue à la main ou à l'aide d'un petit moteur électrique. Une machine dont le cylindre extérieu
sie partielle ne siègent pas nécessaire- ment au niveau des centres moteurs correspondant aux muscles exclusivement ou prim
OGRAPHIE. 123 l'autre d'état dans laquelle s'observent des troubles moteurs et trophiques, la dernière s'accompagnant de pa
iquerait ainsi la possibilité dans ces cas de troubles sensitifs ou moteurs indépendants, suivant que les racines antérieur
re latente. Il existe un assez grand nombre de cas d'ataxie loco- motrice qu'on a vus se développer peu de temps après un t
sque. - Cécité complète ayant duré cinq minutes ci peine et aphasie motrice . Paraplégie. Syndrome spasmodique. Marche es<
brusque. Douleurs à l'estomac, gêne de la respi- ration et aphasie motrice de dix minutes. Paraplégie des membres inférieu
pèces nosologiques de troubles du langage c'est seulement l'aphasie motrice que nous voyons consti- tuer deux fois un des s
ment rétrogressive que chez le malade de l'OBSERVATION V, l'aphasie motrice dans vingt-quatre heures a commencé à se dissip
es encore, il parlait aussi bien qu'avant l'invasion de son aphasie motrice . La rapi- dité de la marche rétrogressive de l'
chez celui de I'Observation V la cécité était associée à l'aphasie motrice et chez l'autre de l'OBSERVATION X le trouble o
gauche pa- rait être légèrement atrophiée. Point d'autres troubles moteurs . DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 197 Sensibilité
lade ne soupçonnait pas d'avoir de la thermanesthésie. Les troubles moteurs et les amyotrophies se sont progressivement dév
ément; 2). Des troubles subjectifs de la sensibilité ; 3). Troubles moteurs , paré- sies limitées à des régions peu étendues
s mouve- ments convulsifs, etc.; 4). Troubles trophiques et vaso- moteurs : atrophie musculaire, distrophies cutanées et
les de la circulation, etc.), la réaction altérée des nerfs vaso- moteurs de l'autre, différentes causes pathogé- niques
atteignent rarement une étendue considérable. Parfois les troubles moteurs se bornent pour longtemps à une certaine maladr
le prouve notre premier cas, l'atrophie des muscles et les troubles moteurs peuvent être plus accusés du côté où les altéra
altérations de la sensibilité sont moins développées. Des troubles moteurs plus étendus se rapportent à cette sorte de sym
oubles subjectifs de la sensibilité ou l'analgésie, ou les troubles moteurs et l'atrophie des muscles. Plusieurs années peu
sur l'hémisphère cérébral droit et atteignaient surtout les centres moteurs des membres. C'est aussi à la suite de ces conv
méninyo-encéy7aalite, plus prononcée à droite au niveau des centres moteurs . Le cervelet est moins atteint que les hémisphè
ière région, dont les lésions produisent manifestement des troubles moteurs variés et une deuxième région, dont la lésion r
oint de vue des troubles de de la motilité. La première est la zone motrice corticale, la seconde est une zone dite latente
e division. ' Voir tome XVI, p. 39. 250 REVUE CRITIQUE. La zone motrice corticale (Planche I, fig. 1, Bleu)1, encore ap
d toute l'étendue de l'écorce cérébrale qui ne répond pas à la zone motrice . Dans la zone latente corti- cale, on peut essa
tions pariétales, ' Nous ne représentons pas l'extension de la zone motrice corticale au lobule paracentral, afin de ne pas
située en arrière du pied des cir- convolutions frontales. La zone motrice y est incluse, par- ticipant dès lors à la cons
du langage parlé, qu'il fait en tous points analogue aux carrefours moteur et sensitif de la capsule interne. Une lésion d
lé (commun au grand hypoglosse, au facial inférieur et à la branche motrice du trijumeau). Du centre cortical d'origine de
cendante (PL. I, fig. i, vert) partent les fibres essentielle- ment motrices formant ce faisceau et qui vont : Dans le centr
la protubérance à la partie postérieure et interne des pyramides motrices . Au bulbe. Enfin, parvenus au bulbe, les fibres
ire des nerfs Grand hypoglosse facial (facial inférieur) et branche motrice du trijumeau, qui n'auraient plus dès lors, une
a protubérance sous le nom de petite racine du trijumeau (branche motrice du trijumeau). Ce trajet du faisceau géniculé b
Faisceau pyramidal (Dénomination anato7no'-eliiiique), ou faisceau moteur (dénomination physiologique*). Le faisceau pyra
rtent de l'écorce cérébrale, de toutel'étendue de la zone corticale motrice 2. ' F.-Franck, fe. sur les fonct. motrices du
due de la zone corticale motrice 2. ' F.-Franck, fe. sur les fonct. motrices du cerveau, Paris, 1887. Le- çons XXVII et XXVI
le du faisceau pyramidal, dépasse certainement la limite de la zone motrice proprement dite, car une por- tion de ses fibre
irconvolutions frontales, que l'expérimentation démontre n'être pas motrices et que l'étude anatomo-clinique désigne comme u
à celui du cerveau antérieur) volonté de répression des impulsions motrices , propose de regarder comme des fibres à influence
luence DE l'axe cérébro-spinal. 259 Elles réunissent les cellules motrices de l'écorce cérébrale aux grandes cellules motr
nt les cellules motrices de l'écorce cérébrale aux grandes cellules motrices des cornes antérieures de la moelle et à leurs
tale de Pitres, le faisceau frontal supérieur (fascicule des fibres motrices du membre infé- rieur en partie' (PL. I, fig. c
I, fig. cl, bleu), le faisceau frontal moyen (fascicule des fibres motrices du membre supérieur) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu
e de Pitres, le faisceau pariétal supé- rieur (fascicule des fibres motrices du membre inférieur dans sa totalité (PL. I, tg
rouve en arrière2. modératrice sur l'élaboration de ces incitations motrices . L'auteur ne retire pas pour cela aux régions c
s motrices. L'auteur ne retire pas pour cela aux régions corticales motrices la propriété possible de commander également à
cerveau et concevoir le trajet respectif des différents fascicules moteurs partant de différents points bien circonscrits
partant de différents points bien circonscrits de la zone corticale motrice . Chacun de ces fascicules moteurs représente le
circonscrits de la zone corticale motrice. Chacun de ces fascicules moteurs représente les origines à l'écorce cérébrale des
ules moteurs représente les origines à l'écorce cérébrale des nerfs moteurs périphériques (hypoglosse, nerfs du membre supéri
l'écorce cérébrale, des nerfs périphériques. 'Fr.-Franck. Fonctions motrices du ceraeatv, 1887. Voir le dessin du Dr E. Bris
ise de la forme en pyramide que prend dans son ensemble le faisceau moteur , pyramide très allongée, à base supérieure cort
orticale, à sommet inférieur pédonculaire, constitué par les fibres motrices . Au niveau des deux tiers antérieurs du segment p
rs du segment postérieur de la capsule, lieu de passage du faisceau moteur dans la région, la pyra- mide motrice se trouve
e, lieu de passage du faisceau moteur dans la région, la pyra- mide motrice se trouve en quelque sorte tronquée. 260 - REVU
e faisceau pyramidal commence à se dissocier. Un groupe de fibres motrices s'isole du tronc du faisceau et vient se placer
II, fg. 2, bleu 3). Au bulbe, nous pouvons envisager le faisceau moteur en trois points différents : ' 1° Avant la dé
rouverons dans la moelle sous le nom de portion directe du faisceau moteur , dépendance du cordon antérieur et de portion c
rtion croisée du côté opposé pour former la couche superficielle Ou motrice des pyra- mides antérieures du bulbe. 2° Au n
. Le faisceau croisé cons- titue alors presque à lui seul la couche motrice de la pyramide, d'où l'interprétation facile de
ceau direct prime le faisceau croise dans la formation de la couche motrice de la pyramide et l'explication anato- mique de
au direct. Du reste, autant de varié- tés de décussation des fibres motrices au bulbe, autant d'ano- malies apparentes dans
orrespondant à chaque variété'. 3° Après la décussation du faisceau moteur , les fibres centri- fuges entre-croisées se met
ettent en l'apport avec les cellules des noyaux d'origine des nerfs moteurs du bulbe dont les fibres constituantes se détac
ns la moelle, à partir de la décussation des pyramides, le faisceau moteur est donc définitivement divisé en deux parties :
* Pitres.0&. ! erua<MMs de décussations variées du faisceau moteur , ré- vélées par les dégénérescences secondaires
édul- laires, pour entrer en rapport avec les organes cellulaires moteurs de la moelle. Le faisceau pyramidal croisé dispar
. Leur lésion expérimentale en outre répond toujours à des troubles moteurs ; les faisceaux pyramidaux et les cornes grises
es grises antérieures représentent donc les éléments d'un système moteur médullaire spécial. Méthode expérimentale. Sur
suite, que, dans le cordon antéro- latéral de la moelle, le tractus moteur cortico-brachial est périphérique et superficie
teur cortico-brachial est périphérique et superficiel et le tractus moteur cortico-crural, central et profond. Brown-Sequa
reliant la surface excitable du cerveau aux organes cellu- laires moteurs du bulbe et de la moelle. » Mais c'est certaine-
tion des rapports entre le siège de la lésion et celui des troubles moteurs , destructive et non simplement irritative, pour
n de la fonction répond bien à la suppression complète de la région motrice , ancienne (la plaque jaune type), afin qu'on ne
é du corps; si elles sont bornées à une partie seulement de la zone motrice , l'hémiplégie est partielle; si elles sont très
embre ou même qu'un groupe musculaire2. » 1 Fr.rFranck. Fonctions motrices du cerveau. Leçons XXVII etXXVIII. In loc. cit.
, hémiplégie totale ordinairement, vu le peu d'étendue de la région motrice capsu- laire facilement détruite dans sa totali
rsque les tractus cortico-brachial (portion antérieure de la région motrice capsulaire), ou cortico-crural (portion posté-
capsulaire), ou cortico-crural (portion posté- rieure de la région motrice capsulaire), étaient isolément atteints'. Con
ient isolément atteints'. Consécutivement aux lésions de l'écorce motrice , des fasci- cules moteurs, du centre ovale, du
Consécutivement aux lésions de l'écorce motrice, des fasci- cules moteurs , du centre ovale, du segment moteur de la capsu
orce motrice, des fasci- cules moteurs, du centre ovale, du segment moteur de la capsule interne, surviennent constamment
Bull. de la Soc. de biol., déc. 1877. (Voir aussi Franck, Fonctions motrices , 1887, p. 271, note 1.) Bennett et Campbell, Un
est en effet conduit à attribuer aux cellules de la zone corticale motrice , une influence trophique analogue à celle que l'o
e trophique analogue à celle que l'on attribue aux grandes cellules motrices des cornes antérieures. Quant au mécanisme de l
use, bien qu'il soit possible cependant de retrouver les fascicules moteurs . dégénérés; au bulbe, elle suit les pyramides
térieur de la moelle (faisceau de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions motrices , 1887. Première partie de la leçon XVIII. : Voi
oelle, consé- cutives aux lésions destructives localisées à la zone motrice corticale, au centre ovale ou à la capsule inte
(Prog. znéd., n° 14, 19, 20, 1879.) Brissaud. De la con- Fonctions motrices du cerveau, Paris, 1887. (Pour l'historique de la
PINAL. 267 Si le faisceau pyramidal, l'un des éléments du système moteur médullaire est bien isolé dans le département ant
', la corne antérieure de la moelle, second élément du même système moteur médullaire, l'est aussi par l'altération atroph
, l'est aussi par l'altération atrophique de ses grandes cellules motrices qui engendre en effet constamment une amyotro-
spondent à la nutrition des muscles. La lésion des grandes cellules motrices des cornes antérieures est-elle p2,i- naitive ?
térieure de la moelle, entièrement distinct du sys- tème médullaire moteur que nous avons vu formé par les faisceaux pyram
aux bandelettes externes, succède ordinairement l'incoordi- nation motrice , conséquence de l'élargissement en même temps en
int situé au-dessus du lieu ou cesse l'entre- croisement des fibres motrices et elles se réunissent pour for- mer la portion
issent pour constituer un carrefour sensitif, analogue au carrefour moteur de la capsule, analogue encore au carrefour de
lobes occipitaux. Comme pour la description du trajet du faisceau moteur on s'est basé pour établir celle bien moins com
bulbe, ce sont les trois faisceaux cortico-bulbaires; les faisceaux moteurs et sensitifs sont à peu près complètement décri
Contre cortical du grand hypo- glosse (Facial inférieur et branche motrice du Trijumeau). - VIII. Hé- mianopsie. .Violet
e). 3; cire, sphénoïdales.- 4 ; faisc. fron- tal supérieur (tractus moteur cortico crural, c). 5 ; faisc. frontal mo\en (t
ractus moteur cortico crural, c). 5 ; faisc. frontal mo\en (tractus moteur cnrlico-bracleial, d). 6; faisc. frontal inférieu
sula. 3 ; cire, sphénoïdales. i; faisc. pariétal supérieur (tractus moteur cortico-crural, f). - 5 ; faisc. pariétal moyen
leux supérieurs (étage supérieur). 5, 5; noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs. 6, 6 ; coupe des tubercules
e de la protubérance au niveau de sa partie moyenne. 1, 1 ; portion motrice des pyramides (étage inf.) 2, 2 ; leur portion
ébelleux sup. moy. et inf. - t; locus niger. Emergence de la racine motrice du trijumeau. 6; facial. 7; grand hypoglosse. 8
mitation. Il y a dans ces épidémies si curieuses d'in- coordination motrice , racontées récemment- par Gilles de la Tourette
SERVATION V l'accident a débuté par la cécité fugitive et l'aphasie motrice , symptômes du groupe céphalique : ou comme à l'
fulguran- tes, en ceinture, le signe de Romberg, l'incoordination motrice et l'absence des réflexes font absolument défau
des cornes antérieures et plus spécialement des grandes cellules motrices ou pyramidales, c'est-à-dire myathro- phies, ab
ste par un complexus clinique toujours identique, à savoir troubles moteurs sous forme de paralysie, troubles de la sensibi
sque, ci 10 heures du matin, douleurs lombaires très vives, aphasie motrice , vertiges de translation. DES ACCIDENTS PAR L
nt été faite, que le trouble de ce malade consiste aussi en aphasie motrice . Il comprenait, dit-il, parfai- tement bien ce
nflement de l'es- tomac ; aussi à l'OI3SN : ItVATION XIX, l'aphasie motrice et les vertiges de translation se combinent aux
s troubles caractéristiques de sensibilité partiels et les troubles moteurs dans lesquels l'atro- phie des muscles est born
e de la convulsion épileptique artificielle. C'est dans les centres moteurs non corticaux, inférieurs, qu'il faut en locali
nt provoque, en sollicitant non seulement l'écorce mais les centres moteurs inférieurs, clonisme et tonisme. Un courant trè
, Flechsig ont tranché les deux premières questions. Les troubles moteurs posl-béiiiiplégiques se jugent généralement par u
u noyau de Iloller, des noyaux de l'hypoglosse, du facial, du noyau moteur et de la racine descendante du triju- meau. l'.
Centre cortical du grand hypo- glosse (Facial inférieur et branche motrice du Trijumeau). VIII. Hé- mianopsie. Violet, f
. 3 ; cire, sphénoïdales. - 4 ; faisc. fron- tal supérieur (tractus moteur cortico crural, c). 5 ; faisc. frontal moyen (t
ractus moteur cortico crural, c). 5 ; faisc. frontal moyen (tractus moteur cortico-brachial, d). 6; faisc. frontal inférieur
ula. 3 ; cire, sphénoidales. 4 ; faisc. pariétal supérieur (traclus moteur contico-crural, f). 5 ; faisc. pariétal moyen.
eux supérieurs (étage supérieur). 5, 5 ; noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs. 6, 0 ; coupe des tubercules
e de la protubérance au niveau de sa partie moyenne. 1, 1 ; portion motrice des pyramides (étage inf.) 2, 2 ; leur portion
belleux sup. moy. et inf. - t ; locus niger. Émergence de la racine motrice de trijumeau. 6; facial. 7 ; grand hypoglosse.
10 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
rolubéranlielles) ; les autres se rendent dans les noyaux des nerfs moteurs crâniens (fibres cérébrales des nerfs moteurs crâ
les noyaux des nerfs moteurs crâniens (fibres cérébrales des nerfs moteurs crâniens) et repré- sentent les neurones centra
al. - Vsph, sa corne sphénoïdale. II, bandelette optique. - III, nerf moteur ocu- laire commun. dans le corps de Luys (rad
latéral. Zr, zone réticulée. - JI, bandelette optique. - III, nerf moteur oculaire commun. Il résulte de cette dispositio
- Slri, stratum intermedium. Tpo, tumia pontis. 17d, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'il, voie pédonculai
, tubercule mamillaire accessoire. - t'c, petite racine descendante motrice du trijumeau. - 7/, bandelette optique; III, nerf
scendante motrice du trijumeau. - 7/, bandelette optique; III, nerf moteur oculaire commun. il exisle un pes lemniscus sup
, zone réticulée du tha- lamus. II, bandelette optique. - 1'1, nerf moteur oculaire externe. les coupes vertico-transversa
la partie adjacente de l'opercule frontal, c'est-à-dire de la zone motrice facio-I)ha-y21go-Ici,yiègée (Fig. 236). Elles p
re descend dans la pyramide bulbaire, participe à rentre-croisement moteur et à la constitution des faisceaux pyramidaux d
ent au locus niger et les neurones corticaux d'une partie des nerfs moteurs crâniens. 11 contient en outre quelques fibres
ral, dans la partie antérieure du lobe frontal, une importante zone motrice pour les mouvements des yeux (Fig. 240 et 241),
d'étonnant à ce que cette zone excitable envoie, tout comme la zone motrice rolandique, des fibres dans le pied du pédoncule
du pédoncule cérébral. Chez l'homme, l'existence même de cette zone motrice est encore à démontrer. Par exclusion, nous arr
ule cérébral retentit en outre sur les neurones corticaux des nerfs moteurs crâniens. 11 n'existe donc pas dans le pied du pé
un faisceau corlico- protubérantiel distinct, un faisceau des nerfs moteurs crâniens distinct, un faisceau pyramidal distin
nchevêtrées les unes avec les autres, bien que les fibres des nerfs moteurs crâniens se groupent surtout à la partie intern
eurones corlico- bulbaires (ou faisceau cérébral des nerfs craniens moteurs ), les neurones corlico-médullaires plus connus
e. Les neurones cortico-bulbaires (ou faisceau cérébral des nerfs moteurs crâniens) tirent leur origine de l'opercule rolan
rs et le pied du pédoncule cérébral au-dessous de l'oiigine du nerf moteur oculaire commun; 2, par la protubérance au-dessus
raphé du cerveau moyen puis se rendaient dans les noyaux des nerfs moteur oculaire commun (III- paire) et pathétique (IVe
n'étaient en effet pour Meynert que les fibres cérébrales des nerfs moteurs crâniens. Les autres fibres de l'anse du noyau le
n de l'origine du faisceau de la pyramide dans la cor- ticalité motrice du chien. Travaux de Char- cot sur l'origin
. pyramide du bulbe, mais ne participaient pas à l'entre-croisement moteur des pyramides ; elles occupaient dans la moelle
eau du collet du bulbe, pour former l'entre-croisement inférieur ou moteur des pyramides, puis se continuaient dans le cor
sigmoïde (c'est-à-dire dans la région désignée sous le nom de zone motrice par Hitzig) et que l'extirpation de cette région,
, contigu au faisceau pyramidal, qui renferme les fibres des noyaux moteurs bulbaires (facial et hypoglosse) et correspond au
. ? la voie pyramidale myélinisée. - p', la voie centrale des nerfs moteurs crâniens, en particulier du facial et de l'hypogl
eur en avant du faisceau pyramidal et représente les fibres des nerfs moteurs de la protubérance ; 4° Le faisceau qui compr
faisceau cortico-protubérantiel antérieur el le faisceau des neifs moteurs crâniens ; elles occupent ensuite le bord interne
couche ventrale et sont situées entre le faisceau des nerfs crâniens moteurs et le faisceau des fibres caudées; elles formen
un faisceau cortico-protubérantiel antérieur, un faisceau des nerfs moteurs crâniens, un faisceau pyramidal, un faisceau cort
rotubérantielle. - SR, for- mation réticulée. - T'cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - ]'P, voie pédon- cu
e la voie pédonculaire droite. - 111, filets radicu- laires du nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCOR
; sur les pédoncules cérébelleux supérieur et moyen; sur les noyaux moteurs et sensitifs des nerfs crâniens; sur la colonne g
es libres qui représentent t les neurones encéphaliques des nerfs moteurs crâniens, en particulier des nerfs facial et hy
vaud. Coupes passant par le collet du bulbe et l'entre-croi- sement moteur des pyramides. La Fig. loi montre l'entre-croisem
bulbe et intéressant la partie inférieure de l'en- tre-croisement moteur et la région supérieure de la moelle au nivea
ivaud. Coupe passant par la partie inférieure de l'entre-croisement moteur des pyramides. La pyramide gauche saine, mais hyp
s l'âge de 32 ans d'hémiplégie droite avec contracture et aphasie motrice sans trou- bles de la sensibilité et relevant d
nombreux ponts de substance grise; il en est séparé par les segments Moteurs (Cia, Fig. 202) et postérieur de la capsule int
calisations, dans l'écorce des hémisphères cérébraux, des fonctions motrices , sensitives, sensorielles, et des différentes for
s d'aphasie. Parmi les premiers travaux parus sur les localisalions motrices , il faut citer ceux de IIitziâ ()872-187), de C
iquée sur l'homme. '1. Localisations corticales. 1. Localisations motrices . - La zone excitable ou motrice du cerveau occu
tions corticales. 1. Localisations motrices. - La zone excitable ou motrice du cerveau occupe la partie sus-sylvienne du se
sceau pyra- midal dans son trajet bulbaire et médullaire. La zone motrice comprend trois centres moteurs principaux, échelo
ajet bulbaire et médullaire. La zone motrice comprend trois centres moteurs principaux, échelonnés de haut en bas, et qui s
eurs principaux, échelonnés de haut en bas, et qui sont : le centre moteur du membre inférieur, le centre moteur du membre
en bas, et qui sont : le centre moteur du membre inférieur, le centre moteur du membre supérieur, le centre moteur de la fac
u membre inférieur, le centre moteur du membre supérieur, le centre moteur de la face. De ces trois centres, celui du memb
des circonvolulions rolandiques et au lobule paracentral. Le centre moteur de la face occupe l'opercule rolandique, le qua
oisième circonvolution frontale. L'excitation électrique de la zone motrice a été pratiquée il différentes reprises chez l'
ils ont permis de localiser : le centre du pouce sur les cir- Zone motrice cor- ticale. Ses trois enitros principaux.
rle deuxième sillon frontal avec le sillon pré- Fig. 236. - La zone motrice de l'homme d'après les recherches des chirurgiens
tifs aux lésions destructives des différents centres de la zone motrice corticale. Monoplégies cru- rales. s. Mon
iculaire externe. Chez l'homme, les lésions destructives de la zone motrice s'accom- pagnent toujours de troubles moteurs q
structives de la zone motrice s'accom- pagnent toujours de troubles moteurs qui se traduisent cliniquement, suivant l'étend
que la lésion destructive intéresse la moitié supérieure de la zone motrice et le lobule paracentral, comme dans le cas Scheu
d, étant donnée la petite étendue occupée par chaque représentation motrice . On a cepen- dant observé un cas de paralysie c
pposé au point exité. La zone anté- rieure ou frontale serait seule motrice et la déviation conjuguée des yeux et de la têt
Pour Masini (1888), cette zone s'étendait en arrière sur la région motrice proprement dite. En 1889 et 1890, Semon et Horsle
as que l'un de nous a rapportés en 1891, concernant deux aphasiques moteurs sous-corticaux avec paralysie de la corde vocal
sticateurs et laryngés, leur action est bilatérale. Localisations motrices corticales chez le macaque et l'orang-outang. G
et l'orang que chez l'homme. Chez le macaque (Fig. 239), la zone motrice occupe la région rolandique, empiète zono motrice
(Fig. 239), la zone motrice occupe la région rolandique, empiète zono motrice du en avant sur le lobe frontal, et en haut sur
terne de l'hémisphère. On y trouve macaque. FiG. 239. - Les centres moteurs des faces externe et interne du cerveau du maca
er (Philos. Trans., 1887). 228 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Zone motrice de l'urang. i Zone des membres. Leurs cen
; mais il existe en outre, en avant du sillon précentral, un centre moteur spécial des yeux dont l'excitation ne détermine
e la face et celui du pouce. Zone des membres. - Chacun des centres moteurs compiend un certain nombre de centres secondair
ondant àl'extrémité supérieure du sillon de FiG. 240. - Les centres moteurs corticaux de l'orang (simia salyrus), d'après Bee
différenciés siègent à la partie inférieure, au voisinage du centre moteur de la face. Chez l'orang (Fig. 242), les centre
uverture de la bouche, la moue des deux lèvres. FiG. 242. La région motrice de la corticalité cérébrale de l'orang (simia sat
psulaires chez le macaque. - Après avoir étudié les locali- sations motrices corticales chez le macaque, Ilorsley et Beevor on
, Ilorsley et Beevor ont déterminé le trajet capsulaire du faisceau moteur . Leurs recherches sont basées sur quarante-trois
aites toutes sur le macacus sinicus. Elles démontrent que le faisceau moteur présente dans la capsule interne un trajet et u
t : -. 234 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FiG. 2ho Localisations motrices capsulaires chez le macacus sinicus, d'après Beev
ou totales de la région rolandique, - c'est-à-dire de la zone dite motrice - déterminent chez le chien, le singe et chez l'h
ires consécutives à la lésion volontaire ou accidentelle de la zone motrice au cours d'une trépanation, les hémiplégies par-
nk, Bastian). De ce fait, ils nient donc l'existence même des centres moteurs corticaux. Pour Munk, ces troubles sensitifs jo
cents admettent, par contre, l'indépendance réciproque des troubles moteurs et sensitifs consécutifs aux lésions de la régi
o, Flechsig, IIenschen, Dejerine, Mott, Schafer identifient la zone motrice et la zone sensitive dans la région rolandique; d
, localisent la zone sensitive dans une région distincte de la zone motrice . Ferrier place la zone sensitive dans la circon
strictement limitées à la zone rolan- dique entraînent des troubles moteurs et sensitifs très marqués. Ce fait suffit donc
veut Tripier, la zone sensitive est exactement superposée à la zone motrice , ou si, plus étendue que cette dernière, elle n
ils puissent s'observer à l'état isolé - c'est-à-dire sans troubles moteurs correspondants à la suite de lésions de ce lobe
ue la zone sensitive corticale s'étende plus en arrière que la zone motrice . C'est là un point qui nécessite encore de nouv
ivo-motrice corticale du membre inférieur. - .VS, région sensitivo- motrice corticale des membres supérieurs. - F, région sen
'images nécessaires à la fonction du langage : le centre des images motrices d'articulation, (B) le centre des images auditi
gués par un même vaisseau, l'artère sylvienne. Le centre des images motrices d'articulation, ou centre de Broca, Fic. 248. -
s images auditifs des mots; B, centre de Broca ou centre des images motrices d'articulation; Pc, centre des images visuelles d
de sa fonction dans la corticalité générale : le centre des images motrices d'articulation est immédiatement accolé à l'ope
t immédiatement accolé à l'opercule rolandique, -région des centres moteurs de la face, du larynx, du pharynx et de la lang
e aux centres des muscles dont les mouvements assurent le mécanisme moteur matériel de l'articulation des sons. Le centre
ndant au centre d'images directement atteint par la lésion. L'aphasie motrice domine si la lésion siège au centre de Broca, l
rigent toujours le fonctionnement du langage intérieur : les images motrices d'articu- lation se forment ensuite très rapide
lus tard que l'en- fant apprend à rattacher aux images auditives et motrices d'articulation l'image visuelle des mots, c'est
s la zone du langage. La conservation des trois images, auditive, motrice d'articulation et visuelle, est indispensable p
ALE. 249 revêt alors deux types cliniques bien distincts, l'aphasie motrice et l'aphasie SCI1S0- rielle, suivant que la lés
de la zone du langage, suivant qu'elle détruit le centre des images motrices d'ar- ticulation ou les centres des images audi
la loca- lisation de la lésion, on aura affaire soit -.L l'aphasie motrice corticale, soitàl'apha- sie sensorielle cortica
t : a) la circonvolution de Broca à l'opercule rolandique - aphasie motrice sous-corticale - b) le pli courbe gauche à la z
opposition aux aphasies par lésion de la zone du langage - aphasies motrice et sensorielle corticales. Cette division des a
urs images du langage comme à l'état normal, tandis que l'aphasique moteur ou sensoriel par lésion de la zone du langage p
hie isolée, c'est-à-dire non accompagnée d'aucun symptôme d'aphasie motrice ou sensorielle ou de déficit intellectuel, et d
2° avec la zone corticale de la vision générale; 3° avec les zones motrices des deux côtés. La partie anlérieure (teintée en
première circonvolution temporale au centre de Broca et et la zone motrice corticale du membre supérieur Un certain nombre
eux plis courbes. - paf, fibres rehaut le pli courbe gauche à la zone motrice du côté opposé. - pet" fibres reliant le pli co
ypothèse. Dans l'aphasie par lésion de la zone du langage - aphasie motrice ou senso- rielle l'écriture est toujours altéré
aphasie par lésion située en dehors de la zone du langage - aphasie motrice sous-corti- cale, surdité verbale pure, cécité
, que l'on peut écrire avec une partie quelconque de la corticalité motrice , et que, par conséquent, le centre de l'écritur
quer avec l'hypothèse d'un centre graphique le fait que l'aphasique moteur cortical, agraphique pour l'écriture spontanée et
ntre chei1'o-kinest/u;sir¡ue de C. Bastian, non seulement l'aphasique moteur ne pourrait copier en transcrivant l'imprimé en
e de l'un de nous sur un grand nombre de malades atteints d'aphasie motrice corticale, celte expérience, disons-nous, échou
chez plusieurs malades de la clientèle privée. Ayant perdu l'image motrice d'ar- ticulation, ils n'ont plus la notion comp
uent ne peuvent repro- 252 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Troubles moteurs . Leurs caractères. Ils ne s'observent pas d
ieur. Localisations sous-corticales et capsulaires. Localisations motrices . - Les lésions destructives siégeant sur les li
ymptômes para- lytiques que si la lésion portait sur la corticalité motrice elle-même. Que le neurone moteur soit touché da
lésion portait sur la corticalité motrice elle-même. Que le neurone moteur soit touché dans sa cellule ou dans son prolongem
partielle peut faire défaut dans les lésions corticales de la zone motrice , et, en outre, - c'est là un fait aujourd'hui b
sique, peut se rencontrer dans des lésions sous-corticales de la zone motrice . Etant donnée la disposition convergente qu'aff
par aucun trouble FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 253 moteur appréciable, lorsqu'elles n'occupent que la moiti
ge. Chez l'homme donc, les neurones de projection de la corticalité motrice occupent dans le segment postérieur de la capsu
baires, siégeant sur le trajet des fibres qui, provenant de la zone motrice , - neurones de premier ordre, - vont actionner
- neurones de premier ordre, - vont actionner les noyaux des nerfs moteurs crâniens, - neurones de deuxième ordre, - facia
la région sous-thalamique de la capsule interne, les localisation : motrices ont été peu étudiées, par la raison qu'il s'agit
cérébral. Dans cette région, les fibres de projection de la régioi motrice sont encore plus tassées que plus haut, et elles
nt dans ce segment postérieur de la capsule interne avec les fibres motrices pour aller s'arboriser dans les territories cor-
rnicke. Lehrbuch der Gehirnkrankheiten, 3 vol., 1881. Localisations motrices . - Beevor (Crz.) et Horsley (V.). A Minute analys
et 180. - Des mêmes. Nouvelle contribution à l'élude des localisat. motrices dans l'écorce des hémisphères du cerveau. Rev.
êmes. Étude critique et cli- nique de la doctrine des localisations motrices clans l'écorce des hémisphères cérébraux. Rev.
hémisphères cérébraux. Rev. de Méd., 1883. - Des mêmes. Les centres moteurs corticaux chez l'homme. Paris, Rueff, éd. 1895.
R. Soc. Biol., 1877. DEJERINE. Contribution à l'étude de l'aphasie motrice sous-corticale et de la localisation céré- bral
89. London, 1890. - Franck (FR \ : \ÇOIS). Leçons sur les fonctions motrices du cerveau. Paris, 1887, p. 3G. - FRANCS (Franç
thggb. v. Prof. II. Unver- richL. Wiesbaden, 1893. - L. Les centres moteurs corticaux du cerveau humain déterminés d'après
. zone réticulée du Ihalamus. - If, bandelette optique. - III, nerf moteur oculaire commun. TOME Il. 1S 274 ANATOMIE DES
l, nerf optique avant son entre-croisement dans le chiasma. Il[, nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉC
optique sectionnée sur les parties latérales du chiasma. Il[, nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCOR
hématoxylinique appartient à la commis- sure de Gudden. - III, nerf moteur oculaire commun. Alveus ealraven- culaire.
tte optique sectionnée sur les parties latérales du chiasma. ? nerf moteur oculaire commun. Le faisceau de'%'icq d'Azyr.
eure et le pied du pédoncule cérébral, et croise les fibres du nerf moteur oculaire commun (Fig. 251 et 277). Au voisinage
, zone [réticulée du thalamus. - II, bandelette optique. - VI, nerf moteur oculaire externe. le noyau antérieur et le pulv
de la calotte homolatérale et croisée et avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil. (Voy. IIIe partie. Formation réticulée
mi. - F3, troisième ventricule. - II, bandelette optique. - III, nerf moteur oculaire commun : Nm, son noyau d'origine. 38
De là, les impulsions pupillaires réflexes arriveraient au noyau du moteur oculaire commun en suivant le segment ventral d
akow). Les connexions des fibres optiques avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil sont indirectes et s'effectuent en pa
onnent chemin faisant des collatérales (IIeld) aux noyaux des nerfs moteurs des yeux. (Voy. ces connexions, IIIe parlie, ne
des nerfs moteurs des yeux. (Voy. ces connexions, IIIe parlie, nerf moteur oculaire commun.) Outre le système des fibres c
ns in- directes des fibres optiques avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil. Fibres optiques centrifugea. 432
- II, nerf optique, son chiasma (xll) et sa bandelette. - III, nerf moteur oculaire commun. - l', nerf trijumeau. - 1'l, ner
III, nerf moteur oculaire commun. - l', nerf trijumeau. - 1'l, nerf moteur oculaire externe. - Vît, nerf facial. - VIII, n
s transversus. - IV, nerf pathétique. - F, nerf trijumeau. - VI, nerf moteur oculaire externe. - VII, nerf facial. - VIII, n
u3 ? centimètres. Elle se fait par deux racines, l'une petite ou motrice , située en avant et en dedans, l'autre , ! 7-
s (voy. T. ? p. 85) et contiennent les noyaux d'origine des nerfs moteurs du rhombencéphale. Ils commencent dans le calam
à l'aqueduc du Sylvius. Ils séparent les noyaux d'origine des nerfs moteurs des noyaux de terminaison des nerfs sensitifs (la
et 355), saillie arrondie qui correspond au noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe et au genou du facial; la foss
oyau sphérique. - nh, nid d'hirondelle. - NVm, noyau masticateur ou moteur du trijumeau. - l'es, pédoncule cérébelleux sup
de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transverse antérieur. - l'nz, racine motrice du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire. - Vsd, g
irl, lingula. - Nrf, noyau réticulé. - NI ? 7, noyau masticateur ou moteur du trijumeau. - 1\Ts, noyau sensitif du trijumeau
, formation réticulée. - Tr, corps trapézoule. - J'd, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'Il, voie pédoncul
de Tarin. - Il, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée. - III, nerf moteur oculaire commun. calotte protubérantielle, où i
ew (NB) et avec l'extrémité supérieure des noyaux sensitif (NVs) el moteur (NVm) du trijumeau; sa face posté- rieure est r
lle est comblé en bas (coupe H3, Fig. 3G2, côté droit) par le noyau moteur du trijumeau et l'extrémité supérieure du noyau
yme ventricu- laire qui la recouvre, en avant avec la petite racine motrice descendante du trijumeau (Vd), les cellules vés
i, stratum intermedium. - Tpo, taenia pontis. - l'cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire
érance, le noyau réticulé de la calotte, le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe et le noyau du toit. Méthode de
u toit. - 3 St, entre-croisement du noyau du toit. - -Yvi, noyau du moteur oculaire externe. - A'vn, noyau du facial. - Oc,
descendante du trijumeau. - 1'4, quatrième ventricule. - 1-l, nerf moteur oculaire externe. - nI ! ], genou du facial. -
n (Pcm) et se place en arrière et en dehors des noyaux sensitif et, moteur du triju- ' meau.Au-dessousdu plan horizontal p
rébelleux supérieur et le ruban de Reil médian. - -Vin, noyau du nerf moteur oculaire commun. - l'es, pédoncule cérébelleux
SR, formation réticulée. - l'po, tænm pontis. - T'cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculai
SR, formation réticulée. - 7jo, dénia pontis. - 1'tl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - VV, valvule de Vieu
e forme, dans le pédoncule cérébral, les noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaire commun (IIIe paire) et pathétique (IVe p
la partie inférieure de la protubérance, le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe (7l' paire); dans le bulbe, le n
fournit, dans le pédoncule, le noyau d'origine de la petite racine motrice descendante du nerf trijumeau et le locus ct7J1
ion pro- tubérantielle supérieure, le noyau d'origine de la porlion motrice du nerf trijumeau (Ve paire) ; dans la région p
paire); dans la région bulbaire, les noyaux d'origine de la ortiozz motrice des nerfs mixtes, glosso-pharyngien (IXe paire)
nt par le tubei- cule quadrijumeau antérieur et l'émergence du nerf moteur oculaire commun. Mé- thode de Weigert-Pal. 3/1
érieur. Lu, locus niger. - NIII, partie inférieure du noyau du nerf moteur oculaire commun. - l'es, pédoncule cérébelleux
édonculaire 11', zone de Wernicke. - ? bandelette optique. - ? nerf moteur oculaire commun. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RH
. Tpo, tænia pontis. - 1 , quatrième ventricule - Vd, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'l', voie pédonculai
mplexum, stra- tum profundum. Tpo, ttenia pontis. VU, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'il, voie pédoncul
- V, nerf trijumeau. - Vu, quatrième ventricule. 17cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. VP, voie pédonculaire
r en dehors, des cellules du locus coeruleus et de la petite racine motrice descendante du trijumeau en arrière, et que nous
18 et 396) qui correspond à l'émergence du trijumeau et à son noyau moteur , les noyaux central supérieur et circonflexe disp
is amas cellulaires, l'olive supé- rieure (Os) en avant, les noyaux moteur (NVm) et sensitif (NVs) du triju- meau en arriè
a région prolubéranl ielle moyenne, le noyau réticulé et les noyaux moteur et sensitif du trijumeau. - Les pédoncules cérébe
- Nrl, noyau réticulé. - Nl'na, noyau du nerf masticateur ou noyau moteur du trijumeau. - v\'l's, noyau sensitif du triju
aire du nerf acoustique et les noyaux d'origine des nerfs facial et moteur oculaire externe. - Coupe horizontale passant p
hulho-protubérantiel et intéressant les fibres radiculaires des nerfs moteur oculaire externe' et facial. - Méthode de \'i'e
l inférieur. - Np, noyaux pontiques. - NVI, noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe. - NVII, noyau d'origine du nerf
tive descen- dante du trijumeau.-T ? quatrième ventricule. VI. nerf moteur oculaire externe. - VII premier segment du nerf
n interne, traversé par les fibres radiculaires de la VIe paire (nerf moteur oculaire externe) ; l'autre externe, traversé p
et plexus choroïdes transversaux du t* ventricule (l's). - VI, nerf moteur oculaire externe. - l'll, nerf facial. - Ville,
d'Obersleiner). La formation réticulée grise, appelée encore champ moteur de Meynert, présente sur les coupes horizontale
es et désignées sous le nom de noyau ambiguus de Clarke ou de noyau moteur des nerfs vague el glosso-pltarY1lgien (Nab, coup
dante du trijumeau. Son aspect au niveau do l'entre- croisement moteur . 568 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU-X. La corne
de la moelle. Au niveau du collet du bulbe et de l'entre-croisement moteur des pyramides (coupe H20 à H23, Fig. 401 et 451
- La formation réticulée à la partie supérieure de l'entre-croisement moteur du bulbe. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur
aut en bas, et n'est plus représenté au niveau de rentre-croisement moteur que par une saillie mamelonnée plus ou moins pr
plus bas que le noyau de Burdach ; au niveau de l'entre-croisement moteur (coupes H20, Fig. iO 1), ses dimensions antéro-
formant immédiatement au-dessus de l'entre-croisement pyramidal ou moteur , un entre-croisement compact qui affecte la for
arge et épaisse, se fusionne si bien avec l'entre- croise- ment moteur qu'elle semble en provenir (coupe H19, Fig.H9
dans la substance grise voisine (Voy. p. 513). Au-dessus des noyaux moteurs et sensitifs du trijumeau (coupes H2, Hl, Fig.
gion sous-optt- que. Son aspect dans la région du noyau du Il moteur oculaire com- mun. Son aspect au ui- veau d
en arrière et en dehors le locus caruleus (Le) et la petite racine motrice descendante du trijumeau (Vc), landis que sa face
masticateur. - NVs, noyau sensitif du trijumeau. - l'd, petite racine motrice descen- dante du trijumeau.' 1 ? fibres du raph
alique, la partie fermée de l'olive bulbaire (Oi), le noyau du nerf moteur oculaire exte1'lle (NVI), et le faisceau solita
, noyau du funiculus teres. Nt, noyau du toit. - NVI, noyau du nerf moteur oculaire externe. - l'cs, pédoncule cérébelleux s
u faisceau longitudinal dorsal (Fld), et le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe (Nw). Dans la partie inférieur
ve descendante du trijumeau. - 17,, quatrième ventricule. - I'l, nerf moteur ocu- laire externe. - Vlllv, racine descendante
tte renferme, au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel, le noyau moteur bilobé du nerf facial (Nvin). Les fibres longitud
otte protubérantielle appartiennent aux fibres radiculaires du nerf moteur oculaire externe (VIe paire); le noyau gris situé
euse, les pédoncules cérébelleux supérieur et inférieur, les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et la grosse racine sens
trijumeau; au- dessus et en arrière du noyau sensitif est le noyau moteur du trijumeau (NVm). L'étage antérieur de la pro
hémisphères cérébelleux. La coupe S 6 (Fig. 414) passe par le noyau moteur du trijumeau (NVm), le hile de l'olive cérébell
la partie interne de l'olive cérébelleuse (Oc), en dehors du noyau moteur du triju- meau, intéresse le pédoncule cérébell
du hile de l'olive. Le pédoncule cérébelleux inférieur et'le noyau moteur du trijumeau.- Coupe sagittale S 6, de la région
dale. 1 ? voie pédonculaire. - l'T, valvule de Tarin. - NI'm, noyau moteur du trijumeau. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉP
essus du coude du pédoncule céré- belleux inférieur (Pci), le noyau moteur du trijumeau (Nvm), et on voit s'en détacher de
s'en détacher de gros fascicules de fibres appartenant à la racine motrice ou nerf mas- ticateur. La coupe S 7 (Fig. 415
ri, stratum intermedium. - Tpo, taenia pontis. - l'l, petite racine motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire
, stratum interme- dium. - Tpo, taenia pontis. - I'd, petite racine motrice descendante du trijumeau. VI', voie pédonculair
eau est-il lisse, non excavé; il atteint en dehors la petite racine motrice descendante du trijumeau (Vd). La paroi postéri
SR, formation réticulée. - Tpo, toenia pontis. - l'd, petite racine motrice descendante du trijumeau.- 171>, la voie pédon
- SR, formation réticulée. - 1'po, toenia'pontis. Vd, petite racine motrice descendante du trijumeau. - 1717, valvule de Vi
locus aeruleus (Le) et la section semi-lunaire de la petite racine motrice descendante du trijumeau (Vd). Le ruban de Reil
l'étage antérieur du pont. - Tpo, tænia pontis. - rd, petite racine motrice descendante du trijumeau. - T'P, voie pédonculair
e.-Tpo, t,enia pontis. -Tr, corps trapézoïde. - t'cl, petite racine motrice descendante du trijumeau. - l'Il, voie pédonculai
raphé médian. Coupe H3 (Fig. 425). Cetle coupe passe par les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et sectionne la partie
tion réticulée, le noyau réti- culé, l'olive supérieure, les noyaux moteur et sensitif du trijumeau. Le ruban de Reil médi
aires externes. Lirl, lingula. - Nrt, noyau réticulé. - AI m, noyau moteur du trijumeau. - NIs, noyau sensitif du trijumeau.
R, formation réticulée. - Tr, corps trapézoïde. - VU, petite racine motrice descendante du trijumeau. - I"s(l, grosse racine
l. - A'ffe, noyau de la branche cochléaire de l'auditif. - VI, nerf moteur oculaire externe. - nI, nerf facial. - IXd, fais-
u système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Les noyaux moteur et sensitif du trijumeau constituent l'élément, n
(SR). Il reçoit à sa partie postérieure et externe la petite racine motrice descendante du trijumeau (Vd), sectionnée très ob
quement et qui s'infléchit en avant et en dehors, séparant le noyau moteur (NVm) du noyau sensitif (NVs). La coupe intéres
raît comme une masse allongée, située en dehors et en avant du noyau moteur (NVm). A sa partie antérieure, il existe une so
téresse sur les parties latérales du 4° ventricule la petite racine motrice descendante (Vd) du trijumeau fi32 ANATOMIE DES
de Reil médian (Rm), jusqu'au-dessous du plan passant par le noyau moteur du trijumeau. A ce niveau, il s'infléchit en ar
argeur, depuis sa pénétration dans la protubérance jusqu'aux noyaux moteur et sensitif situés dans la calotte. On reconnaî
e leur point de pénétration dans la protu- bérance jusqu'aux noyaux moteur et sensitif de ce nerf. Le noyau moteur du trij
bérance jusqu'aux noyaux moteur et sensitif de ce nerf. Le noyau moteur du trijumeau (NVm) présente la même surface de se
gitudinal postérieur et le faisceau central de la calotte. Les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et l'émergence de ce n
- Vsd, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. NVm, noyau moteur du trijumeau. - NVs, noyau sensitif du trijumeau.
un noyau ovalaire, le noyau de la VIe paire (Nvi) ou noyau du nerf moteur oculaire externe, dont les fibres radiculaires
au du toit. - La calotte protubérantielle, le noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe. - Coupe horizontale H 6 du rh
11., le quatrième segment du facial. -NI71, noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe. - VI, fibres radiculaires du
igine du nerf moteur oculaire externe. - VI, fibres radiculaires du moteur oculaire externe. ÉTUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMB
(VlIIv), l'olive supérieure (Os) et les fibres radiculaires du nerf moteur oculaire externe (Vle paire). La coupe ne compr
le noyau cen- tral inférieur, les noyaux d'origine du facial et du moteur oculaire externe, le nerf vestibulaire et les f
trijumeau. - NVI, VI, noyau d'origine et fibres radiculaires du nerf moteur oculaire externe. Nl'II, noyau d'origine, premi
(Nvi) ; elles relient en effet l'olive supérieure au noyau du nerf moteur oculaire externe. Le noyau du facial (Nvn) situ
e au voisinage du sillon bulbo-protubé- rantiel (bp). Le noyau du moteur oculaire externe (Nvi) est volumineux et ovalaire
ns le sillon marginal antérieur du cervelet et intéresse les noyaux moteur et sensitif du trijumeau (NVm et NVs). Cette co
cérébelleux. NB, noyau de l3echterew. - Nem, bouchon. Ni'ii, noyau moteur du trijumeau. - \'l's, noyau sensitif du trijum
tionne dans la calotte les fibres radiculaires du facial (VIIt) et du moteur oculaire externe; sa partie antérieure passe à
inférieur de la protubé- rance et les fibres radiculaires des nerfs moteur oculaire externe et facial, et pas- sant par la
- Vsd,grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - III, nerf moteur oculaire externe. - 1,Il, nerf facial. - 7VWY, no
m superficiale du pont (FPoa) est traversé par les troncs des nerfs moteur oculaire externe (VI), et facial (VII) à leur éme
bulbe (coupe H20, Fig. 450). Fig. 119 et 1 : )0. L'entre-croisement moteur et la région du collet du bulbe. Les noyaux des
1',1, pyramide antérieure du bulbe. 3']' ! J, ,'nll'e-t'I'o¡'ement moteur ou décussation des pYL'aIl11des, - SR.'}, formati
isés et l'on Fig. 431. - La partie inférieure de l'entre-croisement moteur et la région du collet du bulbe. - Coupe transv
11 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
raissent des accidents aphasiques comprenant à la fois de l'aphasie motrice (rappelons encore que l'accès a débuté par l'oe
uve limité, contrarié, ou même annihilé par l'autonomie des centres moteurs . Cette autonomie mécon- nue par les sensualisle
ie. ,1/lél'll- lion des méninges localisée à la région des centres moteurs (l'nogr. med., 1878, p. 483). L. Edinger. /Uic/
es des pyramides moyennes de l'aire corticale visuelle, dans l'aire motrice et dans l'aire acoustique, où ces neurones sont
rappelé celles qu'il a vues se distribuer dans l'aire sensitivo- motrice et qui proviennent sans doute de la voie sensitiv
ésultat, il faut s'attacher à établir une association entre l'image motrice du tic qui est persistante et une image antagonis
gnostique car il n'est pas démontré qu'elles précèdent les troubles moteurs et n'ont pas davantage de signification pronost
é des membres furent précédés d'une parésie de courte durée du nerf moteur oculaire externe du côté droit. L'affection con
avec faible tendance à la généralisation et participa- tion du nerf moteur oculaire externe, ayant déterminé les phéno- mè
autopsie, des lésions manifestes des cellules pyramidales des zones motrices . M. JOFFROY trouve considérable le rôle de l'hé
inée. La doctrine des centres autonomes et distincts, exclusivement moteurs ou exclusivement sensitifs, a vécu. Il n'y a
t de recevoir de l'influx et d'en émettre, d'être et sensitive et motrice . Il y a longtemps qu'on savait qu'au niveau des
es centres réflexes ou sensitivo-moteurs. De même que les centres moteurs des anciens auteurs sont en même temps sen-. si
les centres sensoriels (vision, audition, etc.) sont en même temps moteurs . Il m'a semblé que ces notions nouvelles étaien
de concevoir l'existence de deux zones de pro- jection centrifuge ( motrice ) superposées aux premières. A. Rôle moteur du c
- jection centrifuge (motrice) superposées aux premières. A. Rôle moteur du centre visuel cortical. Centre oculo- moteur
remières. A. Rôle moteur du centre visuel cortical. Centre oculo- moteur postérieur. Une vive lumière se produit à ma dr
se produisent encore lorsque les circonvolutions centrales dites motrices sont lésées' (voir plus loin). L'idée d'ailleur
êmes résultats lorsqu'on enlève les circonvolutions centrales dites motrices . Des expériences analogues ont été faites par U
eure du lobe occipital un centre non seulement sensitif, mais aussi moteur . Nous verrous plus loin que ces données concord
ibilité générale de l'oeil et de ses annexes est-elle en même temps motrice ? S'il en était autre- ment, cette région échap
migraine ophtalmoplégique, comme au centile postérieur sensorio- moteur correspond la migraine ophtalmique. DOUBLE CENT
ième frontale qui fait mouvoir mes yeux, des autres circonvolutions motrices qui me font me lever et marcher. C'est dans la
olu- ment intacts dans l'hémiplégie (Féré ef Lépine). Les muscles moteurs du globe oculaire agissent toujours d'une façon
musles sur uu seul oeil, dans les lésions corticales. Les muscles moteurs des paupières (orbiculaire-releveur) agissent h
à considérer : 1° la déviation conjuguée des yeux ; 1° les troubles moteurs des paupières. . g Je". Déviation conjuguée de
CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 187 1 superposées, les régions motrices et sensitives n'ont pas tou- jours les mêmes li
de la sensibilité géné- rale dépasse bien en arrière le territoire moteur . Il n'y aurait rien d'irrationnel à supposer qu
iation conjuguée des yeux, habituellement asso- ciée à l'hémiplégie motrice , sans lésion ni du pli courbe, ni du lobe occip
térales, les troubles sont encore peu importants. Dans l'hémiplégie motrice com- plète il est fréquent de trouver une intég
encore il faut admettre une suppression des deux centres oculo- - moteurs antérieurs avec conservation des centres oculo-mo
ctait celui-ci. Des deux côtés le siège probable du centre oculo- moteur antérieur (pied de la deuxième frontale) était at
logique, s'accordent à démontrer que l'oeil possède au point de vue moteur , de même qu'au point de vue sensitif, deux zone
s paupières (septième paire), c'est-à-dire en somme tout l'appareil moteur de la vision. 3° La lésion isolée du centre o
re que les troubles sensitifs prédominent au début sur les troubles moteurs : dans l'observation IV de Broadbent, la malade
C'est ainsi que M. Van Gehuchten soutient que la section d'un nerf moteur spinal, chez le lapin, n'est pas suivie inévita
fibres sectionnées, contrairement il ce qui se passe pour tout nerf moteur cranien dont la section entraine toujours une réa
ent. M. Van Gehuchten admet qu'à la suite de la section d'un nerf moteur cranien, les cellules d'origine des fibres lésées
iée par M. Marinesco. Ils ne sont encore pas d'accord sur la nature motrice ou sensitive de ce noyau dorsal du vague. M. Mari
d'après de récentes recherches, considère comme démontrée sa nature motrice . A. 1 L,.aarlou. V. Le système osseux chez les
s et cubital, normaux. Aucune anomalie de la sensibilité cutanée ou motrice , titubation très forte du patient dans la situa-
3°, 5°, 7°, z,9 ? 10", if, 12° paires. En ce qui concerne l'oculo- moteur commun, le droit interne de l'oeil gauche est seu
les artères spinales situées plus haut; c'est pourquoi les troubles moteurs sont bien plus marqués après un pincement d'une
ns les huit premiers jours qui suivent l'intervention. les troubles moteurs et sensitifs sont revenus à la normale. Le pincem
t terme, le cerveau n'est pas suffisam- ment développé, les parties motrices se développent plus tard c'est pourquoi elles s
s. Ca dépend de la circulation ralenlie (Brissaud) dans les centres moteurs des extrémités inférieures. Le lobe paracentral
arachnoïdien à cause du chevauchement des os pariétaux. Les centres moteurs des membres inférieurs peuvent être contusionnés,
énomène de la maladie : deux neu- rones entrent en jeu dans la voie motrice ; l'un qui va de l'écorce des zones motrices aux
rent en jeu dans la voie motrice; l'un qui va de l'écorce des zones motrices aux cellules des cornes antérieurs, l'autre de
ons fonction- 234 SOCIÉTÉS SAVANTES. nelles du cerveau, les aires motrices , les rapports entre la super- ficie du crâne et
es. A partir du 13 décembre, confusion mentale complète, excitation motrice , tendances agressives, gâtisme et insomnie; éma
hémorra- tique, localisée dans l'écorce et dans les noyaux du nerf moteur oculaire commun. Les troubles de la vue relèver
cule antérieur servent à le mettre en rapport avec le noyau du nerf moteur oculaire du même côté, mais principalement du'c
acte, » sa volonté n'est plus suffisante pour actionner son système moteur et les efforts qu'il tente à cet égard n'abouti
urvécu plus de six jours à son iclus. Chez ce malade dont la zone motrice était inaltérée, les troubles de la motilité ne p
la constatation capitale en même temps que l'exagération du réflexe moteur par rapport à ce qui se passe du côté opposé so
e d'insuffisance nasale. Ce fait peut être rangé parmi les aboulies motrices systématisées permanentes; on sait que les abou
oulies motrices systématisées permanentes; on sait que les aboulies motrices respectent les mouvements physiologiques, respi
membres, le tremblement qu'il attribue à une lésion des cellules motrices cérébrales ou tout au moins du faisceau pyramidal
de myéline des nerfs, dégénérescence affectant également les fibres motrices et sensitives. A. Marie. XXXVI. Diagnostic diff
de doit être fixée de la main gauche libre; 4° La section d'un nerf moteur est suivie des phénomènes connus de la réaction
la force est étonnamment faible. Ce qui a lieu pour tous les nerfs moteurs a lieu aussi pour l'oculomoteur commun. Sa comp
ade marche sans être soutenue; l'ataxie est peu prononcée, la force motrice a aug- menté, l'anesthésie est faible et peu ét
s d'intensité croissante pendant les premiers jours et paraplégie motrice . Amélioration consécutive avec persistance de la
e syphilis cérébro-spinale (6 ca), d'affections diverses du neurone moteur ' (névrite multiple, amyotrophie spinale, etc.)
ral. Le rapport de ce phénomène avec l'affection du premier neurone moteur est douteux. Le bourrelet musculaire tient plut
entre les parti : sans de la poliomyélite et ceux de la polynévrite motrice comme cause plus ou moins exclusive de ces para
e et l'immobilité complète des membres et de la plupart des muscles moteurs . Température : 39°. Pouls : 120°, rapide, fort
EUSE. (noyaux de l'hypoglosse et du vague) et les circonvolutions motrices . Nerfs. Notre attention étant spécialement diri
i- nant, ni enfin d'altération des vaisseaux. Les circonvolutions motrices ne nous montrèrent non plus aucune altération d
haut, atteignant successivement et infailliblement tous les centres moteurs échelonnés le long de la colonne médullo-bulbai
insi successivement les différents étages de la colonne. antérieure motrice , la plus superficielle et la plus sensible parm
ralise d'emblée en même temps à la plus grande partie de la colonne motrice , et tantôt l'envahit progressivement de bas en
différentes affections des méninges rachidiennes et de la colonne motrice antérieure. IV. Considérations générales. Cet
ante surtout par la localisation exclusive des lésions aux cellules motrices des 1 Schultze. liùiieli. oaecl. \Voch., 1898,
RNES ANTÉRIEURES. 369 cornes antérieures de la moelle et des noyaux moteurs bulbaires, sans adjonction d'aucune autre altér
é du type clinique : myélite ascendante aiguë à forme exclusivement motrice . On sait en effet que rien n'est plus variable
systématisation, une élection des lésions pour les seules cellules motrices des cornes antérieures, se rencontre aussi parf
ralysie de Landry qu'aux cas de paralysie extensive exclu- sivement motrice sans troubles de la sensibilité, ni réaction de
que le malade meurt avec des lésions étendues à tout son neurone moteur périphérique. ' Nous pourrions d'ailleurs criti
ewer sont possibles, il arrive aussi que les centres des neurones moteurs périphériques sont primitivement atteint sans auc
rbide les cas de paralysie ascendante aiguë avec symptômes purement moteurs et lésion exclusivement médullaire et lui réser
ons successives ou simultanées des différentes par- ties du neurone moteur périphérique viennent compliquer le tableau, fa
guë, la poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte et la polynévrite motrice »- « En présence d'un syndrome qui reflète plus
s aussi exactement systématisées aux cellules, centres des neurones moteurs périphériques, avec intégrité des nerfs des vai
aiguë avec lésions exactement localisées aux cellules des neurones moteurs péri- phériques et avec symptômes uniquement mo
s des neurones moteurs péri- phériques et avec symptômes uniquement moteurs . ' Raymond. Presse médicale, 1896, p. 29. Clini
Conclusions. - 1° Il est des cas de paralysie ascendante à forme motrice pure, dus à des lésions exclusives de la colonne
à forme motrice pure, dus à des lésions exclusives de la colonne motrice médullo-bulbaire, sans atteinte des vaisseaux ni
hèse, la marche ascen- dante et progressive des lésions, la colonne motrice étant touchée par l'intermédiaire du canal rach
ngage parlé ». Maudsley le premier nomma ce trouble « hallucination motrice ». Avant ces auteurs d'autres avaient observé c
tions psycho-motrices verbales pures : 1° halluci- nations verbales motrices pures ; 2° des hallucinations ver- bales motric
nations verbales motrices pures ; 2° des hallucinations ver- bales motrices combinées à des auditives verbales ; 3° de simp
s à des auditives verbales ; 3° de simples représentations mentales motrices associées ou non. MM. Ballet 2, Ritti3, Séglas
médico- psycho" 1892). i Séglas et Londe. Hallucinations verbales motrices dans la mélancolie' (Archives de neurologie, 18
ses leçons à Sainte-Anne parla plu- sieurs fois des hallucinations motrices verbales surtout chez les délirants chroniques,
ins sensoriels que psycho-moteurs, les hallucinations psychiques ou motrices verbales ; des voix intérieures parlent silenci
aux oreilles. Ces faits s'ex- pliquent par la propagation au centre moteur du langage de l'excitation du centre auditif co
nt. Brierre de BoismonL', pour revenir aux hallucinations psycho- motrices verbales, cite le cas d'une femme de quarante ans
maison. Contribution à l'élude des hallucinations verbales psycho- motrices (Thèse de Paris, 1897). - * Brierre de Boismont
rapporté deux cas de paralytiques généraux ayant des hallucinations motrices verbales. - Dans les délires toxiques, surtout
ts intéressants de ce cas, c'est que l'éréthisme du centre cortical moteur verbal produit chez la malade non seulement la
oteur verbal produit chez la malade non seulement la représentation motrice , mais aussi une sorte d'articulation réelle qui
et pénibles quelques jours avant son entrée; hallucination psycho- motrice verbale. facteur il Paris, tlente-six ans. 38
ngue remue au moment où elles parlent. C'est bien une hallucination motrice verbale apparue au mo- ment du délire alcooliqu
lement l'excitation du centre auditif cortical se propage au centre moteur du langage, mais même l'excitation périphérique
mais même l'excitation périphérique provoque l'éréthisme du centre moteur du langage. Cette excitation vient souvent de l
servations. Mais examinons d'abord ce que c'est que l'hallucination motrice verbale. Pour quelques auteurs la fonction du l
us visuels et auditifs, sont au con- traire prépondérantes chez les moteurs qui, pendant la réflexion, parlent mentalement
lire'. 1. « Chez moi, dit M. G. Ballet, comme chez la plupart des moteurs , quand je pense, la parole intérieure devient sou
t mon langage intérieur; c'est là notre forme d'images vives à nous moteurs 2. » A l'état pathologique, l'hallucination mot
es vives à nous moteurs 2. » A l'état pathologique, l'hallucination motrice verbale n'est autre chose que la reproduction d
idues. » (P. Raugé .) Ainsi, à l'état pathologique, l'hallucination motrice verbale n'est autre chose qu'une reproduction d
u'une reproduction d'une intensité mor- bide des images sensitives, motrices et verbales. C'est ainsi que l'éréthisme du cen
es croient parler automatique- ment. L'éréthisme du centre cortical moteur verbal produit aussi des mouvements réels d'art
c'est une excitation externe (obs. IV) qui réveille l'hallucination motrice verbale, ou bien ce sont les voix des oreilles
e que cette excitation augmente elle se transforme en hallucination motrice verbale; la voix est d'abord peu précise, mais
nant que l'exci- tation de» centres se propage, intéresse le centre moteur de la fonction langage. Généralement, ces hal
le interne, n'est qu'un cas parti- culier que présente tout neurone moteur ou sensitif à la suite de la destruction de son
rvice. Dans toute compression médullaire s'observent des troubles moteurs ; c'est que les fibres motrices sont plus sensible
n médullaire s'observent des troubles moteurs; c'est que les fibres motrices sont plus sensibles au trau- matisme que les fi
nsibles au trau- matisme que les fibres sensitives; mais ces fibres motrices elles- mêmes ne sont pas également résistantes,
s fibres cortico-spinales et cérébello- spinales, les autres fibres motrices provenant du mésencéphale, de la protubérance a
entit pas-toujours d'une façon systématique, d'abord sur les fibres motrices et ensuite sur les fibres sensitives. A côté des
t que la compression n'ait mis hors de fonc- tion toutes les fibres motrices ; ou encore, celles dans lesquelles la compressi
explication physiologique certaine, on observe, il côté de troubles moteurs plus ou moins accusés, une exagéra- tion de l'u
approvisionnement d'arborescences terminales. Les grosses cellules motrices sont ainsi encadrées d'une couronne de forts cy
ivent encore des fibres centrales des noyaux terminaux sensitifs et moteurs . Le ganglion de l'isthme devient ainsi le centr
systématisés, obnubilation définitive de la mémoire, sans troubles moteurs , on a tout juste le droit de suspecter un ramol
ca- tion. - Deux jours après l'agitation est tombée. Les troubles moteurs , sensibles et sensoriels persistent avec un affai
elles sont restées un peu obnubilées. Il n'a été noté aucun trouble moteur . En 1892, nouvel accès d'agitation à forme mani
BRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 439 voies digestives. Pas de symptômes moteurs . Obnubilation intel- lectuelle un peu plus acce
incohérence extrême de la gesticulation et des actes sans réactions motrices violentes, par un véri- table chaos des idées a
e le cerveau soit sur- mené par le fonctionnement exagéré des zones motrices (étals maniaques), sensitives (mélancolie), sen
es muscles de la vie de relation, et par suite le repos des centres moteurs ; il a aussi pour résultat de restreindre au mi
elles, auditives, cutanées, etc.) et par suite toutes les réactions motrices . Il favorise le sommeil ; il diminue l'acti- vi
tre simplement due à la conscience que nous avons de notre activité motrice centrale, trouve pour Claparède une autre expli
bral conscient, et que ce soit la reviviscence mnésique d'une image motrice préalablement enre- gistrée. Mais cette image m
e d'une image motrice préalablement enre- gistrée. Mais cette image motrice ne peut être elle-même qu'un résidu de sensatio
ntendant par là la sen- sation de l'activité consciente des centres moteurs , il n'y a pas autre chose qu'une différence de
den- tique. - Ceci nous amène à parler de l'origine de ces images motrices conservées dans la mémoire. Tout le monde est d
prendre le mouvement volontaire il faut lui présupposer une image motrice , mais cette image motrice ne pourra se former qu'
ontaire il faut lui présupposer une image motrice, mais cette image motrice ne pourra se former qu'à la suite d'un mouvemen
es mouvements réflexes du nouveau-né donnent déjà lieu à des images motrices qui seront l'origine des futurs mouvements volo
s d'une malade paralytique générale qui présenta des hallucinations motrices verbales, accompagnées de mouvements involontai
-470 0 RECUEIL DE FAITS. encéphaliteloealisées au niveau du centre moteur du langage et des centres masticateurs. Nous
tives verbales (menaces entendues par l'oreille) ; d'hallucinations motrices verbales(voix intérieures dans l'estomac). Ces
it, du reste, trouver chez un paralytique géné- ral l'hallucination motrice verbale aussi bien décrite que chez le délirant
e sa lucidité d'esprit. Nous ne saurions dire si ces hallucinations motrices se sont reproduites pendant un temps prolongé c
ejetée, et qu'à ce membre supérieur existait une névrite, à la fois motrice et sensi- tive, frappant en même temps toutes l
u plexus brachial. Au membre inférieur, la névrite était purement motrice et localisée, comme l'examen clinique avait permi
un trouble de l'activité fonctionnelle du bulbe, siège des centres moteurs de la respiration, tend à se substituer aujour-
absence de réflexes patellaires ; atteinte des nerfs sensitifs et moteurs ; localisation des accidents surtout aux parties e
zky et Rybalkin) il faut craindre une atrophie des grandes cellules motrices , un kyste hémorragique, la dégénérescence des f
es sur des chiens. Excitation au moyen du courant induit de la zone motrice de l'écorce, ou bien injections hypoder- miques
rattachent à des expériences con- sécutives à l'ablation de la zone motrice de l'écorce pendant l'attaque d'épilepsie; à la
i apparaît comme résultant d'une excitation d'en- semble de la zone motrice de l'écorce cérébrale et des centres qui y sont
ésicales dé l'attaque ; les unes et les autres dépendent de la zone motrice de l'écorce du cerveau. - P. KERAvAL. L11. Hy
omme l'hébétude, rapprochée d'une paraphasie dénotant une v aphasie motrice , et de la sensibilité à la percussion du frontal
te, exerce-t-elle une pression sur la troisième fron- tale (aphasie motrice ) et sur les ascendantes ? Ce serait possible, c
agit de ces cas où on enregistre une disproportion entre le trouble moteur peu ou pas marqué et l'extrême altération de l'ex
l'éminence thénar. Or il est constaté que les éléments sensitifs et moteurs des deux nerfs (cubital et médian) s'anastomose
que dans un assez grand nombre de cas, les anas- tomoses des fibres motrices remplissent plus complètement leurs fonctions v
astomoses des fibres sensitives. Est-il possible que les impulsions motrices prennent, en cer- taines circonstances, une aut
on de greffe nerveuse de Sick et Soenger. Ou bien certaines parties motrices du canal encépllalo-médullaire entrent alors en
ors en fonctions pour d'autres (Hemak); ou bien, pour les fonctions motrices ainsi que cela a été constaté pour les fonc- ti
circonscrite de l'avant-bras malade, constituant un trouble vaso- moteur fugitif et récidivant. lIyperhidrose unilatérale
a colonne vertébrale. Use produit une paralysie isolée de la partie motrice de l'axillaire limitée au deltoïde. Et cependant
ontusion entre la quatrième et la cinquième cervicale de la branche motrice de l'axillaire, sans autre partici- pation du p
illaire, sans autre partici- pation du plexus bracliial. La branche motrice de l'axillaire a été lésée avant sa réunion au
autre hauteur, ou qu'elle est, tout au moins, séparée de la branche motrice , avant d'entrer dans le plexus. Le remplaceme
u, en effet, soit surmené par le fonctionnement exagéré des zones motrices (manie), sensitive (mélancolie), sensorielle (éta
lésion bulbo-protubérantielle, avec hémiplégie alterne sensitivo- motrice , paralysie périphérique du nerf facial et kératit
ertaines formes de syringomyélie. M. Paul Londe. Sur les troubles moteurs du goitre exophtalmique. Théorie de l'hypotonie
12 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
r normale- ment. Pas trace deparésie des jambes ni d'ataxie loco· motrice . Tous les mouvements parfaitement normaux. Les
Ici, M. le Dr Saeger a constaté ce qui suit : paralysie com- plète motrice des deux membres inférieurs et incapacité du pati
ilé des membres inférieurs était décidément améliorée. La paralysie motrice , au contraire, était restée essentiellement dan
spéciaux de mémoire du mot, à savoir mémoires auditive, visuelle, motrice d'articulation et motrice graphique, et à nous
ot, à savoir mémoires auditive, visuelle, motrice d'articulation et motrice graphique, et à nous montrer que chacune de ces
on' de Broca ne peut parfaitement bien rendre compte de l'amnésie motrice d'articulation des Observations XXXII, XXXIII e
circonvolution frontale la perte d'un grand facteur du mot, l'image motrice d'articulation ? Une embolie gazeuse d'une autr
o-sphénoïdale, a produit la perte com- plète de l'image visuelle et motrice d'articulation, incomplète de l'image auditive
ion, incomplète de l'image auditive et par conséquent l'a- phasie motrice d'articulation, la cécité verbale et la surdité
e l'OBSERVATION XXXI qui a été atteint d'une vraie série d'aphasies motrices transitoires , constituée en quelque sorte de q
nt après l'apparition du scotome classique éprouvent de l'aphasie motrice . Certains d'entre eux sont atteints de cécité v
s sont pris de surdité ver- bale et ont perdu la mémoire des images motrices graphiques. Mais le rapport ne s'arrête pas là;
ara- lytiques d'origine scaphandrienne. Cet endroit c'est la zone motrice de l'écorce cérébrale 1. Type de paralysie part
ut, par l'ischémie de ces régions et la suppression des incitations motrices vo- lontaires du cerveau droit, rendre compte d
ribue à la pa- riétale ascendante comprend une partie des centres moteurs des membres. Le lobule paracentral, le tiers su
et l'ischémie consécutive a dû altérer d'une certaine façon la zone motrice , sauf son tiers supérieur, ce qui explique la d
héno- mènes convulsifs de notre malade. Cet endroit c'est la zone motrice et par analogie aux lésions matérielles 68 CLIN
est une action soudaine et violente de ces cellules; les centres moteurs se déchargent et le résultat de cette décharge
'écorce cérébrale du chien et du singe, ont porté : 9 sur la sphère motrice (gyrus sigmoïde) d'un hémisphère correspondant
in, dans la troisième série de ces expé- riences, point de troubles moteurs , quoiqu'il existât un très léger affaiblissemen
oncluent à leur tour que les territoires sensoriels et sensitivo- moteurs de l'écorce cérébrale ne forment pas des centre
il n'existe pas d'entre-croisemeut total des faisceaux sensitifs ou moteurs : une partie de ces fais- ceaux, quelque petite
s expérimen- tales et cliniques de Giulio Masini, Sur les centres moteurs corticaux du larynx 1. On sait que Hermaun Krau
été instituées dans le laboratoire de Munk, a déterminé le centre moteur cortical des muscles du larynx (1884) : il est
en au delà, et qu'il rayonnait en tous sens vers les autres régions motrices . Voilà une nouvelle preuve de cette tournure d'
ni, l'aire excitable du larynx embrasserait « presque toute la zone motrice ». Pour que les phé- nomènes de parésie des mus
temps, la circonvolution postcrucialc, bref, presque toute la zone motrice ! Non pas, sans doute, que cette aire motrice d
presque toute la zone motrice ! Non pas, sans doute, que cette aire motrice du larynx possède, sur tous les points, la même
même, nous retrouvons ici la théorie de la suppléance des fonctions motrices du larynx, après l'ablation complète des centre
ce centre avec un courant plus intense, on détermine une réaction motrice bilatérale des muscles du larynx. Or, Luciani s
son schéma de l'aire sensitivo-motrice enseigne que chaque centre moteur cortical n'a que des rapports unilatéraux ou cr
ite par l'électricité l'écorce cérébrale, et spéciale- ment la zone motrice , le cervelet n'a point de part dans les réactio
t la zone motrice, le cervelet n'a point de part dans les réactions motrices des membres, puisqu'il peut être entièrement dé
de l'énergie des mouvements. Ce défaut d'énergie du système nerveux moteur , conséquence directe de la perte des fonctions
éristiques des malades atteints de tabes dorsal ou d'ataxie loco- motrice , mais toujours sans aucune altération de la sen
fier les résultats de la physiologie. 11 n'a pas excité les centres moteurs de l'écorce à tra- vers la voûte crânienne par
sur les points du crâne qui corres- pondent aux différents centres moteurs ou sensoriels de l'écorce, l'expérimentateur it
aux, des contractures circonscrites, etc. En somme, les réactions motrices des membres correspondaient aux points, toujour
ar la percussion, et ces points ont paru coïncider avec les centres moteurs de ces membres. En dehors de ces zones, la perc
En dehors de ces zones, la percussion ne provoquait aucune réaction motrice . Rainoidi aurait ainsi constaté une fois de plu
mo-pathologiques de Seppilli sur la nature des fonctions de la zone motrice du cerveau humain, nous 1 Fenomeni di ipnolismo
que exagération à prétendre que les lésions destructives de la zone motrice s'accompagnent tou- jours, en même temps que de
Pitres. Etude critique et clinique de ta doctrine des localisations motrices , Paris (1883, p. 55. LES FONCTIONS DU CERVEAU.
vait, dès 1881, observé un fait qui permettrait d'é- tendre la zone motrice à la région préfrontale de la face interne delà
calleux. « Que ce cas soit suffisant pour étendre en avant la zone motrice , je ne le crois pas, écrivait alors Tonnini; ma
onnini. Focolajo distruttivo di antica data ne/la zona latente (non motrice ) della facia interna del lobo frontale destro; ne
ation du sens musculaire, la lésion s'étendait uniquement à la zone motrice . Si les obser- vations cliniques confirment un
ns les lo- bes pariétaux, la seconde coïncidant avec la zone dite motrice . Les observations cliniques recueillies jus-' q
othèse de Lisso, les lésions superficielles de l'écorce des régions motrices détermineraient des troubles de la sensibilité
s profondes, des alté- rations du sens musculaire et des paralysies motrices . Quant à la profondeur de la lésion, l'observat
grandes cellules pyramidales de Betz subsistaient dans les régions motrices atrophiées de l'écorce. Ces auteurs en concluent
é cutanée et musculaire sont confondus ou « engrenés » dans la zone motrice , ils ne dégénèrent pas à la fois après l'ablation
appareils de la sensibilité cutanée et musculaire, non les centres moteurs . 1 ! icel'che sui centri nervosi di un anapulat
La coexistence quel- quefois signalée de l'aphonie et de l'aphasie motrice plaiderait dans le même sens. Le centre du lary
s matériaux, c'est que, conformément à la topogra- phie des centres moteurs de l'écorce, les altérations de la sensibilité
sépare dans une certaine mesure ou complètement l'appareil loco- moteur du centre, les convulsions musculaires et le clon
altération atteint les lobes pariétaux ; 3° l'aphasie, qu'elle soit motrice ou sensurielle, ne se montre chez les droitiers q
PHYSIOLOGIQUE. '113 la lésion occupe l'hémisphère gauche. L'aphasie motrice apparaît prin- cipalement quand la lésion siège
el, d'admettre que les cellules de la première catégorie (a) soient motrices , et celles de la deuxième (b) sensitives. Il n'
ithéliale de la peau transformée en cellule nerveuse) ; si elle est motrice , placée au centre. - Quant à la doctrine des lo
lte, on interrompt, à la base du cer- veau, la continuité d'un nerf moteur on obtient aussi, comme chez le nouveau-né, la
x côtés, y compris ses cellules d'origine ; 2° la section d'un nerf moteur dans son trajet périphérique entraîne, si un dé
Le Dr Crothers a observé de ces idiots, atteints d'incoordination motrice avec marche titubante ressemblant à des vieux alc
prolongée caractérisée par de l'exagération impulsive de l'activité motrice et la multiplicité des conceptions tient évidem
tégories de fibres nerveuses. Les cellules du premier type seraient motrices , celles du second sensitives ou sensorielles.'
ique que l'on constate entre les régions sensitives, ou sensitivo - motrices , et les régions sensorielles de l'écorce cérébr
diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolongements nerveux moteurs des cellules du premier type avec celles, en no
ant du prolongement nerveux des cellules du premier type (supposées motrices ou psycho- motrices), vont se perdre dans le ré
rveux des cellules du premier type (supposées motrices ou psycho- motrices ), vont se perdre dans le réticulum diffus, cons
ons ultimes de leurs cylindres-axes. Les cellules et les ribt,7--Ij motrices présenteraient seules les conditions d'une tran
tes de ces éléments ? La distinction de ces organites en cellules motrices et en cellules sensitives ou sensorielles, qu'i
e de leurs fonctions. Certes, les cellules du premier type qui sont motrices , sont grandes,; celles du second type, qui sont
f. Pierrot, sur les relations existant entre le volume des cellules motrices ou sensitives des ce tires nerveux, et la longu
ifférentes, la frontale ascendante, qui fait bien partie de la zone motrice , et la première circonvolution du lobe occipita
que : il parle, et il croit qu'on a le droit de parler, de cellules motrices , voire de cellules sensitives ou sensorielles,
chnique histologique, à surprendre les rapports directs des nerfs moteurs avec les cellules des cornes antérieures de la
r, dans l'hypothèse qu'il en existe, des cellules incontestablement motrices ? Dans la zone motrice du cerveau ? ... Mais ce
en existe, des cellules incontestablement motrices ? Dans la zone motrice du cerveau ? ... Mais cette zone renferme en mê
renferme en même temps, sans doute confondues avec les élé- ments moteurs , des cellules sensitives. Dans le cerve- let ?
rnes antérieures, le moyen d'affirmer qu'on a affaire à une cellule motrice , tant qu'on n'a pas vu son prolongement nerveux
rrai dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses motrices [cellule nervose ntotuici) sont en rapport dire
de la sensibilité générale ou spéciale, déter- miner des réactions motrices , et, inversement, l'exci- tation ou les lésions
motrices, et, inversement, l'exci- tation ou les lésions des zones motrices , provo- quer des troubles de la sensibilité. L
ut le système nerveux central : Golgi reconnaît que les ré- gions motrices et sensitives de la moelle épinière, que les ce
ulaires, mouvements impliquant, selon ces auteurs, que « des fibres motrices de la vessie passent dans les cordons postérieu
l'écorce en territoires sensoriels et en territoires d'innervation motrice , l'éminent anato- miste de Vienne enseigne que
si à soutenir, rappelons-le en passant, que les centres prétendus moteurs de l'écorce cérébrale ne sont, en vérité, que d
le et spéciale. Seule, la fibre musculaire devrait être appelée « motrice », et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qu
même pour le système nerveux. » Puis, pourquoi parler de cellules motrices et de cellules de sensibilité ? Forel proteste;
ations arborescentes. Ce qui distinguerait le nerf sensible du nerf moteur ne serait donc pas que le premier entre là en r
nsible est périphé- rique, tandis qu'elle est centrale pour le nerf moteur . Dans les deux cas, le nerf se termine en ramif
eux cas, le nerf se termine en ramifications arborescentes, le nerf moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la substa
rise de l'écorce. Mais on n'a point le droit d'appeler sensibles ou motrices les cellules nerveuses centrales. Seul, le mode
de la réunion de fibrilles nerveuses. Avec Golgi, on peut appeler moteurs les premiers, sensibles les seconds. Les cellul
des stimulus jusqu'aux fins ramuscules laté- raux des tubes nerveux moteurs centrifuges. « Il suit que l'irritation est tra
et sensorielles de l'écorce. Dans son travail Sur les localisations motrices (1878), D. Maragliano citait -les résultats des
sations organiques et des mouvements des viscères, pour les centres moteurs et pour les centres d'arrêt : partout les éléme
IONS DU CERVEAU. z197 nerfs sensitifs (Sachs), et non par des nerfs moteurs (Bain). Une première hypothèse s'imposait tou
a- « momètre, entre les organes qui représentent la puis- « sance motrice (fibres musculaires) et la partie sur la- « que
no, 1887), p. J ? 16. 198 PHYSIOLOGIE. sibles, non avec des nerfs moteurs . Pour vérifier ce fait, deux voies s'ouvraient
atomie pathologique et de l'expérimentation. Ainsi, dans l'ataxie motrice , dit Cattaneo, où la puissance muscu- laire est
s organes musculo-tendi- neux n'ont point de rapport avec les nerfs moteurs , et sont-en connexion avec les fibres de la sen
e la genèse des sensations musculaires : une excitation des nerfs moteurs est transmise, au moyen de leurs termi- naisons
les fonctions, si controversées, de ces ganglions seraient surtout motrices . Inutile d'insister sur la portée de pareils ré
us, que l'hypothèse de la coexistence des éléments de l'innervation motrice et de la sensibilité générale dans la zone dite
innervation motrice et de la sensibilité générale dans la zone dite motrice , c'est-à-dire dans la région fronto-pariétale,
ans les fonc- tions intellectuelles. Enfin, on sait que l'épilepsie motrice , si l'on peut ainsi parler, est fréquemment rem
extrémités; de la raideur de la nuque, de la diminution de la force motrice , surtout à gauche. Elle meurt de pneumonie aigu
s gastriques, les accès de dyspnée. 11 n'en est pas ainsi des nerfs moteurs qui semblent dans le tabes cliniquement affectés;
nt sur les cel- lules des cornes antérieures, les fibres nerveuses, motrices périphéri- ques, les plaques terminales des mus
stence d'une démence progressive et d'une perte générale du pouvoir moteur , par l'association de ces phénomènes avec des t
blables. Les im- pressions sonores ne déterminaient aucune réaction motrice ; il est probable qu'il n'avait plus d'odorat,
ue suivante. Il s'agit d'une dégénérescence des nerfs périphériques moteurs et sensitifs à marche ascendante; lésion sembla
tro-faradique et élec- tro-galvanique. 11 est probable que le noyau moteur de ce nerf est atrophié et qu'il existe une dég
sse. L'expérimentation montreen outre que l'excitabilité du système moteur de l'intestin a diminué, il se montre rebelle a
r les nerfs cutanés sensitifs, l'irritation ayant gagné les tractus moteurs périphériques. Ou bien il existait une lésion o
lésion organique des centres, une tumeur par exemple des régions motrices . L'affection ayant guéri au bout de huit mois de
. Le roi ne dormait pas, et avait de fréquents accès d'excitation motrice , durant lesquels il se mettait à danser ou à saut
tous cas, pratiquement, se révèle par des troubles ou sensitifs ou moteurs , quel- quefois les deux en même temps, occupant
mps, occupant les mem- bres inférieurs. Ces troubles sensitifs et moteurs ont été tout d'abord étudiés séparément et succ
ail de M. Leval- Picquechef sur les pseudo-tabes'. Ces phénomènes moteurs seraient caractérisés : 1° par le signe deRom-
liens, des douleurs plus ou moins fulgurantes, et enfin un syndrome moteur , la démarche de stepper, dû vraisemblablement s
ces centres arrive à rompre l'équilibre instable d'un des centres moteurs , l'état physiologique de la per- ception consci
C. DE NOORDEN. (Arch. f. Psych., XVIII, 2.) Examen des fonctions motrices et sécrétoires de l'estomac, d'a- près la métho
nerveuses avec les appareils de terminaison du système sensitif et moteur permettent-ils d'attribuer li certains éléments
le de papier est un ruban de papier auquel on imprime à l'aide d'un moteur une vitesse connue de droite à gauche, au momen
res une action con- traire à celles qu'elles font sur les fonctions motrices . Voici le travail psychique décomposé en ses él
pour élément la prédominance d'un corps de délire qui constitue le moteur de la sensibilité morale du sujet; c'est à lui qu
tentissement à distance de la dispa- rition d'un organe : le centre moteur qui n'est plus sollicité à agir subit l'atrophi
un cas de), par Greppin, 103. Paralysie intermittente de l'oculo- moteur commun, par Richter, 2'r7 ; ostéo-malacique, pa
13 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
st recouverte de gros caillots. Sur un point au niveau de la région motrice il y a effraction de la méninge molle. L'ablati
Dans notre cas ce qui dominait la scène c'étaient les phé- nomènes moteurs , et l'autopsie nous a bien montré que le point
bran- ches de la sylvienne et que c'était au niveau de la région motrice que l'épanchement atteignait son maximum de ten-
lative selon les diverses formes mentales, l'intensité des troubles moteurs aux phases initiales, l'étiologie ou des malade
réiques augmentaient d'intensité ; 3° après la cessation de l'orage moteur il est resté une apathie un peu hébé- tée due à
ndant le sommeil naturel. L'hypnotisme et les paralysies psychiques motrices . M. BÉRiLLON. Le phénomène hypnotique le plus é
subjective ; sens articulaire conservé ; absence d'incoordi- nation motrice et de signe de Romberg. Absence d'atrophie mus-
re actuelle, la démarche est pareto-spasmodique,sans incoordination motrice , accompagnée de crampes dans les deux mollets.
actuelle, la démarche est paréto-spasmo- dique sans incoordination motrice , accompagnée de crampes dans les deux mollets.
nce à été démon- trée par Ferrier et Turner, il y a d'autres fibres motrices descen- dantes qui suivent le même trajet. L'ex
ulte, la cause de la roideur tardive est l'irritation des faisceaux moteurs parla cicatrisation qui s'effectue au siège de
s quatre membres présentée par le malade la voie pyramidale ou voie motrice cortico-médullaire était anatomique- ment intac
ice cortico-médullaire était anatomique- ment intacte. Les troubles moteurs ne peuvent donc étre attribués qu'à une interru
nc étre attribués qu'à une interruption physiologique de ces fibres motrices et comme cette interruption a dû retentir avec
uption a dû retentir avec une intensité presque égale sur les voies motrices des deux côtés du névraxe, les troubles moteurs
gale sur les voies motrices des deux côtés du névraxe, les troubles moteurs ne peuvent pas avoir été la conséquence directe d
oit être attribuée, d'après l'auteur. à la cotir pression des voies motrices dans leur passage à travers les deux pedoncules
des pédoncules cérébraux que doivent être rattachés les troubles, moteurs , c'est l'abolition des réflexes rotuliens qui a p
action d'un courant induit un nerf sensitil, les cellules nerveuses motrices changent de formes. Les auteurs ont néanmoins l
es situés au-dessus du segment de moelle qui commande à la fonction motrice des pattes postérieures. Découvrant ensuite le
Conclusions : 1° La provision d'énergie potentielle des cellules motrices de la moelle est contenue dans la substance chrom
antérieures, car tous les phénomènes se sont bornés à des troubles moteurs et sphinctériens. 11 s'agirait donc d'un cas de
rétrécissement du champ visuel, hémianopsie, surdité) : c) troubles moteurs (para- lysies des extrémités, paralysie des mus
es extrémités, en l'absence de phénomènes de déficit sensitifs et moteurs . 158 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. L'inconsci
t de ladrerie. Contribution à l'étude des voies centrales des nerfs moteurs de l'oeil. - M. J. PILTZ (de Varsovie). Étude f
à Zurich. - Chez le lapin nous avons étudié spécialement le centre moteur oculaire situé dans le lobe pariétal. Dans la z
s longtemps pour le moment. Il existe chez le chien trois centres moteurs oculaires : 1° Le centre frontal, qui est situé
ors par « la région de la tête E » de Muni. Le gyrus sigmoïde (zone motrice du membre antérieur) le limite en arrière ; 2
nt par le tubercule qua- drijumeau antérieur, au niveau du noyau du moteur oculaire commun, on voit des fibres dégénérées
des deux côtés. En dehors de ces fibres, qui se rendent au noyau du moteur oculaire du même côté, j'en ai trouvé d'au- tre
ient se diriger vers le raphé, probablement pour gagner le noyau du moteur oculaire commun du côté opposé. Après l'extirpa
ite pour esquisser les différentes variétés de paralysies alternes, motrices et sensitives. Les polioencéphalites supérieure
halites supérieures sont des affections rares. Lé- sions du neurone moteur périphérique, elles peuvent ou non s'as- socier
s, mises à l'ordre du jour, ont été l'objet de rapports : L'aphasie motrice pure (sans agra- phie). Aphémie pure. Rapporteu
s fécales. Au bout de trois semaines, la fièvre tombe, les troubles moteurs et sensitifs s'amé- liorent progressivement, ma
ations sont faites fré- quemment dans les altérations de l'appareil moteur périphérique. 3° Quant aux troubles de la sensi
ésions variées (myélite, polynévrite, altération de tout le neurone moteur périphé- rique) (Mills et Spiller). Leur sièg
es signes d'une ophtalmoplégie nucléaire progressive : paralysie du moteur oculaire commun gauche et parésie du même nerf
z nettement définis pour être désignés du nom de visuels, auditifs, moteurs . Tous ces matériaux accumulés sont mis à profit
ésentes et les pyramidales géantes forment dans les circonvolutions motrices des amas assez nombreux et bien fournis. On doi
ibilité et les parties qui servent à la transmission des impulsions motrices . Cette manière d'envisager l'organisation et le
es centres qui tiennent sous leur dépendauce la nutrition des nerfs moteurs et des nerfs sensitifs et il nous initiait aux
laire progressive, en rapport avec une lésion des cellules tropho- motrices des cornes antérieures de la moelle. Au cours d
ndre, pour l'un, une hémianesthésie, pour l'autre, une hémi- plégie motrice du côté opposé. Hughlings-Jackson avait reconnu
t conclu il la nécessité de localiser dans cette région les centres moteurs des différents groupes de muscles. Mais tout ce
perception sensitive se superposent, en grande partie, aux centres moteurs ; autrement dit, les mêmes territoires corticau
dit, les mêmes territoires corticaux qui projettent des impulsions motrices sur nos muscles sont aussi des lieux d'abou- ti
e et de notre volonté. Deux grandes voies, l'une sensitive, l'autre motrice , desservent ces com- munications. Nous sommes a
s SECTION DE NEUROLOGIE. 261 1 sur les lieux de départ de la voie motrice , autrement dit, sur la topographie des centres
t de la voie motrice, autrement dit, sur la topographie des centres moteurs corticaux. Nous le sommes un peu moins bien sur
les centres corticaux sensitifs et sensoriels aux centres corticaux moteurs et sur l'organisation des appareils par l'inter
nt ont fourni la démonstration clinique que les fonctions du centre moteur du langage s'accompagnent sous la direction du
nctions auditives du centre auditif dans sa relation avec le centre moteur , le trouble de cette relation expliquant manife
uditif de la parole est réellement un vrai centre frénateur pour le moteur dont les fonctions, après la destruction ou l'aff
deux façons : tout d'abord, on admit un état d'excitation du centre moteur ; mais qu'on consi- dère que ce phénomène ne se
f ou avec sa participation, jamais avec une lésion isolée du centre moteur lui-même : cela seul écarte la théorie de l'exc
palique reçoivent une base assurée. Résumé du rapport sur Aphasie motrice pure sans agraphie (Aphémie pitre) ; par M. P.
encore dans la manière d'envisager les diverses variétés d'aphasie motrice provient de ce qu'on n'a pas tracé jusqu'ici un
e lésion des neurones de pro- jection qui constituent les faisceaux moteurs de l'appareil de la phonation. Il existe ici, c
o-bul- baire de la région capsulaire, qui caractériserait l'aphasie motrice dite sous-corticale. Les aphasies, par contre
On sait que le centre de Broca, où se trouve le siège de l'aphasie motrice , renferme surtout des libres d'association qui
, et tout spécialement avec ceux du langage articulé, sensoriels et moteurs , le centre auditif verbal, le centre visuel des
i des mouvements de la main éduquée pour l'écriture, et les centres moteurs phonétiques bilatéraux, ceux du larynx, de la l
des lèvres, en rapport avec la voix et la parole. Dans l'aphasie motrice ordinaire (type Bouillaud-Broca), la plu- part
nt sont en rapport avec la complication des lésions. Dans l'aphasie motrice e 328 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. pure
d'association qui relie le pied de la'troisième frontale au centre moteur de l'écriture ' reste alors tout à fait indemne
moteur de l'écriture ' reste alors tout à fait indemne. L'aphasie motrice pure peut donc être, à notre avis, aussi bien c
r-hémisphé- rique (par le corps calleux). Cliniquement, l'aphasie motrice pure, sans complications d'au- cune espèce, se
me que nous avons toujours retrouvé dans les cas typiques d'aphasie motrice pure : c'est la perte absolue de la parole, le
let. Ce signe suffirait à lui seul pour différencier les aphasiques moteurs purs de ceux qui sont atteints de l'aphasie mot
les aphasiques moteurs purs de ceux qui sont atteints de l'aphasie motrice vulgaire (type Bouillaud-Broca), où l'on consta
urs phrases entières. Quant au diagnostic différentiel, l'aphasie motrice pure peut être confondue avec le mutisme hystér
ue nous étudions a une certaine importance médico-légale. L'aphasie motrice pure (sans agraphie) se distingue de l'attaque
s qu'il faut abandonner complètement les termes impropres d'aphasie motrice corticale et sous-corticale qui prêtent à l'équ
nt dans une même catégorie les anarthries centrales et les aphasies motrices proprement dites. Réservant le nom d'aphasie
es cérébraux, nous proposons en conséquence de classer les aphasies motrices d'après le siège des lésions dans les faisceaux
pes, à la classification suivante : APHASIES MOTRICES A. Aphasies motrices pures. Lésion isolée des neurones d'asso- ciati
neurones d'asso- ciation du centre de Broca avec les autres centres moteurs corti- caux en rapport avec la parole, parlée o
ée ou écrite. 1. Aphémie pure, sans agraphie, ni autre complication motrice corticale. Lésion des faisceaux de neurones qui
opercules frontaux et rolandiques (faisceaux d'association psycho- moteurs phonétiques). 2. Agraphie pure, sans aphémie, n
teurs phonétiques). 2. Agraphie pure, sans aphémie, ni complication motrice ou sensorielle corticales ( ? ). Lésion du fais
éduquée pour l'écriture. (Les observations de cette forme d'aphasie motrice pure n'ont pas encore levé tous les doutes sur
s encore levé tous les doutes sur sa réalité clinique.) B. Aphasies motrices complexes. Lésions combinées des divers faiscea
Broca ou qui y aboutissent. Trois groupes principaux : 1. Aphasie motrice vulgaire (type Bouillaud-Broca). Lésion plus ou
teints par la lésion. (Les diverses variétés cliniques de l'aphasie motrice ordi- naire, avec ou sans agraphie, avec paraly
TIONAL DE MÉDECINE. groupe, qui a souvent été décrite comme aphasie motrice sous-cor- ticale, et qui est une conséquence de
sulte de cette complication une ccplzérnie-a2urthrie, avec troubles moteurs des organes de l'articulation des mots, parésie
'est ici le point de jonction où l'anarthrie corticale et l'aphasie motrice se confondent. 2. Aphasie sensorio-motrice. Lés
es des aphasies sensorielles. (Combi- naisons diverses de l'aphasie motrice avec la surdité et la cécité verbales.) Quand t
rait. Ni l'attention, ni la faiblesse intellectuelle. ni un trouble moteur ne suffisent à l'expliquer. Si on examine les g
t tuberculeuse, siégeant dans la protubérance, en dehors des noyaux moteurs des yeux, vers le ruban de Reil, probablement à
geur, qui intéres- sait le ruban.de Heil, qui respectait les noyaux moteurs des yeux, mais qui avait détruit les fibres all
que, pratiqué sur coupes sériées, décèle dans les circonvolu- tions motrices du côté gauche l'existence de lésions assez limit
a formation successive des différentes voies sensorielles, des voix motrices correspondantes, des systèmes courts et longs d
tricité ou de la sen- sibilité. Les phénomènes d'excitation d'ordre moteur dont peuvent s'accompagner leurs lésions doiven
apparition de quelques manifestations maniaques isolées (impulsions motrices intenses, fuite des idées, idées de grandeur, h
De l'exercice cérébral appliqué au traitement de certains troubles moteurs . (Semaine médicale, 489fi, p. 123-124.) traitem
cices rationnels agissent d'une façon bienfaisante sur les troubles moteurs des hémiplé- giques, les troubles sensitifs res
ervir d'atelier et un autre, plus petit, dans lequel sont placés un moteur et une machine dynamo. Au centre du sous-sol, les
eux-ci ». En outre de ces travaux sur la localisation des fonctions motrices (18î0-l8ÏIr-1881-) il faut citer les recherches
La première de ces catégories est celle des hallucinations verbales motrices . Elles comportent plusieurs variétés d'après leur
malgré la part prépondérante qui revient à l'intervention du centre moteur d'articulation, ces hallu- cinations ne sont pa
convulsifs de l'épilep- sie. Plus que d'autres, les hallucinations motrices sont de nature à prouver cette distinction. Il
. Il est hors de doute qu'elles sont sous la dépendance des centres moteurs de l'écorce. Mais la seule exci- tation, pure e
es en rap- port avec tel ou tel délire, constituant l'hallucination motrice et les décharges spasmodiques, convulsives, dés
epsie. Si l'on s'en tient au point de vue clinique, l'hallucination motrice verbale peut se présenter sous différents aspec
sous différents aspects, plus ou moins complexes. Parfois, l'image motrice verbale s'extériorise seule et semble en appare
seule et semble en apparence, être seule intéressée (hallucination motrice pure). - D'autres fois, elle s'accompagne d'u
ge s'extériorise elle aussi et devient hallucinatoire comme l'image motrice (hallucinations combinées). Tous les phénomèn
. A part la note caractéristique due au rôle prépondérant du centre moteur , le mécanisme central est le même que dans l'ha
ation senso- rielle. De plus il y a extériorité. Sans doute l'image motrice hal- lucinatoire n'est pas localisée dans le mo
Aussi, celles-ci peuvent-elles être tout aussi bien audi- lives que motrices ou visuelles suivant le sujet et aussi suivant
'une façon péremp- toire, que la part principale revient il l'image motrice . En résumé, le terme d'hallucination psychique
'auteur a pu démontrer dès 1889 que dans les cas où l'impuis- sance motrice est accompagnée d'une atrophie musculaire on ob
dre que du côté sain et en rapport avec le degré de l'impuissance motrice . Dans la paralysie simple et la paralysie atrophi
nesthésique (sens musculaire). Mesure de la sensation d'innervation motrice dans un membre immobile tendu. Seuil des poids
la sensation de résistance, c'est-à-dire la sensation d'innervation motrice dans un bras immobile tendu. Le sujet examiné t
, bien réelle- ment et exclusivement, la sensation de l'innervation motrice elle- même. C'est la seule chose qui change au
t de l'allégement. Au début de l'expérience, il y a une innervation motrice A nécessaire pour soutenir le poids, pour lui r
r-des- sous, n'est plus soutenu par le fil, il faut une innervation motrice B nécessaire pour tenir le bras immobile, mais
l'allégement est donc due uniquement à ce changement d'innervation motrice , au pas- sage de l'innervation motrice A à l'in
ce changement d'innervation motrice, au pas- sage de l'innervation motrice A à l'innervation motrice B. C'est donc bien un
on motrice, au pas- sage de l'innervation motrice A à l'innervation motrice B. C'est donc bien une sensation d'innervation
'innervation motrice B. C'est donc bien une sensation d'innervation motrice , une impression net- tement et exclusivement ki
rvation de Wundt, faculté locomo- trice ou sens del'énergie mentale motrice de Hamilton). C'est cette sensation de l'activi
tif conservé, ce qu'on désigne sous le nom d'aphasie transcorticale motrice . C'est ce qui a amené l'auteur à essayer de tra
lésions sous-corticales et corticales de la branche sensorielle et motrice sont bien connues ; mais il ressort du schéma q
ressort du schéma que pour la lésion transcorticale de la branche motrice on doit supposer : destruction du mouvement volon
es du mouvement des extrémités un phé- nomène analogue de l'aphasie motrice transcorticale, qu'il repré- sente une akinésie
e l'aphasie motrice transcorticale, qu'il repré- sente une akinésie motrice transcorticale, un syndrome exigé d'ailleurs, c
ION DE NEUROLOGIE. 421 comme l'analogue de l'aphasie transcorticale motrice et d'appli- quer le schéma des aphasies à l'inn
ale motrice et d'appli- quer le schéma des aphasies à l'innervation motrice des extrémités. De l'élongation permanente de l
- tations mentales s'accumulent et s'irradient, plus leur contenu moteur tend à se dégager. De même que l'ononzalonzane, à
nt à la formation de l'obsession. L'impulsion est une sollicitation motrice , à base émotive, vers un acte appétiti ? qui n'
tence du signe de Babinski vient révéler une altération du faisceau moteur volontaire, qui aurait sans lui passé inaperçu,
ison ou pour une autre, présen- taient, surajoutés à leurs troubles moteurs , des troubles paralytiques nettement localisés,
xe plantaire, mais aussi un trouble dans la forme de cette réaction motrice . Ceci ressort encore des recherches récentes de
lisée, ayant amené un certain degré de dégéné- rescence du faisceau moteur volontaire. Ceci démontrerait donc nettement l'
la même façon. Pour M. Garnier, l'impulsion est une sollicita- tion motrice vers un acte. Pour M. Krafft-Ebing, c'est un acte
irecte du muscle. Quand le muscle est séparé des neu- rones spinaux moteurs qui l'innervent, son excitabilité est trop amoi
ps crural dans le cas de la « secousse» » du genou) et des neurones moteurs innervant ce muscle. L'activité de cet arc réfl
crural traduisant l'exalta- tion de l'activité des neurones spinaux moteurs innervant ce mus- cle. La « secousse du genou »
secousses rythmiques. D'autre part, l'activité des neurones spinaux moteurs innervant le triceps crural peut être amoindrie
ral peut être amoindrie par l'excitation de l'activité des neurones moteurs qui innervent les muscles antagonistes, les flé
antagonistes, les fléchisseurs du genou. L'activité de ces neurones moteurs des flé- chisseurs du genou est habituellement
fléchisseurs du genou entrent en jeu, et l'activité des cel- lules motrices des extenseurs est alors pai tiellement ou complè
ntre que les centres nerveux supérieurs réagissent sur les cellules motrices de la corne antérieure de la moelle par deux vo
(de Louvain). Contribution à l'élude des voies centrales des nerfs moteurs de l'ceil; par Jean 1'1L1Z (de Varsovie). (Prés
ans les lésions corticales et sous-corticales de la zone sensitivo- motrice il n'est pas rare de constater en particulier lor
ux différentes hauteurs du bulbe et participent à l'entrecroisement moteur ou inférieur des pyramides. A leur trajet bulbo
llon frontal inférieur ; elle est limitée à l'écorce. Donc, aphasie motrice incomplète, à l'état isolé, suns a graphie, san
graphie, sans cécité ou surdité verbale, sans trouble sensitif* ou moteur ; d'antre part, lésion corticale limitée à une p
-"3. L'aphasie sans agraphie existe donc, ce qui montre le centre moteur graphique fonctionne indépendamment du centre mot
ntre le centre moteur graphique fonctionne indépendamment du centre moteur verbal. Discussion. A. Thomas (de Paris). La
nt à tout autre examen. Quant à la localisation exacte de l'aphasie motrice , elle n'est peut-être pas aussi certaine et sur
861, on voit qu'il accepte comme localisation probable de l'aphasie motrice non seulement le pied de la 3e frontale gauch".
la 3e frontale gauche le centre de Broca, le centre de l'aphasie motrice . Mais aussi longtemps qu'on n'aura pas fourni un
rice. Mais aussi longtemps qu'on n'aura pas fourni un cas d'aphasie motrice pur au point de vue clinique comme au point de
rophie papillaire tabé- tique et ne présentant pas d'incoordination motrice ; mais j'en ai vu plusieurs chez lesquels, malgr
a branche postérieure de la capsule interne, les voies sensitivo- motrices sont demeurées indemnes ; la malade, trois jours
vertébrale, par de Bechterew, là4; par 1'0- poil, 154. Aphasie motrice pure sans agraphie, par Ladame,327. -motticepur
uire Il-, par Lemesle, 522. Hypnotisme et paralysies psychiques motrices , par Bérillon, 68. -chez les neurasthéniques, p
ini, 126. MnOEDE11ATEUX. Infantilisme , par Goyanes, 151. Nerfs moteurs de l'oeil, voies cen- trales, par Piltz, 167.
Bruns, \97. - cutanés et tendineux, par van Gehuchten, 493. idéo moteur de la pupille, par Roubiiiovitch, 501. des or-
14 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
elle renferme, à côté de troubles senso- riels effacés, un élément moteur prédominant par suite de la mise en jeu de sens
ination n'ayant pour but que de rappeler l'intervention des centres moteurs du langage, provoquée par un trouble fonc- tion
r un certain côté des impul- sions verbales, par suite de l'élément moteur qu'elles renfer- ment et qui, en en faisant de
de il. Baillarger est avant tout un trouble fonctionnel des centres moteurs de la fonction du langage. , 2° Elle tient à
ans mon premier travail. (Voir Progrès médical, 1888.) 3° L'élément moteur qu'elle renferme en fait une cause puis- sante
u assister au début, à l'évolution et à la disparition des troubles moteurs et sensitifs : par ses symptômes les plus impor
nt électrique. Telle était la répartition des troubles sensitifs et moteurs le premier jour de l'examen; nous allons voir l
aisser de traces. En mars, nous avons revu la malade : des troubles moteurs et 10. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 4
sensitifs est en rapport avec l'intensité et la durée des troubles moteurs qui y sont beaucoup plus accusés. Aux mem- bres
se passée, D... continuait son travail sans aucune incoordination motrice , jusqu'à ce qu'une nouvelle convulsion vint se pr
des membres supérieurs. Quelle est donc la cause de ces troubles moteurs si généra- lisés ? On connaît le mécanisme des
e moi, la volonté, le jugement sont obnubilés, l'idée d'impuissance motrice tend à se réaliser objectivement sous la forme
ation, nous voyons que la violence des convulsions et des réactions motrices provoquées par les hallucinations était telle,
résumé, sans négliger l'influence de la terreur sur l'im- puissance motrice des membres inférieurs, nous pensons que c'est
ttaque convulsive. ANATOMIE RECHERCHE EXPÉRIMENTALE SUR LES VOIES MOTRICES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE; Par GI1ÉGOIHE ROSSOLI1
ce,* point de fibres nerveuses, qui puissent conduire les fonctions motrices , ces dernières, pour atteindre l'extrémité dont
ur une expérimentation de contrôle, il admet la voie des impulsions motrices vers l'extrémité qui avait été pa- ralysée dans
TOMIE. nière acquirent les fonctions des conduites des impulsions motrices de l'extrémité qui avait été paralysée. Enfin,
avait point de voies anatomiques pour la transmission des fonctions motrices à travers la cicatrice, ces dernières doivent n
e l'on appelle une « origine réelle ». Le nerf facial étant le nerf moteur de l'appareil olfactif, c'est dans le voisinage
médullaire étant très probablement situé en dehors du noyau du nerf moteur , c'est-à-dire dans la situation des noyaux mote
du noyau du nerf moteur, c'est-à-dire dans la situation des noyaux moteurs par rapport aux noyaux sensitifs. Le faisceau
issent la substance grise du locus niger et l'origine extérieure du moteur oculaire com- mun. Ensuite il s'enroule autour
désire amener au lobule olfactif, auquel il attribue des propriétés motrices , des fibres émanant du plan inférieur du pédonc
ce n'est que par analogie qu'il conclut à l'existence de ces fibres motrices chez l'homme. Nerfs olfactifs (' ! le : ; les a
Dl' Blocq, qui a attiré l'attention sur cette variété de paralysie motrice passée jusqu'alors inaperçue, ou plutôt confond
ystérie; plus tard, Weir-Mitchel) la décrit sous le nom d' « ataxie motrice hystérique » ; enfin, la plupart des malades qu
e d'une attaque de rhumalisme que se seraient produits les troubles moteurs qui ont déterminé le transport de cette malade
i fut suivie de ! a rougeole; pendant la convalescence, l'impotence motrice reparut. Une seconde cure faite au printemps de
e de ses membres inférieurs. Depuis six mois environ, l'im- potence motrice a reparu pour ne plus disparaître. Nous constaton
dis qu'elle voit danser des jeunes filles de son âge. L'impotence motrice porte donc bien uniquement sur les mou- vements
dant avec l'intégrité de l'énergie musculaire et de la coordination motrice appliquées à d'autresmouvements des membres inf
que celle des réactions Archives, t. XXII. 7 98 REVUE CRITIQUE. motrices simples, des phénomènes de parésie ou de paralysi
ésie ou de paralysie d'origine corticale, au chapitre des fonctions motrices du cerveau. Les paralysies de la motilité et de
tilité et de la sensibilité, non seulement transitoires (paralysies motrices et sensitives post- épileptiques), mais permane
ues, les traumatismes cérébraux, les lésions irritatives de la zone motrice provo- quent la fonction épileptogène de l'écor
centres corticaux du mouvement, que ce ne sont pas de vrais centres moteurs autonomes, qu'ils ne provoquent des mouvements
ue cette action s'exerce sur d'autres centres nerveux véritablement moteurs '. Dario Maragliano nia des premiers, au point
il d'Albertoni, que le nom de « zone épileptogène » donné à la zone motrice des extrémités antérieures et postérieures de H
s- tème cortical, se localiser en un point circonscrit de la zone motrice , ou se propager d'un point au reste de l'écorce c
s'étend d'un point initial à une partie ou à l'ensemble de la zone motrice , l'accès convulsif intéressera successivement les
prédéterminée par la disposition anatomique des différents centres moteurs du cerveau. Bref, l'écorce cérébrale, et en par
urs du cerveau. Bref, l'écorce cérébrale, et en particulier la zone motrice , est pour Luciani l'organe central des convulsi
perte de conscience, coïncident précisément avec ceux de la zone motrice de l'écorce (Eulenburg et Landois). L'excitation
céré- brale n'est donc pas circonscrite aux centres d'innervation motrice des muscles : elle atteint les centres vaso-moteu
surfaces sensibles périphériques dans l'épilepsie réflexe; la zone motrice ne faisait que donner le signal de l'at- taque
ignal de l'at- taque en provoquant la suractivité des vrais centres moteurs , des « véritables organes producteurs des convu
dont la destruc- tion entraîne la paralysie, sont de vrais centres moteurs , et non simplement des centres qui ne provoquer
iens nés de parents ayant subi des lésions circonscrites de la zone motrice , treize et neuf mois auparavant, mais qui n'ava
orps qu'ils envahissent, les groupes mus- culaires dont les centres moteurs ont été détruits. Ce fait, qui est la pierre d'
ce); 2° A la phase initiale de l'accès, l'extirpation des centres moteurs préalablement excités peut arrêter les convulsion
s que l'écorce cérébrale est primitivement atteinte. Si les centres moteurs du bulbe subissaient les premiers l'action conv
ubstance grise de l'écorce cérébrale, et en particulier les centres moteurs , ce sont les trois argu- ments suivants, qui ré
ns. DE l'épilepsie corticale. 105 gique, l'importance des centres moteurs corticaux va en dimi- nuant. Ces études expérim
formément à la théorie de Luciani, un état d'irritation des centres moteurs corticaux. Seulement ce n'était pas une lésion
auteurs italiens 2, la zone épileptogène s'étend à toute la zone motrice , c'est-à-dire aux centres des extrémités, de la f
8) que le courant le plus faible, capable de provoquer une réaction motrice des membres, est incapable de déterminer une ré
us rapidement leur excitabilité sont les plus excitables. Les aires motrices des extrémités perdent donc leur excitabilité a
ilepsie jacksonienne est bien le résultat de décharges des éléments moteurs de l'écorce céré- brale, les lésions irritative
1888, IV, 81.) 1 Fenoglio (Cagliari). Epilessia, lesione della zona motrice destra; tre- panasione. - Lo Speritrzezztale, d
e, déc. 1881. Cf. Arch. per le mal. nen]. 1885, 83 : a La zone dite motrice chez l'homme peut être aussi considérée comme é
des troubles de la motilité (épilepsie jackso- nienne exclusivement motrice ) : la démonstration anatomo- clinique est faite
ont considérées comme résultant de l'excitation directe des centres moteurs spéciaux, contenus dans le gyrus angulaire, des
on portée sur cette région doit être plus intense que sur la zone motrice ; les accès convulsifs sont moins forts et apparai
es après le passage du courant). Comme, après l'ablation de la zone motrice , les excitations du lobe occipital ne provoquen
ut que les accès résultent de la propagation du processus à la zone motrice . Mais, d'accord sur les faits, les auteurs diff
rlin, le 26 octobre 1883 : 1° l'exci- tation électrique des régions motrices suffisante pour provo- quer des convulsions épi
de la sphère visuelle de Munk; 3° l'ablation de l'écorce de la zone motrice met fin aux convul- sions ; celle de la sphère
lepsie unilatérale lorsque, sur l'hémisphère excité, les centres moteurs ont été enlevés, Mais comme les convulsions se li
tent, dans ce cas, aux groupes musculaires innervés par la région motrice laissée intacte, il ne peut toujours être questio
orticale. 109 d'Unverricht, après l'ablation bilatérale des centres moteurs de l'écorce, l'excitation des régions postérieu
e l'excitation de ces régions puisse, sans irradiation aux éléments moteurs , produire des accès convul- sifs : le lobe occi
osées en commun avec Tamburini, sur l'existence probable de centres moteurs con- fondus avec les centres sensoriels de l'éc
ction épileptogène de l'écorce appartient exclusivement aux centres moteurs . En d'autres termes, il adopte les résultats ex
pposé à l'hémisphère excité. L'inexcitabilité passagère des régions motrices après plusieurs attaques provoquées expliquait
ouve d'autres centres, toujours de nature sensitive ou sensitivo- motrice , en rapport avec l'ensemble des procpssus de l'éc
la ligature des artères cérébrales sur l'excitabilité des cen- tres moteurs de l'écorce cérébrale. Les résultats des expérien
es zones sensitives, et ce n'est qu'ensuite que la zone corticale motrice serait affectée. Dans l'épilepsie jacksonienne, a
traire, l'accès convulsif serait primitivement provoqué par la zone motrice corticale, et ce n'est qu'éventuellement, par le
tres.-Etude critique et clinique de la doctrine des locali- sations motrices , 1883, p. 70. DE L'ÉPILEPSIE corticale. 117 t
nce grise du cerveau; l'écorce cérébrale, et en particulier la zone motrice , n'est pas l'unique centre épileptogène; l'exci
dépend de l'intensité et de la diffusion des décharges des éléments moteurs de l'écorce, origine du processus convulsif.-Po
sur la nature des auras sensitives, sensorielles, psychiques, vaso- motrices et motrices, Bernez, Epilepsie jacksonnienne. Gaz
e des auras sensitives, sensorielles, psychiques, vaso- motrices et motrices , Bernez, Epilepsie jacksonnienne. Gaz. des Hôpi-
concevoir au contraire l'autonomie relative des différents centres moteurs et l'ordre dans lequel ils sont successivement
ant l'élément essentiel de sa pathogénèse, le complexus des centres moteurs de l'écorce cérébrale. » G. Seppilli, Tumori cée-
: l'épilepsie partielle peut exister même en l'absence des centres moteurs corticaux du côté opposé. L'hémiépilepsie gauch
dans ceux d'abolition ou de diminution de la motilité, les centres moteurs sous-corticaux (les corps striés) peuvent suppl
corps striés) peuvent suppléer, dans une certaine mesure, les aires motrices détruites de l'écorce cérébrale. Ces ganglions
l'écorce cérébrale. Ces ganglions de la base, dont les fonc- tions motrices ne différeraient qu'en degré, non en nature, de
23 d'accès d'épilepsie partielle en l'absence complète de la zone motrice opposée ; il leur attribue les mêmes propriétés é
ion nécessaire et suffisante de sa pathogénèse, ce sont les centres moteurs de l'écorce cérébrale ainsi que les gan- glions
rieure (paralysie bulbaire). Lésion symétrique des noyanx des nerfs moteurs qui prennent naissance dans le cerveau et le bulb
s. Ces symptômes sont : des troubles-de coordination, -des troubles moteurs dans le domaine de l'oculomoteur commun, de l'o
. Oppenheim diagnostique une tumeur cérébrale originaire de la zone motrice du côté gauche, sans pouvoir localiser avec plus
ctère de celles qui succèdent à l'excitation de la région corticale motrice antérieure. Le noyau lenticulaire n'est pas acces
ques. Le trans- port de l'excitation des voies sensitives aux voies motrices a lieu, non par les tubercules quadrijumeaux, m
, à la pariétale ascendante ainsi qu'au lobule paracentral. La zone motrice du cerveau est donc également un centre sensitif
UES. 133 l'action du cervelet ou si elle constitue une seconde voie motrice adjacente à celle des faisceaux pyramidaux. P.
poplexie, une parésie du nerf facial et une aphasie amnestétique et motrice avec des symptômes d'apraxie; cette dernière se
ant aux hallucinations, on ne comprendrait pas com- ment les images motrices de la parole inférieure engendreraient des hall
, fatalement on arrive à rencontrer l'intime association des images motrices du langage avec celles qui proviennent des autres
âf flexe. C, cubital. 172 CLINIQUE NERVEUSE. innervation purement motrice ; 3° au médian qui donne lieu à la même observa
i-même; il est soumis à une compression qui équivaut pour les nerfs moteurs à une section et nous pouvons dire exactement l
s, les fibres iridodilatatrices, à l'exclusion des éléments vaso- moteurs , qui suivent d'autres voies ; il fournit égale-
'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles moteurs et réflexes occupant surtout le membre inférieu
e, et consécu- tive à la destruction des circonvolutions cérébrales motrices correspondantes. J'étais loin de m'attendre à r
e foyer purulent s'acheminait avec lenteur vers les circonvolutions motrices correspondantes. Chez le premier, le lobule par
de coordination, un pont entre le lobe sensitif temporal et le lobe moteur pariétal. C'est une connexion apha- sique comme
i se trouve en avant, près de la scissure fronto-pariétale, devient motrice , et correspond, d'arrière en 188 CLINIQUE NERVE
l y a le même ordre dans la disposi- tion des conduits sensitifs et moteurs , que dans les régions sous-jacentes de la parti
estion de l'existence, chez le cobaye, l'entre-croisement des voies motrices dans la région de la decus- salio pyramidum.
que, grâce à l'entre-croisement complet chez le cobaye des voies motrices dans la région de deettssatio pyramidum, on peu
question et il a démontré que les nouvelles voies des im- pulsions motrices vers l'extrémité paralysée passent vers la moit
passent vers la moitié opposée de la moelle, au niveau des racines motrices correspondantes. La base de cette conclusion ét
restée sans résultats; ergo, conclut l'auteur, les nouvelles voies motrices de la moelle passent du côté de la paralysie, a
lle a été faite à un chien chez lequel, comme on le sait, les voies motrices dans la moelle épinière présentent certaines di
d'admettre avec Kusmine que les nouvelles voies pour les impulsions motrices de l'extrémité qui reçut de nouveau la Fig. 27.
lement lombaire, c'est-à-dire au niveau du commencement des racines motrices des extrémités postérieures. Si cette suppositi
t pas y avoir chez le cobaye d'entre-croisement important des voies motrices . Il ne me restait qu'à vérifier, si effectiveme
accomplis d'après notre supposition, parce que les nouvelles voies motrices du pied qui avait été paralysé ont été lésées par
nt du côté intact au côté de l'hémisection qu'au niveau des racines motrices cor- respondantes. " En me basant sur les rés
e de l'entre-cruisement des pyramides jus- qu'au niveau des racines motrices contenant les fibres ner- veuses pour l'extrémi
pnotique. Le sommeil résulte de la paralysie des nerfs sensitifs et moteurs et de la diminution de l'excitabilité réflexe.
lle prédominante ou seule dans la zone moyenne, fronto-pariétale ou motrice ; en arrière, dans la zone postérieure, moins at
ehors et en avant des deux nouveaux groupes de cellules de l'oculo- moteur commun déjà décrits par l'auteur. Ce groupe annul
érieure de la moelle dorsale, atrophie des cellules dans les noyaux moteurs du bulbe, mais avec conservation parfaite des r
cles des yeux, on trouve une hypérémie notable du noyau atrophié du moteur oculaire commun et de nombreux extravasats sang
, mais on a rencontré les mêmes lésions dans le noyau de l'oculo- moteur externe. Chez un autre malade affecté du même com
l'association fortuite d'une lésion gommeuse des deux nerfs oculo- moteur et trijumeau droits et d'un trouble hétérotopique
stagmus hori- zontal des deux yeux. Diminution évidente de la force motrice brûle. Atrophie manifeste du deltoide gauche, d
d'alexie pure. On ne constate chez elle aucun élément d'aphrasie motrice ni d'aphasie amnésique; elle suit très bien, très
de l'orbiculaire de la paupière du même côté, parésie de la branche motrice du trijumeau. En outre, chose particulière, qua
ection de physiologie : professeur Grutzner : excitabilité desnerfs moteurs ; professeur Ewald : fonctions du labyrinthe; le c
rg, une sensation de constriction en ceinture et une incoordination motrice typique. Pas de sucre dans les urines. On peu
des mouvements perpétuels à puis- sances illimitées, gratuites, des moteurs universels, etc., etc., etc. » OBSERVATION VI.
psychique des êtres microscopiques. Après avoir'décrit les organes moteurs et les organes des sens, agents de ces manifest
E DES MATIÈRES. Microgyrie, par Otto, 423. Moelle épiniére, voies motrices de la-, par Rossolimo, 52, 189; - lésions de
15 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r l'étude expérimentale des réflexes vaso- 26 . CLINIQUE MENTALE. moteurs dans la série des divers états psychiques qui car
ctée de Dieu et sentent leur main dirigée par lui (hallucinations motrices graphiques). Ces troubles de la motilité graphi
ois le cerveau pour l'empêcher d'écrire ses souffrances (inhibition motrice gra- phique) ; il commença à éprouver quelques
usses perceptions, parmi lesquelles on reconnaîtra les phénomènes moteurs : « Vision et révélation : la vision est, lorsq
re des cellules pyra- midales sont dégénérées, surtout dans la zone motrice . Les faisceaux pyramidaux sont également dégéné
ablement d'une hémorragie légère au cours des quintes, paralysie du moteur oculaire externe et du facial gauches. Physiono
de deux mois. Au bout d'un mois ont cédé les douleurs et phénomènes moteurs des extrémités. Diagnostic : protodiplégie péri
s d'agitation avec gesticulation. Apparaissent ensuite de l'aphasie motrice , du tremblement, de l'insomnie, des céphalalgie
es mouvements choréiformes, atteinte convulsée des nerfs crâniens moteurs , crises tétanoïdes. -Autopsie. Lésion des artères
tégories de fibres nerveuses. Les cellules du premier type seraient motrices , celles du second sensitives ou sensorielles. O
ffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolon- gements nerveux moteurs des cellules du premier type avec celles, en no
nant du prolongment nerveux des cellules du premier type (supposées motrices ou psycho-motrices), vont se perdre dans le rét
times et latérales de leurs cylindraxes. Les cellules et les fibres motrices présenteraient seules les condi- tions d'une tr
tes de ces éléments ? La dis- tinction de ces organites en cellules motrices , sensitives ou senso- rielles, qu'invoquait tou
e de leurs fonctions. Certes, les cellules du premier type qui sont motrices , sont grandes ; celles du second type, qui sont
ou de la seconde catégorie, c'est-à- dire avec des fibres de nature motrice ou de nature soit sensitive, soit sensorielle.
différente, la frontale ascendante, qui fait bien partie de la zone motrice , et la première circonvolution du lobe occipita
rocédés de technique, à sur- prendre les rapports directs des nerfs moteurs avec les cellules des cornes antérieures de la
dans l'hypothèse qu'il en existe, des cel- lules incontestablement motrices Uans la zone motrice du cerveau ? Mais cette zo
l en existe, des cel- lules incontestablement motrices Uans la zone motrice du cerveau ? Mais cette zone renferme en même t
one renferme en même temps, sans doute confondues avec les éléments moteurs , des cellules sensitives. Dans le cervelet ? C'
antérieures, le moyen d'affirmer qu'on a bien affaire à une cellule motrice , tant qu'on n'a point vu son prolongement nerve
rrài dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses motrices (cellule 7ze ? ,uose motrice), sont en rap- por
toute raison : Les cellules nerveuses motrices (cellule 7ze ? ,uose motrice ), sont en rap- port, non isolé, avec les fibres
PATHOLOGIE NERVEUSE. générale ou spéciale, déterminer des réactions motrices et, inverse- ment, l'excitation ou les lésions
s motrices et, inverse- ment, l'excitation ou les lésions des zones motrices , provoquer des troubles de la sensibilité. L'hy
r tout le système nerveux central : Golgi reconnaît que les régions motrices et sensitives de la moelle épinière, que les ce
otl'ice », du a siège anatomique du sens de la vue et de l'activité motrice qui se rapporte aux mouvements volontaires du g
'écorce en territoires sensoriels et en territoires-d'innerva- tion motrice , le grand anatomiste de Vienne enseignait que « l
nert a même été amené-i ainsi il soutenir que les centres prétendus moteurs de l'écorce céré- f hrale ne sont, en réalité,
nérale et spéciale. Seule, la fibre musculaire devrait être appelée motrice , et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qui
muscle : « Le nerf ni la cellule nerveuse ne renferment un principe moteur . » (Meynert. Psychiatrie. KUni/¡ der Erk1'Cm/¡u
s musculaires, tendineux, etc., annexés à ses prolongements nerveux moteurs : « La substance grise et blanche du cerveau ne
2taciiles (Pûltlfttden), et, en tant qu'ils innervent des appareils moteurs , il des bras pré- hensiles (FangaJ'me) : c'est
pour le système nerveux. » Puis, pourquoi parler encore de cellules motrices et de cellules de sensibilité ? Forel protestait
ifications arborescentes. Ce qui distingue le nerf sensible du nerf moteur ne serait donc pas que le premier entre en rapp
sorielle est périphérique, tandis qu'elle est centrale pour le nerf moteur . Dans les deux cas le nerf se termine en s'arbori
teur. Dans les deux cas le nerf se termine en s'arborisant, le nerf moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la substanc
e grise centrale. Mais on n'a point le droit d'appeler sensibles ou motrices ces cellules nerveuses. Seul, le mode de termin
réunion de fibrilles nerveuses. Avec Golgi on peut, dit-il, appeler moteurs les premiers, sensibles les seconds. Les cellules
tions organi- ques et des mouvements des viscères, pour les centres moteurs et pour les centres d'arrêt : parlout les éléme
rifuge, elle se communique d'abord à une cellule du noyau d'un nerf moteur ; une cellule intercalaire la transmet à une tro
transmet à une troisième cellule en communication avec une fibre motrice qui va au muscle. Une fibre corticale isolée n'ag
muscle. Une fibre corticale isolée n'agit pas sur une seule cellule motrice , mais met en mouvement, par l'intermé- diaire d
mé- diaire d'une cellule intercalaire, tout un groupe de cellules motrices associées dans leur action, selon un mécanisme pr
centre graphique ne coïn- cide pas avec l'un ou l'autre des centres moteurs , mais qu'il leur est supérieur à tous deux. F.
