OMANIE (suite)'; ) Par MM. CIIARCOT et MAGNAN. II. L'OBSESSION DU mot QUI S'IMPOSE ET L'IMPULSION IRRÉSISTIBLE A LE R

e nous nous étions occupés de cet appétit irrésistible du nom ou du mot qui pousse à la recherche angoissante, ne laiss

à la recherche angoissante, ne laissant du repos qu'au moment où le mot retrouvé donne satis- faction au centre cortica

e mécanisme est tout autre. Loin d'être absent, au lieu de fuir, le mot , au contraire, s'impose, se place au premier pl

LOGIE MENTALE. modératrice des centres supérieurs. Si bien que le mot obsédant s'impose, dans quelques cas, comme une

ment talonné, il détourne brusquement la tête et laisse échapper le mot habi- tuellement offensant pour l'interlocuteur

locuteur ; dans quel- ques circonstances, il parvient à étouffer le mot et à n'émettre que quelques sons gutturaux; mai

t imprévue que s'intercalant brusquement dans la conversation, le mot s'échappe avec l'irrésistibilité du tic, à la con

isodiques. L'obsession n'est pas toujours représentée par un seul mot , survenu spontanément ou recueilli dans le cour

ne lecture ou d'une conversation, elle com- prend parfois plusieurs mots , une phrase traduisant une idée déterminée; mai

Dans tous les cas, le calme et le soulagement suivent l'émission du mot ou de la phrase. Chez tous ces sujets la consci

cience reste entière. Sur trois de nos malades, avec l'obsession du mot apparu en dehors du cours des idées et l'impuls

es moments où elle est au contraire gaie. A plusieurs reprises, des mots grossiers, orduriers lui viennent à l'esprit et

A vingt-huit ans, rires irrésistibles. Onomatomanie : obsession de mots grossiers et impulsion à les prononcer. L...

r. Par moments, aussi, elle est poussée tout à coup à prononcer des mots grossiers. Elle entend depuis dix-huit mois des

uoi elle est prise de rires, ni pourquoi il faut qu'elle répète des mots grossiers. Parfois ces mots lui viennent brusqu

ni pourquoi il faut qu'elle répète des mots grossiers. Parfois ces mots lui viennent brusquement à l'esprit et elle les

jambes; rires et pleurs involontaires. Onomatomanie : obsessions de mots grossiers; récitations involontaires. Impulsions

t au contrôle de la région frontale. Par moments, elle prononce des mots le plus souvent grossiers qu'elle ne voudrait p

amment des centres supérieurs. - Parfois, enfin, ce n'est plus un mot , mais une série de faits divers, tout un discou

Arithmo'l1wnie. Crainte du toucher. Ot ! 0 ? H<t<oman ! 'g : mots obsédants; coprolalie. Agoraphobie. Mme G..., a

peut s'empêcher de songer à la verge de l'homme. Elle s'empare d'un mot , d'une syllabe ou d'une lettre d'un mot, pour c

l'homme. Elle s'empare d'un mot, d'une syllabe ou d'une lettre d'un mot , pour composer un des mots qui lui sont le plus

n mot, d'une syllabe ou d'une lettre d'un mot, pour composer un des mots qui lui sont le plus pénible, ainsi le nombre c

ble parce que la première lettre C la pousse, dit-elle, à former le mot cul et la lettre Q, le mot queue. Aussi lorsqu'

ettre C la pousse, dit-elle, à former le mot cul et la lettre Q, le mot queue. Aussi lorsqu'elle voit devant elle cinq

cer. Elle n'ose pas lire de crainte d'être entraînée à composer des mots orduriers. Elle surveille tous ses actes et se

u de la conversation : « Tu es un cocu. » Parfois elle prononce ces mots grossiers à voix basse ; elle essaie quelquefoi

oit les prononcer. Pendant la conversation, elle surveille tous les mots , fait atten- tion aux paroles de l'interlocuteu

lie du doute, aberrations sexuelles) avait également l'obsession du mot et l'impulsion à le répéter1. Les mots chameau,

it également l'obsession du mot et l'impulsion à le répéter1. Les mots chameau, putain, salope, s'impo- saient à son e

. Idées ambitieuses et de persécution. Ono- matomanie. Obsession du mot . Impulsion à le répéter. C... (Yves), professeu

c- trique se produit, dit-il, dans l'oreille; un bruit, un rire, un mot entendu indistinctement, .viennent par une asso

nent parfois la forme de la voix arti- culée, et ce sont tantôt des mots insignifiants tels que copie, d'autres fois des

ont tantôt des mots insignifiants tels que copie, d'autres fois des mots injurieux, le mot pédéraste, par exemple, ces der

insignifiants tels que copie, d'autres fois des mots injurieux, le mot pédéraste, par exemple, ces derniers proviennen

matisés. Quel- quefois il se sent, malgré lui, poussé à répéter ces mots , et après avoir vivement résisté, il finit par

l finit par les prononcer en détournant la tête. D'autres fois, ces mots s'intercalent brusquement dans sa conversation

résonnances, pour amortir ces bruits, pour empêcher d'entendre les mots qu'il était forcé parfois de pro- noncer, et au

actif à la suite d'abus de boissons. Onomatomanie. Obsessions des mots grossiers et impulsions à les répéter. Doute. R

ui il cause, ou même, dans la rue, à un passant. Plusieurs fois, le mot « pu- tain » lui vient sur les lèvres quand il

à l'articuler dou- cement, la bouche fermée; mais d'autres fois le mot s'échappe brusquement. Pendant qu'on l'interr

la même mi- mique recommence, et il finit par raconter que c'est le mot « co- chon n qu'il est forcé de prononcer malgr

-t-il, en face d'un canon de fusil qu'il ne pourrait pas retenir le mot . Quand il l'a prononcé, il' se sent soulagé. Ce

pas retenir le mot. Quand il l'a prononcé, il' se sent soulagé. Ces mots lui arrivent parfois sans qu'il y pense, mais d'a

ls venaient du dehors, mais quel que soit le mode d'apparition du mot il se sent poussé à le répéter. Si quelqu'un ch

it : « même devant le canon d'un fusil je ne pourrai pas retenir le mot . » Observation XIV. Dégénérescence mentale. Hal

bilaté- rales. Idées ambitieuses et de persécution. Onomatomanie . Mots obsédants à caractère grossier. P... (Constan

De temps à autre, il est poussé irrésistiblement à prononcer des mots qu'il ne voudrait pas dire, tels que « cochon, cr

no 18, novembre 1883.) 16 pathologie mentale. ' * sieurs fois les mots grossiers, et il se sent soulagé. Quelquefois, il

ans la rue, et il s'empresse de rentrer chez lui pour prononcer ces mots ; enfin, dans quelques circonstances, il parvien

thmomanie et de la coprolalie avait fini, pour ne pas prononcer des mots obscènes, par se résoudre à immobiliser la lang

dents et de la rendre ainsi physiquement incapable de prononcer un mot distinct. » {Pathologie de l'esprit, p. 235.)

Depuis quelque temps, elle est tout à coup poussée à prononcer des mots grossiers qu'il lui est impossible de retenir.

doute. Interrogations mentales fréquentes. OnonM[<o)7 : tMHt : . Mots obsédants. Coprolalie. Mmo R..., âgée de vingt-

Fréquemment, elle était obsédée par l'apparition dans sa pensée de mots grossiers, injurieux, qu'elle se sentait poussée

'elle se sentait poussée à, répéter : . c'était le plus souvent les mots « cochon, diable r, et parfois le mot « Dieu »

c'était le plus souvent les mots « cochon, diable r, et parfois le mot « Dieu » qui surgissait à côté des premiers; c'

remiers; c'était, dit-elle, comme un blasphème. De même, un jour le mot « cochon » .était sur ses lèvres au moment où e

mencement ou au cours de la maladie, la femme du malade prononce le mot crises. D'après l'interro- gatoire que nous lui

le avait absolument oublié la scène de la veille. D'ailleurs, en un mot , interrogez-les vous-mêmes sur leur vie à l'hôp

langue anglaise dont elle ne peut plus com- prendre ni prononcer un mot . Parmi les amnésies systématisées les plus curi

e de M. Souques. Je ne dois donc vous la rappeler qu'en très peu de mots : à la suite d'une émotion survenue vers la fin

ou tel événement. C'est une expression juste, mais très vague : le mot « mémoire » en effet résume un ensem- ble de ph

st appelée depuis. bien longtemps la conservation des souvenirs. Ce mot n'est que la description d'un fait et non son e

odification fort inconnue qui leur permet de se repro- duire. En un mot , un phénomène psychologique est conservé quand

the, est hypnotisable ; je n'ai pas la prétention d'expliquer en un mot ce que c'est que l'hyp- notisme. C'est là encor

yez la main qui tient le crayon se mettre en mouvement et écrire ce mot : « M.Lamy. » De la même manière je lui demande

lle écrit sans hésiter : « Je me suis coupée avec du verre. » En un mot , elle va répon- dre de cette manière à toutes l

erait chez un simulateur, la supprime absolument. Le souvenir en un mot ne se mani- feste qu'à l'insu de la personne; i

sensations TT' T" elle perd en même temps les images t t' t". En un mot , des amné- sies semblent dépendantes des anesth

rmettez-moi, messieurs, pour conclure, de vous rappeler en quelques mots les notions que nous avons acquises aujour- d'h

doux, affectueux, intelligent, on ne peut plus raison- nable, en un mot . - - Depuis quelque temps, sa femme croyant sup

d'autop- sie et d'analyse histologique. Le malade lit trois à cinq mots et dit qu'il ne peut continuer à lire. Pas de p

i le navre ou l'irrite. Enfin, après avoir lu correctement quelques mots , il continue à reconnaître les lettres composan

aître les lettres composantes, mais sans pouvoir les associer en un mot . M. Weissenberg classe ainsi les troubles de la

perception des lettres ; b, un centre de perception des images des mots écrits. B. D'un second centre d'association des

voir perdu la faculté de lire. D'autre part la capacité de lire les mots avec impossibilité de recon- naître les lettres

a dans le grand centre optique; c'est là que les images écrites des mots sont emmagasinées. L'activité des deux centres

ndépendante. De même, reconnaître les lettres et les associer en un mot , sont deux fonctions qui impliquent un centre col

° Impossibilité d'associer les lettres, d'ailleurs reconnues, en un mot ; c'est la dyslexie. Totale quand il y a impossibi

le cas de notre malade qui en est un type. 3° Perte des images des mots écrits. Lecture possible, mais machi- nale. Int

4° Les lettres sont reconnues, le syllabage est possible, mais les mots émis ne parviennent plus au centre de la notion c

Par suite il y a lieu de placer le centre A des images écrites des mots et des lettres dans le lobe occipital, le centre

le de la parole s'est rapidement accentué. C'est l'intelligence des mots qui est atteinte ; le malade en a beaucoup à sa d

audication intermittente du cheval. Quand le malade a lu quel- ques mots correctement à tous égards, voici qu'il lui est d

il n'y est pas tenu par la loi, de créer des ennuis àla famille. Le mot d'aliénation mentale n'estpas prononcé; au lieu

ésigne un tuteur au lieu d'habitation de l'aliéné, on procède en un mot comme pour les nationaux, avec cette différence

ne seule fois délibéré. · ' Sans doute, il faut remplacer les vieux mots de délire et démence (Wahnsinn-Bloedsinn) par c

t de nous dire combien leur situation est fausse. Encore quelques mots , je vous prie, sur l'interdiction. La légis- la

sés 1. Pour M. Moeli le mécanisme de la parole ou la formation du mot suppose une première dislinction fondamentale. Il

e. En second lieu, les éléments qui sont en rapport avec le son des mots entrent égale- 1 ment en jeu dans les mouvement

orne à parler de perturbations dans le son et dans le mouvement des mots . S'il y a une interruption partielle ou complèt

partielle ou complète dans les tractus qui vont au champ du son du mot ou qui en viennent, peu importe ; l'auteur s'ex

mera invariablement ainsi : Il y a trouble dans la notion du son du mot . On apprend, d'après lui, à se servir d'un mot

a notion du son du mot. On apprend, d'après lui, à se servir d'un mot en exerçant un con- trôle continuel à l'aide de

e continuel à l'aide de l'oreille et en comparant l'image du son du mot à l'idée qu'il représente. On apprend à lire en u

ot à l'idée qu'il représente. On apprend à lire en unis- sant à des mots déjà connus, représentés par des lettres, des l

eur). Si la fonction ou le champ fonctionnel qui commande au son du mot ou au monvement du mot, est entravée, il se produ

le champ fonctionnel qui commande au son du mot ou au monvement du mot , est entravée, il se produit de l'alexie et de

lexie et de l'agraphie. L'acte de la parole et de la répétition des mots , celui qui préside z ' à l'intelligence de la p

cessitent de la peine, par exemple le travail de la composition des mots par des lettres, i sont le plus tôt altérées. D

présentant l'exécution graphique. , A l'origine, l'enfantement d'un mot fait courir une incitation du champ de l'idée o

ait courir une incitation du champ de l'idée ou de la notion que ce mot représente au champ du son qui lui correspond;

it méconnaître que, lorsque la fonc" tion du son correspondant à un mot est troublée, il n'existe en même temps un trou

ble très accentué des mouvements nécessaires - à l'émission du même mot , de sorte que ce dernier contribue à la ,suppre

dernier contribue à la ,suppression presque complète de l'image du mot . Dans l'espèce donc, le trouble du champ moteur

qui correspondent aux mouvements en rapport , avec la formation du mot , d'établir que ces images sont indépen- dantes

t, d'établir que ces images sont indépen- dantes des sons des mêmes mots . La cause en est probablement à l'association q

allucinations. Quoi qu'il en soit, l'activité de l'image sonore des mots est la plus importante; les troubles en retenti

ubles en retentissent nettement non seulement sur l'intelligence du mot et de l'écriture, mais sur l'expression, l'émissi

gence du mot et de l'écriture, mais sur l'expression, l'émission du mot parlé et du mot syllabé. Le mécanisme de la vie

de l'écriture, mais sur l'expression, l'émission du mot parlé et du mot syllabé. Le mécanisme de la vie conceptuelle doit

la parole intérieure et ne se fixe que par son incarnation dans les mots . Il est donc légitime de se représenter la fonc

mots. Il est donc légitime de se représenter la fonction du son des mots comme le rouage cen- tral, le foyer de l'appare

, surtout quand il s'agit d'un ralentissement dans la formation des mots , les méthodes de mensuration de la psychophysiq

z mon malade, celle incapa- cité est plus accentuée. On vous dit le mot qui vous échappe et vous éprouvez une difficult

i vous est nécessaire. A mon malade, on a beau répéter à satiété le mot qui lui manque, c'est peine perdue, les tractus

tait résulté bien des inconvénients. Les plus minimes occasions, un mot , un simple geste engendraient une crise de somm

iénés de son service par l'hypnotisme dans le sens le plus large du mot . Evidemment pen- 122 sociétés savantes. dant

tellectuelles de la malade s'affaiblissaient et elle prononçait les mots moins bien ; il s'établit aussi une scoliose vert

t, réunies jusqu'ici par M. Bourneville, sont, pour tout dire en un mot , complétés par cette introduction merveilleuse

rable qui est cause que j'ai des sangsues dans le corps. Disant ces mots , elle se dirigea'vers le professeur,' M. Le- br

ges. Paris, 1892. - Librairie G. Chanon. GUERMONP11EZ (Fn.). - Un mot sur Laènnec. Brochure in-8° de 28 pages, avec 6

MAGNAN. III. Signification particulièrement FUNESTE DE CER- tains MOTS (PENSÉS , PRONONCÉS, LUS, ÉCRITS) MOTS COMPROME

rement FUNESTE DE CER- tains MOTS (PENSÉS , PRONONCÉS, LUS, ÉCRITS) MOTS COMPROMETTANTS. L'onomatomanie se traduit dan

de désé- quilibrés par une terreur, une crainte folle de certains mots auxquels ils attribuent une sorte de pouvoir ma

ami et parfois aussi sur des per- sonnes étrangères.. , - , - Ces mots se rapportent habituellement aux cérémo- nies f

forcent eux-mêmes de ne pas réfléchir, de ne pas penser pour que ce mot malfaisant n'intervienne point dans le cours de

, redoutant de parler ou d'en- tendre parler leur entourage, car le mot pourrait par mégarde, malgré toutes les précaut

es recom- mandations, se glisser dans la conversation. Dès que le mot apparaît, dès que le centre cortical l'a recueill

le mot apparaît, dès que le centre cortical l'a recueilli, que le mot vienne du dedans ou du dehors, instanta- nément

quiétude. Parfois il suffit d'un dessin, d'une image rappelant un mot funeste, pour provoquer le malaise : c'est ainsi

- L'état d'angoisse est tel que rien ne leur coûte pour éviter le mot malfaisant, non seulement, ils cessent de lire,

e se laisser surprendre, au réveil, dans la matinée, par un mauvais mot qui exercerait une influence fâcheuse sur tous

d'une visite pendant laquelle elle se souvient avoir prononcé le mot « mort », s'imagine qu'elle va porter malheur à

D'autres fois ces malades s'imaginent que l'influence funeste du mot non seulement peut s'exercer sur les personnes,

n qu'ils re- commencent les actes accomplis pendant l'émission du mot , que quelques-uns se dépouillent des vêtements

ssivement se débarrasser de tous ses vêtements contaminés, par le mot malfaisant; elle avait abandonné sa dernière ro

ealts; répétition des prières; quelques années après, onomatomanie, mots compromettants; images ou inscriptions malfaisa

istance. Réveil, jusqu'à minuit pour commencer la journée sitar un, mot ou une pensée, sans signification mauvaise. Vertu

mal faite porterait malheur à son futur époux. Peu à peu certains mots ou certains noms acquièrent il ses yeux une inf

rofondément ridicule l'idée d'accorder une puissance maléfique à un mot quelconque, elle n'en est pas moins préoccupée lo

uelconque, elle n'en est pas moins préoccupée lorsque intervient un mot tel que : cercueil, mort, assassinat, diable, etc

il, mort, assassinat, diable, etc. Tout d'abord, il s'agissait d'un mot entendu ou lu ou bien pro- noncé ou écrit par m

égarde, puis, c'est l'objet ou l'image de l'objet représenté par le mot , par exemple le Méphisto, de Faust, peint dans

crimes célèbres D. Enfin parfois c'est la simple pensée d'un de ces mots ou d'un crime ou d'un événement triste. Tout

u d'un événement triste. Tout acte commencé avec une pensée ou un mot compromet- tant doit être recommencé. En effet,

tant doit être recommencé. En effet, si pendant qu'elle brode, le mot diable intervient, elle s'imagine que si elle con

lle s'habille, si elle met son chapeau ou tout autre objet et qu'un mot compro- mettant surgisse, elle doit recommencer

une acquisition faite dans un ma- gasin, sous le coup d'un mauvais mot . Mm0 Il. laisse là son empiète, n'y touche plus

mauvaise pensée. Pour contre-balancer l'influence fâcheuse de ces mots , images, pensées et en conjurer les funestes co

e la treizième bou- chée, etc. S'il s'agit d'écrire, le treizième mot ou la treizième ligne devien- nent un objet de

evien- nent un objet de crainte et tantôt elle s'arrête au douzième mot , tantôt, quand elle est parvenue à franchir cet

uatorze ans est suivie quelques années après d'onomatomanie et le mot compromettant ne tarde pas à envahir la vie en-

piète, manger, se coucher, etc., sans être forcée de compter sur le mot compromettant dont elle cherche à conjurer les

eune t ! {/e. Amélioration en 1870 sous les drapeaux. Anomatomunie; mots compromettants; crainte du mot pl'ononcépesllnt

70 sous les drapeaux. Anomatomunie; mots compromettants; crainte du mot pl'ononcépesllnt S ! l1' les actes. Phrases pré

elle... ce qui succède à la vie. Il s'angoisse, en effet, dès qu'un mot triste tel que cercueil, en- terrement, noir et

cause de leur mort. Il fait alors tous ses efforts pour chasser le mot de son esprit, il marmotte une série de mots insi

efforts pour chasser le mot de son esprit, il marmotte une série de mots insignifiants : histo, histoire, historien; nos

postal, nostalgie, etc., et ne se calme qu'après la disparition du mot compromettant. La crainte de ce mot pèse sur to

me qu'après la disparition du mot compromettant. La crainte de ce mot pèse sur tous ses actes. 11 n'ose jamais change

e sur tous ses actes. 11 n'ose jamais changer d'habits redoutant un mot compromettant pendant qu'il endosse les vêtemen

ements d'hiver. Si après avoir mis un nouveau costume, il entend un mot compro- mettant, ou s'il aperçoit un enterremen

bordées de noir, il se débarrasse rapidement de ses habits que le mot ou la chose triste ont rendus, pense-t-il, danger

, Le chant du coq, l'aboiement du chien, s'ils coïncident avec un mot compromettant, causent une vive angoisse, ou bien

re sa chemise, ses souliers. Si au moment de passer une porte, un mot compromettant survient, il revient un très grand

OGIE MENTALE. conversation et souvent marmotte promptement quelques mots pour effacer l'image tonale pénible et reprend

reprises, il a cru que les gens prononçaient intentionnellement des mots compromettants, et il a parfois manifesté une v

x ans, que l'ono- matomanie intervient avec la crainte obsédante du mot compromettant. Il cherche d'abord le moyen de s

abord le moyen de s'en affranchir et pour débarrasser son esprit du mot funeste, il répète des séries de syllabes et de

r son esprit du mot funeste, il répète des séries de syllabes et de mots . Beaucoup de dégénérés syndromiques cherchent à

ntale : dès l'âge de quinze ans, délire du toucher; puis crainte du mot compromettant ; précautions infinies pour conju

énible, que le récit ou la lecture d'un événement fatal, ou même un mot rappe- lant des choses tristes, ne portent malh

l'extrême limite la crainte du toucher; de même les images et les mots compromettants deviennent chez elle de véri- ta

désé- quilibrée dès l'enfance, scrupuleuse, méticuleuse. Crainte du mot compromettant. Folie du doute, influence active

même de ces accidents par la seule présence dans son discours, d'un mot triste tel que : mort, enter- rement, cercueil.

la plus grande attention à chacune de ses phrases, à chacun de ses mots , dans la conversation, mais malgré tous ses soi

est amenée à prononcer sans s'en apercevoir l'un ou l'autre de ces mots . ' . Un jour, elle était allé faire une visite

nversation de la journée et elle se souvient, qu'elle a prononcé le mot mort; elle en est immédiatement émue, toutefois

able aussi par l'angoisse épou- vantable que provoque la crainte du mot compromet- tant. L'apparition soudaine d'un m

que la crainte du mot compromet- tant. L'apparition soudaine d'un mot est parfois le point de départ de préoccupation

hemin, parfois même de reculer ou de remonter un escalier dès qu'un mot mauvais l'obsède. Observation Y\I. Dégénérescen

monte encore deux ou trois; invité à s'expliquer, il raconte que le mot orgie se présentant à son esprit. il avait été

le prononcer et que ne pouvant continuer à descendre sur un mauvais mot il avait remonté deux marches. En pénétrant dan

oup, cet arrêt et ce recul étaient encore dus à l'intervention d'un mot . Plus tard à la suite de mani- festations grave

olontaires ; arille- - momanie; crainte du toucher ; onomalomanie ; mots pouvant porter malheur; accès de délire mélanco

'une chambre, etc. Pendant ses prières, surviennent brusquement des mots grossiers qu'elle ne peut retenir. Elle attribu

es mots grossiers qu'elle ne peut retenir. Elle attribue à certains mots une influence mauvaise; elle recommence souvent

i elle a été amenée dans quelques-unes de ses phrases, à écrire les mots mort ou enterrement. * A diverses reprises, ell

si de nombreux syndromes épisodiques parmi lesquels la crainte du mot compromettant. Chez une femme de soixante-trois

à rapporté l'histoire ' on constate trois modes de manifestation du mot : la crainte dû mot compro- mettant, la coprola

e ' on constate trois modes de manifestation du mot : la crainte dû mot compro- mettant, la coprolalie et l'écholalie.

o- mettant, la coprolalie et l'écholalie. Elle croit en effet aux mots compromettants et s'imagine que certains mots q

croit en effet aux mots compromettants et s'imagine que certains mots qu'elle a prononcés exercent une action malé- f

utre part, il lui arrive de prononcer sans pou- voir se retenir des mots grossiers : » chameau, vache, cul. » Ces mots a

voir se retenir des mots grossiers : » chameau, vache, cul. » Ces mots arrivent tout à coup à sa pensée, et presque au

peu de son action d'ar- rêt. Au moment où la malade va prononcer le mot qui l'obsède, on la voit sauter sur sa chaise e

la voit sauter sur sa chaise et dire : : . « Ah ! j'allais dire un mot , je me retiens, je me re- tiens. » Pendant qu

nérée était échola- lique ; quand elle entendait prononcer certains mots , elle était poussée à les répéter. Le mot « maq

ndait prononcer certains mots, elle était poussée à les répéter. Le mot « maquereau » en particulier, qu'elle entendait

Dégénérescence mentale. Onontatonzanie : recherches angoissantes du mot ; crainte du mot compromettant, Arithmomancie. F

entale. Onontatonzanie : recherches angoissantes du mot; crainte du mot compromettant, Arithmomancie. Folie du doute. P

ques. Depuis cette époque, il est obsédé par la crainte de certains mots qui pourraient porter malheur soit à lui-même,

les éviter, mais tantôt dans une lecture, il rencontre l'un de ces mots : mort, enterrement, etc. D'autres fois, c'est

nterrement, etc. D'autres fois, c'est dans une conversation que ces mots sont pro- noncés. Très péniblement impressionné

nit par ne plus vou- loir lire et pour ne pas entendre prononcer un mot compromet- tant, il réduit ses entretiens avec

il redoute de sortir dans les rues de peur d'en- tendre l'un de ces mots ou de voir des choses, un convoi funèbre, ' par

voir des choses, un convoi funèbre, ' par exemple, lui rappelant le mot . Malgré toutes ses précautions, il ne parvient

ot. Malgré toutes ses précautions, il ne parvient pas à éloigner le mot de son esprit et quelquefois celui-ci s'install

t l'opposé, et comme chez les malades du pre- mier groupe, c'est le mot qui fuit et que G... s'augoisse à recher- cher

vingt-quatre heures ne soit pas, en fin de compte, augmentée. Le mot proportionnellement s'explique par la façon dont

ous ont permis ainsi de recommencer souvent nos expé- riences. Le mot série pour nous n'a pas la même valeur que celle

ans les idées. Non seulement la malade ne pouvait pas articuler les mots qu'elle voulait, mais elle ne se rendait pas bien

nous soit permis, avant de parler de ces rapports, de dire quelques mots des autres troubles nerveux qui peuvent en géné

iée à l'épilepsie partielle) est le trouble dans l'articulation des mots , comme si la langue était plus grosse, et tous

ui est en particulier de l'aphasie dans le sens le plus strict du mot , l'aphém : é de Broca, l'aphasie motrice de M. Ch

tout ce qu'on lui disait, voulait répondre, mais ne trouvait pas le mot . Quelque- fois il disait un mot pour un autre e

t répondre, mais ne trouvait pas le mot. Quelque- fois il disait un mot pour un autre et s'apercevait de suite de son e

dit pas spontanément encrier et il ne répéte guère plus aisément le mot lorsqu'on le lui dit.. Le centre visuel actionn

contraire nettement le centre mo- teur ; quand on lui fait lire le mot encrier, le malade le dit parfai- tement. Qua

er, on le voit quelquefois s'arrêter brusque- ment pour chercher un mot qu'il trouve très difficilement et que souvent

'aphasie portait plus particulièrement sur telle ou telle classe de mots ; il a semblé cependant que, l'ensemble de la phra

lieu et place où on localise la mé- moire des images visuelles des mots , soit sur l'écorce, soit sur le trajet des fibr

s de l'axe spinal. Intégrité complète des organes sensoriels. En un mot , lésion de la substance grise du cerveau et de

réé par Cotard. Je crois que cet auteur a surtout été séduit par le mot et qu'il a voulu opposer le délire des négation

que dans la conception de Cotard, il n'y aurait de nouveau que le mot qu'il lui a consacré. M. Vallon (de Paris). Com

ne recevoir désormais aucune personne non aliénée, au sens légal du mot . Mais cela, c'est l'avenir. » L'accusation port

sultats 1, Suivant lui, il y a trois théories sur la microcéphalie ( mot générique sous. lequel il désigne les formes mu

r les jambes, ne gâtait plus que par moments et prononçait quelques mots et qu'il terminait à son 'sujet en disant qu'en

slin ne me semble nullement avoir eu la prétention de donner, ni un mot nouveau, ni une forme nouvelle, car il fait tou

vingt et un mois elle disait : « bébé gentil» « dodo » et d'autres mots encore, mais depuis'lors elle a perdu complète-

tomie, néphrectomie, etc. L'ablation du crâne (comme le signifie le mot craniectomie) se pratiquant rarement, notre nom

re nomenclature s'applique bien aux faits. Le Dr Bauer emploie le mot craniotomie à propos de son cas (voir plus loin),

ie le mot craniotomie à propos de son cas (voir plus loin), mais le mot trépanation est, je crois, le terme propre qui

présente, observe ce qui se passe autour d'elle se sert de quelques mots par instants, mais pas d'une façon constante. Ell

nt ; commença à mar- cher à deux ans et à trois ans à dire quelques mots ; mais elle savait les employer à propos. A trei

s bruit pour regagner son lit. « Comme personne n'a osé donner le mot de l'énigme au Sultan, afin de ne pas provoquer

" ' DE L'ONOMATOMANIE (suite)1; Par Mil. CHARCOT et MAGNAN. IV. - MOTS préservateurs. Nous venons de voir que sous l'i

. - MOTS préservateurs. Nous venons de voir que sous l'influence du mot compromettant, les onomatomanes finissent pars'

