plète, avec résolution des membres. Tous ces symptômes sensitifs,
moteurs
, intellectuels, peuvent se combiner de mille fa
ndue, que j'ai lue, et dont je reparlerai en traitant des fonctions
motrices
du cerveau, est devenue un mémoire publié à Nap
(1877-1879), le mémoire de Dario Maragliano sur les localisations
motrices
dans l'écorce cérébrale 1, ils avaient voulu te
ces deux régions du cer- veau, en d'autres termes, que les centres
moteurs
des bulbes oculaires et des paupières doivent ê
que l'est, par exemple, le centre du langage articulé aux centres
moteurs
des lèvres et de la langue. Les réactions syner
ien peu connues, on le sait. Des centres sensoriels, sensitifs et
moteurs
de l'oeil et de la vision ont été, entre autres,
isement des fibres optiques varie parfois comme celui des faisceaux
moteurs
des pyramides, ainsi que l'ont montré les reche
tres sensoriels de l'écorce, analogue à celle qui, pour les centres
moteurs
, produit l'épilepsie d'origine cor- ticale. L'i
es sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie est aux centres
moteurs
» (p. 151). Elles constituent une sorte d' « ép
hallucinations. Le même processus irritatif qui envahit les centres
moteurs
de l'écorce, atteint les centres sensoriels et
onditions de durée et d'intensité, détermine, appliquée aux centres
moteurs
, des convulsions épileptiformes, appliquée aux
importante : de même que le diagnostic topogra- phique des lésions
motrices
de l'écorce, soit irritatives, soit destrutrive
iquer les faits de mentation normale ou anormale *. » Les centres
moteurs
, sensitifs et sensoriels constituant l'écorce c
ôt à croire qu'elles dépendaient de l'excitation directe de centres
moteurs
siégeant dans la zone corticale du centre de l'
, mêlés aux éléments sensoriels, ou isolés en îlots, des éléments
moteurs
des muscles des organes périphériques des sens
- soriels diffèrent-ils de ceux qu'on observe en excitant la zone
motrice
de Hitzig ? Les auteurs italiens ne le ' Aug. T
surdité verbale apparaît tantôt seule, tantôt associée à l'aphasie
motrice
, ou à des troubles paralytiques de la motilité
rmation de leurs vues sur la coexistence des éléments sensoriels et
moteurs
, partant des fonctions de la sensibilité et de
cellules du stratum convolutum et de la fascia dentata, à la sphère
motrice
ou pshyco-motrice 1. Quant au centre cortical d
il tombe spontanément. Etat actuel (11 mars 1889). - Incoordination
motrice
très marquée : Le malade peut à peine marcher à
e manifestement les symptômes douloureux et la plupart des troubles
moteurs
du tabes. Chaque suspension a lieu, nous l'avon
te dès les pre- miers effets de la suspension, sur l'incoordination
motrice
,' puis sur les douleurs fulgurantes, l'anesthés
- ter ; 2° diminution extrêmement remarquable de l'incoordination
motrice
pendant la marche. Le malade, sans ca,nne, peut m
s, avec crises de douleurs ful- gurantes très vives, incoordination
motrice
, marche et miction difficiles, signe de Romberg
ce dernier médecin : c'est celui d'un tabétique atteint de troubles
moteurs
oculaires chez lequel ceux-ci ont diminué depui
que : la sensation de soulage- ment et le retour de la coordination
motrice
se font sentir aussitôt après chaque séance et
urs fréquentes, l'impotence sexuelle ont disparu : l'incoordination
motrice
, le signe de Romberg ont cessé d'exister. Un ma
I. ETUDE analytique au MOYEN DE l'excitation ÉLECTRIQUE DES RÉGIONS
MOTRICES
DU CERVEAU DU SINGE (MACACUS SINICUS); par Ch.
t fort et prolongé ; comme résultat : absence complète de réactions
motrices
du côté des membres et des yeux. '. Ce n'est qu
la suppuration par défaut d'antisepsie. L'excitation de la région
motrice
leur a donné les mêmes résul- tats que ceux de
donné les mêmes résul- tats que ceux de Ferrier; mais cette région
motrice
peut être divisée en un certain nombre de dépar
es dans la protubé- rance la plupart des fibres s'arrêtent au noyau
moteur
; quelques- unes cependant, sous la forme radicu
able cepen- dant que cette racine-là est en relations avec le noyau
moteur
du côté opposé. Le trijumeau n'a pas de relatio
riences sur des chats de trois à six mois. Conclusions : Les fibres
motrices
ont leur centre dans la moelle même. Quant à la
out à coup surgir deux syndromes (la capralalie et l'incoordination
motrice
) témoins à leur tour de dégénérescence mentale
ogie '154 SOCIÉTÉS SAVANTES. de la langue. Diminution de la force
motrice
. Mouvements et dé- marche incertains. Persistan
ATOMIE PATHOLOGIQUE. pyramidales; visibles surtout dans les régions
motrices
et dans la corne d'Ammon où elles sont énormes,
upées par nids comme on les trouve à l'état normal dans les régions
motrices
, ainsi que l'a indiqué Betz; elles sont, au con
t abondantes; à part cela l'aspect est le même que dans les régions
motrices
gauches. La première frontale et le lobe occipi
es cornes antérieures de la moelle, une atrophie des fibres du nerf
moteur
et des muscles auxquels ces fibres se distribue
. M. RITTI lit au nom de M. CoTARD une note sur l'ORIGINE PYCIIO-
motrice
du délire. D'après cet auteur, c'est de la suract
IIO- motrice du délire. D'après cet auteur, c'est de la suractivité
motrice
que dans la manie, par exemple, naîtraient les
élancolie dépressive, c'est par suite de la dépression de l'énergie
motrice
, que le malade se trouve consécutivement séparé
sulte de la corrélation admise par tout le monde entre les éléments
moteur
et psychique. Les hallucinations seraient aussi
i, d'après M. Cotard, secondaires et subordonnées à l'automa- tisme
moteur
. M. GaRNIER fait observer que dans la deuxième
u troisième pé- riode de la paralysie générale, alors que l'énergie
motrice
est souvent fort déprimée, les idées de grandeu
lors à une période antérieure où elles sont nées lorsque l'activité
motrice
était accrue. M. Soutzo (de Bucharest) réclame
par les malades à des personnes étrangères. D'où le nom de psycho-
motrices
qu'il propose de leur donner. 11 conclut que if l
e de Baillarger est avant tout un trouble fonc- tionnel des centres
moteurs
du langage articulé ; 2° elle tient à la fois d
pulsion,' d'où le nom d'hallucination psycho-7notrice; 3° l'élément
moteur
qu'elle sociétés savantes. 277 7 renferme est
de sa race. AI. HEHZEN (de Lausanne), à propos du RÔLE DES centres
moteurs
, montre qu'en cas d'ablation d'un centre moteur
u RÔLE DES centres moteurs, montre qu'en cas d'ablation d'un centre
moteur
chez un animal nouveau-né, ce n'est pas le cent
i l'on ne connaît pas explicitement la sen- sation de l'innervation
motrice
centrifuge, il n'en est pas moins vrai que tout
ésenté pendant la vie aucun phénomène morbide du côté des fonctions
motrices
ou sensorielles. Ces lacunes, occasionnées par
mp- tômes joints à de l'aphasie et à des désordres sensi- tifs ou
moteurs
dans sa forme accompagnée, la migraine ophtalmi
me, hémiopie, céphalalgie, vomissements)sans aphasie, ni phénomènes
moteurs
. Depuis elle ne se plaint plus que d'embarras d
ait assez justement avec ce qui se passe pour l'épilepsie partielle
motrice
dont les accès ne sont eux aussi qu'un syndrome
triques, mais il y a dispa- rition à peu près complète des cellules
motrices
dans les deux cornes antérieures. Il existe enc
un certain volume. On retrouve les mêmes désordres dans les régions
motrices
, dans le lobe occipital. Là toutefois, elles so
on sont encore plus visibles, à cause- du grand nombre des cellules
motrices
en ce point '. (Bourne- ville et Pilhet, Soc. a
NTAIRES. I. On convient généralement aujourd'hui queles centres
moteurs
ou psycho-moteurs de l'écorce cérébrale, comme
, n" .ïl, pag. 337 et n" 52, p. 28. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 361
motrice
a été divisée « en petits carrés de deux milli-
ordes et des luttes sur la réalité d'une localisation des fonctions
motrices
du cerveau est fermée; le calme règne dans les
nels de la vision n'est guère moins avancée que celle des centres
moteurs
; elle est seulement moins connue, et, jusqu'ici
. Certaines régions du cerveau sont en rapport avec les fonctions
motrices
ou sensitives de telle ou telle partie du corps
is quelle est la nature de ces centres corticaux, qu'on a appelés «
moteurs
» parce que, en effet, leur excitation expérime
rimentale ou leur irritation pathologique détermine des réactions
motrices
, simples ou convulsives, de la face, des extrém
ules nerveuses de ces centres ? Rien de plus net que les paralysies
motrices
qui succè- dent à l'ablation et aux lésions des
s deux gyrus sigmoïdes ne présente point pour cela de para- lysie
motrice
proprement dite, si l'on entend par ces mots un
r a été enlevé, peut encore courir, pourquoi l'ablation des zones
motrices
du chien, une fois les effets du traumatisme op
nk ne les ont jamais vus s'amender et disparaître quand les régions
motrices
avaient été exactement enlevées sur les deux hé
les du mouvement volontaire consécutifs aux destructions de la zone
motrice
? « Je les ai considérés, dit Hitzig, dans deux
tative », c'est-à-dire comme l'effet de la destruction des images
motrices
de telles ou telles catégories de mouvements vo
tituants de la kinesthésie), théorie pour laquelle les centres dits
moteurs
de l'écorce cérébrale sont les origines central
le dans les parties correspondantes du corps, si bien que la zone
motrice
ne serait qu'une manière de surface sensible, d
réflexes. Il y a la théorie de Munk, pour qui la prétendue zone
motrice
, subdivisée en « sphères sensibles », où sont c
sensibilité générale et du mouvement. Il y a la théorie, absolument
motrice
, de David Fer- LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 365
David Fer- LES FONCTIONS DU CERVEAU. ' 365 rier, dont les centres
moteurs
sont tout à fait dis- tincts anatomiquement des
sens musculaire. Il y a la théorie de Charcot, pour qui les centres
moteurs
corticaux sont le siège des représentations mot
qui les centres moteurs corticaux sont le siège des représentations
motrices
qui précèdent nécessairement l'accomplissement
héorie de François Franck, qui, adversaire de la théorie de centres
moteurs
par eux-mêmes, autonomes, incline décidément ve
ce réflexe des éléments excitables de l'écorce, et pour qui la zone
motrice
, assimilée à une surface sensible périphérique,
sensible périphérique, n'est que le point de départ d'incitations
motrices
volontaires, l'appareil incitateur de réactions
ncitations motrices volontaires, l'appareil incitateur de réactions
motrices
volontaires, dont les véritables appareils mote
de réactions motrices volontaires, dont les véritables appareils
moteurs
ou d'exécution sont les cellules nerveuses du b
tations des divers mouvements qui déterminent la véritable action
motrice
, par un mode assimilable au méca- nisme puremen
ranck, des centres d'association volontaire, plutôt que des centres
moteurs
proprements dits. Ces centres, il les appelle «
s moteurs proprements dits. Ces centres, il les appelle « psycho-
moteurs
», parce qu'ils commandent par leur action tout
ommandent par leur action toute psychique à de véritables appareils
moteurs
. « En envisageant, dit-il, les mouvements produ
aires) » (1). Aussi le faisceau pyramidal, qui transmet aux centres
moteurs
bulbo- médullaires les incitations motrices de
qui transmet aux centres moteurs bulbo- médullaires les incitations
motrices
de l'écorce céré- brale, constitue-t-il, au poi
il, au point de vue physiologique, un système afférent aux cellules
motrices
du bulbe et de la moelle. Il y a la théorie d
ales de Dechambre, 2" série, XII, 577. Cf. Leçons sur les fonctions
motrices
du cerveau, 299. 1 Après la section circulair
circulaire ou circonvallation d'une région limitée, éprouvée comme
motrice
, F. Franck et Pitres ont vu se conserver les mo
nts dépendant de la section corticale circonscrite, et la paralysie
motrice
succéder à l'ablation de la même région, si bien
l'ablation de la même région, si bien que « les points dits centres
moteurs
conservent tout au moins une influence directri
ré leur séparation du reste de l'écorce ». (Leçons sur les fondions
motrices
du cerveau, p. 371.) Tout au contraire, Manque,
on dugyrus sigmoide lui-inètne. 31ariqtie en conclut queles centres
moteurs
n'ont point de fonctionnement spontané, autonome,
périmentales sur le mécanisme de fonctionnement des centres psycho-
moteurs
du cerveau. Bruxelles, 1885, p. 104, 125). Cf. Va
et Paneth, ne permettent guère encore de décider si les « centres
moteurs
» ont ou n'ont point par eux-mêmes d'influence
tres de la sensibilité générale et spéciale, bref, si ces prétendus
moteurs
de la machine animale doivent, pour agir, être
e reste du cerveau. Que l'on songe aux cas bien constatés d'aphasie
motrice
et d'agraphie consécutifs à des surdités et à d
des cécités verbales. Stricker, qui a tant insisté sur les images
motrices
, dit expressément que toute représentation de c
d'un objet en mouvement ne saurait faire naître en nous aucune idée
motrice
: pour qu'elle naisse, il nous faut reproduire
mus- culaires constituent seuls la condition du réveil de l'image
motrice
. Quand il se représente, par exemple, le vol de
dire d'autres théories encore sur la nature probable des fonctions
motrices
du cer- veau, il y a celles des auteurs italien
368 PHYSIOLOGIE. sana et Lemoigne, « les centres de l'innervation
motrice
ont leur siège en dehors des hémisphères cé- ré
déterminer l'activité volontaire des vrais centres de l'innervation
motrice
, mais ils ne le font qu'à la manière des sensat
sculaire, d'une part, et, d'autre part, par des centres d'idéations
motrices
. Avant d'indiquer l'évolution de cette doctrine
ensibilité générale observés dans les lésions corticales de la zone
motrice
. C'est cette zone . 1 Lllssana et Lemoigne, Des
one motrice. C'est cette zone . 1 Lllssana et Lemoigne, Des centres
moteurs
encéphaliques (Arch. de physiol. norm. et p2tla
RVEAU. 369 que Tripier et Gilbert Ballet ont appelée « sensitivo-
motrice
». Exner, enfin, professe, on le sait, que « les
s du corps se confondent en général avec les centres ou territoires
moteurs
de l'écorce cé- rébrale ». Les temps sont donc
générale et de la motilité volontaire dans les lésions des centres
moteurs
du cerveau '. Aujourd'hui Nothnagel ne croit
les lésions des parties de l'écorce qui déterminent des paralysies
motrices
entraînent après soi des troubles de la sensibi
tent d'être étudiés avec soin... » Dans le cas de Déjérine, la zone
motrice
corticale était seule lésée; les conducteurs se
puy, De la perte de la sensibilité après la destruction des centres
moteurs
. L'auteur rappelle que Horsley, au congrès de B
ghton (188G), a rapporté qu'après avoir fait l'ablation des centres
moteurs
corticaux chez trois malades qui présentaient d
alylica. Neurol. Centralblatt, 1886, 480. De même que les fonctions
motrices
de l'écorce, celles de la sensi- bilité général
e con- ception théorique de la nature des paralysies corti- cales
motrices
. Selon lui, le lobe pariétal soutiendrait les m
entral, que la circonvolution de Broca, par exemple, avec le centre
moteur
cortical de l'hy- poglosse. Une lésion de la ci
Une lésion de la circonvolution de Broca peut produire une aphasie
motrice
sans paralysie de l'hypoglosse; d'autre part, u
l pourrait produire une ataxie pure des extré- mités sans paralysie
motrice
, et, d'autre part, une lé- sion des circonvolut
e lé- sion des circonvolutions centrales déterminer une paralysie
motrice
sans abolition du sens musculaire '. Pour local
célèbre physiologiste anglais, pour qui les fonctions de la zone
motrice
sont distinctes de celles des centres cor- tica
des principales conceptions théo- riques de la nature des fonctions
motrices
de l'écorce 1 Nothnagel . - Weber die Localisat
Entre toutes les conceptions théoriques de la nature des fonctions
motrices
du cerveau, celle qui domine et l'emporte chez
ne du côté de Ferrier. En d'autres termes, les phéno- mènes d'ordre
moteur
, consécutifs aux lésions destruc- tives, soit e
struc- tives, soit expérimentales, soit pathologiques, de la zone
motrice
, ne semblent pas être de nature ataxique ou réf
Bianchi z, 'Palmerini \ Tonnini, etc., considèrent ces troubles ^
moteurs
comme parétiques ou paralytiques. Ainsi, .après
l'écorce cérébrale dont l'ir- : ritation donne lieu à des phénomènes
moteurs
, et la - destruction à des paralysies, doivent
ion à des paralysies, doivent être regardés comme «de vrais centres
moteurs
volontaires, capables, sans l'intermédiaire d'a
rs volontaires, capables, sans l'intermédiaire d'aucun autre centre
moteur
, de tfaire fonctionner les divers appareils mus
centri cerebrali di movimento (Sperintentale, 1876). ' Des centres
moteurs
encéphaliques. Recherches physio-pathologiques .
endent habituellement, » p. 135. Les viais centres d'innerva- rtion
motrice
ne sont pas d'ailleurs, pour ces auteurs, ainsi q
haliques. » 3 Sulsignificato della eccitazione elettrica della zona
motrice
corticale. - Archivio ilal, perle malalie nervo
perle malalie nervosc, 1881. « Ces centres sont de - vrais centres
moteurs
psychiques... Il n'est pas prouvé que la fonction
ychiques... Il n'est pas prouvé que la fonction dévolue aux centres
moteurs
volontaires puisse être accomplie par d'autres
ne altération de cette fonction chez les animaux. opérés de la zone
motrice
. Ainsi, les aires excitables- du cerveau sont d
e motrice. Ainsi, les aires excitables- du cerveau sont des centres
moteurs
, et ne sont pas- autre chose. Si, au lieu d'êtr
spondants, la nature de ces centres n'en appa- raît pas moins comme
motrice
. Ce qui est vrai, c'est que ces aires motrices
raît pas moins comme motrice. Ce qui est vrai, c'est que ces aires
motrices
de l'écorce cérébrale ne sont pas les seuls et
OLOGIE. teurs italiens expliquaient les suppléances des fonctions
motrices
détruites, le caractère transitoire des troubles
nctions motrices détruites, le caractère transitoire des troubles
moteurs
et le retour de la motilité volontaire dans les
automatiques, si bien que le chien privé de ses centres corticaux
moteurs
, de ses « centres de motilité volontaire », com
ire. « Aussi n'appelons-nous pas ces centres corti- caux simplement
moteurs
, mais hsJc7ao-nzotetcrs. » Toutefois, pour cons
el et voulu aux mouvements des mammifères privés de leurs centres
moteurs
corticaux, Luciani et Tamburini ont admis non s
corticaux, Luciani et Tamburini ont admis non seulement des centres
moteurs
corti- caux et des centres moteurs basilaires :
admis non seulement des centres moteurs corti- caux et des centres
moteurs
basilaires : ils ont doué ceux-ci des mêmes pro
litive, pourrait suivre deux voies pour se transformer en impulsion
motrice
: 1° celle des centres psychomoteurs corticaux;
: pendant plus d'un sièçle, on les a consi- dérés comme des centres
moteurs
, et l'on a attribué l'hémiplégie typique à la l
la lésion de ces ganglions. On sait aujourd'hui que les paralysies
motrices
dues aux hémorrhagies du noyau lenticulaire ou
étruits et transformés en kystes sans qu'il ait existé de paralysie
motrice
, pourvu que la capsule interne fût demeurée int
l travers les masses grises des corps striés, et que les impulsions
motrices
volontaires émanant de l'écorce cérébrale prenn
'écorce cérébrale prennent une autre route. De ce que les fonctions
motrices
, si longtemps attribuées aux ganglions de la ba
t Lemoigne, les couches optiques seraient des centres d'innervation
motrice
du bras, de la main et des doigts, par conséquent
ses mains. Les paralysies produites par les lésions de ces centres
moteurs
seraient proportionnelles iL l'étendue des lésion
rs seraient proportionnelles iL l'étendue des lésions.- Des centres
moteurs
encéphaliques, 1877, 1. 1. LES FONCTIONS DU CER
es corps striés auraient surtout des fonctions sensitives, et non
motrices
, mixtes en tout cas '. A la vérité, les résulta
), et s'atrophie secondairement aux lésions destructives de la zone
motrice
. Il en résulte- rait que la restitution partiel
térations de la motilité qui suivent les mêmes lésions de la zone
motrice
corticale. Si l'animal survit assez longtemps a
emps au traumatisme opératoire, tous ces troubles d'inner- vation
motrice
, dus aux lésions du noyau caudé, fini- raient p
ènes d'hyperthermie unilatérale observés dans un cas d'hémiplégie
motrice
droite, l'observation clinique et anatomo-patho
tzig (1874), dans les lésions superficielles de l'écorce de la zone
motrice
', sans que les ventricules latéraux aient été
rts inverses existant entreledéveloppementdes fonctions des centres
moteurs
corticaux et celui des prétendus centres moteur
ctions des centres moteurs corticaux et celui des prétendus centres
moteurs
basi- laires chez les mammifères. Chez l'homme,
t l'importance est en raison inverse du développe- ment des centres
moteurs
corticaux, et par conséquent du volume du faisc
et des cliniciens italiens qui tenaient pour la nature pu- rement
motrice
, non ataxique ni sensitive, des phénomènes cons
édecin de Padoue, croient à la nature ataxique de ces dé- sordres
moteurs
et supposent, avec Schiff, qu'une lésion de la
sciences médicales de Dechambre, p. 592 ; Leçons sur les fonctions
motrices
du cerveau, p. 387. Hitzig aussi s'est rangé il
les assimiler à des centres d'actions réflexes, non à des. centres
moteurs
, etc., le professeur de Florence- témoignait qu
nsibilité à la douleur et à la pression est conservée. Cette ataxie
motrice
des extrémités est l'effet, non d'une paralysie
ette ataxie motrice des extrémités est l'effet, non d'une paralysie
motrice
, mais d'une para- lysie de la sensibilité tacti
u- queuses, consécutive aux lésions destructives des centres dits
moteurs
, Schiff rapporte qu'il a trouvé un grand nombre
es faisceaux pyrami- daux, ces deux sortes de fibres, sensitives et
motrices
, formant un même système et représentant, les u
oses connues ou connaissables. Si Hitzig a découvert les troubles
moteurs
consécutifs aux lésions de la zone excitable, S
ois et le fond du sillon crucial du chien, on obtient des réactions
motrices
correspondantes des membres du côté opposé. En
ont l'excitation détermine ces mouvements est, on le sait, purement
motrice
. Là sont « les centres véritables du mouvement
ue de sensibilité dans ses expériences sur les fonctions de la zone
motrice
. Il a donc localisé ailleurs, sur le lobe parié
Bechterew, par exemple, lui demande : Si un chien, dont le centre
moteur
de la patte antérieure droite a été enlevé, ne
ue sont venues à Schiff les 1 Bechterew. - Physiologie de la région
motrice
de la substance corticale du cerveau. (Archives
'on .observe chez le chien après l'ablation de la prétendue .zone
motrice
, apparaissent après la section des .cordons pos
cinq jours après la section de ces cordons, l'excitation de la zone
motrice
demeurait sans effet. Les résultats contraires
propagerait jusqu'à l'écorce 2; de là l'inexcitabilité de la « zone
motrice
». Suivant Horsley, la perte des réactions motr
é de la « zone motrice ». Suivant Horsley, la perte des réactions
motrices
de l'écorce est due à une lésion 'des faisceaux
n 'des faisceaux latéraux des pyramides; d'après Schiff, .la zone
motrice
ne serait qu'un centre trophique pour les cordo
Schiff sur la nature réflexe des effets de l'excitation de la zone
motrice
, l'ancien professeur de physiologie de Florence
dons postérieurs de la moelle sont en relation directe avec la zone
motrice
corticale, et que, si cette zone n'est plus exc
en même temps que les cordons postérieurs, Schiff a lésé la voie
motrice
des pyramides ' ! III. Frappé de la force des
s ' ! III. Frappé de la force des arguments des deux théo- ries
motrice
et sensitive, Tamburini chercha, dès 1876, dans
conciliation de ces doctrines contraires sur la nature des centres
moteurs
corti- caux. La théorie éclectique qu'il présen
et « sortie » de la matière, ne peuvent désigner que les éléments
moteurs
et sensitifs de cette zone 2. Hitzig aurait donc
minées de l'écorce, l'inexcitabilité des zones environnant l'aire
motrice
, la localisation des convulsions et des paraly-
ticale, plaidaient fortement, aux yeux de Tamburini, pour la nature
motrice
de ces centres. D'autre part, les phénomènes d'
ransmises par l'appareil spi- nal, et les transformer en impulsions
motrices
volon- taires. « Il doit donc exister nécessair
ensitive, devenue perception consciente, se transforme en impulsion
motrice
. » Ces points devaient être en grand nombre et
GIE. excitable. Celle-ci d'ailleurs n'est plus confinée à la zone
motrice
. Car les effets de l'électrisation des régions
e diffèrent en rien de ceux qu'on observe en excitant les centres
moteurs
de la zone-de Hitzig». Les mouvements du pavill
nt l'existence, dans les aires sensorielles de l'écorce, d'éléments
moteurs
, confondus avec les cellules de sensibilité spé
des sens, parvenues à ces centres, s'y transfor- ment en impulsions
motrices
volontaires des muscles des organes de ces sens
s du mouvement et de la sensibilité. « Nous croyons que les centres
moteurs
et les centres sensoriels qui concourent à l'ef
397 talé que les effets qui suivent la destruction d'un cen- tre
moteur
cortical ne consistent pas uniquement en une pa
ralysies psychiques. Luciani soutenait que, mêlés aux vrais centres
moteurs
des différents groupes mus- culaires, et foncti
centres sensitivo-moteurs. Et de même qu'il existerait des centres
moteurs
confondus avec les cen- tres sensoriels de la v
s de la vue et de l'ouïe, il existerait, confondus avec les centres
moteurs
de la zone exci- table, des centres de sensibil
e exci- table, des centres de sensibilité générale. « Les centres
moteurs
, disait Luciani, ne se trouvent pas localisés d
ouvent pas localisés dans l'aire corticale appelée jusqu'ici « zone
motrice
», dénomination à abandonner, puisque cette zon
nomination à abandonner, puisque cette zone n'est pas exclusivement
motrice
. Toutes les différentes régions de l'écorce son
régions de l'écorce sont, à des degrés divers, semées de centres
moteurs
spéciaux. Pour être sûr d'avoir détruit tous le
es moteurs spéciaux. Pour être sûr d'avoir détruit tous les centres
moteurs
, il faudrait donc enle- ver toute l'écorce céré
ndante. C'est ainsi que Bechterew a déterminé, en dehors de la zone
motrice
proprement dite, des points aussi constants que
énéraux. Or ces points excito-moteurs n'appartiennent pas à la zone
motrice
, c'est-à-dire au gyrus sigmoïde, où se distribu
ne sont point dus non plus à la propagation du courant aux régions
motrices
, car si on isole ces centres par la méthode des
bien différenciés queceux qui résultent de l'excitation de la zone
motrice
proprement dite. Mais, en dépit de ces caractèr
nés à la surface de l'écorce sont bien, pour Bechterew, des centres
moteurs
véritables, des points d'origine de faisceaux m
, des centres moteurs véritables, des points d'origine de faisceaux
moteurs
indépendants, dont les fibres centrifuges vont
ployer des courants plus intenses que pour les centres de la région
motrice
, prouverait qu'ils ne sont pas, comme ceux-ci,
to) : ? ob ? ce df a SMance ' ' Bechterew. Physiologie de la région
motrice
de la substance .co1,ticale du cerveau. {Archiv
77 sq.) 400 PHYSIOLOGIE. Il existerait donc des centres corticaux
moteurs
de deux sortes : les uns facilement excitables,
ovoque déjà des mouvements des membres, alors que celle des centres
moteurs
difficile- ment excitables demeure encore sans
roduits qu'une semaine environ après l'apparition des réac- tions
motrices
des membres, dues à l'excitation du gyrus sigmo
pothèse générale de Tamburini. Quel que soit le centre de la zone
motrice
extirpé, les altérations du mouvement et de la
théoriques d'Albertoni sur la nature fonc- tionnelle des « centres
moteurs
» sont en accord avec celles de Tamburini, dont
ni, dont il adopte l'hypothèse de la constitution mixte des centres
moteurs
et sensoriels. Il en résulte que la dénominatio
e, partie des points les plus différents de l'écorce, l'impulsion
motrice
volontaire devait passer par certaines régions
certaines régions plus particulièrement considérées comme psycho-
motrices
, pour atteindre les faisceaux en rapport avec l
rices, pour atteindre les faisceaux en rapport avec les noyaux gris
moteurs
de la moelle épinière. Ces régions corticales «
gions corticales « psycho-motrices ne seraient don qu'indirectement
motrices
: elles ne provoqueraient des mouvements que pa
sibilité générale, consécutifs aux lésions destructives des régions
motrices
de l'écorce, nous mènerait trop loin,- si nous
sibilité tactile et musculaire, ainsi que celles des « idéations
motrices
", représentent pour Luciani ce minimum de déso
tal : 1° Après une' extirpation partielle ou totale de la zone dite
motrice
,' · les phénomènes de parésie ou de paralysie a
E. tionnels varie avec l'étendue de ces lésions. Si toute la zone
motrice
des membres est détruite, et si cette destructi
cutifs à l'extirpation circonscrite de différentes aires corticales
motrices
d'un hémisphère sont-ils limités exclusivement,
sitivo-motrices qui succèdent à la .décortication isolée d'une aire
motrice
quelconque, s'étendent plus ou moins à d'autres
uelconque de la zone excitable, 'on se fonde, non sur les réactions
motrices
des excita- lions électriques, mais sur les eff
pothèse de l'identité des fonctions des corps striés et des régions
motrices
de l'écorce, Luciani, Tamburini et Seppilli pou
que la moelle soit très excitable. Exner professe que chaque zone
motrice
est en rapport avec les mouvements des deux côt
des commissures transversales qui relient les cellules des nerfs
moteurs
symétriques : l'impulsion volontaire, transmise
ntirait là, à un certain niveau de l'axe spinal, sur les cellules
motrices
des muscles du côté opposé et sur celles du côt
é lésé chez les chiens, après des lésions destruc- tives de la zone
motrice
, par Bianchi et d'Abunl ! o\ comme par llarchi
Algeri3. Bianchi a puse convaincre de la bilatéralité des désordres
moteurs
chez le chien, consécutifs à une lésion unilaté
s de la motilité volontaire, qui succèdent aux lésions de la zone
motrice
ou des faisceaux pyramidaux croisés, ne sont pa
ez des ani- maux qui ont subi des mutilations étendues de la zone
motrice
. A les voir, personne ne dirait qu'ils sont hém
uchant les effets des destructions partielles ou totales de la zone
motrice
sur l'excitabilité de la substance* blanche du
pou près exactement égal à celui qui est nécessaire pour qu'un nerf
moteur
séparé de la moelle cesse de réagir aux excitatio
ovale cesse d'être excitable dans la portion qui constitue la gerbe
motrice
après l'ablation de l'écorce correspondante. » (L
l'ablation de l'écorce correspondante. » (Leçons sur les fonctions
motrices
du cerveau, XXVIII' leçon.) DE L'HYSTéRO-ÉPILEP
alentissement de motilité se remarque de même dans tous les muscles
moteurs
. La bouche se remplit d'une salive à tel point
vant en arrière dans l'ordre sui- vant : facial inférieur - branche
motrice
du trijumeau - branche oculaire du facial -patt
ues et des tubercules quadrijumeaux antérieurs contient des centres
moteurs
destinés à des mouvements coordonnés d'une cert
perdu l'ouie dans le sens technique du mot, ni que leur appareil
moteur
soit réduit à l'impuissance. Kast a jadis publi
usique pour exciter la coordination des mouvements. Enfin l'aphasie
motrice
, qui généralement n'est pas congéniale, s'accom
éludie l'hémiplégie dans quatre grandes maladies : l'alaxie loco-
motrice
progressive, la sclérose en plaques, l'hystérie,
1. Cécité expérimentale chez un chien' par Richet, 283. Centres
moteurs
, par Herzen, 284. Cérébrale ,arrêt des hémorrha
termédiaire, aux membres, les ordres de la volonté ; que les cellules
motrices
des cornes antérieures tiennent sous leur dépenda
Broca. On sait que la destruction des circonvolutions de la zone dite
motrice
produit, si elle est générale, l'hémiplégie compl
iques et celle qui relève d'une lésion organique spinale (impuissance
motrice
, rigidité, exagération des réflexes tendineux, co
eux ou dans les muscles qu'il faut chercher la cause de l'impuissance
motrice
. Un examen plus attentif du membre affecté va n
ou dans la paralysie infantile, quand il y a destruction des cellules
motrices
, ou bien encore dans les paralysies faciales grav
ui semble très légère, relativement peu douloureuse, et l'impuissance
motrice
qui est considérable. Un appareil silicate, maint
n présence d'une arthrite indolore, il puisse exister une impuissance
motrice
aussi prononcée. Ce n'est que quatre mois après l
présence d'une arthrite légère, lorsque les phénomènes d'impuissance
motrice
ou l'atrophie sont bien constatés, s'exposer à po
le centre spinal, et là il modifie les centres dont émanent les nerfs
moteurs
et les nerfs qui président à la nutrition des mus
es nerfs centripètes articulaires et les cellules d'origine des nerfs
moteurs
et trophi-ques des muscles extenseurs (crural dan
e de la moelle, en dehors de la région où, au contraire, les cellules
motrices
sont dans l'état de torpeur que nous supposions t
yperexcitabilité de la substance grise et en particulier des cellules
motrices
des cornes antérieures, un état spécial que j'ai
pètes en général, augmentent l'excitation déjà exagérée de la cellule
motrice
; la mesure est comblée, et le nerfcenlrifuge tran
er. A ces lésions trophiques des muscles correspond une impuissance
motrice
, d'autant plus accentuée que l'amyotrophie est el
divers muscles qui meuvent la jointure, par l'intermédiaire des nerfs
moteurs
correspondants. » M. le professeur Duplay, dans p
ui, à leur tour, réfléchissent cette excitation par la voie des nerfs
moteurs
sur les muscles, tant extenseurs que fléchisseurs
nt de la mémoire. Il y a, dans cette forme, prédominance des troubles
moteurs
, embarras de la parole, tremblement des mains et
auche. — Douleurs permanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance
motrice
précoce. — Atrophie musculaire.— Troubles de la m
ifesté dans le membre inférieur gauche un certain degré d'impuissance
motrice
, gênant considérablement la marche et la station
'accident la douleur eut cessé à peu près complètement, l'impuissance
motrice
se montra à un haut degré ; car, pendant un autre
is sans fatigue, ainsi qu'il le fait aujourd'hui. Cette impuissance
motrice
d'un membre à la suite d'une sciatique n'est poin
5 mars, alors que les douleurs commencent à s'atténuer, l'impuissance
motrice
était cependant portée au plus haut degré ; un se
t à la rigueur s'expliquer, en admettant une lésion des tubes nerveux
moteurs
, développée au-dessous du point contus, en conséq
ée de telle façon que les éléments ganglionnaires, les cellules dites
motrices
, sont profondément altérés ou détruits; ainsi, pa
ième période, période parahjtique, est caractérisée par l'impuissance
motrice
des membres supérieurs. La paraplégie cervicale s
ndheit). — Observation : Début brusque ; hémiplégie droite et aphasie
motrice
qui disparaissent ; hémianopsie, alexie incomplèt
sulter, le 3 mars 1883, il n'existe plus de paralysie, plus d'aphasie
motrice
, il peut écrire couramment et régulièrement; mais
remiers jours, il y a eu, le plus souvent, un certain degré d'aphasie
motrice
, qui s'est peu à peu dissipée plus tard, laissant
t : l'image commemorative auditive, l'image visuelle et deux éléments
moteurs
, à savoir l'image motrice d'articulation et l'ima
auditive, l'image visuelle et deux éléments moteurs, à savoir l'image
motrice
d'articulation et l'image motrice graphique. Me
éléments moteurs, à savoir l'image motrice d'articulation et l'image
motrice
graphique. Messieurs, Dans l'ouvrage importan
image commémorative auditive, l'image visuelle et enfin deux éléments
moteurs
, c'est-à-dire appartenant à la catégorie du sens
sens musculaire, à savoir: 1'imagemotrice 1 d'articulation et l'image
motrice
graphique ; la première, développée par la répéti
verbale. On pourrait, suivant le même principe, dire qu'il y ^amnésie
motrice
verbale — celle-ci se montrant d'ailleurs plus ou
ailleurs plus ou moms accentuée, suivant les cas — lorsque les images
motrices
, soit d'articulation, soit graphiques, seront en
autres enfin ont recours directement à l'un ou à l'autre des éléments
moteurs
. 1. Image motrice: Bevoegungsbilder dans la nom
ours directement à l'un ou à l'autre des éléments moteurs. 1. Image
motrice
: Bevoegungsbilder dans la nomenclature de M. Kuss
consentir à désigner sommairement sous les noms de visuels, auditifs,
moteurs
, les représentants de chacun de ces grands types,
é question plus haut. Grâce à la persistance des éléments auditifs et
moteurs
du mot, la compensation s'est établie au point qu
sculaire progressive du type Duchenne-Aran. La lésion des noyaux gris
moteurs
, spinaux ou bulbaires est le fait unique, ou tout
attaque est chez notre malade souvent marquée par une sorte d'aphasie
motrice
qui, en général, ne dure pas plus de huit ou dix
ésion cérébrale en foyer, corticale, étroitement limitée dans la zone
motrice
, au centre brachial et consécutive elle-même à l'
une lésion cérébrale corticale, principalement localisée dans la zone
motrice
du bras; mais il ne s'agit pas là d'une altératio
ouls de Corrigan ; pouls capillaire sensible au front. La paralysie
motrice
du membre supérieur gauche, qui se présente inert
ue du cœur, foyer qu'on pouvait supposer limité étroitement à la zone
motrice
du bras, une telle lésion, dis-je, pourrait rendr
, avec cette vue. En effet, la limitation à un membre de la paralysie
motrice
, sans participation, à aucune époque, du côté cor
instant, pendant une longue période de près de 10 mois. La paralysie
motrice
n'était pas complètement guérie, sans doute, car
le chiffre 10. Donc, ainsi que je vous l'ai annoncé, si l'impuissance
motrice
n'est plus absolue comme autrefois, elle persiste
c anesthésie du bras et de l'épaule. — Examen du malade : impuissance
motrice
avec flaccidité, anesthésie pour tous les modes d
gré les divers traitements qui ont été mis en œuvre, A. Impuissance
motrice
. Porcz... ne peut imprimer aucun mouvement volont
d'ailleurs exclusivement les parties du membre où il y a impuissance
motrice
, se limite du côté des parties voisines restées s
ui paraissent toutes deux également légères. En résumé, impuissance
motrice
absolue des muscles de l'épaule, du bras et de l'
musculaire, dans toutes les parties qui correspondent à la paralysie
motrice
; absence complète de rigidité des parties privée
5e année, n° 7, 10 juillet 1585, p. 604.) vint à lui, la paralysie
motrice
des divers segments du membre était absolue, comm
in, april 1884, pp. 70 et s.) miné, en ce qui concerne la paralysie
motrice
et les troubles trophiques, tant musculaires que
nier, il y a lieu d'admettre également, en tenant compte des troubles
moteurs
et des troubles trophiques qui seront tout à l'he
s, destructives, portant sur toutes les branches, tant sensitives que
motrices
du plexus brachial. Si maintenant nous revenons
uable de la non-participation des doigts et de la main à la paralysie
motrice
et à l'anesthésie, si fortement accentués cependa
t Titres, Elude critique et clinique de la doctrine des localisations
motrices
dans Vécorce des hémisphères cérébraux de l'homme
igidité; bien au contraire, nous notons expressément que la paralysie
motrice
est ici remarquable par la mollesse, la flaccidit
bon nombre de cas de lésions corticales localisées à l'un des centres
moteurs
, la sensibilité cutanée et le sens musculaire peu
itées aux circonvolutions médianes, dans lesquels, outre la paralysie
motrice
, on a noté expressément que la sensibilité était
e toujours, si l'altération est restée limitée exactement aux centres
moteurs
, sans empiéter sur les régions limitrophes du lob
bral du côté opposé à la paralysie et, plus précisément, dans la zone
motrice
du bras qu'il faut la placer. De plus, pour rendr
ques travaux récents, qu'elle n'est pas étroitement limitée à la zone
motrice
, et qu'elle s'étend en arrière des circonvolution
cette opinion les preuves abondent. Oui, dans notre cas, la paralysie
motrice
, l'anesthésie et le reste se rapportent à l'hysté
dait d'une lésion dijnamique localisée dans l'écorce grise de la zone
motrice
brachiale, du côté opposé à la monoplégie. L'exis
taques que s'est manifesté tout à coup, le 21 mars, dans la paralysie
motrice
, l'amendement que vous pouvez constater aujourd'h
e 70, elle ne donne à gauche que le chiffre 10. Donc si l'impuissance
motrice
n'est pas absolue comme autrefois, elle persiste
quez-le bien, paralysies imaginaires; car, en somme, ces impuissances
motrices
développées par le fait d'un trouble psychique so
Nov. 1869. et pouvant se traduire à l'extérieur par des phénomènes
moteurs
correspondants. S'il en est ainsi, on conçoit que
somnambu-lisé l'idée d'un état morbide, par exemple de l'impuissance
motrice
d'un dé ses membres, cette paralysie se réalise e
t ce que nous nous proposons d'examiner actuellement. L'impuissance
motrice
que nous venons de provoquer chez Greuz..., par s
tique spéciale ; mode d'action de ce dernier agent; images psychiques
motrices
. Bons résultats du traitement. Messieurs, Nou
ticulation du coude. Aussitôt que, pour cette jointure, l'impuissance
motrice
est devenue complète, vous voyez que la zone d'an
du membre supérieur, épaule, coude, poignet, que porte l'impuissance
motrice
, les mouvements des doigts restant parfaitement l
euz..., la mo noplégie, en déterminant par suggestion l'impuissance
motrice
des doigts, laquelle est, vous le voyez, immédiat
n de l'anesthésie qui correspond, pour chaque segment, à la paralysie
motrice
. Actuellement je vais répéter chez une autre hy
réflexes tendineux, dans les segments du membre frappés d'impuissance
motrice
*. On peut, cependant, je tiens à le faire remarq
r, même chez les hystériques hémianesthé-siques, obtenir la paralysie
motrice
, sans accompagnement aucun de troubles de la sens
siques, auxquelles j'ai suggéré, purement et simplement, la paralysie
motrice
du membre sans rien dire de la sensibilité. J'ign
entre elles, mais, en réalité, parfaitement identiques : impuissance
motrice
avec flaccidité des parties, insensibilité cutané
t fait naître chez ceux-ci comme chez celles-là, l'idée d'impuissance
motrice
du membre. Or, en raison de l'obnubilation du moi
ile, en conséquence d'une action d'inhibition exercée sur les centres
moteurs
corticaux, par l'idée fixe d'impuissance motrice
rcée sur les centres moteurs corticaux, par l'idée fixe d'impuissance
motrice
; et c'est. à cette circonstance surtout que sera
triques ait pour effet de raviver dans les centres, la représentation
motrice
, condition préalable de la mise en jeu de tout mo
is-je, qui pourraient être mis en œuvre, dans le cas où l'impuissance
motrice
serait complète au commencement du traitement, ag
James Mill) ; Rappel idéal du mouvement à exécuter (Bain) ; Intuition
motrice
(Maudsley) ; Faculté locomotrice (W. Hamilton); R
mettre à profit l'influence dynamogène du centre visuel sur le centre
moteur
, conseillons-nous à nos malades de regarder toujo
, etc., mais déterminer, même temporairement, une véritable paralysie
motrice
et sensitive d'un membre, cela dépasse les mesure
-thésie de la peau, puis des parties profondes et enfin une paralysie
motrice
transitoire complète du membre, avec perte du sen
sisté dans une anesthésie superficielle et profonde, avec impuissance
motrice
absolue, sans rigidité musculaire et que, par con
ever, puisque l'occasion s'en présente, que ces troubles sensitifs et
moteurs
sur lesquels j'appelle ici votre attention et qui
uit une aneslhésie culanée et profonde en même temps qu'une paralysie
motrice
plus ou moins accentuée» lesquelles, vraisemblabl
tion, de la calorification, de l'innervation (anesthésie et paralysie
motrices
) avec menace de sphacèle. Tous les accidents, en
elle je m'étais jusque-là rattaché sans réserve, — que les paralysies
motrices
hystériques paraissent être régulièrement marquée
point que je veux relever surtout pour le moment, par une impuissance
motrice
totale avec flaccidité complète. Eh bien, Messieu
ons obtenus dans cette série d'études 1 : L'existence d'une paralysie
motrice
sur le membre mis à l'épreuve n'est pas nécessair
me très bien caractérisé : aphonie, chuchottement impossible, aphasie
motrice
. — Conservation des mouvements généraux des lèvre
tion des mots ; il est privé, en d'autres termes, des représentations
motrices
nécessaires pour la mise en jeu du mécanisme de l
a parole articulée. Il s'agit donc là, en définitive, d'une aphasie
motrice
, et j'ajoute, purement motrice ; espèce rare, trè
donc là, en définitive, d'une aphasie motrice, et j'ajoute, purement
motrice
; espèce rare, très rare dans le domaine de l'aph
caractère pratique de la plus haute importance — que, dans l'aphasie
motrice
organique, même la plus complète, le malade pouss
avez combien sont rares, dans le domaine organique, les cas d'aphasie
motrice
pure, sans complication. A la perte des représent
hasie motrice pure, sans complication. A la perte des représentations
motrices
du langage articulé, s'ajoutent, en pareil ca, je
oire des mouvements d'articulation qui existe, ce n'est pas l'aphasie
motrice
qui est en scène, mais bien Y anarlhrie, conséque
érique. Epis-taxis fréquentes, plusieurs tamponnements. L'impuissance
motrice
des membres inférieurs, d'abord imparfaite, est d
de la sensibilité offrent donc un contraste profond avec des troubles
moteurs
. D'ailleurs, pas d'atrophie des muscles dont les
n vient à déterminer chez elles, par voie de suggestion, la paralysie
motrice
et sensitive totale du membre inférieur, répondan
otions relatives au sens musculaire sont abolies et que l'impuissance
motrice
se montre en même temps très accentuée. Donc, e
ordres de faits, le mécanisme de la production, tant de l'impuissance
motrice
que de l'anesthésie, est le même, Or, quand chez
ez le sujet somnambulisé on suggère par la parole ridée d'impuissance
motrice
d'un membre et qu'on voit cette idée se réaliser
tre que cela dépend d'une lésion dynamique affectant celles des zones
motrices
etsensitives de l'écorce grise cérébrale qui, à l
ments d'une jointure, hanche, genou, cou-de-pied, etc., l'impuissance
motrice
de cette jointure entraine avec elle, à peu près
tels que sensation de lourdeur, parfois aneslhésie réelle et parésie
motrice
plus ou moins accentuée. Pour un choc d'une inten
du choc local, et, en particulier, dans les phénomènes sensitifs et
moteurs
qui s'y rattachent qu'il faut chercher le point d
ont naître, en quelque sorte tout naturellement, l'idée d'impuissance
motrice
du membre ; et cette idée, en raison de l'état me
înent à peu près nécessairement avec elles un sentiment d'impuissance
motrice
des membres inférieurs, et, au plus haut degré, s
odifiés (1er novembre 1886). La disparition subite de la paraplégie
motrice
, à la suite d'une attaque qui présente tous les c
ant 3 ou 4 jours; de telle sorte qu'on peut affirmer que la paralysie
motrice
n'a pas été immédiatement complète. 5° Le malade
participation de la face qui n'a jamais été intéressée. La monoplégie
motrice
est complète; seul le trapèze peut élever l'épaul
qui a abouti à la production d'une monoplégie complète, sen-sitive et
motrice
, laquelle persiste telle quelle depuis 18 mois; q
cérébral produit par le choc nerveux. On remarquera que la paralysie
motrice
n'a pas été complète du premier coup et que, dans
as par conséquent, comme dans les autres du môme genre, l'impuissance
motrice
ne s'est complétée qu'à la suite d'une sorte d'él
onduit à admettre, avec bon nombre d'auteurs, que les représentations
motrices
qui précèdent nécessairement l'accomplissement d'
omplissement d'un mouvement volontaire, s'effectuent dans les centres
moteurs
corticaux où elles trouvent leur sub-stratum orga
b-stratum organique, et plus précisément, dans les cellules nerveuses
motrices
de ces centres. Elles seraient principalement con
s soit kinesthôtiques, soit visuelles persistant, les représentalions
motrices
proprement dites venaient à faire défaut, en cons
nséquence d'une lésion survenue dans les cellules nerveuses du centre
moteur
cortical d'un membre, ou dans les prolongements q
!- \ pellier, avait déjà, en 1789, reconnu l'existence, de paralysies
motrices
dépendant de la perle du sotivemr^e if^ force.m.Q
On comprendrait par ce qui précède que la suggestion d'impuissance
motrice
puisse, ainsi qu'on l'a dit (p. 336), déterminer
qu'on l'a dit (p. 336), déterminer chez quelques sujets une paralysie
motrice
complète sans accompagnement d'un trouble quelcon
mal, sont en relation directe ou indirecte avec les centres corticaux
moteurs
, peuvent être affectés plus ou moins profondément
«Comme les nerfs reçus par les muscles sont principalement des nerfs
moteurs
qui y conduisent le stimulus émané du cerveau...
aît pas être clans les muscles, mais bien dans les cellules nerveuses
motrices
... Nous n'avons pas seulement la sensation d'un m
t à exécuter. La sensation de mouvement est donc liée à l'innervation
motrice
, c'est pourquoi nous l'appelons sentiment d'inner
st en grande partie initiale, centrale et réalisable dans les centres
moteurs
. — Suivant M. Maudsley (Physiolog. de l'Esprit, t
paraît que c'est dans la partie frontale des circonvolutions (centres
moteurs
corticaux) que sont emmagasinés les résidus des s
es résidus des sensations musculaires dont nous lirons nos intuitions
motrices
... » « Les parties de la surface du cerveau, qui
» « Les parties de la surface du cerveau, qui agissent comme centres
moteurs
, sont le siège... de la conception du degré et de
sitives, et le siège de leur résurrection idéale, de même les centres
moteurs
des hémisphères, outre qu'ils sont le siège de mo
duction idéale. Nous avons ainsi une mémoire sensilive et une mémoire
motrice
, des idées sensitives et des idées motrices ; les
e sensilive et une mémoire motrice, des idées sensitives et des idées
motrices
; les idées sensitives étant des sensations raviv
es ; les idées sensitives étant des sensations ravivées, et les idées
motrices
étant des mouvements ravivés ou idéaux, les mouve
, 1882, pages 209, 165 et appendice) émet l'opinion que « les centres
moteurs
, où qu'ils soient situés, sont des parties dont l
si l'on attribue l'activité de ce centre sensitif à celle des centres
moteurs
... Le substratum cérébral de l'esprit ne comprend
donc, en aucune manière, les processus qui ont lieu dans les centres
moteurs
du cerveau, où qu'ils puissent être situés. En d'
les comme étant en partie immédiatement dues à l'activité des centres
moteurs
. » À l'appui de la théorie proposée plus haut,
vement prémédité, les uns éveillent exclusivement les représentations
motrices
proprement dites, d'autres les représentations ki
rs, à notre consultation du mardi, s'est présenté un cas de paralysie
motrice
, à début brusque, digne de fixer votre attention;
une lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou des nerfs
moteurs
et qui constitue le type delà lésion trophique? —
ante de toute lésion des cornes antérieures de la moelle et des nerfs
moteurs
. Dans ce cas, il ne peut môme plus y avoir de con
l prononce a, é. Les jours suivants, il paraît présenter de l'amnésie
motrice
; on écrit devant lui Varsovie en français et en
ique dans la portion laryngée et, dans l'espèce, paralysie des filets
moteurs
du laryngé supérieur. L'examen laryngoscopique,
hystérique, nous trouvons en _même temps de l'aphonie et de l'aphasie
motrice
. C'est en effet là un des traits typiques de ce p
ttement la notion visuelle de l'orthographe des mots ; mais « l'idée (
motrice
graphique) des lettres ne lui revenait pas; » ell
onservé l'image visuelle, l'image auditive et peut-être aussi l'image
motrice
d'articulation (on ne peut juger de cette dernièr
tsjoujûteurs du mot : l'image auditive, l'image visuelle, -~Yîmage
motrice
d'articulation, Y image, motrice graphique du fnl
ditive, l'image visuelle, -~Yîmage motrice d'articulation, Y image,
motrice
graphique du fnlîl, M. Charcot signalait un bien
qui représentent le plus haut degré, les amnésies auditive, visuelle,
motrice
d'articulation et motrice graphique qui répondent
aut degré, les amnésies auditive, visuelle, motrice d'articulation et
motrice
graphique qui répondent au degré le plus faible.
établir une suprématie absolue des centres sensoriels sur les centres
moteurs
, au point d'admettre que ces derniers ne sont mis
g » en est un bel exemple. C'est là une preuve évidente que le centre
moteur
d'articulation a son existence propre et peut fon
. De même pour les centres auditifs CA.C, CA.M. Quant aux centres
moteurs
soit de Xarticulation, soit de Y écriture, des re
Centre auditif commun. — CAM, Centre auditif des mots. — CLA, Centre
moteur
du langage articulé. — CLE, Centre moteur du lang
tif des mots. — CLA, Centre moteur du langage articulé. — CLE, Centre
moteur
du langage écrit '. \. La disposition des centr
e en rapports intimes avec le centre visuel commun, de même le centre
moteur
du langage écrit, CLE, est en rapport avec le cen
le centre moteur du langage écrit, CLE, est en rapport avec le centre
moteur
commun du membre supérieur, et le centre moteur d
apport avec le centre moteur commun du membre supérieur, et le centre
moteur
de [articulation verbale, CLA, est en connexion é
nt, en effet, que des centres d'impression. Au contraire, les centres
moteurs
de l'articulation et de l'écriture sont rattachés
à ces mouvements, il finit par les comprendre; dans ce cas, le centre
moteur
qui préside à l'articulation des mots vient au se
le mot qu'il entend et en saisit alors le sens; ici, c'est le centre
moteur
graphique qui vient au secours du centre auditif.
s du centre visuel. Les impressions plus fortes fourniespar le centre
moteur
graphique, viennent ici mettre en valeur les impr
l suppléé par le centre graphique, et le centre auditif par le centre
moteur
d'articulation, et cela, parce que la mémoire des
uel et auditif paralyse le centre d'articulation et produit l'aphasie
motrice
ou l'agraphie. La raison de ces variétés c'est qu
posés plus haut, on aura affaire à des visuels, à des auditifs, à des
moteurs
graphiques, à des moteurs d'articulation, ou, e
aire à des visuels, à des auditifs, à des moteurs graphiques, à des
moteurs
d'articulation, ou, enfin, à des indifférents, lo
, les uns sont des auditifs, les autres des visuels, quelque-uns «des
moteurs
; aussi est-il aisé de comprendre, ainsi que l'a
as 1. On peut dire par exemple que M. le Pr Strieker est surtout un
moteur
. On comprend aisément combien en présence de va
ntre auditif amener, •outre la surdité verbale, une véritable aphasie
motrice
, bien que la circonvolution de Broca ne soit le s
auche. — Douleurs permanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance
motrice
précoce. — Atrophie musculaire. — Troubles de la
indheit). — Observation : Début brusque; hémiplégie droite et aphasie
motrice
qui disparaissent; hémianopsie, alexie incomplète
nt l'image commémorative, auditive, l'image visuelle et deux éléments
moteurs
, à savoir l'image motrice d'articulation et l'ima
auditive, l'image visuelle et deux éléments moteurs, à savoir l'image
motrice
d'articulation et l'image motrice graphique......
éléments moteurs, à savoir l'image motrice d'articulation et l'image
motrice
graphique........................................
c aneslhésie du bras et de l'épaule. — Examen du malade : impuissance
motrice
avec flaccidité, aneslhésie pour tous les modes d
tique spéciale ; mode d'action de ce dernier agent; images psychiques
motrices
. Bons résultats du traitement....................
me très bien caractérisé : aphonie, chuchottement impossible, aphasie
motrice
. Conservation des mouvements généraux des lèvres,
orexie hystérique, 240. Aphasie (Des différentes formes d'), 154; —
motrice
pure dans le mutisme hystérique, 427. Articulai
e des différents nerfs cérébraux, et entre autres, des nerfs optique,
moteur
oculaire, hypoglosse (atrophie et dégénération gr
nces spéciales, de produire les symptômes de ,'ataxie (incoordination
motrice
et douleurs fulgurantes) dans les membres supérie
ans un des Mémoires de M. Pierret. Chez cette femme, l'incoordination
motrice
, ainsi que les douleurs fulgurantes, avaient exis
s la forme généralisée. Les dou-leurs fulgurantes et l'incoordination
motrice
occupaient aussi bien les membres inférieurs que
seules tout le tableau clinique, sans accompagnement d'incoordination
motrice
; alors elle peut exister seule, les faisceaux de
largissent à la fois en dehors et en dedans, lorsque l'incoordination
motrice
s'ajoute à Il n'est pas sans intérêt de recherc
caractérisée par des douleurs fulgurantes vives et une incoordination
motrice
très accentuée, était depuis longtemps constituée
se du côté droit était manifeste-ment atrophiée. Les grandes cellules
motrices
présentaient des altérations profondes ; celles q
peuvent être suivis jusqu'à ce groupe externe des cellules nerveuses
motrices
. C'est vraisemblablement par la voie de ces tubes
exion avec les filets radiculaires, d'où émanent les racines spinales
motrices
. Quant aux autres prolongements cellulaires, qu'o
es principales. Dans la première, il s'agit d'une véritable paralysie
motrice
, avec ou sans contracture, occupant l'un des memb
es supérieurs, lors des mouvements intentionnels, une inco-ordination
motrice
s'exagérant par l'occlusion des yeux, et en tout
ont envahies, les membres supérieurs seront atteints d'incoordination
motrice
. Enfin, la paralysie et la contracture apparaîtra
ou bulbaires, tels que les nerfs optiques, par exemple, ou les nerfs
moteurs
de l'œil. Sous ce rapport, il y a un parallèle
me encore. Ce sont: Io Les symptômes céphaliques (paralysie d'un nerf
moteur
avec toutes ses conséquences, amblyopie plus ou m
e, et qui pourrait recevoir la désignation de période dincoordination
motrice
, le tableau clinique se compose, en premier lieu,
ynergie, c'est-à-dire association vi-cieuse et intempestive des actes
moteurs
élémentaires, asyner-gie qui a pour résultat de t
s douleurs existent seu-les pendant longtemps avant que des désordres
moteurs
ne viennent s'y adjoindre. Il y a lieu de se dema
fulgurants, alors qu'il n'existe encore aucune trace d'incoordination
motrice
. Des vomissements presque incessants et extrême
ie. Quand l'ataxie s'est pleinement confirmée et que l'incoordination
motrice
s'est développée, les crises gastriques ne dispar
veloppée spontanément (arthropathie des ataxiques). L'in-coordination
motrice
ne s'est manifestée chez lui que quelques mois pl
gurantes, pendant plus de cinq ans, sans accompagne-ment de désordres
moteurs
, chez M. T... Le diagnostic était rendu facile, d
gulières. Il n'existe, chez cette femme, aucun signe d'incoordination
motrice
. 4°Audib..., âgée de 36 ans environ, souffre de
che (arthropathie des ataxiques). Quelques symptômes d'incoordination
motrice
existent depuis un an à peine. Je n'insisterai
e puisse être affecté. Mais, le plus ordinairement, ce sont les nerfs
moteurs
oculaires qui sont envahis les premiers. C'est pa
est restée à peu près stationnaire. Les symptômes d'incoordination
motrice
ont cependant com-mencé à s'accuser il y a quelqu
, il n'existait au moment de l'accident aucun signe d'incoordina-tion
motrice
. Les jambes n'étaient pas projetées de côté et d'
autre et aucune cause mécanique n'était intervenue. L'in-coordination
motrice
ne s'est montrée qu'en 1866. Plus tard (1870), l'
ants pour établir que la moelle est, dans ces circonstances, le grand
moteur
des symptômes ? \J arthropathie des ataxiques s
cas: Succession des symptômes. — Prédominance, an début, des troubles
moteurs
: parésie, paralysie avec flaccidité, rigidité te
vont inaugurer la série des accidents nouveaux ? Sont-ce les troubles
moteurs
ou les troubles sensitifs ? Cet ordre de successi
ions, aucune espèce de sensations. En revanche, les troubles purement
moteurs
, la parésie ou la paralysie plus ou moins complèt
l en soit, Messieurs, la réalité paraît être que tan-tôt les troubles
moteurs
(parésie des membres inférieurs), tan-tôt, au con
douleurs articulaires, etc.), ouvrent la marche. IV. Les troubles
moteurs
, en tout cas, ne tardent pas à prédo-miner, dans
Du côté correspondant au siège de la lésion spinale, la pa-ralysie
motrice
occuperait à la fois le membre supérieur et le me
i n'aurait pas lieu dans l'hé-miplégie spinale. De plus, les troubles
moteurs
concomitants — parésie, paralysie avec ou sans co
insi que se produit l'hémianesthésie croi-sée. Quant à la paralysie
motrice
qui s'observe au-dessous de la lésion hémilatéral
ls, par conséquent, il n'est pas nécessaire de revenir. L'impuissance
motrice
ne tarderait pas à survenir, et les muscles des m
r-taines conditions, avoir pour résultat d'occasionner une pa-ralysie
motrice
limitée, au moins pendant quelque temps, aux deux
que, on a proposé d'admettre que les conducteurs pour les incitations
motrices
volontaires des membres thoraciques occu-pent, da
périphérique des nerfs. — Dans celle-ci, vous le savez, l'impuissance
motrice
est précédée et accompagnée de douleurs vives (ps
co-brachiale de la moelle épi-nière pourrait déterminer une paralysie
motrice
bornée aux membres supérieurs. Vous n'ignorez pas
on cervicale de la moelle épi-nière, et ayant déterminé une paralysie
motrice
limitée aux membres supé-rieurs. Ces deux faits o
e, à l'état d'isolement, c'est-à-dire indépendants de toute paralysie
motrice
des membres, constituant pour ainsi dire, pendant
ocu-laires, précédant quelque temps le développement de la para-lysie
motrice
dans les membres inférieurs. Il s'agissait, dans
ment commença à s'affaiblir dans les membres inférieurs. La paralysie
motrice
s'accusa aussi pro-gressivement dans ces membres
s nerfs périphériques. Les douleurs pseudo-névralgiques, la paralysie
motrice
et l'anesthésie, varieraient nécessairement de si
la substance grise, à savoir : Yappareil des cellules nerveuses dites
motrices
, lesquelles, comme vous le savez, ont pour siège
é pour la transmission des impressions sensitives, que les impulsions
motrices
volontaires et réflexes doivent nécessairement, e
s, elles seraient destinées surtout à la transmission des excitations
motrices
et auraient, peu de rapport avec la sensibilité.
e, si ce n'est très accessoirement et comme par hasard, les fonctions
motrices
, au contraire, sont lésées profondément. Cette
vement sont, de toute nécessité, altérés simultanément. Les fonctions
motrices
et la nutrition des muscles, sont seules affectée
stème musculaire de la vie animale, se traduisant par une impuissance
motrice
et une atrophie plus ou moins accusées, sont, ain
convient d'établir une distinction importante. Tantôt l'impuissance
motrice
, survenue dans un certain nombre de muscles ou gr
tion fasse reconnaître. Le muscle est d'abord paralysé, les fonctions
motrices
sont anéanties d'une façon plus ou moins complète
gine, le siège de troubles trophiques très accentués et l'impuissance
motrice
, en pareille circonstance, semble être en quelque
ent aux régionsde lasubstance grise occupées par les grandes cellules
motrices
, dont elle détermine l'atrophie et même la destru
ns un peu ac-cusées de la sensibilité, contrastant avec une paralysie
motrice
aussi absolue, aussi complète, est un des caractè
mann. — Klin. Vortrtige, p. J . 1° Invasion brusque de la paralysie
motrice
qui atteint du premier coup son summum d'intensit
minution de nombre et de volume qu'avaient subie les grandes cellules
motrices
, altération qu'on peut cependant très nettement r
Société de Biologie, 1864, p. 187. La lésion des cellules nerveuses
motrices
dans la paralysie infantile a été, pour la premiè
on ou l'atrophie granuleuse d'un certain nombre de cellules nerveuses
motrices
et, en outre, l'existence de plusieurs foyers de
faisceaux blancs dans la moitié correspondante de la moelle. Iules
motrices
étaient altérées profondément, bien qu'à des degr
s sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses
motrices
, qui se trouve déjà mentionnée dans les cas de MM
cussion en règle à propos du rôle que je prête aux cellules nerveuses
motrices
dans la production des lésions trophiques des mus
depuis la publication de notre travail. Ainsi la lésion des cel-lules
motrices
se trouve expressément signalée dans une ob-serva
e très cir-conscrit qui correspond à un groupe ou agrégat de cellules
motrices
(Fig. 9). Comment concevoir que cela puisse être,
de fonctions propres, comme sont les grandes cellules nerveuses dites
motrices
? C'est ainsi que, suivant la théorie émise par M.
ît évident, d'après tout ce qui précède, que les cellules nerveuses
motrices
sont bien réellement le siège pri-mitif du mal. L
nfirmer la théorie d'après laquelle f appareil des cellules nerveuses
motrices
serait le premier foyer et comme le point de dépa
uelle dura pendant plus d'une semaine, et fut suivie d'une paraly-sie
motrice
complète des quatre membres brusquement développé
e des parties, portant uniformément sur les quatre membres. L'inertie
motrice
avait été remarquée déjà pendant la durée de la f
mélioration très notable s'est opérée en ce qui concerne la puissance
motrice
et la nutrition dans les membres supérieurs ; aux
de ces cornes qu'occupent les grandes cellules ganglionnaires, dites
motrices
. Rien, jusqu'ici, n'est venu contredire cette pro
e part, à cette mo-dification sénile de la cellule, l'affaiblissement
moteur
et les altérations des muscles des membres, qui s
). 5° Enfin, une dernière forme d'altération de la cellule nerveuse
motrice
est celle que l'on désigne quelquefois sous le no
toute la série des acci-dents qui bientôt lui succèdent. La paralysie
motrice
, marquée par la suppression de la tonicité muscul
de la désorganisation dont souffre l'appa-reil des cellules nerveuses
motrices
. De cette même lésion des éléments ganglionnaires
ra nécessairement, à l'instar de la paralysie infantile, la paralysie
motrice
avec l'atrophie rapide des muscles paralysés pour
fois déjà, savoir: la lésion atrophique aiguë des cellu-les nerveuses
motrices
. D'un autre côté, les phénomènes sur lesquels j'a
éresse les cornes grises antérieures et, par conséquent, les cellules
motrices
, mais elle ne s'y limite point, et elle attaque a
'à la myélite aiguë diffuse. Les symptômes communs sont: la paralysie
motrice
avec flaccidité complète, amoindrissement hâtif d
lysie infantile, relè-vent de l'atrophie aiguë des cellules nerveuses
motrices
. 1 Charcot. — Leçons sur les maladies du systèm
pinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses
motrices
cbt ici consécutive: elle se surajoute à une lési
quanon, et parfois la seule lésion appréciable ; 2° dans les racines
motrices
et les nerfs moteurs périphériques, par une atrop
seule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et les nerfs
moteurs
périphériques, par une atrophie plus ou moins pro
substance grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des cellules
motrices
. Pour ne parler que des faits dans lesquels une
laires postérieures — douleurs ful-gurantes spéciales, incoordination
motrice
, etc. 3° Divers types de myélite centrale, spon
ns de travaux français. (.T.-M. GharcoO. que les cellules nerveuses
motrices
subissent des altérations plus ou moins profondes
n point limité de la moelle épi-nière à la région dorsale ; l'inertie
motrice
occasionnée dans les membres inférieurs par la su
ffection l'atrophie progressive des membres frap-pés d'incoordination
motrice
n'est pas une complication très rare. C. On peu
ésion, dont il s'agit, porte nécessairement sur les grandes cel-lules
motrices
. La névroglie peut être, elle aussi, affectée ;
lusivement dans l'aire des cornes antérieures. Les cellules nerveuses
motrices
présentent là tous les degrés pos-sibles de la dé
lbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses
motrices
, névroglie), dans la moelle et dans le bulbe. —Al
e altération de la substance grise antérieure ou des racines spinales
motrices
et je rappellerai, à ce propos, que l'hémiplégie
cas, elles portent et sur la névroglie et sur les cellules nerveuses
motrices
qui sont en plus ou moins grand nombre dégénérées
es de la moelle et, par conséquent, comme servant d'origine aux nerfs
moteurs
bulbaires. Cette affectation n'est guère douteuse
point de vue morphologique, tant d'analogie avec les grandes cellules
motrices
de la moelle, se montrent atrophiées ou dé-truite
à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la paralysie
motrice
. — Contracture permanente spasmodique. — Absence
a sclérose la-térale symétrique, avec atrophie des cellules nerveuses
motrices
dans les cor-nes antérieures à la région cervical
e protopathique; le premier d'entre eux consiste en une impuissance
motrice
, promptement développée qui, si elle ne précède p
manière générale, que dans l'amyotrophie protopathique, l'impuissance
motrice
relève en grande partie de l'atrophie des masses
nts. Il s'agit, dès l'origine, d'un affaiblissement de la puissance
motrice
et quand celle-ci, pour la première fois, fixe sé
un assez haut degré pour rendre compte à elle seule de l'impuissance
motrice
. En somme, il s'agit, dans ce cas, d'une véritabl
tré-mulation plus ou moins durable. Ainsi, Messieurs, l'impuissance
motrice
tient moins à l'af-faiblissement de l'innervation
re, et sur ces points un grand nombre des grandes cellules ner-veuses
motrices
avaient subi une atrophie très pronon-cée f; M.
igatoire, de la contracture, dans les membres paralysés. La paralysie
motrice
est ici déterminée j par la formation du foyer de
Souvent les muscles des membres in-férieurs, frappés d'incoordination
motrice
, sont seuls envahis (Laborde, Duménil). Dans le c
tels que : douleurs fulgurantes, troubles ocu-laires, incoordination
motrice
, etc., seraient toujours là pré-sents, pour éclai
s'ensuit une marche tantôt ascen-dante, tantôt descendante. L'inertie
motrice
s'accompagne d'une flaccidité très prononcée des
, des lésions très délicates, telles que sont l'atrophie des cellules
motrices
1 Duchenne (de Boulogne). — Electrisat. localis
mées. La névroglie y avait sa transparence accoutumée et les cellules
motrices
, en nombre normal, n'offraient, dans les diverses
ent, dans les membres inférieurs, les premiers symptômes de paralysie
motrice
. La paralysie s'aggrava progressivement et s'éten
birent un accroissement de volume remarquable, bien que l'impuissance
motrice
persis-tât au même degré. A l'autopsie, les mus
t atro-phiées ; en outre, un bon nombre de grandes cellules nerveuses
motrices
, présentaient une atrophie plus ou moins accusée
des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules nerveuses
motrices
. Rien, à mon sens, n'est moins justifiable que ce
que dans les deux cas, si l'altération porte sur les grandes cellules
motrices
, il s'en suit forcément la production d'une amyot
le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses
motrices
) et les zones radiculaires antérieures (trajet in
raire, reste limité, pendant toute la durée de son cours à l'appareil
moteur
. Il se caractérise surtout, en somme, dans son ét
pas oublié, et bien longtemps avant que ne paraisse l'incoordina-tion
motrice
d'où l'affection tire son nom, des troubles diver
quelle que soit l'intensité de ces symptômes appartenant à la sphère
motrice
, la sensibilité reste intacte : pas d'aneslhésie,
de l'ataxie locomotrice du moment où les phénomènes d'incoordination
motrice
viennent se surajouter aux troubles de la sensibi
es fonctionnels de la vessie ou du rectum, des paralysies des muscles
moteurs
oculaires, des lésions musculaires trophiques, et
électrique, s'empara successivement desmembres frappés d'impuissance
motrice
. La langue elle-même fut intéressée en dernier li
oit, qui bientôt, en même temps que le moignon, fut pris de paralysie
motrice
avec flaccidité. Au bout de quelques jours de tra
moelle, d'y abolir, par exemple, momentanément, le jeu des fonctions
motrices
et des actes réflexes. Si, l'encéphale étant dé
nentes ; — crises annoncées par un sifflement aigu. — Hallucina-tions
motrices
. — Traitement par le sulfate de quinine ; doses,
t de gauche à droite. Quoi qu'il en soit, cette sorte d'hallucination
motrice
est con-stamment suivie d'anxiété vive, de pâleur
cès. Je vous rappellerai en passant que cette sorte d'hallucination
motrice
n'est point, passez-moi l'expression, toujours pl
iques. — Trou-bles de la sensibilité générale et spéciale. — Troubles
moteurs
: leur ressemblance avec les mouvements choréique
u point de vue de la sensibi-lité, puis au point de vue des fonctions
motrices
. Je vous fais voir, en premier lieu, la malade co
) J'aborde maintenant le second point à savoir : l'étude des troubles
moteurs
que présente cette femme. Ces troubles sont très
tranquille, au repos, il n'y a dans le membre presque aucun désordre
moteur
; par contre, dans l'acte de porter un verre à la
en pla-ques, de la trémulation des hémiplégiques, de l'incoordination
motrice
des ataxiques, etc., et qui, en revanche, les rap
itive, cet état en ce qui concerne du moins le caractère des troubles
moteurs
ne s'éloigne par aucun trait essentiel de la chor
oréepost-paralytique, la limitation exacte et indéfinie des désordres
moteurs
à un seul côté du corps. La préexis- tence d'un
tionnels. J'en reviens actuellement au cas de Ronc... Les désordres
moteurs
que nous avons étudiés chez cette malade ne sont
foyer intra-cérébral d'hémor-ragie ou de ramollissement, la paralysie
motrice
, si le cas est favorable, s'atténue progressiveme
ecousses choréiques font abso-lument défaut ; seulement, si l'inertie
motrice
est incomplète, il peut se faire, principalement
ions sensitives, il est des faisceaux de fibres douées de proprié-tés
motrices
particulières et dont l'altération déterminerait
ontracture per-manente. Relations entre la céphalalgie et la région
motrice
du cerveau. Lésions : Pachyméningite gommeuse. —
un, éclata un 3e accès ; cette fois la durée des phénomènes de Y aura
motrice
a été plus longue et le malade, avant de perdre c
. Après avoir reconnu, tout d'a-bord, l'absence chez lui de paralysie
motrice
, — et à part la céphalalgie, — de troubles quelco
es) sont désignées par les travaux récents comme représentant la zone
motrice
, ou, autrement dit, comme la seule région de l'éc
être mis à exécution, l'insuccès sera l'exception *. 1 La paralysie
motrice
transitoire d'un membre, survenant tout à coup, s
plus banales et souvent inaperçues, par une sorte d'explosion d'actes
moteurs
désordonnés, convulsifs, soudains, portant sur le
ction des dégénérations secondaires à la suite des lésions de la zone
motrice
corticale, voir Charcot, Leçons sur les localisat
ette date, dans les membres supérieurs, aucune trace d'incoordination
motrice
. Vers le milieu de juillet 1873, G..., au momen
nger. Elle a peu de force dans la main de ce côté et l'incoordination
motrice
est très-pro-noncée dans tout le membre, que les
, modifiés seulement, depuis quelque temps déjà, par l'incoordination
motrice
. Après ces éliminations successives, on est con
26e leçons. Paris, 1870. Sur la tuméfaction des cellules nerveuses
motrices
et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans cer
ratives, on croit recon-naître qu'un bon nombre de cellules nerveuses
motrices
, dans les diverses régions de la moelle, ont augm
ouissant de leurs fonctions, diminuant de jour en jour, l'impuissance
motrice
se serait développée paral-lèlement jusqu'au jour
et sur-tout des mains, plus caractéristiques encore. L'impuissance
motrice
et l'atrophie n'ont également marché que fort l
oupe faite au-dessus des olives. — Les noyaux d'origine du facial, du
moteur
oculaire externe et de l'auditif nous ont paru pr
estions qu'on lui adresse. La langue est atteinte d'une impuissance
motrice
à peu près absolue en même temps qu'elle présente
nt, elle est aujourd'hui abso-lument confinée au lit. L'impuissance
motrice
, complète dans le membre supérieur gauche, est un
re des oli-ves. — Cette coupe qui contient les noyaux du facial et du
moteur
oculaire externe ainsi que celui du trijumeau (po
ux grandes cellules nerveu-ses des cornes antérieures, cellules dites
motrices
; les cellules des cornes postérieures ne paraiss
alytique aussi prononcé. D'où faut-il faire dériver cette impuissance
motrice
indépendante de la lésion trophique des muscles?
s très délicates, — telles que sont l'atrophie des cellules nerveuses
motrices
et la sclérose des cornes antérieures de la subst
évroglie y avait sa transparence accoutumée et les cellules nerveuses
motrices
, en nombre normal, n'offraient, dans les diverses
nt, dans les membres inférieurs, les premiers symptômes de pa-ralysie
motrice
. La paralysie s'aggrava progressivement et s'é-te
birent un accroissement de volume remarquable, bien que l'impuissance
motrice
persistât au même degré. A l'autopsie, les muscle
nt atrophiés ; en ou-tre, un bon nombre de grandes cellules nerveuses
motrices
présentaient une atrophie plus ou moins accusée e
des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules nerveuses
motrices
. Rien à mon sens n'est moins justifiable que cett
s des commissures qui paraissent surtout agir. — Au cou, les troubles
moteurs
semblent siéger dans les muscles peaucier et ster
i précèdent, il ressort que ces trois malades présentent des troubles
moteurs
anormaux semblables ou ne différant qu'en ce qu'i
partielle. Ainsi, nous avons une analogie dans la forme des troubles
moteurs
, une analogie dans les conditions de développemen
as : Succession des symptômes. — Prédominance, au début, des troubles
moteurs
: parésie, paralysie avec flaccidité, rigidité tem
pinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses
motrices
est ici consécutive: elle se surajoute à une lési
lbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses
motrices
, névroglie), dans la moelle et dans le bulbe. —Al
à la sclérose latérale amyotrophique. — Prédominance de la paralysie
motrice
. — Contracture permanente spasmodique. — Absence
nentes ; — crises annoncées par un sifflement aigu. — Hallucina-tions
motrices
. — Traitement par le sulfate de quinine ; doses,
iques. — Trou-bles de la sensibilité générale et spéciale. — Troubles
moteurs
: leur res-semblance avec les mouvements choréiqu
contracture per-manente. Relation entre la céphalalgie et la région
motrice
du cerveau. Lésions : Pachyméningite gommeuse. —
................ 407 III. Sur la tuméfaction des cellules nerveuses
motrices
et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans cer
e progressive, 292. — partielle du cerveau, 365, 467. Aura, 319 ; —
motrice
, 374 : — laryn-gée, 412. B Bandelettes extern
112. Cautérisation avec les pointes de feu, 350. Cellules nerveuses
motrices
(Tu-méfaction des) dans les myélites, 414 ; — 164
Dans la sclérose latérale amyotrophique, 442. H Hallucinations
motrices
, 340, 346, 352. Hématome, 90, 273. Hématomyélie
72. Hypochondrie, 33. Hystérie ovarienne, 361. _ I Incoordination
motrice
, 27. Irritation spinale, 120. k Kystes hydati
sion, 319. (v. Moelle épinière.) — Tuméfaction des cellules nerveuses
motrices
et des cylindres d'axe dans certains cas de —, 41
,261, 453. — Lésions des muscles, 445, 456 ; — des cellules nerveuses
motrices
, 469 et suiv. —Pseudo-hypertrophique, 117,283,4
tutifs, tels que les représentations, les émotions, les tendances
motrices
ou inhibitoires, sont à cetîe heure prématu- ré
nsées, volitions \ aboutissent toujours finale- ment à une réaction
motrice
, volontaire ou automatique, consciente ou incon
trop diffus, où les images se transfor- ment aussitôt en réactions
motrices
, la désintégration des centres nerveux a lieu,
e l'individu, servent d'issue aux états d'excitation, aux décharges
motrices
du cerveau. » Ces mouvements peuvent être acqui
e les maîtriser et de les con- tenir, bref, le pouvoir d'inhibition
motrice
, est, on le sait, un caractère d'organisation s
nt directement des ganglions de la base et du bulbe sur les centres
moteurs
pour y provoquer une réaction automatique céréb
tations transmises des zones « sensitivo-idéatives » aux centres
moteurs
corticaux : les cas de tics convulsifs, sur les
e de ces troubles ; 4° par excitations fonctionnelles des résidus
moteurs
(résidui di moto). ' Il n'est pas rare d'observ
automa- tisme des centres nerveux cérébro-spinaux. Les élé- ments
moteurs
de ces régions conservent encore la trace des r
'idées, et, de fait, ce sont des résidus d'images 40 PHYSIOLOGIE.
motrices
. La faible énergie musculaire que déploient enc
mènes psychiques sont ici frappés au même coin que ces phénomènes
moteurs
élémentaires : diffusion, in- cohérence, arhyth
tion volontaire se pré- sente comme une ligne brisée; l'innervation
motrice
est désordonnée et affaiblie eu même temps; les
bles, est dû à Tamburini '. Dans son mémoire sur les hallucinations
motrices
, ce savant n'a eu qu'à rappeler les idées vraim
ive, non seulement des hallucinations, mais de toutes les réactions
motrices
qui, à quelque degré que ce soit, accompagnent
e doit provoquer à la fois, s'il s'agit par exemple d'un centre «
moteur
» : 1° le réveil des images de sensibilité tac-
s enjeu pour la production du mouvement. La sensation d'innertion
motrice
, c'est la conscience de l'excitation fonctionne
brale, excitation qui a lieu en même temps que celle des éléments «
moteurs
» de ce centre. La représentation d'un mouvemen
s et musculaires, qui ac- compagnent la phase centrifuge d'une idée
motrice
quoiqu'il n'y ait point de mouvement effectué,
motrice quoiqu'il n'y ait point de mouvement effectué, les nerfs
moteurs
et les muscles sont affectés, à l'état faible,
s caractérisent, selon Tamburini, les processus des représentations
motrices
: 1° la phase centrale est constituée par le ré
u mouvement; il, La phase centrifuge est constituée par l'impulsion
motrice
qui, du même centre, va vers les nerfs et les m
ns, aponévroses, etc.) consé- cutivement à l'arrivée de l'impulsion
motrice
. Cette 44 PHYSIOLOGIE. dernière phase est la
le voit dans les hallucinations des amputés, sans que les images
motrices
et la conscience du mouvement accompli fassent
ou frappées d'anesthésie tactile et musculaire : l'éveil des images
motrices
et la projection de ces états internes au dehor
les hallucinations du mouvement. Cette genèse des hallucinations
motrices
vaut pour toutes les hallucinations en général,
entres de l'écorce cérébrale, et non pas seulement les centres dits
moteurs
, sont mixtes. et sont par con- séquent, à la fo
tie correspondante du corps, et des points de départ des impulsions
motrices
en rapport avec ces parties. Le mécanisme des h
es en rapport avec ces parties. Le mécanisme des halluci- nations
motrices
des membres et de la face ne diffère donc point
isuelle, une sensation des mouvements de l'oeil, une représentation
motrice
, consciente ou in- LES FONCTIONS DU CERVEAU. 45
la propriété d'être impressionnées ou sensibles. Les réac- tions
motrices
sont le fait des appareils périphériques des mo
e à un mode de sensibilité. « C'est particulièrement dans la sphère
motrice
du langage articulé que les hallucinations de l
int d'idée délirante de persé- cution. Il s'agit donc bien d'images
motrices
morbide- ment intenses, telles que le sont cell
- cination de cette nature, le siège de l'hallucination ver- bale
motrice
est localisé dans la région inférieure de la FA
tout. La condition nécessaire et suffisante d'une halluci- nation
motrice
verbale pure est la production simul- tanée dan
uvements correspondant à la projection des représentations verbales
motrices
; 2° d'un cou- rant nerveux centrifuge qui, suiv
, ou du larynx, est capable de produire isolément une hallucination
motrice
corrélative, il n'y a pas de raison pour qu'une
ant sur d'autres aires corticales, n'y détermine des hallucinations
motrices
de n'importe quelle région correspondante du co
mo- trices graphiques des médiums écrivant, les halluci- nations
motrices
que nous éprouvons tous eu rêve lorsque, sans n
aut d'une tour ou dans un précipice, etc., enfin les hallucinations
motrices
de tant d'aliénés et de spirites qui croient vo
olition est infime, comparée à celle où doit s'exercer l'activité
motrice
inconsciente, mise en jeu consécutivement, et q
cot et Richer, sous le titre c Sur une forme spéciale d'impuissance
motrice
des membres inférieurs par défaut de coordinati
de de son service. atteinte de cette « forme spéciale d'impotence
motrice
des membres inférieurs 1. » Weir Mittchell décrit
ittchell décrit égale- ment les mêmes troubles sous le nom d'Ataxie
motrice
hysté- risque 5. Erlenmeyer dans son traité « U
e de Paris, 1868. 3 Charcot et Richer. - Sudi una forma d'impolenza
motrice
degli arti inferiori per diffetto de coordinazi
um Reports, 1873. l'hit. 7'rüres., vul. 179, 1888. hg. 3. - Aires
motrices
d'après Horsley et SchifTer. Ifamstrl11U ! tend
tion des différents mouvements innervés par les racines réspectives
motrices
des plexus brachial et crural, de telle sorte q
nd Lumbo saa al plexuses. (Proc. Roy. Soc., 1881.) Fig. L - Aires
motrices
de Beevor et Horsley. Aukte, cheville du pied ;
tion importante et très discutée de la signification des, réactions
motrices
qui ré- sultent de l'excitation électrique des
ent qu'ils soient la preuve de l'excitabilité directe des ré- gions
motrices
dans le sens propre du mot, car ces mouvements
produits par l'exci- tation périphérique, ou bien ils peuvent être
moteurs
dans le sens qu'ils sont dus à une excitation d
dus à une excitation de parties en rapport direct avec les tractus
moteurs
ou les'nerfs moteurs, ou bien ils peuvent être l'
de parties en rapport direct avec les tractus moteurs ou les'nerfs
moteurs
, ou bien ils peuvent être l'un ou l'autre. La m
calisée de ces centres dont l'excitation donne lieu à des réactions
motrices
définies. Une observation attentive des réactio
thèse, que quelques-uns peuvent être dus à l'excitation des régions
motrices
proprement dites, tandis que d'autres doivent,
ec les différentes formes de sensibilité aussi bien que les centres
moteurs
, principalement sinon exclusi- vement. L'existe
ux yeux. A part la perte de la vision, il n'y aucune autre perte ni
motrice
, ni sensitive. La sensibilité des globes oculai
la destruction des plis courbes ne produit aucun autre symptôme ni
moteur
ni sensitif, il n'y a ni ptosis ni paralysie ocu-
sibilité spéciale ou gé- néiale et absolument sans aucune paralysie
motrice
. Les résultats contraires obtenus par quelques
rimaires ou secondaires des autres centres ou tractus sensoriels ou
moteurs
. Dans les expériences de Goltz, les troubles de
REVUE DE PATHOTOGIE MENTALE I. DE la CIIORLE ET d'autres phénomènes
moteurs
chez les aliénés ; par M. KOEPPE : -I, (A1'Ch,
ramidaux ont dégénéré. Planche à l'appui. P. K. XII. Des TROUBLES
MOTEURS
QUI présentent CHEZ LES aliénés un CA- RACTÈRE
ticale et bulbaire (en ce qui concerne l'acoustique, et les racines
motrices
de l'appareil d'arti- culation) ou simplement c
ne pas dépasser 3 milligrammes. Ce médicament paralyse les centres
moteurs
et sécrétoires, ralentit le pouls et la respira
malades, paraplégique et alcoolique, cette variété d'incoordination
motrice
que M. le professeur Charcot appelle le steppag
au lieu de survenir brusquement comme les douleurs, ces phénomènes
moteurs
se manifestèrent peu à peu, augmentèrent d'inte
tée à une seule jambe, et il est assez remarquable que la paralysie
motrice
soit, comme la douleur, plus prononcée le matin
se et, j'entends par là la recrudescence transitoire des phénomènes
moteurs
et sensitifs il se pro- duisit, sur la partie p
énéral abolis simultanément, bien avant même que l'incoordination
motrice
n'ait commencé à se manifester). Cette absence du
ien peu d'ataxiques, j'en- tendsdeceux quiontdéjàdel'incoordination
motrice
, quinepré- sentent ou n'aient présenté, àun mom
i, jusqu'à cejour, ont repré- senté les tubes nerveux, sensitifs ou
moteurs
, comme des con- ducteurs indifférents. - D'au
ulté, que la paralysie des saturnins, étant presque exclusivement
motrice
, du moins dans l'immense majorité des cas, il fal
toute nécessité, supposer que le plomb n'est nuisible qu'aux nerfs
moteurs
, et nullement ou faiblement aux nerfs sensitifs
selon toute vraisemblance, que résultent les troubles sensitifs et
moteurs
. Mais peut-être serait-ce aller trop loin que d
aître simultanément ou successivement des phénomènes sensitifs et
moteurs
dans des territoires nerveux absolument indépen-
périphériques ? Enfin, dans notre cas, la limitation des phénomènes
moteurs
, sensitifs et tro- phiques dans une partie rest
ncontesté, c'est l'action trophique permanente des grandes cellules
motrices
des cornes antérieures sur les fibres nerveuses
ogues et j'ai observé, comme M. Pitres, la disparition des cellules
motrices
dans les différents étages de la moelle corresp
tique détermine un trouble de l'influence 12,o- phique des cellules
motrices
de la substance grise dans la ré- gion d'où ce
e l'hémisphère » et ayant été doué par ce même auteur de propriétés
motrices
en plus de ses propriétés sensitives, cela a su
péciale et partielle de la moelle épinière avec perte de la mémoire
motrice
dynamique et statique '. Nous nous rangeons plu
ne « paralysie émotive * suivie d'une auto-suggestion d'impuissance
motrice
. On peut s'imaginer le mécanisme par une influe
ée de s'occuper exclusivement et subitement de l'impotence figurée,
motrice
et statique. On peut se représenter cette derni
pnotisé « Tu ne peux plus marcher », il rencontrait une impuissance
motrice
complète, après l'injonc- tion « Tu ne sais plu
aire, attention), mais non des sensations simples et des impulsions
motrices
organisées : les gan- glions de la base, les co
iiiioff n'ont pas pu différencier les tractus sensitifs des tractus
moteurs
de la colonne latérale, et concluent que les deux
nes anté- rieure et postérieure (fig. 25), il y avait une paralysie
motrice
* presque complète dans la jambe du même côté,
troubles psychiques apparurent, mais sans symp- tômes sensitifs ni [
moteurs
. Le seul phénomène qui pût dès lors être rattac
-Ouest (30 octobre 1887) K ^ P. K. V. Examen anatomique DES NERFS
MOTEURS
, DES NERFS mixtes ET DES RACINES ANTÉRIEURES DA
les cas de Oppenheim et Siemerling). Cette dégénérescence des nerfs
moteurs
périphériques et des racines antérieures de la
spinal a ouvert la marche; les lésions de l'ap- pareil périphérique
moteur
se sont plus tard surajoutées. P. K. VI. Obse
ner lesquelles d'entre elles appartiennent au spinal ou à la racine
motrice
de la première paire cervicale, ou même à l'hyp
noyaux originaires des nerfs crâniens. Ce sont les noyaux des nerfs
moteurs
qui paraissent le plus éprouvés. P. K. XXXVII
e à la coordination des mouve- ments, mais en agissant sur l'écorce
motrice
de l'hémisphère céré- belleux, puisque les deux
ont aux cellules cérébelleuses, et, de là, aux cellules de l'écorce
motrice
du cerveau, avec lesquelles elles sont en rela-
s impulsions centripètes; elles sont en relation avec les processus
moteurs
dépendants de l'entretien de l'équilibre et des
e que les impulsions émanées du cervelet qui règlent aussi l'écorce
motrice
sont également celles qui provoquent les sensa-
ice sont également celles qui provoquent les sensa- tions. L'écorce
motrice
arrête le centre des réflexes musculaires dont
t variables : tantôt on trouve une lésion très profonde des trajets
moteurs
une hémiplégie avec contractures et un développ
et c'est à elles que correspondent en réa- lité les manifestations
motrices
, pathologiques. Il s'agirait donc chez les tiqu
er, il est question d'un foyer de ramollissement ayant atteint le
moteur
oculaire commun dans son passage à travers le p
e, une tumeur par exemple, qui agirait en comprimant à la fois le
moteur
oculaire commun et le pédoncule dans sa partie
nne du pédon- cule cérébral. Dans ce cas très évidemment l'oculo-
moteur
commun n'avait pas dû être touché. Gintrac 2 et
376. 326 CLINIQUE NERVEUSE. par une paralysie alterne de l'oculo
moteur
commun d'un ; côté (côté de la lésion) et des m
simple rapport qu'une même lésion puisse atteindre simultanément le
moteur
oculaire commun et le pédoncule et produire en
roupe- ment des divers noyaux qui constituent l'origine réelle du
moteur
oculaire commun et dont chacun parait animer un
nons de faire, il est aisé de concevoir que la lésion de l'oculo-
moteur
commun puisse être intra ou extrapédoncu- l lai
insiste sur l'existence de ces paralysies incomplètes de l'oculo-
moteur
que parce que nous allons avoir à discuter tout
thralgies douloureuses s'amendèrent et firent place à une impotence
motrice
complète, c'est-à-dire à une hémiplégie droite
omène qui aurait pu donner à réfléchir à cette époque, la paralysie
motrice
était, paraît-il, accompagnée d'une hémianesthé
aujourd'hui. Serait-il donc sous la dépendance d'une paralysie du
moteur
oculaire commun et réduirait-il à néant la séri
nce, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les paralysies du
moteur
oculaire com- mun étant jusqu'ici inconnues dan
d la coexistence de symp- tômes oculaires d'un côté, et de troubles
moteurs
des membres du côté opposé, était si imprévue q
ne pouvait être fléchie. La face était respectée. Cette hémiplégie
motrice
se serait accompagnée de perte de la sensibilit
ue le bégayement n'est lié a aucun trouble des organes sensitifs ou
moteurs
. Donc, voici quels sont les signes principaux d
la capsule interne. Les fibres sensithes étant séparées des fibres
motrices
dans la capsule interne, on se demande si ces f
si ces fibres. jusque là distinctes, se fusionnent avec des fibres
motrices
dans l'écorce (comme le pensent quelques-uns) ou
ux excitations sensitives. Les membres n'avaient pas de paralysie
motrice
, mais on aurait dit qu'ils étaient lourds et mala
tabli par les fibres associés qui unissent cette région aux contres
moteurs
de l'écorce. On n'a pas pu produire la perte to
us a été détruit, la circonvolution marginale et les autres centres
moteurs
de voisinage et leurs fibres sont plus ou moins l
l'hippocampe du lobe falciforme, suffisamment éloignée des centres
moteurs
et de leurs fibres conductrices, pour assurer 1
ents volontaires et qu'ils font anatomiquement partie de l'appareil
moteur
. On a établi par des expériences sur les singes
nvolution du pli courbe. Ainsi était détruite presque toute la zone
motrice
de la convexité de l'hémisphère, les centres de l
la section de physiologie, et la position des lésions dans la zone
motrice
, et leur limitation furent définitivement prouv
s l'énergie des mouvements des membres ' * Leçons sur les fonctions
motrices
du cerveau. 1887. ' Sitzung s b - d IViener Aka
gré d'amélioration, même quand on a détruit entièrement les centres
moteurs
d'un hémisphère, et cette amélioration est plus
urd'hui, il est hors de doute que les lésions corticales de la zone
motrice
de l'homme telles qu'elles détruisent et non pas
nt manifestes après une extirpation unilaté- rable de leurs centres
moteurs
, cependant en réalité la guérison n'est jamais
it paralysé d'une façon permanente par la destruction des centres
moteurs
du côté opposé. Mais dans sa dernière intéressant
ruction profonde etétendue(mais probablement incomplète) de la zone
motrice
de l'hémisphère opposé. La pos- sibilité de l'u
t claire- ment les expériences de Goltz, de l'intégrité des centres
moteurs
de l'hémisphère intact; car quand ces centres s
ralysé d'une façon permanente. Il dit : « Un chien dont les centres
moteurs
des deux hémisphères ont été détruits ne peut s
». L'impuissance dépend de la destruction sy- métrique des centres
moteurs
dans les deux hémisphères; car si les centres m
e des centres moteurs dans les deux hémisphères; car si les centres
moteurs
d'un côté et les régions occipitales de l'autre
geant. Ce qui est vrai de la représentation bilatérale des facultés
motrices
dans chaque hémisphère, parait aussi s'appliquer
aux facultés en général et aux sens spéciaux. A part la paralysie
motrice
, je n'ai jamais pu découvrir le moindre trouble d
lité tactile, spéciale ou genérale après la destruction des centres
moteurs
. On peut observer l'absence ou le défaut de réa
enlevé le lobe falciforme et de celui dont on a extirpé les centres
moteurs
est si frappant qu'on ne peut douter que dans l
preuve de la sensibilité générale après la destruction des centres
moteurs
. « Nous avons vu, disent-ils, suffisamment pour
ncée par quelques-uns que les cellules super- ficielles de l'écorce
motrice
sont sensitives, ils ont detruit dans un cas le
chiens démontre aussi clai- rement 3 que la destruction de la zone
motrice
corticale n'altère pas la sensibilité du côté o
chien, dont on avait, quelque temps auparavant, détruit les rentres
moteurs
de l'hémisphère gauche. L'animal répondait inva
e. Au réveil du sommeil narcotique, l'ani- mal montra des désordres
moteurs
caractéristiques dans les mem- bres droits, et
e de la sensibilité tactile en général après les lésions de la zone
motrice
, et je vais maintenant examiner en détail les d
xcitants sensitifs qui peut aussi bien s'expliquer par l'incapacité
motrice
que par l'altération sensitive, ou bien ces tro
roubles sensitifs sont dus à la lésion d'autres parties que la zone
motrice
de l'écorce. Ceci s'applique plus particulièremen
incontes- table que chez l'homme la paralysie par lésion de la zone
motrice
est dans la majorité des cas essentiellement mo
ion de la zone motrice est dans la majorité des cas essentiellement
motrice
et ne s'accom- ' pagne d'aucun désordre delà se
observé plusieurs cas et réuni beaucoup d'autres lésions de la zone
motrice
certicale avec paralysie, dans les- quelles les
rai aussi que dans un bon nombre d'autres cas de lésions de la zone
motrice
, on a observé un certain degré d'altération de
des observations cliniques de maladie céré- brale, que les centres
moteurs
et les centres de la sensibilité tactile et gén
l- ques fois au moins sinon toujours, accompagnaient la paralysie
motrice
. Les données sur lesquelles ces conclusions sont
ion particulière et un symptôme particulier. Dans le cas de la zone
motrice
, il a été démontré que des lésions destructives
e des lésions destructives produisent invariablement -une paralysie
motrice
, locale ou généralisée suivant la position et l
tendue de la lésion. Un seul cas de paralysie par lésion de la zone
motrice
corticale sans trouble de la sensibilité est su
ité était intacte (dans un de ces cas une grande partie de l'écorce
motrice
était excisée'). Dans 37 l'état de la sen- sibi
a sensibilité disparaît enfin pendant t que persistait la paralysie
motrice
. Dans ce cas, la lésion atteignait le gyrus for
nt avoir existé que de dire que chez certains individus les centres
moteurs
et tactiles peuvent coïncider, tandis qu'ils sont
isés peut être prise comme une preuve de la coïncidence des centres
moteurs
et sensitifs. Elle peut prouver la contiguïté p
cune des formes de la sensibilité géné- rale, tandisque l'affection
motrice
était des plus prononcées. Il n'y a aucun rappo
ledegre de l'altération de la sensibilité et celui de la paralysie
motrice
. La paralysie motrice a éte absoule, tandis que
on de la sensibilité et celui de la paralysie motrice. La paralysie
motrice
a éte absoule, tandis que l'altération de la se
it légère et confinée a un ou au plus 2 à 3 doigts; ou la paralysie
motrice
a été limitée, tandis que l'altération de la se
tile, d'abord obser- vée a ensuite disparu, tandis que la paralysie
motrice
a persisté. Et quand, en plus, nous considérons
té musculaire et tactile peut être abolie en l'absence de paralysie
motrice
, état que l'on peut reproduire expérimentalemen
du lobe falciforme nous avons une preuve de plus que les centres
moteurs
et sensitifs de l'écorce sont anatomiquement disl
aiitsl'uli de l'autre et que nous ne pouvons attribuer la paralysie
motrice
à aucune altération de la sensibilité tactile o
sieurs comme la caractéristique des lésions de la zone corticale
motrice
doit être, à mon avis, regardée comme le commence
de la sensibilité tactile ou muscu- laire des doigts dans l'écorce
motrice
. Comme preuve à l'appui, je vous décrirai avec
nérale du côté opposé du corps. Les lésions corticales de la zone
motrice
causant une paralysie complète peuvent se produ
t lui-même et non par un courant centri- fuge, naissant des centres
moteurs
. Nous n'avons. je crois, aucun sens de l'innerv
nt des parties en mouvement. L'énergie des centres et de l'appareil
moteur
n'est révélé à la conscience que par le fonctio
mouvements particuliers sont effectués. La destruction des centres
moteurs
corticaux paralyse la puissance d'exécution, ma
effectués par un cerveau consistant seulement en centres visuels et
moteurs
. Dans ces cir- constances, la vision serait pri
ii y a un ensemble d'impressions non senties qui guident l'activité
motrice
du cerveau en le mettant en relation automatiqu
senties le nom de « Kinesthésies » et il considère que les centres
moteurs
sont le siège de ces kinesthésies ou sens du mo
sont le siège de ces kinesthésies ou sens du mouvement. Les centres
moteurs
sont donc, suivant lui, en réalité des centres
ressions kinesthésiques était l'excitant immédiat des vrais centres
moteurs
dans la moelle, il en résulterait que les soi-d
oteurs dans la moelle, il en résulterait que les soi-disant centres
moteurs
seraient des centres indépendants d'activité sa
ls de l'écorces. Des expériences montrent cependant que les centres
moteurs
ne sont pas des centres d'action indépendants,
cordons pyramidaux. Ces expériences indiquent donc que les centres
moteurs
de l'écorce ne sont pas des centres d'action in
silifs au moyen des fibres qui les unissent. Si les vrais centres
moteurs
étaient seulement dans la moelle, on s'attendra
es de la moelle développés en cor- - respondance avec les capacités
motrices
de l'animal. Dans pareil cas, les centres moteu
ec les capacités motrices de l'animal. Dans pareil cas, les centres
moteurs
de. la moelle de l'homme chez lequel les * Cent
Phys. Bd. XVII, 1883. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 417 capacités
motrices
sont plus variées et plus parfaites, seraient dé-
eau, et re- lativement à la taille de l'animal, les centres spinaux
moteurs
de l'homme sont moins développés que ceux des a
e façon absolue que ceux de beaucoup d'ani- maux dont les capacités
motrices
sont d'ordre inférieur. Le dé- veloppement des
tés motrices sont d'ordre inférieur. Le dé- veloppement des centres
moteurs
de la moelle correspond à celui des combinaison
fférents segments du corps, tandis que le développement des centres
moteurs
corticaux correspond à la multiplicité et la com-
ticaux correspond à la multiplicité et la com- plexité des facultés
motrices
volontaires. De ces différentes considérations,
inconscientes, ou comme un sens de l'innervation, mais qu'ils sont
moteurs
dans le même sens précisément que les autres ce
s sont moteurs dans le même sens précisément que les autres centres
moteurs
et que, quoique unis fonctionnellement et organ
ont encore douteuses. Analomiquement, elle est reliée aux cordons
moteurs
de la capsule interne. Ces cordons, suivant les r
dégénérescence peut être prise comme une preuve de la signification
motrice
de ces régions. De semblables dégénérescences o
8 ' PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. les régions frontales avec les noyaux
moteurs
de la moelle. Les dégénérescences dans ces part
oduit au- cun symptôme physiologique découvrable soit sensitif soit
moteur
. Mais j'ai trouvé dans plusieurs cas, qu'après
tête et les yeux, il n'y avait aucun autre trouble, ni sensitif ni
moteur
. Dans ce cas, les corps striés étaient aussi bl
érimentales, unilatérale ou bilatérale pour ce qui est des facultés
motrices
ou sensitives en général ; et dans plusieurs ca
idée déhranre ou non est un groupe d'images visuelles, audi- tives,
motrices
, etc., et l'idée, quelque abstraite qu'elle soit,
e nerf émet son rameau cutané. L'électrisation guérit les accidents
moteurs
et sensitifs. P. KERAVAL. XXXVII. Casuistique d
auditif verbal et aux voies de conduction qui le relient au centre
moteur
d'articulation, respectant au contraire celles qu
e dans le noyau lenticulaire qui n'avait donné lieu à aucun trouble
moteur
ou sensitif. M. Magnan fait remarquer qu'il est
ans la majorité de cas il faut incrimi- ner une lésion de la région
motrice
de l'écorce cérébrale. Au point de vue clinique
(service des) en France, 472. Amnésie traumatiqueet paralysie du
moteur
oculaire commun par Sc'tnell, 265. Annales tE
ère (lésions des lobes pa- riétal et frontal d'un - sans troubles
moteurs
ni sensoriels), par Jensen, 276. Hôpitaux d'a
292; disso- ciée du sciatique poplité, par ,\lussalongo, 263; du
moteur
oculaire commun avec amnésie traumatique, par
dans les régions sensitives et postérieures comme, dans les régions
motrices
et antérieures de la moelle. Dans chaque tube n
s délicates. Sans doute, on peut observer parfois quelques troubles
moteurs
, un peu d'incertitude dans la démarche, un lége
comme symptôme détermi- natif des formes catatoniques les troubles
moteurs
typiques, qui se joignent à la maladie mentale
nt à la maladie mentale où entrent aussi les symptômes d'excitation
motrice
et les symptômes de l'enlè- vement de la foncti
ymptô- mes psychiques existent aussi des phénomènes, des troubles
moteurs
avec caractère de convulsions. » Au nombre des
dique (dont les périodes viennent d'être citées) et avec troubles
moteurs
. Dans les formes atypiques certaines phases de
s certaines phases de psychose isolées, ainsi que certains troubles
moteurs
peu- vent manquer. Le symptomo-complexe décri
de changements se font opérés en lui. Il a toujours la même inertie
motrice
, comme avant, occupe toujours la même place sous
place sous l'escalier, où il reste accroupi : du côté de la sphère
motrice
pas- sive on peut constater un nouveau symptôme
sions sensorielles et des symptômes d'inhibition et d'excitation
motrice
. On observe chez le malade un négativisme très ma
re des grimaces, et de rire sans cause ; en même temps l'inhibition
motrice
s'accentuait ; au commencement de la maladie on
les symptômes d'atonie ensemble avec des symptômes d'excita- tion
motrice
(rire, grimaces); 3° le cours atypique, puisque
lie avec délire épisodique, parfois avec hallucinations et troubles
moteurs
caractéristiques, ne ressemble à aucune forme d
as de démence pré- coce qui peut se compliquer par de tels troubles
moteurs
, comme ici. C'est justement la prédominance d
moteurs, comme ici. C'est justement la prédominance des troubles
moteurs
aigus avec symptômes d'inhibition dans la régio
moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans la région psycho-
motrice
, qui nous donne le droit de reconnaître ici la fo
de la catatonie complète, nous voyons alors tantôt un enchaînement
moteur
total, tantôt une excitation motrice subite.
ns alors tantôt un enchaînement moteur total, tantôt une excitation
motrice
subite. Par conséquent, nous pouvons exclure ic
et une grande allonité, qui souvent -était suivie d'une excitation
motrice
si forte qu'on était obligé d'isoler la malade. D
même actuellement deux états : état d'altonité et état d'excitation
motrice
uniforme. Pour la plupart de temps la malade se
on état d'attonité elle manifeste des phénomènes d'une excitation
motrice
, qui aussi est très stéréotype. Si elle se met à
était sans modifications visi- bles. Les phénomènes d'enchainement
moteur
prédominaient. Le plus souvent la malade était
savoir : début de la maladie par un délire mélancolique, inhibition
motrice
, négativisme, stéréotypie, verbigération, etc.
que, mais tout de même il est difficile d'admettre que l'inhibition
motrice
, la stéréotypie et les autres phénomènes catato
E LA DÉMENCE CATATONIQUE. 35 Encore Kahlbaum disait que les centres
moteurs
s'alté- raient en premier lieu dans la maladie
tout de même alors on reçoit des réflexes céré- braux sur la sphère
motrice
, tellement particuliers, qu'ils font supposer l
our combien et de quelle 36 ' CLINIQUE MENTALE. manière la sphère
motrice
est-elle intéressée dans la patho- génie des di
toniques ? Prenons le- premier symptôme catatonique, l'enchaînement
moteur
, la discénésie et les poses stéréotypes habitue
Mais ici on ne peut pas du tout parler de l'exci- tation du centre
moteur
du discours. Les images de dis- cours ne se for
i de nouveau on peut constater la .fonction incomplète de la sphère
motrice
corticale. En outre, c'est surtout le symptôme
r Mandoline » (Fremmer). Pour achever avec l'analyse des troubles
moteurs
catato- niques, nous voulons nous arrêter encor
blissement de la transmission des centres corticaux aux conducteurs
moteurs
. Quoiqu'on observe quelquefois la catalepsie da
e, je dois remar-- quer que les poses stéréotypes et l'enchaînement
moteur
l'atonité présentent seulement des différents d
, qui était toujours assis « accroupi », présentait un enchaînement
moteur
, et quand il marchait recourbant son corps et e
ut être cité en faveur de la participation primordiale de la sphère
motrice
dans la catatonie, ce sont les troubles d'inner
'admettre dans la catatonie quelque trouble grossier dans la sphère
motrice
de l'écorce cérébrale ; assurément dans la péri
até- rales les excitations lumineuses à tous les noyaux des nerfs
moteurs
de l'oeil, des troisième, quatrième et sixième pa
ellules sont munies d'une énorme quantité de collatérales des voies
motrices
qui vont de haut en bas ? fibres cortico-protub
supplémentaire du ruban de Reil, qui apporte les fibres des noyaux
moteurs
du bulbe; on la suit, enfin, à travers la capsu
à travers la capsule interne, jusqu'à l'écorce des circonvolutions
motrices
. 7. Les systèmes cérébelleux dégénérés sont les
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 4. cales examinées (frontales,
motrices
, pariétales et occipitales), c'est l'écorce de
e, indique que dans la moelle adulte les prolongements des cellules
motrices
sont encore plus gros, plus longs et plus pauvr
s différences de mesures, de rythmes, de températures, de réactions
motrices
et sensibles qui caractérisent les deux sujets.
ui atteint généralement- aussi certaines portions du protoneurone
moteur
et du système sympathique. Les altérations histol
» . R. C. XXVIII. Recherches expérimentales sur les localisations
motrices
spinales; par 13RISSAUD et B.1UER. (Journal de
d'un jeune homme de dix-huit ans qui était atteint d'une paraplégie
motrice
avec contracture et trépidation dans les membre
ns des conduc- teurs qui joignent le. centre intellectuel au centre
moteur
et le centre visuel des caractères au centre se
ésordre observé d'abord peut ? expliquer par une lésion des centres
moteur
et sensoriel. Ce qu'il y a de particulier en l'es
de particulier en l'espèce c'est l'amélioration préalable du centre
moteur
, avant celle du centre sensoriel. Bien qu'il eû
re sensoriel tout autant que de celle du centre mo- teur. L'aphasie
motrice
transcorticale ne peut s'expliquer par une lési
motrice transcorticale ne peut s'expliquer par une lésion du centre
moteur
. On peut sans difficulté s'expliquer, pour le r
peut sans difficulté s'expliquer, pour le rétablissement du centre
moteur
, l'amélioration graduelle de l'écriture spontanée
par la suspension et le plan incliné fait disparaître ces troubles
moteurs
, mais à ce moment la langue qui jusque-là, étai
reich et l'hérédo-ataxie. R. Charron. XIV. La question de l'aphasie
motrice
sous-carticale, par le Dr Ladame. L'auteur a
eurs ont prétendu caractériser la forme sous-corticale de l'aphasie
motrice
. La lésion corticale, trouvée à l'autopsie, per
l'on a considérés par erreur comme carac- téristiques de l'aphasie
motrice
, dite sous-corticale, s'observent 'dans la lési
à topographie radiculaire des ' troubles sensitifs et des troubles
moteurs
; par les Dra CESTAN et HUET. REVUE DE PATHOLO
a topographie des troubles sensitifs, et souvent aussi des troubles
moteurs
. Les deux observations rapportées par les auteu
us l'influence des lésions médullaires, peuvent, comme les troubles
moteurs
, affecter une disposition radiculaire (Revue ne
ymptômes principaux sont la dysphémie la dyslexie, la dyséchophémie
motrice
. ' B. Pamg1'aphie. Les symptômes principaux son
nq centres suivants : 1° trois centres de mémoire verbale, auditif,
moteur
, visuel; 2° un centre endophasique de même nom
paraphasies endopha- siques. G. Examen de la zone sensorielle ou
motrice
de même nom que le centre lésé et du fonctionne
ctionnement inadéquat du centre par rapport à l'expression (centres
moteurs
), on a la sensation (centres sensitifs) ; 3° les
s diffèrent, suivant qu'il s'agit d'un visuel, d'un auditif ou d'un
moteur
. L'aboulie essentielle et son traitement psycho
echerches sur l'origine réelle et le trajet intercéribral des nerfs
moteurs
par la méthode de la dégénérescence wallérienne
Les suggestions intra-hypnotiques sont elles- mêmes subdivisées en
motrices
, sensitives, psychiques et d'actes (p. 179). L'
cependant intermédiaires entre les centres réflexes et les centres
moteurs
volontaires déjà CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET
st commun de rencontrer chez les aliénés des troubles des fonctions
motrices
de l'iris; toutefois la paralysie générale fourni
de cas que toutes les autres formes de folies réunies. Les troubles
moteurs
de l'iris se constatent par des observations por-
suelle ; c) à l'excitation cutanée ou sympathique; 6° états irido-
moteurs
liés à l'accomodation ou à la convergence. L'aute
6 novembre quand il est frappé d'un ictus apoplectique avec aphasie
motrice
, paralysie flasque du bras droit, légère parési
ux, survenant pen- dant l'enfance et se traduisant par des troubles
moteurs
et de la débilité mentale; par W.-Ai. BECHTEREW
aques; l'état mélan- colique chez elle était accompagné d'agitation
motrice
, de refus d'aliments et de résistance à tout ce
lypémaniaque de véritables bouffées de mégalo- manie avec troubles
moteurs
; enfin la démence une fois établie, ne perd jam
ican Journal of lazsa- nity, juillet 1902, p. 53, 61). Phénomènes
moteurs
: irritabilité mécanique du facial ; exagé- rat
ance de la Société du 4 juin 1903, il y a une paralysie latente des
moteurs
oculaires dans l'hémiplégie organique. Chez les i
Cette lésion, serait un défaut d'association des centres graphique,
moteur
, auditif et du langage en un point théorique où
ite sensitive, caractérisée par l'absence habituelle de dé- sordres
moteurs
. ' f. Tétanie par action toxique, générale et à
ntermittent. La malade a eu une attaque congestive suivie d'aphasie
motrice
qui n'a persisté qu'un mois. A l'ophthalmoscope
onnabilité méningo-cérébrale qui aura pour conséquence une réaction
motrice
, mais réaction qui sera limitée à une petite ré
cèdent souvent, en effet, et parfois même de beaucoup, les troubles
moteurs
de la grande attaque,,confusion men- tale, ou s
ient produites comme à l'ordinaire. Il semble donc que les neurones
moteurs
supérieurs soient aussi, et peut-être surtout a
est un réflexe cutané extra-pyramidal, c'est-à-dire dont les fibres
motrices
suivent la voie thalamo-spinale ainsi que le pr
ment de la parole. L'auteur admet dans ce cas l'intégrité des voies
motrices
cortico-spinale et mésencéphalo-spinale et de la
es mé- dullo-cérébello-corticales, tandis que le second est d'ordre
moteur
, centrifuge, exprime une variation de l'état du
che maxillaire supérieure du trijumeau et son noyau sensitif, noyau
moteur
de la branche inférieure du facial. Réflexe de
branche inférieure du trijumeau, noyau sensitif de celui-ci, noyau
moteur
du trijumeau. Il est exagéré dans la paralysie
Observation d'hémiplégie droite à développement lent, avec aphasie
motrice
incomplète. Puis, graduellement, faiblesse, maux
llissement du cerveau en rapport avec des tuber- cules de la région
motrice
de l'écorce de l'hémisphère gauche; il se peut
n que de rares fibres dans les cor- dons postérieurs), la paralysie
motrice
avait conservé jusqu'à la fin les caractères de
n des éléments de leur diagnostic differentiel. G. C. LI. Paralysie
motrice
et sensitive consécutive à l'injection de bichl
le liquide céphalo-rachidien. Il en est résulté une paralysie vraie
motrice
et sensitive du périné et des organes con- tenu
NSELME et 13UGT présentent un malade atteint de lèpre avec névrites
motrices
et sensitives et hypertrophie considécable des
distribution des branches nerveuses hypertrophiées. - La névrite
motrice
s'accompagne d'atrophie et de DR très pro- nonc
ause de la douleur ressentie dans l'aine. Par ailleurs la paralysie
motrice
n'est pas complète, elle est sous la dépendance
que; tumeur qui d'emblée est l'occasion de troubles sensitifs, puis
moteurs
dans le membre supérieur correspondant. Malgré
en cause; je n'en veux pour preuve que la distribution des troubles
moteurs
qui n'ont rien à voir avec la paraplégie ou l'h
l'hémiplégie de cause médullaire ou cérébrale. Ici l'impuis- sance
motrice
n'est point complète, il y a plutôt une véri- t
ces paralysies sont complètes. La paralysie est plus sensitive que
motrice
et les types clas- siques sont l'exception. Les
- tance qui facilite leur envahissement. Le facial, l'auditif, le
moteur
oculaire externe, le pneumo- gastrique, le spin
les racines rachidiennes et provoquant des symptômes douloureux et
moteurs
à origine radiculaire. La pachyméningite extern
tumeurs des nerfs peuvent donner lieu à un complexus douloureux et
moteur
, capable d'induire en erreur à un examen superf
phiques ; la prédomi- nance des troubles sensitifs sur les troubles
moteurs
et la subordination étroite de ceux-ci à ceux-l
matoire qui attaque un nombre quelconque de racines sensitives ou
motrices
, à leur sortie de l'espace sous arachnoïdien et q
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 substance réticulée grise ou champ
moteur
de Meynert ; elle s'éten- dait, dans le sens tr
ues, MM. Leclerc et Angiel concluent que chez leur sujet le neurone
moteur
périphériquefonc- tionne normalement. Tous les
les mouvements qui peuvent s'effectuer sans le concours du neurone
moteur
supérieur ou plus exactement de l'écorce cérébr
pie-mère et enchâssés dans la substance grise. Au niveau de l'aire
motrice
et particulièrement au voisinage de la scissure
ois, en pleine déchéance, et l'autopsie montre au niveau de la zone
motrice
gauche une ulcération corticale avec ostéité hy
stiques ou spirites conduisant à l'hallucination voulue des centres
moteurs
ou sensitivo-sensoriels sont comparables à l'in
évrites, les polynévrites, c'est-à-dire dans les lésions du neurone
moteur
périphérique. Les auteurs ont constaté le contr
ont constaté le contraire dans des cas d'altération du protoneurone
moteur
. Dans les hémiplégies anciennes avec contractur
orteur : M. le Ur DERNY, de Paris. 2° Neurologie. Des localisations
motrices
dans la moelle. Rapporteur : NI. le Di. SANO, d
ment des symptômes tabétiques (douleurs fulgurantes, incoordination
motrice
, abolition des réflexes, lésions atro- phiques
cale, PAU N. VASCIIIDEetCL. VURPAS Le rapport entre l'impulsion
motrice
et l'acte génital est un point de psycho-physio
sur des aliénés nous ont montré un rapport étroit entre l'impulsion
motrice
et le rapprochement sexuel, et nous ont permis
e, qui, à notre avis, est la plus haute expression du déclanchement
moteur
et traduit la forme la plus achevée de l'avalan
anchement moteur et traduit la forme la plus achevée de l'avalanche
motrice
. I Nos travaux ont porté sur différents ordre
ncourent à montrer les rapports étroits, qui unissent l'impulsion
motrice
et l'acte sexuel. Les sujets, chez lesquels il
Impulsions génitales. » Cette malade, qui présentait des impulsions
motrices
, passait de longues heures à pousser les cris d
'étu- dier ici, c'est le parallélisme dans l'évolution des images
motrices
, d'une part dans les impulsions et de l'autre dan
tion dictée par les faits : « Une fois mis en jeu l'automa- tisme (
moteur
) paraît suivre certaines lois, par lesquelles s
ême mouvement, le tout commandé par l'évolution d'une image mentale
motrice
. Cette image s'ac- compagne d'une vague conscie
e...» » Par le seul fait d'avoir l'esprit concentré sur une image
motrice
non définie, pour ainsi dire, le sujet exécutait
parer en d'autres termes ce déclanchement automatique à l'avalanche
motrice
, qui évoluait physiologiquement et psychologiqu
ultante inconsciente et immédiate de l'avalanche mentale de l'image
motrice
. Et lorsque le mouvement augmentait, les excita
orsque grisée par le déclanchement automatique greffé sur le cliché
moteur
de l'acte en exécu- tion, le sujet s'arrêtait a
l'acte sexuel au point de vue mental c'est avant tout une impulsion
motrice
qui se répète et réapparaît au champ de la cons
laquelle fait suite une phase clonique et enfin le relâche- ment
moteur
. L'acte sexuel ne serait à nos yeux, que le plus
éveloppement, que l'épanouissement et l'achèvement du déclanchement
moteur
provoquant une avalanche motrice. Le plaisir gé
et l'achèvement du déclanchement moteur provoquant une avalanche
motrice
. Le plaisir génital doit vraisemblablement être r
sir génital doit vraisemblablement être rap- porté à cette griserie
motrice
, qui, arrivée à son summum se traduit par un ét
mentale, se détachant pour ainsi dire de son objet qui est l'image
motrice
dans sa rapide évolution. L'état moteur particu
son objet qui est l'image motrice dans sa rapide évolution. L'état
moteur
particulièrement instable et changeant tra- dui
oteur particulièrement instable et changeant tra- duit une activité
motrice
puissante et s'harmonise de la sorle avec cette
se dépense. Toutes ces considérations montrent le rôle de l'image
motrice
dans l'acte sexuel ; et cliniquement, certains au
iquement, certains auteurs ont voulu voir de l'épilepsie, affection
motrice
, une maladie génitale, un trouble sexuel, soit
dérations pour étayer et déterminer le rôle et la valeur de l'image
motrice
dans l'acte sexuel. L'influence de la musique s
e'aussi dans le même sens. L'influence de la musique, sur l'image
motrice
et l'état moteur est manifeste. L'entraînement
sens. L'influence de la musique, sur l'image motrice et l'état
moteur
est manifeste. L'entraînement provoqué dans l'arm
ale, et ont montré que la musique est un tonique efficace de l'état
moteur
. D'un autre côté, la musique a une action très
tion parallèle des images psychiques et particulièrement des images
motrices
. Pendant l'audition d'un morceau de musique, X.
à l'évolution parallèle et similaire dans ces deux états de l'image
motrice
. L'état oculaire est sou- vent d'un précieux se
suite est l'expression de l'activité » et de l'intensité de l'image
motrice
, qui dans la rapidité du déclanchement et de la
faiblesse qui suit l'acte sexuel est la traduction de l'épuisement
moteur
qui suit l'excitation génitale. Nous donnerons
de la thèse que nous soutenons, à'savoir l'impor- tance de l'image
motrice
dans' la vie sexuelle; constituée qu'elle est p
trice dans' la vie sexuelle; constituée qu'elle est par l'avalanche
motrice
, il est tout naturel de trouver dans l'excitati
er dans l'excitation génitale une véritable dérivation de l'énergie
motrice
, accaparée dans une sphère limitée et ne pouvan
nséquent pas se manifester avec son inten- sité normale dans l'état
moteur
général, ainsi qu'en témoi- gnent des expérienc
périences précises qui montrent l'affaiblisse- ment et l'affolement
moteur
pendant l'excitation sexuelle. Une autre questi
d'abattement ? La raison nous semble précisément dans l'épuisement
moteur
dû à l'excès de l'in- tensité de l'image motric
t dans l'épuisement moteur dû à l'excès de l'in- tensité de l'image
motrice
. Lorsque nous parlons de l'épuisement moteur no
tensité de l'image motrice. Lorsque nous parlons de l'épuisement
moteur
nous dési- gnons, s'entend, l'image motrice; l'
parlons de l'épuisement moteur nous dési- gnons, s'entend, l'image
motrice
; l'état psychique, et non la fatigue organique,
ssurément pas d'un épuisement mus- culaire, mais bien d'une fatigue
motrice
. Et, lorsque nous disons fatigue motrice, c'est
e, mais bien d'une fatigue motrice. Et, lorsque nous disons fatigue
motrice
, c'est l'image mentale du mouvement que nous vo
image mentale du mouvement que nous voulons désigner. C'est l'image
motrice
qui acquiert une intensité et un éclat particul
actères spécifiques et la rapidité de leur succession; 'l'avalanche
motrice
, si l'on peut ainsi dire, provoque une sorte d'
'état mental et principalement des impressions et repré- sentations
motrices
, comme on l'observe à la suite d'un tra- vail m
n seulement l'élé- ment musculaire a été épuisé, mais aussi l'image
motrice
qui devenait plus intense a mesure que la fatig
ens. Si, en effet, l'activité sexuelle se rapproche de l'activité
motrice
, les mêmes modifications biologiques, ou plutôt d
s'exprime le professeur Potain au sujet des rapports de l'activité
motrice
et de l'augmen- tation de la pression sanguine
t encore un autre ordre d'études qui nous montre le rôle de l'image
motrice
dans l'acte sexuel; c'est l'influence de la mus
système musculaire. Il y a une véritable tension de tout le système
moteur
se tradui- sant grosso modo, d'une façon généra
itude musculaire qui suit l'acte génital. Il semble que l'équilibre
moteur
ait atteint une stabilité manifestée par de l'i
semblé la conséquence de l'épuisement temporaire de l'acti- vité
motrice
dans sa condition psychologique d'image motrice
e de l'acti- vité motrice dans sa condition psychologique d'image
motrice
, 1 5° Enfin, l'élévation brusque de la pression
que nous tentons de faire entre l'excitation sexuelle et l'activité
motrice
, ou plutôt tend à montrer le rôle de l'image mo
et l'activité motrice, ou plutôt tend à montrer le rôle de l'image
motrice
et de l'élément moteur dans la genèse, le dével
ou plutôt tend à montrer le rôle de l'image motrice et de l'élément
moteur
dans la genèse, le développement et l'évolution
nital consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'état
moteur
qui, arrivé à son maximum, présente une phase t
ans la production de cet état et de ces différentes phases, l'image
motrice
joue le rôle primordial. L'acte génital consist
s différents stades sus-indiqués. c) Dans l'acte sexuel, le système
moteur
tout entier est intéressé et intervient. L'équi
système moteur tout entier est intéressé et intervient. L'équilibre
moteur
total arrive à un état d'excitation et de poten
t qu'à la suite on relève des phénomènes de fatigue et d'épuisement
moteur
. d) L'excitation motrice se traduit également p
des phénomènes de fatigue et d'épuisement moteur. d) L'excitation
motrice
se traduit également par des phé- nomènes circu
respiratoires, qui parais- sent consécutifs aux phénomènes nerveux
moteurs
, en sont la conséquence et les traduisent en de
conséquence et les traduisent en dehors. e) Les érotiques sont des
moteurs
et, d'une façon géné- rale, presque tous les mo
iques sont des moteurs et, d'une façon géné- rale, presque tous les
moteurs
sont des érotiques. f) Dans toute sa marche et
st due à l'évolution et à la tendance au déclan- chement de l'image
motrice
et de l'état moteur. Tous les préparatifs, tous
et à la tendance au déclan- chement de l'image motrice et de l'état
moteur
. Tous les préparatifs, tous les accessoires qui
iter les désirs génésiques, sont surtout des excitations de l'image
motrice
. Tous les sens peuvent, selon chaque individual
chaque individualité, présenter une action excitatrice de l'état
moteur
, plus ou moins développée et accentuée selon les
le emmagasinement de potentiel pour traduire au dehors l'excitation
motrice
suffisante. Il sem- ble que, pour que le potent
rieures adoptées.' Ces états témoignent d'un état d'affaiblissement
moteur
dont le type est donné par la neurasthénie et a
érale, etc.), et cette 376 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. insuffisance
motrice
exige un renfort et un excédent dans la charge
en préciser le sens et la portée de nos observations. Entre l'image
motrice
propre- ment dite et l'image motrice devenue se
os observations. Entre l'image motrice propre- ment dite et l'image
motrice
devenue sexuelle, il y a unedif- férence aussi
sychologiques, ou plutôt des éléments men- taux qui forment l'image
motrice
dans sa nature intime. L'image motrice propreme
- taux qui forment l'image motrice dans sa nature intime. L'image
motrice
proprement dite possède en elle-même tous les é
e proprement dite possède en elle-même tous les éléments de l'image
motrice
sexuelle, sauf l'émo- tion ; l'image motrice or
es éléments de l'image motrice sexuelle, sauf l'émo- tion ; l'image
motrice
ordinaire se résoud et s'achève dans ses élémen
soud et s'achève dans ses éléments constitutifs, tandis que l'image
motrice
sexuelle se développe et se constitue au contra
bien. particulière, qui porte à la faire considérer comme l'image
motrice
la plus intense et la plus émotive, c'est-à- di
otion généralisée et réellement extériorisée. Il semble que l'image
motrice
sexuelle met en action de nombreux centres nerv
nt le plus haut degré de cristallisa- tion. Entendons-nous; l'image
motrice
ordinaire est une image complexe, riche d'éléme
ie de l'image sexuelle, mais en décrivant ses rapports avec l'image
motrice
ordinaire, rapports intimes et peu mis en lumiè
uelques considérations, afin d'éviter toute confusion entre l'image
motrice
ordinaire et l'image motrice sexuelle. Ces quel
d'éviter toute confusion entre l'image motrice ordinaire et l'image
motrice
sexuelle. Ces quelques données, nouvelles à not
ques données, nouvelles à notre connaissance sur le rôle de l'image
motrice
dans l'acte sexuel, nous laissent espérer que n
s- culaires sont très marqués de ce côté. Il pense que les filets
moteurs
accessoires passent par la voie du sous-orbitaire
côté sain. Il doit donc y avoir, en un point quelconque, des filets
moteurs
qui se détachent du facial pour gagner le sous-
lement de support mécanique, mais représentent le mécanisme vaso-
moteur
des centres cérébraux les plus élevés, servant à
et des accès de palpitations allant jusqu'à la crise d'angor vaso-
motrice
. M. Bouveret fait remarquer l'utilité de recher
re causée par un courant industriel continu, d'une force électro-
motrice
de 500 volts. , Les symptômes présentés par le
ments se sont développés sous l'influence de l'irritation des voies
motrices
extra-pyramidales. Quant à la paranoïa hallucin
ts de telle ou telle sensation ? Nous savons que dans les cen- tres
moteurs
les plus élevés, ce sont moins les muscles indivi
ns sensorielles soient beaucoup plus complexes que les associations
motrices
. Bien que l'auteur pense, avec Tamburini, que l
tendue influence de la cécité sur les troubles spinaux sensitifs et
moteurs
du tabès. MM. P. Marie et A.4LÉIiI. -Une opinio
z cette malade, un foyer de ramollissement a lésé ces zones vaso-
motrices
en même temps qu'il a atteint le faisceau pyramid
brale qui le rend gai, exubérant, loquace, et accélère le processus
moteur
, ce qui le rend dangereux. L'attention s'affaib
ésente tous les caractères d'un paralytique général. Comme troubles
moteurs
on note de l'ophtalmoplégie interne, du tremble
ones sen- soriels ne sont pas en relation directe avec les neurones
moteurs
, et, par conséquent, le retard se produit là où
ctement ni indirectement de décharge spontanée partant des neurones
moteurs
spinaux. Il accepte avec lui la possibilité que
ion, et, puisqu'il y a de bonnes raisons d'asso- cier les fonctions
motrices
au système pâle ou pyramidal, il est aussi fort
e bataille de la neurologie. La question de l'existence des centres
moteurs
ou même des centres sensorio-moteurs repose sur
rvenue dix ans plus tard. Trépanation, gliome kystique de la région
motrice
droite, amélioration. M. L... fait remarquer qu
ait remarquer que malgré la présence d'une grosse lésion de la zone
motrice
droite, les crises ont toujours gardé l'allure
le gliome du malade en question, malgré sa situation en pleine zone
motrice
, a donné seulement des crises et ce n'est qu'au
troubles sensitifs trois ans après le commencement des para- lysies
motrices
. Propagation des douleurs fulgurantes aux extré-
éïque chronique et chez plusieurs malades présentant une excitation
motrice
très marquée. Ainsi, donc, la présence du micro
te chez le malade, existe encore un territoire accessoire du centre
moteur
de la parole qui aide à celte articulation inte
ieff pense que le centre de BROCA apparaît comme un centre purement
moteur
; l'association des images idéatives, visuelles,
es images idéatives, visuelles, auditives et d'autres, avec l'image
motrice
de la parole se fait, évidemment, dans un autre
sléi-éolypie est caractérisée par la durée anormale de'~ impulsions
motrices
, qu'il s'agisse de la contracture permanente d'
teneur en sucre du -, par Lannois et l3o\llud, 494. Localisations
motrices
spinales. Recherches expérimentales sur les-,
il)i(;tlldire dans le diagnostic de la faciale, par Barri. 243. -
motrice
etsensitive consécutive à l'injection de biuhlu
topographie radlculaite ries troubles semilif, et des trou- bles
moteurs
, par Cestan et Huet. 70. Une observation anatom
influence de la cé- cité sur les troubles spinaux sen- sitifs et
moteurs
du -, par Marie (P.) et Lui-i, 417. Tabétique
erche des troubles fonc- tionnels du système nerveux oculaire, tant
moteur
que sensitif, des moyens d'une précision très g
er- mettent de constater avec précision un trouble nerveux oculaire
moteur
ou sensitif; l'hypothèse ne doit venir que plus
sont la cause du trouble constaté. La moindre parésie d'un muscle
moteur
de l'oeil est toujours consta- table et même 11
ubles fonctionnels du système nerveux oculaire (nerf optique, nerfs
moteurs
du globe, nerfs des muscles intrinsèques, nerfs
nsidérations par les méridiens intermédiaires. Si une des fonctions
motrices
du globe (adduction, abduction, élévation, etc.)
D (Morax). - 1.'ig. 19. Champ du regard dans la paralysie du nerf
moteur
oculaire commun de l'OG. - L'excursion normale
une lésion des voies optiques. Ils proviennent d'un trouble nerveux
moteur
du muscle ciliaire. Ils peuvent exister avec un
aux du mésucéphale; elle trouve là une voie de retour par les nerfs
moteurs
du globe. 11 existe là un arc réflexe complet a
, un centre (noyaux du mésocéphale), une voie centrifuge (les nerfs
moteurs
de l'oeil). ' Coupez les voies optiques en avan
te du fond de l'oeil à l'ophtalmoscope. ni PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES Symptômes. Strabisme. - Le strabis
s ou en dehors du point de passage habituel. PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 511 Le regard prend alors un aspect
res variétés de nystagamus (Voir Nystagmus). PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 61 Diagnostic A l'aide DE la DIPLOP
précédents qui accompagnent les parésies ou paralysies des muscles
moteurs
des globes servent à établir le diagnostic. Ils s
rs. Supposons qu'il n'y en ait qu'un seul. Lequel des douze muscles
moteurs
des globes est atteint de paralysie ? La paraly
paralysé, et de rechercher ensuite quel est celui des douze muscles
moteurs
des globes dont la paralysie amène les mêmes tr
e schémas symptomatiques des paralysies de chacun des douze muscles
moteurs
des globes. Il existe des méthodes plus simples
st projetée en dehors (diplopie homonyme). . PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 65 Voilà le diagnostic fait par la'
rillé. 1 1 Fig. 48. - Schémas de diplopie. PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 67 Diagnostic quand plusieurs muscl
ctères de la diplopie (tig. 48 et ! >-9). PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GDOBES. 69 70 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREI
de l'entrecroisement à différentes hau- teurs des voies nerveuses
motrices
des yeux, de la face et des membres (fig. 51)
M. 0. E, dans la partie supérieure de la protubérance, les fibres
motrices
des membres au- dessous dans le bulbe. C'est d'
aire C, destiné et montrer l'entre-croi- sement successif des voies
motrices
des yeux, de la face et des membres. Le traje
otrices des yeux, de la face et des membres. Le trajet des libres
motrices
est indiqué par les cordons blancs m,1 ? )Il, i
sion L, (pédonculaire) coupe le M. 0. C. entrecroisé et le faisceau
moteur
de la face et des membres non entre-croisé (s
le) coupe le Il. 0. E. et le facial entre-croisés, et le faisceau
moteur
des membres non entre-croisé (syndrome de 311ll
re-croisé (syndrome de 311llal'fl-Guhler). PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DÈS GLOBES. 71 côté (côté de la lésion) ; paral
eures (les deux yeux regardent à droite). PARALYSIES 'DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 75 Syndrome de Benediht (de Vienne)
il existe une hémiplégie alterne attei- gnant légèrement la force
motrice
, mais produisant des troubles accen- tués de
els. Paralysies dissociées. Les noyaux d'origine des nerfs oculo-
moteurs
, bien qu'assez unis les uns aux autres, offrent n
érieure, extrinsèque. Dans certaines condi- tions, tous les muscles
moteurs
du globe (0. unilatérale) ou des globes (0. bil
les dépendant du M. 0. C. que ceux innervés par le pathétique et le
moteur
oculaire externe. Cependant, la musculature int
est obligé de mouvoir la tète ou le corps. PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 75 Cette ophtalmoplégie souvent hér
ncéphalite analogue- à la poliomyélite, une altération des cellules
motrices
des noyaux d'ori- gine des nerfs moteurs des ye
e altération des cellules motrices des noyaux d'ori- gine des nerfs
moteurs
des yeux. L'allure de cette ophtalmoplégie peut
second (paralysie radiculaire), il y a seulement paralysie d'un des
moteurs
oculaires- externes,, et si l'on demande au mal
u M. 0. E. (paralysie radiculaire) (llorax). PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 77 6° Paralysie par lésion des cent
Ómmodateur; I, constricteur de l'iris; M, 31, M, muscles extrinsèques
moteurs
du globe oculaire; MOC, nerf moteur oculaire co
M, 31, M, muscles extrinsèques moteurs du globe oculaire; MOC, nerf
moteur
oculaire commun; P, nerf pathétique; MOE, Nerf mo
aire; MOC, nerf moteur oculaire commun; P, nerf pathétique; MOE, Nerf
moteur
oculaire externe; non, noyaux d'origine du mot;
ébrale. Ils sont réunis entre eux et aux noyaux d'origine des nerfs
moteurs
de l'oeil par des tractus nerveux, dont l'ensembl
éphaliquc du côté opposé. Il se fait dans la PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 1 7 ! 1 région protubérantielle sup
, vont nous aider à comprendre les paralysies associées. Troubles
moteurs
oculaires associés. Au-dessus des noyaux bulbo-
nt de beaucoup les plus fréquentes. Dans certains cas, les troubles
moteurs
oculaires associés amènent une déviation latéra
sociés. Déviations conjuguées. a) Déviations conjuguées d'origine
motrice
. Les déviations conjuguées peuvent résulter d'une
s de la déviation. Ce sont là des déviations conjuguées par trouble
moteur
, des déviations d'origine motrice. Elles s'observ
déviations conjuguées par trouble moteur, des déviations d'origine
motrice
. Elles s'observent dans des lésions siégeant su
s d'origine sensorielle. A côté des déviations conjuguées d'origine
motrice
, paralytique ou convulsive, par lésion des ocul
s oculogyres, il peut exister des déviations conjuguées sans lésion
motrice
, d'origine sensorielle. La déviation conjuguéee,
ns les déviations oculai- res de ce groupe, constater aucun trouble
moteur
paralytique ou convulsif. Mais le domaine de ce
e sera bien défini qu'après de nouvelles recherches sur l'intégrité
motrice
. On est encore en droit de douter de l'existenc
s, la déviation conjuguée d'un côté étant le PARALYSIES DES MUSCLES
MOTEURS
DES GLOBES. 81 f résultat d'une, paralysie, du
n action réflexe irido-dilatatrice. Un exemple : si on sectionne le
moteur
oculaire commun en arrière du gan- glion, il y
is branches du trijumeau; S, branche ophtalmique , du trijumeau; M,
moteur
oculaire commun; V, carotide; G0, ganglion ophtal
avec ou sans participation de l'accommodalion et des autres muscles
moteurs
des globes (Voir Accommodation). Cette mydriase s
e intrinsèque du globe ou bien toucher en même temps d'autres nerfs
moteurs
du glohe (type associé). - On ne sait pas exact
urbure du cristallin sont bien difficiles à apprécier. Paralysie du
moteur
oculaire commun. La paralysie du moteur oculair
s à apprécier. Paralysie du moteur oculaire commun. La paralysie du
moteur
oculaire commun quelle qu'en soit la cause, tra
de la paupière est accompagnée de la paralysie de quelques branches
motrices
du globe oculaire ou d'une paralysie des muscle
ts volontaires; les membres infé- rieurs sont pris d'incoordination
motrice
; les réflexes rotuliens disparais- sent. C'est
llard-Gubler. On voit même la superposition d'une paralysie alterne
motrice
et d'une paralysie alterne sensitive. C'est dan
. D, cervelet avec D', ses noyaux cen- traux. E, noyaux des nerfs
moteurs
bulboprotubérantiels. F, F', tuber- cules qua
rance, montant les rapports du noyait de Deiters avec le facial, le
moteur
oculaire externe, .la racine descendante du triju
binier, montrant les connexions du noyau de Deiters avec les noyaux
moteurs
et sensitifs des nerfs mesocephaliques, avec le c
rétion du cérumen dans les sclé- roses diverses, etc. E) Réflexes
moteurs
spasmodiques. Ils sont nombreux : un des plus c
ansmission d'excitations au noyau de Deiters et par lui aux. noyaux
moteurs
oculaires et aux tubercules quadrijumeaux antérie
Je renvoie sur ce point à la thèse de F. Chavanne. . F) Réflexes
moteurs
paralytiques. - Ils sont plus rares que les pré
le, la chute de la paupière, la diplopie par paralysie dissociée du
moteur
oculaire commun. La plus fréquente et la plus i
ertige proprement dit serait « un trouble objectif d'incoordination
motrice
résultant d'un désordre de l'appareil d'orientati
iscéraux divers peuvent s'associer aux £ vertiges et aux phénomènes
moteurs
qui en sont la suite. Les plus fréquents de ces
ntation subjective et par des troubles objectifs d'in- coordination
motrice
. Il peut être direct ou indirect : il est, direct
région rolamlique. Elles s'accompa- gnent de troubles psychiques et
moteurs
variables, de céphalalgie, de vomissements, par
1't-ElJin considère ces sensations connue dues à des troubles vaso-
moteurs
portant sur le labyrinthe; lIitzig veut y voir un
ible, limités seulement sur ce point par le degré de leur paralysie
motrice
. Il existe; un autre type d'anarthrie tout à fa
de la phonation et de l'articulation. La dysarthrie est un trouble
moteur
des organes de la phonation ; elle peut être d'or
s classiques, les aphasies en deux groupes principaux, les aphasies
motrices
, les aphasies sensorielles. Dans chacun de ces
'APHASIE. ' 217 anarthrie répond cliniquement il l'ancienne aphasie
motrice
sous-corti- cale ; elle en diffère par sa local
e sous-corti- cale ; elle en diffère par sa localisation, l'aphasie
motrice
pure des classi- ques étant liée il la destruct
ction cor- ticale de la ;'je frontale suffit il provoquer l'aphasie
motrice
vraie ou apha- sie de Broca; dans la théorie de
ucllement d nue extension des lésions en avant vers les territoires
moteurs
. De même I'héinianopsie, que l'on observe assez f
rthrie. Dans 1 anarthrie (correspondant cliniquement il ; l'aphasie
motrice
pure ou sous-corticale), le langage intérieur est
oint change ? seules, la conception et la localisation de l'aphasie
motrice
élite corticale ou vraie, ont subi des modificati
tilité. Elle consiste donc en un (rouble intellectuel des réactions
motrices
soumises à la volonté. Nous n'avons pas à discu
'apraxie les objets sont reconnus et que seule fait défaut la façon
motrice
de s'en servir (Lewandowsl : p), dans l'agnosie l
- téresse jamais les actes simples quasi-automatiques. C) Apraxie
motrice
de Kleist (1907). = Cette apraxie intéresse les
simultanément d'une diminution de l'intelligence, d'une altération
motrice
et d'un certain degré d'anesthésie. Il en est ain
Il convient de distinguer avec soin l'agnosie tactile des paralysies
motrices
ou sensitives, l'agnosie visuelle des cécités p
à la fois il deux mots différents à l'aide de deux images verbales
motrices
et que l'hallucination verbale motrice implique
ide de deux images verbales motrices et que l'hallucination verbale
motrice
implique la participation du centre moteur d'ar
l'hallucination verbale motrice implique la participation du centre
moteur
d'articulation, on comprendra aisément que si l
est parce qu'ils n'ont pas à leur disposition à la fois deux images
motrices
différentes, l'une servant à l'hallucination, l'a
ensent ce qu'ils voudraient dire, il se produit une hallucina- tion
motrice
verbale, par suite de laquelle les mots s'échappe
so- rielles, les hallucinations coenesthésiques. les hallucinations
motrices
. Les hallucinations sensorielles comprennent le
tc., elles appartiennent d'ailleurs il la classe des hallucinations
motrices
. Les hallucinations motrices on) été étudiées p
eurs il la classe des hallucinations motrices. Les hallucinations
motrices
on) été étudiées par Sellas; les sujets per- ço
téressant une fonction spéciale, celle du langage dans ses éléments
moteurs
: « C'est l'hallucination verbale motrice, orale
langage dans ses éléments moteurs : « C'est l'hallucination verbale
motrice
, orale ou graphique, con- sistant dans la perce
ou visuelles, de mots entendus ou lus, mais sous la forme d'images
motrices
à l'aille des mouvements adaptés de l'articulat
Ces malades n'entendent pas parler. ils sentent, parler. Le centre
moteur
d'articulation est en jeu dans ces hallucinatio
mbre infini de fibres nerveuses, qui tantôt se mélangent aux fibres
motrices
pour constituer un nerf mixte, tantôt forment à e
ives se trouvent indifféremment mélangées aux fibres descen- dantes
motrices
dans tout le segment postérieur de la capsule int
one sensitive, au niveau du cortex, comme du reste celle de la zone
motrice
, est une question actuellement à l'ordre du jou
soutenant que .la zone sensitive dépassait, les limites de la zone
motrice
, en arrière dans la région du lobe parié- tal.
lutions rolandiques (Fa et Pa) représentaient à la fois des centres
moteurs
et sensitifs. Cette doctrine, qui récemment e
irconvolution pariétale ascendante ne faisait pas partie de la zone
motrice
; cette dernière s'étendant uniquement en avant du
conception classique sur les localisations corticales : 1° La zone
motrice
est cantonnée en avant du sillon de Ilolamlu (fro
frontales) ; la frontale ascentfaufc. représente la circonvolution
motrice
par excellence. La participation de la pariétal
e Brown-Sequard, elle occupe le côté corres- pondant à la paralysie
motrice
(Dejerine). F) Sens musculaire. - tc tenne de-s
que nous venons d'énumérer,va souvent de pair avec lïm'om01na- lion
motrice
ou ulctxic. Ce phénomène étant étudié dans une au
nt étudié dans une autre partie de ce traité, à propos des troubles
moteurs
, nous n'avons pas à nous en occuper ici. Signal
le, paralysie obstétricale). Ici. les sujets, de par leur impotence
motrice
, n'ont jamais pu apprendre il reconnaître par la
ons céré- brales peut se faire brusquement comme celui des troubles
moteurs
, à la suite d'un ictus; il peut aussi être lent
f. Les troubles sensitifs, marchant alors de pair avec les troubles
moteurs
, s'installent petit à petit et sont précédés de
ce. Durée. L'hémianesthésie accompagne ordinairement une hémiplégie
motrice
homologue, mais elle est loin d'en être une com-
ure que quelques jours ou quelques semaines, alors que les troubles
moteurs
persisteront des années ou indéfiniment; d'autres
suivre une marche légèrement régressive et parallèle aux troubles
moteurs
(hémianesthésie persistante); d'autres fois, enfi
les troubles sensitifs qui persistent indéfiniment et les troubles
moteurs
qui Pratique veuuoi,. 20 , [ROUSSY] 1 506 '
ux mêmes lois que celles qui régissent la distribution des troubles
moteurs
dans l'hémiplégie. Lorsque les troubles sensiti
- tence de fibres sensitives homolaté- rales analogues aux fibres
motrices
, ou encore l'existence d'une lésion centrale,
le ou sous-corticale. Elle accompagne habituellement une hémiplégie
motrice
très pro- noncée avec contracture; elle peut co
hémianesthésie observée, abstraction faite de tout autre symptôme (
moteur
ou aphasique) pouvant l'accompagner. Certains a
même temps de l'hémi- plégie plus ou moins marquée. Les troubles
moteurs
peuvent être par- fois très atténués; dans ce c
ports qu'affectent les fibres de projection des voies sensitives et
motrices
(soit entre elles, soit avec les origines radicul
. Habituellement les troubles sensitifs se superposent aux troubles
moteurs
et l'on a des « paralysies alternes sezsitivo-uot
nt par ses modalités propres que par son association aux phénomènes
moteurs
, des caractères particuliers dont l'ensemble cons
absent, la non-participation de la face aux troubles sensi- tifs et
moteurs
plaide en faveur d'une* lésion médullaire. Dans l
la moelle par coups de tranchet; laminectomie. A droite, paralysie
motrice
du membre inférieur, avec hyperesthésie pendant
différents. Parfois les troubles scnsitifs, comme les phéno- mènes
moteurs
du reste, apparaissent brusquement et s'installen
l'affection. La paraplégie sensitive peut accompagner la paraplégie
motrice
, mais elle n'en est pas une complication nécess
mplication nécessaire; nombreux sont en effet les cas de paraplégie
motrice
sans troubles sensitifs. Par contre, les troubl
érie, au contraire, on observe des troubles sensitifs sans troubles
moteurs
. Les rapports d'intensité qu'affectent entre eu
teurs. Les rapports d'intensité qu'affectent entre eux les troubles
moteurs
et sensitifs sont également variables. A une pa
bles moteurs et sensitifs sont également variables. A une paralysie
motrice
spasmodique intense peuvent correspondre des tr
raplégie sensitive marquée correspond ordinaire- ment une paralysie
motrice
grave. Lorsque la paralysie est flasque, totale
e dernier cas, les troubles sensitifs peuvent exister sans troubles
moteurs
, ce qui ne se voit pas dans les anesthésies para-
ingomyélique permettra de faire le diagnostic. Lorsque les troubles
moteurs
et sensitifs sont associés, on procédera comme
e hémiplégique. Rarement. ils sont croisés par rapport aux troubles
moteurs
. Les modalités d'altération de la sensibilité p
ébrales, on l'a vu, les troubles sensitifs, à l'instar des troubles
moteurs
, présentent habituellement une topographie seg-
rachis, les troubles sensitifs s'accompagnent toujours de paralysie
motrice
homologue il topographie parallèle et répondant
e parallèle et répondant à la distribution périphérique des racines
motrices
intéressées, ce qui se comprend, étant donné qu
achidien les fibres sensitives sont intimement mélangées aux fibres
motrices
dans le nerf. Dans les cas de lésion intm-rac
ules sont lésées, les troubles sensi- tifs s'associent aux troubles
moteurs
(paralysie radiculaire sensilivo- 111Ol¡'ice de
paralvsies radiculaires sont ordinairement à la fois sensitives et
motrices
; elles se présentent suivant des types différents
tic de paralysie radiculaire, s'ajoutent ordinairement des troubles
moteurs
répondant à l'innervation motrice des mêmes racin
outent ordinairement des troubles moteurs répondant à l'innervation
motrice
des mêmes racines (5" et (;' cerv.), soit une p
peu sur les faces antérieure et postérieure du membre. La paralysie
motrice
occupe tous les petits muscles de la main et les
conservé sa sensibilité normale ,(2`' et 5e dors.). Les troubles
moteurs
consistent en une monoplégie brachiale totale et
rès fréquentes en clinique ; l'anesthésie, de même que la paralysie
motrice
, occupe des régions appartenant à la fois au segm
elle (cône. terminal qui se trouve à ce niveau); aussi les troubles
moteurs
sont habituels et consistent en une paralysie f
ueue de cheval, constitué par des troubles sphinctériens, génitaux,
moteurs
et sensitifs, 'à topographie radiculaire dans l
racines inférieures et postérieures. On observe alors des troubles
moteurs
à distribution radiculaire corres- pondant aux
paralysie dont les troubles sensitifs, aussi bien que les troubles
moteurs
, revêtent une distribution du type net- tement
urir, pour le diagnostic, aux autres symptômes concomitants (signes
moteurs
, sphinctériens, trophi- ques, examen de la colo
trophi- ques, examen de la colonne vertébrale, etc.). Les troubles
moteurs
prédominent habituellement comme extension sur
formes presque exclusivement sensitives et des formes sensitivo-
motrices
(ce sont les formes qui nous intéressent ici), et
(ce sont les formes qui nous intéressent ici), et enfin des formes
motrices
. Les formes sensitives peuvent, à leur tour, se
eints. Tantôt les troubles sen- sitifs sont associés aux troubles
moteurs
(paralysie des nerfs mixtes, névrites sensitivo
xister seules (névrites sensitives pures) ou associées aux troubles
moteurs
(névrite sensitivo-motrice). Dans ce der- nier
trice). Dans ce der- nier cas, le parallélisme entre les phénomènes
moteurs
et sensitifs est loin d'être constant. 5° Top
, comme les anesthésies organiques, des phénomènes d'incoordination
motrice
. Les hystériques s'habillent, écrivent, prennent
e dite- sensilivo-sens01'ielle, Parfois associée à une hémi- plégie
motrice
homologue, elle peut exister seule. La monoplég
e déterminent pas de gène dans les mouvements ni d'incoor- dination
motrice
); mobilité, fugacité; modifications par la sugges
elle qu'on observe le plus fréquemment en clinique. Les troubles
moteurs
affectent le plus habituellement, chez les hystér
s'occuper des troubles sensitifs, rechercher la nature des troubles
moteurs
. L'examen du malade dénionlre-t-il que cette hémi
nique et hystérique. Si rhemiauesthesie existe seule, sans troubles
moteurs
, sans modifi- cation des reilexes, on pensera,
fin des palpitations. D'ordre local. : ce sont des phénomènes vaso-
moteurs
, de la rougeur ou pâleur de la peau, des modifica
l'affection en cause ; associées il d'autres symptômes sensitifs ou
moteurs
, elles concourent à compléter le tableau clinique
perte du réflexe constricteur. Cette attaque de para- lysie du nerf
moteur
oculaire commun, ordinairement passagère, peut
Les crises douloureuses sont souvent accompagnées de troubles vaso-
moteurs
et sécrétoircs. Au début des accès on observe par
té- rieures. Parfois aux troubles sensitifs s'ajoutent des (roubles
moteurs
il topographie radiculaire. La leucocytose du l
es accès les téguments de la face sont hypercsthesies. Des troubles
moteurs
sont observés (htepharospasme, mouvements des c
ce qui s'explique par l'extension du nerf sciatique. Des troubles
moteurs
sont fréquemment observés. La marche est par- f
pri's Lévy et Baudouin. M4 NÉVRALGIES ET ALGIES. milieu des nerfs
moteurs
importants qui l'entourent. Pour atteindre le f
- TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. - 425 quer Lévy et Baudouin. Les nerfs
moteurs
oculaires sont situés, en effet, au sommet de c
e par les voies centrifuges à la périphérie sous forme d'excitation
motrice
. Si le point de départ de l'excitation périphér
iculièrement sur les plus sensitives ou qu'elle atteigne les libres
motrices
. Si la névrite porte sur la jambe et respecte l
ion, en plus de l'exagération des réflexes, il existe une paralysie
motrice
, de l'hyperes- - lhésie avec une zonesus-jacent
1-58 RÉFLEXES. luge et emprunte les racines antérieures des fibres
motrices
du nerf crural. En résumé, les organes consti
a moelle; 4" La substance muse médullaire : 5" Le nerf centrifuge
moteur
; 't ()° Les muscles. Chacun de ces organes es
ertain degré de tonus nerveux est indispensable dans les cel- lules
motrices
, et, pour que ce but soit rempli, il est nécessai
cessaire qu'il y ait persistance de ces connexions, de ces cellules
motrices
avec les centres nerveux supérieurs. Comment
otrices avec les centres nerveux supérieurs. Comment les cellules
motrices
reçoivent-elles l'influx nerveux des centres su
Par le D' O. CROUZON L'hémiplégie est, par définition, la paralysie
motrice
d'un côté du corps, mais il se produit dans les
phénomènes surajoutés n'appartenant pas directe- ment à la fonction
motrice
et épie l'on a cependant coutume d'étudier à pr
damment l'un de l'autre. [CROUZON.] 4ü4 HÉMIPLÉGIE. Les muscles
moteurs
des globes oculaires participeraient générale-
de leur force musculaire. Dans un orand nombre de cas, les troubles
moteurs
du côté réputé sain sont dus en réalité à de pe
fait un examen bien insuffisant pour confondre avec une hémiplégie
motrice
certains cas de douleurs unilatérales des membr
à une véritable hémiplégie. Il existe un état singulier d'impotence
motrice
des membres qui n'est pas l'hémiplégie et qui e
de membre- HÉMIPLÉGIE. If 71 1 Une lésion intéressant, la portion
motrice
de la capsule interne donne tou- jours lieu à u
syndrome de Weber (hémiplégie des membres d'un côté et paralysie du
moteur
ocu- laire commun de l'autre côté). Ce dernier
récités la lésion pourra intéresser soit l'hypoglosse, soit le nerf
moteur
oculaire externe, soit le trijumeau, et alors,
ri- HÉMIPLÉGIE. 475 hution de la paralysie aux différents groupes
moteurs
est, d'après Mann, à peu près la même que dans
ONA PARAPLÉGIE par le Dr MOUTIER La paraplégie est la paralysie
motrice
des membres inférieurs. Elle peut être d'origin
évolution de para- plégies organiques dans lesquelles les accidents
moteurs
ne se manifes- tèrent qu'après une période, de
et, chez les spastiques, par les altérations secondaires du neurone
moteur
périphé- rique : cellule de la corne antérieure
e.) L'atteinte du faisceau pyra- midal se traduit par la paraplégie
motrice
incomplète avec augmentation de la réflectivité
s troubles électriques disparaissent en même temps que les troubles
moteurs
. La durée de l'accès peut être de quelques heur
ien postérieur, sacro- coccygien antérieur. Insertions. Les muscles
moteurs
du coccyx sont dégénérés chez l'homme. L'ischio
ges GUILLAIN - TOPOGRAPHIE CEREBRALE LES LOCALISATIONS CORTICALES
MOTRICES
D'après les auteurs classiques, la zone cortica
RTICALES MOTRICES D'après les auteurs classiques, la zone corticale
motrice
siégerait au niveau des circonvolutions rolandi
ieure. Trois territoires principaux existent dans la zone corticale
motrice
: le territoire du membre inférieur,. le territ
u membre supérieur, le territoire de la face. Ces trois territoires
moteurs
sont échelonnés de haut en bas. Le territoire d
la plupart des neurologistes assignent aux différents terri- toires
moteurs
du cortex. En prenant en considération les obse
ie et les résultats de l'excitation électrique de la zone corticale
motrice
, les auteurs (Keen; Mills, Horsiey, etc.) ont i
ez les animaux et en particulier chez les singes, des terri- toires
moteurs
très spécialisés au niveau du cortex. Depuis qu
rveau humain, admettent également le siège prérolandique de la zone
motrice
. 0. Vogt, Campbell, Broadmann, Gordon Holmes et
ent que la circonvolution frontale ascendante est la circonvolution
motrice
par excellence et que .les parties antérieures
que ainsi que le pied de Fi et de F, participent aussi à cette zone
motrice
. Rossi et Roussy font quelques réserves sur la
sur la participation possible de la pariétale ascendante à la zone
motrice
. De toutes ces constatations cliniques et expér
al est principalement prérolandique. Les localisations cérébrales
motrices
chez l'homme sont intéressantes à connaître spé
is des mo- P,flATIQUE NEUROL. - 58 [G. GUILLAIN. Mg. 1. Centres
moteurs
corticaux de l'orang (Simia salyrus) (l'alri;s.Be
on corticale sont exception- nelles chez l'homme. Fig. 2. Centres
moteurs
corticaux du 11lacaclIs sinicus, d'après Reevor e
ey ( IS90j. . - -... (Figure empruntée il Moral.) Fig. 3. Centres
moteurs
d'après l'observation des sujets trépanés (d'aprè
aires périphériques musculaires correspondant aux aires corticales
motrices
sont les régions articulaires; les nerfs cortic
après cet auteur, sont [G. GUILLAIN,] Pig. 4 et 5. Zone corticale
motrice
du chimpanzé (d'après Grunbaum et Sherrington).
res m'ont paru mériter d'être adjointes à ce texte : 1° Les centres
moteurs
corticaux de l'orang (Simia satyrus) d'après Be
ès Ch. K. Mills (1904). TOPOGRAPHIE CÉRÉBRALE. 597 2° Les centres
moteurs
corticaux du llacacus sinicus d'après Reeyor et
llacacus sinicus d'après Reeyor et Horsley (1890); 5° Les centres
moteurs
de l'homme d'après l'observation des sujets tré
ation des sujets trépanés (d'après Lamacq) ; 4° La zone corticale
motrice
du chimpanzé, d'après Grunbaum et Sherrington (
ître, car les chirurgiens interviennent fréquemment sur les centres
moteurs
corticaux. La figure 8 montre la topographie de
e et ligne sytviennc (d'après Poirier). "598 TOPOGRAPHIE MÉDULLAIRE
MOTRICE
. répond au haut de Romande » (Poirier). Ce poin
ins auteurs admettent l'exis- tence dans la moelle de localisations
motrices
pour des muscles isolés ou des muscles ayant la
même fonction physiologique, d'autres l'existence de localisations
motrices
métamériques segmentaires, d'autres l'existence
es métamériques segmentaires, d'autres l'existence de localisations
motrices
en rapport avec les nerfs périphériques. La plu
erfs périphériques. La plupart des recherches sur les localisations
motrices
spinales ont été faites chez les animaux, le ch
ue s'il existait dans l'axe antérieur de la moelle une localisation
motrice
segmentaire, on devrait observer en cli- nique
hie à topographie radiculaire.. D'après Dejerine, les localisations
motrices
médullaires sont des locale sations radiculaire
la for- mation d'un gros tronc nerveux, ne communique pas sa force
motrice
au tronc tout entier, mais uniquement aux fibre
onc définitif des filets nerveux qui naissent des différents noyaux
moteurs
superposés, et des racines qui leur corresponde
nt, une même racine fournira il plusieurs muscles. Ainsi les fibres
motrices
répondant il tel mouvement déterminé sont égale
radiculaires sensi- tives. Faisant le parallèle entre l'innervation
motrice
et l'innervation sensitive, Sherrington a montr
siologistes, il faut rapprocher, dans cette étude des localisations
motrices
radiculaires, les travaux électro-physiolo- giq
nateur. TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. ' ' 605 Tableau de l'innervation
motrice
des nerfs rachidiens 1. 604 SEMEIOLOGIE .DES PA
ares. Les paralysies radicu- laires sensitives pures, sans troubles
moteurs
concomitants, sont excep- tionnelles. Le diag
près leur accident, ils ont généralement disparu., . Les troubles
moteurs
observés dans les paralysies radiculaires trauma-
ES PARALYSIES D'ORIGINE RADICULAIRE. la topographie de la paralysie
motrice
. Or cette bande d'hypocsthésie est souvent fuga
radiculaires, mais de même que les types schématiques de paralysie
motrice
ne se rencontrent pas toujours en clinique, de
- tiques, les troubles de la sensibilité correspondent aux troubles
moteurs
par leur topographie radiculaire. Les troubles
aucuns. Les troubles sensitifs sont moins profonds que les troubles
moteurs
, ils sont moins durables. Ces faits que la clin
eurs cylindres- axes ou du moins leur attrition, d'où une paralysie
motrice
, et que dans . LES PARALYSIES RADICULAIRES. CI9
ndispensable chez l'enfant pour voir la topographie de la paralysie
motrice
. Il existe fréquemment chez les enfants, en mêm
es sensitifs peuvent être beaucoup plus. accusés. que les symptômes
moteurs
, car il est possible que les lésions portent pr
souvent de paralysies d'autres nerfs crâniens (trijumeau. auditif,
moteur
, oculaire externe). Ces divisions sont très schém
l'existence possible de diplégies faciales. Paralysie de la branche
motrice
du trijumeau. Cette paralysie peut avoir une or
matiser les différents types cliniques des paralysies de la branche
motrice
du trijumeau, de même que l'on schématise les d
périphériques, nucléaires et centrales. 1 a paralysie de la branche
motrice
du trijumeau pour conséquence la paralysie des
rygoïdiens sont aussi paralysés. Lorsque la paralysie de la branche
motrice
du trijumeau est bilatérale l'élévation du maxi
s sont paralysés, ainsi dans les paralysies bulbaires, les troubles
moteurs
, la difficulté de la phonation et de la dégluti
yse de la Sem. méd.) a récemment attiré l'attention sur un symptôme
moteur
particulier que l'on observe dans les cas de pa
vérique des cordes. Ceci correspond ELANNOIS.] Fiir. 1. - Centres
moteurs
corticaux (lu larynx (d'après Semon et Horsley).
