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1 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
la moyenne des guérisons opératoi- res a été de 10 jours. Une seule mort au bout de 8 heures..... Le plus jeune de mes o
n des contractures. Signes de méningite. Cécité. Broncho-pneumonie; mort . AUTOPSIE. - Description de la calotte crânienn
Microcéphalie très prononcée. Prognathisme supérieur. Diphtérie : mort . AUTOPSIE. - Absence presque complète du lobe o
re de comparaison, M. Bourneville montre le crâne d'un microcéphale mort à 59 ans, sur lequel il y a une synos- Fig. 3.
tion de la tête. Préhension imparfaite. Phimosis. Pneumonie gauche. Mort . Autopsie. Atrophie générale des circonvolution
tête. Accès de cris la nuit; bave. Tuberculose. Cachexie générale, mort . AUTOPSIE. - adhérences de la dure-mère à la pi
ineuse. - Grand'mère maternelle migraineuse. - Grand'oncle maternel mort de la poitrine. - Tante mater- ? ielle migraineus
. Cris. -Crispations des mains. Gâtisme, - Congestion pulmonaire. Mort . " ' . ' ' AUTOPSIE. - Pas d'adhérences de la p
ertiges très nombreux ; affaiblissement pro- 1'essif; hpother1121e; mort . ' " , Autopsie. Adhérences de la dure-mère au
iné au lit jusqu'à 16 ans. - Grand-père maternel, excès de boisson, mort de . congestion cérébrale. Pas de consanguinité
es vocales. Thymus 5 gr., corps thyroïde 5 gr. Cause probable de la mort : asphyxie par oedème de la glotte. Musi... (Al
Fip.i2.-OBs.IX. TRAITEMENT CHIRURGICAL 3 Grand-oncle paternel, mort de tuberculose. Soeur, acci- dents nerveux. - É
a face et balancement. Gâtisme. - Épilepsie, congestion pulmonaire; mort . Autopsie. -P01'LCSW'ai des deux hémisphères cé
. Grand'mère paternelle, 1ze)'ueusc. - Arrière- grand-père paternel mort d'hémorrhagic cérébrale. Cou- sin paternel, exc
rale. Cou- sin paternel, excès de boisson, aliénés Oncle paternel mort de convulsions. Mère sujette à des névralgies f
e à des névralgies faciales. Grand-père maternel, excès de boisson, mort de congestion cérébrale, avec paralysie du côté
e : Toux,' diarrhée, amaigrissement. 1892. Cachexie tuberculeuse. - Mort ." " AUTOPSIE. - Nombreuses adhérences de la pie
LE. Sommaire. Père, alcoolique, emporté. - C¡'and-père pater- nel mort d'une attaque de paralysie. G)'a ? td-otc ! epafe
gence bornée. Grand-père maternel et arrière-grand'mère maternelle, morts d'une pleurésie. Oncle maternel, ivrogne. Frère
plégie gauche avec cor2trac= ture. Il lie. Tuberculose intestinale. Mort . AmroPSIE.- 5cléroscatrolttiquecle, circonvolut
es yeux. Onanisme. Rougeole, diarrhée- : Amaigrissement. Pneumonie. Mort . Autopsie. Absence de synostose, aspect chagrin
e ? atL'7'12elle, morte d'un cancer uté- rin. Grand-oncle paternel; mort tuberculeux. - Gra.nd'- tante et cousins patern
paternel; mort tuberculeux. - Gra.nd'- tante et cousins paternels, morts de convulsions. - Mère : céphalalgies, mélancol
ure, épilepsie spinale. Tic du pied gauche. - Phimosis. -Rougeole : mort . AUTOPSIE.Ptatocëphattefrësprononcëe. Dëuetoppe
sique, Grand'mère paternelle, migraineuse. Grand- oncle paternel mort aliéné; excès de boisson. Tante paternelle migr
e maternelle nerveuse, 17éu7'algi- que. Arrière grand-père maternel mort paralysé et aptta- sique. Grand' tante maternel
de consanguinité. - 1 Inégalité d'âge d'un an. Frère, convulsions, mort de méningite. - Deux soeurs ont eu de petites c
1'incement ? de dents. - Lcst7aie171e11t. - 7'ol7cho-pnel,t- monie. Mort . AUTOPSIE. - Epaississement et adhérences de la
dents. - Actes inconscients. - Tenlative d'incendie. - Granulie. - Mort . Fig. 30. - Ons. Xl\-. 56, : idiotie. ' - A
30); " OBS. XV. - IDIOTIE myxoedémateuse (). . SmDIA1RE. - Père, mort tuberculeux. - Grand-père pa te1'iw l, i excès
nelle, hystérique. Arrière-grand-père maternel, ' excès de boisson, mort d'une attaque de paralysie.- "- Grand-oncle mat
bsence de la glande 'rH\'- : 'HOrDE. - Congestion pulmonaire intense , mort en syncope. . AUTOPSIE. - Absence de la glande,
lin, canitie complète en une nuit (1870), caractère un peu emporté, mort proba- blement d'un cancer de l'intestin. Grand
ntestin. Grand-père paternel, attaque de paralysie. Oncle paternel, mort à sa 3e attaque apoplectique (hémiplégie gauche
e. Un grand-oncle, trois cousines et une petite cousine maternelle, mortes de la poitrine. Tante ma- ternelle, hystérique.
1893. Coqueluche. - Prolapsus du rectum. Bronchite ; tympanisme; mort .. .... .. H AUTOPSIE. - Transparence, minceur .
boisson, caractère emporté. Grand-père paternel, caractère emporté, mort de la rupture d'un an.rl : sn2e de l'aorte. Gra
racte double, excès de boisson ( ? ). Arrière- grand-père paternel, mort de la pierre. Arrière-grand'mère z paternelle,
hystérique à la Sal.pî;t1·ièrc ? ? oètesse.- Grand-père mater- nel, mort phthisique. Grand'mère maternelle, très colère;
us. Connaissance presque nulle. - 1892. Entérite, ictère, syncopes; mort . AUTOPSIE. - Sutures gorgées de sang, distendue
41. traitement CHIRURGICAL. 63 . Atrophie double du nerf optique. Mort par fracture du crâne. Autopsie. -Sarcome à p
e). - Grand'mère paternelle très nerveuse, sujette à des migraines, mort subite. Arrière-grand' tante paternelle en enfa
rand-père maternel, 211C00· lique, violent. - Grand-oncle maternel, mort d'une alta- que d'apoplexie. Pas de consanguini
de la paralysie. - Gangrèneriez extrémités inférieures. Septicémie. Mort . AUTOPSIE. - ÉcarLe1Íwnt des os du crâne; - éla
eurs attaques apoplectiques; 12é11üpléique. - Demi- oncle paternel, mort phtisique. il/ère nerueuse. - Grand'- mère mate
intellectuel. Pelade à l'enll·ée. - Tuberculisa- tion pulmonaire et Mort . Autopsie. Absence de synostose des sutures du
sson. Grand-père paternel, alcoolique et nerveux. - Oncle paternel, mort de méningite traumatique ( ? ), Tante paternell
Mère, vive et coléreuse. Cousin idiot, ne parlant pas.- Un frère, mort de convulsions. - Un autre frère, mort du carre
, ne parlant pas.- Un frère, mort de convulsions. - Un autre frère, mort du carreau à 3 ans. Une scelcr, 7zzorte de bron
mi. Rougeole à 3 ans et demi. Teigne tonsurante. Broncho-pneumonie, mort . AUTOPSIE. - Description des os du crâne. Mode
. Père, sujet à des céplialalgies fréquentes. Grand- père paternel, mort probablement d'une affection de l'es- tonac. Gr
atisant. Grand'mère maternelle très nerveuse. Grand-oncle maternel, mort d'une maladie de la moelle épiniè1'e. - Pas de
; le lendemain, convulsions qui auraient duré 3 jours et 3 nuits; mort apparente, refroidissement, déclaration de mort à
3 jours et 3 nuits; mort apparente, refroidissement, déclaration de mort à la mairie; au moment de l'ensevelissement, on
1873 marié en 181 (i ; quelques excès de boisson. - Oncle paternel, mort phtisique. - Tante paternelle, imbécile. Mère,
paternelle. Mère rien de particulier. Arrière-grand-père maternel mort à 102 ans. -Pas de consanguinité. - Inégalité d'â
VIII. Imbécillité très prononcée. Sommaire. - Enfant assisté : père mort de bronchite en 1879 ; mère morte de p)vtlcisie
IE DROITE, symptomatiques DE SCLÉROSE CÉRÉBRALE. SOMMAIRE. - Père mort tuberculeux, nombreux excès de boisson, excès v
de nature migraineuse, caractère violent. Grand père pater- nelle mort d'hémiplégie cérébrale, nombreux excès de tous
nelle. - Mère, rien de particulier. - Grand-père et mère maternels, morts de cancer de l'estomac. 5 oncles ou tantes mate
ternels, morts de cancer de l'estomac. 5 oncles ou tantes maternels morts de convulsions. Une tante mater- . nette attein
mmaire. Père, rien de particulier. Grand-père paternel, alcoolique, mort « du pylore. » Arrière-grand-père pater- nel, a
s. Des accidents graves (para- lysie, convulsions, etc.) et même la mort peuvent s'en suivre. (1) Nous devons reporter
rassée. - Albuminurie en 1893. Néphrite, urémie; Broncho-pneumonie; Mort . AUTOPSIE. - Absence de synostose ; os wormiens
enseignements, de seconde main, sont insuffisants. Père, vidangeur, mort à 55 ans d'une fièvre typhoïde, à Lariboisière
nt jamais s'abandonner à aucune violence ; pas de migraines. [Père, mort d'accident ; aucune maladie. Mère, morte à 78 a
A 10 heures 1/2 le malade meurt brusquement. T.R. aussitôt après la mort , 36° ; - 1/4 d'heure après la mort, 35°; - une
squement. T.R. aussitôt après la mort, 36° ; - 1/4 d'heure après la mort , 35°; - une heure après, 24°; deux heures après
st compliquée d'élcciclenls urémi- ques et ceux-ci ont déterminé la mort . Ici, suivant la règle d'ailleurs, ainsi que no
que. - Grand'mère paternelle, migraineuse. Grand- oncle paternel, mort aliéné; excès de boisson. Tante paternelle, mig
ère maternelle, nerveuse, névralgique. Arrière-grand-père maternel, mort paralysé et apha- sique. Grand'lante maternelle
s de consanguinité : - Inégalité d'âge d'un an. Frère, convulsions, mort de méningite. - Deux soeurs ont eu de petites c
ance physique. - Broncho-pneulnonie. - Elévation de la température. Mort . AUTOPSIE. - Lésions pulmonaires de broncho-pne
ardiaques angineuses (palpitations avec dypsnée, pâleur, menaces de mort ). Fumait un peu autrefois, depuis ces crises, i
isme sérieux. Caractère violent, coléreux. [Famille du père : Père, mort à 36 ans de tuberculose pulmonaire, orfèvre, bu
and-père et grand'mère paternels, aucun renseignement; ils seraient morts âgés. Grand-père et grand'mère maternels, aucun
grand'mère maternels, aucun renseignement. Un oncle paternel est mort aliéné à la suite d'abus d'absinthe ; il parait
té mélancolique. Pas de détails sur les oncles maternels. Un frère, mort à 17 ans de la fièvre typhoïde, était intellige
te aux névralgies, nerveuse, mais sans crises. Grand-père paternel, mort à 47 ans du choléra. Grand'mère paternelle, mor
, morte à 59 ans, d'une maladie de coeur. Un oncle paternel, sobre, mort d'accident à 48 ans. - Une tante paternelle, 52
e mari a un an de plus. 7 enfants : 1° Notre malade ; 2° Un garçon, mort de mé- ningite, à 4 ans, convulsions très légèr
auche. T. R. 39°,2. - Soir : T. R. 39°,3. 8 janvier. L'enfant est mort ce matin avec une tempéra- Sclérose atrophique
\IIvTGO-P\CPPI-IALITE. 105 ture de 39°,7. Un quart d'heure après la mort , 38°; une heure après, 37°,5 ; deux heures aprè
x, rien à noter. Paralysie générale de l'enfance. 107 Cause de la mort : Broncho-pneumonie dans le cours d'une méningo
si- ques et mentaux qui vont sans cesse en s'aggravant jusqu'à la mort : le tremblement léger, qui existait auparavant
c- ..tiens hypodermiques de liquide testiculaire en février 4893. Mort clans un accès d'épilepsie. Marche des accès de
dominance d'idées de terreur, de .jugements et de condamnations à à mort . Entrée le 18 août 1859, elle est sortie le 3 oct
ans attaques de nerfs ; lymphatique, aurait eu une punaisie. [Père, mort à 55 ans, de bronchite chronique. - Mère, morte
oisette ; phimosis moins pro- noncé. 30 décembre. Grippe. 116 Mort dans UN accès. 1890. 30 -Élixir polybromuré d'u
7 jours). Tableau des accès et des vertiges. TEMPÉRATURE APRÈS LA MORT . 117 ohi, la main en supination. La tête est
gauche. Autopsie. 119 Autopsie faite le 5 mars, 29 h. après la mort . - Tête. Le crâne est épaissi, principalement a
lepsie symptomatique. SCLÉROSE ATROPHIQUE. Accidents procuiisifs. Mort ... (Henri), né àïlangest (Somme) le 1er octobre l
M. d'Arsonval. OBS XL Épilepsie ; démence ; 111ÉNIN.GO-ENCPHALITE Mort . SOMMAIRE. - Père, rhumatisant, bronchite. Gran
t, bronchite. Grand'mèrepa- ternelle, hémiplégique. Oncle paternel, mort d'un cancer de l'estomac. Mère, nerveuse, accès
fièvres intermittentes à 18 ans, migraines. - Grand-père maternel mort d'une hémorrhagie cérébrale. Grand'mère mater-
ère mater- nelle, morte paralytique. Arrière-grand-père maternel, mort subitement à 87 ans. - Oncle maternel, convulsion
ouches, injections de suc testiculaire- Affaiblissement progressif. Mort . Autopsie : Lésions disséminées de 111.éningo-e
cès alcooliques, pas d'épilepsie ; aucune maladie nerveuse. - [Père mort à 57 ans, d'une affection pul- monaire ; pas d'
e douleursoculaires et de phosphè- nes. [Père d'un caractère calme, mort à 53 ans, d'hémorragie cérébrale. Mère morte à
alité d'âge de 15 ans. Neuf enfants dont quatre bien portants, l'un mort en naissant, une fille morte de cholérine à 13
enfant. Émotion très-vive au 4' mois de la grossesse causée par la mort de sa petite fille due à la rougeole. Elle en a
ez les précédents malades. OBS. \lI.-1 ! : PILEI>sIE ; démence ; mort dans un accès ASPHYXIÉ PAR UN CORPS ÉTRANGER DE
galité d' : 1ge. Début des accès épileptiques h 10 ans. Onanisme. Mort . Autopsie : Lésions de 112éni12f/0-C11CI1dl21C.
s de traitement, sobre et calme. [Père, non nerveux, jamais malade, mort à 5 ans d'u- ne pneumonie. Mère, pas d'accident
ère doux et calme, mais entêté; pas de fièvre typhoïde. En 1888, la mort de sa mère jointe aux excès alcooliques, a prov
is et, actuellement, quoique libre, elle est toujours folle. [Père, mort d'une fluxion de poitrine à 52 ans. Mère, morte
, Injections DE liquide testiculaire. 143 Température après la mort . 144 Épilepsie. INJECTIONS DE LIQUIDE testicu
V. Remarques sur les trois précédents cas d'épilepsie suivis de mort ; PAR BOURNEVILLE. Les observations rapportée
des profes- sions insalubres sur la production de l'idiotie. 152 MORT par asphyxie dans UN accès. des convulsions. To
ans, l'intelligence aurait commencé à décliner. IV. Le malade est mort asphyxié dans un accès sur- venu quand il était
ures et fortement inclinée sur son oreiller. Un matin, on le trouva mort , victime d'une crise qui avait pour ainsi dire,
d'un accès (1) Delasiauve. - Traité de l'épilepsie, 1854, p. 169. MORT par asphyxie dans UN accès. 153 tandis qu'il tr
e couche un soir bien portant. Le len- demain matin, on le retrouve mort dans son lit, cou- ché sur le ventre, la face v
nir au bout d'un certain temps, on va le chercher et on le trouve mort , couché sur le ventre, la face profondé- ment e
enfoncée dans la terre qu'il venait de remuer. - Gall.. est trouvé mort , couché comme le précédent, dans le jardin où i
ineux (35 gr). (1( Gazette hebdomadaire, 18G5, DO' 2, 3 et 4. 154 MORT par asphyxie dans UN accès. Observation II (p.
testiculaire. Celles-ci n'ont pas amélioré la situation et G... est mort inopi- nément dans un accès, à cause d'une circ
pour nous rendre compte de son action, comme cause de l'idiotie. MORT par asphyxie dans UN accès. 155 ticulière. Il a
e précédent. On en ignorait la cause. Au bout de trois semaines, la mort semblait 45fit ÉPILEPSIE ; DÉMENCE PARALYTIQUE.
particulier. Gra71cZ'71xère, grand 'Oncle et grand'tante paternels morts phtisiques. Mère, caractère emporté. Grand'mère
rnelle nerveuse, émo- tive, emportée. -Deux grands oncles maternels morts de la poitrine. Tante maternelle morte diabétiq
ns spéciaux nuls. Etat de mal épileptique; broncho-pneu- monie. - Mort . -Atypie cérébrale. ' IDIOTIE et 'Epilepsie 165
ntelligent et répond très bien aux questions qu'on lui pose. [Père, mort à 44 ans.d'une fluxion de poitrine. Il n'avait
l, sain de corps et d'esprit. Un oncle et une tante paternels sont « morts de la poitrine. » Trois frères : l'aîné est bie
e nerveuse, de même qu'un oncle pater- nel. - Deux oncles maternels morts de la poitrine. - Frère, intelligent, ni migrai
ux, ni nerveux. - Deux soeurs : non nerveuses. - Deux autres soeurs mortes , l'une à 4 ans, de fièvre typhoïde, l'autre à 1
ée progressivement à un chiffre considérable, 42° aussitôt après la mort . IV. Le crâne offrait les lésions qu'on rencont
es cerveaux correspondants, ainsi que les photographies des malades morts et de quelques malades encore présents dans le
halie; épilepsie partielle du. coté DROIT; état DE MAL épileptique; mort . Sommaire. Père rhumatisant, attaque d'apoplexi
oliques. - Grand-père pater- nel suicidé. Mère nerveuse. - Un frère mort de convul- sions. -Pas de consanguinité. -Inéga
progressive. État de mal épileptique; mar- che de la température ; mort . AUTOPSIE. - Amincissement des os du crâne; abs
dant sept ans, marié à 32 ans, pas d'excès de boisson, rhumatisant, mort à 51 ans, en octobre 1874, d'une hypertrophie d
lle n'était pas d'un tempérament nerveux. - Cinq frères, trois sont morts : un en naissant, un autre phtisique, le troisi
s d'orage, après des contrariétés ou de mauvaises nouvelles. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ; sobre. Mère, morte
s grands parents paternels et mater- nels. - Cinq frères, dont deux morts ; les trois autres sont bien portants, sans acc
à 11 ans d'une péritonite; elle était assez intelligente; 3° garçon mort à 11 mois de convulsions; - 4° garçon, 17 ans,
ois, on remarqua qu'il devenait parfois tout pâle et semblait comme mort ; cet état, qui durait une ou deux minutes, s'es
uche retombe immédiate- ment tandis que le côté droit se maintient. Mort à 11 h. 1/4. Poids après décès : 4 7 kilog. 600
11 h. 1/4. Poids après décès : 4 7 kilog. 600. Aussitôt après la mort : T. R. 42 ? Deux heures après, T. R. 41",5. -Tro
'hérédité du côté paternel (attaques paralytiques répétées du père, mort hémi- plégique, excès de boisson et suicide de
n et suicide de grand-père paternel), les névralgies de la mère, la mort par convulsions d'un frère du malade, l'arriéra
offert les caractères habituels et s'est terminé promptement par la mort . La tem- pérature rectale a suivi comme d'ordin
érature s'est élevée de nouveau pour atteindre 42°, 7 le jour de sa mort , le 29 février il 11 1 heures. Ainsi, que nous
boisson. Mère, rhumatisante, nerveuse. - 7'rois tantes maternelles, mortes de convul- sions. Pas de consanguinité. Inégali
lus difficile. (Jnuchophae ? ubcote à Il ans. Broncho- pneumonie. Mort . AUTOPSIE. - adhérences de la dure-mère. Dilata
ntre cinq ou six fois ivre dans l'année. [Famille du père : Père, mort on ne sait de quoi à 45 ans, cul- tivateur, exc
lique, ni accidents neuro-arthritiques. Grand-père paternel, sobre, mort très âgé. Aucun rensei- gnement sur la grand'mè
opes ; assez coléreuse, mariée à23 ans. [Famille de la mère : Père, mort il )'2 ans des suites d'un traumatisme grave du
de renseignements sur les grands-parents. Quatre frères : deux sont morts en bas âge ? ? .. Un vit, célibataire, sobre; u
de nombreux enfants bien por- tants. Trois demi-soetLJ's (de mère) mortes jeunes de «convulsions». - Dans le reste de la
ètement remis de ses accès qui ne se sont pas renouvelés jusqu'à la mort . 28 juillet. Puberté. Aisselles et pénil glabre
e série d'accès épileptifor- mes qui ne se renouvela pas jusqu'à sa mort , en dé- cembre 1889. La paralysie s'aggrave peu
e. Arrière-grand-père pater- nel, btcveur. - Deux oncles paternels, morts subitement. Un cousin paternel, alcoolique et a
orchidie. Mensurations du crâne. Amaigrissement, broncho-pneumonie, mort . AUTOPSIE. - Etat du crâne : persistance des fo
sique- ment, il est d'ordinaire vif et emporté. [Père, boulanger, mort à 68 ans, en deux ou trois jours. Sobre, calme, h
eignement sur les grands-parents paternels. Le grand-père maternel, mort à 80 ans, aurait été un grand buveur. Deux oncl
80 ans, aurait été un grand buveur. Deux oncles paternels seraient morts subite- ment. Deux oncles maternels sont morts
s paternels seraient morts subite- ment. Deux oncles maternels sont morts : l'un ivrogne, laissant un fils, actuellement
dent nerveux et tout excès alcoolique. [ Père, mar- chand ambulant, mort par accident à 80 ans, était très sobre et s'ét
nerveux. - Pas de renseignements sur les grands-parents paternels, morts assez jeunes. Grand-père maternel, mort à 80 an
grands-parents paternels, morts assez jeunes. Grand-père maternel, mort à 80 ans d'accident. Grand'mère maternelle, mor
symptomatiques de thrombose cérébrale). Trois oncles pa- ternels, morts assez âgés, on ne sait de quoi. Une tante mater
uleuse, a eu une fille morte tuberculeuse. - Cinq frères, dont deux morts d'affections aiguës ; les trois survivants sont
ont 12 sont vivants et sans accidents nerveux, les deux autres sont morts jeunes.. Trois soeurs : une est morte tubercule
, rachitique. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge d'un an. Frère, mort à 6 jours de convulsions internes. Conception p
e, u7 ans, cultivateur, bien portant et sobre. Grand-père paternel, mort à 96 ans( ? ). -Grand'mère maternelle, morte d'
'un cancer au sein. Deux oncles et deux tantes paternels dont trois morts jeunes, on ne sait de quoi ; un oncle est bien
e malade a eu d'elle deux enfants : 1 Notre malade; - 12° un garçon mort à six jours de convulsions internes. . Notre ma
hique. -Tableau - des accès épileptiformes. -Description des accès. Mort ' subite. ' Autopsie. 'Adhérences pleurales.
et, à 10 heures-, quand on a voulu le faire lever, on a constaté sa mort . Le visage était- livide, la bouche remplie d'é
ait vomi un liquide, bilieux et avait eu de l'incontinence fécale. ( Mort par asphyxie dans l'accès). ? >. - - : . -
ait diminué notablement le nombre des crises. (Voir le tableau.) Sa mort paraît avoir été déterminée par asphyxie durant
mè- re maternelle, migraines, gastralgie. Grand-oncle mater- nel, mort de convulsions. Cousin maternel, convulsions et
t de l'augmentation de la tête à 5 mois 112. État actuel. Rougeole. Mort . , Autopsie, Description du cyme. - S2cl2cl·es
mes, ni dermatoses. Grand-père paternel, tailleur de pierre, sobre, mort assez âgé. Grand'mère paternelle, alcoolique, a
te, il y a environ deux ans. Grand-père paternel, marchand de vins, mort à 65 ans, alcoolique, avait des varices. Oncle
ont pas vécu, quatre répondent à des fausses couches et deux sont morts en nourrice, on ne sait de quoi. Aucun autre ren-
e la ménopause (44 ans). - Grand-père paternel, cultivateur, sobre, mort en pleine vigueur des suites d'une piqûre. Gran
ège dont elle n'a pu supporter 1,s privations. Grand-père maternel, mort il 79 ans ( ? ). Grand'mère maternelle, pas de
Grand'mère maternelle, pas de renseignements. Grand-oncle paternel mort il 8 ? ans. - Grand'tante paternelle, morte il
Grand'tante paternelle, morte il 8 ! t ans.-Un oncle mater- nel est mort à un an de convulsions. Un cousin, a été, à la
mpérature était montée progressivement de 37° à 42° au moment de la mort . - Après la mort, T. R. 42°, 3; 1 heure après,
ontée progressivement de 37° à 42° au moment de la mort. - Après la mort , T. R. 42°, 3; 1 heure après, T. R. 40°. Poid
and'mère paternelle, goitre passager. Deux grands oncles paternels, morts de bron- chite chronique ( ? ).- Grand'tante pa
'tante paternelle, morte de con- gestion cérébrale. Oncle paternel, mort de rhumatismes. Autre oncle paternel, bègue, su
que. Grand-père maternet, bègue. - A1'1'ière grand-père - maternel mort paralysé. Aïeule démente sénile. -^ Tante mater
. Ascarides.- Cauchemar... - Épilepsi.e â 14 azs. - Pneumonie. -' Mort . t. AUTOPSIE. - Examen de la calotte crânienne.
bre, fumant très peu, d'un oaractère calme. [Famille du père. Père, mort à la suite de complications d'une blessure a la
parents paternels et maternels ; ces derniers pourtant seraient, morts assez âgés. Deux oncles paternels sont morts tube
ers pourtant seraient, morts assez âgés. Deux oncles paternels sont morts tuber- culeux. Une tante maternelle est morte à
e à un amour déçu la eau-. se de sa détermination. Le cinquième est mort tubercu-. lieux.- Pas.de renseignements sur la
e cinquième est mort tubercu-. lieux.- Pas.de renseignements sur la mort des trois autres. > Les derniers ne présente
cédent pathologique ou psychique intéressant.- Six soeurs dont deux mortes on ne sait de quoi et deux jumelés. Toutes les
ais été sérieusement malade. Grands parents paternels et maternels, morts âgés, n'auraient jamais présenté de troubles ps
et atteinte de démence sénile. Un oncle materner et une soeur sont morts de tuberculose pulmonaire.-Aucun autre antécéde
r.). Vessie, estomac, intestins, rien de particulier. Cause de la mort : Pneumonie lobaire aiguë. h' alcoolisme du gra
l commençait à s'habiller seul quand une pneumonie a déterminé sa mort . Son autopsie a révélé une particularité : outre
rière-grand-père paternel, buveur. - Grand-oncte paternel, ivrogne, mort subitement. Mère, convulsions à 4 a71s. Grand-
cer au sein. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 9 anus. Frère mort à deux mois /2 de convulsions. - Soeur, intelli
n, contracture des membres. Puberté. - B ? 'OnC110-pnel,L1n07z2e. - Mort . Tableaux des mensurations. Autopsie : Examen
as de renseignements sur les autres grands-parents. Oncle maternel, mort subitement, faisait des excès du boisson. Trois
sanguinité. - Inégalité d'âge de 9 ans. Quatre enfants : 1° garçon, mort à 2 mois '/3 de convul- sions; conformé normale
re, nerveuse. Oncle maternel, imbécile. Oncles et tantes maternels, morts de convulsions. Emotions durant la grossesse. T
ation de la température; diminue- tion subite du volume de la tête. Mort . - EésuZZaZs de l'autopsie. Alli... (Eugène),
de boissons dans sa jeunesse, gra- velle. Grands-parents paternels, morts très âgés. - Six oncles ou tantes paternels, mo
rents paternels, morts très âgés. - Six oncles ou tantes paternels, morts de convulsions. - Une tante et un oncle paterne
paternels, morts de convulsions. - Une tante et un oncle paternels, morts phtisiques. Mère, surmenée et mal nourrie dans
e, surmenée et mal nourrie dans sa jeunesse. Grand-père maternel, mort tuberculeux. Grand'tante maternelle, aliénée. O
mort tuberculeux. Grand'tante maternelle, aliénée. Oncle maternel, mort tuberculeux. Autre oncle, excès de boissons. Pa
nité. Inéga- lité d'âge de 24 ans. État actuel. Teigne. Rougeole. Mort . AUTOPSIE. - Examen de l'encéphale. Dilatation
il est actuelle- ment atteint de gravelle. [Famille du père. Père, mort à 83 ans, on ne sait de quoi. Mère, morte à 90
dies, se portait toujours bien. Grands parents paternels, robustes, morts l'un à 99 ans, l'autre à 96 ans. - Les grands-p
99 ans, l'autre à 96 ans. - Les grands-parents maternels sont aussi morts très âgés mais on ne peut donner sur eux aucun
donner sur eux aucun détail précis. Neuf frères ou soeurs : 6 sont morts en bas âge de convul- sions ; Une soeur est mor
ts et était déjà mariée à un phtisique, Un frère, céli- bataire est mort à 35 ans, phtisique. Il faisait des excès de 26
cilement. Elle paraît intelligente. [Famille de la 7zzèz'c. -Père , mort tuberculeux, a eu de nombreuses hémoptysies et
it pas violente, elle mourut chez elle à 40 ans. - Deux frères : Un mort tuberculeux à 17 ans; l'autre, 28 ans, bien por
ticulier. - Estomac et intestins très dilatés, muqueuse saine. La mort semble être le fait d'un état cachectique progres
complète. Accès épileptiques. Tentatives d'éducation : résultats. Mort dans un accès. AUTOPSIE. - Déformations multipl
coolique dès le mariage (à 27 ans), buvait sur- tout du vin; il est mort à 40 ans, d'une maladie de poitrine. (1876). -
et de l'ouïe, insommie, agitation, idées de jalousie, de duels, de mort , etc.) ; il a été conduit it l'IIôtel-Dieu. La,
é. Pas de consanguinité. 6 enfants et une fausse couche. L'aîné est mort de convul- sions à 5 mois ; notre malade est la
t un garçon de 10 ans et demi, bien portant : les 4e 5e et Gaz sont morts à 7 mois, 16 jours, et 6 mois, on ne sait de qu
a malade refuse de se lover, se plaint d'avoir froid. T. Il. 39°,5. Mort dans un accès. AUTOPSIE. - Les os de la voûte d
fants dont nous avons classé les crânes dans ce premier groupe sont morts entre 2 ans et 2 ans et demi. Chez eux le liqui
océphalie. Il est probable que, si vers l'âge de 2 ans, ils étaient morts , l'autopsie aurait révélé chez eux un état anal
et. Accidents de méningite purulente céré- bro-spinale. 31 juillet. Mort . Tableau des accès et des vertiges. Cerveau,
scutablement l'origine de la méningite purulente qui a déterminé la mort du malade. Le crâne offrait, ici, d'une façon t
, paralysés et alcooliques. - Cousin germain, idiot. Sept cousins morts de convulsions. Grand-oncle maternel, bègue. Pa
t actuel. aspect de la tête. - - Monorchidie. Cachexie progressive. Mort . Observation. '2M AUTOPSIE, - Examen du crâne
ule latéral gauche. Absence de lésions macroscopiques expliquant la mort . Chev. (Georges), né à Boulogne (Seine) le 8 ja
e aux migraines et passait pour être nerveuse. - Les grands-parents morts quadragénaires se portaient bien. Un frère a eu
rts quadragénaires se portaient bien. Un frère a eu 8 enfants, tous morts de contusions, sauf 3 bien portants. Une soeur
la migraine, avait un érysipèle tous les mois. Grand-père paternel, mort à 58 ans ( ? ). Grand'mère paternelle, morte à
rnelle, morte à 81 ans, en 1870. du typhus. Le grand-père maternel, mort à 87 ans, atteint de paralysie et de démence sé
deux alcooliques. Un frère est bègue. - Un demi-frère (de mère) est mort jeune alcoolique ; une demi-soeur a un enfant d
te ainsi que ses enfants ; 3° garçon, né à 7 mois, en février 1871, mort à l'âge de 2 jours ; 4° fille de 19 ans, intell
9 ans, intelligente, en bonne santé; pas de convulsions; 5° garçon, mort à 5 mois de congestion cérébrale sans convul- s
arçon de 15 ans, intelligent, pas de convulsions ; 79 autre garçon, mort à 5 mois d'accidents cérébraux ( ? ) sans convu
10 ans, bien portants tous deux ; 10° notre malade ; lolo garçon, mort de diphtérie à 21 mois. Notre malade. Rien de p
e contient ni sucre, ni albumine. 3 janvier. lllatin ; T. R. 36°,8. Mort dans le coma à 2 heures du soir. T. R. après la
; T. R. 36°,8. Mort dans le coma à 2 heures du soir. T. R. après la mort : 36°,G; 1/4 d'heure après : T. R. 360; une heu
. Taille : 1 mètre 5. Poids à l'entrée : 22 kilog. 500 ; après la mort , 15 kilog. 900. 288' Hydrocéphalie. sagittale
ne. On ne trouve pas de traces de testicule droit. La cause de la mort ne peut être attribuée qu'à un état cachectique
dies vénériennes, ni de dermatoses, etc. [Famille du père. Père, mort à 51 ans, à l'hôpital Cochin, des suites de l'abl
non nerveuse. Aucun antécédent suspect, du côté des grands-parents, morts âgés. Un frère, 40 ans, une soeur, 36 ans, bien
ané- vrysmc( ? ). Pas d'accidents nerveux. - Grand-père paternel, mort dément à 87 ans. - (x ynd'nè·e pater2elle, et gra
-contracture des membres inférieurs. Muguet. Stomatite ulcéreuse. - Mort . AUTOPSIE. - Congestion et oedème pllL1n012a11'
nt jeune elle était sujette à la gourme. [Famille de la mère. Père, mort en 1871, devenu brusquement aliéné. Il était fo
es deux pou- mons. Odeur gangreneuse de la bouche. . 29 décembre. Mort . 298 I-IAfi-HYDRO-SCAPHOCFPHALIE. mince dans
XVI. - 11-1-DROCI"PHALIE SCAPHOCÉPHALIQUE. Sommaire. Père, ivrogne, mort tuberculeux. Oncle paternel, mort tuberculeux.
LIQUE. Sommaire. Père, ivrogne, mort tuberculeux. Oncle paternel, mort tuberculeux. Tante paternelle, monople- gie bra
ternelle, morte tuberculeuse. Pas de co11sa11yuinité. Frère aine, mort tuberculeux. soeur, convulsions internes légè-
fournis par sa mère le 23 février 1880). Père, mécanicien-ajusteur, mort à 34 ans de tuberculose pulmonaire, après deux
s nerveux. 300 IITDRO-SCAPHOCI·.PHALI1;. [Famille du père : Père, mort du choléra, était sobre. Mère, morte on ne sait
ne sait de quelle affection, à l'époque de son retourd'age. Frère, mort jeune, tubcI'culcux. -Soelll', para- lysée d'un
s eu de troubles nerveux. [Famille de la mère : Père, sobre, calme, mort écrasé par une voiture. - Mère, 70 ans, bien po
ort écrasé par une voiture. - Mère, 70 ans, bien portante. Un frère mort du choléra, un autre frère de tuberculose pulmo
(père du Mans, mère de la Champa- gne). 5 enfants : 1° Un garçon, mort à 3 ans, tuberculeux, parais- sant intelligent
s. - Fugues. - Hernie ombilicale. Ophtalmie. Cachexie. Escharres. Mort . AUTOPSIE. - Congestion et oedème des poumons.
, morte des suites d'une chute accidentelle. - Grand-père paternel, mort il 80 ans, intelligent, considéré, maire de son
té malade. [Famille de la mère. - Père, ajus- teur, enfant naturel, mort à 70 ans d'une maladie aiguë, sobre, jamais mal
tails Intéressants touchant les grands- parents. Six frères : 1° un mort jeune de convulsions, attri- buées aux dents ;
un mort jeune de convulsions, attri- buées aux dents ; 2° un autre mort noyé par accident ; 3° un troisième mort au rég
es aux dents ; 2° un autre mort noyé par accident ; 3° un troisième mort au régiment d'une fièvre typhoïde avec acct- de
nerveuse. Un cousin germain est devenu épileptique à 22 ans et est mort d'une chute dans un accès à 26 ans. Aucun autre
e consanguinité. Inégalité d'âge de 10 ans. Dix enfants : 1° garçon mort né au 7° mois ; - garçon, 20 ans, forgeron, tou
te ; 10" garçon, né à 7 mois 1/2 à la suite d'une chute de la mère, mort à 7 jours. - Aucun de ces enfants n'a eu de con
sujet à caution, car 3 des enfants vaccinés en même temps seraient morts . Depuis, l'enfant a eu de nouvelles poussées ér
hoïde. Peau sèche, lèvres fuligineuses. Râles disséminés. 6 juin. Mort . Description de la tête. Le crâne est un peu al
tisme. Paraplégie spas- modique. - Atrophie double du nerf optique. Mort par fracture du crâne. Autopsie. Sarcome à pe
.) Gra71d'7)7ère paternelle très nerveuse, sujette à des migraines, mort subite. 11'rière-g1'alzd'talzic paternelle en e
- Grand-père maternel, alcoo- lique, violent. Grand-oncle maternel, mort d'une attaque d'apoplexie. Pas de consanguinité
la paralysie. Gangrène des extrémités inférieures. Sep- ticémie. Mort . AUTOPSIE. - Écarlemenl des os du crâne; disten
cal- me, sobre, bien portant. [Famille du père : Père : ivrogne, mort à l'hôpital Saint-Louis d'une affection de la lan
'âge. Elle était sobre, a vécu maritalement avec le père jusqu'à la mort de ce dernier et se maria ensuite. Elle mourut
te de couches d'une affection aiguë, avait eu trois enfants dont un mort en naissant, le second mort tuberculeux, le tro
n aiguë, avait eu trois enfants dont un mort en naissant, le second mort tuberculeux, le troisième est bien portant. Che
ujet. - Un oncle, cocher, faisant parfois des excès de boisson, est mort par accident à 57 ans. Une tante 334 Hydrocépha
r, intelligent et travailleur. [Famille du père. -Père, charretier, mort écrasé à 63 ans, était très alcoolique, mais ét
atre enfants. Elle n'a jamais ou d'accidents nerveux. Un (l'ère est mort tuberculeux à 31 ans, étant soldat engagé. - Un
le front haut et bombé. (Fig. 62 et 65) [Famille de la mère. Pè7'e, mort à 67 ans d'un « asthme » ( ? ), était peintre e
était sobre. Mère, morte d'un cancer uté- rin. Grand-père maternel, mort d'un « asthme » aux Inva- lides. Aucun renseign
un seul de ces enfants est vivant et bien portant, les autres sont morts en bas-âge. Un autre frère, mort d'an- gine cou
et bien portant, les autres sont morts en bas-âge. Un autre frère, mort d'an- gine couenneuse à la force de l'âge. Deux
frère, mort d'an- gine couenneuse à la force de l'âge. Deux soeurs mortes en bas-âge : l'une à 3 mois, l'autre à 2 ans, d
e nous allirme qu'un des enfants de cette demi-soeur aliénée serait mort jeune, avec une tête très grosse. Cet enfant 3
ge de 4 ans et demi. Elle n'avait pas la tète grosse; 3° un garçon, mort il 15 mois, à l'hôpital Saint- Antoine; il étai
grosseur de la tête avait rendu l'accouchement laborieux; il serait mort d'une ménin- gite; 4° un garçon, mort à trois m
uchement laborieux; il serait mort d'une ménin- gite; 4° un garçon, mort à trois mois, du carreau ; pas de convulsions,
tre de ses camarades, il fut retrouvé couché le long d'un mur ivre mort , après avoir, dit-on, exhibé sa verge devant une
ions antiseptiques possibles, il s'ac- compagne presque toujours de mort , et les rares cas de guérison, tels que celui d
e d'une conges- Traitement. 357 tion violente, peut aboutir à une mort rapide. Enfin la ponction, en supprimant le liq
2 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
lle) ; 1 cas de ch'p/t- thérie (enfant d'une surveillante) suivi de mort ; 10 cas de gale et 4 de rarioloïde légère. Au 3
angle sud-ouest, donnant sur la rue du Bout- Durand, le service des morts . Une galerie de communication, prenant son orig
ne pouvons trancher sans l'avis de la Commission. 5° Service des morts . Il pourra être fait, toute pro- portion gardée
e du service similaire de l'Asile de Villejuif : salle de dépôt des morts , salle d'autopsie, salle d'attente, pour les fa
récé- dée d'une ascension thermométrique; - broncho-pneu- monte : mort : élévation considérable de la température aprè
e d'absinthe. Du côté paternel, signalons le grand-père alcoolique, mort des suites, d'une phlébite. La grand'mère morte
qui se suicida par chagrin d'amour. Mère, fille d'un alcoolique, mort à la .suite d'un accident survenu pendant qu'il
as de consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 ans. 10 enfants, 5 sont morts : 2 d'affections aiguës ; 1 athrepsique, 8 jour
moyenne suppu- rée. Etat adynamique profond. Matin : T. R. 38°, 9. Mort une heure après la visite. T. R. après le décès
on. - Grand'mère paternelle nerveuse. - Arrière-grand-père paternel mort d'hémorrhagie cérébrale. - Cousin paternel, exc
le. - Cousin paternel, excès de boisson, aliéné. Oncle pater- nel mort de convulsions. - Mère sujette à des névralgies
à des névralgies faciales. - Grand-père maternel, excès de boisson, mort de congestion cérébrale, auec paralysie du côté
obre : Toux, diarrhée, amaigrissement. 1892. Cachexie tuberculeuse. Mort . Autopsie : nombreuses adhérences de la pie-mèr
-bien portante. Jamais de crises nerveuses. - Grand-père paternel mort à 60 ans d'hémorrhagie cérébrale; il n'était pas
e d'une insolation. Il faisait des excès de boisson. - Un frère est mort de convulsions. Des 5 autres, un a été réformé
onstitution ; celui-là et les 4 autres se portent bien. Deux soeurs mortes jeunes, on ne sait de quoi ; deux autres bien p
i- tonite après accouchement chez elle par une sage-femme. [Père, mort à 40 ans de congestion cérébrale après 3 semaines
ivre. Grand-père et grand'mère maternels non nerveux, intelligents, morts l'un à 60 ans, l'autre à 45 ans, d'un cancer du
ans, l'autre à 45 ans, d'un cancer du sein. - Un oncle paternel est mort de la poitrine à 19 ans. t2 IDIOTIE symptomatiq
8. - Soir : T. R. 36°, 9. 12 février. Matin : T. R. 3<>°, 7. Mort à 9 heures. Poids : 6 kilogr. - T. R. un quart
ort à 9 heures. Poids : 6 kilogr. - T. R. un quart d'heure après la mort , 35°,5. - Une demi-heure après, 35°, 5. - 2 heu
. après, 31°. Autopsie faite le 13 février 1892, 24 heures après la mort . > Le cadavre est très émacié. . Tête. Cui
ne largeur de 7 millimètres, une épaisseur de 4 millimètres. - La mort est due à la généralisation de la tuberculose.
0\i\fAIfiE. - Père, alcoolique, emporté. - Grand-père pater- nel, mort d'une attaque de paralysie. - Grand-onçle pater--
nce bornée. Grand-père maternel ! et arrière-grand'mère maternelle, morts d'une pfeti- résie. - Oncle maternel, ivrogne.
avec contracture. - Microcéphalie. - Tuberculose intes- tinale. - Mort . Autopsie : sclérose atrophique des circonvolut
sa femme. Il ne fume pas. - [Père, meunier, sobre et calme, serait mort d'une « attaque de paralysie » après deux mois
e maladie chronique ou nerveuse quelconque. - Grand-père paternel mort à 76 ans et grand'mère paternelle morte à 82 an
e l'on ne peut préciser. - Il en est de môme du grand-père maternel mort à 77 ans et de la gran'dn2ère maternelle sur le
ainsi que leurs enfants qui n'ont jamais eu de convulsions; 3 sont morts , 2 par accident : l'un écrasé par une voiture s
uste de quoi; quant au troisième on ne peut préciser la cause de sa mort . Pas de tantes paternelles. - Un oncle mater- n
e sa mort. Pas de tantes paternelles. - Un oncle mater- nel, sobre, mort à 32 ans « de \a,poitrine » ; il était célibatair
colonne vertébrale et a succombé en trois jours. - Le troisième est mort à 9 mois d'une affection demeurée inconnue à la
té et qui n'ont jamais eu de convulsions. - Deux autres soeurs sont mortes , l'une à 18 ans, l'autre à 9 ans, < à la mêm
petite ferme que son mari avait louée. -- [ Père, laboureur, sobre, mort à 50 ans d'une pleu- résie. - Mère bien portant
50 ans d'une pleu- résie. - Mère bien portante. Grand-père paternel mort âgé, mais là se borne tous les renseignements.
urésie ( ? ). Grand-père maternel et grand'mère maternelle, sobres, morts , l'un avec, « un mal de jambe » ( ? ) l'autre à
ous ordinairement sobt ? éj ? sains de corps et d'esprit; deux sont morts ; l'un écia4,par,' accident, l'autre au cours d'
tes maternelles. - Cinq rrères : le prc ? mier, puisatier, ivrogne, mort à 30 ans d'un érysipèle gaiigré- nettx, sans en
une âge. - Une soeur, sans antécédents nerveux, a eu un seul enfant mort d'affections fébriles de longue durée et n'ayan
mari a 4 ans de plus que sa femme. Quatre enfants : 1° un garçon mort après 2 ou 3 heures; l'enfant, asphyxié à la na
BOURNEVILLE et DAUilTAC. SOMMAIRE. Père, quelques excès de boisson, mort phtisi- que. - Mère, migraineuse. - Grand-père
lypospadias. Suspension des accès en 1882-1884. - Marche des accès. Mort dans un état de mail. AUTOPSIE. - Absence de
rnis par sa mère, le 11 octobre 1882). - Père, employé de commerce, mort en 1878 de la poitrine, à 38 ans. C'était un ho
la réputation d'avoir été nerveux. On ne les a pas connus. 2 frères morts l'un à Sedan, l'autre de la variole, pen- dant
rfs etc. Pas de maladies de peau.- [Père, excès modérés de cidre, mort d'une maladie de foie. - Mère, bien portante, à p
détails sur les grands parents des deux côtés. - 3 frères : un est mort du croup; un second est bien portant et a un en
ns lequel il succombe (État de mal). La température au moment de la mort est de 39°, 4 ; - 1/4 d'heure après la mort de
érature au moment de la mort est de 39°, 4 ; - 1/4 d'heure après la mort de 38°, 8; - 1 heure après de 38°, 8; - 2 heure
père maternel violent; excès de boisson. - Deux frères et une soeur morts de convulsions. - Pas de consan- guinité. Inéga
ou de syphilis. Tuberculose pulmonaire chronique; dyspepsie. (Père, mort à 73 ans, d'accident; pas d'excès de boisson. -
t de Paris.) Différence d'âge : 3 ans. Douze enfants : 1° garçon, mort à 7 ans de fièvre typhoïde ataxique; - 2° garço
: 1° garçon, mort à 7 ans de fièvre typhoïde ataxique; - 2° garçon, mort à 4 ans, de fièvre typhoïde avec phénomènes pul
ans, de fièvre typhoïde avec phénomènes pulmonaires ; - 3° garçon, mort à deux ans de fièvre typhoïde; - 4o fille, mort
te; - 5o fille, morte à deux ans d'angine diphtérique; - 6° garçon, mort à deux ans avec convulsions; - 7° fille, morte
vec convulsions; - 7° fille, morte du croup à 18 mois; - 80 garçon, mort à 13 mois de convulsions; - 9° fille, 4 ans, bi
on l'a crue morte une dizaine de minutes avant l'heure réelle de la mort . La température au moment de la mort était de 3
s avant l'heure réelle de la mort. La température au moment de la mort était de 3 do,8 ; - 1/4 d'heure après 36,2 : - 1
s, méningite. Cousine mater- nelle, suicidée. - Frère, convulsions, mort de méningite. - Demi-soeur paternelle, convulsi
. - Rougeole avec bron- cho-pneumonie et albumine dans les urines : Mort . AUTOPSIE. - Méningite chronique; - atélectasie
urs est-il que la dernière convulsion fut si violente qu'on le crut mort . A cet âge, nous dit sa femme , il passait «pou
t a quitté son mari. Elle a été mariée une première fois à un homme mort de tuberculose aiguë et dont elle n'a pas eu d'
ontale étant nettement plus développée à gauche qu'à droite. [Père, mort à 45 ans ; on en ignore la cause. Alcoolique, c
les, ni de tantes paternels. - Quatre tantes maternelles, dont deux mortes à la suite « d'un chaud et froid » et deux autr
id » et deux autres vivantes et bien portar.tes. Un oncle maternel, mort à 29 ans subitement. - Deux soeurs, une morte à
e consanguinité. Inégalité d'Age : 1 an 1/2. 3 enfants : 1° garçon, mort à 15 mois, de méningite tuber- culettse ;il n'a
maladie. - T. R. 38°, 2 : -Soir : 31o, 6. Un quart d'heure après la mort . Autopsie (faite 32 heures après le décès). - L
on gauche (nO un peu congestionné. L'atélectasie a été cause cle la mort . - Coeur (110 gr.) normal. Trou de Botal oblité
icularité intéressante l'albuminurie survenue quatre jours avant la mort . V. A l'autopsie nous constatons l'absence comp
es des quatre membres. . 1892. Rubéole. - Tuberculose pulmonaire; mort . . Autopsie. = Absence de synostose; p ! agiocë
. Il était intelligent, bicn portant, et on ignore la cause de sa mort qui arriva à 75 ans. Il aurait eu une affection o
le après deux ans de mariage. Une 2° soeur est hallucinée; après la mort de son père, elle résolut de ne point se marier
prit cette-ta. est morte tuberculeuse. Elle a eu 4 enfa Ils, 3 sont morts en llits ic. Une lille, 23 ans. est bien portan
collections de la Faculté de médecine et du musée Dupuytren. Il est mort un âge avancé on ne sait de quoi. - La ! ]'ëlJ1
u d'affection chronique ner- veuse ou autre. - Grand-père paternel, mort à 89 ans, sans jamais avoir été malade. - Grand
. Elle était très faible, mais non paralysée. - Grand-père maternel mort tout jeune. - Grand' mère maternelle, morte en
galité d'âge de 8 ans. 4 enfants : 1° notre malade ; - 2" un enfant mort à Il ans de la variole; il était intelligent, n
1/"1 ? en .'( plai- gllallt beaucoup. Température aussitôt après la mort , 39" ; - 1/rt d'heure après, 38o, 3; - une hcur
res après, 35°. Autopsie faite le 15 avril 1892, 30 heures après la mort . Tête. - Cuir citeuflit assez épais et bien fou
et balancement. Ga<i'.s)ne. Eptepste. Congestion pulmonaire ; mort . Autopsie : Porus vrais des deux hémisphères cé
our) ? ) Il n'a jamais subi aucun n traumatisme. [Père, journalier, mort à 79 ans, d'une hernie étranglée. Il était habi
us n'avons aucun renseigne- ment. - Trois oncles paternels : 2 sont morts et on ne sait rien d'eux. Le dernier a 75 ans;
te. » Pas d'affection nerveuse. - Les grands-parents paternels sont morts jeunes. La. grand'mère maternelle serait morte
and'mère maternelle serait morte du choléra. - Un oncle paternel, mort à 67 ou G8 ans environ, on ne sait de quoi. - Une
rnelle, 73 ans, bien portante et pas nerveuse. - Un oncle maternel, mort à 63 ans, d'une tuberculose pulmonaire. - Trois
pismes. L'enfant meurt à une heure du matin. Température après la mort : 40°, 8; un quart d'heure après la mort : 38°, 2
atin. Température après la mort : 40°, 8; un quart d'heure après la mort : 38°, 2; une heure après la mort : 3li°, 4; de
40°, 8; un quart d'heure après la mort : 38°, 2; une heure après la mort : 3li°, 4; deux heures après la mort : 35° Tem-
t : 38°, 2; une heure après la mort : 3li°, 4; deux heures après la mort : 35° Tem- pérature de la pièce : 18° 5. Poids
éas ( 15 br.l. Pas de calculs dans la vessie ou les bassinets. - La mort est due à la congestion des poumons. Réflexio
suffira pour s'en convaincre. De nos quatre malades, un, Arn ? est mort par asphyxie due à l'introduction du lait dans
; Par BOURNEVILLE et FERRIER. SOMMAIRE. - Père, excès de boisson, mort de laryngite tuber- culeuse. - Oncle paternel,
ryngite tuber- culeuse. - Oncle paternel, convulsions de l'enfance, mort de phthisie. - Autre oncle- paternel, convulsio
ez Mère, excès de boisson, morte phlhisique. - ^Grand-père paternel mort phthisique. Emotion vive au cinquième mois de l
ilepsie à 3 ans ( ? ). Excès de boisson. - Tuberculose pulmonaire ; mort . Autopsie : Epaississement et congestion de la
is après sans que la canule eut été enlevée; il avait39ans.- [Père, mort en 1871, à 58 ans, d'un coup de feu. Sobre, un
us. - Aucun renseignement au sujet des oncles et tantes. - Un frère mort phtisique à 34 ans, sobre, doux. Un second frèr
nfant, cette femme s'adonnait à la bois- son comme son mari. [Père, mort phtisique, à 50 ans. Mère, de 7 ans plus âgée,
oercible, a eu ce matin des accès cle dyspnée plus prononcés et est mort il 9 heures avec des phénomènes d'asphyxie. A
mort il 9 heures avec des phénomènes d'asphyxie. Au moment de la mort , la température était de 3ï°; un quart d'heure
estif. Pas de tuberculose péritonéale ou intestinale. Cause de la mort : l3rovclLO-paeecmovie tuberculeuse. Réflexions
sson. ^ Grand-père paternel 1 alcoolique et nerveux. Oncle paternel mort de méningite traumatique ( ? ). - Tante paterne
Mère, vive et coléreuse. - Cousin idiot ne parlant pas. Un frère, mort de convulsions. - Un autre frère mort du carrea
iot ne parlant pas. Un frère, mort de convulsions. - Un autre frère mort du carreau, à 3 ans. - Une soeur morte de bronc
Rougeole à 3 ans et demi. Teigne tonsurante. -- Brotxcho-pneumonie, mort . AUTOPSIE. - Description des os du crâne.- Mode
rrivé. Ni dermatoses, ni traces de maladies véné- rennes. -[l'èi·e, mort à 71n ans passés, laboureur, « très ner- veux »
ère, morte à 70 ans ( ? ). - Grands-parents paternels et maternels, morts âgés, on ne sait de quoi. - Trois oncles patern
fants. - Deux frères, tous deux sans enfants et sobres; l'un serait mort à 32 ans d'une méningite traumalique , l'autre
e traumalique , l'autre est bien portant. Cinq soeurs : deux sont mortes ; l'une probablement phtisique à la suite de cou-
ccent alsacien ; elle avoue être vive et un peu coléreuse. - [Père, mort à 41 ans, d'une chute de voiture, laboureur, étai
is eu d'accidents nerveux. - Grands-parents paternels et maternels, morts âgés; pas d'autres détails. - Demi-oncles pater
ls, bien portants ainsi que leurs enfants. - Deux oncles maternels, morts on ne sait de quoi, ayant des enfants sains do
portantes, ainsi que leurs enfants. - Huit enfants : cinq seraient morts jeunes, on ne sait de quoi; un autre, ayant bu,
oi; un autre, ayant bu, aurait été écrasé par une voiture et serait mort assez jeune; 2 sont vivants et bien portants. D
pas d'accidents nerveux, bien portante, intelligente; - 4° garçon, mort à 2 ans avec 118 Antécédents personnels. des
es convulsions, bien portant et intelligent auparavant ; 5° garçon, mort à 10 mois de la coqueluche, n'a pas eu de con-
pas de convulsions, bien portants et intel. ligents ; - 10° garçon, mort du carreau à 3 ans, pas de con- vulsions, intel
11 k, 100. T. R. 39-, 4. - Soir : 39°, 5. 5. BItONCHO-PNEU\IOyIfi ; MORT . 123 29 juin. - T. R. 39°. - Soir : 38°, 2. 3
sans calculs. - Le péritoine n'offre aucune lésion. La cause de la mort est la bi-oiielto-piiettiio ? iie. Réflexions.
rnelle rhumatisante, crises de nerfs. - Arrière-grand-père paternel mort d'héii-Lo ? - ? ,hagie cérébrale. - Arrière-gra
mère paternelle morte d'un cancer uté- rin. - Grand-oncle paternel mort tuberculeux. - Grand' tante et cousins paternel
ncle paternel mort tuberculeux. - Grand' tante et cousins paternels morts de convulsions. - Mère : céphalalgies, mélancol
e, épilepsie spinale. - Tic du pied gauche. - Phimosis. - Rougeole; Mort . Autopsie : Plagiocéphalie très prononcée. Déve
fs qu'elle a toujours cherché à dissimuler. - Grand- père paternel, mort d'une hémarrhagie cérébrale à 54 ans. Grand'mèr
e-grand'mère paternelle, morte à' 7f¡' ans. -'Grand- père maternel, mort à 77 ans, d'accident, était petit et'mai- gre,
28 ans, en couches, « de chagrin,' dit-on. » Un oncle paternel est mort à 57 ans, tuberculeux, il était fort, intellige
ans, tuberculeux, il était fort, intelligent; il a eu deux enfants, morts à 4 ou 5 ans, un d'eux aurait eu à sa mort de n
; il a eu deux enfants, morts à 4 ou 5 ans, un d'eux aurait eu à sa mort de nombreuses convulsions. Un second oncle pate
bien portante jusqu'alors, un peu coléreuse. - Grand-père paternel, mort à 74 ans d'une gastrite ( ? ), vigne- ron, très
ernelle, morte à 68 ans, d'accident ; robuste. Grand père maternel, mort à 5 ans : il s'asphyxia à la suite de mauvaises
tantes pater- nels : tous ont atteint un age avancé, sauf un oncle mort il 23 ans, par accident. Une tante maternelle m
mbre. T. R. matin 40°, 4. Respiration embarrassée. . 138 Rougeole ; mort . Symptômes stéthoscopiques stationnaires. L'éru
de Todcl, 1 cuillerée de sirop d'éther. 15 novembre. - L'enfant est mort le 14 novembre à 2 heu- res du soir. Les parent
, pas de calculs. -Estomac et tube intestimal, rien. La cause de la mort a été la b;o2clo-lwetunowie qui a com- pliqué l
- Père sujet à des céphalalgies fréquentes. Grand-- père paternel, mort probablement d'une affection de l'esto- mac. -G
modeleur, grand fu- meur, sobre, très vif, sans accidents nerveux, mort à G3 ans après une maladie qui a duré huit mois
côté maternel. 11 sait seulement que le grand- père maternel serait mort jeune, noyé accidentellement dans la Nièvre. Tr
, noyé accidentellement dans la Nièvre. Trois oncles paternels : un mort à ? 0 ans, un autre à 40 ans, on ne sait de quo
rait bien portant mais légèrement bègue. - Deux oncles maternels, morts on ne sait de quelle maladie; l'un d'eux, marchan
ique. - Pas de tantes. Deux frères et trois soeu<'s ; L'ainé est mort à G semaines ; pas de renseignements. La 2°, fi
s. ni migraines, ni convulsions, ni dartres, etc. ; - [Père, sobre, mort d'une affection de l'estomac ( ? ) ; il fumait
nement. Grand-mère paternelle, morte à 70 ans. Grand-père paternel, mort à 87 ans et grand'mère maternelle à 86 ans. l'a
(/2 suffocation. L'enfant se débat durant un quart d'heure. Il est mort à 5 heures. T. Il. aussitôt après la mort : 38°
un quart d'heure. Il est mort à 5 heures. T. Il. aussitôt après la mort : 38°, 7 ; ? d'heure après : T. 12. 38°, 5;-Une
ie complète. Amélioration. - Fièvre typhoïde anormale. Mèningite. - Mort . Autopsie. - Distension des sutures; - lésions
isson, caractère empatté. - Grand-père paternel, caractère emporté, mort de la rupture d'un allèUt'L5771e de l'aorte. Gr
racte double, excès de boisson ( ? ). Arrière- grand-père paternel, mort de lapierre. Arrière-grand'mère paternelle, mor
éformation des pieds, taille exiguë. Deux grand'tantes paternelles, mortes de convulsions. Oncle paternel, mort de méningi
ux grand'tantes paternelles, mortes de convulsions. Oncle paternel, mort de méningite. Autre oncle paternel, suicidé. Ta
comme hysté- rique à la Salpêtrière, poétesse. Grand-père maternel, mort phthisique. Grand'mère maternelle, très-colère.
graines. Caractère emporté. - [Père, ébéniste, sobre, mais violent, mort à 65 ans, de la rupture d'un anévrisme de l'aor
elle faisait malgré toutes les intempéries.) - Grand-père paternel, mort à l'Hôtel-Dicu, après l'opération de la pierre.
'à 5 ans. Ses jambes sont éga- les. -- Deux tantes maternelles sont mortes toutes jeunes, de convulsions. - De quatre frèr
convulsions. - De quatre frères, aucun n'est vivant : un d'eux est mort à 16 mois de méningite, un autre, garçon « très
e vessie. Elle lit beaucoup de romans et fait des vers. - [ [ Père, mort phthisique ; caractère doux. Mère, 55 ans, ne p
presque à terme. (Depuis, l'accouchement a eu lieu, et l'enfant est mort au bout de 3 semaines). Des deux enfants vivant
torsions. - Poids, après décès, 5 kilogr. - T. R. aussitôt après la mort 35°, 2 ; 1/4 d'heure après, 34°, 3 ; 2 heures a
des crises nerveuses. Un des arrière-grands pères maternels de est mort d'une « paralysie au cerveau » en trois jours e
pilepsie. symptomatique ; état de mal, élévation de la température; mort . Par BOURNEVILLE et DAURIAC. Sommaire. - Père
ales; excès de boisson durant la grossesse. - Grand- père maternel, mort asthmatique. Cousine, morte de méningite. Tante
fication défavorable du caratère en 1892. Etat de mal épileptique : mort . Autopsie : sclérose atrophique et méningite ch
sources dans un cabinet d'affaires. - [Père, brigadier des douanes, mort à 39 ans d'une fluxion de poitrine. - Grands- p
bituellement bien. mais était fort nerveuse. - Grand-pè)e maternel, mort à 83 ans, d'une cystile. - Antécédents PEI1SONN
uelles on lui a souvent fait des injections de mor- phine. - [Père, mort d'un asthme à 72 ans. Il n'a eu que cette malad
me à 72 ans. Il n'a eu que cette maladie. - Les grands-parents sont morts fort vieux. - Mère, très nerveuse, pourtant ell
ui paraît avoir été une cirrhose atrophique. - Grand-père maternel, mort de pleurésie puru- lente. - Grand'mère. morte d
nt meurt le 22 décembre à 7 heures du matin. T.R. aussitôt après la mort : 40°, 2 ; - ? d'heure après ! i0° ; - 1 heure ap
accès ne répondait plus à aucune exci- tation. Sept heures avant la mort , après le dernier accès, la température était d
érite à deux reprises. Méningite avec cris et grincements de dents. Mort . Autopsie Calotte extrêmement mince et molle. A
respiration s'embarrasse de plus en plus. - Soir : T. R. 39°. 3. - Mort vers 11 heures et demie du soir. T. R. aussitôt
3. - Mort vers 11 heures et demie du soir. T. R. aussitôt après la mort : 37°, 1 I : 1 ; - i/4 d'heure après : 3fi°, 8
lui-même, trois points intéres- sants. II. D'abord cet enfant est mort de méningite céoé- 20ü RÉFLEXIONS. braie, à l
ants, atteints, dans le service, de cette même maladie, et qui sont morts cle méningite puru- lente plus ou moins longtem
r de la mère nerveuse, de caractère bizarre. i -Un frère de la mère mort de congestion céxébrale. Un autre frère de la m
st morte de la poitrine, il y a 20 ans. - [Famille du père. - Père, mort d'une fièvre muqueuse et de scarlatine à l'âge
mariage, le père de notre malade avait eu 5 enfants; le premier est mort à neuf mois ; le second est mort en nourrice d'
avait eu 5 enfants; le premier est mort à neuf mois ; le second est mort en nourrice d'une maladie de langueur. Les troi
mais sans crises nerveuses. - [Famille de la mère. Père, boulanger, mort à 78 ans, sobre, gai, un peu violent. - Mère, m
cardiaque. Grands- pères et grand ? mères paternels et maternels,' morts de vieil- lesse. - Une tante paternelle, âgée d
, âgée de 60 ans, est épileptique. Une tante et un oncle maternels, morts très âgés, n'ont jamais eu d'accidents nerveux.
restée 2 ans dans un couvent-, mais n'est plus dévote. - Le second, mort à 5' ? ans de conges- tion. cérébrale, a eu qua
cher, mais aurait sa connaissance ; il parle depuis peu. - Le 4 est mort très jeune, par suite « d'une conformation du g
mplètement glacés. Vers 4 heures, il expire T. R. aussitôt après la mort : 40°, 6 ; un quart d'heure après : 39° ; - une
plus sérieusement atteints au point cle vue nerveux : un d'eux est mort paralysé, un second est mort de congestion céré
u point cle vue nerveux : un d'eux est mort paralysé, un second est mort de congestion cérébrale, un troisième a un fils
e. Demi-parésie à droite uers 2 ans 112. - Broncho-pneumo- nie. - Mort . Autopsie : Sclérose atrophique prédominant à g
e vue du tabac et de l'alcool. Il n'a jamais de migraines. - [Père, mort à 81 ans, sans avoir jamais été malade. - Sa mè
ur les grands- parents paternels. Les grands-parents maternels sont morts de vieillesse. - Six oncles ou tantes paternels
ade et n'aurait présenté ni convulsions, ni fièvre typhoïde. [Père, mort à 50 ans, on ne sa' de quoi. - Mère, morte en c
rès, du même âge. Quatre enfants sont nés de ce mariage : 1° garçon mort de la diarrhée verte : 2" fille. 6 ans, bien pa
ment impressionné par l'ammoniaque. La bouche petite, Pneumonie ; mort . 219 régulièrement conformée, et munie de lèvre
vier 1892). - Père, entrepreneur de déchargement à la gare du Nord, mort à 46 ans d'une bronchite, atteint déjà d'une af
- tralgie, vive et emportée. Demi-frère maternel, sobre, cal- me, mort à 26 ans d'hémorrhagies auxquelles il était sujet
iocrement intel- ligente. - [Famille de la mère. Père, cultivateur, mort à 62 ans du choléra, buvait beaucoup de vin, ét
e que des esquinancies assez fréquentes. - Deux frères et une soeur morts en bas-âge, on ne sait de quoi. Aucun autre ren
e. Quatre enfants : 1° fausse couche de 5 mois 1/2; 2° un garçon, mort en naissant ; - 3u Notre malade ; - 4° un autre
arçon, mort en naissant ; - 3u Notre malade ; - 4° un autre garçon, mort à un an d'entérite, n'ayant jamais eu de convul-
T. R. 40°, 1. Soir : 40°. 23 janvier. - Dyspnée très intense, coma. Mort à 8 heures 1/2 du matin. T. R. 40°, 8. - T. R.
t à 8 heures 1/2 du matin. T. R. 40°, 8. - T. R. aussitôt apl'8s la mort : 41°, 8; - 1/4 d'heure après : 40°. - Une heur
. - Grand'mère pater- nelle très nerveuse, sujette à des migraines, mort subite. - Arrière-grand'tante paternelle en enf
- Grand-père maternel, alcoolique, violent. - Grand-oncle maternel, mort d'une attaque d'apoplexie. - Pas de consanguini
la paralysie.- Gangrène des extrémités inférieures. Septi- cémie. - Mort . 234 Antécédents HÉRÉDITAIRES. Autopsie. - Ec
en bonne santé, non nerveux et sobre. - Un grand-oncle maternel est mort d'une maladie du coeur ; quatre autres sont viv
lissement cérébral. Un frère jumeau, qui était bien conformé, est mort à 3 ans, on ne sait de quoi. Il n'y a dans la fam
ancolie. Elle Unit dans un asile d'alié- nés près de Dijon. - Père, mort a 60 ans, à la suite d'excès alcooliques. 11 ba
paternels ne sont pas connus. - Les grands-parents mater- nels sont morts âgés « de vieillesse ». - Les oncles ou tantes
Les oncles ou tantes maternels sont au nombre de 13. L'un d'eux est mort vieux, on ne sait de quoi. Un autre s'est pendu
autre s'est pendu. Les autres sont inconnus. Deux oncles paternels, morts tous les deux, l'un de maladie indéterminée, l'
oins âgée que son mari.) Deux enfants : Io notre malade; 2° garçon, mort à un an, du carreau, il était rachitique. Not
rissant la suppu- BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. 16 242 Septicémie ; mort . ration primitive, ne peuvent amener la cicatri
chambre étant de 20 degrés, celle du corps était, aussitôt après la mort , de 35°,6; une heure après, 34 ? i; 2 heures ap
, migraineuse. - Aïeul maternel, diabétique ( ? ). Oncle maternel ? mort de congestion cérébrale. - Cou- sin germain, mo
Oncle maternel ? mort de congestion cérébrale. - Cou- sin germain, mort de convulsions. Soeur convulsions de t'e)tm.ce
e la conception de l'enfant. Il n'use pas de tabac. - [Père, sobre, mort à soixante et onze ans, de la suite le l'opé- r
- cune sorte - Père, robuste, sobre, d'habitude bien portant, ést mort à soixante-dix ans de pneumonie. - Mère, morte à
ait la tuer ( ? ). Elle était aussi migraineuse. - 3 frères dont un mort à treize ans de « congestion cérébrale, accompagn
it, bien qu'un peu excitable, a eu 4 enfants, 2 de ces enfants sont morts on bas Age, les 2 autres sont bien portants, au
la moyenne des guéri- sons opératoires a été de 10 jours. Une seule mort au hout de 18 heures.... Sur les 24 guérisons,
ieurs attaques apoplectiques; hémiplégique. - Demi- oncle paternel, mort phtisique. - Mère nerveuse. - Grand' mère mater
el. Pelade à l'entrée. - Tuberculisation pulmonaire et péritonéale. Mort . Autopsie : absence de synostose des sutures du
ge. Ni blennorrhagie, ni syphilis. Santé habituelle bonne. - [Père, mort à 57 ans, à la suite de plusieurs attaques d'ap
rands-parents paternels tout à fait inconnus. - Grand-père maternel mort vers 80 ans ; était d'une très bonne santé habi
le. - Grand'mère maternelle morte à 86 ans. - Deux oncles paternels morts tous deux entre 50 à 60 ans on ne sait de quoi.
s eu de maladie nerveuse. - 10 oncles et tantes maternels, 5 sont morts de cause inconnue. Les autres, sont bien portants
. - Deux frères du 1 .rli lit (son père s'est marié 3 fois). Un est mort de la poitrine, 4 ans après son mariage avec un
ns, asthmatique, non nerveuse, intelligente. - Grand-père paternel, mort à 86 ans, de vieillesse, était assez vif, empor
( ? ) ; aucun détail sur elle. - Les grands- parents maternels sont morts tous deux très âgés à 80 ans passés, n'ayant ja
ment et l'enfant a succombé aujourd'hui. T.R. aussitôt après . la mort : 39°, 4 ; ? d'heure après : 38°, 9 ; 1 heure apr
âtisme ? Paraptëtespasmodtqtfe. fftrop7üe double du nerf optique. - Mort part fracture du crâne.- . . - ... ? ? " Auto
ernelle, hystérique. Arrière-grand-père maternel, excès de boisson, mort d'une attaque de paralysie. z Grand-oncle mater
bsence de la glande thyro- ïde, etc. Congestion pulmonaire intense, mort en syncope. AUTOPSIE. Absence complète de la
tie complète. Amélioration. - Fièvre typhoïde anormale. Më)n ? tgc. Mort . Autopsie. - Distension des sutures; lésions mé
'à un an. - Hémiparésie à droite. Contracture. - Broncho-pneumonie, mort . Louv... (Paul Maurice), né le 7 juin 1882. C
e à deux reprises. - Méningite avec cris et grincements de dents. - Mort . ' AUTOPSIE.-Calotte extrêmement mince et1110L1
- Mère, convulsions de l'enfance, nerveuse. - Grand-oncle paternel, mort de tuberculose. - Soeur, acci- dents nerveux. -
face et balancement. - Gâtisme. - Epilepsie, congestion pulmonaire; mort . AUTOPSIE. - Porus vrai des deux hémisphères cé
. SowoAIRE. - Père, alcoolique, emporté. - Grand-père pater- nel, mort d'une attaque de paralysie. - Grand-oncle pater-
e bornée. - Grand-père maternel, et arrière-grand' mère maternelle, morts d'une pleurésie. - Oncle maternel, ivrogne. - F
auche avec contrac- ture. Mierocéphalie. - Tuberculose intestinale. Mort . AUTOPSIE. - Sclérose atrophique des circonvolu
DU crâne dans L'IDIOTIE. alcoolique et nerveux. - Oncle pate1¡¡1el, mort de méningite traumatique ( ? ). - Tante paterne
Mère, vive et coléreuse. - Cousin idiot, ne parlant pas.- Un frère, mort de convulsions. Un autre frère, mort du carreau
ot, ne parlant pas.- Un frère, mort de convulsions. Un autre frère, mort du carreau à 3 ans. Une soeur morte de bronchit
ougeole à 3 ans et demi. Teigne tonsurante. -l3ronclvo-ptveutnonie, mort . AUTOPSIE. - Description des os du crâne. Mode
récé- dée d'une ascension thermométrique; - bmncho-pneumo- nife : mort : élévation considérable de la température après
legmon de la région mastoïdienne. - Carie du rocher. - Méningite. - Mort , AUTOPSIE. - Porencéphalie droite. - Tuberculos
eurde la mère nerveuse, de caractère bizarre. - Un frère de la mère mort de congestion cérébrale. Un autre frère de la m
colère. - Tics. - Parole à peu près nulle. - Broncho-pneullzonie. - Mort . AUTOPSIE. - Pas de traces de synostose. - Lége
91, p. 96. SUTURES DU crâne dans L'IDIOTIE. 321 excès de boisson, mort d'une attaque de paralysie.- Grand- oncle mater
les faits ; ceux qui précè- dent concernant une partie des malades morts depuis un an dans notre service, nous ont paru
m.1tel'1lelle, mOl'te hémiplégique. - Arrière-grand-père paternel, mort paralysé. Mère, lniqrclinense. -Grïit2d- père m
ernel, mort paralysé. Mère, lniqrclinense. -Grïit2d- père maternel, mort phthisiqwe. - Arrière-grand-père ma- ternel, mo
père maternel, mort phthisiqwe. - Arrière-grand-père ma- ternel, mort parafe. Grand-oncte maternel, mort para- lysé.
- Arrière-grand-père ma- ternel, mort parafe. Grand-oncte maternel, mort para- lysé. -Oncle maternel, mort - Pts (le co
ort parafe. Grand-oncte maternel, mort para- lysé. -Oncle maternel, mort - Pts (le co ? lsa7l- guinité ; mère plus âgée
tantes paternelles, débauchées. Deux oncles et un cousin paternels, morts de convulsions. Grand-oncle paternel, excès cle
illité prononcée ; ÉPILEPSIE, 8ouvetaE ? Père, rien de particulier, mort de phtisie. Grand père paternel, mort probablem
? Père, rien de particulier, mort de phtisie. Grand père paternel, mort probablement d'une congestion cérébrale. - Arri
bablement d'une congestion cérébrale. - Arrière grand-père paternel mort d'un coup de sang. Oncle parternet mort phtisiq
Arrière grand-père paternel mort d'un coup de sang. Oncle parternet mort phtisique. - Mère morte d'une péritonite un an
- Père, rien cle particulier. - Grand -père pater- nel, alcoolique, mort du pylo1'e. -A rrière granclpère pater- nel, al
3 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
la catastrophe qui mit fin à cette entreprise et donna le coup de mort il son infortuné fondateur (le D'> G. mourut à
ole commune, dont ils deviennent lc poids Classes spéciales. LXXI mort . Il montre la nécessité de les instruire il part,
rences individuelles si grandes chez les enfants anor- maux, est la mort des classes spéciales. Les résultats ob- tenus
s. - SOMMAIRE... ? Père, rien de particulier. Grand-père paternel mort d'ataxie à Bicêtre. - Arrière grand'mère morte
e de croissance a 13 ans; pas de syphilis, pas d'ethylisme. - [Père mort il 50 ans, après un séjour Ù l'hospice de Bicêtre
nt d'ataxie locomotrice. Mère en bonne santé. Grand-père paternel mort à 65 ans, on ne sait de quoi. - Grand'mère pate
n- dant deux ans, de paralysie progressive. Grand-père mater- nel mort d'ennui d'avoir perdu sa femme. Grand'mère ma-
cultivateur, en bonne sauté, ainsi que sa mère. Grand-père paternel mort par accident (fracture des jambes avec complica
euse). - Grand'mère paternelle morte à 85 ans. Grand- père maternel mort il 75 ans. Grand'mère maternelle, 80 ans, rien
Coqueluche, tuberculose pulmonaire et péritonite tuber- culeuse. - Mort . Autopsie. - Description du cerveau. Le G...
peut-être d'un cancer abdominal, pas nerveuse. - Grands- parents morts Il n'y aurait absolument aucun anté- BOURNEVILL
ne tare ne saurait y être signalée.] Trois enfants (1) : 1° Garçon, mort à 7 ans, cachectique « avec une glande- suppuré
rait eu aucun accident nerveux et pas de convulsions; - 2° garçon mort né, venu à 8 mois. 3° Notre malade. Rien de par
mit, sa faiblesse augmente. La tem- oscille entre 37°, 5 et 4S°, 1. Mort . Poids du corps après le décès : 11 kilos'. 500
s et de ses annexes qui sont fixés à droite de la ligne médiane. La mort est due a la tuber- culose généralisée. Réfle
du même côté. V. La tuberculose généralisée a été la cause de la mort comme chez un certain nombre d'enfants gâteux q
t uniques convulsions à 4 mois. - 1898. Tuber- culose pulmonaire. - Mort . AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère au cerv
rand'mère mater- nelle serait morte en démence à 80 ans. - Un frère mort en naissant. - Une soeur bien portante, non ner
nes, crises nerveuses, syn- copes, etc.). - [Son père, cultivateur, mort à 73 ans, on ne sait de quoi, avait eu, 5 ans a
de quoi. - Aucun renseignement sur les grands-parents. - Un frère mort d'une affection scrofuleuse. - l'as d'idiots, d'a
e aurait eu des vers intestinaux auxquels ses parents attribuent sa mort ; était très intelligente ; - 2° fille 17 ans, b
ôtés, renversant sa tète en arrière. Pendant deux heures on l'a cru mort . Depuis lors, il n'a jamais cu d'autres convuls
intient dans la matinée ; syncope dans l'après-midi. T.R. 40°, 5. - Mort à 10 heures 1/2 du soir. Température après décè
ort des notes prises annuellement depuis l'entrée (1886) jusqu'à la mort (1898). Erratum. Il faut rétablir ainsi qu'il s
rnel, bègue et aliéné. - Un autre oncle, arriéré et bossu. - Cousin mort de convulsions, Frère, convulsions, mort de mén
arriéré et bossu. - Cousin mort de convulsions, Frère, convulsions, mort de méningite dite tuberculeuse. Pas de consangu
l'atelier. Antécédents. 41 1898. Tuberculose pulmonaire aiguë; - mort . AUTOPSIE. - Tuberculose pulmonaire. - Lésions
ès de boisson. [Père, vigneron, a fait beaucoup d'excès de boisson, mort asthmatique. - Mère, bien portante. - Grand- pè
, mort asthmatique. - Mère, bien portante. - Grand- père paternel ; mort asthmatique à 8 ans. Pas de détails sur sa gran
and'mère paternelle et sur ses grands-parents mater- nels. - Frère, mort à 12 ans d'un rhumatisme articulaire. - Une soe
culaire. - Une soeur, en bonne santé, a eu cinq enfants dont un est mort il 9 mois de convulsions, - Un oncle maternel,
s crises. Depuis les convulsions ne se sont pas reproduites. Il est mort à 5 ans de méningite tuberculeuse ;- lit garçon
uites. Il est mort à 5 ans de méningite tuberculeuse ;- lit garçon, mort il 18 d'une congestion pulmonaire ; pas de conv
50 Autopsie : CRANE ET cerveau. Autopsie faite 33 heures après la mort . - Tête. Cuir che- velu : maigre, pâle, ecchymo
ételet, chez les enfants normaux, à l'âge de 19 ans (époque de la mort de notre malade) la moyenne de la taille serait
n cas d'hémiplégie infantile compliquée d'épilepsie, terminé par la mort à 43 ans, dans lequel nous relevons le passage
membres inférieurs, avec grosse exagération des réflexes roluliens. Mort le 22 mars 1896 de scarlatine mali- gne. - Auto
ments athétosi[0['mes de la main ; hémiplégie spasmodique gauche. Mort le 20 avril 1895 cle rougeole maligne. - Autopsie
r, sauf quelrlues.dou- leurs rhu1Halismales, - Grand-père maternel, mort « brûlé par l'alcool. » - A rrière grand-père -
daison. - Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 4 ans. - Frère mort de convulsions. Première dent à 6 mois, - Début
gn décembre 1897, émotion vive, à l'église, durant un sermon sur la mort . Persistance de l'impression, sommeil mauvais,
alitement. Famille du père. Père, grand buveur de vin et de rhum, mort à 51 ans « brûlé par l'alcool », aurait dit le mé
sourd- muet, ne s'est pas marié. - Deux oncles paternels : un est mort d'« excès alcooliques qui auraient déterminé une
uraient déterminé une mala- die du pylore ; a eu 12 enfants, dont 6 morts en nourrice, on ignore de quelles maladies. Par
etenu. » - L'autre oncle, bien portant, a eu 13 enfants dont 6 sont morts en bas Age, en nourrice. On ne croit pas qu'ils
tante pater- nelle, bien portante, sobre, a eu 4 enfants; deux sont morts en nourrice, on ne sait de quoi; les autres, en
lmes « qui ne tiennent nullement du père ». - Quatre soeurs, toutes mortes en nourrice, on ne sait de quoi. Dans le reste
66 Manie DE l'adolescence. - Famille de la mère. Père, cultivateur, mort à l'àge de 60 ans d'artério-sclérose avec emphy
suite d'at- taques subiutrantes d'asystolie. - Grand père paternel, mort à 71 ans ; excès d'alcool par occasion; a toujo
60 ans ; elle aurait eu 12 enfants. - Grand'père ma- ternel, sobre, mort à la suite d'un accident (chute d'une échelle a
a toujours été bien por- tante. - Cinq oncles paternels, dont deux morts : l'un d'eux à la suite d'une chute sous les ro
triste, et 15 jours après il se pend ; pas de renseignements sur la mort de l'autre oncle. Les trois oncles vivants sont
es sont sobres et très bien portantes. - Plusieurs oncles maternels morts jeunes en nourrice. Une tante mater- nelle décé
e décédée à l'âge de 9 ans, on ne sait de quoi. - Cinq frères, tous morts en bas âge : les uns de rougeole, les autres de
trois jours après sa naissance, il fut mis en nour- rice où il est mort , -il l'âge de 15 jours, de convulsions; - 3° no
un missionnaire. Le sujet du sermon était une « dissertation sur la mort ». Or, la lumière qui traversait les vitres de l
continue à être triste pen- dant un mois, parlant sans cesse de la mort , s'imaginant voir mourir les uns ou les autres
u moins graves : le grand-père mater- nel, un grand-oncle, seraient morts d 'akoo[ iS/ilc chro- nique, un oncle et une co
nie et nymphomanie.. , 79 décembre, clic assiste à un sermon sur la mort , qui l'impressionne très vivement, au point qu'
ine que sa lillcule qui l'accompagne vient de mourir. L'idée cle la mort l'obsède, elle ne dort plus, a peur. Elle devie
Autre tante pater- nelle, morte des convulsions de l'enfance. Frère mort à dix-sept ans de coxalgie, méningite terminale
syphilis, échaufferaient à vingt et un ans. - Grand-père paternel, mort à soixante-dix- huit ans, d'une entérite, sobre
fection chro- nique de la poitrine et de diabète. - Oncle paternel, mort d'une cholérine. Tante paternelle, morte asthma
se, mariée, a un enfant de treize mois, bien venant ; 2" un garçon, mort à dix-sept ans de coxalgie, pas de convulsions,
langage de l'enfant devient très grossier ; il fait des menaces de mort à tous les membres de sa famille : « Demain, vo
, nulles; tics ; gâtisme. Rachi- trisme. Amaigrissement progressif, mort . Hydrocéphalie ventriculaire prédominant à droi
de particulier. Grand- Cas guéris. 105 père maternel très nerveux mort d'un cancer de l'estomac. Convulsions à trois m
, très nerveuse. - Grand'père mater- nel alcoolique. Oncle maternel mort tuberculeux Trois frères et soeurs morts de con
alcoolique. Oncle maternel mort tuberculeux Trois frères et soeurs morts de convulsions. Convulsions, rougeole, coqueluc
; surdi-mutité. SOMMAIRE. - Père eczémateux. - Grand'père paternel mort d'hémorrhagie cé¡'ebral ? - A ? -rié7,e-gi,aiid
-rié7,e-gi,aiid'pè ? ,e maternel suicidé. - Trois frères et soeurs morts de convulsions. Convulsions ; coqueluche, pas d
fiE. - Grand-père maternel interné à Bicêtre. Deux oncles maternels morts de convulsions; six morts en bas âge; un autre
interné à Bicêtre. Deux oncles maternels morts de convulsions; six morts en bas âge; un autre vivant, imbécile, a eu des
à leur lièvre typhoïde, par les complications qui ont entrainé la mort , par l'intérêt des autopsies, elles nous ont paru
Sommaire. Père divorcé, caractère très emporté. Un oncle paternel mort épileptique. Jlère, pied bot congénital. Inégal
e dans le coma et meurt le, 1l à 9 heures, du matin. T. R. après la mort : 40°, 5. . Traitement : diète lactée, potion d
9°, 8. - A six heures du soir, T. R. 40°. - Diarrhée dans la nuit ; mort le 9 septembre à 7 heures du matin. L'autopsie
re-grand'mère paternelle morte en enfance. - Grand-oncle paternel mort d'apoplexie. Oncle paternel mort alcoolique. -
en enfance. - Grand-oncle paternel mort d'apoplexie. Oncle paternel mort alcoolique. - Cousins et cousines morts de conv
d'apoplexie. Oncle paternel mort alcoolique. - Cousins et cousines morts de convulsions, de 1nG''ntn- gite ; un autre a
ands- pères, grand-oncle maternels alcooliques. - Un grand- oncle mort de convulsions. Une tante a eu des convul- sion
te a eu des convul- sions ; sujette à des crises nerveuses. Cousins morts de méningite : un est arriéré. soeur morte de m
le délai réglementaire de 24 heures, en raison de la rapidité de la mort . 12) Idiotie congénitale par arrêt de développe
Soir : T. It. 'i0°,9. (Fig. 8) 23 septembre. Matin : T. Il. 40°,5. Mort dans le coma. Traitement. Régime lacté, lavemen
» simple d'esprit z z ArriéreY1'ancl'père paternel, esprit faible, mort cancéreux. il/ère rien de particulier. Arrière
à. Sans, - Scarlatine à 9 ans. Fièvre lyphoïde, ,per/,Q- -. ration. Mort ? . . .. - ? 12 Epidémie de fièvre typhoïde.
s, pas de renseignements. - Grand- père maternel simple d'esprit, » mort d'un cancer de l esto- nac. - Grand'mère matern
ortante, pas nerveuse, aurait eu la gravelle. Grand-père paternel mort d'une maladie de coeur. - Grand'mère paternelle t
: trois tantes vivantes, plus que septuagénaires ; les autres sont morts de fluxion de poitrine, de la pierre, deux oncl
de fluxion de poitrine, de la pierre, deux oncles et une tante sont morts d'apoplexie - Quatre frères dont un mort-né ; d
mort-né ; des trois autres, aucun n'a eu de convulsions : l'un est mort à quelques mois après une chiite sur la tête ;
est mort à quelques mois après une chiite sur la tête ; l'autre est mort à vingt-sept ans des suites d'une affection syp
syphilitique, présentant de la nécrose d'un fémur; le troisième est mort d-s fièvres en Cochinchine. - Une soeur morte d
- Pas de coqueluche, de (IJ. Le grand-père paternel de l'entant est mort en 186. à l'àge de 80 ans, d'un cancer de lu jo
e de 80 ans, d'un cancer de lu jonc. - Son grand-père, maternel est mort en 1898 à 81 nns d'une congestion pulmonaire ;
t remonte le soir à 39°. ' - - 1,ig. 11. -- Fièvre tyloSule. -- lI. mort . Epidémie DE fièvre typhoïde. 132 . 11 aoît
La température monte progressi- vement à 410. (Fig. 11.) 12 août, Mort à 9 heures du matin. La température, deux heure
août, Mort à 9 heures du matin. La température, deux heures avantla mort , était de 4t, 3. 3. Traitement. - Le traitement
mie DE fièvre TYPHOIDE, Autopsie faite vingt-quatre heures après la mort . -- TÊTE. - Cuia chevelu maijre. - Crâne un peu
smaux, ni d'affections cutanées. - [Famille du père. - Son père est mort tige, sa '1lIè1'e est morte à 74 anus ; pas d'a
de l'utérus ; l'autre, âgée de 57 ans, en bonne santé. - Un frère mort accidentellement, avait des enfants bien portants
les, ni d'affec- tions cutanées, etc. - [Famille de la mère. - Père mort il h9 ans de tuberculose pulmonaire ; pas d'exc
- Mère morte à 42 ans, également tubet·cttleuse. - Grands, parents morts âgés. Pas de renseignements sur les oncles et t
Pas de renseignements sur les oncles et tantes. - Deux et un frère morts de tuberculose pulmonaire vers l'âge de 20 ans.
hes : 10 garçon, 22 ans, très bien portant, intelligent ; 2° garçon mort à 13 mois d'une broncho-pneumonie rubeolique; ?
on est devenue si irrégutiêreet si faible que ses parents l'ont cru mort . Deux jours après, au dire do la mère, l'enfant
élévation thermique de deux degrés, aboutissant en 24 heures à la mort . A l'autopsie, épanchement puriforme dans' la c
paternelle, caractère di ffi- cile. Un oncle et une tante paternels morts très jeunes. - Mère : fièvres intermittentes (
e connaissance, - Grand'mère maternelle alcoo- lique. Un demi-frère mort de congestion cérébrale. - Pas de consanguinité
tismes, pas de syphilis probable. [Sa famille. - Père, cultivateur, mort h 71 ans; peu de renseignements, sobre. - morte
ans tout le pays comme une «femme méchantes Un frère et une sceur morts très jeunes. Pas d'autres renseignements sur le r
plus âgé). A 18 ans la mère avait un amant dont elle eut un enfant mort à neuf mois de congestion cérébrale. Depuis n'a
lection purulente occupant la fosse iliaque droite. Le malade est mort dans le coma avec, un abaissement notable de la
dans deux cas enfin on n'a pu découvrir de cause immédiate de la mort . ' 2° Que dans la plupart des cas les symptômes
e. Peut-être faut-il voir là la Véritable cause des nombreux cas de mort que nous Considérations générales. )H5 avons
trer : le fait ne saurait être mis en doute pour Pep... (Ons. XVI), mort heures après son arrivée at l'infirmerie, ni pe
élevée et des convulsions épilepti{o1'mes ( ? ) deux jours avant sa mort , alors qu'il était dans un état de prostration
de la température, dans les quatre cas qui se sont terminés par la mort , permettent de se rendre compte de l'influence
x grands- oncles paternels pamlysés. - Autre grand-oncle paternel mort tuberculeux. Aëreterue).tse,cëpha ! a ! es.Cous
s. Grand-oncle maternel excès de boissons. Trois oncles maternels morts tuberculeux. - Cousin germain maternel idiot (B
Deux autres cousins germains tuber- culeux. Deux tantes maternelles mortes tuberculeuses. Quatre cousins germains maternel
maternelles mortes tuberculeuses. Quatre cousins germains maternels morts de méningite. - Cousin germain maternel pied-bo
é dans la famille de la mère. Soeur, morte de convulsions. - Frère, mort a Bicêtre de sclérose tubéreuse. Autre soeur mi
obre, « aimant un peu de tout sans passion ». Grand- père paternel, mort à 73 ans, était devenu triste et « ivrogne » ap
aternel, mort à 73 ans, était devenu triste et « ivrogne » après la mort de sa femme. - Grand'mère paternelle, bossue, a
ligente, morte d'un asthme en»18-,3. -Arrière- grand-père paternel, mort de vieillesse. - Renseignements insuffisants su
) ; elles s'entrainent réciproquement. » - Grand- oncle paie ? nel, mort après avoir été deux ans paralysé ; autre grand
ort après avoir été deux ans paralysé ; autre grand-oncle paternel, mort également paralysé; un troisième mort tubercule
autre grand-oncle paternel, mort également paralysé; un troisième mort tuberculeux. Mère, 44 ans, a toujours eu des ma
ques dartres sèches sur les jambes et au cou. - Grand'père maternel mort à G3 ans d'une inflammation d'in- testins, très
ur. Arrière-grand'mère maternelle a eu 15 enfants dont trois sont morts jeunes et dont les autres n'ont présenté aucun
Parmi les quatre autres g1'ands'oncles maternels, un ar- riéré est mort il 20 ans ; les trois autres ont été bien portant
fait des excès de boissons. - Cinq oncles mater- nefs : trois sont morts phthisiques, sobres, l'un de ces der- niers a e
chacun perdu un enfant phthisique. - Deux tantes ma- ternelles sont mortes de la poitrine : l'une sans enfant, l'au- tre a
ternelle, soeur jumelle de la mère a eu six enfants ; quatre sont morts de convulsions ou de méningite, le cinquième es
ois en 24 heures de la cholérine ; pas de convul- sions ; 4° garçon mort à 7 ans dans notre service il. Bicêtre : idioti
rose tubéreuse ou hypertro- phique des circonvolutions. z 5° garçon mort à 11 mois de la cholérine en nourrice ; pas de
» ; - 9° garçon, a eu trois fois des convulsions assez fortes, est mort à 6 mois de la cholérine : - 10° fille morte à
frères et soeurs du malade ont eu des convulsions ; l'un d'eux est mort dans notre service à Bicêtre de sclérose ,tubér
coolique. -[Père¡ mère en bonne santé, sobres. Grand'pèa·e paternel mort vers 75 ans' on ne sait de d.ûoi. = Graa2tl'wér
sa troisième attaque de congestion cérébrale. Grand'père paternel mort à 67 ans, on ignore de quelle maladie.. Grand'
i'ien. de particulier. Ni oncle, ni tante maternels. - Trois frères morts dans l'enfance, on ne saurait dire s'ils ont eu
que. Les colères ont diminué. Température il l'entrée. Entérite ; mort . 189 - 22 février. La toux est la même, l'aba
rs huit heures du soir dyspnée, cyanose de la face et des lèvres, mort à 9 heures -1;'2. Tableau du poids et de la tai
4 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
rvation n'a peut-être pas été assez attentive. Je ne doute pas que la mort de l'enfant ne doive être constamment le résultat
taient ou bien arrivaient au terme de leur grossesse. L'enfant venait mort , et l'examen du placenta m'a fait découvrir, quat
urriciers sont interceptés, l'enfant vient débile et même quelquefois mort . Il y a ou il n'y a pas avortement. Du reste, cet
e cas de pétrification du placenta, c'est l'atrophie d'abord, puis la mort avec dessiccation du fœtus qui remplacent la gang
tie résorbé, contenu dans les cellules du placenta. L'enfant est venu mort , bien que le travail eût été très-naturel. Je ne
du placenta sur le col utérin, puisse être regardée comme cause de la mort . Les maladies du placenta méritent d'autant plu
attacher cette altération à quelques symptômes. A-t-elle été cause de mort ? N'a-t-elle été suivie d'aucun désordre fonctionn
tat comateux le plus profond. Elle succombe. Je trouvai pour cause de mort une inflammation du tissu cellulaire sous-arachno
ividu. Il faudrait pouvoir découvrir un moyen qui allât le frapper de mort , comme le mercure qui va directement atteindre le
e naturel pour la fréquence, mais plus grêle que les jours précédens. Mort pendant la nuit, le quatrième jour de l'entrée de
on se contente de prescrire quelques palliatifs. Deux jours avant sa mort , hématurie très-abondante. Le malade raconte à ce
apprennent absolument rien. Je les explorai encore le 29 , jour de sa mort , qui fut plus prompte qu'on ne pouvait le présume
i les empêchait de faire une longue course. Un de ces individus étant mort , je trouvai dans des adhérences semblables à cell
tomie pathologique ne doit pas être une contemplation stérile de la mort ; elle est appelée à jeter une vive lumière sur le
culaire qui contraste singulièrement avec son état antérieur. Hoquet. Mort à neuf heures du soir. Avant l'ouverture, je me
ure du cadavre va tout éclaircir. Elle fut faite neuf heures après la mort , et par conséquent point de soupçon d'altération
tat lipothymique presque continuel, la décoloration de la face, et la mort , ne s'expliquent-ils pas par la désorganisation i
cette malade pendant un mois et demi encore, c'est-à-dire jusqu'à sa mort . Je ne sais pas ce qui n'a pas été tenté ; mais t
d'après le rapport des parens, n'étaient pas diminués la veille de la mort de la malade. Tous ces phénomènes s'expliqueront
p des symptômes promptement mortels. Dans le cas actuel j'attribue la mort au ramollissement des couches optiques. Fig. 5.
es symptômes observés pendant la vie aux lésions rencontrées après la mort . Cette observation est consignée sous le titre de
is de paralysie des membres supérieurs; large saignée; affaissement : mort à quatre heures du matin. Ouverture du cadavre.
ine mesure. Cette mesure une fois dépassée, l'équilibre est rompu; la mort survient. Le ramollissement, qui a lieu si souven
, dans le cas actuel, c'est au ramollissement qu'il faut attribuer la mort . Ce serait un sujet de recherches neuf et intér
haque expectoration, la malade amène une gorgée de sang noir coagulé. Mort pendant la nuit. Ouverture du cadavre. Les poum
ts foyers apoplectiques représentés fig. 1 et 3 ; et même, lorsque la mort a été rapide, on ne trouve point d'abcès, mais se
ins que j'ai rencontrés dans les muscles du dos chez des épileptiques morts pendant une attaque, dans les gaines des muscles
ce de concrétions sanguines dans les veines pulmonaires d'un individu mort d'apoplexie pulmonaire. Je ne crois pas à l'altér
cas de Corvisart, qui a pour sujet le docteur Fortassin, qu'on trouva mort dans son lit, bien que la veille il jouit de la m
it l'en séparer qu'avec beau-« coup de peine et en partie. » Ici la mort fut instantanée comme dans l'apoplexie la plus fo
maintes fois de petits foyers sanguins pulmonaires chez des individus morts de phthisie ou de pneumonie à divers degrés. Da
portion du poumon rendue inutile assez considérable pour expliquer la mort . Cet état de spasme surmonté, la maladie pourra s
u si souvent dans toute l'épaisseur du cœur et qui entraîne alors une mort instantanée, s'est faite ici aux dépens d'une par
usse membrane très-dense, établissait exactement les limites entre le mort et le vif, en sorte qu'il paraissait n'y avoir au
e, du volume d'un œuf de poule, plus ou moins, a suffi pour causer la mort . Je n'ai jamais vu de foyers gangreneux plus mult
que le malade expectorait en plus ou moins grande abondance avant sa mort . Enfin l'anatomie pathologique nous démontre de
reneux circonscrit de toutes parts au moyen d'une fausse membrane. La mort aurait pu précéder la rupture du foyer. 5°. Thé
fet, qu'un épi phénomène uniquement dû à la rapidité avec laquelle le mort se séparait du vif; en un mot, une hémorrhagie pa
space de deux ans, qui s'écoula entre l'apparition de la tumeur et la mort , Racine vint à plusieurs reprises passer quelques
ade demeure couché sur le côté droit, sombre, immobile, attendant une mort prochaine qu'il appelle de ses désirs. Le sthétos
évident que la trachée est comprimée. Pouls misérable; face violacée; mort la nuit du i4 au i5. Ouverture du cadavre. La t
atation du ventricule gauche et une liberté parfaite des orifices. La mort a lieu avec tous les symptômes organiques et spas
des abcès. Le moment de cette rupture est presque toujours celui delà mort , à moins que, la perforation étant très-petite, l
petite, le sang ne filtre goutte â goutte ; c'est ainsi qu'on a vu la mort ne survenir que vingt, trente, quarante heures et
reçut un coup de crosse de fusil sur l'épigastre, et fut laissé pour mort sur le champ de bataille. Revenu à lui, il ressen
ade eût vécu plus long-temps, la rupture eût pu s'opérer, et alors la mort aurait ai lieu d'une manière extrêmement rapide.
phlegmasie que j'attribue les phénomènes comateux qui ont précédé la mort . Ce n'est pas la première fois que j'observe cett
é la mort. Ce n'est pas la première fois que j'observe cette cause de mort dans l'anasarque, et il me semble qu'on n'a pas a
le ier janvier et qui se maintinrent sans aucun changement jusqu'à la mort . Le malade est étendu dans son lit, immobile; la
pour provenir des intestins. Ce dernier symptôme fut le prélude d'une mort prochaine, qui eut lieu sans délire, sans convuls
e. Ouverture du cadavre le 19 janvier, vingt - huit heures après la mort , par un froid extrêmement rigoureux. Corps amaigr
les symptômes éprouvés pendant la vie aux lésions observées après la mort . Je rapporte au foyer apoplectique cicatrisé FA
'était les derniers jours, la veille peut-être, ou le jour même de la mort , qu'avait eu lieu l'épanchement de sang qui rempl
tion des nerfs pneumo-gastriques à leur origine a produit de suite la mort . Pas un seul mouvement respiratoire n'a suivi cet
lie et s'est comme combinée avec le sang; de là, la promptitude de la mort ; la désorganisation s'est faite d'abord à la part
qui répond à l'origine de la huitième paire, ont été envahies, car la mort a été immédiate comme dans l'expérience que je ci
points celui du malheureux Mansard. Cet état fut le même jusqu'à la mort : des moxas appliqués sur la région dorsale ne fu
le soir à six heures , comme de coutume •, le lendemain on le trouve mort dans son lit. A l'ouverture, on découvre dans c
x forces de la vie. La voix est plaintive ; il se lamente, redoute la mort qu'il dit être prochaine. La langue, d'humide qu'
le à la pression. Enfin la perforation date seulement du jour de la mort , du moment où le ventre s'est énormément ballonné
ns mésentériques. Je dois appeler l'attention des praticiens sur la mort subite ou asphyxie par tympanite péri-tonéale, qu
n moment où il était lui-même le siège d'une tympanite. Le malade est mort comme si une grande quantité de gaz avait été rap
ômes fébriles; le dévoiement persista ; bientôt, fièvre, vomissemens; mort le i5 juillet dans le marasme. Ouverture du cad
anatomique par M. Pailloux, au nom de M. Jules Cloquet. sans que la mort en soit la suite immédiate ou éloignée, et même j
umeaux est ou incomplètement développé ou expulsé avant son frère, ou mort plus ou moins long-temps avant l'accouchement.
ans, accoucha, pour la cinquième fois, le 7 février 1829, d'un enfant mort (depuis long-temps au dire de la sage-femme). L'e
u nez est noire, frappée de gangrène sèche; ventre ballonné; stupeur: mort le ig. Ouverture, du cadavre. — L'abdomen ouver
ans Vépaisseur du corps des vertèbres. -— Compression de la moelle. — Mort . Les figures i et 2 représentent un testicule e
opre du testicule; la moelle a été comprimée, d'où la paralysie et la mort . Le vice cancéreux, quel qu'il soit, infecte en g
l'engorgement augmenta; la face devint jaune; amaigrissement rapide ; mort . Le travail de cicatrisation de la plaie n'avait
réquent, presqu'im-perceptible : regard inquiet ; réponses brusques : mort à midi. Ouverture du cadavre. Les deux replis m
nt le passage de l'air, on trouve et du pus et de la sérosité ; si la mort est moins prompte encore, on ne trouve que du pus
ue. Laryngite sous-muqueuse de la région sous-glottique du larynx — Mort par suffocation (fig. 2 et 2') (?). Un jeune
n pendant lesquels la respiration, la voix et la toux sont croupales. Mort par asphyxie le quinzième jour environ de l'invas
et certaines granulations étaient très-développés. Réflexions. — La mort de ce malade par suffocation est facilement expli
né le décollement du périchondre, et que ce décollement a entraîné la mort du cartilage. Son usure rapide ne doit pas plus n
ans les résultats : aux côtes, rien; au larynx , la suffocation et la mort . Je croyais ces faits uniques dans la science,
cueillir d'autre renseignement sur ce malade, si ce n'est qu'il était mort dans un état de suffocation analogue au croup.
vait appliqué sur le larynx. Le quatrième jour, accès de suffocation, mort par asphyxie la nuit suivante à quatre heures du
ruites. » Dans le cas qu'on vient de lire, M. Bouillaud attribue la mort du malade à la désorganisation complète des muscl
aryngée, une cause suffisante et toute mécanique de suffocation et de mort . Aussi, bien loin de regarder la maladie qui nous
urface extérieure et intérieure du larynx. Erosion de l'épiglotte. — Mort par suffocation. (Fig. 3 et 3'.) Un homme âgé d
pas trouvé dans la tuméfaction des parties la raison suffisante de la mort subite, et comme par suffocation; mais on conçoit
, convulsive, qu'une tuméfaction légère, et qui se sera dissipée à la mort , peuvent aisément produire cet effet. L'inspect
us les caractères d'une pneumonie et la diarrhée qui précipitèrent la mort , qui eut lieu le 29, cinq jours après l'invasion
les symptômes observés pendant la vie et la lésion observée après la mort : la torpeur générale, la lenteur dans la percept
e au moment de l'attaque ; stupeur; émission involontaire des urines. Mort le cinquième jour. — Apoplexie de la couche optiq
ent; l'état général paraissait d'ailleurs le même. Je pronostiquai la mort dans la journée ; et, en effet, la respiration s'
égie incomplète avec rigidité du côté gauche : léger délire : fièvre. Mort le vingt-cinquième jour par suite d'un phlegmon d
minué ; mais un oedème indolent persiste. Le 2 novembre, veille de sa mort , la malade n'était pas en apparence plus mal que
al. Hémiplégie complète, délire et mouvemens convulsifs du coté sain. Mort le cinquième jour. Leclehc , cuisinier, soixant
e, et les mêmes réflexions lui sont applicables. Hémiplégie gauche. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux
guérison. Fluxion séreuse considérable dans les ventricules, cause de mort (fig. 3 et 3'). Devieux, soixante-cinq ans, pei
pris un mois auparavant d'une attaque d'apoplexie qui le laissa comme mort , que des sangsues avaient été appliquées à plusie
x jugulaires.) — Le 4? coma. — Le 5, respiration stertoreuse. — Le 6, mort . Ouverture du cadavre. A l'avant-bras, pus infi
et intestinaux.) Le lendemain, coma; insensibilité presque complète ; mort soixante heures après l'invasion. Ouverture du
interne, le i5 mai 1812. Coma profond dont elle ne peut être retirée. Mort le troisième jour de son entrée. A l'ouverture, p
ent de ses besoins; il faut lui boucherie nez pour la forcer à boire. Mort le dixième jour. La malade est tellement amaigrie
ouvemens convulsifs qui se répètent continuellement. Sueur abondante. Mort . Ouverture du cadavre. Les vaisseaux de la pie-
que les accidens de compression commencent à se manifester, et que la mort ne saurait être éloignée. — Le 19, assoupissement
réci-pitée, bruyante, avec écume à la bouche. Insensibilité complète. Mort le cinquante-neuvième jour de la maladie. Ouver
soir, paroxysme fébrile extrêmement fort. Face rouge, peau brûlante. Mort peu de temps après. Ouverture du cadavre. Avant
est courte, haletante, stertoreuse; les yeux sont fixes et injectés. Mort le lendemain après une longue agonie. Ouverture
ns. - Comment se fait-il qu'une si légère altération puisse causer la mort ? Cette terminaison funeste est peut-être la meil
quantité de sérosité limpide d'abord, puis floconneuse et purulente. Mort le 19. Du i5 au 19, voici quels furent les symptô
répétés; altération profonde de la face ; décoloration des tégumens. Mort sans avoir présenté la moindre altération dans la
étition, et nommément deux reins énormes trouvés chez un apoplectique mort dans le service de M. le professeur Chomel, qui m
ervation avait été amputé long-temps auparavant par M. Larrey. Il est mort à l'Hôtel-Dieu d'une phthisie pulmonaire. vie l
ion et les maladies du fœtus, sur son défaut de développement, sur sa mort , sur le phénomène si fréquent de l'avortement, et
mi à trois mois : il est dans un état de dessiccation qu1 annonce une mort déjà ancienne ; rappelons-nous que la perte datai
fœtus sain, l'autre malade PM qui répond au cordon ombilical du fœtus mort depuis long-temps. Mais quelle est cette maladie
jours, et rien n'annonçait une fin aussi prochaine. La même nuit est mort un élève en pharmacie, qui présentait un délire t
onstater dans le cas d'entérite folliculeuse ; quelques malades étant morts accidentellement, à vingt, trente, quarante jours
natomique de l'entérite folliculeuse aiguë la raison suffisante de la mort , c'est qu'on doit découvrir tôt ou tard une médic
nce, des malades qui n'ont pas de lésion suffisante pour expliquer la mort . Le moment n'est sans doute pas éloigné où le tra
onie. Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse (*) {forme ataxique). Mort le quatorzième jour. {Pl. i. ) Bocquet, élève e
ées ; ventre très-souple et kdolent ; pouls petit, mais peu fréquent. Mort pendant la nuit. Ouverture du cadavre. L'abdome
avérique (l'autopsie n'ayant été faite que trente-six heures après la mort ); des escarres jaunes en partie détachées naissai
et moins sèche que les jours précédons, sans aucune espèce d'enduit. Mort le 16 à neuf heures du matin. Ouverture du cada
correspondante des forces musculaires, m'a toujours paru annoncer une mort extrêmement prompte. La ligure 2 (même planche)
ésicatoires à la partie interne des cuisses. Potion camphrée nitrée.) Mort pendant la nuit. Ouverture du cadavre. Les deux
l'affection intestinale s'explique peut-être par la promptitude de la mort du malade : pas de doute que ces masses de follic
xtrême. (Vésicatoire à une cuisse. Extrait de quinquina, demi-gros. ) Mort pendant la nuit. Ouverture du cadavre. Péritoni
nce extrême de la respiration, qui se sont manifestés la veille de la mort , comme le signal de la perforation du péritoine e
ce sujet. Entérite folliculeuse aiguë presque entièrement guérie. — Mort de pleuro-pneumonie après trente-sept jours de co
tion pendant neuf jours.—Recrudescence des symptômes. —Hallucination.— Mort . — Les ganglions mésentériques paraissent le sièg
gement complet dans la forme du délire; le malade s'imagine qu'il est mort , il ne répond à aucune question, et feint de ne p
on ne trouve pas dans la lésion anatomique la raison suffisante de la mort . 7e. Livraison. Pl. 5. MALADIES DES INTESTINS
de rémission au moins apparens ; redoublement des accidens le jeudi : mort à dix heures du soir. Les médecins pensèrent que
Les médecins pensèrent que la malade avait succombé à un iléus. La mort rapide de cette dame, la violence des symptômes,
circulaire qui étreignait l'intestin, la cause des accidens et de la mort . Cette bride circulaire ST (fîg. 1) présentait
de rencontrer, en même temps que l'altération récente qui a donné la mort , une lésion organique antérieure très-considérabl
n'ai trouvé dans les autres organes aucune cause qui pût expliquer la mort . Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère
égion frontale. Le ier octobre, le pouls s'accélère. Le 3, jour de sa mort , il était très-accéléré; la malade répondit encor
n'ai trouvé dans les autres organes aucune cause qui pût expliquer la mort . Tumeur carcinomateuse interne de la dure-mère
la diminution graduelle des forces, la prostration, la stupeur et la mort . Je regarde le ramollissement gélatiniforme du ce
ement gélatiniforme du cerveau comme la cause la plus fréquente de la mort dans les affections organiques soit du cerveau, s
apeutique. L'analyse des symptômes observés chez les divers individus morts avec la phlébite des sinus ne conduite rien de po
tibié ). Le 21, calme profond ; la langue est rentrée dans la bouche. Mort le 22. Ouverture du cadavre. Il existait dans l
choroïde infiltré de pus. — Délire les deux premiers jours ; coma et mort le troisième (*). Les deux premières planches d
lexion avec rigidité et tremblement de l'extrémité supérieure droite. Mort dans la journée. Le sujet de cette observation ét
eau.—Arachnitis ventriculaire.— Perte de mémoire. — Assoupissement. — Mort au bout de quarante heures. M. le docteur Sauln
ace du cerveau, soit dans la cavité des ventricules. — Prognostic. La mort est imminente. (Sangsues le long des jugulaires ;
ée à l'hôpital, et son cadavre fut examiné vingt-huit heures après la mort . Voici ce qu'on observa : Infiltration des memb
éjaculateurs et la prostate. Tel est le fait suivant : Sur un sujet mort de je ne sais quelle maladie , l'un des testicule
en doute la possibilité de l'ankylose de la mâchoire inférieure : la mort , disent-ils, précéderait l'ankylose, puisqu'on ne
e sujet de cette observation avait été tourmentée long-temps avant sa mort par un rhumatisme articulaire qui s'était princip
l'effet du travail digestif, et d'étudier l'influence que le genre de mort , l'état de plénitude ou de vacuité de l'estomac e
de l'empoisonnement, et pour leur violence et pour la rapidité de la mort , des diagnostics très-remarquables ont été portés
s températures et sur des sujets que j'ouvrais quinze heures après la mort . XI. Cependant, je me hâte de le dire, quelques
'expliquer autrement que par un menstrue qui continue d'agir après la mort . Ainsi, ce ramollissement s'observe presque toujo
importe) dans le suc gastrique; acide dont s'imbiberaient les tissus morts et qui, agissant directement sur le sang contenu
qu'en hiver, sur les sujets qu'on ouvre vingt-quatre heures après la mort que chez ceux qu'on ouvre avant ce laps de temps.
été faite par une température froide, seize heures seulement après la mort , et que le sujet ne présentait pas la moindre tra
ois que j'ai eu occasion d'examiner la muqueuse gastrique d'individus morts pendant le travail de la digestion, l'estomac éta
ondre. Il fait effort pour exécuter les mouvemens qu'on lui commande. Mort le gc jour de son entrée et le 24e de la maladie.
et le 24e de la maladie. Ouverture du cadavre seize heures après la mort par une température froide. Aucune trace d'altéra
ue instant si ce ramollissement se produit pendant la vie ou après la mort , et la difficulté du sujet sera mise dans tout so
n est quelquefois tout étonné, à l'ouverture des cadavres d'individus morts des suites de cette lésion, de voir que ces indiv
entrée à l'hôpital Cochin, le ier juillet i83o, treize jours avant sa mort , la malade était dans un état voisin du marasme,
uart droit de Vestomac méconnu pendant la vie. Hydropisie générale. Mort par suffocation. M. A., ingénieur en chef, âgé
; gaieté, sommeil, espérance d'une guérison prochaine ; le jour de sa mort , le malade se croyait à merveille , avait une pré
artères comme dans les veines ; en un mot, tous les caractères de la mort par asphyxie. Abdomen. Deux ou trois pintes de
es intervalles plus ou moins courts, et qui quelquefois entraînent la mort par hémorrhagie. Cette terminaison funeste me par
, et que l'hémorrhagie se renouvelle assez intense pour produire une mort plus ou moins immédiate. VIII. Un diagnostic di
parois abdominales contractées semblent appliquées contre le rachis. Mort au bout de douze heures. A l'ouverture, on trouve
là le vomissement noir, l'héma-témèse qui peut être portée jusqu'à la mort par hémorrhagie. Il n'est aucun point du cercle a
ématémèse plus considérable que les prédédentes, prostration extrême; mort à dix heures. Ouverture du cadavre. — Peau déco
qui envahit tout l'avant-bras et se termina par la gangrène et par la mort huit jours après l'amputation. L'estomac de cet i
olentes. M. Vallerand, médecin ordinaire du malade , put craindre une mort immédiate; néanmoins la vie se ranime, et l'hémor
Les premiers observateurs qui ont cherché à découvrir la cause de la mort , à la suite des plaies et des grandes opérations
n'hésitent pas à les regarder comme la cause la plus fréquente de la mort des blessés : et tandis que les chirurgiens du de
es, ataxiques, précédés d'un frisson intense, et bientôt suivis de la mort . Souvent on trouve dans un état désespéré le mala
dre compte de la phlébite. Le sujet ne présenta aucune autre cause de mort . Réflexions. I. Les phlébites sont le plus ordi
ectoration nulle : deux vésicatoires à la partie interne des cuisses. Mort le 9, vingt-huit jours après l'accouchement. Ou
sse a la suite d'un coup de feu. Le douzième jour, accidens généraux. Mort vingt-neuf jours après la blessure. Phlébite capi
usse membrane FM, réticulée, jaune (j'ai déjà dit que le malade était mort ictérique). Cette fausse membrane a été enlevée d
de la guérison. Gangrène diffuse du poumon (*). Épilepsie. Choree. Mort le treizième jour de Vinvasion des symptômes de
cuillerée. Le 28, petitesse extrême du pouls, hoquets, sueur froide, mort . Ouverture du cadavre trente-six heures après l
sueur froide, mort. Ouverture du cadavre trente-six heures après la mort . Le poumon droit (fig. 1) présente à son bord pos
lement de sang plus ou moins abondant. Il peut arriver alors que la mort ait lieu par hémorrhagie (Voyez xme livr. pl. vi)
rables; le tamponnement est dans ce cas le seul moyen de prévenir une mort imminente. Lorsque la tumeur n'est pas trop vol
ison. 1 musculaire. Il m'est arrivé de trouver, pour toute cause de mort , l'ascite et un foie granuleux; mais ce cas est f
ncer du foie coexistant avec un cancer de l'estomac. Chez un individu mort à la Maison royale de Santé, j'ai rencontré un ca
araissait d'ailleurs jouir delà meilleure santé. Quatre mois avant sa mort , il fut pris, dit-on, d'une affection catarrhale,
nférieures s'infiltrent ; des vomissemens surviennent et précèdent la mort de quelques jours. A l'ouverture, nous trouvons u
isons de lésions qui ont si souvent lieu dans ce genre de maladies La mort n'est pas toujours le résultat soit de l'altérati
iverses périodes de la maladie et des lésions qu'elle laisse après la mort , à une médecine symptomatique, et à un traitement
ui précèdent. Coliques hépatiques; tristesse ; anorexie ; marasme ; mort . Cancer au Joie par masses disséminées ; variét
omissemens : le foie ne déborde les côtes que quarante jours avant la mort . Cancer par masses disséminées du foie (variété m
terminée par perforation de la vésicule, d'où péritonite suraigùe, et mort en quelques heures. Dans l'un de ces cas, la perf
1er février, mêmes symptômes ; vomissemens de plus en plus fréquens ; mort dans la soirée. Ouverture du cadavre. On tmnve
a à l'écoulement de la bile, les accidens les plus graves, et même la mort surviendront par le seul fait de la rétention de
la membrane musculeuse, ou un cancer, les effetssont les mêmes, et la mort a lieu par défaut dénutrition. J'ai cité ailleurs
ement est donc, pour les femmes en couches, une question de vie ou de mort . Le traitement préservatif est le seul qui soit a
cuisses. Synapismes. Frictions avec trois onces d'onguent napolitain. Mort pendant la nuit. Ouverture du cadavre. Péritoni
nt à une série de douze femmes accouchées le même jour, dont six sont mortes . Il arrive souvent dans le cours d'une épidémie,
de peine à l'arrêter. Ouverture du corps, dix-huit heures après la mort . Sérosité légèrement sanguinolente dans la cavi
leur et la fièvre persistent jusqu'au 25 qu'elle accouche d'un enfant mort . On me montre cette malade le 26 pour la premiè
sés ci la partie interne des cuisses. Potion avec camphre et éther. Mort pendant le jour, quinze heures après l'accoucheme
e traitement connus dans cette cruelle affection. Typhus puerpéral. Mort au bout de cinquante heures. Péritonite purulente
tion du tissu propre de l'utérus et des trompes. Fièvre puerpérale. Mort le neuvième jour. Pour toute lésion cadavérique,
e dans son lit; ce délire est diminué à l'aide d'une potion calmante; mort à huit heures du soir, le onzième jour de l'accou
l'invasion. Ouverture du cadavre le 14 matin, douze heures après la mort : Point de péritonite ; point d'inflammation du t
r, parcourant les rues et recevant dix, quinze, vingt, jusqu'à trente morts ; les précautions exagérées, souvent niaises, pres
ite , une gastro-entérite. Dévoiement cholérique ; gastro-entérite. Mort . Tel est le cas d'un étudiant en médecine , âgé
ammation. Dévoiement cholérique; état adynamique ; gastro-entérite. Mort . Veuve Bâton (Geneviève), âgée de soixante ans,
L'angoisse, les cris, l'agitation se prolongent jusqu'au moment de la mort , qui eut lieu pendant la nuit. Ouverture du cad
pendant la nuit. Ouverture du cadavre, vingt-quatre heures après la mort . Rigidité cadavérique. A l'aspect du cadavre, on
son jour. Dévoiement cholérique immédiatement suivi de prostration. Mort rapide. Madame Leduc , âgée de soixante-trois a
ouillement qui annonce la présence d'une grande quantité de liquides. Mort une demi-heure après ma visite. Dévoiement chol
dant le cours de laquelle survient encore le dévoiement cholérique. Mort . Une femme qui était entrée à l'ambulance pour
tière expectorée. Pleurésie ; accouchement ; dévoiement cholérique. Mort . Madame M. P... fut prise, dans le huitième moi
istance. Entérite chronique ; accouchement ; dévoiement cholérique. Mort . Une femme grosse, à terme, était depuis six se
olérique , lorsque le 25 juin elle accouche naturellement d'un enfant mort . Refroidissement léger, faciès cholérique sans co
ays. Choléra moyen chez une femme grosse ; accouchement d'un enfant mort . Guérison. F......., âgée de seize ans, au huit
contractions utérines se déclarent. Accouchement naturel d'un enfant mort depuis quelques jours, il est probable que sa mor
aturel d'un enfant mort depuis quelques jours, il est probable que sa mort date de l'invasion du choléra. Cessation complète
e dans le dernier mois de la grossesse, ont accouché. La plupart sont mortes sans la moindre trace de travail. L'opération cés
e, pratiquée immédiatement après le dernier soupir, a amené un enfant mort . Plusieurs femmes qui avaient résisté au dévoieme
avec une vigueur qui étonne tous les assistants. VIII. Cet état de mort apparente peut se prolonger plusieurs heures, un
lusieurs heures, un jour, deux ou trois jours, rarement davantage. La mort réelle le suit le plus habituellement; mais cette
de douleur, la crampe passe d'une partie du corps à une autre, et la mort peut les surprendre au milieu de ces contractions
au milieu de ces contractions. On cite quelques exemples d'individus morts en deux ou trois heures, sans avoir éprouvé d'aut
e douleur, nul vomissement: à peine deux ou trois selles liquides; la mort arrive sans la moindre réaction. Il est rare que
ns Tune et l'autre formes de choléra, le malade ne peut échapper à la mort que par la réaction; or, il est des choléras tell
est apporté à Fambulance le 28 avril, à dix heures du matin ; il est mort à trois heures après midi, en sorte que je n'ai p
ci l'eau bouillante sur la région du cœur. Sueur glacée et visqueuse. Mort à trois heures cinquante minutes. Ouverture du
e puis mieux comparer qu'à celui qu'ils présentent chez les individus morts pendant le travail de la digestion. L'estomac m
holériques. Voici les commémoratifs qui ont été recueillis après la mort d'Adéodat. Depuis quelque temps, il prenait des v
que survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction. Mort de la mère, mort de Venfant. Grande quantité de l
le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction. Mort de la mère, mort de Venfant. Grande quantité de liquide cholérique
érée, bruyante ; coloration noirâtre en demi-lune de la sclérotique : Mort à neuf heures et demie du soir. L'opération césar
ienne pratiquée immédiatement après le dernier soupir amène un enfant mort , dont les organes sont gorgés de sang. Ouvertur
s cette circonstance, la grossesse diminuant la force de réaction. La mort de l'enfant précède toujours celle de la mère. On
mes grosses qui ayant résisté au choléra, sont accouchées d'un enfant mort ; et il a paru que l'époque de la mort de l'enfant
ra, sont accouchées d'un enfant mort; et il a paru que l'époque de la mort de l'enfant coïncidait avec l'époque du choléra.
e bile. Réaction vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimable. Mort dans la stupeur. Travail complètement arrêté. Gra
nvulsive ; demi-lune noire de la sclérotique au-dessous de la cornée. Mort à midi, sans refroidissement. L'opération césarie
idissement. L'opération césarienne , pratiquée immédiatement après la mort , amène un enfant mort. Le travail de l'accouche
n césarienne , pratiquée immédiatement après la mort, amène un enfant mort . Le travail de l'accouchement n'a pas avancé d'
sque cette réaction est épuisée ; c'est, comme on dit, le mieux de la mort . Mais le sentiment de bien être est un phénomène
précédens, nous n'avons trouvé aucune lésion qui puisse expliquer la mort ; une couleur rose-pâle dans la muqueuse, soit de
s qu'elle a lieu dans les tissus extérieurs. Que si on objecte que la mort a été trop rapide dans les cas précédents, pour q
'empressent autour de lui. Ouverture du cadavre, 12 heures après la mort . Couleur bleue de tout le corps; rigidité dans le
histoire. On conçoit, en effet, que les crampes puissent entraîner la mort , soit par leur continuité et l'excessive douleur
e croire, bien que douze heures seulement se soient écoulées entre la mort et l'autopsie. L'injection générale de la muque
mables dans la poitrine; mais il serait peu rationnel de rapporter la mort à la lésion anatomique, si disproportionnée aux s
de secours tente quelques gouttes de teinture de gentiane phosphorée. Mort à 10 heures, au milieu d'une crampe. Ouverture
s, au milieu d'une crampe. Ouverture du cadavre, 11 heures après la mort . Aspect des individus morts asphyxiés par le char
Ouverture du cadavre, 11 heures après la mort. Aspect des individus morts asphyxiés par le charbon. Rigidité cadavérique tr
lanches. Choléra asphyxique. Angoisse excessive. Selles sanglantes. Mort le deuxième jour de Ventrée, et le quatrième de l
de ou chaude, au gré de la malade. Le 22 , quelques heures avant la mort , la malade rendit plusieurs selles sanguinolentes
lles sanguinolentes, des mucosités teintes de sang; et dans le cas de mort , j'ai rencontré, dans le gros intestin, les mêmes
. MALADIES DES INTESTINS. Choléra - morbus. Choléra non-algide. Mort le huitième jour. Eschares du gros intestin. Infl
au 26, à 1 heure du matin. Ouverture du cadavre, 52 heures après la mort . Distension très considérable du gros intestin, e
une injection à peine marquée .de la muqueuse : tandis que lorsque la mort a été voisine de la période de réaction, les lési
té très prononcées. Il semble, lorsque la maladie se prolonge, que la mort est le résultat de l'épuisement amené par la lutt
a réaction. xive livraison. 8 Cholera asphyxique. Mieux inespéré. Mort dans la stupeur Opermann, âgée de 54 ans, cuisi
; enduit fuligineux des dents et de la langue; déglutition difficile. Mort à 2 heures du soir. Ouverture du cadavre. Rigid
e. Rigidité cadavérique. Le cadavre ne ressemble à ceux des individus morts du choléra que par les yeux, qui sont extrêmement
. Cet état m'alarme et me rappelle des cas analogues dans lesquels la mort a suivi de près cet état comateux. Saignée au bra
r qu'insensible aux médications les plus énergiques, dans cet état de mort apparente, l'économie, au moment du réveil, rentr
Etat extérieur du cadavre. - L'aspect du cadavre des cholériques morts pendant la période bleue, diffère peu de celui qu
on a figurées comme étant propres aux cholériques; une seule fois, la mort ayant surpris un cholérique pendant les crampes l
ités conservent seules la cyanose cholérique; on dirait d'un individu mort asphyxié par le gaz acide carbonique. Une lois j'
, que les liquides de l'estomac. Chez un certain nombre d'individus morts dans la période bleue, j'ai trouvé l'intestin rem
ré pl. II, XIVe liv.; il m'a été fourni par le jeune Adéodat, dont la mort a été si rapide: les follicules isolés et les fol
riz. Le liquide cholérique pur ne se rencontre que chez les individus morts rapidement : il n'existe en grande quantité, que
même quelquefois un mucus sanguinolent. Chez la plupart des individus morts quelque temps après la période de réaction, j'ai
ontractée que possible et complètement vide, au moins chez les sujets morts dans la période asphyxique. Elle contient de l'ur
ns la période asphyxique. Elle contient de l'urine chez les individus morts pendant la période de réaction. Des organes de
muqueuse bronchique présente une couleur violacée chez les individus morts dans la période d'asphyxie. Appareil nerveux.
t ces derniers, c'est par ses qualités délétères que le sang porte la mort dans tous les tissus. Suivant les premiers, l'alt
somnolence, vomissements, petitesse du pouls, et se terminait par la mort au bout de quelques heures. A côté de ces cas si
léra épidémique, il y a oppression telle des forces de la vie, que la mort arrive souvent sans la moindre réaction, malgré t
malade redevenir bleu ou tomber dans un collapsus bientôt suivi de la mort . Je ne saurais trop insister sur ce point : la sa
rennent pas, amèneront à bon port un malade qui paraissait voué à une mort certaine. Trop souvent, néanmoins, on ne saurai
a déterminé sur divers points des inflammations qui peuvent amener la mort , soit dans l'état aigu, soit dans l'état chroniqu
lte des recherches que j'ai faites à la Maternité, sur la cause de la mort des enfants mort-nés (i) , que l'apoplexie est la
la mort des enfants mort-nés (i) , que l'apoplexie est la cause de la mort d'un bon tiers des enfants qui, pleins de vie ava
où j'ai traité cette question : Des causes les plus fréquentes de la mort des enfants, soit pendant le travail de f accouch
ortie du tronc, sur-tout dans un premier accouchement , préviendra la mort de l'enfant, si fréquente en pareil cas. VIL L'
chercher l'aidesage-femme, qui termine l'accouchement. L'enfant vient mort , Epanchement considérable de sang dans les ventri
ol de l'utérus s'ètant contracté sur le col de l'enfant qui fut amené mort , bien qu'on eût senti des mouvements actifs peu d
rveau, qu'on aurait dit pénétré de sérosité. Cinquième fait. Enfant mort une heure après la naissance. L'enfant respire fa
était épanchée à la base du cerveau. Sixième fait. Enfant ci terme mort par suite de l'issue du cordon. Présentation du c
on. La femme accoucha naturellement vingt heures après. L'enfant vint mort ; il était fortement constitué. Des caillots de sa
EXPLICATION DES FIGURES. Fig. 1. Poumons d'un enfant nouveau-né, mort 24 heures après la naissance. Ces poumons sont
otique ; or, l'inflammation de la séreuse amniotique est une cause de mort pour le fœtus. Les causes morbides agissent bie
té dans tout son jour. ire observ. Double pleurésie, chez un enfant mort trente-six heures après sa naissance. Une femme
peu volumineux et faible; il resta languissant jusqu'au moment de sa mort qui eut lieu au bout de trente-six heures. Sur la
ut de trente-six heures. Sur la feuille de décès on mit pour cause de mort : faiblesse congéniale. Ouverture du cadavre. D
erv. Péritonite et inflammation lobulaire des poumons, chez un enfant mort trois heures après la naissance '.pointillé rouge
er sur sa valeur. 3e observation. Arachnitis spinale chez un enfant mort le cinquième jour après sa naissance. Un enfant
nt, par le sommet de la tête. Fieds dépouillés d'épiderme et livides. Mort après quelques minutes de respiration. En enlev
tus, par suite de V oblitération de V orifice de 1 artère pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissance. Un enfant na
que d'adultes, par les poumons. Il faut donc conserver la cause de mort par asphyxie des accoucheurs , mais avec cette di
és (Fig. 1, pi II, XVelivr.). Enfant nouveau-né, venu naturellement : mort au bout de quarante-huit heures. Lobules et masse
iltrés de sang et imperméables dans les trois quarts de leur étendue. Mort . Enfaut nouveau-né, venu naturellement par les fe
r les fesses^ il paraît faible, et reste faible jusqu'au moment de la mort qui eut lieu au bout de vingt heures. Les poumo
vec des phlyctènes aux pieds, aux mains et et la paupière supérieure. Mort au bout de trente-six heures. Quelques lobules jo
égèrement résolue, dans le plus grand nombre des cas. Observation . Mort par infiltration séreuse du tissu du poumon. Cet
n peu d'air; ils surnagent. Tous les autres organes étaient sains. La mort ne peut être attribuée qu'a l'état des poumons. L
eut revêtir la matière colorante du sang. Un grand nombre d'enfants morts avec des pustules syphilitiques ont succombé à de
és (4 sangsues sur les parties latérales du col) ; le 15, même état ; mort le 16\ Ouverture du cadavre, vingt-quatre heures
état ; mort le 16\ Ouverture du cadavre, vingt-quatre heures après la mort . Hépatisation rouge à la partie postérieure du
tite pseudo-membraneuse; elle s'éteignit le 25 mars 1851. Depuis sa mort , on apprit d'une manière positive, que cette enfa
lsions épileptifbrmes. Ouverture du cadavre, trente heures après la mort . État extérieur. Corps grêle, amaigri ; large e
utritifs étant interceptées en totalité ou en partie, l'enfant arrive mort ou prodigieusement affaibli. On peut dire que les
leur a paru hors de proportion avec celui du fœtus et la cause de la mort de ce dernier. Il croit aussi devoir considérer c
n suivante : Une femme accouche prématurément à huit mois d'un enfant mort . Le placenta énorme pesait deux livres moins un q
res. La conséquence de cette atrophie est le dépérissement et même la mort du fœtus. Les caractères de cette atrophie sont :
accouchée à la Maison royale de Santé, le 8 avril 1850 , d'un enfant mort depuis quinze jours environ. La surface utérine
eur; aucune douleur. Les jours suivants les symptômes vont croissant. Mort le cinquième jour. A l'ouverture, on trouve dan
langue et dents sèches. Facultés intellectuelles dans leur intégrité. Mort . A l'ouverture, plusieurs abcès dans l'épaisseu
ébite au-dessous de la saignée, même traitement; symptômes typhoïdes. Mort le huitième jour. Ouverture, huit abcès dans le f
part. Un incident occasioné par l'impatience du malade précipita sa mort de quelques jours. Depuis ma première visite, le
prolonge pendant quatre jours, au bout desquels la poitrine se prend. Mort le 5 février. A l'ouverture, foie volumineux, d
convulsifs; survient la paraplégie, puis l'immobilité générale et la mort . A l'ouverture, on trouve du pus, tantôt séreux
tle tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Dans d'autres cas, lorsque la mort a été rapide, on trouve les vaisseaux spinaux for
sault, la ligature pratiquée dans un seul cas où elle a été suivie de mort rapide, doivent également être rejetés. Le seul
, Bressoles fut fait prisonnier par des Hongrois, qui, pour venger la mort d'un de leurs camarades qu'il venait de tuer, lui
ent des coups de crosse de fusil dans le ventre et le laissèrent pour mort . Transporté dans un hôpital, il ressentit long-te
te avec rigidité des membres thoraciques et abdominaux. Immobilité. Mort par suite de pneumonie. Vibert François, âgé de
e la même manière. Pendant les cinq derniers jours qui ont précédé la mort , les accès ont été moins fréquents et l'assoupiss
és ci-dessus ont été constatés de nouveau et en détail, le jour de la mort à huit heures. L'enfant a succombé le quatre dé
u'au dernier moment. Autopsie cadavérique, dix-sept heures après la mort . Etat des membres et du tronc, comme pendant la v
nt chez le fœtus ces lésions peuvent être portées, sans occasioner la mort , à un degré d'intensité beaucoup plus considérabl
holin dit avoir trouvé à Padoue, sur le cadavre d'un homme de 49 ans, mort de rétention d'urine, deux tubercules placés de c
poraire. Symptômes de pierre et de catarrhe de vessie. Dépérissement. Mort . Pierre ayant pour noyau un caillot de sang. Perf
toujours indolent. Potion avec sulfate de quinine ; lavement camphré. Mort le soir, 9e jour de l'accouchement. Ouverture du
our de l'accouchement. Ouverture du cadavre, faite 18 heures après la mort . Abdomen volumineux. Une couche pseudo-membrane
ent remplies. Je ferai remarquer que, pendant la vie comme après la mort , aucun gonflement extérieur n'annonçait la présen
ettent que cette altération est purement chimique et postérieure à la mort . Un fait important qui ressort de cette observati
s de vomir; vomissements; pouls grêle, intermittent. Même état le 31. Mort , dans la nuit du 31 mars au 1er avril. Ouvertur
ifestèrent; le malade dépérit rapidement: fréquence extrême du pouls; mort un mois après l'invasion, A l'ouverture , on trou
e cris de désespoir, d'une sorte de lutte contre la suffocation et la mort , que la malade succomba, le 18 février, 31e jour
favorisé cette torsion du mésentère cause de l'étranglement et de la mort : la même coïncidence n'est pas en XVIIe LIVRAI
taire nitrée, teinture de digitale: l'infiltration fait des progrès ; mort le 2 avril, 19e jour de l'entrée du malade. Ouv
phénomène de paralysie. Aucun phénomène du côté des organes génitaux. Mort par suite de tubercules pulmonaires. Pasquier (
On diagnostiqua une encéphalite chronique. Peu de jours avant sa mort on s'aperçut d'une émaciation rapide. Les forces
de la sensibilité du même coté. Perte presque complète de la vision. Mort . Tubercules du cervelet et de la protubérance ann
manière d'un corps étranger. Il n'est pas extrêmement rare de voir la mort survenir par une cause étrangère aux tubercules d
érivatifs, soit cutanés , soit intestinaux, employés avec mesure : la mort est presque inévitable, et le ramollissement de l
ois , hémiplégie apparente pendant quatre mois 3 Nouvelle hémiplégie. Mort . Deux tubercules dans la pie-mère cérébrale. Ramo
sentent quatre terminaisons bien distinctes: i° la terminaison par la mort , par suite de la rupture du kyste, qui peut avoir
e, mais qu'on observe ordinairement du 3e au 4e mois. Dans ce cas, la mort est presque toujours produite par hémorrhagie : e
bservé à l'hôpital de la Maternité avec MM. Paul Dubois et Moreau, la mort a été la suite d'une péritonite chronique : le fœ
emiers temps de la conception. 3° Dans une 3e terminaison, le fœtus mort agit à la manière d'un corps étranger et provoque
ation du fœtus qui, contenu dans un kyste inerte, séjourne jusqu'à la mort de l'individu sans donner signe de sa présence.
euse , et est restée indolente et stationnaire jusqu'à l'époque de la mort à laquelle la présence du fœtus n'a pris aucune p
minua de volume, mais sans revenir à son état naturel. Son mari étant mort , elle se remaria, et bien qu'elle fût très bien r
le corps du fœtus lui-même. On conçoit d'ailleurs que l'époque de la mort du fœtus peut être , dans quelques cas, postérieu
des baies du cassis. Les fîg. 3 et 4 appartiennent à un autre sujet mort par suite d'un cancer mélanique aux grandes et au
érison de la plaie. Appa* rition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poum
ientôt, mouvement fébrile, hémoptysie, sueurs abondantes, dévoiement; mort , dans le marasme le 18 juin 1830. Ouverture du
vres. Développement des ganglions inguinaux superficiels et profonds. Mort dans le marasme. Multitude de cancers mélaniques
pé. Apparition d'une multitude de tumeurs de même nature. Epuisement. Mort . Cancer mélanique dans un grand nombre d'organes.
t purent être senties à travers les parois abdominales. Infiltration; mort . La clavicule droite présenta tous les caractères
s dans le côté gauche de la téte et de la face. Trois mois avant sa mort , ce malade voulant appliquer un coup de poing, en
de , en tombant de son lit, se fractura le bras droit. Dépérissement, mort . Ouverture du cadavre.—Deux tumeurs arrondies,
. Tout-à-coup, le g mai, prostration, face grippée, pouls misérable ; mort le 12 mai, trente-neuf jours après son entrée.
l'humérus H. Il est possible que cette fracture fût postérieure à la mort de la malade. La moelle, dans l'intervalle des
asion de rencontrer depuis. i° La première est relative au genre de mort : il est dit dans la note qui ma été remise que l
ctés de dilatation avec hypertrophie : il n'est nullement question de mort subite. Or, tous les cas de rupture du cœur que j
r que j'ai eu occasion d'observer depuis cette époque sont des cas de mort subite. Il est vrai que chez un individu déjà gra
rt subite. Il est vrai que chez un individu déjà gravement malade, la mort , inopinément survenue mais dès long-temps prévue,
inément survenue mais dès long-temps prévue, a pu en imposer pour une mort ordinaire. On conçoit en outre que de même qu'on
symptomatique de quelque tumeur fongueuse de la dure-mère, et que la mort , comme il arrive quelquefois, aurait eu lieu subi
r jusqu'alors inaperçue. A l'ouverture, je trouvai que la cause de la mort était un épanchement de xxe livraison. sang d
re oblique très étroite du côté du ventricule. Dans un autre cas de mort subite recueilli sur un homme de 78 ans, par M. P
r qui occupait du tiers au quart inférieur du ventricule gauche. La mort subite dans la rupture spontanée du cœur ne tient
jamais bien considérable, car elle ne dépasse guère 11 à 16 onces; la mort est la conséquence nécessaire de l'impossibilité
que du côté gauche, morte à la Maison royale de santé. La cause de sa mort fut une gangrène spontanée qui se déclara à la pa
ion très accélérée et suspirieuse; pouls très petit et très fréquent. Mort pendant la nuit. Ouverture du cadavre.—Abdomen.
du bras. — Marche progressive des symptômes; peinte de connaissance ; mort au bout de 48 heures; ramollissement lie-de-vin d
roulement des yeux dans leurs orbites ; teinte violacée de la face. Mort le troisième jour, à dix heures du matin, avec un
période de rigidité, la respiration et la circulation s'accélèrent. Mort à trois heures du matin, trente-six heures après
s après l'invasion. Ouverture du cadavre trente-six heures après la mort . — J'avais hésité entre un ramollissement très ét
férences de coloration primitives s'observent dans tous les cas où la mort a lieu promptement après l'invasion des accidens.
différences de coloration consécutives s'observent dans les cas où la mort n'arrive qu'après un temps plus ou moins long.
u cerveau ou apoplexie capillaire. Guérison inespérée avec idiotisme. Mort trois mois et demi après, par suite d'un ramoll
u hépatisation dans une autre partie de son étendue. Reflexions.—La mort dans ce cas doit être attribuée autant à l'altéra
20 sangsues aux jugulaires; lavement purgatif; petit lait émétisé.) — Mort la nuit suivante. Ouverture du cadavre, vingt-s
t la nuit suivante. Ouverture du cadavre, vingt-six heures après la mort .—Ramollissement en bouillie pultacée sans changem
hortensia; et la moyenne, celle qui datait de trois semaines avant la mort , est probablement représentée par le ramollisseme
nt de la cicatrice ou d'un travail d'érosion limité au vaisseau. La mort est la conséquence aussi prompte qu'inévitable de
sur l'abdomen). Le soir, la douleur semble diminuer avec les forces ; mort pendant la nuit. Ouverture du cadavre. —L'abdom
ite d'un choléra léger ; hématémèse; déjections alvines sanglantes; mort dans le marasme; cicatrice très considérable de l
à l'épigastre; digestion très laborieuse, dévoiement, dépérissement: mort . Ouverture du cadavre. — L'estomac, d'une assez
coliques épigastriques extrêmement violentes depuis 4 ans; voracité; mort par perforation de l'estomac. Cicatrice très cons
5 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
Fracture extracapsulaire du col du fémur. — Douleurs très vives. —• Mort le cinquième jour par suite d'une hémorrhagie trè
s non plus que l'hémorrhagie ait eu lieu d'une manière rapide, car la mort eût été subite, mais bien lentement, par suinteme
anche ji, xxme livraison) Fracture extracapsulaire du col du fémur; mort le quarantième jour : commencement du travail.
ment abondant, perte de l'appétit et des forces, intelligence obtuse; mort le 28 octobre, quarantième jour de l'accident.
nie et le ramollissement; car voilà les deux causes principales de la mort des vieilles femmes, la pneumonie surtout. Auss
d aux questions : narines pulvérulentes : face contractée, grippée. — Mort le Ier juin, cinq mois six jours après la fractur
bondante ; perte de l'appétit et des forces ; intelligence affaiblie. Mort le 28 octobre, 39e jour de la fracture. Ouvertu
schare au sacrum. Le 18 mai, stupeur ; le 19 respiration stertoreuse. Mort le 20 mai. Ouverture du cadavre. — Le raccourci
moelle ne fût que comprimée et non altérée dans son organisation, la mort me paraît avoir eu lieu par asphyxie, par la dimi
e la 2e avec la 3e 'vertèbre cervicale. — Compression de la moelle. — Mort . Chartier, 76 ans, entra à l'infirmerie de la S
étermina une solution de continuité. Depuis cette époque jusqu'à sa mort , qui eut lieu le 27 septembre, il ne se manifesta
e a eu deux autres enfàns, qui sont heureusement venus, mais qui sont morts dans les premiers mois de leur naissance. Les occ
a tête qui s'est présenté. Le fœtus est sorti sans secours : il était mort . Le cordon a été lié par suite de l'habitude qu'o
représente une glande parotide en suppuration, observée chez un sujet mort d'entérite folliculeuse. On voit au milieu de la
faire à une parotide essentielle. Quelques jours après, oppression et mort par asphyxie. A l'autopsie, je trouvai que la g
u une conséquence fâcheuse, la surdité presque complète d'un côté. La mort des malades affectés d'entérite folliculeuse, qui
la peau s'affaisse, le vide se remplit en partie, et, au moment de la mort de la malade , la cicatrice était presque complèt
. Deux jours après son entrée, la malade est prise d'un léger délire. Mort le 15 août. Ouverture. Intégrité parfaite de to
conjectures, car je n'ai aucun renseignement sur ce qui a précédé la mort du sujet, et il ne m'a pas été donné d'étudier l'
jours et les nuits dans l'insomnie, il conserva jusqu'au moment de sa mort qu'il prévoyait être prochaine et inévitable, le
, il est impossible d'admettre que le rétrécissement observé après la mort ait existé dans les mêmes proportions pendant tou
oint d'y exciter de l'inflammation, et par suite la suppuration et la mort . Assurément, aucun fait positif ne peut motiver u
le sujet auquel appartenait cette pièce pathologique, sinon qu'il est mort en vingt-quatre heures. J'ai déjà eu occasion d
e femme morte avec deux cancers mammaires, et qui, le jour même de sa mort , avait éprouvé une hématémèse. j'ai trouvé l'esto
bord intermittens, sont devenus ensuite permanens, et ont entraîné la mort . On conçoit que, dans le principe, la tumeur deva
symptômes observés au lit du malade, aux lésions constatées après la mort , et jusqu'à ce que de nouvelles observations soie
mens. « A partir de cette époque jusqu'au 12 novembre, époque de la mort , le malade s'est graduellement affaibli ; la stom
pagne ordinairement la rupture ne prévenait en quelque sorte, par une mort rapide, l'invasion de la péritonite. Une distinct
spéré. Douleurs abdominales, fièvre lente, vomissemens très fréquens. Mort au bout de quelques jours. A l'ouverture, nous
e trace de putréfaction , en sorte qu'il est plus que probable que sa mort était toute récente. Un cordon ombilical très v
ivait encore lavant-veille, la veille ou peut-être même le jour de la mort de la mère ; que le volume énorme du placenta, l'
e que la rupture de l'utérus s'est effectuée un mois environ avant la mort de la mère, il est positif que le fœtus a continu
néale le fœtus et ses annexes? Et si on ne l'avait pas fait, le fœtus mort n'aurait-il pas entraîné la mort de la mère ? Peu
si on ne l'avait pas fait, le fœtus mort n'aurait-il pas entraîné la mort de la mère ? Peut-on admettre que, devenu corps é
ns le bulletin de janvier 1840, 14e année. Grossesse péritonéale. — Mort au bout de dix-huit ans. « Madeleine Regnaud, f
es membranes sont douées, vitalité qu'elles conservent, même après la mort du fœtus, par suite de ces adhérences. Une croûte
ieur du côté droit est probablement antérieure de quelques jours à la mort de la mère, et le résultat de la péritonite consé
nsistance. Chute du rectum. Réduction laborieuse. Etat adynamique. — Mort . Abcès multiples dans le foie (phlébite). Un ho
n grêle, (i) (Fig. 4-) Spino, 29 ans, fut pris, trois mois avant sa mort , d'un dévoiement considérable avec coliques, pour
érablement. Il meurt pendant la nuit. Ouverture, 32 heures après la mort . Poitrine : diminution de son diamètre vertical,
is mieux vaut encore courir ces chances que d'exposer le malade à une mort inévitable par le fait de l'opération. On ne sa
der l'anneau. On retranche plusieurs anses intestinales gangrenées. — Mort . — Ouverture. Mme Bost, âgée de 45 ans, d'un gr
étroit; le pouls était petit, les extrémités froides : on craint une mort prochaine. On prescrit une potion calmante, qui e
d'évacuations alvines. Les symptômes sont de plus en plus graves. La mort arrive le 23, c'est-à-dire neuf jours après l'opé
que intérêt. Abcès très fétide a l'aine. — Guérison avec fistule. — Mort subite. — Hernie de T appendice vermiculaire. —
isser prendre le sein maternel à un enfant qu'on croyait dévoué à une mort prochaine. XXX l( LIVRAISON. 1 « Les 27 et 28
idemment prématurée. Une question importante se présente encore. La mort suit-elle nécessairement la rupture de la poche?