és, loin de toute habitation. Malgré ces nombreuses précautions, le mot compromettant inter- vient encore et ils recour

roix, abandon des vêtements, changement de domicile, etc. Avec le mot préservateur, ces malheureux déséqui- librés on

p. 161. Archives, t. XXIV.. 2't 370 PATHOLOGIE MENTALE. soit le mot , soit le mot accompagné d'un mouvement plus ou

hives, t. XXIV.. 2't 370 PATHOLOGIE MENTALE. soit le mot, soit le mot accompagné d'un mouvement plus ou moins fatigan

utres que la vie se passe à répéter puérilement les formules ou les mots préservateurs. Les uns emploient un mot insigni

lement les formules ou les mots préservateurs. Les uns emploient un mot insignifiant auquel ils attribuent une influenc

stique : (Etoile 13 bière, linceul, tombeau); d'autres, enfin, a un mot pénible ou funeste, opposent un mot agréable ou

tombeau); d'autres, enfin, a un mot pénible ou funeste, opposent un mot agréable ou préservateur : au mot malheur, par

t pénible ou funeste, opposent un mot agréable ou préservateur : au mot malheur, par exemple, 'ils s'empressent de subs

en termi- nant un ouvrage de le sceller, en quelque sorte, par un mot (ours, serpent) sans relation aucune avec le tr

rte de moyen mnémo- technique, une affirmation qui rassure; sans le mot , tout repos est impossible et le malaise devien

le et le malaise devient si grand qu'il faut finir par prononcer ce mot . Toutes ces bizarreries, même les plus étranges

odiques, l'onoma- tomanie avec l'idée obsédante de répéter certains mots pour éviter un malheur. En se lavant les mains,

mourant, expirant. » Elle se sent, malgré elle, poussée à dire ces mots ; il le faut, dit-elle; si elle résiste, elle es

es dire, mais elle est forcée de le faire. Tantôt elle prononce ces mots à haute voix, d'autres fois, elle remue simplem

ation XXV. Dégénérescence mentale. Folie du doute. Ono- matomanie : mots préservateurs. Influence funeste des croix. H..

doit accomplir plu- sieurs fois certains actes, ou répéter certains mots préservateurs pour éviter qu'une maladie grave

d malaise, elle s'angoisse, se hâte alors de dire plusieurs fois le mot et elle se sent soulagée. De même, elle a parfois

gner ou se retirer dans un coin et prononcer rapi- dement plusieurs mots . Elle raconte que le plus souvent, elle est for

béirai pas au diable », ou bien « Bonne sainte, protégez-moi ». Ces mots , qu'elle accompagne habituelle- ment d'un mouve

Lorsqu'elle résiste, qu'elle lutte, qu'elle n'ose pas prononcer ces mots devant des personnes étrangères, elle éprouve u

is n'en procure pas moins du souci. » Chez la malade suivante, le mot pénible est tellement désagréable, qu'aussitôt

nible est tellement désagréable, qu'aussitôt entendu, elle lance le mot pré- servateur pour conjurer l'influence funest

ier. Observation XXVII. Dégénérescence mentale. Onomatomanie : .' mots compromettants et mots préservateurs. Arithmomani

I. Dégénérescence mentale. Onomatomanie : .' mots compromettants et mots préservateurs. Arithmomanie. Crainte du toucher

épisodiques multiples. Elle a actuelle- ment, surtout la crainte du mot exprimant une idée de tristesse qui pourrait, p

er mallieur. Aussitôt qu'elle entend DE L'ON011L1TOJIANIE. 375 le mot compromettant, elle prononce comme correctif le m

OJIANIE. 375 le mot compromettant, elle prononce comme correctif le mot à sens contraire, parfois elle se borne simplem

re, parfois elle se borne simplement à protester contre l'emploi du mot . C'est ainsi que si on lui propose d'aller à l'Op

le Diable, elle répond : oui, Robert ! Si elle entend prononcer le mot nuisible, elle réplique immédiatement utile ; noi

par l'idée de la fatalité du nombre treize; j'évitais de mettre 13 mots dans une phrase écrite et sou- vent, il m'arriv

s dans une phrase écrite et sou- vent, il m'arrivait de compter les mots de phrases parlées. Vous pensez quel travail to

uelque temps de me livrer à des actes ridicules. » . ' Parfois le mot erreur s'installe dans son esprit sans qu'il puis

un malaise qui va grandissant et contre lequel il invoque un autre mot , vérité qui combat l'influence du premier. Souven

ité qui combat l'influence du premier. Souvent il ajoute treize' au mot dont la signification devient ainsi plus éner-

a signification devient ainsi plus éner- gique ; mais peu à peu, ce mot protecteur ou préservateur, par sa répétition t

ncore, M. M... adopte une sorte de formule cabalistique composée du mot bière, linceul, tombeau, expressions auxquelles,

de préservation pour conjurer les divers malheurs. Il prononce ces mots tout bas, au fond du gosier, il contracte en mê

scence mentale. Accès mélancolique; Ono11 ! atomanie : obsession du mot grossier; nécessité de superposer à une image e

ession du mot grossier; nécessité de superposer à une image et à un mot inquiétants, une image et un mot protec- teurs.

de superposer à une image et à un mot inquiétants, une image et un mot protec- teurs. Une dégénérée de vingt-neuf an

nces au suicide, présentait depuis plusieurs années, l'obsession du mot grossier et l'impulsion à le répéter. Pendant s

ppaient, malgré elle, de ses lèvres. Plus tard, la préoccupation du mot prend un autre caractère. Un jour, voyant passe

l'effacer. A partir de ce moment, si dans ses lectures se trouve le mot chien, elle est prise d'angoisse jusqu'à ce qu'

rès d'elle un dictionnaire qui lui permet de trouver promptement le mot qui la préserve de son idée extravagante. Quand

ion XXX. Dégénérescence mentale. Accès mélancolique. Onomatomanie : mots employés comme moycn mnémotechnique, Doute. Che

omatomanie s'était traduite d'abord par la recherche angoissante du mot , puis nous avons vu le mot intervenir comme con

d'abord par la recherche angoissante du mot, puis nous avons vu le mot intervenir comme constatation concluante d'un act

tâche. Dès qu'elle avait achevé de faire le lit, elle prononçait un mot , le mot serpent par exemple; cette formalité re

ès qu'elle avait achevé de faire le lit, elle prononçait un mot, le mot serpent par exemple; cette formalité remplie, e

exigeait que sa fille fût présente au moment où elle prononçait le mot , pour témoigner d'abord que tout était fait et au

r d'abord que tout était fait et aussi pour pouvoir lui rappeler le mot dans le cas où celui-ci viendrait pen- dant la

rsqu'elle essaye de ne pas sceller ainsi chacun de ses actes par un mot , ce qu'elle trouve elle-même fort ridicule, ell

soir, il lui est impossible de se coucher, sans être assurée par un mot de la bonne exécution de chaque détail du ménag

rée par un mot de la bonne exécution de chaque détail du ménage; le mot prononcé, le calme revient, et elle se met au l

t, et elle se met au lit répétant avec la plus vive satisfaction le mot qui la rassure. DE l'onomatomanie. 379 V. Mot

e satisfaction le mot qui la rassure. DE l'onomatomanie. 379 V. Mots DEVENUS POUR LE patient UN véritable CORPS SOLI

CRACHEMENT. Nous avons vu plusieurs onomatomanes chez lesquels le mot s'accompagnait d'un mouvement, tantôt d'un véri

t l'intensité et que, parfois, il parvenait à supprimer. Lorsque le mot venait à être prononcé, au mouvement d'articula

ent niais bien un élément sen- sitivo-moteur qui intervient avec le mot ; les mots et même les bruits se transforment en

bien un élément sen- sitivo-moteur qui intervient avec le mot; les mots et même les bruits se transforment en véritable

estomac, la sensation devient très doulou- reuse, les bruits et les mots comme les aliments solides s'accumulent et donn

rale, que provoque habi - z 380 pathologie mentale. tuellement le mot obsédant, vient s'ajouter dans ce cas, la doule

as, la douleur physique due aux nouvelles qualités - attribuées aux mots et aux différents bruits perçus et déglutis.

re, est onomatomane ; il a eu longtemps la recherche angoissante du mot , et ainsi que nous l'avons déjà dit (Obs. VII),

it le dictionnaire et l'on ne se couchait qu'après le découverte du mot . La fille aînée de la malade, très émolive, ne pe

nspire aucune crainte. Elle est vivement impressionnée par certains mots « cercueil, béquille, mort, vendredi, etc. », q

onnent les mêmes sensations pénibles et lui chargent l'estomac. Les mots , dit-elle, lui viennent dans la bouche, il lui

ue clinique, l'obsession et l'impulsion n'ayant pour objet que le mot et le plus souvent un mot insignifiant. Si bien q

et l'impulsion n'ayant pour objet que le mot et le plus souvent un mot insignifiant. Si bien que l'obsession et l'impu

à laquelle est en proie le malheureux onoma- tomane qui cherche un mot dont il n'a nul besoin, lorsqu'on le voit faire

voit faire des efforts surhumains pour ne pas projeter au dehors le mot qui l'obsède, et que l'on assiste à la détente,

ulagement dont sont suivies soit la découverte, soit la décharge du mot , soit la substitution du mot préservateur au mo

oit la découverte, soit la décharge du mot, soit la substitution du mot préservateur au mot funeste, on n'est plus éton

oit la décharge du mot, soit la substitution du mot préservateur au mot funeste, on n'est plus étonné par le langage du

t, des habitudes nouvelles, adoptent des attitudes, des gestes, des mots , des phrases, etc., dont ils ne peuvent se dépa

uiller. C'est ainsi, par exemple, que les obsédés à la poursuite du mot ou du nom, commencent par laisser de côté le ca

net, la feuille de papier sur lesquels ils ont inscrit le nom ou le mot . Lorsque le mot manque, en l'absence 'du carnet

de papier sur lesquels ils ont inscrit le nom ou le mot. Lorsque le mot manque, en l'absence 'du carnet, ou du papier,

e et insiste sur le caractère entièrement maladif de ce besoin du mot et il parvient habituellement à les rassurer et à

'est lui qui décide les malades à se dégager de la préoccupation du mot , à se mettre au lit et à y rester, toute lumièr

nt difficile. Parfois il lui était impossible de prononcer quelques mots « parce qu'elle ne les trou- vait pas » : elle

de temps à autre les mou- vements nécessaires à l'articulation des mots ». Cette hypothèse nous parait bien être en har

vait de temps à autre des accès d'aphasie motrice; il cherchait les mots et il ne pouvait les trouver, il restait quelqu

ci (42), c'est-à-dire liée à la perte de la mémoire (graphique) des mots . 430 . CLINIQUE NERVEUSE. mots (pied de la ci

erte de la mémoire (graphique) des mots. 430 . CLINIQUE NERVEUSE. mots (pied de la circonvolution de Broca), mais bien a

ap- ports entre les amblyopies hystériques, dans le sens général du mot , et l'amblyopie transitoire. Il est vrai que la

ne étude aussi vague qu'inter- minable. Pour beaucoup, en effet, le mot suggestion a perdu tout sens précis et s'appliq

uggestion surtout toute la psychologie. Rassurez-vous cependant, le mot suggestion n'a pas pour moi un sens aussi vaste

autres caractères. Je cherche uniquement à préciser le sens de ce mot quand on l'applique à des hystériques et à vous m

renons, par exemple, cette pensée très simple qui s'exprime par ces mots : * faire le tour de la chambre » . Cette pensé

t, puis de nombreuses images d'odorat, de tact, d'ouïe, etc., en un mot , comme je le disais, ces idées sont de véritabl

elle et abrégée : par exemple, l'image sonore ou kinesthé- sique du mot « fleur » ou du mot « chat » se reproduira seul

r exemple, l'image sonore ou kinesthé- sique du mot « fleur » ou du mot « chat » se reproduira seule, ou à peu près seu

haise le beau bouquet de roses. » J'éveille dans son esprit par ces mots le système d'images qui constitue l'idée d'un b

, etc. Elle décrit les roses, leur couleur, leur nombre, etc. En un mot , chez elle le système d'images, qui constitue c

etc. Eh bien, je lui dis simplement, en insistant un peu, ce simple mot : « bonjour Margot t. Elle a, comme vous voyez

par hasard la pre- mière fois et ce qui se répète aujourd'hui : le mot a llargot » est le nom qu'on lui donnait à la p

lui donnait à la pension, quand elle avait l'âge de huit ans, et ce mot prononcé par nous a réveillé dans son esprit to

ne cherche pas à vous faire comprendre ce que l'on entend par le mot c volonté *, je me contente du sens banal. Un act

n considérable de l'attention et de la volonté, d'une aboulie en un mot . Il nous reste à étudier cette aboulie dont nou

extérieur, n'a plus de notion de sa personnalité, ne possède en un mot dans l'es- prit que les images essentiellement

nces si particulières, que je désire vous le raconter en quel- ques mots . Une hystérique avait des crises tous les jours,

ait de nouveau distraite, anesthésique et amnésique. Il suffit d'un mot pour la suggestionner comme je voulais. Une aut

soumettre à des lois des faits considérés comme protéiformes. En un mot , il a soutenu toute sa vie qu'il y a un détermi

grande difficulté; mais le 11 mars, il dit assez distinctement les " mots « John « « France ». Peu à peu, le mutisme est re

véritable bégaierneut, le malade ne pouvant prononcer que quelques mots très courts, et encore reste-t-il le plus souvent

avec les localisations sensorielles, on peut couper court (c'est le mot propre) aux hallucinations de la vue et de l'ou

ire d'une partie de la région affectée à la mémoire sensorielle des mots . Amélioration. Obs. V. - Folie systématique chr

ique. Deuxième opération : excision de l'écorce du champ moteur des mots . Calme notable et atténuation des hallucination

M. G. BALLET.- La discussion actuelle repose sur une question de mots ; elle peut être envisagée à deux points de vue :

ent pas précédés d'une lutte interne. Ils étaient involontaires. Le mot gronomanie pour lequel l'auteur réclame toute l

rement d'ailleurs. Il comprenait peu ce qu'il disait estropiait les mots assez fréquents, et comprenait mal ce qu'on lui

100 personnes seulement ont donné une réponse affirmative. En un mot , cette enquête a fourni une riche collectien de m

tion des sutures du crâne chez les idiots, par Tacquet, 356; - Un mot sur Laënnec, par Guermonprez, 357; - 'Trouble

tte substance chez l'aliéné agité et atteint d'insomnie. Quelques mots seulement avant cela sur nos recher- ches physi

tielle. Telle est la maladie mentale qui, à notre avis, répond au mot pyromanie. Maintenant que toute équivoque est i

e partout, une importance considérable. Bien entendu, je prends les mots hérédité nerveuse dans leur acception la plus l

construisait aucune phrase mais se faisait comprendre à l'aide de mots prononcés isolément, et d'une façon non seulement

le pour ne pas dire impossible. En effet, il n'est peut-être pas de mot en psychiatrie qui ait une acception plus vaste

c'est là déjà préjuger trop vite de la nature de l'affection que ce mot désigne. Disons simplement pour le moment que n

le terme Paranira employé par les auteurs con- curremment avec les mots allemands Verrûcktheit ou Wahnsinn, le premier

rrûcktheit ou Wahnsinn, le premier cependant se rapprochant plus du mot Paranoia par le sens qu'on lui donne (délire sy

enté sur une intelligence incomplètement développée), tandis que le mot Wahnsinn désignerait simplement l'altération qu

randeur. Dans soc Traité des maladies mentales (1860), il adopte le mot de folie systématisée, le substituant à celui de

jet des faisceaux de Gratiolet depuis la perte de substance). En un mot , phénomènes tout-à-fait analogues à ceux que l'

e ne saurait se méprendre sur la véritable valeur terminologique du mot héréditaire. Le sens qui s'y trouve attaché dep

ue ceux qui ont trait à la forme et à l'évolution de la vésanie. Un mot peut la résumer : irrégularité. Sur ce fond d'i

ères alimentaires les gênent, même en très petites quantités. En un mot , ils ne les refusent que parce qu'inconsciemmen

arents, tous les gens de son village, tant hommes que femmes, en un mot toutes les personnes pouvant offrir les meilleu

nette, facile et sans aucun embarras. Elle énonçait entièrement les mots : sa conversation était suivie et très juste. E

habituelles, la dentition, de légers malaises et la variole; en un mot , dans son enfance, elle avait toujours présenté

dres, l'ombilic tout à fait appuyé sur la colonne vertébrale, en un mot toutes les par- ties du ventre (tous ces points

une loi d'humanité, de bienfaisance, d'assistance publique ; en un mot , une loi essentiellement médicale. N'oublions j

changer ses relations, de lui créer une existence nouvelle, dont le mot isolement résume la caractéristique. Si, malgré

sieurs, sur le tra- vail de votre commission. Je dois dire quelques mots cependant des différences que chacun de vous a

mission au projet du Gouvernement. Il me restait cependantà dire un mot de celle qui, àsesyeux, est la plus importante

ssion du Sénat a voulu porter remède. J'allais oublier de dire un mot d'une autre innovation de la commission qui se

porte à la partie financière du service, la commission a inscrit le mot Recettes à côté du mot Dépenses. Je ne dirai pl

cière du service, la commission a inscrit le mot Recettes à côté du mot Dépenses. Je ne dirai plus qu'un dernier mot de

mot Recettes à côté du mot Dépenses. Je ne dirai plus qu'un dernier mot des compléments que la commission a ajouté au p

ère. Avant de descendre de la tribune, je dirai encore un dernier mot à propos du texte du projet de la commission qui

d'autres que je vous demande la permission de rappeler en quelques mots seulement, puisqu'elles vous ont été déjà signalé

préfecture, absolument indépendants de l'autorité du préfet. En uu mot , c'est la commission qui admi- nistre ; c'est l

nt cours sur les questions de cette nature, que je voudrais dire un mot des origines historiques... (Exclamations sur q

yons de plus en plus cette doctrine, que je pourrais quali- fier du mot de jacobine, mais qui porte un nom beaucoup plus

du bon choix des hommes. Permettez-moi, à cet égard, de rappeler le mot d'un des plus grands ministres qui aient jamais

t sur lesquelles je ne 166 ô SÉNAT. dirai en ce moment que peu de mots , comptant que, lorsque viendra la discussion de

nt dont il constitue la fonction principale. Je ne dirai plus qu'un mot relativement à la taxe des aliénés que M. le mi

dité corticale ou cérébrale, la surdité psychique et la surdité des mots . Peut-être pourrait-on reprocher aux expression

sions employées de prêter à la confusion : en effet, la surdité des mots n'est-elle pas une surdité cérébrale, c'est-à-d

tal de l'audition, par l'absence totale de formation des images des mots et des sons; 2° La surdité psychique, caractéri

ée par l'audition brute, avec défaut d'intelligence des sons et des mots entendus. « Un individu frappé de surdité psych

a caractériser en ces termes : « Un individu atteint de surdité des mots entendra les sons, saura les rapporter à l'obje

orter à l'objet qui les produit, mais ne comprendra pas le sens des mots parlés. » Je ferai seulement observer que la su

quelques faits nouveaux, m'a conduit à admettre que la surdité des mots n'est pas un syndrome simple, irréductible, mai

s examiner tour à tour. 1 ' t , I. -On admet généralement que les mots entendus sont projetés en quelque sorte dans le

une sorte de magasin, de répertoire d'images {images auditives des mots ), auxquelles ou me permettra de donner aussi le

ions qui ont con- servé leur aptitude à renaître, ces images, en un mot , ont leur siège en un point particulier du cerv

un point particulier du cerveau (centre de la mémoire auditive des mots , centre des images orales), qui paraît être nor

2° le défaut d'imagination orale; 3° l'impossibilité de répéter les mots prononcés par autrui; 4° l'im- possibilité de p

te. Le plus grand nombre des observations de surdité centrale des mots mentionnent, en même temps que la surdité verba

la surdité verbale proprement dite et le défaut de répétition des mots , l'impossibilité de s'exprimer cor- rectement.

, au milieu duquel on distinguait de temps en temps un ou plusieurs mots , tels que « s'il vous plaît, merci »... En lui

aient inintelligibles, soit que les syllabes manquas- sent dans les mots , soit qu'elles y fussent altérées. Lui demandai

de d'Heillyet Chantemesse', dont la malade ne prononça que quelques mots , tels que « parce que, parce que », « oui, mons

Celle de Rosenthall 9, dont la malade n'avait à son service que les mots « sourd, pied, malade, polonais, main, souffre

stence de deux manières : par la constatation du défaut de rêves de mots entendus, et par celle du défaut de représentat

celle du défaut de représentation mentale volontaire de ces mêmes mots : Bien que l'état de l'imagination orale 1 Bern

la mémoire auditive, aient pour effet le défaut de répétition des mots en même temps que de leur intel- ligence et de

OLOGIE NERVEUSE. élémentaire que, pour prononcer correctement les mots , nous avons besoin de les avoir présents à la m

ces objets, par cela seul qu'il a perdu le souvenir de l'image des mots correspondants, qu'il ne peut trouver cette ima

t que je connaissais depuis bien longtemps ; et aussitôt l'image du mot Victoi-ine se produisait, et je pouvais articul

l'image du mot Victoi-ine se produisait, et je pouvais articuler le mot sans difficulté. Le souvenir du mot est donc ab

t, et je pouvais articuler le mot sans difficulté. Le souvenir du mot est donc absolument nécessaire à son articu- la

ement, n'ayant ni aphasie motrice, ni agraphie. L'image visuelle du mot , évoquée par le signe écrit, suffit donc pour q

l est pro- bable d'ailleurs que les images visuelle et motrice du mot ravivent, si elle n'est pas complètement éteinte,

plètement éteinte, l'image auditive, et alors la notion complexe du mot se complète. » L'explication me paraît satisfai

est donc possible que, dans cer- tains cas, la mémoire visuelle des mots supplée au défaut de mémoire auditive, et que p

as. III. Les considérations précédentes m'amènent à dire quelques mots de l'amnésie orale. On a été con- duit, dans ce

dans ces derniers temps, à considérer cette am- nésie auditive des mots comme une forme atténuée de la surdité verbale;

nce d'une excitation plus puissante, telle que l'audition même du mot : c'est là une simple question de degré dans l'

de degré dans l'excitabilité du centre de la mémoire auditive des mots . On me permettra toutefois de faire remarquer q

l'absence de toute altération du centre de la mémoire auditive des mots . En effet, l'amnésie orale consiste en définiti

la difficulté ou l'impossibilité de l'imagination volontaire des mots parlés. Or, pour que cette imagination orale so

e, même en l'absence de lésion du centre de la mémoire auditive des mots ; et, en pareil cas, l'amnésie ne sera pas néce

s verbales mentales, les faits caractérisés par la répétition des mots prononcés par autrui, sans perception consciente

des mots prononcés par autrui, sans perception consciente de ces mots . Un mot peut-il être répété sans que l'on en ai

prononcés par autrui, sans perception consciente de ces mots. Un mot peut-il être répété sans que l'on en ait la 190

pas douteux : c'est cette répétition brute et incons- ciente des mots qui s'observe sans doute normalement dans le pr

roquet, et, les autres oiseaux qui redisent, sans comprendre, des mots et des phrases entières ; c'est elle que l'on o

te, qui articule machinalement, sans les com- prendre, les derniers mots d'une phrase prononcée par autrui. Pareille cho

rrivée à moi- même. Enfin la répétition brute et inconsciente des mots se produit assez fréquemment à l'état patholo-

a- lique de M. Voisin', qui répétait sans les comprendre tous les mots articulés en sa présence; la malade de Béhier',

hier', qui « ne faisait en français que répéter, comme un écho, les mots qu'elle entendait dire, sans paraître y ajouter

lligence étant normale, il y a répétition brute et inconsciente des mots ; quand les mots ainsi répétés ne sont pas perçu

male, il y a répétition brute et inconsciente des mots; quand les mots ainsi répétés ne sont pas perçus d'une façon dis-

erçus d'une façon dis- tincte par l'entendement, il y a surdité des mots ; mais 1 Batemau. De l'aphasie ou perte de la pa

peut même y distinguer deux variétés. Tantôt le malade répète les mots , sans les com- prendre, et ne les comprend pas

au, mais ne sait,pas de quoi il s'agita Tantôt le malade répète les mots sans les avoir compris, mais les comprend après

de Bouillaud 3, le malade par- venait à peine à rassembler quelques mots . Seulement il répétait, comme automatiquement,

ne comprenait pas tout d'abord, mais il s'efforçait d'articuler les mots . En tâtonnant, il arrivait, au moyen de cette i

V.-Comment se rendre compte de ces nouvelles formes de surdité des mots ? cela me semble assez facile, à l'aide du.sché

es orales m p ; il est facile de voir que la répéti- tion brute des mots ne sera pas impossible, puisque la voie normale

E. 193 comprise, puisque l'image orale succédant à l'audition des mots ne pourra plus communiquer avec l'enten- dement

ces mouve- ments ? Mais je ne veux pas paraître chicaner sur les mots ; admettons que le centre de Broca, parce qu'il

x que celui de la voix d'autrui; et pour- tant ils articulaient les mots avec une grande netteté, et, quand'il leur arri

t par cette dernière mémoire que nous saisissons les lettres et les mots que l'on nous fait tracer passivement, en impri

distincte de l'impulsion motrice aboutis- saut à l'articulation des mots . Dans le premier cas, les images formées sont l

s orales est supprimée. Enfin, dans le cas de répétition exacte des mots prononcés par autrui, sans intelligence du sens

cte des mots prononcés par autrui, sans intelligence du sens de ces mots , il y a fonctionne- ment du centre de Broca, sa

un moteur, celui-ci (io, Fq. 4) est préposé à l'articu- lation des mots ; des deux autres, 1'tin (mp, Fq. 4) est destiné

r les faits cliniques de surdité verbale, avec répétition brute des mots , suivie ou non d'intelligence de ces mots (voir

ec répétition brute des mots, suivie ou non d'intelligence de ces mots (voir Fig. 4).. i. Il le' Cas. La parole pénétr

nt remarqué du reste immédiatement tous ceux qui l'ont examiné. Les mots sont articulés lentement, scandés avec un léger

oses ou maladies du cerveau invalide) que se trouve la Wahnsinn. Ce mot n'est qu'un terme géné- rique qui comprend l'ex

tent la mono- manie et décrivent la delusio)îal <M4'QM'<y, le mot delusion des aliénistes anglais désignant les c

e la conception de la Paranoia qu'il décrit, bien qu'il se serve du mot de mono- manie 1. Il admet que cette forme de d

té mentale (rire à haute voix sans raison), de lalopathie (quelques mots sont seuls énoncés, les uns indis- tincts, les

sque, de parties étendues de l'encéphale. M. JASTROWITZ. Quelques mots sur la procédure actuelle relative à la provoca

sur lesquelles je demande la permission de dire d'abord quelques mots . Un de nos honorables collègues, à l'opinion du

oprement dits, mais aux idiots, aux imbé- ciles, aux crétins, en un mot à diverses catégories de malheureux qui sont ad

us des colonies ? M. LE Rapporteur. Je vais le dite en aussi peu de mots que pos- sible. Ce sont des établissements dont

la commission. Messieurs, je demande la permission de dire un seul mot pour répondre à cette affirmation de M. le comm

te oeuvre considérable. Mais il tourne absolument permettez- moi ce mot wlgaire - le dos au but. Si vous voulez que les é

commissaire du Gouver- nement s'il se contenterait de remplacer les mots « fera cons- truire » par les mots « pourra fai

se contenterait de remplacer les mots « fera cons- truire » par les mots « pourra faire construire ». C'est, au bout du

ernement s'il l'accepterait plus facilement avec la substitution du mot « pourra faire » au mot « fera ». .l. MILHFT-FO

ait plus facilement avec la substitution du mot « pourra faire » au mot « fera ». .l. MILHFT-FOriTARABIE. C'est un pouv

yons pas que le voeu émis par la commission dans le paragraphe 3 le mot « voeu » en effet qualifie bien exactement la r

sident ! je demande la suppression, dans le premier paragraphe, des mots : « Ils sont exclusivement réservés au traiteme

Président. Je mets aux voix le premier paragraphe en réservant ces mots : «Ils sont exclusivement consacrés au traite-

liénés dans un asile public ou un quartier d'hospice. Je n'ai qu'un mot à dire sur le paragraphe 3, qui porte : « Les t

elle dont nous venons de parler et dont il me reste à dire quelques mots pour répondre à l'honorable M. Lacombe. Lorsque

Sénat de vouloir bien réserver le para- graphe 4 qui contient ces, mots : « Après avoir pris l'avis du con- seil supéri

rait lui refuser. M. Paris, de sa place. Je demande à dire quelques mots . La commission ne prévoit pas ce qui se passera

le Ministre DE l'intérieur. Messieurs, je désire répondre quelques mots d'une part à l'observation qui a été présentée pa

mplicitement. M. Paris. Monsieur le président, je demande à dire un mot . M. LE Président. La parole est à M. Paris. M

oposition de l'honorable M. Paris. M. Paris. Je demande à dire un mot . J'avais raison, vous le voyez, de provoquer ce

autorité publique, les malades qui leur touchent de près. Après les mots « le tuteur » je propose d'ajouter ceci : « aut

un peu mieux qu'elle ne l'a fait elle-même, et en deman- dant qu'au mot « tuteur » on ajoute ceux-ci : « autorisé par le

ue le père, la mère, l'ascendant, le descendant, le conjoint, en un mot les parents rapprochés qui font soigner un mala

oint. Mais, dans la rédaction que je propose, j'ai encore ajouté un mot : « Nul ne peut soigner un aliéné » ; j'ai ajou

he et le précédent est, selon moi, exclusive de toute équivoque. Le mot « étranger » ne peut pas signifier ici aliénigè

ien ! sur un grand nombre de bancs.) M. DELSOL. Je répondrai par un mot seulement aux observa- tions présentées par l'h

isonné. ' M. Lacombe. C'est pour cela que j'ai proposé d'ajouter le mot « étranger ». M. Paris. Je demande à dire un

osé d'ajouter le mot « étranger ». M. Paris. Je demande à dire un mot . M. LE Président. La parole est à M. Roger-Marv

, présente actuellement un aspect assez convenable. Voilà en peu de mots sa distribution. Quatre sections principales la

quante secondes) de cet accès, il émettait un son se rapprochant du mot « oue » répété fréquemment.Lespupilles,examinée

sage est celle d'un homme intelligent. Il ne prononce pas un seul mot . Cependant l'infirmier raconte que le soir, quand

l ne prononce guère que des syllabes sans suite ou des fragments de mots comme un homme ivre. ' On lui demande s'il ve

état catalepti forme. 22 Juin. - Depuis quelques jours, G... dit un mot par ci par là, et prend quelquefois des aliment

parlé à plusieurs reprises différentes mais il emploie toujours des mots grossiers. Août. L'amélioration mentale que l'o

tre que cet individu apprécia parfai- tement le danger. Son premier mot est celui de la ter- reur, et lesecond est celu

d'observer m'ont conduit à admettre un autre type de surdité des mots , à laquelle je donnerai le nom de surdité verba

Observation I. Surdité verbale incomplète. Imagination normale des mots parlés. Défaut d'amnésie verbale. Articulation

normale des mots parlés. Défaut d'amnésie verbale. Articulation des mots normale. X...'(F.), cultivateur, né et domicili

odérément la voix, j'articule nettement, lentement les syllabes des mots que je lui adresse, et aussitôt je m'aperçois,

tout étonnée de constater comme moi, qu'il saisit parfaitement les mots que je prononce, qu'il il répond correctement a