rique, l'acoustique, le lacis les trois oculo-moteur : , la branche motrice du trijumeau, les olfactifs, l'optique gauche s
s ne justifient point la division des cellules de Golgi en cellules motrices , à longs prolongements cylindraxiles cellules sen
veuses. Les secondes peuvent également se rencontrer en des organes moteurs ; ce sont probablement des cellules de raccord,
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES dire la masse tactile de Flechsig, ou zone motrice des auteurs, fait un large détour à travers le
bayes; altérations comparables à celles qui dans les nerfs crâniens moteurs se montrent lorsqu'on a lésé le bout périphériq
sement sont moins prononcés, probablement parce que l'as- sociation motrice l'emporte sur l'association intellectuelle. P.
ralbl" XV, 1896.) Tout le monde convient que l'ablation des centres moteurs des membres d'un côté détermine une dégénéresce
clarté. Elles sont divisées en deux groupes distincts : celui des motrices de l'articulation et celui des motrices graphique
oupes distincts : celui des motrices de l'articulation et celui des motrices graphiques. Les travaux postérieurs du même aut
Celui de transmission compte à son tour : l° les hallucina- tions motrices d'articulation ; 2° les graphiques. II. Mais ce
ol., nO' 68 et Ga, 1892.) - P. Sérieux. Sur un cas d'hallucinations motrices chez un paralytique génél'al. (Arch. de Neurol.
as d'une maladie mentale) des hallucinations auditives ni psycho- motrices d'articulation. Tels sont les sourds-muets. Par
erceptions visuelles (communes et mimiques) et d'extério- risations motrices mimiques. Les images collectionnées dans ses ce
que des représentations visuelles mimiques et des représenta- tions motrices mimiques, ou, ce qui revient au même, « les hal
entourent. M. Vallon, pour sa part, a rencontré les hallucinations motrices d'articulation chez deux alcooliques'. De sor
te que les deux ordres de représentations verbales, sensorielles et motrices se trouvent extériorisés sous formes d'hallucin
sont les classes qui appa- raissent préféremment ? Les auditives et motrices d'articula- tion. C'est-à-dire des ensembles én
es et existence moins fréquente de fausses perceptions visuelles et motrices de paroles. ltien de plus. Indubitablement les
ues à ceux-ci ne peuvent être que trois chez les sourds-muets : les moteurs , les visuels et les mixtes. Dans l'OBSERVATION
es sourds-muets dans un but distinct du nôtre, croit voir en lui un moteur . Ce cas est vraiment anormal. En outre, il ress
s de Madrid a fait pour nous, qu'il a remarqué aussi l'existence de moteurs . Mais comme ces mo- teurs, tout comme les visue
des sous-types divers en harmonie avec la variété sensorielle ou motrice des images ou représentations qui occupent chez e
rds-muets, il existe des hallucinations symboliques sensorielles et motrices en har- monie avec les diverses formes de leur
aphiques automatiques (possession théomaniaque); ces hallucinations motrices finissent par être inconscientes, le malade se
le début; l'éréthisme atteint à la fois les sphères sensorielles et motrices au lieu de se propager successivement des unes
sycho-sensorielles mais les transforment rapidement en phé- nomènes moteurs ; leur délire devient presque d'emblée ambitieu
fasc. 1, 2.) L'auteur envisage surtout les hallucinations verbales motrices et arrive à cette conclusion qu'elles ne dérive
s comme le résultât d'une simple excitation des centres sensorio- moteurs . Nous avons essayé de montrer que leur physionomi
iale était due à un facteur particulier, à l'intervention du centre moteur d'articulation : mais il n'en est pas moins évide
urtout le système nerveux et en trouble les fonctions sensorielles, motrices et psychiques. Le. buveur est forcé d'augmenter
femmes et aliénation mentale, par Rohe ; Signification des troubles moteurs de la folie, par Richardson ; - Médication thyroï
encier sous le microscope une fibre de la sensi- bilité d'une fibre motrice . La maladie fait cette distinction. En décrivan
ns de chaleur à la face et probablement d'un état congestif vaso- moteur et dans ce cas il y a toujours des bruissements e
touchait au front) ; , 4°*Des paralysies permanentes des muscles moteurs des paupières. Ces quatre groupes de symptôme
nglionnaires y étaient atrophiées surtout dans les noyaux des nerfs moteurs , ce qui est en dehors du sujet qui nous occupe,
ier avait vu depuis longtemps l'« arborisation terminale» des nerfs moteurs « dissociés en fibrilles » se mettre'en rapport
moelle épinière sont de deux espèces : les cellules radiculaires « motrices », dont les cylindraxes constituent la racine a
es les cellules, excepté peut-être ceux des cel- lules radiculaires motrices , émettent à leur passage à travers la moelle de
de cellules nerveuses à cylindraxes longs; des organes à fonctions motrices , tels que le cervelet, la zone rolandique, renf
spéciale les cellules nerveuses dites sensitives ou sen- sorielles, motrices , commissurales, d'association ou de projection.
onctionnelle plus élevée de la cellule, car les cellules des noyaux moteurs possèdent des granules plus gros et plus nombre
s fibres sensitives et sensorielles, d'où partent toutes les fibres motrices : l'écorce représente une série de centres, dont
reçoit des fibres sensitives ou sensorielles, et envoie des libres motrices affectées à un ordre déterminé de mouvements. C
es et les arborisations terminales observées durant la vie (plaques motrices , ramifications des fibres sensitives, etc.). Quan
n souvenir, l'exaltation de la pensée ou l'exagération de réactions motrices conscientes, etc., s'expliqueraient avec cette
épilepsies par intoxication. H. DE MUSGRAYE CLAY. XLIX. Paralysie motrice du larynx ; par J. A. Mac CASSY. (Nezv-Yok Médi
puis la première description donnée par Brown-Sequard. Les troubles moteurs ont généralement été caractéristiques de la dég
la parenté de ces diverses formes de lésions héréditaires des voies motrices ; paralysie spinale spastique, atrophie musculai
siège d'un foyer de ramollissement (artério-sclérose). L'aphasie motrice totale et la paralysie du bras droit observées pe
ent développées progressivement, sans ictus apoplectique. L'aphasie motrice totale avait succédé à de très légers troubles de
urvues de fibres cen- trifuges, nous pouvons admettre que les nerfs moteurs ont aussi des fibres spéciales, destinées à con
lle ou autre forme et après avoir subi des modifications, aux voies motrices centrifuges, et atteint aux muscles internes et
transmettre les sensations d'innervation qui viennent de l'appareil moteur de l'oeil et sont en rapport direct avec le méc
s les appareils perceptifs périphériques et à tous les méca- nismes moteurs qui sont en union avec eux. Involontairement l'
ransmettre les sensations d'innervation, qui portent des mécanismes moteurs . SUR UNE CAUSE IGNORÉE D'INTOXICATION SATURNINE
arce que chez eux il y a abseuce de connexion directe entre la zone motrice de l'écorce cérébrale et la substance grise de
ire; les cellules de Purkinje ont bien la signification de cellules motrices et les autres sont en connexion intimé avec ell
iche développement des branches protoplasmiques des larges cellules motrices . Quant au stratum granuleux interne, que l'anim
lusivement bulbaire, doit être considérée comme une racine bulbaire motrice accessoire du pneumogastrique et qu'elle n'a qu
zones ou les sphères sensorielles ou plutôt les sphères sensitives motrices , chacune d'elles étant en connexion avec nos or
de fibres ner- veuses, centripètes ou sensitives, et centrifuges ou motrices . Tout ce qui reste de l'écorce cérébrale en deh
Ie, IVe et Vie paires ne doit pas étonner, ces nerfs étant purement moteurs . Dans l'écorce, l'auteur constate une atrophie
probablement des degrés divers de l'hyperexcitabilité du neurone moteur , congénitale ou acquise, due à différentes causes
tement. P. KERA VAL- XXXVI. SUR la valeur fonctionnelle DES CENTRES MOTEURS corticaux DU CERVEAU CHEZ DIFFÉRENTS ANIMAUX; p
l'écorce ne sont pas au même niveau, et que l'expression « centres moteurs » prend une signification très différente, suiv
ion électrique les oiseaux seraient dépourvus des centres corticaux moteurs ordinaires. Chez tous les autres animaux dont i
nimaux que chez certains autres; 4° la'situation exacte des centres moteurs est d'au- tant mieux définie que l'animal est s
eau physiologique. Celte conception du fonctionne- ment des centres moteurs s'accorde avec les faits cliniques. On sait que
llectuelles, tandis que le droit, pré- sidant surtout aux fonctions motrices et sensitives, prendrait peu de part à l'idéati
la fréquence et l'im- portance des ictus suivis tantôt de troubles moteurs , tantôt de troubles psychiques, la nature de ce
s moteurs, tantôt de troubles psychiques, la nature de ces troubles moteurs et leur pré- dominance au détriment des symptôm
he, puis du côté droit). La physionomie spéciale des manifestations motrices était de nature à faire penser plutôt à une lés
n'est plus douteuse lorsqu'il se produit des symptômes de paralysie motrice ou des signes évi- dents d'affaiblissement inte
pilepsie corticale ou jacksonienne, par lésion en foyer des centres moteurs ou des faisceaux qui en émanent. Cette forme ne
sence, SOCIÉTÉS SAVANTES. 389 durant les intervalles, de troubles moteurs , sensitissou sensoriels, doit même faire penser
trace dans la mémoire et vice versa. Pour ce qui est des décharges motrices , il ne s'agit pas toujours d'actes dangereux ma
x des exemples d'une exagération extrême des légères manifestations motrices qui se rencontrent assez souvent chez les sujet
dans un asile. Plus lard, la céphalée, les vertiges, les paralysies motrices , les troubles de la vue conduisent le malade da
squels les symptômes psychiques sont au premier plan : les troubles moteurs , qui pourraient faire penser à une lésion en fo
tion légère de la substance habituellement non colorée des cellules motrices des cornes antérieures et des noyaux des nerfs
elative des cellules des ganglions spinaux par rapport aux cellules motrices ; 2° persis- tance d'éléments normaux à côté d'é
faire. La méthode de Beckera montré que, au moins dans les éléments moteurs . la substance non chromato- phrle a une structu
ont mëmeidentifié la substance chromatophile des cellules nerveuses motrices avec les fibrilles de Max Schultze. Pour résoud
s sur les mo- fidications structurales de la substance des cellules motrices par le repos, l'activité, la fatigue. L'excitat
i se colorent par les couleurs basiques, s'amassent danslescellules motrices , dans les cellules des ganglions sympathi- ques
vent spasmodiques, les troubles sphinctériens, jusqu'aux troubles moteurs et sensitifs qui caractérisent les affections de
aussi expliquer, outre l'attaque, les phénomènes postépilep- tiques moteurs , secrétaires et psychiques. Pour les paralysies l
éral des malades et, plus particulièrement, de l'état des fonctions motrices . J'indiquerai ensuite, d'après mes observations
s'est terminée par une période plus ou moins longue d'impo- tence motrice , les malades ont présenté quelques symptômes pa
et n'ayant intéressé que les noyaux d'origine ou des fibres du nerf moteur oculaire commun. A l'autopsie, on reconnut que
males; il n'a de troubles ni oculaires ni auditifs, ni sensitifs ni moteurs . Au niveau du bord postérieur du pariétal gauche,
yndrome clinique, à savoir l'hé- miplégie droite et la paralysie du moteur oculaire commun gauche. L'état athéromateux trè
4 acci- dents augmentent d'intensité, ils se compliquent d'aphasie motrice complète. Dans la nuit deux grands frissons, co
on est limitée aux cornes anté- rieures, on observe de la paralysie motrice et de l'atrophie muscu- laire, tandis que la lé
es cordons postérieurs en dehors de la substance grise. Paralysie motrice , atrophie musculaire, anesthésies diverses se r
ections de la moelle. Dans la polyomyélite antérieure, la paralysie motrice est étendue et complète dès le début. Par la su
u siège de la lésion. L'atrophie musculaire accompagne la paralysie motrice quand la lésion siège dans la substance grise.
odique résulte d'une lésion bien différente intéressant les cordons moteurs . - L'étude des réflexes est d'un précieux secou
le renflement lombaire paraît devoir être mis en cause. Paraplégie motrice et sensitive complètes dans le domaine de la mo
au du mamelon gauche; développement 1-apide d'une paraplégie totale motrice et sensitive, excitabilité faradique des nerfs
ents n'ont lieu que dans le cristallin et dans d'autres l'impulsion motrice , en se concentrant dans le cris- tallin, peut a
imiques des sécrétions n'ont pas été faites et concernant la sphère motrice des yeux on n'a pas constaté d'anomalie. M. FOK
tude synthétique des syndromes tabé- tiques (sensitifs, sensoriels, moteurs , trophiques), d'après des documents cliniques p
rtite chronique chez les aliénés, par del Greco, 371. .11,iiisii, motrice totale par Bruns, 327. - Un cas d' - amnésique,
ojection et d'associa- tion de Dpchsig, par van Gehu- chten, 355. Moteurs corticaux du cerveau chez différents ani- mau
les scléroses et la paralysie,par Trommer, 370. Larynx. Paralysie motrice du , par Mac Cassy, 322. Législation des alié
16 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
Au bout de deux mois de répit, le malade voyait peu à peu l'impotence motrice se reproduire, et était forcé de revenir consulte
ts tant passifs qu'actifs, l'idée de mouvement et les représentations motrices . J'espère obtenir un résultat, mais assurément ce
mono-plégie brachiale avec anesthésie en manche de veste. L'impotence motrice est cependant assez notablement améliorée, mais b
e pathogénie. Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf moteur oculaire commun. Traitement : Bromures ; iodure
ne-là il y a accompagnement nécessaire d'une paralysie d'un des nerfs moteurs oculaires communs ; et, remarquez-le bien, car c'
c., les symptômes oculaires seraient représentés par une paralysie du moteur oculaire commun. Chose remarquable, c'est toujour
que sorte exclusive; elle n'intéresse pas, en effet, les autres nerfs moteurs clo l'œil. Les effets symptomatiques de ce genr
avez prévus : strabisme en dehors, chute de la paupière, impuissance motrice dans le domaine de la 3e paire, diplopie spéciale
environ, mais le dernier a laissé après lui une paralysie complète du moteur oculaire commun, qui depuis cette époque ne s'est
on plus, avec ces ophthalmoplégies à récidives, portant tantôt sur le moteur oculaire commun, tantôt sur l'abducens, qui sont
toire, il y a diplopie croisée révélant une paralysie concomitante du moteur oculaire externe. C'est l'unique fois, je pense,
cependant toutes les deux une lésion siégeant sur le trajet basai du moteur oculaire. Dans un de ces cas (Weiss, Wiener med.
e nous attarderons pas à décrire la distribution normale des branches motrices du sciatique à la jambe. Rappelons seulement en d
ion qui suit est presque calquée sur la précédente quant aux troubles moteurs , elle en diffère en ce que l'anesthésie, au lieu
troubles de la sensibilité sont à peine appréciables, les troubles moteurs dominent toute la scène. Arrivons maintenant à la
tée dans les muscles animés par ce même tronc nerveux. Les troubles moteurs et sensitifs sont donc facilement explicables che
s morbides. Observation XI (personnelle). — Sciatique avec troubles moteurs et sensitifs dans le domaine du sciatique poplité
z bon. Nous nous trouvons ici en présence de troubles sen-sitifs et moteurs qui méritent d'autant plus que nous nous y arrêti
nerf, le sciatique poplité externe, et caractérisée par des troubles moteurs et sensitifs portant sur le territoire de distrib
près avoir été unilatérales pendant un temps assez long. La paralysie motrice n'affecte presque jamais toute l'étendue des deux
t-elle pas retenti directement, par voie de contiguïté, sur les tubes moteurs et faut-il voir, dans le système des cornes posté
union nécessaire entre l'affection des fibres nerveuses sensitives et motrices . X. Ophthalmoplegie externe et amyotrophie gé
tégrité des muscles iriens et pupillaires, atteinte des seuls muscles moteurs du globe oculaire. Considérations anatomiques ; l
à Vatrophie mus-culaire progressive ; lésion systématique des noyaux moteurs {polioencèphalomyèlite), publié dans la Nouvelle
ent d'une paralysie de toutes les branches extérieures ou externes du moteur oculaire commun, à savoir: droit interne, droit s
rquez-le bien, non seulement la paralysie porte sur les branches du moteur oculaire commun [oculo-motorius, comme l'appellen
mais encore, puisque le droit externe est paralysé lui aussi, sur le moteur oculaire externe ou abducens. Toute la musculat
res et iriens. Il existe là, vous le voyez, dans les fonctions du . moteur oculaire, une sorte de dissociation remarquable,
vez comment la colonne ganglionnaire qui sert d'origine aux fibres du moteur oculaire occupe, au-dessus du bulbe proprement di
s parois latérales, que siègent l'amas, ou mieux les amas de cellules motrices , qui servent d'origine au moteur oculaire commun.
mas, ou mieux les amas de cellules motrices, qui servent d'origine au moteur oculaire commun. On peut suivre par en haut cette
placés au-dessus de ceux qui donnent naissance aux nerfs des muscles moteurs du globe. Quant à ces derniers eux-mêmes, ils rec
t la symétrie. Il est concevable, du reste, que si le tronc du nerf moteur oculaire est atteint après sa formation, on ne po
té des nerfs musculaires extérieurs, tandis que les branches oculo- motrices ciliaires resteront protégées par la cornée et ne
as, si l'affection a duré quelque temps, une destruction des cellules motrices . Ce procespus se rencontre dans certaines formes
poursuivre l'étude; aussi les laisserons-nous de côté. 3° Les noyaux moteurs sont primitivement et systématiquement affectés,
n que sont envahis, dans la paralysie bulbaire inférieure, les noyaux moteurs de l'hypoglosse, du facial inférieur, etc., qui r
re. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux moteurs , les noyaux sensitifs étant respectés, tout comme
u moins rapidement, de symptômes qui relèvent de la lésion des noyaux moteurs du bulbe correspondant aux cornes antérieures. La
s'étend en pareil cas, en quelque sorte systématiquement, des noyaux moteurs du bulbe supérieur à ceux du bulbe inférieur. J
gie externe, c'est-à-dire porteurs d'une lésion atrophique des noyaux moteurs , on rencontre en même temps, en diverses parties
polioencéphalite, qui met en relief l'atteinte symétrique des noyaux moteurs spinaux et des noyaux moteurs bulbaires. Il s'agi
relief l'atteinte symétrique des noyaux moteurs spinaux et des noyaux moteurs bulbaires. Il s'agit là d'une lésion systématique
e cas, la lésion anatomique consiste dans une altération des cellules motrices des noyaux spinaux aussi bien que des noyaux bulb
ures de la substance grise de la moelle avec destruction des cellules motrices . L'évolution s'est faite rapidement dans une péri
science. C'est encore à une lésion, subaiguë cette fois, des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle qu'il faut ra
tant qu'expression symptomatique de la lésion systématique des noyaux moteurs du bulbe protubérantiel, peut se combiner à la pa
à l'atrophie musculaire progressive ; lésion systématique des noyaux moteurs ; polioencéphalomyélite). Ce sont celles des mala
ergent. M. Peter, consulté à cette époque, constate la paralysie du moteur oculaire commun de côté droit. Traitement : iodur
céphalomyélite). L'altération porte alors sur la totalité des parties motrices de l'axe gris bulbo-médullaire, depuis le pédoncu
'il est bien instructif d'observer. Ce sont d'ailleurs des troubles moteurs que l'on rencontre chez tous les amyotrophiques a
lesse et une atrophie plus ou moins prononcée du membre. Ces troubles moteurs sont toujours accompagnés de troubles de la sensi
en tous cas, pratiquement, se révèle par des troubles ou sensitifs ou moteurs , quelquefois les deux en même temps, occupant les
e temps, occupant les membres inférieurs. Ces troubles sensitifs et moteurs ont été tout d'abord étudiés séparément et succes
hé-sies de toute espèce. Arrivons maintenant à un phénomène d'ordre moteur , sur lequel je crois devoir particulièrement ins
travail de M. Leval-Picquechef sur les pseudo-tabes \ Ces phénomènes moteurs seraient caractérisés : 1° par le signe deRom-ber
tuliens, des douleurs plus ou moins fulgurantes, et enfin un syndrome moteur , la démarche de stepper, dû vraisemblablement sur
roduit par une lésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun et celles du faisceau pyramidal.
Gubler, il est question d'un foyer de ramollissement ayant atteint le moteur oculaire commun dans son passage à travers le péd
crâne, une tumeur par exemple, qui agirait en comprimant à la fois le moteur oculaire commun et le pédoncule dans sa partie in
e simple rapport qu'une même lésion puisse atteindre simultanément le moteur oculaire commun et le pédoncule et produire en co
x bandelettes interne et moyenne soient touchées en même temps que le moteur oculaire commun pour que le syndrome de Weber soi
, le groupement des divers noyaux qui constituent l'origine réelle du moteur oculaire commun et dont chacun parait animer un d
arthralgies douloureuses s'amendèrent et firent place à une impotence motrice complète, c'est-à-dire à une hémiplégie droite qu
ter aujourd'hui. Serait-il donc sous la dépendance d'une paralysie du moteur oculaire commun et réduirait-il à néant la série
rance, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les paralysies du moteur oculaire commun étant jusqu'ici inconnues dans la
abord la coexistence de symptômes oculaires d'un côté, et de troubles moteurs des membres du côté opposé, était si imprévue qu'
et ne pouvait être fléchie. La face était respectée. Cette hémiplégie motrice se serait accompagnée de perte de la sensibilité.
t de cette paire, suivant toute probabilité, une innervation purement motrice ; 3° au médian qui donne lieu à la même observati
ui-même ; il est soumis à une compression qui équivaut pour les nerfs moteurs à une section et nous pouvons dire exactement le
ue j'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles moteurs et réflexes occupant surtout le membre inférieur
talité du membre, qui se traduit, en dehors du défaut de coordination motrice , par l'exagération considérable du réflexe rotuli
milieu de cette infiltration gommeuse, les nerfs optiques, les nerfs moteurs de l'œil, etc., se trouvent englobés ; ils subiss
localisation.il faut qu'elle siège au niveau etàla surface des zones motrices . Si elle siège à la surface des circonvolutions f
malade. La lésion mônin-gitique siège-t-elle en dehors de cette zone motrice , vous pourrez avoir non pas l'épilepsie, mais l'a
certaines lésions très circonscrites de l'écorce des circonvolutions motrices dans la paralysie générale, etc., etc. L'objectio
nvolutions frontale et pariétale ascendantes, autrement dit au centre moteur de la main et du bras. . Peut-on vraiment deman
isteraient des altérations basilaires : névrite optique, paralysie du moteur oculaire commun, etc..., dans ce cas-là, la gué-r
e gommeuse superficielle des méninges, siégeant au niveau des centres moteurs du membre supérieur droit et n'ayant pas encore d
e qui est en cause. Chez l'autre, au contraire, il s'agit de troubles moteurs et intellectuels de la plus haute gravité, indélé
profonde, ineffaçable; elle a, pour ainsi dire, sectionné le faisceau moteur et entraîné la dégénération secondaire. Et c'est
s terminales de la sylvienne, et que le territoire cortical des zones motrices , dans une grande étendue, a été intéressé de mani
erbale. A l'origine, cette cécité verbale s'est accompagnée d'aphasie motrice ; celle-ci a bientôt disparu et la cécité a persi
ssiner de mémoire. Nous devons donc admettre que, en outre de la zone motrice des membres, le lobule pariétal inférieur a été l
lies régions irrémédiablement affectées sont en résumé : les centres moteurs dans presque toute leur étendue, le lobule pariét
e, serait à peu près décisive : une névrite optique, une paralysie du moteur oculaire commun, par exemple ? Absolument pas. De
chenne, à qui il manquait tel ou tel signe vulgaire, l'incoordination motrice par exemple... De ce jour l'étude des formes anor
de l'oeil s'expliquent par les lésions scléreuses de l'abducens et du moteur oculaire commun, et que, dans la sclérose en plaq
s, la paralysie de l'ab-ducens serait ici plus fréquente que celle du moteur oculaire commun, quoique considérées en bloc les
les douleurs fulgurantes, le signe de Romberg....., l'incoordination motrice peut-être. C'est que, dans l'espèce, la lésion pr
ent, la marche était encore impossible; il y avait une incoordination motrice très accusée, et tous les mouvements étaient irré
la véritable solution du problème. Note sur un cas de Paralysie du Moteur oculaire externe et du Facial, avec atteinte de l
tubérantiel, situé sur le trajet des fibres d'origine du facial et du moteur oculaire externe, du côté droit. Mais cette lés
nt un autre, situé non plus dans la protubérance, mais dans la région motrice de l'écorce du cerveau, du côté gauche. Ce dernie
l'un dans la moitié droite de la protubérance, l'autre dans la région motrice corticale ou sous-corticale du côté gauche. Nous
pathogénie. — Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf moteur oculaire commun. Traitement : Bromures, iodure
tégrité des muscles iriens et pupillaires, atteinte des seuls muscles moteurs du globe oculaire. Considérations anatomiques ; l
roduit par une lésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun et celles du faisceau pyramidal.
ement........;..........399 XXII. Note sur un cas de Paralysie du Moteur oculaire externe et du Facial, avec atteinte de l
bes, 278 ; — et glycosurie, 258. Diplopie dans la paralysie du nerf moteur oculaire externe, 422. Dissociation de l'anesth
ne, 317, 318, 427; — combinée à la paralysie complète du facial et du moteur oculaire externe du même côté, 420 ; mode de débu
— diagnostic, 15; — anatomie pathologique, 17 ; — observation, 18. Moteur oculaire externe : paralysie du nerf —, 420 ; — s
2 ; — au membre inférieur, 153,154. Nerf sciatique : distribution motrice du —, 130 ; distribution '°* sersiiive du —, 15
17 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
de l'innervation, le centre de l'activité psychique, intellectuelle, motrice ou sensitive; les fibres nerveuses sont les condu
logues, par leurs fonctions et leurs connexions, aux grandes cellules motrices des cornes antérieures de la moelle (Microphotogr
r-axis d'une fibre nerveuse. Ces cellules géantes sont des cellules motrices ; les régions dans lesquelles on les rencontre son
on les rencontre sont indiquées par la physiologie comme des centres moteurs . Dans le lobe occipital, les deux premières cir
ord interne et le troisième vers le bord externe. Ces cellules, dites motrices , ont un gros noyausphériquepourvu d'un nucléole;
lement et entrent en connexion avec les fibres radiculaires des nerfs moteurs . Deiters a désigné sous le nom de prolongement
s la corne postérieure. Les racines antérieures émergent des cellules motrices des cornes antérieures ; elles sont désignées pou
es sont désignées pour ce motif sous le nom de racines antérieures ou motrices ; après avoir franchi la gaine que leur fournit la
nes antérieures et consti-tuent un tronc unique à la fois sensitif et moteur , ou nerf mixte, qui s'étend, en se rami-fiant, ju
avant leur trajet ascendant sous le nom de portion super-ficielle ou motrice des pyramides antérieures. Les cordons postérieur
a portion spinale, à deux séries de fibres radiculaires : les racines motrices et les racines sensi-tives des nerfs crâniens, qu
dans ce par-cours le noyau classique du nerf hypoglosse, le noyau du moteur oculaire externe (noyau supérieur du facial), le
terne (noyau supérieur du facial), le noyau du pathétique et celui du moteur oculaire commun. Le noyau classique de l'hypogl
30 y. à 70 p. de millimètre (Microph., Pl. D, fig. II). Le noyau du moteur oculaire externe se trouve dans un étage plus éle
é par Stilling en 1846, d'où émergent les fibres radiculaires du nerf moteur oculaire commun. La tête de la corne antérieure
antéro-latéral décrit par Stilling et Kôlliker, qui contient le noyau moteur des nerfs mixtes, le spinal, le pneumogastrique e
se forme le noyau inférieur du facial et le noyau de la petite racine motrice du trijumeau ou nerf masticateur. Le noyau anté
meau ou nerf masticateur. Le noyau antéro-latéral du bulbe ou noyau moteur des nerfs mixtes contient des cellules nerveuses
ontinuité d'éléments nerveux en connexion d'une part avec les racines motrices et d'autre part avec les racines sensitives des c
longitudinales qui les composent forment la portion superficielle ou motrice des pyramides ; elles se réunissent en groupes ne
ance de chaque côté du raphé médian. Au sommet du bulbe, la portion motrice des pyramides occupe les côtés de la partie antér
s cordons subissent quelques modifi-cations respectives. La portion motrice des pyramides pénètre dans le bulbe sous la forme
Encéphale. 6 La portion sensitive abandonne complètement la portion motrice des pyramides. Elle se porte en dehors et en arri
ergent au dehors pour constituer les pédoncules cérébraux. La portion motrice , considéra-blement augmentée de volume, s'infléch
dedans la concavité de son croissant. Elle est séparée de la portion motrice par la substance grise du locus niger. Le pédoncu
es qui lui sont propres. Les cordons latéraux de la moelle, portion motrice des pyramides, se portent en avant et en dehors,
anse du noyau lenticulaire par Meynert qui le fait aboutir aux noyaux moteurs de la moelle allongée. Il irait par conséquent se
doncule, sans traverser le corps strié. Il est appelé faisceau direct moteur du pédoncule (Pl. VII; XLIV). (1) Charcot, Leço
r affecte des rapports intimes avec les noyaux radiculaires des nerfs moteur oculaire externe, pathétique et moteur oculaire c
noyaux radiculaires des nerfs moteur oculaire externe, pathétique et moteur oculaire commun. Meynert et Huguenin le décrive
ns antéro-latéraux de la moelle. Ils le considèrent comme un faisceau moteur . Le faisceau latéral du bulbe, faisceau intermé
ttement isolé, se joint aux fibres spinales antérieures, ou portion motrice des pyramides, qui s'amortissent dans le noyau le
urs établissent par conséquent une connexion intime entre les régions motrices des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau cen
moelle. c. Substance médullaire. d. Racines antérieures des nerfs moteurs , émergeant de la corne antérieure. Fig. II. —
se centrale de la moelle épinière. c. Racines antérieures des nerfs moteurs émergeant de la corne an- térieure. d. Sectio
éral du bulbe. g. Corne antérieure séparée de sa base. h. Portion motrice des pyramides offrant un aspect fascicule. i. S
des corps restiformes. e. Tête de la corne antérieure. f. Portion motrice des pyramides. g. Raphé médian formé par l'entr
pare les deux portions sensitives et se prolonge entre les portions motrices . j. Portion motrice des pyramides. k. Racine du g
s sensitives et se prolonge entre les portions motrices. j. Portion motrice des pyramides. k. Racine du grand hypoglosse. /.
au. i. Racines du grand hypoglosse. /. Olive bulbaire. k. Portion motrice des pyramides. /. Noyau gris qui sépare les por
ns sensitives, s'interpose entre la portion sensitive et la portion motrice . m. Portion sensitive des pyramides. n. Grand noy
par laquelle émergent les racines des nerfs acoustiques. q. Noyau moteur du grand hypoglosse (noyau accessoire de Mathias
r du grand hypoglosse (noyau accessoire de Mathias Du val. r. Noyau moteur du glosso-pharyngien. s. Fibres arciformes. t.
de Vicq-d'Azyr. De leur face antérieure émergent les troncs des nerfs moteurs oculaires communs. 15. — Section du lobe médian
rachidien. En arrière apparaissent les fibres radiculaires des nerfs moteurs oculaires externes (21). 23. — Substance grise
aunes; un autre continue son trajet di-rect; c'est le faisceau direct moteur du pédoncule cérébral. Le groupe postérieur de fi
upérieurs ; à l'entrée est la coupe des fibres radiculaires des nerfs moteurs oculaires externes ; en avant est la substance gr
constituante de la substance grise du névraxe. 8. — Tronc des nerfs moteurs oculaires communs. Ils ont leur origine apparente
rçoit deux petites saillies qui correspondent à l'origine des nerfs moteurs oculaires externes ; l'extrémité supérieure du si
l'extrémité supérieure du sillon avoisine le lieu d'origine des nerfs moteurs oculaires communs. Plus en dehors est une colon
rdons s'entre-croisent sur la ligne médiane et vont former la portion motrice des pyramides antérieures du bulbe. 27. — Cordo
bstance grise centrale du névraxe. 17. — Noyaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs. 18. — Substance grise des no
le bulbe rachidien sous le nom de pyramides antérieures ou portion motrice , s'cntre-croi-sent plus bas sur la ligne médiane
otubérance annulaire et le bulbe rachidien, où ils forment la portion motrice des pyramides antérieures. 22. — Fibres transve
nnulaire. Elles croisent perpendiculairement les fibres de la portion motrice (23) des pyramides. 24. — Trou borgne de Vicq-d
dien. Sur son bord supérieur sont les fibres radiculaires des nerfs moteurs oculaires communs. L'artère basilaire, résultant
18 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ensibilité, de l'intelligence. 4 ' CLINIQUE NERVEUSE. A. Troubles moteurs . Ce que l'on observe de beaucoup le plus souven
s les modalités d'aphasie peuvent être observées, surtout l'aphasie motrice . Mais c'est l'évolu- tion de ces troubles qui e
très rare d'observer une forme d'aphasie pure, surtout de l'aphasie motrice , sans trace d'aphasie sensorielle, sans trouble
es probablement à l'action du virus syphilitique sur le neu- rone moteur périphérique. Dès cette période aussi on peut n
et- avec une force normale. La paralysie est localisée aux muscles moteurs de la main et des doigts Elle porte surtout sur
s gros de ces anévrismes atteint le volume d'un petit pois. Le nerf moteur oculaire externe gauche lui est accolé, et lors
deur atteindre le faisceau pyramidal pour déterminer des troubles moteurs du. côté opposé, réalisant ainsi une forme d'hémi
' mo/eM te ' Magnan. - De.la sclérose du nerf 'Optique et des nerfs moteurs de l'oeil clans la paralysie générale (Archives
obtenu des résultats positifs par l'extirpation des quatre muscles moteurs de l'oeil inner- vés par l'oculomoteur commun.
tes les cellules nerveuses du noyau en question appartenant au type moteur ont dégénéré, ainsi que les cellules latérales
alisation de chacun des muscles. l- 1° Il n'y a parmi les muscles moteurs de l'oeil innervés par l'ocu- REVUE D'ANATOMIE
ène de déficit de la sensibilité, se produisaient certains troubles moteurs dont la relation avec les lésions accessoires e
ention qui suppriment la fonction d'arrêt du cerveau sur les fibres motrices : la réflectivité médullaire se montrerait alors
dre-axe est dépourvu de ces éléments. Lorsqu'on sectionne un nerf moteur , on observe dans le centre d'origine de ce nerf
au du renflement cervical. L'hémisphère gauche, au niveau du centre moteur du membre supérieur, ne présentait pas d'atrophie
ution de volume des racines postérieures; les collatérales réflexo- motrices sont plus serrées et moins nombreuses que du côté
diminuée du tiers envi- ron ; le groupe antéro-inteme des cellules motrices est bien con- servé ; le groupe postéro-latéral
s fonc- tionnels de l'écorce se traduisant par une moindre activité motrice , un affaiblissement de la sensibilité et des or
le n'a été occupée; sous l'influence du séjour au lit, l'excitation motrice est réduite au minimum, l'excitation de l'intel
primer le spasme en annihilant ou en rédui- sant au minimum l'effet moteur du raccourcissement des muscles : section du st
la section de la moelle épinière ou après l'extirpation des centres moteurs corticaux (chez des chiens et des lapins) on pe
la fin sur les phé- nomènes ischémiques secondaires. A. Troubles moteurs . L'attaque épileptiforme, qui appartient à tout
soriels sont fréquents. La vue est souvent atteinte : soit troubles moteurs par compression des nerfs au niveau de la base
loin un exemple. Ce qui domine c'est l'exci- tation au point de vue moteur , sensitif, intellectuel. Les ictus y sont fréqu
de très vives douleurs dans les reins et les jambes ; aucun trouble moteur , aucun trouble du tangage, mais augmentation des
ment. 126 CLINIQUE NERVEUSE. La malade n'a pas non plus d'aphasie motrice ; elle dit son âge, son nom, le lieu de sa naiss
à ses voisines. On trouve actuellement un certaih degré d'aphasie motrice qui auparavant était masquée par l'état mental. D
ard peut être considéré comme aliéné, les facultés émotionnelles et motrices sont affectées, les idées érotiques sont fréque
e dans le délire, dans le caractère impulsif et la prompte réaction motrice an moindre stimulus : le délire paranoiaque n'e
n de délire, d'hallucination, d'agitation ou au contraire d'inertie motrice , avec ou sans variations marquées de l'état émo
au concours, pour l'aunée 1898, la question suivante : Innervation motrice de l'estomac. Le prix est de quatorze cents fra
l'opi- nion de la paralysie générale débutant par « les cellules motrices et sensitives de la moelle », aussi bien que par
Mais que l'amyotrophie soit consécutive à l'atro- phie des cellules motrices et sensitives des cornes antérieures de la moel
les mêmes symptômes. 3° Au point de vue physiologique les fibres motrices qui descen- dent du cerveau, du cervelet, du mé
plus ou moins complète de la connaissance avec ou sans convulsions motrices . Ces phénomènes sont dus à des toxines résultan
Pal, et ont ainsi relevé l'existence de lésions dans les noyaux du moteur oculaire commun, du moteur oculaire externe, du
'existence de lésions dans les noyaux du moteur oculaire commun, du moteur oculaire externe, du facial, de l'hypoglosse, d
existe des fibres dont la myéline est dégénérée, dans les troncs du moteur oculaire commun, du facial et de l'hypoglosse.
de l'irritation cérébrale qui, limitée dans d'autres cas à une zone motrice , produit l'épilepsie jacksonieune. Ici c'est une
ingués des tremblements qui coexistent avec eux de l'incoordination motrice du tabès, des chorées, des tics réflexe, sympto
ique. V. Les lésions de l'hémisphère gauche, au niveau de la zone motrice , de l'insula, de la région occipitale suffisent à
mes spasmodiqhes en chassant l'excès de sang des cellules nerveuses motrices et, en déterminant, par son action sur le sympa
suivantes : f<). Toutes les sensations et les étals mentaux sont moteurs . b). L'organisme neuro-musculaire entier agit p
lois d'association sont universelles pour tout l'organisme nerveux, moteur aussi bien que mental. d). Nos capacités ins- t
Ils ne sont qu'une manifestation parti- culière de l'incoordination motrice . Ils méritent donc dans la symptomatologie du t
c les mouvements associés, dont la relation avec l'incoordina- tion motrice est moins intime; 2° Comme l'incoordination motri
ncoordina- tion motrice est moins intime; 2° Comme l'incoordination motrice tabétique en général, les mouvements involontai
est important et souvent très difficile de dépister l'ataxie loco- motrice à son début lorsque les gros signes classiques fo
appareils nerveux, les impressions passent directement aux centres moteurs sans aller aux centres supérieurs; « il y a pro
énérale, et la démasquer est chose parfois difficile. Les symptômes moteurs peuvent être identiques. C'est surtout d'après
s formes. 22. Des anesthésies coiiséctitioes aux lésions de la zone motrice corticale ; par Henri Verger L'auteur commenc
va chercher les modifications dans les lésions de la zone corticale motrice . De ses expériences, faites sur des chiens, il
u côté opposé à la lésion corticale, lésion portant sur la région motrice , un défaut d'incitation motrice volontaire et des
icale, lésion portant sur la région motrice, un défaut d'incitation motrice volontaire et des symptô- mes concomitants d'an
Chez l'homme, comme chez le chien, dans les lésions de la zone dite motrice du cerveau, la sensibilité tactile et la sensibi-
97. - Chez l'auteur. - . SANO (G.). Les localisations des fonctions motrices de la moelle épinière. Volume in-8- de 40 pages
termine chez nous des réactions spéciales en rapport avec le côté moteur , des réactions d'ordre psychomoteur qui, à leur t
onscientes. C'est qu'une étroite relation existe entre l'inhibition motrice et l'obnubilation sensorielle; tout obsta- cle
ages perçues » par une sorte d'imitation réflexe. « Ces réactions motrices , faiblement adhérentes au moi, en raison de leu
règle (possession). LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 367 « L'excitation 1 motrice qui se manifeste visiblement dans l'habitude ex
bjets extérieurs, sur l'univers entier... Les états de dépression motrice simple avaient conduit le malade au doute et aux
sidérer les branches latérales du prolongement nerveux des cellules motrices de la chaîne ventrale des invertébrés comme des
n ne vaut d'ailleurs, suivant v. Len- hossék, que pour les cellules motrices de la chaîne ganglionnaire. S'il existe aussi,
r une fonction différente de celle de ces axodentrites des cellules motrices des invertébrés, c'est-à- dire qu'elles devront
lodeudron; le bout central demeure d'abord intact. Que le nerf soit moteur ou sensitif, il n'importe, selon Waller. On peu
es, tels que les faits de c dé- générescence ascendante » des nerfs moteurs , etc. Nissl a démontté 6 de la façon la plus ex
altérations dégénératives. La destruction ultérieure de la cellule motrice dépend de la possibilité ou de l'impossibilité de
dégénération du faisceau py- ramidal, l'état fonctionnel du neurone moteur direct, c'est-à-dire de la cellule motrice de l
at fonctionnel du neurone moteur direct, c'est-à-dire de la cellule motrice de la corne antérieure et de son prolongement ner
onie avec les fonctions propres de ces cellules. Quant aux cellules motrices , la cause ne doit être cherchée ni dans l'action
ssék croit au contraire que, dans la section périphérique d'un nerf moteur , ce qui accélère la destruction de la cellule d
ropage toujours l'excitation dans le sens cellulifuge. Dans le nerf moteur périphérique issu du système nerveux central, l
sur le muscle augmente les points de contact des fibrilles du nerf moteur avec les fibres musculaires. De même dans la tr
que toutes les cellules centrales de ces animaux étaient de nature motrice . On aurait ainsi pu soutenir que les prolongeme
joue- 1 aient un rôle important. Les fibrilles latérales des fibres motrices seraient donc de nature réceptrice (cellules de
s axodendrites se pourraient comparer aux collatérales des cellules motrices uni- polaires des invertébrés, lesquelles sont
diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolongements nerveux moteurs avec celles des prolongements nerveux sensitifs
s d'origine des fibres de la racine supérieure du trijumeau, racine motrice , comme en témoi- ARCHIVES, 2e série, t. V. 25
globuleuses voisines de la racine supérieure du trijumeau, racine motrice (IC&Ililer), elles sont unipolaires ou bipola
e Bi,oiv2-Sequai'd : A. Du côté de la lésion, à gauche : Hémiplégie motrice , hyperesthésie cutanée, anesthésie profonde, pa
gories selon le siège de l'hémisection et les troubles sensitivo- moteurs consécutifs. Il en déduit quatre types. Premier t
consécutifs. Il en déduit quatre types. Premier type : .' Paralysie motrice limitée au membre inférieur; troubles sensitifs
au dessous de la neuvième vertèbre dorsale. Second type : Paralysie motrice et troubles sensitifs remontant au-dessus de la
on peuvent prédominer sur les symptômes de l'hémisection (paralysie motrice bilatérale), par suite de la formation d'épanch
sont pas seulement les faisceaux pyramidaux, les cellules des nerfs moteurs de la corne antérieure, les racines antérieures
Un schéma résume la description. On voit, d'après cela, que loe; ! moteur , comme l'oeil sensoriel, se divise en deux moit
s mouvements latéraux) deux nerfs hémioculo-moteurs : l'hémi-oculo- moteur 406 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
re qu'un effet de contracture, et partant d'immobilisation de nerfs moteurs ordinaires dont l'excita- 1>ilité est très g
urce de leur ataxie et de ralentir la marche de leur incoordination motrice . L'indication devient plus pressante encore dan
u mois d'octobre 1896, elle entre dans un état de grande excitation motrice , avec obnubilation de la conscience et hallucin
juillet obnubilation de la conscience, hallucinations et excitation motrice très grande. On note des altérations dans les p
bres des cellules pyrami- dales de l'écorce atteignent les cellules motrices des cornes anté- rieures de la moelle vers le s
, résultant de la dégénération des fibres arci- formes de la sphère motrice . Discussion. Le professeur KojEwmxow et le Dr M
jambe droite. Quelques mois plus tard vint s'ajouter une paralysie motrice des membres du côté droit avec diminution du se
e diagnostic plus difficile ; BIBLIOGRAPHIE. 423 2° les symptômes moteurs du côté de la moelle ont une valeur diagnostiqu
sphincters. Phénomènes de compression radiculaire; au point de vue moteur , dans le domaine des septième et huitième cervi
il ne les sentait plus. Depuis quinze jours ont débuté les troubles moteurs : d'abord simple diminution de force, puis parési
exécute bien tous les mouve- ments commandés : pas d'incoordination motrice . Pas de troubles de la sensibilité objective. P
sser en avant horizontalement entre les sixième et septième racines motrices cervicales ; en arrière, elle s'élève moins hau
e recherchée plus haut, sur le faisceau pyramidal pour les troubles moteurs , sur les voies sensitives intra- médullaires po
eints d'une façon précoce, il y a quelquefois de l'incoordi- nation motrice au début, souvent des troubles de la sensibi- l
aymond, Ballet, Abbe, Bennett, Cbipault, etc., etc. Au point de vue moteur la paralysie se localisait exactement des deux
quelques fibres venues des racines situées plus haut. Le territoire moteur des cinquième et sixième cervi- cales étaient i
on- tractions réflexes, preuve de l'intégrité de l'arc sensitivo- moteur . 1 L'autopsie nous montra que leslésions remont
est encore, quoi qu'on en ait dit, l'existence de l'incoordination motrice (en dehors des cas où celle-ci est sous la dépe
annihilé, ne peut plus ni s'assi- miler ni inhiber les excitations motrices qui viennent à se produire. De là, les idées de
, t. V, 1815 et 1833. 4G2 PATHOLOGIE MENTALE. tique aux réactions motrices qui font articuler automatique- ment des blasph
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LXXIX. Les noyaux des neufs moteurs de L'OEIL (moteur commun, moteur externe et pat
GIE PATHOLOGIQUES. LXXIX. Les noyaux des neufs moteurs de L'OEIL ( moteur commun, moteur externe et pathétique) cr leurs
ES. LXXIX. Les noyaux des neufs moteurs de L'OEIL (moteur commun, moteur externe et pathétique) cr leurs connexions; par B
iées de cerveaux de foetus et de nouveau-nés, l'auteur admet que le moteur commun possède quatre noyaux, deux principaux,
rincipal, s'entrecroisent et constituent les fibres postérieures du moteur commun. Il est hors de conteste qu'une partie d
de la bandelette longitudinale postérieure se perd dans le noyau du moteur commun. Le reste, à partir du segment antérieur
e et que Daikscliewitscli considérait comme le noyau supé- rieur du moteur commun. Le noyau du moteur commun reçoit, en ou
onsidérait comme le noyau supé- rieur du moteur commun. Le noyau du moteur commun reçoit, en outre, les fibres profondes d
e longitudinale postérieure, que certain. ! auteurs rat- tachent au moteur commun ; mais on peut suivre sur le cerveau du
l'entrecroisement total du pathétique. Pour ce qui est du noyau du moteur externe, l'embryologie permet d'affirmer qu'il
s. Bien des obscurités subsistent sur les connexions des noyaux des moteurs externe et commun. Duval et Laborde ont attiré
l'attention sur l'existence des fibres qui se dirigent, du noyau du moteur externe, sous le plancher du quatrième ventricu
externe, sous le plancher du quatrième ventricule vers le noyau du moteur com- mun opposé. Mais ces recherches n'ont pas
En raison de l'entrecroisement partiel non douteux des racines du moteur commun, certains auteurs ont pensé que ces deux n
la bande- lette longitudinale postérieure. En tout cas, du noyau du moteur externe parlent un assez grand nombre de libres
elette du côté opposé. Sans doute, ces fibres relient les noyaux du moteur externe et du moteur commun du côté opposé. Du
. Sans doute, ces fibres relient les noyaux du moteur externe et du moteur commun du côté opposé. Du noyau du pathétique s
nt aux mouvements associés des pupilles. Enfin, entre les noyaux du moteur commun, on trouve un système défibres d'asso- c
s ou chroniques de l'enfant ou de l'adulte et dans les polynévrites motrices ; des plaques motrices terminales dans certaines
nfant ou de l'adulte et dans les polynévrites motrices; des plaques motrices terminales dans certaines auto-intoxications dans
l'arc cérébral sur l'arcmédullaire. Seules, les lésions- du neurone moteur de cet arc sont conuues : lésions soit primitiv
use, par suite de l'affinité de la toxine télanique pour le neurone moteur . La symptomatologie du tétanos est en rapport i
re des centres psycho-moteurs. Dans notre écriture actuelle, l'acte moteur est sous la dépendance directe du langage oral in
pour le langage écrit. Eu effet, l'agraphie accompagnant l'aphasie motrice est due aux trou- bles de l'élément phonétique
us besoin d'employer les images visuelles graphiques; les souvenirs moteurs suffisent à diriger sa main; il a pu perdre sa
existe donc un trouble de conductibilité dans le domaine du centre moteur de la parole. Pas d'hémianopsie; pas de pertur-
erveau; s'il est cortical, il y a coparticipation soit de la région motrice du bras, soit de la région pariétale. L'atteinte
ux hémisphères cérébraux, et en particulier à l'écorce de la région motrice , comme pour les attaques convulsives toxhé- miq
lsif dans la protubérance, il y a des éléments mo- teurs. Le centre moteur qui existe au niveau de la partie supé- rieure
niques comme celle qui résulte de l'excitation des zones corticales motrices . Cela ne veut pas dire que les convulsions clon
n cérébrale, même chez les animaux privés de leurs zones corticales motrices ; on les observe encore quand on excite des ter
ion ra- pide, caractéristiques de l'irritation des zones corticales motrices , ne peuvent être engendrées ni par l'excitation
érébrale, on constate : a) La dégénérescence des fibres des racines motrices et sensitives jusqu'aux noyaux correspondants;
res; la plupart d'entre elles gagnent en bas les fibres des racines motrices avec lesquelles elles quittent le cerveau; quel
lles elles quittent le cerveau; quelques-unes entrent dans le noyau moteur et se distribuent aux cellules de ce dernier. 4
ligne médiane du côté opposé, vont des deux côtés du raphé au noyau moteur . Ce sont peut-être les fibres des pédoncules cé
ons que les convulsions partielles indiquent seulement que l'écorce motrice se décharge, mais rien de plus. Le fait cepen-
ux fonctions sensibles et sensorielles, aussi bien qu'aux fonctions motrices . Hughlings-Jackson. Lectures on thedia- ? <M :
ques et cloniques, ceux 506 BIBLIOGRAPHIE. qui partent de la zone motrice ou des parties avoisinantes, et doivent servir
tendant aux autres groupes dans l'ordre que la position des centres moteurs de l'écorce leur. indique, sans une faute dans
ue sous l'in- fluence d'une lésion siégeant directement sur la zone motrice . D'où l'indication absolue de l'intervention.
Viennent ensuite toutes les tumeurs corticales situées dans la zone motrice , les cicatrices fendant l'écorce mo- trice. Là
on. Lorsque la lésion est située à la partie postérieure de la zone motrice , l'aura sensitive précède les convulsions unila
. Une troisième inter- vention est décidée et, en explorant la zone motrice , M. Winkier trouve au niveau du lobule pariétal
ation de ce premier foyer, qui peut être situé en dehors de la zone motrice , que dépend le résul- tat de l'opération. Ain
e. Lantzenberg (Edgar-Isaac). Contribution à l'étude de l'aphasie motrice . Legay (Joseph-Ferdinand-Marie). Contribution à l
, 2e série, t. V. Anesthésies consécutives aux lésions de la zone motrice corticale, par Verger, 348. Anévrysme de la b
19 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
es sur une nouvelle propriété démontrée par la pathologie, l'aptitude motrice indépendante de la vue, appelée par l'auteur cons
De la valeur de la faradisation de la corde du tympan et des muscles moteurs des osselets appliquée au traitement de la surdit
ité nerveuse par la faradisation de la corde du tympan et des muscles moteurs des osselets (Bull, de thérap., 1861). De l'éle
hysionomie produits par les passions, sans se préoccuper cle ses lois motrices , et il en est d'autres qui ont essayé d'analyser
s autres travaux. Attribuant en effet à la cinquième paire une action motrice semblable à celle de la septième paire, il a plac
yé après lui par les auteurs pour arriver à re connaître les agents moteurs qui président à telle ou telle expression. Eh bie
effet, j'avais remarqué que le mouvement partiel de l'un des muscles moteurs du sourcil produisait toujours une expression com
du grand zygomalique et cle Yorbicu-laire inférieur (l'un des muscles moteurs de la paupière inférieure), sont des expressions
les jusqu'à un point de la moelle correspondant à l'origine des nerfs moteurs du membre excité, de manière à réagir sur certain
— et cela seulement par la contraction partielle de l'un des muscles moteurs du sourcil! —la réflexion, le plus important, le
aire de la colère. Fil.. 2. 2. — Préparation anatomique des nerfs moteurs de la face (de la septième paire). — II. Filet mo
ique des nerfs moteurs de la face (de la septième paire). — II. Filet moteur du frontal. — I. Filet moteur (la sourcilier. —
e (de la septième paire). — II. Filet moteur du frontal. — I. Filet moteur (la sourcilier. — F. Filet moteur de l'orbiculair
let moteur du frontal. — I. Filet moteur (la sourcilier. — F. Filet moteur de l'orbiculaire palpébral supérieur. •— ,F. File
— F. Filet moteur de l'orbiculaire palpébral supérieur. •— ,F. Filet moteur du pal-pébral supérieur.—,1. Filet moteur du palp
ral supérieur. •— ,F. Filet moteur du pal-pébral supérieur.—,1. Filet moteur du palpébral inférieur. — K. Filet moteur de l'
bral supérieur.—,1. Filet moteur du palpébral inférieur. — K. Filet moteur de l'orbiculaire palpébral inférieur. — b. File
— K. Filet moteur de l'orbiculaire palpébral inférieur. — b. Filet moteur du grand zygomatique. — c. Filet moteur du petit
ébral inférieur. — b. Filet moteur du grand zygomatique. — c. Filet moteur du petit zygomatique. —Q. Filet moteur de l'éléva
grand zygomatique. — c. Filet moteur du petit zygomatique. —Q. Filet moteur de l'élévateur propre de la lèvre supérieure. —M.
Filet moteur de l'élévateur propre de la lèvre supérieure. —M. Filet moteur du transverse du nez. — L. Filet moteur de l'élév
a lèvre supérieure. —M. Filet moteur du transverse du nez. — L. Filet moteur de l'élévateur commun de la lèvre supérieure et d
eur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez. — N. 0. Filets moteurs de l'orbiculaire des lèvres. — R. Filet moteur du
u nez. — N. 0. Filets moteurs de l'orbiculaire des lèvres. — R. Filet moteur du carré du menton. — P. Filet moteur de la houpp
iculaire des lèvres. — R. Filet moteur du carré du menton. — P. Filet moteur de la houppe du menton.— — F. Filet moteur du pea
arré du menton. — P. Filet moteur de la houppe du menton.— — F. Filet moteur du peaucier. — D'. Tronc du facial à sa sortie de
Branche temporo-faciale. — E. Branche cervico-faciale. — A. B. Filets moteurs des muscles auriculaires postérieur et supérieur.
moteurs des muscles auriculaires postérieur et supérieur. — C. Filet moteur du muscle occipital. — S. Branche au-riculo-tempo
l. — S. Branche au-riculo-temporal de la cinquième paire. — T. Rameau moteur des muscles orbiculaire inférieur des lèvres, car
a que l'on arrive à ce résultat en excitant partiellement les organes moteurs de la face dont la principale fonction est de pei
ativement à ceux qui sont produits par l'électrisation localisée. Les moteurs du sourcil sont, de tous les muscles expressifs,
aussi fait mouvoir individuellement, parla faradisation, les muscles moteurs de son sourcil, et j'ai constaté que les mouvemen
o-physiologique pratiquée à la face, les points d'immersion des nerfs moteurs de la face. — On les voit sur la figure 2, où les
eurs de la face. — On les voit sur la figure 2, où les filets nerveux moteurs des muscles de la face ont été disséqués avec le
osant l'un des rhéophores au niveau du point d'immersion de son filet moteur (H, fig. 2), comme dans les figures?, 8, 9, 10, 1
rontal droit a été excité modérément, par l'intermédiaire de son nerf moteur (H, fig. 2), au moment où la physionomie était au
uvoir en sens contraire. Cependant, malgré son empire sur les muscles moteurs de son sourcil, sa volonté n'exerce pas la moindr
ourcil est très mobile en tout sens et obéit facilement à ses muscles moteurs . On a vu dans le paragraphe précédent avec quel
ce muscle un plus grand nombre de figures que pour celle des muscles moteurs du sourcil.) A. — mécanisme. Le sourcilier (0
e supérieur, ne peut être excité que par l'intermédiaire de son filet moteur , en dehors des fibres les plus excentriques de l'
isation du courant avait été limitée exactement dans le filet nerveux moteur du sourcilier. Le rhéophore a touché quelques-une
on partielle, une expression qui leur est propre: ce sont les muscles moteurs du sourcil. » 11 n'y avait que l'analyse anatom
représentées dans les figures destinées à l'étude des autres muscles moteurs des sourcils. Il me reste à en compléter la démon
considérations générales qui précèdent l'étude partielle des muscles moteurs de la face. La môme expérience, faite sur les a
EXPLICATION DE LA LÉGENDE. A. — Mécanisme. L'immersion du filet moteur (b, fig. 2) du grand zygoma-tique se fait un peu
le pôle positif, a été posé au-dessous du point d'immersion du filet moteur du grand zygomatique, afin que la contraction mus
icile ; car le courant électrique rencontre souvent un ou deux filets moteurs qui se rendent à un faisceau musculaire voisin, l
érieure du grand zygomatique, sur le point où doit s'immerger le nerf moteur de ce muscle ; ce dernier s'est contracté en prod
contractés ; ce qui ne peut avoir lieu que par l'excitation du filet moteur de ces muscles. 11 m'eût été facile d'éviter ce f
rser l'épaisseur du muscle; car il arriverait jusqu'au rameau nerveux moteur qui anime les muscles de la houppe du menton, le
ce externe de l'os malaire; c'est également là que s'immerge le filet moteur de ce muscle (voy. K, fig. 2). Du côté droit de
élévateur propre de la lèvre supérieure (voy. G, fig. 2), et le filet moteur (voy. L, fig. 2) de ce muscle, sont sous-cutanés.
e la lèvre supérieure (H, fig. 1), vers le point d'immersion du filet moteur (L, fig. 2) de ce muscle. On voit que l'aile du
e. Les abaisseurs de la mâchoire inférieure et leurs filets nerveux moteurs , étant recouverts par le peaucier, ne peuvent êtr
pour les faire apparaître, d'associer le peaucier à l'un des muscles moteurs du sourcil. En voici la preuve expérimentale. L
riences représentées sur les figures consacrées à l'étude des muscles moteurs du sourcil, ne tardera pas à reconnaître que mes
ils de ces antiques, peuvent s'expliquer par le mécanisme des muscles moteurs du sourcil. Évidemment, d'une part, les lignes
ts cruels d'un assassin. Tel n'est pas l'état dynamique des muscles moteurs du sourcil, chez la jeune fille que j'ai choisi
20 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
st un peu traînante, mais on n'observe aucun symptôme d'aphasie, ni motrice , ni sensorielle. Par contre il lui est impossib
AUCHE 3 la force musculaire est partout conservée. L'incoordination motrice est générale. En particulier les mouvements de
ité au contact) sont plus faibles que les gauches. L'incoordination motrice est générale, très prononcée des deux côtés dan
le cérébelleux moyen. Ctrap, corps trapézoide. NVI, noyau du nerf moteur oculaire ex- terne. Fli), faisceau longitudin
coeruleus). fMtY, fibres de la Ve paire de Meynert. NmV, noyau moteur de la V paire. NsV, noyau sensitif du trijumeau
teur de la V paire. NsV, noyau sensitif du trijumeau. /mV, fibres motrices sectionnées du triju- meau. V,s, racine sensi
mince à gauche qu'à droite, du reste normale. Les noyaux des nerfs moteurs oculaires communs ainsi que leurs filets radicu
16 P. LADAME ET C. MONAKOW contact était partout conservée. Le nerf moteur oculaire externe était atteint d'un certain deg
s apoplectiformes. De tous les nerfs crâniens l'abducens et le nerf moteur oculaire commun en partie furent seuls troublés
traduit-il de tout autre manière. Ce n'est plus le réflexe purement moteur qui fait brusquement détendre le bras du turbul
droite). Comment donc comprendre qu'elle ait pu épargner les nerfs moteurs de l'oeil ? J'avoue que je ne trouvais pas de r
autopsie ? L'autopsie a dit que la tumeur chevauchait sur les nerfs moteurs oculaires. Elle a dit plus ; elle a dit que les
mule clinique et anatomique de cette complication de l'ataxie loco- motrice . Il en montrait la fréquence dans les grosses art
issement allant jusqu'à l'atrophie des membres. Légère incoordination motrice des membres supérieurs. Craquements articulaire
lle est totalement im- possible, les yeux fermés : l'incoordination motrice est telle que la malade me- nace de tomber. L
ents. Il existe un léger degré d'in- 140 JEAN ABADIE coordination motrice dans la motilité de ces membres insuffisant pour
eur Grasset, qu'il y a place, à côté des labes sensitifs, des tabes moteurs et des tabes mixtes sensitivo-mo- teurs, pour d
ingite, adénite, etc...), d'autre part, des polynévrites sensitivo- motrices aiguës ou subaiguës que t'expérimentation-et l'ex
ne qu'il sécrète. C'est donc dans toutes ses parties constitutives, motrice et sensi- tive, centrale et périphérique, que l
roubles trophiques. En résumé, le malade est atteint de polynévrite motrice des membres supérieurs à prédominance dans le ter
s'atténue et le malade engraisse à vue d'oeil. Mais les trou- blès moteurs s'amendent moins rapidement. En octobre 1899, la-
tenu une amélioration aussi bien de l'état général que des troubles moteurs . M. le docteur Huet a bien voulu pratiquer il p
moiiielit-là,c'est- à-dire deux mois après l'apparition de troubles moteurs , apparition de syphi- lides de la peau et des m
frictions mercurielles ; l'éruption cutanée disparaît, les troubles moteurs s'amendent de telle façon que le 1er janvier 1896
des mains, de l'avant-bras droit avec secouse fibrillaire. Troubles moteurs prédominant du côté gauche du corps. Améliorati
parésie des jambes et engourdissements et élancements. Les troubles moteurs vont en s'aggravant progressivement. Steppage.
par l'injection de salicylate de mercure. Exagération des troubles moteurs . Parésie des 4 membres avec abolition des réflexe
tre l'existence d'une polynévrite avec état vacuolaire des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle. 08S. Xi
participation des racines antérieures se traduit par des paralysies motrices diverses. A l'autopsie, absence de toute cause
leau clinique est souvent complexe. Avant l'apparition des troubles moteurs , le malade peut être syphilitique et auto-intoxiq
effet, créer, en dehors de tout accident, hystérique, des troubles moteurs sous la forme de névrites multiples chroniques
ou aiguës. En 1887, Letulle par- ticulièrement étudié les troubles moteurs de l'hydrargyrisme chronique, névrites dissocié
teurs n'in- sistent pas sur la possibilité d'apparition de troubles moteurs . Sur 8.000 vérolés traités par des injections d
ections de sublimé, Lewin a observé seulement une fois des troubles moteurs imputables à une névrite ; c'était un cas de sc
toxication est suraiguë et pour expliquer l'apparition des troubles moteurs , il faut faire la part des lésions hépatiques e
rites périphériques la présence de lésions cellulaires des cellules motrices mé- dullaires, altérations visibles par la méth
Etienne, enfin nos deux cas personnels, chez lesquels les troubles moteurs ont fait leur apparition avant le traitement me
e 1er malade voit son chancre induré le 1er mai, et les acci- dents moteurs surviennent le 15 mai, dans cet intervalle il n'a
E SYPHILITIQUE 165 piqûres de peptonate qui améliorent les troubles moteurs . Quant au 2° malade, on ne découvre la syphilis
on ne découvre la syphilis qu'au mois de décembre, et les troubles moteurs ont apparu le 15 octobre,un mois après le chancre
aires et qu'on est dès lors très porté à faire rentrer les troubles moteurs observés dans ce même groupe. Notre malade n'a pr
deux cas sont des exemples d'une polynévrite presque exclusivement motrice . Les troubles moteurs se sont installés rapidem
mples d'une polynévrite presque exclusivement motrice. Les troubles moteurs se sont installés rapidement avec quelques fourmi
riel. Ainsi la polynévrite syphilitique a évolué sous trois formes, motrice , sensitivo-motrice, pseudo-labétique. Tous les
médullaires, en somme poly- névrite radiculaire. Enfin les troubles moteurs ont cédé plus ou moins rapidement au traitement
d'interpréter le rôle de la moelle dans la production des troubles moteurs . Sans aborder ici une discussion encore ouverte
ore ouverte de nos jours sur l'influence réciproque de la cel- lule motrice antérieure et du cylindraxe qui en émane, sur la
à penser que dans l'espèce notre malade est atteint de polynévrite motrice , sans préjuger d'ailleurs de l'influence qu'a p
'a pu avoir une altération même dynamique de la cellule moellulaire motrice sur les altérations de son cylindraxe. Mais de
ob- serve dans la paralysie alcoolique, constater que dans la fonde motrice à début par le bras le long supinateur n'est pa
affirmer la nature alcoolique, saturnine, diphtérique des troubles moteurs , ne fait que res- treindre sans le résoudre le
de signe clinique différentiel ni dans la physionomie des troubles moteurs , ni dans les réactions électriques, puisque Etien
oivent jouer un rôle très secondaire dans l'apparition des troubles moteurs . Si des examens venaient confirmer cette propos
u côté de l'oeil, il y avait 1 paralysie totale et complète du nerf moteur oculaire commun : chute de la paupière supérieu
intact : l'un occupe le noyau rouge et coupe les fibres de l'oculo- moteur , l'autre occupe le quart interne du pied du pédon
iveau du quart interne du pied du pédoncule. Les noyaux des nerfs moteurs oculaires communs sont respectés. Les cellules
s.) A, Coupe pédonculo-protubérantielle (Méthode de Pal). B, Nerf moteur oculaire commun gauche, sain (Méthode de Pal).
le pédoncule droit, le foyer coupe à peu près toutes les fibres du moteur commun, et quelques fibres seulement du faisceau-
minime partie du faisceau pyramidal et effleure quelques libres du moteur oculaire. Or, il y avait hémiparésie droite et pa
angue un peu déviée à gauche. Pas d'embarras de la parole. Appareil moteur . Le malade fronce plus difficilement le front du
lle peut être complète, incomplète, alterne. On trouve les troubles moteurs à tous les degrés et avec leurs variantes ; les r
ecouvré en partie sa connaissance, mais elle présente une apha- sie motrice presque complète. Lorsqu'on l'interroge, elle rem
alysie faciale. Lemembre supérieur droit estlesiège d'une paralysie motrice complète,aucun mouvement des doigts de la main,
état absolument normal. Du côté droit il n'y avait pas de paralysie motrice , mais une perte définitive de la sensation pour
u ; son passage par conséquent devant n'être suivi d'aucun symptôme moteur . Supposons alors, que pour une cause ou pour un
ments d'oreilles, ni troubles de la vue, ni troubles sen- sitifs ou moteurs dans les membres. Mais il est attristé par sa mal
e faire que très rarement des retours offensifs. L'incoordination motrice est allée s'accusant de plus en plus au point que
érieurs est normale : il existe cepen- dant un peu d'incoordination motrice . LES OSTÉO-ARTHROPATH1ES VERTÉBRALES DANS LE TA
our les empêcher. Il n'existe pas la moindre trace d'incoordination motrice dans les membres supérieurs. Aux membres infé
ttique. Signes non douteux de tabes avec très légère incoordination motrice des membres inférieurs. Pas de déviation de la
se palpébrale véritable, sans strabisme, sans paralysie des muscles moteurs du globe oculaire. Quelque temps après, elle a de
e est relativement grande. Il n'existe pas du tout d'incoordination motrice dans les membres supérieurs. La marche est très
es dans les membres inférieurs bientôt suivies d'une incoordination motrice sans cesse progressive. Sept ans après, la marc
colonne vertébrale. Signes évidents de tabes. Légère incoordination motrice des membres inférieurs. Déviation de la colonne
rs. La force musculaire est bien conservée, mais une incoordination motrice z assez accentuée existe dans les membres infér
A 54 ans, troubles vésicaux. Signes de tabes. Peu d'incoordination motrice des membres inférieurs. Depuis une quinzaine d'
oindre trou- ble trophique, et n'offrent pas trace d'incoordination motrice . La cuisse droite est aplatie d'avant en arrièr
. La marche est possible, le malade présente peu d'incoor- dination motrice des membres inférieurs : elle s'exécute, le corps
indiscutable (1). Elle nous autorise en outre à affirmer la nature motrice ou sensible des noyaux, affirmation, du reste,
hromes n'entrant pas dans la composition des ganglions etdes noyaux moteurs du pneumogastrique. Le neurone. Les neurones
dans son rapport de Moscou, et ce qui les différencie des cellules motrices , c'est la forme spéciale sous laquelle s'y présen
neurone » (1). La substance chromatique se trouve dans les cellules motrices et dans les cellules des ganglions spinaux, qui
a réparation les cellules ayant toutes les apparences d'une cellule motrice normale. On peut encore se convaincre de ce fai
ection de leur axone. On trouve alors très fréquemment des cellules motrices à des degrés divers de la dissolution de leur s
près van Gehuchten (1), ce cône peut faire défaut dans les cellules motrices . Nous devons dire tontefois que nous l'avons tr
trouvé à peu près cons- tamment, dans les grosses cellules du type moteur de la formation réticu- lée du bulbe et dans le
cellule par une réaction trop violente. Les cellules des neurones moteurs réparent leur réserve chromatique plus facileme
te cellule (la cellule sensitive) parcourt donc, comme la cel- lule motrice , et même plus rapidement que cette dernière, la p
iffère suivant les cas. La chromatolyse est autre dans les neurones moteurs et dans les neu- rones sensitifs. Elle n'est
vée d'un des pariétaux sont rares, cependant la proximité des zones motrices corticales pourrait expliquer une paralysie. D'ha
es branches une collection qui agit par com- pression sur les zones motrices et sur le centre de la parole. D'où : hémi- plé
e des hémiplégies consécutives et des convulsions puisque les zones motrices corticales sont comprimées. Au point de vue d
toire et si la lésion gagne du ter- rain, on peut voir les troubles moteurs s'accentuer et s'étendre. Il paraît difficile d
ubles psychiques (région antérieure de la capsule), de paralysie du moteur oculaire commun (lésion des fibres radiculaires d
gine centrale. On exprima la probabilité d'une lésion des faisceaux moteurs depuis le centre psychomoteur jusqu'au centre sem
expé- riences, nous verrons combien souvent à côté de la paralysie motrice sur- vient l'hémianopsie. Les corps étrangers
e par conséquent un passage ne devait être suivi d'aucun symp- tôme moteur ». L'auteur suppose qu'une inflammation est surve
qu'une inflammation est survenue qui a fini par atteindre la partie motrice de la capsule. Pour les auteurs anglais (observ
e située en haut du sillon de Rolando et un peu en arrière. La zone motrice est donc touchée, précisément dans la région de
ylvienne gauche. Ce foyer se propageant de bas en haut dans la zone motrice , expliquerait successivement l'aphasie et la paré
un. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 395 point correspondant au centre moteur de la jambe et du bras..... On opéra après éthé
afin d'enlever l'héma- tome diagnostiqué comme causant les troubles moteurs et sensitil's par compression. L'hémiplégie t
les manoeuvres que nous avons signalées plus haut. Tous ces actes moteurs entraînent une grande fatigue, d'où une paresse a
lgurantes, nous les avons vues d'autre part précéder les trou- bles moteurs ou bien apparaître après la confirmation de l'ata
incertitude de leur marche et rapportent le tout à l'incoordination motrice sans cesse crois- sante. Le début ne s'annonce
urner en dedans. Tous les autres muscles de l'oeil, innervés par le moteur oculaire com- mun gauche; sont paralysés. Les
et gauche, paralysie complète de toutes les autres branches du nerf moteur oculaire commun ; amblyopie congénitale de l'oe
e, qui date de six ans. Cette maladie commença par une paralysie du moteur oculaire commun gauche, avec la déviation du bu
ion isolée, autonome des noyaux. Le fait que toutes les branches du moteur oculaire commun de gauche sont atteints ne peut
cas. La maladie débuta, il y a déjà six ans, par la paraly- sie du moteur oculaire commun, se développa graduellement jusqu
tes qui passent auprès de la surface de l'écorce cérébrale. 3. Zone motrice du côté gauche. a) Région supérieure. - Sur bien
rmation bien plus marquée dans les lobes frontaux et dans la région motrice gauche, que dans les lobes occipitaux. Dans le lo
me, par exemple, sur celles du lobe frontal et surtout de la région motrice , on voyait une imprégnation d'un nombre considé
cations sont les mêmes que celles dans le lobe frontal. C) Région motrice . - a) Partie supérieure. - Pour l'examen on prit
lement il y a ici bien moins de foyers de ramollissement. C) Région motrice (médiane et inférieure). - A l'examen sous le mic
des deux hémisphères, nous voyons que les préparations de la région motrice gauche diffèrent le plus des autres préparations.
re; en outre il faut encore remarquer que par places dans la région motrice gauche nous avons rencontrer assez souvent des fo
nt l'apparition d'une masse de glo- bules granuleux. Dans la région motrice droite il y avait comparativement peu de fibres
té de nous assurer, que les fibres dégé- nérées allant de la région motrice de l'hémisphère gauche descendent par les parti
ns déjà vu la dégé- nérescence à l'examen des morceaux de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substance sous-c
essortant sur un fond plus clair d'une forme irrégulière.-c) Région motrice .- Pour l'examen furent pris six morceaux. On pe
ns un degré bien plus faible. Là, sur les préparations de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substance blanche
e envisagée comme la continuation de la dégénérescence de la région motrice de l'écorce cérébrale. Dans ce cas aussi on a n
peu près deux ans après le commencement de la maladie. Les troubles moteurs étaient beaucoup plus prononcés dans le cas premi
s voies conductrices spinales, etc. Dans le cas second les troubles moteurs étaient moins mar- qués et correspondamment à c
dégénérescence secondaire des voies pyramidales, qui va de la zone motrice de l'écorce cérébrale et qui peut être constatée
ière catégorie de ces cas fait attention à l'existence des troubles moteurs chez les malades (des paralysies, des parésies,
, comme nous l'avons vu plus haut, souligne la liaison des troubles moteurs avec l'intensité de la dégénérescence secondaire
plus la paralysie générale a duré et plus il y avait de trou- bles moteurs , plus les dégénérescences secondaires seront éten
ans la symptomatologie si riche et si variée du tabes, des variétés motrices , sensitives, trophiques et mixtes, supérieures
ues faits de traumatisme direct ou indirect, de fatigue des muscles moteurs de la colonne vertébrale, de surmenage physique g
ues. Cependant nos observations ont trait à des cas de tabes plutôt moteurs que sensitifs. De plus, beaucoup d'entre elles
ordose dorso-lombaire permanente. Enfin celui dont l'incoordination motrice des membres inférieurs domine, surveille la fol
sante pour motiver une conclusion ferme soit en faveur de la nature motrice ou sensible du noyau en question, soit en faveur
e avec enfoncement du crâne du côté droit, précisément dans la zone motrice . Il avait reçu un morceau de charbon tombant dans
che est encore notablement plus faible que le droit, sans excitations motrices , la main gauche est plus froide et sue plus fac
hile. J'ai trouvé, en outre, dans certaines cellules radiculai- res motrices des corpuscules brillants ayant habituellement la
ne aphasie des centres portant sur les noyaux bul- baires des nerfs moteurs des yeux. Lucanus (1886) admet dans son cas la
ièrement normaux. Iteubner'a, d'autre part, observé des névrites du moteur oculaire commun d'origine intra- utérine (peut-
ment des noyaux bulbaires qui président au fonctionnement des nerfs moteurs des yeux ; les autres (Schenkl, Becker et Heuck s
erveux. Pas de troubles, intellectuels. Motricité.- Pas de troubles moteurs notables dans les membres supérieurs ; tout au
équente dans les syrin- gomyélies était à son maximum. Les troubles moteurs se réduisaient à une paraplégie spasmodique ave
que des nodules fibromateux intéressent le nerf optique droit et le moteur oculaire externe gauche. L'existence de trouble
e se manifeste dans les cellules sensitives comme dans les neurones moteurs . Nous nous demanderons ensuite si la chromatoly
qu'à présent que la chromatolyse surgit chaque fois qu'un neu- rone moteur ou sensible, central ou périphérique, se trouve l
(1) Marinesco, Contribution à l'élude des noyaux, sections des noyaux moteurs dans la moelle épinière. Revue neurologique, 30
res savants ont déterminé exactement les noyaux d'origine des nerfs moteurs et Forel en particulier avait déjà reconnu en 188
yse se manifeste dans les cel- lules sensibles et dans les cellules motrices à la suite d'une lésion quelcon- que du neurone
se manifeste-t-il dans les cellules sensibles et dans les cellules motrices ? La chromatolyse se manifeste aussi bien dans
ifeste aussi bien dans les cellules sensibles que dans les cellules motrices à la suite d'une lésion quelconque de leurs pro-
iste donc une différence profonde entre la manière dont une cellule motrice de la corne antérieure de la moelle et une cell
ue. Ce trouble cellulaire est même plus précoce que dans la cellule motrice . Il augmente insensiblement jusqu'au 15e jour apr
our après la section. Cette cellule parcourt donc, comme la cellule motrice , et même plus rapi- dement que cette dernière,
ration existent dans les cellules sensibles aussi bien que dans les motrices . On est ainsi arrivé à pouvoir reconnaître la n
s. On est ainsi arrivé à pouvoir reconnaître la nature sensitive ou motrice du noyau d'origine d'un nerf par les différence
arachevée, aussi bien dans les ganglions noueux que dans les noyaux moteurs de la moelle allongée. - Pour Marinesco, la s
ions des auteurs précédents concernent essentiellement les celiules motrices . Dans nos expériences nous avons constaté le mê
dans les cellules des ganglions noueux comme dans celles des noyaux moteurs . Chez les chats, en effet, nous avons trouvé au
, nous avons trouvé au 118e jour une réparation complète des noyaux moteurs . D'autre part le ganglion plexiforme répa- rait
la résection du vague dans les cellules sensi- bles comme dans les motrices . Le processus de désagrégation et de dissolutio
dant. Nous avons fait cette constatation aussi bien pour les noyaux moteurs que pour les gan- glions plexiformes. ' Nous
es phénomènes de réparation dans les cellules sensibles et dans les motrices . Le phénomène de réparation des pertes de subst
ord sur la constance du phénomène de répa- ration pour les cellules motrices . Cette réparation, cependant, ne peut pas avoir
e saurait donc devenir un caractère dis- tinctif entre les cellules motrices et les sensibles, comme on l'avait cru au premi
inguer les noyauxmo- teurs des noyaux sensibles par le fait que les moteurs réparaient leurs pertes, tandis que les sensibl
entôt que les cellules sensibles réparaient leurs lésions comme les motrices et que les motrices pouvaient disparaître sans pa
es sensibles réparaient leurs lésions comme les motrices et que les motrices pouvaient disparaître sans passer 654 CHAULES L
paration des cellules s'effectue de la même façon pour les neurones moteurs et sensibles, il n'y a de différence que dans le
é constatée depuis longtemps. Van Gehuchten dit que si des cellules motrices disparaissent, ce n'est qu'acci- dentellement,
araissent, ce n'est qu'acci- dentellement, car il a vu les cellules motrices lésées revenir insensible- ment à l'état normal
i nous étudions attentivement, dans la série des coupes, les noyaux moteurs dorsal et ambigu, il est impossible d'y trouver u
V AY. Gehuchten, Contribution à l'élude des localisations des noyaux moteurs dans la moelle lombo-sacde el de la vacuolisati
st un phénomène constant pour les cellules sensibles comme pour les motrices . 7. Les cellules sensibles sont plus rapidement
21 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ra- lysie générale doivent être séparés de ceux de l'ataxie loco- motrice malgré certains points de ressemblance. La diffé-
on verra qu'il y a eu de la paraplégie, mais pas d'incoordination motrice , pas de douleurs fulgurantes, pas d'abolition des
es parait normal; cependant sur certaines préparations les cellules motrices sont peu nom- breuses. Les cornes postérieures
autre intérêt que d'établir un rapprochement entre l'ataxie loco- motrice et la paralysie générale, s'il ne venait en conco
p- porte à l'hôpital dans un état semi-romateux avec des troubles moteurs et sensitivo-sensoriels qui font croire à une hém
tré une lésion profonde à conlouis bien définis intéressant la zone motrice gauche, sans aucune lésion des autres parties d
sque la destruction du centre de Broca avait bien produit l'aphasie motrice . Il faut donc admettre que la localisation du c
sont les mêmes centres qui prési- dent aux fonctions sensitives et motrices , que ces centres méritent le nom de sensilivo-m
des zones sensitives ne sont pas aussi nettes que celles des zones motrices , qu'elles dé- bordent ces derniers pour ainsi d
brales, particulièremen. en ce qui concerne les différents centres ( moteur verbal, moteur graphique, sensoriel-acoustique,
lièremen. en ce qui concerne les différents centres (moteur verbal, moteur graphique, sensoriel-acoustique, sensoriel-visu
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion cérébrale : hémiplégie purement motrice ou compliquée de troubles sensitifs et sensorie
es de Duret, parmi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du moteur oculaire commun ». R. C. XIII. Goitre exophtalm
tériques, épileptiques, neurasthéniques, des troubles sensoriels ou moteurs sensations douloureuses après le coït, anesthésie
il l'ischémie simultanée de tous les noyaux d'origine de l'oculo- moteur . Dans certains cas de paralysies périodiques tran
facile- ment. On constata alors une paralysie absolue, sensitive et motrice du bras droit, et une anesthésie incomplète de
E MOSCOU Séance du 20 février 1898. L. 1111N0R. -- Sur un trouble moteur qui accompagne la douleur lombaire (traumatisme
- tique. , L'auteur attire l'attention sur la valeur des troubles moteurs SOCIÉTÉS SAVANTES. 69 (dyskynésies) qui acc
es, on constate tout d'abord des lésions graves dans les cel- lules motrices des cornes antérieures de la moelle : les cellule
atre à six semaines après l'injection, et entraînent des paralysies motrices . Il est à sup- 70., SOCIÉTÉS SAVANTES. pose
ont secondaires et relèvent du trouble de la nutrition des cellules motrices . IL.- .Sous l'influence des injections répétées
hances de ren- contrer quelque altération des neurones sensitifs ou moteurs , dans leur trajet médullaire. Et de fait, la
moelles de paralytiques dont l'évolution a été rapide sans troubles moteurs graves. Vraisemblablement, quand le système mus
d'autant plus de raison que l'altération de cet élément du neurone moteur , dont la fibre pyramidale n'est qu'une émanatio
que d'admettre, à priori, la dégénération sys- tématisée du neurone moteur , en général, et de sa portion médullaire, en pa
de ces éléments pas plus que des voies qui les relient aux cellules motrices antérieures. Et cependant, de cette seule façon
tent LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GENERALE. 99 des troubles moteurs et sensitifs contemporains, tout au moins, des
vant KF, PF, PO, NO, ce qui les rend très ana- logues aux secousses motrices . Ces expériences semblent bien démontrer, en ou
conclut que si nous constatons à la suite de l'excitation d'un nerf moteur une réaction musculaire anormale, celle-ci ne p
de Duchenne) se produit soit dans les altérations du cordon nerveux moteur , le muscle res- tant sain ; soit dans les altér
née du nerf et du muscle. Cette réaction nous enseigne que l'organe moteur est altéré dans ses pro- priétés fondamentales
e dos, électrode active de 3 centimètres de diamètre sur les points moteurs des muscles avec une intensité de ta à 35 milli
l'atteinte du pneumogastrique. Dégénérescence de tout le sys- tème moteur et surtout des systèmes de fibres qui servent à u
s systèmes de fibres qui servent à unir les divers plans des noyaux moteurs (nerfs crâniens et nerfs spi- naux) du faisceau
rieurs et latéraux; altérations des fibres radicu- laires des nerfs moteurs de l'oeil, du facial, de l'hypoglosse, de l'acc
rophiques se présente comme suit : 1° déchéance du neurone cortical moteur ; dégénérescence du faisceau pyramidal - jusqu'à
aisceau pyramidal - jusqu'à sa terminaison. 2° Déchéance du neurone moteur péri- phérique ; c'est-à-dire du conducteur mot
éance du neurone moteur péri- phérique ; c'est-à-dire du conducteur moteur qui va des noyaux des nerfs craniens et spinaux
leurs son recoquillement qu'il peut expli- quer la lésion des voies motrices voisines, la dégénérescence des pyramides; cell
trophie de la couche optique. Pathogénie. La lésion des conducteurs moteurs , n'interrom- pant point tout à fait le courant
à l'influx nerveux qui acquiert une tension donnée. Les cel- lules motrices de l'écorce, continuant à fonctionner, dégagent
ent et irréparablement interrompus, ni quand le territoire cortical moteur est détruit. En effet, il faut, pour qu'il y ai
, la lésion des trois neurones médullaires entre en jeu. Le neurone moteur situé à la partie antérieure, le neurone vaso-m
le et anatomique constitue un métamère; 6° L'affection des neurones moteurs donne naissance à l'atro- phie musculaire. Or,
parait presque complètement; le patient marche sans appui. La force motrice n'a pas subi d'atteinte. On constate chez lui l
On pouvait espérer l'imputer à des lésions anatomiques des cellules motrices ou des nerfs périphériques, ou tout au moins de
xhnn (Neurolog. Centralbl., XVI, 1897,) il s'agit d'une paralysie motrice portant sur les trois nerfs du bras droit, atte
facial et l'hypoglosse sont indemnes, la lésion se borne à la zone motrice du centre du bras. P. Keraval. XLVIII. CONTRI
de la méthode de l reuhel ; c'est celle qui fait de la coordination motrice la résultante de l'action synergique du système
atrophie musculaire. Je l'ai décrite dès 1885 sous le nom de tabès moteur . Les troubles intellectuels .sont peu accentués
eur situation, mais sans délire bien net. En revanche, les troubles moteurs sont très accentués. C'est une parésie spasmodi
est carac- térisée par une sclérose systématique de tout le tractus moteur , les cellules de la zone rolandique comprises.
Marie reconnurent l'existence de lésions indubitables des cellules motrices de l'écorce. Dès lors, la sclérose latérale amyo-
hique, dans un état de déchéance notable. Les observations de tabes moteur sont aujourd'hui nom- breuses. Il ne manquait q
ujourd'hui nom- breuses. Il ne manquait que de voir un cas de tabès moteur se compliquer d'atrophie musculaire. Cette lacu
it primordial. Dans les dégé- nérescences primitives du téléneurone moteur (certaines formes de atrophie musculaire progre
aines formes de atrophie musculaire progressive), de l'archineurone moteur (tabes dorsaux spasmodiques), des deux neurones
archineurone moteur (tabes dorsaux spasmodiques), des deux neurones moteurs simultanément (sclérose latérale amyotrophique)
aits étaient de date récente. De l'état du facial supérieur et du moteur oculaire commun dans l'hémiplégie cérébrale.
observe dans certains cas tient à une diminution de la tonicité du moteur oculaire commun. Quatre nouvelles observations
la fente palpébrale s'est montrée rétrécie, indice de .la lésion du moteur oculaire commun. ligature de l'artère humérale
La basophobie n'est pas proportionnelle au degré d'incoordina. tion motrice ; elle modifie parfois, en provoquant des contract
al n'est pas, ainsi qu'on l'admet généralement, le principal muscle moteur du voile du palais. La physiologie expérimental
ontre d'une façon irréfutable que le facial ne fournit aucun rameau moteur au voile du palais, et que le pneumogastrique,
uscles du voile, à l'exception du péristaphylin externe. Les filets moteurs , émanés du bulbe, gagnent le voile du palais par
affection portant sur les neurones des cornes antérieures (neurone moteur périphérique et neurone moteur intercalaire) ; au
ones des cornes antérieures (neurone moteur périphérique et neurone moteur intercalaire) ; au point de vue clinique, l'exi
dernières paires crâniennes, par où passent les voies conductrices, motrices et sensitives qui mettent en communication l'en
ro- pathique D. R. CHARON. XI. La GROSSE localisation DES CORDONS MOTEURS DE la MOELLE destinés A DIVERSES parties DU cor
ant à la durée de l'excitation, on arrive à conclure que les fibres motrices destinées aux parties du corps voisines ne sont
avec atrophie primitive des cellules nerveuses dans les foyers gris moteurs de la moelle et du bulbe ; lésions des racines
XIX. Recherches SUR l'origine RÉELLE DES NERFS crâniens; les NERFS MOTEURS oculaires ; par VAN GEHUCHTEN. (JOU1'1l. de Neuro
DÉSARTICULATION DE LA JAMBE ET SES RAPPORTS AVEC LES localisations motrices ; par les Ors VAN Gehuchten et DE BUCH. (Journa
a connaissance; elles consistent en un trouble limité de l'appareil moteur . Cela commence par de la pa- resthésie de la ja
la pa- resthésie de la jambe qui est bientôt atteinte de paralysie motrice Il n'est pas rare de voir les symptômes sensiti
alysie motrice Il n'est pas rare de voir les symptômes sensitifs et moteurs passer de la jambe au tronc et à l'extrémité su
at de sommeil, il appert que ni l'activité, ni le repos des centres moteurs corticaux n'est l'agent générateur des phénomèn
alysie à des paresthésies semble indiquer que l'arrêt des appareils moteurs est très fréquemment préparé par une irritation
re. Ils acceptent une anes- thésie cérébrale précédant les troubles moteurs , et ajoutent qu'on constate parfois une hyperes
ume ainsi ses constatations : « A côté des troubles vaso-moteurs et moteurs les troubles de la sensibiltié jouent un rôle i
re au délire ; quels rapports existent entre ceux-ci, les désordres moteurs et les sensations subjectives ressentis par les
dans LE mal DE POTT ; par le D' P. LONDE. Si, dans une paraplégie motrice bilatérale, on constate des trou- 406 REVUE D
. Mais cette règle n'est admissible qu'à la condition que les nerfs moteurs ou les muscles ne soient pas eux-mêmes frappés
dégénérescence. Il est évident que là où il n'y a plus de cellules motrices , ou de racines antérieures, ou de fibres nerveu
'audition des mots, de l'état intellec- tuel, l'absence de troubles moteurs permirent dès l'arrivée du ma- lade, de porter
tres nerveux produit l'anesthésie des sens, la paralysie du système moteur ; par lui les centres supé- rieurs du cerveau,
ère de la sienne en ce qu'il le localisait dans les circonvolutions motrices centrales. Gerest (Th. Lyon 1896) admet l'opini
, deux condi- tions indispensables : 1° la persistance des cellules motrices de l'écorce qui, si dégénérées, si malades soie
générale, comme signes d'une dégénérescence diffuse du territoire moteur de l'écorce. 6° Les attaques congestives épilepti
encéphalitique des circonvolutions frontales. Les influences vaso- motrices ne peuvent servir que d'agent accessoire non prov
auditive; quelquefois néan- moins elle s'accompagne de conceptions motrices , d'un besoin de remuer les doigls comme pour jo
rapporter les troubles sensibles à la lésion corticale des centres moteurs . Il est impossible de décider si la proliférati
OGIQUES. XXXII. Contribution A L'ÉTUDE des localisations DES noyaux MOTEURS dans la moelle épinière ; par le D Marinesco.
atrophie des cornes anté- rieures. Microscopiquement, les cellules motrices des cornes antérieures de la muselle sont défig
orce cérébrale. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la cellule motrice de la moelle et le prolongement cylindraxile de
ndraxile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule motrice de la moelle ne possède que très peu de grains
hères ; telle est la cause de l'arrêt du développement des cellules motrices de la moelle épinière. Ces dernières restent dans
neurone explique certains phénomènes complexes : dans le domaine moteur , au moins une partie des faits publiés sous le ti
ce que l'on a observé dans la dégénérescence ascendante des voies motrices et peut-être y peut-on voir une dégénérescence ré
ellules multipolaires grandes, analogues à celles des autres noyaux moteurs et que, par contre, le noyau interne est compos
ien, se trouve dans le noyau commun du facial. De plus, le noyau du moteur oculaire externe reste intact : donc il n'a rien
sont moins capables que d'autres de provoquer des réactions vaso- motrices . J. SÉGLAS. xLlx. La toxicité DE la sueur des é
située entre l'olive supérieure et le noyau d'origine de la partie motrice du pneumogastrique. Cette masse grise peut être
abolis, malgré l'intégrité des neurones sensibles et des neu- rones moteurs périphériques, c'est parce que le tonus normal de
moteurs périphériques, c'est parce que le tonus normal des cellules motrices de la moelle lombo-sacrée se trouve considérable-
OLO(. Cent1'llIbl., XVI, 439 ï.) Extirpation étendue de la région motrice chez quatre chats ; extirpation bilatérale chez
ntre que chaque fois on a détruit non seulement la partie corticale motrice , mais la plus grande partie du lobe frontal. Ma
e de la moelle sacrée est atteinte parce qu'il existe une paralysie motrice et sensitive de la région vésico rectale et que
es racines postérieures auraient le plus souffert, car la paralysie motrice a presque complè- tement disparu; cette lésion
ences sont nécessaires. P. Keraval. LXIII. De l'aspect des cellules motrices DE la corne antérieure DE la MOELLE A la suite
es nerfs 504 BEVUI, d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. moteurs . Les fibres radiculaires postérieures après leur
une transmission de l'excitation d'un tractus sensitif à un tractus moteur : c'est un réflexe. Mais les rameaux ascendants
rébrale du côté opposé, où ils se relient aux neurones des cellules motrices pyramidales, Et c'est précisément à cet endroit
s) qui, n'étant qu'en connexion lâche avec les amorces des neurones moteurs , opposent au passage de l'excitation une grande
ceux-ci aboutissent. C'est là qu'est prévu le passage aux cellules motrices , facilité par des con- nexions spéciales, de so
ubstance grise, après avoir contourné le noyau principal del'oculo- moteur commun de dehors en dedans, elles forment, entre
s; les conducteurs sensitifs qui y aboutissent y trouvent des nerfs moteurs , de sorte que le réflexe psychique s'y opère. P
l'émission de ces sons laisse des traces dans le centre sensorio- moteur de l'écorce (région de Broca) et y forme la mémoi
ensorio- moteur de l'écorce (région de Broca) et y forme la mémoire motrice d'articulation. A mesure que cette mémoire méca
ppement de la parole autonome. La mémoire sen- sible sensorielle et motrice ayant enregistré une provision de traces de mot
es et à l'association consciente des images phonétiques sensorio- motrices dans le centre d'association moyen. Les aphasie
ans le centre d'association moyen. Les aphasies. Bien que la région motrice de Broca contienne l'ensemble de la mémoire des
ome tout en continuant à comprendre l'écriture et à écrire (aphasie motrice sous-corticale), tout en conti- nuant à compren
à comprendre l'écritnre, à lire à haute voix, et à répéter (aphasie motrice transcorticale); tandis qu'il y a aphasie montée
'aphasie comporte donc : A, soit un trouble de la mémoire sensible ( motrice , sensorielle, et visuelle des lettres) : aphasie
e ou fonctionnel. A. Aphasie sensible. 1° Organique. - a) Aphasie motrice isolée, par lésion de la troi- sième frontale.
rice isolée, par lésion de la troi- sième frontale. C'est l'aphasie motrice subcorlicale dans laquelle le malade, incapable
mprend pas non plus l'écriture. 2° Fonctionnelle ou amnésique. a) Motrice (t1'l ! nscorticale) par affaiblissement foncti
(t1'l ! nscorticale) par affaiblissement fonctionnel de la mémoire motrice .- b) Sensorielle, exemples : les aphasies de Gr
Aphasie d'association. x. Du centre moyen. 1° Organique. - Aphasie motrice avec alexie et au besoin avec agraphie. Perte d
ensorielle, pour comprendre les paroles ; 2° Fonctionnelle. Aphasie motrice satis alexie ni agraphie. Archives, 2° série, t
ortante qui lui revient dans la pratique thé- rapeutique. La couche motrice des bras et des jambes renferme un , nombre éno
te des muscles dans l'infinie variété des mouvements ; ces cellules motrices et sensitives s'accroissent et se développent c
par Bris- saud et de Massary, 243. Etat du facial inférieur et du moteur ocu- laire commun dans l' -, par Mi- rallié,
sique avec autopsie, par Samguine, 72. Locai.isatioxs des cordons moteurs de la moelle, par Gad et Flatau, 309. - corti
! 1'aeum.enew essentiel héréditaire, par Bonnelli, 410. Trouble moteur . Sur un - qui ac- compagne la douleur lombaire,
22 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
s de la Clinique Charcot. Depuis 1898, les localisations spinales motrices ont été le sujet de re- cherches expérimentales
concerne la motilité, se poser dans les mêmes termes : Les troubles moteurs des membres, paralysie ou atrophie musculaire,
ées de muscles de fixer avec une précision mathématique, les noyaux moteurs médullaires. Et cependant l'expérimentation n'a
nct dans la corne antérieure (Sano, Les localisations des fonctions motrices de la moelle épinière, Anvers, 1898), Van Gehucli
t 1899 ; De Neef, Le Névraxe, vol. II), croient que la localisation motrice est seg- mentaire. « Cela veut dire que chacun
ce forcée, très différente aussi serait la disposition des troubles moteurs consécutifs à une lésion localisée de la corne
se capable de provoquer par elle-même une chromatolyse des cellules motrices médullaires. On nesau- rait utiliser par suite
érébrales : étudier avec soin et détail la disposition des troubles moteurs consécutifs à des lésions pri- mitives des corn
as aborder ici en détail le problème de la topographie des troubles moteurs et ci fortiori des troubles sensitifs de la syrin
n effet que dans les observations où la distribu- tion des troubles moteurs revêt la forme radiculaire, on peut, en l'absence
réactions électriques : dans les cas de pachyméningite les troubles moteurs et les altérations des réac- tions électriques
électriques marchent davantage de pair que dans les cas de troubles moteurs relevant des lésions cellulaires des cornes antér
erniers cas, en effet, il est fréquent de ren- contrer des troubles moteurs déjà très prononcés, avec atrophies muscu- lair
ns des réactions électriques corres- pondent davantage aux troubles moteurs et les manifestations de réaction de dégénéresc
rtaine de pachyméningite, elles présentent des troubles sensitisset moteurs à disposition radiculaire typique. Ons. I. -
mem- bres inférieurs. A cette paraplégie spasmodique exclusivement motrice s'asso- cient des troubles sensitifs et moteurs
dique exclusivement motrice s'asso- cient des troubles sensitifs et moteurs des membres supérieurs. Les deux bras sont ball
XV, YI. I SYRINGOMYELIE AVEC TOPOGRAPHIE RADICULAIRE DES TROUBLES MOTEURS ET SENSITIFS (Cesfma et Huet). A. Position au
aux muscles du groupe radiculaire supérieur. Or à cette disposition motrice visiblement radiculaire se superposent des trou
einte indiscutablement de syringomyélie ; or chez elle les troubles moteurs et les troubles sensitifs prédominent avec une
yringo- myélie ; cliez elle, les troubles sensitifs et les troubles moteurs sont nettement localisés au territoire radicula
charnés. » De môme dans l'observation X on lit : « Tous les muscles moteurs du bras sur l'épaule sont atrophiés et pa- raly
de paralysie infantile ayant détruit le groupe externe des cellules motrices du 8e segment cervical médullaire et ayant entr
vir de cette observation pour démontrer que la localisation spinale motrice peut être radiculaire. Malgré ces faits épars,
es/an et flrml). Paralysie infantile avec localisation des troubles moteurs dans le territoire radiculaire inférieur du ple
, quelle conclusion faut-il adopter sur la disposition des troubles moteurs périphériques causés par les lésions des cornes a
. Certes, on pouvait soupçonner priori qu'à une lésion d'un étage moteur médullaire doit correspondre une altération périp
mettre dans chaque segment médullaire une distribution des cellules motrices en groupements correspondant à tel ou tel muscle,
ique. On a pu croire à un moment que la dis- tribution des troublés moteurs de cause médullaire différait de celle des trou
roublés moteurs de cause médullaire différait de celle des troubles moteurs de cause radiculaire et on a introduit de nouvell
liomyélite infantile, pouvaient déterminer en réalité des troubles moteurs , non à disposition segmentaire, mais à disposit
réagir encore sous l'influence de courants ayant une force électro- motrice de 9-15 volts et une intensité de 3-4 milliampère
esseur Ifaltenholf n'a révélé aucun trouble paralytique des muscles moteurs du globe oculaire, ni d'altération des milieux tr
tielle du système nerveux, particulièrement des noyaux des neurones moteurs périphériques : on a découvert la contraction f
occupe, c'est-à-dire, pour les propriétés myotoniques de l'appareil moteur , et ne fait accepter qu'une seule explication d
régions du système nerveux, correspondant probablement aux neurones moteurs périphériques, ne se trouvent pas à l'état d'équi
ela il s'adjoint dans quelques cas à l'activité exagérée du neurone moteur périphérique, essentielle pour la myotonie, un
nt il y a 10 ans, des symptômes de tabès, d'abord au côté des nerfs moteurs de l'oeil et des pupilles ; plus tard, s'y adjo
tomatologie des affections du cône terminal : -. 1° Une paralysie motrice , plus ou moins complète, des muscles de la régi
éléments : AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 87 1" Une paraplégie motrice des membres inférieurs, incomplète; à gauche, e
ustifier. Une première particularité est à souligner : la paralysie motrice , dont est atteint cet homme, intéresse exclusiv
que ce plexus se partage, avec le plexus lombaire, l'inner- vation motrice et sensitive des membres inférieurs. Pour ne parl
nsitive des membres inférieurs. Pour ne parler que de l'innervation motrice , elle est alimentée de la façon suivante : Le p
CHEVAL 95 g) La disposition parfaitement symétrique de la paralysie motrice et de l'anesthésie, la précocité et l'intensité
chromatolyse intense aux Vacuoles et noyau excentrique des cellules motrices sacrées et coccygiennes ; c'est, par la méthode
r la ligne médiane, elles se trouvent ordinairement en plein faisceau moteur soit d'un côté soit de l'autre. Plus on se rapp
s la capsule interne. C'est en effet assez souvent dans le faisceau moteur que se creusent LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉB
de faire des coupes longi- tudinales parallèles à l'axe du faisceau moteur , tandis que les nôtres ont toujours été transve
ens de nos coupes,c'est-à-dire perpendiculaires à l'axe des faisceaux moteurs , il vaudrait mieux pratiquer des examens nouvea
est variable et se traduit par une excitation anormale des cellules motrices de la moelle. Pour la faci- lité clinique, on a
phère gauche ? Pourquoi n'y aurait-il pas dans les voies sensitivo- motrices des trajets nouveaux rétablissant les fonctions p
interne, le pédon- cule, le bulbe et la moelle (système du neurone moteur central). 1 Ce cas, publié dans l'Atlas du syst
n'existerait entre l'écorce et le pont qu'une seule espèce de voie motrice : pyramidale et indirecte. Bref, de quelque faç
ce par l'exercice de certains mouvements, ont créé des centres dits moteurs pour lesquels d'emblée le détail semble dispara
emble des sensations qui nous renseignent sur l'état de nos organes moteurs , c'est cet ensemble de sensations que nous appe-
faisceau musculaire, par Landry, et encore de l'état de nos organes moteurs par V. Henri, je pouvais trouver que, au moins
oral ou orga- nique - ou quand je veux réaliser un geste, un effort moteur , - c'est toujours la même sensation cérébrale q
un effort de mémoire, de compréhension, de percep- tion ou d'action motrice . J'ai souvent cherché à analyser cette sensation
'a pas à différer beaucoup de l'écorce qui régit les appropriations motrices aux images d'attitudes et de mou- vements. Seul
ues sillons, des rudiments de canaux, n'aura que des orienta- tions motrices et des notions géométriques bien rudimentaires, t
ychomotricité. L'ancienne conception des zones motricesde l'écorce, motrice comme les cornes antérieures de la moelle, a au
ns l'espace et des images qui résultent des impressions tactiles et motrices . La motricité volontaire apparaît dès que l'ima
mémoire les sensations qui concourent à former les représentations motrices , dont les représentations tactiles constituent un
tactiles constituent un cas particulier. C'est le centre des images motrices et tactiles » (et p. 704)... « il n'est pas doute
aisser ou indifférents, ou passifs, ou provoquer en nous une réaction motrice . Dans le monde des perceptions sensorielles sub
nt de vivacité et de force, qu'elle provoquera en nous une réaction motrice qui, à l'état normal, sera le plus souvent appr
ement associés des groupements systématiques et coordonnés d'agents moteurs capables de les réaliser, et que met automatiquem
u champ cortical des représentations d'attitude. Que cette réaction motrice parle d'une perception sensorielle, objective o
que ou d'une imagination centrale, c'est toujours un réflexe, un acte moteur inconscient et involontaire dans le détail de s
, dont l'une est consciente et l'autre pas ; et bien que le réflexe moteur qui part des zones sensorielles dites psycho- m
que le réflexe moteur qui part des zones sensorielles dites psycho- motrices soit d'un arc plus court que celui que provoque u
devait être plus déve- loppée à droite, puisqu'il était un gaucher moteur . D'autre part, Bertillon avait, fort jeune, per
s, fournissant les images d'attitudes indis- pensables à t'idéation motrice , et comme un centre exclusivement sensoriel ten
ais la représentation sensorielle d'altitudes. Bertillon, gaucher moteur et droitier d'images d'attitudes, eut toute sa vi
te sa vie, d'après ceux qui l'ont connu, une mauvaise appropriation motrice quant à la locomotion et à la station d'équilib
motrice quant à la locomotion et à la station d'équilibre. Gaucher moteur , gaucher de langage et droitier d'audition, il
ein. 11 semble très logique de concevoir qu'à une lésion d'un étage moteur médullaire doive correspondre une altération pé
s antérieures paraissent provenir par un trajet direct des cellules motrices de la corne antérieure; la clinique a montré à
urs segments successifs de la moelle, une distribution des cellules motrices en groupements correspondant à des muscles déte
s que l'autopsie ait révélé de lésion autre qu'au niveau de la zone motrice gauche. Cette observation pourrait être, à ce p
; de plus, le malade se plaint d'un certain degré d'incoordination motrice du membre supérieur droit ; en mangeant il por-
a parole est impossible. 13 Décembre. - A l'examen : Pas de parésie motrice , les quatre membres remuent très bien, pas de t
'observait aucun symptôme indiquant une altéra lion grave des zones motrices ; il n'y avaitpasde paralysie notable, il n'y a
n et la stase papillaire ; et de par son siège dans la zone psycho- motrice , il aurait pu y avoir en outre de l'épi lepsie ja
u y avoir en outre de l'épi lepsie jackson ni en ne avec hémiplégie motrice , suivie secondairement d'aphasie sensorielle du f
juste, l'acte de rester assis est un système de mouvement, d'images motrices exactement comme l'acte de rester debout ou de
e, elle diffuse, elle dérive en angoisse respiratoire, en agitation motrice vague, et en tics comme celui de se raidir du c
nt insensible dans la zone médiane du pont d'union. La coordination motrice est parfaite et grâce à une entente préalable dan
u- lier dans le domaine des fonctions circulatoire, respiratoire et motrice . Des troubles importants peuvent se produire da
langage (symptômes d'excitation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice , hallucinations motrices verbales ; hallucination
itation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, hallucinations motrices verbales ; hallucinations de l'ouïe, surdité co
phalite d'une intensité peu commune. (1) P. Sérieux, Hallucinations motrices verbales chez une paralytique générale, Arch. d
sentant, comme phénomène capital, des troubles du système nerveux moteur ayant le caractère général de la crampe (Spannung
nces de la stupidité. C'est alors que l'on rencontre les phénomènes moteurs caractéristiques sous forme de convulsions toni-
ssaire. Ces particularités s'accentuent encore jusqu'au négativisme moteur dans les tentatives de mouvements provoqués.
En réalité, la catatonie comporte un ensemble de symptômes psycho- moteurs , et dans le syndrome catatonique tel qu'il se pré
une dissociation complète des éléments qui déterminent l'impulsion motrice et la perte presque complète de contrôle de la
trôle de la part du sujet sur ses propres actes (1) ». L'activité motrice de ces malades se trouve, du fait de leur aboulie
intel- 1) Finzi et VEI111ANI, loc. cet. 348 séglas lecluelle et motrice de ces malades, le caractère inconscient, automat
se produit pas sous la forme d'un spasme, mais d'une incoordination motrice . Le malade prend la plume d'une façon maladroit
névrites et nous porteraient plutôt à mettre en cause les cellules motrices des cornes antérieures. Quant aux relations p
ue minuscule soit, non plus la cause, mais la conséquence d'un acte moteur , réitéré plus que de raison, sous l'impulsion ini
lus que de raison, sous l'impulsion initiale de telle ou telle idée motrice . » Nous pouvons objecter à M. Meige que chez Ma
station extérieure de l'étal d'excitation per- manente des cellules motrices de la moelle entretenue par les impressions pér
pressions périphériques ; . 2° Cet état d'excitation des cellules motrices est soumis à une double influence excitatrice e
qzci atteint généralement aussi certaines portions du protoneurone moteur , et du système sympathique. Les altérations his
al aux cas où, aux membres inférieurs, l'anesthésie et la paralysie motrice respectent en majeure partie ou en totalité le
ste, que cette circonscription de l'anes- thésie et de la paralysie motrice est de règle, lorsqu'une lésion intéresse la qu
ême à l'heure présente, elle n'est pas l'expression d'une paralysie motrice , dans le sens strict du mot. Elle contraste ave
et qui est restée diffuse. A l'instar des douleurs et de l'impotence motrice , celte amyotrophie est plus prononcée à gauche
une lésion dégénérative des cen- tres qui président à l'innervation motrice de la vessie. De plus,.ces centres étant situés
issez-moi insister sur ce que les racines sensitives et les racines motrices de la vessie et du rectum pénètrent la portion te
manifestement plus élevé que les points de pénétration des racines motrices . On conçoit donc que des troubles de l'innervat
racines motrices. On conçoit donc que des troubles de l'innervation motrice de la vessie puissent se développer, dans un cas
l'observation clinique, relativement à la superposition des centres moteurs et sensitifs, dans la portion la plus inférieure
he. En somme, nous constatons, chez R..., l'existence d'une parésie motrice , limitée aux muscles de la face postérieure de la
e et à la cuisse suivis de près par des douleurs et par une parésie motrice de ce même membre. Peu de temps après est surve
isé par le malade, peut se résumer dans ces quelques mots : Parésie motrice , très prononcée, des muscles de la face postérieu
r- conscrit ; il comprend comme éléments essentiels : Une parésie motrice , limitée au domaine d'innervation du sciatique
ière des centres spinaux qui président à l'innervation sensitive et motrice de ces organes. 48G RAYMOND Il a, présentemen
thésie uréthro-vésicale, sans troubles con- comitants des fonctions motrices de la vessie ; de même, il présente l'abo- liti
t déjà et je vous répète que les racines sensitives et les, racines motrices , en rapport avec la sensibilité et la motilité de
axe : les racines sensitives à un niveau plus élevé que les racines motrices . On conçoit donc que dans un cas de névrite radic
a parésie vésicale qui, à un moment donné, s'associait à la parésie motrice du membre inférieur gauche, s'est presque totalem
tées par le malade. Elles se réduisent présentement à une paralysie motrice du membre infé- rieur gauche, qui va en diminua
l'heure, à ce sujet. -t La disposition unilatérale de la paralysie motrice et de l'atrophie mus- culaire concomitante, les
ais il y a lieu de prendre en considération la nature exclusivement motrice des accidents, l'absence de troubles objectifs
ance aux racines du plexus sacro-coccygien et dans la seule portion motrice de la substance grise. Vous aurez alors de quoi e
e amputation a eu lieu au voisinage de la cel- lule. Lorsqu'un nerf moteur est coupé, et encore mieux arraché à son émerge
ostérieur, qui a de nombreuses connexions avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil. Dans l'observation de S. Gee et II.
rps dentelé, de telle sorte que l'on peut supposer que les troubles moteurs observés n'étaient pas de l'asynergie pure. N
gmentée d'épaisseur. Corticalité cérébrale (prélevée dans la région motrice ), recueillie dans l'al- cool. - Coloration soit
idérable de prolongements protoplasmiques, appartenant aux cellules motrices . Ces dendrites sont en général assez fines, déc
moins réguliers (voy. fig. 4). que ceux des dendrites des cellules motrices ; sur leur trajet on observe ordinairement çà e
re sont plus courtes et se rami- fient plus que celles des cellules motrices . Cas IL- Garçon jumeau, âgé de 1 mois et 22 jou
n imprégnées, de grosseur variable, appartenant à diverses cellules motrices dont le corps est resté non imprégné et qu'on p
t couverts d'appendices collatéraux, que les dendrites des cellules motrices (voy. fig. 7). Très souvent on rencontre ici des
, comme nous l'avons dit plus haut sur les dendrites des cel- lules motrices , leur quantité est très insignifiante et ils ont,
ans l'aspect externe des prolongements protoplasmiques des cellules motrices et sensitives est si grande et saute tellement
on n'en voit pas sur les prolongements protoplasmiques des cellules motrices . Quant à l'état variqueux des prolongements pro
'ici. En comparant les prolongements pro- toplasmiques des cellules motrices chez l'homme adulte avec les dendrites correspo
s, sont pauvres en appendices collaté- raux ; les cellules spinales motrices sont plus subordonnées que les cellules pyramid
orce cérébrale et les cellules de Purkinje; les cellu- les spinales motrices dépendent de l'activité de l'écorce cérébrale (pa
23 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
torze ans. Céphalalgie. Attaque apoplectifoi-ine. Paralysie du nerf moteur oculaire com- mun droit. Tremblement de la lang
ffuse; méningo-myélite embryonnaire; névrite interstitielle du nerf moteur oculaire commun droit à son émergence, entraîna
plégie est causée par une infiltration embryonnaire diffuse du nerf moteur oculaire commun droit, au niveau de son émer- g
s ne participent guère au processus inflam- Fig. 4. Circonvolutions motrices gauches, prises à leur région moyenne, grossies
taches n'existent pas du tout dans les circonvolutions de la région motrice gauche, mais elles sont extrêmement nombreuses
trice gauche, mais elles sont extrêmement nombreuses dans la région motrice droite (les spasmes ont prédominé dans le côté
faisceaux sont complètement intacts. Les noyaux multiples des nerfs moteurs oculaires communs ont été étudiés avec un soin
ent ne peuvent être invo- quées pour expliquer la paralysie du nerf moteur oculaire commun droit. Au contraire, les lésion
e la quatrième et de la sixième paire, on constate que seul le nerf moteur oculaire com- mun droit est altéré : toutes ses
multiplication des noyaux du sarcolemme dans ceux qui dépendent du moteur oculaire commun droit. Moelle. La lésion vascul
s la Fie. 11.- Veine de lapie-mère au niveau de l'émergence du nerf moteur oculaire commun droit ; gomme de la paroi; le s
e méningée de la base, au milieu de laquelle la veine se trouve. Le moteur oculaire commun occupe tout l'angle supérieur d
ses; ces douleurs ont débuté en 1891, un peu avant l'incoordination motrice , mais elles ont toujours été faibles, le malade
e l'écorce, sauf dans les sillons de la partie moyenne de la région motrice . A ce niveau en . effet, et le fait est remarqu
nerveuse restant très considérable;' que, -dans les circonvolutions motrices à leur partie moyenne, les lésions vasculaires et
s des fibres tangentielles étant plus accentuées que dans la région motrice à la superficie. Les noyaux des cellules de la
e même mutisme que s'il a été atteint, dans le centre de la mémoire motrice des mots. Il est évidemment beau- - coup plus f
loppe- rou " s y .j ? mpa, qu ment physique^ général, de troubles moteurs ou sensoriels (cécité, surdi-mutité, etc.), ou,
s zones que l'herpès zoster,en ce qui regarde les nerfs 'cutanés et moteurs et pour d'autres à la, distribution,, des. ibres,
onc avoir soif origine première, dans ? les hallucinations verbales motrices ,' par suite du mécanisme même,q les hallu inati
trices,' par suite du mécanisme même,q les hallu inatioiis verbales motrices , par sui ex Li niez - ? nie.a de ces hallucinat
définitive. Dans nos travaux, antérieurs sur, . les hallucinations motrices et les troubles du langage, chez les aliénés no
II. Contribution A l'étude- des hallucinations' verbales PSYCIIO- . motrices ; par le D' PiErtAcciNi : -(Il.ilIa7ticomio, fasc.