LARYNX. w au noyau postérieur du pneumogastrique, lés autres fibres
motrices
de ce nerf provenant du noyau ambigu dont la pa
il nous suffira de rappeler que celui-ci se divise Fig. 2. Centres
moteurs
bulbaires du larynx (d'après Semon et Horsley).
ranches dont l'inférieure (nerf laryngé externe) fournit des filets
moteurs
au muscle crico-thyroïdien et dont la supérieure
-roïclicn. On admet généralement que le nerf récurrent est purement
moteur
et qu'il innerve seul tous les muscles du laryn
la branche interne du spinal. Pour certains auteurs l'inner- vation
motrice
du larynx viendrait tout entière de la dixième pa
larynx. C'est là un des points les plus contestés de la pathologie
motrice
du cerveau. Si l'on s'en rap- porte il ce que n
é de lésions du vago-spinal, on a noté des paralysies du facial, du
moteur
oculaire externe, du sympathique, associées ou no
l'atrophie musculaire n'est pas toujours un effet de la para- lysie
motrice
, mais qu'elle en peut être une cause. L'atrophi
e et action trophique, transmises toutes deux par la voie des nerfs
moteurs
, c'est la seconde qui est seule ou primitivemen
hique peut être dû à l'altération en un point quelconque du neurone
moteur
périphérique, neurone qui va de la cellule radi
voir être dû aussi à l'altération en un point quelconque du neurone
moteur
central, c'est-à-dire de la voie pyramidale qui
conduit l'excitation dynamique des cellules corticales aux cellules
motrices
de la moelle; mais sans doute dans ce cas l'altér
par l'intermé- diaire d'une modification pathologique de la cellule
motrice
. Enfin, ce même trouble trophique parait pouvoi
, parfois des. douleurs à caractère fulgurant, une incoor- dination
motrice
plus ou moins intense des quatre membres; un trem
704' Ci ? . - " - -- - rmOPllOESMUSGULA11OES. par les troubles
moteurs
et trophiques, par la cypho-scoliose parfois ex
e qu'on la suppose due à un trouble purement dynamique des cellules
motrices
de la moelle, trouble transmis par la voie des
fois l'atrophie présente une localisation conforme à la topographie
motrice
médullaire et qui paraît bien démontrer son ori
randes cellules de la corne an- térieure et sur les centres vaso-
moteurs
. L'amyotrophie des hémiplégiques est parfois
une paralysie d'origine périphérique. Toutes les lésions des nerfs
moteurs
ou mixtes provoquent des paralysies suivies d'a
: ils manquent cependant à la suite des lésions des nerfs purement
moteurs
, qui sont l'exception, mais existent à la suite
lus violentes et plus persistantes. Le rétablissement des fonctions
motrices
et sensitives peut être complet au bout d'un te
lysies radiculaires totales, on observe la combinaison des troubles
moteurs
, sensitifs et trophiques des deux formes précéden
complet en un ou deux mois. Plus rarement les troubles sensitifs et
moteurs
se développent en quelques jours, plus rarement
ces cas les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les troubles
moteurs
ou inver- sement. L'atrophie musculaire présent
névrites les troubles sensitifs peuvent prédominer sur les troubles
moteurs
ou inversement. Quel que soit le mode de début,
ptômes sont souvent dissociés et uniquement sensitifs ou uniquement
moteurs
(para- lysies amyotrophiques dans les cas de Jo
sont disséminées et intéressent indifféremment les nerfs sensitifs,
moteurs
, mixtes, crâniens, le phréni- que, le pneumogas
e, etc. Dans la grippe des névrites provoquent souvent des troubles
moteurs
ou sensitifs diffus ou localisés avec ou sans a
t fréquente, les troubles sensitifs ne sont pas rares. Les troubles
moteurs
et trophiques peuvent s'étendre aux muscles du
on par l'arsenic se révèle souvent par les symptômes sen- sitifs et
moteurs
d'une polynévrite mixte ; ces troubles atteignent
soit f [A. LÉRI.] 724 ATROPHIES MUSCULAIRES. trophiques, soit
moteurs
; mais tous ces troubles sont souvent isolés di
aigrissement général, de véritables névrites localisées sensitives,
motrices
et trophiques. La question des atrophies muscul
le tabes une dé- générescence et une atrophie des grandes cellules
motrices
. Mais la forme la plus ordinaire de l'amyotroph
ue nous avons cités plus haut ont constaté des lésions des cellules
motrices
de la moelle, et dans les trois observations de
tabétiques reconnaisse pour cause tantôt une atrophie des cellules
motrices
, tantôt une névrite primitive. Mais il est des
le tabes qui certainement en- trent pour une part dans ces troubles
moteurs
et trophiques; ce sont les lésions vasculaires
sidérée comme due à l'inhibition du pouvoir trophique de la cellule
motrice
médullaire; elle résulte presque toujours du dé
troite, sur le muscle à électriscr et plus volontiers sur son point
moteur
. Denoyès (') a constaté que les courants de hau
doit sa tonicité et. que les muscles lisses n'ont d'autre fonction
motrice
que celle du sarcoplasma; or les recherches de
tous les muscles qui doivent se contracter synergiquement un influx
moteur
proportionné au degré nécessaire de leur contract
ctères différents suivant la partie lésée des voies sen- sitives ou
motrices
. L'incoordination ne sera pas d'ailleurs la consé
es sensitives d'une part, voies cérébelleuses, probablement surtout
motrices
, d'autre part, doit avoir pour conséquence l'appa
out d'une sorte de paraplégie tout à fait transitoire, d'un trouble
moteur
fonc- tionnel véritable ; peut-être ce symptôme
lésion des voies sensitives postérieures, une altération des voies
motrices
latérales, elles produisent soit un pseudo-tabes
diphtérique, etc... peu- vent s'accompagner à la fois de symptômes
moteurs
et de symptômes sensitifs, parésies, douleurs f
rveau ne joue à la fois dans la sensibilité et dans la coordination
motrice
qu'un rôle res- treint ; la meilleure preuve en
tive, l'incoor- dination cérébelleuse est essentiellement d'origine
motrice
. Celle diver- gence d'origine donne à l'incoord
II. INCOORDINATION CÉRÉBELLEUSE Origine : trouble de coordination
motrice
par lésion de l'appareil cérébelleux. A. TITUBA
dination, aucun n'a donné les brillants résultats de la rééducation
motrice
: c'est aujourd'hui la vraie méthode de choix d
soux). PRINCIPES GÉNÉRAUX DES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE RÉÉDUCATION
MOTRICE
La rééducation motrice, telle qu'elle était pra
UX DES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE RÉÉDUCATION MOTRICE La rééducation
motrice
, telle qu'elle était pratiquée depuis longtemps
ssifs et PRINCIPES GÉNÉRAUX DES DIFFÉRENTES MÉTHODES DE RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 787 de mouvements actifs, pratiqué méthodiquem
es aveugles. I. Nous négligeons ici les principes de la rééducation
motrice
dans les tics; nous l étudierons il l'arlicle «
Nous avons exposé un peu longuement cette méthode de rééducation
motrice
; les résultats souvent excellents qu'on en peut o
s crâniens, zone où s'entre-croisent les grandes voies sensitive et
motrice
cérébro-spinales, le bulbe présente une séméiolog
ymptômes bulbaires. Au niveau du bulbe se rencontrent les faisceaux
moteurs
direct et croisé, le ruban de Reil, le faisceau c
ons grises con- tinuant à ce niveau les cornes médullaires : noyaux
moteurs
de l'hypo- glosse, du spinal et du pneumogastri
ale également homonyme. b Il existe d'autres variétés de paralysies
motrices
, soit que le faisceau pyramidal se trouve attei
on est une terminaison de la plus grande fréquence. Aux symptômes
moteurs
précédents se superposent, mais avec une import
fois de kératite neuro-paralytique. On a signalé une incoordination
motrice
secondaire aux troubles f sensitifs étendus et
exus symptomatique s'ajoutent le plus habituellement . desaccidents
moteurs
du type cérébral. Ces diffé- rentes altérations
a dysphagie apparais- sent, qui ne rétrocéderont plus. Ces troubles
moteurs
en revanche peu- vent être, nous le verons, des
s de la phonation et de la déglutition l'emportent sur les troubles
moteurs
des membres. Il va de soi que ce malade pourra pr
bation de la motilité qui se caractérise par un excès de l'activité
motrice
et se traduit cliniquement par des accès de con
sont les muscles de la vie végétative qui sont le siège de troubles
moteurs
convulsifs, il est préférable de parler de spas
vent être soigneusement différenciées d'une série d'autres troubles
moteurs
, dont voici les princi- paux. Les contractures
uel mécanisme celles-ci s'effectuent, quel est l'élément du système
moteur
neuro-musculaire qu'il faut ici incriminer. Le
rique. Mais qu'est-ce qui sollicite le système nerveux, les centres
moteurs
Lulbo-spinaux à trop d'activité ? On admet que
ous enseignait que si l'on vient il exciter chez l'ani- mal la zone
motrice
du cerveau d'un côté, dans la région rolandique.
isse le faire prévoir. Mais d'autres fois on note quelques troubles
moteurs
, de l'agitation, des secousses musculaires qui an
rties périphé- riques, soit aux organes, hallucinations, phénomènes
moteurs
des épi- septiques. - 5'ne, Ibis la convulsion
remière convulsion limitée, gagnait par contiguïté tous les centres
moteurs
voisins. D'autres fois, elles sont généralisées
lsives, très semblables à celles de l'adulte : aura le plus souvent
motrice
, lmis phase de convulsions toniques, de convulsio
té le symptôme initial de l'accès et affectent la forme de troubles
moteurs
, sensitifs, sensoriels ou psychiques et viscéraux
ntrer serait longue. Contentons- nous de signaler ici, dans l'ordre
moteur
, les secousses musculaires, les tremblements, l
r de trembler, la lI'élllopllObie (Mcigc) peut accentuer le trouble
moteur
. 6" Évolution du tremblement. Le tremblement pe
nr ! JI(']lle1ts : ce sont, comme l'a montré Brissaud, des troubles
moteurs
dépendant d'une irritation siégeant sur un poin
, il devient capricieux. On peut noter également quelques prodromes
moteurs
, ce sont alors des contractions isolées, des mu
l'affection est alors constituée. A la période d'état, les troubles
moteurs
ont les caractères que nous avons décrits aux m
vements involontaires, on constate dans la chorée d'autres troubles
moteurs
. Nous avons déjà vu qu'il y a rarement inté- gr
ue ces troubles y sont particu- lièrement fréquents. Ces troubles
moteurs
peuvent se présenter sous deux formes, ou bien il
de la chorée paralytique ou chorée molle dans laquelle les troubles
moteurs
dominent la scène : le malade semble paralysé, et
que, qu'il s'a- gisse ou non de la chorée héréditaire. Les troubles
moteurs
n'ont d'autre particularité que de provoquer un
issent par accès et doivent être considérées parfois comme une aura
motrice
ou un équivalent épileptique, quelquefois comme d
un hémiplégique et il en présentera tous les signes. Les troubles
moteurs
, nous l'avons dit, sont plus accentués, il existe
queur. - CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES TICS I. Caractères des réactions
motrices
. - Le tic est un mot- vement-convulsi-1, c'est-
nce également excessive dans le tic en fait une véritable impulsion
motrice
, certains ont mérité d'être dits « tics obsédan
sentiments que, dans leurs sensations mêmes et dans leurs réactions
motrices
, vaso-motrices, secrétoires et viscérales. P11.
er, avec que les images mentales en général, et les représentations
motrices
en particulier, ont chez ces sujets a une intensi
motivité ('). Nous avons insisté, dans l'analyse tant des réactions
motrices
que de l'état mental du liqueur, sur les nombre
e véritable émotion et une certaine angoisse : cette représentation
motrice
revient a la conscience toujours plus intense j
intense jusqu'à ce que le mouvement soit exécuté. )) ( car.vs. Etat
moteur
des aliènes. Revue de psychiatrie, l ! )0 ? ) O
ulièrement importante est celte représentation excessive des images
motrices
riiez des sujets qui présentent le déséquilibre
s, dans ces mêmes cas, on observe une intensité anormale des images
motrices
semblable il celle des tiqueurs. « On peut consid
, est la cause de celle véritable incoordination. Le déséquilibre
moteur
apparaît non seulement dans tous les carac- tèr
geste initial et avec sa cause, mais encore dans tous les troubles
moteurs
que nous avons décrits comme conséquences de l'ét
l mental des tiqueurs : exagération et brusquerie de tous les actes
moteurs
, (\chopraxie, catatonisrne, impulsions et obses
comme aussi indis- pensable il la définition du tic que le trouble
moteur
lui-même ; le mou- vement cOl1Yulsil' ne peut ê
pes : tics psychiques ou obsessions tIC111el1SCS, psycho-moteurs et
moteurs
, suivant que l'acte moteur suit plus ou moins i
essions tIC111el1SCS, psycho-moteurs et moteurs, suivant que l'acte
moteur
suit plus ou moins immédiatement et fatalement, a
un groupe naturel étendu de mala- dies ou les (roubles musculaires (
moteurs
ou trophiques) et les troubles mentaux qui les
entale dans la définition du tic, elle n'est pas tout, le phénomène
moteur
est indispensable, et c'est par un abus de lang
iquement, il est du à une irritation matérielle portant sur le nerf
moteur
dont dépendent les muscles enjeu ou sur un des
sive, la déchéance mentale évolue en même temps que le déséquilibre
moteur
. La chorée électrique de Dubini, très rare, se
d et ses élèves, Meige et L'cinclel. Elle comprend ; la rééducation
motrice
et la psychothérapie. La rééducation motrice co
prend ; la rééducation motrice et la psychothérapie. La rééducation
motrice
comporte des exercices de gymnastique raisonnée
le passait jusque-là pour un adjuvant. Les exercices de rééducation
motrice
applicables aux tiqueurs compren- nent, dans la
Tous ces exercices constituent une méthode de « discipline psycho-
motrice
» ; « à l'inverse des méthodes d'éducation physiq
eproduire. » De plus, on doit s'efforcer de maîtriser les réactions
motrices
et les contractions musculaires excessives, qui
tic, mais au niveau de tous les muscles, en vertu d'un déséquilibre
moteur
général. On doit s'efforcer aussi de développer
ue ce qui est altéré ce n'est ni le muscle, ni le nerf ou le centre
moteur
, mais bien le contrôle corti- cal volontaire.
YNONYMIE On a donné le nom de crampes fonctionnelles à des troubles
moteurs
très variés qui n'ont comme caractère commun qu
terme « spasme » suppose une irritation organique du tronc nerveux
moteur
ou d'un point d'un arc réflexe, et le terme « név
le seul qui ne préjuge en rien ni de la forme clinique des troubles
moteurs
ni de leur pathogénie : or ces troubles nous pa
A) Crampe des écrivains. On désigne sous ce nom tous les troubles
moteurs
qui ne surviennent que dans l'acte d'écrire et qu
nnellement survenir chez ceux qui écrivent fort peu. Ces troubles
moteurs
peuvent se présenter sous des formes extrême- m
ampe des écrivains; elles n'ont qu'un point commun, le déséquilibre
moteur
et, comme résultat, l'impossibilité d'écrire.
de raideur. Les caractères de début et d'évolution de ces réactions
motrices
, les phénomènes qui s'y trouvent associés, le t
ils diffèrent tout autant chez les divers sujets que les réactions
motrices
elles-mêmes. Dans la grande majorité des cas, l
ues sont plus ou moins apparents; dans cer- tains cas, les troubles
moteurs
apparaissent nettement comme la consé- quence d
on de la volonté et de Vémotivilé, comme une ahou- lie, une amnésie
motrice
. Par tous ces caractères on peut dire que les c
é des cas, le seul traitement vraiment t eflicace est Inrééducation
motrice
, la gymnastique rationnnello. passive et active
s, du vitiligo, de l'hyperkératose, sans compter les troubles vaso-
moteurs
, les viciations de la sécrétion sudorale et les a
crotisme du pouls, puis de souffles cardiaques et de troubles vaso-
moteurs
. La tension artérielle semble a priori abaissée
les lésions péri- phériques, mais dans ce dernier cas aux accidents
moteurs
se superpo- sent des troubles de la sensibilité
que (diphtérie, angines diverses), souvent accompagnée de .troubles
moteurs
généralisés. La paralysie peut êtrè unilatérale :
La paralysie ou l'atrophie des muscles innervés par un des nerfs
moteurs
des doigts ou la contracture de leurs antagoniste
est totale ou partielle. Le domaine musculaire de plu- sieurs nerfs
moteurs
peut être atteint en même temps totalement ou p
e Babinski caractéristique de la syphilis (Vaquez). La paralysie du
moteur
oculaire commun survenant subitement, est égale
s sphincters sont presque toujours intacts et, comme troubles vaso-
moteurs
, on ne peut que signaler les syncopes et les accè
érébral, l'absence habituelle de rétraction du ventre, de paralysie
motrice
des membres, de parésie vaso-motrice, sphinctérie
ite par Loepcr, dans laquelle font complètement défaut les troubles
moteurs
convulsifs ou paralytiques et la stase papillaire
r sa durée, plus longue, l'absence de paralysies, de troubles vaso-
moteurs
,, de température, du coma apoplectique, compliqué
'accumulateurs. On augmente ainsi progressivement la force électro-
motrice
prise sur la batterie. L'intensité du courant aug
va- nique sont de différents ordres et se manifestent sur les nerfs
moteurs
et sur les muscles, sur les nerfs sensitifs, su
élec- trotoniques et des effets dits catalytiques, Sur les nerfs
moteurs
et sur les muscles, le courant galvanique, dans
qucs. Il y a lieu de croire que ces effets d'excitation des organes
moteurs
sont en grande partie dus il l'action sur les n
organes moteurs sont en grande partie dus il l'action sur les nerfs
moteurs
ou sur les muscles des pro- duits de l'électrol
.COURANT GALVANIQUE CONTINU. 211 On observe encore sur les nerfs
moteurs
des effets du courant gaha- nique constant ayan
rant descendant est celui qui suit la direction de l'influx nerveux
moteur
; il est réalisé lorsque le pôle positif est placé
rant. - . Les nerfs sensitifs seraient donc soumis, comme les nerfs
moteurs
, aux modifications de l'électrotonus. Ils diffè
teurs, aux modifications de l'électrotonus. Ils diffèrent des nerfs
moteurs
en ce sens qu ils paraissent davan- tage exci
ent élevée, se manifeste par la contraction du muscle. Sur un; nerf
moteur
, cette excitation se traduit par la contraction d
des états V : 11tL11tLES de fermeture et d'ouverture sur les nerfs
MOTEURS
ET sm LES MUSCLES. Pour le moment, nous nous oc
le moment, nous nous occuperons seulement de l'excitation des nerfs
moteurs
et des muscles, et nous exposerons les résultats
t en état permanent, puis au moment de l'ouverture. Sur les nerfs
moteurs
, l'excitation produite peut être résumée par le
alvaniques normales correspondent sen- siblement à celles des nerfs
moteurs
; elles ne s'en distinguent que par de faibles d
ire par l'action de pèles virtuels. Fie. 21 (d'après Erb). Points
moteurs
de la tête et du cou. -1. 1. Muscle- frontal;
Court fléchisseur du pouce; 28. Adduc- teur du pouce. 11. Points
moteurs
du membre supérieur (face postérieure). -1. Delto
uellement l'examen avec ce pôle. Fin. 25 (d'après Erb). A. Points
moteurs
de la cuisse (face antérieure). 1. Nerf crural; -
(point commun); 10. Droit antérieur; 11. Vaste externe. B. Points
moteurs
du membre inférieur (face postérieure). -1. \erf
échisseur commun des orteils; 16. Nerf tibial postérieur. C. Points
moteurs
de la jambe (face anti;ro-estcrne). 1. Jambier an
s A LGLECTRO-DL1G\OSTIC et au traitement f Pour exciter les nerfs
moteurs
et les muscles striés avec les courants faradiq
Dans l'application des courants faradiques, pour exciter les nerfs
moteurs
ou les muscles en vue du traitement ou en vue de
e polaire, il y a parfois avantage pour la faradisa- tion des nerfs
moteurs
, aussi bien au point de vue de l'lleetro-ùiagi1¡)
courants un peu plus forts, il s'y ajoute des excitations des nerfs
moteurs
et des muscles, surtout lorsque l'électrode exc
l'électrode excitatrice se trouve à la hauteur des points électro-
moteurs
; avec des courants encore plus forts, l'excitati
es. p . 1238 APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. davantage aux nerfs
moteurs
et aux muscles et plus particulièrement à ceux
oesthésie qui existe. Ces courants forts peuvent agir sur les nerfs
moteurs
et sur les muscles, soit au niveau de l'électrode
adique est employé dans certaines conditions pour exciter les nerfs
moteurs
et les muscles striés. Il pré- sente surtout de
ffections du système nerveux et dans les affections de l'appa- reil
moteur
, l'excitabilité faradique et l'excitabilité galva
énie et l'hystérie, alors même qu'elles donnent lieu à des troubles
moteurs
plus ou moins accentués. Il en est de même dans u
lièrement dans celles qui atteignent plus spécialement les neurones
moteurs
cen- traux. Il en est parfois de même dans les
quinzaine d'années sous les dénominations de déplacement des points
moteurs
, réaction de dégénérescence à distance, ou modi
souvent elle prédomine sur l'excitation produite au niveau du point
moteur
; de plus, elle se montre aussi altérée qualitat
Dans les maladies du système nerveux qui portent sur les neurones
moteurs
périphériques et se développent en suivant un pro
vue du diagnostic. Elle indique qu'il existe des lésions du neurone
moteur
périphérique. File ne permet pas de reconnaître
sances, si les lésions ont pour origine les cellules des neu- rones
moteurs
(cornes antérieures de la moelle, noyaux du bulbe
x du bulbe et de l'isthme de l'encéphale), ou les racines nerveuses
motrices
qui en partent, ou les fibres nerveuses dans le
ue la DR est une expression symptomatique de lésions des neu- rones
moteurs
périphériques, il est facile de voir dans quelles
ême dans des cas d'hémorragie ou de ramollis- sement, si les noyaux
moteurs
de ces nerfs ou les fibres radiculaires qui en
rigine articu- laire ou on n'observe pas la DR. Dans les troubles
moteurs
des névroses, hystérie, neurasthénie, chorée, m
é, dans les paralysies 1. Dans certains cas de lésions des neurones
moteurs
périphériques susceptibles d'en- traîner de la
ensitifs une formule d'excitation assez semblable à celle des nerfs
moteurs
. Ils ont vu ainsi que les effets d'excitation des
dant l'exploration électro-diagnostique de l'excitabilité des nerfs
moteurs
et des muscles, on a besoin de [«rendre une notio
vec une. même force électro- RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE DU CORPS. 1285
motrice
sur l'un et l'autre point. La comparaison ainsi f
de la résistance n'est pas constante, même avec des troubles vaso-
moteurs
accentués. Dans la poliomyélite antérieure aigu
ace les maladies qui portent plus particulièrement sur les neurones
moteurs
centraux, soit dans l'encéphale, soit dans la moe
s les maladies qui portent plus parti- culièrement sur les neurones
moteurs
périphériques, soit au niveau des cellules de c
Dans ce second groupe nous ferons entrer des maladies de l'appareil
moteur
atteignant plus particulièrement les muscles.
DÉPENDANT DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREMENT SUR LES NEURONES
MOTEURS
CENTRAUX DANS L'ENCÉPHALE ET DANS LA MOELLE C
ctions atteignant plus spécialement dans l'encé- phale les neurones
moteurs
centraux nous prendrons les paralysies par hémo
ux manifestations symptomatiques dépendant des lésions des neurones
moteurs
centraux s'ajoutent parfois des manifestations dé
s, radiculaires. ou funicu- laires, telles que paralysies des nerfs
moteurs
du globe oculaire, paralysie faciale, etc. ; le
DÉPENDANT DE LÉSIONS PORTANT PLUS PARTICULIÈREMENT SUR LES NEURONES
MOTEURS
PÉRIPHÉRIQUES Les aflections atteignant plus pa
RIQUES Les aflections atteignant plus particulièrement les neurones
moteurs
périphériques bénéficient en général beaucoup p
ement par l'électricité que les affections portant sur les neurones
moteurs
centraux. Pour éviter des redites trop nombreus
lquefois tardivement à traiter lés atrophies muscu- et les troubles
moteurs
laissés par des poliomyélites, qui n'ont pas en
t parfois se produire des complications occa- sionnant des troubles
moteurs
qui ressemblent beaucoup à ceux de la poliomyél
aiguë avec manifestations symptomatiques prédominant dans la sphère
motrice
et qui affectent ainsi une ressemblance plus ou
ins atrophiés, soit que dès le début les cellules de leurs neurones
moteurs
périphériques aient été aussi lésées, comme dans
a donné le nom de cellulo-névritcs, soit que les lésions des nerfs
moteurs
aient été primitivement intenses et aient entraîn
es et aient entraîné consécuti- vement des altérations des cellules
motrices
des cornes antérieures. Dans certaines polynévr
es, etc., prennent une assez grande importance, il côté de troubles
moteurs
assez prononcés aussi parfois, plus effacés d'a
e vertébrale et l'autre sur les parties des membres où les troubles
moteurs
et sensitifs sont prédominants; le bain électrode
ter définitivement le traitement électrique. Paralysies des nerfs
moteurs
du globe oculaire. Dans le traite- ment de ces
ossibles. Affections à processus chronique portant sur les neurones
moteurs
périphériques. Les paralysies et les atrophies
t les atrophies musculaires qui résul- tent de lésions des neurones
moteurs
périphériques et qui se développent plus ou moi
ne dystrophie primitive des muscles et non de. lésions des neurones
moteurs
périphériques comme les atrophiées musculaires
ont dues il des névrites avec lésions s'étendant aussi aux neurones
moteurs
; l'examen électro-diagnostique fait généralement
névralgies. Dans les névralgies avec névrites, lorsque les neurones
moteurs
sont atteints et qu'il existe de la DR plus ou
e aussi en considération le traitement de ces troubles de la sphère
motrice
. Pendant la période aiguë de la névralgie le trai
comme il a été indiqué pour le traitement des lésions des neurones
moteurs
périphériques. Les indications précédentes, don
s atténuées, tandis que d'autres montrent des troubles sensitifs et
moteurs
plus ou moins prononcés el suivent une évolutio
riphériques où se manifestent les douleurs. Contre l'incoordination
motrice
on a cherché a agir moins sur les mus- des eux-
musculaires et présence de la DIS indiquant l'atteinte des neurones
moteurs
périphériques, il y a lieu d'ap- pliquer le tra
t déjà indiqué contre ce genre de lésions. Les paralysies des nerfs
moteurs
des globes oculaires sont assez 1'1'1 ? quentes
u traitement des troubles qu'elle entraîne par lésions des neurones
moteurs
périphériques. Les troubles dus aux lésions des
re et circmn-orhitaire, on reporte la petite électrode sur le point
moteur
de l'orbiculaire des pau- pières. On a eu soin
uscles sterno-hyoïdien et stemo-thyroïdien en excitant leurs points
moteurs
. Ce troisième temps dure de 5 à 5 minutes. Dans
Apraxie idéo-motrice de Liepmann, 22'2. idéatoire de Pick, 22a.-
motrice
de Kleist, 225. Aran-Duchenne (Svndrome -), 6
Centres de réception corticaux de la sen- sibilité générale, 277.
moteurs
cor- licaux, 595, 594. du larynx, 1157. Centr
ale, 277. moteurs cor- licaux, 595, 594. du larynx, 1157. Centres
moteurs
bulbaires du larynx, 658. nerveux. Percussion e
. Pénétration des ions, 1208. Effets physiologiques sur les nerfs
moteurs
et sur les muscles, 1210. Électrotonus, 1211. E
s des états va- riables de fermeture et d'ouverture sur les nerfs
moteurs
et sur. les muscles,. méthode d'excitation pola
Dermatoses neu1'otl'ophiques, 915. Déviations conjuguées, d'origine
motrice
, 79. d'origine sensorielle, 80. - Para- lysie
adies de l'encéphale et de la moelle, 1288, - Maladies des neurones
moteurs
périphériques, 1295. Électrodes, 1201. Dimens
es -effets de l'état variable du courant galvanique, 1219. Points
moteurs
, 1220. Re- cherche du seuil de l'excitation, in
leurs centraux. Hémiplégie cérébrale, 1288. ? Maladies des neurones
moteurs
périphériques, 1295. Poliomyélite, 1296. Poly
loration de la motilité intrinsèque, 22. - paralysies des muscles
moteurs
, 58. Glossy-skin, 111a. Goitre exophtalmique.
entrales, z de la vue, de l'ouïe, du goût, cénes- thésiques, 258.
motrices
, 259. Valeur séméiologique, 240. Hématémèses
aies, 1 146. Innervation cutanée, topographie radi- culaire, 520.
motrice
des nerfs . rachidiens, 605. Insomnie, z. -.
Recherche, 481. - Valeur séméiologique, 482, 485. Kleist (Apraxie
motrice
de -), 225. Klippel (Atrophie numérique de -),
979. Traitement électrique des paralysies, 1509. Larynx. Centres
moteurs
corticaux, 657. centres moteurs hulhaires, G58
paralysies, 1509. Larynx. Centres moteurs corticaux, 657. centres
moteurs
hulhaires, G58 ? Maladies, 036. TIIOVBLES seksi
(Syndrome de -), 508. - pied bot, 1052. Localisations corticales
motrices
, 592, 597. - radiculaires motrices. 599. Lomb
1052. Localisations corticales motrices, 592, 597. - radiculaires
motrices
. 599. Lombaire (Syndrome - des lésions mé- du
lgie, 587. - Injection d'alcool, 425. - médian, paralysie, 652. -
moteur
oculaire commun, pa- ralysie, 69. et parahsie d
riculaires, 128. - -, névralgie, 586. - ? paralysie de la branche
motrice
, 627 f Nerfs, lésions, atrophies musculaires co
urs émergences avec les apophyses épi- neuses, 527. , innervation
motrice
, 605. - Rapports entre leurs émergen- ces méd
des paupières. Voy. Gndoplilalnaie. paralytique. - de la branche
motrice
du trijumeau, Ü 2'i. - du moteur oculaire ext
paralytique. - de la branche motrice du trijumeau, Ü 2'i. - du
moteur
oculaire externe d'origine auriculaire, 145.
ine pé- . rijihérique, atrophies consécutives, 71o. - des muscles
moteurs
des globes ocu- laires. Symptômes. Strabisme, 5
par lésion des centres et voies supra-nucléaires, 77. - Troubles
moteurs
oculaires associés. Dé- viations conjuguées, 79
tions quantitatives et qualitatives, 1247. - Déplacement des points
moteurs
, 1248. - Formes de la réaction par- tielle, 1
cices du tronc, 795. - Exercices des mem- bres supérieurs, 796. -
motrice
des li- qUC1l1'S, 895. Réflexe abdominal, 454
e mâchonne- ment, z. - Diagnostic, 891. - Traitement. Rééducation
motrice
des tiqueurs, 895. - Gymnastique respira- toi
s affections des nerfs, 351. - dans l'hystérie, 355. - médullaire
motrice
, 598. - nwnopleyique des troubles de la sen-
ide céphalorachidien, M 55. - ol)h- talmique, 955. Zone corticale
motrice
, 595. 62590. - Imprimerie LAnutOE, 9, rue de Fl
rémité supérieure de cette circonvolution est occupée par les centres
moteurs
(A) du membre supérieur du côté opposé. Des sil
n pariétale ascendante. Dans une partie de ce lobule réside le centre
moteur
du membre supérieur (À), qui s'étend jusqu'à l'ex
nes antérieures de la substance grise de la moelle épinière (cellules
motrices
). — Dimensions, forme, corps, noyau, nucléole, pr
otoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des cellules nerveuses
motrices
de la moelle avec les cellules pyramidales. Cel
es de la substance grise de la moelle épinière, dites encore cellules
motrices
. La descrip-tion abrégée que je vais vous tracer
d'une façon spéciale plus d'une analogie remarquable. Les cellules
motrices
sont des cellules sans membrane dis-tincte dont l
anatomistes. Il consiste en ce que la plupart des cellules nerveuses
motrices
, toutes, peut-être, possèdent, en outre des prolo
els sont, Messieurs, les principaux caractères des cellules nerveuses
motrices
spinales; il est temps de mettre en regard d'elle
t de manière à rappeler des prolongements de protoplasma des cellules
motrices
spinales. Ces prolongements se résolvent-ils dans
rolongement spécial analogue au prolongement cylindrique des cellules
motrices
spinales. C'est, dans un cas comme dans l'autre,
ndes cellules et les cellules géantes — et d'autre part, les cellules
motrices
des cornes antérieures et ces analogies, déjà pre
on, le département des cellules pyramidales gi-gantesques ou cellules
motrices
par excellence. 11 comprend la circonvolution fro
cellules dans les points désignés par Fritsch et Uitzig comme centres
moteurs
, autrement dit dans les parties quiavoisinent l
s derniers traits permettent de les rapprocher des cellules nerveuses
motrices
des cornes antérieures de la moelle épinière. L
ts de protoplasma, les prolongements ner-veux, attributs des cellules
motrices
. Il paraît naturel de se demander si ces cellul
rir du développement et de donner de la sorte naissance à des centres
moteurs
supplémentaires, destinés à remplacer les centres
vent se reproduire dans un mem-bre, malgré la destruction d'un centre
moteur
, phénomène dontla guérison plusieurs fois constat
dans les Archives de physio-logie, 1874.) placer les fameux centres
moteurs
et c'est là aussi que la cli-nique, avec le secou
mnes. les expériences de Ferrier sur le singe, le siège des centres
moteurs
des membres. Vous voyez, d'après la distribution
cérébrale peut être dite cen-trale, pour la distinguer des paralysies
motrices
qui résultent quelquefois de la lésion de certain
très bas du côlé du pédoncule, ces lésions déterminent une paralysie
motrice
qu'accompagne à peu près nécessairement la contra
in mixte, la paralysie du sentiment s'accompagnera d'une hémiplégie
motrice
plus ou moins accentuée. Mais il peut arriver que
par com-pression. L'effet produit sera une hémiplégie, exclusivement
motrice
, du côté opposé du corps (Fig. 22). Tantôt, s'éte
a-nesthésie cérébrale viendront se surajouter à ceux de l'hémiplé-gie
motrice
. Les deux figures 24 et 25 vous permettront faci-
econnu pendant la vie les symp-tômes susdits, à savoir : L'hémiplégie
motrice
avec hémianes-thésie et post mortem l'existence d
ne cicatrice linéaire ochreuse, l'hémianesthésie et même la paralysie
motrice
, mal-gré la destruction d'une partie du noyau len
ement ; le plus souvent, il s'y associe un certain degré de paralysie
motrice
: celle-ci, au contraire, se montre seule, sans a
me temps que les membres d'un côté du corps sont frappés d'hémiplégie
motrice
et, quel-quefois, aussi, d'anesthésie. Rien de mi
de déterminer, en même temps que l'hémiopie latérale, une hémiplégie
motrice
, et peut-être, en outre, l'hémianesthésie. Une lé
nfluence des lésions de ces régions sur la production de l'hémiplégie
motrice
. — Faits expérimentaux. — Concordance entre eux e
ux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : impuissance
motrice
, contrac-ture permanente. — Atrophie musculaire p
cours de ces leçons (Leçons VIII et IX, p. 92-93), que l'hémiplégie
motrice
vulgaire, sans accompagnement de troubles de la s
ent le tractus blanc (capsule interne), donnent lieu à une hémiplégie
motrice
non seule-ment très prononcée, mais encore de lon
ion cen-trifuges et qu'elles transmettent à la périphérie l'influence
motrice
développée soit dans l'écorce grise du cerveau, s
es chez les ani-maux. On sait depuis longtemps (1) que les troubles
moteurs
pro-duits chez la plupart des animaux par la dest
n, et. à plus forte raison chez un reptile, ne produit pas de trouble
moteur
qu'on puisse comparera une hémiplégie. Les choses
lation, chez le chien, de la sub-stance grise dans les ré-gions dites
motrices
de l'écorce cérébrale déter-mine une parésie temp
Veyssière, opérant la section de la capsule interne. une paralysie
motrice
bien dessinée et qui rappelle l'hémiplé-gie qu'on
e, comment le noyau lenticulaire, le noyau caudé et les régions dites
motrices
de l'écorce grise des hémisphères, pourront se su
que les foyers qui détruisent, dans une certaine éten-due, les fibres
motrices
de la capsule interne ont pour consé-quence à peu
lement une des causes prin-cipales de la persistance de l'impuissance
motrice
, dans les cas qui nous occupent. Il faut égalemen
sur le terrain de la clinique. On sait, en effet, que l'impuis-sance
motrice
, une contracture passagère d'abord, puis per-mane
, vous distinguez : 1° les cornes antérieures avec les cellules dites
motrices
et l'origine des racines antérieures; — puis les
intéressent nécessairement l'appareil des grandes cellules nerveuses
motrices
. Ainsi, voilà, de par l'anatomie pathologique,
lus tard, ces faisceaux seraient en relation directe avec les régions
motrices
de l'écorce du cerveau. Or, ces régions elles-mêm
sure, réunissant les parties du cerveau, présidant aux déterminations
motrices
volontaires avec les parties de la moelle présida
e chien; tandis que, par contraste, ces régions excitables ou centres
moteurs
existent déjà, d'après les observations de ïarcha
e où elles entrent pro-bablement en rapport avec les grandes cellules
motrices
. III. Maintenant, Messieurs, nous devons essa
tes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions dites
motrices
qui se dévelop-pent les premières. Messieurs,
la protubérance, soit, par exem-ple, au niveau de l'origine des nerfs
moteurs
oculaires com-muns. Reconnaissons d'abord les par
sont disposés des groupes cel-lulaires où prennent racines les nerfs
moteurs
oculaires com-muns. En avant de ce point, on dist
ent, vous le voyez, à la région que l'on dési-gne sous le nom de zone
motrice
. (Lobule paracentral, extré-mité supérieure des c
stance grise des circonvolutions rolandiques, autrement dit des zones
motrices
. Somme toute, je vous le répète, il n'y a guère q
es les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont 'les régions dites
motrices
qui se développent les premières, se mettent en r
dé-génération du faisceau pyramidal dans un cas de lésion des centres
moteurs
hémisphériques. — B, dégénération du faisceau dir
Importance de la connaissance des plis du cerveau. -- Circonvolutions
motrices
. — Vicq d'Azyr (1785). Rolando (1829). Lèuret (18
ignées depuis les travaux de Hitzig et Férrier sous le nom de centres
moteurs
, c'est-à-dire dans la substance grise des circonv
mis de localiser les régions dites psycho-motrices ou plus simplement
motrices
; et je sai-sis l'occasion de vous faire remarque
de vous faire remarquer en passant, que cette dénomination de centres
moteurs
n'implique dans mon esprit aucune idée physiologi
régions de l'écorce du cerveau dont la lésion occasionne des troubles
moteurs
dans certaines parties déterminées du côté opposé
fibres musculaires. — A, Cellules géantes des circonvo-lutions dites
motrices
. — B, Cylindres axes. — C, Cylindres axes recouve
té entre l'extrémité terminale des fibres pyramidales et les cellules
motrices
multipolaires ; il est même très vrai-semblable—
phie et même la dispari-tion complète d'un certain nombre de cellules
motrices
. M. Hallopeau, dans le service de M. Vulpian, a
aines et en nombre normal.— B, corne antérieure gauche ? les cellules
motrices
ont disparu, sauf la partie la plus externe et à
. 17 lysie et hyperesthésie ; de l'autre côté, absence de paralysie
motrice
, mais anesthésie) (4), L'autopsie démontre que la
s cornes antérieures où elles se mettent en rapport avec les cellules
motrices
. Mais il possible que quelques-unes d'entre elles
nes anté-rieures, et plus précisément encore, dans les cellules dites
motrices
. 2° En est-il de même pour les racines postérie
u chien, vous rappeler ce que nous avons déjà dit des circonvolutions
motrices
de cet animal. Quelles sont les parties homologue
reconnu, à la surface du cerveau du chien, des régions excitables et
motrices
qui, fonctionnellement, ont la même signification
a même signification que les circonvolutions rolandiques. Ces régions
motrices
du chien sont, en quelque sorte, groupées autour
s'agissait chez l'homme d'une lésion portant sur un point des régions
motrices
. A cet égard il me suffira de vous citer quelques
Pitres : « Chez le chien unohésion corticale siégeant dans la zone
motrice
peut être suivie de dégénération secondaire de la
, c'est-à-dire les éléments cellulaires ganglionnaires, sont les unes
motrices
ou kinésodiques ; les autres, destinées à la tran
régions de la moelle où elles entrent en connexion avec les cellules
motrices
, par l'intermédiaire d'une disposition anatomique
aisceaux antéro-latéraux peuvent-ils être rapprochés encore des nerfs
moteurs
par leurs autres pro-priétés ? — Non pas absolume
ns antéro-latéraux, et par eux seulement, que passent les incitations
motrices
vo-lontaires. Il n'y a pas ici, comme pour la sen
ar le malade lui-même. —Actuellement, il existe encore une para-lysie
motrice
complète, absolue, ou peu s'en faut, de tout un c
er? Ou, inversement, est-il pour tou-jours condamné à une impuissance
motrice
le privant de l'u-sage régulier de ses membres? E
ment la persistance indéfinie plus ou moins complète de l'impuissance
motrice
dans les membres paralysés. Ainsi, vous le voye
depuis longtemps qu'il fait habituellement défaut dans l'impuissance
motrice
liée au tabès ataxique, à la paralysie de cause c
paire, se réfléchit sur le muscle triceps par la voie de la racine
motrice
correspondante qui n'est autre qu'une des princip
ourcissement actif incessant, et qui ne disparaît que lorsque le nerf
moteur
correspondant a été sectionné. La contraction ton
e en contraction n'est repré-sentée que par 4, 28 °/0. Quand, le nerf
moteur
étant coupé,' la tonicité du muscle est abolie, l
ncessante sur tous les muscles où elle produit, par la voie des nerfs
moteurs
, le tonus musculaire ... Cette action continue de
extrémités des fibres nerveuses du faisceau pyramidal et les cellules
motrices
de la corne correspondante. Ces connexions sont t
s'affectent à leur tour. Or, cette lésion, communi-quée aux cellules
motrices
, serait purement dynamique ; elle ne correspondra
, etc.) quirobsèdent déjà depuis plusieurs années. L'incoor^-dination
motrice
ne s'est déclarée cependant que depuis huit ou di
ltiques tendineux et cutané dans l'ataxie locomotrice. — A, cellule
motrice
de la moelle épinière. --E,E, cellules aesthésodi
utané conservé intact daps l'ataxie. — K, racine antérieure ou nerf
moteur
. — T, segment postérieur ou centri-pète de l'arc
rcs diastaltiqu.es tendineux et cutanés dans l'hystérie. —A, cel-lule
motrice
de la moelle épinière. -- E,E, cellules aisthésod
eur centripète de l'arc diastalti-que. — E, racine antérieure ou nerf
moteur
. — P,A,M, arc diastaltique cutané affecté dans l'
erminales des fibres nerveuses du faisceau pyra-midal et les cellules
motrices
des cornes antérieures, dans toute la hauteur de
retentit sur l'élément ganglionnaire. Ainsi communiquée aux cellules
motrices
, cette lésion serait purement dynamique, ne s'acc
reconnaître qu'il ne reste pas localisé dans l'élément ganglionnaire
moteur
. Il s'étendrait par diffusion aux autres éléments
eraient touchées à leur tour d'une façon analogue. Or, les cellules
motrices
ou kinésodiques et les cellules sensitives on œst
ression de la moelle épinière. Considérons exclusivement les troubles
moteurs
et admettons qu'ils ou-vrent la scène. Cela, d'ai
e, résultat évident de l'interruption des conducteurs des incitations
motrices
dans les cordons antéro-latéraux et plus particul
entale, qu'une lésion transverse hémilaté-rale, produit une paralysie
motrice
aussi bien dans le membre opposé que dans le memb
ce grise. — Transmission des impressions sensitives et des impulsions
motrices
. Les lésions systématiques de la substance gris
gé pour la transmission des impressions sensitives et des impressions
motrices
volon-taires ou réflexes ; de telle sorte que, si
paraissent destinées exclu-sivement à la transmission des impulsions
motrices
et n'ont aucun rapport avec la sensibilité. II.
fondamentaux du groupe : 1° Les muscles sont frappés d'impuissance
motrice
. La para-lysie est plus ou moins complète; mais —
toire considérer la subs-tance grise elle-même, mais encore les nerfs
moteurs
qui y prennent origine, et aussi les muscles stri
hysiologiquement, elles représentent un sys-tème. La cellule nerveuse
motrice
, avec ses prolongements multiples, peut être à la
elui qui met l'organe cellulaire en continuité directe avec les nerfs
moteurs
, de telle sorte que le tube nerveux moteur, dans
é directe avec les nerfs moteurs , de telle sorte que le tube nerveux
moteur
, dans sa partie essentielle qui est le cylindre a
ndre axile, n'est qu'une émanation de la substance même dè la cellule
motrice
. Aujourd'hui, l'on sait en effet que, par son ext
capitale, lejour où il a démontré que chez les tardigra-des, le nerf
moteur
se termine par un filament unique au niveau d'u
çais, anatomiquement par-lant, une solidarité intime entre la cellule
motrice
, le nerf moteur et la fibre musculaire; en réalit
ent par-lant, une solidarité intime entre la cellule motrice, le nerf
moteur
et la fibre musculaire; en réalité, on peut les c
ôté, quant à présent du moins, qu'une lésion des muscles ou des nerfs
moteurs
puisse retentir sur l'élément ganglionnaire et en
a paralysie des membres supérieurs, caractérisée par de l'impuissance
motrice
, des con-tractions fibrillaires et de la raideur.
l a fait une remarque absolument identique ; il signale l'impuissance
motrice
très prononcée des membres inférieurs, avec conse
e, la grande distance qui sépare les pyramides antérieures des noyaux
moteurs
, on est bien obligé d'admettre que la sclérose du
rnes antérieures de la substance grise de la moelle épimère (cellules
motrices
). — Dimensions, forme, corps, noyau, nucléole, pr
otoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des eellules nerveuses
motrices
de la moelle avec les cellules pyramidales. Cel
nfluence des lésions de ces régions sur la production de l'hémiplégie
motrice
. — Faits expérimentaux. — Concordance entre eux e
ux latéraux. — Symptômes liés aux scléroses secondaires : impuissance
motrice
, contrac-ture permanente. — Atrophie musculaire p
tes les régions du manteau de l'hémisphère, ce sont les régions dites
motrices
qui se dévelop-pent les premières............,...
Importance de la connaissance des plis du cerveau. — Circonvolutions
motrices
. - Vicq d'Azyr (1785). Rolando (1829). Lèuret (18
aire. — Indépendance des arcs diastaltiqucs réflexes. ¦— Ataxie loco_
motrice
; hystérie avec hémianesthésie : hémiplégie de ca
ce grise. — Transmission des impressions sensitives et des impulsions
motrices
. Les lésions systématiques de la substance gris
anglionnaires ou pyrami-dales, 21 ; — Leur analogie avec les cellules
motrices
de la moelle épinière, leur structure, leurs pro-
22, etc. ; — géan-tes, 23, 31, 34, 41, 233, 235 ; — araignées, 25 ; —
motrices
anté-rieures, 19, 244 ; — kinésodiques, 284 ; — œ
ures, 19, 244 ; — kinésodiques, 284 ; — œsthésodiques, 284. Centres
moteurs
, 11, 42; — leur développement, 213. Centre oval
sme, la suggestion, ou les délires plus accentués de LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 47 possession en rapport avec un dédoublement
à la persistance de l'obsession. THÉRAPEUTIQUE. La Rééducation
motrice
dans les maladies du sys- tème nerveux. Ses app
a pratique des maladies nerveuses qui ne connaisse la rééducation
motrice
et ne sache que, grâce à cette méthode, il est dé
de cette grosse question. Nous parlerons d'abord de la rééducation
motrice
en général, nous chercherons à la définir, à mo
hui de conduire la réédu- cation des ataxiques. I. La Rééducation
motrice
. Ce n'est qu'au siècle dernier que les progrès
es, mais leur emploi était demeuré tout empirique. LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 49 Vers 1820, l'École suédoise, avec Ling et s
incipe et se proposaient alors le même but : développer les organes
moteurs
, afin d'aug- menter et de perfectionner leurs f
e déficit dus à la destruction plus ou moins com- plète des organes
moteurs
; tous les efforts des médecins tendaient à la
te idée nouvelle que si les deux termes organe et fonction, système
moteur
et mou- vement, sont évidemment dans une étroit
odifier dans une large mesure. Considérant, par exemple, le système
moteur
d'un homme de développement moyen, l'observatio
les caractères morphologiques et l'apparence extérieure des organes
moteurs
ne se sont pourtant pas modifiés, c'est leur i-
; les muscles ne représentent que la partie inférieure du système
moteur
neuro-musculaire, ils ne font qu'obéir passivemen
est que, sous l'influence de l'exercice bien dirigé, si les organes
moteurs
paraissent être demeurés les mêmes, leurs fonct
s, leurs fonctions se sont singulièrement modifiées. LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 51 Une pareille idée jetait un jour tout nouve
pas les effets possibles de l'éducation physique et de l'éducation
motrice
en particulier, mais ce n'était guère que les i
çaient d'en faire bénéficier; pour les malades atteints de troubles
moteurs
on cherchait surtout à atteindre et reconstitue
t d'abord que les idées que nous avons exposées sur l'éduca- tion
motrice
ne se sont précisées que peu à peu et n'étaient
ure a favorisé cette susceptibilité de reconstitution des fonctions
motrices
: c'est ce qui arrive chez les hémiplégiques, p
ires, mais, s'ils faisaient ainsi jusqu'à un certain LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 53 point de la rééducation, c'était inconsciem
'ataxie des tabétiques, mais encore à diffé- rents autres syndromes
moteurs
; enfin, après avoir ouvert ce nouveau chapitre
licat, sans toutefois détruire complètement les éléments du système
moteur
neuro-musculaire, toutes les fois, notamment, q
spoir est légitime, tel est le premier principe de la rééducation
motrice
. Remarquons qu'il peut s'appliquer aussi bien aux
ente ; d'autre part, si les fonctions dépendant des centres nerveux
moteurs
présentent normale- ment des localisations cons
donc, elle aussi, de première importance en matière de rééducation
motrice
. La rééducation, c'est-à-dire la méthode basée
6 THÉRAPEUTIQUE. volontaires est un bon moyen d'activer les centres
moteurs
ou de les suppléer et de réveiller, tant au poi
thé- rapeutique par le mouvement propre à rétablir les fonctions
motrices
altérées ou abolies, encore faut-il ne pas se fai
le déterminé d'abord de quels éléments sont constitués les troubles
moteurs
correspon- dants à chaque cas particulier, et,
ments; pourtant il est indispensable de rappeler les LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 57 principaux facteurs des troubles moteurs, d
r les LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 57 principaux facteurs des troubles
moteurs
, d'indiquer sur quels points portera en pareil
58 THÉRAPEUTIQUE. elles comportent dans la correction des troubles
moteurs
des conséquences pratiques importantes, mais il
ier les mouvements à proprement parler et notamment la coordination
motrice
dont il n'a pas jusqu'ici été ques- tion. Or, j
rmes plus clairs Mr. Raymond, les associations et les coordinations
motrices
. Nous rappellerons que les pre- mières, concern
us automatiques. Selon que les mouvements simples, les associations
motrices
, seront altérés ou que leurs adaptations foncti
âche sera pourtant différente. C'est là une première LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 59 distinction importante à établir, mais ce n
us ne connaissions pas tout le mécanisme nerveux de la coordination
motrice
, quoique certains points soient en discussion,
: dans l'ataxie tabétique comme dans beaucoup d'autres syndromes
moteurs
, chaque muscle envisagé individuellement se montr
on se propose, nous l'avons dit, la recons- titution de la fonction
motrice
. Parfois, en effet, la fonction seule est troub
ntenant de chercher à comprendre le mode d'action de la rééducation
motrice
, et cela, non LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 61 seul
ode d'action de la rééducation motrice, et cela, non LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 61 seulement au point de vue théorique, mais e
du médecin à celle du malade, est la rééducation en cas de troubles
moteurs
d'ori- gine corticale, chez les tiqueurs par ex
l'intermédiaire du système nerveux, or il s'agit en cas de troubles
moteurs
d'affections essentiel- lement chroniques et el
que nous avons données comme les principes mêmes de la rééducation
motrice
: la faculté qu'ont les éléments nerveux de rég
de régénérer leurs fonctions compromises : la possi- LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 63 I)iliLé de voir certains centres acquérir d
s tout encore de connaître les principes généraux de la rééducation
motrice
, la physiologie patholo- gique des mouvements,
fin il doit s'être livré à une étude complète des grandes fonctions
motrices
. Prenons-nous comme exemple la Station et la Lo
grand compte des symptômes observés concurremment avec les troubles
moteurs
, des troubles sensitifs par exemple, de l'état
à indiquer pour quelles affections on peut employer la rééducation
motrice
. Pour cela le plan naturel consisterait à rappr
a fonction intéressée les affections dans lesquelles la rééducation
motrice
trouve ses indications. Nous ferons remarquer q
s, chez les choréiques, dans le torticolis mental. LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 65 5° Mouvements des globes oculaires. Dans
la sensibilité est importante pour le rétablissement des fonctions
motrices
. Si la rééducation a pu ouvrir devant elle un c
e vague gymnastique destinée à rétablir empiriquement les fonctions
motrices
compromises, ou encore qu'elle ne représente qu
de réparation et de suppléance fonctionnelles. 2° La rééducation
motrice
représente une des applica- tions les plus larg
ntéresse particulièrement la pathologie nerveuse. 3° La rééducation
motrice
résume l'ensemble des procédés qui visent spéci
procédés qui visent spécialement le rétablissement de la fonction
motrice
. 4° Il est parfois utile de l'associer à d'autr
cation des ataxiques. Après avoir jusqu'ici parlé de la rééducation
motrice
en général et de ses nombreuses applications, n
i a réclamé la priorité dans ce genre de traitement. LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 67 Enfin plusieurs auteurs considèrent Mortime
ables pour la réalisation de certains efforts volon- LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 69 taires, à analyser le mécanisme de la march
'anatomie normale et la physiologie de tous les éléments du système
moteur
. 2° Les divers facteurs d'anomalies des mouveme
es con- naître parfaitement, de chercher à corriger les fonctions
motrices
altérées. L'étude de l'incoordination au cours
nus quant à leur existence, mais leurs conséquences au point de vue
moteur
méritent d'être précisées. La diminu- tion habi
stème nerveux et quelle part aux muscles dans la genèse de troubles
moteurs
des ataxiques, mais encore faut-il ne pas les o
e par des considérations d'ordre mécanique plusieurs LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 71 L des irrégularités, des à-coup qui se prod
ui ont été énumérés jusqu'ici, sont indépendants de la coordination
motrice
puisqu'ils concernent les muscles isolés et non
, du simple au complexe. Nous avons déjà distingué les associations
motrices
de la coordination pro- prement dite, nous avon
embre considéré, on comprend que le rétablissement des associations
motrices
avec tous leurs éléments exige déjà beaucoup d'
tement l'automatisme des mouvements fonctionnels. LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 13 Il est indispensable encore de procéder pou
s exercices de détails, les mouvements partiels sont LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. '0 réglés au lit dans le décubitus, c'est-à-di
se pose pas en cas de tabes fruste ou de tabes bénin sans troubles
moteurs
, d'autre part, l'impotence ou seulement l'incap
tique ataxique sans complications spéciales, il faut LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 117 < encore déterminer quel est le moment
nutieuses relativement aux mouvements qu'il exécu- · LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 79 tera en son absence. Autant ces derniers, s
habitudes, de recons- tituer par l'exercice de nouveaux mécanismes
moteurs
chez des malades ; heureusement dès les premièr
Une question souvent posée est celle de savoir si la réé- ducation
motrice
est compatible avec l'emploi des autres thérape
t poser la question à un point de vue plus pratique. LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 81 Le malade, naguère impotent et immobilisé d
montre néanmoins que l'on peut attendre beaucoup de la rééducation
motrice
. Nous pouvons maintenant citer quelques observa
ans, officier. Tabès confirmé datant de sept ans. Incoordination
motrice
datant de deux ans. Le malade a dû renoncer au
e ans, salle Cruveilhier. Tabétique depuis cinq ans. Incoordination
motrice
depuis quatorze mois. Celle-ci dont la marche a
depuis deux mois la malade n'a pas quitté le lit. Au LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 83 début on la transporte sur un brancard jusq
téressant le tronc et le membre inférieur gauche. Le LA RÉÉDUCATION
MOTRICE
. 85 malade marche seul encore, mais sans assura
ntreprise pour chacune des affections judiciables de la rééducation
motrice
, on ver- rait alors combien les conditions qu'e
tion ; à plus forte raison différeront-elles selon que les troubles
moteurs
seront d'origine médullaire ou d'origine cortic
elle. C'est l'ensemble de ces méthodes qui constitue la rééducation
motrice
, laquelle n'est elle-même qu'une application de
lus vite : asymétrie réactionnelle qui correspond à une asymétrie
motrice
et sensorielle, et qui a été déjà observée dans l
citant se distribue également aux deux noyaux, l'effet des cellules
motrices
se règle d'après le degré de la lésion. 11 n'es
. Garçon de dix-sept ans, présentant depuis six mois une paraplégie
motrice
, flasque, avec hypotonie musculaire, troubles s
dérivées. La fonction sensitive favorise l'intégration, la fonction
motrice
, la désintégration. Mais l'équivoque et l'indécis
pe d'instincts. L'intelligence éclaire la vie, mais n'en est pas le
moteur
. De ce que l'intelligence n'est pas tout le car
écembre : Région ro- landique. Questions restées dans l'urne : Nerf
moteur
oculaire commun; Racines postérieures. M. Halbe
embre : Racines postérieures, Ques- tions restées dans l'urne. Nerf
moteur
oculaire commun; Plancher du quatrième ventricu
état général est resté bon, mais elle présente des troubles vaso-
moteurs
de la face et des mains. La malade qui fait le
dernière est une tendance à l'acte, un ordre donné par les centres
moteurs
en état d'éréthisme, mais sans pour cela que l'
raine M. Goldflam à localiser la maladie dans les centres corticaux
moteurs
. Si le foyer purement mental du mouvement volon
fé. Elle comprend encore la parole et l'écriture. C'est une aphasie
motrice
corticale accompagnée des troubles graphiques e
et les phénomènes convulsifs lémoi- gnent d'une lésion des régions
motrices
de l'hémisphère droit. Il n'y a ni traumatisme,
ion. IL pense que la destruction d'une certaine portion des régions
motrices
ne détermine pas chez tout le monde un égal dés
re, un musicien, nn savant de cabinet, se traduira par des troubles
moteurs
et sensitifs dissemblables ; dissemblables surt
exemple vers le .centre modérateur du coeur, vers le centre vaso-
moteur
etc. L'anémie cérébrale en résulterait. On peut
trouble fonctionnel, une altération encore invisible des cel- lules
motrices
, abolissant leur fonction motrice et respectant l
encore invisible des cel- lules motrices, abolissant leur fonction
motrice
et respectant leur fonction trophique, puisque
on de dix-sept ans qui présente une paralysie totale et complète du
moteur
oculaire commun gauche, avec une paralysie part
e du moteur oculaire commun gauche, avec une paralysie partielle du
moteur
oculaire commun droit (complète pour les nerfs
l'âge de la malade, cinquante-neuf ans, que son désordre mental et
moteur
ira croissant ; peut-être même est-elle menacée
à, un observateur, qui n'aurait pas assisté au début des troubles
moteurs
de la malade, et qui n'aurait pu entendre les exp
els. On peut dire qu'ils ont autant d'habileté à déformer les actes
moteurs
que d'autres en ont à les perfectionner. Aussi
perfectionner. Aussi ont-ils toujours à bénéficier d'une discipline
motrice
méthodique. M. CMuzoN montre les moelles de tro
racines. Ces fibres sont électivement celles qui vont aux cellules
motrices
des cornes antérieures. C'est là une loi qui lui
cte une allure toute spéciale et se complique parfois de phénomènes
moteurs
dont on ne retrouve pas les lionto- logues sur
n toujours, on retrouvera les points de Valleix. Quant aux troubles
moteurs
, ils n'existent pas, et il ne faudrait pas se l
quelques cas la grande névralgie faciale s'accom- pagne de troubles
moteurs
, et ceux-ci, bien reconnus, ont permis de diffé
nier cas l'électricité vient-elle exercer une action sur le réflexe
moteur
lui-même, en ce sens que, produisant une action
une action analgésique sur les extrémités périphériques, le réflexe
moteur
centrifuge perdrait parallèlement de son intens
ue, en effet, décèle, dans des territoires assez limités de la zone
motrice
, des lésions caractérisées par une multiplicati
ur trajet protubérantiel et bulbaire. Les noyaux des nerfs crâniens
moteurs
sont sains. Enfin, les muscles de la langue, du
ion périphérique du nerf sciatique intéressant seulement les fibres
motrices
descendant plus bas que le genou, on est condui
xcès, sans cause et sans but, est un tic. La première manifestation
motrice
d'un tic REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 27f>
u. Tout tic comporte donc à la fois un trouble mental et un trouble
moteur
: ce trouble mental consiste dans une insuffisa
de tabès avec absence de douleurs fulgu- rantes et d'incoordination
motrice
et dont le signe le. plus marqué a été une atro
ccentuée des fibres). 1. C. I.X. Un cas de polynévrite tuberculeuse
motrice
; par M. DECROLY {Journal de Neurologie, 1900, n
cutanés; 2° que le voile du palais ne reconnaît pas son innervation
motrice
dans le facial; 3° que dans la paralysie pseudo
ladie de Thomsen ou de paralysie pério- dique familiale, le trouble
moteur
résume à lui tout seul tout le syndrome cliniqu
eur résume à lui tout seul tout le syndrome clinique, et ce trouble
moteur
est lui-môme constitué par la perturbation mome
e besoin. Mais, dans le tic, ces caractères sont viciés : le rythme
moteur
n'obéit plus à la loi du moindre effort, le besoi
s spinales, présente beaucoup de variétés dans les grosses cellules
motrices
ce réseau a une structure plus compli- quée, pl
il est vrai, eu égard à la gravité de l'affection, et des troubles
moteurs
, mais aussi, et surtout, des complications trop
ui nous donne les renseignements de son observation. Comme troubles
moteurs
, il y aurait quelquefois quelques légers soubre
a des quinzaines d'accalmie complète. On ne constate ni troubles
moteurs
, ni troubles trophiques, et il n'y a à signaler
chevelu. Hyperesthé'ie de la langue et des gencives. Comme troubles
moteurs
, il y aurait eu (nous n'avons pu en être témoin
nce- ments qui durent un quart d'heure en moyenne sans phénomènes
moteurs
ni convulsifs d'aucune sorte, sans aura précurseu
crimes sadiques, périodiques et stéréotypés. - Du râle de l'image
motrice
dans la vie sexuelle. M. Cl. VURPAS. A la suite
des sujets sains, soit sur des aliénés, au sujet du rôle de l'image
motrice
dans la vie sexuelle, nous avons été ame- nés à
II. La musique exerce une influence manifeste aussi bien sur l'état
moteur
général, dont elle est un tonique, que sur la vie
te génital, semble indiquer l'épuisement temporaire de l'acti- vité
motrice
dans sa condition psychologique, l'image motrice.
re de l'acti- vité motrice dans sa condition psychologique, l'image
motrice
. IV. L'élévation brusque de la pression sanguin
luence d'une excitation sexuelle, tend à montrer le rôle de l'image
motrice
et de l'élément moteur dans la genèse, le dével
sexuelle, tend à montrer le rôle de l'image motrice et de l'élément
moteur
dans la genèse, le développement et l'évo- luti
sujet est tout sensibi- lité, consiste précisément dans un trouble
moteur
, dans une insuf- fisance ou impuissance de l'im
n trouble moteur, dans une insuf- fisance ou impuissance de l'image
motrice
. De ces différentes constatations, MM. Vaschide
nital consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'état
moteur
. Dans sa production et ses différentes phases l
l'état moteur. Dans sa production et ses différentes phases l'image
motrice
joue le rôle primordial. b. Dans l'acte sexuel,
motrice joue le rôle primordial. b. Dans l'acte sexuel, le système
moteur
tout entier est intéressé et intervient. L'équi
système moteur tout entier est intéressé et intervient. L'équilibre
moteur
total arrive à un état d'excitation et de poten
qu'à la suite on relève des phénomènes de fatigue et d'épuise- ment
moteur
. c. L'excitation motrice se traduit également p
s phénomènes de fatigue et d'épuise- ment moteur. c. L'excitation
motrice
se traduit également par des phénomènes circula
s, vaso-moteurs, respiratoires, qui sont consécutifs aux phénomènes
moteurs
, en sont la conséquence et les traduisent au de
onséquence et les traduisent au dehors. d. Les érotiques sont des
moteurs
, et d'une façon générale presque tous les moteu
rotiques sont des moteurs, et d'une façon générale presque tous les
moteurs
sont des érotiques. e. Dans toute sa marche et
onsiste dans l'évolution et la tendance au déciauchement de l'image
motrice
et de l'état moteur. Tous les préparatifs, tous
ion et la tendance au déciauchement de l'image motrice et de l'état
moteur
. Tous les préparatifs, tous les accessoires qui
citer les désirs génésiques sont surtout des excitateurs de l'image
motrice
. Tous les sens peuvent selon chaque individuali
lon chaque individualité présenter une action excitatrice de l'état
moteur
, plus ou moins développée et accentuée selon les
rs observations. Entre l'image mo- trice proprement dite et l'image
motrice
devenue sexuelle, il y a une différence aussi b
t des éléments mentaux, qui constituent la nature intime de l'image
motrice
. L'image motrice proprement dite possède en ell
aux, qui constituent la nature intime de l'image motrice. L'image
motrice
proprement dite possède en elle-même tous les é
e proprement dite possède en elle-même tous les éléments de l'image
motrice
sexuelle, sauf l'émotion; l'image motrice ordin
les éléments de l'image motrice sexuelle, sauf l'émotion; l'image
motrice
ordinaire se résoud et s'achève dans ses éléments
d et s'achève dans ses éléments consti- tutil's, taudis que l'image
motrice
sexuelle se développe et se cons- 380 SOCIÉTÉS
et bien particulière, qui porte à la faire considérer comme l'image
motrice
la plus intense et la plus émotive, c'est-à-dir
tion généralisée et réellement extériorisée. Il semble que l'image
motrice
sexuelle mette en action de nom- breux centres
sur la sexualité puisse servir d'argument pour expliquer la nature
motrice
de cette influence, la musique étant une excita-
cer sur le pro- cessus génésique, sans l'intermédiaire de l'élément
moteur
. M. Vurpas cite l'exemple d'une femme normaleme
. Il apparaît de ces observations que l'espace visuel et l'espace
moteur
sont irréductibles et que ce dernier peut devenir
e céphalalgie, ni de ver- tige. La parole est régulière. L'appareil
moteur
, la position du corps est volontaire ; la démar
morbide, probablement, était localisé dans la région des centres.
moteurs
de l'écoree de l'hémisphère droite; mais il était
asme qu'ils résument nettement ainsi : « En présence d'une réaction
motrice
à laquelle l'écorce cérébrale ne prend pas et n
pris part, nous dirons : ce n'est pas un tic. Et si cette réaction
motrice
est la conséquence de t'irritât ! on pathologique
nal, nou-. ajouterons : c'est un spasme. En présence d'une réaction
motrice
à laquelle l'écorce cérébrale prend ou a pris p
pris part, nous dirons : ce n'est pas un spasme. Et si ce phénomène
moteur
, où se reconnaît la partici- pation à un moment
ous pourrons ajouter : c'est un tic. » 11 y a parmi les réactions
motrices
de simples réflexes spinaux, parmi lesquels se
t d'autres réactions coor- données en vue d'une fonction, des actes
moteurs
fonctionnels, résultant tantôt d'un besoin cong
et nous les approuvons, que le tic exige deux éléments : l'élément
moteur
et l'élément psy- chique. Ils montrent le dange
on pouvait, par des transitions insensibles, allier des phénomènes
moteurs
, dont l'origine est une lésion anatomique, aux
s moteurs, dont l'origine est une lésion anatomique, aux phénomènes
moteurs
qui ne sont que la manifestation toute secondai
oyons qu'il faut borner le domaine des tics à celui desphé- nomènes
moteurs
. L'étiologie des tics est celle de la plupart d
un tic, n'a été démontrée de façon probante. L'étude de la réaction
motrice
du tic ne peut être faite d'une façon précise,
: la sensation de fatigue disparait avec la céphalée et l'asthénie
motrice
. Les fonctions digestives se régularisenl. Le s
a paralysie labio-glosso- laryngée. Due à l'altération des neurones
moteurs
des noyaux d'origine des septième, neuvième, di
la jambe de l'homme. G. D. XXVII. Sur la localisation des centres
moteurs
. du biceps crural, du demi-tendineux et du demi
les auteurs ont recherché avec soin les modifications des troubles
moteurs
qui se sont pro- duites au cours des derniers j
iège extra et intra-médullaire des lésions. Quant aux localisations
motrices
qui se prêtent moins lâchement à la conciliatio
est segmentaire; Parhon, Goldstein trouvent que la distribu-, tion
motrice
est segmentaire pour certaines régions seulement.
polyomyélite infantile) peuvent déterminer en réalité des troubles
moteurs
, non à disposition segmentaire, mais à dispositio
ivement musiciennes, soit par nature, soit par éducation. Aboulie
motrice
systématisée. Traitement par la suggestion hypn
a volonté ne pouvant animer ses jambes. Il s'agissait d'une aboulie
motrice
systématisée chez une hystérique. Une tentative
cinq ans après, je fus rappelé auprès d'elle. Cette fois, l'aboulie
motrice
s'était localisée aux mem- bres supérieurs. La
u'on a affaire ici à un trouble diffus de la nutrition des éléments
moteurs
du cerveau; mais on ne peut nier ici (comme le
manière favorable sur les idées obsédantes. Concernant les troubles
moteurs
et les modifications de conscience, les auteurs
Les auteurs admettent trois types d'impulsions : 1° les impulsions
motrices
pures, à réflexe direct, sans action inhibitoir
ès les tableaux d'Edinger et de Jakob les principales localisations
motrices
et sensitives, c'est-à-dire la représentation d
r- tout avec l'appareil de Sommer pour l'étude des manifestations
motrices
dans les trois dimensions. La troisième salle ser
différences caractéristiques qui permettent de dis- tinguer le type
moteur
du type sensitif. Le premier est surtout accent
ition spéciale (radiaire) de leurs fibres, rappelant un peu le type
moteur
mais aussi voisine du type calleux ( ? ), 6°
if (centripète) des organes centraux doit correspondre un trousseau
moteur
. Le système de projection de l'écorce semble sa
départ de la vaso-paralysie est dans l'écorce au niv au des centres
moteurs
des membres. La physiologie n'y contredit pas ;
physiologie n'y contredit pas ; on sait, en effet, que les centres
moteurs
des membres sont susceptibles d'influencer la cir
le malade dont j'ai présenté l'observation récemment. La paralysie
motrice
des deux membres supérieurs avait été précédée
que. Au début, vertige, vomissements et un hoquet incessant. Sphère
motrice
normale. Affaiblissement du réflexe patellaire
cérébelleuse avec tendance à tomber à droite. Parésie de la portion
motrice
du trijumeau du coté droit et du nerf pathétiqu
deurs; lesprolongementsprotopiasmatiques,appar- tenant aux cellules
motrices
de la corne antérieure, étaient pauvres en appe
ures; les contours des prolongements protoplasmatiques des cellules
motrices
sont plus réguliers et moins sinueux et, en som
observé seulement sur les ramifi- cations terminales des dendrites
motrices
et sur un grand nombre de ramifications des cel
ont. Trépanation. Guéri- son, par Matile et Bourquin, 99. Aboulie
motrice
systématisée. Trai- tement par la succession hy
Vill-Noes, 280. IDIOrE. Une idiote à l'état sauvage, 318. Image
motrice
. Du rôle de l'- dans la vie sexuelle, par Vurpa
que. La-, par Cuyer. Moelle épinière. Voir Golgi. -, Voir Centres
moteurs
. -. Voir Queue de cheval. Mo) ! )'mr< ! su
'l'rois cas de palustre, par Matins, 282, Un cas de tuberculeuse
motrice
, par Decroly. 283. PORF..NCI',1'11. LIES. Les
- chez quelques aphasiques, par Marie Vaschitle, 292. Rééducation
motrice
. Voir Système nerveux. Réflexes. Des- musculo
ulbalreprécoce, par Collet,185. Système nerveux. La rééducation
motrice
dans les maladies du - Ses applications à l'ata
(27-28°R.) et de l'iodure de potassium à l'intérieur, les troubles
moteurs
des membres inférieurs s'étaient considérableme
ans l'articulation du genou et dans la tibio-tarsienne que la force
motrice
est bonne. La sensibilité douloureuse à la pres
age le matin. Une légère exophtalmie de l'oeil droit. Les muscles
moteurs
de l'oeil ne sont point atteints. La vue est no
rtain degré de méningite chronique, dont dépendaient les troubles
moteurs
des membres inférieurs, la paralysie atro- phiq
On n'observe pas ces tremblements du côté droit. Pas de troubles
moteurs
au tronc (diaphragme, thorax, muscles abdominaux,
a), alalie (de Lordat), première variété d'aphasie, amnésie verbale
motrice
, d'articulation, d'après la définition de Ilart
ion faite sur l'oeil par le mot (langage écrit ou imprimé); l'image
motrice
d'arti- culation (actes de l'organe de la parol
motrice d'arti- culation (actes de l'organe de la parole); l'image
motrice
graphique (actes de la main dans l'écriture), r
re audi- tif des mots qui est frappé, une amnésie verbale visuelle,
motrice
d'ar- ticulation, motrice graphique, si ce sont
est frappé, une amnésie verbale visuelle, motrice d'ar- ticulation,
motrice
graphique, si ce sont les centres visuel, moteur
d'ar- ticulation, motrice graphique, si ce sont les centres visuel,
moteur
du langage articulé, moteur du langage écrit qu
aphique, si ce sont les centres visuel, moteur du langage articulé,
moteur
du langage écrit qui sont atteints. D'où cette
ns des quatre formes d'aphasie : 1° l'aphé- mie, ou amnésie verbale
motrice
d'articulation; 2a l'agraphie, ou amné- sie ver
verbale motrice d'articulation; 2a l'agraphie, ou amné- sie verbale
motrice
graphique ; 3o la cécité verbale, ou amnésie verb
enant nous occuper, est au contraire à peu près définitive. La zone
motrice
est en effet la mieux connue à l'heure actuelle
rimentation physiologique, qui prime ici pour l'étude des fonctions
motrices
du cerveau la démons- tration anatomo-clinique.
e se trouve en rapport immédiat avec le centre d'expression verbale
motrice
graphique des mouvements coor- donnés communiqu
iers auteurs est la date des premières recherches sur les fonctions
motrices
du cerveau. Le centre cortical des mouvements d
ogie) du Dict. Deelt. 18. François Franck. Leçons sur les fonctions
motrices
du cerveau (Réactions volontaires et organiques
accès, montrent qu'il y a similitude complète entre la topographie
motrice
du cerveau de l'homme et des singes supérieurs
membre supérieur à l'endroit où ce centre se confond avec le centre
moteur
de la face ; pour ceux du gros orteil, immédiat
ur dans le lobule paracentral. Disons en terminant avec les centres
moteurs
des membres chez l'homme, que sans être circons
c/t ! ) ? 1877.) Nouvelle contribution à l'étude des localisations
motrices
. (liev. mens., nov. 1878.) ! Hallopeau et Girod
c. Gaz. nzéd. 1882, 52. - Prévost. Contribution à l'étude du centre
moteur
cortical du membre inférieur. Th. Paris, 1881,
itres. Etude critique e t clinique de la doctrine des localisations
motrices
dans l'écorce des hé- misphères cérébraux de l'
tion* et quelques faits anatomo- cliniques 1, commun à la branche
motrice
du Trijumeau 1. Avec hémianopsie, nous arrivons
l commun au grand hypoglosse, au facial infé- rieur et à la branche
motrice
du trijumeau avec le centre d'expression verbal
la branche motrice du trijumeau avec le centre d'expression verbale
motrice
d'articulation des mouvements coordonnés communi-
ive à donner comme caractéristique une dilatation primitive vaso-
motrice
, laissant de côté la méningite dont on aurait pu
ins dans certains cas. la production de quelques-uns des troubles
moteurs
. On sait combien fréquentes sont chez les hystéri
tique à ce qu'on veut lui faire faire, mais pas de troubles d'ordre
moteur
. Se promène un peu seule, pleure beaucoup. 30
e prédo- minant c'est la présence des troubles du système nerveux
moteur
, au point de vue psychique, l'état de mélancolie
la sensibilité deux ob- servations d'ataxie résidant sur le système
moteur
et non sensitif - quatre observations de mouvem
des ataxiques, prouvant que l'incoordination est d'origine purement
motrice
une observation montrant que les mouvements spo
ern, l'ataxie serait générale- ment due à une altération des fibres
motrices
centrifuges ; la preuve, ajoute-t-il, c'est que
ésentant les symptômes caractéris- tiques delà lésion des noyaux du
moteur
oculaire externe, du trijumeau, du facial, de l
tanée correspond, à très peu de chose près, à celle de la paralysie
motrice
, ce qui prouve que les origines réelles des ner
prouve que les origines réelles des nerfs sensitifs et des nerfs
moteurs
du plexus brachial émanent de la même région de l
onservée. Jamais en effet on n'observe une véritable incoordination
motrice
dans cette maladie. Les mouvements involontaire
IABÉTIQUE AVEC LÉSIONS SEULEMENT MICROSCOPIQUES DES circonvolutions
MOTRICES
; par R. Lépine et L. BLANC. Voici le résumé de
pelle la para- lysie générale bien plus par l'ensemble des troubles
moteurs
que par les manifestations psychiques (mégaloma
sont aussi décernées, la première à M. Tacussel (Essai sur le tabes
moteur
) et la seconde à M. Aubry (Contagion du meurtre).
nulle part. Chaque pédoncule cérébral doit renfermer les tractus
moteurs
et sensitifs nécessaires à la totalité du corps.
propose. La machine peut être mue à la main ou à l'aide d'un petit
moteur
électrique. Une machine dont le cylindre extérieu
sie partielle ne siègent pas nécessaire- ment au niveau des centres
moteurs
correspondant aux muscles exclusivement ou prim
OGRAPHIE. 123 l'autre d'état dans laquelle s'observent des troubles
moteurs
et trophiques, la dernière s'accompagnant de pa
iquerait ainsi la possibilité dans ces cas de troubles sensitifs ou
moteurs
indépendants, suivant que les racines antérieur
re latente. Il existe un assez grand nombre de cas d'ataxie loco-
motrice
qu'on a vus se développer peu de temps après un t
sque. - Cécité complète ayant duré cinq minutes ci peine et aphasie
motrice
. Paraplégie. Syndrome spasmodique. Marche es<
brusque. Douleurs à l'estomac, gêne de la respi- ration et aphasie
motrice
de dix minutes. Paraplégie des membres inférieu
pèces nosologiques de troubles du langage c'est seulement l'aphasie
motrice
que nous voyons consti- tuer deux fois un des s
ment rétrogressive que chez le malade de l'OBSERVATION V, l'aphasie
motrice
dans vingt-quatre heures a commencé à se dissip
es encore, il parlait aussi bien qu'avant l'invasion de son aphasie
motrice
. La rapi- dité de la marche rétrogressive de l'
chez celui de I'Observation V la cécité était associée à l'aphasie
motrice
et chez l'autre de l'OBSERVATION X le trouble o
gauche pa- rait être légèrement atrophiée. Point d'autres troubles
moteurs
. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 197 Sensibilité
lade ne soupçonnait pas d'avoir de la thermanesthésie. Les troubles
moteurs
et les amyotrophies se sont progressivement dév
ément; 2). Des troubles subjectifs de la sensibilité ; 3). Troubles
moteurs
, paré- sies limitées à des régions peu étendues
s mouve- ments convulsifs, etc.; 4). Troubles trophiques et vaso-
moteurs
: atrophie musculaire, distrophies cutanées et
les de la circulation, etc.), la réaction altérée des nerfs vaso-
moteurs
de l'autre, différentes causes pathogé- niques
atteignent rarement une étendue considérable. Parfois les troubles
moteurs
se bornent pour longtemps à une certaine maladr
le prouve notre premier cas, l'atrophie des muscles et les troubles
moteurs
peuvent être plus accusés du côté où les altéra
altérations de la sensibilité sont moins développées. Des troubles
moteurs
plus étendus se rapportent à cette sorte de sym
oubles subjectifs de la sensibilité ou l'analgésie, ou les troubles
moteurs
et l'atrophie des muscles. Plusieurs années peu
sur l'hémisphère cérébral droit et atteignaient surtout les centres
moteurs
des membres. C'est aussi à la suite de ces conv
méninyo-encéy7aalite, plus prononcée à droite au niveau des centres
moteurs
. Le cervelet est moins atteint que les hémisphè
ière région, dont les lésions produisent manifestement des troubles
moteurs
variés et une deuxième région, dont la lésion r
oint de vue des troubles de de la motilité. La première est la zone
motrice
corticale, la seconde est une zone dite latente
e division. ' Voir tome XVI, p. 39. 250 REVUE CRITIQUE. La zone
motrice
corticale (Planche I, fig. 1, Bleu)1, encore ap
d toute l'étendue de l'écorce cérébrale qui ne répond pas à la zone
motrice
. Dans la zone latente corti- cale, on peut essa
tions pariétales, ' Nous ne représentons pas l'extension de la zone
motrice
corticale au lobule paracentral, afin de ne pas
située en arrière du pied des cir- convolutions frontales. La zone
motrice
y est incluse, par- ticipant dès lors à la cons
du langage parlé, qu'il fait en tous points analogue aux carrefours
moteur
et sensitif de la capsule interne. Une lésion d
lé (commun au grand hypoglosse, au facial inférieur et à la branche
motrice
du trijumeau). Du centre cortical d'origine de
cendante (PL. I, fig. i, vert) partent les fibres essentielle- ment
motrices
formant ce faisceau et qui vont : Dans le centr
la protubérance à la partie postérieure et interne des pyramides
motrices
. Au bulbe. Enfin, parvenus au bulbe, les fibres
ire des nerfs Grand hypoglosse facial (facial inférieur) et branche
motrice
du trijumeau, qui n'auraient plus dès lors, une
a protubérance sous le nom de petite racine du trijumeau (branche
motrice
du trijumeau). Ce trajet du faisceau géniculé b
Faisceau pyramidal (Dénomination anato7no'-eliiiique), ou faisceau
moteur
(dénomination physiologique*). Le faisceau pyra
rtent de l'écorce cérébrale, de toutel'étendue de la zone corticale
motrice
2. ' F.-Franck, fe. sur les fonct. motrices du
due de la zone corticale motrice 2. ' F.-Franck, fe. sur les fonct.
motrices
du cerveau, Paris, 1887. Le- çons XXVII et XXVI
le du faisceau pyramidal, dépasse certainement la limite de la zone
motrice
proprement dite, car une por- tion de ses fibre
irconvolutions frontales, que l'expérimentation démontre n'être pas
motrices
et que l'étude anatomo-clinique désigne comme u
à celui du cerveau antérieur) volonté de répression des impulsions
motrices
, propose de regarder comme des fibres à influence
luence DE l'axe cérébro-spinal. 259 Elles réunissent les cellules
motrices
de l'écorce cérébrale aux grandes cellules motr
nt les cellules motrices de l'écorce cérébrale aux grandes cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle et à leurs
tale de Pitres, le faisceau frontal supérieur (fascicule des fibres
motrices
du membre infé- rieur en partie' (PL. I, fig. c
I, fig. cl, bleu), le faisceau frontal moyen (fascicule des fibres
motrices
du membre supérieur) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu
e de Pitres, le faisceau pariétal supé- rieur (fascicule des fibres
motrices
du membre inférieur dans sa totalité (PL. I, tg
rouve en arrière2. modératrice sur l'élaboration de ces incitations
motrices
. L'auteur ne retire pas pour cela aux régions c
s motrices. L'auteur ne retire pas pour cela aux régions corticales
motrices
la propriété possible de commander également à
cerveau et concevoir le trajet respectif des différents fascicules
moteurs
partant de différents points bien circonscrits
partant de différents points bien circonscrits de la zone corticale
motrice
. Chacun de ces fascicules moteurs représente le
circonscrits de la zone corticale motrice. Chacun de ces fascicules
moteurs
représente les origines à l'écorce cérébrale des
ules moteurs représente les origines à l'écorce cérébrale des nerfs
moteurs
périphériques (hypoglosse, nerfs du membre supéri
l'écorce cérébrale, des nerfs périphériques. 'Fr.-Franck. Fonctions
motrices
du ceraeatv, 1887. Voir le dessin du Dr E. Bris
ise de la forme en pyramide que prend dans son ensemble le faisceau
moteur
, pyramide très allongée, à base supérieure cort
orticale, à sommet inférieur pédonculaire, constitué par les fibres
motrices
. Au niveau des deux tiers antérieurs du segment p
rs du segment postérieur de la capsule, lieu de passage du faisceau
moteur
dans la région, la pyra- mide motrice se trouve
e, lieu de passage du faisceau moteur dans la région, la pyra- mide
motrice
se trouve en quelque sorte tronquée. 260 - REVU
e faisceau pyramidal commence à se dissocier. Un groupe de fibres
motrices
s'isole du tronc du faisceau et vient se placer
II, fg. 2, bleu 3). Au bulbe, nous pouvons envisager le faisceau
moteur
en trois points différents : ' 1° Avant la dé
rouverons dans la moelle sous le nom de portion directe du faisceau
moteur
, dépendance du cordon antérieur et de portion c
rtion croisée du côté opposé pour former la couche superficielle Ou
motrice
des pyra- mides antérieures du bulbe. 2° Au n
. Le faisceau croisé cons- titue alors presque à lui seul la couche
motrice
de la pyramide, d'où l'interprétation facile de
ceau direct prime le faisceau croise dans la formation de la couche
motrice
de la pyramide et l'explication anato- mique de
au direct. Du reste, autant de varié- tés de décussation des fibres
motrices
au bulbe, autant d'ano- malies apparentes dans
orrespondant à chaque variété'. 3° Après la décussation du faisceau
moteur
, les fibres centri- fuges entre-croisées se met
ettent en l'apport avec les cellules des noyaux d'origine des nerfs
moteurs
du bulbe dont les fibres constituantes se détac
ns la moelle, à partir de la décussation des pyramides, le faisceau
moteur
est donc définitivement divisé en deux parties :
* Pitres.0&. ! erua<MMs de décussations variées du faisceau
moteur
, ré- vélées par les dégénérescences secondaires
édul- laires, pour entrer en rapport avec les organes cellulaires
moteurs
de la moelle. Le faisceau pyramidal croisé dispar
. Leur lésion expérimentale en outre répond toujours à des troubles
moteurs
; les faisceaux pyramidaux et les cornes grises
es grises antérieures représentent donc les éléments d'un système
moteur
médullaire spécial. Méthode expérimentale. Sur
suite, que, dans le cordon antéro- latéral de la moelle, le tractus
moteur
cortico-brachial est périphérique et superficie
teur cortico-brachial est périphérique et superficiel et le tractus
moteur
cortico-crural, central et profond. Brown-Sequa
reliant la surface excitable du cerveau aux organes cellu- laires
moteurs
du bulbe et de la moelle. » Mais c'est certaine-
tion des rapports entre le siège de la lésion et celui des troubles
moteurs
, destructive et non simplement irritative, pour
n de la fonction répond bien à la suppression complète de la région
motrice
, ancienne (la plaque jaune type), afin qu'on ne
é du corps; si elles sont bornées à une partie seulement de la zone
motrice
, l'hémiplégie est partielle; si elles sont très
embre ou même qu'un groupe musculaire2. » 1 Fr.rFranck. Fonctions
motrices
du cerveau. Leçons XXVII etXXVIII. In loc. cit.
, hémiplégie totale ordinairement, vu le peu d'étendue de la région
motrice
capsu- laire facilement détruite dans sa totali
rsque les tractus cortico-brachial (portion antérieure de la région
motrice
capsulaire), ou cortico-crural (portion posté-
capsulaire), ou cortico-crural (portion posté- rieure de la région
motrice
capsulaire), étaient isolément atteints'. Con
ient isolément atteints'. Consécutivement aux lésions de l'écorce
motrice
, des fasci- cules moteurs, du centre ovale, du
Consécutivement aux lésions de l'écorce motrice, des fasci- cules
moteurs
, du centre ovale, du segment moteur de la capsu
orce motrice, des fasci- cules moteurs, du centre ovale, du segment
moteur
de la capsule interne, surviennent constamment
Bull. de la Soc. de biol., déc. 1877. (Voir aussi Franck, Fonctions
motrices
, 1887, p. 271, note 1.) Bennett et Campbell, Un
est en effet conduit à attribuer aux cellules de la zone corticale
motrice
, une influence trophique analogue à celle que l'o
e trophique analogue à celle que l'on attribue aux grandes cellules
motrices
des cornes antérieures. Quant au mécanisme de l
use, bien qu'il soit possible cependant de retrouver les fascicules
moteurs
. dégénérés; au bulbe, elle suit les pyramides
térieur de la moelle (faisceau de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions
motrices
, 1887. Première partie de la leçon XVIII. : Voi
oelle, consé- cutives aux lésions destructives localisées à la zone
motrice
corticale, au centre ovale ou à la capsule inte
(Prog. znéd., n° 14, 19, 20, 1879.) Brissaud. De la con- Fonctions
motrices
du cerveau, Paris, 1887. (Pour l'historique de la
PINAL. 267 Si le faisceau pyramidal, l'un des éléments du système
moteur
médullaire est bien isolé dans le département ant
', la corne antérieure de la moelle, second élément du même système
moteur
médullaire, l'est aussi par l'altération atroph
, l'est aussi par l'altération atrophique de ses grandes cellules
motrices
qui engendre en effet constamment une amyotro-
spondent à la nutrition des muscles. La lésion des grandes cellules
motrices
des cornes antérieures est-elle p2,i- naitive ?
térieure de la moelle, entièrement distinct du sys- tème médullaire
moteur
que nous avons vu formé par les faisceaux pyram
aux bandelettes externes, succède ordinairement l'incoordi- nation
motrice
, conséquence de l'élargissement en même temps en
int situé au-dessus du lieu ou cesse l'entre- croisement des fibres
motrices
et elles se réunissent pour for- mer la portion
issent pour constituer un carrefour sensitif, analogue au carrefour
moteur
de la capsule, analogue encore au carrefour de
lobes occipitaux. Comme pour la description du trajet du faisceau
moteur
on s'est basé pour établir celle bien moins com
bulbe, ce sont les trois faisceaux cortico-bulbaires; les faisceaux
moteurs
et sensitifs sont à peu près complètement décri
Contre cortical du grand hypo- glosse (Facial inférieur et branche
motrice
du Trijumeau). - VIII. Hé- mianopsie. .Violet
e). 3; cire, sphénoïdales.- 4 ; faisc. fron- tal supérieur (tractus
moteur
cortico crural, c). 5 ; faisc. frontal mo\en (t
ractus moteur cortico crural, c). 5 ; faisc. frontal mo\en (tractus
moteur
cnrlico-bracleial, d). 6; faisc. frontal inférieu
sula. 3 ; cire, sphénoïdales. i; faisc. pariétal supérieur (tractus
moteur
cortico-crural, f). - 5 ; faisc. pariétal moyen
leux supérieurs (étage supérieur). 5, 5; noyaux d'origine des nerfs
moteurs
oculaires communs. 6, 6 ; coupe des tubercules
e de la protubérance au niveau de sa partie moyenne. 1, 1 ; portion
motrice
des pyramides (étage inf.) 2, 2 ; leur portion
ébelleux sup. moy. et inf. - t; locus niger. Emergence de la racine
motrice
du trijumeau. 6; facial. 7; grand hypoglosse. 8
mitation. Il y a dans ces épidémies si curieuses d'in- coordination
motrice
, racontées récemment- par Gilles de la Tourette
SERVATION V l'accident a débuté par la cécité fugitive et l'aphasie
motrice
, symptômes du groupe céphalique : ou comme à l'
fulguran- tes, en ceinture, le signe de Romberg, l'incoordination
motrice
et l'absence des réflexes font absolument défau
des cornes antérieures et plus spécialement des grandes cellules
motrices
ou pyramidales, c'est-à-dire myathro- phies, ab
ste par un complexus clinique toujours identique, à savoir troubles
moteurs
sous forme de paralysie, troubles de la sensibi
sque, ci 10 heures du matin, douleurs lombaires très vives, aphasie
motrice
, vertiges de translation. DES ACCIDENTS PAR L
nt été faite, que le trouble de ce malade consiste aussi en aphasie
motrice
. Il comprenait, dit-il, parfai- tement bien ce
nflement de l'es- tomac ; aussi à l'OI3SN : ItVATION XIX, l'aphasie
motrice
et les vertiges de translation se combinent aux
s troubles caractéristiques de sensibilité partiels et les troubles
moteurs
dans lesquels l'atro- phie des muscles est born
e de la convulsion épileptique artificielle. C'est dans les centres
moteurs
non corticaux, inférieurs, qu'il faut en locali
nt provoque, en sollicitant non seulement l'écorce mais les centres
moteurs
inférieurs, clonisme et tonisme. Un courant trè
, Flechsig ont tranché les deux premières questions. Les troubles
moteurs
posl-béiiiiplégiques se jugent généralement par u
u noyau de Iloller, des noyaux de l'hypoglosse, du facial, du noyau
moteur
et de la racine descendante du triju- meau. l'.
Centre cortical du grand hypo- glosse (Facial inférieur et branche
motrice
du Trijumeau). VIII. Hé- mianopsie. Violet, f
. 3 ; cire, sphénoïdales. - 4 ; faisc. fron- tal supérieur (tractus
moteur
cortico crural, c). 5 ; faisc. frontal moyen (t
ractus moteur cortico crural, c). 5 ; faisc. frontal moyen (tractus
moteur
cortico-brachial, d). 6; faisc. frontal inférieur
ula. 3 ; cire, sphénoidales. 4 ; faisc. pariétal supérieur (traclus
moteur
contico-crural, f). 5 ; faisc. pariétal moyen.
eux supérieurs (étage supérieur). 5, 5 ; noyaux d'origine des nerfs
moteurs
oculaires communs. 6, 0 ; coupe des tubercules
e de la protubérance au niveau de sa partie moyenne. 1, 1 ; portion
motrice
des pyramides (étage inf.) 2, 2 ; leur portion
belleux sup. moy. et inf. - t ; locus niger. Émergence de la racine
motrice
de trijumeau. 6; facial. 7 ; grand hypoglosse.
rolubéranlielles) ; les autres se rendent dans les noyaux des nerfs
moteurs
crâniens (fibres cérébrales des nerfs moteurs crâ
les noyaux des nerfs moteurs crâniens (fibres cérébrales des nerfs
moteurs
crâniens) et repré- sentent les neurones centra
al. - Vsph, sa corne sphénoïdale. II, bandelette optique. - III, nerf
moteur
ocu- laire commun. dans le corps de Luys (rad
latéral. Zr, zone réticulée. - JI, bandelette optique. - III, nerf
moteur
oculaire commun. Il résulte de cette dispositio
- Slri, stratum intermedium. Tpo, tumia pontis. 17d, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - l'il, voie pédonculai
, tubercule mamillaire accessoire. - t'c, petite racine descendante
motrice
du trijumeau. - 7/, bandelette optique; III, nerf
scendante motrice du trijumeau. - 7/, bandelette optique; III, nerf
moteur
oculaire commun. il exisle un pes lemniscus sup
, zone réticulée du tha- lamus. II, bandelette optique. - 1'1, nerf
moteur
oculaire externe. les coupes vertico-transversa
la partie adjacente de l'opercule frontal, c'est-à-dire de la zone
motrice
facio-I)ha-y21go-Ici,yiègée (Fig. 236). Elles p
re descend dans la pyramide bulbaire, participe à rentre-croisement
moteur
et à la constitution des faisceaux pyramidaux d
ent au locus niger et les neurones corticaux d'une partie des nerfs
moteurs
crâniens. 11 contient en outre quelques fibres
ral, dans la partie antérieure du lobe frontal, une importante zone
motrice
pour les mouvements des yeux (Fig. 240 et 241),
d'étonnant à ce que cette zone excitable envoie, tout comme la zone
motrice
rolandique, des fibres dans le pied du pédoncule
du pédoncule cérébral. Chez l'homme, l'existence même de cette zone
motrice
est encore à démontrer. Par exclusion, nous arr
ule cérébral retentit en outre sur les neurones corticaux des nerfs
moteurs
crâniens. 11 n'existe donc pas dans le pied du pé
un faisceau corlico- protubérantiel distinct, un faisceau des nerfs
moteurs
crâniens distinct, un faisceau pyramidal distin
nchevêtrées les unes avec les autres, bien que les fibres des nerfs
moteurs
crâniens se groupent surtout à la partie intern
eurones corlico- bulbaires (ou faisceau cérébral des nerfs craniens
moteurs
), les neurones corlico-médullaires plus connus
e. Les neurones cortico-bulbaires (ou faisceau cérébral des nerfs
moteurs
crâniens) tirent leur origine de l'opercule rolan
rs et le pied du pédoncule cérébral au-dessous de l'oiigine du nerf
moteur
oculaire commun; 2, par la protubérance au-dessus
raphé du cerveau moyen puis se rendaient dans les noyaux des nerfs
moteur
oculaire commun (III- paire) et pathétique (IVe
n'étaient en effet pour Meynert que les fibres cérébrales des nerfs
moteurs
crâniens. Les autres fibres de l'anse du noyau le
n de l'origine du faisceau de la pyramide dans la cor- ticalité
motrice
du chien. Travaux de Char- cot sur l'origin
. pyramide du bulbe, mais ne participaient pas à l'entre-croisement
moteur
des pyramides ; elles occupaient dans la moelle
eau du collet du bulbe, pour former l'entre-croisement inférieur ou
moteur
des pyramides, puis se continuaient dans le cor
sigmoïde (c'est-à-dire dans la région désignée sous le nom de zone
motrice
par Hitzig) et que l'extirpation de cette région,
, contigu au faisceau pyramidal, qui renferme les fibres des noyaux
moteurs
bulbaires (facial et hypoglosse) et correspond au
. ? la voie pyramidale myélinisée. - p', la voie centrale des nerfs
moteurs
crâniens, en particulier du facial et de l'hypogl
eur en avant du faisceau pyramidal et représente les fibres des nerfs
moteurs
de la protubérance ; 4° Le faisceau qui compr
faisceau cortico-protubérantiel antérieur el le faisceau des neifs
moteurs
crâniens ; elles occupent ensuite le bord interne
couche ventrale et sont situées entre le faisceau des nerfs crâniens
moteurs
et le faisceau des fibres caudées; elles formen
un faisceau cortico-protubérantiel antérieur, un faisceau des nerfs
moteurs
crâniens, un faisceau pyramidal, un faisceau cort
rotubérantielle. - SR, for- mation réticulée. - T'cl, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - ]'P, voie pédon- cu
e la voie pédonculaire droite. - 111, filets radicu- laires du nerf
moteur
oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCOR
; sur les pédoncules cérébelleux supérieur et moyen; sur les noyaux
moteurs
et sensitifs des nerfs crâniens; sur la colonne g
es libres qui représentent t les neurones encéphaliques des nerfs
moteurs
crâniens, en particulier des nerfs facial et hy
vaud. Coupes passant par le collet du bulbe et l'entre-croi- sement
moteur
des pyramides. La Fig. loi montre l'entre-croisem
bulbe et intéressant la partie inférieure de l'en- tre-croisement
moteur
et la région supérieure de la moelle au nivea
ivaud. Coupe passant par la partie inférieure de l'entre-croisement
moteur
des pyramides. La pyramide gauche saine, mais hyp
s l'âge de 32 ans d'hémiplégie droite avec contracture et aphasie
motrice
sans trou- bles de la sensibilité et relevant d
nombreux ponts de substance grise; il en est séparé par les segments
Moteurs
(Cia, Fig. 202) et postérieur de la capsule int
calisations, dans l'écorce des hémisphères cérébraux, des fonctions
motrices
, sensitives, sensorielles, et des différentes for
s d'aphasie. Parmi les premiers travaux parus sur les localisalions
motrices
, il faut citer ceux de IIitziâ ()872-187), de C
iquée sur l'homme. '1. Localisations corticales. 1. Localisations
motrices
. - La zone excitable ou motrice du cerveau occu
tions corticales. 1. Localisations motrices. - La zone excitable ou
motrice
du cerveau occupe la partie sus-sylvienne du se
sceau pyra- midal dans son trajet bulbaire et médullaire. La zone
motrice
comprend trois centres moteurs principaux, échelo
ajet bulbaire et médullaire. La zone motrice comprend trois centres
moteurs
principaux, échelonnés de haut en bas, et qui s
eurs principaux, échelonnés de haut en bas, et qui sont : le centre
moteur
du membre inférieur, le centre moteur du membre
en bas, et qui sont : le centre moteur du membre inférieur, le centre
moteur
du membre supérieur, le centre moteur de la fac
u membre inférieur, le centre moteur du membre supérieur, le centre
moteur
de la face. De ces trois centres, celui du memb
des circonvolulions rolandiques et au lobule paracentral. Le centre
moteur
de la face occupe l'opercule rolandique, le qua
oisième circonvolution frontale. L'excitation électrique de la zone
motrice
a été pratiquée il différentes reprises chez l'
ils ont permis de localiser : le centre du pouce sur les cir- Zone
motrice
cor- ticale. Ses trois enitros principaux.
rle deuxième sillon frontal avec le sillon pré- Fig. 236. - La zone
motrice
de l'homme d'après les recherches des chirurgiens
tifs aux lésions destructives des différents centres de la zone
motrice
corticale. Monoplégies cru- rales. s. Mon
iculaire externe. Chez l'homme, les lésions destructives de la zone
motrice
s'accom- pagnent toujours de troubles moteurs q
structives de la zone motrice s'accom- pagnent toujours de troubles
moteurs
qui se traduisent cliniquement, suivant l'étend
que la lésion destructive intéresse la moitié supérieure de la zone
motrice
et le lobule paracentral, comme dans le cas Scheu
d, étant donnée la petite étendue occupée par chaque représentation
motrice
. On a cepen- dant observé un cas de paralysie c
pposé au point exité. La zone anté- rieure ou frontale serait seule
motrice
et la déviation conjuguée des yeux et de la têt
Pour Masini (1888), cette zone s'étendait en arrière sur la région
motrice
proprement dite. En 1889 et 1890, Semon et Horsle
as que l'un de nous a rapportés en 1891, concernant deux aphasiques
moteurs
sous-corticaux avec paralysie de la corde vocal
sticateurs et laryngés, leur action est bilatérale. Localisations
motrices
corticales chez le macaque et l'orang-outang. G
et l'orang que chez l'homme. Chez le macaque (Fig. 239), la zone
motrice
occupe la région rolandique, empiète zono motrice
(Fig. 239), la zone motrice occupe la région rolandique, empiète zono
motrice
du en avant sur le lobe frontal, et en haut sur
terne de l'hémisphère. On y trouve macaque. FiG. 239. - Les centres
moteurs
des faces externe et interne du cerveau du maca
er (Philos. Trans., 1887). 228 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Zone
motrice
de l'urang. i Zone des membres. Leurs cen
; mais il existe en outre, en avant du sillon précentral, un centre
moteur
spécial des yeux dont l'excitation ne détermine
e la face et celui du pouce. Zone des membres. - Chacun des centres
moteurs
compiend un certain nombre de centres secondair
ondant àl'extrémité supérieure du sillon de FiG. 240. - Les centres
moteurs
corticaux de l'orang (simia salyrus), d'après Bee
différenciés siègent à la partie inférieure, au voisinage du centre
moteur
de la face. Chez l'orang (Fig. 242), les centre
uverture de la bouche, la moue des deux lèvres. FiG. 242. La région
motrice
de la corticalité cérébrale de l'orang (simia sat
psulaires chez le macaque. - Après avoir étudié les locali- sations
motrices
corticales chez le macaque, Ilorsley et Beevor on
, Ilorsley et Beevor ont déterminé le trajet capsulaire du faisceau
moteur
. Leurs recherches sont basées sur quarante-trois
aites toutes sur le macacus sinicus. Elles démontrent que le faisceau
moteur
présente dans la capsule interne un trajet et u
t : -. 234 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FiG. 2ho Localisations
motrices
capsulaires chez le macacus sinicus, d'après Beev
ou totales de la région rolandique, - c'est-à-dire de la zone dite
motrice
- déterminent chez le chien, le singe et chez l'h
ires consécutives à la lésion volontaire ou accidentelle de la zone
motrice
au cours d'une trépanation, les hémiplégies par-
nk, Bastian). De ce fait, ils nient donc l'existence même des centres
moteurs
corticaux. Pour Munk, ces troubles sensitifs jo
cents admettent, par contre, l'indépendance réciproque des troubles
moteurs
et sensitifs consécutifs aux lésions de la régi
o, Flechsig, IIenschen, Dejerine, Mott, Schafer identifient la zone
motrice
et la zone sensitive dans la région rolandique; d
, localisent la zone sensitive dans une région distincte de la zone
motrice
. Ferrier place la zone sensitive dans la circon
strictement limitées à la zone rolan- dique entraînent des troubles
moteurs
et sensitifs très marqués. Ce fait suffit donc
veut Tripier, la zone sensitive est exactement superposée à la zone
motrice
, ou si, plus étendue que cette dernière, elle n
ils puissent s'observer à l'état isolé - c'est-à-dire sans troubles
moteurs
correspondants à la suite de lésions de ce lobe
ue la zone sensitive corticale s'étende plus en arrière que la zone
motrice
. C'est là un point qui nécessite encore de nouv
ivo-motrice corticale du membre inférieur. - .VS, région sensitivo-
motrice
corticale des membres supérieurs. - F, région sen
'images nécessaires à la fonction du langage : le centre des images
motrices
d'articulation, (B) le centre des images auditi
gués par un même vaisseau, l'artère sylvienne. Le centre des images
motrices
d'articulation, ou centre de Broca, Fic. 248. -
s images auditifs des mots; B, centre de Broca ou centre des images
motrices
d'articulation; Pc, centre des images visuelles d
de sa fonction dans la corticalité générale : le centre des images
motrices
d'articulation est immédiatement accolé à l'ope
t immédiatement accolé à l'opercule rolandique, -région des centres
moteurs
de la face, du larynx, du pharynx et de la lang
e aux centres des muscles dont les mouvements assurent le mécanisme
moteur
matériel de l'articulation des sons. Le centre
ndant au centre d'images directement atteint par la lésion. L'aphasie
motrice
domine si la lésion siège au centre de Broca, l
rigent toujours le fonctionnement du langage intérieur : les images
motrices
d'articu- lation se forment ensuite très rapide
lus tard que l'en- fant apprend à rattacher aux images auditives et
motrices
d'articulation l'image visuelle des mots, c'est
s la zone du langage. La conservation des trois images, auditive,
motrice
d'articulation et visuelle, est indispensable p
ALE. 249 revêt alors deux types cliniques bien distincts, l'aphasie
motrice
et l'aphasie SCI1S0- rielle, suivant que la lés
de la zone du langage, suivant qu'elle détruit le centre des images
motrices
d'ar- ticulation ou les centres des images audi
la loca- lisation de la lésion, on aura affaire soit -.L l'aphasie
motrice
corticale, soitàl'apha- sie sensorielle cortica
t : a) la circonvolution de Broca à l'opercule rolandique - aphasie
motrice
sous-corticale - b) le pli courbe gauche à la z
opposition aux aphasies par lésion de la zone du langage - aphasies
motrice
et sensorielle corticales. Cette division des a
urs images du langage comme à l'état normal, tandis que l'aphasique
moteur
ou sensoriel par lésion de la zone du langage p
hie isolée, c'est-à-dire non accompagnée d'aucun symptôme d'aphasie
motrice
ou sensorielle ou de déficit intellectuel, et d
2° avec la zone corticale de la vision générale; 3° avec les zones
motrices
des deux côtés. La partie anlérieure (teintée en
première circonvolution temporale au centre de Broca et et la zone
motrice
corticale du membre supérieur Un certain nombre
eux plis courbes. - paf, fibres rehaut le pli courbe gauche à la zone
motrice
du côté opposé. - pet" fibres reliant le pli co
ypothèse. Dans l'aphasie par lésion de la zone du langage - aphasie
motrice
ou senso- rielle l'écriture est toujours altéré
aphasie par lésion située en dehors de la zone du langage - aphasie
motrice
sous-corti- cale, surdité verbale pure, cécité
, que l'on peut écrire avec une partie quelconque de la corticalité
motrice
, et que, par conséquent, le centre de l'écritur
quer avec l'hypothèse d'un centre graphique le fait que l'aphasique
moteur
cortical, agraphique pour l'écriture spontanée et
ntre chei1'o-kinest/u;sir¡ue de C. Bastian, non seulement l'aphasique
moteur
ne pourrait copier en transcrivant l'imprimé en
e de l'un de nous sur un grand nombre de malades atteints d'aphasie
motrice
corticale, celte expérience, disons-nous, échou
chez plusieurs malades de la clientèle privée. Ayant perdu l'image
motrice
d'ar- ticulation, ils n'ont plus la notion comp
uent ne peuvent repro- 252 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Troubles
moteurs
. Leurs caractères. Ils ne s'observent pas d
ieur. Localisations sous-corticales et capsulaires. Localisations
motrices
. - Les lésions destructives siégeant sur les li
ymptômes para- lytiques que si la lésion portait sur la corticalité
motrice
elle-même. Que le neurone moteur soit touché da
lésion portait sur la corticalité motrice elle-même. Que le neurone
moteur
soit touché dans sa cellule ou dans son prolongem
partielle peut faire défaut dans les lésions corticales de la zone
motrice
, et, en outre, - c'est là un fait aujourd'hui b
sique, peut se rencontrer dans des lésions sous-corticales de la zone
motrice
. Etant donnée la disposition convergente qu'aff
par aucun trouble FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 253
moteur
appréciable, lorsqu'elles n'occupent que la moiti
ge. Chez l'homme donc, les neurones de projection de la corticalité
motrice
occupent dans le segment postérieur de la capsu
baires, siégeant sur le trajet des fibres qui, provenant de la zone
motrice
, - neurones de premier ordre, - vont actionner
- neurones de premier ordre, - vont actionner les noyaux des nerfs
moteurs
crâniens, - neurones de deuxième ordre, - facia
la région sous-thalamique de la capsule interne, les localisation :
motrices
ont été peu étudiées, par la raison qu'il s'agit
cérébral. Dans cette région, les fibres de projection de la régioi
motrice
sont encore plus tassées que plus haut, et elles
nt dans ce segment postérieur de la capsule interne avec les fibres
motrices
pour aller s'arboriser dans les territories cor-
rnicke. Lehrbuch der Gehirnkrankheiten, 3 vol., 1881. Localisations
motrices
. - Beevor (Crz.) et Horsley (V.). A Minute analys
et 180. - Des mêmes. Nouvelle contribution à l'élude des localisat.
motrices
dans l'écorce des hémisphères du cerveau. Rev.
êmes. Étude critique et cli- nique de la doctrine des localisations
motrices
clans l'écorce des hémisphères cérébraux. Rev.
hémisphères cérébraux. Rev. de Méd., 1883. - Des mêmes. Les centres
moteurs
corticaux chez l'homme. Paris, Rueff, éd. 1895.
R. Soc. Biol., 1877. DEJERINE. Contribution à l'étude de l'aphasie
motrice
sous-corticale et de la localisation céré- bral
89. London, 1890. - Franck (FR \ : \ÇOIS). Leçons sur les fonctions
motrices
du cerveau. Paris, 1887, p. 3G. - FRANCS (Franç
thggb. v. Prof. II. Unver- richL. Wiesbaden, 1893. - L. Les centres
moteurs
corticaux du cerveau humain déterminés d'après
. zone réticulée du Ihalamus. - If, bandelette optique. - III, nerf
moteur
oculaire commun. TOME Il. 1S 274 ANATOMIE DES
l, nerf optique avant son entre-croisement dans le chiasma. Il[, nerf
moteur
oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉC
optique sectionnée sur les parties latérales du chiasma. Il[, nerf
moteur
oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCOR
hématoxylinique appartient à la commis- sure de Gudden. - III, nerf
moteur
oculaire commun. Alveus ealraven- culaire.
tte optique sectionnée sur les parties latérales du chiasma. ? nerf
moteur
oculaire commun. Le faisceau de'%'icq d'Azyr.
eure et le pied du pédoncule cérébral, et croise les fibres du nerf
moteur
oculaire commun (Fig. 251 et 277). Au voisinage
, zone [réticulée du thalamus. - II, bandelette optique. - VI, nerf
moteur
oculaire externe. le noyau antérieur et le pulv
de la calotte homolatérale et croisée et avec les noyaux des nerfs
moteurs
de l'oeil. (Voy. IIIe partie. Formation réticulée
mi. - F3, troisième ventricule. - II, bandelette optique. - III, nerf
moteur
oculaire commun : Nm, son noyau d'origine. 38
De là, les impulsions pupillaires réflexes arriveraient au noyau du
moteur
oculaire commun en suivant le segment ventral d
akow). Les connexions des fibres optiques avec les noyaux des nerfs
moteurs
de l'oeil sont indirectes et s'effectuent en pa
onnent chemin faisant des collatérales (IIeld) aux noyaux des nerfs
moteurs
des yeux. (Voy. ces connexions, IIIe parlie, ne
des nerfs moteurs des yeux. (Voy. ces connexions, IIIe parlie, nerf
moteur
oculaire commun.) Outre le système des fibres c
ns in- directes des fibres optiques avec les noyaux des nerfs
moteurs
de l'oeil. Fibres optiques centrifugea. 432
- II, nerf optique, son chiasma (xll) et sa bandelette. - III, nerf
moteur
oculaire commun. - l', nerf trijumeau. - 1'l, ner
III, nerf moteur oculaire commun. - l', nerf trijumeau. - 1'l, nerf
moteur
oculaire externe. - Vît, nerf facial. - VIII, n
s transversus. - IV, nerf pathétique. - F, nerf trijumeau. - VI, nerf
moteur
oculaire externe. - VII, nerf facial. - VIII, n
u3 ? centimètres. Elle se fait par deux racines, l'une petite ou
motrice
, située en avant et en dedans, l'autre , ! 7-
s (voy. T. ? p. 85) et contiennent les noyaux d'origine des nerfs
moteurs
du rhombencéphale. Ils commencent dans le calam
à l'aqueduc du Sylvius. Ils séparent les noyaux d'origine des nerfs
moteurs
des noyaux de terminaison des nerfs sensitifs (la
et 355), saillie arrondie qui correspond au noyau d'origine du nerf
moteur
oculaire externe et au genou du facial; la foss
oyau sphérique. - nh, nid d'hirondelle. - NVm, noyau masticateur ou
moteur
du trijumeau. - l'es, pédoncule cérébelleux sup
de Vicq d'Azyr. - sla, sillon transverse antérieur. - l'nz, racine
motrice
du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire. - Vsd, g
irl, lingula. - Nrf, noyau réticulé. - NI ? 7, noyau masticateur ou
moteur
du trijumeau. - 1\Ts, noyau sensitif du trijumeau
, formation réticulée. - Tr, corps trapézoule. - J'd, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - l'Il, voie pédoncul
de Tarin. - Il, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée. - III, nerf
moteur
oculaire commun. calotte protubérantielle, où i
ew (NB) et avec l'extrémité supérieure des noyaux sensitif (NVs) el
moteur
(NVm) du trijumeau; sa face posté- rieure est r
lle est comblé en bas (coupe H3, Fig. 3G2, côté droit) par le noyau
moteur
du trijumeau et l'extrémité supérieure du noyau
yme ventricu- laire qui la recouvre, en avant avec la petite racine
motrice
descendante du trijumeau (Vd), les cellules vés
i, stratum intermedium. - Tpo, taenia pontis. - l'cl, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire
érance, le noyau réticulé de la calotte, le noyau d'origine du nerf
moteur
oculaire externe et le noyau du toit. Méthode de
u toit. - 3 St, entre-croisement du noyau du toit. - -Yvi, noyau du
moteur
oculaire externe. - A'vn, noyau du facial. - Oc,
descendante du trijumeau. - 1'4, quatrième ventricule. - 1-l, nerf
moteur
oculaire externe. - nI ! ], genou du facial. -
n (Pcm) et se place en arrière et en dehors des noyaux sensitif et,
moteur
du triju- ' meau.Au-dessousdu plan horizontal p
rébelleux supérieur et le ruban de Reil médian. - -Vin, noyau du nerf
moteur
oculaire commun. - l'es, pédoncule cérébelleux
SR, formation réticulée. - l'po, tænm pontis. - T'cl, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculai
SR, formation réticulée. - 7jo, dénia pontis. - 1'tl, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - VV, valvule de Vieu
e forme, dans le pédoncule cérébral, les noyaux d'origine des nerfs
moteurs
oculaire commun (IIIe paire) et pathétique (IVe p
la partie inférieure de la protubérance, le noyau d'origine du nerf
moteur
oculaire externe (7l' paire); dans le bulbe, le n
fournit, dans le pédoncule, le noyau d'origine de la petite racine
motrice
descendante du nerf trijumeau et le locus ct7J1
ion pro- tubérantielle supérieure, le noyau d'origine de la porlion
motrice
du nerf trijumeau (Ve paire) ; dans la région p
paire); dans la région bulbaire, les noyaux d'origine de la ortiozz
motrice
des nerfs mixtes, glosso-pharyngien (IXe paire)
nt par le tubei- cule quadrijumeau antérieur et l'émergence du nerf
moteur
oculaire commun. Mé- thode de Weigert-Pal. 3/1
érieur. Lu, locus niger. - NIII, partie inférieure du noyau du nerf
moteur
oculaire commun. - l'es, pédoncule cérébelleux
édonculaire 11', zone de Wernicke. - ? bandelette optique. - ? nerf
moteur
oculaire commun. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RH
. Tpo, tænia pontis. - 1 , quatrième ventricule - Vd, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - l'l', voie pédonculai
mplexum, stra- tum profundum. Tpo, ttenia pontis. VU, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - l'il, voie pédoncul
- V, nerf trijumeau. - Vu, quatrième ventricule. 17cl, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. VP, voie pédonculaire
r en dehors, des cellules du locus coeruleus et de la petite racine
motrice
descendante du trijumeau en arrière, et que nous
18 et 396) qui correspond à l'émergence du trijumeau et à son noyau
moteur
, les noyaux central supérieur et circonflexe disp
is amas cellulaires, l'olive supé- rieure (Os) en avant, les noyaux
moteur
(NVm) et sensitif (NVs) du triju- meau en arriè
a région prolubéranl ielle moyenne, le noyau réticulé et les noyaux
moteur
et sensitif du trijumeau. - Les pédoncules cérébe
- Nrl, noyau réticulé. - Nl'na, noyau du nerf masticateur ou noyau
moteur
du trijumeau. - v\'l's, noyau sensitif du triju
aire du nerf acoustique et les noyaux d'origine des nerfs facial et
moteur
oculaire externe. - Coupe horizontale passant p
hulho-protubérantiel et intéressant les fibres radiculaires des nerfs
moteur
oculaire externe' et facial. - Méthode de \'i'e
l inférieur. - Np, noyaux pontiques. - NVI, noyau d'origine du nerf
moteur
oculaire externe. - NVII, noyau d'origine du nerf
tive descen- dante du trijumeau.-T ? quatrième ventricule. VI. nerf
moteur
oculaire externe. - VII premier segment du nerf
n interne, traversé par les fibres radiculaires de la VIe paire (nerf
moteur
oculaire externe) ; l'autre externe, traversé p
et plexus choroïdes transversaux du t* ventricule (l's). - VI, nerf
moteur
oculaire externe. - l'll, nerf facial. - Ville,
d'Obersleiner). La formation réticulée grise, appelée encore champ
moteur
de Meynert, présente sur les coupes horizontale
es et désignées sous le nom de noyau ambiguus de Clarke ou de noyau
moteur
des nerfs vague el glosso-pltarY1lgien (Nab, coup
dante du trijumeau. Son aspect au niveau do l'entre- croisement
moteur
. 568 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU-X. La corne
de la moelle. Au niveau du collet du bulbe et de l'entre-croisement
moteur
des pyramides (coupe H20 à H23, Fig. 401 et 451
- La formation réticulée à la partie supérieure de l'entre-croisement
moteur
du bulbe. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur
aut en bas, et n'est plus représenté au niveau de rentre-croisement
moteur
que par une saillie mamelonnée plus ou moins pr
plus bas que le noyau de Burdach ; au niveau de l'entre-croisement
moteur
(coupes H20, Fig. iO 1), ses dimensions antéro-
formant immédiatement au-dessus de l'entre-croisement pyramidal ou
moteur
, un entre-croisement compact qui affecte la for
arge et épaisse, se fusionne si bien avec l'entre- croise- ment
moteur
qu'elle semble en provenir (coupe H19, Fig.H9
dans la substance grise voisine (Voy. p. 513). Au-dessus des noyaux
moteurs
et sensitifs du trijumeau (coupes H2, Hl, Fig.
gion sous-optt- que. Son aspect dans la région du noyau du Il
moteur
oculaire com- mun. Son aspect au ui- veau d
en arrière et en dehors le locus caruleus (Le) et la petite racine
motrice
descendante du trijumeau (Vc), landis que sa face
masticateur. - NVs, noyau sensitif du trijumeau. - l'd, petite racine
motrice
descen- dante du trijumeau.' 1 ? fibres du raph
alique, la partie fermée de l'olive bulbaire (Oi), le noyau du nerf
moteur
oculaire exte1'lle (NVI), et le faisceau solita
, noyau du funiculus teres. Nt, noyau du toit. - NVI, noyau du nerf
moteur
oculaire externe. - l'cs, pédoncule cérébelleux s
u faisceau longitudinal dorsal (Fld), et le noyau d'origine du nerf
moteur
oculaire externe (Nw). Dans la partie inférieur
ve descendante du trijumeau. - 17,, quatrième ventricule. - I'l, nerf
moteur
ocu- laire externe. - Vlllv, racine descendante
tte renferme, au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel, le noyau
moteur
bilobé du nerf facial (Nvin). Les fibres longitud
otte protubérantielle appartiennent aux fibres radiculaires du nerf
moteur
oculaire externe (VIe paire); le noyau gris situé
euse, les pédoncules cérébelleux supérieur et inférieur, les noyaux
moteur
et sensitif du trijumeau et la grosse racine sens
trijumeau; au- dessus et en arrière du noyau sensitif est le noyau
moteur
du trijumeau (NVm). L'étage antérieur de la pro
hémisphères cérébelleux. La coupe S 6 (Fig. 414) passe par le noyau
moteur
du trijumeau (NVm), le hile de l'olive cérébell
la partie interne de l'olive cérébelleuse (Oc), en dehors du noyau
moteur
du triju- meau, intéresse le pédoncule cérébell
du hile de l'olive. Le pédoncule cérébelleux inférieur et'le noyau
moteur
du trijumeau.- Coupe sagittale S 6, de la région
dale. 1 ? voie pédonculaire. - l'T, valvule de Tarin. - NI'm, noyau
moteur
du trijumeau. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉP
essus du coude du pédoncule céré- belleux inférieur (Pci), le noyau
moteur
du trijumeau (Nvm), et on voit s'en détacher de
s'en détacher de gros fascicules de fibres appartenant à la racine
motrice
ou nerf mas- ticateur. La coupe S 7 (Fig. 415
ri, stratum intermedium. - Tpo, taenia pontis. - l'l, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire
, stratum interme- dium. - Tpo, taenia pontis. - I'd, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. VI', voie pédonculair
eau est-il lisse, non excavé; il atteint en dehors la petite racine
motrice
descendante du trijumeau (Vd). La paroi postéri
SR, formation réticulée. - Tpo, toenia pontis. - l'd, petite racine
motrice
descendante du trijumeau.- 171>, la voie pédon
- SR, formation réticulée. - 1'po, toenia'pontis. Vd, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - 1717, valvule de Vi
locus aeruleus (Le) et la section semi-lunaire de la petite racine
motrice
descendante du trijumeau (Vd). Le ruban de Reil
l'étage antérieur du pont. - Tpo, tænia pontis. - rd, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - T'P, voie pédonculair
e.-Tpo, t,enia pontis. -Tr, corps trapézoïde. - t'cl, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - l'Il, voie pédonculai
raphé médian. Coupe H3 (Fig. 425). Cetle coupe passe par les noyaux
moteur
et sensitif du trijumeau et sectionne la partie
tion réticulée, le noyau réti- culé, l'olive supérieure, les noyaux
moteur
et sensitif du trijumeau. Le ruban de Reil médi
aires externes. Lirl, lingula. - Nrt, noyau réticulé. - AI m, noyau
moteur
du trijumeau. - NIs, noyau sensitif du trijumeau.
R, formation réticulée. - Tr, corps trapézoïde. - VU, petite racine
motrice
descendante du trijumeau. - I"s(l, grosse racine
l. - A'ffe, noyau de la branche cochléaire de l'auditif. - VI, nerf
moteur
oculaire externe. - nI, nerf facial. - IXd, fais-
u système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Les noyaux
moteur
et sensitif du trijumeau constituent l'élément, n
(SR). Il reçoit à sa partie postérieure et externe la petite racine
motrice
descendante du trijumeau (Vd), sectionnée très ob
quement et qui s'infléchit en avant et en dehors, séparant le noyau
moteur
(NVm) du noyau sensitif (NVs). La coupe intéres
raît comme une masse allongée, située en dehors et en avant du noyau
moteur
(NVm). A sa partie antérieure, il existe une so
téresse sur les parties latérales du 4° ventricule la petite racine
motrice
descendante (Vd) du trijumeau fi32 ANATOMIE DES
de Reil médian (Rm), jusqu'au-dessous du plan passant par le noyau
moteur
du trijumeau. A ce niveau, il s'infléchit en ar
argeur, depuis sa pénétration dans la protubérance jusqu'aux noyaux
moteur
et sensitif situés dans la calotte. On reconnaî
e leur point de pénétration dans la protu- bérance jusqu'aux noyaux
moteur
et sensitif de ce nerf. Le noyau moteur du trij
bérance jusqu'aux noyaux moteur et sensitif de ce nerf. Le noyau
moteur
du trijumeau (NVm) présente la même surface de se
gitudinal postérieur et le faisceau central de la calotte. Les noyaux
moteur
et sensitif du trijumeau et l'émergence de ce n
- Vsd, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. NVm, noyau
moteur
du trijumeau. - NVs, noyau sensitif du trijumeau.
un noyau ovalaire, le noyau de la VIe paire (Nvi) ou noyau du nerf
moteur
oculaire externe, dont les fibres radiculaires
au du toit. - La calotte protubérantielle, le noyau d'origine du nerf
moteur
oculaire externe. - Coupe horizontale H 6 du rh
11., le quatrième segment du facial. -NI71, noyau d'origine du nerf
moteur
oculaire externe. - VI, fibres radiculaires du
igine du nerf moteur oculaire externe. - VI, fibres radiculaires du
moteur
oculaire externe. ÉTUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMB
(VlIIv), l'olive supérieure (Os) et les fibres radiculaires du nerf
moteur
oculaire externe (Vle paire). La coupe ne compr
le noyau cen- tral inférieur, les noyaux d'origine du facial et du
moteur
oculaire externe, le nerf vestibulaire et les f
trijumeau. - NVI, VI, noyau d'origine et fibres radiculaires du nerf
moteur
oculaire externe. Nl'II, noyau d'origine, premi
(Nvi) ; elles relient en effet l'olive supérieure au noyau du nerf
moteur
oculaire externe. Le noyau du facial (Nvn) situ
e au voisinage du sillon bulbo-protubé- rantiel (bp). Le noyau du
moteur
oculaire externe (Nvi) est volumineux et ovalaire
ns le sillon marginal antérieur du cervelet et intéresse les noyaux
moteur
et sensitif du trijumeau (NVm et NVs). Cette co
cérébelleux. NB, noyau de l3echterew. - Nem, bouchon. Ni'ii, noyau
moteur
du trijumeau. - \'l's, noyau sensitif du trijum
tionne dans la calotte les fibres radiculaires du facial (VIIt) et du
moteur
oculaire externe; sa partie antérieure passe à
inférieur de la protubé- rance et les fibres radiculaires des nerfs
moteur
oculaire externe et facial, et pas- sant par la
- Vsd,grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - III, nerf
moteur
oculaire externe. - 1,Il, nerf facial. - 7VWY, no
m superficiale du pont (FPoa) est traversé par les troncs des nerfs
moteur
oculaire externe (VI), et facial (VII) à leur éme
bulbe (coupe H20, Fig. 450). Fig. 119 et 1 : )0. L'entre-croisement
moteur
et la région du collet du bulbe. Les noyaux des
1',1, pyramide antérieure du bulbe. 3']' ! J, ,'nll'e-t'I'o¡'ement
moteur
ou décussation des pYL'aIl11des, - SR.'}, formati
isés et l'on Fig. 431. - La partie inférieure de l'entre-croisement
moteur
et la région du collet du bulbe. - Coupe transv
raissent des accidents aphasiques comprenant à la fois de l'aphasie
motrice
(rappelons encore que l'accès a débuté par l'oe
uve limité, contrarié, ou même annihilé par l'autonomie des centres
moteurs
. Cette autonomie mécon- nue par les sensualisle
ie. ,1/lél'll- lion des méninges localisée à la région des centres
moteurs
(l'nogr. med., 1878, p. 483). L. Edinger. /Uic/
es des pyramides moyennes de l'aire corticale visuelle, dans l'aire
motrice
et dans l'aire acoustique, où ces neurones sont
rappelé celles qu'il a vues se distribuer dans l'aire sensitivo-
motrice
et qui proviennent sans doute de la voie sensitiv
ésultat, il faut s'attacher à établir une association entre l'image
motrice
du tic qui est persistante et une image antagonis
gnostique car il n'est pas démontré qu'elles précèdent les troubles
moteurs
et n'ont pas davantage de signification pronost
é des membres furent précédés d'une parésie de courte durée du nerf
moteur
oculaire externe du côté droit. L'affection con
avec faible tendance à la généralisation et participa- tion du nerf
moteur
oculaire externe, ayant déterminé les phéno- mè
autopsie, des lésions manifestes des cellules pyramidales des zones
motrices
. M. JOFFROY trouve considérable le rôle de l'hé
inée. La doctrine des centres autonomes et distincts, exclusivement
moteurs
ou exclusivement sensitifs, a vécu. Il n'y a
t de recevoir de l'influx et d'en émettre, d'être et sensitive et
motrice
. Il y a longtemps qu'on savait qu'au niveau des
es centres réflexes ou sensitivo-moteurs. De même que les centres
moteurs
des anciens auteurs sont en même temps sen-. si
les centres sensoriels (vision, audition, etc.) sont en même temps
moteurs
. Il m'a semblé que ces notions nouvelles étaien
de concevoir l'existence de deux zones de pro- jection centrifuge (
motrice
) superposées aux premières. A. Rôle moteur du c
- jection centrifuge (motrice) superposées aux premières. A. Rôle
moteur
du centre visuel cortical. Centre oculo- moteur
remières. A. Rôle moteur du centre visuel cortical. Centre oculo-
moteur
postérieur. Une vive lumière se produit à ma dr
se produisent encore lorsque les circonvolutions centrales dites
motrices
sont lésées' (voir plus loin). L'idée d'ailleur
êmes résultats lorsqu'on enlève les circonvolutions centrales dites
motrices
. Des expériences analogues ont été faites par U
eure du lobe occipital un centre non seulement sensitif, mais aussi
moteur
. Nous verrous plus loin que ces données concord
ibilité générale de l'oeil et de ses annexes est-elle en même temps
motrice
? S'il en était autre- ment, cette région échap
migraine ophtalmoplégique, comme au centile postérieur sensorio-
moteur
correspond la migraine ophtalmique. DOUBLE CENT
ième frontale qui fait mouvoir mes yeux, des autres circonvolutions
motrices
qui me font me lever et marcher. C'est dans la
olu- ment intacts dans l'hémiplégie (Féré ef Lépine). Les muscles
moteurs
du globe oculaire agissent toujours d'une façon
musles sur uu seul oeil, dans les lésions corticales. Les muscles
moteurs
des paupières (orbiculaire-releveur) agissent h
à considérer : 1° la déviation conjuguée des yeux ; 1° les troubles
moteurs
des paupières. . g Je". Déviation conjuguée de
CENTRE D'INNERVATION CORTICALE, ETC. 187 1 superposées, les régions
motrices
et sensitives n'ont pas tou- jours les mêmes li
de la sensibilité géné- rale dépasse bien en arrière le territoire
moteur
. Il n'y aurait rien d'irrationnel à supposer qu
iation conjuguée des yeux, habituellement asso- ciée à l'hémiplégie
motrice
, sans lésion ni du pli courbe, ni du lobe occip
térales, les troubles sont encore peu importants. Dans l'hémiplégie
motrice
com- plète il est fréquent de trouver une intég
encore il faut admettre une suppression des deux centres oculo- -
moteurs
antérieurs avec conservation des centres oculo-mo
ctait celui-ci. Des deux côtés le siège probable du centre oculo-
moteur
antérieur (pied de la deuxième frontale) était at
logique, s'accordent à démontrer que l'oeil possède au point de vue
moteur
, de même qu'au point de vue sensitif, deux zone
s paupières (septième paire), c'est-à-dire en somme tout l'appareil
moteur
de la vision. 3° La lésion isolée du centre o
re que les troubles sensitifs prédominent au début sur les troubles
moteurs
: dans l'observation IV de Broadbent, la malade
C'est ainsi que M. Van Gehuchten soutient que la section d'un nerf
moteur
spinal, chez le lapin, n'est pas suivie inévita
fibres sectionnées, contrairement il ce qui se passe pour tout nerf
moteur
cranien dont la section entraine toujours une réa
ent. M. Van Gehuchten admet qu'à la suite de la section d'un nerf
moteur
cranien, les cellules d'origine des fibres lésées
iée par M. Marinesco. Ils ne sont encore pas d'accord sur la nature
motrice
ou sensitive de ce noyau dorsal du vague. M. Mari
d'après de récentes recherches, considère comme démontrée sa nature
motrice
. A. 1 L,.aarlou. V. Le système osseux chez les
s et cubital, normaux. Aucune anomalie de la sensibilité cutanée ou
motrice
, titubation très forte du patient dans la situa-
3°, 5°, 7°, z,9 ? 10", if, 12° paires. En ce qui concerne l'oculo-
moteur
commun, le droit interne de l'oeil gauche est seu
les artères spinales situées plus haut; c'est pourquoi les troubles
moteurs
sont bien plus marqués après un pincement d'une
ns les huit premiers jours qui suivent l'intervention. les troubles
moteurs
et sensitifs sont revenus à la normale. Le pincem
t terme, le cerveau n'est pas suffisam- ment développé, les parties
motrices
se développent plus tard c'est pourquoi elles s
s. Ca dépend de la circulation ralenlie (Brissaud) dans les centres
moteurs
des extrémités inférieures. Le lobe paracentral
arachnoïdien à cause du chevauchement des os pariétaux. Les centres
moteurs
des membres inférieurs peuvent être contusionnés,
énomène de la maladie : deux neu- rones entrent en jeu dans la voie
motrice
; l'un qui va de l'écorce des zones motrices aux
rent en jeu dans la voie motrice; l'un qui va de l'écorce des zones
motrices
aux cellules des cornes antérieurs, l'autre de
ons fonction- 234 SOCIÉTÉS SAVANTES. nelles du cerveau, les aires
motrices
, les rapports entre la super- ficie du crâne et
es. A partir du 13 décembre, confusion mentale complète, excitation
motrice
, tendances agressives, gâtisme et insomnie; éma
hémorra- tique, localisée dans l'écorce et dans les noyaux du nerf
moteur
oculaire commun. Les troubles de la vue relèver
cule antérieur servent à le mettre en rapport avec le noyau du nerf
moteur
oculaire du même côté, mais principalement du'c
acte, » sa volonté n'est plus suffisante pour actionner son système
moteur
et les efforts qu'il tente à cet égard n'abouti
urvécu plus de six jours à son iclus. Chez ce malade dont la zone
motrice
était inaltérée, les troubles de la motilité ne p
la constatation capitale en même temps que l'exagération du réflexe
moteur
par rapport à ce qui se passe du côté opposé so
e d'insuffisance nasale. Ce fait peut être rangé parmi les aboulies
motrices
systématisées permanentes; on sait que les abou
oulies motrices systématisées permanentes; on sait que les aboulies
motrices
respectent les mouvements physiologiques, respi
membres, le tremblement qu'il attribue à une lésion des cellules
motrices
cérébrales ou tout au moins du faisceau pyramidal
de myéline des nerfs, dégénérescence affectant également les fibres
motrices
et sensitives. A. Marie. XXXVI. Diagnostic diff
de doit être fixée de la main gauche libre; 4° La section d'un nerf
moteur
est suivie des phénomènes connus de la réaction
la force est étonnamment faible. Ce qui a lieu pour tous les nerfs
moteurs
a lieu aussi pour l'oculomoteur commun. Sa comp
ade marche sans être soutenue; l'ataxie est peu prononcée, la force
motrice
a aug- menté, l'anesthésie est faible et peu ét
s d'intensité croissante pendant les premiers jours et paraplégie
motrice
. Amélioration consécutive avec persistance de la
e syphilis cérébro-spinale (6 ca), d'affections diverses du neurone
moteur
' (névrite multiple, amyotrophie spinale, etc.)
ral. Le rapport de ce phénomène avec l'affection du premier neurone
moteur
est douteux. Le bourrelet musculaire tient plut
entre les parti : sans de la poliomyélite et ceux de la polynévrite
motrice
comme cause plus ou moins exclusive de ces para
e et l'immobilité complète des membres et de la plupart des muscles
moteurs
. Température : 39°. Pouls : 120°, rapide, fort
EUSE. (noyaux de l'hypoglosse et du vague) et les circonvolutions
motrices
. Nerfs. Notre attention étant spécialement diri
i- nant, ni enfin d'altération des vaisseaux. Les circonvolutions
motrices
ne nous montrèrent non plus aucune altération d
haut, atteignant successivement et infailliblement tous les centres
moteurs
échelonnés le long de la colonne médullo-bulbai
insi successivement les différents étages de la colonne. antérieure
motrice
, la plus superficielle et la plus sensible parm
ralise d'emblée en même temps à la plus grande partie de la colonne
motrice
, et tantôt l'envahit progressivement de bas en
différentes affections des méninges rachidiennes et de la colonne
motrice
antérieure. IV. Considérations générales. Cet
ante surtout par la localisation exclusive des lésions aux cellules
motrices
des 1 Schultze. liùiieli. oaecl. \Voch., 1898,
RNES ANTÉRIEURES. 369 cornes antérieures de la moelle et des noyaux
moteurs
bulbaires, sans adjonction d'aucune autre altér
é du type clinique : myélite ascendante aiguë à forme exclusivement
motrice
. On sait en effet que rien n'est plus variable
systématisation, une élection des lésions pour les seules cellules
motrices
des cornes antérieures, se rencontre aussi parf
ralysie de Landry qu'aux cas de paralysie extensive exclu- sivement
motrice
sans troubles de la sensibilité, ni réaction de
que le malade meurt avec des lésions étendues à tout son neurone
moteur
périphérique. ' Nous pourrions d'ailleurs criti
ewer sont possibles, il arrive aussi que les centres des neurones
moteurs
périphériques sont primitivement atteint sans auc
rbide les cas de paralysie ascendante aiguë avec symptômes purement
moteurs
et lésion exclusivement médullaire et lui réser
ons successives ou simultanées des différentes par- ties du neurone
moteur
périphérique viennent compliquer le tableau, fa
guë, la poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte et la polynévrite
motrice
»- « En présence d'un syndrome qui reflète plus
s aussi exactement systématisées aux cellules, centres des neurones
moteurs
périphériques, avec intégrité des nerfs des vai
aiguë avec lésions exactement localisées aux cellules des neurones
moteurs
péri- phériques et avec symptômes uniquement mo
s des neurones moteurs péri- phériques et avec symptômes uniquement
moteurs
. ' Raymond. Presse médicale, 1896, p. 29. Clini
Conclusions. - 1° Il est des cas de paralysie ascendante à forme
motrice
pure, dus à des lésions exclusives de la colonne
à forme motrice pure, dus à des lésions exclusives de la colonne
motrice
médullo-bulbaire, sans atteinte des vaisseaux ni
hèse, la marche ascen- dante et progressive des lésions, la colonne
motrice
étant touchée par l'intermédiaire du canal rach
ngage parlé ». Maudsley le premier nomma ce trouble « hallucination
motrice
». Avant ces auteurs d'autres avaient observé c
tions psycho-motrices verbales pures : 1° halluci- nations verbales
motrices
pures ; 2° des hallucinations ver- bales motric
nations verbales motrices pures ; 2° des hallucinations ver- bales
motrices
combinées à des auditives verbales ; 3° de simp
s à des auditives verbales ; 3° de simples représentations mentales
motrices
associées ou non. MM. Ballet 2, Ritti3, Séglas
médico- psycho" 1892). i Séglas et Londe. Hallucinations verbales
motrices
dans la mélancolie' (Archives de neurologie, 18
ses leçons à Sainte-Anne parla plu- sieurs fois des hallucinations
motrices
verbales surtout chez les délirants chroniques,
ins sensoriels que psycho-moteurs, les hallucinations psychiques ou
motrices
verbales ; des voix intérieures parlent silenci
aux oreilles. Ces faits s'ex- pliquent par la propagation au centre
moteur
du langage de l'excitation du centre auditif co
nt. Brierre de BoismonL', pour revenir aux hallucinations psycho-
motrices
verbales, cite le cas d'une femme de quarante ans
maison. Contribution à l'élude des hallucinations verbales psycho-
motrices
(Thèse de Paris, 1897). - * Brierre de Boismont
rapporté deux cas de paralytiques généraux ayant des hallucinations
motrices
verbales. - Dans les délires toxiques, surtout
ts intéressants de ce cas, c'est que l'éréthisme du centre cortical
moteur
verbal produit chez la malade non seulement la
oteur verbal produit chez la malade non seulement la représentation
motrice
, mais aussi une sorte d'articulation réelle qui
et pénibles quelques jours avant son entrée; hallucination psycho-
motrice
verbale. facteur il Paris, tlente-six ans. 38
ngue remue au moment où elles parlent. C'est bien une hallucination
motrice
verbale apparue au mo- ment du délire alcooliqu
lement l'excitation du centre auditif cortical se propage au centre
moteur
du langage, mais même l'excitation périphérique
mais même l'excitation périphérique provoque l'éréthisme du centre
moteur
du langage. Cette excitation vient souvent de l
servations. Mais examinons d'abord ce que c'est que l'hallucination
motrice
verbale. Pour quelques auteurs la fonction du l
us visuels et auditifs, sont au con- traire prépondérantes chez les
moteurs
qui, pendant la réflexion, parlent mentalement
lire'. 1. « Chez moi, dit M. G. Ballet, comme chez la plupart des
moteurs
, quand je pense, la parole intérieure devient sou
t mon langage intérieur; c'est là notre forme d'images vives à nous
moteurs
2. » A l'état pathologique, l'hallucination mot
es vives à nous moteurs 2. » A l'état pathologique, l'hallucination
motrice
verbale n'est autre chose que la reproduction d
idues. » (P. Raugé .) Ainsi, à l'état pathologique, l'hallucination
motrice
verbale n'est autre chose qu'une reproduction d
u'une reproduction d'une intensité mor- bide des images sensitives,
motrices
et verbales. C'est ainsi que l'éréthisme du cen
es croient parler automatique- ment. L'éréthisme du centre cortical
moteur
verbal produit aussi des mouvements réels d'art
c'est une excitation externe (obs. IV) qui réveille l'hallucination
motrice
verbale, ou bien ce sont les voix des oreilles
e que cette excitation augmente elle se transforme en hallucination
motrice
verbale; la voix est d'abord peu précise, mais
nant que l'exci- tation de» centres se propage, intéresse le centre
moteur
de la fonction langage. Généralement, ces hal
le interne, n'est qu'un cas parti- culier que présente tout neurone
moteur
ou sensitif à la suite de la destruction de son
rvice. Dans toute compression médullaire s'observent des troubles
moteurs
; c'est que les fibres motrices sont plus sensible
n médullaire s'observent des troubles moteurs; c'est que les fibres
motrices
sont plus sensibles au trau- matisme que les fi
nsibles au trau- matisme que les fibres sensitives; mais ces fibres
motrices
elles- mêmes ne sont pas également résistantes,
s fibres cortico-spinales et cérébello- spinales, les autres fibres
motrices
provenant du mésencéphale, de la protubérance a
entit pas-toujours d'une façon systématique, d'abord sur les fibres
motrices
et ensuite sur les fibres sensitives. A côté des
t que la compression n'ait mis hors de fonc- tion toutes les fibres
motrices
; ou encore, celles dans lesquelles la compressi
explication physiologique certaine, on observe, il côté de troubles
moteurs
plus ou moins accusés, une exagéra- tion de l'u
approvisionnement d'arborescences terminales. Les grosses cellules
motrices
sont ainsi encadrées d'une couronne de forts cy
ivent encore des fibres centrales des noyaux terminaux sensitifs et
moteurs
. Le ganglion de l'isthme devient ainsi le centr
systématisés, obnubilation définitive de la mémoire, sans troubles
moteurs
, on a tout juste le droit de suspecter un ramol
ca- tion. - Deux jours après l'agitation est tombée. Les troubles
moteurs
, sensibles et sensoriels persistent avec un affai
elles sont restées un peu obnubilées. Il n'a été noté aucun trouble
moteur
. En 1892, nouvel accès d'agitation à forme mani
BRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 439 voies digestives. Pas de symptômes
moteurs
. Obnubilation intel- lectuelle un peu plus acce
incohérence extrême de la gesticulation et des actes sans réactions
motrices
violentes, par un véri- table chaos des idées a
e le cerveau soit sur- mené par le fonctionnement exagéré des zones
motrices
(étals maniaques), sensitives (mélancolie), sen
es muscles de la vie de relation, et par suite le repos des centres
moteurs
; il a aussi pour résultat de restreindre au mi
elles, auditives, cutanées, etc.) et par suite toutes les réactions
motrices
. Il favorise le sommeil ; il diminue l'acti- vi
tre simplement due à la conscience que nous avons de notre activité
motrice
centrale, trouve pour Claparède une autre expli
bral conscient, et que ce soit la reviviscence mnésique d'une image
motrice
préalablement enre- gistrée. Mais cette image m
e d'une image motrice préalablement enre- gistrée. Mais cette image
motrice
ne peut être elle-même qu'un résidu de sensatio
ntendant par là la sen- sation de l'activité consciente des centres
moteurs
, il n'y a pas autre chose qu'une différence de
den- tique. - Ceci nous amène à parler de l'origine de ces images
motrices
conservées dans la mémoire. Tout le monde est d
prendre le mouvement volontaire il faut lui présupposer une image
motrice
, mais cette image motrice ne pourra se former qu'
ontaire il faut lui présupposer une image motrice, mais cette image
motrice
ne pourra se former qu'à la suite d'un mouvemen
es mouvements réflexes du nouveau-né donnent déjà lieu à des images
motrices
qui seront l'origine des futurs mouvements volo
s d'une malade paralytique générale qui présenta des hallucinations
motrices
verbales, accompagnées de mouvements involontai
-470 0 RECUEIL DE FAITS. encéphaliteloealisées au niveau du centre
moteur
du langage et des centres masticateurs. Nous
tives verbales (menaces entendues par l'oreille) ; d'hallucinations
motrices
verbales(voix intérieures dans l'estomac). Ces
it, du reste, trouver chez un paralytique géné- ral l'hallucination
motrice
verbale aussi bien décrite que chez le délirant
e sa lucidité d'esprit. Nous ne saurions dire si ces hallucinations
motrices
se sont reproduites pendant un temps prolongé c
ejetée, et qu'à ce membre supérieur existait une névrite, à la fois
motrice
et sensi- tive, frappant en même temps toutes l
u plexus brachial. Au membre inférieur, la névrite était purement
motrice
et localisée, comme l'examen clinique avait permi
un trouble de l'activité fonctionnelle du bulbe, siège des centres
moteurs
de la respiration, tend à se substituer aujour-
absence de réflexes patellaires ; atteinte des nerfs sensitifs et
moteurs
; localisation des accidents surtout aux parties e
zky et Rybalkin) il faut craindre une atrophie des grandes cellules
motrices
, un kyste hémorragique, la dégénérescence des f
es sur des chiens. Excitation au moyen du courant induit de la zone
motrice
de l'écorce, ou bien injections hypoder- miques
rattachent à des expériences con- sécutives à l'ablation de la zone
motrice
de l'écorce pendant l'attaque d'épilepsie; à la
i apparaît comme résultant d'une excitation d'en- semble de la zone
motrice
de l'écorce cérébrale et des centres qui y sont
ésicales dé l'attaque ; les unes et les autres dépendent de la zone
motrice
de l'écorce du cerveau. - P. KERAvAL. L11. Hy
omme l'hébétude, rapprochée d'une paraphasie dénotant une v aphasie
motrice
, et de la sensibilité à la percussion du frontal
te, exerce-t-elle une pression sur la troisième fron- tale (aphasie
motrice
) et sur les ascendantes ? Ce serait possible, c
agit de ces cas où on enregistre une disproportion entre le trouble
moteur
peu ou pas marqué et l'extrême altération de l'ex
l'éminence thénar. Or il est constaté que les éléments sensitifs et
moteurs
des deux nerfs (cubital et médian) s'anastomose
que dans un assez grand nombre de cas, les anas- tomoses des fibres
motrices
remplissent plus complètement leurs fonctions v
astomoses des fibres sensitives. Est-il possible que les impulsions
motrices
prennent, en cer- taines circonstances, une aut
on de greffe nerveuse de Sick et Soenger. Ou bien certaines parties
motrices
du canal encépllalo-médullaire entrent alors en
ors en fonctions pour d'autres (Hemak); ou bien, pour les fonctions
motrices
ainsi que cela a été constaté pour les fonc- ti
circonscrite de l'avant-bras malade, constituant un trouble vaso-
moteur
fugitif et récidivant. lIyperhidrose unilatérale
a colonne vertébrale. Use produit une paralysie isolée de la partie
motrice
de l'axillaire limitée au deltoïde. Et cependant
ontusion entre la quatrième et la cinquième cervicale de la branche
motrice
de l'axillaire, sans autre partici- pation du p
illaire, sans autre partici- pation du plexus bracliial. La branche
motrice
de l'axillaire a été lésée avant sa réunion au
autre hauteur, ou qu'elle est, tout au moins, séparée de la branche
motrice
, avant d'entrer dans le plexus. Le remplaceme
u, en effet, soit surmené par le fonctionnement exagéré des zones
motrices
(manie), sensitive (mélancolie), sensorielle (éta
lésion bulbo-protubérantielle, avec hémiplégie alterne sensitivo-
motrice
, paralysie périphérique du nerf facial et kératit
ertaines formes de syringomyélie. M. Paul Londe. Sur les troubles
moteurs
du goitre exophtalmique. Théorie de l'hypotonie
r normale- ment. Pas trace deparésie des jambes ni d'ataxie loco·
motrice
. Tous les mouvements parfaitement normaux. Les
Ici, M. le Dr Saeger a constaté ce qui suit : paralysie com- plète
motrice
des deux membres inférieurs et incapacité du pati
ilé des membres inférieurs était décidément améliorée. La paralysie
motrice
, au contraire, était restée essentiellement dan
spéciaux de mémoire du mot, à savoir mémoires auditive, visuelle,
motrice
d'articulation et motrice graphique, et à nous
ot, à savoir mémoires auditive, visuelle, motrice d'articulation et
motrice
graphique, et à nous montrer que chacune de ces
on' de Broca ne peut parfaitement bien rendre compte de l'amnésie
motrice
d'articulation des Observations XXXII, XXXIII e
circonvolution frontale la perte d'un grand facteur du mot, l'image
motrice
d'articulation ? Une embolie gazeuse d'une autr
o-sphénoïdale, a produit la perte com- plète de l'image visuelle et
motrice
d'articulation, incomplète de l'image auditive
ion, incomplète de l'image auditive et par conséquent l'a- phasie
motrice
d'articulation, la cécité verbale et la surdité
e l'OBSERVATION XXXI qui a été atteint d'une vraie série d'aphasies
motrices
transitoires , constituée en quelque sorte de q
nt après l'apparition du scotome classique éprouvent de l'aphasie
motrice
. Certains d'entre eux sont atteints de cécité v
s sont pris de surdité ver- bale et ont perdu la mémoire des images
motrices
graphiques. Mais le rapport ne s'arrête pas là;
ara- lytiques d'origine scaphandrienne. Cet endroit c'est la zone
motrice
de l'écorce cérébrale 1. Type de paralysie part
ut, par l'ischémie de ces régions et la suppression des incitations
motrices
vo- lontaires du cerveau droit, rendre compte d
ribue à la pa- riétale ascendante comprend une partie des centres
moteurs
des membres. Le lobule paracentral, le tiers su
et l'ischémie consécutive a dû altérer d'une certaine façon la zone
motrice
, sauf son tiers supérieur, ce qui explique la d
héno- mènes convulsifs de notre malade. Cet endroit c'est la zone
motrice
et par analogie aux lésions matérielles 68 CLIN
est une action soudaine et violente de ces cellules; les centres
moteurs
se déchargent et le résultat de cette décharge
'écorce cérébrale du chien et du singe, ont porté : 9 sur la sphère
motrice
(gyrus sigmoïde) d'un hémisphère correspondant
in, dans la troisième série de ces expé- riences, point de troubles
moteurs
, quoiqu'il existât un très léger affaiblissemen
oncluent à leur tour que les territoires sensoriels et sensitivo-
moteurs
de l'écorce cérébrale ne forment pas des centre
il n'existe pas d'entre-croisemeut total des faisceaux sensitifs ou
moteurs
: une partie de ces fais- ceaux, quelque petite
s expérimen- tales et cliniques de Giulio Masini, Sur les centres
moteurs
corticaux du larynx 1. On sait que Hermaun Krau
été instituées dans le laboratoire de Munk, a déterminé le centre
moteur
cortical des muscles du larynx (1884) : il est
en au delà, et qu'il rayonnait en tous sens vers les autres régions
motrices
. Voilà une nouvelle preuve de cette tournure d'
ni, l'aire excitable du larynx embrasserait « presque toute la zone
motrice
». Pour que les phé- nomènes de parésie des mus
temps, la circonvolution postcrucialc, bref, presque toute la zone
motrice
! Non pas, sans doute, que cette aire motrice d
presque toute la zone motrice ! Non pas, sans doute, que cette aire
motrice
du larynx possède, sur tous les points, la même
même, nous retrouvons ici la théorie de la suppléance des fonctions
motrices
du larynx, après l'ablation complète des centre
ce centre avec un courant plus intense, on détermine une réaction
motrice
bilatérale des muscles du larynx. Or, Luciani s
son schéma de l'aire sensitivo-motrice enseigne que chaque centre
moteur
cortical n'a que des rapports unilatéraux ou cr
ite par l'électricité l'écorce cérébrale, et spéciale- ment la zone
motrice
, le cervelet n'a point de part dans les réactio
t la zone motrice, le cervelet n'a point de part dans les réactions
motrices
des membres, puisqu'il peut être entièrement dé
de l'énergie des mouvements. Ce défaut d'énergie du système nerveux
moteur
, conséquence directe de la perte des fonctions
éristiques des malades atteints de tabes dorsal ou d'ataxie loco-
motrice
, mais toujours sans aucune altération de la sen
fier les résultats de la physiologie. 11 n'a pas excité les centres
moteurs
de l'écorce à tra- vers la voûte crânienne par
sur les points du crâne qui corres- pondent aux différents centres
moteurs
ou sensoriels de l'écorce, l'expérimentateur it
aux, des contractures circonscrites, etc. En somme, les réactions
motrices
des membres correspondaient aux points, toujour
ar la percussion, et ces points ont paru coïncider avec les centres
moteurs
de ces membres. En dehors de ces zones, la perc
En dehors de ces zones, la percussion ne provoquait aucune réaction
motrice
. Rainoidi aurait ainsi constaté une fois de plu
mo-pathologiques de Seppilli sur la nature des fonctions de la zone
motrice
du cerveau humain, nous 1 Fenomeni di ipnolismo
que exagération à prétendre que les lésions destructives de la zone
motrice
s'accompagnent tou- jours, en même temps que de
Pitres. Etude critique et clinique de ta doctrine des localisations
motrices
, Paris (1883, p. 55. LES FONCTIONS DU CERVEAU.
vait, dès 1881, observé un fait qui permettrait d'é- tendre la zone
motrice
à la région préfrontale de la face interne delà
calleux. « Que ce cas soit suffisant pour étendre en avant la zone
motrice
, je ne le crois pas, écrivait alors Tonnini; ma
onnini. Focolajo distruttivo di antica data ne/la zona latente (non
motrice
) della facia interna del lobo frontale destro; ne
ation du sens musculaire, la lésion s'étendait uniquement à la zone
motrice
. Si les obser- vations cliniques confirment un
ns les lo- bes pariétaux, la seconde coïncidant avec la zone dite
motrice
. Les observations cliniques recueillies jus-' q
othèse de Lisso, les lésions superficielles de l'écorce des régions
motrices
détermineraient des troubles de la sensibilité
s profondes, des alté- rations du sens musculaire et des paralysies
motrices
. Quant à la profondeur de la lésion, l'observat
grandes cellules pyramidales de Betz subsistaient dans les régions
motrices
atrophiées de l'écorce. Ces auteurs en concluent
é cutanée et musculaire sont confondus ou « engrenés » dans la zone
motrice
, ils ne dégénèrent pas à la fois après l'ablation
appareils de la sensibilité cutanée et musculaire, non les centres
moteurs
. 1 ! icel'che sui centri nervosi di un anapulat
La coexistence quel- quefois signalée de l'aphonie et de l'aphasie
motrice
plaiderait dans le même sens. Le centre du lary
s matériaux, c'est que, conformément à la topogra- phie des centres
moteurs
de l'écorce, les altérations de la sensibilité
sépare dans une certaine mesure ou complètement l'appareil loco-
moteur
du centre, les convulsions musculaires et le clon
altération atteint les lobes pariétaux ; 3° l'aphasie, qu'elle soit
motrice
ou sensurielle, ne se montre chez les droitiers q
PHYSIOLOGIQUE. '113 la lésion occupe l'hémisphère gauche. L'aphasie
motrice
apparaît prin- cipalement quand la lésion siège
el, d'admettre que les cellules de la première catégorie (a) soient
motrices
, et celles de la deuxième (b) sensitives. Il n'
ithéliale de la peau transformée en cellule nerveuse) ; si elle est
motrice
, placée au centre. - Quant à la doctrine des lo
lte, on interrompt, à la base du cer- veau, la continuité d'un nerf
moteur
on obtient aussi, comme chez le nouveau-né, la
x côtés, y compris ses cellules d'origine ; 2° la section d'un nerf
moteur
dans son trajet périphérique entraîne, si un dé
Le Dr Crothers a observé de ces idiots, atteints d'incoordination
motrice
avec marche titubante ressemblant à des vieux alc
prolongée caractérisée par de l'exagération impulsive de l'activité
motrice
et la multiplicité des conceptions tient évidem
tégories de fibres nerveuses. Les cellules du premier type seraient
motrices
, celles du second sensitives ou sensorielles.'