'ailleurs chez F... aucune aphémie proprement dite; il articule les mots assez bien par rapport à son degré d'ins- truct

demande s'il peut à volonté imaginer, se représenter mentalement un mot parlé. Il n'a pas trace apparente d'amnésie ver

ise donc le fait actuel, c'est, avec l'impossibilité de répéter les mots d'une conver- sation ordinaire et de les compre

rdinaire et de les comprendre, la possibilité de se représenter les mots parlés (rêves) et le défaut d'amnésie orale et

et le défaut d'amnésie orale et de troubles de l'articulation des mots . t Il y avait également défaut d'amnésie et art

que, si l'amnésie verbale est absente chez ce malade, s'il rêve de mots entendus, s'il arti- cule correctement les mots

alade, s'il rêve de mots entendus, s'il arti- cule correctement les mots , c'est que le centre des images orales est inta

s alors à lui parler très bas, mais très lentement, en scandant les mots , et je m'aperçus qu'il me comprenait parfaiteme

à voix très basse, pourvu que j'eusse le soin de bien articuler les mots . Je vis bien d'ailleurs que ce n'était ni les m

écrit, normal dans ses diverses manifestations, l'articulation des mots , nor- male et facile; enfin M. B... peut rêver

aroles entendues et peut se représenter mentalement, à volonté, les mots parlés. DE LA SURDITÉ VERBALE. 371 Ici encore

. En effet, les fibres cérébrales aboutissant au centre auditif des mots doivent appartenir toutes au faisceau sensitif

lle. -Pas d'amnésie verbale. Pas de trouble de l'ar- ticulation des mots . Imagination possible des mots parlés. B... (Lo

s de trouble de l'ar- ticulation des mots. Imagination possible des mots parlés. B... (Louis), né et domicilié àCh... (G

B. Louis entend le son ainsi pro- duit, mais il ne comprend pas un mot de ce qu'on lui dit ; il ne peut rien répéter ;

ons auxquelles il répond correctement, répétant aussi parfois les mots entendus, à son grand étonnement, et à l'étonne-

peine. 11 ne présentait aucune amné- sie verbale, pouvait rêver de mots entendus ; il m'a même répondu affirmativement,

quand je lui ai demandé s'il pouvait se représenter mentalement les mots entendus. Aucun autre trouble à signaler dans l

réciable de l'imagination orale, sans trouble de l'articulation des mots . On ne saurait prétendre dans les cas de X. F..

le, puisqu'il n'y a pas répétition des DE LA SURDITE VERBALE. 375 mots , sans intelligence préalable de ceux-ci. Je pense

illée, quand on s'ex- prime normalement, dans le centre auditif des mots , et, quand la surdité verbale brute est complèt

'obstacle situé sur le trajet h m p (fig. 4). et faire parvenir les mots , articulés avec une netteté suffisante, jusqu'a

ins aisément, en agissant sur le centre de Broca, la répétition des mots . Je ne vois pas d'au- tre interprétation possib

t, malgré l'intégrité de son appareil auditif, car il répète chaque mot qu'il entend. Dans les choses journalières, l'i

il entend. Dans les choses journalières, l'idée correspondante au mot entendu lui fait défaut. Ainsi F... lui demande c

demander conseil, et ré- pond : Des ciseaux, certainement voilà un mot que j'ai entendu. Quest-ce que c'est donc ? ...

el, la question a été nettement perçue par l'entendement ; que le mot ciseaux a été répété, non pas comme dans les fa

, volontaire, réfléchie; l'entendement a donc parfaitement saisi le mot ciseaux, seulement il ne l'a pas compris, absol

saisie par l'entendement IV. A ce moment l'entendement perçoit les mots en tant que mots, il se rend compte des syllabe

dement IV. A ce moment l'entendement perçoit les mots en tant que mots , il se rend compte des syllabes dont ils se com

pour cela néces- sairement la signification représentative. Si les mots sont entendus pour la première fois, s'ils appa

ngue française et qui entendrait prononcer pour la première fois le mot ciseaux le saisirait très net- tement en tant q

mière fois le mot ciseaux le saisirait très net- tement en tant que mot , mais ne pourrait savoir quel est l'objet auque

quel est l'objet auquel il se rapporte. Comment s'expliquer qu'un mot n'ayant d'abord aucune valeur représentative en

correspondante, et pendant que celle-ci sera perçue (voie M IV) le mot sera aussi perçu par ' Je désigne ainsi le cent

'i- mage orale et l'image représentative, et par suite en- tre le mot et l'objet un rapport d'équivalence. Cela posé,

sé, si une interruption se produit dans le trajet mp M (fiq. 5), le mot continuera bien à être perçu en tant que mot, m

ajet mp M (fiq. 5), le mot continuera bien à être perçu en tant que mot , mais l'image représentative cor- respondante n

représentative cor- respondante ne pouvant plus être réveillée, le mot net- tement perçu restera dépourvu de toute sig

ent perçu restera dépourvu de toute signification ; en entendant le mot ciseaux, par exemple, en en con- . servant l'im

ourtant en lui-même l'objet sera compris en tant qu'objet, comme le mot en tant que mot; seule la re- lation du mot à l

ême l'objet sera compris en tant qu'objet, comme le mot en tant que mot ; seule la re- lation du mot à l'objet sera perd

nt qu'objet, comme le mot en tant que mot; seule la re- lation du mot à l'objet sera perdue : tel sera le ré- sultat

dité verbale brute, caractérisée par le défaut d'audition brute des mots , qui ressemblent à un mur- mure confus, sans si

, volontaire et involontaire; par l'impossibilité de répétition des mots prononcés par autrui ; par l'absence d'amnésie

rte de l'imagina- tion orale) et par l'impossibilité de répéter les mots sans autre trouble du langage. 3° La surdité

tion orale, par l'amnésie orale, par l'impossibilité de répéter les mots , et de plus par des troubles moteurs du langage

La surdité verbale mentale (avec défaut complet d'intelligence des mots ), caractérisée par l'impossibilité de comprendr

mprendre et d'imaginer la parole, avec pos- sibilité de répéter les mots prononcés par autrui, sans que ces mots aient a

- sibilité de répéter les mots prononcés par autrui, sans que ces mots aient aucune signification pour ce- lui qui les

tion pour ce- lui qui les répète (Echolalie sans intelligence des mots ) 5° La surdité verbale mentale {avec intelligen

des mots) 5° La surdité verbale mentale {avec intelligence des mots consécutive à leur articulation), caractérisée

ticulation), caractérisée par le défaut primitif d'intelligence des mots pronon- cés par autrui, et le défaut d'imaginat

, et le défaut d'imagination orale, avec possibilité de répéter les mots prononcés par autrui et de comprendre ces mots

ilité de répéter les mots prononcés par autrui et de comprendre ces mots consécutivement à leur répétition (Echolalie av

consécutivement à leur répétition (Echolalie avec intelligence des mots ). 6° Enfin la surdité verbale représentative, c

entative, caractéri- sée par la possibilité de saisir nettement les mots parlés, de les imaginer et de les prononcer cor

dans la mémoire les dif- férents types cliniques de la surdité des mots , je vais, en terminant, reproduire dans son ens

ettre en jeu ce centre, d'ou répétition blute et incons- ciente des mots . (Voie Au a b mp ! 0 d c P a.). - Par la voie mp

en communication avec l'entendement 1Y, qui perçoit ces images et les mots cor- respondants, (La lésion du trajet mp IV en

y a surdité verbale mentale avec défaut complet d'intelligence des mots , quand la lésion du trajet mp IV existe seule,

V existe seule, il y a surdité verbale mentale, avec intelligence Ces mots consécutive à leur arttculation·1 - Le centre m

és persécuteurs (Arzn. méd. psych., 1876). " Nous avons traduit ces mots par folie de la chicane, bien qu'ils expri- men

11 n'a commencé à marcher qu'à dix-huit mois et a prononcé quelques mots que vers sa septième année. Il n'a pu recevoir

à quelques ouvrages manuels. Il blèse et articule difficilement les mots ; son vocabulaire est, du reste, fort restreint;

(deuxième période;) puis orgueilleux, ambitieux, mégalomane en un mot s'abouchant avec les ministres pour leur communiq

exagéré d'attacher de l'importance car il a trait à une question de mots sans retentis- sement sur le fond même de la di

nous en con- naîtrons plus tard les résultats. (V. Hasse. Quelques mots sur les asiles d'aliézzés 2.) L'Ecosse otlre-

me, en cas de besoin, à cette tribune et que je résumerai en peu de mots . D'une part, il est impossible, en fait au Gouv

La commission est convaincue que l'addition au 3° paragraphe de ces mots : « en dehors des personnes ci-dessus exceptées »

lance, aux asiles privés toute maison où un aliéné est traité » les mots : « avec nécessité de le tenir enfermé.» C'est

ement médical, qui ne consiste pas, comme le sens grammatical de ce mot pourrait le faire croire, à placer un aliéné da

ité publique pénètre dans ce sanctuaire, puisqu'on s'at- tache à ce mot , dont le sens est pour nous aussi un objet de res

sent-ils, la méthode qui a renouvelé) hypnotisme se résume avec ces mots : production de symptômes matériels don- nant e

me z l'hypnotisme dans ses rapports avec la responsabilité. En un mot , le magnétisme animal de Binet et Féré, écrit dan

Salpêtrière, est le compendium du curieux dans le sens élevé de ce mot , eu même temps que par ses linéa- ments générau

re temporale. (Voir successi- vement Pl. XV à XX, du tome I.) En un mot , le fais- ceau unciforme joue le rôle des fibre

cilement à isoler l'action du nerf. Nous rappellerons en quelques mots les notions ana tomiques relatives à la distrib

rtainement pas à trouver ici une théorie, dans le sens rigoureux du mot , des faits qui viennent 'Voir t. I, p. 257, 413

rie comme rebelle à toute analyse et à toute systématisation, en un mot , comme n'étant pas une maladie au même titre qu

u plus exactement un potentiel différent de celui de la peau, en un mot , que la peau et le métal se comportent l'un par

spéciale, de la circulation, de la tonicité musculaire, etc., en un mot des phénomènes oesthésiogé- niques. Nous avons

sont restés dans l'ombre. Essayons au moins de préciser en quelques mots quelle place occupe actuel- 8 il le REVUE CRI

sent négligées, des médicaments destinés à l'usage interne. En un mot , les recherches faites sur les oesthésiogènes ne

- tance et la nécessité de diriger contre elles le traitement; le mot et la notion même d'amyosthénie sont de lui. Il a

ie interne, dont la preuve n'est d'ailleurs pas encore faite. En un mot , sous la pression des faits nouveaux, le point

REVUE DE PATHOLOGIE PALE. 129 sans forcer outre mesure le sens des mots . Le mari et le fils qui acceptent les idées dél

ir de ce moment, l'enfant qui en connaît tous les termes par coeur, mot pour mot, sans aucune variante, le répète à tou

moment, l'enfant qui en connaît tous les termes par coeur, mot pour mot , sans aucune variante, le répète à toutes les p

ue du latin, pourvu que l'ordre fut donné bref etsec et en quelques mots . Il y avait là un véritable réflexe. Je répétai

e musculaire, à celui qui reçoit les rameaux du nerf cubital. En un mot , la main droite est redevenue flaccide, et la m

l'attitude de la griffe' eu- REVUE CRITIQUE. 1 215 bitale. En un mot , la griffe cubitale latente- de droite s'est tr

"t ? REVUE CRITIQUE 1 , 1 . 1 DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS ;- ' Il i Par le Dr Narine SIiWORTZOrr. , La

ceux 'qui ont été décrits sous les noms de cécité et.de surdité des mots . Nous allons passer en revue ce qui a été écrit

derniers troubles. ' ' ')'' m, .' , ? ' .i / A. De la cécité des mots . On entend par cécité des. mots le 216 ,, , , ,

.' , ? ' .i / A. De la cécité des mots. On entend par cécité des. mots le 216 ,, , , , REVUE CRITIQUE.. , t -n défau

s sont peu appréciables, le phénomène si curieux de la cé- cité des mots apparaît dans toute sa netteté. Qu'on se figure

ire elle- même, parce que le. nom des lettres, la signification des mots qu'elles forment en se combinant lui échappent

ns leur esprit un autre dessin : ce qui a été écrit' au-dessous, le mot maison. D'un autre côté, le mot écrit z maison

ce qui a été écrit' au-dessous, le mot maison. D'un autre côté, le mot écrit z maison sollicitera le souvenir du dessi

sollicitera le souvenir du dessin qui se trouvait au-des- sus"de ce mot . De même, -chez les. malades atteints.de cécité

et. "On trouve dans la littérature médicale des cas de cécité des mots qui remontent assez loin, ainsi, le cas du Dr Spa

put les lire pendant quelques ► heures. C'est un cas de cécité des mots de très courte durée. ,-i L'observation si co

gnée de l'a- ' graphie ainsi que de la cécité et de la surdité, des mots . 1 Quant " DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MO

e la surdité, des mots. 1 Quant " DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS . 217 à la cécité des mots qui, seule, nous occu

ant " DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS. 217 à la cécité des mots qui, seule, nous occupe pour' le moment, voici

t décrit son état : « Je me trouvais privé de la valeur de tous les mots . En perdant le souvenir des mots entendus, j'av

ais privé de la valeur de tous les mots. En perdant le souvenir des mots entendus, j'avais perdu celui de leurs signes v

celui de leurs signes visibles. La syn- taxe avait disparu avec les mots ; l'alphabet seul m'était resté, mais la joncti

l m'était resté, mais la jonction des lettres pour la formation des mots était une étude à faire. Lorsque je voulus jete

ns le travail de ); orbes Winslow, on trouve deux cas de cécité des mots . Les deux observations sont très incom- plètes

qu'elles présentent il n'y a que le fait frappant de la cécité des mots qui se trouve men- tionné. ' a) Un homme âgé

conservation de la parole » qui t est un cas très net de cécité des mots , persistant quelque'temps' après la disparition

l'écriture, mais elle était inca- pable de traduire les lettres en mots et en idées. » Cependant, elle reconnaît les de

près une attaque cérébrale aiguë, impossibilité absolue de lire les mots écrits ou imprimés (excepté le propre nom du pa

'au moyen d'un artifice. Il traçait avec son doigt ,les lettres des mots qu'il venait d'écrire et lisait ces derniers to

régation de M. Legroux (1875), nous trou- vons un cas de cécité des mots cité comme cas rare et curieux à étudier. Malhe

teur a consacré à la description de la. cécité et de la surdité des mots , un chapitre, dans le- quel il a réuni quatre c

ots, un chapitre, dans le- quel il a réuni quatre cas de cécité des mots déjà publiés et DE LA CÉCITÉ ET DE. LA SURDITÉ

cécité des mots déjà publiés et DE LA CÉCITÉ ET DE. LA SURDITÉ DES MOTS . 2 dont nous avons déjà parlé : ce sont les cas

crit le premier ce trouble et de lui avoir donné un nom (cécité des mots , cecitas verbale's, Wortblindheit). Jusqu'alors

citas verbale's, Wortblindheit). Jusqu'alors, les cas de cécité des mots avaient été décrits comme des phénomènes curieu

siste beaucoup sur la possibilité de confusion entre la, cécité des mots et l'aphasie accompagnée d'hémiopie bilatérale,

par Trousseau. Ces malades, tout en' voyant les lettres . et les mots , n'en comprenaient pas bien le sens ou la valeur.

ence le cas de Trousseau que nous avons déjà cité, où la cécité des mots apparaît dans toute, sa netteté. i Trois anné

.tard (1879), M. N. Guéneau de Mussy pu- blie un cas de cécité des mots , où ce trouble a précédé de douze jours les dés

ne action automatique, instinctive, qu'il ne pouvait pas lire les ' mots 112. Hormis a donné, en 1877,' un résumé de ce

e communication à la Société de Biologie sur deux cas de cécité des mots , et a pré- senté à cette Société le second de s

aissance. Pendant plus d'un mois, il ne peut prononcer que quelques mots . Une légère amélioration survient peu à peu. Le

u, qui lui est analogue, sont les plus beaux exemples de cécité des mots , qu'on connaît. On pourrait y rapprocher les de

de son entrée à l'asile, il reconnaissait, non sans peine, certains mots , entre autres : n je ne puis » ; quelques jours

qu'elle a un fond scientifique. Les cas de cécité et de surdité des mots , avec lésion siégeant dans les points indiqués,

mages sensitives sont transmises vers le centre de la formation des mots (pied de la troisième circonvolution avec les p

suivantes : 1° de la périphérie vers le centre de la formation des mots ; 2° de ce centre au bulbe ; et, 3° du bulbe au

ce trajet qui est atteinte. Si c'est le centre de la formation des mots qui est lésé, on aura l'amnésie verbale : le nom

. mission entre le centre visuel et le centre de la formation des mots qui est atteinte, nous aurons la cécité des mots.

e la formation des mots qui est atteinte, nous aurons la cécité des mots . Le ma- lade a l'image visuelle de tous les obj

nductrices qui vont du centre auditif au centre de la formation des mots , que siège la lésion : nous aurons la surdité d

ormation des mots, que siège la lésion : nous aurons la surdité des mots . Le malade entend le bruit pro- duit par l'énon

des mots. Le malade entend le bruit pro- duit par l'énonciation des mots , il a la notion de ces mots, car il comprend le

e bruit pro- duit par l'énonciation des mots, il a la notion de ces mots , car il comprend les mots écrits, mais il ne sa

onciation des mots, il a la notion de ces mots, car il comprend les mots écrits, mais il ne sait pas approprier le mot a

ar il comprend les mots écrits, mais il ne sait pas approprier le mot au son que ce mot sert à désigner. Après la com

es mots écrits, mais il ne sait pas approprier le mot au son que ce mot sert à désigner. Après la communication de M. M

lentin sait copier et écrire quoi DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS . ' 233 que ce soit sous la dictée. Il articule

S MOTS. ' 233 que ce soit sous la dictée. Il articule nettement les mots impri- més, mais sans comprendre leur significa

naît que les règles de prononciation, sans comprendre la valeur des mots . Dès que la même phrase est prononcée à haute v

seule phrase qui lui a servi pour poser le diagnostic de cécité des mots . La malade de M. Déjerine, M-, R.... âgée de tr

.. âgée de trente-neuf ans, est atteinte d'aphasie et de cécité des mots incomplètes, elle peut prononcer des phrases en

a malade reconnaît son nom écrit, et elle ne peut lire que quelques mots , « Pont-Neuf», par exemple, mais sans les compr

ans sa thèse d'agrégation, a con- sacré un chapitre à la cécité des mots . L'auteur cite les cas de M. Magnan et de M. N.

e M. N. Guéneau de Mussy, et, à côté de ces cas types de cécité des mots , il en place d'autres qu'une connais- sance sup

avons déjà t vu, sur le diagnostic différentiel entre la cécité des mots et l'a- phasie avec hémiopie bilatétale. Nous a

lé dans notre thèse la possibilité de confusion entre la cécité des mots et cette forme d'aphasie, qui porte le nom d'ap

ute voix, parce qu'ils ont perdu la mé- moire de l'articulation des mots . Nous avons vu plus d'une fois le cas de Martin

artient à cette forme d'aphasie, placé à côté des cas de cécité des mots . ( , 1 J 224 ' REVUE CRITIQUE. Nous avons réu

s, elle cause assez bien en s'arrêtant par moments pour chercher un mot . De la main gauche et d'une écriture « en miroi

M, et les chiffres 5, 3, 7, 8, 2, 0, 10, etc. Elle peut copier des mots entiers, mais lentement, difficilement, comme u

orsqu'il est imprimé, sans pouvoir distinguer aucune lettre dans ce mot . Quelque temps après son entrée à l'asile, nous

s nouvelles lettres, mais elle réunissait facilement en syllabes et mots les lettres qu'elle con- naissait déjà. En cher

oprier le signe tonal à la figure DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS . 225 5 qu'il devait exprimer. Parfois, la malad

r réveiller le nom de la lettre. La connaissance de la cécité des mots , intéressante sous bien des points de vue pour

médecin légiste. Qu'on se figure un aphasique atteint de cécité des mots complète, mais non agraphique, qui fait son tes

avec M. Kùssmaul le cas de Lordat comme un exemple de la cécité des mots , on pourra et on devra classer dans la même cat

, l'écriture et la lecture (mentale). Ainsi comprise, la cécité des mots devient un fait commun. B. De la surdité des

, la cécité des mots devient un fait commun. B. De la surdité des mots . On désigne sous le nom de sur- dité des mots,

B. De la surdité des mots. On désigne sous le nom de sur- dité des mots , le défaut de compréhension des mots sans qu'il y

e sous le nom de sur- dité des mots, le défaut de compréhension des mots sans qu'il y ait lésion de l'organe de l'ouïe,

m- ment conservé pour que le malade soit à même de comprendre ces mots écrits ou expliqués à l'aide de gestes. Ce troubl

sifs ; les troubles de la parole qui coexistent avec la surdité des mots rendent leurs réponses encore plus singulières. E

pouvoir distinguer les syllabes et sans saisir la signification des mots . Quelques-uns de ces malades répondent à l'appel

n acte réflexe. «- En 1871, M. Schmidt publie un cas de surdité des mots , dont voici le résumé : M-11 X ? âgée de ving

es premiers jours 3 après l'attaque, elle ne comprenait pas un seul mot , et, pour se f faire comprendre d'elle, on se s

e entendait par- faitement lorsqu'on parlait, mais ne percevait les mots que , comme un bruit confus. En 1874, M. Wern

bruit confus. En 1874, M. Wernicke présente deux cas de surdité des mots ^' qu'il a décrits sous le nom d'aphasie sensor

olutions qui bordent le sillon de DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS . 227 Rolando. Il considère la troisième circonv

vation, est atteinte d'aphasie incomplète. Elle emploie parfois des mots défigurés, cependant, la signification de ses p

d par- faitement. En effet, on pourrait croire qu'elle comprend les mots en , l'entendant répondre exactement aux questi

émoire que nous avons déjà cité, quatre observations de surdité des mots : celles t de MM. Wernicke, Schmidt etLordat, e

Lordat, et c'est à lui que ce trou- ble doit son nom de surdité des mots (surditas verbalis, Wort- taubheit). Nous avons

MM. Wernicke et Schmidt. Quant à celle de Lordat, la surdité des mots se manifestait en ce que « les mots résonnaient à

celle de Lordat, la surdité des mots se manifestait en ce que « les mots résonnaient à son oreille sans qu'il pût les co

ler et Pick font paraître plusieurs publications sur la surdité des mots , où ils citent quelques obser- vations nouvelle

ans le second cas, il s'agit d'un aphasique qui ne comprend pas les mots , bien qu'il entende parler; il n'exécute les ordr

te son attention, ou parce qu'il est atteint aussi de la cécité ,es Mot ? Pu ,9, Sa manière de lire, très défectueuse,

ataxique), fait rejeter l'idée de l'existence de la cé- ' cité des mots dans ce cas. Les autres observations citées par

ait pas assez ressortir les signé DE LA CÉCITÉ ET DE LA SURDITÉ DES MOTS . 229 qui permettraient de poser sûrement le dia

qui permettraient de poser sûrement le diagnostic de surdité des mots . ( ` '" En 1880, deux cas ont été observés dans

pas confondre, comme le fait remarquer M. Küssmaul, la surdité des mots avec l'aphasie accompagnée de surdité (Banks),

moins aisé de faire le diagnostic différentiel entre la surdité des mots et l'amnésie verbale. Si l'amnésie verbale est in

int que les substantifs, on ne la confondra pas avec la surdité des mots , pour peu qu'on apporte la moindre attention. M

Mais, dans les cas complexes, lorsque l'agraphie et la cécité des' mots viennent s'ajouter à l'amnésie verbale com- plè

iagnostic différentiel entre l'amnésie ver-' balé'et la surdité des mots devient impossible. Nous ne voyons rien, au moi

la' surdité verbale. L'auteur donne comme exemples de surdité des mots « les plus caractéristiques et les plus démonstra

pas celle que nous avons citée avec les 'autres cas de surdité des mots et qui fut publiée en 1878, mais un cas qui est

e en 1878, mais un cas qui est un exemple très net de surdité des mots et qui date de 1872. Il mentionne enfin l'observa

t pas rangée par cet auteur lui-même parmi les 'cas' de surdité des mots . Du reste, le résumé de cette dernière,'observa

rvations, M. Ma- thieu arrive à cette conclusion que la surdité des mots n'existe pas, comme une variété à part. « C'est

ssement, de l'intelligence, des aphasiques atteints de surdité, des mots en particulier. La plupart de ces malades, ajou

établir un diagnostic, diagnostic qui, dans ces cas de surdité des mots , demande une' analyse si fine et si délicate de

Pour expliquer le fait que les individus atteints de surdité, des mots comprennent les, questions accompagnées, de geste

r. 1880 ; M110 NADiNE Skwortzoff. De la cécité et de la surdité des mots dans l'aphasie. Thèse de Paris, 1881 ; Schmidt.

temps les doigts, qui restaient à-demi fléchis. Pour le dire en un mot , l'amé- lioration avait permis au malade de rep

oit dans la' moelle.' ; ' ' "" -, ·, ,··· 11 v r·"j, , ? m ' · n. mot 6j ? th ? 111 i .1 )i"i ? i(> -1, qmli> - u

es, il lui semble qu'il est incapable de prononcer correctement les mots quand il lit à haute voix,' ou de, diriger ses

mprend parfaitement ce qu'on lui dit, commence à prononcer quelques mots ; au cinquième mois après l'attaque, elle parle

, un- trauma- tisme du cerveau,, dans le sens le, plus large,de ces; mots , cons- tituent les éléments essentiels^ de, l'é

thérapie , oesthésigènes , 92 ? De la cécité et de lasurdité- des mots , 315. fj; , . iO''>"ili j il 3 Sauteurs (l

que,131, °t 391. f1 foiqf ! yr 4u p, ( q3 Surdité (cécité et) des mots , par ni Skwortzoff, 215. · S),pliilis '(sui ?

ans cette base, la physiologie de l'homme malade ne serait qu'un vain mot . S'il fallait, dans la catégorie des maladies d

us dois une courte explication, relativement à la signification de ce mot : cela veut dire que cette fille est atteinte d

tion de grande hystérie pour caractériser celle forme et remplacer ce mot d'hystéro-épilepsie à crises mixtes, qui prête à

iquer aucun mouvement ni d'extension, ni de flexion ; il s'agit en un mot d'une contracture des mieux ca-ractérisées, qui p

es coudes, les articulations de quelques doigts des deux mains. En un mot , sans plus insister, nous retrouvons dans un gran

t pas là d'une émaciation généralisée, dans l'acception rigoureuse du mot , mais bien d'une amyotrophie localisée, surtout s

bien, d'une contracture,pjerma-jiejxLe^dans l'acception rigoureuse du mot : nous la retrouvons malin et soir ; elle persist

. Au préalable, il ne sera pas hors de propos de vous dire quelques mots de la névrose hystérique en tant qu'elle se prése

ilitaires, des artisans mariés et pères de famille, des hommes, en un mot , chez lesquels on pourrait s'étonner, si on n'éta

en foyer, saturnisme, alcoolisme), l'hémianesthésie hystérique, en un mot , peut se rencontrer chez l'homme comme chez la fe

e, vraisemblablement d'une nature inflammatoire, d'une myélite, en un mot . L'examen approfondi de l'état des membres infé

s, auparavant, permettez-moi, Messieurs, de vous rappeler en quelques mots les caractères anatomiques et cliniques de cette

que, sauf sur quelques points d'importance secondaire. Yoici, en deux mots , l'histoire de la malade. Elle a été atteinte, à

vite, mais avait l'habitude de mouvoir les lèvres et de prononcer les mots à voix basse en lisant. Il s'est marié, il y a di

solument flasques et inertes; il bredouillait en parlant, disait un mot pour un autre ; sa femme raconte qu'il a dit: « j

de difficulté de la parole, il disait seulement de temps en temps un mot pour un autre. La main était assez libre pour qu'

aphe qui consistent surtout dans l'oubli des s et des x, à la fin des mots , et dans l'oubli d'un mot (chez). Nous voyons que

dans l'oubli des s et des x, à la fin des mots, et dans l'oubli d'un mot (chez). Nous voyons que, dans les lettres écrites

s ayons remarqué dans le débit aucune lenteur, aucune substitution de mots , surtout sans le moindre bégaiement, nous nous so

ns les mouvements de la langue et des lèvres, dans l'articulation des mots ; aucune altération notable dans l'intelligence ;

une longue lettre, sans fautes notables d'orthographe, sans passer de mots . « J'écris, dit-il, comme si j'avais les yeux fer

e la main droite, il retrace une à une les lettres qui constituent le mot et arrive, après beaucoup depeine,, à dire : « La

, il trace avec le doigt, dans l'espace, les lettres qui composent le mot et, après quelques instants, dit : « C'est la rue

es sont isolées, il les écrit facilement quand elles font partie d'un mot ; ainsi, il écrit vite les mots : « Xavier, Yvan,

acilement quand elles font partie d'un mot ; ainsi, il écrit vite les mots : « Xavier, Yvan, Zèbre ». Il a plus de peine à l

a multiplication est un peu compliquée. Quand la signification d'un mot lui est connue, il lit plus vite que s'il ne la c

ments qui concourent à la représentation graphique d'une lettre, d'un mot , éveille seule chez lui le souvenir précis de la

un mot, éveille seule chez lui le souvenir précis de la lettre, ou du mot . On pourrait dire d'un seul trait, qu'il ne lit q

te aujourd'hui, et qui, lui, absolument incapable de proférer un seul mot , entend tout, comprend tout, lit, mentalement, to

p visuel des deux yeux, il éprouve une grande difficulté à épeler les mots qu'il voit parfaitement ; et cependant il traduit

l, dans son élude systématique, la désigne sous le nom de surdité des mots , Worttaubheit. 11 ne faudrait pas croire toutef

Worttaubheit. 11 ne faudrait pas croire toutefois que la cécité des mots n'ait pas été depuis longtemps observée ; ainsi i

sorte de souvenir du mouvement des doigts nécessaire pour tracer les mots ; la lettre une fois tracée, le malade n'est plus

pète, c'est à M. Kussmaul qu'on doit d'avoir relevé que la cécité des mots peut se présenter dans la clinique, pour ainsi di

publié, dans sa thèse3, un chapitre spécial consacré à la cécité des mots , qui renferme l'exposé d'une douzaine d'observati