ENTALE. raison sur la distinction entre les hallucinations verbales motrices pures ou mixtes, et sur le caractère sensorio-m
plité devait être- entrepris, aucune espèce- de.trouble sensitif ou moteur i. Il serait étrange cependant qu'une altératio
a 't : 7. ·y e 4Jt'W .tl dents terminaux ; dans les circonvolutions motrices ,' il n'existait qu'adroite, et c'estdans les me
est arrivé à la conclusion suivante : .une lésion d'un nerf crânien moteur ou d'un nerf rachidien mixte amène, consécutive
PATHOLOGIE MENTALE. nerfs crâniens et les ictus, avec les troubles, moteurs . qui peuvent les suivre, enfin les troubles int
e rôle des sensations du mouvement nécessaires pour exécuter (image motrice ). La main n'est en réalité qu'une machine; pour
ERVEUSE. t ' capable de les chanter. En somme l'absence d'aphasie motrice pure s'explique' par l'intégrité de la circonvo
t les noms, comment il transforme les impressions sensorielles et motrices du langage, comment il associe et combine. Ce pro
it l'historique des recherches relatives aux neuroblastes, cellules motrices anté- rieures et aesthésiohlastes des cornes' p
e lobe occipital droit indemne aux'centres commandant aux faisceaux moteurs de l'écriture et à ceux qui reçoivent les sensati
sceaux moteurs de l'écriture et à ceux qui reçoivent les sensations motrices nécessaires pour que l'on écrive, celles qui vous
dégénératiou ; finale- ment lésion des'cellules sécrétoires'et'vaô= motrices . J.-B.CIIA"RCOT. J,y.IW 1 Ga·W ! ).a UV alaal u
SE. - 1VII : l DE quelques états de faiblesse' irritable DU système MOTEUR i t e3 Ilipar FuERSTNEit^(Arc/HU ? >''jPs»/c
.) i - . , Dans : l'agoraphobie', it-y'a parésie et 'incoordination motrice ; il survient des) mouvements incoordonnés'non')
: 'stupidité ; troubles de la mémoire,' titubation ? incoordination motrice . Parfois accès d'agitation avec obnubilation ps
dessus de l'horizontale.. Diagnostic : , Lésion du noyau des oculo- moteurs communs, dans la région des tubercules quadrijume
uti e eu ? v -m . - ' 5.. tout'd'abord la'conductibilité d ! T'nerf moteur , a lésé' ses organes tr'niii'au"'x" (pai,al3,si
et, de. la*'su6stince blanche sous- jacente qui avoisine.l'appareil moteur et est destiné à l'ouïe et à la vue ; la motili
8° la cocaïne, la , propriété ( d'exciter. l'écorce''et ' les régions motrices ,' sensôrielles,psyhidues de`'cellè-ct;"9° ellë'
J ? e(o ' ' ' i VI U DES ALTÉR.1TIONSDU7·BOUT^CENTR : 1L7 DU\J NERC moteur après la. lésion du bout, périphérique; par L :
ue dans les éléments cellulaires qui donnent naissance aux f fibres motrices ., ,«. ^.levrb -b 14·J^s'i 't. tj6 : j » ! ïP : JV
ébelleux ? 9,~, Jr< e' 1· a : ,J^ti''fD'· °w~,- . .. Les racines motrices se composent de : 11, les fibres du noyau mo- t
les fibres du noyau mo- teur dü mêmè c8té; ` 2° les fibres du noyau moteur du côté opposé; " 3°'1'uâcinë déscendânté ? P.,
'doivent pas être dési- ' gnées sous'le'nom dé zoîièëililsiveirîént motrice ^certainement 'ces organes doivent, sinon exclu
aissance DE la DÉGÉNÉRESCENCE) ASCEN- D.1NTE · DES nerfs;' crâniens moteurs CHEZ, l'homme ; par.C. MAYER (Jahi-büch. f. Psy
ait eu de signes,.d'inflammation aigUë ? 013SERVA' iïoN"11 ? oëùlo- moteur commun gauche englobé dans un néoplasme , d'origi
PERTE dissociée DE la sensibilité musculaire avec INCOORDINA- TION motrice A la SUITE de maladies infectieuses' chez différe
des fibres au noyau sënsitifetau faisceau cérébelleux. Les racines motrices se composent* : 1 1° des fibres du noyau moteur
ux. Les racines motrices se composent* : 1 1° des fibres du noyau moteur . du même côté; 2° des fibres du noyau moteur du c
1° des fibres du noyau moteur. du même côté; 2° des fibres du noyau moteur du côté opposé; 3°, de la racine ascendante. ,
maxillaires limités, d'un, côté; puis paralysie croisée de l'oculo- moteur externe qui tend à disparaître ; de temps à autre
isations cérébrales. La partie de ce tra- vail relative aux centres moteurs corticaux était à peu près terminée. Elle va êt
e les circonvolutions postérieures sont indépendantes de l'appareil moteur intra- cérébral et que leurs lésions destructiv
lution pariétale ascendante, qu'elle atteint par conséquent la zone motrice et que l'observation, loin de contredire les do
opposition avec la doctrine alors toute nouvelle des localisations motrices . Mais en examinant la pièce avec plus d'attenti
estruc- tives doivent nécessairement donner lieu à des paralysies motrices ; mais par contre,' les lésions destructives des
ren- contre une 'lésion quelconque siégeant en dehors de la zone motrice , on'sera.tout,naturellement porté à la considérer
elles desT hémisphères cérébraux. Les lésions qui causent l'aphasie motrice 'siègent habituellement dans''le' point'- indiq
· tuellés; morales- et5afiectives;accompagnétou·non.de.troubles « moteurs et de perversions 'des instincts »i (Bouiiieville
CHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE mentale SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES' CHEZ UNE PARALYTIQUE GÉNÉRALE; Par
emme, atteinte de paralysie générale, en proie à des hallucinations motrices verbales. La netteté avec laquelle se manifestè
nomène hallucinatoire, l'association' étroite de ces hallucinations motrices verbales avec des spasmes des muscles masticate
a des lésions de méningo-encéphalite localisées au niveau du centre moteur du langage et des centres mastica- teurs, les f
cinations de l'ouïe. 1- Rémission très accentuée. Hallucinations motrices verbales de nature pénible. Absence d'autres tr
llucinations auditives. Permanence et activité des hal- lucinations motrices verbales pendant plus d'ziîz an. Leur association
ec un état d'éréthisme des centres masticateurs : l'halluci- nation motrice verbale s'accompagne de mouvements involontaires
disant sentir une boule lui monter à la SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 323 'gorge; parfois elle étouffait, r
l'ouverture de la bouche. L'attaque n'était pas suivie de troubles moteurs , mais de phénomènes d'excitation psy- chique :
cès délirants qui survinrent, ainsi que SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 325 l'absence'd'hallucinations des au
.très absorbée ? comme lorsque 'se' manifestent- ses hallucinations motrices verbales.' Nous lui demandons' : "0' : , lr : i
illait. D'ordinaire le grince- ment des dents et les hallucinations motrices sont simultanées. La 'malade répond tout 'haut
contractions spasmodiques très douloureuses. Pas d'hallu- cinations motrices .' Pouls : 96. i, ? ,· , i.t ? tsr7 sa ? 1· '" 8
» ... iti , t . -1, . , 1, , A r, . ,,l SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 327 19 ? juin ? Les ^ réactions ? d'a
se dissipe; les idées'de persécution s'effacent, les hallucinations motrices verbales disparaissent. Le 21 août, la ma- lade
s' de traces d'hallucinations» de l'ouie,b mais îles^hallucinations^ motrices sont repris toute leur activité : aiellerne sai
echerche des signes, physiques'en rapport'avéc les hallucina- lions motrices verbales adonné les résultatsj suivants ^il'n'exi
de la ''mâchoire, 'pas' de craquements SUR UN CAS D'HALLUpINATIONS. MOTRICES VERBALES. 329 de dents, mais bien. tantôt des,
tion se,traduisantpar des grincements de denls.· Leshallucinatious motrices verbales sont le;plus,souvent associées aux convu
ts, s'àccroche'aux assistants ? Ei[e a' toujours' des hall nations' motrices verbales, mais il's'y;ajoute''des hallucinations'
dant plusieurs jours : elle se bouche , SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 331 les oreilles croyant entendre t m
côté opposé' : ulcérations,~d'ailleurs SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS ^ MOTRICES VERBALES. 333 peu accéntuées;rati4 niveau de'la
rition,. au. cours d'une ? période de rémission, , d'hallucinations motrices verbales de leur persistance pen- dant plus, d'
diquement ces divers points : ZD ? i ? SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 335 jsf -ib "'u' r , 8. » ? i t »<
-u ;m.*»/ .' >> ? ' t.. . "jj j ? ifTij« ! L. 'Hallucinations motrices verbales ? "*< - .«il . j- i 'i 'fni^uicnt -
ations'auditives normales, le ' patient- atteint" d'hallucinâtioiis motrices verbales, parle de ' voix intérieures', 'secrèt
0 l'articulation des mots (écho, musculaire z '). L'hallucination motrice verbale, ou kinesthétique verbale -n'est pas au
eSjparoles sans l'intervention d'images auditives.^Les centres dits moteurs ^ sont, en réalité mixtes ou^ sehsitivo-rnoteurs
dui 1 ? la repl;éséntàtlôn, dé,cès4.môûvéménts, ,les,, sensations motrices .verbales; « 2°un courant nerveux centrifuge qui
trouver chez une paralytique géné- 6 raie. 1'liall'uë'inât'i : 'on motrice verbale analysée, ,dans de. détail ? ? ,, ., ...j
oc. cil., p.,370. « .x f ;i 1 1 'HO ? ' SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 337 sible de les observer d'une façon
issement sur 'le centre auditif verbal de l'éréthi'sme' dû' centre" moteur 'd'articulation' : la malade nous ayant déclaré
'ét'èétte*pé2,sz*st'a'n'ce à' l'état i>solé des hallu- cinations motrices verbales n'a pas été un"des traits les moins cu
d'un autre plus convenable.' ' " `` '' ' " " ' ' Les hallucinations motrices verbales sont localisées, comme toutes les'sens
s, singulières au premier abord, du siège, des^ hallucinations '* motrices verbales,"s'expliquent par ce fait que les' sensa
tre,,le diaphragme, etc.). < t, Dans( notre cas, ^'hallucination motrice , verbale n'était loca- lisée dans aucun, des or
Bulletin médical, 29 juin 1892. » 1 ? 4 SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. '339 111'Lt. `i· t·' a.. 11' 1 ? 1 v
es durant seize mois, et àleûr,as`so- " dation avec' hallucinations motrices verbales' ce*, faits/jusqu'a- lors non observés
'asso- ' ciation étroite des troubles hallucinatoires fdu" centre-3 moteur d'articùlation'verbale'et desronvulsionsdlies'à
étaient presque tou- . jours simultanés et lorsque l'hallucination motrice verbale se produisait,' on pouvaitl percevoir p
! des> sùjetst chez ? lesquels''prédominént les représentations motrices d'articulation' et qui parlent' mentale- ment'
d'articulation' et qui parlent' mentale- ment' leur 'pensée (type " moteur ).' ? laisi. l'état 2 mentalq de'la malade se- p
attitude de 11 ? P..., au moment où se produisait l'hallu- cination motrice verbale; était très caractéristique ; 'la' malade
nt lesquels,) si^on^ lui fc adresse. la SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS" MOTRICES VERBALES. 341 parole;'elle fait signe de la-mai
-' iet, ^ -3 s'agit d'épilepsie"corticale, portant sur les centres- moteurs du' trijumeau, ? de' l'hypoglosse et : °du faci
Yifradià- lion presque constante de 1 état derethisme, dû,rcentre, moteur du,trijumeau au centre moteur verbal d'articula
nte de 1 état derethisme, dû,rcentre, moteur du,trijumeau au centre moteur verbal d'articulation et récipro- quement' 5 .
uement' 5 . i,,r.w ? 1 a ? tl . , <<f' » v Les hallucinations motrices verbales n'ont guère été étu- diées dans la par
. ' ' 4 .1, ' .3 -9· ,,v-r, s . ,, . ", SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 343 cite trois cas,observés dans le s
qui a trait dans les obser- vations,de l'auteur,aux hallucinations motrices .verbales : ,r ? i qrno')jjE8 3')(. tj'q .tTrf&l
? j-1,fi ? K ' 0 , ment des dentsctenait a une lésion 'des centres moteurs de ? tm.tt ? t""1t f't ? ? ? nt, ) <4t-)m«)<
r des circonvolutions rolan41ques,etren dehors des territoires dits moteurs , la trontale inte3îë'et l'extrémité antérieure
nt le, troisième accès délirant ..La persistance d'hallu- cinations motrices verbales de nature pénible; très actives, provo
Loc. cit., p. 433-434. ' r-8t ? 1()'T, SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS, MOTRICES VERBALES. J 1 sans que la .malade, pareille à u
encieuse et attentive;' tandis que'se' produisait * l'hallucination motrice rendue visible pour ainsi' dire à l'observateur
s idées de. culpabilité, reproduisant le contenu des hallucinations motrices verbales , du refus d'aliments, des tentatives
cusateurs 1). , r, , , t . Pendant quelque temps les hallucinations motrices s'amen- dèrent, puis disparurent; les idées dél
ocalisation si longtemps . isolée de l'éréthisme cortical au centre moteur d'articulation. . Tous les territoires sensorie
citation : ce sont, se renouvelant sans cesse, des halluci- nations motrices verbales, kinesthétiques générales, auditives,
curol. 1892, p. 308 et 1893, p. 262.) 1 SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 351 véritable état de confusion hallu
brièvement les traits principaux : a) Existence des hallucinations motrices verbales dans la paralysie générale. - b) Ass
a paralysie générale. - b) Association étroite des hallucinations motrices verbales à des convulsions des muscles masticat
ois); leur reproduction incessante. y d) Rôle de ces hallucinations motrices verbales de caractère pénible dans la genèse, a
ur et hypocondriaques), les autres provoqués par les hallucinations motrices verbales (délire de persécution), ou par l'ense
e statique et un ' " " * " "1" ' l' - " ' ' " d'* '* " "d ' » " s moteur ^ hydraulique; il, est le^ grand ressort.de toutes
aux localisations bilatérales, corticales, symétriques, d'où images motrices également symé- triques. L'auteur signale en pa
ont nous connaissons la-fonction. Ce sont' par exemple' les -noyaux moteurs des'nerfs et 'quelques- uns des centres origina
f.... ? ,. , ? ? \ M. Roller. Des processus morbides psychiques.et moteurs relative-' H j... ,i t . *n uu. , i.j...... * *
elle est damnée. Eu lou^cas la contradiction entre les phéno- mènes moteurs et les conceptions inexplicables par des considér
iques sur la rage's'accu'sent nêttemênt'gcâce , à3 ces deux'`grândà moteurs des tempmoernes : lâ'p>^ésse et les réunions
ète d'une iris (12 observations), soit à une paré si d'un des nerfs moteurs de l'eeil (14 observations se décomposant en :
e d'une iris, exclusivement la droite, 18 fois la parésie d'un nerf moteur de l'oeil (oculo-moteur commun = 7 fois; nerf g
a fait ressortir l'importance du cerveau antérieur. Les conceptions motrices de la nuque et du'tronc y sont' probablement lo
ue, névrites périphériques, sciatiques vraies); - 5° les paralysies motrices d'origine périphé- rique ; 6° les troubles trop
sement musculaire, rarement de l'anesthésie, tels sont les'troubles moteurs et sensitifs ; de l'amaigrissement, des accès de
à la théo- rie des , par Chvosteck, 143, ' 292; sur- un' cas' d ? motrices 111 verbales, eliez ? une paralytique ''génér
, 158,t239. 308, 399, 471., '' Morphinopiiagie,* par Pichon, 53. - Moteur ,' de quelques états de fai- blesse 'irritative'
e fai- blesse 'irritative'du'système, par Fuerstner, 186 ? ,Y,' Motrice , perte dissociée de la sen- sibilité musculaire
crologie, Br6\,vii- Séq a d par r Dauriac,' 468.- *»--- , 1, Nerf moteur , des altérations du bout central du - après' la
des , par L3ermann; 201;218;°dégé- nérescences ascendantes .des moteurs chez' 1'liomme, par C. Mayer, 209. -' '" . ' 'T
permanent, par Giuzzetti, 194. - Processus morbides psychiques et moteurs dans la folie simple, par ' Roller, 394 Protu
24 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la difficulté qu'il éprouve pour marcher : douleurs et troubles moteurs sont liés à un mal de Pott. PARAPLÉGIE SPASMODI
fréquence. S'ils n'ont pas la « cons- tance absolue » des troubles moteurs sur laquelle insiste M. Van Gehuchten, ils n'en
gurantes, sur les troubles génito-urinaires, sur l'incoordi- nation motrice . Des malades qui sont devenus presque impo- ten
evenus presque impo- tents par suite du progrès de l'incoordination motrice aux membres inférieurs, récupèrent très facilem
t;'iY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 IV. Un cas de polynévrite motrice d'origine grippale; par M. Glu- Rieur. (JOU1'l1
dant que, dans la majorité des cas, il s'agissait de tabes plu- tôt moteur que sensitif. De ces observations, ne se dégagent
ues (algies parachoréiques), les autres se superposent aux troubles moteurs (algies juxtachoréiques); ce sont surtout des mya
un homme à antécédents névropathiques héréditaires. Les troubles moteurs furent précédés de troubles de la salivation et d
-il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXVIII. Polynévrite tuberculeuse motrice ; par Glorieux. (Poli- clinique de Bruxelles, ja
e tuberculeuse par élimination de toute autre cause. Les troubles moteurs portaient surtout sur les muscles des jambes, d
le pédoncule cérébral droit et le haut de la protubé- rance avec le moteur oculaire commun du même côté. L'autopsie confir
érieures et antérieures, nerfs spinaux, nerfs craniens sensitifs et moteurs , bulbe, substance cérébrale corticale et gan- g
de la déglutition et de la phonation. La distribution des troubles moteurs et sensi- tifs intéressant les paupières supéri
ns l'enfance, l'existence de troubles sensitifs à côté des troubles moteurs , l'absence de dégénérescence amyotrophique, l'imm
iniques sont les manifestations de lésions intéressant les cellules motrices des cornes antérieures, lésions qui elles-mêmes
me côté. La lésion initiale parait siéger dans les zones sensitivo- motrices de l'hémisphère droit., R. C. REVUE DE MÉDECINE
est qu'on puisse admettre encore des névrites aiguës exclusivement motrices , indépen- dantes de toute lésion spinale. Enfin
e concurrence d'origine nerveuse. A propos des tics et des troubles moteurs chez les délirants chroniques. . Du syndrome mu
lexité soit assez grande. Je pense que l'apparition de ces troubles moteurs , véritable syndrome mus- culaire chez une malad
extrêmes de l'altération d'un même système anatomique : le neurone moteur périphérique. Le pronostic dépend du mode de dé
re : sans troubles trophiques, sans hyperhydrose, mais les troubles moteurs en sont très marqués. Alors que sa main gauche
; il continue à travailler durant un mois encore, mais les troubles moteurs s'accentuent de plus en plus : il ne peut plus
rmale des deux côtés. Il en est de même de la réaction sensitive et motrice du nerf cubital percuté au-dessus de la gouttière
disparition de l'anesthésie; amé- lioration notable de l'impotence motrice . Le 6 juillet, seconde séance de faradisation ;
s, par exemple, ou dans les fléchisseurs. Le degré de l'impotence motrice a été très variable d'un cas à l'autre. Certain
l'étendue de ces troubles sensitifs et l'extension de la paralysie motrice . Dans l'observation I, où la paralysie était li
s cet ordre, puisque chez l'un de nos malades (obs. V) la paralysie motrice a totalement disparu avant que la sensibilité c
antes, sur les troubles génitaux, urinaires et sur l'incoordination motrice ». Le professeur Motchoutkowski donne dans ses
Mendel, Rosenbaum, Bélougou. -' Amélioration des troubles des nerfs moteurs des yeux : Ber- nhardt, Ladame, Rondel, Moutard
s oculaires. Chez 4 on obtint une amélioration notable des troubles moteurs , des douleurs fulgurantes,' du signe de Romberg
seule la gymnastique raisonnée est capable d'agir sur les troubles moteurs par le rétablissement de l'association de ce qu
n du monde mé- dical principalement par l'amélioration des troubles moteurs des tabétiques. Des 14 premières observations p
e venait de la salle seule, en se servant d'une canne. Les troubles moteurs , ainsi que ceux de la vue, dispa- raissaient à
iffusion de la vérité scientifique. - Simon. VIII. Sur les noyaux moteurs médullaires innervant les muscles ; par SAM. (J
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. neurones sensitifs et les neurones moteurs forment un ensemble physiologique qui se trouve
culaires fournissent les premières excitations tonifiantes au noyau moteur , assurent la coordination des fais- ceaux éléme
n constate des troubles de la sensibilité accompagnant les troubles moteurs . A la fin de la première année, amélioration pa
tions cérébrales a remarquablement progressé : en outre des centres moteurs , on a présentement par- faitement défriché la t
KERAVAL. XXVIII. De l'influence de l'anémie aiguë sur les cellules motrices de la moelle; par J. 1BELTZSr. (Obozrénié pschi
pressure aortique de soixante minutes, les altérations des cellules motrices de la moelle sont beaucoup plus tranchées. La d
oi qu'il en soit, le faisceau sensitif, con- trairement au faisceau moteur , se divise en énormément de neu- rones : ce fai
simple percep- tion lumineuse forme, avec le concours de l'élément moteur de l'oeil, des images d'objets; vers les limite
la zone du langage incluse dans le champ auditif sensoriel. La zone motrice , toute zone de projection qu'elle soit, reçoit
s mouvements sont consécutifs aux perceptions sensorielles. La zone motrice est bien plus une zone d'association que la grand
Le pied des frontales est en réalité un champ d'évolution dela zone motrice : sa partie moyenne, prolongement du centre mot
ution dela zone motrice : sa partie moyenne, prolongement du centre moteur du bras, est le territoire des mou- vements com
ommuns des lèvres, de la face, de la langue, du larynx. Les centres moteurs de l'écriture et de la parole sont donc le sièg
urs de l'écriture et de la parole sont donc le siège de la fonction motrice la plus , intellectualisée, qui utilise d'innom
en vertu d'un développement plus parfait et plus intense. La sphère motrice , dans la portion qui s'étend en avant au pied d
es, a une valeur fonc- tionnelle bien supérieure à celle de la zone motrice destinée aux mouvements ordinaires des muscles
ntale, à ceux des muscles en question adaptés à l'écriture. La zone motrice s'est développée intellectuellement, par suite
territoire d'association antérieur de Flechsig, n'est ni un centre moteur , ni un centre sensoriel.' Il est purement psych
'union physiologique de tous les pro- duits du travail sensoriel et moteur des autres territoires corticaux. C'est là que
au par coup de feu dans la région temporale droite en pleine zone motrice . Après un coma de dix-huit heures le malade revin
ivains. Renvoie aussi la photographie des pièces d'un cas d'aphasie motrice sans 6K ? <t ? M'e étudiée clini- quement pa
nce du mardi 17 décembre 1901. ' Automicrosthésie et incoordination motrice . M. BLOCH revient sur la récente communication
sie. Il rapporte l'observation d'un tabétique dont l'incoordination motrice fut très notablement améliorée par la rééducati
les mots que les sen- sations. A retenir l'importance de l'élément moteur dans la mémo- risation. La mémoire de reprodu
sive ; 2° il n'est pas un seul signe diagnostique tiré des troubles moteurs qui puisse être regardé comme spécifique de la
érale ne se peut établir que par la réunion de tous les signes tant moteurs que psychiques, qui, dans la plupart des cas, f
fficile à classer mérite le nom d'hypotonie généralisée'. Névrite motrice généralisée avec signe de Babinski., M. Lortat-
e l'atténuation des accidents déjà constitués. ,20 La rééducation motrice , qui permet aux malades de retrouver la coordin
26 janvier 1902.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. l3wuem. - L'aphasie motrice , in-8° de 126 pages avec 14 figures. Paris 1901
et pathologique sur l'étude du lobe frontal en dehors de la région motrice , in-8° de 511 pages. Paris 1901, Léon Roux, édi
otion consciente se compose « de tendances, c'est-à-dire d'éléments moteurs , et d'états de conscience agréables, pénibles o
cela, l'influence d'une tendance organique ou d'un trouble vaso- moteur ? ` ? Nous admettrons donc que la cause des obs
s et d'inhibitions ou phénomènes d'arrêt, c'est- à-dire de troubles moteurs volontaires. Dans les mouvements en général, il
essions dites intellectuelles, que nous avons étudié ces troubles moteurs . Mais ils se rencontrent également dans les autre
t.) Depuis longtemps, Cordes avait signalé l'existence des troubles moteurs dans « l'Agora- phobie », et, bien avant lui, B
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 299 Un dynamo est mis en mouvement par un moteur au pétrole de 6 chevaux, charge 35 accumulateur
sible d'admettre un foyer comprenant tout le territoire de l'oculo- moteur et du pathétique avec des phénomènes initiaux aus
I. Les troubles en rapport avec l'inégal développement du'mécanisme moteur et du mécanisme gramma- tical de la parole : ,
ganiques entrave considérablement la culture des aptitudes verbales motrices et acoustiques, parce 'que l'enfant ne peut se
nt bien ; il y a ici fai- blesse, des centres optiques, tactiles et moteurs , ou acoustiques, tactiles et moteurs. Les organ
centres optiques, tactiles et moteurs, ou acoustiques, tactiles et moteurs . Les organes de la parole sont maladroits et le
es, portant sur des excitations prolongées de l'odorat ; le travail moteur étant enregistré pour le médius à l'aide de l'e
riels seraient plus affaiblis intellectuellement que les aphasiques moteurs , ou du moins ils tomberaient plus faci- lement
es assaillent et plus particulièrement aux hallucinations psycho- motrices , ces troubles sont notablement moins accusés dans
ent en un état d'obuubilation intellectuelle, un repos psychique et moteur paraissant lié au repos des centres respiratoir
des contractures par suite d'un fonctionnement anormal des centres moteurs . Puis les résultats de différentes expériences-
une sensation d'engourdissement dans le bras, mais sans troubles moteurs . Elle avait redouté simplement à ce moment là d'ê
temps que la paralysie faciale, il s'était produit une paralysie du moteur oculaire externe droit et le malade avait de la
ce faisceau peut avec le long supi- nateur compenser les fonctions motrices restreintes du bras. Le malade fléchit, quoique
encore sur des muscles des bras qui ne sont pas atteints de trouble moteur myotonique. L'excitabilité mécanique des muscle
n'éveillent plus l'intelligence ; elles se déchargent sur la région motrice : les mots en quelque sorte rebondissent, ils son
t donc prédisposé à bégayer de n'im- porte quelle manière. Tout jeu moteur peut d'ailleurs être le siège d'un trouble de l
arfaitement. Déclaré irresponsable. P. KERAVAL. LXXIX. Des troubles moteurs à évolution aiguë présentant les caractères de
avec atrophie musculaire, troubles sensitifs, trophiques et vaso- moteurs , des fléchisseurs et pronateurs de l'avant-bras d
s des artères et se manifeste par l'apparition brusque de faiblesse motrice passagère, de troubles vésicaux, d'ataxie bien
ins d'intensité l'une ou l'autre des formes suivantes : convulsions motrices , sensorielles ou psychiques (intellectuelles ou
; après lui, par ordre décroissant de fréquence, viennent les nerfs moteurs oculaires externe et commun, trijumeau et sa br
ues, l'auteur prouve qu'on ne peut rattacher la paralysie des nerfs moteurs ni à une lésion des centres cérébraux, ni à une
fréquence est en raison' directe : 1° de ce que le trajet des nerfs moteurs les met en rapport plus intime avec la base ; 2
scles en travail et excercerait un pouvoir paralysant sur la plaque motrice . G. Carrier. XIX. Contribution à l'étude des ch
entre choréigène ; les lésions sont disséminées sur tout le tractus moteur et même sur les nerfs phériphériques. Les reche
r dans des attaques qui débutent par un cri, sans aura sensitive ou motrice , qui se continuent par une perte subite de la c
eil. On a constaté, à ce moment-là : 1° L'existence d'une parésie motrice portant sur tout le côté droit, sans participat
s participation appréciable du facial; 2° L'existence d'une aphasie motrice (aphémie) totale; la malade comprenait tout ce
bout de quinze jours, il ne subsistait plus de traces de la parésie motrice . Les troubles aphasiques se réduisaient à une c
s, la malade a présenté, pendant quelques jours, une légère parésie motrice du côté droit, sans participation manifeste du
sans participation manifeste du facial, mais accompagnée d'aphasie motrice , d'une légère surdité verbale et d'une hémianop
de même que l'attaque transitoire d'hémiparésie droite et d'aphasie motrice sont sous la dépendance de lésions corti- cales
IQUE NERVEUSE. ' bide, à savoir : l'hémiparésie droite et l'aphasie motrice antécédente, l'amnésie verbale, sans compter la
s éléments de la pathologie ner- veuse. , De même, qu'une aphasie motrice implique une lésion ou un trouble circulatoire
es de vertige, de l'attaque d'hé- miplégie transitoire et d'aphasie motrice . Eu égard à la nature de ces lésions, je vous a
ccidents paroxys- tiques : accès de vertige, hémiparésie et aphasie motrice transitoire,-et des altérations clystrophiques
s tendi- neux, qui va jusqu'à la trépidation spinale. Une aphasie motrice complète ; incontestablement elle s'accompagne
e gauche ou de la portion sous-jacente du centre ovale. L'aphasie motrice totale, l'aphémie, si distincte des désordres m
. L'aphasie motrice totale, l'aphémie, si distincte des désordres moteurs du langage, qui sont sous la dépendance d'une a
s'associent des phénomènes en rapport avec la compression des nerfs moteurs de l'oeil, ou du trijumeau, des phénomènes de p
rfs moteurs de l'oeil, ou du trijumeau, des phénomènes de paralysie motrice dans les membres (compression des pédoncules cé
asiques : cécité verbale, surdité verbale, aphasie optique, aphasie motrice (aphémie) ; sans compter les hal- lucinations d
émie) ; sans compter les hal- lucinations de la vue et l'hémiplégie motrice , qu'on observe quel que soit celui des deux hém
bserver de la dysarthrie. Assez souvent, on observe de l'hémiplégie motrice , de l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle, des
avec la compression ou la lésion du pédoncule cérébral (hémiplégie motrice , plus SUR TROIS cas d'hémianopsie. 473 rareme
e par les différents auteurs sous le nom d'hallucinations psycho- motrices . II Nous ne voulons pas ici faire l'historiqu
ntant t le type clinique complet des hallucinations dites psycho- motrices , relevaient ici particulièrement d'un mécanisme
e de ces pensées est assez intense elle se traduit par une réaction motrice qui consiste dans la diction des phrases pensée
ion d'hallucinations psycho- DE LA GENÈSE DES HALLUCINATIONS. 481 motrices . Leur genèse est d'une façon très manifeste, dans
lucinations décrites en psychiatrie sous le nom d'hallucinatios . motrices , les seules dont nous voulions nous occu V No
n de ceux dans lesquels sont observées des hallucinations psycho- motrices doit renseigner sur le mécanisme ou les mécanisme
d'une forme d'hallucinations qu'habituellement on nomme psycho- ' motrice . Mais dans l'étude de l'état mental de L..., indé
intérieur. On désigne habituellement par ce terme cette modalité motrice de la pensée en vertu de laquelle toutes nos pens
ce langage psycho-sensoriel ne vienne à la conscience d'une manière motrice , donc par le langage intérieur (Vaschide). 484
re en jeu, provoque des hallucinations qu'on peut appeler psycho- motrice , à cause des coefficients moteurs subjectifs etob
ations qu'on peut appeler psycho- motrice, à cause des coefficients moteurs subjectifs etobjec- tifs qui accompagnent les d
roché de ces phénomènes intellectuels un certain nombre de troubles moteurs très fréquents chez les déments précoces. C'est
comme le résultat de la persistance indéfinie d'une représentation motrice . La stéréotypie de la pensée s'accompagne de st
dérées comme des formes de la suggestibilité : une repré- sentation motrice déterminée s'impose à l'esprit et évoque im- mé
prit et évoque im- médiatement le mouvement correspondant. Des tics moteurs , des tics du langage (brusque émission de mots
membres. Dans ce mutisme de naissance il s'agit d'absence d'images motrices et d'ignorance des mouvements, puisque l'enfant
x qui commencent à parler), et ceux de l'articulation; les troubles moteurs , les organes périphériques de la parole sont in
te des idées, l'orientation, la faculté de comprendre, l'excitation motrice , les phénomènes d'arrêt, etc. L'analyse clinique
ntre la fuite des idées et la « salade de mots », entre l'agitation motrice des maniaques et les impulsions des catatoni- q
e des maniaques et les impulsions des catatoni- ques, entre l'arrêt moteur et le négativisme, etc. Le groupement particuli
r Anes- l7tésie. anémie aiguë. Influence de l' sur les cellules motrices de la moelle, par Bielitzky, 151. AacsTUése b
ambulatoire, par Lass, 389. Automicrosthlsie et incoordination motrice , par blocs, 162. Autosuggestion du vertige et l
e unité, au point de vue embryo- logique ? pal 0. Fragmto. 148. motrices de la moelle. Voir Ané- mie. Forme particulière
Mignot et Sérieux, 419. Psycho- logie de la genèse des psycho- motrices , par Vaschide et Vurpas, 474. Helminthiase in
che. Elude de pathologie men- tale, par \V. Ireland, 238. Noyaux, moteurs médullaires Inner- vant les muscles, par Sano,
Cas de - d'origine diph- térique, par Glorieux, 47. tuberculeuse motrice , par Glo- rieux, 54. - ou Poliomyélite, par B
25 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inq anr, frappée d'hémiplégie droite à cinquante-trois ans. Aphasie motrice en voie d'amélioration. Paralysie prédominante
attaque d'apoplexie, qui le rendit hémiplégique droit et aphasique moteur . Le facial inférieur droit est paralysé; le fac
ntuée, avec contracture, et perver- sion de la sensibilité. Aphasie motrice . La joue droite est flasque et tombante, la com
ion XIX. IL M..., quarante-cinq ans. Hémiplégie droite avec aphasie motrice en 1895. Envoie d'amélioration. Con- tracture t
h... Auguste, soixante-cinq ans. Ilénii- plégie droite avec aphasie motrice en décembre 1897. Joue droite flasque et tomban
t, soixante-deux ans, a été frappé d'hémiplégie droite avec aphasie motrice en 1896. Contrac- ture très accentuée, surtout
le il y a une différence considérable dans l'intensité des troubles moteurs . Et si, à notre avis, on ne peut plus parler d'
faits, il nous semble impossible d'accepter l'existence d'un autre moteur cortical pour le facial supérieur localisé ou p
remier abord, le releveur de la paupière supérieure, innervé par le moteur oculaire commun participe à la paralysie. La fe
e. Le facial supérieur a perdu toute action sur l'orbiculaire et le moteur oculaire commun agit normalement sur le releveu
a frappé exclusivement le nerf facial, respectant les autres nerfs moteurs de la face. Dans l'autre, il s'agit d'une lésio
les centres d'origine de tous les nerfs d'une moitié du corps. Le moteur oculaire commun, bien que ne jouissant que de mou
ue celui-ci possède quelques mouvements asynergiques, tandis que le moteur oculaire ne jouit que de mouvements synergiques
ulaire ne jouit que de mouvements synergiques ? Nerf synergique, le moteur ocu- laire conserve l'intégrité complète de ses
ial supérieur parésie est diminuée. Par son action syner- gique, le moteur oculaire opposé supplée son homologue du côté p
n'admet pas que la lésion cérébrale a frappé le centre originel du moteur oculaire. En résumé la lésion cérébrale paralys
faire agir asynergique- s ment, etdiminue simplement la tonicité du moteur oculaire commun dont presque tous les mouvement
ciés. D'autres symp- tômes font encore admettre la participation du moteur ocu-' laire commun à la paralysie. Souvent (thè
nellement même on a vu une paralysie de l'oeil. La participation du moteur oculaire commun à l'hémi- plégie n'est pas fata
e releveur de la paupière est plus paralysé que l'orbiculaire. Le moteur oculaire commun ne présente qu'un seul muscle d
paupière et encore chez certains individus seulement. , Comment le moteur oculaire commun peut-il être atteint par la lés
tions concluent que toute tentative de localisation du centre du moteur oculaire commun est encore prématurée (1895) et
parition et de l'évolution des paralysies du facial supérieur et du moteur oculaire commun chez les hémiplégiques. Ces p
eptionnellement rare de voir la paralysie du facial supérieur et du moteur oculaire com- mun persister à un degré très acc
du côté para- lysé ne peut s'expliquer que par la participation du moteur oculaire commun à la paralysie. 5° L'intégrit
intercostales, viscérales, etc. ; les centres thermiques et vaso- moteurs étant intéressés, nous assistons aux troubles de
d'angoisse pré- cordiale, laquelle se propage plus haut aux centres moteurs céphaliques ; c'est alors que les malades comme
rmalement, La figure est congestionnée. Il n'existe pas de troubles moteurs dans les muscles de la face et de la langue.
éflexes qui, venant des racines postérieures, tiennent les cellules motrices REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 61 dans uu ce
s cas graves de chorée ordinaire avec hypérémie corticale de l'aire motrice quelquefois compliqués de manie, l'auteur pense
que des deux côtés la localisation morbide prédominante sur l'aire motrice détermine le syndrome choréique. F. Boissier. X
Il s'agit de contractions parfois fugaces, iudoleutes et sans effet moteur , qui parcourent tous les muscles du corps ; le pl
comprimant à gauche la racine sensi- tive du trijumeau, sa branche motrice , le moteur oculaire com- mun, le pathétique, et
à gauche la racine sensi- tive du trijumeau, sa branche motrice, le moteur oculaire com- mun, le pathétique, et les nerfs
es présentent une forme fruste de cette maladie où l'incoordination motrice constitue le seul symptôme constant. Nosographi
roubles oculaires, abolition des réflexes rotuliens, incoordination motrice ; puis les troubles trophiques : mal perforant, ar
s les membres inférieurs, la parésie vésicale et l'incoordi- nation motrice . J.-B. CHARCOT. III. Recherches cliniques et th
es circons- tances, trois réactions différentes : 1° Une réaction motrice , dans les muscles desservis parle nerf : flexio
normale plutôt grâce à leur propre poids que par ordre des centres moteurs . La perception est très réduite. Le malade para
ci reçoit des ramifications. Ou bien la somme d'énergie d'un centre moteur , distribuée avant la section radiculaire à tout
le sous presse. Il fait remarquer que la zone 1 reste toute la zone motrice de Charcot (les ascendantes), la zone 5 constit
s y sont corticofuges. Mais ce ne sont pas des fibres de projection motrices , ce sont plutôt des fibres du corps calleux.
sont plutôt des fibres du corps calleux. Les fibres de projection motrices ne se développent nulle part les premières ; el
le raphé ; les autres point, mais elles arrivent toutes aux noyaux moteurs de la cinquième paire, du facial, et de l'hypog
du facial, et de l'hypoglosse. Le ruban de Reil pyramidal est donc moteur . C'est lui qui présente les deux variétés de traj
ue dans la région de l'olive supérieure pour se rendre aux noyaux moteurs des nerfs. 6) Il peut gagner la surface du pied d
la région rolandique avait des fonc- tions à la fois sensitives et motrices . L'opération vérifia le dignostic et permit l'e
normale, etc. Le diagnostic de tumeur située au niveau de la sphère motrice de hémisphère gauche fut posé, et l'opération f
tte dernière est due à ce que par l'opération, les fibres nerveuses motrices ayant été séparées, les cellules pyramidales on
ce côté que des désordres modérés, enfin chez certains l'altération motrice est légère; on trouve - 21 séiie, '. VII, i : "
e période de l'affection paralytique, avec un minimum de troubles moteurs . Voyons donc si les altérations du sens tactile
première et à la seconde période, non seulement quand les troubles moteurs sont légers et modérés, mais encore quand ils s
ution progressive de la normalité du tact à mesure que les troubles moteurs sont plus accusés et la marche croissante de l'
eux-ci. Il est même remarquable que c'est surtout avec les troubles moteurs excessifs que l'écart est fortement accentué. L
emière période, mais encore chez les paralytiques dont les troubles moteurs n'étaient pas excessifs. De cet ensemble de con
iodes de la paralysie générale sont l'apanage des sujets à troubles moteurs accusés. Voir nos deux tableaux détachés, ci-co
rmettrait de reconnaître la maladie avant l'apparition des troubles moteurs . Mes constatations tendent ensuite à établir qu
atées de beaucoup le plus souvent chez les sujets dont les troubles moteurs étaient les plus accusés. XVII. Dans l'immens
e générale, c'est l'anesthésie transitoire'précédant les troubles moteurs que signala le Dr de Crozant; mais ce fait intére
pleetiformes, crises épileptiformes, migraine ophtalmique, parésie motrice , tremblement, troubles de l'articulation des mots
nt émises par M. Lépine et M. Branly sur la pathogénie des troubles moteurs chez les hystériques. L'hypothèse de M. Lépine
entant de volume, il aurait amené une altération profonde du centre moteur et par suite une paralysie permamente. Enfin, d
Enfin, dans les derniers temps de la vie, en excitant les cellules motrices de la région, il aurait provoqué les crises con
(là moelle épinière dans le cas de Nonne), et notamment aux régions motrices . II. S. Nalbandow. Contribution ci la symptomat
né n'est que l'extériorisation d'un dynamisme psycho-sensoriel ou moteur . L'éréthisme sensoriel pousse le malade à attribu
65 à des êtres fictifs, ses [impressions imaginaires. L'éréthisme moteur fait qu'il attribue à des volontés étrangères ses
mpulsions automatiques inconscientes. Les deux sortes de phénomènes moteurs et sensoriels exis- tent souvent, mais leur ord
religieuses du délire chronique de M. Magan. Les hallucina- tions motrices paraissent le lien unissant ces deux groupes op
rme de maladie mentale, dit Cotard ', où les troubles de l'activité motrice se manifestent avec autant d'évidence que dans
la personnalité s'exalle dans la mêmeproporlion que l'acti- vité motrice . « De l'exagération du pouvoir moteur par leque
roporlion que l'acti- vité motrice. « De l'exagération du pouvoir moteur par lequel nous agissons sur les images du mond
rd. Loc. cit., p. 422 et 423. 268 CLINIQUE MENTALE. L'éréthisme moteur des anxieux, présente un caractère tout particu
mble que ce délire soit développé sur un état mala- dif des centres moteurs ou volitionnels. Le malade est d'une activité e
nt entre eux un trait commun qui est la prédominance de l'éréthisme moteur avec idée de toute-puissance incohérente et non
ique. Dans ces cas, on pourrait objecter que les troubles psycho- moteurs , par exemple, relèvent de l'hystérie seule, mais,
yclio-seiisorielles; ils les transforment plus vite en phéno- mènes moteurs ; leur délire est d'emblée ambitieux, et l'on o
celui du rêve, avec idéorrhee, variation de l'émotion et excitation motrice vive. La démence aiguë est caractérisée par la
eurs prolongements périphériques, de la même façon que les neurones moteurs (chromatolyse, migration du noyau, tuméfaction
t du lapin, soutient que les neurones sensitifs, comme les neurones moteurs , ont des tendances naturelles à réparer leurs l
en question, et pour placer les sons dans un ordre déterminé (image motrice ). Pour fixer une image phonétique au moyen de l
s par la lecture des caractères écrits ou imprimés)1; 4° les images motrices des mots parlés, c'est-à-dire des mouvements né
es pour reproduire oralement les images phonétiques ; 5° les images motrices des mots écrits, c'est-à-dire des mouve- ments
8", 1897. 308 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. motrices et les centres destinés à Vexéculion mécanique de
ent dite, du côté paralysé. R. C. XXXVII. Le nerf spinal et le nerf moteur de l'estomac; par le Dr BATTELL1. (BIIII. méd.
'un malade ayant présenté tous les signes de la pré- tendue aphasie motrice sous-corticale : la prononciation des mots étai
oncentrique du champ visuel. 4° Amélioration complète des symptômes moteurs , sauf un léger affaiblissement des muscles mast
l'immobi- lisation qui ont été la cause occasionnelle des troubles moteurs , sensitifs et trophiques, ostéo-articulaires -q
e- ment par quelques cris ou déclamations. Au réveil, l'agitation motrice est presque complètement tombée; il ne reste plus
eil tranquille. Au matin elle est à nouveau plus calme, l'agitation motrice est sensiblement atténuée, l'incohérence moins
tain degré de confusion mentale avec, dans les sphères alfective et motrice , des réactions qui sont en rapport avec les per
élire, d'hallucinations, d'agitation, ou, au contraire, d'inertie motrice , avec ou sans variations marquées de l'état émo-
de l'hémisection de la moelle, il ne se produit aucun phé- nomène moteur , ni sensitif, dans le côté de l'hémisection, il
ls que les anesthésies, to- tales ou dissociées. Mais les symptômes moteurs ont été bien moins étudiés au point de vue de l
et troisième couches de l'écorce cérébrale dans les zones psycho- motrices , une atrophie dégénérative plus ou moins avancée
er- vation, type du premier groupe, les attaques précédées d'aura motrice sont suspendues. Dans celles du quatrième groupe,
ortent exclusivement à la fonction du mouvement ; 2° Les phénomènes moteurs sont de la même nature que ceux produits par l'
tion, mais qui peuvent trouver leur explication dans une conception motrice trop vague, trop peu aperceptive, trop incomplè
nt s'accomplissent les associations entre les centres auditifs, les moteurs et les tactiles, tous actifs dans le APERÇU G
associer les images opti- ques ou ensemble avec elles, les mémoires motrices avec des images vocales, et puis rappeler autom
nts nécessaires pour l'articulation des sons ou l'écriture (mémoire motrice ) ; 3° reçoivent les excitations du monde extéri
un trouble de la mémoire verbale sensorielle (auditive, optique ou motrice ) ou bien de la mémoire d'association (centre mo
s mutismes sensoriels organiques, il faut ranger : . 1e L'aphasie motrice , consécutive aux lésions de la troisième APER
e organique du cenlre d'association moyen cor- respond à l'ccphasie motrice avec alexie et agraphie. Le sujet ne peut pas p
guons entre autres les variétés sensorielles suivantes : 10 aphasie motrice dite aupa- ravant aphasie mot. traiiscorlicale
n comprenne ce qu'on lit ; 1 Cette variété portait le nom d'aphasie motrice subcorticale. 456 THÉRAPEUTIQUE. il arrive
tisme fonctionnel A' association du centre moyen comprend l'aphasie motrice sans alexie et agraphie. Le centre n'agit pas s
on peut incriminer la paralysie infantile qui provoque l'aphasie motrice , le mutisme extra-cortical et la sit2di-2 ? iztli
'ils comprennent la parole des autres. Pour nous c'est de l'aphasie motrice . Dans les cas un il est impossible d'agir sur l
e mutisme fonctionnel. ' Ce mutisme se distinguerait de l'aphasie motrice sensoiielle orga- nique en ce que la perte de l
parole spontanée tient dans la première aux troubles de la mémoire motrice sensorielle, et dans la seconde, à l'allaibliss
souvent il est dû à l'arrêt de développement mental ou à l'aphasie motrice en voie de décroissance. Le vice, abandonné à l
il tient par consé- quent à la dépression fonctionnelle des centres moteurs de l'écorce ou à l'abréviation de la voûte pala
OLOGIQUES.' XL. Contribution à l'étude des localisations des noyaux moteurs dans la moelle lombo-sacrée et de la vacuolisat
pour faire de nouvelles recherches sur les localisations des noyaux moteurs dans la moelle lombo-sacrée. Les faits observés
lules nerveuses ou noyaux qui sont en rapport avec l'innervation motrice de la jambe et du pied, un premier noyau postéro-
clut de cette particularité que le faisceau qui contient les libres motrices au niveau du poignet se trouve dans la partie i
ie, 1899, il,' 2.) 11 résulte de ces recherches : 1° que les libres motrices du nerf vague présentent deux noyaux d'origine
ices du nerf vague présentent deux noyaux d'origine : a) Un noyau moteur ventral ou noyau moteur à grandes cellules, con
sentent deux noyaux d'origine : a) Un noyau moteur ventral ou noyau moteur à grandes cellules, constituant le noyau ambigu
Ce noyau appartient en propre aux libres de ce nerf. b) Un noyau moteur dorsal ou noyau moteur à petites cellules. Ce n
propre aux libres de ce nerf. b) Un noyau moteur dorsal ou noyau moteur à petites cellules. Ce noyau~appartient à la fo
n plus rapide des pertes subies par l'organisme soit par la dépense motrice du SOCIÉTÉS SAVANTES. 493 maniaque, soit pa
t tenté de leur attribuer un rôle excitant, vis-à-vis de la cellule motrice . Quant à la nature on peut se demander si ces é
ies : il est plus efficace de produire d'abord une sorte de réflexe moteur et de créer une association synergique entre le
au, par Mike. 232. Hémiplégie. De l'état facial supé- rieur et du moteur oculaire com- mun dans 1' organique, par Mira
e de la -, par Urriola, 350. Etude des localisa- tions des noyaux moteurs de la lombo-sacrée par Van Gehucliten et de B
26 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ète des membres du côté droit, sans paralysie faciale, sans aphasie motrice ou sensorielle, fait qui exclut déjà toute lési
la lésion intéressait à la fois l'hypoglosse gauche et le faisceau moteur droit, elle ne pouvait donc se rencon- trer ail
rtaines notions anatomiques géné- ralement admises aujourd'hui : le moteur oculaire commence à son origine dans la colonne
ophtalmoplégie externe bilatérale, puisque les centres des muscles moteurs de l'oeil sont contigus, ceux d'un côté touchant
s importants : ils ont limité leurs recherches aux grandes cellules motrices de la corne antérieure et décrit les altération
ssl. Les recherches ont porté sur deux lapins. Les grandes cellules motrices présentaientla modi- fication spéciale décrite,
(2e), Cour.oN (3e), THIBAUD (4°), DARIN (5°). Epreuve écrite : Nerf moteur oculaire externe; épreuve orale : Varioloïde; é
entre l'obsession et l'acte ; c'est, en quelque sorte, la décharge motrice . Celle forme d'impulsion se rencontre chez les dé
American journal of insanily, octobre 1895.) ' E. B. XI. Troubles moteurs dans la folie; par le D1' Richardson. L'auteur
intimes qui existent généralement dans la folie entre les fonctions motrices et les acti- vités purement intellectuelles de
l'unité, de l'indivi- sibilité de l'énergie corticale. Les éléments moteurs sont constitués par des cellules de forme spéci
lterne caractérisée par une hémiplégie droite avec une paralysie du moteur oculaire externe gauche. La maladie de Charcot
rééducation des mouvements a pour but de corriger l'incoordination motrice dans le tabès. Le prin- cipe de cette méthode e
lité de chaque exer- cice. Quand on étudie de près l'incoordination motrice chez les tabétiques, on est frappé de ce fait q
qui marche encore. Mais quel que soit le degré de l'incoordination motrice , les malades retireront le plus grand bénéfice
celui-ci ou celui-là selon les par- ticularités de l'incoordination motrice dans chaque cas de tabes. Nous ne saurons trop
malade soit par- venu à masquer pour ainsi dire son incoordination motrice , c'est-à-dire jusqu'à ce qu'il ait appris l'exe
de tomber. Naturellement cette peur fait paraître l'incoordinalion motrice plus grave qu'elle ne devraitêtre delà part des
'être fixé sur la nature et le siège anatomique de l'incoordination motrice . Les théories qui considèrent ce symptôme comme
uant à la théorie des centres et des conducteurs d'une coordination motrice défendue par Charcot et par Erb, on doit reconn
. La théorie sensi- tive de Leyden, qui subordonne l'incoordination motrice aux troubles de la sensibilité, a certainement
plus sérieux contre la subordina- tion absolue de l'incoordination motrice à l'anesthésie mus- culo-articulaire, est qu'il
que d'incriminer l'encéphale dans la production de l'incoordination motrice . C'est surtout Jendrassik' qui a défendu l'orig
quel mécanisme il pourra refaire l'éducation de sa coordina- tion motrice . Qu'on se rappelle ce que nous avons dit de la
les compenser. Le résultat sera une amélioration de la coordination motrice , Mais ce n'est pas là une amélioration dans le
otre connaissance mentionne des cas; dans lesquels l'incoordination motrice était développée, d'une façon-inégale dans les
et ne s'éteint que peu à peu. Au point de vue de l'incoordination motrice , le symptôme le plus important pour nous, on pe
aitement, elle n'était qu'hémiataxique. Néanmoins, l'incoordination motrice élait telle que la malade était incapable de se
r une canne. Mais rien que le fait qu'un tel degré d'incoordination motrice peut être modifié ne prouve-t-il pas toute la v
tement, ainsi que par la rapidité avec laquelle l'incoordina- tion motrice s'est atténuée à la suite des exercices. Après si
bétiques chroniques avec ataxie moyenne. Chez tous l'incoordination motrice a été améliorée d'une façon plus ou moins consi
e Frenkel n'ait d'autre prétention que de corriger l'incoordination motrice chez le tabétique, il est incontestable que tou
es du tabes qui ne sont nullement en relation avec l'incoordination motrice ont cependant été nota- blement améliorés sous
des hanches il ne sent que les grands mouvements. Incoordination motrice . Le malade exécute assez bien les mou- vements
ioration était telle qu'il n'existait presque plus d'incoordination motrice . Le malade sortait seul avec une canne, et fais
st beaucoup améliorée quoique plus lentement que l'incoordina- tion motrice . Nous n'avons constaté cette amélioration qu'au b
cun nou- veau symptôme de tabes. Il y a toujours de l'insensibilité motrice dans les articulations des pieds. Le malade nou
même nature, mais il peut s'établir entre hallucinations verbales, motrices et auditives. Quand il n'y a pas antagonisme, i
OCIÉTÉS SAVANTES. 213 214 SOCIÉTÉS SAVANTES. réaction d'un centre moteur qui donne, sous l'influence de l'exci- tation,
allucinations psychiques, pseudo- hallucinations, ou hallucinations motrices , le malade n'entend pas ou ne voit pas comme un
VANTES. 217 pas ; on les pourrait confondre avec les hallucinations motrices étudiées par Séglas, dont elles diffèrent égale
ar Séglas correspondraient plutôt aux hallucina- \ lions de Kramer ( motrices ). M. Séglas considère les causes péri- phérique
1896.. N° 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE TROUBLES MOTEURS PRÉCÉDANT L'ARTICULATION DE LA PAROLE CHEZ UN D
où l'on traitait et guérissait le bégaiement il voulut s'y TROUBLES moteurs DE l'articulation DE la parole. 259 rendre sur-
raisonnement et la réflexion n'y prenaient aucune part. TROUBLES MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 261 Nous n'avon
ui, nous aurons l'occasion d'en parler longuement avec les troubles moteurs que nous allons décrire. Les phénomènes spasmod
il est un peu» impressionné, la phrase partagée par les phénomènes moteurs , sort en quelque sorte en lambeaux; en effet dè
enche. Pour peu que l'interrogatoire se prolonge, on verra TROUBLES moteurs DE l'articulation DE la parole. 263 bientôt s'a
tion profonde de soulagement et de bien-être. La durée des troubles moteurs est loin d'être fixe, et il serait impossible d
dra parler. Parmi les causes susceptibles d'agir sur les phénomènes moteurs que nous venons de décrire, figurent en premièr
connaître, on remarque une diffé- rence sensible dans les réactions motrices ; elles ne vont pas d'ail- leurs jusqu'à dispar
'état de A. K... depuis son entrée à l'Asile clinique. Les troubles moteurs étaient, à son arrivée, très accusés, très viol
diminuer d'intensité; celte tendance s'accenlua de plus en TROUBLES MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 265 plus, mais
mais offert pour notre malade la moindre difficulté. Les troubles moteurs associés au bégaiement ne sont pas extrêmement
sez grande ressemblance avec les accidents convulsifs dont TROUBLES moteurs DE l'articulation DE la parole. 267 K... est af
on spécifique du langage articulé dans la pro- duction des troubles moteurs . On a décrit des tics hystériques et leurs appa
est expliqué par la disposition topogra- phique des divers centres moteurs à la surface de la zone rolandique; dans le typ
ans le type facial, par exemple, la superposition des trois centres moteurs de la face, du membre supérieur, du TROUBLES MO
trois centres moteurs de la face, du membre supérieur, du TROUBLES MOTEURS DE l'articulation DE la parole. 269 membre infé
; à la face la période to- nique existe seule; de plus les troubles moteurs affectent une localisation sinon franchement hé
ale ascendantes faisant entrer successivement en action les centres moteurs du tronc, du membre supérieur et du membre infé
u goût, de l'odorat, de la sensibilité, des réflexes, des fonctions motrices , des fonctions sécréloires, salivation, sueur,
mine par exemple) pour calmer l'excitation psychique avec impulsion motrice considérable, c'est-à-dire en raison de leurs e
atteignent supérieurement deux racines diffé- rentes, les troubles moteurs et sensitifs sont également dénivelés à la péri
upérieur. La méningite bacillaire de la base, intéressant les nerfs moteurs de l'oeil n'est pas admise par l'auteur, parce
ématisée de différentes parties de la colonne formée par les noyaux moteurs superposés au bulbe, à la protubérance et à la
comprendre anatomique- ment la propagation de la lésion des noyaux moteurs supérieurs de la moelle aux noyaux moteurs du b
de la lésion des noyaux moteurs supérieurs de la moelle aux noyaux moteurs du bulbe, et la propagation de la lésion de ces
aralysies qui atteignent certains muscles de l'oeil innervés par le moteur commun et qui respectent certains centres inner
re du tabes, d'une lésion cérébrale localisée, d'une compression du moteur commun, etc., etc. Revenant à son observation
tabilité faradique redevint petit à petit normale, mais les muscles moteurs du pied gauche ne réa- gissaient que légèrement
affection du centre trophique, qui produit l'altération de la voie motrice périphérique en toute sa longueur. L'expression
, plus tard aussi se manifeste l'excitabilité des centres corticaux moteurs ; 10° D'après l'observation correspondante d'un
nce com- plète et confinement au lit par suite d'une incoordination motrice absolue des membres inférieurs. Fréquentes cris
ent souvent le traitement. Amélioration notable de l'incoordination motrice après cinq mois de traitement. C. G..., couturi
mouvements des doigts présentent un certain degré d'incoordination motrice . La malade ne peut ni coudre ni écrire, ni sais
e, vu non seulement la gravité exceptionnelle de l'incoordi- nation motrice , mais aussi en considération de toutes les circon
dorsalis à marche rapide. Développement rapide de l'incoordination motrice . Au moment du commencement du traitement la mal
raitement la malade peut être considérée comme guérie de son ataxie motrice . M. B..., âgée de trente et un ans, modiste et
ulièrement, tous les mouvements qu'on lui ordonne. L'incoordination motrice est considérable quand la malade est debout et
. Observation V. Tabès dorsalis. Développement rapide de l'ataxie motrice . Deux mois de traitement. Amélioration notable de
Deux mois de traitement. Amélioration notable de l'incoor- dination motrice . M. R... âgée de vingt-six ans, couturière, ent
tement, malgré une amélioration incon- testable de l'incoordination motrice , la malade exécute assez cor- rectement tous le
eloppement très rapide de la maladie et surtout de l'incoordination motrice . Amélioration sen- sible de l'ataxie motrice ap
ut de l'incoordination motrice. Amélioration sen- sible de l'ataxie motrice après un mois de traitement. M. F..., âgé de so
vation VU. Tabes dorsal. Développement rapide de l'in- coordination motrice . Grande amélioration après deux mois et demi de
contrac- tion de ses muscles. Motilité. Couché. L'incoordination motrice est considérable, même pour les mouvements les
on VIII. Tabes dorsalis. Développement rapide de l'in- coordination motrice . Amélioration notable après quarante séances de
bait en se lavant la figure pendant la toilette. L'incoor- dination motrice dans les jambes se développe très rapidement. V
u- lations des membres supérieurs. Aucun trouble d'incoordination motrice dans tous les mouve- ments des mains et des bra
arante jours. Néanmoins et malgré l'intensité de son incoordination motrice , il a été consi- dérablement amélioré. Voici qu
ion IX. Tabès dorsalis. Développement très lent de l'incoordination motrice . Amélioration considérable de l'ataxie loco- mo
incoordination motrice. Amélioration considérable de l'ataxie loco- motrice après six semaines de traitement. M. M..., âgé
aines de traitement amélioration considérable de l'incoordi- nation motrice . Le malade peut maintenant marcher seul pendant
rie, t. IL. 26 401 BIBLIOGRAPHIE. centre de Broca ou de l'aphasie motrice au pied de la troisième circonvolution frontale
sies corticales) ou sur les fibres qui relient les centres d'images motrices , visuelle ou auditive aux centres généraux corr
rlée est altérée, mais d'une façon différente de celle de l'aphasie motrice . Le sensoriel, selon la définition de Déjerine
hasies pures, mais ce ne sont pas des aphasies vraies. Ces aphasies motrices sous-corticales, cécité verbale pure, surdité v
e l'aphasie sensorielle. L'aphasie sensorielle diffère de l'aphasie motrice . Le sensoriel est verbeux, le moteur n'a que pe
sorielle diffère de l'aphasie motrice. Le sensoriel est verbeux, le moteur n'a que peu de mots à sa disposition. La cécité
erbale est moins accusée et la surdité verbale n'existe pas chez le moteur . L'agraphie est totale chez le sensoriel, il écri
l'imprimé comme un dessin et le reproduit en imprimé; tandis que le moteur copie l'imprimé en manuscrit. L'aphasique mot
é; tandis que le moteur copie l'imprimé en manuscrit. L'aphasique moteur sous-cortical ne parle pas spontanément et ne p
inion de Charcot et d'lxner qui affirmaient l'existence d'un centre moteur autonome graphique. M. Mirallié adopte les opin
linique, il affirme que l'agraphie pure, non reliquat d'une aphasie motrice ou sensorielle, est encore à démontrer. Il cite l
ssure de Sylvius : pied de la troisième frontale, centre des images motrices d'articulation; partie postérieure des première e
eure, le bord interne du pied du pédoncule puis arrivent aux noyaux moteurs du bulbe. Cette zone du langage est irriguée pa
s- tance. C'est eux-mêmes qu'ils accusent et les troubles psycho- moteurs initiaux montrent que les lésions de la volonté s
s moins passifs que s'ils étaient dépourvus de tète (hallucinations motrices ). « Ils offrent cependant cette particularité q
li- quer la théorie de M. Paul Garnier : l'hallucination (psycho- motrice dans l'espèce) surgit alors en vertu d'une sollic
'être la cause de sa désagrégation. Aussi, les phénomènes psycho- moteurs se mettent-ils d'accord avec les troubles sensori
rétaires, il leur dicte ses volontés (hallu- cinations de l'ouïe et motrices combinées) et ils les répètent. Tantôt ils sont
tion en eux, de possession divine, comme on l'a dit (hallucinations motrices seules). Dans l'un et l'autre cas, il s'établit
be frontal, et le mystérieux interlocuteur cantonné dans le cerveau moteur . Le premier pose des questions auxquelles le se
second, con- sulté, répond automatiquement. Un dynamisme psycho- moteur est réalisé, conscient, mais involontaire chez le
La vérité est que pour être certain de produire la paralysie vaso- motrice , il faut extirper le plexus ca;liaque. Mais comme
signer par un nom : ces chorées en- globent la plupart des troubles moteurs vulgairement et vague- ment désignés sous le no
ATHOLOGIE NERVEUSE. ressante à connaître qu'en raison des réactions motrices qu'elle enlraîne, elle peut s'associer d'autres
achilléen et diminution de la sensibilité à droite. L'aphasie est motrice et totale et cependant l'intelligence est conserv
ystématisée dès la sortie des nerfs de la moelle ; ainsi les fibres motrices qui émergent de la 486 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
différents, et qu'on provoque au moyen de l'excitation d'une racine motrice unique, ces mouvements associés, dis-je, cousti
nfluence du cerveau. 8° La distribution fonctionnelle des ra- cines motrices fait comprendre l'action rapide et si bien ordonn
chez les anor- maux, par Zuccarelli, 315. Articulation. Troubles moteurs pré- cédant l' - de la parole, par Pla- llat,
e la -, par llrdlil.a, 131. - morale, par Gorton, 132. Trou- bles moteurs dans la -, par Ri- cl¡a['(lson, 132. - et alcoo
, 143. QuE)EUECtiEYAL.An'ectioisde)a, par Raymond, 291. Racines motrices . IJlbtliuutlon fonc- tlUlll1elle des - clans le
27 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
r un gonflement éléphantiasique des deux jambes avec troubles vaso- moteurs d'allure particulière aux mains et aux pieds (Deu
ve pendant quelques semaines. Puis surviennent des phénomènes vaso- moteurs aux extrémités : les orteils, les pieds et les ja
te sorte. Au lieu de phénomènes de cyanose, ce sont des signes vaso moteurs actifs qui dominent la scène ; les symptômes so
pillaire consistant en une vague a peine ondulée, et la tache vaso- motrice persistait chez lui pendant un temps fort long. S
l'étude qu'il a faite des sensations occasion- nées par les organes moteurs : Revue sur le ...sens musculaire ! AI. Grasset
st-elle sous la dépendance de la lésion du noyau rouge et des voies motrices de la calotte ? Le fait est possible, puisque s
e de 1 hémisphère gauche ; méningo-encéphalite de la région psycho- motrice ; malformation de la région postérieure de l'hémi
plopie. Il n'accuse ni troubles génito-urinaires, ni incoordination motrice ; il n'a eu ni maux perforants, ni douleurs ful
ition des réflexes tendineux. Le signe de Romberg, l'incoordination motrice , les troubles sensitifs faisaient défaut : il en
tif. -N. Op. nerf optique.- N. p. nerf pathétique. N. m. o. c. nerf moteur oculaire commun. - N. f. nerf facial. N. tr. nerf
trique, spinal. N. g. hy. nerf grand hypoglosse. - N. m. o. e. nerf moteur oculaire externe. G. P. glande pituitaire. - AC
140 BRISSAUD ET BRUANDET A la fente sphénoïdale passent les 3 nerfs moteurs de l'oeil. Le moteur oculaire commun et le path
ET A la fente sphénoïdale passent les 3 nerfs moteurs de l'oeil. Le moteur oculaire commun et le pathétique naissent à que
ganglion ophtalmique et de là vont se distribuer normale- ment. Le moteur oculaire externe a une disposition particulière :
rachis cervical par un trajet de 1 centimètre 1/2 environ. Ce nerf moteur oculaire externe se fusionne avec les précédent
onditions une question se pose : quelle est ici l'origine des nerfs moteurs qui à l'état ordinaire, exige, en quelque sorte,
scopique UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 141 de nerfs purement moteurs (nerfs moteurs de l'oeil, facial, spinal, hypo-
AS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 141 de nerfs purement moteurs (nerfs moteurs de l'oeil, facial, spinal, hypo- glosse), l'exi
l'oeil, facial, spinal, hypo- glosse), l'existence des cylindraxes moteurs n'est pas absolument démontrée. Pour l'affirmer
ment démontrée. Pour l'affirmer, faudrait avoir observé des plaques motrices ; comme nous n'avons pas étudié le foetus à l'ét
'état frais nous n'avons pas pu faire cette constatation. Les nerfs moteurs pourraient être, en somme, réduits à leur porti
ec le système ganglion- naire : ganglion ophtalmique pour les nerfs moteurs de l'oeil, géniculé pour le facial, plexiforme
sympathique. Cependant vu le volume à peu près normal de ces nerfs moteurs , vu leur distribution régulière par des fibres
sses musculaires il est à peu près certain que les fibres nerveuses motrices existent. t. L'absence des cellules nerveuses
nerveuses motrices existent. t. L'absence des cellules nerveuses motrices centrales étant bien constatée, on peut faire d
ut faire deux hypothèses. On peut d'abord supposer que les neurones moteurs ont existé pendant un certain temps et alors les
ale. 1 Ou bien il faut admettre que les neurones et les cylindraxes moteurs ont une évolution indépendante; les cylindraxes
. M. muscle. - G. Sy. grand sympathique. 142 BRISSAUD ET BHUANDET moteurs en s'appuyant sur cette constatation (spéciale à
ques tractus fibreux. Pellizzi (1) croit à l'existence des fibres motrices ; cet auteur a constaté dans deux cas l'existenc
motrices; cet auteur a constaté dans deux cas l'existence des nerfs moteurs crâniens et, en outre, au devant des ganglions
devant des ganglions spinaux, l'existence d'une racine antérieure, motrice , dis- tincte de ce ganglion. Il a relevé dans t
ontrairement à la théorie classique de His, assignent au cylindraxe moteur une origine périphérique indépendante de la cellu
lindraxe moteur une origine périphérique indépendante de la cellule motrice centrale. Le squelette crânien et rachidien,out
en effet à ce niveau (C. VIII, D.I), origine des nerfs sensitifs et moteurs (cubital et médian) de la main et des doigts, q
onnants et une interruption plus ou moins complète de la conduction motrice ou sensitive de la moelle. Le diagnostic n'est
62 SPILLMANN ET ROCHE tique, après l'établissement d'nne paraplégie motrice et sensitive presque complète, due à l'interrup
ination mentale ; enfin cette agitation peut aussi prendre la forme motrice et se manifester par des cri- ses d'excitation
l'an- goisse, enfin des mouvements spéciaux au lieu de l'agitation motrice . Des mouvements particuliers ont attiré l'atten
i par conséquent se font plus facilement quand survient l'agitation motrice . Chez la femme, le tonnerre en tombant à gau- c
atisé de la même manière. Quand la systématisation de l'agitation motrice est complète, le phé- nomène caractéristique qu
alité, il y a différents degrés de systématisation dans l'agitation motrice des psy- chasténiques. Entre la crise d'agitati
agitation motrice des psy- chasténiques. Entre la crise d'agitation motrice purement diffuse et les tics complètement systé
er leur volonté et pour apprendre à éviter ces diverses dérivations motrices qu'ils présentent. TIC TONIQUE DU MEMBRE SUPÉRI
a pas d'incoordination des mouvements les yeux fermés. Les troubles moteurs cessent pendant le sommeil. Tous les muscles de
la fente palpébrale ni du champ visuel, pas de paralysie des muscles moteurs de l'oeil, ni de troubles de l'accommodation, n
du tic ; ce dernier n'est constitué que par la réunion, au trouble moteur , d'un trouble mental lié, lui-même, à des imper
emps pour un gmphospasme. Le caractère pathognomonique des troubles moteurs professionnels est, de « se produire à l'occasi
ui de porter la main à la bouche pour manger. De plus, le trouble moteur est double en quelque sorte, et constitué par u
de la main droite en hauteur et sur sa paume reflétant les troubles moteurs de l'épaule et du bras indépendamment de toute cr
du som- meil ; jamais, à aucun moment de la maladie, les phénomènes moteurs n'ont apparu la nuit. Enfin l'évolution génér
'état mental entraînant des modifications très heureuses du trouble moteur . N'est-ce pas là encore une vérifica- tion de c
cusée. Il y a, dans l'espèce, deux faits il con- sidérer,le trouble moteur d'une part, et ensuite l'habitude prise par le
et les autres peuvent être considérées comme résultant d'habitudes motrices anormales, représentées dans le cas particulier p
logue à celle du torticolis mental ou du trismus mental. Le trouble moteur « se manifeste par l'immobilisation exagérée d'
ntractions musculaires sont souvent très fortes, et si les troubles moteurs de l'épaule disparaissent facilement, chez notre
e du miroir a d'ailleurs corrigé assez facilement tous ces troubles moteurs . (1) Meioe et Feindel, Tic clonique el tic toni
lancement des bras tend à devenir régulier, rythmé ; les trou- bles moteurs deviennent moins apparents. (1) BnissAul>, T
ie crânienne. Examen du système nerveux. - Il n'y a pas de troubles moteurs ; les mus- cles conservent leur tonicité; ils s
position des troubles sensitifs et trophiques. Pas d'incoordination motrice dans les mouvements commandés. Mais les mouveme
gales. Pas d'anesthésie cornéenne ; léger nystagmus ; aucun trouble moteur du globe oculaire. Le réflexe pupillaire à la
ébris de papiers, les vieux morceaux de pain etc. A cette agitation motrice du début a succédé peu.à peu un état d'apathie et
l était tout à fait tranquille et ne présentait aucune irrégularité motrice . Jejuâeai alors qu'il s'agissait d'un cas d'hys
é électrique est aussi normale. L'excitabilité électrique des nerfs moteurs nor- male. Tous les mouvements actifs et passif
juste, l'acte de rester assis est un système de mouvement, d'images motrices exactement comme l'acte de rester debout ou de ma
rit l'hystérie en général dans laquelle on observe diverses lésions motrices causées par l'amnésie ou par la paraly- sie, ma
s de Paris, en 1900 : mes cas appartiennent à la sphère des lésions motrices primaires (le second cas se trouve à la frontiè
ices primaires (le second cas se trouve à la frontière de la sphère motrice et émotionnelle) ; le cas de MM.Raymond et Jane
ont les lésions affec- tives primaires sont suivies par des lésions motrices secondaires. USAGES DES BANQUETS CHEZ LES CELTE
ation du Dr Péraire pour tous les détails con- cernant ces troubles moteurs et sensitifs qui ont été recherchés, ainsi que
UX DIFFUS DU MÉDIAN 333 A la suite de cette opération, les troubles moteurs sont limités à une paralysie des muscles opposa
riences de Maren- ghi qui, sur le chien, a observé une restauration motrice et sensitive par le crural, du sciatique réséqu
CE DIDE C'est d'abord le négativisme qui se traduit au point de vue moteur par : l'opposition, la résistance constante, la
(M. Dide.) LE PSEUDO-OEDÈME CATATONIQUE 365 366 MAURICE DIDE moteurs exceptionnellement notés, comme la démarche hésit
soumis aux conditions les plus diverses. A la vérité, les troubles moteurs présentés par ces chevaux ne sont pas des tics
ne sont pas des tics véritables, ils répondent plutôt aux habitudes motrices intempes- tives désignées, en médecine humaine,
r répétition » (4). « La stéréotypie diffère du tic par sa réaction motrice ; elle n'a jamais l'apparence convulsive, cloniq
sculaires. L'étude clinique établira à quelle catégorie de troubles moteurs appar- tiennent nos lécheurs ; disons dès maint
er dans un sens ou dans l'autre.... » (1). Une perturbation psycho- motrice est à l'origine de ces deux sortes d'accidents.
chage observés par nous sous les rubri- ques suivantes : phénomènes moteurs , troubles psychiques, troubles de réflec- tivit
ivité, etc., stigmates physiques. Étude CLINIQUE. . 1. Phénomènes moteurs . - Le cheval atteint d'une habitude vicieuse de
geoire, cela tous les jours, plusieurs fois par jour. La réaction motrice de l'habitude de lécher représente un mouvement,
ment t de ce que serait un véritable tic de léchage par sa réaction motrice même qui ne présente aucun caractère convulsif.
t des idiots qui sont des manifestations anormales de leur activité motrice en rapport avec leur faible développement psychiq
particuliers, les mouvements des mâchoires appartiennent au trouble moteur lui-même qu'ils ne font que précéder ou interro
cit., p. 458. TICS ET STÉRÉOTYPIES DE LÉCHAGE ' 373 des troubles moteurs très compliqués dans leurs formes, le cheval est
nt, bourre sur l'obstacle, impatient pendant l'examen ; instabilité motrice manifeste. D'une éducation facile malgré cela,
ier qu'il cherche à mordre. On note principalement de l'instabilité motrice et de l'im- patience dans l'isolement. Réflex
mpatiente quand elle est tenue en main, présentant de l'instabilité motrice , irritable. Facile au ferrage et au pansage, dr
omber sous le coup d'une émotion vive, très impatient ; instabilité motrice extrême pendant l'isolement. Phobies nombreuses
as des sujets anormaux ; ils ne sont pas plus atteints d'un trouble moteur que l'enfant qui a l'habitude de lécher la crème
e morbide. Si nous ajoutons que ce geste, différent par sa réaction motrice particulière de l'acte vulgaire de lécher un vo
erve-t-on pas, en effet, chez nos sujets, la réunion d'une anomalie motrice évidente à un trouble psychique très caractéris
ncier d'un tic de léchage l'habitude morbide de nos chevaux; l'acte moteur qu'ils présentent ne revêt pas un caractère convu
sculaire » (1). D'après cette définition, on ne peut dire d'un acte moteur qu'il revêt la forme clonique que si la contrac
té des contractions musculaires. Sinon, on a affaire à une habitude motrice intempestive du genre des stéréotypies. Or, q
nre des stéréotypies. Or, que voyons-nous dans l'espèce ? Un acte moteur déformé en vitesse peut-être, puisque l'animal
(2) ; elles n'ont pas l'apparence convulsive. De telles « réactions motrices , devenues à la longue habituelles, involontaire
présent, les caractères d'automatisme et de subconscience des actes moteurs des animaux, l'observation clinique autorise du m
qui soit réellement paf' thologique par la modalité de sa réaction motrice . La gourmandise, la re- cherche d'une impressio
goût. Les sujets normaux ne présentent pas d'autre ma- nifestation motrice ; ils lèchent le sucre ouïe sel, de temps à autre,
, émotif, impatient, impressionnable ; il présente de l'instabilité motrice , des pho- 384 RUDLER ET CHOMEL bies ; et cet
écher. Celle-ci devient, en effet, une habitude morbide, un trouble moteur psychopathique. Sans doute,-l'acte moteur ne pr
itude morbide, un trouble moteur psychopathique. Sans doute,-l'acte moteur ne prendra pas l'apparence con- vulsive, cloniq
fait même de sa longue durée et de sa répétition » (1). Un tel acte moteur est bien une stéréotypie. On voit déjà par ce p
effet entre les causes provocatrices que nous signalons et le trouble moteur lui-même. Nous estimons, en effet, que des lési
r les pressions de la langue. Examinons maintenant en détail l'acte moteur habituel. La langue, cons- tamment en mouvement
ne correspond pas exactement au tic par les caractères du phénomème moteur , il s'en rapproche à tous les autres points de
les signes d'un grand déséquilibre mental : mais il a des habitudes motrices vicieuses : mouvements stéréotypés pendant le c
umains de même nature, il existe, chez eux, une variété d'habitudes motrices vi- cieuses de léchage, des stéréotypies parllk
s illusions; ici, d'après Wernicke, les hallucinations, l'agitation motrice et l'insomnie manquent ordinairement, et la malad
térise par cela que les fausses sensations associées et l'agitation motrice , propres au delirium tremens, se prolongent pou
28 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
t l'on pourrait dire, par conséquent, que, chez ces sujets-là, le tic moteur est doublé d'un tic d'idées. La proposition que
nce d'une série de caractères cliniques concomitants de l'impuissance motrice , qui seuls pourront permettre de déterminer nosog
premier lieu la non-participation du facial inférieur à l'hémiplégie motrice , de telle sorte qu'il ne s'agit pas chez notre ho
ermanent très prononcé du champ visuel à droite, côté de la paralysie motrice , tandis qu'à gauche, le champ visuel est normal.
oxications, alcoolisme, béribéri, etc., etc., et que l'incoordination motrice de ces malades, si l'on y eût regardé de près, eû
avons toute raison de croire correct, la paraplégie, l'hémiparaplégie motrice du moins, se serait immédiatement produite, consé
rouverait chez les animaux avec tous leurs caractères: — 1° Paralysie motrice complète avec flaccidité du membre inférieur, fai
s d'élévation de température de ce côté ; —3° Pas traces de paralysie motrice , pas d'atrophie, pas d'exagération des réflexes;
a récupéré presque intrégra-lement — en ce qui concerne les fonctions motrices — l'usage de ses membres, et chez lequel il y a t
tre sujet : A. Côté gauche : 1° Il n'existe plus trace de paralysie motrice dans le membre inférieur. Celle-ci aurait été abs
ce de douleur était disparue dans le genou et cependant l'impuissance motrice dans le membre gauche tout entier, surtout en ce
t nous apprend en effet ce qui suit. Il fut un temps où l'impuissance motrice des membres inférieurs a été absolument complète.
ne amélioration très notable. Les douleurs cessèrent, l'impuissance motrice disparut en grande partie et à partir du 18 août
e, c'est celle-ci qui, à un moment donné, a déterminé une impuissance motrice complète à peu près également répartie sur toute
processus morbide concentre son action dans le voisinage des cellules motrices des cornes antérieures et peut-être primitivement
es antérieures de substance grise un ou plusieurs groupes de cellules motrices qui ont été détruits. La conséquence nécessaire d
e, clu cylindre axile d'un nombre plus ou moins considérable de nerfs moteurs correspondants, par suite l'atrophie consécutive
rophie consécutive des muscles ou partie de muscle auxquels ces nerfs moteurs se rendent. Mais il ne s'agit pas ici seulement
rile plus ou moins accentué, envahit la région des cellules nerveuses motrices des cornes antérieures et en détruit un certain n
nes antérieures et en détruit un certain nombre, répond une paralysie motrice plus ou moins complète du membre ou des membres r
rès, à ce qui se voit dans les cas de section expérimentale des nerfs moteurs , d'importantes modifications des réactions électr
perte totale et nécessaire de quelques-unes, au moins, des fonctions motrices des membres affectés; attendez, avant de rien déc
reconstitution n'a pas été plus loin ; partout ailleurs l'impuissance motrice est restée complète,absolue.Le membre est aujourd
e dans un instant. La période préataxique est close. L'incoordination motrice est devenue manifeste dans les membres inférieurs
S dans le tabes, la sclerose en plaques et l hystérie a. Appareil moteur de l'œil. Tabès (Ataxie locomotrice). — Paralys
l'œil. Tabès (Ataxie locomotrice). — Paralysie par lésion d'un nerf moteur de l'-ml (noyau bulbaire ou tnêrf périphérique).
e est, dans la règle, la conséquence de la paralysie d'un des muscles moteurs de l'œil; dans la sclérose en plaques, au contrai
t donné, changer le tableau en déterminant le retour de l'impuissance motrice . De toutes ces éventualités il est bon, je pense,
rticulièrement remarquable, c'est la prédominancemarquée des troubles moteurs dans la plupart des cas, sur les sensitifs ; à pa
ouvement une grande fatigue, un sentiment de faiblesse, d'impuissance motrice , surtout quand il faut les tenir élevés comme pou
nsibititéunpeu sérieux se manifestent seulement lorsque l'impuissance motrice est portée déjà à un haut degré et justement, vou
stance grise centrale et dans ce cas-là, nécessairement, les troubles moteurs seraient prononcés à l'avenant ; or vous savez qu
s les membres inférieurs où elle éprouvait le sentiment d'impuissance motrice qui a été le point de départ de l'auto-suggestion
s ». Douleurs en ceinture permanentes très pénibles. L'incoordination motrice est portée à un très haut degré et le signe de Ro
d'exister ; 2° diminution extrêmement remarquable de l'incoordination motrice pendant la marche. Le malade, sans canne, peut mo
ition des douleurs fulgurantes ; retour très prononcé de la puissance motrice . M. le Dr Motchoutkowsky fait connaître dans ce
dans son travail depuis deux ans, époque à laquelle l'incoordination motrice des membres inférieurs a commencé à s'accuser.
. Depuis deux ans, la marche est devenue difficile ; l'incoordination motrice est assez prononcée. Le malade ne peut marcher lo
par de l'impuissance ; absence complète d'érection. L'incoordination motrice des membres inférieurs est très marquée. Douleurs
e l'expliquer, un empirement marqué par un retour de l'incoordination motrice , un accès de douleurs fulgurantes plus intenses q
e ce genre ayant été assez restreint. Au contraire,l'incoordination motrice , les douleurs fulgurantes, les troubles vésicaux
, la malade a été, pendant plusieurs mois, affectée d'une impuissance motrice des membres inférieurs à peu près complète, et
si qu'on l'a dit, lors de l'admission à la Salpêtrière, l'impuissance motrice des membres inférieurs était à peu près absolue.
à ses membres, les mouvements qu'on leur fait exécuter. L'impuissance motrice porte principalement sur le membre inférieur gauc
uivant la règle, par accès. Peu après, s'est établie l'incoordination motrice qui, aujourd'hui, est fort accentuée. Le signe de
lligente, et aussi, ce qui vaut mieux, l'écriture ; car, si l'aphasie motrice « silencieuse », règne ici d'une façon absolue, l
Vous n'ignorez pas, en effet, que les sujets chez lesquels l'aphasie motrice reconnaît pour cause une lésion organique, alors
mpêche. » Notre malade est donc,i vous le voyez, atteinte d'aphasie motrice , puisqu'il lui est absolument impossible de profé
e à quatre modes spéciaux de la mémoire du mot, à savoir : la mémoire motrice d'articulation, la mémoire motrice graphique, la
oire du mot, à savoir : la mémoire motrice d'articulation, la mémoire motrice graphique, la mémoire visuelle et enfin la mémoir
e en clinique par autant de formes de l'aphasie, à savoir : l'aphasie motrice d'articulation, l'agraphie, la cécité et enfin la
le caractère fondamental du mutisme hystérique, c'est que la faculté motrice d'articulation, par une sorte de sélection fort r
uchées simultanément, bien qu'à des degrés très divers (1). L'aphasie motrice , en d'autres termes, est alorsàpeu prèstoujours c
'autre côté même stigmates sensitifs et sensoriels, mêmes hémiplégies motrices avec spasmes glosso-labiés etc, etc. L'attaque es
git ici car s'il a perdu, en tout ou en partie, le souvenir des actes moteurs qu'il a accomplis, en se pro- tête ; je me suis
es symptômes spinaux formels tels, entre autres, que l'incoordination motrice des membres inférieurs, et le 45 signe de Rom
qui, dans la règle, précèdeFincoordinationou, autrement dit, l'ataxie motrice : dix, douze, quinze ans même peut-être avant que
nt, le plus souvent peut-être, à la période de la maladie où l'ataxie motrice n'a pas encore paru et que j'appelais, à l'époque
veloppée spontanément (arthropathie des ataxiques) ; l'incoordination motrice ne s'est manifestée chez lui que quelques mois pl
fulgurantes, pendant plus decinqans, sans accompagnement de désordres moteurs chez M. T...Le diagnostic était rendu facile dans
rès le début des accidents gastriques, sous la forme d'incoordination motrice et c'est alors seulement que les douleurs de cara
ées à peu près isolées, indépendantes en tout cas de l'incoordination motrice , laquelle ne s'est manifestée qu'au bout de la tr
; il en est de même des crises laryngées, des paralysies des muscles moteurs de l'œil, des crises vesicales et de bien d'autre
mpléter l'observation par quelques nouveaux détails. L'incoordination motrice , ainsi que je vous l'ai dit, a paru seulement au
es troubles sensitifset sensoriels ont disparu ainsi que les troubles moteurs . La santé générale est excellente. lìti . ì ..,
e dans cette nouvelle situation, il n'existe non plus aucune anomalie motrice dans ses membres inférieurs. Enfin, je prescris
e on marche dans l'état normal ; il a désappris la pratique des actes moteurs de la marche ordinaire. Ils sont remplacés chez l
ui de plus en plus irréguliers et de plus en plus petits. Ce désordre moteur relatif à l'écriture nous paraît différer complèt
ement de l'agraphie aphasique : dans celle-ci il y a perte des images motrices graphiques, des lettres et des mots. Le sujet qui
mbler sous forme de mots. Chez notre malade, au contraire, les images motrices graphiques subsistent dans toute leur intégrité,
s le voulez bien, sous la nom à'abasie— incoordination ou impuissance motrice relative au mécanisme de la marche, — il se montr
, — il se montrait combiné à Yastasie — incoordination ou impuissance motrice relative à la station debout — qui pendant un cer
-mola. Ce travail a pour titre : Sur une forme spéciale d'impuissance motrice des membres inférieurs, par défaut de coordinatio
ie par défaut de coordination automatique, l'auteur décrit un trouble moteur consistant en ce que « les mouvements sont normau
reste ,de différencier le syndrome des autres formes d'incoordination motrice avec lesquelles on pourrait le confondre et en pa
décrite par Briquet (2) et par Lasègue (3), dans laquelle le trouble moteur est sous la dépendance immédiate de l'anesthésie
e du syndrome, la conservation souvent parfaite du souvenir des actes moteurs coordonnés pour le saut, la danse, la nage, et au
on sommaire ; il n'y a pas, à proprement parler, perversion des actes moteurs , incoordination motrice : on ne voit pas, en d'au
as, à proprement parler, perversion des actes moteurs, incoordination motrice : on ne voit pas, en d'autres termes, les actes m
ncoordination motrice : on ne voit pas, en d'autres termes, les actes moteurs complexes mis en cause,troublés dans leur fonctio
ralytique ou Parétique. Astasie. b. Ataxique (avec incoordination motrice .) 1° Choréiforme. 2° Trépidante. Je ne crois
es caractères qui permettront de distinguer cliniquement les troubles moteurs abasiques de ceux qui se voient dans l'ataxie loc
sposés par hérédité à contracter des maladies nerveuses. Les troubles moteurs abasiques se manifestent d'ailleurs chez eux, que
inopinément de l'apathie, de l'embarras de la parole, des paralysies motrices des membres avec ou sans contracture; plus tard d
le, qui embrasse, et annihile pour un temps tous les modes d'activité motrice et sensitive des membres inférieurs, à l'abasie q
e peux plus marcher» suggère, chez le sujet, l'idée d'une impuissance motrice complète, portant sur l'ensemble des mouvements d
er par ce que nous savons de l'histoire naturelle de l'incoordination motrice abasique, notre homme doit guérir et peut-être
les moyens possibles, la représentation mentale,à la fois visuelle et motrice , des mouvements de la marche normale. ¦ÃÎ. de l
sultat observé n'est pas encore absolument parfait puisque le trouble moteur se retrouve, à un certain degré, dans certains ac
me semble que, en ajoutant à ce qui a été dit plus haut des troubles moteurs et destroublestrophiquesobservéschez notremalade,
mprévu. En général,en effet c'est du côté où se montrent la paralysie motrice et les troubles de la sensibilité que siège l'amy
ieurs et le membre supérieur droit, et dans ces membres l'impuissance motrice aurait été, pendant plusieurs mois, absolument co
ile a laissé subsister après elle, pour toute la vie, une impuissance motrice plus oumoins accusée d'un ou plusieurs membres. L
mais, au moins sur ces régions des cornes antérieures où les cellules motrices ont été irréparablement détruites. Mais le tissu
ce grise et, plus explicitement, l'altération atrophique des cellules motrices de la région. à). Une première catégorie à dist
a non, et parfois la seule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et les nerfs moteurs, par une atrophie, conséquen
eule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et les nerfs moteurs , par une atrophie, conséquence de la lésion spina
substance grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des cellules motrices . Parmi les diverses affections qui peuvent venir
ux blancs. Il est bien plus vraisemblable que le système des cellules motrices est dans la tephromyélite antérieure chronique, c
existence d'une sorte de vulnérabilité native du système des cellules motrices , vulnérabilité que les causes provocatrices mettr
elque sorte par des hallucinations dont elles représentent la formule motrice . En bon militaire qu'il est, le sujet tire des co
ité à savoir : anesthésie cutanée et profonde ; 2° par des paralysies motrices plus ou moins prononcées, avec diminution tempora
olument de rien. Voici maintenant ce qui est relatif à la paralysie motrice . Le malade marche en boitant, sans frotter le sol
seulement dans le degré d'intensité et de généralisation des troubles moteurs . Ainsi, il se peut faire qu'un individu qui, da
adicalement distinctes, en même temps que, cliniquement, les troubles moteurs quiappar tiennent à l'une, diffèrent foncièreme
e : qu'enfin, les modifications psychiques concomitantes des troubles moteurs sont accusées ici dans le sens de la démence et q
quez-le bien — car c'est là un trait bien particulier — l'impuissance motrice n'est pas relative, chez notre homme, à tous les
'exemples de lésions cérébelleuses, accompagnées de cette impuissance motrice relative à la marche, rappe 1. Voir la 16e leço
membre inférieur gauche et le retint trois jours au lit. La paralysie motrice ne fut pas de longue durée et, depuis longtemps,
t, l'odorat, l'ouïe sont à l'état normal des deux côtés. La paralysie motrice d'autrefois, ainsi que nous l'avons déjà dit, n'a
ution et intensité de l'Hyperesthésie suivant les régions. troubles moteurs hémiplégiques, survenus il y a huit ans, et qui r
dans lapartïe postérieure de la capsule, n'aurait affecté le faisceau moteur que légèrement, trun sitoirement, par compressi
on y trouverait probablement, associés peut-être à d'autres troubles moteurs , les éléments du syndrome abasie trépidante. Ma
forme quelconque. Il faut dire encore que, chez lui, l'incoordination motrice relative à la marche né parait pas être, comme ch
le plus fréquent, et si la lésion se traduit alors par des symptômes moteurs , on comprend que ce sxrit sous l'aspect de la par
encore, se traduisent pendant la vie par des symptômes d'impuissance motrice plus ou moins prononcée, avec exaltation des réfl
que dansles deux cas, si l'altération intéresse les grandes cellules motrices , il s'ensuit forcément la production d'une amyo-t
le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices ,) et les zones radiculaires antérieures (trajet i
voyez (fig. 115) comment l'amyotrophie et les Fig. 115. troubles moteurs occupent exclusivement les deux membres supérieur
nt où le malade, oubliant en quelque sorte un instant son impuissance motrice , voulait prendre un verre pour le porter à sa bou
aurais cru à un miracle. » Toutefois,si la disparition des troubles moteurs a été littéralement soudaine, celle des troubles
itive à gauche ; le pharynx a recouvré sa sensibilité. La paralysie motrice s'est également amendée, mais à un moindre degré.
nignes du), 199. — (Impuissance) et suspension, 217. — Incoordination motrice 157. — Inégalité pupil-laire, 158. — Parésie vési
c douloureux. — et sciatique, 24. — et névralgie brachiale, 24. Tic moteur , 16. Tics et Hystérie, 15. Tics et Rhythme, 1
29 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
peut considérer comme la forme la plus simple l'hémiplégie purement motrice dans laquelle il y a paralysie des membres, de la
ge soit sur les circonvolutions ro- landiques, soit sur le faisceau moteur qui partant de ces centres se dirige vers le pé
e est toujours du côté opposé à l'hémiplégie, parce que le faisceau moteur cérébral s'entrecroise au niveau du bulbe avec ce
vec celui du côté opposé. A côté de cette première forme purement motrice on peut placer une forme plus complexe dans laq
i semble régir en pathologie cérébrale la distribution des troubles moteurs et sensitifs, d'après laquelle les troubles mot
on des troubles moteurs et sensitifs, d'après laquelle les troubles moteurs , sensitifs ou sensoriels qui constituent l'hémipl
raux qu'ils contournent. Plus en arrière, le nerf de la 3e paire ou moteur oculaire commun qui SYNDROME TEMPORAIRE DE WEBE
érance du bulbe, près de la ligne médiane,le nerf de la Ge paire ou moteur oculaire externe. Plus en dehors, dans la fosse
ieure. Envisagés dans leur ensemble les noyaux d'origine des filets moteurs des nerfs crâniens sont échelonnés, d'avant en
tique). Or, au niveau des noyaux de ces nerfs se trouve le faisceau moteur cérébral, ou faisceau pyramidal qui n'a pas enc
sceau pyramidal et le noyau ou le nerf du facial, ou encore le nerf moteur oculaire externe ; dans le pédoncule, une lésion
atteignant simultanément le faisceau pyramidal (le pied) et le nerf moteur oculaire commun ou même son noyau d'origine. Ex
prolongements cérébraux de l'hypoglosse, c'est-à-dire ses neurones moteurs cérébraux eussent été détruits ou lésés. Voilà
tielle intéresse simultanément les filets du nerf facial et ceux du moteur oculaire externe, ou bien le noyau du facial et
du moteur oculaire externe, ou bien le noyau du facial et celui du moteur oculaire externe, et l'on se rend compte de cet
é- nérative des muscles paralysés. La lésion concomitante du nerf moteur ocu- laire externe ou de son noyau, amènera éga
il suffit de remplacer le mot hypoglosse par celui de facial, ou de moteur oculaire externe, et si au point de vue clinique
nt parce que les muscles animés par les nerfs hypoglosse, facial et moteur oculaire externe s'adaptent à des fonctions dif
alterne supé- rieure, hémiplégie alterne de la troisième paire, du moteur oculaire com- Fig. 5. P, protubérance ; B, bu
f facial; F, noyau du nerf facial; f, nerf facial ; E, noyau du moteur oculaire externe ; e, nerf moteur oculaire ex
l; f, nerf facial ; E, noyau du moteur oculaire externe ; e, nerf moteur oculaire externe ; SYNDROME TEMPORAIRE DE WEB
ème paire se fait sur le côté interne du pédoncule cérébral, que le moteur oculaire commun tient sous sa dépendance la plu
ure de la face, et en même temps il y aura une paralysie directe du moteur oculaire commun, véritable paralysie périphérique
er. Sans parler des cas où la lésion peut n'intéresser aucune fibre motrice , vous trouverez pour le pédoncule, comme du res
ée dans le service, elle avait de la paraphasie et non de l'aphasie motrice , et je tiens à bien établir cette dif- férence,
a troisième circonvolution fron- tale gauche porteraient les images motrices d'articulation aux organes phonateurs. Pour ma
phasie sensorielle, et on comprendra alors facilement que l'aphasie motrice n'a rien il voir avec la symptomatologie qui tr
eur, ni dans les muscles animés par le mo- teur oculaire commun, le moteur oculaire externe, ou le pathétique. (Pl. I. A.)
Weber caractérisé ici par une hémiplégie gauche et une paralysie du moteur oculaire com- mun droit. Si, poursuivant l'ex
issance. Nous savons déjà que l'hémiplégie gauche avec paralysie du moteur oculaire commun droit se rapporte habituellemen
u releveur de la paupière supérieure et des muscles ani- més par le moteur commun ; aujourd'hui la marche est possible, la p
que complètement disparu, ainsi que celle des muscles animés par le moteur commun et pour peu que l'a- mélioration fasse e
là, on peut con- clure qu'il n'y a pas eu destruction des noyaux du moteur oculaire com- mun ou des fibres nerveuses qui e
ement les artères des racines et des noyaux d'origine des fibres du moteur oculaire commun destinés aux muscles extrinsèqu
du même coup tous ces symptô- mes : hémiplégie gauche, paralysie du moteur oculaire commun droit, hémiopie gauche et parap
émiopie gauche, l'aphasie temporaire, et la paralysie temporaire du moteur oculaire com- mun, nous pensons qu'on peut supp
es de Duret, parmi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du moteur oculaire commun. La circulation ralentie dans c
temps que se rétablissent les mouvements des muscles animés par le moteur oculaire commun. Or, il nous semble logique de
n partent et qui en particulier assurent la nutrition des noyaux du moteur oculaire commun, ainsi que de la partie motrice
rition des noyaux du moteur oculaire commun, ainsi que de la partie motrice du pédoncule cérébral. Ce trouble circulatoire
symptômes très accusés, mais néanmoins temporaires, de paralysie du moteur oculaire commun, ainsi qu'aux symptômes d'hémiplé
omènes douloureux, les troubles génito- urinaires, l'incoordination motrice avaient été surtout améliorés. Nous rap- porton
nomènes douloureux, les troubles génito-urinaires, l'incoordination motrice ; l'in- continence d'urine par contre a paru peu
de fourmillement ni d'engourdissement, c'était plutôt une sensation motrice de raideur ou de contraction, une crainte (rece
admettaient en 1879, dans leurs travaux sur ce sujet, que la région motrice s'étendait peut-être aux parties immédiatement
lepsie provoquées par l'irritation de la substance grise de la zone motrice : et nous serions en règle avec la physiologie,
leur dans celle discussion, ne s'accordent guère avec les fonctions motrices de cette région de l'écorce. Aussi Charcot limite
sa publication posthume, en collaboration avec M. Pitres, la région motrice à la zone rolandique (1) ; et Nothnagel arrive, d
point de l'écorce atteint t chez notre malade soit considéré comme moteur . Est-ce un centre sensitif ? . Nous touchons
ogistes, comme IIitzig, Schiffet Munk, nient l'existence de centres moteurs corticaux ; ils pensent que la zone rolandique es
tions cutanées et musculaires, et qui mettent en action les centres moteurs placés dans la protubérance, le bulbe et la moe
eu à des anesthésies, qui, à leur tour, sont l'origine des troubles moteurs qui doivent plutôt être appelés des ataxies que d
cerveau est constituée, à la fois, par des éléments essentiellement moteurs et par des éléments sensitifs, confondus entre
« engrenés entre eux qu'il est (1) Charcot et Pitres, Les centres- moteurs corticaux chez l'homme. (2) NOT11riAGEL, Traité
pour ce physiologiste et pour ses élèves les lésions de la région « motrice » affectent non seulement la motilité volontaire,
ité cutanée et musculaire, donnent lieu à des paralysies sensitivo- motrices diffuses. Malgré tous ces travaux, et. sans vou
cas où elle s'observe, elle ne suffit pas à justifier l'impuissance motrice . En effet, si c'était là la cause de celte impu
nt, prouve, contrairement au physiologiste italien, que les centres moteurs corticaux sont anatomiquement et physiologiquemen
rale et musculaire peuvent apparaître in- dépendamment des troubles moteurs , bien qu'ils se trouvent souvent asso- ciés. Ma
ts sont défavorables à l'hypothèse de la fusion intime des éléments moteurs de l'écorce rolandique avec les éléments sensitif
dantes quelques éléments sensitifs, non confondus avec les éléments moteurs , et ' constituant des centres distincts et sépa
ulaire, nient la superposition de la surface sensitive à la surface motrice . Ils admettent cependant que « les localités de l
a surface du cerveau dont la lésion produit d'une part la paralysie motrice , d'autre part le trouble du sens musculaire, oc
n fait capital : c'est son début constant par une aura de sensation motrice localisée dans la jambe gauche. Eh bien, aprè
ue le lieu où était implanté le tubercule, quoique voisin du centre moteur cortical du membre inférieur, est plutôt le centr
la perte de force, « l'épuisement nerveux », se fait dans un centre moteur nous avons les paralysies, comme dans les cas é
tie antérieure du lobule pariétal supérieur, à côté de son cen- tre moteur et peut-être engrené avec lui. . Ceci s'accorde
jacksonnienne soit tou- jours le résultat de décharges des éléments moteurs de l'écorce cérébrale, les lésions corticales q
voquent ces décharges peuvent se trouver situées, soit dans la zone motrice , comme c'est la règle, soit « en dehors de cett
e de la partie supérieure des circon- volutions ascendantes, centre moteur du membre inférieur - peut donner lieu, dans le
, à des irradiations telles que l'onde nerveuse s'étend aux centres moteurs de la face, placés dans la partie inférieure, d
n n'existe pas davantage dans le do- (1) Charcot et Pitres, Centres moteurs corticaux chez l'homme, p. 166 ; Pitres, Revue
s et qui consiste justement à mettre en état de tension les muscles moteurs de celles-ci, de sorte que de la notion acquise d
sensi- bilités de même ordre ou d'ordre différent, visuel, olfactif, moteur , etc., dont il a gardé le souvenir ; il appréci
e de la paralysie des muscles du côté opposé du corps. Cette « zone motrice » occupe à peu près la partie moyenne de la surfa
e temps on vécut sur le schéma très simple du cerveau intellectuel, moteur et sen- sitif. Mais de toutes parts on interr
ley maintenaient la séparation des centres sensitifs et des centres moteurs , Schiff et Munk nièrent l'existence de ces dern
onception de Tripier généralement acceptée aujourd'hui, les centres moteurs et les centres sensitifs sont superposés, un même
de la sensibilité dans les lésions corticales suivies de phénomènes moteurs ; la rapide dispari- tion de ces troubles, leur
majorité des cas sinon dans tous les cas où la zone corticale dite motrice est lésée. Mais cette étude ne laisse pas que d
Pitres, étudie les anesthésiés consécutives aux lésions de la zone motrice . Sans nous arrê- ter aux très intéressants résu
ur qui lui ont permis de conclure que, après l'abolition de la zone motrice , il y a dans tous les cas des symptômes d'anest
ntes, que la topographie en est plus diffuse que celle des troubles moteurs , que la durée en est éphémère et parait être en r
.. . ? et de mémoire musculo-tactile, comme les centres rolandiques moteurs " sont des psycho-moteurs. Il faut concevoir une
vec la conduction des impressions sensitives et avec les mécanismes moteurs , les deux autres tiers reçoivent de ces centres s
ives se mettent en connexion avec les cellules d'origine des fibres motrices . La sphère auditive la dernière développée, n'a
t au delà à l'écorce cérébelleuse et aux noyaux d'origine des nerfs moteurs périphériques. La sphère visuelle est sur la fa
convolution de l'hippocampe. Ces centres sont- la fois sensitifs et moteurs , les impressions recueil- lies à la périphérie
onne part au travail. Tra- vail d'ascension comparable à celui d'un moteur mécanique dans la mon- tée, travail de retenue
iminué à gauche. Il n'existe ni signe de Romberg, ni incoordination motrice . OBS. IL - Malade de 52 ans, couturière. Le déb
l, de l'incoordination des membres supérieurs. Pas d'incoordination motrice des membres inférieurs, pas désigne de Romberg
ement cicatrisé. Aux membres supérieurs, on note une incoordination motrice indubitable, quand on fait faire au malade cert
voie réflexe sensitivo-motrice (protoneurone centri- pète, neurone moteur périphérique) est nécessairement étroite, en ce q
ue ou fonctionnelle de la forme de névroses fonctionnelles et vaso- motrices . Dans ces dernières années, nous avons relevé p
. su Cu. Féré, Remarques sur le traitement pédagogique de l'aphasie motrice (C. B. Soc. de biol., 1895, p. 735. -- L. DAVao
p. 735. -- L. DAVaou, Essai de traitement pédagogique de l'aphasie motrice (Rev. intern. de l'enseignement des sourds-muels,
exostoses sur la table interne des os du crâne au niveau de la zone motrice ; que ces exos- toses s'établissent dans le cana
dans les membres supérieurs (sphère du cubital). En 1890. Troubles moteurs du côté des membres supérieurs; les mou- vement
permettait de se mouvoir que difficilement dans son lit. Troubles moteurs . - Du côté des membres inférieurs, il y a aboliti
sez pour qu'on puisse voir la différence avec l'aspect des cellules motrices normales. Ici d'ail- leurs le reste des hémisph
e de Golgi on voit très nettement les anoma- lies dans les cellules motrices . La cellule n'apparaît pas toute noire et Fie.
tent les cellules nerveuses et pourquoi ne sont-ce que les cellules motrices qui ont un aspect si sin- gulier, tandis que le
nt presque totalement, c'est pourquoi sont absentes aussi les voies motrices de la moelle épinière qui vontdu cerveau vers l
motrices de la moelle épinière qui vontdu cerveau vers les cellules motrices delà moelle épinière. Ces dernières, privées du
yramidale ne s'anastomose pas avec les prolongements des cel- lules motrices de la moelle épinière; il n'influe sur elles, d'a
ar tout le neurone supérieur avait péri ; de sorte que les cellules motrices de la moelle épinière dans nos cas étaient privée
on s'est confirmée complètement : l'aspect sin- gulier des cellules motrices de la moelle épinière chez nos monstres dé- pen
oin d'être clair : Nous disions, que chez nos monstres les cellules motrices de la moelle épinière ne s'étaient pas développ
i quoi- que le cerveau soit déjà assez bien développé, les cellules motrices de la moelle épinière ne reçoivent pas encore l
rce cérébrale ne s'est pas encore mise en connexion avec la cellule motrice de la moelle épinière. D'après les investigat
fIypnologie, 1896, Ne 13. . 198 N. SOLOVTZOFF corce et la cellule motrice de la moelle épinière se sera établie que les c
de leur vie intra-utérine, l'absence du cerveau priva les cellules motrices de la moelle épinière du stimulus indispensable
s antérieures; le contact n'a pas encore eu lieu entre les cellules motrices de la moelle épinière et les cellules pyrami- d
pyrami- dales de l'écorce cérébrale, de sorte que pour les cellules motrices de la moelle épinière de l'embryon, c'est comme
orce cérébrale. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la cellule motrice de la moelle épinière et le prolongement cylind
re-axile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule motrice de la moelle épinière ne possède que très peu d
phères, telle est la cause de l'arrêt du développement des cellules motrices de la moelle épinière. Ces dernières restent dans
ots dont on se propose de lui faire comprendre le sens. Par l'image motrice qu'on développe ainsi, on réussit il réveiller
ensitive, qui est au service de la sensibilité générale, ni la voie motrice ne fussent comprimées dans une certaine me- sur
f, nous devrions nous trouver en présence des troubles sensitifs et moteurs qui ne manquent jamais dans les cas où une tumeur
nt au voisina- ge des nerfs acoustiques, en. particulier la branche motrice du trijumeau, la septième et la sixième paires
t englobés dans cette néoplasie sans compter les voies sensitive et motrice . Ne perdez pas de vue, Mes- sieurs, que, dans l
lle d'une partie des éléments anatomiques contenus dans les centres moteurs corticaux et rendus inutiles par le fait de la su
membres dont ils étaient destinés à stimuler et à diriger l'activité motrice . Remarquons que l'atrophie de l'écorce, accompa
ll. de la Soc. anat., 1877, p. 331. (11) Charcot et Pitres, Centres moteurs corticaux de l'homme, 1893. ATROPHIE DES CENTRE
e entraîne la perturbation fonctionnelle puis l'atrophie du neurone moteur cérébral (1). (1) M. Apert a présenté tout réce
stérieure, dans la ré- gion occipitale. Salivation. Pas de troubles moteurs . Sensibilité légère- ment émoussée sur la joue
usculaire est modérément développé. Il n'y a pas d'in- coordination motrice ; les réflexes du genou sont faibles. Les pupilles
rale : telles sont l'absence des pyramides (c'est-à-dire de la voie motrice allant de l'écorce cérébrale vers les cellules
es pyramidales 'de l'écorce cérébrale et les dendrites des cellules motrices de la corne antérieure. Voilà pourquoi, dans- ce
30 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ordon, Williams Dawson, et Waldo. La théorie sensitive de Leyden, motrice de Erb et cérébrale de Jendrassik sont passées
tion, étudie successive- ment le symptôme incoordination et parésie motrice , les dévia- tions oculaires et le nystagmus, l'
la parole. La compréhension de la parole, les fonctions purement motrices du langage sont intactes. Le malade présente une
ux centres optiques, et d'un autre côté avec les centres auditif et moteur du langage. Ce centre étant lésé, il y a impossib
Cnlrul6l., XIV, 1895.) On fait une première fois agir sur le centre moteur d'un membre REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 55
tres correspondants de l'hémisphère de l'autre côté; 3° les centres moteurs néoformés sous l'influence de l'inflammation so
nt atteint d'ictus avec perte de connaissance prolongée, hémiplégie motrice et sensitive du côté gauche ; quelques perturba
e blanche sous-corticale, avec constante loca- lisation aux régions motrices (hémiplégies, monoplégies, aphasies); on y cons
ent à la sécrétion lacrymale, des centres vaso-moteurs, des centres moteurs commandant aux mouvements volontaires de la fac
cerveau, en interrom- pant les voies de conjonction entre les zones motrices et la couche optique, a empêché l'arrêt volonta
évèlent clairement les propriétés sezsitivo-motrices de l'aire dite motrice de l'écorce cérébrale, mais Ils peuvent encore
paraissait probable que la tumeur était située en avant des centres moteurs , qu'elle ne devait atteindre que secondairement
d'hémiparésie, hémianesthésie et hémianopsie droites, avec aphasie motrice et surdité verbale. Les troubles moteurs et sen
psie droites, avec aphasie motrice et surdité verbale. Les troubles moteurs et sensitifs s'amendèrent dans les trois jours,
mité antérieure du lobe frontal et la 3e frontale (siège des images motrices d'articulation) ainsi que le quart inférieur de
pliqua à rattacher l'existence des hallucinations et des impulsions motrices au siège des lésions. Enfin Hertz 3, qui s'es
es convulsions, à des mouvements choréiques s'il s'agit d'un centre moteur , à des sensations lumineuses, à de l'amblyopie,
t fait usage de symboles qui peuvent être évoqués à l'aide d'images motrices , auditives et visuelles. La note musicale peut
entre la mélodie des tons et la mélodie des vers. Dans l'aphasie motrice , la faculté d'expression musicale est généralem
, Griffen, Hochwart, et par lui-même. La contre-partie de l'aphasie motrice se rencontrerait chez un malade qui aurait cons
présentations auditives, avec des représentations ou des impulsions motrices , avec des contractions du muscle tenseur du tym
nvolutions de l'hé- misphère gauche auxquelles correspond l'aphasie motrice ou sen- sorielle. Il me semble que la faculté m
lication pour également applicable aux nerfs sensitifs et aux nerfs moteurs . Si l'on admet la théorie qui vient d'être expo
ou de la déclamation emphatique de paroles sans suite; les troubles moteurs sont de la catalepsie et l'exécution monotone d
tères d'un paroxysme épileptiforme surtout sensoriel, les symptômes moteurs , bien que primitifs dans l'ordre chronologique
nt de vue de l'intensité, aux symptômes senso- riels. Ces symptômes moteurs , qui se bornent à une crampe dans trois doigts
rception), qui enverrait des ordres au quatrième centre à fonctions motrices (circonvolutions centales). Il montre ensuite,
te avec hallucinations ; les malades sont en proie à des impulsions motrices continuelles, à une agitation incessante. Au dé
et fait penser à l'obnubilation des individus ivres. Les impulsions motrices sont désordonnées, sans but, incohérentes ; la
l'excitation électrique reproduit d'une façon fidèle les réactions motrices et organiques de l'épilepsie essentielle. Après a
té ventriculaire. Cet abcès n'intéressait pas directement la région motrice ; le pus était de couleur brun verdâtre sale, é
et sont de même nature dans les nerfs sensitifs et dans les nerfs moteurs . \ Il semble seulement qu'ils soient d'autant p
sont très petites, flétries et comme comprimées; celles des régions motrices , bien qu'atrophiées, ont un volume et un aspect
de l'hémisphère droit sont plus volumineuses au niveau des régions motrices , mais légèrement atrophiées au niveau du lobe f
u à cette disparition du réflexe. Une lésion intéressant la portion motrice de l'arc réflexe (poliomyélite antérieure aiguë o
suivant l'auteur à la sédation exercée par le bromure sur l'écorce motrice et à la diminution consécutive de l'action céré
le con- trôle de la volonté des patients améliorent la coordination motrice ; 4° les malades reprennent de la confiance en e
en dedans pour gagner directement la région du noyau de l'oculo- moteur commun. Chez les chiens, il y a très probablement
quide céphalo-rachidien, pendant qu'on excite l'écorce de la région motrice du chien au courant induit ou à l'essence d'abs
seul devait présenter de l'intérêt ; en voici les résultats : l'air motrice corticale, la capsule interne, la capsule exter
s la dépendance du glosso-pharyn- gien, qui envoie aussi des filets moteurs aux muscles du pharynx. Ces derniers filets nai
nce n'étant due qu'au degré des altérations subies par les cellules motrices corticales. L'auteur rappelle ensuite quelques
ouvoir d'inhibition de la couche sensorielle. laissant les cellules motrices libres d'accomplir leur fonc- tion de décharge
sant de cellules saines pour maîtriser temporairement ces décharges motrices , ainsi que cela arrive quand l'attention est fi
ncore dans les mouvements intentionnels. - Si la lésion des couches motrices n'est pas assez profonde pour rompre le groupem
la main. - Si les lésions de dégénérescence s'étendent aux cellules motrices , cette action associée est détruite, et l'on ob
hémianopsie double passagère (Oppenheim); 6° crises épilepliformes, motrices ou sensorielles, en l'absence de toute étiologi
mar- quer que si l'on divisait l'épilepsie essentielle en épilepsie motrice , épilepsie sensorielle et épilepsie psycliique,
servation qu'il publie réside surtout dans l'absence de convulsions motrices , et dans la présence de convulsions psychiques
ésies toniques. Genèse uniforme. Ilyperexcitabililô de l'appareil moteur , depuis REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. : Q81>
peau, du sens musculaire, et des centres psychiques sur l'appareil moteur . Tells--estJ'amt/o<aa'M cérébrale due à un v
brineuse. Le facial réagit par la paralysie parce qu'il est le seul moteur ; il est aussi probable que 1 l'agent nocif lèse
t aussi probable que 1 l'agent nocif lèse plus gravement les fibres motrices que les fibres sensitives, celles-ci réagissant
ome de Mil- lard-Gublér, c'est-à-dire une paralysie du facial et du moteur ocu- laire externe d'un côté, coïncidant avec u
voisinage, le faisceau pyramidal et les fibres des nerfs facial et moteur oculaire externe. A côté des trois variétés des
n homme de- quarante-cinq ans a présenté un léger affaiblisse- ment moteur de tout le côté gauche avec ophtalmoplégie droite
omènes caractéristiques sont des troubles intellectuels, sensitifs, moteurs et généraux, avec prédominance des premiers. Ce
odification des rouages attractifs des fibres d'association excito- motrices , chargées de tensions moléculaires. L'organe de
génitaux se réveilla un beau matin avec une surdité et une aphasie motrice complètes avec des fourmillements dans tout le
gard les troubles de la parole hystériques ressemblent aux troubles moteurs poslhémi- plégiques. Ceux-ci tiennent à une int
nerveux a lieu. C'est une sorte de trouble comparable aux troubles moteurs posthémi- plégiques c'est-à-dire une alternance
alternance entre, la période de paralysie complète et les troubles moteurs variés, alternance produite par exemple par un
grand, de beau- coup, qui se confond en grande partie avec la zone motrice des auteurs, sert assurément au tact. Cette sph
scences encépha- LIQUES DANS LES AFFECTIONS EN l'01 ? R DE L 1 ZONE MOTRICE D E L'ÉCORCE; WL. llul;a'row. (New'ol, JJent1'U
de la moelle où, en rayon- nant, elles gagnent les grosses cellules motrices ? En d'autres termes y a-t-il des fibres radicu
rôle maintenant jouent les prolongements cylindraxilesdes cellules motrices à l'égard de la fonction sensitive et de la fonct
sitive et de la fonction sensorielle ? Il appert que les phénomènes moteurs sont, en ce qui concerne l'oeil, liés à la sens
osso-pharyngiell, du facial, de l'oculomoteur externe, à la branche motrice et sensitive du triju- meau, du côté gauche, ay
voie. Meynert a indiqué la zone médiane de la calotte comme tractus moteur . Ce sera à examiner. P. K. LII. D'un TROUBLE
a substance grise, diminution de l'élément fibrillaire; les racines motrices possèdent moins de fibres. Ces altérations s'at
l'atrophie ne vient que consécutivement. Les cellules scnsitives et motrices sont toujours atteintes; quant aux lésions des
plus complexes. Il faut donc, en présence de ces troubles oculo- moteurs , songer à l'appareil ampullaire et se rappeler qu
u cerveau ; 4° La méningite chronique localisée au niveau des zônes motrices corticales. [Revue neurologique, novembre 189.)
banales, n'ont en rien altéré la vitalité des neurones sensitifs et moteurs , dont l'inté- grité était, d'ailleurs, prouvée
f des tissus. (Muscles considérés comme organes terminaux des nerfs moteurs .) Enfin la transmission de la force nerveuse se
out sur le trajet des libres sen- sibles, plus rares sur les fibres motrices . Sa terminaison, quand elle a lieu dans le syst
ner il suit le pro- longement cylindraxe. Supposons une impulsion motrice partant de l'écorce du cerveau pour se rendre à
re déjà accusées quarante-huit heures après l'arrachement d'un nerf moteur comme le facial 2. La patho- génie de la dégéné
ysiologiques. L'une de ces chaînes de neurones constitue le système moteur ; une autre forme le système sensitif; d'autres
ences des physiologistes n'ont-elles pas démontré que le cylindraxe moteur était apte à conduire vers les centres les impr
tructure analogue à l'archineurone 1 ou au télé- neurone du système moteur . Comme eux il se compose d'un centre cellulaire
de la dégénérescence des neu- rones sont dans les voies psychiques, motrices et sensibles, con- formes à cette unité de stru
s de systèmes physiologiques. A. Pathologie des neurones du système moteur . Considé- rons séparément chacun de ses système
dé- rons séparément chacun de ses systèmes. Et d'abord le système moteur . Deux neurones suffisent à établir la communica
tre l'écorce cérébrale et les muscles, c'est-à-dire que la chaîne motrice se compose de deux neurones. Le premier archineu-
ones. Le premier archineu- rone a sa cellule d'origine dans la zone motrice de l'écorce ; son prolongement cylindraxe desce
cylindraxe jusqu'au muscle. S'il existe deux neurones dans la voie motrice , trois cas peuvent se rencontrer en pathologie
rones. 1° La dégénérescence isolée de l'archineurone de la chaîne motrice , celui qui va de l'écorce à la moelle et dont le
encore différent et nous fournira le troisième des grands syndromes moteurs que nous montre chaque jour la clinique, celui
e l'archineurone. Dans cette vue d'ensemble des maladies du système moteur , chaque grand syndrome, dégagé depuis longtemps
me le résultat de la destruction de tel ou tel neurone de la chaîne motrice . Et à ce point de vue la doctrine du neu- rone,
s et plus précises. Il est nécessaire, avant d'abandonner la chaîne motrice des neurones, d'examiner ce qui se passe ultéri
u mieux paraît rester intact. La dégénérescence de l'archineurone moteur détermine donc dans le neurone périphérique une
re. La conclusion de ces faits s'impose : La maladie d'un neurone moteur retentit sur le neurone voisin ; elle frappe ce
r cette modalité de la dégérescence de neurone à neurone du système moteur par la raison qu'elle sera pour nous un guide p
mplexe. S'il ne faut que deux neurones pour conduire une impression motrice du cerveau au muscle, il en faut pour le moins
és, nous verrons que ce qui a été dit de la pathologie de la chaîne motrice est applicable ici. Les dégénérescences de la v
cence de neurone à neurone que nous avons éta- blie pour le système moteur . ' ' Bulletins de la Soc. méd. des hôp., 1893.
ontrer que celle-ci se fait suivant la même loi que dans le système moteur . Supposons d'abord la lésion primitive d'un neu
et en suivant en cela les mêmes lois énoncées au sujet des neurones moteurs . C. Dégénérescences combinées des neurones des
. Dégénérescences combinées des neurones des chaînes sensi- tive et motrice . S'il est habituel de voir la dégénérescence de
la dégénérescence de neurone à neurone se faire soit dans la chaîne motrice , soit dans la chaîne sensitive, il est plus rar
oit dans la chaîne sensitive, il est plus rare de voir un neu- rone moteur entraîner la dégénérescence de propagation à un
arquer dans 438 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ses leçons' qua le système moteur s'altérait plus rapidement que le système sensi
ux et non pour la sensibilité dans les téléneurones ni pour la voie motrice dans l'archneurone, c'est-à-dire ni dans les ci
otrice dans l'archneurone, c'est-à-dire ni dans les circonvolutions motrices ni dans le ganglion intervertébral, mais au con
émité libre du cylindraxe, comme on la voit se faire dans la chaîne motrice ou sensitive, que, en d'autres termes, elle est
ne façon plus claire, si l'on veut bien admettre que dans la chaîne motrice , la chaîne sensitive et dans les chaînes des ne
ysie du membre inférieur gauche. Il semblerait donc que les régions motrices du cer- veau, correspondant aux membres inférie
ions anatomiques du tubercule quadrijumeau postérieur et de la zone motrice . D'autre part, on sait que le tubercule quadrij
omiques étendues destinées à la transmission réflexe des impulsions motrices , car les fibres acoustiques atteignent non seul
isolément, allant alors, par la commissure antérieure, aux cellules motrices de la corne antérieure de l'autre côté. P. Kera
utre part, beaucoup de fibres vont passer dans les noyaux des nerfs moteurs de ici ! . Il se pourrait que la dernière nodos
que chez les animaux auxquels on a préalablement extirpé la zone motrice (dégénérescence consécutive du faisceau pyramidal
rce moyenne appliqués sur le noyau caudé ne produisent plus d'effet moteur , alors que cela a lieu chez l'animal auquel on
a lieu chez l'animal auquel on n'a pas préalablement enlevé la zone motrice corticale. Cette méthode de vivisection avec
que fût le point de la coupe transverse excité, le même complexus moteur symétrique s'est reproduit pendant quelques minut
tiques syphilitiques ou non, les mêmes symptômes intellec- tuels et moteurs , le même début, la même évolution, la même duré
ment de la température, de l'abattement psychique, de l'impotence motrice , du ralentissement de la respiration, parésie et
donc pas à l'existence des paralysies hystériques des pupilles, du moteur oculaire externe, de la fièvre hystérique, de l
haliques. Dégénérescences dans les affections du foyer de la zone motrice , par Muratow, 380. Enfants. Quartiers d' annexé
31 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
moelle, situé au-dessous de la section, on observe : Une paralysie motrice accompagnée d'hyperesthésie, dit, côté où siège l
n-Séquard ; ils se résument dans ces quelques mots : hémi-paralysie motrice (avec hy- peresthésie) et hémi-anestlasie crois
endineux, des deux côtés ou seulement du côté où siège la paralysie motrice . On a aussi observé l'exagération des réflexes
ce du côté de la lésion, superposée par con- séquent à la paralysie motrice ; elle se traduit, du moins au début, par une é
ad- duction étaient conservés. En somme, les traces de la paralysie motrice antécédente subsistaient dans un grand nombre d
toute probabilité la moelle a subi une hémisection : Une hémiplégie motrice ; De l'hyperesthésie cutanée ; De l'anesthési
HEMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE. ( Répartition des troubles moteurs et sensitifs {Syndrome de Brown-Sequard). SUR U
espérons se sont trouvés complètement confirmés. Il se compose d'un moteur électrique rotatif ac- tionné par une pile au b
né par une pile au bichromate ou un accumulateur (Fig.1) ; l'axe du moteur porte une came de forme spéciale destinée a soule
urs d'opération de régler très exactement la plongée de la tige. Le moteur électrique permet d'atteindre facilement de grand
nne est une irrita- tion de la substance grise corticale de la zone motrice , et particulièrement de la couche des grandes c
t dans les tumeurs qui n'intéressent pas directement les cel- lules motrices , ou lorsque ces tumeurs absorbent les dites cellu
tic,ile; nous ne pouvions donc localiser la lésion dans la sphère . motrice . L'intégrité-parfaite des fonctions visuelle et a
accès (l'épilepsie eut'lieu ; mais elle était trop-loin-de la sphère' motrice pour provoquer une crise jacksonnienne. Aussi l
gauche parce que la' tumeur, quoique située en dehors de la sphère motrice , avait rendu l'hémisphère droit plus susceptibl
ce grise postérieure qu'il faut chercher l'explication des troubles moteurs de la syringomyélie. L'histologie fine du systè
eurs et inférieurs, il existe dans la moelle des centres sensitifs, moteurs el vaso-moteurs' qui occupent sensi- blement le
e région fait partie, mais elle se met en rapport avec les cellules motrices etprobablementvaso-molrices (1) Je renvoie le l
u'un segment sensitif est principalement en rapport avec un segment moteur et vaso-moteur. Chez nos malades les troubles v
orsale, région que je consi- dère comme siège principal des centres moteurs , vaso-moteurs et sensitifs des extrémités des m
n faveur de cetle relation étroite entre la topographie des membres moteurs , vaso-moteurs et sensitifs des recherches de Ro
de calorique que subissent les malades il cause des troubles vaso- moteurs , produisent une sensation de froid presque contin
rès expressif en paroles et en gestes. Il ne présente aucun trouble moteur , ni trophique, ni vaso-moteur. Ses réflexes ten
vier 1896, p. 17. (4) F. Raymond. Le traitement de l'incoordination motrice du tabes par la rééducation des muscles. Revue
impuissance. Sur nos 22 malades, 12 présentaient une incoordination motrice assez marquée : chez 10 la marche a pu se ré- t
s dans les membres inférieurs, parésie vésicale et incoordi- nation motrice . A côté de ces 22 cas où le résultat a porté d'
élite aiguë. Les cellules de Purkinje du cervelet et les cel- lules motrices des noyaux bulbaires sont particulièrement sensib
oma- tique, réseau achromatique ou spongioplasma. Dans les cellules motrices de la corne antérieure, la substance chromatiqu
air, le nucléole est violacé. Tels sont les caractères des cellules motrices radiculaires de la corne an- térieure à l'état
nesthésie superficielle au membre inférieur gauche,et une paralysie motrice totale du membre inférieur droit, avec de l'hyp
Les troubles de la sensibilité remontaient presque. La paralysie motrice s'est dissipée très rapidement à droite, beaucoup
thésie cutanée à gauche, dans une hyperesthésie avec légère parésie motrice à droite, le tout accompagné de rétention d'uri
uperficielle, à gauche, par de l'hyperesthésie et par une paralysie motrice . Le malade a suc- combé 43 jours après l'attent
e mouvoir ses membres inférieurs et sa jambe droite. La para- lysie motrice subsistait à gauche dans le membre inférieur, san
a 3"ver- pègre dorsale a eu pour suites ; A gauche, une paralysie motrice de tout le membre inférieur et un peu d'hyperes
RAUMATIQUE DE LA MOELLE ni Au bout de quatre semaines, la paralysie motrice , à droite, s'était can- tonnée dans le pied. Le
ine et constipation opi- niâtre. Au bout de 48 heures, la paralysie motrice était déjà en voie de rétrocession et 23 jours
s depuis l'attentai, il ne subsistait plus de trace de la paralysie motrice du membre inférieur gauche ; à l'élévation de la
eur du côté opposé a l'hémisection est resté frappé d'une paralysie motrice partielle. Je vous dirai l'explication que l'aute
l'accident on a constate chez la victime : ci droite, une paralysie motrice complète du membre in- férieur, un peu d'exagér
es 6e et 7e vertèbres cervicales. Il en était résulté une paralysie motrice complète du membre inférieur droit, avec hypere
eau du mamelon. Au début, le patient a eu égale- ment une paralysie motrice incomplète du membre inférieur gauche. Les trou
as, a diagnostiqué une hémisection droite de la moelle ; la parésie motrice du membre inférieur gauche pouvait être attribuée
dical minutieux : II subsistait encore un certain degré de parésie motrice dans le membre inférieur droit; à cette parésie
de parésie motrice dans le membre inférieur droit; à cette parésie motrice étaient associées de l'incoordination motrice,
roit; à cette parésie motrice étaient associées de l'incoordination motrice , de l'exagération des réflexes tendineux, l'a-
èbre cervicale, à gauche), peut occasionner des troubles sensitivo- moteurs aux quatre membres, également durables aux'membre
s supérieurs et aux membres inférieurs ; hyperesthésie et paralysie motrice , à gauche ; hyperesthésie à droite, sans compte
syndrome de Brown-Sequard existait en plein : ri droite, paralysie motrice complète du membre infé- rieur, parésie du memb
ce cas, les troubles con- sécutifs se sont réduits à une paralysie motrice du côté gauche, paralysie transitoire. M. Delma
ns chez lequel, jours après l'attentat, on a constaté une paralysie motrice des memhres du côté droit, à laquelle participa
. Je ne vous mentionne cette observation que parce que la paralysie motrice s'est doublée d'une atrophie qui intéressait les
e anesthésie qui remontait jusqu'au cou. Dans la suite les troubles moteurs se sont notablement amendés. Je note qu'au dé-
subséquente a porté sur les troubles sensitifs et sur les troubles moteurs . A vrai dire l'expression clinique, dans son en
as, à droite de la ligne médiane, on avait constaté : une paralysie motrice et une anesthésie de tout le côté gauche ; une
ie motrice et une anesthésie de tout le côté gauche ; une paralysie motrice du côté droit et une anesthésie de la main de c
même côté on constatait de l'exagération des réflexes, de la parésie motrice , (1) Riegkl. Ein Fall von halbseitiger Vel'letz
une abolition partielle du sentiment, superpo- sée à une paralysie motrice des membres ; les troubles du sentiment con- si
on d'urine.. Je note que le 27e jour après l'attentat, la paralysie motrice était en voie de rétrocession dans le membre in
araît comme une déchéance fonctionnelle générale du système nerveux moteur . Et nous voyons, sauf de très exceptionnelles cir
ne tentative analogue a été faite pour déterminer des localisations motrices dans la moelle épinière et à ce point de vue, les
enir les noyaux de tous les muscles sous la dépendance de la racine motrice correspon- dante. Il en résulte qu'on peut s'at
orburn, .111en Starr ont fait faire à la question des localisations motrices dans la moelle de vrais progrès et ils ont dressé
st étroite la relation entre les neurones sensitifs et les neurones moteurs . Un métamère, du reste, est l'ensemble d'une sé
eurs. Un métamère, du reste, est l'ensemble d'une série de neurones moteurs et sensitifs qui (1) Brissaud. Leçons sur les m
, la lésion des trois neurones médullaires entre en jeu. Le neurone moteur situé à la par- tie antérieure, le neurone vaso
e et anatomique constitue un métamère. VI. L'affection des neurones moteurs donne naissance à l'atrophie musculaire. Or com
ude sur une affection nerveuse caractérisée par de l'incoordination motrice accompagnée d'écholalie et de coprolalie. C'est
(audition, vision, sensibilité générale) ; de l'autre, les centres moteurs de transmission (parole, écriture, divers mou-
es a. Gaz., 1880, p.451. Marinesco. - Localisations sensitives et motrices dans la moelle épinière et leurs applications c
ffroy et Achard concluaient à l'altération dynami- que des cellules motrices , sous l'influence de la sclérose descendante du
esthésie) et hémi-anesthésie superficielle croisées, la para- lysie motrice siégeant du côté de la lésion. Les autres élément
ramener à . quatre types : 1° Dans un premier type, la paralysie motrice est limitée au membre inférieur, du côté de ]'h
férieures, en deçà de la 9°. 2° Dans un second type, la paralysie motrice et les troubles sensitifs re- montent au-dessus
occipitale. Dans ces cas-là les troubles sensitifs et les troubles moteurs envahissent toute une moitié du corps, nuque et c
tain temps, alors qu'au début nous voyons prédominer une paraplégie motrice , voire une tétraplégie. Qu'est-ce à dire ? Qu'a
émisection. Dans ces conditions, vous pouvez observer une paralysie motrice occu- pant les deux côtés. Or la bilaléralité d
trice occu- pant les deux côtés. Or la bilaléralité de la paralysie motrice , qui pour- rait vous faire douter de l'existenc
emain, il avait les deux membres inférieurs paralysés; la paralysie motrice se doublait d'une anesthésie. Il se plaignait d
sculaire du membre infé- rieur droit s'était dissipée. La paralysie motrice et les troubles de la sen- sibilité subsistaien
rsale. Immédiate- ment après l'accident on a constaté une paralysie motrice de la jambe gauche et une anesthésie dans toute
les sensitifs étaient plus prompts à se dis- siper que les troubles moteurs . L'inverse s'observe parfaitement, le cas de no
centres ner- veux sont à même de nous rendre compte de la paralysie motrice directe, de l'hémi-anesthésie croisée, de l'hyp
et de l'exagération des réflexes tendineux du côté de la paralysie motrice , qu'on observe dans les cas d'hémisection de la
'on observe dans les cas d'hémisection de la moelle. A. Paralysie motrice directe. - La paralysie qui se produit du côté de
bres qui composent ce faisceau pyramidal conduisent les incitations motrices que les centres psycho-moteurs projettent sur l
rmi- nales, ils vont se mettre en rapport avec les grosses cellules motrices des cornes antérieures de la moelle. De chacune
ces des cornes antérieures de la moelle. De chacune de ces cellules motrices part (1) A. Chipault, Etudes de chirurgie médul
A MOELLE 313 le long prolongement cylindraxile d'une fibre nerveuse motrice ; ce pro- longement aboutit à une fibre muscula
ne hémisection de la moelle entraînera nécessairement une paralysie motrice du même côté, dans les parties innerves par les r
section. Cette figure vous donne une idée d'ensem- ble de la voie motrice , qui, vous vous le rappelez sans doute, se rédu
forme d'une arborisation terminale qui enlace une grosse cellule motrice . Un neurone périphérique N p, dont le corps c
corps cellulaire C m est représenté par une des grosses cellules motrices des cor- nes antérieures, et dont le prolongeme
nettes que celles qui m'ont servi à rendre compte de la para- lysie motrice qui se développe du côté del'hémisection. Les dif
'occasion de vous exposer. La voie sensitive, à l'instar de la voie motrice , peut se ramener, somme toute, à deux neurones
nombreuses , d'après Cajal. c) Les collatérales longues ou réflexes motrices , qui se terminent par des arborisations péri-ce
i se terminent par des arborisations péri-cellulaires dans le foyer moteur de la corne antérieure. d) Enfin d'abondantes c
ments principaux du syndrome de Brown-Sequard, de l'hémiparalysie motrice directe, de l'hémi-anesthésie croisée et de l'a
de l'expérimentation et de la cli- nique. î-ig. b. 1, 1', Voie motrice . 2, 2', Fibres sensitives destinées aux muscles
y- peresthésie très nette s'associe, avons-nous dit, à la paralysie motrice . Cette hyperesthésie s'explique sans difficulté
que moitié du cer- velet (Fig. 7) est en communication avec la voie motrice par l'intermé- diaire du faisceau de Laewental,
ater dans certaines cellules nerveuses, ainsi que dans les cellules motrices de la corne an- térieure, une dissolution centr
ntes, il faut remarquer que nous sommes (1) Sano, Les localisations motrices dans la moelle lombo-sacrée. Journal de neuro-
s l'arthropathie éphé- mère siégea au genou du côté de la paralysie motrice et de l'hyperesthé- sie, c'est-à-dire préciséme
tes ont été douloureuses, qu'elles se sont accompagnées de troubles moteurs plus ou moins accentués, que jamais on n'y a sign
surtout sur les nerfs, et qui s'accompagne de trouble; sen- sitifs, moteurs et trophiques, suivis de déformations variées.