et des faits positifs établissent que, pour un certain nombre , la mort a précédé de plusieurs jours au moins l'accouchem
'enfant venait au monde vivant, il ne faudrait pas l'abandonner à une mort certaine, mais réduire et maintenir réduits les i
Le 6 janvier 1828, on m'a présenté le corps d'un enfant nouveau-né, mort quatre jours après sa naissance, des suites d'une
l'intestin grêle d'une couleur rouge foncé. L'enfant était évidemment mort d'étranglement ou plutôt de péritonite occasionée
e application de sangsues. Depuis le 2 jusqu'au 10 mars, jour de la mort , les accidens continuent avec une intensité gradu
usqu'à dix heures du soir. Ouverture du cadavre, 18 heures après la mort . L'abdomen ouvert, les intestins présentent une c
ppris depuis que le malade, qui avait survécu plusieurs années, était mort d'une maladie étrangère aux conséquences de l'ilé
un mois. 4° Sur dix-neuf cas qui ont eu une terminaison funeste, la mort a paru onze fois la (1) Edinburgh médical and s
exhale une odeur gangreneuse et présente un volume beaucoup moindre. Mort le quatrième jour de l'invasion de ces accidens e
ation ou l'élimination du cylindre moyen et du cylindre interne. La mort dans l'invagination peut avoir lieu de plusieurs
prise d'un tremblement considérable quelques instans avant la visite. Mort à onze heures du matin. La sensation d'emphysèm
quelles innombrables altérations le corps de l'homme est conduit à la mort , existe une anatomie pathologique de restauration
erceptant mécaniquement le passage des matières, devient une cause de mort . i° La perforation du canal intestinal est un d
p surviennent les symptômes d'une péritonite suraiguë qui entraîne la mort en quelques heures. Il suffit quelquefois d'un se
ables que ceux qui entourent l'estomac, on ne sera pas surpris que la mort par hémorrhagie soit plus rare dans les ulcères a
'est qu'il existait chez des individus qui, quelques jours avant leur mort , jouissaient de la meilleure santé, et dont les f
à la Maternité, j'ai eu occasion de voir sur les corps de deux femmes mortes de péritonite puerpérale très aiguë, des cicatric
raves; il en est qui demandent des alimens quelques heures avant leur mort . Je me contentai de cataplasmes émolliens sur les
les vaisseaux lymphatiques ne peut pas être considérée comme cause de mort . Un grand nombre de faits m'autorisent à considér
if, des synapismes aux pieds. J'étais bien loin de m'attendre à une mort aussi prochaine. Elle eut lieu pendant la nuit ap
t de cette observation. Sur le corps d'un enfant de cinq à six ans, mort d'une maladie qui paraissait avoir été très aiguë
tion à remplir, celle de fortifier le malade pour le soustraire à une mort imminente par adynamie. Je prescris une potion av
limonade vineuse pour boisson. La parotide continue à se développer. Mort dans la prostration la plus complète qu'il soit p
a fig. 2 représente la fin du gros intestin appartenant à un individu mort avec tous les symptômes de la dysenterie aiguë ;
tc. La figure i représente la fin de l'intestin grêle d'un individu mort du choléra, pendant la période de réaction, le 21
orte chimiquement combinée avec le tissu. Cette imbibition suppose la mort : elle est incompatible avec la vie. Ainsi, pendan
te : ce sont ses produits. La muqueuse ne peut se teindre qu'après la mort . L'imbibition, propriété toute physique, ne peut
L'imbibition, propriété toute physique, ne peut s'exercer qu'après la mort locale ou la mort générale. C'est ainsi que, sur
riété toute physique, ne peut s'exercer qu'après la mort locale ou la mort générale. C'est ainsi que, sur le cadavre, la bil
La figure 2 représente la fin de l'intestin grêle d'un jeune enfant mort de je ne sais quelle maladie. Il y avait du sang
igure 3 est une portion d'intestin grêle qui appartient à un individu mort de la petite-vérole, à l'hôpital Cochin, en septe
s, mieux notable, qui paraît se maintenir jusqu'au dernier moment. La mort , qui eut lieu le huitième jour de l'entrée du mal
iacées , décoction de quinquina , demi-lavemens chlorurés et opiacés. Mort le 11. Ouverture du cadavre. Altération du gros
s'en tenir aux potages gras. Langueur, dépérissement, prostration. Mort le 19 novembre, le quarante-sixième jour de l'ent
valvulaires par la matière colorante de la bile ait eu lieu après la mort . Les plis muqueux présentent d'ailleurs une multi
a liqueur de Van-Swiéten. Pendant les huit jours qui précédèrent sa mort , la malade fut prise de fièvre vive, de toux, d'o
étrécissement de cet intestin, pris pour un cancer de cet organe. — Mort avec les symptômes de l'étranglement. Femme Rog
moindre mouvement, soif vive d'eau froide, symptômes d'étranglement; mort . A l'ouverture, point d'affection cancéreuse du
injecté sort par le vagin et par les pertuis du pourtour de l'anus : mort par épuisement. Ouverture du cadavre. — Communi
fécales. — Hématurie. — Symptôme d'un calcul vésical ou dun fongus.— Mort .— Cancer du rectum qui s est propagé jusqu'à la v
omen très douloureux à la pression; respiration courte; léger délire. Mort pendant la nuit. Pour tout traitement, on s'éta
ntion des gaz et des matières fécales est un phénomène assez rare. La mort arrive le plus souvent par le seul fait de cette
ous avons vu, à l'occasion de l'ulcère chronique de l'estomac, que la mort pouvait être le résultat de la guérison de cet ul
ves. Depuis le mois de juin jusqu'au 19 novembre 1837, époque de sa mort , les accidens vont graduellement en augmentant :
s qui s'écoulèrent depuis le moment de son entrée jusqu'à celui de sa mort , cette jeune fille présenta tous les caractères d
on chronique; épuisement par une suppuration excessivement abondante; mort accélérée par une pleurésie latente; fièvre de co
la partie inférieure de cet intestin.— Incontinence des matières. — Mort par phthisie pulmonaire. Femme Gruson (Victoire
t indécis s'il devait continuer ou non l'opération; mais l'idée de la mort inévitable de la malade, s'il l'abandonnait, l'eû
e.—Glaires sanguinolentes par l'anus. — Grossesse. —Accouchement. — Mort . ( Fig. 2 , Pl. 1. ) Madame Martin, 3o ans, d'u
ps, et même au col. La malade fut saignée sept fois, et l'enfant vint mort au terme de sept mois. Au moment de ma visite,
e fus assez heureux pour triompher de cette difficulté; l'enfant vint mort , au terme de sept à huit mois. La malade, réduite
Les fig. 2 et 2' appartiennent à un blessé de février 1882, également mort à la suite de foyers purulens du foie et des poum
catégorie. La fig. 3 appartient à un phthisique de dix à douze ans, mort avec des tubercules dans les poumons, dans les ga
es fig. 4 et 4' représentent la rate d'un jeune enfant de quatre ans, mort phthisique avec dégénération tuberculeuse des gan
me ville: elle a été recueillie sur un homme âgé de quarante-six ans, mort dans le service de M. Séné, professeur de patholo
ômes qu'il offrit pendant le mois qui s'écoula entre son entrée et sa mort . (1) Voyez article Acéphalocyste du Dictionnair
iation, sueurs colliquatives, fièvre hectique, infiltration générale, mort sans douleur bien prononcée et avec l'intégrité d
elà rate a dû être tout-à-fait étranger aux accidens qui ont amené la mort . La transformation qu'il avait subie peut être co
la remplissait en partie. Les accidens qui ont précédé et amené la mort sont exclusivement dus au travail qui s'était emp
es cas d'infection cancéreuse : ainsi j'ai rarement ouvert des femmes mortes à la suite de cancers mammaires opérés ou non opé
r hasard à l'autopsie d'un individu âgé de quarante-cinq ans environ, mort dans le service de mon collègue a l'hôpital de la
latent pendant un temps plus ou moins long, et quelquefois jusqu'à la mort ; dans quels autres cas ils se manifestent par des
altération suivante, trouvée sur le corps d'un enfant de douze jours, mort œdémateux et ictérique. Les intestins adhéraient
seul tubercule dans le foie. Cancer mammaire terminé par gangrène. — Mort par épuisement.— Tumeurs cancéreuses très multipl
e reste plus que quelques débris de la mamelle dégénérée. Epuisement; mort . Ouverture du cadavre. — Au côte externe de la
ation ; dégénérescence de la cicatrice et des muscles intercostaux. — Mort . — Cancer du foie; quelques indurations circonscr
nchemens affectueux. Chaleur à la peau. Le pouls est moins misérable. Mort pendant la nuit. Ouverture. Je m'attendais à tr
ent du pus de la vésicule dans le péritoine, péritonite circonscrite, mort avec une rapidité telle que l'épanchement de bile
alors la bile s'épanchant brusquement dans la cavité du péritoine, la mort a lieu avec une extrême rapidité, à la manière de
t à donner des caïmans. La malade conserve sa connaissance jusqu'à sa mort , qui eut lieu le 3 juillet, cinquante-cinq jours
hénomène du côté du cerveau ; seulement, le 2, juillet, veille cle sa mort , la malade ne répondit pas à mes questions, et je
sensible à cette opération, laquelle n'exerça aucune influence sur sa mort , qui eut lieu trois jours après, le 5 juillet.
jours après, le 5 juillet. Ouverture du cadavre, 18 heures après la mort .—Putréfaction très avancée. Le foie (xxnelivr., p
la phlébite de la veine jugulaire ait exercé quelque influence sur la mort ; car le pus, en partie concret, en partie liquide
tes, ce qui a donné l'idée que cette dégénération avait lieu après la mort . Réflexions. L'intoxication du sang, qu'on ne s
icules pulmonaires et intercepte complètement le passage de l'air. La mort par asphyxie est la suite inévitable de cet engou
s la filière que présentait l'étroite perforation de la trachée. La mort dans un accès de suffocation s'explique par l'obs
dues, puisque la totalité des deux poumons peut être envahie sans que mort s'en suive. J'ai rencontré plusieurs fois la pneu
meurent, dit-on , subitement dans leurs dortoirs , et ces prétendues morts subites ne sont autre chose que des pneumonies la
e de voir ce genre de maladie est tout étonné de trouver agonisant ou mort un vieillard sur le compte duquel il n'avait la v
vie, d'augmenter la force de résistance; car, dans les pneumonies, la mort survient rarement par asphyxie proprement dite. I
équente, suspirieuse sans être râleuse ; déglutition très difficile ; mort deux heures après la visite. autopsie. — Une pe
nature du tissu pulmonaire qu'à l'importance de ses fonctions; que la mort survient généralement avant que le pus ait eu le
es lentes ou rapides,mais certaines, le corps humain est conduit à la mort ; dans un très grand nombre de cas, ils appartienn
aucune inquiétude sérieuse à un état de stupeur, de prostration et de mort , comme un animal dans les veines duquel on vient
phlébite pulmonaire, consécutive à la phlébite du membre inférieur.. Mort par asphyxie pendant la nuit. A l'ouverture du
lacée dans ses deux tiers inférieurs. Le pouls radial est insensible. Mort pendant la nuit. Ouverture du corps le 29. — Ca
perte de connaissance, insensibilité complète, râle, pouls filiforme, mort . Ouverture du corps. — Artère fémorale libre da
dans l'artère fémorale de plusieurs chiens : quelques instans après, mort du membre, manifestée par la paralysie immédiate
j'en fis l'amputation au-dessous du cercle de séparation des parties mortes d'avec les parties « vivantes, et j'ai vu que les
ur; deux heures après, il salivait très abondamment. Cet animal est mort le 24 juillet, avec une gangrène sèche du pied et
cours du sang est subite, dans une certaine longueur du vaisseau, la mort du membre est inévitable. J'ai fait une expérienc
mbre 1826 que j'ai fait l'expérience : le 11 septembre l'animal était mort avec une gangrène du membre inférieur. L'artéri
lammation, mais d'une sorte de lutte qui s'établit entre la vie et la mort dans les parties privées de leurs matériaux de nu
tion de la gangrène, et qui peut être considérée comme la cause de la mort , au moins chez quelques sujets, m'a été expliquée
n, lorsqu'il y avait interception partielle, lutte entre la vie et la mort , si je puis m'exprimer ainsi, les douleurs étaien
ammation soit consécutive à l'altération de la membrane moyenne. La mort n'est pas une conséquence nécessaire de la gangrè
mportant de déterminer si, dans la gangrène spontanée, la cause de la mort est plus ou moins souvent dans la lésion consécut
us que par les os au reste du corps; la séparation entre le vif et le mort s'étant établie, la cicatrice des parties mortes
ion entre le vif et le mort s'étant établie, la cicatrice des parties mortes se fit parfaitement, et ce ne fut qu'alors qu'un
ins douloureux, l'inflammation artérielle adhésive a pour résultat la mort des parties, lorsqu'elle envahit les artères capi
ent à la quantité de liquides contenue dans le membre au moment de la mort locale. Cinquième observation. — Gangrène spont
es membres; insensibilité générale. Respiration fréquente, sans râle. Mort dans la journée. Ouverture du cadavre. — Double
u membre. Le mot de gangrène ne s'applique pas parfaitement à cette mort qui ne s'accompagne d'aucun phénomène de décompos
ce cas la rapidité extrême de la dessiccation des parties frappées de mort . On conçoit que, d'une part, les artères ne porta
dorsale. Deux vertèbres ont été profondément corrodées. Le malade est mort d'hémorrhagie par rupture de la poche. L'aorte re
nn diagnostique une apoplexie pulmonaire et une hypertrophie du cœur. Mort par asphyxie à 6 heures du soir. Ouverture du c
et donnent une impulsion très faible; et cependant, dans cet état de mort , l'impulsion est encore très forte en bas, en ava
de compression de la moelle ne se sont manifestés que la veille de la mort . Les extrémités postérieures des côtes ont partic
Ces caillots de sang, qui ne se sont probablement formés qu'après la mort , attestent qu'il se faisait, pendant la Vie, une
te brusquement, et non lentement, et comme par degrés insensibles, la mort par asphyxie aurait été inévitable. J'ai beaucoup
de la vie; car la paraplégie ne s'est manifestée que la veille de la mort . Cependant je suis fondé à penser que , lors même
bles a la région postérieure du thorax. — Paraplégie. — Hémoptisie. — Mort subite par apoplexie pulmonaire. Amoux, 56 ans,
ence de sensibilité tactile, en disant que ses membres sont froids et morts . La sensation du froid n'est pas d'ailleurs la se
fut point ainsi, l'hémoptysie persista à un degré très modéré, et la mort n'eut lieu que le 8 février. Ouverture du corps
e à gauche. Les jours suivans, anxiété et délire ; parotide à droite. Mort le 3o septembre à quatre heures du matin. Ouver
r. — Adhérence du péricarde. — Infiltration générale. — Dévoiement. — Mort dans un état demi asphyxique. Delaunay, i5 ans,
a pas à avoir lieu, car un râle léger est déjà survenu ; et en effet, mort par asphyxie le soir même. Ouverture du cadavre
présente une sorte de combinaison de son tissu avec la sérosité. La mort par les poumons, dans la dilatation du cœur, s'ex
ctuel parfait : la malade ne me demande, dit-elle,que deux choses, la mort et du vin, ce qui rappelle le mot fameux des Roma
on humide. Je diagnostique une pneumonie œdémateuse, et je prévois la mort par suffocation : en effet, cyanose, infiltration
et à toute la face; oppression extrême : la malade ne peut respirer. Mort par suffocation ; intelligence jusqu'au dernier m
e cas suivant, l'œdème du poumon a été bien évidemment la cause de la mort . Dilatation très considérable de toutes les cav
échappe plusieurs fois. — Etat cyanique et de réfrigération algide. — Mort par œdème du poumon. Delaure, 4o ans, est entré
aux moyens qui m'avaient déjà si bien réussi. J'espérai en vain : la mort par asphyxie eut lieu pendant la nuit. Ouvertur
ocrement comprimé s'écrase entre les doigts. Dans le cas suivant de mort subite par rupture du cœur, la fragilité et le ch
uleur dans le tissu de l'organe étaient on ne peut plus manifestes. Mort subite par rupture du cœur.-—¦ Fragilité et color
rtion altérée du cœur n'ont pas démontré la présence de la graisse. Mort par rupture du sommet du ventricule gauche du cœu
e. On conçoit que la rupture de cette tumeur aurait pu déterminer une mort ou subite ou lente, suivant la rapidité de l'hémo
he cartilagineuse et osseuse naissant du bord gauche de cet organe. — Mort pendant un accès d'asthme. ( i ) M. N., âgé de
est plus le même homme : il devient pusillanime; il se croit frappé à mort , et repousse toute espèce de distraction. Le jour
avec œdème du poumon; dans un cas, je l'ai vue amener directement la mort en jetant le malade dans un état syncopal dont il
pture longue d'un pouce et demi, dont les bords étaient frangés. La mort , dans la rupture du cœur, n'est évidemment pas du
tution athlétique, qui mourut subitement à côté de sa femme; genre de mort , dit Bohn, tellement rare, qu'à peine la main exe
d'ailleurs avec un état de santé très satisfaisant et a occasioné une mort subite, au moment de la santé la plus florissante
d'anatomie pathologique qu'il a fallu approfondir, c'est une cause de mort subite à connaître. Quant aux faits décrits par
cours de la maladie, dans les derniers momens de la vie, ou après la mort ; e. le pus est le produit d'une inflammation de l
lyse spontanée qui aurait eu lieu, soit pendant la vie, soit après la mort ; mais comment admettre, pendant la vie. une anal
? Comment cette analyse spontanée, soit pendant la vie, soit après la mort , aurait-elle pour résultat un liquide qui ne se t
es individus qui n'ont éprouvé d'accidens que peu de temps avant leur mort , et d'ailleurs on conçoit qu'un rétrécissement co
tait un cœur malade, je pose en fait que les trois quarts des malades morts de maladies aiguës ou chroniques sans longue agon
continuelle d'asphyxie; engourdissement, assoupissement asphyxique , mort par asphyxie ou rapide ou graduelle. A l'ouvert
de la poitrine. Vomissemens pendant les quinze jours qui précèdent sa mort , anasarque de plus en plus considérable, mort par
jours qui précèdent sa mort, anasarque de plus en plus considérable, mort par asphyxie. Ouverture.—Dilatation énorme des
ement à la circulation. Depuis le i" janvier jusqu'au 8, jour de sa mort , accroissement graduel des symptômes. Rien n'égal
n n'égale l'angoisse de cette malade, qui appelle à chaque instant la mort . La respiration n'est pas très fréquente, et cepe
a société anatomique la veine cave supérieure d'un individu qui était mort avec les symptômes accoutumés du cancer de l'esto
lable doit entraîner dans la circulation veineuse. Chez un individu mort avec une dégénération cancéreuse des muscles et d
apathie, sa mauvaise volonté tenaient à la maladie organique, que sa mort a permis de découvrir. Tous les jours, dans les m
sible à la pression ; orthopnée, immobilité, sueurs, pouls misérable. Mort dans la nuit du 27 au 28 juin. Le malade a conser
En quelques heures, l'œdème simple peut se produire et occasioner la mort par asphyxie. Cet œdème était, dans plusieurs cas
s douleur, mais avec une extrême rapidité. La cause de la plupart des morts subites à la Salpétrière n'est autre chose que la
gence est restée parfaite jusqu'au dernier moment: désir ardent de la mort , comme le seul terme à ses souffrances. Point d
nt d'ailleurs aucune inquiétude pour l'avenir. q à 10 mois avant sa mort , surviennent des phénomènes nouveaux qui attesten
les symptômes observés pendant la vie par la lésion trouvée après la mort , nous verrons que tous se rallient autour de la c
de la face postérieure du rocher droit. — Amaurose et céphalalgie. — Mort subite. — Tumeur polypiforme de la narine droite
ultueux, puis se ralentissent pour s'éteindre ensuite complètement La mort par asphyxie est consommée : cette scène a duré d
s sont aussi les caractères de l'atrophie de la moelle épinière. La mort subite arrive très fréquemment à la suite de semb
acultés intellectuelles. — Affaiblissement général de la myolilité. — Mort dans un état d'adynamie. ( i ) Une femme de 55
rouge; sueurs nocturnes, dépérissement, la respiration s'embarrasse. Mort à la fin de janvier i835. Ouverture du cadavre.
uvent être examinées que de vingt-quatre à trente-six heures après la mort , la facilité des contusions de la moelle, par sui
Paraplégie avecflexion et rigidité permanente des membres inférieurs.— Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneus
mique. Pouls faible d'abord, puis imperceptible ; langue fuligineuse. Mort le i(i octobre i83a. Ouverture du cadavre le 18
anatomique, le 5 décembre i833, et qui avait appartenu à un vieillard mort de paraplégie avec contraction. Chez ce sujet, la
fréquens, qu'il serait sans intérêt d'en rapporter des exemples. Une mort plus ou moins rapide en est la conséquence ordina
Paraplégie douloureuse par dégénération cancéreuse d'une vertèbre. — Mort de pneumonie. Chevallier (Elisabeth-Adélaïde),
endant huit à dix jours, la malade nous parut être entre la vie et la mort . La respiration était gênée, l'inspiration profon
e même état que celle des pieds. La malade dit que le petit doigt est mort . La lenteur de la perception est la même aux doig
n de la moelle.—Epaississement et densité de V arachnoïde cérébrale.— Mort de pneumonie. Martinaud, âgée de 60 ans , est e
velet. La malade avait sa parfaite connaissance quatre jours avant sa mort . L'assoupissement a débuté avec la pneumonie. P
e incomplète du membre supérieur gauche. — Induration de la moelle. — Mort par ramollissement rouge amarante des circonvolut
s du (t) Observation recueillie par M. Olivieri, mon élève interne, mort depuis du choléra à Marseille. XXXIIe LIVRAISON.
a malade s'affaiblit graduellement: sa toux augmente avec la dyspnée; mort le 10 mars, vingt-cinq jours après son entrée.
oi j'exposerai les symptômes qu'elle a offerts depuis i832 jusqu'à sa mort , en i835. Commémoratifs. Au début, en 1818 , en
mées sans douleur, ont amené un dépérissement rapide. La veille de sa mort , la malade tomba dans l'assoupissement. Ouvertu
is pendant les deux ans qui s'écoulèrent depuis son entrée jusqu'à sa mort . Elle s'obstina à rester dans sa division (Gâteus
se plaignait d'avoir la vue très affaiblie. Cinq, six mois avant sa mort , dépérissement notable, fièvre, respiration fréqu
ajourne à un autre moment le parallèle des lésions observées après la mort et des symptômes observés pendant la vie. Parap
saines, et de plusieurs acéphalocystes encore intactes. D'où vient la mort (qu'on me passe cette expression) des acéphalocys
a moelle épinière. — Suppuration de la synoviale sous-deltdidienne. — Mort par pleurésie. Paget (Joséphine), âgée de 38 an
ur depuis la première enfance. — Dégénération grise de la moelle. — Mort par suite d'un cancer utérin. Mademoiselle Loui
s misérable, angoisse, étouffement,faiblesse, tiraillement d'estomac. Mort le cinquième jour de l'invasion de ces accidens.
t le dévoiement. Du reste, depuis son entrée en novembre jusqu'à sa mort en décembre, aucune amélioration dans la paralysi
ement par la forte compression dont la moelle avait été l'objet. La mort de la malade aurait été amenée par des eschares s
nte des maladies chroniques, n'était venue précipiter le moment de sa mort . Je n'ai jamais noté dans les autres faits que
nte. Maladie de la colonne vertébrale. — Compression de la moelle. — Mort par VouveHure du foyer purulent qui entourait les
ité à gauche. Le 23 et le 24, délire, fréquence excessive du pouls, mort pendant la nuit du 24 au 26. Ouverture. Au-deva
es renseignemens sur l'individu qui en fait le sujet, sinon qu'il est mort en moins d'une heure, avec tous les symptômes d'u
poplexie de la protubérance avec d'autres lésions qui ont entraîné la mort que j'ai pu les observer. Enfin, d'autres fois, l
ule cérébral droit et de la moitié correspondante de la protubérance. Mort le jour. ( i ) Françoise Paulin, 71 ans, était
à droite; impossibilité d'articuler les sons ; intelligence parfaite. Mort au bout de six ans ou environ, par suite d'une ma
'hémiplégie dont les caractères n'ont pas varié jusqu'au moment de sa mort ; il nous a été impossible de connaître l'époque p
etit et fréquent; dépérissement rapide; état obtus de l'intelligence. Mort le 3 juin. Ouverture du cadavre, 24heures après
telligence. Mort le 3 juin. Ouverture du cadavre, 24heures après la mort .— Téte. Voûte du crâne très épaisse et d'un tissu
é complète d'articuler les sons et conservation de l'intelligence, la mort ayant eu lieu au bout de huit jours, par suite d'
sentiment et du mouvement, l'abolition complète de l'intelligence, la mort rapide, qui sont la conséquence des foyers sangui
s l'épaisseur de la couche optique gauche. Enfin, la rapidité de la mort n'appartient pas en propre à l'apoplexie de la pr
aux parens que tôt ou tard ils seraient exposés à trouver leur enfant mort ; et c'était à ma sollicitatiou que plusieurs dome
ns convulsifs épileptiformes, plus ou moins promp-tement suivis de la mort . La figure 2 représente l'hémisphère gauche d'u
ment. Vers quatre heures du matin, invasion d'une nouvelle attaque; mort à six heures. A l'autopsie, on trouve les veine
occasioner des convulsions, des attaques d'épilepsie, et entraîner la mort par suite d'une lésion des méninges ou de la subs
espiration. Traitement : Petite saignée, teinture d'aloès, un gros. — Mort dans la nuit. Ouverture du cadavre. 11 y avait
nt être éclaircis : i° l'altération de l'encéphale qui avait causé la mort ; 20 la péritonite deux fois vaincue. Le cordon r
rs saine: elle s'afflige de sa position et nous dit qu'elle désire la mort . Le 20, résolution complète des membres paralys
filiforme. La malade paraît insensible aux pincemens les plus forts. Mort le 24. Ouverture du corps. Dans la cavité de l'
s, savoir, que dans tous les cas de microcéphalie par épanchement, la mort a lieu au moment de la naissance, tandis que les
fait. M. Barbie du Bocage, jeune médecin des plus grandes espérances, mort victime de son zèle, présenta à la société anatom
u tissu cellulaire. Quelques-uns des cysticerques enkystés m'ont paru morts depuis un temps plus ou moins long; car j'ai trou
ida. La figure 4 représente un spina bifida, observé chez un enfant mort peu de jours après sa naissance. Bien que je n'ai
s de cette tumeur, dont la rupture entraîne presque inévitablement la mort . Si on pouvait prévenir la rupture de la poche,
deux jours après ma visite, sensibilité excessive de tout le corps ; mort au bout de vingt-quatre heures. Ouverture. M. F
dienne , aucune autre lésion ne pouvant expliquer les symptômes et la mort . La dissection de la tumeur a été faite avec beau
nkysté. Plus tard encore , à l'invasion des accidens qui ont amené la mort , ramollissement blanc-manger de la portion du cer
uches. Céphalalgie limitée a la tempe et à la région sus-orbitaire. — Mort au bout de trente-deux jours. Deux abcès enkystés
ode date des mouvemens convulsifs qui ont eu lieu deux jours avant la mort , laquelle a été brusque, sans agonie. Si l'on v
ques auteurs, et que j'ai vu plusieurs fois considérer comme cause de mort dans les autopsies, n'est autre chose qu'un phéno
Une femme de la Salpétrière mourut d'une pneumonie. La veille de sa mort , elle rendait parfaitement compte de son état, et
ce de deux foyers apoplectiques cérébraux, occupant la même région. — Mort par engouement du poumon. Femme Bode,âgéede cin
raît ne pas entendre. Flaccidité des membres; déglutition impossible. Mort le 3 janvier. Ouverture. — Cerveau. Il existait
marques de sensibilité qu'à la suite d'un pincement fort et prolongé. Mort le soir. Ouverture. Cerveau. Circonvolutions am
ffet l'écoulement par l'urètre d'une assez grande quantité de pus. La mort eut lieu le i4 novembre. Ouverture du cadavre.
ercussion de l'hypogastre donne un son intestinal. Frisson, hoquets ; mort . Ouverture du cadavre.— Vessie peu développée,
s large que le fond. Fig. 2. Ecchymoses de la vessie chez un enfant mort à la suite de la petite-vérole. La ligure 2 rep
sente une vessie qui a appartenu à un jeune enfant de cinq à six ans, mort dans la période d'éruption de la petite-vérole. O
té observé dans le service deDupuytren chez un jeune homme de 15 ans, mort deux mois après l'invasion d'une maladie de l'art
oute à travers le corps caverneux. — Abcès gangreneux. — Pneumonie. Mort , (i) Rétention d'urine, cathétérisme forcé, abc
sme forcé, abcès gangreneux dans les bourses et au périnée, incision, mort . A l'ouverture, on trouve une fausse route: l'ins
s. Tentatives infructueuses du cathétérisme avec des sondes coniques. Mort . Voici ce que j'ai constaté : Au niveau du bulbe
décida à la trachéotomie que quarante-huit heures après l'invasion ; mort une heure après l'opération. A l'ouverture, obt
n n'est plus fréquent que de voir, au bas-fond de la vessie de femmes mortes de cancer utérin, une multitude de vésicules ou b
représentent la prostate et la vessie d'un vieillard, âgé de 81 ans, mort de cancer de l'esto-mac.La figure 2' représente l
méfaction considérable et douloureuse de la région lombaire droite. — Mort en quelques heures dans un état comateux.—Calcul
il profond. La respiration devient de plus en plus forte et bruyante. Mort à deux heures et demie du matin. Ouverture du c
ssible. La respiration devient de plus en plus bruyante, stertoreuse. Mort au bout de deux heures. On n'a pas voulu me perme
ymptômes de compression générale du cerveau, est bientôt suivie de la mort . i° Relativement à la transformation du rein en
Les urines sanglantes sont expulsées avec douleur vive ; épuisement. Mort le if\ novembre. Ouverture du cadavre. Une tume
ales; soupçon de communication du rein droit avec le colon ascendant. Mort . A l'ouverture, communication du colon avec la po
donc de caïmans et de dépuratifs, dont le malade fit usage jusqu'à sa mort , qui arriva deux mois et demi après son entrée à
mamelle droite. Je fus appelé en consultation quelques jours avant la mort et je fus prié de faire l'examen du cadavre. Tous
t prise d'un érysipèle avec fièvre qui s'étendit au loin. Oppression. Mort le 6 décembre. A l'ouverture, je trouvai une pl
dans l'épaisseur de la cicatrice.—Envahissement delà mamelle droite.— Mort par épanchement pleurétique.—Plaques cireuses de
issement à la manière des individus affectés de phlegmasie chronique. Mort le 8 octobre, cinq mois environ après l'invasion
ur très vive à la région du foie , oppression, toux très douloureuse. Mort le 8 janvier. Ouverture du cadavre. Toute la ré
séreux continuel succèdent des pertes de sang ; dépérissement rapide. Mort le 8 décembre. Ouverture du cadavre. — Cerveau.
te en blanc qui n'a pas discontinué depuis. Trois semaines avant sa mort , le 4 septembre i834, deuxième hémorrhagie, et à
angreneux d'une horrible fétidité. Du 4 au 23 septembre, jour de la mort , dépérissement porté au plus haut degré, persista
grène primitive. — Destruction de l'utérus par couches successives. — Mort lente. Sur une femme réputée cancéreuse, qui mo
domen n'est pas météorisé, néanmoins, je diagnostique une péritonite. Mort dans les quarante-huit heures. A l'ouverture, p
te, douleurs abdominales, marasme, décomposition profonde des traits. Mort le 12 février i834- Ouverture du cadavre. — Pér
e de positif à cet égard que, dans mes nombreuses autopsies de femmes mortes d'un cancer utérin, j'ai examiné avec soin le sys
aucune altération, encore moins aucune trace de putréfaction, et sa mort avait dû précéder de bien peu de temps, peut-être
précéder de bien peu de temps, peut-être même de quelques heures, la mort de la mère: on conçoit qu'une péritonite suraiguë
re considération non moins importante se déduirait de la vie ou de la mort du fœtus: ainsi autre chose serait pour le périto
serait pour le péritoine un fœtus vivant, autre chose serait un fœtus mort . J'ai été consulté il y a sept à huit ans, par un
inerte au centre duquel se trouve un fœtus momifié, (i) 5° Le fœtus mort agit à la manière d'un corps étranger, et provoqu
l'enfant était flasque et sans battemens : l'enfant était évidemment mort . Ce ne fut pas sans difficulté que M. Jolly par
ou de la ligature, une séparation dont le résultat probable serait la mort des deux jumeaux. Le fait de Konig, ayant pour ti
mois d'avril, époque où elle éprouva un saisissement occasioné par la mort imprévue de son frère. Depuis cette époque , dit-
et l'hémorrhagie considérable qui en a été la suite, ont accéléré la mort . Au reste, les ascites hémorrhagiques appartien
ur étendue, et c'est à cet œdème subitement survenu que j'attribue la mort . L'infirmière de nuit m'a affirmé avoir entendu l
u lobe moyen de la prostate. — Ecchymoses de la vessie chez un enfant mort à la suite de calculs prostatiques. — Phlébite vé
gauches. Céphalalgie limitée à la tempe et à la région sus-orbitaire. Mort au bout de trente-deux jours. 33e liv., pl. m, p.
6. ANASARQUE. 3e liv., pl. v, p. . — Phlegmon sous-cutané, cause de mort dans l'anasarque. 3e liv., pl. v, p. 4. — Causes
, d'hydro-thorax et de purpura hemorrhagieum chez un fœtus de 7 mois, mort 12 heures après la naissance. 15e liv., pi -11, p
tus, par suite de l'oblitération de l'orifice de l'artère pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissance. 15e liv., pl.
oche cartilagineuse et osseuse naissant du bord gauche de cet organe. Mort pendant un accès d'asthme. 22e liv., pl. m,p. 4.
préciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite par apoplexie pulmonaire. 40e liv., pl. n,
préciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite par apoplexie pulmonaire. 40e liv., pl. n,
ventricule gauche. 22e liv., pl. ni,p. /.—Apoplexie du cœur suivie de mort par rupture du sommet du ventricule gauche. 22e l
ce au moment de l'attaque; stupeur; émission involontaire des urines. Mort le cinquième jour. = Apoplexie de la couche optiq
égie incomplète avec rigidité du côté gauche ; léger délire ; fièvre. Mort le vingt-cinquième jour par suite d'un phlegmon d
al. Hémiplégie complète, délire et mouvemens convulsifs du côté sain. Mort le cinquième jour. 5e liv., pl. vi, p. 4. — Apopl
se dans les ventricules. 5e liv., pl. vi, p. o~. — Hémiplégie gauche. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux
guérison. Fluxion séreuse considérable dans les ventricules, cause de mort . 5e liv., pl. vi, p. 5. — Apoplexie du placenta.
rsion. r= Enfant mort-né par apoplexie, venu par les fesses. = Enfant mort par apoplexie une heure après la naissance. = Enf
ant mort par apoplexie une heure après la naissance. = Enfant à terme mort par suite de l'issue du cordon. — Hydrocéphale mo
ule cérébral droit et de la moitié correspondante de la protubérance. Mort le quatrième jour. = Hémiplégie complète du mouve
à droite; impossibilité d'articuler les sons; intelligence parfaite. Mort au bout de six ans ou environ par suite d'une mal
aire. 8e liv., pl. iv., p. 2 bis. — Arachnilis spinale chez un enfant mort le cinquième jour après la naissance. 15e liv., p
. La formation du caillot est-elle indépendante de l'inflammation. La mort n'est pas une conséquence nécessaire de la gangrè
préciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite par apoplexie pulmonaire. 40e liv., pl. n,
uart droit de l'estomac, méconnu pendant la vie. Hydropisie générale. Mort par suffocation. 10e liv., pl. ni et iv, p. 4. —
Observations. C jliques hépatiques ; tristesse ; anorexie ; marasme ; mort . Cancer au foie par masses disséminées (variété d
omissemens ; le foie ne déborde les côtes que quarante jours avant la mort . Cancer par masses disséminées du foie (variété m
Guérison de la plaie. Apparition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poum
vres. Développement des ganglions inguinaux superficiels et profonds. Mort dans le marasme. Multitude de cancers mélaniques
pé. Apparition d'une multitude de tumeurs de même nature. Epuisement. Mort . Cancer mélanique dans un grand nombre d'organes.
exions sur cette observation. = Cancer mammaire terminé par gangrène. Mort par épuisement. Tumeurs cancéreuses très multipli
irpation. Dégénérescence de la cicatrice et des muscles intercostaux. Mort . Cancer du foie. Quelques indurations circonscrit
ec rétrécissement de cet intestin, pris pour un cancer de cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. — Inflammat
res fécales. Hématurie. Symptômes d'un calcul vésical ou d'un fongus. Mort . Cancer du rectum qui s'est propagé jusqu'à la ve
dans l'épaisseur de la cicatrice. Envahissement de la mamelle droite. Mort par épanche-ment pleurélique. Plaques cireuses de
Té-nesme, Glaires sanguinolentes par l'anus. Grossesse. Accouchement. Mort . 33e liv., pl. 1, p. 7. — Cancer aréolaire gélati
al. Hémiplégie complète, délire et mouvemens convulsifs du côté sain. Mort le cinquième jour.— Le cerveau supporte presque i
, pl. 1, 11, m, p. 3, 7; 16e liv., pl. iv, p. 3. — Hémiplégie gauche. Mort le trente-cinquième jour. Foyer apoplectique aux
ué-rison. Fluxion séreuse considérable dans les ventricules, cause de mort . 5e liv., pl. vi, p. S. — Méningite sous-arachnoï
Le ramollissement gélaliniforme est la cause la plus fréquente de la mort dans les affections du cerveau et de ses membrane
xus choroïde infiltré de pus. Délire les deux premiers jours; coma et mort le troisième. 8e liv., pl. iv, p. / bis. Sous-ara
cerveau. Arachnitis ven-triculaire. Perte de mémoire. Assoupissement. Mort au bout de quarante heures. 8e liv., pl. iv, p. 2
, p. 3g. — Apoplexie des enfans nouveau-nés : elle est la cause de la mort d'un bon tiers des enfans mort-nés; elle a pour c
ente avec rigidité des membres thoraciques et abdominaux. Immobilité. Mort par suite de pneumonie. 17e liv., pl. i, p. s. —
té du bras. Marche progressive des symptômes ; perte de connaissance. Mort au bout de quarante-huit heures. Ramollissement l
u cerveau ou apoplexie capillaire. Guérison inespérée avec idiotisme. Mort trois mois et demi après, par suite d'un ramollis
ule cérébral droit et de la moitié correspondante de la protubérance. Mort le quatrième jour.= Hémiplégie complète du mouvem
adroite; impossibilité d'articuler les sons ; intelligence parfaite. Mort au bout de six ans ou environ, par suite d'une ma
auches. Céphalalgie limitée à la tempe et à la région sus-01-bitaire. Mort au bout de trente-deux jours. Deux abcès enkystés
phénomène de paralysie. Aucun phénomène du côté des organes génitaux. Mort par suite de tubercules pulmonaires. 18e liv., pl
mois, hémiplégie apparente pendant quatre mois. Nouvelle hémiplégie. Mort . Deux tubercules dans la pie-mère cérébrale. Ramo
rice de deux foyers apoplectiques cérébraux, occupant la même région. Mort par engouement du poumon. 37e liv., pl. v, p. 1.
pl. 1, 11, m, iv, v, p. y, — Dévoiement cholérique; gastro-entérite. Mort .= Dévoiement cholérique; état adynamique; gastro-
rite. Mort.= Dévoiement cholérique; état adynamique; gastro-entérite. Mort . 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 8. —Dévoiement
v, p. 8. —Dévoiement cholérique, immédiatement suivi de piosiration. Mort rapide. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. g. — Dév
endant le cours de laquelle survient encore le dévoiement cholérique. Mort . ^Pleurésie; accouchement; dévoiement cholérique.
nt cholérique. Mort. ^Pleurésie; accouchement; dévoiement cholérique. Mort .^Entérite chronique; accouchement; dévoiement cho
rique. Mort.^Entérite chronique; accouchement; dévoiement cholérique. Mort . 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. to. —Choléra mo
p. 3.— Choléra moyen chez une femme grosse ; accouchement d'un enfant mort . Guérison. 14e liv., pl. 1, n, m , iv, v, p. 4. —
que survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction. Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quantité de
le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction. Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quantité de liquide cholériqu
e bile. Réaction vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimable. Mort dans la stupeur. Travail complètement arrêté. Gra
, p. 25. — Choléra asphyxique. Angoisse excessive. Selles sanglantes. Mort le deuxième jour de l'entrée et le quatrième de l
senterie. 14e liv., pl. 1, 11, m, iv, v, p. 28. — Choléra non algide. Mort le huitième jour. Eschares du gros intestin. Infl
., pl. 1, 11, ni, iv, v, p. 2g. — Choléra asphyxique. Mieux inespéré. Mort dans la stupeur. 14e liv., pl. 1, 11, 11, iv, v,
ite d'un choléra léger; hémathémèses ; déjections alvines sanglantes. Mort dans le marasme. Cicatrice très considérable de l
une maladie de la vieillesse. 20'' liv., pl. n, p. 2.—A quoi lient la mort subite dans les •cas de rupture spontanée du cœur
oplexie du cœur:Foyers sanguins dans l'épaisseurdu ventricule gauche. Mort subite par rupture du cœur. Fragilité et colorati
oche cartilagineuse et osseuse naissant du bord gauche de cet organe. Mort pendant un accès d'asthme. 22e liv., pl. m, p. 4-
ang contenue dans le péricarde. 30e liv., pl. iv, p. i. — Cause de la mort dans la rupture du cœur. Siège de la rupture. Obs
lade échappe plusieurs fois. Etat cya-nique et réfrigération algicle. Mort par œdème du poumon. 39e liv., pl. vi, p. 7.— Ava
ens convulsifs. 8e liv., pl. i, n, m, p. 6. CORDON. Enfant à terme, mort par suite de 1 issue du cordon. 35e liv., pl. i,
érite.Mort. = Dévoiement cholérique; étatadynamique; gastro-entérite. Mort . 14e liv., pl. 1,11, 111, iv, v, p. 8.—Dévoiement
endant le cours de laquelle survient encore le dévoiement cholérique. Mort . = Pleurésie; accouchement; dévoiement cholérique
t cholérique. Mort. = Pleurésie; accouchement; dévoiement cholérique. Mort .= Entérite chronique; accouchement; dévoiement ch
ique. Mort.= Entérite chronique; accouchement; dévoiement cholérique. Mort . 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p. 10. — Le dévoie
ade échappe plusieurs fois. État cyanique et de réfrigération algide. Mort par œdème du poumon. 39e liv., pl. vi, p. 7. DO
peu de la face postérieure du rocher droit. Amaurose et céphalalgie. Mort subite. = Tumeur polypiforme de la narine droite
es facultés intellectuelles. Affaiblissement général de la myotilité. Mort dans un état d'adynamie. 26e liv., pl. 11, p. 6.
mois, hémiplégie apparente pendant quatre mois. Nouvelle hémiplégie. Mort . Deux tubercules dans la pie-mère cérébrale. Ramo
l'entérite folliculeuse aiguë ne donne pas la raison suffisante delà mort ; dans nulle autre maladie n'est plus manifeste l'
- Exemple d'eniérite folliculeuse aiguë gangreneuse (forme ataxique); mort le quatorzième jour.= Coïncidence des formes gang
iv, p. 2/. — Entérite folliculeuse aiguë presque entièrement guérie. Mort de pleuro-pneumonie, après trente-sept jours de c
tion pendanl neuf jours ; recrudescence des symptômes; hallucination; mort ; les ganglions mésenlériques paraissent le siège
'estomac. Vomissemens muqueux indomptables ; hémalémèse ; épuisement. Mort . A l'ouverture dn cadavre, végétations encéphaloï
quart droit de l'estomac méconnu pendant la vie. Hydropisie générale. Mort par suffocation. 10e liv., pl. m, îv, p. 4.— On p
oliques épigastriques extrêmement violentes depuis 4 ans;' voracité ; mort par perforation de l'estomac. Cicatrice très cons
2. — Fracture ex-tra-capsulaire du col du fémur. Douleurs très vives. Mort le cinquième jour par suite d'une hémorrhagie trè
iv., pl. 1, 11, p. S, 7. — Fracture extra-capsulaire du col du fémur. Mort le quarantième jour. Commencement du travail. 23e
tus, par suite de l'oblitération de l'orifice de l'artère pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissance. = Fréquence de
iltrés de sang et imperméables dans les trois quarts de leur étendue. Mort . Poumons infiltrés de sang dans leur presque tota
. — Observations : Coliques hépatiques; tristesse; anorexie; marasme; mort . Cancer au foie par masses disséminées ; variété
omissemens : le foie ne déborde les côtes que quarante jours avant la mort : cancer par masses disséminées du foie (variété
2. — Fracture extra-capsulaire du col du fémur. Douleurs très vives. Mort le cinquième jour, par suite d'une hémorrhagie tr
3e liv., pl. 1, n, p. 4. — Fracture extra-capsulaire du col du fémur; mort le quarantième jour : commencement du travail. 23
liv., pl. 11, p. G. — Gangrène diffuse du poumon. Epilepsie. Chorée. Mort le treizième jour de l'invasion des symptômes de
Gangrène primitive • destruction de l'utérus par couches successives. Mort lente. 24e liv,, pl. 1, 11, p. io. — Gangrène pri
= Si la formation du caillot est indépendante de l'inflammation? = La mort n'est pas la conséquence nécessaire de la gangrèn
suite d'un choléra léger; hématémèse; déjections alvines sanglantes; mort dans le marasme ; cicatrice très considérable de
es. 37e liv., pl. 1, p. t.. — Cas de grossesse péritonéale primitive. Mort au bout de dix-huit ans. 37e liv., pl. 1, p. 3.
rider l'anneau. On retranche plusieurs anses intestinales gangrenées. Mort . Ouverture. 24* liv., pl. v. vi, p. 6. — Hernies
v., pl. vi,p. 2. — Abcès très fétide à l'aine. Guéridon avec fistule, Mort subite, Hernie de Fappendice vermiculaire. Perf
ente avec rigidité des membres thoraciques et abdominaux. Immobilité. Mort par suite de pneumonie. 179 liv., pl. 1, p. 2. —
iv, v, p. i. IMBIBITION. L'imbibilion ne peut s'exercer qu'après la mort locale ou générale, 38e liv., pl. n, m, iv, p. 4.
. pl. i, n, m, iv, v, p. y. — Dévoiement cholérique; gastro-entérile. Mort . = Dévoiement cholérique ; étal adyna-mique ; gas
Mort. = Dévoiement cholérique ; étal adyna-mique ; gastro-entérite ; Mort . 14e liv., pl. i, n, m, iv, v, p. 8. — Dévoiement
v, p. 8. — Dévoiement cholérique immédiatement suivi de prostration. Mort rapide. 14e liv., pl. i, n, in, iv, v, p. 9. — Dé
endant le cours de laquelle survient encore le dévoiement cholérique. Mort . = Pleurésie ; accouchement; dévoiement cholériqu
cholérique. Mort. = Pleurésie ; accouchement; dévoiement cholérique. Mort . == Entérite chronique; accouchement; dévoiement
ue. Mort. == Entérite chronique; accouchement; dévoiement cholérique. Mort . 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v, p. io. — Choléra
. i3. — Choléra moyen chez une femme grosse, accouchement d'un enfant mort . Guérison. 14e liv., pl. 1, n, in, iv, y, p. i4.
que survenu dans le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction. Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quantité de
le neuvième mois de la grossesse. Point de réaction. Mort de la mère, mort de l'enfant. Grande quantité de liquide cholériqu
e bile. Réaction vive mais passagère. Etat de bien-être inexprimable. Mort dans la stupeur. Grande quantité de liquide cholé
, p. 25. — Choléra asphyxique. Angoisse excessive. Selles sanglantes. Mort le deuxième jour de rentrée et le quatrième de l'
ysenterie. 14e liv., pl. i, n, m, iv, v, p. 28. — Choléra non algide. Mort le huitième jour. Escharcs du gros intestin. Infl
liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 2g.— Choléra asphyxique. Mieux inespéré. Mort dans la stupeur. 14e liv., pl. 1, n, m, iv, v, p.
l. vi,p. /. — Chute du rectum. Réduction laborieuse, état adynamique. Mort . Abcès multiples dans le foie (phlébite). = théor
rider l'anneau. On retranche plusieurs anses intestinales gangrenées. Mort . Ouverture. 24e liv., pl. v, vi, p. 6.— Lésions d
., pl. vi, p. i. — Abcès très fétide à l'aine. Guérison avec fistule. Mort subite. Hernie de l'appendice vermiculaire. Perfo
que. = Laryngite sous-muqueuse de la région sous-gloltique du larynx. Mort par suffocation. 5e liv., pl. n, p. 3. —Laryngite
a surface extérieure et intérieure du larynx. Erosion de l'épiglotte. Mort par suffocation. 5e liv., pl. 11,p. 5. — Laryngit
que. = Laryngite sous-muqueuse de la région sous-glottique du larynx. Mort par suffocation. 5e liv., pl. 11, p. 3. — Il n'es
a surface extérieure et intérieure du larynx. Erosion de l'épiglotte. Mort par suffocation. 5e liv., pl. 11, p. 5. — Cas de
irpation; dégénérescence de la cicatrice et des muscles inlercoslanx. Mort . 23e liv., pl. y, p. 4. —Cancer de la mamelle che
dans Fépaisseur de la cicatrice. Envahissement de la mamelle droite. Mort par épanchement pleurétique. Plaques cireuses de
Guérison de la plaie. Apparition d'une multitude de tumeurs cutanées. Mort dans le marasme. Tumeurs mélaniques dans les poum
araplégie avec flexion et rigidité permanente des membres inférieurs. Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneus
— Paraplégie douloureuse par dégénération cancéreuse d'une vertèbre. Mort de pneumonie. 32e liv., pl. 1, n, p. 6. — Paraplé
on de la moelle. Epaississemenl et densité de l'arachnoïde cérébrale. Mort de pneumonie. — Paraplégie avec rétraction des me
lysie incomplète du membre supérieur gauche. Induration de la moelle. Mort par ramollissement rouge-amaranlhe des circonvolu
de la'moelle épinière. Suppuration de la synoviale sous-deltoïdienne. Mort parpleurésie. 30e liv., pl. v, p /. —Les maladies
nférieur depuis la première enfance. Dégénération grise de la moelle. Mort par suite d'un cancer utérin. = Considérations gé
nile tuberculeuse. 38e liv., pl. v, p. 6. — Compression de la moelle. Mort par l'ouverture du foyer purulent qui entourait l
30e liv., pl. in , p. 3. — La muqueuse ne peut se teindre qu'après la mort . 38e liv-, pl. n, ni, iv, p. 4-— Mode de cicatris
d'un travail très long et de tentatives répétées de version. = Enfant mort , venu par les fesses. = Enfant mort une heure apr
ves répétées de version. = Enfant mort, venu par les fesses. = Enfant mort une heure après la naissance. =:Enfant à terme, m
fesses. = Enfant mort une heure après la naissance. =:Enfant à terme, mort par suite de lésion du cordon. — Hydrocéphale mor
. — Péritonite et inflammation lobulaire des poumons chez un enfant mort trois heures après la naissance. —Arachnilis spin
t trois heures après la naissance. —Arachnilis spinale chez un enfant mort le cinquième jour après sa naissance. = Double pl
cinquième jour après sa naissance. = Double pleurésie chez un enfant mort 36 heures après sa naissance. 15e liv., pl. n, p.
du pancréas; induration et imperméabilité des poumons chez un enfant mort après quelques minutes de respiration. 15e liv.,
vec des phlyetènes aux pieds , aux mains et à la paupière supérieure. Mort au bout de 36 heures. Quelques lobules pulmonaire
uelques lobules pulmonaires sont imperméables. Catarrhe pulmonaire. = Mort par infiltration séreuse du tissu du poumon. = Pu
ions. Fracture exlra-capsulaire du col du fémur. Douleurs très vives. Mort le cinquième jour, par suite d'une hémorrhagie tr
3e liv., pl. i, n, p. 4. — Fracture exlra-capsulaire du col du fémur. Mort le quarantième jour. Commencement du travail. 23e
xième avec la troisième vertèbre cervicale. Compression de la moelle. Mort . 25e liv., pl. iv, p-3.—Lesfrac-tures inlra-capsu
iv., pl. n, p. i. — Inflammation chronique du pancréas chez un enfant mort après quelques minutes de respiration. 15e liv.,
araplégie avec flexion et rigidité permanente des membres inférieurs. Mort par suite d'eschares et d'inflammation gangreneus
— Paraplégie douloureuse par dégénération cancéreuse d'une vertèbre. Mort de pneumonie. 32e liv., pl. 1, n, p. 6". — Parapl
on de la moelle. Epaississement et densité de l'arachnoïde cérébrale. Mort de pneumonie. = Paraplégie avec rétraction des me
alysie incomplète du membre supérieur gauche. Induration delà moelle. Mort par ramollissement rouge amarante des circonvolut
s du cœur. Adhérence du péricarde. Infiltration générale. Dévoiement. Mort dans un état à demi asphyxique. 39e liv., pl. vi,
ées. 37e liv., pl. 1, p. /. — Cas de grossesse peritoneale primitive. Mort au bout de 18 ans. 37e liv., pl. 1, p. 3. — Cance
3. — Péritonite ©t inflammation lobulaire des poumons, chez un enfant mort trois heures après la naissance; pointillé rouge
sse à la suite d'un coup de feu. Le douzième jour, accidens généraux. Mort vingt-neuf jours après la blessure. Phlébite capi
30e liv., pl." v, p. 3. PHLEGMON. Le phlegmon sous-cutané cause de mort dans l'anasarque. 3e liv., pl. v,p. 4.—Phlegmon d
ente. 13e liv., pl. 1, n, m, p. i3. — Double pleurésie chez un enfant mort 36 heures après sa naissance. 15e liv., pl. n, p.
l. i, ii, ni, p. si. — Gangrène diffuse du poumon. Épilepsie. Chorée. Mort le treizième jour de l'invasion des symptômes de
chez le fœtus. 15e liv., pl. n, p. — Double pleurésie chez un enfant mort trente-six heures après sa naissance. = Péritonit
e. = Péritonite et inflammation lobulaire des poumons, chez un enfant mort trois heures après la naissance : pointillé rouge
l. n, p. 2. — Induration et imperméabilité des poumons chez un enfant mort après quelques minutes de respiration. 15e liv.,
iltrés de sang et imperméables dans les trois quarts de leur étendue. Mort . Poumons infiltrés de sang dans leur presque tota
avec des phlyetènes aux pieds, aux mains et à la paupière supérieure. Mort au bout de trente-six heures. Quelques lobules pu
uelques lobules pulmonaires sont imperméables. Catarrhe pulmonaire. = Mort par infiltration séreuse du tissu du poumon. = Pu
poraire. Symptômes de pierre et de catarrhe de vessie. Dépérissement; mort . Pierre ayant pour noyau un caillot de sang. Perf
uart droit de l'estomac, méconnu pendant la vie. Hydropisie générale. Mort par suffocation. 10e liv., pl. ni, iv, p. 4.— Obs
— Ramollissement gélatiniforme du cerveau, cause la plus fréquente de mort dans les affections de cet organe et de ses membr
u cerveau ou apoplexie capillaire. Guérison inespérée avec idiotisme. Mort trois mois et demi après, par suite d'un ramollis
c rétrécissement de cet iniestin , pris pour un cancer de cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. = Inflammat
ères fécales. Hématurie. Symptôme d'un calcul vésical ou d'un fongus. Mort . Cancer du reclum, qui s'est propagé jusqu'à la v
n de la partie inférieure de cet iniestin. Incontinence des matières. Mort par phthisie pulmonaire. 33e liv., pl. 1, p. 4. —
Tuméfaction considérable et douloureuse de la région lombaire droite. Mort en quelques heures dans un état comateux. Calcul
usse roule à travers le corps cancéreux. Abcès gangreneux. Pneumonie. Mort . 39e liv., pl. 1,11,p. /. — Abcès prostatiques. H
peu de la face postérieure du rocher droit. Amaurose et céphalalgie. Mort subite. Tumeur polypiforme de la narine droite fo
sement des facultés intellectuelles. Affaiblissement de la myotiliié. Mort dans un étal d'adynamie. 26e liv., pl. n, ». 6. —
i. — Inflammation chronique du thymus et du pancréas chez un enfant mort après quelques minutes de respiration. 15e liv.,
mois, hémiplégie apparente pendant quatre mois ; nouvelle hémiplégie. Mort . Deux tubercules dans la pie-mère cérébrale. Ramo
c mélanose du poumon. 13e liv., pl. 1, n, m, p. n. —Typhus puerpéral. Mort au bout de cinquante heures. Péritonite purulente
uite d'un choléra léger ; hématémèse, déjections alvines sanglantes ; mort dans le marasme ; cicatrice très considérable de
oliques épigastriques extrêmement violentes depuis h ans ; voracité ; mort par perforation de l'estomac ; cicatrice très con
ec rétrécissement de cet intestin, pris pour un cancer de cet organe. Mort avec les symptômes de l'étranglement. = Inflammat
usse route à travers le corps caverneux. Abcès gangreneux. Pneumonie. Mort . 39e liv., pl. i, n, p. t. — Rétrécissement du
élanose du poumon. 13e liv., pl. 1, 11, m, p. //. — Typhus puerpéral. Mort au bout de cinquante heures. Péritonite purulente
p. S. — Maladies de la colonne vertébrale. Compression de la moelle. Mort par l'ouverture du foyer purulent qui entourait l
rus. 26e liv., pl. iv, p. 3. — Ecchymoses de la vessie chez un enfant mort à la suite de la petite-vérole. = Phlébite vésica
de l'accouchement. = Ces abcès sont la cause la plus fréquente de la mort des blessés. = Théories sur l'existence simultané
6 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
- Nous n'avons à noter, en outre des maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au tableau des déc
et imbécile. - Mère, hystérique. Grand'père maternel, alcoolique, mort d'apoplexie. - Deux frères et une soeur morts de
maternel, alcoolique, mort d'apoplexie. - Deux frères et une soeur morts de con- vulsions. Premières convulsions à 2 a
ents fournis par sa mère le. 19 jan- vier 1883). - Père, imprimeur, mort en 1880, à 34 ans, d'une tumeur blanche du geno
genou; abcès froids au cou. Excès de boissons hebdomadaires. [Père mort asthmatique à 88 ans. - Mère morte d'un « chanc
igraines. S.mté bonne. Intelligence dévelop- pée. [Père alcoolique, mort u'une attaque d'apoplexie. Mère atteinte do var
té d'âge de dix ans. Quatre enfants : 1° Notre malade ; - 2° garçon mort à six semaines de convulsions internes ; à l'ép
e bois- son que lorsque le premier enfant a été conçu - 3" garçon mort à 8 jours de convulsions ; 4° tille morte à 15 jo
.. Idiotie ET épilepsie méningitiques. 13 La température après la mort a atteint un chiffre considérable, 43°, 2, qui
Bien du côté paternel aupoint de vue nerveux. Un frère et une soeur morts de tuberculose ( ? ). - Mère d'une intelligence
s dents. dictes inconscients. - Tentative d'incendie. - Granulie. - Mort . AUTOPSIE. - Méningo-encéphalite chronique. - L
parents, soit paternels, soit - Onze frères ou soeurs : sept sont morts jeunes, deux auraient succombé à une affection
le, elle sait à peine lire et écrire ; n'est pas nerveuse. - [Père, mort à 70 ans, d'une affection stoma- cale ; non alc
nt sur les grand-père et grand'mère paternels; en tous cas ils sont morts âgés. Grand-père maternel, aucun ren- seignemen
lle morte à la suite de couches. - Six oncles paternels ; cinq sont morts , un seul est survivant et a des enfants, tous e
ticu- lier ; l'un est marié et n'a pas d'enfants ; un troisième est mort en bas-âge. - Quatre soeurs : trois sont mariée
age. Il a de l'ordre et de la propreté. 20 Tuberculose pulmonaire ; mort . Décembre. - Durant ce semestre l'enfant n'a ré
ns un mémoire spécial (1). V. Le tableau de la température après la mort est digne d'attirer l'attention. Progressivemen
s nos climats, est un moyen certain de constater la réalité de la mort . III. Idiotie symptomatique de méningo-encéph
ssement prog ressif. - marche impossible. - Tuberculose pulmonaire; mort . AUTOPSIE. - Cavernes pulmonaires. - Lésions ch
r fait 150.000 francs de dettes.- [Son père, également notaire, est mort du choléra en z Sa mère est morte d'une pneumon
morte d'une pneumonie à 81 ans.- Grand'père et grand'mère paternels morts de vieillesse.- Grand'père maternel, mort de ré
et grand'mère paternels morts de vieillesse.- Grand'père maternel, mort de rétention d'urine à 91 ans; - grand'mère mat
- grand'mère maternelle, morte paralysée à 78 ans. - Trois frères morts jqtines, l'un d'une fièvre typhoïde, l'autre du
d'une chute, n'est nullement nerveuse, très intelligente.- [père mort d'une affection cardiaque. - Mère morte à G6 ans
oyenne, il n'a pas réussi dans ses études;- '2° et 3" deux garçons, morts l'un .1 3 ans de cholérine, l'autre à 5 ans de
conservé toute sa gaité ; il a essayé même de chanter jusqu'à sa mort qui est survenue le 7 novembre 1884. T. R. un qua
ui est survenue le 7 novembre 1884. T. R. un quart d'heure après la mort : 39°,5 ; une heure après : 38°,2; - deux heure
n et contractures. - Traitement antisyphilitique. - Amélioration. - Mort sans convulsions. - Pas d'élévation de températ
Mort sans convulsions. - Pas d'élévation de température après la mort . AUTOPSIE. - Synostose localisée. Taches d'athé
aissance de l'enfant que nous avons dans le service.- [Son père est mort à 71 ans; sa mère, à 63 ans, en démence. - Une
. L'enfant baisse beaucoup. 15 mars. - La prostration est complète. Mort le 17 mars sans convulsions. - Poicls après déc
de foyer de sclérose. V. Épilepsie idiopathique ; État de mal ; Mort ; Lésions méningitiques; Par nOURXE\'IUÆ et D
excès de boisson, coléreux. Arrière-grand- père paternel, médecin, mort de la gravelle. - Arrière grand-oncle paternel,
he croissante des accès. - Déchéance intellectuelle. - Etat de mal; mort . AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère 1 la ca
ravailleur (gagne de 5 à G fr. par jour). - [Famille du père. Père, mort . 5G ans « à force de boire » ; 42 Epilepsie idi
ependant laborieux. - Grand-père, médecin, sobre, bien équilibré, mort de la gravelle à 66 ans. Grand'mère, décédéc à 60
orte à 31 ans de tuberculose pulmonaire. [Famille de la mère. Père, mort à 60 ans, mère, à 50 ans, on ne sait de quoi. -
uil.. ne reprend pas con- naissance, la température s'abaisse et la mort survient dans le coma, à 9 h. du soir. z Tempér
urvient dans le coma, à 9 h. du soir. z Température au moment de la mort : /ion,, 4; - une demie heure après, 39,G; - 2
em- bre 1994); apparition des vertiges : déchéance progressive. - Mort dans un état de mal. Autopsie. - Asymetrie crân
mais s'aliter. [Père, tailleur de pierre, caractère un peu emporté, mort à 43 ans à la suite d'un refroidissement ; habi
tres goands-haeil.·.- Trois frères et quatre soeurs. Le frère aine, mort à l'âge de 34 ans d'une fièvre typhoïde, avait
ans (mère moins âgée). Trois enfants : 4 un garçon venu à terme, mort d'une méningite vers l'âge de six mois; z 2" no
iné au lit jusqu'à 16 ans. - Grand-père maternel, excès de boisson, mort de congestion cérébrale. - Pas de con- sangwini
mains ; accès de colère. Progrès de la marche. Etat syncopal subit; mort rapide. AUTOPSIE. - Adhérences de la dure-mère
questions ; les yeux sont cependant un peu hagards. - [Son père est mort à 31 ans d'un « chaud et froid », il était ingé
de renseignements sur les grands- parents. - Un oncle paternel est mort d'accident; deux au- tres oncles paternels sont
Poids après décès : 9 kilog. Température un quart d'heure après la mort : 35° ; - une heure après : 28", 5 ; 3 3 heures
t distendue par une grande quantité d'urine. - Cause probable de la mort : asphyxie par oedème de la glotte. Réflexion
abilité mentale; - délire mystique;- fièvre typhoïde avec rechute ; mort ; Par BOL'UNKVILLE et TISSIÉ. Sommaire. Père
anlélioration; - abcès; - rechute; - hé- 7no1'1'hagie intestinale; mort . Autopsie. - Aucune lésion macroscopique des mé
ignements sur son caractère manquent. - Le grand- père maternel est mort d'un cancer, ainsi qu'une tante. Dans le reste
ment arthritique (maux d'estomac, migraines, ulcères variqueux) est mort à 79 ans « de vieil- lesse. » Parmi les autres
- Egalité d'âge. - ' Cinq enfants : 1" garçon né à 8 mois et demi, mort en nourrice - à 6 mois d'affection inconnue; -
rature 3î°, 7, sans aucune amélioration de l'état général. - Le 28, mort à 5 heures du matin avec une tem- pérature de 3
matin avec une tem- pérature de 39°, . - Un quart d'heure après la mort : T.R. 390; - une heure après : T.R. 37°; - deu
progressa 88 FIÈVRE typhoïde,; RECHUTE. qui s'est terminé par la mort au bout de cinq semai- nes. Le tracé thermométr
le, hémiplégique droite avec aphasie. Arrière-grand- père paternel, mort paralysé. - Cousine maternelle, cho- 7'éiqtte.
ès sous l'influence des injections de Brown-Séquard. - État de mal. Mort . AUTOPSIE. - Atrophie cérébrale localisée. Le
tête passagers. Caractère très doux mais impressionnable. - [Père, mort il 77 ans de pneumonie, ne faisait pas d'excès
la ménopause elle ne fut plus jamais malade.- Grand-père patcrnel, mort paralysé après une lon- gue captivité en Espagn
jamais malade. - Grand-père maternel, ordi- nairement bien portant, mort à 64 ans d'une pneumonie.- Grand'mère maternell
sait de quoi a la suite d'une violente émotion. - Oncle paterne ! , mort à 57 ans pro- bablement d'une affection pulmona
, 45 ans, en bonne santé, sobre, marié, a quatre enfants : un est mort à 11 ans de péritonite tuberculeuse; le deuxième,
. R. 39°,4. L'enfant meurt dans la journée. La température après la mort a présenté la marche suivante. - Après la mort
température après la mort a présenté la marche suivante. - Après la mort : 39°; - 9 /4 d'heure après : 38°, 5 ; - une heur
Il il existe une po- il) Bien que, au moment de la mise en page la mort remonte 1 20 mois la partie centrale des pariét
aux injections hypodermiques de suc testiculaire en 1893, dix sont morts à l'heure actuelle : 13asn..., Bouter... Deco..
Guibl..., Lalleni..., Morti..., Tliom... (B). \Vil.. C'est lit une mort : Ul.é proportionnellem' nt plus grande qu'on ne
e. . Sommaire. Père. nombreux excès de boisson, syphili- . tique, mort de paralysie générale. - Grand'mère pater- nell
maternelle morte d'un cancer de l'estomac. - Deux oncles maternels morts d'af- (sections cérébrales. - Soeur, très nerve
nt ; aucune amélioration. 1895. - Cachexie progressive ; diarrhée ; mort . AUTOPSIE. - Sclérose hypertrophique ou tubéreu
l u l'interner au mois de novembre à l'asile de Villejuif où il est mort le 29 mars 1894. « Il était syphilitique, nous
de démence avec idées de persécution (Magnan). Grand-père maternel, mort très âgé, on ne sait de quoi. - Pas de détails
d'mère paternelle, morte également il. 84 ans. Grand-père maternel, mort à 8 : 3 ans, sobre, asthutatique. Grand'mère ma
eu d'affections nerveuses ou menta- les. - Trois frères : deux sont morts l'un à 18 mois d'une affection cérébrale sans c
s'était mariée une première fois à 23 ans et avait eu de son mari, mort de néphrite aiguë, une f3lle morte d'asphyxie p
: « c'était pour elle un véri- table bonheur. » En 1890, après la mort de son père, l'enfant, qui avait 6 ans, a été p
illet. 'l'. IL 37°, 6 et 37°, 8. 30 juillet. - Malin. T. R. 37°, 8. Mort . - La T. R. a offert la .marche ci-après z Au
ement notable. 1894. - Description du malade en avril. - t 895. - Mort de cachexie. : AUTOPSIE. - Description du crâne :
de peau, ni de signes de syphilis. - [Son père, cultivateur, est mort à GO ans, des suites d'une suppuration chronique
re, pas de renseignements. - Elle ne connaît qu'un oncle paternel mort , raconte-t-elle, il y a dix-huit mois à la suite
s l'âge de 7 ans, consécutivement à une « fièvre cérébrale », est mort à 20 ans, on ne sait de quoi; l'autre est en bonn
n père, très sobre, sans antécédents ner- veux ni arthritiques, est mort à 57 ans, d'une pleuro-pneumo- nie. - Sa mère e
ater- nelle, morte à 95 ans. - Grand-père et grand'mère maternels morts d'affections pulmonaires; aucun accident névropat
nelle serait morte de tuberculose à 18 ans. Un frère et deux sam1'S morts de fièvre typhoïde ; l'une d'elles avait cinq e
le matin du 28 sans convulsions. - La tempéra- ture prise après la mort est à 38° 5;-un quart d'heure après à 38° ; - u
t grand-oncle paternels aliénés. - Mère, grand-père et grand' mère, morts tuberculeux.- Arrière- grand-père maternel, exc
ume très modérément. Intelligence normale. - [Famille du père. Père mort à 55 ans d'une affection pul- monaire au dépôt
fants : les uns vivent et n'offrent rien d'anormal, les autres sont morts en bas âge, mais on ne sait de quoi. - Deux soe
certaine éducation. - [Famille de la mère. Père, cuisinier, serait mort « de la poitrine 9. Il aurait été sobre mais fo
il passait pour très intelligent. Il était très alcoolique ; il est mort assez âgé sans avoir présenté des troubles ment
aurait pas voulu qu'elle eut alors des rapports avec son (1) Il est mort phtisique en 1890. (2) Cet enfant est entré dan
; Pau BOURNEVILLE et T1SSIEU. SOMMAIRE. Pére ? umeau alcoolique, mort d'une hémopty- sie foudroyante. - Oncle paterne
u alcoolique, mort d'une hémopty- sie foudroyante. - Oncle paternel mort de convulsions. - Deux oncles paternels, excès
xcès de boisson. Mère, rien de particulier. - Une soeur et un frère morts de convulsions Pas de consanguinité. - Inégal
ougeole à 6 mois ( ? ) et à 6 ans. - Otite double à 10 ans et demi. Mort par congestion pulmonaire. AUTOPSIE. - Méningo-
électricien, il travaillait au mi- lieu des vapeurs acides ; il est mort à 42 ans, à la suite d'une hémoptysie foudroyan
n pulmonaire ai- guë; jamais de troubles nerveux. - Grands-parents, morts très vieux, nul accident cérébro-spinal. - Deux
rents, morts très vieux, nul accident cérébro-spinal. - Deux oncles morts vieux, alcooliques, sans aucune tare nerveuse.
père de no- tre malade. Le troisième enfant jumeau était un garçon mort à deux ans de convulsions. Mère, 46 ans, jour
e hernie étranglée ; pas d'accidents névropathiques. Grands-parents morts très vieux, sans manifestations ner- veuses. De
ns, intelligente, bien portante ; pas de convulsions ;-5° un garçon mort quel- ques heures après la naissance; - 60 garç
5° un garçon mort quel- ques heures après la naissance; - 60 garçon mort de convul- sions à 8 mois. Notre malade. L'en
; pas de secousses ; pas de vomissements. L'enfant paraissait comme mort . Cet état a duré 24 heures. Sa mère l'a levé le
, 8, - Le malade meurt à 11 heures du soir. La température après la mort a eu la marche suivante : 156 II·.NI\GO-NCÉPHAL
ui semblent avoir donné lieu à l'hématurie constatée le matin de la mort . Les testicules, petits et égaux, sont remontés
la parole devient moins libre. A 12 ans, une nouvelle émotion - la mort presque subite de son père - aggrave la situati
réquent, devient permanent. V. La marche de la température après la mort , ici, confirme les nombreux faits que nous avon
r conséquent, dans notre cli- mat, de s'assurer de la réalité de la mort . VI. Le crâne n'offrait aucune trace de synosto
éné et sujet probablement à des accès d'épilepsie. - Frère et soeur morts tuberculeux. - Soeur strabique à la suite de co
, Bicêtre, 1895. 12 '178 Thérapeutique. Consanguinité. Un frère mort de convulsions, un autre idiot et épileptique;
ère, rien de particulier. - Grand- père maternel, excès de boisson, mort d'apoplexie. - Oncle- maternel, mort de convuls
re maternel, excès de boisson, mort d'apoplexie. - Oncle- maternel, mort de convulsions. -Petit cousin, pieds bots. Pas
a « goutte » tous les matins et quelquefois dans la journée, il est mort d'une attaque d'apo- plexie en une heure. Sa mè
igraineuse. - Elle a eu cinq frères ou soeurs. Ses deux frères sont morts l'un peu après l'accou- chement, l'autre de con
ue leurs enfants. - Les grands- parents paternels et maternels sont morts vieux, sans acci- dents nerveux. - Dans le rest
é à 27 ans ; pas de mala- dies vénériennes. [Famille du père. Père. Mort d'une flu- xion de poitrine à cinquante-sept an
ssaient vite et de plus en plus bruns. [Famille de la mère. - Père, mort écrasé par un mur, sobre, très intelligent; pas
uze ans, bien portante, pas d'accidents nerveux; deux fré- res : un mort de l'influenza, a un fils en bonne santé ; l'autr
vertigineuse. Sommaire. - Père violent, nombreux excès de boisson; mort de tuberculose pulmonaire. - Grand-père paterne
- Pas de consanguinité. Inégalité (1'ilge de 2 ans. - Quatre frères morts de convulsions et deux autres de méningite. M
elle rhuma- tisante et migraineuse. - Arrière-grand-père maternel mort paralytique. - Cousin-germain mort de méningite.
e. - Arrière-grand-père maternel mort paralytique. - Cousin-germain mort de méningite. - Pas de consanguinité. - Inégali
il 5 ans 1/2. - Grand-père très alcoolique. - Sept tantes et oncles morts en bas-âge de convulsions. - Soeur épileptique.
7 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
bon fonctionnement des écoles ordinaires, où ils constituent un poids mort , enfin pour les enfants améliorés, car il y en a
tté l'asile, dans le courant de l'année, pour les causes suivantes. Mortes .............................................. 2
r cuivre. excès de boisson. Belthoi.......... Peintre » 7 5 enfants morts en bas-âge N. m., imbécile. Père excès de en bâ
ments. de méningite. boisson. Huis............ Mouleur » 6 îgarcons morts en bas-âge. 2 garçons bien portants. » en cuivr
idiot, épileptique. de Pott. Mail............. Plombier. » 9 3 g. morts en bas-âge de con-2 g. ophtbalmie purulente. Père
ot, épileptique. excès de boisson. Gend............ Peintre » 5 1g. mort à 9 mois de mé- 1 f. bien portante. Père excès de
en bâtiments. ningite. N. m., imbécillité, épilepsie boisson. I g. mort on ne sait de quoi. 1 fausse couche à 5 mois. H
ouche à 5 mois. Hor.............Ouvrier chapelier. » 6 1 f. et 1 g. morts de cenvul- 3 g. convulsions de l'enfan- » sions
mbécile et épilepti-que. Simon.......... Peintre en bâtim. » 3 2 g. morts on ne sait de quoi. N. m., imb. et épileptique. »
I Fille morte à 18 mois de N. m., Epilepsie, la rougeole. I garçon mort à 3 ans 1/2 de la gangrène. 5 fausses couches.
fausses couches. Arb............. Marbrier. Chapelière. 1 | garçon mort à la naissan- N. m., Idiotie, paralysie, Père alc
N. m., Epilepsie. Tar............. Plombier. Polisseuse. 5 1 garçon mort de méningite. 1 Garçon bien portant. » 2 Fille
ileptique. Baut............ Matelassier. Matelassière. 11 3 enfants morts de convul- 1 Garçon et une Fille très Père et Mèr
tale, Epilepsie probable. Itzik............ » Chiffons. H 2 garçons morts de scarlati-2 Filles et 2 Garçons bien » no à 1
, Imbécillité, Microcé-phalie. Mazo........... Peintre » 2 1 garçon mort à 3 mois AT. m., Imbécillité. » en bâtiments. d
ts. N. m., imbécile. boisson. Malt............. Mégissier. « 6 1 g. mort à 9 mois de bron-2 g. et 1 f. bien portants. »
à 5 jours de ca-chexie. Languill......... « Manufacture des 6 1 g. mort de méningite à 3 1 S- Dien portant. Père excès de
xcès de tabacs. jours. N. m. imbécile, athétosique. boisson. 1 g. mort de méningite à 3 jours. 1 f. mort-née. 1 g. m
boisson. 1 g. mort de méningite à 3 jours. 1 f. mort-née. 1 g. mort de tuberculose pulmonaire. Davi............ Tou
en portant. N. m., Epilepsie. Eich............ Mouleur » 3 1 garçon mort de méningi- 1 Fille bien portante. Père alcooliqu
nts. Père alcoolique 1 g.mort de bronchite. JV. m., idiotie. 2 g. morts de ? Welt ........... Mégissier. » 5 4 morts de
V. m., idiotie. 2 g. morts de ? Welt ........... Mégissier. » 5 4 morts de convulsions. JV. m., idiotie, épilepsie. » L
otie, épilepsie. » Léchas.......... Teinturier. Teinturière 10 |2g. morts du croup. 3 g. et 1 f. bien portants. Père alcool
g-mort d'entérite. N.m., épilepsie. 1 f. morte à 12 jours (?) I g. mort de la rougeole. Gœur........... Allumettier. Al
mort de la rougeole. Gœur........... Allumettier. Allumettière. 5 4 morts en, nourrice. JV. m., idiot, épileptique. » NOM
..... Plombier. » 5 Hausse couche. 1 fille bien portante. » Igarçon mort du croup. JV. m., idiotie. I garçon mort à 1 jour
e bien portante. » Igarçon mort du croup. JV. m., idiotie. I garçon mort à 1 jour. Jean............ Tourneur » 4 i fauss
léra. 1 fille bien portante. Père alcoolique en bâtiments. 1 garçon mort ? l garçon tuberculeux. I N. m., idiotie, épilep
I N. m., idiotie, épilepsie. Maur............ Tourneur « 3 1 garçon mort de convul- { garçon bien portant. » sur cuivre.
s à 13 mois. N.m., idiotie. Treps........... Plombier. « 7 3garçons morts de ménin- 1 f. 1 g. bien portants. Père gite. 1
JV. m., imbécile et épilept. Feycrt.......... Peintre « 7 2 garçons morts de ménin- 4 garçons bien portants. Père en bâti
ère. grossesses. décédés. vivants. Sta............. Peinter » 7 Is. mort du croup à3 ans. 1 garçon bien portant. Père alco
p à3 ans. 1 garçon bien portant. Père alcoolique. en baitmcnts. 11. mort de diarrhée. ar. m., imbécile, épilepti- Jfauss
m., imbécile, épilepti- Jfausse couche à 3 mois 1/2. que. ïjumeaux morts à 4 mois. Riviè........... Tourneur » 8 Hausses
Hausses couches, 2ct3 mois 1 garçon[bicn portant. » sur cuivre. Iï. mort de méningite à 3 mois. i ï. mort de conuulsio
icn portant. » sur cuivre. Iï. mort de méningite à 3 mois. i ï. mort de conuulsions à •15 mois. Jjumeaux morts à i3
ningite à 3 mois. i ï. mort de conuulsions à •15 mois. Jjumeaux morts à i3 mois. i f. morte de convulsions à 8 jours.
aux morts à i3 mois. i f. morte de convulsions à 8 jours. iY. m., mort de tuberculose à 6 ans. Baill............ Peint
ot. Mère syphilis. en bâtiments. Duv............ Mouleur » 8 i s. mort de cholérino à 6 3 f. et 2 g. bien portants. Père
uches. N. m., idiot épileptique. Père alcoolique. ferblantier. 1 g. mort de méningite. Galant.......... Peintre » 1 « N.
........ Peintre » 3 Ihusse couche. N. m., idiot. » en bâtiments. ( mort de convulsions. ' Si ces statistiques ne laisse
le bien portante. » I g. mort-né. N. m., imbécile, épilepti- 1 g. morts de méningite. que. I g. mort à 2 ans Ij2 de con-v
t-né. N. m., imbécile, épilepti- 1 g. morts de méningite. que. I g. mort à 2 ans Ij2 de con-vulsions. Guillau......... T
ions. Guillau......... Tourneur « 1 « JV. m., imbécile. Père aliéné mort à sur cuivre. l'asile de Ville- Evrard. III
n_ de la démence par les photographies et l'écriture. — Etat de mal ; mort . Autopsie. — Caractères particuliers -des os du
aurait pas eu de convulsions. Ni dartres, ni syphilis, ni rhumatisme. Mort en 1901 des suites d'une pleurésie avec hémoptysi
hémoptysie. Su famille. — Son père buvait beaucoup (vin) et serait mort d'une affection du foie. — Sa mère a succombé aux
une sœur, sans enfants, rien de particulier. — Trois o?icZes seraient morts de mala-dies du foie, — Dans le reste de la famil
hoïde à 12 ans ; aucun accident nerveux, Sa famille. — Son père est mort de la rupture d'un anô-vrisme do l'aorte, sa mère
morte d'entérite à 33 jours ; — 2° gar-çon né à 6 mois et 3 semaines, mort 8 jours après ; — 3° gar-çon (âgé de 22 ans on 19
gé de 22 ans on 1905), intelligent ; — -4° notre malade ; — 5° garçon mort d'entérite sans convulsions ; — 6° fille (17 ans
rien les 7, 8 et 9; — GO dans la nuit du 10 au 11 janvier ; 57 le 11, mort . Température après décès. Température aussitô
11, mort. Température après décès. Température aussitôt après la mort .................. 40°,7 1/4 d'il. — ...........
la température de la chambre (1). On a de la sorte la certitude de la mort dans nos climats. III. Bar., avait la coutume d
a famille. Pas de consanguinité. —Inégalité d'âge de 11 ans. —Frère mort de méningite. Première dent à 14 mois. Dentitio
t 1899 : chute sur la tête étant assise ; affaiblissement progressif. Mort au bout de 5 jours avec une température rectale p
aliquesjpas de migraines; bon caractère. Marié à 34 ans. — [Son père, mort à 68 ans, buvait « comme un trou » du vin, de l'a
omme un trou » du vin, de l'absinthe, un peu tout. Deux mois avant sa mort paralysie complète des 2 côtés à début brusque, a
ans, elle est sobre, n'a jamais été malade. —Grands-parents pater-nel morts ; pas de renseignements. De môme pour les grands
e facilement, mais sa colère ne dure pas; point de migraines. — [Père mort on ne sait de quoi. — Mère morte à 63 ans, de la
ans plus âgé que la mère de notre malade. Onze enfants : 1° garçon, mort de méningite à 13 mois, sans convulsions;— 2° gar
1° garçon, mort de méningite à 13 mois, sans convulsions;— 2° garçon mort de coqueluche à 21 mois; — 3° fille, 24 ans, bien
ien plus saillan t. Température après décès. 1/4 d'heure après la mort ................. 1/2 heure après la mort.......
ès. 1/4 d'heure après la mort................. 1/2 heure après la mort ................... 1 heure après la mort.......
..... 1/2 heure après la mort................... 1 heure après la mort ..................... 2 heures après la mort....
.... 1 heure après la mort..................... 2 heures après la mort ................... 8 heures après la mort......
..... 2 heures après la mort................... 8 heures après la mort ................... Température de la salle.....
ux d'une femme pubère ; il en est de même de l'utérus. Causes de la mort : Congestion pulmonaire, mèningo-ciicrphalite r.h
tisme mais seulement le 15 au soir (38°,6). A partir de là jusqu'à la mort on a constaté : Soir. Matin. lfi a ont 18!lfl
ilal) des soldats crnivient malades. Cette dernière au moment de la mort . (Voir p. 98.) Tous ces chiffres montrent que d
la méningite chronique.—Le poids h l'entrée était de 34 kilogr., à la mort de 33 k. 100. VII. Les détails dans lesquels no
ans, puis du bras droit. —Rougeole rachitisme. — Cachexie; escarres.— Mort de tuberculose. Autopsie. —Méningite; — Tubercu
e il y a 12 ans et, depuis, on ne sait Cfe qu'il est devenu, s'il est mort ou vivant; pas de convulsions, pas de fièvre typh
s vénériennes. Ne buvait pas. N'était pas tubercu-leux. [Sonpé?'e est mort de vieillesse. — Sa mère est bien por-tante. — Su
morte à 70 ans d'une tumeur dans le ventre. — Grand'parents maternels morts âgés également. — Oncles et tantes nombreux et bi
ants vivants et en bonne santé, aucun n'a eu de convul-sions : pas de morts ; — 2e a 3 enfants vivants, pas de convul-sions, u
de morts; — 2e a 3 enfants vivants, pas de convul-sions, un autre est mort de diarrhée infantile; — 3e a 2 enfants bien port
— .... 38=2 40= (1) A Ñ heures du soir.. La température après la mort a été îa suivante : Température à la mort (minu
La température après la mort a été îa suivante : Température à la mort (minuit et demi)............ 42», 1/4 d'heure a
vessie normaux. Quelques ganglions sous le mésentère. Causes de la mort . Méningite chronique; tuberculose pulmonaire ; co
-breuses escarres. VI. Le tableau de la temjoéralure à l'entrée, la mort quinze jours plus tard prouvent combien nous avio
(1). IV. Épilepsie idiopattaque. — Asphyxie au cours d'un accès ; mort . — Congestion légère des poumons. — Stase sanguin
aurait pas mérité d'être publiée si elle ne fournissait un exemple de mort dans un accès et ne nous procurait l'occasion : 1
. — Caractère emporté. — Grand père paternel quelques excès d'alcool; mort subitement. — Rien clans le reste de la famille.
ons vers l'âge de 6 ans attribuées aux vers. Céphalalgies. — Un neveu mort de convulsions. — Rensei-gnements insuffisants. —
2 a?xs (IS91).— Idées de persécution. — Aggravation en 1903 et 1901. — Mort asphyxié au cours d'un accès. Autopsie.— .Stase
as le plus léger soupçon de syphilis. Caractère emporté. [Son père, mort subitement à 44 ans, était comme lui mou-leur en
. Deux sœurs n'ont pas de stigmates nerveux. La ?eme a eu un enfant mort à un mois de convulsions. — La mère n'ayant connu
que 6 ans plus tard; 2° un garçon, 19 ans bien portant; 3° un garçon mort en nourrice à 11 mois du muguet ; 4° une fille mo
rut le 12 de ce mois, à 4 heures du matin, asphyxié dans un accès. La mort fut rapide, 3 minutes au dire de l'infirmier de s
mber do son li t. Revenant ensuite à son premier malade, il le trouva mort , étendu sur le dos, les membres en exten-sion, le
, Température a)rès la mort- Temp. de la salle. Au moment de la mort ...................... ^"A 1/4 d'heure après....
it le plus intéressant est sans contredit la façon dont le malade est mort . C'est là une observation (1) Presque tous les
lard et que celui-ci a consignées dans sa thèse (1). Notre malade est mort dans un accès, et asphyxié. C'est un de ces cas d
très marquée : l'inon-dation sanguine signalée à l'autopsie. IX. La mort d'un ôpileptique au cours d'un accès est chose pl
plutôt assez rare à moins de circonstances particulières. Souvent la mort dans un accès est favorisée par le décubitus abdo
e................... 40 Pneumonie ............................ 40 Mort dans un accès.................... 11 Ce tableau
couché sur le ventre, la face est collée contre l'oreiller (1) et la mort se produit par asphyxie. En voici un nouvel exemp
e produit par asphyxie. En voici un nouvel exemple. Sous ce titre : Mort subite, le Bonhomme normand du 26 août raconte qu
, a été frappé d'une congestion (ou plutôt d'un accès). On l'a trouvé mort la face contre terre. Ce malheureux était épilep-
1902. Fièvre élevée, diarrhée, signes de tuberculose pulmo-naire. — Mort en 1904. Température et poids après décès. Auto
moyenne. Sa famille. Son père, instituteur, sujet aux maux de tête, mort à 76 ans accidentellement (fracture de cuisse), a
aineuse, est morte à 75 ans de vieillesse. — Grands-parents paternels morts très vieux, ni déments ni paralytiques. — Grands-
ts très vieux, ni déments ni paralytiques. — Grands-parents maternels morts le grand-père à 50 ans, à la suite d'un refroidis
e. — Une ta?ite du côté de sa mère, était èpileptique, a eu un garçon mort d'un chaud et froid en 15 jours. On ne sait, si e
nt un garçon (cousin de notre malade) arriéré, sans con-vulsions, est mort à l'âge de quinze ans de maladie incon-nue. — Une
'ont jamais eu de convulsions, étaient intel-ligents ; l'un d'eux est mort d'une fluxion de poitrine. — Dans le reste de la
re, 67 ans, est en bonne santé. — Les grands-parents paternels sont morts , lo grand-père à 50 ans d'un chaud et froid, la g
e à un âge assez avancé, sans paralysie. — Le grand-père maternel est mort à 84 ans, ayant été toujours bien portant, la gra
ernel de la mère étaient cousins germains. Deux enfants : 1° l'aîné mort à l'âge de 4 semaines de mala-die inconnue; 2e no
r demander à boire. Elle rend le lait caillé. Le soir du 29, 39°,8. — Mort à 5 heures du matin sans nouveaux symptômes : râl
inméliatcmcnt après..................... 38° G 1/4 d'heure après la mort ................. 3S° 4 1/2 heure après la mort.
1/4 d'heure après la mort................. 3S° 4 1/2 heure après la mort ................... 3?" 1 heure après la mort...
4 1/2 heure après la mort................... 3?" 1 heure après la mort ..................... 35» 7 2 heures après la mo
1 heure après la mort..................... 35» 7 2 heures après la mort .................... 30° 3 heures après la mort
2 heures après la mort.................... 30° 3 heures après la mort .................... 18" .î heures après la mor
3 heures après la mort .................... 18" .î heures après la mort .................. 16" S heures après la mort .
.î heures après la mort .................. 16" S heures après la mort .................... 15° Température de la sall
les ovaires ont à peine un cinquième du volume normal. Causes de la mort : Tuberculose pulmonaire à la troisième période.
8 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
l'Orne et a cessé de faire partie de la municipalité. De 1871 1 sa mort , survenue le 4 décembre 1885, M. Vallée, dont l
s de prédécès soit de l'un, : soit des deux enfants, la rente, à la mort de ma soeur, se cons- tituerait inaliénable, so
ui sera, au décès de l'un doux, constituée au survivant. ' « A la mort de l'un et de l'autre, le capital, resté intact,
et il est dans mes intentions qu'elles prennent cours le jour de ma mort . « Dans la pensée qu'elles aideront à la réalis
s'il lui survit; en cas de predeces de l'enfant, ladite rente, à la mort de ma nièce, se constituerait inaliénable au prof
ant l'usufruit de la ferme sise rue Bcnscrade, no 1 ; 2° Après sa mort , cet usufruit profitera encore pendant une péri
lles : « Une écurie et un hangar; une petite salle pour dépôt des morts ; enfin, le mobilier; celui légué par M. Vallée et
aissée à la famille du défunt pour une durée de dix années après la mort de M"10 Règniault, la soeur de M. Vallée. Ces d
migraines. - Grand'mère maternelle et arrière-grand-père maternel morts dephthisie. Arrière-grand'mère mater- nelle : r
Syndactylie. Hypospadias. - Tuberculose intestinale et péritonéale. Mort . * Autopsie : tuberculose du péritoine, des gan
peine, sobre, bien portant, calme, intelligent. [Père, cultivateur, mort à 87 ans d'affection cardia- que, sobre. -Mère,
, morte à 80 ans. Grands parents, sobres, pas de détails. -Un frère mort à 16 ans d'une fièvre intermit- tente. 3 frères
ils. -Un frère mort à 16 ans d'une fièvre intermit- tente. 3 frères morts tout jeunes. Une soeur morte à 18 ans subitemen
enfants, sur lesquels on n'a pas de détails. Grand père paternel mort de tuberculose pulmonaire à 44 ans ; il était s
n mouvement. Lesyeuxsonttoujours fermés. L'enfant râle. A8h. 3/4, Mort . - T. R. un quart d'heure après la mort : 360,4.-
s. L'enfant râle. A8h. 3/4, Mort. - T. R. un quart d'heure après la mort : 360,4.- une heure après : 34°, 8; deux heures
kilog 900. A la fin de novembre 1886, 29 kilog. 500. Enfin après la mort , il ne pesait plus que 21 kilog. La taille ne s'é
ce de deux ans anvier 18871-,34). Autopsie faite 36 heures après la mort . Ecchymoses purpu- riques en plaques au niveau
ncement antéro-postérieur. Rumina- tion. Ascarides. - Emaciation. - Mort par cachexie. - Autopsie : Atrophie partielle e
n peu emporté ; pas d'alcoolis- me ; petit fumeur. [Père corroyeur, mort accidentellement, excès de boissons. Mère alién
on mari n'était que son protecteur, etc. » Grands parents maternels morts âgés, on ne sait de quoi. Une soeur, de santé d
dait en larmes (attaques hysté- Tiques). - Grands parents maternels morts âgés, on ne sait de quoi. Un frère mort à 39 an
- Grands parents maternels morts âgés, on ne sait de quoi. Un frère mort à 39 ans de tuberculose pulmonaire avec une hyp
degré de parésie. Les accès épileptiques ont persisté jusqu'à la mort du malade à l'âge de 12 ans, IV. Au point de vu
t cette cachexie spéciale survenant progressivement, déterminant la mort sans que l'exa- men nécroscopique pût en expliq
)rad-pé ? 'e maternel coureur et buveur. - Deux oncles et une tante morts de méningite. - Pas de convulsions. - Marche et
tinuelle. Amélioration. - Devezupropreen1889.-Croup; trachéotomie : mort . -Au- topsie. Fausses membranes laryngées et tr
i arthritisme, ni affections cutanées ou vénériennes. [Père, maçon, mort d'une bronchite à 67 ans, sobre. Mère sobre, mo
légie gauche à la suite d'une première attaque. Grand père paternel mort à 88 ans de vieillesse, pas de dé- mence, trava
te d'un épithé- lioma de la face à 67 ans. Grands parents maternels morts âgés, on ne sait de quoi. 3 oncles paternels, l
maternels morts âgés, on ne sait de quoi. 3 oncles paternels, l'un mort acci- Bourneville, Bicêtre, 1890. 3 34 Antécé
890. 3 34 Antécédents. dentellement, l'autre, bossu à 20 ans, est mort à 63 ans sans enfants, après de nombreux evces
qu'elle a quitté son mari, débauchée, conduite déplorable. [Père mort à 40 ans d'une- fièvre typhoïde compliquée d'acci
Différence d'âge 5 ans. Quatre enfants : notre malade; un garçon mort de mé- ningite à 10 mois; une fillette de 5 an
, Accès de dyspnée avec cyanose du visage. Trachéotomie. 12 Mars. Mort avec élévation thermique (41a, 6) et dyspnée sa
u tout à fait propre. Autopsie, le 13 mars 1890 (23 heures après la mort ). Rigidi- té cadavérique peu accusée. Lividités
es ou cutanées. Marié à 26 ans. Intelligence moyenne.-[Son père est mort accidentellement, il était sobre. Sa mère est m
erveuses ou arthritiques. Elle est d'un caractère assez doux. [Père mort à 75 ans de vieillesse. Mère morte à 35 ans des
mari elle a eu 6 fausses couches et 2 enfants; l'un, de ceux-ci est mort à 5 mois de convulsions internes, l'autre, une fi
e ; Une fille de 7- ans anémique ; pas de convul- sions ; Un garçon mort à 2 jours de convulsions internes; Un garçon mo
sions ; Un garçon mort à 2 jours de convulsions internes; Un garçon mort à 7 mois d'athrepsie ; Un garçon de 4 ans bien
éveloppement exagéré du crâ- ne de 1888 à 1890. 4' Autopsie. La mort survient à midi et demie sans autres phénomènes.
tres phénomènes. La température est de 36°. Une demi-heure après la mort elle est de 35°,5 et de 34° à 1 heure 1/2. '
e 34° à 1 heure 1/2. ' Autopsie le 8 avril 1890, 40 heures après la mort . Rigidi- . té cadavérique. Lividités cadavériqu
pachyméningite de la base au voisinage de la protubérance. IV. La mort étant survenue dans les conditions que l'on sai
g o-encép hal itique) ; Par BOURNEVILLE et MORAUX. SoMMAfUE. Père mort de tuberculose pulmonaire ; fièvre typhoïde gra
e de 2 ans.- Demi-soeur paternelle, convulsions de l'enfance. Frère mort de convulsions. Peur vive au 3° mois de la gros
; mouvement de rotation du tronc. - Mastication nulle. - Gâtisme. - Mort par congestion pulmonaire. Autopsie : nénizgo-e
ts (Renseignements fournis par la mère de l'enfant). Père, facteur, mort à 39 ans de tuberculose pulmonaire, après une m
mariée deux fois, elle a eu 2 enfants du lit et4 du second. [Père, mort avec toute son intelligence, à 94 ans. Mère, 94
onne santé. Grand-père paternel excès de boissons; démence sénile ; mort à 60 ans. Pas de détails sur les autres grands-
ns. Pas de détails sur les autres grands-parents. Un oncle maternel mort à la suite d'excès de boissons répétés. Un frèr
intelligente. Les parents du malade ont eu 4 enfants : 1° Un garçon mort à deux mois de convulsions; 2o Notre malade; -
ort à deux mois de convulsions; 2o Notre malade; - 3° Un gar- çon mort d'athrepsie à 10 mois : 4° Une fille morte athrep
erie. A 9 heures 1/2 nous constatons les phénomènes suivants : la Mort par congestion pulmonaire. 59 face est pâle ; l
i était de 36° le matin, s'élève à z,8 quel- ques instants avant la mort . Les pupilles sont égales et présentent des alt
légèrement dilatés. Cet état persiste sans modifications jusqu'à la mort qui sur- vient à 5 heures du soir. La températu
s du soir. La température descend à 37°, un quart d'heures après la mort et à z,3 une heure après. Autopsie le 30 octobr
es, ni paralysies, ni contractures. - Accès épilep- tiques. - Coma. Mort . Autopsie. Tuberculisation des poumons, des gan
ermée qu'en septembre dernier. [Père, sculpteur sur bois et marbre, mort en 1880, d'une bronchite, faisait des excès de
; une 3° est morte à 15 jours d'une bronchite. Grand- père maternel mort à 85 ans. Une tante maternelle a 80 ans et est
alité d'âge de 8 ans.. Quatre enfants : 1° Notre malade ; 2° Garçon mort à 3 ans d'une hernie étranglée ( ? ) avec hydro
més, il est tombé dans le coma et à 9 h. il a eu 3 secousses et est mort . Poids : 14 k. 700. T. 1/4 d'heure après la mor
3 secousses et est mort. Poids : 14 k. 700. T. 1/4 d'heure après la mort : 37° 4; 1 heure après . 35°; 2 heures après :
es fréquentes de 25 à 40 ans, revenant tous les 15 jours. [Père : mort d'une hernie étranglée à 78 ans; mère, morte d'un
a ménopause. Deux frères dont l'un ivrogne et buveur d'absinthe est mort d'une affection stomacale, l'au- tre, également
: 56 ans, intelligente, un peu nerveuse, mais sans attaques. (Père, mort d'éléphantiasis (Il avait été à Jérusalem avec
882). Père comptable, bien portant, sobre et rangé, un peu nerveux, mort à l'âge de S;) ans (1863) d'une carie du fémur.
Pour Jan. : père alcoolique ; oncle maternel aliéné; deux frères morts de convulsions; lui-même a eu des convulsions à
ulsions à un an. Pour Mari.. : père suicidé ; grand-père paternel mort fou. Pour mère nerveuse (attaques); grand- pè
que et rhumatisant. Con- vulsions. Pour Cliq.. : père migraineux, mort d'intoxication mercurielle (miroitier) ; oncle
ineux, mort d'intoxication mercurielle (miroitier) ; oncle paternel mort fou ; mère et grand'mère maternelles nerveuses.
icrocéphalie très prononcée. - Prognathisme supé- rieur. Diphtérie; mort . Résultats de l'autopsie : absence presque comp
s. [Père,laboureur, sobre, bien portant, sans accidents nerveux ; mort en tombant d'un arbre. Mère, soixante-treize ans,
estation nerveuse, rhumatismale, ni dartreuse. Grand-père paternel, mort on ne sait de quoi. Grand- IICROCÉPH ? L'E. 1.2
ême que la Mère, âgée de soixante-dix ans. Grands parents paternels morts on ne sait de quoi. maternel mort à soixante-qu
ix ans. Grands parents paternels morts on ne sait de quoi. maternel mort à soixante-quatorze ans, épuisé parle travail,
ers soixante-quinze ans à la suite d'un traumatisme. Oncle paternel mort vieux d'une fluxion de poitrine, sans accidents
s nerveux ni chez lui, ni chez ses enfants. Deux tantes paternelles mortes : l'une à la suite d'une opération pratiquée po
ux ans. Quatre cifants. 1° et 2° Deux jumelles, nées à huit mois, mortes en venant au monde. Elles étaient bien conformées
c l'onguent napolitain et lotions vinaigrées toutes les 126 Croup ; mort . heures; cataplasmes de farine de lin, extrait
suivies bientôt de la suspension définitive. T. R. au moment de la mort , 4-1,,2; une heure après la mort, T. Il. 40°,4
définitive. T. R. au moment de la mort, 4-1,,2; une heure après la mort , T. Il. 40°,4 et 36° au bout de deux heures. Au
ure, et a probable- ment obturé la canule, ce qui peut expliquer la mort rapide du sujet On suit les fausses membranes s
ique. Oncle paternel alcoolique et paralytique général. Deux frères morts de convul- sions.- Emotion au sixième mois de l
. [Père, vigoureux; quelques excès de boissons; très rarement gris; mort d'une chute dans l'eau.- Mère, morte à soixante
ze ans « d'un asthme» ; pas de maladie nerveuse. Cinq soeurs : deux mortes , l'une « hydropique », l'autre « je ne sais com
e frontale; un peu nerveuse; pas de maladie de peau, etc. - [Père mort , à quatre-vingt-deux ans, on'ne sait de quoi, iln
», et comme pouvant être au début d'une paralysie générale. Il est mort un an après son admis- sion, en 1868, considéré
tc.] Pas de consanguinité.- Égalité d'âge. Neuf enfants : 1° Garçon mort à trois mois, d'une « inflam- mation » ; pas de
rois mois, d'une « inflam- mation » ; pas de convulsions; 2° garçon mort à quinze mois de convulsions ; 3° garçon mort à
onvulsions; 2° garçon mort à quinze mois de convulsions ; 3° garçon mort à dix-huit mois à la suite d'une coqueluche; 4°
deux mois d'une «gourme ren- trée» ; pas de convulsions; 5° garçon mort à sept ans de con- vulsions; 6° garçon mort à q
convulsions; 5° garçon mort à sept ans de con- vulsions; 6° garçon mort à quatorze jours d'une cholérine; 7° garçon de
sent la saloperie, la cochonnerie, la charcuterie, le fromage de mort ; casent le fromage de cochon, le morceau de viand
e. Hier Jan. a mangé sur l'instigation de ses camarades, un pierrot mort . Purgatif. (PL. VII et VIII.) . Décembre. - Jan
Sa mère, que nous voyons le 25 mars, nous raconte que son mari est mort le 8 décembre 1889 à l'hôpital Beaujon d'une pé
est morte à 63 ans d'une bronchite aiguë et son huitième enfant est mort d'une bronchite chronique sans hémoptysie. ,
ien portant, excès de boisson ; il s'est remarié deux fois après la mort de sa femme et elle ne l'a jamais revu. Mère, m
t avait rendu sa propre mère très malheureuse. Grattd-po'e maternel mort d'une fluxion de poitrine à soixan- te-huit ans
vé l'enfant et l'aurait battu. Sept frères ou soeto's : quatre sont morts tout petits on ne sait de quoi, le cinquième s'
tères ni le nombre exact. La dernière fois on avait cru qu'il était mort On ne sait à quel âge il a parlé ; mais à son r
Sommaire. Père accès de mélancolie ; suicidé, Grand- père paternel mort aliéné. Antécédents maternels nuls. Pas de-cons
n'a pas été enfermé; pas d'aulnes manifestations nerveuses. [Père, mort fou à Charentôn, à la suite de perles d'argent.
ante maternelle a quatre-vingt-cinq ans et se porte bien, Un frère, mort à sept ans d'une maladie d'estomac]. Pas d'autr
aladie de peau, ni de céphalalgies, etc. Mariée à seize ans. [Père, mort à quarante-trois ans d'une maladie de foie; on
'émotion, quand, il y a trois mois, on lui a dit que son père était mort . Il a essayé plusieurs fois de se sauver : mais
bservation V. (Résumé.) O\IIIR1;. - Grand-père paternel alcoolique, mort d'tm cancer du pylore. .irrre grand-père et deu
, morte à vingt trois ans on ne sait de quoi.- Grand père paternel, mort d'accident à vingt- six ans. -Grand'mére patern
se, sobre. Grand-père paternel, très fort, surnommé «l'hercule» » mort usé par la boisson à soixante-trois ans. Grand' m
te très âgée d'usure » ; 13 enfants. Grand père paternel, forgeron, mort à soixante treize ans, on ne sait Antécédents.
. Intestin et vessie, rien de particulier. En-somme la cause de la - mort est due à l'introduction d'ali- ments liquides
aison à cinquante-huit ans à la suite de mauvaises affaires. [Père, mort du choléra. Mère, sujette jusqu'à la ménopause
la famille.] Mère, cinquante-quatre ans, blanchisseuse depuis la mort de son mari, intelligente, calme, sujette à des
Treize frères et soeurs : deux sont en bonne santé; les autres sont morts , l'un tué à la guerre de 1870, une autre des su
morte du croup à trois mois et demi ( ? ) ; 30, 4°, 5° des garçons morts en naissant à la suite de couches Antécédents.
couvert de sueur. Iiaie méningitique très marquée. Coma profond. - Mort , ' AUTOPSIE. 199 Voici le relevé des accès co
de fièvre, revenant chaque année à l'époque des foins, Son père est mort à 72 ans d'une maladie de la vessie, Sa mère, â
déjà il l'asile départemental de Mâcon. - Son père et sa mère sont morts , et il n'est visité pas aucun parent, de sorte
9 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
s. Nous avons il noter, en outre des maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au tableau des déc
donc pas. La distance est aussi très grande entre le service des morts d'une part et la Chapelle d'autre part. Cet éloig
édi- cale, un Musée (celui-ci pourrait être annexé au service des morts ); 10° Enfin nous signalons la nécessité de dote
re cousine débile et débauchée. - Deux grands-oncles et une soeur morts de la poitrine. - Oncle alcoolique. - Tante alcoo
ble, « on le trouvait ivre-mort dans tous les coins de la ville » ; mort d'un refroidissement. - Mère, grande et belle f
a femme qu'il a failli tuer « un jour qu'elle l'obstinait ». Il est mort d'une maladie de coeur. Mère, G2 ans, strabique
Arrêté comme vagabond, on l'a mis à la colonie de Mettray où il est mort peu après. Les médecins au- raient dit qu'il ét
tous les ans un enfant à sa mère. » Deux oncles paternels, sobres, morts de la poitrine. - Une stt7' morte jeune de la p
- Pneumonie caséeuse. - Marche de la température. Sommaire. Père mort tuberculeux. Mère un peu ner- veuse, morte tube
chaux; guérison de la diarrhée. - Tuberculisation pul- monaire ; mort . AUTOPSIE. - Arrêt de développement des circonv
nsanguinité. - Inégalité d'âge de 10 ans. 4 enfants : 1° un garçon, mort d'une bronchite à 2 ans ; il marchait mais ne p
on ; râles ronflants assez nombreux à l'aus-. Baoncrro-rEr.mtorrr ; mort . 27 cultation. - On continue le salicylate de c
s la soirée. Pelt...., depuis son entrée 126 avril 1880) jusqu'à sa mort (1er janvier 1881), a eu 76 accès et i vertiges
lligente condamnée pour vol. Grand-père maternel, excès de boisson; mort paralysé. Grand'mère maternelle morte paralysée
mort paralysé. Grand'mère maternelle morte paralysée. Deux soeurs mortes de coqueluche. Pas de consanguinité, - Ren- sei
rrhée séreuse. - Salicylale de chaux, - Accidents pulmonai- res : Mort . Autopsie. Adhérences considérables de la pute-
tisant ; s'est « démonté l'épaule » il y a a 12 mois. [Son père est mort après avoir été paralysé pendant 6 ans, consécu
. - Nul détail sur sa mère, morte à 77 ans. - 10 frères et suceurs. morts on ne sait de quoi. Pas d'antécédents héréditai
s intelligents d'un 1er mariage. [Son père, laboureur, ivrogne, est mort paralysé à 70 ans. - Sa mère, intelligente et s
ie due à l'onanisme ; Démence consécutive État de mal épileptique ; mort ; . Par BOURNEVILLE et WU ! LLAMIER L'observa
Description du malade. Diarrhée séreuse. - Etat de mal épileptique; mort . Autopsie. - Asymétrie crânienne. Inégalité des
qu'un érysipèle h '2'1 ans. [Son père, cou- vreur en chaume, serait mort , h 3't ans, d'une « fièvre chaude » ; cela para
aude » ; cela parait avoir été une fièvre typhoïde car il en serait mort « 80 dans le pays il ce moment lit ». Sa mère v
trochanter gaucho. Sulfate de quinine 0.50 en lavement. 36 accès. - Mort à minuit. T.Il. 42°, 2 IIerg.... depuis son ent
Il. 42°, 2 IIerg.... depuis son entrée (9 octobre z1880) jusqu'à sa mort (24 décembre 1880), soit 76 jours, à eu 195 acc
-grand'mére maternelle morte de la poitrine. - Grand-oncle maternel mort d'at- taques de paralysie. - Cousin germain mat
maternel mort d'at- taques de paralysie. - Cousin germain maternel mort de méningite. - Grand'tante maternelle, aliénée
vers 3 ans. Scarlatine il. 3 ans. 77o ? ntptëgie droite. Rougeole, mort . Au)OPSiE. Os du crâne minces et peu durs. - Ps
, d'hémianesthësie. Pas de syphi- lis. Assez grand fumeur. - [Père, mort à 48 ans, ouvrier, on ne peut donner aucun rens
é malade, n'a jamais eu d'accidents nerveux. - Grand-père paternel, mort à 82 ans, de vieillesse. - Grand'mère paternell
ernel. Pas d'oncle ni de tante paternels connus. Un oncle maternel, mort à 40 ans, paralysé : cutte paralysie datait de
s autres attaques. - Il y a eu d'autres oncles et tantes maternels, morts jeunes et sur lesquels on manque de renseigneme
ment frappé de la faiblesse des bruits cardiaques, qu'il redouta la mort de l'enfant. Les grandes douleurs durèrent 7 h.
cès et beaucoup de vertiges, se balance sans- Cachexie ; rougeole ; mort . 47 cesse, mange beaucoup et, malgré cela, tomb
âles sous-crépitants dans les deux poumons. V. T. 40°. . 6 mars : mort . - T.R. aussitôt après la mort 39°, 2 ; un quar
deux poumons. V. T. 40°. . 6 mars : mort. - T.R. aussitôt après la mort 39°, 2 ; un quart d'heure après, 38° ; - une he
- Température de la salle : 10°. Autopsie, faite 29 heures après la mort . - L'aspect extérieur du corps dénote une cache
d-père est atteint de ramollissement cérébral, un grand-oncle est mort paralysé, une grand'tante serait morte alié- né
ncement; gâtisme. - Cachexie progressive avec escharres au sacrum ; mort . AUTOPSIE. - Pseudo-hyste du lobe temporal gauc
lusieurs petites plaies que l'enfant s'est faites avec ses mains. - Mort le 5 mars. Température après décès : Pseudo-p
Pseudo-porencéphalie double. 59 Autopsie faite 36 heures après la mort . Tête. -- Le cuir chevelu est très maigre et tr
ez le foetus, ces lésions peuvent être portées, sans occasionner la mort , à un degré d'in- tensité beaucoup plus considé
- Paralysie incomplète du côté gauche. 131'071C110-1771eLL717071Le; mort . AUTOPSIE. - Porencéphalie vraie de l'hémisphèr
rès nerveuse, très impressionnable, mais point d'attaques. - [Père, mort à 40 ans d'excès de boisson, après plusieurs an
eption, la mère était malade, très fatiguée et très affectée par la mort d'une per- sonne de sa famille ; le père était
ns sont glabres. Mensurations de la tête. BlIONCHO-PNI : UMONIE ; mort . 67 au tact, à la douleur et à la température.
duit; 24 heures avant le décès, apparition d'une escharre sacrée. - Mort , le 17 janvier, aune heure et demie du soir. A
t heures après, 20°...... - T. de la chambre, 20°. - Poids après la mort : 11 kilog. 500, Autopsie : faite 34 heures apr
après la mort : 11 kilog. 500, Autopsie : faite 34 heures après la mort . - Thorax. - Pou- mon droit, emphysème et légèr
éséquilibrée. Sa mère est migraineuse. Le grand-père maternel est mort d'alcoolisme. Un des arrière-grands-pères mater
aspect chagriné; - Méningite récente; - Pneumonie casé- euse ; - mort ; PAn BOURNEVILLE ET JACOMET. w SOMMAIRE. Père
le paternel bègue. - Demi-frère pa- teln2ellnort tuberculeux. Frère mort de méningite tuber- culeuse. Pasdeconsanguinitè
à 7 mois. - Rougeole à 2 ans et demi, - 1897. Pneumonie caséeuse. Mort . AUTOPSIE, - Aspect louche de la pic-mère de la
aines. - Les rensei- gnements sur sa famille manquent. Son père est mort de cause inconnue. Sa mère est morte à 87 ans d
remière femme mourut d'acci- dent, il en eut trois enfants qui sont morts , deux on ne sait de quoi, l'autre, à 22 ans, de
e de peau. - Elle n'est pas nerveuse, caractère calme. - [Son père, mort des suites d'un coup de pied de cheval, était a
s migraines qui l'obligent à se coucher. - Grand-père pater- nel, mort à 52 ans, asthmatique. Grand'mère paternelle, m
ans : l'ainé a 13 ans actuellement; pas de convulsions; trois sont morts , l'un de méningite tuber- culeuse à 5 ans ; deu
ltation, souffle à droite et véritable bruit de tempête à gauche. - Mort à 11 heures du matin. 92 MÉNINGITE CHRONIQUE.
ture centrale très élevée (41°,5). Les températures prises après la mort ont montré que l'équilibre entre le cadavre et
thermométrie, dans notre climat, pour s'assurer de la réalité de la mort . V. Les lésions constatées à l'autopsie peuvent
UDEL. SOMMAIRE. Père, rien de particulier. Grand' père pater- nel mort de congestion cérébrale. - Arrière grand-père p
à 6 ans. - Vacciné deux fois sans succès. - Cachexie. - Diarrhée. Mort . AUTOPSIE. - Symphyse cardiaque et nombreuses a
e de 27 ans. Marié à 29 ans. - Très sobre et bien portant. - [Père, mort subitement, sans doute d'une congestion cérébra
ds parents paternels, pas de renseignements. Grand-père maternel, mort de "coliques" à 84 ans, commettait quelques excès
uses. - Grands parents maternels, pas de renseignements; seraient morts jeunes. - Les grands parents paternels étaient le
té de sa mère, si ce n'est qu'un oncle maternel et deux tantes sont morts jeunes. On ne sait s'ils ont eu des convulsions
avons à relever les particularités suivantes : grand-père paternel, mort d'une conges- tion cérébrale ; des excès de boi
rand'mère paternelle migraineuse et ner- veuse. Grand-père maternel mort tuberculeux. Grand'- mère maternelle cardiaque.
Traitement de l'hydro- céphalie. Imdattte. Diarrhée. - Dyspnée, - Mort . AUTOPSIE. - Crâne : persistance de la fontanel
de l'enfant le 25 décembre 1893). - Père, peintre en décors, est mort à 32 ans de phtisie pulmonaire. Très sobre et trè
s intenses depuis son retour d'âge. - Le grand-père paternel serait mort à 72 ans, durant la guerre.- Une grand'- mère m
renseignements sur les autres grands-parents. Trois frères dont un mort en naissant. L'aîné des survivants a 32 ans, est
re blépharite ciliaire dans son enfance. Famille de la mère . Père, mort à 45 ans de tuberculose pulmonaire. Cet homme,
se d'une maladie d'yeux ( ? ).- Grand-père paternel, cultivateur, mort à 61 ans, très travailleur, pas d'autres renseign
bien Antécédents PERSONNELS. 113 portante. - Grand-père maternel mort subitement à 42 ans ; intendant à la campagne,
ois du choléra infantile. Elle a eu des convulsions au moment de la mort . Elle paraissait devoir bien venir. - La troisi
progrès, grâce à l'éducation qu'essayait de lui donner la mère. La mort du père mit un terme aux soins maternels et les
R. 41°, 4. L'enfant meurt à 8 heures du matin. Température après la mort . Hydrocéphalie : crâne. 119 tendres, avec de
ie intercurrente qui semble la simple cause occasion- nelle de la mort . L'autopsie, du reste, ne révèle aux viscères (
ternelle : rhumatisme articulaire chronique. - Grand-oncle maternel mort de tuberculose. - Pas de consanguinité. - Inéga
omplète de développement physique et intellec- tuel. État de mal. - Mort en 11 jours. Autopsie .- Mërutu/o-en.cëp/tattte
gagné la base du poumon gauche; le poumon droit ne se dégage pas, - Mort à heures de l'après . Etat de MAL épileptique.
momentanée du petit mal. VII. L'état de mal, qui a occasionné la mort de l'enfant, s'est borné à la période convulsiv
Ons. II. - Epilepsie idiopathique; accès sériels; - état de mal; mort ; élévation considérable de la température. Som
à 1'1 ans. Caractère violent. Déchéance. Plusieurs séries d'accès. Mort en état de mal épileptique avec accidents Se2lc
le 59 septembre 1879, est entré à Bicêtre le 13 juillet 1893 et est mort le 20 février 1896. Antécédents. (Renseignement
, très-violent. Pas de renseignements sur les grands mères. - Frère mort il 12 ans, tuberculeux ; second frère de 32 ans
i ans, très intelligent, mais bizarre de caractère ; 7° un garçon mort du croup à 4 ans. Notre malade. Conception dans
dernière notation thermométrique été prise pendant la vie. Après la mort la T. s'est élevée il. 42°.... 144 Etat DE MAL
rès haut dans l'état de mal. (1-'ig. 7, T. IL 42°,3 au moment de la mort ). Le malade a succombé, non dans la période con
ût 1S ! )6). - Marche des accès. Déchéance progressive. - Diarrhée; mort . AUTOPSIE. - Atrophie lobaire intéressant la pl
de particulier chez les grands-parents. Le grand-père paternel est mort à 96 ans ; la grand'mère pater- nelle, à 83 ans
très fort, non nerveux; 3° fille, 14 ans, pas nerveuse ; 4" garçon mort à 9 ans, de la fièvre typhoïde; 5° fille morte
une déchéance progressive de l'intelli- gence. De l'admission à la mort , la déchéance a continué de croitre. . IV. La
admission à la mort, la déchéance a continué de croitre. . IV. La mort a été occasionnée par l'affaiblissement dû aux
rnels et sur sa grand'mère maternelle. - Le grand-père maternel est mort à 84 ans des suites d'une chute. - Rien à menti
sions (2) ; 2° fille morte à 14 mois après avoir eu des con- (1) Mort en 1891 à Page de 77 ans, on ne sait de quoi : ni
10 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
céphalie , mais encore les photographies prises antérieurement à la mort et le buste en plâtre du malade, pris après le
e et bis- aïeule alcooliques. - Soeur morte de convulsions. Frère mort de maladie bleue. -- Premières convulsions à 7
ugeole : Symptômes; Température ; -- Marche ; Bronchio-pzeunozie. - Mort . AUTOPSIE. - Ilôts de sclérose hypei'trophique
ie d'une diminution de la mémoire. Pas d'excès de bois- son. [Père, mort d'une affection du coeur à 32 ans; maçon; alcoo
chacune de ses grossesses; alcoolique; s'est mariée à 25 ans. [Père mort à 70 ans; mère, morte à 72 ans d'une tumeur au
3° fille morte à 1 mois, de diarrhée, sans convulsions ; 4° garçon mort à 1 mois, de diarrhée, sans convulsions ; 5° fa
4 mois 1/2, alors qu'elle était atteinte de la variole; 12° garçon mort en 2 jours à l'âge de 5 mois, dans le cours d'u
u. Le pouls est très rapide. T. R. 40°.4. (Vésicatoire.) 24 Janv. Mort ce matin à 7 heures 11` ? , dans le coma. T. R.
an- vier 1881, 27 accès, t Autopsie, vingt-quatre heures après la mort . - Thorax. Hépatisation de tout le lobe supérie
asuccombé à une bronchio-pneumonie, [consécutive à la rougeole. La mort est survenue au bout de 10 jours. La températur
embra- neuse. Pneumonie. - Température hyperpy rétique (43°,4). - Mort . AUTOPSIE.-Ilots de sclérose tubéreuse ou hyper
jeunesse,elle a eu quelques éruptions dartreuses aux jambes. [Père mort d'une affection gastro-intestinale aiguë; non a
s.] Pas de consanguinité. Sept enfants : 1° et2° deux jumelles (1), mortes l'une à 20 jours, « de faiblesse n, l'autre à s
à 9 mois, de diarrhée cholé- riforme ; 4° notre malade ; 5° garçon mort à 11 mois, de diarrhée; 6° garçon âgé de 3 ans
cessivement avec plusieurs ther- momètres à maxima s'élève à 43°,4. Mort à 1 heure du ma- tin, dans le coma, sans accès
convulsions. T. R. post mortem : 43°. Autopsie 30 heures après la mort . Thorax. Le pou- mon gauche est un peu affaissé
paralysie à gauche, contracture. - Affaiblissement progressif. - Mort . Autopsie : Mé7zizgo-ezcépha- lite ; ablation p
rait eu des convulsions jusqu'à l'âge de 6 ou 7 ans. [ Son père est mort subitement ( ? ); il était sobre. Sa mère, mari
langue. Sa mère est bien portante, un peu ner- veuse. Un frère est mort d'une fièvre cérébrale à 3 ans. Deux cousins de
erminant, au bout de plusieurs semaines ou de plusieurs mois par la mort , et dans lesquels nous n'avons relevé aucune lé
ille). Antécédents. - Père : .-boulanger, alcoolique (vin blanc), mort d'un asthme symptomatique de bronchite chronique
il n'aurait pas eu d'autre maladie. [Deux frères; le plus jeune est mort prématurément, on ne sait de quoi. L'autre a su
Grand'mère maternelle morte d'un carcinome à la cuisse ; grand-père mort de vieillesse à 98 ans et demi. Deux soeurs, l'
fants en bonne santé; l'autre morte en couches à 47 ans. Un frère mort de fièvre typhoïde]. Pas de consanguinité. Le m
n garçon rhumati- sant, qui avait « une espèce de goutte z ; il est mort à 40 ans à la suite d'excès de boisson (absinth
lgies de la tête qui sont aujourd'hui en voie de diminution. [Père, mort à 67 ans,d'une fluxion depoitrine; ni excès, ni
NEVILLE. Renseignements fournis par sa femme (9 mars 1881). Père, mort on ne sait de quoi, âgé de plus de 60 ans ; il ét
e taille assez élevée. Notre malade a eu six frères. L'un d'eux est mort après être resté alité et paralysé pendant deux
ont lit, et, sans pousser de cri, est retombé brusquement. Il était mort . Autopsie, 24 heures après la mort.- Thorax. Il
retombé brusquement. Il était mort. Autopsie, 24 heures après la mort .- Thorax. Il n'existe pas d'altération du paren
Renseignements fournis par sa belle-soeur (1). Père, cultivateur, mort on ne sait de quoi. Mère, morte quand notre mal
resse et répond à peu près exactement. T. R. 39 ? ? . 25 juillet. Mort à 3 heures de l'après midi. Autopsie : 2'1 heur
et. Mort à 3 heures de l'après midi. Autopsie : 2'1 heures après la mort . Absence de rigidité cadavérique. Thorax. Il
. - Gâtisme, - Maladies intercurrentes. - Constipation opiniâtre. - Mort . Autopsie : Absence de lésions cérébrales ; lés
du lobule de l'insula. EPILEPSIE IDIOPATHIQUE. 87 quand il est mort , à l'âge de 65 ans, on ne sait de quelle ma- la
thmatique, a eu des hémoptysies, n'est pas ner- veuse. Son père est mort du choléra en 1832, à 48 ans ; sa mère est mort
alade; 2° un garçon, convulsions dans l'enfance, vivant ; 3° garçon mort de convulsions tout jeune : 4° gar- çon, convul
fille, 23 ans, bien portante, a eu des convulsions; 8° et 9° filles mortes jeunes, avaient eu des convulsions; 10° garçon,
ucune périodicité. 90 MARCHE DES ACCÈS. OBSTRUCTION INTESTINALE : MORT . 91 hranes 1145 gr. Nous ne trouvons aucune lés
mère est très nerveuse, colérique; un de ses cousins germains est mort fou. Pas de consanguinité. Deux enfants, dont l'u
s est mort fou. Pas de consanguinité. Deux enfants, dont l'un est mort ; l'autre est notre malade. La grossesse en a été
ère, bien portante. Pas de consanguinité. Cinq enfants, dont deux morts , mais sans manifestations nerveuses. Notre mala
cer utérin. Pas do consanguinité. ' Six enfants, dont quatre sont morts . L'un deux, frère 106 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE.
issus de germains). - Quatre enfants : 1° notre malade ; 2° garçon mort de méningite a 22 mois ; 3° garçon de 6 ans, av
e). . Renseignements fournis par sa mère (22 janvier 1881). Père, mort d'anémie pernicieuse progressive ( ? ) à l'âge de
t des palpitations cardiaques. [Père et mère, sains. Un frère est mort soldat en Afrique, où il avait été envoyé pour
la catégorie des cas de rougeole avec complications non suivies de mort . Observation VIII. - .4 ? ifece'dents héréditai
i- dents lndmonaires. - Convalescence. - Tuberculose pulmonaire : mort . -Sclérose atrophique. Duchaus..., Gaston, est
. Mariage à 28 et 22 ans. Deux enfants : 1° Notre malade; 2° enfant mort d'athrepsie à mois, avec convulsions internes.
. - L'enfant meurt le 18 avril. Autopsie faite 30 heures après la mort . Pas de rigidité TUBERCULOSE CONSÉCUTIVE. 123
éditaires et consanguinité. - Rougeole; adénolrztllies ; diarrhée ; mort . Autopsie. Buv...., Camille, âgé de 8 ans, est
phalalgie, sans autres manifestations morbides et nerveuses. [Père, mort d'une affection de la poitrine. Mère, morte ast
. Quatre enfants : Il garçon, 24 ans, bien portant ; 2° gar- çon, mort à 7 ans de « fièvre muqueuse » avec convulsions;
lent, comme étranger à ce qui se passe auprès de lui. 19 février. Mort à 8 h. 1/2 du matin. Du 15 au 20 janvier inclus
bservation, nous rencontrons la première de nos rougeoles suivie de mort . Nous l'avons rangée à dessein dans la catégori
directement entraîné l'issue fatale. L'enfant, en effet, n'est pas mort de la rougeole même, mais d'une affection absol
déjà lon- gue de notre épidémie, se trouvent réunis les cas où la mort est survenue pendant l'évolution de la fièvre éru
pétiflo persistant du cuir chevelu. - Rougeole. .Hroc/t0peumo ? ue. Mort . Mor..., Florentin, est entré le 23 mai 1879, à
1879) et n'en a pas reçu de nouvelles depuis. [Père et trois frères morts de fièvre typhoïde.] Mère, 25 ans, couturière,
une morte à 18 ans do fièvre cérébrale. Un grand oncle maternel est mort aliéné et son fils, cou- sin issu de gcrmains d
son fils, cou- sin issu de gcrmains de la mère de notre malade, est mort j'ou, à l'asile do Vaucluse vers la fin de 1878
0° avant la mod qui survient il 6 h. du , Température post avant la mort qui survient l'en- 6 h. du ..matin : Températur
enne. - Idiotie complète. - Amélioration à l'hô- pitàl. Rougeole. - Mort pendant l'éruption. Au- topsie. Pas de lésions
a ROUGEOLES COMPLIQUÉES. 139 température, une demi-heure avant la mort était à 38°,4. T. R. post mortes, 40°. (fit. 14
température, une demi-heure avant la mort était à 38°,4. T. R. post mortes , 40°. (fit. 14). Autopsie, vingt-quatre heures
post mortes, 40°. (fit. 14). Autopsie, vingt-quatre heures après la mort . Thorax. A l'ouverture de la poitrine, on trouv
oint la consistance estplus ferme que sur le reste du cerveau. La mort est survenue, dans ce cas, le second jour de l'
ion s'est brus- 140 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. quement terminée par la mort , et que d'ailleurs le symp- tôme prédominant ré
ète. Rumination nu Méry- cisme. Rougeole. -l3roncho-Zzzzeuznonie. - Mort . Autopsie. - Déformation symétrique de la boîte
l a été atteint de fièvre typhoïde : il s'est marié à 22 ans. [Père mort phthisique; mère, morte asth- matique ; 10 frèr
la fa- mille]. Pas de consanguinité. Cinq grossesses : 1° garçon mort do convulsions à l'âge de 4 mois; 2° notre mala
e de nombreux râles sous-crépitants, fins et disséminés. T. R. 40°. Mort dans la nuit. Autopsie faite trente heures ap
R. 40°. Mort dans la nuit. Autopsie faite trente heures après la mort . - Thorax. Le poumon gauche présente les lésion
ébut de l'hydrocéphalie et un an. - Idiotie complète. - Rougeole. - Mort à la période d'invasion. -Au- topsie. Pas de lé
telligent, bonne santé habi- tuelle. Nul antécédent morbide. [Père, mort on ne sait de quoi. Mère, morte de cholérine, i
0 gr. et extrait de qquina,2 gr.; badigeon- nage iodé sur le, dos). Mort à 5 h. du soir dans un coma progressif. T. R. p
r le, dos). Mort à 5 h. du soir dans un coma progressif. T. R. post mortes , 41°; une heure plus tard 41°. Autopsie, 36 heu
mortes, 41°; une heure plus tard 41°. Autopsie, 36 heures après la mort . Thorax. Les pou- mons sont entièrement sains.
du lecteur le tracé thermométrique (fig. 17) et de rappeler que la mort a été occasionnée par une broncho-pneumonie.
me temps « des pilules au mercure ». [Père, aveugle à 27 -ans est mort d'une bronchite aiguë. Mère, ainsi que l'un des q
mort d'une bronchite aiguë. Mère, ainsi que l'un des quatre frères, morts de phthisie. Les trois autres frères ont suc- c
di. T. R. post mortem : 42°,4. Autopsie, vingt-deux heures après la mort . - La rigi- dité cadavérique est peu prononcée.
us sommes en présence d'une forme grave de purpura, qui entraîne la mort en quelques jours. C'est là une complication ex
t dont la gravité avait déjà été mise en relief par Barrier « ...La mort arrive moins, dit cet auteur, par le fait des h
trouve pas de lésions locales suffisantes pour rendre compte de la mort .... » Dans ce cas cependant, nous avons rencont
iotie complète. Rougeole. - Convalescence, Accidents pulmonaires. - Mort . /lutops : e. P y opneumo thorax. Cavernes gan-
uturière, intelligente, sujette à la jalou- sie. [Père, alcoolique, mort avec des douleurs de tête très intenses. Pas d'
dans la famille]. Pas de consanguinité. Six enfants : 1° garçon, mort à 5 ou 6 jours en nourrice ; 2° fille, 12 ans,
mois; 5° garçon, 8 ans, bien portant; pas de convulsions; Go garçon mort à8jours, sans convulsions. Notre malade. La g
l'après-midi. T. R. post mortem, 40% Autopsie. 40 heures après la mort . Absence de rigidité cadavérique. Saillie de la
ue constamment le siège des lésions surajoutées. Les trois cas de mort , publiés par M. Delasiauve, ont trait à des suj
s la liste des décès avec l'âge des sujets,la cause et ladate de la mort , et nous voyons que : COMPARAISON DES DEUX ÉP
11 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
convul- sions ; marié à 23 ans; pas d'indices de syphilis. - [Père, mort it 7'1 ans, subitement, d'une maladie de coeur,
sur les grand'parents paternels. r Les grand parents maternels sont morts vieux. - Deux oncles' paternels : l'un, qui buv
orts vieux. - Deux oncles' paternels : l'un, qui buvait un peu, est mort d'une fluxion de poitrine, l'autre est en bonne
e âgée. On ne sait rien des oncles et tantes mater- nels. Un frère, mort à 5 ou G ans, on ne sait de quoi. Deux soeurs m
erveux : l'une a deux enfants bien portants, l'autre a eu un enfant mort du croup. Une cousine germaine maternelle, âgée
toujours été sobre. Grand-père paternel, cultivateur, sobre; est mort il 72 ans, usé par le travail. Grand'mère pater
n'avait jamais eu de maladie nerveuse, sobre. Grand-père paternel, mort à 85 ans de vieillesse, cultivateur, sobre. Gra
arié trois fois, la troisième fois à 27 ans. » Grand-père maternel, mort jeune. Grand'mère, morte à 86 ans de vieillesse
t, a deux filles mariées, sans enfants, en bonne santé; l'autre est mort ily a 3 mois, à 6 ! t ans, sans accidents nerve
'est néanmoins mariée et a eu un enfant t ci Affection familiale. mort en venant au monde. Une tante paternelle, usée pa
nerveux. Elle a eu un fils qui faisait des excès de boisson et est mort d'une fluxion de poi- trine ; sesenfants n'ontp
nvulsions ni d'infection méningitique. Celui de nos enfanls qui est mort a eu la rougeole dont l'influence sur la maladi
lomb, attaque de paralysie, excès de boisson, tentative de suicide, mort d'une congestion cérébrale. Plusieurs cousins m
ve de suicide, mort d'une congestion cérébrale. Plusieurs cousins morts de méningite, une cousine de tuberculose pulmon
- Cousin excès de boisson. Cousine peu intelligente. Oncle paternel mort de méningite. - Tante paternelle morte de convu
ions. Mère,.très impressionnable, peureuse. Grand-père mater- nel mort tuberculeux. Arrière-grand'mère maternelle mort
aque apoplectique avec paralysie. - Plu- sieurs cousins et cousines morts de méningite. Oncle maternel mort de tuberculos
lu- sieurs cousins et cousines morts de méningite. Oncle maternel mort de tuberculose. Frère, accès d'épilepsie. Pas d
ité; il a une hernie, est asthmatique. [Sa famille : Père, sobre, mort à 52 ans d'une maladie du foie, comédien, aurai
un seul vivant. Antécédents héréditaires. 25 Grand-père paternel, mort à 84 ans, à la suite d'une fracture de jambe, «
rait plus revu ; il aurait été sergent puis dégradé. Oncle maternel mort à 68 ans, de congestion au cerveau, peintre en
re. Une de ses filles a eu 13 ou 14 enfants qui sont presque tous morts de méningite ; une autre fille est morte de tuber
ourquoi on l'a mise SoeUl'». Un frère et deux soeurs : Le frère est mort tout jeune de méningite ; La soeur ainée est mo
ni fièvre typhoïde, ni fièvre intermittente. [Sa famille. Père : mort à 61 ans, poitrinaire et ayant « une maladie de
eune, une cécité passagère, bonne conduite. Grand-père paternel : mort il 75 ans, boucher, sobre, avait des doulours.-
ont tenue longtemps alitée, était très grosse. Grand-père maternel, mort à 72 ans de congestion pulmonaire, sobre, avait
e, est restée plusieurs jours malade. Elle a eu deux petites filles mortes de méningite et un petit fils bossu et atteint
s mortes de méningite et un petit fils bossu et atteint de coxalgie mort de méningite à 7 ans. Un oncle et 5 tantes pate
de méningite à 7 ans. Un oncle et 5 tantes paternels : l'oncle est mort âgé, à l'Hôtel-Dieu, d'une hernie étranglée; il
s : un fils qui est bien portant, un 2me fils bossu, coxalgique est mort de méningite, deux petites filles sont mortes d
bossu, coxalgique est mort de méningite, deux petites filles sont mortes de méningite également. Un frère mort de tuber-
e, deux petites filles sont mortes de méningite également. Un frère mort de tuber- culose pulmonaire à 22 ans; il avait
a 30 ans, un peu nerveuse, pas migraineuse, a eu un enfant qui est mort du croup et qui n'a pas eu de convulsions, l'au
était impo- tent et énorme; on le [rainait dans une voiture. Il est mort vieux, on ne sait de quoi.] Pas de consanguin
us âgé). 7 enfants : 1° notre malade; 2° un garçon « magnifique » mort du croup à 10 mois z2, sans convulsions; était in
nférieurs. Traitement thyroïdien. 41 deux cousins et six cousines morts de méningite ; un frère épileptique. Rappelons
s étranger de l'oesophage chez un idiot; Hématémèses foudroyantes ; Mort . Sommaire. Père alcoolique. Tante paternelle mo
morte d'un abcès cérébral. Une autre tante aliénée. Trois frères morts jeunes de convulsions. Dix neveux morts de méni
tante aliénée. Trois frères morts jeunes de convulsions. Dix neveux morts de méningite. - Un frère a eu des convulsions,
sives. Intelligence nulle, parole difficile, traînante, nasillarde. Mort causée par un corps étranger de l'extrémité inf
, dit-il, je ne sais plus ce que je fais ». Famille du père . Père, mort il 78 ans, jamais malade, buvait peu, ne fumait
Les grands parents du côté du père et du coté de la mère sont tous morts vieux. Trois tantes : l'une, âgée de 55 ans, es
e; elle est morte à 08 ans Sept soeurs et cinq frères, presque tous morts en bas de convulsions. Parmi les frères et soeu
nstruelles; une autre soeur a eu dix-neuf en- fants dont seize sont morts jeunes de méningite ou de coque- luche. Un frèr
. 31a,2 et 370,4. Cet état persiste jusqu'au 5 novembre, jour de la mort . 52 Idiotie et épilepsie. Aucun accès du ICI'
étranger de l'oesophage chez un idiot; Hématé- mèses foudroyantes ; Mort (1). SOMMAIRE. Père, fréquentes céphalalgies, é
e très nerveuse, périodes d'amnésie. - Arrière-grand-père maternel, mort de con- gestion cérébrale. -Arrière-grand'mère
Idiotie complète. Corps étranger de l'oesophage. Ilématé112éses. - Mort . AUTOPSIE. - adhérences de la pie-mère à l'hémi
sont séparés parce que le père voyait d'autres femmes. Son père est mort de pneumonie, aupa- ravant bien portant. Mère,
tes migraines. - Grands-parents, aucuns renseignements. Deux oncles morts vers l'âge de 70 ans et une tante morte vers 8-
arement, la dernière date de 1897. Pas de mi- graines. Son père est mort de diabète, sa mère vivante, très nerveuse, a p
nerveuse, a présenté des périodes d'amnésie. - Grand- père paternel mort vers 72 ans, sobre. Grand'mère paternelle morte
s noces un épileptique dont elle aurait eu deux enfants, un garçon, mort de convulsions à 15 jours, une fille, bien port
rence d'âge, 6 ans. (Père plus âgé). Quatre enfants : 1er Garçon, mort de convulsions à 5 semaines ; - 2° fausse couch
fant fut atteint d'idiotie complète, il était améliorable. IV. La mort a été occasionnée par des hémorragies abondante
r. - Arrière grand' mère paternelle paralysée. Grand-oncle paternel mort poitrinaire. Autre grand-oncle paternel, alcool
Gand où elle est morte de vieillesse. z Le grand-père paternel est mort d'une maladie nerveuse, la grand'mère paternell
détail sur les grands-parents maternels. -- Quatre frères : un est mort à l'âge de 27 ans, de laryngite tuberculeuse, d
xième « grand viveur » faisait de nombreux excès de boissons et est mort « épuisé M il l'âge de 40 ans. 11 a laissé deux
ient jamais eu de convulsions. L'un a eu 8 enfants, dont trois sont morts , on ne sait de quoi; l'autre en a eu trois, par
père, alcoolique, au moins à une époque. Un arrière grand père est mort d'une maladie nerveuse, une ar- rière grand'mèr
re, nom- breux grands-oncles, grand'tanles et une, tante paternels, morts de tuberculose. - Tante paternelle, convulsions
de la tête, du front surtout. Accidents Mten ! 'n9 : < : 9t;es ; mort rapide. - Autopsie. Crdne mince avec de nombreu
Ses grands-parents paternels et son grand-père maternel seraient morts vieux, il ne sait de quoi. Sa grand'mère maternel
pas eu de convulsions. Quatre oncles maternels, célibataires, sont morts vers trente-cinq ou trente-six ans de la tubercul
tuberculose. Sept tantes maternelles dont cinq, célibataires, sont mortes vers , Antécédents héréditaires. 83 trente-qu
is, l'enfant meurt avec une T. R. de 40°,5. La température après la mort a offert la marche ci-après : 90 Idiotie micr
iqlle à laquelle l'enfant a succombé 1. IV. La température après la mort montre que progres- sivement, en lu heures, ell
gues, le thermomètre fournit un signe certain de la réalité de la mort . V. Au point de vue anatomo-pathologique, nous
à tout ce qui l'entoure, sauf aux aliments. - Bron- cho-pneumonie ; mort . AUTOPSIE. - Os du crâne assez épais et assez d
t succombé les enfants : XV. Idiotie myxoedémtaeuse ; pleurésie ; mort ; Par BOURNEVILLE et LAURENS. Sommaire. Père,
ance de la fontanelle antérieure, etc. 1899; Pleurésie purulente; mort . Autopsie. Crâne très mince et d'un blanc légè7
nez aquilin et les cheveux noirs. Famille du père. Père alcoolique, mort à 62 ans d'un chaud et froid, a toujours été bi
elle, morte à 82 ans, ni démente, ni para- lysée. Oncles et tantes, morts très-vieux. Deux frères : un mort à 28 ans d'un
para- lysée. Oncles et tantes, morts très-vieux. Deux frères : un mort à 28 ans d'une chute d'arbre, l'autre est âgé de
pendant longtemps des pertes blanches. Famille de la mère. - Père, mort à fi5 ans d'une maladie cachectisante, cancer o
oncle et deux tantes maternelles, un oncle et une tante paternels, morts âgés. Ils ont eu des enfants qui sont en bonne
2 ans 1/2 de plus que le père. Deux Enfants : 1° garçon ou fille mort à 4 mois de la. cho- lérine ; 2° notre malade.