. 18H1, p. 477.) 3. Skworlzoff. — De la cécité et de la surdité des mots dans Vaphasie. jrhèse de Paris, 1881. 4. Armaig

oit un écrit, soit un imprimé, écrit effectivement les lettres et les mots ou encore se contente de les tracer dans l'espace

usieurs mois, la malade ne pouvait encore lire par ce procédé que des mots très courts. 5° J'en viens maintenant aux cas s

clinique de tous ces cas a laissé à désirer, parce que la cécité des mots se trouve compliquée, dans une forte mesure, de s

des mots se trouve compliquée, dans une forte mesure, de surdité des mots . Toutefois, ces trois observations, les seules, s

e, comme étant le siège des altérations dont relèverait la cécité des mots . Yous remarquerez que nous faisons abstraction, d

images auditives. — L'amnésie verbale ne répond pas à une unité. — Le mot est un comple.xus, on y reconnaît chez les indivi

versation, la physionomie de l'interlocuteur, la scène entière, en un mot , dont il ne recherchait qu'un détail, lui apparai

'assez longs tâtonnements, après les avoir comparées entre elles. Des mots grecs dans la composition desquels entrent les le

nt, il les écrit bien et délibérément, tandis que pour lire les mêmes mots écrits par une autre personne, il est obligé d'éc

crits par une autre personne, il est obligé d'écrire au préalable ces mots . On voit par là qu'il lui faut compenser à l'aide

faut compenser à l'aide de la main le défaut de mémoire visuelle des mots dont il est affecté à un certain degré, pour cert

nique à sa main les mouvements nécessaires pour écrire par exemple le mot Vienne, il est incapable de désigner le mot qu'on

our écrire par exemple le mot Vienne, il est incapable de désigner le mot qu'on lui a fait écrire passivement, il est oblig

ui m'intéressaient, les couleurs et les objets de toute nature, en un mot tout ce qui se reflète dans l'œil. « Permettez-

parle M. Gallon \ qui lisent en quelque sorte mentalement, chacun des mots qu'ils prononcent, comme s'ils les voyaient réell

es, que chez lui Yéquivale?it auditif remplace Y équivalent visuel du mot . C'est donc là un nouvel exemple de ces « suppléa

ne opinion assez généralement répandue, ne répond pas à une unité. Le mot , 1. Voir p. 152, note 1. en effet, est un com

s mouvements de la langue et des lèvres nécessaires pour prononcer le mot ; la seconde, parla répétition des mouvements de l

e, on ne peut évoquer soit l'image auditive, soit l'image visuelle du mot qui doit la caractériser, on dira qu'il y a amnés

premier cas, amnésie verbale visuelle dans le second; mais quand les mots qu'on voit écrits ou qui résonnent à l'oreille ne

t pas oublier, enfin, qu'en ce qui concerne le mécanisme du rappel du mot , il paraît exister des variétés individuelles ass

plus haut. Grâce à la persistance des éléments auditifs et moteurs du mot , la compensation s'est établie au point que, chez

des temps d'arrêt, dus peut-être à l'efficacité du 'traitement; en un mot , elle laisse vivre les malades qui sont parfaitem

qui servent à la déglutition, sont intacts et qu'on ne trouve, en un mot , aucun des symptômes bulbaires qui existent que

ue, l'appelait paralysie choréiforme. Je veux donc vous dire quelques mots au sujet de ces chorées. Nous avons tout d'abor

s mouvemenls des rameurs ou des forgerons (chorée malléatoire). En un mot , il y a reproduction plus ou moins fidèle d'actes

entremêlés avec des phénomènes d'hystérie convulsive vulgaire. En un mot , la chorée rhythmée, qui revêt chez cette troisiè

xtrémités froides et violacées, la tête tombante, reproduisant, en un mot , dans ses traits les plus chargés, le tableau que

encore aujourd'hui, en raison de préjugés profondément enracinés, au mot d'hystérie. La connaissance approfondie non seule

douée à un haut degré de ses attributs caractéristiques, telle, en un mot , qu'on l'observe fréquemment chez la femme. mau

par la langue et la face, tels qu'ils viennent d'être décrits, en un mot , puis les scènes variées de la phase délirante.

rachiale gauche, sans trace aucune de rigidité, molle, flexible en un mot , au plus haut degré, laquelle, disait-il, datait

gissait donc bien là d'une monoplégie, dans l'acception rigoureuse du mot . L'étude de la sensibilité fournissait les résult

s avant d'entrer dans le détail, il est bon que je vous dise quelques mots des antécédents de ce malade. Sa mère est morte

otre homme. J'ajouterai qu'une monoplégie brachiale pure, telle en un mot qu'on la voit dans notre cas, est un fait presque

tement des centres corticaux sensitifs. (J.-M.-C.) classique, en un mot . Mais cela, justement, le rendra, aux yeux du cli

e occasionnelle, sinon un traumatisme, dans l'acception rigoureuse du mot , du moins un choc matériel plus ou moins violent,

ce, il puisse être question d'état normal. Ces gens-là, passez-moi le mot , dorment, alors même qu'ils semblent parfaitement

lques jours à un traitement régulier, dont je vais vous dire quelques mots . Ce traitement se compose de deux éléments. Pour

lence. Yu l'importance de ces faits, je tiens à vous en dire quelques mots . Grâce à l'obligeance de mes collègues, M. Lannel

pas oublié, Messieurs, que Ch... est, dans l'acception rigoureuse du mot , hémianesthésique du côté gauche, à part certaine

le mécanisme qui a présidé à son développement. Yoici, en quelques mots , l'histoire clinique de ce malade : C'est un homm

XI, XXII. 2. Voir YUnion inédicale, 1880. 3. Sur l'orthographe du mot Sho/c, voir p. 392, note 1. en ce temps-là, une

stration plus aisée et plus profitable, de vous indiquer, en quelques mots , ce que nous savons de plus important sur cette s

épétition fréquente d'une même syllabe et apparent surtout lorsque le mot dont elle fait partie est d'une certaine longueur

me dans l'état normal, il lui est désormais impossible d'articuler un mot , même à voix basse, de chuchotter, autrement dit,

lui. Le malade est donc muet, dans l'acception la plus rigoureuse du mot , en ce sens qu'il ne peut proférer aucune parole.

exécuter les mouvements propres, spécialisés, pour l'articulation des mots ; il est privé, en d'autres termes, des représent

de la langue, du larynx, l'exécution de la voix et l'articulation des mots , quoique faibles et au dernier terme presque indi

pareille occurrence, — qu'il lui était impossible d'articuler un seul mot . « Parlez à voix basse, lui dis-je » ; à peine pu

bilalion de l'ouïe du même côté ; de l'anetsthésie du pharynx ; en un mot , toute une série de stigmates qui ne laissaient a

ent à sa physionomie un air pleurard. Malgré cela, l'articulation des mots n'est pas complètement perdue ; il peut encore, d

e d'un objet particulier, à la suite d'une sensation quelconque en un mot ; et si le plus souvent elles sont provoquées par

ète, portant sur la sensibilité et sur le mouvement, présentant en un mot tous les caractères qui distinguent les paralysie

me hésitants, nullement incoordonnés toutefois : ils s'opèrent, en un mot , comme à tâtons. Pin... peut encore, les yeux clo

on de vertige ni d'élourdissement, aucun vestige de convulsion, en un mot aucun phénomène cérébral; la paralysie occupe le

auche et de plus, il y avait un muLisme complet. Aucune parole, aucun mot ne pouvait sortir de sa bouche. « Mais, pas plus

ses diverses impressions. Le 15 février, il écrit avoir prononcé ces mots : « Non, en avez-vous besoin », puis avoir été inc

faire les mouvements des lèvres nécessaires pour la prononciation des mots , des consonnes, il esquisse ces mouvements, mais

nciation des mots, des consonnes, il esquisse ces mouvements, mais le mot ni la consonne ne sont prononcés. De même pour si

vait commencé par béga}rer, répétant deux fois la même syllabe, si le mot est trop long ou trop complexe. Il dit que l'air

ou trop complexe. Il dit que l'air semble lui manquer pour finir les mots . Les journaux nous ont appris que Ch. avait été

uffler ; la déglutition n'est pas gênée, mais il ne peut prononcer un mot ; il ne peut crier, il ne peut émettre aucun son.

devant lui Varsovie en français et en slave, il ne peut prononcer le mot d'une façon satisfaisante : il dit Vavie et Vava

a surdité commença à s'atténuer. Je ne fais que résumer en quelques mots l'observation sui-Charcot. Œuvres complètes, t. m

e devient aphasique. Depuis trois mois, elle ne prononce que quelques mots : Ah, maman, je, pa... Altérations du goût, de

utisme a succédé l'aphonie incomplète; il y a du chuchotement, et les mots arrivent affaiblis et sourds jusqu'à l'oreille, m

particulièrement l'ovaire gauche sont douloureux à la pression. En un mot , en dehors des troubles laryngiens et de la doule

èche, puis quelques cris étouffés. Enfin, la malade put articuler ces mots d'abord d'une voix presque imperceptible : « Vous

ech had begun to fail) et depuis un an, elle n'a pu prononcer un seul mot . Elle répond par des signes de tête et en écrivan

ille, le malade manifeste qu'il a entendu, puis il chuchotte quelques mots à voix basse. En même temps, les mouvements et la

se suspendre tout à fait, de même qu'à l'approche de la guérison, les mots revenaient lentement, péniblement, d'abord très r

arante fois. Le quatorzième jour, son vocabulaire s'était enrichi des mots « papa, béb. schlas-sen, tiniken » ; le dix-huiti

aphone, mais il est également aphasique, car il ne peut articuler les mots à voix basse. Qu'on me permette une petite digr

, le malade, conscient de son incapacité, ne cherche pas à répéter le mot , à essayer une articulation impossible. Il saisit

cas, nous voyons le malade faire un effort pour saisir et répéter le mot , le balbutier d'une façon inintelligible ou répon

mot, le balbutier d'une façon inintelligible ou répondre par un autre mot ou par un mot invariable. Ici, rien de semblable,

ier d'une façon inintelligible ou répondre par un autre mot ou par un mot invariable. Ici, rien de semblable, il n'y a ni s

accuse moins nettement. Le malade a quelquefois du mal à prononcer le mot parce qu'il bégaye, mais il l'écrit avec correcti

t eût môme conservé nettement la notion visuelle de l'orthographe des mots ; mais « l'idée (motrice graphique) des lettres n

n leur faisant exécuter des travaux délicats (coudre, tricoter.) Le mot agraphie date de 1867, époque où il fut introduit

que la clinique était arrivée à isolerjm,alre élé-men tsjoujûteurs du mot : l'image auditive, l'image visuelle, -~Yîmage

s seules ressources de l'induction, aux conclusions suivantes : « les mots peuvent être considérés sous quatre aspects : 1°

près quelque réflexion, on trouvera que toutes les idées qu'excite le mot proviennent d'une des quatre sources qui viennent

. » Comme on le voit, tout en donnant à ces deux sources de l'idée du mot une importance prépondérante, Hartley n'excluait

te indépendance relative des sources dont nous tirons les éléments du mot . C'est donc en résumé, à quatre modes spéciaux

du mot. C'est donc en résumé, à quatre modes spéciaux de mémoire du mot (ou des impressions et actes par lesquels nous en

entre de la mémoire des signes du langage écrit, ou centre visuel des mots , CVM, c'est par l'œil que les notions spéciales a

s mots, CVM, c'est par l'œil que les notions spéciales ayant trait au mot écrit lui parviennent en même temps que les notio

gasiner dans le centre visuel commun, CVC. — Que le centre visuel des mots soit le siège d'une lésion, le malade pourra enco

des mots soit le siège d'une lésion, le malade pourra encore voir les mots écrits, mais il ne les comprendra plus, il sera a

886. Fig. 90. — CVC, Centre visuel commun. — CVM, Centre visuel des mots . — CAC, Centre auditif commun. — CAM, Centre audi

uel des mots. — CAC, Centre auditif commun. — CAM, Centre auditif des mots . — CLA, Centre moteur du langage articulé. — CLE,

e anatomique rigoureuse. De même que l'on a vu le centre visuel des mots être en rapports intimes avec le centre visuel co

t entre eux, dans les deux sens, les quatre centres de la mémoire des mots , ils expriment les connexions intimes et multiple

l'indépendance relative des sources dont nous tirons les éléments du mot . C'est, en effet, sur cette notion qu'est fondée

té verbale, comme celui de Fraenkel, et ne comprenant pas le sens des mots qu'on lui dit arrive à pénétrer ce sens par un de

artifices suivants: ou bien il cher- che à répéter, à articuler ces mots , et, grâce à ces mouvements, il finit par les com

endre; dans ce cas, le centre moteur qui préside à l'articulation des mots vient au secours du centre auditif; ou bien ce ma

s mots vient au secours du centre auditif; ou bien ce malade écrit le mot qu'il entend et en saisit alors le sens; ici, c'e

s, les individus atteints de cécité verbale arrivent à comprendre les mots écrits en cherchant à tracer eux-mêmes les caract

eur et peuvent, elles aussi, comme ces dernières, réveiller l'idée du mot . Mais la loi d'indépendance des centres n'est c

gage intérieur, tel ou tel centre prédomine dans la représentation du mot , suivant que, chez tels ou tels individus, la for

, suivant que, chez tels ou tels individus, la formation de l'idée du mot a lieu de préférence par un des mécanismes exposé

il s'agira de gens qui sont en état d'arriver à la représen talion du mot par l'un quelconque des quatre procédés en questi

personnes qui n'ont cultivé qu'un seul genre de mémoire des images du mot se trouvent toutes désemparées, si le centre de c

images auditives. — L'amnésie verbale ne répond pas à une unité. — Le mot est un complexus, on y reconnaît, chez les indivi

ervant pas de leurs mains, dépourvus d'attention, ne prononçant aucun mot , tiqueux, gâteux. On fortifie leurs ïambes avec l

r l'opération à laquelle il va être procédé, écrit ou fait écrire les mots fau-chage, faucheuse, faux, avoine, épi, etc., et

peuvent être le point de départ de l'onanisme ou l'entretenir. En un mot nous veillons et nous faisons veiller à l'hygiène

réservé et pour que, en cas de délit, le tribunal ne puisse arguer du mot guérison. Mass... Poitev. Saum . Bru____ De

» 1 » 10 ans droit. jüer12 ans » » 1 » » » droit. Enfant assistée Mot .;;;!*.;;'..;.....14 ans » ? i » » » gauc. Enfant

introduction dans les écoles primaires. La réunion de tous (1) Les mots débilité moniale, employés par quelques médecins

é moniale, employés par quelques médecins font double emploi avec les mots imbécillité simple et arriération. Ils devraient

epi, etc.) Ces exercices sont suivis d'autres exerci-d'applicationaux mot usuels : pain, pot, pépin, etc. — Profi-ter de ce

ificulté plus ou moins grande d'imitation et d'émission. Se servir de mots usuels inscrits sur de petits cartons que l'on fa

phos, bateau) Définitions Téte pointue. Brachycéphale. (De deux mots grecs, brakus, court et képhalè, tête.) Le diamèt

doigts rapprochés et allongés. Manie de briser. Manie de dire des mots grossiers. Acte des enfants qui mangent tou-tes

nie de mordre. Répétition du môme mouvement. Manie de répéter les mots qu'on prononce devant vous, ou qui termi-nent les

imaginaires. Manie de se manger les ongles. Manie de répéter des mots sans liaison entre eux et sans à propos, à la faç

rve. 1894. — La far oie, nulle à l'entrée, semble naître. Quel-ques mots , papa, maman, pain et soupe, sont articulés nette

it n'est pas rare. Des enfanls, dont la parole est limitée à quelques mots , prononcent parfois sans difficulté, nettement, d

e à quelques mots, prononcent parfois sans difficulté, nettement, des mots grossiers. Cela tient, croyons-nous, à ce que leu

estiques, les charretiers, etc., et aux reproches que leur valent ces mots . 1902. — L'enfant parle, fait des phrases, il r

n peu ordurier, il se trouve blessé quand un autre enfant prononce un mot grossier. Il dit tous les mots, chante bien et ju

lessé quand un autre enfant prononce un mot grossier. Il dit tous les mots , chante bien et juste. Il est devenu propre, va s

1903. — La compréhension semble se développer. Il pro-nonce quelques mots , comme papa, popo, pipi, etc. Il reste toujours g

venue meilleure; gâteux depuis un an. La parole, limitée à quelques mots seu-lement, est aujourd'hui existante; l'enfant r

1890. — Le vocabulaire a augmenté; l'enfant prononce presque tous les mots , sait son nom et celui des personnes qui le soi

nt; l'écriture est lisible, et il peut écrire sous la dictée quelques mots usuels, faire des problèmes simples sur l'additio

mélioration continue. Aujourd'hui il mange seul. Il prononce quelques mots : Maman, pain, non. — Oh lala, quand on veut le f

ujour-d'hui sans presque être soutenu. Le vocabulaire s'augmente, les mots acquis sont: gâteau, viens, tiens, prends, là-hau

plus en plus. L'en-fant est tout à fait propre. Il prononce tous les mots , en ayant encore toutefois une prononciation; déf

parole reste défec-tueuse, il n'est arrivé encore qu'à prononcer les mots papa et maman. Il est toujours de moins en moins

en classe. La lecture est courante. Il écrit sous la dictée, quelques mots usuels sans faire par trop de fautes. Il a appris

sme, un peu aussi au point de vue de la parole limitée seu-lement aux mots papa et maman et actuellement augmentée des mots

mitée seu-lement aux mots papa et maman et actuellement augmentée des mots pain, sou, pipi, quaqua. Aux séances de -projec

. Il a beaucoup gagné pour la parole, il fait effort pour répéter les mots , commence à en assembler quelques-uns. il appelle

les chiffres et à les reproduire; actuellement, il syllabe, trace des mots , sait même écrire de mémoire son nom, son âge, se

ent. Nous remarquons une disposition naturelle pour l'orthographe des mots . 1905. — Deva... a continué de bien travailler,

es parvenues. L'écriture a marché de pair ainsi que l'orthographe des mots , chaque jour il copie et écrit ensuite de mémoire

par esprit d'imitation, a fait effort pour parler et prononce quelque mots dont il ne com-prenait pas le sens et répétait co

ace à une certaine spontanéité. Actuelle-ment Félix assemble quelques mots que l'on comprend facile-ment, ces mots ne sont p

-ment Félix assemble quelques mots que l'on comprend facile-ment, ces mots ne sont pas dits machinalement, ils sont l'expres

ne voie pour la lecture courante, écrit de mémoire un grand nombre de mots ainsi que les chiffres jusqu'à 100. Ce malade q

'il écrit, reproduit de mémoire, sur son cahier, un certain nombre de mots connus comprend pas encore l'application. La pa

ns orales, puis à l'écriture et au calcul et surtout à la lecture des mots imprimés. En 1902, il lit presque couramment, cop

ent, copie ce qu'il lit et écrit même de mémoire un certain nombre de mots imprimés. Il établit bien la relation entre le ch

endre goût à la lecture et à l'écriture, lit un certain nombre de nos mots imprimés et s'intéresse davantage à tous les exer

alisés et travaille avec plai-sir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolé-ment; syllabe assez facilement; fa

ivé à lire couramment grâce à l'emploi simultané du syllabaire et des mots imprimés iso-lément. L'écriture ayant marché de

que jour la leçon de lecture et écrit de mémoire un certain nombre ds mots , tels que ceux qui concernent les couleurs, nombr

is tous ces sons, bien articulés au commencement ou dans le corps des mots , sont nuls lors-qu'ils forment la syllabe finale

s classiques. Il a une mémoire extraordinaire pour l'ortho-graphe des mots qu'il a lus. Il fait l'addition, la soustraction,

lire tout à fait couramment. Il ne s'habitue pas à lire du regard un mot entier pour le prononcer ensuite à haute voix. Il

pour graver dans sa mémoire la forme graphique d'un grand nombre' de mots . L'écriture, moins empâtée, a beaucoup gagné pe

ction, écrit de mémoire sous forme de dictée un certain nombre de nos mots imprimés. L'attention, qui semblait infixable a

soins. La parole à fait de grands progrès; il. dit tous les jours des mots nouveaux mais avec une articulation encore très d

de lui faire écrire de mémoire la plus petite dictée, même celle des mots qu'il écrit journellement. 1903. —? Les progrès

cs et verts, et les différentes variétés de pâtes alimentaires, en un mot fout ce qui est con-tenu dans les tiroirs des leç

soins concernant sa toilette lui étaient complètement inconnus; en un mot elle laissait à désirer principalement au point d

nt pas observée, elle bavardait et riait sans crainte; il était en un mot bien difficile de se rendre compte de ce caractèr

utôt inerte et pensive, elle était surtout triste et taciturne; en un mot , Henriette n'avait pas le caractère d'une enfant

ssante, elle s'accorde très bien avec les compagnes de son âge; en un mot elle est plus calme et plus tranquille. Elle proc

us qu'au repassage; elle n'avait aucune notion de gymnas-tique. En un mot elle pouvait compter parmi les plus indiscipli-né

s et muets. Nous sommes cependant parvenues à lui faire dire quelques mots usuels. Elle reconnaît bon nombre de mots; elle é

s à lui faire dire quelques mots usuels. Elle reconnaît bon nombre de mots ; elle écrit bien et tait des copies, connaît les

2 mai 1902'. atteinte d'idiotie myxcédêmateuse. Elle ne disait'pas un mot , elle poussait seulement un son rauque. Elle ne m

à tout ce qui se passait autour d'elle, cherchait à répéter quelques mots tels que: maman, papa, tata, attends, etc.; essay

onstruit même de petites phrases, en disant principalement la fin des mots ; ainsi, par exemple, le matin lorsqu'elle aper-ço

éclats et pousse des exclamations quand elles sont grotesques. En un mot , l'enfant est très améliorée sous tous les rappor

mais était incapable de se donner le moindre soin zozotait à chaque mot et il fallait être habitué à son langage pour sai

c, bien des difficultés qu'on est parvenu à lui faire écrire quelques mots , ne fait que de petites copies, elle con-naît ses

hmétique, commen-çait la division et savait rédiger une lettre; en un mot l'enfant pouvait se tirer de peine. Elle savait f

ts avec ses compagnes ou bien elle les déchirait: elle agissait en un mot comme une enfant qui n'a pas un brin de raison. E

ire qu'elle était maltraitée. Elle ne marchait pas et ne disait aucun mot , elle gâtait nuit et jour. 1903. — Cette enfant

chant et la musique, fredonne certains airs mais ne dit que ces deux mots : inaman, bobo. Elle boit et mange seule, ce qu'el

progrès sont toujours lents pour la parole qui est limitée à quelques mots les plus usuels; elle dit fran-chement: papa, mam

t à signaler d'une façon toute particulière. Elle ne prononçait aucun mot , ne faisait entendre qu'un gazouillement tout à f

bien, commence même à assembler, cherchant à compren-dre le sens des mots ; elle commence également à copier, forme bien les

nfant s'est habituée au personnel; elle a com-mencé par dire quelques mots , puis des phrases; aujour-d'hui (1900), elle parl

e fait avec beaucoup plus d'adresse, se débarbouille elle-même, en un mot procède entièrement seule aux soins con-cernant s

ourire est doux et jovial. A son entrée, elle ne prononçait que des mots sans suite, incompréhensibles même pour les perso

te d'idiotie avec hémiplégie, marche nulle, parole limitée à ces deux mots ; papa, maman. A son entrée, elle laissait à désir

ue, rédige une lettre, son écriture est lisible et bien formée; en un mot l'en-fant peut se tirer de peine pour les usages

fait également quel-ques progrès en classe: elle a appris à lire des mots , à les écrire lisiblement, à compter (addition),

as-pect était débile et maladif. L'enfant ne prononçait que quel-ques mots : papa, maman, caca, mais n'avait pas conscience d

nt est venue parmi nous, elle ne marchait pas, ne disait que quelques mots tels que: papa, maman, oui, non. Elle était très

ien des rapports. D'abord la parole: elle com-mença par dire bien des mots , construisit ensuite quelques phrases; de sorte q

x, elle parlait bien, mais riai n'était suivi dans son langage; en un mot elle était tout à fait incohérente. Le caractère

sante, polie avec le personnel, bonne avec ses compagnes. C'est en un mot une enfant calme et tranquille, franche, ouverte

parlait à peine, ne pouvait ni s'habiller, ni se déshabiller; en un mot , elle était incapable de se donner le moindre soi

e prononciation (bégaiement), elle parlait peu, ne se ser-vait que de mots pour désigner un objet quelconque, n'em-ployait p

ent. 1905. — Nous n'ajoutons à la note de cette enfant que quelques mots . — Elle est toujours en bonne voie d'améliora-tio

, pour les filles. Ou nous a demandé ce que nous entendions par les mots améliorés, très améliorés : nos observations four

em-ployer. Si nous ne mettons que rarement dans nos sta-tistiques le mot guêrtson, c'est parce que, s'il survient quelque

ect, monsieur le baron, etc. Adolphe Didier. POLÉMIQUE QUELQUES MOTS A M. CLEVER DE MALDIGNY. Nous nous permettrons

is dans l’erreur. D’intention, j’ai prié Pauline d’articuler quelques mots . Sa réponse mentale fut : « Je ne veux pas. » Eh

de la volonté... Donc, cette influence est matérielle, physique en un mot , comme l'action qu’exerce l’aimant sur un barreau

cquièrent momentanément des formes apparentes? L’homme peut-il, en un mot , par son seul arbitre, créer et anéantir à sa gui

ps plus ou moins diaphane, plus ou moins dense; ils existeront, en un mot . (1) Nous ferons observeràM. Clever de Maldigny

ls ne se reconstituent plus. Rationaliste dans toute l’acception du mot , nous sommes loin de nous piquer d’ascétisme; nou

raison pure, elle ne nous parait point soutenable. Encore quelques mots . Le docteur de Versailles rapporte le fait suivan

on ami se réveilla de même, et sans un geste quelconque ni le moindre mot de ¡¡a femme, il s’écria : « Voyez-vous Dimitri «

mitri, ceci en vertu du phénomène physiologique qu’on définit par ces mots : la persistance des images sur la rétine. Voilà

êves chez les personnes de notre entourage ; nous reproduisons, en un mot , à notre gré, des scènes semblables à celle qui f

fait suivant aux phénoménisations (M. Clever de Maldigny a créé là un mot des plus heureux, pour désigner les manifestation

ossible dans l'état de veille de comprendre et même de rassembler les mots . La langue du sommeil est celle de la nature, h

uche, qu’ils crurent être sympathiques et nerveux. Voici, en peu de mots , le traitement que nous avons employé et ses résu

le contre des moulins à vent; par le prisme (je renvoie à l’auteur ce mot qu’il m’adresse) de la bonne foi de sa préoccupat

chose. » Elle allait le remercier de son obligeance et lui dire un mot de la réception qu’on lui avait faite, lorsque l’

prévenir l’autorité et faire rentrer mon fils dans ses biens. » A ces mots , le mort-vivant se lève, fait un salut des plus g

e répond nullement à ce qu’on avait le droit d’en attendre ; qu’en un mot , il est sans le moindre intérêt, et que nous ne c

ents par alliance.» Frappée de cette vision et surtout des derniers mots qu’elle vient d’entendre, la dame se réveille à l

usqu’à présent, pour nous, la raison pure ne résume que le vague d’un mot : la raison expérimentale est le flambeau d’une p

esprit! Ce démon fallacieux Porte écrits sur sa bannière Les trois mots séditieux : « Amour! Liberté I Lumière I » Ca

ant, laquelle était morte depuis peu et disait à son époux ces quatre mots : (I) Voir une première lettre du docteur Charp

cours du docteur Clever de Maldigny: Page 275, ligne 25, au lieu du mot : échecs, lisez : échos. Page 270, ligne 0e, ap

lieu du mot : échecs, lisez : échos. Page 270, ligne 0e, après ces mots : la raison pure, ajoutez : à moins de la concevo

lisez : sont des hommes (¡raves, etc. Page 277, ligne 1", après ces mots : serviable et pratique, supprimez la virgule.

emption pour le positif qui les renverse! — vous délecter du vide des mots et planter votre pieu prohibitif sur ce que « Die

nt, excitant, tonique, calmant, fondant, dérivatif, stupéfiant; en un mot il peut revêtir toutes les formes suivant les bes

pas, .M. ('.omet n’a pas eu de peine à le franchir. Surnaturelles, ce mot a dû coûter aux habitudes scientifiques de l’aute

spire. Surnaturel, providence, hasard, nature, etc..., sont autant de mots que le sentiment semble créer pour effaroucher la

es à son insu dans un appartement voisin de sa chambre, rendait mol à mot compte, si l’on insistait pour le savoir, de ce q

érébrales de prétendues facultés surnaturelles qui n’existent pas. Lo mot surnaturel signifie nécessairement hors nature, e

es qui ne vivent que parce qu’ils sont soumis aux lois naturelles. Le mot intuition employé dans le même sens, c’est-à-dire

t de réfutation tant il est absurde. Maintenant tous se sont donné le mot , tous s’égalent en déni de justice : ce serait à

t à fait jovial, ils fredonnaient une chansonnette ou disaient un bon mot ; ils faisaient bien mieux, ma foi, ils tournaient

urtant) au mauvais œil, c’est ce qu’ils appellent simplement (nazar), mot arabe qui signifie voir. Cette croyance populaire

est en trois. Étymologiquement parlant, le mol liamaïl se rapporte au mot Çifuij (hemay) des Arméniens, fwytfo des Grecs, a

ellent ujqoiiUrL (aghotèle), c’est-à-dire prier (1). Voici, en peu de mots , leur manière d’agir : On place le souffrant sur

des gens persuadés fermement avoir été guéris par l’okoudmak. En un mot , tous les procédés magiques, les enchantements et

principe naturel, vrai, positif, évident, incontestable, exact, en un mot . • (Journal du Magné-lime, n» 8!, 25 mal 1804-1

a volonté..... Donc, cette influence est matérielle, physique en un mot , comme l’action qu’exerce l’aimant sur . un barre

fréquentes pierres d’achoppement ? Par ordre, d’alphabet, ce sont les mots : Ame, Esprit, Fluide, Matière, Pensée, Physique,

d’un inconvénient. Que signifiaient, pour l’antiquité savante, ces mots , traducteurs de ses données positives, et qui se