un, débutant d'ordinaire parles mem- bres supérieurs. L'impuissance motrice s'accroît avec le degré de l'atro- phie qui, su
. Hémisectiou traumatique de la moelle : répartition des troubles moteurs et sen- sitifs (syndrome de Brown-Séquard), I
32 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en en fait. Leyden n'apercevait point pourquoi, en outre de la voie motrice des cordons latéraux des pyramides, allant des
-93, 734-39. 4 REVUE CRITIQUE. sens de la vue sur la coordination motrice , sur laquelle a fort insisté Frenkel dans la ré
ne diminution de la. sen- sibilité, tout au moins de la sensibilité motrice ; on doit entendre par là que pour l'exécution
ndue de son trajet, et, d'une manière correspondante, chaque région motrice de la moelle épinière reçoit des collatérales pro
e, est lésée, et non pas seulement- et uniquement la coordination motrice . Et Redlich invoque encore ici la sensomobilité
a- lysie apparente avec celle qui résulte d'une lésion de la voie motrice . Ajoutez, toujours comme effet de cette dégénér
que le cervelet exerce une influence déterminante sur les fonctions motrices , spécialement des extrémités inférieures, et qu'i
e l'aura vaso- 1 Séglas. Th. Paris, 1881. 20 CLINIQUE NERVEUSE. motrice et l'éclosion d'une crise convulsive dans la péri
s les muscles de la vie de relation et partant le repos des centres moteurs ; il a aussi pour résultat de restreindre au mi
auditives, cutanées, etc.), et par conséquent toutes les réactions motrices . Il favorise le som- meil ; il diminue l'activi
s répondre complètement à leur but. « Un grand nombre de phénomènes moteurs , tout spécialement les réflexes, ont été étudié
n une atrophie simple des cellules des cornes antérieures, cellules motrices et cellules cordonales. Ces deux faits démontre
ophie musculaire progressive flasque, accompagnée d'une impuissance motrice toujours adéquate à la quantité de tissu muscul
ns se cantonnent dans un seul sys- tème anatomique, le protoneurone moteur ou spino-musculaire. Au contraire, dans la sclé
esse au moins deux systèmes anatomiques distincts : le proloneurone moteur ; les cellules et fibres de cordon. Sans comp-
n-Duchenne est une affection sys- tématique limitée au protoneurone moteur , et qui ne touche jamais au cerveau proprement
ens qui, par une irri- SOCIÉTÉS SAVANTES. 77 tation de la cellule motrice médullaire, sont capables d'exagérer les réflex
ibrillaires, la stabilité des troubles trophiques, anesthésiques et moteurs , l'intégrité absolue du sphincter scrotal-anal,
ffaiblie; actuellement les crises d'agitation sont presque purement motrices , elle ne parle plus guère de ses idées délirant
progressif des fonctions, et partant de la nutrition, des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle épinière, d
ent nerveux de ces cellules, la fibre radicu- laire du protoneurone moteur , n'est point altérée dans toute sa longueur com
tourent plus, de leurs fines arborisations terminales, les cellules motrices des cornes antérieures, privant ainsi ces cellu
de Lugaro est en contradiction avec l'état anatomique du neurone moteur phériphérique dont la fibre radiculaire a été sec
es altérations des cellules radiculaires après la section des nerfs moteurs , qu'il ne s'agit pas en réalité, dans ces cas,
acines postérieures. En outre les nerfs périphériques, sensitifs et moteurs , z sont souvent et peut-être toujours affectés
doctrine actuelle, les lobes pariétaux sont occupés par les centres moteurs de Ferrier et d'autres auteurs, et les lobes te
ait un siège par- ticulier et distinct des subslrata sensitil's et moteurs de l'écorce en général. Le point unique qu'il a
us l'influence d'un traumatisme. - Reste à expli- quer la paralysie motrice qui a probablement été causée par 138 REVUE D'A
sgrave CLAY. - VIlI. Remarques sur les cellules géantes de l'écorce motrice chez les aliénés, examinées à l'état frais (san
égards de celle que Marinesco a signalée après la section d'un nerf moteur . Dans 71 cas de folie l'auteur a pratiqué l'exa
évrites paludéennes semblent caractérisées d'abord par des troubles moteurs de la sensibilité, puis par des troubles avec f
de de la pathologie de la cellule pyra- midale et des localisations motrices dans le télencéphale ; par F. SANO. (Jo2ern. de
sa. Si l'érecteur de droite, par suite d'une affection de ses nerfs moteurs , perd de sa force, comme dans la sciatique, le
t servir à expliquer les symptômes d'ordre SOCIÉTÉS SAVANTES. 153 moteur observés durant la vie. Au cours d'une tuberculos
e de ces accès ou de ces étals de mal elles présentent des troubles moteurs et intellectuels pro- noncés, mais passagers.
oteurs et intellectuels pro- noncés, mais passagers. Les troubles moteurs consistent en paralysies partielles (mono- plég
côté gauche, des douleurs dans quelque partie de l'appareil loco- moteur de ce côté, accompagnées d'une anesthésie cutanée
en qui ont soutenu, contrairement àla doctrine classique, la nature motrice du noyau dorsal du nerf vague. De plus, les aut
plus, les auteurs pensent que ces cellules appartiennent à un type moteur spécial différent, par exemple, du type des gra
TÉS SAVANTES. 173 3 sans autre signe de paralysie facial; intégrité motrice des membres, mais exagération des réflexes à dr
nations de l'ouïe et de la vue. Le malade ne présentait ni aphasie motrice , ni paraphasie dans la parole spontanée, ni céc
s spinaux..Donath la considère. comme. une. affection des- racines- motrices ; médullaires : . A', côté; de; ces auteurs, d'a
sur les symptômes psychiques, tantôt sur les trou- bles somatiques ( moteurs , sensibles, vaso-moteurs). La distinction des p
sans contracture de l'orbiculaire et semblant dû à une insuffisance motrice passagère. Malgré la rareté des ptosis hystérique
ôt survient la paralysie d'une branche ou de toutes les branches du moteur oculaire et alors tous les symptômes disparaiss
ment étendue jusqu'au pédoncule gauche, et avait envahi le noyau du moteur oculaire. A la seconde visite, le tableau clini
fois même pendant plusieurs mois après la guérison. Les symptômes moteurs qui apparaissent en même temps que REVUE DE PAT
l y avait des lésions évidentes de dégénérescence dans les cellules motrices de la corne grise antérieure de la moelle. Dans
protubérance. Mort. Autopsie; 5° Gliome du centre ovale, des aires motrices droites. Mort. Autopsie ; 60 Gliome des aires
des aires motrices droites. Mort. Autopsie ; 60 Gliome des aires motrices gauches. Opération. Mort ; '7° Tumeur sous-cort
les droites. Opération. Pas d'amélioration; ' 8° Tumeur des aires motrices droites. Mort. Pas d'autopsie; 9° Tumeur des ai
s aires motrices droites. Mort. Pas d'autopsie; 9° Tumeur des aires motrices gauches. Mort. Pas d'autopsie; 10° Gomme à la b
a base du cerveau. Mort. Pas d'autopsie ; 110 Tumeur dans les aires motrices droites. Mort. Pas d'au- topsie ; 1211 Gomme
rices droites. Mort. Pas d'au- topsie ; 1211 Gomme dans les aires motrices gauches. Amélioration; 13° Abcès dans la circon
térale et située du côté de la moelle correspondant à la paralysie motrice . - La nature de la lésion demeure naturellement
uses causes que passe en revue l'auteur. L'amour, ce mal universel, moteur puissant s'il y en a un, ne peut-il créer l'obs
u : leur coupe a environ un millimètre et demi de diamètre. Le nerf moteur oculaire est assez bien développé. Les t«ber- c
e des lésions de certaines zones du cerveau. z Dans les « centres moteurs corticaux », Charcot et Pitres citent entre aut
QUES. de transformation des impulsions sensorielles en phénomènes moteurs , ou physiques, ou vice versa ne nous est pas conn
tance blanche et la substance grise se rencontrent dans la région motrice , et que ces différences sont exactement semblable
une paralysie faciale droite com- plète avec UR, d'une paralysie du moteur oculaire externe droit, de nystagmus, de kérati
olutions à la partie inférieure BIBLIOGRAPHIE. · 355 de la région motrice gauche et du faisceau efférent correspondant da
ifférents groupes de muscles d'un côté du corps, partent de centres moteurs situés dans l'hémi- sphère cérébral du côté opp
moyen de se renseigner sur la topographie et les limites de la zone motrice corticale, entrevue par M. Jackson. Naturelleme
on ne s'est pas contenté de déterminer la topo- graphie des centres moteurs corticaux, chez les animaux supérieurs tels que
notions suivantes : , a. Premièrement, l'extirpation d'un centre moteur cortical entraîne toute autre chose qu'une para
bles, et des désordres qui n'ont rien de commun avec la paralysie motrice , dans le sens propre du mot, dans le sens de la
faut de spontanéité. Ainsi, à la suite de l'extirpation du centre moteur des doigts et de la main, ces parties ne se contr
, ces parties ne se contractent plus sous l'influence d'incitations motrices qui leur sont des- tinées exclusivement, mais e
membre. Bref, les désordres relèvent bien plus de l'incoordination motrice que de la paralysie ; on les désigne couramment
e cette particularité. b. En second lieu, l'extirpation d'un centre moteur cortical entraîne l'impossibilité de provoquer
eloppant un foyer d'irritation dans un territoire limité de la zone motrice corticale. A la suite de l'extirpation de ce ce
point capital où je voulais en venir : l'extirpa- tion d'un centre moteur de l'écorce supprime la possibilité de développ
gorie de faits ; elle comprend les cas où le siège précis du centre moteur a été déterminé avant l'extirpation, à l'aide d
ques convulsives réapparurent avec une grande fréquence. La parésie motrice du membre supérieur gauche persistait, elle se
état d'infantilisme. Le il février 1896, on extirpa tout le centre moteur du membre supérieur de l'hémisphère gauche. Déj
convulsifs. - Le 13 mars 1896, on procéda à l'extirpation du centre moteur du membre supérieur de l'hémisphère droit. Cett
le membre supérieur correspondant a été frappé d'une simple parésie motrice ; légère et transitoire, qui n'a pas duré plus d
la main... 1 Le 17 décembre 1892, on mit à nu la portion de la zone motrice corticale dont l'excitation produisait des cont
cte dans les parties paralysées. Le ler avril suivant, la paralysie motrice était complète, à la main droite et au coude; la
d'altérations appréciables. On procéda à la détermination du centre moteur de la jambe, à l'aide de l'excita- teur électri
t atteinte d'une légère paralysie. Les jours suivants, la paralysie motrice est allée en s'amendant. Le malade a quitté l'h
isinage du sillon de Rolando, par conséquent dans l'aire de la zone motrice . Eu égard au résultat théra- peutique, ils se r
pé- ratoires, on a dénié toute utilité à l'extirpation de centres moteurs corticaux, pratiquée chez un malade dont l'épilep
au moment où fut pratiquée l'extirpation d'un fragment de la zone motrice . Inversement, les échecs n'ont pas été rares, d
nette sur les résultats thé- rapeutiques de l'extirpation du centre moteur qu'on suppose être le point de départ des attaq
suite de l'extirpation d'un fragment ou de la totalité de la zone motrice , sont essentiellement' transitoires : c'est un po
e tiens à vous pénétrer de cette notion : L'extirpation d'un centre moteur n'entraîne pas de paralysie durable de la parti
paralysie durable de la partie qui est censée tirer son innervation motrice du centre extirpé; elle entraine des désordres
innervation motrice du centre extirpé; elle entraine des désordres moteurs qui relèvent de l'incoordination plutôt que de
le, sans occasionner de lésions appréciables de l'écorce de la zone motrice . Il faut donc admettre que l'épilepsie cortical
fragments de la zone rolandique, dans des cas d'épilepsie partielle motrice , d'origine trauma- tique. Je vous ai dit déjà q
tre espèce, nos connaissances touchant la topo- graphie des centres moteurs de la zone rolandique, que nous tenions de l'ex
une dégénérescence nerveuse centrale, intéressant soit le noyau du moteur oculaire, soit ses rameaux afférents. 5° Elle
ants : a. Cette iridoplégie accompagne, ou suit, une paralysie du moteur oculaire. b. A l'appui de l'opinion de l'auteur
on constata une dégénérescence du noyau sphinc- terien et des nerfs moteurs oculaires. c. Les recherches nécroscopiques mon
fit se reporter au mémoire intégral. il. M. C. XLIX. Des troubles moteurs à évolution aiguë, à forme d'ataxie cérébelleus
ques à un défaut d'équilibre réflexe sensitivo-moteur. Des troubles moteurs seuls peuvent s'ac- compagner de dystrophie, ma
s portant sur le point de conjugaison de deux neurones, sensitif et moteur , comme la syringomyélie, présentent des troubles
ccentués ; la paralysie infantile qui ne porte que sur les cellules motrices ne produit que l'atrophie. Les mêmes remarques
s l'olive gauche. Ce cas de déficit cérébelleux, sans localisations motrices impor- tantes est particulièrement intéressant;
selon la forme sensitivo-motrice aiguë ou la forme exclusivement motrice ou la forme pseudo-tabétique ; évolution selon la
es membres supérieurs et quelquefois des infé- rieurs. Les troubles moteurs des membres supérieurs étaient variables, réali
ance génitale dus à l'absence d'érection ou à toute autre faiblesse motrice doivent faire soupçonner le tabes. Il peut y av
les cellules ganglionnaires, mais la substance blanche et les nerfs moteurs efférents sont aussi atteints. Dans quelques ca
géné- rale, la paralysie de Landry n'atteint que les nerfs spinaux moteurs efférents, les cornes grises antérieures de la
tions, et par l'apparition de symptômes d'initiation sensorielle et motrice , » et, comme résultat de son étude, il conclut
istence d'une lésion irritative des cellules nerveuses (mentales et motrices ). L'auteur estime que l'agent irritant est une
ce qu'il faut dire, c'est que les cellules mentales et les cellules motrices sont atteintes les unes et les autres. Il veut
stème nerveux caractérisé par des symptômes mentaux avec phénomènes moteurs concomitants; cette concomitance est constante
pécial et très capable de faciliter le diagnostic. Les phénomènes moteurs sont représentés par une parésie mo- trice et u
écrivant; mais dans la majorité tout au moins des cas, l'apha- sie motrice s'accompagne d'une agraphie plus ou moins accusée
ns, ancienne syphilitique, frappée d'hémiplégie droite avec aphasie motrice et sensorielle, paralysie du facial et de l'hyp
t brusque de la maladie par des phénomènes d'insomnie, d'excitation motrice , refus d'alimentation, hallucina- tions visuell
cerveau gau- che, et qu'elle avait envahi, non seulement la région motrice , mais aussi la région frontale, puisque son int
énération, produite par la simple compression des cellules cortico- motrices 1 (chez l'enfant, plus fréquemment que chez l'a
ur d'une mandarine, facilement énucléalle· qui a comprimé la région motrice gauche, a poussé en arnere la scissure de Sylvi
atiques et psychiques, tels que : hémiparésie passagère, excitation motrice , confusion mentale et hallucinations. Bientôt s
puis longtemps aux prati- ques du spiritisme se crut d'abord médium moteur , puis médecin 506 ' · SOCIÉTÉS SAVANTES. ente
ures de la moelle, en même temps qu'une lésion des noyaux des nerfs moteurs qui n'est pas celle d'une paialysie bulbaire prog
sée. 4° Paralysie pMMo-6M/6a ! )'e. Ophtvlznopléyie dissociée itléo motrice . Prêtre, âgé de cinquante-quatre ans. Plusieurs
ie idéo-motrice, tandis que la voie qui communique les impulsions motrices des images visuelles aux noyaux des nerfs oculomo
Ataxie. Anesthésie du tronc dans il-, par Patrick. 246. Troubles moteurs à forme il'- cérébelleuse chez les ivrognes, pa
33 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nçante du faisceau latéral; 2° Dégénération granuleuse des cellules motrices de la subs- tance grise, surtout dans la région
UDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION MOTRICE ACCOMPAGNÉE D'ÉCHO- LALIEI ET DE COPROLALIE2 (J
apprécié, les affections nerveuses dans lesquelles l'incoordination motrice était le symptôme prédominant se trouvaient for
aladies nerveuses, t. II, p. 3t. Paris, 1851. DE l'incoordination motrice 21 en tète de celles que nous avons recueillies
re de Beard : numéro du 15 août 1878, p. 368. DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 23 fection que nous allons décrire. L'auteur a
que des .lrcltoes de Neurologie, juillet 1881). DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 25 veuses qu'il combattait surtout par des bai
et paraissant jouir d'une modeste aisance. DE 1,'IN COORDINATION MOTRICE . 27 S... n'a jamais été malade pendant son enfa
ment exagéré de tics et de contorsions, remuant DE L INCOORDINATION MOTRICE 29 les bras, se relevant et s'abaissant à plusi
été élevé avec tout le confort désirable : son DE L'INCOORDINATION MOTRICE 31 père est armateur et possède une fortune qui
éristiques ; la tête s'incline brusquement vers DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 35 l'une ou l'autre des épaules; en même temps
amais, parait-il, il n'a poussé de cris, ni dit DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 37 pendant ses contorsions de mots orduriers.
des occupations intellectuelles sans fatigue. DE L INCOORDINATION MOTRICE . 39 Observation VII (Personnelle). M. E..., v
t involontaire de mots grossiers ou obscènes. DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 4 t M"°X... est fort intelligente; elle appren
tronc. Mais assez souvent 42 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'INCOORDINATION MOTRICE . les secousses convulsives ont lieu sans qu'auc
rva- tion il eut environ un accès par mois. La réaction des nerfs moteurs était normale. Le 3 novembre 1861, on commença
ours avant le début du trai- tement. La réaction du système nerveux moteur par la recherche galvanique et faradique était
curare possède non seulement une action spécifique sur la diathèse motrice de l'épilepsie, mais encore sur la dia- thèse p
n vieillard de soixante-dix-neuf ans n'ayant présenté aucun trouble moteur . M. W. fait remarquer que les calcifications si
be et paraît étourdie; on la recouche, elle a un peu de para- lysie motrice du bras gauche, avec déviation conjuguée des yeux
ant plusieurs années avant son mariage) ; on constate une paralysie motrice très peu marquée du bras gauche, et existant à
t quand on fait agir le courant sur la région corticale antérieur : motrice , mais aussi quand on l'applique sur les parties p
convulsions cor- respond à la disposition topographique des centres moteurs dans l'é- corce du cerveau; ainsi n'entrent en
cet organe, 80 REVUE DE pathologie mentale. reçoivent des libres motrices des deux moitiés de l'écorce ; Sa La même concl
oduction des convulsions musculaires. En extirpant certains centres moteurs isolément, on élimine du même coup du tableau c
entent un caractère tonique; 17o L'extirpation de la zone corticale motrice dans l'état domalépileptique réduit au silence
elques observations nous apprennent que la destruction de la région motrice empêche également chez l'homme les convulsions
qui les accompagnent souvent, les symptômes d'exci- tation d'ordre moteur , y compris la chorée, le ptsyalismc, les ma- ni
Le centre des images acoustiques des mots. M. Le centre des images motrices des mots. AM, La voie d'union entre ces deux ce
ntrée centripète des impressions auditives. llim, La voie de sortie motrice . L'exercice de la répétition avec intelligence
x grands groupes de troubles aphasiques méritent les noms d'aphasie motrice et d'aphasie sensorielle. Elles sont toutes deu
M. llamos (de Leipzig.) Sur une parulysic yériodique de l'oculo- moteur commun. On a encore comparativement peu étudié le
type de l'hystérie mortelle aiguë de L. Meyer (absence de troubles moteurs ). Ce qui le frappe SOCIÉTÉS SAVANTES. 118 3 d
re de figures, notamment de la distribution des nerfs et des points moteurs , ajoutent encore à l'utilité pratique de ce liv
rveau. (Arclv. de plzys., 2e série, t. VIII.) 1883-1884. Le cerveau moteur . (Arch. de phys., 3e série, t. Il et III.) Il a a
'elle était sous la dépendance de la myélite affectant les cellules motrices des cornes anté- rieures. Tous ces cas appart
able. H.-J. Petit 1, dans un mémoire intitulé : De l'ataxie loco- motrice dans ses rapports avec le traumatisme, cite l'o
UDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION MOTRICE ACCOMPAGNÉE D'ÉCHO- 1. : lLIls` ET DE COPROLAL1
lade secoue deux ou trois fois sa jambe droite, DE L INCOORDINATION MOTRICE . 161 tire la langue encore une fois, dit « zut
leur témoigner ici même toute notre gratitude. DE l'incoordination motrice . 165 bute donc dans l'enfance et au plus tard d
lement toujours, ou à peu près, identique. C'est Vin- coordination motrice qui ouvre la scène morbide : in- coordination q
; le travail devient difficile. Presque en même DE l'incoordination motrice . 167 temps- les intervalles varient suivant les
idus atteints de la danse de Saint- Guy ». . .DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 169 retour est moins précipité. Alors que, gén
n'en existent pas moins. Ces diverses modalités de l'incoordination motrice sont influencées par diverses causes. On peut d
e des périodes d'exacerbation peu- dant lesquelles l'incoordination motrice se montre assez peu, bien qu'elle ne disparaiss
e longues années, constituer à elle seule toute DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 171 I V affection. (Dans les observations I, I
aisant que possible. Il est évident cependant qu'une incoordination motrice aussi accentuée que celle qui existe parfois n'
l'inverse de ce qui se passe chez les choréiques, l'incoordination motrice , qui, nous le savons, se présente ici sous form
Les efforts qu'ils font alors pour atténuer ou DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 173 faire disparaître la violence de leurs mou
instants à subir une exagération inusitée de son in- coordination motrice qui chez lui portait spécialement sur les deux
observations entre quelques mois et seize années, l'incoordination motrice pouvait exister seule : ou plutôt, nous parlero
te, doit faire soupçonner l'apparition probable DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 175 d'un autre signe, qui n'est en somme que l
gent à quelque chose, leur oreille par les mois DE L INCOORDINATION MOTRICE . 177 dont ils revêtent l'idée qui les haute en
ngers. Il est un des premiers à apparaître après l'incoordination motrice , il semble être un des derniers à persister pen
t 1884, p. 71. /&td.,juiUetl88<,p ? 3. DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 179 lant du matelot qui en fait le sujet : « S
ts sont pour la plupart foutu cochon, des jure- de l'incoordination motrice . 181 ments grossiers, des épithètes obscènes, e
société ». Quant aux auteurs étrangers, O'Brien DE l'incoordination motrice . 183 nous dit expressément : « Le latah pousse
ure obscène tout à fait spéciale (Obs. II). . DE L INCOORDINATION MOTRICE . 185 Quant à l'état physique, moral et mental d
même qui se dégage de nos propres observations. DE l'incoordination MOTRICE . 187 Beard cependant est assez affirmatif au su
fection est héréditaire; elle se caractérise par une incoordination motrice sous forme de secousses musculaires brusques, a
es le Neurologie, loc. cil., 1889, p. 146-151 . DE L INCOORDINATION MOTRICE . 189 particulièrement de ceux que nous avons én
e autre, trois frères étaient atteints. Chez tous, l'incoordination motrice était des plus évidente et affectait spécialeme
1884. Jumping, Latah, My- riacliit, p. 68-75. DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 191 I mieux de la lecture du mémoire de M. O'B
vivant ensemble dans les bois, où ils exercent DE L'INCOORDINATION MOTRICE . - 193 la profession de bûcheron. N'y aurait-il
affection : 1" cas. L'individu n'est affecté que d'incoordination motrice , de secousses musculaires ; la maladie se consti-
uera probablement dans un laps de temps plus ou DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 195 moins long, mais en ce moment elle ne se t
- teur attentif ne s'y trompera pas longtemps; l'incoor- dination motrice de la chorée ne ressemble pas aux secousses mus
ns idiopa- tiques de la face. Bruxelles, 180. DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 197 Ï pendamment d'une cause connue, et même c
de notre affec- tion au grand complet. 2e cas. A l'incoordination motrice viennent se joindre des cris inarticulés . A
ues chez les hystériques, en s'accompagnant même d'incoordination motrice . Mais, chez ces malades, il existe toujours, ou
les phénomènes ayant trait avec la phonation. DE L'INCOORDINATION MOTRICE . 199 3« cas. A l'incoordination motrice, aux cr
tion. DE L'INCOORDINATION MOTRICE. 199 3« cas. A l'incoordination motrice , aux cris inarticulés, se joint l'émission de m
alie persiste par suggestion après le réveil ouest l'incoordination motrice ? Certains aphasiques peuvent prononcer et à sa
sagère.- A son entrée dans le service il n'existe plus de troubles moteurs , mais la sensibilité au froid et à la douleur éta
OGIE NERVEUSE. XXIV. Un cas d'arrêt de développement dans la SPHERE motrice du cerveau; parJ. Gensen. (Arch. f. Psych., XIV
ment. Il y avait en un mot assez de tissu pour que la vie psychique motrice et sensorielle persistât : mais les facultés et
xagérés sur la moitié du corps en proie aux phénomènes d'excitation moteurs , même quand ces phénomènes d'excitation se comp
té à la douleur est obtuse, on constate simultanément de la parésie motrice du même côté, de sorte que l'abolition des réflex
d'ordinaire aux attaques accompagnées de phénomènes d'excita- tion moteurs , s'observent généralement au bras, rarement à la
a tète et des yeux qui suit l'attaque est un phénomène d'excitation moteur . Après critique et réflexion approfondie sur le
ubles de la motilité en rapport avec l'atteinte des circonvolutions motrices , l'absence d'aphasie par suite du simple déplac
. C'est à des lésions traumatiques qu'il faut rapporter les tmublus moteurs ou seiisitils qui se manifestent aimultai,cmuut
state aussi, à cette période, des troubles sensoriels, sensibles et moteurs . La vésanie proprement dite est de prime abord
tiqua une traction du nerf ulnaire pour remédier à une altération motrice et un trouble de la sensibilité obser- vés dans
ans une contracture doulou- reuse. Blum' : Anesthésie et altération motrice dans ' Struckmann-Maag. Etc. 2 Estlander. V.
troubles sensitifs ne répond pas exactement à celle des troubles moteurs , nous voyons l'anesthésie épargner la partie su
supérieure du tronc et les membres supérieurs, lorsque la paralysie motrice y est très accusée. Erichsen, après avoir avanc
qu'il n'est pas inutile de faire d'a- bord, c'est que les troubles moteurs et sensitifs sont beaucoup plus persistants dan
être influencés dans les fortes commotions, aussi bien les éléments moteurs que les sensitifs, et, 318 PATHOLOGIE NERVEUSE.
corce du cerveau lui attribua la même localisation qu'aux fonctions motrices . Il est vrai que Vulpian et Kûssner, s'appuyaut
du cerveau chez les chiens offre les mêmes limites que les centres moteurs de Hitzig. Le même auteur a a publié plusieurs
zig. Le même auteur a a publié plusieurs cas de lésion de la région motrice de l'écorce du cerveau, dans lesquels s'observa
son malade n'était pas en proie à une démence avancée. Les troubles moteurs rapportés disparurent dans le cours de la maladie
d'en attribuer la pathogénie à l'excitation des territoires spinaux moteurs qui commandent à un ensemble fonctionnel démuse
istence, dans l'espèce, d'un état d'excitation chronique des noyaux moteurs des cornes antérieures grises. Présentation d
pourrait qu'on ait affaire à un hys- térique. L'absence de troubles moteurs et d'atrophie plaide contre l'existence de lési
émie maternelle pendant la grossesse. Pour expliquer les phénomènes moteurs , il faut avoir recours à l'entrave apportée au
tèbres), par Rallier, 61) - -tiio- malie du développement, 110. Motrice (incoordination avec écholalie et coprolalie),
c écholalie et coprolalie), par Gilles de la Tourette, 19. 158. Motrice (arrêt de développement dans la spUî·w - du cer
34 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s la droite sans déter- miner aucune lésion dégénérative des libres motrices ou sensitives, ce qui explique l'absence de tou
v queux des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses motrices corticales et de sa signification ; par l\\'.\N
es rétabliraient la communication entre ces cordons et les cellules motrices au-dessous de l'endroit comprimé. Mais, dans l'
ommunication le centre cor- tical extirpé avec les noyaux des nerfs moteurs des muscles ocu- laires ou avec le quartier où
e bijumeau supérieur mon- trenL qu'à la hauteur du novau de l'oculo moteur commun le pied du pédoncule est l'émanation de
Le novau du facial a été le plus atteint. La parésie de l'oculo- moteur externe, légère et transitoire, ne tenait peut-êt
ffecté, II' no) au sensitif du trijumeau ; l'intégrité de son noyau moteur trace la limite supérieure du foyer. Le terri
e lésion simultanée des corncsanterieu- res grises, des conducteurs moteurs périphériques, ainsi que dans les paralysies in
yie hul6o-shinale allt(·nirlue en voio de régression. Polynévrite motrice au poliomyélite antérieure subaiguë. 3131. Bris
ance aussi flagrante du rôle des idées obsédantes et des phénomènes moteurs systé- malisés dans les syndromes vesamques ne
r ; l'insomnie est complète, elle a dans les membres des agitations motrices continuelles. Puis -elle se lamente, a peur de
hacune à des mouve- ments particuliers de l'ensemble de la fonction motrice . La sur- face du cerveau comporte une localisat
e membres sont donc repré- sentes dans le cervelet par sept centres moteurs . Un mémoire détaillé est en préparation. P. KEl
tle Holando (préeenll'al), ''Ce dernier, sur la limite de la région motrice , participe aux mouvements volontaires. Le centr
téressées des deux côtés depuis le centre visuel jus- qu'à l'écorce motrice . La lésion du pli courbe fournit une Rmhl 0- pi
il opposé. 5. La dissec- tion de la pie-mère au-dessus de la région motrice engendre chez REVUE D'ANATOMfH ET DE PHYSIOLOGI
s portions supérieures et externes du lobe pariétal et de la région motrice , enlin l'écorce des lobes frontaux. Ces voies e
ne, dont les lésions ne produisent jamais de troubles sensoriels ou moteurs , et provoquent au contraire la perte des facult
s vagues ; et celles qui en cherchent l'origine dans des (rou- bles moteurs périphériques de la pointe de la langue, des part
périences, l'auleurtirelcsconclusions suivantes : La zone corticale motrice est le centre exclusif des convulsions clonique
e chien et le chat nouveau-né et chez la grenouille verte, l'écorce motrice n'est pas le siège d'un cenlre convulsif. La
s. 112 REVU : DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 11 s'agissait d'une aphasie motrice (ranscorficale puisque la parole spontanée ëtai
ssocialion qui unissent le centre acoustique de la parole au centre moteur . Mais dans l'espèce, le malade était conscient
tettectuel coopérait au mécanisme. 11 faut donecroire que le centre moteur de la parole comprend un territoire plus gl'an(
côLé <le celte circonvolution, il doit v avoir un second centre moteur de la pa- role prl'l'orllll',Cl'nlrc auxiliaire
entre acoustique et optique de la parole. Conclusions. 1. Le centre moteur de la parole comprend un territoire qui dépasse
ole acoustique, tantôt ducenfre de la parole optique. ? . L'aphasie motrice transcorticale est pro- duite non pas par la lé
du schéma do LichLJ\t'il1l, qui va du centro intellectuel au centre moteur de la parole, mais par celle de la circOl1\oluLio
choppement et est emllneinlo ¡['ulle pl'I'llll'lmlioll nl'lll'lnrnL motrice . Mais alors, il est difficile d'élucider les ra
ors, il est difficile d'élucider les rapports de l'aphasie centrale motrice avec l'amnésie verbale, parce que la première,
ant l'origine centrale des accidents, l'abaisse la valeur du centre moteur dans la trouvaille du mot. S'agit-il d'a- phasi
r du centre moteur dans la trouvaille du mot. S'agit-il d'a- phasie motrice partielle ou en rétrocession, l'aptitude du malad
'il y a des cas intermédiaires constitués par un mélange de trouble moteur , de trouble sensoriel, et même de paralysie tac
nts des mots, il existe des syndromes de transition entre l'aphasie motrice et l'amnésie. En revanche, il est probable que
mes. Il peut dépendre d'une modifica- lion primordial de l'appareil moteur . Il peul aussi émaner de sensations' et d'idées
centres corticaux du facial supérieur ne détermine pas des troubles moteurs notables dans la partie supérieure de la face d
ont un peu de liberté, ils en profi- tent pour s'évader. Aphasie motrice ci répétition chez une morphinomane. JIJI. Rov
la suite de légers eblouissements, était subitement prise d'aphasie motrice corticale. Elle eut une dernière crise au cours
- munication de MM. Roy et Jaquelin serait le suivant : « Aphasie motrice chez une hystérique, sous t'influence de l'intoxi
s . précoces; . Par le Dr DROllIArm, 1 Parmi les manifestations motrices des déments préco- ces, les unes semblent bien
es, les unes semblent bien relever d'une perturbation de l'appareil moteur affecté pour son propre compte ; telles sont le
agnostique et pronosti- que (le leur élude. Ce groupe de phénomènes moteurs à .signification psychologique comprend, entre
- sion rappelant la mimique du dégoût. En dehors de ces habitudes motrices portant sur certains traits du visage, la malad
nt qui se manifeste par la lenteur et l'incerti- tude des processus moteurs et que Fenzi et Vedrani ont désignée sous le no
atténuées répondent aux simples hésitations de l'activité psycho- motrice . Sans rien préjuger d'une pathogénie dont les é
éationnel, quel que soit le mécanisme de ce divorce entre l'élément moteur et son élément psychique adéquat, il est certai
es stéréotypés, nous tenons il faire observer qu'entre l'expression motrice actuelle et l'idée délirante ancienne, le lien
rque d'une évolution progressive 'tendant vers l'unité d'expression motrice . L'activité stéréotypée d'origine résiduelle ou
] de l'individu, et l'on peut même dire qu'elle résume toute la vie motrice de nos dé- ments retraités. ' III. Valeur cli
favorable à la fixation de telle ou telle formule d'extériorisation motrice . Le paralloïqlle, au contraire, conserve une ac
a signification quasi-spécifique de la sté- réotyllic. Une réaction motrice ne mérite le nom de sté- reotypic que si elle s
ra savoir interpréter « l'équivalent intel- lectuel a de la formule motrice , si l'on peut dire, et re- connaître sans équiv
e- connaître sans équivoque qu'il n'existe derrière celle formule motrice aucune idée délirante active, aucune re- présen
'absence de con- tenu idéo-alfeclif. Chez le maniaque, l'excitation motrice est la traduction directe d'une excitation inte
nelles du sujet. Chez le dément précoce, au contraire, l'excitation motrice sc tra- duit en dehors de l'activité psychique,
se signale par la variété incessante et la richesse de son activité motrice , laquelle est l'expression parfaitement adéquat
persistance de la for- STÉRÉOTYPIE DES DEMENTS PRÉCOCES. 221 mule motrice après disparition de ces conceptions mêmes est
arti- culier de monotonie et d'automatisme que revêt l'acti- vité motrice , la verbigération qui est parfaitement dis- tin
marqués et ont la même distribution topographique que les troubles moteurs . Le rapport de fréquence et de pa- rallélisme e
u'au point de vue psychologi- que on a pu conseiller la rééducation motrice qui dev ientpar cela même une rééducation psych
nser que, plutôt que les traitements internes, c'est la rééducation motrice et psy- chique, précoce et progresse, qui est l
e nature sensitive mais bien, comme l'enseignait Luciani, de nature motrice . Pour Stefani, il y a ressemblance absolue entr
integrum plus ou muins com- plète. L. W. XLVI. Les localisations motrices spinales et la théorie de la métamérie ; par C.
venu d'établir une loi qui présiderait aux localisations spi- nales motrices , Aucune des théories exprimées n'est satisfaisant
LVI1. Contribution à la connaissance du gisement des nerfs craniens moteurs dans le pied du pédoncule céré- bral ; par G. 1
ovenant d'un homme atteint d'endocar- dite et ayant eu de l'aphasie motrice , de l'hémiparésie droite. Un trouve dans l'hémi
ersteiner, la dégénérescence ne porte que sur l' les nerfs crâniens moteurs , en particulier l'hypoglosse et le fa- , cial ;
donc que nous avons affaire à la dégénérescence des nerfs crâniens moteurs , et que ceux-ci sont situés en dedans du faisce
tion de Weigert). D'autre part jl existe des cel- Iules à structure motrice qui sont en plein milieu du noyau mé- scncéphal
Ce syndrome est caractérisé par des vertiges avec troubles oculo- moteurs ; insuffisance totale ou partielle de l'équilibra
rt avec les pédoncules cérébelleux inférieurs et par les noyaux des moteurs oculaires commun et externe avec les libres du
tation et de précocité, irritabilité, tendances perverses, troubles moteurs , tics, peurs et . obsessions. Troubles vaso-mot
'écriture spéculaire spontanée. Tabès avec atrophie dans le domaine moteur clac trijuntroar. ' MM. P. Marie et LERI amènen
ement des régions vi- suelles et olfactives, et que les conducteurs moteurs ne germent et ne le pénètrent qu'ultérieurement
cerveau. Son développement ne dépend donc pas de celui de l'écorce motrice et des conducteurs moteurs. Le corps strié est
ne dépend donc pas de celui de l'écorce motrice et des conducteurs moteurs . Le corps strié est l'organe de l'hémisphère qu
i est cureté, ou bien on résèque la plus grande partie de la région motrice . Examens confirmatifs à la méthode de \Iarclii-
ournil les mêmes résultats. llenforcc-L-onlucouranL, les phénomènes moteurs augmentent ; l'interrompt-on, ceux-ci s'af- fai
du pouls. Un courant faible ou moyen ne détermine pas d'acci- dents moteurs ; sous l'action d'un fort courant, convulsions
tellectuelle s'annonce générale- ment par la sitiophobie. Désordres moteurs : marche en mesure, marche à reculons, esquisse
e musculaire. La contrac- tion idio-musculaire est la manifestation motrice du sarcoplasme anémié, fatigué ou mourant, et e
ce, dont dépend la combinaison des phases élémentaires du mécanisme moteur propre ala forme du mouvement exécuté. Elle pro
- rientation, c'est-à-dire la transmission aux éléments corticaux moteurs , dépend de la continuité de la perception des exc
appe principalement tantôt des libres sensitives, tantôt des fibres motrices : c'est une règle. Par suite, s'il y a des libr
iquement un phénomène pathologique, lié à une altération de la voie motrice puisqu'on la trouve à l'état normal. C'est son
produit la vaso-haral5-sie que dans le territoire même des vaso- moteurs dont elle a touché les centres. « L'autonomie des
- moteurs dont elle a touché les centres. « L'autonomie des vaso- moteurs vis-à-vis des centres huitto-encephaliques est do
dant de l'idée REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 305 fixe dans la zone motrice . 11 faut distinguer avec le plus grand soin le
es de l'excitation des méninges par des tubercules dans la région motrice du cerveau. L'évolution montre que c'est une hyst
rs inférieur de la frontale ascendante. L'excitation de ces centres moteurs détermine les mouvements variés qui d'ordinaire
le de la plaie tue le malade. En tout cas l'excitation de la région motrice du cerveau a cha- que ibis exagéré les mouvemen
amblyopie de l'autre oeil. non par le fait de son occlusion (action motrice ), mais parce que cette occlu- sion intercepte l
ques considérations relatives au mode de ré- partition des cellules motrices de la moelle au niveau de l'origine des nerfs d
; il contient outre de grandes cellules commissurales, des cellules motrices destinées aux muscles du dos (vertébraux). L'in
vants : une hémianopsie droite, puis un ictusqui laissa une aphasie motrice . Lesjourssuivanls, parésie a installation succe
s altérations sur la psy- cho-motilité est à la fois sensorielle et motrice , comme celle des centres du psychisme inférieur
ar la curari- sation et l'irritation d'autres segments de la région motrice du cerveau. 7°'L'urine de l'uretère du côté opp
ffet sensoriel, la sensation lumineuse de la clarté précède l'effet moteur . Ce mou- vement irien est-il l'analogue du réfl
uche et hémiatrophie linguale du môme côté sans aucun autre trouble moteur de la face et des membres, aucun trouble de la
43. . Observation d'agraphie isolée et d ? par Erbslcch, 145; - motrice à répétition chez une morphinomane, par Roy e
rait l'état variqueux des prolonge- ments protoplasmiques des - motrices corticales et de sa si- gnitlcation, par Iwanof
Quelques considé- rations relatives au mode de répartition des - motrices de la moelleau niveau de l'origine des nerfs
et des portions centrales du- sur le coeur et le système vaso- moteur du chien nouveau-né, par Gartie, 442. Chaleur
le nez, par Vigouroux, 70. TABLE DES MATIERES, 503 Localisations motrices . Voir Métamérie. blACHODACTYLIE congénitale,
anormaux, par J. Philippe, 398. Métamérie. Les localisations motrices spinales et la théorie de la -, parParhon et Go
plus inférieure de la -, par Purves-Stewart, 296. Voir . Cellules motrices . Morphine. Voir Contracture. Morphinomane. Vo
iass, 315. - du membre supérieur, Voir Paralysies,- Voir Cellules motrices . Neurasthénie. Voir Angoisse. NEUiIO-1-IBIIIL
vrite lépreuse unilaté- rale gauche, par Brissaud et Rathery, 71. motrice ou po- liomyélite antérieure subai- gui ! par
ès. La genèse du -, par Pandy, 243. avec atrophie dans le domaine moteur du trijumeau, par P. Marie et Léri, 249. Voir
35 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
le pied droit de plus semble un peu raccourci. Pas d'incordination motrice des membres supérieurs. Pas de paralysies. Tous
H > An CIIC (5 m. Amp. à gauche et 6 m. Amp. à droite). Le point moteur du splénium est complètement muet aux excitations
duit très fort. Avec le galvanique on observe l'effacement du point moteur avec réaction à distance et secousse lente (Ka
ente et égale aux deux pôles et transposition à distance des points moteurs . Les modifications de la contractilité musculai
logiques que tout le système de la XIe paire rentre dans le système moteur des racines spinales antérieures, et notre cas
où l'on peut démontrer la systématisation de la lésion aux noyaux- moteurs du nerf spinal et apporter d'autre part une contr
aire, il est bien évident qu'en raison de la topographie des noyaux moteurs de la moelle cervicale et des noyaux médullaire
émontré que le spinal accessoire n'a rien à voir avec l'innervation motrice du larynx qui au contraire serait sous la dépenda
cter la plupart des muscles du pharynx ; Chauveau li- mite l'action motrice du spinal au constricteur supérieur et Beevor et
ants du vague. En conclusion,sans pousser trop loin la localisation motrice des muscles laryngiens, je crois qu'il est perm
es des physiologistes, un rôle certain au spi- nal dans la fonction motrice du larynx. Dans l'histoire de la malade, nous a
fonctionnels, névroses ou dyskinésies fonctionnelles à des troubles moteurs qui ne se produisent qu'à l'occasion d'un même
fâcheuse erreur d'assimiler, ne fût-ce qu'un instant, les troubles moteurs des dyskinésies professionnelles à ceux du tabè
garderons l'expression de crampes professionnelles. Les troubles moteurs communs à ces différentes impotences fonction-
bonne exécution d'un travail habituel. De là les premiers désordres moteurs qui frappent l'esprit de l'individu, exagèrent
s'exécuter correctement qu'après une longue série de ré- pétilions motrices . » Si l'étiologie des crampes professionnelles
courant agita la face dorsale de l'avant-bras, au niveau des points moteurs de l'extenseur propre de l'index et du lung exten
enberg, l'influence du psychisme sur la spécialisation des troubles moteurs ? On sait que l'expérimentation physiologique,
one psycho-motrice, peut non seulement déchaîner des manifestations motrices , mais encore produire des réactions vaso-motri-
rire provoquait une association morbide corticale entre les centres moteurs et les centres vaso-moteurs, d'où spasme artéri
motion, le fait d'écrire en public faisaient ressortir les désordres moteurs parce qu'ils augmentaient le spasme vaso-moteur
ermittente non spécialisée, prend place une névrose vaso-motrice et motrice , provoquée sans doute par la lésion vasculaire,
tance du rôle psychique dans la produc- tion des troubles à la fois moteurs et vaso-moteurs, sans qu'on puisse trouver de l
Par un examen un peu attentif on pouvait affirmer que les troubles moteurs n'étaient pas la cause du trouble vasculaire, e
troubles vasculaires n'étaient pas la cause immédiate des désordres moteurs . On remarquait au contraire que la perturbation
ontre que les troubles vasculaires peuvent être, comme les troubles moteurs , d'origine centrale. C'est un lien de passage e
ait aucune sensation anormale, ni aucune recrudescence des troubles moteurs . Et cependant, si l'on voulait faire écrire le
voulons simplement dire que, dans la plupart des cas. les troubles moteurs apparaissent nettement t ÉTUDE SUR LES CRAMPES
aleige, une véritable « anarchie fonctionnelle » ; et ces désordres moteurs semblent être le résultat « d'aboulies ou amnésie
ésordres moteurs semblent être le résultat « d'aboulies ou amnésies motrices , exclusivement limitées à un acte fonctionnel dét
une neurasthénie évidente, et alternait avec des crises d'agitation motrice . C'était un employé de bureau, âgé de 44 ans, neu
itue les hallucinations psychomotrices, les hallucinations verbales motrices surtout, peuvent être l'origine d'un délire, qu
urait duré. Il semble aussi avoir existé un état aphasique (aphasie motrice ) qui s'est résolu complètement après trois semain
c de Sylvius, où sont situés en rangées les noyaux des nerfs oculo- moteurs communs, en empiétant vers la droite pour au moin
e pour au moins toucher le faisceau sensitif respectif et le cordon moteur du pédoncule cérébral droit. Nous n'insistons
la capsule interne. D'autres enfin, se retrou- vent dans les noyaux moteurs de la mimique faciale, en plein bulbe. Il faut
QUES 125 dre au thalamus ; le faisceau géniculé qui est un faisceau moteur ; le fais- ceau d'Arnold ou faisceau psychique,
exe automa- tique, le thalamus, qui ne joue aucun rôle comme centre moteur autonome, comme l'ont montré Dejerine (1) et il
tilité volontaire des muscles de la face; l'exci- tation des noyaux moteurs bulbaires devient alors déréglée. ils sont « en
ré à lui-même, aux excitations du dehors, agissant sur les colonnes motrices bulbaires. On le trouve avec des destructions
me pathogénique du rire et pleurer spasmo- tique et sur la fonction motrice du noyau lenticulaire, Revista di pathologia nerv
en somme à la musculature qui intervient dans les cas où le facteur moteur d'articulation est troublé, donc à un groupe fo
exci- tations qui en partent doivent encore passer par les centres moteurs de chaque muscle en particulier. i. Lie centr
centres compris entre l'extrémité sensitive (entrée) et l'extrémité motrice (sortie) du mécanisme cérébral. Enfin, l'excita
sion pouvait agir ici comme une excitation centrifuge sur les nerfs moteurs . On ne crut pas, dans ce cas, à une participation
ées par le surmenage professionnel, chez les sujets dont l'appareil moteur périphérique et central est également soumis à l'
udaine ou ex- tension du poignet, qui résiste ainsi aux injonctions motrices ; tantôt la main ou l'un des doigts s'engourdit
s le « mal télégraphique », comme disent les employés, les troubles moteurs de la crampe des écri- vains ; ce sont tantôt d
longtemps; les distances ne sont plus observées. Tous les troubles moteurs cessent lors- que le sujet quilte l'appareil té
souvent deux ou trois doigts subissent en même temps l'inlilbition motrice ; la main droite est plus fréquemment atteinte
les spasmes banaux, les tics, et il plus forte raison les troubles moteurs des maladies organiques : chorées, tabès, paral
e grande simulatrice, en par- ticulier dans les cas où les troubles moteurs sont apparus à la suite d'un traumatisme profes
nt, môme inconsciemment et sans vouloir frauder, avoir des troubles moteurs de nature hystérique à la suite d'accidenls du
e du ptosis bilatéral, et de l'atrophie des muscles masticateurs et moteurs de la langue, particularité pour laquelle il a
ssi ostéopathie progressive, et que les deux éléments de l'appareil moteur sont touchés, pour les mêmes segments, d'une mani
st très amaigri. Les omoplates ne sont point saillantes. Troubles moteurs . - Les mouvements du tronc sont gênés dans leur a
; les mains sont larges, aplaties ; les doigts sont gros. Troubles moteurs . La motilité de tous les doigts est conservée mai
prolonge insensible- ment avec le rebord dorsal du pied. Troubles moteurs . La mobilisation des membres inférieurs est essen
us fortement frappés, et il y a une forte aggrava lion des troubles moteurs et trophiques. La cyphose dorso-lombaire pris u
D'après les don- nées physiologiques et pathologiques, les cellules motrices des cornes anté- rieures de la moelle sont auss
très vives, par des paresthésies et l'affaiblisse- ment de la force motrice de l'extrémité supérieure droite et par l'atrophi
les douleurs et les secousses dispa rurent complètement et la force motrice de l'extrémité supérieure ^droite fut reconstit
1" Dans certains cas très spéciaux, l'hypnotisme; 2° La rééducation motrice ; 3° La discipline psyclw-mot1'ice, par la méth
tigantes pour l'opérateur, « on tend déplus en plus à s'adresser au moteur électrique qui les' donne bien égales, bien ryt
ême ne conseille pas d'en généraliser l'emploi. 2° La rééducation motrice s'appliquera au contraire avec fruit à toutes l
la valeur de cette méthode chez les tabétiques. , La rééducation motrice a été appliquée avec non moins de succès chez l
ou telle crampe. Voici comment procède Kouindjy pour la rééducation motrice dans la crampe des écrivains (voir thèse de Pes
es écrivains (voir thèse de Pessard, Paris, 1908, La réédll- cation motrice la clinique Charcot). Le traitement commence touj
idive. Les différents auteurs qui se sont occupés de la rééducation motrice dans la crampe des écrivains ont apporté quelqu
sation des accidents. Il y faut joindre une véritable réédu- cation motrice de la main droite, et Meige propose de la pratiqu
al à toutes les névroses coordinatrices d'occupation la rééducation motrice serait tout à fait insuffisante si elle se bornai
s ces différentes sortes d'incitations mentales ». La rééducation motrice , pour avoir des résultats complets, devra donc
eutiques, a été appelée par Brissaud et Meige la discipline psycho- motrice . « Elle tend à supprimer les actes automatiques
rale du sujet doit intervenir à tout instant. La discipline psycho- motrice est donc à la fois une éducation de l'esprit et d
sée, comme toutes les éducations, sur la répétition des mêmes actes moteurs . Mais elle exige aussi la répétition des effort
i- cations appropriées, indiquant au malade quelles sont ses fautes motrices , pourquoi elles existent, et comment il peut pa
il est possible, cure hydrominérale, 4° Massage. 5° Rééducation motrice , réunissant les bienfaits de la kinésithérapie
ment nécessaire du traite- ment physique, comportera la rééducation motrice lente, patiente, mé- thodique et progressive, d
joignant aux efforts du traitement physique, la discipline phycho- motrice amènera, dans un grand nombre de cas, la guérison
amp/e. Arch. f. psych. Berlin, 1885. 240. PESSARD. - La rééducation motrice dans le service de la clinique Charcot. Th. de
localisation néoplasique secondaire au niveau des centres corticaux moteurs des circon- volutions cérébrales gauches. , E
bral droit dans ses trois quarts supérieurs, les nerfs pathétiques, moteurs oculaires commun et externe, surplombant le cor
'origine cérébrale, avec hé- miplégie droite et paralysie des nerfs moteurs oculaires commun et externe, en un mot le type
ation de la pupille, en un mot, une paralysie par compression du nerf moteur oculaire commun. Le début de cette paralysie ne
tête avec mouvements rythmés du membre supérieur gauche. Troubles moteurs et sensitifs. - Les mouvements d'abaissement du
é- triquement,spasmodiquement cinq fois par minute ; ces phénomènes moteurs n'existent pas dans le membre inférieur corresp
ma, les nerfs optiques, les nerfs pathétiques surtout à gauche, les moteurs oculaires communs, l'espace interpédonculaire,le
nt le syndrome de Mil- lard-Gubler caractérisé par une paralysie du moteur oculaire externe de l'oeil gauche, de la paraly
igeaient à écarter l'hypothèse de lé- sions localisées aux cellules motrices des cornes antérieures. L'autopsie, et surtout
. I. Différents stades de la dégénérescence vacuolaire des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle lombo-sacré
nservent des blocs de Nissl bien dis- tincts. Toutes les cellules motrices ne paraissent toutefois pas être également at-
oexistant avec celles-ci, nous avons pu constater dans les cellules motrices des segments lombo-sacrés des modifications mor
ues à celles que l'on observe chez l'animal après section d'un nerf moteur : atrophie musculaire, effacement des striation
chy- mateuses amenant une véritable section transversale des fibres motrices et respectant les fibres sensitives, plus résis
et respectant les fibres sensitives, plus résistantes ; les filets moteurs des nerfs, frappés à mort, donnent lieu à l'atr
res sensitives tandis qu'elles sectionnent véritablement les fibres motrices . A ces lésions succèdent la chromolyse el la vacu
e à la réparation des atrophies musculaires après section d'un nerf moteur : de (1) Edingeii, Der Anteil der Funktion un d
que présente la maladie déjà développée, c'est-à-dire les troubles moteurs , nous ne les avons pas décrits complètement; bi
droite. 3M PETREN ET EIIREN13ERG II. Observations ou LES TROUBLES MOTEURS (au MOINS au DÉBUT DE la IAL : 1- DIE) ONT atte
ez améliorée, mais non disparue. II1.- Observations ou LES troubles moteurs (du moins au début de la maladie) ONT atteint t
persisté presque identique pendant une semaine ; seuls les troubles moteurs de la vessie ont disparu au cours de cette sema
, nous trouvons pour la première fois une amélioration des troubles moteurs du bras gauche. Cela continue les jours suivants
ant les premiers temps passés à la clinique, la marche des troubles moteurs correspond parfaitement à une poliomyélite aigu
rte à nos observations, je trouve, sur nos 29 cas, la avec troubles moteurs des muscles abdominaux (II, X, XI, XIII, XVI, XVI
abdo- minaux dans tous les cas où il y a en même temps des troubles moteurs pour les membres inférieurs et pour un bras au
que sur 12 cas (XVI-XXV, XXXII, XXXIII) où il a existé des troubles moteurs pour trois ou quatre membres, nous avons trouvé
ce, il est très possible qu'il ait existé dans ces cas des troubles moteurs des muscles abdominaux, mais que, par exemple,
de plus de deux membres, nous avons toujours constaté des troubles moteurs des muscles abdominaux. En conséquence, nos obs
paralysie des muscles abdominaux, il y avait également des troubles moteurs pour les quatre membres. Sur les 5 cas de paralys
e. Si cette conception est exacte, il est bien sûr que les troubles moteurs des muscles abdominaux vont disparaître dans le
s indiqués par des auteurs antérieurs où l'on a décrit des troubles moteurs provenant d'une paralysie des muscles ab- domin
spécialement insisté sur celle règle. Nous avons vu les troubles moteurs des muscles abdominaux persister dans 7 cas pen
ce, cette observation nous montre que la restauration des fonctions motrices troublées des muscles abdominaux peut se produire
brale. Parmi les cas cités ci-dessus, où nous avons vu des troubles moteurs des muscles abdominaux persistant pendant toute
os expériences sont en faveur de cette conclusion, que les troubles moteurs des muscles du dos sont assez fréquents. Certaine
' Les réactions pupillaires sont toujours normales. Les troubles moteurs sont toujours aussi marqués du côté des membres ;
coupes de la protu- bérance intéressant les noyaux du facial et du moteur oculaire externe et sur des coupes du bulbe pou
anglions spinaux étaient normaux. Nous avons étudié le nerf facial, moteur oculaire commun, moteur oculaire externe, triju
normaux. Nous avons étudié le nerf facial, moteur oculaire commun, moteur oculaire externe, trijumeau, les racines du glo
mode de fixation employé ne nous a pas permis d'étudier les plaques motrices . Certaines glandes à sécrétion interne présente
ur la face interne de la cuisse et une accentuation de la faiblesse motrice dans les mem- bres inférieurs, notamment dans l
ordre réflexe; elles servi- raient à charger d'énergie les cellules motrices de la moelle et du cervelet et aussi elles augm
ebout fixe que pendant la marche ; dans la station debout l'énergie motrice se consomme sans se renouveler, tandis que, dans
et une parésie faciale unilatérale. Le fait que les nerfs crâniens moteurs et surtout les nerfs situés au-dessous du sixième
ord, il faut remarquer qu'il n'a pas existé de paralysie des fibres motrices du pneumogastrique, caria voix était normale auta
é que l'on a été obligé de cathé- tériser les malades. Les troubles moteurs de la vessie n'ont pas été aussi passagers qu'o
ns nous apprennent qu'il n'est pas exact de considérer les troubles moteurs de la vessie comme un moyen précieux pour le di
oit s'agir de poliomyélite. En outre, il est connu que les troubles moteurs de la poliomyélite aiguë peuvent quelquefois di
si nous pouvons encore espérer une bonne issue, quand des troubles moteurs ont existé déjà pendant des mois. On répond en
En outre, j'ai observé encore deux cas où il persiste des troubles moteurs des muscles abdominaux, mais où la restauration
complète des deux membres inférieurs ; après 12 mois, les troubles moteurs des mem- bres ont presque disparu, mais il rest
) ; après deux ans, il n'y a plus que de petites traces de troubles moteurs de l'épaule. - Observation XIII, femme âgée de
POLIOMYÉLITE AIGUË 561 démontrent que la restauration des troubles moteurs peut se continuer encore pendant plusieurs anné
le début de la maladie, mais quelquefois encore quand les troubles moteurs ont persisté plusieurs mois ou même quelques an
on 'peut espérer une guérison véritable, surlout quand les troubles moteurs initiaux n'ont pas été trop intenses et n'ont p
auche, qui à sa sortie de la protubérance apparaît déprimé. Le nerf moteur oculaire com- mun du même côté est extrêmement
A sa partie supérieure le foyer sectionne la majorité des fibres du moteur oculaire commun et une très faible partie du ru
foyer pédonculaire, c'est simplement la dégé- nérescence de la voie motrice , du nerf moteur oculaire commun et des faisceau
e, c'est simplement la dégé- nérescence de la voie motrice, du nerf moteur oculaire commun et des faisceaux d'association
e tenir debout sans l'aide d'un appui. Parallèlement aux troubles moteurs s'est développée une atrophie des muscles des m
rs et inférieurs, la marche de la maladie, et l'intégrité des nerfs moteurs bulbaires. Il ne peut pas s'agir non plus d'une
la marche relativement rapide et la grande extension des symptômes moteurs . Donc tant les arguments directs que les indire
oujours une parésie des muscles du tronc, quand il y a des troubles moteurs à la fois des membres supérieurs et inférieurs. S
a loi confirmée pen- dant la phase de la restauration des fonctions motrices . Pour les membres supérieurs, cette diflérence
(Baumann et d'autres). J'ai montré dans ce travail que des troubles moteurs de la vessie peu- vent être observés très souve
4. Brissaud et Bauer. Poliomyélite antérieure subaigue ou polynévrite motrice . Revue neur., t. XII, p. 1226, 1904. 678 PETR
qui le compose, des organes dont il est le support sans en être le moteur , l'individu se trouve dans l'obligation d'accom
de besoins spéciaux, le système nerveux intervient uniquement comme moteur . Il ne détermine pas la fonction des organes, mai
it la sensibilité et l'autre, centrifuge, transmet l'influx nerveux moteur . L'excitation initiale partie d'un point quelconq
ue sera transmise par un nerf centripète, puis renvoyée à un organe moteur sous forme de réponse motrice. Dans l'action ré
centripète, puis renvoyée à un organe moteur sous forme de réponse motrice . Dans l'action réflexe, la sensibilité se transfo
oncée tantôt, sous l'influence du système nerveux, mais quel est le moteur de celui-ci ? Où trouve-t-il le principe de son
Paris, 1869. 716 LEFEVRE décompose en deux parties dont l'une est motrice et l'autre sensitive, la première n'ayant d'aut
nde. Ayant placé la source de l'activité des organes dans la partie motrice qui peut être aussi vaso-motrice ou sécrétrice, e
ce, etc. pour résoudre la question, pour trouver, en définitive, le moteur du sys- tème nerveux, il suffit de chercher la
perception. Pas d'organe, pas de fonction. Petit à petit, les nerfs moteurs et sensitifs nécessaires aux fonctions de relat
36 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nales et provoque par- fois, sans nul retard, la décharge du centre moteur d'articulation. L'éréthisme de ce centre est te
e sur une affection nerveuse caracté- risée par de l'incoordination motrice accompagnée d'écholalie et de coprolalie. Arch.
dans un tel état d'éréthisme que l'image vient solliciter le centre moteur d'articulation qui l'expulse au dehors. Le centre
'articulation qui l'expulse au dehors. Le centre auditif, le centre moteur d'articulation agissent encore ici indépendamment
les plus curieuses de beaucoup portent sur les souvenirs des images motrices et provoquent de véritables altérations des mou
s ordinaires, dit M. Charcot, sont des auditifs, des visuels ou des moteurs , quelques-uns appartiennent au type indiffé- re
e; elles sont, par exemple, des visuelles à l'état de veille et des motrices en somnambulisme. Naturellement, suivant qu'ell
été guidé, pour placer l'instrument, par un symp- tôme local : aura motrice , douleur persistante, trouble de la parole, etc
notions C et est en rapport avec le nerf auditif. E. D'un centre moteur centrifuge qui coordonne pour exécution toutes
nt de vue physiologique, que l'intégrité des centres acoustiques et moteurs n'est pas nécessaire pour lire. On peut être ap
ent sensitif de l'appareil réflexe est plus atteint que son élément moteur . P. K. XII. DES TROUBLES visuels par TUMEUR cér
bservation de M. Koenig n'est sûrement point de l'aphasie corticale motrice ; c'est un trouble de l'articulation qui est dis
e; c'est un trouble de l'articulation qui est distinct de l'aphasie motrice sous-corticale. M. JASTROWITZ. Un procédé pour
n- courent à l'épellation (élément imagé, élément sonore, élément moteur ). Si la fonction ou le champ fonctionnel qui comm
complète de l'image du mot. Dans l'espèce donc, le trouble du champ moteur , et par suite de l'expression, dépend de l'alté
'il est impossible de déterminer les limites qui séparent l'aphasie motrice de l'aphasie sensorielle. Il est impossible, po
Mais il se peut que, sous des influences pathologiques, les images motrices représentatives soient exagérées du fait de cer
la personne hypnotisée, supprimer arti- ficiellement les phénomènes moteurs , sensibles ou autres. Il nous est, d'autre part
ou mieux dys- phasie, les troubles de la sensibilité, les troubles moteurs , les syndromes épileptiformes. a). Les troubl
t exprimer, difficiles à trouver (véritable dysphasie ou paraphasie motrice ). Beaucoup plus rare (cas d'amblyopie transitoi
côté dans les accès consécutifs sur le même sujet. c). Les troubles moteurs seront indiqués de même à propos de l'épilepsie
si- tifs, puisque dans les deux maladies mentionnées les troubles moteurs sont en général moins fréquents et moins persista
ale. Sous le nom d'épilepsie partielle (sensitivo-sensorielle, ou motrice , ou mixte) M. le professeur Charcot a indiqué le
itive répètent les trois formes classiques de l'épilepsie partielle motrice (épi- lepsie corticale, jacksonienne). En out
du corps tout entière, et il peut souvent s'associer à des troubles moteurs (formes mixtes sensitivo-motrices) ou à des tro
TRANSITOIRE. 221J Nous n'avons pas à nous occuper des complications motrices de l'épilepsie partielle et des formes de trans
ractent en flexion. Tout peut se borner à cela (épilepsie partielle motrice ), le malade remue volontairement son membre com
fut subitement atteint de petites secousses (épilepsie par- tielle motrice ).. , A présent il a en outre des accès convulsi
ntes (parfois tous les deux ou trois jours) et plus complètes; aura motrice , c'est-à-dire quelques mouvements automatiques,
s, accès d'engour- dissement et sensation de froid et d'impuissance motrice au pied et à la jambe du côté droit. Dans ces
e répandaient, pour ainsi dire, de l'éco2,ce visuelle vers l'écorce motrice . b). 11 résulte des observations de M. Charcot
nsitoire, surtout lorsqu'elle s'ac- compagne de troubles sensitifs, moteurs ou psychiques. Il s'agit de dépister à son débu
es d'épilepsie sensitivo-sensorielle accompagnée de légers troubles moteurs et plus souvent encore d'amblyopie transi- toir
compte des différents syn- drômes (épilepsie partielle sensitive ou motrice , amblyopie transitoire, aphasie, etc...), avec
els, peut-être l'étude approfondie de la connexion des phé- APHASIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 31 nomènes morbi
s centres cortico-sensitifs. (A suivre ) RECUEIL DE FAITS APHASIE MOTRICE PURE AVEC LESION CIRCONSCRITE; Par 111AI. Gicne
dans le sens le plus strict du mot, l'aphém : é de Broca, l'aphasie motrice de M. Charcot, il est .bon de rappeler que sa l
u'une seule de ce genre; mais depuis cette époque les cas d'aphasie motrice pure et isolée, sans partici- pation à la paral
re depuis 1885 dans la littérature médicale. Tous les cas d'aphasie motrice pure, re- latés ces dernières années, étaient a
Observation. Cardiopathie rhumatismale. Embolie cérébrale. Aphasie motrice pure et isolée. Foyer très circonscrit de ra- m
p. 69. 3 Bourneville. Progrès médical, 1874, n" 20 et 21. APHASIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 233 ans, fut plu
m. La cécité verbale disparait après peu de temps, mais l'aphasie motrice ne commence à s'amender qu'au bout de cette quinz
Pas de surdité verbale appréciable; pas de cécité verbale. Aphasie motrice modérée, mais cependant très nette. Le malade h
le nom d'un encrier. Les images auditives n'actionnentpas le centre moteur ; exemple, 234 RECUEIL DE FAITS. le malade ne
éclare que c'est de nais- sance. Le diagnostic s'impose d'aphasie motrice incomplète par lésion du pied de la troisième f
roubles visuels. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de troubles moteurs . Réflexes normaux. L'aspect de la face est le m
Malgré cette auscultation nettement mitrale, le malade a le APHASIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 235 . faciès d'u
. Pl. I, fig. 1.) Hémisphère droite. Les circonvolutions de la zone motrice sont intactes, mais en écartant les lèvres de l
sion d'étendue minime, strictement localisée au centre de l'aphasie motrice de Broca et produisant une aphasie motrice vrai
e au centre de l'aphasie motrice de Broca et produisant une aphasie motrice vraie, et rien que cela. Deux remarques sont in
e. - Donc, le foyer que nous avons constaté ne mesure pas APHASIE MOTRICE PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 237. l'étendue r
C LÉSION CIRCONSCRITE. 237. l'étendue réelle du centre de l'aphasie motrice ; il serait d'ailleurs téméraire de prétendre a
de plus grande intensité fonctionnelle. De sorte que pour l'aphasie motrice par exemple, on ne se fait qu'une idée très app
sur le pied de la troisième frontale pour déterminer une aphasie motrice complète et définitive. Ce qu'il faut retenir i
t d'abord été frappé de cécité verbale, en même temps que d'aphasie motrice . La réalité de ce symptôme surajouté ne saurait
de ce symptôme surajouté ne saurait infirmer notre titre d'aphasie motrice pure, car la cécité verbale a été passa- gère ;
ouvait sensément dériver que du sensorium et des divers proces- sus moteurs . Il enseignait aussi que les phénomènes d'une a
que le substratum de l'esprit repose entièrement sur des processus moteurs et sensoriels avec leurs rela- tions, cohésions
stimulation saine et coor- 244 THÉRAPEUTIQUE. donnée des centres moteurs et sensoriels. Ils ont leurs équivalents mécani
les centres corticaux qui commandent et enregistrent leurs facultés motrices et leurs sensations. . Bien que nous soyons peu
type appelé épilepsie idiopathique,'et dans lequel tous les centres moteurs de l'écorce sont excités plus ou moins simultan
ession des événements. Si l'excitation est circonscrite à un centre moteur particulier, 246 THÉRAPEUTIQUE. l'épilepsie p
dans lequel ces cen- tres sont anatomiquement disposés dans l'aire motrice et envahit les muscles d'après un mode correspo
ons ascendantes de la jambe à la face. En même temps, les centres moteurs de la moelle allongée et rachidienne, sur lesqu
ongée et rachidienne, sur lesquelles agissent les centres corticaux moteurs , jouent indubitablement un rôle dans les déchar
seulement être produites par des excitations provenant des centres moteurs de l'écorce d'un côté ou de l'autre. Les cara
s n'agissent qu'en tant qu'ils amènent une excita- tion des centres moteurs . Tous nos efforts doivent donc tendre à nous re
és de la destruction ou de la perversion des fonctions organiques motrices ou sensorielles qui relèvent de la même cause et
nt de la res- piration. On lui rend la vue, il reprend son activité motrice . L'au- teur croit que, le cervelet ayant été en
que l'excitabilité de l'écorce a baissé, on obtient des convulsions motrices (surtout toniques) des plus vives ; il est à croi
taient atteints d'atrophie complète ; - 40 atrophie faible du noyau moteur du trijumeau (1 observation), intégrité dans les
ien, du facial; intégrité de ceux de l'acoustique, du trijumeau, du moteur oculaire externe, du pathétique, de l'ocu- lo-m
'anarthrie. 3° Par conséquent, il y a lieu d'admettre que les voies motrices qui commandent a la parole passent par les deux
Il y a lieu aussi d'admettre que, dans la protubé- rance, les voies motrices de la parole occupent les parties médianes et p
Hémiplégie droite totale, y compris facial et hypoglosse ; aphasie motrice complète; cécité verbale, diminution de la sensib
. F. II, 1891.) Cas caractérisé par l'atteinte isolée des fonctions motrices du système nerveux ; paralysie bilatérale de l'
rne, du facial, du pneumo- gastrique, de l'hypoglosse et des noyaux moteurs de l'axe spinal. Intégrité complète des organes
uelques symptômes se soient effacés. D'ordinaire c'est la paralysie motrice qui disparaît tandis que l'anesthésie croisée s
de modifications de sa base organique et de la sphère affective et motrice de la vie psychique. A propos de la paralysie g
ibilité générale et viscérale, des hallucinations kinesthétiques ou motrices , mais aucun état mélanco- lique. Puis sont appa
ar elle n'a que peu d'hallucinations sensorielles, mais surtout des motrices . Et cela dès le début, alors que chez les persé
dans l'espèce, d'une véritable déséquilibration des centres vaso- moteurs qui coexiste souvent avec des troubles analogues
yopathies spinales avec altération primi- tive des grandes cellules motrices de la substance grise des cornes antérieures co
hi- ques obéissent aux mêmes lois que les phénomènes sensitifs ou moteurs . Au point de vue pathologique et en faisant la
re mégalomoniaque accompagné de phénomènes SOCIÉTÉS SAVANTES. 315 moteurs , tremblement*, trouble de la station ; ces malade
forme de sclérose systématique intéressant tout le système psycho- moteur , c'est la démence paralytique pure, la paralysie
i dire plus se mani- fester par l'une quelconque de ses expressions motrices . Les deux formes cliniques que je viens de décr
ujets présentant, avec ou sans crises épileplifornaes, des troubles moteurs ou psychiques. (Nouv. Iconographie de la Salpétri
le; elle peut être ou non accompagnée d'hallucinations; d'agitation motrice , ou de dépression, de stupeur; SOCIÉTÉS SAVANTE
ire, mais elle ne pouvait pas les prononcer; ces attaques d'aphasie motrice se répétèrent jusqu'en 1891. Elles ne suivaient
maladie les accès n'ont jamais été accompagnés ni suivis d'aphasie motrice . Outre ces attaques elle en présente d'autres à
moitié du corps, la langue comprise; paralysie des membres, aphasie motrice , troubles de l'intelligence, rien ne manquait a
ournalier très rude ? La raison de ce que les troubles sensitifs et moteurs s'asso- cièrent pour former un accès, qui avait
armi celles-ci que nous croyons pouvoir classer des accès d'aphasie motrice , que G... présenta dans sa première ' L'amnésie
remarqué plus haut, tenait la première place. Du reste, l'aphasie motrice a été observée d'autres fois dans l'hystérie ; So
yers, dont l'un dans l'hémisphère droit en correspondance du centre moteur du bras, l'autre dans l'hémis- phère gauche en
is, graduellement, ils ont diminué d'intensité; les accès d'aphasie motrice ne se sont pas représentés. C'est le contraire
d'une idée. Observation II. Hystérie à forme d'épilepsie partielle motrice . Cha..., âgé de trente-six ans, lithographe, en
e banale; en effet, la parésie, le tremblement du bras, l'aphasie motrice , tous phénomènes qui accompagnent ou précèdent la
nent maître en a observé des exemples. Pour ce qui est de l'aphasie motrice nous savons ce qu'il faut en penser. Elle peut
améliorées considérablement. Diagnostic Le tableau d'une épilepsie motrice crurale est ici d'une netteté remarquable. Cram
s autres accès consécutifs, jamais ne se manifestèrent les troubles moteurs . Or cette incohé- rence parmi les phénomènes, n
CERVEAU. 417 Observation IV. Hystérie à forme d'épilepsie partielle motrice simulant l'évolution de la syphilis cérébrale.
tte période de temps, il avait de temps à autre des accès d'aphasie motrice ; il cherchait les mots et il ne pouvait les trouv
e sèche par la soif. Du reste pas de trace d'aphasie sensorielle ou motrice . Diagnostic. - Ce cas nous offre un tableau ext
sont le point de départ du réflexe qui provoque le trouble vaso- moteur dans l'appareil optique. ' « L'Ù'1'itation péri
'sur le trijumeau en cas de migraine) puisse provo- quer le réflexe moteur sur les vaisseaux des organes de la vision. Cet
qui arrive presque toujours, comment méconnaître dans ces troubles moteurs de l'appareil digestif, la décharge du réflexe
ond de l'oeil (Brewster et Quaglino), la névrose partielle (vaso- motrice ) du trijumeau (Galezowski) ou la névrose du nerf
le fond de l'oeil des deux côtés. " . 426 . CLINIQUE NERVEUSE. moteur dans le cerveau, par excitation du sympatique (du
oïncider avec l'aphasie, sans être suivis en même temps de troubles moteurs , à moins d'admettre des troubles circulatoires
tillement), elle siège le plus souvent du même côté où les troubles moteurs et sensitifs vont se déclarer, dans le cas d'ép
les troubles gagnent d'autres centres psycho-sensitifs et psycho- moteurs , comme dans le début de la démence paralytique.
la- dies nerveuses (neurasthénie, hystérie) où les troubles vaso- moteurs (phénomènes vaso-constricteurs et vaso-dilatateur
l'aspect de la chambre au moment où l'on part, puis d'autres images motrices et d'autres images visuelles d'un nouvel aspect
lèvres, de prononcer une parole, pas même d'émettre un son (aphasie motrice et aphonie). A peine peut il produire un bruit
de l'acoustique. Deuxième opération : excision de l'écorce du champ moteur des mots. Calme notable et atténuation des hall
ns les cornes antérieures de la moelle, préposées à leurs fonctions motrices . Ce sont elles qui font le sujet de celte commu
'après le schéma Lichtheim et Wernicke, il s'agissait d'une aphasie motrice transcorticale avec lésion des faisceaux sensor
le mélange et la dépendance mutuelle des fonctions sensorielles et motrices , il veut que le rôle de chaque point de l'écorc
37 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
complètes, t. III), Rey Régis (de Montpellier,) parle de paralysies motrices dé- pendant de la perte du « souvenir de la for
ralysies motrices dé- pendant de la perte du « souvenir de la force motrice » cau- sée par la lésion de certaines parties d
fort importante d'impressions non senties qui guident l'acti- vité motrice du cerveau, en les mettant automatiquement en r
aculté, de la force plus ou moins grande de notre « énergie mentale motrice » est toujours accompagnée et aidée « par des s
s musculaire dérive donc à la fois d'une faculté d'origine centrale motrice , la faculté locomotrice; et d'autre part des im
aît pas être dans les muscles mais bien dans les cellules nerveuses motrices ... Nous n'avons pas seulement la sensation d'un
exécuter. La sensation de mouvement est donc liée à l'inner- vation motrice , c'est pourquoi nous l'appelons sentiment d'inn
; elles dépendent uniquement de l'innervation centrale des organes moteurs et leur origine serait donc plu- tôt centrale q
USCULAIRE. 87 force de la sensation dépend seulement de l'influence motrice , partant du centre, qui excite l'innervation de
pres- sions du sens musculaire dérivent des muscles par les nerfs moteurs et son siège est du côté moteur, et la conscience
dérivent des muscles par les nerfs moteurs et son siège est du côté moteur , et la conscience de nos contractions musculair
« Comme les nerfs qui se rendent aux muscles sont surtout des nerfs moteurs grâce auxquels les mouvements musculaires sont
e courant centrifuge, et par conséquent auraient leur siège du côté moteur . Les découvertes de Sachs, montrant que les mus
sensitifs, ayant un trajet et une distribution différents des nerfs moteurs , et pénétrant dans la moelle par les racines po
ute trop absolu. Dans l'hypothèse de Bain, les centres et les nerfs moteurs seraient donc à la fois les agents de la contra
s des muscles, et rapportées aux centres volitionnels par les nerfs moteurs eux-mêmes. Les centres et les nerfs moteurs dan
itionnels par les nerfs moteurs eux-mêmes. Les centres et les nerfs moteurs dans cette hypo- thèse étaient donc simultanéme
inion dans laquelle tout se passait aux dépens des centres et nerfs moteurs , et admet aujourd'hui les sensi- bilités passiv
en grande partie centrale, initiale et réalisable dans les centres moteurs . Ferrier rapporte aussi aux centres moteurs les
able dans les centres moteurs. Ferrier rapporte aussi aux centres moteurs les impressions du sens musculaire. A côté de c
ent des opinions intermédiaires, faisant une part aux impressions motrices et aux impressions sensitives. C'est ainsi que
les amputations de l'avant-bras à la partie inférieure, les muscles moteurs des doigts subsistent en tout ou en partie et é
. «Il est évidemment impossible d'admettre, dit-il, que les nerfs moteurs puissenttransmettre des impressions vers les cent
ntes celles-là, venant par des nerfs afférents spéciaux des centres moteurs spinaux. 11 accorde même à ces dernières un rôl
ley se demande quel est le rapport du sens musculaire à l'intuition motrice . Ce rapport lui semble être analogue à celui d'
re, que pour lui la sensation du mouvement est liée à l'innervation motrice . Chaque sensation du mouvement est pour lui une
nalogue à celle de Landry et de Maudsley. Pour lui, la coordination motrice , qui apparaît comme un fait unique et indivisib
es actes volontaires ne sont en fait que des actes dont les centres moteurs sont constitués de telle sorte qu'ils peuvent ê
musculaire, sont ravivées dans les centres sensoriels, et les idées motrices n'existent pas. M. Charcot (OEuvres, t. III, p.
OEuvres, t. III, p. 463) fait avec soin la part des représentations motrices et des impressions kinesthéti- ques. « J'ai été
dmettre, dit-il, avec bon nombre d'auteurs, que les représentations motrices qui précèdent né- cessairement l'accomplissemen
mplissement d'un mouvement volontaire s'effectuent dans les centres moteurs corticaux où elles trou- vent leur substratum o
bstratum organique, et plus précisément dans les cellules nerveuses motrices de ces centres. Elles seraient principalement c
nt en trois groupes. Pour les uns, ie sens musculaire est d'origine motrice centrale : telle est l'o- piuion de Wundt, deMe
IRE. 97 Pour d'autres, le sens musculaire est d'origine à la fois motrice et sensorielle, centrale et périphérique, opinion
l'affection de la motilité consécutive à la destruction des centres moteurs est due à la paralysie du sens musculaire. Le f
4), regarde les mouvements résultants de l'ex- citation des centres moteurs comme de nature réflexe, tandis que l'affection
, et produite par la perte de la sen- sibilité tactile. Les centres moteurs de Ferrier devraient donc être regardés plutôt
épend de la lésion d'une région entièrement différente (des centres moteurs ) du cerveau, savoir de la région de l'hippocamp
notions de résistance et de poids comme appréciées par les centres moteurs . Les expé- riences qu'il a faites avec Lauder B
mpe, siège du sens tactile. Les centres d'impulsions centrifuges ou motrices , dit-il, sont anatomiquement distincts de ceux
» Maudsley se rattache à' l'opinion que c'est dans les cen- tres moteurs corticaux que « sont emmagasinés les résidus de
ésidus des sensations musculaires dont nous tirons nos intuitions motrices ... Les parties qui agissent comme centres moteurs
s nos intuitions motrices... Les parties qui agissent comme centres moteurs sont le siège de la conception du degré et de l
ance les idées LE SENS MUSCULAIRE. - 99 de Ferrier. « Des contres moteurs , où qu'ils soient situés, sont des parties dont
ires qui, immédiatement après, se rendent aux muscles par les nerfs moteurs , craniens et spinaux, est un simple phénomène p
l'on attribue l'activité de ce centre sensitif à celle' des centres moteurs . Le substratum céré- bral de l'esprit ne compre
onc, en aucune manière, les processus qui ont lieu dans les centres moteurs du cerveau, où qu'ils puissent être situés. En
disparition du sens musculaire, alors que les centres volitionnels, moteurs spinaux, les nerfs moteurs et les muscles pouva
e, alors que les centres volitionnels, moteurs spinaux, les nerfs moteurs et les muscles pouvaient être mis en jeu comme à
l, et je maintiens que les processus prenant place dans les centres moteurs et dans les nerfs moteurs sont des processus pu
rocessus prenant place dans les centres moteurs et dans les nerfs moteurs sont des processus purement physiologiques, com-
s de conscience, c'est-à-dire que, depuis le moment où l'excitation motrice quitte les centres kinesthé- tiques jusqu'à cel
les différents centres des nerfs mo- teurs. » Pour lui, les idées motrices n'existent pas ; toutes nos idées de mouvement
s les centres sensoriels. Dès lors, il en arrive à nier les centres moteurs . « Si, dit-il, nos sensations de mouvement sont
s des mouve- ments il y a des motifs sérieux d'admettre des centres moteurs dans l'écorce. Mais si c'est erroné et si toute
s centres sensoriels il n'y a plus de raison d'admettre des centres moteurs , et ce dont on a seule- ment besoin, c'est l'ex
intime, tandis que la nécessité actuelle de l'existence des centres moteurs n'a pas encore été démontrée. a Il s'appuie sur
e de Rolando. c'est-à-dire au point même où se trouvent les centres moteurs de Ferrier, nouvel argument pour qu'il admettre
s centres kinesthétiques exister seuls, à l'ex- clusion des centres moteurs . Comme nous l'avons dit plus haut, M. Babinski
ne nouvelle note tendant à prouver au contraire le rôle des centres moteurs . Nous avons vu quelle était à cet égard l'opini
égard l'opinion de M. Charcot, qui considère les représentations motrices , précédant le mouvement, qui s'effectuent dans le
motrices, précédant le mouvement, qui s'effectuent dans les centres moteurs , comme les seules indispensables à l'exécu- tio
us brachial sont malades; or ils sont intimement liés aux rameaux moteurs du même plexus; les affections qui pourraient les
eulement par des symptômes sensitifs, mais aussi par des phénomènes moteurs . De plus, rien dans les antécédents n'autorise
alterne, l'autre bras ne serait pas épargné; il y aurait paralysie motrice , hyperesthésie et troubles trophiques de ce côt
Quelle peut donc être la lésion ? La malade n'a pas de para- lysie motrice ; elle a de l'anesthésie, des anomalies delà sécré
ques du bras droit sont réunis, sans qu'ils se mélangent aux fibres motrices . Ce point correspond à l'endroit où les racines p
s contiennent des nerfs vao- IO4 se REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. moteurs et trophiques bien que la grande niasse de ces de
Avec les symptômes sensitifs, apparaît graduellement une faiblesse motrice et dans les mauvais cas une paralysie complète
souvent une sensibilité exagérée au toucher surtout sur les points moteurs et le long du trajet des nerfs. Quelquefois, su
hénomènes d'hystérie générale, une paralysie partielle sensitivo- motrice de la main et de l'avant-bras gauche. Chez cett
s caractères que l'on retrouve toujours eu pareil cas; la paralysie motrice incomplète, associée à la conservation de la co
îtra toujours leur véritable nature en considérant que la paralysie motrice est en général beaucoup moins prononcée que l'a
einte d'une impotence fonction- nelle du bras droit, sans paralysie motrice véritable, mais avec une anesthésie et une anal
brachial, car il y aurait de l'atrophie muscu- laire, une paralysie motrice complète, une anesthésie moin- dre, des réactio
erpendiculairement sur le rachis au-dessus du sacrum. Les fonctions motrices sont intactes du côté analgésique, ainsi que le
eul membre, sa circonscription très spéciale, l'absence de troubles moteurs , la conservation des réflexes et des réactions
i- vantes : Limitation de l'anesthésie à la jambe droite, parésie motrice à gauche, puis atrophie musculaire et troubles vé
é ces symptômes simultanément et non successivement, que la parésie motrice eût été le symptôme prédominant et enfin que la
anifester par l'un de ses symptômes capitaux, à savoir la paralysie motrice . Par exclusion, et faute d'explication meilleur
onne pas, enfin, de voir gué- rir en trois mois de pareils troubles moteurs sans laisser de trace, alors que les désordres
ates ratent en même temps et de la même manière que la coordination motrice ; les phénomènes se simplifient, mais se désagrè
ules corticales, la démence finit par de l'asymbolie sensorielle et motrice . P. K. II. Description ET explication des hallu
né. Il est indubitable que ce sont des idées délirantes qui sont le moteur de ce mutisme. Bien des faits semblables sont c
et les oesthé- siogènes amènent la disparition de tous les troubles moteurs et sensitifs. Dès lors on est en droit de concl
- Paris, 1887, 0. Doin. François FnANCK. - Leçons sur les fonctions motrices du cerveau (réac- tions volontaires et organiqu
e la Salpêtrière : comme les malades de Paris, F... a des stigmates moteurs , des caractères cliniques somatiques fixes, aut
rée symptomatique l'auteur englobe tous les genres d'incoordination motrice consécutifs à une lésion cérébrale, sauf la tré
ent en revue les principaux caractères de ces différents troubles moteurs . Etant donné un cas d'hémichorée, la nature de
icales ne durentpasplus de trente secondes. Excitation de la région motrice . - 1° Celle de la partie toute postérieure du g
ions de la pression que l'on obtienne par l'excitation de la région motrice , jamais le pouls ne bat plus vite ; quel- quefo
e va- rient du reste pas lorsqu'on a réséqué les champs corticaux moteurs de l'animal et qu'on a, de ce fait, déterminé une
tre-croisement. Toute vraie pyramide prend son origine dans la zone motrice de la surface du cerveau, gagne la partie posté-
myotrophie tabétique reconnait pour origine une lésion des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle, comme MM.
38 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n aboutissant à une dépression, on a une perver- sion des fonctions motrices . On pourrait trouver dans ce rap- port, la ques
ue qui, composé de fibres " centripètes, se 'termine, dans l'écorce motrice (sphère tactile du ' ' corps de Flechsig) au ni
les altérations histologiques portaient spécialement sur la zone motrice , l'écorce visuelle (tissure calcarine), la premiè
des lobes frontaux. .1 1 1 Il ne saurait être question de troubles moteurs , de troubles sen- sitifs, de troubles de la par
Medica. Rome, 1901. Ladame (de Genève). - La question de l'aphasie motrice sozis-coili- cale. Extrait de la Revue neurolog
s de la motilité. Il n'existe pas à proprement parler une paralysie motrice . La force musculaire est bien conservée à droit
ée à droite. En résumé, il existe un très léger degré d'hémiparésie motrice droite. Cendant le malade présente de gros trou
parésie motrice droite. Cendant le malade présente de gros troubles moteurs ainsi faits : ' ' a) La démarche est titubant
cependant on ne constate pas, au sens strict du mot, une paralysie motrice des membres. Les céphalées sont toujours intens
malade présentait des paralysies oculaires associées à des troubles moteurs des membres et à des troubles de la parole. L
aire et comme conséquence une névrite oedé- mateuse. Les troubles moteurs du bras et de la jambe du côté droit ne consist
u bras et de la jambe du côté droit ne consistaient ni en paralysie motrice proprement dite ni en phénomènes tels que trépi
us ont montré l'intégrité du pied du pédoncule gauche et de la voie motrice pyramidale médullaire. Les troubles moteurs, ce
gauche et de la voie motrice pyramidale médullaire. Les troubles moteurs , cependant très prononcés, consis- taient en ré
ouvel exemple des plus nets, puisque chez notre malade ces troubles moteurs existaient indépendants de toute paralysie motr
ade ces troubles moteurs existaient indépendants de toute paralysie motrice des membres pro- prement dite. Quelle peut êt
notre malade, il était normal, en flexion. Au surplus, ces troubles moteurs ne ressemblent pas aux trou- bles moteurs post-
Au surplus, ces troubles moteurs ne ressemblent pas aux trou- bles moteurs post-hémiplégiques. A l'inverse de ces derniers,
araissent pas être sous la dépendance d'une perturbation de la voie motrice pyramidale ; nous devons en chercher la raison
s et se caractérisaient d'une manière essentielle par une paralysie motrice vraie du bras et de la jambe gauche du côté opp
ièrement le syndrome de Millard- Gubler en déterminant des troubles moteurs des membres du même côté que la paralysie des n
ement au contraire le syndrome de Weber puisque, comme les troubles moteurs consécutifs à la lésion de la voie motrice pédo
sque, comme les troubles moteurs consécutifs à la lésion de la voie motrice pédonculaire, elle siège du côté opposé aux ner
nalysés dans son article précité. Bien qu'as- sociés à des troubles moteurs des membres du côté droit, on les distingue fac
t préfé- rable d'assimiler les troubles de la parole aux troubles moteurs ataxiformes des membres et d'adopter pour cet e
rubro-spinal. La deuxième aurait son centre d'origine dans l'écorce motrice et parviendrait à la moelle par le faisceau pyr
d'un syndrome de Weber très particulier en ce sens que les troubles moteurs des membres du côté droit, asso- ciés à la para
paralysie de la troisième paire gauche, consistent non en paralysie motrice vraie, mais en incoordination, en ataxie, en as
rement le pied des deux pédoncules. Il semble donc que les troubles moteurs des membres ont été déter- minés par la lésion
s, il, est loin d'exister à l'état isolé. Den... a de l'instabilité motrice au dire de sa mère. Il présente nettement du tr
que c'est là précisément que se trou- vent les noyaux d'origine du moteur oculaire commun et du moteur oculaire externe q
e trou- vent les noyaux d'origine du moteur oculaire commun et du moteur oculaire externe qui, soit directement, soit par
des yeux, et qui proviendraient d'une parésie disséminée des nerfs moteurs du globe oculaire. M. Achard 2 analyse les hypo
rer comme liées- à des causes multiples : malformation des cellules motrices TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMES CONGÉNITAU
grise, altérations cellulaires fines des noyaux d'origine des nerfs moteurs de l'oeil, défaut de conductibilité du cylindra
nt l'observatiou sert de base à ce travail présentait une paralysie motrice des membres inférieurs et de la partie infé- ri
t de ces lésions. G. Derny. XIII. Anesthésie des nerfs sensitifs et moteurs ; par J. JoTEYKo et M. STI·.1 ? NOUSIi.I. (jour
thésiques (chlo- roforme, éther, alcool) sur les nerfs sensitifs et moteurs . Lorsqu'un nerf est placé dans une atmosphère d
excitabilité des fibres sensitives disparait avant celle des fibres motrices et que le réveil de celles-ci a lieu avant celui
D'une façon générale, la fibre sensitive est plus sensible la fibre motrice plus résistante à l'action des anesthésiques. E
fondant sur ces différents caractères l'auteur admet que le trouble moteur de son malade doit être attribué à une lésion f
ail est basé sur trois observations . la ire est un cas d'a- phasie motrice avec agraphie sans hémiplégie ; la 2e un cas d'a-
ie motrice avec agraphie sans hémiplégie ; la 2e un cas d'a- phasie motrice et sensorielle, également sans hémiplégie ; et la
sensorielle, également sans hémiplégie ; et la 30 un cas d'aphasie motrice corticale qui est venue compliquer une hémiplég
III. Paralysie labio-glosso-laryngée (Atrophie chronique des noyaux moteurs de la protubérance et du bulbe) ; par F. Sano.
le facial représente la branche centrifuge sécrétoire dans un nerf moteur . Le larmoiement unila- téral de l'oeil dans la
langage (symptômes d'excitation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice , hallucinations motrices ver- bales, hallucinat
itation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, hallucinations motrices ver- bales, hallucinations de l'ouïe, surdité c
mentale, cauchemars, hallucinations, perte de conscience, agitation motrice et automatique). Signes physiques de démence
fantile et les paralysies radiculaires, la topographie des troubles moteurs dans la paralysie infantile affec- tant d'aille
de la sensibilité géné- rale. Ce dernier comprend : a) Les voies motrices cérébro-médullaires, voies principales 186 BIBL
lles op- tiques ; -b) Les voies sensitives générales; -c) Les voies motrices , englobant trois grands groupes de nerfs : les
des voies sensorielles, des voies sensitives générales et des voies motrices . 4° Du goût et de l'odorat. 3° Du langage. Aprè
et de la digestion. Des tableaux résument les voies sensitives et motrices des cinq- grands appareils sensoriomoteurs, les
esse; ne parait pas avoir de délire ni d'hallucinations; excitation motrice simple avec abolition ou diminution de la cons-
la force des choses, physiologiste. Déjà l'observation des troubles moteurs de la mala- die d'Addison a mis sur la voie de
au, -la sensation de froid aux cheveux, d'horripilation, l'asthénie motrice , le tremblement musculaire, l'incoordination de
apporter au début de cette étude quelques précisions : Une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale ne prend pas et n
nd pas et n'a jamais pris part n'est pas un tic ; si cette réaction motrice est la conséquence de l'irritation patholo- giq
int quelconque de l'axe bulbo-spinal, c'est un spasme; une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale prend ou a pris p
cérébrale prend ou a pris part n'est pas un spasme, si ce phénomène moteur où se recon- naît la participation de l'écorce
érébrale prend ou a pris part n'est pas un spasme ; si ce phénomène moteur où se reconnaît la participation de l'écorce cé
l'importance des troubles mentaux est très grande mais les troubles moteurs ne sauraient être négligés. Le tic pure- ment m
s caractères nou- veaux en lumière. Les tics sont des perturbations motrices d'actes fonctionnels, mais le rapporteur ne cro
sont des désiquilibrés psychiques, comme ils sont des déséquilibrés moteurs , mais ne sont point dépourvus d'intelligence; l
Les tics étant constitués par deux ordres de phénomènes, les uns moteurs , les autres mentaux, il était légitime qu'on pens
r appliquer un double traitement, l'un s'adressant aux phénomènes moteurs , qu'on pourrait appeler objectif, l'autre ayant p
séquent, un acte physiologique déterminé. Il pense que cet élément moteur est le seul indispensable pour qu'il y ait véri
ui unissent, au point de vue du développement des tics, les centres moteurs aux centres sensitifs et sensoriels. il n'est c
plégie soit due à une lésion organique ou fonctionnelle des centres moteurs , elle n'en reste pas moins une hémiplégie; de m
ES. , 275 de l'incorrection de leur position. Cependant leurs actes moteurs volontaires sont corrects, et ils ne semblent a
», ce qui est, comme l'a dit M. Brissaud, la meilleure dis- cipline motrice qu'on puisse appliquer aux tiqueurs. Il faut au
able. Les tiqueurs exerçant un contrôle insuffisant sur leurs actes moteurs , on ne saurait assez multiplier les moyens de per
mai, on n'a pas remarqué de perte de connaissance, ni de troubles moteurs . Le 22 mai, G... est ramené à la maison par un ca
assez inquiétant : des alternatives d'affaissement et d'excitation motrice incohé- rente avec sueurs profuses qui font cra
ent plus faible. Embarras très prononcé « de la parole avec aphasie motrice . État subdélirant d'apparence « quasi-automatiq
d'hébétude. Néanmoins, loin de s'améliorer les signes démentiels et moteurs s'aggravent et l'autopsie ne laisse plus aucun
ne fureur destructive. Après cet éclair de violence, cette décharge motrice , il y a comme une détente qui n'est pas sans an
sociés par suite de la diffusion des lésions. De plus, les troubles moteurs sont en général moins marqués que les troubles
il sera tout indiqué de rechercher plus attentivement les troubles moteurs , sensitifs et trophiques qui vraisemblablement
emple, il est de toute nécessité que les neurones de représentation motrice du centre cortical du membre donnent une incita
ccordent aux corps opto-striés un rôle important dans les fonctions motrices , je ne crois pas faire une encur analomique en
chnique vise d'ailleurs la cure de l'incoordination, de l'impotence motrice , du relâchement musculaire, sur lesquels le mas
mauvaises avec sillon d'llutcliiuson. Intelligence débile. Aphasie motrice permanente. Déformation du thorax et de la colo
leur entité morbide dont il ne reste finalement que les phénomènes moteurs . Ces phénomènes constituent, non pas une maladi
vical ; mais le fait le plus intéressant consiste dans les troubles moteurs , rarement signalés en pareil cas et occupant le
ur contrôle et leur influence modératrice sur les centres psycho- moteurs , le jour où l'état morbide s'est insidieusement i
italique : paranoia rudimentaria ideativa, ou prendre un caractère moteur : paronoia rudimentaria impulsiva. Quand à l'ém
'idée impulsive ; bien qu'au fond de toute idée il y ait un élément moteur , et quelles idées obsédantes soient de véritabl
ue les mouvements sont dus à l'excitation des fibres radicu- laires motrices et à l'intervention réflexe des libres radiculair
) Une observation avec nécropsie (2 figures). L\-1. Localisations motrices du cortex cérébral ; par C. S. Sciierrington et
sespérante promptitude. L'attentiwn est, de sa nature, une fonction motrice ; elle est associée a une ferme d'activité muscu
ment défectueuse, de rencontrer simultanénément d'autres troubles moteurs . Tous les degrés de l'inattention, d'ailleurs, pe
la volonté sont, d'une certaine manière, asso- ciées aux fonctions motrices , les facultés plus élevées de l'esprit ou facul
voir avec les processus intellectuels supé- rieurs ; 3° les centres moteurs et sensoriels seuls ne suffiraient pas à expliq
tointoxicatiou). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 531 XXXIV. Troubles moteurs chez les paralytiques généraux ; par - MARANDOK
r - MARANDOK de l10,NTYEL (Revue de médecine, 1899). Les troubles moteurs ont été observés chez 108 sujets paraly- tiques
nse devoir dégager les conclusions suivantes : d'abord des troubles moteurs excessifs peuvent se montrer de pré- férence à
'intégrité du sphincter n'a pas de rapport direct avec les troubles moteurs . En somme on ne peut savoir par la seule inspec
période. A cette première période, les rémissions dans les troubes moteurs ont été bien moins accusées qu'à la seconde. Le
s moteurs ont été bien moins accusées qu'à la seconde. Les troubles moteurs ont été trouvés beaucoup plus accusés aux deux
n dans la fonction pyramydale qui consiste à transmettre les ordres moteurs aux muscles du membre inférieur, tandis que le
u très marquée ; le clonus du pied répond à l'excitation de la voie motrice . M. BAR)NSKt insiste sur le point que le signe
localisée symétriquement et bilaté- ralement au niveau des centres moteurs ; la pathogénie du syn- drome de Duchemin recon
hie graduelle des muscles antéro-externes de la jambe, la faiblesse motrice marcha toujours parallèlement à l'amaigrissemen
dans les actes volitionnels d'arrêter brusquement les impulsions motrices et d'en imprimer de nouvelles aussitôt après; ce
nt intellectuel rapide, les symptômes psychiques et les symp- tûmes moteurs ; ces derniers constituant dans leur ensemble un
par Aba- die et Rocher, 434. Anesthésie des nerfs sensitifs et moteurs , par Joteykoet Stéfa- nowska, 143. Analyse des
449. Nègres soudanais. Voir Ilyper- acuité, Nerfs sensitifs et moteurs . Voir Anesthésie. Lésion traumatique des de l
517. Voit Troubles de la se7asibililé.- géné- iale. Voir Troubles moteurs . psychique, par Hauser et Lostat Jacob, 531.
ériodes de la paralysie générale, par Marandon de Mon- tyel, 520. moteurs chez les paralytiques généraux, par Ma- rando
39 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vrai dire possible de la caractériser ; c'est, en effet, d'un tabès moteur qu'il s'agit. Le tabès complet, classique est à
abès moteur qu'il s'agit. Le tabès complet, classique est à la fois moteur et sensitif, souvent plus sensitif. Dans la sal
ppartenait. Notre homme est absolument différent; il est purement moteur ; et si nous ne connaissions d'une manière assez c
que ce tabès est d'une espèce particulière, qu'il est uni- quement moteur . En d'autres termes, nous pouvons souligner dan
ique de cette observa- tion c'est qu'il s'agit seulement d'un tabès moteur . Les deux groupes de symptômes qu'on observe da
J'en ai vu de très beaux exemples. Les exemples de tabès pu- rement moteur sont plus rares ; celui-ci en est un. Pour synt
nous pouvons dire qu'il s'agit là d'un cas de tabès exclusivement moteur à incoordination précoce, développé sans syphilis
s simulent exactement' -des accès d'épilepsie, soit sensitive, soit motrice . Or, que l'hystérie puisse reproduire très fidè
pres- sion symptomatique, le syndrome de l'épilepsie sensitive ou motrice . Cela est si vrai, que tous nos malades ont été p
tes les attaques se montre la reproduction des troubles sensitifs,- moteurs ou émotifs, qui ont marqué le début déjà L'HYST
seudo-membraneuses ; et de cette façon, une compression des centres moteurs . Mais bien que la pachyméningite puisse demeure
qui a touché au tombeau du diacre Pâris, l'oedème, trouble vaso- - moteur , a disparu presque immédiatement, le sein a repri
sol sans que nous puissions mou- voir nos membres. Lorsque l'influx moteur parti du cerveau s'est rétabli, nous sommes apt
l'oblitéra- tion des artères, soit par la destruction de la région motrice , l'hé- miparésie et l'épilepsie jacksonienne (i
quer la paralysie des extrémités gauches; pas de foyer dans la zone motrice droite. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 91
s paralysés. On éduque, ou plutôt on rééduque les centres cérébraux moteurs lésés, ou du moins on réincite les fibres d'ass
ériphériques entrent simultanément en vibration. Les hallucinations motrices partent de l'écorce qui est le siège de l'inner
ent de la collection du père de l'auteur de ce mémoire. La racine motrice du trijumeau prend naissance dans le noyau moteur
moire. La racine motrice du trijumeau prend naissance dans le noyau moteur du même côté; la racine descendante, dans les g
'aqueduc de Sylvius. Il faut distinguer les racines descendantes et motrices des racines ascendantes, au moyen du plus fort
de reconnaître que la racine descendante se juxtapose il la racine motrice . Il n'y a lieu ni de confirmer, ni d'infirmer l'i
acceptée par les auteurs de l'entre-croisement partiel de la racine motrice et de la racine descendante, car, du côté altér
, XXIII, 1.) Observation de destruction chez l'enfant des faisceaux moteurs de la capsule interne. Le faisceau pyramidal da
KERAV.\L. XXIII. CONTRIBUTION A l'étude DE la chaleur sur LES nerfs moteurs ; par Olga GoATlsxx. Cette étude avait en vue
a pre- mière question, la chaleur est-elle un excitant pour le nerf moteur ? 2 fut négatif. Pour résoudre la seconde que
Contribution à l'étude clinique des hallucinations verbales psycho- motrices . M. Roubinovitch après avoir constaté que la natu
Un fait capital est la prédominance excessive des troubles psycho- moteurs , hallucinations motrices verbales et communes, im
prédominance excessive des troubles psycho- moteurs, hallucinations motrices verbales et communes, impul- sions ou phénomène
moitié gauche du corps, avec amaurose des deux yeux. Les accidents moteurs et sensitifs cédèrent en peu de jours presque c
D.abcuEwmcH. Sur les altérations de la partie cen- trale d'un nerf moteur après lésion de sa partie périphérique. - Une A
es cobayes lui impose la conclusion suivante : une lésion d'un nerf moteur cranien, aussi bien que d'un nerf mixte spinal
entricule) et les fibres pupillaires de Bechterev (au noyau du nerf moteur oculaire commun) n'existent pas; il n'y a de même
s optiques qui réunissent la rétine de l'oeil avec le noyau du nerf moteur ocu- laire commun. Les observations sur le rapp
on de zones mo- trices. Les expériences avec l'ablation d'un centre moteur quel- conque ont été faites sur des chiens, la
ment dans celle ,qui, après s'être recourbée des circonvolutions motrices , passe par-dessus le corps calleux et poursuit en
l'arthritisme étant le fait de troubles de l'innervation sensitive, motrice et vaso-motrice, serait une névrose complexe dont
és; les troubles du caractère, les troubles intellectuels, émotifs, moteurs , l'amnésie ayant été notés avec soin. Le chap
e tra- vail est celle qui est consacrée aux altérations des plaques motrices dans les diverses affections du système nerveux
hologie de la nuit se rapportent aux manifestations sensorielles et motrices ; ce sont par exemple, l'incontinence nocturne,
ie par iatirritation), la chorée du réveil. A côté de ces désordres moteurs se placent les troubles sensoriels, et les choc
fonctions de nutrition et conséquemment une dépression de l'énergie motrice . et de la sensibilité,- un ralentissement des pro
e peut être mise en lumière par l'étude de l'influence de l'énergie motrice sur l'attention. L'atten- tion est constituée e
tion. L'atten- tion est constituée exclusivement par des phénomènes moteurs dont la physiologie non seulement révèle l'exis
elles-mêmes pour condition physique les oscillations de l'énergie motrice . z L'exercice physique ou intellectuel modéré e
ème musculaire, y produi- sent des amyotrophies et des impuissances motrices plus ou moins généralisées et à tendance progre
le et que le malade ne présente pas le plus léger degré d'impotence motrice ! Faut-il s'arrêter à cette hypothèse ? On peut
lésion spinale organique, ne fût-ce que l'absence d'une impuissance motrice dans un cas d'atrophie musculaire aussi avancée
d'éveil, tantôt la résolution la plus subite, tantôt une impulsion motrice invo- lontaire, mais sans perte de connaissance
intéressants, la détermination du chi- misme stomacal et du pouvoir moteur de l'estomac par la méthode de Suvers et de Ewa
himisme stomacal n'a pas présenté de modifications, mais le pouvoir moteur de l'estomac semble un peu 2M REVUE DE PATHOLOG
acte de volition stimule l'activité fonctionnelle dans les centres moteurs et produit des mouvements prédéterminés. Mais l
s. Dans l'analyse minutieuse des altérations des noyaux des nerfs moteurs de l'oeil, nous relevons ce qui suit. La racine d
encore possible dans la colonne des cellules du noyau de l'ocuio- moteur commun d'attribuer à tel ou tel groupe la fonctio
s trophiques du trijumeau ne sont pas situées dans la petite racine motrice de ce nerf, mais dans sa grosse racine sensitiv
t dépassé une minute et quinze secondes; la diminution des troubles moteurs a été obtenue avec des séances n'excédant pas t
s cellules des cornes antérieures et plus généralement des cellules motrices dans tout l'appareil cérébro-spinal D. G. D.