ique que l'on constate entre les régions sensitives, ou sensitivo -
motrices
, et les régions sensorielles de l'écorce cérébr
diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolongements nerveux
moteurs
des cellules du premier type avec celles, en no
ant du prolongement nerveux des cellules du premier type (supposées
motrices
ou psycho- motrices), vont se perdre dans le ré
rveux des cellules du premier type (supposées motrices ou psycho-
motrices
), vont se perdre dans le réticulum diffus, cons
ons ultimes de leurs cylindres-axes. Les cellules et les ribt,7--Ij
motrices
présenteraient seules les conditions d'une tran
tes de ces éléments ? La distinction de ces organites en cellules
motrices
et en cellules sensitives ou sensorielles, qu'i
e de leurs fonctions. Certes, les cellules du premier type qui sont
motrices
, sont grandes,; celles du second type, qui sont
f. Pierrot, sur les relations existant entre le volume des cellules
motrices
ou sensitives des ce tires nerveux, et la longu
ifférentes, la frontale ascendante, qui fait bien partie de la zone
motrice
, et la première circonvolution du lobe occipita
que : il parle, et il croit qu'on a le droit de parler, de cellules
motrices
, voire de cellules sensitives ou sensorielles,
chnique histologique, à surprendre les rapports directs des nerfs
moteurs
avec les cellules des cornes antérieures de la
r, dans l'hypothèse qu'il en existe, des cellules incontestablement
motrices
? Dans la zone motrice du cerveau ? ... Mais ce
en existe, des cellules incontestablement motrices ? Dans la zone
motrice
du cerveau ? ... Mais cette zone renferme en mê
renferme en même temps, sans doute confondues avec les élé- ments
moteurs
, des cellules sensitives. Dans le cerve- let ?
rnes antérieures, le moyen d'affirmer qu'on a affaire à une cellule
motrice
, tant qu'on n'a pas vu son prolongement nerveux
rrai dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses
motrices
[cellule nervose ntotuici) sont en rapport dire
de la sensibilité générale ou spéciale, déter- miner des réactions
motrices
, et, inversement, l'exci- tation ou les lésions
motrices, et, inversement, l'exci- tation ou les lésions des zones
motrices
, provo- quer des troubles de la sensibilité. L
ut le système nerveux central : Golgi reconnaît que les ré- gions
motrices
et sensitives de la moelle épinière, que les ce
ulaires, mouvements impliquant, selon ces auteurs, que « des fibres
motrices
de la vessie passent dans les cordons postérieu
l'écorce en territoires sensoriels et en territoires d'innervation
motrice
, l'éminent anato- miste de Vienne enseigne que
si à soutenir, rappelons-le en passant, que les centres prétendus
moteurs
de l'écorce cérébrale ne sont, en vérité, que d
le et spéciale. Seule, la fibre musculaire devrait être appelée «
motrice
», et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qu
même pour le système nerveux. » Puis, pourquoi parler de cellules
motrices
et de cellules de sensibilité ? Forel proteste;
ations arborescentes. Ce qui distinguerait le nerf sensible du nerf
moteur
ne serait donc pas que le premier entre là en r
nsible est périphé- rique, tandis qu'elle est centrale pour le nerf
moteur
. Dans les deux cas, le nerf se termine en ramif
eux cas, le nerf se termine en ramifications arborescentes, le nerf
moteur
dans le muscle, le nerf sensible dans la substa
rise de l'écorce. Mais on n'a point le droit d'appeler sensibles ou
motrices
les cellules nerveuses centrales. Seul, le mode
de la réunion de fibrilles nerveuses. Avec Golgi, on peut appeler
moteurs
les premiers, sensibles les seconds. Les cellul
des stimulus jusqu'aux fins ramuscules laté- raux des tubes nerveux
moteurs
centrifuges. « Il suit que l'irritation est tra
et sensorielles de l'écorce. Dans son travail Sur les localisations
motrices
(1878), D. Maragliano citait -les résultats des
sations organiques et des mouvements des viscères, pour les centres
moteurs
et pour les centres d'arrêt : partout les éléme
IONS DU CERVEAU. z197 nerfs sensitifs (Sachs), et non par des nerfs
moteurs
(Bain). Une première hypothèse s'imposait tou
a- « momètre, entre les organes qui représentent la puis- « sance
motrice
(fibres musculaires) et la partie sur la- « que
no, 1887), p. J ? 16. 198 PHYSIOLOGIE. sibles, non avec des nerfs
moteurs
. Pour vérifier ce fait, deux voies s'ouvraient
atomie pathologique et de l'expérimentation. Ainsi, dans l'ataxie
motrice
, dit Cattaneo, où la puissance muscu- laire est
s organes musculo-tendi- neux n'ont point de rapport avec les nerfs
moteurs
, et sont-en connexion avec les fibres de la sen
e la genèse des sensations musculaires : une excitation des nerfs
moteurs
est transmise, au moyen de leurs termi- naisons
les fonctions, si controversées, de ces ganglions seraient surtout
motrices
. Inutile d'insister sur la portée de pareils ré
us, que l'hypothèse de la coexistence des éléments de l'innervation
motrice
et de la sensibilité générale dans la zone dite
innervation motrice et de la sensibilité générale dans la zone dite
motrice
, c'est-à-dire dans la région fronto-pariétale,
ans les fonc- tions intellectuelles. Enfin, on sait que l'épilepsie
motrice
, si l'on peut ainsi parler, est fréquemment rem
extrémités; de la raideur de la nuque, de la diminution de la force
motrice
, surtout à gauche. Elle meurt de pneumonie aigu
s gastriques, les accès de dyspnée. 11 n'en est pas ainsi des nerfs
moteurs
qui semblent dans le tabes cliniquement affectés;
nt sur les cel- lules des cornes antérieures, les fibres nerveuses,
motrices
périphéri- ques, les plaques terminales des mus
stence d'une démence progressive et d'une perte générale du pouvoir
moteur
, par l'association de ces phénomènes avec des t
blables. Les im- pressions sonores ne déterminaient aucune réaction
motrice
; il est probable qu'il n'avait plus d'odorat,
ue suivante. Il s'agit d'une dégénérescence des nerfs périphériques
moteurs
et sensitifs à marche ascendante; lésion sembla
tro-faradique et élec- tro-galvanique. 11 est probable que le noyau
moteur
de ce nerf est atrophié et qu'il existe une dég
sse. L'expérimentation montreen outre que l'excitabilité du système
moteur
de l'intestin a diminué, il se montre rebelle a
r les nerfs cutanés sensitifs, l'irritation ayant gagné les tractus
moteurs
périphériques. Ou bien il existait une lésion o
lésion organique des centres, une tumeur par exemple des régions
motrices
. L'affection ayant guéri au bout de huit mois de
. Le roi ne dormait pas, et avait de fréquents accès d'excitation
motrice
, durant lesquels il se mettait à danser ou à saut
tous cas, pratiquement, se révèle par des troubles ou sensitifs ou
moteurs
, quel- quefois les deux en même temps, occupant
mps, occupant les mem- bres inférieurs. Ces troubles sensitifs et
moteurs
ont été tout d'abord étudiés séparément et succ
ail de M. Leval- Picquechef sur les pseudo-tabes'. Ces phénomènes
moteurs
seraient caractérisés : 1° par le signe deRom-
liens, des douleurs plus ou moins fulgurantes, et enfin un syndrome
moteur
, la démarche de stepper, dû vraisemblablement s
ces centres arrive à rompre l'équilibre instable d'un des centres
moteurs
, l'état physiologique de la per- ception consci
C. DE NOORDEN. (Arch. f. Psych., XVIII, 2.) Examen des fonctions
motrices
et sécrétoires de l'estomac, d'a- près la métho
nerveuses avec les appareils de terminaison du système sensitif et
moteur
permettent-ils d'attribuer li certains éléments
le de papier est un ruban de papier auquel on imprime à l'aide d'un
moteur
une vitesse connue de droite à gauche, au momen
res une action con- traire à celles qu'elles font sur les fonctions
motrices
. Voici le travail psychique décomposé en ses él
pour élément la prédominance d'un corps de délire qui constitue le
moteur
de la sensibilité morale du sujet; c'est à lui qu
tentissement à distance de la dispa- rition d'un organe : le centre
moteur
qui n'est plus sollicité à agir subit l'atrophi
un cas de), par Greppin, 103. Paralysie intermittente de l'oculo-
moteur
commun, par Richter, 2'r7 ; ostéo-malacique, pa
st recouverte de gros caillots. Sur un point au niveau de la région
motrice
il y a effraction de la méninge molle. L'ablati
Dans notre cas ce qui dominait la scène c'étaient les phé- nomènes
moteurs
, et l'autopsie nous a bien montré que le point
bran- ches de la sylvienne et que c'était au niveau de la région
motrice
que l'épanchement atteignait son maximum de ten-
lative selon les diverses formes mentales, l'intensité des troubles
moteurs
aux phases initiales, l'étiologie ou des malade
réiques augmentaient d'intensité ; 3° après la cessation de l'orage
moteur
il est resté une apathie un peu hébé- tée due à
ndant le sommeil naturel. L'hypnotisme et les paralysies psychiques
motrices
. M. BÉRiLLON. Le phénomène hypnotique le plus é
subjective ; sens articulaire conservé ; absence d'incoordi- nation
motrice
et de signe de Romberg. Absence d'atrophie mus-
re actuelle, la démarche est pareto-spasmodique,sans incoordination
motrice
, accompagnée de crampes dans les deux mollets.
actuelle, la démarche est paréto-spasmo- dique sans incoordination
motrice
, accompagnée de crampes dans les deux mollets.
nce à été démon- trée par Ferrier et Turner, il y a d'autres fibres
motrices
descen- dantes qui suivent le même trajet. L'ex
ulte, la cause de la roideur tardive est l'irritation des faisceaux
moteurs
parla cicatrisation qui s'effectue au siège de
s quatre membres présentée par le malade la voie pyramidale ou voie
motrice
cortico-médullaire était anatomique- ment intac
ice cortico-médullaire était anatomique- ment intacte. Les troubles
moteurs
ne peuvent donc étre attribués qu'à une interru
nc étre attribués qu'à une interruption physiologique de ces fibres
motrices
et comme cette interruption a dû retentir avec
uption a dû retentir avec une intensité presque égale sur les voies
motrices
des deux côtés du névraxe, les troubles moteurs
gale sur les voies motrices des deux côtés du névraxe, les troubles
moteurs
ne peuvent pas avoir été la conséquence directe d
oit être attribuée, d'après l'auteur. à la cotir pression des voies
motrices
dans leur passage à travers les deux pedoncules
des pédoncules cérébraux que doivent être rattachés les troubles,
moteurs
, c'est l'abolition des réflexes rotuliens qui a p
action d'un courant induit un nerf sensitil, les cellules nerveuses
motrices
changent de formes. Les auteurs ont néanmoins l
es situés au-dessus du segment de moelle qui commande à la fonction
motrice
des pattes postérieures. Découvrant ensuite le
Conclusions : 1° La provision d'énergie potentielle des cellules
motrices
de la moelle est contenue dans la substance chrom
antérieures, car tous les phénomènes se sont bornés à des troubles
moteurs
et sphinctériens. 11 s'agirait donc d'un cas de
rétrécissement du champ visuel, hémianopsie, surdité) : c) troubles
moteurs
(para- lysies des extrémités, paralysie des mus
es extrémités, en l'absence de phénomènes de déficit sensitifs et
moteurs
. 158 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. L'inconsci
t de ladrerie. Contribution à l'étude des voies centrales des nerfs
moteurs
de l'oeil. - M. J. PILTZ (de Varsovie). Étude f
à Zurich. - Chez le lapin nous avons étudié spécialement le centre
moteur
oculaire situé dans le lobe pariétal. Dans la z
s longtemps pour le moment. Il existe chez le chien trois centres
moteurs
oculaires : 1° Le centre frontal, qui est situé
ors par « la région de la tête E » de Muni. Le gyrus sigmoïde (zone
motrice
du membre antérieur) le limite en arrière ; 2
nt par le tubercule qua- drijumeau antérieur, au niveau du noyau du
moteur
oculaire commun, on voit des fibres dégénérées
des deux côtés. En dehors de ces fibres, qui se rendent au noyau du
moteur
oculaire du même côté, j'en ai trouvé d'au- tre
ient se diriger vers le raphé, probablement pour gagner le noyau du
moteur
oculaire commun du côté opposé. Après l'extirpa
ite pour esquisser les différentes variétés de paralysies alternes,
motrices
et sensitives. Les polioencéphalites supérieure
halites supérieures sont des affections rares. Lé- sions du neurone
moteur
périphérique, elles peuvent ou non s'as- socier
s, mises à l'ordre du jour, ont été l'objet de rapports : L'aphasie
motrice
pure (sans agra- phie). Aphémie pure. Rapporteu
s fécales. Au bout de trois semaines, la fièvre tombe, les troubles
moteurs
et sensitifs s'amé- liorent progressivement, ma
ations sont faites fré- quemment dans les altérations de l'appareil
moteur
périphérique. 3° Quant aux troubles de la sensi
ésions variées (myélite, polynévrite, altération de tout le neurone
moteur
périphé- rique) (Mills et Spiller). Leur sièg
es signes d'une ophtalmoplégie nucléaire progressive : paralysie du
moteur
oculaire commun gauche et parésie du même nerf
z nettement définis pour être désignés du nom de visuels, auditifs,
moteurs
. Tous ces matériaux accumulés sont mis à profit
ésentes et les pyramidales géantes forment dans les circonvolutions
motrices
des amas assez nombreux et bien fournis. On doi
ibilité et les parties qui servent à la transmission des impulsions
motrices
. Cette manière d'envisager l'organisation et le
es centres qui tiennent sous leur dépendauce la nutrition des nerfs
moteurs
et des nerfs sensitifs et il nous initiait aux
laire progressive, en rapport avec une lésion des cellules tropho-
motrices
des cornes antérieures de la moelle. Au cours d
ndre, pour l'un, une hémianesthésie, pour l'autre, une hémi- plégie
motrice
du côté opposé. Hughlings-Jackson avait reconnu
t conclu il la nécessité de localiser dans cette région les centres
moteurs
des différents groupes de muscles. Mais tout ce
perception sensitive se superposent, en grande partie, aux centres
moteurs
; autrement dit, les mêmes territoires corticau
dit, les mêmes territoires corticaux qui projettent des impulsions
motrices
sur nos muscles sont aussi des lieux d'abou- ti
e et de notre volonté. Deux grandes voies, l'une sensitive, l'autre
motrice
, desservent ces com- munications. Nous sommes a
s SECTION DE NEUROLOGIE. 261 1 sur les lieux de départ de la voie
motrice
, autrement dit, sur la topographie des centres
t de la voie motrice, autrement dit, sur la topographie des centres
moteurs
corticaux. Nous le sommes un peu moins bien sur
les centres corticaux sensitifs et sensoriels aux centres corticaux
moteurs
et sur l'organisation des appareils par l'inter
nt ont fourni la démonstration clinique que les fonctions du centre
moteur
du langage s'accompagnent sous la direction du
nctions auditives du centre auditif dans sa relation avec le centre
moteur
, le trouble de cette relation expliquant manife
uditif de la parole est réellement un vrai centre frénateur pour le
moteur
dont les fonctions, après la destruction ou l'aff
deux façons : tout d'abord, on admit un état d'excitation du centre
moteur
; mais qu'on consi- dère que ce phénomène ne se
f ou avec sa participation, jamais avec une lésion isolée du centre
moteur
lui-même : cela seul écarte la théorie de l'exc
palique reçoivent une base assurée. Résumé du rapport sur Aphasie
motrice
pure sans agraphie (Aphémie pitre) ; par M. P.
encore dans la manière d'envisager les diverses variétés d'aphasie
motrice
provient de ce qu'on n'a pas tracé jusqu'ici un
e lésion des neurones de pro- jection qui constituent les faisceaux
moteurs
de l'appareil de la phonation. Il existe ici, c
o-bul- baire de la région capsulaire, qui caractériserait l'aphasie
motrice
dite sous-corticale. Les aphasies, par contre
On sait que le centre de Broca, où se trouve le siège de l'aphasie
motrice
, renferme surtout des libres d'association qui
, et tout spécialement avec ceux du langage articulé, sensoriels et
moteurs
, le centre auditif verbal, le centre visuel des
i des mouvements de la main éduquée pour l'écriture, et les centres
moteurs
phonétiques bilatéraux, ceux du larynx, de la l
des lèvres, en rapport avec la voix et la parole. Dans l'aphasie
motrice
ordinaire (type Bouillaud-Broca), la plu- part
nt sont en rapport avec la complication des lésions. Dans l'aphasie
motrice
e 328 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. pure
d'association qui relie le pied de la'troisième frontale au centre
moteur
de l'écriture ' reste alors tout à fait indemne
moteur de l'écriture ' reste alors tout à fait indemne. L'aphasie
motrice
pure peut donc être, à notre avis, aussi bien c
r-hémisphé- rique (par le corps calleux). Cliniquement, l'aphasie
motrice
pure, sans complications d'au- cune espèce, se
me que nous avons toujours retrouvé dans les cas typiques d'aphasie
motrice
pure : c'est la perte absolue de la parole, le
let. Ce signe suffirait à lui seul pour différencier les aphasiques
moteurs
purs de ceux qui sont atteints de l'aphasie mot
les aphasiques moteurs purs de ceux qui sont atteints de l'aphasie
motrice
vulgaire (type Bouillaud-Broca), où l'on consta
urs phrases entières. Quant au diagnostic différentiel, l'aphasie
motrice
pure peut être confondue avec le mutisme hystér
ue nous étudions a une certaine importance médico-légale. L'aphasie
motrice
pure (sans agraphie) se distingue de l'attaque
s qu'il faut abandonner complètement les termes impropres d'aphasie
motrice
corticale et sous-corticale qui prêtent à l'équ
nt dans une même catégorie les anarthries centrales et les aphasies
motrices
proprement dites. Réservant le nom d'aphasie
es cérébraux, nous proposons en conséquence de classer les aphasies
motrices
d'après le siège des lésions dans les faisceaux
pes, à la classification suivante : APHASIES MOTRICES A. Aphasies
motrices
pures. Lésion isolée des neurones d'asso- ciati
neurones d'asso- ciation du centre de Broca avec les autres centres
moteurs
corti- caux en rapport avec la parole, parlée o
ée ou écrite. 1. Aphémie pure, sans agraphie, ni autre complication
motrice
corticale. Lésion des faisceaux de neurones qui
opercules frontaux et rolandiques (faisceaux d'association psycho-
moteurs
phonétiques). 2. Agraphie pure, sans aphémie, n
teurs phonétiques). 2. Agraphie pure, sans aphémie, ni complication
motrice
ou sensorielle corticales ( ? ). Lésion du fais
éduquée pour l'écriture. (Les observations de cette forme d'aphasie
motrice
pure n'ont pas encore levé tous les doutes sur
s encore levé tous les doutes sur sa réalité clinique.) B. Aphasies
motrices
complexes. Lésions combinées des divers faiscea
Broca ou qui y aboutissent. Trois groupes principaux : 1. Aphasie
motrice
vulgaire (type Bouillaud-Broca). Lésion plus ou
teints par la lésion. (Les diverses variétés cliniques de l'aphasie
motrice
ordi- naire, avec ou sans agraphie, avec paraly
TIONAL DE MÉDECINE. groupe, qui a souvent été décrite comme aphasie
motrice
sous-cor- ticale, et qui est une conséquence de
sulte de cette complication une ccplzérnie-a2urthrie, avec troubles
moteurs
des organes de l'articulation des mots, parésie
'est ici le point de jonction où l'anarthrie corticale et l'aphasie
motrice
se confondent. 2. Aphasie sensorio-motrice. Lés
es des aphasies sensorielles. (Combi- naisons diverses de l'aphasie
motrice
avec la surdité et la cécité verbales.) Quand t
rait. Ni l'attention, ni la faiblesse intellectuelle. ni un trouble
moteur
ne suffisent à l'expliquer. Si on examine les g
t tuberculeuse, siégeant dans la protubérance, en dehors des noyaux
moteurs
des yeux, vers le ruban de Reil, probablement à
geur, qui intéres- sait le ruban.de Heil, qui respectait les noyaux
moteurs
des yeux, mais qui avait détruit les fibres all
que, pratiqué sur coupes sériées, décèle dans les circonvolu- tions
motrices
du côté gauche l'existence de lésions assez limit
a formation successive des différentes voies sensorielles, des voix
motrices
correspondantes, des systèmes courts et longs d
tricité ou de la sen- sibilité. Les phénomènes d'excitation d'ordre
moteur
dont peuvent s'accompagner leurs lésions doiven
apparition de quelques manifestations maniaques isolées (impulsions
motrices
intenses, fuite des idées, idées de grandeur, h
De l'exercice cérébral appliqué au traitement de certains troubles
moteurs
. (Semaine médicale, 489fi, p. 123-124.) traitem
cices rationnels agissent d'une façon bienfaisante sur les troubles
moteurs
des hémiplé- giques, les troubles sensitifs res
ervir d'atelier et un autre, plus petit, dans lequel sont placés un
moteur
et une machine dynamo. Au centre du sous-sol, les
eux-ci ». En outre de ces travaux sur la localisation des fonctions
motrices
(18î0-l8ÏIr-1881-) il faut citer les recherches
La première de ces catégories est celle des hallucinations verbales
motrices
. Elles comportent plusieurs variétés d'après leur
malgré la part prépondérante qui revient à l'intervention du centre
moteur
d'articulation, ces hallu- cinations ne sont pa
convulsifs de l'épilep- sie. Plus que d'autres, les hallucinations
motrices
sont de nature à prouver cette distinction. Il
. Il est hors de doute qu'elles sont sous la dépendance des centres
moteurs
de l'écorce. Mais la seule exci- tation, pure e
es en rap- port avec tel ou tel délire, constituant l'hallucination
motrice
et les décharges spasmodiques, convulsives, dés
epsie. Si l'on s'en tient au point de vue clinique, l'hallucination
motrice
verbale peut se présenter sous différents aspec
sous différents aspects, plus ou moins complexes. Parfois, l'image
motrice
verbale s'extériorise seule et semble en appare
seule et semble en apparence, être seule intéressée (hallucination
motrice
pure). - D'autres fois, elle s'accompagne d'u
ge s'extériorise elle aussi et devient hallucinatoire comme l'image
motrice
(hallucinations combinées). Tous les phénomèn
. A part la note caractéristique due au rôle prépondérant du centre
moteur
, le mécanisme central est le même que dans l'ha
ation senso- rielle. De plus il y a extériorité. Sans doute l'image
motrice
hal- lucinatoire n'est pas localisée dans le mo
Aussi, celles-ci peuvent-elles être tout aussi bien audi- lives que
motrices
ou visuelles suivant le sujet et aussi suivant
'une façon péremp- toire, que la part principale revient il l'image
motrice
. En résumé, le terme d'hallucination psychique
'auteur a pu démontrer dès 1889 que dans les cas où l'impuis- sance
motrice
est accompagnée d'une atrophie musculaire on ob
dre que du côté sain et en rapport avec le degré de l'impuissance
motrice
. Dans la paralysie simple et la paralysie atrophi
nesthésique (sens musculaire). Mesure de la sensation d'innervation
motrice
dans un membre immobile tendu. Seuil des poids
la sensation de résistance, c'est-à-dire la sensation d'innervation
motrice
dans un bras immobile tendu. Le sujet examiné t
, bien réelle- ment et exclusivement, la sensation de l'innervation
motrice
elle- même. C'est la seule chose qui change au
t de l'allégement. Au début de l'expérience, il y a une innervation
motrice
A nécessaire pour soutenir le poids, pour lui r
r-des- sous, n'est plus soutenu par le fil, il faut une innervation
motrice
B nécessaire pour tenir le bras immobile, mais
l'allégement est donc due uniquement à ce changement d'innervation
motrice
, au pas- sage de l'innervation motrice A à l'in
ce changement d'innervation motrice, au pas- sage de l'innervation
motrice
A à l'innervation motrice B. C'est donc bien un
on motrice, au pas- sage de l'innervation motrice A à l'innervation
motrice
B. C'est donc bien une sensation d'innervation
'innervation motrice B. C'est donc bien une sensation d'innervation
motrice
, une impression net- tement et exclusivement ki
rvation de Wundt, faculté locomo- trice ou sens del'énergie mentale
motrice
de Hamilton). C'est cette sensation de l'activi
tif conservé, ce qu'on désigne sous le nom d'aphasie transcorticale
motrice
. C'est ce qui a amené l'auteur à essayer de tra
lésions sous-corticales et corticales de la branche sensorielle et
motrice
sont bien connues ; mais il ressort du schéma q
ressort du schéma que pour la lésion transcorticale de la branche
motrice
on doit supposer : destruction du mouvement volon
es du mouvement des extrémités un phé- nomène analogue de l'aphasie
motrice
transcorticale, qu'il repré- sente une akinésie
e l'aphasie motrice transcorticale, qu'il repré- sente une akinésie
motrice
transcorticale, un syndrome exigé d'ailleurs, c
ION DE NEUROLOGIE. 421 comme l'analogue de l'aphasie transcorticale
motrice
et d'appli- quer le schéma des aphasies à l'inn
ale motrice et d'appli- quer le schéma des aphasies à l'innervation
motrice
des extrémités. De l'élongation permanente de l
- tations mentales s'accumulent et s'irradient, plus leur contenu
moteur
tend à se dégager. De même que l'ononzalonzane, à
nt à la formation de l'obsession. L'impulsion est une sollicitation
motrice
, à base émotive, vers un acte appétiti ? qui n'
tence du signe de Babinski vient révéler une altération du faisceau
moteur
volontaire, qui aurait sans lui passé inaperçu,
ison ou pour une autre, présen- taient, surajoutés à leurs troubles
moteurs
, des troubles paralytiques nettement localisés,
xe plantaire, mais aussi un trouble dans la forme de cette réaction
motrice
. Ceci ressort encore des recherches récentes de
lisée, ayant amené un certain degré de dégéné- rescence du faisceau
moteur
volontaire. Ceci démontrerait donc nettement l'
la même façon. Pour M. Garnier, l'impulsion est une sollicita- tion
motrice
vers un acte. Pour M. Krafft-Ebing, c'est un acte
irecte du muscle. Quand le muscle est séparé des neu- rones spinaux
moteurs
qui l'innervent, son excitabilité est trop amoi
ps crural dans le cas de la « secousse» » du genou) et des neurones
moteurs
innervant ce muscle. L'activité de cet arc réfl
crural traduisant l'exalta- tion de l'activité des neurones spinaux
moteurs
innervant ce mus- cle. La « secousse du genou »
secousses rythmiques. D'autre part, l'activité des neurones spinaux
moteurs
innervant le triceps crural peut être amoindrie
ral peut être amoindrie par l'excitation de l'activité des neurones
moteurs
qui innervent les muscles antagonistes, les flé
antagonistes, les fléchisseurs du genou. L'activité de ces neurones
moteurs
des flé- chisseurs du genou est habituellement
fléchisseurs du genou entrent en jeu, et l'activité des cel- lules
motrices
des extenseurs est alors pai tiellement ou complè
ntre que les centres nerveux supérieurs réagissent sur les cellules
motrices
de la corne antérieure de la moelle par deux vo
(de Louvain). Contribution à l'élude des voies centrales des nerfs
moteurs
de l'ceil; par Jean 1'1L1Z (de Varsovie). (Prés
ans les lésions corticales et sous-corticales de la zone sensitivo-
motrice
il n'est pas rare de constater en particulier lor
ux différentes hauteurs du bulbe et participent à l'entrecroisement
moteur
ou inférieur des pyramides. A leur trajet bulbo
llon frontal inférieur ; elle est limitée à l'écorce. Donc, aphasie
motrice
incomplète, à l'état isolé, suns a graphie, san
graphie, sans cécité ou surdité verbale, sans trouble sensitif* ou
moteur
; d'antre part, lésion corticale limitée à une p
-"3. L'aphasie sans agraphie existe donc, ce qui montre le centre
moteur
graphique fonctionne indépendamment du centre mot
ntre le centre moteur graphique fonctionne indépendamment du centre
moteur
verbal. Discussion. A. Thomas (de Paris). La
nt à tout autre examen. Quant à la localisation exacte de l'aphasie
motrice
, elle n'est peut-être pas aussi certaine et sur
861, on voit qu'il accepte comme localisation probable de l'aphasie
motrice
non seulement le pied de la 3e frontale gauch".
la 3e frontale gauche le centre de Broca, le centre de l'aphasie
motrice
. Mais aussi longtemps qu'on n'aura pas fourni un
rice. Mais aussi longtemps qu'on n'aura pas fourni un cas d'aphasie
motrice
pur au point de vue clinique comme au point de
rophie papillaire tabé- tique et ne présentant pas d'incoordination
motrice
; mais j'en ai vu plusieurs chez lesquels, malgr
a branche postérieure de la capsule interne, les voies sensitivo-
motrices
sont demeurées indemnes ; la malade, trois jours
vertébrale, par de Bechterew, là4; par 1'0- poil, 154. Aphasie
motrice
pure sans agraphie, par Ladame,327. -motticepur
uire Il-, par Lemesle, 522. Hypnotisme et paralysies psychiques
motrices
, par Bérillon, 68. -chez les neurasthéniques, p
ini, 126. MnOEDE11ATEUX. Infantilisme , par Goyanes, 151. Nerfs
moteurs
de l'oeil, voies cen- trales, par Piltz, 167.
Bruns, \97. - cutanés et tendineux, par van Gehuchten, 493. idéo
moteur
de la pupille, par Roubiiiovitch, 501. des or-
elle renferme, à côté de troubles senso- riels effacés, un élément
moteur
prédominant par suite de la mise en jeu de sens
ination n'ayant pour but que de rappeler l'intervention des centres
moteurs
du langage, provoquée par un trouble fonc- tion
r un certain côté des impul- sions verbales, par suite de l'élément
moteur
qu'elles renfer- ment et qui, en en faisant de
de il. Baillarger est avant tout un trouble fonctionnel des centres
moteurs
de la fonction du langage. , 2° Elle tient à
ans mon premier travail. (Voir Progrès médical, 1888.) 3° L'élément
moteur
qu'elle renferme en fait une cause puis- sante
u assister au début, à l'évolution et à la disparition des troubles
moteurs
et sensitifs : par ses symptômes les plus impor
nt électrique. Telle était la répartition des troubles sensitifs et
moteurs
le premier jour de l'examen; nous allons voir l
aisser de traces. En mars, nous avons revu la malade : des troubles
moteurs
et 10. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 4
sensitifs est en rapport avec l'intensité et la durée des troubles
moteurs
qui y sont beaucoup plus accusés. Aux mem- bres
se passée, D... continuait son travail sans aucune incoordination
motrice
, jusqu'à ce qu'une nouvelle convulsion vint se pr
des membres supérieurs. Quelle est donc la cause de ces troubles
moteurs
si généra- lisés ? On connaît le mécanisme des
e moi, la volonté, le jugement sont obnubilés, l'idée d'impuissance
motrice
tend à se réaliser objectivement sous la forme
ation, nous voyons que la violence des convulsions et des réactions
motrices
provoquées par les hallucinations était telle,
résumé, sans négliger l'influence de la terreur sur l'im- puissance
motrice
des membres inférieurs, nous pensons que c'est
ttaque convulsive. ANATOMIE RECHERCHE EXPÉRIMENTALE SUR LES VOIES
MOTRICES
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE; Par GI1ÉGOIHE ROSSOLI1
ce,* point de fibres nerveuses, qui puissent conduire les fonctions
motrices
, ces dernières, pour atteindre l'extrémité dont
ur une expérimentation de contrôle, il admet la voie des impulsions
motrices
vers l'extrémité qui avait été pa- ralysée dans
TOMIE. nière acquirent les fonctions des conduites des impulsions
motrices
de l'extrémité qui avait été paralysée. Enfin,
avait point de voies anatomiques pour la transmission des fonctions
motrices
à travers la cicatrice, ces dernières doivent n
e l'on appelle une « origine réelle ». Le nerf facial étant le nerf
moteur
de l'appareil olfactif, c'est dans le voisinage
médullaire étant très probablement situé en dehors du noyau du nerf
moteur
, c'est-à-dire dans la situation des noyaux mote
du noyau du nerf moteur, c'est-à-dire dans la situation des noyaux
moteurs
par rapport aux noyaux sensitifs. Le faisceau
issent la substance grise du locus niger et l'origine extérieure du
moteur
oculaire com- mun. Ensuite il s'enroule autour
désire amener au lobule olfactif, auquel il attribue des propriétés
motrices
, des fibres émanant du plan inférieur du pédonc
ce n'est que par analogie qu'il conclut à l'existence de ces fibres
motrices
chez l'homme. Nerfs olfactifs (' ! le : ; les a
Dl' Blocq, qui a attiré l'attention sur cette variété de paralysie
motrice
passée jusqu'alors inaperçue, ou plutôt confond
ystérie; plus tard, Weir-Mitchel) la décrit sous le nom d' « ataxie
motrice
hystérique » ; enfin, la plupart des malades qu
e d'une attaque de rhumalisme que se seraient produits les troubles
moteurs
qui ont déterminé le transport de cette malade
i fut suivie de ! a rougeole; pendant la convalescence, l'impotence
motrice
reparut. Une seconde cure faite au printemps de
e de ses membres inférieurs. Depuis six mois environ, l'im- potence
motrice
a reparu pour ne plus disparaître. Nous constaton
dis qu'elle voit danser des jeunes filles de son âge. L'impotence
motrice
porte donc bien uniquement sur les mou- vements
dant avec l'intégrité de l'énergie musculaire et de la coordination
motrice
appliquées à d'autresmouvements des membres inf
que celle des réactions Archives, t. XXII. 7 98 REVUE CRITIQUE.
motrices
simples, des phénomènes de parésie ou de paralysi
ésie ou de paralysie d'origine corticale, au chapitre des fonctions
motrices
du cerveau. Les paralysies de la motilité et de
tilité et de la sensibilité, non seulement transitoires (paralysies
motrices
et sensitives post- épileptiques), mais permane
ues, les traumatismes cérébraux, les lésions irritatives de la zone
motrice
provo- quent la fonction épileptogène de l'écor
centres corticaux du mouvement, que ce ne sont pas de vrais centres
moteurs
autonomes, qu'ils ne provoquent des mouvements
ue cette action s'exerce sur d'autres centres nerveux véritablement
moteurs
'. Dario Maragliano nia des premiers, au point
il d'Albertoni, que le nom de « zone épileptogène » donné à la zone
motrice
des extrémités antérieures et postérieures de H
s- tème cortical, se localiser en un point circonscrit de la zone
motrice
, ou se propager d'un point au reste de l'écorce c
s'étend d'un point initial à une partie ou à l'ensemble de la zone
motrice
, l'accès convulsif intéressera successivement les
prédéterminée par la disposition anatomique des différents centres
moteurs
du cerveau. Bref, l'écorce cérébrale, et en par
urs du cerveau. Bref, l'écorce cérébrale, et en particulier la zone
motrice
, est pour Luciani l'organe central des convulsi
perte de conscience, coïncident précisément avec ceux de la zone
motrice
de l'écorce (Eulenburg et Landois). L'excitation
céré- brale n'est donc pas circonscrite aux centres d'innervation
motrice
des muscles : elle atteint les centres vaso-moteu
surfaces sensibles périphériques dans l'épilepsie réflexe; la zone
motrice
ne faisait que donner le signal de l'at- taque
ignal de l'at- taque en provoquant la suractivité des vrais centres
moteurs
, des « véritables organes producteurs des convu
dont la destruc- tion entraîne la paralysie, sont de vrais centres
moteurs
, et non simplement des centres qui ne provoquer
iens nés de parents ayant subi des lésions circonscrites de la zone
motrice
, treize et neuf mois auparavant, mais qui n'ava
orps qu'ils envahissent, les groupes mus- culaires dont les centres
moteurs
ont été détruits. Ce fait, qui est la pierre d'
ce); 2° A la phase initiale de l'accès, l'extirpation des centres
moteurs
préalablement excités peut arrêter les convulsion
s que l'écorce cérébrale est primitivement atteinte. Si les centres
moteurs
du bulbe subissaient les premiers l'action conv
ubstance grise de l'écorce cérébrale, et en particulier les centres
moteurs
, ce sont les trois argu- ments suivants, qui ré
ns. DE l'épilepsie corticale. 105 gique, l'importance des centres
moteurs
corticaux va en dimi- nuant. Ces études expérim
formément à la théorie de Luciani, un état d'irritation des centres
moteurs
corticaux. Seulement ce n'était pas une lésion
auteurs italiens 2, la zone épileptogène s'étend à toute la zone
motrice
, c'est-à-dire aux centres des extrémités, de la f
8) que le courant le plus faible, capable de provoquer une réaction
motrice
des membres, est incapable de déterminer une ré
us rapidement leur excitabilité sont les plus excitables. Les aires
motrices
des extrémités perdent donc leur excitabilité a
ilepsie jacksonienne est bien le résultat de décharges des éléments
moteurs
de l'écorce céré- brale, les lésions irritative
1888, IV, 81.) 1 Fenoglio (Cagliari). Epilessia, lesione della zona
motrice
destra; tre- panasione. - Lo Speritrzezztale, d
e, déc. 1881. Cf. Arch. per le mal. nen]. 1885, 83 : a La zone dite
motrice
chez l'homme peut être aussi considérée comme é
des troubles de la motilité (épilepsie jackso- nienne exclusivement
motrice
) : la démonstration anatomo- clinique est faite
ont considérées comme résultant de l'excitation directe des centres
moteurs
spéciaux, contenus dans le gyrus angulaire, des
on portée sur cette région doit être plus intense que sur la zone
motrice
; les accès convulsifs sont moins forts et apparai
es après le passage du courant). Comme, après l'ablation de la zone
motrice
, les excitations du lobe occipital ne provoquen
ut que les accès résultent de la propagation du processus à la zone
motrice
. Mais, d'accord sur les faits, les auteurs diff
rlin, le 26 octobre 1883 : 1° l'exci- tation électrique des régions
motrices
suffisante pour provo- quer des convulsions épi
de la sphère visuelle de Munk; 3° l'ablation de l'écorce de la zone
motrice
met fin aux convul- sions ; celle de la sphère
lepsie unilatérale lorsque, sur l'hémisphère excité, les centres
moteurs
ont été enlevés, Mais comme les convulsions se li
tent, dans ce cas, aux groupes musculaires innervés par la région
motrice
laissée intacte, il ne peut toujours être questio
orticale. 109 d'Unverricht, après l'ablation bilatérale des centres
moteurs
de l'écorce, l'excitation des régions postérieu
e l'excitation de ces régions puisse, sans irradiation aux éléments
moteurs
, produire des accès convul- sifs : le lobe occi
osées en commun avec Tamburini, sur l'existence probable de centres
moteurs
con- fondus avec les centres sensoriels de l'éc
ction épileptogène de l'écorce appartient exclusivement aux centres
moteurs
. En d'autres termes, il adopte les résultats ex
pposé à l'hémisphère excité. L'inexcitabilité passagère des régions
motrices
après plusieurs attaques provoquées expliquait
ouve d'autres centres, toujours de nature sensitive ou sensitivo-
motrice
, en rapport avec l'ensemble des procpssus de l'éc
la ligature des artères cérébrales sur l'excitabilité des cen- tres
moteurs
de l'écorce cérébrale. Les résultats des expérien
es zones sensitives, et ce n'est qu'ensuite que la zone corticale
motrice
serait affectée. Dans l'épilepsie jacksonienne, a
traire, l'accès convulsif serait primitivement provoqué par la zone
motrice
corticale, et ce n'est qu'éventuellement, par le
tres.-Etude critique et clinique de la doctrine des locali- sations
motrices
, 1883, p. 70. DE L'ÉPILEPSIE corticale. 117 t
nce grise du cerveau; l'écorce cérébrale, et en particulier la zone
motrice
, n'est pas l'unique centre épileptogène; l'exci
dépend de l'intensité et de la diffusion des décharges des éléments
moteurs
de l'écorce, origine du processus convulsif.-Po
sur la nature des auras sensitives, sensorielles, psychiques, vaso-
motrices
et motrices, Bernez, Epilepsie jacksonnienne. Gaz
e des auras sensitives, sensorielles, psychiques, vaso- motrices et
motrices
, Bernez, Epilepsie jacksonnienne. Gaz. des Hôpi-
concevoir au contraire l'autonomie relative des différents centres
moteurs
et l'ordre dans lequel ils sont successivement
ant l'élément essentiel de sa pathogénèse, le complexus des centres
moteurs
de l'écorce cérébrale. » G. Seppilli, Tumori cée-
: l'épilepsie partielle peut exister même en l'absence des centres
moteurs
corticaux du côté opposé. L'hémiépilepsie gauch
dans ceux d'abolition ou de diminution de la motilité, les centres
moteurs
sous-corticaux (les corps striés) peuvent suppl
corps striés) peuvent suppléer, dans une certaine mesure, les aires
motrices
détruites de l'écorce cérébrale. Ces ganglions
l'écorce cérébrale. Ces ganglions de la base, dont les fonc- tions
motrices
ne différeraient qu'en degré, non en nature, de
23 d'accès d'épilepsie partielle en l'absence complète de la zone
motrice
opposée ; il leur attribue les mêmes propriétés é
ion nécessaire et suffisante de sa pathogénèse, ce sont les centres
moteurs
de l'écorce cérébrale ainsi que les gan- glions
rieure (paralysie bulbaire). Lésion symétrique des noyanx des nerfs
moteurs
qui prennent naissance dans le cerveau et le bulb
s. Ces symptômes sont : des troubles-de coordination, -des troubles
moteurs
dans le domaine de l'oculomoteur commun, de l'o
. Oppenheim diagnostique une tumeur cérébrale originaire de la zone
motrice
du côté gauche, sans pouvoir localiser avec plus
ctère de celles qui succèdent à l'excitation de la région corticale
motrice
antérieure. Le noyau lenticulaire n'est pas acces
ques. Le trans- port de l'excitation des voies sensitives aux voies
motrices
a lieu, non par les tubercules quadrijumeaux, m
, à la pariétale ascendante ainsi qu'au lobule paracentral. La zone
motrice
du cerveau est donc également un centre sensitif
UES. 133 l'action du cervelet ou si elle constitue une seconde voie
motrice
adjacente à celle des faisceaux pyramidaux. P.
poplexie, une parésie du nerf facial et une aphasie amnestétique et
motrice
avec des symptômes d'apraxie; cette dernière se
ant aux hallucinations, on ne comprendrait pas com- ment les images
motrices
de la parole inférieure engendreraient des hall
, fatalement on arrive à rencontrer l'intime association des images
motrices
du langage avec celles qui proviennent des autres
âf flexe. C, cubital. 172 CLINIQUE NERVEUSE. innervation purement
motrice
; 3° au médian qui donne lieu à la même observa
i-même; il est soumis à une compression qui équivaut pour les nerfs
moteurs
à une section et nous pouvons dire exactement l
s, les fibres iridodilatatrices, à l'exclusion des éléments vaso-
moteurs
, qui suivent d'autres voies ; il fournit égale-
'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles
moteurs
et réflexes occupant surtout le membre inférieu
e, et consécu- tive à la destruction des circonvolutions cérébrales
motrices
correspondantes. J'étais loin de m'attendre à r
e foyer purulent s'acheminait avec lenteur vers les circonvolutions
motrices
correspondantes. Chez le premier, le lobule par
de coordination, un pont entre le lobe sensitif temporal et le lobe
moteur
pariétal. C'est une connexion apha- sique comme
i se trouve en avant, près de la scissure fronto-pariétale, devient
motrice
, et correspond, d'arrière en 188 CLINIQUE NERVE
l y a le même ordre dans la disposi- tion des conduits sensitifs et
moteurs
, que dans les régions sous-jacentes de la parti
estion de l'existence, chez le cobaye, l'entre-croisement des voies
motrices
dans la région de la decus- salio pyramidum.
que, grâce à l'entre-croisement complet chez le cobaye des voies
motrices
dans la région de deettssatio pyramidum, on peu
question et il a démontré que les nouvelles voies des im- pulsions
motrices
vers l'extrémité paralysée passent vers la moit
passent vers la moitié opposée de la moelle, au niveau des racines
motrices
correspondantes. La base de cette conclusion ét
restée sans résultats; ergo, conclut l'auteur, les nouvelles voies
motrices
de la moelle passent du côté de la paralysie, a
lle a été faite à un chien chez lequel, comme on le sait, les voies
motrices
dans la moelle épinière présentent certaines di
d'admettre avec Kusmine que les nouvelles voies pour les impulsions
motrices
de l'extrémité qui reçut de nouveau la Fig. 27.
lement lombaire, c'est-à-dire au niveau du commencement des racines
motrices
des extrémités postérieures. Si cette suppositi
t pas y avoir chez le cobaye d'entre-croisement important des voies
motrices
. Il ne me restait qu'à vérifier, si effectiveme
accomplis d'après notre supposition, parce que les nouvelles voies
motrices
du pied qui avait été paralysé ont été lésées par
nt du côté intact au côté de l'hémisection qu'au niveau des racines
motrices
cor- respondantes. " En me basant sur les rés
e de l'entre-cruisement des pyramides jus- qu'au niveau des racines
motrices
contenant les fibres ner- veuses pour l'extrémi
pnotique. Le sommeil résulte de la paralysie des nerfs sensitifs et
moteurs
et de la diminution de l'excitabilité réflexe.
lle prédominante ou seule dans la zone moyenne, fronto-pariétale ou
motrice
; en arrière, dans la zone postérieure, moins at
ehors et en avant des deux nouveaux groupes de cellules de l'oculo-
moteur
commun déjà décrits par l'auteur. Ce groupe annul
érieure de la moelle dorsale, atrophie des cellules dans les noyaux
moteurs
du bulbe, mais avec conservation parfaite des r
cles des yeux, on trouve une hypérémie notable du noyau atrophié du
moteur
oculaire commun et de nombreux extravasats sang
, mais on a rencontré les mêmes lésions dans le noyau de l'oculo-
moteur
externe. Chez un autre malade affecté du même com
l'association fortuite d'une lésion gommeuse des deux nerfs oculo-
moteur
et trijumeau droits et d'un trouble hétérotopique
stagmus hori- zontal des deux yeux. Diminution évidente de la force
motrice
brûle. Atrophie manifeste du deltoide gauche, d
d'alexie pure. On ne constate chez elle aucun élément d'aphrasie
motrice
ni d'aphasie amnésique; elle suit très bien, très
de l'orbiculaire de la paupière du même côté, parésie de la branche
motrice
du trijumeau. En outre, chose particulière, qua
ection de physiologie : professeur Grutzner : excitabilité desnerfs
moteurs
; professeur Ewald : fonctions du labyrinthe; le c
rg, une sensation de constriction en ceinture et une incoordination
motrice
typique. Pas de sucre dans les urines. On peu
des mouvements perpétuels à puis- sances illimitées, gratuites, des
moteurs
universels, etc., etc., etc. » OBSERVATION VI.
psychique des êtres microscopiques. Après avoir'décrit les organes
moteurs
et les organes des sens, agents de ces manifest
E DES MATIÈRES. Microgyrie, par Otto, 423. Moelle épiniére, voies
motrices
de la-, par Rossolimo, 52, 189; - lésions de
r l'étude expérimentale des réflexes vaso- 26 . CLINIQUE MENTALE.
moteurs
dans la série des divers états psychiques qui car
ctée de Dieu et sentent leur main dirigée par lui (hallucinations
motrices
graphiques). Ces troubles de la motilité graphi
ois le cerveau pour l'empêcher d'écrire ses souffrances (inhibition
motrice
gra- phique) ; il commença à éprouver quelques
usses perceptions, parmi lesquelles on reconnaîtra les phénomènes
moteurs
: « Vision et révélation : la vision est, lorsq
re des cellules pyra- midales sont dégénérées, surtout dans la zone
motrice
. Les faisceaux pyramidaux sont également dégéné
ablement d'une hémorragie légère au cours des quintes, paralysie du
moteur
oculaire externe et du facial gauches. Physiono
de deux mois. Au bout d'un mois ont cédé les douleurs et phénomènes
moteurs
des extrémités. Diagnostic : protodiplégie péri
s d'agitation avec gesticulation. Apparaissent ensuite de l'aphasie
motrice
, du tremblement, de l'insomnie, des céphalalgie
es mouvements choréiformes, atteinte convulsée des nerfs crâniens
moteurs
, crises tétanoïdes. -Autopsie. Lésion des artères
tégories de fibres nerveuses. Les cellules du premier type seraient
motrices
, celles du second sensitives ou sensorielles. O
ffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolon- gements nerveux
moteurs
des cellules du premier type avec celles, en no
nant du prolongment nerveux des cellules du premier type (supposées
motrices
ou psycho-motrices), vont se perdre dans le rét
times et latérales de leurs cylindraxes. Les cellules et les fibres
motrices
présenteraient seules les condi- tions d'une tr
tes de ces éléments ? La dis- tinction de ces organites en cellules
motrices
, sensitives ou senso- rielles, qu'invoquait tou
e de leurs fonctions. Certes, les cellules du premier type qui sont
motrices
, sont grandes ; celles du second type, qui sont
ou de la seconde catégorie, c'est-à- dire avec des fibres de nature
motrice
ou de nature soit sensitive, soit sensorielle.
différente, la frontale ascendante, qui fait bien partie de la zone
motrice
, et la première circonvolution du lobe occipita
rocédés de technique, à sur- prendre les rapports directs des nerfs
moteurs
avec les cellules des cornes antérieures de la
dans l'hypothèse qu'il en existe, des cel- lules incontestablement
motrices
Uans la zone motrice du cerveau ? Mais cette zo
l en existe, des cel- lules incontestablement motrices Uans la zone
motrice
du cerveau ? Mais cette zone renferme en même t
one renferme en même temps, sans doute confondues avec les éléments
moteurs
, des cellules sensitives. Dans le cervelet ? C'
antérieures, le moyen d'affirmer qu'on a bien affaire à une cellule
motrice
, tant qu'on n'a point vu son prolongement nerve
rrài dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses
motrices
(cellule 7ze ? ,uose motrice), sont en rap- por
toute raison : Les cellules nerveuses motrices (cellule 7ze ? ,uose
motrice
), sont en rap- port, non isolé, avec les fibres
PATHOLOGIE NERVEUSE. générale ou spéciale, déterminer des réactions
motrices
et, inverse- ment, l'excitation ou les lésions
s motrices et, inverse- ment, l'excitation ou les lésions des zones
motrices
, provoquer des troubles de la sensibilité. L'hy
r tout le système nerveux central : Golgi reconnaît que les régions
motrices
et sensitives de la moelle épinière, que les ce
otl'ice », du a siège anatomique du sens de la vue et de l'activité
motrice
qui se rapporte aux mouvements volontaires du g
'écorce en territoires sensoriels et en territoires-d'innerva- tion
motrice
, le grand anatomiste de Vienne enseignait que « l
nert a même été amené-i ainsi il soutenir que les centres prétendus
moteurs
de l'écorce céré- f hrale ne sont, en réalité,
nérale et spéciale. Seule, la fibre musculaire devrait être appelée
motrice
, et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qui
muscle : « Le nerf ni la cellule nerveuse ne renferment un principe
moteur
. » (Meynert. Psychiatrie. KUni/¡ der Erk1'Cm/¡u
s musculaires, tendineux, etc., annexés à ses prolongements nerveux
moteurs
: « La substance grise et blanche du cerveau ne
2taciiles (Pûltlfttden), et, en tant qu'ils innervent des appareils
moteurs
, il des bras pré- hensiles (FangaJ'me) : c'est
pour le système nerveux. » Puis, pourquoi parler encore de cellules
motrices
et de cellules de sensibilité ? Forel protestait
ifications arborescentes. Ce qui distingue le nerf sensible du nerf
moteur
ne serait donc pas que le premier entre en rapp
sorielle est périphérique, tandis qu'elle est centrale pour le nerf
moteur
. Dans les deux cas le nerf se termine en s'arbori
teur. Dans les deux cas le nerf se termine en s'arborisant, le nerf
moteur
dans le muscle, le nerf sensible dans la substanc
e grise centrale. Mais on n'a point le droit d'appeler sensibles ou
motrices
ces cellules nerveuses. Seul, le mode de termin
réunion de fibrilles nerveuses. Avec Golgi on peut, dit-il, appeler
moteurs
les premiers, sensibles les seconds. Les cellules
tions organi- ques et des mouvements des viscères, pour les centres
moteurs
et pour les centres d'arrêt : parlout les éléme
rifuge, elle se communique d'abord à une cellule du noyau d'un nerf
moteur
; une cellule intercalaire la transmet à une tro
transmet à une troisième cellule en communication avec une fibre
motrice
qui va au muscle. Une fibre corticale isolée n'ag
muscle. Une fibre corticale isolée n'agit pas sur une seule cellule
motrice
, mais met en mouvement, par l'intermé- diaire d
mé- diaire d'une cellule intercalaire, tout un groupe de cellules
motrices
associées dans leur action, selon un mécanisme pr
centre graphique ne coïn- cide pas avec l'un ou l'autre des centres
moteurs
, mais qu'il leur est supérieur à tous deux. F.
rique, l'acoustique, le lacis les trois oculo-moteur : , la branche
motrice
du trijumeau, les olfactifs, l'optique gauche s
s ne justifient point la division des cellules de Golgi en cellules
motrices
, à longs prolongements cylindraxiles cellules sen
veuses. Les secondes peuvent également se rencontrer en des organes
moteurs
; ce sont probablement des cellules de raccord,
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES dire la masse tactile de Flechsig, ou zone
motrice
des auteurs, fait un large détour à travers le
bayes; altérations comparables à celles qui dans les nerfs crâniens
moteurs
se montrent lorsqu'on a lésé le bout périphériq
sement sont moins prononcés, probablement parce que l'as- sociation
motrice
l'emporte sur l'association intellectuelle. P.
ralbl" XV, 1896.) Tout le monde convient que l'ablation des centres
moteurs
des membres d'un côté détermine une dégénéresce
clarté. Elles sont divisées en deux groupes distincts : celui des
motrices
de l'articulation et celui des motrices graphique
oupes distincts : celui des motrices de l'articulation et celui des
motrices
graphiques. Les travaux postérieurs du même aut
Celui de transmission compte à son tour : l° les hallucina- tions
motrices
d'articulation ; 2° les graphiques. II. Mais ce
ol., nO' 68 et Ga, 1892.) - P. Sérieux. Sur un cas d'hallucinations
motrices
chez un paralytique génél'al. (Arch. de Neurol.
as d'une maladie mentale) des hallucinations auditives ni psycho-
motrices
d'articulation. Tels sont les sourds-muets. Par
erceptions visuelles (communes et mimiques) et d'extério- risations
motrices
mimiques. Les images collectionnées dans ses ce
que des représentations visuelles mimiques et des représenta- tions
motrices
mimiques, ou, ce qui revient au même, « les hal
entourent. M. Vallon, pour sa part, a rencontré les hallucinations
motrices
d'articulation chez deux alcooliques'. De sor
te que les deux ordres de représentations verbales, sensorielles et
motrices
se trouvent extériorisés sous formes d'hallucin
sont les classes qui appa- raissent préféremment ? Les auditives et
motrices
d'articula- tion. C'est-à-dire des ensembles én
es et existence moins fréquente de fausses perceptions visuelles et
motrices
de paroles. ltien de plus. Indubitablement les
ues à ceux-ci ne peuvent être que trois chez les sourds-muets : les
moteurs
, les visuels et les mixtes. Dans l'OBSERVATION
es sourds-muets dans un but distinct du nôtre, croit voir en lui un
moteur
. Ce cas est vraiment anormal. En outre, il ress
s de Madrid a fait pour nous, qu'il a remarqué aussi l'existence de
moteurs
. Mais comme ces mo- teurs, tout comme les visue
des sous-types divers en harmonie avec la variété sensorielle ou
motrice
des images ou représentations qui occupent chez e
rds-muets, il existe des hallucinations symboliques sensorielles et
motrices
en har- monie avec les diverses formes de leur
aphiques automatiques (possession théomaniaque); ces hallucinations
motrices
finissent par être inconscientes, le malade se
le début; l'éréthisme atteint à la fois les sphères sensorielles et
motrices
au lieu de se propager successivement des unes
sycho-sensorielles mais les transforment rapidement en phé- nomènes
moteurs
; leur délire devient presque d'emblée ambitieu
fasc. 1, 2.) L'auteur envisage surtout les hallucinations verbales
motrices
et arrive à cette conclusion qu'elles ne dérive
s comme le résultât d'une simple excitation des centres sensorio-
moteurs
. Nous avons essayé de montrer que leur physionomi
iale était due à un facteur particulier, à l'intervention du centre
moteur
d'articulation : mais il n'en est pas moins évide
urtout le système nerveux et en trouble les fonctions sensorielles,
motrices
et psychiques. Le. buveur est forcé d'augmenter
femmes et aliénation mentale, par Rohe ; Signification des troubles
moteurs
de la folie, par Richardson ; - Médication thyroï
encier sous le microscope une fibre de la sensi- bilité d'une fibre
motrice
. La maladie fait cette distinction. En décrivan
ns de chaleur à la face et probablement d'un état congestif vaso-
moteur
et dans ce cas il y a toujours des bruissements e
touchait au front) ; , 4°*Des paralysies permanentes des muscles
moteurs
des paupières. Ces quatre groupes de symptôme
nglionnaires y étaient atrophiées surtout dans les noyaux des nerfs
moteurs
, ce qui est en dehors du sujet qui nous occupe,
ier avait vu depuis longtemps l'« arborisation terminale» des nerfs
moteurs
« dissociés en fibrilles » se mettre'en rapport
moelle épinière sont de deux espèces : les cellules radiculaires «
motrices
», dont les cylindraxes constituent la racine a
es les cellules, excepté peut-être ceux des cel- lules radiculaires
motrices
, émettent à leur passage à travers la moelle de
de cellules nerveuses à cylindraxes longs; des organes à fonctions
motrices
, tels que le cervelet, la zone rolandique, renf
spéciale les cellules nerveuses dites sensitives ou sen- sorielles,
motrices
, commissurales, d'association ou de projection.
onctionnelle plus élevée de la cellule, car les cellules des noyaux
moteurs
possèdent des granules plus gros et plus nombre
s fibres sensitives et sensorielles, d'où partent toutes les fibres
motrices
: l'écorce représente une série de centres, dont
reçoit des fibres sensitives ou sensorielles, et envoie des libres
motrices
affectées à un ordre déterminé de mouvements. C
es et les arborisations terminales observées durant la vie (plaques
motrices
, ramifications des fibres sensitives, etc.). Quan
n souvenir, l'exaltation de la pensée ou l'exagération de réactions
motrices
conscientes, etc., s'expliqueraient avec cette
épilepsies par intoxication. H. DE MUSGRAYE CLAY. XLIX. Paralysie
motrice
du larynx ; par J. A. Mac CASSY. (Nezv-Yok Médi
puis la première description donnée par Brown-Sequard. Les troubles
moteurs
ont généralement été caractéristiques de la dég
la parenté de ces diverses formes de lésions héréditaires des voies
motrices
; paralysie spinale spastique, atrophie musculai
siège d'un foyer de ramollissement (artério-sclérose). L'aphasie
motrice
totale et la paralysie du bras droit observées pe
ent développées progressivement, sans ictus apoplectique. L'aphasie
motrice
totale avait succédé à de très légers troubles de
urvues de fibres cen- trifuges, nous pouvons admettre que les nerfs
moteurs
ont aussi des fibres spéciales, destinées à con
lle ou autre forme et après avoir subi des modifications, aux voies
motrices
centrifuges, et atteint aux muscles internes et
transmettre les sensations d'innervation qui viennent de l'appareil
moteur
de l'oeil et sont en rapport direct avec le méc
s les appareils perceptifs périphériques et à tous les méca- nismes
moteurs
qui sont en union avec eux. Involontairement l'
ransmettre les sensations d'innervation, qui portent des mécanismes
moteurs
. SUR UNE CAUSE IGNORÉE D'INTOXICATION SATURNINE
arce que chez eux il y a abseuce de connexion directe entre la zone
motrice
de l'écorce cérébrale et la substance grise de
ire; les cellules de Purkinje ont bien la signification de cellules
motrices
et les autres sont en connexion intimé avec ell
iche développement des branches protoplasmiques des larges cellules
motrices
. Quant au stratum granuleux interne, que l'anim
lusivement bulbaire, doit être considérée comme une racine bulbaire
motrice
accessoire du pneumogastrique et qu'elle n'a qu
zones ou les sphères sensorielles ou plutôt les sphères sensitives
motrices
, chacune d'elles étant en connexion avec nos or
de fibres ner- veuses, centripètes ou sensitives, et centrifuges ou
motrices
. Tout ce qui reste de l'écorce cérébrale en deh
Ie, IVe et Vie paires ne doit pas étonner, ces nerfs étant purement
moteurs
. Dans l'écorce, l'auteur constate une atrophie
probablement des degrés divers de l'hyperexcitabilité du neurone
moteur
, congénitale ou acquise, due à différentes causes
tement. P. KERA VAL- XXXVI. SUR la valeur fonctionnelle DES CENTRES
MOTEURS
corticaux DU CERVEAU CHEZ DIFFÉRENTS ANIMAUX; p
l'écorce ne sont pas au même niveau, et que l'expression « centres
moteurs
» prend une signification très différente, suiv
ion électrique les oiseaux seraient dépourvus des centres corticaux
moteurs
ordinaires. Chez tous les autres animaux dont i
nimaux que chez certains autres; 4° la'situation exacte des centres
moteurs
est d'au- tant mieux définie que l'animal est s
eau physiologique. Celte conception du fonctionne- ment des centres
moteurs
s'accorde avec les faits cliniques. On sait que
llectuelles, tandis que le droit, pré- sidant surtout aux fonctions
motrices
et sensitives, prendrait peu de part à l'idéati
la fréquence et l'im- portance des ictus suivis tantôt de troubles
moteurs
, tantôt de troubles psychiques, la nature de ce
s moteurs, tantôt de troubles psychiques, la nature de ces troubles
moteurs
et leur pré- dominance au détriment des symptôm
he, puis du côté droit). La physionomie spéciale des manifestations
motrices
était de nature à faire penser plutôt à une lés
n'est plus douteuse lorsqu'il se produit des symptômes de paralysie
motrice
ou des signes évi- dents d'affaiblissement inte
pilepsie corticale ou jacksonienne, par lésion en foyer des centres
moteurs
ou des faisceaux qui en émanent. Cette forme ne
sence, SOCIÉTÉS SAVANTES. 389 durant les intervalles, de troubles
moteurs
, sensitissou sensoriels, doit même faire penser
trace dans la mémoire et vice versa. Pour ce qui est des décharges
motrices
, il ne s'agit pas toujours d'actes dangereux ma
x des exemples d'une exagération extrême des légères manifestations
motrices
qui se rencontrent assez souvent chez les sujet
dans un asile. Plus lard, la céphalée, les vertiges, les paralysies
motrices
, les troubles de la vue conduisent le malade da
squels les symptômes psychiques sont au premier plan : les troubles
moteurs
, qui pourraient faire penser à une lésion en fo
tion légère de la substance habituellement non colorée des cellules
motrices
des cornes antérieures et des noyaux des nerfs
elative des cellules des ganglions spinaux par rapport aux cellules
motrices
; 2° persis- tance d'éléments normaux à côté d'é
faire. La méthode de Beckera montré que, au moins dans les éléments
moteurs
. la substance non chromato- phrle a une structu
ont mëmeidentifié la substance chromatophile des cellules nerveuses
motrices
avec les fibrilles de Max Schultze. Pour résoud
s sur les mo- fidications structurales de la substance des cellules
motrices
par le repos, l'activité, la fatigue. L'excitat
i se colorent par les couleurs basiques, s'amassent danslescellules
motrices
, dans les cellules des ganglions sympathi- ques
vent spasmodiques, les troubles sphinctériens, jusqu'aux troubles
moteurs
et sensitifs qui caractérisent les affections de
aussi expliquer, outre l'attaque, les phénomènes postépilep- tiques
moteurs
, secrétaires et psychiques. Pour les paralysies l
éral des malades et, plus particulièrement, de l'état des fonctions
motrices
. J'indiquerai ensuite, d'après mes observations
s'est terminée par une période plus ou moins longue d'impo- tence
motrice
, les malades ont présenté quelques symptômes pa
et n'ayant intéressé que les noyaux d'origine ou des fibres du nerf
moteur
oculaire commun. A l'autopsie, on reconnut que
males; il n'a de troubles ni oculaires ni auditifs, ni sensitifs ni
moteurs
. Au niveau du bord postérieur du pariétal gauche,
yndrome clinique, à savoir l'hé- miplégie droite et la paralysie du
moteur
oculaire commun gauche. L'état athéromateux trè
4 acci- dents augmentent d'intensité, ils se compliquent d'aphasie
motrice
complète. Dans la nuit deux grands frissons, co
on est limitée aux cornes anté- rieures, on observe de la paralysie
motrice
et de l'atrophie muscu- laire, tandis que la lé
es cordons postérieurs en dehors de la substance grise. Paralysie
motrice
, atrophie musculaire, anesthésies diverses se r
ections de la moelle. Dans la polyomyélite antérieure, la paralysie
motrice
est étendue et complète dès le début. Par la su
u siège de la lésion. L'atrophie musculaire accompagne la paralysie
motrice
quand la lésion siège dans la substance grise.
odique résulte d'une lésion bien différente intéressant les cordons
moteurs
. - L'étude des réflexes est d'un précieux secou
le renflement lombaire paraît devoir être mis en cause. Paraplégie
motrice
et sensitive complètes dans le domaine de la mo
au du mamelon gauche; développement 1-apide d'une paraplégie totale
motrice
et sensitive, excitabilité faradique des nerfs
ents n'ont lieu que dans le cristallin et dans d'autres l'impulsion
motrice
, en se concentrant dans le cris- tallin, peut a
imiques des sécrétions n'ont pas été faites et concernant la sphère
motrice
des yeux on n'a pas constaté d'anomalie. M. FOK
tude synthétique des syndromes tabé- tiques (sensitifs, sensoriels,
moteurs
, trophiques), d'après des documents cliniques p
rtite chronique chez les aliénés, par del Greco, 371. .11,iiisii,
motrice
totale par Bruns, 327. - Un cas d' - amnésique,
ojection et d'associa- tion de Dpchsig, par van Gehu- chten, 355.
Moteurs
corticaux du cerveau chez différents ani- mau
les scléroses et la paralysie,par Trommer, 370. Larynx. Paralysie
motrice
du , par Mac Cassy, 322. Législation des alié
Au bout de deux mois de répit, le malade voyait peu à peu l'impotence
motrice
se reproduire, et était forcé de revenir consulte
ts tant passifs qu'actifs, l'idée de mouvement et les représentations
motrices
. J'espère obtenir un résultat, mais assurément ce
mono-plégie brachiale avec anesthésie en manche de veste. L'impotence
motrice
est cependant assez notablement améliorée, mais b
e pathogénie. Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf
moteur
oculaire commun. Traitement : Bromures ; iodure
ne-là il y a accompagnement nécessaire d'une paralysie d'un des nerfs
moteurs
oculaires communs ; et, remarquez-le bien, car c'
c., les symptômes oculaires seraient représentés par une paralysie du
moteur
oculaire commun. Chose remarquable, c'est toujour
que sorte exclusive; elle n'intéresse pas, en effet, les autres nerfs
moteurs
clo l'œil. Les effets symptomatiques de ce genr
avez prévus : strabisme en dehors, chute de la paupière, impuissance
motrice
dans le domaine de la 3e paire, diplopie spéciale
environ, mais le dernier a laissé après lui une paralysie complète du
moteur
oculaire commun, qui depuis cette époque ne s'est
on plus, avec ces ophthalmoplégies à récidives, portant tantôt sur le
moteur
oculaire commun, tantôt sur l'abducens, qui sont
toire, il y a diplopie croisée révélant une paralysie concomitante du
moteur
oculaire externe. C'est l'unique fois, je pense,
cependant toutes les deux une lésion siégeant sur le trajet basai du
moteur
oculaire. Dans un de ces cas (Weiss, Wiener med.
e nous attarderons pas à décrire la distribution normale des branches
motrices
du sciatique à la jambe. Rappelons seulement en d
ion qui suit est presque calquée sur la précédente quant aux troubles
moteurs
, elle en diffère en ce que l'anesthésie, au lieu
troubles de la sensibilité sont à peine appréciables, les troubles
moteurs
dominent toute la scène. Arrivons maintenant à la
tée dans les muscles animés par ce même tronc nerveux. Les troubles
moteurs
et sensitifs sont donc facilement explicables che
s morbides. Observation XI (personnelle). — Sciatique avec troubles
moteurs
et sensitifs dans le domaine du sciatique poplité
z bon. Nous nous trouvons ici en présence de troubles sen-sitifs et
moteurs
qui méritent d'autant plus que nous nous y arrêti
nerf, le sciatique poplité externe, et caractérisée par des troubles
moteurs
et sensitifs portant sur le territoire de distrib
près avoir été unilatérales pendant un temps assez long. La paralysie
motrice
n'affecte presque jamais toute l'étendue des deux
t-elle pas retenti directement, par voie de contiguïté, sur les tubes
moteurs
et faut-il voir, dans le système des cornes posté
union nécessaire entre l'affection des fibres nerveuses sensitives et
motrices
. X. Ophthalmoplegie externe et amyotrophie gé
tégrité des muscles iriens et pupillaires, atteinte des seuls muscles
moteurs
du globe oculaire. Considérations anatomiques ; l
à Vatrophie mus-culaire progressive ; lésion systématique des noyaux
moteurs
{polioencèphalomyèlite), publié dans la Nouvelle
ent d'une paralysie de toutes les branches extérieures ou externes du
moteur
oculaire commun, à savoir: droit interne, droit s
rquez-le bien, non seulement la paralysie porte sur les branches du
moteur
oculaire commun [oculo-motorius, comme l'appellen
mais encore, puisque le droit externe est paralysé lui aussi, sur le
moteur
oculaire externe ou abducens. Toute la musculat
res et iriens. Il existe là, vous le voyez, dans les fonctions du .
moteur
oculaire, une sorte de dissociation remarquable,
vez comment la colonne ganglionnaire qui sert d'origine aux fibres du
moteur
oculaire occupe, au-dessus du bulbe proprement di
s parois latérales, que siègent l'amas, ou mieux les amas de cellules
motrices
, qui servent d'origine au moteur oculaire commun.
mas, ou mieux les amas de cellules motrices, qui servent d'origine au
moteur
oculaire commun. On peut suivre par en haut cette
placés au-dessus de ceux qui donnent naissance aux nerfs des muscles
moteurs
du globe. Quant à ces derniers eux-mêmes, ils rec
t la symétrie. Il est concevable, du reste, que si le tronc du nerf
moteur
oculaire est atteint après sa formation, on ne po
té des nerfs musculaires extérieurs, tandis que les branches oculo-
motrices
ciliaires resteront protégées par la cornée et ne
as, si l'affection a duré quelque temps, une destruction des cellules
motrices
. Ce procespus se rencontre dans certaines formes
poursuivre l'étude; aussi les laisserons-nous de côté. 3° Les noyaux
moteurs
sont primitivement et systématiquement affectés,
n que sont envahis, dans la paralysie bulbaire inférieure, les noyaux
moteurs
de l'hypoglosse, du facial inférieur, etc., qui r
re. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux
moteurs
, les noyaux sensitifs étant respectés, tout comme
u moins rapidement, de symptômes qui relèvent de la lésion des noyaux
moteurs
du bulbe correspondant aux cornes antérieures. La
s'étend en pareil cas, en quelque sorte systématiquement, des noyaux
moteurs
du bulbe supérieur à ceux du bulbe inférieur. J
gie externe, c'est-à-dire porteurs d'une lésion atrophique des noyaux
moteurs
, on rencontre en même temps, en diverses parties
polioencéphalite, qui met en relief l'atteinte symétrique des noyaux
moteurs
spinaux et des noyaux moteurs bulbaires. Il s'agi
relief l'atteinte symétrique des noyaux moteurs spinaux et des noyaux
moteurs
bulbaires. Il s'agit là d'une lésion systématique
e cas, la lésion anatomique consiste dans une altération des cellules
motrices
des noyaux spinaux aussi bien que des noyaux bulb
ures de la substance grise de la moelle avec destruction des cellules
motrices
. L'évolution s'est faite rapidement dans une péri
science. C'est encore à une lésion, subaiguë cette fois, des cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle qu'il faut ra
tant qu'expression symptomatique de la lésion systématique des noyaux
moteurs
du bulbe protubérantiel, peut se combiner à la pa
à l'atrophie musculaire progressive ; lésion systématique des noyaux
moteurs
; polioencéphalomyélite). Ce sont celles des mala
ergent. M. Peter, consulté à cette époque, constate la paralysie du
moteur
oculaire commun de côté droit. Traitement : iodur
céphalomyélite). L'altération porte alors sur la totalité des parties
motrices
de l'axe gris bulbo-médullaire, depuis le pédoncu
'il est bien instructif d'observer. Ce sont d'ailleurs des troubles
moteurs
que l'on rencontre chez tous les amyotrophiques a
lesse et une atrophie plus ou moins prononcée du membre. Ces troubles
moteurs
sont toujours accompagnés de troubles de la sensi
en tous cas, pratiquement, se révèle par des troubles ou sensitifs ou
moteurs
, quelquefois les deux en même temps, occupant les
e temps, occupant les membres inférieurs. Ces troubles sensitifs et
moteurs
ont été tout d'abord étudiés séparément et succes
hé-sies de toute espèce. Arrivons maintenant à un phénomène d'ordre
moteur
, sur lequel je crois devoir particulièrement ins
travail de M. Leval-Picquechef sur les pseudo-tabes \ Ces phénomènes
moteurs
seraient caractérisés : 1° par le signe deRom-ber
tuliens, des douleurs plus ou moins fulgurantes, et enfin un syndrome
moteur
, la démarche de stepper, dû vraisemblablement sur
roduit par une lésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du
moteur
oculaire commun et celles du faisceau pyramidal.
Gubler, il est question d'un foyer de ramollissement ayant atteint le
moteur
oculaire commun dans son passage à travers le péd
crâne, une tumeur par exemple, qui agirait en comprimant à la fois le
moteur
oculaire commun et le pédoncule dans sa partie in
e simple rapport qu'une même lésion puisse atteindre simultanément le
moteur
oculaire commun et le pédoncule et produire en co
x bandelettes interne et moyenne soient touchées en même temps que le
moteur
oculaire commun pour que le syndrome de Weber soi
, le groupement des divers noyaux qui constituent l'origine réelle du
moteur
oculaire commun et dont chacun parait animer un d
arthralgies douloureuses s'amendèrent et firent place à une impotence
motrice
complète, c'est-à-dire à une hémiplégie droite qu
ter aujourd'hui. Serait-il donc sous la dépendance d'une paralysie du
moteur
oculaire commun et réduirait-il à néant la série
rance, d'où relèverait la paralysie de la paupière, les paralysies du
moteur
oculaire commun étant jusqu'ici inconnues dans la
abord la coexistence de symptômes oculaires d'un côté, et de troubles
moteurs
des membres du côté opposé, était si imprévue qu'
et ne pouvait être fléchie. La face était respectée. Cette hémiplégie
motrice
se serait accompagnée de perte de la sensibilité.
t de cette paire, suivant toute probabilité, une innervation purement
motrice
; 3° au médian qui donne lieu à la même observati
ui-même ; il est soumis à une compression qui équivaut pour les nerfs
moteurs
à une section et nous pouvons dire exactement le
ue j'ai observé dans plusieurs cas d'hémiparaplégie spinale, troubles
moteurs
et réflexes occupant surtout le membre inférieur
talité du membre, qui se traduit, en dehors du défaut de coordination
motrice
, par l'exagération considérable du réflexe rotuli
milieu de cette infiltration gommeuse, les nerfs optiques, les nerfs
moteurs
de l'œil, etc., se trouvent englobés ; ils subiss
localisation.il faut qu'elle siège au niveau etàla surface des zones
motrices
. Si elle siège à la surface des circonvolutions f
malade. La lésion mônin-gitique siège-t-elle en dehors de cette zone
motrice
, vous pourrez avoir non pas l'épilepsie, mais l'a
certaines lésions très circonscrites de l'écorce des circonvolutions
motrices
dans la paralysie générale, etc., etc. L'objectio
nvolutions frontale et pariétale ascendantes, autrement dit au centre
moteur
de la main et du bras. . Peut-on vraiment deman
isteraient des altérations basilaires : névrite optique, paralysie du
moteur
oculaire commun, etc..., dans ce cas-là, la gué-r
e gommeuse superficielle des méninges, siégeant au niveau des centres
moteurs
du membre supérieur droit et n'ayant pas encore d
e qui est en cause. Chez l'autre, au contraire, il s'agit de troubles
moteurs
et intellectuels de la plus haute gravité, indélé
profonde, ineffaçable; elle a, pour ainsi dire, sectionné le faisceau
moteur
et entraîné la dégénération secondaire. Et c'est
s terminales de la sylvienne, et que le territoire cortical des zones
motrices
, dans une grande étendue, a été intéressé de mani
erbale. A l'origine, cette cécité verbale s'est accompagnée d'aphasie
motrice
; celle-ci a bientôt disparu et la cécité a persi
ssiner de mémoire. Nous devons donc admettre que, en outre de la zone
motrice
des membres, le lobule pariétal inférieur a été l
lies régions irrémédiablement affectées sont en résumé : les centres
moteurs
dans presque toute leur étendue, le lobule pariét
e, serait à peu près décisive : une névrite optique, une paralysie du
moteur
oculaire commun, par exemple ? Absolument pas. De
chenne, à qui il manquait tel ou tel signe vulgaire, l'incoordination
motrice
par exemple... De ce jour l'étude des formes anor
de l'oeil s'expliquent par les lésions scléreuses de l'abducens et du
moteur
oculaire commun, et que, dans la sclérose en plaq
s, la paralysie de l'ab-ducens serait ici plus fréquente que celle du
moteur
oculaire commun, quoique considérées en bloc les
les douleurs fulgurantes, le signe de Romberg....., l'incoordination
motrice
peut-être. C'est que, dans l'espèce, la lésion pr
ent, la marche était encore impossible; il y avait une incoordination
motrice
très accusée, et tous les mouvements étaient irré
la véritable solution du problème. Note sur un cas de Paralysie du
Moteur
oculaire externe et du Facial, avec atteinte de l
tubérantiel, situé sur le trajet des fibres d'origine du facial et du
moteur
oculaire externe, du côté droit. Mais cette lés
nt un autre, situé non plus dans la protubérance, mais dans la région
motrice
de l'écorce du cerveau, du côté gauche. Ce dernie
l'un dans la moitié droite de la protubérance, l'autre dans la région
motrice
corticale ou sous-corticale du côté gauche. Nous
pathogénie. — Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du nerf
moteur
oculaire commun. Traitement : Bromures, iodure
tégrité des muscles iriens et pupillaires, atteinte des seuls muscles
moteurs
du globe oculaire. Considérations anatomiques ; l
roduit par une lésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du
moteur
oculaire commun et celles du faisceau pyramidal.
ement........;..........399 XXII. Note sur un cas de Paralysie du
Moteur
oculaire externe et du Facial, avec atteinte de l
bes, 278 ; — et glycosurie, 258. Diplopie dans la paralysie du nerf
moteur
oculaire externe, 422. Dissociation de l'anesth
ne, 317, 318, 427; — combinée à la paralysie complète du facial et du
moteur
oculaire externe du même côté, 420 ; mode de débu
— diagnostic, 15; — anatomie pathologique, 17 ; — observation, 18.
Moteur
oculaire externe : paralysie du nerf —, 420 ; — s
2 ; — au membre inférieur, 153,154. Nerf sciatique : distribution
motrice
du —, 130 ; distribution '°* sersiiive du —, 15
de l'innervation, le centre de l'activité psychique, intellectuelle,
motrice
ou sensitive; les fibres nerveuses sont les condu
logues, par leurs fonctions et leurs connexions, aux grandes cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle (Microphotogr
r-axis d'une fibre nerveuse. Ces cellules géantes sont des cellules
motrices
; les régions dans lesquelles on les rencontre son
on les rencontre sont indiquées par la physiologie comme des centres
moteurs
. Dans le lobe occipital, les deux premières cir
ord interne et le troisième vers le bord externe. Ces cellules, dites
motrices
, ont un gros noyausphériquepourvu d'un nucléole;
lement et entrent en connexion avec les fibres radiculaires des nerfs
moteurs
. Deiters a désigné sous le nom de prolongement
s la corne postérieure. Les racines antérieures émergent des cellules
motrices
des cornes antérieures ; elles sont désignées pou
es sont désignées pour ce motif sous le nom de racines antérieures ou
motrices
; après avoir franchi la gaine que leur fournit la
nes antérieures et consti-tuent un tronc unique à la fois sensitif et
moteur
, ou nerf mixte, qui s'étend, en se rami-fiant, ju
avant leur trajet ascendant sous le nom de portion super-ficielle ou
motrice
des pyramides antérieures. Les cordons postérieur
a portion spinale, à deux séries de fibres radiculaires : les racines
motrices
et les racines sensi-tives des nerfs crâniens, qu
dans ce par-cours le noyau classique du nerf hypoglosse, le noyau du
moteur
oculaire externe (noyau supérieur du facial), le
terne (noyau supérieur du facial), le noyau du pathétique et celui du
moteur
oculaire commun. Le noyau classique de l'hypogl
30 y. à 70 p. de millimètre (Microph., Pl. D, fig. II). Le noyau du
moteur
oculaire externe se trouve dans un étage plus éle
é par Stilling en 1846, d'où émergent les fibres radiculaires du nerf
moteur
oculaire commun. La tête de la corne antérieure
antéro-latéral décrit par Stilling et Kôlliker, qui contient le noyau
moteur
des nerfs mixtes, le spinal, le pneumogastrique e
se forme le noyau inférieur du facial et le noyau de la petite racine
motrice
du trijumeau ou nerf masticateur. Le noyau anté
meau ou nerf masticateur. Le noyau antéro-latéral du bulbe ou noyau
moteur
des nerfs mixtes contient des cellules nerveuses
ontinuité d'éléments nerveux en connexion d'une part avec les racines
motrices
et d'autre part avec les racines sensitives des c
longitudinales qui les composent forment la portion superficielle ou
motrice
des pyramides ; elles se réunissent en groupes ne
ance de chaque côté du raphé médian. Au sommet du bulbe, la portion
motrice
des pyramides occupe les côtés de la partie antér
s cordons subissent quelques modifi-cations respectives. La portion
motrice
des pyramides pénètre dans le bulbe sous la forme
Encéphale. 6 La portion sensitive abandonne complètement la portion
motrice
des pyramides. Elle se porte en dehors et en arri
ergent au dehors pour constituer les pédoncules cérébraux. La portion
motrice
, considéra-blement augmentée de volume, s'infléch
dedans la concavité de son croissant. Elle est séparée de la portion
motrice
par la substance grise du locus niger. Le pédoncu
es qui lui sont propres. Les cordons latéraux de la moelle, portion
motrice
des pyramides, se portent en avant et en dehors,
anse du noyau lenticulaire par Meynert qui le fait aboutir aux noyaux
moteurs
de la moelle allongée. Il irait par conséquent se
doncule, sans traverser le corps strié. Il est appelé faisceau direct
moteur
du pédoncule (Pl. VII; XLIV). (1) Charcot, Leço
r affecte des rapports intimes avec les noyaux radiculaires des nerfs
moteur
oculaire externe, pathétique et moteur oculaire c
noyaux radiculaires des nerfs moteur oculaire externe, pathétique et
moteur
oculaire commun. Meynert et Huguenin le décrive
ns antéro-latéraux de la moelle. Ils le considèrent comme un faisceau
moteur
. Le faisceau latéral du bulbe, faisceau intermé
ttement isolé, se joint aux fibres spinales antérieures, ou portion
motrice
des pyramides, qui s'amortissent dans le noyau le
urs établissent par conséquent une connexion intime entre les régions
motrices
des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau cen
moelle. c. Substance médullaire. d. Racines antérieures des nerfs
moteurs
, émergeant de la corne antérieure. Fig. II. —
se centrale de la moelle épinière. c. Racines antérieures des nerfs
moteurs
émergeant de la corne an- térieure. d. Sectio
éral du bulbe. g. Corne antérieure séparée de sa base. h. Portion
motrice
des pyramides offrant un aspect fascicule. i. S
des corps restiformes. e. Tête de la corne antérieure. f. Portion
motrice
des pyramides. g. Raphé médian formé par l'entr
pare les deux portions sensitives et se prolonge entre les portions
motrices
. j. Portion motrice des pyramides. k. Racine du g
s sensitives et se prolonge entre les portions motrices. j. Portion
motrice
des pyramides. k. Racine du grand hypoglosse. /.
au. i. Racines du grand hypoglosse. /. Olive bulbaire. k. Portion
motrice
des pyramides. /. Noyau gris qui sépare les por
ns sensitives, s'interpose entre la portion sensitive et la portion
motrice
. m. Portion sensitive des pyramides. n. Grand noy
par laquelle émergent les racines des nerfs acoustiques. q. Noyau
moteur
du grand hypoglosse (noyau accessoire de Mathias
r du grand hypoglosse (noyau accessoire de Mathias Du val. r. Noyau
moteur
du glosso-pharyngien. s. Fibres arciformes. t.
de Vicq-d'Azyr. De leur face antérieure émergent les troncs des nerfs
moteurs
oculaires communs. 15. — Section du lobe médian
rachidien. En arrière apparaissent les fibres radiculaires des nerfs
moteurs
oculaires externes (21). 23. — Substance grise
aunes; un autre continue son trajet di-rect; c'est le faisceau direct
moteur
du pédoncule cérébral. Le groupe postérieur de fi
upérieurs ; à l'entrée est la coupe des fibres radiculaires des nerfs
moteurs
oculaires externes ; en avant est la substance gr
constituante de la substance grise du névraxe. 8. — Tronc des nerfs
moteurs
oculaires communs. Ils ont leur origine apparente
rçoit deux petites saillies qui correspondent à l'origine des nerfs
moteurs
oculaires externes ; l'extrémité supérieure du si
l'extrémité supérieure du sillon avoisine le lieu d'origine des nerfs
moteurs
oculaires communs. Plus en dehors est une colon
rdons s'entre-croisent sur la ligne médiane et vont former la portion
motrice
des pyramides antérieures du bulbe. 27. — Cordo
bstance grise centrale du névraxe. 17. — Noyaux d'origine des nerfs
moteurs
oculaires communs. 18. — Substance grise des no
le bulbe rachidien sous le nom de pyramides antérieures ou portion
motrice
, s'cntre-croi-sent plus bas sur la ligne médiane
otubérance annulaire et le bulbe rachidien, où ils forment la portion
motrice
des pyramides antérieures. 22. — Fibres transve
nnulaire. Elles croisent perpendiculairement les fibres de la portion
motrice
(23) des pyramides. 24. — Trou borgne de Vicq-d
dien. Sur son bord supérieur sont les fibres radiculaires des nerfs
moteurs
oculaires communs. L'artère basilaire, résultant
ensibilité, de l'intelligence. 4 ' CLINIQUE NERVEUSE. A. Troubles
moteurs
. Ce que l'on observe de beaucoup le plus souven
s les modalités d'aphasie peuvent être observées, surtout l'aphasie
motrice
. Mais c'est l'évolu- tion de ces troubles qui e
très rare d'observer une forme d'aphasie pure, surtout de l'aphasie
motrice
, sans trace d'aphasie sensorielle, sans trouble
es probablement à l'action du virus syphilitique sur le neu- rone
moteur
périphérique. Dès cette période aussi on peut n
et- avec une force normale. La paralysie est localisée aux muscles
moteurs
de la main et des doigts Elle porte surtout sur
s gros de ces anévrismes atteint le volume d'un petit pois. Le nerf
moteur
oculaire externe gauche lui est accolé, et lors
deur atteindre le faisceau pyramidal pour déterminer des troubles
moteurs
du. côté opposé, réalisant ainsi une forme d'hémi
' mo/eM te ' Magnan. - De.la sclérose du nerf 'Optique et des nerfs
moteurs
de l'oeil clans la paralysie générale (Archives
obtenu des résultats positifs par l'extirpation des quatre muscles
moteurs
de l'oeil inner- vés par l'oculomoteur commun.
tes les cellules nerveuses du noyau en question appartenant au type
moteur
ont dégénéré, ainsi que les cellules latérales
alisation de chacun des muscles. l- 1° Il n'y a parmi les muscles
moteurs
de l'oeil innervés par l'ocu- REVUE D'ANATOMIE
ène de déficit de la sensibilité, se produisaient certains troubles
moteurs
dont la relation avec les lésions accessoires e
ention qui suppriment la fonction d'arrêt du cerveau sur les fibres
motrices
: la réflectivité médullaire se montrerait alors
dre-axe est dépourvu de ces éléments. Lorsqu'on sectionne un nerf
moteur
, on observe dans le centre d'origine de ce nerf
au du renflement cervical. L'hémisphère gauche, au niveau du centre
moteur
du membre supérieur, ne présentait pas d'atrophie
ution de volume des racines postérieures; les collatérales réflexo-
motrices
sont plus serrées et moins nombreuses que du côté
diminuée du tiers envi- ron ; le groupe antéro-inteme des cellules
motrices
est bien con- servé ; le groupe postéro-latéral
s fonc- tionnels de l'écorce se traduisant par une moindre activité
motrice
, un affaiblissement de la sensibilité et des or
le n'a été occupée; sous l'influence du séjour au lit, l'excitation
motrice
est réduite au minimum, l'excitation de l'intel
primer le spasme en annihilant ou en rédui- sant au minimum l'effet
moteur
du raccourcissement des muscles : section du st
la section de la moelle épinière ou après l'extirpation des centres
moteurs
corticaux (chez des chiens et des lapins) on pe
la fin sur les phé- nomènes ischémiques secondaires. A. Troubles
moteurs
. L'attaque épileptiforme, qui appartient à tout
soriels sont fréquents. La vue est souvent atteinte : soit troubles
moteurs
par compression des nerfs au niveau de la base
loin un exemple. Ce qui domine c'est l'exci- tation au point de vue
moteur
, sensitif, intellectuel. Les ictus y sont fréqu
de très vives douleurs dans les reins et les jambes ; aucun trouble
moteur
, aucun trouble du tangage, mais augmentation des
ment. 126 CLINIQUE NERVEUSE. La malade n'a pas non plus d'aphasie
motrice
; elle dit son âge, son nom, le lieu de sa naiss
à ses voisines. On trouve actuellement un certaih degré d'aphasie
motrice
qui auparavant était masquée par l'état mental. D
ard peut être considéré comme aliéné, les facultés émotionnelles et
motrices
sont affectées, les idées érotiques sont fréque
e dans le délire, dans le caractère impulsif et la prompte réaction
motrice
an moindre stimulus : le délire paranoiaque n'e
n de délire, d'hallucination, d'agitation ou au contraire d'inertie
motrice
, avec ou sans variations marquées de l'état émo
au concours, pour l'aunée 1898, la question suivante : Innervation
motrice
de l'estomac. Le prix est de quatorze cents fra
l'opi- nion de la paralysie générale débutant par « les cellules
motrices
et sensitives de la moelle », aussi bien que par
Mais que l'amyotrophie soit consécutive à l'atro- phie des cellules
motrices
et sensitives des cornes antérieures de la moel
les mêmes symptômes. 3° Au point de vue physiologique les fibres
motrices
qui descen- dent du cerveau, du cervelet, du mé
plus ou moins complète de la connaissance avec ou sans convulsions
motrices
. Ces phénomènes sont dus à des toxines résultan
Pal, et ont ainsi relevé l'existence de lésions dans les noyaux du
moteur
oculaire commun, du moteur oculaire externe, du
'existence de lésions dans les noyaux du moteur oculaire commun, du
moteur
oculaire externe, du facial, de l'hypoglosse, d
existe des fibres dont la myéline est dégénérée, dans les troncs du
moteur
oculaire commun, du facial et de l'hypoglosse.
de l'irritation cérébrale qui, limitée dans d'autres cas à une zone
motrice
, produit l'épilepsie jacksonieune. Ici c'est une
ingués des tremblements qui coexistent avec eux de l'incoordination
motrice
du tabès, des chorées, des tics réflexe, sympto
ique. V. Les lésions de l'hémisphère gauche, au niveau de la zone
motrice
, de l'insula, de la région occipitale suffisent à
mes spasmodiqhes en chassant l'excès de sang des cellules nerveuses
motrices
et, en déterminant, par son action sur le sympa
suivantes : f<). Toutes les sensations et les étals mentaux sont
moteurs
. b). L'organisme neuro-musculaire entier agit p
lois d'association sont universelles pour tout l'organisme nerveux,
moteur
aussi bien que mental. d). Nos capacités ins- t
Ils ne sont qu'une manifestation parti- culière de l'incoordination
motrice
. Ils méritent donc dans la symptomatologie du t
c les mouvements associés, dont la relation avec l'incoordina- tion
motrice
est moins intime; 2° Comme l'incoordination motri
ncoordina- tion motrice est moins intime; 2° Comme l'incoordination
motrice
tabétique en général, les mouvements involontai
est important et souvent très difficile de dépister l'ataxie loco-
motrice
à son début lorsque les gros signes classiques fo
appareils nerveux, les impressions passent directement aux centres
moteurs
sans aller aux centres supérieurs; « il y a pro
énérale, et la démasquer est chose parfois difficile. Les symptômes
moteurs
peuvent être identiques. C'est surtout d'après
s formes. 22. Des anesthésies coiiséctitioes aux lésions de la zone
motrice
corticale ; par Henri Verger L'auteur commenc
va chercher les modifications dans les lésions de la zone corticale
motrice
. De ses expériences, faites sur des chiens, il
u côté opposé à la lésion corticale, lésion portant sur la région
motrice
, un défaut d'incitation motrice volontaire et des
icale, lésion portant sur la région motrice, un défaut d'incitation
motrice
volontaire et des symptô- mes concomitants d'an
Chez l'homme, comme chez le chien, dans les lésions de la zone dite
motrice
du cerveau, la sensibilité tactile et la sensibi-
97. - Chez l'auteur. - . SANO (G.). Les localisations des fonctions
motrices
de la moelle épinière. Volume in-8- de 40 pages
termine chez nous des réactions spéciales en rapport avec le côté
moteur
, des réactions d'ordre psychomoteur qui, à leur t
onscientes. C'est qu'une étroite relation existe entre l'inhibition
motrice
et l'obnubilation sensorielle; tout obsta- cle
ages perçues » par une sorte d'imitation réflexe. « Ces réactions
motrices
, faiblement adhérentes au moi, en raison de leu
règle (possession). LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 367 « L'excitation 1
motrice
qui se manifeste visiblement dans l'habitude ex
bjets extérieurs, sur l'univers entier... Les états de dépression
motrice
simple avaient conduit le malade au doute et aux
sidérer les branches latérales du prolongement nerveux des cellules
motrices
de la chaîne ventrale des invertébrés comme des
n ne vaut d'ailleurs, suivant v. Len- hossék, que pour les cellules
motrices
de la chaîne ganglionnaire. S'il existe aussi,
r une fonction différente de celle de ces axodentrites des cellules
motrices
des invertébrés, c'est-à- dire qu'elles devront
lodeudron; le bout central demeure d'abord intact. Que le nerf soit
moteur
ou sensitif, il n'importe, selon Waller. On peu
es, tels que les faits de c dé- générescence ascendante » des nerfs
moteurs
, etc. Nissl a démontté 6 de la façon la plus ex
altérations dégénératives. La destruction ultérieure de la cellule
motrice
dépend de la possibilité ou de l'impossibilité de
dégénération du faisceau py- ramidal, l'état fonctionnel du neurone
moteur
direct, c'est-à-dire de la cellule motrice de l
at fonctionnel du neurone moteur direct, c'est-à-dire de la cellule
motrice
de la corne antérieure et de son prolongement ner
onie avec les fonctions propres de ces cellules. Quant aux cellules
motrices
, la cause ne doit être cherchée ni dans l'action
ssék croit au contraire que, dans la section périphérique d'un nerf
moteur
, ce qui accélère la destruction de la cellule d
ropage toujours l'excitation dans le sens cellulifuge. Dans le nerf
moteur
périphérique issu du système nerveux central, l
sur le muscle augmente les points de contact des fibrilles du nerf
moteur
avec les fibres musculaires. De même dans la tr
que toutes les cellules centrales de ces animaux étaient de nature
motrice
. On aurait ainsi pu soutenir que les prolongeme
joue- 1 aient un rôle important. Les fibrilles latérales des fibres
motrices
seraient donc de nature réceptrice (cellules de
s axodendrites se pourraient comparer aux collatérales des cellules
motrices
uni- polaires des invertébrés, lesquelles sont
diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolongements nerveux
moteurs
avec celles des prolongements nerveux sensitifs
s d'origine des fibres de la racine supérieure du trijumeau, racine
motrice
, comme en témoi- ARCHIVES, 2e série, t. V. 25
globuleuses voisines de la racine supérieure du trijumeau, racine
motrice
(IC&Ililer), elles sont unipolaires ou bipola
e Bi,oiv2-Sequai'd : A. Du côté de la lésion, à gauche : Hémiplégie
motrice
, hyperesthésie cutanée, anesthésie profonde, pa
gories selon le siège de l'hémisection et les troubles sensitivo-
moteurs
consécutifs. Il en déduit quatre types. Premier t
consécutifs. Il en déduit quatre types. Premier type : .' Paralysie
motrice
limitée au membre inférieur; troubles sensitifs
au dessous de la neuvième vertèbre dorsale. Second type : Paralysie
motrice
et troubles sensitifs remontant au-dessus de la
on peuvent prédominer sur les symptômes de l'hémisection (paralysie
motrice
bilatérale), par suite de la formation d'épanch
sont pas seulement les faisceaux pyramidaux, les cellules des nerfs
moteurs
de la corne antérieure, les racines antérieures
Un schéma résume la description. On voit, d'après cela, que loe; !
moteur
, comme l'oeil sensoriel, se divise en deux moit
s mouvements latéraux) deux nerfs hémioculo-moteurs : l'hémi-oculo-
moteur
406 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
re qu'un effet de contracture, et partant d'immobilisation de nerfs
moteurs
ordinaires dont l'excita- 1>ilité est très g
urce de leur ataxie et de ralentir la marche de leur incoordination
motrice
. L'indication devient plus pressante encore dan
u mois d'octobre 1896, elle entre dans un état de grande excitation
motrice
, avec obnubilation de la conscience et hallucin
juillet obnubilation de la conscience, hallucinations et excitation
motrice
très grande. On note des altérations dans les p
bres des cellules pyrami- dales de l'écorce atteignent les cellules
motrices
des cornes anté- rieures de la moelle vers le s
, résultant de la dégénération des fibres arci- formes de la sphère
motrice
. Discussion. Le professeur KojEwmxow et le Dr M
jambe droite. Quelques mois plus tard vint s'ajouter une paralysie
motrice
des membres du côté droit avec diminution du se
e diagnostic plus difficile ; BIBLIOGRAPHIE. 423 2° les symptômes
moteurs
du côté de la moelle ont une valeur diagnostiqu
sphincters. Phénomènes de compression radiculaire; au point de vue
moteur
, dans le domaine des septième et huitième cervi
il ne les sentait plus. Depuis quinze jours ont débuté les troubles
moteurs
: d'abord simple diminution de force, puis parési
exécute bien tous les mouve- ments commandés : pas d'incoordination
motrice
. Pas de troubles de la sensibilité objective. P
sser en avant horizontalement entre les sixième et septième racines
motrices
cervicales ; en arrière, elle s'élève moins hau
e recherchée plus haut, sur le faisceau pyramidal pour les troubles
moteurs
, sur les voies sensitives intra- médullaires po
eints d'une façon précoce, il y a quelquefois de l'incoordi- nation
motrice
au début, souvent des troubles de la sensibi- l
aymond, Ballet, Abbe, Bennett, Cbipault, etc., etc. Au point de vue
moteur
la paralysie se localisait exactement des deux
quelques fibres venues des racines situées plus haut. Le territoire
moteur
des cinquième et sixième cervi- cales étaient i
on- tractions réflexes, preuve de l'intégrité de l'arc sensitivo-
moteur
. 1 L'autopsie nous montra que leslésions remont
est encore, quoi qu'on en ait dit, l'existence de l'incoordination
motrice
(en dehors des cas où celle-ci est sous la dépe
annihilé, ne peut plus ni s'assi- miler ni inhiber les excitations
motrices
qui viennent à se produire. De là, les idées de
, t. V, 1815 et 1833. 4G2 PATHOLOGIE MENTALE. tique aux réactions
motrices
qui font articuler automatique- ment des blasph
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LXXIX. Les noyaux des neufs
moteurs
de L'OEIL (moteur commun, moteur externe et pat
GIE PATHOLOGIQUES. LXXIX. Les noyaux des neufs moteurs de L'OEIL (
moteur
commun, moteur externe et pathétique) cr leurs
ES. LXXIX. Les noyaux des neufs moteurs de L'OEIL (moteur commun,
moteur
externe et pathétique) cr leurs connexions; par B
iées de cerveaux de foetus et de nouveau-nés, l'auteur admet que le
moteur
commun possède quatre noyaux, deux principaux,
rincipal, s'entrecroisent et constituent les fibres postérieures du
moteur
commun. Il est hors de conteste qu'une partie d
de la bandelette longitudinale postérieure se perd dans le noyau du
moteur
commun. Le reste, à partir du segment antérieur
e et que Daikscliewitscli considérait comme le noyau supé- rieur du
moteur
commun. Le noyau du moteur commun reçoit, en ou
onsidérait comme le noyau supé- rieur du moteur commun. Le noyau du
moteur
commun reçoit, en outre, les fibres profondes d
e longitudinale postérieure, que certain. ! auteurs rat- tachent au
moteur
commun ; mais on peut suivre sur le cerveau du
l'entrecroisement total du pathétique. Pour ce qui est du noyau du
moteur
externe, l'embryologie permet d'affirmer qu'il
s. Bien des obscurités subsistent sur les connexions des noyaux des
moteurs
externe et commun. Duval et Laborde ont attiré
l'attention sur l'existence des fibres qui se dirigent, du noyau du
moteur
externe, sous le plancher du quatrième ventricu
externe, sous le plancher du quatrième ventricule vers le noyau du
moteur
com- mun opposé. Mais ces recherches n'ont pas
En raison de l'entrecroisement partiel non douteux des racines du
moteur
commun, certains auteurs ont pensé que ces deux n
la bande- lette longitudinale postérieure. En tout cas, du noyau du
moteur
externe parlent un assez grand nombre de libres
elette du côté opposé. Sans doute, ces fibres relient les noyaux du
moteur
externe et du moteur commun du côté opposé. Du
. Sans doute, ces fibres relient les noyaux du moteur externe et du
moteur
commun du côté opposé. Du noyau du pathétique s
nt aux mouvements associés des pupilles. Enfin, entre les noyaux du
moteur
commun, on trouve un système défibres d'asso- c
s ou chroniques de l'enfant ou de l'adulte et dans les polynévrites
motrices
; des plaques motrices terminales dans certaines
nfant ou de l'adulte et dans les polynévrites motrices; des plaques
motrices
terminales dans certaines auto-intoxications dans
l'arc cérébral sur l'arcmédullaire. Seules, les lésions- du neurone
moteur
de cet arc sont conuues : lésions soit primitiv
use, par suite de l'affinité de la toxine télanique pour le neurone
moteur
. La symptomatologie du tétanos est en rapport i
re des centres psycho-moteurs. Dans notre écriture actuelle, l'acte
moteur
est sous la dépendance directe du langage oral in
pour le langage écrit. Eu effet, l'agraphie accompagnant l'aphasie
motrice
est due aux trou- bles de l'élément phonétique
us besoin d'employer les images visuelles graphiques; les souvenirs
moteurs
suffisent à diriger sa main; il a pu perdre sa
existe donc un trouble de conductibilité dans le domaine du centre
moteur
de la parole. Pas d'hémianopsie; pas de pertur-
erveau; s'il est cortical, il y a coparticipation soit de la région
motrice
du bras, soit de la région pariétale. L'atteinte
ux hémisphères cérébraux, et en particulier à l'écorce de la région
motrice
, comme pour les attaques convulsives toxhé- miq
lsif dans la protubérance, il y a des éléments mo- teurs. Le centre
moteur
qui existe au niveau de la partie supé- rieure
niques comme celle qui résulte de l'excitation des zones corticales
motrices
. Cela ne veut pas dire que les convulsions clon
n cérébrale, même chez les animaux privés de leurs zones corticales
motrices
; on les observe encore quand on excite des ter
ion ra- pide, caractéristiques de l'irritation des zones corticales
motrices
, ne peuvent être engendrées ni par l'excitation
érébrale, on constate : a) La dégénérescence des fibres des racines
motrices
et sensitives jusqu'aux noyaux correspondants;
res; la plupart d'entre elles gagnent en bas les fibres des racines
motrices
avec lesquelles elles quittent le cerveau; quel
lles elles quittent le cerveau; quelques-unes entrent dans le noyau
moteur
et se distribuent aux cellules de ce dernier. 4
ligne médiane du côté opposé, vont des deux côtés du raphé au noyau
moteur
. Ce sont peut-être les fibres des pédoncules cé
ons que les convulsions partielles indiquent seulement que l'écorce
motrice
se décharge, mais rien de plus. Le fait cepen-
ux fonctions sensibles et sensorielles, aussi bien qu'aux fonctions
motrices
. Hughlings-Jackson. Lectures on thedia- ? <M :
ques et cloniques, ceux 506 BIBLIOGRAPHIE. qui partent de la zone
motrice
ou des parties avoisinantes, et doivent servir
tendant aux autres groupes dans l'ordre que la position des centres
moteurs
de l'écorce leur. indique, sans une faute dans
ue sous l'in- fluence d'une lésion siégeant directement sur la zone
motrice
. D'où l'indication absolue de l'intervention.
Viennent ensuite toutes les tumeurs corticales situées dans la zone
motrice
, les cicatrices fendant l'écorce mo- trice. Là
on. Lorsque la lésion est située à la partie postérieure de la zone
motrice
, l'aura sensitive précède les convulsions unila
. Une troisième inter- vention est décidée et, en explorant la zone
motrice
, M. Winkier trouve au niveau du lobule pariétal
ation de ce premier foyer, qui peut être situé en dehors de la zone
motrice
, que dépend le résul- tat de l'opération. Ain
e. Lantzenberg (Edgar-Isaac). Contribution à l'étude de l'aphasie
motrice
. Legay (Joseph-Ferdinand-Marie). Contribution à l
, 2e série, t. V. Anesthésies consécutives aux lésions de la zone
motrice
corticale, par Verger, 348. Anévrysme de la b
es sur une nouvelle propriété démontrée par la pathologie, l'aptitude
motrice
indépendante de la vue, appelée par l'auteur cons
De la valeur de la faradisation de la corde du tympan et des muscles
moteurs
des osselets appliquée au traitement de la surdit
ité nerveuse par la faradisation de la corde du tympan et des muscles
moteurs
des osselets (Bull, de thérap., 1861). De l'éle
hysionomie produits par les passions, sans se préoccuper cle ses lois
motrices
, et il en est d'autres qui ont essayé d'analyser
s autres travaux. Attribuant en effet à la cinquième paire une action
motrice
semblable à celle de la septième paire, il a plac
yé après lui par les auteurs pour arriver à re connaître les agents
moteurs
qui président à telle ou telle expression. Eh bie
effet, j'avais remarqué que le mouvement partiel de l'un des muscles
moteurs
du sourcil produisait toujours une expression com
du grand zygomalique et cle Yorbicu-laire inférieur (l'un des muscles
moteurs
de la paupière inférieure), sont des expressions
les jusqu'à un point de la moelle correspondant à l'origine des nerfs
moteurs
du membre excité, de manière à réagir sur certain
— et cela seulement par la contraction partielle de l'un des muscles
moteurs
du sourcil! —la réflexion, le plus important, le
aire de la colère. Fil.. 2. 2. — Préparation anatomique des nerfs
moteurs
de la face (de la septième paire). — II. Filet mo
ique des nerfs moteurs de la face (de la septième paire). — II. Filet
moteur
du frontal. — I. Filet moteur (la sourcilier. —
e (de la septième paire). — II. Filet moteur du frontal. — I. Filet
moteur
(la sourcilier. — F. Filet moteur de l'orbiculair
let moteur du frontal. — I. Filet moteur (la sourcilier. — F. Filet
moteur
de l'orbiculaire palpébral supérieur. •— ,F. File
— F. Filet moteur de l'orbiculaire palpébral supérieur. •— ,F. Filet
moteur
du pal-pébral supérieur.—,1. Filet moteur du palp
ral supérieur. •— ,F. Filet moteur du pal-pébral supérieur.—,1. Filet
moteur
du palpébral inférieur. — K. Filet moteur de l'
bral supérieur.—,1. Filet moteur du palpébral inférieur. — K. Filet
moteur
de l'orbiculaire palpébral inférieur. — b. File
— K. Filet moteur de l'orbiculaire palpébral inférieur. — b. Filet
moteur
du grand zygomatique. — c. Filet moteur du petit
ébral inférieur. — b. Filet moteur du grand zygomatique. — c. Filet
moteur
du petit zygomatique. —Q. Filet moteur de l'éléva
grand zygomatique. — c. Filet moteur du petit zygomatique. —Q. Filet
moteur
de l'élévateur propre de la lèvre supérieure. —M.
Filet moteur de l'élévateur propre de la lèvre supérieure. —M. Filet
moteur
du transverse du nez. — L. Filet moteur de l'élév
a lèvre supérieure. —M. Filet moteur du transverse du nez. — L. Filet
moteur
de l'élévateur commun de la lèvre supérieure et d
eur commun de la lèvre supérieure et de l'aile du nez. — N. 0. Filets
moteurs
de l'orbiculaire des lèvres. — R. Filet moteur du
u nez. — N. 0. Filets moteurs de l'orbiculaire des lèvres. — R. Filet
moteur
du carré du menton. — P. Filet moteur de la houpp
iculaire des lèvres. — R. Filet moteur du carré du menton. — P. Filet
moteur
de la houppe du menton.— — F. Filet moteur du pea
arré du menton. — P. Filet moteur de la houppe du menton.— — F. Filet
moteur
du peaucier. — D'. Tronc du facial à sa sortie de
Branche temporo-faciale. — E. Branche cervico-faciale. — A. B. Filets
moteurs
des muscles auriculaires postérieur et supérieur.
moteurs des muscles auriculaires postérieur et supérieur. — C. Filet
moteur
du muscle occipital. — S. Branche au-riculo-tempo
l. — S. Branche au-riculo-temporal de la cinquième paire. — T. Rameau
moteur
des muscles orbiculaire inférieur des lèvres, car
a que l'on arrive à ce résultat en excitant partiellement les organes
moteurs
de la face dont la principale fonction est de pei
ativement à ceux qui sont produits par l'électrisation localisée. Les
moteurs
du sourcil sont, de tous les muscles expressifs,
aussi fait mouvoir individuellement, parla faradisation, les muscles
moteurs
de son sourcil, et j'ai constaté que les mouvemen
o-physiologique pratiquée à la face, les points d'immersion des nerfs
moteurs
de la face. — On les voit sur la figure 2, où les
eurs de la face. — On les voit sur la figure 2, où les filets nerveux
moteurs
des muscles de la face ont été disséqués avec le
osant l'un des rhéophores au niveau du point d'immersion de son filet
moteur
(H, fig. 2), comme dans les figures?, 8, 9, 10, 1
rontal droit a été excité modérément, par l'intermédiaire de son nerf
moteur
(H, fig. 2), au moment où la physionomie était au
uvoir en sens contraire. Cependant, malgré son empire sur les muscles
moteurs
de son sourcil, sa volonté n'exerce pas la moindr
ourcil est très mobile en tout sens et obéit facilement à ses muscles
moteurs
. On a vu dans le paragraphe précédent avec quel
ce muscle un plus grand nombre de figures que pour celle des muscles
moteurs
du sourcil.) A. — mécanisme. Le sourcilier (0
e supérieur, ne peut être excité que par l'intermédiaire de son filet
moteur
, en dehors des fibres les plus excentriques de l'
isation du courant avait été limitée exactement dans le filet nerveux
moteur
du sourcilier. Le rhéophore a touché quelques-une
on partielle, une expression qui leur est propre: ce sont les muscles
moteurs
du sourcil. » 11 n'y avait que l'analyse anatom
représentées dans les figures destinées à l'étude des autres muscles
moteurs
des sourcils. Il me reste à en compléter la démon
considérations générales qui précèdent l'étude partielle des muscles
moteurs
de la face. La môme expérience, faite sur les a
EXPLICATION DE LA LÉGENDE. A. — Mécanisme. L'immersion du filet
moteur
(b, fig. 2) du grand zygoma-tique se fait un peu
le pôle positif, a été posé au-dessous du point d'immersion du filet
moteur
du grand zygomatique, afin que la contraction mus
icile ; car le courant électrique rencontre souvent un ou deux filets
moteurs
qui se rendent à un faisceau musculaire voisin, l
érieure du grand zygomatique, sur le point où doit s'immerger le nerf
moteur
de ce muscle ; ce dernier s'est contracté en prod
contractés ; ce qui ne peut avoir lieu que par l'excitation du filet
moteur
de ces muscles. 11 m'eût été facile d'éviter ce f
rser l'épaisseur du muscle; car il arriverait jusqu'au rameau nerveux
moteur
qui anime les muscles de la houppe du menton, le
ce externe de l'os malaire; c'est également là que s'immerge le filet
moteur
de ce muscle (voy. K, fig. 2). Du côté droit de
élévateur propre de la lèvre supérieure (voy. G, fig. 2), et le filet
moteur
(voy. L, fig. 2) de ce muscle, sont sous-cutanés.
e la lèvre supérieure (H, fig. 1), vers le point d'immersion du filet
moteur
(L, fig. 2) de ce muscle. On voit que l'aile du
e. Les abaisseurs de la mâchoire inférieure et leurs filets nerveux
moteurs
, étant recouverts par le peaucier, ne peuvent êtr
pour les faire apparaître, d'associer le peaucier à l'un des muscles
moteurs
du sourcil. En voici la preuve expérimentale. L
riences représentées sur les figures consacrées à l'étude des muscles
moteurs
du sourcil, ne tardera pas à reconnaître que mes
ils de ces antiques, peuvent s'expliquer par le mécanisme des muscles
moteurs
du sourcil. Évidemment, d'une part, les lignes
ts cruels d'un assassin. Tel n'est pas l'état dynamique des muscles
moteurs
du sourcil, chez la jeune fille que j'ai choisi
st un peu traînante, mais on n'observe aucun symptôme d'aphasie, ni
motrice
, ni sensorielle. Par contre il lui est impossib
AUCHE 3 la force musculaire est partout conservée. L'incoordination
motrice
est générale. En particulier les mouvements de
ité au contact) sont plus faibles que les gauches. L'incoordination
motrice
est générale, très prononcée des deux côtés dan
le cérébelleux moyen. Ctrap, corps trapézoide. NVI, noyau du nerf
moteur
oculaire ex- terne. Fli), faisceau longitudin
coeruleus). fMtY, fibres de la Ve paire de Meynert. NmV, noyau
moteur
de la V paire. NsV, noyau sensitif du trijumeau
teur de la V paire. NsV, noyau sensitif du trijumeau. /mV, fibres
motrices
sectionnées du triju- meau. V,s, racine sensi
mince à gauche qu'à droite, du reste normale. Les noyaux des nerfs
moteurs
oculaires communs ainsi que leurs filets radicu
16 P. LADAME ET C. MONAKOW contact était partout conservée. Le nerf
moteur
oculaire externe était atteint d'un certain deg
s apoplectiformes. De tous les nerfs crâniens l'abducens et le nerf
moteur
oculaire commun en partie furent seuls troublés
traduit-il de tout autre manière. Ce n'est plus le réflexe purement
moteur
qui fait brusquement détendre le bras du turbul
droite). Comment donc comprendre qu'elle ait pu épargner les nerfs
moteurs
de l'oeil ? J'avoue que je ne trouvais pas de r
autopsie ? L'autopsie a dit que la tumeur chevauchait sur les nerfs
moteurs
oculaires. Elle a dit plus ; elle a dit que les
mule clinique et anatomique de cette complication de l'ataxie loco-
motrice
. Il en montrait la fréquence dans les grosses art
issement allant jusqu'à l'atrophie des membres. Légère incoordination
motrice
des membres supérieurs. Craquements articulaire
lle est totalement im- possible, les yeux fermés : l'incoordination
motrice
est telle que la malade me- nace de tomber. L
ents. Il existe un léger degré d'in- 140 JEAN ABADIE coordination
motrice
dans la motilité de ces membres insuffisant pour
eur Grasset, qu'il y a place, à côté des labes sensitifs, des tabes
moteurs
et des tabes mixtes sensitivo-mo- teurs, pour d
ingite, adénite, etc...), d'autre part, des polynévrites sensitivo-
motrices
aiguës ou subaiguës que t'expérimentation-et l'ex
ne qu'il sécrète. C'est donc dans toutes ses parties constitutives,
motrice
et sensi- tive, centrale et périphérique, que l
roubles trophiques. En résumé, le malade est atteint de polynévrite
motrice
des membres supérieurs à prédominance dans le ter
s'atténue et le malade engraisse à vue d'oeil. Mais les trou- blès
moteurs
s'amendent moins rapidement. En octobre 1899, la-
tenu une amélioration aussi bien de l'état général que des troubles
moteurs
. M. le docteur Huet a bien voulu pratiquer il p
moiiielit-là,c'est- à-dire deux mois après l'apparition de troubles
moteurs
, apparition de syphi- lides de la peau et des m
frictions mercurielles ; l'éruption cutanée disparaît, les troubles
moteurs
s'amendent de telle façon que le 1er janvier 1896
des mains, de l'avant-bras droit avec secouse fibrillaire. Troubles
moteurs
prédominant du côté gauche du corps. Améliorati
parésie des jambes et engourdissements et élancements. Les troubles
moteurs
vont en s'aggravant progressivement. Steppage.
par l'injection de salicylate de mercure. Exagération des troubles
moteurs
. Parésie des 4 membres avec abolition des réflexe
tre l'existence d'une polynévrite avec état vacuolaire des cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle. 08S. Xi
participation des racines antérieures se traduit par des paralysies
motrices
diverses. A l'autopsie, absence de toute cause
leau clinique est souvent complexe. Avant l'apparition des troubles
moteurs
, le malade peut être syphilitique et auto-intoxiq
effet, créer, en dehors de tout accident, hystérique, des troubles
moteurs
sous la forme de névrites multiples chroniques
ou aiguës. En 1887, Letulle par- ticulièrement étudié les troubles
moteurs
de l'hydrargyrisme chronique, névrites dissocié
teurs n'in- sistent pas sur la possibilité d'apparition de troubles
moteurs
. Sur 8.000 vérolés traités par des injections d
ections de sublimé, Lewin a observé seulement une fois des troubles
moteurs
imputables à une névrite ; c'était un cas de sc
toxication est suraiguë et pour expliquer l'apparition des troubles
moteurs
, il faut faire la part des lésions hépatiques e
rites périphériques la présence de lésions cellulaires des cellules
motrices
mé- dullaires, altérations visibles par la méth
Etienne, enfin nos deux cas personnels, chez lesquels les troubles
moteurs
ont fait leur apparition avant le traitement me
e 1er malade voit son chancre induré le 1er mai, et les acci- dents
moteurs
surviennent le 15 mai, dans cet intervalle il n'a
E SYPHILITIQUE 165 piqûres de peptonate qui améliorent les troubles
moteurs
. Quant au 2° malade, on ne découvre la syphilis
on ne découvre la syphilis qu'au mois de décembre, et les troubles
moteurs
ont apparu le 15 octobre,un mois après le chancre
aires et qu'on est dès lors très porté à faire rentrer les troubles
moteurs
observés dans ce même groupe. Notre malade n'a pr
deux cas sont des exemples d'une polynévrite presque exclusivement
motrice
. Les troubles moteurs se sont installés rapidem
mples d'une polynévrite presque exclusivement motrice. Les troubles
moteurs
se sont installés rapidement avec quelques fourmi
riel. Ainsi la polynévrite syphilitique a évolué sous trois formes,
motrice
, sensitivo-motrice, pseudo-labétique. Tous les
médullaires, en somme poly- névrite radiculaire. Enfin les troubles
moteurs
ont cédé plus ou moins rapidement au traitement
d'interpréter le rôle de la moelle dans la production des troubles
moteurs
. Sans aborder ici une discussion encore ouverte
ore ouverte de nos jours sur l'influence réciproque de la cel- lule
motrice
antérieure et du cylindraxe qui en émane, sur la
à penser que dans l'espèce notre malade est atteint de polynévrite
motrice
, sans préjuger d'ailleurs de l'influence qu'a p
'a pu avoir une altération même dynamique de la cellule moellulaire
motrice
sur les altérations de son cylindraxe. Mais de
ob- serve dans la paralysie alcoolique, constater que dans la fonde
motrice
à début par le bras le long supinateur n'est pa
affirmer la nature alcoolique, saturnine, diphtérique des troubles
moteurs
, ne fait que res- treindre sans le résoudre le
de signe clinique différentiel ni dans la physionomie des troubles
moteurs
, ni dans les réactions électriques, puisque Etien
oivent jouer un rôle très secondaire dans l'apparition des troubles
moteurs
. Si des examens venaient confirmer cette propos
u côté de l'oeil, il y avait 1 paralysie totale et complète du nerf
moteur
oculaire commun : chute de la paupière supérieu
intact : l'un occupe le noyau rouge et coupe les fibres de l'oculo-
moteur
, l'autre occupe le quart interne du pied du pédon
iveau du quart interne du pied du pédoncule. Les noyaux des nerfs
moteurs
oculaires communs sont respectés. Les cellules
s.) A, Coupe pédonculo-protubérantielle (Méthode de Pal). B, Nerf
moteur
oculaire commun gauche, sain (Méthode de Pal).
le pédoncule droit, le foyer coupe à peu près toutes les fibres du
moteur
commun, et quelques fibres seulement du faisceau-
minime partie du faisceau pyramidal et effleure quelques libres du
moteur
oculaire. Or, il y avait hémiparésie droite et pa
angue un peu déviée à gauche. Pas d'embarras de la parole. Appareil
moteur
. Le malade fronce plus difficilement le front du
lle peut être complète, incomplète, alterne. On trouve les troubles
moteurs
à tous les degrés et avec leurs variantes ; les r
ecouvré en partie sa connaissance, mais elle présente une apha- sie
motrice
presque complète. Lorsqu'on l'interroge, elle rem
alysie faciale. Lemembre supérieur droit estlesiège d'une paralysie
motrice
complète,aucun mouvement des doigts de la main,
état absolument normal. Du côté droit il n'y avait pas de paralysie
motrice
, mais une perte définitive de la sensation pour
u ; son passage par conséquent devant n'être suivi d'aucun symptôme
moteur
. Supposons alors, que pour une cause ou pour un
ments d'oreilles, ni troubles de la vue, ni troubles sen- sitifs ou
moteurs
dans les membres. Mais il est attristé par sa mal
e faire que très rarement des retours offensifs. L'incoordination
motrice
est allée s'accusant de plus en plus au point que
érieurs est normale : il existe cepen- dant un peu d'incoordination
motrice
. LES OSTÉO-ARTHROPATH1ES VERTÉBRALES DANS LE TA
our les empêcher. Il n'existe pas la moindre trace d'incoordination
motrice
dans les membres supérieurs. Aux membres infé
ttique. Signes non douteux de tabes avec très légère incoordination
motrice
des membres inférieurs. Pas de déviation de la
se palpébrale véritable, sans strabisme, sans paralysie des muscles
moteurs
du globe oculaire. Quelque temps après, elle a de
e est relativement grande. Il n'existe pas du tout d'incoordination
motrice
dans les membres supérieurs. La marche est très
es dans les membres inférieurs bientôt suivies d'une incoordination
motrice
sans cesse progressive. Sept ans après, la marc
colonne vertébrale. Signes évidents de tabes. Légère incoordination
motrice
des membres inférieurs. Déviation de la colonne
rs. La force musculaire est bien conservée, mais une incoordination
motrice
z assez accentuée existe dans les membres infér
A 54 ans, troubles vésicaux. Signes de tabes. Peu d'incoordination
motrice
des membres inférieurs. Depuis une quinzaine d'
oindre trou- ble trophique, et n'offrent pas trace d'incoordination
motrice
. La cuisse droite est aplatie d'avant en arrièr
. La marche est possible, le malade présente peu d'incoor- dination
motrice
des membres inférieurs : elle s'exécute, le corps
indiscutable (1). Elle nous autorise en outre à affirmer la nature
motrice
ou sensible des noyaux, affirmation, du reste,
hromes n'entrant pas dans la composition des ganglions etdes noyaux
moteurs
du pneumogastrique. Le neurone. Les neurones
dans son rapport de Moscou, et ce qui les différencie des cellules
motrices
, c'est la forme spéciale sous laquelle s'y présen
neurone » (1). La substance chromatique se trouve dans les cellules
motrices
et dans les cellules des ganglions spinaux, qui
a réparation les cellules ayant toutes les apparences d'une cellule
motrice
normale. On peut encore se convaincre de ce fai
ection de leur axone. On trouve alors très fréquemment des cellules
motrices
à des degrés divers de la dissolution de leur s
près van Gehuchten (1), ce cône peut faire défaut dans les cellules
motrices
. Nous devons dire tontefois que nous l'avons tr
trouvé à peu près cons- tamment, dans les grosses cellules du type
moteur
de la formation réticu- lée du bulbe et dans le
cellule par une réaction trop violente. Les cellules des neurones
moteurs
réparent leur réserve chromatique plus facileme
te cellule (la cellule sensitive) parcourt donc, comme la cel- lule
motrice
, et même plus rapidement que cette dernière, la p
iffère suivant les cas. La chromatolyse est autre dans les neurones
moteurs
et dans les neu- rones sensitifs. Elle n'est
vée d'un des pariétaux sont rares, cependant la proximité des zones
motrices
corticales pourrait expliquer une paralysie. D'ha
es branches une collection qui agit par com- pression sur les zones
motrices
et sur le centre de la parole. D'où : hémi- plé
e des hémiplégies consécutives et des convulsions puisque les zones
motrices
corticales sont comprimées. Au point de vue d
toire et si la lésion gagne du ter- rain, on peut voir les troubles
moteurs
s'accentuer et s'étendre. Il paraît difficile d
ubles psychiques (région antérieure de la capsule), de paralysie du
moteur
oculaire commun (lésion des fibres radiculaires d
gine centrale. On exprima la probabilité d'une lésion des faisceaux
moteurs
depuis le centre psychomoteur jusqu'au centre sem
expé- riences, nous verrons combien souvent à côté de la paralysie
motrice
sur- vient l'hémianopsie. Les corps étrangers
e par conséquent un passage ne devait être suivi d'aucun symp- tôme
moteur
». L'auteur suppose qu'une inflammation est surve
qu'une inflammation est survenue qui a fini par atteindre la partie
motrice
de la capsule. Pour les auteurs anglais (observ
e située en haut du sillon de Rolando et un peu en arrière. La zone
motrice
est donc touchée, précisément dans la région de
ylvienne gauche. Ce foyer se propageant de bas en haut dans la zone
motrice
, expliquerait successivement l'aphasie et la paré
un. DE L'HÉMIPLÉGIE TRAUMATIQUE 395 point correspondant au centre
moteur
de la jambe et du bras..... On opéra après éthé
afin d'enlever l'héma- tome diagnostiqué comme causant les troubles
moteurs
et sensitil's par compression. L'hémiplégie t
les manoeuvres que nous avons signalées plus haut. Tous ces actes
moteurs
entraînent une grande fatigue, d'où une paresse a
lgurantes, nous les avons vues d'autre part précéder les trou- bles
moteurs
ou bien apparaître après la confirmation de l'ata
incertitude de leur marche et rapportent le tout à l'incoordination
motrice
sans cesse crois- sante. Le début ne s'annonce
urner en dedans. Tous les autres muscles de l'oeil, innervés par le
moteur
oculaire com- mun gauche; sont paralysés. Les
et gauche, paralysie complète de toutes les autres branches du nerf
moteur
oculaire commun ; amblyopie congénitale de l'oe
e, qui date de six ans. Cette maladie commença par une paralysie du
moteur
oculaire commun gauche, avec la déviation du bu
ion isolée, autonome des noyaux. Le fait que toutes les branches du
moteur
oculaire commun de gauche sont atteints ne peut
cas. La maladie débuta, il y a déjà six ans, par la paraly- sie du
moteur
oculaire commun, se développa graduellement jusqu
tes qui passent auprès de la surface de l'écorce cérébrale. 3. Zone
motrice
du côté gauche. a) Région supérieure. - Sur bien
rmation bien plus marquée dans les lobes frontaux et dans la région
motrice
gauche, que dans les lobes occipitaux. Dans le lo
me, par exemple, sur celles du lobe frontal et surtout de la région
motrice
, on voyait une imprégnation d'un nombre considé
cations sont les mêmes que celles dans le lobe frontal. C) Région
motrice
. - a) Partie supérieure. - Pour l'examen on prit
lement il y a ici bien moins de foyers de ramollissement. C) Région
motrice
(médiane et inférieure). - A l'examen sous le mic
des deux hémisphères, nous voyons que les préparations de la région
motrice
gauche diffèrent le plus des autres préparations.
re; en outre il faut encore remarquer que par places dans la région
motrice
gauche nous avons rencontrer assez souvent des fo
nt l'apparition d'une masse de glo- bules granuleux. Dans la région
motrice
droite il y avait comparativement peu de fibres
té de nous assurer, que les fibres dégé- nérées allant de la région
motrice
de l'hémisphère gauche descendent par les parti
ns déjà vu la dégé- nérescence à l'examen des morceaux de la région
motrice
de l'écorce cérébrale et de la substance sous-c
essortant sur un fond plus clair d'une forme irrégulière.-c) Région
motrice
.- Pour l'examen furent pris six morceaux. On pe
ns un degré bien plus faible. Là, sur les préparations de la région
motrice
de l'écorce cérébrale et de la substance blanche
e envisagée comme la continuation de la dégénérescence de la région
motrice
de l'écorce cérébrale. Dans ce cas aussi on a n
peu près deux ans après le commencement de la maladie. Les troubles
moteurs
étaient beaucoup plus prononcés dans le cas premi
s voies conductrices spinales, etc. Dans le cas second les troubles
moteurs
étaient moins mar- qués et correspondamment à c
dégénérescence secondaire des voies pyramidales, qui va de la zone
motrice
de l'écorce cérébrale et qui peut être constatée
ière catégorie de ces cas fait attention à l'existence des troubles
moteurs
chez les malades (des paralysies, des parésies,
, comme nous l'avons vu plus haut, souligne la liaison des troubles
moteurs
avec l'intensité de la dégénérescence secondaire
plus la paralysie générale a duré et plus il y avait de trou- bles
moteurs
, plus les dégénérescences secondaires seront éten
ans la symptomatologie si riche et si variée du tabes, des variétés
motrices
, sensitives, trophiques et mixtes, supérieures
ues faits de traumatisme direct ou indirect, de fatigue des muscles
moteurs
de la colonne vertébrale, de surmenage physique g
ues. Cependant nos observations ont trait à des cas de tabes plutôt
moteurs
que sensitifs. De plus, beaucoup d'entre elles
ordose dorso-lombaire permanente. Enfin celui dont l'incoordination
motrice
des membres inférieurs domine, surveille la fol
sante pour motiver une conclusion ferme soit en faveur de la nature
motrice
ou sensible du noyau en question, soit en faveur
e avec enfoncement du crâne du côté droit, précisément dans la zone
motrice
. Il avait reçu un morceau de charbon tombant dans
che est encore notablement plus faible que le droit, sans excitations
motrices
, la main gauche est plus froide et sue plus fac
hile. J'ai trouvé, en outre, dans certaines cellules radiculai- res
motrices
des corpuscules brillants ayant habituellement la
ne aphasie des centres portant sur les noyaux bul- baires des nerfs
moteurs
des yeux. Lucanus (1886) admet dans son cas la
ièrement normaux. Iteubner'a, d'autre part, observé des névrites du
moteur
oculaire commun d'origine intra- utérine (peut-
ment des noyaux bulbaires qui président au fonctionnement des nerfs
moteurs
des yeux ; les autres (Schenkl, Becker et Heuck s
erveux. Pas de troubles, intellectuels. Motricité.- Pas de troubles
moteurs
notables dans les membres supérieurs ; tout au
équente dans les syrin- gomyélies était à son maximum. Les troubles
moteurs
se réduisaient à une paraplégie spasmodique ave
que des nodules fibromateux intéressent le nerf optique droit et le
moteur
oculaire externe gauche. L'existence de trouble
e se manifeste dans les cellules sensitives comme dans les neurones
moteurs
. Nous nous demanderons ensuite si la chromatoly
qu'à présent que la chromatolyse surgit chaque fois qu'un neu- rone
moteur
ou sensible, central ou périphérique, se trouve l
(1) Marinesco, Contribution à l'élude des noyaux, sections des noyaux
moteurs
dans la moelle épinière. Revue neurologique, 30
res savants ont déterminé exactement les noyaux d'origine des nerfs
moteurs
et Forel en particulier avait déjà reconnu en 188
yse se manifeste dans les cel- lules sensibles et dans les cellules
motrices
à la suite d'une lésion quelcon- que du neurone
se manifeste-t-il dans les cellules sensibles et dans les cellules
motrices
? La chromatolyse se manifeste aussi bien dans
ifeste aussi bien dans les cellules sensibles que dans les cellules
motrices
à la suite d'une lésion quelconque de leurs pro-
iste donc une différence profonde entre la manière dont une cellule
motrice
de la corne antérieure de la moelle et une cell
ue. Ce trouble cellulaire est même plus précoce que dans la cellule
motrice
. Il augmente insensiblement jusqu'au 15e jour apr
our après la section. Cette cellule parcourt donc, comme la cellule
motrice
, et même plus rapi- dement que cette dernière,
ration existent dans les cellules sensibles aussi bien que dans les
motrices
. On est ainsi arrivé à pouvoir reconnaître la n
s. On est ainsi arrivé à pouvoir reconnaître la nature sensitive ou
motrice
du noyau d'origine d'un nerf par les différence
arachevée, aussi bien dans les ganglions noueux que dans les noyaux
moteurs
de la moelle allongée. - Pour Marinesco, la s
ions des auteurs précédents concernent essentiellement les celiules
motrices
. Dans nos expériences nous avons constaté le mê
dans les cellules des ganglions noueux comme dans celles des noyaux
moteurs
. Chez les chats, en effet, nous avons trouvé au
, nous avons trouvé au 118e jour une réparation complète des noyaux
moteurs
. D'autre part le ganglion plexiforme répa- rait
la résection du vague dans les cellules sensi- bles comme dans les
motrices
. Le processus de désagrégation et de dissolutio
dant. Nous avons fait cette constatation aussi bien pour les noyaux
moteurs
que pour les gan- glions plexiformes. ' Nous
es phénomènes de réparation dans les cellules sensibles et dans les
motrices
. Le phénomène de réparation des pertes de subst
ord sur la constance du phénomène de répa- ration pour les cellules
motrices
. Cette réparation, cependant, ne peut pas avoir
e saurait donc devenir un caractère dis- tinctif entre les cellules
motrices
et les sensibles, comme on l'avait cru au premi
inguer les noyauxmo- teurs des noyaux sensibles par le fait que les
moteurs
réparaient leurs pertes, tandis que les sensibl
entôt que les cellules sensibles réparaient leurs lésions comme les
motrices
et que les motrices pouvaient disparaître sans pa
es sensibles réparaient leurs lésions comme les motrices et que les
motrices
pouvaient disparaître sans passer 654 CHAULES L
paration des cellules s'effectue de la même façon pour les neurones
moteurs
et sensibles, il n'y a de différence que dans le
é constatée depuis longtemps. Van Gehuchten dit que si des cellules
motrices
disparaissent, ce n'est qu'acci- dentellement,
araissent, ce n'est qu'acci- dentellement, car il a vu les cellules
motrices
lésées revenir insensible- ment à l'état normal
i nous étudions attentivement, dans la série des coupes, les noyaux
moteurs
dorsal et ambigu, il est impossible d'y trouver u
V AY. Gehuchten, Contribution à l'élude des localisations des noyaux
moteurs
dans la moelle lombo-sacde el de la vacuolisati
st un phénomène constant pour les cellules sensibles comme pour les
motrices
. 7. Les cellules sensibles sont plus rapidement
ra- lysie générale doivent être séparés de ceux de l'ataxie loco-
motrice
malgré certains points de ressemblance. La diffé-
on verra qu'il y a eu de la paraplégie, mais pas d'incoordination
motrice
, pas de douleurs fulgurantes, pas d'abolition des
es parait normal; cependant sur certaines préparations les cellules
motrices
sont peu nom- breuses. Les cornes postérieures
autre intérêt que d'établir un rapprochement entre l'ataxie loco-
motrice
et la paralysie générale, s'il ne venait en conco
p- porte à l'hôpital dans un état semi-romateux avec des troubles
moteurs
et sensitivo-sensoriels qui font croire à une hém
tré une lésion profonde à conlouis bien définis intéressant la zone
motrice
gauche, sans aucune lésion des autres parties d
sque la destruction du centre de Broca avait bien produit l'aphasie
motrice
. Il faut donc admettre que la localisation du c
sont les mêmes centres qui prési- dent aux fonctions sensitives et
motrices
, que ces centres méritent le nom de sensilivo-m
des zones sensitives ne sont pas aussi nettes que celles des zones
motrices
, qu'elles dé- bordent ces derniers pour ainsi d
brales, particulièremen. en ce qui concerne les différents centres (
moteur
verbal, moteur graphique, sensoriel-acoustique,
lièremen. en ce qui concerne les différents centres (moteur verbal,
moteur
graphique, sensoriel-acoustique, sensoriel-visu
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion cérébrale : hémiplégie purement
motrice
ou compliquée de troubles sensitifs et sensorie
es de Duret, parmi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du
moteur
oculaire commun ». R. C. XIII. Goitre exophtalm
tériques, épileptiques, neurasthéniques, des troubles sensoriels ou
moteurs
sensations douloureuses après le coït, anesthésie
il l'ischémie simultanée de tous les noyaux d'origine de l'oculo-
moteur
. Dans certains cas de paralysies périodiques tran
facile- ment. On constata alors une paralysie absolue, sensitive et
motrice
du bras droit, et une anesthésie incomplète de
E MOSCOU Séance du 20 février 1898. L. 1111N0R. -- Sur un trouble
moteur
qui accompagne la douleur lombaire (traumatisme
- tique. , L'auteur attire l'attention sur la valeur des troubles
moteurs
SOCIÉTÉS SAVANTES. 69 (dyskynésies) qui acc
es, on constate tout d'abord des lésions graves dans les cel- lules
motrices
des cornes antérieures de la moelle : les cellule
atre à six semaines après l'injection, et entraînent des paralysies
motrices
. Il est à sup- 70., SOCIÉTÉS SAVANTES. pose
ont secondaires et relèvent du trouble de la nutrition des cellules
motrices
. IL.- .Sous l'influence des injections répétées
hances de ren- contrer quelque altération des neurones sensitifs ou
moteurs
, dans leur trajet médullaire. Et de fait, la
moelles de paralytiques dont l'évolution a été rapide sans troubles
moteurs
graves. Vraisemblablement, quand le système mus
d'autant plus de raison que l'altération de cet élément du neurone
moteur
, dont la fibre pyramidale n'est qu'une émanatio
que d'admettre, à priori, la dégénération sys- tématisée du neurone
moteur
, en général, et de sa portion médullaire, en pa
de ces éléments pas plus que des voies qui les relient aux cellules
motrices
antérieures. Et cependant, de cette seule façon
tent LÉSIONS SPINALES DE LA PARALYSIE GENERALE. 99 des troubles
moteurs
et sensitifs contemporains, tout au moins, des
vant KF, PF, PO, NO, ce qui les rend très ana- logues aux secousses
motrices
. Ces expériences semblent bien démontrer, en ou
conclut que si nous constatons à la suite de l'excitation d'un nerf
moteur
une réaction musculaire anormale, celle-ci ne p
de Duchenne) se produit soit dans les altérations du cordon nerveux
moteur
, le muscle res- tant sain ; soit dans les altér
née du nerf et du muscle. Cette réaction nous enseigne que l'organe
moteur
est altéré dans ses pro- priétés fondamentales
e dos, électrode active de 3 centimètres de diamètre sur les points
moteurs
des muscles avec une intensité de ta à 35 milli
l'atteinte du pneumogastrique. Dégénérescence de tout le sys- tème
moteur
et surtout des systèmes de fibres qui servent à u
s systèmes de fibres qui servent à unir les divers plans des noyaux
moteurs
(nerfs crâniens et nerfs spi- naux) du faisceau
rieurs et latéraux; altérations des fibres radicu- laires des nerfs
moteurs
de l'oeil, du facial, de l'hypoglosse, de l'acc
rophiques se présente comme suit : 1° déchéance du neurone cortical
moteur
; dégénérescence du faisceau pyramidal - jusqu'à
aisceau pyramidal - jusqu'à sa terminaison. 2° Déchéance du neurone
moteur
péri- phérique ; c'est-à-dire du conducteur mot
éance du neurone moteur péri- phérique ; c'est-à-dire du conducteur
moteur
qui va des noyaux des nerfs craniens et spinaux
leurs son recoquillement qu'il peut expli- quer la lésion des voies
motrices
voisines, la dégénérescence des pyramides; cell
trophie de la couche optique. Pathogénie. La lésion des conducteurs
moteurs
, n'interrom- pant point tout à fait le courant
à l'influx nerveux qui acquiert une tension donnée. Les cel- lules
motrices
de l'écorce, continuant à fonctionner, dégagent
ent et irréparablement interrompus, ni quand le territoire cortical
moteur
est détruit. En effet, il faut, pour qu'il y ai
, la lésion des trois neurones médullaires entre en jeu. Le neurone
moteur
situé à la partie antérieure, le neurone vaso-m
le et anatomique constitue un métamère; 6° L'affection des neurones
moteurs
donne naissance à l'atro- phie musculaire. Or,
parait presque complètement; le patient marche sans appui. La force
motrice
n'a pas subi d'atteinte. On constate chez lui l
On pouvait espérer l'imputer à des lésions anatomiques des cellules
motrices
ou des nerfs périphériques, ou tout au moins de
xhnn (Neurolog. Centralbl., XVI, 1897,) il s'agit d'une paralysie
motrice
portant sur les trois nerfs du bras droit, atte
facial et l'hypoglosse sont indemnes, la lésion se borne à la zone
motrice
du centre du bras. P. Keraval. XLVIII. CONTRI
de la méthode de l reuhel ; c'est celle qui fait de la coordination
motrice
la résultante de l'action synergique du système
atrophie musculaire. Je l'ai décrite dès 1885 sous le nom de tabès
moteur
. Les troubles intellectuels .sont peu accentués
eur situation, mais sans délire bien net. En revanche, les troubles
moteurs
sont très accentués. C'est une parésie spasmodi
est carac- térisée par une sclérose systématique de tout le tractus
moteur
, les cellules de la zone rolandique comprises.
Marie reconnurent l'existence de lésions indubitables des cellules
motrices
de l'écorce. Dès lors, la sclérose latérale amyo-
hique, dans un état de déchéance notable. Les observations de tabes
moteur
sont aujourd'hui nom- breuses. Il ne manquait q
ujourd'hui nom- breuses. Il ne manquait que de voir un cas de tabès
moteur
se compliquer d'atrophie musculaire. Cette lacu
it primordial. Dans les dégé- nérescences primitives du téléneurone
moteur
(certaines formes de atrophie musculaire progre
aines formes de atrophie musculaire progressive), de l'archineurone
moteur
(tabes dorsaux spasmodiques), des deux neurones
archineurone moteur (tabes dorsaux spasmodiques), des deux neurones
moteurs
simultanément (sclérose latérale amyotrophique)
aits étaient de date récente. De l'état du facial supérieur et du
moteur
oculaire commun dans l'hémiplégie cérébrale.
observe dans certains cas tient à une diminution de la tonicité du
moteur
oculaire commun. Quatre nouvelles observations
la fente palpébrale s'est montrée rétrécie, indice de .la lésion du
moteur
oculaire commun. ligature de l'artère humérale
La basophobie n'est pas proportionnelle au degré d'incoordina. tion
motrice
; elle modifie parfois, en provoquant des contract
al n'est pas, ainsi qu'on l'admet généralement, le principal muscle
moteur
du voile du palais. La physiologie expérimental
ontre d'une façon irréfutable que le facial ne fournit aucun rameau
moteur
au voile du palais, et que le pneumogastrique,
uscles du voile, à l'exception du péristaphylin externe. Les filets
moteurs
, émanés du bulbe, gagnent le voile du palais par
affection portant sur les neurones des cornes antérieures (neurone
moteur
périphérique et neurone moteur intercalaire) ; au
ones des cornes antérieures (neurone moteur périphérique et neurone
moteur
intercalaire) ; au point de vue clinique, l'exi
dernières paires crâniennes, par où passent les voies conductrices,
motrices
et sensitives qui mettent en communication l'en
ro- pathique D. R. CHARON. XI. La GROSSE localisation DES CORDONS
MOTEURS
DE la MOELLE destinés A DIVERSES parties DU cor
ant à la durée de l'excitation, on arrive à conclure que les fibres
motrices
destinées aux parties du corps voisines ne sont
avec atrophie primitive des cellules nerveuses dans les foyers gris
moteurs
de la moelle et du bulbe ; lésions des racines
XIX. Recherches SUR l'origine RÉELLE DES NERFS crâniens; les NERFS
MOTEURS
oculaires ; par VAN GEHUCHTEN. (JOU1'1l. de Neuro
DÉSARTICULATION DE LA JAMBE ET SES RAPPORTS AVEC LES localisations
motrices
; par les Ors VAN Gehuchten et DE BUCH. (Journa
a connaissance; elles consistent en un trouble limité de l'appareil
moteur
. Cela commence par de la pa- resthésie de la ja
la pa- resthésie de la jambe qui est bientôt atteinte de paralysie
motrice
Il n'est pas rare de voir les symptômes sensiti
alysie motrice Il n'est pas rare de voir les symptômes sensitifs et
moteurs
passer de la jambe au tronc et à l'extrémité su
at de sommeil, il appert que ni l'activité, ni le repos des centres
moteurs
corticaux n'est l'agent générateur des phénomèn
alysie à des paresthésies semble indiquer que l'arrêt des appareils
moteurs
est très fréquemment préparé par une irritation
re. Ils acceptent une anes- thésie cérébrale précédant les troubles
moteurs
, et ajoutent qu'on constate parfois une hyperes
ume ainsi ses constatations : « A côté des troubles vaso-moteurs et
moteurs
les troubles de la sensibiltié jouent un rôle i
re au délire ; quels rapports existent entre ceux-ci, les désordres
moteurs
et les sensations subjectives ressentis par les
dans LE mal DE POTT ; par le D' P. LONDE. Si, dans une paraplégie
motrice
bilatérale, on constate des trou- 406 REVUE D
. Mais cette règle n'est admissible qu'à la condition que les nerfs
moteurs
ou les muscles ne soient pas eux-mêmes frappés
dégénérescence. Il est évident que là où il n'y a plus de cellules
motrices
, ou de racines antérieures, ou de fibres nerveu
'audition des mots, de l'état intellec- tuel, l'absence de troubles
moteurs
permirent dès l'arrivée du ma- lade, de porter
tres nerveux produit l'anesthésie des sens, la paralysie du système
moteur
; par lui les centres supé- rieurs du cerveau,
ère de la sienne en ce qu'il le localisait dans les circonvolutions
motrices
centrales. Gerest (Th. Lyon 1896) admet l'opini
, deux condi- tions indispensables : 1° la persistance des cellules
motrices
de l'écorce qui, si dégénérées, si malades soie
générale, comme signes d'une dégénérescence diffuse du territoire
moteur
de l'écorce. 6° Les attaques congestives épilepti
encéphalitique des circonvolutions frontales. Les influences vaso-
motrices
ne peuvent servir que d'agent accessoire non prov
auditive; quelquefois néan- moins elle s'accompagne de conceptions
motrices
, d'un besoin de remuer les doigls comme pour jo
rapporter les troubles sensibles à la lésion corticale des centres
moteurs
. Il est impossible de décider si la proliférati
OGIQUES. XXXII. Contribution A L'ÉTUDE des localisations DES noyaux
MOTEURS
dans la moelle épinière ; par le D Marinesco.
atrophie des cornes anté- rieures. Microscopiquement, les cellules
motrices
des cornes antérieures de la muselle sont défig
orce cérébrale. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la cellule
motrice
de la moelle et le prolongement cylindraxile de
ndraxile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule
motrice
de la moelle ne possède que très peu de grains
hères ; telle est la cause de l'arrêt du développement des cellules
motrices
de la moelle épinière. Ces dernières restent dans
neurone explique certains phénomènes complexes : dans le domaine
moteur
, au moins une partie des faits publiés sous le ti
ce que l'on a observé dans la dégénérescence ascendante des voies
motrices
et peut-être y peut-on voir une dégénérescence ré
ellules multipolaires grandes, analogues à celles des autres noyaux
moteurs
et que, par contre, le noyau interne est compos
ien, se trouve dans le noyau commun du facial. De plus, le noyau du
moteur
oculaire externe reste intact : donc il n'a rien
sont moins capables que d'autres de provoquer des réactions vaso-
motrices
. J. SÉGLAS. xLlx. La toxicité DE la sueur des é
située entre l'olive supérieure et le noyau d'origine de la partie
motrice
du pneumogastrique. Cette masse grise peut être
abolis, malgré l'intégrité des neurones sensibles et des neu- rones
moteurs
périphériques, c'est parce que le tonus normal de
moteurs périphériques, c'est parce que le tonus normal des cellules
motrices
de la moelle lombo-sacrée se trouve considérable-
OLO(. Cent1'llIbl., XVI, 439 ï.) Extirpation étendue de la région
motrice
chez quatre chats ; extirpation bilatérale chez
ntre que chaque fois on a détruit non seulement la partie corticale
motrice
, mais la plus grande partie du lobe frontal. Ma
e de la moelle sacrée est atteinte parce qu'il existe une paralysie
motrice
et sensitive de la région vésico rectale et que
es racines postérieures auraient le plus souffert, car la paralysie
motrice
a presque complè- tement disparu; cette lésion
ences sont nécessaires. P. Keraval. LXIII. De l'aspect des cellules
motrices
DE la corne antérieure DE la MOELLE A la suite
es nerfs 504 BEVUI, d'anatomie ET DE physiologie pathologiques.
moteurs
. Les fibres radiculaires postérieures après leur
une transmission de l'excitation d'un tractus sensitif à un tractus
moteur
: c'est un réflexe. Mais les rameaux ascendants
rébrale du côté opposé, où ils se relient aux neurones des cellules
motrices
pyramidales, Et c'est précisément à cet endroit
s) qui, n'étant qu'en connexion lâche avec les amorces des neurones
moteurs
, opposent au passage de l'excitation une grande
ceux-ci aboutissent. C'est là qu'est prévu le passage aux cellules
motrices
, facilité par des con- nexions spéciales, de so
ubstance grise, après avoir contourné le noyau principal del'oculo-
moteur
commun de dehors en dedans, elles forment, entre
s; les conducteurs sensitifs qui y aboutissent y trouvent des nerfs
moteurs
, de sorte que le réflexe psychique s'y opère. P
l'émission de ces sons laisse des traces dans le centre sensorio-
moteur
de l'écorce (région de Broca) et y forme la mémoi
ensorio- moteur de l'écorce (région de Broca) et y forme la mémoire
motrice
d'articulation. A mesure que cette mémoire méca
ppement de la parole autonome. La mémoire sen- sible sensorielle et
motrice
ayant enregistré une provision de traces de mot
es et à l'association consciente des images phonétiques sensorio-
motrices
dans le centre d'association moyen. Les aphasie
ans le centre d'association moyen. Les aphasies. Bien que la région
motrice
de Broca contienne l'ensemble de la mémoire des
ome tout en continuant à comprendre l'écriture et à écrire (aphasie
motrice
sous-corticale), tout en conti- nuant à compren
à comprendre l'écritnre, à lire à haute voix, et à répéter (aphasie
motrice
transcorticale); tandis qu'il y a aphasie montée
'aphasie comporte donc : A, soit un trouble de la mémoire sensible (
motrice
, sensorielle, et visuelle des lettres) : aphasie
e ou fonctionnel. A. Aphasie sensible. 1° Organique. - a) Aphasie
motrice
isolée, par lésion de la troi- sième frontale.
rice isolée, par lésion de la troi- sième frontale. C'est l'aphasie
motrice
subcorlicale dans laquelle le malade, incapable
mprend pas non plus l'écriture. 2° Fonctionnelle ou amnésique. a)
Motrice
(t1'l ! nscorticale) par affaiblissement foncti
(t1'l ! nscorticale) par affaiblissement fonctionnel de la mémoire
motrice
.- b) Sensorielle, exemples : les aphasies de Gr
Aphasie d'association. x. Du centre moyen. 1° Organique. - Aphasie
motrice
avec alexie et au besoin avec agraphie. Perte d
ensorielle, pour comprendre les paroles ; 2° Fonctionnelle. Aphasie
motrice
satis alexie ni agraphie. Archives, 2° série, t
ortante qui lui revient dans la pratique thé- rapeutique. La couche
motrice
des bras et des jambes renferme un , nombre éno
te des muscles dans l'infinie variété des mouvements ; ces cellules
motrices
et sensitives s'accroissent et se développent c
par Bris- saud et de Massary, 243. Etat du facial inférieur et du
moteur
ocu- laire commun dans l' -, par Mi- rallié,
sique avec autopsie, par Samguine, 72. Locai.isatioxs des cordons
moteurs
de la moelle, par Gad et Flatau, 309. - corti
! 1'aeum.enew essentiel héréditaire, par Bonnelli, 410. Trouble
moteur
. Sur un - qui ac- compagne la douleur lombaire,
s de la Clinique Charcot. Depuis 1898, les localisations spinales
motrices
ont été le sujet de re- cherches expérimentales
concerne la motilité, se poser dans les mêmes termes : Les troubles
moteurs
des membres, paralysie ou atrophie musculaire,
ées de muscles de fixer avec une précision mathématique, les noyaux
moteurs
médullaires. Et cependant l'expérimentation n'a
nct dans la corne antérieure (Sano, Les localisations des fonctions
motrices
de la moelle épinière, Anvers, 1898), Van Gehucli
t 1899 ; De Neef, Le Névraxe, vol. II), croient que la localisation
motrice
est seg- mentaire. « Cela veut dire que chacun
ce forcée, très différente aussi serait la disposition des troubles
moteurs
consécutifs à une lésion localisée de la corne
se capable de provoquer par elle-même une chromatolyse des cellules
motrices
médullaires. On nesau- rait utiliser par suite
érébrales : étudier avec soin et détail la disposition des troubles
moteurs
consécutifs à des lésions pri- mitives des corn
as aborder ici en détail le problème de la topographie des troubles
moteurs
et ci fortiori des troubles sensitifs de la syrin
n effet que dans les observations où la distribu- tion des troubles
moteurs
revêt la forme radiculaire, on peut, en l'absence
réactions électriques : dans les cas de pachyméningite les troubles
moteurs
et les altérations des réac- tions électriques
électriques marchent davantage de pair que dans les cas de troubles
moteurs
relevant des lésions cellulaires des cornes antér
erniers cas, en effet, il est fréquent de ren- contrer des troubles
moteurs
déjà très prononcés, avec atrophies muscu- lair
ns des réactions électriques corres- pondent davantage aux troubles
moteurs
et les manifestations de réaction de dégénéresc
rtaine de pachyméningite, elles présentent des troubles sensitisset
moteurs
à disposition radiculaire typique. Ons. I. -
mem- bres inférieurs. A cette paraplégie spasmodique exclusivement
motrice
s'asso- cient des troubles sensitifs et moteurs
dique exclusivement motrice s'asso- cient des troubles sensitifs et
moteurs
des membres supérieurs. Les deux bras sont ball
XV, YI. I SYRINGOMYELIE AVEC TOPOGRAPHIE RADICULAIRE DES TROUBLES
MOTEURS
ET SENSITIFS (Cesfma et Huet). A. Position au
aux muscles du groupe radiculaire supérieur. Or à cette disposition
motrice
visiblement radiculaire se superposent des trou
einte indiscutablement de syringomyélie ; or chez elle les troubles
moteurs
et les troubles sensitifs prédominent avec une
yringo- myélie ; cliez elle, les troubles sensitifs et les troubles
moteurs
sont nettement localisés au territoire radicula
charnés. » De môme dans l'observation X on lit : « Tous les muscles
moteurs
du bras sur l'épaule sont atrophiés et pa- raly
de paralysie infantile ayant détruit le groupe externe des cellules
motrices
du 8e segment cervical médullaire et ayant entr
vir de cette observation pour démontrer que la localisation spinale
motrice
peut être radiculaire. Malgré ces faits épars,
es/an et flrml). Paralysie infantile avec localisation des troubles
moteurs
dans le territoire radiculaire inférieur du ple
, quelle conclusion faut-il adopter sur la disposition des troubles
moteurs
périphériques causés par les lésions des cornes a
. Certes, on pouvait soupçonner priori qu'à une lésion d'un étage
moteur
médullaire doit correspondre une altération périp
mettre dans chaque segment médullaire une distribution des cellules
motrices
en groupements correspondant à tel ou tel muscle,
ique. On a pu croire à un moment que la dis- tribution des troublés
moteurs
de cause médullaire différait de celle des trou
roublés moteurs de cause médullaire différait de celle des troubles
moteurs
de cause radiculaire et on a introduit de nouvell
liomyélite infantile, pouvaient déterminer en réalité des troubles
moteurs
, non à disposition segmentaire, mais à disposit
réagir encore sous l'influence de courants ayant une force électro-
motrice
de 9-15 volts et une intensité de 3-4 milliampère
esseur Ifaltenholf n'a révélé aucun trouble paralytique des muscles
moteurs
du globe oculaire, ni d'altération des milieux tr
tielle du système nerveux, particulièrement des noyaux des neurones
moteurs
périphériques : on a découvert la contraction f
occupe, c'est-à-dire, pour les propriétés myotoniques de l'appareil
moteur
, et ne fait accepter qu'une seule explication d
régions du système nerveux, correspondant probablement aux neurones
moteurs
périphériques, ne se trouvent pas à l'état d'équi
ela il s'adjoint dans quelques cas à l'activité exagérée du neurone
moteur
périphérique, essentielle pour la myotonie, un
nt il y a 10 ans, des symptômes de tabès, d'abord au côté des nerfs
moteurs
de l'oeil et des pupilles ; plus tard, s'y adjo
tomatologie des affections du cône terminal : -. 1° Une paralysie
motrice
, plus ou moins complète, des muscles de la régi
éléments : AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 87 1" Une paraplégie
motrice
des membres inférieurs, incomplète; à gauche, e
ustifier. Une première particularité est à souligner : la paralysie
motrice
, dont est atteint cet homme, intéresse exclusiv
que ce plexus se partage, avec le plexus lombaire, l'inner- vation
motrice
et sensitive des membres inférieurs. Pour ne parl
nsitive des membres inférieurs. Pour ne parler que de l'innervation
motrice
, elle est alimentée de la façon suivante : Le p
CHEVAL 95 g) La disposition parfaitement symétrique de la paralysie
motrice
et de l'anesthésie, la précocité et l'intensité
chromatolyse intense aux Vacuoles et noyau excentrique des cellules
motrices
sacrées et coccygiennes ; c'est, par la méthode
r la ligne médiane, elles se trouvent ordinairement en plein faisceau
moteur
soit d'un côté soit de l'autre. Plus on se rapp
s la capsule interne. C'est en effet assez souvent dans le faisceau
moteur
que se creusent LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉB
de faire des coupes longi- tudinales parallèles à l'axe du faisceau
moteur
, tandis que les nôtres ont toujours été transve
ens de nos coupes,c'est-à-dire perpendiculaires à l'axe des faisceaux
moteurs
, il vaudrait mieux pratiquer des examens nouvea
est variable et se traduit par une excitation anormale des cellules
motrices
de la moelle. Pour la faci- lité clinique, on a
phère gauche ? Pourquoi n'y aurait-il pas dans les voies sensitivo-
motrices
des trajets nouveaux rétablissant les fonctions p
interne, le pédon- cule, le bulbe et la moelle (système du neurone
moteur
central). 1 Ce cas, publié dans l'Atlas du syst
n'existerait entre l'écorce et le pont qu'une seule espèce de voie
motrice
: pyramidale et indirecte. Bref, de quelque faç
ce par l'exercice de certains mouvements, ont créé des centres dits
moteurs
pour lesquels d'emblée le détail semble dispara
emble des sensations qui nous renseignent sur l'état de nos organes
moteurs
, c'est cet ensemble de sensations que nous appe-
faisceau musculaire, par Landry, et encore de l'état de nos organes
moteurs
par V. Henri, je pouvais trouver que, au moins
oral ou orga- nique - ou quand je veux réaliser un geste, un effort
moteur
, - c'est toujours la même sensation cérébrale q
un effort de mémoire, de compréhension, de percep- tion ou d'action
motrice
. J'ai souvent cherché à analyser cette sensation
'a pas à différer beaucoup de l'écorce qui régit les appropriations
motrices
aux images d'attitudes et de mou- vements. Seul
ues sillons, des rudiments de canaux, n'aura que des orienta- tions
motrices
et des notions géométriques bien rudimentaires, t
ychomotricité. L'ancienne conception des zones motricesde l'écorce,
motrice
comme les cornes antérieures de la moelle, a au
ns l'espace et des images qui résultent des impressions tactiles et
motrices
. La motricité volontaire apparaît dès que l'ima
mémoire les sensations qui concourent à former les représentations
motrices
, dont les représentations tactiles constituent un
tactiles constituent un cas particulier. C'est le centre des images
motrices
et tactiles » (et p. 704)... « il n'est pas doute
aisser ou indifférents, ou passifs, ou provoquer en nous une réaction
motrice
. Dans le monde des perceptions sensorielles sub
nt de vivacité et de force, qu'elle provoquera en nous une réaction
motrice
qui, à l'état normal, sera le plus souvent appr
ement associés des groupements systématiques et coordonnés d'agents
moteurs
capables de les réaliser, et que met automatiquem
u champ cortical des représentations d'attitude. Que cette réaction
motrice
parle d'une perception sensorielle, objective o
que ou d'une imagination centrale, c'est toujours un réflexe, un acte
moteur
inconscient et involontaire dans le détail de s
, dont l'une est consciente et l'autre pas ; et bien que le réflexe
moteur
qui part des zones sensorielles dites psycho- m
que le réflexe moteur qui part des zones sensorielles dites psycho-
motrices
soit d'un arc plus court que celui que provoque u
devait être plus déve- loppée à droite, puisqu'il était un gaucher
moteur
. D'autre part, Bertillon avait, fort jeune, per
s, fournissant les images d'attitudes indis- pensables à t'idéation
motrice
, et comme un centre exclusivement sensoriel ten
ais la représentation sensorielle d'altitudes. Bertillon, gaucher
moteur
et droitier d'images d'attitudes, eut toute sa vi
te sa vie, d'après ceux qui l'ont connu, une mauvaise appropriation
motrice
quant à la locomotion et à la station d'équilib
motrice quant à la locomotion et à la station d'équilibre. Gaucher
moteur
, gaucher de langage et droitier d'audition, il
ein. 11 semble très logique de concevoir qu'à une lésion d'un étage
moteur
médullaire doive correspondre une altération pé
s antérieures paraissent provenir par un trajet direct des cellules
motrices
de la corne antérieure; la clinique a montré à
urs segments successifs de la moelle, une distribution des cellules
motrices
en groupements correspondant à des muscles déte
s que l'autopsie ait révélé de lésion autre qu'au niveau de la zone
motrice
gauche. Cette observation pourrait être, à ce p
; de plus, le malade se plaint d'un certain degré d'incoordination
motrice
du membre supérieur droit ; en mangeant il por-
a parole est impossible. 13 Décembre. - A l'examen : Pas de parésie
motrice
, les quatre membres remuent très bien, pas de t
'observait aucun symptôme indiquant une altéra lion grave des zones
motrices
; il n'y avaitpasde paralysie notable, il n'y a
n et la stase papillaire ; et de par son siège dans la zone psycho-
motrice
, il aurait pu y avoir en outre de l'épi lepsie ja
u y avoir en outre de l'épi lepsie jackson ni en ne avec hémiplégie
motrice
, suivie secondairement d'aphasie sensorielle du f
juste, l'acte de rester assis est un système de mouvement, d'images
motrices
exactement comme l'acte de rester debout ou de
e, elle diffuse, elle dérive en angoisse respiratoire, en agitation
motrice
vague, et en tics comme celui de se raidir du c
nt insensible dans la zone médiane du pont d'union. La coordination
motrice
est parfaite et grâce à une entente préalable dan
u- lier dans le domaine des fonctions circulatoire, respiratoire et
motrice
. Des troubles importants peuvent se produire da
langage (symptômes d'excitation ou de paralysie) tels que : aphasie
motrice
, hallucinations motrices verbales ; hallucination
itation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, hallucinations
motrices
verbales ; hallucinations de l'ouïe, surdité co
phalite d'une intensité peu commune. (1) P. Sérieux, Hallucinations
motrices
verbales chez une paralytique générale, Arch. d
sentant, comme phénomène capital, des troubles du système nerveux
moteur
ayant le caractère général de la crampe (Spannung
nces de la stupidité. C'est alors que l'on rencontre les phénomènes
moteurs
caractéristiques sous forme de convulsions toni-
ssaire. Ces particularités s'accentuent encore jusqu'au négativisme
moteur
dans les tentatives de mouvements provoqués.