Christ a dit : C’est la lettre qui tue et l’esprit qui vivifie ; (le mot « esprit » pris ici sans métaphore). — Je ne sais

moins par beaucoup. La raison (ratio, faculté de connaître) est un mot d’une élasticité par trop grande et que notre p

de l’Académie, et vous verrez à combien d’expressions différentes ce mot est employé. De là, plusieurs raisons : l’une qui

l’agneau, la raison du plus fort, le despotisme conventionnel, en un mot , que reçoit et partage le vulgaire. Les autres (l

ne, vint remettre cette question à l’ordre du jour et le hazard, — ce mot vide de sens, employé dans notre langue, et inven

est employée pour signifier Esprit). Si vous n’aviez pas ajouté le mot : retiré, qui peut encore donner lieu à controver

pposition n’est pas ha- sardée et vous avez bien évidemment pris ce mot dans le sens que lui attribue sa qualité de verbe

t, à vous dire vrai, je ne suis pas spirite, dans l’acception pure du mot , parce que, au point de vue thérapeutique du magn

u’on voitquand il est fait, mais qu’il est défendu deivoir faire. Les mots tour de force peuvent être pris ici comme chacun

cun l’entendra; je les crois plus vrais et surtout plus polis que les mots tour d'adresse, qui impliqueraient une fraude que

e, mais qui est déjà quelque peu à l’état d’embryon. Ils se payent de mots qui ne les compromettent guères, ils sont expecta

arfait de somnambulisme éveillé, s’il est permis d’accoupler ces deux mots qui semblent s’exclure, et ne trouverait-il pas a

norent en sa nature. C’est un protée mystérieux qui transmue (1) Le mot âme est pris ici dans son acception de quintessen

lons parler. Disons auparavant que, dans le magnétisme vulgaire, le mot fluide semble devoir mieux s'appliquer à l'effluv

eu de : Réponse aux quelques objections; lisez : Réponse aux quelques mots . Page 421, ligne 37, au lieu de : Confession d'

: F.ndiomètres; lisez : Eudiomètres. Page 420, ligne 30, après les mots : De la lucidité somnambutique; ajoutez : Et des

uvais vouloir. Mais je parle des magnétiseurs sérieux, de ceux, en un mot , qui n’ont pas d’autre raison valable à opposer à

ts d'investigation inouïs pour arriver à démêler ce galimatias. Eu un mot , tout est confus, la plaque ne présente plus rien

u’il a été vaincu, dompté, endormi, mal réveillé et malade. Plus un mot contre mes conclusions qui ont été mises aux voix

Cros fait dériver l’élymologie du nom de cette dernière faculté, des mots inter eligere, choisir, juger. Cependant, pour ce

nsi, je le suppose, vous désignez un fruit, et ce fruit, n’importe le mot de linguistique, se dessine à la trame secrète de

: c’est que la perte de la mémoire de certains ordres d’objets ou de mots , l’affaiblissement du jugement, do la faculté d’a

acilement les influences des milieux éthéréens. La pensée, pensa/a ( mot à mot, la pesée), n'est qu'une impression fluidiq

ent les influences des milieux éthéréens. La pensée, pensa/a (mot à mot , la pesée), n'est qu'une impression fluidique, au

pourtant de tous les philosophes : Bacon, entre autres, appliquait le mot métaphysique à celte partie de la physique où l’o

des plus crémcnliliels aux plus déliés,sont phy- , tiques, puisque ce mot est synonyme de natu-rels. Ce qui n’empéclie pas

agnétisme. Voilà, dans son étymologie entière, la signification de ce mot le plus largement défini. Mais une aussi vague ac

ression psychique alors n’est plus qu’nn terme sans valeur, un de ces mots nommés par Hermès : « appellations qui troublent,

as; et d’un mouvement de tète il indiqua ce qu’il voulait dire par ce mot affaires. Ce geste si simple signifiait, à ne pas

... a Nous entendons par volonté la même chose que la liberté ; les mots volontaire et libre ont exactement le même sens.

rendu un compte suffisant du phénomène. Et d’abord, en se servant du mot Ame, il a le tort de recourir à un principe dont

omène que l’àme est toujours éveillée. Il faut bien s’entendre sur ce mot . Veut-on parler de l’intelligence (*), l’assertio

soi, dans sa principia-tion, dans sa constitution essentielle : en un mot , c’est Vesprit, c'est la force dans son individue

chaleur, de la lumière, des odeurs, des saveurs, des couleurs, en un mot de toutes les modifications, de toutes les transf

s. C’était une croix à laquelle était attaché un papier contenant ces mots : • Si lu mets la bêche dans ce champ, un fantôme

ne heure ! — o Donc, cette influence est matérielle, physique en un mot , comme l’action qu’exerce l’aimant sur un barreau

sincère ! — «Eh bien I levez-vous, et marchez sans appui. « A ces mots la princesse se leva, fit quelques tours dans la

toutes), l’adversaire, échauffé par sa philippi-que, nous décoche ce mot d’Alphonse Karr : « Do tous les sens attribués à

a permission de faire une expérience, et voici ce qui se passa : Sans mot dire, il la conduisit en pleine mer, mentalemen

l’écrivain qui voudrait entreprendre ce travail ; — à composer, en un mot (ce qui ne l’avait jamais été avant lui), un recu

s et les pamphlets. Il a passé tout en revue, n’écrivant une note, un mot , ne donnant un nom qu’en indiquant les sources où

t aux études médicales : mon œuvre sera donc simple et claire, et les mots scientifiques y seront peu nombreux. Mon désir le

e se borne pas à notre grain de sable) ; M. d’Arbaud, alambiquant des mots qui, par eux-mêmes et non mieux élucidés (2), n’e

de surexcitation (1) Voir les n’* 112, 113, 114,115, ne. (2) Les mots : crise de noctambulisme, vue magnétique à dit-ta

mitri, ceci en vertu du phénomène physiologique qu’on définit par ces mots : la persistance des images sur la rétine. Voilà

il doit y avoir quelque chose d’écrit. 11 prit l’ardoise, et lut ces mots : Gouvernez au nord-ouest. Ayant fait écrire les m

et lut ces mots: Gouvernez au nord-ouest. Ayant fait écrire les mêmes mots par Bruce et par tous les hommes de l’équipage sa

la retourna sans faire semblant de rien, et montrant au passager les mots écrits précédemment, lui dit : — (’.’est bien là

avoir vu aujourd'hui, à midi, assis devant ce pupitre et écrivant ces mots .-— C’est impossible, puisqu’on m’a amené sur ce b

Eh! ce sont celles qui se rendent à votre appel. — Je n’ai pas dit un mot . — Vous ne savez donc pas que tout est aimant dan

mais d'une sonorité parfaite, etc. Madame Ogier trace rapidement ces mots sur le papier : « C’est mon père! 11 est heureux

ent défectueusement; les lettres se succèdent sans ordre; ce sont des mots dépourvus de sens ou des consonnes intarisables.

ar quelques notes favorables relatives à l’interprétation de certains mots dont le sens n’était point encore suffisamment fi

’étyiuologie I Oui, c’est la maxime de Platon : ■ la connaissance dei mots conduit lt la connaiaaance dn chosea. • qui tie

rnal. On le voit, jamais on ne s'est plus occupé de Magnétisme. Les mots qui peignent celte force ont passé dans le langag

haut de la chaire, en présence de bien des milliers de personnes, les mots mystérieux de magnétisme et de puissance adamique

t de vue historique. Nous allons simplement la compléter par quelques mots sur le rôle de Mesmer et de ses aides. Le baque

nsieur l’abbé ? Si l'on en croit certain docteur Spécifique est lin mot trompeur. (1 ] Correspondance littéraire de Gri

ience ésotérique de l’antiquité qui nous échappe encore, et, dans les mots qui se prononçaient aux enchantements, s'offriron

ment qui s’y rattache. L’examen des figures qu’offre ce monument, des mots qui sont inscrits sur l’une de ses faces, des pro

irconférence du miroir on lit, en outre, très-distinctement plusieurs mots ; ce sont, en commençant par le haut et en allant

le haut et en allant de gauche à droite : Muer te, Etam, Teteceme, un mot effacé, Zaps. 11 est probable qu’entre le mot eff

te, Etam, Teteceme, un mot effacé, Zaps. 11 est probable qu’entre le mot effacé et ce dernier, on en lisait encore d’autre

m, ch. xxvi, trad. Tui-quet. (2) Dictionnaire critique de Baylc, au mot Pythagorc. ture convenable pour lire dans le mi

pprochait un bougeoir portant une bougie sainte, et on prononçait ces mots généralement en italien : Anyelo bianco, an-gelo

par certaines formules diaboliques dans lesquelles on prononçait des mots obscènes, et où l’on invoquait les puissances de

e moyen sur un corps poli;placé de l’autre côté du miroir. Quelques mots maintenant des inscriptions gravées sur le miroir

nt on accusa le fameux Trois-Échelles, le sorcier de Charles IX. Le mot zaps qui se trouve placé au sommet du miroir à dr

e effacée, est sans contredit le plus digne d’attention. En effet, ce mot se trouve précisément être un de ceux que Clément

précisément être un de ceux que Clément d’Alexandrie nomme parmi les mots qui portaient le nom de lettres milésiennes, et d

ennes, et dont les magiciens se servaient dans les enchantements; ces mots étaient BÉiu, Zx]i, X9iw, nXwTp:v, Iqiy£, Kva^cc,

v. 88 cl suiv.) Cf. Valer. Flaccus, lil). VII, •403. Afir.'4 (1 ), mot qui selon ce père de l’tëglise étaient tous d’ori

, puisque d’après la croyance ancienne il fallait, pour conserver aux mots des invocations leur vertu magique, ne pas môme l

élèbres encore que les milésiennes, et qui avaient le même objet. Ces mots qui nous ont aussi été conservés, que Plutarque (

Alexandrie (5) etHesychius (>); ils étaient au nombre de six. Le mot etam qu’on lit sur le miroir est bien célèbre dan

lai, et parcourant ainsi les airs à la façond’Abaris (1 ). Quant au mot bemarrouetak, c’est une locution arabe qui signif

t le sorcier qui invoquait son assistance. Nous ignorons le sens du mot tctcceme, qui n’est sans doute qu’un autre mot sa

us ignorons le sens du mot tctcceme, qui n’est sans doute qu’un autre mot sacramentel. Un fait ressort de notre travail :

demande au sujet du sommeil. La réponse fut encore négative, sauf ces mots : — Je sens que bientôt je dormirai. Malgré l

ir les maladies par le magnetisme. par M. le baron Du Potel. Quelques mots sur la pro-chaine publication de cet ouvrage, 532

),a),w, je parle) ; mais il nous a semblé préférable d'employer le mot coprolalie, qui, quoique moins exact, a l'avant

iste, car nousn'en connaissons aucune description au vrai sens du mot ; elle peut se diviser en deux périodes, toutes

, c'est encore une tendance singulière à ré- péter toujours le même mot , la même exclamation et même l'individu profère

ot, la même exclamation et même l'individu profère à haute voix des mots qu'il voudrait bien retenir. Ces tics sont bien

parole, cette jeune personne fit entendre des cris bizarres et des mots qui n'avaient aucun sens, mais tout cela sans d

e qu'elle dit ou ce qu'elle écoute par des cris bizarres et par des mots encore plus extraordinaires, et qui fout un con-

traste déplorable avec son aspect et ses manières distingués ; les mots sont pour la plupart des jurements grossiers, des

culaire et prononçait malgré elle, même dans les lieux publics, des mots obscènes ainsi que il. Cliarcot en a été témoin

ouaoùt 1 88 %, et certains ont offert à leurs lecteurs un régal des mots obscènes qu'elle prononçait et qui étaient en p

ette dénomination ordurière, car chez S... ce caractère ordurier du mot ou de la phrase qui accom- pagnent le geste est

le geste est constant. Lorsque le malade n'a pas été frappé par un mot , par un fait qu'il peut traduire par le lan- ga

traduire par le lan- gage, il accompagne souvent ses contorsions du mot merde; et cela, devant n'importe quel auditoire

orcé d'imiter par ses gestes, de même qu'il imitait en répétant les mots qu'il entendait dire, mais dans des cir- consta

fois il avait assez d'empire sur lui-même pour ne pas prononcer ses mots orduriers habituels : dès lors, gestes et mots

pas prononcer ses mots orduriers habituels : dès lors, gestes et mots furent faits et prononcés avec un luxe et une fré

on absence. S... a insensiblement perdu l'habitude de prononcer des mots orduriers, mais il est encore écholalique; si o

temps que survenait une contorsion, G... se mettait à prononcer le mot : merde, avec force. Les parents crurent à un s

ris lorsque,dans les périodes les plus accentuées de la maladie, au mot de merde s'ajouta celui de couillon. Merde, cou

ut appeler l'attention sur un autre symptôme. Pendant l'examen , le mot de Charcot, vient frapper son oreille, aussitôt

prend alors que, vers l'époque où l'enfant commença à prononcer son mot ordurier, il devint également écholalique, se m

galement écholalique, se mettant, sans rime ni raison, à répéter un mot , une fin de phrase. Ces mots, G... est incapa

nt, sans rime ni raison, à répéter un mot, une fin de phrase. Ces mots , G... est incapable de s'empêcher de les prononce

roduire : les mouvements sont moins fréquents, moins accentués : le mot ordurier est moins souvent prononcé. Il devient

raitement : il se plaint d'être plus énervé depuis quinze jours. Le mot merde, qu'il ne proiio, venu : il le dit pendan

épéter -symptôme qui n'était jamais dispj"M3a"tm d'une phrase ou un mot qui l'a frappé. Il s'ennuie beaucoup et voudrait

opos, il a des secousses muscu- laires et répète tout haut tous les mots qui caractérisent l'idée qui le domine au momen

retourner dans sa famille. De temps en temps, il prononce encore le mot merde. Etat stationnaire, fin novembre 1884. Ob

il était poussé par le besoin presque irrésistible de 2épé- ter un mot , un bout de phrase qui l'avait frappé davantage.

un vif désir de respec- ter les convenances pour ne pas répéter ce mot tout haut ; tou- tefois il s'est aperçu à diffé

il lisait, d'être poussé par le besoin irrésistible de prononcer ce mot , cette phrase qui attirait toute son atten- tio

l'intelligence étaient pour le moment absorbées chez lui, par ce mot , cette phrase qui alors s'emparaient de toute sa

s lui faisaient perdre le fil du discours ou de la conversation. Le mot entendu ou qui en lisant l'avait frappé avait d

tefois un instant après avec plus d'intensité et s'accompagner du mot qui représente l'idée qui a fixé son attention. L

mais après qu'il l'a remis les mouvements s'exagèrent, il répète le mot qu'il a en tète ; il y a là une sorte de détente

ni dit DE L'INCOORDINATION MOTRICE. 37 pendant ses contorsions de mots orduriers. Pendant que nous l'examinons, il cli

t son ouh habituel ; mais elle n'a pas remarqué qu'il répétât les mots qu'il entendait prononcer , ni des mots orduriers

remarqué qu'il répétât les mots qu'il entendait prononcer , ni des mots orduriers. 27 juillet. -L'enfant eut une angine

faisait, en commen- çant certaines phrases, comme une bouillie des mots qu'il prononçait. Je crois qu'il imitait ce qu'

mes convulsifs accompagnés de l'émission brusque et involontaire de mots grossiers ou obscènes. DE L'INCOORDINATION MOTR

: « 17a-t-en, va-1-eie, imbécile ». Un peu plus tard l'émission des mots devint plus fréquente, plus nette encore et les

l'émission des mots devint plus fréquente, plus nette encore et les mots furent empruntés au vocabulaire le plus grossie

plus continue. On se demande où et comment elle a pu apprendre les mots qu'elleprononce : « nom de Dieu-, foutre, merde

rossières qui font partie de son vocabu- laire habituel. Jamais les mots ne sont prononcés sans qu'il y ait en même temp

aucune parole soit articulée et nous avons vu que d'autres fois les mots pouvaient être étouffés et rendus incompréhensi

l'a jamais recherchée en prononçant à haute voix devant elle les mots grossiers qui lui sont familiers. Tout au contrai

au contraire, la mère de la malade avait cherché à substituer à ces mots des expressions indifférentes, des exclamations

rnoyer et qu'on va lui arracher le gosier », pour citer ses propres mots ; on y voit une aura quasi complète et, dans ces

chire parfois le col de sa chemise ; en un 56 , RECUEIL DE FAITS. mot , elle cherche à se débarrasser de toutes les caus

revenue à elle, elle est apha- sique, et n'a conservé que quelques mots allemands (elle parle bien cette langue, ayant

e des choses entendues. Elle n'a pas plus oublié la musique que les mots , elle reconnaît les notes 1 l'oreille et à la v

faut en finir; il a dans la main son couteau ouvert et sans dire un mot , il la frappe à la poitrine. Elle pousse un cri,

poml : «'l'aisez-vous, folle, stupide bête; si je voulais écrire un mot , demain otis seriez moite». Un jour, s'adressan

a menaça et lui répéta pour la centième fois qu' « il n'avait qu'un mot il dire et qu'elle mourrait». ,. G... était,

SOCIÉTÉS SAVANTES. 93 Soit A, Le centre des images acoustiques des mots . M. Le centre des images motrices des mots. A

s images acoustiques des mots. M. Le centre des images motrices des mots . AM, La voie d'union entre ces deux centres.

ession du tractus Aa se traduit par la perle de l'in- telligence du mot , de la faculté de répéter, et d'écrire sous la di

mprimer une nouvelle impulsion aux progrès du l'amélioration; en un mot , l'action graduelle est indispensable tant que l'

ou encore de répéter quatre ou cinq fois la même syllabe d'un même mot . Jamais il n'a répété les mots prononcés devant l

u cinq fois la même syllabe d'un même mot. Jamais il n'a répété les mots prononcés devant lui par une autre personne. Il

de ses crises, il prononce une ou deux fois, trois fois au plus des mots qu'il ne voudrait pas dire, en particulier zul

rticulier zul ou mercie; le plus souvent il dit sèchement un de ces mots une seule fois. Toujours les crises sont diurne

pt ou huit fois et cessent; il ne prononce plus involontairement de mots grossiers, et ne répète plus les mots ou les sy

once plus involontairement de mots grossiers, et ne répète plus les mots ou les syllabes. Archives, t. IX. 1 1 RÉSUMÉ

té de tics convulsifs, pendant lesquels il prononçait avec force le mot merde à plusieurs reprises. M. le Dr Fére nous

ec le summum de la convulsion, mais le cri devient articulé et le mot que le malade va prononcer, mot variable, prend

mais le cri devient articulé et le mot que le malade va prononcer, mot variable, prendra dans certains cas les caractè

ec force et rapidité son propre nom en accompagnant l'émission du mot d'une de ses convulsions ordinaires. Il n'est t

rent ; aussitôt il répète, avec une secousse, le ou les derniers mots de la phrase qu'il vient d'entendre. Il est par

il, j'étais poussé par le besoin presque irrésistible de répéter un mot , un bout de 176 CLINIQUE NERVEUSE. phrase qui

et un vif désir de respecter les convenances pour ne pas répéter ce mot tout haut; toutefois, comme je ne pouvais me so

re poussé par le besoin irré- sistible de prononcer à haute voix ce mot , cette phrase qui attiraient toute son attentio

'in- telligence étaient pour le moment absorbées chez lui, par ce mot , cette phrase qui s'emparaient alors de toute s

ui faisaient perdre le fil du discours ou le sens de sa lecture. Le mot entendu ou qui, en lisant, l'avait frappé, avai

venu du dehors vienne frapper l'oreille du malade, la vue seule du mot qu'il lit peut la déterminer : la seule pensée

seule du mot qu'il lit peut la déterminer : la seule pensée même du mot ou mieux de la chose qu'il représente peut prod

esque toujours ainsi dans la lecture mentale, sans articulation des mots . Nos malades sont donc des écho laliques, et il

Il faut qu'il se manifeste : le malade répétera parfaitement des mots prononcés dans une langue qui lui est tout à fait

e qu'elle dit ou ce qu'elle écoute par des cris bizarres et par des mots encore plus extraordinaires, et qui font un con

raste déplorable avec son esprit et ses manières distinguées. Ces mots sont pour la plupart foutu cochon, des jure- de

Trousseau nous dit en- core : « L'individu profère à haute voix des mots qu'il voudrait bien retenir »; ce que nous repr

uelle ils sont sujets, peut survenir l'émission à haute voix d'un mot , d'une expression obscène, toujours à l'occasion

égard (Obs. VIII, X) '. Non seulement les malades pro- noncent des mots obscènes, mais encore il semble qu'il puisse ex

casion desquels il prononçait à haute voix et plusieurs reprises le mot merde. Dans deux autres ob- servations que nous

tente pas .d'être écholalique : lorsqu'il n'a pas été frappé par un mot , par une idée qu'il peut traduire par le langag

e par le langage articulé, il accompagne souvent ses contorsions du mot 221eî,de, et cela devant n'importe quel auditeu

e quelquefois assez puissante pour lui faire retenir un instant les mots qui vont échapper; et encore cette contention e

tention est-elle le plus souvent suivie d'une explosion exagérée de mots grossiers. Cette coprolalie n'existe pas chez

avec l'écholalie ou la production d'un cri inarticulé, c'est que le mot ordurier ou obscène est toujours émis au moment

e musculaire et que jamais le geste ne souligne la signification du mot . Nous savons encore que la pensée du malade peu

ncore que la pensée du malade peut prendre, tout au moins quant aux mots qui la traduisent, une tournure obscène tout à

sses musculaires de- viennent moins fréquentes et moins fortes, les mots orduriers ne sont plus prononcés qu'à de rares

articulés : dans ce dernier cas, ceux- ci sont représentés par des mots qui ne sont fréquem- ment que la répétition de

ésentés par des mots qui ne sont fréquem- ment que la répétition de mots semblables prononcés auprès du malade. Cette im

e du latin, pourvu que l'ordre fût donné bref et sec et en quelques mots . » 3° La coprolalie n'esl pas meutionnée-4° « P

es, car M. O'Brien nous avertit lui-même que l'acception malaise du mot latali est très large : « elle englobe toutes l

sse comprend les individus qui, sans y être sollicités, imitent les mots , sons ou gestes de ceux qui les entourent, tout

celui qui n'a que des secousses musculaires limitées, qui répète un mot sans y ajouter de consonnances ordurières, n'es

ieutenant de vaisseau qui faisait son service tout en proférant des mots obscènes. Quant au diagnostic, il y a lieu d'ét

nt dans la chorée \ Avant d'aller plus loin, nous voulons dire un mot d'une variété d'incoordination limitée aux musc

ncoordination motrice, aux cris inarticulés, se joint l'émission de mots articulés avec écholalie et coprolalie. A par

ire de lui-même. A l'occasion d'une secousse, le malade prononce un mot ; celui-ci peut n'être que la répétition d'un mo

malade prononce un mot; celui-ci peut n'être que la répétition d'un mot qu'il vient d'entendre; autrement, il a un cara

motrice ? Certains aphasiques peuvent prononcer et à satiété des mots grossiers et toujours les mêmes. Trousseau cite

r ni comprendre le sens des injures qu'elle proférait ». Enfin, ces mots formaient tout son vocabulaire. Il n'est pas be

s le début de la série. 12 - T. R.3S ? Soir : 'f.1 ? 35 ? r. 13 mot . T. R. 381. - Soir : T. H. 38°. I 4 znui. T. R.

e parait même un peu plus épaisse que normalement. Il y avait en un mot assez de tissu pour que la vie psychique motric

'auteur s'explique tout d'abord sur ce qu'il entend désigner par le mot imbécile; il considère comme imbécile toute perso

tion radiaire des circonvolutions à l'intérieur de la cavité. En un mot , le segment supérieur de la dépression comprend

viendra le soir il ne lui adressera pas la parole, se couchera sans mot dire, et subira la flagellation indiquée. En effe

, éjacule s'endort et s'en va après quelques heures de sommeil sans mot dire. Ces visites se répètent tous les deux ou

1872, élongea les nerfs dans un but thérapeutique. Voici en deux mots l'exposé de son observation : Un soldat, âgé de

très embarrassée; Lef... restait quelquefois longtemps sans dire un mot ; la parole est redevenue, plus libre vers huit

ÉRAPEUTIQUE. lontairo dans la main non plus que dans le pied. En un mot , il ne semble pas du tout que ce malade ait eu

oins large que la gauche; l'olive clroile est plus apparente; en un mot , la moitié droite du bulbe paraît moins dévelop

nt, se rassied, court, tend à s'enfuir et ne cesse de prononcer des mots sans suite, mêlant le russe, le français et le

sion : M. ËNGELKEN ajoute à la communication précédente, quelques mots sur VEtat actuel de la colonie d'aliénés de ville

oussement de l'intelligence, du sens moral, de l'affectivité. En un mot , manie périodique. Par conséquent, le malade es

ois seulement on trouve de l'hérédité dans le sens le plus large du mot . Rôle important des refroidissements et surtout d

oppées, prolifération des noyaux, hyperplasie vascu- laire) ; en un mot , il y a concordance complète avec l'état habituel

e, mais il est difficile de tracer les limites de ce que traduit le mot de dégénérescence; les psychoses dégénératives

d'une région, d'une fonction ou d'un système organique; c'est en un mot l'étude de la gymnastique dite avec appareils.

plus instructifs. Aussi croyons-nous devoir indiquer en quelques mots le principe de cette méthode. M. Pichery a rempla

gne de la commis- sion plus facile en nous honorant à ce sujet d'un mot de réponse dans le plus bref délai, avant la fi

suivants : * Une faut pas, disait-il, rayer de notre vocabulaire le mot hypnotisme, puisqu'il exprime un état physique qu

à l'état de veille se trouve insuffisante. » Et il concluait par ces mots : » La suggestion à l'état de veille a une action

ueter ce cas : Mort causée par l'hypnotisme ! A ce sujet, encore un mot personnel. MM. Bazy et Deschamps ont présenté.

VIII Un récent article de la Semaine médicale commençait par ces mots : « La thérapeutique de l'incontinence d'urine ch

crise convulsive. Tout à coup il a un rire strident et bredouille des mots inintelligibles. Alors le chef de la secte tire u

e réceptivité qui favorise les suggestions. Je dirai enfin quelques mots d'une méthode, dont je me suis bien trouvé, chez

échit longuement, pnis, lentement, automatiquement, il trace quelques mots sur un carton : Il faut inverser les pôles de l'i

de boutoir des chefs d'écoles, acceptons, sous réserve, leurs grands mots , leurs théories et soignons les psychonévroses av

u de ses fantes en récitant le 38e verset du psaume 78, composé de 43 mots et chaque mot est accompagné d'un coup de fouet ;

en récitant le 38e verset du psaume 78, composé de 43 mots et chaque mot est accompagné d'un coup de fouet ; en récitant t

». Tant il est vrai que la tendance aux macérations qui. suivant le mot de Benjamin Constant, est dans le cœur de l'homme

section sur cette importante question peuvent se résumer en quelques mots : Les arriérés sont susceptibles de relèvement

possible de les supporter, la suggestion verbale ou hypnotique, en un mot tous les modes thérapeutiques à grands fracas et

a d'autres le soin de retracer sa vie et ses travaux. Mon premier mot sera pour remercier 31. le docteur van Renterghen

1) par M. le D* Bérillos, professeur îi l'Ecole de psychologie Le mot suggestion dérive du mot latin suggerere, dont la

s, professeur îi l'Ecole de psychologie Le mot suggestion dérive du mot latin suggerere, dont la traduction littérale sig

plissement d'une action mauvaise. Aussi, Littré. qui pour l'usage des mots se conforme toujours à l'acception la plus généra

a suggestion est l'alpha et l'oméga de l'art, qu'elle est tout, en nn mot , et qu'il n'est rien en dehors d'elle. Cette prét

a condescendance inexplicable du plus grand nombre. De nos jours le mot suggestion, dont l'application était étymologique

! » Pour faire ressortir la confusion et l'obscurité que l'abus de ce mot a fait naître dans les études sur l'hypnotisme et

lus aucune signification propre. C'est comme si on se servait du même mot pour désigner le fusil, l'acte de le charger, cel

pris soin de faire remarquer que « lorsqu'on est obligé de définir un mot , on doit autant que l'on peut, s'acco-nioderà l'u

t autant que l'on peut, s'acco-nioderà l'usage, en ne donnant pas aux mots des sens tout à fait éloignés de ceux qu'ils ont,

ute indication de domination, s'appliquant, au contraire, à donner au mot de suggestion une extension illimitée. La méconna

que son rédacteur a accompli le tour de force de réunir, en dix-sept mots , toutes les formes de sopliisn/es pat-défaut et p

uable livre sur la Logique, il faut : 1° Que l'idée exprimée par le mot que l'on emploie soit parfaitement circonscrite ;

ous occupe, cela n'est pas douteux, l'extension illimitée donnée au mot suggestion témoigne, comme II nous sera facile de

de nos confrères, un certain caractère d'infaillibilité. Le premier mot que nous trouvons dans cette définition, est celu

rands esprits de ce temps, se sont laissés prendre à cette duperie de mots . Renan écrivait : « Que demain un thaumaturge s

ennent donc l'imputabilité, la responsabilité et pour tout-dire en un mot : la Justice ! Et de suite apparaissent dans le

oubles et les désarrois si souvent inquiétants de l'Ame humaine. Un mot prononcé par Jules Liégeois, dans l'introduction

mal leurs expressions. « Or, quel moyen de raisonner juste avec des mots dont la signification n'est pas rigoureusement dé

ce. Taudis que nous ne disposons que d'un nombre assez restreint de mots , le nombre des idées est illimité ; c'est ce que

derot exprime en disant : Je crois que nous avons plus d'idées que de mots : combien de choses senties et qni ne sont pas no

mes, et que, depuis l'antiquité, la langue vulgaire le désigne par ce mot fuyant : l'Espérance. — La mythologie grecque ava

c le développement de la race entière, ni que la (1) Poor éviter le mot amour dont l'usage est profane, le catéchisme ecc

haiter que la tendance harmonieuse que représentent si faiblement les mots espoir ou optimisme obtienne le rang qui lui conv

opérer des recherches et des efforts plus effectifs. Car bien que les mots espérance et désir déterminent sur l'échelle cont

ur à tour affinité, assimilation, appétit, désir ou espérance, et ces mots figurent a nos yeux les principales étapes de l'o

a Science n'existe pas. La Science, ce n'est rien, ou plutôt c'est un mot , une abstraction: c'est une idole qui vous fascin

eur ressemblât, devrait se détourner, ne pas voir, s'interdire, en un mot , ce quelque chose qui, par définition, est étrang

certaine part, je ne dis pas de liberté ou de libre arbitre (car ces mots exaspèrent Binet-Sanglé, tout comme le rouge exci

s sur le fond, parce qu'on ne s'est pas entendu, au préalable, sur le mot . On accordera, sans peine, aux métaphysiciens d

ie d'une mère ou la leçon d'un professeur ; bien mieux, on renonce au mot hypnotisme et à la chose même : « L'hypnotisme, c

ès avoir insisté sur ce point que la plupart de ceux qui emploient le mot de suggestion n'en ont pas une idée claire, ajout

us un choix : c'est de l'impulsion et de l'impulsion irrésistible. Le mot choix ne signifie plus rien et autant le rayer du

syndromes glandulaires dans les troubles psychiques ; mais le dernier mot n'est pas encore dit. Ici nous ne nous proposon

méprisable des sopliismes par méconnaissance de la valeur propre des mots . La suggestion et la persuasion sont deux procédé

soit un d'inconscience ou d'incohérence. Si nous conservons donc au mot suggestion son sens exact qui est celui d'influen

qu'il y ait chez autrui aucune intention de provoquer cet état. En un mot , un homme peut s'auto-hypnotiser involontairement

ons plus claires que beaucoup de médecins. Dans le langage courant le mot hypnotisme est synonyme de monoïdéisme et l'on di

a pratique j'ai recours à l'hypno}isme tout comme vous, mais comme le mot n'est pas toujours favorablement accepté par la c

es observations scientifiques. ¦ Ne nous laissons pas duper par les mots , écrit M.le Boy; aucun « bureau de constatations