ATHOLOGIE NERVEUSE. 269 En somme, le clou entré au niveau du centre moteur de la jambe, avait probablement lésé sur un poi
jambe, avait probablement lésé sur un point sous-jacent le centre moteur du bras et et de l'épaule. Une question se posa
Un autre point intéressant de l'observation, ce sont les troubles moteurs ne se déclarant qu'au moment de l'extraction du c
érit très vite sans que le malade ait jamais présenté aucun trouble moteur ou sensoriel. (Ame1'iean journal of insccnity, 18
d'étabiir sûrement l'existence d'une lésion des régions corticales motrices du côté droit : ou diagnostiqua une tumeur prob
femme de trente-cinq ans, j'ai diagnostiqué une tumeur de la région motrice gauche; l'opé- ration confirma le diagnostic, m
est évident qu'il y avait par suite trouble fonctionnel des centres moteurs , le sentiment en modifiant l'activité. Ce sont
ralentissement obtenu subsiste ; mais il exagère le pouvoir excito- moteur et cela pendant vingt à trente minutes; au bout d
orielle et in- tellectuelle, conjointement avec l'hyperexcitabilité motrice ; quand l'intoxication progresse, il y a paraly
s et intellectuelles, mais en même temps se développe une paralysie motrice centrale progressive. La genèse des paralysie
motrice centrale progressive. La genèse des paralysies du système moteur est propre à tous lespoisons qui modifient le c
issement permanent de l'activité volontaire, ainsi que la paralysie motrice aiguë, d'origine centrale. Le thé, au contraire,
centrale. Le thé, au contraire, agit peu sur l'activité du système moteur , il l'entrave un peu sans la paralyser, par sui
d'excitation de zip, la fermeture de la £ z cathode celui des nerfs moteurs (étude des valeurs absolues, échelle des chiffr
nguent en organiques et fonctionnelles, les hallucinations verbales motrices graphiques et les impulsions graphiques, l'écri
tilité, sensibilité, intelligence et trophicité; on a les dysbasies motrices , sensitives, psychiques et trophiques. Suivant
agérée, on a trois sous- groupes dans chaque variété. Les dysbasies motrices peuvent être akinétiques (paralysies), parakiné
même chez les hystériques hémianesthésiques, obtenir la paralysie motrice , sans accompagnement aucun de troubles de la sens
iques, auxquelles j'ai suggéré purement et simplement, la paralysie motrice du membre sans rien dire de la sensibilité. J'i
croyant à la possibilité des monoplégies expérimentales pure- ment motrices , nous pensons qu'il faut encore s'en tenir à la
e retour de sa motilité et beaucoup plus lentement que la paralysie motrice . L'électrisation, la balnéation sul- fureuse pr
anesthésie très particulière qui accompagne ces différents troubles moteurs . Cette anesthésie s'étend à la moitié corres- p
ou encore d'autres procédés. Dans la majorité des cas, la paralysie motrice et sensitive se dissipe ou s'améliore parles mo
pres mains les mouve- - ments des membres du malade et les troubles moteurs deviennent plus accusés, plus on veut leur oppo
. nous a permis de constater encore d'autres troubles non seulement moteurs , mais aussi sensitifs. L'irritabilité mécanique
ruptions seule- ment pendant le sommeil. Après ce temps, le trouble moteur dispa- raît tout'd'un coup : le malade se révei
e mental. Ce trouble primitif et général qui porte sur les éléments moteurs communs à l'intelligence et à la volonté, déter-
s d'inten- sité aux diverses périodes de l'affection, les troubles' moteurs qui correspondent au délire du, toucher sont be
ts seraientles deux faces, l'une intellectuelle et interne, l'autre motrice et externe, d'une 376 () REVUE DE PATHOLOGIE ME
r, il y a d'abord toujours un parallélisme entre l'état d'agitation motrice et l'idéorrhée ; les hallucinations sont rares
és supérieures ne sont presque jamais en repos, et l'incoordination motrice est assez accentuée. La station deboutsans appu
tion d'emblée et dédoublement de la personnalité . Hallu- cinations motrices et hallucinations psycho-motrices du langage. Ten
ingt-cinq ans. Son hérédité il est vrai est très chargée. L'élément moteur joue chez elle le rôle principal. C'est lorsque
Quel que soit le mécanisme par lequel ces idées amèuent le trouble moteur , chorée ou contracture, etc., c'est la répétiti
d'emblée, car on n'a cons- taté ni ictus apoplectique, ni paralysie motrice ; aussi, pouvons- nous considérer les uns et le
tout chez les femmes, dans tous les états d'excitation psychique ou motrice accompagnant diverses- formes de maladies menta
rdiaques. Mais dans l'agitation nerveuse, dans l'excitation surtout motrice , dans l'insomnie, dans la période d'exaltation
étour- dissements et de fatigue; enfin les symptômes cérébraux ou moteurs plus ou moins sérieux qui peuvent se manifester c
es les plus graves ne sont pas suivies de modifications des centres moteurs . D'un autre côté, dans les'amyotrophies arthrop
hiques très compliqués, elles ne sont que les produits ultimes d'un moteur morbide qui doit être l'objet réel des investig
investigations du diagnostic. Il se pourrait très bien que le même moteur pathologique, considéré, dans son action physio-
nérescences secondaires de l'encéphale après l'ablation des zones motrices , par Jlouratof, 136. Délire chronique, par Séri
aliénés, par Turner, 461. Faiblesse il ritable d'origine psvcltu- motrice , par Fuerstner, 277. Faisceau cunéiforme, noyau
40 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
per tous les sens, être auditive, visuelle, olfactive, gusta- tive, motrice , frapper. la sensibilité générale ou spéciale. Sa
et de la vue sont déjà des auditifs ou des visuels, les hallucinés moteurs verbaux sont, au préalable, des moteurs. Mais,
s visuels, les hallucinés moteurs verbaux sont, au préalable, des moteurs . Mais, malgré cette tendance du malade à verser,
oriaux ce que les mouvements épileptoïdes sont à celles des centres moteurs . » Cette opi- nion est acceptée par Séglas qui
superposés ; le trouble hallucina- toire peut porter sur les images motrices d'articulation, et on a l'hallucination, psycho
aux ce que les mouve-- ments épileptoïdes sont à celles des centres moteurs », l'étude de la paralysie générale, dont les l
sein de laquelle le clinicien dépiste mal l'hallucination psycho- motrice verbale, enfin, l'excitation parfois fort violent
allucina- tions de t'ouïe. Rémission très accentuée. Hallucinations motrices verbales de nature pénible. Absence d'autres tr
hallucinations auditives. Permanence et activité de= hallucinations motrices verbales pendant plus d'un an. Leur association
ec un état d'éréthisme des centres mas- ticateurs : l'hallucination motrice verbale s'accompagne de mou- vements involontai
avec idées de grandeur et de persécution. Hallucinations multiples motrices verbales, kinesthésiques, visuelles, auditives,
. » Et Sérieux fait ressortir : a) L'existence des hallucinations motrices verbales dans la para- lysie générale. b) Leur
-encé- phalite intéressant le pied de la troisième frontale (centre moteur verbal) et l'extrémité inférieure de la frontal
sticateur). Dans une thèse récente sur les hallucinations psycho- motrices dans la paralysie générale (Paris. n° 334, mai 19
. Il estime que, dans la paralysie générale, les hallucinations - motrices verbales sont extrêment rares. Cliniquement, les
trices dans les cas de lésions microscopiques des centres psycho- moteurs verbaux chez la plupart des paralytiques généraux
qui semble légitimer cette hypothèse dans le cas des hallucinations motrices de la para- lysie générale, c'est la période de
trouble de la mémoire par les mots qu'il oublie et l'incoordination motrice de ses muscles. Au mois d'août, l'agitation per
a mémoire, de l'attention, nous notons des hallucinations psycho- motrices , il annonce que le a don » va parler. La voix cha
la marche, instabilité légère les yeux fermés, pas d'incoordination motrice ; au dynamomètre 40 à droite et à gauche, aucun
ralysie générale sont proportionnelles à l'intensité des troubles moteurs qui est, comme chacun sait très variable à ces de
uvé le sens génital d'autant plus souvent normal que les troubles moteurs étaient moins accusés. 24 CLINIQUE MENTALE. O
rouvé le sens génital d'autant plus souvent normal que les troubles moteurs étaient moins accusés. Le maximum des altératio
accusés. Le maximum des altérations en plus a été avec les troubles moteurs modéré, le minimum avec les troubles moteurs ex
été avec les troubles moteurs modéré, le minimum avec les troubles moteurs excessif et vice versa pour les altérations en
la -limaille de fer à proximité d'un aimant. Nombre de réactions motrices de ce genre, où l'on a cru voir des actions vol
ion des mouvements volontaires. D'après l'auteur, tous ces troubles moteurs sont dus à des lésions [scléreuses d'origine ar
ins et autres tics d'ordre supérieur, avec prédominance de troubles moteurs , sensitifs ou'psychiques (dysphagie amiotaxique,
troubles moteurs, sensitifs ou'psychiques (dysphagie amiotaxique, motrice , sensitive, psychique). En se basant sur huit obs
nterprétation que, peu entraîné à se servir d'une plume, la mémoire motrice graphique a toujours été chez lui très rudiment
Jlextasclaitea), en possession d'un certain nombre de coordinations motrices qui, fonc- tionnellement, se manifestent comme
Si le délirant chronique est le jouet de l'hallucination psycho- motrice , il est des gens qui ont à l'égard de ce phénomèn
rches cytométriques et caryométriques sur les cellules radiculaires motrices après la section de leur cylindre-axe : par Mar
infection est apte à produire des troubles névralgiques et vaso- moteurs de diverse nature. Quant au mécanisme de ces tr
atation active et l'affection pourrait être définie : névrose vaso- motrice à type névralgique avec hypotonicité du système v
ie accompagnés de myas- thénie prononcée, de parésie et d'impotence motrice volontaire. Dans ces derniers cas la réaction d
tervention, les troubles sensitifs disparurent, seuls, les troubles moteurs ont persisté, ce qui n'a pas lieu de surprendre
ablit, après une de ces explosions périodiques d'excitation mentale motrice qui caracté- risent la folie épileptique, la fa
mme le plomb, élective, et se localise de préférence sur le neurone moteur , il faut se souvenir que des troubles sensitifs,
qui existe si souvent peut affecter les fibres sensitives comme les motrices , bien qu'il y ait prédominance sur les libres m
comme les motrices, bien qu'il y ait prédominance sur les libres motrices . Le trouble des sphincters noté dans deux des cas
ques dans la paralysie de Landry sont une dégénération des neurones moteurs périphériques, nous devons admettre a priori, s
naperçues que d'admettre qu'une dégénération prononcée des neurones moteurs périphériques puisse exister sans modifications
xus brachial, consistant plus spécialement en troubles sensitifs et moteurs dans la région de distribution du nerf cubital.
ectionnant dans. l'inté- rieur du pédoncule les filets d'origine du moteur oculaire commun. Sclérose en plaques. M. TO
la conversation). Puis survient le symptôme capital, l'hémi- plégie motrice , du type cérébral, précédée ou non d'un ictus apo
idal croisé jusqu'à la prise considérable de tous les faisceaux (f. moteur ; f. de Gowers; f. cérébelleux direct ; fibres com
l qu'en soit le siège, et permettaient ainsi, associés aux troubles moteurs , de lo- caliser la tumeur dans le lobe frontal.
ns cinq cas de poly- névrite très variables quant à leurs symptômes moteurs et sensitifs et également quant à leur durée. I
sont plus nombreux que ceux rencontrés dans la cellule radiculaire motrice . M. DUPRÉ rapporte un cas de pachiméningite che
était complet le calme revenait. Après quelques années, les crises motrices diminuèrent de fré- quence. C'est alors que gra
'210 PSYCHOLOGIE 11ORBIDE. Il -arrivait parfois que soit les crises motrices , soit les crises d'agitation'étaient suivies d'
te parfois du côté de la fenêtre, puis après un instant d'agitation motrice , elle se calme, reste assise sans bouger, la tê
uire une scène terrifiante. Elle est en proie à la même agitation motrice que précédemment, et les phénomènes que nous ve
umé l'état de distractions mentales du sujet joint à de l'agitation motrice , le désordre des idées et des actes, le tout so
kaleidoscopique. L'état mental de G... indépendamment des réactions motrices , ressemble assez à celui d'un individu atteint
crises hystériques du - début ont été remplacées par de l'agitation motrice à laquelle i a succédé cette disposition spécia
itation psychique' J indépendante et bien distincte d'une agitation motrice et, d'une crise ccnvulsive. L'explication int
à démontrer la réalité de ces équivalents psychiques de la- crise motrice , notamment dans l'épilepsie. Ces documents ont'
ence et a la gravité de manifestations épileptiques, dans la sphère motrice correspondrait une propriété tératologique du s
trémités infé- rieures, il peut ne pas y avoir du tout de paralysie motrice de ces membres. 3° De la paralysie du rectum et
des cellules corticales, au point où elles atteignent les cellules motrices des cornes antérieures et en même temps une lés
s antérieures et en même temps une lésion fonctionnelle de cellules motrices spinales elles-mêmes. De plus, dans les cas ava
ribuée aux troubles venant modifier l' « influx égal des impulsions motrices » qui se transmet du cerveau à la meelle. Aux
ons variqueuses de la face antérieure n'aient pas causé de troubles moteurs par cette double considération qu'elles siégeai
inations, les illusions, l'hyperesthésie sensorielle et l'agitation motrice peuvent s'expliquer par l'action d'un poison qu
moelle spinale, les racines antérieures et posté- rieures, le nerf moteur oculaire commun, le grand hypoglosse, le sciati
2° dans la deuxième circonvolution frontale gauche pour l'amusie motrice ; 3° dans le lobe pariétal gauche pour la lecture
ste de la région périnéo-scrotale et du pénis. Phénomènes d'ordre moteur . -1° Chez un très grand nom- bre de nos malades
n'avons jamais observé non plus chez nos malades d'incoor- dination motrice des membres inférieurs. Les deux tabétiques pré
aladie infectieuse. P. Keraval. XXVIII. De l'aphasie sensorielle et motrice transcorticale; par W. LARIONOW. (Obozrellié ps
visuelles des lettres et des mots (pli courbe), qui vont au centre moteur de l'écriture (2e circonvolution frontale) et a
entité morbide distincte. La périodicité des attaques, la paralysie motrice flaccide, la perte des réflexes, les modifica-
pendant assez souvent dansl'écoice, surtout dans celle de la région motrice , rarement dans l'épaisseur de la substance céré
e même pour la moelle : dans la paralysie hystérique les cel- lules motrices individuelles ne sont pas atteintes, car il n'y a
est-à-dire les actes : ce sont les cellules pyramidales de l'écorce motrice qui sont en fautes, et non les cellules subordo
lgésie et hyperesthésie) ou exagération de l'énergie de la décharge motrice (spasmes, convulsions; souvent de nature réflexe
stérique et contractures par distribution imparfaite des impulsions motrices à des groupes musculaires asynergiques). Le p
as seulement l'excitabilité sensorielle, c'est aussi l'excitabilité motrice de l'écorce qui est atteinte, mais c'est l'exci
ertonie de son antagoniste; 3° la destruction complète des neurones moteurs centraux ou péri- phériques ou de leurs prolong
les altérations péricellulaires et péricylin- ctroïdes des neurones moteurs centraux et périphériques produi- sent, lorsque
rve chez le singe, à la suite de la destruction complète de la zone motrice , peuvent être assimilées à celles qui se produise
e produisent par des lésions incomplètes non irritatives de la zone motrice de l'homme. La distinction entre la contracture
nde résulte de la première. L'une résulte de la lésion des neurones moteurs centraux, l'autre de l'altération des neurones
des neurones moteurs centraux, l'autre de l'altération des neurones moteurs périphériques. La contracture vraie e=t produit
les altérations péri-cellulaires et péri-cylindroïdes des neurones moteurs cen- traux : d'autre part, par les lois de l'an
e médul- laire formé parle neurone sensitif rachidien et le neurone moteur centrifuge de l'étage correspondant; on-fera re
ément péri- phérique récepteur entre en communication avec l'organe moteur réactionnel. les conditions pour la production
s tendineux. Jenecroispas enfin que dans les névrites périphériques motrices , et les poliomyélites aiguës ou chroniques, les
gard, très instruc- tive chez les obsédés. On retrouve ces troubles moteurs dans la folie du doute, type des obsessions dit
obre 1897. Atrophie des grandes cellules pyra- midales dans la zone motrice de l'écorce cérébrale, après la section expé- r
a démence, et par des symptômes somatiques consistant en phénomènes moteurs variables caractérisés surtout par la raideur m
if de l'estomac sur l'albumine coagulée pratiquement nul : activité motrice faible : 6° peau sèche. L'état subaigu est cara
euses de l'écorce du cerveau, limitée presque entièrement aux aires motrices , et que, en même temps que les altérations de dég
ltérations descendantes peuvent être suivies tout le long du trajet moteur depuis l'écorce cérébrale jusqu'à la moelle lom
c nerveux réflexe, et dans le second cas (manie) le long des lignes motrices . Et après l'exposé de cette opinion, il ajoute
s premières, sont considérées avec vraisemblance comme des cellules motrices du niveau le plus élevé, et l'altération constaté
produit expérimentalement après la section des axones des cellules motrices . 1. de Musgrave-Clay. XXII. Épilepsie associée
CAIIEN, interne des hôpitaux. I. D'une façon générale, les troubles moteurs chez les aliénés sont bien étudiés. C'est que,
guent parce que l'athétose est en général liée à d'autres symptômes moteurs ou surtout CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYP
t de dents du paralytique général, le tic de l'idiot, l'automatisme moteur des confus et des maniaques se séparent des act
rcurrents et la prédomi- nance des symptômes cliniques dans le sens moteur ou sensitif. - , li. C. LXXXI. Réflexes tendi
Étude sur l'action du gelsemium sur les noyaux des nerfs cérébraux moteurs ; par R.-H. \1'mTemnn. (The New 1'01 IL Me- dica
t la chromatolyse des cellules qui constituent les noyaux des nerfs moteurs cérébraux; 2° les altéra- tions ainsi provoquée
agents qui exercent une action novice sur les cellules nerveuses motrices . R. de IUSGIlAV4;-OL1Y. II. Étiologie et guéris
le. M. Trénel pense que la coexistence des hallucinations psycho- motrices et de la sialorrhée peut s'expliquer par l'excita
, par Daniel, 435. Aphasie, par Brissaud, 152. - sen- sorielle et motrice transcorticale, par Larionow, 298. Aphonie hy
des maladies générales, par Faure, . 340. Cellules radiculaires motrices après section de leur cylindraxe, par Mannesc
emium, Action du sur les 550 TABLE DES MATIÈRES. noyaux des nerfs moteurs , par Whitehead, 529. Gliome. Un cas de - céré
41 (1934) Oeuvre scientifique
reuves faites avec des verres de couleur; de plus la para- lysie du moteur oculaire commun, même quand elle est partielle, l
tache, au point de vue du diagnostic, dans les paralysies des nerfs moteurs , à la dissociation de mouvements qui, à l'état no
à l'association d'une altération du nerf facial avec l'intégrité du moteur oculaire commun et nous permet d'établir que ce
ne saurait être reproduit par la volonté. La compression d'un nerf moteur , sans aboutir à la dégéné- rescence de son bout
s, qu'ils se manifestent par des troubles sensitifs ou des troubles moteurs , ou bien encore par des attitudes anormales, on
ande majorité des observations d'hystérie (observations de troubles moteurs , attaques, tremblements, etc.), l'existence d'une
rrogatoire défectueux ou de propos inopportuns, a créé des troubles moteurs de nature hystérique, je vous en citerai deux s
n employant certains moyens permettant de perce- voir des réactions motrices très légères, il se pourrait qu'on les mît en é
dans le deltoïde par exemple. L'étendue du territoire des réactions motrices est donc variable. d) Chez le sujet aux réflexe
sub- stance grise) ; c) la voie centrifuge (racine antérieure, nerf moteur ou muscles auxquels aboutit ce nerf). CARACTÈ
névrites, que la lésion porte plus particulièrement sur les fibres motrices ou qu'elle atteigne de préférence les fibres se
ssez élevé elle se lie inévitablement à une gène dans les fonctions motrices . AFFECTIONS QUI PRODUISENT DE LA SURRETLECTIVIT
miplégie, c'est-à-dire de para- lysie unilatérale, mais de troubles moteurs d'une tout autre nature (mou- vements démesurés
psycho-motrice sans la détruire où, malgré la présence de troubles moteurs très manifestes (épilepsie Bravais-Jaksonienne,
est alors bilatérale. Il en résulte que l'absence de toute réaction motrice appréciable, après excitation de la paroi abdom
ente de l'intensité du réflexe, est susceptible d'être, par un acte moteur d'origine psychique, atténué ou exagéré, suivant
partements de l'écorce céré- brale, en particulier dans les centres moteurs et déterminer ainsi des manifestations analogue
peut supposer que le malade a perdu la faculté d'évoquer les images motrices correspondant aux mouvements qu'il est incapabl
symptômes de l'hémiplégie vulgaire associés à une paralysie du nerf moteur oculaire commun qui occupe l'autre côté du corp
ps. Je viens d'étudier successivement les divers caractères d'ordre moteur qui peuvent servir à distinguer l'hémiplégie or
déjà indiqué qu'ils existaient d'ordinaire du côté de la paralysie motrice ; dans un cas cependant il les avaient observés
Séquard peut exister du côté anesthésié (2) ou du côté des troubles moteurs ('). Parfois on les voit apparaître du côté de
vais décrire les phénomènes que j'ai en vue. Il s'agit de réactions motrices consécutives à des excitations cutanées ou à de
pyra- 13À.niNsx 1. 9 130 SÉMIOLOGIE midale. Ces deux réactions motrices se produisent généralement dans les mêmes condi
ord avec les auteurs précédents sur le méca- nisme de ces réactions motrices , ne veut établir aucune distinction entre ces d
liée par Pastine (') se rapportant à un sujet atteint de paraplégie motrice absolue avec troubles très accentués de la sens
s de défense même très prononcés et avec accompagnement de troubles moteurs des plus marqués n'est pas nécessairement l'exp
Les réflexes de défense, après disparition complète des troubles moteurs , peuvent redevenir absolument normaux. , On a p
GIE réflexe(') » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des réactions motrices réflexes et a eu surtout en vue celles du membr
Farquhar Buzzard ont fait une étude appro- fondie de ces réactions motrices dans un travail dont j'ai donné déjà l'indicati
udier les réflexes de défense dans leurs rapports avec les troubles moteurs , la paraplégie spasmodique, la contracture. Mes
ssant, que son objection soit juste ; peu importe que les réactions motrices puissent être obtenues aussi par l'excitation d
manifestation de ce côté, donne lieu du côté opposé à une réaction motrice brusque, en même temps qu'elle détermine des gr
itation des téguments du membre inférieur est suivie d'une réaction motrice du membre supé- rieur du côté sain, différente
urologique, 3 mars I ! P, p. 3oo. 1554 ' SÉMIOLOGIE Ces réactions motrices diffèrent cliniquement de celles que nous avons
ut de cette conférence, j'ai tracé un parallèle entre les réactions motrices consécutives aux excitations périphériques, suiva
les raisons pour lesquelles, à l'état physiologique, les réactions motrices qui me paraissent ressortir aux réflexes de défen
artie des téguments peut servir de zone réflexogène à des réactions motrices très variables, proches et lointaines, ayant la
no 2, 3o février Igd. Parmi les causes qui troublent les fonctions motrices dans les affec- tions du système pyramidal, il
ce qui précède que les mouvements conjugués apportent aux fonctions motrices une entrave plus ou moins notable, et que leur
he fournit, par conséquent, un élément d'appréciation des désordres moteurs , qui n'est pas à négliger. " Les mouvements con
e, si on pince de la même manière le pied gauche (côté des troubles moteurs ), on voit apparaître une ou plusieurs secousses b
n de la peau du côté de la lésion et se traduisant par une réaction motrice du côté des troubles sensitifs. Cette réaction
e observation; nous nous contenterons de noter que si les réactions motrices consécutives aux excitations n'ont pas été anal
us tard, l'état du blessé s'étant notablement amélioré, la réaction motrice ci-dessus signalée a disparu ; il est à remarquer
fonde est légèrement atteinte du côté droit. Il existe des troubles moteurs prédominant du côté droit. Au membre supérieur
nférieurs sont atteints d'une paraplégie spasmodique ; les troubles moteurs sont relativement peu prononcés à gauche ; ils so
un mou- vement de ce côté, donne lieu du côté opposé à une réaction motrice brusque, en même temps qu'elle détermine des gr
e. Il nous paraît donc incontestable qu'il s'agit là d'une réaction motrice involontaire, c'est-à-dire d'un mouvement réfle
ent liés, au moins pour une part, à l'hyperalgésie ; ;. la réaction motrice est d'autant plus forte que la douleur produite p
d) Enfin, ainsi que nous l'avons déjà fait ressortir, les réactions motrices , bien loin de se produire uniquement ou d'une m
e ces réactions sont réflexes), ainsi que ce fait que les réactions motrices du membre inférieur peuvent être déclen- chées
embre inférieur du côté de la lésion ne participe pas à la réaction motrice , c'est vraisemblablement parce que l'excitation
si l'excitation de la zone anesthésiée ne provoque aucune réaction motrice , c'est sans doute parce que dans son parcours c
e nous venons de relater établit l'existence de certaines réactions motrices qu'il faut distin- guer d'une part des réflexes
de défense ou d'automatisme médullaire, d'autre part des réactions motrices volontaires, et qui sont en quelque sorte inter
pas de douleurs, pas de troubles vésicaux, pas trace d'incoordination motrice . Chez la malade qui fait le sujet de l'observat
que ; la notion de siège s'appuie sur une paralysie du facial et du moteur oculaire externe gauches, sur une anesthésie de
mouvements implique la faculté d'arrêter brusquement une impulsion motrice et aussitôt après de donner aux muscles une impul
ont la sensibilité est intacte et qui ne présente que des désordres moteurs . La parole est lente et interrompue. Les mouvemen
ualifié, il est vrai, d'asynergique la titubation de l'ataxie loco- motrice , opposée par lui à la titubation vertigineuse ; m
i, croyons- nous, consiste précisément dans un défaut d'association motrice ; l'acte qui nous occupe est exécuté d'une maniè
généralement que dans les paralysies liées à des lésions des nerfs moteurs , l'excitabilité électrique de ces nerfs ne peut ê
abilité faradique qu'on peut observer dans les muscles dont le nert moteur n'est pas lésé et qui ont été soumis à la réfri
res termes, qui traduit un véritable trouble de la régulation vaso- motrice et thermique locale. C'est là un de ces caractère
supposé, la lésion occupait le lobe frontal au devant de la région motrice , mais dans l'un, on n'avait pas pensé qu'il fut
ette maladie on s'aperçut qu'il avait des exostoses et des troubles moteurs . Il présentait une surélévation de l'épaule gau
dont la fin semble avoir coïncidé avec une atténuation des troubles moteurs . L'enfant conserva cependant un léger spasme du c
ne durée de 3 à 4 mois. A l'âge de quinze ans, les mêmes troubles moteurs des membres du côté gauche reparurent pendant u
eur ne soit pas atteint, d'une manière appréciable, au point de vue moteur . Les spasmes existent pourtant et on les remarque
normal et la parole n'a jamais été troublée. Tels sont les troubles moteurs que l'on relève constamment du côté gauche, avec
nt de noter que c'est également le côté où prédominent les troubles moteurs et les modifications des réflexes que nous avon
lformation des vertèbres du. cou. Quelle est la nature des troubles moteurs ? Sont-ils de nature fonction- nelle ? A l'appu
rtaines condi- tions, d'obtenir, après section des fibres nerveuses motrices , des dégéné- rations musculaires suivies de rég
ale, n° 46. CI,) Henri Meige, Dysphasie singultueuse avec réactions motrices tétaniformes et gestes stéréotypes. Société de
difficile à comprendre. 286 AFFECTIONS DU CERVELET La paralysie motrice du membre supérieur et du membre inférieur gauche
ons de la voie sensitive qui n'étaient pour rien dans les désordres moteurs , car la sensibilité profonde, la notion des attit
ons il soit impossible de se prononcer. Ce sont les troubles vaso moteurs et thermiques qui me paraissent constituer la p
forme, mais conditionnées toutes deux par une irritation du neurone moteur périphérique. IL TABES ET PSEUDO-TABES VI S
que son conjoint atteint d'atrophie papillaire ou d'incoordination motrice . J'ai noté dans plusieurs de ces cas que le mar
involontaires, on se rappelle que ce furent les premiers phénomènes moteurs qui apparurent après le stade de paraplégie com
s cérébraux P., le cervelet, les origines des nerfs crâniens : 111. moteur oculaire commun, V. trijumeau, VIII. acoustique
roisés, mais on n'en retrouve déjà plus dans le 6e segment. La voie motrice est du reste dans ce cas lésée sur un autre point
par une sensation de lourdeur aux membres inférieurs. Les troubles moteurs se sont accrus ensuite très lentement et dans l
st-opératoire s'est déroulée sans incidents sérieux. Les troubles moteurs et sensitifs s'atténuent de jour en jour. Vers la
sition avec le diagnostic de compression, même lorsque les troubles moteurs et sensitifs, par lesquels se traduit cette affec
flexion. Les réflexes abdominaux inférieurs sont abolis. Les troubles moteurs du membre inférieur droit n'ont pas subi de cha
coup plus prononcés à droite ; c'est-à-dire du côté où les troubles moteurs sont plus forts (voir schéma). Le territoire de
il faut attribuer les symptômes les plus importants : les troubles moteurs et sensitifs, les troubles de la réflectivité c
pas nécessairement une hypertonie musculaire troublant la fonction motrice . D'ailleurs, l'intégrité de cette fonction ne s
ans les premières, ils viennent tôt ou tard s'associer aux troubles moteurs . La paraplégie spasmodique en flexion permanent
un effet identique à celui qui résulte de l'électrisation d'un nerf moteur ; je ne sache pas qu'expéri- mentalement chez l
t agi simplement d'une coexistence de deux phénomènes, l'un d'ordre moteur , l'autre d'ordre sensitif. La réalité d'un hémisp
de la face peuvent se prendre, mais les masticateurs et les muscles moteurs du pavillon de l'oreille ne sont jamais affecté
rapèze, 2. Face : Orbiculaire des lèvres, 5 ; masséter, 2 ; muscles moteurs du pavillon de l'oreille, i. Membres inférieu
imitée au territoire d'un nerf, comme, par exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la paralysie du moteur ocula
exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la paralysie du moteur oculaire externe. Les observations de ce genre qu
érie n'est pas plus capable d'atteindre un nerf sensitif qu'un nerf moteur , et le terme de névralgie, dont on se sert pour d
que, contrairement à ce qu'on pensait autrefois, les troubles vaso- moteurs , sécrétoires, trophiques, les hémorragies, la fiè
sparaître la contracture. De même, l'excitation mécanique d'un nerf moteur (facial, radial, cubital, etc.) devait développ
. Pour toutes ces raisons on est autorisé à penser que les troubles moteurs étaient au moins en partie d'ordre réflexe. Or,
brachiales ou crurales totales et assez souvent encore des troubles moteurs simulant plus ou moins grossière- ment des para
'hystéro-traumatiques, on avait en effet constaté des troubles vaso moteurs marqués. Quelques observateurs ont supposé que ce
epter même l'exagération des réflexes tendineux, les troubles vaso- moteurs , thermiques et trophiques. Avec la conception a
ien et la contracture est une contracture qui intéresse les muscles moteurs de l'articulation tibio-tarsienne... Voilà donc u
ie ou du moins que, si elle intervenait dans la genèse des troubles moteurs , elle n'était pas seule en cause. Examinant d
fûmes frappés aussi par les liens qui unissent aux troubles L'aso- moteurs et thermiques les troubles de l'excitabilité méca
t présenté par l'un de nous et consacré aux caractères des troubles moteurs dits fonctionnels. Les (') .J. Babinski et J. F
es et de contractures. Mais, quelle qu'en soit la forme, le trouble moteur est le plus souvent incomplet, partiel, limité ;
e tous les segments du membre participent fréquemment. Le trouble moteur réflexe peut-il entrainer une impotence complète
complète ou (') Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs (paralysies et contractures) dits « fonctionnel
r avec précision le degré d'intensité que peut atteindre le trouble moteur réflexe. Ce que nous sommes en droit d'affirmer
la majorité des cas, comme on vient de le voir, les troubles vaso- moteurs et thermiques sont très nets : ils constituent un
faisons abstraction dans cette étude des cas où les troubles vaso- moteurs sont bilatéraux et semblent en rapport avec une d
Malgré la localisation ou la prédominance habituelle des troubles moteurs à l'extrémité, surtout quand il s'agit du membre
é, sont incapables de produire une paraplégie crurale. Les troubles moteurs en question, ne s'accompagnant du reste d'aucun
nerveux qui reçoit cette excitation et la transforme en indication motrice ; 3° d'un nerf centrifuge qui transmet à la pér
d'un nerf centrifuge qui transmet à la périphérie cette indication motrice ». Retrouve-t-on ces trois facteurs dans les ca
n d'arrêt due à l'excitation périphérique portant sur les fonctions motrice et trophique ou exclusivement sur la fonction t
ain. Quelquefois même l'autre bras présente quelques troubles vaso- moteurs et sudoraux ('). Tous ces phénomènes sont diffi
nt dépendre tantôt d'un état d'excitation ou de stupeur des centres moteurs spinaux, comme Charcot l'avait supposé, tantôt
réflectivité tendineuse manifeste ou latente et sans troubles vaso- moteurs notables, par exemple certaines contractures en f
dans la tétanie l'exaltation de l'excitabilité mécanique des nerfs moteurs (phénomène de Chvostek), l'exaltation de l'excita
de Chvostek), l'exaltation de l'excitabilité élec- trique des nerfs moteurs (phénomène d'Erb), des modifications de la réfl
nent pas nécessairement une perturbation très marquée des fonctions motrices , ce qui équivaut à dire que, si ces fonctions s
1916, pour clôturer la discussion consacrée à l'étude des troubles moteurs dits fonctionnels (3). «En se plaçant exclusive
juin 1917. (3) Discussion générale sur les caractères des troubles moteurs (paralysies et contractures) dits fonctionnels
mptômes oculaires furent la névrite oedémateuse et une paralysie du moteur oculaire externe (2 fois la VIe paire gauche, 1
ES TUMEURS J(i.lTl- : 111 : DULL. : ll1 ? ES 5c1 toire des troubles moteurs ; chez un autre malade (tumeur à la région dors
, consécutivement à quelques séances de radiothérapie, les troubles moteurs et sensitifs se sont très notable- ment atténué
phie, elle a été causée probablement par une altération des racines motrices . Les troubles de motilité, qui pendant six mois
ale avec intégrité des cornes antérieures de la moelle et des nerfs moteurs (Société de Biologie, 20 février 1886). ib. De
e systématique. Paralysie partielle ou systématique des fonc- tions motrices du membre inférieur gauche (Id.). 35. Paralysie
remarques sur le mémoire de M. Gordon intitulé : « Troubles vaso- . moteurs et trophiques de l'Hystérie » (Revue neurologique
éflexe cutané plantaire et anesthésie associée à des troubles vaso- moteurs et à de l'Hypothermie d'ordre réflexe (Sociélé de
gie, 29 juin 1916). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 63t 1 24 1 Des troubles moteurs et thermiques dans les paralysies et la contractu
juillet 1920). 63a INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 262. Etude des troubles moteurs dans un cas de choréo-athétose (en collaboration
42 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
TION CARACTÉRISÉE PAR DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE (INCOORDINATION MOTRICE POUR LA STATION ET POUR LA MARCHE (ClIAR- COT E
OUR LA STATION ET POUR LA MARCHE (ClIAR- COT ET R1CIIEItI. - ATAXIE MOTRICE HYSTÉRIQUE (V. MiTCHELL). cot et Riciier). Atax
- ATAXIE MOTRICE HYSTÉRIQUE (V. MiTCHELL). cot et Riciier). Ataxie motrice hystérique (V. Mitchell). z ATAXIE PAR DÉFAUT D
MM. Charcot et P. Richer l'ont décrite sous le nom « d'impuissance motrice des membres infé- rieurs par défaut de coordina
à ce qui se passe dans l'agraphie, par exemple. Dans l'a- graphie motrice pure, comme on sait, l'impuissance motrice n'es
ple. Dans l'a- graphie motrice pure, comme on sait, l'impuissance motrice n'est pas due à une paralysie des mouvements or
s pour tracer l'écriture. De même dans l'astasie, l'impuis- sance motrice ne tient pas à une paralysie des mou- vements g
us court et aussi si- gnificatif que la périphrase « incoordination motrice portant exclusivement sur la station et sur la
en 1883, sous ce titre : « Sur une forme spéciale d'im- puissance motrice des membres inférieurs par défaut de coordinati
ain, ou peu après l'émotion ou la chute, sur- vient une impuissance motrice des membres infé- rieurs. Rien n'attire l'atten
s analogies qui existent entre « cette forme spéciale d'impotence motrice des membres inférieurs » et les paralysies psyc
e à cette 1 Charcot et Richer. Su di una forma speciale d'impotenza motrice degli arli inferiori par <li/jëtto di coordi
emmes (1885). Il distingue tout d'abord deux modes d'incoordination motrice chez les hystériques. Le premier est la forme é
le 25 avril, il y a une exacerbation des douleurs et des phénomènes moteurs , et la ma - Jade reste constamment au lit. Et
r debout. Depuis, son état général resta excellent, mais le trouble moteur persista tel quel, et l'enfant fut conduit à la
, lorsqne cet enfant était sur pied on constatait une impuis- sance motrice qui faisait pitié. Observation V. WEIR-IITCHE
Enfin, il existerait une classe qui mériterait le nom de décharge motrice paroxystique, Elles se produirait dans les psyc
nt dépendre d'une excitation anormale du centre des images verbales motrices . Les hallucinations auditives analogues à celle
nlevé : à gauche, en deux séances, le lobe frontal et toute la zone motrice ; a droite, outre les mêmes régions, la plus gra
les points du revêtement cutané; il ne présentait aucune paralysie motrice . Mais il paraissait complètement aveugle, bien qu
qui présentait après la mort une destruction com- plète des centres moteurs des membres. Il n'y aurait donc pas dans l'écor
le docent Rumpr. Contribution à la pathologie des centres corticaux moteurs . Homme de trente ans, frappé à la tête d'un cou
subs- tance blanche; absence d'hydropisie ventriculaire. La région motrice paraît principalement étriquée; il en est de mê
vant. Dans la sphère des nerfs crâniens, il n'y a pas d'altérations motrices . Point de crampes, ni de contractures. Des mo
ons des muscles du thorax, du cou, de la nuque et de tous les nerfs moteurs crâniens sont complète- ment normales. Les réfl
. 17. 174 PATHOLOGIE NERVEUSE. 4887. Janvier. Point d'altérations motrices nouvelles. La force des extrémités supérieures
normaux, les pupilles sont égales, elles réagissent bien. Les nerfs moteurs de l'oeil, de la face, la dégluti- tion, l'arti
ON CARACTÉRISÉE PAR DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE 1 (Incoordination motrice pour la station ET pour la. marche (Ciiar- COT
pour la station ET pour la. marche (Ciiar- COT et IiICIIE11. Ataxie motrice hystérique (V. nI(TCIIGLL. Ataxie par défaut DE
fondi du malade ne décèle rien de plus que cette in- coordination motrice fonctionnelle. Dans une obser- vation, toutefoi
oute autre espèce d'im- DE l'astasie ET DE l'abasie 193 puissance motrice des membres inférieurs , quelle qu'elle puisse
thologie nerveuse. ataxie hystérique, c'est-à-dire l'incoordination motrice qui se manifeste sur des membres privés du sens
DE l'astasie ET DE l'abasie. 201 soit à la disparition du trouble moteur , plaiderait en faveur de l'origine corticale; m
x plus marcher » suggère chez ces sujets l'idée d'une impuissance motrice complète, relative à la marche, et, de fait, la
- disposé, être le point de départ d'une suggestion d'impuissance motrice se réalisant sous l'une des formes que nous nou
peut-on pas admettre que quelquefois au moins l'idée d'impuissance motrice pour la station et pour la marche se soit dével
que qui forment la substance de notre travail, que l'incoordination motrice astasique et abasique relève le plus souvent d'
odifica- tions de la circulation capillaire, à des troubles vaso- moteurs . , ' Il en est d'autres absolument indépendants
iégeant en ces points n'intéresse pas le système des filets vaso- moteurs . Eu résumé, ce syndrome-mydriase-éphidrose sera
est dans la moelle un système anatomique inter- médiaire aux zones motrices et sensitives, qui s'ad- joint aux fibres ascen
, région éminemment mixte qui renferme des tubes nerveux sensitifs, moteurs et vaso-moteurs. Ces derniers émanent visibleme
out autre signe fait défaut : quant aux autres symptômes du tabes moteur , l'observation a montré qu'il n'en existait auc
bout, il risque de tomber en arrière et ressent encore de la gêne motrice même après avoir ouvert les yeux. Veut-il tourner
atiques, ils* sont tous basés sur une perturbation de l'innervation motrice . Très fréquemment, et surtout dans l'état de st
chique, en partie de l'état phy- sique. Il n'y a jamais deparalysie motrice : on peut trouver de l'anesthésie plus ou moins
araissent, comme phénomène capital, les troubles du système nerveux moteur présentant le caractère général de la crampe. C
une façon cyclique et s'accompagnant de troubles du système nerveux moteur qui, dans ce cas, auraient au contraire le cara
ment typique, mais qui ne présente rien du côté- du système nerveux moteur . Cette dernière forme que l'on ren- contre souv
e, quand le mutisme n'est pas continu et que les symptômes neuro- moteurs ne sont pas encore apparus. L'attitude pathétique
porte les opinions de quelques auteurs sur la genèse des phénomènes moteurs , convulsifs et autres, accompagnant la méningit
que pourKiernan serait un trouble primitif dans les centres vaso- moteurs , amenant une stase sanguine qui est le point de
at01'ische, Wahnsinn2) caractérisée par t une névrose de la tension motrice tantôt permanente, tantôt intermittente irrégul
lus ou moins complètement aux perceptions extérieures. La i raideur motrice peut revêtir un caractère physiognomonique ; ',
s'accom- pagne d'une participation significative du système vaso- moteur qui en fait une vraie psychoneurose : les états v
orme de délire systématisé (Wahn- sin). Car, pour lui, les troubles moteurs sont primitifs et fon- damentaux, les modificat
dépression mélancolique, mais qu'elle fait partie, comme phénomène moteur essentiel, de la Catatonie et de la Catatonie s
sseaux dans les parties de la pie-mère qui recou- vrent les régions motrices , surtout à droite. A part cela, pas la moindre
e ataxique, qui résulte de la destruction du centre de coordination moteur de la parole articulée, et l'aphasie amnésique
laire comme le substratum anatomique nécessaire de l'ataxie loco- motrice progressive et on en vint à lier si intimement
le malade ont porté, sans réserves, le diagnostic d'ataxie loco- motrice progressive. J'ai moi-même partagé cette erreur
riques. Douleurs fulgurantes types. Persistance de l'incoordination motrice . Pas de troubles de la vue, ni de troubles trop
idement fixe sur un plan résistant. Les troubles de la coordination motrice augmentaient considérablement dans l'obscurité.
émorale ne parait être le siège d'aucune lésion. L'incoordination motrice existe seulement dans les membres in- férieurs.
locomotrice progressive : douleurs à type fulgurant, incoordination motrice des membres inférieurs, crises gastralgiques, e
e n'est qu'une verrucktheit aiguë un peu particulière, les troubles moteurs ne sont pas des crampes et ils n'ont pas l'im-
utes les perturbations possibles dans le domaine du système nerveux moteur et des fonctions musculaires (sauf pourtant les
, aucune perte de sensibilité ou du sens musculaire. Ces troubles moteurs sont encore accentués dans la mélan- colie et s
en particulier dans le délire aigu, les troubles du système nerveux moteur peuvent être des plus accentués. Krafft-Ebing s
ent dans une multitude d'affections vésaniques. Outre les désordres moteurs accidentels, spasmes, crampes; que l'on rencont
en dehors de l'aliénation mentale propre- ment dite, les désordres moteurs eux-mêmes, qui sont plus spéciaux à la folie et
epsie), et états de distribution anor- male de l'impulsion centrale motrice (paracinèse, tels que raideurs au début d'un mo
ils pourraient s'atténuer dans une certaine mesure. Les symptômes moteurs sont également très différents. Com- parons, pa
comotrice manquent tous dans l'athétose double. L'inco01'dinalion motrice tabétique ne ressemble pas à l'in- coordination
se distingue de l'incuordination athétosique en ce que le désordre moteur est de plus en plus marqué à mesure que l'index
, maladie de la puberté et non de la première enfance, les troubles moteurs , qui ont le caractère ataxique et ne s'observen
stent qu'un temps assez long après l'apparition de l'incoordination motrice chez les malades atteints d'ataxie héréditaire.
raphasies, comme symptômes post-épileptiques; 3° états d'excitation moteurs (corticaux) soit dans le stade postparoxystique
alytique tombé par la fenêtre. Peu importe, il me semble, l'origine motrice ou senso- rielle de ces conceptions délirantes,
tifs circonscrits sans multiplication des noyaux dans les oculo- moteurs externes. Dégénérescence musculaire correspondant
e des cordons postérieurs. M. KOENIG. Deux cas de lésion de la zone motrice du cerveau. - Ces deux cas ont été examinés au
é examinés au point de vue des questions sui- vantes. Quand la zone motrice est lésée : 1° l'atteinte seule de la substance
e la substance blanche, est-elle capable de déterminer des troubles moteurs ? 2° Y a-t-il trouble de la sensibilité ? - 3°
la physiologie des ganglions spinaux. Conclusions. - 1° Les fibres motrices ont un centre tro- phique dans la moelle. - 2°
V. Revues allalli4ues. BIBLIOGRAPHIE V. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau et sur l'épilepsie cérébrale; par le
Marey. Elles sont consacrées à l'Etude expérimentale des fonctions motrices du cerveau et reposent surdes recherches entrep
au; la seconde partie contient la critique des théories. Les effets moteurs pro- voqués par l'excitation expérimentale du c
aux faits qui servent de base à nos connaissances sur les fonctions motrices du cer- veau, résume les recherches de Fritz, H
erches physiologiques an- térieures ; puis il expose la topographie motrice cérébrale, d'après la méthode des excitations.
u'elles montrent qu'il y a similitude complète entre la topographie motrice du cerveau humain et celle du cerveau des singe
nne rayonnante de Reil, faisceaux blancs correspondants à la zone motrice et seuls excitables. Ce sont d'avant en arrière :
'opposé de ce qui concerne les excitations cérébrales. Les troubles moteurs consécutifs aux lésions expérimentales produite
epuis une dizaine d'années, et décrit : 1° la topographie corticale motrice et non motrice, détermi- née en se basant sur l
ne d'années, et décrit : 1° la topographie corticale motrice et non motrice , détermi- née en se basant sur l'étude des lési
t, à la discussion des théories soulevées par l'étude des fonctions motrices du cerveau. Elle est subdivisée en trois partie
ctionnelle des régions excitables, et la dernière des localisations motrices dans le cerveau. Un appendice, que le physiol
a faci- lité parla recherche des stigmates hystériques sensitifs ou moteurs . Au point de vue pathogénique M. Berbez énonce
n résulte la suppres- sion de toutes les représentations cérébrales motrices relatives au membre. Le chapitre consacré au tr
43 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tance qu'ils rencontrent. Après avoir contribué à former les images motrices enregistrées dans notre mémoire, elles nous per
vements exécutés à la suite du réveil conscient de ces mêmes images motrices . L'étude des troubles du sens musculaire pourra
es voies de conduction, où le ma- lade conserve intactes ses images motrices antérieures, mais ne peut plus contrôler l'exéc
t toujours et nécessairement précédé de la reviviscence d'une image motrice formée de résidus sensitifs, on aura une im- pu
te à la zone sensitive tactile, et comme elle superposée il la zone motrice proprement dite, Abba se croit en ' Henri Verge
conception des centres sensitifs accolés aux centres d'incita- tion motrice , encore qu'au premier abord elle paraisse le mieu
ines- thésiques dont les diverses combinaisons forment les images motrices ; nous avons vu que les images motrices ne pouvai
inaisons forment les images motrices ; nous avons vu que les images motrices ne pouvaient être formées que de résidus sensit
tre formées que de résidus sensitifs. La recolleclion de ces images motrices serait le pl'imllm moues que nous avons trouvé à
montré à ce pro- pos comment le réveil à la conscience d'une image motrice était toujours suivi d'un commencement d'éxécut
ten- sité dans la représentation mentale. La dénomination de zone motrice reste donc vraie quand même dans cette théorie, a
partirait l'excitation primordiale qui va retentir sur les cellules motrices bulbo médullaires. Toute question de théorie mi
uction des centres supérieurs corticaux n'abolirait avec les images motrices que les perceptions plus éle- vées et plus déli
ri après quelques mois de maladie. Pas de phé- nomènes d'excitation motrice ; pupilles larges et paresseuses. Chez quelques
rotulien absent sur deux côtés. Affaiblissement de l'ouïe; aphasie motrice . Sensi- bilité partout conservée. Pas de troubl
and mental disease, 1898, XXV, p. Soi) constatant que les troubles moteurs s'accom- pagnent presque régulièrement de troub
tribution à la question des connexions centrales des nerfs craniens moteurs ; par M. P. 1l0MANow. (Neurolog. Centmcl6l., XV
musculaires ne donne plus son concours à une partie de l'impulsion motrice pour que la force du muscle qui se contracte so
faisceaux pyramidaux et, par suite, l'action de la sphère corticale motrice sur les deux moitiés du corps paraît être une r
ie de la sylvienne ayant entraîné un ramollissement des faisceaux moteurs de la capsule interne. On constate une dégénéresc
t des centres spinaux et médullaires, y compris les centres vaso- moteurs . La pathogénie de l'épilepsie idiopathique est un
ns conductrices du système nerveux central, les voies sensitives et motrices , les voies sensorielles et les voies d'associat
points traités par M. Soury. La question de la nature des centres moteurs a longtemps divisé les physiologistes. David Fe
lité et de la sensibilité tactile se confondent. Les centres dits moteurs n'ont pas de fonctionnement spontané. Leur mise e
uvé par leur .méthode de circonvallation ou d'isolement des centres moteurs . Par la section des fibres d'association relian
le d'arrêt, se.s fonctions inhibitrices s'exercant sur les cellules motrices de la moelle. Mais cette théorie était incomplè
nombreuses obser- vations cliniques la loi d'après laquelle la zone motrice du télencé- phale exerce par les fibres cortico
erce par les fibres cortico-spinales une inhibition sur les centres moteurs inférieurs, tandis que l'écorce du cervelet et le
hale tiansmet- tent constamment une action excitatrice aux cellules motrices de la corne antérieure de la moelle par l'inter
le retentissement de cet événement psychologique sur les centres moteurs et vaso-moteurs qui détermine secondairement l'ét
rer spasmodiques- sont causés par des lésions bilatérales des aires motrices du cer- veau, ou par des lésions capsulaires, a
astomose des prolongements cylindraxiles des cellules sensitives et motrices . Forel dénonça cette nouvelle hypothèse et Koel
res que les organes sensoriels auxquels sont juxtaposées les fibres motrices . Les procédés de coloration employés, depuis quel
xité de l'acte volontaire, viennent s'interposer entre le neu- rone moteur et le neurone sensisif qui accomplissent à eux se
tisable et accepte merveilleusement les suggestions. Les troubles moteurs gastriques, dont elle est atteinte gênent son a
ment ses mots et les articule nettement ; aucun trouble d'aphasie motrice ou sensorielle. A la région frontale gauche sup
pect. On pratique alors une seconde trépanation au niveau du centre moteur cortical du bras droit. Il n'existe à ce niveau
premières formes de psychoses doivent être rapportées à l'agitation motrice intense et prolongée ou au ralentissement exagé
tion concentrique du champ visuel, conjonctive injectée, asthénopie motrice , sensibilité douloureuse des globes oculaires :
à être mieux étudiés qu'ils ne l'ont été jusqu'ici. Les symptômes moteurs sont très importants, et caractéristiques en ce q
pension ou d'une inhibition de l'impulsion volontaire. Les troubles moteurs sont ordinairement transitoires et susceptibles
dans le cas de M. Gilles de la Tourette, il se soit agi de trouble moteurs hystériques; du reste. ne serait-ce qu'en raiso
- mollissement qui détruit le noyau rouge, les fibres de l'oculo- moteur commun et une partie du pied du pédoncule ; dans
interne du pied du pédoncule et affleurant les fibres de l'oculo- moteur gauche. Le moteur oculaire commun droit était com
du pédoncule et affleurant les fibres de l'oculo- moteur gauche. Le moteur oculaire commun droit était complète- ment dégé
dité corticale totale passagère. Il existait également des troubles moteurs , sensitifs et trophiques plus ac- centués après
ur cela une lésion trop élec- tive des artères destinées aux noyaux moteurs du bulbe et de la moelle. Il faut plutôt croire
bleau clinique est dominé longtemps avant l'apparition des troubles moteurs , par les troubles psychiques, qui peuvent être
sur la signification des entrecroisements sensoriels, sensitifs et moteurs ; parLuGARO. (Riv. di pal. nerv. et ment. fasc. VI
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 317 sont toujours mixtes, les fibres motrices émanant des prolonge- ments des cellules des ga
éparations d'Apâthy. Et il n'y a pas de différence entre les fibres motrices et les fibres sen- sitives quant au nombre et à
, au prolongement principal, pour de là se transpor- ter aux fibres motrices périphériques. Seulement, pour le démon- 318 RE
illes , intercalée entre les fibrilles réceptrices et les fibrilles motrices . Les fibrilles et la grille sont les voies cond
avantageusement par le contact des tractus sensitifs et destractus moteurs que par leur continuité. Mais c'est la préparat
viennent plus fines et plus délicates. Le centre ovale de la région motrice contient exclusivement des fibres rares et très
es se présentent, comme symptôme essentiel, dans le système nerveux moteur , des modifications à caractère général de spasm
(ans. di neur., fasc. 1V-V, 1899.) XVIII. Sur le siège des images motrices ; par le Dr P. HARTENBERG. (Revue de psychologie
ous entendons, non la révélation consciente d'un fait sen- sitif ou moteur , mais le mécanisme nerveux qui est le substratum
ologique de l'opération. » Conformément à cette définition, l'image motrice représente le mécanisme nerveux qui préside à l
le-même être précisée; il ne s'agit ici que du mé- canisme cortical moteur et il ne saurait être question des éléments sen
orticale d'un mouvement. L'usage même a con- sacré le terme « image motrice » pour une partie seulement de ce mécanisme cor
image motrice » pour une partie seulement de ce mécanisme cortical moteur , la plus élevée, la plus essentielle, celle qui
l'articulation de tous les mots, ont une fonction commune, l'image motrice du centre d'association n'appartient qu'à ce mo
st essentiellement un mécanisme de coordi- nation. Le terme d'image motrice est donc inexact, puisqu'en réa- lité le rôle d
mais à coor- donner seulement ». - En somme, le siège des images motrices « se trouve sur le ter- ritoire des centres d'a
, ne possède également une localisation aussi précise de ses images motrices , qu'on définira peut-être un jour. Il est bien
comme la syn- thèse fonctionnelle d'images (verbales, sensorielles, motrices , affec- tives) ; ces images sont étroitement un
seraient loin d'être celles d'un mécanisme matériel et aveugle; les moteurs des fonctions de la nutrition seraient de même
oteurs des fonctions de la nutrition seraient de même nature que le moteur suprême des actes de la vie de relation, c'est-
Le tableau clinique montre qu'il s'agit là d'un trouble purement moteur , d'un arrêt de la fonction motrice. Pas de troubl
l s'agit là d'un trouble purement moteur, d'un arrêt de la fonction motrice . Pas de troubles sensi- tifs superficiels ou pr
des muscles de la mastication dénote la participation de la branche motrice du cin- quième nerf; la paralysie faciale d'un
note la participation des neuvième et dixième nerfs dont les fibres motrices partent en commun du noyau ambigu, lequel est u
noyau ambigu, lequel est une continuation de la colonne cellulaire motrice de la corne antérieure, tandis que le douzième
ntérieure, tandis que le douzième nerf est responsable des troubles moteurs de la langue. Diagnostic. -La différenciation d
ger exercice, spécialement dans les muscles desservis par les nerfs moteurs crâniens, mais aussi, à un certain degré, dans to
système nerveux, et d'un défaut de développement dans les tractus moteurs de la moelle et du pont. La paralysie bulbaire as
ontre que la parésie porte à des degrés divers sur tous les muscles moteurs du globe oculaire tandis que la muscu- lature i
verbale se montre à l'état isolé, sans cécité verbale,- ni aphasie motrice , ni agraphie. Il existe seulement un certain degr
néoplasique, il existe en règle générale des symptômes rachidiens, moteurs et dystrophiques qui rendent l'erreur difficile
publié par nous encore tout récemment (1891). La cellule de la zone motrice de l'écorce du cerveau est l'organe d'une conce
fibres arciformes sont donc les voies d'association des conceptions motrices ; en effet, dans la dernière observation de 1897
struction des centres de percep- tion qui coïncident avec la région motrice . Il y a, par conséquent, lésion surtout du mili
- tat d'une lacune dans les phénomènes d'association de la région motrice de l'écorce, et prouve que la région motrice est
sociation de la région motrice de l'écorce, et prouve que la région motrice est l'organe psychique des conceptions motrices
prouve que la région motrice est l'organe psychique des conceptions motrices . Toute conception motrice procède de l'associat
e est l'organe psychique des conceptions motrices. Toute conception motrice procède de l'association entre eux des mouvemen
it qui peut indiquer un processus destructif pro- fond de la région motrice de l'écorce. P. KERAVAL. LXII. La protection du
une difficulté grave qui est la suivante : tandis que les activités motrices se prêtent à l'étude objective, les activités s
; mais on a certainement attaché trop d'importance au côté purement moteur de la crise épileptique; des altérations ' Tell
d'ordinaire de délire systématisé. Il semblerait que les désordres moteurs , sensoriels et psychiques que l'on rencontre da
que son conjoint atteint d'atrophie papillaire ou d'incoordination motrice . J'ai noté dans plusieurs de ces cas que le mar
e qu'il ne faut pas confondre avec le thorax en bateau. ' Aphasie motrice pure chez un paralytique général. - 1\1. Ballet
classique où la démence était restée assez légère, eut de l'aphasie motrice pure durable. Le cerveau présente au niveau du
pathologiques dans les loges des cellules pyramidales de la région motrice , n'est pas pour ces cellules une cause d'irritati
ou moins convulsifs dans tel ou lel membre, en excitant les centres moteurs correspondants ? Cette même irritation qui prod
es sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie est aux centres moteurs . » C'est une sorle « d'épilepsie des centres se
'(Zlblatt., XVII, 1898.) En 1896, Soltmann montre que les centres moteurs des nouveau- nés sont d'abord tout à fait inexc
E PATHOLOGIQUES. relativement précoce de l'excitabilité de l'écorce motrice , chez le chien et même chez le chat, parfois to
velles études de Bary et Bechterew sur le développement des centres moteurs de l'écorce des animaux nouveau-nés. Chez les j
. P. IERAV : 1L. LXXV. Observation de tumeur cérébrale de la région motrice gauche ; hémiplégie gauche ; absence d'entre-cr
les volontaires renferment trois ordres de fibres ner- veuses : les motrices , les sensorielles, les vasomotrices. Rien de no
les sensorielles, les vasomotrices. Rien de nouveau pour les fibres motrices déjà bien connues ainsi que leur terminaison da
11 ! ! Jélomèl'es et dc1'matomè/'es. 11. C. LXXI. La localisation motrice médullaire est une localisation - segmentaire;
es de la moelle dans les cas de mélectomie récente. La localisation motrice médullaire n'est donc en rapport ni avec les ne
t segmentaire et peut être considérée comme une véritable métamérie motrice . Ce fait a une double importance : physiologiqu
a son origine dans un noyau différent et peut-être dans le noyau du moteur oculaire externe. Les recherches expérimentales
oubles de la sensibilité à topographie radiculaire et avec troubles moteurs à marche ascendante; par van GEIIUCIITEr¡. (Jol
e droite avec - , par Marie, 318. - amnésique. par Tienel, 521. - motrice chez un paralytique général, par Bal- let, !
e Ramon y Calai sur les entrecroisements sensoriels, sensitifs et moteurs , par Lugaro, 310. Hystérie et infection, par
insula, par Bourneville et Belin, 495. Images. Sur le siège des - motrices , par Hartenberg, 333. Impulsions homicides, p
ABLE DES MATIÈRES. Sol tlsme de la tète, par Muratow, 1 416. La motrice médullaire est segmentaire, par van Gehuch- I
ogie Ganckles, 443. Nerfs crâniens. Connexions , cen- trale des ' moteurs , par n'oma- now, 142. Nerfs optiques. Entrecr
aiie, par Sabrazès, 3.1. avec sensibilité radiculaire et troubles moteurs à marche ascen- dante, par Van Gehuchten, 525.
44 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cité, ni surdité verbale, mais seulement un certain degré d'aphasie motrice . Un mot trop long reste inachevé, la formation
pour la première fois, à l'âge de cinq ans, pris d'une paralysie du moteur oculaire commun de l'oeil droit en même temps q
libre d'accès existe une parésie d'intensité moyenne de l'oculo- moteur . Depuis l'âge de treize ans, à la suite d'un trau
uis aboutissant à de la photophobie et à la paralysie de l'oculo- moteur commun ; ces accès duraient en tout deux ou trois
il persiste même dans l'inter- valle un léger degré de paralysie du moteur oculaire commun. Une tentative faite à Koenigsb
jours, ayant, lorsqu'il fut vu par Manz, une para7 lysie totale du moteur oculaire commun droit, un ptosis très prononcé,
oculaire (2 septembre 1884). - Le, 8 septembre paralysie totale du moteur ocu- laire commun gauche; celle-ci avait dispar
lle à la lumière et à la corvergence, les muscles innervés par le moteur oculaire commun ne se contractaient plus. Le peu
OCULAIRE. 27 plastique du cerveau englobant complètement le nerf moteur oculaire commun, nous croyons devoir la récuser
diplopie avec récidives, coïncidant généra- . DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES . ' 29 lement avec une aggravation des autres sy
OBSERVATIONS POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES ET A LA PATHOGÉNIE DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAI
E LA MOELLE; Par le D Mabtial HUBLÉ La connaissance des faisceaux moteurs , notamment celle du faisceau pyramidal, a été r
bral occupant la zone rolundique du côté gauche (couches corticales motrices , couche optique, corps strié); dégénération sec
mnésie verbale, intelligence très obtuse ; il existe une paraplégie motrice incomplète des deux membres inférieurs, plus ma
ements se manifestant parfois dans les muscles DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES . 31 de la face (des lèvres en particulier), la
tômes la traduction de désordres corticaux, autrement dit des zones motrices du cerveau, désordres siégeant vraisemblablemen
et de correspondance parfaite de l'anesthésie et de la paralysie motrice , admise par Hitzig, Nothnagel et, depuis, par Sch
ons (la pariétale et la frontale ascendantes) produit une paralysie motrice , parce que ces circonvolutions constituent les
ysie motrice, parce que ces circonvolutions constituent les centres moteurs ; mais elle n'engendre que des troubles passage
anatom. et cliniques sur le faisceau sensitif. DES ZONES cérébrales motrices . 33 1° sur les deux tiers supérieurs de la circ
ous semble donc nullement aventureuse, en présence de l'impuissance motrice des membres et des contractures qui, survenues
cule cérébral et du faisceau pyramidal correspon- dant ; hémiplégie motrice a gauche, sans M;ies</të6';e; contractures p
ans les traits, la langue est déviée d gauche. des zones cékébralks motrices . 35 Les mouvements du membre supérieur sont pos
éparation. En outre, le corps calleux lui-même DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES . 37 est gravement intéressé : il est détruit da
sERVAïfON I, cette lésion a déterminé la perte DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES . 39 de la faculté du langage, et une hémiplégie
a lésion expérimentale ne détermine aucun trouble appréciable, soit moteur , soit sensitif. La pathologie ne fournit pas de
le surmonte a donné lieu à une hémiparalysie gauche exclusi- vement motrice : ces régions de l'encéphale sont doncies centres
otrice : ces régions de l'encéphale sont doncies centres uniquement moteurs et nullement sensitifs. Bien mieux connus dans
il est bien démontré (Flechsig, Parrot, Charcot) que cette région motrice est en rapport avec le système bulbo-spinal, par
, il n'a jamais été constaté de paralysie alterne de ce nerf, ni du moteur oculaire commun avec hémianesthésie du côté opp
es de l'iourens et l'observation de Bastian. DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES . il sont appréciables qu'au microscope si la ma
te et lobule paracentral) ont pro- duit une paralysie exclusivement motrice ; 3° Qu'une lésion destructive très étendue du
est traduite par aucun symptôme particulier, autre que la paralysie motrice , du côté opposé; 4° Que l'hémiplégie résultant
à deux mois, sur- viennent dans les quatre extrémités des troubles moteurs et sensitifs. Ce sont : de l'affaiblissement, d
des et des cor- dons latéraux expliquant la paralysie et la parésie motrice des ex- trémités, tuméfaction des cylindraxes,
ations pathologiques de l'encéphale, notamment de la zone corticale motrice seule, soit par une lésion de la moelle, com- p
ôt ceux d'une démence lentement 'progressive : 2° que les symptômes moteurs qui sont si nettement caracté- ristiques de la
s pertes)de substance porancéplialiques dans le territoire cortical moteur , d'origine inflammatoire évidente. * Discussi
ux, trigone), que cette sollicitation soit d'o- rigine psychique ou motrice (mouvements voulus), ils n'ont rien à voir avec
opinion émise par Meynert, bien avant la découverte des territoires moteurs de l'écorce, d'après la- quelle les diverses ca
ment une fonction différente; ainsi l'écorce du lobe frontal serait motrice , celle des lobes occipitaux et temporaux serait s
ce malade font immédiate- ment penser à un tabes : l'incoordination motrice , l'influence de l'occlusion des yeux, les doule
d vomissements fréquents, insomnie; pas de symp- tômes oculaires ni moteurs . A la fin de mars fortes convulsions revenant f
te transitoire. A son admission à.la Salpè trière, pas de sympt8mes moteurs . Hémianesthésie au froid et à la douleur du côté
lus étendue, comprenant le centre de la parole, les circonvolutions motrices et les parties sus-éuon- cées (4) due ordinaire
dans l'observation 2fi, de West- phal) un ramollissement de la zone motrice et des circonvo- lutions situées à l'extrémité
u ramollissement. 6. L'hémianopsie latérale avec légère impuissance motrice 1 Wernicke. UeGer hemiopische PMp ! '«e)tac<
e de stabilité aux membres gauches. Mani- festations somnambuliques motrices à droite, pas à gauche, nous entendons les memb
. f. Psych., XV, 3.). Les phénomènes musculaires sont des processus moteurs déter- minés dans un muscle par l'excitation mé
et musculaire est sain, ainsi que chez les aliénés dont le système moteur est demeuré intact, mais la contraction locale
inq ou six heures après. Leurs allures dans les maladies du système moteur . Io Il n'y a alors que peu de cas, il n'y a mêm
la vie. Puis s'est opérée une accalmie. La localisation de la zone motrice explique la parésie des extrémités; la plus gra
eurs et secrétoires, des réflexes cutanés et tendineux, de la force motrice ; atteinte de la mémoire dans toute son étendue.
se rendent à la moelle allongée où aboutissent également des nerfs moteurs chargés d'animer les muscles respiratoires. L'e
pu constater que l'on observe au premier plan, tantôt les troubles moteurs , tantôt les troubles intellectuels, tantôt les
s ne prédominent pas, en tel ou tel cas, sur l'écorce du territoire moteur , sur celle des cir- convolutions frontales, sur
érisé d'une part par l'existence de phénomènes d'excitation d'ordre moteur , d'autre part par la persistance de la réaction
mblable au sommeil. La nature des phénomènes d'excitation d'ordre moteur permet encore une distinction fondemautale entr
constamment dans le sopor l'exagéra- tion fonctionnelle du système moteur , qui se traduit par des mouvements automatiques
Ces deux pro- priétés témoignent de l'hyperexeitabilité des centres moteurs ; leur puissance de travail est plus grande, pui
ques ne participent guère à leur genèse, et que les centres nerveux moteurs entrent seuls en jeu pour les produire. Récipro
des psychoses envisagées ici, montre que la suractivité du système moteur , les phénomènes d'hyperex- citabilité accompagn
n 1889 n au meilleur travail sur les progrès de l'électricité comme moteur , moyen d'éclairage, et sur les applications qui
tte curieuse lésion; elle explique aisément l'absence de troubles moteurs chez les animaux dont les nerfs périphériques p
ur la. plus grande partie de leur trajet, les racines sensitives et motrices ont conservé leur apparence habituelle et ne di
x qui, sur certains membres, précè- dent l'apparition des désordres moteurs et ne cessent point de se manifester alors que
ésions, en apparence minimes, déterminent des troubles sensitifs et moteurs considérables. Elle peut facilement rester inap
e contracter les muscles de ce membre par l'irritation de la zone motrice correspondante, à l'aide d'un courant beaucoup
r qu'au moins la sensibilité du mouvement est loca- lisée aux zones motrices ; or, nous savons qu'une irritation découlée la
ctrique, soit par des autres procédés, ils ont appliqué sur la zone motrice correspondante un courant moins fort que celui
t, que les images des mouvements sont emmagasinées dans les zones motrices . Comment donc pourrait-on com- prendre, disent-
confirme plutôt l'hypothèse de Wernicke, que l'irritation des zones motrices par l'électricité agit aussi par l'évocation de
ouvement. En effet, en appliquant les rhéophores sur l'écorce grise motrice d'un chien non narcotisé, nous réussirons à pro
lusieurs fois, quand ils ont appliqué le courant faible sur la zone motrice d'un muscle, qui était mis en contraction, le m
à celui de l'homme. Si nous enlevons une partie de l'écorce grise motrice d'un chien, nous verrons dans quelque temps que
sion destructive d'une partie de la subs- tance corticale des zones motrices , même en laissant intacts les centres subcortic
appris par de longs exercices, dépendent de la fonction des champs moteurs , et si, après une lésion analogue, les animaux
fibres d'association); la voie principale est évidemment la zone motrice correspondante. Il est facile à com- prendre qu
bes postérieur, nous envisagerons successivement : l'incoordination motrice , les douleurs et anesthésiés, les troubles céph
22, 24, 27 et 31), dans lesquels on n'ait noté ni incoordination motrice ni douleur. b. Ce dernier groupe d'observations
paralytiques ou parétiques et surtout les phénomènes d'excitation motrice . 1. Dans 3 cas seulement (11" 20, 23 et 31), do
Kahler et Pick sans observation, on n'a pas noté d'affaiblissement moteur . Dans 3 autres cas (nous 17, 25 et 30), les tro
ement moteur. Dans 3 autres cas (nous 17, 25 et 30), les troubles moteurs sont mentionnés (dans les membres inférieurs) s
cialement noté dans l'observation. 2. Les symptômes d'excitation- motrice sont plus importants encore à relever, parce qu
s (u°' 10, 11, 12 et 13) ont eu des symptômes d'affai- blissemënt moteur . Seul, le malade du n° 23 n'a eu aucun trouble
dans la région de centre ovale sous-jacente à la région corticale motrice , composée de deux parties, d'âge différent : la p
gnent cette observation, l'au- teur fait remarquer que les troubles moteurs de 1880 étaient pro- bablement dus à une emhuli
aient de faiblesse dans les membres du même côté. , Les symptômes moteurs et sensoriels étaient beaucoup plus marqués du
élon-aliou et à la lésion des nerfs. Il en tire que toute paralysie motrice périphérique absolue d'un nerf mixte entraî- ne
les nerveuses, laquelle est surtout accusée dans les cellules dites motrices , où elle prend peut-être naissance, mais hors d
écorce du dans la paralysie proâressive), pacZacher, 30S ; ^zones motrices ), pat Hu- blé, 29; - (ramollissement (lu) ; 8
45 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
compression parlacarotide gauche athéromateuse et très dilatée, du moteur oculaire externe et des autres nerfs du sinus c
ons sur l'étendue des anesthésies et sur les troubles trophiques et moteurs de la face d'origine sympathique) ; par M. P. C
as, les troubles sensitifs n'étaient pas superposables aux troubles moteurs et trophiques. Il y avait enfin du myosis droit
ner cette hémiatrophie, est celle d'une atrophie de rameaux nerveux moteurs de certains nerfs craniens sous la dépendance d
systématisée des cordons postérieurs et une névrite périphé- rique motrice . C'est ce que montre l'intéressante observation r
miplégie infantile résulte de la lésion du noyau rouge et des voies motrices de la calotte. R. C. 68 REVUE D'ANATOMIE ET DE
uc. M. F. Rose présente un malade atteint de paralysie sensitivo- motrice intéressant la plus grande partie des nerfs crâni
P. Marie et LÈR[ présentent les cerveaux de deux aphasi- ques, l'un moteur , l'autre sensoriel, cliniquement typiques. Chez
l'un comme chez l'autre, ils consistent essentiellement en troubles moteurs paralytiques débutant par la périphérie des mem
es aussi l'en séparent : à la paralysie se joint l'in- coordination motrice , nous avons des troubles oculaires et notamment
lesquels Babes, Marinesco ont trouvé des bacilles dans les cellules motrices et dans les cellules sensitives. De plus, Looft
munication typtologique de Nicolas II emploiera la variété psycho- motrice verbale. Un même esprit pourra s'interrompre lui-
jà visibles à l'oeil nu, souvent plus volumineuses que les cellules motrices des cornes antérieures de la moelle. 11 occupe
ental disease mai 1901.) 111. Steiner répond : Vous avez vu l'effet moteur du sous-épineux, mais vous n'avez pas dé- celé
ns les faisceaux d'association que les auteurs attribuent l'aphasie motrice , consé- quence indirecte des aphasies sensoriel
ntelligence, viennent bientôt s'ajouter des désordres de l'activité motrice et volontaire qui rendent le tableau de la mala
e sphinx, de prédicateur, d'athlète, etc. Lorsque à cette agitation motrice fait place une période de calme et de répit, le
pporteur de la seconde question sur les localisations des fonctions motrices dans la moelle : rapport consciencieux, où sont
ANTES. 235 Séance du 2 août (soir.) La localisation des fonctions motrices de la moelle épinière. M. SAno, rapporteur, rap
oelle épinière. M. SAno, rapporteur, rappelle que les localisations motrices dans le système nerveux ont été étudiées en Fra
s, deux, trois, et même davantage ; le noyau médian a des fonctions motrices étroitement liées à l'innervation des territoir
, dans le but spécial de rechercher les localisations des fonctions motrices dans la moelle ; aussi - n'est-il pas possible
sset (Montpellier) remarque aussi que la question des localisations motrices chez l'homme n'est pas totalement explorée et q
exemples dans les centres bulbaires et méson céphaliques : le nerf moteur oculaire commun, par exemple, est l'analogue d'
rf moteur oculaire commun, par exemple, est l'analogue d'une racine motrice antérieure de la moelle, et a trois groupes de
aison des centres médul- laires avec les différents centres du nerf moteur oculaire com- mun, on pourrait, supprimer la ch
rapporter des observations très détaillées concernant les troubles moteurs (rétractions, amyotrophies, contractures, etc.)
remplacées par des cellules nerveuses sim- ples, voisines du groupe moteur , qui s'adaptent à de nouvelles fonctions. On n'
nous ont montré qu'il n'y avait aucun parrallélisme entre la force motrice et la sensibilité du membre, et le sens de l'esti
rande qu'on ne l'a cru. Un très grand nombre de facteurs sensibles, moteurs , céré- braux interviennent dans les perceptions
par rapport à ses fonctions thérapeutiques et à ses représentations motrices ; 8° Toute animalité qui se développe en vie fo
ngeai- son, petite douleur) que le sujet cherche à atténuer. L'acte moteur passe, par répétition, à l'état d'habitude, et
iqueurs ne sont pas seulemeni exposés à des troubles de la fonction motrice . On observe chez eux des troubles fonctionnels
erne avec le quadriceps. Contribution à l'étude des représentations motrices du membre in/ë- rieur dans la moelle épinière d
cranien. P. Keraval. XL1V. De l'excitabilité de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'attaque d'épilepsie
ne chute graduelle. 6° L'hyperexcitabilité de la région corti- cale motrice ne saurait être attribuée à l'hyperexcitabilité d
bl., XX, 1901.) Excellente observation bien analysée. Pas d'aphasie motrice . Trouble sensoriel acoustique simplement indiqu
tion secondaire de Nissl et Marinesco. Aucune altération des noyaux moteurs voisins du trijumeau et de l'oculomoteur extern
convexe en arrière et en dehors. Ce noyau se compose de cellules motrices tout à fait semblables à celles du noyau classiqu
eurs. Il s'agit d'un foyer morbide ayant d'abord atteint la branche motrice de la cinquième paire, puis les autres branches
nce de la musique montre qu'elle n'agit pas toujours sur l'appareil moteur volontaire comme le voudrais la formule d'après
s mêmes où tout porte à croire que la musique va exciter l'appareil moteur volontaire, dans la danse par exemple, il ne fa
nser que lorsqu'une musique gaie excite trop d'éléments, l'appareil moteur volontaire en pâtit, tandis que quand une musiq
ue quand une musique triste affaiblit certains éléments, l'appareil moteur volontaire est susceptible de fournir une plus
musique triste est capable sur les diverses parties de l'appa- reil moteur volontaire ? En dehors même de la question des in
ortes de pensées sur le motif, le sens, le but, de cette sujé- tion motrice ; il s'y peut ajouter des idées délirantes, des ha
la connaissance des lésions corticales cir- conscrites de la région motrice chez l'homme ; par H. Li ? I. (Newologisches Ce
ales inférieures. Son apparition indique donc une lésion du neurone moteur central au-dessus du renflement cervical. On le
à la huitième racine cervi la première racine dorsale. La paralysie motrice à gauche pagnée d'un émoussement de la sensibil
'est manifesté une paralysie spinale aiguë portant sur l'appa- reil moteur du côté gauche, déterminant des troubles de la se
Il s'agit d'une fillette de quinze ans. Plusieurs jours d'agitation motrice avec délire terrifiant sont suivis de stupeur ave
orce, l'absence de convulsions faciales, plaident contre un trouble moteur toxique. On n'a pas examiné l'urine parla simple
scle déterminé. Les convulsions faibles ne produisaient pas d'effet moteur ; seules les convulsions fortes, s'étendant simul-
dre degré : cette marche cor- respond à la localisation des centres moteurs de l'écorce. Or, on a trouvé des kystes sous-ar
'écorce. Or, on a trouvé des kystes sous-arachnoïdiens dans la zone motrice corti- cale. Bechterew a déjà noté que les atta
ent décrite, appareil par appareil (troubles sensoriels, sensitifs, moteurs , cir- culatoires, respiratoires, digestifs, gén
légère paralysie du segment inférieur de la face pour l'expression motrice des émotions, mais non pour les mouvements volo
orce une région utéromotrice située à la 1/2 postérieure de la zone motrice , en dedans, près du bord de l'hé- misphère, de
té la portion postérieure de ce segment postérieur, seule la partie motrice de la capsule interne est anéantie; il faut donc
e patient ayant été hémiplégique et hémianesthésique, qu'aux fibres motrices sont mélangées des fibres sensitives. celles de
la région des tubercules quadrijumeaux, non seulement des faisceaux moteurs , mais des centres moteurs qui commandent aux mu
uadrijumeaux, non seulement des faisceaux moteurs, mais des centres moteurs qui commandent aux muscles des membres, à l'int
s, émanent non de l'excitation des contingents corticaux du système moteur , mais de celle de ses contingents subcorticaux.
gion des tubercules quadrijumeaux, l'excitation directe des centres moteurs qui occupent celle région est susceptible de dé
ongitudinal inférieur avec le ruban de Reil et d'un nouveau système moteur de couronne rayonnante; par II. Schuetz. (Neuro
ique aux fais- ceaux protubérantiels de Schlesinger, ou au faisceau moteur du Ruban de Reil de Hoche, émané des centres ol
optiques, auditifs, sensitifs du cerveau, est un faisceau primaire moteur rayonnant. P. KEHAVAL. Du poids de l'encéphal
nce-étalon qui suit normalement l'électrisation répétée de l'écorce motrice sans action à aucun moment du radium. P. Kerava
, etc. G. D. LXXXI. Dégénérescence et régénération des terminaisons motrices des nerfs coupés ; par MM. ODIEn et HERZEN. (Re
rtains faits contradictoires, que les filaments terminaux d'un nerf moteur séparé des centres dégé- nèrent jusqu'à leur de
régénération et la néoformation de la presque totalité des organes moteurs terminaux, après section du tronc nerveux, se f
complète- ment détruit. Il semble donc que les lésions du faisceau moteur seul n'exercent sur la-production de ce réflexe
convulsif, les lèvres sont comme l'occasion et le siège d'habitudes motrices intempestives dont la plus fréquente est la che
ung » delà volonté; de là quelques différences dans les réac- tions motrices de ces deux variétés de malades quand on veut l
comme symptômes plus immédiats, plus sensibles, des phéno- mènes moteurs et des anomalies graves dans le domaine de la v
t pas davantage un hystérique, car il ne présentait ni les troubles moteurs , ni les troubles sensitifs caractéristiques de
chez tous la maladie a débuté par un délire mystique avec agitation motrice et psychique intense, attitudes pathétiques, ha
HOLOGIE NERVEUSE. XLIII. Contribution à la psychologie de l'apraxie motrice ; par A. Pieu. (Neuroloy. Centralbl., XXI, 1902.
l'examen matériel et mental du sujet, l'auteur conclut à l'apraxie motrice par accès. Il analyse comparativement les faits
s l'acci- dent, on vit survenir une paralysie du facial droit et du moteur oculaire externe gauche accompagnée de raideur
l'on est en face d'une hystérique, pour ainsi dire plus sensitivo- motrice que psychique, quand on ne rencontre chez elle ni
presque complète de la troisième frontale, absence de phéno- mènes moteurs et d'aphasie, oedème papillaire de l'oeil droit,
s papillaires. Les auteurs insistent sur l'absence des phéno- mènes moteurs et d'aphasie, malgré la destruction presque com-
a couche dp Purkinje. 11 leur a semblé que les formes du type tabes moteur présentaient les lésions les plus considé- rabl
des fonctions plus déli- cates. Il en serait ainsi pour les centres moteurs du membre supé- rieur. ' G. C. XCVIII. Lésion
rnal of Insanity, I, 03, p. 447-455. 1 planche). S. CVI. L'écorce motrice ; par Clarence-B. FARRAR (The American Journal o
ele- ver cette remarque relativement à la délimitation de la zone motrice que des ressemblances de configuration (sillons p
arée l'identité fonctionnelle de deux régions. Chezl'homme, la zone motrice serait avant tout prérolandique. L'étude histol
ère orga- nique de l'hémispasme facial vrai; il traduit la réaction motrice du nerf facial. Au point de vue pathogénique, l
au REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 491 du bulbe, la voie centrifuge motrice est représentée (par la Vil0 paire, c'est le tr
systématisée. Il est essentielle- ment différent des manifestations motrices psycho-mentales du tic et de l'hystérie. Du fai
cauchemars. Chez l'enfant de l'agitation sans but et des phénomènes moteurs , chorée, tics, etc., et aussi des peurs nocturn
e hémiplégie 'droite présentant en même temps une aphasie complète, motrice et sensorielle (surdité verbale). En présence
llissement de l'hémisphère gauche intéressant à la fois les centres moteurs et les centres du langage, particulièrement le
éger près des centres trophiques des muscles et des centres vaso- moteurs , vraisemblablement à la base et à la partie la pl
cas observés par l'auteur appartiendraient à la sphère des lésions motrices primaires, ceux de Raymond et Janet à la sphère
ont les lésions affectives primaires sont sui- vies par des lésions motrices secondaires. R. C. LXXII. Le pseudo-oedème cata
humains de même nature, il existe chez eux une variété d'habitudes motrices vicieuses de léchage, des stéréotypies parakiné
s profondes sont les plus atteintes. Mêmes altérations des cellules motrices . Légère augmentation des cellules de névroglie.
- palmaire chez les aliénés, par Féré et Francilien, 351. Apraxie motrice . Contribution à la psychologie de l ? par Pick,
oir Phtisi- ques. 1 Excitabilité. De l'- de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'attaque d'épilepsie.
n à la connais- sance des corticales circon- scrites de la région motrice chez l'homme, par Lévi, 340. Voir Cervelet. -
épinière, par Préobragensky, 174. La locali- sation des fonctions motrices de la épinière, par Sano, 235. Kote sur quelq
aud et Bauer, 244. Contri- bution à l'étude des représenta- tions motrices du membre infé- rieur dans la de 1 homme, par
ar Muenzer, 396. Dégénérescecne et' régénération des terminaisons motrices des - coupés, par Odier et Ilerzen, 402. Nerv
on- gmulmal mférieur avec le ruban de - et d'un nouveau système moteur de couronne rayonnante, par Schuetz, 398. ' R
46 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
s ou moins nette se rapportant à leurs amnésies ou à leur faiblesse motrice , certains autres, on l'a 1 Voir Archives de Neu
et inintelli- gibles 1. Si on considère l'attention sous son aspect moteur , férié. Sensation et Mouvement , 1887, p. 21 et
ion relativement simple, un seul souvenir, un petit groupe d'images motrices et ne peut plus en contenir d'autres en même te
tion personnelle, auquel il ajoute le rétrécissement de l'impulsion motrice , comme la caractéristique de l'hystérie : 1. lI
'c Iren op. cil., p. 3. 2 A)oebins, op. ('il., p. 1 . PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. '29 perçues et parai
QUES CONSIDERATIONS POUR UNE ÉTUDE COMPARA- 'l'I1'I; DES PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉ- RISQUES; r Par le D' SIG
faire une étude 30 CLINIQUE NERVEUSE. comparative des paralysies motrices organiques et hystériques, basée sur les observ
I. Il faudra commencer par quelques remarques sur les paralysies motrices organiques, d'ailleurs généralement admises. La
admises. La clinique nerveuse reconnaît deux sortes de para- lysies motrices , la paralysie périphéro-spinale (ou bulbaire) et
montrent qu'il n'y a que deux segments sur le par- cours des fibres motrices conductrices, le premier qui va de la périphéri
traduit ce fait par les mots : « le trajet des fibres de conduction motrices est constitué par deux neuron (unités nerveuses
rencontrent pour entrer en relation au niveau des cellules dites motrices des cornes antérieures. » La différence essentiel
périphérie, une extré- / mité, un segment de celle-ci, un appareil moteur compliqué. Jamais elle n'affecte un muscle indi
bras, le tibial isolément, etc., et s'il y a des excep- PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 31 1 lions apparente
a eu lieu au point de connexion entre les deux segments du système moteur . Alors, je dis la reproduction de la périphérie
cérébrales organiques, il savoir que le segment périphé- PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 33 rique est toujour
XXVI. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. organique, elle reproduit l'aphasie motrice à l'état d'isole- ment, et ce qui est chose ino
nouïe dans l'aphasie organique, elle peut créer une aphasie totale ( motrice et sensitive) pour telle langue, sans attaquer
brale organique, dans laquelle, d'une manière constante, PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 35 ces deux caractèr
ra son caractère de monoplégie pure et s'ac- compagnera de troubles moteurs dans la jambe ou la face. Elle ne peut pas deve
on cérébrale, on connaît la fréquence et la durée de l'hémi- plégie motrice , tandis que l'hémianesthésie concomitante est i
bonne et importante partie de la théorie de la névrose. PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 37 III. Il n'y a pas
ralysie cérébrale commune, c'est parce que les fibres de conduction motrices sont trop rapprochées sur une longue partie de
produire des monoplégies pures, nous en con- cluons que les centres moteurs surl'écorce ne sont pas nette- ment séparés les
rve si souvent dans la clinique des paralysies corticales : aphasie motrice et hémiplégie droite, alexie et hémianopsie dro
s organiques vraies, qu'elles soient légères et fugaces. PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 39 Il est nécessaire
as de motif pour oublier l'intelligence du langage, puisque aphasie motrice et surdité verbale n'ont aucune parenté dans la
te est cette altération pour pro- duire la paralysie ? PARALYSIES MOTRICES ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 41 Considérée psycho
e (Affectbetrag), dont le moi se délivre ou par la voie de réaction motrice ou par un travail psychique associatif. Si l'in
affective du trauma psychique n'a pas été éliminée par la réaction motrice adéquate ou par le travail psychique cons- cien
ns musculaire, correspond à peu près, sinon tout à fait aux centres moteurs correspondants ; l'observation suivante d'après
e cet élément de développement et d'élaboration des images verbales motrices . La surdi-mutité d'origine cérébrale, différant
(Améric an Journal of insanity, 1891.) E. B. XVI. LA PRÉTENDUE AIRE MOTRICE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE ; par le Dr LANE. Après
; par le Dr LANE. Après avoir repris l'histoire des localisations motrices corticales, l'auteur s'élève contre la théorie
s corticales, l'auteur s'élève contre la théorie d'une localisation motrice : parce qu'un mouvement suit l'excitation d'un
cle correspondant, encore moins cela prouve-t-il que cette aire est motrice plutôt que sensorielle. , La soi-disant région
e aire est motrice plutôt que sensorielle. , La soi-disant région motrice n'est qu'une région purement senso- rielle, kin
affaibli qu'il a perdu tout contrôle sur l'appareil de la décharge motrice . Cette théorie expliquerait également l'absence
hiques de ces divers tissus. 3° Section de l'écorce cérébrale (aire motrice ) dans un cas de mélancolie aiguë, avec agrandis
énation mentale syphilitique a pour critérium clinique les troubles moteurs et sensitifs de la syphilis cérébrale, et comme
mènes propres à la syphilis, antécédents, troubles NÉCROLOGIE. 65 moteurs partiels (muscles de l'oeil); paralysie faciale,
faisaient complètement défaut. Pour ce qui concerne les troubles moteurs , il est infiniment plus aisé d'établir la conco
récissement du, champ visuel (moitié, supérieure), pas, de troubles moteurs , sensitifs ou sensoriels. Intégrité de l'intellig
eu¡¡ ! co91 ? vol,t. peu à peu. ses" membres recouvrer leur poumon' moteur , et ses muscles' atrophiés' reprendre eh partie l
l'état morbide.' Sou observation5 dans laquelle à côté des troubles moteurs caractéristiques du para ? myoclonus se manifes
cke, à une' lésion, des, voies, sensorielles trans- - corticales et motrices , ou d'après Moelé,,à une lésion, des icentrés d
qu'il n'existait pas d'alté-' ration au niveau des circonvolutions motrices et en particulier au niveau de la deuxième fron
que par l'absence) de (lésion intéressant les, çirconvo-- lutions'' motrices , le, centre visuel verbale étant seul ,détruit. L
aliénés sont atteints de troubles dans l'articula- 'tion, d'aphasie motrice , de dénûment dans leur provision de mots, de pe
decine : Étude antique et clinique de la doctrine des localisations motrices dans l'écorce des hémisphères cérébraux de l'ho
s dans divers territoires organiques : spasmes musculaires (aphasie motrice spasmodique et transitoire, secousses musculair
s symptômes se développent, il apparaît des hallucinations verbales motrices et très accentuées et un dédoublement de la per
nt d'une façon générale des troubles psycho-moteurs (hallucinations motrices , im- pulsions, aboulie, phénomènes d'arrêt). Au
tal; elle est pourtant plus forte que celle des circonvo- lutions motrices , surtout à droite. En somme, on voit que la dis
point remarquable est l'immunité relative dont parait jouir la zone motrice , qui était l'endroit le moins atteint dans les
outer qu'à l'état, normal, ainsi que je m'en suis assure, la région motrice ne se distingue pas des autres par sa richesse
né, la suspension du mouvement est favorable à la pensée : l'action motrice suspendue est remplacée par la formation des sé
es cornes antérieures ? Le système nerveux périphérique sensitif ou moteur y a été trouvé lésé; et cependant ce sont là de
es; - 4, corps restirorme; 6, noyau commun du facial et de l'oculo- moteur externe; 7, noyau propre du fascial; 8,8', olives
marquera aussi l'intégrité des olives supé- rieures en 8', du champ moteur , du corps trapézoïde. Une autre coupe, passant
tissu de sclérose, se dirigeant vers le raphé, à travers le champ moteur . Cet aspect des olives et des parolives, identiqu
llement comme des arguments contradictoires, parce que les troubles moteurs n'y sont pas suffisamment mis en relief. Quatre
temps. Le cervelet apparaît de plus en plus comme lié aux fonctions motrices . Il nous reste maintenant à étudier une série d
attache le cervelet, organe coordinateur, aux voies de con- duction motrice en céphalo-médullaires, peuvent parfaitement ex
périeur est formé par les lobes préfrontaux; il renfermeles centres moteurs les plus élevés, et c'est lui qui préside à l'épi
i est primordialement et essen- tiellement affecté, et les troubles moteurs ne sont que consécutifs et secondaires. Faut-il
u- Raton. (Neu1'olog, Centralbl., 1892.) Extirpation de la région motrice corticale chez le chien. Au bout de deux à troi
l'auteur discute la valeur des descrip- tions données des centres « moteurs et sensitifs * du cerveau. Il reproche aux term
ntres « moteurs et sensitifs * du cerveau. Il reproche aux termes c moteurs et sensitifs » d'être trop souvent employés d'u
ner en propres termes, et en limites exactes des fonctions purement motrices et purement sensitives dans l'écorce. Vient ens
nt ensuite la discussion des théories de Hitzig qui fait de la zone motrice l'aire du sens musculaire, et de celles de Munk q
le. L'espace est bien restreint où l'on peut distinguer la fonction motrice de la fonction sensitive et l'impulsion motrice
tinguer la fonction motrice de la fonction sensitive et l'impulsion motrice comme la sensation découlent pour l'auteur d'un
du processus qui cause la sensation. L'antithèse entre les termes « moteur » et « sensitif est trop nette REVUE d'anatomie
loré les deux faces de la question, mais Bastion refuse la question motrice à la zone rolandique et admet que le faisceau p
ment et la sensation. P. SOLLIER. XXXIX. Description DE la couche motrice DE l'écorce cérébrale d'un enfant; par le Dr Ed
d'enfant de dix-huit heures, l'auteur a examiné l'écorce cérébrale motrice d'un enfant de deux ans. La différenciation d
exagérés. Un tiers des malades a présenté quelques troubles vaso- moteurs des extrémités inférieures (oedème, abaissement d
anatomie patholo- gique lui montraitune lésion unilatérale du noyau moteur du triju- meau. On a toujours vu dans les cas d
de l'instinct génital; les troubles de l'atten- tioiz; les troubles moteurs avec leurs diverses manifestations : extrême mo
et qui consistent en des modifications plus ou moins graves d'ordre moteur , sensitif, sécrétoire et vaso-moteur. C'est dan
elle présente aussi des impulsions et des hallucina- tions verbales motrices . Elle raconte qu'on lui parlait souvent en elle
iété médico-psychologique, sont alors les hallu- cinations verbales motrices qui dirigent absolument la scène pathologique.
s et même verbales. En revanche, à côté des hallucinations verbales motrices prédominantes, se mani- festent des hallucinati
erbales motrices prédominantes, se mani- festent des hallucinations motrices communes, également très accentuées, telles que
partie quelconque du corps. En plus de ces hallucinations, verbales motrices , la malade a également des impulsions nombreuse
CUSATEURS ET POSSÉDÉS. 443 troubles psycho-moteurs : hallucinations motrices , impulsions, aboulie, phénomènes d'arrêt, accom
les intellectuels dont les plus saillants sont des troubles psycho- moteurs , hallucinations et impulsions. C'est ainsi qu'ell
et impulsions. C'est ainsi qu'elle a des hallu- cinations verbales motrices très accentuées : elle sent parler en elle- mêm
d'une façon générale les troubles psycho-moteurs (hallu- cinations motrices , impulsions, aboulie, phénomène d'arrêt). Aussi
, tout cela rentrait bien dans le cadre de l'hystérie. Les troubles moteurs eux-mêmes, astasie et abasie, la malade pouvant
affaissant aussitôt quand on veut la maintenir debout, ces troubles moteurs , dis-je, se rattachaient bien à l'hystérie, l'ast
s la suggestion ce détail, tout avait bien disparu, sauf l'asthénie motrice . Il fallut l'endormir à nouveau. Et tout revint
à ce travail. Observation VI. Gastralgie. Vomissements. Asthénie motrice . Guérison (deux séances). Femme N..., quarante-
n l'anorexie, le vomissement, la douleur épigas- trique. L'asthénie motrice , que j'avais un peu laissée de côté, existait e
e, car la céphalée, l'insomnie, la dépression cérébrale, l'asthénie motrice , l'atonie gastro-intestinale, tous les symptôme
trouvai une neurasthénique avec les principaux syndromes : asthénie motrice , sensations de casque lui serrant le crâne, dou
s présentent une plus longue résistance que les' plaques terminales motrices ; 6° il"est impossible de' décrire avec précisio
tt IV/Y 1 REVUE D'ANATOMTE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 481 motrices . Mais cette succession dépend de la force de rési
es du groupe postéro- latéral des cornes antérieures sont de nature motrice . L'atrophie de ces cellules doit démontrer qu'e
es muscles stries intacts. Ce qui prouve que 1 influence des nerfs' moteurs " sur 'la nutrition des 'musoles,îqu'ils''irinè'rv
xcitables. Cela ne se voit-il pas dans beaucoup d'autres paralysies motrices , quand la dégéné- rescence n'est pas trop avanc
l'excitabilité réflexe ; elle est comparable à l'hyperexcitabilité motrice qui succède à la fatigue physique. Dans les p
aiguë et le délire du collapsus, on constate de l'hyperexcitabilité motrice ; la réceptivité des impres- sions extérieures e
els de l'écorce , par A'. Waller; 40'r; description de la couche' motrice 4 de l'écorce ') par, Goodall,'40û. Cerveau,
,r Ir : . Morvan (maladie de), un cas de ? par Grasset, 504. ' Motrice , prétendue aire jdel'é-; , corce cérébrale, par
gne., de .degene- , iescence, par Ncecl : e" 183 ? rII PÂnALYsiEs motrices organiques^et hystériques, par. Freud, 29;,ma-
? 1 D : Írskewitsch, 'et «' Tichonow,1 482. Influence/de la- vaso motrice ''sur' le ' développe- '^ ment'de l'inflammatio
oelle, par Betchrew,'479.v ? Sympathique, de' l'influence vaso- motrice du -cervical, par Cavaz- zani, 396 ? , ' l 1 i
47 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
ou deux. Ce n'est alors qu'un phénomène post- convulsif, un trouble moteur passager qui n'attire pas toujours l'atten- tio
pareil cas, s'il est quelque peu accentué, il constitue un trouble moteur impor- tant, un symptôme marquant et tenace pre
res inférieurs ne laissaient rien à désirer. Tels sont les troubles moteurs que nous avons vu se développer à plusieurs rep
ire qu'a décrit M. P. Marie. C'est précisément parce que ce trouble moteur (dérobement de jambes) se voit communément chez
ersistent bien longtemps encore après la dispa- rition des troubles moteurs . Telles sont les réflexions que nous inspire l'
atatonie. Nous n'avons plus qu'à y ajouter toutefois les phénomènes moteurs caractéristiques, soit sous forme de convulsions
aladie, particulièrement les douleurs fulgurantes, l'incoordination motrice , les troubles génito-urinaires, sans qu'il y ait
ois organes : cellule ganglionnaire des cornes anté- rieures, fibre motrice , fibre musculaire ». Mais il est d'avis aussi « q
). 144 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. d'une impuissance motrice très accentuée, tandis que .le triceps fonc- ti
facial et du releveur de la paupière supérieure innervé par le nerf moteur oculaire commun n'est pas encore élucidé. Dans le
ion a été expliquée par l'hypothèse d'anastomoses centrales du nerf moteur oculaire commun avec la branche motrice du trij
nastomoses centrales du nerf moteur oculaire commun avec la branche motrice du trijumeau ou avec le facial; mais sa cause r
e période avancée et même quel- quefois jusqu'à la finales troubles moteurs qui'ilsi présentent sont sur- tout de forme ata
gtemps à peu 'près normal. Cette intégrité relative de-la puissance motrice se retrouve à la langue. Sur huit des paralyt
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) Dans sa dernière leço
upe des altérations nucléaires systématiques et montrant la colonne motrice adultérée en un ou plusieurs points de son éten
les recherches de Meynert, Huguenin, Forel etMathias Duval, que le moteur oculaire commun prend naissance dans une m. 13
re droite, diplopie, ptosis, paralysie complète de tous les muscles moteurs de l'oeil; lorsque Moebius l'examina, il constata
é d'une ophthalmo- plégie externe par lésion périphérique des nerfs moteurs . Cette fois l'examen du système nerveux central
série de coupes soigneusement colorées, et que, ni dans les centres moteurs , ni dans les fibres radiculaires des nerfs de l'o
ce d'une névrite multiple des mieux caractérisées. Les nerfs oculo- moteur commun, oculo-moteur externe, pathétique, étaient
ment non; la lésion nucléaire peut frapper en même temps la colonne motrice tout entière de l'oculo-moteur. Nous aurons du
mémoire sur l'ophthal- moplégie externe et les paralysies des nerfs moteurs bulbaires dans leur rapport avec le goitre exop
rieure avec ébauche de paralysie bulbaire inférieure. - Le noyau du moteur oculaire commun représente la partie terminale
s'impose en face des cas complexes intéressant à la fois les noyaux moteurs de la moelle et ceux de la région bulbo-protubéra
. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux moteurs , les noyaux sensitifs étant respec- tés, tout c
-dire l'expression d'une altération systématique limitée aux noyaux moteurs de l'une ou de l'autre région. Les observations q
eurs peuvent seuls être atteints, dans bon nombre de cas la colonne motrice est affectée systématiquement sur tout ou parti
nditions l'oeil parvient, comme dans le stra- o 1. Blanc, Le Nerf moteur oculaire commun et ses paralysies. Thèse de Paris
es en face d'une paralysie qui a frappé à la fois toutes les paires motrices des deux yeux, à savoir les 3', 4- et 6-. C'est m
e d'or des hôpitaux. 1. Gayet, Paralysie totale de tous les muscles moteurs des deux yeux, sauf des élévateurs des paupière
froide, et où la malade a constamment l'onglée. Ces troubles vaso- moteurs , oedème des pieds et de la main gauche, alternati
. Les circonvolutions,- celles du lobule paracentral et des centres moteurs en particulier, n'offrent aucune modification a
llules basophyles dans les mêmes endroits. Les plaques terminales motrices sont atrophiées, et ne sont plus représentées q
il monte et descend l'escalier avec difficulté. Pas d'incoordination motrice des membres supérieurs. 11 a beaucoup de peine
tient beaucoup plus aux troubles de le sensibilité qu'aux désordres moteurs , non appréciables. Il peut se tenir debout le
e des maladies du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE DU MOTEUR OCULAIRE EXTERNE ET DU FACIAL AVEC ATTEINTE DE
bérantiel, situé sur le trajet des fibres d'origine du facial et du moteur oculaire externe, du côté droit. ^ i Mais cette
un dans la moitié droite de la protubérance, l'autre dans la région motrice corticale ou sous-corticale du côté gauche. Nous
esquels on ne peut déceler d'altérations fondamentales de la région motrice de la moelle. Il ne serait donc pas légitime de
nes; cellules ganglionnaires des cornes antérieures, fibre nerveuse motrice , fibre musculaire. Cependant l'arc neuro-muscul
ellules ganglionnaires des cornes antérieures, de la fibre nerveuse motrice et de la fibre musculaire, mais encore et surto
On peut se représenter que certaines portions des centres psycho- moteurs exercent une influence régulatrice analogue sur l
relatées. Rappelons, à cet égard, que des désordres psychiques et moteurs sont mentionnés dans tous ces cas, où ils se sont
t celle d'une lésion de l'arc neuro-musculaire (cellules cérébrales motrices , cellules ganglion- naires de la moelle, nerfs
cérébrales motrices, cellules ganglion- naires de la moelle, nerfs moteurs , muscles), par un agent pathogène se localisant
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite 1) L'évoluti
santes. Progressant en sens inverse, elles gagnent l'une les noyaux moteurs du bulbe, l'autre les noyaux de la protubérance
vec glycosurie et polyurie : la lésion peut donc frapper la colonne motrice bulbo-protubérantielle en des points différents,
urs après l'accident, l'auteur cons- tate une paralysie complète du moteur externe gauche sans autre lésion oculaire; gran
eures. Présentement, celle malade offre une paralysie bilatérale du moteur oculaire commun, et du 1. Roscntbal, Ueber llii
IE DE LA SALPÈTRIÈRE. côté gauche une paralysie presque complète du moteur oculaire externe et du pathétique. En revanche,
e du crâne. On ne peut admettre que les nerfs ciliaires viennent du moteur oculaire externe, puisque, à gauche, on constat
t par la partie supérieure soit par la partie infé- rieure du champ moteur du 4e ventricule. Paralysie bulbaire totale à d
que, oculo-moteur, trochléaire, abducens, facial, glosso-pharyngien moteur (douteux), vague moteur, vague accessoire. L'af
léaire, abducens, facial, glosso-pharyngien moteur (douteux), vague moteur , vague accessoire. L'affection commença par la
ergent. M. Peter, consulté à cette époque, constate la paralysie du moteur oculaire commun du côté droit. Traitement : iod
noyau de la 10e paire,, la lésion monte les échelons de la colonne motrice , saute parfois l'un deux, quitte à le reprendre
t aux cellules ganglionnaires inférieures du facial et à la portion motrice du trijumeau. Les noyaux situés latéralement et
tème nerveux que Hérard a vu deux fois une paralysie unilatérale du moteur oculaire commun apparaître au cours d'une paral
XXIV. - Paralysie labio-glosso-laryngée compliquée de paralysie du moteur oculaire commun chez une femme d'une trentaine d'
cas il s'agit d'une même affection systématique frappant les noyaux moteurs du quatrième ventricule. On peut en dire autant
s celles qui suivent impliquent forcément une altération des noyaux moteurs du bulbe supérieur et des cellules des cornes a
llules des cornes antérieures de la moelle. La lésion de la colonne motrice est en effet la seule qui puisse expliquer l'en
Morvan (Deux cas de maladie de -), par G. Guinon et A. Dutil, 1. Moteur oculaire externe (Note sur un cas de paralysie
48 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s rejetons semblables à ceux du même réseau des cellules spinales motrices ou des cellules corticales pyramidales; pourtant
e, etc. G. DENY. V. Recherches expérimentales sur les localisations motrices spi- nales ; par le professeur 111anIESCO. L'
suit le cours de ses intéressantes recherches sur les localisations motrices spinales, par l'étude du radial dont le noyau e
desservent. Il y aurait là une preuve en faveur de la localisation motrice segmentaire soutenue par Van Gehuchten (Revue n
rencontrent pas de stimulus contraires, sous l'influence d'une idée motrice toute pas- sagère, à demi consciente, qui demeu
téressant travail dans lès con- clusions suivantes : 1° Les aires motrice et sensorielle connues de l'écorce cérébrale ne
3° Il existe dans l'épaisseur de la couche corticale des centres moteurs et des centres sensoriels, séparés; mais ils sont
uns avec les autres les plus inti- mes connexions ; 4° Les aires motrice et sensorielle ont les unes et les autres des f
ication générale et réciproque entre tous les élément sensoriels et moteurs de l'écorce, il existe une connexion des plus i
manière la plus satisfaisante la majorité des phénomènes sensitivo- moteurs tant dans les expérimentations physiologiques que
t des mains, exagération légère des réflexes rotuliens, incertitude motrice dans l'obscurité) ; des signes de la maladie de
se est susceptible de créer'une des formes quelconques de l'aphasie motrice ou de l'aphasie sensorielle. L'auteur rapport
e membres. L'intelligence était intacte, il n'y avait aucun trouble moteur de la face, pas d'épilepsie, pas de troubles de
culaire associée à une hémiplégie alterne sensitive, à des troubles moteurs consistant non dans la perte de la force segmen
t une aptitude particulière à prendre très rapidement des habitudes motrices . Chez eux, tous les caractères des actes foncti
une méthode de traitement qui a pour but la correction des troubles moteurs . Elle tend à suppri- mer les actes automatiques
obli- gés de répéter continuellement certains autres. Les obsédés moteurs en bénéficient largement. La discipline psycho-mo
e, comme toutes les éducations, sur la répétition des mêmes actes moteurs ; mais elle exige aussi la répétition des efforts
mode de traitement. Recherches expérimentales sur les localisations motrices spinales; par AIM. E. Brissaud et A. BAUER. D
. E. Brissaud et A. BAUER. Depuis quelques années les localisations motrices spinales ont été mises à l'ordre du jour par un
urs ne s'excluent pas toutes, se sont fait jour : les localisations motrices médullaires sont pour les uns musculaires (Nano
nsistent en une dégéné- ration assez spéciales des grandes cellules motrices ; il s'agit dans la grande majorité des cas d'u
eul, peut rester fort longtemps comme dernier vestige de la cellule motrice . ' 7° Ces altérations de la corne antérieure n'
rations occupent successive- ment, de bas en haut, toute la colonne motrice latérale, sur une très petite étendue, puis sa
nt de bas en haut d'abord' 86 SOCIÉTÉS SAVANTES. toute la colonne motrice latérale sur une hauteur un peu plus étendue qu
rations s'élèvent jusque vers VIII; elles occupent toute la colonne motrice latérale jusque vers le milieu du segment compr
directement en l'aggravant, l'évolution des phénomènes sen- silifs, moteurs ou trophiques. VII. Le mensonge chez la femme h
onstater, au cours de la paralysie générale, des crises d'agitation motrice de plus ou moins longue durée, et précé- dant s
ivantes. Il s'agit d'épileptiques de tout âge affectés de symptômes moteurs , psychosensoriels et psychiques dont on a suivi
sujets affectés d'épilepsie depuis 10 à 20 ans. On vit les troubles moteurs , psychiques et sensoriels s'améliorer ou dis- p
tés permettent seulement de la diviser en : dys- phagie amyotaxique motrice , caractérisée par de la paresse de l'acte de la
normaux, pas de troubles tro- phiquesni vaso-moteurs, aucun trouble moteur dans le domaine des muscles innervés par les fa
s sensitives font défaut. Il s'agit d'une affection essentiellement motrice : ptosis, paralysie des muscles de l'oeil, trou
n trau- matique n'ait primitivement intéressé aucun point de l'aire motrice . Il. de Musgravë-Clvy. XXVIII. Les formes sil
gré, le première étant plus violente et raccom- pagnant de troubles moteurs généralisés, mais de nature noncon- vulsive,la
ive,la seconde tou,jourscalme, peu gênante, dépourvue de trou- bles moteurs , mais aboutissanttout aussi sûrement que lapremiè
99), en ce qui concerne les grandes cellules pyramidales de la zone motrice . La nouvelle observation de M. Ballet montre qu
ostique, surtout à gauche. A trente-six ans, extension des troubles moteurs aux membres intérieurs, entraînant de la dysbas
xaminer, au seul point de vue de leur pathogénie, certains troubles moteurs qui font partie du syndrome catanonique : je ve
use. SOCIÉTÉS savantes. 223 Tous ces phénomènes d'extériorisation motrice doiventêtre rap- prochés, à mon avis, des tics
céré- bral. Chez deux catégories de sujets, en effet, ces troubles moteurs revêtent les mêmes caractères : ils sont exécut
s des catatoniques. 1 Il est un autre ordre de phénomènes également moteurs , qui pour inconstants qu'ils soient dans la dém
dans ces cas. 0 M. Meige (de Paris). Les anomalies de la fonction motrice signalées dans les états catatoniques revêtent
d'échokinésie ou d'écho- praxie. Ces deux troubles de la fonction motrice existent aussi, à des degrés variables, dans di
on peut y voir la preuve de l'existence d'un trouble de la fonction motrice . Et cette inaptitude au relâchement musculaire
début sont par- fois assez divers. Ainsi, les délires, les troubles moteurs corticaux et bulbaires, les localisations spina
premiers, car il est impos- sible de concevoir un trouble sensitif, moteur ou psychique, sur- venant en dehors de toute al
ryngées, par perturbation des réflexes glottiques, et des fonctions motrices respiratoires : tes troubles de la miction et de
ins ; 10 le trouble vasculaire est la cause immédiate des désordres moteurs ; 2° les désordres moteurs ont déterminé le trou
aire est la cause immédiate des désordres moteurs; 2° les désordres moteurs ont déterminé le trouble vasculaire ; 3° les de
'acrocyanose est d'origine corticale au même titre que les troubles moteurs . La physiologie enseigne en 264 SOCIÉTÉS savant
vulsif, les lèvres sont encore l'occasion et le siège d'habi- tudes motrices intempestives dont la plus fréquente est la cheil
i en partent, et dont cha- cune peut être l'occasion d'une réaction motrice . Chacun de ces mouvements, provoquant à son tou
es; 2 Pour des réactions réflexes : directement, par action vaso- motrice sur les centres nerveux, action réflexe démontrée
t, se traduit surtout par de l'agitation sans but et des phénomènes moteurs chorée, tics, etc., et aussi par des troubles d
me nerveux et traduit l'action de l'infection sur les centres vaso- moteurs , qu'elle se fasse sentir dans les ganglions du sy
départ de la vaso-paralysie est dans l'écorce au niveau des centres moteurs des membres. La physiologie n'y contredit pas ;
a physiologie n'y contredit pas ; on sait, en effet, queles centres moteurs des membres sont susceptibles d'influencer la cir
de chez laquelle un oedème transitoire avait précédé la para- lysie motrice des deux bras. M. Annaux ne croyait pas qu'on p
aux : l'aboulie et l'émotion. Le bégaiement est mental avant d'être moteur . Le seul traitement rationnel de ces états de c
; les halluci- nations terrifiantes peuvent provoquer des réactions motrices d'une violence extrême aussi bien que la stupeu
dernière évidence, en rapport avec les troubles de l'innervation motrice et sensorielle ; et nous l'avons pu constater, en
s de leur emploi sont trop certains elles cas de mort avec troubles moteurs , respiratoires et cardiaques, avec hémato-porph
e. Ils donneraient de meilleurs résultais dans les cas. d'agitation motrice (on est en droit, en effet, de leur attribuer une
SOCIÉTÉS SAVANTES. 32 5 action presque spécifique sur le système moteur , évidente surtout dans les intoxications), de m
ent ce but. D'autre part, son action bien spécifique sur le système moteur l'a fait employer dans la paralysie agitante où
e contestée. L'origine réelle et le trajet intra-cérébral des nerfs moteurs établis par la méthode de la dégénérescence wal
ous avons établi antérieurement : c'est que l'arrachement d'un nerf moteur est suivi, au bout de vingt-cinq à trente-cinq
suffit d'ar- racher, sur le lapin par exemple, n'importe quel nerf moteur spi- nal ou crânien, de laisser survivre l'anim
iqué cette méthode à l'étude des nerfs spinaux et de tous les nerfs moteurs crâniens, à l'exception du trijumeau et du glos
faisceau longitudinal postérieur. Nerf pneumogastrique. Les fibres motrices du nerf pneumo- gastrique sont toutes des fibre
ne provient du côté opposé. Nous pouvons en conclure que les fibres motrices continues dans les nerfs correspondants, sont e
l'ensemble de nos recherches se dégage cette conclusion : les nerfs moteurs périphériques sont tous formés de fibres exclus
ée quelconque. Il y a identité absolue entre ces symptômes d'oi dre moteur et l'au- tomatisme (gesticulations, tics, négat
e la catalonie. Il pense que l'intervention corticale sur les actes moteurs peut se vérifier en quelque sorte chez les être
hypnagogiques puis des rêves se déroulent, avec ou sans phénomènes moteurs et soutenir plus ou moins vif au réveil. II.
ourds et que l'examen fait constater chez tous deux une impuissance motrice très nette de la langue, des lèvres et du voile
de même que dans les cas de pression d'un méningite exudativesurles moteurs oculaires (chez les enfants), Fig. 29. 398 TH
sitive du trijumeau; la branche centrifuge en occuperait la portion motrice . Le centre réflexe réside problablement dans le
rtion motrice. Le centre réflexe réside problablement dans le noyau moteur de la cinquième paire. il est curieux de noter
e- ments volontaires comme à la mimique. fntrégrité de la branche motrice du trijumeau. Déviation de la langue à gauche : e
incipal est un peu atteint; évidemment il s'agit de quelques fibres motrices mélangées à cet organe (iloclie). Dégénérescenc
ieur et à l'hypoglosse expli- quée par la conservation de la racine motrice de la cinquième paire, REVUE D' ANATOMIE ET DE
eurs vasomoteurs, l'écorce donne naissance à des trac- tus purement moteurs de l'organe. 8° Les corps striés exercent une i
s exercent sur la rate une double influence vasomotrice et purement motrice .- 10° Dans la profondeur du tiers antérieurde l
est attaché plus particulièrement à l'étude des sym- ptômes d'ordre moteur si remarquables dans la forme catatonique de la
absolue de relation entre le caractère du délire et les phénomènes moteurs , M. Masoin insiste sur les analogies qui existe
ts chez les idiots et conclut à l'identité absolue de ces symptômes moteurs avec l'automatisme de l'idiot. ' Analyses des n
e sans manifestation délirante, évolue sans fracas, sans phénomènes moteurs bien accusés et qui n'aboutit pas à un état dém
en tant que gymnastique rationnelle, pour raviver dans les centres moteurs corticaux, la représentation des mouvements que
nous concevons très bien les causes qui déter- minent la paralysie motrice du côté correspondant à la sec- tion, tous les
tous les physiologistes étant d'accord pour affirmer que les libres motrices restent pour la plus grande partie du même côté
dégénéré au-dessous de sa section, ce qui explique la mono- plégie motrice directe et l'exagération des réflexes allant ju
à l'origine du monologue des phénomènes de même ordre de caractère moteur , halluci- nations verbales motrices et surtout
omènes de même ordre de caractère moteur, halluci- nations verbales motrices et surtout impulsions verbales. 4 Tel est le
re mis de la même façon sur la piste, d'hallucinations auditives ou motrices verbales, d'impulsions verbales, de troubles sp
oeil. 2° Les muscles oculo-moteurs participent à l'incoordination motrice , tout comme les autres muscles du corps. L'ataxiq
les oculo-moteurs qu'aux mus- cles des membres, et l'incoordination motrice est un symptôme de toute la musculature. 3° C
onvulsif, les lèvres sont encore l'occasion et le siège d'habitudes motrices intempestives dont la plus fréquente est la ché
qui en partent, et dont chacune peut être l'occasion d'une réaction motrice . Chacun de ces mouve- ments provoquant à son to
si très exactement toute l'étendue des noyaux d'ori- gine des nerfs moteurs du tronc et des membres. Ces noyaux sont échelo
tincte; les nerfs du tronc ont leur origine dans la colonne interne motrice et les nerfs des membres dans la colonne latéra
la moelle lombaire et dans la moelle cervicale; la colonne latérale motrice , depuis le deuxième ou troisième segment sacré
avec le noyau du nerf spinal; la colonne interne 538 NÉCROLOGIE. motrice , apparaissant dès le quatrième segment sacré et p
l a été un symp- toute très accusé, par Cowen, 442. Localisations motrices spinales. 850 TABLE DES MATIÈRES. Hechoches c
Muscles -Voir Excitabilité. Défaut de coordination des ocn'.o- moteurs chez les ataxiques, par Miralbé et Desclaux, 5-
t Goldsletu, 5S L'origine réelle et le trajet intra- cérébral des moteurs établis par la méthode de la dégénéres- cence
49 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
s'ajoutent des troubles sphinctériens et des signes d'excita- tion motrice : spasmes toniques et cloniques ; puis la paralys
moelle, ce qui expli- que, disait-il, la prédominance des troubles moteurs sur les troubles sensitifs. Ces quelques cita
dou- leurs fulgurantes, etc. précédant ou accompagnant les troubles moteurs . Ceux-ci apparaissent de façon très variable :
profession de graveur, qu'il exerçait jusque-là, pour des troubles moteurs progressifs apparus 3 ans avant dans les membres
mme dans la tuberculose des autres segments du rachis, les troubles moteurs et les modifications objectives de la sensibili
ons avec autopsie. Plus tard, aux douleurs, s'ajoutent des troubles moteurs et, d'une façon moins constante, des troubles o
e surtout l'attention du malade et du médecin, ce sont les troubles moteurs , qui se présentent sous l'un des quatre aspects s
si- tive en raison de la prédominance des douleurs sur les troubles moteurs . Notons que, chez ces quatre malades, l'examen
avec intégrité habituelle des supérieurs, le fait que les troubles moteurs ne prédominent pas nettement aux extrémités, comm
s objectifs de la sensibilité sont moins fréquents que les troubles moteurs : Les troubles sphinctériens sont variables : r
phale, il en est'd'autres que l'écorce cérébrale enverrait aux noyaux moteurs des régions inférieures du névraxe. Ainsi serai
ient dans le deux sens, ce faisceau représenterait une seconde voie motrice . ' -1 , 1 il ' 1 , ' , Niessl-ll9ayendo·/' (2),
e lasse elle vient à la Salpêtrière en juillet 1905. Les troubles moteurs présentés par cette malade consistent tout d'abor
culeuses latentes (1). Reste à élucider la pathogénie des accidents moteurs , les troubles de la marche, la spasmodicité car
-il d'une lésion cérébrale, ou au contraire d'une lésion de la voie motrice médullaire ? on conçoit que ces deux hypothèses
à gauche, réflexe plantaire en flexion des deux côtés, paralysie du moteur oculaire externe gauche. 1 Ramollissement des p
n'ai ja- mais admis à priori la résistance supérieure de la racine motrice , mais je l'ai déduite à posteriori,en voyant ce
e épreuve. J'ai pu montrer en outre que cette résistance des fibres motrices est loin d'être égale dans tous les cas, et qu'
relation proportionnelle qui existe entre la destruction des fibres motrices et celle des fibres sensitives varie tellement
ibres sensitives varie tellement que, dans certains cas, les fibres motrices paraissent com- plètement intactes, tandis que
trophiques.De plus, l'extension en hauteur de la lésion radiculaire motrice , extension qui se rencontre dans tous les cas a
nombreux qu'à l'état normal, surtout dans les régions frontales et motrices . Une deuxième forme d'altération est représenté
fert (fig. 2) ; que, malgré cette déformation notable, les troubles moteurs des yeux n'aient pas été plus graves. FIG. 2.
avec rétractions sont plus avancés en âge que ceux dont l'impotence motrice a pour cause une altération du système nerveux.
e, puis l'alitement devient nécessaire du fait de l'affaiblissement moteur qui marche de pair avec l'amyotrophie. La flexi
chées que le diagnostic prête à des hésitations. L'affaiblissement moteur qui frappe les membres inférieurs du vieil- lar
lus souvent les symptômes révélateurs d'une dégénération de la voie motrice , enfin des troubles sphinctériens, un léger début
thode de Nissl nous nous sommes assurés de l'intégrité des cellules motrices des cornes antérieures, chargées seulement de gra
s troncs mixtes. Sans doute la présence d'un grand nombre de fibres motrices dans les troncs mixtes doit faire paraître les au
supérieur, du faisceau longitudinal postérieur, de la petite racine motrice descendante du trijumeau, de l'entrecroisement
loncitu : dinal postérieur, sauf quelques fibres. La petite racine motrice descendante du trijumeau est conservée de même
bulbe et des noyaux de la XlIe paire.Au niveau de l'entrecroisement moteur n'existe pas une seule fibre colorable avec le
as du même côté. Plus tard,paralysie de la jambe gauche et troubles moteurs qu'on considère comme de l'ataxie. Exagération de
ouillaud (1) ; il rapporte l'histoire d'un malade atteint d'aphasie motrice avec conservation relative du chant : le sujet po
es mouvements né- cessaires avec l'instrument ; de même l'aphasique moteur conserve l'idéa- tion et la faculté d'entendre
chait sur les brisées de Charcot. Son malade présentait une aphasie motrice et une cécité verbale ; mais ce qui appelait pr
lques faits, dit-il, démontrent la réelle indépen- dance des images motrices des mouvements du larynx et du thorax desti- né
és à la production des sons musicaux. Il y a, en effet, une aphasie motrice pour la musique, comme il y en a une pour les par
musical. Cet auteur distingue six formes cliniques : 1° L'amusie motrice (ou aphémie musicale) : le malade comprend la m
téra- . , Amzcsie naotrice véritable (im- tions du langage / Amusie motrice véritable (im- tions du langage \ possibilité d
possibilité de chanter), musical). - \ MtMne mMSîca ('1 ne peut ' Motrice . ) Amimie musicale (il ne peut Motrice. { ] pas
MtMne mMSîca ('1 ne peut ' Motrice. ) Amimie musicale (il ne peut Motrice . { ] pas jouer d'un instrument). pas jouer un i
er chantait, jouait du piano de mémoire (elle n'a vait pas d'amusie motrice ), elle appréciait très bien la musique entendue
d'une altération variable des facultés musicales. Dans l' amusie motrice vraie ou aphémie musicale - le sujet a perdu la
par contre et cela prouve l'autonomie relative du centre des images motrices du lan- gage musical que beaucoup d'aphasiques,
a) nous avons . pu personnellement observer plusieurs cas d'aphasie motrice avec per- sistance de l'aptitude pour le chant
d, Limbeck, Finkelbourg, Opphenheim). z Par contre, dans l'amusie motrice les sujets conservent la parole arti- culée, ma
x les nuances de sa pensée. Mais en règle générale chez l'aphasique moteur cortical l'intonation est altérée et le malade pe
. Dans les agraphies verbales associées à d'autres formes d'aphasie motrice qui sont fréquentes l'agraphie musicale coexist
tude comme complication courante. L'aphémie instrumentale (amimie motrice instrumentale) est la perte de l'exécution inst
nait pas les sons de l'orchestre qui l'accompagnait), et la mémoire motrice instrumentale (il était incapable de jouer), sans
centre différencié pour le langage musi- cal : le centre des images motrices du chant. Il admet donc, que les amusies peuven
trouvent interrom- pus. . A. 1° Suppression du centre des images motrices du chant (Erinne- rungsbilder Gesangbewegung).
t. la possibilité de copier. , 4° Suppression des représentations motrices graphiques. Ce qui déter- mine l'impossibilité
le centre des représen- tations graphiques et les noyaux des nerfs moteurs destinés à l'écriture. Elle détermine l'agraphi
Interruption des communications entre le centre des représentations motrices et le noyau moteur des nerfs qui fonctionnent pou
unications entre le centre des représentations motrices et le noyau moteur des nerfs qui fonctionnent pour l'émission de l
entre le centre des images du son et le centre des représentations motrices du chant. Perte du chant volontaire et de la ré
Interruption des communications entre le centre de représentations motrices des paroles et le centre des images du chant. Ell
eurs éléments sensoriels (auditifs et visuels) ou de leurs éléments moteurs (oral, écrit et mimique), la corrélation est visi
de l'écorce cérébrale de nature syphilitique. C'était un aphasique moteur (impossibilité de parler et d'écrire), sans aph
erturbations correspondantes à celles du langage ordinaire : amusie motrice complète (impossibilité de chanter et de pincer
ique, mais il conserve la lecture ordinaire). C'est donc une amusie motrice apparemment complète. Cepen- dant nous avons pu
ade était un argentin issu de parents italiens). Cette dissociation motrice du langage musical n'a jamais été décrite. Les
systématique se spécialise en un centre fonc- tionnel ; les images motrices des mouvements musculaires nécessaires pour sif
e différen- cié des autres modes fonctionnels du centre d'exécution motrice ; il équi- vaut au centre de phonation,à celui
er, par l'as- sociation systématique, comme tous les autres centres moteurs du langage. 2° Les hypermusies sont des exagéra
musicale, , de réception. ] A, r / Alexie musi- cale. Amusie motrice Amusies ou vraie ou aphémie aphasies musical
e Amusies ou vraie ou aphémie aphasies musical musicale. - les. Motrice T I Agraphie musi- Motriceoudex-1 i . otrlce
ans l'hémipont droit et a dé- truit presque entièrement le faisceau moteur de droite et le septum mé- dian, mais s'est à v
euse : c'est là ce qui reste de la plus grande partie des faisceaux moteurs . Nulle part le foyer hémorrhagique n'est en rap
mipont droit, intéressant surtout la partie postérieure du faisceau moteur , laissant libre plus de sa moitié antérieure. L
a plus que à 6 6 millimètres. A cet endroit d'ailleurs, le faisceau moteur cesse d'être intéressé, la lésion lui est immédia
la grosseur de la pulpe de l'index. Pas de troubles intellectuels, moteurs ou sensitifs. PI. LX. n° 3. Double hernie céréb
ètres de longueur et de 2 centimètres de hauteur. Pas de troubles moteurs , sensitifs ou intellectuels. . PI. LXI. n° 5. D
oration au picro-carmin, et dissociation à l'ai- guille. a) Nerfs moteurs : Nerf intra-mitsculaire du jumeau externe gauche
oelle, et qu'il s'agit bien là d'une affection primitive du neurone moteur périphérique, très analogue sinon semblable, à
me jacksonienne, la rareté des vertiges épileptiques, les symptômes moteurs et sensoriels, les lésions du fond de l'oeil per-
xamen histologique. L'examen a porté sur la tumeur, sur les régions motrices droite et gauche, sur le bulbe. Les méthodes empl
éressant de constater qu'une tumeur localisée en dehors des zo- nes motrices a donné lieu à de l'épilepsie et à un état de stu
int de vue de l'atro- phie musculaire des membres, l'incoordination motrice augmenta légèrement. Le facies toutefois se mod
es ont dû débuter : elles ont suivi en quelque sorte pour les nerfs moteurs une marche ascendante. Racines postérieures. Ri
ns les nerfs sensitifs les mêmes considérations que pour les nerfs, moteurs ; les lésions paraissent d'autant plus jeunes q
é par M. Rouffinet, ne présente pas d'altérations. L'incoordination motrice a aug- menté, et, si elle est diffficile à appr
e dans la famille qu'il a observée l'ataxie fait défaut; le trouble moteur serait très analogue à celui de la sclérose en pl
ire type Charcot-Marie comme une névrite in- terstitielle des nerfs moteurs avec dégénération ascendante, d'une lésion semb
uses dans les membres inférieurs, qui s'affaiblissent. Les troubles moteurs progressent, tandis que les douleurs diminuent.
le part revient aux lésions des racines et aux lésions des cellules motrices dans la patho- génie des troubles moteurs des m
aux lésions des cellules motrices dans la patho- génie des troubles moteurs des membres supérieurs (atrophie musculaire, da
538 1 ALQUIER de comprendre en partie, la multiplicité des troubles moteurs sensitifs et sphinctériens, et quelques-unes de
ation des fibres cérébelleuses et le mécanisme de quelques troubles moteurs . Au point de vue de la systématisation des fibr
cel- lules de Purkinje. Au point de vue du mécanisme des troubles moteurs , l'examen histolo- gique de ce cas atteste la v
. Il convient toutefois de faire remarquer que le trajet de la voie motrice et du ruban de Reil au niveau du pédoncule et d
(environ) du segment vertical de cette dernière. Ainsi que la voie motrice est recouverte de la couche superficielle des f
est en effet indispensable d'établir le parallèle entre le segment moteur périphérique et le segment extra-cérébral de la
fère de l'entrecroisement pyramidal qu'en appa- rence. Le neurone moteur périphérique comprend la cellule multipolaire de
ne, le nerf périphérique et ses terminaisons muscu- laires (plaques motrices ). Le faisceau pyramidal ne s'entrecroise qu'en ar
lité. C'est des cellules du type inférieur que naissent les racines motrices dont l'ensemble représente, pour ainsi dire, le
s motrices dont l'ensemble représente, pour ainsi dire, le faisceau moteur périphérique ou trophique. Nous savons cependan
ins. Ainsi, cet équivalent (il s'agit d'une comparaison) du neurone moteur périphérique est représenté par la rétine et le n
emble réunir au point de vue de l'origine du premier neurone, le type moteur (centre cortical) et le type sensitif (ganglion
de vue pratique ne pourrait-on pas considérer que l'entrecroisement moteur est lui-même extra-cérébral ? C'est-à-dire que
tinées à recevoir les ramifica- tions terminales de l'une des voies motrices . Mais cette écorce rétinienne étant sensorielle
les abordent donc les divers niveaux dans le même ordre que la voie motrice : rétine (écorce), capsule interne (entre le corp
e vestibulaire, etc., et posséderait vraisemblablement un caractère moteur . Le contingent rétino-quadrigéminal correspond
son mécanisme fonctionnel. Il est tout à fait comparable au centre moteur cortical. Cette manière de voir peut paraître é
o-corticales qui trans- mettent les impulsions sensitives à la zone motrice . Mais pour nous, ces fibres sont peu nombreuses
e, de même le corps genouillé externe est-il l'analogue de l'écorce motrice ; nous le répétons, il s'agit du mécanisme foncti
ntérieures de la moe ! le, qu'existe toute une suite de commissures motrices véritables. De la même façon, les corps genouil
u faisceau pyramidal croisé. Il suffit d'observer l'entrecroisement moteur en tenant le bulbe de façon à ce que la face ve
est qu'une rétine intra-cérébrale. Ainsi que l'ensemble des racines motrice , constituerait un faisceau plus volumineux que
sait pas de le sortir de l'hémisphère ou de lui donner un caractère moteur . C'est un faisceau sensoriel 88 LASALLE ARCHAMB
au niveau du pédoncule, des fibres corticales destinées aux noyaux moteurs des nerfs crâniens et aux masses grises de la cal
de trajet, de volume et de disposition fasciculaire que le faisceau moteur . Il importe d'insister sur ce fait, que la conf
visuelle, voie sensorielle admise de tous, réunit les deux types : moteur et sensitif. Au point de vue morphologie, elle
lisé et dont le trajet intra-hémi- sphérique soit établi. La voie motrice est nettement démontrée et au niveau de l'hémisph
a-cérébral qui est de beau- coup mieux isolé que l'est soit la voie motrice , soit la voie sensitive au niveau du tronc encé
50 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
spasme facial et l'hypercrinie paroxystique), et que les symptômes moteurs observés faisaient supposer une lésion moins pr
rbide d'énergie dans un centre sensoriel, se décharge par la moitié motrice de l'arc réflexe, sans le concours des fibres, qu
e moitié de notre arc réflexe « double » et l'autre avec sa portion motrice , à laquelle s'adaptent les fibres centripètes d
le pas constituer à propre- ment parler un cas d'aphémie, d'aphasie motrice . L'aphémie est en effet la perle des images mot
émie, d'aphasie motrice. L'aphémie est en effet la perle des images motrices d'articulation (Bouillaud-Broca), autrement dit
dans le cas de mutisme de nais- sance il n'y a ni perte des images motrices , ni oubli des mouvements mais, bien plutôt abse
rices, ni oubli des mouvements mais, bien plutôt absence des images motrices et ignorance des mou- vements puisque l'enfant
symptômes parmi lesquels dominent la contracture et la paralysie motrice . Les faits démontrent qu'à l'heure actuelle il no
qu'on observe dans les cas de lésions en foyer de la zone psycho- motrice de l'écorce ou de la substance blanche sous-jacen
de Senator n'est qu'une exception et à la dégénérescence du neurone moteur inférieur, du neurone spino- musculaire seul to
pposé, soit de fibres d'association entre les noyaux des deux nerfs moteurs oculaires communs. Un exemple de synergie fon
noptose, de douleurs véritables, font penser à une dyspepsie nervo- motrice simple à comparer aux palpitations cardiaques neu
lisme. Chez ce malade se développèrent très rapidement des troubles moteurs du côté des yeux : un ptosis médiocre bilatéral
andry, dans la poliomyélite antérieure aiguë et dans la polynévrite motrice , c'est toujours le même organe qui est touché;
organe qui est touché; toutes trois sont des affections du neurone moteur péri- phérique. Si sur le terrain clinique il y
natomie patholo- gique, il est irrationnel d'opposer la polynévrite motrice à la poliomyélite antérieure ». L'importance
se trouve, la lésion sera toujours la même; altération du neurone moteur périphérique. Suivant l'intensité d'action de la
s isolés. La XIX" leçon est consacrée à une paralysie radi- culaire motrice du plexus brachial droit, et qui réalise l'associ
lite antérieure aiguë de l'adulte et de la polynévrite systématisée motrice . Cliniquement le diagnostic est possible, et il
ns franche; aussi dans un troisième; dans un quatrième les troubles moteurs seuls ont été atténués. La méthode n'influence
atténués. La méthode n'influence donc surtout que l'incoordination motrice ; malheureusement elle présente des contre-indi
tes Ho CLINIQUE NERVEUSE. dans les mollets. Il n'y a ni paralysie motrice , ni amyotro- phie ; mais seulement un peu de ra
plégie droite avec léger affaiblissement de l'intelligence, aphasie motrice , agraphie et cécité verbale. Autopsie, trente
onclu- sions suivantes : 1° Le lobe préfrontal contient les centres moteurs des yeux et de la tête du côté opposé et celui
entraînant la perte de l'activité psychique. 3° Il serait le centre moteur des muscles du dos et son haut développement est
ion des produits reçus ou fournis par les diverses zones sensitivo- motrices du cortex, et opère la synthèse de ce qu'on appel
l'extension de la tumeur ou de son in- fluence atrophique à la zone motrice ; 5° convulsions fréquentes mais de natures et
ces deux régions en apparence éloignées. Cependant les phénomènes moteurs sont également plus accusés et les phénomènes men
certitude de l'irritation d'un point toujours le même de la zone motrice , l'opération doit alors enlever non seulement l'a
Depuis les travaux de Hitzig et de Fritsch, la plupart des centres moteurs ont été topographiquement délimités sur l'écorce
aux mouvements des muscles du même côté ; 3° il n'y a pas de centre moteur des yeux dans le lobe frontal du chien; 4° la s
s restreintes. P. S. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. VIII. DE l'éducation motrice graduelle (Méthode de Fi-enhel) ET DE la RÉVULS
e, dans les cas de tabes avec ataxie, le traitement par l'éducation motrice est indiqué : on obtient toujours une amélio- r
1° Les états caractérisés par l'inhibition de l'activité sensitive, motrice et mentale, sans lésion organique importante, com
'est-à-dire de l'apport de l'impression périphé- rique aux cellules motrices . Si le tabes initial renseigne sur la première
ut distinguer trois éléments : les syndromes tabétiques (sensitifs, moteurs , trophiques, etc.), - l'ordre d'apparition de c
laire proprement dite. Enfin nous pouvons dire que l'incoordination motrice ne suit pas nécessairement la lésion des bandel
M. Merklen, ne présenta jamais la moindre ébauche d'incoordination motrice . Nous arrêterons là l'exposé de nos recherches
de la partie postérieure de la capsule interne atteindre les fibres motrices et sensitives du côté opposé. Encore pareille l
ace ni de l'oeil. Tout se bornait donc à une paralysie sensitive et motrice du trijumeau droit. Les troubles du goût observ
autres formes de l'agraphie, irréductibles, méritent les noms de : motrice ou sen- sorielle (optique ou acoustique) et peu
il peut, par suite, encore écrire, même spontané- ment ; le centre moteur de l'écriture n'est pas lésé. Voici un nouveau
s mois après l'accident que se pro- duit le complexus symptomatique moteur (affaiblissement des membres inférieurs - tremb
page en second lieu aux méninges : d'où les accidents convulsifs et moteurs , accès épileptiformes et paralytiques, dont le
ite. En même temps ou bientôt après fut notée une paralysie du nerf moteur oculaire externe du même côté. A l'examen, qui
s mou dans les trois cas par une lésion de la branche de la portion motrice du trijumeau. Discussion. - M. NATANSON cite de
e comme l'expres- sion extérieure d'un état neuroclonique des nerfs moteurs . Elle ne doit pas être regardée comme constitua
nie gauche qui s'accompagna, au bout de huit jours, de paralysie du moteur oculaire commun et du moteur oculaire externe d
bout de huit jours, de paralysie du moteur oculaire commun et du moteur oculaire externe du côté gauche; guérison au bout
du côté gauche; guérison au bout de quinze jours de la paralysie du moteur oculaire commun, persis- tance pendant huit moi
oculaire commun, persis- tance pendant huit mois de la paralysie du moteur oculaire externe ; pendant cette période, attén
ès, hémicranie droite et, consécutivement, paraly- sie partielle du moteur oculaire commun droit, puis, dix mois après, pa
hémicranie correspondante ; 4° La paralysie peut frapper le nerf moteur oculaire externe tout comme le nerf moteur ocul
sie peut frapper le nerf moteur oculaire externe tout comme le nerf moteur oculaire commun, mais il n'a pas encore été obs
e été observé de migraine ophtalmoplégique avec paralysie isolée du moteur oculaire externe. La paralysie du moteur oculaire
e avec paralysie isolée du moteur oculaire externe. La paralysie du moteur oculaire commun n'est pas invariablement totale
se trouve exclusivement dans les éléments cons- tituants de la voie motrice corlieo-médullaire, on observe encore un grand
erveau ; au début, il y a eu un gros foyer agissant sur les centres moteurs et sensoriels, ainsi que sur leurs voies d'asso
ainsi que sur leurs voies d'association dès la 3° frontale (centre moteur de la parole), la temporale supérieure (centre
impressions visuelles (centre optique) et le centre >ensoriel et moteur de la parole et le centre motear cyaphique. En
2° celles qui sont dues à une diminution de conductibilité desvoies motrices del'arc réflexe psychique ; 3° celles qu'entret
nsitivo-sensorielle (obsessions hallucina- toires) ; 3° à la sphère motrice (obsessions impulsives) ; 4° à la sphère psychi
ivre avec perte de substance et qu'il n'est pas besoin que la force motrice soit intéressée pour produire des accidents épi
Les auteurs lui attribuent une grande importance, car les trouhlls moteurs et mentaux s'expliquent bien par l'irritation des
verbales, elles sont quelque- fois combinées, auditives-verbales et motrices . Elles concernent des faits anciens ou des pers
es visuelles a été plus difficile que celui des images auditives ou motrices , et dans les essais faits pour provoquer le ret
la sensibilité cutanée, et probablement ils sont séparés des vaso- moteurs des artères.- Dans la discussion M. MooRaTOFF e
mes suivants : hémiplégie droite, légère aphasie, parésie des nerfs moteurs artériels et de l'hypoglosse droit, aneslhésie
7. Imprimerie L. Oela- roche et Cie. SANO (F.). Les localisations motrices dans la moelle louzbo-srrcrée. Brochure in-8° d
t d'innombrables incitations trans- mises à des groupes de neurones moteurs inférieurs, exécu- teurs aveugles des actes et
uissance ou le degré de différenciation fonctionnelle des appareils moteurs , la masse de l'animal est un autre facteur impo
t externes, avec la puissance et la diffé- renciation des appareils moteurs ; les faisceaux d'association sont l'expression
ouvoir parler ni comprendre ce qu'on lui disait. Cet état d'aphasie motrice et de surdité verbale persista et devint perman
l'idée impulsive. Bien qu'au fond de toute idée il y ait un élement moteur , et que les idées obsédantes soient de véritables
ecter une forme quelconque, être verbale ou commune, sensorielle ou motrice , atteindre aussi la sensibilité générale.' .'
tuels. 5. La présence d'hal- lucinations tant communes que verbales motrices ne constitue pas un fait caractéristique pour l
série, t. IV. 28 434 SOCIÉTÉS SAVANTES. que la section d'un nerf moteur ou sensitif amène une désinté- gration des élém
cte. Les lésions qui déterminent la section d'un nerf sensitif ou moteur sont très faciles à constater. Il suffit de coupe
e de la maladie nous y autorise, que chez notre malade les neurones moteurs périphériques étaient atteints rien qu'en leurs
rises doulou- reuses, des troubles des sphincters, des aggravations motrices , etc. A ces phases, cliniquement bien définies,
es, qu'on rencontre dans la dégénérescence rétrograde des faisceaux moteurs . L'atropie des cellules des cornes antérieures
ules des cornes antérieures résulte de la mor- bidité des faisceaux moteurs périphériques. La leptoméningite, qui provoque
M. A. Chauveau ; - Structure intime des libres terminales des nerfs moteurs des muscles striés des Am- phibiens ; par M. Ch
- phibiens ; par M. Charles Rouget ? Recherches sur l'innervation motrice et inhibitrice des muscles du poumon; par M. M. D
ce et inhibitrice des muscles du poumon; par M. M. Doyon; Influence motrice du grand sympathique sur l'intestin grêle par M
et L. Hallion ; Structure intime des plaques terminales des nerfs moteurs chez les vertébrés supérieurs; par M. Charles Rou
dier ; Note sur les procédés de recherche des plaques terminales motrices ; par M. Charles Rouget; Sur un nouveau procédé de
s centres nerveux; par MM. André Broca et Charles Richet; Influence motrice du grand sympathique et du nerf érecteur sacré
produit : de la blépharoptose ; un affaiblissement de la branche motrice de la cinquième paire; de la dysphagie ; un troub
i confirme cette manière de 'soir. P. RELLAY. XXXVI. Paralysie DU MOTEUR oculaire commun par névrite hémor- RIJAGIQUE ;
lo-moteur, intégrité du nerf lui-même. Or l'examen microscopique du moteur oculaire commun de l'oeil para- lysé montra des
il y a un nombre énorme d'observations dans lesquelles les troubles moteurs des extrémités supérieures et inférieures sont
sentiment en question a tellement exagéré l'innervation des centres moteurs que l'énergie nerveuse en excès a continué, plus
. CezlralLl., XV, 18cJ6.) Trois séries de symptômes : 1° Troubles moteurs ; atrophie et parésie des muscles de la cein- t
iie, de nystagmus, de ver- tiges violents, de troubles sensitifs et moteurs disposés en seg- ments ; on doit admettre par c
eunesse, semblent jouer un rôle important. On doit considérer comme moteurs étiologiques très importants l'ischémie progres
on cérébrale était bien limitée à un peint de la région des centres moteurs dans l'écorce cérébrale. Ces cas simples sont r
ilepsie jacksonienne accompagnait des lésions éloignées des centres moteurs ou de grosses lésions ne touchant que fort peu
moteurs ou de grosses lésions ne touchant que fort peu ces centres moteurs . Parmi les cas qui peuvent entraîner la con- vi
à cette circonvolution. Mieux connu, sans doute, est le territoire moteur toujours en relation avec le système muscu- lai
ont perdu successivement leurs facultés sensorielles sensitives et motrices en produisant fréquemment la paralysie, spastiq
finit : Névrose de la sensibilité tactile de l'estomac. La fonction motrice et sécrétoire de l'estomac peut y être altérée (a
ion à l'élude de la - asthé- nique, par Fa.Jerstzajn, ,ï01. - dit moteur oculaire commun, par Gibson et Turner, 502. - f
ies du système nerveux, par l3uccelli, 322. Tabès. De 1 éducation motrice et de 'la révulsion galvanique dans le- par '
51 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vue. Etat actuel : Ilubifus et état mental ; fonctions scazsilives, motrices , génitales, organiques. Euythrasma : carnc- tèr
tère d'un hystérique ou d'un épileptique. Fonctions sensitives et motrices . - 10 Odorat : R... reconnaît des deux narines
nés au niveau précis de la région excitée. {Phase d'ischémie vaso- motrice .) 2° Quelques instants après, apparition d'une
ans le service. Si l'hystérie semble favoriser les troubles vaso- moteurs de la peau et notamment la stéréographie 1 Huch
diques; 2° syn- drome de symptômes tabétoïdes; 3° symptômes vaso- moteurs ; 4° symptômes vésicaux; 5° symptômes rec- taux
r tous 28 CLINIQUE NERVEUSE. les cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie motrice et sensitive, rétention d'urines et de selles;
do picotements. Il n'y a nulle part la moindre trace de paralysie motrice . Pas de troubles myatrophiques, les muscles de so
rps étant même parfaitement bien conservés. Pas de troubles vaso- moteurs . Rien du côté de la vessie, -du ]ectum et des org
ervalle entre la décompression et l'invasion de l'accident. Aphasie motrice et surdité psychique, étourdissements. Au bout
xisté chez le malade de l'OBSERVITION XXV ont con- sisté en aphasie motrice et en surdité psychique ; le malade ne pouvait
ux diverses articulations; celle de l'OBSERVATION XXV par l'aphasie motrice , la surdité psychique et les étourdissements; c
ée cor- respondant à très peu de chose près à celle de la paralysie motrice . Parésie spastique au membre inférieur droit. T
ui correspondait, à très peu de chose près, à celle de la paralysie motrice . Rappelons enfin, cela mérite de fixer l'attent
. IEIt 1\' : 1L. VII. Contribution A l'étude DES lésions DE L\ zone motrice DU cerveau; par 1V. Koe.nig. (Arc/i. f. Psych.,
de la face, de la langue, des extrémités, avec analgésie et aphasie motrice , suivie d'affaiblissement pro- gressif des facu
antérieure en est actuellement principalement considérée comme non motrice . M. KcEt'pEN (de Strasbourg). De la chorée et d
ires qui, dans diverses parties du corps, concourent à une fonction motrice définie (synergie), et aussi, par celle de grou
e 17 pour 8 places. Les questions restées dans l'urne étaient : ÀV. moteur oculaire commun (a. et p.); Corps striés (a. et
ociée à la cécité verbale, jointe aussi à plus ou moins de troubles moteurs . L'histoire cli- nique de la malade dont je don
u la fonction cen- trifuge ; en d'autres termes, c'était un trouble moteur ou un trouble de transmission. Ross. - On Aph
nter d'hypothèses pfus ou moins probables. Ainsi, quoique la région motrice de la couche corticale ait été dessinée avec un
malades appartenant à cette forme, nous distinguons (a), l'aphasie motrice ; (6), la surdité verbale et (y), l'aphasie comp
), la surdité verbale et (y), l'aphasie complexe. , ' a). Aphasie MOTRICE .- Les trois observations qui suivent sont des c
MOTRICE.- Les trois observations qui suivent sont des cas d'aphasie motrice simple et pure dégagée de toute autre espèce de
édiatement après la décom- pression, à dix heures du matin, aphasie motrice . DftMS l'après- midi, commencement du retour de
e qu'il veut dire.- A onze heures du soir, disparition de l'aphasie motrice . Le 15 août, deuxième accident d'aphasie motric
ion de l'aphasie motrice. Le 15 août, deuxième accident d'aphasie motrice , d'une durée de deux heures, survenu à la premi
, pas de paralysie des extrémités. La durée totale de cette aphasie motrice a été de 13 heures à peu près. Depuis cette é
re la décompression et l'in- vasion de l'accident. Première aphasie motrice trois à quatre minutes de durée suivie d'un int
durée suivie d'un intervalle de six, sept minutes. Deuxième aphasie motrice quatre à cinq minutes de durée suivie aussi d'u
ie aussi d'un intervalle de six à sept minutes. Troisième aphasie motrice de la même durée, suivie d'un intervalle presque
n intervalle presque isochrone * aux deux autres. Quatrième aphasie motrice suivie cette fois-ci de guérison complète du ma
out ce qu'il écrivait. Or, nous étions là en présence d'une aphasie motrice (type Bouillaud-Broca). Par contre, chez l'ho
l qui s'est passé chez le malade de I'Observation XXXI. Son aphasie motrice survenant brusquement et d'une durée momentanée
té musculaire. On sait que si l'on presse mécaniquement sur un nerf moteur , tous les muscles desservis par ce nerf entrent
rganes des sens. Mais, comme Soltmann, il reconnaît que les centres moteurs se développent suivant un certain ordre : les c
s centres des muscles du dos. Chez le chien nouveau-né, les centres moteurs sont disposés autour du glyrus symoïdeus comme
z l'adulte. Seulement, tandis que chez le chien adulte, les centres moteurs sont bien cir- concrits et régissent chacun un
de phénomènes d'épilepsie, ni avant le dévelop- pement des centres moteurs , ni à l'âge de un mois et plus, alors que ce dé
e les masses grises de l'aqueduc de Sylvius et les noyaux des nerfs moteurs . Ses fibres s'entourent de myéline en même temp
des fibres commis- surales à long trajet, qui réunissent les noyaux moteurs des yeux-, et dégénèrent de bas en haut; 3° des
ais, tandis que la perte de la sensibilité persiste, la paralysie motrice disparait au bout de quelques semaines; la regéné
ion ne s'effectuant pas, il faut donc admettre que les impul- sions motrices arrivent aux deux côtés de la moelle par le seul
cobaye sain, paralyse les deux membres gauches. Donc les impulsions motrices , chez le co- baye, ne passent d'un côté à l'aut
ro- épithélium se produit tardivement. Les terminaisons des nerfs moteurs diffèrent peu de celles des nerfs sensitifs. La
erfs moteurs diffèrent peu de celles des nerfs sensitifs. La plaque motrice terminale est un produit de la différenciation
ance avec la forme simple des terminaisons des cellules ner- veuses motrices ; l'innervation de quelques-unes des cellules de
de la fonction des nerfs crâniens, ni îles viscère*. Les accidents moteurs na furont Archiaes, t. XVII. tU . 290 REVUE D
riphériques ( ? ), mais intégrité des troncs radiculaires des nerfs moteurs des yeux. Aucune autre lésion organique à l'app
ne spinale (paresthésies, phénomènes d'excita- tion et de paralysie motrices , accidents vaso-moteurs). Sur plus de trois cen
qui perdent une partie de leurs fibres dans les plans d'origine du moteur oculaire commun, citer des tractus qui, aplatis
On est d'après ces faits autorisé à distinguer, à côté de l'aphasie motrice (de Broca) de l'aphasie sensorielle de Wernicke
xiste depuis huit jours, en même temps que la plus grande agitation motrice . Les mouve- ments présentent d'ailleurs un cara
harcot et A. Pitres. Etude critique et clinique des localisa- tions motrices Paris, 1883, p. 3. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 35
centre relatif peut produire quelquefois, s'il s'agit d'un centre moteur par exemple, la parésie ou la paralysie du grou
itres. Elude critique el clinique de la doctrine des locah- sations motrices , p. M, ôo, 1., p. 20. 35H physiologie. 167 ob
née, avec la méthode qui l'a produite, la topographie des centres moteurs corticaux d'Exner, sont au moins d'accord avec
ent sans se confondre, bref, qu'il yaun certain nombre d'organes ^ moteurs isolables. Ils ajoutent, il est vrai, qu'en che
trefois amusé bien que personne n'ait jamais prétendu que le centre moteur du bras fût dans le gyrus angulaire, à réunir v
assembler une vingtaine de cas cliniques pour prouver que le centre moteur du bras siège dans le lobe frontal, etc. On peu
pellent, que Charcot et Pitres ont fondé leur doctrine des centres moteurs de l'écorce. « Pour déterminer la topographie d
moteurs de l'écorce. « Pour déterminer la topographie d'un centre, moteur cortical,... il vaut mieux rechercher et compar
scure; tout enfin conduirait à admettre que la perle dès. fonctions motrices volontaires n'a atteint le degré de paralysie o
Bref, la tentative d'édifier une doctrine physiologique des centres moteurs de l'écorce sur le critère des lésions minima s
lui-même dans sa classique descrip- tion' « la paralysie des nerfs moteurs (de )'oei))... peut même manquer ». Le champ
céphalalgie, autre symptôme céphalique assez fréquent; l'aphasie motrice de la forme aphasique ; une véritable crise men
de vingt minutes, le trouble du langage et dans l'espèce l'aphasie motrice , disparait pour faire place à des symp- tômes m
, vertige, mal de tête, douleurs aux lombes et à l'estomac, aphasie motrice , DES ACCIDENTS PAU L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 41
int trois fois et le second deux fois du même accident, d'aphasie motrice au cours de leur travail; le plus sou- vent, au
es d'abord, comme on a vu le froid frapper les éléments des plaques motrices de certaines régions dans un cas rapporté par M
encé par les centres psychiques. Plus tard, il a envahi les centres moteurs ' qui sont peu à peu, devenus incapables d'exté
ncre, un tremblement qui n'est que la réflexion avortée des centres moteurs malades. On ne saurait expliquer autrement un t
ontré par le défaut absolu d'automatisme spontané; 20 les centres moteurs , privés de cet excitant avec lequel ils sont en r
ais plus rarement, chez les hysté- riques, des troubles des muscles moteurs des paupières et du globe oculaire, d'une natur
nt des altérations dans les rameaux sensitifs que dans les branches motrices . Lorsque la névrite siège dans les nerfs mixtes
exclusivement soit sur les fibres sensitives, soit sur les fibres motrices (exemple : la lésion due au curare); la névrite
érieures de la moelle et des noyaux mo- teurs du bulbe, les centres moteurs des muscles seuls auraient été touchés et le ce
sensations cutanées. Il y a une identité complète, entre les zones motrices corticales sensitives et motrices. Quand il y a
dentité complète, entre les zones motrices corticales sensitives et motrices . Quand il y a anesthésie, on trouve une lésion
C.-K. Mills pense qu'il y a un grand nombre des lésions des centres moteurs corticaux sans anesthésie, 490 SOCIÉTÉS SAVANTE
oyer traitée avec succès par la trépanation et l'excision du centre moteur , sans réapparition des attaques au bout de deux m
tremblement musculaire. M. le Dl Pinnp C. z (de Boston). Troubles moteurs hémiplé- giques chez les enfants. M. le Dr J.
tés, et à peu près en même temps les troubles si connus des sphères motrices sensibles circulatoires et viscérales. L'inca
étaphores désignant les troubles de l'appareil visuel ou du système moteur . Pour la volonté, définie par AI. Ribot, on che
xe ; s'il est vrai que ce mécanisme ait pour fond définitif et pour moteur ultime le caractère, c'est-à-dire le moi en tan
nent toujours insuffisants. P. KEHAVAL. XIV. De quelques troubles moteurs post-hémiplégiques chez les enfants ; par le D
; - cerveau et activité céré- brale, par Herzen, 197 ; - troubles moteurs post-hémiplégiques chez les enfants, par Knapp,
convergence des - au début du tabes) par Wattevilte, 294. Zone motrice (étude de la du cer- veau), par Koning, 111.