En réalité, la catatonie comporte un ensemble de symptômes psycho-
moteurs
, et dans le syndrome catatonique tel qu'il se pré
une dissociation complète des éléments qui déterminent l'impulsion
motrice
et la perte presque complète de contrôle de la
trôle de la part du sujet sur ses propres actes (1) ». L'activité
motrice
de ces malades se trouve, du fait de leur aboulie
intel- 1) Finzi et VEI111ANI, loc. cet. 348 séglas lecluelle et
motrice
de ces malades, le caractère inconscient, automat
se produit pas sous la forme d'un spasme, mais d'une incoordination
motrice
. Le malade prend la plume d'une façon maladroit
névrites et nous porteraient plutôt à mettre en cause les cellules
motrices
des cornes antérieures. Quant aux relations p
ue minuscule soit, non plus la cause, mais la conséquence d'un acte
moteur
, réitéré plus que de raison, sous l'impulsion ini
lus que de raison, sous l'impulsion initiale de telle ou telle idée
motrice
. » Nous pouvons objecter à M. Meige que chez Ma
station extérieure de l'étal d'excitation per- manente des cellules
motrices
de la moelle entretenue par les impressions pér
pressions périphériques ; . 2° Cet état d'excitation des cellules
motrices
est soumis à une double influence excitatrice e
qzci atteint généralement aussi certaines portions du protoneurone
moteur
, et du système sympathique. Les altérations his
al aux cas où, aux membres inférieurs, l'anesthésie et la paralysie
motrice
respectent en majeure partie ou en totalité le
ste, que cette circonscription de l'anes- thésie et de la paralysie
motrice
est de règle, lorsqu'une lésion intéresse la qu
ême à l'heure présente, elle n'est pas l'expression d'une paralysie
motrice
, dans le sens strict du mot. Elle contraste ave
et qui est restée diffuse. A l'instar des douleurs et de l'impotence
motrice
, celte amyotrophie est plus prononcée à gauche
une lésion dégénérative des cen- tres qui président à l'innervation
motrice
de la vessie. De plus,.ces centres étant situés
issez-moi insister sur ce que les racines sensitives et les racines
motrices
de la vessie et du rectum pénètrent la portion te
manifestement plus élevé que les points de pénétration des racines
motrices
. On conçoit donc que des troubles de l'innervat
racines motrices. On conçoit donc que des troubles de l'innervation
motrice
de la vessie puissent se développer, dans un cas
l'observation clinique, relativement à la superposition des centres
moteurs
et sensitifs, dans la portion la plus inférieure
he. En somme, nous constatons, chez R..., l'existence d'une parésie
motrice
, limitée aux muscles de la face postérieure de la
e et à la cuisse suivis de près par des douleurs et par une parésie
motrice
de ce même membre. Peu de temps après est surve
isé par le malade, peut se résumer dans ces quelques mots : Parésie
motrice
, très prononcée, des muscles de la face postérieu
r- conscrit ; il comprend comme éléments essentiels : Une parésie
motrice
, limitée au domaine d'innervation du sciatique
ière des centres spinaux qui président à l'innervation sensitive et
motrice
de ces organes. 48G RAYMOND Il a, présentemen
thésie uréthro-vésicale, sans troubles con- comitants des fonctions
motrices
de la vessie ; de même, il présente l'abo- liti
t déjà et je vous répète que les racines sensitives et les, racines
motrices
, en rapport avec la sensibilité et la motilité de
axe : les racines sensitives à un niveau plus élevé que les racines
motrices
. On conçoit donc que dans un cas de névrite radic
a parésie vésicale qui, à un moment donné, s'associait à la parésie
motrice
du membre inférieur gauche, s'est presque totalem
tées par le malade. Elles se réduisent présentement à une paralysie
motrice
du membre infé- rieur gauche, qui va en diminua
l'heure, à ce sujet. -t La disposition unilatérale de la paralysie
motrice
et de l'atrophie mus- culaire concomitante, les
ais il y a lieu de prendre en considération la nature exclusivement
motrice
des accidents, l'absence de troubles objectifs
ance aux racines du plexus sacro-coccygien et dans la seule portion
motrice
de la substance grise. Vous aurez alors de quoi e
e amputation a eu lieu au voisinage de la cel- lule. Lorsqu'un nerf
moteur
est coupé, et encore mieux arraché à son émerge
ostérieur, qui a de nombreuses connexions avec les noyaux des nerfs
moteurs
de l'oeil. Dans l'observation de S. Gee et II.
rps dentelé, de telle sorte que l'on peut supposer que les troubles
moteurs
observés n'étaient pas de l'asynergie pure. N
gmentée d'épaisseur. Corticalité cérébrale (prélevée dans la région
motrice
), recueillie dans l'al- cool. - Coloration soit
idérable de prolongements protoplasmiques, appartenant aux cellules
motrices
. Ces dendrites sont en général assez fines, déc
moins réguliers (voy. fig. 4). que ceux des dendrites des cellules
motrices
; sur leur trajet on observe ordinairement çà e
re sont plus courtes et se rami- fient plus que celles des cellules
motrices
. Cas IL- Garçon jumeau, âgé de 1 mois et 22 jou
n imprégnées, de grosseur variable, appartenant à diverses cellules
motrices
dont le corps est resté non imprégné et qu'on p
t couverts d'appendices collatéraux, que les dendrites des cellules
motrices
(voy. fig. 7). Très souvent on rencontre ici des
, comme nous l'avons dit plus haut sur les dendrites des cel- lules
motrices
, leur quantité est très insignifiante et ils ont,
ans l'aspect externe des prolongements protoplasmiques des cellules
motrices
et sensitives est si grande et saute tellement
on n'en voit pas sur les prolongements protoplasmiques des cellules
motrices
. Quant à l'état variqueux des prolongements pro
'ici. En comparant les prolongements pro- toplasmiques des cellules
motrices
chez l'homme adulte avec les dendrites correspo
s, sont pauvres en appendices collaté- raux ; les cellules spinales
motrices
sont plus subordonnées que les cellules pyramid
orce cérébrale et les cellules de Purkinje; les cellu- les spinales
motrices
dépendent de l'activité de l'écorce cérébrale (pa
torze ans. Céphalalgie. Attaque apoplectifoi-ine. Paralysie du nerf
moteur
oculaire com- mun droit. Tremblement de la lang
ffuse; méningo-myélite embryonnaire; névrite interstitielle du nerf
moteur
oculaire commun droit à son émergence, entraîna
plégie est causée par une infiltration embryonnaire diffuse du nerf
moteur
oculaire commun droit, au niveau de son émer- g
s ne participent guère au processus inflam- Fig. 4. Circonvolutions
motrices
gauches, prises à leur région moyenne, grossies
taches n'existent pas du tout dans les circonvolutions de la région
motrice
gauche, mais elles sont extrêmement nombreuses
trice gauche, mais elles sont extrêmement nombreuses dans la région
motrice
droite (les spasmes ont prédominé dans le côté
faisceaux sont complètement intacts. Les noyaux multiples des nerfs
moteurs
oculaires communs ont été étudiés avec un soin
ent ne peuvent être invo- quées pour expliquer la paralysie du nerf
moteur
oculaire commun droit. Au contraire, les lésion
e la quatrième et de la sixième paire, on constate que seul le nerf
moteur
oculaire com- mun droit est altéré : toutes ses
multiplication des noyaux du sarcolemme dans ceux qui dépendent du
moteur
oculaire commun droit. Moelle. La lésion vascul
s la Fie. 11.- Veine de lapie-mère au niveau de l'émergence du nerf
moteur
oculaire commun droit ; gomme de la paroi; le s
e méningée de la base, au milieu de laquelle la veine se trouve. Le
moteur
oculaire commun occupe tout l'angle supérieur d
ses; ces douleurs ont débuté en 1891, un peu avant l'incoordination
motrice
, mais elles ont toujours été faibles, le malade
e l'écorce, sauf dans les sillons de la partie moyenne de la région
motrice
. A ce niveau en . effet, et le fait est remarqu
nerveuse restant très considérable;' que, -dans les circonvolutions
motrices
à leur partie moyenne, les lésions vasculaires et
s des fibres tangentielles étant plus accentuées que dans la région
motrice
à la superficie. Les noyaux des cellules de la
e même mutisme que s'il a été atteint, dans le centre de la mémoire
motrice
des mots. Il est évidemment beau- - coup plus f
loppe- rou " s y .j ? mpa, qu ment physique^ général, de troubles
moteurs
ou sensoriels (cécité, surdi-mutité, etc.), ou,
s zones que l'herpès zoster,en ce qui regarde les nerfs 'cutanés et
moteurs
et pour d'autres à la, distribution,, des. ibres,
onc avoir soif origine première, dans ? les hallucinations verbales
motrices
,' par suite du mécanisme même,q les hallu inati
trices,' par suite du mécanisme même,q les hallu inatioiis verbales
motrices
, par sui ex Li niez - ? nie.a de ces hallucinat
définitive. Dans nos travaux, antérieurs sur, . les hallucinations
motrices
et les troubles du langage, chez les aliénés no
II. Contribution A l'étude- des hallucinations' verbales PSYCIIO- .
motrices
; par le D' PiErtAcciNi : -(Il.ilIa7ticomio, fasc.
ENTALE. raison sur la distinction entre les hallucinations verbales
motrices
pures ou mixtes, et sur le caractère sensorio-m
plité devait être- entrepris, aucune espèce- de.trouble sensitif ou
moteur
i. Il serait étrange cependant qu'une altératio
a 't : 7. ·y e 4Jt'W .tl dents terminaux ; dans les circonvolutions
motrices
,' il n'existait qu'adroite, et c'estdans les me
est arrivé à la conclusion suivante : .une lésion d'un nerf crânien
moteur
ou d'un nerf rachidien mixte amène, consécutive
PATHOLOGIE MENTALE. nerfs crâniens et les ictus, avec les troubles,
moteurs
. qui peuvent les suivre, enfin les troubles int
e rôle des sensations du mouvement nécessaires pour exécuter (image
motrice
). La main n'est en réalité qu'une machine; pour
ERVEUSE. t ' capable de les chanter. En somme l'absence d'aphasie
motrice
pure s'explique' par l'intégrité de la circonvo
t les noms, comment il transforme les impressions sensorielles et
motrices
du langage, comment il associe et combine. Ce pro
it l'historique des recherches relatives aux neuroblastes, cellules
motrices
anté- rieures et aesthésiohlastes des cornes' p
e lobe occipital droit indemne aux'centres commandant aux faisceaux
moteurs
de l'écriture et à ceux qui reçoivent les sensati
sceaux moteurs de l'écriture et à ceux qui reçoivent les sensations
motrices
nécessaires pour que l'on écrive, celles qui vous
dégénératiou ; finale- ment lésion des'cellules sécrétoires'et'vaô=
motrices
. J.-B.CIIA"RCOT. J,y.IW 1 Ga·W ! ).a UV alaal u
SE. - 1VII : l DE quelques états de faiblesse' irritable DU système
MOTEUR
i t e3 Ilipar FuERSTNEit^(Arc/HU ? >''jPs»/c
.) i - . , Dans : l'agoraphobie', it-y'a parésie et 'incoordination
motrice
; il survient des) mouvements incoordonnés'non')
: 'stupidité ; troubles de la mémoire,' titubation ? incoordination
motrice
. Parfois accès d'agitation avec obnubilation ps
dessus de l'horizontale.. Diagnostic : , Lésion du noyau des oculo-
moteurs
communs, dans la région des tubercules quadrijume
uti e eu ? v -m . - ' 5.. tout'd'abord la'conductibilité d ! T'nerf
moteur
, a lésé' ses organes tr'niii'au"'x" (pai,al3,si
et, de. la*'su6stince blanche sous- jacente qui avoisine.l'appareil
moteur
et est destiné à l'ouïe et à la vue ; la motili
8° la cocaïne, la , propriété ( d'exciter. l'écorce''et ' les régions
motrices
,' sensôrielles,psyhidues de`'cellè-ct;"9° ellë'
J ? e(o ' ' ' i VI U DES ALTÉR.1TIONSDU7·BOUT^CENTR : 1L7 DU\J NERC
moteur
après la. lésion du bout, périphérique; par L :
ue dans les éléments cellulaires qui donnent naissance aux f fibres
motrices
., ,«. ^.levrb -b 14·J^s'i 't. tj6 : j » ! ïP : JV
ébelleux ? 9,~, Jr< e' 1· a : ,J^ti''fD'· °w~,- . .. Les racines
motrices
se composent de : 11, les fibres du noyau mo- t
les fibres du noyau mo- teur dü mêmè c8té; ` 2° les fibres du noyau
moteur
du côté opposé; " 3°'1'uâcinë déscendânté ? P.,
'doivent pas être dési- ' gnées sous'le'nom dé zoîièëililsiveirîént
motrice
^certainement 'ces organes doivent, sinon exclu
aissance DE la DÉGÉNÉRESCENCE) ASCEN- D.1NTE · DES nerfs;' crâniens
moteurs
CHEZ, l'homme ; par.C. MAYER (Jahi-büch. f. Psy
ait eu de signes,.d'inflammation aigUë ? 013SERVA' iïoN"11 ? oëùlo-
moteur
commun gauche englobé dans un néoplasme , d'origi
PERTE dissociée DE la sensibilité musculaire avec INCOORDINA- TION
motrice
A la SUITE de maladies infectieuses' chez différe
des fibres au noyau sënsitifetau faisceau cérébelleux. Les racines
motrices
se composent* : 1 1° des fibres du noyau moteur
ux. Les racines motrices se composent* : 1 1° des fibres du noyau
moteur
. du même côté; 2° des fibres du noyau moteur du c
1° des fibres du noyau moteur. du même côté; 2° des fibres du noyau
moteur
du côté opposé; 3°, de la racine ascendante. ,
maxillaires limités, d'un, côté; puis paralysie croisée de l'oculo-
moteur
externe qui tend à disparaître ; de temps à autre
isations cérébrales. La partie de ce tra- vail relative aux centres
moteurs
corticaux était à peu près terminée. Elle va êt
e les circonvolutions postérieures sont indépendantes de l'appareil
moteur
intra- cérébral et que leurs lésions destructiv
lution pariétale ascendante, qu'elle atteint par conséquent la zone
motrice
et que l'observation, loin de contredire les do
opposition avec la doctrine alors toute nouvelle des localisations
motrices
. Mais en examinant la pièce avec plus d'attenti
estruc- tives doivent nécessairement donner lieu à des paralysies
motrices
; mais par contre,' les lésions destructives des
ren- contre une 'lésion quelconque siégeant en dehors de la zone
motrice
, on'sera.tout,naturellement porté à la considérer
elles desT hémisphères cérébraux. Les lésions qui causent l'aphasie
motrice
'siègent habituellement dans''le' point'- indiq
· tuellés; morales- et5afiectives;accompagnétou·non.de.troubles «
moteurs
et de perversions 'des instincts »i (Bouiiieville
CHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE mentale SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES' CHEZ UNE PARALYTIQUE GÉNÉRALE; Par
emme, atteinte de paralysie générale, en proie à des hallucinations
motrices
verbales. La netteté avec laquelle se manifestè
nomène hallucinatoire, l'association' étroite de ces hallucinations
motrices
verbales avec des spasmes des muscles masticate
a des lésions de méningo-encéphalite localisées au niveau du centre
moteur
du langage et des centres mastica- teurs, les f
cinations de l'ouïe. 1- Rémission très accentuée. Hallucinations
motrices
verbales de nature pénible. Absence d'autres tr
llucinations auditives. Permanence et activité des hal- lucinations
motrices
verbales pendant plus d'ziîz an. Leur association
ec un état d'éréthisme des centres masticateurs : l'halluci- nation
motrice
verbale s'accompagne de mouvements involontaires
disant sentir une boule lui monter à la SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. 323 'gorge; parfois elle étouffait, r
l'ouverture de la bouche. L'attaque n'était pas suivie de troubles
moteurs
, mais de phénomènes d'excitation psy- chique :
cès délirants qui survinrent, ainsi que SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. 325 l'absence'd'hallucinations des au
.très absorbée ? comme lorsque 'se' manifestent- ses hallucinations
motrices
verbales.' Nous lui demandons' : "0' : , lr : i
illait. D'ordinaire le grince- ment des dents et les hallucinations
motrices
sont simultanées. La 'malade répond tout 'haut
contractions spasmodiques très douloureuses. Pas d'hallu- cinations
motrices
.' Pouls : 96. i, ? ,· , i.t ? tsr7 sa ? 1· '" 8
» ... iti , t . -1, . , 1, , A r, . ,,l SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. 327 19 ? juin ? Les ^ réactions ? d'a
se dissipe; les idées'de persécution s'effacent, les hallucinations
motrices
verbales disparaissent. Le 21 août, la ma- lade
s' de traces d'hallucinations» de l'ouie,b mais îles^hallucinations^
motrices
sont repris toute leur activité : aiellerne sai
echerche des signes, physiques'en rapport'avéc les hallucina- lions
motrices
verbales adonné les résultatsj suivants ^il'n'exi
de la ''mâchoire, 'pas' de craquements SUR UN CAS D'HALLUpINATIONS.
MOTRICES
VERBALES. 329 de dents, mais bien. tantôt des,
tion se,traduisantpar des grincements de denls.· Leshallucinatious
motrices
verbales sont le;plus,souvent associées aux convu
ts, s'àccroche'aux assistants ? Ei[e a' toujours' des hall nations'
motrices
verbales, mais il's'y;ajoute''des hallucinations'
dant plusieurs jours : elle se bouche , SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. 331 les oreilles croyant entendre t m
côté opposé' : ulcérations,~d'ailleurs SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS ^
MOTRICES
VERBALES. 333 peu accéntuées;rati4 niveau de'la
rition,. au. cours d'une ? période de rémission, , d'hallucinations
motrices
verbales de leur persistance pen- dant plus, d'
diquement ces divers points : ZD ? i ? SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. 335 jsf -ib "'u' r , 8. » ? i t »<
-u ;m.*»/ .' >> ? ' t.. . "jj j ? ifTij« ! L. 'Hallucinations
motrices
verbales ? "*< - .«il . j- i 'i 'fni^uicnt -
ations'auditives normales, le ' patient- atteint" d'hallucinâtioiis
motrices
verbales, parle de ' voix intérieures', 'secrèt
0 l'articulation des mots (écho, musculaire z '). L'hallucination
motrice
verbale, ou kinesthétique verbale -n'est pas au
eSjparoles sans l'intervention d'images auditives.^Les centres dits
moteurs
^ sont, en réalité mixtes ou^ sehsitivo-rnoteurs
dui 1 ? la repl;éséntàtlôn, dé,cès4.môûvéménts, ,les,, sensations
motrices
.verbales; « 2°un courant nerveux centrifuge qui
trouver chez une paralytique géné- 6 raie. 1'liall'uë'inât'i : 'on
motrice
verbale analysée, ,dans de. détail ? ? ,, ., ...j
oc. cil., p.,370. « .x f ;i 1 1 'HO ? ' SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. 337 sible de les observer d'une façon
issement sur 'le centre auditif verbal de l'éréthi'sme' dû' centre"
moteur
'd'articulation' : la malade nous ayant déclaré
'ét'èétte*pé2,sz*st'a'n'ce à' l'état i>solé des hallu- cinations
motrices
verbales n'a pas été un"des traits les moins cu
d'un autre plus convenable.' ' " `` '' ' " " ' ' Les hallucinations
motrices
verbales sont localisées, comme toutes les'sens
s, singulières au premier abord, du siège, des^ hallucinations '*
motrices
verbales,"s'expliquent par ce fait que les' sensa
tre,,le diaphragme, etc.). < t, Dans( notre cas, ^'hallucination
motrice
, verbale n'était loca- lisée dans aucun, des or
Bulletin médical, 29 juin 1892. » 1 ? 4 SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. '339 111'Lt. `i· t·' a.. 11' 1 ? 1 v
es durant seize mois, et àleûr,as`so- " dation avec' hallucinations
motrices
verbales' ce*, faits/jusqu'a- lors non observés
'asso- ' ciation étroite des troubles hallucinatoires fdu" centre-3
moteur
d'articùlation'verbale'et desronvulsionsdlies'à
étaient presque tou- . jours simultanés et lorsque l'hallucination
motrice
verbale se produisait,' on pouvaitl percevoir p
! des> sùjetst chez ? lesquels''prédominént les représentations
motrices
d'articulation' et qui parlent' mentale- ment'
d'articulation' et qui parlent' mentale- ment' leur 'pensée (type "
moteur
).' ? laisi. l'état 2 mentalq de'la malade se- p
attitude de 11 ? P..., au moment où se produisait l'hallu- cination
motrice
verbale; était très caractéristique ; 'la' malade
nt lesquels,) si^on^ lui fc adresse. la SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS"
MOTRICES
VERBALES. 341 parole;'elle fait signe de la-mai
-' iet, ^ -3 s'agit d'épilepsie"corticale, portant sur les centres-
moteurs
du' trijumeau, ? de' l'hypoglosse et : °du faci
Yifradià- lion presque constante de 1 état derethisme, dû,rcentre,
moteur
du,trijumeau au centre moteur verbal d'articula
nte de 1 état derethisme, dû,rcentre, moteur du,trijumeau au centre
moteur
verbal d'articulation et récipro- quement' 5 .
uement' 5 . i,,r.w ? 1 a ? tl . , <<f' » v Les hallucinations
motrices
verbales n'ont guère été étu- diées dans la par
. ' ' 4 .1, ' .3 -9· ,,v-r, s . ,, . ", SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. 343 cite trois cas,observés dans le s
qui a trait dans les obser- vations,de l'auteur,aux hallucinations
motrices
.verbales : ,r ? i qrno')jjE8 3')(. tj'q .tTrf&l
? j-1,fi ? K ' 0 , ment des dentsctenait a une lésion 'des centres
moteurs
de ? tm.tt ? t""1t f't ? ? ? nt, ) <4t-)m«)<
r des circonvolutions rolan41ques,etren dehors des territoires dits
moteurs
, la trontale inte3îë'et l'extrémité antérieure
nt le, troisième accès délirant ..La persistance d'hallu- cinations
motrices
verbales de nature pénible; très actives, provo
Loc. cit., p. 433-434. ' r-8t ? 1()'T, SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS,
MOTRICES
VERBALES. J 1 sans que la .malade, pareille à u
encieuse et attentive;' tandis que'se' produisait * l'hallucination
motrice
rendue visible pour ainsi' dire à l'observateur
s idées de. culpabilité, reproduisant le contenu des hallucinations
motrices
verbales , du refus d'aliments, des tentatives
cusateurs 1). , r, , , t . Pendant quelque temps les hallucinations
motrices
s'amen- dèrent, puis disparurent; les idées dél
ocalisation si longtemps . isolée de l'éréthisme cortical au centre
moteur
d'articulation. . Tous les territoires sensorie
citation : ce sont, se renouvelant sans cesse, des halluci- nations
motrices
verbales, kinesthétiques générales, auditives,
curol. 1892, p. 308 et 1893, p. 262.) 1 SUR UN CAS D'HALLUCINATIONS
MOTRICES
VERBALES. 351 véritable état de confusion hallu
brièvement les traits principaux : a) Existence des hallucinations
motrices
verbales dans la paralysie générale. - b) Ass
a paralysie générale. - b) Association étroite des hallucinations
motrices
verbales à des convulsions des muscles masticat
ois); leur reproduction incessante. y d) Rôle de ces hallucinations
motrices
verbales de caractère pénible dans la genèse, a
ur et hypocondriaques), les autres provoqués par les hallucinations
motrices
verbales (délire de persécution), ou par l'ense
e statique et un ' " " * " "1" ' l' - " ' ' " d'* '* " "d ' » " s
moteur
^ hydraulique; il, est le^ grand ressort.de toutes
aux localisations bilatérales, corticales, symétriques, d'où images
motrices
également symé- triques. L'auteur signale en pa
ont nous connaissons la-fonction. Ce sont' par exemple' les -noyaux
moteurs
des'nerfs et 'quelques- uns des centres origina
f.... ? ,. , ? ? \ M. Roller. Des processus morbides psychiques.et
moteurs
relative-' H j... ,i t . *n uu. , i.j...... * *
elle est damnée. Eu lou^cas la contradiction entre les phéno- mènes
moteurs
et les conceptions inexplicables par des considér
iques sur la rage's'accu'sent nêttemênt'gcâce , à3 ces deux'`grândà
moteurs
des tempmoernes : lâ'p>^ésse et les réunions
ète d'une iris (12 observations), soit à une paré si d'un des nerfs
moteurs
de l'eeil (14 observations se décomposant en :
e d'une iris, exclusivement la droite, 18 fois la parésie d'un nerf
moteur
de l'oeil (oculo-moteur commun = 7 fois; nerf g
a fait ressortir l'importance du cerveau antérieur. Les conceptions
motrices
de la nuque et du'tronc y sont' probablement lo
ue, névrites périphériques, sciatiques vraies); - 5° les paralysies
motrices
d'origine périphé- rique ; 6° les troubles trop
sement musculaire, rarement de l'anesthésie, tels sont les'troubles
moteurs
et sensitifs ; de l'amaigrissement, des accès de
à la théo- rie des , par Chvosteck, 143, ' 292; sur- un' cas' d ?
motrices
111 verbales, eliez ? une paralytique ''génér
, 158,t239. 308, 399, 471., '' Morphinopiiagie,* par Pichon, 53. -
Moteur
,' de quelques états de fai- blesse 'irritative'
e fai- blesse 'irritative'du'système, par Fuerstner, 186 ? ,Y,'
Motrice
, perte dissociée de la sen- sibilité musculaire
crologie, Br6\,vii- Séq a d par r Dauriac,' 468.- *»--- , 1, Nerf
moteur
, des altérations du bout central du - après' la
des , par L3ermann; 201;218;°dégé- nérescences ascendantes .des
moteurs
chez' 1'liomme, par C. Mayer, 209. -' '" . ' 'T
permanent, par Giuzzetti, 194. - Processus morbides psychiques et
moteurs
dans la folie simple, par ' Roller, 394 Protu
de la difficulté qu'il éprouve pour marcher : douleurs et troubles
moteurs
sont liés à un mal de Pott. PARAPLÉGIE SPASMODI
fréquence. S'ils n'ont pas la « cons- tance absolue » des troubles
moteurs
sur laquelle insiste M. Van Gehuchten, ils n'en
gurantes, sur les troubles génito-urinaires, sur l'incoordi- nation
motrice
. Des malades qui sont devenus presque impo- ten
evenus presque impo- tents par suite du progrès de l'incoordination
motrice
aux membres inférieurs, récupèrent très facilem
t;'iY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 IV. Un cas de polynévrite
motrice
d'origine grippale; par M. Glu- Rieur. (JOU1'l1
dant que, dans la majorité des cas, il s'agissait de tabes plu- tôt
moteur
que sensitif. De ces observations, ne se dégagent
ues (algies parachoréiques), les autres se superposent aux troubles
moteurs
(algies juxtachoréiques); ce sont surtout des mya
un homme à antécédents névropathiques héréditaires. Les troubles
moteurs
furent précédés de troubles de la salivation et d
-il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXVIII. Polynévrite tuberculeuse
motrice
; par Glorieux. (Poli- clinique de Bruxelles, ja
e tuberculeuse par élimination de toute autre cause. Les troubles
moteurs
portaient surtout sur les muscles des jambes, d
le pédoncule cérébral droit et le haut de la protubé- rance avec le
moteur
oculaire commun du même côté. L'autopsie confir
érieures et antérieures, nerfs spinaux, nerfs craniens sensitifs et
moteurs
, bulbe, substance cérébrale corticale et gan- g
de la déglutition et de la phonation. La distribution des troubles
moteurs
et sensi- tifs intéressant les paupières supéri
ns l'enfance, l'existence de troubles sensitifs à côté des troubles
moteurs
, l'absence de dégénérescence amyotrophique, l'imm
iniques sont les manifestations de lésions intéressant les cellules
motrices
des cornes antérieures, lésions qui elles-mêmes
me côté. La lésion initiale parait siéger dans les zones sensitivo-
motrices
de l'hémisphère droit., R. C. REVUE DE MÉDECINE
est qu'on puisse admettre encore des névrites aiguës exclusivement
motrices
, indépen- dantes de toute lésion spinale. Enfin
e concurrence d'origine nerveuse. A propos des tics et des troubles
moteurs
chez les délirants chroniques. . Du syndrome mu
lexité soit assez grande. Je pense que l'apparition de ces troubles
moteurs
, véritable syndrome mus- culaire chez une malad
extrêmes de l'altération d'un même système anatomique : le neurone
moteur
périphérique. Le pronostic dépend du mode de dé
re : sans troubles trophiques, sans hyperhydrose, mais les troubles
moteurs
en sont très marqués. Alors que sa main gauche
; il continue à travailler durant un mois encore, mais les troubles
moteurs
s'accentuent de plus en plus : il ne peut plus
rmale des deux côtés. Il en est de même de la réaction sensitive et
motrice
du nerf cubital percuté au-dessus de la gouttière
disparition de l'anesthésie; amé- lioration notable de l'impotence
motrice
. Le 6 juillet, seconde séance de faradisation ;
s, par exemple, ou dans les fléchisseurs. Le degré de l'impotence
motrice
a été très variable d'un cas à l'autre. Certain
l'étendue de ces troubles sensitifs et l'extension de la paralysie
motrice
. Dans l'observation I, où la paralysie était li
s cet ordre, puisque chez l'un de nos malades (obs. V) la paralysie
motrice
a totalement disparu avant que la sensibilité c
antes, sur les troubles génitaux, urinaires et sur l'incoordination
motrice
». Le professeur Motchoutkowski donne dans ses
Mendel, Rosenbaum, Bélougou. -' Amélioration des troubles des nerfs
moteurs
des yeux : Ber- nhardt, Ladame, Rondel, Moutard
s oculaires. Chez 4 on obtint une amélioration notable des troubles
moteurs
, des douleurs fulgurantes,' du signe de Romberg
seule la gymnastique raisonnée est capable d'agir sur les troubles
moteurs
par le rétablissement de l'association de ce qu
n du monde mé- dical principalement par l'amélioration des troubles
moteurs
des tabétiques. Des 14 premières observations p
e venait de la salle seule, en se servant d'une canne. Les troubles
moteurs
, ainsi que ceux de la vue, dispa- raissaient à
iffusion de la vérité scientifique. - Simon. VIII. Sur les noyaux
moteurs
médullaires innervant les muscles ; par SAM. (J
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. neurones sensitifs et les neurones
moteurs
forment un ensemble physiologique qui se trouve
culaires fournissent les premières excitations tonifiantes au noyau
moteur
, assurent la coordination des fais- ceaux éléme
n constate des troubles de la sensibilité accompagnant les troubles
moteurs
. A la fin de la première année, amélioration pa
tions cérébrales a remarquablement progressé : en outre des centres
moteurs
, on a présentement par- faitement défriché la t
KERAVAL. XXVIII. De l'influence de l'anémie aiguë sur les cellules
motrices
de la moelle; par J. 1BELTZSr. (Obozrénié pschi
pressure aortique de soixante minutes, les altérations des cellules
motrices
de la moelle sont beaucoup plus tranchées. La d
oi qu'il en soit, le faisceau sensitif, con- trairement au faisceau
moteur
, se divise en énormément de neu- rones : ce fai
simple percep- tion lumineuse forme, avec le concours de l'élément
moteur
de l'oeil, des images d'objets; vers les limite
la zone du langage incluse dans le champ auditif sensoriel. La zone
motrice
, toute zone de projection qu'elle soit, reçoit
s mouvements sont consécutifs aux perceptions sensorielles. La zone
motrice
est bien plus une zone d'association que la grand
Le pied des frontales est en réalité un champ d'évolution dela zone
motrice
: sa partie moyenne, prolongement du centre mot
ution dela zone motrice : sa partie moyenne, prolongement du centre
moteur
du bras, est le territoire des mou- vements com
ommuns des lèvres, de la face, de la langue, du larynx. Les centres
moteurs
de l'écriture et de la parole sont donc le sièg
urs de l'écriture et de la parole sont donc le siège de la fonction
motrice
la plus , intellectualisée, qui utilise d'innom
en vertu d'un développement plus parfait et plus intense. La sphère
motrice
, dans la portion qui s'étend en avant au pied d
es, a une valeur fonc- tionnelle bien supérieure à celle de la zone
motrice
destinée aux mouvements ordinaires des muscles
ntale, à ceux des muscles en question adaptés à l'écriture. La zone
motrice
s'est développée intellectuellement, par suite
territoire d'association antérieur de Flechsig, n'est ni un centre
moteur
, ni un centre sensoriel.' Il est purement psych
'union physiologique de tous les pro- duits du travail sensoriel et
moteur
des autres territoires corticaux. C'est là que
au par coup de feu dans la région temporale droite en pleine zone
motrice
. Après un coma de dix-huit heures le malade revin
ivains. Renvoie aussi la photographie des pièces d'un cas d'aphasie
motrice
sans 6K ? <t ? M'e étudiée clini- quement pa
nce du mardi 17 décembre 1901. ' Automicrosthésie et incoordination
motrice
. M. BLOCH revient sur la récente communication
sie. Il rapporte l'observation d'un tabétique dont l'incoordination
motrice
fut très notablement améliorée par la rééducati
les mots que les sen- sations. A retenir l'importance de l'élément
moteur
dans la mémo- risation. La mémoire de reprodu
sive ; 2° il n'est pas un seul signe diagnostique tiré des troubles
moteurs
qui puisse être regardé comme spécifique de la
érale ne se peut établir que par la réunion de tous les signes tant
moteurs
que psychiques, qui, dans la plupart des cas, f
fficile à classer mérite le nom d'hypotonie généralisée'. Névrite
motrice
généralisée avec signe de Babinski., M. Lortat-
e l'atténuation des accidents déjà constitués. ,20 La rééducation
motrice
, qui permet aux malades de retrouver la coordin
26 janvier 1902.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. l3wuem. - L'aphasie
motrice
, in-8° de 126 pages avec 14 figures. Paris 1901
et pathologique sur l'étude du lobe frontal en dehors de la région
motrice
, in-8° de 511 pages. Paris 1901, Léon Roux, édi
otion consciente se compose « de tendances, c'est-à-dire d'éléments
moteurs
, et d'états de conscience agréables, pénibles o
cela, l'influence d'une tendance organique ou d'un trouble vaso-
moteur
? ` ? Nous admettrons donc que la cause des obs
s et d'inhibitions ou phénomènes d'arrêt, c'est- à-dire de troubles
moteurs
volontaires. Dans les mouvements en général, il
essions dites intellectuelles, que nous avons étudié ces troubles
moteurs
. Mais ils se rencontrent également dans les autre
t.) Depuis longtemps, Cordes avait signalé l'existence des troubles
moteurs
dans « l'Agora- phobie », et, bien avant lui, B
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 299 Un dynamo est mis en mouvement par un
moteur
au pétrole de 6 chevaux, charge 35 accumulateur
sible d'admettre un foyer comprenant tout le territoire de l'oculo-
moteur
et du pathétique avec des phénomènes initiaux aus
I. Les troubles en rapport avec l'inégal développement du'mécanisme
moteur
et du mécanisme gramma- tical de la parole : ,
ganiques entrave considérablement la culture des aptitudes verbales
motrices
et acoustiques, parce 'que l'enfant ne peut se
nt bien ; il y a ici fai- blesse, des centres optiques, tactiles et
moteurs
, ou acoustiques, tactiles et moteurs. Les organ
centres optiques, tactiles et moteurs, ou acoustiques, tactiles et
moteurs
. Les organes de la parole sont maladroits et le
es, portant sur des excitations prolongées de l'odorat ; le travail
moteur
étant enregistré pour le médius à l'aide de l'e
riels seraient plus affaiblis intellectuellement que les aphasiques
moteurs
, ou du moins ils tomberaient plus faci- lement
es assaillent et plus particulièrement aux hallucinations psycho-
motrices
, ces troubles sont notablement moins accusés dans
ent en un état d'obuubilation intellectuelle, un repos psychique et
moteur
paraissant lié au repos des centres respiratoir
des contractures par suite d'un fonctionnement anormal des centres
moteurs
. Puis les résultats de différentes expériences-
une sensation d'engourdissement dans le bras, mais sans troubles
moteurs
. Elle avait redouté simplement à ce moment là d'ê
temps que la paralysie faciale, il s'était produit une paralysie du
moteur
oculaire externe droit et le malade avait de la
ce faisceau peut avec le long supi- nateur compenser les fonctions
motrices
restreintes du bras. Le malade fléchit, quoique
encore sur des muscles des bras qui ne sont pas atteints de trouble
moteur
myotonique. L'excitabilité mécanique des muscle
n'éveillent plus l'intelligence ; elles se déchargent sur la région
motrice
: les mots en quelque sorte rebondissent, ils son
t donc prédisposé à bégayer de n'im- porte quelle manière. Tout jeu
moteur
peut d'ailleurs être le siège d'un trouble de l
arfaitement. Déclaré irresponsable. P. KERAVAL. LXXIX. Des troubles
moteurs
à évolution aiguë présentant les caractères de
avec atrophie musculaire, troubles sensitifs, trophiques et vaso-
moteurs
, des fléchisseurs et pronateurs de l'avant-bras d
s des artères et se manifeste par l'apparition brusque de faiblesse
motrice
passagère, de troubles vésicaux, d'ataxie bien
ins d'intensité l'une ou l'autre des formes suivantes : convulsions
motrices
, sensorielles ou psychiques (intellectuelles ou
; après lui, par ordre décroissant de fréquence, viennent les nerfs
moteurs
oculaires externe et commun, trijumeau et sa br
ues, l'auteur prouve qu'on ne peut rattacher la paralysie des nerfs
moteurs
ni à une lésion des centres cérébraux, ni à une
fréquence est en raison' directe : 1° de ce que le trajet des nerfs
moteurs
les met en rapport plus intime avec la base ; 2
scles en travail et excercerait un pouvoir paralysant sur la plaque
motrice
. G. Carrier. XIX. Contribution à l'étude des ch
entre choréigène ; les lésions sont disséminées sur tout le tractus
moteur
et même sur les nerfs phériphériques. Les reche
r dans des attaques qui débutent par un cri, sans aura sensitive ou
motrice
, qui se continuent par une perte subite de la c
eil. On a constaté, à ce moment-là : 1° L'existence d'une parésie
motrice
portant sur tout le côté droit, sans participat
s participation appréciable du facial; 2° L'existence d'une aphasie
motrice
(aphémie) totale; la malade comprenait tout ce
bout de quinze jours, il ne subsistait plus de traces de la parésie
motrice
. Les troubles aphasiques se réduisaient à une c
s, la malade a présenté, pendant quelques jours, une légère parésie
motrice
du côté droit, sans participation manifeste du
sans participation manifeste du facial, mais accompagnée d'aphasie
motrice
, d'une légère surdité verbale et d'une hémianop
de même que l'attaque transitoire d'hémiparésie droite et d'aphasie
motrice
sont sous la dépendance de lésions corti- cales
IQUE NERVEUSE. ' bide, à savoir : l'hémiparésie droite et l'aphasie
motrice
antécédente, l'amnésie verbale, sans compter la
s éléments de la pathologie ner- veuse. , De même, qu'une aphasie
motrice
implique une lésion ou un trouble circulatoire
es de vertige, de l'attaque d'hé- miplégie transitoire et d'aphasie
motrice
. Eu égard à la nature de ces lésions, je vous a
ccidents paroxys- tiques : accès de vertige, hémiparésie et aphasie
motrice
transitoire,-et des altérations clystrophiques
s tendi- neux, qui va jusqu'à la trépidation spinale. Une aphasie
motrice
complète ; incontestablement elle s'accompagne
e gauche ou de la portion sous-jacente du centre ovale. L'aphasie
motrice
totale, l'aphémie, si distincte des désordres m
. L'aphasie motrice totale, l'aphémie, si distincte des désordres
moteurs
du langage, qui sont sous la dépendance d'une a
s'associent des phénomènes en rapport avec la compression des nerfs
moteurs
de l'oeil, ou du trijumeau, des phénomènes de p
rfs moteurs de l'oeil, ou du trijumeau, des phénomènes de paralysie
motrice
dans les membres (compression des pédoncules cé
asiques : cécité verbale, surdité verbale, aphasie optique, aphasie
motrice
(aphémie) ; sans compter les hal- lucinations d
émie) ; sans compter les hal- lucinations de la vue et l'hémiplégie
motrice
, qu'on observe quel que soit celui des deux hém
bserver de la dysarthrie. Assez souvent, on observe de l'hémiplégie
motrice
, de l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle, des
avec la compression ou la lésion du pédoncule cérébral (hémiplégie
motrice
, plus SUR TROIS cas d'hémianopsie. 473 rareme
e par les différents auteurs sous le nom d'hallucinations psycho-
motrices
. II Nous ne voulons pas ici faire l'historiqu
ntant t le type clinique complet des hallucinations dites psycho-
motrices
, relevaient ici particulièrement d'un mécanisme
e de ces pensées est assez intense elle se traduit par une réaction
motrice
qui consiste dans la diction des phrases pensée
ion d'hallucinations psycho- DE LA GENÈSE DES HALLUCINATIONS. 481
motrices
. Leur genèse est d'une façon très manifeste, dans
lucinations décrites en psychiatrie sous le nom d'hallucinatios .
motrices
, les seules dont nous voulions nous occu V No
n de ceux dans lesquels sont observées des hallucinations psycho-
motrices
doit renseigner sur le mécanisme ou les mécanisme
d'une forme d'hallucinations qu'habituellement on nomme psycho- '
motrice
. Mais dans l'étude de l'état mental de L..., indé
intérieur. On désigne habituellement par ce terme cette modalité
motrice
de la pensée en vertu de laquelle toutes nos pens
ce langage psycho-sensoriel ne vienne à la conscience d'une manière
motrice
, donc par le langage intérieur (Vaschide). 484
re en jeu, provoque des hallucinations qu'on peut appeler psycho-
motrice
, à cause des coefficients moteurs subjectifs etob
ations qu'on peut appeler psycho- motrice, à cause des coefficients
moteurs
subjectifs etobjec- tifs qui accompagnent les d
roché de ces phénomènes intellectuels un certain nombre de troubles
moteurs
très fréquents chez les déments précoces. C'est
comme le résultat de la persistance indéfinie d'une représentation
motrice
. La stéréotypie de la pensée s'accompagne de st
dérées comme des formes de la suggestibilité : une repré- sentation
motrice
déterminée s'impose à l'esprit et évoque im- mé
prit et évoque im- médiatement le mouvement correspondant. Des tics
moteurs
, des tics du langage (brusque émission de mots
membres. Dans ce mutisme de naissance il s'agit d'absence d'images
motrices
et d'ignorance des mouvements, puisque l'enfant
x qui commencent à parler), et ceux de l'articulation; les troubles
moteurs
, les organes périphériques de la parole sont in
te des idées, l'orientation, la faculté de comprendre, l'excitation
motrice
, les phénomènes d'arrêt, etc. L'analyse clinique
ntre la fuite des idées et la « salade de mots », entre l'agitation
motrice
des maniaques et les impulsions des catatoni- q
e des maniaques et les impulsions des catatoni- ques, entre l'arrêt
moteur
et le négativisme, etc. Le groupement particuli
r Anes- l7tésie. anémie aiguë. Influence de l' sur les cellules
motrices
de la moelle, par Bielitzky, 151. AacsTUése b
ambulatoire, par Lass, 389. Automicrosthlsie et incoordination
motrice
, par blocs, 162. Autosuggestion du vertige et l
e unité, au point de vue embryo- logique ? pal 0. Fragmto. 148.
motrices
de la moelle. Voir Ané- mie. Forme particulière
Mignot et Sérieux, 419. Psycho- logie de la genèse des psycho-
motrices
, par Vaschide et Vurpas, 474. Helminthiase in
che. Elude de pathologie men- tale, par \V. Ireland, 238. Noyaux,
moteurs
médullaires Inner- vant les muscles, par Sano,
Cas de - d'origine diph- térique, par Glorieux, 47. tuberculeuse
motrice
, par Glo- rieux, 54. - ou Poliomyélite, par B
inq anr, frappée d'hémiplégie droite à cinquante-trois ans. Aphasie
motrice
en voie d'amélioration. Paralysie prédominante
attaque d'apoplexie, qui le rendit hémiplégique droit et aphasique
moteur
. Le facial inférieur droit est paralysé; le fac
ntuée, avec contracture, et perver- sion de la sensibilité. Aphasie
motrice
. La joue droite est flasque et tombante, la com
ion XIX. IL M..., quarante-cinq ans. Hémiplégie droite avec aphasie
motrice
en 1895. Envoie d'amélioration. Con- tracture t
h... Auguste, soixante-cinq ans. Ilénii- plégie droite avec aphasie
motrice
en décembre 1897. Joue droite flasque et tomban
t, soixante-deux ans, a été frappé d'hémiplégie droite avec aphasie
motrice
en 1896. Contrac- ture très accentuée, surtout
le il y a une différence considérable dans l'intensité des troubles
moteurs
. Et si, à notre avis, on ne peut plus parler d'
faits, il nous semble impossible d'accepter l'existence d'un autre
moteur
cortical pour le facial supérieur localisé ou p
remier abord, le releveur de la paupière supérieure, innervé par le
moteur
oculaire commun participe à la paralysie. La fe
e. Le facial supérieur a perdu toute action sur l'orbiculaire et le
moteur
oculaire commun agit normalement sur le releveu
a frappé exclusivement le nerf facial, respectant les autres nerfs
moteurs
de la face. Dans l'autre, il s'agit d'une lésio
les centres d'origine de tous les nerfs d'une moitié du corps. Le
moteur
oculaire commun, bien que ne jouissant que de mou
ue celui-ci possède quelques mouvements asynergiques, tandis que le
moteur
oculaire ne jouit que de mouvements synergiques
ulaire ne jouit que de mouvements synergiques ? Nerf synergique, le
moteur
ocu- laire conserve l'intégrité complète de ses
ial supérieur parésie est diminuée. Par son action syner- gique, le
moteur
oculaire opposé supplée son homologue du côté p
n'admet pas que la lésion cérébrale a frappé le centre originel du
moteur
oculaire. En résumé la lésion cérébrale paralys
faire agir asynergique- s ment, etdiminue simplement la tonicité du
moteur
oculaire commun dont presque tous les mouvement
ciés. D'autres symp- tômes font encore admettre la participation du
moteur
ocu-' laire commun à la paralysie. Souvent (thè
nellement même on a vu une paralysie de l'oeil. La participation du
moteur
oculaire commun à l'hémi- plégie n'est pas fata
e releveur de la paupière est plus paralysé que l'orbiculaire. Le
moteur
oculaire commun ne présente qu'un seul muscle d
paupière et encore chez certains individus seulement. , Comment le
moteur
oculaire commun peut-il être atteint par la lés
tions concluent que toute tentative de localisation du centre du
moteur
oculaire commun est encore prématurée (1895) et
parition et de l'évolution des paralysies du facial supérieur et du
moteur
oculaire commun chez les hémiplégiques. Ces p
eptionnellement rare de voir la paralysie du facial supérieur et du
moteur
oculaire com- mun persister à un degré très acc
du côté para- lysé ne peut s'expliquer que par la participation du
moteur
oculaire commun à la paralysie. 5° L'intégrit
intercostales, viscérales, etc. ; les centres thermiques et vaso-
moteurs
étant intéressés, nous assistons aux troubles de
d'angoisse pré- cordiale, laquelle se propage plus haut aux centres
moteurs
céphaliques ; c'est alors que les malades comme
rmalement, La figure est congestionnée. Il n'existe pas de troubles
moteurs
dans les muscles de la face et de la langue.
éflexes qui, venant des racines postérieures, tiennent les cellules
motrices
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 61 dans uu ce
s cas graves de chorée ordinaire avec hypérémie corticale de l'aire
motrice
quelquefois compliqués de manie, l'auteur pense
que des deux côtés la localisation morbide prédominante sur l'aire
motrice
détermine le syndrome choréique. F. Boissier. X
Il s'agit de contractions parfois fugaces, iudoleutes et sans effet
moteur
, qui parcourent tous les muscles du corps ; le pl
comprimant à gauche la racine sensi- tive du trijumeau, sa branche
motrice
, le moteur oculaire com- mun, le pathétique, et
à gauche la racine sensi- tive du trijumeau, sa branche motrice, le
moteur
oculaire com- mun, le pathétique, et les nerfs
es présentent une forme fruste de cette maladie où l'incoordination
motrice
constitue le seul symptôme constant. Nosographi
roubles oculaires, abolition des réflexes rotuliens, incoordination
motrice
; puis les troubles trophiques : mal perforant, ar
s les membres inférieurs, la parésie vésicale et l'incoordi- nation
motrice
. J.-B. CHARCOT. III. Recherches cliniques et th
es circons- tances, trois réactions différentes : 1° Une réaction
motrice
, dans les muscles desservis parle nerf : flexio
normale plutôt grâce à leur propre poids que par ordre des centres
moteurs
. La perception est très réduite. Le malade para
ci reçoit des ramifications. Ou bien la somme d'énergie d'un centre
moteur
, distribuée avant la section radiculaire à tout
le sous presse. Il fait remarquer que la zone 1 reste toute la zone
motrice
de Charcot (les ascendantes), la zone 5 constit
s y sont corticofuges. Mais ce ne sont pas des fibres de projection
motrices
, ce sont plutôt des fibres du corps calleux.
sont plutôt des fibres du corps calleux. Les fibres de projection
motrices
ne se développent nulle part les premières ; el
le raphé ; les autres point, mais elles arrivent toutes aux noyaux
moteurs
de la cinquième paire, du facial, et de l'hypog
du facial, et de l'hypoglosse. Le ruban de Reil pyramidal est donc
moteur
. C'est lui qui présente les deux variétés de traj
ue dans la région de l'olive supérieure pour se rendre aux noyaux
moteurs
des nerfs. 6) Il peut gagner la surface du pied d
la région rolandique avait des fonc- tions à la fois sensitives et
motrices
. L'opération vérifia le dignostic et permit l'e
normale, etc. Le diagnostic de tumeur située au niveau de la sphère
motrice
de hémisphère gauche fut posé, et l'opération f
tte dernière est due à ce que par l'opération, les fibres nerveuses
motrices
ayant été séparées, les cellules pyramidales on
ce côté que des désordres modérés, enfin chez certains l'altération
motrice
est légère; on trouve - 21 séiie, '. VII, i : "
e période de l'affection paralytique, avec un minimum de troubles
moteurs
. Voyons donc si les altérations du sens tactile
première et à la seconde période, non seulement quand les troubles
moteurs
sont légers et modérés, mais encore quand ils s
ution progressive de la normalité du tact à mesure que les troubles
moteurs
sont plus accusés et la marche croissante de l'
eux-ci. Il est même remarquable que c'est surtout avec les troubles
moteurs
excessifs que l'écart est fortement accentué. L
emière période, mais encore chez les paralytiques dont les troubles
moteurs
n'étaient pas excessifs. De cet ensemble de con
iodes de la paralysie générale sont l'apanage des sujets à troubles
moteurs
accusés. Voir nos deux tableaux détachés, ci-co
rmettrait de reconnaître la maladie avant l'apparition des troubles
moteurs
. Mes constatations tendent ensuite à établir qu
atées de beaucoup le plus souvent chez les sujets dont les troubles
moteurs
étaient les plus accusés. XVII. Dans l'immens
e générale, c'est l'anesthésie transitoire'précédant les troubles
moteurs
que signala le Dr de Crozant; mais ce fait intére
pleetiformes, crises épileptiformes, migraine ophtalmique, parésie
motrice
, tremblement, troubles de l'articulation des mots
nt émises par M. Lépine et M. Branly sur la pathogénie des troubles
moteurs
chez les hystériques. L'hypothèse de M. Lépine
entant de volume, il aurait amené une altération profonde du centre
moteur
et par suite une paralysie permamente. Enfin, d
Enfin, dans les derniers temps de la vie, en excitant les cellules
motrices
de la région, il aurait provoqué les crises con
(là moelle épinière dans le cas de Nonne), et notamment aux régions
motrices
. II. S. Nalbandow. Contribution ci la symptomat
né n'est que l'extériorisation d'un dynamisme psycho-sensoriel ou
moteur
. L'éréthisme sensoriel pousse le malade à attribu
65 à des êtres fictifs, ses [impressions imaginaires. L'éréthisme
moteur
fait qu'il attribue à des volontés étrangères ses
mpulsions automatiques inconscientes. Les deux sortes de phénomènes
moteurs
et sensoriels exis- tent souvent, mais leur ord
religieuses du délire chronique de M. Magan. Les hallucina- tions
motrices
paraissent le lien unissant ces deux groupes op
rme de maladie mentale, dit Cotard ', où les troubles de l'activité
motrice
se manifestent avec autant d'évidence que dans
la personnalité s'exalle dans la mêmeproporlion que l'acti- vité
motrice
. « De l'exagération du pouvoir moteur par leque
roporlion que l'acti- vité motrice. « De l'exagération du pouvoir
moteur
par lequel nous agissons sur les images du mond
rd. Loc. cit., p. 422 et 423. 268 CLINIQUE MENTALE. L'éréthisme
moteur
des anxieux, présente un caractère tout particu
mble que ce délire soit développé sur un état mala- dif des centres
moteurs
ou volitionnels. Le malade est d'une activité e
nt entre eux un trait commun qui est la prédominance de l'éréthisme
moteur
avec idée de toute-puissance incohérente et non
ique. Dans ces cas, on pourrait objecter que les troubles psycho-
moteurs
, par exemple, relèvent de l'hystérie seule, mais,
yclio-seiisorielles; ils les transforment plus vite en phéno- mènes
moteurs
; leur délire est d'emblée ambitieux, et l'on o
celui du rêve, avec idéorrhee, variation de l'émotion et excitation
motrice
vive. La démence aiguë est caractérisée par la
eurs prolongements périphériques, de la même façon que les neurones
moteurs
(chromatolyse, migration du noyau, tuméfaction
t du lapin, soutient que les neurones sensitifs, comme les neurones
moteurs
, ont des tendances naturelles à réparer leurs l
en question, et pour placer les sons dans un ordre déterminé (image
motrice
). Pour fixer une image phonétique au moyen de l
s par la lecture des caractères écrits ou imprimés)1; 4° les images
motrices
des mots parlés, c'est-à-dire des mouvements né
es pour reproduire oralement les images phonétiques ; 5° les images
motrices
des mots écrits, c'est-à-dire des mouve- ments
8", 1897. 308 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
motrices
et les centres destinés à Vexéculion mécanique de
ent dite, du côté paralysé. R. C. XXXVII. Le nerf spinal et le nerf
moteur
de l'estomac; par le Dr BATTELL1. (BIIII. méd.
'un malade ayant présenté tous les signes de la pré- tendue aphasie
motrice
sous-corticale : la prononciation des mots étai
oncentrique du champ visuel. 4° Amélioration complète des symptômes
moteurs
, sauf un léger affaiblissement des muscles mast
l'immobi- lisation qui ont été la cause occasionnelle des troubles
moteurs
, sensitifs et trophiques, ostéo-articulaires -q
e- ment par quelques cris ou déclamations. Au réveil, l'agitation
motrice
est presque complètement tombée; il ne reste plus
eil tranquille. Au matin elle est à nouveau plus calme, l'agitation
motrice
est sensiblement atténuée, l'incohérence moins
tain degré de confusion mentale avec, dans les sphères alfective et
motrice
, des réactions qui sont en rapport avec les per
élire, d'hallucinations, d'agitation, ou, au contraire, d'inertie
motrice
, avec ou sans variations marquées de l'état émo-
de l'hémisection de la moelle, il ne se produit aucun phé- nomène
moteur
, ni sensitif, dans le côté de l'hémisection, il
ls que les anesthésies, to- tales ou dissociées. Mais les symptômes
moteurs
ont été bien moins étudiés au point de vue de l
et troisième couches de l'écorce cérébrale dans les zones psycho-
motrices
, une atrophie dégénérative plus ou moins avancée
er- vation, type du premier groupe, les attaques précédées d'aura
motrice
sont suspendues. Dans celles du quatrième groupe,
ortent exclusivement à la fonction du mouvement ; 2° Les phénomènes
moteurs
sont de la même nature que ceux produits par l'
tion, mais qui peuvent trouver leur explication dans une conception
motrice
trop vague, trop peu aperceptive, trop incomplè
nt s'accomplissent les associations entre les centres auditifs, les
moteurs
et les tactiles, tous actifs dans le APERÇU G
associer les images opti- ques ou ensemble avec elles, les mémoires
motrices
avec des images vocales, et puis rappeler autom
nts nécessaires pour l'articulation des sons ou l'écriture (mémoire
motrice
) ; 3° reçoivent les excitations du monde extéri
un trouble de la mémoire verbale sensorielle (auditive, optique ou
motrice
) ou bien de la mémoire d'association (centre mo
s mutismes sensoriels organiques, il faut ranger : . 1e L'aphasie
motrice
, consécutive aux lésions de la troisième APER
e organique du cenlre d'association moyen cor- respond à l'ccphasie
motrice
avec alexie et agraphie. Le sujet ne peut pas p
guons entre autres les variétés sensorielles suivantes : 10 aphasie
motrice
dite aupa- ravant aphasie mot. traiiscorlicale
n comprenne ce qu'on lit ; 1 Cette variété portait le nom d'aphasie
motrice
subcorticale. 456 THÉRAPEUTIQUE. il arrive
tisme fonctionnel A' association du centre moyen comprend l'aphasie
motrice
sans alexie et agraphie. Le centre n'agit pas s
on peut incriminer la paralysie infantile qui provoque l'aphasie
motrice
, le mutisme extra-cortical et la sit2di-2 ? iztli
'ils comprennent la parole des autres. Pour nous c'est de l'aphasie
motrice
. Dans les cas un il est impossible d'agir sur l
e mutisme fonctionnel. ' Ce mutisme se distinguerait de l'aphasie
motrice
sensoiielle orga- nique en ce que la perte de l
parole spontanée tient dans la première aux troubles de la mémoire
motrice
sensorielle, et dans la seconde, à l'allaibliss
souvent il est dû à l'arrêt de développement mental ou à l'aphasie
motrice
en voie de décroissance. Le vice, abandonné à l
il tient par consé- quent à la dépression fonctionnelle des centres
moteurs
de l'écorce ou à l'abréviation de la voûte pala
OLOGIQUES.' XL. Contribution à l'étude des localisations des noyaux
moteurs
dans la moelle lombo-sacrée et de la vacuolisat
pour faire de nouvelles recherches sur les localisations des noyaux
moteurs
dans la moelle lombo-sacrée. Les faits observés
lules nerveuses ou noyaux qui sont en rapport avec l'innervation
motrice
de la jambe et du pied, un premier noyau postéro-
clut de cette particularité que le faisceau qui contient les libres
motrices
au niveau du poignet se trouve dans la partie i
ie, 1899, il,' 2.) 11 résulte de ces recherches : 1° que les libres
motrices
du nerf vague présentent deux noyaux d'origine
ices du nerf vague présentent deux noyaux d'origine : a) Un noyau
moteur
ventral ou noyau moteur à grandes cellules, con
sentent deux noyaux d'origine : a) Un noyau moteur ventral ou noyau
moteur
à grandes cellules, constituant le noyau ambigu
Ce noyau appartient en propre aux libres de ce nerf. b) Un noyau
moteur
dorsal ou noyau moteur à petites cellules. Ce n
propre aux libres de ce nerf. b) Un noyau moteur dorsal ou noyau
moteur
à petites cellules. Ce noyau~appartient à la fo
n plus rapide des pertes subies par l'organisme soit par la dépense
motrice
du SOCIÉTÉS SAVANTES. 493 maniaque, soit pa
t tenté de leur attribuer un rôle excitant, vis-à-vis de la cellule
motrice
. Quant à la nature on peut se demander si ces é
ies : il est plus efficace de produire d'abord une sorte de réflexe
moteur
et de créer une association synergique entre le
au, par Mike. 232. Hémiplégie. De l'état facial supé- rieur et du
moteur
oculaire com- mun dans 1' organique, par Mira
e de la -, par Urriola, 350. Etude des localisa- tions des noyaux
moteurs
de la lombo-sacrée par Van Gehucliten et de B
ète des membres du côté droit, sans paralysie faciale, sans aphasie
motrice
ou sensorielle, fait qui exclut déjà toute lési
la lésion intéressait à la fois l'hypoglosse gauche et le faisceau
moteur
droit, elle ne pouvait donc se rencon- trer ail
rtaines notions anatomiques géné- ralement admises aujourd'hui : le
moteur
oculaire commence à son origine dans la colonne
ophtalmoplégie externe bilatérale, puisque les centres des muscles
moteurs
de l'oeil sont contigus, ceux d'un côté touchant
s importants : ils ont limité leurs recherches aux grandes cellules
motrices
de la corne antérieure et décrit les altération
ssl. Les recherches ont porté sur deux lapins. Les grandes cellules
motrices
présentaientla modi- fication spéciale décrite,
(2e), Cour.oN (3e), THIBAUD (4°), DARIN (5°). Epreuve écrite : Nerf
moteur
oculaire externe; épreuve orale : Varioloïde; é
entre l'obsession et l'acte ; c'est, en quelque sorte, la décharge
motrice
. Celle forme d'impulsion se rencontre chez les dé
American journal of insanily, octobre 1895.) ' E. B. XI. Troubles
moteurs
dans la folie; par le D1' Richardson. L'auteur
intimes qui existent généralement dans la folie entre les fonctions
motrices
et les acti- vités purement intellectuelles de
l'unité, de l'indivi- sibilité de l'énergie corticale. Les éléments
moteurs
sont constitués par des cellules de forme spéci
lterne caractérisée par une hémiplégie droite avec une paralysie du
moteur
oculaire externe gauche. La maladie de Charcot
rééducation des mouvements a pour but de corriger l'incoordination
motrice
dans le tabès. Le prin- cipe de cette méthode e
lité de chaque exer- cice. Quand on étudie de près l'incoordination
motrice
chez les tabétiques, on est frappé de ce fait q
qui marche encore. Mais quel que soit le degré de l'incoordination
motrice
, les malades retireront le plus grand bénéfice
celui-ci ou celui-là selon les par- ticularités de l'incoordination
motrice
dans chaque cas de tabes. Nous ne saurons trop
malade soit par- venu à masquer pour ainsi dire son incoordination
motrice
, c'est-à-dire jusqu'à ce qu'il ait appris l'exe
de tomber. Naturellement cette peur fait paraître l'incoordinalion
motrice
plus grave qu'elle ne devraitêtre delà part des
'être fixé sur la nature et le siège anatomique de l'incoordination
motrice
. Les théories qui considèrent ce symptôme comme
uant à la théorie des centres et des conducteurs d'une coordination
motrice
défendue par Charcot et par Erb, on doit reconn
. La théorie sensi- tive de Leyden, qui subordonne l'incoordination
motrice
aux troubles de la sensibilité, a certainement
plus sérieux contre la subordina- tion absolue de l'incoordination
motrice
à l'anesthésie mus- culo-articulaire, est qu'il
que d'incriminer l'encéphale dans la production de l'incoordination
motrice
. C'est surtout Jendrassik' qui a défendu l'orig
quel mécanisme il pourra refaire l'éducation de sa coordina- tion
motrice
. Qu'on se rappelle ce que nous avons dit de la
les compenser. Le résultat sera une amélioration de la coordination
motrice
, Mais ce n'est pas là une amélioration dans le
otre connaissance mentionne des cas; dans lesquels l'incoordination
motrice
était développée, d'une façon-inégale dans les
et ne s'éteint que peu à peu. Au point de vue de l'incoordination
motrice
, le symptôme le plus important pour nous, on pe
aitement, elle n'était qu'hémiataxique. Néanmoins, l'incoordination
motrice
élait telle que la malade était incapable de se
r une canne. Mais rien que le fait qu'un tel degré d'incoordination
motrice
peut être modifié ne prouve-t-il pas toute la v
tement, ainsi que par la rapidité avec laquelle l'incoordina- tion
motrice
s'est atténuée à la suite des exercices. Après si
bétiques chroniques avec ataxie moyenne. Chez tous l'incoordination
motrice
a été améliorée d'une façon plus ou moins consi
e Frenkel n'ait d'autre prétention que de corriger l'incoordination
motrice
chez le tabétique, il est incontestable que tou
es du tabes qui ne sont nullement en relation avec l'incoordination
motrice
ont cependant été nota- blement améliorés sous
des hanches il ne sent que les grands mouvements. Incoordination
motrice
. Le malade exécute assez bien les mou- vements
ioration était telle qu'il n'existait presque plus d'incoordination
motrice
. Le malade sortait seul avec une canne, et fais
st beaucoup améliorée quoique plus lentement que l'incoordina- tion
motrice
. Nous n'avons constaté cette amélioration qu'au b
cun nou- veau symptôme de tabes. Il y a toujours de l'insensibilité
motrice
dans les articulations des pieds. Le malade nou
même nature, mais il peut s'établir entre hallucinations verbales,
motrices
et auditives. Quand il n'y a pas antagonisme, i
OCIÉTÉS SAVANTES. 213 214 SOCIÉTÉS SAVANTES. réaction d'un centre
moteur
qui donne, sous l'influence de l'exci- tation,
allucinations psychiques, pseudo- hallucinations, ou hallucinations
motrices
, le malade n'entend pas ou ne voit pas comme un
VANTES. 217 pas ; on les pourrait confondre avec les hallucinations
motrices
étudiées par Séglas, dont elles diffèrent égale
ar Séglas correspondraient plutôt aux hallucina- \ lions de Kramer (
motrices
). M. Séglas considère les causes péri- phérique
1896.. N° 10. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE TROUBLES
MOTEURS
PRÉCÉDANT L'ARTICULATION DE LA PAROLE CHEZ UN D
où l'on traitait et guérissait le bégaiement il voulut s'y TROUBLES
moteurs
DE l'articulation DE la parole. 259 rendre sur-
raisonnement et la réflexion n'y prenaient aucune part. TROUBLES
MOTEURS
DE l'articulation DE la parole. 261 Nous n'avon
ui, nous aurons l'occasion d'en parler longuement avec les troubles
moteurs
que nous allons décrire. Les phénomènes spasmod
il est un peu» impressionné, la phrase partagée par les phénomènes
moteurs
, sort en quelque sorte en lambeaux; en effet dè
enche. Pour peu que l'interrogatoire se prolonge, on verra TROUBLES
moteurs
DE l'articulation DE la parole. 263 bientôt s'a
tion profonde de soulagement et de bien-être. La durée des troubles
moteurs
est loin d'être fixe, et il serait impossible d
dra parler. Parmi les causes susceptibles d'agir sur les phénomènes
moteurs
que nous venons de décrire, figurent en premièr
connaître, on remarque une diffé- rence sensible dans les réactions
motrices
; elles ne vont pas d'ail- leurs jusqu'à dispar
'état de A. K... depuis son entrée à l'Asile clinique. Les troubles
moteurs
étaient, à son arrivée, très accusés, très viol
diminuer d'intensité; celte tendance s'accenlua de plus en TROUBLES
MOTEURS
DE l'articulation DE la parole. 265 plus, mais
mais offert pour notre malade la moindre difficulté. Les troubles
moteurs
associés au bégaiement ne sont pas extrêmement
sez grande ressemblance avec les accidents convulsifs dont TROUBLES
moteurs
DE l'articulation DE la parole. 267 K... est af
on spécifique du langage articulé dans la pro- duction des troubles
moteurs
. On a décrit des tics hystériques et leurs appa
est expliqué par la disposition topogra- phique des divers centres
moteurs
à la surface de la zone rolandique; dans le typ
ans le type facial, par exemple, la superposition des trois centres
moteurs
de la face, du membre supérieur, du TROUBLES MO
trois centres moteurs de la face, du membre supérieur, du TROUBLES
MOTEURS
DE l'articulation DE la parole. 269 membre infé
; à la face la période to- nique existe seule; de plus les troubles
moteurs
affectent une localisation sinon franchement hé
ale ascendantes faisant entrer successivement en action les centres
moteurs
du tronc, du membre supérieur et du membre infé
u goût, de l'odorat, de la sensibilité, des réflexes, des fonctions
motrices
, des fonctions sécréloires, salivation, sueur,
mine par exemple) pour calmer l'excitation psychique avec impulsion
motrice
considérable, c'est-à-dire en raison de leurs e
atteignent supérieurement deux racines diffé- rentes, les troubles
moteurs
et sensitifs sont également dénivelés à la péri
upérieur. La méningite bacillaire de la base, intéressant les nerfs
moteurs
de l'oeil n'est pas admise par l'auteur, parce
ématisée de différentes parties de la colonne formée par les noyaux
moteurs
superposés au bulbe, à la protubérance et à la
comprendre anatomique- ment la propagation de la lésion des noyaux
moteurs
supérieurs de la moelle aux noyaux moteurs du b
de la lésion des noyaux moteurs supérieurs de la moelle aux noyaux
moteurs
du bulbe, et la propagation de la lésion de ces
aralysies qui atteignent certains muscles de l'oeil innervés par le
moteur
commun et qui respectent certains centres inner
re du tabes, d'une lésion cérébrale localisée, d'une compression du
moteur
commun, etc., etc. Revenant à son observation
tabilité faradique redevint petit à petit normale, mais les muscles
moteurs
du pied gauche ne réa- gissaient que légèrement
affection du centre trophique, qui produit l'altération de la voie
motrice
périphérique en toute sa longueur. L'expression
, plus tard aussi se manifeste l'excitabilité des centres corticaux
moteurs
; 10° D'après l'observation correspondante d'un
nce com- plète et confinement au lit par suite d'une incoordination
motrice
absolue des membres inférieurs. Fréquentes cris
ent souvent le traitement. Amélioration notable de l'incoordination
motrice
après cinq mois de traitement. C. G..., couturi
mouvements des doigts présentent un certain degré d'incoordination
motrice
. La malade ne peut ni coudre ni écrire, ni sais
e, vu non seulement la gravité exceptionnelle de l'incoordi- nation
motrice
, mais aussi en considération de toutes les circon
dorsalis à marche rapide. Développement rapide de l'incoordination
motrice
. Au moment du commencement du traitement la mal
raitement la malade peut être considérée comme guérie de son ataxie
motrice
. M. B..., âgée de trente et un ans, modiste et
ulièrement, tous les mouvements qu'on lui ordonne. L'incoordination
motrice
est considérable quand la malade est debout et
. Observation V. Tabès dorsalis. Développement rapide de l'ataxie
motrice
. Deux mois de traitement. Amélioration notable de
Deux mois de traitement. Amélioration notable de l'incoor- dination
motrice
. M. R... âgée de vingt-six ans, couturière, ent
tement, malgré une amélioration incon- testable de l'incoordination
motrice
, la malade exécute assez cor- rectement tous le
eloppement très rapide de la maladie et surtout de l'incoordination
motrice
. Amélioration sen- sible de l'ataxie motrice ap
ut de l'incoordination motrice. Amélioration sen- sible de l'ataxie
motrice
après un mois de traitement. M. F..., âgé de so
vation VU. Tabes dorsal. Développement rapide de l'in- coordination
motrice
. Grande amélioration après deux mois et demi de
contrac- tion de ses muscles. Motilité. Couché. L'incoordination
motrice
est considérable, même pour les mouvements les
on VIII. Tabes dorsalis. Développement rapide de l'in- coordination
motrice
. Amélioration notable après quarante séances de
bait en se lavant la figure pendant la toilette. L'incoor- dination
motrice
dans les jambes se développe très rapidement. V
u- lations des membres supérieurs. Aucun trouble d'incoordination
motrice
dans tous les mouve- ments des mains et des bra
arante jours. Néanmoins et malgré l'intensité de son incoordination
motrice
, il a été consi- dérablement amélioré. Voici qu
ion IX. Tabès dorsalis. Développement très lent de l'incoordination
motrice
. Amélioration considérable de l'ataxie loco- mo
incoordination motrice. Amélioration considérable de l'ataxie loco-
motrice
après six semaines de traitement. M. M..., âgé
aines de traitement amélioration considérable de l'incoordi- nation
motrice
. Le malade peut maintenant marcher seul pendant
rie, t. IL. 26 401 BIBLIOGRAPHIE. centre de Broca ou de l'aphasie
motrice
au pied de la troisième circonvolution frontale
sies corticales) ou sur les fibres qui relient les centres d'images
motrices
, visuelle ou auditive aux centres généraux corr
rlée est altérée, mais d'une façon différente de celle de l'aphasie
motrice
. Le sensoriel, selon la définition de Déjerine
hasies pures, mais ce ne sont pas des aphasies vraies. Ces aphasies
motrices
sous-corticales, cécité verbale pure, surdité v
e l'aphasie sensorielle. L'aphasie sensorielle diffère de l'aphasie
motrice
. Le sensoriel est verbeux, le moteur n'a que pe
sorielle diffère de l'aphasie motrice. Le sensoriel est verbeux, le
moteur
n'a que peu de mots à sa disposition. La cécité
erbale est moins accusée et la surdité verbale n'existe pas chez le
moteur
. L'agraphie est totale chez le sensoriel, il écri
l'imprimé comme un dessin et le reproduit en imprimé; tandis que le
moteur
copie l'imprimé en manuscrit. L'aphasique mot
é; tandis que le moteur copie l'imprimé en manuscrit. L'aphasique
moteur
sous-cortical ne parle pas spontanément et ne p
inion de Charcot et d'lxner qui affirmaient l'existence d'un centre
moteur
autonome graphique. M. Mirallié adopte les opin
linique, il affirme que l'agraphie pure, non reliquat d'une aphasie
motrice
ou sensorielle, est encore à démontrer. Il cite l
ssure de Sylvius : pied de la troisième frontale, centre des images
motrices
d'articulation; partie postérieure des première e
eure, le bord interne du pied du pédoncule puis arrivent aux noyaux
moteurs
du bulbe. Cette zone du langage est irriguée pa
s- tance. C'est eux-mêmes qu'ils accusent et les troubles psycho-
moteurs
initiaux montrent que les lésions de la volonté s
s moins passifs que s'ils étaient dépourvus de tète (hallucinations
motrices
). « Ils offrent cependant cette particularité q
li- quer la théorie de M. Paul Garnier : l'hallucination (psycho-
motrice
dans l'espèce) surgit alors en vertu d'une sollic
'être la cause de sa désagrégation. Aussi, les phénomènes psycho-
moteurs
se mettent-ils d'accord avec les troubles sensori
rétaires, il leur dicte ses volontés (hallu- cinations de l'ouïe et
motrices
combinées) et ils les répètent. Tantôt ils sont
tion en eux, de possession divine, comme on l'a dit (hallucinations
motrices
seules). Dans l'un et l'autre cas, il s'établit
be frontal, et le mystérieux interlocuteur cantonné dans le cerveau
moteur
. Le premier pose des questions auxquelles le se
second, con- sulté, répond automatiquement. Un dynamisme psycho-
moteur
est réalisé, conscient, mais involontaire chez le
La vérité est que pour être certain de produire la paralysie vaso-
motrice
, il faut extirper le plexus ca;liaque. Mais comme
signer par un nom : ces chorées en- globent la plupart des troubles
moteurs
vulgairement et vague- ment désignés sous le no
ATHOLOGIE NERVEUSE. ressante à connaître qu'en raison des réactions
motrices
qu'elle enlraîne, elle peut s'associer d'autres
achilléen et diminution de la sensibilité à droite. L'aphasie est
motrice
et totale et cependant l'intelligence est conserv
ystématisée dès la sortie des nerfs de la moelle ; ainsi les fibres
motrices
qui émergent de la 486 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
différents, et qu'on provoque au moyen de l'excitation d'une racine
motrice
unique, ces mouvements associés, dis-je, cousti
nfluence du cerveau. 8° La distribution fonctionnelle des ra- cines
motrices
fait comprendre l'action rapide et si bien ordonn
chez les anor- maux, par Zuccarelli, 315. Articulation. Troubles
moteurs
pré- cédant l' - de la parole, par Pla- llat,
e la -, par llrdlil.a, 131. - morale, par Gorton, 132. Trou- bles
moteurs
dans la -, par Ri- cl¡a['(lson, 132. - et alcoo
, 143. QuE)EUECtiEYAL.An'ectioisde)a, par Raymond, 291. Racines
motrices
. IJlbtliuutlon fonc- tlUlll1elle des - clans le
r un gonflement éléphantiasique des deux jambes avec troubles vaso-
moteurs
d'allure particulière aux mains et aux pieds (Deu
ve pendant quelques semaines. Puis surviennent des phénomènes vaso-
moteurs
aux extrémités : les orteils, les pieds et les ja
te sorte. Au lieu de phénomènes de cyanose, ce sont des signes vaso
moteurs
actifs qui dominent la scène ; les symptômes so
pillaire consistant en une vague a peine ondulée, et la tache vaso-
motrice
persistait chez lui pendant un temps fort long. S
l'étude qu'il a faite des sensations occasion- nées par les organes
moteurs
: Revue sur le ...sens musculaire ! AI. Grasset
st-elle sous la dépendance de la lésion du noyau rouge et des voies
motrices
de la calotte ? Le fait est possible, puisque s
e de 1 hémisphère gauche ; méningo-encéphalite de la région psycho-
motrice
; malformation de la région postérieure de l'hémi
plopie. Il n'accuse ni troubles génito-urinaires, ni incoordination
motrice
; il n'a eu ni maux perforants, ni douleurs ful
ition des réflexes tendineux. Le signe de Romberg, l'incoordination
motrice
, les troubles sensitifs faisaient défaut : il en
tif. -N. Op. nerf optique.- N. p. nerf pathétique. N. m. o. c. nerf
moteur
oculaire commun. - N. f. nerf facial. N. tr. nerf
trique, spinal. N. g. hy. nerf grand hypoglosse. - N. m. o. e. nerf
moteur
oculaire externe. G. P. glande pituitaire. - AC
140 BRISSAUD ET BRUANDET A la fente sphénoïdale passent les 3 nerfs
moteurs
de l'oeil. Le moteur oculaire commun et le path
ET A la fente sphénoïdale passent les 3 nerfs moteurs de l'oeil. Le
moteur
oculaire commun et le pathétique naissent à que
ganglion ophtalmique et de là vont se distribuer normale- ment. Le
moteur
oculaire externe a une disposition particulière :
rachis cervical par un trajet de 1 centimètre 1/2 environ. Ce nerf
moteur
oculaire externe se fusionne avec les précédent
onditions une question se pose : quelle est ici l'origine des nerfs
moteurs
qui à l'état ordinaire, exige, en quelque sorte,
scopique UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 141 de nerfs purement
moteurs
(nerfs moteurs de l'oeil, facial, spinal, hypo-
AS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 141 de nerfs purement moteurs (nerfs
moteurs
de l'oeil, facial, spinal, hypo- glosse), l'exi
l'oeil, facial, spinal, hypo- glosse), l'existence des cylindraxes
moteurs
n'est pas absolument démontrée. Pour l'affirmer
ment démontrée. Pour l'affirmer, faudrait avoir observé des plaques
motrices
; comme nous n'avons pas étudié le foetus à l'ét
'état frais nous n'avons pas pu faire cette constatation. Les nerfs
moteurs
pourraient être, en somme, réduits à leur porti
ec le système ganglion- naire : ganglion ophtalmique pour les nerfs
moteurs
de l'oeil, géniculé pour le facial, plexiforme
sympathique. Cependant vu le volume à peu près normal de ces nerfs
moteurs
, vu leur distribution régulière par des fibres
sses musculaires il est à peu près certain que les fibres nerveuses
motrices
existent. t. L'absence des cellules nerveuses
nerveuses motrices existent. t. L'absence des cellules nerveuses
motrices
centrales étant bien constatée, on peut faire d
ut faire deux hypothèses. On peut d'abord supposer que les neurones
moteurs
ont existé pendant un certain temps et alors les
ale. 1 Ou bien il faut admettre que les neurones et les cylindraxes
moteurs
ont une évolution indépendante; les cylindraxes
. M. muscle. - G. Sy. grand sympathique. 142 BRISSAUD ET BHUANDET
moteurs
en s'appuyant sur cette constatation (spéciale à
ques tractus fibreux. Pellizzi (1) croit à l'existence des fibres
motrices
; cet auteur a constaté dans deux cas l'existenc
motrices; cet auteur a constaté dans deux cas l'existence des nerfs
moteurs
crâniens et, en outre, au devant des ganglions
devant des ganglions spinaux, l'existence d'une racine antérieure,
motrice
, dis- tincte de ce ganglion. Il a relevé dans t
ontrairement à la théorie classique de His, assignent au cylindraxe
moteur
une origine périphérique indépendante de la cellu
lindraxe moteur une origine périphérique indépendante de la cellule
motrice
centrale. Le squelette crânien et rachidien,out
en effet à ce niveau (C. VIII, D.I), origine des nerfs sensitifs et
moteurs
(cubital et médian) de la main et des doigts, q
onnants et une interruption plus ou moins complète de la conduction
motrice
ou sensitive de la moelle. Le diagnostic n'est
62 SPILLMANN ET ROCHE tique, après l'établissement d'nne paraplégie
motrice
et sensitive presque complète, due à l'interrup
ination mentale ; enfin cette agitation peut aussi prendre la forme
motrice
et se manifester par des cri- ses d'excitation
l'an- goisse, enfin des mouvements spéciaux au lieu de l'agitation
motrice
. Des mouvements particuliers ont attiré l'atten
i par conséquent se font plus facilement quand survient l'agitation
motrice
. Chez la femme, le tonnerre en tombant à gau- c
atisé de la même manière. Quand la systématisation de l'agitation
motrice
est complète, le phé- nomène caractéristique qu
alité, il y a différents degrés de systématisation dans l'agitation
motrice
des psy- chasténiques. Entre la crise d'agitati
agitation motrice des psy- chasténiques. Entre la crise d'agitation
motrice
purement diffuse et les tics complètement systé
er leur volonté et pour apprendre à éviter ces diverses dérivations
motrices
qu'ils présentent. TIC TONIQUE DU MEMBRE SUPÉRI
a pas d'incoordination des mouvements les yeux fermés. Les troubles
moteurs
cessent pendant le sommeil. Tous les muscles de
la fente palpébrale ni du champ visuel, pas de paralysie des muscles
moteurs
de l'oeil, ni de troubles de l'accommodation, n
du tic ; ce dernier n'est constitué que par la réunion, au trouble
moteur
, d'un trouble mental lié, lui-même, à des imper
emps pour un gmphospasme. Le caractère pathognomonique des troubles
moteurs
professionnels est, de « se produire à l'occasi
ui de porter la main à la bouche pour manger. De plus, le trouble
moteur
est double en quelque sorte, et constitué par u
de la main droite en hauteur et sur sa paume reflétant les troubles
moteurs
de l'épaule et du bras indépendamment de toute cr
du som- meil ; jamais, à aucun moment de la maladie, les phénomènes
moteurs
n'ont apparu la nuit. Enfin l'évolution génér
'état mental entraînant des modifications très heureuses du trouble
moteur
. N'est-ce pas là encore une vérifica- tion de c
cusée. Il y a, dans l'espèce, deux faits il con- sidérer,le trouble
moteur
d'une part, et ensuite l'habitude prise par le
et les autres peuvent être considérées comme résultant d'habitudes
motrices
anormales, représentées dans le cas particulier p
logue à celle du torticolis mental ou du trismus mental. Le trouble
moteur
« se manifeste par l'immobilisation exagérée d'
ntractions musculaires sont souvent très fortes, et si les troubles
moteurs
de l'épaule disparaissent facilement, chez notre
e du miroir a d'ailleurs corrigé assez facilement tous ces troubles
moteurs
. (1) Meioe et Feindel, Tic clonique el tic toni
lancement des bras tend à devenir régulier, rythmé ; les trou- bles
moteurs
deviennent moins apparents. (1) BnissAul>, T
ie crânienne. Examen du système nerveux. - Il n'y a pas de troubles
moteurs
; les mus- cles conservent leur tonicité; ils s
position des troubles sensitifs et trophiques. Pas d'incoordination
motrice
dans les mouvements commandés. Mais les mouveme
gales. Pas d'anesthésie cornéenne ; léger nystagmus ; aucun trouble
moteur
du globe oculaire. Le réflexe pupillaire à la
ébris de papiers, les vieux morceaux de pain etc. A cette agitation
motrice
du début a succédé peu.à peu un état d'apathie et
l était tout à fait tranquille et ne présentait aucune irrégularité
motrice
. Jejuâeai alors qu'il s'agissait d'un cas d'hys
é électrique est aussi normale. L'excitabilité électrique des nerfs
moteurs
nor- male. Tous les mouvements actifs et passif
juste, l'acte de rester assis est un système de mouvement, d'images
motrices
exactement comme l'acte de rester debout ou de ma
rit l'hystérie en général dans laquelle on observe diverses lésions
motrices
causées par l'amnésie ou par la paraly- sie, ma
s de Paris, en 1900 : mes cas appartiennent à la sphère des lésions
motrices
primaires (le second cas se trouve à la frontiè
ices primaires (le second cas se trouve à la frontière de la sphère
motrice
et émotionnelle) ; le cas de MM.Raymond et Jane
ont les lésions affec- tives primaires sont suivies par des lésions
motrices
secondaires. USAGES DES BANQUETS CHEZ LES CELTE
ation du Dr Péraire pour tous les détails con- cernant ces troubles
moteurs
et sensitifs qui ont été recherchés, ainsi que
UX DIFFUS DU MÉDIAN 333 A la suite de cette opération, les troubles
moteurs
sont limités à une paralysie des muscles opposa
riences de Maren- ghi qui, sur le chien, a observé une restauration
motrice
et sensitive par le crural, du sciatique réséqu
CE DIDE C'est d'abord le négativisme qui se traduit au point de vue
moteur
par : l'opposition, la résistance constante, la
(M. Dide.) LE PSEUDO-OEDÈME CATATONIQUE 365 366 MAURICE DIDE
moteurs
exceptionnellement notés, comme la démarche hésit
soumis aux conditions les plus diverses. A la vérité, les troubles
moteurs
présentés par ces chevaux ne sont pas des tics
ne sont pas des tics véritables, ils répondent plutôt aux habitudes
motrices
intempes- tives désignées, en médecine humaine,
r répétition » (4). « La stéréotypie diffère du tic par sa réaction
motrice
; elle n'a jamais l'apparence convulsive, cloniq
sculaires. L'étude clinique établira à quelle catégorie de troubles
moteurs
appar- tiennent nos lécheurs ; disons dès maint
er dans un sens ou dans l'autre.... » (1). Une perturbation psycho-
motrice
est à l'origine de ces deux sortes d'accidents.
chage observés par nous sous les rubri- ques suivantes : phénomènes
moteurs
, troubles psychiques, troubles de réflec- tivit
ivité, etc., stigmates physiques. Étude CLINIQUE. . 1. Phénomènes
moteurs
. - Le cheval atteint d'une habitude vicieuse de
geoire, cela tous les jours, plusieurs fois par jour. La réaction
motrice
de l'habitude de lécher représente un mouvement,
ment t de ce que serait un véritable tic de léchage par sa réaction
motrice
même qui ne présente aucun caractère convulsif.
t des idiots qui sont des manifestations anormales de leur activité
motrice
en rapport avec leur faible développement psychiq
particuliers, les mouvements des mâchoires appartiennent au trouble
moteur
lui-même qu'ils ne font que précéder ou interro
cit., p. 458. TICS ET STÉRÉOTYPIES DE LÉCHAGE ' 373 des troubles
moteurs
très compliqués dans leurs formes, le cheval est
nt, bourre sur l'obstacle, impatient pendant l'examen ; instabilité
motrice
manifeste. D'une éducation facile malgré cela,
ier qu'il cherche à mordre. On note principalement de l'instabilité
motrice
et de l'im- patience dans l'isolement. Réflex
mpatiente quand elle est tenue en main, présentant de l'instabilité
motrice
, irritable. Facile au ferrage et au pansage, dr
omber sous le coup d'une émotion vive, très impatient ; instabilité
motrice
extrême pendant l'isolement. Phobies nombreuses
as des sujets anormaux ; ils ne sont pas plus atteints d'un trouble
moteur
que l'enfant qui a l'habitude de lécher la crème
e morbide. Si nous ajoutons que ce geste, différent par sa réaction
motrice
particulière de l'acte vulgaire de lécher un vo
erve-t-on pas, en effet, chez nos sujets, la réunion d'une anomalie
motrice
évidente à un trouble psychique très caractéris
ncier d'un tic de léchage l'habitude morbide de nos chevaux; l'acte
moteur
qu'ils présentent ne revêt pas un caractère convu
sculaire » (1). D'après cette définition, on ne peut dire d'un acte
moteur
qu'il revêt la forme clonique que si la contrac
té des contractions musculaires. Sinon, on a affaire à une habitude
motrice
intempestive du genre des stéréotypies. Or, q
nre des stéréotypies. Or, que voyons-nous dans l'espèce ? Un acte
moteur
déformé en vitesse peut-être, puisque l'animal
(2) ; elles n'ont pas l'apparence convulsive. De telles « réactions
motrices
, devenues à la longue habituelles, involontaire
présent, les caractères d'automatisme et de subconscience des actes
moteurs
des animaux, l'observation clinique autorise du m
qui soit réellement paf' thologique par la modalité de sa réaction
motrice
. La gourmandise, la re- cherche d'une impressio
goût. Les sujets normaux ne présentent pas d'autre ma- nifestation
motrice
; ils lèchent le sucre ouïe sel, de temps à autre,
, émotif, impatient, impressionnable ; il présente de l'instabilité
motrice
, des pho- 384 RUDLER ET CHOMEL bies ; et cet
écher. Celle-ci devient, en effet, une habitude morbide, un trouble
moteur
psychopathique. Sans doute,-l'acte moteur ne pr
itude morbide, un trouble moteur psychopathique. Sans doute,-l'acte
moteur
ne prendra pas l'apparence con- vulsive, cloniq
fait même de sa longue durée et de sa répétition » (1). Un tel acte
moteur
est bien une stéréotypie. On voit déjà par ce p
effet entre les causes provocatrices que nous signalons et le trouble
moteur
lui-même. Nous estimons, en effet, que des lési
r les pressions de la langue. Examinons maintenant en détail l'acte
moteur
habituel. La langue, cons- tamment en mouvement
ne correspond pas exactement au tic par les caractères du phénomème
moteur
, il s'en rapproche à tous les autres points de
les signes d'un grand déséquilibre mental : mais il a des habitudes
motrices
vicieuses : mouvements stéréotypés pendant le c
umains de même nature, il existe, chez eux, une variété d'habitudes
motrices
vi- cieuses de léchage, des stéréotypies parllk
s illusions; ici, d'après Wernicke, les hallucinations, l'agitation
motrice
et l'insomnie manquent ordinairement, et la malad
térise par cela que les fausses sensations associées et l'agitation
motrice
, propres au delirium tremens, se prolongent pou
t l'on pourrait dire, par conséquent, que, chez ces sujets-là, le tic
moteur
est doublé d'un tic d'idées. La proposition que
nce d'une série de caractères cliniques concomitants de l'impuissance
motrice
, qui seuls pourront permettre de déterminer nosog
premier lieu la non-participation du facial inférieur à l'hémiplégie
motrice
, de telle sorte qu'il ne s'agit pas chez notre ho
ermanent très prononcé du champ visuel à droite, côté de la paralysie
motrice
, tandis qu'à gauche, le champ visuel est normal.
oxications, alcoolisme, béribéri, etc., etc., et que l'incoordination
motrice
de ces malades, si l'on y eût regardé de près, eû
avons toute raison de croire correct, la paraplégie, l'hémiparaplégie
motrice
du moins, se serait immédiatement produite, consé
rouverait chez les animaux avec tous leurs caractères: — 1° Paralysie
motrice
complète avec flaccidité du membre inférieur, fai
s d'élévation de température de ce côté ; —3° Pas traces de paralysie
motrice
, pas d'atrophie, pas d'exagération des réflexes;
a récupéré presque intrégra-lement — en ce qui concerne les fonctions
motrices
— l'usage de ses membres, et chez lequel il y a t
tre sujet : A. Côté gauche : 1° Il n'existe plus trace de paralysie
motrice
dans le membre inférieur. Celle-ci aurait été abs
ce de douleur était disparue dans le genou et cependant l'impuissance
motrice
dans le membre gauche tout entier, surtout en ce
t nous apprend en effet ce qui suit. Il fut un temps où l'impuissance
motrice
des membres inférieurs a été absolument complète.
ne amélioration très notable. Les douleurs cessèrent, l'impuissance
motrice
disparut en grande partie et à partir du 18 août
e, c'est celle-ci qui, à un moment donné, a déterminé une impuissance
motrice
complète à peu près également répartie sur toute
processus morbide concentre son action dans le voisinage des cellules
motrices
des cornes antérieures et peut-être primitivement
es antérieures de substance grise un ou plusieurs groupes de cellules
motrices
qui ont été détruits. La conséquence nécessaire d
e, clu cylindre axile d'un nombre plus ou moins considérable de nerfs
moteurs
correspondants, par suite l'atrophie consécutive
rophie consécutive des muscles ou partie de muscle auxquels ces nerfs
moteurs
se rendent. Mais il ne s'agit pas ici seulement
rile plus ou moins accentué, envahit la région des cellules nerveuses
motrices
des cornes antérieures et en détruit un certain n
nes antérieures et en détruit un certain nombre, répond une paralysie
motrice
plus ou moins complète du membre ou des membres r
rès, à ce qui se voit dans les cas de section expérimentale des nerfs
moteurs
, d'importantes modifications des réactions électr
perte totale et nécessaire de quelques-unes, au moins, des fonctions
motrices
des membres affectés; attendez, avant de rien déc
reconstitution n'a pas été plus loin ; partout ailleurs l'impuissance
motrice
est restée complète,absolue.Le membre est aujourd
e dans un instant. La période préataxique est close. L'incoordination
motrice
est devenue manifeste dans les membres inférieurs
S dans le tabes, la sclerose en plaques et l hystérie a. Appareil
moteur
de l'œil. Tabès (Ataxie locomotrice). — Paralys
l'œil. Tabès (Ataxie locomotrice). — Paralysie par lésion d'un nerf
moteur
de l'-ml (noyau bulbaire ou tnêrf périphérique).
e est, dans la règle, la conséquence de la paralysie d'un des muscles
moteurs
de l'œil; dans la sclérose en plaques, au contrai
t donné, changer le tableau en déterminant le retour de l'impuissance
motrice
. De toutes ces éventualités il est bon, je pense,
rticulièrement remarquable, c'est la prédominancemarquée des troubles
moteurs
dans la plupart des cas, sur les sensitifs ; à pa
ouvement une grande fatigue, un sentiment de faiblesse, d'impuissance
motrice
, surtout quand il faut les tenir élevés comme pou
nsibititéunpeu sérieux se manifestent seulement lorsque l'impuissance
motrice
est portée déjà à un haut degré et justement, vou
stance grise centrale et dans ce cas-là, nécessairement, les troubles
moteurs
seraient prononcés à l'avenant ; or vous savez qu
s les membres inférieurs où elle éprouvait le sentiment d'impuissance
motrice
qui a été le point de départ de l'auto-suggestion
s ». Douleurs en ceinture permanentes très pénibles. L'incoordination
motrice
est portée à un très haut degré et le signe de Ro
d'exister ; 2° diminution extrêmement remarquable de l'incoordination
motrice
pendant la marche. Le malade, sans canne, peut mo
ition des douleurs fulgurantes ; retour très prononcé de la puissance
motrice
. M. le Dr Motchoutkowsky fait connaître dans ce
dans son travail depuis deux ans, époque à laquelle l'incoordination
motrice
des membres inférieurs a commencé à s'accuser.
. Depuis deux ans, la marche est devenue difficile ; l'incoordination
motrice
est assez prononcée. Le malade ne peut marcher lo
par de l'impuissance ; absence complète d'érection. L'incoordination
motrice
des membres inférieurs est très marquée. Douleurs
e l'expliquer, un empirement marqué par un retour de l'incoordination
motrice
, un accès de douleurs fulgurantes plus intenses q
e ce genre ayant été assez restreint. Au contraire,l'incoordination
motrice
, les douleurs fulgurantes, les troubles vésicaux
, la malade a été, pendant plusieurs mois, affectée d'une impuissance
motrice
des membres inférieurs à peu près complète, et
si qu'on l'a dit, lors de l'admission à la Salpêtrière, l'impuissance
motrice
des membres inférieurs était à peu près absolue.
à ses membres, les mouvements qu'on leur fait exécuter. L'impuissance
motrice
porte principalement sur le membre inférieur gauc
uivant la règle, par accès. Peu après, s'est établie l'incoordination
motrice
qui, aujourd'hui, est fort accentuée. Le signe de
lligente, et aussi, ce qui vaut mieux, l'écriture ; car, si l'aphasie
motrice
« silencieuse », règne ici d'une façon absolue, l
Vous n'ignorez pas, en effet, que les sujets chez lesquels l'aphasie
motrice
reconnaît pour cause une lésion organique, alors
mpêche. » Notre malade est donc,i vous le voyez, atteinte d'aphasie
motrice
, puisqu'il lui est absolument impossible de profé
e à quatre modes spéciaux de la mémoire du mot, à savoir : la mémoire
motrice
d'articulation, la mémoire motrice graphique, la
oire du mot, à savoir : la mémoire motrice d'articulation, la mémoire
motrice
graphique, la mémoire visuelle et enfin la mémoir
e en clinique par autant de formes de l'aphasie, à savoir : l'aphasie
motrice
d'articulation, l'agraphie, la cécité et enfin la
le caractère fondamental du mutisme hystérique, c'est que la faculté
motrice
d'articulation, par une sorte de sélection fort r
uchées simultanément, bien qu'à des degrés très divers (1). L'aphasie
motrice
, en d'autres termes, est alorsàpeu prèstoujours c
'autre côté même stigmates sensitifs et sensoriels, mêmes hémiplégies
motrices
avec spasmes glosso-labiés etc, etc. L'attaque es
git ici car s'il a perdu, en tout ou en partie, le souvenir des actes
moteurs
qu'il a accomplis, en se pro- tête ; je me suis
es symptômes spinaux formels tels, entre autres, que l'incoordination
motrice
des membres inférieurs, et le 45 signe de Rom
qui, dans la règle, précèdeFincoordinationou, autrement dit, l'ataxie
motrice
: dix, douze, quinze ans même peut-être avant que
nt, le plus souvent peut-être, à la période de la maladie où l'ataxie
motrice
n'a pas encore paru et que j'appelais, à l'époque
veloppée spontanément (arthropathie des ataxiques) ; l'incoordination
motrice
ne s'est manifestée chez lui que quelques mois pl
fulgurantes, pendant plus decinqans, sans accompagnement de désordres
moteurs
chez M. T...Le diagnostic était rendu facile dans
rès le début des accidents gastriques, sous la forme d'incoordination
motrice
et c'est alors seulement que les douleurs de cara
ées à peu près isolées, indépendantes en tout cas de l'incoordination
motrice
, laquelle ne s'est manifestée qu'au bout de la tr
; il en est de même des crises laryngées, des paralysies des muscles
moteurs
de l'œil, des crises vesicales et de bien d'autre
mpléter l'observation par quelques nouveaux détails. L'incoordination
motrice
, ainsi que je vous l'ai dit, a paru seulement au
es troubles sensitifset sensoriels ont disparu ainsi que les troubles
moteurs
. La santé générale est excellente. lìti . ì ..,
e dans cette nouvelle situation, il n'existe non plus aucune anomalie
motrice
dans ses membres inférieurs. Enfin, je prescris
e on marche dans l'état normal ; il a désappris la pratique des actes
moteurs
de la marche ordinaire. Ils sont remplacés chez l
ui de plus en plus irréguliers et de plus en plus petits. Ce désordre
moteur
relatif à l'écriture nous paraît différer complèt
ement de l'agraphie aphasique : dans celle-ci il y a perte des images
motrices
graphiques, des lettres et des mots. Le sujet qui
mbler sous forme de mots. Chez notre malade, au contraire, les images
motrices
graphiques subsistent dans toute leur intégrité,
s le voulez bien, sous la nom à'abasie— incoordination ou impuissance
motrice
relative au mécanisme de la marche, — il se montr
, — il se montrait combiné à Yastasie — incoordination ou impuissance
motrice
relative à la station debout — qui pendant un cer
-mola. Ce travail a pour titre : Sur une forme spéciale d'impuissance
motrice
des membres inférieurs, par défaut de coordinatio
ie par défaut de coordination automatique, l'auteur décrit un trouble
moteur
consistant en ce que « les mouvements sont normau
reste ,de différencier le syndrome des autres formes d'incoordination
motrice
avec lesquelles on pourrait le confondre et en pa
décrite par Briquet (2) et par Lasègue (3), dans laquelle le trouble
moteur
est sous la dépendance immédiate de l'anesthésie
e du syndrome, la conservation souvent parfaite du souvenir des actes
moteurs
coordonnés pour le saut, la danse, la nage, et au
on sommaire ; il n'y a pas, à proprement parler, perversion des actes
moteurs
, incoordination motrice : on ne voit pas, en d'au
as, à proprement parler, perversion des actes moteurs, incoordination
motrice
: on ne voit pas, en d'autres termes, les actes m
ncoordination motrice : on ne voit pas, en d'autres termes, les actes
moteurs
complexes mis en cause,troublés dans leur fonctio
ralytique ou Parétique. Astasie. b. Ataxique (avec incoordination
motrice
.) 1° Choréiforme. 2° Trépidante. Je ne crois
es caractères qui permettront de distinguer cliniquement les troubles
moteurs
abasiques de ceux qui se voient dans l'ataxie loc
sposés par hérédité à contracter des maladies nerveuses. Les troubles
moteurs
abasiques se manifestent d'ailleurs chez eux, que
inopinément de l'apathie, de l'embarras de la parole, des paralysies
motrices
des membres avec ou sans contracture; plus tard d
le, qui embrasse, et annihile pour un temps tous les modes d'activité
motrice
et sensitive des membres inférieurs, à l'abasie q
e peux plus marcher» suggère, chez le sujet, l'idée d'une impuissance
motrice
complète, portant sur l'ensemble des mouvements d
er par ce que nous savons de l'histoire naturelle de l'incoordination
motrice
abasique, notre homme doit guérir et peut-être
les moyens possibles, la représentation mentale,à la fois visuelle et
motrice
, des mouvements de la marche normale. ¦ÃÎ. de l
sultat observé n'est pas encore absolument parfait puisque le trouble
moteur
se retrouve, à un certain degré, dans certains ac
me semble que, en ajoutant à ce qui a été dit plus haut des troubles
moteurs
et destroublestrophiquesobservéschez notremalade,
mprévu. En général,en effet c'est du côté où se montrent la paralysie
motrice
et les troubles de la sensibilité que siège l'amy
ieurs et le membre supérieur droit, et dans ces membres l'impuissance
motrice
aurait été, pendant plusieurs mois, absolument co
ile a laissé subsister après elle, pour toute la vie, une impuissance
motrice
plus oumoins accusée d'un ou plusieurs membres. L
mais, au moins sur ces régions des cornes antérieures où les cellules
motrices
ont été irréparablement détruites. Mais le tissu
ce grise et, plus explicitement, l'altération atrophique des cellules
motrices
de la région. à). Une première catégorie à dist
a non, et parfois la seule lésion appréciable ; 2° dans les racines
motrices
et les nerfs moteurs, par une atrophie, conséquen
eule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et les nerfs
moteurs
, par une atrophie, conséquence de la lésion spina
substance grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des cellules
motrices
. Parmi les diverses affections qui peuvent venir
ux blancs. Il est bien plus vraisemblable que le système des cellules
motrices
est dans la tephromyélite antérieure chronique, c
existence d'une sorte de vulnérabilité native du système des cellules
motrices
, vulnérabilité que les causes provocatrices mettr
elque sorte par des hallucinations dont elles représentent la formule
motrice
. En bon militaire qu'il est, le sujet tire des co
ité à savoir : anesthésie cutanée et profonde ; 2° par des paralysies
motrices
plus ou moins prononcées, avec diminution tempora
olument de rien. Voici maintenant ce qui est relatif à la paralysie
motrice
. Le malade marche en boitant, sans frotter le sol
seulement dans le degré d'intensité et de généralisation des troubles
moteurs
. Ainsi, il se peut faire qu'un individu qui, da
adicalement distinctes, en même temps que, cliniquement, les troubles
moteurs
quiappar tiennent à l'une, diffèrent foncièreme
e : qu'enfin, les modifications psychiques concomitantes des troubles
moteurs
sont accusées ici dans le sens de la démence et q
quez-le bien — car c'est là un trait bien particulier — l'impuissance
motrice
n'est pas relative, chez notre homme, à tous les
'exemples de lésions cérébelleuses, accompagnées de cette impuissance
motrice
relative à la marche, rappe 1. Voir la 16e leço
membre inférieur gauche et le retint trois jours au lit. La paralysie
motrice
ne fut pas de longue durée et, depuis longtemps,
t, l'odorat, l'ouïe sont à l'état normal des deux côtés. La paralysie
motrice
d'autrefois, ainsi que nous l'avons déjà dit, n'a
ution et intensité de l'Hyperesthésie suivant les régions. troubles
moteurs
hémiplégiques, survenus il y a huit ans, et qui r
dans lapartïe postérieure de la capsule, n'aurait affecté le faisceau
moteur
que légèrement, trun sitoirement, par compressi
on y trouverait probablement, associés peut-être à d'autres troubles
moteurs
, les éléments du syndrome abasie trépidante. Ma
forme quelconque. Il faut dire encore que, chez lui, l'incoordination
motrice
relative à la marche né parait pas être, comme ch
le plus fréquent, et si la lésion se traduit alors par des symptômes
moteurs
, on comprend que ce sxrit sous l'aspect de la par
encore, se traduisent pendant la vie par des symptômes d'impuissance
motrice
plus ou moins prononcée, avec exaltation des réfl
que dansles deux cas, si l'altération intéresse les grandes cellules
motrices
, il s'ensuit forcément la production d'une amyo-t
le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses
motrices
,) et les zones radiculaires antérieures (trajet i
voyez (fig. 115) comment l'amyotrophie et les Fig. 115. troubles
moteurs
occupent exclusivement les deux membres supérieur
nt où le malade, oubliant en quelque sorte un instant son impuissance
motrice
, voulait prendre un verre pour le porter à sa bou
aurais cru à un miracle. » Toutefois,si la disparition des troubles
moteurs
a été littéralement soudaine, celle des troubles
itive à gauche ; le pharynx a recouvré sa sensibilité. La paralysie
motrice
s'est également amendée, mais à un moindre degré.
nignes du), 199. — (Impuissance) et suspension, 217. — Incoordination
motrice
157. — Inégalité pupil-laire, 158. — Parésie vési
c douloureux. — et sciatique, 24. — et névralgie brachiale, 24. Tic
moteur
, 16. Tics et Hystérie, 15. Tics et Rhythme, 1
peut considérer comme la forme la plus simple l'hémiplégie purement
motrice
dans laquelle il y a paralysie des membres, de la
ge soit sur les circonvolutions ro- landiques, soit sur le faisceau
moteur
qui partant de ces centres se dirige vers le pé
e est toujours du côté opposé à l'hémiplégie, parce que le faisceau
moteur
cérébral s'entrecroise au niveau du bulbe avec ce
vec celui du côté opposé. A côté de cette première forme purement
motrice
on peut placer une forme plus complexe dans laq
i semble régir en pathologie cérébrale la distribution des troubles
moteurs
et sensitifs, d'après laquelle les troubles mot
on des troubles moteurs et sensitifs, d'après laquelle les troubles
moteurs
, sensitifs ou sensoriels qui constituent l'hémipl
raux qu'ils contournent. Plus en arrière, le nerf de la 3e paire ou
moteur
oculaire commun qui SYNDROME TEMPORAIRE DE WEBE
érance du bulbe, près de la ligne médiane,le nerf de la Ge paire ou
moteur
oculaire externe. Plus en dehors, dans la fosse
ieure. Envisagés dans leur ensemble les noyaux d'origine des filets
moteurs
des nerfs crâniens sont échelonnés, d'avant en
tique). Or, au niveau des noyaux de ces nerfs se trouve le faisceau
moteur
cérébral, ou faisceau pyramidal qui n'a pas enc
sceau pyramidal et le noyau ou le nerf du facial, ou encore le nerf
moteur
oculaire externe ; dans le pédoncule, une lésion
atteignant simultanément le faisceau pyramidal (le pied) et le nerf
moteur
oculaire commun ou même son noyau d'origine. Ex
prolongements cérébraux de l'hypoglosse, c'est-à-dire ses neurones
moteurs
cérébraux eussent été détruits ou lésés. Voilà
tielle intéresse simultanément les filets du nerf facial et ceux du
moteur
oculaire externe, ou bien le noyau du facial et
du moteur oculaire externe, ou bien le noyau du facial et celui du
moteur
oculaire externe, et l'on se rend compte de cet
é- nérative des muscles paralysés. La lésion concomitante du nerf
moteur
ocu- laire externe ou de son noyau, amènera éga
il suffit de remplacer le mot hypoglosse par celui de facial, ou de
moteur
oculaire externe, et si au point de vue clinique
nt parce que les muscles animés par les nerfs hypoglosse, facial et
moteur
oculaire externe s'adaptent à des fonctions dif
alterne supé- rieure, hémiplégie alterne de la troisième paire, du
moteur
oculaire com- Fig. 5. P, protubérance ; B, bu
f facial; F, noyau du nerf facial; f, nerf facial ; E, noyau du
moteur
oculaire externe ; e, nerf moteur oculaire ex
l; f, nerf facial ; E, noyau du moteur oculaire externe ; e, nerf
moteur
oculaire externe ; SYNDROME TEMPORAIRE DE WEB
ème paire se fait sur le côté interne du pédoncule cérébral, que le
moteur
oculaire commun tient sous sa dépendance la plu
ure de la face, et en même temps il y aura une paralysie directe du
moteur
oculaire commun, véritable paralysie périphérique
er. Sans parler des cas où la lésion peut n'intéresser aucune fibre
motrice
, vous trouverez pour le pédoncule, comme du res
ée dans le service, elle avait de la paraphasie et non de l'aphasie
motrice
, et je tiens à bien établir cette dif- férence,
a troisième circonvolution fron- tale gauche porteraient les images
motrices
d'articulation aux organes phonateurs. Pour ma
phasie sensorielle, et on comprendra alors facilement que l'aphasie
motrice
n'a rien il voir avec la symptomatologie qui tr
eur, ni dans les muscles animés par le mo- teur oculaire commun, le
moteur
oculaire externe, ou le pathétique. (Pl. I. A.)
Weber caractérisé ici par une hémiplégie gauche et une paralysie du
moteur
oculaire com- mun droit. Si, poursuivant l'ex
issance. Nous savons déjà que l'hémiplégie gauche avec paralysie du
moteur
oculaire commun droit se rapporte habituellemen
u releveur de la paupière supérieure et des muscles ani- més par le
moteur
commun ; aujourd'hui la marche est possible, la p
que complètement disparu, ainsi que celle des muscles animés par le
moteur
commun et pour peu que l'a- mélioration fasse e
là, on peut con- clure qu'il n'y a pas eu destruction des noyaux du
moteur
oculaire com- mun ou des fibres nerveuses qui e
ement les artères des racines et des noyaux d'origine des fibres du
moteur
oculaire commun destinés aux muscles extrinsèqu
du même coup tous ces symptô- mes : hémiplégie gauche, paralysie du
moteur
oculaire commun droit, hémiopie gauche et parap
émiopie gauche, l'aphasie temporaire, et la paralysie temporaire du
moteur
oculaire com- mun, nous pensons qu'on peut supp
es de Duret, parmi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du
moteur
oculaire commun. La circulation ralentie dans c
temps que se rétablissent les mouvements des muscles animés par le
moteur
oculaire commun. Or, il nous semble logique de
n partent et qui en particulier assurent la nutrition des noyaux du
moteur
oculaire commun, ainsi que de la partie motrice
rition des noyaux du moteur oculaire commun, ainsi que de la partie
motrice
du pédoncule cérébral. Ce trouble circulatoire
symptômes très accusés, mais néanmoins temporaires, de paralysie du
moteur
oculaire commun, ainsi qu'aux symptômes d'hémiplé
omènes douloureux, les troubles génito- urinaires, l'incoordination
motrice
avaient été surtout améliorés. Nous rap- porton
nomènes douloureux, les troubles génito-urinaires, l'incoordination
motrice
; l'in- continence d'urine par contre a paru peu
de fourmillement ni d'engourdissement, c'était plutôt une sensation
motrice
de raideur ou de contraction, une crainte (rece
admettaient en 1879, dans leurs travaux sur ce sujet, que la région
motrice
s'étendait peut-être aux parties immédiatement
lepsie provoquées par l'irritation de la substance grise de la zone
motrice
: et nous serions en règle avec la physiologie,
leur dans celle discussion, ne s'accordent guère avec les fonctions
motrices
de cette région de l'écorce. Aussi Charcot limite
sa publication posthume, en collaboration avec M. Pitres, la région
motrice
à la zone rolandique (1) ; et Nothnagel arrive, d
point de l'écorce atteint t chez notre malade soit considéré comme
moteur
. Est-ce un centre sensitif ? . Nous touchons
ogistes, comme IIitzig, Schiffet Munk, nient l'existence de centres
moteurs
corticaux ; ils pensent que la zone rolandique es
tions cutanées et musculaires, et qui mettent en action les centres
moteurs
placés dans la protubérance, le bulbe et la moe
eu à des anesthésies, qui, à leur tour, sont l'origine des troubles
moteurs
qui doivent plutôt être appelés des ataxies que d
cerveau est constituée, à la fois, par des éléments essentiellement
moteurs
et par des éléments sensitifs, confondus entre
« engrenés entre eux qu'il est (1) Charcot et Pitres, Les centres-
moteurs
corticaux chez l'homme. (2) NOT11riAGEL, Traité
pour ce physiologiste et pour ses élèves les lésions de la région «
motrice
» affectent non seulement la motilité volontaire,
ité cutanée et musculaire, donnent lieu à des paralysies sensitivo-
motrices
diffuses. Malgré tous ces travaux, et. sans vou
cas où elle s'observe, elle ne suffit pas à justifier l'impuissance
motrice
. En effet, si c'était là la cause de celte impu
nt, prouve, contrairement au physiologiste italien, que les centres
moteurs
corticaux sont anatomiquement et physiologiquemen
rale et musculaire peuvent apparaître in- dépendamment des troubles
moteurs
, bien qu'ils se trouvent souvent asso- ciés. Ma
ts sont défavorables à l'hypothèse de la fusion intime des éléments
moteurs
de l'écorce rolandique avec les éléments sensitif
dantes quelques éléments sensitifs, non confondus avec les éléments
moteurs
, et ' constituant des centres distincts et sépa
ulaire, nient la superposition de la surface sensitive à la surface
motrice
. Ils admettent cependant que « les localités de l
a surface du cerveau dont la lésion produit d'une part la paralysie
motrice
, d'autre part le trouble du sens musculaire, oc
n fait capital : c'est son début constant par une aura de sensation
motrice
localisée dans la jambe gauche. Eh bien, aprè
ue le lieu où était implanté le tubercule, quoique voisin du centre
moteur
cortical du membre inférieur, est plutôt le centr
la perte de force, « l'épuisement nerveux », se fait dans un centre
moteur
nous avons les paralysies, comme dans les cas é
tie antérieure du lobule pariétal supérieur, à côté de son cen- tre
moteur
et peut-être engrené avec lui. . Ceci s'accorde
jacksonnienne soit tou- jours le résultat de décharges des éléments
moteurs
de l'écorce cérébrale, les lésions corticales q
voquent ces décharges peuvent se trouver situées, soit dans la zone
motrice
, comme c'est la règle, soit « en dehors de cett
e de la partie supérieure des circon- volutions ascendantes, centre
moteur
du membre inférieur - peut donner lieu, dans le
, à des irradiations telles que l'onde nerveuse s'étend aux centres
moteurs
de la face, placés dans la partie inférieure, d
n n'existe pas davantage dans le do- (1) Charcot et Pitres, Centres
moteurs
corticaux chez l'homme, p. 166 ; Pitres, Revue
s et qui consiste justement à mettre en état de tension les muscles
moteurs
de celles-ci, de sorte que de la notion acquise d
sensi- bilités de même ordre ou d'ordre différent, visuel, olfactif,
moteur
, etc., dont il a gardé le souvenir ; il appréci
e de la paralysie des muscles du côté opposé du corps. Cette « zone
motrice
» occupe à peu près la partie moyenne de la surfa
e temps on vécut sur le schéma très simple du cerveau intellectuel,
moteur
et sen- sitif. Mais de toutes parts on interr
ley maintenaient la séparation des centres sensitifs et des centres
moteurs
, Schiff et Munk nièrent l'existence de ces dern
onception de Tripier généralement acceptée aujourd'hui, les centres
moteurs
et les centres sensitifs sont superposés, un même
de la sensibilité dans les lésions corticales suivies de phénomènes
moteurs
; la rapide dispari- tion de ces troubles, leur
majorité des cas sinon dans tous les cas où la zone corticale dite
motrice
est lésée. Mais cette étude ne laisse pas que d
Pitres, étudie les anesthésiés consécutives aux lésions de la zone
motrice
. Sans nous arrê- ter aux très intéressants résu
ur qui lui ont permis de conclure que, après l'abolition de la zone
motrice
, il y a dans tous les cas des symptômes d'anest
ntes, que la topographie en est plus diffuse que celle des troubles
moteurs
, que la durée en est éphémère et parait être en r
.. . ? et de mémoire musculo-tactile, comme les centres rolandiques
moteurs
" sont des psycho-moteurs. Il faut concevoir une
vec la conduction des impressions sensitives et avec les mécanismes
moteurs
, les deux autres tiers reçoivent de ces centres s
ives se mettent en connexion avec les cellules d'origine des fibres
motrices
. La sphère auditive la dernière développée, n'a
t au delà à l'écorce cérébelleuse et aux noyaux d'origine des nerfs
moteurs
périphériques. La sphère visuelle est sur la fa
convolution de l'hippocampe. Ces centres sont- la fois sensitifs et
moteurs
, les impressions recueil- lies à la périphérie
onne part au travail. Tra- vail d'ascension comparable à celui d'un
moteur
mécanique dans la mon- tée, travail de retenue
iminué à gauche. Il n'existe ni signe de Romberg, ni incoordination
motrice
. OBS. IL - Malade de 52 ans, couturière. Le déb
l, de l'incoordination des membres supérieurs. Pas d'incoordination
motrice
des membres inférieurs, pas désigne de Romberg
ement cicatrisé. Aux membres supérieurs, on note une incoordination
motrice
indubitable, quand on fait faire au malade cert
voie réflexe sensitivo-motrice (protoneurone centri- pète, neurone
moteur
périphérique) est nécessairement étroite, en ce q
ue ou fonctionnelle de la forme de névroses fonctionnelles et vaso-
motrices
. Dans ces dernières années, nous avons relevé p
. su Cu. Féré, Remarques sur le traitement pédagogique de l'aphasie
motrice
(C. B. Soc. de biol., 1895, p. 735. -- L. DAVao
p. 735. -- L. DAVaou, Essai de traitement pédagogique de l'aphasie
motrice
(Rev. intern. de l'enseignement des sourds-muels,
exostoses sur la table interne des os du crâne au niveau de la zone
motrice
; que ces exos- toses s'établissent dans le cana
dans les membres supérieurs (sphère du cubital). En 1890. Troubles
moteurs
du côté des membres supérieurs; les mou- vement
permettait de se mouvoir que difficilement dans son lit. Troubles
moteurs
. - Du côté des membres inférieurs, il y a aboliti
sez pour qu'on puisse voir la différence avec l'aspect des cellules
motrices
normales. Ici d'ail- leurs le reste des hémisph
e de Golgi on voit très nettement les anoma- lies dans les cellules
motrices
. La cellule n'apparaît pas toute noire et Fie.
tent les cellules nerveuses et pourquoi ne sont-ce que les cellules
motrices
qui ont un aspect si sin- gulier, tandis que le
nt presque totalement, c'est pourquoi sont absentes aussi les voies
motrices
de la moelle épinière qui vontdu cerveau vers l
motrices de la moelle épinière qui vontdu cerveau vers les cellules
motrices
delà moelle épinière. Ces dernières, privées du
yramidale ne s'anastomose pas avec les prolongements des cel- lules
motrices
de la moelle épinière; il n'influe sur elles, d'a
ar tout le neurone supérieur avait péri ; de sorte que les cellules
motrices
de la moelle épinière dans nos cas étaient privée
on s'est confirmée complètement : l'aspect sin- gulier des cellules
motrices
de la moelle épinière chez nos monstres dé- pen
oin d'être clair : Nous disions, que chez nos monstres les cellules
motrices
de la moelle épinière ne s'étaient pas développ
i quoi- que le cerveau soit déjà assez bien développé, les cellules
motrices
de la moelle épinière ne reçoivent pas encore l
rce cérébrale ne s'est pas encore mise en connexion avec la cellule
motrice
de la moelle épinière. D'après les investigat
fIypnologie, 1896, Ne 13. . 198 N. SOLOVTZOFF corce et la cellule
motrice
de la moelle épinière se sera établie que les c
de leur vie intra-utérine, l'absence du cerveau priva les cellules
motrices
de la moelle épinière du stimulus indispensable
s antérieures; le contact n'a pas encore eu lieu entre les cellules
motrices
de la moelle épinière et les cellules pyrami- d
pyrami- dales de l'écorce cérébrale, de sorte que pour les cellules
motrices
de la moelle épinière de l'embryon, c'est comme
orce cérébrale. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la cellule
motrice
de la moelle épinière et le prolongement cylind
re-axile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule
motrice
de la moelle épinière ne possède que très peu d
phères, telle est la cause de l'arrêt du développement des cellules
motrices
de la moelle épinière. Ces dernières restent dans
ots dont on se propose de lui faire comprendre le sens. Par l'image
motrice
qu'on développe ainsi, on réussit il réveiller
ensitive, qui est au service de la sensibilité générale, ni la voie
motrice
ne fussent comprimées dans une certaine me- sur
f, nous devrions nous trouver en présence des troubles sensitifs et
moteurs
qui ne manquent jamais dans les cas où une tumeur
nt au voisina- ge des nerfs acoustiques, en. particulier la branche
motrice
du trijumeau, la septième et la sixième paires
t englobés dans cette néoplasie sans compter les voies sensitive et
motrice
. Ne perdez pas de vue, Mes- sieurs, que, dans l
lle d'une partie des éléments anatomiques contenus dans les centres
moteurs
corticaux et rendus inutiles par le fait de la su
membres dont ils étaient destinés à stimuler et à diriger l'activité
motrice
. Remarquons que l'atrophie de l'écorce, accompa
ll. de la Soc. anat., 1877, p. 331. (11) Charcot et Pitres, Centres
moteurs
corticaux de l'homme, 1893. ATROPHIE DES CENTRE
e entraîne la perturbation fonctionnelle puis l'atrophie du neurone
moteur
cérébral (1). (1) M. Apert a présenté tout réce
stérieure, dans la ré- gion occipitale. Salivation. Pas de troubles
moteurs
. Sensibilité légère- ment émoussée sur la joue
usculaire est modérément développé. Il n'y a pas d'in- coordination
motrice
; les réflexes du genou sont faibles. Les pupilles
rale : telles sont l'absence des pyramides (c'est-à-dire de la voie
motrice
allant de l'écorce cérébrale vers les cellules
es pyramidales 'de l'écorce cérébrale et les dendrites des cellules
motrices
de la corne antérieure. Voilà pourquoi, dans- ce
ordon, Williams Dawson, et Waldo. La théorie sensitive de Leyden,
motrice
de Erb et cérébrale de Jendrassik sont passées
tion, étudie successive- ment le symptôme incoordination et parésie
motrice
, les dévia- tions oculaires et le nystagmus, l'
la parole. La compréhension de la parole, les fonctions purement
motrices
du langage sont intactes. Le malade présente une
ux centres optiques, et d'un autre côté avec les centres auditif et
moteur
du langage. Ce centre étant lésé, il y a impossib
Cnlrul6l., XIV, 1895.) On fait une première fois agir sur le centre
moteur
d'un membre REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 55
tres correspondants de l'hémisphère de l'autre côté; 3° les centres
moteurs
néoformés sous l'influence de l'inflammation so
nt atteint d'ictus avec perte de connaissance prolongée, hémiplégie
motrice
et sensitive du côté gauche ; quelques perturba
e blanche sous-corticale, avec constante loca- lisation aux régions
motrices
(hémiplégies, monoplégies, aphasies); on y cons
ent à la sécrétion lacrymale, des centres vaso-moteurs, des centres
moteurs
commandant aux mouvements volontaires de la fac
cerveau, en interrom- pant les voies de conjonction entre les zones
motrices
et la couche optique, a empêché l'arrêt volonta
évèlent clairement les propriétés sezsitivo-motrices de l'aire dite
motrice
de l'écorce cérébrale, mais Ils peuvent encore
paraissait probable que la tumeur était située en avant des centres
moteurs
, qu'elle ne devait atteindre que secondairement
d'hémiparésie, hémianesthésie et hémianopsie droites, avec aphasie
motrice
et surdité verbale. Les troubles moteurs et sen
psie droites, avec aphasie motrice et surdité verbale. Les troubles
moteurs
et sensitifs s'amendèrent dans les trois jours,
mité antérieure du lobe frontal et la 3e frontale (siège des images
motrices
d'articulation) ainsi que le quart inférieur de
pliqua à rattacher l'existence des hallucinations et des impulsions
motrices
au siège des lésions. Enfin Hertz 3, qui s'es
es convulsions, à des mouvements choréiques s'il s'agit d'un centre
moteur
, à des sensations lumineuses, à de l'amblyopie,
t fait usage de symboles qui peuvent être évoqués à l'aide d'images
motrices
, auditives et visuelles. La note musicale peut
entre la mélodie des tons et la mélodie des vers. Dans l'aphasie
motrice
, la faculté d'expression musicale est généralem
, Griffen, Hochwart, et par lui-même. La contre-partie de l'aphasie
motrice
se rencontrerait chez un malade qui aurait cons
présentations auditives, avec des représentations ou des impulsions
motrices
, avec des contractions du muscle tenseur du tym
nvolutions de l'hé- misphère gauche auxquelles correspond l'aphasie
motrice
ou sen- sorielle. Il me semble que la faculté m
lication pour également applicable aux nerfs sensitifs et aux nerfs
moteurs
. Si l'on admet la théorie qui vient d'être expo
ou de la déclamation emphatique de paroles sans suite; les troubles
moteurs
sont de la catalepsie et l'exécution monotone d
tères d'un paroxysme épileptiforme surtout sensoriel, les symptômes
moteurs
, bien que primitifs dans l'ordre chronologique
nt de vue de l'intensité, aux symptômes senso- riels. Ces symptômes
moteurs
, qui se bornent à une crampe dans trois doigts
rception), qui enverrait des ordres au quatrième centre à fonctions
motrices
(circonvolutions centales). Il montre ensuite,
te avec hallucinations ; les malades sont en proie à des impulsions
motrices
continuelles, à une agitation incessante. Au dé
et fait penser à l'obnubilation des individus ivres. Les impulsions
motrices
sont désordonnées, sans but, incohérentes ; la
l'excitation électrique reproduit d'une façon fidèle les réactions
motrices
et organiques de l'épilepsie essentielle. Après a
té ventriculaire. Cet abcès n'intéressait pas directement la région
motrice
; le pus était de couleur brun verdâtre sale, é
et sont de même nature dans les nerfs sensitifs et dans les nerfs
moteurs
. \ Il semble seulement qu'ils soient d'autant p
sont très petites, flétries et comme comprimées; celles des régions
motrices
, bien qu'atrophiées, ont un volume et un aspect
de l'hémisphère droit sont plus volumineuses au niveau des régions
motrices
, mais légèrement atrophiées au niveau du lobe f
u à cette disparition du réflexe. Une lésion intéressant la portion
motrice
de l'arc réflexe (poliomyélite antérieure aiguë o
suivant l'auteur à la sédation exercée par le bromure sur l'écorce
motrice
et à la diminution consécutive de l'action céré
le con- trôle de la volonté des patients améliorent la coordination
motrice
; 4° les malades reprennent de la confiance en e
en dedans pour gagner directement la région du noyau de l'oculo-
moteur
commun. Chez les chiens, il y a très probablement
quide céphalo-rachidien, pendant qu'on excite l'écorce de la région
motrice
du chien au courant induit ou à l'essence d'abs
seul devait présenter de l'intérêt ; en voici les résultats : l'air
motrice
corticale, la capsule interne, la capsule exter
s la dépendance du glosso-pharyn- gien, qui envoie aussi des filets
moteurs
aux muscles du pharynx. Ces derniers filets nai
nce n'étant due qu'au degré des altérations subies par les cellules
motrices
corticales. L'auteur rappelle ensuite quelques
ouvoir d'inhibition de la couche sensorielle. laissant les cellules
motrices
libres d'accomplir leur fonc- tion de décharge
sant de cellules saines pour maîtriser temporairement ces décharges
motrices
, ainsi que cela arrive quand l'attention est fi
ncore dans les mouvements intentionnels. - Si la lésion des couches
motrices
n'est pas assez profonde pour rompre le groupem
la main. - Si les lésions de dégénérescence s'étendent aux cellules
motrices
, cette action associée est détruite, et l'on ob
hémianopsie double passagère (Oppenheim); 6° crises épilepliformes,
motrices
ou sensorielles, en l'absence de toute étiologi
mar- quer que si l'on divisait l'épilepsie essentielle en épilepsie
motrice
, épilepsie sensorielle et épilepsie psycliique,
servation qu'il publie réside surtout dans l'absence de convulsions
motrices
, et dans la présence de convulsions psychiques
ésies toniques. Genèse uniforme. Ilyperexcitabililô de l'appareil
moteur
, depuis REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. : Q81>
peau, du sens musculaire, et des centres psychiques sur l'appareil
moteur
. Tells--estJ'amt/o<aa'M cérébrale due à un v
brineuse. Le facial réagit par la paralysie parce qu'il est le seul
moteur
; il est aussi probable que 1 l'agent nocif lèse
t aussi probable que 1 l'agent nocif lèse plus gravement les fibres
motrices
que les fibres sensitives, celles-ci réagissant
ome de Mil- lard-Gublér, c'est-à-dire une paralysie du facial et du
moteur
ocu- laire externe d'un côté, coïncidant avec u
voisinage, le faisceau pyramidal et les fibres des nerfs facial et
moteur
oculaire externe. A côté des trois variétés des
n homme de- quarante-cinq ans a présenté un léger affaiblisse- ment
moteur
de tout le côté gauche avec ophtalmoplégie droite
omènes caractéristiques sont des troubles intellectuels, sensitifs,
moteurs
et généraux, avec prédominance des premiers. Ce
odification des rouages attractifs des fibres d'association excito-
motrices
, chargées de tensions moléculaires. L'organe de
génitaux se réveilla un beau matin avec une surdité et une aphasie
motrice
complètes avec des fourmillements dans tout le
gard les troubles de la parole hystériques ressemblent aux troubles
moteurs
poslhémi- plégiques. Ceux-ci tiennent à une int
nerveux a lieu. C'est une sorte de trouble comparable aux troubles
moteurs
posthémi- plégiques c'est-à-dire une alternance
alternance entre, la période de paralysie complète et les troubles
moteurs
variés, alternance produite par exemple par un
grand, de beau- coup, qui se confond en grande partie avec la zone
motrice
des auteurs, sert assurément au tact. Cette sph
scences encépha- LIQUES DANS LES AFFECTIONS EN l'01 ? R DE L 1 ZONE
MOTRICE
D E L'ÉCORCE; WL. llul;a'row. (New'ol, JJent1'U
de la moelle où, en rayon- nant, elles gagnent les grosses cellules
motrices
? En d'autres termes y a-t-il des fibres radicu
rôle maintenant jouent les prolongements cylindraxilesdes cellules
motrices
à l'égard de la fonction sensitive et de la fonct
sitive et de la fonction sensorielle ? Il appert que les phénomènes
moteurs
sont, en ce qui concerne l'oeil, liés à la sens
osso-pharyngiell, du facial, de l'oculomoteur externe, à la branche
motrice
et sensitive du triju- meau, du côté gauche, ay
voie. Meynert a indiqué la zone médiane de la calotte comme tractus
moteur
. Ce sera à examiner. P. K. LII. D'un TROUBLE
a substance grise, diminution de l'élément fibrillaire; les racines
motrices
possèdent moins de fibres. Ces altérations s'at
l'atrophie ne vient que consécutivement. Les cellules scnsitives et
motrices
sont toujours atteintes; quant aux lésions des
plus complexes. Il faut donc, en présence de ces troubles oculo-
moteurs
, songer à l'appareil ampullaire et se rappeler qu
u cerveau ; 4° La méningite chronique localisée au niveau des zônes
motrices
corticales. [Revue neurologique, novembre 189.)
banales, n'ont en rien altéré la vitalité des neurones sensitifs et
moteurs
, dont l'inté- grité était, d'ailleurs, prouvée
f des tissus. (Muscles considérés comme organes terminaux des nerfs
moteurs
.) Enfin la transmission de la force nerveuse se
out sur le trajet des libres sen- sibles, plus rares sur les fibres
motrices
. Sa terminaison, quand elle a lieu dans le syst
ner il suit le pro- longement cylindraxe. Supposons une impulsion
motrice
partant de l'écorce du cerveau pour se rendre à
re déjà accusées quarante-huit heures après l'arrachement d'un nerf
moteur
comme le facial 2. La patho- génie de la dégéné
ysiologiques. L'une de ces chaînes de neurones constitue le système
moteur
; une autre forme le système sensitif; d'autres
ences des physiologistes n'ont-elles pas démontré que le cylindraxe
moteur
était apte à conduire vers les centres les impr
tructure analogue à l'archineurone 1 ou au télé- neurone du système
moteur
. Comme eux il se compose d'un centre cellulaire
de la dégénérescence des neu- rones sont dans les voies psychiques,
motrices
et sensibles, con- formes à cette unité de stru
s de systèmes physiologiques. A. Pathologie des neurones du système
moteur
. Considé- rons séparément chacun de ses système
dé- rons séparément chacun de ses systèmes. Et d'abord le système
moteur
. Deux neurones suffisent à établir la communica
tre l'écorce cérébrale et les muscles, c'est-à-dire que la chaîne
motrice
se compose de deux neurones. Le premier archineu-
ones. Le premier archineu- rone a sa cellule d'origine dans la zone
motrice
de l'écorce ; son prolongement cylindraxe desce
cylindraxe jusqu'au muscle. S'il existe deux neurones dans la voie
motrice
, trois cas peuvent se rencontrer en pathologie
rones. 1° La dégénérescence isolée de l'archineurone de la chaîne
motrice
, celui qui va de l'écorce à la moelle et dont le
encore différent et nous fournira le troisième des grands syndromes
moteurs
que nous montre chaque jour la clinique, celui
e l'archineurone. Dans cette vue d'ensemble des maladies du système
moteur
, chaque grand syndrome, dégagé depuis longtemps
me le résultat de la destruction de tel ou tel neurone de la chaîne
motrice
. Et à ce point de vue la doctrine du neu- rone,
s et plus précises. Il est nécessaire, avant d'abandonner la chaîne
motrice
des neurones, d'examiner ce qui se passe ultéri
u mieux paraît rester intact. La dégénérescence de l'archineurone
moteur
détermine donc dans le neurone périphérique une
re. La conclusion de ces faits s'impose : La maladie d'un neurone
moteur
retentit sur le neurone voisin ; elle frappe ce
r cette modalité de la dégérescence de neurone à neurone du système
moteur
par la raison qu'elle sera pour nous un guide p
mplexe. S'il ne faut que deux neurones pour conduire une impression
motrice
du cerveau au muscle, il en faut pour le moins
és, nous verrons que ce qui a été dit de la pathologie de la chaîne
motrice
est applicable ici. Les dégénérescences de la v
cence de neurone à neurone que nous avons éta- blie pour le système
moteur
. ' ' Bulletins de la Soc. méd. des hôp., 1893.
ontrer que celle-ci se fait suivant la même loi que dans le système
moteur
. Supposons d'abord la lésion primitive d'un neu
et en suivant en cela les mêmes lois énoncées au sujet des neurones
moteurs
. C. Dégénérescences combinées des neurones des
. Dégénérescences combinées des neurones des chaînes sensi- tive et
motrice
. S'il est habituel de voir la dégénérescence de
la dégénérescence de neurone à neurone se faire soit dans la chaîne
motrice
, soit dans la chaîne sensitive, il est plus rar
oit dans la chaîne sensitive, il est plus rare de voir un neu- rone
moteur
entraîner la dégénérescence de propagation à un
arquer dans 438 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ses leçons' qua le système
moteur
s'altérait plus rapidement que le système sensi
ux et non pour la sensibilité dans les téléneurones ni pour la voie
motrice
dans l'archneurone, c'est-à-dire ni dans les ci
otrice dans l'archneurone, c'est-à-dire ni dans les circonvolutions
motrices
ni dans le ganglion intervertébral, mais au con
émité libre du cylindraxe, comme on la voit se faire dans la chaîne
motrice
ou sensitive, que, en d'autres termes, elle est
ne façon plus claire, si l'on veut bien admettre que dans la chaîne
motrice
, la chaîne sensitive et dans les chaînes des ne
ysie du membre inférieur gauche. Il semblerait donc que les régions
motrices
du cer- veau, correspondant aux membres inférie
ions anatomiques du tubercule quadrijumeau postérieur et de la zone
motrice
. D'autre part, on sait que le tubercule quadrij
omiques étendues destinées à la transmission réflexe des impulsions
motrices
, car les fibres acoustiques atteignent non seul
isolément, allant alors, par la commissure antérieure, aux cellules
motrices
de la corne antérieure de l'autre côté. P. Kera
utre part, beaucoup de fibres vont passer dans les noyaux des nerfs
moteurs
de ici ! . Il se pourrait que la dernière nodos
que chez les animaux auxquels on a préalablement extirpé la zone
motrice
(dégénérescence consécutive du faisceau pyramidal
rce moyenne appliqués sur le noyau caudé ne produisent plus d'effet
moteur
, alors que cela a lieu chez l'animal auquel on
a lieu chez l'animal auquel on n'a pas préalablement enlevé la zone
motrice
corticale. Cette méthode de vivisection avec
que fût le point de la coupe transverse excité, le même complexus
moteur
symétrique s'est reproduit pendant quelques minut
tiques syphilitiques ou non, les mêmes symptômes intellec- tuels et
moteurs
, le même début, la même évolution, la même duré
ment de la température, de l'abattement psychique, de l'impotence
motrice
, du ralentissement de la respiration, parésie et
donc pas à l'existence des paralysies hystériques des pupilles, du
moteur
oculaire externe, de la fièvre hystérique, de l
haliques. Dégénérescences dans les affections du foyer de la zone
motrice
, par Muratow, 380. Enfants. Quartiers d' annexé
moelle, situé au-dessous de la section, on observe : Une paralysie
motrice
accompagnée d'hyperesthésie, dit, côté où siège l
n-Séquard ; ils se résument dans ces quelques mots : hémi-paralysie
motrice
(avec hy- peresthésie) et hémi-anestlasie crois
endineux, des deux côtés ou seulement du côté où siège la paralysie
motrice
. On a aussi observé l'exagération des réflexes
ce du côté de la lésion, superposée par con- séquent à la paralysie
motrice
; elle se traduit, du moins au début, par une é
ad- duction étaient conservés. En somme, les traces de la paralysie
motrice
antécédente subsistaient dans un grand nombre d
toute probabilité la moelle a subi une hémisection : Une hémiplégie
motrice
; De l'hyperesthésie cutanée ; De l'anesthési
HEMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE. ( Répartition des troubles
moteurs
et sensitifs {Syndrome de Brown-Sequard). SUR U
espérons se sont trouvés complètement confirmés. Il se compose d'un
moteur
électrique rotatif ac- tionné par une pile au b
né par une pile au bichromate ou un accumulateur (Fig.1) ; l'axe du
moteur
porte une came de forme spéciale destinée a soule
urs d'opération de régler très exactement la plongée de la tige. Le
moteur
électrique permet d'atteindre facilement de grand
nne est une irrita- tion de la substance grise corticale de la zone
motrice
, et particulièrement de la couche des grandes c
t dans les tumeurs qui n'intéressent pas directement les cel- lules
motrices
, ou lorsque ces tumeurs absorbent les dites cellu
tic,ile; nous ne pouvions donc localiser la lésion dans la sphère .
motrice
. L'intégrité-parfaite des fonctions visuelle et a
accès (l'épilepsie eut'lieu ; mais elle était trop-loin-de la sphère'
motrice
pour provoquer une crise jacksonnienne. Aussi l
gauche parce que la' tumeur, quoique située en dehors de la sphère
motrice
, avait rendu l'hémisphère droit plus susceptibl
ce grise postérieure qu'il faut chercher l'explication des troubles
moteurs
de la syringomyélie. L'histologie fine du systè
eurs et inférieurs, il existe dans la moelle des centres sensitifs,
moteurs
el vaso-moteurs' qui occupent sensi- blement le
e région fait partie, mais elle se met en rapport avec les cellules
motrices
etprobablementvaso-molrices (1) Je renvoie le l
u'un segment sensitif est principalement en rapport avec un segment
moteur
et vaso-moteur. Chez nos malades les troubles v
orsale, région que je consi- dère comme siège principal des centres
moteurs
, vaso-moteurs et sensitifs des extrémités des m
n faveur de cetle relation étroite entre la topographie des membres
moteurs
, vaso-moteurs et sensitifs des recherches de Ro
de calorique que subissent les malades il cause des troubles vaso-
moteurs
, produisent une sensation de froid presque contin
rès expressif en paroles et en gestes. Il ne présente aucun trouble
moteur
, ni trophique, ni vaso-moteur. Ses réflexes ten
vier 1896, p. 17. (4) F. Raymond. Le traitement de l'incoordination
motrice
du tabes par la rééducation des muscles. Revue
impuissance. Sur nos 22 malades, 12 présentaient une incoordination
motrice
assez marquée : chez 10 la marche a pu se ré- t
s dans les membres inférieurs, parésie vésicale et incoordi- nation
motrice
. A côté de ces 22 cas où le résultat a porté d'
élite aiguë. Les cellules de Purkinje du cervelet et les cel- lules
motrices
des noyaux bulbaires sont particulièrement sensib
oma- tique, réseau achromatique ou spongioplasma. Dans les cellules
motrices
de la corne antérieure, la substance chromatiqu
air, le nucléole est violacé. Tels sont les caractères des cellules
motrices
radiculaires de la corne an- térieure à l'état
nesthésie superficielle au membre inférieur gauche,et une paralysie
motrice
totale du membre inférieur droit, avec de l'hyp
Les troubles de la sensibilité remontaient presque. La paralysie
motrice
s'est dissipée très rapidement à droite, beaucoup
thésie cutanée à gauche, dans une hyperesthésie avec légère parésie
motrice
à droite, le tout accompagné de rétention d'uri
uperficielle, à gauche, par de l'hyperesthésie et par une paralysie
motrice
. Le malade a suc- combé 43 jours après l'attent
e mouvoir ses membres inférieurs et sa jambe droite. La para- lysie
motrice
subsistait à gauche dans le membre inférieur, san
a 3"ver- pègre dorsale a eu pour suites ; A gauche, une paralysie
motrice
de tout le membre inférieur et un peu d'hyperes
RAUMATIQUE DE LA MOELLE ni Au bout de quatre semaines, la paralysie
motrice
, à droite, s'était can- tonnée dans le pied. Le
ine et constipation opi- niâtre. Au bout de 48 heures, la paralysie
motrice
était déjà en voie de rétrocession et 23 jours
s depuis l'attentai, il ne subsistait plus de trace de la paralysie
motrice
du membre inférieur gauche ; à l'élévation de la
eur du côté opposé a l'hémisection est resté frappé d'une paralysie
motrice
partielle. Je vous dirai l'explication que l'aute
l'accident on a constate chez la victime : ci droite, une paralysie
motrice
complète du membre in- férieur, un peu d'exagér
es 6e et 7e vertèbres cervicales. Il en était résulté une paralysie
motrice
complète du membre inférieur droit, avec hypere
eau du mamelon. Au début, le patient a eu égale- ment une paralysie
motrice
incomplète du membre inférieur gauche. Les trou
as, a diagnostiqué une hémisection droite de la moelle ; la parésie
motrice
du membre inférieur gauche pouvait être attribuée
dical minutieux : II subsistait encore un certain degré de parésie
motrice
dans le membre inférieur droit; à cette parésie
de parésie motrice dans le membre inférieur droit; à cette parésie
motrice
étaient associées de l'incoordination motrice,
roit; à cette parésie motrice étaient associées de l'incoordination
motrice
, de l'exagération des réflexes tendineux, l'a-
èbre cervicale, à gauche), peut occasionner des troubles sensitivo-
moteurs
aux quatre membres, également durables aux'membre
s supérieurs et aux membres inférieurs ; hyperesthésie et paralysie
motrice
, à gauche ; hyperesthésie à droite, sans compte
syndrome de Brown-Sequard existait en plein : ri droite, paralysie
motrice
complète du membre infé- rieur, parésie du memb
ce cas, les troubles con- sécutifs se sont réduits à une paralysie
motrice
du côté gauche, paralysie transitoire. M. Delma
ns chez lequel, jours après l'attentat, on a constaté une paralysie
motrice
des memhres du côté droit, à laquelle participa
. Je ne vous mentionne cette observation que parce que la paralysie
motrice
s'est doublée d'une atrophie qui intéressait les
e anesthésie qui remontait jusqu'au cou. Dans la suite les troubles
moteurs
se sont notablement amendés. Je note qu'au dé-
subséquente a porté sur les troubles sensitifs et sur les troubles
moteurs
. A vrai dire l'expression clinique, dans son en
as, à droite de la ligne médiane, on avait constaté : une paralysie
motrice
et une anesthésie de tout le côté gauche ; une
ie motrice et une anesthésie de tout le côté gauche ; une paralysie
motrice
du côté droit et une anesthésie de la main de c
même côté on constatait de l'exagération des réflexes, de la parésie
motrice
, (1) Riegkl. Ein Fall von halbseitiger Vel'letz
une abolition partielle du sentiment, superpo- sée à une paralysie
motrice
des membres ; les troubles du sentiment con- si
on d'urine.. Je note que le 27e jour après l'attentat, la paralysie
motrice
était en voie de rétrocession dans le membre in
araît comme une déchéance fonctionnelle générale du système nerveux
moteur
. Et nous voyons, sauf de très exceptionnelles cir
ne tentative analogue a été faite pour déterminer des localisations
motrices
dans la moelle épinière et à ce point de vue, les
enir les noyaux de tous les muscles sous la dépendance de la racine
motrice
correspon- dante. Il en résulte qu'on peut s'at
orburn, .111en Starr ont fait faire à la question des localisations
motrices
dans la moelle de vrais progrès et ils ont dressé
st étroite la relation entre les neurones sensitifs et les neurones
moteurs
. Un métamère, du reste, est l'ensemble d'une sé
eurs. Un métamère, du reste, est l'ensemble d'une série de neurones
moteurs
et sensitifs qui (1) Brissaud. Leçons sur les m
, la lésion des trois neurones médullaires entre en jeu. Le neurone
moteur
situé à la par- tie antérieure, le neurone vaso
e et anatomique constitue un métamère. VI. L'affection des neurones
moteurs
donne naissance à l'atrophie musculaire. Or com
ude sur une affection nerveuse caractérisée par de l'incoordination
motrice
accompagnée d'écholalie et de coprolalie. C'est
(audition, vision, sensibilité générale) ; de l'autre, les centres
moteurs
de transmission (parole, écriture, divers mou-
es a. Gaz., 1880, p.451. Marinesco. - Localisations sensitives et
motrices
dans la moelle épinière et leurs applications c
ffroy et Achard concluaient à l'altération dynami- que des cellules
motrices
, sous l'influence de la sclérose descendante du
esthésie) et hémi-anesthésie superficielle croisées, la para- lysie
motrice
siégeant du côté de la lésion. Les autres élément
ramener à . quatre types : 1° Dans un premier type, la paralysie
motrice
est limitée au membre inférieur, du côté de ]'h
férieures, en deçà de la 9°. 2° Dans un second type, la paralysie
motrice
et les troubles sensitifs re- montent au-dessus
occipitale. Dans ces cas-là les troubles sensitifs et les troubles
moteurs
envahissent toute une moitié du corps, nuque et c
tain temps, alors qu'au début nous voyons prédominer une paraplégie
motrice
, voire une tétraplégie. Qu'est-ce à dire ? Qu'a
émisection. Dans ces conditions, vous pouvez observer une paralysie
motrice
occu- pant les deux côtés. Or la bilaléralité d
trice occu- pant les deux côtés. Or la bilaléralité de la paralysie
motrice
, qui pour- rait vous faire douter de l'existenc
emain, il avait les deux membres inférieurs paralysés; la paralysie
motrice
se doublait d'une anesthésie. Il se plaignait d
sculaire du membre infé- rieur droit s'était dissipée. La paralysie
motrice
et les troubles de la sen- sibilité subsistaien
rsale. Immédiate- ment après l'accident on a constaté une paralysie
motrice
de la jambe gauche et une anesthésie dans toute
les sensitifs étaient plus prompts à se dis- siper que les troubles
moteurs
. L'inverse s'observe parfaitement, le cas de no
centres ner- veux sont à même de nous rendre compte de la paralysie
motrice
directe, de l'hémi-anesthésie croisée, de l'hyp
et de l'exagération des réflexes tendineux du côté de la paralysie
motrice
, qu'on observe dans les cas d'hémisection de la
'on observe dans les cas d'hémisection de la moelle. A. Paralysie
motrice
directe. - La paralysie qui se produit du côté de
bres qui composent ce faisceau pyramidal conduisent les incitations
motrices
que les centres psycho-moteurs projettent sur l
rmi- nales, ils vont se mettre en rapport avec les grosses cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle. De chacune
ces des cornes antérieures de la moelle. De chacune de ces cellules
motrices
part (1) A. Chipault, Etudes de chirurgie médul
A MOELLE 313 le long prolongement cylindraxile d'une fibre nerveuse
motrice
; ce pro- longement aboutit à une fibre muscula
ne hémisection de la moelle entraînera nécessairement une paralysie
motrice
du même côté, dans les parties innerves par les r
section. Cette figure vous donne une idée d'ensem- ble de la voie
motrice
, qui, vous vous le rappelez sans doute, se rédu
forme d'une arborisation terminale qui enlace une grosse cellule
motrice
. Un neurone périphérique N p, dont le corps c
corps cellulaire C m est représenté par une des grosses cellules
motrices
des cor- nes antérieures, et dont le prolongeme
nettes que celles qui m'ont servi à rendre compte de la para- lysie
motrice
qui se développe du côté del'hémisection. Les dif
'occasion de vous exposer. La voie sensitive, à l'instar de la voie
motrice
, peut se ramener, somme toute, à deux neurones
nombreuses , d'après Cajal. c) Les collatérales longues ou réflexes
motrices
, qui se terminent par des arborisations péri-ce
i se terminent par des arborisations péri-cellulaires dans le foyer
moteur
de la corne antérieure. d) Enfin d'abondantes c
ments principaux du syndrome de Brown-Sequard, de l'hémiparalysie
motrice
directe, de l'hémi-anesthésie croisée et de l'a
de l'expérimentation et de la cli- nique. î-ig. b. 1, 1', Voie
motrice
. 2, 2', Fibres sensitives destinées aux muscles
y- peresthésie très nette s'associe, avons-nous dit, à la paralysie
motrice
. Cette hyperesthésie s'explique sans difficulté
que moitié du cer- velet (Fig. 7) est en communication avec la voie
motrice
par l'intermé- diaire du faisceau de Laewental,
ater dans certaines cellules nerveuses, ainsi que dans les cellules
motrices
de la corne an- térieure, une dissolution centr
ntes, il faut remarquer que nous sommes (1) Sano, Les localisations
motrices
dans la moelle lombo-sacrée. Journal de neuro-
s l'arthropathie éphé- mère siégea au genou du côté de la paralysie
motrice
et de l'hyperesthé- sie, c'est-à-dire préciséme
tes ont été douloureuses, qu'elles se sont accompagnées de troubles
moteurs
plus ou moins accentués, que jamais on n'y a sign
surtout sur les nerfs, et qui s'accompagne de trouble; sen- sitifs,
moteurs
et trophiques, suivis de déformations variées.
un, débutant d'ordinaire parles mem- bres supérieurs. L'impuissance
motrice
s'accroît avec le degré de l'atro- phie qui, su
. Hémisectiou traumatique de la moelle : répartition des troubles
moteurs
et sen- sitifs (syndrome de Brown-Séquard), I
en en fait. Leyden n'apercevait point pourquoi, en outre de la voie
motrice
des cordons latéraux des pyramides, allant des
-93, 734-39. 4 REVUE CRITIQUE. sens de la vue sur la coordination
motrice
, sur laquelle a fort insisté Frenkel dans la ré
ne diminution de la. sen- sibilité, tout au moins de la sensibilité
motrice
; on doit entendre par là que pour l'exécution
ndue de son trajet, et, d'une manière correspondante, chaque région
motrice
de la moelle épinière reçoit des collatérales pro
e, est lésée, et non pas seulement- et uniquement la coordination
motrice
. Et Redlich invoque encore ici la sensomobilité
a- lysie apparente avec celle qui résulte d'une lésion de la voie
motrice
. Ajoutez, toujours comme effet de cette dégénér
que le cervelet exerce une influence déterminante sur les fonctions
motrices
, spécialement des extrémités inférieures, et qu'i
e l'aura vaso- 1 Séglas. Th. Paris, 1881. 20 CLINIQUE NERVEUSE.
motrice
et l'éclosion d'une crise convulsive dans la péri
s les muscles de la vie de relation et partant le repos des centres
moteurs
; il a aussi pour résultat de restreindre au mi
auditives, cutanées, etc.), et par conséquent toutes les réactions
motrices
. Il favorise le som- meil ; il diminue l'activi
s répondre complètement à leur but. « Un grand nombre de phénomènes
moteurs
, tout spécialement les réflexes, ont été étudié
n une atrophie simple des cellules des cornes antérieures, cellules
motrices
et cellules cordonales. Ces deux faits démontre
ophie musculaire progressive flasque, accompagnée d'une impuissance
motrice
toujours adéquate à la quantité de tissu muscul
ns se cantonnent dans un seul sys- tème anatomique, le protoneurone
moteur
ou spino-musculaire. Au contraire, dans la sclé
esse au moins deux systèmes anatomiques distincts : le proloneurone
moteur
; les cellules et fibres de cordon. Sans comp-
n-Duchenne est une affection sys- tématique limitée au protoneurone
moteur
, et qui ne touche jamais au cerveau proprement
ens qui, par une irri- SOCIÉTÉS SAVANTES. 77 tation de la cellule
motrice
médullaire, sont capables d'exagérer les réflex
ibrillaires, la stabilité des troubles trophiques, anesthésiques et
moteurs
, l'intégrité absolue du sphincter scrotal-anal,
ffaiblie; actuellement les crises d'agitation sont presque purement
motrices
, elle ne parle plus guère de ses idées délirant
progressif des fonctions, et partant de la nutrition, des cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle épinière, d
ent nerveux de ces cellules, la fibre radicu- laire du protoneurone
moteur
, n'est point altérée dans toute sa longueur com
tourent plus, de leurs fines arborisations terminales, les cellules
motrices
des cornes antérieures, privant ainsi ces cellu
de Lugaro est en contradiction avec l'état anatomique du neurone
moteur
phériphérique dont la fibre radiculaire a été sec
es altérations des cellules radiculaires après la section des nerfs
moteurs
, qu'il ne s'agit pas en réalité, dans ces cas,
acines postérieures. En outre les nerfs périphériques, sensitifs et
moteurs
, z sont souvent et peut-être toujours affectés
doctrine actuelle, les lobes pariétaux sont occupés par les centres
moteurs
de Ferrier et d'autres auteurs, et les lobes te
ait un siège par- ticulier et distinct des subslrata sensitil's et
moteurs
de l'écorce en général. Le point unique qu'il a
us l'influence d'un traumatisme. - Reste à expli- quer la paralysie
motrice
qui a probablement été causée par 138 REVUE D'A
sgrave CLAY. - VIlI. Remarques sur les cellules géantes de l'écorce
motrice
chez les aliénés, examinées à l'état frais (san
égards de celle que Marinesco a signalée après la section d'un nerf
moteur
. Dans 71 cas de folie l'auteur a pratiqué l'exa
évrites paludéennes semblent caractérisées d'abord par des troubles
moteurs
de la sensibilité, puis par des troubles avec f
de de la pathologie de la cellule pyra- midale et des localisations
motrices
dans le télencéphale ; par F. SANO. (Jo2ern. de
sa. Si l'érecteur de droite, par suite d'une affection de ses nerfs
moteurs
, perd de sa force, comme dans la sciatique, le
t servir à expliquer les symptômes d'ordre SOCIÉTÉS SAVANTES. 153
moteur
observés durant la vie. Au cours d'une tuberculos
e de ces accès ou de ces étals de mal elles présentent des troubles
moteurs
et intellectuels pro- noncés, mais passagers.
oteurs et intellectuels pro- noncés, mais passagers. Les troubles
moteurs
consistent en paralysies partielles (mono- plég
côté gauche, des douleurs dans quelque partie de l'appareil loco-
moteur
de ce côté, accompagnées d'une anesthésie cutanée
en qui ont soutenu, contrairement àla doctrine classique, la nature
motrice
du noyau dorsal du nerf vague. De plus, les aut
plus, les auteurs pensent que ces cellules appartiennent à un type
moteur
spécial différent, par exemple, du type des gra
TÉS SAVANTES. 173 3 sans autre signe de paralysie facial; intégrité
motrice
des membres, mais exagération des réflexes à dr
nations de l'ouïe et de la vue. Le malade ne présentait ni aphasie
motrice
, ni paraphasie dans la parole spontanée, ni céc
s spinaux..Donath la considère. comme. une. affection des- racines-
motrices
; médullaires : . A', côté; de; ces auteurs, d'a
sur les symptômes psychiques, tantôt sur les trou- bles somatiques (
moteurs
, sensibles, vaso-moteurs). La distinction des p
sans contracture de l'orbiculaire et semblant dû à une insuffisance
motrice
passagère. Malgré la rareté des ptosis hystérique
ôt survient la paralysie d'une branche ou de toutes les branches du
moteur
oculaire et alors tous les symptômes disparaiss
ment étendue jusqu'au pédoncule gauche, et avait envahi le noyau du
moteur
oculaire. A la seconde visite, le tableau clini
fois même pendant plusieurs mois après la guérison. Les symptômes
moteurs
qui apparaissent en même temps que REVUE DE PAT
l y avait des lésions évidentes de dégénérescence dans les cellules
motrices
de la corne grise antérieure de la moelle. Dans
protubérance. Mort. Autopsie; 5° Gliome du centre ovale, des aires
motrices
droites. Mort. Autopsie ; 60 Gliome des aires
des aires motrices droites. Mort. Autopsie ; 60 Gliome des aires
motrices
gauches. Opération. Mort ; '7° Tumeur sous-cort
les droites. Opération. Pas d'amélioration; ' 8° Tumeur des aires
motrices
droites. Mort. Pas d'autopsie; 9° Tumeur des ai
s aires motrices droites. Mort. Pas d'autopsie; 9° Tumeur des aires
motrices
gauches. Mort. Pas d'autopsie; 10° Gomme à la b
a base du cerveau. Mort. Pas d'autopsie ; 110 Tumeur dans les aires
motrices
droites. Mort. Pas d'au- topsie ; 1211 Gomme
rices droites. Mort. Pas d'au- topsie ; 1211 Gomme dans les aires
motrices
gauches. Amélioration; 13° Abcès dans la circon
térale et située du côté de la moelle correspondant à la paralysie
motrice
. - La nature de la lésion demeure naturellement
uses causes que passe en revue l'auteur. L'amour, ce mal universel,
moteur
puissant s'il y en a un, ne peut-il créer l'obs
u : leur coupe a environ un millimètre et demi de diamètre. Le nerf
moteur
oculaire est assez bien développé. Les t«ber- c
e des lésions de certaines zones du cerveau. z Dans les « centres
moteurs
corticaux », Charcot et Pitres citent entre aut
QUES. de transformation des impulsions sensorielles en phénomènes
moteurs
, ou physiques, ou vice versa ne nous est pas conn
tance blanche et la substance grise se rencontrent dans la région
motrice
, et que ces différences sont exactement semblable
une paralysie faciale droite com- plète avec UR, d'une paralysie du
moteur
oculaire externe droit, de nystagmus, de kérati
olutions à la partie inférieure BIBLIOGRAPHIE. · 355 de la région
motrice
gauche et du faisceau efférent correspondant da
ifférents groupes de muscles d'un côté du corps, partent de centres
moteurs
situés dans l'hémi- sphère cérébral du côté opp
moyen de se renseigner sur la topographie et les limites de la zone
motrice
corticale, entrevue par M. Jackson. Naturelleme
on ne s'est pas contenté de déterminer la topo- graphie des centres
moteurs
corticaux, chez les animaux supérieurs tels que
notions suivantes : , a. Premièrement, l'extirpation d'un centre
moteur
cortical entraîne toute autre chose qu'une para
bles, et des désordres qui n'ont rien de commun avec la paralysie
motrice
, dans le sens propre du mot, dans le sens de la
faut de spontanéité. Ainsi, à la suite de l'extirpation du centre
moteur
des doigts et de la main, ces parties ne se contr
, ces parties ne se contractent plus sous l'influence d'incitations
motrices
qui leur sont des- tinées exclusivement, mais e
membre. Bref, les désordres relèvent bien plus de l'incoordination
motrice
que de la paralysie ; on les désigne couramment
e cette particularité. b. En second lieu, l'extirpation d'un centre
moteur
cortical entraîne l'impossibilité de provoquer
eloppant un foyer d'irritation dans un territoire limité de la zone
motrice
corticale. A la suite de l'extirpation de ce ce
point capital où je voulais en venir : l'extirpa- tion d'un centre
moteur
de l'écorce supprime la possibilité de développ
gorie de faits ; elle comprend les cas où le siège précis du centre
moteur
a été déterminé avant l'extirpation, à l'aide d
ques convulsives réapparurent avec une grande fréquence. La parésie
motrice
du membre supérieur gauche persistait, elle se
état d'infantilisme. Le il février 1896, on extirpa tout le centre
moteur
du membre supérieur de l'hémisphère gauche. Déj
convulsifs. - Le 13 mars 1896, on procéda à l'extirpation du centre
moteur
du membre supérieur de l'hémisphère droit. Cett
le membre supérieur correspondant a été frappé d'une simple parésie
motrice
; légère et transitoire, qui n'a pas duré plus d
la main... 1 Le 17 décembre 1892, on mit à nu la portion de la zone
motrice
corticale dont l'excitation produisait des cont
cte dans les parties paralysées. Le ler avril suivant, la paralysie
motrice
était complète, à la main droite et au coude; la
d'altérations appréciables. On procéda à la détermination du centre
moteur
de la jambe, à l'aide de l'excita- teur électri
t atteinte d'une légère paralysie. Les jours suivants, la paralysie
motrice
est allée en s'amendant. Le malade a quitté l'h
isinage du sillon de Rolando, par conséquent dans l'aire de la zone
motrice
. Eu égard au résultat théra- peutique, ils se r
pé- ratoires, on a dénié toute utilité à l'extirpation de centres
moteurs
corticaux, pratiquée chez un malade dont l'épilep
au moment où fut pratiquée l'extirpation d'un fragment de la zone
motrice
. Inversement, les échecs n'ont pas été rares, d
nette sur les résultats thé- rapeutiques de l'extirpation du centre
moteur
qu'on suppose être le point de départ des attaq
suite de l'extirpation d'un fragment ou de la totalité de la zone
motrice
, sont essentiellement' transitoires : c'est un po
e tiens à vous pénétrer de cette notion : L'extirpation d'un centre
moteur
n'entraîne pas de paralysie durable de la parti
paralysie durable de la partie qui est censée tirer son innervation
motrice
du centre extirpé; elle entraine des désordres
innervation motrice du centre extirpé; elle entraine des désordres
moteurs
qui relèvent de l'incoordination plutôt que de
le, sans occasionner de lésions appréciables de l'écorce de la zone
motrice
. Il faut donc admettre que l'épilepsie cortical
fragments de la zone rolandique, dans des cas d'épilepsie partielle
motrice
, d'origine trauma- tique. Je vous ai dit déjà q
tre espèce, nos connaissances touchant la topo- graphie des centres
moteurs
de la zone rolandique, que nous tenions de l'ex
une dégénérescence nerveuse centrale, intéressant soit le noyau du
moteur
oculaire, soit ses rameaux afférents. 5° Elle
ants : a. Cette iridoplégie accompagne, ou suit, une paralysie du
moteur
oculaire. b. A l'appui de l'opinion de l'auteur
on constata une dégénérescence du noyau sphinc- terien et des nerfs
moteurs
oculaires. c. Les recherches nécroscopiques mon
fit se reporter au mémoire intégral. il. M. C. XLIX. Des troubles
moteurs
à évolution aiguë, à forme d'ataxie cérébelleus
ques à un défaut d'équilibre réflexe sensitivo-moteur. Des troubles
moteurs
seuls peuvent s'ac- compagner de dystrophie, ma
s portant sur le point de conjugaison de deux neurones, sensitif et
moteur
, comme la syringomyélie, présentent des troubles
ccentués ; la paralysie infantile qui ne porte que sur les cellules
motrices
ne produit que l'atrophie. Les mêmes remarques
s l'olive gauche. Ce cas de déficit cérébelleux, sans localisations
motrices
impor- tantes est particulièrement intéressant;
selon la forme sensitivo-motrice aiguë ou la forme exclusivement
motrice
ou la forme pseudo-tabétique ; évolution selon la
es membres supérieurs et quelquefois des infé- rieurs. Les troubles
moteurs
des membres supérieurs étaient variables, réali
ance génitale dus à l'absence d'érection ou à toute autre faiblesse
motrice
doivent faire soupçonner le tabes. Il peut y av
les cellules ganglionnaires, mais la substance blanche et les nerfs
moteurs
efférents sont aussi atteints. Dans quelques ca
géné- rale, la paralysie de Landry n'atteint que les nerfs spinaux
moteurs
efférents, les cornes grises antérieures de la
tions, et par l'apparition de symptômes d'initiation sensorielle et
motrice
, » et, comme résultat de son étude, il conclut
istence d'une lésion irritative des cellules nerveuses (mentales et
motrices
). L'auteur estime que l'agent irritant est une
ce qu'il faut dire, c'est que les cellules mentales et les cellules
motrices
sont atteintes les unes et les autres. Il veut
stème nerveux caractérisé par des symptômes mentaux avec phénomènes
moteurs
concomitants; cette concomitance est constante
pécial et très capable de faciliter le diagnostic. Les phénomènes
moteurs
sont représentés par une parésie mo- trice et u
écrivant; mais dans la majorité tout au moins des cas, l'apha- sie
motrice
s'accompagne d'une agraphie plus ou moins accusée
ns, ancienne syphilitique, frappée d'hémiplégie droite avec aphasie
motrice
et sensorielle, paralysie du facial et de l'hyp
t brusque de la maladie par des phénomènes d'insomnie, d'excitation
motrice
, refus d'alimentation, hallucina- tions visuell
cerveau gau- che, et qu'elle avait envahi, non seulement la région
motrice
, mais aussi la région frontale, puisque son int
énération, produite par la simple compression des cellules cortico-
motrices
1 (chez l'enfant, plus fréquemment que chez l'a
ur d'une mandarine, facilement énucléalle· qui a comprimé la région
motrice
gauche, a poussé en arnere la scissure de Sylvi
atiques et psychiques, tels que : hémiparésie passagère, excitation
motrice
, confusion mentale et hallucinations. Bientôt s
puis longtemps aux prati- ques du spiritisme se crut d'abord médium
moteur
, puis médecin 506 ' · SOCIÉTÉS SAVANTES. ente
ures de la moelle, en même temps qu'une lésion des noyaux des nerfs
moteurs
qui n'est pas celle d'une paialysie bulbaire prog
sée. 4° Paralysie pMMo-6M/6a ! )'e. Ophtvlznopléyie dissociée itléo
motrice
. Prêtre, âgé de cinquante-quatre ans. Plusieurs
ie idéo-motrice, tandis que la voie qui communique les impulsions
motrices
des images visuelles aux noyaux des nerfs oculomo
Ataxie. Anesthésie du tronc dans il-, par Patrick. 246. Troubles
moteurs
à forme il'- cérébelleuse chez les ivrognes, pa
nçante du faisceau latéral; 2° Dégénération granuleuse des cellules
motrices
de la subs- tance grise, surtout dans la région
UDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
ACCOMPAGNÉE D'ÉCHO- LALIEI ET DE COPROLALIE2 (J
apprécié, les affections nerveuses dans lesquelles l'incoordination
motrice
était le symptôme prédominant se trouvaient for
aladies nerveuses, t. II, p. 3t. Paris, 1851. DE l'incoordination
motrice
21 en tète de celles que nous avons recueillies
re de Beard : numéro du 15 août 1878, p. 368. DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 23 fection que nous allons décrire. L'auteur a
que des .lrcltoes de Neurologie, juillet 1881). DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 25 veuses qu'il combattait surtout par des bai
et paraissant jouir d'une modeste aisance. DE 1,'IN COORDINATION
MOTRICE
. 27 S... n'a jamais été malade pendant son enfa
ment exagéré de tics et de contorsions, remuant DE L INCOORDINATION
MOTRICE
29 les bras, se relevant et s'abaissant à plusi
été élevé avec tout le confort désirable : son DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
31 père est armateur et possède une fortune qui
éristiques ; la tête s'incline brusquement vers DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 35 l'une ou l'autre des épaules; en même temps
amais, parait-il, il n'a poussé de cris, ni dit DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 37 pendant ses contorsions de mots orduriers.
des occupations intellectuelles sans fatigue. DE L INCOORDINATION
MOTRICE
. 39 Observation VII (Personnelle). M. E..., v
t involontaire de mots grossiers ou obscènes. DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 4 t M"°X... est fort intelligente; elle appren
tronc. Mais assez souvent 42 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. les secousses convulsives ont lieu sans qu'auc
rva- tion il eut environ un accès par mois. La réaction des nerfs
moteurs
était normale. Le 3 novembre 1861, on commença
ours avant le début du trai- tement. La réaction du système nerveux
moteur
par la recherche galvanique et faradique était
curare possède non seulement une action spécifique sur la diathèse
motrice
de l'épilepsie, mais encore sur la dia- thèse p
n vieillard de soixante-dix-neuf ans n'ayant présenté aucun trouble
moteur
. M. W. fait remarquer que les calcifications si
be et paraît étourdie; on la recouche, elle a un peu de para- lysie
motrice
du bras gauche, avec déviation conjuguée des yeux
ant plusieurs années avant son mariage) ; on constate une paralysie
motrice
très peu marquée du bras gauche, et existant à
t quand on fait agir le courant sur la région corticale antérieur :
motrice
, mais aussi quand on l'applique sur les parties p
convulsions cor- respond à la disposition topographique des centres
moteurs
dans l'é- corce du cerveau; ainsi n'entrent en
cet organe, 80 REVUE DE pathologie mentale. reçoivent des libres
motrices
des deux moitiés de l'écorce ; Sa La même concl
oduction des convulsions musculaires. En extirpant certains centres
moteurs
isolément, on élimine du même coup du tableau c
entent un caractère tonique; 17o L'extirpation de la zone corticale
motrice
dans l'état domalépileptique réduit au silence
elques observations nous apprennent que la destruction de la région
motrice
empêche également chez l'homme les convulsions
qui les accompagnent souvent, les symptômes d'exci- tation d'ordre
moteur
, y compris la chorée, le ptsyalismc, les ma- ni
Le centre des images acoustiques des mots. M. Le centre des images
motrices
des mots. AM, La voie d'union entre ces deux ce
ntrée centripète des impressions auditives. llim, La voie de sortie
motrice
. L'exercice de la répétition avec intelligence
x grands groupes de troubles aphasiques méritent les noms d'aphasie
motrice
et d'aphasie sensorielle. Elles sont toutes deu
M. llamos (de Leipzig.) Sur une parulysic yériodique de l'oculo-
moteur
commun. On a encore comparativement peu étudié le
type de l'hystérie mortelle aiguë de L. Meyer (absence de troubles
moteurs
). Ce qui le frappe SOCIÉTÉS SAVANTES. 118 3 d
re de figures, notamment de la distribution des nerfs et des points
moteurs
, ajoutent encore à l'utilité pratique de ce liv
rveau. (Arclv. de plzys., 2e série, t. VIII.) 1883-1884. Le cerveau
moteur
. (Arch. de phys., 3e série, t. Il et III.) Il a a
'elle était sous la dépendance de la myélite affectant les cellules
motrices
des cornes anté- rieures. Tous ces cas appart
able. H.-J. Petit 1, dans un mémoire intitulé : De l'ataxie loco-
motrice
dans ses rapports avec le traumatisme, cite l'o
UDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
ACCOMPAGNÉE D'ÉCHO- 1. : lLIls` ET DE COPROLAL1
lade secoue deux ou trois fois sa jambe droite, DE L INCOORDINATION
MOTRICE
. 161 tire la langue encore une fois, dit « zut
leur témoigner ici même toute notre gratitude. DE l'incoordination
motrice
. 165 bute donc dans l'enfance et au plus tard d
lement toujours, ou à peu près, identique. C'est Vin- coordination
motrice
qui ouvre la scène morbide : in- coordination q
; le travail devient difficile. Presque en même DE l'incoordination
motrice
. 167 temps- les intervalles varient suivant les
idus atteints de la danse de Saint- Guy ». . .DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 169 retour est moins précipité. Alors que, gén
n'en existent pas moins. Ces diverses modalités de l'incoordination
motrice
sont influencées par diverses causes. On peut d
e des périodes d'exacerbation peu- dant lesquelles l'incoordination
motrice
se montre assez peu, bien qu'elle ne disparaiss
e longues années, constituer à elle seule toute DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 171 I V affection. (Dans les observations I, I
aisant que possible. Il est évident cependant qu'une incoordination
motrice
aussi accentuée que celle qui existe parfois n'
l'inverse de ce qui se passe chez les choréiques, l'incoordination
motrice
, qui, nous le savons, se présente ici sous form
Les efforts qu'ils font alors pour atténuer ou DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 173 faire disparaître la violence de leurs mou
instants à subir une exagération inusitée de son in- coordination
motrice
qui chez lui portait spécialement sur les deux
observations entre quelques mois et seize années, l'incoordination
motrice
pouvait exister seule : ou plutôt, nous parlero
te, doit faire soupçonner l'apparition probable DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 175 d'un autre signe, qui n'est en somme que l
gent à quelque chose, leur oreille par les mois DE L INCOORDINATION
MOTRICE
. 177 dont ils revêtent l'idée qui les haute en
ngers. Il est un des premiers à apparaître après l'incoordination
motrice
, il semble être un des derniers à persister pen
t 1884, p. 71. /&td.,juiUetl88<,p ? 3. DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 179 lant du matelot qui en fait le sujet : « S
ts sont pour la plupart foutu cochon, des jure- de l'incoordination
motrice
. 181 ments grossiers, des épithètes obscènes, e
société ». Quant aux auteurs étrangers, O'Brien DE l'incoordination
motrice
. 183 nous dit expressément : « Le latah pousse
ure obscène tout à fait spéciale (Obs. II). . DE L INCOORDINATION
MOTRICE
. 185 Quant à l'état physique, moral et mental d
même qui se dégage de nos propres observations. DE l'incoordination
MOTRICE
. 187 Beard cependant est assez affirmatif au su
fection est héréditaire; elle se caractérise par une incoordination
motrice
sous forme de secousses musculaires brusques, a
es le Neurologie, loc. cil., 1889, p. 146-151 . DE L INCOORDINATION
MOTRICE
. 189 particulièrement de ceux que nous avons én
e autre, trois frères étaient atteints. Chez tous, l'incoordination
motrice
était des plus évidente et affectait spécialeme
1884. Jumping, Latah, My- riacliit, p. 68-75. DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 191 I mieux de la lecture du mémoire de M. O'B
vivant ensemble dans les bois, où ils exercent DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. - 193 la profession de bûcheron. N'y aurait-il
affection : 1" cas. L'individu n'est affecté que d'incoordination
motrice
, de secousses musculaires ; la maladie se consti-
uera probablement dans un laps de temps plus ou DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 195 moins long, mais en ce moment elle ne se t
- teur attentif ne s'y trompera pas longtemps; l'incoor- dination
motrice
de la chorée ne ressemble pas aux secousses mus
ns idiopa- tiques de la face. Bruxelles, 180. DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 197 Ï pendamment d'une cause connue, et même c
de notre affec- tion au grand complet. 2e cas. A l'incoordination
motrice
viennent se joindre des cris inarticulés . A
ues chez les hystériques, en s'accompagnant même d'incoordination
motrice
. Mais, chez ces malades, il existe toujours, ou
les phénomènes ayant trait avec la phonation. DE L'INCOORDINATION
MOTRICE
. 199 3« cas. A l'incoordination motrice, aux cr
tion. DE L'INCOORDINATION MOTRICE. 199 3« cas. A l'incoordination
motrice
, aux cris inarticulés, se joint l'émission de m
alie persiste par suggestion après le réveil ouest l'incoordination
motrice
? Certains aphasiques peuvent prononcer et à sa
sagère.- A son entrée dans le service il n'existe plus de troubles
moteurs
, mais la sensibilité au froid et à la douleur éta
OGIE NERVEUSE. XXIV. Un cas d'arrêt de développement dans la SPHERE
motrice
du cerveau; parJ. Gensen. (Arch. f. Psych., XIV
ment. Il y avait en un mot assez de tissu pour que la vie psychique
motrice
et sensorielle persistât : mais les facultés et
xagérés sur la moitié du corps en proie aux phénomènes d'excitation
moteurs
, même quand ces phénomènes d'excitation se comp
té à la douleur est obtuse, on constate simultanément de la parésie
motrice
du même côté, de sorte que l'abolition des réflex
d'ordinaire aux attaques accompagnées de phénomènes d'excita- tion
moteurs
, s'observent généralement au bras, rarement à la
a tète et des yeux qui suit l'attaque est un phénomène d'excitation
moteur
. Après critique et réflexion approfondie sur le
ubles de la motilité en rapport avec l'atteinte des circonvolutions
motrices
, l'absence d'aphasie par suite du simple déplac
. C'est à des lésions traumatiques qu'il faut rapporter les tmublus
moteurs
ou seiisitils qui se manifestent aimultai,cmuut
state aussi, à cette période, des troubles sensoriels, sensibles et
moteurs
. La vésanie proprement dite est de prime abord
tiqua une traction du nerf ulnaire pour remédier à une altération
motrice
et un trouble de la sensibilité obser- vés dans
ans une contracture doulou- reuse. Blum' : Anesthésie et altération
motrice
dans ' Struckmann-Maag. Etc. 2 Estlander. V.
troubles sensitifs ne répond pas exactement à celle des troubles
moteurs
, nous voyons l'anesthésie épargner la partie su
supérieure du tronc et les membres supérieurs, lorsque la paralysie
motrice
y est très accusée. Erichsen, après avoir avanc
qu'il n'est pas inutile de faire d'a- bord, c'est que les troubles
moteurs
et sensitifs sont beaucoup plus persistants dan
être influencés dans les fortes commotions, aussi bien les éléments
moteurs
que les sensitifs, et, 318 PATHOLOGIE NERVEUSE.
corce du cerveau lui attribua la même localisation qu'aux fonctions
motrices
. Il est vrai que Vulpian et Kûssner, s'appuyaut
du cerveau chez les chiens offre les mêmes limites que les centres
moteurs
de Hitzig. Le même auteur a a publié plusieurs
zig. Le même auteur a a publié plusieurs cas de lésion de la région
motrice
de l'écorce du cerveau, dans lesquels s'observa
son malade n'était pas en proie à une démence avancée. Les troubles
moteurs
rapportés disparurent dans le cours de la maladie
d'en attribuer la pathogénie à l'excitation des territoires spinaux
moteurs
qui commandent à un ensemble fonctionnel démuse
istence, dans l'espèce, d'un état d'excitation chronique des noyaux
moteurs
des cornes antérieures grises. Présentation d
pourrait qu'on ait affaire à un hys- térique. L'absence de troubles
moteurs
et d'atrophie plaide contre l'existence de lési
émie maternelle pendant la grossesse. Pour expliquer les phénomènes
moteurs
, il faut avoir recours à l'entrave apportée au
tèbres), par Rallier, 61) - -tiio- malie du développement, 110.