'était le cas de rappeler au grand chimiste et au grand astronome, le mot profond de Shakespeare : « Il y a plus de chose

oint ne l'empêche ni de travailler, ni de se mouvoir librement. En un mot c'est le type de la villageoise russe tout à fait

re-que l'intelligence, ce fut le caractère. Dans toute l'acception du mot . il fut le vir probus. Son puissant cerveau, qui

vient aux mouvements sincères du cœur. M. Hnchard remercie, ironve un mot aimable pour chacun, rend justice aux efforts de

a il tache de moins manger, de moins boire, de moins se remuer, en un mot de moins vivre. Chaque mouvement superflu doit fa

qui n'existe pas, c'est l'absence même de pensées si l'on donne à ce mot sa signification la plus haute. Avec Spinoza et

t à ces états hypnoïdes que correspondent, dans d'autres langues, les mots de Traumzustand. Dämmerzustand. Träumerei, Partie

musing, modorra. etc. Dans l'ancien langage français on retrouve un mot assez usité, c'est celui de dormeceille. (1) D'ap

mmeiller et de se complaire dans le demi-sommeil se traduisait par le mot significatif de sommeil/on. Dans la chanson de

ce, il puisse être question d'état normal. Ces gens-là, passez-moi le mot , dorment, (1) Bérillox : La dualité cérébrale e

s indications. SI. le Dr Bérillon s'est appliqué à démontrer que le mot de psychothérapie n'a de valeur qn'autant qu'il s

oires, le médecin ait beaucoup de chances d'avoir toujours le dernier mot . La seule psychothérapie vraiment digne de ce n

re psychologie verbale. Car il faut l'avouer hnmblement, bien que les mots séparés que nous employons pour figurer par à peu

ttérateur. Mais le déterminisme relatif qui tient les chiffres et les mots pour des jalons grossiers et provisoires s'impose

n Dans un article précédent, nous avons essayé de démontrer que les mots appétit, désir et espérance, symbolisent psycholo

t normal vers la synthèse. Nous disions tout à l'heure que les deux mots adaptation et sélection ou bien encore les termes

ontière séparatiste ; et c'est en vain que la statique désagrégée des mots s'efforce d'arrêter le courant synergique des phé

philosophies anciennes ont prétendu l'exprimer stati-quement avec des mots ; mais la tendance indéfinie du sens commun vers

doublé d'un cli- nicien consommé désigne cet état morbide par le mot de demi-psychose . Les malades du premier group

écriture est grêle, inconsistante et parfois lourde ou empâtée ; les mots sont mal formés, les lettres offrent un lamentabl

rès rapide. Peu de ponctuation, peu de liens entre les lettres et les mots , des taches inexplicables, une accentuation désor

cination auquel convient l'épithète d'hypnagogiques. dérivée des deux mots grecs u-voi sommeil, et tci^v^ qui amène, conduct

fait ensuite une partie de cartes ou de billard, et se distrait en un mot comme à son ordinaire. Peu à peu les doses diminu

D'ordinaire la mémoire des gens d'Eglise est plutôt une mémoire de mots qu'une mémoire d'érudition. Cela tient à ce que,

es exercices développent au plus haut degré l'habitude de retenir les mots sans s'occuper de leur sens. Cornelio Musso. co

re sublir une forte épreuve. Elle fit écrire et prononcer trois cents mots les pins bizarres et les plus extraordinaires qu'

e signalés. On peut se demander si le développement de la mémoire des mots , poussé a un tel point, est de quelque utilité po

icularités dignes d'être signalées. Les Lignes renferment souvent des mots inachevés se rapprochant ou s'écartant les uns de

s sommes en mesure d'expliquer l'apparition brusque de la plupart des mots ou des lettres qui figurent dans certaines lignes

s ; les lignes descendent vivement et ont un aspect disgracieux ; les mots sont soulignés et précédés ou suivis par des poin

e de flore graphique dans laquelle les fleurs sont remplacées par des mots mal accouplés qui manquent de tenue, d'élégance e

nifestations de l'hystérie. Je vais, maintenant, vous dire quelques mots de cette nouvelle pseudopsychose à laquelle on a

ho de mes souvenirs. (1) Thérèse. Je ne vous dirai que quelques mots des signes graphiques qu'on peut découvrir dans l

es le plus souvent interrompues par des sursauts extraordinaires; les mots et les lettres présentent un tracé presque diffor

nerveux Tous remarquerez surtout qu'il n'a pas la force de tracer ses mots , que les majuscules manquent d'ampleur et de rect

éfaillances engendrées par les pseudo-psychoses, à vous dire quelques mots de ces états pathologiques mal définis qui re

iminels mais qu'ils étaient si légers dans leurs farces et leurs bons mots , que par là ils ne commettaient point un péché mo

oulu, on étudie par quelles associations le* malade réagit à certains mots (méthode de Jung), ou bien on analyse les rêves,

dié leurs dialectes, a tel point qn'il reconnaissait dès les premiers mots , la province a laquelle appartenait son Interlocu

'hypnose. Mais revenons à notre rinkage ! Dans la salle, quelques mots sur calicot semblent la traduction littérale, mal

onfiance> dans l'avenir du progrès individuel et collectif ; et le mot confiance, dont il se sert pour exprimer son opti

if, prête à ses conclusions une allure plus affirmative encore que le mot espérance dont nons nous sommes servinous-mêmes p

de la psychologie et de la pédagogie traditionnelle Les formes et les mots sont contre nous ; leurs symboles immobiles et di

ance de l'être au progrès dépasse tellement la faculté limitative des mots qu'elle demeure indéfinissable et proprement inex

'observation synoptique du monde réel. Les fossés arbitraires qne les mots ont creusés sur le tableau de la genèse universel

stée de notre pensée vers un progrès qu'elle ne peut définir avec les mots . n Deux exemples typiques vont nous servir à

ar/x distinctions artificielles que représentent les chiffres ou les mots . A peu près vers la même époque, deux hommes d'un

éthode. Car d'une part la dialectique est l'art de raisonner avec des mots ; d'autre part les mots ne suffisent pas à exprim

a dialectique est l'art de raisonner avec des mots ; d'autre part les mots ne suffisent pas à exprimer le mouvement sympathi

s origines et du terme absolu des phénomènes ; et quand il recourt an mot Dieu pour limiter l'effort de la pensée humaine,

qui admet le rôle prédominant de la tendance au perfectionnement, le mot rgthme indique les continuelles alternatives de p

ume : « J'en en, dit-il, la triste surprise de me voir attaqué snr ce mot anticipation avec acharnement. Et cependant q

xiste pas dans la nature ; et le rhéteur qui prétend séparer avec des mots les alternatives rationnelles du dynamisme créate

es les dévotions antiques. Nous ne pouvons renoncer à nous servir des mots pour exprimer notre pensée ; mais quand nous prét

prenons très bien en quoi notre commun effort pour expliquer avec des mots l'action fertilisante et causative qu'exercent le

et la persévérance indéfinie. D'ailleurs malgré l'insuffisance des mots que nous sommes contraints d'employer pour conser

notre psychologie de la connaissance. Il est vrai que l'obsession du mot , et son impuissance relative à-exprimer le deveni

ression brutale et monstrueuse. On ne leur a pas assez appris que les mots , dont s'autorise leur pessimisme, n'ont jamais la

tte belle profession du silence est exprimée très bruyamment avec des mots hyperboliques. Et voici ce qu'enseignent à cet ég

ue égaux eux-mêmes à l'immensité. » *) — Paire plus de cas des grands mots que des faits réels, c'est le vice capital de la

nt de remarquer que ce mouvement ne se produit pas au trait final des mots , pour la plupart du moins, mais dans la formation

a pas été habitué à diriger ses mouvements, à les contrôler, si en un mot il ne s'est pas habitué h faire des choses utiles

les doivent être agrémentées par la musique et le chant et être en un mot agréables et recherchées. Elles ne doivent pas êt

rai, être prévue jusqu'à un certain point) peut se résumer en un seul mot : il manque d'autorité. t Nous passons à notre

llé spontanément, effet qui ne nous arrivait jamais auparavant. En un mot , le sommeil très irrégulier jusqu'alors, a paru s

peu ordurier, il se trouve blessé quand un autre enfant prononce un mot grossier. Il dit tous les mots, chante bien et

ssé quand un autre enfant prononce un mot grossier. Il dit tous les mots , chante bien et juste. Il est devenu propre,

est de moins en moins défectueuse et leur vocabulaire s'augmente de mots nouveaux. (Voir Compte-rendu de 1901, p. xiii,

grès notable pour la parole. - Lero..., trouve et prononce tous les mots pour exprimer ses besoins et même ses idées, il

ous les chiffres et même à écrire de mémoire un grand nombre de nos mots imprimés sons forme de dictée. L'écriture est

orales, puis à l'écriture et au calcul et surtout à la lecture des mots imprimés. Aujourd'hui il lit presque couramment

cop : e ce qu'il lit et écrit même de mémoire un certain nombre de mots imprimés. Il établit bien la relation entre le

n, écrit de mémoi- re sous forme de dictée un certain nombre de nos mots imprimés. L'attention, qui semblait infixable

rdinaire Petite école complémentaire. xiii pour l'orthographe des mots qu'il a lus. Il fait l'addition, la soustractio

écriture aussi, il commence à copier de mémoire quelques-uns de nos mots imprimés, fait XIV Traitement médico-pédagogiqu

ormale; pour la lecture, lisait et reco- piait un certain nombre de mots imprimés ; l'écriture avait surtout gagné, il f

notices sur les enfants de l'École complémentaire à l'emploi des mots imprimés. Nous avons maintes fois donné des Les

l'emploi des mots imprimés. Nous avons maintes fois donné des Les mots imprimés. xv renseignements sur ce procédé, not

ux, etc.. Bien que l'enfant ne parle pas ou ne possède que quelques mots , ne connaisse pas les lettres, ne syllabe pas,

as les lettres, ne syllabe pas, nous l'exer- çons à reconnaître les mots . Exemple : au réfectoire nous plaçons sur la ta

ous plaçons sur la table des cartons portant en gros caractères les mots table, banc, a8.siette,reITe, couteau, fourchet

iette,reITe, couteau, fourchette, etc.. - Au lavabo, nous avons les mots : éponge, savon, ser- viette, etc. Nous exerçon

çons l'enfant à désigner les objets et à mettre sur chacun d'eux le mot imprimé correspondant. Les enfants reconnaissen

des cris affreux, lorsqu'il s'agissait de la nettoyer, était en un mot d'une mal- propreté repoussante. Aujourd'hui,

ratique ET primaire. ment. Le gâtisme a complètement disparu. En un mot l'amé- lioration se fait sentir tous les jours

à signaler d'une façon toute particulière. Elle ne prononçait aucun mot , ne faisait entendre qu'un gazouillement tout-à

ourire est doux et jovial. A son entrée, elle ne prononçait que des mots sans suite, incompréhensibles même pour les per

d'idiotie avec hémiplégie, marche nulle, parole limitée à ces deux mots : papa, maman. A son entrée, elle laissait à dé

suit la gymnastique avec beaucoup de facilité; l'enfant a, en un mot , réalisé de réels progrès. Le Pellet... du Coud

la dentition. Marche à 2 ans. Gâtisme. - Parole limitée à quelques mots . Station assise en tailleur. Description de la

e gâteuse la nuit pour les urines. La parole est limitée à quelques mots . On arrivait assez facilement à fixer son atten

s. Inattention est facile à fixer. La parole est limitée à quelques mots . L'enfant ne cherche pas à faire comprendre ce

cette enfant a fait beaucoup de pro- grès : elle prononce plusieurs mots distinctement, commence à se servir de la cuill

ment aussi restreint. (Voir p. 34). La parole est limitée il des mots mal prononcés, d'une voix d'homme désagréable.

es d'un m, ? i, 2 et d'une voyelle, ainsi que leurs combinaisons en mots . Fait les couvertures dans son dor- toir, comme

es lettres l et 1, lit leurs combinaisons en syllabes simples et en mots usuels; copie des mots, saurait écrire d'après

urs combinaisons en syllabes simples et en mots usuels; copie des mots , saurait écrire d'après modèle n'importe quel mot

suels; copie des mots, saurait écrire d'après modèle n'importe quel mot . Notion'de nombre jusqu'à concurrence de 5. Imp

e. 1900. Mars. Sait lire v et ch dans les syllabes simples et les mots usuels. Compte oralement jusqu'à 30, a la notion

ICO-I'T;D : 1GOGIQU. 31 . Juin. - Sait lire d, f, au, ou, ai et les mots formés de ces élé- ments. Sait donner un nombre

les cabinets. En classe, quelques progrès, écrit sous la dictée les mots qu'elle sait lire : donne des boules jusqu'à 30

ter jusqu'à 100, connaît les chiffres. Sait lire et écrire tous les mots formés de syllabes simples. Dessine toutes les

, ce que sa soeur attribuait à ce qu'il sait qu'il prononce mal les mots . Il coud avec une certaine habileté. Il fume la

qui entrent dans la cons- titution des fascicules radiaires. En un mot , on retrouve au niveau des tubes nerveux la dys

regardait, gazouillait, jouait, se tenait autour des chaises, en un mot paraissait tout à fait normal. A neuf mois, déb

re de la mère. Il a marché à deux ans et demi. n'a jamais dit qu'un mot « maman » et encore il le dit très indistinctem

and ; région anale normale. Parole améliorée, essaie de répéter les mots , mais avec difficulté. Articulation très défect

6. Traitement DIED1CC-PÉD.1GOGIQUE. '143 facilité surprenante les mots imprimés, mais n'apporte aucun goût à la lectur

ne voulait pas regarder. Dans le Syllabaire de même que pour les mots imprimés, il ne retient que les mots qu'il compre

yllabaire de même que pour les mots imprimés, il ne retient que les mots qu'il comprend et ces mots il les lit indiffére

s mots imprimés, il ne retient que les mots qu'il comprend et ces mots il les lit indifféremment à l'envers et à l'endro

ns la parole qui était absolument nulle. Chaque jour il emploie des mots nouveaux (Fig. 25). 1900. Janvier. - Lem... pre

- Lem... prend goût à tous les exercices clas- siques. Il copie les mots qu'il lit et même en écrit un cer- tain nombre

s ces sons, bien articulés au commence- ''ment ou dans le corps des mots , sont nuls lorsqu'ils forment la syllabe finale

corps des mots, sont nuls lorsqu'ils forment la syllabe finale d'un mot terminé par un e muet. Progrès pour tous les ex

fectueuse pour certaines consonnes se trou- vant dans le corps d'un mot . Ainsi il dira ]JI'ojelion pour projection, ccc

fficulté. il supprime d'habitude les syllabes finales, muettes, des mots . Son caractère est toujours rageur. Lorsqu'il e

ébauche la multiplication. Il a une mémoire extraordinaire pour les mots qu'il a lus. 11 fait quelques exercices élémentai

e, l'enfant a appris à se laver, à s'habiller, à manger seul, en un mot à ne plus avoir besoin d'aide. Enfin il a appri

hou ! con ! ah ! vache ; aïe ! putain, hue ! cul, etc.. », sont des mots qu'elle profère très souvent. Ce langage grossi

alement le phénomène de l'écholalic. Elle répète la fin de certains mots ou certaines syllabes de ces mots, mais elle fa

c. Elle répète la fin de certains mots ou certaines syllabes de ces mots , mais elle fait une sorte de sélection; guidée

n faite à une enfant, elle la répétait tout en y ajoutant un de ses mots familiers. Disait- on à une petite de marcher s

coue, en même temps, ses membres supé- rieurs. Ces expressions, ces mots , ont toujours été spontanés, impulsifs, sans la

spontanés, impulsifs, sans la moindre recherche. A la classe, les mots de ce genre surgissaient à chaque instant. Fais

mesures cu- biques, les nombres complexes, etc., elle répétait ces mots en y ajoutant ceux de son vocabulaire : « Mesur

répéter les phrases d'une dictée en les accompagnant toujours d'un mot grossier, ce qui était pour les élèves un vrai

; on se rappelle 158 Maladie des tics ; guérison. entre autre ce mot : « Rubicon », qu'elle a répété avec une into-

é avec une into- nation peu ordinaire en appuyant sur chacun de ces mots : Rubi- con, cul, cou, con, cul, bitte ! ... En

M. Gilles de la Tourette aurait demandé si Georgette prononçait des mots orduriers. Sur la réponse né- gative de la mère

. Ce- pendant, en janvier 1901, les cris, les exclamations et les mots grossiers avaient relativement diminué. Les mouve

r se retenir. Jamais, au cours de ces séances, elle n'a prononcé de mots grossiers. C'était là un indice'favorable. Aprè

enceinte, pas d'idées noires, a senti les mouvements du foetus à 4 mots et demi comme les autres et de même force. Acco

sme persiste cepen- dant. Dans la journée, elle a prononcé quelques mots très clairement mais elle ne peut finir la phra

hysionomie est bien plus éveillée, sa démarche est meilleure, en un mot un mieux sensible s'est opéré. Purgatif toutes

moque de moi. Et puis on a fait comme une lanterne magique avec des mots et des images en expliquant, il me semblait tou

ivé à tracer quelques lettres, puis à les assembler et former des mots dans l'espace de quelques mois. Il est parvenu ég

de petites additions. Il copie sur son cahier un certain nombre de mots imprimés, tels que : cou- 216 MARCHE DE la mala

soustraction avec retenues, copie tous les jours un grand nombre de mots imprimés qu'il fait en Fig. 31. - Ler.. (F.) à

n état de surexcitation extraordinaire. Impossi- ble de lui dire un mot sans qu'il entre en colère et tout en employant

ANTÉCÉDENTS PERSONNELS. 237 René Parole : répétait quelques mots jusqu'à sa rougeole : papa, maman, caca. Avaitd

a, maman, mais avec difficulté. N'au- rait jamais dit autant de mots que René. Reconnais- sait sa mère, attendu qu'i

de gâte jour et nuit. . Il est idiot complet, ne prononce aucun mot , regar- de à peine quand on l'ap- pelle, cepe

sion, ses yeux regardent toujours dans le vague, il ne dit aucun mot et ne comprend rien. 1899. 12 décembre. L'éta

x nuit et jour, comme auparavant, ne comprend rien et ne- dit aucun mot . 1902. Ja)it;t'e) ? La contracture a augmenté :

des cris plaintifs qui n'ont pour ainsi dire rien d'humain. En un mot . l'aspect de cet enfant est repoussant. Le visage

tion exaltée, au point de signaler une relation étymologique entre le mot guéridon et le don de guérir. Une partie du clerg

in-12. Perpignan, Alzine, imprimeur, 1854. Cet opuscule a été dicté mot pour mot par une dame somnambule ; la préface seu

rpignan, Alzine, imprimeur, 1854. Cet opuscule a été dicté mot pour mot par une dame somnambule ; la préface seule est du

n complète, mais il y a eu de grands progrès en mieux. Voici le petit mot qu’elle m’a écrit pour constater ce fait : « Mo

u bien, au lieu d’être un poète, il ne sera qu’un froid assembleur de mots sonores; au lieu d’une Iliade, il ne donnera qu’u

perstitions à jamais écrasées par la massue de Voltaire. Les grands mots ne nous effrayent pas. La superstition consiste à

e une raison pour abandonner la science, et demander à la religion le mot de l’énigme? Ne valait-il pas mieux chercher dans

bien fait de venir « aujourd’hui 1 II n’était que temps ! » « A ces mots je restai ébahi. La somnambule continua : « La

t dans l’articulation de la cuisse ; la science avait dit son dernier mot , et vous étiez condamnée à souffrir jusqu’au jour

lui sert à nourrir les indigents pendant l’hiver, etc., etc. ; en un mot cet homme est comme le quinquina, il cache sous u

rabondante par les extrémités des doigts et des orteils. C’est, en un mot , la légalisation des principes de M. duPotet pa

ergie et rendent les sécrétions cutanées plus acides; il montra en un mot que les grandes lois de la matière s’appliquent a

é jouit de la lumière ! Ici encore la science avait dit son dernier mot . Un ignorant, un magnétiseur donne au médecin une

ême sujet, que tout cet échafaudage d’objections ne repose que sur un mot mal employé. En effet, si l’on substitue, pour pe

étendu que la lucidité somnambulique fût identique à la vision ? Le mot de seconde vite implique une différence capitale.

st largement traitée. Voici cette précieuse citation tout entière, et mot pour mot. « Les phénomènes du somnambulisme son

ent traitée. Voici cette précieuse citation tout entière, et mot pour mot . « Les phénomènes du somnambulisme sont si vari

ceux qui prétendent posséder la faculté de clairvoyance, de lire des mots enfermés en des boîtes opaques, etc., rapportent

vain remonta une ligne et demie pour faire une correction, barrant un mot et écrivant un autre au-dessus avec autant de pré

sur soi-même en prononçant d’une voix forte et d’un ton impératif le mot : dormez, ce qui généralement produisait sur le s

sais quels êtres fantastiques. Le magnétisme n’a pas dit son dernier mot , ses lois nous sont encore inconnues. Le champ es

nous devons applaudir, de l’erreur qu’il importe de combattre. En un mot , disons-le ici tout d’abord, et afin de résumer s

qui est plus clair et commence à devenir suffisamment explicite : le mot de magnétisme, on le remarquera, se trouve déjà p

; de même qu’en physique, en chimie, en médecine, comme partout en un mot , le bien ou le mal moral dépend de l’usage que l’

facultés et de la fin qu’on s’en propose. Enfin il conclut par ces mots décisifs : « Par conséquent, si, animé d’une in

ont vu avec surprise, mais sans effroi, sans accidents ; rien, en un mot , ne paraissant changé dans leur état ordinaire. L

de la servante, celle-ci l’aperçut en se retournant, et, sans dire un mot , lui appliqua plusieurs coups sur les jambes avec

s pas comment je perçus, et je crois qu’il est impossible, faute de mots , de rendre ce qui s’est présenté à moi; j’essaier

it sortir de mes mains, elle jugea que j’avais le fluide (dirai-je le mot ?) excitant et curatif, et que si je voulais me li

uteuil, avec une figure cadavéreuse et ne pouvant iirononcer quelques mots qu’avec les plus grands efforts. Le médecin app

dormir.... (Depuis deux jours elle n’avait pas fermé l’œil.) Sur le mot de dormir, encouragé que j’étais par les premiers

économie animale, de l’usage et du jeu des organes, la science, en un mot , de la vie et de la nature animée. La psychologie

gue, frappe virtuellement de nullité la guérison obtenue. Le choix du mot prétexte nous semble particulièrement heureux. Ai

s individus qui se soumettent à la magnétisation, nous remarquons ces mots : « Je constate d’abord que les manœuvres des m

ière plus particulière l’ouïe que la vue, l’odorat que le goût, en un mot un sens plutôt qu’un autre. Ce qui en résulte de

au dehors par quelque signe. Vous avez beau dissimuler, un geste, un mot , le son de votre voix vous trahit. Imperceptibles

omparaison de M. le Dr Masson, et ceci est mon droit aussi. En deux mots , voici le fait : M. Masson avait donné ses soin

qui a suffi pour opérer cette résurrection si inexplicable, disons le mot , si désagréable à M. Masson. A tel point désagréa

re et qu’il en devance beaucoup. Cette épigraphe ne contient que cinq mots , mais ils sont significatifs ; les voici : « To

entrer et de s’absorber ainsi en eux-mêmes. Cette erreur, plutôt de mots que de faits, indique la nécessité d’une bonne cl

en des polémiques inutiles, lesquelles ne reposent souvent que sur un mot mal défini el que chacun interprète à sa façon.

cun souvenir à cet égard ; ni somnambule, ni table ne m’en ont dit un mot . L’honorable M. Ogier prétend en outre que « to

e cours de cette revue, nous n’avons pas fait usage une seule fois du mot magnétisme, et pour cause. Il y a longtemps que n

piège qu’il avait tendu, et qu’il basa toute sa théorie sur un jeu de mots . Cependant, entre les phénomènes de l’aimant et c

est-il résulté la plus étrange confusion de l’emploi irréfléchi d’un mot impropre. Ici c’est un mesmériseur qui prétend fa

; toutes les analogies de Mesmer et de M. Allix tiennent à l’abus du mot magnétisme ; mettez mesmérisme à la place, et il

t à chaque instant, et ne s’y sont jamais arrêtés. Ils ont trouvé des mots et des principes tout posés, et ils y ont souscri

d’incompatible avec l’énergie. L’aigreur de la discussion et les gros mots n’ont jamais amené la conviction, et la violence

atte. Et pourtant ils croient posséder la sagesse ! « Voici en deux mots l’inventaire de ce qui se trouve au fond du sac d

ond silence règne maintenant dans les lieux où naguère encore le seul mot de magnétisme soulevait une tempête. ci Pourquo

oix de votre conscience et au divin principe qui vous incitait. En un mot , comme des messagers fidèles, nous n’avons point

Jupiter ! il y a quelque « chose là dessous ! » Cette apostrophe, ce mot renfermait l’énigme déchifrée par Mesmer; et voil

érobe sous l’herbe I Mais on le connaît trop, cc verbe criminel, Ce mot sous-entendu, dont l'effet est mortel! De la Mo

I... (1) Lo verbe tiàastopoliser signifie t'occuper à détruire. Ca mot est emprunté du vocabulaire académique.... des zo

, sans le concours explicite de la volonté. » Voilà donc le dernier mot de l’Académie sur les faits en. question; voilà j

prenant au pied de la lettre et dans son sens purement grammatical le mot préserver, peut-on supposer que Mesmer ait voulu

iser. Le Diable, avant de le quitter, fit tracer la main ces derniers mots : Tu n’es qu’un sot et tin imbêcille. Depuis lo

duire les mêmes effets que les magnétiseurs. Imagination ! tel fut le mot très-judicieuxpar lequel 011 répondit à tous les

e veut pas du fluide magnétique. Si judicieux que M. Segond trouve ce mot d’imagination, il ne répond à rien, car il laisse

miracles catholiques. » Hélas ! hélas ! monsieur Segond, autant de mots , autant d’erreurs ! Une négation n’est pas une pr

ie, ne pas tenir compte des distances ? Est-il plus impossible, en un mot , de voir à cent lieues qu’à travers une planche d

uis, cette somnani- bule, disons-nous, prononçait tout à la fois un mot inconnu et racontait une histoire très-exacte don

sur les esprits comme nous le sommes, nous retirons, s’il le faut, le mot de démon pourvu que M. l’abbé Almignana maintienn

ses expressions de fripon et d’infâme. » Eh bien! si en retirant le mot démon M. le marquis s’engage à ne pas le remplace

p; s, ou vus autrement qu’ils n’étaient, de toutes les folies, en »ni mot , qu’il peut vous plaire d’accumuler, pouvez-vous

expliquer à des âges où l’orgueil dogmatique se payait facilement de mots vides de sens. Du reste, partout où les notions p

i? Que dire quand le magnétisme est pratiqué à l’insu du sujet, en un mot ? Nous n’aurions que l’embarras du choix parmi les

sibilité, l’abolition des sens, dont il a grand soin de ne pas due un mot ? C’est que l’hallucination ne rendrait pas aussi

es et pour la théorie d’un grand nombre de maladies du cerveau. En un mot , les personnes les moins faites pour apprécier l’

785, et voici, sans autres études, sans autre examen, sans ajouter un mot à ces conclusions surannées, ce que conclut à son

défini, et, tout en retrouvant sur notre passage, indiquée en peu de mots , la tradition des diverses époques, nous serons c

sorte d’état magnétique, sur lequel nous avons déjà adressé quelques mots à la Société du mesmérisme — à propos des tables

dar-claisme orthographique ; c'est qu’en changeant d'orthographe, le mot a changé de sens. — Phanalique était pris, à peu

nous citions tout à l’heure : « La nature , etc., * en soulignant le mot nature. Et cependant, si ce travail devait être c

t effet sur un autre que le sujet dont ils s’occupent. Y a-t-il en un mot , un art véritable là où l’on atteint celui qu’on

cente de la Société, notre président, M. Hébert, a indiqué, on peu de mots , d'une façon claire et saisissante, ta valeur du

le bien, le magnétisme a toujours été employé; — que la race, en un mot , n’a point laissé prescrire ses instincts. Nous

ulités, et je la recommande aux magnétiseurs. Citons encore en deux mots l’usage tout français de trinquer avant de boire,

ins, il s’en alla. » Marc, X, 1G, relatant le môme fait, emploie le mot bénédiction. tcrnolle, et l’on verra, par ce ré

tion qui prouve que, sur cent enfants choyés et caressés, gâtés en un mot par excès d’amour (et non pas ceux à qui l’on cèd

sans impatience, à éprouver déboires et rebuffades sans colère? En un mot , vous sentez-vous pour eux à la fois l’amour d’un

malades avaient en eux. Ici se trouve peut-être l’explication de ce mot charmant du 1)' ('.haussier, à propos d’un remède

désir, conditions tout à fait favorables à l’action magnétique. Les mots volonté et désir appliqués au magnétiseur et au m

d’espérance implique désir, et chez le magnétiseur, volonté. — En un mot , le désir est une espérance passive, absorbante,

t les chants comme mode d’action mar gnétique, d’où nous est resté le mot d’enchantement. Les fanatiques des Gévennes emplo

toujours au point de vue purement humain, et sans pii dire plus qu’un mot , — l’objet magnétisé perd-il sa vertu ¡»nr la mor

d’identité qui les fait reconnaître des somnambules lucides? En un mot , la foi aux reliques, toute spéciale au catholici

rs une base magnétique, et l’adoration, ou, mieux, — pour employer le mot technique, — le culte (le doulie, rendu à des rel

her plus d’impor- (1) On prend en général en mauvaise pari ces deux mots , et l’on a tort. Préjugé veut dire opinion reçu

re, — bien que nous l’employions pour nous conformer à l’usage, — mot mal défini d’ailleurs par ceux qui s’occupent de

larté et de précision, dont le succès gisait presque toujours dans un mot vague et mal défini ou détourné de son sens natur

té nettement définies par la loi. Et, sans remonter si haut, — quel mot a jamais exprimé une qualité moins agressive que