36°. Durant l'évolution de la pleurésie purulente, qui a causé sa mort , la température a atteint un seul jour 39° et n
très prononcée; - acrocéphalie. Prognathisme supérieur. Diphtérie : Mort . Résultats de l'autopsie : Absence presque comp
ous vous présentons les photogra- phies de Pouge... (Nos 43 et 44), mort il y a quelques jours. OBS. VII. IDIOTIE comp
es antécédents héréditaires et personnels. Diarrhée, cache- xie ; mort . Sclérose spéciale des deux hémisphères céré- b
ternel alcoolique et pi1;l'ill ! l tiq lIa géné ¡'at. - Deax frères morts de convulsions Émotion au sixième mois de la gr
Sommaire. Père, accès de mélancolie; suicide, grand-père paternel mort aliéné. Antécédents maternels nuls. Pas de cons
-IDIOTIE microcéphalie. Sommaire. Grand-père paternel, alcoolique, mort d'un cancer du pylore. - Arrière-grand-père et
que ? Oncle paternel alcoolique et paralytique général. Deux frères morts de convulsions. Emotion au 6e mois de la grosse
ée en enfance. 1 -- , * Mère Un peu nerveuse. = Grand-pèrè maternel mort d'une hypertrophie du coeur à 62 ans. Oncle mat
nombreux excès de boisson. Caractèr emporté. - Grand-père paternel mort d'hémorragie céré- brale. Grand oncle maternel
s un asile d'aliénés en Belgique. Deux tantes et un oncle maternels morts de convulsions en bas âge. Pas de consanguinité
. VI. IDIOTIE complète. SOMMAIRE. - Grand-père paternel alcoolique, mort d'une affection de l'estomac. Arrière-grand-pèr
. ' OuS.VII. IDIOTIE- complète. Sommaire. Père, chorée,iL 12 ans, mort d'albuminurie. - Grand-père paternel mort de, r
. Père, chorée,iL 12 ans, mort d'albuminurie. - Grand-père paternel mort de, ramollissement cérébral. Grand'mère partern
cancer utérin, sujette à de violentes colères. Grand-oncle paternel mort d'acci- dents cérébraux à l'asile de Dry. - Un
' tante paternelle morte d'un cancer de l'estomac. Oncle paternel mort de la poitrine à 37 ans. Autre oncle paternel,
Oas. VIII. Idiotie complète. SOMMAIRE. - Père, boucheur à l'émeri, mort d'une tumeur cérébrale à 55 ans, sobre. Oncle p
au deu- xième degré, cauchemars à 14 ans. Sept oncles mater- nels morts jeunes. Tante maternelle nombreux excès de bois
nception, rien de particulier. Grossesse : émotion vive au 3° mois ( mort de son mari). -Au 4* mois «sorte de pa- ialsieu
12 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
et de la division des' aliénés, et d'y construire le service des morts et des autopsies, le musée, les laboratoires, l
stance des fon- tanelles. - E1, ? /sipéle. - Phlegmon de la cuisse. Mort . Autopsie. - Composition et texture des gonflem
otie. Gonflements anormaux de la région cervicale. - Convulsions. - Mort . Autopsie.- Composition des gonflements cervica
par une tante paternelle (12 mars 4880). - Père né à Strasbourg 2, mort en 1878 de la poitrine, à l'âge de quarante-neu
, ne savait ni lire ni écrire; il était sobre, bien conformé et est mort d'une fluxion de poitrine; sa mère, de taille o
neuf ans et y pisse encore quelquefois; - 4° et 5° d'autres enfants morts , l'un du croup, l'autre de la rougeole. 1 Les
élioration. - Erysipèles. - Refroidissement. Tym- panite. - Atonie. Mort . Autopsie : OEdème pulmonaire. -- Hydrothorax e
pistaxis qui ont cessé à quarante-huit ou quarante-neuf ans. 11 est mort en 1871, à l'âge de cinquante-deux ans, des sui
à une attaque d'apoplexie survenue dix-huit mois auparavant. [Père, mort vers soixante-treize ans, d'une attaque d'apopl
trefois un homme ressemblant à son fils. [Père, cultivateur, sobre, mort à quatre- vingts ans, d'une chute; il n'était p
s, la mère est de Courancelle (Meuse). Trois enfants : 1° garçon, mort à quinze mois, (la nourrice était devenue tuber
scènes violentes; le père était marié et ne l'a épousée qu'après la mort de sa femme. Elle n'aurait pas vu de crétins pend
n de la sonde oesophagienne, ils ne produisent aucune évacuation. Mort à 10 heures 35 du soir. Avant de mourir, le Pacha
-il désappris 48 IDIOTIE CRÉTINOÏDE.. à marcher. A l'époque de sa mort , il était propre, marchait tenu simplement à la
isme ; inertie physique. - Ery- thème; refroidissement progressif ; mort .-Autopsie : péricardite ; absence du corps thyr
s autres parents; les ascendants du côté du père et de la mère sont morts à un âge avancé. W..., né à terme, est venu au
e état. Le malin, à 8 h., T. ax. 34° 6. Le soir, à 7 h., 74°, I . - Mort dans la nuit, à 5 heures du matin. Autopsie. -
ès alcooliques ; hémi- plégie droite en 1886. - Grand-père paternel mort paraplégique. - Mère plus âgée de dix ans que s
ans que son mari. -Ni goitreux ni cré- tins. Deux soeurs du malade mortes jeunes de convulsions. Conception à quarante et
illement, etc. - Pénil glabre; sensibilité au froid. - Hémorroïdes. Mort des suites d'une opération ( ? ) ou d'albumi- n
sa femme ou ses en- fants. Il s'est marié à vingt et un ans. [Père, mort hydropique à cinquante- sept ou cinquante-huit
tait ni paralysée, ni démente ni goitreuse. - Grand- père paternel, mort vers soixante-dix-huit ou quatre-vingts ans. jo
er de détails sur la grand' mère paternelle. - Grand-père maternel, mort à quatre-vingt-deux ans, était paraplégique dep
orte paralysée à soixante-dix-huit ans, ménagère, sobre. - Un frère mort à l'âge de six ans, du croup. - Une soeur morte
quoi, a eu trois enfants dont on n'a pas eu de nouvelles depuis la mort de la mère en 1877. -Pas de maladies nerveuses, p
efois des céphalalgies); aucune affection cutanée. [Père, couvreur, mort d'une chute à cinquante-huit ans, sobre; était
ents paternels et maternels pas de rensei- gnements. - Deux frères, morts de trois à quatre ans, on ne sait de quoi. - De
consanguinité. Cinq enfants : Il garçon bien conformé, né à terme, mort à six mois, en nourrice, de convulsions; 2° fil
eschares. Alternatives d'hy- perthermie et d'hypothermie. - Coma et mort . Autopsie. Oblitération incomplète du trou de B
éri par des lo- tions phéniquées. [Père : employé de chemin de fer, mort 7 à quarante ans, écrasé entre deux wagons; il
q sont vivants et bien portants, ainsi que leurs enfants ; un est mort à vingt mois de convulsions de la dentition. Une
sses couches et deux enfants : 1° Un fils, né avant le mariage, est mort âgé de deux ans, de convulsions après dix jours
tion pendant que la mère était chagrine et fatiguée par suite de la mort d'un enfant qui avait eu lieu trois jours avant
éagit plus au pincement, La face présente des plaques rouges. Coma. Mort à onze heures du soir. Température un quart d'h
. Mort à onze heures du soir. Température un quart d'heure après la mort , 42°,3 ; une heure après, 41°,4 : deux heures a
juillet 188G, à six heures du matin, trente et une heures après la mort . Le corps est très amaigri, la rigidité cadavér
issement. Accentuation de la paralysie faciale et des contractures. Mort . Autopsie. Quelques granulations dans les ménin
eu après, parésie faciale gauche, puis hémiplégie faciale complète. Mort . Autopsie. Masse caséeuse remplissant presque l
phagie. Sensibilité générale normale. Quelquesvomissements avant la mort . - A l'autopsie : méningite granuleuse ; hydro-
symptômes clas- siques de ce genre d'affection. Rien autre à noter. Mort de diphthérie. - A l'autopsie : tuberculose int
le cru, gros comme une noisette. ans. VI (Ibid.). Enfant de 12 ans, mort do péritonite tuberculeuse. Pas de symptômes de
'enfant, disparition du ptosis. Le surlendemain, même état, sueurs, mort . ' A l'autopsie : méningite de la base. Sur le
des quatre membres, stertor, sécheresse de la langue et des lèvres. Mort . A l'autopsie : Congestion méningée, foyer hémo
re supérieur gauche. Disparition des vomissements. 12 juin. Coma et mort précédée de deux vomissements. Au moment de la
2 juin. Coma et mort précédée de deux vomissements. Au moment de la mort la température s'élève de 380 à 39°, 2. La temp
e s'aggrava presque constamment, c'est à peine si, de l'entrée à la mort ,on nota quelques rémis- sions durant au plus un
, la température atteignit 41° et monta même â 42°, au moment de la mort . Les irrégularités du pouls ne sont pas moins r
Macgregor. Quoi qu'il en soit, dans les jours qui précédèrent la mort , l'aggravation de l'état de IIoël... se traduisit
devinrent inégales et enfin on nota la forma- tion d'escharres. La mort eut lieu dans le coma. III. En comparant cette
che : 1° Tubercules évoluant sans symptômes jusqu'au moment de la mort ,qui est souvent produite par une autre manifes-
i de l'histoire de l'une des formes de l'idiotie. Observation. Père mort tuberculeux. Oncle paternel paralysé. - Mère ca
Nouveaux accidents de méningite et tuberculose pul- 1) ? ,onaire. - Mort . Autopsie : Tuberculose généralisée. Méningite
materneile du malade. - Père, employé à la préfecture de la Seine, mort en 1885, à 33 ans, d'une pleurésie. On ne sait
s la famille.] Pas de consanguinité. Trois enfants : 1° Un frère, mort en naissant; 2° une SL&U)', âgée de 10 ans,
- nière, l'enfant s'est toujours bien porté ; mais, le père étant mort , la mère malade, il a souffert de la misère. Sa
son domicile et a recueilli les renseignements suivants : Après la mort de son mari, la mère de l'enfant était dans une
40°,2. L'enfant est dans le coma; raideur de la nuque, strabisme,- Mort le 29 avril, à qua- tre heures du matin. T. R.
avril, à qua- tre heures du matin. T. R. un quart d'heure après la mort : " =ti°,2;- une heure après 39°,6;- deux heure
évidence par la figure 17. Signalons l'élévation thermique après la mort et le lent refroidissement du corps. V. Au po
tubercules assez l;'i[J, 17. température un quart d'heure après la mort . + tempéra- ture une heure après la mort. X tem
un quart d'heure après la mort. + tempéra- ture une heure après la mort . X température deux heures après la mort. vol
ture une heure après la mort. X température deux heures après la mort . volumineux. Parmi les symptômes les plus carac
s dans les chutes convulsives ; cicatrisation rapide.- Diphthérie ; mort . Méningo-encéphalile. Enderl..., Charles, né
e de délire intense et non suivie de troubles intellectuels. [Père, mort d'une affection cardiaque vers 42 ans ; forgero
ur les grands parents paternels et maternels. - Deux frères, l'un mort des suites d'une opération dont on ignore la na
. les crises, il ne reprenait pas connaissance et paraissait être mort . Ces convulsions ont été attribuées à l'abus du v
us-crépitants disséminés. T. R. 38°,5. - Soir : 38°,6. 16 juin. - Mort dans le collapsus à 10 heures du soir. T. R. un
s le collapsus à 10 heures du soir. T. R. un quart d'heure après la mort 38°; une heure après, 36°; deux heures après, 3
me toxique, n'a rien présenté de remarquable ; elle a entraîné la mort , malgré la trachéotomie. La fièvre n'a point dé-
Le 15 juin : matin, 3Sa,5; -soir, 38°,6 ; un quart d'heure après la mort , 38° ; une heure après. 36° ; - deux heures apr
l et arrière-grand' mère maternelle, alcoo- liques.- Oncle paternel mort de convulsions. Mère : aliénée. - Grand-père ma
; diar- rhée ; escharres ; amaigrissement progressif bronchite ; mort . Autopsie : Perméabilité du trou de Botal; cong
s d'accidents nerveux. - Mère morte du charbon. Grand-père paternel mort on ne sait de quoi. Grand'mère patern ! 3lle :
s eu de convulsions, a fait des fausses couches et a eu des enfants morts jeunes. Pas d'idiots, d'aliénés, d'épileptiques
rtie, elle n'aurait plus ressenti aucun trouble psychique. [Père, mort à 47 ans d'un asthme; il faisait,dit-on, quelques
.,et que cet amaigris- sement, qui n'a fait qu'augmenter jusqu'à la mort , s'est traduit par une diminution de 3,400 gr.
tion : «Si, dit-il, les lésions se produisaient des deux côtés, une mort prompte s'ensuivrait nécessairement, et l'on n'
me; marche, parole, mastication nulles. Mo- 7oi-cltidie ; phimosis. Mort . Autopsie. Broncha-pneumonie; sclérose intersti
Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE), le 3 février 1886 et il y est mort le 20 février suivant. Les renseignements, fort
- Pouls 140, petit, régulier; respiration régulière; T. R. 410,6. Mort à 8 heures et demie du soir. Aussitôt après la mo
e; T. R. 410,6. Mort à 8 heures et demie du soir. Aussitôt après la mort ; T. R. 42° ; - une heure après 40° ; - deux heu
ts héréditaires et per- sonnels de ce petit malade. De plus, il est mort moins d'un mois après son entrée. Aussi n'aurio
Entérites. - Accidents méningitiques ; affaiblissement progressif; mort . Autopsie. - Foyers petits et multiples de ramo
ident nerveux; pas de dermatose. [Père, peintre en tableaux, sobre, mort d'une affection de poitrine vers 40 ans. Mère,
convulsions; de mi- graines ni d'attaques. [Père, tailleur, sobre, mort d'une pleurésie. - Mère, 55 ans, sujette à des
de détails sur les grands parents paternels. - Grand-père maternel mort de vieil- lesse à 84 ans. Grand'mère maternelle
5 mois 1/2 à la suite d'un effort : 1° notre malade;-2° un garçon mort en nourrice de cholérine; pas de convulsions ;
nstipation marquée. Traitement : lave- ments nutritifs, lait, etc.- Mort le 8 juin à 11 heures 1/2 du matin ; un quart d
ants, 196 IMPRESSIONS MATERNELLES : MALFORMATIONS. dont deux sont morts on ne sait de quoi. Pas d'aliénés, d'épileptiqu
jamais eu d'attaques de nerfs, maiscst très impressionnable. [Père, mort à66 ans d'une maladie de coeur; il fit, à parti
boissons - Mère, s'est suicidée par le vitriol. Grand-père paternel mort subitement vers l'âge de 40 ans, on ne sait de
ellesorloquo son extrémité libre répond AFFAIBLISSEMENT PROGRESSIF; MORT ; AUTOPSIE. 199 à peu près à la ligne médiane d
s. Du 13 au 20 mars, il s'est affaibli progressivement, et il est mort le 20 mars.- Grâce à l'habile intervention de i
atoires : crico-trachéotomie. Bro2zcho- ? ozeu2nonie consécutive. - Mort . Autopsie : .' B)'oncho-pneu ? on : e. Fracture
édé à cinq heures du matin. Tableau des accès depuis 1871 jusqu' la mort . ' FRACTURES DES CARTILAGES COSTAUX. 213 Auto
ES DES CARTILAGES COSTAUX. 213 Autopsie (vingt-huit heures après la mort ). - Abdomen plat, sans coloration cadavérique.
gmenté et se sont à peu près main- tenus au même chiffre jusqu'à la mort (1878-1885). II. Durant les dernières années de
t de mal limité à la péiiode convulsive. - , T. aussitôt après la mort .+ T. 8 heures après la mort. Fig. 25.-Tempéra
convulsive. - , T. aussitôt après la mort.+ T. 8 heures après la mort . Fig. 25.-Tempéralure dans un état de mal ter
la mort. Fig. 25.-Tempéralure dans un état de mal terminé par la mort à la période méningiti- que ? T. une 1/2 h. ava
né par la mort à la période méningiti- que ? T. une 1/2 h. avant la mort . + , T 1/4 d'heme après la mort. T, une Heure
iti- que ? T. une 1/2 h. avant la mort. + , T 1/4 d'heme après la mort . T, une Heure après. T. deux heures après, 40°,
ve ; - que, dans certains cas, durant la période méningitique; la mort survenait enfin que dans '23H 8 TEMPÉRATURE D
la période convulsive. Un exemple de l'état de mal terminé par la mort du- rant la période méningitique, nous est four
s'élève jusqu'à 42°,4, ctcot ensemble de symptômes se termine parla mort . (fin. 25). L'observation suivante, relative à
du prépuce. Varicocèle. - Etat de znàl épileptique : température. Mort . Autopsie : Congestion du poumon droit) splénis
n, ne faisant, assuro-t-on, aucun excès de boisson, marié à 28 ans, mort en 137 : i, âgé de 37 ans, d'une fluxion de poi
137 : i, âgé de 37 ans, d'une fluxion de poitrine. [Père, maçon, mort on ne sait de quoi. - Mère, tricoteuse, décédée à
parents, sur lesquels on manque de détails. Deux frères : l'un est mort sans enfants de la rup- ture d'un anéurysnze; l
manifestations rhumatismales ou cutanées. [Père, chauffeur, sobre, mort de fatigue ( ? ). - Mère en bonne santé. - Gran
parents paternels, pas de rensei- gnements. - Grand-père maternel, mort en deux ou trois jours, vers 80 ans. -G ? -a ?
plus que la Fig. 26. Température dans un état de mal terminé par la mort . , T. 1/4 d'heme ,il). la mort. 0, T. une heure a
ure dans un état de mal terminé par la mort. , T. 1/4 d'heme ,il). la mort . 0, T. une heure ap.-f-,T.9 heures ap. AUTOPSIE
é. - A 3 heures du matin : T. R. 40», 4 ; un quart d'heure après la mort : 41°,2 ; une heure après : 390,8; deux heures
n'en a plus eu dans les sept der- nières heures qui ont précédé la mort . L'abaissement Fig. 27. - Température dans un é
erminé par la mott. T. au moment de la moit ? T, une heure après la mort . relatif de la température (.40°) a suivi une a
13 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
, quelques excès de boisson, caractère emporté. Grand-père maternel mort paralysé. Tante maternelle hystérique. -Premièr
pendant onze heures. - Parésie à gauche. - Premiers accès cinq ans. Mort de broncho-pneumonie. Font... (Léon), 15 ans,
es vertiges. 14 Epilepsie. oncles maternels mort-nés, deux autres morts de convul- sions. - Un cousin- suicidé. Un frèr
elle sujette r1 des étourdissements. - Arrière- grand-père maternel mort interné il l'hospice de Bicêtre. - Grandes tant
otie, épilepsie et hémiplégie droite symptomatiques. SoMMA]HE. Père mort tuberculeux. Grand-père paternel alcoolique. -
maternel paralysé. - Deux oncles tuber- culeux. - Frères et soeurs morts de convulsions. Traumatisme abdominal durant la
aux migraines et aux névralgies. Grand-père .paternel très nerveux, mort de tuberculose. - Tante paternelle très nerveus
de la mémoire, migraines, - Grand-père et grand'mère mater- nels morts tuberculeux. - Oncle maternel mort à deux mois.
-père et grand'mère mater- nels morts tuberculeux. - Oncle maternel mort à deux mois. - Tante maternelle très nerveuse.
tique. Grand'mère maternelle très nerveuse. - Neuf frères et soeurs morts en bas-âge de convulsions . Ecrasement par un
ie idiopathique. Sommaire. - Père, convulsions. Grand-père paternel mort paralysé 8. l'hospice de Bicêtre. - Arrière-gra
t paralysé 8. l'hospice de Bicêtre. - Arrière-grand-père paternel mort d'apoplexie. - Oncle paternel épileptique. - Mè
paternel et maternel, alcooliques. - Un arrière grand-père maternel mort aveugle et paralysé des jambes; l'autre arrière
ralysé des jambes; l'autre arrière-grand-père maternel, alcoolique, mort en enfance. Arrière grand'mère maternelle, trem
ment idiopathique. Sommaire. - Enfant assisté; aucun renseignement. Mort en état de mal le 43 août 1898. Fer.... (Henr
I. Imbécillité et épilepsie symptomatiques; démence ; état de mal ; mort ; méningo-encéphalite. Boni- : ..., (Victor). n
L. Sommaire. Père, fréquents maux de tête. - Grand-père paternel, mort de tuberculose pulmonaire. Cousin, mort de méni
e. - Grand-père paternel, mort de tuberculose pulmonaire. Cousin, mort de méningite ( ? ). - Mère, nerveuse. - Grand-pèr
l'711ère, nerveuse. - Un grand oncle et deux grand'tantes maternels morts de tuberculose pulmonaire : - Deux oncles mater
maternels morts de tuberculose pulmonaire : - Deux oncles maternels morts de tuberculose, un autre de méningite, ainsi qu
'oeil droit. - Marche lente et dty/t- cite.- Pleurésie purulente. - Mort . AUTOPSIE. - Atrophie du tiers supérieur de la
e peau ; pas de syphilis. Caractère calme, mais cause peu. - [Père, mort à 75 ans d'une bronchite de nature sus- pecte,
u de convulsions ni de maladie nerveuse, - Grands-parents paternels morts âgés ainsi que les grands-parents maternels. -
t dont on n'a pas de nou- velles. - Deux oncles maternels, l'un est mort de vieillesse : a C'était un vieil avare » ; l'
bonne santé, ont chacun 5 ou 6 enfants. L'un de ces enfants serait mort , vers 4 ans, de mé- 911nfJiLC. - Rien à signale
quentes crampes d'estomac depuis dix ans. Mariée à 24 ans. - [Père, mort à 46 ans, d'un « chaud et froid » après plusieu
s d'abattement profond. - Grands-parents paternels et mater- nels morts âgés. - Quatre oncles paternels : l'un mort à 30
ternels et mater- nels morts âgés. - Quatre oncles paternels : l'un mort à 30 ans de tuberculose pulmonaire, l'autre éta
rt à 30 ans de tuberculose pulmonaire, l'autre était marin et est mort en mer. Les deux qui restent sont bien portantes,
épilepsie spasmodique. bien constitués. - Deux tantes maternelles, mortes de la poitrine. - Un oncle maternel, très nerve
frères et soeurs. La mère de notre enfant est l'aînée ; - 2° garçon mort à 24 ans, à la suite d'un refroidissement; -3°
garçon mort à 24 ans, à la suite d'un refroidissement; -3° garçon, mort à 24 ans, d'une laryngite tuberculeuse ; 4° gar
3° garçon, mort à 24 ans, d'une laryngite tuberculeuse ; 4° garçon, mort à 21 mois, de mé- 7zizzgite ; - 5° fille, bien
bien portante, 31 ans, pas de convulsions; deux de ses enfants sont morts , l'un à 2 ans et demi, d'en- térite, l'autre à
portant ainsi que son enfant de 10 ans, très nerveux ; - 7° garçon mort à 26 ans, d'un « chaud et' froid » ; il avait eu
couche à 3 mois : 1° un enfant avant son mariage (d'un autre père), mort à 21 jours et qui n'aurait pas eu de convulsion
uelques mois avant son admis- sion. Depuis son entrée et jusqu'à sa mort , les régies n'ont pas reparu. . Tout le côté
gauche sont épaisses. Les ventricules sont rétrac- tés, comme si la mort du coeur s'était produite en systole. Rien de p
momentané de l'intelligence. SOMMAIRE, - Père, excès de boissons, mort à trente-huit ans d'une maladie de poitrine att
étés, s'est mis à boire. Il n'a jamais pu s'accorder avec sa femme. Mort à trente-huit ans d'une; maladie de poitrine ca
n déséquilibre, mais c'est un sujet à cases vides ; » - -;0 Garçon, mort d'une bronchite, pas de convulsions ; 3° Notre
ère, rien noter. Grand- père maternel excentrique, très alcoolique, mort de ses excès. Grand'mère maternelle morte d'un
rique ; « en était arrivé à boire de l'eau de vie à plein verre ; » mort de ses excès de boisson.. - Grand'mère maternel
hez le grand- père maternel d'un caractère excentrique et qui est mort de ses excès de boissons. Les antécédents perso
rversion des instincts ; impulsions ; arrestations, con- damnation, mort en prison de tuberculose pulmonaire ; par Bourn
- Oncle paternel aliéné. - Grandes-tantes et cousines paternelles mortes de tuberculose. Mère, douleurs névralgiques, stig
e ; crises nerveuses passagères. - Grand-pèré maternel, alcoolique, mort aliéné. Frère, convulsions de l'enfance. Autre
u.,s. Elle est aveugle par cataracte. - Son grand-père maternel est mort aliéné à l'Asile clinique en 1879 (1). - Quatre
l'Asile clinique en 1879 (1). - Quatre tantes paternelles seraient mortes cc de (1) Notre ami le Dr Magnan nous a transmi
notre malade en 1897. Elle nous a dit qu'un frère de sou marï était mort aliéné il l'asile de Quatre-Mares près Roues, i
Antécédents personnels ? . 117 7 l'asile d'Armentières, où il est mort en 1867. - Sa mère est morte à 71 ans, d'une af
sont bien portants, n'ont jamais ou de convulsions ; le dernier, mort il 5 mois de broncho-pneumonie, aurait ou des con
, sont suffisamment désignés par le nom delà maladie qui a causé la mort et souvent aussi par leur poids. Nous donnons c
er que tous les thymus rouges, injectés appartenaient à des enfants morts de diphtérie. Nous reviendrons tout-v-l'hcure s
e ; il eut fallu pour cela des sujets sains - ayant le poids normal morts d'une maladie intercurrente, ce qui n'est pas l
ant tous du pavillon Trousseau. Eh bien, chez tous les 1 : 3 sujets morts de diphtérie, quelque soit leur âge, le poids d
chez l'enfant normal. 161 Malades provenant du pavillon Trousseau, morts à la suite de diphtérie. 162 Thymus CHEZ l'en
ant infiltré de tuberculose. Il s'agit d'un enfant de 7 ans (n° 56) mort dans le service de notre maître, M. Variot, d'u
Grand'mère maternelle, céphalalgies. Arrière grand-père maternel, mort d'apoplexie. - Grand-oncle, excès de buis- son.
convulsions dans l'enfance. - Gétnellarité : l'un des Jumeaux est. mort de convulsions. Pas de consanguinité. Inégali
, marche nulles. ? -Cachexie tuber- culeuse progressive, diarrhée., mort . Autopsie : Asymétrie de la voûte et de la base
te de convulsions. - Treize frères ou soeurs dont quatre seraient morts eh bas-âge de cholérine. Les autres seraient bien
a mère qui présente seulement des céphalalgies. Grand-père paternel mort probablement d'une attaque d'apo- plexie à 46 a
lle, 80 ans. Grands-parents maternels, aucune affection nerveuse, morts à 79 et 77 ans. - Un oncle paternel, qui faisait
s enfants ont eu des CJn- vulsions. - Un frère et une soew' jumeaux morts , le premier il 28 mois de convulsions, l'autre
. L'enfant n'en ayant pas eu dans le service, de son admission à sa mort , nous en ignorons les véritables caractères.
timètres. Elle s'était sans doute encore développée de juillet à la mort (octobre). La température n'a jamais été très é
le 2'L Du 27 au 30, elle varie de 36", 4 à 37°, G ; le matin de la mort elle descend à 36°, 2 pour s'élever à 36°, S au
ment même du décès. Les notations <7 ! e)'mome/i' ? fM aprèsla mort con- firment une fois de plus tout ce que nous
sur l'importance de la thermométrie pour constater la réalité de la mort . ? La destruction totale du lobule de l'insula et
isson. Grand'mère paternelle, eczémateuse. Grand - oncle paternel mort d'un ramollissement du cerveau. - Tante et cous
e paternel mort d'un ramollissement du cerveau. - Tante et cousin morts de tuberculose. - Oncle eczémateux, alcoolique,
s de tuberculose. - Oncle eczémateux, alcoolique, cancéreux. Cousin mort de convulsions. - Autre cousin idiot. Mère, e
éphalalgies. - Demi-tante mater- nelle paraissant aliénée. - Cousin mort de la poitrine. - Trois autres cousins et deux
- Cousin mort de la poitrine. - Trois autres cousins et deux frères morts de méningite. Pas de consanguinité. - Inégalité
s et personnels. t7'lCttl)'C'. - Cachexie tuberculeuse progressive; mort . Température pendant la maladie et après le déc
estations saturnines. II faisait aussi des excès de boisson. Il est mort il 80 ans. - Sa mère, 79 ans, sobre, sans accid
s nerveux, est eczémateuse. Grands-parois paternels et maternels, morts âgés après avoir joui d'une bonne santé. - Un onc
âgés après avoir joui d'une bonne santé. - Un oncle maternel serait mort relativement jeune d'un ramollissement cérébral
ommettait de nombreux ecc ? alcoo- liclues. L'un de ses enfants est mort à 19 mois : « Il n'avait aucun signe d'intellig
ans, se porte bien ; aucune maladie nerveuse. - Grand-père maternel mort vieux, on ne sait de quoi. - Grand'mère materne
técédents héréditaires ET personnels. li85 z culier. - Un neveu est mort de la poitrine. - «Ma mère a eu avant moi et d'
noires et raconte des choses imaginaires ; elle a eu trois enfants morts de méningite. » - z Dans le reste de la famille
égalité d'âge de 6 ans (père plus âgé). Trois enfants : Deux sont morts à 5 et à 16 mois, de conmd- sions, le troisième
quand il avait bu. - Gros- sesse : émotion vive occasionnée par la mort de l'un de ses enfants, survenue alors qu'on le
gravation des symptômes généraux. Signes de tuberculose pulmonaire. Mort le 5 mai. Du G au 11 avril (matin), la températ
Mesures de la tête. , ' ' Hérédité. 193 Un oncle, alcoolique, est mort d'un cancer de la bouche. Un cousin est mort de
oncle, alcoolique, est mort d'un cancer de la bouche. Un cousin est mort de convulsions ; un autre était idiot. Plusieur
ille -du père, et lui-même, étaient eczémateux; quelques-uns sont morts de tuberculose. La mère étant enfant naturelle,
ons aucun renseignement sur son père et sa famille. Un cousin est mort de tuberculose; une demi-tante paraît aliénée e
culose; une demi-tante paraît aliénée et ses trois enfants seraient morts de méningite i IL Bien que le père fut alcooliq
rnelle morte délirante à 48 ans. -Grand'oncle pater- nel cardiaque, mort subitement. - Grand'tante paternelle, folle. -
cond arriéré. - Un troisième interné à l'Asile clinique. - Un frère mort de méningite. (1) Filibiliu. - Contribution à l
it morte « asthmatique. » - Un onde paternel, cardiaque, sobre, est mort subitement. - Un autre oncle paternel est asthm
mestique, et se porte assez bien ; z '2" Notre malade; - 3° Garçon, mort à anus, rachitique, beaucoup de convulsions, se
3° Garçon, mort à anus, rachitique, beaucoup de convulsions, serait mort de méningite 4" Garçon morts à mois 1/2. La mèr
ique, beaucoup de convulsions, serait mort de méningite 4" Garçon morts à mois 1/2. La mère en dehors de son inter- nem
re. Rien du côté du père. - Mère migraineuse. - Grand-père maternel mort subitement. - G1'anel'mère maternelle migraineu
1'anel'mère maternelle migraineuse. - Arrière-grand-père maternel mort d'un coup de sang. Variole au 7° mois de la gro
de la grossesse. - Violente émotion causée il la même époque par la mort d'un enfant qui. provoque l'accouchement prémat
épileptiformes. - Description de la tête. - Cachexie progressive. - Mort . Autopsie : Congestion de la pie-mère. - 970 gr
E, Bicêtre, 1899. 14 210 Antécédents héréditaires. père paternel, mort il 72 ans de diarrhée ( ? ), avait toujours été
ts en bas-âge sans qu'il soit possible de préciser la cause de leur mort . Ceux qui survivent sont en bonne santé. Aucun
aque mois. Son père, qui aurait été toujours en bonne santé, serait mort subitement à 67 ans d'un ane- vrysme de l'aorte
pénibles migrai- nes avec nausées. - Le grand-père paternel serait mort à 68 ans d'un « coup de sang » ; - la grand'mèr
6 ans, bien portante, n'ayant pas eu de convulsions; - 2° Un garçon mort à 4 ans de la variole ; - 3o Notre malade ; 4°
ermettent à l'oeil nu aucune constatation intéressante. Cause de la mort : Cachexie progressive due à la tubercu- lose p
grossesse, le vif chagrin res- senti à la même époque par elle à la mort d'un de ses enfants et enfin l'accouchement pré
p/'og/'c881re, la tuberculose lente et torpide qui ont déterminé la mort de cette enfant, il nutrition très ralentie, ne
d'une couche, est restée alitée un an; était auparavant (1) Il est mort en 1890 d'une bronchite ehrolli'1ue avec anasurii
culpteur sur bois; pas de convulsions, intelligent (1); - 4o garçon mort à 17 mois, d'une maladie lente; sans convul- si
année qui a précédé son admission, il en avait (1) Marié; un enfant mort de la cholérine en nourrice (Iid.) (2) Relieuse
eure et quelques contusions au menton. 25 juillet. - Son enfant est mort d'une rougeole, proba- hlement compliquée de br
règles ne sont pas revenues. l'as de douleurs de ce genre avant la mort de son enfant. - Sommeil mauvais ; se réveille
, tristesse, découragement, plaintes, récriminations, désir de la mort , etc. La nutrition générale s'opère moins bien.
a pas eu d'interposition et qu'il en est bien le père. Deux sont morts d'athrepsie et une de cholérinc sans convulsions.
14 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
la suite de laquelle elle aurait été très malade. Son père serait mort il y a 18 mois, on ne sait de quoi. En raison de
re. Père et sa famille, mère, rien ci signaler. Grand-père maternel mort probablement tuberculeux. Conception, grossesse
cune maladie grave, de caractère calme. [Famille de la mère. - Père mort à 43 ans d'une hématé- inèse(1),était malade de
lanimité. Naïveté : 1 Nanisme avec infantilisme, 47 du père. Père mort du choléra, à Lyon en 1804, habituelle- ment bi
ux. Grands-parents, oncles, tantes aucun renseignement. Six soeurs, mortes de tuberculose pulmonaire : trois d'entre elles
ulmonaire : trois d'entre elles se sont prostituées. - Cinq frères, morts tous quelques jours après leur naissance. Dans
violente. Aucun renseignement sur les grands- parents. Deux tantes, mortes bacillaires, ont eu des enfants inorts/tttYMM.
cillaires, ont eu des enfants inorts/tttYMM. Trois oncles maternels morts également poitrinaires, - Un frère bien portant
du côté paternel, rien à signaler sauf un oncle paternel alcoolique mort dun cancer de l'estomac. - Mère, Tien. - Grand-
e mort dun cancer de l'estomac. - Mère, Tien. - Grand-père maternel mort aliéné; grand-oncle ma- ternel, faible d'intell
s huit jours avant la naissance de l'enfant. [Famille du père. Père mort à 78 ans « de vieillesse », sobre, emporté, int
présenté de troubles mentaux, qu'ils étaient sobres et qu'ils sont morts très âgés. Une tante pater- nelle, morte on ne
ois enfants bien conformés, intelligents, - Trois frères : l'un est mort il 37 ans d'un cancer de l'estomac ; rlr.ooliyu
In- telligence vive, bien portante.- [Famille de la mère. - Père mort à 55 ans, l'asile de Ville-Evrard en 1885 ; a été
uit mois environ, transféré à Ville- Evrard, quelque temps avant sa mort . Il était sobre et n'avait jamais été malade. M
e troubles mentaux.- Les grands-parents paternels et maternels sont morts vieux, étaient sobres et n'ont jamais présenté
et n'ont jamais présenté de troubles mentaux. - Un oncle paternel, mort à 13 ans on ne sait de quoi, était minus halena
ux, intelligentes ainsi que leurs enfants. - Dix frères : deux sont morts jeu- nes avec des convulsions. Six sont morts e
ix frères : deux sont morts jeu- nes avec des convulsions. Six sont morts en bas-âge. Deux seulement sont vivants : Tous
enfants, la mère est en ce moment prête d'accoucher. 1° un garçon, mort à dix mois des suites d'une rougeole, a eu des
nelle très petite. - Plusieurs grands-oncles et tantes paternels morts de tuberculose. - Mère, caféisme ; caractère très
caractère très vio- lent ; colères furieuses. Grand' père maternel, mort de tuber- Nanisme avec infantilisme. 63 losc
elle, très coléreuse, morte d'un cancer de l'utérus, - Deux cousins morts de menin- gite. - Pas de consanguinité . - Inég
consanguinité . - Inégalité d'âge de 15 ails (père plus âgé). Frère mort d'une méningite. Concep- tion dans l'ivresse al
- lent et emporté, vindicatif. Rhumatisant. Famille du père. Père mort à 72 ans, alcoolique. Mère, très nerveuse, mort
e pendant huit jours. Elle mesure lm 59. Famille de la mère. Père mort à 53 ans de tuberculose pulmo- naire. Mère mort
. Les deux premiers sont bien portants et normaux. Le troisième est mort à un mois d'une affection mal déterminée. Le ci
est mort à un mois d'une affection mal déterminée. Le cinquième est mort en bas-âge de ménin- gile. Le sixième est, mort
e. Le cinquième est mort en bas-âge de ménin- gile. Le sixième est, mort d'une pleurésie. Une soeur, 30 ans, peu intelli
ssé dans l'une des divisions de l'hospice le 3 février 1900. Père mort à 43 ans de méningite tuberculeuse. Tante ma- t
se. Tante ma- ternelle, aliénée. Mère nerveuse. Grand-père maternel mort d'excès de boisson ; un oncle maternel mortd'un
bablement atteinte de tuberculose pulmonaire, grand-père maternel mort tuberculeux, aïeul maternel mort d'une attaque d'
se pulmonaire, grand-père maternel mort tuberculeux, aïeul maternel mort d'une attaque d'apo- plexie ; aïeule maternelle
consanguinité. Inégalité d'âge des con- joints : 23 ans.Deux soeurs mortes tuberculeuses . Conception, grossesse, accouche
(Renseignements fournis par la mire du ma- lade). Père, jardinier, mort à 79 ans de bronchite chronique, après avoir él
l était grand et non obèse. Famille du père. Ses -père et mère sont morts alors qu'il n'avait que 14 ans environ : on n'a
sur les grands-parents, ni sur les oncles et tantes ; trois frères morts vieux, un à 69 ans,après avoir été paralysé quatr
st bien conservée pour son âge. « Famille de la mère. Père sobre, mort à 65 ans, d'une affec- tion pulmonaire aiguë. M
75 ans d'une maladie du foie. - Grands-parents paternels, inconnus, morts jeunes, ainsi que le grand-père maternel. Gnand
ers 70 ans, sobre, pas d'accidents nerveux. Deux oncles pa- ternels morts très vieux. - Deux frères, dont l'un est mort à
x oncles pa- ternels morts très vieux. - Deux frères, dont l'un est mort à la suite d'une affection pulmonaire chronique
trois enfants, dont notre malade. Les deux premiers, filles, sont mortes tuberculeuses, l'une à 23 ans, l'autre à 1\1 ans.
fournis par la mère le 21 Janvier 1891).- Père, marchand ambulant, mort il 42 ans d'une pleurésie; pas- de convulsions
ient dirigés en haut et sa tête en bas. Crainte continuelle de la mort et peur de la maladie ; ni céphalalgies ni crises
elles dans le jeune âge. [Famille du père. - Père de petite taille, mort à 75 ans. Asthmatique depuis l'adolescence, alc
de faire penser àla syphilis. [Famille de la mère. Père alcoolique, mort à 59 ans. Mère enfant assistée, morte à 3fi ans
randes que leur mère -et ont une taille normale ; ' - 3° Un garcon, mort de diphtérie à 10 ans 1/2 ; pas de con- vulsion
litique, ni névropathe : céphalées et vertiges. Grand'père paternel mort d'une attaque d'apo- plexie à 95 ans. - Grand'p
et très léger. Vers f0 ans, crises de nerfs. - Grand'père paternel mort tuberculeux ( ? ) à 70 ans. Grand'mère nerveuse
Grand'mère nerveuse. - Oncle maternel, convulsions de l'enfance, mort des suites d'une coxalgie. - Tante mater- nelle
pileptique; rhumatisme chronique, céphalalgies. Grand-père paternel mort paralysé. Grand' mère paternelle morte sourde e
rte sourde et démente. Mère morte tuberculeuse. Grand-père maternel mort probablement tuberculeux. Grand'mère maternelle
re maternelle diabétique, morte de la «poitrine» ? - Un autre frère mort de convulsions. Frère, convulsions dans l'enfan
de douleurs gastriques. Caractère violent. Famille du père : Père mort à 66 ans à la suite d'une chute faite dans un e
à 60 ans, d'une angine maligne, sobre. - Grands parents paternels morts presque centenaires. - Grands parents ma- Nanis
le est de taille petite mais non obèse. Famille de la mère, - Père, mort il 44 ans de tuberculose pulmonaire, sobre. Mèr
e méningite avec con- vulsions en 17 jours, à cinq ans, - 4° Garçon mort à 2 ans du croup avec convulsions terminales; 5
galité d'âge. La mère a été mariée deux fois ; de son premier mari, mort d'une congestion pulmonaire, elle eut quatre en
(revolver). - Grand-oncle épileptique. - Plusieurs oncles et tantes morts de convulsions en bas-âge. - Tante maternelle m
marché qu'à 5 ans. - Deuxième soeur strabique. - Frère .strabique, mort de clmvulsions. - Un autre frère et une autre s
Grand-père paternel, quelques excès de boisson : - Oncle maternel, mort d'hé- morrhagie cérébrale. - Petite cousine, fa
rébrale. - Petite cousine, faible d'esprit. Gémellarité. - Un frère mort de tuberculose. (1) Bourneville. - art. dans T1
; exempté du service militaire pour défaut de taille. [Son père, mort il 72 ans de pneumonie, ne buvait pas. Sa mère
rands-parents paternels ni maternels. - Du côté paternel, un oncle, mort on ne sait de quoi, sans enfants. - Du côté mat
ort on ne sait de quoi, sans enfants. - Du côté maternel, un oncle, mort aussi on ne sait de quoi, ayant eu plusieurs en
de renseignements. Un frère et 2 soeurs, bien portants; 1 frère, mort à 52 ans de pneumonie ; 1 autre frère, mort réc
bien portants; 1 frère, mort à 52 ans de pneumonie ; 1 autre frère, mort récemment; aucun d'eux, ni leurs enfants, n'ont
aucun indice il Nanisme mongolien. 151 de syphilis. - [Son père, mort à 48 ans des suites d'un acci- dent de voiture,
onnue (vieil- lesse, fatigues). Grand-père et grand'mère paternels, morts vers 75 ans, on ne sait de quoi. - Grand-père m
nels, morts vers 75 ans, on ne sait de quoi. - Grand-père maternel, mort vers 65 ans, et grand'mère maternelle à 77 ans,
on ne sait de quoi. - Du côté paternel, oncles et tantes, sur la mort desquels on n'a pas de renseignements. Du côté
vivants, très-bien portants, et n'ont pas d'en- fants ; l'autre est mort à 47 ans, d'hémorrhagie cérébrale avec hémiplég
après l'attaque sans avoir repris connaissance. - 2 des soeurs sont mortes , l'une en couches à 311 ans, l'autre à 56 ans o
garçon 29 ans, bien portant, de môme que sa fille ; - 3° un garçon, mort il 2 ans, de bronchite) ? ) ;4°un garçon, mort
le ; - 3° un garçon, mort il 2 ans, de bronchite) ? ) ;4°un garçon, mort tuberculeux à20ans n'avait jamais eu de santé;
es plus fréquents, à savoir la tuberculose familiale : un frère est mort tuberculeux, c'est également à la tuberculose q
ont pris part I letcler Beach, Andriersen, Morrison. Robert Jones, Mort . Lloteria. or. mental Science, Jan. 1904, p. 32).
. - Père et grand-père maternel, excès de boisson. - Oncle paternel mort tuberculeux. - G ? aibd'la21te paternelle alién
Diarrhée. - Dyspnée et cyanose. - Congestion pulmo- naire, coma. mort . Autopsie. - Hypertrophie des os de la voûte du
dans le coma et elle meurt à li h. du soir. Température après la mort . 194 .. Idiotie -Congénitale. Idiotie congéni
lissement intel- lectuel. -Développement rapide de la tuberculose ; mort . AUTOPSIE. - Tuberculose des poumons et des rei
seignements sur les grand-parents paternels. - Grand-père maternel, mort à 81 ans, ni para- lysie, ni démence; ne voyait
e dé décider s'il s'agit de vraies migraines. [Sa famille,. Père, mort à 36 ans, noyé accidentellement ; 200 Sclérose
que c'était une gastrite; rien de particulier. Grand-père paternel, mort à 89 ans, non paralysé. - Grand'mère paternelle
83. VI. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal; mort ; atrophie très considérable de l'hémis- phère c
, hémiplégie gauche congénitale. - Mère, rien. Grand-père paternel, mort de tuberculose ( ? ).-Oncle et tante maternels, e
e des accès. Etat de mal, élévation progressive de la température ; mort . Température et poids après décès. Autopsie. -
pas, est de caractère doux, n'a pas de migraines. Son père, potier, mort à soixante-sept ans de pneumonie, était sobre.
ente, ni paralytique, était sobre. Grands-parents paternels sobres, morts , ni déments, ni paralysés, le grand-père à quat
ix-sept ans, la grand mère à soixante-dix. Grand-parents maternels, morts , le grand père à soixante-dix ans, la grand'mèr
ucoup maigri, était jaune pâle, avait eu une perte un mois avant sa mort ; elle n'avait eu ni con- vulsions, ni fièvre ty
d'un caractère très doux, et n'avait pas de migraines. Son père est mort à quarante-sept ans, de tuber- culose suivant s
de communes.différentes. Égalité d'âge. Quatre enfants : 1° garçon mort du croup à un an, pas de con- vulsions ; 2° gar
ion : il n'y est plus allé et est resté seul à la chambre depuis la mort de sa mère (il y a un an) « parce qu'il est tro
OIDS. ETC. 25 Tableau des accès et des vertiges. 258 État DE MAL, mort . ques dizièmes de degré sous l'influence de l'a
ie infantile suivie d'épilepsie partielle; état de mal épileptique, mort ; foyer ancien intéressant les circonvolutions
compliqués d'une cyanose très pronon- cée. Il s'est terminé par la mort en quelques heures. La température n'a monté qu
AIRE. - Père : quelques excès de boisson. - Grand- . père paternel, mort à sa seconde attaque de paralysie. - Grand'mère
n 100J : marche de la température. Parotidite double consécutive. - Mort . Autopsie. PETITJE... (Louis), 11 ans, est en
eu la syphilis. - Il fume un peu. Pas de migraine. [Son père est mort d'une seconde attaque de paralysie, à 84 ans. -
u renseignements sur les grands parents. Il a eu 6 frères, qui sont morts jeunes, on ne sait de quoi. - Il reste " Antécé
tère un peu vif. - Ses grands-parents paternels et maternels sont morts très vieux. Pas de consanguinité, (père et mère
attribuer son épilepsie. Température à l'entrée. Etat de MAL ; mort . 303 glabres. - La verge mesure 3 Ofn de long,
enfant est maintenu dans le service des gâteux. 304 Etat de MAL; MORT . 15 mars. - A la suite d'un accès, forte contus
e la tète. Tableau des accès et des vertiges. 306 Etat DE MAL ; MORT . Incontinence d'urine. A16TOP91. - de sang,
que le malade ait été purgé trois fois, la dernière la veille de la mort (h. de ricin, eau de vie alle- mande] ; le foie
ue avec nouvelle éléva- tion de la T. R. (Fig. 7 ? ) déterminant la mort . V. Ce malade a été soumis à l'adonalis vem8 li
ription des convulsions. Puberté. - Dentition. Bronchite. Cachexie. Mort . - . Autopsie : Fracture de L'avant-bras droit
de la famille, le père relève, un oncle maternel asthmatique ( ? ) mort il y a deux ans, sans avoir jamais présenté de
'accidents nerveux d'aucun'' sorte [Famille de la mère. Le père est mort , il y a un an, ;\ 56 ans de tuberculose pulmona
ds parente tant paternels que maternels Un on·.1; : maternel serait mort , le la fièvre jaune ? en Bre- tagne. Q tatr· fr
ne. Q tatr· frères dont t.-oi; vivants et e bonne santé. L'ainé est mort tata ·rcu ! m i 21 ans ; 3 -eur> dont une est
use. Il meurt le 14 août à 2 h. 1[2 du soir. Température après la mort : (la température moyenne de la salle étant 20°
la mort : (la température moyenne de la salle étant 20°, lors de la mort ). Après, la mort : 34n,5 z 1/4 d'heure après :
pérature moyenne de la salle étant 20°, lors de la mort). Après, la mort : 34n,5 z 1/4 d'heure après : 33°,s. - 1 heure
la chambre est de 20° Autopsie faite le 16 août. 43 heures après la mort . L'aspect du corps est singulier, l'abdomen dis
ennent cachectiques. La T. de Laig ? a été prise du 10 juillet à sa mort le 14 août. Du 10 au 25 juillet elle a été géné
2; le 13, 36°4, 36°G; lé 14 elle descend à 35° et aussitôt après la mort elle était de 34°5 (B.) Hydrocéphalie, PSEUDO-P
ons médiasti- naux et cervicaux ne sont pas tuméfiés. Cause de la mort : cachexie ; tuberculose pulmonaire. Poids des
,345 VI. Imbécillité;' hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal, mort , atrophie considéra- ble de l'hémisphère cérébr
15 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
cédentes, avait continué à suivre une marche ascendante, lorsque la mort nous la enlevé. Il avait fait beaucoup de progr
iance. Elle hésitait, se croyant au-dessous de sa tâche. Nous CIV Mort de Mademoiselle 13EllTIIE LANGLET. l'encourageâ
ait morte. Pour l'Administration, pour nous, pour les enfants, la mort de Mlle Berthe est une perte cruelle. Mort DE
, pour les enfants, la mort de Mlle Berthe est une perte cruelle. Mort DE Mademoiselle Berthe LANGLET. CV Que son exem
emporté; excès -de boisson. Grand père paternel, excès de boisson, mort de cirrhose du foie. Arrière grand père paterne
e d'une attaque d'apoplexie. Grand père maternel, excès de boisson, mort de tuberculose. Pas de consanguinité. - Inégali
Ulcérations de la langue. Chute du rectum. Cachexie progressive. - Mort . - Autopsie. Crâne trigone, persistance de la s
- [Famille du père : Père, rhumatisant, nombreux excès de boissons, mort à 50 ans de cirrhose du foie avec hydropisie. -
issons. Grand'mère pal., 95 ans. Grand père mat., très fort, sobre, mort du choléra. Grand'mère mat., morte de tuberculo
mourut en 7 heures. [Famille DE la mère : Père, excès de boissons, mort vers 40 ans de tuberculose pulmonaire. - llèoc,
paternels et maternels, ni sur les oncles et tantes. - Un frère est mort jeune, on ne sait de quoi; un autre serait bien
la malade en 1900. 9 le monde, conduit aux Enfants-Malades, opéré, mort trois jours plus tard par des convulsions ; 3"
\IrtAIIiC. - Père, rhumatisant, très emporté. Grand'père - paternel mort d'un «coup d'apoplexie ». il/ère, très ner- veu
de paralysie transitoire. - Son fils, cousin germain de la malade, mort de méningite. - Tante maternelle sujette à des
méningite. - Tante maternelle sujette à des accès d'asthme. Frère, mort de méningite avec convulsions à G mois. - Autre
ans ma famille. » Pas de dartres, pas d'accidents vénériens. [Père, mort d'un coup d'apoplexie, à 65 ans, sobre. Mère, m
re. Mère, morte en couches, d'une hémorrhagie. Grand-père paternel, mort de vieil- lesse, à 80 ans ainsi que la grand'mè
Malgré cela, excellente femme, travailleuse, « coeur d'or», [Père, mort poitrinaire à 39 ans. Mère, morte à G3 ans» d'u
ébrale, d'une apoplexie cérébrale; variqueuse. -Grand-père paternel mort à 49 ans, on ne sait de quoi. Grand'mère patern
d'mère paternelle morte assez âgée, subitement. Grand-père maternel mort assez âgé à la suite de chagrins dus à des pert
congestion, mais son intelligence n'a pas baissé. Il a ou un enfant mort de méningite ; des deux autres, l'un a eu une c
ante, mais nerveuse, sans convulsions- de l'enfance, a eu un garçon mort du choléra. Pas d'autres apoplectiques, pas d'a
le à Mar- celle. Trois enfants et une fausse couche : -10 garçon, mort de méningite avec convulsions à (i mois ; 2° no
LLE. ETL. E. MOREL. SOMMAIRE. - Père, nerveux, emporté, alcoolique, mort à 46 ails d'une maladie du foie.- - Un grand on
ès. Crise de violence; suicide. Fracture de l'atlas et de l'axis. - Mort . - Autopsie : fracture de l'arc antérieur z de
Renseignements fournis par la mère. Antécédents héréditaires. PÈRE mort à 46 ans d'une maladie du foie. Antécédents hér
oie. Il n'a jamais eu de migraine, ni de convulsions. Son père, est mort à 40 ans, on ne sait de quoi : les renseignemen
ncer du pylore. Les grands parents paternels et maternels sont tous morts très vieux, sans avoir jamais présenté d'accide
lisée en dehors des conditions expé- rimentalcs. Dans notre cas, la mort a été immédiate et due à la compression du bulb
à 11 mois. Paralysie spasmodique prédominant du côté fauche.. - Mort par tuberculose pulmonaire succédant à une rougeo
s écarter. Il n'y aurait pas de palmature. Famille du père. Père, mort à 91 ans, éthylisme (eau de vie). Aucun acciden
urs : l'une, 45 ans, pas nerveuse ; a eu 9 enfants dont 3 ou 4 sont morts en bas-âge, on ne sait de quoi. Les survivants
. 54 Antécédents PERSONNELS. Gt'and-pére et grand'mère paternels, morts jeunes. Grand-père maternel, mort à 75 ans, pas
nd-pére et grand'mère paternels, morts jeunes. Grand-père maternel, mort à 75 ans, pas de tare nerveuse. Grand'mère mate
ysiques et mêmes signes fonction- nels. Pouls 130. Même traitement. Mort à 6 heures. Poids après la mort 8 kgr. Mesure
nels. Pouls 130. Même traitement. Mort à 6 heures. Poids après la mort 8 kgr. Mesures de la tête. Autopsie ASYMETRIE
êle. -- Organes génitaux : ectopie testiculaire droite. Cause de la mort : Tuberculose pulmonaire. Bi,o7îclto- pneumonie
posé les effets du traitement thyroïdien chez ce malade. Deb... est mort au com- mencement de 1902. Avant de résumer les
nt de résumer les particula- rités- qu'il a présentées de 1896 à sa mort , de relater son autopsie, de donner la descript
des accès d'épilepsie. IIJlOTIE MYXOEDÉMATEUSE. 85 Frère et soeur morts tuberculeux. - Soeur strabique à la suite de co
éral. 1902. Hydropisie pleurale et pèricardique. Cyanose subite : mort ; abaissement considérable de la température. T.
bre, d'un carac- tère doux, n'ayant pas d'accidents nerveux. Il est mort en 1873, à l'âge do quarante-cinq ans, d'une hé
tie myxoedémateuse. blcment une hémoptysie), en deux heures. [Père, mort vers quatre-vingts ans. Mère, pas de renseignem
aractère très doux. [Père et mère, aucun ren- seignement. Un frère, mort il soixante-six ans, était para- lysé. Il avait
de quarante-six il cinquante-huit ; puis il a pu marcher jusqu'à sa mort . Il avait des idées tristes, croyait toujours q
viron deux ans. Cinq enfants : 1° Garçon, grand, fort, intelligent, mort a vingt-sept ans d'une affection pulmonaire aig
ment de nature tuberculeuse. Il s'était marié et avait eu un enfant mort à deux ou trois mois; 2° Fille morte à dix ans,
. Bourneville, Bicêtre, 190. ` 7 Fig. 13. -3Deb... en 1901. 106 MORT : Hypothermie. ? Température après la mort. RIG
3. -3Deb... en 1901. 106 MORT : Hypothermie. ? Température après la mort . RIGIDITÉ cadavérique. 107 L'ensemble de la p
Aucune lésion des capsules surrénales. ETUDE DU SQUELETTE. 111 La mort est due à une syncope provoquée sans doute par l'
tous nos myxoedémateux, au-dessous de la nor- male. Au moment de la mort , presque foudroyante, elle était descendue à Ci
e Compte rendu de lIicêtl'e de 1901 (p. 167). A un moment, après la mort , elle a même été au-dessous de la température d
- Mère eczémateuse, pas d'accidents nerveux. - Grand-père maternel mort de paralysie du cerveau. - Grand'mère maternell
olique, morte d'une congestion céné- braie. - Deux cousins germains morts de convulsions. - Soeur, convulsions de l'enfan
. Il a abarrdonné la mère de ses enfants il y a deux ans, et serait mort , on ne sait de quoi, peu de temps après la sépa
e syphilis. Intelligence moyenne. Famille DE la sikre. Père, sobre, mort d'une paralysie au cer- veau ( ? ). - Mère, alc
, sobre, morte d'une tumeur de l'estomac. - Deux tantes maternelles mortes jeunes de la poitrine. Une soeur, en bonne sant
la poitrine. Une soeur, en bonne santé ; de ses sept enfants un est mort de convulsions ; un autre a eu des convulsions.
âge entre les parents (père plus âgé). Quatre enfants : 1° Garçon mort du croup à deux ans et demi. Pas de convulsions
oup à deux ans et demi. Pas de convulsions, intelligent ; 2° Garçon mort à six mois du choléra infantile. Pas de convuls
dont la famille est inconnue. - Du côté ma- terne), nous notons la mort du grand-père de l'enfant par une paralysie duc
nd'mère paternelle, hémiplégie gauche. Arrière- grand-père paternel mort d'une congestion cérd- brale. Arrière-grand'mèr
and'mère paternelle morte avec une hémiplégie. Grand-oncle paternel mort d'une attaque d'apoplexie. Mère : céphalalgies,
sme, morte d'apoplexie cérc- brale. Grand-père maternel alcoolique, mort à si troisième attaque d'apoplexie. Grand'mère
d'un cancer de l'utérus. Grand-oncle maternel bègue. Oncle maternel mort de tuberculose. Frère mort de méningite. Autre
and-oncle maternel bègue. Oncle maternel mort de tuberculose. Frère mort de méningite. Autre frère, convulsions de l'enfan
. Frère mort de méningite. Autre frère, convulsions de l'enfance, mort de tuberculose. Demi-soeur paternelle, morte d'un
x-neuf ans, en deux jours, avec une hémiplégie. Grand-père maternel mort asthmatique à soixante- dix-sept ans. -- Grand'
atant de vingt ans, attribuée à l'é- motion qu'elle a éprouvée à la mort dé son mari, frappé de con- gestion cérébrale e
8 mai dernier à une attaque d'apoplexie. [Son père, alcoolique, est mort à soixante-dix- huit ans, à sa troisième attaqu
cancer de l'utérus. Ses grands-parents paternels et maternels sont morts âgés, de maladie inconnue. Un oncle maternel es
soeur est morte à neuf ans de la lièvre typhoïde. Deux frères, l'un mort tuberculeux, l'autre boiteux Antécédents. 'INJû
de plus de onze ans (mère plus âgée). Trois enfants : l°un garçon mort de méningite, sans convulsions, en trois jours,
, sans convulsions, en trois jours, à l'âge de neuf mois; 2° garçon mort à vingt-quatre ans, de tuberculose pulmonaire ;
tés. Pendant deux ou trois mois elle a répété sans cesse : « 11 est mort ! il est mort ! » Ayant un jour assisté à un in
eux ou trois mois elle a répété sans cesse : « 11 est mort ! il est mort ! » Ayant un jour assisté à un incendie et ente
que. . Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 18 mois. Frère, mort de 171L' ? zingitB.=S1GT, imperforation de l'anus
ll.rnelle ? Oncles et tantes, rien de particulier. Dix frères, neuf morts presque tous jeunes, de maladies courantes (dys
e I uberculose à 43 ans (était devenue sèche). Grand-père paternel, mort à 87 ans. Grand'mère paternelle et grand-parent
détails. Un oncle paternel suicidé par pendaison, par chagrin de la mort de sa femme. Deux tantes pater- 2cllc· sont mor
par chagrin de la mort de sa femme. Deux tantes pater- 2cllc· sont mortes , l'une d'une maladie de coeur, l'autre on ne sa
ons et louche un peu; deux ne sont pas mariées; une a eu un enfant, mort une heure après la naissance ; une autre a deux
notre malade ; 2" un garçon, 7 ans, pas de convulsions ; 3° garçon mort iL 19 mois de méningite, aurait eu beaucoup de
a femme est enceinte. Canitie partielle héréditaire. 171 qui sont morts n'étaient pas devenus chauves (1). Dans la fami
s de canitie partielle ont des cheveux abondants et ceux qui sont morts n'auraient pas eu de calvitie. Nous faisons app
e, migraineuse. Cousine germaine paternelle idiote. Cousin, germain mort tuberculeux.- Mère, rien de particulier. - Tant
ur paternelle, migraineuse à ses époques, a eu deux enfants, l'un mort de tuberculose pulmonaire à 9'.I ans, l'autre idi
nel, alcoolique. Mère, rien de particulier : - Grand-père maternel, mort de tuberculose pulmonaire. Arrière grand'mère m
tophagie. (Lèvre). - Excitation maniaque. - Cachexie progressive. - Mort . Autopsie. - Ecchymoses du cuir chevelu. Os du
partir de 10 ans. Très sobre, mais caractère vif, coléreux. [Père, mort à 53 ans de pneumonie, très nerveux, alcoolique
ilis, ni dartres, morte de tuberculose pulmo- naire en 1898. [Père, mort à 38 ans de tuberculose pulmo- il souffrait aus
juillet 1901, loin d'aug- menter, est allé en diminuant jusqu'à la mort : 21 kilogr. au lieu de 27 k. il son âge. C'est
de 27 k. il son âge. C'est à cette sorte de cachexie qu'est duc la mort car les lésions pulmonaires trouvées à l'autops
e convulsions; marié à 23 ans ; pas d'indices de syphilis. - [Père, mort à 71 ans, subitement d'une maladie de coeur, ét
r les grands parents paternels. - Les grands parents maternels sont morts vieux.-Deux oncles paternels : l'un qui buvait
nt morts vieux.-Deux oncles paternels : l'un qui buvait un peu, est mort d'une fluxion de poitrine, l'autre est en bonne
e âgée. On ne sait rien des oncles et tantes mater- nels. Un frère, mort à 5 ou 6 ans, on ne sait de quoi. -Deux soeurs
erveux : l'une a deux enfants bien portants, l'autre a eu un enfant mort du croup. Une cousine germaine maternelle, âgée
toujours été sobre. Grand-père paternel, cultivateur, sobre ; est mort à 72 ans, usé par le travail. Grand'mère patern
n'avait jamais eu de maladie nerveuse, sobre. Grand-père paternel, mort il 85 ans de vieillesse, cultivateur, sobre. Gr
arie trois lois, la troisième fois à 27 ans. » Grand-père maternel, mort jeune. - Grand'mère, morte à 86 ans de vieilles
, a deux filles mariées, sans enfants, en bonne santé ; l'autre est mort il y a 3 mois, à 64 ans, sans accidents nerveux
s une vive frayeur; elle s'est néanmoins mariée et a eu un'enfant mort en venant au monde. Une tante paternelle, usée pa
nerveux. Elle a eu un fils qui faisait des excès de boisson et est mort d'une fluxion de poi- trine ses enfants n'ont p
r, ni faire aucun mouvement. La température prise aussitôt après la mort était de 3'10,4 (1). Autopsie faite le 15 déc
- sions ni d'infection méningitique. Celui de nos enfants qui est mort a eu la rougeole dont l'influence sur la maladi
inguinal. Rien de parti- culier du côté de l'anus. La cause de la mort est la broncho-pneumonie. Poids des organes.
ème. L'événe- ment nous a donné raison. Notre deuxième malade est mort à 16 ans, comme son frère aîné, et nous avons p
16 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
placé sous la di- rection de notre ami le D'' P. Brion j'usqu'à sa mort le 7 avril, a été confié à partir du le" juin à
ale et de la division des aliénés, et d'y construire le service des morts et des autopsies, le musée, les laboratoires, l
t ressortir le tableau suivant : Adjudication du v4 mai 118.'l. MORT DE M. GALLOIS. XLI M. Gallois (M.-P.), architec
générale de l'Assistance publique et de celle du Mont-de-Pitié, est mort à Paris, le 6 mars, à de Go ! ans. C'est une vé
dministrations. Personnellement, nous regret- tons très vivement la mort prématurée de M. Gallois. Nous n'oublierons jam
onneur auquel il attachait le plus grand prix. Malheureusement, une mort prématurée l'a empê- ché d'en jouir longtemps e
n uni- verselle. (Progrès médical, 15 février 1889, p. 132). B. L MORT DE P. BRICON. VIII. Mort du Dr Paul BRICON.
édical, 15 février 1889, p. 132). B. L MORT DE P. BRICON. VIII. Mort du Dr Paul BRICON. Notre ami, le Dr BRICON, anc
aux nôtres. Ils conser- veront de Bricon le souvenir d'un vaillant mort à la tâche, et son nom, de même que celui d'Amé
travail, de probité, de dévouement, à toi qui, jusqu'au-delà de la mort , as su rester fidèle à tes principes. Mon che
après : « Au nom des amis les plus anciens et les plus intimes du mort que nous pleurons, je vous remercie tous, corréli
i été si inti- mement et depuis si longtemps mêlé à la vie de notre mort que je me crois, jusqu'à un certain point, le d
i pour avoir plus le temps de travailler pour autrui, notre ami est mort pauvre. « C'est lelot de ceux qui meurent jeune
ui vous anime. « Encore une fois merci à tous, et à toi, notre cher mort , un dernier adieu ! » Les discours terminés,
ortant, sobre, pas d'acci- dents nerveux, aucune maladie. Son père, mort subitement d'une hernie étranglée à 84 ans, éta
raines, mais douleurs de tête jusqu'à la ménopause (32 ans). - Père mort d'apoplexie à 52 ans. Mère morte d'une fluxion
qui aurait eu des convulsions jusqu'à 2 ans 1/2 ; deux jumelles (1) mortes à 15 jours, et deux filles dont l'une est morte
ns à 9 mois, et l'autre bien portante (20 ans) qui a eu un enfant mort également de convulsions. Notre malade est le sep
raient égales des deux côtés. Cyanose, puis pâleur comme s'il était mort . Pas de ronflement, ni d'écume, mais de la sali
vement à 12 ans. - [Père, entrepreneur, puis homme de peine, sobre, mort d'une hernie étranglée. Il aurait eu la tête dé
7. Renseignements fournis par la mère (24 septembre 1887). - Père mort à 38 ans de tuberculose pulmonaire ; employé de
it d'autres maladies que la tuberculose qui l'a emporté en un an. - mort à 75 ans, on ne sait de quoi ; il s'adonnait à
cot, il est resté 18 mois sans accès. Ils reparu- rent en 1883 à la mort de son père, dont il fut témoin et qui l'impres
epsie idiopathique. Père : excès de boisson. - Grand- père maternel mort de délire aigu.- Grand'mère maternelle apoplect
1 maternelle morte d'une fièvre cérébrale. - Grand-père maternel mort paralytique. - Premières convulsions à 15 mois.
tinismo sporadique, née à Birmingham. Son père, homme rangé, est mort d'une inflammation des poumons. Un demi- frère
onsommée est en traitement pour une paralysie alcoolique. Un frère, mort dans les convulsions, à la suite d'une coqueluc
apoplectique ; tante maternelle aliénée. - Consanguinité.- Un frère mort de convulsions, un autre idiot et épilepiique;
fièvres interdit- tentes dont il a souffert jusqu'à 50 ans. Il est mort en 1888 d'un cancer du larynx. [Père, fossoyeur
Il est mort en 1888 d'un cancer du larynx. [Père, fossoyeur, sobre, mort d'une atta- que d'apoplexie il. 75 ans. - llère
une paralysie d'un bras consécutive à des convulsions. - 2 soeurs, mortes l'une « à son retour d'âge u , l'autre après tr
he- veux blonds un peu roux, nez aquilin. [Père, couvreur, sobre, mort d'une attaque d'apoplexie à 65 ans. - Mère, femme
aternelle bossue, morte on ne sait de quoi. Deux tantes maternelles mortes ; l'une était la mère du père de la malade. - 3
; l'une était la mère du père de la malade. - 3 frères, deux sont morts jeunes, l'un de cause inconnue, l'autre tué par u
ans le ventre, pour une querelle à propos de billes. Le dernier est mort à 40 ans d'une attaque subite dans l'exercice d
rcice de sa profession, il la gare de Rumilly. 5 soeurs : deux sont mortes , l'une d'une «maladie de matrice», l'autre, on
âge d'un an. - Tous deux sont nés à Metz. Sept enfants : 1° garçon, mort de convulsions à dix mois ;- 2° garçon, 23 ans;
ant. - Mère, morte d'un cancer de l'utérus. - Grand-père paternel mort de la goutte.- Grand'mère paternelle morte agence
qui caractérisent l'idiotie myxoeclémateuse. Observation VI. - Père mort tuberculeux. Grand-père paternel excès de boiss
nelle, hystérique. - Arrière grand-père maternel, excès de boisson, mort d'une attaque de paralysie. - Grand'oncle mater
bsence de la glande thyroïde, etc. - Congestion pulmonaire intense, mort en syncope. Autopsie : Absence complète de la
ariboisière pour une bronchite tuberculeuse p). [Père, cultivateur, mort étouffé sous un sac de blé, étant ivre ; il fai
s nerveux, caractère changeant. - [Père, charron, excès de boisson, mort en 1870, à 43 ans, d'une variole hémorrhagique.
- Grands parents paternels, pas de détails. - Grand- père maternel, mort à 65 ans d'une paralysie du côté droit en (1) I
maternel, mort à 65 ans d'une paralysie du côté droit en (1) Il est mort le 14 mai 1888. idiotie MYXOEDÉMATEUSE. 75 tr
es frictions stimulantes, mais en vain. - Un quart d'heure après la mort , 31o,8 ; une heure après, 3S ? ? ; deux heures
, le 30 novembre, à 2 heures du matin, qui se sont terminées par la mort . AUTOPSIE. - L'enfant étant morte chez sa mère,
- Oncle paternel migraineux ; mère nerveuse. - Grand- père paternel mort de tuberculose. - Grand'mère maternelle paralys
x. - Mère nerveuse, un peu micro- céphalique. - Grand-père maternel mort tuberculeux. - Grand'mère maternelle hémiplégiq
epuis son mariage jusque dans ces dernières années. - [Père, sobre, mort d'une attaque d'apoplexie, en 8 jours ; il a ét
nts paternels et maternels, pas de détails. - Un oncle maternel est mort aliéné. Frère migraineux. - Soeur nerveuse et d
ieure. Dents mal implantées ; oreilles mal ourlées. - [Père, sobre, mort à 27 ans de tuber- culose. - Mère irritable, pa
, paralysée du côté gauche depuis quatre ans. - Grand-père paternel mort à 66 ans, de bronchite chronique, laboureur, so
use, morte à 81 ans, d'un cancer de la face. - Grand- père maternel mort aliéné à 72 ans. - Grand' mère maternelle morte
e maternelle morte à 84 ans. - Un oncle et une tante paternels sont morts tuberculeux ; un autre oncle est en bonne santé
- Des 25 malades dont nous avons rap- porté l'observation, 12 sont morts : 2 clans la première année, 2 à cinq ans, 1 à
quence de cette broncho-pnenmonie. qui chez un autre de nos malades mort dans le même cas présentait le caractère LÉSION
nt jusqu'à trois ans. 11 était gâteux et avait des accès de colère. Mort de diphthérie. A l'autopsie mé- ninges très adh
ntenant un cas d'idiotie avec induration du cerveau, dans lequel la mort a été précoce; il n'y avait pas d'altération de
e, excès de boisson du père, mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convulsions. Premières convulsions à six moi
vulsions tous les mois jusqu'à quatre ans. Succion, gâtisme, etc., mort à huit ans; à l'autopsie, induration des hémisphè
, 1880-1883; grand-père maternel alcoolique ; mère nerveuse; frères morts de convulsions; LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUB
bservation suivante : Observation VII. - Beno..., né le 3 mai 1873, mort le 12 février 1884. A quatre ans, premiers vert
pas sensiblement de celles qu'on trouve chez les idiots ordinaires. Mort de broncho- pneumonie gangreneuse diffuse, cons
ments, vertiges, secousses, idiotie, parole presque nulle, gâtisme; mort par obstruction du larynx par un morceau de via
ons si souvent mentionnée. Observation X. -Gouell..., dix-huit ans, mort en 1884, atteint d'épilepsie vertigineuse et d'
ville et Pilliet, Soc. anat. 1886.) Sur un homme de quarante ans, mort dans le ser- vice du Dl' Besnier et atteint dep
nce. Jamais d'excès de boisson, ne fume pas. [Père, rentier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on ne sait de quoi. - Mè
fs, sujette à des migraines avec vomissements. Grand-père paternel, mort très âgé, on ne sait de quoi. - Grand'mère pate
nelle, morte très âgée, pas de détails. - Grands parents maternels, morts à soixante- dix et soixante-dix-sept ans, on ne
tes attaques de nerfs; blanchisseuse, pas d'en- fants; - 3" Garçon, mort à sept ou huit mois 4° Garçon, vingt-quatre ans
n petit frère, il voyait des gendarmes qui emportaient des femmes mortes , un homme qui emportait sa soeur Marie. Pendant l
iéné et sujet probablement à des accès d'épilep.sie. Frère et soeur morts tuberculeux. - Scieur slz·ccbiqzvc à la suite de
sobre, d'un caractère doux, n'ayant pas d'accidents nerveux. Il est mort en 1873, à l'âge de quarante-cinq ans, d'une hé
hémorrhagie (probablement une hémop- tysie), en deux heures. [Père mort vers quatre-vingts ans. - Mère, pas de renseign
ac- tère très doux. [Père et mère, aucun renseignement. Un frère, mort à soixante-six ans, était paralysé. Il avait une
de quarante-six à cinquante-huit; puis il a pu marcher jusqu'à sa mort . Il avait des idées tristes, croyait toujours qu'
viron deux ans. Cinq enfants : 1° Garçon, grand, fort, intelligent, mort à vingt- sept ans d'une affection pulmonaire ai
ment de nature tuberculeuse. Il s'était marié et avait eu un enfant mort à deux ou trois mois ; 2° Fille morte à dix a
ienne délibéra- tion du Conseil général ...................... XI Mort de JI. Gallois.......................... xi vi.
17 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
nous avons cru devoir le conserver. L'ancien maître d'armes étant mort le 17 septembre 1886, il a été rem- placé le 1"
ale et de la division des aliénés, et d'y construire le service des morts et des autopsies, le musée, les labo- ratoires,
t en quelque sorte le président de la Commission, M. le Dp Robinet, mort trois jours auparavant, non pas pour qu'il fit
- Hébétude consécutive; trois jours après, embarras de la parole. - Mort le sixième, jour après deux nouvelles attaques
miplégie gauche. - Accès jJ¡'OCW'- sifs de plus en plus fréquentes; mort . - flémorrlaageé de la capsule interne avec irr
ncles peu intelligents. - Aïeule mater- nelle aliénée. - Demi-frère mort de méningite. - Sam1' morte phtisique. Peurs
pt ans et demi, a eu cinq enfants : un a été tué à Sedan; deux sont morts , l'un d'une méningite avec convulsions, l'autre
, de bronchite avec dyspnée. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 29 frères morts l'un écrasé par une voiture (aurait eu des mani-
sson; - grand'mère paternelle, paralytique. - Grand- père maternel, mort apoplectique. - Arrière-grand'mère paternelle,
mère paternelle, morte apoplectique; arrière-grand-père maternel, mort aliéné. - Frère, convulsions; - frère, convulsion
trine, à l'âge de quatre-vingt-cinq ans. - Trois frères : deux sont morts , l'un d'une fluxion de poitrine ( ? ) à l'âge d
bien portants qui ont une bonne santé. - Trois soeul's : deux sont mortes , l'une à quatre mois, on ne sait de quoi, l'aut
. : 49 Douze enfants et trois fausses couches. ' - ' . 1° Garçon, mort à trois mois, en nourrice; « des hernies( ? )»-
dix-huit mois d'un a chaud et froid ( ? ) » 7° garçon, intelligent, mort à trois ans du croup ; 8° fille, morte à vingt-
que la gauche ; iln'a parlé qu'à sept ans; 11° garçon intelligent, mort à trois ans de la coqueluche ; - 120 fille mort
t cousins germains et portaient le même nom. Deux enfants : 1° un mort mort-né ; 2° Notre malade. Né à terme, élevé au
e. - Père, hémiplégie droite Mère nerveuse ; - grand-père maternel, mort ci quatre-vingt et un ans d'une pneumonie ; - g
t, de taille moyenne, très sobre ; marié à l'âge de trente ans, est mort à cinquante-deux ans, des suites d'une hémorrha
trois ans de violentes céphalalgies. [Père, fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans. Mère, DE l'épilepsie PROCUR
s'est mariée à vingt-six ans, et n'a jamais été malade. - [Père, mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie. Mère, mort
nte, intelligente, pas de convul- sion ; 2° garçon, né avant terme, mort en nourrice à l'âge d'un mois ; 3° notre malade
able, tumeur fibreuse de l'utérus, pas de convulsions; - 5° garçon, mort à l'âge de six ans et demi, on ne sait de quoi.
eprises, des convulsions assez graves pour qu'un instant on le crût mort . Il a marché et a été propre à deux ans ; il n'
eir jamais eu d'affection nerveuse. Un frère bien portant, un autre mort de la poitrine, une saur morte subitement d'un
., dans la famille]. - Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° un mort de scrofules à quatre ans sans avoir eu de conv
les traits sont altérés ; cyanose des lè- vres et des conjonctives, mort l'après-midi à une heure. Autopsie, le 23 octob
rnel, il n'y a aucune trace d'héré- dité morbide; ses ancêtres sont morts à l'extrême vieillesse. Une soeur ainée, bien p
nt. - Onanisme. - Affaiblissement des facultés intellectuelles. - Mort en état de mal. Alép... (Auguste), né le 24 mar
ur, il a tout bu et sa femme a dû se placer comme domestique. [Père mort de la poitrine à trente-huit ans, tourneur en c
jamais eu que des né- vralgies violentes. [Père, laboureur, sobre, mort à cinquante- neuf ans, d'une attaque d'apoplexi
es de nerfs, a souvent le sang à la tête. - Quatre frères, l'un est mort en huit jours, d'accidents cérébraux con- sécut
es deux derniers frères ne sont pas mariés. - Un oncle paternel est mort très vieux (soixante-seize ans),'et a toujours
r- DE L'ÉPILEPSIE PItOCUIiSIVE. 91 nels migraineux. - Cinq frères morts jeunes de convulsions. - En(ant adultérin. Co
ère naturel, plom- bier zingueur, pas d'accidents saturnins, sobre, mort de phthisie l'âge de quarante-deux ans. [Père e
raineuse, morte du choléra. - Une soew' et trois frères migraineux, morts on ne sait de quoi. Pas d'épileptiques, etc., d
e son mari, une fille. - De son amant les six premiers enfants sont morts jeunes à la suite de con- vulsions ; un autre e
nfants sont morts jeunes à la suite de con- vulsions ; un autre est mort également jeune d'une fracture de la colonne ve
icide. - Hypospadias. Etat de mal (novembre 1884). - Automatisme. - Mort en état de mal (1 86). J. Autopsie. - Atrophi
novembre z1884). -- Père, tailleur, assez grand, très sobre, calme, mort à cinquante ans, il y a un mois, probablement d
ans, il y a un mois, probablement d'une tumeur du bassin. [Père, mort des suites d'un refroidissement ( ? ) en trois jo
t petite, impressionnable, assez colère, assez intelligente. [Père, mort en 1871, de la varioloïde, menuisier. Excès de
ère et Grand'mère paternels pas de détails. - Grand- père maternel, mort d'une tumeur abdominale à soixante-cinq ans, so
cès : u0°,4. Pouls, après Fig. 2. - 0, '1'. une demi-heure après la mort ; H,'l'. une heure après. 104 -il DE l'épilepsie
. Le malade meurt à 7 h. 45 du matin. T. ft. immédiatement après la mort : 4'lo, ; une demi-heure après : 41°; - une heu
marche de la température dans un cas d'état de mal aboutissant à la mort , avec les deux sommets classiques, l'un corresp
son père inconsciemment et se recouche. Observation XXVIII. - Père mort d'un cancer de la langue. Cousine germaine du c
gue. Cousine germaine du côté maternel, hystérique. - Deux frères morts de méningite. - Asphyxie à la naissance - Marche
nce aux congestions dans la famille paternelle. - Oncle paternel, mort de convulsions. - Tante paternelle, attaques de n
- Grand'mère maternelle et deux oncles maternels, suicide. - Trois morts subites dans la famille maternelle. - Un frère,
la famille maternelle. - Un frère, une soeur, une cousine germaine, morts de convulsions. ' Premières convulsions à six
able lit. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 11 OBSERVATION la\Il. -Père, mort phtlcisique. - Un frère, mort de convulsions.-
CURSIVE. 11 OBSERVATION la\Il. -Père, mort phtlcisique. - Un frère, mort de convulsions.- Un autre : hémiplégie gauche n
il fallait le maintenir, le surveiller. Observation XXXIII. - Père mort phthisique. - Un oncle paternel phthisique. - U
ineuse, morte p/t</tM ? t<t ? Cousin germain idiot. - Frères, morts de con- vulsions. - Premiers accès à douze ans.
ura. - Folie et courses consécutives. - Pyromanie et kleptomanie. - Mort dans un accès. · De Buss... (Gaston-Emile), n
Observation XXXVII. Père alcoolique, céphalalgique, rhumatisant, mort d'apoplexie ainsi qu'un oncle paternel. - Un peti
tomber. » Observation XL. - Père alcoolique, colérique, eczémateux, mort phthisique. Grand-père maternel alcoolique. Frè
eczémateux, mort phthisique. Grand-père maternel alcoolique. Frère mort de convulsions. Autre frère, convulsions et tum
tation pupillaire droite. - Embarras de la parole. - Etat de mal. - Mort . Autopsie. Persistance du thymus-, épiploon de
sement progressif; " état de mal. - Pyo-pneumo-thorax consécutif. - Mort . AUTOPSIE. - Ganglions iléo-coecaux calcifiés;
pistaxis fré- quentes vers l'âge de douze ans. - [Père, journalier, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne sait de
ôle. - Une soett1', soixante-quatre ans, abcès scrofuleux. - Frère, mort à soixante-deux ans environ, a eu deux enfants
environ, a eu deux enfants très bien portants. D'autres soeurs sont mortes l'une de la coqueluche et l'autre d'une affecti
ns, un abcès à la jambe droite avec fistule. [Père, enfant naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante ans environ. -M
de meurt le 16 septembre à une heure du matin. Température après la mort : 43°,2. Autopsie (17 septembre 1885). - Rigidi
cooliques. - Grand-père maternel paralytique et alcoolique. - Frère mort de convulsions. - Accou- chement laborieux ; ci
avec vomissements. - Gâtisme. - Augmentation du nombre des accès. - Mort dans un accès. Autopsie : Congestion et cedèm
d'antécédents nerveux, etc. [Père, homme de peine au chemin de fer, mort au bout d'un an ; nombreux excès de boisson. -
rand'mère maternelle, pas de renseignements. - Grand-père maternel, mort à quatre-vingt-huit ans, on ne sait de quoi. -
ernel, mort à quatre-vingt-huit ans, on ne sait de quoi. - Un frère mort à trente-trois ans ; on croit qu'un des amants
énés, etc.] - Pas de consan- guinité. ' Huit enfants : 1° garçon, mort à trois semaines de convulsions ; - 2° garçon,
ts : 1° garçon, mort à trois semaines de convulsions ; - 2° garçon, mort à quatre mois, en nourrice, on ne sait de quoi
nie aiguë pulmonaire. - Durée de l'épilepsie : au moins huit uns. - Mort à quarante ans. Autopsie. - Etat trouble de la
i pour troubles mentaux à l'asile d'aliénés. Observé de 1857 à sa mort (1800). Pas de renseignements sur les causes et l
e doux, a été trente-quatre ans cocher à la compagnie générale, est mort à soixante-six ans d'une lion- chite chronique
e d'école, bien portant, et a une fille en bonne santé; un fils est mort de la petite vérole; - l'autre frère est mort à
ne santé; un fils est mort de la petite vérole; - l'autre frère est mort à soixante ans, on ne sait de quoi. - Deux soeurs
ies de peau, ni d'attaques; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. - Mère, morte en couches à
père hollandais, mère lorraine). 8 enfants : 1° un mort-né;- 2° un, mort à trois ans, du choléra, avec convulsions; - 3°
est bien portant, pas de chorée, marié, a eu deux enfants qui sont morts l'un d'une lluxion de poitrine, l'autre de chol
poitrine, l'autre de cholérine, mais sans convulsions; - 5° garçon mort à vingt-deux ans et demi d'hémoptysies succes-
sies succes- sives, pas de convulsions, pas de chorée; - 6° garçon, mort à vingt-deux ans d'un refroidissement après avo
ssesse bonne; pourtant, à huit mois, la mère a été émotionnée parla mort de son second enfant. Elle au- rait été prise d
ternels, convulsions. - Un frère, convulsions, arriére. Deux soeurs mortes de méningite. Conception durant l'ivresse. - Pr
ignements fournis par sa mère (24 avril 1882) - Père, char- retier, mort en 1871 à la Pitié, à la suite d'une fracture de
a maladie et qu'il était moins nerveux. [Père, garde champêtre, est mort très âgé; on croit qu'il était sobre. - Mère, mén
re. - Mère, ménagère, morte de vieillesse. - Deux frères : l'un est mort étant soldat, d'un refroidissement, l'autre ser
: l'un est mort étant soldat, d'un refroidissement, l'autre serait mort des suites d'une maladie vénérienne. - Une soeu
elle aurait eu dans son pays, à quinze ans, un enfant qui est venu mort ; elle est ensuite venue à Paris « faire la noce;
aris « faire la noce; » n'a pas eu d'autres enfants. - Un oncle est mort à Bicêtre aux vieillards. Pas d'aliénés, d'épil
es; n'est pas nerveuse. [Père, culti- tivateur ; excès de boissons, mort à la suite d'une chute avec frac- ture de côtes
fort; mais il est intelligent et très vif; apprend bien;-5° garçon mort à trois jours on ne sait de quoi, était né à te
De six à dix mois, il était si faible qu'il était «comme un enfant mort ». A cetle dernière époque, il eut sur la tête d
aladie qui suit une marche progressivement ascendante du début à la mort . Les maladies qui paraissent se rapprocher le p
de rhumatismes; aucune affection cutanée. [Père, scieur de pierres; mort d'excès de boisso2.-Mére, blan- chisseuse, sobr
est morte aux Petits-Ménages aissyvcrs 1872. - Un doses frères est mort aliéné à Bicêtre vers 1872; il buvait beaucoup.
aliéné à Bicêtre vers 1872; il buvait beaucoup. Un autre frère est mort d'une affection pulmonaire, il faisait aussi de
omme parce que a ce sont des choses qui ne la tentent pas ». [ Père mort du choléra, vers 185t, carrier dans les monta-
au ni de syphilis. Pas de migraines ni de rhumatismes. Sobre. [Père mort à 73 ou 74 ans; on ne sait de quoi. Journalier
le père de notre malade. Il n'était ni en enfance, ni paralysé à sa mort . - Grands parents pater- nels, morts âgés. - Gr
en enfance, ni paralysé à sa mort. - Grands parents pater- nels, morts âgés. - Grands parents maternels, pas de détail
de rhumatisme. Caractère calme ; n'est pas nerveuse. [Père, berger, mort à GO ans d'une fluxion de poitrine, sobre, pas
laquelle est morte de vieillesse à 84 ans. De deux frères, l'un est mort à 19 ans poitrinaire ; l'autre est bien portant
Jamais chez lui il n'avait proféré d'accusations relativement à la mort de sa petite soeur. Celle-ci, qu'il paraissait
aimer beaucoup, était morte quand il avait à peine 9 ans. Après sa mort et jusqu'à sa maladie, il n'en parlait jamais.
I. - Nous n'avons à relever dans l'histoire de la famille que la mort d'une soeur du malade, par le fait d'une méning
18 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
ie infantile suivie d'épilepsie partielle; état de mal épileptique; mort ; foyer ancien intéressant les circonvo- lutions
très nerveux, pAstçMe. Grand'mère, tantes paternelle et maternelle mortes phthisiques. Grands-pères paternel et maternel
e d'une affection pulmonaire. - Scezvr morte de convulsions.- Frère mort d'une imperforation de l'anus. Bromure de potas
anus. Bromure de potassium. - Armures magnétiques. - État de mal. Mort . Autopsie : Atrophie de l'hémisphère cérébral d
quentes depuis deux ans; un peu d'acné faciale depuis un an. [Père, mort à soixante-sept ans « un peu d'inconduite » ; c
ère qui, pense-t-on, est en Amérique; Cinq soeurs, dont quatre sont mortes jeunes et l'autre à qua- rante-sept ans, d'un c
à gauche ; affaiblissement de la vue à droite. [Père, charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une attaque de paral
te ans, de la poitrine, les autres bien 1 Le 7 mai t883, lors de la mort de notre malade, son père était en traitement à
re frères vivants, bien por- tants ; d'autres soeurs et frères sont morts jeunes, on ne sait de quoi (en tout dix-sept en
faiblesses; elle est mariée et a un enfant d'un mois ; 5° gar- çon, mort à dix jours; il ne serait pas allé une seule fois
'à sept mois et demi, où la mère a eu des chagrins à la suite de la mort de sa fille âgée de trois ans. Accouchement à t
noncé quelques paroles, il s'est affaibli pro- gressivement et c.-t mort à huit heures du matin, sans avoir eu de nouvea
e nouveaux accès. La température rectale, prise aussitôt après la mort est de 41°,3. Autopsie le 7 mai Il 883. - A l'o
mme de cérat. - Traite- ment : un peu plus d'un mois. - Guérison. - Mort l'année sui- vante de tuberculose pulmonaire. -
e nous avons employé pour notre solution de 8 p. 100 ayant amené la mort d'un lapin de 3 kilogr. à la dose de -2\ millig
Grand-père maternel alcoolique. - Mère migraineuse. - Deux Meurs mortes de méningite. Vertiges à six ans. - Accès deux
ié depuis qua- torze ans, « c'est un hou mari ». [Père, éperonnier, mort en 1872, à l'âge de soixante-deux ans, d'un can
ques excès de boisson, n'a eu ni migraines, ni maladies nerveuses ; mort à la suite d'un coup de pied dans le ventre : i
en portante sobre, ni migraineuse, ni nerveuse. - Deux frères, l'un mort jeune, on ne sait de quoi; l'autre, en bonne sa
; ceux-ci, n'ont jamais eu de convulsions. Cinq soeurs, dont deux mortes jeunes de cause inconnue; les autres sont bien po
ants : 10 garçon, quinze ans, bien portant, intelligent, 2° garçon, mort à dix-sept mois d'une méningite; 3° garçon, onze
otée à la fin de l'année 1884. Observation XVI. - Père alcoolique mort de paralysie générale. - Grand-père paternel my
sécution) ; une fille de ce dernier hystérique. - Autre grand-oncle mort aliéné. - Cousins aliénés. Epilepsie idiopathiq
e). Renseignements fournis par sa mère (13 3 avril -I 88 ? ).-Pére, mort en l812, à l'âge de trente-deux ans, à l'asile
e, qui avait été assez développée, était donc déjà atteinte. [Père, mort à soixante- dix-huit ans ; il était « halluciné
ts,; il était atteint du délire de la persécution (ses enfants sont morts les uns de la poi- trine, une avait des attaque
créature ». Un oncle paternel de notre malade, François Cres ? est mort aliéné à Montdevergnes (il a deux fils chétifs,
eaucoup d'ennuis avec son mari. Jamais de maladie de peau. - [Père, mort de vieillesse, à soixante-dix-huit ans, « s'éta
nvulsions, il est moins intelligent que notre ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec convulsions con- sé
jections de curare : accidents locaux du côté paralysé; insuccès. - Mort dans un accès (1883). Autopsie : asymétrie du
est un peu cholérique, bon ouvrier; marié à vingt et un ans. [Père, mort à quatre-vingts ans; on l'a noyé, pense-t-on, o
on ne sait de quoi ; laissant cinq enfants. - Grand-père paternel, mort à quatre-vingts ans. Pas d'autres renseignement
ans. Pas d'autres renseignements. Quatre frères et une un frère est mort à quarante-huit ans, de la poitrine et de chagrin
resté trois mois à Lariboisière, et, un an après l'accident, il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'enfants. La soeu
ts. La soeur est morte du choléra en 1849, laissant un fils qui est mort de la poitrine. Pas d'autres détails. Pas d'ali
it autrefois de nom- breux excès de buisson. - Grand-père paternel, mort à soixante- douze ans des suites d'une chute du
morte vers soixante ans, on ne sait de quoi. -Grand- père paternel, mort du choléra en 832. - Grand'mère maternelle, mor
rand'mère maternelle, morte d'une tluxion de poitrine. Un frère est mort du choléra en 1865, ainsi que sa femme et son e
t;')'CHe<'ue ! MP. G ! 'and-pë ! 'eH : f<e)'He<, alcoolique, mort phthisique. Grand'mère maternelle paralytique g
Mère : crises nerveuses en 4 883. - Grand-père maternel alcoolique, mort aliéné. - Premières convulsions à trois ans. -
n janvier 1885. Observation XXVI. - Epilepsie symptomatique. - Père mort phthi- sique. - Mère migraineuse et colérique.
-1883 Ci mois = 33 jours). totaux 78 DU CURARE germain maternel mort du mal de Pott. - Onanisme. - Début à trois ans
s, entré à Bicêtre le 16 novembre 48$Q (service de M. BOURNEVILLE), mort le 31 juillet 1884. Traitement du 6 novembre 18
e (1881-1882). - Amélioration. - Curare; insuccès. - Tuberculose. - Mort . Délai... (Edouard), dix-huit ans, est entré à
re mois suivants; le traitement avait été supprimé le 30 juin, la mort eut lieu le 25 octobre. Observation XXXtV. Idio
- Mère : idées de suicide pendant deux mois. - Grand-père maternel mort de phthisie. Grand'mère maternelle morte de can
sie. Grand'mère maternelle morte de cancer utérin. - Frère jumeau mort à trois jours (convulsions). - Grossesse : chuté
e curare, insuccès. Obstruction du larynx par un morceau de viande; mort .- Autopsie : sur l'hémis- phère cérébral droit
9872, entré le 25 mai 4818, à Bicêtre (service de 11. BouRNEVILLE). Mort le 22 mai 1883. Traitement du 23 novembre 1882
progressive. Hémorrhagie cérébrale; marche de la tem- pérature ; mort ; Par BOURNEVILLE et Dubarry, interne du servic
s. Le malade a eu plusieurs frères ; le seul que l'on ait connu est mort , vers l'âge de 40 ans, « d'étisie : il avait eu
pilepsie chez notre malade, depuis le jour de son entrée jusqu'à sa mort (1). 1884. Le 2 novembre, vers 3 heures de l'ap
, elle était à 37°, et, à partir de là, d'heure en heure jusqu'à la mort (fig. 7). AUTOPSIE. 1' 1 est le siège d'un ép
nsion du foyer et aux ruptures ; - M, tempéra- ture au moment de la mort . H, température un quart d'heure après la mort;
ture au moment de la mort. H, température un quart d'heure après la mort ; 0, température une heure un quart après la mort;
t d'heure après la mort; 0, température une heure un quart après la mort ; 00, T. deux heures un quart après la mort. 1
heure un quart après la mort; 00, T. deux heures un quart après la mort . 12 ! i H6\LOltlitl : liifl : CiaiÎ.Illi11,L :
ture. On sait que, dans les cas réguliers qui se terminent par la mort à bicvc échéance, l'abaissement initial est suivi
; parole nulle ; gâtisme. Diarrhée. Rougeole (1883). - Tuberculose. Mort . Autopsie : Rein en fer à cheval ; tuberculose
Bicêtre, le 15 novembre 1882 (service de M. Bourneville) et y est mort le 30 avril 1884. Renseignements fournis par sa
« j'ai 18 idiotie cérébrale. été battue pour commencer. » [Père, mort on ne sait de quoi, à 45 ans. Il avait fait de
n n'a plus eu de nou- velles depuis la guerre de 1870; deux soeurs, mortes du croup. Aucun détail sur les grands parents.
; pas de dermatoses. Elle a eu une fièvre typhoïde à 18 ans. [Père, mort de fièvre typhoïde à 45 ans, à l'époque où elle
seignements que sur les grands parents maternels. Le grand-père est mort à 79 ans en 8 jours ; il n'était ni paralysé, n
suites d'une fracture compliquée à l'âge de 55 ans. - Un frère est mort à 13 ans d'une «inflammation d'intestins. » Pas
a eu d'une première femme, morte poitrinaire, deux enfants qui sont morts à 2 mois et à 6 mois et un mort-né avant terme.
ns la gorge » ; pas de convulsions ; 3° notre malade ; 4° garçon, mort à quatre mois et demi de cholérine (vomissements
n vert grisâtre. II n'y a jamais eu de vomissements. T. R. après la mort : 40°,5; une heure après : 39°,8; deux heures a
instincts. Observation. - Père : onanisme, tentative de suicide ; mort d'apoplexie. Mère migraineuse. - Grand-père mat
apoplectique. - Oncle maternel aliéné ; cou- sin germain et scezcn morts de convulsions. Allaitement par une nourrice al
1882, à l'âge de 1G ans. Renseignements fournis par sa mère. Père mort on 1878, à l'âge de 78 ans, d'une attaque d'apo
e suicide à la suite de pertes d'argent. [Son père, aubergiste, est mort on ne sait de quoi; on ignore s'il buvait. - Sa
on ignore s'il buvait. - Sa mère est morte à G3 ans; la cause de la mort est inconnue. - Quatre frères et soeurs sont ég
e de la mort est inconnue. - Quatre frères et soeurs sont également morts sans qu'on sache de quelle maladie. Une autre s
issements qui ont repris depuis la ménopause (51 ans).-[on père est mort à 73 ans,à sa 3" attaque de para- lysie, en qua
e renseignements sur les autres grands- parents. Deux frères : l'un mort à 48 ans d'une pneumonie, laissant 6 enfants en
maire. - Père, peintre en bâtiments; saturnin, alcoolique, aliéné ; mort d'urémie. - Grand-père pater- nel, excès de boi
istre de la justice : insuccès complet. - Tuberculose pulmonaire. - Mort . Le nommé Brig... Albert, âgé de 17 ans, est en
Sainte-Anne en 1870. Rendu à sa famille au bout de six mois, il est mort à Necker en 1875, d'accidents urémiques, à l'âg
5 mois de traitement, il fut rendu très amélioré à sa femme. [Père, mort à 83 ans de la pierre ? peintre en bâtiments, a
convenable ; elle a une intelligence ordinaire. [Père, alcoolique, mort du choléra en 1849. - Mère, non nerveuse, morte
il n'a fait que des progrès insignifiants. DERNIÈRE ARRESTATION. MORT . 173 jours de cachot pour injures aux agents, m
étant aggravée, il a été transféré de nouveau à la Santé, où il est mort de tuberculose pulmonaire, le 7 juin 1884. (1
nts précis,était 017 c2n2St; il avait essayé de se suicider; il est mort apoplectique. Sa mère a été sujette à des migra
et à des étourdis- sements. L'un de ses grands pères maternels est mort à sa troisième attaque de paralgsie. Un oncle d
19 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
ngrès international de l'hypnotisme et contribua à son succès. - La mort d'Hamilton Osgood sera douloureusement ressentie
te leur vie en toilette de femme et leur sexe n'est reconnu qu'à leur mort . D'autres ont, par suite de leurs allures et de
on judiciaire l'impose, j'ai vu par exemple autrefois une exécution à mort motivée par un meurtre ayant pour origine une jal
ue du Vanel. ?3ß Année. — N° 3. Septembre 1908. BULLETIN La mort du professeur Liégeois (de Nancy). — Hommage ft l
esseur Glard. Nous avons le vif regret d'annoncer à nos lecteurs la mort de M. Jules Liégeois, -professeur honoraire a la
l'élude scientifique, juridique e-médico-légale de l'hypnotisme. La mort du professeur Giurd, survenue au commencement du
le de Saratoff par M. le Dr Kouzmine, celui-ci h rapporté * un cas de mort par suite de la narcose chloroformique » ; la mor
pporté * un cas de mort par suite de la narcose chloroformique » ; la mort est survenue subitement, avant l'opération, après
lques considérations psychologiques à propos de ce cas regrettable de mort — pendant la chloroformisation. Je dis. avec
e de mort — pendant la chloroformisation. Je dis. avec intention, mort pendant la chloroformisation. car nous n'avons au
quefois, comme on sait, de deux ou trois inspirations pour amener une mort foudroyante et incompréhensible. Le plus minutieu
men microscopique ne font découvrir la moindre lésion qui explique la mort . On semble perdre pied sur le terrain anatomo-his
'alors, pâlir et perdre connaissance. Au bout de dix minutes il était mort . La science a enregistré un assez grand nombre
tes il était mort. La science a enregistré un assez grand nombre de morts occasionnées uniquement par la frayeur. Les cas q
santerie malencontreuse et inattendue produit une terreur et amène la mort . C'est que les émotions vives produisent un état
Gazette, 28 juin, 1886. n'est pas facile non plus de provoquer la mort par la suggestion memo directe. J'ai assisté à un
crime horrible...On vous juge ; on a prononcé contre vous un arrêt de mort ; on vous exécute... Vous êtes mort ! » On ne sau
prononcé contre vous un arrêt de mort ; on vous exécute... Vous êtes mort ! » On ne saurait aller plus loin. Le sujet tress
plus souvent que dans le sommeil naturel. On admet trois causes de mort par le chloroforme : le choc nerveux, l'asphysie
suggestion est possible. La frayeur peut être une principale cause de mort pendant la chloroformation.Le chloroforme donne p
dans les états psychiques subjectifs les causes du 1/80 pour cent de morts dans le cltloroforme, causes qui échappent si sou
t même pour inhiber ou juguler les vomissements post-anesthésiques. Mort par émotion, inhibition, suggestion, etc. par M
t si et comment les impressions mentales peuvent réellement causer la mort . C'est cette question que je désire reprendre dan
enu ma parole et n'en ai vraiment tué que cinq ; tous les autres sont morts de peur ! » On peut mourir véritablement de peu
nus pour l'opérer ; on ne releva qu'un cadavre. Carrara, condamné à mort pour avoir assassiné un garçon de recettes, compt
posée sur le billot fatal : le sursis vint trop tard : la peur de la mort avait arrêté l'action du cœur. * * La vue ou
par l'un des siens ou même par un indifférent peut aussi provoquer la mort . Un charpentier, de Charolles, tombé d'un toit,
chez ses parents : sa grand'mère. le voyant évanoui, croit qu'il est mort ; elle tombe a la renverse, en poussant un grand
nt d'une maladie grave, n'a plus aucune chance d'être sauvé et que sa mort est proche. Ayant à présenter, en séance solennel
t, le comte Dubois porte la main à son front et s'affaisse : il était mort , (de Leymarie). Un enfant de sept ans est témoi
n meurt le lendemain. * ß * Voir mourir quelqu'un, apprendre la mort d'un proche, assister a un enterrement, lire son
, émotionner au point de tuer. ?. Tarbes, un comptable assiste à la mort d'un ouvrier qui vient d'être broyé par une machi
, du nom de Filbey, mourut à Twickenham, après avoir été témoin de la mort d'une voisine. (Ward). Pendant la guerre que le
de la tristesse ayant accablé ses esprits vitaux, le porta roide mort par terre, a (Montaigne). L'illustre Berthelot
porta roide mort par terre, a (Montaigne). L'illustre Berthelot est mort subitement au moment même où l'un des siens est v
rès qu'il eut lu dans un journal une notice nécrologique racontant sa mort . Cette mauvaise plaisanterie lui donna un choc si
ià, qu'un sot de Lepidus qui en mourut d'angoisse. » Parlant de la mort d'Isocrate, Miltou dit : « C'est la nouvelle de l
iation. Boulversé d'êtreainsi gravement pris en faute, il tombe raide mort . Un chef de gare italien, âgé de 55 ans, est, u
triomphe avait été décerné pour avoir subjugué la Corse, tomba raide mort au pied de l'autel où il rendait les actions de g
e heures après. Des forçats irlandais, condamnés à perpétuité, sont morts en apprenant qu'ils étaient graciés. Pouquet, a
ccès de son parti, il manifeste une joie exubérante, se lève et tombe mort sur le plancher. Un homme de 51 ans reçoit d'un
poitrine et se renverse sur le dossier du fauteuil. Le malheureux est mort de l'émotion trop intense qu'il a éprouvée. Une
nôtres, et nous, quoique vivants, errons comme des spectres. ? Les morts , eux. gisaient tranquilles, mais nous, nous march
alement mystérieux, uniformément aveugle. Et personne ne craignait la mort , car pas un de nous ne comprenait, ne savait ce q
ait la mort, car pas un de nous ne comprenait, ne savait ce qu'est la mort . » Au combat, une double personnalité semble pr
et les exemples en sont presque innombrables. Un soldat se croyait mort depuis la bataille d'Austerlitz où il avait été g
morales et politiques a prononcé les paroles suivantes relatives à la mort accidentelle de M. le professeur Jules Liégeois :
l'Académie des sciences morales et politiques. M. Jules Liégeois, est mort le 14 de ce mois, victime d'un de ces accidents d
versant la mienne dans tous les angles possibles. » ' (A suivre). Mort par émotion, inhibition, suggestion, etc. (1) p
ychologie. (Suite) La suggestion est-elle capable de provoquer la mort ? Citons les «as suivants. En 1750, à Copenhagu
t. (Hack-Tuke, p. 53.) D'après Liébeault (II. p. 12), un condamné ù mort périt au moment où le bourreau venait de le frapp
s assistants s'aperçurent,, non sans étonnement, que le bouffon était mort . Le fait qui suit est plus récent ; il a été pn
nferment avec lui dans une salle et déclarent qu'ils-vont le mettre a mort . Ils lui lient les mains derrière le dos, lui ban
acre d'exécution, on détache ses liens, on. débande ses yeux : il est mort ! Dans ces cas, le patienta cru à la réalité du
patienta cru à la réalité du supplice capital et à l'imminence de la mort : la mort s'en est suivie ; c'est la foi qui a tu
cru à la réalité du supplice capital et à l'imminence de la mort : la mort s'en est suivie ; c'est la foi qui a tué. La fo
M. L. G. meurt subitement quelques instants après. Voici des cas de mort par suggestion à échéance. Le grand maître des
n faveur de cette bonne Mme Mar... qui t'a si bien consolée depuis ma mort . Laisse-lui non seulement ta fortune, mais aussi
déchirures. L'autosuggestion, aussi, serait capable de provoquer la mort . Feuchtersleben rapporte que des sauvages, lors
ge anx Indes Orientales, raconte la légende par laquelle après la mort de Brahma, Vichcnou. prenant une feuille de figui
me que de celle de sa femme et de ses enfants : et c'est naturel : la mort d'une bête constituant pour lui toujours une pert
me votre sortilège, avant que le lait n'entre en ebullition, c'est la mort qui vous attend, au milieu d'atroces souffrances.
t dans le creux de l'estomac du patient et l'y laisser jusqu'à ce que mort s'en suive, la mort de la bète, s'entend. Si cela
'estomac du patient et l'y laisser jusqu'à ce que mort s'en suive, la mort de la bète, s'entend. Si cela n'agit pas. c'est q
n âgé do moins de sept ans. qui l'y maintiendra jusqu'à ce qu'il soit mort . Alors il ira lui-même le jeter dans le cours d'e
re que pour d'antres, l'arrestation eût été alors presque un arrêt de mort , car. par un raffinement de haine politique, la c
ins ce qu'elle lui a affirmé, avec l'ordre de n'en parler qu'après sa mort . Un jour que je fui demandais si elle chantait
rte ta voixdans'la tombe !.» Deux jours après le baron Walhofen était mort , et moi je ne pus jamais plus chanter. BULLETIH
nt, ce prince conçut pour elle la passion la plus ardente, que la mort tragique de celle qui en fut l'objet ne put surmo
ctive produisent une impression mentale aussi profonde. (A suivre). Mort par émotion, inhibition, suggestion, etc. (2) p
ofesseur h l'Ecole de psychologie. (Suite et fin) Dans les cas de mort par suggestion, il faut faire la part de l'influe
Des chocs minuscules mais brusques, inattendus, ont pu provoquer la mort , tels de légers traumatismes du larynx (Brouardel
n dans les expertises médico-légales relatives à un accident suivi de mort . En effet, la constatation de certaines lésions c
uteur de l'accident. Un traumatisme minuscule, incapable de causer la mort chez un individu quelconque, pourra cependant occ
la mort chez un individu quelconque, pourra cependant occasionner la mort chez un cardiaque, du fait même de sa cardiopathi
Très impressionné, le pauvre malade est pris d'une peur atroce de la mort . La seconde nuit, la même scène se reproduit, ain
ose donc à tous les cardiaques. Ceux-ci seront préservés du danger de mort par syncope émotive, si on les entraîne à éviter
geuse aux gens bien portants. Ce serait une erreur de croire que la mort par syncope émotive exige la préexistence d'une c
n'a pu déceler aucune lésion circulatoire. Comment, dans ces cas, la mort est-elle possible ? Par réflexe, spasme, action d
es particulièrement terrifiantes et le shock moral avait déterminé la mort par inhibition. Rappelons la célèbre expérience
tte interprétation. Brouardel prouve, devant la justice, qu'il y a eu mort non par strangulation, mais par inhi-bition. La j
rangulation. Le meurtre est donc écarté.et l'auteur indirect de cette mort n'est poursuivi que pour coups et blessures ayant
te mort n'est poursuivi que pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Dans des cas de ce g
pour la confirmer, soit pour l'éliminer, envisager l'hypothèse d'une mort par inhibition; et cela permettra parfois à la ju
la responsabilité criminelle des auteurs involontaires de semblables morts . De temps en temps, on a à déplorer un cas de m
s de semblables morts. De temps en temps, on a à déplorer un cas de mort pendant la narcose chloroformique. Aussitôt, les
, avant que l'organisme ait pu être * intoxiqué » ; parfois aussi. la mort survient pendant les préparatifs, le flacon de ch
aussi redoutable. Brat est parvenu à provoquer, chez un lapin, une mort analogue à-celle qui survient parfois, sons l'inf
nt. 2° L'une et l'autre syncope réalisent parfois un simple état de mort apparente ; on devra lutter avec énergie pour ess
i peuvent se prolonger ; c'est vraisemblablement cela qui explique la mort par inhibition sous le chloroforme. Avant de tent
M. Liégeois, juge au tribunal d'Epinal, fait part à la Société de la mort de son père, M. le professeur Liégeois, membre fo
etterstrand et Hamilton Osgood nous arrive la terrible nouvelle de la mort du professeur Liégeois, enlevé subitement aux sie
occasion qui nous a rapprochés et qui nous a unis d'une amitié que la mort brutale a rendue trop courte. Passagers comme n
le sommes tous, nous consentons à passer mais nous voudrions que ces morts illustres qui s'en vont, suscitent des imitateurs
es tentatives de suicide sont abortives.....l'hystérique ment dans la mort comme elle ment dans toutes les circonstances de
Madame X... ii ans ; — père suicidé par immersion — en apprenant la mort de son père, mort qne rien ne faisait prévoir : c
ns ; — père suicidé par immersion — en apprenant la mort de son père, mort qne rien ne faisait prévoir : cette dame qui avai
r l'entourage, comme une conséquence de la douleur produite par cette mort inattendue et que le temps ferait disparaître, Ce
par la peur instinctive, irraisonnée de l'eau. A partir du jour de la mort de son père, et encore aujourd'hui, toutes les fo
puis longtemps est enfin trouvé, elle mourra d'inanition. Ce genre de mort concilie tout, il apparaîtra comme une mort natur
d'inanition. Ce genre de mort concilie tout, il apparaîtra comme une mort naturelle déterminée par une affection gastrique,
rt de façon à ce qu'il ne soit pas surpris le jour où il apprendra sa mort et elle invoque auprès de lui le secret professio
ure humaine (essai de philosophie optimiste) » nous fait concevoir la mort comme l'aboutissant normal de la vie, c'est-à-dir
et non pathologique. De sorte que loin d'être un épou van tail la mort , alors que les modifications organiques qu'il env
sera au contraire voulue, désirée. On éprouvera alors le besoin de la mort comme après une journée de fatigue, on désire, on
t nous servira expliquer et à comprendre le désir et le .besoin de la mort qu'éprouvent certains névropathes. Les malades ch
pourra échapper à la douleur, à l'angoisse, que par un seul moyen, la mort . Ainsi l'idée de suicide nous apparaît comme une
ue, pour y échapper, le malade ne trouvera plus un refuge que dans la mort . Ainsi l'idée de suicide nous apparaît indépend
ls. Il s'agissait d'une femme qui était malade du ¦ Latah » depuis la mort d'un de ses enfants. La séance eut lieu dans un
. M. Lépinay. M. le Secrétaire Général fait part à la Société de la mort du professeur Hamy, de l'Institut et de l'Académi
ur E.-T. Hamy, membre de l'Institut et de l'Académie de Médecine, est mort le mercredi 18 novembre. Voici en quels termes si
ence, pour le voir garder l'immobilité la plus complète et « faire le mort >. Les cloportes se roulent en boule : la marm
re Jean de Cronstadt La presse russe nous apporte la nouvelle de la mort d'un thaum-tturge célèbre dans toute la Russie. L
ennemis publics. Us précipiteraient la France vers la décadence et la mort , comme leurs aînés ont fait de la Grèce et de Rom
ans la croyance qu'elle ressusciterait le troisième jour après sa mort . La dame Boiler mourut en 1895. Ses disciples att
prédit qu'elle sortirait vivante de son tombeau, trois jours après sa mort . Elle promit, en outre, à ses adeptes, qu'elle au
endait fermement ?? la résurrection de son chef, trois jours après sa mort . On fit des préparatifs pour fêter le miracle, ma
hinois a donc des qualités militaires remarquables : son mépris de la mort est légendaire. Des cavaliers chinois, au nombre
sur beaucoup de champs de bataille. Puisque nous honorons tant nos morts et que nous sommes gouvernés dans une grande mesu
les sont tellement atrophiés, que c'est la décrépitude certaine et la mort a brève échéance. J'ai moi-même cité un assez g
oi, Homme. Sagesse, Vertu, Vanité. Action. Vie, Jeunesse, Vieillesse, Mort , Femmes, Amour, Amitié, Argent, Education, Comman
en médecine. il. le Secrétaire Général fait part a la Société de la mort de notre collègue le Dc Fernand Lagrange, dont il
la soigner ; elle pleure. Quelle est la cause de ses pleurs ? La mort de son mari, datant déjà de plusieurs mois ? Null
euse une dépression constante tant au physique qu'au moral. Le mari mort , son émotivité se transforma : elle eut peur de l
té celui d'un enfant. Les médecins déclarent qu'ils s'attendent à une mort prochaine de Caroline Karlsdatter. ?' 'Withy (d
mier externe du Dr Jules Voisin, à son arrivée à la Salpetrière, à la mort de Legrand du Saulle. (que c'est loin déjà !) Je
* Les blancs, disaient-elles, ont l'odeur des personnes qui seraient mortes » ce qui revient à dire qu'ils exhaleraient une o
soufflaient sur ce qui ne leur convenait pas. j'ai vu le pauvre Saïd. mort récemment, sentir quelques parcelles de médicamen
seule fois de ne pas occuper le fauteuil de la présidence. Quand la mort le ravit ù notre affection, à la douleur que nous
de psychologie, et surtout depuis que notre maître Dnmonpallier étant mort vous êtes venu en son nom me prier d'être le prés
es états de sommeil, dans lesquels ils restaient plongés jusqu'à leur mort . ? ce point de vue. le cas recueilli par le Dr
Il mourut le 14 novembre 1849. Son œuvre suggestive continua après sa mort II s'était adjoint nn assistant dans les quinze d
ter, qui devint l'héritier spirituel du prince défunt et fut après sa mort , consulté par des malades des quatre coins du ino
courage et de la volonté chez ce peuple ? On sait qu'ils méprisent la mort . Une guerre récente a prouvé lenr force et leur a
e, sans omettre la guérison des écrouelles par les Rois de France, la Mort de Charles de Guyenne, l'Infirmité du conventionn
(Le professeur Alix). Latah (Le), par Witry, p. 173. Liégeois (La mort du professeur), p. 65, 97. Liégeois (Eloge du p
iracle de Lourdes (Un faux), p. 96. Miracles (Faux), p. 158, 190. Mort par émotion, inhibition, suggestion, par Paul Far
20 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
mbre par M. Condamy, interne provisoire. (2) Le maître de danse est mort le 8 juin 1889 et n'a pu jusqu'ici être remplac
n, nerveux. Grand-père paternel , excès de boisson. Cousin germain, mort de convulsions. Mère, migraineuse. Sceur hystér
pas ses enfants, « il est au contraire trop bon pour eux ». [Père, mort d'une maladie d'intestins à soixante-huit ans ;
e. Pas de renseignements sur les grands parents. Deux frères : l'un mort on ne sait de quoi ; l'autre très bien portant;
portant; il a encore sept ou huit enfants bien por- tants ; un est mort de convulsions ; quatre SOEurs : deux sont mortes
por- tants ; un est mort de convulsions ; quatre SOEurs : deux sont mortes de la poitrine, dont une a laissé deux enfants
use; pas d'alcoo- lisme. Faisait le commerce avec son mari.- [Père, mort à soixante- dix ans; il avait une maladie de co
n ne sait de quoi ; pas de maladie nerveuse. Grand-père paternel, mort à quatre-vingt-cinq ans, on ne sait de quoi; n'ét
ingt-huit ans; pas de démence ni de paralysie. Grand-père maternel, mort vers quatre-vingt-neuf ans, rien de particulier
ante, et enfin le stertor apparaît. - Une seconde fois il crie CI : mort , mort ! il se débat avec de grands mouvements c
et enfin le stertor apparaît. - Une seconde fois il crie CI : mort, mort ! il se débat avec de grands mouvements cloniqu
m vitre. Oncle paternel, excès de tout genre. Deux cousins germains morts de méningite. Mère très impressionnable. Grand-
s de nerfs, mais très ner- veux, très irritable. Intelligent. Père, mort quand il avait douze ans, d'ennui surtout, ayan
eillesse à quatre-vingt-cinq ans, non paralysée.-Trois frères, l'un mort de la poitrine à l'Hôtel-Dieu; faisait des excès
poitrine à l'Hôtel-Dieu; faisait des excès de tout genre; le second mort des suites d'une opération sur le cou; le troisiè
rois enfants dont un est bien portant, et dont les deux autres sont morts de méningite (cousins issus de germains de notre
ffec- tion abdominale; n'élait pas nerveuse. Grand-père paternel, mort jeune, paralysé à la suite d'excès de boisson. Gr
s à le maintenir. Puis il répéta à plusieurs reprises : « Plutôt la mort ! » La physionomie n'était pas changée. Il se r
s. sur la tein- pérature du 8 et du 9 décembre et à l'instant de la mort . Enfin, il est à regretter que les accès n'aien
la période convulsive Le signe correspond à la T. aussitôt après la mort ; le signe -j- à la T. huit heures après la mort
. aussitôt après la mort; le signe -j- à la T. huit heures après la mort . 4'4 Température dans l'épilepsie. frontières
70,8, etc. Fig. 8. - Température dans un état de mal terminé par la mort à la période méningitique. Le signe- correspond
de méningitique. Le signe- correspond la T. une demi-heure avant la mort ; le signe t à la T. un quart d'heure après la m
i-heure avant la mort; le signe t à la T. un quart d'heure après la mort ; le signe tt à la T, une heure après; le signe
puis survient la période méningitique qui peut se terminer par la mort (rig. 8) ou par la guérison (.c. 9). Dans ce der-
leptique. - malade est sans connaissance. A partir de là jusqu'à sa mort , il n'a pas eu de nouveaux accès. .. IV. Id
de l'hébétude du sujet. Membres supérieurs. 52 Etat cachectique ; mort . Puberté. Glandes mammaires non développées. -A
- Soir : 39°,6. L'enfant meurt dans la nuit. Tem- pérature après la mort , 37°, 2; un quart d'heure après, 36-, 7; une he
11 kilogr, 200. AUTOPSIE. - Elle a été pratiquée 32 heures après la mort . Cou et thorax.- Corps thyroïde sain (13 gr.) P
coupe. Trompes normales de même que la vessie; pas de calculs. La mort parait être due à un état adynanique de cause i
s mélancoliques. (7S5. Etat de mal; broncho-pneumonie gangreneuse ; mort . Autopsie. - Adhérences de la pie-mère, - Aspec
es 58 Antécédents. de maladies vénériennes; fumeur. [Père et mère morts on ne sait de quoi; une scieur morte de la poir
ni convulsions, etc... ; elle n'a jamais été malade. [Père, mineur, mort à la Pitié, il y a plus de 30 ans. Mère, morte
Dix enfants, dont une fille de 20 ans qui a eu 5 enfants (4 sont morts en venant au monde; « c'était dans la tête. » Une
on lui entend dire : « uc hon Dieu nous donne du pain. Quand on est mort , on est bien heureux, on vous met une croix ; q
est mort, on est bien heureux, on vous met une croix ; quand on est mort on est bien heureux. » Ses discours portent pre
on est bien heureux. » Ses discours portent presque toujours sur la mort . Il dit à sa mère qui vient le voir vêtue de no
, Poids après le décès 'il kilogrammes. =- 1'. R. au moment de la mort 3')° 8; 1/2 heure après le clèeès3cJ ? l heure ap
de 187 à à 1886. - Autopsie faite le 26 février, 21 heures après la mort . - La rigidité cadavérique est très prononcée e
rmonie avec sa situation d'esprit « « On est heu- reux quand on est mort , etc. » Dans la seconde forme, au contraire, il
a fait aucun mouvement jusqu'à 5 heures du matin, moment où. il est mort , T. R. le matin : 37°, 6. Soir : 37°, 2. T. un
. R. le matin : 37°, 6. Soir : 37°, 2. T. un quart d'heure après la mort : 38°, -; une heure après : 37°, 5. Autopsie le
Phlegmon de la région mastoïdienne. - Carie du rocher. Méningite. - Mort . - Autopsie : porencéphalie droite. Tuberculose
depuis cinq ans; toutefois, elle sait seulement que son père est mort , et que sa soeur est enfermée comme aliénée à Blo
Grands parents maternels inconnus. Un frère ct une soeur, jumeaux, morts 21 heures après leur naissance, qui eut lieu pe
s, très robustes. Deux enfants très bien portants; un autre est,' mort O11 rlCSllt de çl;toi. -Dew tantcs naaterzetles m
un autre est,' mort O11 rlCSllt de çl;toi. -Dew tantcs naaterzetles mortes de vieillesse. Pas de consanguinité. Egalité
a nuit et le 8 il meurt à 8 heures 1/2 du matin. T. R. 41^ après la mort ; 40^, 7 un quart d'heure après; 39o,g une heure
e maternelle aliénée et alcoolique. Deux frères alcooliques et deux morts de convulsions. Inégalité d'âge de 13 ans. Co
is par sa mère (1h juin 1888). - Son père, marchand de chevaux, est mort à 52 ans ; il avait le ventre très gros, il ava
esté au lit une quinzaine de jours ; « le médecin a dit qu'il était mort parce qu'il avait les. intestins brûlés par Ant
'adolescence il aurait eu la fièvre typhoïde ( ? ). [Père, carrier, mort à 66 ans, on ne sait de quelle cause, il était to
nsi qu'elle l'avoue ? [Père, perruquier à l'hospice de Bicêtre, est mort à 60 ans, à l'hospice, à la suite d'une opérati
a des va- rices et des ulcères des jambes. Un oncle maternel est mort d'une fluxion de poitrine, il était sobre. Un cou
e santé, il boit continuellement, il est à moitié idiot. Un frère mort de la poitrine; un autre frère, marchand de vin,
onduit bien, 2° Garçon, voituricr, boit 1)(,,i,ttcott'p,- 3° Garçon mort de la variole; il faisait des excès de boisson;
; Enfin un garçon de 13 ans bien portant. Les autres enfants sont morts en bas âge, 2 de convulsions, les autres à la sui
- ligence médiocre. - Grand'mère, grand oncle, et oncle maternels morts tuberculeux. - Frère peu intelligent : Autre fr
maternels morts tuberculeux. - Frère peu intelligent : Autre frère mort de convulsions. Somr instable et très nerveuse.
e, buveur mais rarement en état d'ivresse. Assez intelligent. [Père mort subitement à 67 ans. Depuis de longues années,
marche étant jeune. [.llè e morte à 38 ans de la poitrine. Un oncle mort de la poitrine à 35 ans, ainsi qu'un frère prob
ité d'âge. 116 Description de la malade. 6 enfants : 1" Un garçon mort à 8 ans de scarlatine compli- quée de diphtérie
quée de diphtérie; peu intelligent et très nerveux; 2° Un garçon mort à Il jours de convulsions 3° Une fille de 8 ans
ncéreux. Mère nerveuse, tremblement de la tête. Frère, convulsions, mort de méningite. Arrêt de dévelop- pement congénit
82. Disparition des accès depuis 188.'3.-\lnhhrile tuber- euleuse : mort , Résultats de l'autopsie. Gem..., Charles Adolp
eu. Pas de syphilis probable. Marié à 35 ans. [Père, gazier, sobre, mort d'un cancer de l'intestin. Mère morte du cholér
rfs. Mariée à 33 ans, un peu malgré elle. [Père, grainetier, sobre, mort d'une gastrite. Mère, morte d'une hernie étrang
, anémique, sans accidents nerveux ; 2° Notre malade ; 3° Un garçon mort à 3 ans d'une méningite, avait eu des convulsio
température a oscillé entre 3G°, 6. et 37°, 8. du 5 au 20 février. Mort le 21 février. T. R après la mort 37°, 8; un qu
6. et 37°, 8. du 5 au 20 février. Mort le 21 février. T. R après la mort 37°, 8; un quart d'heure après la mort, 37°; uu
le 21 février. T. R après la mort 37°, 8; un quart d'heure après la mort , 37°; uue heure après, 36°. Autopsie le 23 févr
près tout à fait (un en 1880 et 4 en 1882). De septembre 1882 à la mort (1891), G... n'a plus eu aucun accès comitial.
21 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
astie avec glissement, il y a eu 37 guérisons, i5 améliorations et 17 morts . Sur 37 opérations dé M. Simon, il y a eu 27 gu
pérations dé M. Simon, il y a eu 27 guérisons, 7 améliorations et 3 morts . Sur un groupe de 20 malades opérées par M. Mario
opérées par M. Marion Sims, il y a 16 guérisons, 1 améliorations et 2 morts . Sur un groupe de 94 cas opérés par le procédé Bo
par le procédé Bozeman, on compte 76guérisons, i4 améliorations et 4 morts . On voit donc que le procédé Jobert n'a guère don
'a guère donné que la moitié des guérisons et une forte proportion de morts ; que le procédé allemand a obtenu quatre cincjuiè
éri-sant à plusieurs reprises un ou plusieurs pertuis. Causes de la mort . Outre les maladies intercurrentes que l'on contr
fisant entre elle et la première, est souvent suivie d'insuccès ou de mort . § 4. COMPUCATIOINS DES FISTULES VESICO-VAGIN
ie. Sur 32 fistules de cette espèce, Jobert annonce 20 guérisons, 5 morts , 4 guérisons imparfaites, et 3 malades non opérée
superficielles, Jobert compte 9 guérisons, 3 guérisons imparfaites, 2 morts , 2 malades non opérées, l'une à cause d'une dysen
u après avoir été reconstitué, » Des ren-seignements postérieurs à la mort de M. Roux ont appris qu'une de ses patientes a e
s ; c'est un très-beau résultat. Sur 81 opérations, il n'y a eu que 3 morts ; c'est une très-petite pro-portion de malheurs.
toujours une opération légère; il est certain qu'elle a déterminé la mort soit immédia-tement, soit en produisant des lésio
réaction, deux présentèrent des symptômes alarmants, un fut suivi de mort ; ce malheur ne fut pas dù au passage du liquide d
es cas? Accidents occasionnés par les redresseurs. Ce fut un cas de mort après l'apphcation du redresseur^, qui, porté dev
apper par le pavillon et tombe dans le péritoine ; ordinairement la mort s'ensuit très-promptement. Amussat et M. Bernutz
usion de l'utérus chez une femme dont l'ovulation a lieu détermine la mort , soit par le marasme, soit par un des accidents d
t, les forces renaissent et des malades qui paraissaient vouées à une mort imminente reprennent l'as-pect de la jeunesse et
ch et relatives à des atrésies congénitales il y a 2 5 guérisons et 2 morts . La récidive est à craindre même à une époque élo
ne péritonite; on a vu aussi la rupture de l'utérus aminci amener une mort brusque, mais cette termi-naison de l'hydrométrie
, il ne faut pas oublier qu'il y a eu des cas où elle a été suivie de mort , et qu'il faut par conséquent la faire avec des p
é à lui-même, un accouchement dans ces condi-tions peut déterminer la mort de la femme avant la sortie de l'enfant (3 fois s
uand on est intervenu tardivement on a eu à déplorer 7 fois sur 28 la mort de l'enfant et 1 fois sur 28 la mort de la mère*
a eu à déplorer 7 fois sur 28 la mort de l'enfant et 1 fois sur 28 la mort de la mère* Cette statistique suffit pour établir
s congénitaux, soit pour l'hypertrophie accidentelle, il y a eu trois morts ; Jobert pratiquait l'excision. Sur i4 opérations
n'a pas perdu de malade, Dans les cas de cancer, la proportion des morts est beaucoup plus considérable ; ainsi sur un gro
considérable ; ainsi sur un groupe de huit malades, Simpson compte un mort . Sur im autre groupe de huit fourni par divers ch
utre groupe de huit fourni par divers chirurgiens, Yelpeau trouve une mort au troisième jour, une autre au bout de six semai
portant sur cas d'am-putation pour cancer, il résulte que 11 fois la mort a suivi de près l'opération ; les trois autres ma
vers auteurs donnent une idée parfaitement juste de la proportion des morts dans ces opéra-tions, parce qu'il est certain que
e polypes faites par MM. Emmet et Sims, il n'y a eu qu'un seul cas de mort ; ce succès tient, dit ce dernier, à ce qu'ils ont
tre autres par le bistouri, les ciseaux ou l'écraseur, sans une seule mort . Sur cinquante-neuf cas de ligatures de polypes f
uante-neuf cas de ligatures de polypes faites par Lee, on compte neuf morts , et deux fois cette mort arriva avant que la tume
s de polypes faites par Lee, on compte neuf morts, et deux fois cette mort arriva avant que la tumeur fut détachée. Le même
neuf autres polypes par torsion ou par excision, n'a pas eu une seule mort à déplorer. M. Depaul a pratiqué l'excision vingt
telles. Du reste, l'auteur en faisant remarquer que la proportion des morts diminue beaucoup depuis qu'il se contente d'incis
ions pratiquées par M. Demarquay (thèse de M. Guyon), il y a eu trois morts , l'une après six semaines, l'autre après deux moi
x-huit énucléa-tions avec le bistouri, il compte douze guérisons, six morts ; sur quinze énucléations par le caustique, neuf g
morts; sur quinze énucléations par le caustique, neuf guérisons, six morts ; sur six opérations inachevées d y a quatre guéri
x morts; sur six opérations inachevées d y a quatre guérisons et deux morts . L'énucléation des fibromes d'un petit volume don
souvent en outre il y a des abcès de voisinage qui peuvent amener la mort . On sait que l'indura-tion peut aller jusqu'à la
oduit avec une rapidité extrême qui conduit fatalement la malade à la mort . Lorsqu'on a constaté cette reproduction rapide i
épend entièrement, et la moindre im-prudence peut être la cause de la mort ; aussi, pendant les premiers jours, l'opérateur d
ent rare et trouble, il y a des dangers; s'il n'y a plus d'u-rine, la mort est imminente. Le plus souvent, le pouls est pe-t
l'énu-cléation, après la gastrotomie, on trouve huit guérisons, sept morts par hémorrhagie et cinq autres morts par causes d
, on trouve huit guérisons, sept morts par hémorrhagie et cinq autres morts par causes diver-ses. Dans un troisième groupe, f
es et des ovaires, nous voyons une ef-frayante mortalité, trente-deux morts sur quarante-deux opé-rées. Remarquez-bien encore
bien encore que sur ces trente-deux cas fu-nestes, vingt-cinq fois la mort a été le résultat direct ou indirect de l'hémorrh
ande expérience sur ce sujet; M. Kœberlé, sur huit opérées, a eu cinq morts ; M. Spencer Wells a opéré quatre fois et a prompt
s interstitielles du col, au contraire, ont très-souvent déterminé la mort de l'enfant avant qu'il ait pu être expulsé à tra
être expulsé à travers une filière trop étroite, et souvent aussi la mort de la mère par péritonite. Ces tu-meurs peuvent d
n'y eut d'hémorrhagie ni avant ni après l'opération ; l'enfant était mort depuis quelques jours déjà ; il fut extrait par l
d'eux et même se gangrener; ces acci-dents, qui entraînent souvent la mort , constituent des raisons très-légitimes d'interve
Sur 109 cas réunis par Southam, Stafford Lee et Kiwisch, on trouve 46 morts après la première ponction, 10 morts après la sec
ord Lee et Kiwisch, on trouve 46 morts après la première ponction, 10 morts après la seconde, 2 5 entre la troisième et la si
émoignages des chirurgiens qui ont beau-coup pratiqué, conclut que la mort et que même des symp-tômes alarmants sont raremen
ieurs loges, a fait la ponction et l'injection dans le péritoine ; la mort qui en est résultée doit être évidement mise au c
16 ont succombé aux suites de l'o-pération. De ces 16 malades, 4 sont mortes quelques jours après l'opération ; les autres ont
ni digérer ni respirer. Il faut encore noter que parmi les 16 cas de mort , on compte 10 kystes multiloculaires et seulement
risés : le docteur Clay a eu 3 succès sur 4 opérations, il y a eu une mort ; le professeur Simpson a obtenu des guérisons bi
l a ajoutées à l'ouvrage de Kiwisch, on compte dix succès et quatorze morts . Cette opération parait donc mé-riter la réprobat
tement et pratiqua treize ovariotomies de 1809 à i83o, époque de sa mort ; huit cas de guérison bien avérée obtenus par Mac
s plus éminents, elle n'a donné que des résultats décourageants, sept morts par exemple sur neuf opérées par M. Baker-Brown,
bles se passaient en An-gleterre, une forte proportion d'insuccès, 44 morts sur 61 opé-rations pratiquées de 1819 à i856, fai
n en loin et c'est à peine si l'on en peut réunir six cas dont quatre morts . H est à remarquer que, dans cette première pé-ri
vingt-quatre opérations complètes il y a eu treize guérisons et onze morts (186). En Italie où l'esprit des populations oppo
able? M. Néla-ton ne conseille l'opération que quand il y a danger de mort certaine et prochaine ; sans aller aussi loin, MM
rrêtent pas le chirurgien, elles ajoutent très-souvent aux dangers de mort . 11 n'y a pas longtemps encore que les adhérences
lorsqu'il est filant, et lorsqu'il se reproduit avec rapidité, car la mort a suivi de près presque toutes les opérations fai
100. Dix-neuf avaient été ponctionnées trois fois ; la proportion des morts a été pour elles de 2G pour 100. Sur les trente-s
été désastreux ; à Paris, par exemple, sur seize cas il y a eu seize morts . Il faut donc choisir une maison particulière, bi
du que cinq malades; il ajoutait que dans chacun de ces cinq cas de mort , il avait été dans la nécessité d'ap-pliquer une
a ponctionna ; il en sortit un liquide clair, et on y trouva un fœtus mort . La plaie fut refer-mée etla malade mourut 48 heu
guérisons pour loo. Quand la perte de sang dépasse i,ooo grammes, la mort est presque certaine. La mortalité paraît exactem
s, la mortalité a atteint les deux tiers ; au-delà de deux heures, la mort est presque inévitable. Le poids des tumeurs ne p
elle est plus facile à arrêter ; on l'a vue cependant occasion-ner la mort . Il est bon de se rappeler que les hémorrhagies p
écomposition du sang dans la cavité abdominale, et que sur i5o cas de morts dans la statistique de M. Clay, on peut accuser i
soit seule, soit jointe à la péritonite, a été i3 fois la cause de la mort sur les if\ décès comptés dans la statis-tique de
t détaillé, il demeure bien acquis que l'ovariotomie a soustrait à la mort un grand nombre de femmes qui y étaient vouées da
oinet, sur i3i cas qu'il a pu réunir en mars 1867, il faut compter 74 morts et 44 succès. Dans un relevé de 742 opéra-tions s
c. Sur les 585 extirpations complètes, on compte 33o guérisons et 255 morts ; sur les 27 extirpations partielles, 11 guéris
et 255 morts ; sur les 27 extirpations partielles, 11 guérisons, 16 morts . Sur les 87 opérations que les adhé-rences ont em
é-rences ont empêché d'achever, il y a 61 guérisons temporaires et 26 morts immédiates. Sur les 20 cas de tumeurs extra-ova-r
diates. Sur les 20 cas de tumeurs extra-ova-riques, 7 guérisons et i3 morts ; et enfin après les 23 erreurs de diagnostic, 10
morts; et enfin après les 23 erreurs de diagnostic, 10 guérisons et 7 morts . Relativement à l'influence des ponctions antér
45 cas où il n'y a pas eu de ponction et qui donnent 3i guérisons, i4 morts . 85 cas dans lesquels il y a eu une ponction donn
5 cas dans lesquels il y a eu une ponction donnent 5o guérisons et 35 morts . 4^ cas comptant deux ponctions donnent 24 guéris
t 35 morts. 4^ cas comptant deux ponctions donnent 24 guérisons et 19 morts . 5i cas comptant de 3 à 9 ponctions, donnent 27 g
rts. 5i cas comptant de 3 à 9 ponctions, donnent 27 guérisons et 24 morts . 27 cas comptant plus de 9 ponctions, donnent 1
ts. 27 cas comptant plus de 9 ponctions, donnent 12 guérisons et i5 morts . 68 kystes étaient uniloculaires, et ont donné
rts. 68 kystes étaient uniloculaires, et ont donné 39 guérisons, 29 morts . 2 56 étaient multiloculaires et ont fourni i3i g
morts. 2 56 étaient multiloculaires et ont fourni i3i guéri-sons, 125 morts . M. Negroni a continué en 1866 la statistique d
rur-gien de Birmingham. Sur ces 25o cas, il compte i56 guéri-sons, 94 morts ; les cas de guérisons se décomposent en 2 cas d'
rine et 2 extir-pations de l'utérus avec ses annexes. Dans les cas de mort , on trouve une opération inachevée, une opération
raitement qu'on lui a fait subir, les accidents qui ont occasionné la mort , etc. Clay, sur ses 395 cas, avait trouvé 212 gué
a mort, etc. Clay, sur ses 395 cas, avait trouvé 212 guérisons et i83 morts ; la proportion des succès était donc d'environ 54
ncomplète. Sur les m ovariotomies complètes il y a 76 guérisons et 35 morts . Sur les 8 qui n'ont pu être terminées, la propor
et 35 morts. Sur les 8 qui n'ont pu être terminées, la proportion des morts est de 7, contre une seule guérison. En considéra
pour éclairer le diagnostic. Le total est de 7, dont 4 guérisons et 3 morts . L'incision permit de reconnaître une fois un cor
publiant sa statistique (juillet 18G8). Sur 69 opérations, il a eu 24 morts et 45 guérisons, ou les deux tiers, proportion se
ue les deux ovaires : ce groupe d'opérations a donné 7 guérisons et 6 morts . Dans 11 autres cas, sans enlever l'ovaire du côt
rations légères...... Avec adhérences graves....... Cas Guérisons Morts Proportion 10 17 3 i/7 i6 i3 3 i/5 33 i5 i8
Sur 34 opérations, dont M. Nussbaùm donne les observations, il y a 16 morts et 18 guérisons. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 1° AN
ne ; c'est une hernie mésocolique décrite par Peacock. Le sujet était mort en 41 heures avec tous les symptômes d'un étrangl
22 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
u microscope. On reconnut alors que ce n'est pas seulement l'organe mort , tel qu'il se montre à l'autopsie, que le médecin
a rigidité cadavérique sur-vient alors presque immédiatement après la mort , persiste à peine et fait place presque aussitôt
ue. N'est-il pas à peu près certain que tous ces change-ments, que la mort seule permet de constater, correspondent à des al
iques qui caractérisent la maladie, lorsqu'elle s'est terminée par la mort . Dans d'autres cas, malheureusement trop rares,
pour diverses maladies (1). Qui ne sait, d'ailleurs, que Louis XV est mort de la variole à l'âge de soixante-cinq ans? Nou
osition. Elles se lèvent, font leur lit, et expirent. C'est à une des morts dites subites, de vieillesse, à la Sal-pétrière.
ervées. Mais tout à coup, apparaissent les vomisse-ments noirs, et la mort survient inopinément. Un médecin américain, Caldw
re langue, ces cas insidieux dans lesquels on voit des gens frappés à mort se croire à peine malades, et con-tinuer à vaquer
exemples, M. Vulpian et moi. Elles se terminent habituellement par la mort , et nous avons pu nous con-vaincre qu'elles ne ré
re permet de constater qu'il existe souvent une apyrexie complète. La mort a lieu presque toujours a la suite de ces acciden
2 3 4 5 6 Fig. 2. — Pneumonie catarrhale chez une femme de 83 ans. Mort . (Charcot.) Fig. 3. — Pneumonie lobaire, chez u
Pneumonie lobaire traitée par la digitale, chez une femme de 71 ans. Mort . (Charcot). Le second tableau vous montre les e
x degrés. C'est dans ces circonstances que survient habituellement la mort chez l'adulte, dans la pneu-monie lobaire ; il en
t les tracés thermométriques de deux cas de pneumonie terminés par la mort , avec élévation de température, et d'un cas termi
ture, et d'un cas terminé par la guérison. Le quatrième est un cas de mort dans la défervescence. Toutes ces observations on
ours. 2 3 4. Fig. 8. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 83 ans. Mort avec élévation de la température. (Gharcot.) Me
iques. Comme Fig. 9. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 69 ans. Mort avec élévation de la température. (Ghargot.) Fi
(Ghargot.) Fig. 11. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 75 ans. Mort dans la défervescence. (Gharcot.) chez l'adulte
le cours de la maladie, et que la chaleur s'élève aux approches de la mort ainsi que Doyère l'avait déjà signalé. (Mém, de l
iscérales, profondes, qui sont en général la cause déterminante de la mort . Au reste, quand la maladie se pro-longe, on voit
des cas. Cependant les choses ne se passent pas toujours ainsi : la mort survient quelquefois, et l'on peut être appelé à
tion inter-mittente ou les progrès de la maladie avaient déterminé la mort . Nous allons les passer rapidement en revue. A.
après l'opération. La vie se prolonge deux ou trois jours. Après la mort , on trouve de l'urate de soude dans les viscères
tient des quantités notables d'acide urique, et l'on trouve, après la mort , des grumeaux composés d'urates alcalins. Enfin
goutte. -Appareil circulatoire : lésions du cœur et des vaisseaux. — Mort subite. — Manifestations cérébrales de la goutte.
ion d'observer ces symptômes graves, qui aboutissent quelquefois à la mort . La goutte, à ce que l'on prétend, peut remonte
ix observations dans lesquelles ces accidents se sont terminés par la mort . On a rencontré à l'autopsie, qui a été pratiqu
ouvent considérée comme une affection d'origine goutteuse. Enfin la mort subite est ici très fréquente : ainsi, sur 83 cas
: ainsi, sur 83 cas de dégénérescence graisseuse réunis par Quain, la mort eut lieu d'une manière inopinée 54 fois, à savoir
ux.. Il est donc évident que bon nombre des faits, dans lesquels la mort est attribuée à la goutte remontée au cœur, ne so
de dégénération graisseuse de cet organe. Quain et Gairdner ont vu la mort se produire dans ces cir-constances, sans rupture
ont vu la mort se produire dans ces cir-constances, sans rupture ; la mort avee rupture a été observée par Cheyne et Latham.
Obésité Diabète Diabète à 50 ans Diabète Diabète Diabète Mort phthisique à 48 ans Vit encore (60 ans.) Mort
Diabète Diabète Mort phthisique à 48 ans Vit encore (60 ans.) Mort dans le délire. Mort d'un accident. Mort d'un
t phthisique à 48 ans Vit encore (60 ans.) Mort dans le délire. Mort d'un accident. Mort d'une cirrhose. Mort phth
Vit encore (60 ans.) Mort dans le délire. Mort d'un accident. Mort d'une cirrhose. Mort phthisique à 'i8 ans! Vit
Mort dans le délire. Mort d'un accident. Mort d'une cirrhose. Mort phthisique à 'i8 ans! Vit encore. Vit encore. 1
rès prononcées se rencontraient en plusieurs points. Chez un sujet, mort le vingt-cinquième jour à la suite d'ac-cidents c
dans l'arthrite fongueuse, au contraire; ces éléments sont frappés de mort et subissent la dégénération graisseuse, comme on
pales artères du cerveau se trouvent entiè-rement perméables après la mort . On voit d'abord apparaître tous les symptômes du
du ramollissement, qui suivent leur mar-che ordinaire ; mais après la mort , on ne découvre aucune lé-sion dans les canaux va
se produire des embolies pulmonaires qui déterminent quelquefois une mort presque subite. Un fait de ce genre a été rapport
ement pris, au quinzième jour, d'un accès dorthopnée qui détermina la mort dans l'espace de dix minutes. A l'autopsie, on tr
e toujours derrière elle des vestiges qu'on peut reconnaître après la mort . Il ne faut donc pas s'attendre à rencontrer touj
ur. Les symp-tômes de cette affection s'étant rapidement aggravés, la mort ne tarda pas à survenir. A l'autopsie, on décou
rhumatismale, cet accident si formidable qui expose les malades à une mort presque subite, peut se rencontrer dans le rhum
cette attitude sans éprouver une sensation pénible. Cinq ans avant sa mort , des symptômes analogues se manifestèrent à la ha
e, et tantôt détermine de graves accidents, qui peu-vent entraîner la mort . Personne, du reste, pas même ses ennemis les plu
tte a paru rétrocéder sous l'influence du colchique, et déterminer la mort sont des cas d'empoisonnement par cette substance
e à 41° 5, le danger est grand. Si elle atteint 41° 75, 42 degrés, la mort est certaine. Ces chiffres indiqués par Wunderlic
és, 39°, 5, bien que le cas soit des plus graves et se termine par la mort . Mais je le répète et c'est là un point de la plu
t la période d'état, les maxima ont plusieurs fois dépassé 40°, 5, la mort est surve-nue ; au contraire lorsqu'ils se sont m
découvrir, dans quel-que organe, une lésion grossière qui explique la mort . C'est alors l'état général, et dans l'espèce, l'
it encore la cause de dé-sordres, parfois assez graves pour amener la mort . Le vulgaire, qui, de la fièvre, ne connaît guè
très loin, il survient du coma, une résolution générale et bientôt la mort . On sait, à la vérité, depuis les expériences c
orte des cas de ce genre, où la température centrale, au moment de la mort , se serait élevée jusqu'à 44 degrés centigrades.
e d'animal un chiffre fatidique cpii ne peut être atteint sans que la mort s'ensuive. Cela rappelle ce que nous observions
on 5 degrés), et un peu au-dessous de ce point, chez le vieillard, la mort est certaine, nécessaire ; et il devient par là a
gent de la terminaison fatale. Mais quel est ici le mécanisme de la mort ? Les expériences de MM. Claude Bernard, Caliiburc
é; et, suivant M. Richardson, le premier cas se ren-contre lorsque la mort a été très rapide ; le second, au contraire, lors
peler que, dans des cas pathologiques observés chez l'homme, et où la mort , précédée par une élé-vation considérable de la t
posait que la coagulation du sang dans les vaisseaux est une cause de mort dans la fièvre, et tout récemment M. Weikarf a ch
Les faits qui précèdent se rapportent tous aux cas dans les-quels la mort survient, à la suite d'une élévation extrême de l
al, jusqu'à un certain niveau, est à peu près nécessairement suivi de mort . Le froid développé au sein de l'organisme a-t-jl
in, la température s'abaisse à un certain niveau, au-delà duquel la mort survient. Or. qu'arrive-t-il dans ces circonstanc
n de température, que nous avons vu aller en augmentant même après la mort . C'est là, de beaucoup le cas le plus commun chez
les vieillards valides, tandis que chez les vieillards affaiblis, la mort survient plus généralement dans la défervescence.
ois plus; elle peut augmenter encore dans les instants qui suivent la mort . 11 y a lieu de se demander si, dans les cas de
on de la température centrale, observé chez l'homme et terminé par la mort , M. Senator a trouve l'excrétion d'urée au-dessou
hy'Steriformes avec ou sans convulsions, qui se sont terminés par la mort , et dans lesquels on a constaté cette élévation f
lsions. Elle s'abaisse rapidement si le cas est favorable, mais si la mort doit s'en suivre, elle persiste, et même va en au
ccès et les accidents correspondants de la paraly-sie des aliénés. La mort peut survenir dans ses attaques ou à leur suite c
ré-cente de nature à expliquer les symptômes graves qui ont amené la mort . On ne trouve que les lésions anciennes (foyers d
le a augmenté chaque jour pour arriver à 42 degrés 2/5, le jour de la mort . A l'autopsie, il existait du côté gauche de l'
ons, la température était de 41 degrés et le surlendemain, jour de la mort , elle atteignait 42°, 5. A l'autopsie, on trouve
oth a vu à la suite d'une fissure du crâne, sans plaie extérieure, la mort survenir rapidement : la température centrale s'é
J'ai démontré par des observations répétées, qu'en règle générale, la mort est précédée dans ces cas, comme dans les précéde
ature du rectum dans un cas d'hémorragie cérébelleuse terminée par la mort cinq jours après le début. Quelle est la raison
rapide-ment, bien que la température continue à s'abaisser jusqu'à la mort (Zehrfieber, 0. Weber). C'est sans doute aussi
ne part, ainsi que nous l'avons déjà fait remarquer, à dé-terminer la mort . Parmi les substances qui produisent ce résultat,
-tres fois, au contraire, s'aggravant môme progressivement jusqu'à la mort , laquelle, dans ce dernier cas, survient en génér
degrés; dans un cas même, nous l'avons vu descendre jusqu'à 34° 5. La mort survient en pareil cas, au milieu des symptômes
ait en pareil cas, suivant l'expression de Williams, une nécrémie, ou mort du sang. Quoique conservant leur caractère physiq
ès toute la jour-née. Une seconde syncope survint vers le soir, et la mort eut lieu tout-à-coup. Pendant cette longue périod
l'algidité centrale peut par-fois persister ou progresser jusqu'à la mort , tandis que d'au-tres fois, elle fait place bient
ne boisson froide (1), le corps étant en sueur, peuvent déterminer la mort subite, apparemment par le mécanisme de la syncop
ou môme s'élève jusqu'au niveau des tempé-ratures hyperpyrétiques, la mort est certaine. C'est déjà l'ago-nie qui commence.