Motrice
(incoordination avec écholalie et coprolalie),
c écholalie et coprolalie), par Gilles de la Tourette, 19. 158.
Motrice
(arrêt de développement dans la spUî·w - du cer
s la droite sans déter- miner aucune lésion dégénérative des libres
motrices
ou sensitives, ce qui explique l'absence de tou
v queux des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses
motrices
corticales et de sa signification ; par l\\'.\N
es rétabliraient la communication entre ces cordons et les cellules
motrices
au-dessous de l'endroit comprimé. Mais, dans l'
ommunication le centre cor- tical extirpé avec les noyaux des nerfs
moteurs
des muscles ocu- laires ou avec le quartier où
e bijumeau supérieur mon- trenL qu'à la hauteur du novau de l'oculo
moteur
commun le pied du pédoncule est l'émanation de
Le novau du facial a été le plus atteint. La parésie de l'oculo-
moteur
externe, légère et transitoire, ne tenait peut-êt
ffecté, II' no) au sensitif du trijumeau ; l'intégrité de son noyau
moteur
trace la limite supérieure du foyer. Le terri
e lésion simultanée des corncsanterieu- res grises, des conducteurs
moteurs
périphériques, ainsi que dans les paralysies in
yie hul6o-shinale allt(·nirlue en voio de régression. Polynévrite
motrice
au poliomyélite antérieure subaiguë. 3131. Bris
ance aussi flagrante du rôle des idées obsédantes et des phénomènes
moteurs
systé- malisés dans les syndromes vesamques ne
r ; l'insomnie est complète, elle a dans les membres des agitations
motrices
continuelles. Puis -elle se lamente, a peur de
hacune à des mouve- ments particuliers de l'ensemble de la fonction
motrice
. La sur- face du cerveau comporte une localisat
e membres sont donc repré- sentes dans le cervelet par sept centres
moteurs
. Un mémoire détaillé est en préparation. P. KEl
tle Holando (préeenll'al), ''Ce dernier, sur la limite de la région
motrice
, participe aux mouvements volontaires. Le centr
téressées des deux côtés depuis le centre visuel jus- qu'à l'écorce
motrice
. La lésion du pli courbe fournit une Rmhl 0- pi
il opposé. 5. La dissec- tion de la pie-mère au-dessus de la région
motrice
engendre chez REVUE D'ANATOMfH ET DE PHYSIOLOGI
s portions supérieures et externes du lobe pariétal et de la région
motrice
, enlin l'écorce des lobes frontaux. Ces voies e
ne, dont les lésions ne produisent jamais de troubles sensoriels ou
moteurs
, et provoquent au contraire la perte des facult
s vagues ; et celles qui en cherchent l'origine dans des (rou- bles
moteurs
périphériques de la pointe de la langue, des part
périences, l'auleurtirelcsconclusions suivantes : La zone corticale
motrice
est le centre exclusif des convulsions clonique
e chien et le chat nouveau-né et chez la grenouille verte, l'écorce
motrice
n'est pas le siège d'un cenlre convulsif. La
s. 112 REVU : DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 11 s'agissait d'une aphasie
motrice
(ranscorficale puisque la parole spontanée ëtai
ssocialion qui unissent le centre acoustique de la parole au centre
moteur
. Mais dans l'espèce, le malade était conscient
tettectuel coopérait au mécanisme. 11 faut donecroire que le centre
moteur
de la parole comprend un territoire plus gl'an(
côLé <le celte circonvolution, il doit v avoir un second centre
moteur
de la pa- role prl'l'orllll',Cl'nlrc auxiliaire
entre acoustique et optique de la parole. Conclusions. 1. Le centre
moteur
de la parole comprend un territoire qui dépasse
ole acoustique, tantôt ducenfre de la parole optique. ? . L'aphasie
motrice
transcorticale est pro- duite non pas par la lé
du schéma do LichLJ\t'il1l, qui va du centro intellectuel au centre
moteur
de la parole, mais par celle de la circOl1\oluLio
choppement et est emllneinlo ¡['ulle pl'I'llll'lmlioll nl'lll'lnrnL
motrice
. Mais alors, il est difficile d'élucider les ra
ors, il est difficile d'élucider les rapports de l'aphasie centrale
motrice
avec l'amnésie verbale, parce que la première,
ant l'origine centrale des accidents, l'abaisse la valeur du centre
moteur
dans la trouvaille du mot. S'agit-il d'a- phasi
r du centre moteur dans la trouvaille du mot. S'agit-il d'a- phasie
motrice
partielle ou en rétrocession, l'aptitude du malad
'il y a des cas intermédiaires constitués par un mélange de trouble
moteur
, de trouble sensoriel, et même de paralysie tac
nts des mots, il existe des syndromes de transition entre l'aphasie
motrice
et l'amnésie. En revanche, il est probable que
mes. Il peut dépendre d'une modifica- lion primordial de l'appareil
moteur
. Il peul aussi émaner de sensations' et d'idées
centres corticaux du facial supérieur ne détermine pas des troubles
moteurs
notables dans la partie supérieure de la face d
ont un peu de liberté, ils en profi- tent pour s'évader. Aphasie
motrice
ci répétition chez une morphinomane. JIJI. Rov
la suite de légers eblouissements, était subitement prise d'aphasie
motrice
corticale. Elle eut une dernière crise au cours
- munication de MM. Roy et Jaquelin serait le suivant : « Aphasie
motrice
chez une hystérique, sous t'influence de l'intoxi
s . précoces; . Par le Dr DROllIArm, 1 Parmi les manifestations
motrices
des déments préco- ces, les unes semblent bien
es, les unes semblent bien relever d'une perturbation de l'appareil
moteur
affecté pour son propre compte ; telles sont le
agnostique et pronosti- que (le leur élude. Ce groupe de phénomènes
moteurs
à .signification psychologique comprend, entre
- sion rappelant la mimique du dégoût. En dehors de ces habitudes
motrices
portant sur certains traits du visage, la malad
nt qui se manifeste par la lenteur et l'incerti- tude des processus
moteurs
et que Fenzi et Vedrani ont désignée sous le no
atténuées répondent aux simples hésitations de l'activité psycho-
motrice
. Sans rien préjuger d'une pathogénie dont les é
éationnel, quel que soit le mécanisme de ce divorce entre l'élément
moteur
et son élément psychique adéquat, il est certai
es stéréotypés, nous tenons il faire observer qu'entre l'expression
motrice
actuelle et l'idée délirante ancienne, le lien
rque d'une évolution progressive 'tendant vers l'unité d'expression
motrice
. L'activité stéréotypée d'origine résiduelle ou
] de l'individu, et l'on peut même dire qu'elle résume toute la vie
motrice
de nos dé- ments retraités. ' III. Valeur cli
favorable à la fixation de telle ou telle formule d'extériorisation
motrice
. Le paralloïqlle, au contraire, conserve une ac
a signification quasi-spécifique de la sté- réotyllic. Une réaction
motrice
ne mérite le nom de sté- reotypic que si elle s
ra savoir interpréter « l'équivalent intel- lectuel a de la formule
motrice
, si l'on peut dire, et re- connaître sans équiv
e- connaître sans équivoque qu'il n'existe derrière celle formule
motrice
aucune idée délirante active, aucune re- présen
'absence de con- tenu idéo-alfeclif. Chez le maniaque, l'excitation
motrice
est la traduction directe d'une excitation inte
nelles du sujet. Chez le dément précoce, au contraire, l'excitation
motrice
sc tra- duit en dehors de l'activité psychique,
se signale par la variété incessante et la richesse de son activité
motrice
, laquelle est l'expression parfaitement adéquat
persistance de la for- STÉRÉOTYPIE DES DEMENTS PRÉCOCES. 221 mule
motrice
après disparition de ces conceptions mêmes est
arti- culier de monotonie et d'automatisme que revêt l'acti- vité
motrice
, la verbigération qui est parfaitement dis- tin
marqués et ont la même distribution topographique que les troubles
moteurs
. Le rapport de fréquence et de pa- rallélisme e
u'au point de vue psychologi- que on a pu conseiller la rééducation
motrice
qui dev ientpar cela même une rééducation psych
nser que, plutôt que les traitements internes, c'est la rééducation
motrice
et psy- chique, précoce et progresse, qui est l
e nature sensitive mais bien, comme l'enseignait Luciani, de nature
motrice
. Pour Stefani, il y a ressemblance absolue entr
integrum plus ou muins com- plète. L. W. XLVI. Les localisations
motrices
spinales et la théorie de la métamérie ; par C.
venu d'établir une loi qui présiderait aux localisations spi- nales
motrices
, Aucune des théories exprimées n'est satisfaisant
LVI1. Contribution à la connaissance du gisement des nerfs craniens
moteurs
dans le pied du pédoncule céré- bral ; par G. 1
ovenant d'un homme atteint d'endocar- dite et ayant eu de l'aphasie
motrice
, de l'hémiparésie droite. Un trouve dans l'hémi
ersteiner, la dégénérescence ne porte que sur l' les nerfs crâniens
moteurs
, en particulier l'hypoglosse et le fa- , cial ;
donc que nous avons affaire à la dégénérescence des nerfs crâniens
moteurs
, et que ceux-ci sont situés en dedans du faisce
tion de Weigert). D'autre part jl existe des cel- Iules à structure
motrice
qui sont en plein milieu du noyau mé- scncéphal
Ce syndrome est caractérisé par des vertiges avec troubles oculo-
moteurs
; insuffisance totale ou partielle de l'équilibra
rt avec les pédoncules cérébelleux inférieurs et par les noyaux des
moteurs
oculaires commun et externe avec les libres du
tation et de précocité, irritabilité, tendances perverses, troubles
moteurs
, tics, peurs et . obsessions. Troubles vaso-mot
'écriture spéculaire spontanée. Tabès avec atrophie dans le domaine
moteur
clac trijuntroar. ' MM. P. Marie et LERI amènen
ement des régions vi- suelles et olfactives, et que les conducteurs
moteurs
ne germent et ne le pénètrent qu'ultérieurement
cerveau. Son développement ne dépend donc pas de celui de l'écorce
motrice
et des conducteurs moteurs. Le corps strié est
ne dépend donc pas de celui de l'écorce motrice et des conducteurs
moteurs
. Le corps strié est l'organe de l'hémisphère qu
i est cureté, ou bien on résèque la plus grande partie de la région
motrice
. Examens confirmatifs à la méthode de \Iarclii-
ournil les mêmes résultats. llenforcc-L-onlucouranL, les phénomènes
moteurs
augmentent ; l'interrompt-on, ceux-ci s'af- fai
du pouls. Un courant faible ou moyen ne détermine pas d'acci- dents
moteurs
; sous l'action d'un fort courant, convulsions
tellectuelle s'annonce générale- ment par la sitiophobie. Désordres
moteurs
: marche en mesure, marche à reculons, esquisse
e musculaire. La contrac- tion idio-musculaire est la manifestation
motrice
du sarcoplasme anémié, fatigué ou mourant, et e
ce, dont dépend la combinaison des phases élémentaires du mécanisme
moteur
propre ala forme du mouvement exécuté. Elle pro
- rientation, c'est-à-dire la transmission aux éléments corticaux
moteurs
, dépend de la continuité de la perception des exc
appe principalement tantôt des libres sensitives, tantôt des fibres
motrices
: c'est une règle. Par suite, s'il y a des libr
iquement un phénomène pathologique, lié à une altération de la voie
motrice
puisqu'on la trouve à l'état normal. C'est son
produit la vaso-haral5-sie que dans le territoire même des vaso-
moteurs
dont elle a touché les centres. « L'autonomie des
- moteurs dont elle a touché les centres. « L'autonomie des vaso-
moteurs
vis-à-vis des centres huitto-encephaliques est do
dant de l'idée REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 305 fixe dans la zone
motrice
. 11 faut distinguer avec le plus grand soin le
es de l'excitation des méninges par des tubercules dans la région
motrice
du cerveau. L'évolution montre que c'est une hyst
rs inférieur de la frontale ascendante. L'excitation de ces centres
moteurs
détermine les mouvements variés qui d'ordinaire
le de la plaie tue le malade. En tout cas l'excitation de la région
motrice
du cerveau a cha- que ibis exagéré les mouvemen
amblyopie de l'autre oeil. non par le fait de son occlusion (action
motrice
), mais parce que cette occlu- sion intercepte l
ques considérations relatives au mode de ré- partition des cellules
motrices
de la moelle au niveau de l'origine des nerfs d
; il contient outre de grandes cellules commissurales, des cellules
motrices
destinées aux muscles du dos (vertébraux). L'in
vants : une hémianopsie droite, puis un ictusqui laissa une aphasie
motrice
. Lesjourssuivanls, parésie a installation succe
s altérations sur la psy- cho-motilité est à la fois sensorielle et
motrice
, comme celle des centres du psychisme inférieur
ar la curari- sation et l'irritation d'autres segments de la région
motrice
du cerveau. 7°'L'urine de l'uretère du côté opp
ffet sensoriel, la sensation lumineuse de la clarté précède l'effet
moteur
. Ce mou- vement irien est-il l'analogue du réfl
uche et hémiatrophie linguale du môme côté sans aucun autre trouble
moteur
de la face et des membres, aucun trouble de la
43. . Observation d'agraphie isolée et d ? par Erbslcch, 145; -
motrice
à répétition chez une morphinomane, par Roy e
rait l'état variqueux des prolonge- ments protoplasmiques des -
motrices
corticales et de sa si- gnitlcation, par Iwanof
Quelques considé- rations relatives au mode de répartition des -
motrices
de la moelleau niveau de l'origine des nerfs
et des portions centrales du- sur le coeur et le système vaso-
moteur
du chien nouveau-né, par Gartie, 442. Chaleur
le nez, par Vigouroux, 70. TABLE DES MATIERES, 503 Localisations
motrices
. Voir Métamérie. blACHODACTYLIE congénitale,
anormaux, par J. Philippe, 398. Métamérie. Les localisations
motrices
spinales et la théorie de la -, parParhon et Go
plus inférieure de la -, par Purves-Stewart, 296. Voir . Cellules
motrices
. Morphine. Voir Contracture. Morphinomane. Vo
iass, 315. - du membre supérieur, Voir Paralysies,- Voir Cellules
motrices
. Neurasthénie. Voir Angoisse. NEUiIO-1-IBIIIL
vrite lépreuse unilaté- rale gauche, par Brissaud et Rathery, 71.
motrice
ou po- liomyélite antérieure subai- gui ! par
ès. La genèse du -, par Pandy, 243. avec atrophie dans le domaine
moteur
du trijumeau, par P. Marie et Léri, 249. Voir
le pied droit de plus semble un peu raccourci. Pas d'incordination
motrice
des membres supérieurs. Pas de paralysies. Tous
H > An CIIC (5 m. Amp. à gauche et 6 m. Amp. à droite). Le point
moteur
du splénium est complètement muet aux excitations
duit très fort. Avec le galvanique on observe l'effacement du point
moteur
avec réaction à distance et secousse lente (Ka
ente et égale aux deux pôles et transposition à distance des points
moteurs
. Les modifications de la contractilité musculai
logiques que tout le système de la XIe paire rentre dans le système
moteur
des racines spinales antérieures, et notre cas
où l'on peut démontrer la systématisation de la lésion aux noyaux-
moteurs
du nerf spinal et apporter d'autre part une contr
aire, il est bien évident qu'en raison de la topographie des noyaux
moteurs
de la moelle cervicale et des noyaux médullaire
émontré que le spinal accessoire n'a rien à voir avec l'innervation
motrice
du larynx qui au contraire serait sous la dépenda
cter la plupart des muscles du pharynx ; Chauveau li- mite l'action
motrice
du spinal au constricteur supérieur et Beevor et
ants du vague. En conclusion,sans pousser trop loin la localisation
motrice
des muscles laryngiens, je crois qu'il est perm
es des physiologistes, un rôle certain au spi- nal dans la fonction
motrice
du larynx. Dans l'histoire de la malade, nous a
fonctionnels, névroses ou dyskinésies fonctionnelles à des troubles
moteurs
qui ne se produisent qu'à l'occasion d'un même
fâcheuse erreur d'assimiler, ne fût-ce qu'un instant, les troubles
moteurs
des dyskinésies professionnelles à ceux du tabè
garderons l'expression de crampes professionnelles. Les troubles
moteurs
communs à ces différentes impotences fonction-
bonne exécution d'un travail habituel. De là les premiers désordres
moteurs
qui frappent l'esprit de l'individu, exagèrent
s'exécuter correctement qu'après une longue série de ré- pétilions
motrices
. » Si l'étiologie des crampes professionnelles
courant agita la face dorsale de l'avant-bras, au niveau des points
moteurs
de l'extenseur propre de l'index et du lung exten
enberg, l'influence du psychisme sur la spécialisation des troubles
moteurs
? On sait que l'expérimentation physiologique,
one psycho-motrice, peut non seulement déchaîner des manifestations
motrices
, mais encore produire des réactions vaso-motri-
rire provoquait une association morbide corticale entre les centres
moteurs
et les centres vaso-moteurs, d'où spasme artéri
motion, le fait d'écrire en public faisaient ressortir les désordres
moteurs
parce qu'ils augmentaient le spasme vaso-moteur
ermittente non spécialisée, prend place une névrose vaso-motrice et
motrice
, provoquée sans doute par la lésion vasculaire,
tance du rôle psychique dans la produc- tion des troubles à la fois
moteurs
et vaso-moteurs, sans qu'on puisse trouver de l
Par un examen un peu attentif on pouvait affirmer que les troubles
moteurs
n'étaient pas la cause du trouble vasculaire, e
troubles vasculaires n'étaient pas la cause immédiate des désordres
moteurs
. On remarquait au contraire que la perturbation
ontre que les troubles vasculaires peuvent être, comme les troubles
moteurs
, d'origine centrale. C'est un lien de passage e
ait aucune sensation anormale, ni aucune recrudescence des troubles
moteurs
. Et cependant, si l'on voulait faire écrire le
voulons simplement dire que, dans la plupart des cas. les troubles
moteurs
apparaissent nettement t ÉTUDE SUR LES CRAMPES
aleige, une véritable « anarchie fonctionnelle » ; et ces désordres
moteurs
semblent être le résultat « d'aboulies ou amnésie
ésordres moteurs semblent être le résultat « d'aboulies ou amnésies
motrices
, exclusivement limitées à un acte fonctionnel dét
une neurasthénie évidente, et alternait avec des crises d'agitation
motrice
. C'était un employé de bureau, âgé de 44 ans, neu
itue les hallucinations psychomotrices, les hallucinations verbales
motrices
surtout, peuvent être l'origine d'un délire, qu
urait duré. Il semble aussi avoir existé un état aphasique (aphasie
motrice
) qui s'est résolu complètement après trois semain
c de Sylvius, où sont situés en rangées les noyaux des nerfs oculo-
moteurs
communs, en empiétant vers la droite pour au moin
e pour au moins toucher le faisceau sensitif respectif et le cordon
moteur
du pédoncule cérébral droit. Nous n'insistons
la capsule interne. D'autres enfin, se retrou- vent dans les noyaux
moteurs
de la mimique faciale, en plein bulbe. Il faut
QUES 125 dre au thalamus ; le faisceau géniculé qui est un faisceau
moteur
; le fais- ceau d'Arnold ou faisceau psychique,
exe automa- tique, le thalamus, qui ne joue aucun rôle comme centre
moteur
autonome, comme l'ont montré Dejerine (1) et il
tilité volontaire des muscles de la face; l'exci- tation des noyaux
moteurs
bulbaires devient alors déréglée. ils sont « en
ré à lui-même, aux excitations du dehors, agissant sur les colonnes
motrices
bulbaires. On le trouve avec des destructions
me pathogénique du rire et pleurer spasmo- tique et sur la fonction
motrice
du noyau lenticulaire, Revista di pathologia nerv
en somme à la musculature qui intervient dans les cas où le facteur
moteur
d'articulation est troublé, donc à un groupe fo
exci- tations qui en partent doivent encore passer par les centres
moteurs
de chaque muscle en particulier. i. Lie centr
centres compris entre l'extrémité sensitive (entrée) et l'extrémité
motrice
(sortie) du mécanisme cérébral. Enfin, l'excita
sion pouvait agir ici comme une excitation centrifuge sur les nerfs
moteurs
. On ne crut pas, dans ce cas, à une participation
ées par le surmenage professionnel, chez les sujets dont l'appareil
moteur
périphérique et central est également soumis à l'
udaine ou ex- tension du poignet, qui résiste ainsi aux injonctions
motrices
; tantôt la main ou l'un des doigts s'engourdit
s le « mal télégraphique », comme disent les employés, les troubles
moteurs
de la crampe des écri- vains ; ce sont tantôt d
longtemps; les distances ne sont plus observées. Tous les troubles
moteurs
cessent lors- que le sujet quilte l'appareil té
souvent deux ou trois doigts subissent en même temps l'inlilbition
motrice
; la main droite est plus fréquemment atteinte
les spasmes banaux, les tics, et il plus forte raison les troubles
moteurs
des maladies organiques : chorées, tabès, paral
e grande simulatrice, en par- ticulier dans les cas où les troubles
moteurs
sont apparus à la suite d'un traumatisme profes
nt, môme inconsciemment et sans vouloir frauder, avoir des troubles
moteurs
de nature hystérique à la suite d'accidenls du
e du ptosis bilatéral, et de l'atrophie des muscles masticateurs et
moteurs
de la langue, particularité pour laquelle il a
ssi ostéopathie progressive, et que les deux éléments de l'appareil
moteur
sont touchés, pour les mêmes segments, d'une mani
st très amaigri. Les omoplates ne sont point saillantes. Troubles
moteurs
. - Les mouvements du tronc sont gênés dans leur a
; les mains sont larges, aplaties ; les doigts sont gros. Troubles
moteurs
. La motilité de tous les doigts est conservée mai
prolonge insensible- ment avec le rebord dorsal du pied. Troubles
moteurs
. La mobilisation des membres inférieurs est essen
us fortement frappés, et il y a une forte aggrava lion des troubles
moteurs
et trophiques. La cyphose dorso-lombaire pris u
D'après les don- nées physiologiques et pathologiques, les cellules
motrices
des cornes anté- rieures de la moelle sont auss
très vives, par des paresthésies et l'affaiblisse- ment de la force
motrice
de l'extrémité supérieure droite et par l'atrophi
les douleurs et les secousses dispa rurent complètement et la force
motrice
de l'extrémité supérieure ^droite fut reconstit
1" Dans certains cas très spéciaux, l'hypnotisme; 2° La rééducation
motrice
; 3° La discipline psyclw-mot1'ice, par la méth
tigantes pour l'opérateur, « on tend déplus en plus à s'adresser au
moteur
électrique qui les' donne bien égales, bien ryt
ême ne conseille pas d'en généraliser l'emploi. 2° La rééducation
motrice
s'appliquera au contraire avec fruit à toutes l
la valeur de cette méthode chez les tabétiques. , La rééducation
motrice
a été appliquée avec non moins de succès chez l
ou telle crampe. Voici comment procède Kouindjy pour la rééducation
motrice
dans la crampe des écrivains (voir thèse de Pes
es écrivains (voir thèse de Pessard, Paris, 1908, La réédll- cation
motrice
la clinique Charcot). Le traitement commence touj
idive. Les différents auteurs qui se sont occupés de la rééducation
motrice
dans la crampe des écrivains ont apporté quelqu
sation des accidents. Il y faut joindre une véritable réédu- cation
motrice
de la main droite, et Meige propose de la pratiqu
al à toutes les névroses coordinatrices d'occupation la rééducation
motrice
serait tout à fait insuffisante si elle se bornai
s ces différentes sortes d'incitations mentales ». La rééducation
motrice
, pour avoir des résultats complets, devra donc
eutiques, a été appelée par Brissaud et Meige la discipline psycho-
motrice
. « Elle tend à supprimer les actes automatiques
rale du sujet doit intervenir à tout instant. La discipline psycho-
motrice
est donc à la fois une éducation de l'esprit et d
sée, comme toutes les éducations, sur la répétition des mêmes actes
moteurs
. Mais elle exige aussi la répétition des effort
i- cations appropriées, indiquant au malade quelles sont ses fautes
motrices
, pourquoi elles existent, et comment il peut pa
il est possible, cure hydrominérale, 4° Massage. 5° Rééducation
motrice
, réunissant les bienfaits de la kinésithérapie
ment nécessaire du traite- ment physique, comportera la rééducation
motrice
lente, patiente, mé- thodique et progressive, d
joignant aux efforts du traitement physique, la discipline phycho-
motrice
amènera, dans un grand nombre de cas, la guérison
amp/e. Arch. f. psych. Berlin, 1885. 240. PESSARD. - La rééducation
motrice
dans le service de la clinique Charcot. Th. de
localisation néoplasique secondaire au niveau des centres corticaux
moteurs
des circon- volutions cérébrales gauches. , E
bral droit dans ses trois quarts supérieurs, les nerfs pathétiques,
moteurs
oculaires commun et externe, surplombant le cor
'origine cérébrale, avec hé- miplégie droite et paralysie des nerfs
moteurs
oculaires commun et externe, en un mot le type
ation de la pupille, en un mot, une paralysie par compression du nerf
moteur
oculaire commun. Le début de cette paralysie ne
tête avec mouvements rythmés du membre supérieur gauche. Troubles
moteurs
et sensitifs. - Les mouvements d'abaissement du
é- triquement,spasmodiquement cinq fois par minute ; ces phénomènes
moteurs
n'existent pas dans le membre inférieur corresp
ma, les nerfs optiques, les nerfs pathétiques surtout à gauche, les
moteurs
oculaires communs, l'espace interpédonculaire,le
nt le syndrome de Mil- lard-Gubler caractérisé par une paralysie du
moteur
oculaire externe de l'oeil gauche, de la paraly
igeaient à écarter l'hypothèse de lé- sions localisées aux cellules
motrices
des cornes antérieures. L'autopsie, et surtout
. I. Différents stades de la dégénérescence vacuolaire des cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle lombo-sacré
nservent des blocs de Nissl bien dis- tincts. Toutes les cellules
motrices
ne paraissent toutefois pas être également at-
oexistant avec celles-ci, nous avons pu constater dans les cellules
motrices
des segments lombo-sacrés des modifications mor
ues à celles que l'on observe chez l'animal après section d'un nerf
moteur
: atrophie musculaire, effacement des striation
chy- mateuses amenant une véritable section transversale des fibres
motrices
et respectant les fibres sensitives, plus résis
et respectant les fibres sensitives, plus résistantes ; les filets
moteurs
des nerfs, frappés à mort, donnent lieu à l'atr
res sensitives tandis qu'elles sectionnent véritablement les fibres
motrices
. A ces lésions succèdent la chromolyse el la vacu
e à la réparation des atrophies musculaires après section d'un nerf
moteur
: de (1) Edingeii, Der Anteil der Funktion un d
que présente la maladie déjà développée, c'est-à-dire les troubles
moteurs
, nous ne les avons pas décrits complètement; bi
droite. 3M PETREN ET EIIREN13ERG II. Observations ou LES TROUBLES
MOTEURS
(au MOINS au DÉBUT DE la IAL : 1- DIE) ONT atte
ez améliorée, mais non disparue. II1.- Observations ou LES troubles
moteurs
(du moins au début de la maladie) ONT atteint t
persisté presque identique pendant une semaine ; seuls les troubles
moteurs
de la vessie ont disparu au cours de cette sema
, nous trouvons pour la première fois une amélioration des troubles
moteurs
du bras gauche. Cela continue les jours suivants
ant les premiers temps passés à la clinique, la marche des troubles
moteurs
correspond parfaitement à une poliomyélite aigu
rte à nos observations, je trouve, sur nos 29 cas, la avec troubles
moteurs
des muscles abdominaux (II, X, XI, XIII, XVI, XVI
abdo- minaux dans tous les cas où il y a en même temps des troubles
moteurs
pour les membres inférieurs et pour un bras au
que sur 12 cas (XVI-XXV, XXXII, XXXIII) où il a existé des troubles
moteurs
pour trois ou quatre membres, nous avons trouvé
ce, il est très possible qu'il ait existé dans ces cas des troubles
moteurs
des muscles abdominaux, mais que, par exemple,
de plus de deux membres, nous avons toujours constaté des troubles
moteurs
des muscles abdominaux. En conséquence, nos obs
paralysie des muscles abdominaux, il y avait également des troubles
moteurs
pour les quatre membres. Sur les 5 cas de paralys
e. Si cette conception est exacte, il est bien sûr que les troubles
moteurs
des muscles abdominaux vont disparaître dans le
s indiqués par des auteurs antérieurs où l'on a décrit des troubles
moteurs
provenant d'une paralysie des muscles ab- domin
spécialement insisté sur celle règle. Nous avons vu les troubles
moteurs
des muscles abdominaux persister dans 7 cas pen
ce, cette observation nous montre que la restauration des fonctions
motrices
troublées des muscles abdominaux peut se produire
brale. Parmi les cas cités ci-dessus, où nous avons vu des troubles
moteurs
des muscles abdominaux persistant pendant toute
os expériences sont en faveur de cette conclusion, que les troubles
moteurs
des muscles du dos sont assez fréquents. Certaine
' Les réactions pupillaires sont toujours normales. Les troubles
moteurs
sont toujours aussi marqués du côté des membres ;
coupes de la protu- bérance intéressant les noyaux du facial et du
moteur
oculaire externe et sur des coupes du bulbe pou
anglions spinaux étaient normaux. Nous avons étudié le nerf facial,
moteur
oculaire commun, moteur oculaire externe, triju
normaux. Nous avons étudié le nerf facial, moteur oculaire commun,
moteur
oculaire externe, trijumeau, les racines du glo
mode de fixation employé ne nous a pas permis d'étudier les plaques
motrices
. Certaines glandes à sécrétion interne présente
ur la face interne de la cuisse et une accentuation de la faiblesse
motrice
dans les mem- bres inférieurs, notamment dans l
ordre réflexe; elles servi- raient à charger d'énergie les cellules
motrices
de la moelle et du cervelet et aussi elles augm
ebout fixe que pendant la marche ; dans la station debout l'énergie
motrice
se consomme sans se renouveler, tandis que, dans
et une parésie faciale unilatérale. Le fait que les nerfs crâniens
moteurs
et surtout les nerfs situés au-dessous du sixième
ord, il faut remarquer qu'il n'a pas existé de paralysie des fibres
motrices
du pneumogastrique, caria voix était normale auta
é que l'on a été obligé de cathé- tériser les malades. Les troubles
moteurs
de la vessie n'ont pas été aussi passagers qu'o
ns nous apprennent qu'il n'est pas exact de considérer les troubles
moteurs
de la vessie comme un moyen précieux pour le di
oit s'agir de poliomyélite. En outre, il est connu que les troubles
moteurs
de la poliomyélite aiguë peuvent quelquefois di
si nous pouvons encore espérer une bonne issue, quand des troubles
moteurs
ont existé déjà pendant des mois. On répond en
En outre, j'ai observé encore deux cas où il persiste des troubles
moteurs
des muscles abdominaux, mais où la restauration
complète des deux membres inférieurs ; après 12 mois, les troubles
moteurs
des mem- bres ont presque disparu, mais il rest
) ; après deux ans, il n'y a plus que de petites traces de troubles
moteurs
de l'épaule. - Observation XIII, femme âgée de
POLIOMYÉLITE AIGUË 561 démontrent que la restauration des troubles
moteurs
peut se continuer encore pendant plusieurs anné
le début de la maladie, mais quelquefois encore quand les troubles
moteurs
ont persisté plusieurs mois ou même quelques an
on 'peut espérer une guérison véritable, surlout quand les troubles
moteurs
initiaux n'ont pas été trop intenses et n'ont p
auche, qui à sa sortie de la protubérance apparaît déprimé. Le nerf
moteur
oculaire com- mun du même côté est extrêmement
A sa partie supérieure le foyer sectionne la majorité des fibres du
moteur
oculaire commun et une très faible partie du ru
foyer pédonculaire, c'est simplement la dégé- nérescence de la voie
motrice
, du nerf moteur oculaire commun et des faisceau
e, c'est simplement la dégé- nérescence de la voie motrice, du nerf
moteur
oculaire commun et des faisceaux d'association
e tenir debout sans l'aide d'un appui. Parallèlement aux troubles
moteurs
s'est développée une atrophie des muscles des m
rs et inférieurs, la marche de la maladie, et l'intégrité des nerfs
moteurs
bulbaires. Il ne peut pas s'agir non plus d'une
la marche relativement rapide et la grande extension des symptômes
moteurs
. Donc tant les arguments directs que les indire
oujours une parésie des muscles du tronc, quand il y a des troubles
moteurs
à la fois des membres supérieurs et inférieurs. S
a loi confirmée pen- dant la phase de la restauration des fonctions
motrices
. Pour les membres supérieurs, cette diflérence
(Baumann et d'autres). J'ai montré dans ce travail que des troubles
moteurs
de la vessie peu- vent être observés très souve
4. Brissaud et Bauer. Poliomyélite antérieure subaigue ou polynévrite
motrice
. Revue neur., t. XII, p. 1226, 1904. 678 PETR
qui le compose, des organes dont il est le support sans en être le
moteur
, l'individu se trouve dans l'obligation d'accom
de besoins spéciaux, le système nerveux intervient uniquement comme
moteur
. Il ne détermine pas la fonction des organes, mai
it la sensibilité et l'autre, centrifuge, transmet l'influx nerveux
moteur
. L'excitation initiale partie d'un point quelconq
ue sera transmise par un nerf centripète, puis renvoyée à un organe
moteur
sous forme de réponse motrice. Dans l'action ré
centripète, puis renvoyée à un organe moteur sous forme de réponse
motrice
. Dans l'action réflexe, la sensibilité se transfo
oncée tantôt, sous l'influence du système nerveux, mais quel est le
moteur
de celui-ci ? Où trouve-t-il le principe de son
Paris, 1869. 716 LEFEVRE décompose en deux parties dont l'une est
motrice
et l'autre sensitive, la première n'ayant d'aut
nde. Ayant placé la source de l'activité des organes dans la partie
motrice
qui peut être aussi vaso-motrice ou sécrétrice, e
ce, etc. pour résoudre la question, pour trouver, en définitive, le
moteur
du sys- tème nerveux, il suffit de chercher la
perception. Pas d'organe, pas de fonction. Petit à petit, les nerfs
moteurs
et sensitifs nécessaires aux fonctions de relat
nales et provoque par- fois, sans nul retard, la décharge du centre
moteur
d'articulation. L'éréthisme de ce centre est te
e sur une affection nerveuse caracté- risée par de l'incoordination
motrice
accompagnée d'écholalie et de coprolalie. Arch.
dans un tel état d'éréthisme que l'image vient solliciter le centre
moteur
d'articulation qui l'expulse au dehors. Le centre
'articulation qui l'expulse au dehors. Le centre auditif, le centre
moteur
d'articulation agissent encore ici indépendamment
les plus curieuses de beaucoup portent sur les souvenirs des images
motrices
et provoquent de véritables altérations des mou
s ordinaires, dit M. Charcot, sont des auditifs, des visuels ou des
moteurs
, quelques-uns appartiennent au type indiffé- re
e; elles sont, par exemple, des visuelles à l'état de veille et des
motrices
en somnambulisme. Naturellement, suivant qu'ell
été guidé, pour placer l'instrument, par un symp- tôme local : aura
motrice
, douleur persistante, trouble de la parole, etc
notions C et est en rapport avec le nerf auditif. E. D'un centre
moteur
centrifuge qui coordonne pour exécution toutes
nt de vue physiologique, que l'intégrité des centres acoustiques et
moteurs
n'est pas nécessaire pour lire. On peut être ap
ent sensitif de l'appareil réflexe est plus atteint que son élément
moteur
. P. K. XII. DES TROUBLES visuels par TUMEUR cér
bservation de M. Koenig n'est sûrement point de l'aphasie corticale
motrice
; c'est un trouble de l'articulation qui est dis
e; c'est un trouble de l'articulation qui est distinct de l'aphasie
motrice
sous-corticale. M. JASTROWITZ. Un procédé pour
n- courent à l'épellation (élément imagé, élément sonore, élément
moteur
). Si la fonction ou le champ fonctionnel qui comm
complète de l'image du mot. Dans l'espèce donc, le trouble du champ
moteur
, et par suite de l'expression, dépend de l'alté
'il est impossible de déterminer les limites qui séparent l'aphasie
motrice
de l'aphasie sensorielle. Il est impossible, po
Mais il se peut que, sous des influences pathologiques, les images
motrices
représentatives soient exagérées du fait de cer
la personne hypnotisée, supprimer arti- ficiellement les phénomènes
moteurs
, sensibles ou autres. Il nous est, d'autre part
ou mieux dys- phasie, les troubles de la sensibilité, les troubles
moteurs
, les syndromes épileptiformes. a). Les troubl
t exprimer, difficiles à trouver (véritable dysphasie ou paraphasie
motrice
). Beaucoup plus rare (cas d'amblyopie transitoi
côté dans les accès consécutifs sur le même sujet. c). Les troubles
moteurs
seront indiqués de même à propos de l'épilepsie
si- tifs, puisque dans les deux maladies mentionnées les troubles
moteurs
sont en général moins fréquents et moins persista
ale. Sous le nom d'épilepsie partielle (sensitivo-sensorielle, ou
motrice
, ou mixte) M. le professeur Charcot a indiqué le
itive répètent les trois formes classiques de l'épilepsie partielle
motrice
(épi- lepsie corticale, jacksonienne). En out
du corps tout entière, et il peut souvent s'associer à des troubles
moteurs
(formes mixtes sensitivo-motrices) ou à des tro
TRANSITOIRE. 221J Nous n'avons pas à nous occuper des complications
motrices
de l'épilepsie partielle et des formes de trans
ractent en flexion. Tout peut se borner à cela (épilepsie partielle
motrice
), le malade remue volontairement son membre com
fut subitement atteint de petites secousses (épilepsie par- tielle
motrice
).. , A présent il a en outre des accès convulsi
ntes (parfois tous les deux ou trois jours) et plus complètes; aura
motrice
, c'est-à-dire quelques mouvements automatiques,
s, accès d'engour- dissement et sensation de froid et d'impuissance
motrice
au pied et à la jambe du côté droit. Dans ces
e répandaient, pour ainsi dire, de l'éco2,ce visuelle vers l'écorce
motrice
. b). 11 résulte des observations de M. Charcot
nsitoire, surtout lorsqu'elle s'ac- compagne de troubles sensitifs,
moteurs
ou psychiques. Il s'agit de dépister à son débu
es d'épilepsie sensitivo-sensorielle accompagnée de légers troubles
moteurs
et plus souvent encore d'amblyopie transi- toir
compte des différents syn- drômes (épilepsie partielle sensitive ou
motrice
, amblyopie transitoire, aphasie, etc...), avec
els, peut-être l'étude approfondie de la connexion des phé- APHASIE
MOTRICE
PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 31 nomènes morbi
s centres cortico-sensitifs. (A suivre ) RECUEIL DE FAITS APHASIE
MOTRICE
PURE AVEC LESION CIRCONSCRITE; Par 111AI. Gicne
dans le sens le plus strict du mot, l'aphém : é de Broca, l'aphasie
motrice
de M. Charcot, il est .bon de rappeler que sa l
u'une seule de ce genre; mais depuis cette époque les cas d'aphasie
motrice
pure et isolée, sans partici- pation à la paral
re depuis 1885 dans la littérature médicale. Tous les cas d'aphasie
motrice
pure, re- latés ces dernières années, étaient a
Observation. Cardiopathie rhumatismale. Embolie cérébrale. Aphasie
motrice
pure et isolée. Foyer très circonscrit de ra- m
p. 69. 3 Bourneville. Progrès médical, 1874, n" 20 et 21. APHASIE
MOTRICE
PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 233 ans, fut plu
m. La cécité verbale disparait après peu de temps, mais l'aphasie
motrice
ne commence à s'amender qu'au bout de cette quinz
Pas de surdité verbale appréciable; pas de cécité verbale. Aphasie
motrice
modérée, mais cependant très nette. Le malade h
le nom d'un encrier. Les images auditives n'actionnentpas le centre
moteur
; exemple, 234 RECUEIL DE FAITS. le malade ne
éclare que c'est de nais- sance. Le diagnostic s'impose d'aphasie
motrice
incomplète par lésion du pied de la troisième f
roubles visuels. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de troubles
moteurs
. Réflexes normaux. L'aspect de la face est le m
Malgré cette auscultation nettement mitrale, le malade a le APHASIE
MOTRICE
PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 235 . faciès d'u
. Pl. I, fig. 1.) Hémisphère droite. Les circonvolutions de la zone
motrice
sont intactes, mais en écartant les lèvres de l
sion d'étendue minime, strictement localisée au centre de l'aphasie
motrice
de Broca et produisant une aphasie motrice vrai
e au centre de l'aphasie motrice de Broca et produisant une aphasie
motrice
vraie, et rien que cela. Deux remarques sont in
e. - Donc, le foyer que nous avons constaté ne mesure pas APHASIE
MOTRICE
PURE AVEC LÉSION CIRCONSCRITE. 237. l'étendue r
C LÉSION CIRCONSCRITE. 237. l'étendue réelle du centre de l'aphasie
motrice
; il serait d'ailleurs téméraire de prétendre a
de plus grande intensité fonctionnelle. De sorte que pour l'aphasie
motrice
par exemple, on ne se fait qu'une idée très app
sur le pied de la troisième frontale pour déterminer une aphasie
motrice
complète et définitive. Ce qu'il faut retenir i
t d'abord été frappé de cécité verbale, en même temps que d'aphasie
motrice
. La réalité de ce symptôme surajouté ne saurait
de ce symptôme surajouté ne saurait infirmer notre titre d'aphasie
motrice
pure, car la cécité verbale a été passa- gère ;
ouvait sensément dériver que du sensorium et des divers proces- sus
moteurs
. Il enseignait aussi que les phénomènes d'une a
que le substratum de l'esprit repose entièrement sur des processus
moteurs
et sensoriels avec leurs rela- tions, cohésions
stimulation saine et coor- 244 THÉRAPEUTIQUE. donnée des centres
moteurs
et sensoriels. Ils ont leurs équivalents mécani
les centres corticaux qui commandent et enregistrent leurs facultés
motrices
et leurs sensations. . Bien que nous soyons peu
type appelé épilepsie idiopathique,'et dans lequel tous les centres
moteurs
de l'écorce sont excités plus ou moins simultan
ession des événements. Si l'excitation est circonscrite à un centre
moteur
particulier, 246 THÉRAPEUTIQUE. l'épilepsie p
dans lequel ces cen- tres sont anatomiquement disposés dans l'aire
motrice
et envahit les muscles d'après un mode correspo
ons ascendantes de la jambe à la face. En même temps, les centres
moteurs
de la moelle allongée et rachidienne, sur lesqu
ongée et rachidienne, sur lesquelles agissent les centres corticaux
moteurs
, jouent indubitablement un rôle dans les déchar
seulement être produites par des excitations provenant des centres
moteurs
de l'écorce d'un côté ou de l'autre. Les cara
s n'agissent qu'en tant qu'ils amènent une excita- tion des centres
moteurs
. Tous nos efforts doivent donc tendre à nous re
és de la destruction ou de la perversion des fonctions organiques
motrices
ou sensorielles qui relèvent de la même cause et
nt de la res- piration. On lui rend la vue, il reprend son activité
motrice
. L'au- teur croit que, le cervelet ayant été en
que l'excitabilité de l'écorce a baissé, on obtient des convulsions
motrices
(surtout toniques) des plus vives ; il est à croi
taient atteints d'atrophie complète ; - 40 atrophie faible du noyau
moteur
du trijumeau (1 observation), intégrité dans les
ien, du facial; intégrité de ceux de l'acoustique, du trijumeau, du
moteur
oculaire externe, du pathétique, de l'ocu- lo-m
'anarthrie. 3° Par conséquent, il y a lieu d'admettre que les voies
motrices
qui commandent a la parole passent par les deux
Il y a lieu aussi d'admettre que, dans la protubé- rance, les voies
motrices
de la parole occupent les parties médianes et p
Hémiplégie droite totale, y compris facial et hypoglosse ; aphasie
motrice
complète; cécité verbale, diminution de la sensib
. F. II, 1891.) Cas caractérisé par l'atteinte isolée des fonctions
motrices
du système nerveux ; paralysie bilatérale de l'
rne, du facial, du pneumo- gastrique, de l'hypoglosse et des noyaux
moteurs
de l'axe spinal. Intégrité complète des organes
uelques symptômes se soient effacés. D'ordinaire c'est la paralysie
motrice
qui disparaît tandis que l'anesthésie croisée s
de modifications de sa base organique et de la sphère affective et
motrice
de la vie psychique. A propos de la paralysie g
ibilité générale et viscérale, des hallucinations kinesthétiques ou
motrices
, mais aucun état mélanco- lique. Puis sont appa
ar elle n'a que peu d'hallucinations sensorielles, mais surtout des
motrices
. Et cela dès le début, alors que chez les persé
dans l'espèce, d'une véritable déséquilibration des centres vaso-
moteurs
qui coexiste souvent avec des troubles analogues
yopathies spinales avec altération primi- tive des grandes cellules
motrices
de la substance grise des cornes antérieures co
hi- ques obéissent aux mêmes lois que les phénomènes sensitifs ou
moteurs
. Au point de vue pathologique et en faisant la
re mégalomoniaque accompagné de phénomènes SOCIÉTÉS SAVANTES. 315
moteurs
, tremblement*, trouble de la station ; ces malade
forme de sclérose systématique intéressant tout le système psycho-
moteur
, c'est la démence paralytique pure, la paralysie
i dire plus se mani- fester par l'une quelconque de ses expressions
motrices
. Les deux formes cliniques que je viens de décr
ujets présentant, avec ou sans crises épileplifornaes, des troubles
moteurs
ou psychiques. (Nouv. Iconographie de la Salpétri
le; elle peut être ou non accompagnée d'hallucinations; d'agitation
motrice
, ou de dépression, de stupeur; SOCIÉTÉS SAVANTE
ire, mais elle ne pouvait pas les prononcer; ces attaques d'aphasie
motrice
se répétèrent jusqu'en 1891. Elles ne suivaient
maladie les accès n'ont jamais été accompagnés ni suivis d'aphasie
motrice
. Outre ces attaques elle en présente d'autres à
moitié du corps, la langue comprise; paralysie des membres, aphasie
motrice
, troubles de l'intelligence, rien ne manquait a
ournalier très rude ? La raison de ce que les troubles sensitifs et
moteurs
s'asso- cièrent pour former un accès, qui avait
armi celles-ci que nous croyons pouvoir classer des accès d'aphasie
motrice
, que G... présenta dans sa première ' L'amnésie
remarqué plus haut, tenait la première place. Du reste, l'aphasie
motrice
a été observée d'autres fois dans l'hystérie ; So
yers, dont l'un dans l'hémisphère droit en correspondance du centre
moteur
du bras, l'autre dans l'hémis- phère gauche en
is, graduellement, ils ont diminué d'intensité; les accès d'aphasie
motrice
ne se sont pas représentés. C'est le contraire
d'une idée. Observation II. Hystérie à forme d'épilepsie partielle
motrice
. Cha..., âgé de trente-six ans, lithographe, en
e banale; en effet, la parésie, le tremblement du bras, l'aphasie
motrice
, tous phénomènes qui accompagnent ou précèdent la
nent maître en a observé des exemples. Pour ce qui est de l'aphasie
motrice
nous savons ce qu'il faut en penser. Elle peut
améliorées considérablement. Diagnostic Le tableau d'une épilepsie
motrice
crurale est ici d'une netteté remarquable. Cram
s autres accès consécutifs, jamais ne se manifestèrent les troubles
moteurs
. Or cette incohé- rence parmi les phénomènes, n
CERVEAU. 417 Observation IV. Hystérie à forme d'épilepsie partielle
motrice
simulant l'évolution de la syphilis cérébrale.
tte période de temps, il avait de temps à autre des accès d'aphasie
motrice
; il cherchait les mots et il ne pouvait les trouv
e sèche par la soif. Du reste pas de trace d'aphasie sensorielle ou
motrice
. Diagnostic. - Ce cas nous offre un tableau ext
sont le point de départ du réflexe qui provoque le trouble vaso-
moteur
dans l'appareil optique. ' « L'Ù'1'itation péri
'sur le trijumeau en cas de migraine) puisse provo- quer le réflexe
moteur
sur les vaisseaux des organes de la vision. Cet
qui arrive presque toujours, comment méconnaître dans ces troubles
moteurs
de l'appareil digestif, la décharge du réflexe
ond de l'oeil (Brewster et Quaglino), la névrose partielle (vaso-
motrice
) du trijumeau (Galezowski) ou la névrose du nerf
le fond de l'oeil des deux côtés. " . 426 . CLINIQUE NERVEUSE.
moteur
dans le cerveau, par excitation du sympatique (du
oïncider avec l'aphasie, sans être suivis en même temps de troubles
moteurs
, à moins d'admettre des troubles circulatoires
tillement), elle siège le plus souvent du même côté où les troubles
moteurs
et sensitifs vont se déclarer, dans le cas d'ép
les troubles gagnent d'autres centres psycho-sensitifs et psycho-
moteurs
, comme dans le début de la démence paralytique.
la- dies nerveuses (neurasthénie, hystérie) où les troubles vaso-
moteurs
(phénomènes vaso-constricteurs et vaso-dilatateur
l'aspect de la chambre au moment où l'on part, puis d'autres images
motrices
et d'autres images visuelles d'un nouvel aspect
lèvres, de prononcer une parole, pas même d'émettre un son (aphasie
motrice
et aphonie). A peine peut il produire un bruit
de l'acoustique. Deuxième opération : excision de l'écorce du champ
moteur
des mots. Calme notable et atténuation des hall
ns les cornes antérieures de la moelle, préposées à leurs fonctions
motrices
. Ce sont elles qui font le sujet de celte commu
'après le schéma Lichtheim et Wernicke, il s'agissait d'une aphasie
motrice
transcorticale avec lésion des faisceaux sensor
le mélange et la dépendance mutuelle des fonctions sensorielles et
motrices
, il veut que le rôle de chaque point de l'écorc
complètes, t. III), Rey Régis (de Montpellier,) parle de paralysies
motrices
dé- pendant de la perte du « souvenir de la for
ralysies motrices dé- pendant de la perte du « souvenir de la force
motrice
» cau- sée par la lésion de certaines parties d
fort importante d'impressions non senties qui guident l'acti- vité
motrice
du cerveau, en les mettant automatiquement en r
aculté, de la force plus ou moins grande de notre « énergie mentale
motrice
» est toujours accompagnée et aidée « par des s
s musculaire dérive donc à la fois d'une faculté d'origine centrale
motrice
, la faculté locomotrice; et d'autre part des im
aît pas être dans les muscles mais bien dans les cellules nerveuses
motrices
... Nous n'avons pas seulement la sensation d'un
exécuter. La sensation de mouvement est donc liée à l'inner- vation
motrice
, c'est pourquoi nous l'appelons sentiment d'inn
; elles dépendent uniquement de l'innervation centrale des organes
moteurs
et leur origine serait donc plu- tôt centrale q
USCULAIRE. 87 force de la sensation dépend seulement de l'influence
motrice
, partant du centre, qui excite l'innervation de
pres- sions du sens musculaire dérivent des muscles par les nerfs
moteurs
et son siège est du côté moteur, et la conscience
dérivent des muscles par les nerfs moteurs et son siège est du côté
moteur
, et la conscience de nos contractions musculair
« Comme les nerfs qui se rendent aux muscles sont surtout des nerfs
moteurs
grâce auxquels les mouvements musculaires sont
e courant centrifuge, et par conséquent auraient leur siège du côté
moteur
. Les découvertes de Sachs, montrant que les mus
sensitifs, ayant un trajet et une distribution différents des nerfs
moteurs
, et pénétrant dans la moelle par les racines po
ute trop absolu. Dans l'hypothèse de Bain, les centres et les nerfs
moteurs
seraient donc à la fois les agents de la contra
s des muscles, et rapportées aux centres volitionnels par les nerfs
moteurs
eux-mêmes. Les centres et les nerfs moteurs dan
itionnels par les nerfs moteurs eux-mêmes. Les centres et les nerfs
moteurs
dans cette hypo- thèse étaient donc simultanéme
inion dans laquelle tout se passait aux dépens des centres et nerfs
moteurs
, et admet aujourd'hui les sensi- bilités passiv
en grande partie centrale, initiale et réalisable dans les centres
moteurs
. Ferrier rapporte aussi aux centres moteurs les
able dans les centres moteurs. Ferrier rapporte aussi aux centres
moteurs
les impressions du sens musculaire. A côté de c
ent des opinions intermédiaires, faisant une part aux impressions
motrices
et aux impressions sensitives. C'est ainsi que
les amputations de l'avant-bras à la partie inférieure, les muscles
moteurs
des doigts subsistent en tout ou en partie et é
. «Il est évidemment impossible d'admettre, dit-il, que les nerfs
moteurs
puissenttransmettre des impressions vers les cent
ntes celles-là, venant par des nerfs afférents spéciaux des centres
moteurs
spinaux. 11 accorde même à ces dernières un rôl
ley se demande quel est le rapport du sens musculaire à l'intuition
motrice
. Ce rapport lui semble être analogue à celui d'
re, que pour lui la sensation du mouvement est liée à l'innervation
motrice
. Chaque sensation du mouvement est pour lui une
nalogue à celle de Landry et de Maudsley. Pour lui, la coordination
motrice
, qui apparaît comme un fait unique et indivisib
es actes volontaires ne sont en fait que des actes dont les centres
moteurs
sont constitués de telle sorte qu'ils peuvent ê
musculaire, sont ravivées dans les centres sensoriels, et les idées
motrices
n'existent pas. M. Charcot (OEuvres, t. III, p.
OEuvres, t. III, p. 463) fait avec soin la part des représentations
motrices
et des impressions kinesthéti- ques. « J'ai été
dmettre, dit-il, avec bon nombre d'auteurs, que les représentations
motrices
qui précèdent né- cessairement l'accomplissemen
mplissement d'un mouvement volontaire s'effectuent dans les centres
moteurs
corticaux où elles trou- vent leur substratum o
bstratum organique, et plus précisément dans les cellules nerveuses
motrices
de ces centres. Elles seraient principalement c
nt en trois groupes. Pour les uns, ie sens musculaire est d'origine
motrice
centrale : telle est l'o- piuion de Wundt, deMe
IRE. 97 Pour d'autres, le sens musculaire est d'origine à la fois
motrice
et sensorielle, centrale et périphérique, opinion
l'affection de la motilité consécutive à la destruction des centres
moteurs
est due à la paralysie du sens musculaire. Le f
4), regarde les mouvements résultants de l'ex- citation des centres
moteurs
comme de nature réflexe, tandis que l'affection
, et produite par la perte de la sen- sibilité tactile. Les centres
moteurs
de Ferrier devraient donc être regardés plutôt
épend de la lésion d'une région entièrement différente (des centres
moteurs
) du cerveau, savoir de la région de l'hippocamp
notions de résistance et de poids comme appréciées par les centres
moteurs
. Les expé- riences qu'il a faites avec Lauder B
mpe, siège du sens tactile. Les centres d'impulsions centrifuges ou
motrices
, dit-il, sont anatomiquement distincts de ceux
» Maudsley se rattache à' l'opinion que c'est dans les cen- tres
moteurs
corticaux que « sont emmagasinés les résidus de
ésidus des sensations musculaires dont nous tirons nos intuitions
motrices
... Les parties qui agissent comme centres moteurs
s nos intuitions motrices... Les parties qui agissent comme centres
moteurs
sont le siège de la conception du degré et de l
ance les idées LE SENS MUSCULAIRE. - 99 de Ferrier. « Des contres
moteurs
, où qu'ils soient situés, sont des parties dont
ires qui, immédiatement après, se rendent aux muscles par les nerfs
moteurs
, craniens et spinaux, est un simple phénomène p
l'on attribue l'activité de ce centre sensitif à celle' des centres
moteurs
. Le substratum céré- bral de l'esprit ne compre
onc, en aucune manière, les processus qui ont lieu dans les centres
moteurs
du cerveau, où qu'ils puissent être situés. En
disparition du sens musculaire, alors que les centres volitionnels,
moteurs
spinaux, les nerfs moteurs et les muscles pouva
e, alors que les centres volitionnels, moteurs spinaux, les nerfs
moteurs
et les muscles pouvaient être mis en jeu comme à
l, et je maintiens que les processus prenant place dans les centres
moteurs
et dans les nerfs moteurs sont des processus pu
rocessus prenant place dans les centres moteurs et dans les nerfs
moteurs
sont des processus purement physiologiques, com-
s de conscience, c'est-à-dire que, depuis le moment où l'excitation
motrice
quitte les centres kinesthé- tiques jusqu'à cel
les différents centres des nerfs mo- teurs. » Pour lui, les idées
motrices
n'existent pas ; toutes nos idées de mouvement
s les centres sensoriels. Dès lors, il en arrive à nier les centres
moteurs
. « Si, dit-il, nos sensations de mouvement sont
s des mouve- ments il y a des motifs sérieux d'admettre des centres
moteurs
dans l'écorce. Mais si c'est erroné et si toute
s centres sensoriels il n'y a plus de raison d'admettre des centres
moteurs
, et ce dont on a seule- ment besoin, c'est l'ex
intime, tandis que la nécessité actuelle de l'existence des centres
moteurs
n'a pas encore été démontrée. a Il s'appuie sur
e de Rolando. c'est-à-dire au point même où se trouvent les centres
moteurs
de Ferrier, nouvel argument pour qu'il admettre
s centres kinesthétiques exister seuls, à l'ex- clusion des centres
moteurs
. Comme nous l'avons dit plus haut, M. Babinski
ne nouvelle note tendant à prouver au contraire le rôle des centres
moteurs
. Nous avons vu quelle était à cet égard l'opini
égard l'opinion de M. Charcot, qui considère les représentations
motrices
, précédant le mouvement, qui s'effectuent dans le
motrices, précédant le mouvement, qui s'effectuent dans les centres
moteurs
, comme les seules indispensables à l'exécu- tio
us brachial sont malades; or ils sont intimement liés aux rameaux
moteurs
du même plexus; les affections qui pourraient les
eulement par des symptômes sensitifs, mais aussi par des phénomènes
moteurs
. De plus, rien dans les antécédents n'autorise
alterne, l'autre bras ne serait pas épargné; il y aurait paralysie
motrice
, hyperesthésie et troubles trophiques de ce côt
Quelle peut donc être la lésion ? La malade n'a pas de para- lysie
motrice
; elle a de l'anesthésie, des anomalies delà sécré
ques du bras droit sont réunis, sans qu'ils se mélangent aux fibres
motrices
. Ce point correspond à l'endroit où les racines p
s contiennent des nerfs vao- IO4 se REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
moteurs
et trophiques bien que la grande niasse de ces de
Avec les symptômes sensitifs, apparaît graduellement une faiblesse
motrice
et dans les mauvais cas une paralysie complète
souvent une sensibilité exagérée au toucher surtout sur les points
moteurs
et le long du trajet des nerfs. Quelquefois, su
hénomènes d'hystérie générale, une paralysie partielle sensitivo-
motrice
de la main et de l'avant-bras gauche. Chez cett
s caractères que l'on retrouve toujours eu pareil cas; la paralysie
motrice
incomplète, associée à la conservation de la co
îtra toujours leur véritable nature en considérant que la paralysie
motrice
est en général beaucoup moins prononcée que l'a
einte d'une impotence fonction- nelle du bras droit, sans paralysie
motrice
véritable, mais avec une anesthésie et une anal
brachial, car il y aurait de l'atrophie muscu- laire, une paralysie
motrice
complète, une anesthésie moin- dre, des réactio
erpendiculairement sur le rachis au-dessus du sacrum. Les fonctions
motrices
sont intactes du côté analgésique, ainsi que le
eul membre, sa circonscription très spéciale, l'absence de troubles
moteurs
, la conservation des réflexes et des réactions
i- vantes : Limitation de l'anesthésie à la jambe droite, parésie
motrice
à gauche, puis atrophie musculaire et troubles vé
é ces symptômes simultanément et non successivement, que la parésie
motrice
eût été le symptôme prédominant et enfin que la
anifester par l'un de ses symptômes capitaux, à savoir la paralysie
motrice
. Par exclusion, et faute d'explication meilleur
onne pas, enfin, de voir gué- rir en trois mois de pareils troubles
moteurs
sans laisser de trace, alors que les désordres
ates ratent en même temps et de la même manière que la coordination
motrice
; les phénomènes se simplifient, mais se désagrè
ules corticales, la démence finit par de l'asymbolie sensorielle et
motrice
. P. K. II. Description ET explication des hallu
né. Il est indubitable que ce sont des idées délirantes qui sont le
moteur
de ce mutisme. Bien des faits semblables sont c
et les oesthé- siogènes amènent la disparition de tous les troubles
moteurs
et sensitifs. Dès lors on est en droit de concl
- Paris, 1887, 0. Doin. François FnANCK. - Leçons sur les fonctions
motrices
du cerveau (réac- tions volontaires et organiqu
e la Salpêtrière : comme les malades de Paris, F... a des stigmates
moteurs
, des caractères cliniques somatiques fixes, aut
rée symptomatique l'auteur englobe tous les genres d'incoordination
motrice
consécutifs à une lésion cérébrale, sauf la tré
ent en revue les principaux caractères de ces différents troubles
moteurs
. Etant donné un cas d'hémichorée, la nature de
icales ne durentpasplus de trente secondes. Excitation de la région
motrice
. - 1° Celle de la partie toute postérieure du g
ions de la pression que l'on obtienne par l'excitation de la région
motrice
, jamais le pouls ne bat plus vite ; quel- quefo
e va- rient du reste pas lorsqu'on a réséqué les champs corticaux
moteurs
de l'animal et qu'on a, de ce fait, déterminé une
tre-croisement. Toute vraie pyramide prend son origine dans la zone
motrice
de la surface du cerveau, gagne la partie posté-
myotrophie tabétique reconnait pour origine une lésion des cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle, comme MM.
n aboutissant à une dépression, on a une perver- sion des fonctions
motrices
. On pourrait trouver dans ce rap- port, la ques
ue qui, composé de fibres " centripètes, se 'termine, dans l'écorce
motrice
(sphère tactile du ' ' corps de Flechsig) au ni
les altérations histologiques portaient spécialement sur la zone
motrice
, l'écorce visuelle (tissure calcarine), la premiè
des lobes frontaux. .1 1 1 Il ne saurait être question de troubles
moteurs
, de troubles sen- sitifs, de troubles de la par
Medica. Rome, 1901. Ladame (de Genève). - La question de l'aphasie
motrice
sozis-coili- cale. Extrait de la Revue neurolog
s de la motilité. Il n'existe pas à proprement parler une paralysie
motrice
. La force musculaire est bien conservée à droit
ée à droite. En résumé, il existe un très léger degré d'hémiparésie
motrice
droite. Cendant le malade présente de gros trou
parésie motrice droite. Cendant le malade présente de gros troubles
moteurs
ainsi faits : ' ' a) La démarche est titubant
cependant on ne constate pas, au sens strict du mot, une paralysie
motrice
des membres. Les céphalées sont toujours intens
malade présentait des paralysies oculaires associées à des troubles
moteurs
des membres et à des troubles de la parole. L
aire et comme conséquence une névrite oedé- mateuse. Les troubles
moteurs
du bras et de la jambe du côté droit ne consist
u bras et de la jambe du côté droit ne consistaient ni en paralysie
motrice
proprement dite ni en phénomènes tels que trépi
us ont montré l'intégrité du pied du pédoncule gauche et de la voie
motrice
pyramidale médullaire. Les troubles moteurs, ce
gauche et de la voie motrice pyramidale médullaire. Les troubles
moteurs
, cependant très prononcés, consis- taient en ré
ouvel exemple des plus nets, puisque chez notre malade ces troubles
moteurs
existaient indépendants de toute paralysie motr
ade ces troubles moteurs existaient indépendants de toute paralysie
motrice
des membres pro- prement dite. Quelle peut êt
notre malade, il était normal, en flexion. Au surplus, ces troubles
moteurs
ne ressemblent pas aux trou- bles moteurs post-
Au surplus, ces troubles moteurs ne ressemblent pas aux trou- bles
moteurs
post-hémiplégiques. A l'inverse de ces derniers,
araissent pas être sous la dépendance d'une perturbation de la voie
motrice
pyramidale ; nous devons en chercher la raison
s et se caractérisaient d'une manière essentielle par une paralysie
motrice
vraie du bras et de la jambe gauche du côté opp
ièrement le syndrome de Millard- Gubler en déterminant des troubles
moteurs
des membres du même côté que la paralysie des n
ement au contraire le syndrome de Weber puisque, comme les troubles
moteurs
consécutifs à la lésion de la voie motrice pédo
sque, comme les troubles moteurs consécutifs à la lésion de la voie
motrice
pédonculaire, elle siège du côté opposé aux ner
nalysés dans son article précité. Bien qu'as- sociés à des troubles
moteurs
des membres du côté droit, on les distingue fac
t préfé- rable d'assimiler les troubles de la parole aux troubles
moteurs
ataxiformes des membres et d'adopter pour cet e
rubro-spinal. La deuxième aurait son centre d'origine dans l'écorce
motrice
et parviendrait à la moelle par le faisceau pyr
d'un syndrome de Weber très particulier en ce sens que les troubles
moteurs
des membres du côté droit, asso- ciés à la para
paralysie de la troisième paire gauche, consistent non en paralysie
motrice
vraie, mais en incoordination, en ataxie, en as
rement le pied des deux pédoncules. Il semble donc que les troubles
moteurs
des membres ont été déter- minés par la lésion
s, il, est loin d'exister à l'état isolé. Den... a de l'instabilité
motrice
au dire de sa mère. Il présente nettement du tr
que c'est là précisément que se trou- vent les noyaux d'origine du
moteur
oculaire commun et du moteur oculaire externe q
e trou- vent les noyaux d'origine du moteur oculaire commun et du
moteur
oculaire externe qui, soit directement, soit par
des yeux, et qui proviendraient d'une parésie disséminée des nerfs
moteurs
du globe oculaire. M. Achard 2 analyse les hypo
rer comme liées- à des causes multiples : malformation des cellules
motrices
TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMES CONGÉNITAU
grise, altérations cellulaires fines des noyaux d'origine des nerfs
moteurs
de l'oeil, défaut de conductibilité du cylindra
nt l'observatiou sert de base à ce travail présentait une paralysie
motrice
des membres inférieurs et de la partie infé- ri
t de ces lésions. G. Derny. XIII. Anesthésie des nerfs sensitifs et
moteurs
; par J. JoTEYKo et M. STI·.1 ? NOUSIi.I. (jour
thésiques (chlo- roforme, éther, alcool) sur les nerfs sensitifs et
moteurs
. Lorsqu'un nerf est placé dans une atmosphère d
excitabilité des fibres sensitives disparait avant celle des fibres
motrices
et que le réveil de celles-ci a lieu avant celui
D'une façon générale, la fibre sensitive est plus sensible la fibre
motrice
plus résistante à l'action des anesthésiques. E
fondant sur ces différents caractères l'auteur admet que le trouble
moteur
de son malade doit être attribué à une lésion f
ail est basé sur trois observations . la ire est un cas d'a- phasie
motrice
avec agraphie sans hémiplégie ; la 2e un cas d'a-
ie motrice avec agraphie sans hémiplégie ; la 2e un cas d'a- phasie
motrice
et sensorielle, également sans hémiplégie ; et la
sensorielle, également sans hémiplégie ; et la 30 un cas d'aphasie
motrice
corticale qui est venue compliquer une hémiplég
III. Paralysie labio-glosso-laryngée (Atrophie chronique des noyaux
moteurs
de la protubérance et du bulbe) ; par F. Sano.
le facial représente la branche centrifuge sécrétoire dans un nerf
moteur
. Le larmoiement unila- téral de l'oeil dans la
langage (symptômes d'excitation ou de paralysie) tels que : aphasie
motrice
, hallucinations motrices ver- bales, hallucinat
itation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, hallucinations
motrices
ver- bales, hallucinations de l'ouïe, surdité c
mentale, cauchemars, hallucinations, perte de conscience, agitation
motrice
et automatique). Signes physiques de démence
fantile et les paralysies radiculaires, la topographie des troubles
moteurs
dans la paralysie infantile affec- tant d'aille
de la sensibilité géné- rale. Ce dernier comprend : a) Les voies
motrices
cérébro-médullaires, voies principales 186 BIBL
lles op- tiques ; -b) Les voies sensitives générales; -c) Les voies
motrices
, englobant trois grands groupes de nerfs : les
des voies sensorielles, des voies sensitives générales et des voies
motrices
. 4° Du goût et de l'odorat. 3° Du langage. Aprè
et de la digestion. Des tableaux résument les voies sensitives et
motrices
des cinq- grands appareils sensoriomoteurs, les
esse; ne parait pas avoir de délire ni d'hallucinations; excitation
motrice
simple avec abolition ou diminution de la cons-
la force des choses, physiologiste. Déjà l'observation des troubles
moteurs
de la mala- die d'Addison a mis sur la voie de
au, -la sensation de froid aux cheveux, d'horripilation, l'asthénie
motrice
, le tremblement musculaire, l'incoordination de
apporter au début de cette étude quelques précisions : Une réaction
motrice
à laquelle l'écorce cérébrale ne prend pas et n
nd pas et n'a jamais pris part n'est pas un tic ; si cette réaction
motrice
est la conséquence de l'irritation patholo- giq
int quelconque de l'axe bulbo-spinal, c'est un spasme; une réaction
motrice
à laquelle l'écorce cérébrale prend ou a pris p
cérébrale prend ou a pris part n'est pas un spasme, si ce phénomène
moteur
où se recon- naît la participation de l'écorce
érébrale prend ou a pris part n'est pas un spasme ; si ce phénomène
moteur
où se reconnaît la participation de l'écorce cé
l'importance des troubles mentaux est très grande mais les troubles
moteurs
ne sauraient être négligés. Le tic pure- ment m
s caractères nou- veaux en lumière. Les tics sont des perturbations
motrices
d'actes fonctionnels, mais le rapporteur ne cro
sont des désiquilibrés psychiques, comme ils sont des déséquilibrés
moteurs
, mais ne sont point dépourvus d'intelligence; l
Les tics étant constitués par deux ordres de phénomènes, les uns
moteurs
, les autres mentaux, il était légitime qu'on pens
r appliquer un double traitement, l'un s'adressant aux phénomènes
moteurs
, qu'on pourrait appeler objectif, l'autre ayant p
séquent, un acte physiologique déterminé. Il pense que cet élément
moteur
est le seul indispensable pour qu'il y ait véri
ui unissent, au point de vue du développement des tics, les centres
moteurs
aux centres sensitifs et sensoriels. il n'est c
plégie soit due à une lésion organique ou fonctionnelle des centres
moteurs
, elle n'en reste pas moins une hémiplégie; de m
ES. , 275 de l'incorrection de leur position. Cependant leurs actes
moteurs
volontaires sont corrects, et ils ne semblent a
», ce qui est, comme l'a dit M. Brissaud, la meilleure dis- cipline
motrice
qu'on puisse appliquer aux tiqueurs. Il faut au
able. Les tiqueurs exerçant un contrôle insuffisant sur leurs actes
moteurs
, on ne saurait assez multiplier les moyens de per
mai, on n'a pas remarqué de perte de connaissance, ni de troubles
moteurs
. Le 22 mai, G... est ramené à la maison par un ca
assez inquiétant : des alternatives d'affaissement et d'excitation
motrice
incohé- rente avec sueurs profuses qui font cra
ent plus faible. Embarras très prononcé « de la parole avec aphasie
motrice
. État subdélirant d'apparence « quasi-automatiq
d'hébétude. Néanmoins, loin de s'améliorer les signes démentiels et
moteurs
s'aggravent et l'autopsie ne laisse plus aucun
ne fureur destructive. Après cet éclair de violence, cette décharge
motrice
, il y a comme une détente qui n'est pas sans an
sociés par suite de la diffusion des lésions. De plus, les troubles
moteurs
sont en général moins marqués que les troubles
il sera tout indiqué de rechercher plus attentivement les troubles
moteurs
, sensitifs et trophiques qui vraisemblablement
emple, il est de toute nécessité que les neurones de représentation
motrice
du centre cortical du membre donnent une incita
ccordent aux corps opto-striés un rôle important dans les fonctions
motrices
, je ne crois pas faire une encur analomique en
chnique vise d'ailleurs la cure de l'incoordination, de l'impotence
motrice
, du relâchement musculaire, sur lesquels le mas
mauvaises avec sillon d'llutcliiuson. Intelligence débile. Aphasie
motrice
permanente. Déformation du thorax et de la colo
leur entité morbide dont il ne reste finalement que les phénomènes
moteurs
. Ces phénomènes constituent, non pas une maladi
vical ; mais le fait le plus intéressant consiste dans les troubles
moteurs
, rarement signalés en pareil cas et occupant le
ur contrôle et leur influence modératrice sur les centres psycho-
moteurs
, le jour où l'état morbide s'est insidieusement i
italique : paranoia rudimentaria ideativa, ou prendre un caractère
moteur
: paronoia rudimentaria impulsiva. Quand à l'ém
'idée impulsive ; bien qu'au fond de toute idée il y ait un élément
moteur
, et quelles idées obsédantes soient de véritabl
ue les mouvements sont dus à l'excitation des fibres radicu- laires
motrices
et à l'intervention réflexe des libres radiculair
) Une observation avec nécropsie (2 figures). L\-1. Localisations
motrices
du cortex cérébral ; par C. S. Sciierrington et
sespérante promptitude. L'attentiwn est, de sa nature, une fonction
motrice
; elle est associée a une ferme d'activité muscu
ment défectueuse, de rencontrer simultanénément d'autres troubles
moteurs
. Tous les degrés de l'inattention, d'ailleurs, pe
la volonté sont, d'une certaine manière, asso- ciées aux fonctions
motrices
, les facultés plus élevées de l'esprit ou facul
voir avec les processus intellectuels supé- rieurs ; 3° les centres
moteurs
et sensoriels seuls ne suffiraient pas à expliq
tointoxicatiou). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 531 XXXIV. Troubles
moteurs
chez les paralytiques généraux ; par - MARANDOK
r - MARANDOK de l10,NTYEL (Revue de médecine, 1899). Les troubles
moteurs
ont été observés chez 108 sujets paraly- tiques
nse devoir dégager les conclusions suivantes : d'abord des troubles
moteurs
excessifs peuvent se montrer de pré- férence à
'intégrité du sphincter n'a pas de rapport direct avec les troubles
moteurs
. En somme on ne peut savoir par la seule inspec
période. A cette première période, les rémissions dans les troubes
moteurs
ont été bien moins accusées qu'à la seconde. Le
s moteurs ont été bien moins accusées qu'à la seconde. Les troubles
moteurs
ont été trouvés beaucoup plus accusés aux deux
n dans la fonction pyramydale qui consiste à transmettre les ordres
moteurs
aux muscles du membre inférieur, tandis que le
u très marquée ; le clonus du pied répond à l'excitation de la voie
motrice
. M. BAR)NSKt insiste sur le point que le signe
localisée symétriquement et bilaté- ralement au niveau des centres
moteurs
; la pathogénie du syn- drome de Duchemin recon
hie graduelle des muscles antéro-externes de la jambe, la faiblesse
motrice
marcha toujours parallèlement à l'amaigrissemen
dans les actes volitionnels d'arrêter brusquement les impulsions
motrices
et d'en imprimer de nouvelles aussitôt après; ce
nt intellectuel rapide, les symptômes psychiques et les symp- tûmes
moteurs
; ces derniers constituant dans leur ensemble un
par Aba- die et Rocher, 434. Anesthésie des nerfs sensitifs et
moteurs
, par Joteykoet Stéfa- nowska, 143. Analyse des
449. Nègres soudanais. Voir Ilyper- acuité, Nerfs sensitifs et
moteurs
. Voir Anesthésie. Lésion traumatique des de l
517. Voit Troubles de la se7asibililé.- géné- iale. Voir Troubles
moteurs
. psychique, par Hauser et Lostat Jacob, 531.
ériodes de la paralysie générale, par Marandon de Mon- tyel, 520.
moteurs
chez les paralytiques généraux, par Ma- rando
vrai dire possible de la caractériser ; c'est, en effet, d'un tabès
moteur
qu'il s'agit. Le tabès complet, classique est à
abès moteur qu'il s'agit. Le tabès complet, classique est à la fois
moteur
et sensitif, souvent plus sensitif. Dans la sal
ppartenait. Notre homme est absolument différent; il est purement
moteur
; et si nous ne connaissions d'une manière assez c
que ce tabès est d'une espèce particulière, qu'il est uni- quement
moteur
. En d'autres termes, nous pouvons souligner dan
ique de cette observa- tion c'est qu'il s'agit seulement d'un tabès
moteur
. Les deux groupes de symptômes qu'on observe da
J'en ai vu de très beaux exemples. Les exemples de tabès pu- rement
moteur
sont plus rares ; celui-ci en est un. Pour synt
nous pouvons dire qu'il s'agit là d'un cas de tabès exclusivement
moteur
à incoordination précoce, développé sans syphilis
s simulent exactement' -des accès d'épilepsie, soit sensitive, soit
motrice
. Or, que l'hystérie puisse reproduire très fidè
pres- sion symptomatique, le syndrome de l'épilepsie sensitive ou
motrice
. Cela est si vrai, que tous nos malades ont été p
tes les attaques se montre la reproduction des troubles sensitifs,-
moteurs
ou émotifs, qui ont marqué le début déjà L'HYST
seudo-membraneuses ; et de cette façon, une compression des centres
moteurs
. Mais bien que la pachyméningite puisse demeure
qui a touché au tombeau du diacre Pâris, l'oedème, trouble vaso- -
moteur
, a disparu presque immédiatement, le sein a repri
sol sans que nous puissions mou- voir nos membres. Lorsque l'influx
moteur
parti du cerveau s'est rétabli, nous sommes apt
l'oblitéra- tion des artères, soit par la destruction de la région
motrice
, l'hé- miparésie et l'épilepsie jacksonienne (i
quer la paralysie des extrémités gauches; pas de foyer dans la zone
motrice
droite. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 91
s paralysés. On éduque, ou plutôt on rééduque les centres cérébraux
moteurs
lésés, ou du moins on réincite les fibres d'ass
ériphériques entrent simultanément en vibration. Les hallucinations
motrices
partent de l'écorce qui est le siège de l'inner
ent de la collection du père de l'auteur de ce mémoire. La racine
motrice
du trijumeau prend naissance dans le noyau moteur
moire. La racine motrice du trijumeau prend naissance dans le noyau
moteur
du même côté; la racine descendante, dans les g
'aqueduc de Sylvius. Il faut distinguer les racines descendantes et
motrices
des racines ascendantes, au moyen du plus fort
de reconnaître que la racine descendante se juxtapose il la racine
motrice
. Il n'y a lieu ni de confirmer, ni d'infirmer l'i
acceptée par les auteurs de l'entre-croisement partiel de la racine
motrice
et de la racine descendante, car, du côté altér
, XXIII, 1.) Observation de destruction chez l'enfant des faisceaux
moteurs
de la capsule interne. Le faisceau pyramidal da
KERAV.\L. XXIII. CONTRIBUTION A l'étude DE la chaleur sur LES nerfs
moteurs
; par Olga GoATlsxx. Cette étude avait en vue
a pre- mière question, la chaleur est-elle un excitant pour le nerf
moteur
? 2 fut négatif. Pour résoudre la seconde que
Contribution à l'étude clinique des hallucinations verbales psycho-
motrices
. M. Roubinovitch après avoir constaté que la natu
Un fait capital est la prédominance excessive des troubles psycho-
moteurs
, hallucinations motrices verbales et communes, im
prédominance excessive des troubles psycho- moteurs, hallucinations
motrices
verbales et communes, impul- sions ou phénomène
moitié gauche du corps, avec amaurose des deux yeux. Les accidents
moteurs
et sensitifs cédèrent en peu de jours presque c
D.abcuEwmcH. Sur les altérations de la partie cen- trale d'un nerf
moteur
après lésion de sa partie périphérique. - Une A
es cobayes lui impose la conclusion suivante : une lésion d'un nerf
moteur
cranien, aussi bien que d'un nerf mixte spinal
entricule) et les fibres pupillaires de Bechterev (au noyau du nerf
moteur
oculaire commun) n'existent pas; il n'y a de même
s optiques qui réunissent la rétine de l'oeil avec le noyau du nerf
moteur
ocu- laire commun. Les observations sur le rapp
on de zones mo- trices. Les expériences avec l'ablation d'un centre
moteur
quel- conque ont été faites sur des chiens, la
ment dans celle ,qui, après s'être recourbée des circonvolutions
motrices
, passe par-dessus le corps calleux et poursuit en
l'arthritisme étant le fait de troubles de l'innervation sensitive,
motrice
et vaso-motrice, serait une névrose complexe dont
és; les troubles du caractère, les troubles intellectuels, émotifs,
moteurs
, l'amnésie ayant été notés avec soin. Le chap
e tra- vail est celle qui est consacrée aux altérations des plaques
motrices
dans les diverses affections du système nerveux
hologie de la nuit se rapportent aux manifestations sensorielles et
motrices
; ce sont par exemple, l'incontinence nocturne,
ie par iatirritation), la chorée du réveil. A côté de ces désordres
moteurs
se placent les troubles sensoriels, et les choc
fonctions de nutrition et conséquemment une dépression de l'énergie
motrice
. et de la sensibilité,- un ralentissement des pro
e peut être mise en lumière par l'étude de l'influence de l'énergie
motrice
sur l'attention. L'atten- tion est constituée e
tion. L'atten- tion est constituée exclusivement par des phénomènes
moteurs
dont la physiologie non seulement révèle l'exis
elles-mêmes pour condition physique les oscillations de l'énergie
motrice
. z L'exercice physique ou intellectuel modéré e
ème musculaire, y produi- sent des amyotrophies et des impuissances
motrices
plus ou moins généralisées et à tendance progre
le et que le malade ne présente pas le plus léger degré d'impotence
motrice
! Faut-il s'arrêter à cette hypothèse ? On peut
lésion spinale organique, ne fût-ce que l'absence d'une impuissance
motrice
dans un cas d'atrophie musculaire aussi avancée
d'éveil, tantôt la résolution la plus subite, tantôt une impulsion
motrice
invo- lontaire, mais sans perte de connaissance
intéressants, la détermination du chi- misme stomacal et du pouvoir
moteur
de l'estomac par la méthode de Suvers et de Ewa
himisme stomacal n'a pas présenté de modifications, mais le pouvoir
moteur
de l'estomac semble un peu 2M REVUE DE PATHOLOG
acte de volition stimule l'activité fonctionnelle dans les centres
moteurs
et produit des mouvements prédéterminés. Mais l
s. Dans l'analyse minutieuse des altérations des noyaux des nerfs
moteurs
de l'oeil, nous relevons ce qui suit. La racine d
encore possible dans la colonne des cellules du noyau de l'ocuio-
moteur
commun d'attribuer à tel ou tel groupe la fonctio
s trophiques du trijumeau ne sont pas situées dans la petite racine
motrice
de ce nerf, mais dans sa grosse racine sensitiv
t dépassé une minute et quinze secondes; la diminution des troubles
moteurs
a été obtenue avec des séances n'excédant pas t
s cellules des cornes antérieures et plus généralement des cellules
motrices
dans tout l'appareil cérébro-spinal D. G. D.
ATHOLOGIE NERVEUSE. 269 En somme, le clou entré au niveau du centre
moteur
de la jambe, avait probablement lésé sur un poi
jambe, avait probablement lésé sur un point sous-jacent le centre
moteur
du bras et et de l'épaule. Une question se posa
Un autre point intéressant de l'observation, ce sont les troubles
moteurs
ne se déclarant qu'au moment de l'extraction du c
érit très vite sans que le malade ait jamais présenté aucun trouble
moteur
ou sensoriel. (Ame1'iean journal of insccnity, 18
d'étabiir sûrement l'existence d'une lésion des régions corticales
motrices
du côté droit : ou diagnostiqua une tumeur prob
femme de trente-cinq ans, j'ai diagnostiqué une tumeur de la région
motrice
gauche; l'opé- ration confirma le diagnostic, m
est évident qu'il y avait par suite trouble fonctionnel des centres
moteurs
, le sentiment en modifiant l'activité. Ce sont
ralentissement obtenu subsiste ; mais il exagère le pouvoir excito-
moteur
et cela pendant vingt à trente minutes; au bout d
orielle et in- tellectuelle, conjointement avec l'hyperexcitabilité
motrice
; quand l'intoxication progresse, il y a paraly
s et intellectuelles, mais en même temps se développe une paralysie
motrice
centrale progressive. La genèse des paralysie
motrice centrale progressive. La genèse des paralysies du système
moteur
est propre à tous lespoisons qui modifient le c
issement permanent de l'activité volontaire, ainsi que la paralysie
motrice
aiguë, d'origine centrale. Le thé, au contraire,
centrale. Le thé, au contraire, agit peu sur l'activité du système
moteur
, il l'entrave un peu sans la paralyser, par sui
d'excitation de zip, la fermeture de la £ z cathode celui des nerfs
moteurs
(étude des valeurs absolues, échelle des chiffr
nguent en organiques et fonctionnelles, les hallucinations verbales
motrices
graphiques et les impulsions graphiques, l'écri
tilité, sensibilité, intelligence et trophicité; on a les dysbasies
motrices
, sensitives, psychiques et trophiques. Suivant
agérée, on a trois sous- groupes dans chaque variété. Les dysbasies
motrices
peuvent être akinétiques (paralysies), parakiné
même chez les hystériques hémianesthésiques, obtenir la paralysie
motrice
, sans accompagnement aucun de troubles de la sens
iques, auxquelles j'ai suggéré purement et simplement, la paralysie
motrice
du membre sans rien dire de la sensibilité. J'i
croyant à la possibilité des monoplégies expérimentales pure- ment
motrices
, nous pensons qu'il faut encore s'en tenir à la
e retour de sa motilité et beaucoup plus lentement que la paralysie
motrice
. L'électrisation, la balnéation sul- fureuse pr
anesthésie très particulière qui accompagne ces différents troubles
moteurs
. Cette anesthésie s'étend à la moitié corres- p
ou encore d'autres procédés. Dans la majorité des cas, la paralysie
motrice
et sensitive se dissipe ou s'améliore parles mo
pres mains les mouve- - ments des membres du malade et les troubles
moteurs
deviennent plus accusés, plus on veut leur oppo
. nous a permis de constater encore d'autres troubles non seulement
moteurs
, mais aussi sensitifs. L'irritabilité mécanique
ruptions seule- ment pendant le sommeil. Après ce temps, le trouble
moteur
dispa- raît tout'd'un coup : le malade se révei
e mental. Ce trouble primitif et général qui porte sur les éléments
moteurs
communs à l'intelligence et à la volonté, déter-
s d'inten- sité aux diverses périodes de l'affection, les troubles'
moteurs
qui correspondent au délire du, toucher sont be
ts seraientles deux faces, l'une intellectuelle et interne, l'autre
motrice
et externe, d'une 376 () REVUE DE PATHOLOGIE ME
r, il y a d'abord toujours un parallélisme entre l'état d'agitation
motrice
et l'idéorrhée ; les hallucinations sont rares
és supérieures ne sont presque jamais en repos, et l'incoordination
motrice
est assez accentuée. La station deboutsans appu
tion d'emblée et dédoublement de la personnalité . Hallu- cinations
motrices
et hallucinations psycho-motrices du langage. Ten
ingt-cinq ans. Son hérédité il est vrai est très chargée. L'élément
moteur
joue chez elle le rôle principal. C'est lorsque
Quel que soit le mécanisme par lequel ces idées amèuent le trouble
moteur
, chorée ou contracture, etc., c'est la répétiti
d'emblée, car on n'a cons- taté ni ictus apoplectique, ni paralysie
motrice
; aussi, pouvons- nous considérer les uns et le
tout chez les femmes, dans tous les états d'excitation psychique ou
motrice
accompagnant diverses- formes de maladies menta
rdiaques. Mais dans l'agitation nerveuse, dans l'excitation surtout
motrice
, dans l'insomnie, dans la période d'exaltation
étour- dissements et de fatigue; enfin les symptômes cérébraux ou
moteurs
plus ou moins sérieux qui peuvent se manifester c
es les plus graves ne sont pas suivies de modifications des centres
moteurs
. D'un autre côté, dans les'amyotrophies arthrop
hiques très compliqués, elles ne sont que les produits ultimes d'un
moteur
morbide qui doit être l'objet réel des investig
investigations du diagnostic. Il se pourrait très bien que le même
moteur
pathologique, considéré, dans son action physio-
nérescences secondaires de l'encéphale après l'ablation des zones
motrices
, par Jlouratof, 136. Délire chronique, par Séri
aliénés, par Turner, 461. Faiblesse il ritable d'origine psvcltu-
motrice
, par Fuerstner, 277. Faisceau cunéiforme, noyau
per tous les sens, être auditive, visuelle, olfactive, gusta- tive,
motrice
, frapper. la sensibilité générale ou spéciale. Sa
et de la vue sont déjà des auditifs ou des visuels, les hallucinés
moteurs
verbaux sont, au préalable, des moteurs. Mais,
s visuels, les hallucinés moteurs verbaux sont, au préalable, des
moteurs
. Mais, malgré cette tendance du malade à verser,
oriaux ce que les mouvements épileptoïdes sont à celles des centres
moteurs
. » Cette opi- nion est acceptée par Séglas qui
superposés ; le trouble hallucina- toire peut porter sur les images
motrices
d'articulation, et on a l'hallucination, psycho
aux ce que les mouve-- ments épileptoïdes sont à celles des centres
moteurs
», l'étude de la paralysie générale, dont les l
sein de laquelle le clinicien dépiste mal l'hallucination psycho-
motrice
verbale, enfin, l'excitation parfois fort violent
allucina- tions de t'ouïe. Rémission très accentuée. Hallucinations
motrices
verbales de nature pénible. Absence d'autres tr
hallucinations auditives. Permanence et activité de= hallucinations
motrices
verbales pendant plus d'un an. Leur association
ec un état d'éréthisme des centres mas- ticateurs : l'hallucination
motrice
verbale s'accompagne de mou- vements involontai
avec idées de grandeur et de persécution. Hallucinations multiples
motrices
verbales, kinesthésiques, visuelles, auditives,
. » Et Sérieux fait ressortir : a) L'existence des hallucinations
motrices
verbales dans la para- lysie générale. b) Leur
-encé- phalite intéressant le pied de la troisième frontale (centre
moteur
verbal) et l'extrémité inférieure de la frontal
sticateur). Dans une thèse récente sur les hallucinations psycho-
motrices
dans la paralysie générale (Paris. n° 334, mai 19
. Il estime que, dans la paralysie générale, les hallucinations -
motrices
verbales sont extrêment rares. Cliniquement, les
trices dans les cas de lésions microscopiques des centres psycho-
moteurs
verbaux chez la plupart des paralytiques généraux
qui semble légitimer cette hypothèse dans le cas des hallucinations
motrices
de la para- lysie générale, c'est la période de
trouble de la mémoire par les mots qu'il oublie et l'incoordination
motrice
de ses muscles. Au mois d'août, l'agitation per
a mémoire, de l'attention, nous notons des hallucinations psycho-
motrices
, il annonce que le a don » va parler. La voix cha
la marche, instabilité légère les yeux fermés, pas d'incoordination
motrice
; au dynamomètre 40 à droite et à gauche, aucun
ralysie générale sont proportionnelles à l'intensité des troubles
moteurs
qui est, comme chacun sait très variable à ces de
uvé le sens génital d'autant plus souvent normal que les troubles
moteurs
étaient moins accusés. 24 CLINIQUE MENTALE. O
rouvé le sens génital d'autant plus souvent normal que les troubles
moteurs
étaient moins accusés. Le maximum des altératio
accusés. Le maximum des altérations en plus a été avec les troubles
moteurs
modéré, le minimum avec les troubles moteurs ex
été avec les troubles moteurs modéré, le minimum avec les troubles
moteurs
excessif et vice versa pour les altérations en
la -limaille de fer à proximité d'un aimant. Nombre de réactions
motrices
de ce genre, où l'on a cru voir des actions vol
ion des mouvements volontaires. D'après l'auteur, tous ces troubles
moteurs
sont dus à des lésions [scléreuses d'origine ar
ins et autres tics d'ordre supérieur, avec prédominance de troubles
moteurs
, sensitifs ou'psychiques (dysphagie amiotaxique,
troubles moteurs, sensitifs ou'psychiques (dysphagie amiotaxique,
motrice
, sensitive, psychique). En se basant sur huit obs
nterprétation que, peu entraîné à se servir d'une plume, la mémoire
motrice
graphique a toujours été chez lui très rudiment
Jlextasclaitea), en possession d'un certain nombre de coordinations
motrices
qui, fonc- tionnellement, se manifestent comme
Si le délirant chronique est le jouet de l'hallucination psycho-
motrice
, il est des gens qui ont à l'égard de ce phénomèn
rches cytométriques et caryométriques sur les cellules radiculaires
motrices
après la section de leur cylindre-axe : par Mar
infection est apte à produire des troubles névralgiques et vaso-
moteurs
de diverse nature. Quant au mécanisme de ces tr
atation active et l'affection pourrait être définie : névrose vaso-
motrice
à type névralgique avec hypotonicité du système v
ie accompagnés de myas- thénie prononcée, de parésie et d'impotence
motrice
volontaire. Dans ces derniers cas la réaction d
tervention, les troubles sensitifs disparurent, seuls, les troubles
moteurs
ont persisté, ce qui n'a pas lieu de surprendre
ablit, après une de ces explosions périodiques d'excitation mentale
motrice
qui caracté- risent la folie épileptique, la fa
mme le plomb, élective, et se localise de préférence sur le neurone
moteur
, il faut se souvenir que des troubles sensitifs,
qui existe si souvent peut affecter les fibres sensitives comme les
motrices
, bien qu'il y ait prédominance sur les libres m
comme les motrices, bien qu'il y ait prédominance sur les libres
motrices
. Le trouble des sphincters noté dans deux des cas
ques dans la paralysie de Landry sont une dégénération des neurones
moteurs
périphériques, nous devons admettre a priori, s
naperçues que d'admettre qu'une dégénération prononcée des neurones
moteurs
périphériques puisse exister sans modifications
xus brachial, consistant plus spécialement en troubles sensitifs et
moteurs
dans la région de distribution du nerf cubital.
ectionnant dans. l'inté- rieur du pédoncule les filets d'origine du
moteur
oculaire commun. Sclérose en plaques. M. TO
la conversation). Puis survient le symptôme capital, l'hémi- plégie
motrice
, du type cérébral, précédée ou non d'un ictus apo
idal croisé jusqu'à la prise considérable de tous les faisceaux (f.
moteur
; f. de Gowers; f. cérébelleux direct ; fibres com
l qu'en soit le siège, et permettaient ainsi, associés aux troubles
moteurs
, de lo- caliser la tumeur dans le lobe frontal.
ns cinq cas de poly- névrite très variables quant à leurs symptômes
moteurs
et sensitifs et également quant à leur durée. I
sont plus nombreux que ceux rencontrés dans la cellule radiculaire
motrice
. M. DUPRÉ rapporte un cas de pachiméningite che
était complet le calme revenait. Après quelques années, les crises
motrices
diminuèrent de fré- quence. C'est alors que gra
'210 PSYCHOLOGIE 11ORBIDE. Il -arrivait parfois que soit les crises
motrices
, soit les crises d'agitation'étaient suivies d'
te parfois du côté de la fenêtre, puis après un instant d'agitation
motrice
, elle se calme, reste assise sans bouger, la tê
uire une scène terrifiante. Elle est en proie à la même agitation
motrice
que précédemment, et les phénomènes que nous ve
umé l'état de distractions mentales du sujet joint à de l'agitation
motrice
, le désordre des idées et des actes, le tout so
kaleidoscopique. L'état mental de G... indépendamment des réactions
motrices
, ressemble assez à celui d'un individu atteint
crises hystériques du - début ont été remplacées par de l'agitation
motrice
à laquelle i a succédé cette disposition spécia
itation psychique' J indépendante et bien distincte d'une agitation
motrice
et, d'une crise ccnvulsive. L'explication int
à démontrer la réalité de ces équivalents psychiques de la- crise
motrice
, notamment dans l'épilepsie. Ces documents ont'
ence et a la gravité de manifestations épileptiques, dans la sphère
motrice
correspondrait une propriété tératologique du s
trémités infé- rieures, il peut ne pas y avoir du tout de paralysie
motrice
de ces membres. 3° De la paralysie du rectum et
des cellules corticales, au point où elles atteignent les cellules
motrices
des cornes antérieures et en même temps une lés
s antérieures et en même temps une lésion fonctionnelle de cellules
motrices
spinales elles-mêmes. De plus, dans les cas ava
ribuée aux troubles venant modifier l' « influx égal des impulsions
motrices
» qui se transmet du cerveau à la meelle. Aux
ons variqueuses de la face antérieure n'aient pas causé de troubles
moteurs
par cette double considération qu'elles siégeai
inations, les illusions, l'hyperesthésie sensorielle et l'agitation
motrice
peuvent s'expliquer par l'action d'un poison qu
moelle spinale, les racines antérieures et posté- rieures, le nerf
moteur
oculaire commun, le grand hypoglosse, le sciati
2° dans la deuxième circonvolution frontale gauche pour l'amusie
motrice
; 3° dans le lobe pariétal gauche pour la lecture
ste de la région périnéo-scrotale et du pénis. Phénomènes d'ordre
moteur
. -1° Chez un très grand nom- bre de nos malades
n'avons jamais observé non plus chez nos malades d'incoor- dination
motrice
des membres inférieurs. Les deux tabétiques pré
aladie infectieuse. P. Keraval. XXVIII. De l'aphasie sensorielle et
motrice
transcorticale; par W. LARIONOW. (Obozrellié ps
visuelles des lettres et des mots (pli courbe), qui vont au centre
moteur
de l'écriture (2e circonvolution frontale) et a
entité morbide distincte. La périodicité des attaques, la paralysie
motrice
flaccide, la perte des réflexes, les modifica-
pendant assez souvent dansl'écoice, surtout dans celle de la région
motrice
, rarement dans l'épaisseur de la substance céré
e même pour la moelle : dans la paralysie hystérique les cel- lules
motrices
individuelles ne sont pas atteintes, car il n'y a
est-à-dire les actes : ce sont les cellules pyramidales de l'écorce
motrice
qui sont en fautes, et non les cellules subordo
lgésie et hyperesthésie) ou exagération de l'énergie de la décharge
motrice
(spasmes, convulsions; souvent de nature réflexe
stérique et contractures par distribution imparfaite des impulsions
motrices
à des groupes musculaires asynergiques). Le p
as seulement l'excitabilité sensorielle, c'est aussi l'excitabilité
motrice
de l'écorce qui est atteinte, mais c'est l'exci
ertonie de son antagoniste; 3° la destruction complète des neurones
moteurs
centraux ou péri- phériques ou de leurs prolong
les altérations péricellulaires et péricylin- ctroïdes des neurones
moteurs
centraux et périphériques produi- sent, lorsque
rve chez le singe, à la suite de la destruction complète de la zone
motrice
, peuvent être assimilées à celles qui se produise
e produisent par des lésions incomplètes non irritatives de la zone
motrice
de l'homme. La distinction entre la contracture
nde résulte de la première. L'une résulte de la lésion des neurones
moteurs
centraux, l'autre de l'altération des neurones
des neurones moteurs centraux, l'autre de l'altération des neurones
moteurs
périphériques. La contracture vraie e=t produit
les altérations péri-cellulaires et péri-cylindroïdes des neurones
moteurs
cen- traux : d'autre part, par les lois de l'an
e médul- laire formé parle neurone sensitif rachidien et le neurone
moteur
centrifuge de l'étage correspondant; on-fera re
ément péri- phérique récepteur entre en communication avec l'organe
moteur
réactionnel. les conditions pour la production
s tendineux. Jenecroispas enfin que dans les névrites périphériques
motrices
, et les poliomyélites aiguës ou chroniques, les
gard, très instruc- tive chez les obsédés. On retrouve ces troubles
moteurs
dans la folie du doute, type des obsessions dit
obre 1897. Atrophie des grandes cellules pyra- midales dans la zone
motrice
de l'écorce cérébrale, après la section expé- r
a démence, et par des symptômes somatiques consistant en phénomènes
moteurs
variables caractérisés surtout par la raideur m
if de l'estomac sur l'albumine coagulée pratiquement nul : activité
motrice
faible : 6° peau sèche. L'état subaigu est cara
euses de l'écorce du cerveau, limitée presque entièrement aux aires
motrices
, et que, en même temps que les altérations de dég
ltérations descendantes peuvent être suivies tout le long du trajet
moteur
depuis l'écorce cérébrale jusqu'à la moelle lom
c nerveux réflexe, et dans le second cas (manie) le long des lignes
motrices
. Et après l'exposé de cette opinion, il ajoute
s premières, sont considérées avec vraisemblance comme des cellules
motrices
du niveau le plus élevé, et l'altération constaté
produit expérimentalement après la section des axones des cellules
motrices
. 1. de Musgrave-Clay. XXII. Épilepsie associée
CAIIEN, interne des hôpitaux. I. D'une façon générale, les troubles
moteurs
chez les aliénés sont bien étudiés. C'est que,
guent parce que l'athétose est en général liée à d'autres symptômes
moteurs
ou surtout CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYP
t de dents du paralytique général, le tic de l'idiot, l'automatisme
moteur
des confus et des maniaques se séparent des act
rcurrents et la prédomi- nance des symptômes cliniques dans le sens
moteur
ou sensitif. - , li. C. LXXXI. Réflexes tendi
Étude sur l'action du gelsemium sur les noyaux des nerfs cérébraux
moteurs
; par R.-H. \1'mTemnn. (The New 1'01 IL Me- dica
t la chromatolyse des cellules qui constituent les noyaux des nerfs
moteurs
cérébraux; 2° les altéra- tions ainsi provoquée
agents qui exercent une action novice sur les cellules nerveuses
motrices
. R. de IUSGIlAV4;-OL1Y. II. Étiologie et guéris
le. M. Trénel pense que la coexistence des hallucinations psycho-
motrices
et de la sialorrhée peut s'expliquer par l'excita
, par Daniel, 435. Aphasie, par Brissaud, 152. - sen- sorielle et
motrice
transcorticale, par Larionow, 298. Aphonie hy
des maladies générales, par Faure, . 340. Cellules radiculaires
motrices
après section de leur cylindraxe, par Mannesc
emium, Action du sur les 550 TABLE DES MATIÈRES. noyaux des nerfs
moteurs
, par Whitehead, 529. Gliome. Un cas de - céré
reuves faites avec des verres de couleur; de plus la para- lysie du
moteur
oculaire commun, même quand elle est partielle, l
tache, au point de vue du diagnostic, dans les paralysies des nerfs
moteurs
, à la dissociation de mouvements qui, à l'état no
à l'association d'une altération du nerf facial avec l'intégrité du
moteur
oculaire commun et nous permet d'établir que ce
ne saurait être reproduit par la volonté. La compression d'un nerf
moteur
, sans aboutir à la dégéné- rescence de son bout
s, qu'ils se manifestent par des troubles sensitifs ou des troubles
moteurs
, ou bien encore par des attitudes anormales, on
ande majorité des observations d'hystérie (observations de troubles
moteurs
, attaques, tremblements, etc.), l'existence d'une
rrogatoire défectueux ou de propos inopportuns, a créé des troubles
moteurs
de nature hystérique, je vous en citerai deux s
n employant certains moyens permettant de perce- voir des réactions
motrices
très légères, il se pourrait qu'on les mît en é
dans le deltoïde par exemple. L'étendue du territoire des réactions
motrices
est donc variable. d) Chez le sujet aux réflexe
sub- stance grise) ; c) la voie centrifuge (racine antérieure, nerf
moteur
ou muscles auxquels aboutit ce nerf). CARACTÈ
névrites, que la lésion porte plus particulièrement sur les fibres
motrices
ou qu'elle atteigne de préférence les fibres se
ssez élevé elle se lie inévitablement à une gène dans les fonctions
motrices
. AFFECTIONS QUI PRODUISENT DE LA SURRETLECTIVIT
miplégie, c'est-à-dire de para- lysie unilatérale, mais de troubles
moteurs
d'une tout autre nature (mou- vements démesurés
psycho-motrice sans la détruire où, malgré la présence de troubles
moteurs
très manifestes (épilepsie Bravais-Jaksonienne,
est alors bilatérale. Il en résulte que l'absence de toute réaction
motrice
appréciable, après excitation de la paroi abdom
ente de l'intensité du réflexe, est susceptible d'être, par un acte
moteur
d'origine psychique, atténué ou exagéré, suivant
partements de l'écorce céré- brale, en particulier dans les centres
moteurs
et déterminer ainsi des manifestations analogue
peut supposer que le malade a perdu la faculté d'évoquer les images
motrices
correspondant aux mouvements qu'il est incapabl
symptômes de l'hémiplégie vulgaire associés à une paralysie du nerf
moteur
oculaire commun qui occupe l'autre côté du corp
ps. Je viens d'étudier successivement les divers caractères d'ordre
moteur
qui peuvent servir à distinguer l'hémiplégie or
déjà indiqué qu'ils existaient d'ordinaire du côté de la paralysie
motrice
; dans un cas cependant il les avaient observés
Séquard peut exister du côté anesthésié (2) ou du côté des troubles
moteurs
('). Parfois on les voit apparaître du côté de
vais décrire les phénomènes que j'ai en vue. Il s'agit de réactions
motrices
consécutives à des excitations cutanées ou à de
pyra- 13À.niNsx 1. 9 130 SÉMIOLOGIE midale. Ces deux réactions
motrices
se produisent généralement dans les mêmes condi
ord avec les auteurs précédents sur le méca- nisme de ces réactions
motrices
, ne veut établir aucune distinction entre ces d
liée par Pastine (') se rapportant à un sujet atteint de paraplégie
motrice
absolue avec troubles très accentués de la sens
s de défense même très prononcés et avec accompagnement de troubles
moteurs
des plus marqués n'est pas nécessairement l'exp
Les réflexes de défense, après disparition complète des troubles
moteurs
, peuvent redevenir absolument normaux. , On a p
GIE réflexe(') » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des réactions
motrices
réflexes et a eu surtout en vue celles du membr
Farquhar Buzzard ont fait une étude appro- fondie de ces réactions
motrices
dans un travail dont j'ai donné déjà l'indicati
udier les réflexes de défense dans leurs rapports avec les troubles
moteurs
, la paraplégie spasmodique, la contracture. Mes
ssant, que son objection soit juste ; peu importe que les réactions
motrices
puissent être obtenues aussi par l'excitation d
manifestation de ce côté, donne lieu du côté opposé à une réaction
motrice
brusque, en même temps qu'elle détermine des gr
itation des téguments du membre inférieur est suivie d'une réaction
motrice
du membre supé- rieur du côté sain, différente
urologique, 3 mars I ! P, p. 3oo. 1554 ' SÉMIOLOGIE Ces réactions
motrices
diffèrent cliniquement de celles que nous avons
ut de cette conférence, j'ai tracé un parallèle entre les réactions
motrices
consécutives aux excitations périphériques, suiva
les raisons pour lesquelles, à l'état physiologique, les réactions
motrices
qui me paraissent ressortir aux réflexes de défen
artie des téguments peut servir de zone réflexogène à des réactions
motrices
très variables, proches et lointaines, ayant la
no 2, 3o février Igd. Parmi les causes qui troublent les fonctions
motrices
dans les affec- tions du système pyramidal, il
ce qui précède que les mouvements conjugués apportent aux fonctions
motrices
une entrave plus ou moins notable, et que leur
he fournit, par conséquent, un élément d'appréciation des désordres
moteurs
, qui n'est pas à négliger. " Les mouvements con
e, si on pince de la même manière le pied gauche (côté des troubles
moteurs
), on voit apparaître une ou plusieurs secousses b
n de la peau du côté de la lésion et se traduisant par une réaction
motrice
du côté des troubles sensitifs. Cette réaction
e observation; nous nous contenterons de noter que si les réactions
motrices
consécutives aux excitations n'ont pas été anal
us tard, l'état du blessé s'étant notablement amélioré, la réaction
motrice
ci-dessus signalée a disparu ; il est à remarquer
fonde est légèrement atteinte du côté droit. Il existe des troubles
moteurs
prédominant du côté droit. Au membre supérieur
nférieurs sont atteints d'une paraplégie spasmodique ; les troubles
moteurs
sont relativement peu prononcés à gauche ; ils so
un mou- vement de ce côté, donne lieu du côté opposé à une réaction
motrice
brusque, en même temps qu'elle détermine des gr
e. Il nous paraît donc incontestable qu'il s'agit là d'une réaction
motrice
involontaire, c'est-à-dire d'un mouvement réfle
ent liés, au moins pour une part, à l'hyperalgésie ; ;. la réaction
motrice
est d'autant plus forte que la douleur produite p
d) Enfin, ainsi que nous l'avons déjà fait ressortir, les réactions
motrices
, bien loin de se produire uniquement ou d'une m
e ces réactions sont réflexes), ainsi que ce fait que les réactions
motrices
du membre inférieur peuvent être déclen- chées
embre inférieur du côté de la lésion ne participe pas à la réaction
motrice
, c'est vraisemblablement parce que l'excitation
si l'excitation de la zone anesthésiée ne provoque aucune réaction
motrice
, c'est sans doute parce que dans son parcours c
e nous venons de relater établit l'existence de certaines réactions
motrices
qu'il faut distin- guer d'une part des réflexes
de défense ou d'automatisme médullaire, d'autre part des réactions
motrices
volontaires, et qui sont en quelque sorte inter
pas de douleurs, pas de troubles vésicaux, pas trace d'incoordination
motrice
. Chez la malade qui fait le sujet de l'observat
que ; la notion de siège s'appuie sur une paralysie du facial et du
moteur
oculaire externe gauches, sur une anesthésie de
mouvements implique la faculté d'arrêter brusquement une impulsion
motrice
et aussitôt après de donner aux muscles une impul
ont la sensibilité est intacte et qui ne présente que des désordres
moteurs
. La parole est lente et interrompue. Les mouvemen
ualifié, il est vrai, d'asynergique la titubation de l'ataxie loco-
motrice
, opposée par lui à la titubation vertigineuse ; m
i, croyons- nous, consiste précisément dans un défaut d'association
motrice
; l'acte qui nous occupe est exécuté d'une maniè
généralement que dans les paralysies liées à des lésions des nerfs
moteurs
, l'excitabilité électrique de ces nerfs ne peut ê
abilité faradique qu'on peut observer dans les muscles dont le nert
moteur
n'est pas lésé et qui ont été soumis à la réfri
res termes, qui traduit un véritable trouble de la régulation vaso-
motrice
et thermique locale. C'est là un de ces caractère
supposé, la lésion occupait le lobe frontal au devant de la région
motrice
, mais dans l'un, on n'avait pas pensé qu'il fut
ette maladie on s'aperçut qu'il avait des exostoses et des troubles
moteurs
. Il présentait une surélévation de l'épaule gau
dont la fin semble avoir coïncidé avec une atténuation des troubles
moteurs
. L'enfant conserva cependant un léger spasme du c
ne durée de 3 à 4 mois. A l'âge de quinze ans, les mêmes troubles
moteurs
des membres du côté gauche reparurent pendant u
eur ne soit pas atteint, d'une manière appréciable, au point de vue
moteur
. Les spasmes existent pourtant et on les remarque
normal et la parole n'a jamais été troublée. Tels sont les troubles
moteurs
que l'on relève constamment du côté gauche, avec
nt de noter que c'est également le côté où prédominent les troubles
moteurs
et les modifications des réflexes que nous avon
lformation des vertèbres du. cou. Quelle est la nature des troubles
moteurs
? Sont-ils de nature fonction- nelle ? A l'appu
rtaines condi- tions, d'obtenir, après section des fibres nerveuses
motrices
, des dégéné- rations musculaires suivies de rég
ale, n° 46. CI,) Henri Meige, Dysphasie singultueuse avec réactions
motrices
tétaniformes et gestes stéréotypes. Société de
difficile à comprendre. 286 AFFECTIONS DU CERVELET La paralysie
motrice
du membre supérieur et du membre inférieur gauche
ons de la voie sensitive qui n'étaient pour rien dans les désordres
moteurs
, car la sensibilité profonde, la notion des attit
ons il soit impossible de se prononcer. Ce sont les troubles vaso
moteurs
et thermiques qui me paraissent constituer la p
forme, mais conditionnées toutes deux par une irritation du neurone
moteur
périphérique. IL TABES ET PSEUDO-TABES VI S
que son conjoint atteint d'atrophie papillaire ou d'incoordination
motrice
. J'ai noté dans plusieurs de ces cas que le mar
involontaires, on se rappelle que ce furent les premiers phénomènes
moteurs
qui apparurent après le stade de paraplégie com
s cérébraux P., le cervelet, les origines des nerfs crâniens : 111.
moteur
oculaire commun, V. trijumeau, VIII. acoustique
roisés, mais on n'en retrouve déjà plus dans le 6e segment. La voie
motrice
est du reste dans ce cas lésée sur un autre point
par une sensation de lourdeur aux membres inférieurs. Les troubles
moteurs
se sont accrus ensuite très lentement et dans l
st-opératoire s'est déroulée sans incidents sérieux. Les troubles
moteurs
et sensitifs s'atténuent de jour en jour. Vers la
sition avec le diagnostic de compression, même lorsque les troubles
moteurs
et sensitifs, par lesquels se traduit cette affec
flexion. Les réflexes abdominaux inférieurs sont abolis. Les troubles
moteurs
du membre inférieur droit n'ont pas subi de cha
coup plus prononcés à droite ; c'est-à-dire du côté où les troubles
moteurs
sont plus forts (voir schéma). Le territoire de
il faut attribuer les symptômes les plus importants : les troubles
moteurs
et sensitifs, les troubles de la réflectivité c
pas nécessairement une hypertonie musculaire troublant la fonction
motrice
. D'ailleurs, l'intégrité de cette fonction ne s
ans les premières, ils viennent tôt ou tard s'associer aux troubles
moteurs
. La paraplégie spasmodique en flexion permanent
un effet identique à celui qui résulte de l'électrisation d'un nerf
moteur
; je ne sache pas qu'expéri- mentalement chez l
t agi simplement d'une coexistence de deux phénomènes, l'un d'ordre
moteur
, l'autre d'ordre sensitif. La réalité d'un hémisp
de la face peuvent se prendre, mais les masticateurs et les muscles
moteurs
du pavillon de l'oreille ne sont jamais affecté
rapèze, 2. Face : Orbiculaire des lèvres, 5 ; masséter, 2 ; muscles
moteurs
du pavillon de l'oreille, i. Membres inférieu
imitée au territoire d'un nerf, comme, par exemple, la paralysie du
moteur
oculaire commun ou la paralysie du moteur ocula
exemple, la paralysie du moteur oculaire commun ou la paralysie du
moteur
oculaire externe. Les observations de ce genre qu
érie n'est pas plus capable d'atteindre un nerf sensitif qu'un nerf
moteur
, et le terme de névralgie, dont on se sert pour d
que, contrairement à ce qu'on pensait autrefois, les troubles vaso-
moteurs
, sécrétoires, trophiques, les hémorragies, la fiè
sparaître la contracture. De même, l'excitation mécanique d'un nerf
moteur
(facial, radial, cubital, etc.) devait développ
. Pour toutes ces raisons on est autorisé à penser que les troubles
moteurs
étaient au moins en partie d'ordre réflexe. Or,
brachiales ou crurales totales et assez souvent encore des troubles
moteurs
simulant plus ou moins grossière- ment des para
'hystéro-traumatiques, on avait en effet constaté des troubles vaso
moteurs
marqués. Quelques observateurs ont supposé que ce
epter même l'exagération des réflexes tendineux, les troubles vaso-
moteurs
, thermiques et trophiques. Avec la conception a
ien et la contracture est une contracture qui intéresse les muscles
moteurs
de l'articulation tibio-tarsienne... Voilà donc u
ie ou du moins que, si elle intervenait dans la genèse des troubles
moteurs
, elle n'était pas seule en cause. Examinant d
fûmes frappés aussi par les liens qui unissent aux troubles L'aso-
moteurs
et thermiques les troubles de l'excitabilité méca
t présenté par l'un de nous et consacré aux caractères des troubles
moteurs
dits fonctionnels. Les (') .J. Babinski et J. F
es et de contractures. Mais, quelle qu'en soit la forme, le trouble
moteur
est le plus souvent incomplet, partiel, limité ;
e tous les segments du membre participent fréquemment. Le trouble
moteur
réflexe peut-il entrainer une impotence complète
complète ou (') Discussion générale sur les caractères des troubles
moteurs
(paralysies et contractures) dits « fonctionnel
r avec précision le degré d'intensité que peut atteindre le trouble
moteur
réflexe. Ce que nous sommes en droit d'affirmer
la majorité des cas, comme on vient de le voir, les troubles vaso-
moteurs
et thermiques sont très nets : ils constituent un
faisons abstraction dans cette étude des cas où les troubles vaso-
moteurs
sont bilatéraux et semblent en rapport avec une d
Malgré la localisation ou la prédominance habituelle des troubles
moteurs
à l'extrémité, surtout quand il s'agit du membre
é, sont incapables de produire une paraplégie crurale. Les troubles
moteurs
en question, ne s'accompagnant du reste d'aucun
nerveux qui reçoit cette excitation et la transforme en indication
motrice
; 3° d'un nerf centrifuge qui transmet à la pér
d'un nerf centrifuge qui transmet à la périphérie cette indication
motrice
». Retrouve-t-on ces trois facteurs dans les ca
n d'arrêt due à l'excitation périphérique portant sur les fonctions
motrice
et trophique ou exclusivement sur la fonction t
ain. Quelquefois même l'autre bras présente quelques troubles vaso-
moteurs
et sudoraux ('). Tous ces phénomènes sont diffi
nt dépendre tantôt d'un état d'excitation ou de stupeur des centres
moteurs
spinaux, comme Charcot l'avait supposé, tantôt
réflectivité tendineuse manifeste ou latente et sans troubles vaso-
moteurs
notables, par exemple certaines contractures en f
dans la tétanie l'exaltation de l'excitabilité mécanique des nerfs
moteurs
(phénomène de Chvostek), l'exaltation de l'excita
de Chvostek), l'exaltation de l'excitabilité élec- trique des nerfs
moteurs
(phénomène d'Erb), des modifications de la réfl
nent pas nécessairement une perturbation très marquée des fonctions
motrices
, ce qui équivaut à dire que, si ces fonctions s
1916, pour clôturer la discussion consacrée à l'étude des troubles
moteurs
dits fonctionnels (3). «En se plaçant exclusive
juin 1917. (3) Discussion générale sur les caractères des troubles
moteurs
(paralysies et contractures) dits fonctionnels
mptômes oculaires furent la névrite oedémateuse et une paralysie du
moteur
oculaire externe (2 fois la VIe paire gauche, 1
ES TUMEURS J(i.lTl- : 111 : DULL. : ll1 ? ES 5c1 toire des troubles
moteurs
; chez un autre malade (tumeur à la région dors
, consécutivement à quelques séances de radiothérapie, les troubles
moteurs
et sensitifs se sont très notable- ment atténué
phie, elle a été causée probablement par une altération des racines
motrices
. Les troubles de motilité, qui pendant six mois
ale avec intégrité des cornes antérieures de la moelle et des nerfs
moteurs
(Société de Biologie, 20 février 1886). ib. De
e systématique. Paralysie partielle ou systématique des fonc- tions
motrices
du membre inférieur gauche (Id.). 35. Paralysie
remarques sur le mémoire de M. Gordon intitulé : « Troubles vaso- .
moteurs
et trophiques de l'Hystérie » (Revue neurologique
éflexe cutané plantaire et anesthésie associée à des troubles vaso-
moteurs
et à de l'Hypothermie d'ordre réflexe (Sociélé de
gie, 29 juin 1916). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 63t 1 24 1 Des troubles
moteurs
et thermiques dans les paralysies et la contractu
juillet 1920). 63a INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 262. Etude des troubles
moteurs
dans un cas de choréo-athétose (en collaboration
TION CARACTÉRISÉE PAR DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE (INCOORDINATION
MOTRICE
POUR LA STATION ET POUR LA MARCHE (ClIAR- COT E
OUR LA STATION ET POUR LA MARCHE (ClIAR- COT ET R1CIIEItI. - ATAXIE
MOTRICE
HYSTÉRIQUE (V. MiTCHELL). cot et Riciier). Atax
- ATAXIE MOTRICE HYSTÉRIQUE (V. MiTCHELL). cot et Riciier). Ataxie
motrice
hystérique (V. Mitchell). z ATAXIE PAR DÉFAUT D
MM. Charcot et P. Richer l'ont décrite sous le nom « d'impuissance
motrice
des membres infé- rieurs par défaut de coordina
à ce qui se passe dans l'agraphie, par exemple. Dans l'a- graphie
motrice
pure, comme on sait, l'impuissance motrice n'es
ple. Dans l'a- graphie motrice pure, comme on sait, l'impuissance
motrice
n'est pas due à une paralysie des mouvements or
s pour tracer l'écriture. De même dans l'astasie, l'impuis- sance
motrice
ne tient pas à une paralysie des mou- vements g
us court et aussi si- gnificatif que la périphrase « incoordination
motrice
portant exclusivement sur la station et sur la
en 1883, sous ce titre : « Sur une forme spéciale d'im- puissance
motrice
des membres inférieurs par défaut de coordinati
ain, ou peu après l'émotion ou la chute, sur- vient une impuissance
motrice
des membres infé- rieurs. Rien n'attire l'atten
s analogies qui existent entre « cette forme spéciale d'impotence
motrice
des membres inférieurs » et les paralysies psyc
e à cette 1 Charcot et Richer. Su di una forma speciale d'impotenza
motrice
degli arli inferiori par <li/jëtto di coordi
emmes (1885). Il distingue tout d'abord deux modes d'incoordination
motrice
chez les hystériques. Le premier est la forme é
le 25 avril, il y a une exacerbation des douleurs et des phénomènes
moteurs
, et la ma - Jade reste constamment au lit. Et
r debout. Depuis, son état général resta excellent, mais le trouble
moteur
persista tel quel, et l'enfant fut conduit à la
, lorsqne cet enfant était sur pied on constatait une impuis- sance
motrice
qui faisait pitié. Observation V. WEIR-IITCHE
Enfin, il existerait une classe qui mériterait le nom de décharge
motrice
paroxystique, Elles se produirait dans les psyc
nt dépendre d'une excitation anormale du centre des images verbales
motrices
. Les hallucinations auditives analogues à celle
nlevé : à gauche, en deux séances, le lobe frontal et toute la zone
motrice
; a droite, outre les mêmes régions, la plus gra
les points du revêtement cutané; il ne présentait aucune paralysie
motrice
. Mais il paraissait complètement aveugle, bien qu
qui présentait après la mort une destruction com- plète des centres
moteurs
des membres. Il n'y aurait donc pas dans l'écor
le docent Rumpr. Contribution à la pathologie des centres corticaux
moteurs
. Homme de trente ans, frappé à la tête d'un cou
subs- tance blanche; absence d'hydropisie ventriculaire. La région
motrice
paraît principalement étriquée; il en est de mê
vant. Dans la sphère des nerfs crâniens, il n'y a pas d'altérations
motrices
. Point de crampes, ni de contractures. Des mo
ons des muscles du thorax, du cou, de la nuque et de tous les nerfs
moteurs
crâniens sont complète- ment normales. Les réfl
. 17. 174 PATHOLOGIE NERVEUSE. 4887. Janvier. Point d'altérations
motrices
nouvelles. La force des extrémités supérieures
normaux, les pupilles sont égales, elles réagissent bien. Les nerfs
moteurs
de l'oeil, de la face, la dégluti- tion, l'arti
ON CARACTÉRISÉE PAR DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE 1 (Incoordination
motrice
pour la station ET pour la. marche (Ciiar- COT
pour la station ET pour la. marche (Ciiar- COT et IiICIIE11. Ataxie
motrice
hystérique (V. nI(TCIIGLL. Ataxie par défaut DE
fondi du malade ne décèle rien de plus que cette in- coordination
motrice
fonctionnelle. Dans une obser- vation, toutefoi
oute autre espèce d'im- DE l'astasie ET DE l'abasie 193 puissance
motrice
des membres inférieurs , quelle qu'elle puisse
thologie nerveuse. ataxie hystérique, c'est-à-dire l'incoordination
motrice
qui se manifeste sur des membres privés du sens
DE l'astasie ET DE l'abasie. 201 soit à la disparition du trouble
moteur
, plaiderait en faveur de l'origine corticale; m
x plus marcher » suggère chez ces sujets l'idée d'une impuissance
motrice
complète, relative à la marche, et, de fait, la
- disposé, être le point de départ d'une suggestion d'impuissance
motrice
se réalisant sous l'une des formes que nous nou
peut-on pas admettre que quelquefois au moins l'idée d'impuissance
motrice
pour la station et pour la marche se soit dével
que qui forment la substance de notre travail, que l'incoordination
motrice
astasique et abasique relève le plus souvent d'
odifica- tions de la circulation capillaire, à des troubles vaso-
moteurs
. , ' Il en est d'autres absolument indépendants
iégeant en ces points n'intéresse pas le système des filets vaso-
moteurs
. Eu résumé, ce syndrome-mydriase-éphidrose sera
est dans la moelle un système anatomique inter- médiaire aux zones
motrices
et sensitives, qui s'ad- joint aux fibres ascen
, région éminemment mixte qui renferme des tubes nerveux sensitifs,
moteurs
et vaso-moteurs. Ces derniers émanent visibleme
out autre signe fait défaut : quant aux autres symptômes du tabes
moteur
, l'observation a montré qu'il n'en existait auc
bout, il risque de tomber en arrière et ressent encore de la gêne
motrice
même après avoir ouvert les yeux. Veut-il tourner
atiques, ils* sont tous basés sur une perturbation de l'innervation
motrice
. Très fréquemment, et surtout dans l'état de st
chique, en partie de l'état phy- sique. Il n'y a jamais deparalysie
motrice
: on peut trouver de l'anesthésie plus ou moins
araissent, comme phénomène capital, les troubles du système nerveux
moteur
présentant le caractère général de la crampe. C
une façon cyclique et s'accompagnant de troubles du système nerveux
moteur
qui, dans ce cas, auraient au contraire le cara
ment typique, mais qui ne présente rien du côté- du système nerveux
moteur
. Cette dernière forme que l'on ren- contre souv
e, quand le mutisme n'est pas continu et que les symptômes neuro-
moteurs
ne sont pas encore apparus. L'attitude pathétique
porte les opinions de quelques auteurs sur la genèse des phénomènes
moteurs
, convulsifs et autres, accompagnant la méningit
que pourKiernan serait un trouble primitif dans les centres vaso-
moteurs
, amenant une stase sanguine qui est le point de
at01'ische, Wahnsinn2) caractérisée par t une névrose de la tension
motrice
tantôt permanente, tantôt intermittente irrégul
lus ou moins complètement aux perceptions extérieures. La i raideur
motrice
peut revêtir un caractère physiognomonique ; ',
s'accom- pagne d'une participation significative du système vaso-
moteur
qui en fait une vraie psychoneurose : les états v
orme de délire systématisé (Wahn- sin). Car, pour lui, les troubles
moteurs
sont primitifs et fon- damentaux, les modificat
dépression mélancolique, mais qu'elle fait partie, comme phénomène
moteur
essentiel, de la Catatonie et de la Catatonie s
sseaux dans les parties de la pie-mère qui recou- vrent les régions
motrices
, surtout à droite. A part cela, pas la moindre
e ataxique, qui résulte de la destruction du centre de coordination
moteur
de la parole articulée, et l'aphasie amnésique
laire comme le substratum anatomique nécessaire de l'ataxie loco-
motrice
progressive et on en vint à lier si intimement
le malade ont porté, sans réserves, le diagnostic d'ataxie loco-
motrice
progressive. J'ai moi-même partagé cette erreur
riques. Douleurs fulgurantes types. Persistance de l'incoordination
motrice
. Pas de troubles de la vue, ni de troubles trop
idement fixe sur un plan résistant. Les troubles de la coordination
motrice
augmentaient considérablement dans l'obscurité.