52 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
elles se ma- nifestent par des troubles psychiques, sensoriels ou moteurs , offrent entre elles des affinités nombreuses,
sem- ble que, dans les centres d'idéation comme dans les centres moteurs , les cellules cérébrales aient une tendance à s
rme mixte névro-psychopathique, en ce sens que souvent les troubles moteurs et sen- soriels, les phénomènes d'ordre somatiq
ui sous le nom de- faisceau pyramidal; il met en relation la zone motrice du cerveau et les cellules des cornes anté- rie
e, on l'a vu, 1 Charcot. Si»' la tuméfaction des cellules nerveuses motrices , et du cylindre-axe des tubes nerveux, dans cer
omiques constituent des groupes, et se disposent en couches. L'aire motrice relève du type à cinq couches et se caractérise
requ'elles sont plus profondément situées. Les cellules pyramidales motrices sont, chez ce dernier animal, très volumineuses
A LOCALISATION DU CE\1'REDE L'IRIS ET DE LA CONTRACTION DES MUSCLES moteurs de L'OEIL; par l3ECDTEREFr·. (Messager de psychia
la cavité du troisième ventricule et se diligent vers les noyaux du moteur oculaire commun et de làavec le tronc de ce ner
ondante de la substance centrale, dans le noyau et le tronc du nerf moteur ocu- laire commun du même côté. ,'i0 Entre le
probabilité, dans les fibres commissurales des deux noyaux du nerf moteur oculaire commun. (Le 6 6 manque dans l'original
s se localisent, selon toute vraisemblance, dans les noyaux du nerf moteur oculaire. 8° Dans le plancher du troisième vent
le, il n'existe pas de centres qui servent à contracter les muscles moteurs de l'oeil, dans le sens de MM. Ilonsen et Wolke
ts dans la position de l'oeil apparaissant avec les autres troubles moteurs (perte d'équilibration du corps et mou- vements
montrent que tous les organes cités ont une influence sur la sphère motrice de l'oeil en général, sans excepter les globes
l doivent se trouver dans le domaine des noyaux des nerfs oculaires moteurs , parce que la destruction de ces noyaux ou des
e plancher du quatrième ventri- cule .séparément des noyaux du nerf moteur oculaire. REVUE D'ANATOMIE HT n ? r : 5s : ot.o
neux sur sa voie, il partir du chiasma et jusqu'au noyau du nerf moteur oculaire. l3ouvor.r. III. DE LA DIRECTION DES F
couche optique en avant des deux précédentes et comprend la région motrice du lobe frontal. De sa destruction résulte l'at
arcot et Pitres. (Nouvelle contribution à l'étude des localisations motrices dans l'écorce des hémisphères du cerveau. Revue
uscles innervés par l'hypoglosse, le facial inférieur et la branche motrice du trijumeau. 2° Lésions du centre ovale. Ain
n crie très fort près de son oreille. Aucune paralysie des membres, motrice ou sensitive. La malade se tient debout et marc
). Pas de paralysie de l'orbicu- laire des paupières ni des muscles moteurs de l'oeil. Affaissement cérébral assez accentué
férieur ; il contient de plus les fibres cérébrales de la branche motrice du trijumeau, car il est dit dans les observa-
l'herpétisme"est le 'fait 'de troubles de l'innervation sensitive, motrice , mentale, vaso-motrice et que, partant, il cons
ouvent les muscles des membres inférieurs, frappés d'incoordination motrice , sont seuls envahis (Laborde, Duménil). Dans le
la mâchoire inférieure sont impossibles, ce qui prouve que le noyau moteur du trijumeau est atteint également. Les mouveme
diplopie, avec strabisme interne de l'oeil gauche, par paralysie du moteur oculaire externe. La pointe de la langue s'est
s'assurer que ses extrémités y reposent ; ataxie et incoordination motrice très marquée; incontinence d'urine par moments
auparavant, il avait présenté les symptômes d'une pa- ralysie du moteur oculaire commun du côté gauche. Ce complexus sy
intéresse à la fois le noyau originel de l'hypoglosse et ceux des moteurs oculaires. Au premier abord, on serait tenté d'
ait tenté d'invoquer l'appa- rition de ces troubles, dans la sphère motrice , contre la systématisation de la- lésion de l'a
ophique. De même, si l'on veut interpréter sainement les phénomènes moteurs de l'ataxie bul- baire, il est nécessaire de le
les desservis par les nerfs médullaires, résultent l'incoordination motrice étant, bien en- tendu, mise à part- soit de par
rs ou sur le nerf sensible lui-mème, peut agir sur les élé- ments moteurs de la moelle et déterminer une para- lysie. » '
SE. les limites du système sensitif, pour empiéter sur le système moteur . Cette dernière proposition trouve sa démonstra
its anatomo- pathologiques. Le caractère transitoire des troubles moteurs , l'absence des phénomènes qui d'ordinaire révèl
le facial, comme ceux qui le sont par l'hypoglosse, par la partie motrice du trijumeau, par les troisième, quatrième et s
aves des muscles oculaires et souvent même une atrophie des nerfs moteurs oculaires ». Or, ces diverses atrophies muscula
moelle. C'est qu'en effet les noyaux du bulbe (noyaux du facial, moteur du trijumeau, des 3', 4° et 66 paires, ajoutons
en présence de tous les cas de tabes se traduisant par des troubles moteurs ou tro- DE L'HG\IIaTROPIIIr nE LA LANGUE. 1217
Putnam. - Recherches sur les troubles fonctionnels des nerfs vaso- moteurs dans le tabès sensitif. Thèse, 1882. '23, . 1"E
roubles sensitifs commandent souvent, nous l'avons vu, les troubles moteurs qui sont variables comme eux; mais de même qu'i
l est très probable que le centre classique n'est pas non seulement moteur pour la parole, mais trophique en même temps.
les altérations aiguës qui frappent presque exclusivement le cordon moteur cérébro-spinal. La terminaison fatale qui est d
estruction des amas de substance, grise interposés entre les fibres motrices . 1 CH. F. IV. Des paralysies chez les choréique
énominations de : faisceau sensitif, faisceau pyra- midal (faisceau moteur des membres), faisceau géniculé (faisceau moteu
midal (faisceau moteur des membres), faisceau géniculé (faisceau moteur de la face, de la langue, du voile du palais),
érébral (Soc. Biologie. 1882, p. S ? 9.) 298 PATHOLOGIE NERVEUSE. motrices destinées à l'innervation des muscles de la fac
rieur (faisceau de l'hypoglosse, du facial inférieur, de la branche motrice du trijumeau) suivent dans la capsule interne e
cinq millimètres de hauteur. Le foyer est situé dans la pyramide motrice droite, à cinq millimètres de la ligne médian
lacunes occupant les faisceaux les plus postérieurs delà pyramide motrice , sans empiéter sur les fibres transversales. L'
dp la protubérance. - Foyer de ramollissement dans la py- ramide motrice droite. 3Ui i PATHOLOGIE <OERVI.;¡;S.E.
ut les faisceaux constituant la moitié postérieure de la pyra- mide motrice . Du côté droit, le ramollissement occupe à peu
ramollissement occupe à peu près le quart postérieur de la pyramide motrice et empiète légèrement sur les fibres transversa
sement siégeant à la partie postérieure et interne de la pyra- mide motrice gauche de la protubérance. (7 ? 11.) Dans ces t
ollissement situé à la partie pastérieure et interne de la pyramide motrice droite; -'dans l'Observation III, un foyer de r
ramollisse- ment situé dans la moitié postérieure de la pyramide motrice gauche, se rejoignant sur la ligne médiane à un
e à un foyer récent occupant le quart postérieur de la py- ramide motrice droite et empiétant légèrement sur les fibres t
ramollissemeut siégeant à la partie postéro-interzze de la pyramide motrice gauche. Les lésions qui donnent lieu à la gloss
ans la protubérance, la partie postérieure et interne des pyramides motrices : nous sommes con- duits, par là, à regarder ce
nt dans la protubérance la partie postéro-interne des py- ramides motrices , s'entrecroisent et de là gagnent le plancher d
nce secondaire semblerait prouver qu'un trousseau de fibres d'ordre moteur joint le pulvinar et la couche optique au cerve
XXIX. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'athétose ET des névroses VASO- motrices DES extrémités; par Martin BER,-4111tDT. (Arch. f
type d'hémiplégie corticale; il confirme la localisation des zones motrices des extrémités dans le tiers supérieur des deux
centué du côté malade; ses mailles sont plus serrées. Les racines motrices extra-médullaires sont un peu plus minces du cô
ens des fibres nerveuses) que dans le cinquième et le sixième nerfs moteurs droits cervicaux. Les nerfs périphériques ne
rocessus qui, d'une manière quelconque, para- lyse les départements moteurs ou sensoriels du cerveau, paralyse eu même temp
aux trois autres observa- tions se résument en : atrophie des nerf moteurs de l'oeil et de leurs muscles (hyperplasie conj
la première fois, pénétré dans la connaissance. Quant aux troubles moteurs de la démence paralytique, les uns dérivent de
yépar les symptômes psychiques surajoutés aux troubles sensi- tifs, moteurs , etvaso-moteurs. A ce moment, le malade a lui-mêm
on réticulée de l'étage supérieur des pé- doncules cérébraux (champ moteur ), mi-partie dans l'olive infé- rieure. Cette te
cendante et descendante) montrent qu'il contient réunies des fibres motrices et des fibres sensitives. Discussion : - - M.
rédité nerveuse (du rôle de l' - dans la genèse de l'ataxie loco- motrice progressive), par Ballet et Landollzy, 259. H
localisation du centre de l'iris et de la contraction des muscles moteurs de l'), par Bechtereff, 121. OEil (paralysie
maladies du système nerveux et en particulier dans l'ataxie loco- motrice ), par Ch. Féré, 224. Vision mentale (perte de l
53 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dure... morphine. Il y a vingt ans s'est montrée une incoordination motrice ; il faisait des écarts et menaçait de tomber. D
outtes dans son pantalon. Depuis une dizaine d'années, les troubles moteurs se sont nota- blement accrus; fréquemment dans
Absence des réflexes rotuliens. Signe de Romberg. L'incoordination motrice est absolument typique. Le malade appuyé sur un
ture. Puis, huit ans plus tard, est survenue une incoordina- tion motrice , avec des troubles urinaires bien spéciaux. Ce
fulgurantes typiques, la constriction en ceinture, l'incoordination motrice particulière, l'iné- galité pupillaire, le sign
mes déjà expliqués sur la plupart d'entre eux. Quant aux troubles moteurs , nous ferons remarquer en pas- sant, qu'il y a
une légère incontinence d'urine de temps à autre. Comme troubles moteurs , incoordination absolument tabétique. Le malade
phénomènes tabétiques; troubles de la sen- sibilité, incoordination motrice à évolution rapide, signe de Westphal et de Rom
trés du côlé des membres inférieurs des phénomènes d'incoordination motrice , qui ne se surgissaient qu'à l'occasion de la s
s sensitives que sa racine descendante est, au moins partiellement, motrice , ou, peut-être, trophique, du moins que la raci
uivant toutes probabilités (pas d'autopsie), aux régions corticales motrices (intégrité du facial; contracture secondaire).
haut et en dehors, en haut et en dedans ataxie statique et loco- motrice - atrophie des N. 0. absence du signe de Romberg,
douleurs térébrantes et une diminution des réflexes; comme troubles moteurs , une dimi- nution notable de la force musculair
. 110 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXVIII. Sur un cas d'aphasie motrice ET sensorielle; par , M. E. LACROIX. (Lyon méd.
: il s'agit d'un malade atteint d'hémiplégie droite avec aphasie motrice , surdité et cécité verbales, à l'autopsie duquel
llissement siégeant l'un dans le centre ovale de Vienssens (aphasie motrice ), l'autre, au milieu de la deuxième circonvolut
ce; avec cela l'absence des troubles des sen- timents, d'excitation motrice et de stupeur, ou du moins l'appa- rition seule
manifestations de la vie psychique, la marche des idées, la sphère motrice ; si la mélan- colie ou la manie se compliquent
tres de la fonction du langage et être verbale, auditive, visuelle, motrice d'articulation, ou même motrice graphique; 5° t
t être verbale, auditive, visuelle, motrice d'articulation, ou même motrice graphique; 5° toutes ces hallucinations verbales,
es , ,etuaxqJufu soient ou non des : attaques d'épilepsie, non plus motrices ,' mais, purement intellectuelles,'1'' il import
toutefois elles existent, dans le diabète vrai. 2° L'incoordination motrice . Les troubles de la démarche n'ont rien de comm
ne impor-. tance de premier ordre. Appartiennent à l'ataxie loco- motrice progressive le myosis bilatéral, le signe d'Arg
naîtraient des lésions peu profondes des noyaux bulbaires des nerfs moteurs de l'oeil, car, ajoutent-ils, elles ont un cara
par Friedreich : caractère familial de l'affection, incoordination motrice se manifestant dans les jambes et les bras, d'a
hez deux sujets de notre famille corrige nettement l'incoordination motrice . Chez l'un d'eux, fait signalé par Mendel, il e
il y a hallucination verbale visuelle, verbale au- ditive, verbale motrice et même verbale graphique. L'excita- tion des c
rbale motrice et même verbale graphique. L'excita- tion des centres moteurs du langage produira, suivant le degré d'excitat
ice simple ou enfin à l'état plus faible, la représentation mentale motrice . Cette manière de voir est acceptée aujour- d'h
ui nous offre réunis diffé- rents degrés de l'hallucination verbale motrice . «Elle est obligée de parler sa pensée, » ou bi
toire. Nous suivrons le développement de l'hallucination psycho- motrice successivement chez les mélancoliques avec cons-
tion mentale se fait sur- tout à l'aide de représentations mentales motrices c'est qu'elle arrive ainsi à se parler à elle-m
qui pouvait être articulée, ce qui prouve que c'est bien le centre moteur d'articulation qui était excité. La façon dont
t degré le phénomène de la conversation mentale à l'aide des images motrices , puisque la malade « cause en elle- même » comm
z elle ce n'est que secondairement et par l'intermédiaire du centre moteur d'ar- ticulation où se produit primitivement l'
11 n'est pas rare d'ailleurs de voir les hallucinations ver- bales motrices s'accompagner d'une sensation auditive spé- cia
corticale, au' niveau de la région frontale gauche et de la région motrice du même côté ; 2° épaississement des parois de
t dans des désordres organiques ou fonctionnels des centres nerveux moteurs . L'épilepsie provoquée par lacuichonidine, anal
s centres. C'est, en un mot, pour les centres nerveux psychiques et moteurs l'analogue de l'accès de délire aigre pour les
clusions de ces recherches. ' 1° Un foyer d'inflammation de la zone motrice du cerveau peut déterminer chez le chien une pa
es faisceaux pyramidaux soit l'intermédiaire obligé de la paralysie motrice et des phéno- mènes d'excilation. Cette opinion
ait extirpé cet hémisphère. Il n'y a eu à aucun moment ni paralysie motrice , ni phénomène d'excitation. Or le système nerve
s vertébrés. Il serait donc possible que l'absence de tout accident moteur , malgré la destruction étendue du cerveau, tien
de l'encéphale. L'absence, dans l'espèce, de troubles sensitifs et moteurs montre qu'ils ne sont pas la con- séquence d'al
L'auteur admet dans ce cas l'existence d'une hypertonie des vaso- moteurs , liée à une excitation des centres de la cinquièm
ziey). M. le Dr Rorx supposeune altération dynamique des centres' moteurs et vaso-moteurs, dépendante d'une lésion périphér
agérée des nerfs sensitifs si, en même temps, la fonction des nerfs moteurs n'est pas complètement abolie. M. le Dr MOUR.
de préambule il examine comment l'association de certains troubles moteurs , sensitifs et trophiques de l'hystérie peut sim
sée par des troubles des fonctions intel- lectuelles, sensitives et motrices , pouvant aller jusqu'à leur abo- lition presque
ance absolue avec les troubles quelconques des organes sensitivo- moteurs . ZD En terminant, M. Chervin a rappelé la métho
ane de la 0 région antérieure, il produit une détermination idéo- motrice , un acte volitionnel. Cette distinction va nous
nt un trajet analogue, actionne en sens inverse la région psycho- motrice , un mouvement de recul s'effectue, les deux sen
ontrôle de la région antérieure, elles commencent à devenir idéo- motrices . L'intégrité de quelques-uns de ces centres che
tre auditif, nous avons les musiciens; avec l'inté- grité des zones motrices , les sculpteurs, etc. A l'état normal, la fonct
s un tel état d'éréthisme, que l'image vient solliciter le centre moteur d'articulation qui l'expulse au dehors. Le cent
'articulation qui l'expulse au dehors. Le centre auditif, le centre moteur d'articulation agissent encore ici indépendamme
s des différents types de mémoire, des visuels, des audi- tifs, des moteurs , des troubles du langage, et font au tableau no
rs. On doit reconnaître que dans l'épilepsie les phénomènes vaso- moteurs sont au premier plan. Il est impossible, en effet
suite n'avoir que des voix intérieures, des hallucinations verbales motrices . . Nous avons été amenés ainsi à rechercher l'o
on s'expliquerait aisément la présence des hallucinations verbales motrices à l'état fort ou faible, véri- tables phénomène
la mélancolie où l'on trouve aussi accentués des désordres du côté moteur de la vie psychique. Loin de nous la pensée de
l passagères, reléguées au second plan vis-à-vis des hallucinations motrices . Dans les cas où elles prennent un plus grand d
imaux nouveau- nés. Ainsi la destruction ou la résection de la zone motrice corti- cale qui se traduit chez l'adulte par un
ciale de celles-ci (main) et avec l'activité des zones corti- cales motrices . Nulles ou à peu près chez les cétacés, les pyram
origine est le rein droit. Dégénérescence descendante des faisceaux moteurs de la moitié droite de la moelle. Et c'est tout
t organe détermine le même cadre symptomatique que l'ataxie loco- motrice . Ces phénomènes disparaissent lorsqu'il reste en
où se produit l'hallucination purement centrale. 2° Hallucinations motrices . Tout mouvement est normalement provoqué par un
ves de l'écorce surmenées, trans- mettent leur fatigue aux cellules motrices qui engendrent le mouvement voulu. Cette voliti
dé SOCIÉTÉS SAVANTES. lf2ti 5 sont perçus; c'est là l'innervation motrice , l'impulsion volontaire. Cette impulsion psychi
mémoratives ou conceptions représen- tatives, de même la perception motrice ou l'acte laisse après lui la conception motric
même la perception motrice ou l'acte laisse après lui la conception motrice ou image commémorative de l'acte; aucune de ces
r elle et, d'accord avec elle, organisent un système de sensibilité motrice . Qu'un centre moteur soit, de par son hyperexci
elle, organisent un système de sensibilité motrice. Qu'un centre moteur soit, de par son hyperexcitabilité, sollicité, il
ité, il s'en suivra, sa fonction étant l'innervation, une impulsion motrice d'origine pathologique; celle-ci en entraine d'
s ou moins probablement accuser l'excitation anor- male des centres moteurs , dans la manie, la folie systématique aiguë, la
centre verbal sensoriel a autant d'importance que le centre verbal moteur , et chez les petits en- fants, et dans l'aphasi
l moteur, et chez les petits en- fants, et dans l'aphasie corticale motrice . La perception et l'hallu- 426 SOCIÉTÉS SAVANTE
due des cellules ner- veuses de l'écorce. Dans le bulbe, les noyaux moteurs sont épar- gnés ; la destruction porte sur les
t. XXII, p. 277. SOCIÉTÉS SAVANTES. 435 diminution de la force motrice ou tremblements dans les extré- mités qui, souv
Lom- broso, 112. Aphasie, théorie de Il -, par Cra- mer, 94 ; - motrice et sensorielle, par Lacroix, 110. Asiles d'al
54 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
région entraîne ici, comme dans toutes les autres parties des centres moteurs , une dégénération du faisceau pyramidal qui peut
ais, je le répète, la détermination exacte, chez l'homme, des centres moteurs pour les divers mouvements, est l'œuvre de la mét
ine. Quant à (1) Ballet. — Contribution à l'étude des localisations motrices dans l'écorce du cerveau. (Relations des monoplég
nsitives, s'il existe un centre de la sensibilité superposé au centre moteur cortical, tout ce que l'on peut dire, c'est que,
l, déduire, jusqu'à un certain point, quelle sera, quant aux troubles moteurs , la symptomatologie observée dans les diverses al
es en dehors de celles qui relèvent d'une lésion en foyer des centres moteurs . Mais ce sont, dans la plupart des cas, des manif
. Je sais qu'on peut voir des plaques méningées au niveau des centres moteurs du bras et de la face, mais ce que je veux dire,
atique histoire. A son entrée, il n'y avait aucune trace de paralysie motrice dans les membres, sauf un peu de parésie au nivea
t conforme de tous points à nos connaissances sur le rôle des centres moteurs : Un agglomérat tuberculeux se forme, au niveau d
es très distincts. Le noctambulismo apparaît ainsi comme l'expression motrice d'un rêvo, qui, en raison de son intensité ou do
ès qui, le plus ordinairement, sont procédés et suivis des phénomènes moteurs de l'attaque hystérique, et plus rarement se mani
xquelles elle participe comme principale actrice ; mais ses réactions motrices sont loin de répondre au tragique de ces scènes.
Ch. Richet (2), surtout au phénomène de sensibilité et d'innervation motrice . Il consiste dans la preuve qui nous est donnée d
A cette époque (avril 1885), le malade est atteint d'une hémiplégie motrice et sensitivo-sensorielle du côté droit avec point
hôpital de Rochefort, avec hémiplégie droite sensitivo-sensorielle et motrice , l'oubli de tous les états de sa vie autres que l
é. « Le moi, dit il, est un phénomène de sensibilité et d'innervation motrice ; la personnalité est un phénomène de la mémoire (
ce irrévocablement, qu'il s'agisse de phénomènes visuels, auditifs ou moteurs . C'est une amnésie générale, dans toute la rigueu
berg, une sensation de constriction en ceinture et une incoordination motrice typique. Pas de sucre dans les urines. On peut
dure... morphine. Il y a vingt ans s'est montrée une incoordination motrice : il faisait des écarts et menaçait de tomber. De
outtes dans son pantalon. Depuis une dizaine d'années, les troubles moteurs se sont notablement accrus ; fréquemment dans la
t. Absence des réflexes rotuliens. Signe de Romberg. L'incoordination motrice est absolument typique. Le malade appuyé sur une
a ceinture. Puis, huit ans plus tard, est survenue une incoordination motrice , avec des troubles urinaires bien spéciaux. Ce n'
r fulgurantes typiques, la constriction en ceinture, Vin-coordination motrice particulière, l'inégalité pupillaire, le signe d'
sommes déjà expliqués sur la plupart d'entre eux. Quant aux troubles moteurs , nous ferons remarquer en passant, qu'il y a loin
et une légère incontinence d'urine de temps à autre. Comme troubles moteurs , incoordination absolument tabétique. Le malade n
n de symptômes tabétiques; troubles de la sensibilité, incoordination motrice à évolution rapide, signe de Westphal et de Rombe
station debout, les yeux fermés, est très incertaine. Incoordination motrice très nette. Perte des réflexes aux bras et aux ge
toutefois elles existent, dans le diabète vrai. 2° L'incoordination motrice . Les troubles de la démarche n'ont rien de commun
onnaîtraient des lésions peu profondes des noyaux bulbaires des nerfs moteurs de l'œil, car, ajoutent-ils, elles ont un caractè
te des signes de la seconde catégorie : troubles oculaires, vésicaux, moteurs ... le diabète véritable coexiste incontestablemen
ts par Friedreich : caractère familial de l'affection, incoordination motrice se manifestant dans les jambes et les bras, d'abo
chez deux sujets de notre famille corrige nettement l'incoordination motrice . Chez l'un d'eux, fait signalé par Mendel, il e
au. —Archives de physiologie, 1876. (8) Graux. — De la paralysie du moteur oculaire externe avec déviation conjuguée. Th. Pa
noyau d'origine de la sixième paire ne fournit pas seulement le nerf moteur oculaire externe destiné au muscle droit externe
scle droit interne recevant cependant une seconde innervation du nerf moteur oculaire commun. Les examens microscopiques ont
ainsi caractérisés correspondaient, en effet, des lésions du noyau du moteur oculaire externe. Toutefois, la démonstration ana
ois, la démonstration anatomique de l'anastomose supposée du noyau du moteur oculaire externe d'un côté avec le noyau du moteu
pposée du noyau du moteur oculaire externe d'un côté avec le noyau du moteur oculaire interne de (1) Parinaud. — Spasme et p
727). — Parinaud et Georges Guinon : Note sur un cas de paralysie du moteur oculaire externe et du facial avec atteinte de l'
g. 12. }. Olives. 1. Tubercule. 2. Noyau du facial. 3. Noyau du moteur oculaire externe . 4. Pyramide. 5. Raphé médi
a ligne médiane, dans la partie inférieure. Fig. 13. pig, 1. Nerf moteur oculaire externe 1. Début du tubercule supérieur.
upérieur. gauche. 1. Tubercule. 3. Noyau du facial. 4. Noyau du moteur oculaire externe droit. Le tubercule inférieur
nts seraient indiqués par le noyau du facial en avant, et le noyau du moteur oculaire externe, en arrière. Sur la préparation
cial qui, parties de leur noyau originel, vont contourner le noyau du moteur oculaire externe et disparaissent après un très c
13), 1 centimètre à peu près ; il empiète à ce niveau sur le noyau du moteur oculaire externe droit, dont on distingue toutefo
quelques cellules. Il dépasse le raphé médian jusqu'au niveau du nerf moteur oculaire externe gauche qui lui est presque tange
imètre et un millimètre, et englobe la plus grande partie du noyau du moteur oculaire externe : à ce niveau, le tubercule n'es
raison de sa forme circonféren-tielle, il n'intéresse pas le noyau du moteur oculaire externe gauche. En avant le tubercule s'
lui-même un diamètre de Ie™ 25, et englobant complètement le noyau du moteur oculaire externe droit, dont il n'existe plus de
al, on retrouve quelques cellules nerveuses appartenant au noyau du moteur oculaire externe droit. Il en est qui paraissent
is il l'a certainement comprimé. Aussi conçoit-on que la paralysie du moteur oculaire externe gauche a été, comme il est dit d
rité de la septième paire. Dans le noyau commun, la partie dévolue au moteur oculaire serait située en haut et en avant, par r
vailler à l'atelier, mais il voit progresser lentement son incapacité motrice . Elle avait débuté par le côté gauche (le bras, p
condition nécessaire. Dans le cas contraire, le phénomène quelconque, moteur , sensitivo-sensoriel ou psychique qui intervient,
soixante et onze cas, nous avons adopté la division usuelle en auras motrice , sensitive, sensorielle et psychique. Nous avons
anifestations variées, autrement dit par la combinaison de phénomènes moteurs , sensitifs, sensoriels, etc. Enfin, nous avons
nce de l'aura. Ils se décomposent de la manière suivante : 1° auras motrices . (Sept cas.) Sous ce nom on doit comprendre t
s. (Sept cas.) Sous ce nom on doit comprendre tous les phénomènes moteurs précédant et annonçant l'accès et se produisant i
ir en avant, par exemple, constitue l'aura procursive; c'est une aura motrice . Dans ce même cadre, nous avons rangé l'aura à
cas de ce genre comptent pour deux dans le total des sept cas d'auras motrices . Observation I. Aur... Charles, 19 ans, sans
ns leur précision, nous signalerons particulièrement, parmi ces auras motrices , celle qui consiste en mouvements de salutations
place ici, à cause de l'adjonction, dans un des accès, de phénomènes moteurs , qui faisaient de l'aura, dans ce cas, une aura c
t, on retrouvera dans ceux-ci, comme dans ceux-là, des manifestations motrices , sensorielles, psychiques, etc., mais non plus is
voit le syndrome de Ménière s'associer à des phénomènes gustatifs et moteurs , l'aura hystéroïde s'accompagner d'hallucinations
hez cette malade d'une association de phénomènes auditifs, visuels et moteurs , donnant une aura fort complexe, de durée assez l
us constaterons l'association du syndrome de Ménière et de phénomènes moteurs et sensoriels (hallucinations du goût). Observa
s phénomènes de l'aura céphalique hystérique, des troubles visuels et moteurs et, enfin, le besoin d'aller à la garde-robe, don
HE ABSOLU pour 100 cas avec aura POUR 100 CAS AVEC OU SANS ADRA Motrices ...... Sensitives..... Visuelles. ..... Audi
insi sur 100 cas d'épilepsie en général, on trouve 10,5 fois une aura motrice , 9 fois une aura sensitive, etc.. Sur 100 cas d'a
.. Sur 100 cas d'accès comitial avec aura, on aura 16,3 fois une aura motrice , 13,95 fois une aura sensitive, etc.. On pourrait
de 1'—, 389, 426 ; Caractère de 1'—, 390; Classification de F—,392; — motrice , 394; — jacksonnienne, 396; — sensitive, 398 ; —
e, 158. Monoplégie crurale, 6 j — double, 15. Morphinomanie, 438. Moteur oculaire externe (nerf) : paralysie conjuguée du
tions du crâne dans la —, 385, 388. N Nerf de la 6e paire : (Voir Moteur oculaire externe.) Neurasthénie : statistique d
55 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
sur la sphère sensorielle que pour celles qui portent sur la sphère motrice . B. Hallucinations positives. Je me contente
ique (cortical) gauche ; cette ex- citation se transmet à la région motrice de l'hémisphère gauche, et de la aux faisceaux
lité de l'excitation se transmet des centres sensoriels aux centres moteurs . Cette transmission « en masse » détermine une
directions : ainsi la quantité d'excitation qui parvient au centre moteur est moindre, et aussi s'explique qu'un bruit subi
pnotique. En dénudant l'écorce cérébrale, ils excitaient le- centre moteur des membres antérieurs, et déterminaient par des
l'oreille droite, alors l'excitation peut être transmise aux voies motrices par les centres acoustiques subcorticaux (noyau b
ransmission de l'excitation du centre acouslique au centre cortical moteur , et par là aux faisceaux pyramidaux. Dans un ch
entre acoustique gauche; de là, se transmettant aux circonvolutions motrices gauches, elle gagne par les voies pyramydales l
(1) : tels sont les accidents cérébraux du début, la paralysie des moteurs oculaires externes, les altérations papillaires.
ningite cervicale syphilitique associée à une para- lysie totale du moteur oculaire commun qui guérit radicalement par le
s ptérygoïdiens, les temporaux sont respectés ainsi que les muscles moteurs des yeux. Les pupilles sont égales, réagissent bi
et invariablement égale. 11 est des cas dans lesquels les troubles moteurs font presque totalement défaut; il en est d'autre
tion, en dehors de la forme commune ou sensitive-motrice, une forme motrice pure et une forme sensitive pure. Il ne faudrai
qu'un schéma didactique, attendu que le lobes sensilif et le tabès moteur sont en fait des exceptions. Mais les exception
ion des cas vulgaires. Pour vous convaincre de l'existence du labes moteur pur, je vais vous en présenter un assez heau sp
rien, et c'est pour cela que nous dirons que le tabes est purement moteur . Voici maintenant un type inverse : vous avez s
istincts, les altérations médullaires du labes sensitif ci du tabès moteur soient mathéma- tiquement superposables. Je cro
sculaires est peut-être une dystrophie tabétique ? Un trouble vaso- moteur d'origine spinale ajoute peut-être ses effets il
nuit, mort et passion », n'a jamais présenté le moindre phé- nomène moteur . Chez ce malade, atteint de « pied tabélique » du
preuves nombreuses. Mais, je serais sur- pris que les cas de ! nlws moteur ou presque exclusivement moteur nous en fournis
ais sur- pris que les cas de ! nlws moteur ou presque exclusivement moteur nous en fournissent autant d'exemples. Pour ma
uses et plus tard d'incontinence d'urine. En 1869, l'incoordination motrice fait son apparition dans les membres infé- rieu
, tour- mentée par les douleurs fulgurantes et cette incoordination motrice . En 1881, elle ressent des douleurs fulgurantes
douleurs fulgurantes, de l'incontinence'd'urine, de l'incoordination motrice (qui a condamné la malade au lit depuis un an 1
es oculaires. Ja- mais de troubles vésicaux... Pas d'incoordination motrice . Début des arthropathies. La malade n'avait jam
but des arthropathies. La malade n'avait jamais remarqué de trouble moteur du côté des membres inférieurs : ni parésie, ni i
de rapporter les légers troubles de la démarche il l'incoordination motrice . L'intérêt se concentre sur (les genoux. Le mem
membres inférieurs, on ne constate ni troubles Irophiqucs ou vaso- moteurs , ni amyotrophie notable. La sensibilité objective
conservation absolue du sens musculaire. n'y a pas d'incoordination motrice apparente dans les membres inférieurs, la march
u ni- veau des taches lépreuses, localisation spéciale des troubles moteurs etc., l'ont défaut dans notre cas. Est-il bie
; l'intoxication limite ses effets aux plaques terminales des nerfs moteurs . A ce titre donc, on peut la comparer à l'intox
exige. Les centres de coordination sont des groupements de cellules motrices reliées chacune à chacune suivant une dispositi
portance et une fréquence beau- coup plus grandes que dans le tabes moteur . Au demeurant, le 1(ib(,s n'est pas la seule ma
gué pour les besoins de la démonstration deux types cliniques, l'un moteur , l'autre sensitif qui ne sont à vrai dire, qu'exc
lté- ration soit identique dans la forme sensitive et dans la forme motrice , c'est- à-dire chez les sujets qui souffrent et
tions centri- pètes des muscles, et, inversement, que dans le labes moteur , les cylindraxes sub- sistants conduisent la se
outes les sensibi- lités subiraient la dégénération ; dans le tabès moteur , ce seraient les fibres de la sensibilité rélle
es; c'est un système de fibres chargées d'utiliser pour la fonction motrice , des sensations emmagasi- nées depuis un temps
ter- mes, si le faisceau pyramidal continue d'exercer son influence motrice sur les cellules des cornes antérieures de la m
térieure correspondante est interrompue. Un malade atteint de tabès moteur , peut ainsi garder indéfiniment des muscles pui
cation assez commune dans la forme ordinaire, classique, sensitivo- motrice . Du moins peut-elle s'expliquer par le fait que l
s les symptômes d'un tabès classique, sans acci- dents sensitifs ou moteurs du côté du membre artbropa- thique, sauf une an
d'une fracture de la Xe dorsale, avait eu une paraplégie sensitive motrice com- plète ; il avait été de suite immobilisé d
segment cépha- lique intervienne tout d'abord dans l'appropriation motrice des efforts qui maintiennent ou font varier d'u
ique, et qu'elle régisse secondairement la coordination des efforts moteurs élémentaires destinés il réaliser ou à faire vari
attitude céphalique que nous devons localiser au niveau des centres moteurs de la tête. b) L'attitude de la tête joue un rô
ù les prendre, ses gestes incohérents trahissent l'incoordi- nation motrice due non à un trouble de motricité, mais à des err
une imaginaire, on sera porté à regarder avec nous les zones dites motrices comme purement sensorielles, mais régissant direc
l. LE NERF LABYRINTHIQUE 36t connaître ou en imaginer. La volonté motrice ne serait donc que le ré- flexe moteur (1), iss
ou en imaginer. La volonté motrice ne serait donc que le ré- flexe moteur (1), issu d'une certaine faconde désirer une atti
laire des centres corticaux dans la pariétale ascendante, dite zone motrice , et que le cerveau de Bertillon nous fait regarde
nts faisceaux médullaires doivent également aboutir aux zones dites motrices . D'autre part, le cervelet, qui joue un grand r
ubstituera l'hypothèse si étroite de Ferrier sur la valeur purement motrice des circonvolutions centrales. Il serait facile
serait facile de compléter ce que nous avons dit de l'appropriation motrice aux fonctions d'équilibration par l'étude du rôle
e du rôle des images d'at- titude segmentaire clans l'appropriation motrice et locomotrice en général. Ce qui est conscient
Romberg l'incohérence labyrinthique se manifeste par l'incohérence motrice des globes oculaires, livrés à différentes formes
eisteiner appelle le noyau des colonnes antérieures. C'est un noyau moteur que les expérien- LE NERF LABYRINTIIIQUE 363
segmentaire indispensables à la locomotricité et à l'appropriation motrice réllexe ou volontaire de l'équilibration. Il co
atomique de ce syndrome. « Etant donné, disait-il, une paralysie du moteur ocu- laire commun gauche avec une hémiplégie to
te le syndrome de Weber classique : paralysie totale et complète du moteur oculaire commun droit et hémiplégie vulgaire du
l supé- rieur. La paupière gauche tombante indique une paralysie du moteur oculaire commun gauche qui, où le verra, est to
ui frappait le plus dans l'aspect du ma- lade était la paralysie du moteur oculaire commun gauche consistant en chute de l
arras de parole doit- être considéré comme un léger degré d'aphasie motrice : La suite de l'observation le démontre. 1er
montre. 1er février. Deux jours plus tard, on observait une aphasie motrice com- plète et pure, avec cette particularité qu
ans la première observation, l'hémiplégie gauche et la paralysie du moteur oculaire commun droit indiquent une lésion pédonc
e qui est intéressé puisque ce sont les membres du côté droit et le moteur oculaire commun gauche qui sont paralysés. Cett
s qui après leur entrecroisement vont se placer derrière les fihres motrices ; puis la moelle s'est ouverte en arrière par l
ganglion spinal ? Sa partie inférieure contient des cellules à type moteur , mais moins grandes que celles des cornes posté-
apédienne. Ces fibres qui unissent les noyaux de la base aux noyaux moteurs ont pour homologues les fibres médullaires unissa
es fibres médullaires unissant les cornes postérieures aux cellules motrices antérieures. Du noyau interne et du noyau de De
ège des troubles sen- sitifs du même côté du corps que les troubles moteurs , l'exagération des uns et des autres par la sta
rouve toutes les fois que les noyaux inférieurs de la colonne grise motrice bulbaire sont atteints, et l'on sait que la pol
56 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: Votre théorie « ne tient pas compte des connexions bilaté- rales motrices et sensitivo-sensorielles de chaque moitié du sys
, a-t-on remarqué, « ne tient pas compte des connexions bilatérales motrices et sensitivo-sensorielles de chaque moitié du s
at affec- tif des paralytiques généraux avec leur paralysie vaso- motrice et tendent à considérer la vaso-dilatation péri-
own-Séquard, il est plus net du côté où prédominent les trou - blés moteurs . Le réflexe de Mendel aurait une certaine valeu
d'une seule racine postérieure ne produit pas le plus léger trouble moteur dans le membre correspondant. La section de plu
hial sont épargnées, on peut assister à la disparition des troubles moteurs consécutifs à la section de toutes les autres ra-
vers l'écorce. Après section des racines postérieures, les cellules motrices des cornes antérieures ne présentent pas de mod
ire de ces racines et de leurs cellules pour expliquer les troubles moteurs . Dans le bout médullaire des racines postérieur
section des racines postérieures d'une patte entraîne des troubles moteurs , tantôt passagers et à peine marqués, tantôt pl
s, une série d'ictus, et finalement une paralysie de tous les nerfs moteurs de l'oed droit avec cécité complète. Tous ces a
haud et au froid ; conservation de la sensibilité tactile ; portion motrice du nerf intacte. Moitié droite du tronc et memb
du noyau sensitif du V et du noyau du VI : intégrité de III,IV et V moteur ; -- s'étend en bas jusqu'à un niveau impossibl
-- s'étend en bas jusqu'à un niveau impossible à préciser du noyau moteur du X ; sectionne les fibres olivo-cerébelleuses
atrophie musculaire simple, de l'atrophie des cellules radiculaires motrices , de la dégénérescence des racines an- térieures
trices, de la dégénérescence des racines an- térieures et des nerfs moteurs . L'auteur passe en revue les quelques cas épars
par le malade. Il était at- teint à la fois, d'aphasie et d'apraxie motrices . Dans les der- niers temps de sa vie en effet,
? XXV, f. 14, p. 651 à 654, 16 juillet 1906.) Les hallucinations motrices graphiques sont particulièrement- 78 REVUE DE P
a description de Séglas, les différences entre les halluci- nations motrices graphiques et l'écriture des médiums ou psycho-
u sujet; son contenu arrive aussitôt à la conscience par les images motrices graphiques ; la psychographie est automati- que
me de paralysie des membres. Il ne faut pas confondre cette apraxie motrice avec la perte de la reconnaissance intellectuel
on des communications entre les neurones sensoriels et les neurones moteurs . G. D. Archives, 31 séi-io, 1907, L. II. 6 SO
de la circulation, des organes sécréteurs, du système musculaire ou moteur ,du système nerveux ou de la sensi- bilité. Ces
la perception de la person- nalité, de l'intelligence, les troubles moteurs et sensitifs, les chapi- tres spéciaux et d'act
uette; il fallut alors a\oir recours à la suggestion par les images motrices gra- phiques pour mettre fin à cette situation
A. CULLEIlIlr : . De l.i suggestion par l'intermédiaire des images motrices graphique, chez une hystérique jappée simultané-
e. La phase clonique est duc à l'excitation de la zone corticale- motrice . Elle manque : a) quand on enlève les zones motri
zone corticale- motrice. Elle manque : a) quand on enlève les zones motrices ; b) quand on anémie la couche corticale par co
. , Contribution anatomo-palhologique à l'étude des localisations motrices corticales. A propos de trois cas de sclérose lat
comme une don- née classique et définitivement acquise, que la zone motrice corticale occupe chez le singe et chez l'homme
bipolaire jusqu'ici em- ployée), ont montré que la zone excitable ( motrice ) chez le singe anthropoïde ne s'étend pas en ar
-à-dire que la pariétale ascendante ne fait pas par- tie de la zone motrice corticale. Ces résultats ont été confirmés chez
e amyo- trophique, - affection uniquement systématisée au neurone moteur -peut fournir, elle aussi, un argument plaidant e
e en faveur de la nouvelle conception sur la topographie de la zone motrice corticale et montrent que, conformément aux rec
blablement, l'origine de la voie pyramidale, et, par- tant, la zone motrice corticale, se trouvent chez l'homme presque exc
aussi absolus que Campbell pour refuser à Pa toute représen- tation motrice . En effet, nous croyons qu'on doit faire quel-
faveur d'une participation, quoique très mi- nime, de Pa à la zone, motrice corticale. Nervosisme thyroïdien. Formes cliniq
ue. Dès lors, puisque l'hystérie peut produire des troubles vaso- moteurs dans le sens de la vaso-constriction, l'hystérie,
nt complètement paralysées. Il y avait paralysie de la branche du moteur oculaire commun qui préside aux mouvements d'él
cerveau atteintes. L'hystérie présente -en effet des manifestations motrices , sensitives, vasomotrices, viscérales et psychi
l'expérimentation et j'ai procédé, par des excitai ions psychiques, motrices , ou sensitives surtout, au réveil des fonctions
rnes antérieures dans les arthropathies nerveuses.- Ataxie oculo- motrice d'origine labyrinthique dans le tabès. Ecchymoses
des phénomènes du début de l'accès. Suivant que ces phénomènes sont moteurs , sensi- tifs, sensoriels ou intellectuels, Dela
, sensoriels ou intellectuels, Delasiauve (1) a divisé les auras en motrices , sensitives, sensorielles ou intellectuel- les.
é des yeux, on observera un clignotement convulsif, lors d'une aura motrice , ou une impressionnabilité douloureuse à la lum
vent annoncer l'attaque. Le seul signe qui signale parfois Une aura motrice est un clignotement convulsif plus ou moins rap
bes frontaux, temporaux, parié- taux et occipitaux, circonvolutions motrices , noyaux du corps strié (Klippel et Lhermitte).
. Pierre Marie, l'insula et les parties sous-jacentes sont l'organe moteur du langage articulé. Leur destruction détermine
. Pierre Marie, c'est-à-dire le syn- drome appelé jusque-là aphasie motrice pure. Pour le même auteur, l'aphasie motrice es
pelé jusque-là aphasie motrice pure. Pour le même auteur, l'aphasie motrice est une aphasie de Wcrnickc doublée d'une anart
et la capsule externe ; le malade ne présentait pas trace d'aphasie motrice . c) Un cas d'aphasie totale avec intégrité appa
en fixer les suites éloignées. A la suite des paralysies guéries du moteur oculaire externe Archives, 3° série, 1sot, l. I
I. 14 210 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. et du moteur oculaire commun,la déviation précoce du globe d
au développement de la diplopie ; mais, plus tard, quand le trouble moteur a cessé ou diminué, c'est cette neutralisation
dans les paralysies systématiques portant sur de petites fonctions motrices dans lesquelles le système d'images* qui s'éman
rophie musculaire progressive serait au fond une maladie du neurone moteur périphérique avec des ty- pes cliniques différe
publiées attirer l'attention, c'est la pré- dominance des symptômes moteurs sur les symptômes sensitifs, prédominance qu'on
- tung der Edinger-Westphal'schen Kerne Que deviennent les noyaux moteurs après lésion des n. pér., et sur le rôle des noya
B. rappelle que la destruction du territoire périphérique d'un nerf moteur peut n'avoir aucun effet sur les cellules du noya
ble s'être installée brusquement sans période initiale d'excitation motrice , ni de dé- lire. Elle a été accompagnée, au déb
ans laquelle nous obser- vons la normale excitabilité de l'appareil moteur périphérique. En effet, le muscle, apparemment
nt la propriété de transmettre les stimulis faradiques à l'appareil moteur neuro-musculaire, voire son inexcitabilité. Un
er son attention, très arriéré ou idiot, en proie à une agi- tation motrice continue est-il, en outre, atteint de surdité com
ut localiser dans le lobe frontal ; il réalise exactement l'apraxie motrice indiquée par Liepmann dans son schéma (VI : per
quer une anastomose entre la branche sectionnée et un autre filet moteur . L. WAIIL. XLII. Hyperesthésie en pathologie gé
220, p. 665 à 680, 1er sept. 1906.) 5 cas de troubles vasomoteurs, moteurs et trophiques rappelant, par leur nature, leur
rscheinungenn am Kopfe nach Schaedelbasisfraktur.(Sur des symptômes moteurs anormaux dans le domaine des nerfs crâniens apr
lonique post-hémiplégique ; ses rap- ports avec les autres troubles moteurs post-hémiplégiques ; par Etienne. (L'Encéphale,
hémiplégie. Il est vraisemblablement lié à des lésions des cellules motrices , la simple excitation de fibres de transmission p
té, la fréquence de l'absence de récidive. F. TissoT. LX. - Aphasie motrice avec troubles psycho-sensoriels au cours de la
ire survenue chez un vieillard démorphinisé. F. T. LX . L'aphasie motrice et sa localisation corticale ; par DÉJE- RINE.
ale, 1907, ho 5.) Depuis Broca, on admet généralement que le centre moteur du langage a sa localisation corticale dans le
ticale dans le pied de F\ mais dans les rares cas publiés d'aphasie motrice pure l'examen macroscopique seul a été pratiqué
ce qui est insuffisant ; il n'existe aucune obser- vation d'aphasie motrice suivie d'autopsie dans laquelle une lésion limi
servations ' bibliographie. 387 montrant clairement que l'aphasie motrice dite corticale ou de Broca peut être produite p
la lésion primitive de l'opercule rolan- dique, des circonvolutions motrices , de la zone de Wermcke, des noyaux gris centrau
uerait aucun rôle dans la fonction du langage anti- culé, l'aphasie motrice n'étant pour lui qu'une aphasie sensorielle acc
ystéro-démo- nopathie, on notait une série de troubles sensitifs et moteurs particuliers à l'hystérie : son caractère était
natomiduement, par la preuve que l'homme peut gouverner ses centres moteurs par ses centres intellectuels et surtout par la
mine par de prudentes conclusions sur le - diagnostic de la nature, motrice , sensorielle ou associative, de la paraphasie.
perversion ou dimi- minution passagère de la sensibilité ; troubles moteurs , tous dus à ce que « les impulsus sont engagés
i qu'à la production de l'énergie électrique employée comme force motrice , pour l'éclairage et l'élévation de l'eau potab
squelles les troubles des perceptions com- '- mandent des réactions motrices diverses (impulsions homicides', suicides, aulo
der. p. 76. Du siège ana- tomique de l' -, par )Iahaim, p. 208. - motrice avec trou- bles psycho-sensoriels au cours de
oriels au cours de la démorphinisation, par Bellelrud, p. 386. L. motrice et sa localisation corticale, par Déjérine, 1
par Gantonnct, p. 166. - oculo- 31 482. TABLE DES MATIERES. motrice d'origine labyrinthique dans le tabès, par Etie
par frac- ture du crâne, par Gabourd, p. 237. Sur des symptômes moteurs anormaux dans le do- maine des ncrfs crâniens.
, par \Iayct, p. 362. LOlm frontal. Voir Troubles. Localisations, motrices corti- cales. Voir Sclérose. - Loi. La révisi
tiguc, le repos et le sommeil, par Bevan Lewis, p. 365. Noyaux moteurs . Que devien- nent les après lésion des n. pér
hologique à l'étu- 488 TABLE DES MATIERES. de des localisations motrices corticales. A propos de trois cas de latérale
tonoclonique post-hémiplégi- que, ses rapports avec les au- tres moteurs post-hémiplé- giques, par Etienne, p. 384. Qu
eilbronner, p. 463. Tumeur dans la substance blan- che de la zone motrice (région du bras).Sur le diagnostic diffé- ren
57 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
anormale au froid, et transpiration conservée. ' Pas de troubles moteurs ni sensitifs ; les réflexes sont en général dimin
es petits, comme deux olives. Il n'y a pas d'adipose. L'agitation motrice du malade est remarquable ; à tout instant on obs
ijumeau, qui y sont beaucoup plus petits qu'à droite. Pour l'oculo- moteur commun, c'est l'inverse; ce fait paraît difficile
ère : crises et paralysies transitoires dans le domaine de l'oculo- moteur commun. Quant à la paralysie permanente de la mus
oratoire, par exemple après l'extirpation du cervelet ou de la zone motrice de l'écorce ; ces recherches sont pourtant toujou
'explication la plus vraisemblable est-le caractère essentiellement moteur du nerf radial. La plupart de ses fascicules so
tiellement moteur du nerf radial. La plupart de ses fascicules sont moteurs . Ses fascicules sensitifs semblent peu importan
des paralysies cubitales partielles et la prédominance des troubles moteurs au niveau des interosseux et des hypothénariens d
plus belle illustration de la spécialisation des fascicules nerveux moteurs à l'intérieur d'un nerf. Les dessins ci-joints,
e type le plus fréquent consiste en une prédomi- nance.des troubles moteurs sur les petits muscles de la main et sur les fl
sies incomplètes, du retour progressif, mais inégal, de la fonction motrice et de la tonicité de certains muscles, qui au s
de neurologie, 2 mars 1916 ; J. BABINSKI, Les caractères des troubles moteurs dits « fonctionnels » et la conduite à tenir à
drons ici par déformations paratoniques des mains ces perturbations motrices aux attitudes singulières, qui nous ont tous plus
ans notre service examiné systématiquement tous les petits troubles moteurs des mains susceptibles a priori de rentrer dans
s des mains susceptibles a priori de rentrer dans les perturbations motrices d'ordre réflexe, et rappelant par leur morpholo
ssièrement clinique et morphologique. Il limite ces petits troubles moteurs des mains aux attitudes singulières dont nous a
e inspiré du rapport de M. Babinski sur les caractères des troubles moteurs dits « fonctionnels » présenté au Congrès neuro-p
vations; nous remarquons qu'elles sont constituées par des troubles moteurs de quatre ordres différents : organique, psychi
chique, mécanique, réflexe. Tout le monde s'entend sur les troubles moteurs par lésions nerveuses organiques, quand il s'ag
dans le cas d'hypertonie comme dans celui d'hypotonie, de troubles moteurs par lésions organiques, tronculaire ou radicula
tronculaire ou radiculaire. Claire aussi est la notion des troubles moteurs d'origine psychique, troubles fonctionnels, c'e
9PINE ET PAUL COURBON Encore plus simple est la notion des troubles moteurs d'origine zraéca- nique, c'est-à-dire liés à de
chiques, méca- niques, n'épuisent pas la variété des manifestations motrices , hétérogènes, observées dans ces quinze mains.
Babinski et Froment. De ce groupe relèvent entièrement les troubles moteurs des IV et V, partiellement l'observation publié
umière de nos cas, dans chacun desquels les groupements de troubles moteurs : organiques, psychiques, mécaniques et réflexe
manifestations objectives qu'on a données comme signes des troubles moteurs d'ordre réflexe. A. Physionomie clinique spécia
cordances, constatées entre le siège de la blessure et les troubles moteurs produits, s'expliqueraient par l'existence de l
d compte en thérapeu- tique militaire de guerre, des manifestations motrices d'origine psychique,. (1) Alquier, Société de n
que Trélat invoquait une origine vasculaire et une paralysie vaso- motrice incomplète apportant un excès de nutrition à cert
nt dix ans après la résec- tion du coude. Depuis lors, la puissance motrice est restée stationnaire. Elle tendrait actuelle
d'état paraît surtout caractérisée par l'apparition des acci- dents moteurs , généralement de paralysie ou de parésie. Elle
deuxième phase, plus ou moins précoce, apparaissent des trou- bles moteurs spasmodiques, se traduisant par de la contracture
ette, en état d'apyrexie, par atténuation progressive des accidents moteurs , alors que les troubles sensitifs ont disparu d
sumé, on voit que la symptomatologie a été assez diffuse : troubles moteurs avec paralysie totale ou parésie ; état spasmodiq
de ces mouvements est beaucoup réduite. Il y a une certaine agitation motrice dans les muscles des membres inférieurs. La s
anti-syphilitique, lente amélioration. Plus tardivement, parésie du moteur oculaire externe et depuis développement de tab
SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 247 suivi, il présenta une polynévrite motrice et sensitive. Comme je ne connais le cas que d'
nerfs mixtes périphériques ou des plexus déterminent des paralysies motrices et parfois sensitives; tardivement peu- vent su
globe ; réflexes pupillaires très bons. Aucun trouble trophique, moteur ou réflexe des membres inférieurs. .. En somm
u niveau du centre de la face, dans la partie inférieure de la zone motrice prérolandique. C'est le plus souvent un foyer de
omatologie. Elle s'accompagne toujours d'autres troubles de déficit moteur ou intellectuel. Le mode d'apparition se fait p
e résultat. Mais, toujours dans ce' cas, il y a paralysie des nerfs moteurs de l'oeil (Vle paire surtout). La lésion étant
nt mettre sur la voie du diagnostic. Nous ne notons aucun trouble moteur ou sensitif associé. Ce n'est par conséquent pa
par un mécanisme différent de leur production normale. Les troubles moteurs remontent au minimum à quinze ans, peut-être à
on forcée des deux lèvres. Le masséter est innervé par la branche motrice du trijumeau. Il parait cependant jouer un rôle
ertheimer ont essayé d'expliquer ces compensations par l'adaptation motrice du triju- meau. Cette adaptation est sous la dé
iju- meau. Cette adaptation est sous la dépendance non de la racine motrice delà Ve paire, mais de sa grosse racine sensiti
autrement dit en annihilant ou sectionnant le trijumeau pure- ment moteur , on obtenait les mêmes effets. Dans ces condition
ier. Il semble bien que la racine sensitive a acquis les propriétés motrices . Les explications de ce fait ne nous paraissent
isantes., Faut-il, pour qu'un nerf sensitif acquière les propriétés motrices , qu'il soit d'abord vaso-dilatateur. Dans ces,
he exsudée en abondance agirait seule mécaniquement sur les plaques motrices . Le nerf sensitif est-il devenu moteur de façon
aniquement sur les plaques motrices. Le nerf sensitif est-il devenu moteur de façon indirecte ? Heidenhain soutient que ou
d'origine centrale, elle est d'ordre périphérique. Si le vrai nerf moteur , le facial en l'espèce, se régénère, le trijume
[soit naturel ou volon- taire. C'est dans le cerveau que réside le moteur de ce fluide, et quoiqu'il soit continuellement
N . le Prof. Ad. D'ESPINE. . On sait que la question de l'aphasie motrice a été remise en discussion depuis les travaux d
ies cérébrales infantiles, dont l'une représente un cas d'apha- sie motrice accompagné d'une parésie spasmodique, et l'autre
ontaire, ainsi que de l'écriture spontanée. Observation L Aphasie motrice . Diplégie spasmodique (PI. LV). R... Marie, âgé
à la vie intra-utérine. Lésions s'étendant des deux côtés à la zone motrice et ayant atteint à gauche le pied de la troisiè
de l'hémiplégie infantile; il s'agit presque toujours de l'aphasie motrice . - En 1884, mon élève Gaudard (3) cite dans sa
n n'observe ni agraphie, ni alexie, ni aphasie sensorielle. La zone motrice des membres supérieurs et inférieurs doit aussi ê
vivantes de la différence symptomatique qui existe entre l'aphasie motrice et la dysarthrie. L'aphasique ne parle pas, parce
Paris, 1906, p. 1291,- et 1907, p. 951. 2. J. Déjerine. L'aphasie motrice . L'Encéphale, mai 1907. 3. Ernest GAunAn. Conlr
nt t le siège d'une lésion très étendue qui prenait surtout la zone motrice droite. La rapide succession des symptômes, l
i que la partie antérieure de la bandelette optique droite. Le nerf moteur ocu- laire commun est aussi immédiatement intér
lobe central gauche, doit prédisposer à une irritation de la région motrice , se manifestant en une épilepsie typique. Cepen
net (2). Comme nous il oppose à la constance des troubles oculaires moteurs (ptosis, myosis, énophtalmie) l'inconstance des
ut être mesurée soit sur le nerf, soit sur le muscle, tant au point moteur que par excitation longitudinale. Le temps util
e, provoque quelques douleurs. A signaler enfin comme autre trouble moteur un tremblement total et intermittent de tout le m
la main, et dans la région de l'épaule, où prédominent les troubles moteurs . , La main présente un aspect spécial. Elle est
ngoscope; mais la lésion du nerf récurrent peut amener des troubles moteurs laryngés analogues. Le siège anatomique de la b
te concorde avec le siège de la blessure et la présence de troubles moteurs laryngés. Nous y voyons aussi une confir- matio
dilection pour les régions atteintes par les troubles trophiques et moteurs . , UN CAS DE NÉVRITE HYPERTROPHIQUE DE L'ADULTE
gmus). On note ici l'absence de troubles oculaires, et des troubles moteurs différents. é) Par des signes de la série név
des articulations et des épiphyses atteintes, aùcune incoordination motrice , aucun trouble trophique ; aucun trouble sphinc
jambes sont étendues. Il ne présente aucun phénomène organique : ni moteur , ni sensitif, ni réflexe. Il se plaint cependan
es dorsales. La réflectivité est normale ; il n'y a pas de troubles moteurs ni sensitifs. Le malade se plaint seulement de do
dessous de l'ombilic. On ne trouve pas de phénomèmes organiques, ni moteurs , ni anesthésiques, ni trophiques, ni vaso-moteu
e à Paul Brousse, le 14 novembre 1916. Il ne présente aucun trouble moteur ni réflexe. Les réflexes sont normaux. Il a eu du
voit pas de plis transversaux sur l'abdomen. Il n'a pas de troubles moteurs ni sensitifs. La réflectivité est normale. Le r
r les masses musculaires lombaires. Il n'a pas de troubles organiques moteurs ni sensitifs, à part quelques vagues douleurs,
58 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
essentiellement caractérisée par la triade des troubles sensitifs, moteurs et trophiques. Eh bien, il n'est peut-être pas
ontrée dans l'hystérie a\ec des caractères similaires. Les troubles moteurs : paralysies, convulsions, incoordination, trem-
venir il la Salpèlrière. Etat actuel (27 juillet 1890). Troubles moteurs . - Lorsque le malade est assis, on ne remarque
u deux fois par semaine. Pas de troubles trophiques. Troubles vaso- moteurs localisés à la moitié droite de la face et consis
t que sa parole était devenue embarrassée. Étal actuel. A. Troubles moteurs . - 1° llémiparôsie droite très manifeste. Au dy
trembler, en traînant légè- rement la jambe droite. Au point de vue moteur , il ne lui reste que de l'hémi- parésie du côté
se multilocu- laire. Du reste, deux ans après, ces mêmes troubles moteurs se repro- duisent dans des conditions analogues
ordons postérieurs doivent être affectés, comme dans l'ataxie loco- motrice . De là une de ces formes mixtes qu'il est toujour
que la sclérose en plaques portant exclusivement sur les cor- dons moteurs ne produit pas de troubles de la sensibilité, on
des crises gastriques caractérisées, comme celle de l'ataxie loco- motrice classique, par une douleur extrêmement violente,
SUJETS PRÉSENTANT AVEC OU SANS CRISES ÉPILEPTIFORMES , DES TROUBLES MOTEURS ,. OU PSYCIIIQUES i Le titre de ce travail en
pinion sur le témoignage seul des parents. Les fonctions corticales motrices , pour n'envisager que celles-là, paraissent si
érébrale partielle ou la porencéplialie peuvent amener des troubles moteurs variés, de l'épilepsie et,jusclu';1 l'idiotie. 1
inéaire est aussi le procédé à suivre si l'on veut débrider la zone motrice ou rolandique, ou mettre à décou- vert le centr
est peu fait pour frapper. Par contre, la généralisation du trouble moteur , sa localisation aux deux membres inférieurs, à
révèle le dia- gnostic, on se borne souvent à contrôler l'impotence motrice , à la qualifier de paraplégie et à passer outre
être complète du incomplète; entre la parésie légère et l'impotence motrice absolue, il y a place pour un certain nombre de
ur déterminer une paralysie des membres inférieurs. Cette paralysie motrice s'accom- pagne de troubles de la sensibilité cu
le même traumatisme donne lieu à la même para- plégie. Les troubles moteurs sont identiques aux précédents. L'anesthésie cu
brusquement avec une paralysie des membres inférieurs. Les troubles moteurs sont analogues à ceux des deux expériences préc
ervices hospita- liers : elles sont caractérisées par une impotence motrice complète, par la conservation des réllexes rotu
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite') Uns. XXVII
SALPÊTRIÈRE. Dans le cas de Seeligmüller, l'invasion de la colonne motrice s'est faite non plus par le bulbe supérieur mai
tuellement les origines nucléaires du facial, de la cinquième paire motrice , de l'hypoglosse, du vague accessoire (paralysi
nt été touchés les noyaux bulbaires du facial, de la première paire motrice , de l'hypoglosse, du vague accessoire (paralysi
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite') 1) Nous av
e ce fait qu'une lésion symétrique (en partie) des noyaux des nerfs moteurs du cerveau et de la moelle allongée (polioencép
un, la lenteur remarquable de l'affection. L'invasion de la colonne motrice se fait tantôt par la moelle, tantôt par le bulbe
est bien instruc- tif d'observer. Ce sont d'ailleurs des troubles moteurs que l'on rencontre chez tous les amyotrophiques
es il s'agit de lésions atrophiques et dégéné- ratives des cellules motrices : ce sont les seules dont nous nous IV. 1G ?
acher de la pie-mère; ses noyaux sont complètement dégé- nérés. Les moteurs oculaires externes sont représentés par de fins f
ux qui revenaient presque tous les jours, le matin; pas de troubles moteurs , sauf une certaine incertitude de la marche dans
passé par la phase des douleurs fulgurantes ni de l'incoordination motrice , il perd rapidement ses forces et devient parap
hie très prononcée des cellules ganglionnaires du noyau de l'ocnlo- moteur commun; la substance fondamentale paraissait inta
SALPÊTRIÈRE. Le noyau du trocliléaire est plus altéré que celui du moteur oculaire commun. Les noyaux du trochléaire dits
ps pituitaire et de la lame criblée, enfin de la région où pénètre le moteur oculaire commun, pour 2° longer le bord supérie
fet, il existait une dégénération portant surtout sur les noyaux du moteur oculaire externe et de l'hypoglosse, et à un de
n degré moindre sur ceux du DE L'O1'II'PIIALMOPLÉGIE EXTERNE. 245 moteur commun et du pathétique. Les fibres radiculaires
omsen : cette fois les hémorrhagies s'arrêtaient en bas au noyau du moteur oculaire externe et étaient entourées d'une zon
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX MOTEURS (Polioencéphalomyélite) (Suite et fin') t)
rrhagies capillaires ainsi qu'une hyperémie considérable; quant aux moteurs oculaires commun et externe, au pathétique et a
asculaires normales. Névrite inters- titielle et parenchymateuse du moteur oculaire commun, du moteur oculaire externe, du
e inters- titielle et parenchymateuse du moteur oculaire commun, du moteur oculaire externe, du pneumogastrique. En résu
ngée; expression d'une alté- ration systématique limitée des noyaux moteurs , elle mérite bien le 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
otale, produite par une altération de toute la lïl^LUA}> colonne motrice bulbo-protubéranticlle; débute ordinairement par
ricité et l'engagea à entrer à l'hôpital. État actuel. - Troubles moteurs . Membres inférieurs. - 1° Membre inférieur droi
membres supérieurs et le reste du corps ne présentent aucun trouble moteur . Dynamomètre : main droite, 46; main gauche, 43.
e faut-il de plus pour affirmer l'ori- gine hystérique des troubles moteurs et urinaires qu'il présente ? L'hystérie est en
de points hystérogènes. Pas d'attaques. A la sortie, la paraplégie motrice est améliorée, mais non guérie. OBS. XXXII et
jour à l'autre on observe des différences notables dans l'impotence motrice ; la contracture a disparu brusquement après avo
mme si elle étouffait; les yeux restent entr'ouverts. 1° Troubles moteurs . Les membres supérieurs sont parfaitement mobil
réci concentriquement et de chaque côté à 65° en dehors. Troubles moteurs . 1° Chorée rhythmée classique du bras gauche. 2
che à quatre mains, etc. Pas d'abasie en un mot. Outre ces troubles moteurs et sensitifs et ces signes probables d'hérédo-
aine raideur des membres du eôté J droit. En somme, au point de vue moteur , il y a hémiplégie droite complète * et parésie
Cl1'1 : . 1. Parinaud et G. Guinon, Note sur un cas de paralysie du moteur oculaire externe et du facial, etc. (Nouvelle I
quet ; elle a plutôt l'air de glisser. Décembre 1889. Les troubles moteurs se sont encore amendés un peu; elle souffre tou
seule d'un lit à l'autre dans la salle. En mars 1890, les troubles moteurs sont toujours en amélioration croissante. Un jour
esthésie cutanée, au contraire, accompagne fréquemment les troubles moteurs de la névrose. Or cette anesthésie se présente
par une ligne perpendiculaire il l'axe du tronc. 2° Les troubles moteurs , l'exagération des réflexes, les trépidations s
ésume la symptomatologie. Yedrène mentionne un cas d'incoordination motrice disparue à la suite de la guérison des hémor- r
nt se retrouver dans la grande névrose. Et d'abord l'incoordination motrice . Déjà Duchenne de Boulogne ! avait longuement é
her7 appellent l'attention sur une forme particulière d'impuissance motrice dont M. P. Blocqe a donné la définition suivant
de leçons. M. Weir-MitcheIJ 10 a décrit aussi sous le nom d'ataxie motrice hystérique une incoordination analogue. Il est
nc, en résumé, rencontrer chez l'hystérique deux ordres de troubles moteurs : 1° L'astasie-abasie qui fera rarement songer
rapproche étrangement de l'ataxie tabétique. Mais l'incoordination motrice dans la névrose ne serait pas suffisante pour éga
ie locomotrice et en particulier de la maladie appelée ataxie loco- motrice progressive, Paris, 18G4, p. 57. 6. Leyden, Tra
urs qui s'accompagnaient très souvent de vomissements. Les troubles moteurs étaient si accusés qu'elle faisait à peine quelqu
omme dans un corset de fer ». Au mois de novembre 1888, l'impotence motrice est devenue absolue, et depuis lors la malade n
culaire et articulaire est également perdu. Tels sont les résultats moteurs et sensitifs généraux lorsqu'on examine la mala
ui de la maladie de Duchenne : d'abord, parésie avec incoordination motrice , puis paraplégie absolue; douleurs fulgurantes
etc. Elle n'a du tabès que les symptômes superficiels sensitifs et moteurs ; or, ceux-ci sont aussi fréquents dans l'hystér
i frappe, à première vue, chez ce .malade, c'est son incoordination motrice . Il marche péniblement, les mem- bres inférieur
symptômes réunis pour qu'on puisse songer au tabes : incoordination motrice ; douleurs analogues aux dou- leurs fulgurantes,
ffisamment démontré. En outre, il n'est qu'hystérique. Les troubles moteurs , l'incoordination motrice ne sauraient donner le
tre, il n'est qu'hystérique. Les troubles moteurs, l'incoordination motrice ne sauraient donner le change; ils ne rappellen
Westphal, des troubles oculaires, vésicaux, un peu d'incoordination motrice , plus de symptômes en un mot qu'il n'en faut pour
est survenue avec troubles dans la sensibi- lité. L'incoordination motrice , le signe de Romberg, les douleurs dans les mem
, étendue des pieds aux genoux. Enfin survient une incoordina- tion motrice analogue à celle du tabes. C'est un ensemble symp
y est parlé d'une hémiparésie gauche, de l'apparition des troubles moteurs à la suite d'une émotion morale, de la disparitio
me paraît exercer une influence sur la production de l'ataxie loco- motrice progressive. Il n'est pas très rare effectivement
gressive : douleurs fulgurantes, crises viscérales, incoordination motrice , troubles vésicaux, etc., tous signes qui peuvent
sive. Il nous semble inutile d'insister sur ce point. 2° Troubles moteurs . (a) L'incoordination des mouvements pré- sente
aux qu'elle prête rarement à la confusion. Et pourtant les troubles moteurs , l'incoordination même, ne sont pas exceptionnels
e, intelligente. Sa démarche est normale et ne trahit aucun (rouble moteur . Troubles de la sensibilité. 7létnàcttestltésie
et de la sensibilité, on constate des lésions nombreuses. Troubles moteurs et trophiques de la moitié gauche du corps. (a)
obligé d'avoir recours aux béquilles; il n'y a pas d'incoordination motrice ni de trémulation épileptoïde du côté gauche. L
u cou, on ne trouve rien de par- ticulier à signaler. 2» Troubles moteurs et trophiques de la moitié droite du corps. (a)
ois ans, et elle est stigmatisée aujourd'hui par son double cortège moteur et trophique; 2° Les manifestations hystériques
trophie du nerf optique et une amélioration de la parésie des nerfs moteurs oculaires commun et externe. Darier (19) a cons
59 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
chique du cerveau. Mais ce n'est que tardive- ment que les troubles moteurs ont apparu : d'abord intermit- tents, ils sont
tous nos soins contre eux; quand l'aura est d'origine sensitive ou motrice du côté d'un membre par exemple, on frictionner
ns le texte. Conclusions. 1° L'agitation psychique avec agitation motrice vive et continue; détermine une diminution de l
e l'irritation mentale, du traumatisme psychique, sur l'innervation motrice ou sensorielle. Ainsi apparaît l'hystérie, l'ob
ccentuent de plus en plus, les symptômes du tabes, l'incoordination motrice , comme les autres, s'affaiblissent et s'effacen
tions croisse dans un rapport arithmé- tique ; de même l'effet d'un moteur ne croit que dans un rapport arithmétique quand
paresthésies, les phéno- mènes d'excitation et de parésie de nature motrice , sensitive, sen- sorielle, vaso-motrice. Au poi
es sensibilités subissent la dégénéres- cence, et que dans le tabes moteur , les seules fibres de la sensibilité réflexe so
nt le col chirurgical de l'humérus et qu'en outre de leurs branches motrices , ils émettent une branche sensitive qui s'épuise
e sous le nom de signe de Weber une paralysie croisée comprenant le moteur oculaire d'un côté et le facial inférieur ainsi
côté gauche tandis qu'à droite, l'application du courant au point moteur symétrique, produit la contraction normale du tri
nt volontaire par action réflexe, par suite du voisinage des noyaux moteurs du trijumeau et de l'oculo- moteur. C'est l'his
suite du voisinage des noyaux moteurs du trijumeau et de l'oculo- moteur . C'est l'histoire des mouvements associés dans le
ganglionnaires du noyau de l'hypoglosse, du noyau ambi- guis (noyau moteur du nerf vague et du -losso-pharyn-ien), du noya
réticulaire. Le nucléus ambiguus est le noyau d'origine des fibres motrices du glosso-pharyngien et du spinal, et la source d
dinal postérieur du côté opposé, qui vient probablement du noyau du moteur oculaire commun. Le groupe de cellules postéro-
ment un état de douce satisfaclion, modérément accusé. Les troubles moteurs existaient dans tous les cas, mais à un degré m
mpérature s'est élevée à 40°. '166 SOCIÉTÉS SAVANTES. L'agitation motrice est extrême. La parole faible, incohérente. Les
les centres purement intellectuels, tantôt enfin sur les centres moteurs . Mais tout en attribuant à la prédisposition hé
thèse que la chorée ne sur- viendrait que chez ceux dont le système moteur est cungénitale- ment débile. On peut donc arri
s centres psychiques n'agissent pas ? ils sont excités. Les centres moteurs le sont aussi, puisqu'un homme qui souvent, à l
Ainsi, excitation des centres psychiques et excitation des ceutres moteurs ; cette épilepsie, loin d'être larvée, est, si l
mes somatiques. On constate chez certains malades de l'excitation motrice , de la fuite des idées, des modifications de l'hu
modifications de l'humeur, des symptômes de paralysie psychique ou motrice . La catalepsie, l'extase, l'immobilité sont des
circonvolution de Broca et la partie inférieure des circonvolutions motrices . La pointe des lobes frontaux est relativement
t malades particulièrement dans le gyrus rectus, les frontales, les motrices et le lobe temporal. Cette altération est remar
Le plan- cher du quatrième ventricule est un peu granuleux; le nerf moteur oculaire commun gauche est grisâtre et fortemen
t ou latéralement. L'épendyme est légèrement granuleux. Les nerfs moteurs oculaires communs présentent une légère infil-
l- tralion interstitielle, mais leurs tubes sont sains. Les nerfs moteurs oculaires externes sont beaucoup plus atteints
nts nerfs sont absolument sains, do même que la portion des nerfs moteurs oculaires externes qui traverse la protubérance.
rtout au ni- veau du gyrus rectus, des circonvolutions frontales et motrices et de la pointe du lobe temporal. Pourtant il n
s du sol. Les membres inférieurs sont le siège d'une incoordination motrice considérable, les réflexes rotuliens sont aboli
nullement atteints par cette lésion purement interstitielle'. Les moteurs oculaires externes, surtout le gauche, présentent
e, présentent une infiltration analogue, quoique moins intense. Les moteurs oculaires communs sont traversés, à leur origin
des nerfs optiques. Vessie paresseuse; constipation. Incoordination motrice ; signe de Romberg. Quelques signes de satisfact
par l'influence médiate du système nerveux central (troubles vaso- moteurs , etc.) combinée à l'influence immédiate des agent
te. Actuellement l'affection est à l'état chronique : les symptômes moteurs prédominent; plu- sieurs muscles présentent de
stingue trois formes à localisation (Wernicke, 18 H) : 1° l'aphasie motrice , par la suppression d'images représentatives des
chéma d'après lequel il y a sept formes d'aphasie, les deux espèces motrice et sensorielle se décomposant en variétés subco
ralysie de la troisième paire, du côté opposé, c'est-à-dire du nerf moteur oculaire commun. . M. le professeur Raymond m
agit d'un cas d'hémiplégie droite, coexistant avec une paralysie du moteur oculaire externe gauche. - Pour qu'une lésion u
le du lobe occipital, comparable aux'plié- - - nomènes d'excitation motrice de l'épilepsie jacksonienne, et'lià , . la prés
servent en outre à meltre en évidence la localisation des fonctions motrices de la moelle. P. S. XXXVIII. Traumatisme SUIV
- blait avoir affecté simultanément et progressivement le tractus moteur dans sa totalité, écorce, faisceau pyramidal, cor
otalité, écorce, faisceau pyramidal, cornes anté- rieures et fibres motrices avec état spasmodique et en même temps atrophie
lire hypocon- driaque, ou de négation, ils n'ont pas eu de troubles moteurs de la paralysie générale. - La première malad
era permis d'examiner les choses de plus près. Quant aux phénomènes moteurs que nous venons de décrire chez R..., leur ense
ant ceux de la chorée vulgaire : dans cette affection, les troubles moteurs sont d'abord limités à un côté du corps, il y a d
e sont essentiellement brusques et étendus, tandis que les troubles moteurs de notre malade se caractérisent avant tout par
e quelqu'un. La face offre aussi chez R... deux espèces de troubles moteurs : l'athétose avec ses contractions excessivemen
accidents cérébraux graves (apoplexie, hémiplégie droite, aphasie motrice et cécité verbale), entre à l'hôpital avec une hé
e la syphi- lis cérébrale.- M. LE FILLFATRE. Essai sur les troubles moteurs dans l'alcoolisme aigu, subaigu et cérébro-spin
ques de Om ? 25. Aux doses de 0mm,7 on obtient déjà de la paralysie motrice des deux jambes, de l'affaissement des muscles
produite par l'ab- sinthe produit son maximum d'effet quand la zone motrice est intacte, la décharge se fait par cette zone
ction des pupilles ou de leurs noyaux, des fibres de transmis- sion motrices , des faisceaux pyramidaux ou des cordons latéraux
41 cas dont36hommes et 5 femmes. La dégénérescence et l'atrophie du moteur oculaire cranien ont été trouvées dans 8 cas.
n mémoire sont les suivantes : 1° La grande majorité des cellules motrices de la moelle cervi- cale présente une dispositi
situé à la partie interne des cornes antérieures; 7° La fonction motrice d'une partie ou d'une extrémité quel- conque du
sorte d'autopha- gisme ; à cette période correspondent l'excitation motrice et les idées de grandeur; 3° les matériaux de n
e de raies ayant 'la même direction. 1. Type des cellules nerveuses motrices ; . 2. Type des grandes cellules de la corne d'
faisceaux de la couronne rayonnante composés de fibres sensitives, motrices et de fibres de la couche optique, et qui parai
fibres de la couche optique, et qui paraissent avoir leur appareil moteur propre. Tels le centre . REVUE D'ANATOMIE ET DE
ents des appareils sensoriels, dans le même rapport que les centres moteurs quant aux sensa- tions des organes moteurs, et,
rapport que les centres moteurs quant aux sensa- tions des organes moteurs , et, par suite, des centres corticaux ne sont p
nière étant elle-même sous la dépendance de la paralysie des vaso- moteurs . L'alcool n'est donc ni un aliment d'épargne, ni
ois précédée d'une phase d'allégement, surtout pour les fonc- tions motrices . Ajoutons à cette double influence de l'alcool la
(engourdissement des fonctions psychiques, excitation des fonctions motrices , eu- phorie). L'incurabilité des buveurs tient
entière des vertébrés, occupent des territoires dont les fonctions motrices sont démontrées. Ces éléments sont nettement diff
n les rencontre dans un point de l'écorce, on peut admettre le rôle moteur de ce dernier. Nous ne savons rien de précis su
. Les cellules nerveuses d'un même type, par exemple les cellules motrices , peuvent se présenter sous différents aspectssuiv
e de tous points à l'hys- térie ordinaire ; seuls certains troubles moteurs , sensitifs, visuels, nécessitent quelques remar
100, et agissent en déterminant habituellement un état d'excitation motrice ou psychique, accompagné de congestion de la fa
traitée la question de la transmission des impressions sensibles et motrices . A propos de la transmission de la douleur, ils
uliens sont complètement abolis. Le coeur participe à cette inertie motrice : ses battements sont, en effet. ralentis au po
ressions) ; d'ordinaire, abolition des réflexes. c). Troubles vaso- moteurs et trophiques (cyanose, oedème, altération de la
tres phénomènes sensitissousensitivo-moteursqui transforment l'aura motrice en une aura complexe. La direction de la rota-
nérale confirment la théorie qui y fait résider, unis aux centres moteurs , des centres pour la sensibilité générale : la di
oubles de nature sensitive s'amendèrent rapidement, les symp- tômes moteurs persistèrent plus longlemps. Tous les mouvements
légère confusion se surajoutait à ces manifestations d'asym- bolie motrice . M. Heilbronner (de Breslau). Un cas d'asymboli
lité de se tenir debout; puis sociétés savantes. 481 paralysie du moteur oculaire externe droit, ptosis bilatéral, inéga-
l'hypothèse soit d'une asymbolie sensi- tive, soit d'une asymbolie motrice ; il admet l'existence d'une asymbolie de conduc
compliqués sont plus fréquents, tantôt ce sont les mani- festations motrices qui s'exagèrent; tantôt la psychose à forme anx
ué ne paraissait pas en rapport avec l'étal psychique, les troubles moteurs et les auties modifications de la sensibilité.
mpes dans les extrémités. Paralysie survenue brus- quement des deux moteurs oculaires externes et parésie mani- feste, mais
ns). Un paralytique général tabétique pré- sentait une paralysie du moteur oculaire commnn droit coïnci- dant avec la pert
he. A l'au- topsie on trouva une dégénérescence accusée du tronc du moteur oculaire commun droit. Des coupes en série de l
es coupes en série de la région des noyaux du pathétique et du nerf moteur oculaire montrèrent l'intégrité des fibres et d
ues, S9. des aliénés en Allemagne, par ' Sérieux, n3. Asimbolie motrice , par Bonhoffer et lleilbronner, 4S0. Atwie hé
60 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ogie du phénomène en question. Par syncynésie on entend la réaction motrice de certains muscles qui se manifeste au moment
e mécanisme du spasme à bascule appa- raît clair. C'est l'impulsion motrice volontaire qui trouve de la part de l'observate
te et stéréotypée. Ces signes de profonde perturbation psychique et motrice , joints à des alter- natives excito-dépressives
ique, en associant ces phénomènes somatiques à des troubles psycho- moteurs assez bien déterminés, nous permet de les attribu
apé- zoïde. VA, quatrième ventricule. V, Vd, Vsd, trijumeau, racine motrice , racine e sensitive descendante. VI, VII, VIII,
es cutanés et ten- dineux sont normaux et il n'existe aucun déficit moteur appréciable. D'intelligence moyenne, ce sujet n
dans l'acte désiré. C'est naturellement quand les désordres sont moteurs que se manifes- tent le plus les insuffisances
remières. Le système sensitif est aussi plus atteint que le système moteur au dé- but de la maladie, quoiqu'il ne soit poi
lgésie avec l'anesthésie; ensuite viennent d'ordinaire les troubles moteurs . Ces phé- nomènes sont accompagnés de fièvre, s
slhésie, on peut se rendre compte de l'origine de certains troubles moteurs qui existent chez le : labéliques où il y a le
que la distance est raccourcie et le trajet simplifié. Celte forme motrice est propre aux étals d'anesthésie simple des tiss
tif, et à cause des connexions labyrinthiques, souffre des troubles moteurs adéquats aux lésions propres il sa maladie. En
mes aiguës ou actives de labyrinthisme dans les- quelles le trouble moteur est impulsif comme clans l'ivresse et dans les
iquement les branches musculaires des nerfs faciaux. Les troubles moteurs dans la lèpre nerveuse dépendent de la lésion s
e dans les nerfs sensilifs superficiels et profonds, dans les nerfs moteurs , dans les articulations et dans les autres tissus
le, tant au point de vue du conducteur qu'au point de vue du centre moteur . Il me semble très juste et très rationnel d'ad
tifs en toute préférence et bien avant ceux qui dépendent des nerfs moteurs , contribue à faire accepter le diagnostic 164 '
parfois dans ces régions dont le volume musculaire et dont l'action motrice volontaire sont en apparence à l'état normal et q
i explique-t-elle très clairement que certains symptômes sensitifs, moteurs el. trophiques, sont limités pendanl longtemps
a de l'atrophie. C'est l'atrophie, en effet, qui régit les troubles moteurs . Chez F..., la motilité volontaire est complète
superposent topographie- quement à ceux des troubles trophiques et moteurs et leur sont compa- rables Comme les troubles t
t moteurs et leur sont compa- rables Comme les troubles trophiques, moteurs et réflexes, ils diminuent de bas en haut et di
cile en raison des phénomènes concomitants : sen- sitifs, réflexes, moteurs , électriques ; en raison de la discordance entre
, elles sont très variables; elles portent avant tout sur les nerfs moteurs et spécialement sur les filets musculaires qui
isième circonvolution frontale, l'oper- cule rolandique et l'écorce motrice voisine, elles déterminent une forte dégénéresc
effet, que ce noyau affecte des rapports d'une part avec les noyaux moteurs du bulbe et les cornes anté- rieures de la moel
sme de la motilité est soumis à I influence coordonnéede deux voies motrices essentiellement et primitivement distinctes : l
fait partie du mécanisme régulateur et inhiba teur de nos activités motrices . Il est certain qu'à la naissance, nos mou- vem
du facial, puis- que dans les lésions siégeant au niveau de la zone motrice , le malade ne peut contracter le facial inférie
o- miques. Il eat probable, en effet, que l'apparition de désordres moteurs aussi variés est soumise à l'influence simultan
rmir; sa somnolence à ces moments est invincible. Pas de troubles moteurs . Réflexes cutanés, tendineux et muqueux normaux
de petites cicatrices arrondies, pigmentées en rouge brun. Troubles moteurs . Tous les mouvements actifs du poignet et du coud
paule gauche que de la droite. Ces douleurs légères, ces troubles moteurs au niveau des deux épaules sont antérieurs au z
- L'éruption n'a laissé que des cicatrices pigmentées. Les troubles moteurs ont persisté : ils sont exactement superposables
frappe plus ou moins tous les muscles inversés par les cinq racines motrices du plexus brachial. Les réactions électriques c
ent superposition topographique des troubles érup- tifs, sensitifs, moteurs , électriques, et disposition radiculaire de ces d
usculaires reste une image cénesthésique douée d'une forte tendance motrice , d'où l'impulsion auto- matique à l'acte. J'ai
e une image' cénesthésique fixe, douée d'une tendance 'affective et motrice très vive, d'où l'impulsion automatique à l'acte.
ement s'expliquer si l'on n'admettait pas la persistance des images motrices (James), etc. La présence d'une imagé cénesthés
xe doit être invoquée non seulement dans les phénomènes hystériques moteurs , mais aussi dans les sensitifs, car toutes les im
toutes les impres- sions sensorielles s'accompagnent d'une réaction motrice et d'une image cénesthésique, qui peut être rév
les qui tirent leur origine des impressions sensitivo-sensorielles, motrices et viscérales. La condition fondamentale de l'a
r le désir de faire tel ou tel acte dépend du potentiel affectif et moteur se liant à l'image céIle,lliési4.ue de l'acte l
thésiques correspondantes, douées d'une forte tendance affective et motrice , et par suite dans l'action. C'est par cette hy
uttes de nitrite d'amyle ; des cas d'hémiplégie droite avec aphasie motrice , ou sen- sorielle, qui suggéraient tout à fait
ages cénesthésiques fixes, douées d'une forte tendance affective et motrice , qui, attirant sur elles-mêmes tout le dynamisme
t de Ferrier (1876) ne semblent laisser aucun doute sur la fonction motrice de cet organe. Les idées que se faisaient ces a
noyau lenticulaire sont frappés simultanément, les troubles d'ordre moteur sont maintenant attribués exclusivement à la lési
montrer l'action du corps sirié é sur l'organisation de la fonction motrice paraît douteuse, au moins aux yeux d'un certain
, IU09) faisait ses expériences sur le chien. Il détruisait la zone motrice et provoquait ainsi une dégénérescence du faisc
clinique. Il me semble que l'état actuel du problème de la fonction motrice du' corps strié peut être résumé ainsi : . ,
hémiplégie. La possibilité d'une certaine localisation des fondions motrices est admise. Pour la majorité des physiologistes
VELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. 11VII. hL. 1LVIII TROUBLES MOTEURS DANS LES LÉSIONS DU CORPS STRIÉ (W. van Woerkom
s dont souffre encore le malade se sont manifestées. Les troubles moteurs se sont accentués progressivement : jusqu'en juil
it propagé au faisceau pyramidal gauche pour expliquer les troubles moteurs . Celait, en quelquesorle, un chapitre des paraplé
is périodes. La première caractérisée par des troubles sensitifs et moteurs des membres inférieurs, déjà décrite et discuté
Iconographie » de 1905. Dans la seconde, les troubles sensitifs et moteurs , qui ont déserté ces extrémités inférieures, vont
ssi une protrusion des globes oculaires, des paralysies des muscles moteurs de l'oeil, le nys- tagmus, la réaction hémiopiq
gulière. ' L'examen des fonctions nerveuses ne révèle aucun trouble moteur , aucun trouble de sensibilité superficielle au
s foyers encéphaliques dans la zone ou dans le voisinage de la zone motrice . Il faut donc admettre que l'épilepsie essentie
ystème nerveux central (par exemple le noyau du valgus, le noyau du moteur trijumeau), à l'opposé 396 BOLTEN d'autres pa
tions : ['instabilité et l'irritabilité. L'instabilité, psychique, motrice ou viscérale, est l'une des caracté- ristiques
l'une des caracté- ristiques de la débilité nerveuse L'instabilité motrice et l'instabilité psy- chique sont les plus évid
nr attention, et pour un temps 'relativement court. L'instabi- lité motrice des muscles de la face (tendance aux tics et aux
e émotion forte, causent des réac- tions astro-hépato-inteslinales, motrices , sensitives et sécrétoires. On dirait que le pl
s. Réactions hystériques et hystéroïdes. Réactions convulsives et motrices diverses. Voilà, comme je vous l'ai dit, les pr
la fatigue précoce. Ces modifications se manifestent dans la sphère motrice , sensitive ou psychique. ' Elles peuvent être
do la personnalité psychique des éléments sensitifs, son= soriels, moteurs ou viscéraux de l'organisme. L'hystérie correspon
nce. L'irritabilité facile de l'écorce cérébrale pour les décharges motrices convulsives inconscientes prouve le degré d'mféri
le de connaissance, indique la facile désagré- gation des fonctions motrice et psychique. Celte façon de voir me semble si
apparentes. Ues tumeurs, méningites, traumatismes des zones; dites motrices , de l'écorce cérébrale, peuvent occasionner des
61 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nerveux se peut transmettre des or- ganes de réception aux organes moteur sans passcr par le corps de la cellule. Tout ce
membres) avec paralysie gauche de qua- tre nerfs crâniens : facial, moteur oculaire commun, auditif et trijumeau, et avec
ec hémiasy'nergie gauche, et tremblement inten- tionnel. La branche motrice du trijumeau n'étant pas paralysée la lésion do
cécité littérale, syllabique et verbale, sans agraphie, ni aphasie motrice , ni surdité verbale, et de l'héinia- nopsie hom
Tête : Rien à noter. 'Tronc : Courbature lombaire, pas de troubles moteurs ou tro- phiques, les 3 points d'une névralgie l
des mains et des avant- bras. ' n 0 Membres inférieurs : Troubles moteurs : Le malade marche avec peine et peu longtemps
lcooliques du malade, l'intensité légère des troubles trophiques et moteurs dans les membres infé- rieurs, les douleurs con
manque de troubles sphinctériens marqués, la légèreté des troubles moteurs et trophiques, peuvent bien relever du fait que
cheval était bien plus évidente, bien plus complète ; les troubles moteurs , les troubles trophiques, les troubles sensitif
la convergence, a conserv é la conductibilité complète de l'oculo- moteur commun. Pour rechercher l'état de la voie centrip
sceau latéral des pyramides n'a pas été sectionné, que la paralysie motrice rétrocédera et que le patient récupérera la fon
: destruction et atrophie des centres etconducteurs cérébro-spinaux moteurs ou trophiques et période ultime deshémorrhagies
nt des libres sensitheset de leur connexion étroite avec les fibres motrices dans le même hémisphère. Le trac par asynergi
Les méthodes de rééducation en thérapeutique (rééducation psyliique motrice , sensorielle et organique) ; par le 1), GoNT>
la rééducation. L'éducation, en soi, se caractérise dans la sphère motrice par la création d'un mécanisme automatique, c'e
auteur envisage ensuite, dans une deuxième partie, la réédu- cation motrice , d'abord dans les troubles delà coordination (ata
nctionnels, et aussi pour lutter contre l'amnésie et même l'aboulie motrice , si fréquentes dans ces maladies. Passant à l
tion qui consiste dans un trouble portant à la fois sur le système moteur et sur l'étal mental), l'auteur conseille d'amene
ues , eti'existence de grandes attaques (chu- tes, cris, phénomènes moteurs ) ou de petites attaques (ni chute» ni cris, mou
scendante au sens exact du mot,mais de cellulo-névrite,de neuronite motrice antérieure), au profit encore des réactions cel
se fait sournoisement, insidieu- sement, sans réaction sensitive ni motrice ; et en cas de gué- rison confirmée,chacun sait
ndant toute l'évolution rabique,le siège de phénomènes sensitifs ou moteurs . Peut-être même, dans les rares observations où
et la diffusion des douleurs,et par l'adjonction des symptù- mes moteurs , de spasmes,de tremblements. Le branle-bas peut
e la névrite se ré- vèlent par la douleur, les troubles trophiques, moteurs , sen- sitifs, objectifs, par la raréfaction du
comme pour les rani- mer, représentant ainsi une sorte de réaction motrice contre une sensation d'engourdissement. Dans d'
tielle : il se basera sur la non-existenced'hallucinations psycho- motrices et psyclio-inhibitrices, ,'d'liillucin*ations psy
queurs nous frappent surtout par le déséquilibre de leurs fonctions motrices , leurs accidents convulsifs ne sont souvent que
tunément, ou du moins à savoir y proportionner leurs réac- tions motrices . - Essai de classification des maladies mentale
230 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. les muscles moteurs du thorax proprement dits, qui en modi- fient l
ts'expliqueranatomiquement ain- si. La respiration est une fonction motrice qui ne peut exister qu'à la condition que les m
e pneumogastrique, le phrénique et les in- tercostaux. Les, centres moteurs de ces nerfs sont échelonnés tout le long de la
bonique, on doit admettre aussi des actions synergiques des centres moteurs que nous venons d'énumérer et dont les fonction
et dont les fonctions sont réglées,comme celles des autres centres moteurs , par des sensations musculaires, articulaires,
Et l'étendue même des étages de la moelle occupés par les centres moteurs des muscles respiratoires montre que la fonclion
romise chez lesataxiques. Il est possible de traiter ces troubles moteurs par des exercices méthodiques. On peut objecter
n des mouvements semble s'appliquer naturellement aux fonc- tions motrices de la vie de relation (qui sont toujours l'objet,
nce, pourront en ce cas, comme dans d'autres désordres de fonctions motrices , exercer une ac- tion curatrice prépondérante.
mmun l'élévation de la température du côté atteint par les troubles moteurs , il existe également, outre les autres altérati
nous concluons que : le sterno-mastoïdien tire son innerva- tion motrice du groupe central des deux premiers myélato- me
le noyau du facial, le second groupe neural sert à l'in- nervation motrice des muscles stylo-hyoïdien, stylo -glosse et du
muscle temporal. Ce qui reste encore de ce noyau donne les fibres motrices au masséter et aux muscles ptérygoïdiens. Lésio
ion, les points excités de nos différents organes et les mécanismes moteurs mis en branle. Il convient, en outre, de rappel
turne et diurne, suivant leur degré, s'accompagnent d'une agitation motrice considérable, parfois suivie de stupeur. L'inso
pas représentés ; la combinaison des images ne s'accomplit pas, le moteur interne n'existe plus. Chez l'homme, où les abl
ne peut y avoir de conscience du corps en l'absence de faisceaux moteurs , car notre conception toute schématique de la d
suivant : odorat (3), vision (Il), audi- tion (5). Mais aucune voie motrice n'est développée à la naissance. Il faut attend
troisième semaine de la vie extra-utérine pour trouver des fibres motrices en voie de myélinisation. Ce n'est d'ailleurs q
uvait-on constater une 1 diminution très légère dans les phénomènes moteurs pendant la nuit. » La différence parait entière
veille des états de sommeil. 11 y a des oscillations de l'activité motrice que l'évolution ontogénique et l'éducation cr-
faisceau fondamental antérieur et les fibres courtes d'associations motrices et sensitives. Le rôle du faisceau fondamental
l'importance en indiquant ses rapports anatomiques avec les noyaux moteurs de 'l'hypoglosse et les cellules d'origine des
noyaux moteurs de 'l'hypoglosse et les cellules d'origine des nerfs moteurs de l'oeil.Il transmet les impressions qui sembl
s descendantes.Il met en relation les lobes optiques avec les nerfs moteurs de l'oeil et les nerfs des muscles de la tête,
herches sur les chiens nouveau-nés, est très affirmatif sur le rôle moteur de ce faisceau.. « On sait, dit-il, d'une façon
voies pyramidales ne sont pas les seuls conducteurs des impulsions motrices : en effet : 1° après l'ablation totale de la z
ices : en effet : 1° après l'ablation totale de la zone corticale motrice ou après section des pyramidales, les animaux n
La moelle est donc suffisamment pourvue de fibres sensiti- ves et motrices et l'excitation peut bien parvenir aux ra- cine
eo, Paul Bert et lTaracci, en combattant la théorie des cen- tres moteurs de la moelle, ont démontré que l'excitation des
re de M. Vurpas. Si dans son bulbe on ne rencontre pas de faisceaux moteurs , les fibres sensitives y sont bien constituées,
bien constituées, en rapport avec des racines des troncs nerveux du moteur oculaire externe des septième et huitième paire
ullaire et l'activité des (1) SANO. Les localisations des fonctions motrices de.la moelle epiniere. Annales de la Société mé
é médico-chirurgicale d'Anvers, An- vers, 18';)8, Les localisations motrices clans la moelle iomhn-snen'0. Ibid. (2) Gf :
s eu bon état fonctionnel chez l'anen- céphale assurent la synergie motrice (1). Au moment de la naissance, le foetus devie
ous voyons apparaître au- dessus des couches optiques les fonctions motrices des coips striés ; et plus tard, les fonctions
vraisemblablement aucun rôle dans leur activité, puisque les voies motrices pyramidales n'existaient pas dans le névraxe. I
e se présente comme un fait nouveau lorsque le cerveau et les voies motrices du nevraxe se constituent On observe vers le ci
e d'une lésion commune, la dégénérescence primitive du protoneurone moteur ou de son annexe, la fibre musculaire. Et il y
é ni des sphincters ; c'est-à-dire rien que des phénomènes purement moteurs , dont la particula- rité est qu'ils se manifest
ontribution anatomo-palhologique à l'élude des localisa- ! ! 0)<.; motrices dans la moelle de l'homme. Examinant la moelle
ab, iqué sur. mes indications par l. Bercut, actionné par un de ses moteurs et que j appelle hypnocyanotrope : la rotation de
formes du langage, on peut considérer un élément physique purement moteur eL un élément psychique ; cette distinction, fa
souvent du même coup un fonctionnement défectueux des appa- reils moteurs et intellectuels. , Les modifications de l'arti
lhrnlaliques) reconnaissent comme principale cause l'incoordination motrice des muscles de la langue et delà face. Les Lr
qu'à la faiblesse irritatde dus lénie nerveux. Parmi les accidents moteurs , on observe presque constamment inégalité et in
les ; ace moment, il n'existe généralement pas d'autres sv Diplômes moteurs . 11" L'évolution de la maladie a notablement ch
troubles du langage consistent en accrocs transitoires, en aphasies motrices transcorticales, ou en aphasies sensorielles (sur
eurs, des formes maniaques oUI11l\lancoliqnesl'at'es. des psychoses motrices akinéliques hyperkinétiques ou parakinéli- ques
bacilles de Koch ; au contraire, des lésions intenses des cellules motrices dorso lombaires. Philippe interprète le cas com
iens dès maintenant il attirer l'attention sur des troubles vaso- moteurs qui m'avaient échappé et qui parleur constance
des malades atteints d'affec- tions à manifestations exclusif ement motrices (paralysie agitante, goitre exophtalmique, chor
ès, sclérose en plaques, crampe des écrivains, etc.) ; ou à la fois motrices et intellectuelles telles fM eo'tcatM, etc.) ;
s motrices et intellectuelles telles fM eo'tcatM, etc.) ; ou a fois motrices et intellectuelles telles que l'épilepsie, l'hy
nces., 1904.) Prix Broca. Soc. d'Anthropologie 1904.) z 25. Aphasie motrice à répétition chez une morphinomane, en collab.
2. Les de rééducation en thérapeuti- que (rééducation psychique motrice , sensorielle et orga- nique), par Contet, p. 14
62 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
modifications dans l'excitabilité mécanique et électrique des nerfs moteurs et des muscles. Ces modifications ont été signalé
résume ainsi (l. c. p. 124) : « L'excitabilité mécanique des nerfs moteurs est normale ou diminuée, celle des mus- (1) See
de difficulté. En août 1885, aggravation considérable des troubles moteurs aux jambes et aux bras. Il en arrive à marcher
étudierons plus longuement au cours de ce travail. Pour les nerfs moteurs , l'excitabilité mécanique est diminuée. L'excitab
lle de l'excitabilité mécanique, faradique etgal- vanique des nerfs moteurs . I Excitabilité DES muscles par LES courants
on étant la même, l'ac- tion devrait être identique pour les fibres motrices ou les fibres sensitives. Cependant les résulta
res manifestations de l'athétose double sont tantôt les trou- ])les moteurs , tantôt les troubles intellectuels qui s'offrent
ître complètement pendant l'état de veille. Rapidité. Ces désordres moteurs peuvent être enregistrés scienti- fiquement par
étosiques. Warner (1) en Angleterre a proposé en 1883 « un gantelet moteur », qui inscrit les secousses indépendantes de cha
Parole. La parole est fréquemment altérée par suite des troubles moteurs de la langue, des lèvres, du voile du palais, aut
elles sont excessivement 3. - Symptômes accessoires. I. TROUBLES MOTEURS . Contractures. Nous avons vu qu'on observe des
ue tous les auteurs ont rencontré simplement une légère impo- tence motrice par l'effet de l'inertie, de la contracture ou de
s des mouvements volontaires, ceux produits notamment par un influx moteur volontaire, unique, brusque et énergique. Lorsq
uchenne période prodromique. Elle précède en effet l'incoordination motrice ; mais remarquez-le bien, elle peut durer quatr
ous attendiez pour faire le diagnostic la venue de l'incoordination motrice , vous pourriez être fort en retard. Déjà, cela
Autant que l'asymétrie du tronc permettait d'en juger, les muscles moteurs du rachis étaient indemnes, et de force égale d
vement liées à la paralysie ou à la contracture de certains muscles moteurs du rachis. Nous écarterons pour le moment les thé
idence et clairement expliqué, une paralysie symétrique des muscles moteurs du rachis lombaire produit la lordose, aussi bi
A SALPÊTRIÈRE. Résumé. Les paralysies et contractures des muscles moteurs du rachis détermi- nent des déviations. Ces dév
r au niveau des glo- bes oculaires, il s'agit toujours des troubles moteurs plus ou moins mar- qués dans le jeu des muscles
e presque toujours dans ce dernier. D'habitude ce sont les troubles moteurs qui ouvrent la scéne consistant' essentiellemen
er à marcher qu'à un âge déjà avancé. On n'observe pas de paralysie motrice à proprement parler dans l'athé- tose double. L
suivent dans une certaine mesure une marche parallèle aux troubles moteurs . Au début l'in- telligence est souvent atteinte
vons pas obtenu de modifications appréciables du côté des troubles moteurs . '. Dreschfeld et Bourneville conseillent la gy
état spasmodique, et peut-être parfois d'une paralysie des muscles moteurs du rachis. Myopathies primitives. . On obse
yse toutes ces scolioses sont dues à l'action dominante des muscles moteurs du rachis d'un côté du corps ; il existe, soit un
de ce genre. Nous ne croyons pas que l'action vicieuse des muscles moteurs du ra- chis ait pu produire la scoliose de Balt
lles de l'excitabilité mécanique, faradique et galvanique des nerfs moteurs . Le temps, dont nous disposions, ne nous a pas pe
à 0",025 et 0",030. Excitabilité mécanique, et galvanique des nerfs moteurs . L'ex- citabilité mécanique des nerfs moteurs é
galvanique des nerfs moteurs. L'ex- citabilité mécanique des nerfs moteurs était diminuée chez notre malade, comme c'est l
tion myotonique, MyR, les modifications de l'excitabilité des nerfs moteurs et celles de l'excitabilité des muscles sont très
de l'excitabilité des muscles sont très différentes. Pour les nerfs moteurs l'excitabilité mécanique, faradique et galvanique
es de l'exci- tabilité mécanique, faradique et galvanique des nerfs moteurs et des mus- cles. Ces modifications, dans la ré
La maladie de Friedreich présente non seulement de l'incoordination motrice , mais encore même au repos, une sorte d'instabili
s multi- pliés, plus variés, plus irréguliers ; 2° l'incoordination motrice , la préhen- sion des objets se fait d'une façon
2 août elle sortait de l'hôpital complètement guérie de son trouble moteur . On ne peut nier cependant que l'hystérie, cett
à la Salpêtrière. Le mécanisme du fauteuil est mis en marche par un moteur électrique et trois fois par semaine il nous faut
asque est surmonté d'un plateau sur lequel se trouve placé un petit moteur spé- cial actionné par une simple pile. Tout l'
nsi dire sans interrup- tion sans crainte de dérangements. Le petit moteur donne environ 6,000 tours à la minute, tous trè
avec l'appareil actuellement employé ; c'est là une pure question de moteur . Parfois se trouvera-t-on bien de couper la séa
irectement à bras mais qu'il est beaucoup plus facile d'employer un moteur à gaz, à vapeur, électrique ou à air comprimé.
moule exactement sur toutes les têtes. Aussitôt en place on met le moteur en mouvement en pla- çant les fils de la pile d
coup avec l'index la petite pièce de cuivre située à l'extrémité du moteur . La durée moyenne de la séance doit être de 10 il
purement mécaniques ; le mouvement est transmis au fauteuil par un moteur qui peut être très varié : électricité, vapeur, g
peut être très varié : électricité, vapeur, gaz, air comprimé ; le moteur du casque est actionné par une pile, mais il est
e de l'hystérie, pas plus que sous la dépendance des troubles vaso- moteurs ; quant à ces troubles vasomoteurs eux-mêmes, à l
ssifs de flexion, d'exten- sion et d'abduction. Malgré ces troubles moteurs , la marche est possible : elle est cependant gê
il est incontesta- ble que certains malades présentent des troubles moteurs (mouvements involontaires), presque analogues à
i les lésions corticales du cerveau, que celles des localisa- tions motrices , affectant par conséquent les trois circonvolutio
quent les trois circonvolutions dont l'en- semble constitue la zone motrice (frontale ascendante, pariétale ascendante, lob
garer dans l'inconnu et à n'accepter comme certains que les centres moteurs dont on peut prédire à coup sûr la lésion corre
mes hystériques simulateurs de chaque forme de lésion des cen- tres moteurs . Or, ces formes varient surtout suivant l'étend
rigine corticale sont produites par des lésions étendues de la zone motrice . Les paralysies partielles sont produites au co
es lésions corticales du cerveau. (1) Charcot et Pitres, Localisai, motrices de l'écorce cérébrale. Revue de médecine, 1883.
ificatifs de l'hystérie. Passons à présent à l'étude des phénomènes moteurs : Nous commençons par observer un tremblement d
naître chez ceux- ci comme chez celles-là, l'idée de l'impuissance motrice du membre. Eh bien ! par suite de l'obnubilatio
ntre que la règle s'applique aux nerfs vaso-moteurs comme aux nerfs moteurs des mus- cles striés et aux nerfs sensitifs, et
de la contracture de l'hémiplégie dans l'ex- citation des cellules motrices de la moelle épinière, par l'intermédiaire des
es fibres sont sclé- rosées, la source de l'excitation des cellules motrices en question doit être épuisée. La contracture d
partie thoracique supérieure du grand sympathique, les fibres vaso- motrices qui accompagnent les artères sous-el a, ière et v
excite certaines fibres et que l'excitation est portée aux cellules motrices de la moelle et aux fibres qui en partent. Le s
écédente. Leprocessus mor- bide exagère l'excitabilité des cellules motrices , les impulsions centrifu- ges sont traduites pa
excessifs ; elles sont en outre por- tées d'un groupe des cellules motrices aux groupes voisins; de là les mouvements acces
un -), par Féré, 89. Faradisation thérapeutique des nerfs vaso- moteurs et du nerf pneumogastrique, par Katicheff, 368.