était dans ses règles, lorsqu'on vintlui annoncer que son père était mort subitement. A la suite de l'émotion que lui causa
s que nous avons décrits ? 4° Lorsqu'on fait l'autopsie des malades mortes avec les déviations les plus complètes des articu
et qui devient plus mar-quée, si l'on essaye de la vaincre. Après la mort , on trouve toujours que la rigidité articulaire e
de père et de mère l'un et l'autre domestiques de ferme. Le père est mort à l'âge de cinquante-cinq ans, d'une affection d'
soixante et douze, soixante et dix-sept ans). 11 ne paraît pas que la mort sur-vienne souvent sous l'unique influence de l'a
nous, nous n'avons rencontré qu'une seule fois cette complication. La mort s'en est suivie mais nous n'avons pas pu savoir s
te. M. Chomel n'a vu, depuis la publication de sa thèse, aucun cas de mort par suite du rhumatisme articu-laire chronique.
ons déjà fait pressentir, à part les lésions qui avaient déterminé la mort , les viscères n'ont rien pré-senté qui doive être
laire. — Etat des jointures èi 56 ans. — Tuberculisaiion pulmonaire ; mort . — Autopsie : Description des lésions articulaire
Observation. — Arthropathies multiples très anciennes. — Pneumonie. — Mort . — A l'autopsie, dépôts d'urate de soude dans les
passant, ce fait remarquable c'est que deux des malades de Tood sont mort subitement, avec des symptômes urémiques très évi
e soude, dans le rein. En 1849, dans l'examen des reins d'un goutteux mort d'une autre maladie, il rencontra, dit-il, un dép
in tenait-il uniquement à la période avancée de la maladie où étaient mort ses malades. C'est ce qui paraît résulter de l'an
ésulter de l'analyse de l'observation très intéressante d'un goutteux mort à sa huitième attaque, peu de temps après le débu
eur surface, un seul, et encore est-il douteux, appartient à un sujet mort delà goutte. Sur 281 cas de reins granulés, 27 au
mes caractères et la même abon-dance d'albumine jusqu'au moment de sa mort , qui eut lieu le 4 juin. Autopsie faite trente-
, qui eut lieu le 4 juin. Autopsie faite trente-six heures après la mort . — Les extré-mités supérieures seules ne sont pas
goutte tophacée. Un des malades qu'il a eu l'occasion d'observer, est mort dès l'âge de 35 ans, d'une encéphalopathie liée à
ait à étendre l'avant-bras ; mais ce role cessa complètement après la mort . Les articulations, qui présentaient les altéra
urs attaques épileptiformes pendant les deux jours qui ont précédé la mort . — lYécroscopie : Hypertrophie du cœur avec épais
l'opération. La vie se prolonge deux ou trois jours au plus. Après la mort , on constate les altérations suivantes : Ie Les r
ie, le sang renferme une forte proportion d'acide urique, et après la mort , on trouve dans les caillots du cœur et des gros
ues plus ou moins graves et qui se sont quelquefois terminés par la mort . Sous ce rapport, comme l'a bien fait ressortir M
, éminement toxiques, des doses très-faibles suffisant pour amener la mort foudroyante. Mais les deux alcalis ne diffè- re
tteuse. Il est certain également que dans un bon nombre des cas où la mort subite a été attribuée à la goutte remontée du cœ
isseuse. Cheyne, Kennedy, Gairdner ont vu chez des sujets goutteux la mort survenir tout à coup dans ces circonstances, sans
t à coup dans ces circonstances, sans qu'il y eut rupture du cœur. La mort rapide avec rupture de la paroi interventriculair
ontinuait de se produire de temps à autre. Quelques semaines avant la mort , on vit appa-raître à la nuque une tumeur volumin
la combinaison suivante : Père (brasseur et distillateur) diabétique, mort phtisique à l'âge de quarante-huit ans. — 1er fil
uis l'âge de vingt-cinq ans; obésité à trente-cinq ans, puis diabète. Mort à la suite d'une affection cérébrale. — 3e fils :
Tempérament lym-phatique, goutte à trente ans; puis obésité; diabète. Mort à la suite d'un accident traumatique. — 4e fils :
e d'un accident traumatique. — 4e fils : Excès alcooli-ques, obésité. Mort des suites d'une cirrhose du foie. — 5e fils : ké
s : kératite scrofuleuse, goutte; obésité à trente-cinq ans; diabète. Mort phthisique à l'âge de quarante-huit ans. — 0e enf
uement, après une émotion vive occasionnée, pendant la guerre, par la mort d'un de ses neveux qu'elle vit tuer sous ses yeux
grave dès le début. Elle s'est compliquée d'un délire maniaque, et la mort a eu lieu également avec une élévation brusque de
goutte. — Appareil circulatoire: lésions du cœur et des vaisseaux. — Mort subite. —Manifestations cérébrales de la goutte.
oxae senilis,178, 249;—ana-tomie pathologique, 178 ; — rareté, 578. Mort subite, 22. Musculaires : forces — des vieil-la
a-ture dans la —, 27 ; — persistance d'une température élevée, 37 ; — mort dans la defervescence, 38; — chez les vieillards,
23 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
, - mais seulement les enfants spéciaux, anormaux, qui sont « poids mort » dans une école, leur peu de disposition il as
gereuses voies. Elles débarrasseront les écoles ordinaires du poids mort des arriérés. Les nouvelles exigences scolaires
ettre à M. CaJTiot. 2° Tous les enfants considérés comme un « poids mort » sont envoyés, après examen médical, dans les
rès, grâce aux soins du docteur Dauvel, clui venait de constater la mort de son mari. Les aliénés doivent être hospitali
Tableau de la vaccination. - 0) Tableau de la température après la mort . Ces lablfaux ont été reproduits dans le Compte
l'eau. Manie du vol. Répétition du même mouvement. Signes de la mort . Tous les ans, à l'école d'infirmiers et d'infi
dans les autres écoles, il est fait une leçon sur les signes de la mort , le nettoyage du cadavre et l'en- sevelissement
re. - Père, excès de boissons. Oncle paternel, excès de bois- sons, mort de tuberculose. Renseignements insuffisants sur l
famille. - Mère sujette ci des céphalalgies. Un frère et une soeur, morts de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d'â
en est sortie le 5 février 4901. Antécédents héréditaires. - Père : mort à trente-huit ans d'une hernie étranglée; pas d
nds parents inconnus. Une saur et sa fille bien portantes. Un frère mort de tuberculose.] Mère : fièvre typhoïde à douze
es, ni de syphilis, ni alcoolisme, vive et emportée. [Père : sobre, mort il cinquante-neuf ans. Mère : morte à quarante-
dix-neuf ans, sain; 2" fille morte en venant au monde, à terme ; la mort a été attribuée par la mère à une chute ; 3° ga
terme ; la mort a été attribuée par la mère à une chute ; 3° garçon mort à vingt-deux ans d'une méningite qui a duré onz
CAUP11RIS. . Guérison. Sommaire. - Père, aucun accident nerveux, mort de tuberculose en décembre 1890. - Renseignemen
- Père, quarante-cinq ans, rhumatisant ; tourneur de sou métier, mort en décembre 1899 de tuberculose. -Pas de convulsi
l'oeil gauche..Ni rhumatisme, ni chorée, ni lièvre typhoïde. [Père, mort à soixante-un ans, d'un refroidissement, sobre, p
Décembre. - Elle a eu trois vertiges le jour où elle a appris la mort de son père. 1900. Janvier. - Puberté. Même éta
- Deux tantes maternelles déséquili- brées. - Une soew' et un frère morts de convulsions. Consanguinité (cousins germains
orale ; légère arriération , , INTELLECTUELLE 1. Sommaire. - Père mort aliéné. 'Grand-oncle, grand'mère et grand'- tan
re, convulsions de l'enfance, morte phtisique. Grand-oncle maternel mort de morphinomanie et de cocaïnisme. - Fl'ère ins-
famille mater- nelle, est celui d'un grand-oncle maternel, médecin, mort de morphinomanie et de cocaïnisme. Pas de con
ibré. - Grand'père paternel, rhumatissant, alcoolique, épileptique, mort interné en démence. Mère,rhumatissante, affecti
se ». Vit actuellement avec une autre femme. - Grand-père paternel, mort en 1860 ; rhumatisant ; avait des picotements e
inq mois, puis a été transféré à Pont-1'Abbé-Picau- ville où il est mort en démence 1. - Arrière-grand-père paternel, mo
ville où il est mort en démence 1. - Arrière-grand-père paternel, mort en Savoie, à soixante-dix ans. - Arrière grand'mè
il, un goitre exophtalmique ( ? ) ; un oncle et une tante maternels morts en bas âge, on ne sait de quoi. Ni aliénés, ni
x ans (père plus âgé). Deux enfants : 1° Notre malade. - 2° Garçon, mort à vingt mois : ' M. le D' Viel nous a écrit que
intelligente, mais paresseuse et incapable de bonne volonté. A la mort de sa mère (1893) ses défauts et ses vices, menso
e vertiges ; grand'père paternel alcoolique, épileptique, dément, mort interné ; - mère atteinte de troubles car- diaq
r notre Musée pathologique les squelettes des enfants hémiplégiques morts dans notre service de Bicêtre, lors du relèveme
chorée à 13 ans, assez nerveux. - Grand-père paternel rhumatisant, mort probablement d'une rupture du coeur. Grand'mère
d'mère paternelle morte de la poitrine. Arrière-grand-père paternel mort de la rupture d'un anëurt/sme. Arrière-grand'mè
ère-grand'mère paternelle morte de fièvre cérébrale. Oncle paternel mort de la poitrine. Mère, rien de particulier. - Gr
, migraineuse, crises hystériformes. - Arrière- grand-père maternel mort de la rupture d'un anévrysme. Arrière-grand-pèr
rnel mort de la rupture d'un anévrysme. Arrière-grand-père maternel mort d'une attaque d'apoplexie. - Cousin maternel hy
18 mois. Rougeole à 2 ans. Ictère à 13 ans. Congestion pulmonaire ; mort . AUTOPSIE. - Os du crâne peu durs, moyennement
vralgies. Marié à 31 ans. Assez nerveux, mais non emporté. - [Père, mort il 60 ans d'une congestion cérébrale, dans le c
ne (en 3 ou 4 ans), pas d'accidents nerveux. - Grand- père paternel mort à 70-72 ans d'un anévrysme ( ? ) dans la rue en
x mois après son mari de chagrin ; avait plus de 70 ans. - Un frère mort de la poitrine, 27 ans, sobre, pas d'enfants. -
gente ; grande, châtaine. Pas de maladies depuis le mariage. [Père, mort d'une affection du coeur à 58 ans, négociant en
Antécédents personnels. 91 intérieur, sobre. - Grand père paternel, mort tout d'un coup, vers 60 ans, d'un anévrysme ( ?
orte « d'une hydropisie de poitrine » à 12 ans. Grand père maternel mort d'une attaque d'apoplexie (en avait eu deux), à
es ayant eu un et trois enfants, sont bien portants ; un enfant est mort en naissant, il avait la tète grosse « pleine d
couche double. Du côté paternel un oncle paternel a eu deux jumeaux mort nés.) Notre malade. A la conception, père et mè
erge, circonférence : 3 0. 1 ? . Cachexie, congestion pulmonaire, mort . 10t Juillet. - L'enfant maigrit énormément, qu
es. L'enfant pousse quel- ques cris de temps en temps. - 5 1)1a1's. Mort à 4 heures. 102 SCLÉROSE ATROPHIQUE DU COIN.
eux testicules sont en ectopie dans le canal inguinal. -Cause de la mort : congestion pulmonaire. 106 Hémiplégie; croi
i- même, un tempérament nerveux et la chorée clans l'enfance ; la mort par fièvre cérébrale d'une des grancl'-mères, p
s de manger, etc. Gué- rison de l'aliénation mentale ; tuberculose, mort . Par BOURNEVILLE ET AMBARD. SOMMAIRE. - Père,
quelques excès, de boisson postérieurs à la naissance de l'enfant, mort d'un cancer de l'estomac. - Grand-père paternel
e de l'enfant, mort d'un cancer de l'estomac. - Grand-père paternel mort de bronchite chronique. -Gmnd'mè1'e maternelle,
'un cancer de l'estomac. - Arrière-grands-parents des deux côtés, morts vieux sans accidents nerveux. Mère, morte hémip
ignements [insuffisants sur les grands et arrière-grands-parents, morts vieux ? Tante' maternelle morte d'un cancer du
nctivite purulente. Tuber- culose abdominale; cachexie progressive, mort . - Examen du cerveau. Ha.. (Marguerite), isra
le feu et tout cela sans raisons (1). Famille du père. Son père est mort à 52 ans de bronchite chronique. - Sa mère est
rands parents, tant paternels que maternels qui seraient (1) Il est mort d'un cancer de l'estomac le 2fi octobre 1901, à 5
mac le 2fi octobre 1901, à 57 ans. Antécédents héréditaires. 1 ff morts très âgés, et auraient toujours joui d'une bonne
aurait donné les premiers signes de déran- gement cérébral avant la mort de sa mère. Celle-ci avait un caractère très do
t jamais de la tête. Famille de la mère. Son père et sa mère sont morts vieux ( ? ). On n'a pas de renseignements préci
renls tant paternels que maternels, on sait seule- ment qu'ils sont morts aussi très âgés. Pas de renseigne- ments, sur l
s maternels- Nombreuses tantes maternelles et paternelles, toutes mortes âgées; l'une serait morte en 18 ! )(i iL 99 ans.
age, six d'un second. Des quatre enfants du premier lit, l'un est mort athrepsique : a six mois en nourrice ; les trois
en bonne santé, strabisme convergent de l'oeil gauche ; - 4° garçon mort h 18 mois, on ne sait de quoi ; 5° notre malade
e les emm.... ! ils veulent mon nom, mon honneur, d'ail- leurs, les morts ont toujours tort ! » Les phrases sont sans sui
z-vous, je suis toute seule, il faut que je me défende et puis, les morts ont toujours tort. - Elle refuse de boire et do
ut ce qu'elle peut pour se rendre utile et faire plaisir à tous. La mort de son père, survenue en octobre, l'a beaucoup
i, sans râle (2 heures du matin, 6 février). T. aussitôt après la mort z,3 3 - il' ! d'heure après ..................
il avait un caractère emporte, a commis des excès de boisson et est mort d'un can- cer de l'estomac. La grand'mère pater
sont apparus les pre- miers symptômes de la tuberculose jusqu'à la mort . (8 février 1902.) Les aisselles qui n'offrai
ment ; elle ne pèse plus que 39 k. 500 en janvier 1902 et, après la mort , 24 k. 500, soit 37 kil. au-dessous de la moyen
. Mère, migraineuse, attaques de nerfs. Arrière grand-père paternel mort d'apo- plexie. - Oncle maternel mort de convuls
s. Arrière grand-père paternel mort d'apo- plexie. - Oncle maternel mort de convulsions. Pas de consanguinité. Inégalité
rier 1901 : caractères du type . mongolien. Tuberculose pulmonaire, mort . AUTOPSIE. - Granidations tuberculeuses des pou
60 ans; elle n'avait jamais été malade.- Grands-parents paternels morts très vieux, ainsi que la grand' mère maternelle.-
s vieux, ainsi que la grand' mère maternelle.- Grand- père maternel mort subitement d'apoplexie.- Sa mère a eu onze gros
e.- Sa mère a eu onze grossesses, dont neuf à terme ; un enfant est mort de convulsions ; les survivants, trois frères e
ble à la conception. Grossesse : contrariétés assez vives dues à la mort de sa mère, à une maladie de sa soeur, à des dé
use avant l'entrée. - Rubéole en 1901. Hypothermie <34<', 2). mort . -Autopsie : PSelldO-rJOrBnCé711a118 bilatérale
le alla en Afrique présenter sa demande en divorce. [Son père est mort il 63 ans, depuis le divorce, on ne sait de que
oux, elle n'a jamais eu d'accidents nerveux. - Grand père paternel, mort à 77 ans, n'était ni dément, ni paralytique. -
ir sous ses yeux «aussi simplement qu'on s'endort.» Au moment de la mort , la tem- pérature du corps était de 30°. Tabl
e- ment que le gauche. L'appareil génital est normal. Cause de la mort : Cachexie post 1'ubéolique. Poids des organes.
ant au dessous de 37°, descendant à 36°,6 puis dans la nuit de la mort à 34°,2 2 L'abaissement de la température et l'
vec 350,2; - 4° Gl'en... (Marcellin), six ans, idiotie congénitale, mort de tuberculose pulmonaire avec 36°. Tous ces en
24 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
. Nous n'avons à noter, en outre des maladies qui ont occasionné la mort et dont on trouvera la liste au tableau des déc
de- vie. Sa physionomie dénote ses habitudes alcooliques. - [Père mort à quarante-huit ans (fusillé au fort d'Ivry) ; il
on ne sait de quoi.- Tante, quatre-vingt-quatre ans, démente. Frère mort à cinquante- neuf ans de la poitrine; - six aut
t à cinquante- neuf ans de la poitrine; - six autres frères et sûrs morts en bas âge. Grands parents paternels et materne
ni de migraines, mais des accès de colère suivis de pleurs. - [Père mort de bronchite chronique; nombreux excès de boiss
u grand-père paternel de notre malade, pas de renseignements. Frère mort on ne sait de quoi, faisait des excès alcooliqu
rence d'âge .de huit ans. Dix enfants, tous des garçons;, huit sont morts du croup à diffé- rentes époques. Ils étaient i
, dit l'enfant. » En raison de son infirmité et aussi à cause de la mort de sa mère, 13... fut placé quelques semaines a
Sommaire. Père et mère sans particularités. - Grand'père maternel mort d'excès de boisson. -Pas de consanguinité. - In
Cécité complète.-Tuber- culose. - Ophthalmie. Cachexie. - Eschares. Mort . Autopsie. - Tuberculisation et oedème des poum
grands-parents maternels et paternels. - Deux oncles pater- nels morts à 78 et à 58 ans, tous deux d'une fluxion de poit
d-père et grand' mère paternels, incon- nus. - Grand-père maternel, mort d'accident de voiture, était sobre et peu nerve
soir, sans grimaces, ni secousses. - Température au moment de la mort : 40°. 42 ARBHT DE DÉVELOPPEMENT DU CERVEAU.
s lobes frontaux, où elle l'est à un degré très accusé. Bien que la mort ne remonte qu'à 36 heures, le cerveau est un pe
- Grand'mère paternelle, migrai- neuse. Arrière-grand-père paternel mort à quatre-vingt- quatre ans d'un coup de sang. -
e dix-neuf à vingt-six ans. Grand- père maternel, excès de boisson, mort aliéné. - Arrière- grand-père, excès de boisson
blement, suicidé à soixante-quatorze ans. Deux oncles maternels, morts de la poitrine. - Tante maternelle, danse de Sa
56 Idiotie avec cachexie PACHYDERMIQUE, Quelle est la cause de la mort ? Nous croyons qu'il faut écarter la médication
affection pulmonaire qu'il convient, ;\ notre avis, d'attribuer la mort . La toux, l'oppression, la douleur à la pressio
- Grand'mère paternelle migraineuse. - Arrière grand-père paternel mort d'un coup de sang. Arrière-grands'mères paterne
e paternel mort d'un coup de sang. Arrière-grands'mères paternelles mortes l'une d'une para- lysie, l'autre d'un cancer du
ses hystériques de 19 il 26 ans. - Grand-père maternel, alcoolique, mort aliéné, - Arrière-grand-père maternel, atteint
IDIOTIE avec cachexie pachydermique. 59 minant en 3 jours par la mort de l'enfant. - Pas d'autopsie. Con...., née à
ui auraient diminué dans ces derniers temps. - Grand-père paternel, mort d'un coup de sang à l'âge de 82 ans, sobre. - G
ère paternelle, morte à 78 ans de paralysie. - Grand-père maternel, mort à 99 ans d'accident. - Grand'mère maternelle, m
, 49 ans, bien portante, sans accident nerveux. - Un oncle paternel mort d'une fluxion de poitrine sans accidents nerveu
et s'est fait arrêter. On l'a conduit à l'Asile clinique, où il est mort d'une fluxion de poitrine 3 semaines après. - M
ère calme, un peu emportée dans sa jeunesse. - Grand-père paternel, mort d'une fluxion de poitrine , il faisait de fré-
maternelle, 80 ans, sobre, devenue aveugle. - Deux oncles paternels morts de fluxion de poitrine. Ils étaient sobres et f
accidents nerveux, de même que leurs enfants. - Quatre frères, deux morts de la poitrine; un autre aurait eu une bronchit
sée : le pouls devient faible et irrégu- lier, sueurs abondantes. - Mort le matin à 6 heures. - Poids après décès : 9 hg
l. - Notes d'école. - Syphilis acquise. - Con- gestion pulmonaire ; mort . AUTOPSIE. - Description de l'encéphale, etc.
t pas eu d'attaques de nerfs. Grands parents paternels et maternels morts âgés, on ne sait de quoi. - Deux oncles paterne
Deux oncles paternels sont bien por- tants. - Trois frères : un est mort assez jeune de fièvre typhoïde ; les ceux autre
urait jamais eu de traces de dermatoses. ni de syphilis. - [Père, mort à 35 ans, sa fille ne peut donner aucun renseigne
ouffre constamment de l'estomac. Cette soeur aurait eu deux enfants morts en bas âge, le premier de rougeole, le second d
rence d'âge de 3 mois (mère plus jeune.) Trois enfants : 1° Garçon, mort à 22 mois du croup, se portait jusqu'alors très
vier. T.R. 39°. - Soir : 39°, 5. Collapsus. 11 janvier. T.R. 3S°,5. Mort . - Poids après la mort : 10 k., 300. Autopsie
: 39°, 5. Collapsus. 11 janvier. T.R. 3S°,5. Mort. - Poids après la mort : 10 k., 300. Autopsie le 13 janvier. - Cou :
la puberté. - État de mal. - Élévation notable de la température. - Mort . Marche de la température et de la rigidité, ca
ère, débardeur, quelques excès de bois- son, plusieurs hémoptysies, mort à 45 ans, à la suite d'un coup reçu dans la poi
dont un des enfants a eu des convulsions internes ; - 2° un garçon mort athrepsique à 2 ans ; - 3° un garçon mort du cr
internes ; - 2° un garçon mort athrepsique à 2 ans ; - 3° un garçon mort du croup ( ? ) à 9 mois ; - 4° un garçon mort d
ans ; - 3° un garçon mort du croup ( ? ) à 9 mois ; - 4° un garçon mort de « rougeole rentrée » à 2 ans ? ; - 5° un gar
ans ? ; - 5° un garçon « bossu », a eu beaucoup de convulsions, est mort à 18 ans, à la suite d'un abcès par congestion;
C en S w Tableau des accès et des vertiges. 94 Etat de MAL; mort . 4 août. - 9 accès. T. R. 38°, 4. - Soi¡' : T.
aucun trouble psychique ou neuropathique. Famt ! ! e dupet'e.Père, mort z 55 ans ( ? ), était d'une forte constitution
sujette à des palpitations fréquentes. [Famille de la mère. - Père, mort à 25 ans, pas de rensei- gnements. - Mère, mort
ans, rhumatisante, migraineuse, caractère emporté. - Grand- père mort d'excès de boisson et de tabac; très emporté, m
maternelle, aliénée. - Tante maternelle, excès de boisson. - Frère mort de méningite. Pas de consanguinité. - Inégalité
nant aux membres inférieurs. -Attaques épileptiformes, - Eschares. - Mort . Autopsie. - Crâne épais ; pas de synostose pré
ans, à. la -i suite d'une fracture de jambe. - Grand-père maternel, mort aliéné, à la suite de la perte de sa fortune. P
Inégalité d'âge de 12 ans (père plus âgé). Six enfants : l'un est mort de méningite, les cinq autres sont bien portant
ble, l'oeil gauche tout injecté de sang. - Le matin : T. R. 36°, 4. Mort à deux heures de l'après-midi; aussitôt après l
T. R. 36°, 4. Mort à deux heures de l'après-midi; aussitôt après la mort l'enfant devient violacée. Fig. 19. - 21 octobr
) suivie d'une élévation thermo- métrique (39°, 8), au moment de la mort (Fig. 26). IV. L'aictnpsie a montré un peu d'ép
ntent un certain danger dans le jeune Age. On a publié trois cas de mort survenue dans ces conditions chez des enfants,
st au coeur qu'est le danger, c'est par le coeur qu'est survenue la mort dans les cas malheureux qui ont été publiés. Ex
tante maternelle morte d'un cancer du sein. Deux oncles maternels, morts de tuberculose pulmonaire. - Cousine choréique.
ès de boisson, a quitté sa femme et est allé en Amérique oit il est mort on ne sait de quoi. - Mère, 52 ans, sobre, nul
une bonne santé. Grand-père maternel, fréquents excès alcooliques, mort étant ivre. - Grand'mère maternelle morte à 82
ce que je connais clés cas traités par le corps thyroïde, suivis de mort et qui n'ont pas été publiés. M. Bourneville. V
ntré à Bicêtre (Service de M. Bourneville), le 9 mai 1895, et y est mort le l4 décembre 1890. - Le certificat d'admission
; caractère très doux. [Famille du père. » Son père et sa mère sont morts à un âge 208 Alcoolisme DE l'enfance. avancé,
maladie de coeur; ni démence, ni para- lysie. Grand-père paternel, mort à 89 ans ; dans les der- nières années de sa vi
e, âgée de 77 ans, est très emportée. - Deux oncles maternels, l'un mort à 10 ans, de la variole, l'autre, alcoolique, s
inge-encéphalite. Celle-ci, . Température APRÈS l'accès ET après la mort , 217 à son tour, rendrait compte des accès épil
et 1895, t. XIII, p. 309. 218 Température après l'accès ET après la mort . sur la température par les accès. Les notation
loi du thermo- mètre comme moyen de s'assurer de la réalité de la mort . La température terminale, qui était de 39°, 5,
isson. Grand'mère paternelle, hémiplégie droite. Un oncle paternel, mort d'apoplexie. - Un autre mort d'un cancer de l'e
hémiplégie droite. Un oncle paternel, mort d'apoplexie. - Un autre mort d'un cancer de l'estomac. Mère, très nerveuse
hémiplégie transitoire. - Grand-père maternel, excès de boisson, mort de tuberculose. Oncle maternel, ivrogne. - Cous
. - Cousine germaine, crises nerveuses. - Trois petits cou- sins, morts de convulsions. - Pas de consanguinité. Inégali
s de consanguinité. Inégalité d'âge de 9 anS.-Cinq frères ou soeurs morts de convulsions. Pertes prolongées durant la g
du père. Son père, qui faisait de nom- breux excès de boisson, est mort à 70 ans. - Sa mère est morte à 70 aus un an ap
arents. 228 Imbécillité et paraplégie spasmodique. ' Trois frères morts , l'un d'accident, l'autre d'apoplexie, l'autre
'a jamais eu de crises nerveuses. [Famille de la mère. Son père est mort de tuberculose à 57 ans ; il faisait tous les m
de 3 à 15 ans; elle a eu quatre enfants, dont trois paraissent être morts de convulsions. - Rien iL noter dans le reste d
plus âge). H enfants, dont cinq survivants. Cinq d'entre eux sont morts de convulsions. Ceux qui survivent sont intellige
mme un morceau de bois » et ne semblait pas intelligent. (1) Il est mort en 1800, épuisé par des excès de boisson. Il a un
e ( ? ) ; trois petits cousins ou cousines et cinq frères ou soeurs morts de c'orwul- suions, Il ressort de cette énuméra
25 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
t vrai que le médecin ne doit pas connaître seulement l'organe altéré mort , mais encore l'organe altéré vivant, agissant, ex
e ne peut se faire que vingt-quatre ou qua-rante-huit heures après la mort , à moins de conditions spé-ciales qui n'ont pas e
fort long. Ainsi, sur 72 ani-maux opérés par M. Friedlander, 26 sont morts spontanément du 1er au 18° jour. Il paraît bien
pareil cas, l'organe pulmonaire dans sa texture infime. Chez un homme mort à la suite d'une pneumonie, dont la durée avait é
une pneumonie aiguë. — Carie de plusieurs côtes, abcès ossifluents.— Mort quatre mois après le début de la maladie. —Autops
, les premiers accidents thoraciques avaient paru quatre ans avant la mort . Il s'agit d'un enfant de sept ans. Le lobe infér
te à croire que l'élimination de ces produits eût eu lieu tard, si la mort n'était pas survenue aussi brusquement. b) Exem
Janvier. — 7e attaque. Poumon droit. 1867. Mars. — 8e attaque. — Mort . Autopsie. —Poumon gauche: pneumonie chronique,
taque avec complica-tion de pleurésie enkystée à droite, qui cause la mort . Autopsie. — Induration ardoisée du sommet du p
vation de MM. Ackermann et Thierfelder, relative à un homme de 26 ans mort deux ans et demi après la pneumonie aiguë initial
Archambault, et provenant d'enfants âgés de six semaines à cinq ans, morts deux ou trois semaines après le début des ac-cide
ymptômes accompagnant un rétrécissement du côté droit de la poitrine. Mort au milieu de symptômes asphyxiques. — Autopsie. 1
ccasion se présenta de vérifier le fait chez un polis-seur de glaces, mort d'une maladie étrangère à la sidérose, et le poum
poumon avec formation de cavernes, altérations pouvant déterminer la mort au milieu de symptômes assez mal connus, mais voi
Merkel *, et dans deux de ces cas seulement la maladie a déterminé la mort . Mais elle offre un intérêt théorique incontestab
, et par suite des troubles fonctionnels graves, pouvant entraîner la mort . On voit alors se produire la phtisie anlhracosiq
s son histoire est le suivant: il avait rendu quelques jours avant sa mort une quantité considérable de crachats noirs comme
t que ces éléments portent en eux-mêmes, en nais-sant, le germe d'une mort prochaine. Le tubercule, a-t-on dit, est une néop
e ses côtés, laissant libre la partie oppo-sée. Ainsi, chez un enfant mort de phtisie tuberculeuse chro-nique, cité comme ex
ion. Dans un de ces cas, la maladie a évolué et s'est terminée par la mort en 15 jours, au milieu d'accidents fébriles très
e le démontre l'observation communiquée par M. le Dr Mesnet, et où la mort est surve-nue, comme on l'a vu, au 14e jour. A ce
ysie de la paupière supérieure droite. — Rétention d'urine. — Coma. — Mort . Autopsie. ?— Granulations grises des méninges.
s mou-vements réflexes ; la face était déviée. Jusqu'à l'époque de la mort , qui avait eu lieu deux ou trois jours seulement
imés. Le membre était froid et couvert çà et là de taches livides. La mort survint avant que le sphacèle se fut déclaré. Dan
Hypertrophie de la rate. — Mélancolie. — Suicide : fracture du crâne; mort . Autoi'sie. — Enfoncement du pariétal. — Rate v
al de la Charité, service de la clinique, salle Saint-Charles, n° 12; mort le 22 avril. Cet homme, assez vigoureux et bien c
contré cette même coloration de la substance grise chez des individus morts à la suite d'accidents cérébraux dont la nature é
années, et elle était depuis longtemps guérie. Dans tous ces cas, la mort était survenue par suite des maladies les plus di
ns leur type de développement le plus parfait, amènent quelquefois la mort , sans laisser dans l'organisme de traces de leurs
premiers accidents, ou bien il tombe comme frappé d'apoplexie, et la mort est presque subite. A l'autopsie, on trouve les v
que l'autopsie ait été commencée plus de vingt-quatre heures après la mort , le cadavre est encore chaud : la température par
notre leucémique, ceux qui ont été vus dans le sang d'un autre sujet mort de la même maladie par l'un de nous et par M. Ch.
ignes de péricardite. — Urines albu-mineuses. — Dyspnée progressive : Mort . — Autopsie : Tubercules crétacés. — Excavations
hôpital de la Charité, salle Saint-Michel, n° 8, service de M. Rayer. Mort le 6 juillet. Cet homme n'a jamais joui d'une b
est habituellement couché, l'œdème a presque complètement disparu. Mort le6, aune heure du matin. Le malade était depuis
eu de phénomènes cérébraux. Autopsie, faite trente heures après la mort . — Nulle trace de rigi-dité cadavérique. — Poumon
bsence du pouls et les accès d'asthme cardiaque si prononcés, etc. La mort subite enfin trou-vait son explication. L'autopsi
ents et irréguliers, mais on n'y entend pas de bruits anormaux. 30. Mort à deux heures du matin. Autopsie faite le 31 ma
, occupait le membre supérieur droit, a complètement disparu après la mort . Encéphale. — Les méninges sont épaissies, légè
des excréments liquides jaunâtres et teints de sang. La veille de sa mort , il éprouve quelques vomissements, et rend de nou
logie, t. III, p. 180 et, dans ce volume, p. 363). État typhoïde. — Mort treize jours après le début de la maladie. — Abcè
Potion diacodée additionnée d'extrait de quinquina (i grammes). La mort a lieu le 12 novembre, à 7 heures du soir, et n'e
eloppé dans l'épaisseur de l'une des valvules mitrales. V. Sur la mort subite et la mort rapide, à la suite de l'obtu-ra
sseur de l'une des valvules mitrales. V. Sur la mort subite et la mort rapide, à la suite de l'obtu-ration de l'artère p
rétions sanguines a été depuis longtemps signalée parmi les causes de mort subite2 ; ce serait même là, dans l'espèce, une c
ts san-guins dans les troncs principaux de l'artère pulmonaire, et la mort subite ou plus ou moins rapide, et accompagnée de
romateuses, souvent en d En collaboration avec M. Ball. Aran. — Des morts subites, thèse de concours. Paris, 1853, p. 23.
tre observation : Obs. I. —Phlegmatia alba dolens post-puerpérale.— Mort ra-pide. — Obstruction de l'artère pulmonaire par
res du soir, le forceps put être appliqué avec succès. L'enfant était mort de-puis quelque temps déjà ; il était à terme et
sons-nous, d'un ensem-ble de symptômes graves qui se terminent par la mort au bout de quatre heures. La physionomie de ces a
elte observation, et dans quelques-unes de celles qui vont suivre, la mort subite ou rapide est survenue à une époque plus o
e, suite de couches, l'imprudence des malades a causé quelquefois une mort subite. Dans une intéressante disserta-tion inaug
it pas mention dans son travail, d'ailleurs si riche de faits, Sur la mort subite dans l'état puerpéral. Paris, 1858. 2 Tr
peu accéléré, respiration bruyante; expression d'une grande anxiété. Mort au bout de trois quarts d'heure. Autopsie dix h
Mort au bout de trois quarts d'heure. Autopsie dix heures après la mort . Rigidité cadavérique très prononcée; les extrémi
eur Hecker, Sur l'obtura-tion de l'artère pulmonaire, comme cause des morts subites après l'accouchement2, nous trouvons l'ob
etit, déprimé; extrémités froides. Malgré tous les soins médicaux, la mort est survenue au bout de trois quarts d'heure, le
lètes, t. v, Poumons et Cœur. 28 Autopsie faite dix heures après la mort . — Foie considéra-blement augmenté de volume. — R
leuâtre ; expression de grande anxiété; enfin apathie, somnolence. La mort a lieu à dix heures et demie du soir. Autopsie.
jours après, nouvel accès dyspnéique, avec douleur épigastrique ; la mort survient au bout de quelques minutes. Autopsie.
u l'invasion subile de symptômes dys-pnéiques qui se terminent par la mort , au bout de six jours. A Yautopsie, les veines ov
t. « J'ai » constamment trouvé, dit M. Cruveilhier, chez les femmes » mortes dans les premiers jours qui suivirent l'accouchem
Fexposé sommaire : Obs. VII. —Dans son intéressant mémoire sur les morts subites par obstruction de l'artère pulmonaire, M
araît avoir été la phlébite ; dans l'observation suivante, on voit la mort survenir subitement chez une femme atteinte d'obl
, — celles que nous avons rapportées permettent déjà d'établir que la mort subite ou rapide par oblitération fibrineuse de T
On trouve cependant, dans un intéressant mémoire de Simp-son sur la mort subite dans l'état puerpéraldeux observa-tions qu
s: Le pouls est insensible: pâleur extrême, respiration difficile: la mort eu lieu trente cinq minutes après le début de l'a
après le début de l'attaque. Autopsie vingt-quatre heures après la mort . Tous les viscères sont sains, à l'exception du f
flement avait diminué graduellement après l'accouchement, et après la mort les deux membres inférieurs ne présentèrent au-cu
ureux siégeant dans le membre inférieur gauche, peu de temps avant sa mort ; il était par conséquent important de noter tout
ptômes ont-ils été en s'aggravant avec une rapidité effroyable, et la mort est-elle survenue au bout de quatre heures. L'e
e nous avons rapportés (I, § I, II), il en est deux dans les-quels la mort a été subite, dans l'acception rigoureuse du mot,
oins ancienne. Or, il est infiniment probable que, dans les cas où la mort n'a pas été subite, le caillot s'est trouvé, au m
ce caillot primitif, que l'occlusion sera devenue parfaite et que la mort aura eu lieu. Cette interprétation est d'ailleurs
et alors les symptômes graves se manifestaient. Dans les cas où la mort n'est pas extrêmement rapide, les accidents déter
e de cette hypothèse, comment les symptômes graves, bientôt suivis de mort , peuvent apparaître, alors que l'oblitération por
ère pulmonaire a produit des acci-dents graves, bientôt suivis par la mort . (Virchow, toc. cit., p. 224, 22'•, 354.) périe
ombe sans connaissance sur ses oreillers, comme frappée subitement de mort . Sa mère l'appelle, la secoue ; les gens de ta ma
elle est la cause ou, si l'on peut ainsi parler, le tnéca-nisme de la mort , dans les cas d'oblitération des brandies princip
aloguesàcelles instituéesparM. lepro-fesseur Virchow. Suivant lui, la mort serait due, dans les cas qui nous occupent, non p
ts de l'infection purulente se développent subitement pour ame-ner la mort . Cette terminaison funeste n'est pas la conséqu
du cœur et du cerveau, sont ordinairement la cause déterminante de la mort . Bibliographie. — Lobstein, Anatomie pathologiq
dans une partie quelconque du système à sang noir, n'amène pas une mort instantanée, mais seule-ment une modification dan
ts qui remplissaient la tumeur et qui furent rendus par la bouche. La mort ne survint que plusieurs jours plus tard, à fa su
. 2 Extérieur.................................................. 4 Mort sans rupture.................................. ..
Cœur. 32 péritonéal: cet accident, lorsqu'il ne détermine point une mort instantanée, donne naissance à un anévrisme diffu
scrit. On a même vu le nez tomber en gangrène quelques jours avant la mort (Cockle). Au milieu de tous ces symptômes, la s
s-sance aux symptômes d'une hémorragie interne, et produit souvent la mort instantanée. Il n'en est cependant pas tou-jours
elle un anévrisme de l'aorte a commencé à se développer. Souvent, une mort subite vient frapper des individus qui jouissaien
dent (hémoplisie, vomissements et sel- les sanglantes, etc.), et la mort survient, soit avant, soit après la rupture du sa
rer l'espace de temps qui s'écoule entre les premiers accidents et la mort . Dans 30 cas rassemblés par Lebert, la maladie se
— 15 à 18 — 2 - — 18 à 24 — 6 — — 24 à 36 — 3 — — 36 à 4S — La mort est incontestablement la terminaison la plus fré-
re du sac. Cependant, telle n'est pas toujours la cause directe de la mort . Un accès de suffocation, une maladie intercurren
ir que les anévrismes de l'aorte entraînent presque inévitablement la mort dans un es-pace de temps qui peut varier de quelq
gni, est aujourd'hui universelle-ment rejetée, en raison du danger de mort subite qu'elle en-traîne chez les individus attei
thoracique qui faisait saillie à gauche du sternum ; le malade étant mort , trois mois plus lard, d'une phtisie pulmonaire,
uniqué à la Société anatomique. Vanévrisme était guéri. Le malade est mort de phthisie pulmonaire (B.) a) Dyspnée. — Les a
et fournir quelquefois des hémorragies assez abondantes, sans que la mort immédiate en devint la conséquence. Il est inutil
é au bout inférieur. Rokitansky rapporte aussi un cas ana-logue. La mort survient, en général, peu de temps après la rup-
e prolonge pendant un assez long espace de temps. Terminaison. — La mort est presque toujours occasionnée parla rupture du
cas, rassemblés par Peacock, où l'aorte ascendante était affectée, la mort est survenue, 22 fois par l'ouverture du sac dans
r; une dyspnée intense se mani- feste, et, dans beaucoup de cas, la mort survient brusque-ment; quelquefois, au contraire,
ormale est située, comme nous l'avons vu. Le début est brusque : la mort peut survenir dans l'espace de quelques heures ;
t qui se propage au loin. Pronostic. — Les malades sont voués à une mort certaine, qui peut survenir dans l'espace de quel
presque toujours dans un état d'asphyxie. Dans un seul cas (Wade) la mort a eu lieu par hémorrhagie. Traitement. — Il se
une gravité exceptionnelle. Sur 25 cas rassemblés par Rokitansky, la mort a eu lieu une fois par rupture de l'oreil-lette d
e d'un anévrysme disséquant. Dans tous les autres cas, la cause de la mort paraissait étrangère à ce vice de conformation.
e une affection pareille comme incurable et prédii en conséquence une mort prochaine à son illustre correspon-dant. Nous a
accidents apoplectiques et d'un état typhoïde, qui se ter-mina par la mort . Nous savons déjà que les végétations fîbrineus
angrène du membre correspondant, qui se termina ultérieurement par la mort . VIII. Entozoaires de l'aorte. Indépendamment
e des deux autres, a pu momentanément résister à l'efTort du sang: la mort n'est survenue qu'au moment où elle a cédé. S'il
ion de l'aorte sont exposés aussi, on vient de le voir, à ce genre de mort ; mais nous répétons ici qu'il existe néanmoins q
lle-même perforée ; il y eut plusieurs vomissements de sang, avant la mort . Un cas analogue a été observé par M. Lancereau
pareil cas, plusieurs hémor-rhagies successives se déclarer avant la mort . XI. Cancer de l'aorte. Bien que les artères
t la cavité de l'intestin; hémorragies gastro-intestinales répétées ; mort , à la suite de ces hémorragies. Le nommé Letébu
ent plusieurs fois dans le courant de la journée et de la nuit, et la mort survient le len-demain matin, vers neuf heures.
ois répétées, et dont l'une, d'une intensité extrême, a déter-miné la mort . Toutes les circonstances de ce fait si complex
adavérique observée, comme vous le voyez, sur le vivant, car après la mort , la rigi-dité s'est manifestée sur toutes les par
s signes de douleur. Chaque jour depuis lors jusqu'à l'époque de la mort , les mêmes phénomènes ont pu être constatés, et j
remarqué qu'il y eût des frissons, bien qu'on y ait pris garde. — La mort a eu lieu le lo juin. Autopsie, faite vingt-qua
a eu lieu le lo juin. Autopsie, faite vingt-quatre heures après la mort . — Absence complète de roideur cadavérique. Cer
s pupilles sont très contractiles, les conjonctives très injectées. — Mort , le 17 décembre, à une heure de l'après-midi. A
à leur bord libre. Aceite époque, les accidents qui ont déterminé la mort de ce malade étaient pour nous inexplicables. Nou
signes d'une affection organique du cœur, et chez lesquels, après la mort , on a trouvé les valvules sigmoïdes de l'aorte ou
..................................................... 400 V. Sur la mort subite et la mort rapide, à la suite de l'obturat
................................... 400 V. Sur la mort subite et la mort rapide, à la suite de l'obturation de l'artère pu
ouverture du sac, 489; — ouver-ture dans l'artère pulmonaire, 538 ; — mort par hématémèse, 490; — siège, 492; — volume,493;
exie, 5C6;- rupture du sac, 507;—mar-che, durée, terminaison, 5u7 ; — mort , 508; — guérison, 508; — étiologie, 509; — diagno
rie de l'embolie, ^23, 450; — observation d' —, 424, 431 ; — cause de mort subite après l'ac-couchement, 433, 442, 443;— ob-
puriformes du cœur, 382. Phlegmatia alba dolens puerpérale, 424 ; — mort subite dans la - , 430 ; — origine de la —, 437.
26 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
15 décembre 1886. Antécédents héréditaires. Mère rhumatisante. Père mort d'une maladie d'estomac. Frère atteint de lithi
e M. CHARCOT, le 22 juillet Il 887. Antécédents héréditaires . Père mort à cinquante-deux ans d'entérite, dit la malade.
a toujours été très ner- veuse. Elle a eu trois enfants, dont deux morts de convulsions. L'aînée vit ; c'est une petite
temps de névropathie générale. Le père, né de parents goutteux, est mort de myélite aiguë; à ce moment, l'enfant n'était
parents. Sa mère est jeune et jouit d'une bonne santé; son père est mort depuis plusieurs années. Le petit malade n'a so
t. Antécédents héréditaires. - Père, auteur dramatique et acteur, mort à soixante-trois ans de fièvre typhoïde avec comp
de M. Chaucot (salle Duchenne de Boulogne, n° 16). Ses parents sont morts à un âge avancé : elle ne connaît pas de maladi
ait l'objet de l'observation sui- vante : Observation XXV. -Père, mort phthisique. Mère migrai- neuse de l'âge de six
e . Une tante et trois oncles mater- nels migraineux. - Cinq frères morts jeunes de convulsions. - En fant adultérin. C
ère naturel, plom- bier zingueur, pas d'accidents saturnins, sobre, mort de phthisie à l'âge de quarante-deux ans. [Père
aur et trois frères DE L EPILEPSIE PROCURSIVE. 7 < migraineux, morts on ne sait de quoi. Pas d'épileptiques, etc., d
De son mari, une fille. De son amant les six premiers enfants sont morts jeunes à la suite de con- vulsions ; un autre e
nfants sont morts jeunes à la suite de con- vulsions ; un autre est mort également jeune d'une fracture de la colonne ve
pirait au public, n'a jamais eu le loisir de délirer à son aise. La mort seule lui a donné ce genre de tranquillité dont
nous serions perdus ! Si le ciel nous tombait dessus, nous serions morts , bougre ! » Les sentiments affectifs sont absol
stement main- tenu dans sa retraite de Pont-Saint-Côme, il y serait mort tranquillement, si les juges de Tarascon n'avai
hose que des cil .'-. D. Vous n'avez plus votre père ? E<=t-il mort ? R.fH'et cer- tainement ; si on ne mourait plu
sidéré comme une victime de sa famille et de l'adminis- tration. Sa mort a remis les choses en place, mais elle a démont
rts, sans voir et sans ouïr), léthargie, apo- alexie, et souvent la mort 3. » Comment du reste méconnaître l'hystérie lo
sances de rame sont ensevelies, en sorte qu'il semble que l'on soit mort . » Léthargie, apoplexie, mort apparente, évanou
, en sorte qu'il semble que l'on soit mort. » Léthargie, apoplexie, mort apparente, évanouissement, som- meil, nous retr
bles, immo- biles et restent dans un état plus ou moins prolongé de mort apparente qui peut se terminer par l'extinction
sultent de leur abolition momentanée et qui vont jusqu'à simuler la mort ». Nous reviendrons sur la description de Briqu
alysées par M. Landouzy » alors que, sous le nom de syncope et de mort apparente, cet auteur (p. 67) ne rapporte pas moi
cidents psychiques et nerveux; guérison graduelle presque complète. Mort subite 110 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. impré
comprendre à ce qu'il fait. Démence paralytique graduelle, marasme, mort après deux ans et demi de maladie. On cons- tat
rène spontanée de tous les orteils du pied droit. Démence, marasme. Mort après sept ans de ma- ladie. Autopsie. Artérite
tobre 1887. -- Présidence de AI. Magnan. M. le Président annonce la mort de M. Bigot, à la mémoire duquel il rend hommag
s qui se sont passés dans les trois années écoulées. Il relate la mort de M. l'instituteur en chef PFLUGK (d'Iluber- t
e procédé réussit égale- ment chez un chien qui présentait après la mort une destruction com- plète des centres moteurs
s ; finalement, accidents paralytiques du côté gauche permanents. Mort quelques minutes après le derniers ictus. L'autop
moi- tié droite du corps. Après l'apparition de dix à douze séries, mort à l'âge de quatorze mois. Autopsie. Abondance d
sse après lui une parésie spasmodique de la moitié droite du corps. Mort à l'âge de trois ans. L'autopsie révèle une atr
une communication' qui portait sur cinq malades; trois étaient déjà morts . Aujourd'hui il a une somme de six cas à sa dis
s suivants : sélection des cas; observations de la maladie et de la mort des aliénés; logement, propreté, hygiène : séqu
rée. La proportion des guérisons a été de 41,2 p. 100, et celle des morts de 8,8 p. 4 00. 11 y a eu 19 transferts aux wor
i ces cas (67), 42 étaient à l'asile depuis moins de neuf mois. Les morts ont été de 7,4p.t00.0n comptait à la fin de 188
nu à terme. Il était le deuxième; huit de ses frères et soeurs sont morts à des âges différents. Dans sa famille, autant
amille. Ses parents avaient eu onze enfants : cinq d'entre eux sont morts à différents âges, les autres jouissent d'une bon
, etc., dans sa famille. Son grand-père était un vieillard robuste, mort il y a trois ans. Son père est mort quatre ans
ère était un vieillard robuste, mort il y a trois ans. Son père est mort quatre ans plus tôt d'une maladie aiguë. Sa mèr
it encore et donna le jour à quatorze enfants. Dix d'entre eux sont morts à des âges différents; outre le malade sont res
icide. - 7 ? posps<as ? af mal (novembre 1884). - Automatisme. - Mort en état de mal (1SSG). Autopsie. Atrophie et as
novembre 1884). -- Père, tailleur, assez grand, très sobre, calme, mort à cinquante ans, il y a un mois, probablement d
ans, il y a un mois, probablement d'une tumeur du bassin. [Père, mort des suites d'un refroidissement ( ? ) en trois jo
t petite, impressionnable, assez colère, assez intelligente. [Père, mort en 1871, de la varioloïde, menuisier. Excès de
ls pas de détails. - Grand- 230 CLINIQUE NERVEUSE. père maternel, mort d'une tumeur abdominale à soixante-cinq ans, so
le début de l'accès, à la Fig. 22. - o, T. une demi-heure après la mort ; H, T. une apiès. DE L EPILEPSIE PROCURSIVE.
e. Le malade meurt à 7 h. 45 du matin. T. R. immédiatement après la mort : 41°,2 ; une demi-heure après : 4'1° ; une heu
marche de la température dans un cas d'étal de mal aboutissant à la mort , avec les deux sommets classiques, l'un corresp
son père inconsciemment et se recouche. Observation .T1RI\. - Père mort d'un cancer de la langue. - Cousine germaine du
ngue. - Cousine germaine du coté maternel, hystérique Deux frères morts de méningite. - Asphyxie a la naissance'. - March
retour des aliments, in- troduction dans les voies respiratoires. - Mort . Autopsie : OEsophage, larynx, bronches remplis
nce aux congestions dans la famille paternelle. - Oncle paternel, mort de convulsions. - Tante paternelle, attaques de n
e. Grand'mère maternelle et deux oncles maternels, suicide. - Trois morts subites duns la famille maternelle. Un frère, u
amille maternelle. Un frère, une 1>(1HlI', une cousine geimaine, morts de convulsions. Premières convulsions à six s
ri- table lit. 246 CLINIQUE NERVEUSE. Observation XLIII. -Père, mort plzllhisique. Un frère, mort de convulsions.- U
UE NERVEUSE. Observation XLIII. -Père, mort plzllhisique. Un frère, mort de convulsions.- Un autre : hémiplégie gauche n
r, il fallait le maintenir, le surveiller. Observation XLIV. - Père mort phthisique. Un oncle paternel phthisique. Un au
uite, migraineuse, morte phthisique.- Cousin germain idiot. Frères, morts de con- vulsions. Premiers accès à douze ans. -
Aura. - Folie et courses consécutives. - Pyromanie et kleptomanie. Mort dans un accès. De Buss... (Gaston-Emile), né
tes. Observation X).VU ? P'euCOOMe, céplaulcclqique, rhumatisant, mort d'apoplexie ainsi qu'un oncle paternel. Un petit-
mber. » · Observa noN Ll. - Père alcoolique, colérique, eczémateux, mort phthisique. - Grand-père maternel alcoolique. -
émateux, mort phthisique. - Grand-père maternel alcoolique. - Frère mort de convulsions. - Autre frère, convulsions et t
es. Délire qostépileptique. Iileplonzanic, automa- - Etat de mal. - Mort . AuTOpsiE.Pe)'S ! Stat : ce du thymus-, épiploo
daire. Les terminaisons peuvent être la démence, la guérison ou la mort . - Il y a encore des cas où la Catatonie se déve-
hors des complications tuber- culeuses, la Catatonie peut amener la mort par elle-même ; guérie, elle ne récidive pas et
de est régulièrement le siège de modifications ; dans les cas où la mort est arrivée tôt, l'arachnoïde était louche à la
tater même par l'auscultation, comme on l'a vu dans certains cas de mort ap- parente qui n'étaient autres que des attaqu
religieux, cette catalepsie volontaire, elle était dans un état de mort apparente; les incrédules lui enfonçaient des é
ns les cas modernes et dans les cas anciens, dans les faits dits de mort apparente. C'est même là, on le comprend, un de
nes sur lesquels on s'appuyait le plus autrefois pour conclure à la mort réelle. On peut traverser les membres 1 Lezioni
RIQUE. 281 pour m'embrasser et retombe ensuite comme frappée par la mort . Pendant quatre heures je ne pouvais observer a
yait déjà sfn- tir un peu l'odeur de la putréfaction; la cloche des morts était sonnée, ses amies viennent de l'habiller
augmente, la malade ouvre les yeux, et frappée par l'appareil de la mort elle revient à la connaissance et me dit en ria
M. sa plus affreuse position était d'entendre les prépara- tifs de mort sans pouvoir sortir de son état. Elle a vécu enco
trois accouchements n'ont pas altéré sa santé. Trois mois avant sa mort elle était enceinte; elle fit une chute de chev
e les autres égale- ment, elle ne semble par elle-même entrainer la mort . Cette opinion n'a pas toujours été adoptée, ma
re réelle, qu'on avait avant eux enterré des hystériques en état de mort apparente, ce qui n'est plus à craindre aujourd
sibles, immobiles et restent dans un état plus ou moins prolongé de mort apparente qui peut se ter- miner par l'extincti
ction totale de la vie ». Landouzy (p. 68), après avoir parlé de la mort apparente, dit nettement : « Tantôt, enfin, l'a
dit nettement : « Tantôt, enfin, l'attaque est réellement suivie de mort . » Briquet, plus expert que ses devanciers, n'a
sphyxie, soit de l'éclampsie, l'on a peu à craindre, attendu que la mort n'a jamais lieu par le fait de la syncope. En par
e. En parcourant les auteurs, on trouve toujours que les prétendues mortes ont été rappelées à la vie. » Et il ajoute (p
fatale. » Nous connaissons cependant un cas récent dans lequel la mort survint à la suite d'une attaque syncopale, aussi
ervation de M. Martinenq : Autopsie (vingt-quatre heures après la mort ). - Bicéphale. - L'examen attentif et à la loup
récidiva pas ainsi qu'il est d'usage ; mais au bout de deux ans la mort survint par suite d'une tuberculose pul monaire
triculaire (Brissaud) ou d'une excitation méningée périphérique. La mort survient alors dans le coma, accompagnée d'une
rent et non discontinué pendant plus de sept mois. Simulation de la mort . (Gazette des hôpitaux, 1869, nos 128, 130, 131
mots de ces cas de léthargie hystérique pour lesquels le terme de mort apparente a été prononcé par les anciens auteurs.
anciens auteurs. Le diagnostic devra s'établir dans ces cas avec la mort réelle et, aller plus loin, ce serait énumérer
éelle et, aller plus loin, ce serait énumérer tous les signes de la mort . Nous croyons avoir assez fait pour l'étude sym
Au milieu de janvier 1887, paralysie de la jambe et du bras droits; mort fin janvier dans le stertor. Autopsie 8 heures
rt fin janvier dans le stertor. Autopsie 8 heures et demie après la mort . Vaisseaux de la base présentant des exsudats c
les accidents gangreneux du décubitus, des frissons, de la fièvre, mort le 13 avril. Autopsie. Leptoméningite cérébro-s
la fréquence du pouls et d'hyperthermie avec rigidité de la nuque; mort le 10 juin. On ne put pratiquer l'autopsie. Dia
pinale ayant eu une durée aussi prolongée, s'étant terminé par la mort et ayant été suivi d'une autopsie régulière ave
la vue, ni de troubles trophiques. Réflexes rotu- liens conservés. Mort de pleurésie tuberculeuse. Autopsie. Pas de scl
s mouvements des membres inférieurs. Antécédents héréditaires Pare, mort en 1856, de la fièvre jaune dans les colonies.
s derniers aucune lésion en foyer pouvant expli- quer le coma et la mort . Somme toute, il n'est pas plus étonnant de ren
Mariée depuis dix-huit ans, la malade n'a eu qu'un enfant, qui est mort de méningite à trois ans. F... croit avoir pris
e paralysie faciale du côté gauche. Antécédents héréditaires : Père mort à cinquante-neuf ans à la suite d'une attaque d
lque temps dans un asile pour aliénation mentale. Un oncle maternel mort aliéné, deux scezcrs de la malade mortes à la s
n mentale. Un oncle maternel mort aliéné, deux scezcrs de la malade mortes à la suite de maladies ner- veuses ( ? ). Ant
paralysée du côté gauche de la face. Antécédents de famille : Père mort depuis dix ans à la suite d'une maladie nerveus
a Salpêtrière le 12 juillet 4887. Antécédents héréditaires : Père mort , il y a dix ans, à l'âge de soixante ans à la s
- lysée du côté droit de la face. Antécédents héréditaires : Père mort il y a cinq ans à la suite d'une maladie du cer
ize ans (les renseignements que nous donne le malade au sujet de la mort de son père permettent de conclure au suicide) ;
ulter le 30 juin 1887. Antécédents de famille : Grand-père paternel mort après avoir été enfermé pendant dix ans dans un
rès avoir été enfermé pendant dix ans dans un asile d'aliénés. Père mort ataxique à l'âge de cinquante-huit ans, mère, t
et grand'mère paternels sans affection nerveuse ; père rhumatisant mort d'une affection 366 CLINIQUE NERVEUSE. cardia
le migraineuse et morte hémiplégique ; un cousin germain de la mère mort aliéné. Antécédents personnels : Rougeole, scar
pération d'un bec de lièvre double compliqué. Un oncle paternel est mort il y a deux ans paralytique général ; une soeur
a face {côté droit). Antécédents héréditaires. Grand-père paternel, mort d'hémorrhagie cérébrale; père arthritique, a so
int d'une paralysie faciale gauche. Antécédents héréditaires : Père mort à la suite d'une tumeur abdominale; mère, âgée
ie faciale par compression, persis- tant plus d'un mois (jusqu'à la mort ), sans que tous les faisceaux nerveux participe
lissement progressif; état de mal. Pyo-piieuino-thoi-ax consécutif. Mort . AUTOPSIE. - Ganglions iléo-crecaux calcifiés;
épistaxis fré- quentes vers l'âge de douze ans. [Père, journalier, mort à l'âge de soixante et onze ans, on ne sait de
x de tête. Une soeur, soixante-quatre ans, abcès scrofuleux. Frère, mort à soixante-deux ans environ, a eu deux enfants
environ, a eu deux enfants très bien portants. D'autres soeurs sont mortes l'une de ' Début par un tremblement, pas de dél
ns, un abcès à la jambe droite avec fistule. [Père, enfant naturel, mort alcoolique, à l'âge de soixante ans environ.- M
de meurt le 16 septembre à une heure du matin. Température après la mort : 43°,2. Autopsie (17 septembre 1885). Rigidité
fin que chacun soit à même de les étudier. Expériences sur un chien mort . - Nous avons exécuté sur un chien mort des bal
Expériences sur un chien mort. - Nous avons exécuté sur un chien mort des balancements. Nous avons constaté que le tr
nts de coeur faibles. Par des expériences sur des chiens vivants et morts nous avons constaté sur les tracés respiratoire
aladie qui suit une marche progressivement ascendante du début à la mort . Les maladies qui paraissent se rapprocher le p
l'encé- phale surtout au niveau des lobes frontaux). L'individu est mort avant qu'il ait pu se former des épanchements s
dents du dé- cubitus progressifs, malléolaires, marasme, pneumonie, mort le 26 novembre 1886. Aucune altération à l'oeil
ons vésico-rectales. Durée : deux ans, puis aggravation, pneumonie, mort . Absolument pas de lésion. Donc névrose à sympt
27 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
e également a usé sa propre puissance dans la lutte, elle a laissé la mort envahir le domaine humain. Les forces matérielles
s la place est cernée, le siège s’en fait dans un délai rapproché, la mort aura vaincu la vie, la place sera prise. Mais, pa
re avec le concours de l’auxiliaire puissant que vous apportez, et la mort peut dans certains cas être réduite à fuir. Gué
faits fils de la matière , industriels et trafiquants ; leur cœur est mort , leurs mains n’ont aucune puissance, mais l’ignor
t partis joyeux, et chacun songeait aux pères, aux mères qui : Sont morts cil attendant, tous les jours, sur la grève, Ce
ntêtés avaient encore l’outrecuidance de ne pas se croire tout à fait morts ; sans se laisser abattre par le dédain et l’isol
nnes avec l’opérateur ; sur d’autres, l’âge auquel ces personnes sont mortes ; sur d’autres, la cause de leur mort. On plia to
âge auquel ces personnes sont mortes ; sur d’autres, la cause de leur mort . On plia tous ces papiers séparément, on les roul
pourrait avoir des communications des esprits de quelques-uns de ces morts . La réponse affirmative eut lieu au moyen de troi
iqués son nom, son degré de parenté, l’âge, le lieu et la cause de sa mort . Le tout fut reconnu exact. Plusieurs autres me
e répondent pas à la haute idée qu’on se fait de pareils êtres que la mort a dû éclairer d’une sagesse omnisciente ; pendant
eine, C’était justice, et on en rit beaucoup. Mais qu’est-ce que la mort V Est-ce donc un si grand crime de tuer qui nous
ent avec eux dans leurs os, dans leur sang, la cause inévitable d’une mort prématurée, et si la nature puissante un moment l
une grande perfection. Laséparation de l’âme et du corps, c’est la mort . Etre sans âme, c’est n’avoir pas conscience de s
ène dont nous venons de parler le nom de communion des vivants et des morts ; le catéchisme lui donnera la définition de cet
’opéra de Robert le Diable, il évoqua les esprits, cause avec les morts , et fait danser sans violon tous les meubles qui
il homme à tant de légèreté. Mais, disions-nous, Voltaire n’est pas mort , du moins il a laissé des disciples qui, comme lu
ne finit pas pour l’homme avec la vie, tout rentre dans l'ordre à la mort . » A ces démonstrations tirées du sentiment de
es et leurs natures, la fortune, le mariage, le moment et le genre de mort , les circonstances heureuses ou malheureuses de l
é quelquefois interrogés par certaines personnes sur l’époque de leur mort . Ils répondent toujours; c’est un de leurs traver
ment ; dans ce cas, il arrivera fréquemment qu’à l’époque annoncée la mort ne frappera point la personne ; mais presque touj
n’était pas convenablement traitée, entraînerait vraisemblablement la mort . Ainsi, ce sont les efforts humains qui arrêtent
ale, opération qui, dans cette circonstance, est souvent suivie de la mort ; mais le magnétisme, employé avec discernement p
e. L’illusion est notre compagne. Elle ne cesse son jeu cruel qu’à la mort . Peut-être même dans l’autre vie ne se dégage-t-e
ilosophes se taisent. Les voyants peuvent apercevoir encore les Êtres morts depuis des dizaines d’années, lorsque ceux-ci leu
ustriels et dans les sciences -physiques par l’application des forces mortes découvertes. -Hé bien ! le magnétisme, force viva
ais le sentir. Je reconnus une des crises d’où dépendent la vie ou la mort . J’essayai de combattre le mal ; je dégageai l'ép
dmet toujours des circonstances atténuantes, elle permet même qu’à la mort de misérables et coquins fieffés on chante sur to
mi et vis cette dame qui est mariée et a été mère de deux enfants morts en bas âge. « Elle me dit qu’à la suite d’une c
vée, elle apprit qu’après une subite et très-courte maladie, il était mort et venait d’être enterré. Elle devint comme folle
âta d’accourir au chevet du malade, il n’était plus temps. Paol«était mort . « Déjà le corps avait étélavé, et l’on s’apprê
te a été envoyée spécialement par les dieux pour annoncer au monde la mort de Jules César : qu’ils se soient trompés dans le
aire foi du fait matériel, de l’apparition d’une comète l’année de la mort du dictateur. Les récits de miracles en général d
igeants quant aux preuves. En ce |qui concerne les résurrections de morts , il est indispensable de bien fixer le sens des m
des mots qu’on emploie, afin que l’on sache sur quoi l’on discute. La mort est la cessation de toutes les fonctions vitales.
il est reconnu que cette suspension ne suffit pas pour constituer la mort . Ainsi, chez l’individu frappé de léthargie, non
du moins rien ne la constate, et pourtant cet état si semblable à la mort n’est pas la mort ; et si le sujet recouvre la sa
la constate, et pourtant cet état si semblable à la mort n’est pas la mort ; et si le sujet recouvre la santé (comme il y en
endant un certain temps, l’individu était dans un état semblable à la mort , et par conséquent semblable à la léthargie : cet
exacte , ne suffit donc pas pour nous autoriser à dire qu’il ait été mort . Il ne restera donc plus à examiner que des gué
e malade, perd connaissance, ne donne plus signe de vie ; on le croit mort . Un ami, animé d’une charité ardente, accourt pou
r ses soins affectueux : sans se laisser rebuter par le3 signes d’une mort apparente, ni par la consternation de parents qui
rts , qu’il ne craint pas d’interpeller celui que tout le monde croit mort , et il attend avec confiance qu’à cette voix symp
à expliquer. L’enfant a une extase dans laquelle il voit ses parents morts ; comme tous les extatiques, il se complaît dans s
faiblesse, brise les ressorts de cette frêle organisation et amène la mort qui, cette fois, est bien réelle. Il n’est aucune
sans trouble dans les intérêts. Les antagonistes du premier jour sont morts sans que leur opposition ait rien empêché. Ceux d
et le nez froids, et tous les symptômes de la maladie annonçaient une mort prochaine. L’homme dont je vous ni parlé ci-d
deux tiers de son équipage. Parmi les personnes qui échappèrent à la mort comme par miracle se trouvèrent sir Robert Peel e
er, et sa femme et sa fdle , entourées de victimes , lutter contre la mort . S’ôtant éveillé sous l’oppression du cauchemar
l’île d’Elbe , la somme accordée par le testament de l’empereur, sont morts le même jour. » (L’Union, 11 avril.) BIBLIO
lir un lien entre le monde terrestre et le monde supérieur, entre les morts et les vivants, à consoler et perfectionner l’hom
ils commettent un crime que Dieu, dans l'ancienne . loi, punissait de mort , et que la législation de tous les « peuples chré
é. Ce sorcier, récemment débarqué d’Amérique , évoque les esprits des morts et leur fait exécuter mille tours incroyables. Ma
arracher une autre réponse. Quinze jours après, à minuit, Ernest est mort . « Voilà le récit d’Armand. Je déclare que je n
e pierre noirâtre qui attire à elle une aiguille d’acier, et l’aimant mort me fait croire à l’aimint vivant. On a tant ri de
ncer son premier numér«, avec cette épigraphe : « Ils ne sont pas morts . « Parlez-leur : ils vous répondront. » Oui,
jambes de l’autre , dans la situation du soi-disant singe soi-disant mort qu’on sort du Cirque des Champs-Elysées , après l
résistent à des lésions qui, dans l’état ordinaire, auraient causé la mort ou au moins les plus graves infirmités. C’est ain
par l’habitude que nous en avons. Quant à moi, je ne puis penser à la mort sans que ma raison ne me dise : Tout n’est pas fi
t sois notre soutien. Tu nous apprends à guérir la souffrance. La mort , quand tu parais, a perdu sa puissance : Tout c
er des larmes, D’enlever toirtes ces alarmes, Précédant l'heure de la mort ; Puis, soulageant celui qui souffre, De l'arr
continuation de la vie dans l'inconnu d'un avenir indispensable. La mort , qui m'avait si cruellement privé d«mes plus chèr
t, qui m'avait si cruellement privé d«mes plus chères affections ; la mort , plus facilement acceptée désormais, et dépouillé
nt quelques militaires ont été favorisés sur l’époque précise de leur mort . J’en pourrais citer plusieurs exemples bien rema
sur le coup ; elle marque encore aujourd’hui l’heure fatale de la mort du maréchal; elle n’a jamais été montée depuis.
illustres lieutenants de Wellington, eut aussi le pressentiment de la mort qui l’attendait sur le champ de bataille de Watte
ucoup d’étrangers qui fréquentent ce pays, les démons et les âmes des morts exercent une influence continuelle sur les affair
mystères aussi contestés que réels de la nécromancie... « Après la mort , l’esprit divin qui animait l’homme retourne seul
s qu’on évoque par la nécromancie. Ce sont des larves, des substances mortes ou mourantes, avec lesquelles on se met en rappor
ut se mettre dans un état exceptionnel, qui tient du sommeil et de la mort , c’est-à-dire qu’il faut se magnétiser soi-même e
(5) Psycologie physiologique, p. 366. « L âme qui vit après l«a mort est l’esprit de l'homme, qui, dans 1 homme, est l
a véritable foi. « La vie de chacun lui demeure et le suit après la mort (1). » L’Eglise n’enseigne-t-elle pas que Satan
rquoi tremblez-vous de la sorte? — v Mon Dieu, je n’ai pas peur des morts quand je suis éveillée ; mais, en somnambulisme,
présenté sous le crayon mèdianimique, a déclaré se nommer Batet, être mort il y a quelques années h Fougères, département d’
Pourquoi vouloir d«moi des choses indiscrètes? Pourquoi vouloir des morts un triste souvenir? Laissez mon âme en paix dan
les limites de cet entretien. Fiancée à dix-neuf ans, le jour de la mort d’un prédicateur qu’elle vénérait, elle accompagn
efusant de rester dans une écurie sous laquelle on a trouvé des corps morts . semblait, et déclarait que ce n’était pas av
urniraient une preuve palpable de la communion des vivants et des morts . La France, jusqu’ici déshéritée, a soif de conna
ex-t faites des Mémoires de Manso, marquis de Villa, publiés après la mort du poète, son ami.) l'ire (1.) et que vous re
r celles d’âmes ché-rios, disparues (je no, dis pas anéanties) par la mort . Des spectres cornus, faunes à jambes de bouc, ra
par la vue d'un cercueil contenant le corps de son grand'père, de la mort prochaine de ce parent, qui mourut dans la semain
qu’au concile de Nicée, par 318 évêques contre 80, 325 ans après sa « mort . Il n'avait jamais dit qu’il fût égal à Dieu, et
enterré tout vivant avec la meilleure confiance du monde qu’il était mort et bien mort: un médecin l’avait déclaré. P1ÉRA
vivant avec la meilleure confiance du monde qu’il était mort et bien mort : un médecin l’avait déclaré. P1ÉRART. On lit
nement, s’approcha, palpa le corps, et se retira en disant : « Il est mort d’apoplexie ! » Le cadavre fut trans-porté aussit
au dehors, lorque l’un dit à l’autre : kTiens, il me semble que le mort vient de remuer un œil. » « Et en efTct, ils vi
nique, donnant au sujet qui en est atteint toutes les apparences d’un mort . « Quelques instants après, le ressuscité sorta
son pantalon sur le parquet... Dans ce pantalon* il y a la jambe d’un mort ... Le malheureux ! personne ne prie donc pour lui
s sûr que dans cette pièce, à la place que j’ai montrée, un homme esh mort de mort violente... et, chose affreuse, qu’il est
e dans cette pièce, à la place que j’ai montrée, un homme esh mort de mort violente... et, chose affreuse, qu’il est mort co
, un homme esh mort de mort violente... et, chose affreuse, qu’il est mort coupable. O11 s’étonne, on s’informe si dans l’
eur malheureux s’est brûlé la cervelle; il s’était mal tué, et il est mort en se débattant contre d’horribles convulsions. I
ntiment; c’est la destruction de la personnalité, en un mot, c’est la mort ; la prétendue séparation temporaire est donc un n
des enfants, des détails circonstanciés sur leur vie, la date de leur mort , et continue la filiation des générations d’Adam
admettent que l’on peut, sans sacrilège, aller troubler les âmes des morts dans leur sommeil, pour les forcer à venir dans d
ns admettent que l’on peut sans sacrilège aller troubler les âmes des morts dans leur sommeil pour les forcer à venir dans le
renues. D'abord nous dirons au rédacteur du Courrier que les âmes des morts , si on s’en rapporte à leurs dires, ne donnent pa
traire bien plus veillantes que nous, et que, loin d’appartenir à des morts , elles décla-rentque c’est nous qui sommes morts,
n d’appartenir à des morts, elles décla-rentque c’est nous qui sommes morts , emprisonnés, esclaves que nous sommes, dans de g
défenseurs, des âmes droites prêtes à te porter témoignage jusqu'à la mort , et alors tu t’élevas de bas en haut, tu confondi
t un rapprochement inespéré et d’une valeur immense entre ceux que la mort avait séparés, et dans lequel les morts, se procl
leur immense entre ceux que la mort avait séparés, et dans lequel les morts , se proclamant plus vivants que les vivants eux-m
s-mêuics sc disent être, c’cst-à-dirc des hommes et des femmes que lu mort a transfigurés. Eli ! sans aller prendre mes ci
ition des mains, de maladies réputées incurables, de résurrections de morts à l’aide du même procédé, de voix mystérieuses et
ésente ces productions mystérieuses comme le résultat de l’action des morts sur nos âmes, sur nos organes et sur la matière i
personnel, moral, intellectuel et sensible, entre les Vivants et les Morts , croyance constituant la base de ce que 1 on est
e dans lesquels entreraient tous ceux qui sortent, par la porte de la mort , du théâtre de cette vie d’ici-bas. Voilà, da
italien, qui, dans le cours de l’année dernière, a été enlevé par la mort à sa patrie et à la science, raconte dans ses F/i
gnétisme n’est pas reconnu par les facultés. Quelle excuse, en cas de mort , pouvaient-ils alléguer? La pureté de leur consci
856, sa mère vint à bord du bâtiment lui apprendre que son père était mort à Balaclava, le 1 " décembre précédent. A cette n
gens à la maison de Barnet établie pour les orphelins des militaires morts en Grimée; il y demeura un an. Les accès ne cessè
devants et je lui échappai, cette fois.— Voici le reste (Goodall est mort depuis cette époque) : Avant-hier au soir, en e
âme entière, la crise serait nécessairement fatale et entraînerait la mort définitive au bout d’un certain délai. Pendant co
ge dans l’état de somnambulisme; mais elle n’est complète qu’après la mort . Et encore peut-on la retenir artificiellement da
s qui avaient insensiblement amené cette personne â deux doigts de la mort . Toute jeune et déjà très-forte, elle abusait du
, le ventre tendu et dur, enfin les symptômes les plus visibles de la mort frappaient mes yeux et m’épouvantaient sur le rés
l’un à l’antre et les pousse par milliers à se sauver jusqu’à tomber morts de fatigue. La peur a mis des armées en déroute
a faculté de médecine, consultée à ce sujet, proposait de le purger à mort ou de le saigner à blanc, pour éviter de plus gra
pontanément : Votre ami a disparu, vous ne le reverrez plus... il est mort ... il s’est suicidé! D. Dites comment il s’est
ription exacte de l’enfant et de ses vêtements, et écrivit : « Il est mort et plongé dans l’eau. Il est étendu sur le dos, e
tte multitude une seule réclamation et un seul murmure , alors que la mort était à peu près inévitable : c’est une de ces sc
tait tombé. Un sorcier du pays avait déclaré que ce rêve annonçait la mort prochaine du voyageur. Richardson n’était pas sup
donné le titre suivant : L Immortalité "dévoilée ou la vie après la mort du corps, démontrée et affirmée par le magnétisme
lassique , et qui, selon ses règles, devrait inévitablement causer la mort . IL..N’Y A PAS DE TRANSACTION POSSIBLE ; c’est à
catholique enseigne l’existence des anges, des démons et des âmes des morts ; mais elle n'a jamais affirmé qu’en dehors de ces
viron trois minutes après, elle poussa un soupir et répondit : il est mort ! ! De quelle mort ? je le vois dans un bois pend
après, elle poussa un soupir et répondit : il est mort ! ! De quelle mort ? je le vois dans un bois pendu après un chêne au
ltation , \ quarante pas. Le bois , dans lequel Faudot s’est donné la mort , se nomme Malval, territoire de Nançois-le-Petit.
t depuis deux jours? Peu de temps après, elle nous a répondu , il est mort . Nous lui avons demandé : de quelle mort ? je voi
elle nous a répondu , il est mort. Nous lui avons demandé : de quelle mort ? je vois qu’il est tombé dans la rivière. Ce qui
ieu indiqué, et nous avons retiré notre fils de l’eau, qui était bien mort . C’est pourquoi nous lui avons délivré le présent
nt des voix qui ne sont audibles que pour eux, voient les esprits des morts sous forme d’oiseaux , perçoivent les choses éloi
nt connu parmi eux un devin ou thaumaturge nommé Wau-chus-Co, qui est mort en 1839 ou 40, h Round Island, près de l’île de M
inac. (’.e personnage était devenu chrétien plus de dix ans avant s:i mort , avait embrassé la secte presbytérienne, et avait
, et depuis, elle ne cesse de répéter que l’âme d’un juif de Ro-dost«( mort depuis dix ans en cette dernière ville, d’après l
pas possédée du démon, puisqu’elle dit elle-même que c’est l’âme d’un mort qui l’obsède. Son mal donc ne saurait être qu’une
eval ; mais l’accident n’aura pas de suite. — Je vous dis « qu’il est mort ! » répète-t-il en s’efforçant d’arriver jus-« qu
a su officiellement que ce même jour, à la même heure, son ami était mort au Canada. L’impression que cet événement a produ
ent que, sans la révélation qui venait d’être faite, le malade serait mort victime des effets de l’imagination , et avec les
n) confondu par une somnambule, 28 Mémoires d’une planchette, 357 Mort (le) vivant, 419. Pièces de vers par MM. Clever
e, pas M. Morin, 578. Immortalité (l') dévoilée, ou la vie après la mort du corps, démontrée et affirmée par le magnétisme
28 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
lui donnât l'autorisation d'aller avec ses compagnes ramasser du bois mort le long du Gave. L'asthme hystérique. — Or cet
birous, sa sœur Marie et une petite voisine allèrent ramasser du bois mort autour des Roches Massabielles; le canal du mouli
tu ne pourras me vaincre. » Il devait aussi s'habituer à regarder la mort en face ; à ce sujet, un écrivain japonais Kinso,
valeresques : le courage, le mépris du danger, le calme en face de la mort , la loyauté, la fidélité et le dévouement au seig
suicide qui consiste à s'ouvrir le ventre. Les samouraï condamnés à mort avaient le droit de faire harakiri et échappaient
riences. NÉCROLOGIE — Gabriel Tarde Sur le maitre philosophe, mort récemment nous empruntons cette page publiée par
e Mony Sabin. Atteint d'anévrisme, le philosophe Tarde a été trouvé mort dans sa chambre, le 13 mai au matin. La crise fat
ait pure de tout calme faux, acquis par la routine et le succès. Sa mort , non seulement laisse un grand vide parmi les rep
mes. Nous nous bornerons en quelques mois à rappeler le mythe de la mort de Méduse. Cette Gorgone, douée d'une beauté ravi
mère, eut lieu l'explosion d'une chaudière à vapeur, ce qui causa la mort de son mari. Les voisins firent à la mère une des
it être question de l'imitation à cause d'une longue absence ou de la mort du parent) ont été cités dans la littérature (Dar
phes. Les terreurs et les désastres de la guerre dans « le camp de la mort » exposent l'imagination des hommes à une grande
fond. Onze mois s'étaient écoulés dans la perspective constante d'une mort possible ou prochaine! Si l'on a pu dire autref
es; puis, il avait promis de croire en un Dieu créateur qui n'est pas mort et ne mourra point. Enfin, le supérieur l'avait b
lui lança une de ses pantoufles en guise de remerciement. Condamné à mort pour le prétendu vol de cette pantoufle, le pauvr
issement général des facultés intellectuelles, enfin la crainte de la mort . L'examen au sthénomètre me donne : Main droite
être débarrassées de leurs maris. Elles lui demandent, en un mot. la mort de leur conjoint. Récemment, M. le professeur L
e Buzenval descendaient de Robert Choart de Buzenval, vivant en 1536, mort le compris celle de Lourdes, de réservoirs sout
ourut en 1608. H eut trois garçons. L'un d'eux, Théodore, un dévot, mort à 39 ans, le 22 avril 1616, et enterré dans l'égl
ant en 1499 et 1501, lequel eut une fille et trois garçons '.Nicolas, mort le 11 novembre 1501, Denys, mort le 16 novembre 1
ne fille et trois garçons '.Nicolas, mort le 11 novembre 1501, Denys, mort le 16 novembre 1502, enterrés l'un et l'autre dan
des Saints-Innocents de Paris, et Jacques. Celui-ci, marié en 1523, mort le 9 mars 1555, et enterré, ainsi que sa femme Fr
illes parmi lesquels : Nicolas, Denys, Guillaume, Anne et Guillemette morts jeunes, Madeleine, morte en 16U3, mariée et sans
de Vitry (*), eut Jean Baillet II. Jean Baillet II, vivant en 1436, mort après 1477, eut trois garçons et neuf filles, par
après 1477, eut trois garçons et neuf filles, parmi lesquels : René, mort sans alliance, enterré dans l'église d'Auxerre, J
dans l'église d'Auxerre, Jean Baillet III, évèque d'Auxerre en 1477, mort en 1513 et enterré dans son église. Anne, abbesse
religieuse à Varainville et Thibault. Thibault Baillet, dit le Bon, mort à 80 ans, le 19 novembre 1526 épousa Jeanne d'Aun
fort âgé, et sans enfants, bien qu'ayant été deux fois marié. Drogon, mort aussi sans postérité ; Thierri, archidiacre de l'
en 1181 ou 1182, sans enfants, bien que marié ; Jean, vivant en 1177, mort en 1214, enterré dans l'abbaye d'Orcamp, et Raoul
mourut vers 1098. Il eut quatre garçons et une fille, dont Geoffroy, mort jeune etsans alliance, Robert, qui fit le voyage
eut de sa deuxième femme quatre garçons et une fille, dont Foulques, mort sans parenté et enterré dans l'abbaye de Segré, G
. Il eut quatre garçons, dont Guy, évêque de Soissons, vivant en 972, mort eo 995, et Gautier II. Gautier II fonda à Cresp
Saint-Arnoul en 1008. Il eut quatre garçons et une fille, dont Dreux, mort au cours d'un voyage en Terre-Sainte en 1035 ; Fo
pin). Pippin, né en 777, sacré à Rome roi d'Italie le 15 avril 781, mort le S juillet 810, à 33 ans, enterré dans l'église
Milan. Son fils Pippin II de Vermandois, qui était jeune lors de sa mort , eut trois garçons, dont Bernard, mort sans ligné
is, qui était jeune lors de sa mort, eut trois garçons, dont Bernard, mort sans lignée, et Herbert I. Herbert de Vermandoi
en 902, eut deux garçons, dont Herbert II. Celui-ci, vivant en 923, mort en 943, eut cinq garçons et deux filles, parmi le
n 943, eut cinq garçons et deux filles, parmi lesquels : Herbert III, mort fort âgé le 28 décembre 993 et enterré dans l'abb
3 et enterré dans l'abbaye de Lagny qu'il avait fait rebâtir; Robert, mort en 958, qui chassa de Troyes l'évêque Ansegèsil ;
de Maremoutier ; et Albert de Vermandois 7. Albert de Vermandois I, mort fort âgé en 988, eut quatre garçons et une fille
rt âgé en 988, eut quatre garçons et une fille parmi lesquels : Eudo, mort sans postérité, Luidulfe, évèque de Noyon, mort a
armi lesquels : Eudo, mort sans postérité, Luidulfe, évèque de Noyon, mort avant 986, Guy, qui fit un voyage à Rome avec Ada
u de Beaumont eurent trois garçons et deux filles, dont lMaurice III, mort sans postérité avant 1224, enterré dans la chapel
pelle de St-Jacques de l'abbaye de la Roè*, Amauri I, vivant en 1211, mort le 12 mai 1226 au moment de partir en guerre cont
rrée dans l'abbaye de Lannoy en Picardie, Mathieu IV, vivant en 1282. mort fin 130i ou I3U5, et enterré dans l'église du pri
'idée fixe d'être atteint d'une maladie incurable et de pressentir sa mort prochaine. On imagine le désespoir de la famille.
té par un impressario trop exigeant, il s'est donné volontairement la mort . Avant de se tuer, dans une sorte de testament, i
e telle, que les trois évoques se sauvèrent. » « Trois jours avant sa mort elle eut une forte attaque avec des convulsions t
mpagna de plus Louis IX en Afrique, et mourut sans hoirs. GuîHaume, mort en 1253, eut une fille et deux garçons, dont Hube
et deux garçons, dont Hubert. .Au6er* de Longueval, vivant en 1283. mort en 1286, épousa Anne de ¦ Meullent. k Mtilleil.
rçons, dont Philippe d'Aunoy IL Philippe d'AunoyII, vivant en 1356, mort avant 1392, fut enterré avec sa femme dans l'égli
t une fille et deux garçons, dont Roôerf. Celui-ci, vivant en 1367, mort le 21 novembre 1414, fui enterré dans l'église de
l'église de l'abbaye du Val, et engendra Charles d'Aunoy. Charles, mort avant 1427, épousa en 1403 Jacqueline, fille de P
u bien à l'église de Soissons. GuiMaume de Dormans, vivant en 1349, mort le 11 juillet 1373, enterré dans le cheeur de l'é
filles, dont : Jean, chanoine de Paris, de Chartres et de Beauvais, mort le 2 novembre 1386, à vingt ans, enterré dans la
rchidiacre de Châlons, chanoine de Paris, de Chartres et de Soissons, mort en mai 1386, enterré dans la chapelle du collège
69, évéque d'Angers en 1371, de Bayonne en 1373, de Beauvais en 1375, mort le 17 avril 1387, et enterré dans la chapelle du
ns boursiers. Guillaume, évéque de Meaux, archevêque de Sens en 1390, mort le 2 octobre 1405, enterré dans la chapelle du co
aient deux tilles et un garçon, Jean. Jean d'Aunoi, vivant en 1426, mort le 8 novembre 1489, et enterre* dans l'église du
ait de Mat'nie a de Rouerai I. Mathieu de Rouvroi I, dit le Borgne, mort en 1370, épousa en 1332 Marguerite de Saint-Simon
t-Simon IL Celui-ci, vivant en 1214, eut cinq garçons, dont Pierre, mort sans postérité, Jean dit Beduin, chanoine de Sain
Saint-Simon, vivant en 1260, eut deux garçons: René, vivant en 1309, mort sans postérité, et Jacques I. Jacques de Saint-
athédrale de Xoyon. Il eut un garçon et deux filles, dont Jacques II, mort sans alliance en 1333, et Marguerite, femme de Ma
-Fervaques, et Jean. Jean de Rouvroi dit le Borgne, vivant en 1351, mort avant 1392, rendit aveu de la terre de Saint-Simo
ant encore en 1527, et Philippe III. Philippe III, vivant en 1491,' mort après 1499, enterré dans l'église de Goussainvill
ieuse de l'abbaye de Port-Royal, où elle se retira elle-même après la mort de son mari et où elle fut enterrée. Il en eut un
où elle fut enterrée. Il en eut une fille et deux garçons, Mathieu V, mort en 1305, marié et sans enfants, et Jean I. Jean
en 1305, marié et sans enfants, et Jean I. Jean I vivant, en 1303, mort en juin 1325 et enterré dans l'église du prieuré
rois garçons et deux filles, dont Jean, élu évéque d'Orléans en 1350, mort le 6 juillet 1364, Charles vivant en 1343, mort l
ue d'Orléans en 1350, mort le 6 juillet 1364, Charles vivant en 1343, mort le 11 septembre 1381, enterré dans l'église de l'
et Mathieu de Monlmorency-d'Auvresmenil. Celui-ci, vivant en 1343, mort le 29 juin 1360, enterré dans l'église de Saint-B
le Chauve, abbé de St-Pierre-de-Flavigny, puis évéque d'Autun en 876, mort en 893, avait les revenus de l'église St-Auban en
ré dans l'abbaye de Saint-Benigne de Dijon, Renaud I, vivant en 1026, mort le 4 septembre 1057, qui eut de grands différends
Anjou-Vendôme eurent quatre garçons dont Bouchard III, dit le Chauve, mort sans alliance, Hugues, qui fit \'nm-ï»jtaeun voya
un passage dans les décombres de l'incendie, parmi les blessés et les morts . La terreur qu'il éprouva, centuplée par le senti
urs nocturnes; il se réveille en sursaut, rêvant qu'il marche sur des morts . L'odeur de coaltar du métropolitain l'enveloppe
Moro,le célèbre peintre de (1) Antonio Moor, né à Utreebt en 151?, mort à Anvers en 156S. l'empereur Charles Quint, d
re de Preuilly, où il fut enterré, et eut trois garçons, dont Robert, mort sans enfants, Godebert, qui fonda en 1024 l'églis
e autel de son église ; enfin W&rin d'Alençon-Perche. Celui-ci, mort avant son père, épousa Mélisende, vivante en 1031
vivante en 1031, sœur d'Hugues de Chafeaudun J7, archevêque de Tours, mort le 12 mai 1023, et en eutCeoffroy 7. Geoffroy d
1165. Il en eut une tille et trois garçons : Lamelin, vivant en 1161, mort avant 1195, enterré devant la chapelle Ste-Marie-
sa femme, et mourut en 1202. Il eut deux garçons et une fille; Jean, mort avant son père en 1193, Jean III, trésorier de l'
de Vendôme, Jean qui suivit Louis IX en Afrique en 1270, et qui était mort en 1283, Bouchard V, vivant en 1266, mort avant 1
rique en 1270, et qui était mort en 1283, Bouchard V, vivant en 1266, mort avant 1271, enterré en la chapelle de St-Biaise d
res eurent trois garçons et deux filles, dont : Jean, vivant en 1384, mort peu après, 1414, marié et sans postérité, Hugues
n oncle Jean, ce qui fut confirmé par les bulles du pape Innocent IV, mort avant 136$, Luce, religieuse, trésorière puis abb
urut vers 1414. Il eut trois filles et un garçon CnaWes. Charles, mort en 1461, épousa, par contrat du 11 mai 1447, Jean
iII Marguerite Rouault, descendait de Louis Rouault, vivanten 1381, mort en 1400. qui épousa Marguerite de Brisay. b Brîuf
n février 1902, à l'ouverture de son cours : o A la-méditation sur la mort , disait-il, qui forme le fond de l'enseignement o
: Marie, mariée deux fois et morte sans enfants, Charles, né en 1467, mort sans alliance peu après le 9 janvier 1493, Louis
alliance peu après le 9 janvier 1493, Louis et Jean mineurs en 1490, morts sans alliance, Antoine, chanoine de Beauvais et d
uin 1650. C'était un homme sincère, probe, désintéressé, fidèle. A la mort de son frère René, son père le fit pourvoir de l'
son diocèse, et, en 16i4, des statuts synodaux. Peu de temps avant sa mort , il se démit de son évèché en faveur de son neveu
es devoirs d'une femme chrétienne, elle se résolut, aussitôt après la mort de M. son mari, n'aiant encore que vingt-huit ans
ur déposée Port-Royal. Elle avait épousé Théodore Choart de Buzenval, mort le 22 avril 1616, à 39 ans, avait eu de lui trois
urent calmer le trouble de son âme. « Il porta cette playe jusqu'à la mort , et il lui en resta toujours une si profonde doul
i le faisoit penser à quitter son Evèché; ét quelques années avant sa mort , il étoit résolu de se retirer chez les Chartreux
compris dans le traité que l'on feroit. » (') Dix-huit mois avant sa mort il en eut le pressentiment, et alla faire une ret
ne confession générale à l'institution de l'Oratoire. Il mourut de la mort des saints. Il se levait tous les jours à quatr
s tournées pastorales et, au cours de l'une d'elles ses chevaux étant morts , il voyagea à pied, et se fatigua à tel point qu'
. 62. (6) /¿id., p. 76. (7} Ibid., p. 51. d'Asnières qui, étant mort sans sacrements, et sans s'être mis en désir de f
bile avait cassé une patte et défoncé plusieurs côtes. Il n'était pas mort sur le coup, mais endurait de terribles souffranc
rapique de Nancy, mourait dans sa 81' année. A la nouvelle de cette mort , M. le Dr Van Renterghem, d'Amsterdam, proposa d'
nt de la Société d'bypnologie et de psychologie. Au lendemain de la mort du Dr Liébeault, lorsque notre dévoué collègue, M
e. Il s'y montra peu docile aux enseignements de ses maîtres, et à la mort de son père, il obtint de sa mère la liberté de s
esse, c'est que, généralement, les pèlerinages n'ont lieu qu'après la mort des prophètes et qu'on ne visite guère que leurs
sères, la misère morale. Et lorsqu'au jour de l'échéance fatale, la mort entrouvrira votre porte, vous regretterez peut-êt
Satan ! » Le père Jean répéta ces mots plusieurs fois. Un silence de mort régnait dans l'église remplie de fervents. On n'e
Mais, poursuit M. Fouillée, quand je suis placé entre le devoir et la mort il ne s'agit pas de solution approximative. Je ne
Tunis), Un événement important dansle monde indigène de Tunis — la mort du marabout Sidi Ali ben Gaber dont l'enterrement
ortions encore plus intenses. Tel était le cas du roi Albert de Saxe, mort en 1901. qui donna sur le trône, l'exemple du mon
29 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
xante membres. Depuis, beaucoup d'adhérents de la première heure sont morts et l'on pouvait craindre que le zèle des fondateu
elle M. le D' Ledrain, de Loué fSarthe), fait part à la société de la mort du Dr Salomon, de Savigné-l'Evcque. M. le Secréta
inue sa route à toute vitesse. Quelques jours après, il apprend cette mort en lisant les journaux et, d'inductions en induct
ofesseur Raymond. Ce jeune homme est âgé de seize ans. Son père est mort de la fièvre typhoïde ; sa mère est très nerveuse
e fils. La Rajput lui avait bien donné deux jumeaux, mais ils étaient morts en bas âge. Akbar subit une de ces crises de supe
ous restiez dans son rayonnement pour que le démon de stérilité et de mort soit chassé. — Je bâtirai ici une ville et j'y
plique en toussant sur un ton de mélopée traînarde que, même après sa mort , le vénérable Sulim Chèsti garde encore cette fac
la santé, parce qu'il veut atout prix éviter la décrépitude, fuir la mort ! La comparaison qu'on a tentée quelquefois entre
nt la voie aux applications pratiques d'hypnotisme. Mais Tokarsky est mort , ainsi que son maître Kogewnikoff et peut-être qu
ort, ainsi que son maître Kogewnikoff et peut-être qu'avec eux serait mort l'hypnotisme â Moscou, si les semences, jetées pa
certains signes de dégénérescence, en particulier la stérilité et la mort précoce, corrélation que l'étude des généalogies
dont je donne en même temps le commentaire. Karl II, dit le Chauve, mort à 54 ans, appartient à ce groupe des derniers Car
rniers Carolingiens dont la dégénérescence se révèle à la fois par la mort précoce et par les surnoms. Il resta toujours sou
eut 4 garçons et 3 filles, parmi lesquels : Ludwïg II, dit lè Bègue, mort à 33 ans, protecteur du pape Jean VIII; Lo-thariu
int-Martin de Tours, eut 4 garçons et 2 filles, parmi lesquels: Otto, mort jeune, marié et sans postérité, Emma mariée et sa
nts que Karl le Chauve eut de ses deux femmes, nous relevons 4 sujets morts précocement, 1 bègue et 4 religieux, dont un boit
un imbécile qui devint évêque d'Auxerre et mourut jeune ; et Hugues, mort à 19.ans. Mais peut-être pourriez-vous me repro
éque de Strasbourg, grand aumônier de France, abbé de la Chaise-Dieu, mort à 49 ans; René de Rohan, chanoine de Strasbourg e
, mort à 49 ans; René de Rohan, chanoine de Strasbourg et de Luxeuil, mort à 20 ans; François-Auguste de Rohan, mort à iît u
e Strasbourg et de Luxeuil, mort à 20 ans; François-Auguste de Rohan, mort à iît uns, inhumé dans l'église des religieux de
e le patient se savait incurable. · Jusqu'à une demi-heure avant sa mort (pneumonie des vieillards), il a éprouvé un calme
s certes pas empêché cette dame de mourir et beaucoup auraient mis la mort subite sur le compte de l'hypnotisme. Ces deux ca
quatre garçons et une fille, parmi lesquels : Simon, vivant en 1101, mort sans alliance; Guillaume, élu évêque de Paris en
en 1101, mort sans alliance; Guillaume, élu évêque de Paris en 1092. mort en 1100 ; Richard, enterré dans l'église de St-Th
tel. Il eut trois garçons et cinq filles, parmi lesquels : Guillaume, mort sans enfants; Miles I" dit le Grand, qui restitua
de Cluny, où il mourut sans enfants bien qu'ayant été marié ; Guy II, mort sans enfants en 1111 ou Il 12; et N. de Montleher
II et Agnès de Garlande eurent une fille et deux garçons : Amaury IV, mort sans alliance en 1140, et Simon IL Simon de Mon
avant sa mère sans postérité de ses deux femmes; Guy, dit le Chauve, mort en 1191, qui accompagna le roi Philippe II en Ter
blé de rente sur sa grange de Méri, le bois vif pour bâtir et le bois mort pour brûler à prendre en sa forêt d'Iveline, ains
Sur l'ordre des légats du pape, « Montfort les fit tous périr de male mort ? (1). De plus, il fit démolir les principales ma
II épousa A tine d'Angleterre (1) et en eut cinq garçons dont: Henri, mort jeune et avant son père; Thibaud, qui confirma en
l'église de Notre-Dame de Paris et abbé de St-Martin de Montmorency, mort vers 1192; Matthieu, qui fonda un anniversaire po
s scientifiques qui désignent une maladie susceptible d'entraîner une mort subite, cette divulgation ne laisse pas de provoq
s expose à ces conséquences : l'angine de poitrine. Au moment de la mort de Charcot, j'avais à traiter un angineux ; c'éta
tteint ne l'effrayait nullement. Un jour, il lit dans les journaux la mort de Charcot et apprend qu'il a succombé brusquemen
) Laurence de Hay naui descendait doRaynier de Haynaut IL Celui-ci. mort en 917, eut une fille et trois garçons dont : Lam
ablement d'un mot mal écrit. 'il::1. Raynicr IV, vivant en 924, mort en 977, fut présent à une donation faite à l'égli
ut tué le 12 septembre 1015, et Raynier V. Celui-ci, vivant en 976, mort vers 1013, épousa Hadwige, fille de Hugo dit Cape
en eut une fille et deux garçons : Richard, évéque de Liège en 1036, mort le 26 août 1041, et Raynier VI. Raynier VI, viv
6, mort le 26 août 1041, et Raynier VI. Raynier VI, vivant en 1015, mort vers 1037, obtint que l'empereur d'Allemagne prit
s l'abbaye de Hamon. Elle épousa, en 1051, Baudouin de Flandre V7(*), mort le 17 juillel 1070 et enterré dans l'abbaye de Ha
icier de l'église de St-Etienne de Metz, élu évèque de Liège en 1123, mort en 1128, et enterré dans l'église de St-Gilles qu
chanoinesse de Maubeugc, et Baudouin III. Celui-ci, vivant en 1114, mort en 1133, eut deux garçons et trois filles, dont B
e ville et sacré par, le pape Guy de Bourgogne (Calixte ?? en ! î 19, mort empoisonné en 11*20 ou 1121, et enterré dans sa c
escendait de Frédéric de Luxembourg I ('), dont le petit-fils Conrad, mort le 20 août 1086, cuteinq garçons parmi lesquels :
uteinq garçons parmi lesquels : Henri, Conrad, Rodolphe et Adalbéron, morts sans postérité, et une fille, Ermenson, vivante e
oiirgeurentdeuxgnrçons et trois filles dont : Albert, vivant en 1121, mort avant son perc ; Henry, dit l'Aveugle, vivant en
e Namur eurent cinq garçons et deux lilies parmi lesquels : Baudouin, mort jeune, Godefroy, mort à seize ans, le G avril 115
rçons et deux lilies parmi lesquels : Baudouin, mort jeune, Godefroy, mort à seize ans, le G avril 1159, marié et sans enfan
morenci eurent quatre garçons et sept filles, parmi lesquels, Robert, mort sans alliance après 1226; Simon, homme ambitieux,
le 29 avril 1109, il eut quatre garçons et une fille, dont : Hugues, mort sans allianceen 1057, et Hcnii. Henri de Bourgo
sans allianceen 1057, et Hcnii. Henri de Bourgogne, vivanlcn 1059, mort en 10GG, épousaSi/i>i//e, fille dellenaud de B
n eut deux garçons et deux filles dont : Henry, religieux de Citeaux, mort le 9 mars 1130 ; Fleurine, qui fit le voyage de T
t. Mahaud de Turenne était fille de Boson de Turenne I. Celui-ci, mort en 1091, eut quatre garçons et trois filles, parm
abbaye de Citeaux ; Henry, archidiacre, puis évéque d'Au-tun en 1148, mort le Ie' mars 1178, enterré a l'abbaye de Citeaux ;
nterré a l'abbaye de Citeaux ; Robert, sacré évéque d'Autun en 11-40, mort le 18 juillet de la même année, Gautier, doyen de
onastère de Larey, et Eudes de Bourgogne II. Eudes de Bourgogne II, mort en septembre 1162, enterré dans l'abbaye ii T
s'en empare sans danger. Pour certains auteurs, la simulation de la mort employée par un grand nombre d'animaux, surtout e
: Psychopathies d'origine utérine. Dr Paul Farez : Le réveil et la mort de la dormeuse de Thenelles, etc. Df de Pewnitzky
e, enterrée aussi à Cluny, il eut quatre garçons : Richard et Armand, morts sans postérité ; Guigues-Raymond, qui donna aux r
eut un garçon, Guigues IV. Guigues de Viennois IV, vivant en 1140, mort de blessure en 1142, et enterré dans le cloître d
l'envoûté connaissant le maléfice dirigé contre lui ('). Il attend la mort , se décourage, se déprime, et si un tonique moral
e 12 ans, est le second de quatre enfants tous vivants. Le père est mort tuberculeux probablement. L'enfant a eu la roug
érie par la suggestion hypnotique. M. Paul Farez. — Le réveil et la mort de la dormeuse de Thenelles. — Prennent la parole
nce absolue. Lasomnolcnce faitplace insensiblement au coma, puis à la mort , à moins qu'un accès convulsif n'amène une termin
présenta à l'Académie de médecine, le ??? octobre 1903. Bobanghi est mort il y a quelques semaines, au cours d'une crise ca
rficiel, une ignorance bien coupable pour confondre cet état avec -la mort réelle et permettre une inhumation prématurée. Ra
ous les signes positifs de la vie ont disparu, S'agit-il d'un état de mort apparente ou de mort réelle ? Le véritable sign
fs de la vie ont disparu, S'agit-il d'un état de mort apparente ou de mort réelle ? Le véritable signe positif de la mort,
mort apparente ou de mort réelle ? Le véritable signe positif de la mort , c'est la putréfaction. Mais, par une illusion ou
la tombe, mais, avec asphyxie consécutive, c'est-à-dire, cette fois, mort réelle. Voici, entre tant d'autres, un cas qui
4 ans, s'alite ; son état s'aggrave et bientôt le médecin constate la mort . Conformément aux prescriptions de la religion gr
énérale, le métropolite se lève ! Il était donc simplement en état de mort apparente. S'il eut été un simple laïc, on l'eut
de la vie est un signe presque toujours infidèle de la réalité de la mort ... ? et, plus loin, « l'individu vit encore plusi
plus humain de rechercher dans tous les cas la preuve positive de la mort et non pas seulement la preuve négative de la vie
ire spéciale, qu'avant leur inhumation on fasse la vérification de la mort réelle, môme par des moyens chirurgicaux, non hom
u moment de l'inhumation, que se passe-t-il dans l'esprit de ces faux morts ? Sont-ils conscients ou inconscients, reliés ou n
sse autour d'eux, ils ont donc des rêves en rapport avec leur état de mort apparente. Et, suivant leurs croyances religieuse
s n'était pas de nature à le rassurer. Le médecin déclara qu'il était mort et, après s'être enquis de son âge, du lieu de sa
es apôtres Pierre et Paul passent également pour avoir ressuscité des morts : ils réveillaient des gens en état de mort appar
our avoir ressuscité des morts : ils réveillaient des gens en état de mort apparente. L'apôtre Paul n'a-t-il pas dit, à prop
i signifie clairement qu'il ne le considérait pas comme véritablement mort . De même St Rémy, archevêque de Reims, ressuscita
ur l'embrasser, sem-ble-t-il, et retombe ensuite comme frappée par la mort . Tous les essais pour provoquer un signe quelconq
emords et, par esprit de mortification, se donne les apparences de la mort . Un autre se croit damné et pense accomplir son d
lexions et les prières, achète des crucifix, des bénitiers, désire la mort et la craint à la fois, à cause des peines éterne
nes éternelles, réclame les sacrements, etc.; finalement, il se croit mort et reste dans la position du cadavre dans son cer
l constitue un poison médiocre Vingt-cinq grammes n'entraînent pas la mort . Dans une autre tentative de suicide, le malade a
(1) Nous reproduirons dans notre prochain numéro les articles que la mort de Liébeault a inspirés à la presse. un monum
es : il ne se réveille pas. Cet état d'inertie complète, on dirait de mort apparente, peut durer une demi-heure, jusqu'à une
jusqu'à ce qu'enfin l'humanité, délivrée par la science des germes de mort qui la rongent, ne songe plus qu'à vivre et à tra
ade : a) Fausse couche ou avortement? 6) Enfant vivant? c) Enfant mort , l'âge et leurs maladies ? Signature : Dr D
CROLOGIE Le D* Liebeault (de Nancy) Nous apprenons avec regret la mort du Dr Liébeault, le fondateur et le chef de l'Eco
LT. Dans notre dernier numéro, en faisant part à nos lecteurs de la mort du Dr Liébeault, nous annoncions que le Dr Van Re
s liquides et que les excrétions sont à peu près nulles. Cependant la mort par inanition marque ordinairement le terme de ce
vre du maître a été l'objet d'éloges mérités. Dès la nouvelle de sa mort , les journaux de Nancy, et en particulier VEst ré
uleur que les compatriotes de Liébeault ont ressentie en apprenant sa mort . Nous nous bornerons à citer les plus expressifs.
Liébeault C'est avec une douloureuse émotion que nous annonçons la mort de notre eminent concitoyen, M. le Dr Liébeault,
ie. [Gil Bias). Jules Bois. Le docteur Liébeault A propos de la mort du docteur Liébeault, le maître de cette école de
du maître qui vient de disparaître. Le Dr Liébeault, de Nancy, est mort à l'âge de So ans. Né à Favières le 16 septembr
s-tic l'empêcha d'occuper en France la place qu'il méritait et il est mort sans titres officiels, n'étant même pas chevalier
ancy.— L'hypnotisme chez les Japonais.— La colère chez l'enfant. — La mort du D' Arie de Jong (de La Haye}. AUX AMIS ET AD
moment où la Revue va paraître, nous apprenons avec un vif regret la mort d'un collaborateur et d'un ami. M. le Dr Arie de
auraient pu acquérir de valeur esthétique que très longtemps après la mort des peintres. Il est certain que dans toute jou
Le malade que je présente à la Société est âgé de 44 ans. Lors de la mort de sa femme, survenue il y a dix-huit mois, il a
n. — Ce malade a dû présenter une certaine confusion mentale après la mort de sa femme ; il est maintenant beaucoup moins co
au Dr Liébeault. — L'explorateur Stanley, professeur de volonté. — La mort du professeur Tarde. La Revue de l'Hypnotisme e
énergie frappèrent un négociant du nom de Stanley qui l'adopta. A la mort de son bienfaiteur, il en prit le nom. Nous n'ent
table professeur de volonté. » * Nous avons appris avec regret la mort de M. Gabriel Tarde, professeur de philosophie mo
de la Tourette. Au moment de mettre sous presse, nous apprenons la mort de M. le . Df Gilles de la Tourette. Des articles
e sur un nouvel), par Pau de Saint-Martin, p. 220. Arie de Jong (La mort du Dr), p. 323. Art (Le rôle sociologique et ps
30 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
en* core l’existence individuelle de l’âme ou de l’esprit après la mort ; avec les mêmes qualités et les mêmes défauts, la
ancêtres. « Par exemple, voici ce qu’a répondu le plus célèbre des morts à son illustre veuve, qui lui demandait le lieu d
les hommes sans corps ou les esprits immortels ! Notre réveil est une mort inverse, puisque l’esprit de Lavoisier a dit :
it de Lavoisier a dit : Uéveil silencieux il'un sommeil asittf, l.a mort est le chaînon île l'immortalité. . Les communi
l’humanité depuis qu’elle existe : la communication directe avec les morts , la réalité de l’apparition des revenants, l’exis
on âme généreuse avait promptement pardonné à scs ennemis. « Il est mort comme il a vécu, dans la paix, glorifiant le Seig
bénits et ont confessé qu’ils avaientmenti en se disant les âmes des morts tandis qu’ils n’étaient que des diables. Mais s’i
ouvoir parmi nous ; car lu fais prendre pour vrai ce qui c t faux. La mort même t’appartient; c’est la seule chose pourtant
aurait embellir; cependant tu la fais parler! Imagination, comme la mort , ta 11’es qu’un mot qui sert de bouclier l’ignora
sible. Si nous admettons la puissance exercée sur nous par les forces mortes , comme l’électricité et tout ce qui forme le mili
avec la chair pour jouir de la liberté. C’est au reste ce que fait la mort d’une manière plus complète, et voici pourquoi en
dépouillait de toute sensibilité et de-« meurait gisant. On l’eùt cru mort ; aiguillon, piqûre, « brûlure même, il ne sentait
vèlent l’inconnu, prophétisent l’avenir ; 011 fait appel aux âmes des morts transportées dans ces meubles; 011 leur demande l
e nouvelle et qui nous laisse des regrets : nous voulons parler de la mort de M. le prince Gaston de Montmorency. Grand pa
nt ensevelis. Place maintenant à la justice de Dieu, et respect aux morts , qui sont les blessés de la vie ! 11 n’y a qu’u
11 n’y a qu’une source éternelle dont la vie trouble l’onde et que la mort purifie.... Ce qu’on a pris pour une agonie n’éta
parce qu’en effet, en cet état de transition , il ne représente ni le mort ni le vif, ni l’être ni le non être. Le magnéti
et prévoit l’avenir : pendant le sommeil, le corps est l’image de la mort ; l'esprit, au contraire, devenant plus actif, ch
ndu que c’était une expansion de la Divinité, qui retournait après la mort vers le point d’où elle était partie; qu’elle res
tive et, Y intuitive mixte. La première appartient à l’âme après la mort . Cette disposition n'a pas d'analogie avec celle
il. Nous leur avons fait voir, à notre gré, des personnes absentes ou mortes depuis longtemps; ils rapportaient à leurs boisso
aussi la fin du monde, le jugement dernier et le jour de leur propre mort . On se rappelle que la plupart des con-vulsionnai
à est aveugle qui ne les aperçoit pas^t éga]emen[ déraontré cjue la mort ne nous sépare pas de ceux que nous avons aimés s
rès notre mon.... III. « Nous savons maintenant ce que c’est que la mort : die est dépouillée pour nous de cette terreur my
le philosophie, de toutes parts l’accord est parfait sur ce point. La mort n’est, pour l’homme sérieux, qu’un phénomène que
mettent point de détours; que, conformément à ces lois, l'homme, à la mort , ne passe pas à un étal immédiat de perfection ou
a comtesse de Marteville une quittance qu’elle avait égarée depuis la mort de son mari (2). Sans nous arrêter aux idées co
rait l’abondance à la stérilité, la lumière aux ténèbres, la vie à la mort , et l’homme métamorphoserait tellement ce qui l’e
paralytiques, guérir les malades et soustraire môme des victimes à la mort (2). » M. de Saint-Martin avoue que, s’il y a d
limitée du cerveau exposée à l’irrégularité du système nerveux. A la mort , la substance encéphalique rentrerait dans les co
et celles de nos semblables, les biens couinic les maux, la vie et la mort , dans le temps et dans 1 éternité ! A l’instant,
toire, « sont devenus semblables aux anges ; » on évoque les âmes des morts qui achèvent leur expiation dans le purgatoire; 0
es mystères dans lesquels on se mettait en rapport avec les mânes des morts , et, dans des temps plus reculés encore, 011 évoq
déclare que « Dieu a en abomination ceux qui demandent la vérité aux morts . » « Ainsi, le sage l’a dit avec vérité: « Il n
e qu’un commerce familier vous soit permis avec ceux qui sont dans la mort éternelle? Nos rapports avec ces êtres dégr.adés
re fervent et éclairé ; nous avons tous perdu un ami : M. Olivier est mort hier au soir. 11 s’est éteint après une maladie
s se disaient animés par les esprits de deux personnes de sa famille, mortes il y a quelques années, et qu’ayant mis sur les g
a eu lieu :ï Vannes l'exécution du nommé Dominique Elger, condamné à mort pour crime d'assassinat commis sur la personne de
s du matin. A sept heures, pendant son sommeil, Jenny était frappée à mort . C’est elle-même qui, avant d’expirer, a raconté
rien et le bon sens y gagnera. Ferdinand SILAS. Nécrologie. — La mort vient encore d’enlever à la cause magnétique un d
es magnétistes, en apprenant la maladie de M. Gauthier, ont appris sa mort ; les secours du magnétisme, d’ailleurs, ne pouva
rits ont de la valeur ; nous ne faisons aujourd’hui que mentionner la mort de cet auteur. Voici la liste des divers ouvrag
n action, ils retombaient dans un état d’anéantissement et semblaient morts ; dès que je reprenais, ils se ravivaient et cher
e d’elles les attribue au pouvoir et à l'intelligence des esprits des morts agissant par le moyen et à travers des éléments s
emin qui conduit au séjour des esprits, obtenir dans la vie ce que la mort seule produit ! Mieux vaut pour vous conserver le
sommeil, que les poètes dépeignent avec raison comme une image de la mort , comme un tribut prélevé sur la masse de notre ex
connu qu’avec l’union de l’àme et du corps; leur séparation, c’est la mort . Dans la vie terrestre, notre âme ne peut se pass
ient les rnriitiitls d’autrefnis ; et il 11'y a pas jusqu’aux enfants morts sans baptême qui 11e professent une doctrine d’un
les que celles qui régissent le monde physique. Nous croyons que la mort de l’homme n'est qu’une transformation de son êtr
pas par la destruction de ses organes palpables. Nous croyons que les morts sont bien vivants. Nous croyons qu’ils peuvent
errestre. Nous croyons, en un mot, il la communion des vivants et des morts . Nous croyons surtout que les faits qui résulte
ait des tentatives fréquentes. J’ai reçu des communications au nom de morts fameux, sans que la portée de ces communications
le monde n’a pas été sauvé. Il m’a semblé peu probable que tous les morts illustres qui ont déclaré me faire l’honneur de c
son propre esprit surexcité, ou, si l’on veut même, de l’esprit d’un mort . J’ai cherché seulement à ramener à des princip
z-le, chers compagnons, les prodiges réalisés par l’emploi des forces mortes , connue l’électricité, ne sont rien en comparaiso
gnons d’élite, qui eussent partagé bien vivement notre joie; ils sonl morts avant cette journée, et en cessant d’être ils nou
aux littéraires el scientifiques attestent les labeurs du savoir, est mort jeune encore. Il servit notre cause sans recueill
perdu hier un membre du jury magnétique. Blesson, l'ami de tous, est mort subitement au milieu de la rue, sur ce même pavé
mbent, cent viennent nous offrir leur concours. Contre notre œuvre la mort ne peut donc rien désormais ; elle peut, il est v
interprètes les plus imposants, avait vingt ois prononcé son arrêt de mort et lui avait d’avance infligé pour oraison funèbr
évouement au bien. Blesson a été frappé sur la place publique; il est mort en rappelant un inconnu à la vie. Gloire te soit
s partout où tu savais des douleurs; tu as eu la fin des forts, tu es mort au champ d’honneur ! Il sera dit de toi, comme du
ifierons de vos exemples. Nous pouvons, comme les anciens, placer les morts à nos banquets, sans crainte de voir s’assombrir
mence la vie nouvelle, et que du corps brisé s envole l’àme libre. La mort , c'est la transfiguration. « Notre piété pour n
uelette, Et l'Age adamite reflette, Comme un volcan qu’on croyait mort , Voyez : Pieu parle, el lo chaos Dévoile ses ma
heureusement trop souvent dans notre port : nous voulons parler de la mort d’un enfant de six ans, appartenant au sieur Duma
ravate qui avait appartenu au charbonnier, assura que cet homme Était mort , et qu’on trouverait son cadavre près du pont Mar
cornes, ce reptile du désert dont la morsure donne instantanément la mort ; un autre veut à toute force m’arracher mon sabr
ur que le lecteur puisse juger, citons la formule : « Cet homme est mort ; il est sec comme un os, léger comme une plume...
gnétiques ; système consistant à regarder la société comme peuplée de morts qui, cependant, allaient, venaient, parlaient, ma
sérable que je vis mettre en jeu le ciel et la terre pour donner la mort à Travat, que nous sauvâmes, et qui vivrait peut-
and nombre d'années que je ne puis pas les préciser. » Mon père est mort en Espagne, en 1825 ; il était grand. Ce garçon
uvert qu’il est accompagné et protégé par l’esprit de son grand-père, mort à Lyon au mois d’avril dernier. Etant endormi et
a marqué pour moi. J’ai fait « le coup uu lundi ; j’ai été condamné à mort un lundi ; et vous « verrez tous que je mourrai u
le pauvre Mengin. » « Masson avait tellement le pressentiment de sa mort prochaine, et pour ainsi dire du jour où elle aur
eues pour lui. Près de lui se trouvait le nommé Lasserre, condamné à mort pour voies «le fait envers son supérieur, dont la
out le contraire de ce qu’il lui faudrait; avant huit jours il serait mort si vous ne m’aviez appelée. Ecrivez ce que je vai
litaires pour dire quelques mots des circonstances mystérieuses de la mort du colonel Lacuée : elles sont trop extraordinair
omme par enchantement, et il ne resta que l'affreux « squelette de la mort , qui m’étreignit avec force. Trois « fois je fus
pour bénir ces herbes ; lui seul a la propriété de ce secret, et à sa mort il le transmet à un autre derviche, qui se charge
lanthropico-magnétique l’avait admis au nombre de ses membres. Il est mort en Angleterre, dans une ascension aérostatique.
e voyait celui auquel cet objet avait appartenu ; qu’il avait péri de mort violente ; que c’était un grand personnage, quelq
le cœur, et qu’il y avait du sang. « Revenant sur l’événement delà mort , elle découvrit que ce personnage avait été tué a
aient ôté portés par la même personne dont elle venait de raconter la mort , et qu’il y avait des taches de sang. «Un chape
s ancienne ; il ne lui semblait pas qu’elle l’eût porté le jour de sa mort , bien qu’il y eût aussi des taches de sang. « D
uel appartenaient les reliques. Elles étaient en réalité de Montrose ( mort en 1650). « Je dois déclarer de la manière la p
t, l’idée d’une exécution. « Ceux qui connaissent les détails de la mort de Montrose, verront combien son récit est véridi
s agents thérapeutiques étaient pour moi des signes précurseurs d’une mort prochaine. De tous les moyens que j’avais employé
je 11e comptais guère ; car, pour moi, cet homme était condamné à une mort certaine. Mais je m’étais trop hâté de porter ce
articule déjà un certain nombre de mots. » M. l’abbé Le Cot cite un mort , Itard, comme l’ayant précédé dans cette voie. «
c les êtres surhumains, à l’aide de laquelle il évoquait les âmes des morts , avec laquelle il commandait à la matière et abso
forme, mais qui a pour croyance commune le commerce avec les âmes des morts . Dans les villes d’une certaine importance, il s’
dans l’île de Cuba, la date de sa naissance, son âge et le jour de sa mort . Les sombres porteurs appelèrent leur attention s
reçurent des lettres de Cuba qui leur annoncèrent que leur fils était mort de la fièvre le jour même où avait eu lieu l’appa
ui un temps un peu long avant de se convaincre qu il était réellement mort . . « Je regarde le narrateur comme un homme trè
qui recevaient instantanément le mouvement ou le repos, et presque la mort ou la vie ; soit pour faire reconnaître cet autre
t une personne immédiatement après le repas, on pouvait lui donner la mort , en arrêtant subitement la digestion. Que la même
ule , dans une lettre qu’il écrivit à M. Hedde quelque temps avant sa mort en Californie. Quant aux fumigations énergiques
et lui contestaient le droit d’administrer ses remèdes secrets ; les morts les plus naturelles furent mises sur le compte de
’ai jamais vues. C’est une vie nouvelle. » 11 suivrait de là que la mort , en tuant le cerveau, affranchit l’âme qui réside
la con- Tovb XIII. — — 10 OCTODBE 185*. 19 science qui veste aux morts , d'eux-mêmes et Mes êtres a\ec lesquels ils ont é
n relation dans ce monde. Pour jouir de cette liberté de l’âme, ni la mort , ni le sommeil ne sont nécessaires. L’homme a la
ie, et de la possibilité pour l’àme de se séparer du cerveau avant la mort . Citons des exemples plus récents : En 1461,
perdit tout sentiment de douleur : les valets de bourreau, le croyant mort , le descendirent de la claie et le laissèrent sur
-simples, à l’un desquels toutefois sa femme décédée avait annoncé sa mort sept jours d’avance, la personne dont on va lire
s auprès de parents malades. Fiancée à dix-neuf ans., le jour de la mort d’un prédicateur pour qui elle avait une grande a
efusant de rester dans une écurie sous laquelle on a trouvé des corps morts , et Schocke raconte d’une certaine Catherine Butl
a famille portant de petits cercueils, et leurs enfants sont en effet morts quelques jours après. Un autre jour encore, ell
ne M. N..., et cet homme, plein de vie au moment de cette vision, est mort au bout de trois mois. 11 y a dans le journal d
is de suite, en plein jour et en présence d’une sœur à elle, l’enfant mort lui montrant une épingle dans la bouche du viv an
ôtée. Voyages des esprits el des âmes. Le 2 juin 1828, jour de la mort de son père, à quatre lieues d’elle, elle le vit
à la justice. Elle obéit. A l’aide de ces livres, quelques toi ts du mort furent réparés. A Lenacli, ce fut l’àme d’un bo
nt réparés. A Lenacli, ce fut l’àme d’un bourgmestre nommé iicllon, mort en 1740, à l’âge de soixante-dix-neuf ans, qui vi
s conseils, et après six mois l’âme ne revint plus. On trouve cette mort dans les registres de la paroisse de Lenach, avec
vingt-huit ans, attaqué du choléra. Quand j’arrivai, le malade était mort depuis une demi-heure. Le lit était entouré d’une
dizaine de personnes qui s’étonnaient de la rapidité avec laquelle la mort était survenue. Un quart d’heure s’était à pein
. Ces phénomènes étant pour moi la preuve la plus convaincante que la mort n’existait pas (1), je voulus essayer d’un moyen
ulus essayer d’un moyen qui (1) Au nombre des signes certains de la mort , on doit mettre en première ligne l'absence des b
nés s'évanouirent graduellement, et je ne pus arracher le malade à la mort . En me rappelant que là main droite du cholériq
r voir ce malade, 011 me dit qu’il y avait une demi-heure qu’il était mort . Je m’approchai du corps, et, bien qu’on vint de
n’ayant presque pas eu de déjections, ni par haut, ni par bas, était mort d'un choléra sec, et devait mieux conserver sa ch
Enfin, pour rendre ma conviction plus complète sur la certitude de la mort , je fis, comme dans le premier cas, l’application
ait la sagesse? Je n’en sais rien. Dieu a confondu les os de tous, la mort n’a rien respecté : le médecin git à côté de ses
uve tellement changé qu’il ne veut point me reconnaître : « Vous êtes mort , dit-il, j’ai fait votre biographie ; vous (liez
lin : je crains les chutes. — Adieu, donc, et puisque vous n’êtes pas mort , je vais vous ressusciter. — Je pourrais me pas
ne vois plus, ma lampe va s’éteindre, — et c'est ainsi qu’un jour la mort me surprendra, quand j’aurai tari l’huile vitale
e et que tout y est refroidi. Ah! je vous le dis, ceux que l’on croit morts sont pleins de vie ; vous pouvez bien tuer les vi
orts sont pleins de vie ; vous pouvez bien tuer les vivants, mais les morts se rient de vos coups. Baron DU POTET. {La su
est, au reste, ce qui a lieu dans toutes choses, — c’est une guerre à mort , où le mot d'ordre est: Ôte-toi de lu que je m’y
onciliation. Tentatives vaines, ils dorment, vous dis-je, comme si la mort les eût déjà saisis. La vie est donc dans le camp
deux commettent un assassinat. « Ils sont tous les deux condamnés à mort aux mêmes assises ; tous deux voient la peine de
eux condamnés à mort aux mêmes assises ; tous deux voient la peine de mort prononcée contre eux commuée en celle des travaux
maladies, et fèur a imposé les maiDS. A sa connaissance , il n’en est mort que trois ou quatre ; la plupart des malades ont
ance un grand arbre, et au-dessous le corps d’un homme qui paraissait mort . « Gela, dit M. Barlett, ressemble à une scène
able, dit: « Je reçois une impression qui me dit que cel homme est « mort de mort violente, et que son nom de baptême était
t: « Je reçois une impression qui me dit que cel homme est «mort de mort violente, et que son nom de baptême était d Marc.
sa mère et un frère vivants dans l’État de...... qui ne savent pas sa mort ni son voyage au Mexique, et qu’il veut éviter
jours voulu dire désunion; émulation, rivalité. Pour fairererirre les morts on leur place sous le nez du vinaigre ; la recett
Celui-ci est malade ou bien portant ; cet autre va mourir ou est déjà mort , en raison de l’éclat extérieur que jette cet age
pirique qu'elle est. Contentons-nous donc de dire que ressusciter les morts , par exemple, prédire l’avenir, posséder des conn
i donné. » « Un boulet, lancé par la même batterie, l’étendit raide mort à l’instant où il prononçait ces paroles. « Le
u’elle n’eût pas été touchée ; elle marque encore l’heure fatale delà mort du maréchal ; elle n’ajamais été montée depuis.
u effectivement à Wilmington un homme nommé Wylie Wilson, qu’il était mort , qu’il était connu comme un individu excentrique,
a couronne immortelle un nouveau fleuron. Ce ne sont point les forces mortes et de grossières vapeurs ; la terre, l’eau et l’a
it rien nous apprendre sur le mobile et les fins de leur action. La mort est le terme de la raison et de cette intelligenc
s : repus, blasés, las de toutes choses, ils vivent sans vivre, et la mort ne saurait les priver de rien. On appelle gens ra
emière. En effet, un homme est peu de chose comparé à la masse, et sa mort n’a que peu ou point d’influence sur les destinée
ngulier et plus inconnu en -core. Il prédit d’une manière certaine la mort de l'impératrice Marie-Thérèse, à l’heure même où
vertissement mystérieux. Ce prince lui-même avait été prévenu de sa mort prochaine par une apparition extraordinaire de Pi
me II contient plusieurs faits du môme genre. On y trouve annoncée la mort prochaine et violente de deux autres souverains,
t, elle lui disait toujours la même chose, qu’il mourrait jeune et de mort violente....................... On sait qu’il f
ui, au moment où je parle, en 1789, ministre de la guerre. L’aîné est mort en 1782. « Le marquis a deux frères : l’un, le
e à de nobles ■ personnages s’accomplira? « — Oui. „ — Quoi! la mort ? Quoi ! le supplice? « — Oui, oui ; la mort et
« — Oui. „ — Quoi! la mort? Quoi ! le supplice? « — Oui, oui ; la mort et le supplice. « — Et moi, continua-t-il, dois
rais « pas. Voyons, parlez, ne craignez rien. Je n’ai pas peur. «i La mort et moi, nous nous connaissons ; nous nous sommes
tes considérables en bestiaux, en bâtiments; mais il n y eut point de mort d’homme. Quand j’appris cette nouvelle, je fus al
_ a Le même soir, il se trouva plus mal; trois jours après il était mort ............_ . « Cet événement me frappa à un p
Python, ni diseur de bonne avcn-i ture, ni personne qui interroge les morts . » « N’est-ce pas nous autoriser à proscrire le
femme aura l’esprit de Py-• thon et sera devin, on les fera mourir de mort , on les as-t sommera de pierres ; leur sang est s
ous avez annoncé des événements qui se sont réalisés (entre autres la mort tragique du duc d’Orléans), et le démon seul a pu
; — en Ecosse, 575, 635; — au théâtre, 27, 176 , 409. Nécrologie. Mort des magnétistes : Laforgue, 24, 299; — Prince Gas
31 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s troubles fonction- nels, quelquefois assez graves pour amener une mort rapide, ne trouvaient pas leur explication dans
197° jour. Autopsie le 12 septembre, vingt-quatre heures après la mort . L'exploration de la colonne vertébrale par sa
moin. En dernière analyse, les journaux politiques ont annoncé sa mort survenue vers le mois dejuilletouaoùt 1 88 %, et
du une fille de tuberculose pulmonaire ; quatre autres enfants sont morts jeunes ; trois sont encore bien portants. Il es
le professeur Charcot, hospice de la Salpêtrière. ' Son père est mort , dit-il, d'une fièvre typhoïde, sa mère est bie
e est de Paris, le père de la Bourgogne. Grands parents paternels : morts jeunes, d'acci- dents ( ? ). Grands parents mat
els : morts jeunes, d'acci- dents ( ? ). Grands parents maternels : morts dans un âge avancé. La soeur de la grand'mère m
ntigramme de cérat. Traite- ment : un peu plus d'un mois. Guérison. Mort l'année sui- vante de tuberculose pulmonaire. P
marche, ils affectent de préfé- rence des soldats déjà malades. La mort en est le résultat dans 40 à 0 p. 100 des cas.
avec vomissements, myosis et immobilité pupillairc, entraînant une mort rapide ou même instantanée. L'ensemble des fait
mauie (deux cas), soit à de la folie systématique (trois cas). Neuf morts : altérations de paralysie générale; quatre sor
l épileptique qui, tantôt se calme spontanément, tantôt entraîne la mort de l'animal. Deux formes peuvent être distingué
obre Présidence de M. o1'ILL6. Le président annonce à la Société la mort de MM. Girard de Cailleux, Sauze et Dumesnil.
à la paralysie bulbaire aiguë. 11 en communique une observation; la mort eut licueii seize jours, les symptômes furent : u
mouvoir la langue; difliculté du dé- glutir, et plus tard aphonie. Mort dans le coma. Pas d'attaques apoplectiques. Par
r des expériences physiolo- giques. Or, voici l'autopsie d'un homme mort trois jours après une lésion de la colonne cerv
très intense, vomissements fré- quents, délire ; il faut l'isoler. Mort soudaine quelques heures après. La promptitude
tracranienne, les autres, de processus actifs (inflammatoires). La mort soudaine se rattacherait à l'augmentation dans le
lons séparés en se proposant d'éliminer impitoyablement les espaces morts : tels les angles et les endroits privés de lum
it néanmoins de telle sorte qu'elle accfuiert ! u conviction que la mort seule peut la débarrasser de ce malheur. De là
rocéder et guérir; mais, le plus souvent, elle s'aggrave jusqu'à la mort en passant par toutes les phases des affections
adies de la moelle épinière. 83 malades traités pondant l'année : 4 morts , 45 réformés, 17 guéris. (La Semaine médicale d
Sér.eyx ; archi- viste, M. E. Potin. Nécrologie. Le Dr CouTY est mort à l'âge de trente-quatre ans, àRio-de-Janeiro,l
ules de sang dans la gaîne des petits vaisseaux, le mécanisme de la mort en eût été mieux connu ? L'autorité des hommes
le de lé- sions apparentes lorsqu'un traumatisme grave a amené la mort dans la période primitive, il l'est moins de tr
cules. Respiration diaphragmatique; abolition du pouvoir réflexe. ' Mort le lendemain de l'accident. Ni fracture ni dépl
endant n'a pas produit d'altération de structure visible après la mort . C'est la même opinion que Savory exprime ail-
Il en est de même dans des traumatismes de la tête où j'ai vu la mort survenir presque immédiate- .ment sans autres l
l'intensité de la violence extérieure que la cause di- recte de la mort . III. Le premier fait de cette catégorie, rappo
ans, est né au Havre de parents d'origine normande. Son père est mort à soixante-sept ans d'une anévrysme ( ? ), il n
c'était un buveur accidentel. De deux oncles paternels, l'un serait mort aussi d'un anévrysme ( ? ) ; l'autre accidentel
pour les publier en leur nom. DE L'INCOOItDI\.1T10\ .MOTRICE. 159 mort en mer; 4° un fils, qui s'est noyé dans le port d
mer; 4° un fils, qui s'est noyé dans le port du Havre; 5° un fils, mort à deux ans( ? ) ; 6° notre malade ; 7° une fille,
oyons qu'elle a duré soixante-dix-huit ans et persisté jusqu'à la mort de la malade; dans les autres cas, en cours d'o
nt jamais parfai- tement semblables ; les plus actifs ne donnent la mort à un lapin ordinaire (de 4 à 5 livres) qu'à la
e nous avons employé pour notre solution de 8 p. 100 ayant amené la mort d'un lapin de 3 kilogr. à la dose de 4 milligr.
'<M ! d'pc)'6 maternel alcoolique. Mère migraineuse. Deux soeurs mortes de méningite. Vertiges ci six ans. Accès deux m
ié depuis qua- torze ans, « c'est un bon mari ». [Père, éperonnier, mort en )8' ! 2, à t'age de soixante-deux ans. d'un
ques excès de boisson, n'a eu ni migraines, ni maladies nerveuses ; mort à la suite d'un coup de pied dans le ventre; il
bien portante sobre, ni migraineuse, ni nerveuse. Deux frères, l'un mort jeune, on ne sait de quoi ; l'autre, en bonne s
ceux-ci, n'ont jamais eu de convulsions. Cinq scetzns, dont deux mortes jeunes de cause inconnue; les autres sont bien po
ants : 1° garçon, quinze ans, bien portant, intelligent, 2° garçon, mort à dix-sept mois d'une méningite; 31 garçon, onze
notée à la fin de l'année 188'N. Observation XVI. Père alcoolique mort de paralysie générale. Grand*père paternel myst
persécution) ; une flle de ce dernier hystérique. Autre grand-oncle mort aliéné. Cousins aliénés. Hpilepsie idiopathique
CHC)) : e) ! <s/'OM)' ? ? spa ? 'SftMM'e()3 3 avril 1882). Pe>e, mort en 1512, à l'âge de trente-deux ans, à l'asile
e, qui avait été assez développée, était donc déjà atteinte. [Père, mort à soixante- dix-huit ails ; il était « hallucin
its; il était atteint du délire de la persécution (ses enfants sont morts les uns de la poi- trine, une avait des attaque
créature ». Un oncle paternel de notre malade, François Cres ? est mort aliéné à Montdevergnes (il a deux fils chétifs,
beaucoup d'ennuis avec son mari. Jamais de maladie de peau.[Pe;'e, mort de vieillesse, à soixante-dix-huit ans, « s'éta
nvulsions, il est moins intelligent que notre ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec convulsions con- sé
sie droite des plus nettes sans lésions du fond de l'oeil (fig. 5). Mort le 24 décembre 1881. Autopsie. Les pédoncules c
état de dégénéres- cence parenchymateuse. Comme, cinq ans avant la mort , une bribe des gastrocnémiena présentait une pr
et incertains. Intégrité de la sensibibité. Réaction dégénérative, mort subite; l'autopsie révèle une tuberculose pul-
; accidents du décubitus ; oedème des extrémités; un peu de fièvre. Mort cinq mois après les premiers phénomènes. Ou tro
xe témoignant de l'insuffi- sance des centres d'arrêt corticaux. La mort résultait d'une hémorrhagie sous-arachnoïdienne
du bras droit; en même temps apparaissent des phénomènes cérébraux. Mort dans le coma. Diagnostic. D'abord, dégénéres- c
ion des cordons de substance blanche ou de leur myéline, de même la mort de ces tractus a lieu par le retour aux mêmes é
l'idiotie dans les familles d'ivrogues et de son degré, du genre de mort de ces idiots-là et du poids de leurs cerveaux, s
), un nystagnius horizontal des deux yeux avec strabisme divergent. Mort deux ans plus tard. L'autopsie décèle l'existence
tte espèce se liquident par six guérisons, cinq améliorations, deux morts ; qmnzeobservationsdepsycttosetettfxe comprenne
ycttosetettfxe comprennent huit guérisons, trois améliorations, une mort . - 7" Le genre et le lieu du traumatisme n'exer
un but thérapeutique. Groupe II : Elongations de nerfs suivies de mort . Observations avec autopsie. Groupe III : Reche
urs dans une des extrémités supérieures. Enraiement des douleurs. Mort au bout de quinze jours à la suite d'une lésion
ésection de la phalangette, tétanos, traction du plexus brachial, mort le cinquième jour. Esmarch (1880) obtint un bea
douleurs. NankiveIP fut moins heu- reux. Il communique deux cas de mort à la suite de l'élongation du nerf médian. Sa p
mputa le pouce, ce qui amena du tétanos, élongation du nerf médian, mort le lendemain. Struckmann' Maag : Une femme de
erf médian fut élongé et broyé sur une sonde cannelée; convulsions, mort . Smith (1880) : Homme de cinquante-quatre ans,
le. Nicoladoki (1882) : Elongation des nerfs intercostaux suivie de mort . (Voy. au groupe second l'autopsie du malade de
phie de ce nerf, d'o- rigine syphilitique; amendement des douleurs, mort accidentelle du malade, pas d'autopsie. Hatzaou
omme de quarante-deux ans; traction du nerf sciatique et du crural; mort le même jour. Clarke' (1878) : Une femme de vin
t de sept ans ( ! ) pris de tétanos après s'être blessé au pied ; mort le même jour. Grainer-Stewart' (1879) : Contrac-
rieure ; il s'en suivit un tétanos; élongation du nerf sciatique; mort vingt heures après. Omboni2 : Un enfant de sept
traction du nerf sciatique amena un soulage- ment de courte durée; mort . Golding-Bird3 : Névralgie violente consécutive
une femme de soixante-dix ans sans obtenir de résultat favorable; mort accidentelle de la malade, l'ouver- ture du cad
accentuer. La seconde période est de cinq mois et se termine par la mort . Elle éclate brus- quement avec violence, un ét
obtuse qui disparaissent assez rapi- dement, jusqu'aux formes où la mort survient en quel- ques heures. Nous ne nous arr
injections de curare : accidents locaux du côté paralysé; insuccès. Mort dans un accès (1883). Autopsie : asymétrie du
est un peu cholérique, bon ouvrier; marié à vingt et un ans. [Père, mort à quatre-vingts ans; on l'a noyé, pense-t-on, o
ns, on ne sait de quoi; laissant cinq enfants. Grand-père paternel, mort à quatre-vingts ans. Pas d'autres renseignement
autres renseignements. Quatre frères et une SOEM ! ' : un frère est mort à quarante-huit ans, de la poitrine et de chagrin
resté trois mois à Lariboisière, et, un an après l'accident, il est mort de la poitrine, il n'avait pas d'enfants. La soeu
ts. La soeur est morte du choléra en 1819, laissant un fils qui est mort de la poitrine. Pas d'autres détails. Pas d'ali
sait autrefois de nom- breux excès de boisson. Grand-père paternel, mort à soixante- douze ans des suites d'une chute du
morte vers soixante ans, on ne sait de quoi. -Grand- père paternel, mort du choléra en 1832. - Grand'mère maternelle, mo
rand'mère maternelle, morte d'une fluxion de poitrine. Un frère est mort du choléra en 1865, ainsi que sa femme et son e
Mère : crises nerveuses en 4883. - Grand-père maternel alcoolique, mort aliéné. Premières convulsions cc trois ans. - M
en janvier 1885. Observation XXIV. Epilepsie symptomatique. - Père mort hletlei- sique. Mère migraineuse et colérique.
urs). TOTAUX DU CURARE DANS 1,'ÉPILEPSIE. le 9 germain maternel mort du mal de Pott. Onanisme. Début ff trois uns.-
, entré à Bicêtre le 16 novembre 1880 (service de M. BOURNI3V1LLE), mort le 31 juillet 4884. Traitement du 6 novembre 18
othérapie (1884-4882). Amélioration. Curare; insuccès. Tuberculose. Mort . Délai... (Edouard), dix huit ans, est entré à
re mois suivants; le traitement avait été supprimé le 30 juin, la mort eut lieu le 25 octobre. On : r.nwrov R111. Idio
sie. Mère : idées de suicide pendant deux mois. Grand-père maternel mort de phthisie. Grand'mère maternelle morte de can
hisie. Grand'mère maternelle morte de cancer utérin. Frère jumeau mort « trois jours (convulsions). Grossesse : chute à
e curare, insuccès. Obstruction du larynx par un morceau de viande; mort .- Autopsie : sur l'hémis- phère cérébral droit
1872, entré le 25 mai 1878, à Bicêtre (service de M. Bourneville). Mort le 22 mai 1883. Traitement du 23 novembre J 882
teurs comme provenant de modifications profondes aboutissant à la mort (Otto Ileboldt, Lowenhart et d'autres). Un fait
obstiné et une intelligence assez bornée. A l'âge de cinq ans, à la mort de son frère, elle eut une crise convulsive ave
rable et longtemps pro- longé de la température n'a pas entraîné la mort . Burckhardt1 décrit un cas de mélancolie chez u
par exemple, la température peut baisser dell°C., sans entraîner la mort , comme le prouve l'observation rapportée par Ma
trine de Cari et va atteindre encore le soldat Cicarelli, qui tombe mort . Les soldats Capello, atteint à la face, et Gay,
s Capella, Cari, Ciccarelli, Rollenyo, le Runi et Zinoletti étaient morts . SOCIÉTÉS SAVANTES. 401 < Transporté dans
usillé. La discipline militaire y aura-t-elle gagné beaucoup, et la mort d'un malheureux aliéné aura-t-elle servi à répr
- rades. Aussi partageons-nous les sentiments de tristesse que la mort d'Inisdea inspire au médecin qui a vécu de si lon
données scientifiques sur les- quelles j'ai essayé d'arracher à la mort un homme que je croyais irresponsable. Jugez-mo
use de folie. Malgré cela et pour l'exemple, Bosquet fut condamné à mort ; puis, en attendant le résultat d'un recours en
risypèle qui, de concert avec une bronchite catarrhale, accélère la mort le 18 mai, après trois mois et demi de séjour à
a compté dans son sein 105 membres, dont 4 sont sorlis et 15 sont morts . Toutes les séances ont été présidées, au moyen d
l'empereur d'Autriche et tous ses officiers ont brigué ses faveurs. Mort de son mari en 4872. Elle se dit grosse du roi
ais on notait l'existence d'avortements, de fausses couches,' et la mort précoce d'enfants. Dans neuf observations, l'infe
saitque, lorsqu'on examine les cerveaux de para- lytiques généraux morts aux divers stades de cette affection, on cons-
es yeux de la société a été traité par la force centrifuge ; il est mort au bout de 17 minutes; on constate sur le crâne,
sécrétion urinaire. Rien du côté de l'appareil digestif jusqu'à la mort , mais difficultés de la déglutition dans les dern
ort, mais difficultés de la déglutition dans les derniers temps. La mort a lieu au milieu d'un complexus symptoma- tique
vaux sur les questions pénitentiaires et l'abolition de la peine de mort . » Né en 1808 à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord), l
s, t. IX. 29 450 FAITS DIVERS. Nécrologie. Le Dr Daniel Noble est mort à Manchester le 12 janvier dernier, à l'âge de
anufacture upon Healh tiiid Life. Le même journal nous annonce la mort du D' W.-A.-F. BMWNE (de Dumfries). Il était âg
l'aliénation en Ecosse, etc. - Nous avons le regret d'annoncer la mort de 11m° Emilie Bovell- STURGE, docteur en médec
32 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r des motifs futiles. Tout récemment, il a pro- féré des menaces de mort contre le surveillant T... en bran- dissant un
ier au secours et l'on enfonce la porte; l'on me dépend. Je fais le mort , je retiens fortement ma respiration jusqu'à deve
rès son entrée ; l'autopsie est faite deux heures et demie après la mort . La surface de la pie-mère est couverte d'un ex
état de maladie, 2° pendant les périodes de lucidité et 3° après sa mort . Dans l'état de maladie il faut distinguer la p
spective d'actes commis par des paralytiques alors que ceux-ci sont morts , elle est incontestable- ment beaucoup plus dél
mme un des signes diagnostiques capitaux de cette affection ; 3° la mort par accidents bulbaires (crises dysp- néiques)
les psychiques antérieurs, » Ces conclusions ont entraîné la mise à mort du misérable, sans qu'aucune plainte, aucune su
serve sous forme de glycogène. Dans ce cas le foie extirpé après la mort ne contient ni glycogène, ni glucose. Des const
ie des suppliciés fut trouvé rem- pli de matières sucrees. Celui de morts de maladie se montre au contraire privé totalem
ment de glucose et de glycogène. Toutes les maladies, entraînant la mort par agonie, entraînent- elles comme phénomène c
alysant la substance du foie d'un cadavre on peut donc savoir si la mort a été violente et brusque ou si elle a été préc
uccombé à une affection. Elle a permis d'établir que deux enfants morts subitement, sans qu'aucun médecin les ait exami
s morts subitement, sans qu'aucun médecin les ait examinés, étaient morts cependant de maladie, et non par suite d'un cri
signes de péritonite récente. Le juge d'instruction demandait si la mort était le fait de l'hémorragie ou de la maladie
a qu'il renfermait une quantité assez consi- dérable de glucose. La mort était donc le fait de l'hémorragie et non de la
és, le premier à 12.000, le second à 11.000 coups de cravache, à la mort déguisée sous l'apparence d'une correction inap
un homme ivre ou délirant : « Je suis un homme malheureux, je suis mort . Pouiquoi me punit-on ' ? Puis c'est un cri con
s, avec impulsions fréquentes au sui- cide, et lentement enfin à la mort , sans qu'on ait jamais observé une guérison ; 3
TINGTON n Famille B... 100 PATHOLOGIE NERVEUSE. Alfred B... est mort à cinquante ans, après avoir souffert de chorée
ères et une soeur, oncles et tante de notre malade. Le frère aîné mort choérique à soixante-quinze ans célibataire. Le
e aîné mort choérique à soixante-quinze ans célibataire. Le second, mort il cinquante-cinq ans choréique, alcoolique, in
ts de sa seconde femme. Les deux autres frères de notre malade sont morts jeunes, l'un à vingt-trois ans, l'autre à trent
e dans un asile d'alié- nés. Elle eut six enfants, dont quatre sont morts en bas âge d'affections cérébrales (méningites
cédents personnels. - Alfred 13... était en très bas âge lors de la mort de son père. il fut toujours chétif et très nerve
sant dans le cours des dernières semaines jusqu'à la veille de la mort . 104 PATHOLOGIE NERVEUSE. L'écriture devenait
trente-huit ans qui aurait eu un cousin germain choréique aussi, mort à quarante ans par suicide. après avoir été long-
rée dégé- nérative, déplorait sa maladie et souhaitait souvent la mort . t. En résumé, après cette longue revue et les
Résultais de l'autopsie (S juillet 1899) vingt-deux heures après la mort . La rigidité cadavérique est très prononcée. L'au
ous avons obtenu des renseignements 3 sont encore vivants, lob sont morts . L'âge moyen de ces 15o grands-parents pris au
nel : 39 grands-pères donnant comme moyenne d'âge au moment de leur mort soixante-seize ans et 39 grand'- mères donnant
nel : 39 grands-pères donnant comme moyenne d'âge au moment de leur mort soixante-dix-sept ans, 40 grand'- mères donnant
dix ans de plus. A la génération suivante l'âge moyen des parents morts dans les familles normales étant de cinquante-s
GÉNÉRAUX. " 127 Î Dans les familles normalés, ils donnent 57 p. 100 morts et i ? a p. 100 vivants. Les 59 morts se comp
alés, ils donnent 57 p. 100 morts et i ? a p. 100 vivants. Les 59 morts se composent de 31 pères et de 28 mères. Les 21
ration dans les familles de nos 40 paraly- tiques généraux, 84 sont morts à l'heure actuelle et 13G vivants, soit 38,18 p
84 sont morts à l'heure actuelle et 13G vivants, soit 38,18 p. 100 morts et 01,72 p. 100 vivants. Les 84 morts se répart
vivants, soit 38,18 p. 100 morts et 01,72 p. 100 vivants. Les 84 morts se répartissent de la façon suivante, au point de
Dans les familles normales d'après MM. Rail et Régis, les causes de mort sont presque égales pour les différents groupes
rtenant aux familles 'des paralytiques généraux, il n'y en a que 13 morts de mala- dies rangées sous la rubrique nervosis
z1497 individus appartenant aux familles normales il s'en trouve 17 morts de ces mêmes maladies, c'est-à-dire une proport
sanique. Nous signalerons également le nombre important d'individus morts d'affection hépatique. L'alcoolisme est un fact
st un facteur éliologique important dans ce cas. Aux 30 individus morts d'affection hépatique, si nous ajou- tons les 3
dus morts d'affection hépatique, si nous ajou- tons les 3 individus morts alcooliques, nous obtenons un chiffre de 33 ind
nous obtenons un chiffre de 33 individus dont on peut attribuer la mort à l'alcoolisme. A côté de l'hérédité congestive
Centralbl. f. Nervenheilk., XXI, N. F. IX. 1898.) Voici un malade mort dans le cours du 3° stade d'une paralysie génér
réparation des altérations de réaction de la cellule et entraine sa mort . Il n'y a donc pas deréparation chez les amputé
rsque cette affection suit sa marche progressive habituelle, que la mort ne survient pas, pendant la première période, i
paralysie générale. - M. Brunet a pesé l'encéphale de 313 malades morts de cette affection dont il a résumé les résulta
t à ce qu'elle n'est basée que sur 14 individus dont la moitié sont morts à la première période, au bout de 2 à 4 mois.
llèrent et la fille frappa sa mère, avec un couteau, à la gorge. La mort fut instantanée. Anne est arrêtée. (Bonhomme Norm
qui venait d'être pris d'un accès de folie furieuse et menaçait de mort ses voisins. M. Truy avait à peine pénétré dans
par des balles de revol- ver. Le corps de l'enfant était froid. La mort remontait à plusieurs heures. Le père respirait
meurtrier avait perdu sa femme, il y a quelques mois, et que cette mort avait altéré ses facultés. 11 parlait fréquem-
âcha l'enfant, qui tomba sur le pavé où elle se fendit le crâne. La mort fut instantanée. Tandis que des passants releva
vit les cadavres de ses petites filles qu'il adorait et ap- prit la mort de sa femme et l'horrible drame qui l'avait précé
tres, le 12 décembre 1895 pour troubles de la miction. Son père est mort à l'âge de quarante et un ans, à la suite d'une
uatre ans, qui souffre de rhumatismes. Deux soeurs et un frère sont morts en bas âge, nous n'avons pu savoir de quelles a
-deux ans, tailleuse. Antécédents héréditaires. Grand-père paternel mort paraplé- gique ; père et mère assez nerveux, s'
l vivre. La cessation complète des crises épileptiques jus- qu'à sa mort , produite le 12 juillet 1877 par une attaque d'ap
nt constitué, est âgé aujour- d'hui de trente-six ans. Son père est mort goutteux ; sa mère est vivante et bien portante
il le remonte dans sa chambre et alors s'aperçoit que son ami est mort . Immédiatement il perd connaissance et est pris d
guliers : toujours chaque crise est annoncée par la vision de l'ami mort . De plus chaque fois que le malade voit passer
ives, annoncées par une aura toujours la même : la vue de son ami mort . Les membres sont agités de mouvements convulsifs
ique, dont l'action trop intense et répétée finit par déterminer la mort de l'élément anatomique et la perte permanente
gitation, de fuite, de lutte; enfin lorsque le stertor apparaît, la mort termine le songe. Cette constance de la mort da
stertor apparaît, la mort termine le songe. Cette constance de la mort dans les « songes d'attaques » leur constitue un
ait et le malade guérissait; aucun des malades ainsi atteints n'est mort de tuberculose. Dans un grand nombre de cas, ex
t du globe oculaire avec troubles accommodatifs, phénomène de doigt mort . La pré- sence d'adénopathies tuberculeuses non
: le poison étant donné lentement, graduellement jusqu'à ce que la mort survienne; sur 10 lapins : 1 a eu la grande épi
énéralisées non épileptiques; 4 des convulsions localisées ; 3 sont morts sans convulsions. Pour la morphine : sur 38 lap
l'âge de 20 ans, accès d'épilepsie psychique. Psychose épileptique. Mort dans l'état de mal épilep- tique. A l'autopsie,
s névritiques récents aux membres inférieurs. Le père du malade est mort de tuber- culose. La mère est atteinte de la mê
avre est haute et plus il y a de temps écoulé après le moment de la mort , plus il faut s'attendre à des changements cada
drites corticales. 279 l'autopsie eut lieu dix-huit heures après la mort , l'état vari- queux des dendrites n'atteint poi
llules nerveuses avec trouble de nutrition quelques heures après la mort de l'animal se modifient comparativement vite,
ues sur son mode Je fonctionnement. Paris, 1896. QUERTON (L.). La mort par l'électricité. Journal médical de Bruxelles
une femme qui a étouffé son enfant en lui enfon- çant jusqu ce que mort s'ensuivit, une statuette de la Vierge dans la
t-huit ans, elle eut, au boutde deux ans et demi, un premier enfant mort presque en naissant et dont l'extraction avait né
de quatre ans lui dire qu'il veut aller rejoindre son petit frère ( mort peu après sa naissance) : « Maman, aller à peti
de ce qui s'était passé et ne voulant pas croire que son enfant fût mort . OBJETS DE PIÉTÉ COMME INSTRUMENTS DE MEURTRE.