émorale ne parait être le siège d'aucune lésion. L'incoordination
motrice
existe seulement dans les membres in- férieurs.
locomotrice progressive : douleurs à type fulgurant, incoordination
motrice
des membres inférieurs, crises gastralgiques, e
e n'est qu'une verrucktheit aiguë un peu particulière, les troubles
moteurs
ne sont pas des crampes et ils n'ont pas l'im-
utes les perturbations possibles dans le domaine du système nerveux
moteur
et des fonctions musculaires (sauf pourtant les
, aucune perte de sensibilité ou du sens musculaire. Ces troubles
moteurs
sont encore accentués dans la mélan- colie et s
en particulier dans le délire aigu, les troubles du système nerveux
moteur
peuvent être des plus accentués. Krafft-Ebing s
ent dans une multitude d'affections vésaniques. Outre les désordres
moteurs
accidentels, spasmes, crampes; que l'on rencont
en dehors de l'aliénation mentale propre- ment dite, les désordres
moteurs
eux-mêmes, qui sont plus spéciaux à la folie et
epsie), et états de distribution anor- male de l'impulsion centrale
motrice
(paracinèse, tels que raideurs au début d'un mo
ils pourraient s'atténuer dans une certaine mesure. Les symptômes
moteurs
sont également très différents. Com- parons, pa
comotrice manquent tous dans l'athétose double. L'inco01'dinalion
motrice
tabétique ne ressemble pas à l'in- coordination
se distingue de l'incuordination athétosique en ce que le désordre
moteur
est de plus en plus marqué à mesure que l'index
, maladie de la puberté et non de la première enfance, les troubles
moteurs
, qui ont le caractère ataxique et ne s'observen
stent qu'un temps assez long après l'apparition de l'incoordination
motrice
chez les malades atteints d'ataxie héréditaire.
raphasies, comme symptômes post-épileptiques; 3° états d'excitation
moteurs
(corticaux) soit dans le stade postparoxystique
alytique tombé par la fenêtre. Peu importe, il me semble, l'origine
motrice
ou senso- rielle de ces conceptions délirantes,
tifs circonscrits sans multiplication des noyaux dans les oculo-
moteurs
externes. Dégénérescence musculaire correspondant
e des cordons postérieurs. M. KOENIG. Deux cas de lésion de la zone
motrice
du cerveau. - Ces deux cas ont été examinés au
é examinés au point de vue des questions sui- vantes. Quand la zone
motrice
est lésée : 1° l'atteinte seule de la substance
e la substance blanche, est-elle capable de déterminer des troubles
moteurs
? 2° Y a-t-il trouble de la sensibilité ? - 3°
la physiologie des ganglions spinaux. Conclusions. - 1° Les fibres
motrices
ont un centre tro- phique dans la moelle. - 2°
V. Revues allalli4ues. BIBLIOGRAPHIE V. Leçons sur les fonctions
motrices
du cerveau et sur l'épilepsie cérébrale; par le
Marey. Elles sont consacrées à l'Etude expérimentale des fonctions
motrices
du cerveau et reposent surdes recherches entrep
au; la seconde partie contient la critique des théories. Les effets
moteurs
pro- voqués par l'excitation expérimentale du c
aux faits qui servent de base à nos connaissances sur les fonctions
motrices
du cer- veau, résume les recherches de Fritz, H
erches physiologiques an- térieures ; puis il expose la topographie
motrice
cérébrale, d'après la méthode des excitations.
u'elles montrent qu'il y a similitude complète entre la topographie
motrice
du cerveau humain et celle du cerveau des singe
nne rayonnante de Reil, faisceaux blancs correspondants à la zone
motrice
et seuls excitables. Ce sont d'avant en arrière :
'opposé de ce qui concerne les excitations cérébrales. Les troubles
moteurs
consécutifs aux lésions expérimentales produite
epuis une dizaine d'années, et décrit : 1° la topographie corticale
motrice
et non motrice, détermi- née en se basant sur l
ne d'années, et décrit : 1° la topographie corticale motrice et non
motrice
, détermi- née en se basant sur l'étude des lési
t, à la discussion des théories soulevées par l'étude des fonctions
motrices
du cerveau. Elle est subdivisée en trois partie
ctionnelle des régions excitables, et la dernière des localisations
motrices
dans le cerveau. Un appendice, que le physiol
a faci- lité parla recherche des stigmates hystériques sensitifs ou
moteurs
. Au point de vue pathogénique M. Berbez énonce
n résulte la suppres- sion de toutes les représentations cérébrales
motrices
relatives au membre. Le chapitre consacré au tr
tance qu'ils rencontrent. Après avoir contribué à former les images
motrices
enregistrées dans notre mémoire, elles nous per
vements exécutés à la suite du réveil conscient de ces mêmes images
motrices
. L'étude des troubles du sens musculaire pourra
es voies de conduction, où le ma- lade conserve intactes ses images
motrices
antérieures, mais ne peut plus contrôler l'exéc
t toujours et nécessairement précédé de la reviviscence d'une image
motrice
formée de résidus sensitifs, on aura une im- pu
te à la zone sensitive tactile, et comme elle superposée il la zone
motrice
proprement dite, Abba se croit en ' Henri Verge
conception des centres sensitifs accolés aux centres d'incita- tion
motrice
, encore qu'au premier abord elle paraisse le mieu
ines- thésiques dont les diverses combinaisons forment les images
motrices
; nous avons vu que les images motrices ne pouvai
inaisons forment les images motrices ; nous avons vu que les images
motrices
ne pouvaient être formées que de résidus sensit
tre formées que de résidus sensitifs. La recolleclion de ces images
motrices
serait le pl'imllm moues que nous avons trouvé à
montré à ce pro- pos comment le réveil à la conscience d'une image
motrice
était toujours suivi d'un commencement d'éxécut
ten- sité dans la représentation mentale. La dénomination de zone
motrice
reste donc vraie quand même dans cette théorie, a
partirait l'excitation primordiale qui va retentir sur les cellules
motrices
bulbo médullaires. Toute question de théorie mi
uction des centres supérieurs corticaux n'abolirait avec les images
motrices
que les perceptions plus éle- vées et plus déli
ri après quelques mois de maladie. Pas de phé- nomènes d'excitation
motrice
; pupilles larges et paresseuses. Chez quelques
rotulien absent sur deux côtés. Affaiblissement de l'ouïe; aphasie
motrice
. Sensi- bilité partout conservée. Pas de troubl
and mental disease, 1898, XXV, p. Soi) constatant que les troubles
moteurs
s'accom- pagnent presque régulièrement de troub
tribution à la question des connexions centrales des nerfs craniens
moteurs
; par M. P. 1l0MANow. (Neurolog. Centmcl6l., XV
musculaires ne donne plus son concours à une partie de l'impulsion
motrice
pour que la force du muscle qui se contracte so
faisceaux pyramidaux et, par suite, l'action de la sphère corticale
motrice
sur les deux moitiés du corps paraît être une r
ie de la sylvienne ayant entraîné un ramollissement des faisceaux
moteurs
de la capsule interne. On constate une dégénéresc
t des centres spinaux et médullaires, y compris les centres vaso-
moteurs
. La pathogénie de l'épilepsie idiopathique est un
ns conductrices du système nerveux central, les voies sensitives et
motrices
, les voies sensorielles et les voies d'associat
points traités par M. Soury. La question de la nature des centres
moteurs
a longtemps divisé les physiologistes. David Fe
lité et de la sensibilité tactile se confondent. Les centres dits
moteurs
n'ont pas de fonctionnement spontané. Leur mise e
uvé par leur .méthode de circonvallation ou d'isolement des centres
moteurs
. Par la section des fibres d'association relian
le d'arrêt, se.s fonctions inhibitrices s'exercant sur les cellules
motrices
de la moelle. Mais cette théorie était incomplè
nombreuses obser- vations cliniques la loi d'après laquelle la zone
motrice
du télencé- phale exerce par les fibres cortico
erce par les fibres cortico-spinales une inhibition sur les centres
moteurs
inférieurs, tandis que l'écorce du cervelet et le
hale tiansmet- tent constamment une action excitatrice aux cellules
motrices
de la corne antérieure de la moelle par l'inter
le retentissement de cet événement psychologique sur les centres
moteurs
et vaso-moteurs qui détermine secondairement l'ét
rer spasmodiques- sont causés par des lésions bilatérales des aires
motrices
du cer- veau, ou par des lésions capsulaires, a
astomose des prolongements cylindraxiles des cellules sensitives et
motrices
. Forel dénonça cette nouvelle hypothèse et Koel
res que les organes sensoriels auxquels sont juxtaposées les fibres
motrices
. Les procédés de coloration employés, depuis quel
xité de l'acte volontaire, viennent s'interposer entre le neu- rone
moteur
et le neurone sensisif qui accomplissent à eux se
tisable et accepte merveilleusement les suggestions. Les troubles
moteurs
gastriques, dont elle est atteinte gênent son a
ment ses mots et les articule nettement ; aucun trouble d'aphasie
motrice
ou sensorielle. A la région frontale gauche sup
pect. On pratique alors une seconde trépanation au niveau du centre
moteur
cortical du bras droit. Il n'existe à ce niveau
premières formes de psychoses doivent être rapportées à l'agitation
motrice
intense et prolongée ou au ralentissement exagé
tion concentrique du champ visuel, conjonctive injectée, asthénopie
motrice
, sensibilité douloureuse des globes oculaires :
à être mieux étudiés qu'ils ne l'ont été jusqu'ici. Les symptômes
moteurs
sont très importants, et caractéristiques en ce q
pension ou d'une inhibition de l'impulsion volontaire. Les troubles
moteurs
sont ordinairement transitoires et susceptibles
dans le cas de M. Gilles de la Tourette, il se soit agi de trouble
moteurs
hystériques; du reste. ne serait-ce qu'en raiso
- mollissement qui détruit le noyau rouge, les fibres de l'oculo-
moteur
commun et une partie du pied du pédoncule ; dans
interne du pied du pédoncule et affleurant les fibres de l'oculo-
moteur
gauche. Le moteur oculaire commun droit était com
du pédoncule et affleurant les fibres de l'oculo- moteur gauche. Le
moteur
oculaire commun droit était complète- ment dégé
dité corticale totale passagère. Il existait également des troubles
moteurs
, sensitifs et trophiques plus ac- centués après
ur cela une lésion trop élec- tive des artères destinées aux noyaux
moteurs
du bulbe et de la moelle. Il faut plutôt croire
bleau clinique est dominé longtemps avant l'apparition des troubles
moteurs
, par les troubles psychiques, qui peuvent être
sur la signification des entrecroisements sensoriels, sensitifs et
moteurs
; parLuGARO. (Riv. di pal. nerv. et ment. fasc. VI
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 317 sont toujours mixtes, les fibres
motrices
émanant des prolonge- ments des cellules des ga
éparations d'Apâthy. Et il n'y a pas de différence entre les fibres
motrices
et les fibres sen- sitives quant au nombre et à
, au prolongement principal, pour de là se transpor- ter aux fibres
motrices
périphériques. Seulement, pour le démon- 318 RE
illes , intercalée entre les fibrilles réceptrices et les fibrilles
motrices
. Les fibrilles et la grille sont les voies cond
avantageusement par le contact des tractus sensitifs et destractus
moteurs
que par leur continuité. Mais c'est la préparat
viennent plus fines et plus délicates. Le centre ovale de la région
motrice
contient exclusivement des fibres rares et très
es se présentent, comme symptôme essentiel, dans le système nerveux
moteur
, des modifications à caractère général de spasm
(ans. di neur., fasc. 1V-V, 1899.) XVIII. Sur le siège des images
motrices
; par le Dr P. HARTENBERG. (Revue de psychologie
ous entendons, non la révélation consciente d'un fait sen- sitif ou
moteur
, mais le mécanisme nerveux qui est le substratum
ologique de l'opération. » Conformément à cette définition, l'image
motrice
représente le mécanisme nerveux qui préside à l
le-même être précisée; il ne s'agit ici que du mé- canisme cortical
moteur
et il ne saurait être question des éléments sen
orticale d'un mouvement. L'usage même a con- sacré le terme « image
motrice
» pour une partie seulement de ce mécanisme cor
image motrice » pour une partie seulement de ce mécanisme cortical
moteur
, la plus élevée, la plus essentielle, celle qui
l'articulation de tous les mots, ont une fonction commune, l'image
motrice
du centre d'association n'appartient qu'à ce mo
st essentiellement un mécanisme de coordi- nation. Le terme d'image
motrice
est donc inexact, puisqu'en réa- lité le rôle d
mais à coor- donner seulement ». - En somme, le siège des images
motrices
« se trouve sur le ter- ritoire des centres d'a
, ne possède également une localisation aussi précise de ses images
motrices
, qu'on définira peut-être un jour. Il est bien
comme la syn- thèse fonctionnelle d'images (verbales, sensorielles,
motrices
, affec- tives) ; ces images sont étroitement un
seraient loin d'être celles d'un mécanisme matériel et aveugle; les
moteurs
des fonctions de la nutrition seraient de même
oteurs des fonctions de la nutrition seraient de même nature que le
moteur
suprême des actes de la vie de relation, c'est-
Le tableau clinique montre qu'il s'agit là d'un trouble purement
moteur
, d'un arrêt de la fonction motrice. Pas de troubl
l s'agit là d'un trouble purement moteur, d'un arrêt de la fonction
motrice
. Pas de troubles sensi- tifs superficiels ou pr
des muscles de la mastication dénote la participation de la branche
motrice
du cin- quième nerf; la paralysie faciale d'un
note la participation des neuvième et dixième nerfs dont les fibres
motrices
partent en commun du noyau ambigu, lequel est u
noyau ambigu, lequel est une continuation de la colonne cellulaire
motrice
de la corne antérieure, tandis que le douzième
ntérieure, tandis que le douzième nerf est responsable des troubles
moteurs
de la langue. Diagnostic. -La différenciation d
ger exercice, spécialement dans les muscles desservis par les nerfs
moteurs
crâniens, mais aussi, à un certain degré, dans to
système nerveux, et d'un défaut de développement dans les tractus
moteurs
de la moelle et du pont. La paralysie bulbaire as
ontre que la parésie porte à des degrés divers sur tous les muscles
moteurs
du globe oculaire tandis que la muscu- lature i
verbale se montre à l'état isolé, sans cécité verbale,- ni aphasie
motrice
, ni agraphie. Il existe seulement un certain degr
néoplasique, il existe en règle générale des symptômes rachidiens,
moteurs
et dystrophiques qui rendent l'erreur difficile
publié par nous encore tout récemment (1891). La cellule de la zone
motrice
de l'écorce du cerveau est l'organe d'une conce
fibres arciformes sont donc les voies d'association des conceptions
motrices
; en effet, dans la dernière observation de 1897
struction des centres de percep- tion qui coïncident avec la région
motrice
. Il y a, par conséquent, lésion surtout du mili
- tat d'une lacune dans les phénomènes d'association de la région
motrice
de l'écorce, et prouve que la région motrice est
sociation de la région motrice de l'écorce, et prouve que la région
motrice
est l'organe psychique des conceptions motrices
prouve que la région motrice est l'organe psychique des conceptions
motrices
. Toute conception motrice procède de l'associat
e est l'organe psychique des conceptions motrices. Toute conception
motrice
procède de l'association entre eux des mouvemen
it qui peut indiquer un processus destructif pro- fond de la région
motrice
de l'écorce. P. KERAVAL. LXII. La protection du
une difficulté grave qui est la suivante : tandis que les activités
motrices
se prêtent à l'étude objective, les activités s
; mais on a certainement attaché trop d'importance au côté purement
moteur
de la crise épileptique; des altérations ' Tell
d'ordinaire de délire systématisé. Il semblerait que les désordres
moteurs
, sensoriels et psychiques que l'on rencontre da
que son conjoint atteint d'atrophie papillaire ou d'incoordination
motrice
. J'ai noté dans plusieurs de ces cas que le mar
e qu'il ne faut pas confondre avec le thorax en bateau. ' Aphasie
motrice
pure chez un paralytique général. - 1\1. Ballet
classique où la démence était restée assez légère, eut de l'aphasie
motrice
pure durable. Le cerveau présente au niveau du
pathologiques dans les loges des cellules pyramidales de la région
motrice
, n'est pas pour ces cellules une cause d'irritati
ou moins convulsifs dans tel ou lel membre, en excitant les centres
moteurs
correspondants ? Cette même irritation qui prod
es sensoriels et à leurs lésions ce que l'épilepsie est aux centres
moteurs
. » C'est une sorle « d'épilepsie des centres se
'(Zlblatt., XVII, 1898.) En 1896, Soltmann montre que les centres
moteurs
des nouveau- nés sont d'abord tout à fait inexc
E PATHOLOGIQUES. relativement précoce de l'excitabilité de l'écorce
motrice
, chez le chien et même chez le chat, parfois to
velles études de Bary et Bechterew sur le développement des centres
moteurs
de l'écorce des animaux nouveau-nés. Chez les j
. P. IERAV : 1L. LXXV. Observation de tumeur cérébrale de la région
motrice
gauche ; hémiplégie gauche ; absence d'entre-cr
les volontaires renferment trois ordres de fibres ner- veuses : les
motrices
, les sensorielles, les vasomotrices. Rien de no
les sensorielles, les vasomotrices. Rien de nouveau pour les fibres
motrices
déjà bien connues ainsi que leur terminaison da
11 ! ! Jélomèl'es et dc1'matomè/'es. 11. C. LXXI. La localisation
motrice
médullaire est une localisation - segmentaire;
es de la moelle dans les cas de mélectomie récente. La localisation
motrice
médullaire n'est donc en rapport ni avec les ne
t segmentaire et peut être considérée comme une véritable métamérie
motrice
. Ce fait a une double importance : physiologiqu
a son origine dans un noyau différent et peut-être dans le noyau du
moteur
oculaire externe. Les recherches expérimentales
oubles de la sensibilité à topographie radiculaire et avec troubles
moteurs
à marche ascendante; par van GEIIUCIITEr¡. (Jol
e droite avec - , par Marie, 318. - amnésique. par Tienel, 521. -
motrice
chez un paralytique général, par Bal- let, !
e Ramon y Calai sur les entrecroisements sensoriels, sensitifs et
moteurs
, par Lugaro, 310. Hystérie et infection, par
insula, par Bourneville et Belin, 495. Images. Sur le siège des -
motrices
, par Hartenberg, 333. Impulsions homicides, p
ABLE DES MATIÈRES. Sol tlsme de la tète, par Muratow, 1 416. La
motrice
médullaire est segmentaire, par van Gehuch- I
ogie Ganckles, 443. Nerfs crâniens. Connexions , cen- trale des '
moteurs
, par n'oma- now, 142. Nerfs optiques. Entrecr
aiie, par Sabrazès, 3.1. avec sensibilité radiculaire et troubles
moteurs
à marche ascen- dante, par Van Gehuchten, 525.
cité, ni surdité verbale, mais seulement un certain degré d'aphasie
motrice
. Un mot trop long reste inachevé, la formation
pour la première fois, à l'âge de cinq ans, pris d'une paralysie du
moteur
oculaire commun de l'oeil droit en même temps q
libre d'accès existe une parésie d'intensité moyenne de l'oculo-
moteur
. Depuis l'âge de treize ans, à la suite d'un trau
uis aboutissant à de la photophobie et à la paralysie de l'oculo-
moteur
commun ; ces accès duraient en tout deux ou trois
il persiste même dans l'inter- valle un léger degré de paralysie du
moteur
oculaire commun. Une tentative faite à Koenigsb
jours, ayant, lorsqu'il fut vu par Manz, une para7 lysie totale du
moteur
oculaire commun droit, un ptosis très prononcé,
oculaire (2 septembre 1884). - Le, 8 septembre paralysie totale du
moteur
ocu- laire commun gauche; celle-ci avait dispar
lle à la lumière et à la corvergence, les muscles innervés par le
moteur
oculaire commun ne se contractaient plus. Le peu
OCULAIRE. 27 plastique du cerveau englobant complètement le nerf
moteur
oculaire commun, nous croyons devoir la récuser
diplopie avec récidives, coïncidant généra- . DES ZONES CÉRÉBRALES
MOTRICES
. ' 29 lement avec une aggravation des autres sy
OBSERVATIONS POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES ZONES CÉRÉBRALES
MOTRICES
ET A LA PATHOGÉNIE DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAI
E LA MOELLE; Par le D Mabtial HUBLÉ La connaissance des faisceaux
moteurs
, notamment celle du faisceau pyramidal, a été r
bral occupant la zone rolundique du côté gauche (couches corticales
motrices
, couche optique, corps strié); dégénération sec
mnésie verbale, intelligence très obtuse ; il existe une paraplégie
motrice
incomplète des deux membres inférieurs, plus ma
ements se manifestant parfois dans les muscles DES ZONES CÉRÉBRALES
MOTRICES
. 31 de la face (des lèvres en particulier), la
tômes la traduction de désordres corticaux, autrement dit des zones
motrices
du cerveau, désordres siégeant vraisemblablemen
et de correspondance parfaite de l'anesthésie et de la paralysie
motrice
, admise par Hitzig, Nothnagel et, depuis, par Sch
ons (la pariétale et la frontale ascendantes) produit une paralysie
motrice
, parce que ces circonvolutions constituent les
ysie motrice, parce que ces circonvolutions constituent les centres
moteurs
; mais elle n'engendre que des troubles passage
anatom. et cliniques sur le faisceau sensitif. DES ZONES cérébrales
motrices
. 33 1° sur les deux tiers supérieurs de la circ
ous semble donc nullement aventureuse, en présence de l'impuissance
motrice
des membres et des contractures qui, survenues
cule cérébral et du faisceau pyramidal correspon- dant ; hémiplégie
motrice
a gauche, sans M;ies</të6';e; contractures p
ans les traits, la langue est déviée d gauche. des zones cékébralks
motrices
. 35 Les mouvements du membre supérieur sont pos
éparation. En outre, le corps calleux lui-même DES ZONES CÉRÉBRALES
MOTRICES
. 37 est gravement intéressé : il est détruit da
sERVAïfON I, cette lésion a déterminé la perte DES ZONES CÉRÉBRALES
MOTRICES
. 39 de la faculté du langage, et une hémiplégie
a lésion expérimentale ne détermine aucun trouble appréciable, soit
moteur
, soit sensitif. La pathologie ne fournit pas de
le surmonte a donné lieu à une hémiparalysie gauche exclusi- vement
motrice
: ces régions de l'encéphale sont doncies centres
otrice : ces régions de l'encéphale sont doncies centres uniquement
moteurs
et nullement sensitifs. Bien mieux connus dans
il est bien démontré (Flechsig, Parrot, Charcot) que cette région
motrice
est en rapport avec le système bulbo-spinal, par
, il n'a jamais été constaté de paralysie alterne de ce nerf, ni du
moteur
oculaire commun avec hémianesthésie du côté opp
es de l'iourens et l'observation de Bastian. DES ZONES CÉRÉBRALES
MOTRICES
. il sont appréciables qu'au microscope si la ma
te et lobule paracentral) ont pro- duit une paralysie exclusivement
motrice
; 3° Qu'une lésion destructive très étendue du
est traduite par aucun symptôme particulier, autre que la paralysie
motrice
, du côté opposé; 4° Que l'hémiplégie résultant
à deux mois, sur- viennent dans les quatre extrémités des troubles
moteurs
et sensitifs. Ce sont : de l'affaiblissement, d
des et des cor- dons latéraux expliquant la paralysie et la parésie
motrice
des ex- trémités, tuméfaction des cylindraxes,
ations pathologiques de l'encéphale, notamment de la zone corticale
motrice
seule, soit par une lésion de la moelle, com- p
ôt ceux d'une démence lentement 'progressive : 2° que les symptômes
moteurs
qui sont si nettement caracté- ristiques de la
s pertes)de substance porancéplialiques dans le territoire cortical
moteur
, d'origine inflammatoire évidente. * Discussi
ux, trigone), que cette sollicitation soit d'o- rigine psychique ou
motrice
(mouvements voulus), ils n'ont rien à voir avec
opinion émise par Meynert, bien avant la découverte des territoires
moteurs
de l'écorce, d'après la- quelle les diverses ca
ment une fonction différente; ainsi l'écorce du lobe frontal serait
motrice
, celle des lobes occipitaux et temporaux serait s
ce malade font immédiate- ment penser à un tabes : l'incoordination
motrice
, l'influence de l'occlusion des yeux, les doule
d vomissements fréquents, insomnie; pas de symp- tômes oculaires ni
moteurs
. A la fin de mars fortes convulsions revenant f
te transitoire. A son admission à.la Salpè trière, pas de sympt8mes
moteurs
. Hémianesthésie au froid et à la douleur du côté
lus étendue, comprenant le centre de la parole, les circonvolutions
motrices
et les parties sus-éuon- cées (4) due ordinaire
dans l'observation 2fi, de West- phal) un ramollissement de la zone
motrice
et des circonvo- lutions situées à l'extrémité
u ramollissement. 6. L'hémianopsie latérale avec légère impuissance
motrice
1 Wernicke. UeGer hemiopische PMp ! '«e)tac<
e de stabilité aux membres gauches. Mani- festations somnambuliques
motrices
à droite, pas à gauche, nous entendons les memb
. f. Psych., XV, 3.). Les phénomènes musculaires sont des processus
moteurs
déter- minés dans un muscle par l'excitation mé
et musculaire est sain, ainsi que chez les aliénés dont le système
moteur
est demeuré intact, mais la contraction locale
inq ou six heures après. Leurs allures dans les maladies du système
moteur
. Io Il n'y a alors que peu de cas, il n'y a mêm
la vie. Puis s'est opérée une accalmie. La localisation de la zone
motrice
explique la parésie des extrémités; la plus gra
eurs et secrétoires, des réflexes cutanés et tendineux, de la force
motrice
; atteinte de la mémoire dans toute son étendue.
se rendent à la moelle allongée où aboutissent également des nerfs
moteurs
chargés d'animer les muscles respiratoires. L'e
pu constater que l'on observe au premier plan, tantôt les troubles
moteurs
, tantôt les troubles intellectuels, tantôt les
s ne prédominent pas, en tel ou tel cas, sur l'écorce du territoire
moteur
, sur celle des cir- convolutions frontales, sur
érisé d'une part par l'existence de phénomènes d'excitation d'ordre
moteur
, d'autre part par la persistance de la réaction
mblable au sommeil. La nature des phénomènes d'excitation d'ordre
moteur
permet encore une distinction fondemautale entr
constamment dans le sopor l'exagéra- tion fonctionnelle du système
moteur
, qui se traduit par des mouvements automatiques
Ces deux pro- priétés témoignent de l'hyperexeitabilité des centres
moteurs
; leur puissance de travail est plus grande, pui
ques ne participent guère à leur genèse, et que les centres nerveux
moteurs
entrent seuls en jeu pour les produire. Récipro
des psychoses envisagées ici, montre que la suractivité du système
moteur
, les phénomènes d'hyperex- citabilité accompagn
n 1889 n au meilleur travail sur les progrès de l'électricité comme
moteur
, moyen d'éclairage, et sur les applications qui
tte curieuse lésion; elle explique aisément l'absence de troubles
moteurs
chez les animaux dont les nerfs périphériques p
ur la. plus grande partie de leur trajet, les racines sensitives et
motrices
ont conservé leur apparence habituelle et ne di
x qui, sur certains membres, précè- dent l'apparition des désordres
moteurs
et ne cessent point de se manifester alors que
ésions, en apparence minimes, déterminent des troubles sensitifs et
moteurs
considérables. Elle peut facilement rester inap
e contracter les muscles de ce membre par l'irritation de la zone
motrice
correspondante, à l'aide d'un courant beaucoup
r qu'au moins la sensibilité du mouvement est loca- lisée aux zones
motrices
; or, nous savons qu'une irritation découlée la
ctrique, soit par des autres procédés, ils ont appliqué sur la zone
motrice
correspondante un courant moins fort que celui
t, que les images des mouvements sont emmagasinées dans les zones
motrices
. Comment donc pourrait-on com- prendre, disent-
confirme plutôt l'hypothèse de Wernicke, que l'irritation des zones
motrices
par l'électricité agit aussi par l'évocation de
ouvement. En effet, en appliquant les rhéophores sur l'écorce grise
motrice
d'un chien non narcotisé, nous réussirons à pro
lusieurs fois, quand ils ont appliqué le courant faible sur la zone
motrice
d'un muscle, qui était mis en contraction, le m
à celui de l'homme. Si nous enlevons une partie de l'écorce grise
motrice
d'un chien, nous verrons dans quelque temps que
sion destructive d'une partie de la subs- tance corticale des zones
motrices
, même en laissant intacts les centres subcortic
appris par de longs exercices, dépendent de la fonction des champs
moteurs
, et si, après une lésion analogue, les animaux
fibres d'association); la voie principale est évidemment la zone
motrice
correspondante. Il est facile à com- prendre qu
bes postérieur, nous envisagerons successivement : l'incoordination
motrice
, les douleurs et anesthésiés, les troubles céph
22, 24, 27 et 31), dans lesquels on n'ait noté ni incoordination
motrice
ni douleur. b. Ce dernier groupe d'observations
paralytiques ou parétiques et surtout les phénomènes d'excitation
motrice
. 1. Dans 3 cas seulement (11" 20, 23 et 31), do
Kahler et Pick sans observation, on n'a pas noté d'affaiblissement
moteur
. Dans 3 autres cas (nous 17, 25 et 30), les tro
ement moteur. Dans 3 autres cas (nous 17, 25 et 30), les troubles
moteurs
sont mentionnés (dans les membres inférieurs) s
cialement noté dans l'observation. 2. Les symptômes d'excitation-
motrice
sont plus importants encore à relever, parce qu
s (u°' 10, 11, 12 et 13) ont eu des symptômes d'affai- blissemënt
moteur
. Seul, le malade du n° 23 n'a eu aucun trouble
dans la région de centre ovale sous-jacente à la région corticale
motrice
, composée de deux parties, d'âge différent : la p
gnent cette observation, l'au- teur fait remarquer que les troubles
moteurs
de 1880 étaient pro- bablement dus à une emhuli
aient de faiblesse dans les membres du même côté. , Les symptômes
moteurs
et sensoriels étaient beaucoup plus marqués du
élon-aliou et à la lésion des nerfs. Il en tire que toute paralysie
motrice
périphérique absolue d'un nerf mixte entraî- ne
les nerveuses, laquelle est surtout accusée dans les cellules dites
motrices
, où elle prend peut-être naissance, mais hors d
écorce du dans la paralysie proâressive), pacZacher, 30S ; ^zones
motrices
), pat Hu- blé, 29; - (ramollissement (lu) ; 8
compression parlacarotide gauche athéromateuse et très dilatée, du
moteur
oculaire externe et des autres nerfs du sinus c
ons sur l'étendue des anesthésies et sur les troubles trophiques et
moteurs
de la face d'origine sympathique) ; par M. P. C
as, les troubles sensitifs n'étaient pas superposables aux troubles
moteurs
et trophiques. Il y avait enfin du myosis droit
ner cette hémiatrophie, est celle d'une atrophie de rameaux nerveux
moteurs
de certains nerfs craniens sous la dépendance d
systématisée des cordons postérieurs et une névrite périphé- rique
motrice
. C'est ce que montre l'intéressante observation r
miplégie infantile résulte de la lésion du noyau rouge et des voies
motrices
de la calotte. R. C. 68 REVUE D'ANATOMIE ET DE
uc. M. F. Rose présente un malade atteint de paralysie sensitivo-
motrice
intéressant la plus grande partie des nerfs crâni
P. Marie et LÈR[ présentent les cerveaux de deux aphasi- ques, l'un
moteur
, l'autre sensoriel, cliniquement typiques. Chez
l'un comme chez l'autre, ils consistent essentiellement en troubles
moteurs
paralytiques débutant par la périphérie des mem
es aussi l'en séparent : à la paralysie se joint l'in- coordination
motrice
, nous avons des troubles oculaires et notamment
lesquels Babes, Marinesco ont trouvé des bacilles dans les cellules
motrices
et dans les cellules sensitives. De plus, Looft
munication typtologique de Nicolas II emploiera la variété psycho-
motrice
verbale. Un même esprit pourra s'interrompre lui-
jà visibles à l'oeil nu, souvent plus volumineuses que les cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle. 11 occupe
ental disease mai 1901.) 111. Steiner répond : Vous avez vu l'effet
moteur
du sous-épineux, mais vous n'avez pas dé- celé
ns les faisceaux d'association que les auteurs attribuent l'aphasie
motrice
, consé- quence indirecte des aphasies sensoriel
ntelligence, viennent bientôt s'ajouter des désordres de l'activité
motrice
et volontaire qui rendent le tableau de la mala
e sphinx, de prédicateur, d'athlète, etc. Lorsque à cette agitation
motrice
fait place une période de calme et de répit, le
pporteur de la seconde question sur les localisations des fonctions
motrices
dans la moelle : rapport consciencieux, où sont
ANTES. 235 Séance du 2 août (soir.) La localisation des fonctions
motrices
de la moelle épinière. M. SAno, rapporteur, rap
oelle épinière. M. SAno, rapporteur, rappelle que les localisations
motrices
dans le système nerveux ont été étudiées en Fra
s, deux, trois, et même davantage ; le noyau médian a des fonctions
motrices
étroitement liées à l'innervation des territoir
, dans le but spécial de rechercher les localisations des fonctions
motrices
dans la moelle ; aussi - n'est-il pas possible
sset (Montpellier) remarque aussi que la question des localisations
motrices
chez l'homme n'est pas totalement explorée et q
exemples dans les centres bulbaires et méson céphaliques : le nerf
moteur
oculaire commun, par exemple, est l'analogue d'
rf moteur oculaire commun, par exemple, est l'analogue d'une racine
motrice
antérieure de la moelle, et a trois groupes de
aison des centres médul- laires avec les différents centres du nerf
moteur
oculaire com- mun, on pourrait, supprimer la ch
rapporter des observations très détaillées concernant les troubles
moteurs
(rétractions, amyotrophies, contractures, etc.)
remplacées par des cellules nerveuses sim- ples, voisines du groupe
moteur
, qui s'adaptent à de nouvelles fonctions. On n'
nous ont montré qu'il n'y avait aucun parrallélisme entre la force
motrice
et la sensibilité du membre, et le sens de l'esti
rande qu'on ne l'a cru. Un très grand nombre de facteurs sensibles,
moteurs
, céré- braux interviennent dans les perceptions
par rapport à ses fonctions thérapeutiques et à ses représentations
motrices
; 8° Toute animalité qui se développe en vie fo
ngeai- son, petite douleur) que le sujet cherche à atténuer. L'acte
moteur
passe, par répétition, à l'état d'habitude, et
iqueurs ne sont pas seulemeni exposés à des troubles de la fonction
motrice
. On observe chez eux des troubles fonctionnels
erne avec le quadriceps. Contribution à l'étude des représentations
motrices
du membre in/ë- rieur dans la moelle épinière d
cranien. P. Keraval. XL1V. De l'excitabilité de la région corticale
motrice
du cerveau à la suite de l'attaque d'épilepsie
ne chute graduelle. 6° L'hyperexcitabilité de la région corti- cale
motrice
ne saurait être attribuée à l'hyperexcitabilité d
bl., XX, 1901.) Excellente observation bien analysée. Pas d'aphasie
motrice
. Trouble sensoriel acoustique simplement indiqu
tion secondaire de Nissl et Marinesco. Aucune altération des noyaux
moteurs
voisins du trijumeau et de l'oculomoteur extern
convexe en arrière et en dehors. Ce noyau se compose de cellules
motrices
tout à fait semblables à celles du noyau classiqu
eurs. Il s'agit d'un foyer morbide ayant d'abord atteint la branche
motrice
de la cinquième paire, puis les autres branches
nce de la musique montre qu'elle n'agit pas toujours sur l'appareil
moteur
volontaire comme le voudrais la formule d'après
s mêmes où tout porte à croire que la musique va exciter l'appareil
moteur
volontaire, dans la danse par exemple, il ne fa
nser que lorsqu'une musique gaie excite trop d'éléments, l'appareil
moteur
volontaire en pâtit, tandis que quand une musiq
ue quand une musique triste affaiblit certains éléments, l'appareil
moteur
volontaire est susceptible de fournir une plus
musique triste est capable sur les diverses parties de l'appa- reil
moteur
volontaire ? En dehors même de la question des in
ortes de pensées sur le motif, le sens, le but, de cette sujé- tion
motrice
; il s'y peut ajouter des idées délirantes, des ha
la connaissance des lésions corticales cir- conscrites de la région
motrice
chez l'homme ; par H. Li ? I. (Newologisches Ce
ales inférieures. Son apparition indique donc une lésion du neurone
moteur
central au-dessus du renflement cervical. On le
à la huitième racine cervi la première racine dorsale. La paralysie
motrice
à gauche pagnée d'un émoussement de la sensibil
'est manifesté une paralysie spinale aiguë portant sur l'appa- reil
moteur
du côté gauche, déterminant des troubles de la se
Il s'agit d'une fillette de quinze ans. Plusieurs jours d'agitation
motrice
avec délire terrifiant sont suivis de stupeur ave
orce, l'absence de convulsions faciales, plaident contre un trouble
moteur
toxique. On n'a pas examiné l'urine parla simple
scle déterminé. Les convulsions faibles ne produisaient pas d'effet
moteur
; seules les convulsions fortes, s'étendant simul-
dre degré : cette marche cor- respond à la localisation des centres
moteurs
de l'écorce. Or, on a trouvé des kystes sous-ar
'écorce. Or, on a trouvé des kystes sous-arachnoïdiens dans la zone
motrice
corti- cale. Bechterew a déjà noté que les atta
ent décrite, appareil par appareil (troubles sensoriels, sensitifs,
moteurs
, cir- culatoires, respiratoires, digestifs, gén
légère paralysie du segment inférieur de la face pour l'expression
motrice
des émotions, mais non pour les mouvements volo
orce une région utéromotrice située à la 1/2 postérieure de la zone
motrice
, en dedans, près du bord de l'hé- misphère, de
té la portion postérieure de ce segment postérieur, seule la partie
motrice
de la capsule interne est anéantie; il faut donc
e patient ayant été hémiplégique et hémianesthésique, qu'aux fibres
motrices
sont mélangées des fibres sensitives. celles de
la région des tubercules quadrijumeaux, non seulement des faisceaux
moteurs
, mais des centres moteurs qui commandent aux mu
uadrijumeaux, non seulement des faisceaux moteurs, mais des centres
moteurs
qui commandent aux muscles des membres, à l'int
s, émanent non de l'excitation des contingents corticaux du système
moteur
, mais de celle de ses contingents subcorticaux.
gion des tubercules quadrijumeaux, l'excitation directe des centres
moteurs
qui occupent celle région est susceptible de dé
ongitudinal inférieur avec le ruban de Reil et d'un nouveau système
moteur
de couronne rayonnante; par II. Schuetz. (Neuro
ique aux fais- ceaux protubérantiels de Schlesinger, ou au faisceau
moteur
du Ruban de Reil de Hoche, émané des centres ol
optiques, auditifs, sensitifs du cerveau, est un faisceau primaire
moteur
rayonnant. P. KEHAVAL. Du poids de l'encéphal
nce-étalon qui suit normalement l'électrisation répétée de l'écorce
motrice
sans action à aucun moment du radium. P. Kerava
, etc. G. D. LXXXI. Dégénérescence et régénération des terminaisons
motrices
des nerfs coupés ; par MM. ODIEn et HERZEN. (Re
rtains faits contradictoires, que les filaments terminaux d'un nerf
moteur
séparé des centres dégé- nèrent jusqu'à leur de
régénération et la néoformation de la presque totalité des organes
moteurs
terminaux, après section du tronc nerveux, se f
complète- ment détruit. Il semble donc que les lésions du faisceau
moteur
seul n'exercent sur la-production de ce réflexe
convulsif, les lèvres sont comme l'occasion et le siège d'habitudes
motrices
intempestives dont la plus fréquente est la che
ung » delà volonté; de là quelques différences dans les réac- tions
motrices
de ces deux variétés de malades quand on veut l
comme symptômes plus immédiats, plus sensibles, des phéno- mènes
moteurs
et des anomalies graves dans le domaine de la v
t pas davantage un hystérique, car il ne présentait ni les troubles
moteurs
, ni les troubles sensitifs caractéristiques de
chez tous la maladie a débuté par un délire mystique avec agitation
motrice
et psychique intense, attitudes pathétiques, ha
HOLOGIE NERVEUSE. XLIII. Contribution à la psychologie de l'apraxie
motrice
; par A. Pieu. (Neuroloy. Centralbl., XXI, 1902.
l'examen matériel et mental du sujet, l'auteur conclut à l'apraxie
motrice
par accès. Il analyse comparativement les faits
s l'acci- dent, on vit survenir une paralysie du facial droit et du
moteur
oculaire externe gauche accompagnée de raideur
l'on est en face d'une hystérique, pour ainsi dire plus sensitivo-
motrice
que psychique, quand on ne rencontre chez elle ni
presque complète de la troisième frontale, absence de phéno- mènes
moteurs
et d'aphasie, oedème papillaire de l'oeil droit,
s papillaires. Les auteurs insistent sur l'absence des phéno- mènes
moteurs
et d'aphasie, malgré la destruction presque com-
a couche dp Purkinje. 11 leur a semblé que les formes du type tabes
moteur
présentaient les lésions les plus considé- rabl
des fonctions plus déli- cates. Il en serait ainsi pour les centres
moteurs
du membre supé- rieur. ' G. C. XCVIII. Lésion
rnal of Insanity, I, 03, p. 447-455. 1 planche). S. CVI. L'écorce
motrice
; par Clarence-B. FARRAR (The American Journal o
ele- ver cette remarque relativement à la délimitation de la zone
motrice
que des ressemblances de configuration (sillons p
arée l'identité fonctionnelle de deux régions. Chezl'homme, la zone
motrice
serait avant tout prérolandique. L'étude histol
ère orga- nique de l'hémispasme facial vrai; il traduit la réaction
motrice
du nerf facial. Au point de vue pathogénique, l
au REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 491 du bulbe, la voie centrifuge
motrice
est représentée (par la Vil0 paire, c'est le tr
systématisée. Il est essentielle- ment différent des manifestations
motrices
psycho-mentales du tic et de l'hystérie. Du fai
cauchemars. Chez l'enfant de l'agitation sans but et des phénomènes
moteurs
, chorée, tics, etc., et aussi des peurs nocturn
e hémiplégie 'droite présentant en même temps une aphasie complète,
motrice
et sensorielle (surdité verbale). En présence
llissement de l'hémisphère gauche intéressant à la fois les centres
moteurs
et les centres du langage, particulièrement le
éger près des centres trophiques des muscles et des centres vaso-
moteurs
, vraisemblablement à la base et à la partie la pl
cas observés par l'auteur appartiendraient à la sphère des lésions
motrices
primaires, ceux de Raymond et Janet à la sphère
ont les lésions affectives primaires sont sui- vies par des lésions
motrices
secondaires. R. C. LXXII. Le pseudo-oedème cata
humains de même nature, il existe chez eux une variété d'habitudes
motrices
vicieuses de léchage, des stéréotypies parakiné
s profondes sont les plus atteintes. Mêmes altérations des cellules
motrices
. Légère augmentation des cellules de névroglie.
- palmaire chez les aliénés, par Féré et Francilien, 351. Apraxie
motrice
. Contribution à la psychologie de l ? par Pick,
oir Phtisi- ques. 1 Excitabilité. De l'- de la région corticale
motrice
du cerveau à la suite de l'attaque d'épilepsie.
n à la connais- sance des corticales circon- scrites de la région
motrice
chez l'homme, par Lévi, 340. Voir Cervelet. -
épinière, par Préobragensky, 174. La locali- sation des fonctions
motrices
de la épinière, par Sano, 235. Kote sur quelq
aud et Bauer, 244. Contri- bution à l'étude des représenta- tions
motrices
du membre infé- rieur dans la de 1 homme, par
ar Muenzer, 396. Dégénérescecne et' régénération des terminaisons
motrices
des - coupés, par Odier et Ilerzen, 402. Nerv
on- gmulmal mférieur avec le ruban de - et d'un nouveau système
moteur
de couronne rayonnante, par Schuetz, 398. ' R
s ou moins nette se rapportant à leurs amnésies ou à leur faiblesse
motrice
, certains autres, on l'a 1 Voir Archives de Neu
et inintelli- gibles 1. Si on considère l'attention sous son aspect
moteur
, férié. Sensation et Mouvement , 1887, p. 21 et
ion relativement simple, un seul souvenir, un petit groupe d'images
motrices
et ne peut plus en contenir d'autres en même te
tion personnelle, auquel il ajoute le rétrécissement de l'impulsion
motrice
, comme la caractéristique de l'hystérie : 1. lI
'c Iren op. cil., p. 3. 2 A)oebins, op. ('il., p. 1 . PARALYSIES
MOTRICES
ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. '29 perçues et parai
QUES CONSIDERATIONS POUR UNE ÉTUDE COMPARA- 'l'I1'I; DES PARALYSIES
MOTRICES
ORGANIQUES ET HYSTÉ- RISQUES; r Par le D' SIG
faire une étude 30 CLINIQUE NERVEUSE. comparative des paralysies
motrices
organiques et hystériques, basée sur les observ
I. Il faudra commencer par quelques remarques sur les paralysies
motrices
organiques, d'ailleurs généralement admises. La
admises. La clinique nerveuse reconnaît deux sortes de para- lysies
motrices
, la paralysie périphéro-spinale (ou bulbaire) et
montrent qu'il n'y a que deux segments sur le par- cours des fibres
motrices
conductrices, le premier qui va de la périphéri
traduit ce fait par les mots : « le trajet des fibres de conduction
motrices
est constitué par deux neuron (unités nerveuses
rencontrent pour entrer en relation au niveau des cellules dites
motrices
des cornes antérieures. » La différence essentiel
périphérie, une extré- / mité, un segment de celle-ci, un appareil
moteur
compliqué. Jamais elle n'affecte un muscle indi
bras, le tibial isolément, etc., et s'il y a des excep- PARALYSIES
MOTRICES
ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 31 1 lions apparente
a eu lieu au point de connexion entre les deux segments du système
moteur
. Alors, je dis la reproduction de la périphérie
cérébrales organiques, il savoir que le segment périphé- PARALYSIES
MOTRICES
ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 33 rique est toujour
XXVI. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. organique, elle reproduit l'aphasie
motrice
à l'état d'isole- ment, et ce qui est chose ino
nouïe dans l'aphasie organique, elle peut créer une aphasie totale (
motrice
et sensitive) pour telle langue, sans attaquer
brale organique, dans laquelle, d'une manière constante, PARALYSIES
MOTRICES
ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 35 ces deux caractèr
ra son caractère de monoplégie pure et s'ac- compagnera de troubles
moteurs
dans la jambe ou la face. Elle ne peut pas deve
on cérébrale, on connaît la fréquence et la durée de l'hémi- plégie
motrice
, tandis que l'hémianesthésie concomitante est i
bonne et importante partie de la théorie de la névrose. PARALYSIES
MOTRICES
ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 37 III. Il n'y a pas
ralysie cérébrale commune, c'est parce que les fibres de conduction
motrices
sont trop rapprochées sur une longue partie de
produire des monoplégies pures, nous en con- cluons que les centres
moteurs
surl'écorce ne sont pas nette- ment séparés les
rve si souvent dans la clinique des paralysies corticales : aphasie
motrice
et hémiplégie droite, alexie et hémianopsie dro
s organiques vraies, qu'elles soient légères et fugaces. PARALYSIES
MOTRICES
ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 39 Il est nécessaire
as de motif pour oublier l'intelligence du langage, puisque aphasie
motrice
et surdité verbale n'ont aucune parenté dans la
te est cette altération pour pro- duire la paralysie ? PARALYSIES
MOTRICES
ORGANIQUES ET HYSTÉRIQUES. 41 Considérée psycho
e (Affectbetrag), dont le moi se délivre ou par la voie de réaction
motrice
ou par un travail psychique associatif. Si l'in
affective du trauma psychique n'a pas été éliminée par la réaction
motrice
adéquate ou par le travail psychique cons- cien
ns musculaire, correspond à peu près, sinon tout à fait aux centres
moteurs
correspondants ; l'observation suivante d'après
e cet élément de développement et d'élaboration des images verbales
motrices
. La surdi-mutité d'origine cérébrale, différant
(Améric an Journal of insanity, 1891.) E. B. XVI. LA PRÉTENDUE AIRE
MOTRICE
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE ; par le Dr LANE. Après
; par le Dr LANE. Après avoir repris l'histoire des localisations
motrices
corticales, l'auteur s'élève contre la théorie
s corticales, l'auteur s'élève contre la théorie d'une localisation
motrice
: parce qu'un mouvement suit l'excitation d'un
cle correspondant, encore moins cela prouve-t-il que cette aire est
motrice
plutôt que sensorielle. , La soi-disant région
e aire est motrice plutôt que sensorielle. , La soi-disant région
motrice
n'est qu'une région purement senso- rielle, kin
affaibli qu'il a perdu tout contrôle sur l'appareil de la décharge
motrice
. Cette théorie expliquerait également l'absence
hiques de ces divers tissus. 3° Section de l'écorce cérébrale (aire
motrice
) dans un cas de mélancolie aiguë, avec agrandis
énation mentale syphilitique a pour critérium clinique les troubles
moteurs
et sensitifs de la syphilis cérébrale, et comme
mènes propres à la syphilis, antécédents, troubles NÉCROLOGIE. 65
moteurs
partiels (muscles de l'oeil); paralysie faciale,
faisaient complètement défaut. Pour ce qui concerne les troubles
moteurs
, il est infiniment plus aisé d'établir la conco
récissement du, champ visuel (moitié, supérieure), pas, de troubles
moteurs
, sensitifs ou sensoriels. Intégrité de l'intellig
eu¡¡ ! co91 ? vol,t. peu à peu. ses" membres recouvrer leur poumon'
moteur
, et ses muscles' atrophiés' reprendre eh partie l
l'état morbide.' Sou observation5 dans laquelle à côté des troubles
moteurs
caractéristiques du para ? myoclonus se manifes
cke, à une' lésion, des, voies, sensorielles trans- - corticales et
motrices
, ou d'après Moelé,,à une lésion, des icentrés d
qu'il n'existait pas d'alté-' ration au niveau des circonvolutions
motrices
et en particulier au niveau de la deuxième fron
que par l'absence) de (lésion intéressant les, çirconvo-- lutions''
motrices
, le, centre visuel verbale étant seul ,détruit. L
aliénés sont atteints de troubles dans l'articula- 'tion, d'aphasie
motrice
, de dénûment dans leur provision de mots, de pe
decine : Étude antique et clinique de la doctrine des localisations
motrices
dans l'écorce des hémisphères cérébraux de l'ho
s dans divers territoires organiques : spasmes musculaires (aphasie
motrice
spasmodique et transitoire, secousses musculair
s symptômes se développent, il apparaît des hallucinations verbales
motrices
et très accentuées et un dédoublement de la per
nt d'une façon générale des troubles psycho-moteurs (hallucinations
motrices
, im- pulsions, aboulie, phénomènes d'arrêt). Au
tal; elle est pourtant plus forte que celle des circonvo- lutions
motrices
, surtout à droite. En somme, on voit que la dis
point remarquable est l'immunité relative dont parait jouir la zone
motrice
, qui était l'endroit le moins atteint dans les
outer qu'à l'état, normal, ainsi que je m'en suis assure, la région
motrice
ne se distingue pas des autres par sa richesse
né, la suspension du mouvement est favorable à la pensée : l'action
motrice
suspendue est remplacée par la formation des sé
es cornes antérieures ? Le système nerveux périphérique sensitif ou
moteur
y a été trouvé lésé; et cependant ce sont là de
es; - 4, corps restirorme; 6, noyau commun du facial et de l'oculo-
moteur
externe; 7, noyau propre du fascial; 8,8', olives
marquera aussi l'intégrité des olives supé- rieures en 8', du champ
moteur
, du corps trapézoïde. Une autre coupe, passant
tissu de sclérose, se dirigeant vers le raphé, à travers le champ
moteur
. Cet aspect des olives et des parolives, identiqu
llement comme des arguments contradictoires, parce que les troubles
moteurs
n'y sont pas suffisamment mis en relief. Quatre
temps. Le cervelet apparaît de plus en plus comme lié aux fonctions
motrices
. Il nous reste maintenant à étudier une série d
attache le cervelet, organe coordinateur, aux voies de con- duction
motrice
en céphalo-médullaires, peuvent parfaitement ex
périeur est formé par les lobes préfrontaux; il renfermeles centres
moteurs
les plus élevés, et c'est lui qui préside à l'épi
i est primordialement et essen- tiellement affecté, et les troubles
moteurs
ne sont que consécutifs et secondaires. Faut-il
u- Raton. (Neu1'olog, Centralbl., 1892.) Extirpation de la région
motrice
corticale chez le chien. Au bout de deux à troi
l'auteur discute la valeur des descrip- tions données des centres «
moteurs
et sensitifs * du cerveau. Il reproche aux term
ntres « moteurs et sensitifs * du cerveau. Il reproche aux termes c
moteurs
et sensitifs » d'être trop souvent employés d'u
ner en propres termes, et en limites exactes des fonctions purement
motrices
et purement sensitives dans l'écorce. Vient ens
nt ensuite la discussion des théories de Hitzig qui fait de la zone
motrice
l'aire du sens musculaire, et de celles de Munk q
le. L'espace est bien restreint où l'on peut distinguer la fonction
motrice
de la fonction sensitive et l'impulsion motrice
tinguer la fonction motrice de la fonction sensitive et l'impulsion
motrice
comme la sensation découlent pour l'auteur d'un
du processus qui cause la sensation. L'antithèse entre les termes «
moteur
» et « sensitif est trop nette REVUE d'anatomie
loré les deux faces de la question, mais Bastion refuse la question
motrice
à la zone rolandique et admet que le faisceau p
ment et la sensation. P. SOLLIER. XXXIX. Description DE la couche
motrice
DE l'écorce cérébrale d'un enfant; par le Dr Ed
d'enfant de dix-huit heures, l'auteur a examiné l'écorce cérébrale
motrice
d'un enfant de deux ans. La différenciation d
exagérés. Un tiers des malades a présenté quelques troubles vaso-
moteurs
des extrémités inférieures (oedème, abaissement d
anatomie patholo- gique lui montraitune lésion unilatérale du noyau
moteur
du triju- meau. On a toujours vu dans les cas d
de l'instinct génital; les troubles de l'atten- tioiz; les troubles
moteurs
avec leurs diverses manifestations : extrême mo
et qui consistent en des modifications plus ou moins graves d'ordre
moteur
, sensitif, sécrétoire et vaso-moteur. C'est dan
elle présente aussi des impulsions et des hallucina- tions verbales
motrices
. Elle raconte qu'on lui parlait souvent en elle
iété médico-psychologique, sont alors les hallu- cinations verbales
motrices
qui dirigent absolument la scène pathologique.
s et même verbales. En revanche, à côté des hallucinations verbales
motrices
prédominantes, se mani- festent des hallucinati
erbales motrices prédominantes, se mani- festent des hallucinations
motrices
communes, également très accentuées, telles que
partie quelconque du corps. En plus de ces hallucinations, verbales
motrices
, la malade a également des impulsions nombreuse
CUSATEURS ET POSSÉDÉS. 443 troubles psycho-moteurs : hallucinations
motrices
, impulsions, aboulie, phénomènes d'arrêt, accom
les intellectuels dont les plus saillants sont des troubles psycho-
moteurs
, hallucinations et impulsions. C'est ainsi qu'ell
et impulsions. C'est ainsi qu'elle a des hallu- cinations verbales
motrices
très accentuées : elle sent parler en elle- mêm
d'une façon générale les troubles psycho-moteurs (hallu- cinations
motrices
, impulsions, aboulie, phénomène d'arrêt). Aussi
, tout cela rentrait bien dans le cadre de l'hystérie. Les troubles
moteurs
eux-mêmes, astasie et abasie, la malade pouvant
affaissant aussitôt quand on veut la maintenir debout, ces troubles
moteurs
, dis-je, se rattachaient bien à l'hystérie, l'ast
s la suggestion ce détail, tout avait bien disparu, sauf l'asthénie
motrice
. Il fallut l'endormir à nouveau. Et tout revint
à ce travail. Observation VI. Gastralgie. Vomissements. Asthénie
motrice
. Guérison (deux séances). Femme N..., quarante-
n l'anorexie, le vomissement, la douleur épigas- trique. L'asthénie
motrice
, que j'avais un peu laissée de côté, existait e
e, car la céphalée, l'insomnie, la dépression cérébrale, l'asthénie
motrice
, l'atonie gastro-intestinale, tous les symptôme
trouvai une neurasthénique avec les principaux syndromes : asthénie
motrice
, sensations de casque lui serrant le crâne, dou
s présentent une plus longue résistance que les' plaques terminales
motrices
; 6° il"est impossible de' décrire avec précisio
tt IV/Y 1 REVUE D'ANATOMTE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 481
motrices
. Mais cette succession dépend de la force de rési
es du groupe postéro- latéral des cornes antérieures sont de nature
motrice
. L'atrophie de ces cellules doit démontrer qu'e
es muscles stries intacts. Ce qui prouve que 1 influence des nerfs'
moteurs
" sur 'la nutrition des 'musoles,îqu'ils''irinè'rv
xcitables. Cela ne se voit-il pas dans beaucoup d'autres paralysies
motrices
, quand la dégéné- rescence n'est pas trop avanc
l'excitabilité réflexe ; elle est comparable à l'hyperexcitabilité
motrice
qui succède à la fatigue physique. Dans les p
aiguë et le délire du collapsus, on constate de l'hyperexcitabilité
motrice
; la réceptivité des impres- sions extérieures e
els de l'écorce , par A'. Waller; 40'r; description de la couche'
motrice
4 de l'écorce ') par, Goodall,'40û. Cerveau,
,r Ir : . Morvan (maladie de), un cas de ? par Grasset, 504. '
Motrice
, prétendue aire jdel'é-; , corce cérébrale, par
gne., de .degene- , iescence, par Ncecl : e" 183 ? rII PÂnALYsiEs
motrices
organiques^et hystériques, par. Freud, 29;,ma-
? 1 D : Írskewitsch, 'et «' Tichonow,1 482. Influence/de la- vaso
motrice
''sur' le ' développe- '^ ment'de l'inflammatio
oelle, par Betchrew,'479.v ? Sympathique, de' l'influence vaso-
motrice
du -cervical, par Cavaz- zani, 396 ? , ' l 1 i
ou deux. Ce n'est alors qu'un phénomène post- convulsif, un trouble
moteur
passager qui n'attire pas toujours l'atten- tio
pareil cas, s'il est quelque peu accentué, il constitue un trouble
moteur
impor- tant, un symptôme marquant et tenace pre
res inférieurs ne laissaient rien à désirer. Tels sont les troubles
moteurs
que nous avons vu se développer à plusieurs rep
ire qu'a décrit M. P. Marie. C'est précisément parce que ce trouble
moteur
(dérobement de jambes) se voit communément chez
ersistent bien longtemps encore après la dispa- rition des troubles
moteurs
. Telles sont les réflexions que nous inspire l'
atatonie. Nous n'avons plus qu'à y ajouter toutefois les phénomènes
moteurs
caractéristiques, soit sous forme de convulsions
aladie, particulièrement les douleurs fulgurantes, l'incoordination
motrice
, les troubles génito-urinaires, sans qu'il y ait
ois organes : cellule ganglionnaire des cornes anté- rieures, fibre
motrice
, fibre musculaire ». Mais il est d'avis aussi « q
). 144 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. d'une impuissance
motrice
très accentuée, tandis que .le triceps fonc- ti
facial et du releveur de la paupière supérieure innervé par le nerf
moteur
oculaire commun n'est pas encore élucidé. Dans le
ion a été expliquée par l'hypothèse d'anastomoses centrales du nerf
moteur
oculaire commun avec la branche motrice du trij
nastomoses centrales du nerf moteur oculaire commun avec la branche
motrice
du trijumeau ou avec le facial; mais sa cause r
e période avancée et même quel- quefois jusqu'à la finales troubles
moteurs
qui'ilsi présentent sont sur- tout de forme ata
gtemps à peu 'près normal. Cette intégrité relative de-la puissance
motrice
se retrouve à la langue. Sur huit des paralyt
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX
MOTEURS
(Polioencéphalomyélite) Dans sa dernière leço
upe des altérations nucléaires systématiques et montrant la colonne
motrice
adultérée en un ou plusieurs points de son éten
les recherches de Meynert, Huguenin, Forel etMathias Duval, que le
moteur
oculaire commun prend naissance dans une m. 13
re droite, diplopie, ptosis, paralysie complète de tous les muscles
moteurs
de l'oeil; lorsque Moebius l'examina, il constata
é d'une ophthalmo- plégie externe par lésion périphérique des nerfs
moteurs
. Cette fois l'examen du système nerveux central
série de coupes soigneusement colorées, et que, ni dans les centres
moteurs
, ni dans les fibres radiculaires des nerfs de l'o
ce d'une névrite multiple des mieux caractérisées. Les nerfs oculo-
moteur
commun, oculo-moteur externe, pathétique, étaient
ment non; la lésion nucléaire peut frapper en même temps la colonne
motrice
tout entière de l'oculo-moteur. Nous aurons du
mémoire sur l'ophthal- moplégie externe et les paralysies des nerfs
moteurs
bulbaires dans leur rapport avec le goitre exop
rieure avec ébauche de paralysie bulbaire inférieure. - Le noyau du
moteur
oculaire commun représente la partie terminale
s'impose en face des cas complexes intéressant à la fois les noyaux
moteurs
de la moelle et ceux de la région bulbo-protubéra
. Dans les deux cas il y a lésion isolée et systématique des noyaux
moteurs
, les noyaux sensitifs étant respec- tés, tout c
-dire l'expression d'une altération systématique limitée aux noyaux
moteurs
de l'une ou de l'autre région. Les observations q
eurs peuvent seuls être atteints, dans bon nombre de cas la colonne
motrice
est affectée systématiquement sur tout ou parti
nditions l'oeil parvient, comme dans le stra- o 1. Blanc, Le Nerf
moteur
oculaire commun et ses paralysies. Thèse de Paris
es en face d'une paralysie qui a frappé à la fois toutes les paires
motrices
des deux yeux, à savoir les 3', 4- et 6-. C'est m
e d'or des hôpitaux. 1. Gayet, Paralysie totale de tous les muscles
moteurs
des deux yeux, sauf des élévateurs des paupière
froide, et où la malade a constamment l'onglée. Ces troubles vaso-
moteurs
, oedème des pieds et de la main gauche, alternati
. Les circonvolutions,- celles du lobule paracentral et des centres
moteurs
en particulier, n'offrent aucune modification a
llules basophyles dans les mêmes endroits. Les plaques terminales
motrices
sont atrophiées, et ne sont plus représentées q
il monte et descend l'escalier avec difficulté. Pas d'incoordination
motrice
des membres supérieurs. 11 a beaucoup de peine
tient beaucoup plus aux troubles de le sensibilité qu'aux désordres
moteurs
, non appréciables. Il peut se tenir debout le
e des maladies du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE DU
MOTEUR
OCULAIRE EXTERNE ET DU FACIAL AVEC ATTEINTE DE
bérantiel, situé sur le trajet des fibres d'origine du facial et du
moteur
oculaire externe, du côté droit. ^ i Mais cette
un dans la moitié droite de la protubérance, l'autre dans la région
motrice
corticale ou sous-corticale du côté gauche. Nous
esquels on ne peut déceler d'altérations fondamentales de la région
motrice
de la moelle. Il ne serait donc pas légitime de
nes; cellules ganglionnaires des cornes antérieures, fibre nerveuse
motrice
, fibre musculaire. Cependant l'arc neuro-muscul
ellules ganglionnaires des cornes antérieures, de la fibre nerveuse
motrice
et de la fibre musculaire, mais encore et surto
On peut se représenter que certaines portions des centres psycho-
moteurs
exercent une influence régulatrice analogue sur l
relatées. Rappelons, à cet égard, que des désordres psychiques et
moteurs
sont mentionnés dans tous ces cas, où ils se sont
t celle d'une lésion de l'arc neuro-musculaire (cellules cérébrales
motrices
, cellules ganglion- naires de la moelle, nerfs
cérébrales motrices, cellules ganglion- naires de la moelle, nerfs
moteurs
, muscles), par un agent pathogène se localisant
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX
MOTEURS
(Polioencéphalomyélite) (Suite 1) L'évoluti
santes. Progressant en sens inverse, elles gagnent l'une les noyaux
moteurs
du bulbe, l'autre les noyaux de la protubérance
vec glycosurie et polyurie : la lésion peut donc frapper la colonne
motrice
bulbo-protubérantielle en des points différents,
urs après l'accident, l'auteur cons- tate une paralysie complète du
moteur
externe gauche sans autre lésion oculaire; gran
eures. Présentement, celle malade offre une paralysie bilatérale du
moteur
oculaire commun, et du 1. Roscntbal, Ueber llii
IE DE LA SALPÈTRIÈRE. côté gauche une paralysie presque complète du
moteur
oculaire externe et du pathétique. En revanche,
e du crâne. On ne peut admettre que les nerfs ciliaires viennent du
moteur
oculaire externe, puisque, à gauche, on constat
t par la partie supérieure soit par la partie infé- rieure du champ
moteur
du 4e ventricule. Paralysie bulbaire totale à d
que, oculo-moteur, trochléaire, abducens, facial, glosso-pharyngien
moteur
(douteux), vague moteur, vague accessoire. L'af
léaire, abducens, facial, glosso-pharyngien moteur (douteux), vague
moteur
, vague accessoire. L'affection commença par la
ergent. M. Peter, consulté à cette époque, constate la paralysie du
moteur
oculaire commun du côté droit. Traitement : iod
noyau de la 10e paire,, la lésion monte les échelons de la colonne
motrice
, saute parfois l'un deux, quitte à le reprendre
t aux cellules ganglionnaires inférieures du facial et à la portion
motrice
du trijumeau. Les noyaux situés latéralement et
tème nerveux que Hérard a vu deux fois une paralysie unilatérale du
moteur
oculaire commun apparaître au cours d'une paral
XXIV. - Paralysie labio-glosso-laryngée compliquée de paralysie du
moteur
oculaire commun chez une femme d'une trentaine d'
cas il s'agit d'une même affection systématique frappant les noyaux
moteurs
du quatrième ventricule. On peut en dire autant
s celles qui suivent impliquent forcément une altération des noyaux
moteurs
du bulbe supérieur et des cellules des cornes a
llules des cornes antérieures de la moelle. La lésion de la colonne
motrice
est en effet la seule qui puisse expliquer l'en
Morvan (Deux cas de maladie de -), par G. Guinon et A. Dutil, 1.
Moteur
oculaire externe (Note sur un cas de paralysie
s rejetons semblables à ceux du même réseau des cellules spinales
motrices
ou des cellules corticales pyramidales; pourtant
e, etc. G. DENY. V. Recherches expérimentales sur les localisations
motrices
spi- nales ; par le professeur 111anIESCO. L'
suit le cours de ses intéressantes recherches sur les localisations
motrices
spinales, par l'étude du radial dont le noyau e
desservent. Il y aurait là une preuve en faveur de la localisation
motrice
segmentaire soutenue par Van Gehuchten (Revue n
rencontrent pas de stimulus contraires, sous l'influence d'une idée
motrice
toute pas- sagère, à demi consciente, qui demeu
téressant travail dans lès con- clusions suivantes : 1° Les aires
motrice
et sensorielle connues de l'écorce cérébrale ne
3° Il existe dans l'épaisseur de la couche corticale des centres
moteurs
et des centres sensoriels, séparés; mais ils sont
uns avec les autres les plus inti- mes connexions ; 4° Les aires
motrice
et sensorielle ont les unes et les autres des f
ication générale et réciproque entre tous les élément sensoriels et
moteurs
de l'écorce, il existe une connexion des plus i
manière la plus satisfaisante la majorité des phénomènes sensitivo-
moteurs
tant dans les expérimentations physiologiques que
t des mains, exagération légère des réflexes rotuliens, incertitude
motrice
dans l'obscurité) ; des signes de la maladie de
se est susceptible de créer'une des formes quelconques de l'aphasie
motrice
ou de l'aphasie sensorielle. L'auteur rapport
e membres. L'intelligence était intacte, il n'y avait aucun trouble
moteur
de la face, pas d'épilepsie, pas de troubles de
culaire associée à une hémiplégie alterne sensitive, à des troubles
moteurs
consistant non dans la perte de la force segmen
t une aptitude particulière à prendre très rapidement des habitudes
motrices
. Chez eux, tous les caractères des actes foncti
une méthode de traitement qui a pour but la correction des troubles
moteurs
. Elle tend à suppri- mer les actes automatiques
obli- gés de répéter continuellement certains autres. Les obsédés
moteurs
en bénéficient largement. La discipline psycho-mo
e, comme toutes les éducations, sur la répétition des mêmes actes
moteurs
; mais elle exige aussi la répétition des efforts
mode de traitement. Recherches expérimentales sur les localisations
motrices
spinales; par AIM. E. Brissaud et A. BAUER. D
. E. Brissaud et A. BAUER. Depuis quelques années les localisations
motrices
spinales ont été mises à l'ordre du jour par un
urs ne s'excluent pas toutes, se sont fait jour : les localisations
motrices
médullaires sont pour les uns musculaires (Nano
nsistent en une dégéné- ration assez spéciales des grandes cellules
motrices
; il s'agit dans la grande majorité des cas d'u
eul, peut rester fort longtemps comme dernier vestige de la cellule
motrice
. ' 7° Ces altérations de la corne antérieure n'
rations occupent successive- ment, de bas en haut, toute la colonne
motrice
latérale, sur une très petite étendue, puis sa
nt de bas en haut d'abord' 86 SOCIÉTÉS SAVANTES. toute la colonne
motrice
latérale sur une hauteur un peu plus étendue qu
rations s'élèvent jusque vers VIII; elles occupent toute la colonne
motrice
latérale jusque vers le milieu du segment compr
directement en l'aggravant, l'évolution des phénomènes sen- silifs,
moteurs
ou trophiques. VII. Le mensonge chez la femme h
onstater, au cours de la paralysie générale, des crises d'agitation
motrice
de plus ou moins longue durée, et précé- dant s
ivantes. Il s'agit d'épileptiques de tout âge affectés de symptômes
moteurs
, psychosensoriels et psychiques dont on a suivi
sujets affectés d'épilepsie depuis 10 à 20 ans. On vit les troubles
moteurs
, psychiques et sensoriels s'améliorer ou dis- p
tés permettent seulement de la diviser en : dys- phagie amyotaxique
motrice
, caractérisée par de la paresse de l'acte de la
normaux, pas de troubles tro- phiquesni vaso-moteurs, aucun trouble
moteur
dans le domaine des muscles innervés par les fa
s sensitives font défaut. Il s'agit d'une affection essentiellement
motrice
: ptosis, paralysie des muscles de l'oeil, trou
n trau- matique n'ait primitivement intéressé aucun point de l'aire
motrice
. Il. de Musgravë-Clvy. XXVIII. Les formes sil
gré, le première étant plus violente et raccom- pagnant de troubles
moteurs
généralisés, mais de nature noncon- vulsive,la
ive,la seconde tou,jourscalme, peu gênante, dépourvue de trou- bles
moteurs
, mais aboutissanttout aussi sûrement que lapremiè
99), en ce qui concerne les grandes cellules pyramidales de la zone
motrice
. La nouvelle observation de M. Ballet montre qu
ostique, surtout à gauche. A trente-six ans, extension des troubles
moteurs
aux membres intérieurs, entraînant de la dysbas
xaminer, au seul point de vue de leur pathogénie, certains troubles
moteurs
qui font partie du syndrome catanonique : je ve
use. SOCIÉTÉS savantes. 223 Tous ces phénomènes d'extériorisation
motrice
doiventêtre rap- prochés, à mon avis, des tics
céré- bral. Chez deux catégories de sujets, en effet, ces troubles
moteurs
revêtent les mêmes caractères : ils sont exécut
s des catatoniques. 1 Il est un autre ordre de phénomènes également
moteurs
, qui pour inconstants qu'ils soient dans la dém
dans ces cas. 0 M. Meige (de Paris). Les anomalies de la fonction
motrice
signalées dans les états catatoniques revêtent
d'échokinésie ou d'écho- praxie. Ces deux troubles de la fonction
motrice
existent aussi, à des degrés variables, dans di
on peut y voir la preuve de l'existence d'un trouble de la fonction
motrice
. Et cette inaptitude au relâchement musculaire
début sont par- fois assez divers. Ainsi, les délires, les troubles
moteurs
corticaux et bulbaires, les localisations spina
premiers, car il est impos- sible de concevoir un trouble sensitif,
moteur
ou psychique, sur- venant en dehors de toute al
ryngées, par perturbation des réflexes glottiques, et des fonctions
motrices
respiratoires : tes troubles de la miction et de
ins ; 10 le trouble vasculaire est la cause immédiate des désordres
moteurs
; 2° les désordres moteurs ont déterminé le trou
aire est la cause immédiate des désordres moteurs; 2° les désordres
moteurs
ont déterminé le trouble vasculaire ; 3° les de
'acrocyanose est d'origine corticale au même titre que les troubles
moteurs
. La physiologie enseigne en 264 SOCIÉTÉS savant
vulsif, les lèvres sont encore l'occasion et le siège d'habi- tudes
motrices
intempestives dont la plus fréquente est la cheil
i en partent, et dont cha- cune peut être l'occasion d'une réaction
motrice
. Chacun de ces mouvements, provoquant à son tou
es; 2 Pour des réactions réflexes : directement, par action vaso-
motrice
sur les centres nerveux, action réflexe démontrée
t, se traduit surtout par de l'agitation sans but et des phénomènes
moteurs
chorée, tics, etc., et aussi par des troubles d
me nerveux et traduit l'action de l'infection sur les centres vaso-
moteurs
, qu'elle se fasse sentir dans les ganglions du sy
départ de la vaso-paralysie est dans l'écorce au niveau des centres
moteurs
des membres. La physiologie n'y contredit pas ;
a physiologie n'y contredit pas ; on sait, en effet, queles centres
moteurs
des membres sont susceptibles d'influencer la cir
de chez laquelle un oedème transitoire avait précédé la para- lysie
motrice
des deux bras. M. Annaux ne croyait pas qu'on p
aux : l'aboulie et l'émotion. Le bégaiement est mental avant d'être
moteur
. Le seul traitement rationnel de ces états de c
; les halluci- nations terrifiantes peuvent provoquer des réactions
motrices
d'une violence extrême aussi bien que la stupeu
dernière évidence, en rapport avec les troubles de l'innervation
motrice
et sensorielle ; et nous l'avons pu constater, en
s de leur emploi sont trop certains elles cas de mort avec troubles
moteurs
, respiratoires et cardiaques, avec hémato-porph
e. Ils donneraient de meilleurs résultais dans les cas. d'agitation
motrice
(on est en droit, en effet, de leur attribuer une
SOCIÉTÉS SAVANTES. 32 5 action presque spécifique sur le système
moteur
, évidente surtout dans les intoxications), de m
ent ce but. D'autre part, son action bien spécifique sur le système
moteur
l'a fait employer dans la paralysie agitante où
e contestée. L'origine réelle et le trajet intra-cérébral des nerfs
moteurs
établis par la méthode de la dégénérescence wal
ous avons établi antérieurement : c'est que l'arrachement d'un nerf
moteur
est suivi, au bout de vingt-cinq à trente-cinq
suffit d'ar- racher, sur le lapin par exemple, n'importe quel nerf
moteur
spi- nal ou crânien, de laisser survivre l'anim
iqué cette méthode à l'étude des nerfs spinaux et de tous les nerfs
moteurs
crâniens, à l'exception du trijumeau et du glos
faisceau longitudinal postérieur. Nerf pneumogastrique. Les fibres
motrices
du nerf pneumo- gastrique sont toutes des fibre
ne provient du côté opposé. Nous pouvons en conclure que les fibres
motrices
continues dans les nerfs correspondants, sont e
l'ensemble de nos recherches se dégage cette conclusion : les nerfs
moteurs
périphériques sont tous formés de fibres exclus
ée quelconque. Il y a identité absolue entre ces symptômes d'oi dre
moteur
et l'au- tomatisme (gesticulations, tics, négat
e la catalonie. Il pense que l'intervention corticale sur les actes
moteurs
peut se vérifier en quelque sorte chez les être
hypnagogiques puis des rêves se déroulent, avec ou sans phénomènes
moteurs
et soutenir plus ou moins vif au réveil. II.
ourds et que l'examen fait constater chez tous deux une impuissance
motrice
très nette de la langue, des lèvres et du voile
de même que dans les cas de pression d'un méningite exudativesurles
moteurs
oculaires (chez les enfants), Fig. 29. 398 TH
sitive du trijumeau; la branche centrifuge en occuperait la portion
motrice
. Le centre réflexe réside problablement dans le
rtion motrice. Le centre réflexe réside problablement dans le noyau
moteur
de la cinquième paire. il est curieux de noter
e- ments volontaires comme à la mimique. fntrégrité de la branche
motrice
du trijumeau. Déviation de la langue à gauche : e
incipal est un peu atteint; évidemment il s'agit de quelques fibres
motrices
mélangées à cet organe (iloclie). Dégénérescenc
ieur et à l'hypoglosse expli- quée par la conservation de la racine
motrice
de la cinquième paire, REVUE D' ANATOMIE ET DE
eurs vasomoteurs, l'écorce donne naissance à des trac- tus purement
moteurs
de l'organe. 8° Les corps striés exercent une i
s exercent sur la rate une double influence vasomotrice et purement
motrice
.- 10° Dans la profondeur du tiers antérieurde l
est attaché plus particulièrement à l'étude des sym- ptômes d'ordre
moteur
si remarquables dans la forme catatonique de la
absolue de relation entre le caractère du délire et les phénomènes
moteurs
, M. Masoin insiste sur les analogies qui existe
ts chez les idiots et conclut à l'identité absolue de ces symptômes
moteurs
avec l'automatisme de l'idiot. ' Analyses des n
e sans manifestation délirante, évolue sans fracas, sans phénomènes
moteurs
bien accusés et qui n'aboutit pas à un état dém
en tant que gymnastique rationnelle, pour raviver dans les centres
moteurs
corticaux, la représentation des mouvements que
nous concevons très bien les causes qui déter- minent la paralysie
motrice
du côté correspondant à la sec- tion, tous les
tous les physiologistes étant d'accord pour affirmer que les libres
motrices
restent pour la plus grande partie du même côté
dégénéré au-dessous de sa section, ce qui explique la mono- plégie
motrice
directe et l'exagération des réflexes allant ju
à l'origine du monologue des phénomènes de même ordre de caractère
moteur
, halluci- nations verbales motrices et surtout
omènes de même ordre de caractère moteur, halluci- nations verbales
motrices
et surtout impulsions verbales. 4 Tel est le
re mis de la même façon sur la piste, d'hallucinations auditives ou
motrices
verbales, d'impulsions verbales, de troubles sp
oeil. 2° Les muscles oculo-moteurs participent à l'incoordination
motrice
, tout comme les autres muscles du corps. L'ataxiq
les oculo-moteurs qu'aux mus- cles des membres, et l'incoordination
motrice
est un symptôme de toute la musculature. 3° C
onvulsif, les lèvres sont encore l'occasion et le siège d'habitudes
motrices
intempestives dont la plus fréquente est la ché
qui en partent, et dont chacune peut être l'occasion d'une réaction
motrice
. Chacun de ces mouve- ments provoquant à son to
si très exactement toute l'étendue des noyaux d'ori- gine des nerfs
moteurs
du tronc et des membres. Ces noyaux sont échelo
tincte; les nerfs du tronc ont leur origine dans la colonne interne
motrice
et les nerfs des membres dans la colonne latéra
la moelle lombaire et dans la moelle cervicale; la colonne latérale
motrice
, depuis le deuxième ou troisième segment sacré
avec le noyau du nerf spinal; la colonne interne 538 NÉCROLOGIE.
motrice
, apparaissant dès le quatrième segment sacré et p
l a été un symp- toute très accusé, par Cowen, 442. Localisations
motrices
spinales. 850 TABLE DES MATIÈRES. Hechoches c
Muscles -Voir Excitabilité. Défaut de coordination des ocn'.o-
moteurs
chez les ataxiques, par Miralbé et Desclaux, 5-
t Goldsletu, 5S L'origine réelle et le trajet intra- cérébral des
moteurs
établis par la méthode de la dégénéres- cence
s'ajoutent des troubles sphinctériens et des signes d'excita- tion
motrice
: spasmes toniques et cloniques ; puis la paralys
moelle, ce qui expli- que, disait-il, la prédominance des troubles
moteurs
sur les troubles sensitifs. Ces quelques cita
dou- leurs fulgurantes, etc. précédant ou accompagnant les troubles
moteurs
. Ceux-ci apparaissent de façon très variable :
profession de graveur, qu'il exerçait jusque-là, pour des troubles
moteurs
progressifs apparus 3 ans avant dans les membres
mme dans la tuberculose des autres segments du rachis, les troubles
moteurs
et les modifications objectives de la sensibili
ons avec autopsie. Plus tard, aux douleurs, s'ajoutent des troubles
moteurs
et, d'une façon moins constante, des troubles o
e surtout l'attention du malade et du médecin, ce sont les troubles
moteurs
, qui se présentent sous l'un des quatre aspects s
si- tive en raison de la prédominance des douleurs sur les troubles
moteurs
. Notons que, chez ces quatre malades, l'examen
avec intégrité habituelle des supérieurs, le fait que les troubles
moteurs
ne prédominent pas nettement aux extrémités, comm
s objectifs de la sensibilité sont moins fréquents que les troubles
moteurs
: Les troubles sphinctériens sont variables : r
phale, il en est'd'autres que l'écorce cérébrale enverrait aux noyaux
moteurs
des régions inférieures du névraxe. Ainsi serai
ient dans le deux sens, ce faisceau représenterait une seconde voie
motrice
. ' -1 , 1 il ' 1 , ' , Niessl-ll9ayendo·/' (2),
e lasse elle vient à la Salpêtrière en juillet 1905. Les troubles
moteurs
présentés par cette malade consistent tout d'abor
culeuses latentes (1). Reste à élucider la pathogénie des accidents
moteurs
, les troubles de la marche, la spasmodicité car
-il d'une lésion cérébrale, ou au contraire d'une lésion de la voie
motrice
médullaire ? on conçoit que ces deux hypothèses
à gauche, réflexe plantaire en flexion des deux côtés, paralysie du
moteur
oculaire externe gauche. 1 Ramollissement des p
n'ai ja- mais admis à priori la résistance supérieure de la racine
motrice
, mais je l'ai déduite à posteriori,en voyant ce
e épreuve. J'ai pu montrer en outre que cette résistance des fibres
motrices
est loin d'être égale dans tous les cas, et qu'
relation proportionnelle qui existe entre la destruction des fibres
motrices
et celle des fibres sensitives varie tellement
ibres sensitives varie tellement que, dans certains cas, les fibres
motrices
paraissent com- plètement intactes, tandis que
trophiques.De plus, l'extension en hauteur de la lésion radiculaire
motrice
, extension qui se rencontre dans tous les cas a
nombreux qu'à l'état normal, surtout dans les régions frontales et
motrices
. Une deuxième forme d'altération est représenté
fert (fig. 2) ; que, malgré cette déformation notable, les troubles
moteurs
des yeux n'aient pas été plus graves. FIG. 2.
avec rétractions sont plus avancés en âge que ceux dont l'impotence
motrice
a pour cause une altération du système nerveux.
e, puis l'alitement devient nécessaire du fait de l'affaiblissement
moteur
qui marche de pair avec l'amyotrophie. La flexi
chées que le diagnostic prête à des hésitations. L'affaiblissement
moteur
qui frappe les membres inférieurs du vieil- lar
lus souvent les symptômes révélateurs d'une dégénération de la voie
motrice
, enfin des troubles sphinctériens, un léger début
thode de Nissl nous nous sommes assurés de l'intégrité des cellules
motrices
des cornes antérieures, chargées seulement de gra
s troncs mixtes. Sans doute la présence d'un grand nombre de fibres
motrices
dans les troncs mixtes doit faire paraître les au
supérieur, du faisceau longitudinal postérieur, de la petite racine
motrice
descendante du trijumeau, de l'entrecroisement
loncitu : dinal postérieur, sauf quelques fibres. La petite racine
motrice
descendante du trijumeau est conservée de même
bulbe et des noyaux de la XlIe paire.Au niveau de l'entrecroisement
moteur
n'existe pas une seule fibre colorable avec le
as du même côté. Plus tard,paralysie de la jambe gauche et troubles
moteurs
qu'on considère comme de l'ataxie. Exagération de
ouillaud (1) ; il rapporte l'histoire d'un malade atteint d'aphasie
motrice
avec conservation relative du chant : le sujet po
es mouvements né- cessaires avec l'instrument ; de même l'aphasique
moteur
conserve l'idéa- tion et la faculté d'entendre
chait sur les brisées de Charcot. Son malade présentait une aphasie
motrice
et une cécité verbale ; mais ce qui appelait pr
lques faits, dit-il, démontrent la réelle indépen- dance des images
motrices
des mouvements du larynx et du thorax desti- né
és à la production des sons musicaux. Il y a, en effet, une aphasie
motrice
pour la musique, comme il y en a une pour les par
musical. Cet auteur distingue six formes cliniques : 1° L'amusie
motrice
(ou aphémie musicale) : le malade comprend la m
téra- . , Amzcsie naotrice véritable (im- tions du langage / Amusie
motrice
véritable (im- tions du langage \ possibilité d
possibilité de chanter), musical). - \ MtMne mMSîca ('1 ne peut '
Motrice
. ) Amimie musicale (il ne peut Motrice. { ] pas
MtMne mMSîca ('1 ne peut ' Motrice. ) Amimie musicale (il ne peut
Motrice
. { ] pas jouer d'un instrument). pas jouer un i
er chantait, jouait du piano de mémoire (elle n'a vait pas d'amusie
motrice
), elle appréciait très bien la musique entendue
d'une altération variable des facultés musicales. Dans l' amusie
motrice
vraie ou aphémie musicale - le sujet a perdu la
par contre et cela prouve l'autonomie relative du centre des images
motrices
du lan- gage musical que beaucoup d'aphasiques,
a) nous avons . pu personnellement observer plusieurs cas d'aphasie
motrice
avec per- sistance de l'aptitude pour le chant
d, Limbeck, Finkelbourg, Opphenheim). z Par contre, dans l'amusie
motrice
les sujets conservent la parole arti- culée, ma
x les nuances de sa pensée. Mais en règle générale chez l'aphasique
moteur
cortical l'intonation est altérée et le malade pe
. Dans les agraphies verbales associées à d'autres formes d'aphasie
motrice
qui sont fréquentes l'agraphie musicale coexist
tude comme complication courante. L'aphémie instrumentale (amimie
motrice
instrumentale) est la perte de l'exécution inst
nait pas les sons de l'orchestre qui l'accompagnait), et la mémoire
motrice
instrumentale (il était incapable de jouer), sans
centre différencié pour le langage musi- cal : le centre des images
motrices
du chant. Il admet donc, que les amusies peuven
trouvent interrom- pus. . A. 1° Suppression du centre des images
motrices
du chant (Erinne- rungsbilder Gesangbewegung).
t. la possibilité de copier. , 4° Suppression des représentations
motrices
graphiques. Ce qui déter- mine l'impossibilité
le centre des représen- tations graphiques et les noyaux des nerfs
moteurs
destinés à l'écriture. Elle détermine l'agraphi
Interruption des communications entre le centre des représentations
motrices
et le noyau moteur des nerfs qui fonctionnent pou
unications entre le centre des représentations motrices et le noyau
moteur
des nerfs qui fonctionnent pour l'émission de l
entre le centre des images du son et le centre des représentations
motrices
du chant. Perte du chant volontaire et de la ré
Interruption des communications entre le centre de représentations
motrices
des paroles et le centre des images du chant. Ell
eurs éléments sensoriels (auditifs et visuels) ou de leurs éléments
moteurs
(oral, écrit et mimique), la corrélation est visi
de l'écorce cérébrale de nature syphilitique. C'était un aphasique
moteur
(impossibilité de parler et d'écrire), sans aph
erturbations correspondantes à celles du langage ordinaire : amusie
motrice
complète (impossibilité de chanter et de pincer
ique, mais il conserve la lecture ordinaire). C'est donc une amusie
motrice
apparemment complète. Cepen- dant nous avons pu
ade était un argentin issu de parents italiens). Cette dissociation
motrice
du langage musical n'a jamais été décrite. Les
systématique se spécialise en un centre fonc- tionnel ; les images
motrices
des mouvements musculaires nécessaires pour sif
e différen- cié des autres modes fonctionnels du centre d'exécution
motrice
; il équi- vaut au centre de phonation,à celui
er, par l'as- sociation systématique, comme tous les autres centres
moteurs
du langage. 2° Les hypermusies sont des exagéra
musicale, , de réception. ] A, r / Alexie musi- cale. Amusie
motrice
Amusies ou vraie ou aphémie aphasies musical
e Amusies ou vraie ou aphémie aphasies musical musicale. - les.
Motrice
T I Agraphie musi- Motriceoudex-1 i . otrlce
ans l'hémipont droit et a dé- truit presque entièrement le faisceau
moteur
de droite et le septum mé- dian, mais s'est à v
euse : c'est là ce qui reste de la plus grande partie des faisceaux
moteurs
. Nulle part le foyer hémorrhagique n'est en rap
mipont droit, intéressant surtout la partie postérieure du faisceau
moteur
, laissant libre plus de sa moitié antérieure. L
a plus que à 6 6 millimètres. A cet endroit d'ailleurs, le faisceau
moteur
cesse d'être intéressé, la lésion lui est immédia
la grosseur de la pulpe de l'index. Pas de troubles intellectuels,
moteurs
ou sensitifs. PI. LX. n° 3. Double hernie céréb
ètres de longueur et de 2 centimètres de hauteur. Pas de troubles
moteurs
, sensitifs ou intellectuels. . PI. LXI. n° 5. D
oration au picro-carmin, et dissociation à l'ai- guille. a) Nerfs
moteurs
: Nerf intra-mitsculaire du jumeau externe gauche
oelle, et qu'il s'agit bien là d'une affection primitive du neurone
moteur
périphérique, très analogue sinon semblable, à
me jacksonienne, la rareté des vertiges épileptiques, les symptômes
moteurs
et sensoriels, les lésions du fond de l'oeil per-
xamen histologique. L'examen a porté sur la tumeur, sur les régions
motrices
droite et gauche, sur le bulbe. Les méthodes empl
éressant de constater qu'une tumeur localisée en dehors des zo- nes
motrices
a donné lieu à de l'épilepsie et à un état de stu
int de vue de l'atro- phie musculaire des membres, l'incoordination
motrice
augmenta légèrement. Le facies toutefois se mod
es ont dû débuter : elles ont suivi en quelque sorte pour les nerfs
moteurs
une marche ascendante. Racines postérieures. Ri
ns les nerfs sensitifs les mêmes considérations que pour les nerfs,
moteurs
; les lésions paraissent d'autant plus jeunes q
é par M. Rouffinet, ne présente pas d'altérations. L'incoordination
motrice
a aug- menté, et, si elle est diffficile à appr
e dans la famille qu'il a observée l'ataxie fait défaut; le trouble
moteur
serait très analogue à celui de la sclérose en pl
ire type Charcot-Marie comme une névrite in- terstitielle des nerfs
moteurs
avec dégénération ascendante, d'une lésion semb
uses dans les membres inférieurs, qui s'affaiblissent. Les troubles
moteurs
progressent, tandis que les douleurs diminuent.
le part revient aux lésions des racines et aux lésions des cellules
motrices
dans la patho- génie des troubles moteurs des m
aux lésions des cellules motrices dans la patho- génie des troubles
moteurs
des membres supérieurs (atrophie musculaire, da
538 1 ALQUIER de comprendre en partie, la multiplicité des troubles
moteurs
sensitifs et sphinctériens, et quelques-unes de
ation des fibres cérébelleuses et le mécanisme de quelques troubles
moteurs
. Au point de vue de la systématisation des fibr
cel- lules de Purkinje. Au point de vue du mécanisme des troubles
moteurs
, l'examen histolo- gique de ce cas atteste la v
. Il convient toutefois de faire remarquer que le trajet de la voie
motrice
et du ruban de Reil au niveau du pédoncule et d
(environ) du segment vertical de cette dernière. Ainsi que la voie
motrice
est recouverte de la couche superficielle des f
est en effet indispensable d'établir le parallèle entre le segment
moteur
périphérique et le segment extra-cérébral de la
fère de l'entrecroisement pyramidal qu'en appa- rence. Le neurone
moteur
périphérique comprend la cellule multipolaire de
ne, le nerf périphérique et ses terminaisons muscu- laires (plaques
motrices
). Le faisceau pyramidal ne s'entrecroise qu'en ar
lité. C'est des cellules du type inférieur que naissent les racines
motrices
dont l'ensemble représente, pour ainsi dire, le
s motrices dont l'ensemble représente, pour ainsi dire, le faisceau
moteur
périphérique ou trophique. Nous savons cependan
ins. Ainsi, cet équivalent (il s'agit d'une comparaison) du neurone
moteur
périphérique est représenté par la rétine et le n
emble réunir au point de vue de l'origine du premier neurone, le type
moteur
(centre cortical) et le type sensitif (ganglion
de vue pratique ne pourrait-on pas considérer que l'entrecroisement
moteur
est lui-même extra-cérébral ? C'est-à-dire que
tinées à recevoir les ramifica- tions terminales de l'une des voies
motrices
. Mais cette écorce rétinienne étant sensorielle
les abordent donc les divers niveaux dans le même ordre que la voie
motrice
: rétine (écorce), capsule interne (entre le corp
e vestibulaire, etc., et posséderait vraisemblablement un caractère
moteur
. Le contingent rétino-quadrigéminal correspond
son mécanisme fonctionnel. Il est tout à fait comparable au centre
moteur
cortical. Cette manière de voir peut paraître é
o-corticales qui trans- mettent les impulsions sensitives à la zone
motrice
. Mais pour nous, ces fibres sont peu nombreuses
e, de même le corps genouillé externe est-il l'analogue de l'écorce
motrice
; nous le répétons, il s'agit du mécanisme foncti
ntérieures de la moe ! le, qu'existe toute une suite de commissures
motrices
véritables. De la même façon, les corps genouil
u faisceau pyramidal croisé. Il suffit d'observer l'entrecroisement
moteur
en tenant le bulbe de façon à ce que la face ve
est qu'une rétine intra-cérébrale. Ainsi que l'ensemble des racines
motrice
, constituerait un faisceau plus volumineux que
sait pas de le sortir de l'hémisphère ou de lui donner un caractère
moteur
. C'est un faisceau sensoriel 88 LASALLE ARCHAMB
au niveau du pédoncule, des fibres corticales destinées aux noyaux
moteurs
des nerfs crâniens et aux masses grises de la cal
de trajet, de volume et de disposition fasciculaire que le faisceau
moteur
. Il importe d'insister sur ce fait, que la conf
visuelle, voie sensorielle admise de tous, réunit les deux types :
moteur
et sensitif. Au point de vue morphologie, elle
lisé et dont le trajet intra-hémi- sphérique soit établi. La voie
motrice
est nettement démontrée et au niveau de l'hémisph
a-cérébral qui est de beau- coup mieux isolé que l'est soit la voie
motrice
, soit la voie sensitive au niveau du tronc encé
spasme facial et l'hypercrinie paroxystique), et que les symptômes
moteurs
observés faisaient supposer une lésion moins pr
rbide d'énergie dans un centre sensoriel, se décharge par la moitié
motrice
de l'arc réflexe, sans le concours des fibres, qu
e moitié de notre arc réflexe « double » et l'autre avec sa portion
motrice
, à laquelle s'adaptent les fibres centripètes d
le pas constituer à propre- ment parler un cas d'aphémie, d'aphasie
motrice
. L'aphémie est en effet la perle des images mot
émie, d'aphasie motrice. L'aphémie est en effet la perle des images
motrices
d'articulation (Bouillaud-Broca), autrement dit
dans le cas de mutisme de nais- sance il n'y a ni perte des images
motrices
, ni oubli des mouvements mais, bien plutôt abse
rices, ni oubli des mouvements mais, bien plutôt absence des images
motrices
et ignorance des mou- vements puisque l'enfant
symptômes parmi lesquels dominent la contracture et la paralysie
motrice
. Les faits démontrent qu'à l'heure actuelle il no
qu'on observe dans les cas de lésions en foyer de la zone psycho-
motrice
de l'écorce ou de la substance blanche sous-jacen
de Senator n'est qu'une exception et à la dégénérescence du neurone
moteur
inférieur, du neurone spino- musculaire seul to
pposé, soit de fibres d'association entre les noyaux des deux nerfs
moteurs
oculaires communs. Un exemple de synergie fon
noptose, de douleurs véritables, font penser à une dyspepsie nervo-
motrice
simple à comparer aux palpitations cardiaques neu
lisme. Chez ce malade se développèrent très rapidement des troubles
moteurs
du côté des yeux : un ptosis médiocre bilatéral
andry, dans la poliomyélite antérieure aiguë et dans la polynévrite
motrice
, c'est toujours le même organe qui est touché;
organe qui est touché; toutes trois sont des affections du neurone
moteur
péri- phérique. Si sur le terrain clinique il y
natomie patholo- gique, il est irrationnel d'opposer la polynévrite
motrice
à la poliomyélite antérieure ». L'importance
se trouve, la lésion sera toujours la même; altération du neurone
moteur
périphérique. Suivant l'intensité d'action de la
s isolés. La XIX" leçon est consacrée à une paralysie radi- culaire
motrice
du plexus brachial droit, et qui réalise l'associ
lite antérieure aiguë de l'adulte et de la polynévrite systématisée
motrice
. Cliniquement le diagnostic est possible, et il
ns franche; aussi dans un troisième; dans un quatrième les troubles
moteurs
seuls ont été atténués. La méthode n'influence
atténués. La méthode n'influence donc surtout que l'incoordination
motrice
; malheureusement elle présente des contre-indi
tes Ho CLINIQUE NERVEUSE. dans les mollets. Il n'y a ni paralysie
motrice
, ni amyotro- phie ; mais seulement un peu de ra
plégie droite avec léger affaiblissement de l'intelligence, aphasie
motrice
, agraphie et cécité verbale. Autopsie, trente
onclu- sions suivantes : 1° Le lobe préfrontal contient les centres
moteurs
des yeux et de la tête du côté opposé et celui
entraînant la perte de l'activité psychique. 3° Il serait le centre
moteur
des muscles du dos et son haut développement est
ion des produits reçus ou fournis par les diverses zones sensitivo-
motrices
du cortex, et opère la synthèse de ce qu'on appel
l'extension de la tumeur ou de son in- fluence atrophique à la zone
motrice
; 5° convulsions fréquentes mais de natures et
ces deux régions en apparence éloignées. Cependant les phénomènes
moteurs
sont également plus accusés et les phénomènes men
certitude de l'irritation d'un point toujours le même de la zone
motrice
, l'opération doit alors enlever non seulement l'a
Depuis les travaux de Hitzig et de Fritsch, la plupart des centres
moteurs
ont été topographiquement délimités sur l'écorce
aux mouvements des muscles du même côté ; 3° il n'y a pas de centre
moteur
des yeux dans le lobe frontal du chien; 4° la s
s restreintes. P. S. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. VIII. DE l'éducation
motrice
graduelle (Méthode de Fi-enhel) ET DE la RÉVULS
e, dans les cas de tabes avec ataxie, le traitement par l'éducation
motrice
est indiqué : on obtient toujours une amélio- r
1° Les états caractérisés par l'inhibition de l'activité sensitive,
motrice
et mentale, sans lésion organique importante, com
'est-à-dire de l'apport de l'impression périphé- rique aux cellules
motrices
. Si le tabes initial renseigne sur la première
ut distinguer trois éléments : les syndromes tabétiques (sensitifs,
moteurs
, trophiques, etc.), - l'ordre d'apparition de c
laire proprement dite. Enfin nous pouvons dire que l'incoordination
motrice
ne suit pas nécessairement la lésion des bandel
M. Merklen, ne présenta jamais la moindre ébauche d'incoordination
motrice
. Nous arrêterons là l'exposé de nos recherches
de la partie postérieure de la capsule interne atteindre les fibres
motrices
et sensitives du côté opposé. Encore pareille l
ace ni de l'oeil. Tout se bornait donc à une paralysie sensitive et
motrice
du trijumeau droit. Les troubles du goût observ
autres formes de l'agraphie, irréductibles, méritent les noms de :
motrice
ou sen- sorielle (optique ou acoustique) et peu
il peut, par suite, encore écrire, même spontané- ment ; le centre
moteur
de l'écriture n'est pas lésé. Voici un nouveau
s mois après l'accident que se pro- duit le complexus symptomatique
moteur
(affaiblissement des membres inférieurs - tremb
page en second lieu aux méninges : d'où les accidents convulsifs et
moteurs
, accès épileptiformes et paralytiques, dont le
ite. En même temps ou bientôt après fut notée une paralysie du nerf
moteur
oculaire externe du même côté. A l'examen, qui
s mou dans les trois cas par une lésion de la branche de la portion
motrice
du trijumeau. Discussion. - M. NATANSON cite de
e comme l'expres- sion extérieure d'un état neuroclonique des nerfs
moteurs
. Elle ne doit pas être regardée comme constitua
nie gauche qui s'accompagna, au bout de huit jours, de paralysie du
moteur
oculaire commun et du moteur oculaire externe d
bout de huit jours, de paralysie du moteur oculaire commun et du
moteur
oculaire externe du côté gauche; guérison au bout
du côté gauche; guérison au bout de quinze jours de la paralysie du
moteur
oculaire commun, persis- tance pendant huit moi
oculaire commun, persis- tance pendant huit mois de la paralysie du
moteur
oculaire externe ; pendant cette période, attén
ès, hémicranie droite et, consécutivement, paraly- sie partielle du
moteur
oculaire commun droit, puis, dix mois après, pa
hémicranie correspondante ; 4° La paralysie peut frapper le nerf
moteur
oculaire externe tout comme le nerf moteur ocul
sie peut frapper le nerf moteur oculaire externe tout comme le nerf
moteur
oculaire commun, mais il n'a pas encore été obs
e été observé de migraine ophtalmoplégique avec paralysie isolée du
moteur
oculaire externe. La paralysie du moteur oculaire
e avec paralysie isolée du moteur oculaire externe. La paralysie du
moteur
oculaire commun n'est pas invariablement totale
se trouve exclusivement dans les éléments cons- tituants de la voie
motrice
corlieo-médullaire, on observe encore un grand
erveau ; au début, il y a eu un gros foyer agissant sur les centres
moteurs
et sensoriels, ainsi que sur leurs voies d'asso
ainsi que sur leurs voies d'association dès la 3° frontale (centre
moteur
de la parole), la temporale supérieure (centre
impressions visuelles (centre optique) et le centre >ensoriel et
moteur
de la parole et le centre motear cyaphique. En
2° celles qui sont dues à une diminution de conductibilité desvoies
motrices
del'arc réflexe psychique ; 3° celles qu'entret
nsitivo-sensorielle (obsessions hallucina- toires) ; 3° à la sphère
motrice
(obsessions impulsives) ; 4° à la sphère psychi
ivre avec perte de substance et qu'il n'est pas besoin que la force
motrice
soit intéressée pour produire des accidents épi
Les auteurs lui attribuent une grande importance, car les trouhlls
moteurs
et mentaux s'expliquent bien par l'irritation des
verbales, elles sont quelque- fois combinées, auditives-verbales et
motrices
. Elles concernent des faits anciens ou des pers
es visuelles a été plus difficile que celui des images auditives ou
motrices
, et dans les essais faits pour provoquer le ret
la sensibilité cutanée, et probablement ils sont séparés des vaso-
moteurs
des artères.- Dans la discussion M. MooRaTOFF e
mes suivants : hémiplégie droite, légère aphasie, parésie des nerfs
moteurs
artériels et de l'hypoglosse droit, aneslhésie
7. Imprimerie L. Oela- roche et Cie. SANO (F.). Les localisations
motrices
dans la moelle louzbo-srrcrée. Brochure in-8° d
t d'innombrables incitations trans- mises à des groupes de neurones
moteurs
inférieurs, exécu- teurs aveugles des actes et
uissance ou le degré de différenciation fonctionnelle des appareils
moteurs
, la masse de l'animal est un autre facteur impo
t externes, avec la puissance et la diffé- renciation des appareils
moteurs
; les faisceaux d'association sont l'expression
ouvoir parler ni comprendre ce qu'on lui disait. Cet état d'aphasie
motrice
et de surdité verbale persista et devint perman
l'idée impulsive. Bien qu'au fond de toute idée il y ait un élement
moteur
, et que les idées obsédantes soient de véritables
ecter une forme quelconque, être verbale ou commune, sensorielle ou
motrice
, atteindre aussi la sensibilité générale.' .'
tuels. 5. La présence d'hal- lucinations tant communes que verbales
motrices
ne constitue pas un fait caractéristique pour l
série, t. IV. 28 434 SOCIÉTÉS SAVANTES. que la section d'un nerf
moteur
ou sensitif amène une désinté- gration des élém
cte. Les lésions qui déterminent la section d'un nerf sensitif ou
moteur
sont très faciles à constater. Il suffit de coupe
e de la maladie nous y autorise, que chez notre malade les neurones
moteurs
périphériques étaient atteints rien qu'en leurs
rises doulou- reuses, des troubles des sphincters, des aggravations
motrices
, etc. A ces phases, cliniquement bien définies,
es, qu'on rencontre dans la dégénérescence rétrograde des faisceaux
moteurs
. L'atropie des cellules des cornes antérieures
ules des cornes antérieures résulte de la mor- bidité des faisceaux
moteurs
périphériques. La leptoméningite, qui provoque
M. A. Chauveau ; - Structure intime des libres terminales des nerfs
moteurs
des muscles striés des Am- phibiens ; par M. Ch
- phibiens ; par M. Charles Rouget ? Recherches sur l'innervation
motrice
et inhibitrice des muscles du poumon; par M. M. D
ce et inhibitrice des muscles du poumon; par M. M. Doyon; Influence
motrice
du grand sympathique sur l'intestin grêle par M
et L. Hallion ; Structure intime des plaques terminales des nerfs
moteurs
chez les vertébrés supérieurs; par M. Charles Rou
dier ; Note sur les procédés de recherche des plaques terminales
motrices
; par M. Charles Rouget; Sur un nouveau procédé de
s centres nerveux; par MM. André Broca et Charles Richet; Influence
motrice
du grand sympathique et du nerf érecteur sacré
produit : de la blépharoptose ; un affaiblissement de la branche
motrice
de la cinquième paire; de la dysphagie ; un troub
i confirme cette manière de 'soir. P. RELLAY. XXXVI. Paralysie DU
MOTEUR
oculaire commun par névrite hémor- RIJAGIQUE ;
lo-moteur, intégrité du nerf lui-même. Or l'examen microscopique du
moteur
oculaire commun de l'oeil para- lysé montra des
il y a un nombre énorme d'observations dans lesquelles les troubles
moteurs
des extrémités supérieures et inférieures sont
sentiment en question a tellement exagéré l'innervation des centres
moteurs
que l'énergie nerveuse en excès a continué, plus
. CezlralLl., XV, 18cJ6.) Trois séries de symptômes : 1° Troubles
moteurs
; atrophie et parésie des muscles de la cein- t
iie, de nystagmus, de ver- tiges violents, de troubles sensitifs et
moteurs
disposés en seg- ments ; on doit admettre par c
eunesse, semblent jouer un rôle important. On doit considérer comme
moteurs
étiologiques très importants l'ischémie progres
on cérébrale était bien limitée à un peint de la région des centres
moteurs
dans l'écorce cérébrale. Ces cas simples sont r
ilepsie jacksonienne accompagnait des lésions éloignées des centres
moteurs
ou de grosses lésions ne touchant que fort peu
moteurs ou de grosses lésions ne touchant que fort peu ces centres
moteurs
. Parmi les cas qui peuvent entraîner la con- vi
à cette circonvolution. Mieux connu, sans doute, est le territoire
moteur
toujours en relation avec le système muscu- lai
ont perdu successivement leurs facultés sensorielles sensitives et
motrices
en produisant fréquemment la paralysie, spastiq
finit : Névrose de la sensibilité tactile de l'estomac. La fonction
motrice
et sécrétoire de l'estomac peut y être altérée (a
ion à l'élude de la - asthé- nique, par Fa.Jerstzajn, ,ï01. - dit
moteur
oculaire commun, par Gibson et Turner, 502. - f
ies du système nerveux, par l3uccelli, 322. Tabès. De 1 éducation
motrice
et de 'la révulsion galvanique dans le- par '
vue. Etat actuel : Ilubifus et état mental ; fonctions scazsilives,
motrices
, génitales, organiques. Euythrasma : carnc- tèr
tère d'un hystérique ou d'un épileptique. Fonctions sensitives et
motrices
. - 10 Odorat : R... reconnaît des deux narines
nés au niveau précis de la région excitée. {Phase d'ischémie vaso-
motrice
.) 2° Quelques instants après, apparition d'une
ans le service. Si l'hystérie semble favoriser les troubles vaso-
moteurs
de la peau et notamment la stéréographie 1 Huch
diques; 2° syn- drome de symptômes tabétoïdes; 3° symptômes vaso-
moteurs
; 4° symptômes vésicaux; 5° symptômes rec- taux
r tous 28 CLINIQUE NERVEUSE. les cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie
motrice
et sensitive, rétention d'urines et de selles;
do picotements. Il n'y a nulle part la moindre trace de paralysie
motrice
. Pas de troubles myatrophiques, les muscles de so
rps étant même parfaitement bien conservés. Pas de troubles vaso-
moteurs
. Rien du côté de la vessie, -du ]ectum et des org
ervalle entre la décompression et l'invasion de l'accident. Aphasie
motrice
et surdité psychique, étourdissements. Au bout
xisté chez le malade de l'OBSERVITION XXV ont con- sisté en aphasie
motrice
et en surdité psychique ; le malade ne pouvait
ux diverses articulations; celle de l'OBSERVATION XXV par l'aphasie
motrice
, la surdité psychique et les étourdissements; c
ée cor- respondant à très peu de chose près à celle de la paralysie
motrice
. Parésie spastique au membre inférieur droit. T
ui correspondait, à très peu de chose près, à celle de la paralysie
motrice
. Rappelons enfin, cela mérite de fixer l'attent
. IEIt 1\' : 1L. VII. Contribution A l'étude DES lésions DE L\ zone
motrice
DU cerveau; par 1V. Koe.nig. (Arc/i. f. Psych.,
de la face, de la langue, des extrémités, avec analgésie et aphasie
motrice
, suivie d'affaiblissement pro- gressif des facu
antérieure en est actuellement principalement considérée comme non
motrice
. M. KcEt'pEN (de Strasbourg). De la chorée et d
ires qui, dans diverses parties du corps, concourent à une fonction
motrice
définie (synergie), et aussi, par celle de grou
e 17 pour 8 places. Les questions restées dans l'urne étaient : ÀV.
moteur
oculaire commun (a. et p.); Corps striés (a. et
ociée à la cécité verbale, jointe aussi à plus ou moins de troubles
moteurs
. L'histoire cli- nique de la malade dont je don
u la fonction cen- trifuge ; en d'autres termes, c'était un trouble
moteur
ou un trouble de transmission. Ross. - On Aph
nter d'hypothèses pfus ou moins probables. Ainsi, quoique la région
motrice
de la couche corticale ait été dessinée avec un
malades appartenant à cette forme, nous distinguons (a), l'aphasie
motrice
; (6), la surdité verbale et (y), l'aphasie comp
), la surdité verbale et (y), l'aphasie complexe. , ' a). Aphasie
MOTRICE
.- Les trois observations qui suivent sont des c
MOTRICE.- Les trois observations qui suivent sont des cas d'aphasie
motrice
simple et pure dégagée de toute autre espèce de
édiatement après la décom- pression, à dix heures du matin, aphasie
motrice
. DftMS l'après- midi, commencement du retour de
e qu'il veut dire.- A onze heures du soir, disparition de l'aphasie
motrice
. Le 15 août, deuxième accident d'aphasie motric
ion de l'aphasie motrice. Le 15 août, deuxième accident d'aphasie
motrice
, d'une durée de deux heures, survenu à la premi
, pas de paralysie des extrémités. La durée totale de cette aphasie
motrice
a été de 13 heures à peu près. Depuis cette é
re la décompression et l'in- vasion de l'accident. Première aphasie
motrice
trois à quatre minutes de durée suivie d'un int
durée suivie d'un intervalle de six, sept minutes. Deuxième aphasie
motrice
quatre à cinq minutes de durée suivie aussi d'u
ie aussi d'un intervalle de six à sept minutes. Troisième aphasie
motrice
de la même durée, suivie d'un intervalle presque
n intervalle presque isochrone * aux deux autres. Quatrième aphasie
motrice
suivie cette fois-ci de guérison complète du ma
out ce qu'il écrivait. Or, nous étions là en présence d'une aphasie
motrice
(type Bouillaud-Broca). Par contre, chez l'ho
l qui s'est passé chez le malade de I'Observation XXXI. Son aphasie
motrice
survenant brusquement et d'une durée momentanée
té musculaire. On sait que si l'on presse mécaniquement sur un nerf
moteur
, tous les muscles desservis par ce nerf entrent
rganes des sens. Mais, comme Soltmann, il reconnaît que les centres
moteurs
se développent suivant un certain ordre : les c
s centres des muscles du dos. Chez le chien nouveau-né, les centres
moteurs
sont disposés autour du glyrus symoïdeus comme
z l'adulte. Seulement, tandis que chez le chien adulte, les centres
moteurs
sont bien cir- concrits et régissent chacun un
de phénomènes d'épilepsie, ni avant le dévelop- pement des centres
moteurs
, ni à l'âge de un mois et plus, alors que ce dé
e les masses grises de l'aqueduc de Sylvius et les noyaux des nerfs
moteurs
. Ses fibres s'entourent de myéline en même temp
des fibres commis- surales à long trajet, qui réunissent les noyaux
moteurs
des yeux-, et dégénèrent de bas en haut; 3° des
ais, tandis que la perte de la sensibilité persiste, la paralysie
motrice
disparait au bout de quelques semaines; la regéné
ion ne s'effectuant pas, il faut donc admettre que les impul- sions
motrices
arrivent aux deux côtés de la moelle par le seul
cobaye sain, paralyse les deux membres gauches. Donc les impulsions
motrices
, chez le co- baye, ne passent d'un côté à l'aut
ro- épithélium se produit tardivement. Les terminaisons des nerfs
moteurs
diffèrent peu de celles des nerfs sensitifs. La
erfs moteurs diffèrent peu de celles des nerfs sensitifs. La plaque
motrice
terminale est un produit de la différenciation
ance avec la forme simple des terminaisons des cellules ner- veuses
motrices
; l'innervation de quelques-unes des cellules de
de la fonction des nerfs crâniens, ni îles viscère*. Les accidents
moteurs
na furont Archiaes, t. XVII. tU . 290 REVUE D
riphériques ( ? ), mais intégrité des troncs radiculaires des nerfs
moteurs
des yeux. Aucune autre lésion organique à l'app
ne spinale (paresthésies, phénomènes d'excita- tion et de paralysie
motrices
, accidents vaso-moteurs). Sur plus de trois cen
qui perdent une partie de leurs fibres dans les plans d'origine du
moteur
oculaire commun, citer des tractus qui, aplatis
On est d'après ces faits autorisé à distinguer, à côté de l'aphasie
motrice
(de Broca) de l'aphasie sensorielle de Wernicke
xiste depuis huit jours, en même temps que la plus grande agitation
motrice
. Les mouve- ments présentent d'ailleurs un cara
harcot et A. Pitres. Etude critique et clinique des localisa- tions
motrices
Paris, 1883, p. 3. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 35
centre relatif peut produire quelquefois, s'il s'agit d'un centre
moteur
par exemple, la parésie ou la paralysie du grou
itres. Elude critique el clinique de la doctrine des locah- sations
motrices
, p. M, ôo, 1., p. 20. 35H physiologie. 167 ob
née, avec la méthode qui l'a produite, la topographie des centres
moteurs
corticaux d'Exner, sont au moins d'accord avec
ent sans se confondre, bref, qu'il yaun certain nombre d'organes ^
moteurs
isolables. Ils ajoutent, il est vrai, qu'en che
trefois amusé bien que personne n'ait jamais prétendu que le centre
moteur
du bras fût dans le gyrus angulaire, à réunir v
assembler une vingtaine de cas cliniques pour prouver que le centre
moteur
du bras siège dans le lobe frontal, etc. On peu
pellent, que Charcot et Pitres ont fondé leur doctrine des centres
moteurs
de l'écorce. « Pour déterminer la topographie d
moteurs de l'écorce. « Pour déterminer la topographie d'un centre,
moteur
cortical,... il vaut mieux rechercher et compar
scure; tout enfin conduirait à admettre que la perle dès. fonctions
motrices
volontaires n'a atteint le degré de paralysie o
Bref, la tentative d'édifier une doctrine physiologique des centres
moteurs
de l'écorce sur le critère des lésions minima s
lui-même dans sa classique descrip- tion' « la paralysie des nerfs
moteurs
(de )'oei))... peut même manquer ». Le champ
céphalalgie, autre symptôme céphalique assez fréquent; l'aphasie
motrice
de la forme aphasique ; une véritable crise men
de vingt minutes, le trouble du langage et dans l'espèce l'aphasie
motrice
, disparait pour faire place à des symp- tômes m
, vertige, mal de tête, douleurs aux lombes et à l'estomac, aphasie
motrice
, DES ACCIDENTS PAU L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 41
int trois fois et le second deux fois du même accident, d'aphasie
motrice
au cours de leur travail; le plus sou- vent, au
es d'abord, comme on a vu le froid frapper les éléments des plaques
motrices
de certaines régions dans un cas rapporté par M
encé par les centres psychiques. Plus tard, il a envahi les centres
moteurs
' qui sont peu à peu, devenus incapables d'exté
ncre, un tremblement qui n'est que la réflexion avortée des centres
moteurs
malades. On ne saurait expliquer autrement un t
ontré par le défaut absolu d'automatisme spontané; 20 les centres
moteurs
, privés de cet excitant avec lequel ils sont en r
ais plus rarement, chez les hysté- riques, des troubles des muscles
moteurs
des paupières et du globe oculaire, d'une natur
nt des altérations dans les rameaux sensitifs que dans les branches
motrices
. Lorsque la névrite siège dans les nerfs mixtes
exclusivement soit sur les fibres sensitives, soit sur les fibres
motrices
(exemple : la lésion due au curare); la névrite
érieures de la moelle et des noyaux mo- teurs du bulbe, les centres
moteurs
des muscles seuls auraient été touchés et le ce
sensations cutanées. Il y a une identité complète, entre les zones
motrices
corticales sensitives et motrices. Quand il y a
dentité complète, entre les zones motrices corticales sensitives et
motrices
. Quand il y a anesthésie, on trouve une lésion
C.-K. Mills pense qu'il y a un grand nombre des lésions des centres
moteurs
corticaux sans anesthésie, 490 SOCIÉTÉS SAVANTE
oyer traitée avec succès par la trépanation et l'excision du centre
moteur
, sans réapparition des attaques au bout de deux m
tremblement musculaire. M. le Dl Pinnp C. z (de Boston). Troubles
moteurs
hémiplé- giques chez les enfants. M. le Dr J.
tés, et à peu près en même temps les troubles si connus des sphères
motrices
sensibles circulatoires et viscérales. L'inca
étaphores désignant les troubles de l'appareil visuel ou du système
moteur
. Pour la volonté, définie par AI. Ribot, on che
xe ; s'il est vrai que ce mécanisme ait pour fond définitif et pour
moteur
ultime le caractère, c'est-à-dire le moi en tan
nent toujours insuffisants. P. KEHAVAL. XIV. De quelques troubles
moteurs
post-hémiplégiques chez les enfants ; par le D
; - cerveau et activité céré- brale, par Herzen, 197 ; - troubles
moteurs
post-hémiplégiques chez les enfants, par Knapp,
convergence des - au début du tabes) par Wattevilte, 294. Zone
motrice
(étude de la du cer- veau), par Koning, 111.
elles se ma- nifestent par des troubles psychiques, sensoriels ou
moteurs
, offrent entre elles des affinités nombreuses,
sem- ble que, dans les centres d'idéation comme dans les centres
moteurs
, les cellules cérébrales aient une tendance à s
rme mixte névro-psychopathique, en ce sens que souvent les troubles
moteurs
et sen- soriels, les phénomènes d'ordre somatiq
ui sous le nom de- faisceau pyramidal; il met en relation la zone
motrice
du cerveau et les cellules des cornes anté- rie
e, on l'a vu, 1 Charcot. Si»' la tuméfaction des cellules nerveuses
motrices
, et du cylindre-axe des tubes nerveux, dans cer
omiques constituent des groupes, et se disposent en couches. L'aire
motrice
relève du type à cinq couches et se caractérise
requ'elles sont plus profondément situées. Les cellules pyramidales
motrices
sont, chez ce dernier animal, très volumineuses
A LOCALISATION DU CE\1'REDE L'IRIS ET DE LA CONTRACTION DES MUSCLES
moteurs
de L'OEIL; par l3ECDTEREFr·. (Messager de psychia
la cavité du troisième ventricule et se diligent vers les noyaux du
moteur
oculaire commun et de làavec le tronc de ce ner
ondante de la substance centrale, dans le noyau et le tronc du nerf
moteur
ocu- laire commun du même côté. ,'i0 Entre le
probabilité, dans les fibres commissurales des deux noyaux du nerf
moteur
oculaire commun. (Le 6 6 manque dans l'original
s se localisent, selon toute vraisemblance, dans les noyaux du nerf
moteur
oculaire. 8° Dans le plancher du troisième vent
le, il n'existe pas de centres qui servent à contracter les muscles
moteurs
de l'oeil, dans le sens de MM. Ilonsen et Wolke
ts dans la position de l'oeil apparaissant avec les autres troubles
moteurs
(perte d'équilibration du corps et mou- vements
montrent que tous les organes cités ont une influence sur la sphère
motrice
de l'oeil en général, sans excepter les globes
l doivent se trouver dans le domaine des noyaux des nerfs oculaires
moteurs
, parce que la destruction de ces noyaux ou des
e plancher du quatrième ventri- cule .séparément des noyaux du nerf
moteur
oculaire. REVUE D'ANATOMIE HT n ? r : 5s : ot.o
neux sur sa voie, il partir du chiasma et jusqu'au noyau du nerf
moteur
oculaire. l3ouvor.r. III. DE LA DIRECTION DES F
couche optique en avant des deux précédentes et comprend la région
motrice
du lobe frontal. De sa destruction résulte l'at
arcot et Pitres. (Nouvelle contribution à l'étude des localisations
motrices
dans l'écorce des hémisphères du cerveau. Revue
uscles innervés par l'hypoglosse, le facial inférieur et la branche
motrice
du trijumeau. 2° Lésions du centre ovale. Ain
n crie très fort près de son oreille. Aucune paralysie des membres,
motrice
ou sensitive. La malade se tient debout et marc
). Pas de paralysie de l'orbicu- laire des paupières ni des muscles
moteurs
de l'oeil. Affaissement cérébral assez accentué
férieur ; il contient de plus les fibres cérébrales de la branche
motrice
du trijumeau, car il est dit dans les observa-
l'herpétisme"est le 'fait 'de troubles de l'innervation sensitive,
motrice
, mentale, vaso-motrice et que, partant, il cons
ouvent les muscles des membres inférieurs, frappés d'incoordination
motrice
, sont seuls envahis (Laborde, Duménil). Dans le
la mâchoire inférieure sont impossibles, ce qui prouve que le noyau
moteur
du trijumeau est atteint également. Les mouveme
diplopie, avec strabisme interne de l'oeil gauche, par paralysie du
moteur
oculaire externe. La pointe de la langue s'est
s'assurer que ses extrémités y reposent ; ataxie et incoordination
motrice
très marquée; incontinence d'urine par moments
auparavant, il avait présenté les symptômes d'une pa- ralysie du
moteur
oculaire commun du côté gauche. Ce complexus sy
intéresse à la fois le noyau originel de l'hypoglosse et ceux des
moteurs
oculaires. Au premier abord, on serait tenté d'
ait tenté d'invoquer l'appa- rition de ces troubles, dans la sphère
motrice
, contre la systématisation de la- lésion de l'a
ophique. De même, si l'on veut interpréter sainement les phénomènes
moteurs
de l'ataxie bul- baire, il est nécessaire de le
les desservis par les nerfs médullaires, résultent l'incoordination
motrice
étant, bien en- tendu, mise à part- soit de par
rs ou sur le nerf sensible lui-mème, peut agir sur les élé- ments
moteurs
de la moelle et déterminer une para- lysie. » '
SE. les limites du système sensitif, pour empiéter sur le système
moteur
. Cette dernière proposition trouve sa démonstra
its anatomo- pathologiques. Le caractère transitoire des troubles
moteurs
, l'absence des phénomènes qui d'ordinaire révèl
le facial, comme ceux qui le sont par l'hypoglosse, par la partie
motrice
du trijumeau, par les troisième, quatrième et s
aves des muscles oculaires et souvent même une atrophie des nerfs
moteurs
oculaires ». Or, ces diverses atrophies muscula
moelle. C'est qu'en effet les noyaux du bulbe (noyaux du facial,
moteur
du trijumeau, des 3', 4° et 66 paires, ajoutons
en présence de tous les cas de tabes se traduisant par des troubles
moteurs
ou tro- DE L'HG\IIaTROPIIIr nE LA LANGUE. 1217
Putnam. - Recherches sur les troubles fonctionnels des nerfs vaso-
moteurs
dans le tabès sensitif. Thèse, 1882. '23, . 1"E
roubles sensitifs commandent souvent, nous l'avons vu, les troubles
moteurs
qui sont variables comme eux; mais de même qu'i
l est très probable que le centre classique n'est pas non seulement
moteur
pour la parole, mais trophique en même temps.
les altérations aiguës qui frappent presque exclusivement le cordon
moteur
cérébro-spinal. La terminaison fatale qui est d
estruction des amas de substance, grise interposés entre les fibres
motrices
. 1 CH. F. IV. Des paralysies chez les choréique
énominations de : faisceau sensitif, faisceau pyra- midal (faisceau
moteur
des membres), faisceau géniculé (faisceau moteu
midal (faisceau moteur des membres), faisceau géniculé (faisceau
moteur
de la face, de la langue, du voile du palais),
érébral (Soc. Biologie. 1882, p. S ? 9.) 298 PATHOLOGIE NERVEUSE.
motrices
destinées à l'innervation des muscles de la fac
rieur (faisceau de l'hypoglosse, du facial inférieur, de la branche
motrice
du trijumeau) suivent dans la capsule interne e
cinq millimètres de hauteur. Le foyer est situé dans la pyramide
motrice
droite, à cinq millimètres de la ligne médian
lacunes occupant les faisceaux les plus postérieurs delà pyramide
motrice
, sans empiéter sur les fibres transversales. L'
dp la protubérance. - Foyer de ramollissement dans la py- ramide
motrice
droite. 3Ui i PATHOLOGIE <OERVI.;¡;S.E.
ut les faisceaux constituant la moitié postérieure de la pyra- mide
motrice
. Du côté droit, le ramollissement occupe à peu
ramollissement occupe à peu près le quart postérieur de la pyramide
motrice
et empiète légèrement sur les fibres transversa
sement siégeant à la partie postérieure et interne de la pyra- mide
motrice
gauche de la protubérance. (7 ? 11.) Dans ces t
ollissement situé à la partie pastérieure et interne de la pyramide
motrice
droite; -'dans l'Observation III, un foyer de r
ramollisse- ment situé dans la moitié postérieure de la pyramide
motrice
gauche, se rejoignant sur la ligne médiane à un
e à un foyer récent occupant le quart postérieur de la py- ramide
motrice
droite et empiétant légèrement sur les fibres t
ramollissemeut siégeant à la partie postéro-interzze de la pyramide
motrice
gauche. Les lésions qui donnent lieu à la gloss
ans la protubérance, la partie postérieure et interne des pyramides
motrices
: nous sommes con- duits, par là, à regarder ce
nt dans la protubérance la partie postéro-interne des py- ramides
motrices
, s'entrecroisent et de là gagnent le plancher d
nce secondaire semblerait prouver qu'un trousseau de fibres d'ordre
moteur
joint le pulvinar et la couche optique au cerve
XXIX. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'athétose ET des névroses VASO-
motrices
DES extrémités; par Martin BER,-4111tDT. (Arch. f
type d'hémiplégie corticale; il confirme la localisation des zones
motrices
des extrémités dans le tiers supérieur des deux
centué du côté malade; ses mailles sont plus serrées. Les racines
motrices
extra-médullaires sont un peu plus minces du cô
ens des fibres nerveuses) que dans le cinquième et le sixième nerfs
moteurs
droits cervicaux. Les nerfs périphériques ne
rocessus qui, d'une manière quelconque, para- lyse les départements
moteurs
ou sensoriels du cerveau, paralyse eu même temp
aux trois autres observa- tions se résument en : atrophie des nerf
moteurs
de l'oeil et de leurs muscles (hyperplasie conj
la première fois, pénétré dans la connaissance. Quant aux troubles
moteurs
de la démence paralytique, les uns dérivent de
yépar les symptômes psychiques surajoutés aux troubles sensi- tifs,
moteurs
, etvaso-moteurs. A ce moment, le malade a lui-mêm
on réticulée de l'étage supérieur des pé- doncules cérébraux (champ
moteur
), mi-partie dans l'olive infé- rieure. Cette te
cendante et descendante) montrent qu'il contient réunies des fibres
motrices
et des fibres sensitives. Discussion : - - M.
rédité nerveuse (du rôle de l' - dans la genèse de l'ataxie loco-
motrice
progressive), par Ballet et Landollzy, 259. H
localisation du centre de l'iris et de la contraction des muscles
moteurs
de l'), par Bechtereff, 121. OEil (paralysie
maladies du système nerveux et en particulier dans l'ataxie loco-
motrice
), par Ch. Féré, 224. Vision mentale (perte de l
dure... morphine. Il y a vingt ans s'est montrée une incoordination
motrice
; il faisait des écarts et menaçait de tomber. D
outtes dans son pantalon. Depuis une dizaine d'années, les troubles
moteurs
se sont nota- blement accrus; fréquemment dans
Absence des réflexes rotuliens. Signe de Romberg. L'incoordination
motrice
est absolument typique. Le malade appuyé sur un
ture. Puis, huit ans plus tard, est survenue une incoordina- tion
motrice
, avec des troubles urinaires bien spéciaux. Ce
fulgurantes typiques, la constriction en ceinture, l'incoordination
motrice
particulière, l'iné- galité pupillaire, le sign
mes déjà expliqués sur la plupart d'entre eux. Quant aux troubles
moteurs
, nous ferons remarquer en pas- sant, qu'il y a
une légère incontinence d'urine de temps à autre. Comme troubles
moteurs
, incoordination absolument tabétique. Le malade
phénomènes tabétiques; troubles de la sen- sibilité, incoordination
motrice
à évolution rapide, signe de Westphal et de Rom
trés du côlé des membres inférieurs des phénomènes d'incoordination
motrice
, qui ne se surgissaient qu'à l'occasion de la s
s sensitives que sa racine descendante est, au moins partiellement,
motrice
, ou, peut-être, trophique, du moins que la raci
uivant toutes probabilités (pas d'autopsie), aux régions corticales
motrices
(intégrité du facial; contracture secondaire).
haut et en dehors, en haut et en dedans ataxie statique et loco-
motrice
- atrophie des N. 0. absence du signe de Romberg,
douleurs térébrantes et une diminution des réflexes; comme troubles
moteurs
, une dimi- nution notable de la force musculair
. 110 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXXVIII. Sur un cas d'aphasie
motrice
ET sensorielle; par , M. E. LACROIX. (Lyon méd.
: il s'agit d'un malade atteint d'hémiplégie droite avec aphasie
motrice
, surdité et cécité verbales, à l'autopsie duquel
llissement siégeant l'un dans le centre ovale de Vienssens (aphasie
motrice
), l'autre, au milieu de la deuxième circonvolut
ce; avec cela l'absence des troubles des sen- timents, d'excitation
motrice
et de stupeur, ou du moins l'appa- rition seule
manifestations de la vie psychique, la marche des idées, la sphère
motrice
; si la mélan- colie ou la manie se compliquent
tres de la fonction du langage et être verbale, auditive, visuelle,
motrice
d'articulation, ou même motrice graphique; 5° t
t être verbale, auditive, visuelle, motrice d'articulation, ou même
motrice
graphique; 5° toutes ces hallucinations verbales,
es , ,etuaxqJufu soient ou non des : attaques d'épilepsie, non plus
motrices
,' mais, purement intellectuelles,'1'' il import
toutefois elles existent, dans le diabète vrai. 2° L'incoordination
motrice
. Les troubles de la démarche n'ont rien de comm
ne impor-. tance de premier ordre. Appartiennent à l'ataxie loco-
motrice
progressive le myosis bilatéral, le signe d'Arg
naîtraient des lésions peu profondes des noyaux bulbaires des nerfs
moteurs
de l'oeil, car, ajoutent-ils, elles ont un cara
par Friedreich : caractère familial de l'affection, incoordination
motrice
se manifestant dans les jambes et les bras, d'a
hez deux sujets de notre famille corrige nettement l'incoordination
motrice
. Chez l'un d'eux, fait signalé par Mendel, il e
il y a hallucination verbale visuelle, verbale au- ditive, verbale
motrice
et même verbale graphique. L'excita- tion des c
rbale motrice et même verbale graphique. L'excita- tion des centres
moteurs
du langage produira, suivant le degré d'excitat
ice simple ou enfin à l'état plus faible, la représentation mentale
motrice
. Cette manière de voir est acceptée aujour- d'h
ui nous offre réunis diffé- rents degrés de l'hallucination verbale
motrice
. «Elle est obligée de parler sa pensée, » ou bi
toire. Nous suivrons le développement de l'hallucination psycho-
motrice
successivement chez les mélancoliques avec cons-
tion mentale se fait sur- tout à l'aide de représentations mentales
motrices
c'est qu'elle arrive ainsi à se parler à elle-m
qui pouvait être articulée, ce qui prouve que c'est bien le centre
moteur
d'articulation qui était excité. La façon dont
t degré le phénomène de la conversation mentale à l'aide des images
motrices
, puisque la malade « cause en elle- même » comm
z elle ce n'est que secondairement et par l'intermédiaire du centre
moteur
d'ar- ticulation où se produit primitivement l'
11 n'est pas rare d'ailleurs de voir les hallucinations ver- bales
motrices
s'accompagner d'une sensation auditive spé- cia
corticale, au' niveau de la région frontale gauche et de la région
motrice
du même côté ; 2° épaississement des parois de
t dans des désordres organiques ou fonctionnels des centres nerveux
moteurs
. L'épilepsie provoquée par lacuichonidine, anal
s centres. C'est, en un mot, pour les centres nerveux psychiques et
moteurs
l'analogue de l'accès de délire aigre pour les
clusions de ces recherches. ' 1° Un foyer d'inflammation de la zone
motrice
du cerveau peut déterminer chez le chien une pa
es faisceaux pyramidaux soit l'intermédiaire obligé de la paralysie
motrice
et des phéno- mènes d'excilation. Cette opinion
ait extirpé cet hémisphère. Il n'y a eu à aucun moment ni paralysie
motrice
, ni phénomène d'excitation. Or le système nerve
s vertébrés. Il serait donc possible que l'absence de tout accident
moteur
, malgré la destruction étendue du cerveau, tien
de l'encéphale. L'absence, dans l'espèce, de troubles sensitifs et
moteurs
montre qu'ils ne sont pas la con- séquence d'al
L'auteur admet dans ce cas l'existence d'une hypertonie des vaso-
moteurs
, liée à une excitation des centres de la cinquièm
ziey). M. le Dr Rorx supposeune altération dynamique des centres'
moteurs
et vaso-moteurs, dépendante d'une lésion périphér
agérée des nerfs sensitifs si, en même temps, la fonction des nerfs
moteurs
n'est pas complètement abolie. M. le Dr MOUR.
de préambule il examine comment l'association de certains troubles
moteurs
, sensitifs et trophiques de l'hystérie peut sim
sée par des troubles des fonctions intel- lectuelles, sensitives et
motrices
, pouvant aller jusqu'à leur abo- lition presque
ance absolue avec les troubles quelconques des organes sensitivo-
moteurs
. ZD En terminant, M. Chervin a rappelé la métho
ane de la 0 région antérieure, il produit une détermination idéo-
motrice
, un acte volitionnel. Cette distinction va nous
nt un trajet analogue, actionne en sens inverse la région psycho-
motrice
, un mouvement de recul s'effectue, les deux sen
ontrôle de la région antérieure, elles commencent à devenir idéo-
motrices
. L'intégrité de quelques-uns de ces centres che
tre auditif, nous avons les musiciens; avec l'inté- grité des zones
motrices
, les sculpteurs, etc. A l'état normal, la fonct
s un tel état d'éréthisme, que l'image vient solliciter le centre
moteur
d'articulation qui l'expulse au dehors. Le cent
'articulation qui l'expulse au dehors. Le centre auditif, le centre
moteur
d'articulation agissent encore ici indépendamme
s des différents types de mémoire, des visuels, des audi- tifs, des
moteurs
, des troubles du langage, et font au tableau no
rs. On doit reconnaître que dans l'épilepsie les phénomènes vaso-
moteurs
sont au premier plan. Il est impossible, en effet
suite n'avoir que des voix intérieures, des hallucinations verbales
motrices
. . Nous avons été amenés ainsi à rechercher l'o
on s'expliquerait aisément la présence des hallucinations verbales
motrices
à l'état fort ou faible, véri- tables phénomène
la mélancolie où l'on trouve aussi accentués des désordres du côté
moteur
de la vie psychique. Loin de nous la pensée de
l passagères, reléguées au second plan vis-à-vis des hallucinations
motrices
. Dans les cas où elles prennent un plus grand d
imaux nouveau- nés. Ainsi la destruction ou la résection de la zone
motrice
corti- cale qui se traduit chez l'adulte par un
ciale de celles-ci (main) et avec l'activité des zones corti- cales
motrices
. Nulles ou à peu près chez les cétacés, les pyram
origine est le rein droit. Dégénérescence descendante des faisceaux
moteurs
de la moitié droite de la moelle. Et c'est tout
t organe détermine le même cadre symptomatique que l'ataxie loco-
motrice
. Ces phénomènes disparaissent lorsqu'il reste en
où se produit l'hallucination purement centrale. 2° Hallucinations
motrices
. Tout mouvement est normalement provoqué par un
ves de l'écorce surmenées, trans- mettent leur fatigue aux cellules
motrices
qui engendrent le mouvement voulu. Cette voliti
dé SOCIÉTÉS SAVANTES. lf2ti 5 sont perçus; c'est là l'innervation
motrice
, l'impulsion volontaire. Cette impulsion psychi
mémoratives ou conceptions représen- tatives, de même la perception
motrice
ou l'acte laisse après lui la conception motric
même la perception motrice ou l'acte laisse après lui la conception
motrice
ou image commémorative de l'acte; aucune de ces
r elle et, d'accord avec elle, organisent un système de sensibilité
motrice
. Qu'un centre moteur soit, de par son hyperexci
elle, organisent un système de sensibilité motrice. Qu'un centre
moteur
soit, de par son hyperexcitabilité, sollicité, il
ité, il s'en suivra, sa fonction étant l'innervation, une impulsion
motrice
d'origine pathologique; celle-ci en entraine d'
s ou moins probablement accuser l'excitation anor- male des centres
moteurs
, dans la manie, la folie systématique aiguë, la
centre verbal sensoriel a autant d'importance que le centre verbal
moteur
, et chez les petits en- fants, et dans l'aphasi
l moteur, et chez les petits en- fants, et dans l'aphasie corticale
motrice
. La perception et l'hallu- 426 SOCIÉTÉS SAVANTE
due des cellules ner- veuses de l'écorce. Dans le bulbe, les noyaux
moteurs
sont épar- gnés ; la destruction porte sur les
t. XXII, p. 277. SOCIÉTÉS SAVANTES. 435 diminution de la force
motrice
ou tremblements dans les extré- mités qui, souv
Lom- broso, 112. Aphasie, théorie de Il -, par Cra- mer, 94 ; -
motrice
et sensorielle, par Lacroix, 110. Asiles d'al
région entraîne ici, comme dans toutes les autres parties des centres
moteurs
, une dégénération du faisceau pyramidal qui peut
ais, je le répète, la détermination exacte, chez l'homme, des centres
moteurs
pour les divers mouvements, est l'œuvre de la mét
ine. Quant à (1) Ballet. — Contribution à l'étude des localisations
motrices
dans l'écorce du cerveau. (Relations des monoplég
nsitives, s'il existe un centre de la sensibilité superposé au centre
moteur
cortical, tout ce que l'on peut dire, c'est que,
l, déduire, jusqu'à un certain point, quelle sera, quant aux troubles
moteurs
, la symptomatologie observée dans les diverses al
es en dehors de celles qui relèvent d'une lésion en foyer des centres
moteurs
. Mais ce sont, dans la plupart des cas, des manif
. Je sais qu'on peut voir des plaques méningées au niveau des centres
moteurs
du bras et de la face, mais ce que je veux dire,
atique histoire. A son entrée, il n'y avait aucune trace de paralysie
motrice
dans les membres, sauf un peu de parésie au nivea
t conforme de tous points à nos connaissances sur le rôle des centres
moteurs
: Un agglomérat tuberculeux se forme, au niveau d
es très distincts. Le noctambulismo apparaît ainsi comme l'expression
motrice
d'un rêvo, qui, en raison de son intensité ou do
ès qui, le plus ordinairement, sont procédés et suivis des phénomènes
moteurs
de l'attaque hystérique, et plus rarement se mani
xquelles elle participe comme principale actrice ; mais ses réactions
motrices
sont loin de répondre au tragique de ces scènes.
Ch. Richet (2), surtout au phénomène de sensibilité et d'innervation
motrice
. Il consiste dans la preuve qui nous est donnée d
A cette époque (avril 1885), le malade est atteint d'une hémiplégie
motrice
et sensitivo-sensorielle du côté droit avec point
hôpital de Rochefort, avec hémiplégie droite sensitivo-sensorielle et
motrice
, l'oubli de tous les états de sa vie autres que l
é. « Le moi, dit il, est un phénomène de sensibilité et d'innervation
motrice
; la personnalité est un phénomène de la mémoire (
ce irrévocablement, qu'il s'agisse de phénomènes visuels, auditifs ou
moteurs
. C'est une amnésie générale, dans toute la rigueu
berg, une sensation de constriction en ceinture et une incoordination
motrice
typique. Pas de sucre dans les urines. On peut
dure... morphine. Il y a vingt ans s'est montrée une incoordination
motrice
: il faisait des écarts et menaçait de tomber. De
outtes dans son pantalon. Depuis une dizaine d'années, les troubles
moteurs
se sont notablement accrus ; fréquemment dans la
t. Absence des réflexes rotuliens. Signe de Romberg. L'incoordination
motrice
est absolument typique. Le malade appuyé sur une
a ceinture. Puis, huit ans plus tard, est survenue une incoordination
motrice
, avec des troubles urinaires bien spéciaux. Ce n'
r fulgurantes typiques, la constriction en ceinture, Vin-coordination
motrice
particulière, l'inégalité pupillaire, le signe d'
sommes déjà expliqués sur la plupart d'entre eux. Quant aux troubles
moteurs
, nous ferons remarquer en passant, qu'il y a loin
et une légère incontinence d'urine de temps à autre. Comme troubles
moteurs
, incoordination absolument tabétique. Le malade n
n de symptômes tabétiques; troubles de la sensibilité, incoordination
motrice
à évolution rapide, signe de Westphal et de Rombe
station debout, les yeux fermés, est très incertaine. Incoordination
motrice
très nette. Perte des réflexes aux bras et aux ge
toutefois elles existent, dans le diabète vrai. 2° L'incoordination
motrice
. Les troubles de la démarche n'ont rien de commun
onnaîtraient des lésions peu profondes des noyaux bulbaires des nerfs
moteurs
de l'œil, car, ajoutent-ils, elles ont un caractè
te des signes de la seconde catégorie : troubles oculaires, vésicaux,
moteurs
... le diabète véritable coexiste incontestablemen
ts par Friedreich : caractère familial de l'affection, incoordination
motrice
se manifestant dans les jambes et les bras, d'abo
chez deux sujets de notre famille corrige nettement l'incoordination
motrice
. Chez l'un d'eux, fait signalé par Mendel, il e
au. —Archives de physiologie, 1876. (8) Graux. — De la paralysie du
moteur
oculaire externe avec déviation conjuguée. Th. Pa
noyau d'origine de la sixième paire ne fournit pas seulement le nerf
moteur
oculaire externe destiné au muscle droit externe
scle droit interne recevant cependant une seconde innervation du nerf
moteur
oculaire commun. Les examens microscopiques ont
ainsi caractérisés correspondaient, en effet, des lésions du noyau du
moteur
oculaire externe. Toutefois, la démonstration ana
ois, la démonstration anatomique de l'anastomose supposée du noyau du
moteur
oculaire externe d'un côté avec le noyau du moteu
pposée du noyau du moteur oculaire externe d'un côté avec le noyau du
moteur
oculaire interne de (1) Parinaud. — Spasme et p
727). — Parinaud et Georges Guinon : Note sur un cas de paralysie du
moteur
oculaire externe et du facial avec atteinte de l'
g. 12. }. Olives. 1. Tubercule. 2. Noyau du facial. 3. Noyau du
moteur
oculaire externe . 4. Pyramide. 5. Raphé médi
a ligne médiane, dans la partie inférieure. Fig. 13. pig, 1. Nerf
moteur
oculaire externe 1. Début du tubercule supérieur.
upérieur. gauche. 1. Tubercule. 3. Noyau du facial. 4. Noyau du
moteur
oculaire externe droit. Le tubercule inférieur
nts seraient indiqués par le noyau du facial en avant, et le noyau du
moteur
oculaire externe, en arrière. Sur la préparation
cial qui, parties de leur noyau originel, vont contourner le noyau du
moteur
oculaire externe et disparaissent après un très c
13), 1 centimètre à peu près ; il empiète à ce niveau sur le noyau du
moteur
oculaire externe droit, dont on distingue toutefo
quelques cellules. Il dépasse le raphé médian jusqu'au niveau du nerf
moteur
oculaire externe gauche qui lui est presque tange
imètre et un millimètre, et englobe la plus grande partie du noyau du
moteur
oculaire externe : à ce niveau, le tubercule n'es
raison de sa forme circonféren-tielle, il n'intéresse pas le noyau du
moteur
oculaire externe gauche. En avant le tubercule s'
lui-même un diamètre de Ie™ 25, et englobant complètement le noyau du
moteur
oculaire externe droit, dont il n'existe plus de
al, on retrouve quelques cellules nerveuses appartenant au noyau du
moteur
oculaire externe droit. Il en est qui paraissent
is il l'a certainement comprimé. Aussi conçoit-on que la paralysie du
moteur
oculaire externe gauche a été, comme il est dit d
rité de la septième paire. Dans le noyau commun, la partie dévolue au
moteur
oculaire serait située en haut et en avant, par r
vailler à l'atelier, mais il voit progresser lentement son incapacité
motrice
. Elle avait débuté par le côté gauche (le bras, p
condition nécessaire. Dans le cas contraire, le phénomène quelconque,
moteur
, sensitivo-sensoriel ou psychique qui intervient,
soixante et onze cas, nous avons adopté la division usuelle en auras
motrice
, sensitive, sensorielle et psychique. Nous avons
anifestations variées, autrement dit par la combinaison de phénomènes
moteurs
, sensitifs, sensoriels, etc. Enfin, nous avons
nce de l'aura. Ils se décomposent de la manière suivante : 1° auras
motrices
. (Sept cas.) Sous ce nom on doit comprendre t
s. (Sept cas.) Sous ce nom on doit comprendre tous les phénomènes
moteurs
précédant et annonçant l'accès et se produisant i
ir en avant, par exemple, constitue l'aura procursive; c'est une aura
motrice
. Dans ce même cadre, nous avons rangé l'aura à
cas de ce genre comptent pour deux dans le total des sept cas d'auras
motrices
. Observation I. Aur... Charles, 19 ans, sans
ns leur précision, nous signalerons particulièrement, parmi ces auras
motrices
, celle qui consiste en mouvements de salutations
place ici, à cause de l'adjonction, dans un des accès, de phénomènes
moteurs
, qui faisaient de l'aura, dans ce cas, une aura c
t, on retrouvera dans ceux-ci, comme dans ceux-là, des manifestations
motrices
, sensorielles, psychiques, etc., mais non plus is
voit le syndrome de Ménière s'associer à des phénomènes gustatifs et
moteurs
, l'aura hystéroïde s'accompagner d'hallucinations
hez cette malade d'une association de phénomènes auditifs, visuels et
moteurs
, donnant une aura fort complexe, de durée assez l
us constaterons l'association du syndrome de Ménière et de phénomènes
moteurs
et sensoriels (hallucinations du goût). Observa
s phénomènes de l'aura céphalique hystérique, des troubles visuels et
moteurs
et, enfin, le besoin d'aller à la garde-robe, don
HE ABSOLU pour 100 cas avec aura POUR 100 CAS AVEC OU SANS ADRA
Motrices
...... Sensitives..... Visuelles. ..... Audi
insi sur 100 cas d'épilepsie en général, on trouve 10,5 fois une aura
motrice
, 9 fois une aura sensitive, etc.. Sur 100 cas d'a
.. Sur 100 cas d'accès comitial avec aura, on aura 16,3 fois une aura
motrice
, 13,95 fois une aura sensitive, etc.. On pourrait
de 1'—, 389, 426 ; Caractère de 1'—, 390; Classification de F—,392; —
motrice
, 394; — jacksonnienne, 396; — sensitive, 398 ; —
e, 158. Monoplégie crurale, 6 j — double, 15. Morphinomanie, 438.
Moteur
oculaire externe (nerf) : paralysie conjuguée du
tions du crâne dans la —, 385, 388. N Nerf de la 6e paire : (Voir
Moteur
oculaire externe.) Neurasthénie : statistique d
sur la sphère sensorielle que pour celles qui portent sur la sphère
motrice
. B. Hallucinations positives. Je me contente
ique (cortical) gauche ; cette ex- citation se transmet à la région
motrice
de l'hémisphère gauche, et de la aux faisceaux
lité de l'excitation se transmet des centres sensoriels aux centres
moteurs
. Cette transmission « en masse » détermine une
directions : ainsi la quantité d'excitation qui parvient au centre
moteur
est moindre, et aussi s'explique qu'un bruit subi
pnotique. En dénudant l'écorce cérébrale, ils excitaient le- centre
moteur
des membres antérieurs, et déterminaient par des
l'oreille droite, alors l'excitation peut être transmise aux voies
motrices
par les centres acoustiques subcorticaux (noyau b
ransmission de l'excitation du centre acouslique au centre cortical
moteur
, et par là aux faisceaux pyramidaux. Dans un ch
entre acoustique gauche; de là, se transmettant aux circonvolutions
motrices
gauches, elle gagne par les voies pyramydales l
(1) : tels sont les accidents cérébraux du début, la paralysie des
moteurs
oculaires externes, les altérations papillaires.
ningite cervicale syphilitique associée à une para- lysie totale du
moteur
oculaire commun qui guérit radicalement par le
s ptérygoïdiens, les temporaux sont respectés ainsi que les muscles
moteurs
des yeux. Les pupilles sont égales, réagissent bi
et invariablement égale. 11 est des cas dans lesquels les troubles
moteurs
font presque totalement défaut; il en est d'autre
tion, en dehors de la forme commune ou sensitive-motrice, une forme
motrice
pure et une forme sensitive pure. Il ne faudrai
qu'un schéma didactique, attendu que le lobes sensilif et le tabès
moteur
sont en fait des exceptions. Mais les exception
ion des cas vulgaires. Pour vous convaincre de l'existence du labes
moteur
pur, je vais vous en présenter un assez heau sp
rien, et c'est pour cela que nous dirons que le tabes est purement
moteur
. Voici maintenant un type inverse : vous avez s
istincts, les altérations médullaires du labes sensitif ci du tabès
moteur
soient mathéma- tiquement superposables. Je cro
sculaires est peut-être une dystrophie tabétique ? Un trouble vaso-
moteur
d'origine spinale ajoute peut-être ses effets il
nuit, mort et passion », n'a jamais présenté le moindre phé- nomène
moteur
. Chez ce malade, atteint de « pied tabélique » du
preuves nombreuses. Mais, je serais sur- pris que les cas de ! nlws
moteur
ou presque exclusivement moteur nous en fournis
ais sur- pris que les cas de ! nlws moteur ou presque exclusivement
moteur
nous en fournissent autant d'exemples. Pour ma
uses et plus tard d'incontinence d'urine. En 1869, l'incoordination
motrice
fait son apparition dans les membres infé- rieu
, tour- mentée par les douleurs fulgurantes et cette incoordination
motrice
. En 1881, elle ressent des douleurs fulgurantes
douleurs fulgurantes, de l'incontinence'd'urine, de l'incoordination
motrice
(qui a condamné la malade au lit depuis un an 1
es oculaires. Ja- mais de troubles vésicaux... Pas d'incoordination
motrice
. Début des arthropathies. La malade n'avait jam
but des arthropathies. La malade n'avait jamais remarqué de trouble
moteur
du côté des membres inférieurs : ni parésie, ni i
de rapporter les légers troubles de la démarche il l'incoordination
motrice
. L'intérêt se concentre sur (les genoux. Le mem
membres inférieurs, on ne constate ni troubles Irophiqucs ou vaso-
moteurs
, ni amyotrophie notable. La sensibilité objective
conservation absolue du sens musculaire. n'y a pas d'incoordination
motrice
apparente dans les membres inférieurs, la march
u ni- veau des taches lépreuses, localisation spéciale des troubles
moteurs
etc., l'ont défaut dans notre cas. Est-il bie
; l'intoxication limite ses effets aux plaques terminales des nerfs
moteurs
. A ce titre donc, on peut la comparer à l'intox
exige. Les centres de coordination sont des groupements de cellules
motrices
reliées chacune à chacune suivant une dispositi
portance et une fréquence beau- coup plus grandes que dans le tabes
moteur
. Au demeurant, le 1(ib(,s n'est pas la seule ma
gué pour les besoins de la démonstration deux types cliniques, l'un
moteur
, l'autre sensitif qui ne sont à vrai dire, qu'exc
lté- ration soit identique dans la forme sensitive et dans la forme
motrice
, c'est- à-dire chez les sujets qui souffrent et
tions centri- pètes des muscles, et, inversement, que dans le labes
moteur
, les cylindraxes sub- sistants conduisent la se
outes les sensibi- lités subiraient la dégénération ; dans le tabès
moteur
, ce seraient les fibres de la sensibilité rélle
es; c'est un système de fibres chargées d'utiliser pour la fonction
motrice
, des sensations emmagasi- nées depuis un temps
ter- mes, si le faisceau pyramidal continue d'exercer son influence
motrice
sur les cellules des cornes antérieures de la m
térieure correspondante est interrompue. Un malade atteint de tabès
moteur
, peut ainsi garder indéfiniment des muscles pui
cation assez commune dans la forme ordinaire, classique, sensitivo-
motrice
. Du moins peut-elle s'expliquer par le fait que l
s les symptômes d'un tabès classique, sans acci- dents sensitifs ou
moteurs
du côté du membre artbropa- thique, sauf une an
d'une fracture de la Xe dorsale, avait eu une paraplégie sensitive
motrice
com- plète ; il avait été de suite immobilisé d
segment cépha- lique intervienne tout d'abord dans l'appropriation
motrice
des efforts qui maintiennent ou font varier d'u
ique, et qu'elle régisse secondairement la coordination des efforts
moteurs
élémentaires destinés il réaliser ou à faire vari
attitude céphalique que nous devons localiser au niveau des centres
moteurs
de la tête. b) L'attitude de la tête joue un rô
ù les prendre, ses gestes incohérents trahissent l'incoordi- nation
motrice
due non à un trouble de motricité, mais à des err
une imaginaire, on sera porté à regarder avec nous les zones dites
motrices
comme purement sensorielles, mais régissant direc
l. LE NERF LABYRINTHIQUE 36t connaître ou en imaginer. La volonté
motrice
ne serait donc que le ré- flexe moteur (1), iss
ou en imaginer. La volonté motrice ne serait donc que le ré- flexe
moteur
(1), issu d'une certaine faconde désirer une atti
laire des centres corticaux dans la pariétale ascendante, dite zone
motrice
, et que le cerveau de Bertillon nous fait regarde
nts faisceaux médullaires doivent également aboutir aux zones dites
motrices
. D'autre part, le cervelet, qui joue un grand r
ubstituera l'hypothèse si étroite de Ferrier sur la valeur purement
motrice
des circonvolutions centrales. Il serait facile
serait facile de compléter ce que nous avons dit de l'appropriation
motrice
aux fonctions d'équilibration par l'étude du rôle
e du rôle des images d'at- titude segmentaire clans l'appropriation
motrice
et locomotrice en général. Ce qui est conscient
Romberg l'incohérence labyrinthique se manifeste par l'incohérence
motrice
des globes oculaires, livrés à différentes formes
eisteiner appelle le noyau des colonnes antérieures. C'est un noyau
moteur
que les expérien- LE NERF LABYRINTIIIQUE 363
segmentaire indispensables à la locomotricité et à l'appropriation
motrice
réllexe ou volontaire de l'équilibration. Il co
atomique de ce syndrome. « Etant donné, disait-il, une paralysie du
moteur
ocu- laire commun gauche avec une hémiplégie to
te le syndrome de Weber classique : paralysie totale et complète du
moteur
oculaire commun droit et hémiplégie vulgaire du
l supé- rieur. La paupière gauche tombante indique une paralysie du
moteur
oculaire commun gauche qui, où le verra, est to
ui frappait le plus dans l'aspect du ma- lade était la paralysie du
moteur
oculaire commun gauche consistant en chute de l
arras de parole doit- être considéré comme un léger degré d'aphasie
motrice
: La suite de l'observation le démontre. 1er
montre. 1er février. Deux jours plus tard, on observait une aphasie
motrice
com- plète et pure, avec cette particularité qu
ans la première observation, l'hémiplégie gauche et la paralysie du
moteur
oculaire commun droit indiquent une lésion pédonc
e qui est intéressé puisque ce sont les membres du côté droit et le
moteur
oculaire commun gauche qui sont paralysés. Cett
s qui après leur entrecroisement vont se placer derrière les fihres
motrices
; puis la moelle s'est ouverte en arrière par l
ganglion spinal ? Sa partie inférieure contient des cellules à type
moteur
, mais moins grandes que celles des cornes posté-
apédienne. Ces fibres qui unissent les noyaux de la base aux noyaux
moteurs
ont pour homologues les fibres médullaires unissa
es fibres médullaires unissant les cornes postérieures aux cellules
motrices
antérieures. Du noyau interne et du noyau de De
ège des troubles sen- sitifs du même côté du corps que les troubles
moteurs
, l'exagération des uns et des autres par la sta
rouve toutes les fois que les noyaux inférieurs de la colonne grise
motrice
bulbaire sont atteints, et l'on sait que la pol
: Votre théorie « ne tient pas compte des connexions bilaté- rales
motrices
et sensitivo-sensorielles de chaque moitié du sys
, a-t-on remarqué, « ne tient pas compte des connexions bilatérales
motrices
et sensitivo-sensorielles de chaque moitié du s
at affec- tif des paralytiques généraux avec leur paralysie vaso-
motrice
et tendent à considérer la vaso-dilatation péri-
own-Séquard, il est plus net du côté où prédominent les trou - blés
moteurs
. Le réflexe de Mendel aurait une certaine valeu
d'une seule racine postérieure ne produit pas le plus léger trouble
moteur
dans le membre correspondant. La section de plu
hial sont épargnées, on peut assister à la disparition des troubles
moteurs
consécutifs à la section de toutes les autres ra-
vers l'écorce. Après section des racines postérieures, les cellules
motrices
des cornes antérieures ne présentent pas de mod
ire de ces racines et de leurs cellules pour expliquer les troubles
moteurs
. Dans le bout médullaire des racines postérieur
section des racines postérieures d'une patte entraîne des troubles
moteurs
, tantôt passagers et à peine marqués, tantôt pl
s, une série d'ictus, et finalement une paralysie de tous les nerfs
moteurs
de l'oed droit avec cécité complète. Tous ces a
haud et au froid ; conservation de la sensibilité tactile ; portion
motrice
du nerf intacte. Moitié droite du tronc et memb
du noyau sensitif du V et du noyau du VI : intégrité de III,IV et V
moteur
; -- s'étend en bas jusqu'à un niveau impossibl
-- s'étend en bas jusqu'à un niveau impossible à préciser du noyau
moteur
du X ; sectionne les fibres olivo-cerébelleuses
atrophie musculaire simple, de l'atrophie des cellules radiculaires
motrices
, de la dégénérescence des racines an- térieures
trices, de la dégénérescence des racines an- térieures et des nerfs
moteurs
. L'auteur passe en revue les quelques cas épars
par le malade. Il était at- teint à la fois, d'aphasie et d'apraxie
motrices
. Dans les der- niers temps de sa vie en effet,
? XXV, f. 14, p. 651 à 654, 16 juillet 1906.) Les hallucinations
motrices
graphiques sont particulièrement- 78 REVUE DE P
a description de Séglas, les différences entre les halluci- nations
motrices
graphiques et l'écriture des médiums ou psycho-
u sujet; son contenu arrive aussitôt à la conscience par les images
motrices
graphiques ; la psychographie est automati- que
me de paralysie des membres. Il ne faut pas confondre cette apraxie
motrice
avec la perte de la reconnaissance intellectuel
on des communications entre les neurones sensoriels et les neurones
moteurs
. G. D. Archives, 31 séi-io, 1907, L. II. 6 SO
de la circulation, des organes sécréteurs, du système musculaire ou
moteur
,du système nerveux ou de la sensi- bilité. Ces
la perception de la person- nalité, de l'intelligence, les troubles
moteurs
et sensitifs, les chapi- tres spéciaux et d'act
uette; il fallut alors a\oir recours à la suggestion par les images
motrices
gra- phiques pour mettre fin à cette situation
A. CULLEIlIlr : . De l.i suggestion par l'intermédiaire des images
motrices
graphique, chez une hystérique jappée simultané-
e. La phase clonique est duc à l'excitation de la zone corticale-
motrice
. Elle manque : a) quand on enlève les zones motri
zone corticale- motrice. Elle manque : a) quand on enlève les zones
motrices
; b) quand on anémie la couche corticale par co
. , Contribution anatomo-palhologique à l'étude des localisations
motrices
corticales. A propos de trois cas de sclérose lat
comme une don- née classique et définitivement acquise, que la zone
motrice
corticale occupe chez le singe et chez l'homme
bipolaire jusqu'ici em- ployée), ont montré que la zone excitable (
motrice
) chez le singe anthropoïde ne s'étend pas en ar
-à-dire que la pariétale ascendante ne fait pas par- tie de la zone
motrice
corticale. Ces résultats ont été confirmés chez
e amyo- trophique, - affection uniquement systématisée au neurone
moteur
-peut fournir, elle aussi, un argument plaidant e
e en faveur de la nouvelle conception sur la topographie de la zone
motrice
corticale et montrent que, conformément aux rec
blablement, l'origine de la voie pyramidale, et, par- tant, la zone
motrice
corticale, se trouvent chez l'homme presque exc
aussi absolus que Campbell pour refuser à Pa toute représen- tation
motrice
. En effet, nous croyons qu'on doit faire quel-
faveur d'une participation, quoique très mi- nime, de Pa à la zone,
motrice
corticale. Nervosisme thyroïdien. Formes cliniq
ue. Dès lors, puisque l'hystérie peut produire des troubles vaso-
moteurs
dans le sens de la vaso-constriction, l'hystérie,
nt complètement paralysées. Il y avait paralysie de la branche du
moteur
oculaire commun qui préside aux mouvements d'él
cerveau atteintes. L'hystérie présente -en effet des manifestations
motrices
, sensitives, vasomotrices, viscérales et psychi
l'expérimentation et j'ai procédé, par des excitai ions psychiques,
motrices
, ou sensitives surtout, au réveil des fonctions
rnes antérieures dans les arthropathies nerveuses.- Ataxie oculo-
motrice
d'origine labyrinthique dans le tabès. Ecchymoses
des phénomènes du début de l'accès. Suivant que ces phénomènes sont
moteurs
, sensi- tifs, sensoriels ou intellectuels, Dela
, sensoriels ou intellectuels, Delasiauve (1) a divisé les auras en
motrices
, sensitives, sensorielles ou intellectuel- les.
é des yeux, on observera un clignotement convulsif, lors d'une aura
motrice
, ou une impressionnabilité douloureuse à la lum
vent annoncer l'attaque. Le seul signe qui signale parfois Une aura
motrice
est un clignotement convulsif plus ou moins rap
bes frontaux, temporaux, parié- taux et occipitaux, circonvolutions
motrices
, noyaux du corps strié (Klippel et Lhermitte).
. Pierre Marie, l'insula et les parties sous-jacentes sont l'organe
moteur
du langage articulé. Leur destruction détermine
. Pierre Marie, c'est-à-dire le syn- drome appelé jusque-là aphasie
motrice
pure. Pour le même auteur, l'aphasie motrice es
pelé jusque-là aphasie motrice pure. Pour le même auteur, l'aphasie
motrice
est une aphasie de Wcrnickc doublée d'une anart
et la capsule externe ; le malade ne présentait pas trace d'aphasie
motrice
. c) Un cas d'aphasie totale avec intégrité appa
en fixer les suites éloignées. A la suite des paralysies guéries du
moteur
oculaire externe Archives, 3° série, 1sot, l. I
I. 14 210 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. et du
moteur
oculaire commun,la déviation précoce du globe d
au développement de la diplopie ; mais, plus tard, quand le trouble
moteur
a cessé ou diminué, c'est cette neutralisation
dans les paralysies systématiques portant sur de petites fonctions
motrices
dans lesquelles le système d'images* qui s'éman
rophie musculaire progressive serait au fond une maladie du neurone
moteur
périphérique avec des ty- pes cliniques différe
publiées attirer l'attention, c'est la pré- dominance des symptômes
moteurs
sur les symptômes sensitifs, prédominance qu'on
- tung der Edinger-Westphal'schen Kerne Que deviennent les noyaux
moteurs
après lésion des n. pér., et sur le rôle des noya
B. rappelle que la destruction du territoire périphérique d'un nerf
moteur
peut n'avoir aucun effet sur les cellules du noya
ble s'être installée brusquement sans période initiale d'excitation
motrice
, ni de dé- lire. Elle a été accompagnée, au déb
ans laquelle nous obser- vons la normale excitabilité de l'appareil
moteur
périphérique. En effet, le muscle, apparemment
nt la propriété de transmettre les stimulis faradiques à l'appareil
moteur
neuro-musculaire, voire son inexcitabilité. Un
er son attention, très arriéré ou idiot, en proie à une agi- tation
motrice
continue est-il, en outre, atteint de surdité com
ut localiser dans le lobe frontal ; il réalise exactement l'apraxie
motrice
indiquée par Liepmann dans son schéma (VI : per
quer une anastomose entre la branche sectionnée et un autre filet
moteur
. L. WAIIL. XLII. Hyperesthésie en pathologie gé
220, p. 665 à 680, 1er sept. 1906.) 5 cas de troubles vasomoteurs,
moteurs
et trophiques rappelant, par leur nature, leur
rscheinungenn am Kopfe nach Schaedelbasisfraktur.(Sur des symptômes
moteurs
anormaux dans le domaine des nerfs crâniens apr
lonique post-hémiplégique ; ses rap- ports avec les autres troubles
moteurs
post-hémiplégiques ; par Etienne. (L'Encéphale,
hémiplégie. Il est vraisemblablement lié à des lésions des cellules
motrices
, la simple excitation de fibres de transmission p
té, la fréquence de l'absence de récidive. F. TissoT. LX. - Aphasie
motrice
avec troubles psycho-sensoriels au cours de la
ire survenue chez un vieillard démorphinisé. F. T. LX . L'aphasie
motrice
et sa localisation corticale ; par DÉJE- RINE.
ale, 1907, ho 5.) Depuis Broca, on admet généralement que le centre
moteur
du langage a sa localisation corticale dans le
ticale dans le pied de F\ mais dans les rares cas publiés d'aphasie
motrice
pure l'examen macroscopique seul a été pratiqué
ce qui est insuffisant ; il n'existe aucune obser- vation d'aphasie
motrice
suivie d'autopsie dans laquelle une lésion limi
servations ' bibliographie. 387 montrant clairement que l'aphasie
motrice
dite corticale ou de Broca peut être produite p
la lésion primitive de l'opercule rolan- dique, des circonvolutions
motrices
, de la zone de Wermcke, des noyaux gris centrau
uerait aucun rôle dans la fonction du langage anti- culé, l'aphasie
motrice
n'étant pour lui qu'une aphasie sensorielle acc
ystéro-démo- nopathie, on notait une série de troubles sensitifs et
moteurs
particuliers à l'hystérie : son caractère était
natomiduement, par la preuve que l'homme peut gouverner ses centres
moteurs
par ses centres intellectuels et surtout par la
mine par de prudentes conclusions sur le - diagnostic de la nature,
motrice
, sensorielle ou associative, de la paraphasie.
perversion ou dimi- minution passagère de la sensibilité ; troubles
moteurs
, tous dus à ce que « les impulsus sont engagés
i qu'à la production de l'énergie électrique employée comme force
motrice
, pour l'éclairage et l'élévation de l'eau potab
squelles les troubles des perceptions com- '- mandent des réactions
motrices
diverses (impulsions homicides', suicides, aulo
der. p. 76. Du siège ana- tomique de l' -, par )Iahaim, p. 208. -
motrice
avec trou- bles psycho-sensoriels au cours de
oriels au cours de la démorphinisation, par Bellelrud, p. 386. L.
motrice
et sa localisation corticale, par Déjérine, 1
par Gantonnct, p. 166. - oculo- 31 482. TABLE DES MATIERES.
motrice
d'origine labyrinthique dans le tabès, par Etie
par frac- ture du crâne, par Gabourd, p. 237. Sur des symptômes
moteurs
anormaux dans le do- maine des ncrfs crâniens.
, par \Iayct, p. 362. LOlm frontal. Voir Troubles. Localisations,
motrices
corti- cales. Voir Sclérose. - Loi. La révisi
tiguc, le repos et le sommeil, par Bevan Lewis, p. 365. Noyaux
moteurs
. Que devien- nent les après lésion des n. pér
hologique à l'étu- 488 TABLE DES MATIERES. de des localisations
motrices
corticales. A propos de trois cas de latérale
tonoclonique post-hémiplégi- que, ses rapports avec les au- tres
moteurs
post-hémiplé- giques, par Etienne, p. 384. Qu
eilbronner, p. 463. Tumeur dans la substance blan- che de la zone
motrice
(région du bras).Sur le diagnostic diffé- ren
anormale au froid, et transpiration conservée. ' Pas de troubles
moteurs
ni sensitifs ; les réflexes sont en général dimin
es petits, comme deux olives. Il n'y a pas d'adipose. L'agitation
motrice
du malade est remarquable ; à tout instant on obs
ijumeau, qui y sont beaucoup plus petits qu'à droite. Pour l'oculo-
moteur
commun, c'est l'inverse; ce fait paraît difficile
ère : crises et paralysies transitoires dans le domaine de l'oculo-
moteur
commun. Quant à la paralysie permanente de la mus
oratoire, par exemple après l'extirpation du cervelet ou de la zone
motrice
de l'écorce ; ces recherches sont pourtant toujou
'explication la plus vraisemblable est-le caractère essentiellement
moteur
du nerf radial. La plupart de ses fascicules so
tiellement moteur du nerf radial. La plupart de ses fascicules sont
moteurs
. Ses fascicules sensitifs semblent peu importan
des paralysies cubitales partielles et la prédominance des troubles
moteurs
au niveau des interosseux et des hypothénariens d
plus belle illustration de la spécialisation des fascicules nerveux
moteurs
à l'intérieur d'un nerf. Les dessins ci-joints,
e type le plus fréquent consiste en une prédomi- nance.des troubles
moteurs
sur les petits muscles de la main et sur les fl
sies incomplètes, du retour progressif, mais inégal, de la fonction
motrice
et de la tonicité de certains muscles, qui au s
de neurologie, 2 mars 1916 ; J. BABINSKI, Les caractères des troubles
moteurs
dits « fonctionnels » et la conduite à tenir à
drons ici par déformations paratoniques des mains ces perturbations
motrices
aux attitudes singulières, qui nous ont tous plus
ans notre service examiné systématiquement tous les petits troubles
moteurs
des mains susceptibles a priori de rentrer dans
s des mains susceptibles a priori de rentrer dans les perturbations
motrices
d'ordre réflexe, et rappelant par leur morpholo
ssièrement clinique et morphologique. Il limite ces petits troubles
moteurs
des mains aux attitudes singulières dont nous a
e inspiré du rapport de M. Babinski sur les caractères des troubles
moteurs
dits « fonctionnels » présenté au Congrès neuro-p
vations; nous remarquons qu'elles sont constituées par des troubles
moteurs
de quatre ordres différents : organique, psychi
chique, mécanique, réflexe. Tout le monde s'entend sur les troubles
moteurs
par lésions nerveuses organiques, quand il s'ag
dans le cas d'hypertonie comme dans celui d'hypotonie, de troubles
moteurs
par lésions organiques, tronculaire ou radicula
tronculaire ou radiculaire. Claire aussi est la notion des troubles
moteurs
d'origine psychique, troubles fonctionnels, c'e
9PINE ET PAUL COURBON Encore plus simple est la notion des troubles
moteurs
d'origine zraéca- nique, c'est-à-dire liés à de
chiques, méca- niques, n'épuisent pas la variété des manifestations
motrices
, hétérogènes, observées dans ces quinze mains.