63 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
: hyper-esthésie, anesthésie, hyperkinésie, akinésie, incoordination motrice , etc. Mais, pour n'avoir d'intérêt qu'au point de
e mettre ces lésions sur le compte de l'anesthésie et de la paralysie motrice , par suite des-quelles l'animal reste constamment
male des muscles, à la suite de la section ou de l'excision des nerfs moteurs et mixtes chez les animaux. — Faits pathologiques
logiques où il s'est produit une lésion quelque peu intense d'un nerf moteur ou d'un nerf mixte, l'existence d'une rapide et p
bsolument de même lorsque la section porte sur un nerf exclu-sivement moteur . Déjà M. Longet avait fait voir que, tandis que l
qu'elle nous présente se rapportent à des lésions de nerfs mixtes ou moteurs , survenues soit spontanément, soit à la suite d'u
la suite de la section et de l'excision des nerfs mixtes ou purement moteurs , c'est-à-dire en dehors des conditions qui produi
sculaires qui se produisent à la suite des lésion» passives des nerfs moteurs ou mixtes ne se séparent pas essentiellement, au
u la perte de la contractilité est, vous le savez, après la paralysie motrice qui, dans la grande majorité des cas, ouvre la ma
e faire ressortir. Est-il vraisemblable que, dans ces cas, les fibres motrices auront subi des altérations profondes, tan-dis qu
ralysie des nerfs vaso-moteurs concomitante de la paralysie des nerfs moteurs musculaires. Parmi les arguments qu'on peut faire
,en con-séquence des lésions irritatives des nerfs mixtes ou purement moteurs . Or, s'il en est ainsi, les dissidences que nou
rrait voir survenir, en con-séquence de la participation des cellules motrices , une atro-phie plus ou moins rapide et plus ou mo
ne réduction très manifeste ; de plus, le groupe externe des cellules motrices a complètement disparu et l'on voit à sa place un
ndant et y avait déterminé l'atrophie d'un certain nombre de cellules motrices . 1. Chez une femme atteinte de sclérose multiio
les tant qu'elles n'intéressent pas le système des cellules nerveuses motrices . On ne conçoit guère d'exception que pour le cas,
tilité électrique dès le sixième jour après l'accident. de cellules motrices {Fig. 2). La névroglie, dans les points al-térés,
araitévident, d'après loutce qui précède, que les cellules ner-veuses motrices sont bien réellement le siège primitif du mal. Le
es relativement au rôle de l'altération des cellules nerveuses, dites motrices , dans la pathogénie de l'atrophie musculaire no
n fait essentiel l'altéra-tion profonde d'un grand nombre de cellules motrices , dans les régions de la moelle d'où émanent les n
de cellules nerveuses et leur fait perdre subite-ment leurs fonctions motrices . Quelques cellules, légèrement atteintes, récupér
s, p. 683. New-York, 1861. 1. Sur l'atrophie des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infantile, consultez : Prévost,
sculaireprogressiveoffre à étudier l'atrophie irritative des cellules motrices dans son mode chronique (2). Il ne s'agit plus ic
loc. cit. — Vulpian, loc. cit. 2. Voir sur l'atrophie des cellules motrices dans l'atrophie musculaire progres-sive : Luys, S
e l'amyotrophie progressive liée aune lésion irritative des cellu-les motrices . L'une, protopathique, relève exclusivement delà
ctions se rattachent, elles aussi, aune lésion des cellules nerveuses motrices . La paralysie spinale de l'adulte rappelle celle
qu'au con-traire celles qui portent soif sur les agrégats de cellules motrices étages sur le plancher du quatrième ventricule, s
u de rechercher, Messieurs, pourquoi la lésion des cellules nerveuses motrices entraîne avec elle celle des fibresmusculaires, t
comparables en cela aux nerfs périphériques, — les cellules nerveuses motrices ont le pouvoir, lorsqu'elles sont devenues le siè
identelle. Jamais il ne s'était présenté aucun signe d'incoordination motrice . La malade marchait sans em-barras, sans mouvemen
ruption de zona apparut sur la cuisse du côté paralysé ; la paralysie motrice était surve-nue à peu près en même temps que l'ér
qué que les mouvements imprimés au genou gauche (côté de la paralysie motrice ) étaient un peu douloureux ; au-jourd'hui, on not
rès l'accident. (Gharcot). Sur la tuméfaction des cellules ner-veuses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans cer
aiusi dire, dans beau-coup de cas, avec le début de l'incoordination motrice . Sans cause extérieure appréciable, on voit, du j
3e Bd., 391. des cordons postérieurs, etalors que l'incoordination motrice est encore nulle ou à peine accusée. Les caract
ts, de tous les tissus. Tout au moi ns les nerfs tan t se nsitifs que moteurs , les muscles eux-mêmes deviennent-ils plus excita
e physiologie, t. VI, p. 108. par le fait de la paralysie des vaso- moteurs , sous l'influence du plus légerirritantmécanique
ère occupe précisément le côté du corps qui, en vertu de ia paralysie motrice , présente une élévation relative de la températur
lle ou sur les racines spinales sensitives. Pour ce qui est des nerfs moteurs , je ne vois pas d'argument sérieux qui empêche d'
ue dé-montre que cette diminution n'est pas réelle. Cette impuissance motrice paraît tenir en partie, nous le verrons, à la rig
accomplissement des mouvements qu'affaiblissement réel des puissances motrices . Le malade est encore capable d'accomplir, malgré
core capable d'accomplir, malgré le tremblement, la plupart des actes moteurs , mais il apporte à les réaliser une lenteur extrê
itante, de la chorée, de la paralysie générale et de l'incoordination motrice de l'ataxie. Symptômes céphaliques. — Troubles
x aides. Il est aisé de reconnaître que la cause de cette impuissance motrice est surtout la rigidité, comme tétanique, qui s'e
s'agit là d'un affaiblissement plus ou moins prononcé des puissances motrices des membres qui se manifeste fréquemment dès le d
ions ; mais un jour vient enfin où, par l'aggravation de la paralysie motrice , ils peuvent être confinés au lit. Les membres su
t rendre compte un jour des douleurs fulgurantes, de l'incoordination motrice et, en un mot, de fous les phéno- mènes du même
quée d'eschares au sacrum. — Autopsie: plaques scléreuses sur le nerf moteur oculaire externe gauche et sur les nerfs optiques
ve le plus souvent d'une lésion irritaiive des grandes cellules dites motrices (1 ). Contracture permanente des membres. Epile
en partie. Déjà nous vous avons l'ait remarquer que l'incoordination motrice , la perte de la notion déposition, les douleurs f
e de la moelle. Le corps strié, lui, serait l'abou-tissant du tractus moteur et en rapport avec l'exécution des mouvements vol
oitié correspondante du corps. Au bout de cinq semaines, la paralysie motrice diminua.—Sfév. 1853. Les mouve-ments sont tout à
ommence à apparaître, dans ce dernier cas, à l'époque où la paralysie motrice commence à s'amender. La lésion consiste dans la
é M. Brown-Séquard, occuperait le côté du corps opposé à la paralysie motrice . 3° Nous axions à relever encore bien d'autres
mique hystérique. Sommaire. — Symptômes. —¦ Caractères des troubles moteurs . — Analyse des mouvements du tronc, des membres,
nstances où se dévelop-pent fréquemment les divers phénomènes d'ordre moteur , para-lysies, con raclures des membresappartenant
male des muscles, à la suite de la section ou de l'excision des nerfs moteurs et mixtes chez les animaux. — Faits pathologiques
itante, de la chorée, de la paralysie générale et de l'incoordination motrice de l'ataxie. Symptômes céphaliques. — Troubles
hmique hystérique. Sommaire. — Symptômes. — Caractères des troubles moteurs . Analyse des mouvements du tronc, des membres, de
dans les lésions spinales, 128. Catalepsie, 447. Cellules nerveuses motrices des cor-nes antérieures de la substance grise de
Immobilisation des membres (Effets de 1'), 8, 12. Incoorbination motrice , 230. Infection purulente, suite du décu-bitus,
como-t r i c e ;. En p la q u es dissémiu ées .(Lé-sions des cellules motrices dans la—), 72 ; — et paralysie agitante. 159, — H
ractères qui le distinguent de la chlorée, 280, — de l'incoordination motrice , 230. Trépidation provoquée" du pied dans l'hys
64 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inution de l'acuité visuelle. N = 1/0 à 1 mètre. 3folilité. 0. D. moteur oculaire externe paralysé; mot. ocul. co., paré
t à leur volume, entre les cellules de ce dernier et les cellules motrices ordinaires. Au groupe intermedio-latéral corres-
territoires radiculaires voisins. Au point de vue des localisations motrices de la moelle ce cas offre également un certain
n à ce niveau des fibres do projection conduisant les in- citations motrices au membre supérieur du côte opposé, a été la ca
un penchant marqué à l'érotisme. Pour démontrer le rôle de l'image motrice dans l'acte sexuel ils invoquent encore l'influ
exuel consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'état moteur qui, arrivé à son maximum, présente une phase t
Dans la production de cet état et de ses différentes phases l'image motrice joue le rôle primordial. L'érotomanie qui est l
ie qui est le propre de sujets présentant des troubles de l'image motrice proprement dite, semble confirmer et affirmer par
r et affirmer par une autre voie le rôle et l'importance de l'image motrice dans la vie sexuelle. G. Der. IV. Note sur un
r que la limitation de la lésion correspond exactement aux troubles moteurs ob- servés, tandis que les troubles sensitifs s
-être sous l'influence débilitante de l'escarre, que les troubles moteurs se sont de nouveau accentués. Le plus souvent l
sphincters ont plus de tendance à la rétrocession que les troubles moteurs . Ici, ce fut juste le contraire; et les trouble
sphinctériens ont persisté sans changement, malgré l'amélioration motrice . L'assertion de Gurlt, à savoir : que. l'on ne do
se sont comportés les réflexes pendant la période d'amélioration motrice . S'ils étaient restés abolis d'une façonpersistan
avant l'internement avec les symptômes tabétiformes (incoordination motrice et abolition des réflexes). Obs. III. Malade
Normalement, .en effet, toute excita- tion d'un hémisphère (centres moteurs ) augmente l'excitabilité des centres correspond
excitation sensible bien localisée ; c'est un phénomène de réaction motrice extrêmement simple, in- variable, indépendant d
il y a plus, l'exercice de certains mouvements nécessite une action motrice 'le stabilisation, par exemple fixation du tron
, aussi servir à constater des lésions organiques des conducteurs moteurs , dans les cas où le réflexe de Cabinski manque ou
ue. Depuis, graduellement se sont développés des signes d'impotence motrice à l'occasion de certains mouvements volontaires
était telle, même dans les moments de repos relatif de l'appareil moteur , que notre malade devint rapidement inapte à exéc
. Mailla force musculaire est notablement affaiblie par l'agitation motrice . La force de pression est bien inférieure à la
faradisation, bien to- lérée, n'amène pas la moindre, exaspérai ion motrice . 174 CLINIQUE NERVEUSE. La sensibilité est
s sommes livré (l'examen des réflexes suivra l'étude des (roubles moteurs ). Ces examens ont été rendus particulièrement dif
également normaux. Pas de signe de Ba- binski. - L'incoordination motrice dans la marche, qui pourrait faire son- ger au
els à cette affection. (le la malade dans le service, l'agitation motrice est extrême. Repos au lit, potion de chloral. P
que doit se ranger notre observation. Malgré l'affaiblis- sement moteur que nous avons constaté, il ne s'agit pas de ch
: D'après les renseignements fournis par la malade, les troubles moteurs auraient subi une certaine exaspéra- tion du fa
velle attaque d'épilepsie et la veille seule- ment, que l'agitation motrice a reparu avec son inten- sité habituelle, et ce
se- rait une excitation partie de l'utérus et transmise aux zones motrices de l'écorce cérébrale. Le rôle de' la gros- ses
réagit cliniquement soit par une psychose aiguë, soit par une folie motrice , soit quelquefois par ces syndromes associés (T
'est elle qui rend le mieux compte de l'exacerba- tion des troubles moteurs , prodromiques de l'attaque d'épilepsie avec une
d et Cestan, et caractérisé par une hémiplégie alterne 4ensitivo- motrice , une paralysie bilatérale et symétrique des muscl
y avait destruction complète de toute la colonne grise des noyaux moteurs de l'aqueduc depuis le plancher du 3° ventricule
et Labordo lu noyau de l'abducens et les faisceaux radiculaires du moteur commun. 1 ? l'ISSOT. 1X\'lll. -Un cas d'acromég
au niveau des cornus antérieures de la moelle. De plus, les Doubles moteurs seraient également dus surtout à une hémorrliar
d'électricité..1. S. LV. Le réticulum neuroflbrillaire des cellules motrices dans la moelle épinière des animaux tétanisés ;
's()ula.cm'it)ilitt ? t).'usudunc)'t'acousti<)m'. Cet épuisement moteur et sunsilif surail dû la destruction du la gain
dité d'origine purement spinale, et que les altérations du faisceau moteur vn- lontaire sont la conséquence des lésions cé
iétal gau- che qui fut perforé. 11 en résulta la section de la zone motrice de la capsule interne gauche avec hémiplégie co
l'épilepsie avec troubles mentaux associés, mais pas de trou- bles moteurs , à la différence de l'observation précédente. D
ent d'excès alcooliques anciens et les dernières de l'incordination motrice d'une encéphalite commençante, enlevant au jock
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES LV1ll. -Recherches de la localisation motrice du membre inférieur dans la moelle de l'homme ;
ésions cellulaires qu'à partir du 3c segment lombaire. Les cellules motrices y sont réparties en 4groupes : anté ro-interne;
ieure ; ce sont les cellules qui représentent le début de la région motrice de la jambe dans la moelle : un peu plus bas, l
iens, surgir deux groupes de cellules plus grosses que les cellules motrices ordinaires, en rapport avec les péro- niers. Le
a plus de groupes susceptibles d'être en rapport avec l'innervation motrice du membre infé- rieur. IL Un homme de 2'J ttn
et post-postéro-latéraux. P. KERAVAL.. LIX. Des groupes de cellules motrices du renflement cer- vical chez l'homme déterminé
peut se résumer dans les considérations suivantes : « L'automatisme moteur dépendant d'une lésion des voie» pyramidales of
ssons qui ne sont pas encore soumis à l'influence directe des voies motrices volontaires. Les mouvements automatiques associ
statation d'un syndrome Lhalamique irritatif associé à l'hémiplégie motrice chez tous les malades présentant le phéno- mène
a couche optique une fonction active automatique dans l'innervation motrice des différents groupes musculaires. (Revue neur
lbaires mortels. P. T. XLVLHippus monolatéral dans une paralysie du moteur oculaire commun ; par M. AURAND. (Soc. des Scie
embre 1905.) Petite fille âgée de 8 ans atteinte d'une paralysie du moteur oculaire commun de l'oeil droit affectant seule
ais cependant très réelle. Le sentiment net de déséquilibre vaso - moteur et d'im- potence psychique aboutissait à une vé
éditaires et personnels, en même temps que , la nature des troubles moteurs et psychiques relèvent manifestement d'une hémi
ou tout au moins un sympôme phy- sique, tel que céphalée, troubles moteurs ou sensitivo- sensoriels. Il faut, en outre, qu
pas davantage le seul fait clinique de l'épilepsie. Dans le domaine moteur , il faut avant tout relever les cas d'attaques
tumeur de la base, de nature tuberculeuse, un syr : drome oculo- moteur consistant en une paralysie de l'oculogyrie latér
s les noyaux du facial gauche, de l'acoustique et des deux ocula- moteurs externes. ZD Les auteurs insistent sur l'existe
cela sur les faits suivants : 10 Toute lésion qui porte sur le nerf moteur oculaire externe depuis son orgine réelle jusqu
el et devaient vraisemblablement relevei de l'éréthisme des 'noyaux moteurs bulbaires» (1). (1 IhYlo1J eL It. Cestan. Diw-I
on transverse de la moelle sur les lésions secondaires des cellules motrices sous-jacentes et sur leur réparation ; par C. P
2° Ce syndrome est caractérisé par la dissociation des phéno- mènes moteurs et sensitifs. Ce sont tles hémiplégies avec un
et sensitifs. Ce sont tles hémiplégies avec un minimum de troubles moteurs et un maximum de troubles sen- sitifs, avec hem
sant la moitié interne du ruban de Reil et repoussant les laisceaux moteurs . Arlhropathies labéticlues. MM. MouTiER et DE
a suite des lésions des nerfs, par Pariant, 207. Des groupes de - motrices du ren- ilement cervical chez l'homme détermi
tion transverse de 1a1, moelle sur les lésions secondaires des - motrices sous-jaoentes et sur leur réparation, par Parho
s et sur leur réparation, par Parhon et Goldstein, 498. Centres moteurs . Voir poliomyé- lite. Cerveau. Abcès du à sym
, par 130llSSY, 155. Hippus monolatéral dans une pa- ralysie du moteur oculaire com- mun, 1)ii, 337. Hypertonie. Voi
hez- l'homme), par Irimesco et Parhon, 42. - Recherches de la - motrice du membre inférieur dans la moelle de l'homme,
neurofibrillaire, localisation mo- trice, angiosarcome, cellules motrices . - Recherche sur l'ori- gine nt les rapports ré
t du - sensitif périphérique, par Koester, 129. Les - articulo- moteurs des membres, leur tri- ple action sur les muscl
opographie des paralysies et celles des altéra- tions des centres moteurs dans la - antérieure aiguë de l'en- fance, pa
par Dallrlac, 230. Réticulum neurofibrillaire. Le - des cellules motrices dans la moelle épinière des animaux té- tanis
65 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
lbe nor- mal, de distinguer ce qui appartient à l'entrecroisement moteur et à l'entrecroisement sensitif; nous avons pu
ra plus loin, grâce à des lésions exactement limitées aux faisceaux moteurs . Avant d'exposer nos propres recherches, nous r
Duval. Paris 1879, p. 2')L 6 AXATOMIU. croisements : l'inférieur moteur , le moyen et le supérieur sensitifs. Ces deux d
aitis, et qui vont ensuite se placer à la partie externe des fibres motrices des pyramides déjà entrecroisées à ce niveau.
, l'entrecroise- ment sensitif commence lorsque l'entrecroisement moteur est terminé. Il est formé de fibres qui, prove-
qui, prove- nant des cordons postérieurs, s'accolent à la portion motrice (déjà entrecroisée) des pyramides et en cons- t
a partie externe, pour les autres à la partie profonde des fibres motrices , mais sans se confondre avec elles ; pour- nous,
point d'intérêt dans le cas particulier. - Le faisceau latéral ou moteur était sclérosé, non ' Sappey et DllV,Ll.-ColI !
se diviser en petites bandelettes et pénétrer au milieu des fibres motrices (rouges) des pyramides, dans leur partie postér
es fibres de t'entrecroi- sement sensitif pénètrent dans la portion motrice des pyramides- sa partie postérieure et moyenne
oies différentes, les plus superficielles pénètrent dans la portion motrice des pyramides, par sa partie externe ; les plus
s s'être entrecroisées, se mélan- gerait intimement avec les fibres motrices des pyra- mides. " Telle est la disposition q
le membre supérieur correspondant sans s'accompagner de paralysie motrice véritable , et on ne tarda pas à constater dans
: II111 cnll1lJJ,1 n PATHOLOGIE RECHERCHES SUR L'INCOORDINATION MOTRICE ." , -1 DES ATAXIQUES '¡H[I' r, .... . Il n
de la.jambe; à l'avant-bras, chez les sujets dont l'incoordination motrice a envahi les membres supérieurs,mous avons trou
tant ; nous y reviendrons à propos des théories de l'incoordination motrice . t) Nos. recherches' myophoniques sont faciles
e des douleurs fulgurantes et' qui n'avaient point d'incoordination motrice : Nous ne'1 les'1 avons' pas davantage observée
rs'. Il paraît donc y avoir un lien étroit entre : l'incoordination motrice et l'inégale tonicité des muscles, et nous croy
e émi- nent, sont dans un état de contraction continué, les nerfs moteurs 'qui les innervent doivent être aussi en activi
nnant ou déterminant des altérations profondes, d'où incoordination motrice .. Il test inutile de faire ressortir combien ce
correspondant aux- nerfs de tout'un membre, on observe des troubles moteurs bien connus des physiologistes. Ils 'doivent '
uement, et un sujet peut alors même qu'il a de l'incoordina- tion motrice , amener au dynamomètre un chiffre iden- tique à
- rieurs dans la marche. Lorsqu'un sujet atteint d'incoordination motrice des membres supérieurs veut saisir un objet de
ales, p. 566 et suiv. Genève, 1878. DÉLIRES MULTIPLES. 53 mènes moteurs de la paralysie, et, dans les cas aigus, lorsqu
ance : convulsions. - Idiotie complète : parole nulle ; - impuissance motrice ; - gâlisme Attitude des membrcs. -Méningite :
ue l'aimant, on pouvait obtenir la guérison de certaines paralysies motrices . Les deux observations suivantes viennent plein
ove. Recherches sur les hémianesthésies accompagnées d'hémi- plégie motrice , dhémichorée, de contracture et sur leur curabili
t 21 mars, peu de change- ments dans l'état du malade. La paralysie motrice a peu dimi- nué ; le malade distingue un peu pl
apoplexie, nous constatons de nouveau la persis- tance des troubles moteurs et sensitifs. Le malade amène quatre au dynamom
du reste par l'analyse de faits semblables que, dans les paralysies motrices liées aux anesthésies, la paralysie motrice est
e, dans les paralysies motrices liées aux anesthésies, la paralysie motrice est à son maximum dans les premiers jours; puis
vateurs certaines régions que l'on considère actuellement comme non motrices , et dans lesquelles, de par la température , il
s des élévations thermiques du cuir chevelu et des paralysies vaso- motrices des régions céphalique, ainsi que quelques expéri
* ayant choisi pour sujet de thèse inaugurale 1 De la paralysie du moteur oculaire externe avec déviation; thèse inaug. P
i vont, par un trajet-croisé, former une partie des racines du nerf moteur oculaire commun du côté opposé ; II. Que chacun
commode, et sur lequel on démontrera en particulier les propriétés motrices des cornes et des racines antérieures. II. de B
pénétration dans l'axe spinal, tandis que la décussation des fibres motrices n'a lieu qu'en dessous du bulbe. L'expérience e
ue sans réparation. Par conséquent, la réappa- rition des fonctions motrices n'est pas due à un rétablissement des voies con
t que chacun des cordons latéraux renferme des fibres sensitives et motrices pour les deux moitiés du corps ; que les fibres
la sensibilité est égale à gauche et à droite; enfin que les fibres motrices sont inégalement réparties dans ces cordons, pu
d'expériences d'extirpation REVUE DE PHYSIOLOGIE. 137 des centres moteurs de l'écorce cérébrale chez le chien, dans le bu
ment sur de jeunes animaux, de six semaines à six mois. La région motrice d'un hémisphère était mise à découvert par le tré
extirpations circons- crites aux points excitables des zones dites motrices ne produi- saient que des troubles passagers de
e moitié du corps. 3° Après des destructions étendues des centres moteurs , produites soit en une, soit en plusieurs opéra
ême, on ne peut, même après des destructions très larges de la zone motrice d'un hémisphère, obtenir par l'excitation élect
hémisphère, obtenir par l'excitation électrique faible, des points moteurs intacts de l'autre côté, des secousses dans la
ussi que dans un certain sens, une simple dérivation de ces voies motrices profondes arrive seulement à la surface cérébrale
devenue la principale, puisque pour les pro- ductions de tout acte moteur , une excitation des centres de l'écorce est néc
de l'écorce est nécessaire. Comme les lésions étendues de la zone motrice doivent, dans cette dernière supposition, entraîn
avait été précé- dée d'une violente céphalée et d'une paralysie du moteur oculaire commun droit. En mars 1879, hémiplégie
istant, cette hémiplégie guérit. En somme, cé- phalée, paralysie du moteur commun, paralysie du trijumeau et du facial dro
ndre au titre même de la thèse que de décrire toutes les paralysies motrices survenant à titre d'épiphénomène au cours d'une
u'émanation cérébrale, au point de vue de ses connexions cérébrales motrices , sensorielles, sensibles, circula- toires : ce
' les- lobes 1 fron'talÍx r;-Jrespectant"entièremeIh 'lé's'1 zoriës motrices , ce' 'qui 'explique l'absence 'de 'paralysie !
e la quantité. Une cage de verre la protège contre l'humidité,et un moteur méca- niquepermet de prolonger ad libitum la du
1° Que, chez le chien, une lésion corticale siégeant dans la zone motrice peut être suivie de dégénération secondaire de la
suivie d'une abolition du pouvoir excito-moteur ou d'une paralysie motrice complète d'un membre. - REVUE DE PHYSIOLOGIE.
ompte de la relation qui existe entre les phéno- mènes sensitifs et moteurs sous le contrôle des facultés intellectuelles.
le mouvement volontaire des muscles et la conductibilité des nerfs moteurs sont indépendants des pro- cessus dégénératifs
qui'consiste aies; expliquer en disante que; dans ces cas, le filet moteur du ganglion ophthalmiql1e èst fourni 'par'la si
les, tubercules quadnju-0 meaux, ce sont 'les' différents muscles' moteurs 'du' globe qui se,, contractent' sous 1 iriflue
auches P... , 1-1 .,f ? r ? tc galiel s jointes à la paralysie du moteur oculaire commun droit por- taient, d'autre part
t graduellement. ' L'hémiplégie gauche partielle et la paralysie du moteur ocu- laire commun droit, observés; pendant la v
i s'accompagnaient, durant )a vie, de certains troubles sensibles,' moteurs et psy- chiques. Ces faits viennent confirmer l
as, le, siège même de l'impulsion 23 354 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. motrice volontaire, elle apparaît du moins comme la pre
es racines proviennent de quatre sources distinc- tes : 1° du noyau moteur ; 2° du raphé; 3° du noyau sensitif et 4° de la
u système d'association qui réunit les unes aux autres les cellules motrices de la substance grise. Ainsi, la cause pro- voc
den- tique dans les parties malades. La diffusion de l'incitation motrice ne s'accomplit donc pas aussi aisément que le sup
ns ces cas comme ici, une cause irritative agissait sur les cordons moteurs longitudinaux, que ceux-ci appartinssent à la c
ance grise et de la moelle, qui remplissent à la fois des fonctions motrices et nutritives. Son diagnostic s'appuie sur l'ab
trouve le centre de tout l'organe visuel aussi bien pour la partie motrice que pour les par- ties sensitives et sensoriell
ur le Dr Meschede, il y aurait analogie évidente entre les troubles moteurs et les manifestations psy- chiques ; les uns et
oupe fixe de conceptions délirantes, les deux formes psychique et motrice de ses divagations concernant toujours la situati
li que les impressions sen- sorielles aussi bien que les phénomènes moteurs se réfléchis- sent dans la sphère de l'idéation
es mouvements prennent leur origine au centre, quand les impulsions motrices , d'ordre pathologique, résultent d'une série d'
achet des conceptions dans leurs manifes- tations et les impulsions motrices auxquelles elles sont liées sans que le malade
Roma, n° 12, 1880.) LXXI. Deux cas DE lésions corticales DE la zone motrice ; par F. GATTI. (Gazzetta degli ospitali, 1 ro
horée siègent en même temps sur les circonvolutions psychiques et motrices . M. XL. NOTE CLINIQUE SUR UN mouvement anormal
l'idée de tenter d'enchaîner par la picrotoxine le système nerveux moteur et les muscles, et de substituer au tétanisme a
urançes., dansl les 1 menzhÿes ? in fgrcéurs ? - Incoordination 9p. motrice 4fiffl ! }k4^r^.fiJls ? ri : '\.fiP}§s- 4MOM,,aoM
le. 3tsnys ? 9stjc,scco,ol ^^k Etat actuel (mars.) L'incoordination motrice est extrême- ment accus malàde gàrde le-lit`cor
ion des extrémités inférieures depuis quinze"ans ; incoordination motrice très accusée; anesthésie plantaire. Incontinence
oduites sur un point quelconque d'une fibre nerveuse sen- sitive ou motrice , se propagent aussitôt et simultanément dans le s
EVUE d'anatomie pathologique. dispariti6n-dêi' irâiidds "cellules"" motrices des'cornes antérieu- res, avec atrophie des rac
res- sive3 La localisation des phénomènes pathologiques aux nerfs moteurs entraîne l'auteur à établir l'atteinte simultanée
halalgie;- 3° Vomisse- ments ; 4° Vertiges; 5° Altération des nerfs moteurs (spasmes et paralysies) ? 6° Altération des. ne
arut. Dans l'autre, l'hémianes- thésie seule disparut; l'hémiplégie motrice persista. C. T. 616 REVUE DE THERAPEUTIQUE. X
et torpides. Les névralgies par irritation spinale, les paralysies motrices d'origine péri- phérique, les troubles fonction
nt. Si cependant on connaît aujourd'hui les propriétés des cellules motrices de la moelle on ne sait pas encore par quel méc
par Hutchinson, 308. Ataxie (recherches sur l'incoordina- tion motrice dans 1'), parDebove et Boit(let de Paris, 39.
TABLE DES MATIERES. Lésions corticales (deux cas de), de la zone motrice , par Gatti, 475. Lésions cérébrales (quatre o
66 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
er travailler à l'a- telier, mais il voit progresser son incapacité motrice . Elle avait débuté par le côté gauche (le bras,
té en même temps sur celle partie limitée du cerveau, sur les nerfs moteurs de l'oeil et sur certaines parties de l'écorce.
ystériques simulateurs des maladies par lésions limitées de la zone motrice corticale. Les lésions de la zone motrice corti
ons limitées de la zone motrice corticale. Les lésions de la zone motrice corticale limitées à un seul des centres moteur
lésions de la zone motrice corticale limitées à un seul des centres moteurs de cette zone ou bien à deux centres voisins ne s
rs symptômes que s'il s'agit de lésions destructives de ces centres moteurs et de paralysies partielles consécutives. Ce ra
ntingent pour les lésions seulement irritatives des circonvolutions motrices et on ne sau- rait préciser la topographie de l
lors même que la lésion siège seulement dans le voisinage du centre moteur qui parait exclu- sivement intéressé et qu'elle
t exclu- sivement intéressé et qu'elle occupe plutôt une région non motrice de l'é- corce. Il y a donc une grande différe
Charcot et Pitres dans un travail déjà cité sur « les localisations motrices de l'écorce cérébrale ». Ils y ajoutent encore
ent encore celle-ci, c'est que les lésions destructives des centres moteurs entraînent des paralysies permanentes, tandis que
débutent 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. par une aura motrice et peuvent se généraliser ou rester limitées à un
nous l'avons vu plus haut, il n'est pas nécessaire que les centres moteurs soient directement intéressés. On peut même dir
pinale : ))/<t)t< ! /<'. jf ? M/f'M< ? q/<'M partielle motrice . Louise .1.... âgée de 10 ans. Examinée le 28 o
dont les lésions sont le plus ordinairement localisées dans la zone motrice du bras. C'est même celle contracture tardive,
issant aux mêmes causes, frappent également le muscle d'impuissance motrice , que le muscle soit flaccide ou raide suivant l
rmes qui correspondent direc- tement aux lésions des divers centres moteurs . En nous bornant à la zone motrice, suivant que
t aux lésions des divers centres moteurs. En nous bornant à la zone motrice , suivant que la lésion limitée atteindra un centr
impossible pour les images de l'articulation des mots et les images motrices graphiques. « Lorsqu'il y a, dit M. le professe
s- sion de la mémoire pour l'articulation des mots, c'est l'aphasie motrice d'articulation ou aphasie de Broca qui se prése
agraphie et j'ai pu dire ailleurs que l'agraphie, c'était l'aphasie motrice de la main. Il y a cécité verbale quand le sujet,
yndrome hystérique qui simulait chez un enfant le type de l'aphasie motrice décrit par Broca ; il n'y avait pas de mutisme
l'aphasie organique ; ce qui est le plus fréquent, c'est l'aphasie motrice . Le malade peut prononcer quelques sons articul
dans la première catégorie, bien qu'il s'agisse d'un type d'aphasie motrice chez une enfant hystérique. Il en est de même p
n pour que nous tentions de la classer. Observation XI. Aphasie motrice hystérique citez une enfant de 11 rois. Attaques
décrit pour la première fois en 1865, une paralysie alterne du nerf moteur ocu- laire commun d'un côté et des membres du c
anatomique des divers noyaux qui constituent l'o- rigine réelle du moteur oculaire commun et d'autre part, avec le trajet
ient sous sa dépendance les fonctions sensorielles et les fonctions motrices de l'appareil de la vision, puisque c'est dans le
nt leur origine apparente ou réelle les nerfs optiques et les nerfs moteurs de l'oeil (3°, 4e et 6e paires crâ- niennes).
s très restreints où, l'analyse des di- vers troubles sensoriels et moteurs de l'appareil de la vision ayant fait écarter t
lésion intra-crânienne qui intéresse les nerfs optiques ou les nerfs moteurs de l'oeil dans une partie quelconque de leur tr
'heure dans la salle, entièrement guéri de ses troubles trophiques, moteurs et sensitifs. Quatre jours après l'opération pr
DUJARDiN-13EAUNIETZ et ABADIE, Soc. méd. lcôp., 1879). 2. Lésions motrices . Dans la question si complexe des troubles mote
). 2. Lésions motrices. Dans la question si complexe des troubles moteurs de l'appareil de la vision qui sont en rapport
les lésions organiques et intra-crâniennes des nerfs ou des centres moteurs de l'oeil, on peut commencer par établir que ce
ourir d'ailleurs aux schémas anatomiques pour localiser les lésions motrices de l'appareil de la vision dans les diverses part
phtalmoplé- gies sus-nucléaires et corticales : « 1° Les troubles moteurs oculaires, ayant une origine sus-nucléaire, doi-
inage du pli courbe (Grasset et Landouzy), soit plutôt dans la zone motrice corticale (Rendu, Pétrina, Tripier). Il est certa
de l'oeil : c'est qu'à l'inverse de ce qui a lieu pour les troubles moteurs de cause organi- que, la paralysie de ces muscl
MM. Parinaud et Morax, objecte avec raison que beaucoup de troubles moteurs oculaires sont indécis, qu'on ne saurait précis
nfin, M. Gilles de la Tourette a noté la superposition des troubles moteurs hystériques et des troubles de la sensibilité d
ée ; ce qui domine au contraire, c'est la bilatéralité des troubles moteurs , leur distribution incohérente, la variété des
et succession bizarre de divers trou- bles sensitivo-sensoriels et moteurs durant plus d'un mois. Guérison com- plète. (11
Cependant, on observe plus souvent un affaiblissement de la branche motrice du trijumeau; en sorte que l'alfai- blissement
Ceci s'appli- que en particulier au noyau de l'hypoglosse, au noyau moteur central (antéro- latéral, accessoire de l'hypog
e paralysie d'un nerf crâ- nien et tout spécialement d'un des nerfs moteurs de l'oeil. (1) Cette clinique a été publiée dep
é gauche. Sensation de torsion du globe oculaire. Puis paralysie du moteur oculaire externe gaucho avec myo- sis. Les doul
n de dégéné- rescence. Phénomènes céphaliques : paralysie totale du moteur oculaire commun à gauche, quinte de toux, vomis
de trois )) : OM,) ? 6'HCfM- lencerat d'une très légère parésie du moteur oculaire commun. Dal... Dominiquette, 38 ans, c
Pointes de feu sur la colonne vertébrale. 5 juin 1892. La paralysie motrice a encore augmenté aux membres infé- rieurs. Il
ée au début. 15 juillet 1892. - Amélioration légère de la paralysie motrice , surtout à gauche. Les troubles objectifs de la
rche, due à l'état spasmodique des membres inférieurs, la paralysie motrice à proprement parler existe à peine. L'affection p
le malade au lit d'une façon définitive ou à peu près; la paralysie motrice peut être alors très marquée, bien qu'elle ne soi
issance. Son médecin ap- pelé sur le champ, constate une paraplégie motrice absolue. L'anesthésie est complète dans le memb
adique sont entièrement abolis aux membres inférieurs ; l'impotence motrice est absolue. La rétention d'urine nécessite le
la réline passent aussi de l'écorce occipitale aux circonvolutions motrices . Donc l'excitation, produite par la lumière sur l
ôté, au lobe occipital gauche. D'ici l'excitation passe il l'écorce motrice gauche et puisque les faisceaux pyramidaux se cro
es ; bientôt ces phénomènes firent place à une période d'excitation motrice , pendant laquelle la malade se déshabillait, ch
ent en partie aux troubles trophiques, en partie aux troubles vaso- moteurs . En passant en revue les troubles trophiques qui
r A. Sou- ques, 56. Faradisation thérapeuthique des nerfs vaso- moteurs et du nerf pneumogastrique (suite et fin), par
67 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
placé parmi mot qui ne correspond pas à l'idée. Il y a donc aphasie motrice . 3° Si il prend un livre, bien que la vision so
hémiopie, le scotome, les formes variées de l'aphasie, les troubles moteurs ou de sensibilité, les accidents épileptiformes ?
ti- . culer les mots l'altération de cette partie produit l'aphasie motrice ; une artériole pour le centre de la mémoire des
frontale et pariétale ascendantes pourra rendre compte des troubles moteurs , sensitifs, et des accidents épilepti 1'0 1'111
qu'elle exige, c'est-à- dire pour commencer l'étude des paralysies motrices , considérées au dou- ble point de vue de leurs
chirurgical de 1'litiiiiéiuis.'In(lépeii dam- ment, de ses branches motrices terminales, qui s'épuisent dans la masse du del
dans la masse du deltoïde, ce nerf fournit une branche collatérale motrice , destinée au muscle petit rond et un rameau cut
d'ailleurs, corroboré par les données de la clinique. La paralysie motrice , chez notre malade, s'accompagne d'hypoesthésie d
e pro- duisit presque subitement une aggravation telle des troubles moteurs que le malade ne pouvait plus se tenir debout s
est pliai, troubles urinaires, douleurs fulgurantes, incoordination motrice ; il n'était positivement pas possible à cette ép
et ! elle le fait sans la moindre ma- nifestation d'incoordination motrice ; seulement, elle résiste moins bien à gauche q
vralgies simulant une sciatique d'abord unilatérale, avec paralysie motrice partielle et incomplète ; la gibbosité, qui con
on des réflexes tendineux, le signe de Rom- ber, une incoordination motrice peu marquée d'ailleurs, des troubles de la sens
les, aux membres inférieurs. Je trai- terai séparément des troubles moteurs qui ont pour siège la vessie et le rectum. Pr
e la jambe, c'est-à-dire à un ter- ritoire innervé par des branches motrices du plexus sacré ; c'est, ajoute- rais-je même,
e crural restent indemnes. Donc, dans les cas types, la paralysie motrice est incomplète aux mem- bres inférieurs, c'est
eue de cheval, la démarche n'est pas seulement gênée par la parésie motrice ; elle peut l'être par les douleurs dont je vou
sibilité de se tenir d'aplomb dans l'obscurité). Parfois la parésie motrice se complique d'une atrophie plus ou moins SUR L
ici leurs caractères : Par suite de l'anesthésie et de la paralysie motrice de la vessie, les ma- lades présentent habituel
pour cause l'anesthésie dû rectum, compliquée ou non d'une parésie motrice de la dernière portion du gros intestin, mais s
survenus à la suite d'un traumatisme, ont débuté par une paraplégie motrice , qui s'est dissipée au bout de quelque temps, p
e d'une chute sur la région du sa- crum s'est montrée une paralysie motrice des jambes, avec de l'engour- dissement, de la
avec de l'engour- dissement, de la rétention d'urine. La paralysie motrice et l'engourdisse- ment se sont dissipés au bout
ion et de la défécation, en rapport avec une paralysie sensitive et motrice de la vessie et du rectum. Quand l'affection n'
con- naissez, parce que je vous en ai dit précédemment. La parésie motrice , l'anesthésie, les troubles de la miction,' de
ne subissent que rarement une aggravation progressive. La paralysie motrice aussi bien que l'anesthésie peuvent perdre en é
té. Or, dans les cas de myélite aiguë ou chronique avec impuissance motrice complète des mem- bres inférieurs, les ulcérati
uation des douleurs ; diminution de l'anesthésie et de la paralysie motrice aux membres inférieurs. Contre la paralysie de
bres inférieurs. Je suppose que l'analyse des troubles sensitifs et moteurs aboutisse aux constatations suivantes : La sens
ds sauf à une bande située le long du bord interne). La paralysie motrice respecte les muscles de la région antérieure et d
umérer à l'instant, se trouve associée une parésie, une para- lysie motrice incomplète des muscles de la cuisse, innervés par
dans une observation d'Eulenburg, la paralysie, tant sensitive que motrice , intéressait le domaine innervé par le sciatique,
ueue de cheval (catégorie e) : Aux membres inférieurs, la paralysie motrice se limite aux muscles fes- siers, aux muscles d
. Dans le pre- mier cas, la contraction musculaire est uu véritable moteur ; dans le second, elle remplit le rôle d'un fre
e en terminant, réellement possible que par la connaissance du rôle moteur de la racine antérieure correspondante, et par
lade, ni affaiblissement musculaire, ni atrophie, ni incoordination motrice , ni si- gne de Romberg. Il marche comme tout le
une chute sur la région sacrée, un individu est frappé de paralysie motrice avec engourdissement des membres inférieurs, av
sement des membres inférieurs, avec rétention d'urine. La paralysie motrice et l'en- gourdissement se dissipent au bout de
es du mouvement, sont situés, avec les centres trophiques des nerfs moteurs , dans les cornes antérieures de la moelle épini
et des membres du même côté, comme l'indique le trajet dn faisceau moteur . Prenant son origine réelle au pied de la circo
supérieur et inférieur droits, sans paralysie faciale, sans aphasie motrice ou sensorielle, faitclui excluait t déjà toute
oint, qui intéressait ;1 la fois l'hypoglosse gauche et le faisceau moteur droit ; ce point né pouvait donc être ailleurs
i-même les renseignements exposés ci-dessus. Il n'y a pas d'aphasie motrice , ni sensorielle, l'articulation des mots est seul
crâniennes indique leur état normal. Il n'y a pas de troubles vaso- moteurs , ni sphinctériens. Rien a noter de particulier du
, l'apparition simultanée des troubles oculaires et de la paralysie motrice , apparition insidieuse, presque latente, sans m
tions d'anatomie topographique, concernant l'origine réelle du nerf moteur oculaire commun. Vous n'ignorez pas que IIeusen e
s, ont fixé cette origine dans la Fio. 53. Origines réelles du nerf moteur oculaire commun du côté gauche (d'après Testut)
moteur oculaire commun du côté gauche (d'après Testut). III. Nerf moteur oculaire commun du côté gauche. V. trijumeau ; 1,
bral droits passant un peu en dehors de la ligne médiane. 8, noyau du moteur oculaire externe du côté gauche (éminentia terr
HIE DE LA SALPÉTRIÈRE de la couche optique; que les centres du nerf moteur oculaire droit tou- chent presque ceux du moteu
es centres du nerf moteur oculaire droit tou- chent presque ceux du moteur oculaire gauche. Ces centres, situés en effet d
'aqueduc de Sylvius, c'est-à-dire les centres postérieurs des nerfs moteurs oculaires communs ainsi que l'origine des pathé
ela- tive des centres antérieurs et des centres postérieurs du nerf moteur ocu- Fic. 5 ? Les artères de la face antérieure
erling ne laissent aucun doute à cet égard. Or les noyaux des nerfs moteurs bulbaires'et protubérantiels ne sont, en définiti
fasci- DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË C 343 cules des nerfs moteurs oculaires externes ; l'enveloppe fibreuse de ces
de petites plaques d'infiltration embryonnaire. Entre l'origine du moteur oculaire externe gauche et la méninge qui recouvr
e granulations péri-vasculaires d'aspect plus ou moins fibreux. Les moteurs oculaires communs ne présentent que des altératio
sthésie totale. , . Avant d'aborder l'étude des troubles du système moteur de la face et des membres disons qu'il y a un t
lieu à aucune manifestation ni de résistance locale, ni.de réaction motrice involontaire ; le contact du bec de la sonde su
68 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
.. L'état général de cette femme était satisfaisant; l'impotence motrice était presque absolue aux quatre membres ; seul
ent dans leur ensemble, avec quelques modifications. La paraly- sie motrice ne s'était pas amendée ; l'ancsthésie conservait
songer il l'hystérie. L'intensité de celle anesthésie, l'impotence motrice complète dont est frappée la' mala- de, les tro
s chez notre malade, ensemble symptomatique dominé par la paralysie motrice , l'atro- phie musculaire, t'anesthésie, des tro
ns de vous exposer ? C'est que, étant donnés l'étendue des troubles moteurs , la distribution et les ca- ractères de l'anest
tion des cordons latéraux nous ren- drait compte de cette paralysie motrice absolue que nous constatons chez notre malade,
eux ne les décèle : c'est ainsi qu'elle a présenté de l'incertitude motrice dans l'obs- curité, qu'elle ne peut que diffici
e dans l'amélioration spontanée de tous les symptômes douloureux et moteurs existant jadis. Les crises de douleurs fulgurante
upérieure du thorax, on atteint Fio. 10. - Répartition des troubles moteurs : Hémiparaplégie double à limite supérieure dé-
ienne, on en trouve les premières traces dans les premières racines motrices qui émergent de la tumeur; cette lésion se mani
es lésions radiculaires gauches et droites : tandis que les racines motrices droites ont gardé leur champ uni- forme de tube
talité de ses tubes (Fig. 16, C). A un étage inférieur, les racines motrices droites se prennent à leur tour et les colorati
é par le sillon antéro-latéral, et cela à un étage où les ra- cines motrices (Impaire à gauche, 2e à droite) répondent à une i
otrices (Impaire à gauche, 2e à droite) répondent à une innervation motrice relativement peu importante ; la première paire d
dans le bras gauche ; quant à la 2e paire dorsale, son innervation motrice est très res- treinte et peut cliniquement ne d
troubles de la sensibilité et de leur association avec les troubles moteurs . - . Cette association répond, physiologiquemen
t atteignant' supérieurement deux racines différentes, les troubles moteurs et sensitifs sont également dénivelés à la péri
ÊTRIÈRE . élevée (-1 re racine dorsale), correspondent les troubles moteurs plus marqués du bras gauche et une anesthésie p
en- ter les rapports de ces tumeurs avec les différents conducteurs moteurs et sensitifs de la moelle ; ayant recours à la
ramidal que nous identifions avec la colonne grise antérieure (col. motrice ) mais aussi le cordon sensitif, que nous avons
s le montre la coupe 104 (PI. IX, C), détruit l'origine des racines motrices de la Ire paire, la corne antérieure tout en- t
aux pyramidaux direct et croisé : de cette hémisection de la moelle motrice gauche résulte la paralysie motrice de la moitié
cette hémisection de la moelle motrice gauche résulte la paralysie motrice de la moitié gauche du corps au-dessus de la 1
ervico-dorsale : T et T' : gommes gauche et droite. Cl, CM, colonne motrice (faisceaux pyramidaux et corne antérieure), don
e cutané est hyperesthésié. - MD8, \ID1, etc., GJIi, etc. : racines motrices droi. tes et gauches. - SD8, SD1, etc., SG8, SG
ines, on a figuré deux bandes verticales correspondant aux troubles moteurs (M) et sensitifs (S) du corps. Pour toute la figu
(S) du corps. Pour toute la figure, on a repré- senté la paralysie motrice par la teinte noire, l'anesthésie par les hachure
ur le névraxe. Nous voyons ainsi que l'in- terruption de la colonne motrice (cornes antérieures et faisceaux pyrami- daux d
servation d'une fillette de 11 ans atteinte depuis 7 mois d'aphasie motrice progressive. Bien portante à la. naissance, de
re. est conservé ainsi que la sensibilité profonde. Au point de vue moteur proprement dit, la malade ne présente que fort pe
citations, or, celle-ci ne parait pas nécessaire pour qu'un réflexe moteur ou tonique suive normalement l'excitation. (1)
l'hémisphère gauche ne présente aucune ano- malie. Dans la région motrice gauche (y compris le lobe frontal et la circonvo-
s séduisante qu'alors les fi- bres, provenant de l'écorce cérébrale motrice [circonvolutions frontales, centrales et pariét
logie ne com- porte qu'exceptionnellement des troubles de paralysie motrice et le tabès bulbaire qui a pour manifestations
rince (5), où existait, chez un tabé- tique au début, une paralysie motrice de la main droite. L'étude de ces paralysies a
ce, aux divisions de cylindres-axes, aux collatérales, les neurones moteurs recueillent de nombreux neurones leur excitation
s, et en quelque sorte l'appui de l'expérimentation (4). Le neurone moteur périphérique ne pourrait-il pas être,' lui aussi,
d'une altération fonctionnelle ou peut-être histologique du neurone moteur pé- riphérique. B. Ataxie de la langue. Le
vements sont dus, non plus au tremblement, mais il l'incoordination motrice . » Pierre (4), dans sa thèse, cite des faits du
erveau. Hémorrhagie sous-dure-mérienne diffusée sur toute la région motrice de l'hémisphère droit. Moelle. Les pièces ont é
E LA SALPLTIi7LIiD. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIV0- MOTEURS CONSÉCUTIFS A L'EMPOISONNEMENT ARSENICAL (i)
r des lacunes et des erreurs ; C'est ensuite qu'en fait de troubles moteurs qui traduisent le retentis- (1) Leçon du mardi
iates, bruyantes, de l'empoisonnement, et l'apparition des troubles moteurs . Toujours est-il que la connaissance des paralysi
i- rer, voire que l'enfant avait pris de l'embonpoint. La paralysie motrice était complète aux membres inférieurs ; la mala
tières fécales. A priori tout ce que produit une lésion des centres moteurs spinaux peut être produit par une lésion des ne
ccédèrent des contractures des orteils. A un moment les désor- dres moteurs reflétaient à la fois la parésie et l'incoordinat
contre, à un moment donné, l'enfant a présenté de l'incoordination motrice ; notez bien ce détail, j'y reviendrai dans un
peau. Puis sont survenues de l'anesthésie cutanée et une faiblesse motrice qui a dégénéré en paralysie. Celle-ci était lim
la description que MM. Brouardel et Marie ont donnée, des troubles moteurs consécutifs à des empoisonnements criminels par
s encore complète, s'accompagne d'un certain degré d'incoordination motrice . Il y a mieux, l'incoordination motrice peut pr
tain degré d'incoordination motrice. Il y a mieux, l'incoordination motrice peut prédominer sur la parésie, et subsister ju
se rencontrer seul ou associé à la paralysie, à l'incoordi- nation motrice . Il s'agit d'un tremblement général, qui gagne ju
n empoisonnement par l'arsenic, et parmi ces désordres la paralysie motrice tient habituellement une place prépondérante.
érable s'écoule avant l'apparition des premiers troubles sensitivo- moteurs . Pendant cette période on peut observer du catarr
ements de Rouen ont suc- combé après avoir présenté de la paralysie motrice . Il semble que dans ces trois cas la mort soit
paralysie incomplète bien entendu ; dans les deux cas la paralysie motrice peut s'effacer devant l'incoordination motrice,
deux cas la paralysie motrice peut s'effacer devant l'incoordination motrice , et celle-ci s'associer à d'autres symptômes du
tement la substance blanche et la substance grise avec les cellules motrices , mais il est impossible de fixer la forme de la
é, 18. Syndrome de Brown-Sequa1'd bilatéral (schémas des troubles moteurs et sensi- tifs), 10, 11, 12. Syringomyélie av
69 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
exemple. Pareillement il n'est pas impossible non plus que les nerfs moteurs servent de conducteurs aux irritations jusque dan
ations jusque dans les muscles. M. Charcot pense donc que les nerfs moteurs et sensitifs seuls doivent être mis en cause pour
entent encore qu'à un faible degré les caractères de l'incoordination motrice . Au printemps de l'année 1800, Mme B.,. se plaign
extérieure et survenant à l'époque de la maladie où l'incoordination motrice se surajoute aux douleurs fulgurantes; môme absen
premiers désordres s'y sont produits, les symptômes d'incoordination motrice s'étaient déjà développées depuis plusieurs année
même à peu près seuls tout l'appareil symptomatique. L'incoordination motrice était récente, et parfois encore à peine accusée.
ment dirigé de bas en haut. Le premier jour, on observa une paralysie motrice complète des deux membres inférieurs, de la vessi
s musculaires des membres inférieurs dans des cas ou l'incoordination motrice est encore à peine accusée. Mais c'est surtout le
émiplégie remontait dans ce cas, à plus de trois mois, mais l'inertie motrice ne s'est montrée complète que pendant les douze d
issement ou à l'hémorrhagïe du cerveau, les membres frappés d'inertie motrice présentent habituellement, d'une manière permanen
m., 11 juillet 1867.) que subissent, au niveau du bulbe, les filets moteurs proprement dits (1). Il se produirait, en pareil
s de la moelle, de ces myélites qui intéressent surtout les fonctions motrices , les caractères suivants : 1° la trépidation prov
e continuité avec la substance musculaire, ou sur les rameaux nerveux moteurs dont les fibres viennent s'y terminer. Nous étu
, les muscles qui président à ces mouvements, ne recevant aucun filet moteur du nerf cubital. L'adduction du pouce avec flex
e de meurer étranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets moteurs du nerf médian, et son action porte principalemen
ions constater, alors, que l'excita tion mécanique des mômes points moteurs amenait des résultats semblables à ceux que produ
nt cherché sur l'avant-bras, pour répéter ces expériences, les points moteurs dont l'existence, d'après les électropathes, étai
ale de la main, l'excitation des interos Fig. 14. — Quelques points moteurs de la face antérieure de l'avant-bras et de la ma
'exciter un muscle, soit directement, en Fig. 15. — Quelques points moteurs de la face postérieure de l'avant-bras et de la m
ltent: a) Des variétés individuelles dans la distribution des nerfs moteurs ; b) Des variations que subissent, suivant les
ces muscles sont indiqués sur le schéma (Fig. 16). Fig. 10. —Points moteurs des principaux muscles de la face. 1, frontal ;
pas sans intérêt de faire remarquer, avec Duchenne, que les muscles « moteurs du sourcil sont, de tous les muscles expressifs,
cile ; car le courant électrique rencontre souvent un ou deux filets moteurs qui se rendent à un faisceau musculaire voisin, l
e la lèvre supérieure et de l'aile du nez, qui reçoivent leurs filets moteurs d'un même rameau nerveux qui passe sous l'extrémi
où la contraction était obtenue par l'excitation mécanique des points moteurs musculaires. La malade a été ainsi rendue catalep
sculaires elles-mêmes, ou, indirectement, par l'intermédiaire du nerf moteur qui lui est destiné. Il existe chez notre malad
a main droite est placé dans l'extension par la pression sur le point moteur désigné sur. la figure 15, 6. L'aimant est appliq
rigine des nerfs destinés à ces muscles, au foyer d'origine des nerfs moteurs des muscles extenseurs; et c'est ainsi, suivant t
lieu de réception, ou centre nerveux; 3° le chemin de retour ou nerfs moteurs . L'on conçoit très bien qu'une lésion portant sur
ntile, c'est le centre nerveux lui-même qui est atteint. Les cellules motrices des cornes antérieures sont détruites et, partant
réflexes. Dans le strychnisme, au contraire, l'excitabilité du centre moteur est exaltée; d'où il suit que les réflexes sont e
et que ceux qui sont locaux ont lieu par l'intermédiaire des racines motrices situées au même niveau que les racines sensilives
Kolk avait dit, en 1847, que lorsqu'un nerf mixte donne des branches motrices à des muscles, ses rameaux sensitifs se distribue
: « Il est probable, dit-il, que les fibres sensitives et les fibres motrices d'un nerf mixte ont leur origine à peu près au mê
és d'un nerf sensitif tendent tout d'abord à mettre en jeu les fibres motrices de ce nerf (1) ». Ainsi donc l'excitation cutan
vante. Il ne s'agit pas d'une excitation mécanique directe des filets moteurs du nerf cubital, mais bien des filets sensitifs p
e au centre médullaire d'où elle est réfléchie par la voie des filets moteurs sur les muscles tributaires du nerf. 11 importe
ipal caractère un état spécial d'hyperexcitabilité de tout le système moteur phériphôrique (nerfs et muscles). Ce phénomène
'au centre cérébral lui-même, du moins en ce qui concerne les parties motrices . Il ne s'agit plus cette fois que de simples ex
peu près à la limite supérieure de la région encéphalique, dite zone motrice corticale ; — l'autre était placé, soit au-devant
l'impressionnabilité au courant galvanique, des régions encéphaliques motrices pendant l'état de léthargie hypnotique. Ce fait
égal, ils se produisent du mème çôté ? L'excitation des régions dites motrices de l'encéphale ne saurait rendre compte, je pense
e qui doit la produire gagne la moelle où elle rencontre les cellules motrices , origine des nerfs destines aux muscles directeme
muscles ou de la peau. Si, dans cet état, l'excitabilité des cellules motrices est représentée par 1, dans la contracture hystér
ène d'inhibition, d'arrêt, ayant pour effet de décharger les cellules motrices , d'annihiler l'excitabilité répandue dans ces cel
rer que le système neuro-musculaire, par l'intermédiaire des cellules motrices , est mis en rapport avec l'écorce grise, siège de
te, en quelque sorte, une grande commissure reliant les régions dites motrices de l'écorce cérébrale avec la moelle. 11 est rend
pareil cas, par suite de l'exaltation de l'excitabilité des cellules motrices , privées de l'action inhibitrice cérébrale, la to
conséquence, le développement de l'excitabilité exagérée des cellules motrices ; on conçoit ainsi comment, à la suite de la moin
ominante, qui fait reparaître l'excitabilité normale dans les centres moteurs centraux, et en conséquence, dans les fibres du f
ion normale, et, en conséquence, l'excitabilité exagérée des cellules motrices spinales cesse d'exister. Telles sont les explica
tous les temps ; 2° La rotation de la machine est effectuée par un moteur mécanique. Nous employons ici le moteur à gaz de
machine est effectuée par un moteur mécanique. Nous employons ici le moteur à gaz de Rischop; il nous est très utile pour les
n marche; il suffit pour cela d'allumer un jet de gaz qui actionne le moteur . Un 1. La machine est aussi munie de condensate
lité musculaire. On sait que si l'on presse mécaniquement sur un nerf moteur , tous les muscles desservis par ce nerf entrent e
70 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Scéligmüller. La mère aurait été légère- ment atteinte de troubles moteurs analogues. Dans le cas de Leyden, c'est un frèr
, un oncle épileptique. Quant à I'dqe où surviennent les troubles moteurs , c'est toujours dans l'enfance. Aussi loin que
ne le croyons pas , et considérant la généralisation des troubles moteurs à presque tous les muscles volon- taires (même
t développée, représente une poupée (rigidité des traits, impotence motrice ) chez laquelle la vie n'est accusée que par l'e
i penser, qu'il y a eu destruc- tion de certains centres corticaux moteurs et logo-moteurs, con- formément aux études cont
ébrale (Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) et les lésions des zones motrices entraînant manifestement des dégénéres- cences
e, faite dans des conditions analogues, met en évidence la fonction motrice réflexe du tubercule bi ju- meau antérieur, les
revus par Luys en 186b. P. K. IV. Des rapports des zones corticales motrices avec les voies pyramidales ; par O1'1'O 1311\S1
Emaciation générale des extrémités inférieures, dont les fonctions motrices sont demeurées excellentes, excepté à droite, o
ient telle que le malade peut reprendre son travail. Des phénomènes moteurs rapprochés des troubles de la sensibilité, l'au
e des régions anesthésiées éteinte outrés diminuée. Pas deparalysie motrice . L'alimentation par la sonde devient indispensa
s dans l'oeil gauche, surdité absolue de l'oreille du même côté. Le moteur oculaire externe échappa à la lésion, mais l'opht
SOCIÉS DES YEUX; Par M. Il. PARINAUD. Dans l'élude des paralysies motrices de l'oeil, on semble admettre que la lésion est
la sixième paire, donne donc en réalité des filets aux trois nerfs moteurs de l'oeil, et nous voyons par cet exemple qu'il
ère générale, il faut envisager la disposition anatomique des nerfs moteurs de ]'oei), pour se rendre compte de l'innervati
e le point de réflexion des im- pressions lumineuses sur le système moteur , d'après les expériences de Flourens, Gudden, F
bi- tude que nous avons en oculistique de déterminer les troubles moteurs des yeux par les caractères de la diplopie. Or,
ine, sa partie périphérique parait saine à l'oeil nu. Quant au nerf moteur oculaire commun, en raison de l'élargissement et
té de ramener les axes visuels dans le parallélisme. Le trou- ble moteur ne peut pas s'expliquer par une paralysie parti
ispensable pour cela que le cerveau intervienne. Tous les centres moteurs de Ferrier sont groupés autour du sillon de Rol
son hypothèse un moyen de retenir aisément la position des centres moteurs . R. BL. et J. P. V. Ll TUÉORtE DU CENTRE DES RÉ
ses fonctions, on observait une suspension complète de la fonction motrice du médian et du cubital, et la sensibilité des
toute sensibilité aux membres inférieurs, en proie à une paralysie motrice géné- ralisée, et présentant dans une étendue f
analogues du professeu Lépine qui croit à l'indépendance du centre moteur et peut être sensitif du pouce et de celui des
ésultais : Io Il est fréquent d'observer que les plaques terminales motrices reçoivent de fines fibres amyéliniques. Ces fib
de nombreuses formes de transition entre les appareils termi- naux moteurs de la grenouille et ceux des vertébrés supérieurs
connu l'exactitude des données de Brenner, quant aux troncs nerveux moteurs . D'une manière générale, la formule se montra é
es premiers considèrent que, dans l'excitation unipolaire d'un nerf moteur , il faut admettre l'existence d'un second pute
hode virtuelle, sise au lieu de sortie du courant en dehors du nerf moteur voisin. C'est ce qui explique en partie les anoma
ibution ri l'étude de quelques troubles trophiquesde l'ataxie loco- motrice (chute spontanée des dents et des ongles); par ÏÏ
n'est en droit. délimiter dans l'écorce céré- brale des territoires moteurs géométriquement circons- crits, il n'en est' pa
'il est permis'd'inférer, de la localisation de certains troubles moteurs , le siège de l'altération qui les produit. Nous
gé à les publier. Nous avons cru de ces deux prc- DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 275 S inières devoir en rapprocher
lisation précise. Dyspnée intense. R. 59; P. 120. DES LOCALISATIONS MOTRICES PU CERVEAU. 277 La paralysie motrice est toujou
; P. 120. DES LOCALISATIONS MOTRICES PU CERVEAU. 277 La paralysie motrice est toujours absolue. Le membre infé- rieur gau
r l'intérêt du cas au point de vue de la question des localisations motrices . Mais, avant d'aller plus loin, nous devons rel
érale et spéciale) avec une lésion profonde d'une partie de la zone motrice . Ce fait vient à l'encontre des idées trop excl
supposé que joueraient les circonvolutions trou- DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 279 '' ' i Il z·'1- Y 1 -14 - il &g
était1 pa's"fondée;'1nous avons cherché à établ irl queil la- zone. motrice , était 1 iii- « * " i - Il 1 ? . ) , cluse da
e un des caractères habituels des altérations corticales de la zone motrice , et des idées que nous avons émises, contrairem
e inférieur, la sensi- t i / i >y i i il 1·N DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 281 ? , ? > « "' ."i 1 , fl , -,Il
rées dans l'étendue de deux centimètres environ a DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU, 283 partir de la scissure inlerhémi
s après -cet accident, nous constatons chez le malade une paralysie motrice complète, occupant tout le membre inférieur gau
erelative au cas n a malheureusement pas été re- DES LOCALISATIONS, MOTRICES DU, CERVEAU. 285 mise par l'auteur, et ma point
étal supérieur 1 Thèse de Paris, -1870, p. 211. DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 287 droit ! ' a relaté, une i obser
e, à ajouter à ceux que nous venons de relater. DES LOCALISATIONS MOTRICES DU CERVEAU. 289 central et delà partie supérieu
; M -/IIH II ,-(>'» " Ill'H *1 * ,l.'»l. ... d'origine des nerfs moteurs des muscles extenseurs ;,et, fii- Vi no'iiiii i
lé,ceiiireliierveuxilui-mêiiie "qui' est 'atteint.'1 Les 'cellules motrices , des- cornes anté- 'rieures'so'nt'détruites et,
. '-Dans'testrychnisme au 'contraire;' l'excitabilité'; du centre moteur estlexaltée ; d'oùH'suit que les réflexes sont
ue ceux, qui, sont locaux,out[lieu par l'intermédiaire; des racines motrices situées au môme niveau queles. ra-i cilles sens
Kolk avait dit;ewl 817 ? que lorsquun,uerflmiye"donne,des branches motrices ! 1 1 . 1; 1 I. 1 1, ? Il 1 " ? ^1 1 distribuen
t.probable, àit7.il ,,que,,Ies fibres, sensitives, et les i fibres, motrices , d'un nerf mixte ont leur,oriine·à,,pcu près au
'un nerf sensitif tendent tout d'abord à'mettre' en jeu les fibres, motrices de ce nerf..));[) ..i<>1» l- » , liusi,do
rtueux a'gauche. Opacité du cristallin a droite. Paralysie des deux moteurs oculaires externes ? strabisme,et diplopie homo
strique n'existent plus; lestrabisme n'a point cessé ;'les troubles moteurs et sensitifà',des'me - nibres7 s' ont; les mvme
ux ,il " ? t , ? . nécessalres am muscles - It " " 1 . des fibres motrices nécessaires aux muscles pour entrer en action ! i
/i", * P. Bert et Marçiicci. , Elude sur la distributiontdes racines motrices du plexus /o/;t&6[t)'e/n ? M ? t ! Mc/cs du
ns- l'espèce aux grandes cellules (pyramidales de la zone corticale motrice . 2° Voici le cas décrit sous la rubrique : Une
us reproduisons les conclusions de l'auteur : C'est' dans l'aphasie motrice (ataxie phonétique), que l'intelli- gence est l
malades gâtent par inconscience, démence ou insuffisance du système moteur (idiotie, stupeur aiguë, manie), par parli.pris (
se porter la décharge épilep- tique ». SI. Magnan distingue l'aura motrice , sensitive, sensorielle et intellectuelle. L'ob
. Le malade est prévenu de ses attaques par une aura sensi- tive et motrice . La deuxième leçon contient une description trè
s), 389. Cellules ganglionnaires(histochimie des), 263. Centres moteurs (sur la situation des dans l'encéphale, par rap
ion insolite du), 40». Cerveau (des rapports des zones corticales motrices avec les voies pyramidales), par Binswanger,
e des localisations en Allemagne, par Duret, 105. Localisations motrices dans l'écorce du cerveau (contribution il l'é-
71 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
résumer que les racines sacrées sont restées intactes. Les troubles moteurs cadrent bien avec cette localisation. Il y a
us souvent sensitives et trophiques, elles peuvent être quelquefois motrices et déterminer des pa- ralysies indépendantes de
ations de froid et de chaud sont éga- ment bien perçues. La branche motrice du trijumeau parait également indemne. Nous avo
fs radial, cubital et médian au poignet ne donnent pas de réactions motrices . Aux extrémités inférieures,au-dessous du genou
uvements volontaires sont empreints d'une certaine incoordina- tion motrice ; il n'y a du reste aucun signe ni de chorée, ni
elques particularités relatives à la succession de divers syndromes moteurs et mentaux apparus à la suite d'un traumatisme cr
a que de la difficulté dans les mouvements du pouce et de l'aphasie motrice avec agraphie. L'intelligence était intacte. Pend
pilepsie jacksonienne et qui plus tard se traduisit par les troubles moteurs , convulsifs et trophiques du bras droit. C'es
e la dégénérescence rétrograde. Cette lésion naît dans les cellules motrices quand on coupe les nerfs péri- phériques, après
ela par le fait que les segments des voies longues (sensi- tives et motrices ) qui sont plus éloignés de leurs centres trophiqu
particuliers, logés dans la moelle épinière et par le centre vaso- moteur commun qui se trouve dans la moelle allongée dont
eurs le siège supposé de sa paresse, qui n'est pas musculaire, mais motrice , psy- cho-motrice et en opposant à son inertie
ce dérangement semble résulter un laisser-aller de tout l'appareil moteur , et ce laisser-aller se manifeste dans l'attitu
é est une variété d'aboulie, que les connexions centrales des voies motrices laissent à désirer chez le timide ? 230 , . BER
ut seulement le ptosis, un mois plus tard il fut frappé d'apha- sie motrice et d'une hémiplégie droite, suivies, presque un m
née de la conscien- ce, suivie d'une hémiplégie droite et d'aphasie motrice . Trois mois après environ, apparut aussi de la
mois après environ, apparut aussi de la surdité verbale. L'aphasie motrice disparut peu à peu, mais il resta de l'hémiplég
e nettement spastique. Dès ce moment aussi on nota que les troubles moteurs prédominaient du côté droit, les sensitifs du côt
et IVe vertèbres dorsales on réséqua les arcs vertébraux au moyen du moteur électrique. La dure-mère trouvée cyanosée, ne p
ées dans la jambe gauche. Des crampes dans les jambes. Les troubles moteurs et sensitifs sont les mêmes. Le sens des attitu
nsible). Jamais de traces de Brown-Sequard. En général les troubles moteurs n'ont pas eu le caractère d'origine médul- lair
é en doute le rôle des cellules pyramidales géantes de la zone dite motrice dans le mécanisme des mouvements volontaires. V
cité fonctionnelle, c'est-à-dire la motilité volontaire et la force motrice grossière des doigts et de la main.ainsi que la
e la profondeur de la substance grise. Après un temps, la paralysie motrice du membre supérieur gauche ayant dimi- nué beau
4. Topographie des types 1, 2, 3, 4 et 5, qui constituent l'ancienne motrice (d'après Brodmann). DES CELLULES DE BETZ ET D
des pyramides géantes varie dans les différents niveaux de la zone motrice , en diminuant au sur et mesure qu'on s'éloigne
de Paris (1), quand j'ai exposé le résultat de l'examen de l'écorce motrice dans six cas de lé-' sions de la capsule intern
tre qu'un cas particulier de la réaction que présente- tout neurone moteur ou sensitif après la destruction de son axone.
iens auxquels ils ont sectionné les fibres de projection de la zone motrice pour voir si les lésions cellulaires qu'ils ont
et M. Faune, Atrophie des grandes cellules pyramidales dans la zone motrice de l'écorce centrale après la section expérimenta
tude de la pathologie de la cellule lyjanidale et des localisations motrices dans lélencepliale. Com. à la Soc. de neurologie
qu'on pourrait tirer de l'étude de tels cas pour les localisations motrices cérébrales. Mes élèves Parhon et Goldstein (1)
rigine du faisceau pyramidal correspond-elle avec celle dite : zone motrice excitable ? 4° Coïncide-t-elle avec une aire co
ine de ces fibres cortico-spinales coïncide exactement avec la zone motrice excitable, ces fibres innerveraient d'après les r
amyotrophique, affection localisée presque exclusivement au système moteur , donne éga- lement un appui sérieux à la théori
ème moteur, donne éga- lement un appui sérieux à la théorie du rôle moteur des cellules de Betz. En effet, il y a des cas
6. ' Contribution onalomo-pallaolugique à l'élude des localisations motrices corticales à propos de trois cas de sclérose la
11, 1909. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 383 motrice cérébrale. Ils arrivent à la conclusion que la lo
trophique démontre que la frontale ascendante est la circonvolution motrice « par excellence » et que les parties antérieur
de la première et deuxième frontale participent également à la zone motrice . Les cas les plus récents viennent de confir- m
cas, trouve des lésions des cellules de Betz se limitant à la zone motrice de Brodmann. Les lésions sont plus intenses dan
elations du faisceau pyramidal avec les cellules géantes de la zone motrice . J'ai groupé tous ces cas de la manière suivant
.. Notes cliniques. S8 ans, hémiplégie droite complète avec aphasie motrice totale. Durée de la maladie 9 jours. Lésions ma
sule interne. Examen microscopi- que. Les coupes sériées de la zone motrice du côté du foyer montrent la disparition des ce
ous permet de faire une tentative de localisation dans la zone dite motrice . On constate dans ces conditions une relation ent
de Niessl von Mayendorf cette circonvolution n'est pas un or- gane moteur proprement dit, ayant la même valeur fonctionnell
bstance blanche. Aucune lésion dans les cellules géantes de la zone motrice corticale. En comparant ce cas avec ceux de scl
e amyotrophique, nous voyons que la simple disparition des cellules motrices des cornes anté- 396 MARINESCO rieures, quoiq
essus fût assez ancien, ne produit pas de réaction dans les centres moteurs cérébraux. On conçoit facilement l'importance d
réaction cellulaire suivie dans les différentes portions de la zone motrice nous montre qu'il existe toujours un rapport en
des cellules de Betz se produisent dans toute l'étendue de la zone motrice , zone qui corres- pond assez bien à la distribu
accusées dans les lobules paracentraux que dans le reste de la zone motrice . Or, dans mes cas, et en général, dans les cas
s motifs qui font amener ces deux auteurs à mettre en doute le rôle moteur des cellules de Betz sont loin, d'avoir une base
agissait du centre cortical du bras et obser- vant que la paralysie motrice , du membre supérieur, qui s'est produite immédi
es figures que j'ai données autrefois (1) en décrivant les troubles moteurs produits chez deux épilep- (1) MARINIOECO, Cont
ion des doigts. 398 MAR1NESC0 tiques après l'ablation de l'écorce motrice , on voit qu'elles se ressemblent complètement (
ma Jonnesco a pra- tiqué l'ablation d'une grande portion-de la zone motrice . Quoique l'écorce fut enlevée sur une grande ét
ellaires, telle la névrite SUR LES NÆVI SYSTÉMATIQUES 411 radiale motrice saturnine épargnant les filets supinateurs ; les
e et non à type segmentaire ou désassocié, et l'absence de troubles moteurs et trophiques à charge des membres. . . Contre
rs, mais d'un côté prévalent les troubles sensitifs, de l'autre les moteurs du type Brown-Séquard. Il existe toute une séri
bleau de l'affection transverse de la moelle (troubles sensitifs et moteurs ) n'a pas pu réaliser le type de Brown-Sé- quard
rs de plus en plus du type de la paraplégie spastique. Les troubles moteurs s'installent plus vite que les sensitifs. Ces d
trouve dans la moelle cervico-dorsale (Roux-Paviot). Les troubles moteurs consistent en un affaiblissement toujours crois-
oit qu'elles naissent ,'par suite d'une excitation de longue» \oies motrices . Dans le cas des contractions doulou- reuses il
ous semble probable qu'à côté de cette excitation des longues voies motrices un certain rôle dans la production de ces contrac
e (pour tous les genres de la sensibilité), l'absence de phénomènes moteurs irritatifs, l'installation graduelle de paralysie
le type de dissociation des sensibilités, l'irritation des cellules motrices (secousses fibrillaires, contractions spontanée
ifférents étages de la moelle), par la prépondérance des phénomènes moteurs , par les trou- bles du côté de la vessie et du
(surtout dans les cas des tumeurs de la dure-mère), des phénomènes moteurs radiculaires, un type de Brown-Séquard, un dé-
l'évolution graduelle toujours progressive de la maladie : troubles moteurs et sensi- tifs toujours croissants interrompus
main gauche (étant gaucher). On ne note aucun désordre dyspraxique moteur ou d'agnosie ; le malade prend les aliments qu'
l'aire postérieure de la F3 et l'in- sula intériew' pour le langage moteur ; le gyrus tempol'atis primus, le gy- rus tempo
é est le résultat du concours synergétique des images (composantes) motrices , acoustiques, oculo-musculaires et visuel- les
de ce cas se réduit à pratiquer l'exa- men histologique de la zone motrice et des lésions méningées. L'écorce est remplie
ès bien développés ne sont pas masqués par la graisse. Leur énergie motrice est remarquable. Aucune incertitude ni lenteur da
es qui paraissent très bien conformés ; leur tonicité et leur énergie motrice sont absolument normales ; notre sujet exécute
ique, reçoit par son pôle central trois racines qui lui viennent du moteur oculaire commun (généralement par l'intermédiai
par la voie expérimentale, à des conclusions inverses : les fibres motrices des nerfs ciliaires proviennent directement de l'
ophiés de même que les nerfs de la IIIe paire. Examen Ao/oMs ? Le moteur oculaire commun gauche a été dis- séqué sur tou
ns la moitié du gan- glion qui se continue plus haut avec la racine motrice de la IIIe paire. Les cellules paraissent aussi
ement colorées par l'acide osmi- que : au contraire, dans la racine motrice (PI. LXIV, E), il existe un très grand nombre d
S NERFS CILIAIRES 5(j1) En suivant sur les coupes sériées la racine motrice jusqu'à sa coales- cence avec la IIIe paire (PI
ellules diminuent, les fibres saines diminuent également. La racine motrice est représentée par un faisceau principal et par
s par l'acide osmique ; il existe cependan^quelques gaines vides. Moteur oculaire commun et ses branches. Les branches son
tive du trijumeau est complètement dégénéré (PI. LXV, G). La racine motrice est très dégénérée au niveau du cul-de-sac dure-m
e même, si on rapproche la dégénérescence très marquée de la racine motrice du trijumeau de l'intégrité de la racine dite sen
fibres centri- pètes et qu'aucune d'elles. ne provient de la racine motrice du même nerf. 566 ANDRÉ-THOMAS Il. LES nerfs
rises dans les coupes, en particulier celle dont provient la racine motrice du ganglion ciliaire. , Les longs nerfs ciliair
s le ganglion ciliaire et dans les racines que ce dernier reçoit du moteur oculaire commun, du trijumeau et du sym- pathiq
t sensitifs, les sensitifs disparaissent pourtant plus vite que les moteurs (Oppenheim). Quant aux symptômes sensitifs, les p
e : schizodactylie, doigt surnuméraire petit et dépourvu d'appareil moteur , doigt surnuméraire presque normal, coïncident; u
72 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
duit à néant les organes témoins. C'est la lésion des centres vaso- moteurs spinaux qui détermine l'arrêt de développement en
rche facile, ferme et assurée ; pas d'incoordination ni d'asynergie motrices ; force muscu- laires conservée. 7 novembre.
, qui ne présente aucun stigmate hystérique, sensitif, sensoriel ou moteur . On ne trouve à signaler chez elle qu'une émotivi
mixtes dans lesquels ce sont, selon toute vraisemblance, les fibres motrices qui ont été le plus atteintes. Ces lésions sont
ns à différentes hauteurs sur- les nerfs sensitifs et sur les nerfs moteurs . Nous devons, faute de mieux, ? constater l'int
évident que dans ce cas elle est due à la dégénérescene des fibres motrices , accompagnée ou aggravée peut-être par les lési
es de la moelle. Ces lésions périphériques systématisées des fibres motrices n'ont pas eu un retentissement appréciable sur le
es ou fibres conductrices des centres nerveux, fibres périphériques motrices ,sensitives ou sympathiques, fibres musculaires)
ensibilité et des douleurs du type fulgurant, de l'incoordi- nation motrice avec signe de Romberg, des symptômes pupillaires,
les filets nerveux intra-musculaires.Dans leur ensemble les fibres motrices ont été atteintes plus que les fibres sensitives.
te Panas et Galezowski qui diagnostiquent en outre une paralysie du moteur oculaire externe droitet con- cluent au tabes.
CHRONIQUE : OPHTALMOPLÉGIE ET PARALYSIE BILATERALE DE LA BRANCHE MOTRICE DU TRIJUMEAU. TARES PROBABLE PAR HENRI LAMY
on de la musculature interne de l'oeil), et paralysie de la branche motrice de la 5e paire : on pourrait même dire que la p
t une localisation du Ta- bes, le domaine du facial et du trijumeau moteur sont le plus ordinaire- ment épargnés; et inver
ale et une paralysie atrophique des muscles innervés par la branche motrice du trijumeau. Ces auteurs disent n'avoir trouvé
ent-ils leur salive par les commissures. La paralysie de la branche motrice du trijumeau est un symptôme que les auteurs cl
fait peu de temps avant sa mort a confirmé la présence des troubles moteurs , trophiques et de la réflectivité ci-dessus décri
te dernière il s'agissait d'une inflammation primitive des cellules motrices des cornes antérieures, - d'un processus inflam
ALYSIE SPINALE INFANTILE 133 la substance grise des circonvolutions motrices . D'où le nom de poliencé- phalite, opposé à cel
eux), se localise -tantôt dans la substance grise de la corticalité motrice , tantôt dans la substance grise antérieure de l
érieure de la moelle. La preuve que la substance grise de la zone motrice de l'encéphale est le siège de l'affection dans
montreraient en effet des lésions poren- céphaliques dans la région motrice de la corticalité qui, selon Strümpell, conserv
ne lésion pure et primitive de la substance grise de la corticalité motrice ou des cornes antérieures de la moelle, comme l
ment dans d'autres régions de la corticalité, en dehors de la zone motrice . Si on ajoute qu'à ce moment, des observateurs
pas une affection systématisée et localisée à la subs- tance grise motrice , mais que les cornes postérieures, la colonne de
ée d'une atteinte exclusive de la substance grise de la corticalité motrice et admet que le foyer inflammatoire peut aussi
INFANTILE 141 différent, et parle en faveur d'une lésion du neurone moteur central. Lés troubles de la motilité se limiten
orme d'encéphalite avec locali- sation prépondérante dans la région motrice du cerveau, qui ordinaire- ment ne menace pas l
èse que les foyers de méningo-encépha- lite, localisés dans la zone motrice , auraient pu donner lieu au tableau clinique de
cérébrale. Au niveau de la base du cerveau, on remarque que le nerf moteur oculaire commun gauche est un peu plus petit qu
er de ramollisse- ment intéressait le groupe des fibres externes du moteur oculaire commun, et respectait les fibres inter
xpin. Entrecroisement piniforme. II. Nerf optique. * III. Nerf moteur oculaire commun. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE (L
il convient de grouper les cas en trois formes : la forme légère ou motrice systématisée, avec des al- térations douteuses
NTILE 217 1er Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou motrice . J. B..., âgé de trois ans, domicilié dans la c
e son âge. 2* Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou motrice . M. I..., âgé de 4 ans, de Santa Ana, près de R
s, malgré l'alimentation et la bonne aération, cet état d'impuissance motrice augmenta lentement pendant trois jours jusqu'à
que ; mais elles ne sont pas éviden- tes dans les formes légères ou motrices systématiques ; d'autre part elles s'observent,
les cas graves. Dans les formes légères, dans celles qu'on appelle motrices systématiques des adultes, avec un examen attenti
lésion organique siégeant soit sur le noyau irido-cons- tricteur du moteur oculaire commun, soit sur les filets iriens de ce
types et raisonnent comme si l'iris était directement innervé par le moteur oculaire commun et par le grand sympathique. Or
expériences faites sur les mammifères supérieurs ont montré que le moteur oculaire commun n'agit sur les muscles de l'iri
innervés par un ganglion sympathique sous la dépen- dance d'un nerf moteur ». Donc, au lieu de rapporter tous les troubles
ce d'un nerf moteur ». Donc, au lieu de rapporter tous les troubles moteurs de l'iris à des lésions siégeant en amont du ga
ctionnels ou organiques ayant leur origine soit t dans les cellules motrices du ganglion ciliaire, soit dans les filets moteur
dans les cellules motrices du ganglion ciliaire, soit dans les filets moteurs des nerfs qui en émanent. Malheureusement nous
ntradic- tion avec la mydriase moyenne, que produit la paralysie du moteur ocu- laire commun, et ces deux types peuvent pa
ont voulu expliquer la mydriase maximale par les seuls troubles du moteur oculaire commun ou du grand sympathique cervical,
rme paralytique peut seprésenter sous deux types : 1 Paralysie du moteur oculaire commun : les signes sont identiques à
s marquées quelquefois que dans l'alcoolisme en raison de l'apathie motrice due au toxique. La démarche chancelante et les
tre ans une affection complexe constituée surtout par des symptômes moteurs , sensitifs, tt'oplii-I ques, et par des trouble
t'oplii-I ques, et par des troubles bulbaires. \ 4° Les symptômes moteurs consistent surtout en une paraplégie spasmo- di
la région cervicale. Mais la constatation de symptômes sensitifs et moteurs s'étendant jus- qu'aux extrémités inférieures n
faut donner la même signification aux troubles trophiques et vaso- moteurs qu'on remarque au niveau du membre supérieur droi
e. Il n'y eut jamais de vertiges, ni de convulsions, ni de troubles moteurs du côté de la face ou des membres. Il y a deu
a aucun signe de parésie droite ou gauche, aucune parésie des nerfs moteurs crâniens. Pas d'ataxie dans les mouvements, pas
osseux, a aug- menté de volume sans changer de forme. L'impotence motrice a fait de nouveaux progrès. Au dynamomètre la mai
rophie, avec conservation suffisante de la force musculaire : la voie motrice est, dans la moelle, à peine touchée ; on trouv
taient uniquement cérébrales, interrompant, des deux côtés, la voie motrice dans la capsule interne et déterminant des lési
s le IVe segment cervical jusqu'au IXe segment dorsal. Les troubles moteurs aussi bien que les troubles de la sensibilité per
syringomyélie ; si l'on ajoute que dans l'acromégalie les troubles moteurs et sensitifs font défaut tandis que les derniers
prenant les mesures aussi exactes que possible des circonvolutions motrices de chaque côté ; il y aura lieu aussi de faire
uvent chez les sujets nor- malement développés. Les circonvolutions motrices , et en particulier celles qui commandent les mo
le que le microscope démontre une diminution du nombre des cellules motrices dans la portion de l'écorce correspondant aux m
stic possible de porencéphalie de l'hémisphère droit dans la région motrice chez un enfant épileptique, d'intelligence null
, mais non exclusivement, le système nerveux central dans sa partie motrice . C'est encore à une lésion pyramidale que Ha us-
aine de jours, je suis très gêné par une recrudescence d'un trouble moteur de date déjà ancienne (12 ans environ) que je vou
vent au cours des torticolis convulsifs. Le plus souvent ce trouble moteur précède le torticolis ; parfois ce dernier ne se
ve à pouvoir exécuter correctement tous les 496 HENRY MEIGE actes moteurs , tout en étant distrait, c'est qu'en effet on a r
La même pratique doit être appliquée à la correction des habitudes motrices défectueuses dans les dif- férents actes de la
f- férents actes de la vie et à leur remplacement par des habitudes motrices cor- rectes. Et ce travail se trouve facilité p
eillance ait le temps de porter successivement sur chacun des actes moteurs qui les composent. Si on fait attentivement c
nouveaux mois d'amélioration régulière portant' sur tous les actes moteurs , automatiques ou surveillés. Cette sorte de tre
uant surtout d'attention, prompt à prendre de mauvai- ses habitudes motrices et les perdant difficilement. Il a un caractère c
ne continue par habitude à exercer de temps à autre la surveillance motrice dont il a pu apprécier les bons effets. Et ce
hronique ; ophtal- moplégie et paralysie bilatérale de la branche motrice du trijumeau ; tabès probable (1 pl.). 117. L
73 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
rocessus physiologiques appartiennent par conséquent les ré- Ilexes moteurs simples et composés, y compris l'adaptation à un
cicatriciel de réparation. Ce tissu conjonctif irrite les cellules motrices des cornes antérieures de la moelle du côté cor
jourd'hui qu'il y ait là du tissu con- jonclif) irrite les cellules motrices , personne ne l'admet plus. Le fait (1) Il est b
ue que pour qu'il existe de la contracture il faut que les cellules motrices des cornes anté- rieures soient excilées. La dé
tale de la contracture spasmodique serait l'excitation des cellules motrices des cornes antérieures de la moelle, irritation
ues, par la perte du pouvoir inhibiteur du cerveau sur les cellules motrices de la moelle. Ceci nous fait passer à la théori
s, la substance grise médullaire serait encore la véritable machine motrice , mais une machine motrice toujours sous pressio
llaire serait encore la véritable machine motrice, mais une machine motrice toujours sous pression, toujours apte à fonctio
, l'une que la substance grise médullaire est une véritable machine motrice sous pression, l'autre que le faisceau pyramida
ontracture ; mais M. Marie, quoi- qu'il reconnaisse que les centres moteurs médullaires se trouvent en état d'excitation ex
e centre médullaire est excité exagérément, parce que les cen- tres moteurs médullaires sont comme « une machine motrice touj
arce que les cen- tres moteurs médullaires sont comme « une machine motrice toujours sous pression, toujours apte à fonctio
ut à fait exacte, nous verrons plus tard ce qui excite les cellules motrices de la moelle. Mya et Levy, Rïtssell, Freud, M
avons exposés en deux mots : au cours de la contracture les centres moteurs médullaires sont en état d'excitation, la force i
-Bastian, nous voyons aussi qu'il y a une excitation des cel- lules motrices médullaires, comme dans la théorie de Charcot-Bou
LÉGIE CONSÉCUTIVE. (CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA ZONE MOTRICE DU CERVEAU ET DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES D
se rapportent toutes deux à des destructions partielles de la zone motrice du cerveau. Dans l'une la lésion s'est produite
on de la région du lobule paracentral peut déterminer une paralysie motrice du membre infé- rieur sans que le membre supéri
t l'hy- pothèse qu'une lésion quelconque, même partielle, des voies motrices produit toujours une hémiplégie complète (P. Ma
prouvé que dans les régions corticales et sous-corticales les zones motrices des membres supérieur et inférieur sont anatomi
2443). Nous ne nous occupons pas dans cet article des localisations motrices capsulaires : nous n'avons d'ailleurs pas des m
9). Dans trois d'entre eux, avec des lésions partiel- les des voies motrices descendantes, l'hémiplégie était en effet totale
ie brachiale ou crurale, il faut donc que la destruction de la zone motrice correspondante soit limitée à l'écorce cé- rébr
s'accorde avec les recherches récentes qui ont démontré que la zone motrice corti- cale est formée exclusivement (ou presqu
plus précises, on doit s'en tenir à la constatation d'une paralysie motrice du membre inférieur, relevant d'une nécrose du lo
e à la contracture post-hémi- plégique qu'au résidu de la paralysie motrice . Chez les vieillards le retour de la fonction e
survie relativement courte, les dégénérations secondaires des voies motrices ne laisser aucune trace sur une longue partie de
diques. Répartition uniforme des fibres de projection de cette zone motrice restreinte sur toute l'étendue de la capsule inte
ction). Cet étalement des fibres de projection provenant d'une zone motrice réduite des deux tiers environ est encore plus
que, malgré cette ré- duction quantitative considérable de la zone motrice , la motilité du côté opposé du corps a été cons
embre supérieur, une altération beaucoup plus notable des fonctions motrices , prédominant à l'avant-bras et à la main et ent
ortion. Ils doivent être attribués en partie au reliquat de la zone motrice lésée, en partie à ]'action de l'hémisphère opp
ie dans la répartition anormale des fibres de projection de la zone motrice que nous révèle l'examen des coupes bis- tologi
uite d'une destruction des parties inférieure et moyenne de la zone motrice corticale on doit, dans la' règle, constater l'ab
s au contraire dans notre cas que les fibres descendantes delà voie motrice occupent toute l'étendue de la capsule interne
ou même avant. Malgré la destruction d'une grande partie de la zone motrice corticale, une voie descendante s'est formée, réd
, on ne voit,pas de sclérose névro- glique sur le trajet de la voie motrice descendante ; sauf dans la région sous-thalamiq
e chose près. Dans le second cas une lésion très étendue de la zone motrice du cerveau n'a laissé qu'un déficit fonctionnel
grâce à la pré- cocité de son apparition, il y a eu pour les voies motrices suppléance anatomique en même temps que physiol
utumance du cerveau ont été extraordinaires, au triple point de vue moteur , sensitif et intellectuel. Ce n'est que dans le
ble, clinique et anatomique. En clinique, les troubles sensitifs et moteurs de la queue de cheval sont généralement bilatér
e de Lll- Un second foyer, très petit à gauche, enserre les racines motrices de Lw et Lili sur un trajet de quelques millimè
et les nerfs sacrés gauches normaux, ainsi que les racines sacrées motrices droites. Uv sensitive, immédiatement contre la
re donné une in- terprétation satisfaisante des troubles sensitifs, moteurs et trophiques qui se manifestent au cours d'une
te altéra- tion au niveau de la portion extramédullaire des racines motrices et sensitives. Toutes les gaînes myéliniques on
e des centres trophiques médullaires, une interruption des neurones moteurs au sein même de leurs centres. Les altérations
uberculeux. Thèse de Paris, 1898. 51. CESTAN. Un cas de polynévrite motrice chez un tuberculeux. Bull. de la Société anat.
o-chirurg. di Palermo, 1900. 65. DECItOLY. Polynévrite tuberculeuse motrice . Polyclinique, janvier 1900. 66. Dufour. - D'un
lexes osseux. Revue neurologique, n° 5, 15 mars 1901. 154 NOICA motrice qui prend son origine dans les noyaux intramédull
Thorburn et sur les études modernes des localisations des fonctions motrices de la moelle épinière, Bruce, van Gehuchten, Ne
ns, incohérence, désorientation, inconscience, logorrhée, agitation motrice , inquiétude. Les éléments les plus fréquents de
y faire penser. On peut aussi songer à une altération de la plaque motrice terminale, l'aspect de notre malade en effet ra
myélite antérieure aigué avec parésie du nerf facial et de l'oculo- moteur : un cas ; Poliomyélite antérieure aiguë, avec
leur étendue, les noyaux du facial, du spinal et surtout des nerfs moteurs de l'oeil, d'où ces troubles encore si apparent
citation légère provoque des réactions bilaté- rales. L'irradiation motrice se fait sans doute par les fibres commissurales
es des deux cornes antérieures, et qui peuvent permettre à l'influx moteur , qui a atteint l'un de ces groupes cellulaires,
il se redresse. Si on fait la même manoeuvre du côté sain, l'influx moteur redescend le long d'un faisceau pyramidal qui n'e
e se mettait en extension, va se fléchir mainte- nant, car l'influx moteur n'a pas passé par le faisceau pyramidal dégé- n
e celles qui provoquent l'exagéralion de la réflectivité : l'influx moteur pourra franchir la commissure antérieure de la mo
ait. Ce paraplégique, en somme, peut être considéré au point de vue moteur , comme un hémiplégique du côté gauche : sa réflec
s formes cervicales, les troubles vaso-moteurs cardiaques et oculo- moteurs . Toutefois, dans l'une comme dans l'autre affec
périnée, et à la partie interne des cuisses. Aucune incoordination motrice , il se plaint seulement de diminution des force
a parfois de l'anesthésie' uréthrale et rectale. L'incoordination motrice dans les membres inférieurs est complète; le mala
signes les plus nets : troubles sensitifs accentués, incoordination motrice , myo- sis, troubles sphinctériens et abolition
être peut-on faire la même remarque en ce qui concerne les troubles moteurs (sorte de paraplégie avec prédominance légère d
ée à gauche. Bras gauche parésie : c'est à la main que les troubles moteurs sont le plus accusés, moins au coude, encore mo
es devaient leur origine à une tumeur de l'hémisphère droit, région motrice . Soudée à la dure- mère, elle en était sans dou
ble fut la parésie du bras gauche. C'est à la main que les troubles moteurs furent le plus ac- centués, moins au coude, enc
te coïncidé avec la tumeur, celle-ci ayant refoulé en avant la zone motrice ((i.9). Il n'est pas question d'une destruction d
-IL s'agit d'un sarcome, sis immédiatement en arrière de la région motrice du bras. Cela explique l'apparition précoce des t
on motrice du bras. Cela explique l'apparition précoce des troubles moteurs . Plus tard la tumeur pénètre dans la substance bl
qui n'eurent au- cun caraclère jacksonien à la proximité de la zone motrice ? Ou faut-il mettre l'épilepsie en rapport avec
pareille à un squelette. La parole atteinte d'abord dans sa partie motrice , finit par être complète- ment abolie aussi du
suivante. Il n'y eut ni troubles de la démarche, ni incoordination motrice , ni douleurs fulgurantes, ni troubles trophique
sur les corrélations entre les troubles psychiques et les troubles moteurs , dont il- a proposé de désigner l'alliance sous
74 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
origine corticale, et à y voir un trouble dans les représentations motrices néces- saires à l'articulation des mots. Les
ubrique « Affection nerveuse caractérisée par de l'in- coordination motrice , accompagnée d'écholalie et de copro- lalie. Gu
érescence primitive de certaines zones du système de conductibilité motrice ou cas pur d'ophtalmoplégi progressive bilatéra
anomalies diverses en rapport avec les modifications sensitives et motrices qui sont bien connues. - Dans un appendice, M.
mari et du mari à la femme par contiguïté, sans que les symptômes moteurs de la maladie se développassent. La première obse
e paralysie porta, ce qui en fait un cas unique, sur tous les nerfs moteurs et sensitifs. qui innervent l'avant-bras et la
ales, on détermine, par l'atteinle exclusive de la couche corticale motrice , une dégénérescence d'un système de fibres sous
cortical et sou faisceau pyramidal ont bien réellement une fonction motrice , et simplement motrice (conservation des autres
u pyramidal ont bien réellement une fonction motrice, et simplement motrice (conservation des autres fonctions et des facul
t entrer en fonction la parotide. Elle n'a rien à voir avec la zone motrice . La région de l'écorce plus en dedans de celle-
la sécrétion salivaire; elle ne se confond pas non plus avec lazone motrice , puisqu'elle occupela partie antérieure du gyrus
e connexion, du moins de connexion directe, entre la zone corticale motrice , au moins des deux régions sus- énoncées, et le
signes d'un développement dél'ecteux. Les circonvolutions de J'aire motrice du cerveau furent en con- séquence examinées av
uleurs fulgurantes marche graduellement progressive de la faiblesse motrice ; rigi- dité des membres ; tremblements fihrill
lissement graduel des 102 revue DE patiiologie mentale. fonctions motrices , la rigidité des membres et leur résistance aux
lit thcr- manesthésie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso moteurs . (Substance grise latérale postérieure) ; par
ù la démence précoce en pareils cas souvent accompagnée de troubles moteurs . Il serait à désirer que l'Allemagne eût ses asil
R UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 149 * tion normale des branches motrices du sciatique à la jambe. Rappelons seulement en
t chez le malade de l'Observation VII. 166 . PATHOLOGIE NERVEUSE. moteurs , elle en diffère en ce que l'anesthésie, au lieu
ubles de la sensibilité sont à peine appré- ciables, les troubles moteurs dominent toute la scène. Arri- vons maintenan
ans les muscles animés par ce même ^tronc ner- veux. Les troubles moteurs et sensitifs sont donc faci- lement explicables
es morbides.. Observation XL (Personnelle.) Sciatique avec troubles moteurs et sensitifs dans le domaine du sciatique popli
bon. Nous nous trouvons ici en présence de troubles- sensitifs et moteurs qui méritent d'autant plus que nous nous y arrê
f, le sciatique po- plité externe, et caractérisée par des troubles moteurs et sensitifs portant sur le territoire de distr
de la chorée chronique. « La chorée chronique présente des troubles moteurs de même ordre que la chorée de Sydenham, commun
n, et qui consiste dans « une hémiparésie avec paralysie croisée du moteur ocu- laire commun, et tremblement des extrémité
ez notre malade (la paralysie de la face pouvant remplacer celle du moteur oculaire commun), il existe dès lors une grande
, est le ramollissement. Il siège presque toujours dans les zones motrices soit au niveau des circonvolutions, soit au voi
'hémiplégie et même des paralysies généralisées il y a des troubles moteurs localisés à certains groupes de muscles. Aussi,
de de carbone donnera lieu à des troubles sensitifs, à des troubles moteurs ; il est aussi naturel d'admettre qu'elle amène
x éléments étaient nécessaires pour la production de ces troubles moteurs d'origine psychique, à savoir : 1° un état mental
on, de la calorification, de l'innervation (anesthésie et paralysie motrice ) avec menace de sphacèle '.Ces accidents seraie
els que sensation de lourdeur, parfois anesthésie réelle et parésie motrice plus ou moins accentuée. Ces phénomènes, suivan
s a semblé indemne d'autres manifestations hystériques des troubles moteurs et sensitifs consécutifs à un traumatisme. Bien
4. MG : 34. Il ne reste plus de vestiges des troubles sensoriels et moteurs des jours précédents. Le 26 mai, plus de deux
est en tout cas facile de compren- dre que, de toutes les fonctions motrices de l'oeil, la convergence est celle qui exige l
. s'accompagna dans l'espèce d'une parésie légère des deux oculo- moteurs externes, et d'une espèce de nystagmus des deux y
lques jours après, paralysie des bras. Enfin, at- teinte des fibres motrices du trijumeau (grincement de dents; otite moyenn
ès en rapport avec l'entrée en scène progressive des divers centres moteurs de l'écorce- La galva- nisation diminua un peu,
pière supérieure; or, on se rappelle qu'une bonne partie des fibres motrices du trijumeau prennent nais-ance dans les cellul
hématies, hémorrhagies petites et grosses), aux centres de l'oculo- moteur commun, de l'oculo-moteur externe, de l'hypogloss
r une paire de nerfs rachidiens. Pour chacun des nerfs (sensitif ou moteur ) considéré isolément, on n'aura donc qu'un demi
s points hystérogènes. Quelques-uns ont été atteints de paralysie motrice . Leurs observations sont consignées dans les le
rche, par exemple, nous avons d'abord tâché de réveiller les images motrices par des mouvements passifs re- produisant ceux
fait marquer le pas, etc... De cette façon, les images visuelles et motrices s'associent pour rendre à la malade le sou- ven
a-t-il été toujours ainsi chez elle. Il en est de même des images motrices qui seules, ou même associées aux précédentes,
Sur ce point et sur d'autres relatifs aux facultés sensorielles et motrices des mammi- fères sans cerveau, il est difficile
ment déments. » L'altération de toutes les facultés sensorielles et motrices dans ces chiens opérés par Goltz, chez lesquels
SATIONS CÉRÉBRALES. 417 en connection avec les tractus sensitifs ou moteurs , et nous avons pour but, si possible, de déterm
es régions définies précisément en rapport avec certaines fonctions motrices ou sensorielles. Flourens, le fait est bien con
lication des électrodes sur différentes régions produit des régions motrices avec une telle constance, qu'on peut prévoir lo
région a été indiquée avec soin, Flg. 39, - Disposition des fibres motrices de la capsule interne, d'après Bcevor et 1 fors
ation ne produit aucune réaction. Ce fait détruit com- 1 Le cerveau moteur (Archives de physiologie, 1883.) ' Examen de]qu
re à la transmission de l'impulsion à travers la moelle et les nerf moteurs , est pour l'écorce de 45 secondes. Après l'abla
celle du cordon grêle de Goll. Les premiers ont une action excito- motrice directe, ce dernier agit comme organe d'excitabil
tions corticales. P. K. LV. Rapports topographiques ENTRE la région MOTRICE ET LE crâne d'après V. Horsley, par L. GOLDSTEI
énomènes complexes de la course, du saut en saccades, des décharges motrices , du piétinement. Le maximum d'irritabilité occupe
aigu. Deux observa- TIONS avec dégénérescence amyloïde DES muscles MOTEURS DU SQUE- lette, par Buchuolz. (arcs. f. Psychia
agramme du par Benédikt, 265; - rapports entre le -, et la région motrice , par Goldstem, 43'r. Criminels, séquestration
, par Bianchi et d'A- brundo, 82; - après extirpation des régions motrices , par Ztcheu, 87; de la substance blanche, par
75 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nts. Il n'y eut jamais ni phénomènes convulsifs, ni loca- lisations motrices . L'oedème de la papille ne fut jamais constaté.
aphasiques, l'au- teur distingue une forme aphasique à prédominance motrice et une à prédominance sensorielle, suivant la l
e trois jours, caracté- risée par de l'excitation intellectuelle et motrice . c) Une période délirante de 20 jours, dont la
u 0 juillet. Présidence de 31. Ballet. Hémiplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et troubles splain
n ictus, attribuable à une lésion du lohe temporal. Localisations motrices médullaires . Mme 1)ar : atNr : présente à ce s
Masselon intacte ou à peu près chez les mélancoliques ; l'impulsion motrice seule reste faible ; et le malade, qui peut com
de l'obstacle que les phénomènes dépressifs opposent aux tendances motrices renais- santes. Les images mentales forment des
ention et images). 2° Dans les troubles volontaires, les phénomènes moteurs sont caractérisés par la faiblesse des impulsio
hénomènes moteurs sont caractérisés par la faiblesse des impulsions motrices , décelée par le dynamomètre, l'écriture, etc. T
les précédents, sont d'origine centrale (affaiblissement des images motrices ). L'aboulie est conditionnée par le trouble des
: 1° passagè1'es,2° incomplètes, 3° récidivantes . D'ordinaire, le moteur oculaire com- mun est atteint le premier. Ces c
veau, doivent toujours garder la préséance, ensuite les trou- bles moteurs , sensitifs, sensoriels, réflexes, etc., et, cela
es, on pourrait conclure qu'il s'agit d'un trouble de l'automatisme moteur , de la marche inconsciente, delà coordination c
plu- tôt que de la marche volontaire et consciente de la volonté motrice , et ceci distinguerait symptomatiquement les fait
e. Chez le tabéti- que, cette succession de phénomènes sensitifs et moteurs est perturbée : 1° parce que la muqueuse laryng
ales. Ces connexions constitueront les points d'origine des racines motrices et sensi- tives. 4° Les nerfs moteurs se form
ints d'origine des racines motrices et sensi- tives. 4° Les nerfs moteurs se forment par l'accroissement des chaînes vent
atérales, selon un processus de formation analogue à «lui des nerfs moteurs de la moelle. 6° La plaque latérale céphalique,
l'organe latéral du sens ; 7° Les nerfs périphériques, sensitifs et moteurs , sont d'ori- gine cellulaire. Dans toute chaîne
entres trophiques cérébraux dans l'écorce, au voisinage des centres moteurs (Kirch- hoff). - X. Intervention de plusieurs c
namiques des cellules des cornes antérieures, des troubles vaso- moteurs , des arthropathios fréquentes.-\l. La lésion de l
antôt sur le muscle, et qui dans d'autres cas, envahit tout l'arc moteur retiexe d'une façon uniforme. G. D. III. - Deux
istologiques se rencontre sur- tout dans le lobe frontal de la zone motrice . La nature des lésions montre qu'il y a une dés
xtra- cellulari ; 2° Dr Nicolas Alfeuskw. Les noyaux sensibles et moteur du nerf vague chez le lapin ; ç -3°A. Van Gehucht
al umana. 5" Dr F. Augustin Cemelly. Sur la structure des plaques motrices chez les reptiles. 6° A Van Gehuchten. Le fais-
rou- 200 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. bles moteurs des membres inférieurs. Ce dernier jette les ja
ive à corriger les troubles du tronc, comme on corrige les troubles moteurs des jambes et des bras, depuis 10 ans. pour les
ues que nous avons ré- glées dans ce but; mais la cure des troubles moteurs du tronc dans le tabès est plus longue et plus
ci : 1° Trop souvent, on a tendance à considérer la réédu- cation motrice de l'ataxique comme un exercice de sugges- tion
nsidéré comme un névropathe, un phobique,et n'ayant pas de troubles moteurs apparents, la iééducation n'a semblé être, en c
ils aient pu obtenir des bénéfices intéres- sants. A chaque trouble moteur doit correspondre un exercice spécial (ruine vi
ur doit correspondre un exercice spécial (ruine vise que ce trouble moteur , ne convient qu'à celui-là et reste sans effica
a suite d'un ictus survenu trois mois avant sa mort, une hémiplégie motrice droite progressive avec hémitremble- ment, et p
tômes névropathiquessur la zone intéressée. G. C. \Il. Paralysio du moteur oculaire externe, d'origine otique; par MM. LAN
es de la caisse. Mastoïdite aiguë datant de 4 jours. Paralysie du moteur oculaire externe du même côté depuis 24 heures.
lution parallèle des symp- tômes du côté de l'oreille et du trouble moteur oculaire. Des recherches auxquelles se sont liv
e avec parésie de l'appareil inhibitoire. A mesure que les cellules motrices corticales et médullaires se fatiguent, le tonu
eux grammes de brome produit une augmentation de l'irrita- bilité motrice centrale et peut être une altération de la perc
iers de 5. Ce phénomène est, lui aussi, l'effet de l'irritabilité motrice centrale augmentée. Comme précédemment,l'in- fl
reuves ont été arrangées de manière qu'on a examiné les excitations motrices naissantes après une promenade longu : et rapid
eaucoup de probabilités que l'influence du brome sur l'excitabilité motrice n'est pas remarquable. Une diminution de l'exci
ité motrice n'est pas remarquable. Une diminution de l'excitabilité motrice centrale ne se fuit pas non plus voir. VII. R
GIE CLINIQUE MENTALE Mutisme, aphonie, amnésie, aphasie aphasie motrice , amusie, surdité musicale, surdité verbale, céc
ne série de troubles aphasiques plus ou moins accentués : aphasie motrice légère, surdité verbale, amusie, cécité verbale,
oter du- rant assez longtemps la monotonie de ses propos. Aphasie motrice . Les premiers jours, D ? présentait du mutisme,
s à parler, le 8 avril, on n'a pu constater chez lui qu'une aphasie motrice légère, no portant que sur quelques mots. 12
e. Pas de scotome central. Le fond de l'oeil est normal. TROUBLES MOTEURS . On a trouvé au début de cette observation l'hi
que. Amnésie très marquée, rétro-antérograde, accompagnée d'aphasie motrice légère, d'amusie et de surdité musicale complèt
la suite d'une émotion, l'aphonie cessait en même temps. L'aphasie motrice peu marquée du reste, avait disparu depuis un m
e; mais elles ne suffisent pas à expliquer complètement le désordre moteur . ,1. S. XL.-Le pouvoir pathogène de l' « Asperg
atteint surtout les grandes cellules de la ? )- couche de la région motrice . Dans le cervelet, les cellules de Purkinje son
ans le bulbe, la lésion prédomine dansles olives et dans les noyaux moteurs des V, N'Il, X, XI, NI[ paires, respecte les no
'enfant est gauche dans ses mouvements, mais il n'y a aucun trouble moteur ; pas de tremblement, ni de mouvements athétosi
que aiguë. CH.BONNF. XXIX.- Kleine motorische Epilepsie (petite ép. motrice ) ; par \'nc.nv PI.AVEC, de Prague. (Veurol. Cea
nes et sur les rapports clini- ques et pathogéniques du « petit mal moteur » avec les tics) certaine- ! myoclonies. Il dis
liomberg, signe d'Argyll, perle du sens musculaire, incoordination motrice , crises gastriques, douleurs fulgurantes, ébauc
hésie généralisée enfin des phénomènes très nets d'aphasie. aphasie motrice avecalevie complète et agraphie. Pendant que le
rouve les mêmes dilata- tions vasculaires violacées. Pas de trouble moteur , sensitif, ré- flexe, ni trophique. Pas de stig
' -, par la méthode de Ceni, par Tiengo, p. 229. Petite épilepsie motrice par Vacla3--PlaN-ec, p. 457. Epileptiques. Vo
par Raymond et Galezowski, p. 49. Hémiplégie avec paralysie du moteur oculaire commun du même côté et troubles splunc
ental des -, par Joire, p 133. Mutisme, aphonie, aphasie, aphasie motrice , amu- sle, surdité musicale, surdité veibale,
oit Psy- choses. Lobe OCCIPIT.\L. Voir Glio-endo- Localisations motrices médul- lames, par Mme Déjerine. p. 48. Loi. L
214. Sur un cas de - de la 3e paire, par Josse- rand, p. 219. du moteur oculaire externe d'origine op- tique, par Lan
76 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
apporte à l'alcoolisme des troubles intellectuels ou des réactions, motrices ou morales, qui reconnais- sent souvent une tou
ion d'origine centrale qui atta- quait certains noyaux d'origine du moteur oculaire commun, en respectait d'autres, et att
dépasser la dose initiale de 1 gr. 50 centig. 3° Dans l'excitation motrice de la paralysie géné- rale et du délirium treme
été parléplus haut, des relations avec tous les groupes de cellules motrices . Cesnotions d'anatomie sont suivies de quelques
au quatrième groupe, concernant l'altération primaire de la sphère motrice de la vie psychique se rapporte ; 1 Go l'état i
éaction de dégénéres- cence. Quelques considérations sur la théorie motrice du sar- Coplasme ; par Mlle Ioteyko. (.fourn, d
à considérer la première comme obéissant à l'influence des centres moteurs corticaux et la seconde à l'action des centres
des centres moteurs corticaux et la seconde à l'action des centres moteurs inférieurs ou médullaires. (î. 1). XI. - Quel
voisinant le pli courbe où siège le centre visuel verbal, aux voies motrices et aux centres moteurs du lan- gage. Comme la
où siège le centre visuel verbal, aux voies motrices et aux centres moteurs du lan- gage. Comme la plupart des hémianopsi
où le tableau est au grand complet : de la dyspepsie secrétaire et motrice , des troubles cardiaques divers, de la dyspepsie
ais non le moins significatif de tous, le mal de tête, les troubles moteurs , la neurasthénie (qui est au moins proche parente
ceux de Blervliet (1897, 1899, 1901) sur l'asymétrie sensorielle et motrice de l'homme, de Séglas (1901) sur les hallucinat
. Mais les centres optiques et ceux qui président à des fonctions motrices et sensrtivo-sensorielles,dont la mise en oeuvre
me : « La synergie qui existe pour les autres organes sensoriels et moteurs , et notamment pour les rapports entre les excit
ur les rapports entre les excitations sensorielles et les réactions motrices , pourra avoir partout d'elle-même les mêmes effet
x périences de l3rown Sequard sur « les prétendu» centres psycho- moteurs » t1 : 7, 182) sont encore inexpliqués. On connai
ALE DU CORPS. 193 tres entrecroisements, par exemple ceux des voies motrices des muscles du squelette, sont beaucoup plus in
té. Par contre, dans le bulbe déjà, le grand nombre des fonctions motrices à caractère symétrique bilatéral] qui y possèdent
iques, où ces entrecroisements sont probablement liés à la synergie motrice . > (I. p. 237). - En résumé, de par la phylo
.car les vues propres à l'auteur allemand sur le rôle des synergies motrices dans la phylogenèse des entrecroisements moteur
ôle des synergies motrices dans la phylogenèse des entrecroisements moteurs et sensitifs sont t d'une importance capitale a
eils servant à transformer les impressions sensorielles en in- flux moteurs possèdent dans les centres une certaine symétrie.
eption spatiale, correspondance exacte des fonctions sensorielle et motrice . La vision binoculaire diffère de la vision pan
que les appareils ré- flexes qui sont le point de départ des influx moteurs destinés à chaque muscle : centres (corticaux)
: c'est pour cela qu'ils sont doubles, tan- dis que l'autre organe moteur asservi à la fonction de l'hématose, le coeur d
que très rarement mise en jeu dans l'émotion. Les réactions vaso- motrices ne sont 'd'ailleurs qu'un facteur de second ordre
tres fonctions. » La revue générale déjà indiquée sur les fonctions motrices (Gras- set, 1905) bilatérales des hémisphères co
certains autres. Il ne tiènt pas compte des connexions bilatérales motrices et sensitivo-sëhsorielles 'de-chaque moitié du
rébrale sans altérations ma- croscopiques, et l'absence de troubles moteurs graves (épilepsie, paralysie) et d'autres sympt
ue, conjointement, cela va sans dire, pourvu que les manifestations motrices puissent coïncider, avec ceux de l'état conscie
, peuvent en outre présenter la même to- pographie que des troubles moteurs , vasomoteurs, trophiques etc. L'auteur rapproch
consciences en partant des organes ou paires d'organes viscéraux, moteurs , sensoriels, communs pour la plupart aux deux i
agir celui qui boit,c'est-à-dire met à contribu- tion les fonctions motrices des deux moitiés du névraxe ? Dans ce cas donc
pour rien : l'un de ces groupes occupe ou dirige tout l'appareil moteurs ; l'autre,étranger au mouvement,n'est fait que
le que soit leur pathogénie, l'alliance de certaines as- sociations motrices avec certaines associations sensitives sensorie
faits nombreux démontrent que des associations entre des phénomènes moteurs et des idées ou impressions peuvent s'effectuer
nblables à l'excitation prin- ceps. La dimidiation des phénomènes moteurs ne prouve rien en faveur de l'indépendance psyc
ur ainsi dire, l'absence de toute relation entre les phénomè- nes moteurs ou sensitifs dimidiés et les dédoublements appa
erritoire qui limite les surfaces frontale et pariétale de l'écorce motrice vraie est un de ceux qui, à en juger par les fait
sés sont les premiers fruits d'un hé- ritage alcoolique : l'élément moteur de la mentalité, si l'on peut ainsi parler, est
ent dans l'urne : Pneumogastrique. Nerfs sensoriels, sensitif et et moteurs de l'oeil. Bulbe rachidien. Centres moteurs corti
soriels, sensitif et et moteurs de l'oeil. Bulbe rachidien. Centres moteurs corticaux. Epreuve orale '(dite « de garde »)de
isme tout entier se trouve projeté dans des centres fonctionnels, moteurs , sensoriels, viscéraux et vaso-moteurs, réunis
t à l'heure, de la pa- ralysie d'un bras. Nous savons que le centre moteur de ce bras est non seulement moteur, mais sensi
bras. Nous savons que le centre moteur de ce bras est non seulement moteur , mais sensitivo-mo- teur et psycho-moteur, c'es
sujet a l'air d'être paralysé par amnésie.Ad- mettons que le centre moteur ne soit pas complètement inhibé ; les excitatio
tenant qu'au moment même où l'inhi- bition s'est produite le centre moteur était le siège d'une (1) ,"oir Le problème de l
tat moléculaire du'centre inhibé. Mais,en même temps que le -centre moteur du bras est inhibé, et cesse ainsi de percevoir
les excitations affaiblies qui lui parviennent encore du cen- tre moteur inhibé. Si, au contraire,l'inhibition de ce der-
amental, c'est l'état physiologique, disons même physique du centre moteur . Appliquons ce que nous venons -de dire à n'imp
en activité normale. Le réveil cérébral s'accompagne de réactions motrices , sensitives, sensorielles, viscérales, vaso-mot
élément, et que la trans- formation de l'influx sensitif en influx moteur se fasse à ce niveau. Considérons,en effet, les
e des deux dernières lombaires et delà première sacrée des troubles moteurs à type radiculaire. Ils ont L noté la lymphocyt
t;'ttCfp/KïHte ophtalmoplégie et paralysie bilatérale de la branche motrice du trijumeau. Il. LAnY, présente une femme atte
rare au cours de cette affection, mais la paralysie dans la sphère motrice du trijumeau est excep- tionnelle. M. Souques
o-motrices ou tro- phiques, viscérales, sensorielles et sensitives, motrices et enfin psychiques, et, suivant ses variations
m d'effet de cette émotion estlasyncope,dans laquelle les fonctions motrices , sensitives, sensorielles et intel- lectuelles
, de sensibilité et de motricité, mêmes réactions sensiti- ves et motrices quand il reprend son activité normale. Je dis q
tin, coeur et muscles de la respiration ; action sur les organes moteurs affectés aux organes sensoriels : vision stéréo
nt variées et nombreuses les voies de communication entre les zones motrices de la surface cérébrale et les membres. CAJAL
que des centres nerveux, Montpellier médical, XIX, 1904. L'action motrice bilatérale de chaque hémisphère cérébral, Année
par Dromard comme trop étroite, en ex- cluant « les manifestations motrices répondant à un contenu idée- affectif actuel, q
par des trac- tus différents du système nerveux ; 2° que le système moteur voli- tionnel évoluant et se développant plus t
ionnel évoluant et se développant plus tardivement que le sys- tème moteur instinctif est celui des deux qui est le plus tôt
compromis dans le cas de trouble mental ; 3° que lorsque le système moteur instinctif est atteint, les instincts dis- para
voie sensitive ou pour la voie 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. motrice . L'âge des malades et la durée de l'affection sem
ls et la petite-fille, qui sont tout enfants, ont déjà des troubles moteurs accentués ; ils en concluent que dans chaque gé
sfaisants. 502 SOCIÉTÉS SAVANTES Zona ophtalmique et paralysie du moteur oculaire externe et de l'accommodation. t M
ions périphériques dues à l'inflammation du ganglion ciliaire et du moteur oculaire externe dans son trajet in- tra-cavern
e médiocres résultats ; l'application rationnelle de la rééducation motrice en donne de meilleurs. - Tout autre est l'eff
ion de dégéné- rescence. Quelques considéra- tions sur la théorie motrice du sarcoplasme ; par M110 Ioteyko, p. 134.
IALITE. Oplltalmo- plégie et paralysie bilatérale * de la branche motrice du tri- jumeau ; par Lamy, p. 439. Poliomyéli
art ; par Mar- tineau, p. 513. Zona ophtalmique et paralysie du moteur oculaire externe et de l'accommodation ; par Ga
77 (1888) Atlas schématique du système nerveux : origines, ramifications, anastomoses des nerfs : leur distribution dans les muscles et la peau
il a la forme d'une bandelette appelée bandelette optique. III. Le moteur oculaire commun (troisième paire) est un nerf ent
. Le moteur oculaire commun (troisième paire) est un nerf entièrement moteur . Il fournit des branches à cinq des muscles de l'
les deux racines qui lui donnent naissance, une sensitive et l'autre motrice . C'est à peu près à cela que se réduit la ressemb
C'est à peu près à cela que se réduit la ressemblance, car la racine motrice est courte et sa distribution est très limitée.
ité générale, tandis que l'inférieure vers laquelle se rend la racine motrice présente un caractère plus complexe, car parmi se
ilité (dentaire inférieur, auriculo-temporal, buccal); 2° Des nerfs moteurs qui, probablement comme les nerfs spinaux, contie
c la corde du tympan venant de la septième paire, contient des fibres motrices . Les branches de la cinquième paire vers leur t
nnexion avec ce nerf : chacun d'eux est en communication avec un nerf moteur et un nerf sensitif, et avec le grand sympathique
rand sympathique et donne des branches aux régions voisines. VI. Le moteur oculaire externe (sixième paire) est le nerf mote
oisines. VI. Le moteur oculaire externe (sixième paire) est le nerf moteur du muscle droit externe de l'œil. La planche III
) ou portion dure de la septième paire de Willis est un nerf purement moteur et se distribue aux muscles de la face. Outre les
ntripète de la déglutition. Il est douteux qu'il contienne des fibres motrices ne venant pas des nerfs avec lesquels il s'anasto
es fonctions présentent un caractère mixte : tantôt sensitive, tantôt motrice , tantôt semblable à celle du grand sympathique.
d sympathique. XL Le spinal (onzième paire) est un nerf entièrement moteur . Il part de la partie supérieure de la moelle,
s les fibres extrinsèques de la langue. Sa fonction est exclusivement motrice , car la sensibilité qu'il paraît donner vient pro
e ces deux racines a une fonction mixte, car il est composé de fibres motrices et de fibres sensitives. Aussitôt sortis des tr
78 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
importance très grande dans la sémiologie des affections de la voie motrice pyramidale. Les travaux de Brissaud, de Babinski,
gne le plus sensible et le plus constant d'une affection de la voie motrice cérébro- spinale. Elle s'oppose nettement au mo
r une trentaine de malades atteints de maladies diverses du système moteur pyramidal : hémiplégies cérébrales récentes et
nte : tous les malades atteints de semblables affections de la voie motrice , présentent des modifications du réflexe planta
quement un phénomène patholo- gique lié à une altération de la voie motrice . Cette extension peut accom- pagner en réalité
de la sensibilité cutanée au membre sain, en l'absence de paralysie motrice du coté malade, ne me paraît pas suffire pour p
n ayant évolué en 15 mois : début par céphalée occipitale, troubles moteurs (parésie et maladresse des memhres), troubles p
es sont conservés dans toute leur intégrité. Pas d'incoordination motrice . Pas de signe de Romberg. Les réflexes rotuli
nce «je m'en f...» et elle rit. Pas de crise ; état de subagitation motrice . - La rétention a cessé depuis le 3 mai. 18.
on ; quelques-unes sont remplacées par des amas de noyaux. Région motrice droite (partie moyenne). Mêmes lésions plus ava
étal démentiel progressif, des troubles de la mémoire, des troubles moteurs (paralysie et inégalité pupillaires, tremblements
nce des facultés intellectuelles et son association aux symptô- mes moteurs réalisait en effet un ensemble symptomatique prés
était symétrique, constatation en faveur de l'intégrité du faisceau moteur . L'altération de l'hémisphère cérébelleux gauch
es portées dans sa sphère ambiante expli- quent partie des troubles moteurs , mais semblent en contradiction avec l'opinion
sés, tels qu'une hémiplégie, ne se soient pas produits, le faisceau moteur se trouvant hors de son atteinte. Au surplus le
nt disproportionné qui l'accompa- gnait et qui, englobant la région motrice , avait fait porter le diagnostic de tumeur i-ol
le surveiller : Il faut encore diriger ses mécanismes psychiques et moteurs morbides, les réorganiser du côté d'une finalit
deux, dans leurs composants plus élémentaires, à une série d'actes moteurs ,\\ est une loi fondamentale de psychatrie positiv
de se décharger, directement et par elle-même, dans quel- que effet moteur (James) ». Chez les aliénés il existe une lésio
qu'ils soient,- des états de conscience et par conséquent des actes moteurs correspondants : seulement, comme les premiers
itn but précis,crée l'habitude » ; c'est-à-dire : une série d'actes moteurs , coordonnés et répétés daus un but d'identique
onservés, de très nombreux états de cons- cience, et les mécanismes moteurs sont presque toujours intacts ; nous pouvons es
ence et de volonté normal ; ou bien nous agirons sur les mécanismes moteurs , pour induire et créer un élat d'automatisme ps
ymptômes et au même degré. Depuis les plus profondes stéréo- typies motrices , accompagnées d'une aboulie totale, par la submer
. Les raisons en sont claires : l'invalidité physique, la paralysie motrice , la sénilité en soi. Le chiffre de 36 0/0 chez le
ès arrivent immanquablement tous les jours. Il y a des épileptiques moteurs simples, qui ont un accès tous les 8-10 jours ;
ions morales et affectives : fréquentes au contraire les explosions motrices de cris, de légers sévices sur soi, de révolte
est pas rare de constater chez les hémiplégiques des troubles vaso- moteurs et trophiques variés, mais l'apparition d'un oedè
nt l'étude de cette aphasie, elle est atteinte d'une grosse aphasie motrice , elle n'a pas de surdité verbale, il a été impo
Gombaut le rattache du reste à une lésion du lemniscus et du champ moteur . 186 LOEPER ET CROUZON Tout récemment MM. Ray
es tissus ; et l'oedème nerveux n'est pas seulement un oedème vaso- moteur , c'est encore un oedème trophique. Les recherches
habituelle ; il a cependant une certaine tendance aux trouble vaso- moteurs . Ses extrémités se refroidissent et même se cyano
asthénie; D... pré- sente, au contraire., une véritable instabilité motrice ; le besoin de mouve- ment était tellement impé
morbide, « affection nerveuse caractérisée par de l'incoordination motrice accompa- gnée d'écholalie et d'échoprolalie »,
toires ; c'est-à-dire, rien que des symptômes de caractère purement moteur , dont la particularité est qu'ils se manifesten
uchenne. Migraine ophtalmoplégique ou paralysie récidivante DU nerf moteur oculaire commun. Elle peut avoir de commun l'hé
et du même côté que la paralysie consécutive ; la paralysie du nerf moteur oculaire commun est totale et pas seulement exter
taient d'origine La- silaire et présentaient la paralysie totale du moteur oculaire commun. Ceci s'accorde avec mes observ
côté des membres. Il existe chez ce malade des signes de paralysie motrice et sensitive de la majorité des nerfs crâniens
les lésions des cornes anté- rieures et par excellence des cellules motrices , qui furent trouvées chez les trois membres de
érieur des deux, exubérance extrême et variété des mani- festations motrices . Le maniaque est très vif et très fertile dans to
ndispensable à la juste pondération de tous nos actes, de nos actes moteurs en particulier, est sujet à des éclipses temporai
les influences du dehors, à toutes les suggestions, aux suggestions motrices , - même chorégraphi- ques. Les mieux équilibr
pendant quelque temps d'un léger degré de surdité. Les phénomènes moteurs s'accentuèrent progressivement. Les doigts se f
e traduit du même coup un fonctionne- ment défectueux des appareils moteurs et intellectuels. Lecture. Ces considérations
Ceci en thèse générale, mais encore .faut-il distin- guer l'aphasie motrice et l'aphasie sensorielle. Examinons d'abord com-
e. Examinons d'abord com- ment les choses se passent pour l'aphasie motrice . A la suite d'un ictus, accompagné ou non de ph
mmencée à ce moment), présente une hémiplégie droite et une aphasie motrice complète ou in- complète ; cette aphasie rétroc
s cas, et contrairement à toute attente, à toute logique, l'aphasie motrice ne s'installe pas définitivement . Ce n'est pas
ire que dans quelques circonstances on ne puisse observer d'aphasie motrice persistante, principalement chez les vieux paraly
ROLE ET DE L'ÉCRITURE 417 encore une autre forme possible d'aphasie motrice transitoire qu'il faudra savoir reconnaître.
it existe. Toutes ces considérations sur le diagnostic de l'aphasie motrice dans la paralysie générale, nous pourrions les
nvient de dire qu'en réalité elle est moins fréquente que l'aphasie motrice . Elle se pré- sente sous forme de cécité et sur
phasie, parfois même de jargonaphasie, et se montre comme l'aphasie motrice sous l'aspect de petites attaques successives,
ntrer sous forme d'atta- ques répétées, mais pas plus que l'aphasie motrice , elle n'a d'ordinaire tendance à « s'installer
Il y a, dans l'un comme dans l'autre cas, des perturbations d'ordre moteur et d'ordre psychique, encore qu'il soit souvent d
e, qui sont des plus fréquentes, elles peuvent dépendre de troubles moteurs ; elles peuvent dépendre aussi de l'état mental
ole et de l'écriture rele- vant de l'aphasie et de l'agraphie, soit motrices , soit sensorielles. J'aurais pu également vous
par ce steppage très accusé. Du reste il n'a pas d'incoordi- nation motrice : il lui est difficile de mettre le talon sur le
z les tiqueurs : tics, stéréotypies, caractérisés par l'instabilité motrice sous toutes ses for- mes, du trépignement, des
ion, de l'affolement en présence de la barre, toutes manifestations motrices unies chez les liqueurs à des troubles psychopa
nt par lui-même que nous considérons, dans tous les cas, le trouble moteur comme lié indissolublement au trouble mental. I
lement au trouble mental. Il existe d'autres troubles des fonctions motrices connus de longue date en médecine vétérinaire.
aux phénomènes de dégénéres- cence, parce qu'il constitue l'élément moteur , l'effort convulsif de déglutition, d'un troubl
citer de nombreux exemples d'actes impulsifs relevant de la volonté motrice . Le cheval de sang Faublas (par Orphelin et Mis
avons examiné aux actes impulsifs l'action de-la volonté uniquement motrice . Il existe d'autres troubles qui se rapportent
pulsion. Les hallucinations du cheval sont sensorielles, visuelles, motrices , mais toujours de nature psychosensorielle. San
al comprendra alors des visuels, des audi- tifs, des sensitifs, des moteurs ... On reconnaitra que les malformations physiq
79 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
diffèrent que par ce fait que l'irritation atteint tantôt des nerfs moteurs , tantôt des nerfs sensitifs, ou des nerfs sécré
e générale (Allqemeine Verwirr- theit), auquel se joint l'agitation motrice de plus en plus vive; il semble qu'on ait devan
ales. L'influence de la nuit ou l'apparition des phénomènes vaso- moteurs ne s'est pas fait sentir malgré la remarque de Ja
'orbite gauche et avait détruit le nerf optique gauche et les nerfs moteurs de l'oeil. Il y avait des kystes dans le foie e
tie interne du pied du pédoncule gauche et de l'origine du tronc du moteur oculaire commun gauche. Le diagnostic se trou
, leur nutrition, leurs rapports, en limitant leur action au centre moteur du bras gauche. La chorée ordinaire doit toujours
base une altération matérielle, nutritive, biochimique des cellules motrices des circonvolutions, des noyaux gris ou des 132
ction saisissante de deux séries d'images verbales. sensorielles et motrices . X... enten- dait qu'on lui parlait du dehors e
s émotions pour l'apparition et la persistance des névroses vaso- motrices l'asphyxie locale des extrémités et l'érythroméla
pothèses. Répétons, en terminant, qu'en tète des phénomènes vaso- moteurs de l'hystérie on trouve l'émotion ou l'idée fixe
rception personnelle; elle peut être ou non accompagnée d'agitation motrice , ou de dépression, ou de stupeur. Le ton émotio
excitations électriques, exagération des réflexes, troubles vaso- moteurs , etc. Ces signes de névroses s'accompagnaient d'u
la suite D'UNE chute; par le Dr Blocs. Une observation d'hémiplégie motrice complète portant sur les membres supérieurs et
u corps indiquaient la participation d'une grande partie de la zone motrice . Or, il n'est guère qu'une région du cerveau où
ssem- blement en un espace restreint d'un grand nombre de parties motrices , c'est la capsule interne. Le diagnostic de M.
n'est, en effet, que par la combinaison de l'élément phonétique et moteur que l'indi- vidu obtient la représentation du m
inimes (analgésie, diminution des réflexes cutanés) pas de troubles moteurs sensitifs ou sensoriels. Ceci indique une lésio
nsoriels. Ceci indique une lésion de lobes frontaux, sans la région motrice . La syphilis anté- rieure, jointe à des soucis
que la maladie évolue, les hallucinations verbales peuvent devenir motrices ; mais l'hallucination motrice reste à un plan p
lucinations verbales peuvent devenir motrices; mais l'hallucination motrice reste à un plan plus effacé : un grand nombre d
persécutés sensoriels, les phénomènes hallucinatoires de caractère moteur constituent le symptôme le plus saillant du tab
iété psycho-motrice du délire des persécutions. 10 Hallucinations motrices . Ce sont d'abord des hallucinations verbales mo
allucinations motrices. Ce sont d'abord des hallucinations verbales motrices avec leurs caractères et tous leurs degrés d'in-
us leurs degrés d'in- tensité, puis toutes sortes d'hallucinations, motrices communes. Souvent même ces derniers symptômes s
marquer que tous ces troubles coenesthétiques ont chez le persécuté moteur un caractère de continuité qu'ils n'ont pas che
llucinations de l'ouïe sont reléguées au second plan, vis-à-vis des motrices ; souvent même elles ne se présentent que sous u
personnalité; il est au contraire très accentué chez les persécutés moteurs parce que les hallucinations motrices s'adresse
s accentué chez les persécutés moteurs parce que les hallucinations motrices s'adressent au sens coetiesthétique (sens du co
'en plaignent. Les troubles de la sensibilité morale et l'agitation motrice ne sont pas primitifs; ils doivent être tenus p
modifications de la base organique (cénesthésie) et de la sphère motrice et affective de la vie psychique. Un index biblio
oit. Mais ce centre comprenant une assez grande partie de la région motrice , un diagnostic topogra- phique plus minutieux é
essous de la limite entre les tiers supérieur et moyen de la région motrice de la surface convexe. Que cette lésion fût la
ne plaque jaune de ramollisse- ment cortical occupant toute la zone motrice de l'hémisphère droit. Le degré de proportionna
l'écorce cérébrale, des zones sensitives indépendantes des zones motrices , la motilité, la sensibilité générale ainsi que l
e. Du côté gauche, le lobe temporo-sphénoïdal était com- primé : le moteur oculaire commun du côté gauche était aussi comp
uelles il importe de retenir surtout ceci : C'est la zone corticale motrice (ascendantes et partie postérieure des lobes fr
à la précocité de leur développement. - Eu ce qui concerne la zone motrice , la partie postérieure du lobulé paracentral pa
les altérations' disséminées atteignaient' plus' fortement la zone motrice . La dissémination de l'irritation sur les cellu
erculaire gauche, il s'est produit le trouble de la parole, surtout moteur , constaté pendant la vie. L'atteinte plus spéci
rtes de mémoire : la mé- moire visuelle, l'auditive, la tactile, la motrice , auxquelles on avait ajouté récemment la mémoir
athologique des troubles va : o- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 313 moteurs et trophiques qu'on observe aux diverses périodes
de dépression physique; il existe quelquefois des troubles vaso- moteurs et la maladie se termine le plus souvent par une
de l'inhibi- 314 REVUE'DE PATHOLOGIE MENTALE/1 tion'psychique et motrice ; 20 dans les autres^ il existe un véritable aff
mun est une forme tranquille, subaigûë ou chronique sans excitation motrice , et souvent est associée'à.un arrêt de. dévelop
ième paire, pour les motifs'suivants : '' 1° Tout noyau d'un nerf moteur possède un réseau très fourni de fibres fines o
s exactement, la partie antérieure de celui-ci, près ' de la région motrice . On ouvre le crâne à 3 centimètres et demii au-
cht a pour caractères : 1° la préémi- nence du travail intellectuel moteur ; 2" une 'modification dû jeu des phénomènes d'a
n équivalent maniaque. Alors, avec des symptômes d'arrêt du système moteur , on cons- tate quelques éléments de la manie en
les jambes et le tronc. A partir de 1878, il présente des troubles moteurs intenses et des douleurs sacrées. En 1890 on co
e qui présente les altérations régres- sives des cellules nerveuses motrices du noyau du facial à leurs dif- férents stades.
lules. Ces préparations permettent de préciser le lieu des cellules motrices , mais celui aussi des cel- lules des ganglions
nerveuses à structure rétiforme, tandis que les cellules nerveuses motrices subissent toujours une altération du même côté.
tes mentaux des hystériques, 1893, p. 73. ' Sigm. Freud. Paralysies motrices organiques et hystériques. (Ar- c%ives de Neuro
de cet effort. Cette aphasie s'accompagne en général de troubles moteurs du côté droit, troubles moteurs qui peuvent, co
s'accompagne en général de troubles moteurs du côté droit, troubles moteurs qui peuvent, comme nous l'avons déjà dit, revêt
ts. En somme, il semble qu'il y ait chez eux à la fois des troubles moteurs du côté des or- ganes de la phonation et de la
itifs et perma- nents. M. Ch. Féré a mis en évidence les troubles moteurs que l'on voit apparaître du côté de la langue a
e que le traumatisme a porté sur la partie antérieure du faisceau moteur ; l'absence d'hémianopsie et de tout symptôme sens
n de l'appareil sensitif, il existe encore une lésion de l'appareil moteur . Eu cas de modifications simultanées des cordon
nt, il est indispensable qu'il y ait lésion simul- tanée des fibres motrices périphériques, comme on le voit pour les névrit
bien les afrec- tions des régions sensitives que celles des régions motrices du sys- " terne nerveux et, le plus souvent, le
semble que le processus morbide atteignit d'emblée tout le tractus moteur au lieu de s'être propagé de proche eu proche ;
éralement ces exacerbations aiguës correspon- dent à de l'agitation motrice ou affective. La largeur de l'excursion est sou
es troubles de la sensibilité générale et des troubles du sys- tème moteur qui le poussent à faire les actes les plus extra-
auteur après anesthésie et trépanation a essayé d'exciter les zones motrices du cerveau du chien avec un seul pôle. Mais il
s épileptique. Il fait ensuite avec précaution l'ablation du centre moteur correspondant, ferme la plaie et laisse l'anima
s.Il se produit naturellement comme résultat immédiat une paralysie motrice plus ou moins complète de l'extrémité correspon
80 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
istincte. Il y a donc entre les fibres impressionnables et les fibres motrices certains rapports immédiats ou médiats, qui établ
convergent les fibres sensitives, et d'où rayonnent certaines fibres motrices (2). Ainsi les cellules peuvent être considérées
manière. 11 assure, en effet, que « toute excitation vive du pouvoir moteur de la « moelle épinière ne stimule d'abord et imm
quand il a affirmé que « la marche rétrograde de l'influence excito-« motrice le long de la moelle épinière, telle qu'on l'obse
antérieures des nerfs sont, quoi qu'on en ait pu dire, exclusivement motrices ; les racines postérieures, au contraire, sont des
sont exclusivement sensitifs, et les cordons antérieurs exclusivement moteurs ; ceci demeure acquis à la science. Ainsi les fai
peuvent être suivis jusque dans les fascicules radiculaires des nerfs moteurs ; un grand nombre passent, par l'intermédiaire de
ris et que celles-ci comnuniquent à leur tour soit avec les faisceaux moteurs , soit avec les racines antérieures, il est certai
evient un nerf sensitif, un troisième qui se change en fibre nerveuse motrice , un quatrième, enfin, qui unit les cellules du cô
postérieurs, soit avec les racines sensitives, soit avec les racines motrices , est un fait d'une signification claire qui peut
génitale domine, on a pu croire, avec quelque raison, qu'il était le moteur central des facultés génératrices. Mais peut-être
s les mailles de ce réseau. Les fibres superficielles des faisceaux moteurs et la totalité des faisceaux postérieurs échappen
s postérieures des nerfs spinaux; b, du nerf de la troisième paire ou moteur oculaire commun, de la quatrième ou nerf pathétiq
oculaire commun, de la quatrième ou nerf pathétique, de la sixième ou moteur oculaire externe, de la portion dure de la septiè
nsi qu'il suit : 1° nerfs purement sensitifs; 2° nerfs principalement moteurs à racine simple; 3° nerfs mixtes à racine double.