Enoncez les faits, lui dirais-je ; magnétiser et magnétisme sont des mots vagues que ni la loi ni le dictionnaire n’ont déf

t des mots vagues que ni la loi ni le dictionnaire n’ont définis, des mots qui ne peuvent qu’obscurcir la question. J’ai le

vez le besoin, pour abréger le discours, d’énoncer le fait en un seul mot , il y en a un qui est reçu de tout temps, et que

a un qui est reçu de tout temps, et que je ne repousse pas : c’est le mot de bénédiction. « Oui, j’ai béni les malades, e

rition, sur les coups mystérieux et les frappements des tables, en un mot sur tout ce qui tient à peu près aux croyances sp

t m’inspira nie conduisirent quelques considérations générales, en un mot à une sorte de théorie et pratique du ragle. h

ché mon sabre, suivant l’usage du désert. « Je dirai aussi quelques mots des aberrations de l’odorat et du goût. Cet encha

il procède toujours de la sensation confuse de quelques objets; en un mot , d’un rudiment réel, tandis que le rêve prend sa

lles thèses sur lesquelles la philosophie n’avait pas dit son dernier mot et que le septicisme du dernier siècle avait trai

i bon tant de méditations, tant de recherches, tant de fatigues? D’un mot , M. de Mirville a tranché la question. Le magnéti

tranché la question. Le magnétisme est de la diablerie. Pour lui, ce mot répond à tout ; il voit !e diable partout. Le dia

« M. Tubbs, après avoir attendu un peu et après avoir dit quelques mots aux assistants sur le fait merveilleux et imposan

)Ile avec force ou bien il miaule, il aboie, il roucoule, etc.; eu un mot , il imite les bruits que font les animaux qu’il a

de toutes les lois physiologiques connues. On ne sait pas! Voilà son mot : il est profond. Pourquoi les enfants et les peu

s d’une théorie .dontle docteur Grégory d’Edimbourg adonné le dernier mot . Les premiers établissaient ce principe : qu’un

ifestés. « Mais c’est de la suggestion ! s’écria-t-il. » L’idée et le mot étaient trouvés. Par ce mot la théorie des Amér

ggestion ! s’écria-t-il. » L’idée et le mot étaient trouvés. Par ce mot la théorie des Américains devenait d’une clarté s

e ensuite, projetant d’un seul coup l’expression de sa volonté par ce mot : Dormez ! il obtenait ces effets foudroyants qui

. Ainsi, sans contester l’étymologie arabe et l’origine historique du mot assassin, que l’on fait dériver du mot haschich,

abe et l’origine historique du mot assassin, que l’on fait dériver du mot haschich, il nous semble que l’usage seul de cett

rien qui subsistât, une fois l’action narcotique épuisée, rien en un mot qui survécût au réveil. Ce n’est donc évidemmen

a recevoir? On a prononcé, à ce sujet et pour expliqueras faits, le mot de fanatisme comme le principal mobile de ces sec

aitement, se tradaisent'l’une par l’autre et donnent enfin le dernier mot de la grande science de tout ce qui a été, de tou

l’existence du magnétisme animal; mais je ne puis me contenter de ce mot quand je veux connaître la cause des mouvements r

is me paraît un peu hasardé et ne me fait pas mieux comprendre que le mot magnétisme animal la rotation des objets. » Ici

d’être plus généralement comprise. Quand les choses s’accordent, les mots deviennent presque indifférents. Mais, pour M. Ei

te de nos organes, pourrait nous attirer le reproche de nous payer de mots en rejetant le magnétisme animal comme promoteur

jugement à faux vis-à-vis de mon rôle de sincère narrateur? Peu de mots essaieront d’y réussir. Retiré de la carrière m

secousses, des percussions intenses et de nature tourmentée. Bref, le mot de l’énigme sort victorieux des entrailles de l’é

agrine d’une domination qui la contraignait incessamment d’écrire ces mots : « Donne-toi!... donne-toi! » — L’adversaire le p

. Instruit des inconvénients, des graves dangers même de prendre au mot une foule de manifestations, interprètes de leurs

ès qu’il est bien avéré que la personne qui l’a écrite ne sait pas un mot de latin. Non vinum ut vinum appetitur, sed tai

re en était tracée en caractères de toutes sortes de couleurs, et les mots étaient joints par des arabesques très-compliqués

que j’ai prononcé les noms de marchand, de Dieu, des saints, même le mot ciel, aussi bien que parler religion, j’ai amené

ique, fluide sur la nature duquel est loin d’avoir été dit le dernier mot . Lorsque vous aurez lu Puységur, Lutzelbourg, Tar

necdote de la dent d’or est restée célèbre; Fontenelleen .a touché un mot dans son IIistoirc (les Oracles. Est-ce à une d

oisir. Mais la science, ne lui en déplaise, n’a pas dit son dernier mot , et voilà justement ce qui fait la difficulté. El

les organes du sujet sont mus par /’instinct. .Mais c’est se payer de mots ; car, quand un individu, à l’état de veille, joui

s-, elle donna le numéro de chaque page, lut des sentences, épela des mots , décrivit des peintures, désigna la couleur de la

ots, décrivit des peintures, désigna la couleur de la reliure ; en un mot , tout ce qu’elle voyait dans son état naturel, el

chatière ou Y œil-de-bœuf se fermant, on se rappelle parfois quelques mots , quelques figures d’esprits que l'on a aperçues,

nous, que ce sont autant de vues prises dans le monde spirituel : le mot est impropre, parce que les esprits ne semblent p

te un regard ou prête l’oreille au monde extérieur, saisit parfois un mot , une phrase, voit passer quelques formes et rentr

e la terre ; il dompte les animaux les plus féroces, et sait dire les mots qui engourdissent et charment les serpents; il po

observer que sa magie n’est pas une science dans le sens rigoureux du mot , puisqu’elle ne se compose pas d’un enchaînement

s plus efficaces, et les modifie suivant les besoins ; c’est qu’en un mot , il marche de plus en plus dans la voie véritable

omme pour lui donner sa bénédiction, et lui dit à voix basse quelques mots que je n’entendis point. Se relevant alors, le de

somnambulisme magnétique joue un rôle capital, — soit dit sans jeu de mots . C’est peut-être la première fois que le théâtr

nt dans les sphères du comique et de la drôlerie. Voici en quelques mots la donnée de ce petit ouvrage : Un M. Lardenois

ettre ce fait comme une extase véritable dans le sens religieux de ce mot , mais qui indique bien que son origine est pureme

s. L'avant thé s'était passé en spirituelles gaudrioles, en jeux de mots , en bouts rimés, que le guéridon remplit à mervei

t huit ou neuf témoins silencieux et attentifs qui n’ont pas perdu un mot de la discussion ; j’en ai probablement perdu plu

mprise. Mais, auparavant, nous éprouvons le besoin de dire quelques mots sur la marche des idées et sur leurs évolutions p

gme, une charade, un logo-griphe dont nous vous défions de trouver le mot . Et cependant nous vous mettons en môme temps au

! ce sont celles qui se rendent à votre appel. — Je n’ai pas dit un mot . — Vous ne savez donc pas que tout est aimant d

il le transperça de part en part en me prophétisant qu’il piquait ¡le mot Doyen, à la quatrième page du journal. J’ôtai la

aire, et dans un compte-rendu des obsèques d’Orfila, je trouvai ledit mot traversé par la piqûre, à l’endroit désigné. — M.

dans un salon voisin pour y écrire ello-même et très-lisiblement, un mot sur un morceau de papier qu'elle plierait en quat

les deux autres, et j'invitai la dame, qui avait bien voulu écrire le mot è l'intérieur, & s’approcher du somnambule Al

qu’elle contenait un papier plié à l'intérieur duquel était écrit un mot formé de quatre lettres; et, prenant la main de l

de la dame, h l'effet de s'assimiler sa pensée, il accusa aussitôt le mot Plut, ayant une majusculo eu tête. Tout ce qu’il

ent défectueusement; les lettres se succèdent sans ordre; ce sont des mots dépourvus de sens ou des consonnes intarissables.

re. L’esprit, mon cher, soude et remplit les mondes. Rappelle-toi ces mots ... de l’apôtre... saint Paul, je crois : « ln Deo

On passe crayon et papier au médium, et très-prestement il trace ces mots : . J’aurais, ma foi, bien envie de vous amener

vous 1 offrir... en tout dézir de vous plaire. » — Que signifie le mot : hautrin? — « Coteau, petite montagne ; je la

même ridicule, qui guérit, et une ordonnance magistrale, hérissée de mots grecs, et qui ne guérit pas, le choix ne saurait

’il arrive, 011 ne pourra, sous peine de sacrilège, y ajouter un seul mot : le char de la science doit s’arrêter, les oracl

me pourra bien devenir une arme qui le tuera. Nous avons employé le mot de spiritualisme pour nous conformer à la désigna

ez remarquable. En Amérique , la liberté légale (nous soulignons le mot à dessein) est absolue , aussi bien la liberté re

, cependant capable d’un examen froid et sérieux ; chez qui, en deux mots , l’imagination et le jugement soient en équilibre

do la psychologie si incomplot, que nous sommes obligé d'employer le mot d'imagination, qui n’a rien de précis. Si, employ

les déductions, le plus sévère dans les conclusions ; le guide, en un mot , le plus sûr dans la voie de la méthode scientifi

nion.» Ces réflexions judicieuses me paraissent renfermer en peu de mots la solution de la question. Quand le magnétisme f

voir, entendre les bravades de ceux qui ne connaissant pas le premier mot du magnétisme, veulent que nous leur en démontrio

en des faits nouveaux du spiritualisme, M. du Potet a ajouté quelques mots de blâme dirigés contre ceux qui s’occupent de ma

ndreuses entre les vitalistes et les organi-cistcs (pardonnez-moi ces mots barbares) n’ont pas d’autre but. Je vous le dis,

avec le siuciput ( le sommet central de la tète) , actuelle? En un mot , dans la langue de l'école, ce sont là pour nous

vocable do La Toute Puissance, l'ap-pellatif de l'Absolue Vérité, le mot Dieu, prononcé non pas ininlelli-geinment et du b

me, et dans la conscience de sa faculté d'aspiration vers le vrai; ce mot alors exerce, au cours de ces choses, l’empire d’

e que l’avocat Borio, l'un des défenseurs, a rappelé très à propos ce mot de Prazio : Velut œgri somma, nova; finguntur spe

grin, ou plutôt son essence, se trouve tout entière dans ces quelques mots . Je ne l’extrais que pour présenter à vos yeux, p

e ce poëme ! Ou bien cette chanson d’une éloquence osée... sous les mots charmants d’une irréprochable simplicité : « A

métamorphose do l'insecte s’élançant de sa chrysalide. Le cimetière ( mot synonyme de dormitoin), c'est le champ où rotourn

par le travail de i'oinme. Non; rien ne meurtI... dam It tau abtoU du mot t les diverses transmutations que nous appelons m

de toulcs les situations sociales. » (Théologie Cosmogonique.) Le mot Adam, selon l’esprit de son symbole, signifierait

te sa mémoire, et sa gaieté naturelle se trahit par une foule de bons mots et par un rire joyeux et franc qui contraste sing

ourir de nouveau. « Aussi la mort réelle n’est pour elle qu’un vain mot , car souvent elle la souhaite ardemment et sincèr

l, et que cent autres se succèdent pendant le sommeil. Je souligne ce mot , afin de m’en expliquer avec vous. Si l’âme ne

idineux ; arrosez tout cela d’un vin généreux , perdez l’esprit en un mot , soyez tranquille., celui-ci n’y perd rien ; les

a rive et la rivière sont deux et non un, comme vous l’avez cru. Un mot encore avant de finir. Vous avez écrit ces lignes

s qu’est-ce que des alexipharmaqucs? Rien que d’entendre prononcer ce mot , il vous coule une sueur froide sur le front, et

e je ne pus saisir, par l’étymologie, la signification de ce terrible mot , et que je fus forcé de recourir tout bonnement a

té du médecin. — Il ne me suffisait pas de savoir la signification du mot alexipharmaqué; j’en demandai l’étymologie, et je

spharicon (venin). Mais alors on devrait prononcer alexispharique. Le mot a été changé en nourrice et tellement défiguré, q

les pensées se colorent, que les idées s’imagent, que l’esprit, en un mot , se revêt de son enveloppe matérielle. Il est con

en rendre compte par l’action ordinaire des sens. Quand on se sert du mot voir, c’est donc improprement et à défaut de term

coiffer mon schako ; l’appétit est bon, je digère très-bien : u en un mot , je ne me plains plus. Cependant, si vous étiez «

savoir, sans que nous puissions empliècher sa libre circulation. Un mot actuellement sur le magnétisme immédiat ou par at

icité vitale, mais n’ont pu débrouiller son action, tant que le grand mot : électricité intelligente n'a pas été prononcé e

a table, si elle est assez forte ; c’est ce que vous entendez par les mots puissance de volonté, et par l’aphorisme vouloir

ue fais-tu là? — Je lis dans son cerveau le nom A’Octavie, c’était le mot cherché. Vous voyez que tout concourt à vérifie

ser l’enthousiasme qui s’empara de ce néophite. 11 demanda quelques mots sur son bon maître qu’il venait de visiter. Le

orts. «Chaque instant voit apparaître un livre en notre faveur; nos mots nouveaux entrent dans le langage avec leur sens p

, laissons à Dieu les destinées du lendemain. « La mort n’est qu’un mot vide de sens, le repos même est un mensonge, la n

ts de la Société du Mesmérisme, s’est levé à son tour, et en quelques mots * comme il sait les dire, a porté un toast très-ju

s à la santé des morts. Nous n’avons point à nous demander comment le mot trinquer, si gai, si expressif, qui rend si bien

p vieux, et ne pouvant plus faire de longs discours, énonçait en deux mots le dogme qu’il avait prêché pendant toute sa long

province de France où l’on trinque le mieux, a condensé dans un seul mot la doctrine de la fraternité humaine : TRINQUE !

mpathiques félicitations. La série des toasts (encore ce malheureux mot ) aété close par une spirituelle satire, en prose

M. Salvat s’approcha alors du président, demanda la faveur de dire un mot et prononça les paroles suivantes : « Monsieur

ez. » Elle se recueillit un instant en fermant les yeux, et traça ces mots en grands et beaux caractères, entièrement diff

dame, aimable Parisienne, complètement étrangère à cette langue, les mots suivants : Tu n’as donc pas confiance en moi? — A

une heure et demie d’attente dans une anxiété..... ténébreuse, les mots sacramentels : C’est fini! sortirent de sa bouc

llons plus avant, et faisons bien comprendre, dans toute l’étendue du mot , ce que c'est que le magnétisme. Qu’entend-on p

chose, c’est que souvent, après plusieurs lettres, on croit savoir le mot , et l’on attend la prochaine lettre avec confianc

te lettre attendue partout le cercle , mais à uue autre, parce que le mot n’est pas ce qu on croyait. J’ai observé aussi

rt ; car, comme beaucoup de somnambules, elle ne veut pas employer le mot de mort ou de mourir). C’était du choléra. Après

celle de l’aimant, de l’électricité, de la gravitation, etc. Mais le mot attraction n’est qu’un nom donné à la cause incon

somnambulisme, il faut que les magnétistes purs - je dé- gne pai le mot purs, ceux qui ne s’occupent de cette science T

onvaincus que lorsqu’il sera devenu absurde de nier. Les quelques mots qui précèdent répondent en passant aux provocat

de la qualifier, bien persuadé que chacun trouvera très-facilement le mot qui doit y être accolé. Pour en finir avec ces

st, je me hâte de le dire, que cette tendance sera, pour me servir du mot de M. Charpignon, un obstacle qui éloignera un mo

n étudient ardemment la production. Eh bien ! ces phénomènes, dont le mot n’a point été trouvé encore, il faut que nous les

t de santé de toute personne avec laquelle on est eu relations; en un mot : SUR LE PASSÉ , LE PRÉSENT ET l’AVENIR. Un d

placées de manière à voir sous la table. En très-peu d’instants, les mots suivants furent écrits sur le papier, sans l’aide

’on déterminait en comptant un, deux, trois : dès qu’on prononçait le mot trois, le die se faisait entendre. L’aiguille des

tement au-dessus de nos têtes, et dire : O vous, de peu de foi! A ces mots , je portai mes mains à la bouche du médium : ell

rutti et confrères. Quoique ce ne soit pas un article de foi que le mot docteur soit synonyme de docte, cependant, avant

Au moment de mettre sous presse, 110as recevons de madame Neveu le mot suivant que nous nous îaisons un devoir d’ajouter

-1er de magnétisme et de vous. A peine eus-je entendu votrê nom et le mot magnétisme, que ma pensée aussitôt vola vl?s vous

re et recherche les hommes éminents qui peuvent lui donner le dernier mot de cette science. Il n’est pas jusqu’au Brésil,

marche de tous les systèmes accessoires, nous croyons devoir dire un mot de l’hypothèse psy-cologique de l’auteur, qui ne

conscience de soi et la personnalité sont indépendantes de 1 âme, le mot âme dans votre bouche n’a plus le sens que lui do

les humeurs froides, les affections pulmonaires ou catharrales, en un mot , les maladies les plus graves dont plusieurs méde

la mémoire. » . 11 a été démontré » — c’est nous qui soulignons ce mot — « que pour exciter une faculté végétativee il s

dans une sorte de sommeil relatif. M. Philips rappelle en quelques mots les procédés connus pour favoriser Citât passif,

y tromper, c’est par le magnétisme que M. Puel a guéri sa malade ; le mot ne se trouve pas dans sa relation , mais la chose

ve pas dans sa relation , mais la chose y est clairement décrite ; le mot eût fait reculer d’horreur les doctes juges du co

plaudissons à leur sentence : que l’anathèine continue à peser sur le mot , nous y consentons bien volontiers, pourvu que la

médecine, pour ménager son amour-propre, inventera-t-elle un nouveau mot (probablement tiré du grec) pour désigner la déco

n mystère : l’agent qu'on est forcé de reconnaître n’est encore qu’un mot : le principe reste inconnu. La vision, la vue à d

inestimable. « Je développai ces idées, et reconnaissant en peu de mots mes auditeurs à la protection de notre Père céles

la mesure de l’homme. 11 n’y avait donc aucune nécessité de forger le mot de psychométrie, qui est beaucoup trop ambitieux

tuel de nos connaissances. 11 y a beaucoup d’inconvénient à créer des mots impropres qui, presque toujours, entraînent des i

s w nois. Puis, elle se servit des caractères grecs pour écrire des mots italiens (toujours à rebours). L’auteur observe q

parlait grec, et l’on ne réussissait à lui faire comprendre quelques mots d’italien qu’en en appelant les lettres une à une

On lui présenta une grammaire italienne-française, elle en lisait les mots français, mais montrant les mots italiens, elle d

lienne-française, elle en lisait les mots français, mais montrant les mots italiens, elle déclara ne pas les comprendre et n

r elle avait bien appris le français, mais elle ne connaissait pas un mot d’anglais, et personne , dans sa famille ni dans

’on lui soufflât à froid sur une oreille, et qu’on lui jetât quelques mots d’une voix brève et impérieuse , disant qu’en pro

oat, qui ne sait que l’anglais, peu de français et seulement quelques mots d’espagnol, a écrit, dans une obscurité presque c

oui fut répondu par le général. Mmc Ogier resta quelques minutes sans mot dire, puis elle reprit : Je viens de le chercher

s les plus graves que le côté plaisant, de faire plus de cas d'un bon mot que d’un argument solide, de rire un peu de tou

ette magique dont tous avaient plus ou moins ressenti I e pouvoir, un mot , un simple signe excitait ou calmait, à son gré,

ou à celui qui n'a point expérimenté. 11 y a toujours des traits, des mots qui chassent tous les doutes. Les évocations et

e des médecins américains comme une erreur, peut-être même, disons le mot , comme une gasconnade (les Etats-Unis, on le sait

pria le jeune homme de lui souffler dans la bouche et de prononcer le mot Dieu. Le jeune homme ayant fait ce qui lui était

mme ayant fait ce qui lui était demandé , elle prononça à son tour le mot Dieu ; elle le remercia ainsi que sa sœur de leur

able lui coupait la parole,.et elle parut incapable d’articuler aucun mot . Le lendemain, à onze heures, ainsi qu’elle l’ava

s souffrances, à recouvrer les facultés dont elle était privée, eu un mot , à rentrer dans l’état normal. Puisse un pareil e

M. Davis? Ses amis répondent sans hésiter, c’est un voyant. Voilà un mot terriblement suspect aux yeux des disciples de Vo

lies, et toujours en vertu de lois immuables. Avec ce commentaire, le mot voyant nous paraît admissible. Maintenant, quel

mystérieusement évanoui sera, pour plus de commodité, désigné par le mot esprit, et il reste à démontrer qu’il existe enco

s limites de ce qu’ils appellent ainsi ; mais ce qu’on exprime par ce mot , est, nous devons le reconnaître, quelque chose d

. — Mais elle ne parle donc pas.l’anglais ? — Elle n’en savait pas un mot . _ C’est donc cela que je ne comprends pas ses pa

nt un instant la lettre, puis la droite saisit un crayon et écrit ces mots : Cette malade peut être soulagée, mais non guéri

ne prescription). Le petit papier fut alors ouvert ; il contenait ces mots : La malade, dont les cheveux sont dans cette env

, les discute et les soutient comme un rhéteur des plus retors. En un mot , elle se forme une conscience et une raison à ell

re-ferme de la physiologie humaine qui n’a pas encore dit son dernier mot à nos savants , ni à nos théologiens. J’amarre

s par cet état anormal, fallait-il toujours s’abstenir et attendre le mot de l’avenir sur cette bizarre énigme? La sagess

sur ce sujet, a publié, en dernier lieu, une brochure intitulée : Un mot sur les tables parlantes, suivi du Crayon magique

offrit d’imprévu, de suivi, de raisonnable (et je souligne ce dernier mot , parce qu’il y a souvent beaucoup de dévergondage

per à l'obligation de s’expliquer là-dessus. Nous continuâmes : «Ce mot te coûte donc bien à prononcer? Dis-nous-le pourt

r la fidélité conjugale, sur la santé, sur l’avenir ; d’éviter, en un mot , tout ce qui peut laisser dans l’esprit une impre

s rédacteurs de l’arfêt semblent avoir jeté au hasard quelques grands mots qui font partie de leur polémique habituelle, san

ur puisse deviner à qui s’adresse cet anathème, et on termine par les mots de pratique hérétique qui doivent être fort étonn

r l’Eglise, à retrancher ou attirer quelque article du symbole, en un mot , à créer ou favoriser une hérésie quelconque. L

conviction basée sur les études de toute sa vie, laissa échapper ces mots : Lu terre tourne pourtant. Et l’Eglise, obligé

eur fit exécuter, par sa volonté magnétique et sans prononcer un seul mot , tous les mouvements que le public désira et qui

77, 375; — qui écrivent , 218, 372, 570, 627 ; — qui font des jeux de mots , 241 ; — qui enlèvent des personnes. 281, 373; —

on du cri de divers animaux dans l'état somnambulique, 505. Jeux de mots des esprits, 241. Lucidité spontanée , 32 , 197

Apréciation de l’esprit de celte revue, par M. E. de Malherbe, 249. Mot (un) sur les tables parlantes, suivi du crayon ma

egards de l'enfant sur ces lettres, on les lui assemble, on forme des mots , des syllabes, des phrases, on les lui fait lire,

éder un appareil à projections pour la lecture. La vue lumineuse d'un mot coloré, d'un animal dont il lira le nom, tirera l

ncore les faudrait-il imprimés en caractères spéciaux, très gros, les mots très espacés, 15 millimètres au moins, des virgul

de prudentes réserves : « incerturn. an, dubium an... » Les derniers mots témoignent, du reste, de son sens critique. Il se

culée. Avant de terminer cette étude, il nous reste à dire quelques mots de l'emploi du métal dans l'uniforme. Nous avons

ments de notre langue. Vous avez voulu faire lire à votre enfant le mot papa, par exemple, et vous lui avez dit : pé a

ne reconnaissant point aux consonnes une valeur réelle. Reprenons le mot : Papa. La lettre que vous prononcez Pé ou Peu,

autre méthode employée, se prononcera simplement comme dans la fin du mot cap par une simple explosion du souffle s'échappa

ellerons pour les autres consonnes, nous prononcerons M comme dans le mot Ham, le N comme dans Horn, le C comme dans coq, l

r de ce moment son ventre diminue de volume, le lait se tarit ; en un mot , l'ensemble des phénomènes disparait. Seules rest

dans une maison pour y exercer ses ravages. (14) N d'un esprit. Ce mot signifie aussi convulsions, attaques de nerfs.

n bœuf ou d'un buffle. (DIci. malais-français .de M. Tugault.) (21) Mot à mot. Djembalaug frappé par un ingrédient magiqu

ou d'un buffle. (DIci. malais-français .de M. Tugault.) (21) Mot à mot . Djembalaug frappé par un ingrédient magique.

écrivait Penenggalanne ; nos sons : an, on, sont rendus à la lin des mots par ang, ong. 11 est bon de remarquer aussi qu'il

s de la section de pédagogie. Mme Higgins, de New-York, en quelques mots charmants qu'on a bien voulu nous traduire, expri

emploient et considèrent la suggestion dans le sens le plus large du mot et les raisonneurs, bien que tâchant de s'absteni

dépourvus d'esprit critique. Dallmeyer termine sa brochure par les mots suivants : « Je suis venu allumer un feu sur la t

est méconnaître les lois physiologiques de son évolution, c'est en un mot courir à un échec ou du moins diminuer sérieuseme

nt médico-pédagogique de donner son maximum d'action ; c'est, en un • mot , grâce à ces conditions que l'enfant sera placé d

conte son aventure, tout en parlant lentement encore et cherchant ses mots . « Ce fut au mois d'août 1904, dit-il, que je d

ue le prévenu était en état de démence au moment de l'action ; que le mot responsabilité n'y est pas écrit ; 2° que les q

gogie musulmane par M. le Pr Ubeyd-Oullah (de Constantinople). Le mot a Islam » qui figure dans le titre de cette commu

e religion que j'appelerai, plus spécialement : la loi de Mahomet. Le mot : foi, exprime mieux, en effet, l'esprit du fonda

e prophète. Cette idée est surtout juste à l'égard de Mahomet si le mot « prophète » est pris dans le sens de connaître l

on devenait hystérique, l'hystérie pourrait être curable. Or, à ce mot du professeur Pitres (de Bordeaux) « on naît hyst

tence, le médecin légiste ne doit ni indiquer ta chose ni employer le mot , parce que la loi n'en parle pas ; il doit s'en t

monde est complètement d'accord. « Ce n'est donc qu'une question de mot », a dit avec autant d'exactitude que d'à-propos

'entendraient sur les choses, s'ils-voulaient bien s'entendre sur les mots , » « Puisque le terme de responsabilité rencont

le terme de responsabilité rencontre tant d'hostilité et que c'est le mot seul qui nous divise, il faut, ajoute M. Joffroy,

it penser avec les savants, il faut parler avec le commun ? Mais le mot responsabilité n'est pas dans la loi, objecte M.

d'irresponsabilité et de responsabilité atténuée, en précisant que ce mot est pris exclusivement dans le sens de responsabi

ogique. » Personnellement, je proposerais de remplacer les derniers mots que j'ai mis en italique par : imputabilité psych

nnant ; il la répétera à satiété, prononçant inconsciemment les mêmes mots , pour lui vide de sens, sans en rechercher la sig

lui évitant d'être la proie des erreurs courantes et sans lui dire un mot qui puisse choquer le bon sens. On ouvre ainsi po

utre ou à leur retour dans les classes ordinaires, les suivrait en un mot un par un, régulièrement et attentivement. Ce p

'est dans une période d'état second, de somnambulisme délirant, en un mot , ayant duré quatre jours, qu'elle a mis le feu au

i la met en garde contre des actes, punis par les lois ; elle a en un mot la conscience claire de ce qu'elle est en réalité

a l'expression « hypnotisés » employée par le colonel russe. C'est un mot qui revient souvent sous sa plume, tant il le tro

ettent en colère. Cette disposition d'esprit peut être définie d'un mot : Virnpulsivilé. C'est de cette impulsivité que r

nstabilité, de paresse, d'impulsivité à la colère, d'indocilité en un mot . De cet état de choses, le médecin ne saurait ê

ult vient confirmer cette appréciation. Il y aurait encore quelques mots à dire sur les animaux pleureurs. A. Ceylan, l'él

ise, en réponse à celui de Maurice Donnay, Paul Bourget a rappelé ces mots d'Albert Sorel : * On n'enseigne bien, c'est-à-di

n lui le pouvoir fixateur et correcteur des centres supérieurs, en un mot rééduquer sa volonté. En cela, il se révèle, comm

le « prévenu était en état de démence au moment de l'action ; que le mot « responsable n'y est pas écrit ; R 2° Que les

gement pratique vous l'obligez à croire un a priori ! S'il se sert du mot de responsabilité, si conventionnel qu'il soit, v

t dignes d'admiration et de respect. Je réponds ainsi, et sans jeu de mots , à l'exclamation de M. FaTez : « Par quelle grâce

s, responsabilité, irresponsabilité, etc., ne sont qu'un cliquetis de mots sans définition possible dont il n'appartient pas

rères se sont écrié : « Mais il n'y a dans tout cela que querelles de mots ! C'est le mot de responsabilité qui nous trouble

rié : « Mais il n'y a dans tout cela que querelles de mots ! C'est le mot de responsabilité qui nous trouble, rejetons-le e

se qui nous mette d'accord ». J'ai grand'peur qu'ici la querelle de mots ne fasse en réalité que traduire une querelle d'i

i se conçoit bien s'énonce clairement. Si nous nous chicanons sur les mots , c'est que nous nous chicanons sur les idées. En

esponsabilité un a degré de discernement ». Comme c'est jouer sur les mots ! La vérité est une. Elle se discerne ou ne se di

t à son goût aucun de ces vocables, il propose : Imput&bilité. Le mot semble en effet nous introduire de plain-pied sur

ire qui suppose encore un degré de responsabilité. On le voit : les mots ne paraissent pas dignes de plus de succès que la

ui laisse les choses en l'état. • Je voudrais résumer en quelques mots mon argumentation principale contre les responsab

ses éléments nuisibles, j*-dirai antisociaux et non criminels, car le mot crime m'encombre autant que le mot de res-ponsabl

tisociaux et non criminels, car le mot crime m'encombre autant que le mot de res-ponsablité. En quoi nos conclusions pour o

uel nous empruntons ces données ('), on trouverait, dans la Bible, le mot Schac/ièphef/i, dont l'interprétation pourrait, p

hète fut guéri et il put haranguer la foule sans craindre de voir les mots s'arrêter dans sa gorge. Névroses. — Chez les H

ibue aux spectres : c'est ce qui a amené à désigner leur état par les mots de visage spectral. Ces personnes, bien qu'elles

Dieu nous protège ! » répond le commandant, voulant exprimer par ces mots qu'il trouvait le morceau de viande trop cher pou

droit, chaque année, de célébrer les vertus du sultan. Beaucoup de mots ne peuvent être prononcés à haute voix, ni imprim

ssassinat du roi de Serbie. On ne connaît pas, en Turquie, le premier mot des événements de la Russie. Le nom de la Douma,

s occidentales. Toutes les lois françaises ont été traduites, presque mot à mot, et ont été adoptées dans toutes les br

dentales. Toutes les lois françaises ont été traduites, presque mot à mot , et ont été adoptées dans toutes les branches

de comprendre C... ; il est atteint de trouble de l'articulation des mots .Il est très difficile de se faire comprendre deC.