Babinski et Froment. De ce groupe relèvent entièrement les troubles
moteurs
des IV et V, partiellement l'observation publié
umière de nos cas, dans chacun desquels les groupements de troubles
moteurs
: organiques, psychiques, mécaniques et réflexe
manifestations objectives qu'on a données comme signes des troubles
moteurs
d'ordre réflexe. A. Physionomie clinique spécia
cordances, constatées entre le siège de la blessure et les troubles
moteurs
produits, s'expliqueraient par l'existence de l
d compte en thérapeu- tique militaire de guerre, des manifestations
motrices
d'origine psychique,. (1) Alquier, Société de n
que Trélat invoquait une origine vasculaire et une paralysie vaso-
motrice
incomplète apportant un excès de nutrition à cert
nt dix ans après la résec- tion du coude. Depuis lors, la puissance
motrice
est restée stationnaire. Elle tendrait actuelle
d'état paraît surtout caractérisée par l'apparition des acci- dents
moteurs
, généralement de paralysie ou de parésie. Elle
deuxième phase, plus ou moins précoce, apparaissent des trou- bles
moteurs
spasmodiques, se traduisant par de la contracture
ette, en état d'apyrexie, par atténuation progressive des accidents
moteurs
, alors que les troubles sensitifs ont disparu d
sumé, on voit que la symptomatologie a été assez diffuse : troubles
moteurs
avec paralysie totale ou parésie ; état spasmodiq
de ces mouvements est beaucoup réduite. Il y a une certaine agitation
motrice
dans les muscles des membres inférieurs. La s
anti-syphilitique, lente amélioration. Plus tardivement, parésie du
moteur
oculaire externe et depuis développement de tab
SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 247 suivi, il présenta une polynévrite
motrice
et sensitive. Comme je ne connais le cas que d'
nerfs mixtes périphériques ou des plexus déterminent des paralysies
motrices
et parfois sensitives; tardivement peu- vent su
globe ; réflexes pupillaires très bons. Aucun trouble trophique,
moteur
ou réflexe des membres inférieurs. .. En somm
u niveau du centre de la face, dans la partie inférieure de la zone
motrice
prérolandique. C'est le plus souvent un foyer de
omatologie. Elle s'accompagne toujours d'autres troubles de déficit
moteur
ou intellectuel. Le mode d'apparition se fait p
e résultat. Mais, toujours dans ce' cas, il y a paralysie des nerfs
moteurs
de l'oeil (Vle paire surtout). La lésion étant
nt mettre sur la voie du diagnostic. Nous ne notons aucun trouble
moteur
ou sensitif associé. Ce n'est par conséquent pa
par un mécanisme différent de leur production normale. Les troubles
moteurs
remontent au minimum à quinze ans, peut-être à
on forcée des deux lèvres. Le masséter est innervé par la branche
motrice
du trijumeau. Il parait cependant jouer un rôle
ertheimer ont essayé d'expliquer ces compensations par l'adaptation
motrice
du triju- meau. Cette adaptation est sous la dé
iju- meau. Cette adaptation est sous la dépendance non de la racine
motrice
delà Ve paire, mais de sa grosse racine sensiti
autrement dit en annihilant ou sectionnant le trijumeau pure- ment
moteur
, on obtenait les mêmes effets. Dans ces condition
ier. Il semble bien que la racine sensitive a acquis les propriétés
motrices
. Les explications de ce fait ne nous paraissent
isantes., Faut-il, pour qu'un nerf sensitif acquière les propriétés
motrices
, qu'il soit d'abord vaso-dilatateur. Dans ces,
he exsudée en abondance agirait seule mécaniquement sur les plaques
motrices
. Le nerf sensitif est-il devenu moteur de façon
aniquement sur les plaques motrices. Le nerf sensitif est-il devenu
moteur
de façon indirecte ? Heidenhain soutient que ou
d'origine centrale, elle est d'ordre périphérique. Si le vrai nerf
moteur
, le facial en l'espèce, se régénère, le trijume
[soit naturel ou volon- taire. C'est dans le cerveau que réside le
moteur
de ce fluide, et quoiqu'il soit continuellement
N . le Prof. Ad. D'ESPINE. . On sait que la question de l'aphasie
motrice
a été remise en discussion depuis les travaux d
ies cérébrales infantiles, dont l'une représente un cas d'apha- sie
motrice
accompagné d'une parésie spasmodique, et l'autre
ontaire, ainsi que de l'écriture spontanée. Observation L Aphasie
motrice
. Diplégie spasmodique (PI. LV). R... Marie, âgé
à la vie intra-utérine. Lésions s'étendant des deux côtés à la zone
motrice
et ayant atteint à gauche le pied de la troisiè
de l'hémiplégie infantile; il s'agit presque toujours de l'aphasie
motrice
. - En 1884, mon élève Gaudard (3) cite dans sa
n n'observe ni agraphie, ni alexie, ni aphasie sensorielle. La zone
motrice
des membres supérieurs et inférieurs doit aussi ê
vivantes de la différence symptomatique qui existe entre l'aphasie
motrice
et la dysarthrie. L'aphasique ne parle pas, parce
Paris, 1906, p. 1291,- et 1907, p. 951. 2. J. Déjerine. L'aphasie
motrice
. L'Encéphale, mai 1907. 3. Ernest GAunAn. Conlr
nt t le siège d'une lésion très étendue qui prenait surtout la zone
motrice
droite. La rapide succession des symptômes, l
i que la partie antérieure de la bandelette optique droite. Le nerf
moteur
ocu- laire commun est aussi immédiatement intér
lobe central gauche, doit prédisposer à une irritation de la région
motrice
, se manifestant en une épilepsie typique. Cepen
net (2). Comme nous il oppose à la constance des troubles oculaires
moteurs
(ptosis, myosis, énophtalmie) l'inconstance des
ut être mesurée soit sur le nerf, soit sur le muscle, tant au point
moteur
que par excitation longitudinale. Le temps util
e, provoque quelques douleurs. A signaler enfin comme autre trouble
moteur
un tremblement total et intermittent de tout le m
la main, et dans la région de l'épaule, où prédominent les troubles
moteurs
. , La main présente un aspect spécial. Elle est
ngoscope; mais la lésion du nerf récurrent peut amener des troubles
moteurs
laryngés analogues. Le siège anatomique de la b
te concorde avec le siège de la blessure et la présence de troubles
moteurs
laryngés. Nous y voyons aussi une confir- matio
dilection pour les régions atteintes par les troubles trophiques et
moteurs
. , UN CAS DE NÉVRITE HYPERTROPHIQUE DE L'ADULTE
gmus). On note ici l'absence de troubles oculaires, et des troubles
moteurs
différents. é) Par des signes de la série név
des articulations et des épiphyses atteintes, aùcune incoordination
motrice
, aucun trouble trophique ; aucun trouble sphinc
jambes sont étendues. Il ne présente aucun phénomène organique : ni
moteur
, ni sensitif, ni réflexe. Il se plaint cependan
es dorsales. La réflectivité est normale ; il n'y a pas de troubles
moteurs
ni sensitifs. Le malade se plaint seulement de do
dessous de l'ombilic. On ne trouve pas de phénomèmes organiques, ni
moteurs
, ni anesthésiques, ni trophiques, ni vaso-moteu
e à Paul Brousse, le 14 novembre 1916. Il ne présente aucun trouble
moteur
ni réflexe. Les réflexes sont normaux. Il a eu du
voit pas de plis transversaux sur l'abdomen. Il n'a pas de troubles
moteurs
ni sensitifs. La réflectivité est normale. Le r
r les masses musculaires lombaires. Il n'a pas de troubles organiques
moteurs
ni sensitifs, à part quelques vagues douleurs,
essentiellement caractérisée par la triade des troubles sensitifs,
moteurs
et trophiques. Eh bien, il n'est peut-être pas
ontrée dans l'hystérie a\ec des caractères similaires. Les troubles
moteurs
: paralysies, convulsions, incoordination, trem-
venir il la Salpèlrière. Etat actuel (27 juillet 1890). Troubles
moteurs
. - Lorsque le malade est assis, on ne remarque
u deux fois par semaine. Pas de troubles trophiques. Troubles vaso-
moteurs
localisés à la moitié droite de la face et consis
t que sa parole était devenue embarrassée. Étal actuel. A. Troubles
moteurs
. - 1° llémiparôsie droite très manifeste. Au dy
trembler, en traînant légè- rement la jambe droite. Au point de vue
moteur
, il ne lui reste que de l'hémi- parésie du côté
se multilocu- laire. Du reste, deux ans après, ces mêmes troubles
moteurs
se repro- duisent dans des conditions analogues
ordons postérieurs doivent être affectés, comme dans l'ataxie loco-
motrice
. De là une de ces formes mixtes qu'il est toujour
que la sclérose en plaques portant exclusivement sur les cor- dons
moteurs
ne produit pas de troubles de la sensibilité, on
des crises gastriques caractérisées, comme celle de l'ataxie loco-
motrice
classique, par une douleur extrêmement violente,
SUJETS PRÉSENTANT AVEC OU SANS CRISES ÉPILEPTIFORMES , DES TROUBLES
MOTEURS
,. OU PSYCIIIQUES i Le titre de ce travail en
pinion sur le témoignage seul des parents. Les fonctions corticales
motrices
, pour n'envisager que celles-là, paraissent si
érébrale partielle ou la porencéplialie peuvent amener des troubles
moteurs
variés, de l'épilepsie et,jusclu';1 l'idiotie. 1
inéaire est aussi le procédé à suivre si l'on veut débrider la zone
motrice
ou rolandique, ou mettre à décou- vert le centr
est peu fait pour frapper. Par contre, la généralisation du trouble
moteur
, sa localisation aux deux membres inférieurs, à
révèle le dia- gnostic, on se borne souvent à contrôler l'impotence
motrice
, à la qualifier de paraplégie et à passer outre
être complète du incomplète; entre la parésie légère et l'impotence
motrice
absolue, il y a place pour un certain nombre de
ur déterminer une paralysie des membres inférieurs. Cette paralysie
motrice
s'accom- pagne de troubles de la sensibilité cu
le même traumatisme donne lieu à la même para- plégie. Les troubles
moteurs
sont identiques aux précédents. L'anesthésie cu
brusquement avec une paralysie des membres inférieurs. Les troubles
moteurs
sont analogues à ceux des deux expériences préc
ervices hospita- liers : elles sont caractérisées par une impotence
motrice
complète, par la conservation des réllexes rotu
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX
MOTEURS
(Polioencéphalomyélite) (Suite') Uns. XXVII
SALPÊTRIÈRE. Dans le cas de Seeligmüller, l'invasion de la colonne
motrice
s'est faite non plus par le bulbe supérieur mai
tuellement les origines nucléaires du facial, de la cinquième paire
motrice
, de l'hypoglosse, du vague accessoire (paralysi
nt été touchés les noyaux bulbaires du facial, de la première paire
motrice
, de l'hypoglosse, du vague accessoire (paralysi
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX
MOTEURS
(Polioencéphalomyélite) (Suite') 1) Nous av
e ce fait qu'une lésion symétrique (en partie) des noyaux des nerfs
moteurs
du cerveau et de la moelle allongée (polioencép
un, la lenteur remarquable de l'affection. L'invasion de la colonne
motrice
se fait tantôt par la moelle, tantôt par le bulbe
est bien instruc- tif d'observer. Ce sont d'ailleurs des troubles
moteurs
que l'on rencontre chez tous les amyotrophiques
es il s'agit de lésions atrophiques et dégéné- ratives des cellules
motrices
: ce sont les seules dont nous nous IV. 1G ?
acher de la pie-mère; ses noyaux sont complètement dégé- nérés. Les
moteurs
oculaires externes sont représentés par de fins f
ux qui revenaient presque tous les jours, le matin; pas de troubles
moteurs
, sauf une certaine incertitude de la marche dans
passé par la phase des douleurs fulgurantes ni de l'incoordination
motrice
, il perd rapidement ses forces et devient parap
hie très prononcée des cellules ganglionnaires du noyau de l'ocnlo-
moteur
commun; la substance fondamentale paraissait inta
SALPÊTRIÈRE. Le noyau du trocliléaire est plus altéré que celui du
moteur
oculaire commun. Les noyaux du trochléaire dits
ps pituitaire et de la lame criblée, enfin de la région où pénètre le
moteur
oculaire commun, pour 2° longer le bord supérie
fet, il existait une dégénération portant surtout sur les noyaux du
moteur
oculaire externe et de l'hypoglosse, et à un de
n degré moindre sur ceux du DE L'O1'II'PIIALMOPLÉGIE EXTERNE. 245
moteur
commun et du pathétique. Les fibres radiculaires
omsen : cette fois les hémorrhagies s'arrêtaient en bas au noyau du
moteur
oculaire externe et étaient entourées d'une zon
A L'ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES NOYAUX
MOTEURS
(Polioencéphalomyélite) (Suite et fin') t)
rrhagies capillaires ainsi qu'une hyperémie considérable; quant aux
moteurs
oculaires commun et externe, au pathétique et a
asculaires normales. Névrite inters- titielle et parenchymateuse du
moteur
oculaire commun, du moteur oculaire externe, du
e inters- titielle et parenchymateuse du moteur oculaire commun, du
moteur
oculaire externe, du pneumogastrique. En résu
ngée; expression d'une alté- ration systématique limitée des noyaux
moteurs
, elle mérite bien le 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
otale, produite par une altération de toute la lïl^LUA}> colonne
motrice
bulbo-protubéranticlle; débute ordinairement par
ricité et l'engagea à entrer à l'hôpital. État actuel. - Troubles
moteurs
. Membres inférieurs. - 1° Membre inférieur droi
membres supérieurs et le reste du corps ne présentent aucun trouble
moteur
. Dynamomètre : main droite, 46; main gauche, 43.
e faut-il de plus pour affirmer l'ori- gine hystérique des troubles
moteurs
et urinaires qu'il présente ? L'hystérie est en
de points hystérogènes. Pas d'attaques. A la sortie, la paraplégie
motrice
est améliorée, mais non guérie. OBS. XXXII et
jour à l'autre on observe des différences notables dans l'impotence
motrice
; la contracture a disparu brusquement après avo
mme si elle étouffait; les yeux restent entr'ouverts. 1° Troubles
moteurs
. Les membres supérieurs sont parfaitement mobil
réci concentriquement et de chaque côté à 65° en dehors. Troubles
moteurs
. 1° Chorée rhythmée classique du bras gauche. 2
che à quatre mains, etc. Pas d'abasie en un mot. Outre ces troubles
moteurs
et sensitifs et ces signes probables d'hérédo-
aine raideur des membres du eôté J droit. En somme, au point de vue
moteur
, il y a hémiplégie droite complète * et parésie
Cl1'1 : . 1. Parinaud et G. Guinon, Note sur un cas de paralysie du
moteur
oculaire externe et du facial, etc. (Nouvelle I
quet ; elle a plutôt l'air de glisser. Décembre 1889. Les troubles
moteurs
se sont encore amendés un peu; elle souffre tou
seule d'un lit à l'autre dans la salle. En mars 1890, les troubles
moteurs
sont toujours en amélioration croissante. Un jour
esthésie cutanée, au contraire, accompagne fréquemment les troubles
moteurs
de la névrose. Or cette anesthésie se présente
par une ligne perpendiculaire il l'axe du tronc. 2° Les troubles
moteurs
, l'exagération des réflexes, les trépidations s
ésume la symptomatologie. Yedrène mentionne un cas d'incoordination
motrice
disparue à la suite de la guérison des hémor- r
nt se retrouver dans la grande névrose. Et d'abord l'incoordination
motrice
. Déjà Duchenne de Boulogne ! avait longuement é
her7 appellent l'attention sur une forme particulière d'impuissance
motrice
dont M. P. Blocqe a donné la définition suivant
de leçons. M. Weir-MitcheIJ 10 a décrit aussi sous le nom d'ataxie
motrice
hystérique une incoordination analogue. Il est
nc, en résumé, rencontrer chez l'hystérique deux ordres de troubles
moteurs
: 1° L'astasie-abasie qui fera rarement songer
rapproche étrangement de l'ataxie tabétique. Mais l'incoordination
motrice
dans la névrose ne serait pas suffisante pour éga
ie locomotrice et en particulier de la maladie appelée ataxie loco-
motrice
progressive, Paris, 18G4, p. 57. 6. Leyden, Tra
urs qui s'accompagnaient très souvent de vomissements. Les troubles
moteurs
étaient si accusés qu'elle faisait à peine quelqu
omme dans un corset de fer ». Au mois de novembre 1888, l'impotence
motrice
est devenue absolue, et depuis lors la malade n
culaire et articulaire est également perdu. Tels sont les résultats
moteurs
et sensitifs généraux lorsqu'on examine la mala
ui de la maladie de Duchenne : d'abord, parésie avec incoordination
motrice
, puis paraplégie absolue; douleurs fulgurantes
etc. Elle n'a du tabès que les symptômes superficiels sensitifs et
moteurs
; or, ceux-ci sont aussi fréquents dans l'hystér
i frappe, à première vue, chez ce .malade, c'est son incoordination
motrice
. Il marche péniblement, les mem- bres inférieur
symptômes réunis pour qu'on puisse songer au tabes : incoordination
motrice
; douleurs analogues aux dou- leurs fulgurantes,
ffisamment démontré. En outre, il n'est qu'hystérique. Les troubles
moteurs
, l'incoordination motrice ne sauraient donner le
tre, il n'est qu'hystérique. Les troubles moteurs, l'incoordination
motrice
ne sauraient donner le change; ils ne rappellen
Westphal, des troubles oculaires, vésicaux, un peu d'incoordination
motrice
, plus de symptômes en un mot qu'il n'en faut pour
est survenue avec troubles dans la sensibi- lité. L'incoordination
motrice
, le signe de Romberg, les douleurs dans les mem
, étendue des pieds aux genoux. Enfin survient une incoordina- tion
motrice
analogue à celle du tabes. C'est un ensemble symp
y est parlé d'une hémiparésie gauche, de l'apparition des troubles
moteurs
à la suite d'une émotion morale, de la disparitio
me paraît exercer une influence sur la production de l'ataxie loco-
motrice
progressive. Il n'est pas très rare effectivement
gressive : douleurs fulgurantes, crises viscérales, incoordination
motrice
, troubles vésicaux, etc., tous signes qui peuvent
sive. Il nous semble inutile d'insister sur ce point. 2° Troubles
moteurs
. (a) L'incoordination des mouvements pré- sente
aux qu'elle prête rarement à la confusion. Et pourtant les troubles
moteurs
, l'incoordination même, ne sont pas exceptionnels
e, intelligente. Sa démarche est normale et ne trahit aucun (rouble
moteur
. Troubles de la sensibilité. 7létnàcttestltésie
et de la sensibilité, on constate des lésions nombreuses. Troubles
moteurs
et trophiques de la moitié gauche du corps. (a)
obligé d'avoir recours aux béquilles; il n'y a pas d'incoordination
motrice
ni de trémulation épileptoïde du côté gauche. L
u cou, on ne trouve rien de par- ticulier à signaler. 2» Troubles
moteurs
et trophiques de la moitié droite du corps. (a)
ois ans, et elle est stigmatisée aujourd'hui par son double cortège
moteur
et trophique; 2° Les manifestations hystériques
trophie du nerf optique et une amélioration de la parésie des nerfs
moteurs
oculaires commun et externe. Darier (19) a cons
chique du cerveau. Mais ce n'est que tardive- ment que les troubles
moteurs
ont apparu : d'abord intermit- tents, ils sont
tous nos soins contre eux; quand l'aura est d'origine sensitive ou
motrice
du côté d'un membre par exemple, on frictionner
ns le texte. Conclusions. 1° L'agitation psychique avec agitation
motrice
vive et continue; détermine une diminution de l
e l'irritation mentale, du traumatisme psychique, sur l'innervation
motrice
ou sensorielle. Ainsi apparaît l'hystérie, l'ob
ccentuent de plus en plus, les symptômes du tabes, l'incoordination
motrice
, comme les autres, s'affaiblissent et s'effacen
tions croisse dans un rapport arithmé- tique ; de même l'effet d'un
moteur
ne croit que dans un rapport arithmétique quand
paresthésies, les phéno- mènes d'excitation et de parésie de nature
motrice
, sensitive, sen- sorielle, vaso-motrice. Au poi
es sensibilités subissent la dégénéres- cence, et que dans le tabes
moteur
, les seules fibres de la sensibilité réflexe so
nt le col chirurgical de l'humérus et qu'en outre de leurs branches
motrices
, ils émettent une branche sensitive qui s'épuise
e sous le nom de signe de Weber une paralysie croisée comprenant le
moteur
oculaire d'un côté et le facial inférieur ainsi
côté gauche tandis qu'à droite, l'application du courant au point
moteur
symétrique, produit la contraction normale du tri
nt volontaire par action réflexe, par suite du voisinage des noyaux
moteurs
du trijumeau et de l'oculo- moteur. C'est l'his
suite du voisinage des noyaux moteurs du trijumeau et de l'oculo-
moteur
. C'est l'histoire des mouvements associés dans le
ganglionnaires du noyau de l'hypoglosse, du noyau ambi- guis (noyau
moteur
du nerf vague et du -losso-pharyn-ien), du noya
réticulaire. Le nucléus ambiguus est le noyau d'origine des fibres
motrices
du glosso-pharyngien et du spinal, et la source d
dinal postérieur du côté opposé, qui vient probablement du noyau du
moteur
oculaire commun. Le groupe de cellules postéro-
ment un état de douce satisfaclion, modérément accusé. Les troubles
moteurs
existaient dans tous les cas, mais à un degré m
mpérature s'est élevée à 40°. '166 SOCIÉTÉS SAVANTES. L'agitation
motrice
est extrême. La parole faible, incohérente. Les
les centres purement intellectuels, tantôt enfin sur les centres
moteurs
. Mais tout en attribuant à la prédisposition hé
thèse que la chorée ne sur- viendrait que chez ceux dont le système
moteur
est cungénitale- ment débile. On peut donc arri
s centres psychiques n'agissent pas ? ils sont excités. Les centres
moteurs
le sont aussi, puisqu'un homme qui souvent, à l
Ainsi, excitation des centres psychiques et excitation des ceutres
moteurs
; cette épilepsie, loin d'être larvée, est, si l
mes somatiques. On constate chez certains malades de l'excitation
motrice
, de la fuite des idées, des modifications de l'hu
modifications de l'humeur, des symptômes de paralysie psychique ou
motrice
. La catalepsie, l'extase, l'immobilité sont des
circonvolution de Broca et la partie inférieure des circonvolutions
motrices
. La pointe des lobes frontaux est relativement
t malades particulièrement dans le gyrus rectus, les frontales, les
motrices
et le lobe temporal. Cette altération est remar
Le plan- cher du quatrième ventricule est un peu granuleux; le nerf
moteur
oculaire commun gauche est grisâtre et fortemen
t ou latéralement. L'épendyme est légèrement granuleux. Les nerfs
moteurs
oculaires communs présentent une légère infil-
l- tralion interstitielle, mais leurs tubes sont sains. Les nerfs
moteurs
oculaires externes sont beaucoup plus atteints
nts nerfs sont absolument sains, do même que la portion des nerfs
moteurs
oculaires externes qui traverse la protubérance.
rtout au ni- veau du gyrus rectus, des circonvolutions frontales et
motrices
et de la pointe du lobe temporal. Pourtant il n
s du sol. Les membres inférieurs sont le siège d'une incoordination
motrice
considérable, les réflexes rotuliens sont aboli
nullement atteints par cette lésion purement interstitielle'. Les
moteurs
oculaires externes, surtout le gauche, présentent
e, présentent une infiltration analogue, quoique moins intense. Les
moteurs
oculaires communs sont traversés, à leur origin
des nerfs optiques. Vessie paresseuse; constipation. Incoordination
motrice
; signe de Romberg. Quelques signes de satisfact
par l'influence médiate du système nerveux central (troubles vaso-
moteurs
, etc.) combinée à l'influence immédiate des agent
te. Actuellement l'affection est à l'état chronique : les symptômes
moteurs
prédominent; plu- sieurs muscles présentent de
stingue trois formes à localisation (Wernicke, 18 H) : 1° l'aphasie
motrice
, par la suppression d'images représentatives des
chéma d'après lequel il y a sept formes d'aphasie, les deux espèces
motrice
et sensorielle se décomposant en variétés subco
ralysie de la troisième paire, du côté opposé, c'est-à-dire du nerf
moteur
oculaire commun. . M. le professeur Raymond m
agit d'un cas d'hémiplégie droite, coexistant avec une paralysie du
moteur
oculaire externe gauche. - Pour qu'une lésion u
le du lobe occipital, comparable aux'plié- - - nomènes d'excitation
motrice
de l'épilepsie jacksonienne, et'lià , . la prés
servent en outre à meltre en évidence la localisation des fonctions
motrices
de la moelle. P. S. XXXVIII. Traumatisme SUIV
- blait avoir affecté simultanément et progressivement le tractus
moteur
dans sa totalité, écorce, faisceau pyramidal, cor
otalité, écorce, faisceau pyramidal, cornes anté- rieures et fibres
motrices
avec état spasmodique et en même temps atrophie
lire hypocon- driaque, ou de négation, ils n'ont pas eu de troubles
moteurs
de la paralysie générale. - La première malad
era permis d'examiner les choses de plus près. Quant aux phénomènes
moteurs
que nous venons de décrire chez R..., leur ense
ant ceux de la chorée vulgaire : dans cette affection, les troubles
moteurs
sont d'abord limités à un côté du corps, il y a d
e sont essentiellement brusques et étendus, tandis que les troubles
moteurs
de notre malade se caractérisent avant tout par
e quelqu'un. La face offre aussi chez R... deux espèces de troubles
moteurs
: l'athétose avec ses contractions excessivemen
accidents cérébraux graves (apoplexie, hémiplégie droite, aphasie
motrice
et cécité verbale), entre à l'hôpital avec une hé
e la syphi- lis cérébrale.- M. LE FILLFATRE. Essai sur les troubles
moteurs
dans l'alcoolisme aigu, subaigu et cérébro-spin
ques de Om ? 25. Aux doses de 0mm,7 on obtient déjà de la paralysie
motrice
des deux jambes, de l'affaissement des muscles
produite par l'ab- sinthe produit son maximum d'effet quand la zone
motrice
est intacte, la décharge se fait par cette zone
ction des pupilles ou de leurs noyaux, des fibres de transmis- sion
motrices
, des faisceaux pyramidaux ou des cordons latéraux
41 cas dont36hommes et 5 femmes. La dégénérescence et l'atrophie du
moteur
oculaire cranien ont été trouvées dans 8 cas.
n mémoire sont les suivantes : 1° La grande majorité des cellules
motrices
de la moelle cervi- cale présente une dispositi
situé à la partie interne des cornes antérieures; 7° La fonction
motrice
d'une partie ou d'une extrémité quel- conque du
sorte d'autopha- gisme ; à cette période correspondent l'excitation
motrice
et les idées de grandeur; 3° les matériaux de n
e de raies ayant 'la même direction. 1. Type des cellules nerveuses
motrices
; . 2. Type des grandes cellules de la corne d'
faisceaux de la couronne rayonnante composés de fibres sensitives,
motrices
et de fibres de la couche optique, et qui parai
fibres de la couche optique, et qui paraissent avoir leur appareil
moteur
propre. Tels le centre . REVUE D'ANATOMIE ET DE
ents des appareils sensoriels, dans le même rapport que les centres
moteurs
quant aux sensa- tions des organes moteurs, et,
rapport que les centres moteurs quant aux sensa- tions des organes
moteurs
, et, par suite, des centres corticaux ne sont p
nière étant elle-même sous la dépendance de la paralysie des vaso-
moteurs
. L'alcool n'est donc ni un aliment d'épargne, ni
ois précédée d'une phase d'allégement, surtout pour les fonc- tions
motrices
. Ajoutons à cette double influence de l'alcool la
(engourdissement des fonctions psychiques, excitation des fonctions
motrices
, eu- phorie). L'incurabilité des buveurs tient
entière des vertébrés, occupent des territoires dont les fonctions
motrices
sont démontrées. Ces éléments sont nettement diff
n les rencontre dans un point de l'écorce, on peut admettre le rôle
moteur
de ce dernier. Nous ne savons rien de précis su
. Les cellules nerveuses d'un même type, par exemple les cellules
motrices
, peuvent se présenter sous différents aspectssuiv
e de tous points à l'hys- térie ordinaire ; seuls certains troubles
moteurs
, sensitifs, visuels, nécessitent quelques remar
100, et agissent en déterminant habituellement un état d'excitation
motrice
ou psychique, accompagné de congestion de la fa
traitée la question de la transmission des impressions sensibles et
motrices
. A propos de la transmission de la douleur, ils
uliens sont complètement abolis. Le coeur participe à cette inertie
motrice
: ses battements sont, en effet. ralentis au po
ressions) ; d'ordinaire, abolition des réflexes. c). Troubles vaso-
moteurs
et trophiques (cyanose, oedème, altération de la
tres phénomènes sensitissousensitivo-moteursqui transforment l'aura
motrice
en une aura complexe. La direction de la rota-
nérale confirment la théorie qui y fait résider, unis aux centres
moteurs
, des centres pour la sensibilité générale : la di
oubles de nature sensitive s'amendèrent rapidement, les symp- tômes
moteurs
persistèrent plus longlemps. Tous les mouvements
légère confusion se surajoutait à ces manifestations d'asym- bolie
motrice
. M. Heilbronner (de Breslau). Un cas d'asymboli
lité de se tenir debout; puis sociétés savantes. 481 paralysie du
moteur
oculaire externe droit, ptosis bilatéral, inéga-
l'hypothèse soit d'une asymbolie sensi- tive, soit d'une asymbolie
motrice
; il admet l'existence d'une asymbolie de conduc
compliqués sont plus fréquents, tantôt ce sont les mani- festations
motrices
qui s'exagèrent; tantôt la psychose à forme anx
ué ne paraissait pas en rapport avec l'étal psychique, les troubles
moteurs
et les auties modifications de la sensibilité.
mpes dans les extrémités. Paralysie survenue brus- quement des deux
moteurs
oculaires externes et parésie mani- feste, mais
ns). Un paralytique général tabétique pré- sentait une paralysie du
moteur
oculaire commnn droit coïnci- dant avec la pert
he. A l'au- topsie on trouva une dégénérescence accusée du tronc du
moteur
oculaire commun droit. Des coupes en série de l
es coupes en série de la région des noyaux du pathétique et du nerf
moteur
oculaire montrèrent l'intégrité des fibres et d
ues, S9. des aliénés en Allemagne, par ' Sérieux, n3. Asimbolie
motrice
, par Bonhoffer et lleilbronner, 4S0. Atwie hé
ogie du phénomène en question. Par syncynésie on entend la réaction
motrice
de certains muscles qui se manifeste au moment
e mécanisme du spasme à bascule appa- raît clair. C'est l'impulsion
motrice
volontaire qui trouve de la part de l'observate
te et stéréotypée. Ces signes de profonde perturbation psychique et
motrice
, joints à des alter- natives excito-dépressives
ique, en associant ces phénomènes somatiques à des troubles psycho-
moteurs
assez bien déterminés, nous permet de les attribu
apé- zoïde. VA, quatrième ventricule. V, Vd, Vsd, trijumeau, racine
motrice
, racine e sensitive descendante. VI, VII, VIII,
es cutanés et ten- dineux sont normaux et il n'existe aucun déficit
moteur
appréciable. D'intelligence moyenne, ce sujet n
dans l'acte désiré. C'est naturellement quand les désordres sont
moteurs
que se manifes- tent le plus les insuffisances
remières. Le système sensitif est aussi plus atteint que le système
moteur
au dé- but de la maladie, quoiqu'il ne soit poi
lgésie avec l'anesthésie; ensuite viennent d'ordinaire les troubles
moteurs
. Ces phé- nomènes sont accompagnés de fièvre, s
slhésie, on peut se rendre compte de l'origine de certains troubles
moteurs
qui existent chez le : labéliques où il y a le
que la distance est raccourcie et le trajet simplifié. Celte forme
motrice
est propre aux étals d'anesthésie simple des tiss
tif, et à cause des connexions labyrinthiques, souffre des troubles
moteurs
adéquats aux lésions propres il sa maladie. En
mes aiguës ou actives de labyrinthisme dans les- quelles le trouble
moteur
est impulsif comme clans l'ivresse et dans les
iquement les branches musculaires des nerfs faciaux. Les troubles
moteurs
dans la lèpre nerveuse dépendent de la lésion s
e dans les nerfs sensilifs superficiels et profonds, dans les nerfs
moteurs
, dans les articulations et dans les autres tissus
le, tant au point de vue du conducteur qu'au point de vue du centre
moteur
. Il me semble très juste et très rationnel d'ad
tifs en toute préférence et bien avant ceux qui dépendent des nerfs
moteurs
, contribue à faire accepter le diagnostic 164 '
parfois dans ces régions dont le volume musculaire et dont l'action
motrice
volontaire sont en apparence à l'état normal et q
i explique-t-elle très clairement que certains symptômes sensitifs,
moteurs
el. trophiques, sont limités pendanl longtemps
a de l'atrophie. C'est l'atrophie, en effet, qui régit les troubles
moteurs
. Chez F..., la motilité volontaire est complète
superposent topographie- quement à ceux des troubles trophiques et
moteurs
et leur sont compa- rables Comme les troubles t
t moteurs et leur sont compa- rables Comme les troubles trophiques,
moteurs
et réflexes, ils diminuent de bas en haut et di
cile en raison des phénomènes concomitants : sen- sitifs, réflexes,
moteurs
, électriques ; en raison de la discordance entre
, elles sont très variables; elles portent avant tout sur les nerfs
moteurs
et spécialement sur les filets musculaires qui
isième circonvolution frontale, l'oper- cule rolandique et l'écorce
motrice
voisine, elles déterminent une forte dégénéresc
effet, que ce noyau affecte des rapports d'une part avec les noyaux
moteurs
du bulbe et les cornes anté- rieures de la moel
sme de la motilité est soumis à I influence coordonnéede deux voies
motrices
essentiellement et primitivement distinctes : l
fait partie du mécanisme régulateur et inhiba teur de nos activités
motrices
. Il est certain qu'à la naissance, nos mou- vem
du facial, puis- que dans les lésions siégeant au niveau de la zone
motrice
, le malade ne peut contracter le facial inférie
o- miques. Il eat probable, en effet, que l'apparition de désordres
moteurs
aussi variés est soumise à l'influence simultan
rmir; sa somnolence à ces moments est invincible. Pas de troubles
moteurs
. Réflexes cutanés, tendineux et muqueux normaux
de petites cicatrices arrondies, pigmentées en rouge brun. Troubles
moteurs
. Tous les mouvements actifs du poignet et du coud
paule gauche que de la droite. Ces douleurs légères, ces troubles
moteurs
au niveau des deux épaules sont antérieurs au z
- L'éruption n'a laissé que des cicatrices pigmentées. Les troubles
moteurs
ont persisté : ils sont exactement superposables
frappe plus ou moins tous les muscles inversés par les cinq racines
motrices
du plexus brachial. Les réactions électriques c
ent superposition topographique des troubles érup- tifs, sensitifs,
moteurs
, électriques, et disposition radiculaire de ces d
usculaires reste une image cénesthésique douée d'une forte tendance
motrice
, d'où l'impulsion auto- matique à l'acte. J'ai
e une image' cénesthésique fixe, douée d'une tendance 'affective et
motrice
très vive, d'où l'impulsion automatique à l'acte.
ement s'expliquer si l'on n'admettait pas la persistance des images
motrices
(James), etc. La présence d'une imagé cénesthés
xe doit être invoquée non seulement dans les phénomènes hystériques
moteurs
, mais aussi dans les sensitifs, car toutes les im
toutes les impres- sions sensorielles s'accompagnent d'une réaction
motrice
et d'une image cénesthésique, qui peut être rév
les qui tirent leur origine des impressions sensitivo-sensorielles,
motrices
et viscérales. La condition fondamentale de l'a
r le désir de faire tel ou tel acte dépend du potentiel affectif et
moteur
se liant à l'image céIle,lliési4.ue de l'acte l
thésiques correspondantes, douées d'une forte tendance affective et
motrice
, et par suite dans l'action. C'est par cette hy
uttes de nitrite d'amyle ; des cas d'hémiplégie droite avec aphasie
motrice
, ou sen- sorielle, qui suggéraient tout à fait
ages cénesthésiques fixes, douées d'une forte tendance affective et
motrice
, qui, attirant sur elles-mêmes tout le dynamisme
t de Ferrier (1876) ne semblent laisser aucun doute sur la fonction
motrice
de cet organe. Les idées que se faisaient ces a
noyau lenticulaire sont frappés simultanément, les troubles d'ordre
moteur
sont maintenant attribués exclusivement à la lési
montrer l'action du corps sirié é sur l'organisation de la fonction
motrice
paraît douteuse, au moins aux yeux d'un certain
, IU09) faisait ses expériences sur le chien. Il détruisait la zone
motrice
et provoquait ainsi une dégénérescence du faisc
clinique. Il me semble que l'état actuel du problème de la fonction
motrice
du' corps strié peut être résumé ainsi : . ,
hémiplégie. La possibilité d'une certaine localisation des fondions
motrices
est admise. Pour la majorité des physiologistes
VELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. 11VII. hL. 1LVIII TROUBLES
MOTEURS
DANS LES LÉSIONS DU CORPS STRIÉ (W. van Woerkom
s dont souffre encore le malade se sont manifestées. Les troubles
moteurs
se sont accentués progressivement : jusqu'en juil
it propagé au faisceau pyramidal gauche pour expliquer les troubles
moteurs
. Celait, en quelquesorle, un chapitre des paraplé
is périodes. La première caractérisée par des troubles sensitifs et
moteurs
des membres inférieurs, déjà décrite et discuté
Iconographie » de 1905. Dans la seconde, les troubles sensitifs et
moteurs
, qui ont déserté ces extrémités inférieures, vont
ssi une protrusion des globes oculaires, des paralysies des muscles
moteurs
de l'oeil, le nys- tagmus, la réaction hémiopiq
gulière. ' L'examen des fonctions nerveuses ne révèle aucun trouble
moteur
, aucun trouble de sensibilité superficielle au
s foyers encéphaliques dans la zone ou dans le voisinage de la zone
motrice
. Il faut donc admettre que l'épilepsie essentie
ystème nerveux central (par exemple le noyau du valgus, le noyau du
moteur
trijumeau), à l'opposé 396 BOLTEN d'autres pa
tions : ['instabilité et l'irritabilité. L'instabilité, psychique,
motrice
ou viscérale, est l'une des caracté- ristiques
l'une des caracté- ristiques de la débilité nerveuse L'instabilité
motrice
et l'instabilité psy- chique sont les plus évid
nr attention, et pour un temps 'relativement court. L'instabi- lité
motrice
des muscles de la face (tendance aux tics et aux
e émotion forte, causent des réac- tions astro-hépato-inteslinales,
motrices
, sensitives et sécrétoires. On dirait que le pl
s. Réactions hystériques et hystéroïdes. Réactions convulsives et
motrices
diverses. Voilà, comme je vous l'ai dit, les pr
la fatigue précoce. Ces modifications se manifestent dans la sphère
motrice
, sensitive ou psychique. ' Elles peuvent être
do la personnalité psychique des éléments sensitifs, son= soriels,
moteurs
ou viscéraux de l'organisme. L'hystérie correspon
nce. L'irritabilité facile de l'écorce cérébrale pour les décharges
motrices
convulsives inconscientes prouve le degré d'mféri
le de connaissance, indique la facile désagré- gation des fonctions
motrice
et psychique. Celte façon de voir me semble si
apparentes. Ues tumeurs, méningites, traumatismes des zones; dites
motrices
, de l'écorce cérébrale, peuvent occasionner des
nerveux se peut transmettre des or- ganes de réception aux organes
moteur
sans passcr par le corps de la cellule. Tout ce
membres) avec paralysie gauche de qua- tre nerfs crâniens : facial,
moteur
oculaire commun, auditif et trijumeau, et avec
ec hémiasy'nergie gauche, et tremblement inten- tionnel. La branche
motrice
du trijumeau n'étant pas paralysée la lésion do
cécité littérale, syllabique et verbale, sans agraphie, ni aphasie
motrice
, ni surdité verbale, et de l'héinia- nopsie hom
Tête : Rien à noter. 'Tronc : Courbature lombaire, pas de troubles
moteurs
ou tro- phiques, les 3 points d'une névralgie l
des mains et des avant- bras. ' n 0 Membres inférieurs : Troubles
moteurs
: Le malade marche avec peine et peu longtemps
lcooliques du malade, l'intensité légère des troubles trophiques et
moteurs
dans les membres infé- rieurs, les douleurs con
manque de troubles sphinctériens marqués, la légèreté des troubles
moteurs
et trophiques, peuvent bien relever du fait que
cheval était bien plus évidente, bien plus complète ; les troubles
moteurs
, les troubles trophiques, les troubles sensitif
la convergence, a conserv é la conductibilité complète de l'oculo-
moteur
commun. Pour rechercher l'état de la voie centrip
sceau latéral des pyramides n'a pas été sectionné, que la paralysie
motrice
rétrocédera et que le patient récupérera la fon
: destruction et atrophie des centres etconducteurs cérébro-spinaux
moteurs
ou trophiques et période ultime deshémorrhagies
nt des libres sensitheset de leur connexion étroite avec les fibres
motrices
dans le même hémisphère. Le trac par asynergi
Les méthodes de rééducation en thérapeutique (rééducation psyliique
motrice
, sensorielle et organique) ; par le 1), GoNT>
la rééducation. L'éducation, en soi, se caractérise dans la sphère
motrice
par la création d'un mécanisme automatique, c'e
auteur envisage ensuite, dans une deuxième partie, la réédu- cation
motrice
, d'abord dans les troubles delà coordination (ata
nctionnels, et aussi pour lutter contre l'amnésie et même l'aboulie
motrice
, si fréquentes dans ces maladies. Passant à l
tion qui consiste dans un trouble portant à la fois sur le système
moteur
et sur l'étal mental), l'auteur conseille d'amene
ues , eti'existence de grandes attaques (chu- tes, cris, phénomènes
moteurs
) ou de petites attaques (ni chute» ni cris, mou
scendante au sens exact du mot,mais de cellulo-névrite,de neuronite
motrice
antérieure), au profit encore des réactions cel
se fait sournoisement, insidieu- sement, sans réaction sensitive ni
motrice
; et en cas de gué- rison confirmée,chacun sait
ndant toute l'évolution rabique,le siège de phénomènes sensitifs ou
moteurs
. Peut-être même, dans les rares observations où
et la diffusion des douleurs,et par l'adjonction des symptù- mes
moteurs
, de spasmes,de tremblements. Le branle-bas peut
e la névrite se ré- vèlent par la douleur, les troubles trophiques,
moteurs
, sen- sitifs, objectifs, par la raréfaction du
comme pour les rani- mer, représentant ainsi une sorte de réaction
motrice
contre une sensation d'engourdissement. Dans d'
tielle : il se basera sur la non-existenced'hallucinations psycho-
motrices
et psyclio-inhibitrices, ,'d'liillucin*ations psy
queurs nous frappent surtout par le déséquilibre de leurs fonctions
motrices
, leurs accidents convulsifs ne sont souvent que
tunément, ou du moins à savoir y proportionner leurs réac- tions
motrices
. - Essai de classification des maladies mentale
230 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. les muscles
moteurs
du thorax proprement dits, qui en modi- fient l
ts'expliqueranatomiquement ain- si. La respiration est une fonction
motrice
qui ne peut exister qu'à la condition que les m
e pneumogastrique, le phrénique et les in- tercostaux. Les, centres
moteurs
de ces nerfs sont échelonnés tout le long de la
bonique, on doit admettre aussi des actions synergiques des centres
moteurs
que nous venons d'énumérer et dont les fonction
et dont les fonctions sont réglées,comme celles des autres centres
moteurs
, par des sensations musculaires, articulaires,
Et l'étendue même des étages de la moelle occupés par les centres
moteurs
des muscles respiratoires montre que la fonclion
romise chez lesataxiques. Il est possible de traiter ces troubles
moteurs
par des exercices méthodiques. On peut objecter
n des mouvements semble s'appliquer naturellement aux fonc- tions
motrices
de la vie de relation (qui sont toujours l'objet,
nce, pourront en ce cas, comme dans d'autres désordres de fonctions
motrices
, exercer une ac- tion curatrice prépondérante.
mmun l'élévation de la température du côté atteint par les troubles
moteurs
, il existe également, outre les autres altérati
nous concluons que : le sterno-mastoïdien tire son innerva- tion
motrice
du groupe central des deux premiers myélato- me
le noyau du facial, le second groupe neural sert à l'in- nervation
motrice
des muscles stylo-hyoïdien, stylo -glosse et du
muscle temporal. Ce qui reste encore de ce noyau donne les fibres
motrices
au masséter et aux muscles ptérygoïdiens. Lésio
ion, les points excités de nos différents organes et les mécanismes
moteurs
mis en branle. Il convient, en outre, de rappel
turne et diurne, suivant leur degré, s'accompagnent d'une agitation
motrice
considérable, parfois suivie de stupeur. L'inso
pas représentés ; la combinaison des images ne s'accomplit pas, le
moteur
interne n'existe plus. Chez l'homme, où les abl
ne peut y avoir de conscience du corps en l'absence de faisceaux
moteurs
, car notre conception toute schématique de la d
suivant : odorat (3), vision (Il), audi- tion (5). Mais aucune voie
motrice
n'est développée à la naissance. Il faut attend
troisième semaine de la vie extra-utérine pour trouver des fibres
motrices
en voie de myélinisation. Ce n'est d'ailleurs q
uvait-on constater une 1 diminution très légère dans les phénomènes
moteurs
pendant la nuit. » La différence parait entière
veille des états de sommeil. 11 y a des oscillations de l'activité
motrice
que l'évolution ontogénique et l'éducation cr-
faisceau fondamental antérieur et les fibres courtes d'associations
motrices
et sensitives. Le rôle du faisceau fondamental
l'importance en indiquant ses rapports anatomiques avec les noyaux
moteurs
de 'l'hypoglosse et les cellules d'origine des
noyaux moteurs de 'l'hypoglosse et les cellules d'origine des nerfs
moteurs
de l'oeil.Il transmet les impressions qui sembl
s descendantes.Il met en relation les lobes optiques avec les nerfs
moteurs
de l'oeil et les nerfs des muscles de la tête,
herches sur les chiens nouveau-nés, est très affirmatif sur le rôle
moteur
de ce faisceau.. « On sait, dit-il, d'une façon
voies pyramidales ne sont pas les seuls conducteurs des impulsions
motrices
: en effet : 1° après l'ablation totale de la z
ices : en effet : 1° après l'ablation totale de la zone corticale
motrice
ou après section des pyramidales, les animaux n
La moelle est donc suffisamment pourvue de fibres sensiti- ves et
motrices
et l'excitation peut bien parvenir aux ra- cine
eo, Paul Bert et lTaracci, en combattant la théorie des cen- tres
moteurs
de la moelle, ont démontré que l'excitation des
re de M. Vurpas. Si dans son bulbe on ne rencontre pas de faisceaux
moteurs
, les fibres sensitives y sont bien constituées,
bien constituées, en rapport avec des racines des troncs nerveux du
moteur
oculaire externe des septième et huitième paire
ullaire et l'activité des (1) SANO. Les localisations des fonctions
motrices
de.la moelle epiniere. Annales de la Société mé
é médico-chirurgicale d'Anvers, An- vers, 18';)8, Les localisations
motrices
clans la moelle iomhn-snen'0. Ibid. (2) Gf :
s eu bon état fonctionnel chez l'anen- céphale assurent la synergie
motrice
(1). Au moment de la naissance, le foetus devie
ous voyons apparaître au- dessus des couches optiques les fonctions
motrices
des coips striés ; et plus tard, les fonctions
vraisemblablement aucun rôle dans leur activité, puisque les voies
motrices
pyramidales n'existaient pas dans le névraxe. I
e se présente comme un fait nouveau lorsque le cerveau et les voies
motrices
du nevraxe se constituent On observe vers le ci
e d'une lésion commune, la dégénérescence primitive du protoneurone
moteur
ou de son annexe, la fibre musculaire. Et il y
é ni des sphincters ; c'est-à-dire rien que des phénomènes purement
moteurs
, dont la particula- rité est qu'ils se manifest
ontribution anatomo-palhologique à l'élude des localisa- ! ! 0)<.;
motrices
dans la moelle de l'homme. Examinant la moelle
ab, iqué sur. mes indications par l. Bercut, actionné par un de ses
moteurs
et que j appelle hypnocyanotrope : la rotation de
formes du langage, on peut considérer un élément physique purement
moteur
eL un élément psychique ; cette distinction, fa
souvent du même coup un fonctionnement défectueux des appa- reils
moteurs
et intellectuels. , Les modifications de l'arti
lhrnlaliques) reconnaissent comme principale cause l'incoordination
motrice
des muscles de la langue et delà face. Les Lr
qu'à la faiblesse irritatde dus lénie nerveux. Parmi les accidents
moteurs
, on observe presque constamment inégalité et in
les ; ace moment, il n'existe généralement pas d'autres sv Diplômes
moteurs
. 11" L'évolution de la maladie a notablement ch
troubles du langage consistent en accrocs transitoires, en aphasies
motrices
transcorticales, ou en aphasies sensorielles (sur
eurs, des formes maniaques oUI11l\lancoliqnesl'at'es. des psychoses
motrices
akinéliques hyperkinétiques ou parakinéli- ques
bacilles de Koch ; au contraire, des lésions intenses des cellules
motrices
dorso lombaires. Philippe interprète le cas com
iens dès maintenant il attirer l'attention sur des troubles vaso-
moteurs
qui m'avaient échappé et qui parleur constance
des malades atteints d'affec- tions à manifestations exclusif ement
motrices
(paralysie agitante, goitre exophtalmique, chor
ès, sclérose en plaques, crampe des écrivains, etc.) ; ou à la fois
motrices
et intellectuelles telles fM eo'tcatM, etc.) ;
s motrices et intellectuelles telles fM eo'tcatM, etc.) ; ou a fois
motrices
et intellectuelles telles que l'épilepsie, l'hy
nces., 1904.) Prix Broca. Soc. d'Anthropologie 1904.) z 25. Aphasie
motrice
à répétition chez une morphinomane, en collab.
2. Les de rééducation en thérapeuti- que (rééducation psychique
motrice
, sensorielle et orga- nique), par Contet, p. 14
modifications dans l'excitabilité mécanique et électrique des nerfs
moteurs
et des muscles. Ces modifications ont été signalé
résume ainsi (l. c. p. 124) : « L'excitabilité mécanique des nerfs
moteurs
est normale ou diminuée, celle des mus- (1) See
de difficulté. En août 1885, aggravation considérable des troubles
moteurs
aux jambes et aux bras. Il en arrive à marcher
étudierons plus longuement au cours de ce travail. Pour les nerfs
moteurs
, l'excitabilité mécanique est diminuée. L'excitab
lle de l'excitabilité mécanique, faradique etgal- vanique des nerfs
moteurs
. I Excitabilité DES muscles par LES courants
on étant la même, l'ac- tion devrait être identique pour les fibres
motrices
ou les fibres sensitives. Cependant les résulta
res manifestations de l'athétose double sont tantôt les trou- ])les
moteurs
, tantôt les troubles intellectuels qui s'offrent
ître complètement pendant l'état de veille. Rapidité. Ces désordres
moteurs
peuvent être enregistrés scienti- fiquement par
étosiques. Warner (1) en Angleterre a proposé en 1883 « un gantelet
moteur
», qui inscrit les secousses indépendantes de cha
Parole. La parole est fréquemment altérée par suite des troubles
moteurs
de la langue, des lèvres, du voile du palais, aut
elles sont excessivement 3. - Symptômes accessoires. I. TROUBLES
MOTEURS
. Contractures. Nous avons vu qu'on observe des
ue tous les auteurs ont rencontré simplement une légère impo- tence
motrice
par l'effet de l'inertie, de la contracture ou de
s des mouvements volontaires, ceux produits notamment par un influx
moteur
volontaire, unique, brusque et énergique. Lorsq
uchenne période prodromique. Elle précède en effet l'incoordination
motrice
; mais remarquez-le bien, elle peut durer quatr
ous attendiez pour faire le diagnostic la venue de l'incoordination
motrice
, vous pourriez être fort en retard. Déjà, cela
Autant que l'asymétrie du tronc permettait d'en juger, les muscles
moteurs
du rachis étaient indemnes, et de force égale d
vement liées à la paralysie ou à la contracture de certains muscles
moteurs
du rachis. Nous écarterons pour le moment les thé
idence et clairement expliqué, une paralysie symétrique des muscles
moteurs
du rachis lombaire produit la lordose, aussi bi
A SALPÊTRIÈRE. Résumé. Les paralysies et contractures des muscles
moteurs
du rachis détermi- nent des déviations. Ces dév
r au niveau des glo- bes oculaires, il s'agit toujours des troubles
moteurs
plus ou moins mar- qués dans le jeu des muscles
e presque toujours dans ce dernier. D'habitude ce sont les troubles
moteurs
qui ouvrent la scéne consistant' essentiellemen
er à marcher qu'à un âge déjà avancé. On n'observe pas de paralysie
motrice
à proprement parler dans l'athé- tose double. L
suivent dans une certaine mesure une marche parallèle aux troubles
moteurs
. Au début l'in- telligence est souvent atteinte
vons pas obtenu de modifications appréciables du côté des troubles
moteurs
. '. Dreschfeld et Bourneville conseillent la gy
état spasmodique, et peut-être parfois d'une paralysie des muscles
moteurs
du rachis. Myopathies primitives. . On obse
yse toutes ces scolioses sont dues à l'action dominante des muscles
moteurs
du rachis d'un côté du corps ; il existe, soit un
de ce genre. Nous ne croyons pas que l'action vicieuse des muscles
moteurs
du ra- chis ait pu produire la scoliose de Balt
lles de l'excitabilité mécanique, faradique et galvanique des nerfs
moteurs
. Le temps, dont nous disposions, ne nous a pas pe
à 0",025 et 0",030. Excitabilité mécanique, et galvanique des nerfs
moteurs
. L'ex- citabilité mécanique des nerfs moteurs é
galvanique des nerfs moteurs. L'ex- citabilité mécanique des nerfs
moteurs
était diminuée chez notre malade, comme c'est l
tion myotonique, MyR, les modifications de l'excitabilité des nerfs
moteurs
et celles de l'excitabilité des muscles sont très
de l'excitabilité des muscles sont très différentes. Pour les nerfs
moteurs
l'excitabilité mécanique, faradique et galvanique
es de l'exci- tabilité mécanique, faradique et galvanique des nerfs
moteurs
et des mus- cles. Ces modifications, dans la ré
La maladie de Friedreich présente non seulement de l'incoordination
motrice
, mais encore même au repos, une sorte d'instabili
s multi- pliés, plus variés, plus irréguliers ; 2° l'incoordination
motrice
, la préhen- sion des objets se fait d'une façon
2 août elle sortait de l'hôpital complètement guérie de son trouble
moteur
. On ne peut nier cependant que l'hystérie, cett
à la Salpêtrière. Le mécanisme du fauteuil est mis en marche par un
moteur
électrique et trois fois par semaine il nous faut
asque est surmonté d'un plateau sur lequel se trouve placé un petit
moteur
spé- cial actionné par une simple pile. Tout l'
nsi dire sans interrup- tion sans crainte de dérangements. Le petit
moteur
donne environ 6,000 tours à la minute, tous trè
avec l'appareil actuellement employé ; c'est là une pure question de
moteur
. Parfois se trouvera-t-on bien de couper la séa
irectement à bras mais qu'il est beaucoup plus facile d'employer un
moteur
à gaz, à vapeur, électrique ou à air comprimé.
moule exactement sur toutes les têtes. Aussitôt en place on met le
moteur
en mouvement en pla- çant les fils de la pile d
coup avec l'index la petite pièce de cuivre située à l'extrémité du
moteur
. La durée moyenne de la séance doit être de 10 il
purement mécaniques ; le mouvement est transmis au fauteuil par un
moteur
qui peut être très varié : électricité, vapeur, g
peut être très varié : électricité, vapeur, gaz, air comprimé ; le
moteur
du casque est actionné par une pile, mais il est
e de l'hystérie, pas plus que sous la dépendance des troubles vaso-
moteurs
; quant à ces troubles vasomoteurs eux-mêmes, à l
ssifs de flexion, d'exten- sion et d'abduction. Malgré ces troubles
moteurs
, la marche est possible : elle est cependant gê
il est incontesta- ble que certains malades présentent des troubles
moteurs
(mouvements involontaires), presque analogues à
i les lésions corticales du cerveau, que celles des localisa- tions
motrices
, affectant par conséquent les trois circonvolutio
quent les trois circonvolutions dont l'en- semble constitue la zone
motrice
(frontale ascendante, pariétale ascendante, lob
garer dans l'inconnu et à n'accepter comme certains que les centres
moteurs
dont on peut prédire à coup sûr la lésion corre
mes hystériques simulateurs de chaque forme de lésion des cen- tres
moteurs
. Or, ces formes varient surtout suivant l'étend
rigine corticale sont produites par des lésions étendues de la zone
motrice
. Les paralysies partielles sont produites au co
es lésions corticales du cerveau. (1) Charcot et Pitres, Localisai,
motrices
de l'écorce cérébrale. Revue de médecine, 1883.
ificatifs de l'hystérie. Passons à présent à l'étude des phénomènes
moteurs
: Nous commençons par observer un tremblement d
naître chez ceux- ci comme chez celles-là, l'idée de l'impuissance
motrice
du membre. Eh bien ! par suite de l'obnubilatio
ntre que la règle s'applique aux nerfs vaso-moteurs comme aux nerfs
moteurs
des mus- cles striés et aux nerfs sensitifs, et
de la contracture de l'hémiplégie dans l'ex- citation des cellules
motrices
de la moelle épinière, par l'intermédiaire des
es fibres sont sclé- rosées, la source de l'excitation des cellules
motrices
en question doit être épuisée. La contracture d
partie thoracique supérieure du grand sympathique, les fibres vaso-
motrices
qui accompagnent les artères sous-el a, ière et v
excite certaines fibres et que l'excitation est portée aux cellules
motrices
de la moelle et aux fibres qui en partent. Le s
écédente. Leprocessus mor- bide exagère l'excitabilité des cellules
motrices
, les impulsions centrifu- ges sont traduites pa
excessifs ; elles sont en outre por- tées d'un groupe des cellules
motrices
aux groupes voisins; de là les mouvements acces
un -), par Féré, 89. Faradisation thérapeutique des nerfs vaso-
moteurs
et du nerf pneumogastrique, par Katicheff, 368.
: hyper-esthésie, anesthésie, hyperkinésie, akinésie, incoordination
motrice
, etc. Mais, pour n'avoir d'intérêt qu'au point de
e mettre ces lésions sur le compte de l'anesthésie et de la paralysie
motrice
, par suite des-quelles l'animal reste constamment
male des muscles, à la suite de la section ou de l'excision des nerfs
moteurs
et mixtes chez les animaux. — Faits pathologiques
logiques où il s'est produit une lésion quelque peu intense d'un nerf
moteur
ou d'un nerf mixte, l'existence d'une rapide et p
bsolument de même lorsque la section porte sur un nerf exclu-sivement
moteur
. Déjà M. Longet avait fait voir que, tandis que l
qu'elle nous présente se rapportent à des lésions de nerfs mixtes ou
moteurs
, survenues soit spontanément, soit à la suite d'u
la suite de la section et de l'excision des nerfs mixtes ou purement
moteurs
, c'est-à-dire en dehors des conditions qui produi
sculaires qui se produisent à la suite des lésion» passives des nerfs
moteurs
ou mixtes ne se séparent pas essentiellement, au
u la perte de la contractilité est, vous le savez, après la paralysie
motrice
qui, dans la grande majorité des cas, ouvre la ma
e faire ressortir. Est-il vraisemblable que, dans ces cas, les fibres
motrices
auront subi des altérations profondes, tan-dis qu
ralysie des nerfs vaso-moteurs concomitante de la paralysie des nerfs
moteurs
musculaires. Parmi les arguments qu'on peut faire
,en con-séquence des lésions irritatives des nerfs mixtes ou purement
moteurs
. Or, s'il en est ainsi, les dissidences que nou
rrait voir survenir, en con-séquence de la participation des cellules
motrices
, une atro-phie plus ou moins rapide et plus ou mo
ne réduction très manifeste ; de plus, le groupe externe des cellules
motrices
a complètement disparu et l'on voit à sa place un
ndant et y avait déterminé l'atrophie d'un certain nombre de cellules
motrices
. 1. Chez une femme atteinte de sclérose multiio
les tant qu'elles n'intéressent pas le système des cellules nerveuses
motrices
. On ne conçoit guère d'exception que pour le cas,
tilité électrique dès le sixième jour après l'accident. de cellules
motrices
{Fig. 2). La névroglie, dans les points al-térés,
araitévident, d'après loutce qui précède, que les cellules ner-veuses
motrices
sont bien réellement le siège primitif du mal. Le
es relativement au rôle de l'altération des cellules nerveuses, dites
motrices
, dans la pathogénie de l'atrophie musculaire no
n fait essentiel l'altéra-tion profonde d'un grand nombre de cellules
motrices
, dans les régions de la moelle d'où émanent les n
de cellules nerveuses et leur fait perdre subite-ment leurs fonctions
motrices
. Quelques cellules, légèrement atteintes, récupér
s, p. 683. New-York, 1861. 1. Sur l'atrophie des cellules nerveuses
motrices
dans la paralysie infantile, consultez : Prévost,
sculaireprogressiveoffre à étudier l'atrophie irritative des cellules
motrices
dans son mode chronique (2). Il ne s'agit plus ic
loc. cit. — Vulpian, loc. cit. 2. Voir sur l'atrophie des cellules
motrices
dans l'atrophie musculaire progres-sive : Luys, S
e l'amyotrophie progressive liée aune lésion irritative des cellu-les
motrices
. L'une, protopathique, relève exclusivement delà
ctions se rattachent, elles aussi, aune lésion des cellules nerveuses
motrices
. La paralysie spinale de l'adulte rappelle celle
qu'au con-traire celles qui portent soif sur les agrégats de cellules
motrices
étages sur le plancher du quatrième ventricule, s
u de rechercher, Messieurs, pourquoi la lésion des cellules nerveuses
motrices
entraîne avec elle celle des fibresmusculaires, t
comparables en cela aux nerfs périphériques, — les cellules nerveuses
motrices
ont le pouvoir, lorsqu'elles sont devenues le siè
identelle. Jamais il ne s'était présenté aucun signe d'incoordination
motrice
. La malade marchait sans em-barras, sans mouvemen
ruption de zona apparut sur la cuisse du côté paralysé ; la paralysie
motrice
était surve-nue à peu près en même temps que l'ér
qué que les mouvements imprimés au genou gauche (côté de la paralysie
motrice
) étaient un peu douloureux ; au-jourd'hui, on not
rès l'accident. (Gharcot). Sur la tuméfaction des cellules ner-veuses
motrices
et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans cer
aiusi dire, dans beau-coup de cas, avec le début de l'incoordination
motrice
. Sans cause extérieure appréciable, on voit, du j
3e Bd., 391. des cordons postérieurs, etalors que l'incoordination
motrice
est encore nulle ou à peine accusée. Les caract
ts, de tous les tissus. Tout au moi ns les nerfs tan t se nsitifs que
moteurs
, les muscles eux-mêmes deviennent-ils plus excita
e physiologie, t. VI, p. 108. par le fait de la paralysie des vaso-
moteurs
, sous l'influence du plus légerirritantmécanique
ère occupe précisément le côté du corps qui, en vertu de ia paralysie
motrice
, présente une élévation relative de la températur
lle ou sur les racines spinales sensitives. Pour ce qui est des nerfs
moteurs
, je ne vois pas d'argument sérieux qui empêche d'
ue dé-montre que cette diminution n'est pas réelle. Cette impuissance
motrice
paraît tenir en partie, nous le verrons, à la rig
accomplissement des mouvements qu'affaiblissement réel des puissances
motrices
. Le malade est encore capable d'accomplir, malgré
core capable d'accomplir, malgré le tremblement, la plupart des actes
moteurs
, mais il apporte à les réaliser une lenteur extrê
itante, de la chorée, de la paralysie générale et de l'incoordination
motrice
de l'ataxie. Symptômes céphaliques. — Troubles
x aides. Il est aisé de reconnaître que la cause de cette impuissance
motrice
est surtout la rigidité, comme tétanique, qui s'e
s'agit là d'un affaiblissement plus ou moins prononcé des puissances
motrices
des membres qui se manifeste fréquemment dès le d
ions ; mais un jour vient enfin où, par l'aggravation de la paralysie
motrice
, ils peuvent être confinés au lit. Les membres su
t rendre compte un jour des douleurs fulgurantes, de l'incoordination
motrice
et, en un mot, de fous les phéno- mènes du même
quée d'eschares au sacrum. — Autopsie: plaques scléreuses sur le nerf
moteur
oculaire externe gauche et sur les nerfs optiques
ve le plus souvent d'une lésion irritaiive des grandes cellules dites
motrices
(1 ). Contracture permanente des membres. Epile
en partie. Déjà nous vous avons l'ait remarquer que l'incoordination
motrice
, la perte de la notion déposition, les douleurs f
e de la moelle. Le corps strié, lui, serait l'abou-tissant du tractus
moteur
et en rapport avec l'exécution des mouvements vol
oitié correspondante du corps. Au bout de cinq semaines, la paralysie
motrice
diminua.—Sfév. 1853. Les mouve-ments sont tout à
ommence à apparaître, dans ce dernier cas, à l'époque où la paralysie
motrice
commence à s'amender. La lésion consiste dans la
é M. Brown-Séquard, occuperait le côté du corps opposé à la paralysie
motrice
. 3° Nous axions à relever encore bien d'autres
mique hystérique. Sommaire. — Symptômes. —¦ Caractères des troubles
moteurs
. — Analyse des mouvements du tronc, des membres,
nstances où se dévelop-pent fréquemment les divers phénomènes d'ordre
moteur
, para-lysies, con raclures des membresappartenant
male des muscles, à la suite de la section ou de l'excision des nerfs
moteurs
et mixtes chez les animaux. — Faits pathologiques
itante, de la chorée, de la paralysie générale et de l'incoordination
motrice
de l'ataxie. Symptômes céphaliques. — Troubles
hmique hystérique. Sommaire. — Symptômes. — Caractères des troubles
moteurs
. Analyse des mouvements du tronc, des membres, de
dans les lésions spinales, 128. Catalepsie, 447. Cellules nerveuses
motrices
des cor-nes antérieures de la substance grise de
Immobilisation des membres (Effets de 1'), 8, 12. Incoorbination
motrice
, 230. Infection purulente, suite du décu-bitus,
como-t r i c e ;. En p la q u es dissémiu ées .(Lé-sions des cellules
motrices
dans la—), 72 ; — et paralysie agitante. 159, — H
ractères qui le distinguent de la chlorée, 280, — de l'incoordination
motrice
, 230. Trépidation provoquée" du pied dans l'hys
inution de l'acuité visuelle. N = 1/0 à 1 mètre. 3folilité. 0. D.
moteur
oculaire externe paralysé; mot. ocul. co., paré
t à leur volume, entre les cellules de ce dernier et les cellules
motrices
ordinaires. Au groupe intermedio-latéral corres-
territoires radiculaires voisins. Au point de vue des localisations
motrices
de la moelle ce cas offre également un certain
n à ce niveau des fibres do projection conduisant les in- citations
motrices
au membre supérieur du côte opposé, a été la ca
un penchant marqué à l'érotisme. Pour démontrer le rôle de l'image
motrice
dans l'acte sexuel ils invoquent encore l'influ
exuel consiste dans une tension de plus en plus accentuée de l'état
moteur
qui, arrivé à son maximum, présente une phase t
Dans la production de cet état et de ses différentes phases l'image
motrice
joue le rôle primordial. L'érotomanie qui est l
ie qui est le propre de sujets présentant des troubles de l'image
motrice
proprement dite, semble confirmer et affirmer par
r et affirmer par une autre voie le rôle et l'importance de l'image
motrice
dans la vie sexuelle. G. Der. IV. Note sur un
r que la limitation de la lésion correspond exactement aux troubles
moteurs
ob- servés, tandis que les troubles sensitifs s
-être sous l'influence débilitante de l'escarre, que les troubles
moteurs
se sont de nouveau accentués. Le plus souvent l
sphincters ont plus de tendance à la rétrocession que les troubles
moteurs
. Ici, ce fut juste le contraire; et les trouble
sphinctériens ont persisté sans changement, malgré l'amélioration
motrice
. L'assertion de Gurlt, à savoir : que. l'on ne do
se sont comportés les réflexes pendant la période d'amélioration
motrice
. S'ils étaient restés abolis d'une façonpersistan
avant l'internement avec les symptômes tabétiformes (incoordination
motrice
et abolition des réflexes). Obs. III. Malade
Normalement, .en effet, toute excita- tion d'un hémisphère (centres
moteurs
) augmente l'excitabilité des centres correspond
excitation sensible bien localisée ; c'est un phénomène de réaction
motrice
extrêmement simple, in- variable, indépendant d
il y a plus, l'exercice de certains mouvements nécessite une action
motrice
'le stabilisation, par exemple fixation du tron
, aussi servir à constater des lésions organiques des conducteurs
moteurs
, dans les cas où le réflexe de Cabinski manque ou
ue. Depuis, graduellement se sont développés des signes d'impotence
motrice
à l'occasion de certains mouvements volontaires
était telle, même dans les moments de repos relatif de l'appareil
moteur
, que notre malade devint rapidement inapte à exéc
. Mailla force musculaire est notablement affaiblie par l'agitation
motrice
. La force de pression est bien inférieure à la
faradisation, bien to- lérée, n'amène pas la moindre, exaspérai ion
motrice
. 174 CLINIQUE NERVEUSE. La sensibilité est
s sommes livré (l'examen des réflexes suivra l'étude des (roubles
moteurs
). Ces examens ont été rendus particulièrement dif
également normaux. Pas de signe de Ba- binski. - L'incoordination
motrice
dans la marche, qui pourrait faire son- ger au
els à cette affection. (le la malade dans le service, l'agitation
motrice
est extrême. Repos au lit, potion de chloral. P
que doit se ranger notre observation. Malgré l'affaiblis- sement
moteur
que nous avons constaté, il ne s'agit pas de ch
: D'après les renseignements fournis par la malade, les troubles
moteurs
auraient subi une certaine exaspéra- tion du fa
velle attaque d'épilepsie et la veille seule- ment, que l'agitation
motrice
a reparu avec son inten- sité habituelle, et ce
se- rait une excitation partie de l'utérus et transmise aux zones
motrices
de l'écorce cérébrale. Le rôle de' la gros- ses
réagit cliniquement soit par une psychose aiguë, soit par une folie
motrice
, soit quelquefois par ces syndromes associés (T
'est elle qui rend le mieux compte de l'exacerba- tion des troubles
moteurs
, prodromiques de l'attaque d'épilepsie avec une
d et Cestan, et caractérisé par une hémiplégie alterne 4ensitivo-
motrice
, une paralysie bilatérale et symétrique des muscl
y avait destruction complète de toute la colonne grise des noyaux
moteurs
de l'aqueduc depuis le plancher du 3° ventricule
et Labordo lu noyau de l'abducens et les faisceaux radiculaires du
moteur
commun. 1 ? l'ISSOT. 1X\'lll. -Un cas d'acromég
au niveau des cornus antérieures de la moelle. De plus, les Doubles
moteurs
seraient également dus surtout à une hémorrliar
d'électricité..1. S. LV. Le réticulum neuroflbrillaire des cellules
motrices
dans la moelle épinière des animaux tétanisés ;
's()ula.cm'it)ilitt ? t).'usudunc)'t'acousti<)m'. Cet épuisement
moteur
et sunsilif surail dû la destruction du la gain
dité d'origine purement spinale, et que les altérations du faisceau
moteur
vn- lontaire sont la conséquence des lésions cé
iétal gau- che qui fut perforé. 11 en résulta la section de la zone
motrice
de la capsule interne gauche avec hémiplégie co
l'épilepsie avec troubles mentaux associés, mais pas de trou- bles
moteurs
, à la différence de l'observation précédente. D
ent d'excès alcooliques anciens et les dernières de l'incordination
motrice
d'une encéphalite commençante, enlevant au jock
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES LV1ll. -Recherches de la localisation
motrice
du membre inférieur dans la moelle de l'homme ;
ésions cellulaires qu'à partir du 3c segment lombaire. Les cellules
motrices
y sont réparties en 4groupes : anté ro-interne;
ieure ; ce sont les cellules qui représentent le début de la région
motrice
de la jambe dans la moelle : un peu plus bas, l
iens, surgir deux groupes de cellules plus grosses que les cellules
motrices
ordinaires, en rapport avec les péro- niers. Le
a plus de groupes susceptibles d'être en rapport avec l'innervation
motrice
du membre infé- rieur. IL Un homme de 2'J ttn
et post-postéro-latéraux. P. KERAVAL.. LIX. Des groupes de cellules
motrices
du renflement cer- vical chez l'homme déterminé
peut se résumer dans les considérations suivantes : « L'automatisme
moteur
dépendant d'une lésion des voie» pyramidales of
ssons qui ne sont pas encore soumis à l'influence directe des voies
motrices
volontaires. Les mouvements automatiques associ
statation d'un syndrome Lhalamique irritatif associé à l'hémiplégie
motrice
chez tous les malades présentant le phéno- mène
a couche optique une fonction active automatique dans l'innervation
motrice
des différents groupes musculaires. (Revue neur
lbaires mortels. P. T. XLVLHippus monolatéral dans une paralysie du
moteur
oculaire commun ; par M. AURAND. (Soc. des Scie
embre 1905.) Petite fille âgée de 8 ans atteinte d'une paralysie du
moteur
oculaire commun de l'oeil droit affectant seule
ais cependant très réelle. Le sentiment net de déséquilibre vaso -
moteur
et d'im- potence psychique aboutissait à une vé
éditaires et personnels, en même temps que , la nature des troubles
moteurs
et psychiques relèvent manifestement d'une hémi
ou tout au moins un sympôme phy- sique, tel que céphalée, troubles
moteurs
ou sensitivo- sensoriels. Il faut, en outre, qu
pas davantage le seul fait clinique de l'épilepsie. Dans le domaine
moteur
, il faut avant tout relever les cas d'attaques
tumeur de la base, de nature tuberculeuse, un syr : drome oculo-
moteur
consistant en une paralysie de l'oculogyrie latér
s les noyaux du facial gauche, de l'acoustique et des deux ocula-
moteurs
externes. ZD Les auteurs insistent sur l'existe
cela sur les faits suivants : 10 Toute lésion qui porte sur le nerf
moteur
oculaire externe depuis son orgine réelle jusqu
el et devaient vraisemblablement relevei de l'éréthisme des 'noyaux
moteurs
bulbaires» (1). (1 IhYlo1J eL It. Cestan. Diw-I
on transverse de la moelle sur les lésions secondaires des cellules
motrices
sous-jacentes et sur leur réparation ; par C. P
2° Ce syndrome est caractérisé par la dissociation des phéno- mènes
moteurs
et sensitifs. Ce sont tles hémiplégies avec un
et sensitifs. Ce sont tles hémiplégies avec un minimum de troubles
moteurs
et un maximum de troubles sen- sitifs, avec hem
sant la moitié interne du ruban de Reil et repoussant les laisceaux
moteurs
. Arlhropathies labéticlues. MM. MouTiER et DE
a suite des lésions des nerfs, par Pariant, 207. Des groupes de -
motrices
du ren- ilement cervical chez l'homme détermi
tion transverse de 1a1, moelle sur les lésions secondaires des -
motrices
sous-jaoentes et sur leur réparation, par Parho
s et sur leur réparation, par Parhon et Goldstein, 498. Centres
moteurs
. Voir poliomyé- lite. Cerveau. Abcès du à sym
, par 130llSSY, 155. Hippus monolatéral dans une pa- ralysie du
moteur
oculaire com- mun, 1)ii, 337. Hypertonie. Voi
hez- l'homme), par Irimesco et Parhon, 42. - Recherches de la -
motrice
du membre inférieur dans la moelle de l'homme,
neurofibrillaire, localisation mo- trice, angiosarcome, cellules
motrices
. - Recherche sur l'ori- gine nt les rapports ré
t du - sensitif périphérique, par Koester, 129. Les - articulo-
moteurs
des membres, leur tri- ple action sur les muscl
opographie des paralysies et celles des altéra- tions des centres
moteurs
dans la - antérieure aiguë de l'en- fance, pa
par Dallrlac, 230. Réticulum neurofibrillaire. Le - des cellules
motrices
dans la moelle épinière des animaux té- tanis
lbe nor- mal, de distinguer ce qui appartient à l'entrecroisement
moteur
et à l'entrecroisement sensitif; nous avons pu
ra plus loin, grâce à des lésions exactement limitées aux faisceaux
moteurs
. Avant d'exposer nos propres recherches, nous r
Duval. Paris 1879, p. 2')L 6 AXATOMIU. croisements : l'inférieur
moteur
, le moyen et le supérieur sensitifs. Ces deux d
aitis, et qui vont ensuite se placer à la partie externe des fibres
motrices
des pyramides déjà entrecroisées à ce niveau.
, l'entrecroise- ment sensitif commence lorsque l'entrecroisement
moteur
est terminé. Il est formé de fibres qui, prove-
qui, prove- nant des cordons postérieurs, s'accolent à la portion
motrice
(déjà entrecroisée) des pyramides et en cons- t
a partie externe, pour les autres à la partie profonde des fibres
motrices
, mais sans se confondre avec elles ; pour- nous,
point d'intérêt dans le cas particulier. - Le faisceau latéral ou
moteur
était sclérosé, non ' Sappey et DllV,Ll.-ColI !
se diviser en petites bandelettes et pénétrer au milieu des fibres
motrices
(rouges) des pyramides, dans leur partie postér
es fibres de t'entrecroi- sement sensitif pénètrent dans la portion
motrice
des pyramides- sa partie postérieure et moyenne
oies différentes, les plus superficielles pénètrent dans la portion
motrice
des pyramides, par sa partie externe ; les plus
s s'être entrecroisées, se mélan- gerait intimement avec les fibres
motrices
des pyra- mides. " Telle est la disposition q
le membre supérieur correspondant sans s'accompagner de paralysie
motrice
véritable , et on ne tarda pas à constater dans
: II111 cnll1lJJ,1 n PATHOLOGIE RECHERCHES SUR L'INCOORDINATION
MOTRICE
." , -1 DES ATAXIQUES '¡H[I' r, .... . Il n
de la.jambe; à l'avant-bras, chez les sujets dont l'incoordination
motrice
a envahi les membres supérieurs,mous avons trou
tant ; nous y reviendrons à propos des théories de l'incoordination
motrice
. t) Nos. recherches' myophoniques sont faciles
e des douleurs fulgurantes et' qui n'avaient point d'incoordination
motrice
: Nous ne'1 les'1 avons' pas davantage observée
rs'. Il paraît donc y avoir un lien étroit entre : l'incoordination
motrice
et l'inégale tonicité des muscles, et nous croy
e émi- nent, sont dans un état de contraction continué, les nerfs
moteurs
'qui les innervent doivent être aussi en activi
nnant ou déterminant des altérations profondes, d'où incoordination
motrice
.. Il test inutile de faire ressortir combien ce
correspondant aux- nerfs de tout'un membre, on observe des troubles
moteurs
bien connus des physiologistes. Ils 'doivent '
uement, et un sujet peut alors même qu'il a de l'incoordina- tion
motrice
, amener au dynamomètre un chiffre iden- tique à
- rieurs dans la marche. Lorsqu'un sujet atteint d'incoordination
motrice
des membres supérieurs veut saisir un objet de
ales, p. 566 et suiv. Genève, 1878. DÉLIRES MULTIPLES. 53 mènes
moteurs
de la paralysie, et, dans les cas aigus, lorsqu
ance : convulsions. - Idiotie complète : parole nulle ; - impuissance
motrice
; - gâlisme Attitude des membrcs. -Méningite :
ue l'aimant, on pouvait obtenir la guérison de certaines paralysies
motrices
. Les deux observations suivantes viennent plein
ove. Recherches sur les hémianesthésies accompagnées d'hémi- plégie
motrice
, dhémichorée, de contracture et sur leur curabili
t 21 mars, peu de change- ments dans l'état du malade. La paralysie
motrice
a peu dimi- nué ; le malade distingue un peu pl
apoplexie, nous constatons de nouveau la persis- tance des troubles
moteurs
et sensitifs. Le malade amène quatre au dynamom
du reste par l'analyse de faits semblables que, dans les paralysies
motrices
liées aux anesthésies, la paralysie motrice est
e, dans les paralysies motrices liées aux anesthésies, la paralysie
motrice
est à son maximum dans les premiers jours; puis
vateurs certaines régions que l'on considère actuellement comme non
motrices
, et dans lesquelles, de par la température , il
s des élévations thermiques du cuir chevelu et des paralysies vaso-
motrices
des régions céphalique, ainsi que quelques expéri
* ayant choisi pour sujet de thèse inaugurale 1 De la paralysie du
moteur
oculaire externe avec déviation; thèse inaug. P
i vont, par un trajet-croisé, former une partie des racines du nerf
moteur
oculaire commun du côté opposé ; II. Que chacun
commode, et sur lequel on démontrera en particulier les propriétés
motrices
des cornes et des racines antérieures. II. de B
pénétration dans l'axe spinal, tandis que la décussation des fibres
motrices
n'a lieu qu'en dessous du bulbe. L'expérience e
ue sans réparation. Par conséquent, la réappa- rition des fonctions
motrices
n'est pas due à un rétablissement des voies con
t que chacun des cordons latéraux renferme des fibres sensitives et
motrices
pour les deux moitiés du corps ; que les fibres
la sensibilité est égale à gauche et à droite; enfin que les fibres
motrices
sont inégalement réparties dans ces cordons, pu
d'expériences d'extirpation REVUE DE PHYSIOLOGIE. 137 des centres
moteurs
de l'écorce cérébrale chez le chien, dans le bu
ment sur de jeunes animaux, de six semaines à six mois. La région
motrice
d'un hémisphère était mise à découvert par le tré
extirpations circons- crites aux points excitables des zones dites
motrices
ne produi- saient que des troubles passagers de
e moitié du corps. 3° Après des destructions étendues des centres
moteurs
, produites soit en une, soit en plusieurs opéra
ême, on ne peut, même après des destructions très larges de la zone
motrice
d'un hémisphère, obtenir par l'excitation élect
hémisphère, obtenir par l'excitation électrique faible, des points
moteurs
intacts de l'autre côté, des secousses dans la
ussi que dans un certain sens, une simple dérivation de ces voies
motrices
profondes arrive seulement à la surface cérébrale
devenue la principale, puisque pour les pro- ductions de tout acte
moteur
, une excitation des centres de l'écorce est néc
de l'écorce est nécessaire. Comme les lésions étendues de la zone
motrice
doivent, dans cette dernière supposition, entraîn
avait été précé- dée d'une violente céphalée et d'une paralysie du
moteur
oculaire commun droit. En mars 1879, hémiplégie
istant, cette hémiplégie guérit. En somme, cé- phalée, paralysie du
moteur
commun, paralysie du trijumeau et du facial dro
ndre au titre même de la thèse que de décrire toutes les paralysies
motrices
survenant à titre d'épiphénomène au cours d'une
u'émanation cérébrale, au point de vue de ses connexions cérébrales
motrices
, sensorielles, sensibles, circula- toires : ce
' les- lobes 1 fron'talÍx r;-Jrespectant"entièremeIh 'lé's'1 zoriës
motrices
, ce' 'qui 'explique l'absence 'de 'paralysie !
e la quantité. Une cage de verre la protège contre l'humidité,et un
moteur
méca- niquepermet de prolonger ad libitum la du
1° Que, chez le chien, une lésion corticale siégeant dans la zone
motrice
peut être suivie de dégénération secondaire de la
suivie d'une abolition du pouvoir excito-moteur ou d'une paralysie
motrice
complète d'un membre. - REVUE DE PHYSIOLOGIE.
ompte de la relation qui existe entre les phéno- mènes sensitifs et
moteurs
sous le contrôle des facultés intellectuelles.
le mouvement volontaire des muscles et la conductibilité des nerfs
moteurs
sont indépendants des pro- cessus dégénératifs
qui'consiste aies; expliquer en disante que; dans ces cas, le filet
moteur
du ganglion ophthalmiql1e èst fourni 'par'la si
les, tubercules quadnju-0 meaux, ce sont 'les' différents muscles'
moteurs
'du' globe qui se,, contractent' sous 1 iriflue
auches P... , 1-1 .,f ? r ? tc galiel s jointes à la paralysie du
moteur
oculaire commun droit por- taient, d'autre part
t graduellement. ' L'hémiplégie gauche partielle et la paralysie du
moteur
ocu- laire commun droit, observés; pendant la v
i s'accompagnaient, durant )a vie, de certains troubles sensibles,'
moteurs
et psy- chiques. Ces faits viennent confirmer l
as, le, siège même de l'impulsion 23 354 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
motrice
volontaire, elle apparaît du moins comme la pre
es racines proviennent de quatre sources distinc- tes : 1° du noyau
moteur
; 2° du raphé; 3° du noyau sensitif et 4° de la
u système d'association qui réunit les unes aux autres les cellules
motrices
de la substance grise. Ainsi, la cause pro- voc
den- tique dans les parties malades. La diffusion de l'incitation
motrice
ne s'accomplit donc pas aussi aisément que le sup
ns ces cas comme ici, une cause irritative agissait sur les cordons
moteurs
longitudinaux, que ceux-ci appartinssent à la c
ance grise et de la moelle, qui remplissent à la fois des fonctions
motrices
et nutritives. Son diagnostic s'appuie sur l'ab
trouve le centre de tout l'organe visuel aussi bien pour la partie
motrice
que pour les par- ties sensitives et sensoriell
ur le Dr Meschede, il y aurait analogie évidente entre les troubles
moteurs
et les manifestations psy- chiques ; les uns et
oupe fixe de conceptions délirantes, les deux formes psychique et
motrice
de ses divagations concernant toujours la situati
li que les impressions sen- sorielles aussi bien que les phénomènes
moteurs
se réfléchis- sent dans la sphère de l'idéation
es mouvements prennent leur origine au centre, quand les impulsions
motrices
, d'ordre pathologique, résultent d'une série d'
achet des conceptions dans leurs manifes- tations et les impulsions
motrices
auxquelles elles sont liées sans que le malade
Roma, n° 12, 1880.) LXXI. Deux cas DE lésions corticales DE la zone
motrice
; par F. GATTI. (Gazzetta degli ospitali, 1 ro
horée siègent en même temps sur les circonvolutions psychiques et
motrices
. M. XL. NOTE CLINIQUE SUR UN mouvement anormal
l'idée de tenter d'enchaîner par la picrotoxine le système nerveux
moteur
et les muscles, et de substituer au tétanisme a
urançes., dansl les 1 menzhÿes ? in fgrcéurs ? - Incoordination 9p.
motrice
4fiffl ! }k4^r^.fiJls ? ri : '\.fiP}§s- 4MOM,,aoM
le. 3tsnys ? 9stjc,scco,ol ^^k Etat actuel (mars.) L'incoordination
motrice
est extrême- ment accus malàde gàrde le-lit`cor
ion des extrémités inférieures depuis quinze"ans ; incoordination
motrice
très accusée; anesthésie plantaire. Incontinence
oduites sur un point quelconque d'une fibre nerveuse sen- sitive ou
motrice
, se propagent aussitôt et simultanément dans le s
EVUE d'anatomie pathologique. dispariti6n-dêi' irâiidds "cellules""
motrices
des'cornes antérieu- res, avec atrophie des rac
res- sive3 La localisation des phénomènes pathologiques aux nerfs
moteurs
entraîne l'auteur à établir l'atteinte simultanée
halalgie;- 3° Vomisse- ments ; 4° Vertiges; 5° Altération des nerfs
moteurs
(spasmes et paralysies) ? 6° Altération des. ne
arut. Dans l'autre, l'hémianes- thésie seule disparut; l'hémiplégie
motrice
persista. C. T. 616 REVUE DE THERAPEUTIQUE. X
et torpides. Les névralgies par irritation spinale, les paralysies
motrices
d'origine péri- phérique, les troubles fonction
nt. Si cependant on connaît aujourd'hui les propriétés des cellules
motrices
de la moelle on ne sait pas encore par quel méc
par Hutchinson, 308. Ataxie (recherches sur l'incoordina- tion
motrice
dans 1'), parDebove et Boit(let de Paris, 39.
TABLE DES MATIERES. Lésions corticales (deux cas de), de la zone
motrice
, par Gatti, 475. Lésions cérébrales (quatre o
er travailler à l'a- telier, mais il voit progresser son incapacité
motrice
. Elle avait débuté par le côté gauche (le bras,
té en même temps sur celle partie limitée du cerveau, sur les nerfs
moteurs
de l'oeil et sur certaines parties de l'écorce.
ystériques simulateurs des maladies par lésions limitées de la zone
motrice
corticale. Les lésions de la zone motrice corti
ons limitées de la zone motrice corticale. Les lésions de la zone
motrice
corticale limitées à un seul des centres moteur
lésions de la zone motrice corticale limitées à un seul des centres
moteurs
de cette zone ou bien à deux centres voisins ne s
rs symptômes que s'il s'agit de lésions destructives de ces centres
moteurs
et de paralysies partielles consécutives. Ce ra
ntingent pour les lésions seulement irritatives des circonvolutions
motrices
et on ne sau- rait préciser la topographie de l
lors même que la lésion siège seulement dans le voisinage du centre
moteur
qui parait exclu- sivement intéressé et qu'elle
t exclu- sivement intéressé et qu'elle occupe plutôt une région non
motrice
de l'é- corce. Il y a donc une grande différe
Charcot et Pitres dans un travail déjà cité sur « les localisations
motrices
de l'écorce cérébrale ». Ils y ajoutent encore
ent encore celle-ci, c'est que les lésions destructives des centres
moteurs
entraînent des paralysies permanentes, tandis que
débutent 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. par une aura
motrice
et peuvent se généraliser ou rester limitées à un
nous l'avons vu plus haut, il n'est pas nécessaire que les centres
moteurs
soient directement intéressés. On peut même dir
pinale : ))/<t)t< ! /<'. jf ? M/f'M< ? q/<'M partielle
motrice
. Louise .1.... âgée de 10 ans. Examinée le 28 o
dont les lésions sont le plus ordinairement localisées dans la zone
motrice
du bras. C'est même celle contracture tardive,
issant aux mêmes causes, frappent également le muscle d'impuissance
motrice
, que le muscle soit flaccide ou raide suivant l
rmes qui correspondent direc- tement aux lésions des divers centres
moteurs
. En nous bornant à la zone motrice, suivant que
t aux lésions des divers centres moteurs. En nous bornant à la zone
motrice
, suivant que la lésion limitée atteindra un centr
impossible pour les images de l'articulation des mots et les images
motrices
graphiques. « Lorsqu'il y a, dit M. le professe
s- sion de la mémoire pour l'articulation des mots, c'est l'aphasie
motrice
d'articulation ou aphasie de Broca qui se prése
agraphie et j'ai pu dire ailleurs que l'agraphie, c'était l'aphasie
motrice
de la main. Il y a cécité verbale quand le sujet,
yndrome hystérique qui simulait chez un enfant le type de l'aphasie
motrice
décrit par Broca ; il n'y avait pas de mutisme
l'aphasie organique ; ce qui est le plus fréquent, c'est l'aphasie
motrice
. Le malade peut prononcer quelques sons articul
dans la première catégorie, bien qu'il s'agisse d'un type d'aphasie
motrice
chez une enfant hystérique. Il en est de même p
n pour que nous tentions de la classer. Observation XI. Aphasie
motrice
hystérique citez une enfant de 11 rois. Attaques
décrit pour la première fois en 1865, une paralysie alterne du nerf
moteur
ocu- laire commun d'un côté et des membres du c
anatomique des divers noyaux qui constituent l'o- rigine réelle du
moteur
oculaire commun et d'autre part, avec le trajet
ient sous sa dépendance les fonctions sensorielles et les fonctions
motrices
de l'appareil de la vision, puisque c'est dans le
nt leur origine apparente ou réelle les nerfs optiques et les nerfs
moteurs
de l'oeil (3°, 4e et 6e paires crâ- niennes).
s très restreints où, l'analyse des di- vers troubles sensoriels et
moteurs
de l'appareil de la vision ayant fait écarter t
lésion intra-crânienne qui intéresse les nerfs optiques ou les nerfs
moteurs
de l'oeil dans une partie quelconque de leur tr
'heure dans la salle, entièrement guéri de ses troubles trophiques,
moteurs
et sensitifs. Quatre jours après l'opération pr
DUJARDiN-13EAUNIETZ et ABADIE, Soc. méd. lcôp., 1879). 2. Lésions
motrices
. Dans la question si complexe des troubles mote
). 2. Lésions motrices. Dans la question si complexe des troubles
moteurs
de l'appareil de la vision qui sont en rapport
les lésions organiques et intra-crâniennes des nerfs ou des centres
moteurs
de l'oeil, on peut commencer par établir que ce
ourir d'ailleurs aux schémas anatomiques pour localiser les lésions
motrices
de l'appareil de la vision dans les diverses part
phtalmoplé- gies sus-nucléaires et corticales : « 1° Les troubles
moteurs
oculaires, ayant une origine sus-nucléaire, doi-
inage du pli courbe (Grasset et Landouzy), soit plutôt dans la zone
motrice
corticale (Rendu, Pétrina, Tripier). Il est certa
de l'oeil : c'est qu'à l'inverse de ce qui a lieu pour les troubles
moteurs
de cause organi- que, la paralysie de ces muscl
MM. Parinaud et Morax, objecte avec raison que beaucoup de troubles
moteurs
oculaires sont indécis, qu'on ne saurait précis
nfin, M. Gilles de la Tourette a noté la superposition des troubles
moteurs
hystériques et des troubles de la sensibilité d
ée ; ce qui domine au contraire, c'est la bilatéralité des troubles
moteurs
, leur distribution incohérente, la variété des
et succession bizarre de divers trou- bles sensitivo-sensoriels et
moteurs
durant plus d'un mois. Guérison com- plète. (11
Cependant, on observe plus souvent un affaiblissement de la branche
motrice
du trijumeau; en sorte que l'alfai- blissement
Ceci s'appli- que en particulier au noyau de l'hypoglosse, au noyau
moteur
central (antéro- latéral, accessoire de l'hypog
e paralysie d'un nerf crâ- nien et tout spécialement d'un des nerfs
moteurs
de l'oeil. (1) Cette clinique a été publiée dep
é gauche. Sensation de torsion du globe oculaire. Puis paralysie du
moteur
oculaire externe gaucho avec myo- sis. Les doul
n de dégéné- rescence. Phénomènes céphaliques : paralysie totale du
moteur
oculaire commun à gauche, quinte de toux, vomis
de trois )) : OM,) ? 6'HCfM- lencerat d'une très légère parésie du
moteur
oculaire commun. Dal... Dominiquette, 38 ans, c
Pointes de feu sur la colonne vertébrale. 5 juin 1892. La paralysie
motrice
a encore augmenté aux membres infé- rieurs. Il
ée au début. 15 juillet 1892. - Amélioration légère de la paralysie
motrice
, surtout à gauche. Les troubles objectifs de la
rche, due à l'état spasmodique des membres inférieurs, la paralysie
motrice
à proprement parler existe à peine. L'affection p
le malade au lit d'une façon définitive ou à peu près; la paralysie
motrice
peut être alors très marquée, bien qu'elle ne soi
issance. Son médecin ap- pelé sur le champ, constate une paraplégie
motrice
absolue. L'anesthésie est complète dans le memb
adique sont entièrement abolis aux membres inférieurs ; l'impotence
motrice
est absolue. La rétention d'urine nécessite le
la réline passent aussi de l'écorce occipitale aux circonvolutions
motrices
. Donc l'excitation, produite par la lumière sur l
ôté, au lobe occipital gauche. D'ici l'excitation passe il l'écorce
motrice
gauche et puisque les faisceaux pyramidaux se cro
es ; bientôt ces phénomènes firent place à une période d'excitation
motrice
, pendant laquelle la malade se déshabillait, ch
ent en partie aux troubles trophiques, en partie aux troubles vaso-
moteurs
. En passant en revue les troubles trophiques qui
r A. Sou- ques, 56. Faradisation thérapeuthique des nerfs vaso-
moteurs
et du nerf pneumogastrique (suite et fin), par
placé parmi mot qui ne correspond pas à l'idée. Il y a donc aphasie
motrice
. 3° Si il prend un livre, bien que la vision so
hémiopie, le scotome, les formes variées de l'aphasie, les troubles
moteurs
ou de sensibilité, les accidents épileptiformes ?
ti- . culer les mots l'altération de cette partie produit l'aphasie
motrice
; une artériole pour le centre de la mémoire des
frontale et pariétale ascendantes pourra rendre compte des troubles
moteurs
, sensitifs, et des accidents épilepti 1'0 1'111
qu'elle exige, c'est-à- dire pour commencer l'étude des paralysies
motrices
, considérées au dou- ble point de vue de leurs
chirurgical de 1'litiiiiéiuis.'In(lépeii dam- ment, de ses branches
motrices
terminales, qui s'épuisent dans la masse du del
dans la masse du deltoïde, ce nerf fournit une branche collatérale
motrice
, destinée au muscle petit rond et un rameau cut
d'ailleurs, corroboré par les données de la clinique. La paralysie
motrice
, chez notre malade, s'accompagne d'hypoesthésie d
e pro- duisit presque subitement une aggravation telle des troubles
moteurs
que le malade ne pouvait plus se tenir debout s
est pliai, troubles urinaires, douleurs fulgurantes, incoordination
motrice
; il n'était positivement pas possible à cette ép
et ! elle le fait sans la moindre ma- nifestation d'incoordination
motrice
; seulement, elle résiste moins bien à gauche q
vralgies simulant une sciatique d'abord unilatérale, avec paralysie
motrice
partielle et incomplète ; la gibbosité, qui con
on des réflexes tendineux, le signe de Rom- ber, une incoordination
motrice
peu marquée d'ailleurs, des troubles de la sens
les, aux membres inférieurs. Je trai- terai séparément des troubles
moteurs
qui ont pour siège la vessie et le rectum. Pr
e la jambe, c'est-à-dire à un ter- ritoire innervé par des branches
motrices
du plexus sacré ; c'est, ajoute- rais-je même,
e crural restent indemnes. Donc, dans les cas types, la paralysie
motrice
est incomplète aux mem- bres inférieurs, c'est
eue de cheval, la démarche n'est pas seulement gênée par la parésie
motrice
; elle peut l'être par les douleurs dont je vou
sibilité de se tenir d'aplomb dans l'obscurité). Parfois la parésie
motrice
se complique d'une atrophie plus ou moins SUR L
ici leurs caractères : Par suite de l'anesthésie et de la paralysie
motrice
de la vessie, les ma- lades présentent habituel
pour cause l'anesthésie dû rectum, compliquée ou non d'une parésie
motrice
de la dernière portion du gros intestin, mais s
survenus à la suite d'un traumatisme, ont débuté par une paraplégie
motrice
, qui s'est dissipée au bout de quelque temps, p
e d'une chute sur la région du sa- crum s'est montrée une paralysie
motrice
des jambes, avec de l'engour- dissement, de la
avec de l'engour- dissement, de la rétention d'urine. La paralysie
motrice
et l'engourdisse- ment se sont dissipés au bout
ion et de la défécation, en rapport avec une paralysie sensitive et
motrice
de la vessie et du rectum. Quand l'affection n'
con- naissez, parce que je vous en ai dit précédemment. La parésie
motrice
, l'anesthésie, les troubles de la miction,' de
ne subissent que rarement une aggravation progressive. La paralysie
motrice
aussi bien que l'anesthésie peuvent perdre en é
té. Or, dans les cas de myélite aiguë ou chronique avec impuissance
motrice
complète des mem- bres inférieurs, les ulcérati
uation des douleurs ; diminution de l'anesthésie et de la paralysie
motrice
aux membres inférieurs. Contre la paralysie de
bres inférieurs. Je suppose que l'analyse des troubles sensitifs et
moteurs
aboutisse aux constatations suivantes : La sens
ds sauf à une bande située le long du bord interne). La paralysie
motrice
respecte les muscles de la région antérieure et d
umérer à l'instant, se trouve associée une parésie, une para- lysie
motrice
incomplète des muscles de la cuisse, innervés par
dans une observation d'Eulenburg, la paralysie, tant sensitive que
motrice
, intéressait le domaine innervé par le sciatique,
ueue de cheval (catégorie e) : Aux membres inférieurs, la paralysie
motrice
se limite aux muscles fes- siers, aux muscles d
. Dans le pre- mier cas, la contraction musculaire est uu véritable
moteur
; dans le second, elle remplit le rôle d'un fre
e en terminant, réellement possible que par la connaissance du rôle
moteur
de la racine antérieure correspondante, et par
lade, ni affaiblissement musculaire, ni atrophie, ni incoordination
motrice
, ni si- gne de Romberg. Il marche comme tout le
une chute sur la région sacrée, un individu est frappé de paralysie
motrice
avec engourdissement des membres inférieurs, av
sement des membres inférieurs, avec rétention d'urine. La paralysie
motrice
et l'en- gourdissement se dissipent au bout de
es du mouvement, sont situés, avec les centres trophiques des nerfs
moteurs
, dans les cornes antérieures de la moelle épini
et des membres du même côté, comme l'indique le trajet dn faisceau
moteur
. Prenant son origine réelle au pied de la circo
supérieur et inférieur droits, sans paralysie faciale, sans aphasie
motrice
ou sensorielle, faitclui excluait t déjà toute
oint, qui intéressait ;1 la fois l'hypoglosse gauche et le faisceau
moteur
droit ; ce point né pouvait donc être ailleurs
i-même les renseignements exposés ci-dessus. Il n'y a pas d'aphasie
motrice
, ni sensorielle, l'articulation des mots est seul
crâniennes indique leur état normal. Il n'y a pas de troubles vaso-
moteurs
, ni sphinctériens. Rien a noter de particulier du
, l'apparition simultanée des troubles oculaires et de la paralysie
motrice
, apparition insidieuse, presque latente, sans m
tions d'anatomie topographique, concernant l'origine réelle du nerf
moteur
oculaire commun. Vous n'ignorez pas que IIeusen e
s, ont fixé cette origine dans la Fio. 53. Origines réelles du nerf
moteur
oculaire commun du côté gauche (d'après Testut)
moteur oculaire commun du côté gauche (d'après Testut). III. Nerf
moteur
oculaire commun du côté gauche. V. trijumeau ; 1,
bral droits passant un peu en dehors de la ligne médiane. 8, noyau du
moteur
oculaire externe du côté gauche (éminentia terr
HIE DE LA SALPÉTRIÈRE de la couche optique; que les centres du nerf
moteur
oculaire droit tou- chent presque ceux du moteu
es centres du nerf moteur oculaire droit tou- chent presque ceux du
moteur
oculaire gauche. Ces centres, situés en effet d
'aqueduc de Sylvius, c'est-à-dire les centres postérieurs des nerfs
moteurs
oculaires communs ainsi que l'origine des pathé
ela- tive des centres antérieurs et des centres postérieurs du nerf
moteur
ocu- Fic. 5 ? Les artères de la face antérieure
erling ne laissent aucun doute à cet égard. Or les noyaux des nerfs
moteurs
bulbaires'et protubérantiels ne sont, en définiti
fasci- DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË C 343 cules des nerfs
moteurs
oculaires externes ; l'enveloppe fibreuse de ces
de petites plaques d'infiltration embryonnaire. Entre l'origine du
moteur
oculaire externe gauche et la méninge qui recouvr
e granulations péri-vasculaires d'aspect plus ou moins fibreux. Les
moteurs
oculaires communs ne présentent que des altératio
sthésie totale. , . Avant d'aborder l'étude des troubles du système
moteur
de la face et des membres disons qu'il y a un t
lieu à aucune manifestation ni de résistance locale, ni.de réaction
motrice
involontaire ; le contact du bec de la sonde su
.. L'état général de cette femme était satisfaisant; l'impotence
motrice
était presque absolue aux quatre membres ; seul
ent dans leur ensemble, avec quelques modifications. La paraly- sie
motrice
ne s'était pas amendée ; l'ancsthésie conservait
songer il l'hystérie. L'intensité de celle anesthésie, l'impotence
motrice
complète dont est frappée la' mala- de, les tro
s chez notre malade, ensemble symptomatique dominé par la paralysie
motrice
, l'atro- phie musculaire, t'anesthésie, des tro
ns de vous exposer ? C'est que, étant donnés l'étendue des troubles
moteurs
, la distribution et les ca- ractères de l'anest
tion des cordons latéraux nous ren- drait compte de cette paralysie
motrice
absolue que nous constatons chez notre malade,
eux ne les décèle : c'est ainsi qu'elle a présenté de l'incertitude
motrice
dans l'obs- curité, qu'elle ne peut que diffici
e dans l'amélioration spontanée de tous les symptômes douloureux et
moteurs
existant jadis. Les crises de douleurs fulgurante
upérieure du thorax, on atteint Fio. 10. - Répartition des troubles
moteurs
: Hémiparaplégie double à limite supérieure dé-
ienne, on en trouve les premières traces dans les premières racines
motrices
qui émergent de la tumeur; cette lésion se mani
es lésions radiculaires gauches et droites : tandis que les racines
motrices
droites ont gardé leur champ uni- forme de tube
talité de ses tubes (Fig. 16, C). A un étage inférieur, les racines
motrices
droites se prennent à leur tour et les colorati
é par le sillon antéro-latéral, et cela à un étage où les ra- cines
motrices
(Impaire à gauche, 2e à droite) répondent à une i
otrices (Impaire à gauche, 2e à droite) répondent à une innervation
motrice
relativement peu importante ; la première paire d
dans le bras gauche ; quant à la 2e paire dorsale, son innervation
motrice
est très res- treinte et peut cliniquement ne d
troubles de la sensibilité et de leur association avec les troubles
moteurs
. - . Cette association répond, physiologiquemen
t atteignant' supérieurement deux racines différentes, les troubles
moteurs
et sensitifs sont également dénivelés à la péri
ÊTRIÈRE . élevée (-1 re racine dorsale), correspondent les troubles
moteurs
plus marqués du bras gauche et une anesthésie p
en- ter les rapports de ces tumeurs avec les différents conducteurs
moteurs
et sensitifs de la moelle ; ayant recours à la
ramidal que nous identifions avec la colonne grise antérieure (col.
motrice
) mais aussi le cordon sensitif, que nous avons
s le montre la coupe 104 (PI. IX, C), détruit l'origine des racines
motrices
de la Ire paire, la corne antérieure tout en- t
aux pyramidaux direct et croisé : de cette hémisection de la moelle
motrice
gauche résulte la paralysie motrice de la moitié
cette hémisection de la moelle motrice gauche résulte la paralysie
motrice
de la moitié gauche du corps au-dessus de la 1
ervico-dorsale : T et T' : gommes gauche et droite. Cl, CM, colonne
motrice
(faisceaux pyramidaux et corne antérieure), don
e cutané est hyperesthésié. - MD8, \ID1, etc., GJIi, etc. : racines
motrices
droi. tes et gauches. - SD8, SD1, etc., SG8, SG
ines, on a figuré deux bandes verticales correspondant aux troubles
moteurs
(M) et sensitifs (S) du corps. Pour toute la figu
(S) du corps. Pour toute la figure, on a repré- senté la paralysie
motrice
par la teinte noire, l'anesthésie par les hachure
ur le névraxe. Nous voyons ainsi que l'in- terruption de la colonne
motrice
(cornes antérieures et faisceaux pyrami- daux d
servation d'une fillette de 11 ans atteinte depuis 7 mois d'aphasie
motrice
progressive. Bien portante à la. naissance, de
re. est conservé ainsi que la sensibilité profonde. Au point de vue
moteur
proprement dit, la malade ne présente que fort pe
citations, or, celle-ci ne parait pas nécessaire pour qu'un réflexe
moteur
ou tonique suive normalement l'excitation. (1)
l'hémisphère gauche ne présente aucune ano- malie. Dans la région
motrice
gauche (y compris le lobe frontal et la circonvo-
s séduisante qu'alors les fi- bres, provenant de l'écorce cérébrale
motrice
[circonvolutions frontales, centrales et pariét
logie ne com- porte qu'exceptionnellement des troubles de paralysie
motrice
et le tabès bulbaire qui a pour manifestations
rince (5), où existait, chez un tabé- tique au début, une paralysie
motrice
de la main droite. L'étude de ces paralysies a
ce, aux divisions de cylindres-axes, aux collatérales, les neurones
moteurs
recueillent de nombreux neurones leur excitation
s, et en quelque sorte l'appui de l'expérimentation (4). Le neurone
moteur
périphérique ne pourrait-il pas être,' lui aussi,
d'une altération fonctionnelle ou peut-être histologique du neurone
moteur
pé- riphérique. B. Ataxie de la langue. Le
vements sont dus, non plus au tremblement, mais il l'incoordination
motrice
. » Pierre (4), dans sa thèse, cite des faits du
erveau. Hémorrhagie sous-dure-mérienne diffusée sur toute la région
motrice
de l'hémisphère droit. Moelle. Les pièces ont é
E LA SALPLTIi7LIiD. PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENS1TIV0-
MOTEURS
CONSÉCUTIFS A L'EMPOISONNEMENT ARSENICAL (i)
r des lacunes et des erreurs ; C'est ensuite qu'en fait de troubles
moteurs
qui traduisent le retentis- (1) Leçon du mardi
iates, bruyantes, de l'empoisonnement, et l'apparition des troubles
moteurs
. Toujours est-il que la connaissance des paralysi
i- rer, voire que l'enfant avait pris de l'embonpoint. La paralysie
motrice
était complète aux membres inférieurs ; la mala
tières fécales. A priori tout ce que produit une lésion des centres
moteurs
spinaux peut être produit par une lésion des ne
ccédèrent des contractures des orteils. A un moment les désor- dres
moteurs
reflétaient à la fois la parésie et l'incoordinat
contre, à un moment donné, l'enfant a présenté de l'incoordination
motrice
; notez bien ce détail, j'y reviendrai dans un
peau. Puis sont survenues de l'anesthésie cutanée et une faiblesse
motrice
qui a dégénéré en paralysie. Celle-ci était lim
la description que MM. Brouardel et Marie ont donnée, des troubles
moteurs
consécutifs à des empoisonnements criminels par
s encore complète, s'accompagne d'un certain degré d'incoordination
motrice
. Il y a mieux, l'incoordination motrice peut pr
tain degré d'incoordination motrice. Il y a mieux, l'incoordination
motrice
peut prédominer sur la parésie, et subsister ju
se rencontrer seul ou associé à la paralysie, à l'incoordi- nation
motrice
. Il s'agit d'un tremblement général, qui gagne ju
n empoisonnement par l'arsenic, et parmi ces désordres la paralysie
motrice
tient habituellement une place prépondérante.
érable s'écoule avant l'apparition des premiers troubles sensitivo-
moteurs
. Pendant cette période on peut observer du catarr
ements de Rouen ont suc- combé après avoir présenté de la paralysie
motrice
. Il semble que dans ces trois cas la mort soit
paralysie incomplète bien entendu ; dans les deux cas la paralysie
motrice
peut s'effacer devant l'incoordination motrice,
deux cas la paralysie motrice peut s'effacer devant l'incoordination
motrice
, et celle-ci s'associer à d'autres symptômes du
tement la substance blanche et la substance grise avec les cellules
motrices
, mais il est impossible de fixer la forme de la
é, 18. Syndrome de Brown-Sequa1'd bilatéral (schémas des troubles
moteurs
et sensi- tifs), 10, 11, 12. Syringomyélie av
exemple. Pareillement il n'est pas impossible non plus que les nerfs
moteurs
servent de conducteurs aux irritations jusque dan
ations jusque dans les muscles. M. Charcot pense donc que les nerfs
moteurs
et sensitifs seuls doivent être mis en cause pour
entent encore qu'à un faible degré les caractères de l'incoordination
motrice
. Au printemps de l'année 1800, Mme B.,. se plaign
extérieure et survenant à l'époque de la maladie où l'incoordination
motrice
se surajoute aux douleurs fulgurantes; môme absen
premiers désordres s'y sont produits, les symptômes d'incoordination
motrice
s'étaient déjà développées depuis plusieurs année
même à peu près seuls tout l'appareil symptomatique. L'incoordination
motrice
était récente, et parfois encore à peine accusée.
ment dirigé de bas en haut. Le premier jour, on observa une paralysie
motrice
complète des deux membres inférieurs, de la vessi
s musculaires des membres inférieurs dans des cas ou l'incoordination
motrice
est encore à peine accusée. Mais c'est surtout le
émiplégie remontait dans ce cas, à plus de trois mois, mais l'inertie
motrice
ne s'est montrée complète que pendant les douze d
issement ou à l'hémorrhagïe du cerveau, les membres frappés d'inertie
motrice
présentent habituellement, d'une manière permanen
m., 11 juillet 1867.) que subissent, au niveau du bulbe, les filets
moteurs
proprement dits (1). Il se produirait, en pareil
s de la moelle, de ces myélites qui intéressent surtout les fonctions
motrices
, les caractères suivants : 1° la trépidation prov
e continuité avec la substance musculaire, ou sur les rameaux nerveux
moteurs
dont les fibres viennent s'y terminer. Nous étu
, les muscles qui président à ces mouvements, ne recevant aucun filet
moteur
du nerf cubital. L'adduction du pouce avec flex
e de meurer étranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets
moteurs
du nerf médian, et son action porte principalemen
ions constater, alors, que l'excita tion mécanique des mômes points
moteurs
amenait des résultats semblables à ceux que produ
nt cherché sur l'avant-bras, pour répéter ces expériences, les points
moteurs
dont l'existence, d'après les électropathes, étai
ale de la main, l'excitation des interos Fig. 14. — Quelques points
moteurs
de la face antérieure de l'avant-bras et de la ma
'exciter un muscle, soit directement, en Fig. 15. — Quelques points
moteurs
de la face postérieure de l'avant-bras et de la m
ltent: a) Des variétés individuelles dans la distribution des nerfs
moteurs
; b) Des variations que subissent, suivant les
ces muscles sont indiqués sur le schéma (Fig. 16). Fig. 10. —Points
moteurs
des principaux muscles de la face. 1, frontal ;
pas sans intérêt de faire remarquer, avec Duchenne, que les muscles «
moteurs
du sourcil sont, de tous les muscles expressifs,
cile ; car le courant électrique rencontre souvent un ou deux filets
moteurs
qui se rendent à un faisceau musculaire voisin, l
e la lèvre supérieure et de l'aile du nez, qui reçoivent leurs filets
moteurs
d'un même rameau nerveux qui passe sous l'extrémi
où la contraction était obtenue par l'excitation mécanique des points
moteurs
musculaires. La malade a été ainsi rendue catalep
sculaires elles-mêmes, ou, indirectement, par l'intermédiaire du nerf
moteur
qui lui est destiné. Il existe chez notre malad
a main droite est placé dans l'extension par la pression sur le point
moteur
désigné sur. la figure 15, 6. L'aimant est appliq
rigine des nerfs destinés à ces muscles, au foyer d'origine des nerfs
moteurs
des muscles extenseurs; et c'est ainsi, suivant t
lieu de réception, ou centre nerveux; 3° le chemin de retour ou nerfs
moteurs
. L'on conçoit très bien qu'une lésion portant sur
ntile, c'est le centre nerveux lui-même qui est atteint. Les cellules
motrices
des cornes antérieures sont détruites et, partant
réflexes. Dans le strychnisme, au contraire, l'excitabilité du centre
moteur
est exaltée; d'où il suit que les réflexes sont e
et que ceux qui sont locaux ont lieu par l'intermédiaire des racines
motrices
situées au même niveau que les racines sensilives
Kolk avait dit, en 1847, que lorsqu'un nerf mixte donne des branches
motrices
à des muscles, ses rameaux sensitifs se distribue
: « Il est probable, dit-il, que les fibres sensitives et les fibres
motrices
d'un nerf mixte ont leur origine à peu près au mê
és d'un nerf sensitif tendent tout d'abord à mettre en jeu les fibres
motrices
de ce nerf (1) ». Ainsi donc l'excitation cutan
vante. Il ne s'agit pas d'une excitation mécanique directe des filets
moteurs
du nerf cubital, mais bien des filets sensitifs p
e au centre médullaire d'où elle est réfléchie par la voie des filets
moteurs
sur les muscles tributaires du nerf. 11 importe
ipal caractère un état spécial d'hyperexcitabilité de tout le système
moteur
phériphôrique (nerfs et muscles). Ce phénomène
'au centre cérébral lui-même, du moins en ce qui concerne les parties
motrices
. Il ne s'agit plus cette fois que de simples ex
peu près à la limite supérieure de la région encéphalique, dite zone
motrice
corticale ; — l'autre était placé, soit au-devant
l'impressionnabilité au courant galvanique, des régions encéphaliques
motrices
pendant l'état de léthargie hypnotique. Ce fait
égal, ils se produisent du mème çôté ? L'excitation des régions dites
motrices
de l'encéphale ne saurait rendre compte, je pense
e qui doit la produire gagne la moelle où elle rencontre les cellules
motrices
, origine des nerfs destines aux muscles directeme
muscles ou de la peau. Si, dans cet état, l'excitabilité des cellules
motrices
est représentée par 1, dans la contracture hystér
ène d'inhibition, d'arrêt, ayant pour effet de décharger les cellules
motrices
, d'annihiler l'excitabilité répandue dans ces cel
rer que le système neuro-musculaire, par l'intermédiaire des cellules
motrices
, est mis en rapport avec l'écorce grise, siège de
te, en quelque sorte, une grande commissure reliant les régions dites
motrices
de l'écorce cérébrale avec la moelle. 11 est rend
pareil cas, par suite de l'exaltation de l'excitabilité des cellules
motrices
, privées de l'action inhibitrice cérébrale, la to
conséquence, le développement de l'excitabilité exagérée des cellules
motrices
; on conçoit ainsi comment, à la suite de la moin
ominante, qui fait reparaître l'excitabilité normale dans les centres
moteurs
centraux, et en conséquence, dans les fibres du f
ion normale, et, en conséquence, l'excitabilité exagérée des cellules
motrices
spinales cesse d'exister. Telles sont les explica
tous les temps ; 2° La rotation de la machine est effectuée par un
moteur
mécanique. Nous employons ici le moteur à gaz de
machine est effectuée par un moteur mécanique. Nous employons ici le
moteur
à gaz de Rischop; il nous est très utile pour les
n marche; il suffit pour cela d'allumer un jet de gaz qui actionne le
moteur
. Un 1. La machine est aussi munie de condensate
lité musculaire. On sait que si l'on presse mécaniquement sur un nerf
moteur
, tous les muscles desservis par ce nerf entrent e
Scéligmüller. La mère aurait été légère- ment atteinte de troubles
moteurs
analogues. Dans le cas de Leyden, c'est un frèr
, un oncle épileptique. Quant à I'dqe où surviennent les troubles
moteurs
, c'est toujours dans l'enfance. Aussi loin que
ne le croyons pas , et considérant la généralisation des troubles
moteurs
à presque tous les muscles volon- taires (même
t développée, représente une poupée (rigidité des traits, impotence
motrice
) chez laquelle la vie n'est accusée que par l'e
i penser, qu'il y a eu destruc- tion de certains centres corticaux
moteurs
et logo-moteurs, con- formément aux études cont
ébrale (Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) et les lésions des zones
motrices
entraînant manifestement des dégénéres- cences
e, faite dans des conditions analogues, met en évidence la fonction
motrice
réflexe du tubercule bi ju- meau antérieur, les
revus par Luys en 186b. P. K. IV. Des rapports des zones corticales
motrices
avec les voies pyramidales ; par O1'1'O 1311\S1
Emaciation générale des extrémités inférieures, dont les fonctions
motrices
sont demeurées excellentes, excepté à droite, o
ient telle que le malade peut reprendre son travail. Des phénomènes
moteurs
rapprochés des troubles de la sensibilité, l'au
e des régions anesthésiées éteinte outrés diminuée. Pas deparalysie
motrice
. L'alimentation par la sonde devient indispensa
s dans l'oeil gauche, surdité absolue de l'oreille du même côté. Le
moteur
oculaire externe échappa à la lésion, mais l'opht
SOCIÉS DES YEUX; Par M. Il. PARINAUD. Dans l'élude des paralysies
motrices
de l'oeil, on semble admettre que la lésion est
la sixième paire, donne donc en réalité des filets aux trois nerfs
moteurs
de l'oeil, et nous voyons par cet exemple qu'il
ère générale, il faut envisager la disposition anatomique des nerfs
moteurs
de ]'oei), pour se rendre compte de l'innervati
e le point de réflexion des im- pressions lumineuses sur le système
moteur
, d'après les expériences de Flourens, Gudden, F
bi- tude que nous avons en oculistique de déterminer les troubles
moteurs
des yeux par les caractères de la diplopie. Or,
ine, sa partie périphérique parait saine à l'oeil nu. Quant au nerf
moteur
oculaire commun, en raison de l'élargissement et
té de ramener les axes visuels dans le parallélisme. Le trou- ble
moteur
ne peut pas s'expliquer par une paralysie parti
ispensable pour cela que le cerveau intervienne. Tous les centres
moteurs
de Ferrier sont groupés autour du sillon de Rol
son hypothèse un moyen de retenir aisément la position des centres
moteurs
. R. BL. et J. P. V. Ll TUÉORtE DU CENTRE DES RÉ
ses fonctions, on observait une suspension complète de la fonction
motrice
du médian et du cubital, et la sensibilité des
toute sensibilité aux membres inférieurs, en proie à une paralysie
motrice
géné- ralisée, et présentant dans une étendue f
analogues du professeu Lépine qui croit à l'indépendance du centre
moteur
et peut être sensitif du pouce et de celui des
ésultais : Io Il est fréquent d'observer que les plaques terminales
motrices
reçoivent de fines fibres amyéliniques. Ces fib
de nombreuses formes de transition entre les appareils termi- naux
moteurs
de la grenouille et ceux des vertébrés supérieurs
connu l'exactitude des données de Brenner, quant aux troncs nerveux
moteurs
. D'une manière générale, la formule se montra é
es premiers considèrent que, dans l'excitation unipolaire d'un nerf
moteur
, il faut admettre l'existence d'un second pute
hode virtuelle, sise au lieu de sortie du courant en dehors du nerf
moteur
voisin. C'est ce qui explique en partie les anoma
ibution ri l'étude de quelques troubles trophiquesde l'ataxie loco-
motrice
(chute spontanée des dents et des ongles); par ÏÏ
n'est en droit. délimiter dans l'écorce céré- brale des territoires
moteurs
géométriquement circons- crits, il n'en est' pa
'il est permis'd'inférer, de la localisation de certains troubles
moteurs
, le siège de l'altération qui les produit. Nous
gé à les publier. Nous avons cru de ces deux prc- DES LOCALISATIONS
MOTRICES
DU CERVEAU. 275 S inières devoir en rapprocher
lisation précise. Dyspnée intense. R. 59; P. 120. DES LOCALISATIONS
MOTRICES
PU CERVEAU. 277 La paralysie motrice est toujou
; P. 120. DES LOCALISATIONS MOTRICES PU CERVEAU. 277 La paralysie
motrice
est toujours absolue. Le membre infé- rieur gau
r l'intérêt du cas au point de vue de la question des localisations
motrices
. Mais, avant d'aller plus loin, nous devons rel
érale et spéciale) avec une lésion profonde d'une partie de la zone
motrice
. Ce fait vient à l'encontre des idées trop excl
supposé que joueraient les circonvolutions trou- DES LOCALISATIONS
MOTRICES
DU CERVEAU. 279 '' ' i Il z·'1- Y 1 -14 - il &g
était1 pa's"fondée;'1nous avons cherché à établ irl queil la- zone.
motrice
, était 1 iii- « * " i - Il 1 ? . ) , cluse da
e un des caractères habituels des altérations corticales de la zone
motrice
, et des idées que nous avons émises, contrairem
e inférieur, la sensi- t i / i >y i i il 1·N DES LOCALISATIONS
MOTRICES
DU CERVEAU. 281 ? , ? > « "' ."i 1 , fl , -,Il
rées dans l'étendue de deux centimètres environ a DES LOCALISATIONS
MOTRICES
DU CERVEAU, 283 partir de la scissure inlerhémi
s après -cet accident, nous constatons chez le malade une paralysie
motrice
complète, occupant tout le membre inférieur gau
erelative au cas n a malheureusement pas été re- DES LOCALISATIONS,
MOTRICES
DU, CERVEAU. 285 mise par l'auteur, et ma point
étal supérieur 1 Thèse de Paris, -1870, p. 211. DES LOCALISATIONS
MOTRICES
DU CERVEAU. 287 droit ! ' a relaté, une i obser
e, à ajouter à ceux que nous venons de relater. DES LOCALISATIONS
MOTRICES
DU CERVEAU. 289 central et delà partie supérieu
; M -/IIH II ,-(>'» " Ill'H *1 * ,l.'»l. ... d'origine des nerfs
moteurs
des muscles extenseurs ;,et, fii- Vi no'iiiii i
lé,ceiiireliierveuxilui-mêiiie "qui' est 'atteint.'1 Les 'cellules
motrices
, des- cornes anté- 'rieures'so'nt'détruites et,
. '-Dans'testrychnisme au 'contraire;' l'excitabilité'; du centre
moteur
estlexaltée ; d'oùH'suit que les réflexes sont
ue ceux, qui, sont locaux,out[lieu par l'intermédiaire; des racines
motrices
situées au môme niveau queles. ra-i cilles sens
Kolk avait dit;ewl 817 ? que lorsquun,uerflmiye"donne,des branches
motrices
! 1 1 . 1; 1 I. 1 1, ? Il 1 " ? ^1 1 distribuen
t.probable, àit7.il ,,que,,Ies fibres, sensitives, et les i fibres,
motrices
, d'un nerf mixte ont leur,oriine·à,,pcu près au
'un nerf sensitif tendent tout d'abord à'mettre' en jeu les fibres,
motrices
de ce nerf..));[) ..i<>1» l- » , liusi,do
rtueux a'gauche. Opacité du cristallin a droite. Paralysie des deux
moteurs
oculaires externes ? strabisme,et diplopie homo
strique n'existent plus; lestrabisme n'a point cessé ;'les troubles
moteurs
et sensitifà',des'me - nibres7 s' ont; les mvme
ux ,il " ? t , ? . nécessalres am muscles - It " " 1 . des fibres
motrices
nécessaires aux muscles pour entrer en action ! i
/i", * P. Bert et Marçiicci. , Elude sur la distributiontdes racines
motrices
du plexus /o/;t&6[t)'e/n ? M ? t ! Mc/cs du
ns- l'espèce aux grandes cellules (pyramidales de la zone corticale
motrice
. 2° Voici le cas décrit sous la rubrique : Une
us reproduisons les conclusions de l'auteur : C'est' dans l'aphasie
motrice
(ataxie phonétique), que l'intelli- gence est l
malades gâtent par inconscience, démence ou insuffisance du système
moteur
(idiotie, stupeur aiguë, manie), par parli.pris (
se porter la décharge épilep- tique ». SI. Magnan distingue l'aura
motrice
, sensitive, sensorielle et intellectuelle. L'ob
. Le malade est prévenu de ses attaques par une aura sensi- tive et
motrice
. La deuxième leçon contient une description trè
s), 389. Cellules ganglionnaires(histochimie des), 263. Centres
moteurs
(sur la situation des dans l'encéphale, par rap
ion insolite du), 40». Cerveau (des rapports des zones corticales
motrices
avec les voies pyramidales), par Binswanger,
e des localisations en Allemagne, par Duret, 105. Localisations
motrices
dans l'écorce du cerveau (contribution il l'é-
résumer que les racines sacrées sont restées intactes. Les troubles
moteurs
cadrent bien avec cette localisation. Il y a
us souvent sensitives et trophiques, elles peuvent être quelquefois
motrices
et déterminer des pa- ralysies indépendantes de
ations de froid et de chaud sont éga- ment bien perçues. La branche
motrice
du trijumeau parait également indemne. Nous avo
fs radial, cubital et médian au poignet ne donnent pas de réactions
motrices
. Aux extrémités inférieures,au-dessous du genou
uvements volontaires sont empreints d'une certaine incoordina- tion
motrice
; il n'y a du reste aucun signe ni de chorée, ni
elques particularités relatives à la succession de divers syndromes
moteurs
et mentaux apparus à la suite d'un traumatisme cr
a que de la difficulté dans les mouvements du pouce et de l'aphasie
motrice
avec agraphie. L'intelligence était intacte. Pend
pilepsie jacksonienne et qui plus tard se traduisit par les troubles
moteurs
, convulsifs et trophiques du bras droit. C'es
e la dégénérescence rétrograde. Cette lésion naît dans les cellules
motrices
quand on coupe les nerfs péri- phériques, après
ela par le fait que les segments des voies longues (sensi- tives et
motrices
) qui sont plus éloignés de leurs centres trophiqu
particuliers, logés dans la moelle épinière et par le centre vaso-
moteur
commun qui se trouve dans la moelle allongée dont
eurs le siège supposé de sa paresse, qui n'est pas musculaire, mais
motrice
, psy- cho-motrice et en opposant à son inertie
ce dérangement semble résulter un laisser-aller de tout l'appareil
moteur
, et ce laisser-aller se manifeste dans l'attitu
é est une variété d'aboulie, que les connexions centrales des voies
motrices
laissent à désirer chez le timide ? 230 , . BER
ut seulement le ptosis, un mois plus tard il fut frappé d'apha- sie
motrice
et d'une hémiplégie droite, suivies, presque un m
née de la conscien- ce, suivie d'une hémiplégie droite et d'aphasie
motrice
. Trois mois après environ, apparut aussi de la
mois après environ, apparut aussi de la surdité verbale. L'aphasie
motrice
disparut peu à peu, mais il resta de l'hémiplég
e nettement spastique. Dès ce moment aussi on nota que les troubles
moteurs
prédominaient du côté droit, les sensitifs du côt
et IVe vertèbres dorsales on réséqua les arcs vertébraux au moyen du
moteur
électrique. La dure-mère trouvée cyanosée, ne p
ées dans la jambe gauche. Des crampes dans les jambes. Les troubles
moteurs
et sensitifs sont les mêmes. Le sens des attitu
nsible). Jamais de traces de Brown-Sequard. En général les troubles
moteurs
n'ont pas eu le caractère d'origine médul- lair
é en doute le rôle des cellules pyramidales géantes de la zone dite
motrice
dans le mécanisme des mouvements volontaires. V
cité fonctionnelle, c'est-à-dire la motilité volontaire et la force
motrice
grossière des doigts et de la main.ainsi que la
e la profondeur de la substance grise. Après un temps, la paralysie
motrice
du membre supérieur gauche ayant dimi- nué beau
4. Topographie des types 1, 2, 3, 4 et 5, qui constituent l'ancienne
motrice
(d'après Brodmann). DES CELLULES DE BETZ ET D
des pyramides géantes varie dans les différents niveaux de la zone
motrice
, en diminuant au sur et mesure qu'on s'éloigne
de Paris (1), quand j'ai exposé le résultat de l'examen de l'écorce
motrice
dans six cas de lé-' sions de la capsule intern
tre qu'un cas particulier de la réaction que présente- tout neurone
moteur
ou sensitif après la destruction de son axone.
iens auxquels ils ont sectionné les fibres de projection de la zone
motrice
pour voir si les lésions cellulaires qu'ils ont
et M. Faune, Atrophie des grandes cellules pyramidales dans la zone
motrice
de l'écorce centrale après la section expérimenta
tude de la pathologie de la cellule lyjanidale et des localisations
motrices
dans lélencepliale. Com. à la Soc. de neurologie
qu'on pourrait tirer de l'étude de tels cas pour les localisations
motrices
cérébrales. Mes élèves Parhon et Goldstein (1)
rigine du faisceau pyramidal correspond-elle avec celle dite : zone
motrice
excitable ? 4° Coïncide-t-elle avec une aire co
ine de ces fibres cortico-spinales coïncide exactement avec la zone
motrice
excitable, ces fibres innerveraient d'après les r
amyotrophique, affection localisée presque exclusivement au système
moteur
, donne éga- lement un appui sérieux à la théori
ème moteur, donne éga- lement un appui sérieux à la théorie du rôle
moteur
des cellules de Betz. En effet, il y a des cas
6. ' Contribution onalomo-pallaolugique à l'élude des localisations
motrices
corticales à propos de trois cas de sclérose la
11, 1909. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 383
motrice
cérébrale. Ils arrivent à la conclusion que la lo
trophique démontre que la frontale ascendante est la circonvolution
motrice
« par excellence » et que les parties antérieur
de la première et deuxième frontale participent également à la zone
motrice
. Les cas les plus récents viennent de confir- m
cas, trouve des lésions des cellules de Betz se limitant à la zone
motrice
de Brodmann. Les lésions sont plus intenses dan
elations du faisceau pyramidal avec les cellules géantes de la zone
motrice
. J'ai groupé tous ces cas de la manière suivant
.. Notes cliniques. S8 ans, hémiplégie droite complète avec aphasie
motrice
totale. Durée de la maladie 9 jours. Lésions ma
sule interne. Examen microscopi- que. Les coupes sériées de la zone
motrice
du côté du foyer montrent la disparition des ce
ous permet de faire une tentative de localisation dans la zone dite
motrice
. On constate dans ces conditions une relation ent
de Niessl von Mayendorf cette circonvolution n'est pas un or- gane
moteur
proprement dit, ayant la même valeur fonctionnell
bstance blanche. Aucune lésion dans les cellules géantes de la zone
motrice
corticale. En comparant ce cas avec ceux de scl
e amyotrophique, nous voyons que la simple disparition des cellules
motrices
des cornes anté- 396 MARINESCO rieures, quoiq
essus fût assez ancien, ne produit pas de réaction dans les centres
moteurs
cérébraux. On conçoit facilement l'importance d
réaction cellulaire suivie dans les différentes portions de la zone
motrice
nous montre qu'il existe toujours un rapport en
des cellules de Betz se produisent dans toute l'étendue de la zone
motrice
, zone qui corres- pond assez bien à la distribu
accusées dans les lobules paracentraux que dans le reste de la zone
motrice
. Or, dans mes cas, et en général, dans les cas
s motifs qui font amener ces deux auteurs à mettre en doute le rôle
moteur
des cellules de Betz sont loin, d'avoir une base
agissait du centre cortical du bras et obser- vant que la paralysie
motrice
, du membre supérieur, qui s'est produite immédi
es figures que j'ai données autrefois (1) en décrivant les troubles
moteurs
produits chez deux épilep- (1) MARINIOECO, Cont
ion des doigts. 398 MAR1NESC0 tiques après l'ablation de l'écorce
motrice
, on voit qu'elles se ressemblent complètement (
ma Jonnesco a pra- tiqué l'ablation d'une grande portion-de la zone
motrice
. Quoique l'écorce fut enlevée sur une grande ét
ellaires, telle la névrite SUR LES NÆVI SYSTÉMATIQUES 411 radiale
motrice
saturnine épargnant les filets supinateurs ; les
e et non à type segmentaire ou désassocié, et l'absence de troubles
moteurs
et trophiques à charge des membres. . . Contre
rs, mais d'un côté prévalent les troubles sensitifs, de l'autre les
moteurs
du type Brown-Séquard. Il existe toute une séri
bleau de l'affection transverse de la moelle (troubles sensitifs et
moteurs
) n'a pas pu réaliser le type de Brown-Sé- quard
rs de plus en plus du type de la paraplégie spastique. Les troubles
moteurs
s'installent plus vite que les sensitifs. Ces d
trouve dans la moelle cervico-dorsale (Roux-Paviot). Les troubles
moteurs
consistent en un affaiblissement toujours crois-
oit qu'elles naissent ,'par suite d'une excitation de longue» \oies
motrices
. Dans le cas des contractions doulou- reuses il
ous semble probable qu'à côté de cette excitation des longues voies
motrices
un certain rôle dans la production de ces contrac
e (pour tous les genres de la sensibilité), l'absence de phénomènes
moteurs
irritatifs, l'installation graduelle de paralysie
le type de dissociation des sensibilités, l'irritation des cellules
motrices
(secousses fibrillaires, contractions spontanée
ifférents étages de la moelle), par la prépondérance des phénomènes
moteurs
, par les trou- bles du côté de la vessie et du
(surtout dans les cas des tumeurs de la dure-mère), des phénomènes
moteurs
radiculaires, un type de Brown-Séquard, un dé-
l'évolution graduelle toujours progressive de la maladie : troubles
moteurs
et sensi- tifs toujours croissants interrompus
main gauche (étant gaucher). On ne note aucun désordre dyspraxique
moteur
ou d'agnosie ; le malade prend les aliments qu'
l'aire postérieure de la F3 et l'in- sula intériew' pour le langage
moteur
; le gyrus tempol'atis primus, le gy- rus tempo
é est le résultat du concours synergétique des images (composantes)
motrices
, acoustiques, oculo-musculaires et visuel- les
de ce cas se réduit à pratiquer l'exa- men histologique de la zone
motrice
et des lésions méningées. L'écorce est remplie
ès bien développés ne sont pas masqués par la graisse. Leur énergie
motrice
est remarquable. Aucune incertitude ni lenteur da
es qui paraissent très bien conformés ; leur tonicité et leur énergie
motrice
sont absolument normales ; notre sujet exécute
ique, reçoit par son pôle central trois racines qui lui viennent du
moteur
oculaire commun (généralement par l'intermédiai
par la voie expérimentale, à des conclusions inverses : les fibres
motrices
des nerfs ciliaires proviennent directement de l'
ophiés de même que les nerfs de la IIIe paire. Examen Ao/oMs ? Le
moteur
oculaire commun gauche a été dis- séqué sur tou
ns la moitié du gan- glion qui se continue plus haut avec la racine
motrice
de la IIIe paire. Les cellules paraissent aussi
ement colorées par l'acide osmi- que : au contraire, dans la racine
motrice
(PI. LXIV, E), il existe un très grand nombre d
S NERFS CILIAIRES 5(j1) En suivant sur les coupes sériées la racine
motrice
jusqu'à sa coales- cence avec la IIIe paire (PI
ellules diminuent, les fibres saines diminuent également. La racine
motrice
est représentée par un faisceau principal et par
s par l'acide osmique ; il existe cependan^quelques gaines vides.
Moteur
oculaire commun et ses branches. Les branches son
tive du trijumeau est complètement dégénéré (PI. LXV, G). La racine
motrice
est très dégénérée au niveau du cul-de-sac dure-m
e même, si on rapproche la dégénérescence très marquée de la racine
motrice
du trijumeau de l'intégrité de la racine dite sen
fibres centri- pètes et qu'aucune d'elles. ne provient de la racine
motrice
du même nerf. 566 ANDRÉ-THOMAS Il. LES nerfs
rises dans les coupes, en particulier celle dont provient la racine
motrice
du ganglion ciliaire. , Les longs nerfs ciliair
s le ganglion ciliaire et dans les racines que ce dernier reçoit du
moteur
oculaire commun, du trijumeau et du sym- pathiq
t sensitifs, les sensitifs disparaissent pourtant plus vite que les
moteurs
(Oppenheim). Quant aux symptômes sensitifs, les p
e : schizodactylie, doigt surnuméraire petit et dépourvu d'appareil
moteur
, doigt surnuméraire presque normal, coïncident; u
duit à néant les organes témoins. C'est la lésion des centres vaso-
moteurs
spinaux qui détermine l'arrêt de développement en
rche facile, ferme et assurée ; pas d'incoordination ni d'asynergie
motrices
; force muscu- laires conservée. 7 novembre.
, qui ne présente aucun stigmate hystérique, sensitif, sensoriel ou
moteur
. On ne trouve à signaler chez elle qu'une émotivi
mixtes dans lesquels ce sont, selon toute vraisemblance, les fibres
motrices
qui ont été le plus atteintes. Ces lésions sont
ns à différentes hauteurs sur- les nerfs sensitifs et sur les nerfs
moteurs
. Nous devons, faute de mieux, ? constater l'int
évident que dans ce cas elle est due à la dégénérescene des fibres
motrices
, accompagnée ou aggravée peut-être par les lési
es de la moelle. Ces lésions périphériques systématisées des fibres
motrices
n'ont pas eu un retentissement appréciable sur le
es ou fibres conductrices des centres nerveux, fibres périphériques
motrices
,sensitives ou sympathiques, fibres musculaires)
ensibilité et des douleurs du type fulgurant, de l'incoordi- nation
motrice
avec signe de Romberg, des symptômes pupillaires,
les filets nerveux intra-musculaires.Dans leur ensemble les fibres
motrices
ont été atteintes plus que les fibres sensitives.
te Panas et Galezowski qui diagnostiquent en outre une paralysie du
moteur
oculaire externe droitet con- cluent au tabes.
CHRONIQUE : OPHTALMOPLÉGIE ET PARALYSIE BILATERALE DE LA BRANCHE
MOTRICE
DU TRIJUMEAU. TARES PROBABLE PAR HENRI LAMY
on de la musculature interne de l'oeil), et paralysie de la branche
motrice
de la 5e paire : on pourrait même dire que la p
t une localisation du Ta- bes, le domaine du facial et du trijumeau
moteur
sont le plus ordinaire- ment épargnés; et inver
ale et une paralysie atrophique des muscles innervés par la branche
motrice
du trijumeau. Ces auteurs disent n'avoir trouvé
ent-ils leur salive par les commissures. La paralysie de la branche
motrice
du trijumeau est un symptôme que les auteurs cl
fait peu de temps avant sa mort a confirmé la présence des troubles
moteurs
, trophiques et de la réflectivité ci-dessus décri
te dernière il s'agissait d'une inflammation primitive des cellules
motrices
des cornes antérieures, - d'un processus inflam
ALYSIE SPINALE INFANTILE 133 la substance grise des circonvolutions
motrices
. D'où le nom de poliencé- phalite, opposé à cel
eux), se localise -tantôt dans la substance grise de la corticalité
motrice
, tantôt dans la substance grise antérieure de l
érieure de la moelle. La preuve que la substance grise de la zone
motrice
de l'encéphale est le siège de l'affection dans
montreraient en effet des lésions poren- céphaliques dans la région
motrice
de la corticalité qui, selon Strümpell, conserv
ne lésion pure et primitive de la substance grise de la corticalité
motrice
ou des cornes antérieures de la moelle, comme l
ment dans d'autres régions de la corticalité, en dehors de la zone
motrice
. Si on ajoute qu'à ce moment, des observateurs
pas une affection systématisée et localisée à la subs- tance grise
motrice
, mais que les cornes postérieures, la colonne de
ée d'une atteinte exclusive de la substance grise de la corticalité
motrice
et admet que le foyer inflammatoire peut aussi
INFANTILE 141 différent, et parle en faveur d'une lésion du neurone
moteur
central. Lés troubles de la motilité se limiten
orme d'encéphalite avec locali- sation prépondérante dans la région
motrice
du cerveau, qui ordinaire- ment ne menace pas l
èse que les foyers de méningo-encépha- lite, localisés dans la zone
motrice
, auraient pu donner lieu au tableau clinique de
cérébrale. Au niveau de la base du cerveau, on remarque que le nerf
moteur
oculaire commun gauche est un peu plus petit qu
er de ramollisse- ment intéressait le groupe des fibres externes du
moteur
oculaire commun, et respectait les fibres inter
xpin. Entrecroisement piniforme. II. Nerf optique. * III. Nerf
moteur
oculaire commun. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE (L
il convient de grouper les cas en trois formes : la forme légère ou
motrice
systématisée, avec des al- térations douteuses
NTILE 217 1er Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou
motrice
. J. B..., âgé de trois ans, domicilié dans la c
e son âge. 2* Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou
motrice
. M. I..., âgé de 4 ans, de Santa Ana, près de R
s, malgré l'alimentation et la bonne aération, cet état d'impuissance
motrice
augmenta lentement pendant trois jours jusqu'à
que ; mais elles ne sont pas éviden- tes dans les formes légères ou
motrices
systématiques ; d'autre part elles s'observent,
les cas graves. Dans les formes légères, dans celles qu'on appelle
motrices
systématiques des adultes, avec un examen attenti
lésion organique siégeant soit sur le noyau irido-cons- tricteur du
moteur
oculaire commun, soit sur les filets iriens de ce
types et raisonnent comme si l'iris était directement innervé par le
moteur
oculaire commun et par le grand sympathique. Or
expériences faites sur les mammifères supérieurs ont montré que le
moteur
oculaire commun n'agit sur les muscles de l'iri
innervés par un ganglion sympathique sous la dépen- dance d'un nerf
moteur
». Donc, au lieu de rapporter tous les troubles
ce d'un nerf moteur ». Donc, au lieu de rapporter tous les troubles
moteurs
de l'iris à des lésions siégeant en amont du ga
ctionnels ou organiques ayant leur origine soit t dans les cellules
motrices
du ganglion ciliaire, soit dans les filets moteur
dans les cellules motrices du ganglion ciliaire, soit dans les filets
moteurs
des nerfs qui en émanent. Malheureusement nous
ntradic- tion avec la mydriase moyenne, que produit la paralysie du
moteur
ocu- laire commun, et ces deux types peuvent pa
ont voulu expliquer la mydriase maximale par les seuls troubles du
moteur
oculaire commun ou du grand sympathique cervical,
rme paralytique peut seprésenter sous deux types : 1 Paralysie du
moteur
oculaire commun : les signes sont identiques à
s marquées quelquefois que dans l'alcoolisme en raison de l'apathie
motrice
due au toxique. La démarche chancelante et les
tre ans une affection complexe constituée surtout par des symptômes
moteurs
, sensitifs, tt'oplii-I ques, et par des trouble
t'oplii-I ques, et par des troubles bulbaires. \ 4° Les symptômes
moteurs
consistent surtout en une paraplégie spasmo- di
la région cervicale. Mais la constatation de symptômes sensitifs et
moteurs
s'étendant jus- qu'aux extrémités inférieures n
faut donner la même signification aux troubles trophiques et vaso-
moteurs
qu'on remarque au niveau du membre supérieur droi
e. Il n'y eut jamais de vertiges, ni de convulsions, ni de troubles
moteurs
du côté de la face ou des membres. Il y a deu
a aucun signe de parésie droite ou gauche, aucune parésie des nerfs
moteurs
crâniens. Pas d'ataxie dans les mouvements, pas
osseux, a aug- menté de volume sans changer de forme. L'impotence
motrice
a fait de nouveaux progrès. Au dynamomètre la mai
rophie, avec conservation suffisante de la force musculaire : la voie
motrice
est, dans la moelle, à peine touchée ; on trouv
taient uniquement cérébrales, interrompant, des deux côtés, la voie
motrice
dans la capsule interne et déterminant des lési
s le IVe segment cervical jusqu'au IXe segment dorsal. Les troubles
moteurs
aussi bien que les troubles de la sensibilité per
syringomyélie ; si l'on ajoute que dans l'acromégalie les troubles
moteurs
et sensitifs font défaut tandis que les derniers
prenant les mesures aussi exactes que possible des circonvolutions
motrices
de chaque côté ; il y aura lieu aussi de faire
uvent chez les sujets nor- malement développés. Les circonvolutions
motrices
, et en particulier celles qui commandent les mo
le que le microscope démontre une diminution du nombre des cellules
motrices
dans la portion de l'écorce correspondant aux m
stic possible de porencéphalie de l'hémisphère droit dans la région
motrice
chez un enfant épileptique, d'intelligence null
, mais non exclusivement, le système nerveux central dans sa partie
motrice
. C'est encore à une lésion pyramidale que Ha us-
aine de jours, je suis très gêné par une recrudescence d'un trouble
moteur
de date déjà ancienne (12 ans environ) que je vou
vent au cours des torticolis convulsifs. Le plus souvent ce trouble
moteur
précède le torticolis ; parfois ce dernier ne se
ve à pouvoir exécuter correctement tous les 496 HENRY MEIGE actes
moteurs
, tout en étant distrait, c'est qu'en effet on a r
La même pratique doit être appliquée à la correction des habitudes
motrices
défectueuses dans les dif- férents actes de la
f- férents actes de la vie et à leur remplacement par des habitudes
motrices
cor- rectes. Et ce travail se trouve facilité p
eillance ait le temps de porter successivement sur chacun des actes
moteurs
qui les composent. Si on fait attentivement c
nouveaux mois d'amélioration régulière portant' sur tous les actes
moteurs
, automatiques ou surveillés. Cette sorte de tre
uant surtout d'attention, prompt à prendre de mauvai- ses habitudes
motrices
et les perdant difficilement. Il a un caractère c
ne continue par habitude à exercer de temps à autre la surveillance
motrice
dont il a pu apprécier les bons effets. Et ce
hronique ; ophtal- moplégie et paralysie bilatérale de la branche
motrice
du trijumeau ; tabès probable (1 pl.). 117. L
rocessus physiologiques appartiennent par conséquent les ré- Ilexes
moteurs
simples et composés, y compris l'adaptation à un
cicatriciel de réparation. Ce tissu conjonctif irrite les cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle du côté cor
jourd'hui qu'il y ait là du tissu con- jonclif) irrite les cellules
motrices
, personne ne l'admet plus. Le fait (1) Il est b
ue que pour qu'il existe de la contracture il faut que les cellules
motrices
des cornes anté- rieures soient excilées. La dé
tale de la contracture spasmodique serait l'excitation des cellules
motrices
des cornes antérieures de la moelle, irritation
ues, par la perte du pouvoir inhibiteur du cerveau sur les cellules
motrices
de la moelle. Ceci nous fait passer à la théori
s, la substance grise médullaire serait encore la véritable machine
motrice
, mais une machine motrice toujours sous pressio
llaire serait encore la véritable machine motrice, mais une machine
motrice
toujours sous pression, toujours apte à fonctio
, l'une que la substance grise médullaire est une véritable machine
motrice
sous pression, l'autre que le faisceau pyramida
ontracture ; mais M. Marie, quoi- qu'il reconnaisse que les centres
moteurs
médullaires se trouvent en état d'excitation ex
e centre médullaire est excité exagérément, parce que les cen- tres
moteurs
médullaires sont comme « une machine motrice touj
arce que les cen- tres moteurs médullaires sont comme « une machine
motrice
toujours sous pression, toujours apte à fonctio
ut à fait exacte, nous verrons plus tard ce qui excite les cellules
motrices
de la moelle. Mya et Levy, Rïtssell, Freud, M
avons exposés en deux mots : au cours de la contracture les centres
moteurs
médullaires sont en état d'excitation, la force i
-Bastian, nous voyons aussi qu'il y a une excitation des cel- lules
motrices
médullaires, comme dans la théorie de Charcot-Bou
LÉGIE CONSÉCUTIVE. (CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA ZONE
MOTRICE
DU CERVEAU ET DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES D
se rapportent toutes deux à des destructions partielles de la zone
motrice
du cerveau. Dans l'une la lésion s'est produite
on de la région du lobule paracentral peut déterminer une paralysie
motrice
du membre infé- rieur sans que le membre supéri
t l'hy- pothèse qu'une lésion quelconque, même partielle, des voies
motrices
produit toujours une hémiplégie complète (P. Ma
prouvé que dans les régions corticales et sous-corticales les zones
motrices
des membres supérieur et inférieur sont anatomi
2443). Nous ne nous occupons pas dans cet article des localisations
motrices
capsulaires : nous n'avons d'ailleurs pas des m
9). Dans trois d'entre eux, avec des lésions partiel- les des voies
motrices
descendantes, l'hémiplégie était en effet totale
ie brachiale ou crurale, il faut donc que la destruction de la zone
motrice
correspondante soit limitée à l'écorce cé- rébr
s'accorde avec les recherches récentes qui ont démontré que la zone
motrice
corti- cale est formée exclusivement (ou presqu
plus précises, on doit s'en tenir à la constatation d'une paralysie
motrice
du membre inférieur, relevant d'une nécrose du lo
e à la contracture post-hémi- plégique qu'au résidu de la paralysie
motrice
. Chez les vieillards le retour de la fonction e
survie relativement courte, les dégénérations secondaires des voies
motrices
ne laisser aucune trace sur une longue partie de
diques. Répartition uniforme des fibres de projection de cette zone
motrice
restreinte sur toute l'étendue de la capsule inte
ction). Cet étalement des fibres de projection provenant d'une zone
motrice
réduite des deux tiers environ est encore plus
que, malgré cette ré- duction quantitative considérable de la zone
motrice
, la motilité du côté opposé du corps a été cons
embre supérieur, une altération beaucoup plus notable des fonctions
motrices
, prédominant à l'avant-bras et à la main et ent
ortion. Ils doivent être attribués en partie au reliquat de la zone
motrice
lésée, en partie à ]'action de l'hémisphère opp
ie dans la répartition anormale des fibres de projection de la zone
motrice
que nous révèle l'examen des coupes bis- tologi
uite d'une destruction des parties inférieure et moyenne de la zone
motrice
corticale on doit, dans la' règle, constater l'ab
s au contraire dans notre cas que les fibres descendantes delà voie
motrice
occupent toute l'étendue de la capsule interne
ou même avant. Malgré la destruction d'une grande partie de la zone
motrice
corticale, une voie descendante s'est formée, réd
, on ne voit,pas de sclérose névro- glique sur le trajet de la voie
motrice
descendante ; sauf dans la région sous-thalamiq
e chose près. Dans le second cas une lésion très étendue de la zone
motrice
du cerveau n'a laissé qu'un déficit fonctionnel
grâce à la pré- cocité de son apparition, il y a eu pour les voies
motrices
suppléance anatomique en même temps que physiol
utumance du cerveau ont été extraordinaires, au triple point de vue
moteur
, sensitif et intellectuel. Ce n'est que dans le
ble, clinique et anatomique. En clinique, les troubles sensitifs et
moteurs
de la queue de cheval sont généralement bilatér
e de Lll- Un second foyer, très petit à gauche, enserre les racines
motrices
de Lw et Lili sur un trajet de quelques millimè
et les nerfs sacrés gauches normaux, ainsi que les racines sacrées
motrices
droites. Uv sensitive, immédiatement contre la
re donné une in- terprétation satisfaisante des troubles sensitifs,
moteurs
et trophiques qui se manifestent au cours d'une
te altéra- tion au niveau de la portion extramédullaire des racines
motrices
et sensitives. Toutes les gaînes myéliniques on
e des centres trophiques médullaires, une interruption des neurones
moteurs
au sein même de leurs centres. Les altérations
uberculeux. Thèse de Paris, 1898. 51. CESTAN. Un cas de polynévrite
motrice
chez un tuberculeux. Bull. de la Société anat.
o-chirurg. di Palermo, 1900. 65. DECItOLY. Polynévrite tuberculeuse
motrice
. Polyclinique, janvier 1900. 66. Dufour. - D'un
lexes osseux. Revue neurologique, n° 5, 15 mars 1901. 154 NOICA
motrice
qui prend son origine dans les noyaux intramédull
Thorburn et sur les études modernes des localisations des fonctions
motrices
de la moelle épinière, Bruce, van Gehuchten, Ne
ns, incohérence, désorientation, inconscience, logorrhée, agitation
motrice
, inquiétude. Les éléments les plus fréquents de
y faire penser. On peut aussi songer à une altération de la plaque
motrice
terminale, l'aspect de notre malade en effet ra
myélite antérieure aigué avec parésie du nerf facial et de l'oculo-
moteur
: un cas ; Poliomyélite antérieure aiguë, avec
leur étendue, les noyaux du facial, du spinal et surtout des nerfs
moteurs
de l'oeil, d'où ces troubles encore si apparent
citation légère provoque des réactions bilaté- rales. L'irradiation
motrice
se fait sans doute par les fibres commissurales
es des deux cornes antérieures, et qui peuvent permettre à l'influx
moteur
, qui a atteint l'un de ces groupes cellulaires,
il se redresse. Si on fait la même manoeuvre du côté sain, l'influx
moteur
redescend le long d'un faisceau pyramidal qui n'e
e se mettait en extension, va se fléchir mainte- nant, car l'influx
moteur
n'a pas passé par le faisceau pyramidal dégé- n
e celles qui provoquent l'exagéralion de la réflectivité : l'influx
moteur
pourra franchir la commissure antérieure de la mo
ait. Ce paraplégique, en somme, peut être considéré au point de vue
moteur
, comme un hémiplégique du côté gauche : sa réflec
s formes cervicales, les troubles vaso-moteurs cardiaques et oculo-
moteurs
. Toutefois, dans l'une comme dans l'autre affec
périnée, et à la partie interne des cuisses. Aucune incoordination
motrice
, il se plaint seulement de diminution des force
a parfois de l'anesthésie' uréthrale et rectale. L'incoordination
motrice
dans les membres inférieurs est complète; le mala
signes les plus nets : troubles sensitifs accentués, incoordination
motrice
, myo- sis, troubles sphinctériens et abolition
être peut-on faire la même remarque en ce qui concerne les troubles
moteurs
(sorte de paraplégie avec prédominance légère d
ée à gauche. Bras gauche parésie : c'est à la main que les troubles
moteurs
sont le plus accusés, moins au coude, encore mo
es devaient leur origine à une tumeur de l'hémisphère droit, région
motrice
. Soudée à la dure- mère, elle en était sans dou
ble fut la parésie du bras gauche. C'est à la main que les troubles
moteurs
furent le plus ac- centués, moins au coude, enc
te coïncidé avec la tumeur, celle-ci ayant refoulé en avant la zone
motrice
((i.9). Il n'est pas question d'une destruction d
-IL s'agit d'un sarcome, sis immédiatement en arrière de la région
motrice
du bras. Cela explique l'apparition précoce des t
on motrice du bras. Cela explique l'apparition précoce des troubles
moteurs
. Plus tard la tumeur pénètre dans la substance bl
qui n'eurent au- cun caraclère jacksonien à la proximité de la zone
motrice
? Ou faut-il mettre l'épilepsie en rapport avec
pareille à un squelette. La parole atteinte d'abord dans sa partie
motrice
, finit par être complète- ment abolie aussi du
suivante. Il n'y eut ni troubles de la démarche, ni incoordination
motrice
, ni douleurs fulgurantes, ni troubles trophique
sur les corrélations entre les troubles psychiques et les troubles
moteurs
, dont il- a proposé de désigner l'alliance sous
origine corticale, et à y voir un trouble dans les représentations
motrices
néces- saires à l'articulation des mots. Les
ubrique « Affection nerveuse caractérisée par de l'in- coordination
motrice
, accompagnée d'écholalie et de copro- lalie. Gu
érescence primitive de certaines zones du système de conductibilité
motrice
ou cas pur d'ophtalmoplégi progressive bilatéra
anomalies diverses en rapport avec les modifications sensitives et
motrices
qui sont bien connues. - Dans un appendice, M.
mari et du mari à la femme par contiguïté, sans que les symptômes
moteurs
de la maladie se développassent. La première obse
e paralysie porta, ce qui en fait un cas unique, sur tous les nerfs
moteurs
et sensitifs. qui innervent l'avant-bras et la
ales, on détermine, par l'atteinle exclusive de la couche corticale
motrice
, une dégénérescence d'un système de fibres sous
cortical et sou faisceau pyramidal ont bien réellement une fonction
motrice
, et simplement motrice (conservation des autres
u pyramidal ont bien réellement une fonction motrice, et simplement
motrice
(conservation des autres fonctions et des facul
t entrer en fonction la parotide. Elle n'a rien à voir avec la zone
motrice
. La région de l'écorce plus en dedans de celle-
la sécrétion salivaire; elle ne se confond pas non plus avec lazone
motrice
, puisqu'elle occupela partie antérieure du gyrus
e connexion, du moins de connexion directe, entre la zone corticale
motrice
, au moins des deux régions sus- énoncées, et le
signes d'un développement dél'ecteux. Les circonvolutions de J'aire
motrice
du cerveau furent en con- séquence examinées av
uleurs fulgurantes marche graduellement progressive de la faiblesse
motrice
; rigi- dité des membres ; tremblements fihrill
lissement graduel des 102 revue DE patiiologie mentale. fonctions
motrices
, la rigidité des membres et leur résistance aux
lit thcr- manesthésie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso
moteurs
. (Substance grise latérale postérieure) ; par
ù la démence précoce en pareils cas souvent accompagnée de troubles
moteurs
. Il serait à désirer que l'Allemagne eût ses asil
R UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 149 * tion normale des branches
motrices
du sciatique à la jambe. Rappelons seulement en
t chez le malade de l'Observation VII. 166 . PATHOLOGIE NERVEUSE.
moteurs
, elle en diffère en ce que l'anesthésie, au lieu
ubles de la sensibilité sont à peine appré- ciables, les troubles
moteurs
dominent toute la scène. Arri- vons maintenan
ans les muscles animés par ce même ^tronc ner- veux. Les troubles
moteurs
et sensitifs sont donc faci- lement explicables
es morbides.. Observation XL (Personnelle.) Sciatique avec troubles
moteurs
et sensitifs dans le domaine du sciatique popli
bon. Nous nous trouvons ici en présence de troubles- sensitifs et
moteurs
qui méritent d'autant plus que nous nous y arrê
f, le sciatique po- plité externe, et caractérisée par des troubles
moteurs
et sensitifs portant sur le territoire de distr
de la chorée chronique. « La chorée chronique présente des troubles
moteurs
de même ordre que la chorée de Sydenham, commun
n, et qui consiste dans « une hémiparésie avec paralysie croisée du
moteur
ocu- laire commun, et tremblement des extrémité
ez notre malade (la paralysie de la face pouvant remplacer celle du
moteur
oculaire commun), il existe dès lors une grande
, est le ramollissement. Il siège presque toujours dans les zones
motrices
soit au niveau des circonvolutions, soit au voi
'hémiplégie et même des paralysies généralisées il y a des troubles
moteurs
localisés à certains groupes de muscles. Aussi,
de de carbone donnera lieu à des troubles sensitifs, à des troubles
moteurs
; il est aussi naturel d'admettre qu'elle amène
x éléments étaient nécessaires pour la production de ces troubles
moteurs
d'origine psychique, à savoir : 1° un état mental
on, de la calorification, de l'innervation (anesthésie et paralysie
motrice
) avec menace de sphacèle '.Ces accidents seraie
els que sensation de lourdeur, parfois anesthésie réelle et parésie
motrice
plus ou moins accentuée. Ces phénomènes, suivan
s a semblé indemne d'autres manifestations hystériques des troubles
moteurs
et sensitifs consécutifs à un traumatisme. Bien
4. MG : 34. Il ne reste plus de vestiges des troubles sensoriels et
moteurs
des jours précédents. Le 26 mai, plus de deux
est en tout cas facile de compren- dre que, de toutes les fonctions
motrices
de l'oeil, la convergence est celle qui exige l
. s'accompagna dans l'espèce d'une parésie légère des deux oculo-
moteurs
externes, et d'une espèce de nystagmus des deux y
lques jours après, paralysie des bras. Enfin, at- teinte des fibres
motrices
du trijumeau (grincement de dents; otite moyenn
ès en rapport avec l'entrée en scène progressive des divers centres
moteurs
de l'écorce- La galva- nisation diminua un peu,
pière supérieure; or, on se rappelle qu'une bonne partie des fibres
motrices
du trijumeau prennent nais-ance dans les cellul
hématies, hémorrhagies petites et grosses), aux centres de l'oculo-
moteur
commun, de l'oculo-moteur externe, de l'hypogloss
r une paire de nerfs rachidiens. Pour chacun des nerfs (sensitif ou
moteur
) considéré isolément, on n'aura donc qu'un demi
s points hystérogènes. Quelques-uns ont été atteints de paralysie
motrice
. Leurs observations sont consignées dans les le
rche, par exemple, nous avons d'abord tâché de réveiller les images
motrices
par des mouvements passifs re- produisant ceux
fait marquer le pas, etc... De cette façon, les images visuelles et
motrices
s'associent pour rendre à la malade le sou- ven
a-t-il été toujours ainsi chez elle. Il en est de même des images
motrices
qui seules, ou même associées aux précédentes,
Sur ce point et sur d'autres relatifs aux facultés sensorielles et
motrices
des mammi- fères sans cerveau, il est difficile
ment déments. » L'altération de toutes les facultés sensorielles et
motrices
dans ces chiens opérés par Goltz, chez lesquels
SATIONS CÉRÉBRALES. 417 en connection avec les tractus sensitifs ou
moteurs
, et nous avons pour but, si possible, de déterm
es régions définies précisément en rapport avec certaines fonctions
motrices
ou sensorielles. Flourens, le fait est bien con
lication des électrodes sur différentes régions produit des régions
motrices
avec une telle constance, qu'on peut prévoir lo
région a été indiquée avec soin, Flg. 39, - Disposition des fibres
motrices
de la capsule interne, d'après Bcevor et 1 fors
ation ne produit aucune réaction. Ce fait détruit com- 1 Le cerveau
moteur
(Archives de physiologie, 1883.) ' Examen de]qu
re à la transmission de l'impulsion à travers la moelle et les nerf
moteurs
, est pour l'écorce de 45 secondes. Après l'abla
celle du cordon grêle de Goll. Les premiers ont une action excito-
motrice
directe, ce dernier agit comme organe d'excitabil
tions corticales. P. K. LV. Rapports topographiques ENTRE la région
MOTRICE
ET LE crâne d'après V. Horsley, par L. GOLDSTEI
énomènes complexes de la course, du saut en saccades, des décharges
motrices
, du piétinement. Le maximum d'irritabilité occupe
aigu. Deux observa- TIONS avec dégénérescence amyloïde DES muscles
MOTEURS
DU SQUE- lette, par Buchuolz. (arcs. f. Psychia
agramme du par Benédikt, 265; - rapports entre le -, et la région
motrice
, par Goldstem, 43'r. Criminels, séquestration
, par Bianchi et d'A- brundo, 82; - après extirpation des régions
motrices
, par Ztcheu, 87; de la substance blanche, par
nts. Il n'y eut jamais ni phénomènes convulsifs, ni loca- lisations
motrices
. L'oedème de la papille ne fut jamais constaté.
aphasiques, l'au- teur distingue une forme aphasique à prédominance
motrice
et une à prédominance sensorielle, suivant la l
e trois jours, caracté- risée par de l'excitation intellectuelle et
motrice
. c) Une période délirante de 20 jours, dont la
u 0 juillet. Présidence de 31. Ballet. Hémiplégie avec paralysie du
moteur
oculaire commun du même côté et troubles splain
n ictus, attribuable à une lésion du lohe temporal. Localisations
motrices
médullaires . Mme 1)ar : atNr : présente à ce s
Masselon intacte ou à peu près chez les mélancoliques ; l'impulsion
motrice
seule reste faible ; et le malade, qui peut com
de l'obstacle que les phénomènes dépressifs opposent aux tendances
motrices
renais- santes. Les images mentales forment des
ention et images). 2° Dans les troubles volontaires, les phénomènes
moteurs
sont caractérisés par la faiblesse des impulsio
hénomènes moteurs sont caractérisés par la faiblesse des impulsions
motrices
, décelée par le dynamomètre, l'écriture, etc. T
les précédents, sont d'origine centrale (affaiblissement des images
motrices
). L'aboulie est conditionnée par le trouble des
: 1° passagè1'es,2° incomplètes, 3° récidivantes . D'ordinaire, le
moteur
oculaire com- mun est atteint le premier. Ces c
veau, doivent toujours garder la préséance, ensuite les trou- bles
moteurs
, sensitifs, sensoriels, réflexes, etc., et, cela
es, on pourrait conclure qu'il s'agit d'un trouble de l'automatisme
moteur
, de la marche inconsciente, delà coordination c
plu- tôt que de la marche volontaire et consciente de la volonté
motrice
, et ceci distinguerait symptomatiquement les fait
e. Chez le tabéti- que, cette succession de phénomènes sensitifs et
moteurs
est perturbée : 1° parce que la muqueuse laryng
ales. Ces connexions constitueront les points d'origine des racines
motrices
et sensi- tives. 4° Les nerfs moteurs se form
ints d'origine des racines motrices et sensi- tives. 4° Les nerfs
moteurs
se forment par l'accroissement des chaînes vent
atérales, selon un processus de formation analogue à «lui des nerfs
moteurs
de la moelle. 6° La plaque latérale céphalique,
l'organe latéral du sens ; 7° Les nerfs périphériques, sensitifs et
moteurs
, sont d'ori- gine cellulaire. Dans toute chaîne
entres trophiques cérébraux dans l'écorce, au voisinage des centres
moteurs
(Kirch- hoff). - X. Intervention de plusieurs c
namiques des cellules des cornes antérieures, des troubles vaso-
moteurs
, des arthropathios fréquentes.-\l. La lésion de l
antôt sur le muscle, et qui dans d'autres cas, envahit tout l'arc
moteur
retiexe d'une façon uniforme. G. D. III. - Deux
istologiques se rencontre sur- tout dans le lobe frontal de la zone
motrice
. La nature des lésions montre qu'il y a une dés
xtra- cellulari ; 2° Dr Nicolas Alfeuskw. Les noyaux sensibles et
moteur
du nerf vague chez le lapin ; ç -3°A. Van Gehucht
al umana. 5" Dr F. Augustin Cemelly. Sur la structure des plaques
motrices
chez les reptiles. 6° A Van Gehuchten. Le fais-
rou- 200 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. bles
moteurs
des membres inférieurs. Ce dernier jette les ja
ive à corriger les troubles du tronc, comme on corrige les troubles
moteurs
des jambes et des bras, depuis 10 ans. pour les
ues que nous avons ré- glées dans ce but; mais la cure des troubles
moteurs
du tronc dans le tabès est plus longue et plus
ci : 1° Trop souvent, on a tendance à considérer la réédu- cation
motrice
de l'ataxique comme un exercice de sugges- tion
nsidéré comme un névropathe, un phobique,et n'ayant pas de troubles
moteurs
apparents, la iééducation n'a semblé être, en c
ils aient pu obtenir des bénéfices intéres- sants. A chaque trouble
moteur
doit correspondre un exercice spécial (ruine vi
ur doit correspondre un exercice spécial (ruine vise que ce trouble
moteur
, ne convient qu'à celui-là et reste sans effica
a suite d'un ictus survenu trois mois avant sa mort, une hémiplégie
motrice
droite progressive avec hémitremble- ment, et p
tômes névropathiquessur la zone intéressée. G. C. \Il. Paralysio du
moteur
oculaire externe, d'origine otique; par MM. LAN
es de la caisse. Mastoïdite aiguë datant de 4 jours. Paralysie du
moteur
oculaire externe du même côté depuis 24 heures.
lution parallèle des symp- tômes du côté de l'oreille et du trouble
moteur
oculaire. Des recherches auxquelles se sont liv
e avec parésie de l'appareil inhibitoire. A mesure que les cellules
motrices
corticales et médullaires se fatiguent, le tonu
eux grammes de brome produit une augmentation de l'irrita- bilité
motrice
centrale et peut être une altération de la perc
iers de 5. Ce phénomène est, lui aussi, l'effet de l'irritabilité
motrice
centrale augmentée. Comme précédemment,l'in- fl
reuves ont été arrangées de manière qu'on a examiné les excitations
motrices
naissantes après une promenade longu : et rapid
eaucoup de probabilités que l'influence du brome sur l'excitabilité
motrice
n'est pas remarquable. Une diminution de l'exci
ité motrice n'est pas remarquable. Une diminution de l'excitabilité
motrice
centrale ne se fuit pas non plus voir. VII. R
GIE CLINIQUE MENTALE Mutisme, aphonie, amnésie, aphasie aphasie
motrice
, amusie, surdité musicale, surdité verbale, céc
ne série de troubles aphasiques plus ou moins accentués : aphasie
motrice
légère, surdité verbale, amusie, cécité verbale,
oter du- rant assez longtemps la monotonie de ses propos. Aphasie
motrice
. Les premiers jours, D ? présentait du mutisme,
s à parler, le 8 avril, on n'a pu constater chez lui qu'une aphasie
motrice
légère, no portant que sur quelques mots. 12
e. Pas de scotome central. Le fond de l'oeil est normal. TROUBLES
MOTEURS
. On a trouvé au début de cette observation l'hi
que. Amnésie très marquée, rétro-antérograde, accompagnée d'aphasie
motrice
légère, d'amusie et de surdité musicale complèt
la suite d'une émotion, l'aphonie cessait en même temps. L'aphasie
motrice
peu marquée du reste, avait disparu depuis un m
e; mais elles ne suffisent pas à expliquer complètement le désordre
moteur
. ,1. S. XL.-Le pouvoir pathogène de l' « Asperg
atteint surtout les grandes cellules de la ? )- couche de la région
motrice
. Dans le cervelet, les cellules de Purkinje son
ans le bulbe, la lésion prédomine dansles olives et dans les noyaux
moteurs
des V, N'Il, X, XI, NI[ paires, respecte les no
'enfant est gauche dans ses mouvements, mais il n'y a aucun trouble
moteur
; pas de tremblement, ni de mouvements athétosi
que aiguë. CH.BONNF. XXIX.- Kleine motorische Epilepsie (petite ép.
motrice
) ; par \'nc.nv PI.AVEC, de Prague. (Veurol. Cea
nes et sur les rapports clini- ques et pathogéniques du « petit mal
moteur
» avec les tics) certaine- ! myoclonies. Il dis
liomberg, signe d'Argyll, perle du sens musculaire, incoordination
motrice
, crises gastriques, douleurs fulgurantes, ébauc
hésie généralisée enfin des phénomènes très nets d'aphasie. aphasie
motrice
avecalevie complète et agraphie. Pendant que le
rouve les mêmes dilata- tions vasculaires violacées. Pas de trouble
moteur
, sensitif, ré- flexe, ni trophique. Pas de stig
' -, par la méthode de Ceni, par Tiengo, p. 229. Petite épilepsie
motrice
par Vacla3--PlaN-ec, p. 457. Epileptiques. Vo
par Raymond et Galezowski, p. 49. Hémiplégie avec paralysie du
moteur
oculaire commun du même côté et troubles splunc
ental des -, par Joire, p 133. Mutisme, aphonie, aphasie, aphasie
motrice
, amu- sle, surdité musicale, surdité veibale,
oit Psy- choses. Lobe OCCIPIT.\L. Voir Glio-endo- Localisations
motrices
médul- lames, par Mme Déjerine. p. 48. Loi. L
214. Sur un cas de - de la 3e paire, par Josse- rand, p. 219. du
moteur
oculaire externe d'origine op- tique, par Lan
apporte à l'alcoolisme des troubles intellectuels ou des réactions,
motrices
ou morales, qui reconnais- sent souvent une tou
ion d'origine centrale qui atta- quait certains noyaux d'origine du
moteur
oculaire commun, en respectait d'autres, et att
dépasser la dose initiale de 1 gr. 50 centig. 3° Dans l'excitation
motrice
de la paralysie géné- rale et du délirium treme
été parléplus haut, des relations avec tous les groupes de cellules
motrices
. Cesnotions d'anatomie sont suivies de quelques
au quatrième groupe, concernant l'altération primaire de la sphère
motrice
de la vie psychique se rapporte ; 1 Go l'état i
éaction de dégénéres- cence. Quelques considérations sur la théorie
motrice
du sar- Coplasme ; par Mlle Ioteyko. (.fourn, d
à considérer la première comme obéissant à l'influence des centres
moteurs
corticaux et la seconde à l'action des centres
des centres moteurs corticaux et la seconde à l'action des centres
moteurs
inférieurs ou médullaires. (î. 1). XI. - Quel
voisinant le pli courbe où siège le centre visuel verbal, aux voies
motrices
et aux centres moteurs du lan- gage. Comme la
où siège le centre visuel verbal, aux voies motrices et aux centres
moteurs
du lan- gage. Comme la plupart des hémianopsi
où le tableau est au grand complet : de la dyspepsie secrétaire et
motrice
, des troubles cardiaques divers, de la dyspepsie
ais non le moins significatif de tous, le mal de tête, les troubles
moteurs
, la neurasthénie (qui est au moins proche parente
ceux de Blervliet (1897, 1899, 1901) sur l'asymétrie sensorielle et
motrice
de l'homme, de Séglas (1901) sur les hallucinat
. Mais les centres optiques et ceux qui président à des fonctions
motrices
et sensrtivo-sensorielles,dont la mise en oeuvre
me : « La synergie qui existe pour les autres organes sensoriels et
moteurs
, et notamment pour les rapports entre les excit
ur les rapports entre les excitations sensorielles et les réactions
motrices
, pourra avoir partout d'elle-même les mêmes effet
x périences de l3rown Sequard sur « les prétendu» centres psycho-
moteurs
» t1 : 7, 182) sont encore inexpliqués. On connai
ALE DU CORPS. 193 tres entrecroisements, par exemple ceux des voies
motrices
des muscles du squelette, sont beaucoup plus in
té. Par contre, dans le bulbe déjà, le grand nombre des fonctions
motrices
à caractère symétrique bilatéral] qui y possèdent
iques, où ces entrecroisements sont probablement liés à la synergie
motrice
. > (I. p. 237). - En résumé, de par la phylo
.car les vues propres à l'auteur allemand sur le rôle des synergies
motrices
dans la phylogenèse des entrecroisements moteur
ôle des synergies motrices dans la phylogenèse des entrecroisements
moteurs
et sensitifs sont t d'une importance capitale a
eils servant à transformer les impressions sensorielles en in- flux
moteurs
possèdent dans les centres une certaine symétrie.
eption spatiale, correspondance exacte des fonctions sensorielle et
motrice
. La vision binoculaire diffère de la vision pan
que les appareils ré- flexes qui sont le point de départ des influx
moteurs
destinés à chaque muscle : centres (corticaux)
: c'est pour cela qu'ils sont doubles, tan- dis que l'autre organe
moteur
asservi à la fonction de l'hématose, le coeur d
que très rarement mise en jeu dans l'émotion. Les réactions vaso-
motrices
ne sont 'd'ailleurs qu'un facteur de second ordre
tres fonctions. » La revue générale déjà indiquée sur les fonctions
motrices
(Gras- set, 1905) bilatérales des hémisphères co
certains autres. Il ne tiènt pas compte des connexions bilatérales
motrices
et sensitivo-sëhsorielles 'de-chaque moitié du
rébrale sans altérations ma- croscopiques, et l'absence de troubles
moteurs
graves (épilepsie, paralysie) et d'autres sympt
ue, conjointement, cela va sans dire, pourvu que les manifestations
motrices
puissent coïncider, avec ceux de l'état conscie
, peuvent en outre présenter la même to- pographie que des troubles
moteurs
, vasomoteurs, trophiques etc. L'auteur rapproch
consciences en partant des organes ou paires d'organes viscéraux,
moteurs
, sensoriels, communs pour la plupart aux deux i
agir celui qui boit,c'est-à-dire met à contribu- tion les fonctions
motrices
des deux moitiés du névraxe ? Dans ce cas donc
pour rien : l'un de ces groupes occupe ou dirige tout l'appareil
moteurs
; l'autre,étranger au mouvement,n'est fait que
le que soit leur pathogénie, l'alliance de certaines as- sociations
motrices
avec certaines associations sensitives sensorie
faits nombreux démontrent que des associations entre des phénomènes
moteurs
et des idées ou impressions peuvent s'effectuer
nblables à l'excitation prin- ceps. La dimidiation des phénomènes
moteurs
ne prouve rien en faveur de l'indépendance psyc
ur ainsi dire, l'absence de toute relation entre les phénomè- nes
moteurs
ou sensitifs dimidiés et les dédoublements appa
erritoire qui limite les surfaces frontale et pariétale de l'écorce
motrice
vraie est un de ceux qui, à en juger par les fait
sés sont les premiers fruits d'un hé- ritage alcoolique : l'élément
moteur
de la mentalité, si l'on peut ainsi parler, est
ent dans l'urne : Pneumogastrique. Nerfs sensoriels, sensitif et et
moteurs
de l'oeil. Bulbe rachidien. Centres moteurs corti
soriels, sensitif et et moteurs de l'oeil. Bulbe rachidien. Centres
moteurs
corticaux. Epreuve orale '(dite « de garde »)de
isme tout entier se trouve projeté dans des centres fonctionnels,
moteurs
, sensoriels, viscéraux et vaso-moteurs, réunis
t à l'heure, de la pa- ralysie d'un bras. Nous savons que le centre
moteur
de ce bras est non seulement moteur, mais sensi
bras. Nous savons que le centre moteur de ce bras est non seulement
moteur
, mais sensitivo-mo- teur et psycho-moteur, c'es
sujet a l'air d'être paralysé par amnésie.Ad- mettons que le centre
moteur
ne soit pas complètement inhibé ; les excitatio
tenant qu'au moment même où l'inhi- bition s'est produite le centre
moteur
était le siège d'une (1) ,"oir Le problème de l
tat moléculaire du'centre inhibé. Mais,en même temps que le -centre
moteur
du bras est inhibé, et cesse ainsi de percevoir
les excitations affaiblies qui lui parviennent encore du cen- tre
moteur
inhibé. Si, au contraire,l'inhibition de ce der-
amental, c'est l'état physiologique, disons même physique du centre
moteur
. Appliquons ce que nous venons -de dire à n'imp
en activité normale. Le réveil cérébral s'accompagne de réactions
motrices
, sensitives, sensorielles, viscérales, vaso-mot
élément, et que la trans- formation de l'influx sensitif en influx
moteur
se fasse à ce niveau. Considérons,en effet, les
e des deux dernières lombaires et delà première sacrée des troubles
moteurs
à type radiculaire. Ils ont L noté la lymphocyt
t;'ttCfp/KïHte ophtalmoplégie et paralysie bilatérale de la branche
motrice
du trijumeau. Il. LAnY, présente une femme atte
rare au cours de cette affection, mais la paralysie dans la sphère
motrice
du trijumeau est excep- tionnelle. M. Souques
o-motrices ou tro- phiques, viscérales, sensorielles et sensitives,
motrices
et enfin psychiques, et, suivant ses variations
m d'effet de cette émotion estlasyncope,dans laquelle les fonctions
motrices
, sensitives, sensorielles et intel- lectuelles
, de sensibilité et de motricité, mêmes réactions sensiti- ves et
motrices
quand il reprend son activité normale. Je dis q
tin, coeur et muscles de la respiration ; action sur les organes
moteurs
affectés aux organes sensoriels : vision stéréo
nt variées et nombreuses les voies de communication entre les zones
motrices
de la surface cérébrale et les membres. CAJAL
que des centres nerveux, Montpellier médical, XIX, 1904. L'action
motrice
bilatérale de chaque hémisphère cérébral, Année
par Dromard comme trop étroite, en ex- cluant « les manifestations
motrices
répondant à un contenu idée- affectif actuel, q
par des trac- tus différents du système nerveux ; 2° que le système
moteur
voli- tionnel évoluant et se développant plus t
ionnel évoluant et se développant plus tardivement que le sys- tème
moteur
instinctif est celui des deux qui est le plus tôt
compromis dans le cas de trouble mental ; 3° que lorsque le système
moteur
instinctif est atteint, les instincts dis- para
voie sensitive ou pour la voie 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
motrice
. L'âge des malades et la durée de l'affection sem
ls et la petite-fille, qui sont tout enfants, ont déjà des troubles
moteurs
accentués ; ils en concluent que dans chaque gé
sfaisants. 502 SOCIÉTÉS SAVANTES Zona ophtalmique et paralysie du
moteur
oculaire externe et de l'accommodation. t M
ions périphériques dues à l'inflammation du ganglion ciliaire et du
moteur
oculaire externe dans son trajet in- tra-cavern
e médiocres résultats ; l'application rationnelle de la rééducation
motrice
en donne de meilleurs. - Tout autre est l'eff
ion de dégéné- rescence. Quelques considéra- tions sur la théorie
motrice
du sarcoplasme ; par M110 Ioteyko, p. 134.