es panophobiques. Ingestion d'un christ, laémorrhagiesinlestinales; mort ; autopsie. P..., femme J..., trente-quatre ans
s collatéraux. Elle est la cinquième de six enfants dont trois sont morts en bas âge ; une soeur plus jeune qu'elle est f
na- tions terrifiantes de l'ouïe : « On lui dit qu'elle a mérité la mort , qu'elle a commis un crime en avalant le crucif
nte qui est bien caractéristique : « On lui dit qu'elle a mérité la mort , qu'elle a commis un crime en ava- lant le cruc
e à l'Unirersité de Lon. Sommaire. - Antécédents héréditaires. Père mort ci soixante ans d'une attaque d'apoplexie, aprè
ans de phtisie galopante; deux enfants : a) le malade, b) un frère mort d'albuminurie ci soixante- quatorze ans. 300
rale ; il y a un certain parallélisme entre les deux phénomènes. La mort s'accompagne d'une hypé- rémie marquée du cerve
etenues par des hallucinations visuelles, olfac- tives, gustatives. Mort par catarrhe gastro-intestinal. A l'autopsie, f
xoedémateux aigu, avec tachycardie, glycosurie melaena, manie, puis mort ; par WILLIAM Osier. (The Journal of nervous an
t et à la compression du bulbe dans le processus du coma et de la mort par hémorragie cérébrale. Origine infectieuse d
persiste durant plusieurs mois, SOCIÉTÉS SAVANTES. 347 jusqu'à la mort , sans modifications. Donc trouble isolé et perman
bale pure, malheureusement une hémorragie cérébrale qui entraîna la mort détruisit et noya la lésion primitive. M. Marie
t, elle est réveillée en sursaut par les cris : « A bas les Juifs ! Mort aux Juifs ! » Elle se précipite à la fenêtre où
conditions hygiéniques, augmente leur mortalité. Trois malades sont morts de fièvre typhoïde à l'asile, où elle existe pr
sile clinique depuis trente-trois ans, le Dr Gustave Bouchereau est mort en activité de service le 21 février 1900, à l'
détresse qu'il voulait arracher à la mélancolie et au suicide. La mort l'a surpris au milieu de ces projets philanthropi
e ; il comptait plus de trente-trois ans de service au moment de sa mort . Pendant ce long espace de BOUCHEREAU. 365 tè
inctes ». Cette « cousture d'amitié si étroite et si joinctte », la mort l'a déchirée ; notre vénéré président a senti c
porter au collaborateur dévoué, au chef de service éminent que la mort vient d'enlever, l'hommage douloureux de l'admini
emmes. C'est dans ce poste où il est resté plus de vingt ans que la mort est venue briser les liens intimes, profonds, q
ociation mutuelle des médecins aliénistes de France en rappelant la mort de M. le Dr Semelaigne. Il disait de son coll
entouraient de leurs soins impuissants. Vous avez montré devant la mort le courage et la bonté, qui ont caractérisé tou
nt. « Que de femmes, de jeunes filles hésiteraient à se donner la mort , ou échapperaient à la maladie, si elles trouvaie
ne. Messieurs, Depuis la dernière réunion de votre Commission, la mort est venue à passer. M. le Dr Boucuereau est ent
çu, en 1879, la direction d'une division dans ce même asile d'où la mort seule devait le faire sortir. A quelque point d
t à 6 heures du soir. Antécédents héréditaires. Père charbonnier, mort il y a deux 392 CLINIQUE MENTALE. ans; alcool
i le 8juin à six heures du soir. Antécédents héréditaires. - Père mort , d'hémorrhagie cérébrale, très buveur. Mère mor
locale s'accentue dans les fièvres grades et quelque temps après la mort lorsque les mouvements d'ensemble ont diminué o
me aiguë aboutissant à des para- lysies graves, se terminant par la mort quand on l'abandonne à lui-même, ou par la guér
cou, où elle se cantonne, soit jusqu'à la guérison, soit jusqu'à la mort . Celle-ci est la conséquence de la paralysie des
898.) Examen des pièces anatomiques de l'enfant de quelques jours mort de syphilis (Jahrbiu : l. f. Kwule1'heilk.). On t
ensuite de la santé physique des épilep- tiques et des causes de la mort chez ces malades, et il insiste sur l'extrême f
CTET. M. B. Séance du 26 février 1900. Présidence de M. Magnan. Mort de 111. Bouche/'eau. Le Président annonce la mo
e de M. Magnan. Mort de 111. Bouche/'eau. Le Président annonce la mort de M. le Docteur Bouchereau, médecin en chef à
isième étage de la rue principale de la localité. Le malheureux est mort instantanément. On attribue ce suicide à un acc
Chenôve, M. Drouin, très affecté par ces événements tragiques, est mort dans la nuit d'une congestion cérébrale dont le
cès de Mme Bonnefoy. Les Drs Compagne et Laffont ont déclaré que la mort était due à une syncope causée par l'horreur qu
me on va le voir. Le grand-père paternel était grand buveur, il est mort des suites d'une affection cardiaque. Le père d
stologique.- L'autopsie est pratiquée vingt- quatre heures après la mort . La boite crânienne est ouverte, la dure-mère i
ation, il est effrayé des paroles pro- noncées par eux, c'est de sa mort qu'il s'agit. Si, pendant un certain temps, on
nts bourguignons, vignerons, buveurs de vin. Père, marchand de vin, mort d'une maladie de foie. Mère morte d'une attaque
éréditaires. Père buveur, avait des attaques épi- leptiformes ; est mort dans une attaque. C'était un débile intellec- t
parfois il pense au suicide, mais n'a jamais tenté de se donner la mort . Pourtant il aime la gaieté, et la cherche. Pour
ite. C... André, trente-trois ans. Antécédents héréditaires. Père mort tuberculeux, a eu pendant plusieurs mois du dél
e convulsions dans l'enfance. - Gémellclrité : l'un des jumeaux est mort de convulsions . ' , Pas de consanguinité. Inég
ion, marche, nulles. - Cachexie tuberculeuse progressive, diarrhée, mort . Autopsie : Asymétrie de la voûte et de la base
ite de convulsions. -- Treize frères ou soeurs dont quatre seraient morts en bas-âge de cholérine, Les autres seraient bi
mère qui présente seulemnt des céphalalgies. - Grand-père paternel mort probablement d'une attaque d'apoplexie à quaran
vingts ans. - Grands- parents maternels, aucune affection nerveuse, morts à soixante- dix-neuf et soixante-dix-sept ans.
eurs enfants ont eu des convulsions. Un frère et une suceur jumeaux morts le premier à vingt-huit mois de convulsions ; l'a
thermomètre). W... boit encore 2 à 3 litres de lait chaque jour. Mort le 10r octobre sans avoir présenté de symptômes n
timètres. Elle s'était sans doute encore développée de juillet à la mort (octobre). La température n'a jamais été très é
350 le 24. Du 27 au 30, elle varie de 36°,4 à 37°,6; le matin de la mort elle descend à 36 ? pour s'élever à 36°,8 au mo
°,8 au moment même du décès. Les notations thermométriques après la mort confirment une fois de plus tout ce que nous av
sur l'importance de la thermométrie pour constater la réalité de la mort . V. La destruction totale du lobule de l'insula
ppe pas ; pas d'épilepsie jacksonienne ; mais pas d'amé- lioration. Mort le '4 août 1896. On trouve une tumeur sous-dure-
, 1898.) Cerveau d'un menuisier de trente-trois ans, sain d'esprit, mort très rapidement de phthisie pulmonaire. Durciss
s l'espace de six mois à un an, la maladie a atteint son summum. La mort survient de six mois à deux ans après le début,
l'intelligence. D'ailleurs le diagnostic ne peut être fait que post mortes . Le malade, âgé de soixante ans, observé par l'
u bout de dix jours, de crises d'étouffements qui l'ont mené à la mort en soixante-douze heures. Il s'agit donc d'un cas
a lutte de tout homme aux prises avec la fortune adverse. Depuis la mort de mon père, mon léger patrimoine ne s'était pa
vem- bre 1862, il fut appelé à en diriger les séances en 1886. A la mort de Blanche il devint président de l'Association
mais l'intelligence demeura intacte, et, peu de semaines avant sa mort , ceux qui l'approchaient par hasard ne pouvaient
ller que pour sourire à ses petits-enfants qu'il adorait. Il vit la mort venir et l'accueillit sans faiblesse et sans récr
a en cet état, luttant, de toute sa robuste constitution, contre la mort qui l'enlaçait. Le 22 novembre, sur le ? huit heu
33 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
).— Entérite.— Eschare du sacrum. — Œdème des membres inférieurs,etc.— Mort .—Résultats nécroscopiques (Fin). La diarrhée a
est née à Lo-rient, où elle est restée jusqu'en 1864. Son père serait mort , il y a dix-huit mois, d'une attaque apoplectique
environ, la malade déclare avoir fréquemment le bout des doigts comme mort et ne pouvoir saisir les petits objets, une éping
s un état de cyanose très-prononcé, le 15 août. Peu de jours avant la mort , Y articulation malade s'était sen-siblement dégo
t l'on a été obligé de lui faire prendre le chloral par le rectum. La mort est survenue en quelques jours. Un enfant, amen
. — Température. — Injections hypodermiques, répé-tées, de chloral. — Mort . (Observation recueillie par Bourneville.) Bich
ives obstétricales; insuccès. —¦ Rupture de l'utérus. — Péritonite. — Mort . — Autopsie. R... Clarisse, 36 ans, piqueusede
, variole, ictère, dothiénentérie, choléra); la dernière traite de la mort subite dans l'état puerpéral, et celte mort subit
la dernière traite de la mort subite dans l'état puerpéral, et celte mort subite peut être causée, soit par l'empoisonnemen
rence et était composé de poils agglutinés par le mucus. L'animal est mort d'accidents dyspnéiques qui, parfois, prenaient l
i aucun dé-rangement d'esprit, a eu trois enfants; sept mois avant sa mort , elle n'a pas cessé de vomir. Le 27 janvier 1871,
, respiration difficile, entrecoupée. P. 100; T. Ax. 39°,7. 28 nov. Mort à deux heures du matin. Nécropsie pratiquée le
sque; Troisième phase. La température remonte jusqu'au moment de la mort . Comme on le voit, il serait difficile de trouv
on note d'ordinaire entre les températures axillaire et rectale. La mort est survenue avec rapidité (32 heures), et la tem
a pas atteint tou-tefois un chiffre exagéré (59°,7, 8 heures avant la mort )1. Le second tracé (fig. 2) concerne un enfant
re oscilla entre 39° et 39",6. Le troisième jour, six heures avant la mort , la température tomba à 38°,4. Dans ces trois c
onnées par ce savant médecin sont les suivantes : 42°,22 peu avant la mort ; 44°,75 au moment de la mort ; 45°,31 après la mo
sont les suivantes : 42°,22 peu avant la mort; 44°,75 au moment de la mort ; 45°,31 après la mort. Pourquoi une si grande
°,22 peu avant la mort; 44°,75 au moment de la mort ; 45°,31 après la mort . Pourquoi une si grande différence? « C'est, en
température au moment d'un frisson; ± température six heures avant la mort . 4 Voy. Revuephot, des hôpitaux, page 19, obs.
agnés de convulsions qui, en se multipliant, suffisent pour amener la mort ; d'autre part, des cas dans lesquels le coma vien
gauche. Douleur très-vive. Le lendemain, fièvre, puis état ty-phoïde. Mort . (Ch. Martin, Thèse, Paris, 1869). Dans un autr
que les arthropathies sont capables d'oc-casionner par elles-mêmes la mort , mais parce qu'elles aboutissent à des altération
enou et de Varticulation tibio-tarsienne du côté droit. — Eschares. — Mort . — Ii s'agit d'un jeune homme de 18 ans qui a pré
à diminué de volume. Le 9, des eschares se manifestent aux talons. La mort survint le 27. L'autopsie a montré un foyer de ra
ois. Des trois premiers enfants, un seul est vivant ; les autres sont morts l'un à 11 mois d'une cho-lérine, l'autre d'une fl
ne circonstance, pour ainsi dire, exceptionnelle : le plus souvent la mort survient au bout de quelques heures. iv. de LA
rme. — Attaques éclamptiques. — Urines albumineuses. — Température. — Mort . — Autopsie : — ra-mollissement (cadavérique ?) d
n entendait les battements du cœur à onze heures ce malin, est venu mort . Aussitôt après l'accou-chement, le pouls était à
1°,2).— Saignée; anesthésie; accouchement—Persistance des attaques. — Mort . — Néphrite. — Lem..., Élisa, 26 ans, car-tonnièr
nsé-cutif à l'injection de chloral. -+- Température aussitôt après la mort . — Chaque ligne correspond à deux heures. tête
. 120; 11. 40: T. V. 40°,4. A 6 heures, râle laryngo-trachéal. — La mort arrive à 8 heures du soir : T. V. 41°,2. Autops
e l'état de mal éclamptique ; 5° sur la température à l'instant de la mort . 1° La première exploration, qui donna 58°,8, a
'accouche ment : 5° Enfin la température, qui, deux heures avant la mort , était à 40°4, atteignit aussitôt après la termin
; si, au contraire, l'état de mal éclamplique doit se terminer par la mort , la température continue d'augmenter et parvient
principaux. Observation I. — Urémie ; attaques éclamptiques, coma, mort . — Altération urémique du sang; lésions cérébrale
point me parut même plus frappant, car plus d'une quinzaine avant la mort , l'urine, devenue très-rare (9 à 12 onces en ving
e plus étrange, une péricardile, qui se manifesta deux jours avant la mort , ne causa pas non plus la moindre élévation de la
soudaine de Vuretère droit par un calcul (1868).—Suppression d'urine; mort en dix jours.— Marche de la température. ¦— M. I.
oment jusqu'à la terminaison, M. I... ne rendit plus d'urine et, à la mort , la vessie fut trouvée vide. État général en appa
un déplacement des membres.Respiration de plus en plus embarras-sée. Mort à une heure de l'après-midi, sans coma ni attaque
e s'abaissa d'une façon constante, en particulier aux approches de la mort (fig. 5) ce qui confirme la proposition formulée
érature du corps, à la longue, baisse et faiblit peu à peu jusqu'à la mort . » Fig. 3. Température axillaire prise une fois
tre à la face externe, interne, et dans l'os lui-même. Chez un enfant mort au troisième jour, Bœckel rencontre, outre les lé
enant rapidement typhoïde, et pouvant alors amener en peu de temps la mort des malades. Que trouve-t-on dans ces cas? Rien,
mps la mort des malades. Que trouve-t-on dans ces cas? Rien, quand la mort a été très-rapide. Si elle a tardé quelques jours
abandonnées à elles-mêmes, elles tendent fatale-ment à déterminer la mort ; aussi doivent-elles être extirpées aussi-tôt qu
trois seulement ont survécu: ils sont bien conformés. Les autres sont morts dans l'enfance. — Dev..., née à terme, a été élev
autions nécessaires, le péri-née s'est un peu déchiré. L'enfant était mort . — La délivrance s'est opérée sans peine. 4 avr
inets. La température rectale prise l'avant-veille et la veille de sa mort était à 36°,8 et 37° alors que le pouls était à 1
tude ; coma. — Abaissement considérable de la température centrale. — Mort . — Dégénérescence kystique des reins. (Obs. recue
de plus en plus marqué de la température rectale. — Coma permanent. — Mort . — Néphrite par enclin mateus e. —Analyse de l'ur
la température continua de baisser à tel point que, à l'instant de la mort , elle était descendue à 51°,5. (Fig. 4). Nous tro
ature 10 à lo minutes après le début. = température aussitôt après la mort . Chaque ligne verticale ré-pond à une heure. De
la maladie approche d'une terminaison fatale ; III. Aussitôt après la mort , l'abaissement atteint son maximum. III Si l'
de lurémie; 5° Ces différences s'accentuent encore au moment de la mort : dans l'eclampsie, la température arrive à un ch
des matières semblables à celles que la seringue avait aspi-rées. La mort arrive le 6 août. A l'autopsie, qui fut faite l
r dans ses antécédents de famille; son père, d'une santé robuste, est mort par suite d'un accident; sa mère est morte du cho
2° au niveau de la fourchette et de chaque 1 Ses père et mère sont morts à cette époque de cette maladie qui, chez eux, av
Plus souvent la maladie est moins brutale, mais aboutit encore, à la mort vers le quinzième, vingtième et souvent trentième
omènes adynamiques, typhiques, comportent une plus fâcheuse issue. La mort peut survenir en effet par ces seuls troubles gén
t ; mais s'il a été injecté en grande quantité, il peut déterminer la mort . Cette proposition n'est pas admise par tous le
é de sang transfusé est un peu considérable, elle amène rapidement la mort de l'animal. — Le travail de Panum est très-soign
gner à la pigmentation de la rate. VI. Pronostic. — Trop souvent la mort est la conséquence des désordres produits par l'a
urt deux jours après, le 26 à midi. Renseignements obtenus après la mort . — Il y a cinq semaines, le malade devait être en
6°,4 ; à onze heures, de 55°,6 ; une heure plus tard, le malade était mort . Le traitement s'était réduit à l'emploi d'exci
a tête. — Le pronostic devait être très-mau-vais et faire prévoir une mort très-prochaine. Le diagnostic était très-incertai
com-plète. — Reproduction d'une petite tumeur. Nouvelle opération. — Mort subite par introduction de l'air dans les veines
ques de sérosité. Le lendemain matin (c'est-à-dire 48 heures après la mort ), M. Trélat ouvrit sous l'eau ce ventricule; il s
rate peut avoir une issue mortelle par une déchirure de son tissu. La mort arrive au milieu d'une hé-morrhagie interne, soit
iarrhée se déclare, puis vient de l'agitation, du délire, et enfin la mort qui arrive 5, G, 8 ou 10 jours après l'invasion
enir tous les si-gnes d'une péritonite subaiguë, suivis bientôt dé la mort . Dans les cas heureux, la splénite aiguë ne se
t. Dans les cas heureux, la splénite aiguë ne se termine pas par la mort ; elle guérit par l'heureuse évacuation du pus, p
nique, la rate se tuméfier, devenir douloureuse et présenter après la mort , survenue plus ou moins longtemps après la vio-le
ise, récompense de ses services, il était prêt à braver mille fois la mort sur un désir du maître. A la fin du seizième si
ne saine et vigoureuse famille qu'il est né. Son père et sa mère sont morts à un âge très-avancé, et ses frères et sœurs se p
e pathologique. —Lorsque l'on ouvre la cavité abdo-minale d'un malade mort de rupture de la rate, on la trouve géné-ralement
elles manquent souvent, ce qui peut s'expliquer par la rapidité de la mort . Quand l'on vient à examiner la rate, on trouve
ue le docteur Playfair, médecin dans l'Inde, chargé de l'autopsie des morts subites, a rencontré, dans une période de deux an
mettre deux formes distinctes : la forme suraiguë, dans laquelle la mort arrive immédiatement, et la forme à marche moins
face pâlit, le pouls devient faible, les extrémités se glacent et la mort arrive en quelques heures. Ce sont là les cas les
paraît brusquement, augmente et se soutient or-dinairement jusqu'à la mort . « Elle est caractérisée par les obser-vateurs, d
des faits, le péritoine ne s'est enflammé. Cela s'explique, quand la mort a été instantanée ; mais dans le cas où la vie s'
la rate, deux formes que nous retrouverons ici. Dans la première, la mort arrive immédiatement ou en l'espace de quelques h
qu'il avait employés auparavant avaient échoué et ses malades étaient morts . Le hachisch fut donné sous forme d'extrait gras
n a eu recours à ce médicament : tous les deux se sont terminés parla mort . Le premier a été observé par le docteur 0. Shang
l a procuré du calme et une rémission complète dans les symptômes. La mort arriva dépouillée des horreurs qui l'accompagnent
34 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
us de 5 mois, et présente, en outre, tous les signes qui dénotent une mort remontant déjà à plusieurs jours au moins. En eff
le péritoine ; mais ceci peut naturellement être attribué au genre de mort du fœtus (5 avril). II. Eruption variolique c
assez vives, vingt-quatre jours environ après l'époque présumée de la mort du fœtus. Il s'est écoulé pendant l'accouchement,
lissement progressif — hémorrhagie utérine, épanchement pleurétique : mort . — Autopsie. — Examen microscopique des fibres mu
abituel ; et, si cette fièvre typhoïde nouvelle s'est terminée par la mort , on a pu constater, lors de l'autopsie, des altér
deutéropathiques, le plus haut degré de gravité et se terminer par la mort . a. Pronostic un peu moins grave, avant qu'aprè
d'une étendue insolite, l'hémorragie intestinale, amènent souvent la mort ; la pneu-monie (s'il y a matité et souffle bronch
rforation du pharynx (sic), rétrécissement très marqué de la trachée. Mort pendant l'opération. Textor : 3 cas. Deux fois
cas. Deux fois la trachée ne fut pas ouverte. Les trois sujets sont morts . Hein : 1 cas. Croup bronchique général. Mort.
es trois sujets sont morts. Hein : 1 cas. Croup bronchique général. Mort . Oppolzer : 1 cas. Œdème de la glotte. Mort de
oup bronchique général. Mort. Oppolzer : 1 cas. Œdème de la glotte. Mort de pneumo-nie quatorze jours après l'opération.
ière (D.) Il peut arriver, principalement en temps d'épidémie, que la mort sur-vienne dans le cours ou dès le commencement d
us en plus lents, les battements du pouls de plus en plus faibles, la mort survient, ordinairement, du douzième au vingtième
a durée moyenne de la maladie, dans les cas où elle se termine par la mort , est, suivant le docteur Jenner, de qua-torze jou
ie de 1818 et dans celle de 1825 (Stokes). A Edimbourg, de 132 sujets morts de fièvre continue, et dont l'autopsie a été fait
econde et même une troisième fois. Dans les cas les plus graves, la mort peut avoir lieu dans le premier accès. Une prostr
es salles des hôpi-taux; on ne compte jusqu'à présent que deux cas de mort , parmi les médecins atteints et quelques cas parm
n. — Quelle a été la proportion entre les cas de maladie et celui des morts ? » Réponse. — Ce n'est pas à la fièvre récurren
vre récurrente que l'on doit attribuer le plus grand nombre de cas de mort , mais au typhus pétéchial et à la fièvre typhoïde
l'épidémie, la fièvre récurrente don-nait la proportion de (1 : 20) 1 mort sur 20 malades soignés dans les hôpitaux; dans so
aux; dans son plus grand développement, elle donnait (1 : 12 et 40) 4 mort sur 42 et 40 malades, et même au-dessous, dans qu
s des proportions beaucoup plus défavorables (1 : 5 et même 1 : 4), I mort sur 5 ou même 4 malades, dans quelques hôpitaux.
même 4 malades, dans quelques hôpitaux. » En général, le nombre des morts , pendant les six derniers mois de 4864 et de janv
mois de janvier 1865, nous trouvons : » Pour le premier (1 : 17) 1 mort sur 17 malades traités, et pour le second (1: 4 4
(1 : 17) 1 mort sur 17 malades traités, et pour le second (1: 4 4) 4 mort sur 11 malades, toutes les mala-dies aiguës et ch
ble. Le malade conserve toute son intelligence et il se sent frappé à mort , ou par moment déjà il délire ; la respi-ration e
ccèdent avec une ra-pidité singulière, et la lutte entre la vie et la mort n'est jamais de longue durée ; l'anxiété s'accroî
est toujours des plus graves ; elle se termine habituellement par la mort dans un bref délai (Chenot, p. 76. — Pruner). Y
raît seule- (53, E.) pendant laquelle, dans les cas très graves, la mort peut survenir avant la production d'aucun vice an
n ensemble de symptômes qui ne permettra plus qu'on la méconnaisse. mort survient dans un laps de temps très court, à la s
ment de l'état de col lapsus qui caractérise la forme conges-tive, la mort survient nécessairement dans un bref délai. Dans
ont conservées. Puis, (out à coup, apparaît le vomissement noir et la mort survient inopiné-ment. Le docteur Caldwell a dési
angue, ces cas insidieux, et dans lesquels on voit des gens frappés à mort se croire à peine malades, et conti-nuer à vaquer
qui vient d'être décrite était des plus tranchées, dans les cas où la mort était survenue après trois jours et quelques heur
e, 18 t2, p. 1060) l'a également rencontrée sur cent cinquante sujets morts à la suite de la fièvre jaune qui a régné en 1838
idement à la fièvre jaune sont quelquefois pris peu de temps après la mort de mouvements convulsifs plus ou moins étendus ;
dus ; ceci rappelle ce qu'on observe assez fréquemment sur les sujets morts à la suite du cloléra asiatique. (H. Brandt, De
en quelques heures. Ce dernier symptôme annonce presque toujours une mort prochaine. Les déjections noires, les péléchies,
Mém. de la Société de biologie, 1863, p. 107. CVS TERMINÉS PAR. LA MORT . n° l; n° 2 N° 3 n° 4 A G E ÉTAT ANTl
on prise le soir. T. R. M' — 38,2 T. R. M' Cinq heures avant la mort ........ 40.8 T R. Une heure après la mort...
Cinq heures avant la mort ........ 40.8 T R. Une heure après la mort ............. 40 T. R. M' — 38,2 T. R. S. — —
s'agit étaient des plus graves, et se sont rapidement terminés par la mort . L'observation N° 2 doit être considérée à part
evé, 40° 8, a été noté dans une expérience faite cinq heures avant la mort . Une heure après la mort, la température rectale
ns une expérience faite cinq heures avant la mort. Une heure après la mort , la température rectale était descendue à 40°. L'
s, répondant au rameau du plexus cervical droit. — Pleurésie double : mort . — Autopsie : Noyau cancéreux du sein, des plèvre
, la malade tenait sa tête fortement inclinée sur l'épaule droite. La mort a lieu le 26 décembre 1865. A V autopsie, on tr
isent également (p. 345) qu'elle avait déjà grisonné à 1 époque de la mort du roi. en éprouva une révolution si grande que
pour comparoir deuant le siège de iustice, afin d'ouir la sentence de mort , tous le mesco-gnoissoient, et l'Empereur mesme.
faute tenue capitale en ces lieux pour diuerses raisons. L'arrest de mort donné contre luy l'espouvanta si fort que le lend
phyxie des extrémités : on ne voit pas cette pâleur locale des doigts morts , cette anémie sans déformation, puis cette cyanos
État lichénoide. — Amaigrissement progressif. — Diarrhée chronique. — Mort . Autopsie : Petit kyste du cerveau. — Tubercule
teint d'ichthyose congé-nitale est né vivant et à terme ; mais il est mort au bout de vingt-quatre heures. Il n'a puni se te
pagné de phénomènes plus ou moins graves, s'est tantôt terminé par la mort , tantôt par une gué-rison complète. Presque toujo
kyste dans le péritoine et les voies biliaires : péritonite suraiguë; mort . — Autopsie : Lésions du péritoine. — Kyste de la
se toujours après elle et des dé-sordres graves, bientôt suivis d'une mort rapide, qui signa-lent constamment un pareil acci
es premiers symptômes ne se rencon-trent qu'à quarante jours après la mort , et, dix jours avant cette terminaison fatale, le
ans les cavités du cœur ou dans les vais- seaux avait déterminé une mort rapide. Il résulte de l'ensem-ble de ces observat
atières muqueuses. — Aggravation de la tuberculisation pul-monaire. — Mort . Autopsie : —Parois de l'estomac hypertrophiées
ême époque. Autopsie le 28 septembre, quarante-huit heures après la mort . — La cavité abdominale contient une petite quant
que complètement de manger et de vomir, c'est-à-dire un mois avant sa mort . L'orifice pylorique, qu'on a conservé intact,
al, le ma-lade ne vomissait plus après chaque repas. Un mois avant sa mort , il cessa de vomir complètement ; il est vrai qu'
tubercules pulmonaires ne se sont manifestés que trois mois avant la mort . Plusieurs des symptômes ordinaires des ulcères
mucosités de couleur vert-pomme. — Diarrhée abjondante. — Cachexie. — Mort . —Autopsie : ulcération cancéreuse du col et du b
celle que la malade avait rejetée par le vomissement la veille de sa mort . Le foie paraît sain, d'un volume normal ; il e
me des membres inférieurs. — Ascile. — Diarrhée. — Muguet. — Marasme. Mort . Autopsie. — Sérosité abondante dans la cavité ab
ation rouge foncée propre à la cirrhose. Deux mois environ avant la mort du malade, de l'œdème se manifeste aux membres in
par notre malade pendant les trois dernières semaines de sa vie. La mort arrive le 3 septembre 1851. Le marasme était cons
i est de 2 cent. 1/2 seule-ment. Sur 3 estomacs provenant d'individus morts de diverses maladies, nous avons constaté que le
'expectation qu'on a stigmatisé en l'appelant une contemplation de la mort . Il est clair que si, par un jeu de l'imagination
adie, dans sa forme et dans ses tendances vers la guérison ou vers la mort , et de rechercher quelles sont celles de ces circ
ur les 129 sujets qui ont été saignés, 51 se sont rétablis et 78 sont morts ; la proportion des guérisons est de 1 sur 2 i/2,
ont morts ; la proportion des guérisons est de 1 sur 2 i/2, celle des morts de 1 sur 1 2/3. Des 26 sujets qui ne furent pas s
it la proportion des guérisons dans le rapport de 1 sur 1 1/2, et des morts dans celui de 1 sur 3 1/4. 84 sujets furent saign
ets furent saignés assez copieusement, et il y eut 28 guérisons et 57 morts , ou 2 morts sur 3 cas. Il convient seulement de r
aignés assez copieusement, et il y eut 28 guérisons et 57 morts, ou 2 morts sur 3 cas. Il convient seulement de re-marquer qu
nfinitésimales, on trouve les chiffres suivants: sur 40 cas, 3 cas de mort seulement. Ce serait là assurément un résultat re
mbre, 681 sujets ont guéri, savoir: 384 hommes et 297 femmes, 69 sont morts , 28 hommes et 41 fem-mes. La mortalité a donc été
e pneumonie observés par lui, et dont 12 se seraient termi-nés par la mort , la saignée ne fut employée précisément que dans
rable une yie tranquille dans le cercle des siens et préparez-lui une mort plus douce». (Lehrbuchder Nervenkrankeiten, 1 ban
l progressif de restauration, puissent reprendre 1. Ces femmes sont mortes de phthisie pulmonaire, {Gaz, hebdomad. de méd. e
Nous disions que, même dans des cas d'ancienne date, terminés par la mort (et nous pou-vons maintenant citer deux faits à l
ois reprises, et il semble réellement que la malade est menacée d'une mort très prochaine. il avril. — On prescrit à la ma
ge du cristal de lune comme hydragogue. Tombé dans l'oubli après la mort de cet auteur célèbre, le nitrate d'argent fut re
et du chlorure ammoniacal pour pratiquer des injections, admet que la mort est le résultat d'une asphyxie mécanique, occasio
al, les choses ne se passent pas ainsi. Chez cet animal, en effet, la mort paraît résulter, non d'une asphyxie par écume bro
d'argent, pratiquée chez un chien de moyenne taille, ne détermine la mort qu'au bout d'une demi-heure ; il se produit une s
ammes d'hyposulfite d'argent, dissous dans 60 grammes d'eau, amène la mort presque immédiate, sans autre phénomène que quelq
on brusque de la vie, sans formation de ce mucus bronchique auquel la mort a pu être attribuée dans le cas précédent. Cette
niquement par un effet mécanique que les sels d'argent déterminent la mort ; le système nerveux semble être mis ici directem
u. L'injection de cinq centigrammes d'hyposulfite d'argent amène la mort dans l'espace de 7 à 8 minutes. On observe encore
2° Que si l'asphyxie par écume bronchique est la cause di-recte de la mort , il n'en existe pas moins une action manifeste de
nflammation plus ou moins considérable, suscep-tible d'occasionner la mort au bout de quelques jours : il n'est point absorb
mes de nitrate d'argent dans 200 grammes d'eau (ce qui déterminait la mort dans l'espace de quelque temps), a trouvé de l'ar
35 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ands parents maternels sont vivants et bien portants. Le père est mort , il menait une existence assez irrégulière ; il
e s'il était ou non syphilitique. Il y a lieu de supposer qu'il est mort de tuberculose pulmonaire. Antécédents personne
fois au début de la para- lysie générale des aliénés; mais après sa mort , l'examen de la moelle montrait des lésions tel
asile de Saint-l'on le 20 janvier 1897. Antécédents : Son frère est mort après être resté douze ans para- lysé. Elle-mêm
il arriver, voilà huit jours que cela dure et personne n'est encore mort de faim, c'est incompréhensible. C'est la fin d
malade a toujours eu une bonne santé physique, elle a eu un enfant mort à deux mois. Elle aurait toujours été d'un cara
int-Yon. » « Je veux sauver tout le monde et tout tout le monde est mort . Il n'y a plus personne, il n'v a plus rien, il
lades, car ils changent aussi physiquement ; leurs mains sentent la mort , elle-même sent la mort, elle ne peut s'empêche
ssi physiquement ; leurs mains sentent la mort, elle-même sent la mort , elle ne peut s'empêcher de dire aux visiteurs :
ne peut s'empêcher de dire aux visiteurs : « Ne sentez- vous pas la mort ? » Une nuit elle entend sa fille descendre à l
n sur la figure de sa belle- soeur et de son mari; ils doivent être morts ; il faut que le maire prévienne leurs parents e
, s'il y en a, il ne remue plus les arbres. Par conséquent tout est mort . Elle même va mou- rir. On fait du mal à son ma
P.VIOT. (Revue de médecine, décembre 1897.) Observation d'un malade mort d'un gliome du corps calleux avec envahissement
droit; le malade avait depuis trois ans des crises épilepliformes. Mort avec phéno- mènes convulsifs prédominant à gauc
aladie, qui se déroulent pendant trente ans et se terminent par une mort subite à l'âge de soixante ans. Résumé s3·mplor
produits au cours d'une broncho-pneumonie et d'un anthrax, et la mort a été due à un double processus d'infection et d'
sie se sont manifestés à la suite d'une kélotomie : dans ce cas, la mort parait avoir été déterminée par la toxi-infecti
5. P., 160. Finalement, dyspnée, disparition des réflexes cornéens. Mort le soir du dixième jour. Autopsie : .- Forte co
é trois femmes (vol, mobile du crime), a été condamné à la peine de mort . L'auteur étudie le procès qui a vivement émoti
dans le cas rapporté par l'auteur. L'état du sujet était tel que la mort semblait imminente. Il était difficile d'établi
datant de huit MOIS, traitée par L.1 TIIY- ROïDECI'0311E partielle; mort ; autopsie avec examen histologique DES ORGANES;
es accidents d'as- phyxie aiguë. A l'autopsie, on constate que la mort ne peut être attribuée à une faute opéraloii-e
ence et leurs sentiments affec- tifs sont tels qu'ils souhaitent la mort de leur fille et redou- tentsa guérison. Le cer
n a poussé l'épuisement à l'extrême, le muscle est défi- nitivement mort et plusieurs heures après le retour de l'oxygène,
rend l'oxygène. L'excitation électrique à cette période accélère la mort du muscle. Lorsque le travail anaérobie a été m
ospinale spasmodique qui, après un an et demi de durée, entraîna la mort par l'atteinte du pneumogastrique. Dégénérescen
nt pri- mitives et dans aucun cas d'examen de cette glande après la mort elle n'a été trouvée saine. Après une étude his
nt dès qu'ils sont améliorés et ne continuant pas le traitement. La mort survenant pendant la période active du traiteme
caractérisé par deux attaques succes- sives, aggravation continue, mort . P. KERAVAL. XLVII. LÉREUTHOPHOB1E, forme parti
NÉCROLOGIE. Auguste-Félix Voisin, né il Vanves le 23 mai 1829, est mort le 23 juin. Son grand-père, Félix Voisin, avait
Stlpélrière. nécrologie. 147 Nous avons le regret d'annoncer la mort du De Léon-François Guillemin, médecin en chef
de le sauver. Avant de tenter de se tuer, Botereau avait menacé de mort sa femme et sa fille. (Le Soleil, 19 juillet.)
ses le 18 janvier 1896. Pas de tare héréditaire névropathique. Père mort de phtisie, mère en bonne santé; la malade est
pation des branches supérieures). Agonie qui dure encore dix jours. Mort le 18 décembre 1896. Autopsie (vingt-deux heure
urs. Mort le 18 décembre 1896. Autopsie (vingt-deux heures après la mort ). - Calotte crânienne normale. Hyperémie veineu
. D'après l'avis de Westphal, une marche rapide aboutissant à une mort précoce serait la règle ; dans son cas toute l'af
; le sarcome ne se développant qu'à une pé- riode rapprochée de la mort du sujet, les lésions vasculaires manquaient de
colpopé- rinéorraphie; quatre jours après, accès de manie aiguë et mort au bout de douze jours sans que l'agitation ait
ssé et sans qu'il y ait eu un accident local capable d'expliquer la mort . Une deuxième malade du même âge, sans antécéde
t comme nourriture que du bouillon de cheval, non salé, et seraient morts de faim sans l'assistance si dévouée de la popu
testament une petite propriété qu'ils habi- taient au moment de sa mort . Les autres enfants, se disent lésés par ce leg
judiciables à sa bourse qu'il sa santé. » Dégénéré inverti sexuel mort paralytique général. M. JoFFROY présente au [Co
est seulement l'autopsie qui nous en donna la clef. Le malade étant mort au bout de quelque temps dans le marasme, on tr
era l'apragie. Le dernier stade de ce défaut de nutri- tion sera la mort du territoire irrigué par le vaisseau, la nécro-
rche progressivement croissante aboutitssant dans quelques cas à la mort . Dans la seconde partie, il insiste sur le mode
ions; des idées hypochondriaques s'installent, le malade demande la mort , il faut le surveiller. Par la suggestion avec
trait qu'à la troisième application du forceps. Il était en état de mort apparente et les jours suivants eut des convul-
de la corticalité. Etat des cellules nerveuses chez un épileptique mort en étal de anal. MM. A. HISPAL (de Toulouse) et
et D. ANGLADE (de Toulouse), rap- portent l'observation d'un sujet mort en état de mal épileptique, après avoir présent
coupe. On ne peut pas dire si cette phagocytose précède ou suit la mort dela cellule. En outre, cette phagocytose n'est
nsuite fait justice en se jetant' dans l'Allier, où on l'a retrouvé mort . (Le Soleil du 30 juillet.) Aliéné CRIMINEL. Le
st qu'une contusion sans importance. (Le Soleil du 3 juillet.) La MORT d'un ROI alcoolique. On se rappelle la mort terri
oleil du 3 juillet.) La MORT d'un ROI alcoolique. On se rappelle la mort terrible dePitje Snot, le'roi des Marolles. vit
evant le tribunal correctionnel sous l'inculpation d'avoir donné la mort à son mari sans intention. Un rapport du docteur
ntention. Un rapport du docteur Lebrun a établi sur ce point que la mort du héros marollien était due uniquement au deli
lois de sa naissance s'est présenté par la fesse et dans un état de mort appa- rente. Pas d'antécédents névropathiques h
nes bulbaires, tachycardie et dyspnée, vingt-quatre heures avant la mort de la malade. Jusqu'aux dernières heures, l'éta
entraîné une para- plégie, guérie depuis. A propos de cas suivis de mort , il rappelle les altérations névritiques consta
ns valeur pathogénique. Elles interviennent dans le mécanisme de la mort , ce qui explique leur existence dans une foule
ations d'abcès mastoïdien opérés par la méthode de Percy-Dean, deux morts et trois guérisons. A. Marie. III. LÉSIONS RÉTI
l'application d'une couronne de trépan ne donna aucun résultat. La mort survint deux jours après l'opération par exagér
s subsistantes et accompagnées d'une céphalée générale persistante. Mort au cours d'une de ces séries d'attaques. A l'au
douleurs, comme pour prévenir un état de mal d'où peut résulter la mort . > R. C. IX. CE QU'ON appelle la PRESSION cé
ais au-delà de ses limites physiologiques ; si cela avait lieu, une mort immédiale s'ensuivrait. L'injection, dans l'int
s patellaires très vifs; accélération du pouls. Bronchopneumonie. Mort . On a fait le diagnostic de gliose du bulbe et de
ubles mentaux ont persisté sans modification appréciable jusqu'à la mort de la malade. Il est il. noter que les facultés
le marasme arrive, les con- gestions cérébrales se déclarent et la mort survient sur la fin de mars. Autopsie. - Crân
d'hypérémie généralisée de la substance blanche du cerveau. Il Post mortes . Outre nos observations III et IV, les suivantes
observations. Cinquième observation. Sommaire : Folie épileptique; mort du ' Au moyen de notes et de résumés d'autopsie
uie, idée d'empoisonnement, excitation maniaque, accès d'agitation, mort en décembre 1877, de périencéphalite. Extrait
sont sains. Septième observation. - Sommaire : Manie épileptique ; mort ci la la suite d'accès répétés d'épilepsie; adh
itement'. i. Huitième observation. - Sommaire : Folie épileptique ; mort à la suite d'attaques. Adhérences généralisées
ervation. - Sommaire : Epilepsie, manie intermittente ; épuisement, mort . Opalescences des membranes le long de la fente
ns. A partir de janvier 1896, cystite et pyélonéphrite avec fièvre. Mort le 14 février 1896. Diagnostic clinique : tabes
pouls est à 120-125; la conscience est conservée, dyspnée, cyanose. Mort dans la nuit du 16 au 17 avril. Le diagnostic i
omme grand, d'embonpoint modéré, d'apparence robuste : son père est mort il y a dix-huit ans d'une attaque d'apoplexie.
que d'apoplexie. Sa mère vit et se porte bien. Ses deux soeurs sont mortes de tuberculose pulmonaire à vingt-deux etàvingt-
Ce ne fut qu'en dernier lieu, et seulement quelques jours avant la mort , que l'affection mentale prit nettement l'aspec
ires. Elle est fille de cousins germains ; son père et sa mère sont morts jeunes d'affections indéterminées. C'est une femm
thiase biliaire ne sont pas non plus absolument rares et on a vu la mort survenir au cours d'une colique hépatique sans
la première période de la maladie jusqu'à la troisième, jusqu'à la mort par marasme. Ainsi seulement, pensons-nous, il
s l'état du sens tactile depuis le jour de leur entrée jusqu'à leur mort , malades qui lors de leur admission étaient tou
ance naturelle qu'éprouvent les familles et les amis à attribuer la mort à un suicide, répu- gnance qui, dans beaucoup d
nre de cas, où il est impossible d'affirmer d'une façon certaine la mort par suicide, on peut citer certains morts par s
er d'une façon certaine la mort par suicide, on peut citer certains morts par submersion, où l'état du corps est identiqu
ntion du lecteur sur le tableau ci-après, qui donne les procédés de mort adoptés par les suicidés. RECHERCHES SUR LE
es peuvent être examinées ensemble. Nous avons dit qu'à l'égard des morts par pendaison il arrivait très rarement qu'elle
istrées comme « acciden- 398 STATISTIQUE SOCIALE telles » . Les morts par les armes à feu sont dans un cas dif- féren
Les chiffres véridiques dans ce cas ne sont donc pas le nombre des morts enregistrées comme suicide mais le nombre total
attribués ou non au suicide.. Nous trouvons heureusement toutes ces morts indiquées dans les rapports administratifs, soi
es rapports administratifs, soit parmi les suicides, soit parmi les morts par accident ou par négligence. On ne doit pas
ence. On ne doit pas manquer de faire observer ici qu'à l'égard des morts accidentelles par armes à feu ou blanches et au
ccidentelles par armes à feu ou blanches et aussi par rap- port aux morts accidentelles par empoisonnement où par noyade,
es pour les deux périodes de quinze années allant de 1865 à 1894. Morts par armes à feu ou armes blanches pendant 30 an
Cette augmentation des suicides est-elle due à l'enregistrement de morts sous la rubrique « Suicides », qui dans l'autre
ractère plus irrégulier que les autres. C'est un fait aussi que les morts par immersion sont très irrégulières comme quan
amènent sur nos côtes. Mais le tableau ci-après montrera que si les morts par empoisonnement ou immersion sont totalisées
able concordent dans leurs résultats généraux avec les chiffres des morts par armes à feu ou armes blanches. La proportio
des suicides s'élève à la fois en Angleterre et en, Ecosse, et les morts imputables aux accidents diminuent en Angleterr
araît permis de la considérer comme plus curieuse que concluante. Morts par poison ou par noyade. REVUE DE PATHOLOGIE
tre pourrait-on, en autopsiant systématiquement la moelle d'enfants morts d'affections quelconques, trouver les traces médu
vre dès son entrée à l'hôpital, puis l'état devint infectieux et la mort survint dans le coma : la tempé- rature monta à
mort survint dans le coma : la tempé- rature monta à 4 ? 5 après la mort . L'autopsie, pratiquée avec soin, ne fournit au
oppe duquel s'était produite une encé- phalite étendue qui amena la mort du malade, plutôt que l'abcès proprement dit.
espiration très pénible. La tempéra- ture s'élève brusquement et la mort arrive à six heures du soir, cinquante-six heur
cale de ce jeune cerveau, donnant lieu à un état convulsif suivi de mort . L'interprétation la plus logique de ce cas est
f, qui comme tout état convulsif chez l'enfant s'est terminé par la mort . C'est donc bien à 'une intoxication alcoolique
vis d'anémie, impulsions violentes). Vio- lent accès convulsif à la mort de sun père, mariage à trente-un ans. Se montre
poux, bon père, mais d'un caractère pusilla- nime et instable. A la mort de son premier né, violent chagrin suivi d'accè
ent rapide et précoce du tissu à examiner, immédiatement après la mort , chose qu'il est presque toujours impossible de f
à en signaler un important : dans la plupart de ces observations la mort est survenue à la suite de pyémie, fracture du
ente de celle des foyers précédents. Ici nous n'observons plus la mort complète du tissu enflammé : il n'y a que les cel
de ce genre chroniques pendant des semaines et des mOIs JUSqU'il la mort . Ons. 1. - Encéphalite diffuse, avec dégénéresc
endant quelques années à la clinique psychiatrique de Strasbourg et mort de pneumonie à l'âge de dix- neuf ans. Il était
à la vie et que la décapsulation complète entraine rapidement la mort , jusqu'à celles récentes de Lo Ré affirmant que d
l'ablation totale ou partielle de l'appareil capsulaire entraine la mort pour une espèce animale déterminée, quelle est la
spèce animale déterminée, quelle est la'cause déterminante de cette mort ? La mort est-elle le fait de la suppres- 488
ale déterminée, quelle est la'cause déterminante de cette mort ? La mort est-elle le fait de la suppres- 488 REVUE D'A
quelques jours d'abattement, ce qui semble bien démontrer que la mort des animaux décapsulés n'est pas due aux lésions
rtain que, chez les chiens décapsulés, les symptômes morbides et la mort sont dus à la suppression de la fonction capsul
tite pomme, occupant le milieu des ascendantes et ayant entraîné la mort en quelques mois. Méthode de Marchi. Dégénéres-
dispositioD des corpuscules de Nissl en tourbillons. Dans un cas de mort huit jours après une hémorrhagie ménin- gée, le
de Nissl sous forme de poussière. Chez un syphilitique secon- daire mort après plusieurs jours de délire avec convulsions,
de rires et enfin une période d'agitation maniaque qui détermina la mort un mois seulement après le début du rhume, les
raisons connues. La première est que les Chinois n'ont pas pour la mort cette terreur affolante, presque systématiqueme
réparation, rien qu'en menaçant de se suicider. En d'auttes cas la mort volontaire d'un homme entraine fatalement celle
ait deux amants. L'un de 518 BIBLIOGRAPHIE. ceux-ci se donna la mort sans tapage, par simple jalousie. Mais l'autre
se ramènent cependant au désir passionné d'être unis même dans la mort , à la souffrance de vivre séparés. M. Proal met e
les restes humains, fut suffoqué et le jeta à la porte. En 1893 est mort au pénitencier de Poelo-Alè¡ : ! 1 e, l'ancien bo
ssurant l'exercice. En Perse, le meurtrier est livré aux parents du mort , si ceux-ci ne veulent pas consentir àaccepter
J. Voisin et Haute, 189. Etat des cellules ner- veuses chez les - morts en état de mal, pa : 'llispal et.\nglaUe, 259.
36 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sme le 16 avril 1902. Vautopsie, pratiquée quelques heures après la mort , montra que nous avions bien affaire à un paral
es basilaire et sylviennes. Les yeux ont été fixés sitôt après la mort dans de l'alcool à 95°; les nerfs optiques dans
es ont été fixés dans le liquide de lllüller immédiatement après la mort . Après inclusion à la celloi- dine, nous avons
ement de six mois. L'autopsie pratiquée trente-deux heures après la mort nous per- mit de faire les constatations suivan
cordons postérieurs. Les yeux ont été fixés quatre heures après la mort dans la solu- tion de formol à 40 p. 1000, ce q
tique, à demi-idiot, habitant t Yrré-le-Polin (Sarthe), a trouvé la mort dans d'horribles circons- tances. Le pauvre dia
es confessions, etc., vient à tomber à la suite d'une couche, de la mort de sa mère, d'embarras d'argent survenus au mêm
Pas de troubles de la connaissance. Quand la maladie progresse, la mort est fréquente par gangrène du décubitus. La gué
nerfs. L'évolution comporte plusieurs mois, une année ou deux. La mort en trois à quatre semaines est rare. L'histolog
au cours et en dehors desquelles il n'a pas de peur psychique de la mort . Il a de l'angoisse et pas d'anxiété. Ce fait m
M. Henri Dufour montre les coupes de moel4e provenant d'un malade mort tuberculeux et n'ayant présenté comme seul signe
te ans, mariée à un agriculteur, avait éprouvé un tel chagrin de la mort de ses parents, que ses facultés mentales en fu
la concierge qui exigea, malgré les compensations pécuniaires, la mort immédiate des criminels. On dut en passer par où
novembre 1902). Assistance DES épileptiques. Sous ce titre : Une mort horrible, la Petite Gironde du 17 septembre rel
eptique, à demi-idiot, habitant Irré-le-Polin (Sarthe), a trouvé la mort dans d'horribles circons- tances. Le pauvre dia
ge d'un animal. FAITS DIVERS. Nécrologie. Le Dr A.-51. RAÏCHLINE, mort il y a quelques mois, était né en Russie en 186
re. SERGE SOUXHANOrI. 1VÉCROLOGIE.- Nous apprenons à l'instant la mort du professeur KRAFTELI,NG ; le célèbre spéciali
RAFTELI,NG ; le célèbre spécialiste pour les maladies nerveuses est mort hier à Gratz. Asiles d'aliénés. Mouvement en no
outurière. Antécédents héréditaires. Son père, alcoolique avéré est mort de ' Cette observation, qui a été le point de d
inctive. Mariée assez jeune, elle a eu trois enfants dont deux sont morts en bas âge, l'un de convulsions, l'autre de gas
e. En effet, la première nuit elle entend de nouveau des menaces de mort avec des insultes grossières. « Aussitôt que tu
âgée de soixante-quinze ans. Antécédents héréditaires. Son père est mort à quatre-vingt ans Sa mère est morte à quarante
uberculose pulmonaire. Parmi ses frères ou soeurs, deux frères sont morts en bas Age, une soeur s'est suicidée (asphyxie
individu alcoolique avéré, elle a eu quatre enfants dont trois sont morts : un à douze mois de variole, un a quinze mois et
uinze ans, mêmes idées encore, qui ne l'ont plus quittée jusqu'à sa mort à quatre-vingt-quatorze ans. Elle conservait ces
t cérébral, du service militaire. Le père de la malade est lui-même mort à l'âge de soixante-quatre ans, albuminurique.
nfin, a eu cinq frères et une soeur; trois frères dont deux jumeaux morts en bas-âge. Un frère professeur, est nerveux. U
compagne d'une vive crainte de tout ce qui est capable de donner la mort : couteaux, aiguilles, épingles, etc. Ce cortèg
encore la crainte de toucher à tout ce qui est en état de donner la mort . A la cuisine, la vue d'un instrument tran- cha
otif. Les idées d'homicide et la crainte des objets- qui donnent la mort , la, préoccupent spécialement d'une façon conti
r mettre en relief le rôle de l'hérédité. Son père, alcoolique, est mort à un âge avancé à la suite d'une fluxion de poi
obsédante n'avait aucune relation avec le souvenir douloureux de la mort de son enfant, elle s'éveilla tout à coup, la p
e que par le trouble moral auquel £ elle est sujette : se donner la mort alors qu'il n'existe nulle cause, nul motif app
sile à Rennes; 'la mère morte paralysée. Son père, faible d'esprit, mort ^à la suite d'une attaque d'apoplexie. Ses deux
Le grand père maternel était alcoolique. Son père, hystérique, est mort à la suite d'une crise; était porté souvent aux
trois états différents qui seraient liés à chacune de ces périodes mort . bides. De cet exposé enfin, tel qu'il nous
uencés par la présence de la tumeur dans la cavité thoracique. La mort a eu lieu subitement. L'asthénie avait alors rétr
ns les végétations de l'endocarde et de la pulpe splénique après la mort . Le signe de Kernig a permis de faire un diagno
ar 198 SOCIÉTÉS SAVANTES. MM. Achard et Loeper, le 3 mai 1900, et mort dans leur service en quelques heures à la suite
laire des tumeurs de l'hypopbise. Cette marche rapide, évolution et mort en quatre ou cinq ans est caractéristique de la
ortante à connaître. Deux de nos malades, plusieurs mois avant leur mort , eurent des idées de persécution, l'un d'entre
eux devient véritable- ment dénient, un autre, quatre mois avant sa mort , eut une psy- chose érotomaniaque, un quatrième
204 -il SOCIÉTÉS SAVANTES. syringomyélie plusieurs mois avant la mort , il nous semblent donc avoir souvent une signif
lires d'hôpital), se terminant rapidement par la guérison ou par la mort , et nous ne pouvions nous résoudre à ranger dan
existence des organes et surtout par l'idée fixe, incessante d'une mort pro- chaine et certaine. Depuis quelques jour
de mélancolie anxieuse avec idées hypo- chondriaques « elle prie la mort » et idées de négation. Pendant vingt-quatre he
s une fièvre typhoïde. Mariée, elle a eu trois enfants, dont un est mort de convulsions. Toujours elle a eu des migraines
Antécédents hérédi- taires : Père et mère d'origine normande. Père mort à soixante- trois ans de cachexie cancéreuse (c
ne soeur morte à qua- rante-sept ans de broncho pneumonie. Un frère mort à vingt-cinq ans après pleurésie tuberculeuse.
euse dont elle ait gardé souvenir. Quelques angines. A partir de la mort de son père survenue quand elle avait dix-neuf
le était très anémiée, et de plus encore affectée, dit-elle, par la mort de sa mère survenue quatre mois auparavant ; pu
souffrant d'hémorragies nasales, et à qui elle avait dû cacher la mort de sa mère. La malade raconte que sous le chlor
trée souvent, mais dont elle ne sait même pas le nom, de vouloir sa mort . Elle apercevait, tantôt des foules en cir- cul
nseignements fournis par la femme : Antécédents héréditaires. Père, mort à soixante-dix ans, traumatisme crânien. Mère,
de ' ÉTUDE DES PSYCHOSES POST-OPÉRATOIRES. 231 la jeune fille est mort de paralysie générale; son père, sa mère et son
neur, dont les antécédents familiaux sont chargés : père alcoolique mort du delirium-tremens. Frère mort dans un asile d
iaux sont chargés : père alcoolique mort du delirium-tremens. Frère mort dans un asile départemental, d'aliénation menta
as encore exclus, quoique la tension était un peu diminuée après la mort du foetus, et les dangers d'infection croissaie
8° (au rectum). Le 10 janvier 1901, environ trois semaines après la mort du foe- tus, la laparotomie fut faite. Le sac
secondaires : elles sont destinées à combler le vide produit par la mort des éléments nerveux ; les fibres névro- glique
mendèrent mais reparurent quatre ans après et entraînèrent alors la mort delà malade. Du rapprochement de cette observat
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 273 3 gite cérébro-spinale entraîner la mort des sujets atteints de mal de Pott listuleux. A
ncipales formes sous lesquelles on voit le plus souvent survenir la mort dans l'épilepsie. 10 Attaque unique foudroyante
exceptionnel sans être pour cela coronariennes et entraîner soit la mort subite, soit la mort par déchéance car- diaque.
e pour cela coronariennes et entraîner soit la mort subite, soit la mort par déchéance car- diaque. Il s'agit probableme
usculaire à prédominance inférieure avec évo- lution très rapide et mort dans le marasme. Les signes pupillaires et la c
du 27 octobre 1902. Présidence de M. Motet. LE PRÉSIDENT annonce la mort de MM. Dagonet et Rousselin dont il fait. l'élo
Ces malades ont présenté, depuis le début de l'affection jusqu'à la mort , un état mélancolique grave, une dépression profo
on réduite de deux tiers comme nombre avec courbe spéciale et enfin mort pour bron- chite infectieuse assez rapide. Une
monter par une émotion, on empêcherait des aggravations et même des morts subites. Cette indication thérapeutique est d'a
ur venir s'étendre dans le champ du repos. lia eu, si l'image de la mort s'est offerte à ses yeux perdus dans, les derni
lupart, dans un état d'affaiblissement très grand ; beau- coup sont morts peu après leur entrée. En effet, sur ces 16 entré
or. moit dans mon corps des abcès qui 'manquèrent de me donner ir mort sur la fin de l'année 1657, ce qui a continué jus
gnature se fit avec restriction « ». En effet, douze jours après la mort de Jacqueline Arnauld, c'est-à-dire le 18 août 16
de rêveries, de vomissemens si grands, que l'on n'attendoit que la mort x. A peine relevée, « je retombai 1,ics, II. 37
furent attribuées à l'affaire de la.signature, et de crainte de la mort . A la fin de juin 1666, elle retomba malade. Le
quoi elle étoit sujette ». Elle assista à Vêpres avec un visage de mort , et passa toute la nuit « dans de grandes doule
ntrai dans sa chambre et que je jettai les yeux sur elle, je vis la mort sur son visage". » Les selles et les vomissemen
'on pourroit extorquer de moi, en santé, en maladie et surtout à la mort 7. » Une pareille déclaration prouve qu'elle av
E DES RELIGIEUSES. 333 vier 1724, c'est-à-dire l'avant-veille de sa mort , elle versa c un tor- rent de larmes 1 », en pe
sentent le chiffre de la mortalité de cet auteur. De ce nombre, 3 morts sont évidemment dues à l'intervention opératoire
s. Il ressort de cette statistique que Krause a une moyenne d'une mort sur trois cas, et une guérison absolue sur cas.
d et Herbet, il y a eu 17 décès. Becq en 1895 a réuni 41 cas avec 6 morts opératoires. Tiffany donne PARTICULARITÉS CLINI
S bE LA NEVRALGIE FACIALE. 337 î une statistique de 108 cas dont 24 morts , sans indiquer le nombre des guérisons. Le tr
ents. Pas de fausse couche ; la malade a eu 3 enfants dont l'un est mort de méningite, et les autres sont actuellement b
te : a Je ne suis pas malade; c'est de l'ennui; mon pauvre père est mort ; il n'y pas longtemps... Quel malheur ! il n'y
à l'angoisse de la tachycardie sans fièvre, trouble bulbaire, et la mort rapide avec dyspnée, autre trouble bulbaire san
doit être la première à recevoir. LE Président annonce ensuite la mort de M. Febvré ; ce collègue doit être considéré
eait un service important à l'asile de Ville-Evrard, pour lequel sa mort constitue une perte difficilement réparable'.
examiner les titres des candidats à la place laissée vacante par la mort de M. J. Falret. Recherches sur la topographie
e à terme et sans accident. Point de lues chez les parents. Le père mort à la suite d'un coup d'apoplexie, était un buve
ousses musculaires, des phénomènes vasculaires et congestifs (doigt mort ), des variations de la nutrition générale avec
durant lesquelles elle étouffe, pleure, se désespère et appelle la mort qui la délivrera de son martyre. Des troubles
des discussions de famille. En octobre 1901, un an environ après la mort de son mari, elle se sent prise des premières a
s de l'automobilisme. Observation III. M. F... trente-six ans. Père mort à soixante- cinq ans d'une congestion pulmonair
e violents battements de coeur et est assailli par la crainte d'une mort subite. Il parvient non sans peine à se réchauf
les crises se renouvellent toutes les nuits, avec la terreur de la mort imminente. Dès qu'il se trouve seul, l'an- gois
urs inquiet de sa maladie de coeur, tou- jours sous la menace de la mort immédiate, il néglige ses intérêts, se désole e
ocurer le soula- gement qu'on lui promettoit' », il se prépara à la mort . Il mourut ce même mois. Il était « d'un nature
coup souffrir la malade, s'aggrava en octobre, et se termina parla mort , le 10 novembre 1684 (soixante dix-huit ans) Il s
RITIQUE. ment un peu allier1 », était très charitable, craignait la mort et les jugements de Dieu. « Alliée à la plus gr
tre. Le second, Henri-Thomas du Fossé, né en 1631, mourut « d'une mort précipitée... qui l'enleva tout d'un coup'' », le
apportée dans les siens. Antoine Le Maistre était alors malade à la mort . « Un soir, lorsque tnut le monde étoit retiré
s'adressa précisément à celui qui faisoit la plus grande perte à la mort de M. Le Maître ] . » Celui-ci mourut eu effet
li- taire de Port-Royal à la suite de la frayeur que lui causa la mort subite d'un de ses amis. Voici ce qu'il écrit, à
s occupations, il perdit M. Le Maître qui fut enlevé par une promte mort le 4 novembre'. » De telle sorte que Pierre-Tho
ces raisons, je con- clus à une hallucination auditive. Ce signe de mort est connu dans le monde des mystiques sous le n
bien de la peine à me faire entendre » 7. Il fut quatre jours à la mort , et au bout de huit jours hors de danger. Il s'ag
de la Merci-Dieu. En 1650 (seize ans), son frère Gentien III étant mort , «l'on ne manqua pas, dit-il, de se servir de c
III étant mort, «l'on ne manqua pas, dit-il, de se servir de cette mort pour nous faire comprendre qu'il n'y avoit, ni
i jeunesse qui dut nous mettre en assurance contre la crainte d'une mort sembla- ble ss. Aussi, « voyant que ses deux fr
ne mort sembla- ble ss. Aussi, « voyant que ses deux frères étoient morts tout jeunes, il se dit à lui-même qu'il pourroi
aci, solitaire de Port-Royal, il se mit sous sa direction, après la mort d'Antoine Le Maistre (1658, vingt- quatre ans).
olitaires de Port-Royal, et le dévot Le Nain de Tillemont. Après la mort de sa mère, survenue le 10 novembre 1684 (cinqu
si cuisante de cette humeur'. » Ses douleurs ne cessèrent qu'à sa mort , qui survint en juin 1680. Elle fut enterrée à Po
elle avoit eu la docilité de se rendre à cela 2 ». Elle n'apprit la mort de cette soeur que huit ans après. La formule
vec fièvre continue. Des quatre dont nous connaissons l'âge de la mort , la première (Anne-Marie de Flècelles de Brégy)
se sont pro- duites au cours des derniers jours qui précédèrent la mort . Alors que la chorée chronique est caractérisée
fait, ces mouvements ont cessé complètement quelques jours avant la mort . La physionomie pathologique s'est trouvée brisée
autant qu'elle a lieu seulement les quelques jours qui précèdent la mort (Revue neza- rologique, mai 1902). E. B. REVU
on les exècre, on les évite, on les condamne au bâton, au cachot, à mort . Le criminel aliéné est tenu pour sain d'esprit e
ns violents ont disparu pour toujours, mais tout le passé n'est pas mort ; il y a des traditions qui se perpétuent. Hie
faits qui peuvent ou doivent être l'objet d'une mention spéciale, ( morts , accidents, cas spéciaux, matelas mouillés, vis
ambes, insomnie, etc. Cette femme aimait follement un homme qui est mort subitement, il a a cinq ans ; ce traumatisme ps
ses ; depuis lors, les accès revien- nent à l'anniversaire de cette mort et à celui de leur première rencontre. Au sur e
ne crise d'anorexie hystérique, chaque année à l'anniversaire de la mort de sa mère. L'hypnotisme fortuit. M. 131 : 11
ue sa route à toute vitesse. Quelques jours après, il apprend cette mort enlisant les journaux et, d'inductions en induc-
objets, 2° phobies des lieux, des éléments, des 7nizla- dies, de la mort ; 3° phobies des êtres vivants. Comme les autres
, 3 ans. Le petit garçona pu se sauver. La mère et la fillette sont mortes . (Bonhomme Normand, 27 mars.) - A l'asile des
famille où la longévité n'est pas rare. Son père et un oncle sont morts à quatre-vingt-huit ans, une tante à quatre-vingt
cès. Son oncle et sa tante avaient eu plusieurs enfants qui étaient morts en bas âge. Sa mère était fille unique, elle es
rent. et auxquelles il succomba au quatrième mois. Elle attribua sa mort à son anomalie sexuelle. Six mois plus tard e
ours vécu avec lui en con- formité de goûts et d'idées, bien que sa mort la laissât pour un temps au moins dans une situ
ose en plaque, de la névrite, ont conservé derrière le masque d'une mort apparente de grandes manifestations vitales. Un d
e la persécution et avait tenté plusieurs fois déjà de se donner la mort .Les médecinsavaientconseilléàsafemme de lefaire a
nner dans les cabarets du quartier, si bien que le pauvre petit est mort de faim. La fille Dubosq a été pour- suivie et
37 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
divisés en trois catégories, ceux ou l'hémorrhagie avait déterminé la mort peu de temps après l'attaque et où l'encéphale ne
ervation partielle du mouvement volontaire au membre inférieur droit. Mort le 29 septembre 1866, cinq jours après l'attaque.
ctobre, assoupissement, puis résolution, insensibilité, coma et enfin mort . A 1''autopsie, on trouve dans l'encéphale plus
respiration est devenue. stertoreu.se, la température atteint 41°,8. Mort le 11 Mars 1867. A Yautopsie, on trouve des néo
plexie, hémiplégie gauche avec contracture, retour de l'intelligence. Mort neuf jours après l'attaque, le 24 Avril 1867. A
déviation de la face à gauche, résolution des quatres membres, coma. Mort cinq jours après l'attaque, le 20 mai 1807. Hér
quent, fa respiration s'embarrasse. La température monte à 39°,8 ; la mort survient deux jours après l'attaque le 2 juin 180
ux clans les urines, provoqué par la chaleur et par l'acide nitrique. Mort dans la journée de l'attaque, le 10 août 1867.
alysie des quatre membres, coma profond, température axillaire 39°,0. Mort dans les vingt-quatre heures, le 18 août 1867.
e la fesse du côté paralysé et élévation terminale de la température. Mort neuf jours après l'attaque, le 31 juillet 1866.
e 2 mars, une eschare commence à se former sur la fesse paralysée; la mort survient le 9 mars 1867, le douzième jour de la m
sement avec aggravation de l'hémiplégie. Deux ou trois jours avant sa mort , cette femme tombe dans la somnolence et te coma;
ologie. Elévation terminale de la température, qui monte jusqu'à 40°. Mort le troisième jour après l'attaque, le 20 juillet
férence de température d'un côté du corps à l'autre; dyspnée intense. Mort dans la journée même de l'attaque, le 13 novembre
e), 70 ans. —Ancienne hémiplégie droite avec contracture permanente ; mort le 30 juillet 1866. A Vautopsie, on trouve plus
oplexie avec hémiplégie droite qui survint trois ans environ avant la mort . L'hémiplégie s'était tardivement accompagnée de
te. La démence était devenue complète avec des périodes d'excitation. Mort le 11 août 1860. A Vautopsie, on trouve une néo
e primitive gauche, par un caillot déposé sur un ulcère athéromateux. Mort le 28 septembre 1866. Charcot. OEuv. compl. t.
ormes ayant débuté un an après l'attaque et augmentant graduellement. Mort le 23 novembre 1867, à la suite d'une nouvelle at
t. Tissier (Marie), GO ans. — Hémiplégie gauche datant de six mois. Mort le 10 mai 18G7. A Vautopsie, on trouve un foyer
er (1.) Homme de 70 ans, frappé d'apoplexie et d'hémiplégie gauche, mort au cinquième jour le 10 janvier 1868. A Vautops
20 février 18G8. Obs. LXXVII. Pitié. — Béiiier. Homme de 52 ans, mort d'hémorrhagie cérébrale. A Vautopsie, on a trouvé
igidité des muscles postérieurs du cou; la face est tournée à droite. Mort deux jours après l'attaque. Autopsie : Inflamma
fade pousse un cri, tombe à terre, et le coma survient immédiatement. Mort au bout de trois heures. Autopsie, Arcus senili
a sixième observation du docteur Heschl a trait à un homme de 47 ans, mort le 7 juillet 1862. Les petites artères de la prot
a douzième observation du docteur Heschl concerne un homme de 72 ans, mort le 12 octobre 1863. On trouva des ectasies capi
gie à début brusque, déterminée par une lésion du cerveau, lorsque la mort doit rapidement s'en suivre. Seulement, dans les
légie récente, de cause cérébrale, à début brusque et terminés par la mort , recueillis dans mon service, à la Salpêtrière, p
nzième jour, eschare énorme avec pourtour phlegmoneux. T. R. 38°, ô Mort le treizième jour. T. R. 40°, 3. Obs. II. Morea
fesse droite. T. R. 39°, 5. Sixième jour, eschare. T. P». 40°,5. Mort le sixième jour. Obs. III. Emeux, 59 ans. — Ram
idité. Le quatrième jour, ecchymose et bulle sur la fesse droite. Mort le neuvième jour. Obs. IV. Henry, 89 ans. — Ram
plaque violette avec excoriation de l'épiderme ; le soir, eschare. — Mort le 20e jour. Obs. V. Morlet, 81 ans. —Ramolliss
de l'érythème, le soir, tache noire avec soulèvement de Tépiderme. — Mort le troisième jour. TR. 40°. Obs. VI. Pessé, 47
et pfaque violacée de la fesse gauche. — Le troisième jour, eschare. — Mort ie treizième. T. R. 37°, 3/5. Obs. VII. Ilayaer
, ecchymose et bulle sur la fesse du côté paralysé. T. R. 37°, 4/5. — Mort le cinquième jour. T. R. 39°, 2/5. Obs. VIII. D
démie. T. R. 37°,2. — Dixième jour, eschare du derme. T. R. 38°, 8. — Mort fe douzième jour. T. R. 39°. Obs. IX. Page, 73
me jour, plaque ecchymotique et soulèvement épider-mique. T R. 40°. Mort le cinquième jour. T R. 41°, 2. Obs. X.Aubin, 8
flaccidité. Le quatrième jour, érythème et plaques ecchymotiques. — Mort le quatrième jour.T. R. 39°. Obs. XL Baudois, 9
ue. T. R. 37°, 4. Le huitième jour, début d'eschare, T. R. 37°,8. — Mort le neuvième jour. T.R. 37°,4. Obs. XII. Thomas,
re. Le troisième jour, plaque violacée de la fesse. T.R. 37°, 3/5.— Mort le quatrième jour. T. R, 41°. Obs. XIII. Marazi
Le troisième jour, tache violette et ampoule sur la fesse gauche. — Mort le quatrième jour. Obs. XIV. Buyck, 78 ans. — H
pièce de 2 francs, entourée d'une large plaque violette. T. R, 41°. — Mort le sixième jour. T. R. 41°. D. — Pac hymen ingi
e. Le dixième jour, plaque violacée, puis eschare. T.R. 37°, 4/5. — Mort le dix-septième jour T. R. 40°. L. — Tumeur cér
froncé sur la fesse gauche. T.R. 38°. Le quatrième jour, eschare. Mort le douzième jour. T.R. 39°,0. II. — Cas dans le
e de la fesse droite. — Le sixième jour, eschare à la fesse droite. Mort le sixième jour. T R. 40°, 2/5. Obs. XVIII. Com
— Le soir ecchymose et bulle sur la fesse du côté opposé. TR. 40°. — Mort le quatrième jour. TR. 40°. B. — Hémorragie int
, le soir, deux petites plaques violettes de l'autre côté. TR. 39°. — Mort te onzième jour. TR. 39°, 6. C. — Hémorragie so
delà fesse gauche. — Plaques violacées de la fesse droite : TR. 40°. Mort le cinquième jour. III. — CAS DANS LESQUELS l
e cinquième jour, une large plaque violette sur chacune des fesses. — Mort le cinquième jour. TR. 40°., 5. IV. — Cas dans
rrespondante. Hémiplégie gauche avec flaccidité à marche progressive. Mort le vingt-s'eptième jour. TR. 41°, 4/5. Obs. XXI
nte complète à gauche. Début apoplectique de la deuxième attaque. — Mort le cinquième jour. TR. 41°, 8. Obs. XXIV. Frais
avec perte de connaissance passagère, hémiplégie gauche incomplète. — Mort le sixième jour. TR. 40°, 4, B. — Hémorragie.
4, B. — Hémorragie. Obs. XXV. Renaud. — Hémorragie cérébelleuse. — Mort le premier jour. . Obs. XXVI. Rarbillon, 75 ans
ntriculaire. — Hémiplégie droite avec contracture, puis flaccidité. — Mort le sixième jour. TR. 39°, 1/5. Obs. XXVII. Rart
triculaire. — Début apoplectique, hémiplégie droite sans contracture; mort le sixième jour. TR. 10°, 0. Obs. XXVIII. Hénon
alysés. — Hémiplégie gauche avec contracture. — Début apoplectique. — Mort le troisième jour. TR. 39°, 4. En résumé, sur v
ie à début brusque, déterminée par une lésion du cerveau et suivie de mort dans un bref délai, seize fois il s'est produit s
n comme un signe du plus fâcheux augure, puisqu'elle fait présager la mort presque à coup sûr. Ce signe a d'autant plus de v
plication d'une phlegmasie viscérale, comme l'indice précurseur d'une mort très prochaine (1). L'ecchymose fessière paraît
e, mais leur époque d'apparition est tardive; elles manquent quand la mort survient très rapidement. Tout récemment, M. Char
tes foyers hémorrhagiques avec rupture des ventricules du cerveau, et mort rapide ; il n'y avait nulle part d'ecchymoses.
1°. Le chiffre 42° a été atteint plusieurs fois peu de temps avant sa mort . Cette brusque élévation de la température, dans
qui viennent d'être indiquées, est un signe à peu près certain d'une mort prochaine ; elle est habituellement précédée et c
n, la deuxième période, qui aboutit nécessairement et rapidement à la mort , est marquée par une élévation brusque de la temp
traumatique, par exemple, on voit le thermomètre monter même après la mort , particularité qui a été expliquée par l'équilibr
é 45°, 7 (!!) et le thermomètre continuant à s'élever encore après la mort , aurait atteint, dans ce cas, au bout de quarante
nt toniques ; elles ne durent que deux minutes et se terminent par la mort . Une minute aprèsle début des convulsions, la tem
bout d'une demi-heure, elle était à 39°,2 et s'y maintint jusqu'à la mort et pendant huit minutes après la mort. II. Lapi
9°,2 et s'y maintint jusqu'à la mort et pendant huit minutes après la mort . II. Lapin assez vigoureux. Température rectale
, la température descend graduellement en une demi-heure à 37°, 3. La mort survient à ce moment sans nouvelles convulsions.
-minute plus tard à 39°, 4, puis encore après une minute à 39°, 6. La mort survient à ce moment et la température reste à 39
moment et la température reste à 39°, 6 pendant six minutes après la mort . IV. Lapin gros et vigoureux. Température recta
ture descend graduellement, et en cinq minutes et demie, à 37°, 2. La mort survient à ce moment. V. Jeune chat. Températur
cendre graduellement, pendant dix minutes et demie, jusqu'à 37°.6. La mort survient à ce moment. Troisième série d'expérie
meurt. La température se maintient à 49° pendant dix minutes après la mort . VIII, Lapin gros et vigoureux. Température rec
gauche. Le 18, !e râle laryngo-trachéal se développe, et bientôt la mort survient. — Le traitement employé a été le suivan
suivants ; les poumons s'engouent, un coma profond se déclare, et la mort survient le 18 septembre, treize jours après le d
ue, brusque comme la précédente, s'est déclarée treize jours avant la mort . Si l'on rapproche ces diverses circonstances de
au moment de la dernière attaque, c'est-à-dire treize jours avant la mort . Ceci bien établi, admettra-t-on que les produi
s observations où ces produits ont été trouvés à l'autopsie de sujets morts de paralysie générale. Pour M. Brunet, les néomem
. M. Hasse a rencontré la pachyméningite à son début sur des sujets morts de maladies les plus diverses : dans des cas de p
lief dans les descriptions classiques, et qui détermine en général la mort dans un assez court espace de temps. Tel est, e
. 26o, il est question d'une femme âgée de 48 ans qui, un an avant sa mort , tomba dans un escalier et se fit des contusions
continue ses occupations domestiques jusqu'à trois semaines avant sa mort , qu'elle est prise de fièvre et de délire furieux
e de l'oreille qui est le siège d'un écoulement. Trois jours avant sa mort , elle -tombe dans le coma, avec paralysie in co
s qu'il tire de différents auteurs. Ainsi Desault parle d'un malade mort un mois après un coup reçu sur la tête, et chez l
xtrêmement long et pénible; le travail dure trois jours. L'enfant est mort , et même sa mort paraît dater de plusieurs jours
t pénible; le travail dure trois jours. L'enfant est mort, et même sa mort paraît dater de plusieurs jours avant l'accouchem
es incurables, salle Sainte-Cécile, n° 10. Le père de cette femme est mort à 84 ans, sans jamais avoir été affecté de maladi
16 pulsations. Température rectale. 40°, le matin; le soir, 11°,8. La mort survient dans la nuit. Autopsie. Les artères qu
membres droits. Ces douleurs, qui ont persisté jusqu'à l'époque de la mort , occupent surtout les articulations : là elles se
on meut les jointures du membre supérieur gauche. T. R. 39°, G. — La mort survient le 19, à six heures du soir. Quinze he
a mort survient le 19, à six heures du soir. Quinze heures après la mort , on constate ce qui suit : les membres supérieur
germains du côté paternel bégaye et est épileptique. La mère a eu une mort mystérieuse. Voilà, je le répète, des antécédents
fesses, p. 80; — cas d'hémiplégie sans eschare, p. 82; — signe d'une mort prochaine, p. 84. ii Galvanique (Action du co
38 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
ion a consenti à la faire cesser. Qu’est-ce que l’extase ? C’est la mort sans la mort, décrite par Platon; c’est un état é
i à la faire cesser. Qu’est-ce que l’extase ? C’est la mort sans la mort , décrite par Platon; c’est un état également nouv
ule. Enfin la plupart de ses frères et soeurs, au nombre de dix, sont morts très-jeuues de convulsions. Cette femme est suj
eçu devant n’importe quelle juridiction où les questions de vie et de mort se résolvent d’après les témoignages. Les expér
s qu’eux. Encore un souvenir : — Est-ce que les esprits, après la mort , ne vont pas choisir spontanément chacun leur pla
spirée de Dieu et que Dieu lui dévoile ses secrets ; que les âmes des morts lui font connaître leurs souffrances et leurs bes
elle; vous avez fait telles rencontres; votre père et votre mère sont morts depuis telle époque, leurs âmes qui sont en souff
ouche et prenant son enfant pour une oie, allait le faire périr d’une mort cruelle. Le père était heureusement arrivé assez
ette triste journée, elle nous raconta que dans la nuit qui suivit sa mort et avant qu’elle ait pu avoir connaissance de cet
pt heures du matin que nous avons appris, par une lettre de Paris, la mort de Marie arrivée la veille à six heures du matin,
hase descendante : DÉCLIN. j “^ude. fre Transition descendante : la MORT . >.................. Mais, dira-t-on, ce t
réSf qt, su" S (•) Dans un vojage en Lorraine où m’avait conduil la mort d'un de me, in.» , . . mefntprédilc d'une façon d
j'ai perdus depuis longtemps. Il n’avait que sept mois lorsqu’il est mort . — « Je veille sur notre famille, et, pour que
ort réservé dans ses hypothèses sur l'état des êtres humains après la mort . Il ne sera pas sans intérêt pour nos lecteurs îl
elquefois contre le gré de l’une d’elles, et annulé légalement par la mort d’une des deux parties. Cet engagement peut se re
les sphères, il est seulement âme et esprit. Arrivé aux portes de la mort , il se dépouille de la forme extérieure, comme il
et entrera en communication plus intime avec l’auteur de son être. La mort perdra son aiguillon, et le tombeau sera dépouill
. plusou moins éclatante, selon la série où nous transmigrons. « La mort ne brise rien ! » nous écrivait uno de ces manife
m It tau abtoU du mot t les diverses transmutations que nous appelons mort », d’après notre langage conventionnel, ne sont qu
d’une existence honorable, écrit cet auteur si consciencieux (1), la mort est plutôt paisible et solennelle qu’efFrayante e
re. — Avant d'être réveillée, Anna me prédit: « Du chagrin I... Une mort jeuneI — Oh 1 no vous en affligez pas, ajouta la
x se lèvent. Des voix de l’espace ont crié jadis : « Le grand Pau est mort !.. » Les voix jeunes d’une radieuse aurore s’écr
ne, convive de ce fameux (1) Legiusd d’Aussy, membre do l'institut, mort en 1801. souper, et qui le rapporte comme un si
bout desquelles elle ressuscite pour mourir de nouveau. « Aussi la mort réelle n’est pour elle qu’un vain mot, car souven
frappant exemple, puisqu’il nous assure que son héros, M. Gerdy, est mort de la phthisie pulmonaire, dont il ne s’est jamai
pas prendre sur moi de la soigner seul ; et, pour empêcher, en cas de mort , la critique du voisinage de dire que j’avais lai
que si je m’étais adressé à lui aussitôt, mon enfant ne serait pas mort , et me dit de lui écrire en pareil cas, qu’il agi
i bien de loin comme de près : car, dans ce moment-lii et jusqu’il sa mort , il lui a été interdit de recevoir cliez lui aucu
votre neveu m’a beau-* coup occupé et fatigué ; il était malade à la mort , etc., etc. » Le 2 octobre , mon neveu m’écrivit
t guéris? Des persécutions et rien que des persécutions, et, après sa mort , les journalistes de Bordeaux, aussi bien que ceu
Et lorsque la majorité est pour l'opération , qu’en résulte-t-il ? La mort de la vic-vime souvent dans les vingt-quatre ou s
rces puissantes, l’amour de l’absurde , du merveilleux, la peur de la mort .... et puis les remèdes secrets, les sirops pré
ndant plusieurs heures, ses amis et le médecin le regardèrent comme mort . Néanmoins, il revint à la vie : il raconta qu’il
quelqu’un pour s’informer de la réalité et des circonstances de leur mort . Il se trouva que ces deux personnes étaient réel
de leur mort. Il se trouva que ces deux personnes étaient réellement mortes pendant la crise de Say ; et tout ce que ce derni
out ce que ce dernier avait rapporté de la manière dont elles étaient mortes fut confirmé de point en point. La troisième des
veuve envoya vers lui pour lui demander s’il pensait que les âmes des morts se connussent. Il répondit affirmativement, et il
de cette marque d’estime, je les en remercie ; mais qu’un jour, à ma mort , e lie retourne à sa source première, qu’elle soi
été bien remplie, laissons à Dieu les destinées du lendemain. « La mort n’est qu’un mot vide de sens, le repos même est u
s apercevons seulement les diverses phases de ces transformations. La mort , Messieurs, n’est qu’un réveil, une résurrection
de boire àdes idées abstraites, lorsqu’on ne boit pas à la santé des morts . Nous n’avons point à nous demander comment le mo
— même au milieu d’un repas, — que de rendre hommage à la mémoire des morts ; nous ne refusons point de prendre part à des to
n’est plus qu’un lieu d’exil, d’expiation, peut-être,... mais que la mort relie au ciel... — Ne sommes-nous pas rassurés su
int une révélation ? « Avez-vous compris qu’à ce droit de vie et de mort , inhérent au titre de père, s’attache un sens mor
qu’alors?... De ce droit, qui en constitue deux, laissons le droit de mort aux temps anciens et barbares. — Le droit de vie,
— N’est-ce pas là, Mesdames et Messieurs, ce beau droit de vie et de mort , noblement, saintement reconstitué? « Je suis u
ille amie, qui, elle aussi, avait été douloureusement éprouvée par la mort prématurée d’une fille, charmante jeune femme, ma
intermédiaire de ses sibylles, a le rare privilège de causer avec les morts ! Jugez, monsieur le rédacteur, si je fus heure
ans quel régiment? — 29' (ou 30*) infanterie. — A quelle époque es-tu mort ? (La date est donnée. C’était dans l’été de 1854.
i, en sa propre personne, tous les symptômes de la maladie dont était mort le défunt; sa figure, sa voix, ont pris de la res
éfunt; sa figure, sa voix, ont pris de la ressemblance avec celles du mort ; il a été affecté d’une toux violente, absolumen
ux, elle me dit tout bas qu’il étaitptirli (c’est sa phrase pour dire mort ; car, comme beaucoup de somnambules, elle ne veu
r, comme beaucoup de somnambules, elle ne veut pas employer le mot de mort ou de mourir). C’était du choléra. Après quelques
ste il lui arrive toujours quand elle voit, dans le somnambulisme, un mort quelconque. Comme elle ne savait absolument rien
ou le Canada, dont l’esprit (soi-disant) nous entretenait, qui était mort il y a à peu près cent ans d’après son dire, mais
omnambulisme. Une fois qu’elle y était, la table répondit au nom d’un mort , bien connu de mon amie, mais absolument inconnu
e de ce fait. Il est certain que les réponses leur semblent venir des morts , niais en ceci il n’y a rien de bien diflicile à
xpériences que j’ai faites, je n’ai rien vu qui pût démontrer que les morts y fussent pour quelque chose. Il est possible qu’
un médium avait des communications très-satisfaisantes de ses parents morts ; mais que, quelque temps après, l’orgueil le pou
qu’à présent, autant que j’en puis juger, l’hypothèse des esprits des morts , comme cause directe des phénomènes, n’en est pas
te lettre fut mise à la poste, une lettre de son mari l’informa de la mort d’une cousine à lui, qu’elle n’avait vue qu’une o
le jour même de cette dernière vision. A l’époque de la vision de la mort , elle venait justement de mourir subitement, quoi
nt comme plus tard les journaux. Et elle ne savait môme pas qu’il fût mort , n’en ayant jamais entendu parler. ' Septième f
ais entendu parler. ' Septième fait. — Elle a vu l'empereur Nicolas mort , d'abord sur son lit, ensuite dans une église, et
, mais encadrée d’une sinistre bande noire et m’annonçant, hélas ! la mort des deux jeunes et belles filles que j’avais quit
dus supposés?... Pourquoi ne pas, au contraire, faire pressentir leur mort à ces deux jeunes personnes en leur annonçant, sa
ez beau dire, répéter et crier que vous entendez par esprits ceux des morts , ceux intermédiaires ou habitant des zones ou mon
isions au loin, « prophéties politiques, révélations sur les âmes des morts , « apparition des esprits, religions nouvelles, t
, mais touchant cependant en passant les révélations sur les Ames des morts et les apparitions d’esprits, ne vous paraissent-
nt ainsi leur présence visible et tangible (comme le Christ, après sa mort , se manifesta à ses apôtres en diverses occasions
fection est héréditaire. Un de ses parents, qui en était affecté, est mort fou. « Le sujet offre beaucoup de sensibilité,
u bas-ventre. Traitée par plusieurs médecins, elle avait échappé à la mort , mais la maladie passa à l’état chronique, se con
ique, sans avoir recours au dédoublement de 1 être, —sans admettre la mort de l’animal intégral et la survie d’âmes inférieu
lière et qui se prolonge normalement, parce que , dans ces cas, la mort résuIte pour les fractions de la division elle-mê
us admettez la persistance de l’individualité animique, même après la mort de l’homme : « Quand nous désignons le corps pa
s textuellement, vous admettez la continuation de l’individu après la mort corporelle , puisque Individualité animique est p
a perle d’âmes qui, au moment d’une des transitions que nous appelons morts , abandonneront, en vertu de leur spontanéité, l’â
ucidité qui provient ordinairement du sommeil somnambulique. Après la mort de M. Olivier, la dame D..., poussée par un senti
dies les plus graves, déterminer instantanément la syncope et même la mort . Mais ce qu’il nous importe d’indiquer brièveme
ande excitation. Il me cria : — Dieu ! Edmonds, est-ce bien vrai ? La mort est- elle bien ce que vous disiez? Et qu’est-ce
ai ? La mort est- elle bien ce que vous disiez? Et qu’est-ce que la mort ? Est-il possible qu’elle produise des transformat
est donc une vérité ! Je le vois bien à présent. Je sais que je suis mort ; mais maintenant il me semble que je suis sur te
s services ; car non seulement elle l’avait délivré des terreurs delà mort , mais encore elle l’avait mis en état, lors de so
ndition où ils se trouvaient, et une voix leur dit : Les portes de la mort ont été ouvertes pour vous.—Maintenant que les po
s phases pendant lesquelles la malade fut plusieurs fois en danger de mort ; elle perdit la mémoire et ne reconnaissait plus
intensité, elle eut des accès de démence et chercha à échapper par la mort à des souffrances devenues intolérables. Le docte
vée en défaut sur un seul point, c’est quand elle a annoncé sa propre mort . Il est vraisemblable que la lucide voit apparaît
s, qu’on ne doit pas se laisser décourager quand un lucide annonce sa mort pour une époque fixe. Il peut se faire que ce qu’
pour une époque fixe. Il peut se faire que ce qu’elle a pris pour la mort ne soit qu’une léthargie. D’ailleurs il ne faut p
hoses se seraient passées ainsi sans l’événement qui l’a frappé d’une mort prématurée. Cet événement était en dehors du cerc
chercher sur la terre, ne l’ayant pas trouvé, j’en conclus qu’il est mort ! (Oui). — Il y a déjà longtemps ; géné-néral, vou
raissent. Si on désire voir un des siens, même des personnes qui sont mortes , les images de ces personnes paraîtront sur la de
sent tous les doutes. Les évocations et les communications avec les morts ne sont pas, d’ailleurs, des phénomènes qui daten
ense de consulter l'esprit de Python, des devins, ou d'interroger tes morts , pour apprendre d'eux la vérité (1). Le récit d
tres villes. Nos devins y viennent évoquer les ombres tranquilles des morts , ou repousser au fond des enfers celles qui troub
n donner de la croyance des Hébreux à la persistance de làmo après la mort ? Comment pourrait-on évoquer les morts, s'ils n’o
la persistance de làmo après la mort? Comment pourrait-on évoquer les morts , s'ils n’oxistaient plus? dire que nous ne cons
lus ni gai, ni triste ; mais j’éprouvais un singulier attrait pour la mort , sans être, cependant, aucunement tenté de recour
nt jusqu'à 103, la proportion des décès a été de 5 pour 100 ; soit 10 morts sur 200 opérés, parmi lesquels un grand nombre av
btenues, c’est que chez pas un seul des patients qui ont succombé, la mort n’est arrivée immédiatement et directement par su
elquefois contre le gré de l’une d’elles, et annulé légalement par la mort de l’une des deux parties. Cet engagement peut se
e jour suivant encore celui-ci, la malade était guérie, et le chanvre mort 1 Madame V... dit au magnétiseur : «Tenez, mons
linée, et dont les feuilles criaient sous le doigt comme les feuilles mortes en décembre crient sous les pieds qui les froisse
t résulter. Le lendemain, les tiges étaient relevées et les feuille mortes commençaient à se détacher. Le troisième jour,
qui empoisonne le chanvre ; car tout mal qui donne ou peut donner la mort est un poison. Ici toute la péripétie d’une ago
dre de les affliger, ni de les tromper,- puisque tous les mourants et morts se portent à merveille. Malade moi-même et char
avec plaisir aux derniers moments de mes deux fleurs désignées à. la mort ! Robert D'AULNE. CORRESPONDANCE. Lettre ii
une des grandeurs de la terre. On sut qu’à cette heure-là même était mort Ratbod, puissant duc de Frise et ennemi de Charle
d’Avesnes. h Thierry, le frère de Gérard d’Avesnes, qui périt d’une mort à la fois si tragique et si glorieuse en terre sa
orte qu’Ade de Roue y, son épouse, avait eu le pressentiment de cette mort , qu’elle en avait prévenu son mari, s’était jetée
enfant, l’autre, sa femme , que les médecins avaient abandonnés comme morts . « Voici l’épisode de la bataille de Malplaquet
victime de son courage et qu'il figure au nombre de ceux qu’on croit morts . A lors elle tombe dans les convulsions du désesp
ivers changements. La grande loi de la vie n’est point changée par la mort ou par le rejet d’une matière pour une autre : il
foyer de la contagion. Qui osera dire alors que les souffrances et la mort de l’une, que le salut physique de l’autre sont l
iverez là comme nous. Les Américains sont persuadés que ce sont des morts qui reviennent, d’autres que ce sont des esprits,
ante-six ans, habitant d’un village voisin de Paris, s’était donné la mort en se coupant la gorge avec un rasoir. Sur un m
es, ma sœur, et avant eux dix de mes aïeux se sont eux-mêmes donné la mort . Tu sais que j’avais doublé par mon travail et mo
guée mes parents ; mais one pensée fatale me dominait sans cesse : la mort ! qui me faisait entrevoir, dans un inonde inconnu
méraire, la faculté de parler sur la religion, d’évoquer les âmes des morts , de recevoir des réponses, de découvrir des chose
? — J’étais sans profession. — Tu étais donc rentier? — Oui. — Es-tu mort depuis longtemps? — Oui. — Combien d’années? fr
. —Qu’est-ce donc qu’un esprit? —Tu nelecom-prendrais pas. — Après la mort le comprendrons-nous? — Oui. — Aucun vivant ne pe
ton histoire? — Oui. — Eh bien ! réponds. Etais-tu vieux quand tu es mort ? — Non. — Quel âge avais-tu ? — 19 ans. — De qu
tu es mort? — Non. — Quel âge avais-tu ? — 19 ans. — De quoi es-tu mort ? — Je me suis brûlé la cervelle. — Pourquoi ? — P
tu es malheureux ? — Oui. — Il n’est donc pas permis de se donner la mort ? — Non. — Y a-t-il plusieurs cieux? — Oui. — Comb
méraire, la faculté de parler sur la religion, d’évoquer les âmes des morts , de recevoir des réponses, de découvrir des chose
le? C’est ce qu’il s’agit d’examiner. Laissons de côté Vévocation des morts , chose très-peu connue en Europe et dont il est
les moyens les plus simples que fournit la nature, 385. Nécrologie. Mort des magnétistes Comte Negri de Montalcnghe. prési
39 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
INIQUE NERVEUSE. Épilepsie et fièvre typhoïde. (Deux épileptiques morts en crises subinlranles avec hyperthermie) ; PAR
deux observations avec autopsie : la première relative à un malade mort dans le deuxième septénaire ; la deuxième à un
se dure trois heures et se renouvelle les jours suivants jusqu'à la mort survenue quelques jours après dans l'ataxo-adyn
t un épileptique pour le deuxième). Les deux cas furent suivis de mort , mais dans l'un et l'autre cas, les auteurs sont
hermie typhique, a accentué cette hyperthermie, et dans lesquels la mort est survenue en crises convulsvies. EPILEPSIE E
e succèdent sans laisser de répit au ma- lade jusqu'au moment de la mort à 10 heures. Pendant toute cette période, les b
e réagit plus aux appels. A midi, une nouvelle crise apparaît et la mort survient une demi-heure après en pleines convul
'est qu'au cours d'ac- cès ultérieurs répétés et subintrants que la mort est survenue. Leur dothiénentérie se présentait
plus d'un an ; mais sur ces 7 sujets 4 ont de nouveau guéri. 4 sont morts depuis 1890. Le résultat total et la conclusion
lâchement des sphincters, émaciation, pouls fuyant, enfin menace de mort immi- nente. La malade guérit pourtant, mais sa
dicale a publié un article du professeur Lépine relatant dix cas de mort après l'emploi du sulfonal, survenus tous chez
897, sur un certificat le déclarant atteint de delirium tremens, et mort le lb octobre. A son entrée, il a le visage cou
ore notablement à tous égards; puis rechute, état d'inconscience et mort presque subite. A l'autopsie, lors de l'ouvertu
rovoquant ainsi les phénomènes de coin. 4 pression qui ont amené la mort . On n'a observé aucun symptôme pouvant se rappo
basant sur 5 gliomes ou sarcomes du cerveau ou du cervelet (malades morts à 6-43. ans), 2 avec pres- sion intra-cranienne
es. Evolution. L'évolution de cette maladie qui se termine par la mort ne dépasse pas deux ans. Il en a été ainsi dans t
sibilité, des sphincters, de l'intelli- gence : évolution rapide et mort au bout de -neuf mois avec des symptômes bulbai
ortant; aussi ne fut-on pas peu surpris en le trouvant, hier matin, mort dans son lit. Le cadavre a été transporté à la
eaux admis à l'asile de Little Rock, l'un en 1869, l'autre en 1881, morts tous deux de phtisie au bout de peu de mois, tous
s de dégénérescence. Il a une soeur jumelle jusqu'ici indemne. Père mort phtisique, mère névropathe et calculeuse. 2° V.
évropathe et calculeuse. 2° V..., trente et un ans, un frère jumeau mort à deux mois : Démence primitive d'origine alcoo
pileptique. Nombreux stigmates de dégéné- rescence, un frère jumeau mort en naissant; ce dernier était volu- mineux et t
e, quatre enfants qu'elle a nourris. Elle est jumelle avec un frère mort à dix-huit mois du croup. 5° B..., fille de q
indemne. La mère était une déséquilibrée hystérique ; un frère est mort idiot2. Ces divergences dans la façon dont se
nique dont DEUX NOUVEAUX CAS DE FOLIE GÉMELLAIRE. 103 le père est mort d'une pyrexie et la mère d'une affection organiqu
int cependant de troubles névropathiques. Son père, alcoolique, est mort des suites d'un accident : sa mère, vivante a d
st épileptique et aliénée. De ce couple sont nés dix enfants, trois morts en bas âge, deux morts à vingt et vingt-cinq an
ée. De ce couple sont nés dix enfants, trois morts en bas âge, deux morts à vingt et vingt-cinq ans de phtisie pulmonaire
le nous avons recueilli les renseignements suivants : Le père est mort à cinquante-trois ans d'une fièvre typhoïde. De
de variole hémorrhagique. Ils ont eu huit enfants dont quatre sont morts : l'aîné à vingt-deux ans de fièvre typhoïde; l
persister et persiste probablement souvent soixante heures après la mort .. R. M.-C. .136 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
e d'aussi bons résultats vingt-quatre ou trente-six heures après la mort qu'immédiatement. L'auteur entre ici dans de mi
édits de polynévrite due à la malaria, dont un s'est terminé par la mort , avec atrophie musculaire, albuminurie, et oedè
15° L'injection directe d'alcool dans la jugulaire a pour effet la mort du coeur. 1 (JO Donc le ralentissement du pouls e
Marie rapporte deux cas de fièvre typhoïde chez des épilepti- ques morts eu état de mal au cours de leur pyréxie. L'autops
s malades la myocardite peut être invoquée comme cause ultime de la mort ; l'autre paraît avoir succombé à la suite d'une
temps. En ce qui concerne les accidents ultimes ayant déterminé la mort chez les typhitlques .il y a lieu, dit-il, de s
ion d'un journal préten- dant qu'un peintre célèbre AI. B. L. était mort de syphilis alors que celui-ci avait succombé à
tance que la femme, tout en se disant morte n'accuse personne de sa mort , alors que l'homme attribue son trépas à de pui
maniaque s'amenda rapidement mais la surdité per- sista jusqu'à la mort survenue trois semaines après la dernière crise
que du sperme. La docimasie hépatique, c'est-à-dire la preuve de la mort rapide ou au contraire précédée d'une agonie, p
directs, personne n'a jamais été frappé de paralysie ; son père est mort d'hydropisie. Il a eu huit enfants dont deux sont
son père est mort d'hydropisie. Il a eu huit enfants dont deux sont morts , les six autres sont vivants ; parmi ces dernie
u'au moment de la paralysie, le gros orteil de ce côté aurait été « mort ». On cons- tate une esquisse du signe de Rombe
3° le malade; 4° Jean-Marie G... (obs. III); 5° et 6° deux jumelles mortes à l'âge de huit à neuf mois; 7° un frère en ce
s par M. Pitres ont vu leur maladie aboutir presque fatalement à la mort , soit du fait de leur lésion nerveuse, soit par
gmentée parce qu'on y garde les paralyliclues généraux jusqu'à leur mort . Mais il y a là un intérêt évident pour la vill
ral périphérique. L'aspect du ganglion nerveux du vague des animaux morts delà rage des rues est si spécial, que l'examen
elation clinique d'un cas d'hémorrhagie de la protubérance suivi de mort ; par William L. LESZYNSKY. (The New York Médi-
l'oppression et une dyspnée qui peut, mais très rarement, amener la mort . - Sur les vingt et un malades qui sont morts d
ès rarement, amener la mort. - Sur les vingt et un malades qui sont morts dans cette statis- tique de soixante et onze ca
et égard extrêmement variables. Dans sept des cas terminés par la mort l'autopsie a pu être faite : ce sera le sujet d
flexe du genou absent à droite, diminué à gauche. Pus dans l'urine. Mort . Autopsie : à l'coil nu les vaisseaux de la bas
observés se décomposent ainsi : 1° Gliome du lobe frontal droit. Mort . Autopsie ; 2° Sarcome multiple du cerveau. Opé
droit. Mort. Autopsie ; 2° Sarcome multiple du cerveau. Opération. Mort . Autopsie ; 3" Dégénérescence calcaire- du corp
. Mort. Autopsie ; 3" Dégénérescence calcaire- du corps pituitaire. Mort . Autopsie; 4° Tuberculose de la protubérance. M
orps pituitaire. Mort. Autopsie; 4° Tuberculose de la protubérance. Mort . Autopsie; 5° Gliome du centre ovale, des aires
t. Autopsie; 5° Gliome du centre ovale, des aires motrices droites. Mort . Autopsie ; 60 Gliome des aires motrices gauc
Mort. Autopsie ; 60 Gliome des aires motrices gauches. Opération. Mort ; '7° Tumeur sous-corticale des circonvolutions
ration. Pas d'amélioration; ' 8° Tumeur des aires motrices droites. Mort . Pas d'autopsie; 9° Tumeur des aires motrices g
roites. Mort. Pas d'autopsie; 9° Tumeur des aires motrices gauches. Mort . Pas d'autopsie; 10° Gomme à la base du cerveau
ices gauches. Mort. Pas d'autopsie; 10° Gomme à la base du cerveau. Mort . Pas d'autopsie ; 110 Tumeur dans les aires mot
Mort. Pas d'autopsie ; 110 Tumeur dans les aires motrices droites. Mort . Pas d'au- topsie ; 1211 Gomme dans les aires
s. Amélioration; 13° Abcès dans la circonvolution temporale gauche. Mort . Autopsie; . / ' - 14° Nodules tuberculeux da
° Nodules tuberculeux dans les lobes droit et gauche du cer- velet. Mort . Autopsie; ' 15" Kyste du lobe droit du cervele
er- velet. Mort. Autopsie; ' 15" Kyste du lobe droit du cervelet. Mort . Autopsie ; 16° Abcès du lobe gauche du cervele
du cervelet. Mort. Autopsie ; 16° Abcès du lobe gauche du cervelet. Mort . Autopsie. Nous résumons d'après M. Krauss l'an
eu- vres on put réduire la saillie, mais la dépression subsista. La mort fut principalement due à l'épuisement. A l'aù
tral systolique. Le len- demain, accouchement prématuré d'un enfant mort . Affaiblisse- x ment progressif et rapide. L'au
it laissé dehors durant la nuit. Le len- demain il avait été trouvé mort . (Bonhomme Normand, 31 janvier 1901.) Ivrogne
il nom- breux grands-oncles, grand' tantes et une tante paternels, morts de tuberculose. Tante paternelle, coi ? viilsio
veloppement de la tète, du front surtout. Accidents méningitiques ; mort rapide. Autopsie. Crâne mince avec de nombreuse
Ses grands-parents paternels et son grand-père maternel seraient morts vieux, il ne sait de quoi. Sa grand'mère maternel
pas eu de convulsions. Quatre oncles maternels, célibataires, sont morts vers trente-cinq ou trente-six ans de la tubercul
tuberculose. Sept tantes maternelles dont cinq, célibataires, sont mortes vers IDIOTIE MICROCÉPHALIQUE. 275 7 trente-qu
s, l'enfant meurt' avec une T. R. de 40°,5. La température après la mort au offert la marche ci-après : 282 -) ANATOMI
ilique à laquelle l'enfant a succombé'. IV. La température après la mort montre que progres- sivement, en 15 heures, ell
gues, le thermomètre fournit un signe certain de la réalité de la mort . . V. Au point de vue anatomo-pathologique, nou
mbre à 8 heures du matin. La température prise dix minutes avant la mort s'élevait à 40-3. Revenons maintenant sur les d
droite, la tem- pérature montant rapidement à 40°,3 au moment de la mort , comme pour légitimer l'idée d'une méningite.
ne méningite. Autopsie pratiquée le 4 novembre (2'r heures après la mort ), donna les résultats suivants : poumons : cong
as été étrangères à l'apparition du processus aigu qui détermina sa mort . 1 Dans le cas où le diagnostic ferme eût pu êt
t de torpeur profonde, dont il ne devait plus se relever jusqu'à sa mort . Un médecin consulté à ce moment conseille son
disposé de façon à éviter la congestion passive du cerveau après la mort . Deux billots ont soutenu le crâne qui de ce fa
temps les ganglions cérébro-spinaux et sympathiques de deux chiens morts de la rage naturelle et d'un chien mort dix-neu
ympathiques de deux chiens morts de la rage naturelle et d'un chien mort dix-neuf jours après inoculation du virus des rue
ns noueux du nerf vague existent du façon constante chez les chiens morts de l'évolution naturelle de la rage et leur con
nesthésie et para- ljsie). - Si elles font défaut chez les chiens morts de la rage expérimen- tale aussi bien du reste
, ces animaux devraient être tenus en observation afin qu'en cas de mort on puisse établir avec une certitude absolue, par
ensibilité générale ; dépression des forces ; eschare'au sacrum, et mort . A l'autopsie, on trouve les arcs vertébraux ramo
conde ; mais malheureusement le vieil esprit métaphysique n'est pas mort et se retrouve encore trop souvent dans les oeuvr
cte. Les auteurs ont étudié six cas de folie aiguë dans lesquels la mort était survenue par épuisement (trois cas de man
100. Mais la différence avec la proportion formée par les malades morts dans les hôpitaux généraux ne porte pas seulement
lement. avec celle-ci ; elle peut s'observer aussi chez les malades morts dans les hôpitaux généraux, mais à un degré beauc
très altéré, qu'un retour à la raison précède de quelques heures la mort . Simon. XII. Sur l'opportunité d'affecter les
ois accès maniaques, hyper- thermie parfois suivie d'hypothermie et mort par maladie inter- mittente ou dans le marasme.
Bientôt parésie, obtusion, tremblement, gâtisme partiel, fièvre et mort en février. A l'autopsie : très petit abcès du
entes. A la fin, fièvre suivie d hypothermie, inconscience absolue, mort le 2 avril. Al'autopsie, dure-mère adhé- rente,
miplégie droite avec exagération des réflexes, démence progressive, mort à trente ans. Lésion primitive des ganglions de
épileptiformes et réflexes exagérés (de naissance), pas de démence, mort à trente- trois ans. Atrophie des circonvolutio
teur honoraire de l'asile départemental d'aliénés de Prémontré, est mort à la fin de février. A ses obsè- ques'qui ont e
fondateur de la Société médico- 1)ychologiqite. Nous apprenons la mort de M- RASSE, interne de l'asile d'aliénés de Pr
terne à Prémontré, en 1874, fonctions qu'il a conservées jusqu'à sa mort ; c'était assurément le plus ancien interne de t
cerveau. Influence de l'oblitération de l'artère basi- laire sur la mort . P. IEIIAYAL. 394 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
ition des premiers symptômes, deuxième attaque d'apoplexie, coma et mort . A l'autopsie, anévrysme de la grosseur d'un oe
e, pas de convulsions. Cet état dure sept mois et se termine par la mort au cours d'une broncho-pneumonie. A l'autopsie,
inges spinales ou cérébrales provoque des mouvements convulsifs. La mort soudaine parait due à une paralysie par compres
ce intellectuelle et d'hémiplégie ; depuis au moins 15 ans avant sa mort (on n'a pas de renseignements antérieurs) elle
courses de taureaux, à la vue de l'animal poursuivi et en danger de mort . Cette perversion sexuelle Archives, 2' série,
ce long travail est consacré à la phtisie considérée comme cause de mort dans les asiles : voici les princi- paux points
pas moins vrai que, dans la plupart des cas qui se terminent par la mort , la tubercu- lose a été acquise à l'asile. En r
lleurs la'plupart des causes qui poussent les hommes à se donner la mort sont les mêmes, que le sujet soit sain ou alién
8 femmes. En 1898, 12 cas, tous chez les femmes avec 4 décès. La mort survient généralement par affaiblissement progres
igrissement rapide. Etat général grave. Confusion mentale profonde. Mort le huitième jour de la maladie. Observation II.
0 ; inéga- lité des pupilles, avec réaction très vive à la lumière. Mort le sixième jour. A l'autopsie on constate dan
ix-sept ans, précipitam- ment amenée auprès de sa mère en danger de mort , éprouve une telle émotion qu'elle présente une
ne hémichorée droite qui dure six mois. Deux ans après, survient la mort de sa mère. En revenant du cimetière, cette jeu
lle-mère, âgée de quatre- vingt-cinq ans, rentière au même lieu. La mort a été presque ins- 'tantanée. La meurtrière ava
, la prenant dans ses bras, elle s'étendit sur un lit, attendant la mort . Lorsque M. Eucher rentra de son travail, il tr
urances, M. Henri Bellencon- tre, et chercha ensuite à se donner la mort . Le drame s'est déroulé dans la pension de fami
27 mars 1901 .) Nécrologie. Dr Singer. Nous avons à enregistrer la mort prématurée d'un jeune médecin adjoint des asile
tout débauché, remarié un mois après avoir perdu sa première femme; mort à cinquante ans par suicide (coup de fusil). Sa
e père eut également trois enfants bien venus et vivant encore à sa mort , mais perdus de vue depuis cette époque. Vict
de. Il se tira un coup de fusil sous le menton : mais voyant que la mort ne venait pas assez vile, il eut le courage de
nd les dépo- sitions se produisaient il devenait « comme s'il était mort ». H y a déjà un an que ses attaques ont dispar
aient lieu, pendant les- quels l'enfant devenait « comme s'il était mort », je ne pourrais pas affirmer qu'ils ne furent
equel il est un tonique puissant. La manière dont l'if détermine la mort mérite d'être signalée ; ordinairement il n'y a
l de tête ou de légers troubles gastriques; mais le plus souvent la mort survient avec une soudaineté terrible. Il est don
se reproduisant parfois de façon subintrante. A plus forte dose la mort survient. Note hi,51ologiqiie sur les myélites
ques, 7 p. 100, etc. D'après les auteurs. du recueil, le nombre des morts varia entre 10 p. 100 et 13 p. 100. Oesterlen d
erait cinq fuis plus grande que parmi les gens normaux. Des malades morts dans la clinique de M. Bekhtereff 45,2 p. 100 s
es malades morts dans la clinique de M. Bekhtereff 45,2 p. 100 sont morts à la suite des affections pulmonaires (l ? 7 p. 1
40 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
soldat, on ne croit pas qu'il ait eu de maladies vénériennes. [Père mort à 76 ans ; - mère morte à 40 ans ; « de chagrins
40 ans ; « de chagrins cau- sés par des pertes d'argent. » Un frère mort d'une fièvre typhoïde; trois soeurs ont l'une t
-unes ; elles ont disparu vers 30 ans; pas d'autres maladies. [Père mort à 87 ans d'une ma- ladie de l'estomac,sobre ; m
morte à 88 ans de vieillesse; grands parents maternels et paternels morts à un âge avancé; quatre frères bien portants ai
sanguinité. 20 TRAITEMENT HYDROTHÉRAPIQUE. 6 enfants : 1° garçon mort d'un chaud et froid à 28 ans après 18 mois de m
r auprès d'elle et bientôt elle s'aperçut un jour qu'il était comme mort , tout raide, la face pâle, bleue, froide ; aupara
re (15 mars 1880.) Père, sous- brigadier à la Préfecture de Police, mort à l'âge de 44 ans, en 1876, est tombé par accid
de l'absinthe, » il n'était pas violent ; - un an ou deux avant sa mort , il aurait eu des étourdissements attribués à c
u dehors pour son service, il restait au bureau. [Père, cordonnier, mort à 60 ans d'un catharre pulmonaire. - Mère, alco
able, elle a eu beaucoup d'ennuis pour élever ses enfants depuis la mort de son mari ; elle est nerveuse, colérique, ple
ues de nerfs, de syncopes ou de migraines. [Père, menuisier, sobre, mort empoisonné accidentellement après avoir mangé d
douleurs abdominales, des coliques, des vomissements verdâtres ; la mort ne survint qu'au bout do 4 semaines. - Mère, mo
de Chartres, il l'avait acca- blée de coups). - Grand-père maternel mort à 87 ans. - Grand' mère maternelle bien portant
] observations. 25 Pas de consanguinité. - 11 enfants : 1° Garçon mort en nourrice de convulsions au moment de la dent
ion à 14 mois. - 2° Fille morte des suites d'une chute. - 3° Garçon mort à 10 mois en nourrice, on ne sait de quoi. - 4°
; il avait enfoncé son bonnet de coton jusqu'au menton ; on le crut mort ; un autre était renfermé dans une armoire; on
remières grossesses. - Pas de grandes maladies. - [Père, émailleur, mort à 50 ans, d'une maladie de poitrine; sa mère es
bro- deuse morte à 50 ans d'un asthme, peu nerveuse, son père est mort de paralysie, en un jour; sa mère est morte jeune
2° fausse couche à 3 mois à la suite d'une vive colère, 3° garcon mort à 2 ans 1/2 d'une méningite; a eu des convultions
se-couche à 4 mois environ ( chu- te dans un escalier), - 5° garçon mort à 18 mois, en un jour, de convulsions, - 6° fau
de boisson, il eut des rapports fréquents, ce qui a pu agir sur la mort des autres enfants ( ? ).) Grossesse accidentée
Epilepsie idiopathique. Onanisme. - Début à 9 ans. Père et « . mère morts phthisiques. - Légère amélioration. Lepellet...
ennes et ne fait pas d'excès de boisson. [Père, couvreur en paille, mort à 67 ans, on ne sait de quoi, mais sans paralys
enfant « idiot », il avait une grosse tête, ne parlait pas ; il est mort à 15 ans. - Pas d'aliénés, etc.]. - Pas de consan
onsangui- nité. - Trois enfants ; 1° notre malade; 2° et 3° garçons morts de convulsions, l'un à deux ans, l'autre à troi
e porte bien, n'a pas d'attaques de nerfs (deux autres enfants sont morts de convulsions )J. Notre malade est né à term
uérie par les aimants ; la maladie était de date trop récente et la mort est survenue un an seulement après le début de
rois frères en bonne santé : l'un a eu trois enfants dont deux sont morts à la suite de convulsions et le troisième après
roisième après une fièvre; un autre a eu six enfants dont deux sont morts , l'un d'une bronchite, l'autre on ne sait de qu
éflexes. T. R. 40°, ? . L'affaiblissement augmente dans la journée; mort à sept heures du soir ; poids après décès 11 ki
et récentes {fracture du crâne). Observation. - Père alcoolique, mort d'un coup de sang. - Grand'mère paternelle hémi
iption des exostoses. - Fracture de la base du crâne dans un accès. Mort . Autopsie. - Description de la fracture. - Nouv
eignements fournis par sa mère (15 février 1881). - Père menuisier, mort en 1862 à 55 ans « d'un coup de sang » ; vigour
à quelques douleurs de tête; pas de rhu- matisme. [Père, menuisier, mort on ne sait de quoi, à 72 ans : sobre. - Mère mo
ns ; était paralysée d'un côté du corps. Onze frères ou soeurs sont morts ; l'un d'eux aurait été fou après une fièvre ty
il s'était marié avant cette époque et avait eu cinq enfants, tous morts en bas âge]. Mère, 59 ans, blanchisseuse, intel
intelligente, bien conformée; avait eu des convulsions; - 2°Garçon mort en 1870 étant soldat; 3° Fille bien por- tante,
. Pas de paralysie : pas de vomissements; constipation opiniâtre. - Mort le 4 juin, à 5 heures 30 du matin. Tableau de
30 du matin. Tableau des accès depuis l'entrée à Bicëlre jusqu'à la mort . 1 Hi ANOMALIES DES CIRCONVOLUTIONS. voie un
3 Renseignements fournis par le malade (le, février 1881). - Père mort « d'une colique » en une journée, à 30 ans; il
d'accidents nerveux, deux enfants de deux amants; l'un des enfants mort en bas-âge; 2° garçon, 23 ans, bien portant, pa
ue; - mère, blanchisseuse, morte de la poitrine à 33 ans; un frère, mort à Sainte-Anne en mars 1880,a eu cinq enfants, d
mort à Sainte-Anne en mars 1880,a eu cinq enfants, dont trois sont morts , deux de méningite, l'autre de maladie non nerv
rmatoses, ni traces de maladies vénériennes ; fumeur. [Père et mère morts on ne sait de quoi ; une soeur, morte de la poi
nerfs, ni convulsions, etc.; n'a jamais été malade. [Père, mineur, mort à la Pitié il y a plus de 30 ans ; mère, morte
Dix enfants : une fille de 28 ans, qui a eu 5 enfants dont 4 sont morts en venant au monde ; « c'était clans la tête »;
41 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
25 octobre de l’année dernière. C’était en 16/il, deux ans avant la mort de Louis XIII, à peine cinquante ans après que le
nt le cours de ses instructions ; et à peine fut-il de retour, que la mort , qui vint le surprendre, arrêta le cours de ses a
ureur de la chambre des comptes de Rouen, nommé Henne«uin, condamné à mort pour cause do malversations. Il y avait fait tran
yables de sabbat qui étaient admises de son temps. Mathurin Picard, mort depuis peu, avait été curé de de la paroisse du M
e Saint-Louis deLouviers, et auparavant souffrir ladicte exécution de mort , ordonne que ledict Boullé sera submis et appliqu
gnés comme les complices des maléfices qui pèsent sur elles. L’un est mort et ne peut plus se défendre; l’autre, malgré la t
sion, d’après des aveux aussi peu solides, deux ecclésiastiques, l’un mort , l’autre vivant, sont déclarés convaincus de comp
lution. L’âme humaine, pendant la vie et très-probablement après la mort , est unie à de la matière ; elle se trouve, dans
Il est évident que s’il y avait séparation complète et définitive, la mort s'ensuivrait, mais il n’en est pas ainsi, la sépa
tion des esprits, mais encore et surtout par ce qui se passe après la mort . Depuis des milliers d années que de milliers de
milliers d années que de milliers de personnes ont vu des milliers de morts , aucun de ceux-ci, que je sache, n’est apparu san
corbeille qui est l'instrument des oermmiBicaUons. Quand on évoque un mort quelconque, il ne manque jamais de répondre, quan
e qu’il y a de réel dans ce commerce entre deux amants séparés par la mort . 11 est évident que l'imagination suffit pour ren
contraire au bon sens de recourir à une intervention de l’esprit d’un mort . Certes, il y aurait de la cruauté à enlever à l’
enues pour cause de magie, et qu’il commua pour plusieurs la peine de mort en celle du bannissement, il donna le signal d’un
plus affreuses que celles qu’ils prétendaient réprimer. Grandier mort , tout ne fut pas fini à Loudun. Bordeaux fournit
arriva à Loudun en décembre 1(53A, c’est-à-dire quatre mois après la mort de Grandier. Ses premiers soins furent employés à
erdu d’honneur. J’aimais mieux l’honneur que la vie. Demain, je serai mort . » L’alarme fut vive dans la famille Bernard. O
. Cependant, afin de ne plus avoir aucun doute, examinons le genou du mort . Jules avait à cette place une cicatrice très-fac
ortait les cheveux taillés eu brosse. Pen- dant qu’on pleurait sa mort , il avait été faire un polit \ovag« sur les bords
dopté l’usage d'indiquer à la liste des décès, après le nom de chaque mort , lè nom du médecin qui l’avait soigné pendant sa
tacle à l’extension de notre propre lucidité, lequel disparaîtra à la mort . Un esprit n’anime une table que lorsqu’il est no
t. Dans sa réponse, il prédisait la guerre, la défaite des Russes, la mort de Nicolas et la chute de M. de Nesselrode, rempl
sprits frappeurs, et demanda : — De quoi s’agit-il ? — Annonce de mort , répondirent les coups mystérieux. — Qui es-tu
s son état anormal, souffre, car l’action magnélique est une sorte de mort anticipée. De là vient que le sujet sent ses forc
e l’a dit bien formellement : Guérissez les infirmes, ressuscitez les morts , « purifiez les lépreux , chassez les démons; vou
douleurs aiguës rhumatismales ou autres ; j’ai tiré des portes de la mort le fils David de Theys (Isère) ; j’ai réveillé d’
nt bleu, puis bientôt des figures de personnes connues ou inconnues , mortes ou vivantes, évoquées dans leur grandeur naturell
des plus pures jouissances de l’esprit se rencontrent la folie et la mort . Les produits du spiritualisme imprimés et publ
té ; il fit apparaître devant elle le spectre d'un de ses parents morts ; elle le toucha, elle crut, et mourut peu de temp
aucune graine, aucune chrysalide, aucun de cesètrcs, q ui ne sont morts qu’en apparence, n’entre en putréfaction pendant
sables, car enfin il faut toujours se souvenir de la grande loi de la mort qu'aucune puissance humaine ne saurait vaincre. L
ce lui est devenue tellemeut insupportable qu’il verrait avec joie la mort survenir plutôt que de coutinuer à vivre dans une
perdu récemment une fille de dix-neuf ans. Trois jours après cette mort , la sœur de la défunte, une jeune personne de sei
de mourir de Jésus et de Socrate, en disant comme lui : « Oui, si la mort de Socrate est celle d’un sage , celle de Jésus e
le à ces louanges, il préférerait pourtant qu'elles vinssent après sa mort ; qu’alors seulement, si sa vie avait été méri
eur union avec nos corporéités animiques, à l’heure que l'on nomme la mort (2),; rupture non élucidée encore dans l’irrémiss
é du verbe grec morfô, je divise. Etymologiquement, vous le voyez, la mort n'exprime pas l'anéantissement de l’étre. mais so
Je dis : a aujourd’hui 12h ans, car pour un homme de cette valeur la mort est bien plutôt le réveil qu’un anéantissement. A
ur avoir exercé le mesmérisme: enfin cette révélation que Mesmer, mort pauvre, a longtemps reposé dans le cimetière de M
oute vive une pauvre sorcière des environs de Compiègne. Il trouva sa mort bien méritée, et s’indignait contre un médecin, P
l’âme, ou plutôt de la persistance de la per- sonnalité après la mort . Les traditions de tons les peuples abondent en f
autres mauvais ? Origène et Grégoire de Nysse prétendent qu’après la mort , les âmes des méchants deviennent des démons, et
pourrait bien être un penchant de notre nature , après comme avant la mort . Voilà donc des essences invisibles de deux espèc
tes d’encouragements à mes compagnons, bien qu’en vérité je me crusse mort , eu voyant la terreur dont était saisi le néc
tête entre ses genoux et criait : Je veux mourir ainsi ! Nous sommes morts ! Je lui dis alors : Ces créatures sont toutes au
s. Puis il sp. cacha le visage dans ses mains , et répéta qu'il était mort et qu'il ne voulait plus rien voir. Le nécromant
s yeux lui sortaient de la tête et qu'il semblait être plus qu’a demi mort . Allons, Agnolino , lui dis-je, il ne s’agit pas
la chastellenie de Sal-lagnai en Lymosin, qui l’avoit condamnée à la mort , estant ouye en la Chambre criminelle, sans peine
ue, car la séparation de l’âme du corps est un fait naturel, c'est la mort qui a des degrés divers et des états préliminaire
acrait d’une manière per- inanenlela communion des vivants et des morts . PourM. Bertrand , qui rejette l’intervention des
mbre de rameaux nerveux, et doivent amener k paralysie complète et la mort , si l’on n’y apporte renié* ; c’est, comme vous s
roses et blancs, tendus, gonflés, et des petits détendus, flasqueset morts . Comme ils ont souffert, le fluide n’y circule pl
uis notre ange gardien qui est ordinairement quelqu’un de nos parents morts avant nous, nous tend la main et nous emmène à tr
pouvoir s'isoler de l’organisme, dont elle régit la vie, sans que la mort survienne aussitôt. Reste à savoir si cette t
aux amis du magnétisme. NÉCROLOGIE. Nous apprenons avec peine la mort du docteur Williams Grégory, professeur de chimie
sespoir me gagnant, je fis la prière, je me couchai, et j’attendis la mort . Je l’attendis deux nuits et deux jours, et déjà
uête, et le jury a rendu un verdict constatant que cet individu était mort des blessures reçues en état de somnambulisme. (S
soir, mangeaient et buvaient avec componction, en commémoration de la mort du Seigneur. A chacun de ces soupers, quand les c
sse de médiums. Ce sont ceux qni dessinent les portraits de personnes mortes et qu’elles n’ont jamais connues. Du moins, c’est
s, et c’est pourtant en eux qu’on trouve les vérités. Aussitôt que la mort frappe le domaine humain , vous voyez tout partir
les petits, c’est vrai chez les vivants, c’est le contraire chez les morts , ce sont les petits qui mangent les gros, ils s’e
ent en pâture : et la nature a fait ainsi les choses , la vie suit la mort de très-près, l’une poursuit l’autre et ne lui la
malheurs. Ne vous pressez donc point, le supplice qui précède la mort , vous aurez à le subir, on vous écorchera la peau
ils sont cloués, engendrer en eux de graves maladies, et peut-être la mort . L’ouïe, l’odorat, le goût de ces somnambules par
choses secrètes ei de commander aux éléments. 11 prédit l'heure de sa mort , et continua, du fond de son tombeau, à opérer de
mis et qu’ils ne m’ont point rendu. 11 y a trois semaines que je suis mort ; l’hôte de cette maison, aidé par sa femme, m’a
ale. Leur procès s’instruisit rapidement, et ils furent condamnés à mort . Quant au pauvre officier, dont on retrouva le ca
e me montrerai à toi une fois encore, une seule; deux heures avant ta mort , je viendrai t'avertir. Adieu. » M. de S... ava
oucher. Quand il en ouvrit la porte, un coup de feu l’étendit roide mort , deux heures juste après l’apparition du fantôme.
complet, on plaça l’o- riginal des décrets auprès des trois corps morts : le lendemain matin, les trois signatures s'v tr
sseurs. A. S. Morin. — Les journaux américains nous apprennent la mort de M. Robert Hare, de Philadelphie, célèbre chimi
Ainsi, des cadavres soumis à cette expérience une demi-heure après la mort , présentent des mouvements respiratoires, agitent
s les voyez dépérir à vue d’œil, et leur langueur ne cesse que par la mort ou l’éloignement. J’ai vu plusieurs exemples frap
us donc?—J’avais un tænia qui me rongeait le l'oie, maintenant il est mort , et je le rendrai demain, à onze heures ; je vous
Le 21 au soir, le général reçut son acte d’accusation, fut condamné à mort le 23 et exécuté le même jour par le bourreau, al
avait voulu faire une. Et, cependant, après cette scène à laquelle la mort de Lamarlière avait donné beaucoup de gravité, et
ur, et lui dit : « Pauvre sœur, je vais te quitter ; je sens que la mort s'approche. Mais au moins mon départ de ce monde
re, loin d’avoir cette pâleur mate qui frappe si péniblement chez les morts , était radieuse; ses mains , dont je sentis bient
ômes annonçait une fin prochaine : c’était l’agonie luttant contre la mort . La pauvre enfant, pleine de vie, de santé et de
étais représentée, il y avait à peine quelques minutes, glacée par la mort , me regardait et parlait I elle vivait encore!
des communications d’un revenant (sic) ; c’était l’esprit d’un Romain mort au sixième siècle. Il ne nous dit pas par quel mo
nnaires familiarisés avec les moj ens habituels de converser avec les morts , mais à des incrédules qu’il veut convaincre, et
je viens de relater et qui m’étaient inconnus , et il nous annonça la mort de M. X..., qui était arrivée un mois.après l’env
ssée qu’à une époque où la maladie avait fait de tels ravages, que la mort était facile à prévoir; que la date certaine de c
urs étendus sur le spiritualisme, et que vingt-quatre heures après sa mort , sa main, mue par une force mystérieuse, s’est en
tiel qtx’il aurait fallu mettre hors de doute, c’est la réalité de la mort de l’indrtidu. Or, il est reconnu en médecine, qu
Or, il est reconnu en médecine, qu’il n’y a aucun signe certain de la mort , et quelle' n’est indubitable que quand a lien la
ien la décomposition putride. 11 ne serait donc pas impossible que la mort de Lane n’ait été qu’apparente, et que, malgré sa
osent l’âme, reflet qui empêche la désunion complète, c’est-à-dire la mort . » Nous doutons qu’après cette explication de la
avec des Esprits, à chaque séance, il converse avec eux ; son frère , mort depuis cinq ans, est venu deux fois le visiter et
eur, ne jouez plus avec de Celles armes; flonge* fpi’elles donnent la mort à l'intelligence ! » Je réponds t t. Monsieur *
incipalement sur la grande question du sort de l’âme humaine après la mort . Les spiritualistes ont tous à leur disposition d
ent douloureux dans les oreilles. Le corps de celui qui était tombé mort ne présentait que des brûlures aux mains, rien de
Gospieli et Zara, et ayant pris la direction du fort, avait causé la mort du malheureux canonnier et blessé gravement ses d
tination funeste. Le père de Grégoire Ghika, celui qui s’est donné la mort au château de Mée, avait eu, lui aussi, une fin t
r. Je m’habillai; j’étais fort agitée et persuadée que mon mari était mort . Je notai le jour et l’heure où tout cela s’était
je reçus de tristes nouvelles, d’après lesquelles mon cher mari était mort précisément à l’heure où il s'était manifesté à m
it été cqnservée vingt-quatre heures après son décès présumé. Mais la mort , cette fois, était réelle, et au bont de qua-rant
semble avoir laissé sa raison dans le tombeau- Car, en sa qualité de mort , il devrait être édifié sur la vérité du dogme qu
se défendre d’une émotion mêlée d’admiration en lisant le récit de la mort héroïque de ces soldats du Christ, iit pourtant n
tvrs.dont on honore la mémoire, qu’ils aimaient mieux souffrir la mort la plus cruelle , plutôt que de s’y associer. V
os dieux, vous aurez une partie de leur pouvoir, et vous produirez la mort aussi bien que la vie. — Mais vous ne pourriez ri
agnétiques, l’insensibilité, etc.... Tous ces hommes illustres sont morts aujourd’hui, mais ils ont laissé des petits... (u
une pneumonie etd’une inflammation du foie, j’étais \ l'article de la mort . Mes amis, les docteurs Elliotson et Fergu-son av
s. J’étais dans un cimetière, au milieu de fosses remplies de corps-, morts ; je respirais avec dégoût l’odeur des cadavres q
lesquels j’avais vécu. Ce cimetière était sous une grotte. Malgré ma mort , je voyais, par l’ouverture de la grotte, la bell
bords de la Seine vers Saint-Cloud. Je m’étonnais beaucoup de me voir mort , couché dans ma bière , enfin enterré, et cependa
bien longtemps après mon réveil. Ne serait-ce pas un symbole de ma mort et de la manière dont je serai reçu par des êtres
s êtres qui me sont chers dans un monde plus beau? En tous cas, si la mort n’est que cela, Dieu est bon 1 D... Le Messag
calcul, il aurait vu sans crainte le mois d’août, qui fut celui de sa mort . Tous les charlatans affichant l’art de prédire f
, elle lui disait toujours la même chose : qu’il mourrait jeune et de mort violente (2). » 11 s’agit, sans doute, ici de la
sage : « On avait découvert dans un cabinet du Palais-Royal, après la mort du duc d’Orléans, fils (1) Mémoire! delà baronn
us, des livres de conjuration, des squelettes d’animaux, des têtes de mort , une foule d’herbes de toutes les façons et des p
madame de Pompadour, depuis la première année de sa faveur jusqu'à sa mort , par le roi. lii-S°, poge 34. quelle avait un
le repos. Sa préoccupation avait disparu, et il ne craignait plus ni mort ni maladie. « L’imagination , dit l’auteur, peut
us trouverez à chaque découverte la lutte, le désespoir, l’agonie, la mort de tous ces génies créateurs, de tous ces prométh
e , peut, dans les mains même les plus habiles , devenir une cause de mort . Ecoutez plutôt M. Robert, chirurgien de l’hôpita
fut le point de départ de la mémorable discussion de 184», les cas de mort se sont multipliés ; plusieurs ont eu lieu sous l
a-t-on , si l’emploi des anesthésiques sagement dirigé peut amener la mort , que ne doit-on pas redouter de la témérité ou de
fois que l’anesthésie doit être profonde , complète, il y a danger de mort ; dans ce dernier cas, la prudence devrait faire
par la foudre, 555. Animaux magnétisés, 113, 141, 160. Annonces de mort par des esprits, 156, 446, 491, 579. Appariti
qui dictent à des médiums, 147, 159, 354; — qui font des annonces de mort , 156, 446, 491, 579;—qui donnent des leçons de mo
M. Dupuis-Detcourt, d'élever une statue à Mesmer, 295. Nécrologie. Mort des magnétistes et spiritualités. docteur William
42 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r, elle se livrait, en effet, à des lavages réitérés ; un frère est mort t paralytique général, et une cousine maternell
s d'expansion et de ga ! té. A quarante et un ans, à la suite de la mort de son père elle a été prise de délire mé- lanc
entre à l'asile clinique (Ste-Anne) le 11 avril 1885. Son père est mort à la suite d'accidents cérébraux. Elle a fait,
t. Elle n'a jamais fait un traitement régulier, son mari et, à la mort de celui-ci, ses enfants, se sont évertués à donn
s'adonnait à l'ivro- - nerie. Elle a eu neuf enfants, dont six sont morts en bas âge, des trois survivants, l'un est faib
ation de leur mal, et en éprouvait une vive inquiétude.. j 1 ? La mort subite d'un de ses parents provoqua, chez elle, u
vio- lente émotion, et fit naître dans son esprit la crainte de la mort . Elle surveillait les battements de son coeur e
ments pouvaient, disait- elle, s'arrêter subitement et entrainer la mort . Elle redoutait aussi un ténia imaginaire dont
tion du sphincter vésical, p (irésie- rectale. - Eschare sacrée.. - Mort par complications inflammatoires des voies urin
. 1 ' '1" . , , , , i ? . ' 1 ri , ' 1 . Voilà un malade qui est. mort de complications qui ne sont que trop fréquente
arcot, à la Salpêtrière. Antécédents héréditaires. Son père qui est mort à cinquante- cinq ans, d'un cancer de l'estomac
lle, une hérédité névropathique très nette. Un oncle de la mère est mort fou. Notre malade ne peut préciser la variété d
inée par un accouchement prématuré (à 7 mois). Son frère jumeau est mort aussitôt après la naissance. Lui-même a eu une
s, qui a été surveillante en chef d'asiles privés. A la suite de la mort de son fiancé, qu'elle soigna elle-même (il s'a
alytique général), elle est atteinte de mélancolie ; puis, vient la mort de son père, elle est alors affectée de mauie a
totale des jambes, des muscles du tronc et des bras, du diaphragme, mort . Polynévrite toxique constatée à l'autopsie. Inté
d'hémiplégie droite ou d'hémiparésie. Affection de courte durée. Mort . Ce qui distingue ce fait de ceux de Berlin, c'es
ipito- temporale. L'hémiplégie droite survenue trois jours avant la mort provient d'hémorrhagies récentes superficielles
d'une lésion de l'hémisphère gauche et qu'elle indique toujours la mort . P. Keraval. II. Contribution A l'étude DES hém
étio- logie. Il distingue : 1° Les faits à évolution suraiguë, mort en quelques jours; polioen- céphalite suraiguë
, Handel) par alcoolisme, intoxication sulfurique et diphthérie : morts . 2° Les faits à évolution aiguë (observations d
tin, un peu de vin de Bagnols et le soir un verre de punch. Mais la mort survenue brusquement permit de trouver une autr
de tumeur cérébrale venus à ma connaissance se sont terminés par la mort subite, comme le cas qui nous est indiqué. Pour
la chorée accompagnée de troubles psychiques se termi- nant par la mort . On sait en effet que tous les cas de chorée ne
ueuses. Si bien que la chorée minor ou major du début entraînait la mort en trois à cinq jours. L'autopsie révélait l'hypé
né. La séance s'ouvre par [la proclamation des noms des collègues morts depuis la session d'Iéna. L'assemblée se lève pou
Aucun phénomène bulbaire. A la fin de la deuxième année de maladie, mort par paralysie de diaphragme. Examen microsco- p
eillé les ponctions capillaires, que sur dix-neuf malades neuf sont morts ; que Batlersby a publié quelques exemples de gué-
re heures après, un le cinquième jour ; pour l'autre l'époque de la mort n'est pas indiquée. Comme l'hydrocéphalie'est
RÉINCISION DE CE DERNIER; trépanation; drainage DES VEN- TRICULES ; MORT ; par Cn. AUDRY. (Progrès médical, 1892,. 27 fé
heures du soir, abattement respira- tion courte ; température 41°, mort une heure plus tard. Par suite de l'existence a
liénée. Une vieille femme pensionnaire de l'hospice, s'est donné la mort dans des conditions absolument particulières. J
s mots se rapportent habituellement aux cérémo- nies funèbres, à la mort , d'autres fois à l'enfer, au diable, aux crimes
visite pendant laquelle elle se souvient avoir prononcé le mot « mort », s'imagine qu'elle va porter malheur à l'amie
pas moins préoccupée lorsque intervient un mot tel que : cercueil, mort , assassinat, diable, etc. Tout d'abord, il s'ag
s qu'un mot triste tel que cercueil, en- terrement, noir et surtout mort se trouve dans ses lectures ou est prononcé dan
agine, qu'il leur arrivera un accident, qu'il il sera cause de leur mort . Il fait alors tous ses efforts pour chasser le
ennent tellement pénibles qu'elle ne peut s'empêcher de songer à la mort et qu'elle a même pensé pour se délivrer à se p
par la seule présence dans son discours, d'un mot triste tel que : mort , enter- rement, cercueil. L'une de ses paroles
oir pour consé- quence de faire' enterrer avec les apparences de la mort , une personne vivante en léthargie. Aussi prèle
sation de la journée et elle se souvient, qu'elle a prononcé le mot mort ; elle en est immédiatement émue, toutefois, ell
ition des actes. ' M. M ? âgé de trente-cinq ans, dont le frère est mort d'une affection des centres nerveux et la soeur
s une chambre; il ne restait pas dans une maison où il y avait un mort . Une soeur est morte à cinq ans de fièvre cérébra
e a été amenée dans quelques-unes de ses phrases, à écrire les mots mort ou enterrement. * A diverses reprises, elle a e
iter, mais tantôt dans une lecture, il rencontre l'un de ces mots : mort , enterrement, etc. D'autres fois, c'est dans un
tion, 1885. DE LA TOXICITÉ URINAIRE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 179 La mort survient ordinairement dans la somnolence et le
ost-paroxystique. Dans ces conditions, la première urine amenait la mort rapidement avec de fortes convulsions; la secon
injectées et enfin le temps relativement assez long qui a amené la mort du premier animal, la toxicité des urines de Se
-paroxystiques est sensiblement la même : 700 grammes, 100 c. c., mort 4 heures et demie après l'injection. 340 - 65 -
e sang appréciable. Injections en dix minutes de 75 c. c. d'urines. Mort à 75 c. c. avec convulsions toniques répétées.
t irrëguliers.'Epistaxis abondante. A 47 c. c., arrêt respiratoire. Mort . z Autopsie. Légère congestion pulmonaire et ré
e la série du 10 et Il octobre : 190 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.. Mort après quelques secousses toniques sans miction ni
on cherche le coefficient urotoxique, bien que l'animal ne soit pas mort , on trouve 0,27. Mais il est certain que ce coeff
nt urotoxique serait très abaissé si l'on avait pu aller jusqu'à la mort du cobaye. II). Le 2 octobre, on recueille av
20 mic- tion d'urines troubles. Les mictions se répètent jusqu'à la mort , claires. On peut recueillir 25 c. c. d'urines
généralisées à plusieurs reprises. Salivation très abondante. A 90, mort . ' 192 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ' La totalit
d'une sorte de tremble- ment vibratoire. Exorbitisme très prononcé. Mort . Autopsie. Congestion pulmonaire assez accentué
décrit). Quelques secousses cloniques dans les muscles de la face. Mort . Pas de miction, ni de défécation. Autopsie. Le
ecousses sans caractères francs, exophtalmie qui s'accentue; à 220, mort à la suite de secousses qui n'ont pas présenté le
irations rares et profondes jusqu'à 65 c. c. à 65, arrêt définitif. Mort . - Pas de miction, ni de défé- cation. Autops
Exophtalmie intense etbrusque. Perte immédiate du réflexe cornéen. Mort . Une miction d'urines troubles dans les dernier
lente. Exophtalmie brusque, perte inmmédiate du réflexe cornéen. Mort . Pas de miction ni de défécation pendant l'expéri
e- ment. La respiration n'est nettement accélérée qu'à ce moment. Mort à 77, dans une attaque de convulsions toxiques av
ui a une convulsion tonique nette mais peu intense et qui dure peu. Mort . Pas de miction ; défécation répétées et abondant
xophtalmie. -A 220 c. c., perte des réflexes cornéens; A 235 c. c., mort sans nouvelles convulsions. Une seule miction d
ace et des muscles des. yeux à la suite des convul- sions toniques. Mort . Pas de miction. . Autopsie. - Congestion rénal
et. L'exophtalmie qui a été en s'accentuant depuis 160, est énorme. Mort à 220, sans accès convulsif. Plusieurs mictions
myosis; vers 160, commence l'exophtalmie qui progresse jusqu'à la mort ; à 190, nouvel arrêt dans l'injection pour change
nq secousses sans caractères toniques francs se répètent jusqu'à la mort . Exophtalmie énorme, le réflexe cornéen, de plu
e énorme, le réflexe cornéen, de plus en plus faible, disparait. La mort n'est pas sur- venue à l'occasion d'une convuls
nce ; vers 170, respiration irrégulière, exophtalmie com- mençante; mort à 233, après plusieurs secousses cloniques. Une
yante, mais peu accélérée. L'exophtalmie commence vers 300 c. c. La mort sur- vient après de nombreuses secousses cloniq
d'une façon rhytmique dans les derniers moments de l'infection. La mort survient dans l'une de ces convulsions. Plusieurs
es d'air dans la veine; l'exophtal- mie commence vers 110 c. c.; la mort survient à 140, après des convulsions toniques
n caractère très vio- lent, mère morte tuberculeuse. Oncle maternel mort fou à cinquante ans. Une tante maternelle alcoo
ner- veuses. Des neuf frères et soeurs, que la malade avait, un est mort t 1 « Le malade commençait par éprouver une sen
aire des Côtes-du-Nord, est âgé de quarante-trois ans. Son père est mort à soixante-dix-neuf ans. Sa mère est encore viv
trépanés et avaient survécu, étaient regardés comme sacrés. A leur mort , c'était une coutume pour leurs parents et les me
rovenant d'autres crânes, furent quel- quefois introduites après la mort dans l'intérieur du crâne de sujets précédemmen
et prouva la solidité de sa tête en buvant au point d'entraîner la mort de trois de ses compagnons qu'il avait défiés.
ouffrirait beaucoup dans sa réputation. Qui sait même, si en cas de mort , on ne mettrait pas sur son compte un homicide
il en a opéré dix-huit avec succès et pour ceux qui ont entraîné la mort , l'opéràtion avait été faite in extremis. L'e
r. 11 y en a d'autres qui, non traitées, conduisent fatalement à la mort et souvent, au milieu d'atroces souffrances. Parm
ns abordables, et qui, si l'on ne veut y toucher, con- duisent à la mort aussi sûrement que les autres. Celles-là peuvent
ent être regardés comme ayant arraché le malade aux étreintes de la mort . Le premier cas d'opération pour tumeur cérébra
n accident dont on peut se mettre à l'abri. Quelques malades sont morts de shock : la tumeur étant très grande, et les
rie par les deux arguments nouveaux que voici : A. Chez un enfant mort à six semaines de spina .bifida, on trouva : 1°
de la nuque, il abandonne tête, oreilles, pattes, comme s'il était mort . Diminution des réflexes tendineux; ralentissemen
flexes tendineux. Délire intense; désordre excessif dans les idées. Mort . - Autopsie. Epaississement de la pie-mère et d
de l'épaule; l'atrophie gagne l'avant-bras, la main. Nouvel ictus. Mort . Autopsie. Dans le corps strié gauche, ancien f
'ATHIQUE); par L. DAIIKSCHEWITSCH. (Nell- rol. Centralbl., 1891.) Mort par lésion organique du coeur (artérios-cléroses,
après, l'ensemble des deux papilles est altéré ; six mois avant la mort décoloration atrophique des deux papilles, plus
e, - coma hystérique, - syn- cope hystérique, apoplexie hystérique, mort apparente hysté- rique ; 2° historique; 3° cara
ruction, de non-existence des organes; certains malades se croients morts , d'autres immortels; et, fait important à noter
ans, 725 malades, sur lesquels 306 ont été mis en liberté, 141 sont morts et 69 ont été transférés dans d'autres établiss
la paralysie générale pour aboutir au ma- rasme paralytique et à la mort . L'autopsie a montré dans le cer- veau les lési
a moyenne des guérisons opéra- toires a été de dix jours. Une seule mort au bout de quarante-huit heures.... Sur les 24
E. L'enfant ne vécut que quatorze heures après l'opération, et la mort est due dans une grande mesure à l'effet prolongé
a- que de catalepsie ( ? ) et resta sans mouvement comme s'il était mort , jusqu'à 1 heure de l'après-midi. A la suite
sse, la mère fut très vivement impressionnée par la vue d'un enfant mort d'un de ses amis; le septième mois elle faillit
t frappé par ce fait que deux, parmi ces derniers, furent suivis de mort rapide. A mon avis, les enfants atteints d'un d
choc d'une telle opération. Selon moi, la cause qui a déterminé la mort dans mon cas, était due à une affection cardiaq
pas possible de secourir de tels enfants, il vaut mieux pour eux la mort qu'une existence aussi misérable. Nous devons c
e méthode employée ordinai- rement. Deux cas ont été déjà suivis de mort ; et si l'on fait une double opération, et que l
e les spasmes laryngiens étaient d'origine méningitique. Les cas de mort , tout compris, ne sont que de 12 p. 100. Dans
euf mois, quatre ans et demi, et deux ans et cinq mois; quatre sont morts et guérirent. Un des décès ne peut être attribu
pas possible de secourir de tels enfants, il vaut mieux pour eux la mort qu'une existence aussi misérable. > 356 BIBL
r des hautes-oeuvres. Qu'au point de vue social, une loi ordonne la mort des idiots, cela n'est pas notre affaire; nous,
enti au service de M. Hartmann, boulanger à Gaillon, s'est donné la mort dans la soirée du 27 janvier. Il avait, dit-on,
poir dans lesquels elle se roulait à terre en pleurant; le père est mort hémiplégique. L... a eu une fièvre ty- phoïde à
son jaculatoire : « Sainte Marie, accordez-moi la grâce d'une bonne mort . » « Saints anges, protégez-nous. » Il en est d
es miracles du Christ qui par l'apposition des mains ressuscite les morts , multiplie les pains, etc., j'ai pensé qu'avant
est vivement impressionnée par certains mots « cercueil, béquille, mort , vendredi, etc. », qu'elle fait tous ses efforts
fre de coxalgie depuis trente-six ans. De ses trois frères l'un est mort de maladie chro- nique de la poitrine à l'âge d
vent, dans l'hystérie, atteindre leurs dernières limites jusqu'à la mort 3. En résumé, nous avons mis en relief dans G..
ot). Antécédents DE famille. Ses aïeuls maternel et paternel sont morts à un âge très avancé, il ne sait si c'est par mal
suppuration qui dans peu de mois, ainsi affirme Cha..., entraîna la mort . Pour compléter ce croquis sur l'état de famill
récis. Sa mère vit, et jouit d'une très bonne santé. Ses aïeux sont morts à un âge très avancé; il a un frère de dix-neuf
Salpêtrière, le 21 juin 1892. Antécédents DE famille. Son père est mort à quatre-vingt- trois ans, d'un cancer à la fac
ciées à nombre d'autres maladies ner- veuses ou même être suivis de mort (un cas de Féré), nous comprendrons la difficul
. Note sur un cas de migraine dpthalmique à accès répétés suivis de mort . (Revue de médecine, 1883.) - 33. Parinaud. - M
du lieu où elle est, de sa vie passée, du chagrin qu'elle a eu à la mort de Finaud, de sa situation actuelle. Il semble
18, le 7 mars 1892. Antécédents héréditaires. Grand-père et père morts tous deux d'apoplexie. Grand'mère maternelle mo
Un grand oncle maternel vit encore, mais il est paralysé. Un frère, mort de la pierre, était très nerveux et « très rage
arition totale des hallucinatious. Quatre jours après, convulsions, mort . Ainsi que le fait remarquer l'auteur, pour all
es. Scotome central pour le rouge et le vert. Peu de temps avant la mort , les autres muscles de l'oeil furent aussi attein
lo-moteur externe, pneumo- gastrique, hypoglosse, étaient lésés. La mort était survenue dans la première semaine au mome
riesinger succéda C. Westphal, qui pendant vingt-un ans, jusqu'à sa mort , conduisit les débats. Sander, successeur de We
43 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
angoisse perpétuelle, saisi à chaque instant de l’appréhension de la mort , surtout par étouffement ou par accidents du cœur
ession vive qui avait provoqué l'obsession principale, soit l’idée de mort par suffocation ou par lésion du cœur et, de l’au
, M. X... avait etc douloureusement et très vivement émotionné par la mort de l’un do ses proches et par le spectacle de der
e et un pouvoir de contrôle, en lui prouvant que ses appréhensions de mort par suffocation, ne sont pas le résultat d'une id
ts, et en Angleterre l’année dernière, il y eut deux constatations de mort d'hommes à ce sujet. Un des cas était celui de Ha
n effet, dans les journaux, que des hommes en pareille situation sont morts de maladie ou se sont suicidés. Pendant le re
ar des excès récents et par une punition; le souvenir des prisonniers morts dans leur cellule s’imposa avec ténacité dans cet
pendants de sa volonté: ils sont toujours liés au souvenir d’un frère mort ; ils ne comportent jamais d’actes répréhensibles;
ional de l’hypnotisme devait être présidé par le D' Dumontpallier. La mort cruelle nous a enlevé ce maître bien-aimé, mais s
des personnages mystérieux et tout-puissants, capables d’évoquer les morts au moyen de pratiques, de formules magiques, et d
sifflante, moitié étoulïée, que l’antiquité tout entière prêtait aux morts . Nos ventriloques n'ont plus les mêmes prétenti
ait dans la haute antiquité, le culte des ancêtre et interrogeait ses morts , a pu devenir ventriloque sans le savoir; comment
venir ventriloque sans le savoir; comment aussi, lorsque ce culte des morts s’est concentré entre les mains des nécromanciens
vocation des esprits, plus spécialement à l’évocation des esprits des morts . Chez les Zoulous, les Maoris, les Tongans, les f
elle a chez eux un caractère religieux, elle sert à faire parler les morts . Ce sont les veuves qui constituent la clientèle
-neuf jours à la rosée, et s’imprégne pendant ce temps de l'esprit du mort . Le médium applique la statue sur son estomac ; l
ée, qui constitue en même temps la voix de ventriloque et la voix des morts , et la conversation s’engage entre l’esprit et le
: chez les Chinois, sur cette croyance religieuse que les esprits des morts peuvent être évoqués, qu'ils parlent réellement,
ls parlent réellement, avec celte voixsingulièrequi est naturelle aux morts . Est-ce la statue qui parle, animée par l'espri
rable à celui qui semble cesser d’agir en nous, lorsque sc produit la mort , llicquct, le chien célèbre de M. 1 {èrgeret. cro
les statues, es.t le même que, chez les Chinois, pour les esprits des morts . La statue animée de l'esprit sc trouve là; le pr
ntesté de la conversation avec le tombeau, de la conversation avec le mort . Le « Double », l’âme du mort, que l'on voyait da
le tombeau, de la conversation avec le mort. Le « Double », l’âme du mort , que l'on voyait dan s les songes, élait capable
toute antiquité, on fut convaincu qu’elle se produisait en effet. Les morts ne parlent point, et cependant l’antiquité tout e
parlantes ou des statues qui les représentent, pour converser avec le mort ou avec le dieu. C’est seulement à une époque rel
ulement à une époque relativement tardive, que les interrogateurs des morts , détrônés par les prêtres des dieux, sont devenus
e je l’ai déjà dit, quelques siècles avant notre cre, l’évocation des morts était orthodoxe et légitime, même pendant les pre
rcher aux enfers l’amant infortuné. Ce culte et cette évocation des morts étaient légitimes et normaux, des prêtres faisaie
s morts étaient légitimes et normaux, des prêtres faisaient venir les morts et parlaient pour eux. avec celle voix spéciale q
èlre en même temps, accomplissait les rites, causait avec ses propres morts . Ces anciennes traditions, depuis longtemps dispa
lieu et d’origine, dont émergeait une seule idée nette, c’est que le mort avait parlé. Ce phénomène primitif, cette illus
ondés sur la religion primitive de la parole divine, de la parole des morts , c'est-à-dire sur l’illusion venlrilo-quistc. La
avec les concepts de la voix juste et de son créateur. Puisque les morts parlent, les statues des dieux parlent aussi ; pa
, le dieu, qui parlent par la bouche du médium, du prophète, comme le mort parle par la bouche du nécromancien, et le prophè
e est primitivement un voyant, toute science de divination dérive des morts , les morts sont les voyants par excellence; le pr
tivement un voyant, toute science de divination dérive des morts, les morts sont les voyants par excellence; le prophète asso
uvent, dans les débuts, son opération, aux arbres, intermédiaires des morts avec les vivants, et le culte des arbres ne sera
ient souvent leurs opérations au serpent, animal intimement relié aux morts par sa voix de ventriloque et par son séjour habi
t par son séjour habituel au sein de la terre, c’est-à-dire parmi les morts . Alexandre, le faux prophète, choisira, chez les
au fur et à mesure que les dieux eux-mêmes cessent d’être de simples morts et que le concept qui lui correspond les agrandit
singulièrement sur celle de Pierre. C’est le prodige de Sa parole des morts , qui n'a pu être complet, patent, évident, qu’à l
qui a imposé à tous les hommes la croyance à la conversation avec les morts , les esprits et les dieux, à toutes les révélatio
r, travailla au succès de cette entreprise, mais, malheureusement, la mort impitoyable vint nous ravir cet homme de bien et
ciencieux et si judicieux, a donné tant d’éclat à notre Société. La mort nous a ravi aussi un autre membre du Comité d’org
ois états ou phases. Despine disait déjà : catalepsie-, somnambulisme mort et somnambulisme vivant. D'aulros auteurs groupai
rouvait, il y a peu de temps encore, le docteur Dumontpallier, qu'une mort prématurée a enlevé à la science. Depuis I8C6, mé
n vif sentiment de regret que nous faisons part à nos lecteurs, de la mort de M. Emile Bouriot qui, durant treize années, se
journal. Nous transmettons à sa veuve les sentiments de regret que la mort de Bouriot inspire à tous les collaborateurs delà
e l’Hypnolisme, le bureau du Congrès a reçu la pénible nouvelle de la mort du professeur Korsakoff, de Moscou, qui s’était f
psychopathies et nous pouvions le compter au nombre de nos amis. La mort de Korsakoff, ravi à la science à l’âge de 46 ans
; elle se relève, va le voir et comme il ne bouge pas, elle craint sa mort , le secoue, et lui demande s’il dort. Quand il lu
ces à la noble cause qui passionna toute sa vie. Durand de Gros est mort à Arsac (Avevron) le Samedi 17 novembre 1900, à l
n chevronné et balafré » a travaillé jusqu’à son dernier jour; il est mort sur la brèche, debout, les armes à la main. Apr
oduite par le chien d'arrêt sur le gibier, etc. ; la simulation de la mort que pratiquent de nombreux animaux est due à un é
et politiques, le jour même où nous avions la douleur d’apprendre la mort de Durand de Gros- Ces deux hommes nous paraissen
contient un poisson enroulé. Au premier moment, vous pouvez le croire mort , tant la catalepsie est complète, mais dégagez-le
d’ajouter à ces noms celui d’un collaborateur dont nous regrettons la mort prématurée. Le Dr Armand Paulier, avait accepté l
atives à l’étude du cerveau qui nous furent données par Luys avant sa mort , le point de départ de notre Musée psychologique.