Dans la paire moyenne sont compris, outre le nerf optique, des nerfs moteurs , savoir : le pathétique, le moteur oculaire exter
outre le nerf optique, des nerfs moteurs, savoir : le pathétique, le moteur oculaire externe et le moteur commun; et des nerf
rfs moteurs, savoir : le pathétique, le moteur oculaire externe et le moteur commun; et des nerfs de sentiment, savoir : la br
nes des nerfs céphaliques, nous suivrons l'ordre suivant : 1° Nerfs moteurs ; 2° Nerfs de sensibilité générale; 3° Nerfs d
sensibilité générale; 3° Nerfs de sensations spéciales. I. NERFS MOTEURS CRANIENS. «. Première paire, paire occipitale.
our laquelle les racines du spinal, qui est bien certainement un nerf moteur , s'éloignent de la série des racines antérieures
ce mode d'origine, qui a été jusqu'à présent celui de tous les nerfs moteurs ; ajoutons entin que ce nerf, inséré sur le prolo
ines du spinal. (d) Nerf crotaphytico-bucclnateur (Paletta). Racine motrice du trijumeau des modernes. MM. Philippeaux et V
acial. 6. Deuxième paire, paire sphenoidale. Elle comprend : (a) le moteur oculaire externe, (6) le nerf pathétique, (c) le
rend : (a) le moteur oculaire externe, (6) le nerf pathétique, (c) le moteur oculaire commun. (a) Moteur oculaire externe. S
externe, (6) le nerf pathétique, (c) le moteur oculaire commun. (a) Moteur oculaire externe. Sixième paire de Willis et de S
ring. Si le nerf facial est en série avec les racines du spinal, le moteur oculaire externe appartient au contraire à la sér
odifications que subit la forme des parties environnantes. (c) Nerf moteur oculaire commun. Troisième paire de Willis et de
ière bien distincte. Il n'en est pas de même des fibres que le nerf moteur oculaire commun envoie à l'endroit noir des pédon
évidemment, par ses origines, à la même série que l'hypoglosse et le moteur oculaire externe. Dans ce résumé rapide j'ai eu
sumé rapide j'ai eu pour objet de démontrer : 1° que l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur oculaire commun for
de démontrer : 1° que l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur oculaire commun forment, avec les racines antérie
. x. Troisième paire, paire ethmoïdale. Elle ne comprend aucun nerf moteur distinct. n. 14 ii. NERFS SENSITIFS PROPREMEN
NS LA COMPOSITION DES PAIRES CRANIENNES. Ces nerfs, comme les nerfs moteurs , se partagent en deux séries. La première, normal
éries. La première, normale, correspond à la première série des nerfs moteurs et représente les racines postérieures ou ganglio
econde est exceptionnelle, et correspond à la seconde série des nerfs moteurs crâniens. Ai Première sêtie, ou série normale.
nelle. Cette série correspond à la seconde série des nerfs crâniens moteurs . Elle comprend le Glosso-pharyngien, et le Pneumo
, distinct de celui qui comprend, avec le trijumeau, l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur oculaire commun. Ce
nd, avec le trijumeau, l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur oculaire commun. Celui-ci par tous les détails de
les nerfs de l'expression pathognomique, tandis que l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur commun, sont essent
hognomique, tandis que l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le moteur commun, sont essentiellement des nerfs d'action v
lus nombreux ? Se-ront-ce les fibres sensitives, seront-ce les fibres motrices ? Il est probable que ce sont les premières; mais
t traversés par l'artère carotide et par plusieurs nerfs, savoir : le moteur oculaire externe et ceux qui composent le plexus
ême dans ses erreurs, il fait penser, et peut être considéré comme un moteur dans l'ordre de l'intelligence. A coup sûr, si la
té agit sur les muscles. Or le même filament nerveux est-il à la fois moteur ou sensitif, ou bien ces deux facultés sont-elles
sophe Lamarck ne l'a point mis en doute. § S. Distinction des nerfs moteurs et des nerfs sensitifs. La gloire de Walker est
des nerfs spinaux contient les fibres sensibles et l'autre les fibres motrices . Il a donc tracé la voie aux expériences que Char
ltat n'a point varié. Il est certain que les racines antérieures sont motrices , et les postérieures sensitives. Coupe-t-on les p
encore sur la question si les racines antérieures sont exclusivement motrices ; en effet, quand on les irrite, l'animal donne qu
lle soit immédiate ou médiate, met en jeu le système entier des nerfs moteurs qui lui sont attachés ; on a pu conclure ainsi d'
rapports qu'elles établissent entre les nerfs sensitifs et les fibres motrices , donnent la clef des mouvements réflexes aussi bi
posa que les faisceaux antérieurs étaient le tronc commun des racines motrices , les faisceaux postérieurs étaient celui des raci
sa que les cordons antérieurs partageaient les propriétés des racines motrices , et les postérieurs celles des racines sensitives
ysiologistes professaient l'opinion que les faisceaux antérieurs sont moteurs et les postérieurs sensi-tifs, d'autres attribuai
ginales (3). D'après lui, les cordons antérieurs sont exclusivement moteurs , et les postérieurs exclusivement sensitifs. Ce f
rnative d'action, d'une part entre la substantia cinerea et les nerfs moteurs , et d'autre part entre les nerfs sensitifs et la
faites sur des chiens, que les cordons antérieurs sont exclusivement moteurs , et les postérieurs exclusivement sensitifs. Tous
st pas le seul organe intéressé dans la transmission des stimulations motrices ou des impressions sensoriales, le long de l'axe
probable qu'il dépend de quelques dispositions des racines des nerfs moteurs de l'œil, dispositions jusqu'à présent inconnues.
les (2). Il admet donc trois ordres de fibres dans le système nerveux moteur : les unes excitent, d'autres modèrent, d'autres,
sprit de l'homme ? Les préoccupations des sens, dira-t-on, l'activité motrice enchaînent (1) De civil. Dei. Lib. XVIII, cap.
sieurs espèces de nerfs............. ib. § 2. Distinction des nerfs moteurs et des nerfs sensitifs..... 330 CHAPITRE II. —
81 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
homme de quarante-sept ans atteint depuis cinq ans d'ataxie loco- motrice ; pas de complications psychiques, pas de syphili
arcot et Pitres (Revue de Médecine, 1883)..1. Il existe des centres moteurs corticaux, situés sur les 88 REVUE DE PATHOLOGI
scles innervé» par la troisième branche du nerf triju- meau (fibres moteurs du nerf maxillaire inférieur). La peau est atro
du quatrième ventricule près du « locits coeruleus », dans le noyau moteur du nerf trijumeau (cellules soi-disant trophiqu
itement par les bains permanents sont constituées par une agitation motrice violente, des convulsions continues graves et l
des douleurs, l'abolition des réflexes tendineux et la para- lysie motrice ; l'auteur rapproche ces paralysies de celles qui
J. Dagonet. Thèse de Paris, 1884. Contribution ci l'étude du centre moteur cortical du membre infé- rieur; par C. l'nsvusn
er d'encéphalite inters- titielle circonscrite au niveau de la zone motrice . Foisn...(Célestine), Agée de vingt ans. Anté
épaississement de. la substance.Igriseaavoisinantr : lesicentres moteurs , 'sans ? les intérës'ser : ioCetr,épais91ssmentfn
sion interceptant "un1 plus'1 grand nombre de faisceaux capsulaires moteurs , fi- 1 ive nombre de faisceaux capsu]aires l'hé
cette circonvolution comme privilégiée. , Elle appartient à la zone motrice . La circonvolution correspondante du côté droit
s nous croyons en droit de contester au centre de Broca son élément moteur , et en admettant que ce dernier élément ait un
en·, z Etude, critique et clinique de la doctrine des localisations motrices dans l'écorce des1 hémisphères céiébraw de l'ho
bles, des chaises, etc.). Ason entrée on noiiiote aucune, paralysie motrice ; au point de vue mental, il est irritable, exci
es trophiques, de la moelle, vers, la périphérie 9'(zones des nerfs moteurs et des muscles), occasion non t d'es désordres
antôt surtout dans les nerfs, tantôt de préférence sur les segments moteurs de la moelle, tantôt peut-être aussi en même temp
'ramidâl,et d'un,àütiwcûté, , une'atroplliè circonscrite'des champs moteurs z Ici aussi. - )'atrophie'se,timite'à lâ troisi
tion- nées qui, sans nul doute, doivent exister à côté des fibres motrices dans les circonvolutions appartenant aux centres
fibres motrices dans les circonvolutions appartenant aux centres moteurs . M. Kroepelin rappelle que dans les destruction
roepelin rappelle que dans les destructions périphériques des nerfs moteurs (par ex. du facial), on n'a, jusqu'à ce jour, poi
même causera laquelle il faut joindre l'endommagemout de l'appareil moteur . Le'rire ou'le sourire de l'aliéné n'a pas non
ne, peuvent déterminer du côté des membres inférieurs, des troubles moteurs d'une étendue très variable. Tantôt, il s'agit
et intermittents : Accès convulsifs, les uns localisés aux muscles moteurs de la tête et de DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 285
TAQUES D'HYSTÉRIE. 285 la face gauche, d'autres étendus aux muscles moteurs des mem- bres gauches, d'autres enfin généralis
pécialement sous la dépendance des parties supé- rieures de la zone motrice , nous avons vu que, dans les accès, il était mo
31. revue U.W.1'l'f)\11E E'l' DE PHYSIOLOGIE. 323 nage de la zone motrice . Les centres destinés aux sensations tac- tiles
tac- tiles gisent immédiatemeut en arrière et en dehors du champ moteur ; ceux qui président au sens musculaire et aux sen
midat de la capsule interne, des fibres qui pénètrent dans la zone motrice , exerce une influence des plus délétères sur le d
portion lombaire jusqu'à la décussa- tion. Dégénérescence des nerfs moteurs et des muscles. L'auteur fait remarquer que la
instituées chez le chien. Dans tous les cas d'extirpation des zones motrices de l'écorce du cerveau, la substance blanche fu
myéline dans les circonvolutions ascendantes et cependant troubles moteurs précoces des paralytiques généraux en relation
bain galvanique entraîne d'abord un court stade d'hyperexcitabilité motrice , qui d'ailleurs peut aussi manquer absolument,
ument, suivi d'affaissement progressif et continu de l'excitabilité motrice . Cette décroissance de l'excitabilité motrice d
inu de l'excitabilité motrice. Cette décroissance de l'excitabilité motrice doit être tenue pour l'effet du bain galvanique
ge de la cathode. Notons finalement la diminution de l'excitabilité motrice . P. K. XLI11. Papille étranglée bilatérale avec
ux ans et demi, et son intelli- gence s'en est ressentie. Paralysie motrice du membre supérieur droit et faiblesse marquée
. M. Hitzig appelle plus spécialement l'attention sur la parésie du moteur oculaire externe gauche (28 avril) sur la Archi
e l'intelligence. Or, le contrôle d'Hitzig montre que les accidents moteurs décrits sont loin d'être aussi faciles à engend
ce. IIitzig persiste donc à dire qu'il existe des centres corticaux moteurs , sensitifs et sensoriels desquels partent des f
des fibres possédant les mêmes propriétés et que ce sont les fibres motrices qui sont excitées par le courant élec- trique.
itées par le courant élec- trique. L'expression de champs corticaux moteurs est nette, comme la définition dont elle relève
est nette, comme la définition dont elle relève.Munk fait du centre moteur une sphère de sensibilité. Or, c'est à Hitzig q
de constamment à l'extirpation de couches corticales dans la zone motrice , et qui se rencontre dans certains faisceaux du m
ire, si le malade eût vécu plus longtemps, que le défaut d'activité motrice du muscle droit interne à l'occasion des mouve-
, l'imperfection de la motilité existe complète à gauche ; le champ moteur du globe adroite est en- core considérablement
et la moelle allongée; il est probable qu'ici les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil étaient intéressés. En conséquence dive
emeure tel qu'il était avant l'attaque, quand celle-ci est purement motrice , c'est-à-dire quand elle ne s'accom- pagne ni d
d'oppression, terreur nocturne avec sensations spasmodiques, aura motrice et sensitive, etc.) ; 4° A propos d'états stati
tatiques. Une vésanie typique, avec phénomènes paralytiques d'ordre moteur , aboutissant à l'hypo- Irophie, puis à l'atroph
82 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s l'écorce cérébrale au con- tact des méninges, intéressant la zone motrice bra- chiale et n'atteignant que très légèrement
s en particulier la paralysie brachiale, en négligeant les troubles moteurs du membre inférieur qui sont tout à fait access
moelle. - Tout le premier groupe de phénomènes (incoordi- nation motrice , douleurs fulgurantes, anesthésies) veut dire l
(comme l'admet aujourd'hui M. Charcot) par irritation des cellules motrices antérieures que la lésion latérale entraîne la
ontractures et plus généralement les divers phénomènes d'excitation motrice chez un malade pré- sentant, d'autre part, des
ntractures, et, d'une manière générale, les phénomènes d'excitation motrice , sont un élément nouveau, qui n'existe pas dans
abes ataxique .(douleurs ful- gurantes, anesthésies, incoordination motrice ), des symptômes du tabes spasmodique (paralysie
résies et surtout contractures ou autres phénomènes d'excitation motrice ) et des symptômes communs à tous les tabes (tro
cause les symptômes Archives, t. XII. 4 50 Pathologie nerveuse. moteurs et les symptômes soi-disant psychiques, je croi
je crois que nous sommes autorisés à identifier la contrac- ture motrice avec les images positives suggérées, taudis que
tra- dictions, sinon qu'on veut recourir à l'irritation des vaso- moteurs ; j'avoue franchement que, même avec cette hypo
mière observation contenue dans cette note est un exemple d'aphasie motrice avec un certain degré de surdité et do- cécité
le est consécutive à une atrophie ou à une dégénérescence des aires motrices corticales. Plusieurs des hommes dont l'observa
llissement disposées d'une façon parfaitement symétrique sur l'aire motrice des deux hémisphères, au niveau du tiers moyen
dernier paragraphe intitulé : Complexité et autonomie de l'appareil moteur , il tente, à la lumière des notes précédentes,
que les perturbations psychiques sont les génératrices de troubles moteurs . a Une grande catégorie de troubles moteurs - s
énératrices de troubles moteurs. a Une grande catégorie de troubles moteurs - sont réellement primitifs, parce qu'ils ont i
du crâne, avait une hémiparésie. Le malade avait aussi une aphasie motrice , et, comme c'est le cas dans ces maladies, il é
enu a été médiocre. Dans tous les faits où l'existence de symptômes moteurs laissait supposer le tabes, le courant continu
couches inférieures de la protubérance, par les racines de l'oculo- moteur externe. Dans la zone externe, on rencontre : 1°
commissure postérieure affecte des rapports intimes avec les nerfs moteurs de l'oeil et, en particulier, avec le moteur ocul
ntimes avec les nerfs moteurs de l'oeil et, en particulier, avec le moteur oculaire commun. Au-dessus de la commissure pos
ig ; les faisceaux raphéiques sont chargés de transmettre aux nerfs moteurs de la moelle épinière ou aux muscles correspond
t un instant qu'il en soit ainsi et que les diverses manifestations motrices et sensitives aient été sous la dépendance d'un
- tie antérieure de la capsule interne pour produire les troubles moteurs . Mais une pareille hypothèse nous semble diffic
e lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou des nerfs moteurs , et qui constitue le type de la lésion trophiqu
ai, proposé une galvanisation à cou- rants assez faibles de la zone motrice gauche, en appliquant le pôle positif sur cette
qui doit être ici tout spécialement relevé, c'est que ces troubles moteurs sont absolument limités aux doigts de la main d
nuque sont sans doute rhu- matismales. Quant à la légère aphasie motrice et aux secousses des doigts, qui, peu à peu, on
e la partie supérieure de la moelle cervicale, des noyaux des nerfs moteurs de l'oeil, du bulbe. Il existe une diminution d
incre la crampe. Diminution de l'excitabilité mécanique des nerfs moteurs . Ces conducteurs réagissent quantitativement bien
généralisée, dégénérative, ayant englobé, au début, quelques nerfs moteurs de l'oeil (diplopie de trois mois) et attei- gn
es extrémités supérieures et l'épaule, l'insignifiance des troubles moteurs , surtout par comparaison avec les troubles de l
. Ces faits sont encore intéressants au titre que voici : l'élément moteur souffrit moins que l'élément sensitif ; on voit
otamment l'éminence thénar toute atrophiée conserver ses propriétés motrices , ce qui semble en même temps récuser la ré,ista
einte des fibres trophiques et sensitives eL l'intégrité des libres motrices . De l'ensemble des analyses de chaque fait, il
a pu être empê- chée, ou la restitution rapide de la conductibilité motrice a pu être effectuée soit par la conservation d'
mis- sements, paralysie à évolution lente se rapportant à la zone motrice du cerveau droit, hyperesthésie indiquant une irr
néoplasme (1 cent. de diamètre) pressa suffisamment contre la zone motrice , des contractures de la main et des Archives, t
poignet, et l'avant-bras était en supination. Avec cette paralysie motrice , il y avait une perte de la sensibilité tactile
sensibilité tactile et du sens musculaire, accompagnée de paralysie motrice , due à une lésion de l'écorce. On ne saurait tr
ne radiée peuvent avoir été atteintes. Cette paralysie sensitive et motrice avait disparu graduellement à la fin des deux m
ressant et très important. Le jour suivant, il y a eu une paralysie motrice par- tiellede la face du côté gauche, une paral
des détails ci-dessus : 1° Chez l'homme, une paralysie temporaire motrice corticale et peut-être la perte du sens muscula
urvient après la liga- ture des vaisseaux qui fournissent le centre moteur des mou- vements perdus; 2° Chez l'homme, une
onctionnel survient après des opérations pratiquées sur les centres moteurs ; 3° L'arrêt des attaques épileptiformes commenç
volonté ne se transmet plus physiologique- ment sur les conducteurs moteurs (paraphasie, paragraphie). Discussion : lli. GR
OCIÉTÉS SAVANTES. 409 rieurs et l'extirpation des centres corticaux moteurs . Conclusions fo La même région de l'écorce céré
83 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
des de fin calibre. Les libres de gros calibre ou fibres nerveuses motrices , se terminent dans les couches ilaires et prenn
les cellules des cornes antérieures est le centre trophique du nerf moteur . Cet auteur formula ainsi la loi générale de la d
e des hémisphères I, nerf olfactif. - Il, nerf optique. - Ill, nerf moteur oculaire commun. Il', nerf pathétique. V, V, ne
ulaire commun. Il', nerf pathétique. V, V, nerf trijumeau. VI, nerf moteur oculaire externe. VII, nerf facial. - VIII, nerf
le nom de lame fondamentale, est le lieu d'origine de tous les nerfs moteurs ; le segment dorsal, connu sous le nom de lame
t). - Ml"" membrane limitante méningée. - P, plancher. -rem, racine motrice . Rs, racine sensitive. V, voûte. DÉVELOPPEMENT
ement, l'analogue de la corne antérieure de la moelle et des noyaux moteurs de l'oeil (His). Les cinq vésicules encéphaliqu
mation arquée (Fa), et renferme tous les noyaux d'origine des nerfs moteurs . Déformation de la cavité médullaire en fer
e interne. - P, plancher. - - Pi. pièce intermédiaire. Bill, racino motrice . - Ils, racine sensitive. se, sillon cylindriqu
elles se tordent un peu sur leur axe et en- voient leurs racines motrices , non plus directement en dehors, mais en avant;
rne postérieure. - Fo, faisceau ova- laire postérieur. - Rm, racine motrice . -Rs, racine sousitive. - se, sillon cylindriqu
faisceau ovalaire postérieur. - Le, lame épendymairc. - Ilm, racine motrice . - lis, racine sensitive. - se, sillon cylindri
e fournit en outre dans la région protubérantielle le noyau du nerf moteur Formation des ré - : cessus latéraux du qua
le, le noyau d'origine du facial et le noyau d'origine de la partie motrice du trijumeau. Ces noyaux ne constituent dans la
t naissance à neuf paires crâniennes (IVe à XII0 paires). Les nerfs moteurs prennent leur origine dans les cellules ganglio
ontre extrêmement variables. C'est ainsi, par exemple, que le noyau moteur du trijumeau s'hypertrophie considérablement ch
rne forme les cornes de la 'moelle. Fio. 83. - Trois neuroblastes moteurs isolés de la moelle épinière d'un embryon hum
elle, la largo colonne ininterrompue des noyaux d'origine des nerfs moteurs . Presque tous ces neuroblastes envoient leur cyli
cht). bllm, membrane limitante méniDgée. P, plancher. - lim, racine motrice . Ils, racine sensitive. \", voûte. HISTOGENESE
dans la moi- tié inférieure de la moelle cervicale, les racines motrices qui naissent des zones de la corne antérieure
- Mlm, membrane limitante ménÏl ! gée. - P, plancher. - Rm, racine motrice . - Rs, racine sensitive. - se, sillon cylindrique
olonne nucléaire dans la région cer- vicale supérieure. Branche motrice du trijumeau et nerfs moteurs de 1·eil. Gan
cer- vicale supérieure. Branche motrice du trijumeau et nerfs moteurs de 1·eil. Ganglioblastes. ordres de racines s
inuation de la corne latérale, se rattachent le spinal, les racines motrices du pneumo-gastrique et les rares fibres motrice
pinal, les racines motrices du pneumo-gastrique et les rares fibres motrices du glosso-pharyngien, qui émergent toutes le long
, la chaîne nucléaire est interrompue, et les noyaux d'ori- gine du moteur oculaire externe (vi° paire), du pathétique (ive
oteur oculaire externe (vi° paire), du pathétique (ive paire) et du moteur oculaire commun (m1' paire), ainsi que les fibres
ire) et du moteur oculaire commun (m1' paire), ainsi que les fibres motrices du trijzc- meau, forment des îlots situés dans
ns sont tout autres que celles des noyaux pré- cédents. La racine motrice du trijumeau apparaît sur la prolongation de la l
la périphérie par le rameau antérieur et s'arborisant en g. va, fihre motrice se rendant dans un rameau sympathique. - j, fai
diens se réunissent , après un court trajet aux racines antérieures motrices , et forment le tronc des nerfs mixtes. Ce tronc
s qéantes de la zone rolandique de l'écorce cérébrale, les cellules motrices mul- tipolai1'es des cornes antérieures ; d'a
terminales, libres et ramifiées, situées au voisinage des cellules motrices . Au sur et à mesure que l'on s'élève dans la sé
rnier. Les collatérales sont rares sur le cylindre-axe des cellules motrices des · cornes antérieures, mais se rencontrent f
ndres-axes du système nerveux périphérique, qu'il s'agisse des nerf moteurs , glandulaires, sensi- tifs, sensoriels ou sympa
t être, en effet, étoilées et mul- i tipolaires, comme les cellules motrices des cornes antérieures ou fusi formes et bipola
rieures. La libiese21silive naissait duréseati de Gerlach, la fibre motrice des cellules des cornes antérieures, et le couran
ion directe d'une cellule nerveuse avec le cylindre-axe d'une fibre motrice ; il montra : 1° Que toutes les cellules nerveu
oy. p. 12). Lorsque chez des animaux nouveau-nés on arrache un nerf moteur , ou 12 Méthode des déé- nérescences secon-
les am- putés. Méthode de Gud- den, son application aux nerfs moteurs . 178 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dans la mé
use s'altère dans les deux sens. Travaux de Forel sur les nerfs moteurs de l'animal adulte. Travaux de Hayem sur l'
e l'animal adulte. Travaux de Hayem sur l'arrachement des nerfs moteurs . Application de la méthode de Gudden aux ne
e dite des dégénérescences. Lorsqu'on opère, non plus sur des nerfs moteurs , mais sur des nerfs sensitifs, les résultats so
ences montrent donc que la fibre nerveuse périphérique ou centrale, motrice ou sensitive, s'altère dans toute la longueur de
e et les ramifications tcr- FiG. 113. - Schéma de quelques neurones moteurs cl sensitifs de l'homme '. HISTOGENÈSE DU SYSTÈ
re cellule s'arborise librement à la surface d'un muscle M. La voie motrice se compose donc de deux neurones : le premier est
les neurones du système pyramidal (NI), le second par les neurones moteurs périphériques (ives). La voie sensitive est con
transmis à un neurone de 2° ordre, lequel peut être soit un neurone moteur périphérique (CA), soit un neurone cérébelleux
boutons terminaux libres également. 6° Il n'existe pas une cellule motrice et une cellule sensitive, une fibre motrice et
'existe pas une cellule motrice et une cellule sensitive, une fibre motrice et une fibre sensitive. La fonction motrice ou se
le sensitive, une fibre motrice et une fibre sensitive. La fonction motrice ou sensitive dépend de la terminaison périphéri
nd de la terminaison périphérique de la fibre, soit dans un élément moteur comme le muscle, soit dans un élément sensible
PÉRIPHÉRIQUE § 1. STADE EMBRYONNAIRE Les nerfs périphériques soit moteurs , soit sensitifs, représentent, ainsi que nous l
s cellules Fic. 114. rto. 415. FIG. 114. Groupe de neuroblastes moteurs et de fibres radiculaires d'un embryon humain -
ue l'autre se porte à la périphérie, et s'entremêle avec les fibres motrices éma- nées des cellules antérieures de la moelle
fibres très grêles ou de moyenne épaisseur. On admet que les libres motrices sont plus épaisses que les fibres sensitives; que
es fibres nerveuses périphériques, qu'ils appar- tiennent aux nerfs moteurs ou aux nerfs sensitifs, se terminent tous, ainsi
borisations terminales </c ? '-< ? /) ? e7M' ? .s; 2° Plaques motrices et corpuscules de Golgi,; - 3° Corpuscules du t
HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 225 2° PLAQUES MOTRICES .-CORPUSCULES DE GOLGI. a) Plaques motrices des
ADULTE. 225 2° PLAQUES MOTRICES.-CORPUSCULES DE GOLGI. a) Plaques motrices des muscles striés. La terminaison des nerfs mo
a) Plaques motrices des muscles striés. La terminaison des nerfs moteurs dans les muscles striés se fait dans l'épaisseur
teurs dans les muscles striés se fait dans l'épaisseur de la olaaue motrice décrite par Rouget chez le lézard et bien étudiée
ez le lézard et bien étudiée par Krause et par Ranvier. La plaque motrice de Rouget, l'éminence ter- minale du nerf mot
er. La plaque motrice de Rouget, l'éminence ter- minale du nerf moteur de Ranvier, se présente sous l'aspect d'une s
mbreux noyaux de l'éminence terminale, ils sont grands, is Plaque motrice de Rouget,Krallse,Rau- vier. Arborisation t
uget,Krallse,Rau- vier. Arborisation ter- minale de la plaque motrice . 1<'10. 141. - Terminaisons nerveuses sens
EUX. Noyaux de l'émi- nence terminale. Variétés de pla- quels motrices . clairs, possèdent un gros nucléole et sont lim
ntale de l'éminence : noyaux fondamentaux de Ranvier. Les plaques motrices se rencontrent non seulement sur les muscles st
(D'après Ranvier.) N, nerf. - ¡11, faisceau musculaire. - p, plaque motrice vue do profil. - p, plaquo motrico vue do face.
ie Terminaisons ner- veuses dans le mus- cle cardiaque. Tache motrice do Ranvier daus les muscles lisses. Fio. 14
Ranvier daus les muscles lisses. Fio. 14. -Terminaisons nerveuses motrices dans les muscles de l'oeil du lapin adulte. (D'
ires par une extré- mité renflée, souvent digitiforme, la tache motrice de Ranvier.Les nerfs des fibres muscu- laires
ibres très fines, qui se terminent très probablement par des taches motrices sur les cellules contractiles de la tunique mus
urcation sont pourvues de petits Fie. 146. - Terminaisons nerveuses motrices dans le muscle cardiaque d'une souris âgée de 1
G. Retzius.) Méthode de Golgi. Fie. 147. - Terminaisons nerveuses motrices dans les muscles lisses de la vessie d'un lapin â
tendineux, de véritables plaques terminales, analogues aux plaques motrices des nerfs musculaires. Mais au lieu d'être uniq
du tubercule ma- millaire latéral situé en dedans du sillon du nerf moteur oculaire commun 1/ entre le faisceau interne du
entre-croisement pyramidal. xll, chiasma des nerfs optiques. ? nerf moteur oculaire commun. J', nerf trijumeau. VI, nerf m
tiques. ? nerf moteur oculaire commun. J', nerf trijumeau. VI, nerf moteur oculaire externe. 3lfi ANATOMIE' DES CENTRES NE
ire. - Tpt, tractus pédonculaire transverse. - III, racines du nerf moteur oculaire comnun. - II, nerf optique. 318 ANATOM
érébraux dont le sépare un sillon assez profond, le sillon du, nerf moteur oculaire commun, le long duquel émerge la trois
et des cérébrales postérieures; ils sont séparés du sillon du nerf moteur oculaire commun par le pédoncule du tubercule m
SR, substance réticulée. - Vc, racine encéphalique ou petite racine motrice descendante du trijumeau. ;c : Pcs, entrecroiseme
ire. - Tpt, tractus pédonculaire transverse. - III, racines du nerf moteur oculaire commun. - II, nerf optique. 326 ANATOM
e-croisement pyramidal. ;dl, chiasma- des nerfs optiques. Ill, nerf moteur oculaire commun. -- Il, nerf trijumeau. - VI, ner
Ill, nerf moteur oculaire commun. -- Il, nerf trijumeau. - VI, nerf moteur oculaire externe. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 327
rance de Henle, considéré par Malacarne comme un nerf accessoire du moteur ocu- laire commun, embrasse le bord inférieur d
ns la région pédonculaire supé- rieure les noyaux d'origine du nerf moteur oculaire commun (3° paire) (NI ? fig. 193). E
ale (gyrus reclus). mp, sillon marginal posté- rieur. Nui, noyau du moteur oculaire commun. - NZ.3, putamcn. - Nil, noyau ro
le, dégénèrent dans une étendue proportionnelle il celle de la zone motrice corticale détruite, par contre, les fibres hori
educ de Syl- vius (SgAq). , Après avoir embrassé la petite racine motrice cérébrale ou descendante de la 5° paire (Vc) (v
. SR, substance réticulée. Vc, racine encéphalique ou petite racine motrice descendante du trijumeau. xF, entre-croisement ve
e petit faisceau représente la racine cérébrale ou la petite racine motrice descendante de la cinquième paire (Vc) et ses f
grosses cellules vésiculeuses. Ces cellules appartiennent à la partie motrice du trijumeau. Coupe n° 13 x (fig. 328), corre
le cérébelleux supérieur. )le, racine encéphalique ou petite racine motrice descendante du trijumeau. IV, filets radiculaires
E CÉRÉBRALE. <t9t 1 Iules pyramidales, correspondant aux régions motrices établies par Ferrier, seraient disposées en gro
gyrus reclus). mp, sillon marginal postérieur. - NUI, noyau du nerr moteur oculaire commun. NL" putamen. NR, noyau rouge. -
atoff) dégénère partiellement à la suite de l'ablation de la sphère motrice ou de la destruction des circonvolutions frontale
suivants : Hémiplégie droite avec contracture très marquée. Aphasie motrice et sensorielle. Épilepsie partielle débutant par
membre inférieur correspondant et se généralisant ensuite. L'aphasie motrice était presque totale, le malade ne pouvant pron
Dans le cas actuel il s'agit donc d'un malade qui, atteint d'aphasie motrice et sensorielle avec hémiplégie droite, avait re
aculté dé comprendre la parole nnrh'-f f) et était resté anliasiaue moteur , alexioue et asraphique. sphérique, assurant le
84 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ont pas doués au même degré que les autres de ce pouvoir d'inhibition motrice sans lequel nous ne serions que le jouet inconsci
qui conduisent du centre où se forme l'idée du mouvement aux organes moteurs , la suggestion diminue ou enlève totalement la co
—Quelques considérations pour «ne étude comparative des paralysies motrice , organique et hystérique (Arch. de neurol., 77).
e partie. C'est comme antécédent des actes, comme phase des processus moteurs , que la volonté est le mieux caractérisée et qu'i
précédant la plupart des actes. Nerfs ou centres nerveux sensitifs et moteurs hiérarchisés, tension nerveuse et courants nerveu
impressions et images, associations et actes sans conscience, pouvoir moteur des images, conditions des sensations, temps de r
solution d'un conflit de motifs, c'est-â-dire d'images, de tendances motrices . Cette solution consciente que nous traduisons pa
le mot volonté n'est autre chose, physiologiqucmcnt, qu'une tendance motrice résultante ou prédominante, une tension nerveuse
flexes, dans lequel, entre la période dite d'excitation et la période motrice apparaît un fait psychique capital —la volition —
e de rien puisqu'elle est seulement juxtaposée au véritable processus moteur . Kl il est aussi clair que. pour les psychologues
opriété d'être consciente en même temps qu'elle jouit d'une propriété motrice , en même temps qu'elle est physùdogiqucment activ
rien. Il reste la volonté à la l'ois fait de conscience et processus moteur . L'autre manière de voir soulève la question de
île lu conscience qui accompagne les sensations et les déterminations motrices . « Y a-t-il, dit M. Ch. Hichet, un siège unique,
centre unique est relié -étroitement a Ions les centres sensitîfs et moteurs ... Nous voguons à ce sujet eu plusieurs hypothèse
'est autre que celui des processus physio-psychologiques sensitifs et moteurs . Au lieu de chercher un setixorium commun qui a
rt avec l'attribut disparu. De ce que certains processus sensilifs et moteurs se produisent inconsciemment et d'autres avec con
elte chaîne même comme partie intégrante d'un processus physiologique moteur constituant par lui-même un état de conscience. D
ion intermédiaire entre la portion dite sensi-tive et la portion dite motrice , et point initial de cette portion motrice. Nou
si-tive et la portion dite motrice, et point initial de cette portion motrice . Nous venons de comparer entre elles deux théor
onstituerait alors un eflet sur place et comme résidual de l'activité motrice de ces éléments. L'épiphénomèue en question peu
formellement que dans la constitution des idées entrent des éléments moteurs . Comme A. Bain, il admet que si, « lorsque nous v
iment est une série d'impressions retenues dans l'appareil optique et moteur de l'œil et dans les parties du cerveau mises enj
vrai, dit M. Ribot. qu'on pourrait distinguer deux espèces d'éléments moteurs : « ceux qui servent à constituer un état de cons
identifier la conscience, l'idée pure de mouvement avec un processus moteur , el l'on peut justifier scientifiquement cette id
aucune difficulté a admettre qu'un état de conscience et un processus moteur soient un seul et même processus. Non seulement l
lément psvcho-phvsiologique les deux éléments conscience et processus moteurs communément distingués dans la volonté. Voyons ma
ur être parfaitement conscientes. Celles-ci constituent des tendances motrices déjà fortes. Si, parmi elles, l'une arrive à cire
ant nerveux suffisant, a été cependant accompagnée d'un certain effet moteur faible qui n'a pu constituer un acte et qui a pu
e un conllit entre diverses images fortement excitées et à. tendances motrices contraires. Alors peut être mise en jeu [innervat
ever. Tout à coup, l'ensemble de ces motifs ayant constitué une force motrice suffisante, notre homme saule en bas du lit. bien
à-dire réduite à une représentation mentale d'un acte, à une tendance motrice . Que cette représentation soit le résultat d'opér
éculaire atteint un degré sullisanl pour être à la fois consciente et motrice parce que l'étal général du centre nerveux est ne
ations cohérentes représentant un certain nombre d'images à tendances motrices convergentes. On peut s'expliquer ainsi pourquo
ominante soil volonté, il faut qu'elle soit engagée dans un processus moteur , c'est-à-dire à direction centrifuge. SOCIÉTÉ
Il est vrai qu'elle est précédée et suivie de processus psychiques et moteurs coordonnés par le fail même de l'ajustement organ
ux », consistant en une représentation de mouvements, en une tendance motrice plus forte que celles qui existent au même moment
at de conscience qui n'est pas la pure consta- talion d'une image motrice mais qui est celte image motrice elle-n:ême. La v
pure consta- talion d'une image motrice mais qui est celte image motrice elle-n:ême. La volonté de cette petite tille n'es
signifie qu'une volonté n'est autre chose qu'une résultante d'images motrices composantes, qu'une image ou mouvement nerveux co
d'autres images, que celte image est modifiable tant que le processus moteur qu'elle représente cérébralement n'est pas engagé
nditions dans lesquelles une image on une idée constitue un processus moteur . L'importance d'une telle idée est considerable,
état de ronscicncc, ou plus de dignité à la volonté simple processus moteur . La fusion des deux étals indûment séparés en un
t a un assistant, je lui dis : Chez quelques sujets la suggestibililé motrice est très développée de sorte que si on pose les m
encore des stigmates, des troubles de la sensibilité, ou des troubles moteurs ou viscéraux, peuvent revenir à l'état normal. Il
la nature et l'intensité des impulsions que celui-ci envoie aux nerfs moteurs . Certaines sensations ont une action dépressive e
le cas échéant, les transformer en actes volitionnels, en impulsions motrices et, comme la plus grande partie de ces différente
e l'a frappé, et depuis ce moment quelques symptômes d'incoordination motrice ont apparu, mais se sont passés quelques jours ap
85 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
lle et encéphale 8 Les prolongements cylindre-axiles des cellules motrices de ces deux centres passent, d'après La majorité
rf du muscle de I'étrier. D'après renseignement classique, des fibres motrices , issues du facial, suivraient la voie du grand ne
tre elles, qui servent à nous orienter.» (Sachs.) Centre des images motrices d'articulation de la parole. —C'est le centre de
ainsi le trouble du langage connu sous les noms d'aphémie, d'aphasie motrice corticale vraie (type Bouil-laucl- Broca). L'éc
e. (S. Exner.) Ils soutiennent que, clans l'agraphie liée à l'aphasie motrice corticale, les troubles de l'écriture sont la con
tion dans la corticalité générale : centre de Broca, accolé à la zone motrice ; centre de Wernicke, en continuité avec la zone
e zone unique avec trois centres secondaires ». L'aphémie, ou aphasie motrice vraie, la surdité verbale et la cécité verbale pa
a zone de Freud, retentit inévitablement sur les autres. (( L'aphasie motrice domine si la lésion siège au centre de Broca; la
rnicke au centre de l'audition tonale; dans l'aphémie pure ou aphasie motrice sous-corticale, celles qui unissent le centre de
ce sous-corticale, celles qui unissent le centre de Broca aux centres moteurs de la bouche, du pharynx et du larynx. L'aphasiqu
ux centres moteurs de la bouche, du pharynx et du larynx. L'aphasique moteur pur, s'il ne peut émettre un mot, sait pourtant d
ant de l'opercule central ou rolandique, qui est le siège des centres moteurs de la face. Le col du sablier est formé défibres
s reculé, très probablement au niveau du lobe occipital. Les troubles moteurs étaient variables et dus, selon toute vraisemblan
tiges). — Scion Flechsig, le faisceau de Turck constituerait une voie motrice qui transmettrait les excitations des cellules py
cellules pyramidales de l'écorce de la sphère auditive aux appareils moteurs de l'oreille et aux muscles de la tête et du tron
s, Mignon entre autres, ils seraient dus aune compression des centres moteurs de la zone rolandique. Pour d'autres, Bergmanii,
Oppenheim.) On n'a pas encore observé un cas indiscutable d'aphasie motrice pure dans l'abcès cérébral. Troubles de l'odora
lo-vestibulaire, qui joue un rôle très important dans la coordination motrice et l'équilibration du segment céphalique. Ces d
e la titubation et de l'incertitude dans les mouvements. Ces troubles moteurs , souvents difficilement dissociables, ne seraient
entaires, substratum de l'orientation subjective et de l'appropiation motrice , et qui, par les voies efférentes, diffuse dans t
es les directions le tonus musculaire nécessaire pour la coordination motrice et le maintien de l'équilibre. 11 n'est cependa
t donc considérer ce trouble comme un phénomène à la fois sensitif et moteur . Abcès cérébelleux otiliques. —On recontre l'ab
mots, qui se trouve au niveau du pli courbe ; 3° le centre des images motrices d'articulation de la parole, centre tic Broca, lo
86 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de=rriuette=âvèùgle,; le, sens dé .là", température, les sensations motrices de la peau,,etc. sj, â1ri0;. nu * ? L pliipart'dé
été pour l'épreuve clinique : Localisations corticales des centres moteurs du. cerveau, 'anatomie et physiologie ; Cordons
ie est due à un épuisement rapide, à une défaillance de l'impulsion motrice cérébrale, et un effort de la volonté peut le f
côté des voies digestives. Pas d'amyosthénie. Pas de troubles vaso- moteurs , aucun trouble de la sensibilité générale, ni des
estinée à réduire cet enfoncement du pariétal, fut suivie d'aphasie motrice et d'agraphie. Huit jours après l'opération, la
o- plé-ie interne (l'auteur désigne ainsi l'ensemble des troubles moteurs de l'intérieur de l'oeil, inégalité et déformatio
d'autres phénomènes mor- bides (troubles congestifs, intellectuels, moteurs ) ; 3° Elle est durable, et longuement durable;
le début, un affaiblissement de l'intelligence et l'incoordination motrice dans les quatre membres, une démarche tabéto-céré
peu, près nuls. Je n'ai pu expérimenter sur les sensations verbales motrices d'arti- culation. -,Les sensations tactiles s
ura existé sans qu'à l'autopsie on ren- contre une lésion du centre moteur graphique. Mais chez certains adultes, à centre
onc plaider indirectement pour l'existence indépendante d'un centre moteur graphique automa- tique. {Revue neurologique, 1
articulière au moment où, les phénomènes paralytiques de la branche motrice du trijumeau du côté droit ayant progressé, le
ême que l'on décrit avec précision le lieu anatomique- de l'aphasie motrice et de l'agraphie. On sait dans quels groupe- me
consta- tation définitive de la disparition des cellules nerveuses motrices dans le bulbe et la moelle d'une malade atteint
décrire), anesthésies ou plaques hyperesthésiques, les désordres moteurs , paralysies, contractures, tics et mouvements cho
particulièrement inté- ressantes : ce sont celles où les phénomènes moteurs s'accentuent ou s'effacent pour céder la place
re, sa courte durée, la constatation de quelques-uns des phénomènes moteurs qui se mon- trent d'habitude dans les crises hy
considérée comme un équivalent psychique des accidents con- vulsifs moteurs . M. JOFFROY. M. Ballet ne veut pas admettre que
symétrie à peu près constante et complète aussi bien des troubles moteurs que des troubles sensitifs; comment expliquer aus
e, sans que cependant les malades aient présenté aucun des troubles moteurs ou sensitifs propres à la polynévrite. C'est ce
indre-axe émané d'une cellule sensitive et celui issu d'une cellule motrice ou d'une sensorielle. ' .La structure des cylin
la question de cette façon, on arrive à conclure que toute cellule motrice ganglionnaire est en somme toujours aussi sensi
n jeu. De même, toute cel- lule dite sensitive est en quelque chose motrice . Elle l'est du mouve- ment nerveux qui va excit
otrice. Elle l'est du mouve- ment nerveux qui va exciter la cellule motrice , laquelle est l'instru- ment de la réaction de
'une pure hypothèse. Passons maintenant aux altérations (du système moteur . Leur point de départ peut être localisé, à tit
ns les cellules nerveuses. Les altérations périphériques des fibres motrices peuvent être attribuées à une modification dyna
e des cellules ,dont ces fibres dérivent, c'est-à-dire des cellules motrices de la moelle et du bulbe. Dans certains cas les
s altérations périphériques et les altérations centrales du système moteur . D'après cette conception, l'agent du tabes exe
omme une maladie des' nerfs périphériques, sensitifs, sensoriels ou moteurs . Je rappellerai cependant qu'il n'existe pas en
x dégénérescenses consécutives à l'extirpation des zones corticales motrices , permettent d'établir les données suivantes :
e dégénérescense dépend exclu-' sivement de la lésion du territoire moteur . Le corps calleux est donc surtout une commissu
ue, il faut remarquer l'amélioration si remarquable des symptômes moteurs et ladisparitiou du signe de Romberg. ' Ces fai
emble y avoir là plus qu'une coïncidence. C'est comme un équivalent moteur atténué, à la période de dynamie fonctionnelle,
riode de dynamie fonctionnelle, du processus à la fois psychique et moteur de la para- lysie générale confirmée. IIÉMIAN
phère visuelle occi- pitale, comparable aux phénomènes d'excitation motrice de l'épi- lepsie jacksonienne, et lié à la prés
et dont le mécanisme s'explique très logiquement par l'automatisme moteur verbal qui existe dans ces deux cas comme dans
assis. Quelquefois, par moments, phénomènes d'excitation des nerfs moteurs , tels que : crampes dans les pieds et les mains',
ts réflexes prouve qu'il y a des carrefours réflexes qui servent de moteurs , et que par leur intermédiaire, l'excitation de
ye de mettre de l'ordre dans le chaos des névropa- thies du système moteur de l'enfance. La diplégie cérébrale est constit
ont là des affec- tions cérébrales; on y peut joindre les complexus moteurs sans débilité mentale et la paralysie avec idio
oziriz., 2 juin 1894.) A. Marie. XXXIV. SUR UN cas d'hallucinations motrices verbales chez UNE paralytique générale ; par le
au cours d'une période de rémission, présenta des hallucinations motrices verbales. Ces hallucinations, qui durèrent pendan
s mais n'intéres- sant que le pied de la troisième frontale (centre moteur verbal) et l'extrémité inférieure de la frontal
et hypocondriaques), les autres provo- qués par les hallucinations motrices verbales (délire de persécu- tion), ou par l'en
ommeil et à la veille. Pathogénie : Excitation du faisceau cérébral moteur du triju- meau ; secousse du tenseur du tympan;
rennent place des troubles spéciaux, moins sensoriels que psycho- moteurs , les hallucinations psychiques ou motrices verbal
ns sensoriels que psycho- moteurs, les hallucinations psychiques ou motrices verbales : c des voix intérieures parlent silen
aux oreilles. » Ces faits s'expliquent par la propagation au centre moteur du langage de l'excitation du centre auditif co
é ? Mais s'agit-il d'une action inhibitrice sur les centres vaso- moteurs bulbo-médullaires d'où partent les nerfs vaso-mot
e hypo- thèse, sans qu'il soit besoin de supposer un centre vaso- moteur rénal, situé dans l'écorce cérébrale. Donc, en pe
confusion ( Veî,ivii,î,ttng), et dans ce cas il existe des troubles moteurs correspondants. Enfin la même maladie peut comm
n destructive du lobe moyen du cervelet produit une vraie paralysie motrice , affectant plus particulièrement les muscles du
e hyperesthésie de la partie inférieure de l'abdomen avec paralysie motrice des muscles dans toutes ces ré- gions. Or, ces
lative à une distribution singu- lière de la paralysie sensitive et motrice dans un cas de lésion des parties latérales et
tte blessure, le malade a présenté les symptômes suivants : parésie motrice passagère, anes- thésie thermique et douloureus
aire sur tout le côté gauche du corps, la face exceptée ; paralysie motrice , d'abord complète, plus tard incomplète, diminu
432. Hallucinations oniriques des dégé- nérés, par Régis, 323 ; motrices verbales chez un paralytique gé- néral, par S
87 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
grande crise, il faut citer, en particulier, celles où les phénomènes moteurs s'atténuent ou s'effacent pour céder la place aux
s psychiques, il s'agit dans ces dernières d'un trouble des centres moteurs de l'organisme de la parole. L'auteur attribue pa
uteur attribue par conséquent une importance prédominante à l'élément moteur dans la production de ce qu'on appelle la divisio
tinuation des suggestions de sommeil. Les suggestions dans le domaine moteur (catalepsie, contractures) ou sensitif (analgésie
e excitation quelconque reportée de ces centres percepteurs aux nerfs moteurs , ainsi que cela a lieu dans les phénomènes réflex
ertébrale consécutive à la fluxion collatérale. Les divers phénomènes moteurs et secrétoires qui se manifestent pendant le somm
s ramifications le long do ces racines et provoquent dans les racines motrices une tonicité réflexe, qui se traduit à l'extérieu
ugmentation d'énergie potentielle, que doivent éprouver les centres moteurs , en raison de l'augmentation de l'afflux de sang
plit l'explication. 3° Par suite de la tendance aux manifestations. motrices , qui caractérise l'état hypnotique, se produit da
e à l'idée de la position des membres. Par conséquent, le caractère moteur de l'hypnose est une limitation de la conscience
xe, le lien de transformation de l'excitation sensitive en excitation motrice , le centre réflexe, en un mot, est représenté non
e d'agir du curare exclusivement sur l'arborisation terminale du nerf moteur . S'il en est ainsi, et comme il nous est permis
fructueuses tentatives de Paul Bert pour souder un nerf sensitif avec moteur . Ces expériences, qui nous ont tous enthousiasmés
i se rendent au premier ganglion thoracique, d'une part, et les nerfs moteurs de la cage thoracique, d'autre part. Elle se cont
— Les modali-tités de la suggestibilité. — Le type normal. — Le type moteur , le type visuel et le type auditif. 5° Phénomèn
elle verbale; celui de la mémoire auditive verbale; enfin les centres moteurs . Tous ces centres ont leur existence anatomique d
ectuer pour prononcer les mots du langage et dont la perte ou aphasie motrice est le résultat de la lésion du pied de la troisi
à ses oreilles, l'induit entend mentalement ce nom. e) — Inductions motrices verbales. Ici une explication est nécessaire. Ell
rsonnes qui appartiennent au type décrit par Charcot sous le nom de « moteur ». Le moteur parle mentalement, sans remuer la la
ppartiennent au type décrit par Charcot sous le nom de « moteur ». Le moteur parle mentalement, sans remuer la langue, les mot
ui sont, soit constamment, soit d'une façon intermittente, verbo- [ moteurs , se l'assimileront tout de suite. Quoiqu'il en so
mentalement, ou par extension, tout haut « chien. » f) — Inductions motrices . — Il s'agit ici d'un phénomène plus délicat enco
ications occasionnées sur le système nerveux par ce mouvement. Je dis moteurs les sujets pour lesquels ce phénomène est possibl
rs les sujets pour lesquels ce phénomène est possible. Si vous êtes moteurs , fermez les yeux, et, sans bouger ni faire agir a
emuer) et l'induit exécute le mouvement. g) — L'induction graphique motrice sera celle où l'inducteur écrivant mentalement ce
drait le bruit de la machine ou l'eau frappée par l'hélice; induction motrice visuelle, l'inducteur ferait mentalement, sans re
d. id. écrit id. i) id. auditive id. la chose entendue id. i) id. motrice id. l'acte exécuté id. ù INDUCTIONS VERBO-VISUE
id. la chose représentée par le mot entendu mentalement par i) id. motrice id, la chose représentée par le mot mentalement
les mots de ses pensées ; de là les types du visuel, de l'auditif, du moteur , magistralement décrits par Ballet(1). Je crois a
est certainement verbo-moteur (il parle les mots de ses pensées, et, moteur , il agit mentalement sa pensée); — telle est du m
en ce moment, j'avais fait acte non d'auditif, non de visuel, mais de moteur . Sans remuer le bras, j'effectuais intérieurement
me commandais si fortement en dedans. Il s'agissait d'une suggestion motrice . Les auditifs, les visuels purs, les sujets dén
els purs, les sujets dénués de toute mimique interne, en aucune façon moteurs , qui liront ces lignes, ne comprendront certainem
autre calculateur prodige verbo-visuel. En majorité ils doivent être moteurs ; le fait d'être moteur constituant déjà presque u
ge verbo-visuel. En majorité ils doivent être moteurs; le fait d'être moteur constituant déjà presque un commencement d'action
remière) au moins supposera-t-on que les centres de réaction (centres moteurs ) sont plus sujets, plus aptes à la transmission q
e là une deuxième recommandation : 2° Essayer d'abord des réactions motrices et éliminer à priori les personnes qui ignorent c
ices et éliminer à priori les personnes qui ignorent ce qu'est « être moteur » et ne parviennent pas à le comprendre. Avec l
c les sujets prédisposés au contraire : verbo-moteurs, graphomoteurs, moteurs , essayez par exemple l'expérience de M. Pikmann :
expérience est facile à effectuer). Une autre expérience (toujours motrice ) est la suivante: l'induit, les yeuxbandés, suit
s identiques (et ce sera vraisemblablement au début entre les centres moteurs ); tiendront enfin un compte exactdela nature de l
de syndrome de Brown-Séquard ? Xous avons, en effet, une paralysie motrice avec conservation de la sensibilité, et un peu d'
88 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
e trypanosomiase se caractérisent prin- cipalement par des troubles moteurs généralisés et, en règle générale, bi- latéraux
rouver, rarement d'ailleurs, des cas avec prédominance des troubles moteurs d'un seul côté du corps. Dans la forme nerveuse
t prédominant, peu d'anormalité étant observé du côté des fonctions motrices des membres(PI. TI, ph. G). Dans les cas de dip
ifférents degrés d'intensité, observée dans des cas où les troubles moteurs sont minimes (PI. III, IV, V). Chez des malades
e l'on constate des convulsions chez des malades dénués de troubles moteurs et qui ne présentent que les signes d'insuf- fi
roisés, mais on n'en retrouve déjà plus dans le 6e segment. La voie motrice est du reste dans ce cas lésée sur un autre poi
es cérébraux P., le cervelet, les origines des nerf*, crâniens : III. moteur ocu- laire commun, V. trijumeau, VIII, acoustiq
gauche chez un droitier ne détermine pas nécessairement l'apha- sie motrice , ou, si l'on veut dire autrement, l'aphémie ou ]'
rès avisé, ne tarda pas il reconnaître qu'il s'agissait d'une aphasie motrice déterminée, vraisemblablement, par une lésion c
ole. Une agraphie, complète également, s'était associée à l'aphasie motrice , mais disparut en même temps que celle-ci. Aprè
articularité intéressante, chaque convulsion était suivie d'aphasie motrice dont la durée ne dépassa jamais trois jours. Dès
e présenta, à la suite, une hémiplégie droite accompagnée d'aphasie motrice com- plète et de désorientation assez marquée.
à mettre plusieurs mots ensemble. Cette fois. en effet, une aphasie motrice très nette s'était définitivement ins- tallée.
ours dans son jardin. Dans le membre supérieur, également, la force motrice revint suffisamment pour lui permettre de fléch
usceptible de déterminer beaucoup d'irritation corticale. L'aphasie motrice complète qui s'est manifestée lors du début des
de ce genre sont loin d'être rares. Pour ce qui en est de l'aphasie motrice transitoire qui a suivi régulièrement cha- que
s cinq ou six semaines, et furent in- variablement suivis d'aphasie motrice complète, laquelle disparaissait généralement e
hémisphère gauche. Quoi qu'il en soit de la pathogénie de l'aphasie motrice transitoire si fréquemment observée chez notre
eut subsister, c'est que celle malade n'a jamais présenté d'aphasie motrice permanente qu'après l'apparition de son hémiplégi
la région lenticulaire suffit à elle seule à déterminer une aphasie motrice à la fois très marquée et permanente. Dans notre
Il est possible que les lésions lenticulaires,produisen t l'aphasie motrice grâce à ce fait qu'elles atteignent presque toujo
e gauche chez un droitier ne détermine pas nécessairement l'aphasie motrice ; 2° Que la lésion de la région lenticulaire gau
che chez un droitier suffit, z en elle-même, à produire une aphasie motrice ou anarthrie très marquée et permanente. FACU
el-Lavastine (Soc. anat., 1907) ou même lésion primitive, neuronite motrice , frappant à la fois les cellules des cornes ant
linguale a pu être discutée. Il existe, dans l'écorce, des centres moteurs de la langue, qui ont, à travers la capsule int
s fibrillaires, qui restent de bons signes des lésions des neurones moteurs bulbo-médullaires, et les quelques autres troub
ma- lade ne peut rester couché sur le dos. La force et l'amplitude motrice des deux membres dans l'articulation de la hanc
es groupes musculaires mais les douleurs et les perturbations vaso- motrices n'ont pas été constatées. Dans le cas de Meiner
erturbation psychomotrice, mais d'une perturbation fondamentalement motrice . Les mouvements myocloniques sont si loin d'imi
gauche, vrai équivalentjacksonien par lésion syphilitique du cortex moteur à droite. La seconde forme constitue le syndrom
niques paraissent par accès et doivent être considérées comme auras motrices ou équivalents épileptiques. Dans les cas décri
r les expériences de Roncoroni (exci- tation de la région corticale motrice ) ; mais il nous manque pour le moment des éléme
tude d'une affection nerveuse caractérisée par de l'incoordinatiozz motrice , écho- lalie et coprolalie et ensuite dénommée
nous nous sommes déjà référé. Dans la chorée il y a une inquiétude motrice constante (Oppenheim) ; le malade n'a pas d'int
donc les signes caractéristiques du syndrome mélancolique : inertie motrice , trislesse, anéantissement et indifférence psyc
Dans la polynévrite en outre, qui atteint spécia- lement les fibres motrices et tout particulièrement lorsqu'elle a atteint
eul ne permet pas de conclure à l'existence d'une lésion du neurone moteur périphérique. Cependant, comme l'inexcitabilité o
sme a pour cause à la fois la contraction dés- ordonnée des muscles moteurs des articulations des doigts ou du poignet, ell
un sujet à l'autre, et que chez ceux qui ont été atteints d'aphasie motrice avec troubles du langage intérieur, autrement d
par les trois périodes d'aphasie totale, aphasie de Broca, aphasie motrice pure. Nous avons déjà eu l'occasion de passer e
compte de son état. ' Cette malade est donc bien atteinte d'aphasie motrice . En prenant les me- sures exactes de la trépana
Il ANDRB-THONAS, Essai sur la rééducation de la parole dans l'aphasie motrice cor- ticale. Société de Biologie, 1897. 344 D
i étaient en effet réparties à la fois dans le domaine de l'aphasie motrice et de l'aphasie sensorielle, et pendant les pre
'impression d'une aphasique sensorielle, mais celle d'une aphasique motrice . Nous ignorons si la malade a été rééduquée (in
e début des accidents, le tableau clinique était celui de l'aphasie motrice de Broca- ; elle était encore muette et ne pouvai
ement aphasique totale, puis aphasique de Broca, et enfin aphasique motrice pure, il existait des lésions dans les deux hé-
ci les foyers de ramollissement inté- ressaient à la fois la région motrice et la région sensorielle de la zone du langage
ousses de l'hémiface droite ; no toutes les excitations sensitives, motrices ou psychiques qui provoquent ou exagèrent le cl
olontaire ou provoqué. Toute excitation sensitive, tout t phénomène moteur , toute impression psychique qui modifient le clig
ses chutes elle ne s'est jamais fait mal. Il n'y a aucun trouble moteur portant sur les bras ou les jambes. La parole e
, au voisinage de la scissure de Rolando où il occupait les centres moteurs de la face et du membre supérieur gauche. Deux au
la circulation lym- plraticluc. Mais si nous avons dans la région motrice comme dans le cas donné le développement du tis
89 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
de jours et occasionna une destruction dans une partie des éléments moteurs , et sensoriels du système nerveux. Ce n'est qu'en
ulaires, épilepsie Bravais-Jacksonienne, paralysies. Les phénomènes moteurs , sensitifs, intellectuels se montrent selon la lo
ucinations de l'ouïe et de la vue. Le malade ne présente ni aphasie motrice , ni cécité verbale, ni paraphasie dans la parol
lu- cinations terrifiantes de l'ouïe et de la vue, de l'instabilité motrice , de la lo- quacité, de l'insomnie. Le 30 nove
dans la zone rolandique des deux hémisphères expliquent l'épilepsie motrice . Troubles délirants. - Sans insister sur ces sy
oureux. Les membres supérieurs et la face sont indemnes de troubles moteurs ou sensitifs. Pas de troubles des sens spécia
n constate des troubles de la sensibilité accompagnant les troubles moteurs . A la fin de la première année amélioration pas
dénote sûre- ment, dans ce cas, des lésions dégénératives des nerfs moteurs de ce groupe musculaire. Il y a aussi une légèr
a cellule multipolaire des cornes antérieures de la moelle, le nerf moteur et sa terminaison nerveuse intra-musculaire. On
ction complète). L'on sait, du reste, que la dégénérescence du nerf moteur oc- casionne une paralysie flaccide et atrophiq
sonner par analogie et ne pas localiser la lésion dans les cellules motrices delà corne anté- rieure, qui, en somme, jouent
ses mouvements par la suppléance fonctionnelle des autres cellules motrices . Lorsque la crampe ou la faiblesse musculaire n'a
périeur droit, qui se montre aussi un peu affaibli dans son énergie motrice . Le malade affirme que ces tremblements datent de
as gauche ; 2° par des décharges épileptiques. De plus les neurones moteurs du bras, héréditairement lésés, sont par- ticul
que ces différences soient sous la dépendance unique de l'éducation motrice des diverses régions considérées, et j'estime que
scle ciliaire et le droit interne émanent du même groupe nucléaire ( moteur oculaire commun) et même de deux noyaux contigu
du reste qu'il existe un rapport fréquent entre les troubles vaso- moteurs , la lenteur du pouls et les attaques, d'épilepsie
simplement pour ne pas encombrer ce travail. L'examen du système moteur nous montre que les réflexes patellaire, mas- s
trophie du faisceau cérébelleux, des nerfs hypoglosse et des noyaux moteurs du trijumeau. La protubérance à la hauteur où s
éraux, celle des noyaux des nerfs glossopharyngiens et de la partie motrice du trijumeau, enfin une lésion des olives. Les lé
système nerveux par suite des lésions des vaisseaux,comme les voies motrices (cas de Menzel) et certains nerfs crâniens. C
deux noyaux symétriques ; il semble qu'il s'agisse ici des cellules motrices . La seconde coupe porte au niveau de la région
tions pa- thologiques manifestes. III Tel est l'état du neurone moteur périphérique et de la partie extra- médullaire
des neurones centraux DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE H91 moteurs et sensitif. Cette dernière étude se confond avec
avons étudié dans chaque préparation, les fais- ceaux sensitifs et moteurs . D'une façon générale les premiers nous ont paru
Entrecroisement des fibres sensitives. C. Ruban de Reil. D. Noyau moteur . E. Fibres motrices émergentes. 392 Vaschide
fibres sensitives. C. Ruban de Reil. D. Noyau moteur. E. Fibres motrices émergentes. 392 Vaschide et VURPAS en rien le
s motrices émergentes. 392 Vaschide et VURPAS en rien le faisceau moteur ; nous n'en voyons aucun vestige. La place qu'il
sont donc formées uniquement par des fibres sensitives. De faisceau moteur il n'en est pas question, ce dernier semble avoir
4. - Région cervicale. D. Racine postérieure. E. Entrecroisement moteur . F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
ntérieur. O. Canal de l'épendyme. P. Fibres courtes d'association motrices et sensitives. S. Arborisalions cylindraxiles d
nte il n'existe pas. Fig. 5. - Région dorsale. E. Entrecroisement moteur . F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
Canal de l'épendyme. P. Fibres courtes d'association sensitives et motrices . DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 395 L
e postérieure. Comme au niveau de la coupe précédente les faisceaux moteurs semblent avoir totalement disparu ou plutôt ne
bulbe rachidien, nous n'avons parlé que des faisceaux sensitifs et moteurs pour ne pas scinder l'étude que nous en faisons
ci complètement dé- Fig. 6. - Région lombaire. E. Entrecroisement moteur . F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
Canal de l'épendyme. P. Fibres courtes d'association sensitives et motrices . S. Arborisations cylindraxiles des fibres des
u névraxe et nous constatons parallèlement des réactions sensitivo- motrices . D'après les données histologiques habituelles, d
la cellule un centre n'ayant qu'une fonction trophique et nullement motrice (1), nous nous conten- tons de poser le problèm
eaux la présence de deux noyaux symétriques et composés de cellules motrices . En l'absence constatée anatomiquement des 11F
ans notre cas en particulier, malgré l'absence de toutes les fibres motrices centrales à long trajet. VII. - L'absence de ce
de paralysie organique du nerf cubital s'im- posait : l'impuissance motrice et l'hypoesthésie électrique de tous les muscles
nce et l'éducation des mou- vements d'un membre sur les adaptations motrices de son congénère. Vollcmann a relevé des faits
de psycho-mécanique, 2e édit., 1900, p. 9. (3) Noie sur l'ivresse motrice (C. R. de la Soc. de biologie, 1900, p. 742) ; Et
lentement. Cette asymétrie réactionnelle correspond à une asymétrie motrice et (1) CH. Féré, La pathologie des émotions, 18
). Masson & C ? Éditeurs SUR LE TROPUOEDÈME - 471 sensitif, moteur ou trophique. Il est donc tout à. fait comparable
ou bien l'action trophique est-elle intimement liée aux propriétés motrices et sensitives du système nerveux ? Questions qu
e un exemple de troubles de nutrition indépendants de tout désordre moteur ou sensitif. Il se signale, en outre, à notre a
ômes habituels de la paralysie infantile - début fébrile, paralysie motrice d'un ou de plusieurs membres, atrophie muscu- l
tifier, c'est que la même altération apparente des grandes cellules motrices n'a pas toujours les mêmes conséquences ; aussi
Il serait plus conforme à la vérité de dire que, parmi les éléments moteurs du névraxe, il est une catégorie qui, par pri-
ie et du rectum fussent toujours respec- tés, alors que les centres moteurs pelviens très voisins sont souvent tou- chés.
90 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
un tremblement statique des deux jambes, une grosse incoordination motrice apparaissant dès qu'elle soulève ses membres, l
axi- que, flasque, sans atrophie musculaire, et où l'incoordination motrice domine avec une hypotonicité générale de tous l
ien marqué rend l'écriture impossible, et une grosse incoordination motrice que ne paraît pas exagérer l'occlu- sion des pa
nt par des accidents cérébraux, ne présente jamais l'incoordination motrice que vous venez d'observer,mais un tremblement p
musculaire sont conservées à droite, mais à gauche, la para- lysie motrice est complète, paralysie flasque. Le membre soulev
, vicieuse. La locomotion est donc devenue impossible par paralysie motrice de la jambe gauche qui traîneetpar l'incoordina
le dorso-lombaire dans laquelle se trouve compris : 1° Le tractus moteur du membre inférieur gauche (faisceau pyramidal) ;
, la substance grise médiane, à mesure qu'elle libérait le faisceau moteur gauche, tout en respectant toujours le faisceau
le faisceau moteur gauche, tout en respectant toujours le faisceau moteur droit, ainsi que les racines, les méninges, tou
au Congrès des neurologistes dans son rapport sur les localisations motrices de la moelle. Il résulte enfin que les lésions
wn-Séquard, trou- bles sensoriels à droite (côté blessé), paralysie motrice à gauche. La seconde par une diminution de ces
sies, anesthésie du froid, ataxie à droite (côté blessé), paralysie motrice et anesthésie du chaud Ù gauche; 3° Retour prog
s membres, avec délire. Quand la pneumonie fut guérie, les troubles moteurs persistèrent, caractérisés par ce fait qu'il ne
t je suis arrivé à cette opinion que son cerveau, sa représentation motrice et volitionnelle est dans la station et surtout d
s, ce qui est le propre de l'ataxie statique. Légère incoordination motrice aux membres supérieurs se traduisant par une hé
bles de la parole, l'ataxie statique, la démarche, l'incoordination motrice et l'affaissement des réflexes ; mais il n'en a
était impossible tant en raison de cette faiblesse que de l'ataxie motrice . Toute précision dans les mouvements était imposs
n ré- seau myélinique abondant et un assez grand nombre de cellules motrices , mais elles sont petites et plusieurs sont en é
ana- tomique est la dégénérescence primitive du seul proto-neurone moteur ou de son annexe, la fibre musculaire. Allons
llèle avec l'affaiblissement intellectuel : une espèce de dé- mence motrice si l'on peut dire ainsi. RÉSUMÉ. Tumeur gliomat
s latente. Or c'est en 1901 qu'apparaissent les pre- miers troubles moteurs et 18 mois plus tard survient la mort, et cela ma
légie du bras et de la jambe, atteignant très lé- gèrement ta force motrice et se manifestant, au contraire, par du tremble-
plaques. Examen de la motilité. Il existe à droite une hémiplégie motrice carac- térisée par un léger défaut de la force
r son doigt au nez, on note tout de suite une grande incoordination motrice et un véritable trem- blement intentionnel qui
e à droite est plutôt provoquée par l'existence de l'incoordination motrice et de l'asynergie musculaire, que par une véritab
nombreux. ' Dans une coupe inférieure on voit apparaître les noyaux moteurs et sensitifs du trijumeau qui sont bien conserv
grité des noyaux de la VIe paire. Or il se peut qu'une hémiplégie motrice ou sensitivo-motrice vienne s'associer une para
ntique dans les deux cas,et constitué par une hémiplégie sensitivo- motrice avec troubles des mouvements volontaires, de la c
OTTE PÉDONCULAIRE 171 lité plus accusés encore que ceux de la force motrice volontaire, on avait t penché pour une localisa
tait la destruc- tion complète de toute la colonne grise des noyaux moteurs de l'aqueduc depuis le plancher du troisième ve
uvoir démontrer que du noyau de la sixième paire émanent des fibres motrices ascendantes qui montent par le faisceau longitudi
e de défense instinctive, élémentaire, doit être régi par des voies motrices complexes et suppléantes entre elles. En conc
u'une lésion placée dans cet endroit, petit retentir sur les noyaux moteurs de la IIIe paire tout en épargnant les fibres rad
e et descendante du trijumeau, qui contiendrait, en plus des fibres motrices , aussi des fibres trophiques. Dans notre IIe ob
nérescence consécutive de la voie pyramidale et de l'incoordination motrice causée par la destruction du ruban de Reil, nous
s la région des tuber- cules quadrijumeaux, non seulement des voies motrices , mais aussi des centres moteurs individualisés
rijumeaux, non seulement des voies motrices, mais aussi des centres moteurs individualisés comme les centres corticaux. Un
dans la protubérance et les pédoncules cérébraux, les centres vaso- moteurs . Il est important encore de remarquer que, dans't
succulente. Signalons encore la démarche ébrieuse, l'incoordination motrice , l'asy- nergie musculaire, sans lésion aucune d
motrice spasmodique et une forme t ? 'ému{ente,comme l'ataxie loco- motrice avec tremblement. D'ailleurs, nous trouvons dans
tre, les différents appareils destinés à la rééducation de l'ataxie motrice des membres supérieurs des tabétiques : le casier
e compensation. On voit se produire ici des phénomènes statiques ou moteurs tout à fait comparables, comme l'a dit M. Briss
erveux. Nous venons d'observer un chien qui présentait des troubles moteurs , sensoriels et mentaux tels que le diagnostic d
eints des deux côtés d'une légère sclérose. Les cellules des noyaux moteurs présentent peu de prolongement ; les gra- nulat
rire, il ne saurait être question d'agraphie ou d'alexie. L'aphasie motrice proprement dite est le seul trouble du langage qu
t lorsque la circulation ne se fait pas bien à cause de l'impotence motrice [atrophies musculaires progr. (blirallaé), myélit
ssociation de ces phénomènes de sécrétion avec les phénomènes vaso- moteurs nous fait songer à une proximité probable des deu
ticulier, nous les discernons avec certitude, tandis que les fibres motrices ont disparu. En somme, les faits se ramènent ai
ent d'observer que la perte de toutes relations avec les élé- ments moteurs (ceux-ci ayant disparu) est un premier facteur ca
hew nous renseignent très exactement, en montrant que les faisceaux moteurs sont franchement altérés, surtout dans leur par
cervelet, elle produirait le Friedreich. La faiblesse du système moteur cérébro-spinal se traduirait par la pa- raplégi
t apparaître l'amaurose avec idiotie de Sachs. Enfin les cellules motrices spinales pourraient être mises en cause et on a
effet identique à celui qui ré- sulte de l'électrisation d'un nerf moteur ; je ne sache pas qu'expérimenta- lement chez l
le diagnostic nous intéresse : les contractures et les pa- ralysies motrices . Les contractures, surtout, doivent nous occupe
e l'équilibre et titu- bation ébrieuse. La variabilité des troubles moteurs , les troubles de sensi- bilité, le mode de débu
amide antérieure, les fibres arciformes internes, l'entrecroisement moteur et le piriforme, les noyaux de Goll et de Burda
s de la série. Sur la coupe sagittale S 6, qui tombe en plein noyau moteur du trijumeau, toutes les parties de la protubér
ade dont l'atrophie musculaire a augmenté, qui a des troubles vaso- moteurs marqués avec mains succulentes et qui a présenté
trépidation épi- leptoïde, ni phénomène du genou. La coordination motrice est conservée le jour, mais affaiblie la nuit, le
eux isolés de leur cen- tre, dont les muscles ont perdu leurs nerfs moteurs ; l'exorbitisme relevé par la (i) Max W¡CHURA,
remment sur un point quelconque du tissu médullaire, dans sa partie motrice tout au moins. En définitive, les contractions
tion relève d'un arrêt de développe- ment, d'une aplasie des noyaux moteurs de l'oeil. A ne s'en tenir qu'aux arguments d'o
dencéphaliens portent à croire qu'il ne faut pas confondre l'action motrice du système nerveux avec son action trophique ;
ophique des centres. Chez les pseudencéphaliens, en effet, l'action motrice ne laisse prise à aucun doute. Toute une série
l'action du système nerveux serait une action in- directe, purement motrice et non trophique. Une telle manière de voir s'ac-
D en disant que les lésions du système nerveux ont une répercussion motrice très vive et des conséquences morphogénétiques
aissaient en rela- tion de continuité avec les cellules des centres moteurs et sensitifs. C'est une fois l'ensemble constit
rterait l-'âge^auquel a disparu le système nerveux. Quant aux nerfs moteurs , ils dégénèrent beaucoup plus rapidement et ren
t anatomiquement et physiologiquement autonome, il porte son action motrice , sensible, trophique sur l'ensemble des organes
sans hémicrânie. XII. La méningite, en dehors de cette répercussion motrice , ne modifie pas sensiblement la nutrition génér
91 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'un près de l'autre, atteignaient à peu près la grosseur des nerfs moteurs crâniens, nerfs pathétique et moteur de l'aeil,
eu près la grosseur des nerfs moteurs crâniens, nerfs pathétique et moteur de l'aeil, ou bien encore le volume des racines
itif bien distinctes et dont l'antérieure est, selon lui, la racine motrice et joue le rôle du nerf de l'espace, pour leque
ante, c'est-à-dire tous les points que l'on donne comme les centres moteurs du cerveau, sont injectées et adhérentes l'une
puis accompagnent la marche graduelle- ment croissante des troubles moteurs ; dans leur intervalle on note un tremblement vi
hine et du chloral. C'est un narcotique, sans action sur les nerfs, moteurs ou sensitifs. Il diminue le pouvoir réflexe des
c- compagner de la paralysie d'uni ou de, plusieurs des 'iuàseles moteurs de globe oculaire. Elle coexiste fréquemment comm
(thèse de Paris, 1881). Recherches sur les terminaisons nerveuses motrices dans les muscles striés des insectes ; par H. V
tion complète des accidents con- vulsifs, des troubles sensitifs et moteurs , des phénomènes viscéraux, que la grande névros
d'hémiplégie spasmodique infantile (Benediktl des mani- festations motrices ressemblant à celles de la chorée posthémi- plé
ttribuer la sensibilité. Inversement l'interrup- tion des faisceaux moteurs , la moelle segmentée conservant, dans les mêmes
s autres systèmes ; 4° La conjonction de la moelle avec les cordons moteurs suffit pour en conserver l'intégrité, du moins
long. Cette action conservatrice exclusive des faisceaux nerveux moteurs , émanerait des plaques terminales de ces organes
système nerveux. Il existe un certain nombre de cas d'ataxie loco- motrice dans lesquels les réflexes tendineux ne sont pas
es deux membres inférieurs sont également atteints d'incoordination motrice , le réflexe n'est aboli que d'un seul côté. 11
ulier. 278 CLINIQUE NERVEUSE. Le 20 mars, le retour des fonctions motrices s'accentue de plus en plus, et le malade peut p
La paralysie vaso-motrice avait les mêmes limites que la paralysie motrice ; elle était très accentuée, puis- qu'il y avait
bservation démontre une fois de plus la disposition de la paralysie motrice et de l'anes- thésie par suite d'une compressio
qui, d'après M. Brown-Séquard, limiterait par en haut la paralysie motrice . La paralysie du mouvement était plus prononcée
a même région, c'est-à-dire la limite postéro-inférieure de la zone motrice . Cette localisation du centre de l'hémianop- si
e peuvent qu'être grossiè- rement localisés en arrière de la région motrice ; les lésions centrales siègent aussi au voisin
s d'entre-croisement que l'on observe dans le bulbe pour les fibres motrices ? La chose est possible mais non démontrée. S
ne et inférieure du pont de Varole; il se distingue des faisceaux moteurs en ce que ses fibres au lieu d'être rectilignes s
réquence des fractures du rocher, les rapports particuliers du nerf moteur oculaire externe avec cet os, son bord tranchan
ire corticale, dont les modifications ne produisent pas de troubles moteurs ; mais ils ont du même coup servi à cir- conscri
es moteurs; mais ils ont du même coup servi à cir- conscrire l'aire motrice , car sur les schémas où les lésions sont re- pr
ntées par une série de teintes superposées ou juxtaposées, le champ moteur reste nécessairement incolore. En apportant le pl
isphère gauche ; ou, en intervertissant les termes, que les centres moteurs dans l'hémisphère gauche, ont une impor- tance
a destruction totale ou partielle entraîne quelquefois des troubles moteurs . Enfin la région absolue est celle dont les local
ique, si limitée qu'elle soit, détruit en même temps des por- tions motrices de l'écorce et des portions non motrices. Or, dan
même temps des por- tions motrices de l'écorce et des portions non motrices . Or, dans les régions cérébrales où siègent les
al empiète le plus souvent sur des parties dépourvues de propriétés motrices , de telle sorte qu'il est fort dif- ficile de d
ent relativement restreint re- présente le champ absolu d'un centre moteur , le reste représente le champ relatif. Il peut
champ relatif peut présenter les mêmes altérations et les fonctions motrices auront conservé in- tactes leurs attributions p
tll. Exner d'avoir insisté sur les champs t'c- latifs 'des centres moteurs , qui permettent de comprendre quel- ques diverg
ment de l'excitation de la corne sur le centre épiieptogéne vaso- moteur , M. Coulbault incline à penser que toute décision
e la), clans un cas de pied bot va- rus équin, par Pitres, 319. Moteur oculaire externe (paralysie tiainnatique du), p
92 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
epuis plus de deux ans. » L’hypnotisme et les paralysies psychiques motrices . par le Dr Edgar Béhillon. Braid, qui s’était
que, c’est celui qui a été désigné sous le nom de paralysie psychique motrice . En effet, de tous les phénomènes de l’hypnotis
coordination complèted'élémentsdivers, comme, par exemple, des images motrices ou des mouvements très compliqués du larynx, du p
e d’images associées ordinairement à ce mot, et ces images deviennent motrices en vertu de la loi psychologique qui veut que
prat rapproche le bégaiement des paralysies psychiques ou incapacités motrices qui tiennent surtout à un défaut de synthèse ment
ère représentative : Dissociation des images: auditives, visuelles, motrices d’articulation et motrices graphiques. Amnésie
ociation des images: auditives, visuelles, motrices d’articulation et motrices graphiques. Amnésie partielle ou totale, hyperm
vre d'une espèce déterminée d’images, selon que le sujet est auditiT, moteur ou visuel. VIII Les aperçus qui précèdent son
ut revêtir l’une des trois formes suivantes rchoréiforme, trépidante, motrice . Ainsi, il ne faut pas confondre la coordinatio
inant un courant nerveux centripète ; S, neurone sensitif; M, neurone moteur ; F, courant nerveux centrifuge. 3° Ccllc-ci tra
ion à un (réflexes simples) (Fig. 1) ou à un grand nombre de neurones moteurs M(Fig. 2) d’où l'acte. Qu’il s’agisse de réflex
. 2. Acte réllexe compliqué M, M4, M2. M3, M4, M5, les neurones moteurs excités, F, F1, F2, F3,F4, F5, les nerfs moteurs
, M5, les neurones moteurs excités, F, F1, F2, F3,F4, F5, les nerfs moteurs excités. Les autres lettres comme dans la fig.1.
ychiques excités, mais un seul f transmet son excitation aux neurones moteurs . L’acte causé par le réflexe, l’imitation ou la
et de plus la suggestion est permanente; c’est-à-dire que le neurone moteur continue son excitation et amène la permanence de
se rapportent à l'insuffisance rénale il y a toujours des phénomènes moteurs , lesquels varient suivant la nature du poison qui
que des chats, le tremblement héréditaire des levrettes, les troubles moteurs des pigeons dits « culbutants », le tournis des s
die les fonctions du système nerveux central, les voies sensitives et motrices , les voies sensorielles et les voies d'associatio
vre d'une espèce déterminée d'images, selon que le sujet est auditif, moteur ou visuel. ¥ • L'évocation du subconscient pe
D'aulres sujets répondent aux excitations musicales par des réactions motrices appropriées ; quand bien même leurs réponses sera
ique s’exerce aussi sur l’imagination visuelle. Parfois les réactions motrices font défaut et, au lieu d’un acteur, nous avons a
n vaso- (t) Pathologie générale de Gli Bouchard, t. V, p. 1123. motrice , peut amener la guérison de maladies en apparence
un état de sommeil des centres cérébraux. L’anes-thésie, les troubles moteurs et viscéraux, vaso-moteurs et psychiques ne sont
ovule. La motricité individuelle des phyto- blastes de renflement moteur de la sensitive, des cellules des Spongiaires et
déchéance et diminuent sa résistance. De même que les divers troubles moteurs , sensitifs, circulatoires, provoqués par les caus
hoc électrique? Et ne sait-on pas que les phyto-blastes du renflement moteur de la feuille de sensitive se rétraçtent et provo
orme ont d’ailleurs la même action sur les phytoblastes du renflement moteur de la feuille de sensitive, dont ils provoquent l
’obscurité ou de leur fermer les yeux. Les phytoblastes du renflement moteur de la feuille de sensitive se rétractent aussi, e
t convulsiforme des constricteurs de la glotte ainsi que des troubles moteurs et sensitifs du ressort de l’hystérie. Elle se pl
ur les neurones de mémoire. Si la rétraction porte sur les neurones moteurs inférieurs, ce ne sera plus les mouvements comple
re, tantôt sur un muscle. Si dans un centre donné tous les neurones moteurs sont en état de rétraction, on a une paralysie. S
s hystériques. Si les neuro-diélectriques qui séparent les neurones moteurs rétractés des neurones situés en amont ne sont pa
urone supérieur do mouvement, font entrer en branle tous les neurones moteurs qu’il tient sous sa dépendance. Ainsi s’expliquen
systématisée, qu’elle a un caractère expressif. Si tous les neurones moteurs supérieurs sont isolés du reste de l’écorce, on a
voies vaso-motrices présentent les mêmes relais que les autres voies motrices , et qu’elles sont formées parle même nombre de ne
de l’écorce aura donc les mêmes effets que celle des autres neurones moteurs . Il se produira, par suite de la réduction du cha
ensitives (voir plus haut), il se produit en même temps des décharges motrices , tremblements, contractions athétosiques, secouss
écriture. Dans l’hémi* somnambulisme, N\ qui contient diverses images motrices , préside à divers actes. Le mot automatisme appli
h, Binet-Sanglé, p. 8. Hypnotisme (L') et les paralysies psychiques motrices , par Bérillon, p. 22. Hypnotisme (L’) comme moy
93 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
orbide, à cette période de la maladie, était dominé par une parésie motrice presque généralisée clans le domaine d'innervatio
re membres et du tronc, avec son caractère de parésie, de paralysie motrice incomplète ; elle se conciliait avec la persistan
ce malade, me parait des plus faciles à résoudre : . Une paralysie motrice , qui réalise le mode d'évolution et la distributi
eu ; pour qu'elle se fût tra- duite par une paralysie exclusivement motrice , sans douleurs spontanées, sans troubles concom
lieu, dans un cas de poliomyélite antérieure aiguë, la para- lysie motrice atteint son maximum d'extension très rapidement,
tères distinctifs de la po- lynévrite aiguë, à forme de polynévrite motrice . Au surplus, et pour en finir avec ce qui conce
chez notre malade de troubles de la sensibilité, de troubles vaso- moteurs et trophiques, dans l'ahsence surtout de réaction
une tacts, sauf les nerfs les deux n. n. mo- parésie du m. droit moteurs oculaires : teurs oculaires pua- interne du côté
de courbature. Troicblesuccso- aucuns. extrémités froides aucuns. moteurs . et moites. Sensibilité Acuité visuelle normale
ains ; écriture ataxique ; 9° Affaiblissement des muscles oculaires moteurs avec secousses nystag- mi formes ; 10° Mimiqu
est plus tendue à droite oit elle- comprend toute l'aire du faisceau moteur , qu'à gauche où elle n'intéresse que des tiers
de la corne antérieure gauche, mais là comme ailleurs, les cellules motrices paraissent absolument normales quant à leur noyau
e lésion encéphalique une destruction éten- due des circonvolutions motrices ou une solution de continuité dans les faisceau
volutions motrices ou une solution de continuité dans les faisceaux moteurs par une hémorrhagie, une tumeur, un foyer quelcon
x pyramidaux, car elle siège précisément du côté opposé au faisceau moteur le plus atteint. Il nous reste enfin à parler d
'une dégénérescence ascendante sur une petite hauteur des faisceaux moteurs est aujourd'hui, croyons-nous, bien démontrée ;
s qui sont spécialisés dans un but commun. Les lésions des neurones moteurs périphériques, par exemple, se répercutent sur
moteurs périphériques, par exemple, se répercutent sur les neurones moteurs médullaires et encéphaliques; dans la sphère se
lus grand intérêt à recueillir les faits de cet ordre où les troubles moteurs s'associent aux troubles sensitifs et de donner
nsibilité à la douleur est très exagérée dans les zones sensitives et motrices du nerf circonflexe, du nerf musculo-cutané, du
iner des ruptures radiculaires inlra-racbidiennes, mais des racines motrices seules. Il n'est pas douteux que les mouvements
imputer aux manoeuvres du procédé de Mothe les lésions des racines motrices par élongation portant sur toutes les paires (5e,
ocessus local de polio- myélite expliquant l'extension des troubles moteurs à tout le bras ? la diminution rapide des force
gine réflexe correspondent à une altération atrophique des cellules motrices qui progressivement se raréfient et disparaisse
ne laissent aucun doute à cet égard. De plus t'atteinte du neurone moteur périphérique entraîne la pertur- bation fonctio
e entraîne la pertur- bation fonctionnelle et l'atrophie du neurone moteur cérébral : dans le cas de MM. Achard et Lévi, l
cervicale nous parait d'autant moins douteuse que tous les réflexes moteurs et sensitifs sont considérablement exagérés au-de
egmentaires dont le siège cortical occupe les zones d'appropriation motrice , zones purement sensorielles et, par abus, nomm
priation motrice, zones purement sensorielles et, par abus, nommées motrices (fronto-ariétales). Pour le labyrinthe, c'est l
On a malheureusement trop intimement associé le mouvement à l'agent moteur , la variation d'attitude à l'action musculaire qu
le moral ou organique ou quand je veux réaliser un geste, un effort moteur , c'est toujours la même sensation cérébrale que
r un effort de mémoire, de compréhension, de perception ou d'action motrice . J'ai souvent cherché à analyser celle sensation
'a pas à différer beaucoup de l'écorce qui régit les appropriations motrices aux images d'attitudes et de mouve- ments. Seul
agissante, il n'a plus celle de son activité et de son application motrices ; il peut vouloir et imaginer toutes les attitud
on d'attitudes, qui selon moi ne sont pas plus réellement des zones motrices que le sens des représentations d'attitudes n'e
res, inconnues de ma conscience, précisément parce que l'ap- pareil moteur , le muscle, est en dehors de ma sensorialité, qui
ordonne parfaitement ses efforts musculaires sous une appropriation motrice qui est fautive. Un capitaine qui ne sait quelle
cutée. La fausse manoeuvre de l'ataxique dépend d'une appropriation motrice exercée sans but bien défini et surtout sans co
isuelle est nette. Il y a ici plus qu'une illusion due à un trouble moteur de l'oeil, et j'y vois une véritable hallucinat
verticale n'est pas suffisamment définie ; aussi, l'appropria- tion motrice correspondant à cette attitude est elle-même flot
ent comme réellement impulsives : elles sont, au point de vue loco- moteur , absolument correctes, mais suggérées par des ima
ous les labyrinthiques. Ce qui le distingue, c'est l'incoordination motrice qui apparaît quand il doit avoir recours au sen
larges comme une pièce de 50 centimes. Pas de troubles sensitifs et moteurs . Dermographisme très accentué, aussi marqué au
nes formes de strabisme ou plutôt de défaut de synergie des muscles moteurs de l'eeil, reconnais- sent la môme origine. L'h
n, habitude qui a donné de l'importance à un petit système d'images motrices ou, en d'autres termes qui a excité un centre f
rnes, atrophie et sclérose des racines qui en émergent. Les nerfs moteurs (médian) possèdent une gangue conjonctive très ép
em- bre inférieur peut devenir le point de départ d'une impuissance motrice relative avec atrophie plus ou moins prononcée
hypophysaire irrite à distance, par action réflexe, la zone psycho- motrice , et est ainsi la cause des convulsions. La même i
ette phrase. A cGté de cela, elle n'est pas, à vrai dire, aphasique motrice ; para phasique, agrammati- que, mais non aphém
94 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ive de la motilité volontaire. Toute lésion destructive des régions motrices du cerveau pro- duit un affaiblissement muscula
nt variées et nombreuses les voies de communication entre les zones motrices de la surface cérébrale et les membres. (l3ull. d
embarras de la parole qui laisse encore des traces. L'hémiplégie motrice était complète; mais on ne peut savoir s'il y e
t à la partie externe de l'étage inférieur, en dehors des faisceaux moteurs (pyramidal et autres). C'est là que commence, à
ns leur trajet medullo-cérébral, par opposition aux termes faisceau moteur , ou faisceau pyramidal. 72 REVUE CRITIQUE.
la capsule. B, Le même faisceau au voisinage (tescirconvo- lutions motrices . - C, Faisceau sensitif au niveau de la capsule.
Schiff d'abord, R. Tripier après eux, avaient admis que les parties motrices de l'écorce sont en môme temps des centres dest
85 un assez grand nombre de faits, que la destruction de la zone motrice est parfaitement compatible avec l'intégrité de l
uemment troublée à la suite des altérations destructives de la zone motrice que dans les cas de lésions occupant un autre s
de la sensi- bilité ; A la suite des lésions des circonvolutions motrices , l'anes- thésie est habituelle mais peu marquée
la capsule interne, au lieu d'aller se ter- miner comme les fibres motrices , dans des territoires corticaux physiologiqueme
rielle de Wernicke), tandis que les altérations des circonvolutions motrices à l'extrémité du sillon de Rolando ne furent pa
son entourage, elle allait et venait conti- nuellement. L'impulsion motrice s'accroissant les jours suivants au point de pe
ù un effet hypno- tique pur et un effet calmant; 2° sur les centres moteurs ; 3" sur les nerfs moteurs et sensitifs. - Il.
r et un effet calmant; 2° sur les centres moteurs; 3" sur les nerfs moteurs et sensitifs. - Il. 1,'hyoeyamnie convient : 1°
y compris la morphine sont abandonnés; 2" quand domine l'élé- ment moteur (manies chroniques à rémission ou folies circulai
ie, au même titre que l'hyperthermie, la glycosurie, l'excitabilité motrice , doit prendre rang parmi les symptômes des affe
génito-urinaires. Au début de la période ataxique, l'incoordination motrice peut passer inaperçue non seulement du malade,
ogie; n" 7, p. 100. 328 REVUE DE pathologie nerveuse. 2° Troubles moteurs . Contractures, convulsions, paralysies, chacun
on sur d'autres centres; l'angoisse se complique alors de décharges motrices commençant aux actes et aboutissant au délire,
pensons alors que des incitations ont pu se réfléchir sous la forme motrice sans qu'elles soient entrées enrapport avec l'e
laire. (Analyse, t. lit, p. 346.) La question des centres corticaux moteurs . M. SCHLANCENHAUSEN. Contribution à l'étude de
u'à une véritable para- 261 se BIBLIOGRAPHIE. lysie. Les troubles moteurs et sensitifs des extrémités sont remar- quables
a compression, excito-motrice ou frénalrice. Une zone exclusivement motrice peut devenir, selon le degré de la compres- sio
vosr (J.-L.). Du rôle de la srlphilis comme cause de l'ataxie loco- motrice progressive (Revue critique). Brochure in-8" de 2
e de muscles; elles atteignent fréquemment la langue ou les muscles moteurs de l'oeil. Ces faits sont nombreux dans les div
s le cours du diabète sont loin d'être toujours dus à une paralysie motrice ; ils reconnaissent souvent pour cause l'affaib
rt arrive par la cessation de l'acte respiratoire. Un autre trouble moteur fort intéressant au point de vue séméiologique
, ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces troubles moteurs , comme du reste les troubles sensitifs que nous
est pris et l'atropine exagère l'amblyopie. A ce moment les muscles moteurs n'ont jamais offert de para- lysie. Le muscle c
rition de certaines fonctions, se développent les régions psycho- motrices . A partir du développement complet, à quelque âge
résisté atout traitement; trois sont des exemples d'incoordination motrice avec anesthésie et trou- bles nerveux divers pa
. 3.) Observation L-l3rusque atteinte d'analgésie et de faiblesse motrice dans les extrémités inférieures. Symptômes prédom
ralisé, et au delà, à cet égard, la lésion descendante des éléments moteurs . 3° La lésion qui avait détruit la surface infé
95 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
substance grise, c'est-à-dire l'appareil des cellules nerveuses dites motrices , lesquelles , comme vous le savez, ont pour siège
, elles seraient destinées surtout à la transmis-sion des excitations motrices et aurait peu de rapport avec la sensi-bilité.
e, si ce n'est très-accessoirement et comme par hasard, les fonctions motrices , au contraire, sont lésées profondément. Cette
ement sont, de toute nécessité, altérées simultanément. Les fonctions motrices et la nutrition des muscles sont seules affecté
stème musculaire de la vie animale, se traduisant par une impuissance motrice et une atrophie plus ou moins accusées, sont, ain
convient d'établir une distinction importante. Tantôt l'impuissance motrice survenue dans un certain nom-bre de muscles, ou g
tion fasse reconnaître. Le muscle est d'abord paralysé, les fonctions motrices sont anéanties d'une façon plus ou moins complète
gine le siège de troubles trophiques très-accentués, et l'impuissance motrice , en pareille circonstance, semble être proportion
ns un peu accusées de la sensi-bilité, contrastant avec une paralysie motrice aussi absolue, aussi complète, est un des caractè
les résumer en quelques mots : 1° Invasion brusque de la paralysie motrice qui atteint du pre-mier coup son summun d'intensi
iminution de nombre et de volume qu'avaient subi les grandes cellules motrices , altération qu'on peut cependant très-nettement r
on ami M. Duchenne (de Boulogne)1. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infan-tile, a été pour la premi
n ou l'atrophie granuleuse d'un certain nombre de cel-lules nerveuses motrices et, en outre, l'existence de plusieurs foyers de
nce grise. Dans loutes les régions de la moelle, les grandes cellules motrices étaient altérées profon-dément, bien qu'à des deg
s sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses motrices , qui se trouve déjà mentionnée dans les cas do MM
cussion en règle à propos du rôle que je prête aux cellules nerveuses motrices dans la production des lé-sions trophiques des mu
depuis la publication de notre travail. Ainsi la lésion des cellules motrices se trouve expressément signalée dans une observat
de fonctions propres, comme sont les grandes cellules nerveuses dites motrices . C'est ainsi que suivant la théorie émise par M.
paraît évident,d'après tout ce qui précède,que les cellules nerveuses motrices sont bien réellement le siège primitif du mal. Le
infirmer la théorie d'après laquelle Vappareil des cellules nerveuses motrices serait le premier foyer et comme le point de dépa
celles de la curarine. C'est ainsi que l'aconitine détruit le pouvoir moteur des nerfs ; administré à hautes doses, le poison
es com-plications les plus ordinaires consistent en lésions des nerfs moteurs des muscles de l'œil (paralysie de la 3e et de la
surmonter. De même supposons une série de locomo-tives dont la force motrice pour chacune peut, par exemple, pro-duire un traj
x par exemple 20 mètres en une seconde, vous devez admettre une force motrice égale, et cependant il y a entre elles cette gran
rants continus, mais dans les limites suivantes : il faut que le nerf moteur ait été affecté primitivement, que la fibre muscu
ptomatique d'une paralysie plus ou moins complète delà sixième paire, moteur oculaire externe. Cette parésie était difficile à
tout près les unes des autres, les origines du nerf facial et du nerf moteur oculaire externe. Nous avons également pu obser
bien le noyau supérieur du facial, voisin du noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe, qui a été affecté et môme uniqu
les phénomènes calorifiques. — Le curare supprime l'action des nerfs moteurs et laisse la sensibilité intacte. Le chloroforme
onflit par le moyen delà circulation capillaire. » XXVII. Les nerfs moteurs du grand sympathique. — « Le nerf sympathique est
s du grand sympathique. — « Le nerf sympathique est composé de filets moteurs dont les propriétés et les activités fonctionnell
t. L'application du forceps peut-elle déterminer la paralysie du nerf moteur oculaire commun? Deux notes, malheureusement trop
hées. Chez le paraplégique, l'organe indispen-sable à la transmission motrice , le tube nerveux, est profondément altéré; chez l
96 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
, Kahler et Pick notaient une certaine atrophie des circonvolutions motrices et émettaient l'opinion que cette diminution de
pyramidal était des plus nettes (cap- sule interne, circonvolutions motrices ). Mais, de plus, dans ces deux cas, nous avons
la hauteur du faisceau pyramidal, y compris les circonvolu- tions motrices . Disparition des grandes cellules pyrami- dales
phères cérébraux ne présentent rien à signaler, les circonvolutions motrices ne semblent pas diminuées de volume. Les surfac
se il y a une diminution considérabledu nombre des grandes cellules motrices ; cette diminution est d'ailleurs un peu variab
belleux. Coloration plus foncée des faisceaux de Goll. Les cellules motrices des cornes antérieures ont beaucoup diminué de
le faisceau pyramidal dans ce segment de la moelle. Les cellules motrices des cornes antérieures sont abondantes et semblen
ute la hauteur du faisceau pyramidal, y compris les circonvolutions motrices .- Diminution du nombre des grandes cellules de
outre d'une inflammation vési- cale. Après l'opération les troubles moteurs et ceux de la sensibilité s'aggravèrent. Mort l
lité réflexe diminue après un poids excédant 400 gr. L'irritabiiité motrice seulement après un kilogramme. Stintzing2, da
élongé; que les parésies intéressent la sensibilité, les fonctions motrices et trophiques à un degré égal ; que l'action ne
maladie se porte de préférence sur des segments du système nerveux moteur . Poliomyélite et névrite sont proches parentes
11 débute par les maladies des nerfs périphé- riques, sensitifs ou moteurs ; après des considérations générales d'ordre sém
riiie qui, malgré les résultats de l'autopsie (lésions des cellules motrices de la substance grise et des faisceaux pyramida
un composé de faisceaux secondaires pro- venant des circonvolutions motrices et se rendant soit à la moelle, soit au bulbe;
de la poliomyélite localisée tout d'abord au niveau des éléments moteurs en rapport intime avec les fibres du faisceau v
férente appliquée sur le slernum, électrode différente sur le point moteur du muscle.) 1 éléments Gaiffe 1 = 0,5 milliampè
aques épileptiformes indiquent une localisation à la zône psycho- motrice . Deux facteurs interviennent dans ces mécanismes
ènt déJs'ongèÍ' aux 1 pi>intsùê l'eiib'ép1îale Óù' lesjtrâctus'1 moteurs sont, condensés (capsule interne)'/ou encore à
ctus apoplectiforme. Le rêve résulte d'un trouble de coordina- tion moteur . - - M. WiLUERMUTit. Les ictus apoplecliformes
accès, mais il-existe<des ! équivafehts psychiques sans troubles moteurs . Deux exemples à l'appui; la température n'a pas
e impose le diagnostic d'é- quivalents ayant succédé à des troubles moteurs graves." -, , ' 1 'à M. STARK se rappelle un je
prolongée et quelques bruits sous-crépitants. C'est dans la sphère motrice que se montrait le plus grand dérangement. Tous
résistent le plus souvent à toute autre médi- cation. 2° Troubles moteurs . La motilité paraît moins souvent atteinte, che
que de l'organe cen- tral, les phénomènes d'excitation de la région motrice ayant absolument coïncidé avec elle. L'autopsie
empiétant aucunement sur;les régions en relation avec les fonctions motrices , deux petits foyers hémorrhagiques dans la couc
générale avec foyer de ramollissement occupant les circonvolutions motrices du côté droit et englobant une partie du faisce
amidal. En un mot double lésion capable d'exciter les con- ducteurs moteurs . P. K. XLI. Contribution au diagnostic DES affe
r les troubles les plus notables de la sensibilité, comme les nerfs moteurs et les nerfs mixtes ont été trouvés intacts, l'
'intégrité de celles de gauche ; dans la conservation des fonctions motrices du membre supérieur gauche, et, par contre, la
ui entraine l'équilibre instable des cellules nerveuses des centres moteurs ; dès lors, une exci- tation périphérique (pléni
s d'inflammation fussent très peu marqués. La zone dite corticale motrice était atteinte dans une certaine mesure, et cepen
es symptômes cérébraux avaient été de courte durée; les symptômes moteurs avaient fait complètement défaut. Il convient de
tôme visuel ne fut constaté; on n'observa pas non plus de symptômes moteurs , bien que la zone corticale motrice du côté dro
serva pas non plus de symptômes moteurs, bien que la zone corticale motrice du côté droit fût envahie. Ici, comme dans le c
malades, l'hypnotisme fait passagèrement dispa- railre des troubles moteurs périphériques; donc il représente un élément de
Bérillon, on peut dire que l'homme, au point psychique, sensitif et moteur , est réellement double, en un mot, qu'il possèd
97 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
eaux sensitifs qui sont directs, mais encore tous les fais- ceaux moteurs sans exception. De même que les fais- ceaux sen
ans exception. De même que les fais- ceaux sensitifs, les faisceaux moteurs ne subissent ni interruption ni réduction dans
continuité avec la substance musculaire, ou sur les rameaux nerv ew moteurs dont les fibres viennent s'v terminer. 36 PHY
s muscles qui président à ces mouvements, ne recevant aucun filet moteur du nerf cubital. L'adduction du pouce avec flex
ve demeurer étranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets moteurs du nerf médian, et son action porte principalem
- Recherches sur les héatzia- azesthésies accompagnées d'hémiplégie motrice , d'hémichorée, de con- tracture et sur leur cur
truction de la substance blanche et son excita- tion dans les zones motrices produisirent les manifestations bien connues, t
issure de Sylvius et les fissures sylviennes antérieures. Le centre moteur le plus pro- che de ce groupe cellulaire est ce
t été trouvées dans le cer- veau des carnivores, là où aucun centre moteur n'a été clairement démontré, et auprès des zone
innervation corticale ; 2° qu'après tout, il s'agit là d'un centre moteur que l'électrisation localisée était incapable d
vions constater, alors, que l'excitation mécanique des mêmes points moteurs amenait des résultats sem- ' blables à ceux que
cherché sur l'avant-bras, pour répéter ces expériences, les points moteurs dont l'existence, d'après les électropathes, ét
nt : a) Des variétés individuelles dans la distribution des nerfs moteurs ; b) Des variations que subissent, suivant les i
indiqués sur le schéma (Fig. 16). Fig. 16. Fig. 16. Points > moteurs des principaux muscles de la face. 1, frontal
s sans intérêt de faire remarquer, avec Duchenne, que les muscles « moteurs du sourcil sont, de tous les muscles expressifs
un ou deux filets ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 195 moteurs qui se rendent à un faisceau musculaire voi- si
rieure et de ''l'aile^du " nez, ' q41"'reçoi 'vent' leurs filets moteurs 'd'un même' rameau nerveux qui passe sous l'ext
la contraction était obtenue par l'excitation mécanique des points moteurs musculaires. La malade a été ainsi fendue catal
ires elles-mêmes, ou, indirectement,* par l'intermé- diaire du nerf moteur qui lui est destiné. t ÉTUDE DE HYPNOTISME CHEZ
n droite est placé dans l'extension par la pression sur le point, moteur désigné sur la figure 15, 6. L'aimant est appli
es réflexes tendineux, elles se lieraient, ou bien'à une irritation motrice directe, ou bien à des actions réflexes issues
ée furent, par, ordre- de -.décroissance, la, mydriase,, ks,troubks moteurs , les troubles sensitifs, .les symptômes circula
quesj'(grand Inal), qui représentent' toutes les formes d'épilépsie motrice Fét1'so*màtiqùes') ''sont ' celles qui entraîne
.1 AIONDEL' COIIII)AL ]l théorie pathogénétique des, troubles vaso- moteurs ; il fait ressortir qu'à ce compte,"la psychopbob
' (psychoses propres); Le résultat est' très prompt sur l'agitation motrice dénature alcoolique;. ')0 milligrammes amenèrent
sé une compression qui s'est traduité'pa'r des''phénomènes vaso-1 ` moteurs et respiratoires. Cette élévation thermique est a
98 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
). Le phénomène qui attire le plus l'attention, c'est l'instabilité motrice : sauf quand il est en résolution musculaire, l
sensi- lifs caractérisés, ni symptômes oculaires, ni incoordination motrice . Le diagnostic ne semble à discuter qu'avec la
s de la sensibilité et des fonctions génitales, de l'incoordination motrice ; le début de la maladie remontait à 5 ans au mo
rvation d'une femme de48ans, tabétique depuis 10 ans, sans symptôme moteur , avec troubles de la sensi- bilité el artltropa
8 CHALIER ET KOVK-JOSSERAND (ensilé des phénomènes d'incoordination motrice n'est pas toujours pro- portionnelle à celle de
r un méca- nisme encore mal discuté, mettrait en tension le neurone moteur . . Dans toutes ces circonstances, une condition
a première circonvolution temporale à la zone de Broca et à la zone motrice corticale du membre supérieur ». 13...présenleu
tiques réveille immédia- " tement une série d'équivalents acoustico moteurs : « le langage intérieur», l'identification des
lus ou moins durables. La lecture courante, qui économise l'énergie motrice , est une méthode exclusive qui retient les form
lit, en recopia nt, formé les lettres d'une façon normale. La zone motrice n'exerce donc pas d'influence notable sur la facu
été réfutée entre autres par Heilbronner, qui dans un cas d'aphasie motrice subcorticale dans lequel la faculté d'écrire avec
il n'y ait point eu d'hallucinations, ni de phénomènes d'irritation motrice , stéréotypies, rigidité musculaire, grimaces, ' e
ectrique, le m,ilado ne bénéficia d'aucun changement des trou- bles moteurs et trophiques. L'usage de la main devint même plu
ural et une atrophie en masse des muscles de la jambe. Les troubles moteurs qui en résultent produisent la dé- marche class
s, les lésions dé- génératives prédominent nettement sur les filets moteurs . Sur des coupes longitudinales des ganglions sp
Pas de troubles objectifs de la sensibilité, ni d'in- coordination motrice . Pas de troubles sphinctériens. Réactions pupilla
te, à l'excep- tion de quelques altérations partielles des cellules motrices dans le ren- flement cervical. Pans les nerfs :
1, p. 921. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 297 motrices raréfiées, petites, avec un noyau mal coloré, et
aire, Marinesco admet la possibilité d'une lésion primitive des nerfs moteurs et sensitifs. Observation DE SIEMEJlL1NG (1).
rficielle et profonde, prédominant à la périphérie ; incoordination motrice , signe de Romberg, douleurs fulgurantes ; intég
es inférieurs et dans la moitié inférieure du tronc; incoordination motrice ; douleurs peu fréquentes ; sphincters intacts
ortent presque exclusivement sur les racines antérieures, les nerfs moteurs et les muscles ; mais ceci ne crée nullement un
rale amyotrophique, où la dégénérescence secondaire, dans les nerfs moteurs , ne laisse qu'un résidu fibreux, souvent à peine
e est-elle pri- mitive, ou secondaire à la dégénérescence des nerfs moteurs ? Devant les résultats des examens histologique
mous au mollet et à la face postérieure de la cuisse. Les troubles moteurs sont toujours limités à la jambe gauche,mais il
e lymphocytose. Au mois de septembre de la même année, les troubles moteurs sont apparus à la jambe droite, surtout dans le
, ou un processus chroni- que de dégénérescence affectant les nerfs moteurs du bulbe et de la moelle. DYSTROPH1E MUSCULAIRE
on primitive et de dégénérescence du segment inférieur de la racine motrice (pyramidale), représentée par les neurones spino-
a une dégénérescence secondaire des racines anté- rieures des nerfs moteurs et des muscles. La première éventualité se réal
les cellules et sur le tissu de soutien de la corne. Les cellules motrices ont disparu complètement au niveau de la lésion
rd localisée au point frappé et ne s'ac- compagnant d'aucun trouble moteur ou psychique; mais, dans la suite, en vertu d'u
dans notre observation, le traumatisme n.e provoque aucun phénomène moteur immédiat et les crises convulsives ne font leur
u partielle dans la conductibilité nerveuse des voies sensitives et motrices amenant, par suite des phénomènes spasti- xxv 2
s. Pas d'as,ljncrgie et pas de parole scandée. Troubles des voies motrices . Accentués à droite. Parésie dans les trois cas
troubles de la sensibilité. Pas de douleurs fulgurantes. Parésie du moteur oculaire commun gauche. Inégalité pupillaire. R
ire d'où une hémiatrophie très marquée de la moelle. Les cellules motrices les plus externes persistent au niveau de la part
gne d'Argyll Robertson bilatéral complet. Paralysie bila- térale du moteur oculaire commun, portant sur les trois branches d
d'Argyll Robertson, douleurs fulgurantes. Paralysie bila- térale du moteur oculaire commun, abolition du réflexe rotulien ga
- cifité et petites hémorragies méningées dont l'une dans la région motrice du côté droit. Le péricarde est couvert sur s
lité du fluide nerveux provient ou bien d'une faiblesse de la force motrice centrale ou bien d'une résistance et d'obstacles
ique ensuite la dépendance de la faiblesse de l'énergie de la force motrice , de la nutrition générale ou l'énergie vitale et
99 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
le pas pour un de ses principaux effets de produire des modifications motrices et sensitives sur tous les membres, paralysies, c
et s'appliquera à la fois à faire disparaître les troubles sensitifs, moteurs et psychiques. Pénétré de l'idée de la dépendance
la force des choses, physiologiste. Déjà l'observation des troubles moteurs de la maladie d'Adisson a mis sur la voie de la f
s formes que peut prendre ectto affection en troublant soit les nerfs moteurs et sensitifs du système nerveux, soit les nerfs i
mais elle suppose un état très anormal de la conscience et des agents moteurs des idées. De même le somnambulisme est symptomat
ue assez intense, se détérioraient assez facilement, de plus la force motrice nous faisait fréquemment défaut. L'appareil vib
pé les observateurs. Cette hyperexcitabilité porte : Sur l'activité motrice : les poitrinaires vont et viennent, font de nomb
otique sur la circulation des hystériques. 3. Dr Bérillon : Aboulie motrice systématisée.— Guérison par la suggestion hypnoti
ion coupable ; et rappelez-vous que l' effort est le grand et suprême moteur de l'évolution. Vous êtes, jeunes amis, à l'âge o
les faits observés, dit en effet Charles Darwin, est que l'impulsion motrice est de sa nature alliée au phénomène d'agrégation
uent la partie inférieure d'un renflement qu'on appelle le renflement moteur . Cette partie, qui est la seule active, consist
l'action de la lumière solaire, et qui s'accumule dans le renflement moteur , emplissait les phy-tocystes de ce renflement, et
ne diffère de la précédente qu'en ce que la turgescence du renflement moteur est attribuée au ralentissement que subit la tran
cette excellente raison qu'elle n'existe pas. En effet, le renflement moteur , bien loin d'être gonflé lorsque la feuille est e
utres parties de la plante. Il en résulterait que les renflements moteurs et les autres zones motrices, qui, grâce à leur t
Il en résulterait que les renflements moteurs et les autres zones motrices , qui, grâce à leur turgescence, supportaient péti
'effet immédiat de la contraction du bioprotéon de leurs phytoblastes moteurs . Les feuilles passent à leur position de sommei
lon, Jules Voisin,Paul Magnin,Baraduc,ctc. 2. Dr Bérillon : Aboulie motrice systématisée.— Guérison par la suggestion hypnoti
visuel), T (centre de sensibilité générale); de l'autre, les centres moteurs , de transmission, comme K (centre kinétique), M (
feuilles. Leurs phytoblastes ami-boïdes forment parfois un renflement moteur (Légumineuses, Oxalis). Leurs mouvements de somme
que, c'est celui qui a été désigné sous le nom de paralysie psychique motrice . En effet, de tous les phénomènes de l'hypnotis
soma-tiques fixes (grand hypnotisme de la Salpêtrière avec symptômes moteurs constants) est le seul qui mérite « la qualificat
t ce qu'il écrit ; il pourrait l'exprimer par des images visuelles ou motrices . C'est d'un état délirant qu'il s'agit : ce que
tout le reste et peuvent se traduire à l'extérieur par des phénomènes moteurs correspondants. » Janet conserve cette métaphore
rasites de la pensée. » Le centre 0 du magnétiseur donne des ordres moteurs et le polygone magnétisé exécute ces ordres (2) ;
les et de reporter cette force psycho-motrice en entier sur le centre moteur de l'imagination. Autrement dit, en appliquant le
d'aucun accident organique. II n'existe pas de trouble sensitif ou moteur , pas même d'hypoesthésie ou de rétrécissement du
u'il s'agit ici. Notre homme a seulement perdu le souvenir des images motrices d'articulation ; s'il le faut on l'hypnotisera et
vent que l'anxiété est telle qu'il en résulte une véritable paralysie motrice psychique. Les jambes chancellent, la peau se cou
'ordre suivant : M. Gillet : Le réve musical. M. Bérillon : Aboulie motrice systématisée ; traitement par la suggestion hypno
ant la substance grise corticale des régions du cerveau dites centres moteurs , on parvient à provoquer des attaques épileptifor
pouvons maintenant nous expliquer la raison de cet état : Ses centres moteurs sont Atteints. Avec ses caractères violents, et
100 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es, pense devoir affirmer que les couches optiques ont une fonction motrice , qu'elles servent de centre moteur aux mouvemen
uches optiques ont une fonction motrice, qu'elles servent de centre moteur aux mouvements coordonnés, dits expressifs, par
'hypoglosse, le plexus brachial, le sciatique, la plupart des nerfs moteurs de la jambe antérieure ou postérieure, peuvent
ils sont eux-mêmes intacts. Intacts aussi sont les noyaux des nerfs moteurs , qu'il soit question du lapin, du chien, du cha
rsqu'il s'est agi des animaux adultes. En ce qui concerne la zone motrice chez un lapin nouveau- né, l'ablation d'un hémi
u sensorium due à la narcose, il subsiste bien quelque insuffisance motrice pendant les quelques jours suivants dans les pa
lement atrophiés. Jamais il n'y a eu de phénomènes de surexcitation motrice . Du reste, le fameux chien de Goltz, réduit à l
mouvements, par suite d'ablations profondes et étendues de la zone motrice dans les deux moitiés du cerveau, ce chien n'ét
it pas paralysé, n'était pas aveugle, et cependant, les zones dites motrices et visuelles avaient été anéanties. La double s
ychique et somatique avec quelques modifications dans les fonctions motrices . Ainsi ils ne s'asseyent pas comme les autres :
ient en deux régions principales : l'une destinée aux concep- tions motrices , l'autre aux conceptions sensibles. Mais on n'éta
instant à l'autre, au point que l'on trouvera des signes d'aphasie motrice , alors que l'on s'est cru la veille en présence
orrectement, soit par écrit, soit verbalement, n'ayant ni aphasie motrice , ni agraphie. L'image visuelle du mot, évoquée
défaut ; et il est pro- bable d'ailleurs que les images visuelle et motrice du mot ravivent, si elle n'est pas complètement
de cette ingénieuse, combinaison de l'impression auditive à l'image motrice , à saisir le sens des demandes. Ce malade procé
side aux mouvements de la parole : c'est donc un centre d'impulsion motrice . Or, ces centres-là ne mé- ritent généralement
m de mémoire; cette mémoire, en tant qu'elle actionne la périphérie motrice , est une mémoire motrice, centrifuge, qui agit
, en tant qu'elle actionne la périphérie motrice, est une mémoire motrice , centrifuge, qui agit sur les muscles sous l'in-
le est une fonction spéciale, parfaitement distincte de l'impulsion motrice aboutis- saut à l'articulation des mots. Dans l
cas, les images formées sont le résultat d'actes périphé- riques moteurs , transmis par la voie centripète à un centre cé
quel qu'il soit, qui en est le siège, soit en même temps un centre moteur ? Peul-on admettre DE LA SURDITÉ VERBALE. 197
ppartenant au faisceau sen- sitif occupe le même point qu'un centre moteur , en rapport avec des fibres pédonculaires motri
point qu'un centre moteur, en rapport avec des fibres pédonculaires motrices ' ? Enfin pour donner une nouvelle preuve de la
incts, destinés à la fonction de la parole, deux sensoriels et un moteur , celui-ci (io, Fq. 4) est préposé à l'articu- l
e l'affection, les bras devinrent maladroits et leur incoordination motrice crut graduellement jusqu'au point où UN CAS DE
n lit, par sa jambe fléchie sans qu'elle s'étende. L'incoordination motrice est plus prononcée à gauche qu'à droite. Si, ap
e le diagnostic ici soit douteux un seul instant : l'incoordination motrice , l'abolition des réflexes rotuliens, le nystagm
ysie du membre doit être rapportée à l'a- trophie des tubes nerveux moteurs des nerfs et non à la dégé- nérescence minuscul
e l'écorce, les troubles mo- teurs indiquent l'atteinte des tractus moteurs qui vont de l'écorce aux cordons latéraux; l'hy
ui a montré que les mouvements d'un membre, réveillant les images motrices des centres, produisent par suite une augmentatio
ar l'impossibilité de répéter les mots, et de plus par des troubles moteurs du langage par- lé pouvant stimuler une véritab
s notre cas en nous rendant impossible l'examen des circonvolutions motrices nous a mis hors d'état de faire ces recherches
myotropique a toujours son point de départ dans les circonvolutions motrices , ou si au contraire ce point de départ peut êtr
er), c'est-à-dire avec tendance à l'extériorisation de leur contenu moteur ; 3° les idées tmpM/s/ues. Morsolli n'en admet q
De l'anesthésié et de l'atrophie testiculuires dans l'ataxie loeo- motrice progressive; par Rivière. Thèse de Bordeaux, 1886
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