, je ne sais pas. » « J'ai parlé des troubles de l'articulation des mots , je dois ajouter que son vocabulaire est très res

ue le prévenu était en état de démence au moment de l'action ; que le mot responsabilité n'y est pas écrit ; « 2° que les

qui, au nom do l'expertiee médico-légale, ont été formulées contre le mot et l'idée de responsabilité pénale. * Le mot

formulées contre le mot et l'idée de responsabilité pénale. * Le mot responsabilité dérive du mot latin responderé. Au

'idée de responsabilité pénale. * Le mot responsabilité dérive du mot latin responderé. Au point de vue pénal, il signi

ortée, s'il s'exprime d'une façon incohérente, s'il déraisonne, en un mot , le juge n'a pas en face de lui un responseur, c'

n'a pas en face de lui un responseur, c'est-à-dire par corruption de mots , un responsable. L'interrogatoire est suspendu ip

été prévu dans le code d'instruction criminelle. Contre l'emploi du mot responsable, comme du mot responsabilité qui en e

nstruction criminelle. Contre l'emploi du mot responsable, comme du mot responsabilité qui en est le dérivé, on a invoqué

de valeur. Il est même de nature à faire sourire les légistes. Si le mot responsable n'est pas prononcé dans l'article 64,

s ou pour délits. » Les jurisconsultes étant gens laconiques quelques mots leur suffisent d'ordinaire pour exprimer leur pen

donc nettement inscrite dans le code. Bien plus, le fait de placer le mot excusable avant celui de responsable indique au j

la distinction entre la prison et l'asile est surtout légale, car le mot car ??? est employé pour les deux usages (7). C

ment de fait ou de sentiment. * * La deuxième objection contre le mot de responsabilité, c'est qu'il implique une idée

e de métaphysique. Elle se trouve réfutée par la démonstration que le mot et l'idée dérivent directement du droit romain au

ns réserves. Mais, j'ai tenu à défendre contre lui la légitimité du mot responsabilité, consacré par l'usage, et dont le

ution, police des moeurs et santé publique. — Dr Claparède : Quelques mots sur la définition de l'hystérie. D' Car-taz : De

ents du travail a été d'enrichir le dictionnaire médical d'un nouveau mot et de doter l'humanité d'une nouvelle maladie : l

udissements. , Le professeur Bouchard a retracé ensuite en quelques mots heureux la carrière du docteur Magnan, dont il a

non compliquée des maladies mentale, tout au moins si Ton conserve au mot mental sa signification habituelle en psychiatrie

a là qu'un schéma dont rien n'est venu démontrer l'exactitude. Deux mots , en passant, d'une théorie discutée récemment

t très justement que l'hystérie est moins une maladie au sens vrai du mot qu'une façon spéciale de réagir et de sentir ; c'

tions. Qu'il s'agisse d'engourdissement, de sommeil, d'inhibition, le mot importe peu. Ce qu'il faut retenir c'est £jue cet

part assez clinique. Tiendra-t-on à parler le langage anatomique, au mot « zones » il suffira de substituer celui de « cen

n et les préceptes ou les textes transmis se contredisent, le dernier mot revienta la raison. » Ces juristes, après avoir

vent pour les « vitîligineux » une grande répulsion, a Pièss » est un mot d'injure dans le langage courant ; un cheval à ta

Nous sommes donc en présence d'un spasme fonctionnel, pour lequel le mot hystérique serait peut-être excessif, car, à part

-dire proclamateurs. Ce dernier terme est d'ailleurs le sens exact du mot grec prophètes ; d'où l'on tire le mot français p

st d'ailleurs le sens exact du mot grec prophètes ; d'où l'on tire le mot français prophète. Pour les Juifs eux-mêmes, le

naires, des proclamateurs, c'est-à-dire des /ous. D'ailleurs, le même mot hébreu servait à désigner indifféremment le fou e

de couche ; ils faisaient des gestes désordonnés, et donnaient, en un mot , l'illusion de la folie. De plus, les prophètes

oment, le tempérament, l'instruction, l'opinion de l'individu ; en un mot , c'étaient des aliénés ainsi que l'admettent nos

sser pour typique et encore n'est-elle pas spécifique au sens vrai du mot ; elle ne représente que « l'exagération d'un phé

e fait sous forme de crises de nerfs, on a appelé cela de l'hystérie, mot qu'on peut supprimer pour dire crise de nerfs » e

'un appareil symptomatique hystérogène, l'autre sur une définition de mots et sur une pétition de principe n'ont en somme ri

maladie de peau spéciale, qui ne correspond nullement à la lèpre. Les mots seeth, sapachath (synonyme de mispachath) et bhaë

Hosias a la suite d'une colère. (II* Livre des Chroniques, xxvi). Un mot d'Elisée provoque chez Guéhazi la blancheur héréd

t très grande. C'est l'expérience seule qui doit avoir ici le dernier mot . Et, à mon avis, un vaste champ d'études est ouve

ue aujourd'hui. Les Grecs, et ensuite les Romains, entendaient par le mot grec despote, un maître de maison, le chef d'un g

ur. II est toutefois permis de faire une réserve au point de vue du mot traitement employé par le présentateur. En dépit

e, la compréhension de la parole, la possibilité de copier quelques mots . La parole volontaire spon- tanée est revenue e

ositifs que nous l'avions espéré; nous en dirons cependant quelques mots . L'électricité statique fut d'abord essayée. No

sée, que presque toutes les paraplégies, pour ne pas dire toutes ( mot qui sonne toujours mal aux oreilles), pro- vena

'affirmation catégorique d'un de ses compagnons qu'on employait des mots d'un usage très commun, et qu'on ne se moquait

eloppement de ce syndrome, de sa marche et de sa terminaison, en un mot .nous allons aborder l'étude de l'évolution du s

sque, le malade tout d'un coup voit qu'il ne peut articuler un seul mot , il ne comprenait pas non plus ce qu'il entenda

ce et en surdité psychique ; le malade ne pouvait articuler un seul mot et ne com- prenait pas non plus ce qu'il entend

mère et par monosyllabes : oui, non. Parfuis elle prononce quelques mots que sa mère traduit. La mémoire est relativemen

nt être au début très peu impres- sionnables à la suggestion. En un mot , les sujet se perfec- tionnent avec l'exercice.

n du texte du projet de loi. Le texte de la commission, au lieu des mots « les rapports médicaux », contient ceux-ci : le

tient ceux-ci : le rapport médical prescrit par l'article 16 ». Les mots « les rapports médicaux » figuraient dans le te

ident, je demande qu'on mette, au commencement du 2° paragraphe, le mot « mentionnés » au lieu de celui de « transcrits

aient pour cela les documents dans leur entier. C'est pour- quoi le mot « transcrits )'aétémainienu.C'est, je le répète,

e Président. Je mets aux voix l'article 23 avec la substitution des mots : « le rapport médical » à ceux de : « les rappor

médical » à ceux de : « les rapports mé- dicaux », en réservant le mot a transcrits ». (L'article 23 est adopté sous l

le mot a transcrits ». (L'article 23 est adopté sous la réserve du mot « transcrits».) M. LE Président. Je mets aux vo

réserve du mot « transcrits».) M. LE Président. Je mets aux voix le mot « mentionnés », que M. de Gavardie propose d'in

», que M. de Gavardie propose d'inscrire dans l'article au lieu du mot « transcrits ». (L'amendement de M. de Gavardie

Gavardie n'est pas adopté.) M. le Président. Je mets aux voix le mot « transcrits ». (Le mot « transcrits » est adop

opté.) M. le Président. Je mets aux voix le mot « transcrits ». (Le mot « transcrits » est adopté.) (L'ensemble de l'ar

fectée à des condamnés épileptiques non aliénés. J'ai déjà dit un mot , précédemment, des motifs qui ont dicté, il y a

ticle 38. Archives, t. XVII. 10 146 SÉNAT. M. DE Gavnnum. En un mot , la commission entend parler d'épilepsie bien c

on est fondée, ne pensez-vous pas que dans l'article 38, au lieu du mot c sont conduits », qui impose une obli. galion

leurs d'inconvénient à substi- tuer, comme le demande M. Paris, les mots « pourront être con- duits » à ceux-ci : x sero

ne fera pas plus d'opposition que la commission à ce changement de mots . M. LE Commissaire du Gouvernement. J'accepte l

a commission semble consentir à cette modification de substituer au mot « sont » les mots « pourront être ». Personne n

consentir à cette modification de substituer au mot « sont » les mots « pourront être ». Personne ne demande la parole

ts aux voix l'amendement de M. Paris, qui consiste à substituer les mots « pourrotitêtre » au mot « sont ». (L'amendemen

e M. Paris, qui consiste à substituer les mots « pourrotitêtre » au mot « sont ». (L'amendement est adopté.) M. le Pr

el il est poursuivi, il n'est pas coupable de ce fait en prenant le mot de culpabilité dans le sens précis que lui donn

ement, comme ledit M. Moebius, on ne saurait consacrer que quelques mots à cette question. Ainsi la guérison des acciden

en que l'audition soit parfaite, ils ne peuvent plus comprendre les mots Weviiicke. Der Aphasische Si/mploinencomplex.li

ion soit parfaite, ils sont incapables de lire et de comprendre les mots écrits ou imprimés qu'ils voient. Dans ces deux

ui traite de l'effacement partiel ou total des images auditives des mots , M. Ballet dit que les opérations cérébrales qu

audition des objets ou des choses; 3U enfin, lorsqu'il s'agit d'un mot , la perception du mot, non seulement comme' son

u des choses; 3U enfin, lorsqu'il s'agit d'un mot, la perception du mot , non seulement comme' son ou collection de sons

, capable de susciter l'idée qu'il représente; c'est Y audition des mots ou audition ver- bale. Un exemple fera saisir

it par un son qui n'est plus celui de la cloche ; mais celui d'un mot conventionnel que nous avons par éducation la c

smaul, nous appellerons la perte de l'audition verbale, surdité des mots ou surdité ver- bale (Worttaubheit) '. Surdit

e fait en sa présence, mais pour lui, c'est un bruit confus ; les mots employés ne font pas revivre dans sa mémoire le

est intacte des deux côtés, il n'existe pas non plus de cécité des mots ; car, phénomène important, elle lit très facile

ouble psychique caractérisé par une impossibilité de comprendre les mots parlés, quoique l'organe de l'audition lui-même

angée. On remar- quera que bien que les impressions auditives des mots ne se rétablissaient pas, les mémoires visuelle e

ées cor- rectes, mais l'expression correcte leur fait défaut; les mots et non les pensées sont confus. Ils pourraient

ndre les idées des autres, s'ils pouvaient seulement comprendre les mots . Ils sont dans la posi- tion de personnes tout

d'une population qui se sert des mêmes sons, mais qui emploie des mots différents; ceux-ci frappent leur oreille comme

p. 177. ? 7tt/,avn))878, 2 ! 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. auditives des mots ; mais à côté de cette affection, il y a un dés

est représentée à la conscience, mais le malade ne peut raviver le mot correspondant dans sa mémoire; mais quoiqu'il n

s images auditives, si on le lui suggère, et si l'on prononce les mots propres devant lui, l'audition des mots ravivera

re, et si l'on prononce les mots propres devant lui, l'audition des mots ravivera l'image verbale endormie. Un bon exemp

e dire ce que c'était, le ma- lade répondait : « Je ne puis dire le mot ; je sais ce que c'est; c'est pour mettre de la

n. Une bourse ? -Oui. On verra par là qu'il saisissait le sens du mot qu'on prononçait devant lui. C'est tout à fait

ain son centre auditif peut être stimulé par la prononciation des mots propres en sa présence, l'image auditive a été

, et l'ophtalmsocope n'y découvre aucun trouble. Le malade voit les mots ; mais ne com- prend pas leur sens, et il est e

verbale, ou l'effacement partiel ou total des images visuelles des mots , établit des distinc- tions analogues à celles

lumineuse; 3° la cécité verbale, c'esl la perte de la vision des mots , ou plus généralement des signes écrits. La for

endemain, en revenant à lui, il bégayait en parlant, substituant un mot à un autre. Il y avait un peu de para- pliasie

ent disparu, et c'était purement par hasard, qu'il substi- tuait un mot à un autre. L'hémiplégie avait graduellement dimi

imitée aux cas dans lesquels le malade n'ap- précie pas le sens des mots imprimés ou écrits. En analysant le cas de ce m

dale du côté gauche, centre supposé de la perception auditive des mots . La première circonvolution temporo-sphénoïdaie

onnut un centre auditif général, de même qu'un centre auditif des mots , inclinait à localiser ce dernier dans la premièr

comme étant le siège des altérations dont relèverait la cécité des mots . M. Charcot cependant émet cette opinion avec u

oire des mouvements spécialisés qu'il faut faire pour articuler les mots . Tout son vocabulaire était réduit à l'émission

e ses sensations vertigineuses, mais il ne peut pro- noncer un seul mot . Il se rappelle que dans son attaque précé- den

de sa conversa- tion, il s'arrête et ne peut plus articuler un seul mot ; il ne dit que ho... ho... ho... On le fait tra

A onze heures, le malade commence à pouvoir articuler quel- ques mots . Je-fus appelé immédiatement, et je me rendis aus

de la mémoire et des mouvements spécialisés pour l'articulation des mots . Substitution de quelques ~ mots à tout ce qu'i

pécialisés pour l'articulation des mots. Substitution de quelques ~ mots à tout ce qu'il veut dire.- A onze heures du soir

aphandrier est pris d'une impossibilité absolue d'articuler nn seul mot ; il n'émettait que quelques sons inarticulés.

i, vers z heures, le malade a commencé à pouvoir articuler quelques mots qu'il substituait à tout propos. Dès ce moment,

ade était dans la capacité absolue déparier et d'articuler tous les mots . Le ma- lade n'aurait eu ni bouche de travers,

nts aux lèvres et aussitôt après de l'impossibilité d'articuler les mots ; il comprenait parfaitement ce qu'on lui disai

drier est pris tout à coup d'une incapacité absolue d'articuler les mots ; il comprenait parfaitement bien ce qu'on lui d

système artériel, normaux. S). SURDITÉ psychique ou verbale ou DES MOTS (VORTTAUBHEIT). Nous n'avons à relater qu'une s

ensorielle qui est. la sui- vante. On sait déjà que la- surdité des mots a figuré à titre de symptôme de la période du d

lait mais il ne pouvait pas y répondre car il ne comprenait pas les mots parlés par son entourage. Il entendait si bien

e constater qu'il est dans l'incapacité absolue de proférer un seul mot , il ne pronon- çait que quelques monosyllabes,

soir. Le malade se trouve dans l'impossibilité d'articuler un seul mot . Il ne profère que quelques monosyllabes, en le

n constate qu'il ne comprend plus; impossible de déchiffrer un seul mot : je vois, mais fait-il observer par signes, mais

ose d'écrire, on voit qu'il ne peut y parvenir; pour la plupart des mots il n'écrit que la première lettre ; pour quelqu

es observations étaient absolument incapables de proférer un seul mot : par contre, la mémoire auditive n'avait pas été

malades des Observations XXXIII et XXXIV, la mémoire visuelle des mots et la mémoire des mouvements graphiques ne peuv

érée ni modi- fiée que sous le rapport de sa mémoire auditive des mots ; le malade entendait tout, mais il ne comprenait

pas perdu la mémoire des mouve- ments coordonnés pour articuler les mots ; il proférait tous les mots. Chez lui, il n'y

ments coordonnés pour articuler les mots ; il proférait tous les mots . Chez lui, il n'y avait ni mémoire visuelle des

ait tous les mots. Chez lui, il n'y avait ni mémoire visuelle des mots , ni mémoire- des mouvements gra- phiques. Il n'

. Nous n'avons pas observé de cas de cécité verbale ou cécité des mots (Wortblindheit), isolée et dégagée de tout méla

moire des mouvements coordonnés qu'il faut faire pour articuler les mots ; le malade ne profé- rait pas un seul mot : b)

aire pour articuler les mots ; le malade ne profé- rait pas un seul mot : b), la mémoire visuelle des mots : il ne pouv

lade ne profé- rait pas un seul mot : b), la mémoire visuelle des mots : il ne pouvait pas lire, mentalement, ce qui éta

pas capable d'écrire; d), incomplètement la mé- moire auditive des mots ; il concevait imparfaitement ce qu'on lui disa

de l'ouïe très prononcée; il ne pervenait à percevoir que quelques mots seulement. La plupart des mois lui échappaient

à peine s'il est nécessaire de répéter, de temps à autre, quelques mots qui lui échappent. En dehors de cette dureté de

former en sous articulés les représentations figurées du centre des mots par l'action combinée de divers nerfs (facial,

iller et en même temps d'offrir une-vue synoptique, qu'elle a en un mot une plus grande importance scientifique. M. 0

permanence, on voit apparaître de la dépression mélancolique, en un mot la psychasthénie primitive (état de fatigue psy

onditions à faire concourir le malade, bien qu'il ne comprit pas un mot , à un choeur de mélodies sifflées devant lui. ,

localizzazioni funzionali, p. 6. C'est nous qui avons souligné les mots qui, sans que l'auteur y ait pris garde, ruinent

cécité verbale, où un individu voit parfaitement les lettres et les mots sans pouvoir les lire ni les comprendre. » De m

la moelle épinière » et si M. Atthaus avait bien voulu remplacer le mot « fausse » par celui de « pseudo », il aurait d

issance. On lui enlève le casque et le plongeur marmottait quelques mots inintelligibles, n'ayant conscience de rien. Sa

soir, ce malade commen- çait à parler, mais il ne trouvait pas les mots voulus et très souvent, il substituait quelques

ouvait pas les mots voulus et très souvent, il substituait quelques mots à tout ce qu'il voulait dire ; c'est ainsi qu'a

il voulait dire ; c'est ainsi qu'au lieu de pain, il disait éponge, mot qui lui était le plus cher. Peu à peu l'articul

ponge, mot qui lui était le plus cher. Peu à peu l'articulation des mots se faisait de mieux en mieux et vers minuit, il

e assez prononcé, il ne pouvait arti- culer qu'un certain nombre de mots qu'il substituait d'une ma- nière indifférente

bout de ce temps, le malade revient sans pouvoir articuler un seul mot , il ne prononçait que quelques sons inarticulés.

ent la parole entendue. A minuit, 'il articulait très bien tous les mots . A ce moment aussi, il a com- mencé à remuer un

a dont il ne revint plus. De temps en temps, il prononçait quelques mots incohérents ; quel- quefois il remuait un peu s

nceptions;, elles sont suspendues pour le monde réel; il y a, en un mot , stupeur. Le même état existe plus tard, mais a

ur effort incessant un état général qu'on peut caractériser par ces mots : destruction des facultés intellectuelles et a

nt pendants, de même les lèvres remuent convulsivement ; mais aucun mot ne sort de la bouche, aucun son n'est articulé.

l faut. pincer assez fort la peau pour provoquer des mouvements, un mot suffit quelque- fois pour donner lieu à un cour

'influence des intoxications, d'autant plus que la signification du mot intoxication a été considérablement étendue. En

ence de cet âge. Quand nous l'avons vue, elle prononçait encore les mots comme un petit enfant, mais sans difficulté ; e

ique de More), ce qui en souligne l'idée mai- tresse, ce qui, en un mot , en forme la clé de voûte. C'est parce que ce c

les de causes incessam- ment changeantes, la volonté n'ayant, en un mot , pas d'existence ' réelle, comment peut-elle êt

l la métaphore pourrait se rapporter pour se justifier. Querelle de mots , si l'on veut, mais non pas sans im- portance,

ots, si l'on veut, mais non pas sans im- portance, parce qu'ici les mots contredisent le fond, parce que le fond est tou

uteur émet des doutes sur la commotion médullaire au sens strict du mot , à la suite des traumatismes ; ceux-ci pourraie

frappante de l'intimidation réside dans la difficulté de trouver les mots nécessaires pour exprimer sa pensée, et se tradui

coup de circonstances, des défaillances marquées de la volonté. En un mot , on peut dire que les deux manifestations dominan

té indéniable: Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. Si les mots n'a

once clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. Si les mots n'arrivent pas aisément chez le bègue, c'est qu'u

ement le sceptre fut tenu par des mains plus indignes. » Ces quelques mots suffisent pour définir une mentalité complètement

tion, aboie le même son dix ou vingt fois avant de pouvoir énoncer un mot . Pour cacher son tic, il a pris l'habitude de se

sation qui le transforme en voix. Et encore ne faut-il pas prendre ce mot organe comme une chose unique, mais plutôt comme

eux qui sont dans le secret des Dieu?; chuchotent, murmurent quelques mots à l'oreille, et c'est cette petite voix sourde, s

nnée que lorsque la science est assez avancée. C'est la définition de mot qui peut aider au développement de la science. La

es et désignées, ainsi qu'on le fait en sciences naturelles, par deux mots , par exemple, suggestion hypnotique, etc. Discu

ple, suggestion hypnotique, etc. Discussion M. Berillon. — Un des mots qui apportent dans nos études le plus de confusio

rveau de l'hypnotisé. C'est absolument comme si on se servait du même mot pour désigner le fusil, le projectile et la bless

e mot pour désigner le fusil, le projectile et la blessure. Autant le mot hypnotisme caractérise un état nettement défini,

ndrait de se montrer un peu plus révolutionnaire et de recourir à des mots nouveaux, plutôt que de subir, par routine, des m

e recourir à des mots nouveaux, plutôt que de subir, par routine, des mots qui n'ont aucune signification précise. La Soci

dées, sans hallucinations et non du délire actif, car elle répète des mots sans lien logique, appelés à la suite les uns des

ce rayonne sur nous tous. Grâce à lui, pas de phrases creuses, pas de mots ronflants, pas d'ëlucubrations filandreuses, o Co

Le nouveau venu discrètement vient se placer au pied du lit et, sans mot dire, regarde. La visite terminée, Dumontpallier,

onne, s'applique le vieil adage « tel père, tel fils ». Oh ! quelques mots seulement me suffiront pour le prouver : Le pèr

ndu tout à l'heure notre excellent ami le Docteur Magnin prononcer le mot d'indépendant ; c'est sur ce mot que je vais me p

t ami le Docteur Magnin prononcer le mot d'indépendant ; c'est sur ce mot que je vais me permettre d'insister pendant quelq

-Mondes (sept. 1905) sur la psychothérapie, M. Grasset pèse moins ses mots et l'hypnotisme médical, thérapeutique, puisqu'il

r Ghar-cot, Donato et les magnétiseurs de profession. Et ici même, le mot « dangers » est un péjoratif qui ne correspond pa

ui leur plaisent ou leur paraissent « raisonnables » pour employer le mot de M. Dubois, et repousser celles qui leur parais

en dehors du lycée, amener l'enfant à voir juste, à voir vrai, en un mot former son caractère. Un second rapport de M. l

élevé à l'école de notre maître Paul Bert, possède aussi, suivant le mot de Buffon, « cette faculté de penser en grand qui

ndre plus muette qu'elle n'est, puisqu'elle ne peut articuler un seul mot ! » (Rires.) Bien convaincu que ces oppositions

le et nous demanda l'objet de notre visite. Je le lui exposai en deux mots : « Nous venons vous demander la croix pour le Dr

pas suffisant, réplique le père, tu dois mieux faire ! » Ces simples mots , dits sur un certain ton, l'abasourdissent comme

r de lui ; il ne réfléchit pas, il ne pense pas et, spontanément, les mots suivants lui tombent des lèvres : « J'ai été prem

cle publié par l'Echo est identique au présent compte-rendu, sauf les mots placés entre crochets qui ont été supprimés dans

sténographier les paroles de Mme Berthe (ou tout au moins les écrire mot pour mot) ; donner une date authentique à cette s

phier les paroles de Mme Berthe (ou tout au moins les écrire mot pour mot ) ; donner une date authentique à cette sténograph

ite, leur paresse, amènent à M. Rollet dans le même but ; ceux, en un mot , qu'il s'agit de guérir et non plus seulement de

'avais eu l'idée de préparer un discours. Puis j'ai pensé que !es mots viendraient d'eux-mêmes pour exprimer les sentime

e doute, je m'abstins de reparaître à l'hôpital. Deux jours après, un mot laconique m'invitait à m'y présenter. Dès qu'il m

ur Robin. Nul ne sait mieux que lui, ni avec plus de tact, trouver le mot qui dénoue les situations. Il est de ceux qui n'a

ne saurait mériter ce nom si l'on n'a toujours présent à l'esprit le mot de La Bruyère : « On n'arrive à la vérité que par

stiaire, mais reprenez-la en sortant. » Paul Bert, de qui je tiens ce mot , ne l'avait jamais oublié et il semblait y avoir

dans sa Neurypnologie (2), ou, en outre, quelle est la définition du mot « Braidisme ». Cette étude est, non seulement i

mmentaires. Nous prévenons que c'est nous qui avons souligné certains mots dans ces extraits. Cet article est divisé en qu

n du Sommeil Lucide de 1906, et sont indiquées par la lettre S. L. Le mot « Fariisme » fut proposé par von Liébeault pour i

llir ; puis, d'une voix forte et impérieuse, il prononçait soudain le mot : « Dormez », qui généralement produisait sur l'i

attribue tous les résultats à « l'influence de (1) Faria se sert du mot « epople » au lieu de somnambule. Yimaginatio

de violence à l'égard de ceux qui l'entourent. Si même, on entend le mot « dangereux » au sens strict, tout individu qui,

ivement résolus. Les divergences dépendent de l'exacte définition des mots « suggestion » et « hypnotisme ». III. — LA COM

olument précises. » (p. 242.) Faria : C'est Faria qui a proposé les mots : concentrateur et concentration. Nous avons déjà

donné dans la partie II, sous les numéros 3 à 6, qui commence par les mots : L'épopte dispose à l'ordre de concentrateurs, e

ndant le sommeil. » Et il définit ce que l'on doit comprendre par les mots coma hypnotique, mono-idéologie, et mono idéo-dyn

he Méthode (Part. I) l'extrait du Sommeil Luciée qui commence par les mots : * Quelle vertu ont donc les attouchements, etc.

Faria sur ce sujet scus le n° 9 de la Partie II, qui commence par les mots « Voici comment on s'y prend... » 14) Puissance

onc pas à James Braid qu'appartient la découverte de l'hypnotisme. Le mot seul lui appartient. Il est vrai de dire, cependa

ent de faire un portrait s'il ne sait pas dessiner et peindre ; en un mot , il ne pourra pas, du fait du sommeil, exécuter u

tat de veille. La suggestion à l'état de veille n existe pas : le mot même est un véritable contre-sens pour quiconque

ggestion. Je ne suis pas de l'avis de m. Babinski quand il dit que le mot suggestion, dans le sens médical, exprime l'actio

manifestement déraisonnable. . Sans doute chacun peut donner à ses mots le sens qu'il veut et si un auteur veut nous prév

mots le sens qu'il veut et si un auteur veut nous prévenir que par le mot suggestion il exprimera l'idée ¦ chose absurde »,

», il est libre de le faire ; mais on s'appuie sur la définition des mots pour les employer rationnellement et c'est ainsi

il vient de lire, et cherchant à percevoir l'image des lettres et des mots écrits dans la transparence du cristal. Il cont

e l'idée d'une science spéciale qui serait la Pyramidologie, selon le mot de Piazzi Smith ; mais j'admets que, au-delà de l

mais je m'arrête, de peur d'abuser ! Je passe donc tout de suite au mot de la fin (?) de la fin de cette soirée décevante

ller d'un point à un autre, la passerelle réservée à la montée, en un mot , toute direction à suivre pour aller en avant, év

uanes, mairies, ministères, administrations, théâtres, partout, en un mot , où l'Etat a le devoir d'assurer la sécurité publ

onne heure à ce milieu et s'il ne présente pas de tare mentale, en un mot s'il est un faux anormal. Il n*en est pas de mê

nfant commet des excentricités, des bizarreries, se conduit mal en un mot , ils doivent, avant de sévir, se renseigner sur l

ser, contre le trac, des exécutants dont je désire vous dire quelques mots . Par discrétion, je m'abstiendrai d'indiquer l'in

s et d'autres. Tout de suite après avoir joué, il me fait parvenir le mot suivant : « J'ai très bien joué, avec beaucoup de

xemple, sur la préparation d'un article ou d'une leçon. Je fais en un mot de la dérivation psychologique. Ce recours à des

nt confondus avec des observations diverses. Toutefois, pour dire mon mot sur cette question qui reparaît à l'ordre du jour

inspirent ne saurait nous empêcher de relever leurs erreurs. En un mot le progrès des sciences anthropologiques à la fin

oit donc être un anatomiste, un physiologiste, un pathologiste, en un mot , dans l'état actuel de l'enseignement, un médecin

tion objective ne suffira jamais à donner au savant » ; et il cite ce mot de Pascal : « Le cœur a ses raisons que la raison

jugé avec une grande franchise l'œuvre d'Ernest Renan. Rappelant un mot de Jean-Jacques Rousseau, il s'exprime en ces ter

it-il, c'est éprouver les eiîets d'une véritable hypnotisation. En un mot , être intimidé, c'est être hypnotisé ». D'après s

turelle s'en accrut. 11 rougissait quand on prononçait devant lui les mots : « roi, reine, cour », croyant voir là une allus

anc, sa figure longue et pâle. Lucile et moi nous échangions quelques mots à voix basse quand il était à l'autre bout de la

oujours et chez tous les sujets en proportion l'une de l'autre. En un mot . la fatigue comporte des degrés et la sensation q

que le grec, son oncle se met à lui faire apprendre par cœur quelques mots de français, afin qu'à la rentrée des classes de

une semaine, sans le moindre succès. Alors il lui fait écrire chaque mot en lettres grecques, d'abord dix fois, puis cent

aussitôt le cahier fermé, il est incapable de répéter en français le mot qu'il vient d'écrire tant de fois. Le grand-pèr

sprit clairet lucide, la mémoire tenace; puis il lui fait répéter dix mots , en lui recommandant de les graver dans sa mémoir

e M... répète assez bien et à plusieurs reprises les trois quarts des mots qu'il a appris à la première séance. Pendant la d