oppa par la suite ; mais durant toute son évolution, la croyance à la mort de l'enfant persista et plus tard, lorsque la luc
l donne lecture de la correspondance. Il fait part à la société de la mort de Durand de Gros ; il fait l’éloge du défunt et
ame F... née L..., âgée de 37 ans. Antécédents héréditaires. — Père mort d’un refroidissement à 38 ans. — Mère, actuelle
2; toujours bien jusqu'à son mariage.— Se marie à 18 ans. — 2 enfants morts de méningite, l’un à 4 ans, l'autre à 8 ans. —
espiration stertoreuse, puis refroidissement et collapsus. On le crut mort . Un médecin appelé en hâte, fit des injections so
ment suggestif (faradisation). Ce que les Australiens font de leurs morts . Le culte des morts joue un grand rôle dans les
sation). Ce que les Australiens font de leurs morts. Le culte des morts joue un grand rôle dans les croyances des Austral
aspects bien différents : dans l’Ouest, on se contente d’enterrer les morts ; dans le sud on les enterre et on les brûle ; en
lequel on boit. Enfin, dans le Queensland, les indigènes mangent les morts , croyant ainsi s’assimiler leurs qualités. NOUV
de Maupassant avait un cerveau mal équilibré, sous prétexte qu’il est mort de cette maladie. Ou bien ces troubles nerveux
nements sur ces points permet d'v répondre négativement. Quant à sa mort foudroyante, elle peut s'expliquer de bien des fa
e d'un animal diabolique, les valets de ferme avaient mis le cheval à mort . Néanmoins, son corps a été, après préparation, t
le, le mauvais œil. Elle énumère les nombreux parents ou amis dont la mort , prétend-elle, a été la conséquence d’un de ses a
quiète, nerveuse, agitée ; elle s’affole, craint que son fils ne soit mort ou n’ait été tué et, aussitôt, elle lance dépêche
re et manque d'être saisi par une courroie; s’il est touché, c’est la mort certaine ! Cependant il évite la courroie, se rel
nces actives et dangereuses, probablement la cantharide, causèrent la mort . M. Bérillon. —Les solutions et les pommades à
pas libre ou de courir un danger quelconque, préférerait se donner la mort , se suicider. Le mot suicide appliqué aux anima
ma manière de voir. Là, c’est un chien qui n’a pas pu survivre à la mort de son maître et qui s'est laissé mourir de faim.
portes de sa cabane, se briser la tète, paraissant enfin préférer la mort à l’éloignement de ses maîtres. Et peur celui qui
Si la neige avec violence De ses flocons couvre en silence Le lit de mort , Il pousse un cri lugubre et tendre Et s'y couc
équemment employé par les humains, quand l’être qui veut se donner la mort , lient, par respect humain, ou pour qu'on n'e
er l’attention de l’entourage, ou quand, à la volonté de se donner la mort s'ajoute la peur d’une arme à feu, la crainte de
ans jouissances raffinées; ils meurent sans grande appréhension. La mort n’est pas aussi effrayante pour eux que pour nous
es animaux n’ont rien à faire, qui nous ont donné l’explication de la mort , la peur de la mort et conséquemment une faculté
n à faire, qui nous ont donné l’explication de la mort, la peur de la mort et conséquemment une faculté de conservation plus
nt-ce pas les dogmes religieux qui nous ont faussé le jugement sur la mort et scs conséquences, qui ont créé chez nous moins
avaient pu produire le bien, nous aurions une toute autre idée de la mort , nous irions plus simplement, plus naturellement
érale du système nerveux serait suivie d’un épuisement total et de la mort . Aussi, dans la veille normale, le plus grand n
uement et moralement. Au point de vue héréditaire, pcrc diabétique, mort phtisique: mère vivante et bien portante. Celte
e depuis six ans, depuis qu'elle est veuve, a eu quatre enfants, tous morts au cours de la dentition. Elle a, dit-elle, l
. Depuis lors, les idées tristes avaient augmenté, surtout après la mort de son mari, il y a six ans. Elle était obligée d
els. Grâce ù la diversion causée par la longue maladie de son mari, mort phtisique, elle avait été beaucoup mieux, n'avait
succulente ». REVUE DE LA PRESSE ÉTRANGÈRE La peur comme cause de mort chez les enfants atteints de brûlures légères, pa
e fatale. Or, M. Cioffi estime au contraire que, dans ces cas, la mort est due à un shock moral résultant d’une peur viv
és furent pris de fièvre et de délire avec ou sans convulsions, et la mort survint à bref délai. Il faut donc être très ré
la psychothérapie dans le traitement de la), par Bérillon, p. 308. Morts (Ce que les Australiens font de leurs), p. 253.
vation chez les animaux, par Lépinay, p. 346. Peur comme cause de mort chez les enfants atteints de brûlures légères, pa
44 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
a région paracentrale (1). Sommaire. — Epilepsie partielle crurale. Mort par phthisie pulmonaire.— Lobule paracentral : dé
n à déterminer l'état de mal. Par ce fait, le malade est en danger de mort et c'est par le cerveau qu'il va succomber. L'int
ar sa situation méningée, la persistance de ces phénomènes jusqu'à la mort ainsi que l'apparition tardive d'une monoparésie
se voyait dans une espèce de charnier, entourée d'un grand nombre de morts , dont les cadavres pourrissaient et infectaient l
, la tristesse du chloroforme : l'air irrespirable et la sensation de mort prochaine. On peut donc dire que chaque impress
rvice militaire; il mime des scènes de knout. Il voit aussi son père, mort aujourd'hui. Après son attaque, il no conserve au
uis la foire de Saint-Denis. Tam-tam doux et lent. — « Qui est donc mort ? comme c'est triste! ça me fait un effet! j'en pl
, âgé de onze ans, criait qu'il voyait des lions, des loups, son père mort , se battait à coups de sabre avec des ennemis ima
rée à l'âge de 12 ans et un cousin germain du côté de sa mère qui est mort fou à l'asile de Villejuif. Pour ce qui est du
également en bonne santé. Il a eu 8 frères et soeurs, dont deux sont morts , l'un tout petit, l'autre à 29 ans, d'une laryngi
t produite pendant la messe que l'on célébrait en mémoire de son père mort , dix jours après la mort de celui-ci. Lui-même
se que l'on célébrait en mémoire de son père mort, dix jours après la mort de celui-ci. Lui-même a eu quelques maladies d'
e il délirait, mimait des scènes de la vie militaire, voyait son père mort , etc. Au réveil il ne se souvenait absolument de
i nous ont été fournis, des attaques d'hystérie. Un frère du père est mort à 51 ans, en 1882, d'une hernie étranglée. Une sœ
un peu nerveuse et s'impatientait facilement. (Le père de la mère est mort jeune. La mère est morte à 71 ans, d'une attaque
emière fois à 13 ans et ont été régulières jusqu'en 1887. Depuis la mort de sa mère (elle avait alors 10 ans), elle a eu a
ivait parfois de voir une main jaune (celle de sa mère sur son lit de mort ) qui s'avançait vers elle, la tirait par derrière
. Cette femme-là est peut-être sa maîtresse. Mais, non, l'homme est mort , c'est vrai. Moi, j'ai beaucoup de peines, beauco
de gong léger et monotone lui rappelle un enterrement; « Qui donc est mort ?.....Comme c'est triste!..... Ça me rappelle ma
nts accès de colère, trois oncles, dont deux bien portants et l'autre mort de maladie aiguë. Les trois enfants d'un de ces o
sé une certaine fortune qu'il a dissipée de 18 à 20 ans. Son père est mort d'une hypertrophie cardiaque d'origine rhumatisma
dans la phase délirante, nous l'excitons à nous écrire « La fête des morts », il s'exécute facilement et en trois minutes il
urnaliste. J'avais rêvé parfois, séduisante morale, D'assujettir la mort à l'urne électorale. Réduite au seul apport des
sous les buis ou les marbres Des fervents du charbon de bois, La Mort eût succombé sans même un ballottage. L'échec éta
embre 1853. Elle est donc âgée de 38 ans. Son père, très nerveux, est mort en 1871 d'un ulcère de l'estomac; il était à cett
e la température, et ne se termine jamais, autant qu'on sache, par la mort — elle est tombée dans un état particulier, que n
très marrie de se trouver en cet endroit, ignorant même quel était le mort dont elle suivait le convoi, sut par des question
ressant. Ses antécédents héréditaires sont assez chargés. Son père, mort poitrinaire à trente-trois ans, était alcoolique
hisie pulmonaire, était émotive. Enfin un oncle paternel, aliéné, est mort à l'asile de Vaucluse. (1) Voir plus haut (n° X
était tout attristée. Nous lui demandons alors : « Qu'est-ce qu'être mort ?» R. « C'est ne plus respirer. » (L... était mort
e avec delà dyspnée comme symptôme prédominant). D. « Que fait-on des morts ?» R. « On les met dans une voiture. » D. « Comme
mment s'appelle cette voiture?» R. « Un corbillard. » D. «Où vont les morts ? » R. « Je ne sais pas. » D. « Qu'est-ce qu'une
s pas ; on ne me l'a jamais dit. D. « Mais on les porte en terre, les morts ? » R. « Je ne sais pas. » D. « Tu n'as pas peur d
terre, les morts? » R. « Je ne sais pas. » D. « Tu n'as pas peur des mortes ?» R. « Non. » D. « Y a-t-il des morts ici ? » Ell
s. » D. « Tu n'as pas peur des mortes?» R. « Non. » D. « Y a-t-il des morts ici ? » Elle jette un regard circulaire sur les q
et répond : « Non, tout le monde respire. » D. « Tu n'as jamais vu de mort ? » R. « Non. » D. « Eh bien ! et ton père? » R. «
bien ! et ton père? » R. « Je ne sais pas. » D. « Où va-t-on après la mort ? » R. « Je ne sais pas. » D. « Connais-tu l'enfer
nts fournis par ses parents. Elle sait que son père et sa mère sont morts , et de quelles maladies, par qui elle a été élevé
e jeune fille de son âge. Elle sait ce qu'on lui a appris touchant la mort , l'âme, le ciel et l'enfer. Elle n'ignore point c
, à ce qu'il paraît que je ne savais pas que Louis (un de ses parents mort pendant qu'elle était en état D) était mort et qu
Louis (un de ses parents mort pendant qu'elle était en état D) était mort et que je ne connaissais pas le petit Louis (le f
t Legrand du Saulle ; elle a seulement entendu parler de lui ; il est mort il y a quelques années. Elle sait lire aujourd'
nnaît rien touchant son père, quelle profession il exerçait, s'il est mort et de quelle maladie. Il en est de même pour sa m
rande-Rue de La Chapelle, n° 3. Son père, qui était très nerveux, est mort d'un ulcère de l'estomac. Sa mère est morte poitr
été sept mois dans son service autrefois... Vous me demandez s'il est mort ? Allons donc ! je l'ai rencontré ces jours-ci dan
quatre heures du soir, on vint, sans plus de façons, lui annoncer la mort de son mari ; la nouvelle était fausse, mais le c
ussi l'événement cause de tout le mal, je veux dire la nouvelle de la mort de son mari et la longue crise de trois jours qui
me de procès lui dit : « Madame D..., préparez un lit; votre mari est mort , on va vous l'apporter. » Vous devinez sans peine
er : Le voilà. À ces mots, croyant sans doute qu'on ramenait son mari mort , Mme D... tombe dans une crise de nerfs que je do
re de parole. Dans ce délire, elle parlait de son mari qu'elle voyait mort et de ses enfants. Ces crises n'ont apporté aucun
lez-vous si, au mois d'août, un individu vous a faussement annoncé la mort de votre mari ? R. — Je n'ai jamais entendu rie
je ne connaissais pas entre et me dit brusquement : « Votre mari est mort , on va vous l'apporter, préparez un lit, Madame D
e père était névropathe ; une de ses sœurs et son grand-oncle étaient morts du diabète sucré. Seegen a observé que chez les a
que chez les ascendants de diabétiques un assez grand nombre étaient morts d'affec (1) Jordao.— Consider, sur un cas de di
U I M EUE Mélancolie, suicide. _I_ Ï i 1 i I ! Quatre enfants morts Un fils. Deux jumeaux, d'affections cérébrales.
uatre enfants morts Un fils. Deux jumeaux, d'affections cérébrales. Mort aliéné. Un idiot. Un diabétique. Andral, dans u
ique. Père. Aliène. Fils. Fille. Broncho-pneumonie, Arriérée. mort . COTE MATERNEL I Grand-père. Diabétique.
re maternelle Aliénation mentale. (Trois accès, le dernier suivi de mort .) Mère. Nerveuse. Fils. Epilepsie typique
die des voies unitaires. Fils. Fils. Gravelle. Diabète, vésanie. ( Mort dans le coma.) Petite-fille. Epilepsie. Diabè
ilepsie. Diabète. (Morte dans le coma. -1 Petit-fils. Diabète. ( Mort dans le coma.) Gravelle. Fils. Rien. Petit-fi
r ainsi le pedigree. Fille. Tabes. TABLEAU XX PÈRE Diabète ( mort dans le coma). _I_ I Fils. Diabétique. Fi
técédents héréditaires.— Son père, très obèse et très alcoolique, est mort subitement. Sa mère, atteinte d'asthme avec emphy
d'étranglement herniaire. Il a eu cinq frères ou sœurs qui sont tous morts jeunes d'affections inconnues de notre malade.
ans il se marie; de ce mariage naissent treize enfants, qui tous sont morts à l'exception d'un seul. A vingt-neuf ans, frac
appuie un instant, ses bras restent pendant quelques minutes « comme morts ». 11 se plaint surtout d'une névralgie caracté
onner aucun renseignement précis sur ses grands parents. Son père est mort dans la démence sénile ; il avait des hématuries.
t-il, coléreuse et emportée. Il a eu six frères ou sœurs : trois sont morts d'affections n'ayant rien de spécial à noter. Par
dans la famille A... L'aïeul, ataxique depuis plus de vingt ans, est mort à un âge avancé. La deuxième génération se comp
ableau ataxie héréditaire ou maladie de Friedreich.) A... ataxique, mort à un âge avancé. A eu 4 enfants. 1° Fille aînée
1 fille. 2° Fille. Choree avec troubles intellectuels. 3 enfants morts en bas âge. 1 fille. Ataxique. 28 ans. 4 enfants
bas âge. 1 fille. Ataxique. 28 ans. 4 enfants bien portants. 1 fils mort tuberculeux à 15 ans. 2 filles et 2 garçons tous
t tuberculeux à 15 ans. 2 filles et 2 garçons tous bien portants. 6 morts en bas âge, 5 enfants vivants. Pas de particulari
tion de l'estomac (?) I_1 I Père Ni goutteux, ni rhumatisant. Mort aliéné à G4 ans. Marié à une femme de bonne const
uu père. Hystérique. I I I-1 Oncle. Père. Mère. Oncle maternel. Mort . Asthmatique. Morte en couches. Diabète. d'une
le. Goutteux et diabétique, (d'unefamilled'apoplectiqucs) Suicidé Mort d'anthrax. Morte d'apoplexie. (coup de pistolet).
on de la face. — Vertiges. — Sensation d'entraînement à gauche. — Mort . —Autopsie. — Tubercules de l'étage inférieur du
malade ne connaît plus personne. Tous les membres de la famille sont morts à un âge avancé. Il a eu cinq frères et sœurs,
à un âge avancé. Il a eu cinq frères et sœurs, plus jeunes que lui, morts en bas âge. Un de ses frères, qui exerçait le mét
n bas âge. Un de ses frères, qui exerçait le métier de corroyeur, est mort d'un coup reçu dans une rixe. Il était alcoolique
jour de répit (4 mars), les phénomènes vont en s'aggravant. Enfin la mort survient le 8 mars à 5 h. 1/2 du matin. Autopsi
sie tout d'abord unilatérale est devenue double peu de temps avant la mort . De même que le siège du tubercule au niveau du n
. le Dr Brissaud. Antécédents héréditaires. — Le père du malade est mort à 48 ans d'une affection intestinale (prolapsus d
lade de la poitrine. Il a eu sept frères et sœurs, dont quatre sont morts en bas âge d'affections inconnues de lui. Une soe
ept enfants, dont trois sont vivants et en bonne santé et quatre sont morts de diarrhée infantile et de broncho-pneumonie.
acilement sur ce thorax, appartenant à un jeune garçon de quinze ans, mort dans le service de notre maître, M. le Pr Charcot
hille, le malade était confiné au lit depuis plusieurs années. Il est mort le 4 mai 1891, de broncho-pneumonie. Dans l'autop
s l'enfance. Début à l'âge de 13 ans, à la suite de l'annonce de la mort de sa mère. Accès caractéristiques très fréquen
nir. Observation VI. Decol... Caroline, 34 ans, tailleuse. Père mort d'une paralysie (?) ayant duré 20 ans. Convulsi
r très vague. Observation VII. Gend... Berthe, 18 ans. Un frère mort d'une méningite à 4 ans. Une sœur nerveuse et fai
'une méningite à 4 ans. Une sœur nerveuse et faible. Mère et une sœur mortes phthisiques. Début à 7 ans. Jusqu'aux premières
Observation XIII. Vry... Anatole, 19 ans, épicier. Père alcoolique, mort de delirium tremens. Sœur atteinte de petit mal c
ait eu beaucoup à souffrir à ce moment pendant sa grossesse. Un frère mort dans l'enfance de convulsions Début à l'âge de
Lem... Marie, 39 ans, femme de ménage. Père alcoolique, très violent, mort subitement d'une affection cardiaque. Deux frères
43 ans, lingère. Pas d'autres antécédents héréditaires qu'un frère mort en bas âge h la suite de convulsions. Début à 1
de la région paracentrale. Sommaire. — Bpilepsie partielle crurale. Mort par phthisie pulmonaire. — Lobule paracentral : d
45 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
maire. Pov, excès de boissons. Oncle paternel, excès de bois- sons, mort de tuberculose. Renseignements insuffisants sur l
a famille. Mère sujette à des céphalalgies . Un frère et une soeur, morts de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d'â
en est sortie le 5 février 1901. Antécédents héréditaires. Père* : mort à trente-huit ans d'une hernie étranglée; pas d
ds parents inconnus. Une soeur et sa fille bien portantes. Un frère mort de tuberculose.] Mère : fièvre typhoïde à douze
es, ni de syphilis, ni alcoolisme, vive et emportée. [Père : sobre, mort à cinquante-neuf f ans. 31èi-e : morte à quaran
dix-neuf ans, sain; 2° fille morte en venant au monde, à terme ; la mort a été attribuée par la mère à une chute ; 3° ga
terme ; la mort a été attribuée par la mère à une chute ; 3° garçon mort à vingt-deux ans d'une méningite qui a duré onz
E camphre. Guérison. ' ' Sommaire . Père, aucun accident nerveux, mort de tuberculose en décembre 1890. Renseignements
). Père, quarante-cinq ans, rhumatisant ; tourneur de son métier, mort en décembre 1899 de tuberculose. -Pas de convulsi
l'oeil gauche. Ni rhumatisme, ni chorée, ni fièvre typhoïde. [Père, mort à soixante-un ans, d'un refroidissement, sobre, p
Décembre. Elle a eu trois vertiges le jour où elle a appris la'] Ï mort de son père. ' ' 1900. JetKUte ? Pu6e ? ? Même
ge. Deux tantes maternelles déséquili- brées. Une soeur et un frère morts de convulsions. Consanguinité (cousins germains
fatigue, de l'apathie, de la parésie et de la paralysie, ou même la mort avec dyspnée et arrêt consé- cutif du coeur.
ant contre elle la durée déjà longue de la maladie. Terminaison par mort subite. A l'autopsie, on trouve le système vein
nespénibtement arrachées au sol durci, et il serait infailliblement mort de faim si on ne l'avait point découvert. Le jo
à l'Albany Médical Collège. Nous avons le vif regret d'apprendre la mort de M. le Dr Falret. Nous lui consa- crerons une
ons qui permettent de croire à un néoplasme primitif. Le malade est mort cinq mois après le début de la maladie; le canc
puisqu'il concerne une tumeur à marche extensive ayant entraîné la mort quatre mois après le début, et n'ayant pu ainsi c
uxième est un garçon de neuf ans bien portant. Le troisième, garçon mort à trois mois de méningite. Le quatrième, garçon
isième, garçon mort à trois mois de méningite. Le quatrième, garçon mort à treize mois avec des phénomènes méîingiliqïies
izontal. Ces mouvements rappellent ceux présentés par le frère aîné mort d'accidents méningitiques et ont débuté à peu p
trois ans il dormait mal. De ses quatre frères et soeurs, un est mort du croup à trois ans et demi, une soeur est mor
soeur est morte à trois ans et demi de méningite, un troisième est mort en naissant. Un quatrième garçon est mort à tro
ningite, un troisième est mort en naissant. Un quatrième garçon est mort à trois mois et demi de diarrhée infantile. L
est mort à trois mois et demi de diarrhée infantile. Le père est mort de dysenterie chronique à l'âge de quarante- de
eux pupilles réagissent ci la lumière et ci lléflexes normaux. Père mort alcoo- lique. Plusieurs particularités des ob
ph, dix-sept aîzs, vient consulter le 23 novembre 1901. Le père est mort tuberculeux. La mère, 3 soeurs et un frère sont
quelque chose dans le regard (Obs. IX). Le grand père maternel est mort il y a vingt ans environ. La grand'mère materne
viron. A parlé à peu près à la même époque. Un troisième enfant est mort à l'âge de vingt jours. Le père ne sait pas s'i
ieux oculaires normaux. Observation VIII. Un frère du précédent est mort , il y a vingt- cinq ans, du croup, à l'âge de c
mère, 1 fille, 4 garçons ; l'un d'emre eux a eu un fils maintenant mort dont les yeux tremblaient.; la fille a 3 enfant
nt .morts en bas âge ; deux soeurs sont bien portantes; le père est mort à l'étranger d'accidents paludéens ; sa mère es
lle mourut à trente-trois ans. » Notons cet état maladif et cette mort prématurée : si Thérèse est faible et si l'hyst
se à qui il faisait des visites régulières. Ordonne prêtre après la mort de sa femme, il entra comme chapelain au couven
ajouter ses lettres (Las Cartas) qui furent re- cueillies après sa mort ; la plupart contiennent des leçons évangéliques
ents, le mal L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 135 paraît si grand, la mort paraît si imminente que si la cure dite miracul
ient depuis les pieds jusqu'à la tête, et bientôt je fus en état de mort î. 4a Des contractures dont elle vient de nous
royait plus malade, son père, pour lui enlever l'inquiétude de la mort , s'opposa à la confession et à la communion, malg
avait, cette contrariété amena subi- tement un sommeil simulant la mort : « La même nuit je tombais dans un évanouissem
sa fille, et dans un autre couvent on dit pour elle la messe des morts . - Observations -de sommeil hystérique. Cet éta
e des morts. - Observations -de sommeil hystérique. Cet état de mort apparente chez des personnes hystériques n'est pa
térie lui fit entreprendre un matin, de s'endormir et de simuler la mort , peut-être pour faire courir après moi ; ce jou
r qui persistaient, la malade paraissait en effet à l'article de la mort ; après avoir mis à la porte tous ceux qui pleu
ecine : il fut pris pendant six semaines d'un sommeil simulant la mort , avec un réveil de deux jours dans l'intervalle;
é accoutumée; je lui dis que je savais maintenant qu'il simulait la mort , que c'était une fourberie de sa part, que je v
conscience, et bien qu'ils puissent supporter un jeûne prolongé, la mort par inanition peut se produire, sans que ces ma
s. Si Thérèse entra dans cet état de sommeil' et laissa croire à sa mort , sans avoir peut-être conscience du mal qu'elle
: on ne veut pas croire, s'était elle dit, que je sois en danger de mort , je vais le prouver. Faits DIVERS DE sommeil hy
d'abord légères. 11 y a trois ans, après avoir appris subitement la mort de son mari, elles sont devenues plus graves et
hez toutes deux et s'être rattachées au chagrin que leur a donné la mort de leur père. Toutes deux sont demeurées dans l
e nation est l'unité de langue, et si l'hébreu n'est pas absolument mort , du moins, n'est-il pas un langage populaire. I
fonc- tionnel et partant curable, cette affection peut entraîner la mort par paralysie respiratoire. Le traitement con
professionnelle dont elle fait preuve quand il s'agit d'honorer ses morts . Nous ne saurions mieux faire que de terminer e
et rectale, d'anesthésie cutanée de la région périneo-anale. 11 est mort en 1900 sans que son état se soit modifié. A l'
ous en envoyer le plus tôt possible un résumé. . NÉCROLOGIE. La mort vient de nous enlever récemment un aliéniste des
ne telle urbanité qu'il n'a jamais blessé un adversaire. Après la mort de son père (1870) et de F. Voisin (1872), un sur
ngement cé- rébral par suite de la vive émotion que lui a causée la mort de son mari, tué accidentellement il y a quatre
ur le méridien central ; persistance de cette altération jusqu'à la mort qui survint dans la soirée du 19, au milieu d'a
bles auraient dégénéré en accès de fureur et tels qu'il menaçait de mort et parfois aussi du couteau, ses proches et ceu
4 heures du soir, par marasme aigu (fig. 34). Dans ce cas suivi de mort , il devenait intéressant de recueillir la corné
nt ternes, s'en- foncent dans l'orbite, et, quelques jours avant la mort , on voit apparaître ci Leur centre une petite t
être considéra- blement aggravé, soit au point de vue du danger de mort dans les états d'encéphalite, de délire aigu ou
et trente-deux ans) et en bonne santé aussi ; sept frères ou soeurs morts en bas âge d'affections indéterminées. Aucun de
urs morts en bas âge d'affections indéterminées. Aucun des enfants, morts ou encore vivants, n'aurait eu de convulsions.
grande joie. Elle vit de même, pendant qu'on chantait l'office des morts pour deux religieuses décédées, leurs âmes s'en
pendant le grand recueillement d'une messe, un Père de notre ordre, mort dans une autre ville, monter au ciel, sans pass
u ciel, sans passer par le pur- gatoire. Je sus' depuis qu'il était mort à la même heure où j'avais eu cette connaissanc
ttez-moi de citer Villars, Laugier, Billerey et ce jeune doc- teur, mort victime de son dévouement et dont on rappelait ré
état, chez un fou hypochondriaque ayant des crises obsédantes de la mort , Morel raconte que ce malade avait un tic libér
mble avoir eu plus de stabilité. Toutefois son pre- mier acte, à la mort du mari, était de liquider son commerce pour en
es pour- tant avait déjà fait lorsque leur père vivait encore. La mort de lenr mère (1895) en les abandonnant à elles-mê
aison de la rue Caulaincourt et de la maison delarue Letort. A la mort de notre pauvre mère nous nous sommes réfugiées
t le genre de la rue Caulaincourt ? D. « Nous l'ignorions, avant la mort de notre mère. Nous avions contre nous, le prop
e père a eu le grand tort de ne pas nous en avertir. Sur son lit de mort , nous avons vu qu'il voulait nous dire quelque
ie qui connaît le malade depuis douze ans. Le père, alcoolique, est mort il y a trente-cinq ans d'un acci- dent de voitu
, Autopsie faite par M. le Dr LEGR.\I\,.Vlngt-s1X heures après la mort . Crâne très épaissi dans sa totalité (1 centimètr
rivée du plaisir qu'elle y éprouve. La Transverbération. Après la mort de sainte Thé- rèse, la Transverbératioll. de s
de phénomènes généraux graves et dont deux se sont terminés par la mort ; dans ces 3 cas, ils trouvèrent un bacille chr
rante, mit le feu à une maison dans le but probable de se donner la mort ; il avait allumé cet incendie sans prendre auc
sont extrême- ment chargés. Le grand-père maternel, alcoolique, est mort aliéné. Sa fille, mère des deux malades, était
d'une lourde hérédité, soumis a des influences dissemblables, sont morts de la même maladie ; que dans la même famille,
a famille entière parait être le grand-père maternel, alcoolique et mort aliéné. Son influence s'est fait sentir immédia
up de revolver, abolit pendant de longues semaines, et jus- qu'à la mort , le tonus et les réflexes. Il donne ensuite l'obs
Or, chez ce patient, la sensibilité au contact persista jusqu'à la mort . A l'examen microscopique on trouva une compres
dullaire, alors que la sensibilité au contact a persisté jusqu'à la mort . La lésion élait donc incomplète. ' M. de Buc
un grand-père maternel cérébral. Ses frères et soeurs étaient tous morts en bas-âge, entre un et deux ans. Rien de parti
e d'obtusion intellectuelle avec gâtisme et coprophagie. Jusqu'à sa mort , qui survint cinq ans après, ces symptômes rest
2 cas dont 8 personnels ; 12 fois cette affection se termina par la mort six mois au plus après l'internement du malade
i- bution des lésions et par la rapidité de leur évolution. De lu mort subite parruplure du cceur chez les déments. M.
ions des coronaires, athérome dans l'un, infarctus dans l'autre. La mort subite était survenue au cours d'actes simples, m
re, des « Castors ! » On crie aussi, les « Moines, les Condamnées à mort , l'armée du Salut, les trumeaux, les vieux tabl
R. Jamais ! nous pouvons passer partout la tête haute. Depuis la mort de notre mère, nous avons vécu d'affection mu-
jeunes. Le chagrin qu'elle en éprouva, le mystère qui entourait la mort de son mari, événement qui l'avait beaucoup fra
et voici ce qu'elle demande : « Qu'on lui rende son mari dont la mort mystérieuse et suspecte n'est rien moins que cert
ré. Grand' père paternel, rhumatisant, alcoolique, rp<7ep<M ? mort interné en démence.- Mère, rhumatisante, affect
euse ». Vit actuellement avec une autre femme. Grand-père paternel, mort en 1869 ; rhumatisant ; avait des picotements e
cinq mois, puis a été transféré à Pont-1'Abbé-Picau- ille où il est mort en démence 1. - Arrière-grand-père paternel, mo
ille où il est mort en démence 1. - Arrière-grand-père paternel, mort en Savoie, à soixante-dix ans. - Arrière grand' m
t-il, un goitre exophtalmique (1) ; un oncle et une tante maternels morts en bas âge, on ne sait de quoi. Ni aliénés, ni
six ans (père plus âgé). Deux enfants : 1° Notre malade. 2° Garçon, mort à vingt mois : alhrepsie, rachitisme (ne pouvai
intelligente, mais paresseuse et incapable de bonne volonté. A la mort de sa mère (1893) ses défauts et ses vices, menso
vertiges ; gl'Ctnd'pè1'e paternel alcoolique, épileptique, dément, mort interné; mère atteinte de troubles car- diaques
ois après l'accident primitif. Oblitération de la sylvienne gauche, mort en trois jours. Consi- dérations sur l'évolutio
formant le lende- main en hémiplégie droite complète avec aphasie : mort au bout de trois jours dans le coma avec fièvre
vec hémiplégie droite, aphasie, phénomènes de décubi- tus acutus et mort rapide. 2° Au point de vue anatomo-pathologique
ope, au niveau des régions irriguées par la sylvienne oblitérée, la mort étant survenue cepen- dant trois jours après le
cès, ainsi qu'en témoigne la correspondance privée trouvée après sa mort . Ses concurrents étaient en effet redoutables. Il
gale, de laj-yphilis, du cancer, de l'attaque d'apoplexie, de la mort subite, du ramollissement, de la paralysie généra
re rapidement : Le 14, adynamie, refroidissement. Le 16, coma, puis mort . Ni les symptômes observés, ni la température n
tte masse énorme de liquide que doit être probablement attribuée la mort . On peut se demander pourquoi un épanchement au
ace de la moelle a beaucoup diminué. 1 Voir sur ce sujet : Loye, La mort par la décapitation. Librairie du Progrès Méd.
7° si l'on commence les opérations deux à trois minuutes après la mort , on a dix à douze minutes à sa disposition; le tr
roite. Attaque d'apoplexie avec convulsions très accusées à gauche. Mort . A l'autopsie, on trouve, en ouvrant la dure-mè
cès des asiles, la phtisie n'est pas toujours donnée comme cause de mort , le malade succombant à une maladie inter- curr
nt malheureusement pas la durée du séjour à l'asile au moment de la mort ; mais on peut légitimement admettre que les mal
n l'est moins. Nietzche avait de l'hérédité névropathique et il est mort en état-d'alié- nation mentale, mais de sa foli
e. Nécrologie. 7'/m./OM)'n. of ment. Science d'octobre annonce la mort du De G. 1111crr.i ? ancien médecin en chef deSt.
n chef deSt.-Luke's IIos- pital. M. le D1' Je\n-Louis Rousselin est mort à Elbeuf le 19 octobre dernier dans sa 80° anné
RES. 549 4 i f. - épileptique précoce, par 'J. Voisin, 275. De la mort subite par rupture du caeur chez les ilé- men
de la épinière, par Guillain, 501. Monstre. Un de neuf ans, 78. Mort subite. Voir Déments. Myélite conjugale. Deux c
46 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qu'au même endroit, à côté de lui, un de ses cousins se donnait la mort . 2 l'ère, très bien portant, soixante-six ans.
r âme tombait alors dans une sorte d'extase qu'il appelle l'état de mort . « L'âme, se trouvant entièrement absorbée par
orce armée, il est obligé de se retirer, en présence des menaces de mort proférées par 0..., armé de fusil, fourche, etc.
blie intellectuelle ; mais depuis le début de la chorée jusqu'à la mort , qui survint neuf ans après, consécutivement à un
ues. Trois semaines plus tard, vomisse- ments, dyspnée, collapsus ; mort . On trouve à l'autopsie un foyer de ramollissem
c dysphagie rachialgie [cyanose, hypothermie, pouls intermittent, mort au sixième jour sans perte de connaissance jusqu'
ome au niveau du renflement cervical. Opération en septembre 189'r; mort le soir même. Tumeur endothéliomateuse, molle,
pathologique. Les cellules des connus intérieurs des épileptiques morts en état de mal montrent ce qui suit : la substanc
3 ma- lades hommes que j'ai observés, plus de la moitié (18) sont morts debout; c'est-à-dire qu'ils avaient conservé, jus
ut; c'est-à-dire qu'ils avaient conservé, jusqu'a la veille de leur mort , une vigueur et une liberté de mouvements suffisa
ns longue d'impotence et de séjour au lit. Quant aux causes de la mort , elles se répartissent de la façon suivante : 2
Les ictus y seraient généralement nombreux et assez rapprochés, la mort ne surviendrait qu'après une période assez long
RISTUN a fait dernièrement le relevé des 336 paralytiques généraux, morts dans son service depuis dix-huit ans. Parmi eux.
aux, morts dans son service depuis dix-huit ans. Parmi eux. 98 sont morts d'attaques épileptiformes, 23 de congestion céréb
uccombé, pour la plupart, dans le marasme ; quelques-uns enfin sont morts de pachyméningite ou d'affections intercurrente
de paralytiques : les uns qui conservent leur embonpoint jusqu'à la mort ; les autres qui maigrissent et présentent cette
nt le lit, ou un érythème provoqué par la pression du décubitus. La mort subite s'observe beaucoup plus souvent qu'on es
t déterminer de pression. M. C.r,ncr croit aussi à la fréquence des morts subites anatomiquement inex- pliquées. Souscr
malade, ces mêmes autorités doivent être également informées de la mort des aliénés internés et des évasions : 111. D
hors des instants réglementaires, pas même pour le cas de danger de mort . Il est complètement muet à cet égard. Cer- tai
ayant subi une crise d'aliénation mentale ; père nerveux, dissipé, mort d'angine de poi- trine ; un frère, dix-neuf ans
té du cas, le bon effet de l'hypnotisme qui a sauvé la malade d'une mort certaine mais ne l'a pas guérie puisqu'il ne l'
le - ou au-dessous de la 8° ra- cine cervicale, ayant occasionné la mort de trois à six semaines après le début de la co
postérieures ; figures. Il s'agit d'un homme de quarante-cinq ans, mort de démence para- lytique. Rien dans les cordons
XIII. Recherche B1CTÉBIOSCOPIQUE SUR L'ÉCORCE cérébrale D'INDIVIDUS MORTS DE paralysie générale PROGRESSIVE; par PICCININO.
; que, comme lui enfin, il a à la fois le désir et la crainte de la mort , et, malgré son mépris' de la vie, ne se suicid
la puberté. - Etat de mal. Elévation notable de la tempéra- rature. Mort . Marche de la température et de la rigidité cad
[Père débardeur, quelques excès de boisson, plusieurs hémoptysies, mort à quarante-cinq ans, à la suite d'un coup reçu
dont un des enfants a eu des convulsions internes; - 2° un garçon mort athrepsique à deux ans; - 3° un garçon mort du cr
nternes; - 2° un garçon mort athrepsique à deux ans; - 3° un garçon mort du croup ( ? ) à 9 mois;-40 un garçon mort de «
deux ans; - 3° un garçon mort du croup ( ? ) à 9 mois;-40 un garçon mort de « rougeole rentrée » à deux ans et demi; - 5
demi; - 5° un garçon t bossu », a eu beaucoup de convulsions, est mort à dix-huit ans, à la suite d'un abcès par congest
p. 10 le surmenage cérébral. Sur les 368 malades observés, 311 sont morts et sur ce nombre, 32 p. 100 sont morts d'attaqu
8 malades observés, 311 sont morts et sur ce nombre, 32 p. 100 sont morts d'attaque apoplectique, 19 p. 100 de crises épi
inaison fatale : sauf un seul, tous les enfants dont il s'agit sont morts vers l'âge de deux ans, en état de marasme. L
ler ne pou- vant oublier qu'il est médecin. S'il n'a pas attendu la mort de Zola pour publier son observation, c'est par
st âgé de quarante-deux ans. Pas d'antécé- dents héréditaires. Père mort à soixante-seize ans après avoir eu un ictus ap
cyanose de la face, parésie légère du côté gauche, fièvre, 40.5. Mort . Autopsie (12 heures post mortem). Cerveau ; hémi
muqueuse pituitaire elle-même. Or ces cellules s'altèrent après la mort avec une grande rapidité. Les conclusions qu'on
approchement entre les corps cellulaires, quel que soit le genre de mort de l'ani- mal (chloroforme, hémorragie, empoiso
ue les organes fussent plongés dans l'état de repos au moment de la mort (animaux sacrifiés après un long 302 REVUE CRIT
partout et toujours la névrorlie comble les lacunes laissées par la mort totale ou partielle de l'élément nerveux. Dans la
ue fait-on eu effet quand un accusé suspect de folie est condamné à mort ? On fait après ce qu'on aurait dû faire avant,
gastrique. Peut-être ces hémor- ragies déterminent-elles les cas de mort subite observés dans le choléra. Les pneumonies
que rarement pour lever le bras en menaçant, et dire GO va-t'en ». Mort le 2 janvier par pneumonie. Autopsie du cerveau
vier par pneumonie. Autopsie du cerveau faite trois heures après la mort ; pas d'autres altérations que des adhérences de
) fait remarquer qu'il a observé maintes fois chez des épileptiques morts en état de mal des hémorragies analogues à cell
t au niveau du noyau du pneumogastrique. Elles avaient déterminé la mort . On réussit quelquefois, par la narcose cliloro
yon. DMCtMSMH.M. Cramer a observé, chez des paralytiques généraux morts d'ictus, des hémorragies siégeant au niveau de la
euses hémorragies dans la substance grise centrale des épileptiques morts en état de mal, son hypothèse sur l'étiologie t
à l'auteur du meilleur ouvrage sur les signes diagnostiques de la mort et sur les moyens de prévenir les inhumations pré
des para- lytiques généraux, et aussi dans des moelles d'individus morts d'an- tres affections, les cellules de la colon
ture de la douzième dorsale ayant complètement écrasé la moelle; la mort survint cinq semaines après l'accident, au moment
ne une cachexie particulière avec mue de la peau, bientôt suivie de mort . Reprenant les expériences de Gley sur le lapin
idérer comme la base des maladies intercurrentes ayant déterminé la mort des sujets. On reconnaît aujourd'hui à l'origine
sur des organes fort éloignés du cerveau ('exemple castration). La mort , consécutive à beaucoup de maladies, provient m
Chicago tira quatre coups de revolver sur un facteur et le croyant mort essaya de se suicider avec la même arme. Son pè
titre de l'observation; sexe du malade; âge auquel est survenue la mort ; antécé- dents héréditaires; syphilis; autres f
ta- tion de la parole. Exagération des réflexes. Epilepsie spinale. Mort dans le marasme paralytique. ' Le diagnostic
du côté gauche et de la jambe du côté droit; parésie du bras droit. Mort . Parmi les particularités intéressantes de ce c
une lésion en foyer, ne se manifes- tent que peu de temps avant la mort , ou, s'ils sont moins tardifs, restent masqués
vertige, vomissements, perte de l'équilibre. Enfin état comateux et mort . A l'autopsie, tumeur dure, sphérique, de la gros
ytiques avec eon- tracture du côté droit. Amaurose de l'oeil droit. Mort . Autopsie : 404 SOCIÉTÉS SAVANTES. tumeur mol
uis des vomissements, de l'ictère avec élévation de température. La mort survient après des convulsions coniques loca- l
ans les ganglions centraux, mais jamais dans la capsule interne. La mort reconnaissait pour cause une hé- morragie récen
s générales sur la vie, sur l'état de santé et des maladie ; sur la mort , la naissance et la reproduction ; 3° à côté de
forme. J'ai versé le chloroforme dans la bouteille et le baby est mort le même soir. Le médecin qui a soigné l'enfant
TALE. SUR LA PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE ET SUR LA MORT DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX; . Par le D' F.-L. AR
est tout autrement de la période terminale de la mala- die et de la mort des paralytiques généraux. Ici, les auteurs son
nt sur les points du corps les plus saillants... Il est rare que la mort survienne uniquement par suite des altérations
ontraint alors de les maintenir à demeure dans leur lit. Lorsque la mort n'arrive qu'au dernier terme de l'épuise- ment,
nc à son mode de terminaison seul que la maladie doit son nom ». La mort se produit par des mécanismes très différents :
. abcès..., eschares du sacrum, des fesses, du talon (p. 446). La mort a lieu soit par les progrès mêmes de la déchéance
onde... Viennent ensuite, par ordre de fréquence pour les causes de mort , les attaques apoplectiformes et épilepti- form
ans leur lit (p. 279). La maladie se termine ordinai- rement par la mort , qui arrive soit par un accès paralytique, soit
té de faire des mouvements avec les bras (p. 336). Enfin, arrive la mort : 1° par marasme et thrombose marastique ; 2° p
el. J'ai réuni tous nos cas de paralysie générale terminée par la mort , pendant ces sept dernières années; ils sont au n
terminale de la paralysie générale, ni d'étudier com- plètement la mort des paralytiques généraux. Je laisserai de côté
us de la moitié de nos paralyti- ques - exactement 18 sur 33 - sont morts debout. Avec M. Falret, nous entendons par là l
soins de pro- preté et de quelques précautions antiseptiques. II. Mort . - Nos 33 cas de mort se répartissent en 3 groupe
et de quelques précautions antiseptiques. II. Mort. - Nos 33 cas de mort se répartissent en 3 groupes fort inégaux, suiv
s de mort se répartissent en 3 groupes fort inégaux, suivant que la mort a résulté d'un ictus cérébral, d'une affection
Le premier groupe est de beaucoup le plus nombreux : il comprend 26 morts par ictus, presque toujours épilepliforme; ce c
ujours épilepliforme; ce chiffre représente les 4/5 du total des 33 morts . PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 43
INALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 439 2. Dans le 2e groupe, celui des morts par affection intercur- rente, étrangère à la p
trangère à la paralysie générale, nous trouvons 6 cas : trois fois, mort rapide par affection broncho-pulmonaire aiguë ;
is, mort rapide par affection broncho-pulmonaire aiguë ; deux fois, mort subite attribuée à une insuffisance aortique re
ompris plusieurs ictus dont le dernier se produisit 2 mois avant la mort , ce malade a été confiné au lit pendant plus de
vie, et la déglutition était devenue presque impos- sible. Après la mort qui survint neuf ans après l'entrée du malade à
ont toutes guéri sans complications d'aucun genre. Au moment de la mort , il n'en existait pas. \ En résumé, la mort d
enre. Au moment de la mort, il n'en existait pas. \ En résumé, la mort de nos 33 paralytiques généraux a été 440 PATHO
ement les rapports qui ont existé entre l'état des malades avant la mort , entre la durée de la maladie et entre le genre
es avant la mort, entre la durée de la maladie et entre le genre de mort , nous obtenons les résultats suivants : Les 6
alades qui ont succombé à des affections intercur- rentes sont tous mort debout sans avoir traversé une période d'affaib
, a été assez courte : deux ans en moyenne. Les 26 malades qui sont morts par ictus cérébral forment deux catégories. La
t deux catégories. La première comprend ceux qui sont égale- ment morts debout; ils sont au nombre de 12. Chez eux, la
e que je tiens à indiquer est rela- tive à la cause immédiate de la mort . Je rappelle que les 4/5 de nos malades, 26 sur
z tous nos malades qui sont restés longtemps immobilisés avant leur mort , j'ai noté des symp- tômes spasmodiques bien ma
obilisation, ils s'aggra- vent et persistent d'ordinaire jusqu'à la mort . Au contraire, ils n'existaient pas ou n'exista
ent pas ou n'existaient que très atténués chez les malades qui sont morts debout. 1 PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉN
es ictus y seraient généralement nom- breux et assez rapprochés, la mort ne surviendrait qu'après une période d'impotenc
progressivement jusqu'à perdre, plus ou moins long- temps avant la mort , le pouvoir de marcher et de se soutenir, il n'
eux, la moitié peut-être, meurent debout, conservant jusqu'à leur mort une liberté de mouvements assez grande pour aller
table que les ictus céré- braux jouent un rôle prépondérant dans la mort dès paraly- tiques : ils en sont la cause natur
vivent encore, Gua- dalupe et deux frères jumeaux; les autres sont morts pour des causes diverses. La première (une peti
ux ans et huit mois, de fièvres intermittentes; et le cinquième est mort aussi du tétanos dans la première semaine qui a
ndant plusieurs jours de suite. L'enfant naquit à terme, en état de mort apparente et avec le crâne si tendre qu'il s'a-
me du père, la différence d'âge entre lui et sa femme, et l'état de mort apparente de l'enfant quand il est venu au mond
de la maladie à savoir : une paralysie ascendante aiguë, causant la mort par envahissement des noyaux bulbaires, sans al
ntester que la paralysie ascen- dante aiguë peut évoluer jusqu'à la mort sans laisser d'altérations histologiques démont
oppement des signes classiques d'une méningite basilaire, suivie de mort dans le coma. Entre l'apparition des douleurs s
dans le coma. Entre l'apparition des douleurs sacro-lombaires et la mort , il y eut un intervalle de quatre semaines. A
t le malade de faire des mouvements ; la sen- sibilité est intacte. Mort par une attaque d'asphyxie quatre semaines aprè
périeuses d'uriner ; le malade se mouille souvent. Autopsie. - La mort est accidentelle. La face est indemne, les os d
roubles de la sensibilité jusqu'aux racines dor- sales supérieures. Mort le 13 décembre 1893, quatorze mois après l'opér
rpation aussi complète que pos- sible ; hémorrhagie très abondante, mort le soir même de l'opé- ration. Le 26 avril, a
eau (d'ici une hémiplégie gauche avec développement lent); avant la mort se manifestèrent des phénomènes d'une méningite
déclin normal de l'organisme, intermédiaire à la croissance et à la mort . Elle résulte d'une dimi- nution d'intensité da
s professeurs, soit des agrégés de la Faculté de médecine de Paris, morts sans fortune ou sans retraite réversible suffis
47 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
dévoué confrère, L. d’Arbaud. Cahors, le avril 1861. LA VIE ET LA MORT . - LA VEILLE ET LE SOMMEIL. Le sommeil est une
LA VIE ET LA MORT. - LA VEILLE ET LE SOMMEIL. Le sommeil est une mort incomplète ; la mort est un sommeil parfait. La
- LA VEILLE ET LE SOMMEIL. Le sommeil est une mort incomplète ; la mort est un sommeil parfait. La nature nous soumet a
La nature nous soumet au sommeil pour nous habituer à l’idée de la mort , et nous avertit par les rêves de la persistance
plus; mais votre voix les importune; ils ont sommeil du sommeil de la mort . La mort est un courant qui entraîne, un gouffr
votre voix les importune; ils ont sommeil du sommeil de la mort. La mort est un courant qui entraîne, un gouffre qui absor
; souvent aussi par la même loi d équilibre, on passe du sommeil à la mort , par complaisance pour le sommeil. . Une nacell
îne, il détache 1 anneau. L’antiquité avait deviné le mystère de la mort attrayante et l'avait représenté dans la fable d'
leur sous la rosée brillante de ses larmes 1 Castor et Pollux, que la mort n’a pu désunir et qui s’aiment tour à tour dans l
rebant fUiminc ipsæ. Pendant qu’il chante, cette pâle statue que la mort a faite, se colore des premières nuances de la vi
uel île la haute, Magie, nous avons osé dire (pie la résurrection des morts n’est pas un phénomène impossible dans l’ordre mê
ous n’avons nié, ni contredit en aucune manière la loi fatale de la mort . Une mort qui peut cesser n’est qu’une léthargie
s nié, ni contredit en aucune manière la loi fatale de la mort. Une mort qui peut cesser n’est qu’une léthargie et un somm
argie et un sommeil, mais c’est par la léthargie et le sommeil que la mort commence toujours. L’état de quiétude profonde qu
atiguée qui dort de son premier sommeil ! Toutefois le visage de la mort n’a pas la même sérénité pour toutes les âmes qui
On se trompait souvent, et ce pouvait être toujours des épaves de la mort , des ressus-cités de la sépulture qui, pour s’aba
ualisme : C'est une évocation véritable, un prêtre qui fait parler un mort , me scène magnétique et magique. Tous les monumen
ier à l’instant un grand secret. « Sachez donc, madame, que je suis mort depuis trois ans, et qu’un insigne faussaire s'es
n sous laquelle elle reste assez longtemps, elle ne peut croire qu’un mort lui ait véritablement apparu, et ne regarde cet
n’y avait pa3 en effet quelque degré de parenté entre son amie et le mort . A quelques jours de là, cette personne revient
ôté rétrécis par le pouvoir, mais qu’importe? Les vides faits par la mort ont été bientôt comblés; et, à défaut de tribune,
ée de l’homme n’a rien de la terre, et nous répugnons à l’idée que la mort puisse l’atteindre. « Non, nous ne sommes pas m
nos éloquents collègues, ancien député, M. Salvat, que l’impitoyable mort a ravi trop tôt à nos sympathies : « Il viendra u
l’apôtre infatigable qui relie à la génération actuelle ces illustres morts dont je viens d’esquisser l’éloge, celui dont la
ecins, peut-être n’avait-il pas (oi t. Ceux-ci avaient alïirmé que la mort était encore éloignée, mais il est mort de suite.
eux-ci avaient alïirmé que la mort était encore éloignée, mais il est mort de suite. Nous n'en finirions pas si nous \ouli
nimaux doués de cette force, à un tel degré, qu’ils peuvent causer la mort avec une rapidité presque égale à celle de la fou
emmes les plus remarquables du pays sous tous les rapports et dont la mort a été sentie comme un malheur public. Elle avait
urs après mon arrivée à Paris, je reçus une lettre qui m’apprenait sa mort . La comtesse M. vint avec sa famille passer l’hiv
ékeyba. —Le gros lion du Bengale de la ménagerie de Scliœnbrunn est mort dans la nuit de dimanche à lundi. Le Journal de F
té rend ce spectacle extrêmement émouvant : c’est une vraie danse des morts qui ne cesse que lorsque la décomposition des cor
mouvoir la machine humaine; cette mécon- naissance de la vie, de la mort , ces deux évolutions capitales. Mais nous nous
prit soient saints, etc. (1). » Or cet esprit, ce moi, dégagé, par la mort du corps, de ses liens matériels, conserve bien é
cas, avec ses frères désincarnés par suite de ce que nous appelons la mort de la matière ou, en d’autres termes, le repos ap
nie. » Ch. de Hémusât, membre de l’institut. (1) o II n’est rien de mort dans le monde. Hermès. « Les Éléments ont vie..
rie de l’Écriture appelle Satan (leSamaèl de la cabale), l'ange de la mort , le mauvais désir, le serpent séducteur. C'est l'
dont on a fait le symbole de la déchéance, de la malédiction et de la mort ... De cette manière, leur démono-logie serait un
la possibilité réelle d’apercevoir le départ de l’àme au moment de la mort du corps. Le travail de cette séparation fut étud
auteur : « Dans l’état lucide un somnambule craint ordinairement la mort ; mais, dans l’état extatique, loin de la craindr
de manifestation changent à travers nos phases de cosmogonie ; que la mort n’est qu’une transformation, et que nous portons
us écrit de Constantinople, 14 août 1861 : : Dernièrement, après la mort d’Abd-ul-Medjid, on a beaucoup parlé ici, surtout
ation, officiellement envoyé à la Sublime-Porte quatre jours avant la mort du sultan, dans lequel le médecin traitant assura
s’attendre à une prochaine et complète guérison. « La veille de la mort , d’autres médecins appelés en consultation ont co
à l’aide de ses bretelles, à l’un des barreaux de l’imposte. 11 était mort . Baron Du POTET, propriétaire-gérant. PROGRÈS
ans la pensée l'arbre du bien et du mal, la source de la vie et de la mort . C'est encore un enseignement de la philosophie h
uvernement de l’empire et la domination du monde à Domitien, quand sa mort arriva de la sorle. 11 avait fait périr le consul
cade. Au bruit de la lutte, ils entrent et dépêchent le tyran, à demi mort déjà. « Tandis que cela se passait à Rome, Apol
re puni de ses crimes. Que Minerve me soit en aide ! Je le vois roide mort , étendu sur le carreau. Ce châtiment s’exécutait
ÊTRE. « Comment, en Dieu, l'essence de la vie, pourrait-il être des morts ? « La dissolution n’est pas la mort, mais la sé
e la vie, pourrait-il être des morts? « La dissolution n’est pas la mort , mais la séparation des parties qui forment un mé
ignifiait, à ne pas s’y méprendre : « Il y a là une vie menacée d’une mort certaine si je m’éloigne seulement d’un pas, et j
quelles alternatives ! C’est dans cet intervalle entre la vie et la mort pour Nanny Ramsay que Zeb releva, lui aussi, fièr
lait tenter d’arracher, n’importe à quel prix, la pauvre N.anny à une mort certaine, quand, à ce cri, William Ramsay répondi
ncore palpitants furent lancés par lui dans le Gange. Arrachée à la mort , Nanny tomba en exhalant un cri de résurrection d
est, au reste, jamais complète ; car la suspension complète serait la mort .... « Les opérations de l’àme dépendant de la v
les d'une activité (1) Bacon dit aussi que, près de l’instant de la mort : « Anima in se reducta atque collecta, nec in
vient, parfois, au moment où l'on y pense le moins. « Le jour de la mort de saint Martin, àTours (en 400), saint Ambroiae
llement de ses sens matériels qu’il pouvait, en cet état, passer pour mort . 11 demeurait ainsi tout à fait insensible. On le
— Les d’Esloniennes et les Mesmériennes ou les nouvelles Amazones. — Mort de Court de Gébelin. — Sa mauvaise épitaphe par u
onsultation en vers. — Le Mesmérisme, ou épitre à M. Mesmer. XXIII. Mort de d’Eslon. — Sa prédiction par une somnambule.
ant éveillée et surprise à l’improvistc. Il concerne un de mes frères mort en Amérique. Le troisième fait est de mon observa
sous le nom de AJorina, comme l’âme d’un jeune homme de l’Andalousie, mort à l’âge de dix-huit ans, tint par écrit (1), avoc
et de ma-touo, justifié, nous font connaître que ce personnage était mort à l’époque de l’érection du monument. « Le text
venin s’empare de set mtmbret) ; qu’il ne soit pas pénétré par aucun mort ni par aucune morte ! que l’ombre d’aucun esprit
K-EW EN MAU NEB MAU-T NEB AN RIR ES Qu'il ne toit pénétré par aucun mort , pur aucune morte; qu'elle ne /a hante pas, ...
comme le jour nouveau; en d’autres termes, il vivait encore après la mort ; le coupable, au contraire, était frappé de la se
après la mort; le coupable, au contraire, était frappé de la seconde mort (1); certaines prières du livre funéraire avaient
er au défunt ce trépas définitif. Les réprouvés frappés de la seconde mort reçoivent dans les textes, soit la simple dénomin
econde mort reçoivent dans les textes, soit la simple dénomination de mort , comme dans le passage étudié, soit celle d’espri
omination de mort, comme dans le passage étudié, soit celle d’esprits morts . «Assimilés aux ennemis d’Osiris, ils subissaie
uve dans le rituel cette prière du défunt : « Fermez-moi contre les morts qui font le mal contre moi ! Qu’ils ne fassent pa
l contre moi. » « L’adjuration étudiée s’adresse, non-seulement aux morts qui entrent dans les corps, mais encore aux ombre
mais encore aux ombres des esprits qui hantent. 11 faut noter que les morts étaient regardés comme des êtres méchants et fune
serpent mâle ou femelle , d’aucun scorpion, d’aucun reptile, d’aucun mort , d’aucune morte » o Bien que ces invocations ai
ansporter partout à leur gré et se revêtir de formes diverses. Satan, mort à la suite de l’indiscrétion commise par sa femme
ême adieu à celui qui fut notre ami et n otre collaborateur. 11 est mort comme on doit mourir, subitement; s'affranchissan
arée, il fut ensuite envoyé à Rome, où il fut probablement condamné à mort comme perturbateur. » Paul, dans son indignatio
lanade de la ville, au lieu où l’on exécute les criminels condamnés à mort par le Patience! Un vieux monde finit, un nouve
étant décédés, et la police ayant cherché de quelle façon ils étaient morts , leurs parents avouèrent qu'ils n’avaient pas eu
pagateurs de cette doctrine. (Extrait de l’Union.) NÉCROLOGIE. La mort frappe sur les académiciens comme sur de simples
gereux, il est de toute évidence que je serais déjà détruit, évaporé, mort . » Ce lut bientôt le tour (Sun sieur Pmdet, doc
sto vescovo (l’évêque de « Vérone que Martin della Scala fit mettre à mort ) lo trovato « uno spieccliio naorato (dorato) con
dire de Saint-Simon, si clairement tout ce qui devait avoir lieu à la mort du grand roi. Les Orientaux ont hérité aussi de
ace liquide le portrait des personnes auxquelles il voulait donner la mort ; elle se rattache évidemment à la croyance à l’en
r la fortune, et qui forment comme une auréole mystique, qui ôte à la mort ce qu’elle a d’affreux, en entretenant les plus d
), ou croyance au mauvais œil dans l’Asie Mineure, 308. Nécrologie. Mort du magnétiste-spiritualisle Jobard, conservateur
(la) des grands mystères, par Eliphas Lévi. Extrait sur la vie et la mort , la veille et le sommeil. 218. Cours théorique
48 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, les déman- geaisons, les crampes douloureuses, le signe du doigt mort , les sifflements et les bourdonnements d'oreill
ux ne fut établie qu'à l'autopsie. Dans l'autre c'est- parce que la mort fut consécutive à des phénomènes de grande urém
nt la nuit un véritable délire de rêve; il vit sa fille et sa soeur mortes depuis plusieurs années, il conversa avec elles
ir, qu'il a parfois saigné du nez, ou éprouvé la sensation doigt de mort . Il raconte que depuis quelque temps tout le mo
13. Comment se nomme l'Empereur d'Allemagne actuel ? 14. Quand est mort l'Empereur Guillaume I" ? Epreuve de la parole.
aut-Eugène, né le 23 mars 1891; 50'Valentin, né le 20 février 1892, mort le lendemain; 6° Marie, née le 31 août 1893; 7°
à verser dans la démence sénile. Les pa- rents de notre sujet sont morts , savoir : la mère, le 23 décembre 1893 par suit
un léger strabisme interne de l'oeil droit, qu'il avait eu un frère mort phtisique à vingt et un ans, qu'il a fait un pe
vie, et a eu une sorte d'accès d'alcoolisme aigu deux ans avant sa mort . Il a été soldat à Tours pendant quatre ans et
lle. Mère eczémateuse, pas d'accidents nerveux. Grand-père maternel mort de paralysie du cerveau. Grand'mère maternelle,
olique, morte d'une congestion céré- brale. - Deux cousins germains morts de convulsions. z convulsions de l'enfance. P
e. Il a abandonné la mère de ses enfants il y a deux ans, et serait mort , on ne sait de quoi, peu de temps après la sépa
de syphilis. Intelligence moyenne. Famille de la mère. Père, sobre, mort d'une paralysie au cer- veau (' ? ). Mère, alco
le, sobre, morte d'une tumeur de l'estomac. Deux tantes maternelles mortes jeunes de la poitrine. Une soeur, en bonne sant
la poitrine. Une soeur, en bonne santé ; de ses sept enfants un est mort de convidsions ; un autre a eu des convulsions.
âge entre les parents (père plus âgé). Quatre enfants : 1° Garçon mort du croup à deux ans et demi. Pas de convulsions
oup à deux ans et demi. Pas de convulsions, intelligent ; 20 Garçon mort à six mois du choléra infantile. Pas de convuls
, dont la famille est inconnue. -Du côté ma- ternel, nous notons la mort du grand-père de l'enfant par une paralysie duc
el, il est à peu près cer- tain que l'anesthésie aurait entraîné la mort . R. de iIUSGRAVE-CLAM. XIII. Note sur les lob
sile de Dorchester pendant plus de 23 ans et avait, au moment de sa mort , près de 60 ans. C'était un imbécile congé- nit
ultiplia les applications thérapeutiques de l'hypnotisme. Depuis la mort de Tokarsky, il s'est formé à Moscou, sur l'initi
ertains signes de dégénérescence, en particulier la stérilité et la mort précoce. Il appuie ses affirmations sur l'étude d
réagir contre tout cela. Neuf des enfants des époux Jousselin sont morts en bas-âge. Les voisins ont déclaré qu'ils avai
ation, nous allons résumer les particularités notées de 1896 à sa mort , donner les résultats de son autopsie, la descrip
iéné et sujet probablement à des accès d'épilepsie. Frère et soeui, morts tuberculeux. Soeui- strabique à la suite de convu
éral. 1902. Hydropisie pleurale et péricardique. Cyanose subite : mort ; abaissement considérable de la température. T. a
e : mort; abaissement considérable de la température. T. après la mort . Rigidité cadavérique. Autopsie. Persistance de
et mangé des bonbons. 100 RECUEIL DE FAITS. Température après la mort . IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSB. 101 L'ensemble de la
lésion des capsules surrénales. IDIOTIE MYX(EDGMATEUSE. , ZO5 La mort est due à une syncope provoquée sans doute par l'
tous nos myxoedémateux, au-dessous de la nor- male. Au moment de la mort , presque foudroyante, elle était descendue à 34
le Compte rendu de Bicètre de 1901 (p. 167). A un moment, après la mort , elle a même été au-dessous de la température d
e la paralysie générale. Les Yeux énucléés quelques heures après la mort ont été fixés dans le formol, inclus dans la ce
sa chambre et se tira un coup de son arme dans l'oreille dioite. La mort fut instantanée. Depuis quelque temps, Hessenco
que c'est dan; un accès de deli- rium tremens qu'il s'est donné la mort . (Le Progrès de Lyon, 10 juil- let 1903.) CLI
rin très vif. Depuis il n'est pas bien por-' tant. Un mois après la mort de son petit-fils il fut obligé d'inter- rompre
lade a été pendant quelques jours très abattu, pleurant, se croyant mort , épuisé physiquement, se plaignant du froid. 11
s suivants : . 140 CLINIQUE NERVEUSE. que s'aggraver jusqu'à sa mort survenue au milieu d'octobre. La tristesse et l
rès rebelle et très fétide contribua encore à épuiser le malade. La mort survint dans le coma le 16 octobre. En résumé :
i-même va mourir. On va procédera t son autopsie, et pour éviter la mort , il cherche à se jeter par la fenêtre. Il est t
tation conti- nuelle avec gâtisme que présenta le malade jusqu'à sa mort fit que cet examen ne fut pas renouvelé, aucun
t l'attention sur l'insuffisance rénale. L'évolution fut rapide, la mort survint au com- mencement de septembre sans que
el* d'observer le même état d'une façon continue, durant jusqu'à la mort survenue d'ailleurs sans ictus. La constatation
(55 cas) ; ou elles avaient avorté ; ou enfin leurs enfants étaient morts dans les premiers mois de la vie. Une enquête a
vivant dans les mêmes conditions sociales. Si l'ou en rapproche la mort fréquente des enfants en Las-âge appartenant au
n enfant'de deux ans, asphyxiés par un poële. L'enfant est trouvé mort ; la femme présente une intoxication légère; le ma
s dans le cervelet avec une seringue de Pravaz sans aucun résultat. Mort le quatrième jour. A l'autopsie : s'étalait à
e fille n'eut plus que l'idée obsédante, toujours consciente, d'une mort imminente avec crises paroxystiques presque jou
, héréditaire vésanique par la ligne paternelle; le père aliéné est mort dans un asile, une soeur est hystérique; une co
devint alors complètement aliéné. Il s'accusa d'avoir occasionné la mort de son fils par les coups qu'il lui avait portés
e. Il se ren- dait très bien compte qu'il n'était pour rien dans la mort de son enfant, qu'il n'avait jamais touché, néa
avait de plus des envies fréquentes d'uriner, la sensation de doigt mort , des vomissements, des crampes dans les jambes.
d' mère paternelle, hémiplégie gauche. Arrière- grand-père paternel mort d'une congestion céré- bi,ale. Ai-i,ièi-e-gra21
n ? èt,e paternelle morte avec une hémiplégie. Grand-oncle paternel mort d'une attaque d'apoplexie. Mère : céphalalgies,
sme, morte d'apoplexie céré- brute. Grand-père maternel alcoolique, mort à sa troisième attaque d'apoplexie. Grand'mère
d'un cancer de l'utérus. Grand-oncle maternel bègue. Oncle maternel mort de tuberculose. Frère mort de méningite. Autre
and-oncle maternel bègue. Oncle maternel mort de tuberculose. Frère mort de méningite. Autre frère, convulsions de l'enfan
. Frère mort de méningite. Autre frère, convulsions de l'enfance, mort de tuberculose. De ! ? : t-soeM;' paternelle, mor
x-neuf ans, en deux jours, avec une hémiplégie. Grand-père maternel mort asthmatique à soixante- dix-sept ans. Grand'mèr
atant de vingt ans, attribuée à l'é- motion qu'elle a éprouvée à la mort de son mari, frappé de con- gestion cérébrale e
8 mai dernier à une attaque d'apoplexie. [Son père, alcoolique, est mort à soixante-dix- huit ans, à sa troisième attaqu
cancer de l'utérus. Ses grands-parents paternels et maternels sont morts âgés, de maladie inconnue. Un oncle maternel es
soeur est morte à neuf ans de la fièvre typhoïde. Deux frères, l'un mort tuberculeux, l'autre boiteux par accident, mais
, t. XVI. 14 210 RECUEIL DE FAITS. 1 Trois enfants : 1° un garçon mort Ae méningite, sans convulsions, en trois jours,
sans convulsions, en trois jours, à l'âge de neuf mois ; 20 garçon mort à vingt-quatre ans, de tuberculose pulmonaire;
tés. Pendant deux ou trois mois elle a répété sans cesse : « Il est mort ! il est mort ! » Ayant un jour assisté à un in
eux ou trois mois elle a répété sans cesse : « Il est mort ! il est mort ! » Ayant un jour assisté à un incendie et ente
es bases. Et tout d'abord, quelle signification faut-il accorder au mort coce accolé de démence ? Doit-il s'entendre seu
rie, et remplit un bulletin spé- cialement rédigé à cet effet. A la mort d'un aliéné, le nourricier vient immédiatement
s qu'elle est toujours abaissée chez les myxoedémateux. -Cause delà mort : affections pulmonaires, sur- tout tuberculeus
a disparition de ces accidents, qui sont l'occasion ordinaire de la mort des tabéti- ques. En signalant l'action des exe
détail le système nerveux de quatre anencéphales. Deux étaient nés morts et avant terme, l'un à sept mois et demi, l'autre
et parfois même opposée. Nos deux monstres venus avant terme et nés morts n'avaient pas de bulbe. Ces constatations nous
re part l'état de conservation parfaite des foetus indiquait que la mort remontait à peu de temps, comme même chez l'un
ns, engagé volontaire, caserné au fort de Charenton, s'est donné la mort en se tirant dans la tète, alors qu'il était seul
Ch. Laurent, plus surexcité que jamais en proférant des menaces de mort contre le négociant dont il disait avoir à se p
e régime de la prison. » Quelques jours après il annonce au juge la mort de sa femme dans les termes suivants : « llta fem
en escroquerie. En janvier 1900, c'est un négociant qu'il menace de mort . En février, c'est un autre vis-à-vis duquel il
e exa- gérée sur la foi des expériences sur les animaux. Les cas de mort sont presque toujours dus à des lésions cardiaq
ue. Mais les dangers de leur emploi sont trop certains elles cas de mort avec troubles moteurs, respiratoires et cardiaq
ns employée. Cet ostracisme, dû aux accidents con- sécutifs (cas de mort par congestion pulmonaire, par collapsus), est
des quatre membres avec intégrité com- plète de la sensibilité. La mort est survenue deux mois après le début de la par
être aigu, subaigu ou chronique. Quand, aigu, il se termine par la mort , on trouve une hyperhémie très intense des organe
icité, notre malade d'abord déprimé était atteint sept ans avant la mort de mélancolie avec idées de persécution. « Grin
e qui peut devenir une infirmité incurable et même le conduire à la mort . D'une sorte de léthargie des processus de. cic
x cadavres de Rubens et de Rembrandt, l'un tout voisin encore de la mort , comme on le voit à l'hôpital, l'autre devenu m
it que c'est dans un accès de delirium tremens qu'il s'est donné la mort . (Le Progrès de Lyoit, 10 juillet 4903). FAIT
ée de vingt-huit ans, dont la mère et la grand'mère maternelle sont mortes aliénées, toutes deux mélancoliques, entre dans
ation qui lui serait faite un jour par le mariage de ce frère et la mort de son père, elle se tracassait à la pensée de se
lation et dit encore regretter de n'avoir pas réussi à se donner la mort ; elle ne s'alimente pas volontiers. On lui met un
e, mais quelques stigmates physiques de dégénérescence. De- puis la mort , par tuberculose pulmonaire, d'un frère qu'elle a
de ses anciennes préoccupations, de ses craintes de tuberculose, de mort , sont accusées par des crises de craintivité, d
pas la tête, que l'on n'appelle pas le diable, puis elle réclame la mort , etc.. Elle semble parfois aussi avoir une lueu
, dont on avait pratiqué l'autopsie seize heures seulement après la mort ; ils n'avaient séjourné que qua- torze jours cl
nues, pouls fréquent et tendu de plus en plus faible,')'. 39 et 40, mort . utopste.Hyperémie veineuse notable des méninge
e attaque d'alié- nation, ne dort pas, refuse de manger, de parler, mort par pneu- monie. A l'autopsie : dure-mère adhér
de persécution, alcoolisme. Parole nette. Signe d'Argyll Robertson. Mort après plusieurs attaques épileptiformes. - Auto
is environd eux mois après l'entrée du malade et il dura jusqu'à sa mort , à peu près six mois plus tard. Le malade dorma
dianhée intermittente et une prostration prolongée qui aboutit à la mort . La pellagre se complique toujours d'affections
ncore l'émotion causée, dans le monde savant tout entier, par cette mort brusquement survenue, en plein labeur et en ple
monument que nous inaugurons aujourd'hui, plus de dix ans après sa mort Quel panégyrique plus éloquent, admirateurs, co
patron de Lamalou », et les bienfaits de ce précieux patronage, la mort ne les a pas arrêtés, ils se répartissent encore
je ne devais aujourd'hui éloigner de pareils souvenirs. 11 est des morts , auxquels il ne faut songer qu'avec sérénité. Cha
r à son oeuvre lajuste admiration qui lui fut, au lende- main de sa mort , si généreusement dévolue par tous, même au del
r de Charcot à la Salpêtrière. Messieurs, Le lendemain même de la mort de Charcot, sa compagne dévouée, celle dont tou
e colore plus finement, aboutit à une sclérose névroglique que la mort a surpris et fixé en pleine évolution. Leur patho
misérable, malheureux, quel crime ! ! ... Cela mérite cent fois la mort ... Quels supplices me sont réservés ? J'avais une
pas, je suis de la campagne. « Inc. Saint Thomas est blanc comme un mort . ' « Cons. Un saint qui m'est apparu. « Inc.
raft Ebinc, qui délirait constamment après ses accès : « Me voilà mort ! « Et un autre jour : . « Je n'ai jamais ass
vons-nous, ils cer- nent le château, nous sommes perdus. Ah, quelle mort aurai-je ? Comment punira-t-on un gredin de mon
ancolie anxieuse. Se.- parents se sont toujours bien portés et sont morts à un âge avancé. Mie ne connaît pas d'accidents
ropatliiques dans sa famille, ; un de ses frères et une i-oeur sont morts de tuberculose pulmonaire, l'un à trente-deux a
unèbres, des gémissements frappent son oreille. La conviction de la mort de son fils ne fait qu'accroître son anxiété. C
fet, cinq mois se sont écoulés entre les symp- tomes du début et la mort ; et c'est, en apparence. plus de temps qu'il n'
faits qui peuvent ou doivent être l'objet d'une mention spéciale, ( morts , accidents, cas spéciaux, matelas mouillés, vis
el 13araNn. Séance du 25 octobre 1903. Présidence de M. G. Ballet Mort de Titéophile Roussel. Le Président annonce la
savant, nous ont fait connaître ce qu'était l'homme de bien que la mort nous a ravi. La séance est ensuite levée en sig
de méthodi- que et comparée de six moelles appartenant à des sujets morts à un âge adulte, et n'ayant présenté pendant le
ssion d'annoncer aux lecteurs des Archives la triste nouvelle de sa mort . Il a été enlevé en quelques heures dans la nui
oire d'anatomie pathologique , mon collaborateur très dé- voué, est mort frappé brusquement dans la nuit de vendredi à s
mbre, le trouve en pleine agonie. Quelques instants après, il était mort . Tels sont les faits dans leur narrante brutali
ltés lui permettaient de donner, il peut envisager avec sérénité la mort prochaine ; mais lorsqu'une belle intelligence
haine ; mais lorsqu'une belle intelligence est ainsi fauchée, cette mort préma- turée a quelque chose d'injuste, de prof
aire et se mit à « faire la noce ? Chaque jour, on le ramenait ivre mort . Il but tant et tant qu'eu trois mois il devint
ion d'un médecin morphinomane, par llebove. 167. Voir Hystérie. Mort de faim, 511. )k)LYEMES'îSATnETOSnuES.Voir7'a&a
49 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es un pronostic grave, presque les [seules qui puissent causer la mort . La terminaison fatale par accidents cérébraux
ème. Il ne fut pas fait d'autopsie. Trenel 2 rapporte deux cas de mort dûs à des troubles cérébraux mal déterminés, et
arotidiennes peut être suivie de céphalalgie, de délire, et même de mort . Niemeyer' cite également un cas de mort par mé
e, de délire, et même de mort. Niemeyer' cite également un cas de mort par ménin- gite dans le cours des oreillons.
réalise, il n'en faut pas moins leur attribuer une bonne part des morts par oreillons. Mais, nous le répétons, ce sont
u moins graves et durables. Parfois même elles peuvent entraîner la mort . Il nous semble aussi qu'un enseignement se dég
pro- noncée. Voici en quelques lignes son histoire : Le père est mort d'un cancer de la langue. C'était un homme 'il
Parmi les collatéraux de notre malade, nous trouvons : . Un frère mort en venant au monde; Un frère venu avant terme (
75. W. Harris. Saint-Ba ? ,th. Hosp. Reports, 1875. J. Cyr. De la mort subite dans le diabète. Arch. méd., 1875. Kien.
iabétique ; le deuxième groupe comprend les théories qui font de la mort brusque ou rapide le résultat d'une intoxication
Dans un travail récent, Abeles a signalé chez trois diabé- tiques, morts avec des accidents acétonémiques, l'accumulation
normal ne contient pas de glycogène. Chez deux autres diabétiques, mort l'un de phthisie, l'autre de furonculose, Abele
diabète même, et que, si ce dépôt a pu être constaté dans le cas de mort par acétonémie, c'est que la terminaison fatale
terminaison fatale a été plus rapide que chez les deux diabétiques morts d'épuisement à la suite de furoncles ou de tube
inger et les vingt-cinq diabétiques de'Diekinson.' ne sont pas tous morts avec les symptômes du coma dit. diabétique. San
nson, Paget). Scott Donkin, s'appuyant sur ce fait, a rapporté la mort subite dans le diabète à une syncope. Richard Sch
us car- diaque peut expliquer un certain nombre d'observations de mort rapide dans le diabète, il ne saurait constituer
s de coma diabétique, ces auteurs ont observé que le sang, après la mort , se séparait par le repos en deux couches, l'un
lable que c'est la transformation acide du liquide sanguin après la mort qui a rendu plus facile et plus nette la sépara
air respiré. Dans l'un, à aucun moment des accidents qui amènent la mort , on ne constate ni l'odeur acétonique de l'hale
s aboutir, qu'apparaît le coma, que la température baisse et que la mort survient dans la prostration et le refroidissem
s sous- cutanées, et 20 grammes en inhalations pour amener non la mort , mais des symptômes d'ivresse et d'assoupissement
180 gouttes d'acétone en injection hypodermique pour déterminer la mort des cobayes adultes. Ebstein a essayé de répo
n se fait à mesure, peut-on juger, par la quantité trouvée après la mort , de la quantité formée pen- dant la vie ? En
siblement entravée. Frerichs a noté que, chez un de ses diabétiques mort avec les symptômes que nous venons de décrire,
iblissement, de plus en plus marqué, des pulsations du coeur, et de mort en quelques heures. Dans une autre observatio
phénomènes terminaux, phénomènes de dépression qui aboutissent à la mort et qui sont la consé- qnence de la saturation t
tions, est la forme à marche rapide et continue, aboutissant à la mort en trente-six ou quarante-huit heures à dater du
te, le coma pouvant, d'après eux, survenir d'emblée et entraîner la mort en quel- ques heures; mais nous avons déjà dit
eux avec refroidissement général, qui va en s'accentuant jusqu'à la mort . Môme dans cette forme aiguë de l'acétonémie, l
se prolonger pendant huit à dix et douze jours avant d'aboutir à la mort . C'est sur la période d'excitation que porte ce
u membre supérieur droit. Ce coma se termina en quatre jours par la mort ; il n'y eut pas de paralysie; mais, à deux ou t
manifestations morbides que se produit enfin le coma, prélude de la mort . Cette allure chronique de l'acétonémie ne peut
o-rectale. Cystite catarrhale avec frissons; finalement, pneumonie, mort . C'est à la hauteur de la huitième vertèbre dor
fara- aique; finalement la moelle allongée est atteinte (dès lors, mort rapide). En somme, type Landry. Caractères anat
adie a été d'une longueur exceptionnelle. R. M. C. X. Deux cas de mort rapide, AVEC symptômes manuques ; par G. SAVAGE
octobre 1885. Présidence DE M. D,GO4ET. M. Le Président annonce la mort du D'hunier, et M. Ritti, secré- taire général,
. La destruc- tion du ganglion dorsal antérieur précité entraine la mort du gan- glion placé sur la face ventrale du fai
piqûres d'aiguilles, maisellessont obtuses. Paralysie de la vessie. Mort à quatre heures du matin par oedème pulmonaire.
Plus tard, cette malade eut plusieurs atta- ques de léthargie et de mort apparente de quelques heures de 120 SOCIÉTÉS SA
les renseignements suivants : HÉRÉDITÉ. - Côté paternel. Grand-père mort à soixante- cinq ans d'une maladie inconnue, ma
se porte bien, intelligence moyenne. Cinq oncles ou tantes. Le ler, mort à soixante-quatre ans, n'a pu se consoler, para
r, mort à soixante-quatre ans, n'a pu se consoler, parait-il, de la mort de sa femme ; le 2° est mort à soixante ans à l
, n'a pu se consoler, parait-il, de la mort de sa femme ; le 2° est mort à soixante ans à la suite d'un accident ; le 3°
e droite et aphasique depuis quatre ans; - grand-père et grand'mère morts , l'un à soixante-cinq ans, après trois ans de m
ans. Mère morte d'une attaque d'apoplexie; père rhumatisant, est mort subitement (maladie du coeur ? ) ; frère névralgi
typique d'hémianop- sie latérale, qui resta stationnaire jusqu'à la mort du malade plusieurs mois plus tard, et ne s'acc
topographique de la lésion fait pendant la vie fut vérifié après la mort , de sorte que, à part l'intérêt purement scient
ur ce fait, qu'il avait un voile ou une image devant l'ueil gauche. Mort en juillet 1879. Autopsie. L'extrémité postérie
200 PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion en foyer du cerveau et il persista. Mort en juin, par broncho- pneumonie. Autopsie. On
fond de l'oeil. Il n'est pas fait mention de l'état des pupilles. Mort le 34 décembre 1884. L'autopsie montra seulement
s et des symptômes remarquables, jusqu'au 17 mai 1885, jour de sa mort . Les faits principaux de cette longue maladie p
c formel d'endocardite ulcéreuse ou maligne. Quelque temps avant la mort , pendant environ quinze jours, la parole du mal
men de l'hémianopsie, entre autres une fois quelques jours avant la mort . Elle persista toujours la même et la vue resta
ntre souvent chez les hé- mianopsiques). Quelques semaines avant sa mort il lisait et écri- vait facilement lorsque, la
ut faite avec l'assistance du docteur W. R. Birdsall, le soir de la mort , le 17 mai. La rate et les reins contenaient des
em- bres et oedème des membres pelviens; quelques années avant sa mort , elle devenait obèse. Grand-père maternel, maig
uivie pas à pas par la répa- ration, sans laquelle la vie serait la mort . Mon point de départ « est donc parfaitement ne
s étaient contractés. Ce phénomène de contracture disparut après la mort . Le malade ne pouvait relever la tête ni même les
lexion, en ce qui concerne l'agonie. On les perçoit encore après la mort , à moins qu'il ne s'effectue une rigidité cadav
phénomène du genou : pas d'ataxie, col- lapsus rapide entraînant la mort en quatorze jours. Autopsie. Aucune lésion syph
ff) présente un cerveau d'idiot. Il s'agit d'un enfant de onze ans, mort le 19 novembre dernier. C'était le quatrième re
dents épileptiformes. Nullité des facultés psychi- ques. Marasme et mort , sans que les accidents du ;décubitus se fussen
;décubitus se fussent étendus. Au<opSM, dix-neuf heures après la mort . Crâne léger, symétrique, diploé assez développ
mps à autre à toutes les extrémités; pneumonie d'ordre alimentaire, mort . Autopsie. Intégrité parfaite de l'encéphale ;
e de son intensité classique, où le . malade frise littéralement la mort , celui-là aurait de la peine à admettre comme t
des psychoses nettement dessinées, dès qu'elle se termine par la mort , ou même toute psychopathie du même genre aboutis
ureau central de statistique a publié ce qui suit : En 1882, il est mort 108,774 malades atteints d'affections nerveuses
'Yoy.)'c/t ? cA'<; ! (t'o ? t.)X)p.92. SOCIÉTÉS SAVANTES. 303 mort dans la nuit du 31 décembre. Autopsie, ) Intégrit
ert aupa- ravant pendant quatre ans de l'intoxication par le plomb. Mort par atrophie granuleuse des reins. L'examen n'e
e la sensibilité. Parésie du dia- p/; ? 'aM : e. Arythmie du coeur. Mort par hémorrhagie pulmonaire. Intégrité du cervea
copieuse. L'hémorrhagie se reproduit avec abon- dance le 8 et le 9. Mort le 10 novembre. AUTOPSIE. - Thorax. Plèvres sai
tales des deux ventricules latéraux. Antécédents héréditaires. Père mort à rage de soixante ans d'une fluxion de poitrin
ante; un frère et une soeur en bonne santé. Quatre frères et soeurs morts en bas âge. Pas d'affection nerveuse, ni d'antécé
ésenter de convulsions. t.. Autopsie faite trente heures après la mort . Poumons : oedème et congestion généralisée, su
pitale du ventricule latéral droit. Antécédents héréditaires : père mort d'une attaque d'apoplexie. Pas d'affection nerv
ur. Onanisme invétéré. Hémiplégie gauche. -Crises épileptiformes. Mort à la suite de crises subintrantes. Autopsie : ram
nt le prolonge- ment postérieur du ventricule latéral droit. Père mort à soixante ans d'une pneumonie. Mère rhuma- tis
tre jours avanlle décès. Crises subintrantes du 47 au 18 février et mort le 18 février à 8 heures du matin dans un état
UEIL DE FAITS. CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES. autopsies de sujets morts d'affections variées que nous avons eu à pratiq
ion clinique. La congestion cérébrale idiopathique, terminée par la mort , est une affection très obscure, bien que décri
ale, probable- ment ventriculaire. Les phénomènes observés après la mort (com- - pression des circonvolutions les unes c
issements. Inégalité pupillaire (dilatation à gauche). Puis coma et mort . - A l'autopsie, on constate de l'alhérôme des
e musculaire et cutanée, cv-tite, in-omnie, accidents du décubitus; mort . Au- topsie. Congestion, état trouble et adhére
car son état est tellement anlinaturel que son désir serait d'être mort pour ne pas faire honte à sa famille. Il est ac
ue. » R. M. C. XV. UN CAS ATTRIBUÉ A LA MANIE AIGUË, TERMINÉ PAR LA MORT APRÈS une série d'attaques PILEI'TIFORfES par W
ccession des convulsions épileptiformes qui ont rapidement amené la mort et les constatations faites à l'autopsie ne perme
'il se fût agi d'un accès de manie aiguë terminé promptement par la mort . R. M. C. XVI. UN cas DE FOLIE consécutive A UN
art avec soin deux cas de démence aiguë qui se sont terminés par la mort , et dont il relate l'observation détaillée et s
s pour devenir défini- tivement valables; mais la terminaison parla mort est assez rare dans les cas de ce genre pour qu
sant de relater, sans plus tarder, ces deux observations suivies de mort et d'au- topsie, et pour tenter d'en tirer lesc
et à laisser l'excitation épuiser le malade, et le conduire à la mort . Quelquefois le sujet refuse de manger ; il faut
commit, durant deux jours, de glands excès de boisson : trouvé ivre mort sur la voie publique, il fut conduit au poste de
aru. Une autre femme, hystéro-épileptique, à qui on repro- chait la mort de son père, s'est aussi vue débarrassée de ses
te par ressemblance suscite l'image homme; celle-ci suscite l'image mort par contiguité; l'image mort et l'image Socrate
mage homme; celle-ci suscite l'image mort par contiguité; l'image mort et l'image Socrate coexistent simultanément et se
lsions consécutives), 441. Maniaque (excitation), il9. Maniaques ( mort rapide avec symp- tdmes), par Savage, 92. Man
50 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
emps en butte à des hallucinations de l'ouïe; il entend ses parents morts depuis longtemps, des esprits qui le poussent a
lus profond. Dès l'âge de 8 ans, en effet, Célestine achète de la « mort aux rats » pour s'empoisonner ; quelques années
issements et de la diarrhée; plus tard encore, croyant se donner la mort , elle s'enfonce des aiguilles dans les seins. A
ts que l'on peut obtenir apprennent que son grand-père paternel est mort subitement, que son père a eu un accès de mélan
un accès de mélancolie d'une durée d'un an; qu'un de ses frères est mort épileptique; du côté maternel, on ne peut savoi
mplète. - Accès épileptiques, Tentatives d'éducation : résultats. - Mort dans un accès. Autopsie. - Déformations multipl
lcoolique dès le mariage (à 27 ans), buvait surtout du vin ; il est mort à 40 ans, d'une maladie de poitrine. (1876). En
' de l'ouïe, insomnie, agitation, idées de jalousie, de duels, de mort , etc.); il a été conduit à l'Hôtel-Dieu. Là, il a
- Pas de consanguinité. 6 enfants et une fausse couche. L'ainé est mort de convulsions à 5 mois ; notre malade est la 2
st un garçon de 10 ans et demi, bien portant : les 4" 5° et 6° sont morts à 7 mois, 16 jours, et 6 mois, 'on ne sait de q
malade refuse de se lever, se plaint d'avoir froid. - T. R. 39°,5. Mort dans un accès. Autopsie. - Les os de la voûte d
de émotion est survenue au septième mois et a été pro- duite par la mort de la personne chez laquelle elle était employé
e, qui a eu lieu le lendemain de la précédente, a été causée par la mort subite du sacristain venu pour ensevelir le mor
été causée par la mort subite du sacristain venu pour ensevelir le mort . L'accouchement s'est fait à terme; il a été na
du cou. A la fin de la visite : T. R. 39°, 9. Soir : T. R. 40°, 2. Mort à 10 heures : T. R. 40°, 3. - Une heure plus ta
tat de mal ; Nitrite d'amyle. - Amélioration passagere. - Pneumonie ; mort . Autopsie.- Ilôts de sclérose hypertrophique. -
ant qu'elle était enceinte de la malade. Son père et son frère sont morts de la poitrine. Aucun de ses parents n'aurait e
consanguinité. Cinq enfants : 1° la malade ; 2° et 3° deux enfants morts en nourrice ; on ne sait s'ils ont eu des convu
la sensibilité n'ont subi aucune modifi- cation, l'animal est mis à mort et l'autopsie confirme l'intégrité de la substa
que ceux de l'autre côté. Chez des chiens opérés des deux côtés, la mort survint d'une façon singulière : après des sema
léger degré d'am- blyopie à gauche. Depuis ce moment, jusqu'à la mort de la malade, il ne se passa point d'année qu'o
é. Pas d'anesthésie. La malade est gâteuse. Deux fois, jusqu'à la mort qui survint le 8 avril, il se pro- duisit une a
ns les trois derniers jours, entre 39° et 40°; au moment même de la mort , elle atteignit 41°,6. A l'autopsie, on trouva
E. de la plante des pieds. Pupilles égales; yeux déviés à droite. Mort le 4. Autopsie. Exsudat de lymphe à la partie i
III. LÉSIONS ANATOMIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN HALLUCINÉ MORT DE CONGESTION CÉRÉBRALE; par M. Cil. Du- TERQUE
». Quant l'hémiplégie droite sur- venue cinq mois et demi avant la mort , et précédée de parésies localisées, M. Mickle
s lors le traitement spécifique amena une rapide amélioration. La mort était survenue par suite d'une affection intercur
la se- conde quatorze jours après leur arrivée dans la maison. La mort survint dans les deux cas, qui restèrent heureuse
irs. A cent ans, un certain Jérôme de Cambrai aurait été condamné à mort pour viol. M. P. Moreau croit le cas apocryphe.
e à ce qu'à Rio les accès aigus se terminent plus rapidement par la mort ou par la guérison. (Ann. médico- pysch., mars
e; non alcoolique. 'Mère, morte en couches; 8 en- fants dont 4 sont morts 'de la poitrine pas d'épileptiques, de paralysé
in ! Elle avait 46 ans, n'était'pas'nerveuse ? [Père, 'pieds-bots ? mort de la poitrine à 52 ans. - Mère également morte
Pas de' consanguinité. Huit enfants : deux filles et umgarçon sont morts du croup ; un garçon est mort à 3 semaines sans
fants : deux filles et umgarçon sont morts du croup ; un garçon est mort à 3 semaines sans convulsions; deux autres âgés
e. Les jours suivants la température oscille entre z,4 et 40°. La mort survient le 9 août. , v , ^ -- , AUTOPSIE.- La
et éto2crda'ssemeits derc`plüs lm Iplüs' / ? 'eMeMt ? ? e)HeHce. Mort peu' tubè}'culse ? ¡J1'.dmÓ}i'àÙ : é ? .... ''A'Ú
( 1 ? r ? Reîsetieene21ts /btM'HM;y.)a ? ' lr znère (1878). - Père, mort à 52 ans, en mars 1875, d'une bronchite chroniq
s d'excès de boisson,, de migraines, ni d'attaques,de nerfs. [Père, mort à 85 ans, sans paralysie. - ftlète, morte après
régions pariétales durant quelques heures,; pas de nausées., [Pète, mort à 70 ans d'une affection du pylore ; pas d'excè
s était devenue très jaune. - Trois`' frèÿesbien,portants.,Unautre, mort ,'a,20,ans d'une fièvre cé- rér'l-le" en",8 8 jo
II. Epilepsie. Mélancolie. Démence. Affaiblissement pro- gressif. Mort . Autopsie : Lésion des 2e et 3e circonvolu- tio
moyenne du poumon droit. Affaiblissement progressif. `l' i R. 39°. Mort le 26 mai. - Voici qu'elle a été la marche des
de persécution. - Épilepsie. - Vertiges. - Démence. - , Eschares. - Mort . Autopsie. Erosions des ci2,coîzvolu- tions, su
température oscille entre 38° et 39° le matin, 39° et 40° le soir; mort le 2 juillet. Température du soir les deux dernie
r les deux derniers jours : Température -rectale une heure après la mort : 44°. DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. '227 7 Auto
1a). - Aggravation progressive. - Onanisme. - Pleurésie. Démence. - Mort . - Autopsie : Rétrécissement du trou occipital.
22 ans. Antécédents. Renseignements fournis par la mère. - Père mort en 1871, d'une affection dont on ne peut préciser
out d'une ou deux minutés ? Les accès ont cessé à trois heures. -La mort arrive à dix heures du soir. Depuis le 1 or jan
ier, M... a eu 1`30'âccès` ' Autopsie (trente-six heures après la mort ). Crâne très épais partout; le cuir chevelu n'e
nt progressif. des facultés. ;) Erysipèle gangreneux de la face ? Mort . Autopsie : asymétrie crHMHMe ? ano ? Ma//M des
ordonnent de temps en temps, à travers la muraille, de se donner la mort pour le bien de ses semblables. Dès qu'il enten
éningite récente, ' vraisemblablement suffisantes pour expliquer la mort . F Chez ce malade, l'épilepsie s'est compliquée
ion rationnelle des accidents observés pen- dant l'anesthésie. La mort peut survenir par arrêt du coeur ou par arrêt de
Nous avons été ainsi conduit à admettre trois formes principales de morts par le chloroforme : t° aux premières inhalatio
r suite d'une hémor- rhagie légère. Enfin, après le chloroforme, la mort peut être le résultat d'une syncope tardive (da
accidents putrides et une tuberculose intestinale, qui amenèrent la mort en peu de temps. Autopsie. Rien d'anormal dans
sées descendit à 33°,5'et atteignit t. 27°,5 immédiatement avant la mort , qui survint 48 heures, après, l'accident. Ces
guéris et 48 gué- risons ont ainsi été enregistrées ; 5 d'entre eux morts dans les hôpitaux ont été renvoyés guéris 15 fo
aux conditions qui doivent produire l'élévation thermique après la mort ; il en conclut que : l'élévation postrmortem de
d'un processus vital ordinaire, à savoir : la persistance après la mort , et pendant un temps variable d'actes chimiques
érection d'une Statue àPhilippe Pinel, lecélèbre médecin aliéniste, mort en 1826. Cette subvention s'ajoute à celle que le
asseoir. » (Lyon médical.) f f - Nécrologie. M. le Dr'BELLOC est mort à Alençon, le 2 juillet, à l'âge de 77 ans. Aut
chevalier de la Légion d'honneur depuis 1867. M. le Dr BRocA est mort subitement, le 7 juillet, à l'âge de 56 ans. Se
ici. M. Broca était le créateur de l'anthropologie en France, et sa mort prive la faculté de Paris et la pathologie nerv
es plus sympathiques et les plus auto- risés. M. le Dr DANIS, est mort , le 8 juin dernier, à l'âge de 65 ans. Il était
'asile de Saint-Nicolas (Meurthe-et- Moselle). M. le Dr FÊVRE est mort à Pontorson, le z10 juillet, à l'âge de 41 ans;
ont déjà été publiées. Craveilhier 1 rapporte le cas d'un garçon mort à l'âge de 15 mois. Cet enfant présentait, dès
e : dans les intervalles survenaient des accès de délire. Enfin, la mort arriva, durant un accès épileptique. 1 Heinri
araplégie. Contractures. Attitude du corps. Erysipèle de l'abdomen. Mort . Autopsie. Anomalie du foie. Description du squ
e). Un érysipèle, qui se développa sur l'abdo- men, fut cause de sa mort , qui survint le 17 octobre 1871. Les renseignem
vouloir me confier le portrait, qui a été fait du ma- lade après sa mort (1%'g. 15), son cerveau, et quelques détails en
nfluence des bains froids. Pleurostotonos. Symptômes bulbaares. - Mort . Autopsie : Endocardite végétante; insuffisance
es de calomel sont donnés en vingt paquets, un par demi-heure. La mort eut lieu avec une grande élévation de la tempéra-
ades voisines, la contracture aurait changé de côté au moment de la mort et il y aurait eu des convulsions du côté droit
ient aussi se rencontrer. Autopsie faite vingt-huit heures après la mort , par une tem- pérature fraîche. - La rigidité c
pératures vaginales. Les étoiles * indiquent les grands bains. - +, mort de la malade. - j., jours de maladie. 38le PA
mps de se former, le malade meurt. - Autopsie, 36 heures après la mort . A l'ouverture de la dure-mère crânienne, une q
on. Atti- tude. Emphysème sous-cutané. Affaiblissement progressif : mort . Autopsie : Atrophie d'un grand nombre de circo
arfois, il a de la céphalalgie. [Nul dé- tail sur son père, qui est mort ; sa mère est un peu nerveuse, mais sa santé es
st assez nerveuse, mais n'a pas d'attaques. [ Ses père et mère sont morts il y a longtemps ; elle ne sait de quelle malad
enfant a pris une tasse de lait. A 7 heures et demie, T. R. 38°, 8. Mort à 4 heures : T. R. 39°. Autopsie le 24 déc. L
R. 38°, 4. Pas de convulsions, ni de contractures, ni depamlysie. - Mort à midi. Autopsie faite 40 heures après la mort.
s, ni depamlysie. -Mort à midi. Autopsie faite 40 heures après la mort . Cadavre extrême- ment maigre. Ventre en bateau
, suivi d'une élévation assez rapide (3 8°, 4 six heures avant la mort ). Dans ce cas, de même que dans celui de l'OBS.
MODIFICATIONS DE l'excitabilité DES NERFS ET DES muscles après la MORT ; par ONIMUS. (Journal de l'anato- mie et de la
de l'anato- mie et de la physiologie, p. 629-653, 1880). Après la mort , les nerfs et les muscles perdent peu à peu leu
ont une certaine importance, car elles permettent de constater la mort réelle et même l'époque de la mort, et elles appo
elles permettent de constater la mort réelle et même l'époque de la mort , et elles apportent RE1'UIs DE physiologie. 439
s fonctions est instan- tanée, et cela, aussi bien pour les animaux morts lentement que pour ceux qui meurent brusquement
les animaux qu'on tue à l'abattoir, comme pour l'homme décapité, la mort du cerveau est instantanée. Les mouvements qui
ur le cerveau : chez un animal à sang chaud, immédiatement après la mort , on obtient des contractions manifestes en exci
d son excitabilité avant la blanche. Deux à trois heures après la mort , l'excitabilité de la moelle a disparu. Les ner
Les premiers cessent d'être excitables deux heures environ après la mort , tandis que les nerfs qui se rendent aux muscle
iculaires de l'intestin existent encore plus de dix heures après la mort et on peut encore obtenir des bat- tements de l
eillette droite au bout de plusieurs heures. Immédiatement après la mort , l'excitabilité musculaire est, pendant quelque
eux deviennent inexcitables. La perte de la contractilite, après la mort , arrive plus ou moins vite, suivant les circons-
xcitants électriques, chimiques, mécani- ques, etc., est absolument mort . L'examen de la contractilité électro-musculair
électro-musculaire est donc le meilleur moyen de s'assurer de la mort réelle; il permet, de plus, de savoir à combien d
réelle; il permet, de plus, de savoir à combien d'heures remonte la mort . D'ailleurs ce n'est point la seule perte de la
point la seule perte de la contractilité qui permette d'affirmer la mort réelle, mais cer- taines modifications dans la
es des membres inférieurs. Il est à noter que le père du malade est mort à soixante-trois ans, après une maladie mentale
R. V. XLII. CHORÉE SÉNILE EXTRÊMEMENT PRONONCÉE, TERMINÉE PAR la MORT ; par J.-B. MiILLENDORFh' (de Dresde). (Deutsch.
tifs. Le soir, pas de nouvelle diarrhée. Absence de plainte. Le 12. Mort dans la nuit. Les malades voisines racontent que
s malades de 36 à 83 ans, le Dr Mùl- lendorff fait remarquer que la mort y est excessivement rare et que, d'ordinaire, e
pilepsie ne fit que progresser : albumi- nurie persistante, délire. Mort un mois plus tard après une journée de 45 accès
uis formation d'eschares trochantériennes et sacrées, ca- chexie et mort le 30 décembre. Autopsie. Grande tache jaune dé
et la parole sont intactes ; eschare au sacrum, affaiblissement et mort . Autopsie. Circonvolutions aplaties sur l'hémis
égrité absolue des facultés intellectuelles jus- qu'au moment de la mort , coïncidant avec les lésions considé- rables qu
progressif, anesthésie du côté droit de la face et du bras gauche. Mort deux mois après le début des acci- dents. Aut
perhémie pulmonaire aiguë. Durée de l'épi- lepsie : au moins 8 ans. Mort à 40 ans. Autopsie. Méninges molles du cei veau
on do l'auteur comprend la période incluse entre l'année 1857 et la mort du malade (1860). Absence de renseignements tou
n se compliquant d'engoûment inflammatoire des organes, entraîna la mort . Etat mental. Décroissance générale et graduell
urnoiement cosmique. ! , v L'autopsie, pratiquée 34 heures après la mort , fit découvrir une sclérose des plus nettes de
agnée DE lésions corticales ET DE SURDITÉ, (datant de près d'un an, mort par hémorrhagie cérébrale) ; par BAREGGI. (Gaze
la jugu- laire, cent sangsues derrière les oreilles, en trois fois; mort au bout de six semaines. Pas d'autre altération
un épileptique devenu paralysé du bras gauche quinze jours avant sa mort , et chez lequel l'autopsie démontre un foyer hé
éritable, à la suite d'une congestion cérébrale inter- currente. La mort eut lieu un an après l'attaque congestive, et l
sous Louis XIV, on ignore au juste la date de sa naissance. Il est mort en 1662, combien y a-t-il d'années peut-on deman-
M. Peisse, membre honoraire de la Société médico-psychologique, est mort d'une angine de poitrine le 12 octobre. Il a la
de paralysie infantile, occupant lemembre inférieur droit ; il est mort de diplitliérie. La paralysie infantile datait de
oint à la théorie de la restauration de la myéline et du cylindraxe morts l'un et l'autre (Lent, Hjelt, Benecke, Vulpian,
liniquement un syndrome critique précurseur de la guérison ou de la mort , se refuse à englober tous les faits sous la mê
rait même, au dire de M. Stenger, avoir précipité le dénouement, la mort survint par faiblesse générale. La nécropsie dé
les d'une, hépatisation pulmonaire, -ne tar- dent pas àentraîner la mort ; la lucidité, toutefois, ne cesse.de persister
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. deux cas elle fut constatée jusqu'à la mort . Dans un de ces der- niers cas, l'autopsie a mo
ation nouvelle, que le relèvement de l'état physique. Les causes de mort , relatées dans les nécropsies, sont celles que
gie, d'épilepsie et d'imbécillité. Le grand- oncle de la malade est mort d'un cancer du nez. Il y a trois ans, la malade
fatigue de la vision. Cn. F. XXX. TÉTANOS IDIOPATIQUE DÛ AU FROID. MORT EN SIX JOURS. TÉTANOS TRAUMATIQUE, GUÉRISON; pa
disposée aux affections nerveuses à forme convulsive. Celui qui est mort était un grand buveur. L'autre, au contraire, s
s et images miraculemes, ele. - lous7,avons le regret d'annoncer la mort de M. le Dr LUGMME, directeur-médecin de l'asil
important que- le conseil général du Cher lui avait confié. Il est mort avant d'avoir pu assister au complet achè- veme
l'heure du repos semblait être arrivée pour lui. - On annonce la mort , à Nancy, du Dr Gln : uD, directeur de l'asile
Nerfs (modifications de l'excitali- lité des), et des muscles la mort , par Onimus, 438. Nerfs (altération des) cutané
51 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oncles et des tantes, rien de particulier. Les grands parents sont morts à un âge assez avancé ; pas de déments, pas d'o
de la maladie. - An... est la plus jeune de sept enfants. Deux sont morts en bas âge : l'un à huit jours, l'autre au bout
t atteint de paralysie progressive. Le grand-père, fils unique, est mort à qua- rante-six ans d'une attaque d'apoplexie.
'a jamais fait de maladie sérieuse; elle avait deux frères : l'ainé mort à cinquante-huit ans, paralysé, laissant deux e
urel, originaire de la Manche, exerçait la profession de serrurier; mort en 1870 à soixante-quatre ans, d'une inflammati
es convulsives dans son passé. Elle a eu neuf enfants : quatre sont morts en bas âge; Ma... est née la der- nière ; deux
ements font défaut; du côté de la mère figurent deux oncles : l'un, mort paralysé à soixante-cinq ans; l'autre, en bonne
-elle en cause ? La mère a des douleurs rhumatismales, un oncle est mort paralysé, un autre a perdu une fille hydropique
Antécédents héréditaires. Du côté du père, le bisaïeul paternel est mort à quatre-vingt-six ans, ayant donné le jour à hui
e soixante-dix-sept ans. Ce der- nier a eu sept enfants : cinq sont morts en bas âge, entre trois et quatre ans; des deux
s en bas âge, entre trois et quatre ans; des deux autres, l'un. est mort aliéné; le. second, le père de la malade, est â
ère de la malade, est âgé. de quarante-un ans. Bisaieul mater- nel, mort à un âge avancé, renommé par ses excentricités; i
ncé, renommé par ses excentricités; il a eu sept enfants : six sont morts après soixante-dix ans, dont un de paralysie; t
ique depuis trois ans. Du côté de la mère, le bisaïeul paternel est mort jeune, d'une attaque d'apoplexie, laissant troi
eune, d'une attaque d'apoplexie, laissant trois enfants : deux sont morts para- lysés; l'un à soixante ans, l'autre à cin
gie. Il a eu six enfants : un garez z çon et cinq filles; deux sont morts , l'un à vingt-deux ans, poitri- naire, l'autre
La famille de AU... est exempte de tare nerveuse. Ses parents sont morts à un âge très avancé. Il a eu dix frères et deu
ont quatre sont encore vivants et bien por- tants ; les autres sont morts de maladies aiguës. Antécédents personnels. AU.
lmie énorme, cris, convulsions toniques du type ordinaire répétées. Mort . Autopsie. Congestion pulmonaire intense, surto
ature monte démesurément comme dans les maladies infectieuses et la mort peut survenir dans un laps de temps plus ou moi
ces cas, joue un rôle capital. S'il est pri- mitivement malade, la mort est presque certaine. Si sa fonction urinaire a
ques qui depuis tant d'années représentoient les membres d'un corps mort par leur froid glaçant, leurs marques affreuses
ppelés à la vie, mais dont la maigreur porte encore la livrée de la mort ; elle se lève seule, elle se soutient sur le bo
le avoir été une sorte d'accès procursif in- complet, le malade est mort en démence deux ans après l'appari- tion despre
omptée parmi les plus rares. Les thanatophobes sont des condamnés à mort d'une variété particulière qui las de vivre sous
mplètement étrangers à leurs per- sonnes ; chez l'un, la peur de la mort survient à la suile d'un rêve qui l'a représent
tion de la sensibilité générale) et porte si loin son erreur que la mort doit nécessairement survenir à bref délai ; la
ppée de ce fait que son père, sa mère et l'un de ses frères étaient morts après l'accom- plissement de leur cinquante-deu
e se sentait, pour ainsi dire guettée, épiée incessamment par cette mort inévitable, d'autant plus affreuse qu'elle rest
tes, une ques- tion se présente dès l'abord à l'esprit : puisque la mort est, au dire des patients, certaine et prochain
s conditions propres aux malades en question, celui des condamnés à mort dont les idées tendront huit fois sur dix au su
imminence d'une fin jugée inévitable, n'en recherchent pas moins la mort avec une opiniâ- treté trop souvent couronnée d
S aliénés; par le Dr HOSPITAL. Observation intéressante d'un cas de mort par occlusion acci- dentelle de l'ouverture de
ure de la glotte; on souffla avec énergie, mais rien ne changea; la mort était déjà réelle. Al'autopsie, on trouva un frag
es parentés morbides, quoique des plus rarement signalés : c'est la mort subite. Lorsqu'on s'enquiert des antécédents hé
nce au milieu de ses occupations habituelles; on le relève : il est mort . Sur les vingt cas de mort subite relatés, la m
tions habituelles; on le relève : il est mort. Sur les vingt cas de mort subite relatés, la moitié environ s'est produit
ominantes, sinon exclusives. L'origine nerveuse, cérébrale, de ci s morts subites, étant admise, répondent-elles toutes a
'injection; myosis à doses toxiques; enfin à l'autopsie, lorsque la mort est immédiate, dilatation du coeur, congestion
atation du coeur, congestion des différents organes ; et lorsque la mort est éloignée, dilatation du système veineux, po
t élevé. 'Dans la stupeur lypémaniaque et certains cas de manie, la mort survenait chez le chien à 25 centimètres cubes
de ramollissement cérébral ischérnique portant quatre ans avant la mort sur le lobe temporal droit, six semaines avant su
qui les distingue des gens sains d'es- prit ; 10° la rareté de leur mort dans les asiles : leurs rémis- sions fréquentes
e généralement par une phase qui rappelle la démence aiguë), par la mort ou par le passage à l'état chronique du reste l
ns successivement étudiés par M. Féré, l'ivresse émotionnelle et la mort par émotions morales, les troubles de la circul
n jeune vacher, nommé Emile Partie, âgé de quinze ans, a été trouvé mort dans un bateau de pêche voguant sur la Seine. C
epileptiques, est tombé, sous le coup de son mal, et a trouvé la mort par asphyxie dans quelques centimètres d'eau où s
oins destinée à poursuivre son évolution fatale et à entraîner la mort du malade dans un laps de temps relativement co
La mère de Léonie a eu six enfants et une fausse couche; deux sont morts d'affections non nerveuses. Parmi les quatre qu
e et saillant. SUR UN CAS DE .MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE. '1 mort le 3 avril 1891, nous avons à relater divers inci
la malade que nous avons observée pendant des années et jusqu'à sa mort n'a jamais présenté ni myxoedème, ni goitre, ni
verture buccale est simple- ment un peu rétrécie. Le malade n'est mort que plusieurs mois plus tard des pro- grès de l
lle, migraineuse. Aïeul maternel, diabétique ( ? ). Oncle maternel, mort de conges- tion cérébrale. - Cousin germain, mo
. Oncle maternel, mort de conges- tion cérébrale. - Cousin germain, mort de convulsions. Soell1', con- vulsions de l'enf
e de la conception de l'enfant. il n'use pas de tabac. [Père sobre, mort à soixante et onze ans, de la suite de l'opératio
d'aucune sorte. [Père robuste, sobre, d'ha- tude bien portant, est mort à soixante-dix ans de pneumonie. Mère morte à c
it de la tuer ( ? ). Elle était aussi migraineuse. 3 frères dont un mort à treize ans de « congestion cérébrale accompagné
t bien qu'un peu excitable, a eu 4 enfants, 2 de ces derniers .sont morts en bas âge, les 2 autres sont bien portants, au
erme au nombre de ses fonctions une forte crainte instinctive de la mort , lorsqu'on fait, autant que nous pou- vons en d
n fait, autant que nous pou- vons en déduire, il n'y a rien dans la mort qui puisse justifier de telles craintes. 3° L
ent voler dans l'espace avec vitesse ; ceux qui ne craignent pas la mort ; ceux enfin dont la nature mo- rale, placée dan
nflammation méningée : trépanation au niveau de la perfora- tion. - Mort au bout de quatre jours. A l'autopsie, on constat
pilles étroites ne réagissant plus. Violents accès d'é- touffement. Mort quinze jours après le début de l'affection. Autop
analogues. Ils se plaignent tantôt d'être persécutés, tantôt d'être morts . Parfois ils se prétendent ressuscités. Ils resse
nt sans aucune autre altération appréciable. Une semaine plus tard, mort subite. On constate au microscope un. tabès dorsa
lococcus de la base des hémisphères; elle avait, trois ans avant sa mort , été atteinte de diphtérie scarlatineuse. C'est
es, marche symétrique, chronique, progressive. Sans exception, la mort avait lieu de un à quatre ans après le début de l
entraînent un affaissement progressif. Mais il est rare de voir la mort survenir dans le collapsus le plus profond. Gén
poids, exacerbation apyré- tique à la suite d'un coryza, amenant la mort en quelques heures par paralysie des centres re
1° M. L9BORDE : du me- canisme physiologique des accidents et de la mort par le chloroforme; et 2° MM. C\DÉAC et Meunier
le foie, les reins et le sang des per- FAITS DIVERS. 317 Î sonnes mortes de l'épilepsie. Il a fait des expériences avec ce
condamné. Le verdict du juge coroner de New-York dans le cas de la mort de Stratton, le jeûneur, est digne d'être signa
evraient être défendues par la loi P. La durée du jeûne de Stratton mort de faim a été, dit-on, de quarante et un jours.
de janvier il n'y a pas moins de sept médecins qui se sont donné la mort . UN FOU assassin. M. Follet, originaire du dépa
plongea dans la poitrine du concierge. Le coeur fut traversé et la mort immédiate. Le fou ne s'enfuit pas. On put s'emp
Père, aubergiste, buveur, querelleur, maltraitait souvent sa femme, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une bronchite qu'il
l'empêchent de marcher. Huit enfants, dont sept encore vivants; un mort de la poitrine. Le malade est le cinquième. Tous
aractère emporté, émotif; marié, il a cinq enfants dont quatre sont morts des convulsions en bas âge. Début. Dans les p
évélé chez plusieurs membres, sous diverses formes. Il est lui-même mort , vers l'âge de soixante ans, dans la démence. Q
jamais aucun trouble. Durant les quel- ques mois qui précédèrent la mort survenue à seize ans, cet enfant t se plaignit
au des jambes est un peu froide et violacée. Voix faible et rauque. Mort le 24 février. D'après l'ensemble des détails q
l'atrophie musculaire, progressant de plus en plus, a entraîné la mort chez tous, à l'âge de seize ans. Enfin, parmi l
er airai- blissement des facultés; 3° état chronique de démence; 4° mort après marche aiguë ou chronique, le plus souven
ra, la notion exacte de leur situation et que tous envisageaient la mort sans angoisse. 2° Etats mélancoliques. - L'in
ès le début de l'at- taque, et mourut avec une grande frayeur de la mort . 5° Idiotie, débilité mentale, - Les idiots ne
se rendaient compte de la gravité de leur état et envisageaient la mort avec résignation, sauf de rares exceptions. (Anna
port défavorable de M. Marandon de Mon- tyel lorsque, le père étant mort , elle fut transférée à Saint-Yon. (Annales médi
évrier 1893. Présidence de M. Christian. M. le Président annonce la mort de M. le professeur Ball et celle du Dr Picnox.
P. KERAVAL. NÉCROLOGIE BENJAMIN BALL M. le professeur BALL est mort , le jeudi 23 février, des suites de la longue e
ique qui se termine par la démence. Rarement elle se termine par la mort : celle-ci est due toujours à une complication,
e dire que tout maniaque fébricitant qne l'on camisole est un homme mort . Le traitement consistera ensuite dans l'admini
our les autorités qui devront considérer comme un avertissement ces morts inutiles, et faire en sorte qu'on n'uti- lise p
U7'g, Jour" 1893, p. 248.) Nécrologie. M. le Dr Georges PICEION est mort le 13 février 1893 à l'âge de trente-trois ans;
ultés sur- naturelles. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 415 « Après sa mort il advint que plusieurs bestiaux furent enlevés
érique qui dans ses attaques est en proie au désespoir causé par la mort de son enfant, ou à la terreur déterminée par u
e, cinquante-six ans'. Antécédents héréditaires. Père, cultivateur, mort à soixante- douze ans d'une fluxion de poitrine
ant jamais fait de maladie sérieuse. 11 avait trois frères qui sont morts également à un âge assez avancé. Mère décédée
elle, ni migraineuse ni coléreuse. Elle a eu six enfants; deux sont morts , l'un à soixante ans, d'un refroidis- sement (
Science, janvier 1892.) Observation d'un homme de soixante-dix ans, mort subitement 464 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. a
de couteau qui a atteint le malheureux dans la région du coeur. La mort a été instantanée. (L'Eclair.) Incendie d'un as
rès lésion de la partie phéiiphérique, par Dark- chevitch, 129. Mort snbite et hérédité névropa- thique, par Cullerr
52 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
arde d'octroi. Son père et sa mère sont X : CII1 1 - BERTOLOTTI morts depuis longtemps. Son père était un véritable géa
t pendant tout son séjour et fut enfin étudié à l'autopsie après sa mort survenue en oc- tobre de la même année. . Rés
ain mémoire, présentait une maladie de Banti qui fut la cause de sa mort , mais, dans sa phase initiale, précéda la détermi
peuples, par exemple on sait que chez les Spartiates on donnait la mort à tous ceux de leurs enfants qui « nés avec des
usement malade. Il a eu de sa première femme deux enfants, qui sont morts jeunes. De sa seconde femme il n'a pas d'enfant
a seconde femme il n'a pas d'enfants. Nie la syphilis. Son père est mort d'une maladie du cerveau, sa mère, dans la prof
foie, la rate sont normaux. Pas de tumeurs palpables sous la peau. Mort dans la seconde moitié d'oc- tobre 1908. TUME
de 63 ans qui 7 mois avant d'entrer à l'hôpital (et un an avant sa mort ) ressent dans la ré- gion de la XIe côte droite
a ,région lombaire. Le malade retourne à Varsovie. Un mois avant sa mort il nequitteplus son lit, quoique la marche lent
té accentuée existait dans la région dorsale inférieure. Jusqu'à la mort , celle cyphose est restée régulière sans trace d'
n localisées et limitées, ce n'est que quel- ques semaines avant la mort que la douleur a atteint son point culminant da
de la Vile vertèbre dorsale qui comprimait la moelle. Le malade est mort le 30 juin 1909. OBSERVATION VIII. M. Dab (
tactile et douloureuse s'est troublée davan- tage). Le malade est mort le 7 novembre 1907. L'autopsie a démontré des d
de nos cas (obs.l) depuis l'opération du cancer du sein jusqu'à la mort il s'est écoulé six mois seulement. Dans d'autr
s s'en injectait plusieurs fois par jour dès quelques mois avant sa mort . Il y a des cas où les douleurs disparaissent p
dans celui de Bielschovsky ces contractures ont persisté jusqu'à la mort , ou jusqu'au moment de l'opéra- tion avec issue
s, paralysie, affaiblissement ou abolition des réflexes et enfin la mort quelques mois après l'opération du cancer du se
arcomes vertébraux on obtint une amélio- ration passagère suivie de mort . Saenger décrit 3 cas. Dans le premier le sarco
Deuxième opération, amélioralion. Nouvelle métastase, 86 ' FLATAU mort . Dans le troisième cas on a opéré un sarcome de l
ù il y avait une amélioration après l'opération, dix mois plus tard mort de la malade. Dans les cas de Gerster, Sonnenbu
mple) les douleurs apparaissaient le lendemain de l'opération et la mort frappait les malades quelques jours après. En d
uérison incomplète ; Stertz, une amé- lioration; Oppenheim, Krause, mort 8 jours après l'opération) ; le myélome (Thomas
tèbres lombaires et sacrées, opération, améliora- tion, récidive et mort ). (La bibliographie complète concernant l'échinoc
gué- rison fut complète ou l'amélioration considérable), dans 8 la mort est survenue (dans 4 cas peu après l'opération
t'être assez répandue dans l'antiquité. Plutarque (1) et Elien (2) ( mort en l'an 260 après Jésus-Christ) en font tous de
i va-t-il mourir : - « ..... Mais jou ne puis trouver Fors que ma mort , car calendre sauvage Est ma dame ; qi bien i v
t porter en cage Au malade, à le fois par usage Quant on n'i veut mort , u santé trouver ; Mais qant ne veut son vis ve
respasser, Mais ne me veut faire tant d'avantage, . Ains veut ma mort : et jou ne l'os véer. Nul ne m'en puet garir n
en 9 : )OU., à l'îige de 50 ans. - - Son père et sa mère étaient morts âgés depuis peu de temps. Jamais aucun membre d
de t'observation I. 1887. Jean (naissance à terme, pas de dystocie) mort , à 1 an, après une attaque convulsive. 1889.
nerveux. En effet, sur les sept membres de cette famille deux sont morts à la suite d'attaques convul- sives, trois ont
l'asile de Blois le 16 avril 1903. Antécédents héréditaires. - Père mort de congestion cérébrale à l'âge de 79 ans ; mèr
rale à l'âge de 79 ans ; mère morte à l'âge de 78 ans. Un frère est mort à 40 ans à la suite d'un accident ; un autre fr
adolescence ; M. A..., s'est marié et a eu trois enfants ; l'un est mort d'entérite dans le jeune âge; un fils est âgé act
stiques aux jambes. Les sphincters fonctionnaient norma- lement. La mort est survenue un mois après l'apparition des sympt
Auparavant toujours en bonne santé. Elle a eu 6 enfants dont 3 sont morts . Une fausse couche. La famille est bien por- ta
il s'agit d'une femme de 45 ans, qui ressent dix semaines avant sa mort des douleurs et des élancements derrière la têt
ouleurs et le membre s'affaiblit peu à peu. Quelques jours avant la mort il y avait des paresthésies dans les membres su
rieurs paralysés. A l'examen de la malade fait trois jours avant sa mort on constate une tumeur de la région supérieure du
ssion, et trois semaines après le début des symptômes alarmants, la mort frappa le malade brusquement. Ce n'est que tard
Evidemment à un moment de la maladie (quelques semaines avant la mort ) la tumeur a augmenté rapidement de volume et a p
efois la colonne vertébrale est à un certain niveau douloureuse. La mort frappe vite (après quelques jours) ou bien quel
arits). Apparaissent les troubles sphinctériens, les eschares et la mort . Dans un de nos cas (obs. XII) la mort est surv
ctériens, les eschares et la mort. Dans un de nos cas (obs. XII) la mort est survenue rapidement sans phénomènes précurs
(par exemple le cas de tumeur dans la région du IVe ventricule, la mort rapide des tabétiques, etc.). , A côté des cas
les masséters, affaiblissement des jambes, respiration difficile et mort ). A l'autopsie on a constaté un lympho-sarcome du
ssait. Mais elle récidivait après un certain temps et provoquait la mort (cas de Martini). On doit souvent se servir d
piques, Voici donc un premier fait à retenir, le cerveaudes aliénés morts de dé- lire aigu dans l'espace d'une semaine en
s durable, 'dont le terme peut être la destruction irrémédiable, la mort de l'élément cellulaire. L'hypothèse du parallé
ale, que nous ne connaissons de la vie du cerveau que l'image de sa mort . Ces constatations, pour pessimistes qu'elles s
la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière quelques jours avant la mort prématurée de son auteur. La Nouvelle Ico- urog
l'oeuvre d'un seul homme, mais de toute une époque, à partir de la mort de Charcot. Il faut laisser à Ba- binski le trè
s, alors que le maître tout puissant dis- posait de la vie et de la mort , etqu'il fallait, par la ruse sournoise, échap-
tout fait ressembler la vie des lépreux à celle d'un condamné à une mort lente et inévitable. Xavier de Maistre le montr
pronostic fatal car l'apparition de la psychose semble un signe de mort prochaine. La fixité de l'étal coenesthésique,
e huit enfants. Vaine, porteur d'une dou- ble hernie inguinale, est mort en bas âge de convulsions. La troisième, âgée d
ique, méchante, vicieuse. Plusieurs oncles et tantes paternels sont morts en bas âge, trois tantes restent; une est épile
a naissance, l'enfant eut des convulsions « qui le laissaient comme mort » ; à neuf mois se produisit la première crise ép
ans, de Jaenza, colporteur. Antécédents héréditaires. Son père est mort d'accident à 54 ans (explo- sion de mine). Il é
ans, né à Cologne, jongleur. Antécédents héréditaires. Son père est mort depuis longtemps on ne sait de quelle maladie.
aine et de conformation normale. Elle a eu 13 enfants, dont 12 sont morts et le treizième est notre malade. Elle n'eut jama
sen, jongleur, âgé de 23 ans. Antécédents héréditaires. Le père est mort depuis beaucoup d'années, on ne peut préciser d
ur le deuxième cas, nous avons appris que tous les frères (12) sont morts , quel- ques-uns à la naissance, les autres en b
ues-uns à la naissance, les autres en bas âge ; des premiers l'un est mort d'ictère, l'autre d'asphyxie. Sont-ce des donné
uelette très évidentes et notées dès sa naissance. Deux frères sont morts , l'un à 17 ans et l'autre à 27 ans, et ils avai
rait soupçonner la syphilis chez la mère, étant donné le fait de la mort de plusieurs enfants nouveau-nés avec des altér
tion a été forte, on a le tableau de l'achondroplasie foetale et la mort à la naissance ; lorsque l'infection a été légè
éditaires n'offrent rien de particulier à mentionner : son père est mort à 55 ans à la suite d'une pneumonie ; sa mère à l
pneumonie ; sa mère à l'âge de 58 ans de choléra ; ses aïeuls sont morts tous très vieux. Une soeur est morte à 79 ans N
observations purement cliniques. Kahler, à l'autopsie d'un individu mort de syphilis cérébrale, alors que l'ulcère initi
rijumeau, la surdité à droite, l'hémiplégie gauche et finalement la mort par coma. A l'autopsie, on trouva des formation
e et d'une hémiplégie droite, suivies, presque un mois après, de la mort . A l'autopsie, on trouva une endo-artérite et u
rgique d'injections intra-veineuses et sous-cutanées de sublimé, la mort survint quelques jours après. L'autopsie fit cons
s deux mois suivants les symptômes empirèrent jusqu'au coma et à la mort . A la section, on trouva un ramollissement de l
état comateux avec secousses cloniques à gauche, vomissement et la mort . A l'autopsie on trouva une thrombose de l'artè
in, se transforma en une hémiplégie com- plète droite avec aphasie. Mort survenue au bout de trois jours. A l'au- topsie
e droite. Tous ces symptômes restèrent sans modification jusqu'à la mort , malgré une cure énergique au mercure et au iod
s, sous forme de céphalée, et sept mois après l'infection ce fut la mort . L'autopsie établit une ménin- gile gommeuse de
HILIS CÉRÉBRALE 307 traitement et qui souvent mènent le malade à la mort . Cette malignité se retrouve par exemple dans l
ois après l'accident primitif. Oblitération de la sylvienne gauche. Mort en trois jours. Revue neurologique, 1893, p. 921.
se progressive, de la région dorsale moyenne; 10 à 11 mois avant la mort , étaient apparus quelques troubles de la motilité
opération la paralysie des membres inférieurs persiste ; fièvre. La mort survient quelques jours après l'opération. A l'
it pas. ' le' juin. Vomissements incoercibles. Même état. 6 juin. Mort . Autopsie. Après l'incision de la dure-mère on
t dans la moitié gauche du ventre. Escarres profondes sur la fesse. Mort trois semaines après l'opéra- tion. L'autopsi
ntre ballonné. Hoquets. Pouls petit, rapide. Le soir, le malade est mort . A l'autopsie on a constaté des masses néoplasi
e. Escarre. Rétention d'urine et de matières fécales. Le malade est mort trois semaines après son entrée à l'hôpital.
tion, décrite par Charcot, la plupart du temps se présente après la mort comme un processus syphili- tique ou néoplasiqu
e, manque d'appétit, diarrhée. Elle a eu deux enfants dont l'un est mort (convulsions), l'autre mort-né avant terme. E
s douloureux (le moindre contact est dou- loureux). La veille de sa mort la malade a eu des douleurs paroxystiques au ve
Dotto et Pusateri (4) ont examiné le cerveau d'un homme de 40 ans, mort deux mois après une hémorragie capsulaire. Sur le
iniques. 45 ans, début lent ayant commencé six ans et demi avant la mort . Parésie aux quatre membres, la malade peut mar-
em- bres supérieurs ainsi que de grands troubles bulbaires ; il est mort suffoqué après trois ans de maladie. Examen m
bservation. M. G..., 40 ans environ, femme de service, mariée. Père mort de pneumo- nie ; mère morte paralytique à 86 an
mort de pneumo- nie ; mère morte paralytique à 86 ans. Deux soeurs mortes en bas-âge, de maladies que la malade ne sait p
n bas-âge, de maladies que la malade ne sait préciser; deux frères, morts également : l'un par accident sur le travail, l
t volontiers. Parmi les oncles et tantes de la mère, plusieurs sont morts de convulsions en bas-âge ; un des survivants é
s quatre aînés étaient strabi- ques de naissance ( ? ) ; trois sont morts en bas-âge, l'un de convulsions, les autres d'a
supéro-externe est en partie détruite : à ce niveau existait avant la mort une zone cutanée, livide, ayant l'aspect d'une
augmenté de nombre et de volume jusqu'à l'âge adulte. Le malade est mort de tu- berculose pulmonaire (thyroïde et hypoph
valer la nourri- ture solide et difficulté d'avaler les liquides. Mort le 19 août 1909. Autopsie. On constate un élarg
jours. Il y avait des symptômes d'infection. Cystite. Le malade est mort 5 mois après l'opération. Ce cas était au déb
rappelle des cas où il existait des symptômes bulbaires et après la mort l'examen histologique n'a pas décélé de lésions
Dans un cas de Stertz la durée entière de la maladie (jus- qu'à la mort ) n'était que de 1/2 mois ! Dans notre XVIII, obse
la maladie. Dans certains cas pourtant la durée est très courte, la mort survient au bout de quelques semaines ou de que
e (syndrome de Brown- Séquard), le malade fut opéré à Berlin, et la mort survint aussitôt après l'opération (le Xe cas d
est frappée par un nou- veau deuil. Le professeur F. RAYMOND est mort , le 28 septembre dernier, à La Planche (l'Andil
service de la Salpêtrière, Il était âgé de 66 ans. Après JOFFROY, mort le 24 novembre 1908, après Brissaud, si préma-
que Charcot mourant avait lui-même désigné son successeur. Charcot, mort inopinément au cours d'un voyage en Morvan, n'a
sion d'étudier, intra vitaln, les troubles aphasiques d'un gaucher, mort dans la suite, j'ai examiné les hémisphères cér
S GAUCHERS 497 Ces troubles ont persisté sans changement jusqu'à la mort . Autopsie. 8 mai 990î.- Rien du côté de la dure
même constatation a été faite par Paltauf sur le squelette d'un nain mort à 49 ans et haut de 111 centimètres. M. Joach
ujet étaient des individus de taille absolument normale et qui sont morts de vieillesse, n'ayaut présenté, pendant leur v
autres enfants, de taille normale et d'excellente santé; deux sont morts en âge adulte de maladies aiguës; les deux autr
monie croupale, et sou petit frère nous raconte qu'au moment de sa mort elle était relativement beaucoup plus petite qu
p plus petite que Lui, lui arrivant à peine à la taille Il Après la mort de sa femme, notre sujet n'a pas abandonné ses ha
ans, elle n'a eu qu'un enfant qui n'a vécu que treize jours et est mort dans les convulsions. Son mari est mort jeune,
écu que treize jours et est mort dans les convulsions. Son mari est mort jeune, de la poitrine. A l'autopsie il exista
nde extension. L'examen des pupilles pratiqué quatre jours avant la mort donne les résultats suivants : pas d'inégalité pu
on fut complète ou l'amélioration très évi- dente). Dans 42 cas, la mort survint après l'opération. Dans 3 cas, l'opé- r
t été bien améliorés, 7 n'en ont recueilli aucun ré- sultat, 8 sont morts , 1 a été opéré dernièrement. La mortalité, d'aprè
itudinale dans la région de la cloison longitudi- nale postérieure ( mort 5 jours après par suite de septicémie). Dans un
séreuse, suite de l'irritation des méninges autour de la plaie). La mort après l'opération. Le résultat fatal de l'opéra
septicémie,mais aussi de causes inconnues qui nous échap- pent. La mort survient immédiatement après l'opération par suit
s médullaires (dans ce nombre, 10 cas de tumeurs méningées), 8 sont morts tout de suite après l'opéra- tion, 1 par suite
nt moindres. Dans les cas opérés dans mon service, les causes de la mort ne découlaient pas de la race. Nous avons pu ob
rver qu'à mesure que la technique se perfection- nait, le danger de mort et d'infection devenait moindre (obs. XVIII et
ésultat de l'opération fut tout à fait satisfaisant. Quelquefois la mort survient longtemps après l'opération. Ainsi dans
ent détruite à l'endroit opéré. Il existe des cas où la cause de la mort reste inconnue. Ce sont des cas où les forces v
sant sans qu'on puisse en trouver la cause, et finalement arrive la mort . De nombreuses expériences faites sur les chien
s troubles psychiques chez le grand artiste. Après avoir rappelé la mort de cette jeune femme, originaire de Gand, que l
)fugues devint mélanco- lique par suite, non pas précisément de la mort de sa femme, décédée au moins cinq à six ans av
eaucoup, pas d'excès d'alcool, a eu la syphilis entre 20 et 30 ans. Mort subite dans une attaque ; l'autopsie révèle un
l, mais étant d'un pays où on boit volontiers. Syphilis non connue. Mort subite dans une attaque d'apoplexie ; l'autopsie
durée totale de trois mois depuis le début de la maladie jusqu'à la mort subite dans un ictus paraly- tique, nous permet
l'art », : 11111. Charcotet P. Richer (1) consacrent un chapitre aux Morts ; mais, pour ne pas trop s'écarter de leur suje
leurs investiga- tions à la représentation artistique de l'individu mort , du cadavre. Ils ont donc laissé de côté toutes
toutes les oeuvres d'art figurant le personnage symbo- lique de la Mort . Les deux auteurs regrettent cette omission, car,
rance et en Italie, ainsi que les livres con- sacrés aux danses des morts d'Ilolbein et de bien d'autres ». Ce projet n'a
ément quelques détails anatomiques de deux figures sym- bolisant la Mort qui ont attiré notre attention sur un monument fu
XVIII" siècle, préteur, porte-bannière (labarifer) et ancien avoyer, mort en 1752. Malgré les recherches que noire ami le
nument élevé à la mémoire des soldats français de l'armée de l'Est, morts à Lucerne en 1871. Il est fixé contre le mur du
ne, écharpe en sautoir, tient un drapeau. Ce tricorne, porté par la Mort , n'est nullement grotesque ou ri- dicule, comme
53 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
de trois jours. Les complications ont été légères. - 3 malades sont morts , 12 ont guéri. II. LA FUTURE SECTION. Dans
as les aliments avant de les avaler pour la deuxième fois. Après la mort , on constata que l'estomac était unique et très d
l'un des frères de cette personne étaient ruminants ; mais ils sont morts de bonne heure. - En dehors du fait d'hérédité,
erait aussi applicable à I'Observation VIII dans laquelle le sujet, mort d'un squirrhe du pylore, ruminait moins bien à
e maigreur, qui firent des progrès rapides et se terminèrent par la mort . Autopsie. Léger épanchement d'un fluide jaunât
jamais fait de maladies ; pas de migraines, taille petite. [ Père, mort il y a longtemps, on ne sait de quoi; ne buvait p
le n'a jamais eu d'attaques de nerfs, ni de maladies graves. [Père, mort par accident, buvait beaucoup, n'a jamais eu de
es, de migraines ; variole grave en 1870. Pas de dermatoses. [Père, mort d'une inflammation d'inte5-h'.o : aucun excès,
ligent : il louche et a eu des convul- sions. Un cousin germain est mort fou à l'asile de Nantes.] Pas de consanguinité.
ent par le curare. Obstruction du larynx par un morceau de viande : mort . Autopsie. Vau... (Ernest-Joseph), né le -I-1 f
e typhoïde ; impressionnable, pas d'attaques de nerfs. Un frère est mort jeune, de convulsions. - Pas d'aliénés, d'épilep-
lle souffre de calculs biliaires. Intelligence ordinaire. - [Père : mort phthisique à cinquante-trois ans, après avoir eu
deux ans d'un cancer utérin.- - Un frère bien portant; un autre est mort tout DU MÉRYCISME. 61 jeune de la cholérine e
e ni de la mère.] Pas de consanguinité. Six enfants : deux filles mortes de bronchite, l'une à sept mois et demi, l'autr
convulsions, bien con- formées. Deux garçons juozeazex 1 : l'un est mort à trois jours de con- vulsions, l'autre est not
- vulsions, l'autre est notre malade. - Un garçon, bien conformé, mort il treize jours, sans convulsions, d'un « épanche
T. R. 40°. 8 mai. T. R. 40°.4. -Soir : 40°,4. 9 mai. L'enfant est mort ce matin al 7 heures. T. posl mortem : 40°,6. L
me et celle de l'homme. Observation. Père alcoolique. Deux soeurs mortes de convul- sions. - Une soeur hystérique et syn
rs été bonne. Excès de boisson envi- ron deux fois par mois. [Père, mort à soixante-six ans, mère, morte à soixante-sept
n prolapsus utérin qui date de la naissance de notre malade. [Père, mort d'une fluxion de poitrine; mère morte d'une hyd
, dit-il, aller tout à coup en arrière et on aurait dit qu'il était mort » ; il revenait à lui au bout de quelques seconde
e notre hypothèse, nous rappellerons que deux soeurs du malade sont mortes de convulsions; qu'une autre est atteinte de zé
ralysés Oncle maternel paralytiquegéné¡'¡tl. - F1'è¡'es et soelll's morts de con- vulsions. Convulsions de deux mois ci
al. -Température élevée.- Amélio1'ation,- l3rozzcho-pzezz- monie. - Mort . Autopsie : Adhérences de la pie-mère ci la sub
e ; assez intelligent; pas d'accidents nerveux. [Père, cultivateur, mort à soixante-quatre ans «de paralysie, un peu de
ne santé. Mère, morte de la poitrine à vingt-huit ans. Un frère est mort de paralysie générale progressive dans le servi
on ne sait de quoi; aurait eu de légères convulsions ; 4° garçon, mort de diarrhée à un mois ; pas de convulsions ; 5° g
t de mousse. - Soir : T. it. 41°. IDIOTIE ET EPILEPSIE. 109 14. - Mort à cinq heures du matin. T. R. après la mort 440.
ET EPILEPSIE. 109 14. - Mort à cinq heures du matin. T. R. après la mort 440. Poids, 12 kilogr. 800. ' Les accès et le
re nerveuse. Oncle maternel imbécile ; ? oncles et tantes maternels morts de convulsions. Emotions durant la grossesse. T
vation de la température ; diminution subite du volume de la tête. Mort . - Résultats de l'autopsie. Alli., Eugène, âgé
est sobre; santé d'habitude bonne; aucun accident nerveux. [Père, mort d'une maladie de coeur, à 50 ans, non alcooli-
nt d'un défaut de la parole. Parmi les autres, on signale un garçon mort de convulsions à 2 ans ainsi que deux filles ju
ui brusquement élevée, et cette élévation se maintiendra jusqu'à la mort , comme le montrent les chiffres ci-après. Soir
Le même jour, à six heures du soir, l'enfant meurt, sans que cette mort ait été précédée de convulsions ou de cris. Mai
it été précédée de convulsions ou de cris. Mais, une heure avant la mort , la tête a commencé à climi- nuer sensiblement,
ait ce matin de 39°, 1 ; de 40°, à 5 heures du soir. Prise après la mort (6 heures), elle était de 39",9 au bout d'un qu
e. Si quelques dimensions ont paru diminuer quelques jours avant la mort , ce résultat est attribuable à l'amaigrissement
levée. Divers auteurs font remarquer que, assez souvent, après la mort , il se produit une dépression des fontanelles. Or
s fontanelles. Or, dans ce cas, la dépression s'est opérée avant la mort et a été très accusée. III. a) Les os clu crâ
(3) Barrier cite un cas dans lequel il a noté peu de temps avant la mort « une ophthalmie purulente très grande, qui entra
cité, d'après Bright, le fait d'un hydrocé- phale, nommé Cardinal, mort à 24 ans, dont la tête avait 86 centimètres et
7 ans. M. Giraldès cite un hydrocéphale du nom de Cardinal, qui est mort à 34 ans. Selon Barrier « quelle que soit la na
la Société médico-p1'atiquc (juillet 1881) le cas d'un hydrocéphale mort de broncho-pneumonie à l'âge de 44 ans « alors,
re. Tuberculose pulmonaire. - Diarrhée : amélioration. Dysenterie : Mort . Atrophie simple des circonvolutions. - Tubercu
en 1841; il était âgé de 42 ans. [Grand-père paternel alcoo- lique, mort phtisique; bisaïeul maternel alcoolique, sui- c
e, mais sans attaques, sujette à des migraines. [Père alcoolique, mort phtisique . Mère en bonne santé. Une scieur mor
e; in- telligente ; 2° notre malade; 3° un garçon, bien conformé, mort de convulsions à 18 mois ; 4° un garçon, 7 ans, b
aigrissement est extrême; salacité; pas d'ictère ; pas d'escharres. Mort le 10 janvier. T. R. po5st mortem : 38",1. Poid
sse établir,entre la congestion pulmonaire double survenue avant la mort et l'abcès du foie, la moindre rela- tion (1).