IALITE. Oplltalmo- plégie et paralysie bilatérale * de la branche
motrice
du tri- jumeau ; par Lamy, p. 439. Poliomyéli
art ; par Mar- tineau, p. 513. Zona ophtalmique et paralysie du
moteur
oculaire externe et de l'accommodation ; par Ga
il a la forme d'une bandelette appelée bandelette optique. III. Le
moteur
oculaire commun (troisième paire) est un nerf ent
. Le moteur oculaire commun (troisième paire) est un nerf entièrement
moteur
. Il fournit des branches à cinq des muscles de l'
les deux racines qui lui donnent naissance, une sensitive et l'autre
motrice
. C'est à peu près à cela que se réduit la ressemb
C'est à peu près à cela que se réduit la ressemblance, car la racine
motrice
est courte et sa distribution est très limitée.
ité générale, tandis que l'inférieure vers laquelle se rend la racine
motrice
présente un caractère plus complexe, car parmi se
ilité (dentaire inférieur, auriculo-temporal, buccal); 2° Des nerfs
moteurs
qui, probablement comme les nerfs spinaux, contie
c la corde du tympan venant de la septième paire, contient des fibres
motrices
. Les branches de la cinquième paire vers leur t
nnexion avec ce nerf : chacun d'eux est en communication avec un nerf
moteur
et un nerf sensitif, et avec le grand sympathique
rand sympathique et donne des branches aux régions voisines. VI. Le
moteur
oculaire externe (sixième paire) est le nerf mote
oisines. VI. Le moteur oculaire externe (sixième paire) est le nerf
moteur
du muscle droit externe de l'œil. La planche III
) ou portion dure de la septième paire de Willis est un nerf purement
moteur
et se distribue aux muscles de la face. Outre les
ntripète de la déglutition. Il est douteux qu'il contienne des fibres
motrices
ne venant pas des nerfs avec lesquels il s'anasto
es fonctions présentent un caractère mixte : tantôt sensitive, tantôt
motrice
, tantôt semblable à celle du grand sympathique.
d sympathique. XL Le spinal (onzième paire) est un nerf entièrement
moteur
. Il part de la partie supérieure de la moelle,
s les fibres extrinsèques de la langue. Sa fonction est exclusivement
motrice
, car la sensibilité qu'il paraît donner vient pro
e ces deux racines a une fonction mixte, car il est composé de fibres
motrices
et de fibres sensitives. Aussitôt sortis des tr
importance très grande dans la sémiologie des affections de la voie
motrice
pyramidale. Les travaux de Brissaud, de Babinski,
gne le plus sensible et le plus constant d'une affection de la voie
motrice
cérébro- spinale. Elle s'oppose nettement au mo
r une trentaine de malades atteints de maladies diverses du système
moteur
pyramidal : hémiplégies cérébrales récentes et
nte : tous les malades atteints de semblables affections de la voie
motrice
, présentent des modifications du réflexe planta
quement un phénomène patholo- gique lié à une altération de la voie
motrice
. Cette extension peut accom- pagner en réalité
de la sensibilité cutanée au membre sain, en l'absence de paralysie
motrice
du coté malade, ne me paraît pas suffire pour p
n ayant évolué en 15 mois : début par céphalée occipitale, troubles
moteurs
(parésie et maladresse des memhres), troubles p
es sont conservés dans toute leur intégrité. Pas d'incoordination
motrice
. Pas de signe de Romberg. Les réflexes rotuli
nce «je m'en f...» et elle rit. Pas de crise ; état de subagitation
motrice
. - La rétention a cessé depuis le 3 mai. 18.
on ; quelques-unes sont remplacées par des amas de noyaux. Région
motrice
droite (partie moyenne). Mêmes lésions plus ava
étal démentiel progressif, des troubles de la mémoire, des troubles
moteurs
(paralysie et inégalité pupillaires, tremblements
nce des facultés intellectuelles et son association aux symptô- mes
moteurs
réalisait en effet un ensemble symptomatique prés
était symétrique, constatation en faveur de l'intégrité du faisceau
moteur
. L'altération de l'hémisphère cérébelleux gauch
es portées dans sa sphère ambiante expli- quent partie des troubles
moteurs
, mais semblent en contradiction avec l'opinion
sés, tels qu'une hémiplégie, ne se soient pas produits, le faisceau
moteur
se trouvant hors de son atteinte. Au surplus le
nt disproportionné qui l'accompa- gnait et qui, englobant la région
motrice
, avait fait porter le diagnostic de tumeur i-ol
le surveiller : Il faut encore diriger ses mécanismes psychiques et
moteurs
morbides, les réorganiser du côté d'une finalit
deux, dans leurs composants plus élémentaires, à une série d'actes
moteurs
,\\ est une loi fondamentale de psychatrie positiv
de se décharger, directement et par elle-même, dans quel- que effet
moteur
(James) ». Chez les aliénés il existe une lésio
qu'ils soient,- des états de conscience et par conséquent des actes
moteurs
correspondants : seulement, comme les premiers
itn but précis,crée l'habitude » ; c'est-à-dire : une série d'actes
moteurs
, coordonnés et répétés daus un but d'identique
onservés, de très nombreux états de cons- cience, et les mécanismes
moteurs
sont presque toujours intacts ; nous pouvons es
ence et de volonté normal ; ou bien nous agirons sur les mécanismes
moteurs
, pour induire et créer un élat d'automatisme ps
ymptômes et au même degré. Depuis les plus profondes stéréo- typies
motrices
, accompagnées d'une aboulie totale, par la submer
. Les raisons en sont claires : l'invalidité physique, la paralysie
motrice
, la sénilité en soi. Le chiffre de 36 0/0 chez le
ès arrivent immanquablement tous les jours. Il y a des épileptiques
moteurs
simples, qui ont un accès tous les 8-10 jours ;
ions morales et affectives : fréquentes au contraire les explosions
motrices
de cris, de légers sévices sur soi, de révolte
est pas rare de constater chez les hémiplégiques des troubles vaso-
moteurs
et trophiques variés, mais l'apparition d'un oedè
nt l'étude de cette aphasie, elle est atteinte d'une grosse aphasie
motrice
, elle n'a pas de surdité verbale, il a été impo
Gombaut le rattache du reste à une lésion du lemniscus et du champ
moteur
. 186 LOEPER ET CROUZON Tout récemment MM. Ray
es tissus ; et l'oedème nerveux n'est pas seulement un oedème vaso-
moteur
, c'est encore un oedème trophique. Les recherches
habituelle ; il a cependant une certaine tendance aux trouble vaso-
moteurs
. Ses extrémités se refroidissent et même se cyano
asthénie; D... pré- sente, au contraire., une véritable instabilité
motrice
; le besoin de mouve- ment était tellement impé
morbide, « affection nerveuse caractérisée par de l'incoordination
motrice
accompa- gnée d'écholalie et d'échoprolalie »,
toires ; c'est-à-dire, rien que des symptômes de caractère purement
moteur
, dont la particularité est qu'ils se manifesten
uchenne. Migraine ophtalmoplégique ou paralysie récidivante DU nerf
moteur
oculaire commun. Elle peut avoir de commun l'hé
et du même côté que la paralysie consécutive ; la paralysie du nerf
moteur
oculaire commun est totale et pas seulement exter
taient d'origine La- silaire et présentaient la paralysie totale du
moteur
oculaire commun. Ceci s'accorde avec mes observ
côté des membres. Il existe chez ce malade des signes de paralysie
motrice
et sensitive de la majorité des nerfs crâniens
les lésions des cornes anté- rieures et par excellence des cellules
motrices
, qui furent trouvées chez les trois membres de
érieur des deux, exubérance extrême et variété des mani- festations
motrices
. Le maniaque est très vif et très fertile dans to
ndispensable à la juste pondération de tous nos actes, de nos actes
moteurs
en particulier, est sujet à des éclipses temporai
les influences du dehors, à toutes les suggestions, aux suggestions
motrices
, - même chorégraphi- ques. Les mieux équilibr
pendant quelque temps d'un léger degré de surdité. Les phénomènes
moteurs
s'accentuèrent progressivement. Les doigts se f
e traduit du même coup un fonctionne- ment défectueux des appareils
moteurs
et intellectuels. Lecture. Ces considérations
Ceci en thèse générale, mais encore .faut-il distin- guer l'aphasie
motrice
et l'aphasie sensorielle. Examinons d'abord com-
e. Examinons d'abord com- ment les choses se passent pour l'aphasie
motrice
. A la suite d'un ictus, accompagné ou non de ph
mmencée à ce moment), présente une hémiplégie droite et une aphasie
motrice
complète ou in- complète ; cette aphasie rétroc
s cas, et contrairement à toute attente, à toute logique, l'aphasie
motrice
ne s'installe pas définitivement . Ce n'est pas
ire que dans quelques circonstances on ne puisse observer d'aphasie
motrice
persistante, principalement chez les vieux paraly
ROLE ET DE L'ÉCRITURE 417 encore une autre forme possible d'aphasie
motrice
transitoire qu'il faudra savoir reconnaître.
it existe. Toutes ces considérations sur le diagnostic de l'aphasie
motrice
dans la paralysie générale, nous pourrions les
nvient de dire qu'en réalité elle est moins fréquente que l'aphasie
motrice
. Elle se pré- sente sous forme de cécité et sur
phasie, parfois même de jargonaphasie, et se montre comme l'aphasie
motrice
sous l'aspect de petites attaques successives,
ntrer sous forme d'atta- ques répétées, mais pas plus que l'aphasie
motrice
, elle n'a d'ordinaire tendance à « s'installer
Il y a, dans l'un comme dans l'autre cas, des perturbations d'ordre
moteur
et d'ordre psychique, encore qu'il soit souvent d
e, qui sont des plus fréquentes, elles peuvent dépendre de troubles
moteurs
; elles peuvent dépendre aussi de l'état mental
ole et de l'écriture rele- vant de l'aphasie et de l'agraphie, soit
motrices
, soit sensorielles. J'aurais pu également vous
par ce steppage très accusé. Du reste il n'a pas d'incoordi- nation
motrice
: il lui est difficile de mettre le talon sur le
z les tiqueurs : tics, stéréotypies, caractérisés par l'instabilité
motrice
sous toutes ses for- mes, du trépignement, des
ion, de l'affolement en présence de la barre, toutes manifestations
motrices
unies chez les liqueurs à des troubles psychopa
nt par lui-même que nous considérons, dans tous les cas, le trouble
moteur
comme lié indissolublement au trouble mental. I
lement au trouble mental. Il existe d'autres troubles des fonctions
motrices
connus de longue date en médecine vétérinaire.
aux phénomènes de dégénéres- cence, parce qu'il constitue l'élément
moteur
, l'effort convulsif de déglutition, d'un troubl
citer de nombreux exemples d'actes impulsifs relevant de la volonté
motrice
. Le cheval de sang Faublas (par Orphelin et Mis
avons examiné aux actes impulsifs l'action de-la volonté uniquement
motrice
. Il existe d'autres troubles qui se rapportent
pulsion. Les hallucinations du cheval sont sensorielles, visuelles,
motrices
, mais toujours de nature psychosensorielle. San
al comprendra alors des visuels, des audi- tifs, des sensitifs, des
moteurs
... On reconnaitra que les malformations physiq
diffèrent que par ce fait que l'irritation atteint tantôt des nerfs
moteurs
, tantôt des nerfs sensitifs, ou des nerfs sécré
e générale (Allqemeine Verwirr- theit), auquel se joint l'agitation
motrice
de plus en plus vive; il semble qu'on ait devan
ales. L'influence de la nuit ou l'apparition des phénomènes vaso-
moteurs
ne s'est pas fait sentir malgré la remarque de Ja
'orbite gauche et avait détruit le nerf optique gauche et les nerfs
moteurs
de l'oeil. Il y avait des kystes dans le foie e
tie interne du pied du pédoncule gauche et de l'origine du tronc du
moteur
oculaire commun gauche. Le diagnostic se trou
, leur nutrition, leurs rapports, en limitant leur action au centre
moteur
du bras gauche. La chorée ordinaire doit toujours
base une altération matérielle, nutritive, biochimique des cellules
motrices
des circonvolutions, des noyaux gris ou des 132
ction saisissante de deux séries d'images verbales. sensorielles et
motrices
. X... enten- dait qu'on lui parlait du dehors e
s émotions pour l'apparition et la persistance des névroses vaso-
motrices
l'asphyxie locale des extrémités et l'érythroméla
pothèses. Répétons, en terminant, qu'en tète des phénomènes vaso-
moteurs
de l'hystérie on trouve l'émotion ou l'idée fixe
rception personnelle; elle peut être ou non accompagnée d'agitation
motrice
, ou de dépression, ou de stupeur. Le ton émotio
excitations électriques, exagération des réflexes, troubles vaso-
moteurs
, etc. Ces signes de névroses s'accompagnaient d'u
la suite D'UNE chute; par le Dr Blocs. Une observation d'hémiplégie
motrice
complète portant sur les membres supérieurs et
u corps indiquaient la participation d'une grande partie de la zone
motrice
. Or, il n'est guère qu'une région du cerveau où
ssem- blement en un espace restreint d'un grand nombre de parties
motrices
, c'est la capsule interne. Le diagnostic de M.
n'est, en effet, que par la combinaison de l'élément phonétique et
moteur
que l'indi- vidu obtient la représentation du m
inimes (analgésie, diminution des réflexes cutanés) pas de troubles
moteurs
sensitifs ou sensoriels. Ceci indique une lésio
nsoriels. Ceci indique une lésion de lobes frontaux, sans la région
motrice
. La syphilis anté- rieure, jointe à des soucis
que la maladie évolue, les hallucinations verbales peuvent devenir
motrices
; mais l'hallucination motrice reste à un plan p
lucinations verbales peuvent devenir motrices; mais l'hallucination
motrice
reste à un plan plus effacé : un grand nombre d
persécutés sensoriels, les phénomènes hallucinatoires de caractère
moteur
constituent le symptôme le plus saillant du tab
iété psycho-motrice du délire des persécutions. 10 Hallucinations
motrices
. Ce sont d'abord des hallucinations verbales mo
allucinations motrices. Ce sont d'abord des hallucinations verbales
motrices
avec leurs caractères et tous leurs degrés d'in-
us leurs degrés d'in- tensité, puis toutes sortes d'hallucinations,
motrices
communes. Souvent même ces derniers symptômes s
marquer que tous ces troubles coenesthétiques ont chez le persécuté
moteur
un caractère de continuité qu'ils n'ont pas che
llucinations de l'ouïe sont reléguées au second plan, vis-à-vis des
motrices
; souvent même elles ne se présentent que sous u
personnalité; il est au contraire très accentué chez les persécutés
moteurs
parce que les hallucinations motrices s'adresse
s accentué chez les persécutés moteurs parce que les hallucinations
motrices
s'adressent au sens coetiesthétique (sens du co
'en plaignent. Les troubles de la sensibilité morale et l'agitation
motrice
ne sont pas primitifs; ils doivent être tenus p
modifications de la base organique (cénesthésie) et de la sphère
motrice
et affective de la vie psychique. Un index biblio
oit. Mais ce centre comprenant une assez grande partie de la région
motrice
, un diagnostic topogra- phique plus minutieux é
essous de la limite entre les tiers supérieur et moyen de la région
motrice
de la surface convexe. Que cette lésion fût la
ne plaque jaune de ramollisse- ment cortical occupant toute la zone
motrice
de l'hémisphère droit. Le degré de proportionna
l'écorce cérébrale, des zones sensitives indépendantes des zones
motrices
, la motilité, la sensibilité générale ainsi que l
e. Du côté gauche, le lobe temporo-sphénoïdal était com- primé : le
moteur
oculaire commun du côté gauche était aussi comp
uelles il importe de retenir surtout ceci : C'est la zone corticale
motrice
(ascendantes et partie postérieure des lobes fr
à la précocité de leur développement. - Eu ce qui concerne la zone
motrice
, la partie postérieure du lobulé paracentral pa
les altérations' disséminées atteignaient' plus' fortement la zone
motrice
. La dissémination de l'irritation sur les cellu
erculaire gauche, il s'est produit le trouble de la parole, surtout
moteur
, constaté pendant la vie. L'atteinte plus spéci
rtes de mémoire : la mé- moire visuelle, l'auditive, la tactile, la
motrice
, auxquelles on avait ajouté récemment la mémoir
athologique des troubles va : o- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 313
moteurs
et trophiques qu'on observe aux diverses périodes
de dépression physique; il existe quelquefois des troubles vaso-
moteurs
et la maladie se termine le plus souvent par une
de l'inhibi- 314 REVUE'DE PATHOLOGIE MENTALE/1 tion'psychique et
motrice
; 20 dans les autres^ il existe un véritable aff
mun est une forme tranquille, subaigûë ou chronique sans excitation
motrice
, et souvent est associée'à.un arrêt de. dévelop
ième paire, pour les motifs'suivants : '' 1° Tout noyau d'un nerf
moteur
possède un réseau très fourni de fibres fines o
s exactement, la partie antérieure de celui-ci, près ' de la région
motrice
. On ouvre le crâne à 3 centimètres et demii au-
cht a pour caractères : 1° la préémi- nence du travail intellectuel
moteur
; 2" une 'modification dû jeu des phénomènes d'a
n équivalent maniaque. Alors, avec des symptômes d'arrêt du système
moteur
, on cons- tate quelques éléments de la manie en
les jambes et le tronc. A partir de 1878, il présente des troubles
moteurs
intenses et des douleurs sacrées. En 1890 on co
e qui présente les altérations régres- sives des cellules nerveuses
motrices
du noyau du facial à leurs dif- férents stades.
lules. Ces préparations permettent de préciser le lieu des cellules
motrices
, mais celui aussi des cel- lules des ganglions
nerveuses à structure rétiforme, tandis que les cellules nerveuses
motrices
subissent toujours une altération du même côté.
tes mentaux des hystériques, 1893, p. 73. ' Sigm. Freud. Paralysies
motrices
organiques et hystériques. (Ar- c%ives de Neuro
de cet effort. Cette aphasie s'accompagne en général de troubles
moteurs
du côté droit, troubles moteurs qui peuvent, co
s'accompagne en général de troubles moteurs du côté droit, troubles
moteurs
qui peuvent, comme nous l'avons déjà dit, revêt
ts. En somme, il semble qu'il y ait chez eux à la fois des troubles
moteurs
du côté des or- ganes de la phonation et de la
itifs et perma- nents. M. Ch. Féré a mis en évidence les troubles
moteurs
que l'on voit apparaître du côté de la langue a
e que le traumatisme a porté sur la partie antérieure du faisceau
moteur
; l'absence d'hémianopsie et de tout symptôme sens
n de l'appareil sensitif, il existe encore une lésion de l'appareil
moteur
. Eu cas de modifications simultanées des cordon
nt, il est indispensable qu'il y ait lésion simul- tanée des fibres
motrices
périphériques, comme on le voit pour les névrit
bien les afrec- tions des régions sensitives que celles des régions
motrices
du sys- " terne nerveux et, le plus souvent, le
semble que le processus morbide atteignit d'emblée tout le tractus
moteur
au lieu de s'être propagé de proche eu proche ;
éralement ces exacerbations aiguës correspon- dent à de l'agitation
motrice
ou affective. La largeur de l'excursion est sou
es troubles de la sensibilité générale et des troubles du sys- tème
moteur
qui le poussent à faire les actes les plus extra-
auteur après anesthésie et trépanation a essayé d'exciter les zones
motrices
du cerveau du chien avec un seul pôle. Mais il
s épileptique. Il fait ensuite avec précaution l'ablation du centre
moteur
correspondant, ferme la plaie et laisse l'anima
s.Il se produit naturellement comme résultat immédiat une paralysie
motrice
plus ou moins complète de l'extrémité correspon
istincte. Il y a donc entre les fibres impressionnables et les fibres
motrices
certains rapports immédiats ou médiats, qui établ
convergent les fibres sensitives, et d'où rayonnent certaines fibres
motrices
(2). Ainsi les cellules peuvent être considérées
manière. 11 assure, en effet, que « toute excitation vive du pouvoir
moteur
de la « moelle épinière ne stimule d'abord et imm
quand il a affirmé que « la marche rétrograde de l'influence excito-«
motrice
le long de la moelle épinière, telle qu'on l'obse
antérieures des nerfs sont, quoi qu'on en ait pu dire, exclusivement
motrices
; les racines postérieures, au contraire, sont des
sont exclusivement sensitifs, et les cordons antérieurs exclusivement
moteurs
; ceci demeure acquis à la science. Ainsi les fai
peuvent être suivis jusque dans les fascicules radiculaires des nerfs
moteurs
; un grand nombre passent, par l'intermédiaire de
ris et que celles-ci comnuniquent à leur tour soit avec les faisceaux
moteurs
, soit avec les racines antérieures, il est certai
evient un nerf sensitif, un troisième qui se change en fibre nerveuse
motrice
, un quatrième, enfin, qui unit les cellules du cô
postérieurs, soit avec les racines sensitives, soit avec les racines
motrices
, est un fait d'une signification claire qui peut
génitale domine, on a pu croire, avec quelque raison, qu'il était le
moteur
central des facultés génératrices. Mais peut-être
s les mailles de ce réseau. Les fibres superficielles des faisceaux
moteurs
et la totalité des faisceaux postérieurs échappen
s postérieures des nerfs spinaux; b, du nerf de la troisième paire ou
moteur
oculaire commun, de la quatrième ou nerf pathétiq
oculaire commun, de la quatrième ou nerf pathétique, de la sixième ou
moteur
oculaire externe, de la portion dure de la septiè
nsi qu'il suit : 1° nerfs purement sensitifs; 2° nerfs principalement
moteurs
à racine simple; 3° nerfs mixtes à racine double.
Dans la paire moyenne sont compris, outre le nerf optique, des nerfs
moteurs
, savoir : le pathétique, le moteur oculaire exter
outre le nerf optique, des nerfs moteurs, savoir : le pathétique, le
moteur
oculaire externe et le moteur commun; et des nerf
rfs moteurs, savoir : le pathétique, le moteur oculaire externe et le
moteur
commun; et des nerfs de sentiment, savoir : la br
nes des nerfs céphaliques, nous suivrons l'ordre suivant : 1° Nerfs
moteurs
; 2° Nerfs de sensibilité générale; 3° Nerfs d
sensibilité générale; 3° Nerfs de sensations spéciales. I. NERFS
MOTEURS
CRANIENS. «. Première paire, paire occipitale.
our laquelle les racines du spinal, qui est bien certainement un nerf
moteur
, s'éloignent de la série des racines antérieures
ce mode d'origine, qui a été jusqu'à présent celui de tous les nerfs
moteurs
; ajoutons entin que ce nerf, inséré sur le prolo
ines du spinal. (d) Nerf crotaphytico-bucclnateur (Paletta). Racine
motrice
du trijumeau des modernes. MM. Philippeaux et V
acial. 6. Deuxième paire, paire sphenoidale. Elle comprend : (a) le
moteur
oculaire externe, (6) le nerf pathétique, (c) le
rend : (a) le moteur oculaire externe, (6) le nerf pathétique, (c) le
moteur
oculaire commun. (a) Moteur oculaire externe. S
externe, (6) le nerf pathétique, (c) le moteur oculaire commun. (a)
Moteur
oculaire externe. Sixième paire de Willis et de S
ring. Si le nerf facial est en série avec les racines du spinal, le
moteur
oculaire externe appartient au contraire à la sér
odifications que subit la forme des parties environnantes. (c) Nerf
moteur
oculaire commun. Troisième paire de Willis et de
ière bien distincte. Il n'en est pas de même des fibres que le nerf
moteur
oculaire commun envoie à l'endroit noir des pédon
évidemment, par ses origines, à la même série que l'hypoglosse et le
moteur
oculaire externe. Dans ce résumé rapide j'ai eu
sumé rapide j'ai eu pour objet de démontrer : 1° que l'hypoglosse, le
moteur
oculaire externe et le moteur oculaire commun for
de démontrer : 1° que l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le
moteur
oculaire commun forment, avec les racines antérie
. x. Troisième paire, paire ethmoïdale. Elle ne comprend aucun nerf
moteur
distinct. n. 14 ii. NERFS SENSITIFS PROPREMEN
NS LA COMPOSITION DES PAIRES CRANIENNES. Ces nerfs, comme les nerfs
moteurs
, se partagent en deux séries. La première, normal
éries. La première, normale, correspond à la première série des nerfs
moteurs
et représente les racines postérieures ou ganglio
econde est exceptionnelle, et correspond à la seconde série des nerfs
moteurs
crâniens. Ai Première sêtie, ou série normale.
nelle. Cette série correspond à la seconde série des nerfs crâniens
moteurs
. Elle comprend le Glosso-pharyngien, et le Pneumo
, distinct de celui qui comprend, avec le trijumeau, l'hypoglosse, le
moteur
oculaire externe et le moteur oculaire commun. Ce
nd, avec le trijumeau, l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le
moteur
oculaire commun. Celui-ci par tous les détails de
les nerfs de l'expression pathognomique, tandis que l'hypoglosse, le
moteur
oculaire externe et le moteur commun, sont essent
hognomique, tandis que l'hypoglosse, le moteur oculaire externe et le
moteur
commun, sont essentiellement des nerfs d'action v
lus nombreux ? Se-ront-ce les fibres sensitives, seront-ce les fibres
motrices
? Il est probable que ce sont les premières; mais
t traversés par l'artère carotide et par plusieurs nerfs, savoir : le
moteur
oculaire externe et ceux qui composent le plexus
ême dans ses erreurs, il fait penser, et peut être considéré comme un
moteur
dans l'ordre de l'intelligence. A coup sûr, si la
té agit sur les muscles. Or le même filament nerveux est-il à la fois
moteur
ou sensitif, ou bien ces deux facultés sont-elles
sophe Lamarck ne l'a point mis en doute. § S. Distinction des nerfs
moteurs
et des nerfs sensitifs. La gloire de Walker est
des nerfs spinaux contient les fibres sensibles et l'autre les fibres
motrices
. Il a donc tracé la voie aux expériences que Char
ltat n'a point varié. Il est certain que les racines antérieures sont
motrices
, et les postérieures sensitives. Coupe-t-on les p
encore sur la question si les racines antérieures sont exclusivement
motrices
; en effet, quand on les irrite, l'animal donne qu
lle soit immédiate ou médiate, met en jeu le système entier des nerfs
moteurs
qui lui sont attachés ; on a pu conclure ainsi d'
rapports qu'elles établissent entre les nerfs sensitifs et les fibres
motrices
, donnent la clef des mouvements réflexes aussi bi
posa que les faisceaux antérieurs étaient le tronc commun des racines
motrices
, les faisceaux postérieurs étaient celui des raci
sa que les cordons antérieurs partageaient les propriétés des racines
motrices
, et les postérieurs celles des racines sensitives
ysiologistes professaient l'opinion que les faisceaux antérieurs sont
moteurs
et les postérieurs sensi-tifs, d'autres attribuai
ginales (3). D'après lui, les cordons antérieurs sont exclusivement
moteurs
, et les postérieurs exclusivement sensitifs. Ce f
rnative d'action, d'une part entre la substantia cinerea et les nerfs
moteurs
, et d'autre part entre les nerfs sensitifs et la
faites sur des chiens, que les cordons antérieurs sont exclusivement
moteurs
, et les postérieurs exclusivement sensitifs. Tous
st pas le seul organe intéressé dans la transmission des stimulations
motrices
ou des impressions sensoriales, le long de l'axe
probable qu'il dépend de quelques dispositions des racines des nerfs
moteurs
de l'œil, dispositions jusqu'à présent inconnues.
les (2). Il admet donc trois ordres de fibres dans le système nerveux
moteur
: les unes excitent, d'autres modèrent, d'autres,
sprit de l'homme ? Les préoccupations des sens, dira-t-on, l'activité
motrice
enchaînent (1) De civil. Dei. Lib. XVIII, cap.
sieurs espèces de nerfs............. ib. § 2. Distinction des nerfs
moteurs
et des nerfs sensitifs..... 330 CHAPITRE II. —
homme de quarante-sept ans atteint depuis cinq ans d'ataxie loco-
motrice
; pas de complications psychiques, pas de syphili
arcot et Pitres (Revue de Médecine, 1883)..1. Il existe des centres
moteurs
corticaux, situés sur les 88 REVUE DE PATHOLOGI
scles innervé» par la troisième branche du nerf triju- meau (fibres
moteurs
du nerf maxillaire inférieur). La peau est atro
du quatrième ventricule près du « locits coeruleus », dans le noyau
moteur
du nerf trijumeau (cellules soi-disant trophiqu
itement par les bains permanents sont constituées par une agitation
motrice
violente, des convulsions continues graves et l
des douleurs, l'abolition des réflexes tendineux et la para- lysie
motrice
; l'auteur rapproche ces paralysies de celles qui
J. Dagonet. Thèse de Paris, 1884. Contribution ci l'étude du centre
moteur
cortical du membre infé- rieur; par C. l'nsvusn
er d'encéphalite inters- titielle circonscrite au niveau de la zone
motrice
. Foisn...(Célestine), Agée de vingt ans. Anté
épaississement de. la substance.Igriseaavoisinantr : lesicentres
moteurs
, 'sans ? les intérës'ser : ioCetr,épais91ssmentfn
sion interceptant "un1 plus'1 grand nombre de faisceaux capsulaires
moteurs
, fi- 1 ive nombre de faisceaux capsu]aires l'hé
cette circonvolution comme privilégiée. , Elle appartient à la zone
motrice
. La circonvolution correspondante du côté droit
s nous croyons en droit de contester au centre de Broca son élément
moteur
, et en admettant que ce dernier élément ait un
en·, z Etude, critique et clinique de la doctrine des localisations
motrices
dans l'écorce des1 hémisphères céiébraw de l'ho
bles, des chaises, etc.). Ason entrée on noiiiote aucune, paralysie
motrice
; au point de vue mental, il est irritable, exci
es trophiques, de la moelle, vers, la périphérie 9'(zones des nerfs
moteurs
et des muscles), occasion non t d'es désordres
antôt surtout dans les nerfs, tantôt de préférence sur les segments
moteurs
de la moelle, tantôt peut-être aussi en même temp
'ramidâl,et d'un,àütiwcûté, , une'atroplliè circonscrite'des champs
moteurs
z Ici aussi. - )'atrophie'se,timite'à lâ troisi
tion- nées qui, sans nul doute, doivent exister à côté des fibres
motrices
dans les circonvolutions appartenant aux centres
fibres motrices dans les circonvolutions appartenant aux centres
moteurs
. M. Kroepelin rappelle que dans les destruction
roepelin rappelle que dans les destructions périphériques des nerfs
moteurs
(par ex. du facial), on n'a, jusqu'à ce jour, poi
même causera laquelle il faut joindre l'endommagemout de l'appareil
moteur
. Le'rire ou'le sourire de l'aliéné n'a pas non
ne, peuvent déterminer du côté des membres inférieurs, des troubles
moteurs
d'une étendue très variable. Tantôt, il s'agit
et intermittents : Accès convulsifs, les uns localisés aux muscles
moteurs
de la tête et de DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 285
TAQUES D'HYSTÉRIE. 285 la face gauche, d'autres étendus aux muscles
moteurs
des mem- bres gauches, d'autres enfin généralis
pécialement sous la dépendance des parties supé- rieures de la zone
motrice
, nous avons vu que, dans les accès, il était mo
31. revue U.W.1'l'f)\11E E'l' DE PHYSIOLOGIE. 323 nage de la zone
motrice
. Les centres destinés aux sensations tac- tiles
tac- tiles gisent immédiatemeut en arrière et en dehors du champ
moteur
; ceux qui président au sens musculaire et aux sen
midat de la capsule interne, des fibres qui pénètrent dans la zone
motrice
, exerce une influence des plus délétères sur le d
portion lombaire jusqu'à la décussa- tion. Dégénérescence des nerfs
moteurs
et des muscles. L'auteur fait remarquer que la
instituées chez le chien. Dans tous les cas d'extirpation des zones
motrices
de l'écorce du cerveau, la substance blanche fu
myéline dans les circonvolutions ascendantes et cependant troubles
moteurs
précoces des paralytiques généraux en relation
bain galvanique entraîne d'abord un court stade d'hyperexcitabilité
motrice
, qui d'ailleurs peut aussi manquer absolument,
ument, suivi d'affaissement progressif et continu de l'excitabilité
motrice
. Cette décroissance de l'excitabilité motrice d
inu de l'excitabilité motrice. Cette décroissance de l'excitabilité
motrice
doit être tenue pour l'effet du bain galvanique
ge de la cathode. Notons finalement la diminution de l'excitabilité
motrice
. P. K. XLI11. Papille étranglée bilatérale avec
ux ans et demi, et son intelli- gence s'en est ressentie. Paralysie
motrice
du membre supérieur droit et faiblesse marquée
. M. Hitzig appelle plus spécialement l'attention sur la parésie du
moteur
oculaire externe gauche (28 avril) sur la Archi
e l'intelligence. Or, le contrôle d'Hitzig montre que les accidents
moteurs
décrits sont loin d'être aussi faciles à engend
ce. IIitzig persiste donc à dire qu'il existe des centres corticaux
moteurs
, sensitifs et sensoriels desquels partent des f
des fibres possédant les mêmes propriétés et que ce sont les fibres
motrices
qui sont excitées par le courant élec- trique.
itées par le courant élec- trique. L'expression de champs corticaux
moteurs
est nette, comme la définition dont elle relève
est nette, comme la définition dont elle relève.Munk fait du centre
moteur
une sphère de sensibilité. Or, c'est à Hitzig q
de constamment à l'extirpation de couches corticales dans la zone
motrice
, et qui se rencontre dans certains faisceaux du m
ire, si le malade eût vécu plus longtemps, que le défaut d'activité
motrice
du muscle droit interne à l'occasion des mouve-
, l'imperfection de la motilité existe complète à gauche ; le champ
moteur
du globe adroite est en- core considérablement
et la moelle allongée; il est probable qu'ici les noyaux des nerfs
moteurs
de l'oeil étaient intéressés. En conséquence dive
emeure tel qu'il était avant l'attaque, quand celle-ci est purement
motrice
, c'est-à-dire quand elle ne s'accom- pagne ni d
d'oppression, terreur nocturne avec sensations spasmodiques, aura
motrice
et sensitive, etc.) ; 4° A propos d'états stati
tatiques. Une vésanie typique, avec phénomènes paralytiques d'ordre
moteur
, aboutissant à l'hypo- Irophie, puis à l'atroph
s l'écorce cérébrale au con- tact des méninges, intéressant la zone
motrice
bra- chiale et n'atteignant que très légèrement
s en particulier la paralysie brachiale, en négligeant les troubles
moteurs
du membre inférieur qui sont tout à fait access
moelle. - Tout le premier groupe de phénomènes (incoordi- nation
motrice
, douleurs fulgurantes, anesthésies) veut dire l
(comme l'admet aujourd'hui M. Charcot) par irritation des cellules
motrices
antérieures que la lésion latérale entraîne la
ontractures et plus généralement les divers phénomènes d'excitation
motrice
chez un malade pré- sentant, d'autre part, des
ntractures, et, d'une manière générale, les phénomènes d'excitation
motrice
, sont un élément nouveau, qui n'existe pas dans
abes ataxique .(douleurs ful- gurantes, anesthésies, incoordination
motrice
), des symptômes du tabes spasmodique (paralysie
résies et surtout contractures ou autres phénomènes d'excitation
motrice
) et des symptômes communs à tous les tabes (tro
cause les symptômes Archives, t. XII. 4 50 Pathologie nerveuse.
moteurs
et les symptômes soi-disant psychiques, je croi
je crois que nous sommes autorisés à identifier la contrac- ture
motrice
avec les images positives suggérées, taudis que
tra- dictions, sinon qu'on veut recourir à l'irritation des vaso-
moteurs
; j'avoue franchement que, même avec cette hypo
mière observation contenue dans cette note est un exemple d'aphasie
motrice
avec un certain degré de surdité et do- cécité
le est consécutive à une atrophie ou à une dégénérescence des aires
motrices
corticales. Plusieurs des hommes dont l'observa
llissement disposées d'une façon parfaitement symétrique sur l'aire
motrice
des deux hémisphères, au niveau du tiers moyen
dernier paragraphe intitulé : Complexité et autonomie de l'appareil
moteur
, il tente, à la lumière des notes précédentes,
que les perturbations psychiques sont les génératrices de troubles
moteurs
. a Une grande catégorie de troubles moteurs - s
énératrices de troubles moteurs. a Une grande catégorie de troubles
moteurs
- sont réellement primitifs, parce qu'ils ont i
du crâne, avait une hémiparésie. Le malade avait aussi une aphasie
motrice
, et, comme c'est le cas dans ces maladies, il é
enu a été médiocre. Dans tous les faits où l'existence de symptômes
moteurs
laissait supposer le tabes, le courant continu
couches inférieures de la protubérance, par les racines de l'oculo-
moteur
externe. Dans la zone externe, on rencontre : 1°
commissure postérieure affecte des rapports intimes avec les nerfs
moteurs
de l'oeil et, en particulier, avec le moteur ocul
ntimes avec les nerfs moteurs de l'oeil et, en particulier, avec le
moteur
oculaire commun. Au-dessus de la commissure pos
ig ; les faisceaux raphéiques sont chargés de transmettre aux nerfs
moteurs
de la moelle épinière ou aux muscles correspond
t un instant qu'il en soit ainsi et que les diverses manifestations
motrices
et sensitives aient été sous la dépendance d'un
- tie antérieure de la capsule interne pour produire les troubles
moteurs
. Mais une pareille hypothèse nous semble diffic
e lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou des nerfs
moteurs
, et qui constitue le type de la lésion trophiqu
ai, proposé une galvanisation à cou- rants assez faibles de la zone
motrice
gauche, en appliquant le pôle positif sur cette
qui doit être ici tout spécialement relevé, c'est que ces troubles
moteurs
sont absolument limités aux doigts de la main d
nuque sont sans doute rhu- matismales. Quant à la légère aphasie
motrice
et aux secousses des doigts, qui, peu à peu, on
e la partie supérieure de la moelle cervicale, des noyaux des nerfs
moteurs
de l'oeil, du bulbe. Il existe une diminution d
incre la crampe. Diminution de l'excitabilité mécanique des nerfs
moteurs
. Ces conducteurs réagissent quantitativement bien
généralisée, dégénérative, ayant englobé, au début, quelques nerfs
moteurs
de l'oeil (diplopie de trois mois) et attei- gn
es extrémités supérieures et l'épaule, l'insignifiance des troubles
moteurs
, surtout par comparaison avec les troubles de l
. Ces faits sont encore intéressants au titre que voici : l'élément
moteur
souffrit moins que l'élément sensitif ; on voit
otamment l'éminence thénar toute atrophiée conserver ses propriétés
motrices
, ce qui semble en même temps récuser la ré,ista
einte des fibres trophiques et sensitives eL l'intégrité des libres
motrices
. De l'ensemble des analyses de chaque fait, il
a pu être empê- chée, ou la restitution rapide de la conductibilité
motrice
a pu être effectuée soit par la conservation d'
mis- sements, paralysie à évolution lente se rapportant à la zone
motrice
du cerveau droit, hyperesthésie indiquant une irr
néoplasme (1 cent. de diamètre) pressa suffisamment contre la zone
motrice
, des contractures de la main et des Archives, t
poignet, et l'avant-bras était en supination. Avec cette paralysie
motrice
, il y avait une perte de la sensibilité tactile
sensibilité tactile et du sens musculaire, accompagnée de paralysie
motrice
, due à une lésion de l'écorce. On ne saurait tr
ne radiée peuvent avoir été atteintes. Cette paralysie sensitive et
motrice
avait disparu graduellement à la fin des deux m
ressant et très important. Le jour suivant, il y a eu une paralysie
motrice
par- tiellede la face du côté gauche, une paral
des détails ci-dessus : 1° Chez l'homme, une paralysie temporaire
motrice
corticale et peut-être la perte du sens muscula
urvient après la liga- ture des vaisseaux qui fournissent le centre
moteur
des mou- vements perdus; 2° Chez l'homme, une
onctionnel survient après des opérations pratiquées sur les centres
moteurs
; 3° L'arrêt des attaques épileptiformes commenç
volonté ne se transmet plus physiologique- ment sur les conducteurs
moteurs
(paraphasie, paragraphie). Discussion : lli. GR
OCIÉTÉS SAVANTES. 409 rieurs et l'extirpation des centres corticaux
moteurs
. Conclusions fo La même région de l'écorce céré
des de fin calibre. Les libres de gros calibre ou fibres nerveuses
motrices
, se terminent dans les couches ilaires et prenn
les cellules des cornes antérieures est le centre trophique du nerf
moteur
. Cet auteur formula ainsi la loi générale de la d
e des hémisphères I, nerf olfactif. - Il, nerf optique. - Ill, nerf
moteur
oculaire commun. Il', nerf pathétique. V, V, ne
ulaire commun. Il', nerf pathétique. V, V, nerf trijumeau. VI, nerf
moteur
oculaire externe. VII, nerf facial. - VIII, nerf
le nom de lame fondamentale, est le lieu d'origine de tous les nerfs
moteurs
; le segment dorsal, connu sous le nom de lame
t). - Ml"" membrane limitante méningée. - P, plancher. -rem, racine
motrice
. Rs, racine sensitive. V, voûte. DÉVELOPPEMENT
ement, l'analogue de la corne antérieure de la moelle et des noyaux
moteurs
de l'oeil (His). Les cinq vésicules encéphaliqu
mation arquée (Fa), et renferme tous les noyaux d'origine des nerfs
moteurs
. Déformation de la cavité médullaire en fer
e interne. - P, plancher. - - Pi. pièce intermédiaire. Bill, racino
motrice
. - Ils, racine sensitive. se, sillon cylindriqu
elles se tordent un peu sur leur axe et en- voient leurs racines
motrices
, non plus directement en dehors, mais en avant;
rne postérieure. - Fo, faisceau ova- laire postérieur. - Rm, racine
motrice
. -Rs, racine sousitive. - se, sillon cylindriqu
faisceau ovalaire postérieur. - Le, lame épendymairc. - Ilm, racine
motrice
. - lis, racine sensitive. - se, sillon cylindri
e fournit en outre dans la région protubérantielle le noyau du nerf
moteur
Formation des ré - : cessus latéraux du qua
le, le noyau d'origine du facial et le noyau d'origine de la partie
motrice
du trijumeau. Ces noyaux ne constituent dans la
t naissance à neuf paires crâniennes (IVe à XII0 paires). Les nerfs
moteurs
prennent leur origine dans les cellules ganglio
ontre extrêmement variables. C'est ainsi, par exemple, que le noyau
moteur
du trijumeau s'hypertrophie considérablement ch
rne forme les cornes de la 'moelle. Fio. 83. - Trois neuroblastes
moteurs
isolés de la moelle épinière d'un embryon hum
elle, la largo colonne ininterrompue des noyaux d'origine des nerfs
moteurs
. Presque tous ces neuroblastes envoient leur cyli
cht). bllm, membrane limitante méniDgée. P, plancher. - lim, racine
motrice
. Ils, racine sensitive. \", voûte. HISTOGENESE
dans la moi- tié inférieure de la moelle cervicale, les racines
motrices
qui naissent des zones de la corne antérieure
- Mlm, membrane limitante ménÏl ! gée. - P, plancher. - Rm, racine
motrice
. - Rs, racine sensitive. - se, sillon cylindrique
olonne nucléaire dans la région cer- vicale supérieure. Branche
motrice
du trijumeau et nerfs moteurs de 1·eil. Gan
cer- vicale supérieure. Branche motrice du trijumeau et nerfs
moteurs
de 1·eil. Ganglioblastes. ordres de racines s
inuation de la corne latérale, se rattachent le spinal, les racines
motrices
du pneumo-gastrique et les rares fibres motrice
pinal, les racines motrices du pneumo-gastrique et les rares fibres
motrices
du glosso-pharyngien, qui émergent toutes le long
, la chaîne nucléaire est interrompue, et les noyaux d'ori- gine du
moteur
oculaire externe (vi° paire), du pathétique (ive
oteur oculaire externe (vi° paire), du pathétique (ive paire) et du
moteur
oculaire commun (m1' paire), ainsi que les fibres
ire) et du moteur oculaire commun (m1' paire), ainsi que les fibres
motrices
du trijzc- meau, forment des îlots situés dans
ns sont tout autres que celles des noyaux pré- cédents. La racine
motrice
du trijumeau apparaît sur la prolongation de la l
la périphérie par le rameau antérieur et s'arborisant en g. va, fihre
motrice
se rendant dans un rameau sympathique. - j, fai
diens se réunissent , après un court trajet aux racines antérieures
motrices
, et forment le tronc des nerfs mixtes. Ce tronc
s qéantes de la zone rolandique de l'écorce cérébrale, les cellules
motrices
mul- tipolai1'es des cornes antérieures ; d'a
terminales, libres et ramifiées, situées au voisinage des cellules
motrices
. Au sur et à mesure que l'on s'élève dans la sé
rnier. Les collatérales sont rares sur le cylindre-axe des cellules
motrices
des · cornes antérieures, mais se rencontrent f
ndres-axes du système nerveux périphérique, qu'il s'agisse des nerf
moteurs
, glandulaires, sensi- tifs, sensoriels ou sympa
t être, en effet, étoilées et mul- i tipolaires, comme les cellules
motrices
des cornes antérieures ou fusi formes et bipola
rieures. La libiese21silive naissait duréseati de Gerlach, la fibre
motrice
des cellules des cornes antérieures, et le couran
ion directe d'une cellule nerveuse avec le cylindre-axe d'une fibre
motrice
; il montra : 1° Que toutes les cellules nerveu
oy. p. 12). Lorsque chez des animaux nouveau-nés on arrache un nerf
moteur
, ou 12 Méthode des déé- nérescences secon-
les am- putés. Méthode de Gud- den, son application aux nerfs
moteurs
. 178 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dans la mé
use s'altère dans les deux sens. Travaux de Forel sur les nerfs
moteurs
de l'animal adulte. Travaux de Hayem sur l'
e l'animal adulte. Travaux de Hayem sur l'arrachement des nerfs
moteurs
. Application de la méthode de Gudden aux ne
e dite des dégénérescences. Lorsqu'on opère, non plus sur des nerfs
moteurs
, mais sur des nerfs sensitifs, les résultats so
ences montrent donc que la fibre nerveuse périphérique ou centrale,
motrice
ou sensitive, s'altère dans toute la longueur de
e et les ramifications tcr- FiG. 113. - Schéma de quelques neurones
moteurs
cl sensitifs de l'homme '. HISTOGENÈSE DU SYSTÈ
re cellule s'arborise librement à la surface d'un muscle M. La voie
motrice
se compose donc de deux neurones : le premier est
les neurones du système pyramidal (NI), le second par les neurones
moteurs
périphériques (ives). La voie sensitive est con
transmis à un neurone de 2° ordre, lequel peut être soit un neurone
moteur
périphérique (CA), soit un neurone cérébelleux
boutons terminaux libres également. 6° Il n'existe pas une cellule
motrice
et une cellule sensitive, une fibre motrice et
'existe pas une cellule motrice et une cellule sensitive, une fibre
motrice
et une fibre sensitive. La fonction motrice ou se
le sensitive, une fibre motrice et une fibre sensitive. La fonction
motrice
ou sensitive dépend de la terminaison périphéri
nd de la terminaison périphérique de la fibre, soit dans un élément
moteur
comme le muscle, soit dans un élément sensible
PÉRIPHÉRIQUE § 1. STADE EMBRYONNAIRE Les nerfs périphériques soit
moteurs
, soit sensitifs, représentent, ainsi que nous l
s cellules Fic. 114. rto. 415. FIG. 114. Groupe de neuroblastes
moteurs
et de fibres radiculaires d'un embryon humain -
ue l'autre se porte à la périphérie, et s'entremêle avec les fibres
motrices
éma- nées des cellules antérieures de la moelle
fibres très grêles ou de moyenne épaisseur. On admet que les libres
motrices
sont plus épaisses que les fibres sensitives; que
es fibres nerveuses périphériques, qu'ils appar- tiennent aux nerfs
moteurs
ou aux nerfs sensitifs, se terminent tous, ainsi
borisations terminales </c ? '-< ? /) ? e7M' ? .s; 2° Plaques
motrices
et corpuscules de Golgi,; - 3° Corpuscules du t
HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 225 2° PLAQUES
MOTRICES
.-CORPUSCULES DE GOLGI. a) Plaques motrices des
ADULTE. 225 2° PLAQUES MOTRICES.-CORPUSCULES DE GOLGI. a) Plaques
motrices
des muscles striés. La terminaison des nerfs mo
a) Plaques motrices des muscles striés. La terminaison des nerfs
moteurs
dans les muscles striés se fait dans l'épaisseur
teurs dans les muscles striés se fait dans l'épaisseur de la olaaue
motrice
décrite par Rouget chez le lézard et bien étudiée
ez le lézard et bien étudiée par Krause et par Ranvier. La plaque
motrice
de Rouget, l'éminence ter- minale du nerf mot
er. La plaque motrice de Rouget, l'éminence ter- minale du nerf
moteur
de Ranvier, se présente sous l'aspect d'une s
mbreux noyaux de l'éminence terminale, ils sont grands, is Plaque
motrice
de Rouget,Krallse,Rau- vier. Arborisation t
uget,Krallse,Rau- vier. Arborisation ter- minale de la plaque
motrice
. 1<'10. 141. - Terminaisons nerveuses sens
EUX. Noyaux de l'émi- nence terminale. Variétés de pla- quels
motrices
. clairs, possèdent un gros nucléole et sont lim
ntale de l'éminence : noyaux fondamentaux de Ranvier. Les plaques
motrices
se rencontrent non seulement sur les muscles st
(D'après Ranvier.) N, nerf. - ¡11, faisceau musculaire. - p, plaque
motrice
vue do profil. - p, plaquo motrico vue do face.
ie Terminaisons ner- veuses dans le mus- cle cardiaque. Tache
motrice
do Ranvier daus les muscles lisses. Fio. 14
Ranvier daus les muscles lisses. Fio. 14. -Terminaisons nerveuses
motrices
dans les muscles de l'oeil du lapin adulte. (D'
ires par une extré- mité renflée, souvent digitiforme, la tache
motrice
de Ranvier.Les nerfs des fibres muscu- laires
ibres très fines, qui se terminent très probablement par des taches
motrices
sur les cellules contractiles de la tunique mus
urcation sont pourvues de petits Fie. 146. - Terminaisons nerveuses
motrices
dans le muscle cardiaque d'une souris âgée de 1
G. Retzius.) Méthode de Golgi. Fie. 147. - Terminaisons nerveuses
motrices
dans les muscles lisses de la vessie d'un lapin â
tendineux, de véritables plaques terminales, analogues aux plaques
motrices
des nerfs musculaires. Mais au lieu d'être uniq
du tubercule ma- millaire latéral situé en dedans du sillon du nerf
moteur
oculaire commun 1/ entre le faisceau interne du
entre-croisement pyramidal. xll, chiasma des nerfs optiques. ? nerf
moteur
oculaire commun. J', nerf trijumeau. VI, nerf m
tiques. ? nerf moteur oculaire commun. J', nerf trijumeau. VI, nerf
moteur
oculaire externe. 3lfi ANATOMIE' DES CENTRES NE
ire. - Tpt, tractus pédonculaire transverse. - III, racines du nerf
moteur
oculaire comnun. - II, nerf optique. 318 ANATOM
érébraux dont le sépare un sillon assez profond, le sillon du, nerf
moteur
oculaire commun, le long duquel émerge la trois
et des cérébrales postérieures; ils sont séparés du sillon du nerf
moteur
oculaire commun par le pédoncule du tubercule m
SR, substance réticulée. - Vc, racine encéphalique ou petite racine
motrice
descendante du trijumeau. ;c : Pcs, entrecroiseme
ire. - Tpt, tractus pédonculaire transverse. - III, racines du nerf
moteur
oculaire commun. - II, nerf optique. 326 ANATOM
e-croisement pyramidal. ;dl, chiasma- des nerfs optiques. Ill, nerf
moteur
oculaire commun. -- Il, nerf trijumeau. - VI, ner
Ill, nerf moteur oculaire commun. -- Il, nerf trijumeau. - VI, nerf
moteur
oculaire externe. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 327
rance de Henle, considéré par Malacarne comme un nerf accessoire du
moteur
ocu- laire commun, embrasse le bord inférieur d
ns la région pédonculaire supé- rieure les noyaux d'origine du nerf
moteur
oculaire commun (3° paire) (NI ? fig. 193). E
ale (gyrus reclus). mp, sillon marginal posté- rieur. Nui, noyau du
moteur
oculaire commun. - NZ.3, putamcn. - Nil, noyau ro
le, dégénèrent dans une étendue proportionnelle il celle de la zone
motrice
corticale détruite, par contre, les fibres hori
educ de Syl- vius (SgAq). , Après avoir embrassé la petite racine
motrice
cérébrale ou descendante de la 5° paire (Vc) (v
. SR, substance réticulée. Vc, racine encéphalique ou petite racine
motrice
descendante du trijumeau. xF, entre-croisement ve
e petit faisceau représente la racine cérébrale ou la petite racine
motrice
descendante de la cinquième paire (Vc) et ses f
grosses cellules vésiculeuses. Ces cellules appartiennent à la partie
motrice
du trijumeau. Coupe n° 13 x (fig. 328), corre
le cérébelleux supérieur. )le, racine encéphalique ou petite racine
motrice
descendante du trijumeau. IV, filets radiculaires
E CÉRÉBRALE. <t9t 1 Iules pyramidales, correspondant aux régions
motrices
établies par Ferrier, seraient disposées en gro
gyrus reclus). mp, sillon marginal postérieur. - NUI, noyau du nerr
moteur
oculaire commun. NL" putamen. NR, noyau rouge. -
atoff) dégénère partiellement à la suite de l'ablation de la sphère
motrice
ou de la destruction des circonvolutions frontale
suivants : Hémiplégie droite avec contracture très marquée. Aphasie
motrice
et sensorielle. Épilepsie partielle débutant par
membre inférieur correspondant et se généralisant ensuite. L'aphasie
motrice
était presque totale, le malade ne pouvant pron
Dans le cas actuel il s'agit donc d'un malade qui, atteint d'aphasie
motrice
et sensorielle avec hémiplégie droite, avait re
aculté dé comprendre la parole nnrh'-f f) et était resté anliasiaue
moteur
, alexioue et asraphique. sphérique, assurant le
ont pas doués au même degré que les autres de ce pouvoir d'inhibition
motrice
sans lequel nous ne serions que le jouet inconsci
qui conduisent du centre où se forme l'idée du mouvement aux organes
moteurs
, la suggestion diminue ou enlève totalement la co
—Quelques considérations pour «ne étude comparative des paralysies
motrice
, organique et hystérique (Arch. de neurol., 77).
e partie. C'est comme antécédent des actes, comme phase des processus
moteurs
, que la volonté est le mieux caractérisée et qu'i
précédant la plupart des actes. Nerfs ou centres nerveux sensitifs et
moteurs
hiérarchisés, tension nerveuse et courants nerveu
impressions et images, associations et actes sans conscience, pouvoir
moteur
des images, conditions des sensations, temps de r
solution d'un conflit de motifs, c'est-â-dire d'images, de tendances
motrices
. Cette solution consciente que nous traduisons pa
le mot volonté n'est autre chose, physiologiqucmcnt, qu'une tendance
motrice
résultante ou prédominante, une tension nerveuse
flexes, dans lequel, entre la période dite d'excitation et la période
motrice
apparaît un fait psychique capital —la volition —
e de rien puisqu'elle est seulement juxtaposée au véritable processus
moteur
. Kl il est aussi clair que. pour les psychologues
opriété d'être consciente en même temps qu'elle jouit d'une propriété
motrice
, en même temps qu'elle est physùdogiqucment activ
rien. Il reste la volonté à la l'ois fait de conscience et processus
moteur
. L'autre manière de voir soulève la question de
île lu conscience qui accompagne les sensations et les déterminations
motrices
. « Y a-t-il, dit M. Ch. Hichet, un siège unique,
centre unique est relié -étroitement a Ions les centres sensitîfs et
moteurs
... Nous voguons à ce sujet eu plusieurs hypothèse
'est autre que celui des processus physio-psychologiques sensitifs et
moteurs
. Au lieu de chercher un setixorium commun qui a
rt avec l'attribut disparu. De ce que certains processus sensilifs et
moteurs
se produisent inconsciemment et d'autres avec con
elte chaîne même comme partie intégrante d'un processus physiologique
moteur
constituant par lui-même un état de conscience. D
ion intermédiaire entre la portion dite sensi-tive et la portion dite
motrice
, et point initial de cette portion motrice. Nou
si-tive et la portion dite motrice, et point initial de cette portion
motrice
. Nous venons de comparer entre elles deux théor
onstituerait alors un eflet sur place et comme résidual de l'activité
motrice
de ces éléments. L'épiphénomèue en question peu
formellement que dans la constitution des idées entrent des éléments
moteurs
. Comme A. Bain, il admet que si, « lorsque nous v
iment est une série d'impressions retenues dans l'appareil optique et
moteur
de l'œil et dans les parties du cerveau mises enj
vrai, dit M. Ribot. qu'on pourrait distinguer deux espèces d'éléments
moteurs
: « ceux qui servent à constituer un état de cons
identifier la conscience, l'idée pure de mouvement avec un processus
moteur
, el l'on peut justifier scientifiquement cette id
aucune difficulté a admettre qu'un état de conscience et un processus
moteur
soient un seul et même processus. Non seulement l
lément psvcho-phvsiologique les deux éléments conscience et processus
moteurs
communément distingués dans la volonté. Voyons ma
ur être parfaitement conscientes. Celles-ci constituent des tendances
motrices
déjà fortes. Si, parmi elles, l'une arrive à cire
ant nerveux suffisant, a été cependant accompagnée d'un certain effet
moteur
faible qui n'a pu constituer un acte et qui a pu
e un conllit entre diverses images fortement excitées et à. tendances
motrices
contraires. Alors peut être mise en jeu [innervat
ever. Tout à coup, l'ensemble de ces motifs ayant constitué une force
motrice
suffisante, notre homme saule en bas du lit. bien
à-dire réduite à une représentation mentale d'un acte, à une tendance
motrice
. Que cette représentation soit le résultat d'opér
éculaire atteint un degré sullisanl pour être à la fois consciente et
motrice
parce que l'étal général du centre nerveux est ne
ations cohérentes représentant un certain nombre d'images à tendances
motrices
convergentes. On peut s'expliquer ainsi pourquo
ominante soil volonté, il faut qu'elle soit engagée dans un processus
moteur
, c'est-à-dire à direction centrifuge. SOCIÉTÉ
Il est vrai qu'elle est précédée et suivie de processus psychiques et
moteurs
coordonnés par le fail même de l'ajustement organ
ux », consistant en une représentation de mouvements, en une tendance
motrice
plus forte que celles qui existent au même moment
at de conscience qui n'est pas la pure consta- talion d'une image
motrice
mais qui est celte image motrice elle-n:ême. La v
pure consta- talion d'une image motrice mais qui est celte image
motrice
elle-n:ême. La volonté de cette petite tille n'es
signifie qu'une volonté n'est autre chose qu'une résultante d'images
motrices
composantes, qu'une image ou mouvement nerveux co
d'autres images, que celte image est modifiable tant que le processus
moteur
qu'elle représente cérébralement n'est pas engagé
nditions dans lesquelles une image on une idée constitue un processus
moteur
. L'importance d'une telle idée est considerable,
état de ronscicncc, ou plus de dignité à la volonté simple processus
moteur
. La fusion des deux étals indûment séparés en un
t a un assistant, je lui dis : Chez quelques sujets la suggestibililé
motrice
est très développée de sorte que si on pose les m
encore des stigmates, des troubles de la sensibilité, ou des troubles
moteurs
ou viscéraux, peuvent revenir à l'état normal. Il
la nature et l'intensité des impulsions que celui-ci envoie aux nerfs
moteurs
. Certaines sensations ont une action dépressive e
le cas échéant, les transformer en actes volitionnels, en impulsions
motrices
et, comme la plus grande partie de ces différente
e l'a frappé, et depuis ce moment quelques symptômes d'incoordination
motrice
ont apparu, mais se sont passés quelques jours ap
lle et encéphale 8 Les prolongements cylindre-axiles des cellules
motrices
de ces deux centres passent, d'après La majorité
rf du muscle de I'étrier. D'après renseignement classique, des fibres
motrices
, issues du facial, suivraient la voie du grand ne
tre elles, qui servent à nous orienter.» (Sachs.) Centre des images
motrices
d'articulation de la parole. —C'est le centre de
ainsi le trouble du langage connu sous les noms d'aphémie, d'aphasie
motrice
corticale vraie (type Bouil-laucl- Broca). L'éc
e. (S. Exner.) Ils soutiennent que, clans l'agraphie liée à l'aphasie
motrice
corticale, les troubles de l'écriture sont la con
tion dans la corticalité générale : centre de Broca, accolé à la zone
motrice
; centre de Wernicke, en continuité avec la zone
e zone unique avec trois centres secondaires ». L'aphémie, ou aphasie
motrice
vraie, la surdité verbale et la cécité verbale pa
a zone de Freud, retentit inévitablement sur les autres. (( L'aphasie
motrice
domine si la lésion siège au centre de Broca; la
rnicke au centre de l'audition tonale; dans l'aphémie pure ou aphasie
motrice
sous-corticale, celles qui unissent le centre de
ce sous-corticale, celles qui unissent le centre de Broca aux centres
moteurs
de la bouche, du pharynx et du larynx. L'aphasiqu
ux centres moteurs de la bouche, du pharynx et du larynx. L'aphasique
moteur
pur, s'il ne peut émettre un mot, sait pourtant d
ant de l'opercule central ou rolandique, qui est le siège des centres
moteurs
de la face. Le col du sablier est formé défibres
s reculé, très probablement au niveau du lobe occipital. Les troubles
moteurs
étaient variables et dus, selon toute vraisemblan
tiges). — Scion Flechsig, le faisceau de Turck constituerait une voie
motrice
qui transmettrait les excitations des cellules py
cellules pyramidales de l'écorce de la sphère auditive aux appareils
moteurs
de l'oreille et aux muscles de la tête et du tron
s, Mignon entre autres, ils seraient dus aune compression des centres
moteurs
de la zone rolandique. Pour d'autres, Bergmanii,
Oppenheim.) On n'a pas encore observé un cas indiscutable d'aphasie
motrice
pure dans l'abcès cérébral. Troubles de l'odora
lo-vestibulaire, qui joue un rôle très important dans la coordination
motrice
et l'équilibration du segment céphalique. Ces d
e la titubation et de l'incertitude dans les mouvements. Ces troubles
moteurs
, souvents difficilement dissociables, ne seraient
entaires, substratum de l'orientation subjective et de l'appropiation
motrice
, et qui, par les voies efférentes, diffuse dans t
es les directions le tonus musculaire nécessaire pour la coordination
motrice
et le maintien de l'équilibre. 11 n'est cependa
t donc considérer ce trouble comme un phénomène à la fois sensitif et
moteur
. Abcès cérébelleux otiliques. —On recontre l'ab
mots, qui se trouve au niveau du pli courbe ; 3° le centre des images
motrices
d'articulation de la parole, centre tic Broca, lo
de=rriuette=âvèùgle,; le, sens dé .là", température, les sensations
motrices
de la peau,,etc. sj, â1ri0;. nu * ? L pliipart'dé
été pour l'épreuve clinique : Localisations corticales des centres
moteurs
du. cerveau, 'anatomie et physiologie ; Cordons
ie est due à un épuisement rapide, à une défaillance de l'impulsion
motrice
cérébrale, et un effort de la volonté peut le f
côté des voies digestives. Pas d'amyosthénie. Pas de troubles vaso-
moteurs
, aucun trouble de la sensibilité générale, ni des
estinée à réduire cet enfoncement du pariétal, fut suivie d'aphasie
motrice
et d'agraphie. Huit jours après l'opération, la
o- plé-ie interne (l'auteur désigne ainsi l'ensemble des troubles
moteurs
de l'intérieur de l'oeil, inégalité et déformatio
d'autres phénomènes mor- bides (troubles congestifs, intellectuels,
moteurs
) ; 3° Elle est durable, et longuement durable;
le début, un affaiblissement de l'intelligence et l'incoordination
motrice
dans les quatre membres, une démarche tabéto-céré
peu, près nuls. Je n'ai pu expérimenter sur les sensations verbales
motrices
d'arti- culation. -,Les sensations tactiles s
ura existé sans qu'à l'autopsie on ren- contre une lésion du centre
moteur
graphique. Mais chez certains adultes, à centre
onc plaider indirectement pour l'existence indépendante d'un centre
moteur
graphique automa- tique. {Revue neurologique, 1
articulière au moment où, les phénomènes paralytiques de la branche
motrice
du trijumeau du côté droit ayant progressé, le
ême que l'on décrit avec précision le lieu anatomique- de l'aphasie
motrice
et de l'agraphie. On sait dans quels groupe- me
consta- tation définitive de la disparition des cellules nerveuses
motrices
dans le bulbe et la moelle d'une malade atteint
décrire), anesthésies ou plaques hyperesthésiques, les désordres
moteurs
, paralysies, contractures, tics et mouvements cho
particulièrement inté- ressantes : ce sont celles où les phénomènes
moteurs
s'accentuent ou s'effacent pour céder la place
re, sa courte durée, la constatation de quelques-uns des phénomènes
moteurs
qui se mon- trent d'habitude dans les crises hy
considérée comme un équivalent psychique des accidents con- vulsifs
moteurs
. M. JOFFROY. M. Ballet ne veut pas admettre que
symétrie à peu près constante et complète aussi bien des troubles
moteurs
que des troubles sensitifs; comment expliquer aus
e, sans que cependant les malades aient présenté aucun des troubles
moteurs
ou sensitifs propres à la polynévrite. C'est ce
indre-axe émané d'une cellule sensitive et celui issu d'une cellule
motrice
ou d'une sensorielle. ' .La structure des cylin
la question de cette façon, on arrive à conclure que toute cellule
motrice
ganglionnaire est en somme toujours aussi sensi
n jeu. De même, toute cel- lule dite sensitive est en quelque chose
motrice
. Elle l'est du mouve- ment nerveux qui va excit
otrice. Elle l'est du mouve- ment nerveux qui va exciter la cellule
motrice
, laquelle est l'instru- ment de la réaction de
'une pure hypothèse. Passons maintenant aux altérations (du système
moteur
. Leur point de départ peut être localisé, à tit
ns les cellules nerveuses. Les altérations périphériques des fibres
motrices
peuvent être attribuées à une modification dyna
e des cellules ,dont ces fibres dérivent, c'est-à-dire des cellules
motrices
de la moelle et du bulbe. Dans certains cas les
s altérations périphériques et les altérations centrales du système
moteur
. D'après cette conception, l'agent du tabes exe
omme une maladie des' nerfs périphériques, sensitifs, sensoriels ou
moteurs
. Je rappellerai cependant qu'il n'existe pas en
x dégénérescenses consécutives à l'extirpation des zones corticales
motrices
, permettent d'établir les données suivantes :
e dégénérescense dépend exclu-' sivement de la lésion du territoire
moteur
. Le corps calleux est donc surtout une commissu
ue, il faut remarquer l'amélioration si remarquable des symptômes
moteurs
et ladisparitiou du signe de Romberg. ' Ces fai
emble y avoir là plus qu'une coïncidence. C'est comme un équivalent
moteur
atténué, à la période de dynamie fonctionnelle,
riode de dynamie fonctionnelle, du processus à la fois psychique et
moteur
de la para- lysie générale confirmée. IIÉMIAN
phère visuelle occi- pitale, comparable aux phénomènes d'excitation
motrice
de l'épi- lepsie jacksonienne, et lié à la prés
et dont le mécanisme s'explique très logiquement par l'automatisme
moteur
verbal qui existe dans ces deux cas comme dans
assis. Quelquefois, par moments, phénomènes d'excitation des nerfs
moteurs
, tels que : crampes dans les pieds et les mains',
ts réflexes prouve qu'il y a des carrefours réflexes qui servent de
moteurs
, et que par leur intermédiaire, l'excitation de
ye de mettre de l'ordre dans le chaos des névropa- thies du système
moteur
de l'enfance. La diplégie cérébrale est constit
ont là des affec- tions cérébrales; on y peut joindre les complexus
moteurs
sans débilité mentale et la paralysie avec idio
oziriz., 2 juin 1894.) A. Marie. XXXIV. SUR UN cas d'hallucinations
motrices
verbales chez UNE paralytique générale ; par le
au cours d'une période de rémission, présenta des hallucinations
motrices
verbales. Ces hallucinations, qui durèrent pendan
s mais n'intéres- sant que le pied de la troisième frontale (centre
moteur
verbal) et l'extrémité inférieure de la frontal
et hypocondriaques), les autres provo- qués par les hallucinations
motrices
verbales (délire de persécu- tion), ou par l'en
ommeil et à la veille. Pathogénie : Excitation du faisceau cérébral
moteur
du triju- meau ; secousse du tenseur du tympan;
rennent place des troubles spéciaux, moins sensoriels que psycho-
moteurs
, les hallucinations psychiques ou motrices verbal
ns sensoriels que psycho- moteurs, les hallucinations psychiques ou
motrices
verbales : c des voix intérieures parlent silen
aux oreilles. » Ces faits s'expliquent par la propagation au centre
moteur
du langage de l'excitation du centre auditif co
é ? Mais s'agit-il d'une action inhibitrice sur les centres vaso-
moteurs
bulbo-médullaires d'où partent les nerfs vaso-mot
e hypo- thèse, sans qu'il soit besoin de supposer un centre vaso-
moteur
rénal, situé dans l'écorce cérébrale. Donc, en pe
confusion ( Veî,ivii,î,ttng), et dans ce cas il existe des troubles
moteurs
correspondants. Enfin la même maladie peut comm
n destructive du lobe moyen du cervelet produit une vraie paralysie
motrice
, affectant plus particulièrement les muscles du
e hyperesthésie de la partie inférieure de l'abdomen avec paralysie
motrice
des muscles dans toutes ces ré- gions. Or, ces
lative à une distribution singu- lière de la paralysie sensitive et
motrice
dans un cas de lésion des parties latérales et
tte blessure, le malade a présenté les symptômes suivants : parésie
motrice
passagère, anes- thésie thermique et douloureus
aire sur tout le côté gauche du corps, la face exceptée ; paralysie
motrice
, d'abord complète, plus tard incomplète, diminu
432. Hallucinations oniriques des dégé- nérés, par Régis, 323 ;
motrices
verbales chez un paralytique gé- néral, par S
grande crise, il faut citer, en particulier, celles où les phénomènes
moteurs
s'atténuent ou s'effacent pour céder la place aux
s psychiques, il s'agit dans ces dernières d'un trouble des centres
moteurs
de l'organisme de la parole. L'auteur attribue pa
uteur attribue par conséquent une importance prédominante à l'élément
moteur
dans la production de ce qu'on appelle la divisio
tinuation des suggestions de sommeil. Les suggestions dans le domaine
moteur
(catalepsie, contractures) ou sensitif (analgésie
e excitation quelconque reportée de ces centres percepteurs aux nerfs
moteurs
, ainsi que cela a lieu dans les phénomènes réflex
ertébrale consécutive à la fluxion collatérale. Les divers phénomènes
moteurs
et secrétoires qui se manifestent pendant le somm
s ramifications le long do ces racines et provoquent dans les racines
motrices
une tonicité réflexe, qui se traduit à l'extérieu
ugmentation d'énergie potentielle, que doivent éprouver les centres
moteurs
, en raison de l'augmentation de l'afflux de sang
plit l'explication. 3° Par suite de la tendance aux manifestations.
motrices
, qui caractérise l'état hypnotique, se produit da
e à l'idée de la position des membres. Par conséquent, le caractère
moteur
de l'hypnose est une limitation de la conscience
xe, le lien de transformation de l'excitation sensitive en excitation
motrice
, le centre réflexe, en un mot, est représenté non
e d'agir du curare exclusivement sur l'arborisation terminale du nerf
moteur
. S'il en est ainsi, et comme il nous est permis
fructueuses tentatives de Paul Bert pour souder un nerf sensitif avec
moteur
. Ces expériences, qui nous ont tous enthousiasmés
i se rendent au premier ganglion thoracique, d'une part, et les nerfs
moteurs
de la cage thoracique, d'autre part. Elle se cont
— Les modali-tités de la suggestibilité. — Le type normal. — Le type
moteur
, le type visuel et le type auditif. 5° Phénomèn
elle verbale; celui de la mémoire auditive verbale; enfin les centres
moteurs
. Tous ces centres ont leur existence anatomique d
ectuer pour prononcer les mots du langage et dont la perte ou aphasie
motrice
est le résultat de la lésion du pied de la troisi
à ses oreilles, l'induit entend mentalement ce nom. e) — Inductions
motrices
verbales. Ici une explication est nécessaire. Ell
rsonnes qui appartiennent au type décrit par Charcot sous le nom de «
moteur
». Le moteur parle mentalement, sans remuer la la
ppartiennent au type décrit par Charcot sous le nom de « moteur ». Le
moteur
parle mentalement, sans remuer la langue, les mot
ui sont, soit constamment, soit d'une façon intermittente, verbo- [
moteurs
, se l'assimileront tout de suite. Quoiqu'il en so
mentalement, ou par extension, tout haut « chien. » f) — Inductions
motrices
. — Il s'agit ici d'un phénomène plus délicat enco
ications occasionnées sur le système nerveux par ce mouvement. Je dis
moteurs
les sujets pour lesquels ce phénomène est possibl
rs les sujets pour lesquels ce phénomène est possible. Si vous êtes
moteurs
, fermez les yeux, et, sans bouger ni faire agir a
emuer) et l'induit exécute le mouvement. g) — L'induction graphique
motrice
sera celle où l'inducteur écrivant mentalement ce
drait le bruit de la machine ou l'eau frappée par l'hélice; induction
motrice
visuelle, l'inducteur ferait mentalement, sans re
d. id. écrit id. i) id. auditive id. la chose entendue id. i) id.
motrice
id. l'acte exécuté id. ù INDUCTIONS VERBO-VISUE
id. la chose représentée par le mot entendu mentalement par i) id.
motrice
id, la chose représentée par le mot mentalement
les mots de ses pensées ; de là les types du visuel, de l'auditif, du
moteur
, magistralement décrits par Ballet(1). Je crois a
est certainement verbo-moteur (il parle les mots de ses pensées, et,
moteur
, il agit mentalement sa pensée); — telle est du m
en ce moment, j'avais fait acte non d'auditif, non de visuel, mais de
moteur
. Sans remuer le bras, j'effectuais intérieurement
me commandais si fortement en dedans. Il s'agissait d'une suggestion
motrice
. Les auditifs, les visuels purs, les sujets dén
els purs, les sujets dénués de toute mimique interne, en aucune façon
moteurs
, qui liront ces lignes, ne comprendront certainem
autre calculateur prodige verbo-visuel. En majorité ils doivent être
moteurs
; le fait d'être moteur constituant déjà presque u
ge verbo-visuel. En majorité ils doivent être moteurs; le fait d'être
moteur
constituant déjà presque un commencement d'action
remière) au moins supposera-t-on que les centres de réaction (centres
moteurs
) sont plus sujets, plus aptes à la transmission q
e là une deuxième recommandation : 2° Essayer d'abord des réactions
motrices
et éliminer à priori les personnes qui ignorent c
ices et éliminer à priori les personnes qui ignorent ce qu'est « être
moteur
» et ne parviennent pas à le comprendre. Avec l
c les sujets prédisposés au contraire : verbo-moteurs, graphomoteurs,
moteurs
, essayez par exemple l'expérience de M. Pikmann :
expérience est facile à effectuer). Une autre expérience (toujours
motrice
) est la suivante: l'induit, les yeuxbandés, suit
s identiques (et ce sera vraisemblablement au début entre les centres
moteurs
); tiendront enfin un compte exactdela nature de l
de syndrome de Brown-Séquard ? Xous avons, en effet, une paralysie
motrice
avec conservation de la sensibilité, et un peu d'
e trypanosomiase se caractérisent prin- cipalement par des troubles
moteurs
généralisés et, en règle générale, bi- latéraux
rouver, rarement d'ailleurs, des cas avec prédominance des troubles
moteurs
d'un seul côté du corps. Dans la forme nerveuse
t prédominant, peu d'anormalité étant observé du côté des fonctions
motrices
des membres(PI. TI, ph. G). Dans les cas de dip
ifférents degrés d'intensité, observée dans des cas où les troubles
moteurs
sont minimes (PI. III, IV, V). Chez des malades
e l'on constate des convulsions chez des malades dénués de troubles
moteurs
et qui ne présentent que les signes d'insuf- fi
roisés, mais on n'en retrouve déjà plus dans le 6e segment. La voie
motrice
est du reste dans ce cas lésée sur un autre poi
es cérébraux P., le cervelet, les origines des nerf*, crâniens : III.
moteur
ocu- laire commun, V. trijumeau, VIII, acoustiq
gauche chez un droitier ne détermine pas nécessairement l'apha- sie
motrice
, ou, si l'on veut dire autrement, l'aphémie ou ]'
rès avisé, ne tarda pas il reconnaître qu'il s'agissait d'une aphasie
motrice
déterminée, vraisemblablement, par une lésion c
ole. Une agraphie, complète également, s'était associée à l'aphasie
motrice
, mais disparut en même temps que celle-ci. Aprè
articularité intéressante, chaque convulsion était suivie d'aphasie
motrice
dont la durée ne dépassa jamais trois jours. Dès
e présenta, à la suite, une hémiplégie droite accompagnée d'aphasie
motrice
com- plète et de désorientation assez marquée.
à mettre plusieurs mots ensemble. Cette fois. en effet, une aphasie
motrice
très nette s'était définitivement ins- tallée.
ours dans son jardin. Dans le membre supérieur, également, la force
motrice
revint suffisamment pour lui permettre de fléch
usceptible de déterminer beaucoup d'irritation corticale. L'aphasie
motrice
complète qui s'est manifestée lors du début des
de ce genre sont loin d'être rares. Pour ce qui en est de l'aphasie
motrice
transitoire qui a suivi régulièrement cha- que
s cinq ou six semaines, et furent in- variablement suivis d'aphasie
motrice
complète, laquelle disparaissait généralement e
hémisphère gauche. Quoi qu'il en soit de la pathogénie de l'aphasie
motrice
transitoire si fréquemment observée chez notre
eut subsister, c'est que celle malade n'a jamais présenté d'aphasie
motrice
permanente qu'après l'apparition de son hémiplégi
la région lenticulaire suffit à elle seule à déterminer une aphasie
motrice
à la fois très marquée et permanente. Dans notre
Il est possible que les lésions lenticulaires,produisen t l'aphasie
motrice
grâce à ce fait qu'elles atteignent presque toujo
e gauche chez un droitier ne détermine pas nécessairement l'aphasie
motrice
; 2° Que la lésion de la région lenticulaire gau
che chez un droitier suffit, z en elle-même, à produire une aphasie
motrice
ou anarthrie très marquée et permanente. FACU
el-Lavastine (Soc. anat., 1907) ou même lésion primitive, neuronite
motrice
, frappant à la fois les cellules des cornes ant
linguale a pu être discutée. Il existe, dans l'écorce, des centres
moteurs
de la langue, qui ont, à travers la capsule int
s fibrillaires, qui restent de bons signes des lésions des neurones
moteurs
bulbo-médullaires, et les quelques autres troub
ma- lade ne peut rester couché sur le dos. La force et l'amplitude
motrice
des deux membres dans l'articulation de la hanc
es groupes musculaires mais les douleurs et les perturbations vaso-
motrices
n'ont pas été constatées. Dans le cas de Meiner
erturbation psychomotrice, mais d'une perturbation fondamentalement
motrice
. Les mouvements myocloniques sont si loin d'imi
gauche, vrai équivalentjacksonien par lésion syphilitique du cortex
moteur
à droite. La seconde forme constitue le syndrom
niques paraissent par accès et doivent être considérées comme auras
motrices
ou équivalents épileptiques. Dans les cas décri
r les expériences de Roncoroni (exci- tation de la région corticale
motrice
) ; mais il nous manque pour le moment des éléme
tude d'une affection nerveuse caractérisée par de l'incoordinatiozz
motrice
, écho- lalie et coprolalie et ensuite dénommée
nous nous sommes déjà référé. Dans la chorée il y a une inquiétude
motrice
constante (Oppenheim) ; le malade n'a pas d'int
donc les signes caractéristiques du syndrome mélancolique : inertie
motrice
, trislesse, anéantissement et indifférence psyc
Dans la polynévrite en outre, qui atteint spécia- lement les fibres
motrices
et tout particulièrement lorsqu'elle a atteint
eul ne permet pas de conclure à l'existence d'une lésion du neurone
moteur
périphérique. Cependant, comme l'inexcitabilité o
sme a pour cause à la fois la contraction dés- ordonnée des muscles
moteurs
des articulations des doigts ou du poignet, ell
un sujet à l'autre, et que chez ceux qui ont été atteints d'aphasie
motrice
avec troubles du langage intérieur, autrement d
par les trois périodes d'aphasie totale, aphasie de Broca, aphasie
motrice
pure. Nous avons déjà eu l'occasion de passer e
compte de son état. ' Cette malade est donc bien atteinte d'aphasie
motrice
. En prenant les me- sures exactes de la trépana
Il ANDRB-THONAS, Essai sur la rééducation de la parole dans l'aphasie
motrice
cor- ticale. Société de Biologie, 1897. 344 D
i étaient en effet réparties à la fois dans le domaine de l'aphasie
motrice
et de l'aphasie sensorielle, et pendant les pre
'impression d'une aphasique sensorielle, mais celle d'une aphasique
motrice
. Nous ignorons si la malade a été rééduquée (in
e début des accidents, le tableau clinique était celui de l'aphasie
motrice
de Broca- ; elle était encore muette et ne pouvai
ement aphasique totale, puis aphasique de Broca, et enfin aphasique
motrice
pure, il existait des lésions dans les deux hé-
ci les foyers de ramollissement inté- ressaient à la fois la région
motrice
et la région sensorielle de la zone du langage
ousses de l'hémiface droite ; no toutes les excitations sensitives,
motrices
ou psychiques qui provoquent ou exagèrent le cl
olontaire ou provoqué. Toute excitation sensitive, tout t phénomène
moteur
, toute impression psychique qui modifient le clig
ses chutes elle ne s'est jamais fait mal. Il n'y a aucun trouble
moteur
portant sur les bras ou les jambes. La parole e
, au voisinage de la scissure de Rolando où il occupait les centres
moteurs
de la face et du membre supérieur gauche. Deux au
la circulation lym- plraticluc. Mais si nous avons dans la région
motrice
comme dans le cas donné le développement du tis
de jours et occasionna une destruction dans une partie des éléments
moteurs
, et sensoriels du système nerveux. Ce n'est qu'en
ulaires, épilepsie Bravais-Jacksonienne, paralysies. Les phénomènes
moteurs
, sensitifs, intellectuels se montrent selon la lo
ucinations de l'ouïe et de la vue. Le malade ne présente ni aphasie
motrice
, ni cécité verbale, ni paraphasie dans la parol
lu- cinations terrifiantes de l'ouïe et de la vue, de l'instabilité
motrice
, de la lo- quacité, de l'insomnie. Le 30 nove
dans la zone rolandique des deux hémisphères expliquent l'épilepsie
motrice
. Troubles délirants. - Sans insister sur ces sy
oureux. Les membres supérieurs et la face sont indemnes de troubles
moteurs
ou sensitifs. Pas de troubles des sens spécia
n constate des troubles de la sensibilité accompagnant les troubles
moteurs
. A la fin de la première année amélioration pas
dénote sûre- ment, dans ce cas, des lésions dégénératives des nerfs
moteurs
de ce groupe musculaire. Il y a aussi une légèr
a cellule multipolaire des cornes antérieures de la moelle, le nerf
moteur
et sa terminaison nerveuse intra-musculaire. On
ction complète). L'on sait, du reste, que la dégénérescence du nerf
moteur
oc- casionne une paralysie flaccide et atrophiq
sonner par analogie et ne pas localiser la lésion dans les cellules
motrices
delà corne anté- rieure, qui, en somme, jouent
ses mouvements par la suppléance fonctionnelle des autres cellules
motrices
. Lorsque la crampe ou la faiblesse musculaire n'a
périeur droit, qui se montre aussi un peu affaibli dans son énergie
motrice
. Le malade affirme que ces tremblements datent de
as gauche ; 2° par des décharges épileptiques. De plus les neurones
moteurs
du bras, héréditairement lésés, sont par- ticul
que ces différences soient sous la dépendance unique de l'éducation
motrice
des diverses régions considérées, et j'estime que
scle ciliaire et le droit interne émanent du même groupe nucléaire (
moteur
oculaire commun) et même de deux noyaux contigu
du reste qu'il existe un rapport fréquent entre les troubles vaso-
moteurs
, la lenteur du pouls et les attaques, d'épilepsie
simplement pour ne pas encombrer ce travail. L'examen du système
moteur
nous montre que les réflexes patellaire, mas- s
trophie du faisceau cérébelleux, des nerfs hypoglosse et des noyaux
moteurs
du trijumeau. La protubérance à la hauteur où s
éraux, celle des noyaux des nerfs glossopharyngiens et de la partie
motrice
du trijumeau, enfin une lésion des olives. Les lé
système nerveux par suite des lésions des vaisseaux,comme les voies
motrices
(cas de Menzel) et certains nerfs crâniens. C
deux noyaux symétriques ; il semble qu'il s'agisse ici des cellules
motrices
. La seconde coupe porte au niveau de la région
tions pa- thologiques manifestes. III Tel est l'état du neurone
moteur
périphérique et de la partie extra- médullaire
des neurones centraux DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE H91
moteurs
et sensitif. Cette dernière étude se confond avec
avons étudié dans chaque préparation, les fais- ceaux sensitifs et
moteurs
. D'une façon générale les premiers nous ont paru
Entrecroisement des fibres sensitives. C. Ruban de Reil. D. Noyau
moteur
. E. Fibres motrices émergentes. 392 Vaschide
fibres sensitives. C. Ruban de Reil. D. Noyau moteur. E. Fibres
motrices
émergentes. 392 Vaschide et VURPAS en rien le
s motrices émergentes. 392 Vaschide et VURPAS en rien le faisceau
moteur
; nous n'en voyons aucun vestige. La place qu'il
sont donc formées uniquement par des fibres sensitives. De faisceau
moteur
il n'en est pas question, ce dernier semble avoir
4. - Région cervicale. D. Racine postérieure. E. Entrecroisement
moteur
. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
ntérieur. O. Canal de l'épendyme. P. Fibres courtes d'association
motrices
et sensitives. S. Arborisalions cylindraxiles d
nte il n'existe pas. Fig. 5. - Région dorsale. E. Entrecroisement
moteur
. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
Canal de l'épendyme. P. Fibres courtes d'association sensitives et
motrices
. DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 395 L
e postérieure. Comme au niveau de la coupe précédente les faisceaux
moteurs
semblent avoir totalement disparu ou plutôt ne
bulbe rachidien, nous n'avons parlé que des faisceaux sensitifs et
moteurs
pour ne pas scinder l'étude que nous en faisons
ci complètement dé- Fig. 6. - Région lombaire. E. Entrecroisement
moteur
. F. Faisceau de Burdach. G. Faisceau de Goll.
Canal de l'épendyme. P. Fibres courtes d'association sensitives et
motrices
. S. Arborisations cylindraxiles des fibres des
u névraxe et nous constatons parallèlement des réactions sensitivo-
motrices
. D'après les données histologiques habituelles, d
la cellule un centre n'ayant qu'une fonction trophique et nullement
motrice
(1), nous nous conten- tons de poser le problèm
eaux la présence de deux noyaux symétriques et composés de cellules
motrices
. En l'absence constatée anatomiquement des 11F
ans notre cas en particulier, malgré l'absence de toutes les fibres
motrices
centrales à long trajet. VII. - L'absence de ce
de paralysie organique du nerf cubital s'im- posait : l'impuissance
motrice
et l'hypoesthésie électrique de tous les muscles
nce et l'éducation des mou- vements d'un membre sur les adaptations
motrices
de son congénère. Vollcmann a relevé des faits
de psycho-mécanique, 2e édit., 1900, p. 9. (3) Noie sur l'ivresse
motrice
(C. R. de la Soc. de biologie, 1900, p. 742) ; Et
lentement. Cette asymétrie réactionnelle correspond à une asymétrie
motrice
et (1) CH. Féré, La pathologie des émotions, 18
). Masson & C ? Éditeurs SUR LE TROPUOEDÈME - 471 sensitif,
moteur
ou trophique. Il est donc tout à. fait comparable
ou bien l'action trophique est-elle intimement liée aux propriétés
motrices
et sensitives du système nerveux ? Questions qu
e un exemple de troubles de nutrition indépendants de tout désordre
moteur
ou sensitif. Il se signale, en outre, à notre a
ômes habituels de la paralysie infantile - début fébrile, paralysie
motrice
d'un ou de plusieurs membres, atrophie muscu- l
tifier, c'est que la même altération apparente des grandes cellules
motrices
n'a pas toujours les mêmes conséquences ; aussi
Il serait plus conforme à la vérité de dire que, parmi les éléments
moteurs
du névraxe, il est une catégorie qui, par pri-
ie et du rectum fussent toujours respec- tés, alors que les centres
moteurs
pelviens très voisins sont souvent tou- chés.
un tremblement statique des deux jambes, une grosse incoordination
motrice
apparaissant dès qu'elle soulève ses membres, l
axi- que, flasque, sans atrophie musculaire, et où l'incoordination
motrice
domine avec une hypotonicité générale de tous l
ien marqué rend l'écriture impossible, et une grosse incoordination
motrice
que ne paraît pas exagérer l'occlu- sion des pa
nt par des accidents cérébraux, ne présente jamais l'incoordination
motrice
que vous venez d'observer,mais un tremblement p
musculaire sont conservées à droite, mais à gauche, la para- lysie
motrice
est complète, paralysie flasque. Le membre soulev
, vicieuse. La locomotion est donc devenue impossible par paralysie
motrice
de la jambe gauche qui traîneetpar l'incoordina
le dorso-lombaire dans laquelle se trouve compris : 1° Le tractus
moteur
du membre inférieur gauche (faisceau pyramidal) ;
, la substance grise médiane, à mesure qu'elle libérait le faisceau
moteur
gauche, tout en respectant toujours le faisceau
le faisceau moteur gauche, tout en respectant toujours le faisceau
moteur
droit, ainsi que les racines, les méninges, tou
au Congrès des neurologistes dans son rapport sur les localisations
motrices
de la moelle. Il résulte enfin que les lésions
wn-Séquard, trou- bles sensoriels à droite (côté blessé), paralysie
motrice
à gauche. La seconde par une diminution de ces
sies, anesthésie du froid, ataxie à droite (côté blessé), paralysie
motrice
et anesthésie du chaud Ù gauche; 3° Retour prog
s membres, avec délire. Quand la pneumonie fut guérie, les troubles
moteurs
persistèrent, caractérisés par ce fait qu'il ne
t je suis arrivé à cette opinion que son cerveau, sa représentation
motrice
et volitionnelle est dans la station et surtout d
s, ce qui est le propre de l'ataxie statique. Légère incoordination
motrice
aux membres supérieurs se traduisant par une hé
bles de la parole, l'ataxie statique, la démarche, l'incoordination
motrice
et l'affaissement des réflexes ; mais il n'en a
était impossible tant en raison de cette faiblesse que de l'ataxie
motrice
. Toute précision dans les mouvements était imposs
n ré- seau myélinique abondant et un assez grand nombre de cellules
motrices
, mais elles sont petites et plusieurs sont en é
ana- tomique est la dégénérescence primitive du seul proto-neurone
moteur
ou de son annexe, la fibre musculaire. Allons
llèle avec l'affaiblissement intellectuel : une espèce de dé- mence
motrice
si l'on peut dire ainsi. RÉSUMÉ. Tumeur gliomat
s latente. Or c'est en 1901 qu'apparaissent les pre- miers troubles
moteurs
et 18 mois plus tard survient la mort, et cela ma
légie du bras et de la jambe, atteignant très lé- gèrement ta force
motrice
et se manifestant, au contraire, par du tremble-
plaques. Examen de la motilité. Il existe à droite une hémiplégie
motrice
carac- térisée par un léger défaut de la force
r son doigt au nez, on note tout de suite une grande incoordination
motrice
et un véritable trem- blement intentionnel qui
e à droite est plutôt provoquée par l'existence de l'incoordination
motrice
et de l'asynergie musculaire, que par une véritab
nombreux. ' Dans une coupe inférieure on voit apparaître les noyaux
moteurs
et sensitifs du trijumeau qui sont bien conserv
grité des noyaux de la VIe paire. Or il se peut qu'une hémiplégie
motrice
ou sensitivo-motrice vienne s'associer une para
ntique dans les deux cas,et constitué par une hémiplégie sensitivo-
motrice
avec troubles des mouvements volontaires, de la c
OTTE PÉDONCULAIRE 171 lité plus accusés encore que ceux de la force
motrice
volontaire, on avait t penché pour une localisa
tait la destruc- tion complète de toute la colonne grise des noyaux
moteurs
de l'aqueduc depuis le plancher du troisième ve
uvoir démontrer que du noyau de la sixième paire émanent des fibres
motrices
ascendantes qui montent par le faisceau longitudi
e de défense instinctive, élémentaire, doit être régi par des voies
motrices
complexes et suppléantes entre elles. En conc
u'une lésion placée dans cet endroit, petit retentir sur les noyaux
moteurs
de la IIIe paire tout en épargnant les fibres rad
e et descendante du trijumeau, qui contiendrait, en plus des fibres
motrices
, aussi des fibres trophiques. Dans notre IIe ob
nérescence consécutive de la voie pyramidale et de l'incoordination
motrice
causée par la destruction du ruban de Reil, nous
s la région des tuber- cules quadrijumeaux, non seulement des voies
motrices
, mais aussi des centres moteurs individualisés
rijumeaux, non seulement des voies motrices, mais aussi des centres
moteurs
individualisés comme les centres corticaux. Un
dans la protubérance et les pédoncules cérébraux, les centres vaso-
moteurs
. Il est important encore de remarquer que, dans't
succulente. Signalons encore la démarche ébrieuse, l'incoordination
motrice
, l'asy- nergie musculaire, sans lésion aucune d
motrice spasmodique et une forme t ? 'ému{ente,comme l'ataxie loco-
motrice
avec tremblement. D'ailleurs, nous trouvons dans
tre, les différents appareils destinés à la rééducation de l'ataxie
motrice
des membres supérieurs des tabétiques : le casier
e compensation. On voit se produire ici des phénomènes statiques ou
moteurs
tout à fait comparables, comme l'a dit M. Briss
erveux. Nous venons d'observer un chien qui présentait des troubles
moteurs
, sensoriels et mentaux tels que le diagnostic d
eints des deux côtés d'une légère sclérose. Les cellules des noyaux
moteurs
présentent peu de prolongement ; les gra- nulat
rire, il ne saurait être question d'agraphie ou d'alexie. L'aphasie
motrice
proprement dite est le seul trouble du langage qu
t lorsque la circulation ne se fait pas bien à cause de l'impotence
motrice
[atrophies musculaires progr. (blirallaé), myélit
ssociation de ces phénomènes de sécrétion avec les phénomènes vaso-
moteurs
nous fait songer à une proximité probable des deu
ticulier, nous les discernons avec certitude, tandis que les fibres
motrices
ont disparu. En somme, les faits se ramènent ai
ent d'observer que la perte de toutes relations avec les élé- ments
moteurs
(ceux-ci ayant disparu) est un premier facteur ca
hew nous renseignent très exactement, en montrant que les faisceaux
moteurs
sont franchement altérés, surtout dans leur par
cervelet, elle produirait le Friedreich. La faiblesse du système
moteur
cérébro-spinal se traduirait par la pa- raplégi
t apparaître l'amaurose avec idiotie de Sachs. Enfin les cellules
motrices
spinales pourraient être mises en cause et on a
effet identique à celui qui ré- sulte de l'électrisation d'un nerf
moteur
; je ne sache pas qu'expérimenta- lement chez l
le diagnostic nous intéresse : les contractures et les pa- ralysies
motrices
. Les contractures, surtout, doivent nous occupe
e l'équilibre et titu- bation ébrieuse. La variabilité des troubles
moteurs
, les troubles de sensi- bilité, le mode de débu
amide antérieure, les fibres arciformes internes, l'entrecroisement
moteur
et le piriforme, les noyaux de Goll et de Burda
s de la série. Sur la coupe sagittale S 6, qui tombe en plein noyau
moteur
du trijumeau, toutes les parties de la protubér
ade dont l'atrophie musculaire a augmenté, qui a des troubles vaso-
moteurs
marqués avec mains succulentes et qui a présenté
trépidation épi- leptoïde, ni phénomène du genou. La coordination
motrice
est conservée le jour, mais affaiblie la nuit, le
eux isolés de leur cen- tre, dont les muscles ont perdu leurs nerfs
moteurs
; l'exorbitisme relevé par la (i) Max W¡CHURA,
remment sur un point quelconque du tissu médullaire, dans sa partie
motrice
tout au moins. En définitive, les contractions
tion relève d'un arrêt de développe- ment, d'une aplasie des noyaux
moteurs
de l'oeil. A ne s'en tenir qu'aux arguments d'o
dencéphaliens portent à croire qu'il ne faut pas confondre l'action
motrice
du système nerveux avec son action trophique ;
ophique des centres. Chez les pseudencéphaliens, en effet, l'action
motrice
ne laisse prise à aucun doute. Toute une série
l'action du système nerveux serait une action in- directe, purement
motrice
et non trophique. Une telle manière de voir s'ac-
D en disant que les lésions du système nerveux ont une répercussion
motrice
très vive et des conséquences morphogénétiques
aissaient en rela- tion de continuité avec les cellules des centres
moteurs
et sensitifs. C'est une fois l'ensemble constit
rterait l-'âge^auquel a disparu le système nerveux. Quant aux nerfs
moteurs
, ils dégénèrent beaucoup plus rapidement et ren
t anatomiquement et physiologiquement autonome, il porte son action
motrice
, sensible, trophique sur l'ensemble des organes
sans hémicrânie. XII. La méningite, en dehors de cette répercussion
motrice
, ne modifie pas sensiblement la nutrition génér
l'un près de l'autre, atteignaient à peu près la grosseur des nerfs
moteurs
crâniens, nerfs pathétique et moteur de l'aeil,
eu près la grosseur des nerfs moteurs crâniens, nerfs pathétique et
moteur
de l'aeil, ou bien encore le volume des racines
itif bien distinctes et dont l'antérieure est, selon lui, la racine
motrice
et joue le rôle du nerf de l'espace, pour leque
ante, c'est-à-dire tous les points que l'on donne comme les centres
moteurs
du cerveau, sont injectées et adhérentes l'une
puis accompagnent la marche graduelle- ment croissante des troubles
moteurs
; dans leur intervalle on note un tremblement vi
hine et du chloral. C'est un narcotique, sans action sur les nerfs,
moteurs
ou sensitifs. Il diminue le pouvoir réflexe des
c- compagner de la paralysie d'uni ou de, plusieurs des 'iuàseles
moteurs
de globe oculaire. Elle coexiste fréquemment comm
(thèse de Paris, 1881). Recherches sur les terminaisons nerveuses
motrices
dans les muscles striés des insectes ; par H. V
tion complète des accidents con- vulsifs, des troubles sensitifs et
moteurs
, des phénomènes viscéraux, que la grande névros
d'hémiplégie spasmodique infantile (Benediktl des mani- festations
motrices
ressemblant à celles de la chorée posthémi- plé
ttribuer la sensibilité. Inversement l'interrup- tion des faisceaux
moteurs
, la moelle segmentée conservant, dans les mêmes
s autres systèmes ; 4° La conjonction de la moelle avec les cordons
moteurs
suffit pour en conserver l'intégrité, du moins
long. Cette action conservatrice exclusive des faisceaux nerveux
moteurs
, émanerait des plaques terminales de ces organes
système nerveux. Il existe un certain nombre de cas d'ataxie loco-
motrice
dans lesquels les réflexes tendineux ne sont pas
es deux membres inférieurs sont également atteints d'incoordination
motrice
, le réflexe n'est aboli que d'un seul côté. 11
ulier. 278 CLINIQUE NERVEUSE. Le 20 mars, le retour des fonctions
motrices
s'accentue de plus en plus, et le malade peut p
La paralysie vaso-motrice avait les mêmes limites que la paralysie
motrice
; elle était très accentuée, puis- qu'il y avait
bservation démontre une fois de plus la disposition de la paralysie
motrice
et de l'anes- thésie par suite d'une compressio
qui, d'après M. Brown-Séquard, limiterait par en haut la paralysie
motrice
. La paralysie du mouvement était plus prononcée
a même région, c'est-à-dire la limite postéro-inférieure de la zone
motrice
. Cette localisation du centre de l'hémianop- si
e peuvent qu'être grossiè- rement localisés en arrière de la région
motrice
; les lésions centrales siègent aussi au voisin
s d'entre-croisement que l'on observe dans le bulbe pour les fibres
motrices
? La chose est possible mais non démontrée. S
ne et inférieure du pont de Varole; il se distingue des faisceaux
moteurs
en ce que ses fibres au lieu d'être rectilignes s
réquence des fractures du rocher, les rapports particuliers du nerf
moteur
oculaire externe avec cet os, son bord tranchan
ire corticale, dont les modifications ne produisent pas de troubles
moteurs
; mais ils ont du même coup servi à cir- conscri
es moteurs; mais ils ont du même coup servi à cir- conscrire l'aire
motrice
, car sur les schémas où les lésions sont re- pr
ntées par une série de teintes superposées ou juxtaposées, le champ
moteur
reste nécessairement incolore. En apportant le pl
isphère gauche ; ou, en intervertissant les termes, que les centres
moteurs
dans l'hémisphère gauche, ont une impor- tance
a destruction totale ou partielle entraîne quelquefois des troubles
moteurs
. Enfin la région absolue est celle dont les local
ique, si limitée qu'elle soit, détruit en même temps des por- tions
motrices
de l'écorce et des portions non motrices. Or, dan
même temps des por- tions motrices de l'écorce et des portions non
motrices
. Or, dans les régions cérébrales où siègent les
al empiète le plus souvent sur des parties dépourvues de propriétés
motrices
, de telle sorte qu'il est fort dif- ficile de d
ent relativement restreint re- présente le champ absolu d'un centre
moteur
, le reste représente le champ relatif. Il peut
champ relatif peut présenter les mêmes altérations et les fonctions
motrices
auront conservé in- tactes leurs attributions p
tll. Exner d'avoir insisté sur les champs t'c- latifs 'des centres
moteurs
, qui permettent de comprendre quel- ques diverg
ment de l'excitation de la corne sur le centre épiieptogéne vaso-
moteur
, M. Coulbault incline à penser que toute décision
e la), clans un cas de pied bot va- rus équin, par Pitres, 319.
Moteur
oculaire externe (paralysie tiainnatique du), p
epuis plus de deux ans. » L’hypnotisme et les paralysies psychiques
motrices
. par le Dr Edgar Béhillon. Braid, qui s’était
que, c’est celui qui a été désigné sous le nom de paralysie psychique
motrice
. En effet, de tous les phénomènes de l’hypnotis
coordination complèted'élémentsdivers, comme, par exemple, des images
motrices
ou des mouvements très compliqués du larynx, du p
e d’images associées ordinairement à ce mot, et ces images deviennent
motrices
en vertu de la loi psychologique qui veut que
prat rapproche le bégaiement des paralysies psychiques ou incapacités
motrices
qui tiennent surtout à un défaut de synthèse ment
ère représentative : Dissociation des images: auditives, visuelles,
motrices
d’articulation et motrices graphiques. Amnésie
ociation des images: auditives, visuelles, motrices d’articulation et
motrices
graphiques. Amnésie partielle ou totale, hyperm
vre d'une espèce déterminée d’images, selon que le sujet est auditiT,
moteur
ou visuel. VIII Les aperçus qui précèdent son
ut revêtir l’une des trois formes suivantes rchoréiforme, trépidante,
motrice
. Ainsi, il ne faut pas confondre la coordinatio
inant un courant nerveux centripète ; S, neurone sensitif; M, neurone
moteur
; F, courant nerveux centrifuge. 3° Ccllc-ci tra
ion à un (réflexes simples) (Fig. 1) ou à un grand nombre de neurones
moteurs
M(Fig. 2) d’où l'acte. Qu’il s’agisse de réflex
. 2. Acte réllexe compliqué M, M4, M2. M3, M4, M5, les neurones
moteurs
excités, F, F1, F2, F3,F4, F5, les nerfs moteurs
, M5, les neurones moteurs excités, F, F1, F2, F3,F4, F5, les nerfs
moteurs
excités. Les autres lettres comme dans la fig.1.
ychiques excités, mais un seul f transmet son excitation aux neurones
moteurs
. L’acte causé par le réflexe, l’imitation ou la
et de plus la suggestion est permanente; c’est-à-dire que le neurone
moteur
continue son excitation et amène la permanence de
se rapportent à l'insuffisance rénale il y a toujours des phénomènes
moteurs
, lesquels varient suivant la nature du poison qui
que des chats, le tremblement héréditaire des levrettes, les troubles
moteurs
des pigeons dits « culbutants », le tournis des s
die les fonctions du système nerveux central, les voies sensitives et
motrices
, les voies sensorielles et les voies d'associatio
vre d'une espèce déterminée d'images, selon que le sujet est auditif,
moteur
ou visuel. ¥ • L'évocation du subconscient pe
D'aulres sujets répondent aux excitations musicales par des réactions
motrices
appropriées ; quand bien même leurs réponses sera
ique s’exerce aussi sur l’imagination visuelle. Parfois les réactions
motrices
font défaut et, au lieu d’un acteur, nous avons a
n vaso- (t) Pathologie générale de Gli Bouchard, t. V, p. 1123.
motrice
, peut amener la guérison de maladies en apparence
un état de sommeil des centres cérébraux. L’anes-thésie, les troubles
moteurs
et viscéraux, vaso-moteurs et psychiques ne sont
ovule. La motricité individuelle des phyto- blastes de renflement
moteur
de la sensitive, des cellules des Spongiaires et
déchéance et diminuent sa résistance. De même que les divers troubles
moteurs
, sensitifs, circulatoires, provoqués par les caus
hoc électrique? Et ne sait-on pas que les phyto-blastes du renflement
moteur
de la feuille de sensitive se rétraçtent et provo
orme ont d’ailleurs la même action sur les phytoblastes du renflement
moteur
de la feuille de sensitive, dont ils provoquent l
’obscurité ou de leur fermer les yeux. Les phytoblastes du renflement
moteur
de la feuille de sensitive se rétractent aussi, e
t convulsiforme des constricteurs de la glotte ainsi que des troubles
moteurs
et sensitifs du ressort de l’hystérie. Elle se pl
ur les neurones de mémoire. Si la rétraction porte sur les neurones
moteurs
inférieurs, ce ne sera plus les mouvements comple
re, tantôt sur un muscle. Si dans un centre donné tous les neurones
moteurs
sont en état de rétraction, on a une paralysie. S
s hystériques. Si les neuro-diélectriques qui séparent les neurones
moteurs
rétractés des neurones situés en amont ne sont pa
urone supérieur do mouvement, font entrer en branle tous les neurones
moteurs
qu’il tient sous sa dépendance. Ainsi s’expliquen
systématisée, qu’elle a un caractère expressif. Si tous les neurones
moteurs
supérieurs sont isolés du reste de l’écorce, on a
voies vaso-motrices présentent les mêmes relais que les autres voies
motrices
, et qu’elles sont formées parle même nombre de ne
de l’écorce aura donc les mêmes effets que celle des autres neurones
moteurs
. Il se produira, par suite de la réduction du cha
ensitives (voir plus haut), il se produit en même temps des décharges
motrices
, tremblements, contractions athétosiques, secouss
écriture. Dans l’hémi* somnambulisme, N\ qui contient diverses images
motrices
, préside à divers actes. Le mot automatisme appli
h, Binet-Sanglé, p. 8. Hypnotisme (L') et les paralysies psychiques
motrices
, par Bérillon, p. 22. Hypnotisme (L’) comme moy
orbide, à cette période de la maladie, était dominé par une parésie
motrice
presque généralisée clans le domaine d'innervatio
re membres et du tronc, avec son caractère de parésie, de paralysie
motrice
incomplète ; elle se conciliait avec la persistan
ce malade, me parait des plus faciles à résoudre : . Une paralysie
motrice
, qui réalise le mode d'évolution et la distributi
eu ; pour qu'elle se fût tra- duite par une paralysie exclusivement
motrice
, sans douleurs spontanées, sans troubles concom
lieu, dans un cas de poliomyélite antérieure aiguë, la para- lysie
motrice
atteint son maximum d'extension très rapidement,
tères distinctifs de la po- lynévrite aiguë, à forme de polynévrite
motrice
. Au surplus, et pour en finir avec ce qui conce
chez notre malade de troubles de la sensibilité, de troubles vaso-
moteurs
et trophiques, dans l'ahsence surtout de réaction
une tacts, sauf les nerfs les deux n. n. mo- parésie du m. droit
moteurs
oculaires : teurs oculaires pua- interne du côté
de courbature. Troicblesuccso- aucuns. extrémités froides aucuns.
moteurs
. et moites. Sensibilité Acuité visuelle normale
ains ; écriture ataxique ; 9° Affaiblissement des muscles oculaires
moteurs
avec secousses nystag- mi formes ; 10° Mimiqu
est plus tendue à droite oit elle- comprend toute l'aire du faisceau
moteur
, qu'à gauche où elle n'intéresse que des tiers
de la corne antérieure gauche, mais là comme ailleurs, les cellules
motrices
paraissent absolument normales quant à leur noyau
e lésion encéphalique une destruction éten- due des circonvolutions
motrices
ou une solution de continuité dans les faisceau
volutions motrices ou une solution de continuité dans les faisceaux
moteurs
par une hémorrhagie, une tumeur, un foyer quelcon
x pyramidaux, car elle siège précisément du côté opposé au faisceau
moteur
le plus atteint. Il nous reste enfin à parler d
'une dégénérescence ascendante sur une petite hauteur des faisceaux
moteurs
est aujourd'hui, croyons-nous, bien démontrée ;
s qui sont spécialisés dans un but commun. Les lésions des neurones
moteurs
périphériques, par exemple, se répercutent sur
moteurs périphériques, par exemple, se répercutent sur les neurones
moteurs
médullaires et encéphaliques; dans la sphère se
lus grand intérêt à recueillir les faits de cet ordre où les troubles
moteurs
s'associent aux troubles sensitifs et de donner
nsibilité à la douleur est très exagérée dans les zones sensitives et
motrices
du nerf circonflexe, du nerf musculo-cutané, du
iner des ruptures radiculaires inlra-racbidiennes, mais des racines
motrices
seules. Il n'est pas douteux que les mouvements
imputer aux manoeuvres du procédé de Mothe les lésions des racines
motrices
par élongation portant sur toutes les paires (5e,
ocessus local de polio- myélite expliquant l'extension des troubles
moteurs
à tout le bras ? la diminution rapide des force
gine réflexe correspondent à une altération atrophique des cellules
motrices
qui progressivement se raréfient et disparaisse
ne laissent aucun doute à cet égard. De plus t'atteinte du neurone
moteur
périphérique entraîne la pertur- bation fonctio
e entraîne la pertur- bation fonctionnelle et l'atrophie du neurone
moteur
cérébral : dans le cas de MM. Achard et Lévi, l
cervicale nous parait d'autant moins douteuse que tous les réflexes
moteurs
et sensitifs sont considérablement exagérés au-de
egmentaires dont le siège cortical occupe les zones d'appropriation
motrice
, zones purement sensorielles et, par abus, nomm
priation motrice, zones purement sensorielles et, par abus, nommées
motrices
(fronto-ariétales). Pour le labyrinthe, c'est l
On a malheureusement trop intimement associé le mouvement à l'agent
moteur
, la variation d'attitude à l'action musculaire qu
le moral ou organique ou quand je veux réaliser un geste, un effort
moteur
, c'est toujours la même sensation cérébrale que
r un effort de mémoire, de compréhension, de perception ou d'action
motrice
. J'ai souvent cherché à analyser celle sensation
'a pas à différer beaucoup de l'écorce qui régit les appropriations
motrices
aux images d'attitudes et de mouve- ments. Seul
agissante, il n'a plus celle de son activité et de son application
motrices
; il peut vouloir et imaginer toutes les attitud
on d'attitudes, qui selon moi ne sont pas plus réellement des zones
motrices
que le sens des représentations d'attitudes n'e
res, inconnues de ma conscience, précisément parce que l'ap- pareil
moteur
, le muscle, est en dehors de ma sensorialité, qui
ordonne parfaitement ses efforts musculaires sous une appropriation
motrice
qui est fautive. Un capitaine qui ne sait quelle
cutée. La fausse manoeuvre de l'ataxique dépend d'une appropriation
motrice
exercée sans but bien défini et surtout sans co
isuelle est nette. Il y a ici plus qu'une illusion due à un trouble
moteur
de l'oeil, et j'y vois une véritable hallucinat
verticale n'est pas suffisamment définie ; aussi, l'appropria- tion
motrice
correspondant à cette attitude est elle-même flot
ent comme réellement impulsives : elles sont, au point de vue loco-
moteur
, absolument correctes, mais suggérées par des ima
ous les labyrinthiques. Ce qui le distingue, c'est l'incoordination
motrice
qui apparaît quand il doit avoir recours au sen
larges comme une pièce de 50 centimes. Pas de troubles sensitifs et
moteurs
. Dermographisme très accentué, aussi marqué au
nes formes de strabisme ou plutôt de défaut de synergie des muscles
moteurs
de l'eeil, reconnais- sent la môme origine. L'h
n, habitude qui a donné de l'importance à un petit système d'images
motrices
ou, en d'autres termes qui a excité un centre f
rnes, atrophie et sclérose des racines qui en émergent. Les nerfs
moteurs
(médian) possèdent une gangue conjonctive très ép
em- bre inférieur peut devenir le point de départ d'une impuissance
motrice
relative avec atrophie plus ou moins prononcée
hypophysaire irrite à distance, par action réflexe, la zone psycho-
motrice
, et est ainsi la cause des convulsions. La même i
ette phrase. A cGté de cela, elle n'est pas, à vrai dire, aphasique
motrice
; para phasique, agrammati- que, mais non aphém
ive de la motilité volontaire. Toute lésion destructive des régions
motrices
du cerveau pro- duit un affaiblissement muscula
nt variées et nombreuses les voies de communication entre les zones
motrices
de la surface cérébrale et les membres. (l3ull. d
embarras de la parole qui laisse encore des traces. L'hémiplégie
motrice
était complète; mais on ne peut savoir s'il y e
t à la partie externe de l'étage inférieur, en dehors des faisceaux
moteurs
(pyramidal et autres). C'est là que commence, à
ns leur trajet medullo-cérébral, par opposition aux termes faisceau
moteur
, ou faisceau pyramidal. 72 REVUE CRITIQUE.
la capsule. B, Le même faisceau au voisinage (tescirconvo- lutions
motrices
. - C, Faisceau sensitif au niveau de la capsule.
Schiff d'abord, R. Tripier après eux, avaient admis que les parties
motrices
de l'écorce sont en môme temps des centres dest
85 un assez grand nombre de faits, que la destruction de la zone
motrice
est parfaitement compatible avec l'intégrité de l
uemment troublée à la suite des altérations destructives de la zone
motrice
que dans les cas de lésions occupant un autre s
de la sensi- bilité ; A la suite des lésions des circonvolutions
motrices
, l'anes- thésie est habituelle mais peu marquée
la capsule interne, au lieu d'aller se ter- miner comme les fibres
motrices
, dans des territoires corticaux physiologiqueme
rielle de Wernicke), tandis que les altérations des circonvolutions
motrices
à l'extrémité du sillon de Rolando ne furent pa
son entourage, elle allait et venait conti- nuellement. L'impulsion
motrice
s'accroissant les jours suivants au point de pe
ù un effet hypno- tique pur et un effet calmant; 2° sur les centres
moteurs
; 3" sur les nerfs moteurs et sensitifs. - Il.
r et un effet calmant; 2° sur les centres moteurs; 3" sur les nerfs
moteurs
et sensitifs. - Il. 1,'hyoeyamnie convient : 1°
y compris la morphine sont abandonnés; 2" quand domine l'élé- ment
moteur
(manies chroniques à rémission ou folies circulai
ie, au même titre que l'hyperthermie, la glycosurie, l'excitabilité
motrice
, doit prendre rang parmi les symptômes des affe
génito-urinaires. Au début de la période ataxique, l'incoordination
motrice
peut passer inaperçue non seulement du malade,
ogie; n" 7, p. 100. 328 REVUE DE pathologie nerveuse. 2° Troubles
moteurs
. Contractures, convulsions, paralysies, chacun
on sur d'autres centres; l'angoisse se complique alors de décharges
motrices
commençant aux actes et aboutissant au délire,
pensons alors que des incitations ont pu se réfléchir sous la forme
motrice
sans qu'elles soient entrées enrapport avec l'e
laire. (Analyse, t. lit, p. 346.) La question des centres corticaux
moteurs
. M. SCHLANCENHAUSEN. Contribution à l'étude de
u'à une véritable para- 261 se BIBLIOGRAPHIE. lysie. Les troubles
moteurs
et sensitifs des extrémités sont remar- quables
a compression, excito-motrice ou frénalrice. Une zone exclusivement
motrice
peut devenir, selon le degré de la compres- sio
vosr (J.-L.). Du rôle de la srlphilis comme cause de l'ataxie loco-
motrice
progressive (Revue critique). Brochure in-8" de 2
e de muscles; elles atteignent fréquemment la langue ou les muscles
moteurs
de l'oeil. Ces faits sont nombreux dans les div
s le cours du diabète sont loin d'être toujours dus à une paralysie
motrice
; ils reconnaissent souvent pour cause l'affaib
rt arrive par la cessation de l'acte respiratoire. Un autre trouble
moteur
fort intéressant au point de vue séméiologique
, ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces troubles
moteurs
, comme du reste les troubles sensitifs que nous
est pris et l'atropine exagère l'amblyopie. A ce moment les muscles
moteurs
n'ont jamais offert de para- lysie. Le muscle c
rition de certaines fonctions, se développent les régions psycho-
motrices
. A partir du développement complet, à quelque âge
résisté atout traitement; trois sont des exemples d'incoordination
motrice
avec anesthésie et trou- bles nerveux divers pa
. 3.) Observation L-l3rusque atteinte d'analgésie et de faiblesse
motrice
dans les extrémités inférieures. Symptômes prédom
ralisé, et au delà, à cet égard, la lésion descendante des éléments
moteurs
. 3° La lésion qui avait détruit la surface infé
substance grise, c'est-à-dire l'appareil des cellules nerveuses dites
motrices
, lesquelles , comme vous le savez, ont pour siège
, elles seraient destinées surtout à la transmis-sion des excitations
motrices
et aurait peu de rapport avec la sensi-bilité.
e, si ce n'est très-accessoirement et comme par hasard, les fonctions
motrices
, au contraire, sont lésées profondément. Cette
ement sont, de toute nécessité, altérées simultanément. Les fonctions
motrices
et la nutrition des muscles sont seules affecté
stème musculaire de la vie animale, se traduisant par une impuissance
motrice
et une atrophie plus ou moins accusées, sont, ain
convient d'établir une distinction importante. Tantôt l'impuissance
motrice
survenue dans un certain nom-bre de muscles, ou g
tion fasse reconnaître. Le muscle est d'abord paralysé, les fonctions
motrices
sont anéanties d'une façon plus ou moins complète
gine le siège de troubles trophiques très-accentués, et l'impuissance
motrice
, en pareille circonstance, semble être proportion
ns un peu accusées de la sensi-bilité, contrastant avec une paralysie
motrice
aussi absolue, aussi complète, est un des caractè
les résumer en quelques mots : 1° Invasion brusque de la paralysie
motrice
qui atteint du pre-mier coup son summun d'intensi
iminution de nombre et de volume qu'avaient subi les grandes cellules
motrices
, altération qu'on peut cependant très-nettement r
on ami M. Duchenne (de Boulogne)1. La lésion des cellules nerveuses
motrices
dans la paralysie infan-tile, a été pour la premi
n ou l'atrophie granuleuse d'un certain nombre de cel-lules nerveuses
motrices
et, en outre, l'existence de plusieurs foyers de
nce grise. Dans loutes les régions de la moelle, les grandes cellules
motrices
étaient altérées profon-dément, bien qu'à des deg
s sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses
motrices
, qui se trouve déjà mentionnée dans les cas do MM
cussion en règle à propos du rôle que je prête aux cellules nerveuses
motrices
dans la production des lé-sions trophiques des mu
depuis la publication de notre travail. Ainsi la lésion des cellules
motrices
se trouve expressément signalée dans une observat
de fonctions propres, comme sont les grandes cellules nerveuses dites
motrices
. C'est ainsi que suivant la théorie émise par M.
paraît évident,d'après tout ce qui précède,que les cellules nerveuses
motrices
sont bien réellement le siège primitif du mal. Le
infirmer la théorie d'après laquelle Vappareil des cellules nerveuses
motrices
serait le premier foyer et comme le point de dépa
celles de la curarine. C'est ainsi que l'aconitine détruit le pouvoir
moteur
des nerfs ; administré à hautes doses, le poison
es com-plications les plus ordinaires consistent en lésions des nerfs
moteurs
des muscles de l'œil (paralysie de la 3e et de la
surmonter. De même supposons une série de locomo-tives dont la force
motrice
pour chacune peut, par exemple, pro-duire un traj
x par exemple 20 mètres en une seconde, vous devez admettre une force
motrice
égale, et cependant il y a entre elles cette gran
rants continus, mais dans les limites suivantes : il faut que le nerf
moteur
ait été affecté primitivement, que la fibre muscu
ptomatique d'une paralysie plus ou moins complète delà sixième paire,
moteur
oculaire externe. Cette parésie était difficile à
tout près les unes des autres, les origines du nerf facial et du nerf
moteur
oculaire externe. Nous avons également pu obser
bien le noyau supérieur du facial, voisin du noyau d'origine du nerf
moteur
oculaire externe, qui a été affecté et môme uniqu
les phénomènes calorifiques. — Le curare supprime l'action des nerfs
moteurs
et laisse la sensibilité intacte. Le chloroforme
onflit par le moyen delà circulation capillaire. » XXVII. Les nerfs
moteurs
du grand sympathique. — « Le nerf sympathique est
s du grand sympathique. — « Le nerf sympathique est composé de filets
moteurs
dont les propriétés et les activités fonctionnell
t. L'application du forceps peut-elle déterminer la paralysie du nerf
moteur
oculaire commun? Deux notes, malheureusement trop
hées. Chez le paraplégique, l'organe indispen-sable à la transmission
motrice
, le tube nerveux, est profondément altéré; chez l
, Kahler et Pick notaient une certaine atrophie des circonvolutions
motrices
et émettaient l'opinion que cette diminution de
pyramidal était des plus nettes (cap- sule interne, circonvolutions
motrices
). Mais, de plus, dans ces deux cas, nous avons
la hauteur du faisceau pyramidal, y compris les circonvolu- tions
motrices
. Disparition des grandes cellules pyrami- dales
phères cérébraux ne présentent rien à signaler, les circonvolutions
motrices
ne semblent pas diminuées de volume. Les surfac
se il y a une diminution considérabledu nombre des grandes cellules
motrices
; cette diminution est d'ailleurs un peu variab
belleux. Coloration plus foncée des faisceaux de Goll. Les cellules
motrices
des cornes antérieures ont beaucoup diminué de
le faisceau pyramidal dans ce segment de la moelle. Les cellules
motrices
des cornes antérieures sont abondantes et semblen
ute la hauteur du faisceau pyramidal, y compris les circonvolutions
motrices
.- Diminution du nombre des grandes cellules de
outre d'une inflammation vési- cale. Après l'opération les troubles
moteurs
et ceux de la sensibilité s'aggravèrent. Mort l
lité réflexe diminue après un poids excédant 400 gr. L'irritabiiité
motrice
seulement après un kilogramme. Stintzing2, da
élongé; que les parésies intéressent la sensibilité, les fonctions
motrices
et trophiques à un degré égal ; que l'action ne
maladie se porte de préférence sur des segments du système nerveux
moteur
. Poliomyélite et névrite sont proches parentes
11 débute par les maladies des nerfs périphé- riques, sensitifs ou
moteurs
; après des considérations générales d'ordre sém
riiie qui, malgré les résultats de l'autopsie (lésions des cellules
motrices
de la substance grise et des faisceaux pyramida
un composé de faisceaux secondaires pro- venant des circonvolutions
motrices
et se rendant soit à la moelle, soit au bulbe;
de la poliomyélite localisée tout d'abord au niveau des éléments
moteurs
en rapport intime avec les fibres du faisceau v
férente appliquée sur le slernum, électrode différente sur le point
moteur
du muscle.) 1 éléments Gaiffe 1 = 0,5 milliampè
aques épileptiformes indiquent une localisation à la zône psycho-
motrice
. Deux facteurs interviennent dans ces mécanismes
ènt déJs'ongèÍ' aux 1 pi>intsùê l'eiib'ép1îale Óù' lesjtrâctus'1
moteurs
sont, condensés (capsule interne)'/ou encore à
ctus apoplectiforme. Le rêve résulte d'un trouble de coordina- tion
moteur
. - - M. WiLUERMUTit. Les ictus apoplecliformes
accès, mais il-existe<des ! équivafehts psychiques sans troubles
moteurs
. Deux exemples à l'appui; la température n'a pas
e impose le diagnostic d'é- quivalents ayant succédé à des troubles
moteurs
graves." -, , ' 1 'à M. STARK se rappelle un je
prolongée et quelques bruits sous-crépitants. C'est dans la sphère
motrice
que se montrait le plus grand dérangement. Tous
résistent le plus souvent à toute autre médi- cation. 2° Troubles
moteurs
. La motilité paraît moins souvent atteinte, che
que de l'organe cen- tral, les phénomènes d'excitation de la région
motrice
ayant absolument coïncidé avec elle. L'autopsie
empiétant aucunement sur;les régions en relation avec les fonctions
motrices
, deux petits foyers hémorrhagiques dans la couc
générale avec foyer de ramollissement occupant les circonvolutions
motrices
du côté droit et englobant une partie du faisce
amidal. En un mot double lésion capable d'exciter les con- ducteurs
moteurs
. P. K. XLI. Contribution au diagnostic DES affe
r les troubles les plus notables de la sensibilité, comme les nerfs
moteurs
et les nerfs mixtes ont été trouvés intacts, l'
'intégrité de celles de gauche ; dans la conservation des fonctions
motrices
du membre supérieur gauche, et, par contre, la
ui entraine l'équilibre instable des cellules nerveuses des centres
moteurs
; dès lors, une exci- tation périphérique (pléni
s d'inflammation fussent très peu marqués. La zone dite corticale
motrice
était atteinte dans une certaine mesure, et cepen
es symptômes cérébraux avaient été de courte durée; les symptômes
moteurs
avaient fait complètement défaut. Il convient de
tôme visuel ne fut constaté; on n'observa pas non plus de symptômes
moteurs
, bien que la zone corticale motrice du côté dro
serva pas non plus de symptômes moteurs, bien que la zone corticale
motrice
du côté droit fût envahie. Ici, comme dans le c
malades, l'hypnotisme fait passagèrement dispa- railre des troubles
moteurs
périphériques; donc il représente un élément de
Bérillon, on peut dire que l'homme, au point psychique, sensitif et
moteur
, est réellement double, en un mot, qu'il possèd
eaux sensitifs qui sont directs, mais encore tous les fais- ceaux
moteurs
sans exception. De même que les fais- ceaux sen
ans exception. De même que les fais- ceaux sensitifs, les faisceaux
moteurs
ne subissent ni interruption ni réduction dans
continuité avec la substance musculaire, ou sur les rameaux nerv ew
moteurs
dont les fibres viennent s'v terminer. 36 PHY
s muscles qui président à ces mouvements, ne recevant aucun filet
moteur
du nerf cubital. L'adduction du pouce avec flex
ve demeurer étranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets
moteurs
du nerf médian, et son action porte principalem
- Recherches sur les héatzia- azesthésies accompagnées d'hémiplégie
motrice
, d'hémichorée, de con- tracture et sur leur cur
truction de la substance blanche et son excita- tion dans les zones
motrices
produisirent les manifestations bien connues, t
issure de Sylvius et les fissures sylviennes antérieures. Le centre
moteur
le plus pro- che de ce groupe cellulaire est ce
t été trouvées dans le cer- veau des carnivores, là où aucun centre
moteur
n'a été clairement démontré, et auprès des zone
innervation corticale ; 2° qu'après tout, il s'agit là d'un centre
moteur
que l'électrisation localisée était incapable d
vions constater, alors, que l'excitation mécanique des mêmes points
moteurs
amenait des résultats sem- ' blables à ceux que
cherché sur l'avant-bras, pour répéter ces expériences, les points
moteurs
dont l'existence, d'après les électropathes, ét
nt : a) Des variétés individuelles dans la distribution des nerfs
moteurs
; b) Des variations que subissent, suivant les i
indiqués sur le schéma (Fig. 16). Fig. 16. Fig. 16. Points >
moteurs
des principaux muscles de la face. 1, frontal
s sans intérêt de faire remarquer, avec Duchenne, que les muscles «
moteurs
du sourcil sont, de tous les muscles expressifs
un ou deux filets ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 195
moteurs
qui se rendent à un faisceau musculaire voi- si
rieure et de ''l'aile^du " nez, ' q41"'reçoi 'vent' leurs filets
moteurs
'd'un même' rameau nerveux qui passe sous l'ext
la contraction était obtenue par l'excitation mécanique des points
moteurs
musculaires. La malade a été ainsi fendue catal
ires elles-mêmes, ou, indirectement,* par l'intermé- diaire du nerf
moteur
qui lui est destiné. t ÉTUDE DE HYPNOTISME CHEZ
n droite est placé dans l'extension par la pression sur le point,
moteur
désigné sur la figure 15, 6. L'aimant est appli
es réflexes tendineux, elles se lieraient, ou bien'à une irritation
motrice
directe, ou bien à des actions réflexes issues
ée furent, par, ordre- de -.décroissance, la, mydriase,, ks,troubks
moteurs
, les troubles sensitifs, .les symptômes circula
quesj'(grand Inal), qui représentent' toutes les formes d'épilépsie
motrice
Fét1'so*màtiqùes') ''sont ' celles qui entraîne
.1 AIONDEL' COIIII)AL ]l théorie pathogénétique des, troubles vaso-
moteurs
; il fait ressortir qu'à ce compte,"la psychopbob
' (psychoses propres); Le résultat est' très prompt sur l'agitation
motrice
dénature alcoolique;. ')0 milligrammes amenèrent
sé une compression qui s'est traduité'pa'r des''phénomènes vaso-1 `
moteurs
et respiratoires. Cette élévation thermique est a
). Le phénomène qui attire le plus l'attention, c'est l'instabilité
motrice
: sauf quand il est en résolution musculaire, l
sensi- lifs caractérisés, ni symptômes oculaires, ni incoordination
motrice
. Le diagnostic ne semble à discuter qu'avec la
s de la sensibilité et des fonctions génitales, de l'incoordination
motrice
; le début de la maladie remontait à 5 ans au mo
rvation d'une femme de48ans, tabétique depuis 10 ans, sans symptôme
moteur
, avec troubles de la sensi- bilité el artltropa
8 CHALIER ET KOVK-JOSSERAND (ensilé des phénomènes d'incoordination
motrice
n'est pas toujours pro- portionnelle à celle de
r un méca- nisme encore mal discuté, mettrait en tension le neurone
moteur
. . Dans toutes ces circonstances, une condition
a première circonvolution temporale à la zone de Broca et à la zone
motrice
corticale du membre supérieur ». 13...présenleu
tiques réveille immédia- " tement une série d'équivalents acoustico
moteurs
: « le langage intérieur», l'identification des
lus ou moins durables. La lecture courante, qui économise l'énergie
motrice
, est une méthode exclusive qui retient les form
lit, en recopia nt, formé les lettres d'une façon normale. La zone
motrice
n'exerce donc pas d'influence notable sur la facu
été réfutée entre autres par Heilbronner, qui dans un cas d'aphasie
motrice
subcorticale dans lequel la faculté d'écrire avec
il n'y ait point eu d'hallucinations, ni de phénomènes d'irritation
motrice
, stéréotypies, rigidité musculaire, grimaces, ' e
ectrique, le m,ilado ne bénéficia d'aucun changement des trou- bles
moteurs
et trophiques. L'usage de la main devint même plu
ural et une atrophie en masse des muscles de la jambe. Les troubles
moteurs
qui en résultent produisent la dé- marche class
s, les lésions dé- génératives prédominent nettement sur les filets
moteurs
. Sur des coupes longitudinales des ganglions sp
Pas de troubles objectifs de la sensibilité, ni d'in- coordination
motrice
. Pas de troubles sphinctériens. Réactions pupilla
te, à l'excep- tion de quelques altérations partielles des cellules
motrices
dans le ren- flement cervical. Pans les nerfs :
1, p. 921. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 297
motrices
raréfiées, petites, avec un noyau mal coloré, et
aire, Marinesco admet la possibilité d'une lésion primitive des nerfs
moteurs
et sensitifs. Observation DE SIEMEJlL1NG (1).
rficielle et profonde, prédominant à la périphérie ; incoordination
motrice
, signe de Romberg, douleurs fulgurantes ; intég
es inférieurs et dans la moitié inférieure du tronc; incoordination
motrice
; douleurs peu fréquentes ; sphincters intacts
ortent presque exclusivement sur les racines antérieures, les nerfs
moteurs
et les muscles ; mais ceci ne crée nullement un
rale amyotrophique, où la dégénérescence secondaire, dans les nerfs
moteurs
, ne laisse qu'un résidu fibreux, souvent à peine
e est-elle pri- mitive, ou secondaire à la dégénérescence des nerfs
moteurs
? Devant les résultats des examens histologique
mous au mollet et à la face postérieure de la cuisse. Les troubles
moteurs
sont toujours limités à la jambe gauche,mais il
e lymphocytose. Au mois de septembre de la même année, les troubles
moteurs
sont apparus à la jambe droite, surtout dans le
, ou un processus chroni- que de dégénérescence affectant les nerfs
moteurs
du bulbe et de la moelle. DYSTROPH1E MUSCULAIRE
on primitive et de dégénérescence du segment inférieur de la racine
motrice
(pyramidale), représentée par les neurones spino-
a une dégénérescence secondaire des racines anté- rieures des nerfs
moteurs
et des muscles. La première éventualité se réal
les cellules et sur le tissu de soutien de la corne. Les cellules
motrices
ont disparu complètement au niveau de la lésion
rd localisée au point frappé et ne s'ac- compagnant d'aucun trouble
moteur
ou psychique; mais, dans la suite, en vertu d'u
dans notre observation, le traumatisme n.e provoque aucun phénomène
moteur
immédiat et les crises convulsives ne font leur
u partielle dans la conductibilité nerveuse des voies sensitives et
motrices
amenant, par suite des phénomènes spasti- xxv 2
s. Pas d'as,ljncrgie et pas de parole scandée. Troubles des voies
motrices
. Accentués à droite. Parésie dans les trois cas
troubles de la sensibilité. Pas de douleurs fulgurantes. Parésie du
moteur
oculaire commun gauche. Inégalité pupillaire. R
ire d'où une hémiatrophie très marquée de la moelle. Les cellules
motrices
les plus externes persistent au niveau de la part
gne d'Argyll Robertson bilatéral complet. Paralysie bila- térale du
moteur
oculaire commun, portant sur les trois branches d
d'Argyll Robertson, douleurs fulgurantes. Paralysie bila- térale du
moteur
oculaire commun, abolition du réflexe rotulien ga
- cifité et petites hémorragies méningées dont l'une dans la région
motrice
du côté droit. Le péricarde est couvert sur s
lité du fluide nerveux provient ou bien d'une faiblesse de la force
motrice
centrale ou bien d'une résistance et d'obstacles
ique ensuite la dépendance de la faiblesse de l'énergie de la force
motrice
, de la nutrition générale ou l'énergie vitale et
le pas pour un de ses principaux effets de produire des modifications
motrices
et sensitives sur tous les membres, paralysies, c
et s'appliquera à la fois à faire disparaître les troubles sensitifs,
moteurs
et psychiques. Pénétré de l'idée de la dépendance
la force des choses, physiologiste. Déjà l'observation des troubles
moteurs
de la maladie d'Adisson a mis sur la voie de la f
s formes que peut prendre ectto affection en troublant soit les nerfs
moteurs
et sensitifs du système nerveux, soit les nerfs i
mais elle suppose un état très anormal de la conscience et des agents
moteurs
des idées. De même le somnambulisme est symptomat
ue assez intense, se détérioraient assez facilement, de plus la force
motrice
nous faisait fréquemment défaut. L'appareil vib
pé les observateurs. Cette hyperexcitabilité porte : Sur l'activité
motrice
: les poitrinaires vont et viennent, font de nomb
otique sur la circulation des hystériques. 3. Dr Bérillon : Aboulie
motrice
systématisée.— Guérison par la suggestion hypnoti
ion coupable ; et rappelez-vous que l' effort est le grand et suprême
moteur
de l'évolution. Vous êtes, jeunes amis, à l'âge o
les faits observés, dit en effet Charles Darwin, est que l'impulsion
motrice
est de sa nature alliée au phénomène d'agrégation
uent la partie inférieure d'un renflement qu'on appelle le renflement
moteur
. Cette partie, qui est la seule active, consist
l'action de la lumière solaire, et qui s'accumule dans le renflement
moteur
, emplissait les phy-tocystes de ce renflement, et
ne diffère de la précédente qu'en ce que la turgescence du renflement
moteur
est attribuée au ralentissement que subit la tran
cette excellente raison qu'elle n'existe pas. En effet, le renflement
moteur
, bien loin d'être gonflé lorsque la feuille est e
utres parties de la plante. Il en résulterait que les renflements
moteurs
et les autres zones motrices, qui, grâce à leur t
Il en résulterait que les renflements moteurs et les autres zones
motrices
, qui, grâce à leur turgescence, supportaient péti
'effet immédiat de la contraction du bioprotéon de leurs phytoblastes
moteurs
. Les feuilles passent à leur position de sommei
lon, Jules Voisin,Paul Magnin,Baraduc,ctc. 2. Dr Bérillon : Aboulie
motrice
systématisée.— Guérison par la suggestion hypnoti
visuel), T (centre de sensibilité générale); de l'autre, les centres
moteurs
, de transmission, comme K (centre kinétique), M (
feuilles. Leurs phytoblastes ami-boïdes forment parfois un renflement
moteur
(Légumineuses, Oxalis). Leurs mouvements de somme
que, c'est celui qui a été désigné sous le nom de paralysie psychique
motrice
. En effet, de tous les phénomènes de l'hypnotis
soma-tiques fixes (grand hypnotisme de la Salpêtrière avec symptômes
moteurs
constants) est le seul qui mérite « la qualificat
t ce qu'il écrit ; il pourrait l'exprimer par des images visuelles ou
motrices
. C'est d'un état délirant qu'il s'agit : ce que
tout le reste et peuvent se traduire à l'extérieur par des phénomènes
moteurs
correspondants. » Janet conserve cette métaphore
rasites de la pensée. » Le centre 0 du magnétiseur donne des ordres
moteurs
et le polygone magnétisé exécute ces ordres (2) ;
les et de reporter cette force psycho-motrice en entier sur le centre
moteur
de l'imagination. Autrement dit, en appliquant le
d'aucun accident organique. II n'existe pas de trouble sensitif ou
moteur
, pas même d'hypoesthésie ou de rétrécissement du
u'il s'agit ici. Notre homme a seulement perdu le souvenir des images
motrices
d'articulation ; s'il le faut on l'hypnotisera et
vent que l'anxiété est telle qu'il en résulte une véritable paralysie
motrice
psychique. Les jambes chancellent, la peau se cou
'ordre suivant : M. Gillet : Le réve musical. M. Bérillon : Aboulie
motrice
systématisée ; traitement par la suggestion hypno
ant la substance grise corticale des régions du cerveau dites centres
moteurs
, on parvient à provoquer des attaques épileptifor
pouvons maintenant nous expliquer la raison de cet état : Ses centres
moteurs
sont Atteints. Avec ses caractères violents, et
es, pense devoir affirmer que les couches optiques ont une fonction
motrice
, qu'elles servent de centre moteur aux mouvemen
uches optiques ont une fonction motrice, qu'elles servent de centre
moteur
aux mouvements coordonnés, dits expressifs, par
'hypoglosse, le plexus brachial, le sciatique, la plupart des nerfs
moteurs
de la jambe antérieure ou postérieure, peuvent
ils sont eux-mêmes intacts. Intacts aussi sont les noyaux des nerfs
moteurs
, qu'il soit question du lapin, du chien, du cha
rsqu'il s'est agi des animaux adultes. En ce qui concerne la zone
motrice
chez un lapin nouveau- né, l'ablation d'un hémi
u sensorium due à la narcose, il subsiste bien quelque insuffisance
motrice
pendant les quelques jours suivants dans les pa
lement atrophiés. Jamais il n'y a eu de phénomènes de surexcitation
motrice
. Du reste, le fameux chien de Goltz, réduit à l
mouvements, par suite d'ablations profondes et étendues de la zone
motrice
dans les deux moitiés du cerveau, ce chien n'ét
it pas paralysé, n'était pas aveugle, et cependant, les zones dites
motrices
et visuelles avaient été anéanties. La double s
ychique et somatique avec quelques modifications dans les fonctions
motrices
. Ainsi ils ne s'asseyent pas comme les autres :
ient en deux régions principales : l'une destinée aux concep- tions
motrices
, l'autre aux conceptions sensibles. Mais on n'éta
instant à l'autre, au point que l'on trouvera des signes d'aphasie
motrice
, alors que l'on s'est cru la veille en présence
orrectement, soit par écrit, soit verbalement, n'ayant ni aphasie
motrice
, ni agraphie. L'image visuelle du mot, évoquée
défaut ; et il est pro- bable d'ailleurs que les images visuelle et
motrice
du mot ravivent, si elle n'est pas complètement
de cette ingénieuse, combinaison de l'impression auditive à l'image
motrice
, à saisir le sens des demandes. Ce malade procé
side aux mouvements de la parole : c'est donc un centre d'impulsion
motrice
. Or, ces centres-là ne mé- ritent généralement
m de mémoire; cette mémoire, en tant qu'elle actionne la périphérie
motrice
, est une mémoire motrice, centrifuge, qui agit
, en tant qu'elle actionne la périphérie motrice, est une mémoire
motrice
, centrifuge, qui agit sur les muscles sous l'in-
le est une fonction spéciale, parfaitement distincte de l'impulsion
motrice
aboutis- saut à l'articulation des mots. Dans l
cas, les images formées sont le résultat d'actes périphé- riques
moteurs
, transmis par la voie centripète à un centre cé
quel qu'il soit, qui en est le siège, soit en même temps un centre
moteur
? Peul-on admettre DE LA SURDITÉ VERBALE. 197
ppartenant au faisceau sen- sitif occupe le même point qu'un centre
moteur
, en rapport avec des fibres pédonculaires motri
point qu'un centre moteur, en rapport avec des fibres pédonculaires
motrices
' ? Enfin pour donner une nouvelle preuve de la
incts, destinés à la fonction de la parole, deux sensoriels et un
moteur
, celui-ci (io, Fq. 4) est préposé à l'articu- l
e l'affection, les bras devinrent maladroits et leur incoordination
motrice
crut graduellement jusqu'au point où UN CAS DE
n lit, par sa jambe fléchie sans qu'elle s'étende. L'incoordination
motrice
est plus prononcée à gauche qu'à droite. Si, ap
e le diagnostic ici soit douteux un seul instant : l'incoordination
motrice
, l'abolition des réflexes rotuliens, le nystagm
ysie du membre doit être rapportée à l'a- trophie des tubes nerveux
moteurs
des nerfs et non à la dégé- nérescence minuscul
e l'écorce, les troubles mo- teurs indiquent l'atteinte des tractus
moteurs
qui vont de l'écorce aux cordons latéraux; l'hy
ui a montré que les mouvements d'un membre, réveillant les images
motrices
des centres, produisent par suite une augmentatio
ar l'impossibilité de répéter les mots, et de plus par des troubles
moteurs
du langage par- lé pouvant stimuler une véritab
s notre cas en nous rendant impossible l'examen des circonvolutions
motrices
nous a mis hors d'état de faire ces recherches
myotropique a toujours son point de départ dans les circonvolutions
motrices
, ou si au contraire ce point de départ peut êtr
er), c'est-à-dire avec tendance à l'extériorisation de leur contenu
moteur
; 3° les idées tmpM/s/ues. Morsolli n'en admet q
De l'anesthésié et de l'atrophie testiculuires dans l'ataxie loeo-
motrice
progressive; par Rivière. Thèse de Bordeaux, 1886
▲