54 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
ente avec tous les caractères qui la distinguaient, avec le sceau des morts sortant de terre ou venant du ciel. 11 faut plu
rreur. Car telle est la différence qui doit exister entre nous et les morts , que ceux-ci n’ayant plus d’intérêt à mentir, la
oir ce qui s’y passe, il y a l’immensité. Et lorsqu’on nous dit : Les morts reviennent, ils apparaissent à l’appel des lucide
avec une égale passion. D*** m’avait promis cette visite à son lit de mort ; la lucide le vit, mais le mort ne revint pas, ma
vait promis cette visite à son lit de mort; la lucide le vit, mais le mort ne revint pas, malgré sa promesse, mon désir et l
ue les propres idées de la voyante ou de son magnétiseur. Quoi! les morts seraient aussi inintelligents que les vivants ? L
es encore sur celles de l’autre vie. La vie est un continuel rêve, la mort est le réveil; et on nous dit aujourd’hui par la
c beaucoup. En magnétisme, ¡1 est comme le physicien qui galvanise un mort , croyant surprendre les secrets d’outre-tombe. On
ai point le droit de parler de mes œuvres avec vanité. Le6 sciences mortes s’apprennent toutes par les sens, l’intelligence
, au nom de l’humanité, de faire cesser les douleurs et d’éloigner la mort . C’est un adoucissement aux amertumes de notre
es souvenirs de notre maître. Sans doute il y aura des absents : la mort en a moissonné quelques-uns; mais le vide sera la
s et des pantins, et, dans ces deux cas il y a fausseté. Si l’âme des morts , leur ombre, si vous aimez mieux, n’était pas u
était celui d’Adam ; d’où pouvait-il venir? D’ailleurs, lu nombre des morts depuis la création, excédant de beaucoup celui de
e doit quitter le corps, et cela ne peut avoir lieu sans entraîner la mort . Or, M. Léon de Labordc a fait évoquer Cratlock s
ou du consultant. Il faudrait, pour que je crusse que l’ombre d’un mort est eifectivement apparue à vos lucides, i° que n
, ni par ressemblance de famille, ni par lieu de résidence , etc., ce mort ne fût connu du voyant, ni de vous, ni du consult
échapper un profond soupir; puis il devint si calme que je le croyais mort , car il ne respirait presque pas. Je lui demandai
Elle est maintenant d’une lucidité très-rare; cl le m'a annoncé la mort de doux personnes, et je vous parlerai de celte p
la pratique empêche d’aller à l’hôpital. Puis, à tant de pertes la mort est encore venue ajouter ses ravsges ; jamais en
, et quand la masse fut tombée il rentra dans un repos semblable à la mort . Lorsque toutes les artères furent liées et toute
fférents angles du triangle, lequel perd, dit-on, sa sensibilité à la mort d’un des deux pôles de ce télégraphe traumalique.
antes, on est venu à la Palingénésie des animaux. M. Digby, d’animaux morts , pilés et broyés, en a tiré de vivants de la même
donné des batailles, et ces ombres ne sont que les figures des corps morts , que la chaleur ou un petit vent doux excitent, e
er cinquante exemplaires, à l’occasion du 15 mars (anniversaire de la mort de Mesmer) , et maintenant nous ne craignons plus
santé et de la maladie nationales. « Le fameux général S....... est mort ces jours derniers dans notre ville , son gendr
les écrouelles, en frictionnant les parties malades avec la main d’un mort (i). Bacon discute longuement l'opinion des anci
les diables du corps humain, changeait l’eau en vin, ressuscitait les morts , et enfin guérissait une foule d’incurables par u
Paris ; un instant assoupi, il se réveille avec plus de force, et la mort et le deuil vont frapper à toutes les portes. La
moment où elles viennent de se féliciter d’un mieux, annonce de leur mort ; au moment où, pleines de force , elles ont fait
t fait un effort puissant qui leur fait croire la maladie domptée, la mort éloignée. En présence de si douloureuses circonst
elle ne contrariera en rien votre traitement, et elle arrachera à la mort plus des trois-quarts de ses victimes. J’ai foi
c persistance dans une direction donnée, et avec lui les principes de mort sont transportés dans les contrées où il souille;
ue son existence au service des malades, qui, en i832, a arraché à la mort des cholériques dans un état désespéré, et combat
ste; mais bientôt je romps la chaîne établie entre les vivants et les morts , et tout s’évanouit. Est-ce un songe, une pure
par le doyen des magnétiseurs nantais, M. de J-ongpré, qui, depuis la mort de M. Segrétier, l’élève et l’ami de Mesmer, est
hèque du baron de Guillemin , dont nous avons dernièrement annoncé la mort , vient d'ôtre vendue aux enchères publiques à Par
érieux l’a frappé parfois, qu’il a eu des avertissements de personnes mortes ou mou- rantcs, des pressentiments, des visions
ne retrouve qu’un petit nombre des fondateurs de cette solennité : la mort en a enlevé quelques-uns, beaucoup ont été disper
leur histoire, messsieurs; ils furent persécutés , presque tous mis à mort . Mais la vérité, dont ils étaient les apôtres et
vieux manoir rempli de sombres souvenirs, près d’un cimetière où les morts apparaissent, que je me place pour agir. Je n’ai
par la main du bourreau, c’est ainsi que tant d’hommes périrent d’une mort funeste pour avoir voulu faire cesser l’ignorance
e la terre habitée, on trouve établie cette croyance : Les ombres des morts apparaissent parfois aux vivants. Il y a des espr
génies, des messagers célestes, des anges de lumière, des démons. Les morts errent longtemps sur la terre. ils peuvent si;
ur cette infirmité, traité inutilement par M. Beaufils, el, depuis sa mort , par M. Dacheron, tous deux médecins à Paris, et
ue du Temple, 41. J'atteste que j'ai vu mon neveu à l'article de la mort , et qu'aujourd’hui il est sauvé. LORI.NET BAÜDA
tion ordinaire. Le 24, la respiration seule le distingue d’un corps mort . On l’opère sans manifestation de sensibilité. Il
Manick, relaté dans mon précédent rapport (i). Mais Shaick Manick est mort depuis plusieurs mois, et ce malade-ci n’aurait p
n état de veille, ce qu’il pensait qu’il dût advenir de nous après la mort . Sa réponse fut: «Quand on est mort, on n’est plu
u’il dût advenir de nous après la mort. Sa réponse fut: «Quand on est mort , on n’est plus rien dutout(i). » « Son extrême ig
autrefois. Tout le bien de « l’âme s’en va avec elle et dure après la mort ; et « les justes qui sc sont pleurés ici-bas s
inspiré pouvait dire : S’il arrive un nouveau prophète , mettez-le à mort . Aujourd’hui les prophètes abondent, mais nul ne
à l’expérience craignant que, par suite de la coagulation du sang, la mort ne s’en suivit, engagea d’une manière pressante l
t, libraire, que le magnétisme comptait au nombre de ses adeptes, est mort du choléra. Il a été frappé si violemment, qu’on
imait; il y introduit encore celle de tout autre individu , vivant ou mort , et transforme ainsi son patient en tel personnag
les yeux fermés) sur son triste 'sort de vivre pour être témoin le la mort fit; son fds. 11 se frappa la tête, la poitrine,
la dissection des parties avec autant d’indifférence que s’il eût été mort . Eveillé un quart d’heure après, il ignorait que
ue tu es mortel , il faut quitter le monde. Regarde bien commeut La mort m’a mis, Comment j’ai quitté Mes parents et ami
a mort m’a mis, Comment j’ai quitté Mes parents et amis! Quand la mort m'a surpris, Au printemps de mon 4ge, Je m'oc
me ; mais le bien n’avait pas duré longtemps , et les malades étaient morts , probablement parce que la magnétisation d’une se
de la force qui nous sert d’instrument. Cherchez donc, dans les corps morts , la vie qui vous échappe chez les vivants. Étudie
sur-le-champ des malades aux portes du tombeau, et frapper soudain de mort l’homme le mieux portant; elle opère de vrais mir
e ne treuve pas estrange que l’imagination donne et les febvres et la mort à ceulx qui la laissent faire et qui luy applaudi
ihliriue l'effluve du fluide nerveux, qüi peut s’arrêter et amener la mort . • Fieniis (i) parle d’un malftiteuf qui, condu
eau; et celuy qu’on dèsbnndàitpour luy lire sa grâce, se trouva roide mort sili1 l’eschaffâüd, du seul colip de son imaginat
quelquefois chez des somnaHibüles et des personnes à l’article de la mort ; ils peüverit être, nous n’en doutons pas, le rés
innocents. 11 fut encore confirmé dans cette nouvelle opinion par la mort des deux auteurs de cette catastrophe, qui arriva
par leurs victimes. » Les PP. Tranquille et Lactance, menacés d’une mort prochaine par leur innocente victime Urbain Grand
ieurs historiens , par saint Marcoul, abbé de Nanteuil, en Normandie, mort en 558, et qui passait pour guérir les humeurs fr
Charles Ier le nomma pins tard intendant général de ses armées; à la mort de ce prince , il se retira en France auprès de l
ins commenceront à s’échauffer; une fièvre violente surviendra, et la mort ne tardera pas à arriver; parce que, dit-il, les
de l’argent, avait fourni une portion de peaujprise à son bras, était mort dans cette ville où avait été pratiquée l’opérati
issait avec la vie dii malade; le sel de sang, qui se terhlssait à la mort de l’individu ; l'alphabet sympathique, etc. Ce
d’E-desse, guérissait par sa parole, et que le lit qu’il laissa à sa mort possédait tant de vertus, qu’il rap-pelait à la s
cret à la plus épouvantable comédie? Et pourquoi? Pour conduire à une mort cruelle un malheureux prêtre innocent, qu’elles n
ion, qu’ils aimaient mieux endurer les plus affreuses tortures, et la mort même, plutôt que d’avouer une supercherie dont il
sessions et des maladies les plus graves, surtout aux approches de la mort (i). Grégoire de Tours rapporte plusieurs observa
es par la Bulle Unigenilus ( i ), qu’il ne voulait pas admettre. A sa mort , on rechercha ses haillons comme des reliques , e
ques d’honneur les hommes qui furent assez heureux pour arracher à la mort quelques-uns de leurs frères, nous allons cherche
a fin de ce rapport. Les victimes qu’il arracha aux souffrances, à la mort même, sont des titres qui méritent pour lui une d
tance des êtres. Il joint la pratique au discours; et, dans ce siècle mort aux convictions , la sienne ressuscite les temps
ans les glaces avec trois compagnons qui ont survécu. Les autres sont morts : elle voit leurs cadavres près de la baie de Hud
qui est supérieur aux forces tome vin. — M° 104. — 25 krb 1849. 20 mortes . A nous ces brûlants phénomènes résultats de l’ag
alimenLs, malgré la défense expresse du mesmériste. Une rechute et la mort ont été la suite de cette imprudence. Je ne pen
aris. Jusqu’en ces dernières années, on croyait généralement que la mort de Mesmer élait arrivée le. 15 mars iSi5. C’est c
uvé : « Le fameux docteur Mesmer, grand-prêtre du « magnétisme, est mort le 5 mars, à Mccrsburg, « piès du lac de Constanc
«......On n’entendit plus parler de Mesmer « qu’à l’époque de sa mort , arrivée dans sa ville « natale, le 5 mars 1815.
il demeurera bien évident pour tous que ce jour est bien celui de sa mort . C’est ce qu’il s’agissait d’établir. VARIÉTÉS.
un nouvel art de guérir les maladies; une nouvelle philosophie; la mort certaine de toute doctrine matérialiste; l’existe
duit à l’état de squelette. Pendant vingt jours, je l’ai disputé à la mort qui le menaçait, et mon traitement s’est borné à
ce sens qu’elle prouve combien peu vous avez souci des vivants : les morts seuls paraissent occuper vos pensées. Correspon
ne saurait,je crois, aller plus loin: au-delà ce serait peut être la mort subite de la somnambule ), non seulement les subl
nce de cholériques à Pantin, 266.—Recherches sur la date exacte de la mort de Mesmer, 619. Société magnétique de Caen. Cau
439. — Ses partisans et ses détracteurs, 443. — La date exacte de sa mort , 620. — Sa pétition autographe au ministre Franço
nalyse au point de vue magnétique, par E. V. Léger, 11. Nécrologie. Mort des magnétistes : Loisson de Guinaumont, 76. — Dr
55 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
amps. Antécédents héréditaires. Ses grands-parents paternels sont morts l'un à soixante-quinze ans, l'autre à soixante-tr
vec des symptômes de paralysie. Ses grands-parents maternels sont morts tous deux de fluxion de poitrine, au dire de la m
ous deux de fluxion de poitrine, au dire de la malade. Son père est mort à vingt-huit ans de fièvre typhoïde. C'était un h
elle avait connue. Une autre fut en rapport avec la crainte de la mort de sa nièce quand elle vit sa soeur arriver en
sug- gérons à la malade endormie qu'un télégramme nous apprend la mort de sa fille. A ce moment elle frissonne, claque d
avec un mari jaloux, la vue du corbillard d'une amie, la peur de la mort de sa nièce, l'ennui de trouver sa fille malade
gente et rangée, mais un peu nerveuse. Les deux autres enfants sont morts en bas âge. Jusqu'au début des accidents vésani
qui s'est toujours montrée intelligente et bien pondérée. Son père, mort il y a quelques années d'une ma- ladie de foie,
musculaire, névrite optique, hémiplégie droite partielle, cachexie, mort . A l'autopsie, tumeur occupant le pont de Varole
on de ramollissement aigu du cerveau se terminant en un mois par la mort . L'intérêt est surtout dans la progression, dan
d'urine et des fèces. Céphalalgies violentes, vomissements, fièvre, mort . A l'autopsie, au niveau de la huitième dorsale
son épouse si dévouée, nous pourrons fêter son centenaire. Si la mort frappe trop souvent dans les rangs de la science,
, le Dr Delasiauve, notre bien vénéré et regretté maître et parent, mort dans sa quatre-vingt-neuvième année. Mon ami, le
ICALE. affection, il l'accueillait dans sa famille, mais bientôt la mort vint le surprendre et privall. Calmeil d'un pui
re et privall. Calmeil d'un puissant appui. Il fut appelé au lit de mort du maître, et l'assista à ses derniers moments.
eux qui sont décorés, ne sont plus de mode. (B.) CALMEIL. 63 A la mort d'Esquirol, M. Calmeil semblait désigné pour lui
mposent en : guérisons, 22 ? améliorations, 47; - incurables, 18; - morts , 64. (Allg. Zeitsch, f. Psych., L, 5.) P. Kerav
able et craintif. Mon père jouissait d'une excellente santé,'il est mort à soixante- huit ans de crises d'éclampsie. Ma
qui se porte bien. Nous avions un frère plus jeune que nous qui est mort il y a trois ans de la poitrine. Mes cinq enfan
itaires. Mère vivante, rhumatisante, quatre- vingt-neuf ans. Père mort par apoplexie; frère légèrement rhumatisant. Da
erniers jours. Marié à une femme poitrinaire, M... en a eu un fils, mort lui- même de la poitrine. Remarié à une femme s
ge de dix-huit ans; un oncle est atteint de tic. Un autre oncle est mort fou. Enfin une soeur, morte actuellement, aurai
e jeune fille qui vit mourir son père phtisique, le veilla après sa mort et en res- sentit une vive impression. Quelque
uis plusieurs mois la couleur violacée avait disparu, lorsque; à la mort de son mari, cette femme a eu de violentes conv
id glacial. Elle eut une violente attaque de nerfs à la suite de la mort de son père. Elle présente, en outre, une anest
as payer la veuve de l'assuré, derrière l'alcoolisme de ce dernier, mort des suites de ses excès, ce que la compagnie co
et du fémur, épanchement sous-périosté, extravasations sanguines, mort . A l'autopsie, hémorrhagie cérébrale et méningée.
ulcérations générales; oedème des extrémités; attaques syncopales, mort ; hématome de la dure-mère. P. S. XXII. THROMB
s inconscience; incapacité de parler; parésie du côté gauche; coma; mort . A l'autopsie, lésions vulgaires de paralysie g
rain, part. 111, 1893, p. 416.) Trois cas de pseudo-tabes suivis de mort , le premier avec mal perforant et coma, les deu
arachnoïde, au contraire, contenaient des éléments -spécifiques. La mort a été amenée par une poussée de méningo- myélit
midi, attaques épi- leptoïdes répétées avec perte de connaissance ; mort au bout d'une heure. On trouve à l'autopsie une
s dans l'oeil (Ibid., 1858) ; De l'opération céscc- rienne après la mort (Union médicale, 1861 ; De l'organisation du se
endants n'a pas été sans influence sur son état moral. Son père est mort dans une maison de santé. (La Petite République
our d'assises des Côtes-du-Nord vient de le condamner à la peine de mort . (Le Radical du 28 janvier.) Nous n'hésitons pa
ssée mou- rir de faim. On a retrouvé le cadavre en putréfaction. La mort remonte à vingt-cinq jours. Quand on interroge
été pris d'une crise en allant cueillir des noisettes et qu'il sera mort à cet endroit, faute de soins. (Rappel de l'Eure,
utive à une commotion cérébrale. Hérédité descendante : CliarlesVII mort sitiophobe. Louis Xt dégénéré, mort consécutive
édité descendante : CliarlesVII mort sitiophobe. Louis Xt dégénéré, mort consécutive à plusieurs attaques d'apoplexie. C
dans des circonstances tragiques, écrasé par une voi- ture ; cette mort ne parait pas l'avoir beaucoup troublé. L'union
dans une autre chambre de l'hôtel ; c'est ainsi que la veille de sa mort (nuit du 2G au 27 janvier), elle a dû abandonne
-dire que la préméditation avait été écartée; par suite la peine de mort n'était plus applicable, Maumy n'encourait que
de phénomènes de Raynaud, et qui éprouva une violente émotion à la mort d'un de ses fils, âgé de six ans, enlevé en tro
du Pr Raymond. Antécédents héréditaires. Le grand-père paternel est mort du choléra. Il avait un tempérament très nerveu
érament sanguin. Il était impressionnable et très irascible. Il est mort à quarante-six ans de la rupture d'un anévrisme
malade était née; elle était âgée de deux ans. Un de ses frères est mort à vingt-neuf ans probablement de tuberculose pu
tte scène un souvenir ineffaçable. Depuis lors, elle conçut pour la mort une peur insurmontable qui se traduisait dans de
uses circonstances. Toutes les fois qu'on parlait devant elle de la mort , soit à propos de la mort d'une personne de sa fa
les fois qu'on parlait devant elle de la mort, soit à propos de la mort d'une personne de sa famille ou d'un grand pers
ou d'un grand personnage, soit en évoquant seulement l'idée de la mort , immédiatement l'image du cadavre de sa petite am
*de nouveau. Puis à cette sensation succéda une idée, celle de la mort , qui revenait souvent à l'esprit de la malade,
un fait qui attiraient son attention, elle oubliait son idée de la mort . Elle reprenait sa manière d'être habituelle. Ell
vive, enjouée, turbulente. Depuis deux ans, l'idée et la peur de la mort sont allées en s'atténuant. En 1884, la malade
maison, d'autant que son beau-frère était lui aussi malade. Il est mort un mois après sa femme. Elle passa la nuit dans l
lade ne dormait pas et avait constamment dans l'esprit l'idée de la mort , les douleurs existaient soit continues, soit p
heures du soir, ce qui correspond à la pensée de sa soeur ou de la mort réveillée par des souvenirs. En même temps qu
Elle a pleuré à cette vue. Nous lui supprimons de l'esprit le mot c mort ». La malade est en retard de ses règles. Nous
pour se transformer peu à peu en idée fixe; qui, à la suite delà mort de sa mère contracte une hémiplégie droite avec h
est prise ensuite de rhumatisme articulaire aigu, et à propos de la mort de sa soeur, voit com- mencer des phénomènes d'
appant. La malade est atteinte d'hémiplégie droite à la suite de la mort de sa mère. Elle con- tracte un rhumatisme poly
racte un rhumatisme polyarticulaire aigu, et consécutive- ment à la mort de sa soeur, débute son érythromélalgie. L'in-
une impression olfactive de dégoût et d'horreur. Les propos sur la mort lui rappellent longtemps cette impression et l'ém
accompagna. Puis l'émotion se transforme en idée fixe, l'idée de la mort . Elle perd sa mère et fait sous cette influence
nnat redevient vivace. La malade continue à penser à sa soeur, à la mort , jour et nuit. Elle fait des phénomènes d'éryth
chambre à côté de la morte, qu'étant au lit en proie à l'idée de la mort elle ressent pour la première fois des douleurs
euse, su- jette à des pertes de connaissance, qui, à la suite de la mort d'un enfant unique adoré, a commencé des phénom
menstruelle. Elle avait antérieurement accusé la sensation de doigt mort au niveau du pouce. droit. 182 ) PATHOLOGIE N
insensible, les pupilles dilatées, avec toutes les apparences de la mort . Je pratiquai la respiration artificielle, qui
compliqué d'une insuffisance aortique qui peu .après entraîna la mort ; sur la moelle de cette malade il est arrivé, grâ
que seize mois après le développement de la gangrène. Quand il est mort , l'élimination des parties sphacélées était depui
njections hypodermiques de chlorure de sodium, T. 3'7,3, puis 41,3. Mort . L'anatomie pathologique démontre le diagnostic
thermique de 4° sans modifier la fréquence du pouls ni empêcher la mort ; elles ont probablement emporté la toxine. Ce
même quand l'autopsie est pratiquée douze à quinze heures après la mort . On peut se rendre compte de son efficacité sur l
t sortis guéris. De tous les aliénés des asiles régionaux, 951 sont morts ; et 9,19 p. 100 des épileptiques.- ' ' varia.
ur, écrit notre ami, M. le Dr Ritt, dans les Annales, d'annoncer la mort de notre excellent collègue et ami le Dr Donnet
roie à d'intolé- rables souffrances, il voyait venir stoïquement la mort qui fut pour lui une délivrance. « Donnet éta
et se mettre à uriner goutte à goutte d'une façon continuelle ; la mort arri- vait alors par déglobulisation. D'autres
divers titres que nous» avons injectées, aux animaux. Ceux-ci sont morts présentant, les, mêmes accidents, que dans les
asthénique. Deux soeurs plus âgées et un frère, le plus jeune, sont morts de phtisie pulmonaire. Elle a. cinq soeurs en v
n peu mobile ; à droite, mobilité des orteils faiblement conservée. Mort . L'autopsie révèle un foyer hémorragique étendu
Actuellement paralysie flasque des extrémités, surtout des jambes. Mort . L'au- topsie montre l'existence d'une myélite
E l'idiotie ; par M. POPOFF. (Archiv f. Psychiat., XXV, 3). Idiot mort à dix-huit ans de phtisie pulmonaire ; il ne conn
ie n'évacue plus l'urine d'ailleurs indemne d'albumine ou de sucre. Mort le 25 juillet. Autopsie. 11 existe une myosite ai
elle, chez lequel, pendant quatre ans et demi, il y eut, jusqu'à la mort , exagération des réflexes de la partie du corps
dorsale. Elle survécut onze ans à cette muti- lation et, jusqu'à sa mort , les réflexes tendineux furent abolis dans les
ve complète ; absence du phéno- mène du genou. Un des malades étant mort subitement, l'examen microscopique révéla une l
dans le même état; pendant les derniers jours qui pré- cédèrent sa mort subite, il se promenait encore. L'autopsie révéla
complète dans le numéro de janvier des Archives de Neurologie, est mort le '11 mars, Fontenay-sous-Bois, dans sa quatre
mmé médecin directeur de l'asile de Auch. FAITS. DIVERS. A 335 LE mort vivant. Un singulier cas de folie a été constaté
is donc, quand est-ce que l'on m'enterre ? » L'infirmière voyant ce mort écarter son linceul pour formuler une aussi biz
culeuse. Soeur de la malade a des secousses nerveuses. Un frère est mort de convulsions à sept ans. Antécédents personne
Cir..., vingt-six ans. Epilepsie. Antécédents héréditaires. Père mort de la variole à quarante DE l'intoxication dans
nservé sa lucidité. Les urines ne présentent ni sucre, ni albumine. Mort dans la nuit du 3 au 4 mars. ' Cette observat
s fré- quentes surtout au moment de ses règles. Le grand-père est mort d'une hémorragie cérébrale et était goutteux. Un
te guérison, en septembre 1885, nouvelle attaque pendant onze mois. Mort dans l'été de 1886. L'auteur conclut à l'hystér
.-PRÉSIDI'.nCE DE M'. P. Moreau (de Tours). LE Président annonce la mort de Calmeil qui vient de s'éteindre à Fontenay-s
IST fait connaître à la Société que le magnétiseur spirile Home est mort aliéné. Ptithogénie des attaqzies épilepti/'orm
nfin dans laquelle les fonctions cérébrales étaient mo- mentanément mortes et comme paralysées. Sans doute, fait remar- qu
i doucement : Alphonse, Alphonse, » il ne me répondit pas, il était mort . J'ai pris mon cou- teau, je lui ai coupé la tê
du directeur, etc.; logements du personnel secondaire; service des morts ; infirmeries; pavillon d'iso- lement pour les m
selle. Le réfectoire sera orné de tableaux représentant des natures mortes , de statuettes aux angles et de deux suspension
s difficiles, l'arrêt prolongé dans la filière pelvienne, l'état de mort apparente, l'asphyxie par cir- culaires du cord
ion dans l'épilepsie. 443 Antécédents héréditaires. Père alcoolique mort à soixante-cinq ans, mère bien portante morte à
ante-cinq ans, mère bien portante morte à soixante-trois ans. Frère mort de méningite. Soeur a eu des fugues inconscient
ion, et finalement lassitude, hébétude, aboutissant au moment de la mort à l'anéantissement mental. En ce qui louche l
de folie puerpérale, datant de quelques semaines et terminé par la mort : on trouva les cellules corticales dans un éta
ule des poumons. Injecté à l'a- nimal, il provoque à faible dose la mort par convulsion, et d'une manière générale, et f
a chaire de psychologie à l'école de médecine d'York. En 1857, à la mort de son père, il fut décidé que la vieille maiso
de l'asile fut pour lui d'un grand attrait. Il y demeura jusqu'à sa mort , venant à Londres journellement à son cabinet de
e, le U'Tuke retomba graduellement dans un coma qui dura jusqu'à sa mort à 4 heures du matin, le jeudi 5. Un trait saill
56 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
Troubles de la déglutition, de la respiration, de la circulation. Mort un an après le début. Corps granuleux dans toute
mère est morte de chagrin ( ? ) à l'âge de trente-six ans. Son père mort à soixante-dix-neuf ans. Frère mort de la poitr
e de trente-six ans. Son père mort à soixante-dix-neuf ans. Frère mort de la poitrine à l'âge de dix-neuf ans et demi.
ze enfants dans l'espace de dix-neuf ans. Dix de ses enfants sont morts en bas âge, trois sont bien portants. Ménopause à
e dimensions, des phénomènes fébriles commencent à se manifester. Mort en décembre 1883, probablement dans une syncope.
urs. Paralysie des membres inférieurs avec phénomènes spasmodiques. Mort deux ans après le début. Corps granuleux dans t
er sont les suivants : la malade a eu sept enfants, la plupart sont morts en bas âge, un seul survit, la fille dont nous
ation les troubles moteurs et ceux de la sensibilité s'aggravèrent. Mort le trente-troisième jour d'une inflammation pur
quarante lapins soumis à l'expérience, onze seulement moururent de mort spon- tanée ou à la suite de divers accidents :
plongés dans les réactifs dur- cissants moins de une heure après la mort . Nous ne pouvons donner ici que les conclusions
nérative absolue des muscles paralysés et de l'amaigrisse- ment. La mort a lieu, malgré une alimentation suffisante, au
ant succombé à la diphthérie est enlevée trente-six heures après la mort . On REVUE D ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 87 la
re; par F. SCHULTZE. (Neurolog. Centralbl. 1884.) Sur six individus morts de néphrite chronique, parenchy- mateuse ou int
e défaut d'absorption. P. K. XIII. CONTRIBUTION au diagnostic DE la MORT apparente; par M. BucH (d'Helsingfors). (Centra
n'a pas. encore eu l'occasion d'appliquer ses procédés à un cas de mort apparente. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
e et un frère alcoolique. Neuf frères et soeurs de la ma- lade sont morts dans des convulsions. Un frère survivant a uriné
ente pendant la marche ; finalement sitiophobie, oedème pulmonaire; mort après un séjour de deux semaines à la Charité d
l'autre sur le chiffre des condamnations pour ivresse publique, des morts accidentelles déterminées par les excès de bois
et s'était fait remarquer par sa bravoure. Un oncle paternel était mort fou ; une soeur avait été prise d'accès maniaqu
coolique; grand'tante paternelle imbécile. Cousin germain paternel, mort de convulsions. Mère : faible d'esprit, sujette
du jeune homme, laquelle l'a mise en relation avec son (ils. Il est mort en décembre 1879, il quarante-neuf ans, dans un
. A mesure qu'il vieillissait ils devenaient plus fréquents. [Père, mort on ne sait de quoi, il travaillait à la terre.
mariée, a eu dix enfants et n'en a plus que trois; les autres sont morts tantôt de convul- sions, tantôt de maladies ; o
ade avait alors trente-huit ans. [Père, travaillait à la terre, est mort très vieux. Il buvait du vin et de l'eau-de-vie
orte enflée après avoir été longtemps malade. Trois frères qui sont morts , deux tout jeunes, l'autre de la poitrine, à tr
e de la poitrine, à trente-trois ans; il avait eu un enfant qui est mort en bas âge, on ne saitde quoi.- Cinq soeurs dont
t mort en bas âge, on ne saitde quoi.- Cinq soeurs dont quatre sont mortes jeunes; la cinquième est morte vers quarante ans,
dans la famille.] Pas de consanguinité. Six enfants : 4 un garçon mort à dix-huit ans, le 2 décembre 9S9, à l'hôpital
. Antécédents héréditaires ? Les grands parents de M. \L. : sont morts à un âge avancé sans'avoirs,eu d'affections du sy
ort du' CI'Ó'U'p' àl'3ë dè' trois ans, nerveux. Un quatrième enfant mort du croup à l'âge de trois ans, avait joui, jusq
t de l'interne du ser- vice. Il s'emporte contre eux, les menace de mort , parle de se suicider, et passe quelquefois plu
trotomie, TROUBLES PROVOQUÉS par l'excitation du grand sympathique; mort ; par le Dr Léon BLON- DEAU. (Fr. méd., 884, 1.)
ctions du grand sympathique. G. D. XXI. Méningite TUBERCULEUSE. - Mort , autopsie; par le Dr DESCROI- ZILLES, médecin d
upissement, qui sur- vient dans les derniers jours qui précèdent la mort , s'accom- pagne de mouvements oculaires coordon
rès peu large (cerveau bien sain, enlevé très peu de temps après la mort , convenablement durci, sans excès), elle mesure
bides. On y a vu 125 guérisons, 118 améliorations, 72 incurables, 6 morts . Voir l'OBSERVATION 1 (lypémanie de la ménopaus
mes; on a noté 2 guérisons, 60 améliorations, 97 incu- rabilités, 4 morts . Voir l'OBSERVATION III (femme de trente- six a
s maniaques passagers), 47 améliorations, 1-2 incurabilités, quatre morts . Voir l'OBSERVATioN IV (épilepsic de la gravidité
dant la ' Il ? ? ".1 t co; : >m'trHF'/I;'¡1 - 'l ? i ? Ir', l' mort , hyperthermie à 42,1f-) : 'm OBSE3VATION VIII (pa
e ses, crises; son, état, meiit1 ? élaii a'1é- lioré ; mais il est, mort au, mois , de,. janvier, d'une pneumonie double
ée ina- perçue pendant toute la durée'de la- vie ! ' Le'malade est. mort réceniment él'un''abéès'du éérvêau ? t'3 ? >
bcès dont la marche lente et pro- gressive a fini par déterminer la mort du sujet.. , z ' M.wtccr.I3nr.v,rn. SOCIETES
bservés exclusivement pendant les derniers jours qui pré- cèdent la mort , ce qui me permet d'accentuer leur mauvaise signi
de salutations de 11111. Pèlman et Flamm. -= Souvenirs aux membres morts pendant l'année : Frese (de Kasan), E : ,fleyer
té 1 ! ! 1C,p,r.I ? lc ? ( ! e ! a moitié,, droite.. de, la rétine, Mort en juillet" 1883 On trouyo, à l'autopsie, un foye
er de très forts arrêts expiratoires, qui finissent' vile' par "là" mort ,' tandis que sa( destruction complète produit s
sa générosité que ce monument a pu être érigé. L'hommage rendu aux morts illustres honore aussi les vivants : l'estime q
lct : Le vertige me vient à regarder la scène de tant d'êtres, hier morts , aujourd'hui si vivants, créateurs ! » Discours
démie des sciences et membre d'honneur de l'Académie de médecine, mort à la Salpêtrière, a l'âge de quatre-vingt-un ans,
ge, leur en voulait. Il aurait même frappé Claude en le menaçant de mort . L'accusé me DES INCENDIES MULTIPLES A MOBILES
n de famille et n'avait jamais été réformé, à preuve que, depuis la mort de ses parents, il avait accompli une période d
Berger : il a écarté toutes les questions entraînant la peine de mort et a admis des circonstances atténuantes. La co
une soeur imbéciles ; deux frères idiots ; deux frères et une soeur morts de convulsions en bas Qge. Antécédents hérédi
a femme. Pas d'autres maladies que sa bronchite'. [Père, cantinier, mort à soixante- dix-sept ans d'un asthme, n'avait j
qui étaient bien portants et ont eu des enfants bien portants, sont morts , l'un du choléra en 1866, l'autre tué en z1 ? - D
que depuis son mariage elle est restée tranquille, mais, depuis la mort du mari (déc. elle fréquen- terait, au dire de
), ce qui aurait amené une brouille entre elles3. [Père, do- Il est mort en 1884 de sa bronchite tuberculeuse. °- Il Il
re un amant (septembre 1885). DES FAMILLES D'IDIOTS. 3M mestique, mort à vingt-sept ans de la variole, six mois avant la
ois de convulsions ; - 4° Horni... Constant (OBs. VI); 5° un garçon mort de convulsions à treize mois; - 6° fausse couch
intelligente; elle n'a jamais eu de con- vulsions ; 10° un garçon, mort à cinq mois, d'une méningite, avec des convulsi
'une anévrysme ; pas d'affection nerveuse. - Deux frères : l'un est mort du choléra ; l'autre, placé à l'asile de Marévi
choléra ; l'autre, placé à l'asile de Maréville comme aliéné, y est mort le 1er décembre 1858 à l'âge de dix-huit ans 1.
cutané, rhumatis- mal ou pulmonaire; pas de maladies graves. [Père mort d'un astfime à soixante ans, sans avoir présent
au troisième degré de la mère de notre malade a eu un garçon idiot, mort à huit ans. 1 Gui... (Charles), dix-neuf ans, e
s), dix-neuf ans, entré le 22 novembre 1858 à l'asile de Maréville, mort le ter décembre 1858. - Aucun antécédent hérédita
ment rapide et un état de marasme nerveux qui amènent rapidement la mort . DES FAMILLES D'IDIOTS. 369 Consanguinité : l
intelligentes ; aucun accident nerveux. 4° un garçon (Louis-Oscar), mort idiot à Maréville; - 5° un autre garçon (Charle
ans et demi à son entrée à l'asile de Maréville le 27 juillet 1868. Mort le 30 avril 1872. Idiotie congénitale. Tête pet
e-Georges), entré Bicétre, le 27 août 1879, à l'âge de trois ans. - Mort le 5 mars 1880 (service- de M. BOURNEVILLE.I An
a donné des bains salés et un traitement auti-scrofuleua. 5 mars. Mort à quatre heures du soir. Marche des accès : ;
cette famille est vouée à l'extinction. La plupart des enfants sont morts jeunes, souvent avec les phénomènes les plus pro-
e ses anciennes idées. - 3. - Elle se ressouvient d'elle-même de la mort de son père 390 RECUEIL DE FAITS. qu'elle n'a
ou moins compromise. Deux fois nous avons observé la crainte de la mort passée à l'état d'idée fixe (OBs. X, LVII). Une d
lement et entraînent tôt ou tard une terminaison fatale. Parfois la mort survient à la première attaque, en quatre ou ci
d'hémorragie cérébrale ou méningée, rapidement suivie de coma et de mort . Bien d'autres auteurs : Nicolas, Bouchut, Redo
du même côté. Chez notre troisième malade, un an environ avant la mort , 406 " 1 v REVUE CRITIQUE. ' on constata' un'
tat comateux qui, au bout de vingt-quatre heures, se termina par la mort . Ces malades, bien que n'étant, déjà plus jeune
lterna- tives variables, quant à l'intensité, persistent jusqu'à la mort . Intégrité des organes sensoriels, et notamment
ration stertoreuse; face congestionnée, déglu- tination impossible. Mort après deux jours de coma. On obtient alors de l
e ans sans avoir été malade 412 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. est mort subitement. Interrogée, celle femme déclare qu'ap
peut préciser elle est devenue sourde du côté gauche. Son mari est mort à quarante- cinq ans; il était devenu, dit-elle
il était devenu, dit-elle, « complètement fou » deux jours avant sa mort . Cette femme s'est remariée, elle a eu de son s
e dimi- nution de la sensibilité cutanée du tronc et des membres. Mort de phthisie pulmonaire. Autopsie. Tumeur fusiform
l'influence de lésions intestinales qui furent constatées après la mort ; le malade mourut d'une méningite tuberculeusesié
ante. Les hommes à gros cerveau disparaissent-ils par le fait d'une mort prématurée, ou bien acquèrent-ils d'ordinaire u
la naissance, dans l'enfance, à la puberté, plus tard et jusqu'à la mort , ces aliénés héréditaires se comportent donc au
es au pouvoir, mais Victor Hugo, grand poète, sénateur, n'est point mort . Ce n'est plus l'enfant timide de tout à l'heur
er compte rendu annuel pour 1881, il communique encore trois cas de mort et deux cas d'aggravation psychopathique de par
vie des individus. Séance du 16 juin 1883. Secrétaire : M. Loehr. Mort du conseiller sanitaire Henser, direc- teur de
x dans l'organisme une nourriture quel- conque, ou d'assister à une mort probable (affaiblissement des forces, insomnie,
de pratiques psychiatriques m'ont permis d'enregistrer cinq cas de mort , survenue dans tous les cas, chez des malades n
ndant six; - un refus absolu pendant huit jours et demi. Ces cas de mort par abstinence pendant des laps de temps relati
e, trop mobile, doit être remplacée par une autre plus volumineuse. Mort vers midi. Autopsie. Estomac réduit d'un quart
ois. Sa mère, qui l'assistait, n'a pas noué le cordon. L'enfant est mort . Le père et la mère de l'idiote l'ont enterré d
l'autre sur le chiffre des condamnations pour ivresse publique, des morts accidentelles déterminées par les excès de bois
h, 86. Monoplégie brachiale avec anestiie- sie, par Nixon, 230. Mort apparente (diagnostic de la), par l3uclt, 96.
57 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rs, Gowers' entre autres, ont attiré l'attention. Elle a précédé la mort de quelques jours seulement. On voit, par ce
en zooglées ou isolés. 2e Examen. (Sang pris immédiatement après la mort dans la veine fémorale.) Deux tubes de gélati
e bruler cruellement ou mettre le feu à l'ap- partement. Les cas de mort par brûlure ou incendie ne sont pas rares. On d
à ces malades de prendre des métiers qui no les exposent pas à des morts certaines dans leur chute, comme celui de couvr
hoses que tout le monde abhorre ou craint un peu, comme la nuit, la mort , les maladies, les serpents, etc.; 2" peur de c
maciation progressive dépasse les six dixièmes du poids initial, la mort est certaine (expériences sur les animaux), il
chez l'homme. On sait que Charcot a relaté d'assez nombreux cas de mort par inani- tion hystérique. C.2 £ M USET. XXI
st point révélée par l'examen analomo-pathologique. Dans les cas de mort par traumatisme cranien, le médecin-expert conc
lura à l'ébranlement cérébral si le traumatisme est démontré, si la mort a suivi ce dernier de près, si les circonstance
tic, enfin si l'autopsie ne fait constater aucune autre cause de mort . En présence d'un malade, l'expert, avant de pose
la résistance cérébrale est d'ailleurs toujours diminuée. En cas de mort , l'existence d'une hémorragie méningée récente
ne hémorragie méningée récente sera considérée comme la cause de la mort , s'il existe en même temps une blessure de l'éc
des traumatismes légers de l'écorce amènent parfois rapidement la mort (abcès). Un abcès chronique du cerveau, terminé p
nt la mort (abcès). Un abcès chronique du cerveau, terminé par la mort , doit être considéré comme causé par un traumatis
ent des troubles graves. La surdité verbale termine la scène; coma, mort . On trouve une tumeur plate et lobulée, rouge,
e; dyspnée (bronchite) ; . albuminurie; glycosurie; fièvre le soir. Mort . P. K. IV. Analgésie DU tronc du cubital consti
vingt-sept ans, tare héréditaire légère, mais six frères ou soeurs morts en bas âge ou tuberculeux. A dix- .sept ans les
teur d'une tare héréditaire névropathique lourde. Un premier enfant mort en bas âge était atteint de la maladie de Little.
e de poitrine, etc...), M. G. de la Tourette s'occupe des cas où la mort a été attribuée à l'attaque; il résume le point
le point important en constatant « combien sont rares les cas de mort au cours du paroxysme hystérique simple ou prolon
guérisons s'est élevé à 85, celui des améliorations à 74, celui des morts à 83. 1 Au moins dans certains cas où l'on ne f
'étude du malade, renseignements obtenus parfois seulement après la mort du patient. Il est évident que dans les grands
dant du laboratoire mais situées au rez-de-chaussée, la chambre des morts et la salle d'autopsie 1. E. B. IV. SUR LE pr
pileptique et tombait fréquemment, même plusieurs fois par jour; sa mort est certainement due à une chute qu'elle a faite
ile DE CLERMONT (OISE). UN FOU assommé. Brutalités d'infirmiers. La MORT d'un 'prison- NIER. Le Radical du 7 juin a publ
malade, pension- naire de cinquième classe, nommé Jean Maître, est mort dans des circonstances telles que le médecin ch
'hystérie. Pierre Brouzet, artiste marseillais, un peu mystique, et mort il y a quelques années, appartient sous ce rapp
au monde un enfant que je n'ai vu ni remuer, ni crier. Je l'ai cru mort . J'ai eu l'idée de le cacher dans ma pail-- las
de moi; j'avais'd'ailleurs tout préparé pour le recevoir. Le voyant mort je l'ai enveloppé dans un tablier et l'ai mis s
ant était à terme, viable, bien conformé; il avait respiré et était mort d'asphyxie par suffocation. La bouche, le nez et
ns jamais vu sa suppression amener à ce moment un état de mal et la mort du malade. Cet état de torpeur accompagné de ve
, a pu échapper à ces états graves qui entraînent si fréquemment la mort . Nous pensons donc que l'hydrothérapie mérite,
attitude de la paralysie agitante; rélropulsion. Arlério-sclérose. Mort consécutive à une apoplexie. Foyers multiples d
un peu plus élevé chez les hommes que chez les femmes : la cause de mort la plus commune a été la phtisie pulmonaire, et,
nt la guérison, l'amélioration, le passage à l'état chronique et la mort ; les chiffres recueillis à l'asile de Wakefield s
ultes; dans les quatre cas qui se sont actuellement terminés par la mort , elle n'a guère été inférieure à cinq ans. Les
u malade s'aggrava subitement, la prostration devint complèle et la mort survint en dix-huit heures. A l'autopsie on tro
olente que les autres et qui a abouti à une méningite aiguë et à la mort était un état analogue au status epilepticus qu
ait de fausses couches Elle est veuve depuis dix mois. Son mari est mort phtisique; elle l'a soigné pendant tout le cour
e lui, se surmener durant les dernières semaines qui ont précédé sa mort . Deux mois après la mort de son mari, M'n" V...
les dernières semaines qui ont précédé sa mort. Deux mois après la mort de son mari, M'n" V... a commencé à maigrir, à
interos- seux de la main droite (racines antérieures atteintes). La mort a été causée par les troubles généraux provenan
nervation de la vessie et du rectum, de lésions trophiques, etc. La mort survient réguliè- rement par suite de la maladi
ure du dos est oedémateuse; l'oedème des pieds a disparu. - 24. II. Mort . Diagnose : Paraplégie consécutive à des lésion
ertainement atteinte en 1886, sinon en 1884. Quelque temps avant la mort , la maladie a fait des progrès rapides, comme nou
paternelle était hantée ; on disait que, au jour anniversaire de la mort de son père, des a invisibles » n'avaient cessé
3 ; son fils a été tué un 13, il est né un 13. Les anniversaires de mort sont des jours néfastes, elle mourra un de ces
a remarqué cela, pour la première fois, le jour anniversaire de la mort de son mari. » .Cela veut dire qu'on l'appelle.
ce moment, je croyais même d'abord que c'était la main de mon fils mort depuis plu- sieurs années ; pour m'en assurer j
de mon pays, ils m'en donnent des nouvelles ; un tel et un tel sont morts . » Malgré les protestations de sa fille, elle c
ait marqué non plus son existence. A cette époque, à la suite de la mort de son mari, elle devient très triste, très pré
cinations visuelles érotiques et la plupart furent terminées par la mort à la suite de complications broncho-pulmonaires
lucinations. Tous les cas que j'ai observés se sont terminés par la mort . M. MABILLE, directeur-médecin de l'asile de La
her, partisan de la ligature, reproche à la thyroïdectomie quelques morts subites; en raison de la friabilité des vaissea
s ou triples, et cela pendant plus longtemps, n'ont pas provoqué la mort de chiens âgés de plusieurs années. Quant à la
prolongée (800 lobes en quarante jours), nous n'avons provoqué la mort . Ce fait est en contradiction apparente avec les
centue, les crises de diarrhée et de mélaena se répètent jusqu'à la mort . II y a constamment de la polyurie et souvent d
kilomètres en voiture sans désemparer, forçant le cheval qui tomba mort et continua à pied celte course effrénée, jusqu
n n'entendit plus parler de lui. Un jour, en Belgique, on le trouve mort sur une route; il n'a pas été SOCIÉTÉS SAVANTES
251 tué pour être volé, car il possède les 250 francs; mais il est mort de faim. L'acte impulsif avait été tellement vi
us ou moins variable suivant les cas et entraînent mécaniquement la mort (obstruction des gros troncs artériels de la cr
gram- mes à un lapin du poids de 2 kilogrammes, avant d'amener la mort , cette injection étant faite avec une vitesse de
strique, maladies de l'oreille), des causes dépressives (maladie ou mort de parents, soucis, chagrins, amour malheureux),
e est de 38°, elle monte à 38°,9, puis à 40° le jour suivant et la. mort survient dans la nuit du 18 au 19 avril. Autops
plus ou moins localisés et qui avaient déjà disparu au moment de la mort , laissant seulement une hyperhémie diffuse du c
n° 25, entré le 23 aval 1891. Antécédents héréditaires. - Bisaieul mort à cent neuf ans, grand- père à cent cinq ans, p
ans après avoir été ataxique durant douze ans, six frères et soeurs morts jeunes. Antécédents personnels. Blennorrhagie à
toire de syphilis Marié en 1882, G... a eu trois enfants, dont deux morts en bas âge. La sanlé générale avait toujours été
, n° 16, entré le 9 avril 1892. Antécédents héréditaires. - Parents morts âgés, frères et soeurs bien portants, sauf un q
nts, sauf un qui a été frappé d'hémiplégie à trente-huit ans et est mort quelques années après. Antécédents personnels.
ultime de la moelle, contemporaine des accidents qui ont amené la mort . L'aspect des lésions, leur tendance manifeste-
pt ans, maître d'hôtel, entré le 2 avril 1891, salle Boulay, n° 13, mort le 8 avril 1892. Cette observation a été publié
l'hypocondrie avec délire triste et niais : estomac bouché, etc. La mort survient du fait d'une pyélo-néphrite ascendant
ne embolie gonococcique les accidents cérébraux qui ont entraîné la mort de son malade. . Si les observations d'hémiplég
u d'albumine. A droite, paralysie mo- trice, sensibilité conservée. Mort au bout de six jours par pneu- monie droite.
ation de la température, foyer de broncho-pneumonie du côté gauche. Mort six jours après le commencement de la paralysie d
nce DU faisceau pyramidal DE l'écorce A la PÉRIPHÉRIE; par Fred.. Mort . (Brain, part. LXIX, 1895, p. 21.) Il s'agit d'
s'agit d'une femme de trente-neuf ans, qui fut prise un an avant sa mort de faiblesse et d'engourdissement dans la jambe d
i que le trai- tement bien plus délicat. Dans la moitié des cas, la mort survient par cachexie ou tuberculose. L'étiolog
ments relatifs à l'hérédité. Ligne pater- nelle : le grand-père est mort à soixante-dix-huit ans au cours d'une hémiplég
te-dix-huit ans au cours d'une hémiplégie avec aphasie; le père est mort subitement à cinquante- six ans; c'était un déb
souffert toute sa vie de migraines. Plusieurs grands-oncles sont morts de congestion cérébrale. Notre malade est né à
e père était épileptique et la mère nerveuse. Elle a eu deux frères morts d'affections cérébrales suspectes. Elle-même, à l
faits : il a opéré huit idiots par Jaeraniectomie; il n'a eu qu'un mort . Les résultats n'ont pas été excellents.Il a fa
, âgé de huit ans, demeurant à Verdigny (Cher), vient de trouver la mort dans des circonstances singulières. Cet enfant, q
a femme Janvier ne jouissait pas de toute sa raison. On attribue sa mort à un suicide. (LePelit Parisien, 16 sept.) 3M f
niaque comme en proie à des troubles cérébraux. Cependant Nider ( mort en 1440) est cité par Calmeil comme ayant admis
grande partie pour reparaître ensuite de nouveau; dans d'autres la mort est causée par des troubles respiratoires subit
me : 1° pas de prolifération du tissu conjonctif; 2° dé- chéance et mort des fibres myéliniques et des cylindraxes; 3° des
ébrale localisée; par le Dr PROUT. Chez un épileptique de onze ans, mort en état de mal, l'auteur trouva une atrophie ma
se proprement dite, une primxre Verrüclitheit qui dura jus- qu'à sa mort . P. S. XLI. DEL'AUGE; par Chr. HASCH. (Neurolog
empoisonnement aigu par 412 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'alcool, suivi de mort en quelques heures, on n'a pu observer des lési
ures, on n'a pu observer des lésions bien caractérisées. Lorsque la mort n'est survenue qu'après six à trente-quatre heu
pent qu'un certain nombre des cellules de Purkinje. Chez un chien, mort en trente heures, des lésions analogues, mais plu
arce que deux de ses enfants, qui avaient été ensorce- lés, étaient morts . La foule, indignée, voulait mettre la mégère à
lés, étaient morts. La foule, indignée, voulait mettre la mégère à mort . » . \ Les aliénés. - Les journaux politiques
n 444 asiles d'aliénés. contagieuses, susceptibles d'entraîner la mort . Leur nombre à Ville-Evrard est de 7 pour une p
t les suicidiques. Que ces confrères dressent une statistique des morts volontaires survenues dans les asiles et ils cons
couteaux. La strangulation et la pendaison sont les deux genres de mort volontaire auxquels ont recours les aliénés, pr
ingt-sept ans; pas de maladies vénériennes. [Famille du père. Père. Mort d'une fluxion de poitrine à cin- quante-sept an
t vite et de plus en plus en plus bruns. [Famille de la mère. Père. Mort écrasé par un mur, sobre, très intelligent; pas
-douze ans, bien portante pas d'accidents nervenx; deux frères : un mort de l'influeuza, a un fils en bonne santé; l'aut
omptant dans sa famille plusieurs ascendants paternels et maternels morts d'apoplexie cérébrale. J. SÉGL.as. XLIX. Nouv
Lissauer dans le tome XXI des Archiv f. Psychiatrie. Le malade est mort de pneumonie deux ans après l'examen clinique d
oi), tremblement des extré- mités supérieures, démarche incertaine. Mort le trente-deuxième jour après une période de st
utorités ont ordonné son exhumation. Il a été alors constaté que la mort était due à la vio- lence. Le corps du malheure
naison de la , par Kaes, 405. Durée de la maladie et causes de la mort dans la -, par Heilbronner, 406. Symptômes sp
58 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
sont sujets à ces affections générales qui entraînent quelquefois la mort . Voilà les raisons qui militent en faveur de l'
e lorsqu'on a voulu la faire manger. A partir de ce moment jusqu'à sa mort , elle n'a pu prendre ni boisson ni nourriture d'a
six heures du soir, dans un accès de suffocation. Une heure avant la mort , la malade était dans un état d'agitation très-gr
d'agitation très-grand. Il n'y a eu ni affaissement, ni coma avant la mort . La cicatrice n'avait pas changé d'aspect et n'
asphyxie progressive décrite par M. Bergeron, car, une heure avant la mort , elle ne pré¬sentait pas la cyanose qui caractéri
.) Elle accouche le 3 octobre, à quatre heures du soir, d'un enfant mort , de sept mois et demi environ. Le A octobre, on
jet des nerfs cruraux ; l'épuisement du malade est à son comble et la mort sera plus ou moins prochaine, selon que les hémor
produits par la migration des concrétions polypiformes, ont amené la mort . L'auteur de cette observation, M. Habran, a pr
diopathiques déposées là par le froid. Autopsie 24- heures après la mort . — Disons d'abord que les or¬ganes non contenus d
x élucubrations de l'am¬phithéâtre, et de chercher dans l'œuvre de la mort des enseigne¬ments utiles à la physiologie, à l'h
'œil de la victime, entre cinquante et cinquante-deux heures après sa mort . J'ai fait dix-sept expériences sur des animaux
, n'ont pu être examinés que vingt-quatre ou quarante heures après la mort des animaux. Je praliquais alors tantôt une sec
lors aller en rechercher des traces plus de cinquante heures après la mort ? Et d'ailleurs, la physiologie, qui s'éclaire
nts. La vue est un des premiers sens qui s'éteint. — Et déjà avant la mort totale et réelle de tout le corps la mort partiel
'éteint. — Et déjà avant la mort totale et réelle de tout le corps la mort partielle a détruit toute impression rétinienne,
le premier et que ses signes apparaissent dix à douze heures après la mort . Ajoutez à cela que la rétine, très-translucide p
s-translucide pendant la vie, devient très-rapidement opaque après la mort . On ne saurait d'ailleurs comparer les impressi
par nos moyens d'investigation, dont on reconnaît longtemps après la mort les traces, les signes et les désordres. L'impres
pendant la vie, l'impossibilité où elle est de s'y maintenir après la mort , et à l'approche même de la mort, quand les sens
ù elle est de s'y maintenir après la mort, et à l'approche même de la mort , quand les sens s'éteignent successivement, la vu
isposition physique qui se trouvaient devant ses yeux au moment de la mort . J'ai sans doute mis de la complaisance à insti
urs tœnias dans son intestin, car tous ces animaux en ont. » Le chien mort , nous faisons l'entérotomie. — Bien. Bertolus éta
essi¬vement. Bruit laryngien Les tremblements, les spasmes diminuent. Mort à 10h45. Dans la première partie de l'expérienc
antité; convulsions presque nulles. Respiration lente. — Six heures : mort . Autopsie le 10 mai. La rigidité cadavérique es
on. Urine. — Minuit : il est tombé dans une sorte d'immobilité et est mort sans avoir eu de nouvelles convulsions. Autopsi
symptômes définis pendant la vie, à lésions caractéristiques après la mort . Aussi les trois grands chapi¬tres du livre sont-
t de suivre complétementetavecle plus grand soin les phénomènes de la mort et de la putréfaction ? C'est là, en effet, le se
isonnée, et surtout par la comparaison avec les tissus sains après la mort et avec des symptômes observés chez le malade pen
r. » G. Peltjer. NÉCROLOGIE Nous avons le regret, d'annoncer la mort du doclcur Joseph Alexandre Aizias-Turenne, bien
le traitement préventif de cette maladie par la syphilisation. 11 est mort le 28 mai, âgé seulement de 59 ans. Ses obsèques
xceptionnelle. Trop souvent les médecins ont à enregistrer des cas de mort produits par cette maladie qui, quoique fréquente
cte d'un principe contagieux; 2° attouchement d'un individu frappé ou mort d'une maladie conta¬gieuse; 3° attouchement des o
l'air respiré, vicié par des effluves provenant des êtres vivants ou morts . Elle peut être le résultat : 1° des émanations q
vice de M. Gallard. — Voici quels sont ses antécédents : son père est mort de tubercules pulmonaires, sa mère a succombé à 7
, le 8 mai, elle meurt dans le marasme. Autopsie 36 heures après la mort . —Du côté de la "poitrine, on trouve une infiltra
che lente. — Trai¬tement par le chloral. — Amélioration. — Rechute. — Mort dans un accès. B... Jeanne, âgée de 29 ans, ouv
survinrent inopinément alors même que le chloral était continué. La mort survenue pendant cet accès aurait-elle pu être co
t de la céphalalgie. Mariée à 18 ans, elle a eu deux enfants qui sont morts de convulsions et une fausse couche à la suite d'
à l'époque de la ménopause, et qui depuis dix mois seulement avant sa mort éprouvait des douleurs lombaires sourdes, s'irrad
ne permit de constater des traces de pus que quelques jours avant la mort . L'autopsie fît voir une profonde désorganisati
e liquide était clair et limpide, et ce n'est que deux jours avant sa mort , qu'on s'aperçut qu'il était devenu purulent. C
Tétanos traumatique à marche rapide. — Trai¬tement par le chloral. — Mort par suite de la gêne des fonctions respiratoires.
men¬tion, il s'agissait de tétanos suraigu terminé rapidement par la mort , avant que le chloral ait pu agir efficacement. L
rapide après l'in¬gestion du médicament. — Épuisement de la malade. — Mort dix jours après l'entrée à l'hôpital. — (Observat
nous permette de résumer les observations de quatre malades qui sont morts assez rapidement malgré l'administration de l'hyd
is jours et demi.— Écrasement d'orteils.— Traitement par le chloral. — Mort 11-12* — Autopsie. (Observation recueillie pa
ie. P. 192. T. 38°,9. Le malade meurt à 3 heures de l'après-midi ; la mort est subite, au moment où il buvait. Autopsie. —
par le chloral. — Amélioration des symptômes tétaniques. — Dyspnée. — Mort par suite de complication pulmonaire? (Observatio
collapsus absolu. P. 160. T. A. 40°,6. — Soir. P. 160. T. A. 41°,4. — Mort à 4 heures. Quelle est la cause de la mort? Est
. P. 160. T. A. 41°,4. — Mort à 4 heures. Quelle est la cause de la mort ? Est-ce le tétanos? Cette opinion semble peu prob
ment par le chloral à haute dose et les bains prolongés et répétés. — Mort le qua¬trième jour (Obser.. recueillie par M. Tau
ns répétées. P. 136; chlo¬ral, 12 grammes. —A midi, spasmes violents; mort à 1 heure de l'après-midi. Observation XIV. — P
u gros orteil. — Tétanos consécutif. — Traitement par le chloral. — Mort le troisième jour1. X.., âgé de 30 ans, d'un te
— Extirpation. — Accidents tétaniques. — Traitement par le chloral. — Mort dans un accès de suffocation. Il s'agit d'un je
XVIII. — Plaie à la jambe, — Tétanos. — Traitement par le chloral. — Mort rapide. Dans ce cas, il est question d'un malad
n léger. — Péritonite puerpérale généralisée.— Délire.— Température.— Mort . Résultats nécroscopiques. — Hu.. Thérèse, 16 ans
chaleur acre et mordicante. Dans les quelques heures qui précèdent la mort , la peau se couvre d'une sueur froide et visqueus
paraît s'élever progressivement dans les cas qui se terminent par la mort . Un fait que nous avons observé à la Pitié, dans
rlendemain : la température vaginale, prise un quart d'heure après la mort , s'élevait à 42°,4. A l'autopsie, nous avons trou
59 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
t par des signes paraissent intacts ; la parole ne se rétablit pas. Mort seize mois vingt et un jours après le début de
es mots; avant la fin de février, la parole est à peu près revenue. Mort le 22 avril par suite de la maladie du rein.
t sa gaieté sont revenues. Persistance de l'aphasie. Le 17 mai, mort après deux attaques d'épilepsie. Autopsie. Au n
aralysie ni perte de l'intelligence, mais avec aphasie et agraphie. Mort le 8 novembre 1861. Autopsie. Cavité de 15 à 18
e- ment hémiplégie droite complète, embarras, perte de la parole. Mort le 5 décembre. Autopsie. Intégrité de la surfac
ainsi que les appelle M. Luys, comme de ces typhiques sauvés de la mort , mais chez lesquels il est resté un léger affai
IV. Sept ans de séjour à [asile. Guérison se maintenant jusqu'à la mort arrivée deux ans api es. Charles Cla..., trente
nue tandis que la phthisie pro- gressait, et l'infortuné Cla... est mort à l'hospice deux ans après sa sortie, jouissant
amptiques répétées pendant deux heures et demie, rien dans l'urine; mort . IV. L'influence de la prédisposition sur l'eff
que; antécédents person- nels de même nature; éclampsie puerpérale, mort . 2° Mélancolique pendant sa grossesse; répète q
ossesse; répète qu'elle mourra comme sa mère; éclampsie puerpérale, mort . L'auteur, il est vrai, n'en tire aucune conclu
e de chambre, primipare. Père alcoolique. Six frères et soeurs sont morts jeunes ( ? ). Deux avaient eu des convulsions.
de grossesse; rétablissement prompt après accouchement d'un enfant mort depuisplusieurs jours. Quatre mois après (octobre
voquait un accouchement pré- maturé qui donna naissance à un enfant mort , mais bien cons- titué. On ne constate pas alor
s révélé dans des visions successives, qu'elle était la cause de la mort de sa soeur, du malheur de son cousin; puis de
es malheurs du monde. Si, par hasard, elle apprend la maladie ou la mort d'une personne, elle s'accuse d'en être l'auteu
instam- ment un poison qui la délivre, et réclame à grands cris la mort , qui chez les autres créatures au moins, marque
mis, il ne tarde pas à réfléchir que la vengeance vaut mieux que la mort et il en arrive souvent à l'homicide. Telle n'e
stance respec- tueuse de l'animal, qui peut-être n'était pas encore mort . « Le mot tigre provoquait les mêmes phénomènes
e troubles de la motilité qui se montrent vingt-deux jours avant la mort sur tout le côté gauche du corps. La forme des
XX. PÉNÉTRATION d'un FRAGMENT DE FER DANS LA SUBSTANCE CÉRÉBRALE; mort en quatre mois; autopsie; par Boni. (Tite Anzeric
chityre des arrivées pendant l'année, des vides occasionnés par la mort , des transferts, des renvois : détails suivant
ote et épi- leptique, mourut subitement. L'autopsie démontra que la mort devait être attribuée à un vaste épanchement sa
sements, de l'intermittence du pouls, des attaques épileptiformes : mort dans le coma. L'autopsie ne trahit pas de parti
ue de la ménopause ; par Jacquemart. Thèse de Paris, l 884. De la mort rapide par cedème cérébral chez les vieillards at
1884. FAITS DIVERS Nécrologie. Nous avons le regret d'annoncer la mort de notre ami, le DrBlondeau, secrétaire delà di
e, un des écrivains les plus distingués de l'école positiviste, est mort samedi 3 mai, à Grasse. Sa thèse (2ï juillet 18
t cléricale par Uupantoup. Au moment de paraître, nous apprenons la mort , à t'âge de quatre-vingts ans, de l'un des méde
e assez vite, un, état de déchéance céré- brale profonde et même la mort ; tandis que la vie, DES ATTAQUES DHI'STEItIE. 1
est épileptique, une autre est somnambule. Trois de ses frères sont morts en bas âge « de convulsions ». Foisn... a encor
t suivie avec attention depuis cette époque jusqu'au moment de sa mort (novembre 1882). Durant ces deux dernières années
portent à la série d'attaques : qui, en novembre 1882, a précédé la mort . Dans l'intervalle de ses accès, Foisn...^ est
neuf mois, dispari- tion de l'aphasie, persistance de l'hémiplégie. Mort au bout de trois ans. Il "" f'd ! - ,< ? " .
marquée, épigastre douloureux ; intellect conservé, pas de parole. Mort le 1er novembre. Sous les cireoizvo- lutions de
aliénés, il n'varu qu'un REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 303 ras de mort , par péritonite au vingtième jour, chez une malad
on a de la peine à l'empêcher de se bles- ser. Trois jours avant sa mort , elle tombe dans le coma. Depuis son entrée, el
on entrée, elle gâtait. A l'autopsie (soixante-huit heures après la mort ), on trouve la dure-mère un peu adhérente; une
t état qu'il succombe. A l'autopsie (soixante-douze heures après la mort ), on trouve la dure-mère un peu adhérente; le t
on acmé au bout de quatre semaines : craintesi perpé- tuelles de la mort . L'amélioration se fait sentir graduellement de
e faiblesse consécutive a été la cause d'une éducation négligée; la mort précoce des gé- nérateurs, la mauvaise entente
: f) 1 t , SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 encore, la démence arrive et la mort a lieu au milieu du tableau clinique de la para
la lourdeur du plomb; peu de réaction aux excitations douloureuses. Mort . Ixtopxti'.L'hémipiégiedroteeontienttroishémorr
sile, mais il habite Lund ; c'est là, d'ailleurs, qu'on enterre les morts . Un corps de logis spécial renferme la salle mo
réels si la morphine est suppri- mée. Cette thèse cite des cas de mort brusque par injection de mor- phine chez des ma
Thèse de Paris, 1884.) i Contribution il l'étude du mécanisme de la mort par les courants électriques intenses; par Gran
malade a perdu plusieurs soeurs en bas âge; un de ses frères serait mort de méningite. L'affection actuelle a débuté à
infantile suivie d'épilepsie partielle, état de mal épilep tique ; mort , foyer ancien intéressant les circonvolu- tions
ne ? t;eM.B, p ? MMtie. Grand'mère, tantes paternelle et maternelle mortes phthisiques. Grands-pères paternel et maternel
e d'une affection pulmonaire. Soezti- morte de convulsions. - Frère mort d'une imperforation de l'anus. Bromure de potas
quentes depuis deux ans; un peu d'acné faciale depuis un an. [Père, mort à soixante-sept ans « un peu d'inconduite »; c'
re qui, pense-t-on, est en Amérique; Cinq soizers, dont quatre sont mortes jeunes et l'autre à qua- rante-sept ans, d'un c
ité gauche; affaiblissement de la vue à droite. [Père, charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une attaque de paral
vé en trois jours; il faisait des excès 1 Le 7 mai 1883, lors de la mort de notre malade, son père était en traitement 5
re frères vivants, bien por- tants ; d'autres soeurs et frères sont morts jeunes, on ne sait do quoi (en tout dix-sept en
faiblesses; elle est mariée et a un enfant d'un mois ; 51 gar- çon, mort à dix jours; il ne serait pas allé une seule fois
'à sept mois et demi, où la mère a eu des chagrins à la suite de la mort de sa fille âgée de trois ans. Accouchement à t
ononcé quelques paroles, il s'est affaibli pro- gressivement et e-t mort à huit heures du matin, sans avoir eu de nouvea
e nouveaux accès. La température rectale, prise aussitôt après la mort est de 41°, 3. Autopsie le 7 mai 1883. A l'ouve
nique des muscles et des nerfs; contracture et parésie des membres. Mort au bout de deux ans. La nécropsie révèle les alté
ls; hyperthermie vespérale. Soudain, trouble respiratoire, cyanose, mort . La nécropsie montre qu'il s'agit d'une tuberculo
le de paralysie ascendante aiguë ayant évolué en dix-sept jours; la mort eut lieu par suite de dyspnée avec oedème pulmo
bsence de phénomènes bulbaires. 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Mort par une affection respiratoire intercurrente. Dur
la para- lysiebulbaire amyotrophique de Leyden. P. K. XXXI. DE la MORT SUBITE pendant la crise hystérique; par H. Mol-
plus de quatre fois durant chacun des trois jours qui précèdent la mort . On trouva, après un troisième accès, la malade
rvations qui en sont rapportées, l'auteur n'admet comme cause de la mort que l'asphyxie due au laryitgisme. Roseiithal y
oint l'hémorrhagie cérébrale et la syncope. Dans le cas présent, la mort parait due plutôt à celle-ci. L'auteur note en ef
, avec disparition de la sensibilité; rotation de la tête à gauche, mort dans le coma. La tumeur occupe le bord gauche de
nlève l'organe en question de une à quarante-quatre heures après la mort et traite indistinctement toutes les pièces par
hauteur de la coupole de la première, entraîna presque toujours la mort . Les animaux qui survécurent plusieurs semaines
centripètes en rapport avec certaines sphères de la sensibilité. La mort prématurée des vic- times ne permet pas de mieu
lavie ? N'est-elle au contraire qu'une altération consécutive à la mort ? L'auteur 1 Voy. Archives de Neurologie, t. VI
se décomposaient ainsi : vingt pro- venaient de cerveaux d'aliénés morts à l'asile, un provenait d'un cerveau supposé no
)9 considérer comme le résultat d'une altération consécutive à la mort , quel que soit d'ailleurs le mécanisme suivant le
elon toute probabilité, cette lésion a été la cause immédiate de la mort . Cerveau petit; circonvolutions normales; couch
e trou- vée par lui sur le cerveau d'un tabétique de cinquante ans, mort en état de démence paralytique avancée, entre l
MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE Séance du 30 juin. Présidence de M. DaGoNET. Mort de 31. Moreau (de Tours). M. le Président informe
troubles de la coordination, notamment à droite, et à l'anesthésie. Mort le : 3 avril. La publication in extenso sera effe
tipation opiniâtre, vomissements à l'occasion des écarts de régime. Mort de pneumonie double. Jusqu'au dernier jour, la
trois hommes et de deux femmes. L'autopsie pratiquée chez deux des morts décela : dans un premier cas, un allléi-ôme trè
encéphale et la moelle d'un tabétique atteint, quatre mois avant sa mort , d'une hémiplégie droite consécu- tive à un ict
sie de la joue droite, au-dessous de l'oei), qui persiste juqu'à la mort . Douleurs vives dans la région hypogastrique, irr
harcot et Pasteur. Nécrologie. Les journaux politiques annoncent la mort du Dr Girard de CAILLEUX, ex-inspecteur général
la Seine. Paris, 1863, in-8°. La Gazette des hôpi- taux annonce la mort du D' 'Alfred Sauze, ancien médecin de l'asile
'état de mal épileptiforme), par Ballet et Crespin, 429, 277 ; - ( mort subite dans la crise), par Motticre, 332; - (
60 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
M. le secrétaire général communique à la société la nouvelle de la mort de notre éminent collègue le peintre Félix Régame
l'illustration une carrière brillante, et son frère Guillaume, qu'une mort prématurée enleva vers 1870, s'était, dès son ent
e, et, surtout, du blanc et du noir : effets de destruction et de mort . Qu'y a-t-il de plus sinistre que le blanc et noi
Qu'y a-t-il de plus sinistre que le blanc et noir des hussards de la mort ou des chasseurs noirs de Lützow (ex-infanterie d
me qui l'attendait depuis sa détention pour vivre avec lui jusqu'à sa mort qui survint en 1861 dans un village perdu du Wurt
able dans le prophète ; elle voit en lui le nouveau Messie jusqu'à sa mort . La domination psychique d'Ebel sur cette femme n
croient en outre à la ma(l) Abdoullab bin Àbdoulkédîr, né en 1795 et mort en 1854 du choléra, durant son pélerinage à La Me
ouches. Cet esprit tourmente les femmes en - mal d'enfant et cause la mort des nouveaux-nés. (4) Esprit mauvais ou bon, êt
gnifie aussi convulsions, attaques de nerfs. (15) Esprit d'un homme mort de mort violente ( ?). (16) Cet esprit, sous la
ussi convulsions, attaques de nerfs. (15) Esprit d'un homme mort de mort violente ( ?). (16) Cet esprit, sous la forme d
Quant au Polong, il provient, dit-on, du sang d'une personne morte de mort violente. On introduit ce sang dans une fiole, en
en est ainsi pendant un jour ou deux, puis le malade meurt. Une fois mort le sang lui sort à flots de la bouche et tout son
er les gens à obéir à toutes leurs fantaisies, d'autres souhaitent la mort de leur ennemi. » Telles sont quelques-unes des
e plus grand nombre peut former quatre classes. I. Esprits des gens morts de mort violente (esprits vengeurs). II. Démons
and nombre peut former quatre classes. I. Esprits des gens morts de mort violente (esprits vengeurs). II. Démons divers
théâtrale qui comporterait treize rôles provoquerait certainement la mort d'un des treize artistes. Les plumes de paon do
oup d'une idée délirante de négation, d'indignité, de damnation ou de mort , restreignent et réduisent au minimum les manifes
gé, provoque les tortures que l'on sait et entraine inévitablement la mort , quand subsiste ce facteurphysio-logique, la faim
débris placentaires ; tes vomissements avaient pourtant cessé avec la mort du fœtus survenue, quelques jours auparavant, à l
CE Un éloge du Dr Wetterstrand (de Stockholm) Le Dr Wetterstrand, mort le 11 juillet dernier, a été l'objet d'un grand é
e à révolutionner « dans l'avenir toute la science médicale. » * Sa mort sera regrettée de tous les amis de l'hypnothérapi
ues avec le courant Leduc, ramener à la vie les accidentés en état de mort apparente à la suite d'éleclrocution. A noter éga
funt. Elle échappait aisément aux causes de destruction et, double du mort , lui assurait une vie éternelle. Une idée relig
s défunts. Il semble qu'on se proposait par leur moyen de récréer les morts , ou encore d'éloigner les maléfices. A Smyrne,
i laisse pas le temps dépenser ; 5° Des blessures graves et même la mort peuvent être la conséquence d'une crise hystériqu
riac, Dr Félix Regnault, Dr J. Bertillon, Dr Broda. Dr Paul Farez : Mort par émotion, inhibition, suggestion, etc. Dr Bé
ui accorder ses encouragements ainsi que sa collaboration. Jusqu'à sa mort , il a collectionné nos fascicules. Nous nous fero
r Voisin, Dr Bérillon, Professeur Lionel Dauriac. Dr Paul Farez : Mort par émotion, imitation, suggestion, etc. Dr Bér
S'il est hors de doute que des impressions mentales peuvent causer la mort , notre attention ne doit-elle pas s'appliquer à c
ilieu ambiant. Je citerai le cas si connu de ce criminel condamné à mort , qu'on livra comme sujet d'expériences à des homm
hommes de science. Ils lui dirent qu'il serait saigné jusqu'à ce que mort s'ensuivît, sans ressentir la moindre douleur. Il
'une santé parfaite. Il exerça son petit commerce jusqu'au jour de sa mort qui fut causée par une mauvaise plaisanterie qu'o
et qu'il eût lu dans un journal une notice nécrologique racontant sa mort . Cela lui donna un choc mental si violent qu'il s
journellement dans l'esprit de l'enfant la pensée non seulement de la mort , mais de la mort subite, et se demandait si cette
s l'esprit de l'enfant la pensée non seulement de la mort, mais de la mort subite, et se demandait si cette idée évoquée con
demandait si cette idée évoquée continuellement ne pouvait causer une mort prématurée. L'âme de l'enfant est tout à fait i
as laisser l'esprit de l'enfant s'appesantir souvent sur l'idée de la mort , mais au contraire lui enseigner la joie de la vi
s l'âme de l'enfant chaque jour ; la pensée ou la contemplation de la mort ne devraient que rarement se présenter à la consc
l'enfant ou même à nous tous. Nous nous autosuggestionnons pour une mort prématurée si, tous les jours, dans nos prièr
rs, dans nos prières, nous appliquons noire esprit à la crainte d'une mort dont nous serions menacés à chaque instant. L'e
gure et non comme l'exposé d'un fait. La suggestion constante de la mort ou l'entretien de la crainte de la mort, ou de n'
La suggestion constante de la mort ou l'entretien de la crainte de la mort , ou de n'importe quelle crainte est aussi dangere
qu'il jugeait convenir à la vieillesse. Nous avons lu récemment la mort d'un enfant en bas âge qui mourut de sénilité.
ou 75 ans, sous l'impression qu'il doit commencer à se préparer à la mort , fait le premier pas vers le cimetière, et commen
n, 82 ans, etc. R. Odgen Doremus, 82 ans, jeune jusqu'au jour de sa mort , et son père Thomas Doremus, 82 ans, et son grand
èrent tous en pleine possession de leurs facultés jusqu'au jour de la mort . L'honorable W. P. Letchwort, 85 ans, etc., etc
'Ecole de psychologie, sur les sommeils pathologiques et les états de mort apparente, je lis une enquête dont j'exposai, à c
combrent et déshonorent la littérature spéciale relative aux états de mort apparente. Toutefois, entre la crédulité excess
e, Dr Voisin, Professeur Lionel Dauriac. DM Huckard et Amblard : La mort subite par émotion. Dr Paul Farez : Mort par ém
DM Huckard et Amblard : La mort subite par émotion. Dr Paul Farez : Mort par émotion, imitation, suggestion, etc. Dr Bér
t donc sous les aspects les plus heureux lorsque survint, en 1872, la mort du grand vizir Aly-Pacha. Ce fut le premier de to
e fut pas sa stupéfaction en apprenant qu'au lieu d'être conduit à la mort il allait gravir les degrés du pouvoir. La réacti
droit : La responsabilité dans le droit chinois. Dr Paul Farez : Mort par émotion, imitation, suggestion, etc. Dr Bér
d'aucune sorte, ne s'est jamais réalisé. Quelques semaines avant sa mort , le regretté professeur Curie avait été invité à
ta l'Egypte par ses cruautés. Il ne se contenta pas de faire mettre à mort le roi Psammenit, de faire enterrer douze seigneu
ning, simao ingkang,pedjah, ngoerang, c'est-à-dire l'ongle d'un tigre mort de vieillesse, qui garantit de la petite vérole.
du jour la nuit et réciproquement. Ses sujets devaient, sous peine de mort , dormir pendant toute la journée. Il ne leur étai
foule qui, peu auparavant, applaudissait à ses folies. Peu après sa mort une secte de Syrie a fait du Kalife Biamrillah un
cussion : M\I. Paul Magnin, Bérillon, Paul Farez. 2. M. Paul Farez. Mort par émotion, suggestion, etc. Discussion ; MM. Pa
me consulterunemployéde banque, âgé de trente-deux ans. Son père est mort d'une apoplexie cérébrale, sa mère est nerveuse.
le. Un cipaye révolté etarrèté en 1858 par les Anglais fut condamné à mort . Pendant l'interrogatoire, ses cheveux commencère
e à la nourriture d'un musulman ; les prières spéciales réservées aux morts sont refusées à un homme qui meurt en tombant d'u
s cheveux, où les cellules productrices du pigment ne sont pas encore mortes , ou n'ont pas encore subi de modifications organi
de citer la manière dont s'expriment les livres saints au sujet de la mort du roi Àssa. Celui-ci, atteint de la goutte, s'ét
ité pour intervenir. » De cette attitude résulte assez fréquemment la mort d'une personne saine d'esprit et qui n'avait rien
ait récemment une déclaration ainsi conçue : « Je n'admets pas que la mort surprenne un malade sans qu'il en ait été informé
he et de sa mission. Le médecin n'a pas à entretenir la crainte de la mort , mais l'espoir de vivre. Je n'admets aucun inte
ouva le sultan couché sur le corps de son fils. Il n'était pas encore mort , mais on l'acheva en ayant l'air de lui porter se
iants qui devenaient riches, ou les cadavres de quelques hommes mis à mort . Sa générosité, sa bravoure et ses actes de viole
t il est très sévère sur l'assistance régulière à la prière. Il mit à mort neuf personnes en un jour, pour avoir négligé les
e humaine. Il ne se passait pas une semaine sans qu'il fit mettre à mort un des hommes savants ou saints qui l'entouraient
sous le règne de son père, on fit courir le bruit que le sultan était mort . Le vieil empereur, ayant fait saisir quelques-un
ort ne fut pas meilleur que celui des nutres car ils furent mis à mort par l'ordre du sultan, à leur retour à Delhi. U
ang élevé parmi les Hindous prétendit que le souverain avait causé la mort de son frère sans motif légal et le cita devant l
) Hozias était atteint-d'un vitíligo incurable, aux mains. Jusqu'à sa mort il avait vécu, selon l'usage, isolé. Dans d'autre
e, la nuit suivante* qu'elle-même y a été condamnée et va être mise à mort de cette manière épouvantable... et elle a sa pre
e la suggesti-bilité, de la suggestibilité des personnes en danger de mort imminente, de I'auto-suggestion, insistant sur le
gnards ne m'ont jamais présenté cette peur brusque et obsédante de /a mort en pleine santé et en pleine conscience. J'ai con
ion philosophique moniste et leur foi solide écartaient la peur de la mort dans tous les cas observés chez les moribonds ins
mourir ; elle me demande cependant de l'aider devant l'horreur de la mort . L'examen dénote un état somatique absolument nor
es scrupuleux. La thanatophobie persistait chez la plupart jusqu'à la mort . D'autres, qui se soumettaient au traitement hypn
'un confrère, médecin directeur d'un asile d'aliénés, 40 ans, de père mort de tuberculose, de mère mélancolique. Un enfant e
ans, de père mort de tuberculose, de mère mélancolique. Un enfant est mort de tuberculose. Le malade a présenté déjà quelque
61 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il peut arriver que le choc soit assez violent pour déterminer une mort brusque, alors même qu'il n'existe pas de lésio
rale, mais qui n'a pas laissé de traces. On sait que Bernadotte est mort octogénaire en 1844, et que, 40 PATHOLOGIE MENT
e; l'intelligence s'était fort peu développée. Paralysie générale : mort de péritonite. A l'autopsie, adhérences extrêmeme
, soixante-huit ans. Manie chronique. A passé huit ans à Charenton. Mort en 1885 de congestion pulmo- naire. Quelques an
erth, coups de sabre et de crosse de fusil sur la tête; laissé pour mort sur le champ de bataille. Paralysie géné- rale.
e; laissé pour mort sur le champ de bataille. Paralysie géné- rale. Mort à Charenton après quatre ans de séjour, en 1881.
aissance. Démence apoplectique. Entré à Charenton en novembre 1879, mort en mars 1880. Pa- chyméningite ancienne; fausse
s devenus aveugles depuis nombre d'années. Ainsi, chez un individu, mort à dix-huit ans, dont l'oeil gauche était atroph
l'envahissement des phénomènes de dégénérescence psychique. Si la mort survient quand les hallucinations sont dans tou
et qui, d'après M. Leroy de Méricourt, seraient l'une des causes de mort les plus fréquentes chez les pêcheurs d'épongés.
tinaux qu'ils franchissent très facilement. Même chez les animaux morts , en mettant un tube bien appliqué à la partie i
entés par un animal soumis au vide, interprétant les causes de la mort , dit : « Mais' avant .que la circulation du san
forcées : irritation qui produit les convulsions et occasionne une mort plus prompte que n'aurait fait la simple privat
truction du vais- seau par les gaz devenus libres qu'il attribue la mort instantanée. « Celle-ci (la mort), dit-il ne pe
z devenus libres qu'il attribue la mort instantanée. « Celle-ci (la mort ), dit-il ne peut être causée que part l'obstruc
ais si la quantité des bulles d'air introduites est considérble, la mort survient d'une manière très rapide. » Cet aut
rrhagie. Suivant le siège et l'inten- sité de cette hémorrhagie, la mort est survenue très promptement, comme cela a lie
liers. Le sphincter anal est relâché. Vessie paralysée. A 10 h. 50. Mort . Autopsie. L'ouverture du ventre laisse sortir
car les branches de ce vaisseau ne contiennent pas d'air en cas de mort prompte. » - M. Couty, ayant institué des expér
û probablement à l'excitation anémique du myélen- céphale, soit une mort plus lente dont il énumère les conditions. «
i qui nous a mis en lumière les faits sui- vants : 1° Pour que la mort arrive par l'introduction forcée d'air dans le
Tante ma- ternelle et arrière-grand-père aliénés. Frères et soeurs morts de convulsions. - Pas de consanguinité. - Inéga
s; elle est ner- veuse mais n'a jamais eu d'attaques. - Grand-père, mort d'un IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE. '111
- sanguinité. Sept enfants : 1° garçon, né avant terme (forceps), mort à deux jours après avoir eu quelques convulsion
de convulsions; - 3° notre malade ; - 4° garçon né à terme, chétif, mort à six semaines on ne sait de quoi ; - 5° garçon
n portant, n'a jamais eu de convul- sions, intelligent; - 6° garçon mort à l'âge de huit jours; 7° fille bien portante,
maternel, le ner- vosisme et l'aliénation mentale. Notons aussi la mort par convulsions de plusieurs frères et soeurs.
s'étant suspendu lui-même, était tombé dans une sorte de coma et mort au bout de 24 heures. Le D'' Gorechi' 3 relate un
et mort au bout de 24 heures. Le D'' Gorechi' 3 relate un cas de mort chez un tabétique avec paraplégie, qui, ayant lu
rois chefs : a, l'hé- morrhagie est assez abondante pour amener une mort subite ; b, l'hémorthagie est très minime et s'
les parents; six frères et soeurs bien portants; un frère plus âgé mort à l'âge de huit jours de convulsions. Depuis l'
sous la juridiction de la commission, et aussi du faible nombre des morts et de., sorties pour cause de guérisons. Il en
s - J. Maclaren, directeur de l'asile d'aliénés de Larbert (Ecosse) mort de pleurésie à l'âge de 32 ans. G. GCIG\UV. B
onie, qui chez un autre DE LA SUBSTANCE GRISE. 185 de nos malades mort dans le même cas présentait le caractère hémorr
guerre. Paralysie générale à forme démente. Entré en janvier 1879, mort au bout de huit mois, de convulsions épilep- ti
sécution et hallucinations multiples, qui persistèrent jus- qu'à la mort . B... était affecté d'une prédisposition hérédita
l'histoire d'un ouvrier qui tombe d'un échafaudage et reste étendu mort : l'autopsie fit dé- couvrir une hémorrhagie cé
chevaux lancés passent sur son corps. Quand on le releva, il était mort . Evidemment il avait été écrasé ! L'autopsie mé
mpression à partir de dix atmos- phères. Un autre (exp. DXUi) n'est mort que longtemps après une décompression de quator
ont com- mencé à se manifester dès six atmosphères (exp. DXXX); la mort a frappé presque tous les animaux ramenés de hu
4 h. 33 ni.. l'animal tombe en convulsions suivies bientôt de coma. Mort à 5 heures, fiaz en abondance partout, pas de f
paralysie du train postérieur qui rapidement ascendante produit la mort le troisième jour. Ramollissement ischémique, p
re à l'asile le ` ? S décembre 1887. Un de ses oncles paternels est mort aliéné. Son caractère a toujours été inquiet, s
publia deux nouveaux cas de cette maladie, dont l'un fut suivi de mort et d'autopsie. L'autopsie constata que l'infiltra
il passe au troisième, à l'état atrophique, qui finit en marasme et mort . Dans ses recherches suivantes, Horsley réunit
des glandes, mais l'extirpation de toutes les deux a pour suite la mort . Mais en maintenant l'animal dans un milieu por
on, l'organisme s'y conforme. Deux raisons peuvent être cause de la mort des animaux opérés : ou bien la glande thyroïde
écu à cet état passaient à un état paralytique qui finissait par la mort . La transfusion du sang de ces animaux malades à
ogue et due au Dr Bucknill, mais dans laquelle le méca- nisme de la mort fut tout à fait différent ; dans ce cas, en effet
à la formation d'un petit ulcère chronique qui finit par causer la mort en déterminant une perforation de la paroi stom
f pou- vant aboutir à la cachexie; la lypémanie est guérissable; la mort peut survenir par suicide ou par cachexie ; à l
ans, atteinte d'une véritable anarchie psychique, aboulie, idées de mort , vide cérébral, alternatives de dépression et d
nce apathique avec humeur mobile. La durée comporte pour 101 cas de mort : un an quatre dixièmes en ce qui concerne le s
ge et du mobilier le plus indispen- sable. Placés près du dépôt des morts ou relégués dans les dépen- dances à côte des é
impossible., Cette cellule est d'ailleurs attenante à la salle des morts , et le sous-préfet estime « qu'il ne peut y avo
d'une petite construction dont le rez-de-chauseée sert de salle des morts et au-dessus duquel il y a un séchoir et un char-
cabanons des hos- 310 VARIA. » pices sont contigus aux dépôts des morts . C'est un point sur lequel a été souvent attiré
e lumière et de chauffage, ils sont de plus con- tigus au dépôt des morts où se font les autopsies; enfin la sur- veillan
ture en losange pratiquée dans la porte qui donne dans la salle des morts . Il n'y a aucun moyen de chauf- fage ni aucune
s nerveux dans sa famille. Sa mère est bien portante. Son. père est mort d'une pneumouie. Il n'accuse pas de syphilis ni
e ans; grand' tante épileptique. Maternels : grand-père alcoolique, mort à cin- quante-six ans, d'une congestion; grand'
, vit, pas nerveuse. Parents : père rhumatisant; un oncle paternel, mort à quarante- quatre ans d'affection cérébrale, i
morale, d'une succes- sion rapide de couches malheureuses, dont la mort du dernier enfant a été l'épisode ultime, comme
nt jusqu'à trois ans. Il était gâteux et avait des accès de colère. Mort de diphthérie. A l'autopsie mé- ninges très adh
nant un cas d'idiotie avec - induration du cerveau, dans -lequel la mort a été précoce; il n'y avait pas d'altération de
, excès de boisson du père , mère nerveuse, quatre frères et soeurs mortes de convulsions. Premières convulsions à six moi
vulsions tous les mois jusqu'à quatre mois. Succion, gâtisme, etc., mort à huit ans; à l'autopsie, induration des hémisphè
, 1880-1883; grand'père maternel alcoolique ; mère nerveuse; frères morts de convulsions; .7342 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
bservation suivante : Observation VII. - Beno..., né le 3 mai 1873, mort le 12 février 1884. A quatre ans, premiers vert
pas sensiblement de celles qu'on trouve chez les idiots ordinaires. Mort de broncho- pneumonie gangreneuse diffuse, cons
ments, vertiges, secousses, idiotie, parole presque nulle, gâtisme; mort par obstruction du larynx par un morceau de via
ns si souvent mentionnée. Observation X. - Gouell..., dix-huit ans, mort eu 1884, atteint t d'épilepsie vertigineuse et
ville et Pilhet, Soc. anal. 1886.) Sur un homme de quarante ans, mort dans le ser- vice du Dr Besnier et atteint depu
nce. Jamais d'excès de boisson, ne fume pas. [Père, rentier, sobre, mort vers soixante-dix ans, on ne sait de quoi. - Mè
l DE faits. à des migraines avec vomissements. Grand-père paternel, mort très âgé, on ne sait de quoi. - Grand'mère pate
nelle, morte très âgée, pas de détails. - Grands parents maternels, morts à soixante- dix et soixante-dix-sept ans, on ne
es attaques de nerfs; blanchisseuse, pas d'en- fants ; - 3° Garçon, mort à sept ou huit mois ; - 4° Garçon, vingt-quatre
mier anneau dans l'enchaînement des circonstances qui ont amené la mort . Le malade parait avoir avalé son col de chemise,
essité de l'autopsie pour reconnaître avec précision la cause de la mort ; dans ce cas, en effet, l'observation clinique
conduisait naturellement à admettre la suffocation pour cause de la mort : l'autopsie a démontré que la cause immédiate
use de la mort : l'autopsie a démontré que la cause immédiate de la mort était d'un ordre tout à fait différent. R. M. C.
se remarier alors que leur conjoint est, en définitive, mentalement mort ? Conclusions : 1° Rejeter tout à fait l'alié
u que de la dégénérescence graisseuse du coeur. M. Brie. Des cas de mort subite dans les psychoses. - A la suite d'une r
dégénérescence graisseuse telle ou une myocardite si intense que la mort en était la conséquence. Or, si connue que soit
en était la conséquence. Or, si connue que soit la fréquence de la mort rapide chez les cardiaques, si insuffisantes qu
dernier numéro était déjà sous presse lorsque nous avons appris la mort de M. Jules COTARD, médecin de la maison de san
l'an dernier président de la Société mé- dico-psychologique. Il est mort d'une terrible maladie, le croup, qu'il avait c
437. Psychose (réflexe traumatique), par Ttomson, 296 ; (cas de mort dans le-,), par Brie, 465. Ramollissement cor
62 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
eur, le néant, c'est chez un grand nombre de peuples la couleur de la mort , celle du deuil. Pourtant dans l'ancienne Egypte,
mme, Victor L..., Agée de 52 ans. Son père très nerveux et colère est mort à 55 ans. Sa mère très emportée aussi avait en pl
uffrait de maux de tète tris fréquemment. Son grand-père paternel est mort à Bicotre. mais nous ne sommes pas arrivé à conna
nts, notre malade seul et une lillc ont survécu; tous les autres sont morts de convulsions. Donc nous voyons que l'hérédité e
voir pas le courage de s'exposer à souffrir, quand ce devrait être la mort , pour la confesser hautement. Je sçais le respect
fidélité que Jésus Christ o. « Arrive ce qui pourra, les prisons, la mort , la dispersion et la pauvreté ; tout cela ne me s
iro alliance avec la Marie du tfargi*./page> page n="25"> mort en une si belle occasion do rendre à Dieu Jes vco
son dernier espoir, elle devint vieille fille, et plus tard épousa la mort (i). Il est facile à une imagination juvénile d
absurde du monde et le plus charmant ». Il admire le stratagème de la mort simulée. Nos lecteurs qui sont médecins ne s'y
93). (î) Bichat- — Recherches pliyeiotogiiUQt* *ur )¦ vie et sur la mort . {Œuvras, Tome l ; ? 27)./page> page n="42"&
e (2) dans ses Commentaires, il en a qui croient que les os des corps morts , réduits en poudre et baillés en breuvage, profit
ou mieux d'un brin de laine I I I (2) Médecin né ù Sienne en 1500, mort de la peste, ù Trente, ea 1557. Les os humains,
ne odeur infecte, mais rien ne lui empêcha de le continuer jusqu'à sa mort . Terminons par un dernier remède (2) pour le ca
eil sans rove. Le sommeil ne serait pas, d'après nous, un frère de la mort , comme le désignait Homère, mais, au contraire, u
presque absolument réduite au sentiment religieux et, en apprenant la mort de Jacqueline qu'il aimait plus que tout au monde
a a vie pénitente » (i) le 23 février 1072; et GUberte, qui depuis sa mort n'avait guère cessé d'habiter Paris, où Perier av
pour surveiller l'éducation de ses enfants, était morte comme lui de mort subite, le 25 avril 16»7, à l'âge de soi-xante-se
sept mois, après une vie de dévotion et de tristesse. Au moment de sa mort , comme Marguerite lui annonçait que les médecins
dernier de tous ses frères : Tous mes parents et tous mes frères sont morts dans le service de Dieu. * CONCLUSION Ainsi s
que ses enfants. Mais l'action d'un Biaise Pascal ne finit point à sa mort . ? dévoya d'autres esprits que ceux d'Artus ou de
e que toutes les autres. Certes l'erreur est mortelle, mais elle a la mort lente. Elle donne des spores qui peuvent mûrir. A
un obstacle ; alors elles'anelectee déshabille. Lo second malade est mort de tuberculose : le résultat de la nécrop-sie a é
quand il définit la vie « l'ensemble des fonctions qui résistent à la mort » il proclame le vitalisme et crée, lui aussi, la
t sur le vif les dégradations successives de la conscience jusqu'à la mort intellectuelle ; de môme que l'hypnotisme, elle d
tout est fini, le bruit a cessé, et plus rien, rien.... le néant, une mort dont on aurait conscience, la personnalité n'ayan
. NECROLOGIE M. le Dr KHUFF. Nous avons le regret d'annoncer la mort du Dr Khuff (de Paris) à l'âge de 52 ans. Né à St
rouve l'incertitude des médecins et nui équivaut à une condamnation à mort . Du reste, l'immunité d'un climat pour l'asthme n
n et saint Etienne guérissent de la pierre, l'un parce qu'il en était mort naturellement, l'autre parce qu'il avait été lapi
u « lion d'Androclès a et même d'? idées a comme a le Drame » ou * la Mort » ou « la Dame Blanche » de l'ile. Inutile de dir
dérée comme une preuve de possession, et les malheureux étaient mis à mort ; on ne songeait point que le démon, avec les pouv
dèles non seulement à l'action du feu, mais à n'importe quel genre de mort ,— mais la logique n'était pas la qualité dominant
ent de cette affection. Florin Périer et Gilberte Pascal moururent de mort subite. Mlle do Montpensier(1) trouvait une « m
La timidité et la crainte chronique, crainte de Dieu ou crainte de la mort , chez Biaise Pascal, Antoine Singlin, Charles-Hen
CHIQUES Par M. Jules Bois. La fausse et la vraie suggestion de la mort . A propos de la Toussaint et sous ce titre : Po
ue des Revues, du 1" novembre, nous apporte un aspect consolant de la mort , en s'appuyant aur les données de la psycho-physi
de la vie a. travers le changement des formes, il nous a montré uï:« mort , en quelque sorte nouvelle, et dont le visage sou
lul-Bl6mo. 3i l'évanouissement de notre corps, au lisu d'être appelé mort , disparition,/page> page n="188"> avait
après le psychologue original et précis de la Jîeuue ties Hernies, la mort transforme, mais ne détruit point C'est la contin
re et nos processus vitaux une série d'enterrements successifs. Ces morts partielles de notre moi se réalisent cependant sa
isent nos consciences consécutives. Donc, c'est la conception de la mort , l'idée que nous nous en faisons, qui nous terror
nous nous en faisons, qui nous terrorise et nous fait mal — et non la mort elle-même. M. Jean Finot trace donc une voie util
. Mais comme Swedenborg, Naundorff pensait communiquer moins avec les morts qu'avec les Anges et Jésus Christ lui-même qu'il
tre ses mains une pendule de voyage qui avait appartenu à.un peintre, mort depuis. Comment, raconte M. Paul Bourget, arriva-
te, aujourd'hui, elle affirme être en communication avec les âmes des morts . Disons tout de suite que ce genre de spiritisme
iquait aux dépens des crédules des portraits truqués de leurs parents morts . Aussi, ce qu'il y a de particulièrement intéress
urut à trente-deux ans, d'une chute de cheval. Cinq semaines après sa mort , Hodg-e?? rendait de nouveau visite à M™' Pipers.
nta qu'il avait laissé ses affaires bien en désordre, en raison de sa mort subite. Particulièrement certaines lettres oublié
llait souvent par des boutades tantôt comiques, tantôt émouvantes. Ce mort obtint un succès que peu de fiis acquirent pendan
s que les observateurs américains. Naturellement, on a demandé à ce mort quelques documents sur sa vie extra terrestre. Il
a le revenant. Je m'éveille seulement à la réalité de la vie après la mort C'était comme des ténèbres. Je ne pouvais rien di
e à titre seulement partiel et fragmentaire, avec la personnalité des morts . Je suis maintenant pleinement convaincu que de t
rofesseur AZAM (de Bordeaux). ÎNous apprenons avec un vif regret la mort , à l'âge de 77 ans, de M. le Dr Azam, professeur
la conclusion à laquelle était arrivé un grand humaniste de ce temps, mort d'ailleurs trente ans avant la publication du îiv
rologie Le docteur Azam Les obsèques du regretté professeur Azam, mort à l'âge de soixante-dix-huit ans et domî, viennen
gt; — Discours de >î. lo D" Davozao : MESSIEURS, L'imflîcysble mort n'a pas voulu laisser finir l'année sans frapper
at!ques, on ne pourra pas ne pea psnseralui. Au deuil sîncJrc où sa mort est venus nous plonger succédera do:io le souveni
iques. Obs. I. — "Mlle Alice D..., 20 ans, modiste, issue d'un pére mort de phtisie et d'une mère bleu portante. A maigri,
es lésions tuberculeuses qui marchèrent avec éclat et entraînèrent la mort au bout de trois mois. Obs.IV.— Paul T.... âgé
les asiles d'aliénés. Dagoncl () a trouvé sur 428 décès 100 cas où la mort avilit été causée par la phtisie pulmonaire. De m
interpréta les faits les plus insignifiants comme des préludes de sa mort prochaine ; par intervalles, il y eut une véritab
tifs suivants: \" la malade n'a jamais toussé, s?uf 15 jours avant la mort , et la toux a été très passagère ; 2° la malade n
mais permis de déceler la présence de râles si ce n'est le jour de la mort . A l'autopsie, on trouva des altérations tubercul
D' Baudi et lui planta dans la nuque en long stylet qui détermina la mort immé* diato. L'assassin arrêté et examiné, en deh
, qu'il était sans doute tuberculeux, sa mère et son Irëre ainé étant morts de la poitrine! * » Ces faits et d'autres enc
es persistaient et s'acccnluaic;;! chez certains nhusiques jusqu'à la mort . Récemment, MM. Dt.i'our et Dit*» or.! n-nouvclé
qu'ils sont très passionnés. M. Cullere a observé également un malade mort phtisique à l'asile d'aliénés et chez lequel la p
es nations sont des personnalités qui ont une naissance, une vie, une mort . Si la nation met en oeuvre toutes les forces p
de premier pus 1. La docilité, — On lit dans une Méditation sur la mort de Jésus-Christ,où Jacqueline Pascal se traçaitde
doh'ent donner sur ce sujet ». Et elle n'est pas loin de souhaiter la mort de sa sœur qui, de cette manière, possédera Dieu
t tous ses désirs » écrira-t-elle plus lard dans sa Méditation sur la mort de Jésus-Christ. Angélique Arnauld d'Andilly di
que son attention/page> page n="274"> soit attirée vers la mort ou vers les hypothétiques sanctions d'outre-to m
it : « Faites que je me considère en cette vie comme en une espèce de mort , séparé du monde. » Et encore, dans une lettre à
it, elle est réveillée en sursaut et entend crier : « A bas lesJuifsl Mort aux Juifs ! » Elle se lève et se précipice à la f
ssent de la harceler. Dans la rue, elle entend aussi des menaces de mort . Chez elle, chea des amis, chez des parents, elle
plusieurs jours... Mais elle ne cesse d'entendre les mômes menaces de mort . De plus, elle craint qu'on ne l'empoisonne et, à
ide, mais cette tendance est remplacée par la crainte constante de la mort et il peut y avoir là, au moins, un phénomène d'é
zoophilie est sans contredît un état maladif,'car'cette femme que In mort de son chat impressionne à ce point a perdu jadis
ements. Une autre femme plus gravement atteinte et bouleversée par la mort d'un animal semblable, fut guérie lorsqu'on l'eut
fauteuil; dément et gâteux, il ne comprend plus ce qu'on lui dit; la mort survient, avant 30 ans, en pleine déchéance physi
né à être/page> page n="368"> suspendu à la potence jusqu'à mort inclusivement... pour avoir par fu-riosité occis
tionnaire, présidé par Dumas, eut à juger un chien qui fut condamné à mort . ¦ » Nous terminerons ici celte enumeration que
es extractions dentaires, par Albert Bloch, p. 173 Suggestion de la mort (La fausse et la vraie), par Jules Bois, p. 185.
63 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
veloppe mortelle il y a quatre mois (allusion à « ses sensations de mort éprouvées en Suisse et dans le Midi, à « l'oppa
le Midi), sera fou des idées que j'aurai, il m'a pro- « mis il' ma mort de recueillir mes cendres dans un sarcophage «
stions de races sont stupides. » Et cet autre enfin : « La peine de mort est une oeuvre digne des « hommes, elle prouve
rémités des deux mem- bres supérieurs. Diagnostic de syringomyélie. Mort par tubercu- lose pulmonaire. Diagnostic vérifi
nce physique et intellectuelle progressive. Tuberculose pulmonaire. Mort trois ans après le début de la maladie. L'autopsi
té pendant les trois journées et les trois nuits qui précédèrent la mort . L'examen né- cropsique montra qu'il s'agissait
t). Ces auteurs ont eu l'occasion d'examiner le bulbe d'un malade mort d'un cancer de la langue ayant détruit une grande
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 67 XVIII. Méningite terminée par la mort , dans laquelle le myosis et la suppression de l
at et du goûta droite. Diminution de l'acuité visuelle du mêmecôté. Mort àcinquanteans dansle gâtisme après tentatives d
trale correspon- dante au champ des macula, perte de l'orientation. Mort dans le coma à la suite d'attaques nombreuses.
résultats plus permanents. Premier groupe de 111 opérations : 19 morts (17 p. 100) par suite de l'opération ou peu de
seigne- ments. Deuxième groupe de 83 opérations : 20 (25 p. 100), morts . 54 (65 p. 100), pas d'amélioration. 9 (10,5 p.
e trouble psychique qu'une diminution considérable de la mémoire. Mort deux ans ans après le début des accidents, après
otisme, je l'ai presque complètement débarrassée d'une phobie de la mort qui la torturait. ` Un cas particulier d'abas
expérimentale montre que la parathyroïdectomie totale est suivie de mort constante après quelques jours, en général avec
La thyroïdectomie avec parathyroïdectomie est tou- jours suivie de mort . ' * Dans les cas de parathyroïdectomie la surv
t succombé à un âge avancé; des quinze enfants du ménage, neuf sont morts de fièvre typhoïde ou d'affections indéterminée
même quarante ans la maladie aboutit alors à la cachexie et à la mort . Heureusement cette évolution progressive n'est
r Deus dans ces moments-là. Elle compare cet état à l'attente d'une mort imminente et désirée, la mort mystique qu'elle
le compare cet état à l'attente d'une mort imminente et désirée, la mort mystique qu'elle rêve, c'est comme un enlèvemen
silence, il s'explique : « Je suis toujours « là, quand je fais le mort c'est pour que tu ne sois pas effrayée « et pou
ode de rêveries religieuses, il s'est comme elle entretenu avec des morts a eu des communications avec les astres, a caus
tant de pro- phètes obscurs ou célèbres ont laissé même après leur mort des foules de disciples qui continuent leur doc
une hérédité chargée. Son père fort, intelligent mais nerveux, est mort depuis longtemps. La famille de sa mère compte
ne étincelle lumineuse frapper son Iront. Il se demande si c'est la mort qui va l'atteindre. Dans la uuit l'esprit. 148
: «Laisse la la sale guenille dans ton lit et viens, Henri B... est mort », il sent son âme quitter son corps mais il la
e comme un coup de poignard, il s'allonge sur la banquette, mais la mort ne venant pas, il rentre chez lui,la voix de D.
autopsie, pratiquée par MM. Brouardel et Soc- quet, fit admettre la mort par inhibition : il n'y avait en fait de lésion
é aucune altération du système osseux chez de nombreux paralytiques morts à l'asile de Maréville. M. Marie. - Des fract
thérapeutique Liébeault, à Amsterdam, prononce l'éloge de Liébeault mort récemment ; il retrace sa vie, ses travaux, son
d'observer dans tous les processus toxi-infectieux aboutissent à la mort de la- cellule, fassent complètement défaut dans
ccasionnelles. - Réflexions. Un cas de maladie de Raynaud, suivi de mort , chez une jeune fille hystérique et tuberculeus
euvième jour, accélération du pouls et élévation de la température. Mort subite le lendemain. Autopsie : Lésions inflamm
douleur en flexion et le plaisir en extension (voir le monument Aux Morts de Bartholomé ; la femme, en attitude foetale du
un névraxe prédisposé ; 4° L'en- clavement du bulbe ayant causé la mort subite, ses rapports avec l'engagement du cerve
ation rapide des sommets, lésions laryngées, cachexie rapide, etc., mort trois mois après le début des accidents. Durant
ans en avoir été jamais ému. Il n'en fut pas de même cette fois. La mort mystérieuse de son père lui revint en mémoire et
nsciemment, de faire un effort pour se soustraire à ces cau- ses de mort . Elle ne peut sortir de cet état qu'en ouvrantles
re optique, qui s'apprennent surtout par l'image optique, restent mortes malgré l'aide du sens du toucher. Impossible d'ai
Neurolog. Cen- lralbl. XX. 1 goy..) Pièces empruntées à un sujet, mort de tuberculose pulmonaire, ayant, par suite d'u
is avant sa 330 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. mort , affecté de paralysie périphérique complète des d
quand survint la paralysie flasque et restèrent absents jusqu'à la mort . A ce niveau la coupe transverse de l'organe n'
mégalomanie ou démence; c'est à ce pseudo-suicide qu'appartient la mort du paralytique général sautant par la fenêtre a
et avait manifesté à plusieurs reprises l'intention de se donner la mort . (Progrès de Lyon, 31 juillet 1904). Suicide
de huit ans. Le parquet du Havre vient d'ouvrir une enquête sur la mort d'une fillette de six ans, Yvonne Garrivet, qui
-cinq ans, a reçu un coup de couteau dans la région du coeur et est mort sur le coup. Son meurtrier, nommé Brousse, seiz
Dr Pauthier, médecin légiste, a fait les constatations d'usage. La mort remontait à plusieurs heures. Cette malheureuse
boire douze absinthes pendant les douze coups de midi. Il est tombé mort à la septième. (Bonhomme Normand, 26 août, 1er
ouardel conseille de faire à l'égard du tuberculeux non voué aune mort certaine, c'est-à-dire de lui montrer la nécessit
conservé et l'on pouvait lui faire prendre du lait à la cuiller. La mort eut lieu dans le coma le 11 février 1903. Cet
dans les six ou sept derniers mois de sa vie un rire continuel. La mort survint accidentellement à la suite d'une entér
lles (121 pour les garçons, )0' ? pour les filles) les enfants sont morts aux âges de une semaine à quatorze années. Voic
s psychopathes se plaignent assez souvent que tout autour d'eux est mort , que rien n'existe plus, que tout est voilé, ob
es malades ne sentent souvent plus leur propre personne, se croient morts , etc. Le doute de l'exis- tence personnelle pro
ui donnent de l'angoisse sont celles qui peuvent se terminer par la mort subite. Le traitement de l'angoisse est sympt
lombaire ne sont pas considérables (bien qu'on ait publié 26 cas de mort ), à condition de régler l'écou- lement du liqui
(deux ans et demi et trois ans et demi) et 4 se terminèrent par la mort . Il ne s'agissait ni d'hydrocéphalie, ni de tub
ique fébrile ddlagnan.- L'auteur en a observé 3 cas terminés par la mort . Autopsie néga- tive au point de vue des organe
'éveillent. Alors que la seule issue possible des hospices était la mort , il y a dans la vie de ' famille comme un espoi
per au hasard autour de lui. Il atteignit sa mère à la poitrine, la mort fut mtanstanée. Le père, le corps labouré d'e
mare de sang auprès du corps de son père et de sa mère. On le crut mort , mais à peine était-il sur le brancard qui deva
ment des médecins. Nécrologie. Nous avons le regret d'annoncer la mort du Dr DUHAMEL, interne à l'asile d'aliénés de M
querolles, avait nais au monde en cadette un enfant que l'on trouva mort étouffé dans un linge. Cette 448 BULLETIN BIBLI
héréditaires sont les suivants : Côté paternel. Grand-père paternel mort à soixante-six ans de tuberculose pulmonaire, s
phy- siques de dégénérescence. Côté maternel Grand-père maternel mort à cinquante-huit ans de maladie de vessie, sobr
rien venir, il nous déclara un matin qu'il nous avait con- damné à mort et qu'il allait, de ses propres mains, exécuter
NERVEUSE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal mort ; atrophie considérable de l'hémisphère cérébral
ne, hémiplégie gauche congénitale. Mère, rien. Grand-père paternel, mort de tuberculose ( ? ). Oncle et tante maternels, e
e des accès. Etal de mal, élévation progressive de la température : mort . Température et poids après décès. lrozsce. Asy
pas, est de caractère doux, n'a pas de migraines. Son père, potier, mort il soixante-sept ans de pneumonie, était sobre.
ente, ni paralytique, était sobre. Grands-parents paternels sobres, morts , ni déments, ni paralysés, le grand-père à quat
x-sept ans, la grand mère à soixante-dix. Grand-pare7tls maternels, morts , le grand père à soixante-dix ans, la grand'mèr
ucoup maigri, était jaune pâle, avait eu une perte un mois avant sa mort ; elle n'avait eu ni con- vulsions, ni fièvre ty
d'un caractère très doux, et n'avait pas de migraines. Son père est mort à quarante-sept ans, de tuber- culose suivant s
quatre enfants bien imbécillité, hémiplégie gauche, épilepsie. MAL mort . 463 portants. Huit neveux et deux nièces en bo
de communes différentes. Égalité d'âge. Quatre enfants : 1° garçon mort du croup à un an, pas de con- vulsions ; 2° gar
ion : il n'y est plus allé et est resté seul à la chambre depuis la mort de sa mère (il y a un an) « parce qu'il est tro
RECUEIL DE FAITS. Tableau des accès et des vertiges. ÉTAT DE MAL, MORT . 471 I ques dizièmes de degré sous l'influence
e infantile suivie d'épilepsie partielle : étal de mal épileptique, mort : foyer ancien intéressant les circonvolutions
com- pliqués d'une cyanose très prononcée et s'est terminé par la mort en quelques heures. La température n'a monté que
, admis à l'asile au sortir d'une maison de refuge, le 4 août 1902, mort d'épilepsie le 22 décembre 1902. On n'a pu avoi
ormal. G. Carrier. C. Acromégalie : Splanchnomégalie ; gros coeur : mort par asys- tolie (Sans lésion orificielle cardia
vants : 1° Gros coeur chez une acromégalique, l'ayant conduite à la mort dans le syndrome asystolique. 2° Bruits cardi
romégalie avec splanchnomégalie peut conduire à l'asystolie et à la mort , du seul fait d'un gros coeur. 2° Les bruits qu
rophie progressive des muscles. Complications de broncho-pneumonie. Mort . A l'autopsie on découvre une tu- meur volumine
e véritables diffor- mités et s'accompagnant de diabète évident. La mort est survenue brusquement en 24 heures avec des
. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière. 1\° 3. 1903.) Géant de 2m,12 mort à trente-six ans acromégalique et diabéti- que.
ion. Femme de cinquante-huit ans. A eu cinq enfants dont trois sont morts : deux très jeunes et un idiot de vingt-un ans.
sibilité et des fonctions vésicales. Epanchement pleural. Arythmie. Mort . A l'autopsie, lésions mé- REVUE DE PATHOLOGIE
ne grande fréquence, laissant après elles une hémiplégie droite. La mort survint dans le coeur, avec une tempé- rature d
DEVANTES. - Il y a deux semaines, tous les journaux ont raconté la mort d'un aliéné de l'asile de Nantes en donnant à c
Quand le médecin en chef arriva quelques minutes après, E... était mort et déjà débarrassé de toutes les entraves. Le
ostérieur et avait été subit, comme le gardien l'avait rapporté; la mort ne parut donc pas au docteur Biaute pouvoir êtr
e ces phénomènes qui seuls n'au- raient pas suffi pour démontrer la mort accidentelle par suffoca- tion, mais qui en aur
ses prescriptions habituelles, qu'une syncope rapidement suivie de mort était survenue et qu'il fallait demander au parqu
et après s'être enquis de tout ce qui s'était passé, n'attribua la mort de E... qu'aux effets de la grave affection org
demi entraîné, demi porté par les autres domestiques, pâle comme la mort . Quand il vit son sauveur, il poussa un grand s
d'ici ? nous sommes entourés de toutes parts de gens qui veulent ma mort . Vengea con migo, llsted (venez avec moi) et pr
s dans 1 ? par Paillon, 91. : : Splanchno- . mégalie; gros coeur; mort par asvstohe, par Paviot et Beutter, 487. Un
, 411. 1.IBÉCILITÉ; hémiplégie gauche : épi- lepsie; état de mal; mort ; atro- phie considérable de l'hémisphère céré
ul Sol- lier et Boissier (F.), 1, 130. Méningite. terminée par la mort , dans laquelle le myosis et la sup- ]Jlessiol
jon, par Garmer, 525 · ! R,\Y1'AD. Un cas de maladie de- suivi de mort chez une jeune fille hystérique et tuberculeuse
64 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ication suivie. Elle tombe ensuite dans une léthargie voisine de la mort . Insensibilité, mutisme invincible, qui cèdent
e initiale, lui semble correspondre à l'état d'anéantissement et de mort apparente. Quand arrive la seconde, le pouls se
nceptions se mêlent ou se succèdent. On est ruiné; les parents sont morts , on est mort soi-même. Des abîmes s'ouvrent sou
ent ou se succèdent. On est ruiné; les parents sont morts, on est mort soi-même. Des abîmes s'ouvrent sous vos pas. L'
RE CHEZ UN MÉLANCOLIQUE, QUI DANS UN - ACCÈS D'AGITATION A CAUSÉ LA MORT D'UN DE SES AMIS; 2° D'INDIQUER LES MESURES A P
et d'une fille mariée depuis huit ans et sans enfants; ses parents, morts à un âge avancé, avaient joui d'une bonne santé
ences les plus lugubres. Peu à peu il s'imagine être la cause de la mort de son père, de celle de sa femme; il croit por
its et observations qui précèdent, je crois pouvoir conclure que la mort est le résultat du choc de la tête sur l'angle
Bourneville). Antécédents. Père, boulanger, alcoolique (vin blanc), mort d'un asthme symptomatique de bronchite chroniqu
il n'aurait pas eu d'autre maladie. [Deux frères; le plus jeune est mort prématurément, on ne sait de quoi. L'autre a suc-
ec succès. maternelle morte d'un carcinome de la cuisse; grand-père mort de vieillesse à quatre-vingt-huit ans et demi.
bonne santé; l'autre morte en couches à quarante-sept ans. Un frère mort de fièvre typhoïde.] Pas de consanguinité. Le m
" un garçon rhumatisant, qui avait « une espèce dégoutte » ; il est mort à quarante ans à la suite d'excès de boisson (a
e, et de 32°, 3 dans le rectum. Cette température a duré jusqu'à la mort , et l'autopsie a fait recon- naître un ramollis
volution frontale ascendante et la moelle allongée) de ma- lades morts de fièvre typhoïde, récurrente ou puerpérale, de
o f tlae Clin. Soc. of London, vol. XIV, 1881, p. 1.) Le père est mort depuis deux ans, d'une maladie deBright; il n'a
'a pas eu d'affection nerveuse. Il avait deux frères, dont l'un est mort aussi de maladie de Bright, et l'autre est aliéné
extrêmement rare : six cas nets. Sur quatre-vingt-onze épileptiques morts en démence, la durée moyenne du séjour dans l'é
alors dans un état cachectique qui les mène plus ou moins vite à la mort . Les récidives sont fréquentes : un malheureux
mais les symptômes peuvent aussi s'ag- graver au point d'amener la mort . Ainsi mourut à l'hôpital de Dresde une couturi
nt une pareille concession à ses clients, un médecin les condamne à mort ; 2° les pharmaciens ne délivre- ront les soluti
vant la marche de la température, ne dépasse pas quelques jours. La mort ne se montre que dans 29 p. 100. La sympto- mat
arçon en proie à la mauvaise humeur, à la crainte, à la sitophobie. Mort d'une des filles. Le garçon, entaché d'hérédité
t du quatrième au cinquième jour. Evolution en peu de jours. Deux morts seulement sur seize cas : autopsie négative (infe
u la raison profondé- ment troublée ; un de ses proches parents est mort à la maison de Charenton; son grand-père, sa gr
arce que le conjoint atteint de cette affec- tion confirmée, serait mort dans la plupart de cas avant la fin des démarch
itée mais obtusion intellec- tuelle cédant bientôt à la somnolence. Mort dix jours après l'accident. L'autopsie montre à
logis des machines, la buanderie, les bains centraux, la salle des morts . Total : dix-huit édifices entre les- quels il
ide d'une alêne ébréchée;-une section du pneu- mo-gastriqne au cou ( mort en huit jours) avec tous les symptômes afférent
lade que le monde réel s'est complètement évanoui, a disparu ou est mort et qu'il ne reste plus qu'un monde imaginaire a
; on va les arrêter DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 157 les condamner à mort : on va les brûler ou les couper par morceaux.
mine; dans la stupeur, les ma- lades s'imaginent plutôt qu'ils sont morts . On en voit même qui présentent alternativement
rts. On en voit même qui présentent alternativement l'idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir mourir, suivant leurs n
voix qui leur reprochent ., leurs crimes, leur lisent leur arrêt de mort ou qui leur répètent qu'ils sont damnés. Quelqu
était obsédée jour et nuit par une voix qui lui lisait son arrêt de mort et décrivait les supplices, t I l * « qui lui
r Michéa, se croit coupable, poursuivie par la police et menacée(de mort . Elle est placée dans une maison de santé et qu
alades les plus disposés au suicide; alors même qu'ils se croient morts , ou dans l'impossibilité de jamais mou- rir, il
uée. Mariée à vingt-quatre ans, elle a eu quatre enfants, deux sont morts en bas âge, l'un de la coqueluche, l'autre d'un
onsciente de sa personnalité psychique et physique, et préférant la mort à de telles tortures morales. Après une période
it-il écoulé que son chagrin devenait du désespoir. Elle préféra la mort à une telle décadence et fit des tentatives de
encore, complète. En effet, on peut observer dès le dé- but : 1° la mort rapide; 2° les convulsions ; 3° la paralysie sans
ansitoire et bientôt suivie de l'aggravation des symptômes et de la mort , sans rémission nouvelle. , ; R. 1) Ei. "C. ,
vril 18821. Présidence de M. DALLY. M. le Président fait part de la mort de M. Dagron, aux obsèques duquel la Société a
hémi- plégie droite, survenue soudain, avec perte de connaissance; mort en six heures ; simple atrophie cérébrale à l'a
ns les Remues analytiques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 conclure à la mort du sujet pendant un accès d'épilepsie. Mais l'on
ncule cérébral dans lequel les symptômes notés trois jours avant la mort (paralysie de l'oculo-moteur, paralysie opposée
ique ayant été en proie, dans les derniers jours qui précédèrent sa mort , à plusieurs attaques apoplectiformes. La partie
dre la ménopause plus précoce et prédisposer à l'avortement et à la mort des enfants en bas âge. Les absinthiques meuren
l'infortune d'Abeilard. Chose assez surprenante, Chave n'est point mort , malgré lagravité de ses blessures; il parait m
LINIQUE NERVEUSE. étiologiques dans ces cas qui n'entraînent pas la mort . II s'agit d'un sujet mort par accident (apople
ues dans ces cas qui n'entraînent pas la mort. II s'agit d'un sujet mort par accident (apoplexie pul- monaire) dans le s
elle résiste à see besoins naturels, sous prétexte que ce serait sa mort d'y satisfaire, pousse des cris et se livre à d
on de santé de Vanves en novembre -1880. En 1875, à la suite .de la mort subite de son père et de l'opération du strabis
surnaturelle,' sa place n'est ni parmi les vivants, ni parmi les morts ; elle n'est plus rien, elle supplie qu'on lui ouv
même temps sa femme et un fils. M. A... s'accuse d'avoir causé la mort de sa femme et de son fils, il est pourri, il a
dans une profonde tristesse, il pleure et gémit; il voudrait être mort et fait des tentatives de suicide. 1880. M. A..
ns à se frapper, à se mutiler, à se crever les yeux, à se donner la mort ; il ne veut ni manger, ni prendre de médicamen
ns au sujet de leurs enfants, comme s'il s'était senti menacé d'une mort prochaine. Au commencement dé décembre 1879, il
son nez et dit qu'il n'a pas de nez. Souvent M. C... dit qu'il est mort , mais pendant des paroxysmes anxieux, M. C... d
mais pendant des paroxysmes anxieux, M. C... dit qu'il est à moitié mort et qu'il ne pourra jamais achever de mourir; il
qui la poussent malgré elle à des actes -violents; elle demande la mort , et cependant elle sait qu'elle ne pourra jamai
n'ont plus de cer- ve.iu,ptusd'estomac,piusdecoeur, etc. Ils sont morts ou bien ne mourront jamais. Transformation de
taques et despériodes de vive excitation intellectuelle ; son père, mort à soixante-qua- torze ans, était asthmatique; u
1881. Il offre une double hérédité morbide, son père alcoolique est mort d'une cirrhose hépatique; son oncle paternel es
lcoolique est mort d'une cirrhose hépatique; son oncle paternel est mort aliéné à l'asile de Pontorson. La mère et la so
leurs contribué à la certitude du diagnostic. Peu de temps avant sa mort , ce garçon jouissait d'une santé parfaite, il é
du choc : Watson'. CopIand,A.itken ? etc., ont observé des cas de mort par apoplexie. D'autres fois, on observe une perl
ques sont paralysés à leur tour, Les poumons s'embarrassent et la mort arrive par la cessation de l'acte respiratoire.
température s'abaisse, les extrémités se refroidissent et enfin la mort arrive dans le coma sans convulsions. Quelquefois
orme spéciale de coma dyspnéique, déterminant assez fréquemment la, mort chez les diabétiques, ne fait aujourd'hui aucun
en dehors des cellules nerveuses, quelle qu'ait été la cause de la mort . P. K. 368 REVUE d'anatomie. IV. Des granulat
ce qui n'a pas lieu dans la forme aiguë. Dans le pre- mier cas, la mort survient par rupture de l'abcès dans les ven- t
substance cérébrale. Dans l'abcès aigu, la maladie évolue vers la mort en huit à douze jours ; .parfois, elle se prolo
s de la sensibilité. Cystite ; contracture. Accidents du décubitus. Mort . Foyers scléreux à travers la région dorsale in
tés. Incontinence d'urine et des matières ; accidents du décubitus. Mort le 15 mai 1880. L'autopsie décèle l'existence d
65 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
L'autopsie n'a pu être pratiquée que quarante-trois heures après la mort . On constate extérieurement à gauche sur la rég
la normale pour se mainte- nir à un taux fébrile élevé, jusqu'à la mort . Nous voulons aussi rappeler que nous avons noi
e 108 depuis le début de la maladie jus- qu'à sa terminaison par la mort , en ayant soin de recher- cher sur eux à des in
OJ¿. - Grand' mère paletvu llo, eczéma- teuse. Grand-oncle paternel mort d'un ramollissement du cerveau. Tante et cousin
oncle paternel mort d'un ramollissement du cerveau. Tante et cousin morts de tuberculose. Oncle eczémateux, al- 30 RECUEI
eczémateux, al- 30 RECUEIL DE FAITS. eoo ? M6, cancéreux. Cousin mort de convulsions. Autre cou- sin idiot. ' Mère,
alalgies. Demi-ltt ? zteii2cite,iielle parais- sant aliénée. Cousin mort de la poitrine. Trois autres cousins et deux fr
ée. Cousin mort de la poitrine. Trois autres cousins et deux frères morts de méningite. Pas de consanguinité. Inégalité d
mplète; diplégie et contracture. Cachexie tuberculeuse progressive; mort . - Température pendant la maladie et après le d
estations saturnines. Il faisait aussi des excès de boisson. Il est mort à quatre-vingts ans. Sa mère, soixante-dix-neuf a
erveux, est eczémateuse. Grands-parents 1)(/te1'- neh et maternels, morts âgés après avoir joui d'une bonne santé. Un onc
s âgés après avoir joui d'une bonne santé. Un oncle maternel serait mort relativement jeune d'un ramollisse- ment cérébr
mmettait de nombreux excès (tel- cooliques. L'un de ses enfants est mort à dix-neuf mois : « Il n'avait aucun signe d'in
e ans se porte bien; aucune maladie nerveuse. Grand-père maternel mort vieux, on ne sait de quoi. Gl'l1llLfmèl'e matemet
Deux frères et deux soeurs n'ont rien de particulier. Un neveu est mort de la poitrine. « Ma mère a eu avant moi et d'u
noires et raconte des choses imaginaires ; elle a eu trois enfants morts de méningite. » Dans le reste de la famille, ni a
e de six ans (père plus âgé). P , ... , Trois enfants : Deux sont morts a cinq et seize mois, de coiiviil- sions, le tl
elle quand il avait bu. Grossesse : émotion vive occasionnée par la mort de l'un de ses enfants, survenue alors qu'où le
avation des symptômes généraux. Signes de tuberculose pulmonaire. - Mort le 5 mai. Du au 11 avril (matin), la températur
z les enfants qui survivent, par les causes les plus communes de la mort , enfin par les effets qui résultent des modific
mode d'influence; c'est ce que l'on observe par exemple lorsque la mort des premiers-nés dans leur toute première enfance
progressif des facultés intellectuelles, accès délirants, démence. Mort à quarante-trois ans par ictus apoplectiforme, (l
ique protestation contre les ivrognes et ces excellents conseils. Mort par l'alcool. Un individu de Saint-Cyr-du-Bailleu
au jeune Chaponais, âgé de huit ans et demi, le pauvre petit en est mort . (Le Bon- homme normand, 10 mai.) On ne saura
un accident d'intoxication. Un autre, arrivé à Os ? 60 d'opium, est mort , dans une nuit, à la suite d'une série d'attaqu
rave; suspension de tous les tymylomes ; récidive après trois mois; mort uu cours d'un état de mul. Léonie L... était, à
teinte hortensia comme cela se produit généralement dans les cas de mort par suite d'état de mal. Sur quelques points di
d'antécédents héréditaires. Syphilis conceptionnelle ; le mari est mort en effet de paralysie générale ; la malade aurait
9 grossesses, et nous y avons relevé 2 fausses couches; 4 enfants morts dans les premiers mois avec des éruptions pemphig
son. Observation IV. - Can..., trente-trois ans, couturière. Père mort d'hémorragie cérébrale. Famille nerveuse. Pas d'a
te délirante à quarante-huit ans. - Grand'oncle paternel cardiaque, mort subitement. - Grand'tante paternelle, folle. -
econd arriéré. Un troisième interné si l'Asile clinique. - Un frère mort de méningite. Pas de consanguinité. - Inégalité
ait morte « asthmatique ». Un oncle paternel, cardiaque, sobre, est mort FOLIE DE L'ADOLESCENCE. 1'15 subitement. Un a
t domestique» et se porte assez bien ; - 2° Notre malade 3° Garçon, mort à deux ans, rachitique, beaucoup de convulsions
arçon, mort à deux ans, rachitique, beaucoup de convulsions, serait mort de méningite; - 4° Garçon mort-né à sept mois e
x d'une tumeur, hémi- plégie droite avec aphasie et hémianopsie. La mort survint au moment où on songeait à opérer. A l'
rnal de Neurologie, 1900, n° 7.) En examinant le bulbe d'un sujet mort d'une hémorragie céré- brale qui avait détruit
Un cas de tumeur cérébrale avec autopsie; par van GEIIUCIITFN et Le Mort . (Journal de Neurologie, 1900, n° 7.) L'intérêt
c'est l'abolition des réflexes rotuliens qui a persisté jusqu'à la mort . Une compression des fibres dans Ja capsule int
Sur les 4 malades opérés pour des tubercules du cervelet, 2 sont morts quelques heures après l'opération, et 2 quelques
. Sur les 12 malades opérés pour des tubercules du cerveau, 1 est mort de shock, 1 six semaines après l'intervention, 3
s souvent sans nausées ni efforts; durée de la maladie, six mois. Mort dans le marasme cachectique. - Le plancher du 4°
it d'une femme. Le délire a évolué, depuis l'adolescence jusqu'à la mort , en passant par trois périodes : une période d'
tités d'aliments énormes et alla jusqu'à manger la viande d'un lion mort , tout en restant d'une maigreur extrême. Mais l
Paris). Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mort des paralytiques généraux, par le Dr Arnaud (de
décapité. On dit que c'est la folie qui l'a conduit à se donner la mort . (L'Indicateur de Cognac, 29 avril.) Le sieur
vait, à plu- sieurs reprises, manifesté l'intention de se donner la mort . (Le Bonhomme Normand du 17 mai.) Une héritiè
la pauvre femme qui atteinte du délire de la persécution depuis la mort de son mari survenue il y moins d'un an, qui av
sin, qui lui laboura le ventre à coups de couteau et le laissa pour mort . Une fillette a été séparée de ses camarades pu
r de locaux d'habitation', il est affecté en réalité à la salle des morts , à la salle- d'autopsie, à la buanderie, à la c
tion future, même dans ces cas qui se terminent rapidement par la mort . 5° Enfin, dire qu'une maladie est d'ordinaire
férences existant dans les lésions post- mortem, chez les personnes mortes de ce que nous avons l'habi- tude d'appeler par
de perte decon- naissance, de vomissements et de délires aigus. La mort survint au bout de douze jours, avec des symptô
- mer d'une façon plus ou moins accentuee, mais incontestable. La mort est survenue par insuffisance cardiaque, onze ans
re Sauter. Tentative d'assassinat et intention suggérée de mettre à mort neuf personnes ; par SC ! IRENCK-NoTZ1NG, (Zeits-
mettant des récompenses en argent et en objets précieux de mettre à mort son mari, trois de ses enfants et cinq de ses a
enir. La somnambule lui a déclaré qu'elle pré- voyait de nombreuses morts dans sa famille et dans son entourage; elle lui
de police qui assistaient à la scène de la confection de l'arrêt de mort cachés derrière une cloison. Ils arrêtèrent Mm0
de ses cinq enfants, et encore moins pourquoi elle avait condamné à mort cinq des amis avec lesquels elle a toujours con
t en effet surpris par le calme avec lequel elle signait l'arrêt de mort de ses enfants et de ses amis. C'est donc un crim
898.) , Il s'agit d'un homme entré en juin 1895 à l'asile où il est mort en juillet 1896 ; il était âgé de cinquante ans
t apposer sa signature sur le document. Depuis ce moment jnsqu'à sa mort , survenue dix jours plus tard, il eut encore pl
ste, journalier, âgé de soixante ans, s'est volontairement donné la mort en se jetant dans une mare, au village de Nogues,
l avait, malgré sa santé chancelante, bien voulu se charger. Il est mort sur la brèche, dans tout l'éclat et la vigueur
ienfaisante peut se mesurer aujourd'hui 'par le vide immense que sa mort vient de révéler. Ce deuil n'est malheureusem
n'est malheureusement pas le seul, nous avons encore à regretter la mort d'un de nos collaborateurs les plus aimés et le
se classer au point de vue de l'évolution, en six groupes : .' 1° Morts dans le cours du premier accès, 3 cas ; 2° Démenc
toires. Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mort des paralytiques généraux. M. L. ARNAUD (Vanv
i, 47 observations personnelles de paralytiques suivis jus- qu'à la mort . Sur ce nombre, neuf ayant été emportés prématuré
s ayant traversé la période d'im- potence, et 19 également qui sont morts debout. D'où cette pre- mière conclusion que la
contractures et sans impotence. En ce qui concerne la cause de la mort , les faits rapportés se divisent en trois group
pportés se divisent en trois groupes : Le premier, celui des sujets morts dans le marasme, comprend seulement deux cas. L
l'agencement intime des centres nerveux étaient à l'état de lettres mortes pour 1(.s anatomistes, et où les idées qu'on se f
ns son lit et tomba comme une masse sur le parquet, où on le trouva mort , victime d'une congestion due à son état d'ivre
jeune Folliot à cet acte de désespoir. Mais l'idée de se donner la mort devait être chez lui bien arrêtée, car, il y a ci
atisante, sujette à des bouffées de chaleur : il dit avoir un oncle mort de mort subite étouffé en cou- rant après des b
, sujette à des bouffées de chaleur : il dit avoir un oncle mort de mort subite étouffé en cou- rant après des boeufs éc
de Je l'idiotie, Hammerberg (hélas ! si prématurément enlevé par la mort ) a fait les plus laborieuses et les plus minuti
malades, prises tous les deux ans, depuis leur enlrée jusqu'à leur mort . Puis il a terminé ainsi : En nous appuyant sur
rcclfie. L'auteur du premier rapport, M. le professeur Korsakow est mort peu avant la réunion du Congrès. Avant de donne
. Le tableau morbide ne s'est pas sensiblement modifié jusqu'à la mort du malade, qui a été la conséquence des progrès d
yante : les maisons sont des forteresses, l'asile est le palais des morts , une prison, tous les mots ont un sens caché. R
n de fer, plus de villes, plus de méde- cins : tous les hommes sont morts , sont brûlés ; le malade n'a pas de nom, ne peu
cis, chan- gement dans le genre de vie, et surtout la maladie et la mort de proches parents. Ainsi délimitée la mélanc
dérangement céré- bral, était sortie de chez elle vendredi soir; la mort est acciden- telle. (Pelit Parisien, 17 septemb
teau au sein gauche et à l'épaule. Auprès d'elle, son mari était mort , avec un couteau planté dans le coeur. Le meurtri
it atteint d'épilepsie et manifes- tait l'intention de se donner la mort . Ce fait, emprunté au Bonhomme Normand du 20 se
vue d'un membre immobile, qu'il considère avec tous les siens comme mort , l'effraie. On est donc obligé de lui inspirer
'extrémité du terrain, se com- pose d'un sous-sol pour la salle des morts et le dépôt des bières, et d'un rez-de-chaussée
Gaetano Corrado sur les altérations des cellules nerveuses dans la mort par l'électricité et ceux de Prévost et Batelli
dans la mort par l'électricité et ceux de Prévost et Batelli sur-la mort pur les courants électriques. Le premier, apr
é du.temps de fermer et-ouvrir le courant à quelques secondes. La mort instantanée s'est produite sans,cris et sans.- pl
ts du. coeur s'ils persistent quelques instants cessent bientôt. La mort est réelle et les' tractions rythmées : de la l
l'autre dans le rectum ou sur le dos bien rasé Le méca- nisme de la mort par les courants continus paraît dans ses grand
plégiques ou le deviennent ; les autres ne présentent, jusqu'à leur mort , aucun accident para- lytique. Peut-être l'exam
ales (grandes cellules du lobule paracentral) chez douze malades, morts de maladies générales (pneumonie, 'tuberculose, l
fut créé il la Charité un quartier spécial d'aliénés, Ernstllorrn ( mort en 1 8 tS) utilisa le premier, en 1818, son ser
et qu'elles subissent une sorte d'épuration par le fait même de la mort avant terme, qui élimine de la famille les élém
e psycbo-primitive. Les deux cas se terminèrent rapide- ment par la mort . Au point de vue anatomo-pathologique, il s'agi
idales (grandes cellules du lobule paracentral) chez douze malades, morts de mala- dies générales (pneumonie, tuberculose
e sur 1'tiphti., i ? : un plus grand nombre de mots sont retrouvés. Mort par hémorragie cérébrale dans le cerveau droit
motrices sont demeurées indemnes ; la malade, trois jours avant sa mort , pouvait encore marcher seule. Il existe une. d
, 1897 et la Deutsche Zeitschr. f. Nervenheilk, 1897. Ce malade est mort de pneumonie. Il croit qu'il s'agit en l'espèce d
t à coups de canne brisait les glaces en pro- férant des menaces de mort pour quiconque l'approcherait. Voyant qu'il ava
se couchait alors avec son enfant sur son lit, puis trouvant que la mort ne venait pas assez vite, elle allait dans la c
auve, 222. Leeper,, 46. .. Legrain, 50, 160. Lemesle, 522. Le Mort , 132. Lentz, 5t. Lepinay, 111. Levait ! ,13
66 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
ns convulsion. Grand-père paternel migraineux et èpileptique ( ? ), mort subitement en 2 ou 3 heures. Oncle paternel èpi
sions. Frère, convulsions suivies d'idiotie avec athétose double, mort à Bicêtre. i Asphyxie à la naissance. Début d
amais présenté, au dire de sa femme, d'accidents nerveux. Son père, mort en 2 ou 3 heures, à 73 ans, était migraineux et
ne grand'mère est morte à 83 ans. paralysée et démente. Deux frères morts jeunes on ne sait de quoi. Une cousine est mort
e (21 mois), il ne parlait pas du tout. Envoyé à l'école (1) Il est mort dans le service en novembre 1889; il était attein
aines Ûurant les grossesses. Grand-père maternel, excès de boisson, mort d'un cancer de l'esiom&c. Grand-oncle mater
e boisson, mort d'un cancer de l'esiom&c. Grand-oncle maternel, mort « d'une fièvre chaude ». Cousine maternelle, su
igence. Phtisie ; dépérissement progressif. Congestion pulmonaire : mort rapide. . , " Autopsié : Arrêt de développeme
ents. (Renseignements fournis par sa mère le 2 février Ï890.) Père, mort à 52 ans d'une bronchite" chronique datant de 1
beaucoup. Caractère doux. [Famille du père. Père, bûcheron, sobre, mort à la suite d'une piqûre dans les bourses par un
t jamais durant la grossesse. [Famille de la mère. Père, menuisier, mort à 75 ans d'un cancer du pylore, était un buveur
alade et jouit actuellement d'une bonne santé. Grand-père paternel, mort à 80 ans, sobre, ni dément, ni paralytique. Gra
e. Grand'mèrepalcrnelic, morte à 78 ou 80 ans. Grand-père maternel, mort presque subite- ment à 80 ans. Grand'mère mater
à 52 ans d'une affection de la jambe ( ? ). Deux oncles paternels, morts tous les deux assez jeunes et. très rapidement,
sine. Antécédents. 83 Un oncle maternel et six lanles maternelles morts assez âgés et laissant des enfants d'une excell
nt des enfants d'une excellente santé. Quatre frères dont deux sont morts , on ne sait de quoi, les deux survivants et leu
ants et leurs enfants sont bien portants. Quatre soeurs dont deux mortes ( ? ) et deux en bonne santé; une de ces dernière
x en bonne santé; une de ces dernières, mariée, a eu 6 enfants tous morts (deux de diarrhée infantile, un d'angine, un tu
ovembre. État désespéré. Matin : T. R. 40°, 4. Soir : T. R. 40°, 6. Mort le 4 novembre à 4 heures du matin.. Poids après
u, canilie com- plète en une nuit (1870), caractère un peu emporté, mort probablement d'un cancer de l'intestin. Grand-p
intestin. Grand-père paterwl, attaque de paralysie. Oncle paternel, mort a sa 3e attaque apoplectique (hémiplégie gauche
lle, paralyti- que. Un grand-oncle et trois cousines maternelles, mortes de la poitrine. Petite cousine maternelle, morte
on auec succès. 1893. Coqueluche; Prolapsus du rectum. Bronchite; mort . ' Autopsie. Os du crâne minces. Persistance de
1893. Jîenseig'nements fournis par sa mère (octobre. 1891). Père, mort , à54 ans, enoctobre 1891, probablement d'un cance
maçonnerie, est intervenuet l'a sauvé. » [Père, instituteur, sobre, mort à 72 ans d'une attaque de paralysie. Mère, mort
l sur les gra ? 7.ds-paren £ s maternels et paternels. Un frère est mort d'uneiluxion de poitrine, laissant une fille en
isième attaque de paralysie ; il a eu 6 enfants, 3 bien portants, 3 morts on ne sait de quoi. Une soeur est morte à 15 jo
ait de quoi. Une soeur est morte à 15 jours. Deux oncles paternels, morts à 98 et 70 ans, un troisième vers GO ans d'une
s'est produite à 49 ans : elle avait ses règles quand son mari est mort , elles ont ce-sé et n'ont .reparu qu'au bout d'
isme. C'est une femme intelligente, cl d'un caractère calme. [Père, mort àfiÛ ans, hydrnpique : on ne peut préciser dava
nd'mère maternelle, morte noyée par accident. Un oncle paternel est mort après (iO ans, on ne sait de quoi; un autre, an
rès (iO ans, on ne sait de quoi; un autre, ancien commandant, est mort de lièvres intermittentes et d'une maladie de ves
de poitrine; un 4 ? d'une tumeur de cou. Celui-ci a eu deux filles, mortes de la poitrine. Trois Innlex paternelles, morte
a eu deux filles, mortes de la poitrine. Trois Innlex paternelles, mortes l'une d'il ne maladie de coeur, l'autre d'uneil
ne méningite à l'âge de (S mois. l'as de laule maternelle. Un frère mort à 2 mois, on ne sait de quoi. 3 .sn'itcs, l'une
arçon, 25 ans, aucun accident nerveux ; 4° notre malade ; 5g Garçon mort à 4 ans du croup, sans convulsions. Antécéden
/2 de l'après-midi. Poids après décès : 18 k. 800. T. H. après la mort : 38° ; 1 heure après ; 37°, 1 ; 2 heures après :
e dans le tube. De nombreux cylindres existent formés de cellules mortes ne se colorant plus èt de masses vitreuses. Dan
aravant était devenue foule blanche en une nuit, à la suite de la mort d'un de ses enfants. III. Tout d'abord le lecte
de température, relevons aussi la marche de la température après lu mort . Les notations qui ont été faites indiquent l'a
uili- bre avec le milieu ambiant et fournit ainsi un signe cle la mort d'une valeur incontestable. VI. Bien que Marie
67 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
ale et de la division des aliénés, et d'y construire le service des morts et des autopsies, le musée, les labo- ratoires,
la voix est rauque, stridente, érail- ' Chez Then..., dit le Pacha, mort , il 2-Í ans, la fontanelle persistait. 11 en es
and il est ivre. Amélina F... a eu deux frères, ses aînés. Ils sont morts en bas âge, l'un du croup, l'autre de la dysent
malade ci trente et un ans. Absence probable de la glande thyroïde. Mort dans le marasme ci trente-deux ans. Elisa X...,
alcoolique et olie rhumatismale. Grand-père paternel alcoo- lique mort du delirium lremens. Grand-oncle paternel alcoo-
m lremens. Grand-oncle paternel alcoo- lique. Deux cousins germains morts à Bicêtre. Grand-père maternel aliéné. Une tant
nel alcoolique avec accès de delirium tremcns. Petit-cousin du père mort idiot à Bicêtre. Mère migraineuse. Grand - père
te d'apoplexie. Mère migraineuse. Grand-père maternel alcoolique et mort d'ivresse comateuse. Début de la maladie à 14 a
: cousins germains. Père colère. Grand-père paternel alcoolique et mort d'apoplexie. Grand'mère maternelle morte subite
. Cousine ma- ternello traitée dans un asile. Huit oncles ou tantes morts de convulsions. Ennuis et troubles intellectuel
migraineux et nerveux, quelques excès alcooliques. Cousin paternel mort de convul- sions. Mère migraineuse et nerveuse.
ma- ternel apoplectiqne. Grand'mère maternelle alcoolique. Oncle mort subitement. Tante aliénée. Début congénital. 20
epsie idiopathique. Grand'mère maternelle, attaques de nerf ; frère mort à 3 ans de fièvre cérébrale avec convulsions ;
ans sans cause connue. Etat de mal à 14 ans ; nouvel état do mal et mort à 15 ans; pas de lésions en foyer. La figure
yromanie et kleptomanie ; état de mal à 22 ans ; méningite guérie ; mort dans un accès; pas de prédominance dos secousse
rand'mère paternelle alcoolique. Mère nerveuse. Grand'père maternel mort d'une affection nerveuse. - Grand'mère maternel
nerveuse. - Grand'mère maternelle hystérique. - Bisaïeul maternel mort des suites d'une attaque d'apoplexie. Oncle mat
de mat. - Agitation maniaque post-épileptique. Bromure de nickel. Mort par asphyxie dans un accès. Autopsie : Ecchymos
e peau ; mariée à 22 ans ; aucune maladie depuis le mariage. [Père, mort en 8 jours d'une affection cérébrale, à 73 ans;
ques au- raient continué après son mariage. - Grand-père paternel mort vers 30 ans, on ne sait de quoi.- Grand'mère pate
elle morte à 80 ans; elle était en enfance. - Grand-père maternel mort à 69 ans des suites d'une attaque de paralysie. -
de paralysie. - Grand'mère maternelle, pas de détails. Un frère est mort phthisique à 25 ans, à la suite d'excès de tous
ons, l'autre est bien portante et a eu 14 enfants, dont neuf sont morts jeunes en nourrice, on ne sait de quoi. Ni aliéné
t plus rien depuis cinq ans.) Huit enfants : 10 Garçon né à 8 mois, mort à 4(i jours; pas de convulsions. 2° Fille née à
ujon ; pas de convulsions, pas d'attaques ; intelligente. 7° Garçon mort d'une cholérino à DÉBUT DES ACCÈS. 41 7 mois;
uillerées jusqu'à la lin de septembre. Il () MARCHE DE LA MALADIE ; MORT . 17 novembre. Onanisme après ses accès. Engourd
nt qu'on envoyait chercher l'interne de garde qui trouva l'enfant mort . Le veilleur a prétendu quo l'enfant était couché
ès. Voici le Tableau des accès depuis l'entrée à Bicêtre jusqu'à la mort . AUTOPSIÉ. 47 Autopsie faite trente-deux heur
la mort. AUTOPSIÉ. 47 Autopsie faite trente-deux heures après la mort . Sur l'ab- domen, plaque verdâtre répondant à l
ante ma- ternelle et arrière-grand-père aliénés. - Frères et sreurs morts de convulsions. - Pets de consanguinité. - Inég
les; elle est ner- veuse mais n'a jamais eu d'attaques. Grand-père, mort d'un cancer delà face. Cousine, idiote épilepti
- sanguinité. Sept enfants : 1° garçon, né avant terme (forceps), mort à deux jours après avoir eu quelques convulsion
ans de convulsions; 3° notre malade ; 4° garçon né à terme, chétif, mort à six semaines on ne sait de quoi ; 5° garçon â
ien portant, n'a jamais eu de convul- sions, intelligent; 6° garçon mort à l'âge de huit jours; 7° fille bien portante,
maternel, le ne ? vosisme et l'aliénation mentale. Notons aussi la mort par convulsions de plusieurs frères et soeurs.
cour, contiguës d'un côté à la porcherie, de l'autre à la salle des morts , loin de toute surveillance. Ces cellules ont é
tué dans la cour de labuan- derie, des chantiers et de la salle des morts . Le jour provient d'une petite fenêtre, de 20 c
68 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
démon : « Malheureux, qù’osez vous faiic? « Vous ressuscitez les morts , « Quand nos docteurs les plus foris • l'ont
ment pour les vivants, s'est exercée souvent jusque sur la cendre des morts . II est curieux pour nous aujourd'hui d’apprend
é, du verbe, de l’action visible. Le Christ ne s’apercevant pas de sa mort , ayant assez perfectionné l'être intérieur par de
présence tout un cortège de malheureux que la douleur assiège, que la mort guette et poursuit. Mes élèves le comprirent, et
as l’impossible; rappelez-vous que le terrible travail qui précède la mort se fait souvent et commence peu après la naissanc
pailles crises d’un nature toute particulière: une espèce de coma, de mort apparente môme. Et c’est ainsi que nous la vîmes
Journal des Débats du 19 janvier contient une longue histoire sur un mort magnétisé. Sans doute l’auteur s'est plu à rendre
l’agent des plus inconcevables prodiges. S’il ne peut ressusciter les morts , plus que le galvanisme il peut du moins ranime
ers pas, voulant marcher dans l’ombre, et c’est en te secouant que la mort la rallume (1). . - (1) Ces philosophes ont-i
lus étonnés de la voir sur pied; déjà ils la comptaient au nombre des morts . Dieu a exaucé mes vœux, il lui a rendu la santé
lier-Bonnette. Reims, 3 mars 1846. VARIÉTÉS. Anniversaire de la mort de Mesmer.—À cette occasion, M. du Potet a pron
smer touchait ses malades avec une baguette de fer. Un de ses élèves, mort l’année dernière à Lyon, avait même conservé cett
de* malades sonims i une diète prolongée. Mais le cas d’un condamné à mort , Viterbé, est «le* plus remarquables. Ayant résol
vaudrait croire que le canard de Vaucanson est un véritable canard. Mort de M. Virey. — « Vanité, tout n’est que vanité !
ux docteurs en médecine, a fait exhumer le cadavre dii nommé Cha-pus, mort il y a deux mois, à la suite d'un traitement pres
la circonstance. On attribuait à la puissance magique de ce papier la mort subite du musulman; mais d’autres détails m appri
rodisiaque tellement fort que le Turc fut trouvé, le lendemain matin, mort à côté de sa nouvelle épouse; et Achmed, que le p
fait rapporté ci-dessus, et cet exil, cause fréquente de beaucoup de morts mystérieuses, avait fait courir le bruit de son e
ttant et frappé au cœur, Jeanne d'Arc dans les tortures du bûcher, la mort de Cléopâtrc, Guillaume Tell condamné par Gosier
dernier numéro l’exhumation d’un nommé Cha-pus qu’on prétendait être mort des suites d’un bain de vapeur ordonné par une so
es qui succomberont par suite d’un traitement médical seront déclarés morts guéris; ceux qui abandonneront la médecine avant
ur du roi soit jamais intervenu pour ordonner l’exhumation de malades morts dans les mains de Broussais. Il est vrai que Brou
lu* voir quelque chose de plus important, et ce qui-se passerait à la mort du roi, mais sans en rechercher' le temps, qui ne
us, conservent sa mémoire comme le seul tribut qu’on puisse payer aux morts . Mais l’on n’acquitte pas toujours cette dette sa
norance aveugle. « 11 naquit il y a aujourd’hui cent douze ans ; sa mort date de 1815. Il est temps de rendre publiquement
le marquis de Puységur, fils de l’illustre magnétiseur de ee nom, est mort à Paris le 7 mai. S étant peu occupé de magnétism
avoir sous ses yeux les misères humaines et la vie aux prises avec la mort ? Il n’est qu’un seul cas où l’état du médecin lui
lcctro magnétique. 13, 265 — royal de Paris. 103 Anniversaire de la mort de Mesmer. 139,160 — dosa naissance. 303 Acad
222, 288 Magie. 201,234,261, 325 Machination du Constitutionnel. 288 Mort de M. Vlrey. 199 — de M. de Puységur. 323 Mal
ulait sans aucun consentement des victimes, et les livrait ainsi à la mort . « Le peuple voulait s’emparer du moine et le f
’est plus pour l'homme une énigme vivante, Une œuvre du hasard que la mort épouvante ; C’est un ange exilé du ciel ! Ado
’épine ; Le Christ, accomplissant sa mission divine, N’est-il pas mort pour ses bourreaux ? Imitons l’exemple du maîtr
alades qu’il voulait opérer en cet état. Nous avions accepté, mais la mort est venue surprendre cet homme habile et sans pré
re en cette extrémité? LE DOCTEUR. Ne va pas l’aviser de faire le mort , on pourrait te disséquer tout vivant. MALADE.
tant, que l’animal à son commandement se couche sous lui, feignant le mort , et reste ainsi jusqu’à ce qu’il soit tiré, par u
’ils étaient si bien ravis en extase que leurs corps demeuraient pour morts et insensibles; de sorte que les ennemis d’Hermon
st donc aussi fausse que cette raison ; elles mènent toutes deux à la mort , et c’est pour cela qu’elles sont mortes l'une et
elles mènent toutes deux à la mort, et c’est pour cela qu’elles sont mortes l'une et l’autr«. Mais assez sur elles; car si
rêverie qu’il appelle la vie et dont il ne doit se réveiller qu’à la mort , époque où l'homme, nous assurent nos idéalistes,
au moral, sur les personnes et sur les choses, dans la vie et dans la mort . Nous avons étudié précédemment les hallucination
fascination était matérielle! Un médecin, affecté péniblement de la mort récente d’un ami, se trouvait obligé de continuer
venu un de ces nécromanciens qui évoquaient d’un coup de baguette les morts et les vivants. Je m’arrête. Le plus profond sile
i propage le laid comme le beau, le crime aussi bien que la vertu, la mort en môme temps que la vie. C’est dans les archives
utions de * Etal les y conduisent, et c’est là qu’ils brillent ! La mort du duc de Montmouth n’édifia pas lo public parce
l le tue sur le théâtre; ce qui fait que, dès qu il le croit blessé à mort , il lui donne un coup de pied et le jette en bas
fait une arme du plus grand mystère de ce monde. La fascination de la mort n’est pas toujours volontaire, et fort heureuseme
tieux de la vie en s'élevant du berceau, autant il est désireux de la mort en s’inclinant vers le tombeau. Rappelons-nous ce
aspire encore à celle de la tombe, et la nature a élevé l’idée de la mort à l’extrémité des chagrins, comme Hercule ses col
monde. « (Essai sur les Révolutions.) Et, ajouterons-nous, comme la mort n’est que le repos éternel, elle doit être pour l
le repos ordinaire est pour chacune do ses fonctions. La véritable mort , la mort à terme, vient toujours comme un bienfai
os ordinaire est pour chacune do ses fonctions. La véritable mort, la mort à terme, vient toujours comme un bienfait : pourq
ans certaines maludies aiguës, dans la gangrène et la congélation, la mort n’est pas seulement un sommeil, elle est aussi un
urpris par le froid demander en grâce qu’on ne les délivrât pas d’une mort délicieuse. Pour les hommes profondément religieu
pas d’une mort délicieuse. Pour les hommes profondément religieux, la mort ne sera jamais une peine, et souvent elle est une
ie vivante, on comprend encore que cet abus de la vie ou ce jeu de la mort ait de plus en plus propagé sa démence au sein d’
est, Cœsar : servit etipsa Venus! Lors môme que la fascination delà mort n’est point soutenue par l’exaltation religieuse,
idémie, c’était le son des cloches, annonçant le départ de chacun des morts aux vivants. Don Pablo Olivadès, corrégidor de Sé
Il ne se passait point de jour sans que les cloches n’annonçassent la mort île plusieurs accouchées. On croira difficilement
s, de ce qui précède, on ne doit pas induire que la fascination de la mort est égale pour les deux sexes. Il est évident qu’
fascination. Ainsi le contraste des idées funèbres que le fait de la mort implique et des riants tableaux que la vue de la
is que la Providence ordonne. Faut-il même le dire? fascination de la mort et organisation de la femme se rapprochent parfoi
sieurs cordes à la fois; et la fièvre imitative, sympathisant avec la mort , parait être la plus basse de ces cordes. Ce qui
ue toutes les femmes que l'on trouverait pendues seraient, après leur mort , exposées dans un état do nudité complétera corde
e contagicusement aux femmes le goût de la douleur et le besoin de la mort , dans le seul but de rendre ces créatures privilé
tre le magnétiseur et le magnétisé. A.-R. Guinand. VARIÉTÉS. LA MORT ET LE MÉDECIN. ('.'.•si à la Mort seule que je
A.-R. Guinand. VARIÉTÉS. LA MORT ET LE MÉDECIN. ('.'.•si à la Mort seule que je suis redevable D’avoir recouvré la s
à la Mort seule que je suis redevable D’avoir recouvré la santé. La Mort n’a pas renom d’être si charitable, J’en conviens
lle allait avancer le moment redouté. Arrête!... m’écriai-je, arrête! Mort cruelle!!! Je sus d ton empire un apprenti soutie
la vie Pour ma rançon je l’en offrirai mille! — Mille! soit, dit la Mort , guéris; Mais souviens toi A quel prix je te
éressent si vivement l’histoire du magnétisme. Biographie. — Il est mort l’année dernière, à Lyon, un des derniers élèves
du procès de Marie I5u-caille, accusée de sorcellerie et condamnée à mort parle tribunal de Valogne, vers 1700, qu’elle « t
ujets, elle avait l’habitude de s’adresser à un certain Tliorne Reid, mort à la bataille de Pinkie, le 10 septembre 1547, qu
i donnait, et à présager, d’après leur effet, le rétablissement ou la mort du patient. Des guérisons furent la suite de ses
de me donner en plus un catarrhe de « vessie... Mon enfant, lui, est mort ... le pauvre ançe « ne pouvait vivre ! « A 24 a
s de ces belles ladys sur qui notre magicien avait droit de vie et de mort , et qui l’appelaient leur ange; plusieurs portent
corps est le ver, l’autre est le « papillon. Ce que nous appelons la mort n’est autre a chose que la pénible métamorphose q
'un équilibre parfait un repos, une immobilité qui ressemblerait à la mort , en faisant cesser tout mouvement intestin, dans
point le but; et, mécontent de lui comme il l’était de vous tous, la mort lo surprend au moment où il avait résolu de tourn
ocie : quatre grands aspects de la vie, quatre grands problèmes de la mort . « L’Eglise a posé et résolu le dernier dans ce
expliqueraient le mécanisme de ces guérisons inespérées, comme de ces morts promptes que rien ne peut encore faire comprendre
s publiques, comme le Christ, faire parler les muets, ressusciter les morts , faire, en un mot, le plus petit miracle? « Un
à fait courbée sous le joug, qu'il y a quelque chose au delà de la mort . Oui, je crois à cela de loul mou cœur. Mais c’es
rsonne fût en droit de pousser une plainte légitime, sans que l’homme mort par l’imprudence ou l’incurie du médecin pût trou
ion et la législation. 30, 93, 121, 250 Malade et le médecin (le). 40 Mort et le médecin (la). 179 Médecine jugée par les mé
69 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
que peu de renseignements. Le père de sa grand' mère paternelle est mort aliéné dans une maison de santé, près de Nancy.
re des migraines. Le malade a eu huit frères ou soeurs. Quatre sont morts : trois en bas âge, de convulsions ; une de ses s
me. A vingt-cinq ans, il se marie. Il a eu trois enfants : l'un est mort de croup; les deux autres sont bien portants. L
ute-t-il, je ne serais pas comme je suis aujourd'hui. » Depuis la mort de sa femme, il est tombé dans la plus alfreuse t
n renseignement précis sur leur histoire pathologique. Son père est mort à soixante-sept ans d'une fluxion de poitrine;
eu, en onze ans, treize enfants. Tous, à l'exception dc deux, sont morts , en bas âge, de convulsions. Parmi les deux survi
s. Père alcoolique, atteint à deux reprises d'aliénation mentale et mort dans une maison de santé à Lucerne. Mère bien p
e. Mère bien portante, non nerveuse. M... a eu dix frères ou soeurs morts en bas âge pour la plupart. L'une est morte dan
oup de chagrin. II ne se rappelle plus aujourd'hui la date de cette mort ni l'âge précis de ses enfants. Depuis cette ép
dans le service de M. le D' Joffroy. Antécédents héréditaires. Père mort accidentellement; n'était pas nerveux. Mère mor
le suivie d'hémiplégie gauche. Ils ont eu quinze enfants : dix sont morts , deux, en bas âge, dans les convul- siotts. Par
e de la température, hémiplégie droite, attaques épilepti- formes ; mort par bronchite. A l'autopsie, absence de lésions d
qui ressort de ses descriptions; son père était goutteux et il est mort d'une attaque d'apoplexie. Lui-même, de haute t
x-huit ans, meurt le 5 octobre 1875. Antécédents héréditaires. Père mort d'apoplexie cérébrale, il avait eu la danse de
te. Le grand-père était garde forestier; c'était un ivrogne qui est mort alcoolique. La grand'mère est inconnue. Le mala
malade, parmi ses oncles et tantes, n'en a connu qu'un seul qui est mort des suites d'une amputation de jambe, après avo
rsonnels. - Il est le sixième et dernier enfant; trois enfants sont morts du croup ou de convulsions. Il est marbrier et
e voyait dans une espèce de charnier, entourée d'un grand nombre de morts , dont les cadavres pourrissaient et infectaient l
la tristesse du chloroforme : l'air irrespirable et la sensation de mort prochaine. On peut donc dire que chaque impress
e à la suite de l'opération que je propose. Deux de mes opérés sont morts du croup, l'un quatre semaines, l'autre cinq se
s. La moyenne des guérisons opératoires a été de dix jours. Un seul mort au bout de 48 heures; c'était une petite fille âg
ccident nerveux. Il faisait les mêmes exercices que son fils et est mort d'accident. Sa mère était migraineuse et est mo
épileptique, morte en état de mal, a l'âge de trente-six ans. Père mort de pneumonie à soixante-huit ans, pas nerveux,
l'hérédité, rien de particulier à noter. Son frère et sa soeur sont morts en bas âge de convulsions. Le malade eu question
a aussitôt dans son pays et nous avons appris plus tard qu'il était mort au mois de juillet, sans connaître la cause de ce
ew-York, marié depuis quatorze ans. Un frère bien portant; un frère mort de soif dans le désert d'Arizona. Ses parents son
t; un frère mort de soif dans le désert d'Arizona. Ses parents sont morts : son père est mort de la fièvre jaune à la Nou
oif dans le désert d'Arizona. Ses parents sont morts : son père est mort de la fièvre jaune à la Nouvelle-Orléans en 1858;
intercéder près du saint évêque guérisseur des écrouelles après sa mort , très probablement parce qu'il en avait souffert
saint Etienne guérissaient de la pierre, l'un parce qu'il en était mort naturellement, l'autre parce qu'il avait été la
et paraissent l'âge qu'ils ont. Armandine a eu deux frères qui sont morts en bas âge, l'un à six ans, de méningite, l'aut
le, la grand'- mère vit encore en bonne santé, le grand-père serait mort d'une attaque d'apoplexie. En somme, ni son p
né à ces cris. Quelques mois après, le 1" novembre 1880, « jour des morts », avec sa famille, elle revenait de voir au ci
le, elle revenait de voir au cimetière d'Ivry la tombe de son frère mort depuisunan à peine. A la gare de la Maison-Blanch
e service de M. le docteur Joffroy. Antécédents héréditaires. Père, mort d'accident, pas nerveux. -1}1 ère, morte d'une
égie gauche. Frères et soeurs. Ils ont été au nombre de 14. 10 sont morts la plupart jeunes, 2 avec ÉTUDE CLINIQUE DES TR
orze ans, jamais régulièrement, elle a eu deux enfants : l'aîné est mort à deux ans (méningite); l'autre est bien portant.
tranquilles. Marié, il a eu sept enfants; deux de ses enfants sont morts du croup; les autres sont bien portants. Après la
essus morbide et évolue avec une telle rapidité qu'elle entraîne la mort de la malade en six mois. OBS. XXXII. Polio enc
e Eichhorst, comment la paralysie glosso-labio-laryngée entraîna la mort six mois après l'apparition des premiers accident
but, l'affection est restée localisée. Dans la forme subaiguë, la mort parait fatale dès que se manifestent les premie
ions fibrillaires. Les symptômes bulbaires Vs'aggravent rapidement. Mort le 20 août. 71 l'autopsie, pas de lésion centra
ée doivent être regardés comme s'étant formés peu de temps avant la mort . En somme, l'autopsie est négative, fait d'auta
, de violentes céphalées, des signes d'ataxie et de la paresthésie. Mort après sept ans de maladie. A l'examen du cervea
rtout crises laryngées excessives ; bientôt escarres au sa- crum et mort . Autopsie. Sur une coupe transversale du bulbe
e attaque apoplectique, L'autopsie ne donne pas l'explication de la mort subite, le cerveau était seulement congestionné e
après. Bcetticr fait remarquer que la psychose persista jusqu'à la mort . Autopsie. - Épaississement généralisé de la du
ebout, titubation. Som- nolence perpétuelle, progressive jusqu'à la mort qui arrive le 17 février 1875. La température p
éré. Cinq fois sur six l'affection s'est terminée rapidement par la mort dans un laps de temps variable de six à vingt j
nnes assez graves et rebelles. Elle a eu trois enfants, dont un est mort à deux ans, en 1872. Depuis cette époque, elle
à 100 ; température 38°. Catarrhe bronchique. Albuminurie médiocre. Mort le 11 novembre par aggravation des symp- tômes
usculaire. t 8° C'est une affection des plus graves qui entraîne la mort ou fait ¡ du malade un véritable infirme : il n
e dit être bien por- tante, elle a eu sept enfants, dont trois sont morts jeunes (une fille morte onze ans de méningite,
eunes (une fille morte onze ans de méningite, un garçon de sept ans mort également de méningite et un garçon mort à six
ite, un garçon de sept ans mort également de méningite et un garçon mort à six ans d'une fluxion de poitrine), et quatre
OMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 301 signaler. Grand-père paternel mort d'apoplexie cérébrale. Son père et sa mère étai
érébrale. Son père et sa mère étaient cousins germains. Le père est mort accidentellement; il était alcoolique. Sa mère
cinq enfanls (sa femme n'a pas fait de fausses couches); deux sont morts , l'un du croup, l'autre de rougeole. Les trois au
es- seur Charcot en décembre 1885. Antécédents héréditaires. Père mort de tuberculose pulmonaire à l'âge de quarante-c
t encore, elle est sujette ala migraine. Le grand-père paternel est mort subitement d'une rupture d'anévrysme. La malade
e rupture d'anévrysme. La malade a deux tantes maternelles qui sont mortes d'affections cérébrales de nature indéterminée.
s d'lads- térie, l'autre est migraineuse, et deux frères : l'un est mort de tuberculose pulmonaire, l'autre est nerveux,
seuse, entre le 8 décem- bre 1885. Antécédents héréditaires. Père mort , il y a cinq ans, de tuberculose pulmonaire. Mè
seur Dieulafoy, à l'hôpital Necker. Antécédents héréditaires. Père, mort à trente-neuf ans de tuberculose pulmonaire. C'
des idées noires. Frères et saurs : au nombre de quatre. Deux sont morts en bas âge ; l'un du croup, l'autre des convulsio
s, on ne trouve aucune tare héréditaire névropathique. Son père est mort à trente-quatre ans de tuberculose pulmonaire.
nte. Il n'a ni frère ni soeur. Un oncle et une tante paternels sont morts de tuberculose pulmonaire. Antécédents personne
éformant. Elle appartient à une famille de douze enfants : l'un est mort de tuberculose pulmonaire, un autre de péritonite
ondriaques, de nerveux. Un oncle et une tante du côté paternel sont morts subitement. , Antécédents personnels. - Depuis
nts du côté paternel inconnus du malade; ceux du côté maternel sont morts , l'un de vieillesse, l'autre d'apoplexie cérébr
ts, l'un de vieillesse, l'autre d'apoplexie cérébrale. Son père est mort à soixante-quinze ans. C'était un « original qu
l'observation de Thomsen. Tout est-il hystérique- dans ce cas ? La mort semble se rattacher étroitement, comme dans que
e dans l'hystérie par l'hystérie. Il rappelle queMcyer2 attribue la mort de trois hystériques 1. Gilles de la Tourette,
chez ce malade, la plupart des accidents relèvent de la névrose, la mort exceptée. Bien souvent la véritable cause de la m
la névrose, la mort exceptée. Bien souvent la véritable cause de la mort , même chez les gens qui étaient porteurs de gro
e ignorée, et, d'autre part, un hystérique n'est pas à l'abri de la mort su- bite vulgaire. Du reste, ces exemples d'hys
r s'il n'est pas des cas d'hystérie grave qui puissent entraîner la mort , nous pensons qu'il est actuelle- ment impossib
coléreux et emporté. M... a eu quatorze frères ou soenrs. Douze sont morts , la plupart de tuberculose pulmonaire, vers l'a
t bien portante. Cécile V... a eu quatre frères ousoeurs : l'un est mort de rougeole, deux sont bien portants et ne sont
nt-Charles, n° 24, à Pllôlel-Dieu. Antécédents héréditaires. Père mort il quarante-quatre ans phthisique et éthylique.
le 24 décembre 1888. Antécédents héréditaires. Grand-père paternel mort à soixante-douze ans d'un cancer du sein. Grand
rand'mère maternelle morte il soixante-dix ans. Grand-père maternel mort à quarante-sept ans, un peu buveur. Aurait élé
estomac à l'âge de quarante- quatre ans. Un oncle maternel serait mort à trente-sept ans, à la suite d'un accès de col
à trente-sept ans, à la suite d'un accès de colère violente. Père mort de bronchite chronique à quarante-six ans, un peu
otre malade; 4° fille morte de convulsions à dix-sept mois; 5° fils mort phthisique à vingt ans; Go fille morte à quatre
oir, 40. 25 décembre. T. matin, 39,6 ; soir, 41,2. 20 décembre. - Mort à 1 heure du matin. Un quart d'heure après la mor
. 20 décembre. - Mort à 1 heure du matin. Un quart d'heure après la mort , la température monte à 41,8. Depuis le début d
des cas où une application malheureuse de cette méthode a causé la mort du malade. L'aggravation des symptômes se renco
tion de la suspension elle-même. Les cas, très-rares d'ailleurs, de mort doivent être divisés en deux ca- tégories : dan
- rance ou à l'imprudence; dans l'autre catégorie, les causes de la mort doivent être cherchées dansles effets physiolog
parvenues notre connais- sance, nous en trouvons dans lesquelles la mort a été due à la strangulation par le collier dép
té due à la strangulation par le collier déplacé. Parmi ces trois morts , il y en avait un qui était médecin et qui a pr
ès une des séances le malade est tombé dans un état comateux et est mort dans les vingt- quatre heures. Un cas analogu
faisait suspendre par son domestique. Une des séances fut suivie de mort au bout de vingt-quatre heures. On cite aussi
ecins fut suivie non seulement d'accidents menaçants', mais même de mort . Ainsi Borsari (29) cite un fait où, après la h
ension. L'autopsie ne put donner d'indications sur les causes de la mort . Les résultats thérapeutiques positifs et négat
t, mais comment expliquer alors les aggravations de leur état ou la mort ? Il faut remarquer en outre que quand il y a a
ndant qu'il était suspendu, par un coup de marteau sur la tête ; la mort était instantanée; quand les battements du coeu
70 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
ants, et surtout chez les médecins. 11 semble que ce soit une lutte à mort entre (leux systèmes, et nous pouvons dire entre
r autorise ces pratiques toutes les fois qu’il y a danger imminent de mort , suppression ou oppression du principe vital. A
les poignets. Les médecins 11e savent pas même dire quand nous sommes morts . EURATOM. Dans le dernier numéro, page 6C5, l
gothique école, pendant quatre mois, et près de deux années avant sa mort , ne s’est-il point aveuglément livré à l’action d
ondre avec absolue, qui n’est qu'au cimetière, et n'est que là : lu mort seule met tous les hommes de niveau. les paro
ait fait le métier de médium, qu’il avait été censé parler au nom des morts , qu'il avait fait mouvoir et parler les tables,
sé par la chute, et dans le cas d’épancheraent de sang au cerveau, la mort serait inévitable. M. Lewis. — Je dois faire ob
moi, je considère celte question comme extrêmement sérieuse, et si la mort de l’enfant s’ensuit, une enquête aura lieu. 11 n
le corps de la marine, a raconté mille fois ce trait héroïque. « La mort du colonel du régiment de la Martinique est citée
oi une vérité. Si ce n’était qu'erreur, il y a longtemps qu'il serait mort , car l’erreur, une fois bien combattue, ne se rel
et, qu’il croyait qu’un somnambule lucide pouvait évoquer et voir les morts ou décédés. M. C.ahagnet, ayant un lucide, essaya
e Fox, à féconder et propager le moyen de relier les vivants avec les morts , le visible avec l’invisible ! (i Que vous deve
les, et surtout les malheureux. Sa grand’mère était à l'article de la mort ; toute la famille éplorée était autour de la mour
rps sans âme. Ainsi l’isolement total de l’âme, du corps, est bien la mort . L’âme ne s'isole donc pas du corps, au moins com
pètent la même idée de vélocité. Mais ce n'est pas seulement après la mort que se manifeste cette facilité de locomotion. Si
l'aliénation aurait lieu, état qui, dans tous les cas, cesse après la mort , et dont les décédés ne se rendent pas ordinairem
stres; h° songes où l'on se voit soi-même; 5" songes où l'on voit les morts ; 6° songes qui offrent des visions diverses. Ces
s esprits qui vous entoureront prendront, surtout aux approches de la mort , les formes les plus hideuses, vous plongeront da
ou l’époque depuis laquelle il est désincarné. Peu de temps après la mort , ils annoncent volontiers leur présence par des c
ne de reconnaissance envers ce Dieu miséricordieux qui, du sein de la mort , fait germer des consolations si douces ; c’est u
etentissait dans mou âme ; remerciez-le, ce Dieu qui, au milieu de la mort , m’a fait goûter les bienfaits de son amour. Les
; enfin, le 12, jour de notre pèlerinage à Dreux, j ai souffert mille morts , et j’étais dans un accablement affreux , jusqu’à
on physique miraculeuse. Pendant les premiers instants qui suivent la mort , l’âme éprouve en effet comme un étourdissement;
âme éprouve en effet comme un étourdissement; elle doute encore de la mort du corps ; ce n’est que plusieurs jours après qu’
hénomènes magnétiques sont : la puissance des démons, les esprits des morts , Ximagination, un agent ou un fluide nerveux, la
ble au corps pour oser émettre une pareille opinion. —Les esprits des morts . Celui qui a pu recourir à un esprit aussi fantas
qui étonnent sans convaincre ; laissons surtout reposer les âmes des morts , et *pie tous nos efforts tendent à trouver des p
é! comme le triomphe est certain lorsque l’on sait attendre et que la mort n'est point venue interrompre la marche de l’apôt
laisse bien loin derrière elle les phénomènes obtenus par les forces mortes . Je ne connaissais aucune des personnes que je ve
male, ceux de la vie propre à l'homme, ceux de la vie spirituelle. La mort du juste est la grande porte d’entrée dans la vie
; tout le monde subit même cette transformation morale, prélude de la mort : un très-grand nombre sans en avoir une claire a
autre, surtout dans les grandes crises morales, comme à l’heure de la mort et parti- culièrement entre les âmes unies pa
ronie. Pourquoi cela? Parce que le Dieu d’amour n’est pas le Dieu des morts , mais des vivants. » Mais nous ne voyons ici-ba
à croire qu’une religion qui consiste uniquement dans l’évocation des morts , est fort hostile à l’Eglise catholique, qui n’a
t-il éternellement du côté où il est tombé? L’état de l’âme, après la mort , est-il définitif, irrévocable et éternel? Non, r
rrévocable et éternel? Non, répond la nécromancie spiritualiste. A la mort , rien ne finit, tout recommence. La mort est pour
romancie spiritualiste. A la mort, rien ne finit, tout recommence. La mort est pour chacun de nous le point de départ d’une
ins magnétiseurs français obtenaient, disaient-ils , de la bouche des morts ou des démons, la confirmation des doctrines cond
nambules, qui assurait avoir vu , de ses veux vu , un morceau de bois mort , une espèce de manche à balai produire subitement
gré lui, les deux autres s’attablèrent et commencèrent leur partie de mort . La première partie fut perdue par le plus âgé, q
artie de mort. La première partie fut perdue par le plus âgé, qui est mort le 16 février. Le plus jeune, celui qui avait d’a
peut-être plus-vivement que les auires de la fatale prédiction, -est mort le premier de tous, le 26 janvier. Ils étaient âg
is renverse et détruit, pour recréer et enfanter encore ; qui, par la mort , met un terme à la vie et fait sortir la vie de l
; qui, par la mort, met un terme à la vie et fait sortir la vie de la mort . C’est cet esprit divin qui, au commencement des
plique, est borné et incomplet. De môme la communication avec les morts est un fait réel, vrai, mais sujet à erreur, et a
soit d’habitude et de préjugés persistants chez les Esprits après la mort ; mais l’erreur est d’autant moins à craindre que
its après la mort; mais l’erreur est d’autant moins à craindre que la mort remonte à une époque plus reculée. Pour ces opé
erve ; il ne reconnaît pas que la possibilité de communiqner avec les morts soit prouvée ; mais il dit qu’elle n’a rien d'abs
les plus essentiels. a Si l’on admet l’existence des âmes après la mort des individus qu’elles ont animés, on reconnaît d
re des oracles ; L’esprit de vie à tout donne une voix. L'âme des morts , par lui, se manifeste Pour nous montrer que le t
on temps. Imitez Dieu, persévérez et vous triompherez du mal, et la mort reculera devant vous. M. Jobard avait également
réjugés populaires, ont couru les plus grands dangers, et Socrate est mort victime de sa hardiesse philosophique. On ne peut
ce d’un cadavre, la somnambule devrait dire la cause ayant produit la mort , et indiquer les organes affectés ou les lésions
e vingt-deux ans , elle a toujours joui d’une bonne santé. >. La mort d’une personne chérie qui expira quasi dans ses b
faut bien le dire, la médecine ne voulut point lâcher sa proie, et la mort ue tarda pas à emporter la sienne. « Recevez, M
elle idée en peignant le trouble supposé que la nature ressentit à la mort de César. Qu’on ne suppose pas que nous allons ch
venez vite ! » 11 a tenu ce billet pour une plaisanterie, et il est mort . (Extrait de la Chronique parisienne, 1" févrie
lle avait eu lieu la conversation que nous avons rapportée, apprit la mort de 1 enfant, les paroles de M"" *** lui revinrent
ercher son fils, en faisant paraître le nombre 13 dans l’époque de sa mort et le vendredi pour son enterrement, ce qui faisa
j.; ramassai le pauvre écureuil, qui, immobile et roide, me 1 arut mort , mais qui revint bientôt à lui, et que je vis ave
re de North-Waltham. Au moment où elle posait sa main sur une tête de mort que son rôle .l’obligeait à toucher, elle fut sou
répondit-il, qui m’a dit que c’était celle d’un acteur nommé Norris, mort il y a douze ans et enterré dans le cimetière de
titre : Le Magnétiseur, feuille in-8 de 16 pages. NÉCROLOGIE. La mort vient de nous ravir un ami dévoué au magnétisme.
tout : lorsqu’on aservi la vérité et qu’on vécut en honnête homme, la mort abrège le sacrifice ; les regrets sont pour les v
s cette sorte d’extase qui a coutume de se manifester au moment de la mort . Parmi un grand nombre d'exemples de cette sorte
la maison de son père, où elle mourut le 4 juin 1691. La veille de sa mort , elle ressent un grand désir de voir ses deux enf
cadavre, l'état des organes intérieurs et les causes qui ont amené la mort . En présence de semblables propositions, il n'e
— Deux mois après j’étais veuf; —que de pressentiments précédèrent la mort de ma femme, que je croyais seulement indisposée
Pierre Félix Conrot irait en Afrique et n'en reviendrait pas : il est mort à Bone, chef d’escadron d'artillerie. N° 8.1850
pas, je mu trouve obligé de revenir chez moi le chercher. 5. — La mort de mon oncle me fut annoncée par son fils, il y a
encore longtemps ; en septembre 1857, un mercredi, je vois son fils ( mort à Bone) en songe ; il ne me quitte que quand j’ai
ir vu, il vint, et ayant sondé la région du cœur , il reconnut que la mort n’était qu’apparente, que la malade était en léth
atique, et nous l’en félicitons d'ailleurs, car le droit de vie et de mort suppose une souveraineté divine, et cette souvera
Déclaré coupable de ce crime imaginaire, il avait encouru la peine de mort d'après les édita des très-saints et très-douj pa
pelait les enfants dont il se servait) vît un de ses frères qui était mort encore jeune : l'enlant le vit en effet ; il para
tés anormales. Cagliostro passait pour être en état d’évoquer les morts , de les faire apparaître et parler à son gré. Plu
en scène, que nos nécromanciens d’aujourd'hui qui logent lésâmes des morts dans les guéridons et les corbeilles, il imprimai
s parmi les hauts dignitaires de l’ordre maçonique, il évoquerait les morts qu’on lui désignerait et qu’ils viendraient s’ass
t d’ouvrir les portes avant d’être appelés. Chaque convive demanda le mort qu’il désirait revoir. Cagliostro prit les noms,
chair et en os (car, suivant le dogme égyptien, il n’y avait point de mort ). Ces convives d’outre-tombe demandés et attendus
si ce n'est pas vrai. — Il y a encore une autre difficulté. Nos six morts bien portants, bien vivants, en chair et en os, b
lés du costume ordinaire du temps de Louis XV et ont joué le rôle des morts dont ils ont pris les noms. Les convives pouvaien
disposés à tout admirer sans scruter. N’y a-t-il pas de nos jours des morts qui, répondant aux évocations, écrivent au moyen
savoir que ce que sait le médium corbillonnant? Et l’identité de ces morts est crue durcomme fer. Autres temps, autres procé
t regardé comme un homme de bien et comme un saint. Aussitôt après sa mort , ses parents firent venir une dame artiste pour f
bes, quoique sa mère l’eût bien serré dans son maillot. Il fut retiré mort du puits, et visité par les deux échevins et par
es nos sens n’ont eu auoune part, et qu’elle peut, à l’approche de la mort , brisant peu à peu les liens matériels qui la ret
ins vers le ciel.... Ce principe divin, que deviendra-t-il après la mort ? Ici l’analogie sera notre guide, et si l’hypot
se nourrir de la vérité qui est la vie de l’âme, se nourrit de dogmes morts , de croyances vermoulues. A. S. Mobin. Baron do
e sujet, définit la vie « l’ensemble des fonctions qui résistent à la mort ; » mais lorsqu’il s’agit d'aborder le point princ
l’organe le plus essentiel à la vie, c’est-à-dire du cœur humain. La mort , dit Bichat, est la conséquence de tinterruption
nitier de plus en plus aux secrets de la vie, tout comme à ceux de la mort ? Et ce besoin, qui sans cesse nous aiguillonne, n
es. 11 n a jamais été marié; il mourut en 1771, et longtemps après sa mort , beaucoup de pauvres familles bénissaient encore
olant d’admettre que les personnes que nous avons aimées , et dont la mort nous a séparés, continuent de vivre d’une vie dif
ant à moi, je suis bien loin d'avoir la certitude que ce sont les morts qui m’ont parlé, mais je le voudrais de tout mon
ais il aurait fait parler de la façon la plus étrange des personnages morts célèbres , parmi lesquels le poëte allemand Henri
nt exaltés que, si je ne suis pas très-certain que M. Home évoque les morts , je suis au moins sûr qu’il trouble le cerveau de
ie ses attributs immortels, qu’elle ne recouvre en entier qu’après la mort du corps. Mais toujours est-il que, dans un état
sation angé- lique et la communication entre les vivants et les « morts : » doctrine si grande, si consolante, que toutes
sprits. Opinion de Deleuze sur la possibilité de communiquer avec les morts , et observations de M. Lamothe, 267. Expérience
508: — qui se laissent saisir au daguerréotype, .502. Evocation des morts , 499, 597 — involontaire, 103. Exaltation de la
0, 251, 294, 297, 412, 416, 492, 502, 527, 587, 593, 596. Nécrologie. Mort des magnétistes : Philippe Hedde, 27; — Salvat, 4
71 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
division du service des aliénés, et d'y construire le ser- vice des morts et des autopsies, le musée, les labora- foires,
lique; grand' tante paternelle imbécile. - Cousin germain paternel, mort de convulsions. Mère : faible d'esprit, sujette
du jeune homme, laquelle l'a mise en relation avec son fils. 11 est mort en décembre 1879, à quarante-neuf ans, dans un
. A mesure qu'il vieillissait ils devenaient plus fréquents. [Père, mort on ne sait de quoi, il travaillait à la terre.
mariée, a eu dix enfants et n'en a plus que trois; les autres sont morts tantôt de convul- sions, tantôt de maladies ; o
ade avait alors trente-huit ans. [Père, travaillait à la terre, est mort très vieux. Il buvait du vin et de l'eau-de-vie
te enflée après avoir été longtemps malade. - Trois frères qui sont morts , deux tout jeunes, l'autre de la poitrine, à tr
e de la poitrine, à trente-trois ans; il avait eu un enfant qui est mort en bas âge, on ne saitde quoi.- Cinq soeul's dont
mort en bas âge, on ne saitde quoi.- Cinq soeul's dont quatre sont mortes jeunes; la cinquième est morte vers quarante ans,
nguinité.... 10 DES FAMILLES D'IDIOTS. Six enfants : d° un garçon mort à dix-huit ans, le 2 décembre 1879, à l'hôpital
e suceur imbéciles; deux frères idiots; deux frères et une S6BM ? ' morts de convulsions en bas âge. Antécédents hérédi
a femme. Pas d'autres maladies que sa bronchite'. [Père, cantinier, mort à soixante- dix-sept ans d'un asthme, n'avait j
que depuis son mariage elle est restée tranquille, mais, depuis la mort du mari (déc. 1881), elle fréquen- terait, au d
ce qui aurait amené une brouille entre elles3. [Père, do- 1 11 est mort en 1884 de sa bronchite tuberculeuse. Il Il par
un amant (septembre 1885). 20 DES FAMILLES D'IDIOTS. - mostiquc, mort à vingt-sept ans de la variole, six mois avant la
ois de convulsions ; 4° Horni... Constant (Obs. VI); - 5° un garçon mort de convulsions à treize mois; 6° fausse couche
intelligente; elle n'a jamais eu de con- vulsions ; 10° un garçon, mort à cinq mois, d'une méningite, avec des convulsi
'une anévrysme ; pas d'affection nerveuse. - Deux frères : l'un est mort du choléra ; l'autre, placé à l'asile de Marévi
choléra ; l'autre, placé à l'asile de Maréville comme aliéné, y est mort le Il, décembre 1858 à l'âge de dix-huit ans 1.
tané, rhumatis- mal ou pulmonaire ; pas de maladies graves. [Père : mort d'un asthme à soixante ans, sans'avoir présenté
au troisième degré de la mère de notre malade a eu uu garçon idiot, mort à huit ans. 1 Gui... (Charles), dix-neuf ans, e
s), dix-neuf ans, entré le 22 novembre 1858 à l'asile de Maréville, mort le ler décembre 1858. - Aucun antécédent hérédita
ment rapide et un état de marasme nerveux qui amènent rapidement la mort . 40 DES FAMILLES D'IDIOTS. Consanguinité : le
intelligentes ; aucun accident nerveux. 4° un garçon (Louis-Oscar), mort idiot à l\Iaréville; 5° un autre garçon (Charle
ans et demi à son entrée à l'asile de Maréville le 27 juillet 1868. Mort le 30 avril (872. Idiotie congénitale. Tête pet
e-Georges), entré à Bicêtre, le 27 août 1879, à l'âge de trois ans. Mort le 5 mars 1880 (service de M. BOUItNEVILLE.) An
a donné des bains salés et un traitement auti-scrofuleux. 5 mars. Mort à quatre heures du soir. Marche des accès : 4
cette famille est vouée à l'extinction. La plupart des enfants sont morts jeunes, souvent avec les phénomènes les plus pro-
et leur durée l'obligeaient souvent à suspendre son travail. [Père mort , à 70 ans, d'une enflure des jambes, il était s
s de convulsions, pas d'attaques. Mariage tardif, à 30 ans. [Père mort de la poitrine iL li-2 ans ; sobre. -Mère, morte
ysée ni en enfance. Pas de détails sur les grands parents. Un frère mort à 3 ans, on ne snit de quoi, mais sans avoir pr
avoir présenté de convulsions. Do ses quatre soen ? 's, trois sont mortes de un an à quinze mois, on ne sait de quoi ; l'
ien portant, il a eu un enfant mort-né; lit et 5° deux jumelles (1) mortes il huit mois de la dysenterie. Il a.eu de sa
72 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'ailleurs bien por- tant ; mère névropathe; un oncle maternel est mort dans une maison d'aliénés.- Antécédents personn
e 22 mars 1885. Antécédents héréditaires : Le père de la malade est mort aliéné ; un frère est épileptique ; la mère est
nous est adressé le I février 1886.- Antécédents de famille : Père mort d'apoplexie; mère aliénée, s'est suicidée; une so
ection men- tale après avoir eu le délire de la persécution; père mort d'un congestion cérébrale à l'âge de cinquante-
ce. Hébétude consécutive, trois jours après, embarras de la parole. Mort le sixième jour après deux nouvelles attaques c
émiplégie gauche. - Accès procur- s ? fs de plus en plus fréquents; mort . - Hémorragie de la capsule interne avec irrupt
me verra toutes ses fonctions hygidess'en aller une à une et que la mort , résistant à la vie, n'apparaîtra que lorsque t
ire les grands troubles organiques que l'on connaît et, parfois, la mort immédiate. Chaque poussée congestive, et souven
a mère, deux frères et deux soeurs bien portants. Père rhumatisant, mort récemment. Début. - En septembre 1885, appariti
ommunication existant entre les deux anomalies fut prouvée après la mort : en pressant sur le rnéningocèle et sur le spi
ouve sous la menace des complications graves, cause ordinaire de la mort des diabétiques. Le taux de la mortalité chez l
éréditaires nombreux. C'est ainsi que ses deux grands-pères étaient morts d'apoplexie; sa grand' mère avait longtemps pré
e coma, et dix heures après, survint un spasme violent, suivi de la mort . Durant les six dernières heures, le pouls ne s
breuses attaques hystériformes. Ce n'est que peu de temps avant sa mort , survenue au bout de cinq semaines par pneumonie,
-cour, contiguës d'un côté à la porcherie, de l'autre àla salle des morts , loin de toute surveillance. Ces cellules ont é
situé dans la courdelabuan- derie, des chantiers et de la salle des morts . Le jour provient d'une petite fenêtre, de 20 c
sta, s'occupant avec activité de sa clientèle jusqu'au moment de sa mort . De 1864 à 1869, il fut professeur d'anatomie, et
iminué et qu'il ne comprenait plus bien ce qu'on lui disait. Il est mort à la fin de 1880, de convulsions épileptiformes
eine arrivé en France, le malade dut être placé à Charenton. Il est mort dans le courant de 1882. D'autres affections,
des ont eu à supporter .de violents chagrins : perte de la fortune, mort d'un enfant, mort de -la femme, ambition déçue,
rter .de violents chagrins : perte de la fortune, mort d'un enfant, mort de -la femme, ambition déçue, déceptions de tou
avait vu son magasin envahi, pillé, incendié, lui-même menacé de mort , etc. '. Dans la revue qui précède, j'ai essayé
prédisposition héréditaire : grand-père maternel et oncle paternel morts aliénés. A mené une jeunesse dissipée, a eu la
failli être exécuté. Quelques an- nées après, violent chagrin de la mort de sa femme. 7 228 PATHOLOGIE MENTALE. VI. D
ansporté avec sa compagnie déraille; il échappe heureusement 1'1 la mort , mais voit périr sous ses yeux plusieurs de ses s
ie. - Père, hémiplégie droite. Mère nerveuse ; grand-père maternel, mort à quatre- 1 Voy. Archives de Neurologie, vol. X
de taille ' moyenne, très sobre ; marié à l'àge de trente ans, est mort à cinquante-deux ans, des suites d'une hémorrha
trois ans de violentes céphalalgies. [Père, fabricant de chapeaux, mort à trente et un ans. Mère, morte à soixante-dix
s'est mariée à vingt-six ans, et n'a jamais été malade. - [Père, mort à quatre-vingt-un ans d'une pneumonie. Mère, mort
nte, intelligente, pas de convul- sion ; 2" garçon, né avant terme, mort en nourrice à l'âge d'un mois ; 3° notre malade
nnable, tumeur fibreuse de l'utérus, pas de convulsions; 5° garçon, mort à l'àge de six ans et demi, on ne sait de DE l'
éprises, des convulsions assez graves pour qu'un instant on le crùt mort . Il a marché et a été propre à deux ans; il n'a
epsie. Grand-père, grand'mère paternels, tante paternelle, cousine, morts à la suite d'attaques d'apoplexie. - Grand-père
- Grand-père maternel, alcoo- lique. Grand'mère et oncle maternels morts de phthisie. Chute pendant la grossesse. - Prem
la grossesse. - Première crise procursive à trois ans. Pleurésie. - Mort . Autopsie. - Pleurésie purulente enkystée droit
oir jamais eu d'affection nerveuse. Un frère bien portant, un autre mort de la poitrine, une smur morte subitement d'un
c., dans la famille]. -Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° un mort de scrofules à quatre ans sans avoir eu de conv
les traits sont altérés ; cyanose des lè- vres et des conjonctives, mort l'après-midi à une heure. Archives, t. XIV. 16
nel, il n'y a aucune trace d'héré- dité morbide ; ses ancêtres sont morts à l'extrême vieillesse. Une soeur aînée, bien p
a eu une fluxion "de poitrine il y a cinq ou six ans. [Père et mère morts âgés (quatre-vingts ans).] Mère mariée à tren
nte ans, elle l'a gardée jusqu'à soixante-quatre ans. [Père et mère morts vieux. Un cousin germain du côté paternel est a
nt cousins germains et portaient le même nom. Deux enfants : 9 un mort mort-né ; 2° Notre malade. Né à terme, élevé au
lent. - Onanisme. Affaiblissement des facultés intellectuelles. - Mort en état de mal. Alép... (Auguste), né le 24 mar
ur, il a tout bu et sa femme a dû se placer comme domestique. [Père mort de la poitrine à trente-huit ans, tourneur en c
jamais eu que des né- vralgies violentes. [Père, laboureur, sobre, mort à cinquante- neuf ans, d'une attaque d'apoplexi
ues de nerfs, a souvent le sang à la tête. Quatre freines, l'un est mort en huit jours, d'accidents cérébraux con- sécut
Les deux derniers frères ne sont pas mariés. Un oncle paternel est mort très vieux (soixante-seize ans), et a toujours
s de toutes ses facultés intellectuelles, soeur cadette d'un enfant mort à l'âge de seize mois par suite de méningite; e
ux, car ceux des gens qui viennent de se suicider et de personnes mortes de maladies ne peuvent êlre tenus pour normaux. L
venant d'un homme sain d'esprit et de corps, âgé de trente-six ans, mort d'uu coup de couteau qui lui avait traversé le
Aucune autre anomalie à l'autopsie faite vingt-sept heures après la mort . Le cerveau avait été recueilli dans de la ouat
la respi- ration et de la circulation, ces derniers déterminant la mort par asphyxie ou syncope, coïncidant avec l'exag
A, JOHN GRAY. La science médicale a fait une grande perte dans la mort de John GRAY 1. Comme aliéniste, c'était peut-ê
ns les huit pre- mières années de mariage; cinq de ses enfants sont morts en bas âge, les autres sont vivants et bien por
êne de la respiration et dureté du pouls; dans le troisième, il y a mort apparente. Richer appelle tout cela de la létha
l'attaque de som- meil de Briquet); 2° l'attaque de léthargie avec mort apparente (c'est l'attaque de léthargie de Briq
entend et cause; ce n'est pas de la léthargie, puisqu'il n'y a pas mort apparente. Le mieux est d'appeler tout cela des
e doux, a été trente-quatre ans cocher à la compagnie générale, est mort à soixante-six ans d'une bron- chite chronique;
e d'école, bien portant, et a une fille eh bonne santé; un fils est mort de la petite vérole; l'autre frère est mort à s
onne santé; un fils est mort de la petite vérole; l'autre frère est mort à soixante ans, on ne sait de quoi. Deux soeurs b
ies de peau, ni d'attaques; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. Mère, morte en couches à vi
père hollandais, mère lorraine). 8 enfants : 4° un mort-né ; 2° un, mort à trois ans, du choléra, avec convulsions; 3° n
est bien portant, pas de chorée, marié, a eu deux enfants qui sont morts l'un d'une fluxion de poitrine, l'autre de chol
de poitrine, l'autre de cholérine, mais sans convulsions; 5° garçon mort à vingt-deux ans et demi d'hémoptysies succes-
tysies succes- sives, pas de convulsions, pas de chorée; 6° garçon, mort à vingt-deux ans d'un refroidissement après avo
sesse bonne; pourtant, à huit mois, la mère a été émotionnée par la mort de son second enfant. Elle au- rait été prise d
ternels, convulsions. - Un frère, convulsions, arriéré. Deux soeurs mortes de méningite. Conception durant l'ivresse. Prem
seignements fournis par sa mère (24 avril 1882) Père, char- retier, mort en 1871 à la Pitié, à la suite d'une fracture dej
a maladie et qu'il était moins nerveux. [Père, garde champêtre, est mort très âgé; on croit qu'il était sobre. Mère, ménag
sobre. Mère, ménagère, morte de vieillesse. Deux frères : l'un est mort étant soldat, d'un refroidissement, l'autre ser
: l'un est mort étant soldat, d'un refroidissement, l'autre serait mort des suites d'une maladie vénérienne. Une soeur,
elle aurait eu dans son pays, à quinze ans, un enfant qui est venu mort ; elle est ensuite venue à Paris « faire la noce;
Paris « faire la noce; » n'a pas eu d'autres enfants.=Un oncle est mort à Bicêtre aux vieillards. Pas d'aliénés, d'épil
ues; n'est pas nerveuse. [Père, culti- tivateur; excès de boissons, mort à la suite d'une chute avec- frac- ture de côte
fort; mais il est intelligent et très vif; apprend bien ; 5° garçon mort à trois jours on ne sait de quoi, était né à te
De six à dix mois, il était si faible qu'il était «comme un enfant mort ». A cette dernière époque, il eut sur la tête d
l a mesuré la compressibilité du cerveau à diverses distances de la mort ; cette compressibilité augmente rapidement à me
de poules demeurent frais, et cela même vingt-trois heures après la mort , la compressibilité à une atmosphère n'est que
deux infir- miers sont aujourd'hui accusés d'avoir été cause de la mort de cet aliéné. Ils s'en défendent énergiquement
st celte chute seule qui a déterminé les accidents qui ont amené la mort . Ici, c'est le malade qui a été la victime de l
s malades.-Les commissaires dans leur visite ont remarqué qu'aucune mort par suffocation, la nuit, ni aucun suicide n'ét
73 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
ON. Ce mot fut prononcé devant moi vers la fin de i8i5, année de la mort de Mesmer. Je ne veux point établir de rapprochem
compétents, mes nuits se passaient sans sommeil ; comme un condamné à mort , innocent du crime dont on l’accuse, cherche à br
n’est qu’un bonheur pour lui au monde : voir ses idées partagées. I.a mort lui paraît douce, lorsqu’il aperçoit le triomphe.
à subir ; j’allais voir paraître devant moi tous les ministres de la mort , tous ceux qui croient que le inonde se gouverne
nt infini, nous n’ayons nul repos?Le repos! Mais c’est déjà la petite mort . Est-ce que la nature se repose jamais? elle prod
n retard. Ce nid est sale et vieux.il est construit avec des branches mortes et des détritus de vieux chiffons ; qu’importe, i
urrais, dans mon orgueil, prendre en pitié la race humaine; puis, l i mort me saisissant enfin, tous mes compères chanteraie
t ton triomphe! Le soldat qui tombe en défendant son pays, reçoit une mort digne d’envie. Plus glorieuse encore sera la mémo
intérieurs que se livrent en moi deux forces ennemies : la vie et la mort . L’une m enflamme, et me souille des pensées brûl
curative. — Un autre médecin distingué, M. Royer-Collard, est aussi mort dernièrement à Paris. Il a, dans une occasion sol
ement de Dole, raconte ainsi la guérison d’un enfant qui passait pour mort : « Une femme retira l’enfant du berceau, s’envel
nt ébranlé par l’autorité réunie de deux corps savants , fut frappé à mort l’année suivante par l’arme du ridicule. « Les
plus. « C’est qu’on peut même (nos docteurs l'affirment) amener la mort du magnétisé, en lui paralysant les muscles de la
plus intimes. Le passé, pour elle, est sans secret. A son appel, les morts se réveillent. Elle entre en communication avec e
itôt qu’elle est endormie : — Toujours ce même traitement, sinon la mort ! Elle sera heureuse à perpétuité. (Événement.
t des employés, car une foule d’animaux féroces et pacifiques étaient morts de consomption et d'ennui. Parmi les victimes on
evenir au Jardin des Plantes, pour ne point faire planer l'ange de la mort sur notre belle collection d'animaux ; mais, le l
oire assez peu bienveillant. Je voulais ressusciter ce qui paraissait mort , bien mort; et j’étais un jeune homme n’ayant rie
peu bienveillant. Je voulais ressusciter ce qui paraissait mort, bien mort ; et j’étais un jeune homme n’ayant rien de ce qui
ournal devait continuer les Annales, la Bibliothèque et les Archives, morts après quelques années d’existence, en laissant de
serment aussi exécrable que le premier, chacun s’engage à souffrir la mort plutôt que de rien révéler de ce qui s’est passé,
st pas moi qui ai consulté M. Lalmède ; c’est mon frère , mais il est mort , ce qui l’a empêché do répondre à l’assignation ;
rées par le somnambulisme, là où la Faculté avait prononcé l’arrêt de mort ; je suis croyant, parce que ce mystérieux sommei
out venant le moyen de faire de l’or; au besoin même ils évoquent les morts , font apparaître les esprits. Pour eux, ce sont d
ntre l’intelligence et la matière, entre Dieu et ses ouvrages; que la mort même ne soit plus un mystère, comme la magie pour
puyés sur des faits curieux. La philosophie du sommeil et celie de la mort composent ses études suivantes. Nous donnons ic
e assez intéressant de sa révélation sur le changement produit par la mort : « La mort est seulement un accident de notre
ssant de sa révélation sur le changement produit par la mort : « La mort est seulement un accident de notre existence éter
ns la situation et dans la condition de ce qui la subit ; de même, la mort de l’homme, par rapport au monde extérieur, est u
ortant dans sa situation et dans sa condition. En d'autres termes, la mort est seulement une naissance dans un nouvel état d
vements de tran- si lion progressifs que le genre humain appelle la mort . Pour exemple, prenons un petit germe déposé dans
sa forme originelle et à son mode d’existence. Simultanément à celte mort , il sort du germe de nouvelles formes et une nouv
lement, par une constante et harmonieuse succession de changements de morts ou de naissances dans les forces et dans les form
et son mode d’existence ; et chaque altération est accompagnée d’une mort dans quelques-unes ou dans toutes les parties ou
C’est seulement le mode d’existence de l’homme qui est changé par la mort ; et ce mode, suivant les principes progressifs, s
ui fait le sage grec qu’il trouve sa doctrine de la philosophie de la mort . Nous donnons ici quelques extraits die ce passag
e ces changements physiques vers le changement final qu’on appelle la mort . Ce changement final arriva en moi au moment où m
ient pour les dieux, afin que leur pré- once célcsle accompagnât ma mort et revivifiât le livin pouvoir qui animait mon en
n’y a aucune « val-ée des ombres » effrayante à traverser; et que la mort n’est pas un sommeil éternel.... Les habitants de
lon ; lorsqu’on l’entend parler de ses doctrines sur le passage de la mort à la vie, ou plutôt de cette vie à une autre, n
and il n’était qu’aç». chonte de la république. Il rappelle, avant sa mort / que les âmes des bons vivaient dans un séjour cé
ste appartient aux croyances modernes. Plus lard, lorsque Solon était mort , c’est-à-dirt passé au grade ô’esprit, il se réjo
riques ne sont pas faites pour exalter la théorie des progrès dont la mort est l’une des plus profitables transitions : le S
sang était décomposé, les médecins m’avaient abandonné; enfin j'étais mort , quoi! Mmc Rose est venue et m’a guéri. Aussi je
nt des maladies a produit les plus heureux résultats et a sauvé d’une mort certaine une foule d’individus, oh ! alors non se
plus d’événements, et notamment d’annoncer à l’avance le moment de la mort d’un individu dont il connaît toutes les lésions
ida donc, quoiqu’à regret, à donner quelques consultations jusqu’à la mort de M. Aubert. Ces faits sont irréguliers, nous so
état, celles au contraire dont l’état a empiré, enfin celles qui sont mortes ; car on ne prétend pas avoir trouvé le secret d'e
a le somnambule de chercher un des officiers, il reconnut qu'il était mort ; que le nombre de ceux qui avaient succombé aux f
agnétisme. Nous montrerons à nos antagonistes que ce qu’ils croient mort est plein de vie, et que jugement d’Académie n’es
RY MAGNÉTIQUE, institution protectrice. A PUYSÉGUR, DELEl'ZE, etc., morts en défendant la cause. A DU POTET, le plus gran
cet état physiologique correspond presque exactement avec celui de la mort physique. La vitalité qui semble avoir abandonné
tement semblable à ce que Davis a mis dans la bouche de Solon. « La mort , dit-il, est pour certains hommes un mal qui les
ppe d’une profonde terreur. C’esl de l’ignorance. Ce que l’on appelle mort , c’est seulement la destruction des membres el de
nte ou dérivative. Dcleuze affirme que la magnétisation accélérera la mort dans certaines affections incurables, telles que
r qui tout vit et respire, le suprême régulateur de toutes les forces mortes , et qui ne peuvent rien en dehors de sa loi ? «
docteur, dans son rapport, De Mesmer plaignant le sort, Le croit mort ; Il a fort : Le bonhomme vit encor. Le som
e, Que vous lui servez de compère ; Haro sur ce vil imposteur I A mort , )o mystificateur Et ceux qui prennent sa défense
n ; Je souris à mes l'ers, qui font mon esclavage; Je souris h la mort , qui vient et m'en 'légage ; Je souris avec vou
mes espérances, et j’ai eu le bonheur, moi, médecin, d’arracher à la mort des êtres qui devaient succomber, abandonnés qu’i
sont trop souvent malheureusement dépossédées l’une et l’autre par la mort , qui trouve son compte dans cette lutte et attise
s LOGEIïOTTE. Avocat i la Cour d'appel de Paris. Nécrologie. — La mort vient de nous enlever un disciple éclairé de Mesm
ration ou un sujet de pitié et de larmes (1)? » Si la poussière des morts pouvait encore être sensible au cloute comme à la
be capillaire..... « La chenille va se faire papillon !..... « Ma mort , c’est ma vie..... « Elle sera douce pour tout
s entendrez sur la harpe les sons dont il accompagnera mon hymne de mort ..... Mais pas un mot, vous rompriez le charme,
és, de ces paisibles fanatiques, pour qui la vie est une charge et la mort une délivrance. Eh bien ! après une scène sembl
de posséder le secret des anciens Thaumaturges. Elle ressuscitait les morts , au moins pendant quelques instants, pour procure
établir qu’il entrât dans la potion assez de morphine pour amener la mort d’une personne en santé; mais le jury d’enquête,
it le droit de se plaindre, en ruinant les malades el les parents des morts . La médecine ordinaire et du jour doit être mis
nambule s’écria aussitôt : ODieuî qu’cst-ce que vous me présentez? la mort ! » Je lui dis : « Ne t’effraie pas, cherche cette
xacte traduction : « Le célèbre poète anglais Cltaucer, né en 1028, mort en i/joo, a prophétisé en quelque sorte l’expo-si
e à leur dernière période, quand elles sont sur le point de causer la mort , etc. » Le paragraphe 2Ç('| porte : « Toutes
elte atténuation, surtout dans ces pertes utérines qui menacent de la mort . TAXIL, d. m. Ce Journal accueillait, le 19,
emann , celui d’une hémorrhagie utérine qui est près d’occasionner la mort !... Pour démontrer l’absence de lout danger, o
en somnambulisme : « Il ne mc faut pas de drogues ; le sommeil de la mort (l’état magnétique) guérira ce cadavre, etc., etc
, Deleuze, I’uységur, Hahnemann, étaient presque contemporains, et la mort de ce dernier, en i843, il n’y a pas dix ans, l’a
clairvoyance. Je ne suis pas disposé à nier la communication avec les morts ou les esprits , et même dans le cristal magique
stants; car, à mesure qu’elle s’en va, le corps se refroidit, et à la mort il devient glacé. Pourquoi donc le magnétisme ne
provient ce morceau de bois? — Du tombeau d’un illustre personnage mort depuis longtemps. — Le nom de ce personnage?...
mais, de sa haute raison, le professeur nous condamne, et nous sommes morts . Voilà déjà tant de fois que l’on nous enterre,
Voyez ce que le savant a fait de nos jours en rassemblant les forces mortes répandues dans l’espace; elles ne sont rien, pour
olit les temples où elle apparaissait, souvent aussi on fil mourir de mort cruelle les hommes qui osèrent la révéler. Socrat
t et ce n’est rien. Vous y trouverez le Ciel et l’Enfcr, la vie et la mort , la vérité et l’erreur, la vertu et le vice, l’es
ont-ils pas détrônés successivement? Et ce dernier même, avant que la mort ne lui fermât les yeux, n’a-t-il pas reconnu le n
ceux qui souffrent, et toujours poussée par notre peur insensée de la mort . Mais l’intelligence humaine est progressive, et
ment du cadavre; et nous avons dit que des gens que l’on croyait bien morts , entendaient pourtant tout ce qui se disait autou
avancés de somnambulisme présentaient quelquefois le spectacle de la mort apparente, et la prolongation de cet étal au-delà
rtir sa femme et son jeune enfant pour Paris. 1 n pressentiment de sa mort prochaine lui dicla celle mesure de précaution. A
mbigu), à cause de la brièveté de ses sentences valicinales, » serait mort de faim ! Peut-être non : « Il V a tant de nigaud
Python, ni de diseur de « bonne aventure, ni aucun qui interroge les morts ; « car quiconque fait ces choses est en abominati
ils seront muets comme ils le sonl encore devant la vie el devant la mort . La science a fait du jour la nuit, cl de la nu
ûte, délivra Lacédémone d’une épidémie qui commençait à y répandre la mort et le deuil (1). Aulu-Gcllc (2) parle de l’influe
cuisses, des jambes et de la vessie, n’avail pas quitté son lit; la mort semblait lui remonter d’en bas vers le tronc, en
omme incurable, se bornent à l'emploi des calmants , annoncent que la mort est inévitable et prochaine. Ils ne continuent le
rovidence. Après s’être servi de moi pour conduire à l’ennemi et à la mort tant de braves soldats, elle a voulu que, frappé
Amédée-Latour, 305. — Ré-flexions par M. du Potet, 309. Nécrologie. Mort des magnétistes : Balzac, Doisnel, 59, — Dr Fou-q
74 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne, à la suite d'un jugement qui les déshonore, par désespoir de la mort d'une personne chère ; ils ne sont pas aliénés,
jours propre à exalter l'imagina- tion, l'idée d'avoir échappé à la mort , malgré l'arrêt qu'il suppose avoir été prononc
de nuit, puis il eut des visions et des voix intérieures. (Mathieu, Mort cl'lle2·i IV.) Une nuit, J. Clément, étant dans
che pour en avaler les lambeaux et s'étouffer. 13ù11- lonné, il est mort d'une perforation intestinale, due à des corps
ble. Dans d'autres cas (démences, paralysies générales, etc.), la mort est la conséquence accidentelle d'une hallucinati
hysique et état mental), 9 améliorations, il états stationnaires, 3 morts opératoires. La statistique du Dr Ilobbs, médec
62 SOCIETES SAVANTES. et 28 états stationnaires, soit 35 p. 100, 4 morts , soit 5 p. 100 du total. - Le Dr Russell, méd
la suite : 11 guérisons, 3 états stationnaires, 7 améliorations, 1 mort . Les observations de ces malades sont développé
ile actuel. Les travaux furent poussés activement; mais, hélas ! la mort ne lui permit pas d'achever l'oeuvre qu'il avai
- voir et avait aussitôt refermé le bassin, menaçant son frère de mort s'il la dénonçait. La petite Thérèse, âgée de d
ives, 2° sv ie, t. VIII. xi S2 CLINIQUE MENTALE. coupe, attend sa mort par pourriture et décomposition. Il vit dans de
que, persuadé que Napoléon IV existe, que les récits concernant sa mort sont mensongers, il écrit à l'Impératrice en lu
une grave maladie. Si, après la victoire, je n'ai pas démenti (i ma mort , c'est que pour mon malheur, j'ai appris par la v
ppris par la voix des journaux que ma très chère mère a constaté ma mort , et pour ne pas la compromettre, j'ai préféré s
que le deutsch pendant un an, parce que l'autre jeune homme qui est mort aujourd'hui, ne savait parler que le deutcli. E
quitté l'Angle- terre pour aller combattre les Zoulous. On m'a cru mort , je n'étais que blessé et prisonnier, et j'ai p
. Plus tard, vers l'âge de sept ans, on rapporta un soir son père mort , à la maison. Cette mort était des plus mystérieu
de sept ans, on rapporta un soir son père mort, à la maison. Cette mort était des plus mystérieuses, selon lui. Parti l
soir, on l'avait vu iL'la gare; le lendemain matin, on le trouvait mort dans un remblai près de la station. l'idée fixe
it mort dans un remblai près de la station. l'idée fixe. 97 Cette mort l'affecta beaucoup ; dès ce moment il conçut des
question de moi raconte B... ; mais comme j'étais obsédé, depuis la mort de mon père, par Vidée fixe qu'un jour je saura
père, par Vidée fixe qu'un jour je saurais pourquoi cet homme était mort , j'en conclus par la suite, que le père Il... n'é
elle et son oncle. Il la revit quatre mois plus tard sur son lit de mort à la suite de ses couches. Une pièce qne sa fem
and'mère paternelle était rhumatisante, son grand-père paternel est mort jeune par accident. Sa mère est très nerveuse,
s du côté maternel. Il a eu deux fières : l'un plus âgé que lui est mort à six mois dans des convulsions, l'autre plus j
public d'aliénés de Saint-Pierre. Antécédents héréditaires. - Père mort à cinquante ans, mère à quarante-cinq ans. Troi
cinquante ans, mère à quarante-cinq ans. Trois frères et une soeur morts très jeunes. Tuberculose du côté maternel. Pas
es jours, ses crises s'accompagnent de délire mystique; -il fait le mort , croit qu'il a été crucifié et que des anges l'
n de pièces anatomiques. 11. DOUTREDFNTE présente un crâne d'idiot, mort à vingt ans avec tous les caractères de l'infan
ns sa chambre où il se tira un coup de sa carabine dans le côté. La mort a été aussi instantanée. On a trouvé sur l'assass
tre un mur, s'est enfoncé l'arme jusqu'à la garde dans le coeur. La mort a été instantanée. La femme a été transportée à
ement pour n'aboutir que plus ou moins tardivement au coma et it la mort . C'est à cette dernière l'orme que l'on a depui
de la tête et des yeux, sur la- forma- tion rapide d'eschares et la mort dans le coma profond pouvant s'accompagner de c
4, la tête et les yeux tournent brusquement à droite; convulsions; mort à 8 heures du matin. A l'autopsie, méninges un
malade tombe dans le coma et meurt, avec ou sans convulsions, La mort est, en effet, la terminaison dans tous les cas q
efforts pour vomir qui aboutissaient au rejet d'un peu de mucus. La mort survint trois heures et demie après la chute. A
l'hyper- thermie seule toutes les lésions trouvées chez un individu mort par suite d'hyperthermie, serait une erreur. Il
l'ingestion du hareng. Le premier malade, âge de vingt-cinq ans est mort le lendemain, le deuxième, àgé de trente-trois an
est mort le lendemain, le deuxième, àgé de trente-trois ans, est mort au bout de cinq jours. Chez celui-ci on a observé
alée et vertiges, température normale, lucidité d'esprit jusqu'à la mort , légère mydriase, ptosis léger; parole impercep-
veut élever une colonne tombale destinée à perpétuerle souvenir du mort »,,c'est-à-dire du six° siècle quis'éteint. Il re
femmes enceintes, le suc ovarien ayant presque toujours provoqué la mort expérimentalement chez les femelles pleines. En
é). Etal actuel de la question de l'awoeboi : ,me nerveux. Doré. La mort dans la paralysie générale. Dorliat (Alexis). C
eau, sa grand'mère, rentière rue de Nantes, a tenté de se donner la mort en s'ouvrant la gorge avec un rasoir. Le malheu
plus de six cents per- sonnes proféraient contre lui des menaces de mort . Attirés par la i ? 6 avis. rumeur publique,
t, le 6 avril 1898. Antécédents héréditaires. Le père du malade est mort d'une affection pulmonaire, à un âge assez avan
la plénitude de ses facultés. C... a eu deux frères, dont l'un est mort en bas âge, et l'autre a succombé à l'âge de vi
complète. TIémianesthésie du côté paralysé, suivie d'hyperesthésie. Mort . Autopsie. Catherine D..., journalière, âgée de
rotu- lienne. Pas de contrac- tures. Pas de troubles trophiques. Mort dans la journée du 25 mars. Autopsie. Pour la f
rler; hallucinations delà vue et de l'ouïe; voit et entend son père mort depuis quinze ans; menace des per- sonnes imagi
st un peu petite. 4° L'autopsie a nettement révélé les causes de la mort , qui ne peut être attribuée qu'à l'hémorragie c
nglions spinaux dans la région lombaire d'un idiot de dix-huit ans, mort subitement pendant une période d'agitation apyr
é depuis plusieurs jours. Autopsie pratiquée quatre heures après la mort . Intégrité des organes sauf un fort oedème pulm
it d'un homme de quarante-neuf ans, ayant eu sept semaines avant la mort , à la suite d'attaques congestives prédominant
it, à la face et à la langue du côté droit avec aphasie simultanée. Mort en état de mal épilep- tique qui a duré six heu
uicidée il y a environ un an. On s'est souvenu alors que, depuis la mort de sa mère, Adolphe Loth 346 VARIA. avait déc
de Sébastopol, à Brest, s'est ouvert la gorge avec un couteau ; la mort a dû être presque immé- diate. (Petit Parisien,
age dans la cour de la caserne 348 S VARIA. Ernouf, à Alençon. La mort a été instantanée. Ce malheureux était marié. (
la gorge de son mari, Antoine Joachim, âgé de soixante-dix ans; la mort a été instantanée, la tête ne tenait plus que p
e aussi délicat que le rein quand il est prélevé longtemps après la mort ; on peut conclure de ces lésions à l'exis- tenc
nobles, lésions qui ont entraîné les symp- tômes paralytiques et la mort du malade. LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRI
l s'agit d'examens faits sur des pièces prises long- temps après la mort . Ces lésions du reste sont toujours visibles, q
ateurs délicats pour des pièces prises vingt-quatre heures après la mort . L'usage des fixateurs 1 Anal, .In : " vol. 12.
té- sur le sang pendant la vie et sur le système nerveux après la mort . a) Examen du sang pendant la vie a été absolum
té absolument négatif. Le sang avait été recueilli, la veille de la mort , dans une veine- LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES
en province. Pèie, alcoolique invétéré, coléreux et batailleur, est mort tuberculeux. Sa mère, une brave femme, vit et s
nements sur les enfants du premier lit; du second, deux soeurs sont mortes , l'une bacillaire, à vingt-sept ans; l'autre d'
il Paris, tlente-six ans. 380 CLINIQUE MENTALE. Père alcoolique, mort ; s'enivrait souvent. Mère morte; pas de renseig
'l'..., employé de commerce, trente-six ans. - Grand-père paternel mort aliéné à Bicêtre. Tante paternelle morte à Sainte
ans, cultivateur. Antécédents héréditaires. Père alcoolique fieffé, mort en prison; arrêté pour vol. Mère morte égalemen
vol. Mère morte également, pas de renseignements sur la cause de sa mort ; elle était peu intelligente. Quatre frères, do
use de sa mort; elle était peu intelligente. Quatre frères, dont un mort en bas Age, les deux autres se portent bien, mais
dit chez le commissaire auquel il conta qu'on vou- lait le mettre à mort chez lui. Il fut arrêté et envoyé au dépôt. Arr
l'attention de nos lec- teurs. Sommaire. Père, excès de boissons, mort ci trente-huit ans d'une mccladie zle poitricze
étés, s'est mis à boire. Il n'a jamais pu s'accorder avec sa femme. Mort à trente-huit ans d'une maladie de poitrine cau
as un déséquilibré, mais c'est un sujet à cases vides. » 2° Garçon, mort d'une bronchite, pas de convulsions. - 3° Notre
nimaux, empoisonné pendant deux mois, s'accrut cependant jusqu'à sa mort . Parallèle- ment à l'amaigrissement, survint un
aT. NÉCROLOGIE. Le Dr DAUBY. Nous avons le regret d'annoncer la mort du Dl' DaoBr, ancien directeur-médecin en chef
s accentué à droite. Gémissements. Mâchonne- ment. Gâtisme. Coma et mort , quatorze jours après l'admission. Autopsie. -
on des sensibilités et des réflexes et diminution à droite. Coma et mort onze jours après l'admission. A l'autopsie on t
des troubles hallucinatoires et attaques épileptiformes fréquentes. Mort dans le coma vingt et un jours après l'admissio
urs céphaliques, de l'ob- nubilation intellectuelle très accentuée. Mort quinze jours après, l'admission par suite de pn
ellectuel progressif. Qu'il se termine après quel- que temps par la mort , ou qu'il dure, cet état ne nécessitera pas ou
il faut en général attribuer la terminaison de ces psychoses par la mort , la démence ou le passage à l'état chronique. I
e. Hallucinations multiples, auditives, visuelles, psycho-motrices. Mort par cancer primitif de l'estomac et cancer seco
. Eugène X..., chauffeur mécanicien, est né en 1854. Son père est mort de ramollissement cérébral à l'asile des aliénés
monte et qu'il conduit. Son père, ses frères, sa mère, ses oncles, morts depuis longtemps, ressuscitent et viennent se c
st ruiné, perdu, déshonoré, il est' un grand assassin et demande la mort ; des voix l'insultent, lui reprochent ses crim
ns de la jambe droite, vient affirmer l'exis- tence d'un cancer. La mort arrive le 2-1 juillet 1899. Autopsie faite ving
brinogènes, leur t) ans-formation cl leur régénération dans le sang mort sont, comme le rapport de la quantité de fibrine
ait pu agir, l'oiseau étendu sur le plancher raide, immobile, comme mort . Quelques gouttes d'eau froide le rappellent à
filiforme, la respiration, ronflante, prend le type Cheyne- Stokes. Mort vers dix heures. L'autopsie révèle les altérati
omboses, les foyers consécutifs, les phénomènes d'excitation, et la mort rapide pro- duite par les oblitérations de plus
e. P. KERAYAL. LXVI. Méningite ventriculaire chronique des adultes. Mort subite ; par Bresler. (Nczcaôlog. Ccrztrv(Ll.,
ésies (fourmillements, en- gourdissements, pattes de mouches, doigt mort ) indiquant l'at- teinte des fibres sensitives.
et à droite ; raideur de la nuque; strabisme divergent. T. 40°, 7. Mort en cet état le o. Autopsie. Bronchopneumonie ré
ervation complète, presque depuis le début des accidents jusqu'à la mort , c'est-à-dire pendant plus de deux ans et demi.
0 octobre 1899. Présidence de M. J. Voisin. Le Président annonce la mort de M. Paul Janet, ancien président de la Sociét
éservoir et avait aussitôt refermé le bassin, menaçant son frère de mort s'il la dénonçait. La petite Thérèse, âgée de dou
sa voisine, la femme Fèvre, soixante-deux ans, puis s'est donné la mort . (Le Bonhomme Nor- 11 ! wul, 20 octobre 1899.)
antité d'eau-de-vie, fraîchement distillée. Le petit malheureux est mort peu après dans d'horribles souffrances. (Le Bon
75 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aut ajouter que dans presque tous les cas relatifs à ces formes, la mort sur- vient rapidement. -- Il n'y a donc pas d
us marqués à gauche qu'à droite. L'état reste tel quel jusqu'à la mort . Observons que si l'hypoesthésie au tact n'étai
spasmodique pendant quatre ans et demi, jusque six mois avant la mort ; celui de Senator3, ou la paraplégie, causée pa
médullaire, resta également spasmodique pendant dix ans, jusqu'à la mort . On remarquera dans notre observation et nous v
é de Motchoutkowski. Celui du Dr Vincent et le Dr Vincent lui-même, mort étouffé par la branche antérieure de la pièce m
nt les symptômes céré- braux qui ont progressé lentement jusqu'à la mort ? Quoi qu'il en soit de cette interprétation, c
ant environ 400 cysticerques de toenia solium. L'auteur attribue la mort subite à la présence des kystes protubérentiels.
ent assez rapidement, mais la surdité corticale persiste jusqu'à la mort survenue trois semaines après la dernière crise
Durant de Gros. M. Paul FAREZ, à l'occasion de l'anniversaire de la mort de Durand de Gros, apprécie l'ensemble de ses t
ère est morte à trente-quatre ans, de suite de couches. Le père est mort d'accident. Rien à signaler chez les collatéraux.
tailleur de pierres. Antécédents héréditaires. - Nuls. Le père est mort d'accident. La mère d'une pneumonie. Deux frère
et est d'avis que le traitement aurait pour effet de retarder la mort des éléments nerveux atteints, dont il accroît la
période menstruelle, puis démentiels. A l'autopsie, la cause de la mort reste obscure : il y a bien des .lésions rénale
te, paraplégie complète quatorze mois après le début de la maladie. Mort par infection urinaire. Examen histoloyir¡ue :
. CESTAN montre les' pièces d'un malade présenté en janvier 1901 et mort récemment. A la suite d'une émotion cet homme a
siégeant dans la région des tubercules quadrijumeaux. A l'autopsie ( mort par pleurésie tuberculeuse) on trouva le cerveau
u'on fasse et qu'il y a des tabès bénins quoi qu'on fasse. Un homme mort d'un sar- come et qui n'avait que des signes tr
lessé, ont été également assommés par l'énergu- mène. M. Perret est mort quelque temps après. lllme Domy est à l'agonie.
ôpital d'épileptiques. - Le marquis de Vallijo, sénateur à vie, est mort d'une fluxion de poitrine. Il avait fondé un hôpi
re hystérique et tuberculeuse ; a eu neuf enfants, dont quatre sont morts en bas âge," dans les convulsions. Du côté mate
it tombée dessus - On me l'a levée + M. L... dit que je ne suis pas mort z- Longue crise de contracture, dé mouvements t
s tomber. N'aie pas peur. - La table tombe. -Soubresauts.- Il est mort ! -Crise. - Soubresaut. Tu ne t'es pas fait mal ?
puis progressif. Au début, Louis me dit spontanément que depuis la mort de sa mère, dès qu'il se couche le soir et ferm
rsuadé et reste con- vaincu que sans mon intervention, Louis serait mort sous mes yeux. Vers le 20 janvier, Louis s'est
an tout en se servant du terme de confusion mentale. F. 13. , IX. Mort par thrombus multiples d'origine bactérienne chez
nt des colibacilles et entouré de fibrine. Ils sont antérieurs à la mort . L'auteur a de plus coloré des coupes de l'écor
philitique. Soeur paralytique générale à dix ans, morte à dix-sept. Mort à dix-neul ans de tuberculose pulmonaire. Autop
omane. Renvoyée, puis réintégrée à vingt et un ans, Démence rapide. Mort de tuberculose pulmonaire à vingt- deux ans. Lé
pporter le salut du péché et de 1 tristesse, de la maladie et de la mort ; la Science chrétienne, c'est a loi de Dieu int
r à la tentation, mais délivrez-nous du mal, de la maladie et de la mort .» Il y a de même dans les asiles des gens qui p
eux se troublent, il ne sait ce qu'il fait, il continue à frapper à mort . Il ramasse ensuite sa gibecière, regagne son d
cesse des traces de sa déséqullibration mentale. Stuorr. XXXVII. Mort d'un aliéné par fracture du crâne et hémorrhagie
res profondes de l'écorce, et diagnostiqué paralysie générale ; par Mort . Un cas d'anémie pernicieuse avec symptômes méd
veau, la moelle, les muscles et les autres organes, chez les sujets morts de convulsions- épileptiformes prolongées ; par
ombereau chargé de cailloux. Le malheureux a eu la tête broyée ; la mort a été instan- tanée. (Tablettes des Deux-Charen
re sur moi une telle action que j'y abandonnais mon mal. Après la mort de mes parents (1829), je revins chez le maître
comprendre, sans être à lui en pensée et en esprit. Cette véritable mort de l'esprit en fut encore augmentée. Je ne me sen
violence pour ne pas tomber dans un état tout à fait semblable à la mort . Arrivé à Berlin, au lieu de voir ce qu'il y av
n'ai eu qu'une soeur germaine âgée de vingt-six ans, trois étaient mortes en bas âge, nous restons donc les deux seuls, l
couché sur un sopha, entouré de quelques amis, avec la pâleur de la mort , présentant dans la région du coeur une blessur
cide il ait voulu reprendre son manuscrit pour le détruire avant sa mort à peu près résolue. Déjà, le malheureux a trouv
diotie morale ; légère arriération intellectuelle '. Sommaire. Père mort aliéné. ? Grand-oncle, grand' mère et grand' -
re, convulsions de l'enfance, morte phtisique. Grand-oncle maternel mort de morphinomanie et de cocaïnisme. Frère ins- t
où il est sorti le 31 décembre 1897. Antécédents héréditaires. Père mort à quarante ans d'une « paralysie au cerveau», i
famille mater- nelle, est celui d'un grand-oncle maternel, médecin, mort de morphinomanie et de cocaïnisme. , Pas de c
, la moelle d'un homme de vingt-neuf ans ayant, quinze ans avant sa mort , subi l'amputation de la cuisse droite à la par
1901. Présidence de M. JOFFROY. Un cas d'hypnotisme terminé par la mort . ,. M. SOLLIER. Il s'agit d'un homme de quarant
ie n'a pu être faite. On n'a pu déterminer nettement la cause de la mort . A quoi étaient dues ces attaques congestives ?
moments peut faire penser à une accumulation d'acide carbonique. La mort peut aussi être due à un épuisement nerveux, à un
ppression brusque n'ont pas été exagérés ? M. Joffroy. Les cas de morts survenus avec la méthode de la suppression brus
soit leur durée peuvent comporter un pronostic favorable. Un malade mort d'une maladie intercurrente pendant une de ces
examiné par la méthode de Marchi toutes lés moelles des Tabétiques morts dans le service de Bicêtre; ils n'ont trouvé qu
effet, sur trois des cas où les corps granuleux ont été trouvés, la mort était survenue par accident ou suicide au cours
paralysie du bras du même côté. La température monte jusqu'à 39°,3. Mort au bout de huit jours. - A l'autopsie on trou
sée et provoquer des troubles cérébraux graves qui ont déterminé la mort . A noter dans ce cas la présence de phénomènes
observation de M. AI ? le premier ictus a eu lieu six ans avant la mort , et pourtant on n'a pas assisté à l'éclosion de l
l'auteur expose le sort des lépreux à cette époque : humiliations, mort civile, miseà à la dispo- sition de la charité
u'on lui présentait : « Je n'ai pas faim, ça ne passe plus, je suis mort ! » répondait-il. Il ne voulait plus travailler
ntourage du malade par le chagrin éprouvé par ce dernier lors de la mort de sa femme. La paralysie générale évolua très
sa femme lors de l'enquête, il ne veut plus manger et dit qu'il est mort , il frappe si on veut l'obliger à s'alimenter,
cesse : « tout est perdu, la nourriture ne lui profite pas, il est mort ou presque mort, n'a plus de jambes ». Refus d'al
est perdu, la nourriture ne lui profite pas, il est mort ou presque mort , n'a plus de jambes ». Refus d'aliments : il n'
forme mélancolique avec délire des néga- tions. Chez le premier, la mort survint au bout de huit mois, chez le second, a
u bras et de la jambe, issue mortelle dans le coma avec gâtisme. La mort s'explique par la constitution usée de la malad
de succès, facilitait le diagnostic : l'auteur ayant eu deux cas de mort dans cette maladie, ne peut partager cette manièr
te opération (hémorroïdes), signes de dépres- sion et crainte de la mort , bien que l'opération eut parfaitement réussi e
les atteints. Miction et défécation libres. Tristesse, sensation de mort pro- chaine, traitement inefficace : mort. Pas
. Tristesse, sensation de mort pro- chaine, traitement inefficace : mort . Pas d'autopsie. L'auteur présente à la Société
service de femme de chambre, et ensuite à soigner son frère qui est mort tuberculeux. Quelque temps après, elle est deve
érédité fâcheuse. Grande émotion nerveuse il y a deux ou trois ans ( mort subite de son père); avait été rendue nerveuse
fut pour les tuer. 11 est supposable qu'ils aimaient mieux les voir morts que vivants pri- sonniers. Mais pourquoi les av
suivante : lorsque la paraly- sie générale est certaine, lorsque la mort est survenue après les diverses phases connues
- lièrementles cellules pyramidales intacles même chez des sujets morts en état de mal. La névroglie au contraire n'est j
. Dans les derniers jours, hémiparésie gauche, coma, fièvre élevée, mort . Il n'y eut jumais ni convulsion, ni phénomènes
e embrassait l'objet touché. ill. 13. BIBLIOGRAPHIE. XIV. De la mort subite dans les affections organiques des centres
des centres nerveux. Le traumatisme léger cause déterminante de la mort subite dans ces affections au point de vue medi
vue les différentes affections organiques des centres nerveux où la mort subite se rencontre (paralysie BIBLIOGRAPHIE. 4
er- veux. Ces deux éléments seraient une cause déterminante de la mort rapide. Il étudie d'après les expériences de Paul
par les diverses affections des centres, laquelle provo- querait la mort subite. Au point de vue médico-légal l'expert d
blique, M. Kautchef, à coups de revolver, et s'est ensuite donné la mort . (Le Petit Temps, 7 février 100.) Sous le tit
a sûreté que la petite Blanche Ammann s'est volontairement donné la mort , à la suite d'une scène très vive que lui avait
, 30 mars 1902.) Nécrologie. Nous apprenons, un peu tardivement, la mort d'un confrère qui, au coeur de Paris, était res
ite. C'est une nommée C..., âgée de quarante-un ans. Son père est mort , à l'âge de soixante-huit ans, en état d'hémipl
sive de l'affection, poussées congestives. attaques épileptiformes. Mort le 10 mars 1807. Sa femme, âgée de trente-trois
elles, signes physiques de plus en plus marqués. Gâtisme. Cachexie. Mort dans le marasme paralytique le 7 novembre 1898.
ations ; tout est perdu, la nourri- ture ne lui profite pas, il est mort ou presque mort, n'a plus de jambes, rien ne va
t perdu, la nourri- ture ne lui profite pas, il est mort ou presque mort , n'a plus de jambes, rien ne va plus. Paralysie
- mence. Evolution progressive de l'affection, gâtisme, cachexie, mort deux ans et demi après l'entrée. Sa femme, âgée
sisterons ailleurs sur ce fait intéressant que son frère jumeau est mort d'une PARALYSIE GÉNÉRALE CONJUGALE. 493 paral
ermet de croire que la femme a été prise la première. Le mari est mort le premier dans les observations I, III, IV. La
lle femme laide qui l'insultait tout le temps, en la menaçant de la mort , si elle ose parler de sa présence. L'insolence
ux observations de corps étrangers de l'cesophage chez les idiots : Mort par hématémèses foudroyants. Un cas d'idiotie sym
off, commissaire de police. Elle a perdu la raison à la suite de la mort de sa mère. survenue récemment. La coneierge est
t hantée d'idées noires, avait déjà tenté deux fois de se donner la mort . La première fois en essayant de se pendre et la
Les A 11nales Médit'o-chÙ'w'gicales dl ! Hainaut nous apprennent la mort à l'âge de quarante-huit ans, le 25 avril der-
Delabaire, 116. Affections organiques des CENTIMES nerveux. De la mort subite dans les -, par Vieille, .21. An ? rcs
uelques-uns des problèmes de l'aliéniste, par F. Pe- terson, 222. Mort d'un -. Voir fracture. Du soit-disant type occi
rfs dans la maladie de -, par Seitfer, 303. Thrombus multiples. Mort par d'origine bactérienne chez lin pa- ralyti
76 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
RITES. DECES. Dézoth........ 8 ans. Idiotie épilepsie. 9 octobre. Mort dans un accès. Opposition à l'autopsie. Bonnav.
sur cuivre. excès de boisson. Belthoi.......... Peintre » 7 enfants morts en bas-âge N. m., imbécile. Père excès de en bâ
iments. de méningite. boisson. Huis............ Mouleur » 6 garçons morts en bas-âge. 2 garçons bien portants. » en cuivr
, idiot, épileptique. de Pott. Mail............. Plombier. » 9 g. morts en bas-âge decon-2 g. ophthalmie purulente. Père
en bâtiments. ningite. N. m., imbécillité, épilepsie boisson. g. mort on ne sait de quoi, fausse couche à 5 mois. j-I
couche à 5 mois. j-Ior.............Ouvrier chapelier. » 6 f et 1 g. morts de convul-3 g. convulsions de l'enfan- » •ions.
lle morte,,à.J8 mois de N. m-;-,-Epilepsie. la rougeole, j I garçon mort à 3 ans 1/2 i de la gangrène. 5 fausses couches.
N. m., Epilepsie. Tar............. Plombier. Polisseuse. 5 1 garçon mort de méningite. 1 Gnrçon bien portant. » 2 Filles
ileptique. Baut............ Matelassier. Matelassière. 11 3 enfants morts de convul- 1 Garçon et une Fille très Père et Mèr
tale, Epilepsie probable. Itzik............ » Chiffons. 11 2garçons morts de scarlati-2 Filles et 2 Garçons bien » ne à 1
, Imbécillité, Microcé-phalie. Mazo........... Peintre » 2 i garçon mort à. 3 mois N. m., Imbécillité. » en bâtiments. d
ts. N. m., imbécile. boisson. Malt............. Mégissier. » 6 1 g- mort à 9 mois de bron- 2 g. et 1 f. bien portants. »
à 5 jours de ca-ohexie. Languill......... «. Manufacture des 6 1 g. mort de méningite à 3 1 ë- bien portant. l'ère excès d
excès de tabacs. jours. N. m. imbécile, athétosique. boisson. {g. mort de méningite à 3 jours. 1 f. mort-née. 1 g. m
. boisson. {g. mort de méningite à 3 jours. 1 f. mort-née. 1 g. mort de tuberculose pulmonaire. Davi............ Tou
en portant. N. m., Epilepsie. Eich............ Mouleur » 3 ' ëarÇOn mort de méningi- 1 Fille bien portante. Père alcooliqu
morte à 28 jours. 1 g. et 1 f. bien portants. Père alcoolique 1 g. mort de bronchite. N. m., idiotie. 2 g. morts de ?
nts. Père alcoolique 1 g. mort de bronchite. N. m., idiotie. 2 g. morts de ? Welt ........... Mégissier. » 5 4 morts de
N. m., idiotie. 2 g. morts de ? Welt ........... Mégissier. » 5 4 morts de convulsions. A7, m., idiotie, épilepsie. » L
otie, épilepsie. » Léchas.......... Teinturier. Teinturière 10 2 g. morts du croup. 3 g. et 1 f. bien portants. Père alcool
g. morts du croup. 3 g. et 1 f. bien portants. Père alcoolique 1 g. mort d'entérite. N. m., épilepsie. 1 f. morte à 12 j
. mort d'entérite. N. m., épilepsie. 1 f. morte à 12 jours (?) 1 g. mort de la rougeole. Gœur........... Allumettier. Al
mort de la rougeole. Gœur........... Allumettier. Allumettière. 5 4 morts en nourrice. N. m., idiot, épileptique. » NOMS.
. Plombier. » 5 1 fausse cou che. 1 fille bien portante. » 1 garçon mort du croup. N. m., idiotie. 1 garçon mort à 1 jour.
e bien portante. » 1 garçon mort du croup. N. m., idiotie. 1 garçon mort à 1 jour. Jean............ Tourneur » 4 1 fauss
léra. 1 fille bien portante. Père alcoolique en bâtiments. 1 garçon mort ? 1 garçon tuberculeux. N. m., idiotie, épilepsi
N. m., idiotie, épilepsie': Maur............ Tourneur » 3 1 garçon mort de convul- l garçon bien portant. » sur cuivre.
à 13 mois. N.m.. idiotie. Treps........... Plombier. » 7 3 garçons morts de ménin- 1 f. 1 g. bien portants. Père gite. 1
N. m., imbécile et épilept. Feycrt.......... Peintre » 7 i garçons morts de ménin- 4 garçons bien portants. Père en bâti
re. grossesses. déckdés. vivants. Sta............. Peintre » 7 1 g. mort du croup à3 ans. 1 garçon bien portant. Père alco
imbécile, épilepti- 1 fausse couche à 3 mois 1/2. que. 2 jumeaux morts à 4 mois. Riviè........... Tourneur » 8 2 fauss
fausses couches, 2et3mois 1 garçon bien portant. » sur cuivre. 1 g. mort de méningite à 3 mois. 1 g. mort de conuulsio
en portant. » sur cuivre. 1 g. mort de méningite à 3 mois. 1 g. mort de conuulsions à •15 mois. 2 jumeaux morts à 3
ingite à 3 mois. 1 g. mort de conuulsions à •15 mois. 2 jumeaux morts à 3 mois.' 1 f. morte dc convulsions à 8 jours.
umeaux morts à 3 mois.' 1 f. morte dc convulsions à 8 jours. N. m., mort dc tuberculose à G ans. Baill............ Peint
ot. Mère syphilis. en bâtiments. Duv............ Mouleur » 8 i g. mort de cholérine à 6 3 f. et 2 g. bien portants. Père
ches. \N. m., idiot épileptiquc. Père alcoolique. ferblantier. 1 g. mort de méningite. Galant.......... Peintre » 1 « N.
Peintre » 3 i fausse couche. N. m., idiot. » en bâtiments. 1 1 g', mort de convulsions. | PROFESSION NOMBRE ENFANTS N
ille bien portante. » I g. mort-né. iV. m., imbécile, épilepti-4 g. morts de méningite. que. 1 g. mort à 2 ans i{2 de con-v
ort-né. iV. m., imbécile, épilepti-4 g. morts de méningite. que. 1 g. mort à 2 ans i{2 de con-vulsions. Guillau......... T
ions. Guillau......... Tourneur » i » N. in., imbécile. Père aliéné mort à sur cuivre. l'asile de Ville- _ Evrard. P
» 9 1 g. mort-né. 5 g. et 1 f. bien portants. ; ___________ _ 1 g. mort de diarrhée. N. m., idiot. " Schr............ C
rrhée. N. m., idiot. " Schr............ Chapelier. » 3 1 g. et 1 f. morts de ménin- A. _• gjje N. m., idiot epileptique.
ot. Père alcoolique. Tourneur „ " ' — ' ~~~ UrUh?sur cuivre. " I g. mort de tuberculose. 5 f. et g. bien portants. ______
., imbécile. Lloop........... Imprimeur. » 4 , hien nnHanf F 2 g. morts (?) \8- men P°llant- Père alcoolique. _. _._.___
pileptique. ^ na Tourneur „ i fausses couches. Uasur cuivre. 1 g. mort de diarrhée. i g. et 1 f. bien portants. Père alo
/) Tableau de la vaccination. — g) Tableau de la température après la mort . Ces tableaux ont été reproduits dans le Compte
s et infirmières de la section des enfants de Bicètre. Signes de la mort . Tous les ans, à l'école d'infirmiers et d'infi
me dans les autres écoles, il est fait mie leçon sur les signes de la mort , le nettoyage du cadavre et l'en-sevelissement. D
77 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
use du décès des personnes tombées sur la voie publique, et dont la mort est presque toujours subite, au moment de la ru
ucune maladie nerveuse ni mentale dans sa famille. Ses parents sont morts très âgés. Dans les antécédents personnels du ma-
stata dès lors la marche suivante de la maladie jusqu'au jour de la mort qui arriva six semaines après l'attaque. Chaque
is de convulsions, ni de secous- ses musculaires. Longue agonie. La mort arrive dans le coma, la température mesurée sou
le 6 octobre 1895. i Autopsie. 7 octobre 1895, 22 heures après la mort L'ouverture de la tète est seule autorisée. Rig
ement rouge tout à fait ré- cent, datant de quelques jours avant la mort , se voit à la hauteur du milieu du noyau rouge
aient posées. Depuis le moment de cette attaque jusqu'au jour de la mort on constata une analgésie avec perte de la sens
t qui aggrava considérable- ment son étal. Le délire augmenta et la mort arriva le 6 octobre 1895, dans la stupeur et le
santé du malade ne fut réellement troublée que peu de mois avant sa mort . La maladie proprement dite commença seulement au
sphagie. Cet état persista jusqu'au 27 août 1895, 40 jours avant la mort . A cette époque une aggravation de tous les sym
un trouble encéphalique ne se manifestèrent que trois mois avant la mort , probablement à une époque où la circulation ét
touchés, des voies pyramidales, par exemple. Peu de jours avant la mort , on a pu constater encore qu'il n'existait aucu
ils n'apparaissent que tout à fait à la fin, peu de temps avant la mort , lorsque le malade délirait ou était déjà dans
té (qui dura sans interruption depuis la seconde attaque jusqu'à la mort ), aux modifications que la compression avait fa
ce malade. Observation clinique. Antécédents héréditaires. - Père mort de fièvre typhoïde, mère morte aveugle. Antéc
ar la voie orbitaire. L'autopsie a été pratiquée 36 heures après la mort . Squelette osseux. - Les os des membres ne prés
malades étudiés par l'un de nous dans ses leçons de l'Hôtel-Dieu et mort depuis à l'hospice de Bicètre, trouva histologi
S, 1 thèse Strasbourg, 1878, obs. 9, p. 20. Homme de 33 ans. Père mort d'une maladie de poitrine ( ? ). Mère, frères e
lles recouvrent l'appétit, elles digèrent et elles sont sauvées de la mort . Je me permets de rappeler ici un exemple perso
est morte à 83 ans. S... ne sait rien de son grand-père mater- nel mort depuis longtemps. De ses deux oncles maternels, l
re : il est allé il Vichy, à Chatel-Guyon. - Collatéraux : un frère mort à quinze mois. Trois frères vivants : deux sont m
au- dia, qui entra à la Charité le 26 septembre 1899. Le père est mort d'une affection gastrique : la mère, bien portant
un terrible cou- telas, sous la garde d'une impressionnante tête de mort . Dans'le fond, on entrevoit une cornue mystérie
se, se penche exagérément au risque de s'effon- drer sur la tête de mort , les pots d'onguent et les bistouris : elle aussi
llement desséché le cerveau à force de prendre du tabac qu'après la mort on lui trouva dans le crâne au lieu d'encéphale u
t comblé de faveurs par le roi Louis XV, avait été chargé, après la mort de ce monarque, de plusieurs missions en Suisse e
ilement je place ici l'examen pratiqué le 9 .mai, 15 jours avant la mort , examen qui, à part des nuances que j'indiquera
oisième et le quatrième et le septième, toujours le même jusqu'à la mort . Il ne serait peut être pas inutile de détermin
l s'agit là d'un phénomène terminal et précédant de peu de temps la mort . Cependant on en a vu un certain nom- bre dans
la plupart du temps dure peu, quelques heures, quelques jours et la mort s'ensuit.Mais il n'est pas excessivement rare de
la Société d'anatomie de Bordeaola colonne vertébrale d'un ataxique mort à l'hôpital Saint-André. Les ver- tèbres présen
métatarsien. Sphacèle de la plaie opératoire : amputation de jambe. Mort trois jours après. Autopsie. - Organes splanchn
1885 pour une affection du gros orteil. Son père et sa mère sont morts plus que septuagénaires. Il a eu deux soeurs, d
e Bad... perdit sa femme et son enfant et fut très alfecté par leur mort . Les douleurs dont il souffrait depuis dix ans
Le 6 juin, on pratique l'amputation de la jambe au tiers inférieur. Mort le 9 juin. Autopsie. - Rien à noter dans les
sales et les 3 premières lombaires. Gibbosité angulaire lombaire. Mort deux mois après de pneumonie. Autopsie. - Hépat
rme par l'expulsion d'un futur mort-né, la seconde par deux jumeaux morts peu de temps après.' , En 1860, à l'âge de qu
une réduction complète. Le 31 décembre, une pneumonie se déclare. Mort le 5 janvier 1886. Aulopsie. - Hépatisation gri
jusqu'en janvier 1898.A cette époque, hemorrhagie cérébrale, ictus, mort dans le coma. Autopsie. - Moelle : sclérose des
x jours après. L'autopsie, pratiquée vingt-quatre heures après la mort , a montré les parti- 142 JEAN ABADIE cularité
le un énorme caillot de la grosseur d'un oeuf de poule, cause de la mort . . Après macération dans l'eau des fémurs, du b
dont cinq normales et quatre fausses couches Tous ses enfants sont morts en très bas âge ; un seul a vécu jusqu'à 14 mois,
sa dernière grossesse, qui se termina par l'expul- sion d'un foetus mort et macéré (il y a deux ans), elle avait de terrib
. Les antécédents héréditaires sont peu intéressants : son père est mort subi- tement, sa mère est nerveuse. Il a une fi
4 ans, paveur. Pas d'antécédents héréditaires nerveux. Père et mère morts à 58 et 56 ans de maladie aiguë. 5 frères et soeu
e musculaire avec RD., hypoesthésie limitée aux mains et aux pieds. Mort en janvier 1896. L'examen histologique montre l'e
cuisse. Il semble ainsi au ma- lade que tous ses membres sont comme morts .En juillet 1891 nécrose des tissus des mains, p
s, 206 H. GAUDIER né à Breughel, village près de Bréda vers 1525, mort à Bruxelles le 5 sep- tembre 1569. Une étiquett
que nous reproduisons a été prise par M. Bouvet 20 heures après la mort . OBS. XXIII.- Observation inédite due à l'extrê
(Pl. XXXVI, b,c,d). Jules K.. 48 ans, tonnelier. Père rhumatisant, mort à 68 ans de rhu- matisme. Mère vivante, âgée
ospitalisation le 28 février 1896. Antécédents héréditaires. - Père mort à 98 ans, emporté en 48 heures, il n'avait anté
ille bien portants avec suites de couches excellentes.Le garçon est mort à l'âge de dix-huit ans d'étouffement ( ? ), la j
naissance d'un garçon et d'une fille. Veuve à vingt-huit ans : mari mort subitement, à l'âge de trente ans, d'un coup de
nquante-quatre ans, conducteur des postes en retraite. Son père est mort de vieillesse à quatre-vingts ans, sa mère d'épui
e. Henri, âgé de cinquante-deux ans, camionneur. Ses parents sont morts , le père, le malade ne sait de quoi, la mère, d'h
ents articulaires. Douleurs vives à la pression et à la percussion. Mort en août 1899 de congestion pulmonaire. Pas d'auto
de M. le professeur Pitres, pour troubles ataxiques. Son père est mort à l'âge de quarante-neuf ans d'une pneumonie. Sa
nte de bronchite chronique avec emphysème sept ans environ avant sa mort . Ses deux grand'mères sont mortes plus qu'octogén
emphysème sept ans environ avant sa mort. Ses deux grand'mères sont mortes plus qu'octogénaires, sans avoir eu la moindre
im- mobile. Pas d'autres arthropathies du tronc ou des membres. Mort six ans après. Pas d'autopsie. M. P..., âgé de
Il s'est remarié à l'âge de trente- six ans, a eu un enfant qui est mort . Il n'accuse pas de syphilis, il a toujours abu
'ailleurs n'avoir jamais remarqué pareil phénomène. M. P..... est mort vers la fin de l'année 1890. Son autopsie n'a pas
pour douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Son père ést mort à l'âge de soixante-dix ans d'une affection pulmo
par le chloroforme et leurs organes, enlevés immédiatement après la mort , ont été traités par les procédés techniques dé
ons plexiformes droit et gauche sont enlevés immédiatement après la mort et fixés dans le liquide de Gilson. Traitement
ons plexiformes droit et gauche sont enlevés immédiatement après la mort et portés dans le liquide de Gilson. Le traitem
mêmes lésions dans une série de ganglions cérébro-spinaux de lapins morts de la rage par virus fixe, avec une intensité var
ans le service de l'un de nous. Ses parents d'une bonne santé, sont morts vieux, le père à 73 ans, la mère à 83 ans ; ell
un seul survivant est âgé au- jourd'hui de 30 ans ; les autres sont morts jeunes, de maladies sur lesquelles elle ne peut
adies sur lesquelles elle ne peut donner aucun détail. Son mari est mort à 64 ans ; mais elle ne peut préciser davantage
ents assez vagues sur ses an- técédents héréditaires : son père est mort à 46 ans, mais il ignore de quelle maladie ; sa
is la vingtième année; des six enfants qu'a eus la malade cinq sont morts en bas âge, le seul survivant a souffert d'accè
'une guérison temporaire, nous serions presque tentés de dire d'une mort différée. Il faudrait, en effet, pour affirmer
celle terminaison fatale à échéance retardée, il faut parler de la mort qui suit immédiatement, c'est-à-dire dans un déla
les grandes tailles sont habituelles. Sa'soeura 1 m.80 ; son père, mort à 65 ans d'une maladie indéterminée, avait 1 m. 9
st bonne; elle n'a pas fait de fausse couche et n'a pas eu d'enfant mort en bas âge ; la syphilis ne paraît pas exister da
Sa mère est bien portante, elle n'est pas nerveuse. Son père est mort à l'âge de trente ans, sans doute phtisique (il a
nt deux ans et à plusieurs reprises a craché le sang). Un frère est mort à l'âge de (rois ou quatre mois, un autre, son aî
présenté des accidents d'étranglement herniaire trois mois ; il est mort à deux ans et demi d'entérite aiguë. Depuis la
'ignore qu'il s'agit bien d'un adepte de la mé- decine, une tête de mort et un sablier symboliques complètent la déco- r
u cerveau ; 5° Cette sécheresse, tout à fait pernicieuse, avance la mort des vieil- lards ; 6° Ils sont exposés aux fi
a plus de 20 ans qu'il a supporté un lues. Cinq ou six ans avant la mort apparurent des symptômes très marqués de maladi
démence. Les réflexes rotuliens étaient exagérés. Deux ans avant la mort apparut un tremblement aux mains et quinze mois
t la mort apparut un tremblement aux mains et quinze mois avant, la mort il eut un accès avec convulsions dans la moitié d
idité dans les membres supérieurs et inférieurs. Huit mois avant la mort le malade eut un accès épileptiforme. Avec le tem
s muscles des membres étaient rigides aussi. Quatre mois avant la mort le malade avait des tiraillements convulsifs très
une forme irrégulière. Cas II. A. D..., 32 ans. Deux ans avant la mort apparut une insomnie, puis un an plus tard le m
es réflexes rotuliens étaient très affaiblis. Six semaines avant la mort le malade eut un accès avec perte de conscience e
restait une rigidité dans la main et le pied droits. Le jour de la mort a eu lieu un nouvel accès épilep- toide. L'exis
1889. A cette époque, elle avait 49 ans. Elle raconta que son père, mort à 60 ans, faisait de grands excès alcooliques,
te d'une émotion. Les parents avaient eu 14 enfants dont 11 étaient morts en bas âge ou dans l'enfance, la plupart de con
st morte à 25 ans d'une affection aiguë de poitrine et un frère est mort à 44 ans, aussi d'une affection aigué de poitri
ade la syphilis. Marié à 27 ans, le ma- lade a eu un premier enfant mort d'éclampsie en bas âge. un second, bien portant
s un gros névrome fusiforme au bout central. Immédiatement après la mort , la moelle allongée, les ganglions plexiformes
lions plexiformes droit et gauche sont mis immé- diatement après la mort dans une solution de formol à 10 0/0. Après un sé
ions plexiformes droit et gauche sont portés immédiatement après la mort dans le liquide de Gilson ; traitement subséquent
oyenne du cou (entre la 4" et la 5 vertèbre), aussitôt il tomba comme mort , on le releva puis on le transporta chez lui où
iplégie par embolie. Son grand-père et sa grand-mère maternels sont morts d'apoplexie, l'un à 80 ans, l'autre à 66. Son pèr
ilité Au 3 juillet de l'année suivante la paralysie n'a pas changé, mort . Observation XXX. H. SCHLOEFFER. . Antoin
ulsions En avril 1897, il a eu subite- ment la sensation des doigts morts et pendant dix minutes ne vit plus rien que du
ralytique à 95 ans(serait restée longtemps dans un fauteuil) ; père mort à 70 ans. Un frère mort à 78 ans, un frère viva
t restée longtemps dans un fauteuil) ; père mort à 70 ans. Un frère mort à 78 ans, un frère vivant âgé de 75 ans (aux Pe
laire; Fiv. 5. - Coupe transversale de la moelle dorsale d'un chien mort avec troubles ner- veux paralytiques, suite de
ont un avait présenté une paralysie ascendante et dont le sujet est mort trois jours après. Ensuite, j'ai pratiqué l'exame
ré fréquemment ces nodules dans les ganglions jugulaires des sujets morts de tuberculose, après la résection du pneumogastr
c. 10. Cellule radiculaire dans un cas de rage humaine. Le malade est mort avec des phénomènes de paralysie ascendante de
la seule lésion histologique. Je pourrais ajouter que chez un sujet mort à la suite du diabète insipide non seulernent j
ture de streptocoque virulent dans le canal rachidien. L'animal est mort six jours après. A droite de la figure on voit un
ultérieur, les cellules atteintes d'achromatose sont vouées à la mort . L'état du noyau est va- riable, parfois sa mem
lui-même que le curieux fac- tum en quinze lignes, trouvé, après sa mort , dans la doublure de son pourpoint et qu'on app
Obs. II). ' Notre malade a eu dix frères ou soeurs dont quatre sont morts en bas âge. Sur ce nombre deux seulement ne jou
s névropathi- ques : ils ont eu 9 enfants; un est né avant terme et mort aussitôt : un autre est mort de diarrhée à 3 mo
eu 9 enfants; un est né avant terme et mort aussitôt : un autre est mort de diarrhée à 3 mois ; 7 sont vivants ; notre mal
inés à la queue des moutons, ou bien de se frotter avec une dent de mort , ou en- core, selon le conseil de Pline, de man
décrit les expériences probantes qu'il a faites « sur la teste d'un mort ». Fabrice d'Aquapendente, tout en revendiquant
dents est la plus grande et cruelle entre toutes les douleurs, sans mort ». Cette scène est fort heureusement choisie. E
une étagère garnie de pots de pharmacie, surveillés par une tête de mort . Des ciseaux, des pinces, une seringue sont acc
78 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tous les suicidés des mêmes familles choi- sissent le même genre de mort et se détruisent au même âge. Un cas des plus c
. - Un frère et une soeur ont eu des convulsions. - Oncle paternel, mort fou ù Bicêtre. Observation X. NI'ne J..., hys
assager. Grand-père paternel pendu. Mère hys- térique. Un frère est mort de convulsions. Une soeur et deux autres frères
plusieurs accès maniaques ayant duré cinq ou six mois. Un frère est mort de paralysie générale, un autre a été hypocondr
orte en démence. Observation XXXVIII. Trima S..., ataxique. - Frère mort à trente-six ans de paralysie générale. Obser
Observation LV. M. G..., ataxique. Oncle maternel épileptique est mort dément. Observation LVI. M. P..., cinquante-tro
on chirurgicale. - il Un oncle paternel, botaniste dis- tingué, est mort aliéné. 1° La mère avait, étant enfant, des abs
basée la théorie cérébrale. Le père des trois malades de Dunlop est mort aliéné. D'ailleurs l'hérédité nerveuse est peut
ion LXX. D..., vingt-neuf ans. Sclérose en plaques. Oncle maternel, mort aliéné à la suite d'un coup. Plusieurs migraine
E LA MOELLE. 49 La malade succombe le 25 janvier. Au moment de la mort , nous relevons la présence de taches ecchymotique
rées à la nécropsie, ont été in- suffisantes pour nous expliquer la mort et les accidents ultimes qui l'ont précédée. No
et celle de l'homme. Observation. - Père alcoolique. - Deux soeurs mortes de convul- sions. Une soeur hystérique et synda
rs été bonne. Excès de boisson envi- ron deux fois par mois. [Père, mort à soixante-six ans, mère, morte à soixante-sept
n prolapsus utérin qui date de la naissance de notre malade. [Père, mort d'une fluxion de poitrine ; mère morte d'une hy
, dit-il, aller tout à coup en arrière et on aurait dit qu'il était mort » ; il revenait à lui au bout de quelques seconde
e notre hypothèse, nous rappellerons que deux soeurs du malade sont mortes de convulsions; qu'une autre est atteinte de zé
t par le curare. - Obstruction du larynx par un morceau de viande : mort . - Autopsie. - Vau... (Ernest-Joseph), né le 41
typhoïde; impressionnable, pas d'attaques de nerfs. - Un frère est mort jeune, de convulsions. Pas d'aliénés, d'épilep-
lle souffre de calculs biliaires. Intelligence ordinaire. - [Père : mort phthisique à cinquante-trois ans, après avoir eu
te-deux ans d'un cancer utérin. Un frère bien portant; un autre est mort tout jeune de la cholérino et un troisième de l
s de consanguinité. 104 REVUE CRITIQUE. Six enfants : deux filles mortes de bronchite, l'une à sept mois et demi, l'autr
e convulsions, bien con- formées. Deux garçons jumeaux 1 : l'un est mort à trois jours de (,on- vulsions, l'autre est no
on- vulsions, l'autre est notre malade. Un garçon, bien conformé. mort à treize jours, sans convulsions, d'un « épanchem
T. R. 40°. 8 mai. T. R. 40°,i.-Soir : 40°,4. 9 mai. L'enfant est mort ce matin à 7 heures. T. post mortem : 40°,6. L'
, et ordinairement si l'état de mal se prolonge plusieurs jours, la mort arrive. M. Charcot a relevé depuis longtemps l'
dans des cas de commotion foudroyante, quand l'animal tombait raide mort , d'un seul coup. Faisait-on des injections selon
n et l'articulation des sons. » Cet état dura tel quel jusqu'à la mort ; les bras regagnaient quelque peu de leur force.
leptiformes. En juin 1877, nouvelles attaques suivies de coma et de mort . Autopsie. Méninges saines, se décortiquant fac
t dilacérée; c'est lui qui a amené l'hémorrhagie lenticulaire et la mort . Cour. - Epaississement du bord libre de la val
albumine. Ces symptômes ne font qu'augmenter jusqu'au moment de la mort , qui survient le 29 août. Autopsie le le' septe
vation. Hémiplégie flasque gauche, puis convulsions, albuminurie et mort . Autopsie (par le professeur Langhans). La du
iste, lit n° 3, le 15 mai 1883. Antécédents héréditaires. - Père, mort tuberculeux à vingt- neuf ans. Mère, morte à
ralysie des lèvres, de la langue et du voile du palais. Le 20 juin, mort par broncho-pneumonie. , 1 A l'AUTOPSIE, rien a
ont les plus redoutables par leur brusquerie et leur intensité ; la mort peut en être la conséquence. Ces troubles peu
suit ces accidents apoplectiformes qui peuvent se terminer par la mort . Gairdner7 rapporte un cas d'aphasie remplacée
dépression générale s'accompagne de malaise général, de peur de la mort , de la folie, de l'empoi- sonnement, une nosoph
M. E. VIDAL. Pas d'antécédents syphilitiques ou héréditaires. Père mort à trente-huit ans d'hémorrhagies multiples. /
grand-père, père et oncle buveurs et très alcooliques. L'oncle est mort d'une cirrhose du foie. Une tante paternelle es
a eu douze en- fants, dont il ne reste qu'un seul. Les autres sont morts à différents âges, soit au moment même de la na
e. Mais, dans ces cas, l'atrophie ne serait constatable qu'après la mort et par l'examen anatomique, « car, dit Clarke,
nflammatoires de la vessie et du rein qui constituent les causes de mort les plus fré- quentes du tabcs. La valeur pro
à l'âge de dix-neuf ans, il fut saisi d'effroi à la vue de son ami mort pen- dant les manoeuvres. La maladie a commencé
es de la parole qui ont notablement augmenté quelque temps ataut la mort . Le diagnostic, fait par exclusion des autres ent
olitograpbiées illustrent la description. S. D.\N1LLO, XVI. De la mort subite ET du coma dans LE diabète; par l'h. Freri
sans aucun accident nerveux. Frerichs conclut que la cause de la mort en pareil cas n'est pas unique. Pour le premier
reprises signalé des faits du même genre " CH. F. XVIII. GOITRR. Mort par paralysie des coudes vocales; par J. SElTZ.
riennes. Après avoir passé en revue les différents mécanismes de la mort 1 Ch. Féré. Notes pour servir à l'histoire de t
e se livre Seitz pour établir que tel a bien été le mécanisme de la mort et le relevé des observations analogues qu'il a
ale considérée comme une variété de rhu- 1Ïwlisme cérébral et de la mort dans la chorée; par Il.\NNEQUIN. Thèse de Paris
1884. De l'influence exercée sur l'état mental par l'approche de la mort : par Salivas. Thèse de Bordeaux, 1883. VARIA
que tout son corps était pourri, qu'il allait mourir, qu'il était mort . Le même délire hypocondriaque persiste encore au
rtout si j'avais pu voir intérieure- ment l'effet produit par cette mort prématurée sur les membres de ma famille. » 1
ine, le 26 novembre 188 : 2. Antécédents héréditaires. Père et mère morts vers soixante-quinze ans d'affections indétermi
a minute), sans Cheyne-Stokes, la température monte à 40°,5 5 et la mort survient dans la nuit du 28 au 29. Autopsie. Ce
un grand nombre de mots, et, dans les deux mois qui ont précédé sa mort , il n'aurait eu à sa disposition que deux mots
ideur de l'articulation. Dans les urines, albumine; pas de sucre. Mort le 29 janvier, au matin. Autopsie. Cerveau gauc
ix ans, peintre, entré salle Saint- Jean-Baptiste le fit mars 1833, mort le 17 juin. Articulation des mots très difficil
supérieur et des muscles des yeux. Pas de paralysie des membres. Mort par épanchement pleural. A l'AUTOPSIE, pas de l
et tendineux. T. 39 Analgésie. Le lendemain, accidents pulmonaires. Mort . Le profes- fesseur Meynert rencontre à l'autop
apoplectiforme entraine par le concours de phénomènes bulbaires une mort rapide dans le coma. La durée totale du process
paraplégie. Tendance à tourner la tète à droite ; pas d'hémiplégie. Mort en trois jours sous l'influence d'une infiltrat
s de la connaissance, de délire, de pleurs ou de rires enfan- tins. Mort par tuberculose généralisée. P. K. XXXIV. LE tr
ulose dans l'hystérie ; j'ai pour ma part, observé deux hystériques mortes dans mon service et dont l'autopsie m'a démontr
s confrères à l'inspection de l'établissement de Schweizerhof. La mort a ravi pendant l'année qui vient de s'écouler : l
à un para- lysé général son lobule paracentral deux heures après la mort , on observe une excessive abondance de ces fibr
ême région du cerveau d'une manie puerpérale, douze heures après la mort . Le temps qui s'est écoulé entre la mort et l'a
ale, douze heures après la mort. Le temps qui s'est écoulé entre la mort et l'autopsie, et le séjour plus ou moins prolo
«ont obtenus à l'aide d'une nécropsie précoce (deux ueures après la mort ) et l'immersion du cerveau pendant six à huit s
t sur Navenheilkunde, Psychiatrie, etc., du 5 mars 1884, annonce la mort du Dl Frese, professeur de psychiatrie, et dire
ican Journal of Neurology and Psychiatl'Y, annonce (nu- méro 3), la mort , à 63 ans, du Dr B. WILBUII, super-inlendant de
la porte et furent assez heureux pour arracher la jeune fille à une mort épouvantable. Néanmoins, cette malheureuse, out
65. Diabète (pathogénie du- insipide), par Flatten, 249; - (de la mort subite et du coma dans le), par Frerichs, 250
RES. et ses rapports avec le), par Meyer et Bayer, 337. Goitre ( mort par paralysie des cordes vocales), par Seitz, 2
79 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
naient des hématémèses et des névralgies faciales. -Père de la mère mort en vingt-quatre heures à la suite d'une atta- q
e du côté gauche depuis deux ans. Grands parents maternels seraient morts paralysés. Antécédents personnels. k eu des con
s'étendre et avec quelle rapidité ? Montera-t-elle tou- jours et la mort surviendra-t-elle par le bulbe ? Ou une complic
ntpellier. (Gaz. mid, de Paris, 1884.) Il s'agit de deux vieillard» morts hémiplégiques ; les lésions trouvées à l'autops
Du reste pas de coma, défervescence dès la quatrième semaine. Deux morts parmi les aliénés; en un cas, il s'agissait d'u
phonie); dysphagie; facies hippocratique. Au bout de trois jours la mort est devenue imminente. On ordonne, par cuilleré
risons se rattachent à l'enfance (2 ans et 4 mois 9 18 23 ans); les morts avaient de 28 52 ans. Discussion : M. REIiNHA
férieures chez un homme de qua- rante ans; cinq à six mois avant la mort , faiblesse dans les jam- bes, avec douleurs lan
- tiner. Grande sensibilité au contact de la peau et des muscles. Mort en état de collapsus. Les viscères sont parsemées
aur-des-Fossés.) FAITS DIVERS Asiles d'aliénés. - Par suite de la mort de M. LEGRAND du SAULLE, les mutations suivante
UDDEV, un des ahénistes les plus distingués de notre époque. Il est mort le 14 juin courant, victime de son devoir profe
liénâtes allemands. - Le public médical regrettera avec nous qu'une mort prématurée vienne nous priver des tra- vaux que
sychiatrie. L'Amel'ican Journal of Insanity (avril) nous annonce la mort du Dr R.-H. SmTx, superintendant de l'asile d'a
ersistance des fon- tanelles. - Erysipèle. Phlegmon de la cuisse. - Mort . Autopsie. Composition et texture des gonflemen
diotie. Gonflements anormaux de la région cervicale. - Convulsions. Mort . Autopsie. Composition des gonflements cervicau
par une tante paternelle (12 mars 1880). - Père né à Strasbourg ', mort en 1 878 de la poitrine, à l'âge de quarante-ne
, ne savait ni lire ni écrire; il était sobre, bien conformé et est mort d'une fluxion de poitrine; sa mère, de taille o
neuf ans et y pisse encore quelquefois; - 4° et ou d'autres enfants morts , l'un du croup, l'autre de la rougeole : Notr
Charcot, à la Salpêtrière. Antécédents héréditaires. Grands-parents morts âgés. Père, mort à cinquante ans, d'une maladie
rière. Antécédents héréditaires. Grands-parents morts âgés. Père, mort à cinquante ans, d'une maladie aiguë. Mère, mor
dans le bras même, mais il ne le sentait pas, le bras était comme mort , à partir de l'épaule. Il lui semblait avoir, dit
ère ainsi que son père étaient atteints de la syphilis. Le père est mort paralytique et la mère est morte par suite de l
a clinique, n'offre aucun changement; au contraire, la veille de la mort , elle a diminuée et une légère manifestation de
nsible. La sécrétion de l'urine et de la selle est involontaire, la mort survient à la suite des phénomènes de la paraly
esdésordres amyotro- phiques observés seulement deux jours avant la mort . Bien que la maladie s'éloigne du caractère cla
iant en médecine à l'Université d'Helsingfors. Né en l83o. Le père, mort à soixante-quatorze ans d'une hé- moi rhagie cé
et' fièvre, coma, envahissement du côté gauche par les convulsions. Mort après trois semaines de maladie avérée. L'autop
hez les chiens sacrifiés avant l'apparition de symptômes graves, ou morts à la suite d'un empoisonnement unique accompagn
e. Examen du cerveau et de la moelle d'un individu de dix-huit ans, mort de phthisie pulmonaire, at- leint depuis l'âge
omatique de mai 1884 au 24 mars 1885 : courbe fébrile le jour de la mort . L'autopsie décèle tous les signes de la stase
d'une table, de façon à ce que les jambes pendent mollement, aussi mortes que possible ; inviter le patient à entrelacer le
en ne fournissent aucune trace de signe en faveur de ce diagnostic. Mort malgré la prescrip- tion de K I et sublimé. Dur
simple accident ? La jeune fille était elle nceinte au moment de sa mort ? Pourquoi la genèse de gommes a-t-elle suivi d
glande pituitaire et comprimant la bande- lette optique droite; la mort a lieu dans la démence compli- quée 'd'idées de
faire des néoplasmes dans le système nerveux central ; un oncle est mort de gliome de la protubérance; une nièce a succo
ention d'urine) et douleurs très prononcées tout le long du rachis; mort par paralysie de la respiration. Diagnostic ainsi
é de la sensibilité, des réflexes cutanés et tendineux (très nets). Mort , le 6 janvier 1885, de néphrite interstitielle
ue le discours qu'il a prononcé sur la tombe de M. Bourdin, dont la mort vient d'être annoncée en termes émus par le Pré
nante; dans le seul cas qui jusqu'ici ait terminé son évolution, la mort résulta d'une affection intercurrente, et malgr
e complè- tement, une rémission totale se manifeste, si bien que la mort n'a lieu que cinq ans plus tard de pthisie pulm
générale très probable quoique pour le moment (le malade n'est pas mort ) l'ensemble des symptômes rappelle au premier a
in à se croire malade; ayant appris un jour qu'un de ses amis était mort d'une maladie du coeur, il ressentit aussitôt d
Amélioration. Erysipèles. Refroidissement. Tym- panite. Atonie. - Mort . Autopsie : OEdème pulmonaire. Hydrothorax et h
pistaxis qui ont cessé à quarante-huit ou quarante-neuf ans. Il est mort en 1871, à l'âge de cinquante-deux ans, des sui
à une attaque d'apoplexie survenue dix-huit mois auparavant. [Père, mort vers soixante-treize, ans d'une attaque d'apopl
trefois un homme ressemblant à son fils. [Père, cultivateur, sobre, mort à quatre- vingts ans, d'une chute; il n'était p
is, la mère est de Courancelle (Meuse). Trois enfants : 4 garçon, mort à quinze mois, la nourrice était devenue tuberc
scènes violentes; le père était marié et ne l'a épousée qu'après la mort de sa femme. Elle n'aurait pas vu de crétins pend
n de la sonde oesophagienne, ils ne produisent aucune évacuation. Mort à 10 heures 35 du soir. Avant de mourir, le Pacha
DIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 321 à marcher. A l'époque de sa mort , il était propre, marchait tenu simplement à la
gâtisme; inertie physique. Ery- thème; refroidissement progressif; mort . Autopsie : péricardite ; absence du corps thyr
s autres parents; les ascendants du côté du père et de la mère sont morts à un âge avancé. W..., né à terme, est venu au
ême état. Le matin, à 8 h., T. ax. 34° 6. Le soir, à 7 h., 34°,i. - Mort dans la nuit, à 5 heures du matin. Autopsie. No
cès alcooliques; hémi- plégie droite en 1886. - Grand-père paternel mort paraplégique. - Mère plus âgée de dix ans que s
ns que son mari. -Ni goitreux ni cré- tins. - Deux soeurs du malade mortes jeunes de convulsions. Conception à quarante et
ement, etc. - Pénil glabre : sensibilité au froid. - Hémorroïdes. - Mort des suites d'une opération ( ? ) ou d'albumi- n
sa femme ou ses en- fants. Il s'est marié à vingt et un ans. [Père, mort hydropique à cinquante-sept ou cinquante-huit a
tait ni paralysée, ni démente ni goitreuse. - Grand- père paternel, mort vers soixante-dix-huit ou quatre-vingts ai.s, j
er de détails sur la grand' mère paternelle. - Grand-père maternel, mort à quatre-vingt-deux ans, était paraplégique dep
orte paralysée à soixante-dix-huit ans, ménagère, sobie. - Un frère mort à l'âge de six ans, du croup. Une soeur morte a
quoi, a eu trois enfants dont on n'a pas eu de nouvelles depuis la mort de la mère en 1877. -Pas de maladies nerveuses, p
efois des céphalalgies); aucune alfectlon cutanée. [Père, couvreur, mort d'une chute à cinquanle-huit ans, sobre; était
arents paternels et maternels pas de rensei- gnements. Deux frères, morts de trois à quatre ans, on ne sait de quoi. Deux
consanguinité. Cinq enfants : 1° garçon bien conformé, né à terme, mort à six mois, en nourrice, de convulsions; 2° fil
paralytique. Préparations microsco- piques de paralytiques généraux morts à la période terminale et de malades ayant comp
psie trente heures au plus et, en été, vingt-quatre heures après la mort ; on plongera le petit morceau d'écorce, dont on
leurs noyaux. Il en est de même pour les mêmes organes d'un homme, mort des suites d'une opération chirurgicale, qui, d
l'a fait M. de Krafft- Ebing. P. KERAVAL. VARIA A propos DE la mort du ROI DE Bavière; par le Dr 1. V. ! \IUNDEY (W
les exécuteurs testamentaires ont pu permettre, à l'époque de la mort du père, qu'un jeune homme accablé par la prédisp
le condamner à la prison perpétuelle. Puis il se donna lui-même la mort dans les flots où jadis son clair regard aimait
térêt médical. Non seulement un médecin très connu a dû partager la mort de son roi aliéné, mais le'sort du roi lui-même
trop loin dans l'oubli des pré- cautions ; c'est ce qui a causé sa mort . Sa mémoire sera respectée et son nom, non seul
tiforme (corps), 108. Rhéostat transportable, 98. Roi de Bavière ( mort du), 416. Ruban de Reil (anatomie du), 102, 1
80 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
nerveuse unique ou une ablation unique d'un muscle, le malade étant mort sans cause capable de provoquer par elle-même u
3° un garçon de 25 ans, un des myopathiques actuels ; 4° un garçon, mort des suites de la rougeole à 2 ans 1/2 avec des co
de douleurs (rhumatismales ? ). Elle a eu trois frères, dont un est mort peu après sa naissance, un autre est mort aussi
trois frères, dont un est mort peu après sa naissance, un autre est mort aussi par cause inconnue. Le troisième est vivant
tre clinique le 12 janvier 1901 ; marié, a 3 enfants vivants, trois morts ; pas de syphilis, pas d'alcoo- lisme, ne fume
it ordinairement après quelques mouvements. Hérédité. Le père est mort à l'âge de 50 ans, évidemment d'une néphrite, n
a mère le ma- lade ne se souvient pas ; il ne sait pas de quoi sont morts ses frères et ses soeurs. Du second mariage de
lacunes protubérantielles. Il nous a semblé que chez les vieillards morts après une longue période de gâtisme on trouvait p
des cellules nerveuses chez le nouveau-né, à la suite d'un état de mort apparente plus ou moins prolongé. C'est cette d
mente et l'enfant meurt. L'autopsie faite quelques minutes après la mort montre le cerveau avec un peu de sérosité exter
t les cordons de la moelle assez bien développés. Dans le 2e cas, mort à 6 jours, les altérations atteignent peu les élé
eune âge, mais il ne lui en est absolument rien resté. Pas d'enfant mort . ' Jusqu'à l'âge de 2 ans, Arthur ne présente r
ne langue bien faite permet une bonne science. Car il y a des idées mortes , des sciences mortes comme il y a des lan- gues
permet une bonne science. Car il y a des idées mortes, des sciences mortes comme il y a des lan- gues mortes. Quand la man
a des idées mortes, des sciences mortes comme il y a des lan- gues mortes . Quand la manière de considérer les choses s'est
Vostre femme est fort aggravée de chaulde maladie et en dangier de mort , s'elle n'est prestement secourue, vécy son uri
avure de la Danse macabre, de G. de Manuel t (11 70), représente la Mort entraînant un médecin. Ce dernier, qui ne résiste
qui n'est autre qu'un vase à mé- dicaments. Dans les « Danses des morts » le médecin est souvent figuré l'urinai à la m
i qu'il élève de la main droite et ne prêtant aucune attention à la mort gri- maçante qui cherche à l'entraîner. Dans
mort gri- maçante qui cherche à l'entraîner. Dans la « Danse des morts » d'Holhein (2), la scène revêt un tout au- tre
écrites, mais avec son caractère lugubre tout particulier. C'est la mort , elle-même, sous les apparences d'un décharné,
ne pour re- cevoir les visiteurs, et prendre, de la main même de la mort , un volumi- neux urinal à demi rempli qu'elle l
ouchot, conservateur au Cabinet des étrangers. ' (2) Images de la mort à Lyon, par Jehan Frellon, 1562, page 26. NOUV.
DE THOMAS WILLIS LES AMIS DE JOB (Fragment) Par VAN ORLEY. (La mort du mauvais riche.) Masson et Cie, Editeurb' L
LES UROLOGUES 193 la .Tradition et dans une scène représentant la Mort du mauvais riche (PI. XXI). Nous venons de vo
produit très peu près la composition d'Holbein dans la' « Danse des morts », dont nous avons parlé plus haut. Une autre g
s troubles de la parole, mais pas d'aphasie; marche rapide, coma et mort . A l'autopsie, tumeur gliomateuse du volume d'u
éréditaires. Père très nerveux, s'est suicidé de désespoir après la mort de sa femme. Mère morte probablement de phlébit
veille, monte à 40°6 à 9 heures du matin et à 1° 5 au moment de la mort , à 1 heure du soir. Autopsie le 13 novembre.
mplète sans aphasie.- Période terminale prolongée de torpeur. Coma, mort . A l'autopsie, énorma sarcome dit volume d'une or
rte à 38 ans de cancer de l'utérus. Ils ont eu 6 enfants, deux sont morts en bas âge de con- vulsions, un autre est mort
enfants, deux sont morts en bas âge de con- vulsions, un autre est mort à 4 ans de broncho-pneumonie. Les deux autres s
on remarque également de l'écume sur ses lèvres à 2 ou 3 reprises. Mort le 26 janvier à 3 heures du matin. Autopsie. Ri
progressive. Troubles de la déglutition. Torpeur profonde. Coma et mort . A l'autopsie, infiltration gliomateuse diffuse
bien portants, 5 frères et soeur également bien portants, deux sont morts , l'un de diphtérie, l'autre de tuber- culose pu
Autopsie. A l'autopsie, qui fut pratiquée quelques heures après la mort , nous n'avons rien relevé aux viscères thoraciq
qui nous éclaire sur la pathogénie de cette malformation. Le père, mort d'érysipèle à 60 ans, avait 41 ans à la naissan
chal-ferrant, buvait beaucoup d'alcool, d'absinthe, d'eau-de-vie, est mort subitement. Il n'en est pas de même du côté m
ons, tous nés à terme : a) L'aîné est notre malade. b) Le second, mort à 48 ans, à moitié idiot, ne pouvait se livrer à
loot zonder sneven. » Le 15 décembre 1588, à 6 heures du matin, est mort Jean Jacob Dick dit l'Ecossais. Cette pierre pe
t morte l'an 1608, le 6 mai, un mardi, à 7 heures du soir. Après sa mort ce calcul a été pris d'elle, pesant 10 onces (1
ent dans leur logis ? mais alors pourquoi les enlever même après la mort du patient ? ' ? Dans les merveilleuses colle
thologiques. Le malade n'a pu être étudié que peu de jours avant sa mort et dans des conditions assez défavorables. Cepend
elirium tremens. Dans les derniers mois elle était devenue gâteuse. Mort subite en mai 1901. Examen anatomique. - Huit g
nution de l'acuité vi- suelle. Troubles sphinctériens transitoires. Mort en 1001. Examen anatomique. Cet examen a porté
sidérable de l'acuité visuelle ; double atrophie optique tabétique. Mort en 1902. Examen ANATOMIQUE.- Ont été colorés et
oulevard de la Villette que j'ai rencontrés me faisait le jeu de la mort . Le sosie M. M... mettait une 336 SÉGLAS péle
1901. 350 LAUlYOIS ET ROY taires tuberculeux (mère et deux frères morts de tuberculose pulmonaire), vit apparaître, alo
rature japonaise, 1902. 360 GEYER intérêt, en ce qu'elle mime une mort par submersion. « L'auguste Hono Sousori se mit
vril 1701. Oïshi Kouranoské, le plus ancien servi- teur du seigneur mort , convoqua aussitôt quarante-six autres fidèles,
but de l'attaque et, après avoir fait lui-même les prépara- tifs de mort , l'invite à s'ouvrir le ventre, mais en vain : Ki
de leurs propres funé- railles, ils attendent debout la sentence de mort . L'ordre officiel arrive : ils se séparent et v
de gauche à droite s'appelle harakiri (PI. LVliI). Le mépris de la mort et la sérénité sont les deux grandes qualités du
r désespoir n'existe pas. On se tue pour témoigner son mépris de la mort , pour forcer son ennemi à se tuer aussi, on se
vent le fait d'un aliéné, en Extrême- Orient, celui qui se donne la mort est rarement un fou. D'ailleurs, la cause premi
ment un rôle important dans notre crainte et dans leur mépris de la mort . Il est possible que cette crainte disparaisse
du moins à ce point de vue. Les Japonais et les Chinois ont pour la mort cette espèce d'ignorance que tous les hommes et
aître pendant que, dans la coulisse, un coup de pistolet annonce sa mort à la salle émue (1). Parmi les sewamono (pièces
evaient le conduire, après une vie de dévouements admirables, à une mort de héros : car un jour que son terrible rival l'a
our envoyer l'argent à mon père et à ma mère; aujourd'hui, ils sont morts ; et cependant, je suis toujours rivée à ma chaî
ui l'estiment comme le meilleur moyen de témoigner son mépris de la mort . Quant à la possession par le renard, elle nous
t, de'llassary (1) l'a retrouvée chez des individus non tabétiques, morts d'affections diverses (fièvre typhoïde, tuberculo
arrêté le cours du sang et qui est peut-être la cause immédiate de la mort . Telles sont les lésions mésodermiques superfic
contrevient pas à la loi de Welter, mais qui est le résultat de la mort totale du neurone. Nous croyons qu'il 1 faut at
mier point, notre observation est précieuse parce que le malade est mort très peu de temps après l'apparition des troubl
sée du cervelet. Cette occasion nous a été récemment fournie par la mort , dans le ser- vice de l'un de nous, d'une malad
onsultation des maladies nerveuses le 13 octobre 1898. Son père est mort à 87 ans et sa mère à 80. On ne peut obtenir beau
ongtemps. Elle aurait eu yv v 34 522 LANNOIS et paviot un frère mort d'affection inconnue. Une soeur s'est mariée ; el
e Bron. Elle revient lentement à son état antérieur. Le 5 mai 1902, mort après un état demi-comateux qui dure depuis huit
ux qui dure depuis huit à dix jours. Autopsie, 34 heures après la mort . Lésions de broncho-pneumonie du lobe supérieur
ue. Le morceau de la moelle épinière a été pris six heures après la mort . Cornes antérieures. - Dans la région de la cor
ois et 22 jours. Poids 2.900 gram- mes. Autopsie 32 heures après la mort . Cornes antérieures. --Sur nos préparations on
Poids 3.800 grammes. Autopsie approximativement 24 heures après la mort . Fig. 7. 536 SOUIOEANOFI' ET CZARNIECK Corn
30 ans, est né à Paris le 1er juillet 1872. Son père, égoutier, est mort à l'âge de 48 ans d'asthme cardiaque ou pulmonair
ont nés de cette union dont deux avant notre sujet : un garçon, est mort âgé seulement de quelques mois ; un.second fils,
géant américain avait atteint l'âge de 22 ou 24 ans au moment de sa mort : les os semblent avoir atteint leur entier dével
toire, sans qu'on soit fixé sur l'âge exact atteint au moment de la mort . C'est ainsi qu'à Vienne, on conserve au Musée
ndant un certain temps comme Ilajdul : e et, « bien que t'age de sa mort soit iucer- .tain, il est vraisemblable que les
ir plus loin le résumé de son observation). Il s'agit d'un homme, mort à 37 ans, et qui, de taille normale jusqu'à 20
ressivement jusqu'à l'âge de 35 ans, pour atteindre au moment de sa mort une stature de 2 m. 02. Dans les deux dernières
de plus con- staté que le pénis dugéant irlandais Patrick O'Bryan, mort à 29 ans, qu'on conserve au Muséum du Collège d
ujet. Dana (3), par exemple, dans sa description du géant Péruvien, mort à 30 ans avec une taille de 7 pieds 8 pouces, not
urpris de trouver, en la mesurant soigneusement cinq jours après sa mort , que sa hauteur, ou, plus exactement, sa longue
'extrémité inférieure du tibia (18e année, Quain). La cause de sa mort était, disait-on, une consomption rapide qui n'av
te presque subitement. Elle fut exhibée encore trois jours avant sa mort , qui semble avoir été causée par une attaque de
e avoir été causée par une attaque de grippe ou de bronchite aiguë, mort survenue par syncope au cours d'une forte quint
iblesse musculaire était si grande que, plusieurs semaines avant sa mort , elle était obligée de se soutenir, étant debout,
r, étant debout, sur des tiges fixées dans le plancher. En fait, la mort semble avoir été causée par un état de collapsu
gnait et déclara que la taille avait été en augmen- tant jusqu'à sa mort . Son intelligence était véritablement pauvre, m
e l'impossibilité de faire une autopsie près d'une semaine après la mort , il fut trouvé dans un tel état de dégénération
sont de taille moyenne. Les parents étaient alcooliques ; ils sont morts . Un frère et une soeur sont morts en bas âge de
ts étaient alcooliques ; ils sont morts. Un frère et une soeur sont morts en bas âge de maladies indéterminées. Un frère,
oscille entre 2 à 3 litres 1/2 par jour. Il n'a pas reparu jusqu'à la mort . Opothérapie thyroïdienne (30 centig. de thyroï
. La déchéance se précipite (poids : 70 kgs.). 23 septembre 1896. - Mort dans le marasme par suite du progrès des lésions
quelque mystérieuse retraite, d'où il ne sort qu'épuisé et à moitié mort de peur. Les paotred ar zabat ne se contentent
même 2 m. 30) a élé gravé en 1636 par G. Glover, dix ans après sa - mort . Un autre géant exhibé en Angleterre au XVII" siè
81 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
s. Les deux sui- vants, des jumeaux,nés également il sept mois,sont morts au bout de deux mois. Le cinquième enfant est n
Raymond. Antécédents héréditaires. Le père et la mère, de V... sont morts entre 40 et GO ans d'une affection pulmonaire a
dernière venue ! Les 8 autres n'ont pas été connus par V... et sont morts en bas âge. Il n'existe pas de maladies nerveus
gatoire du mari. Ses parents ont toujours été bien portants et sont morts à un âge avancé. Il a un frère et une soeur bie
ont succombé il des phé- nomènes pulmonaires qui n'ont déterminé la mort qu'à longue échéance et dont la nature tubercul
culeuse est infiniment probable. De dix frères et soeurs, huit sont morts en bas âge d'affections indéterminées. Deux seuls
ervice de M. le professeur Fournier. Antécédents héréditaires. Père mort des suites d'un traumatisme. Mère : morte il y
femme est morte il y a un an de granulie. Ils avaient eu un enfant mort il 11 mois de la variole. - Antécédents personn
t Pompéi survint l'an 79 après notre ère, 98 ans seulement après la mort de Virgile. L'Enéccle, d'ailleurs, ne fut bien co
éccle, d'ailleurs, ne fut bien connue que plusieurs années après la mort du poète qui, par testament, avait demandé que so
ombat. Soudain, un trait lancé du côté des Rutules, vient frapper à mort un (I) Musée de Naples. Peintures murales. Sall
l'endroit où les côtes forment une grille protectrice, et par où la mort survient le plus rapidement » (4). Ilyllus reço
antécédents et sur le début de son mal. Il Son père et sa mère sont morts à un âge avancé, de maladies inconnues; il a eu
le décubitus aigu. Le 10. Coma, respiration stertoreuse. Le Il. - Mort . Autopsie (26 heures après la mort). Les poum
piration stertoreuse. Le Il. - Mort. Autopsie (26 heures après la mort ). Les poumons sont fortement congestionnés dans
e, ne se soit manifestée dans tout son éclat que dix jours avant la mort : telle est, du moins, la date de l'accident su
mples. Kahler et Pick (2) ont fait l'autopsie d'un enfant de 5 mois mort de sy- (1) POTAIN, cité par LANCEIIEAUX. Traité
yphilis -hé- réditaire. L'enfant le plus âgé avait, au moment de la mort , 2 mois et 10 jours, le moins âgé 19 jours. -
syphilitiques des autres organes. 2e cas. Enfant né le 8 mars 1885, mort le 12 mai ; ictère, pemphi- gus plantaire. Gomm
il succombe rapidement, sans qu'on puisse attribuer spécialement la mort à la syphilis médullaire car, presque toujours,
pé par les portraits des dona- teurs du tableau, Egide van Moysene ( mort en 1510) et Catherine van Nethene (morte en 156
tal Cochin. A. H. Grand-père maternel atteint d'épilepsie tardive, mort à 87 ans. Le père est mort frappé d'une attaque
re maternel atteint d'épilepsie tardive, mort à 87 ans. Le père est mort frappé d'une attaque d'apoplexie qui l'avait rend
miplé- gique droit et aphasique. Mère bien portante. ' - Un frère mort il 25 ans d'une maladie indéterminée ; marié depu
RIÈRE 1 ches : 1° Pille morte de méningite à 1 an 1/2 ; 2° garçon mort en nourrice à 1 an ; 3° fausse couche de 5 mois
n mort en nourrice à 1 an ; 3° fausse couche de 5 mois ; lio garçon mort de péritonite subaiguë à 12 ans ; 5° fausse cou
été infectée conceptionnellement. Un an auparavant, premier enfant mort au bout d'un mois avec une éruption cutanée.
née, 1891, p. 85. - 116 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Mort quelques mois plus tard par bronchite capillaire
sis, état demi- comateux ; alternatives d'aggravation et de mieux ; mort le 26 mars 1887 à la suite de crises épileptiqu
le per- sistante avec.un peu de scoliose dorsale, que le père était mort tuberculeux et qu'on eût pu penser à un mal de
l'hospice d'Ivry, service de M. le Dr A. Gombault. v . A. H. Père mort d'une pleurésie.- Mère ( ? ); 3 frères morts en b
ombault. v . A. H. Père mort d'une pleurésie.- Mère ( ? ); 3 frères morts en bas-âge de convulsions ; 1 soeur mort-née av
insensibles. Sa mère dit qu'elle a eu II enfants ; six morts-nés ou morts aussitôt après la naissance, n'ayant pas présen
rine ; oedème des malléoles, puis anasarque. Emaciation, marasme et mort . Indépendamment de nombreuses lésions que nous
éréditaire nous paraît indéniable : polyléthalité se jugeant par 17 morts sur 19 enfants, rachi- tisme, petite taille, lé
ctobre 189'r, hôpi- tal Hérold, salle D, lit n° 28. " A. II. Père mort il 61 ans d'un cancer de l'estomac. Mère morte il
it actuellement on voie de guérison. Antécédents héréditaires. Père mort il 75 ans, de congestion cérébrale. Mère morte
urs enfants en bas- .. âge. Elle-même a eu 2 enfants ; l'un est mort en bas-âge, l'autre est actuellement âgé de 24
tite taille ('1 m. 3h), la polyléthalité de ses frères et soeurs (8 morts sur 12, en bas-âge), les lésions dentaires, n'hés
pas d'autres enfants et ne fit pas de fausses couches. Son père est mort il 5 ans d'une affection chronique des voies resp
ouis, service de M. le professeur Fournier. A. Il. Ses parents sont morts tous les deux d'affection cardiaque ; de plus s
re aurait eu une maladie de foie. De ses 4 frères et soeurs, 2 sont morts en naissant, un 3° de hroncho-pneu- monie ; un
hroncho-pneu- monie ; un 4e de la scarlatine. Elle est née après la mort des 4 précédents. Elle a marché très tard, vers
s'il a succombé rapidement, on ne peut avec certitude attribuer la mort à la seule localisation médullaire, car presque
un des frères est atteint de strabisme, un autre et une soeur sont morts en bas âge, de méningite probablement. Antécéde
ns un LES NAINS ET LES BOSSUS DANS L'ART 183 tombeau une image du mort , aussi ressemblante que possible. La religion m
inées aux né- cropoles. En effet, suivant une promesse du Livre des Morts , l'âme justi- fiée, le double, devait, après un
la tombe et réglait la pose après, comme elle l'avait réglée avant la mort . Et là ne s'arrêtait pas l'influence que la con
sans irrégularité. , Depuis son entrée (ler juin 1893), jusqu'à sa mort (2 octobre 1893) elle a eu dix-neuf attaques d'
culté avpit réduit dans une situation qui paraissoit an- noncer une mort prochaine, ils-ne pouvoient s'empêcher de souhait
que nous étudions, sont nés trois enfants : les deux premiers sont morts l'un à 10 ans de variole, l'autre à 36 ans, sans
enfants à terme : quatre vivent et se portent bien ; les autres sont morts de maladies diverses : variole, cholérine, conv
nfants; deux sont encore bien portants, le troisième et dernier est mort en nourrice, faute de soins. L'aîné des enfants
ées. » Kahler et Pick (1) ont fait l'autopsie d'un enfant de 5 mois mort de sy- philis avec lésions cutanées et bronchiq
ints de syphilis héréditaire dont le plus âgé avait au moment de la mort deux mois et dix jours, le moins âgé dix-neuf jou
TAIRE v 283 Le deuxième cas concerne un enfant né le 8 mars 1885 et mort le 12 mai ; ictère, pemphigus plantaire. « Du
auche. Abcès de la malléole interne droite. Pas d'autres symptômes. Mort de diphtérie. ' . « Autopsie. Gomme cérébrale,
des conclu- sions valables, étant donnés l'époque incertaine de la mort du foetus, le temps écoulé avant la fixation et
ncore le nombre des cas où les foetus syphilitiques sont soi-disant morts sans lésions, par une inexplicable et singulièr
te de granulie (autopsie). Le foetus extrait immédiatement après la mort n'a pas donné signe de vie, bien (1) HunELO, Lé
terme. Mère spécifique secondaire âgée de 2t ans, primipare. Foetus mort 5 jours avant l'accouchement. Légèrement macéré.-
résentait aucune infection aiguë au moment de l'ac- couchement ; la mort du foetus, l'aspect des lésions constatées donnen
résomptions en faveur de la spécificité congénitale. Le foetus naît mort , non macéré. il présente un double pied-bot qui a
actures paralytiques des mains et des pieds ont persisté jusqu'à la mort , survenue après un séjour de deux ans à l'hôpital
ésenté de la paralysie motrice. Il semble que dans ces trois cas la mort soit survenue par paralysie du coeur (1). En tout
e du tronc, sans que pour cela le malade coure un nouveau danger de mort . Mais il faut aussi faire vos réserves eu égard à
il y a 4 mois seulement, âgée de 30 ans, primipare. L'enfant est mort depuis 11 jours, il pèse 2450 grammes, il est trè
8 mois. Mère spécifique du début de la grossesse. Enfant né vivant, mort le 3 juin. - Encéphale d'apparence normale. 3
. Foetus de 8 mois. Mère spécifique secondaire. Enfant né vivant, mort au bout de quelques heures. Poids, 2750 grammes.
écifique : trois fausses couches antérieures. L'enfant naît vivant, mort au bout de quelques heures. Moelle. Congestion
n spécifique morte en asystolie. Opération césarienne, l'enfant est mort . ' C'est une des moelles que nous avons prise p
s troubles. Antécédents héréditaires. Le père, grand alcoolique est mort à 39 ans à la suite d'un ictus. La mère est hys
82 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
questions de son âge, du nombre de ses enfants, sur l'époque de la mort de son mari. Demandée pourquoi elle se plaint t
- Autre tante paternelle, morte des convulsions de l'enfance- Frère mort ci dix-sept ans de coxalgie, méningite terminal
de syphilis, éclmutfement à vingt et un ans. - Grand-père paternel, mort à soixante-dix-huit ans, d'une entérite, sobre,
affection chronique de la poi- trine et de diabète. Oncle paternel, mort d'une cholérine ? Tante paternelle, morte asthm
se, mariée, a un enfant de treize mois bien venant ; 21, un garçon, mort a dix-sept ans de coxalgie, pas de convulsions,
e langage de l'enfant devient très grossier; il fait des menaces de mort à tous les mem- bres de sa famille : « Demain,
la présence d'albumine dans les urines a été constatée jusqu'à la mort , dans tous les cas funestes, tandis que ce symptô
nte-quatre ans, aspect sénile; une tante et deux oncles pater- nels morts aliénés, un oncle paternel choréique à cinquante
tabilité, agitation suivie de psychose calme à caractère démentiel, mort de broncliopneumoiiie. Autopsie : lordose lombair
es vertiges et que son intelligence baisse ; quelque temps avant sa mort elle en était arrivée à un véritable état de déme
r des syncopes, souvent des abcès, la cachexie générale et enfin la mort . Il y a trois méthodes pour traiter la morphino
écoces ou tardifs. Les cas congénitaux comprennent : 1° les enfants mort nés avant terme ou à terme ou qui n'ont vécu que
du Dépôt. (Le Temps, du 21 octobre). La suppression DE la PEINE DE MORT . La deuxième commission d'initiative a été sais
ion de loi, présentée par M. Dejeante, tendant à abolir la peine de mort . Cette commission, « après avoir examiné sérieu
eu un carac- tère mélancolique, qu'il a une soeur aliénée, un père mort d'apoplexie. Sa maladie date depuis huit mois,
cédents. Malade depuis le 10 février 1896. Le père de la malade est mort il y a huit ans, probablement à la suite d'une
es. La malade a eu dix enfants, dont trois avorte- ments, deux sont morts une semaine après la naissance et un autre plus
s abus. Elle nous dit qu'elle a eu huit enfants, trois garçons sent morts , il lui reste encore cinq filles vivantes ! Ell
re cinq filles vivantes ! Elle ne sait pas nous dire la cause de la mort de ses enfants. Elle n'a eu aucun avortement, e
cinq ans, mariée depuis vingt ans; son père était alcoolique et est mort il y a douze ans. De son mariage sont nés cinq
on lui manque. Il nous dit qu'il a eu huit enfants, dont trois sont morts , mais il ne peut pas nous dire la cause de leur
nt trois sont morts, mais il ne peut pas nous dire la cause de leur mort . Les sentiments affectifs sont diminués. Il nou
seul est vivant (quatre avortements). Les parents de la malade sont morts , mais elle ne sait pas de quoi. La malade n'abu
le noyau ne peut se maintenir à sa place. La cellule est frappée à mort , si le noyau disparaît complètement. Elle se ré
qui, chez un enfant né un mois et demi ou deux mois avant terme, et mort à l'àge de douze jours, n'avait de myéline qu'à
28 novembre 1898. PRÉSIDENCE de M. Meuriot. Le Président annonce la mort de M. Semelaigne, père, dont il prononce l'élog
omme, en effet, paralytique général, depuis trois ans, quand il est mort à l'âge de vingt-deux ans, dans mon service, a
dé, ayant examiné le corps de la malheureuse, reconnut alors que la mort avait été provoquée par une congestion cérébral
êmes conditions. Nous n'avons pas poussé nos expériences jusqu'à la mort de l'ani- mal ; nous voulions simplement savoir
et Vires, nous voyons que le coefficient toxique pour déterminer la mort d'un lcilog. d'animal avec du sérum sanguin d'h
uisque, dans un cas, le sérum sanguin d'épileptique a provo- qué la mort dans des convulsions, et dans un autre cas, un
ulière, la température baisse toujours, 340,5. Myosis, nystagmus. Mort à 7 heures (3 heures après l'injection) dans le c
njection) dans le coma : A eu des convulsions généralisées avant la mort . A ce moment la tem- rature est à 38°9'. Le coe
lus longue est survenue quelques minutes plus tard, et le lapin est mort à G h. 1/4. Avant la mort, il a lancé quelques
elques minutes plus tard, et le lapin est mort à G h. 1/4. Avant la mort , il a lancé quelques cris très aigus. Le coeur co
ration est lente. Nous le quittons à 7 h. 1/2 dans cet état. Il est mort dans la nuit. Autopsie faite le 26 septembre. P
toxiquer un lapin de 900 grammes, à provoquer des convulsions et la mort (exp. XIII). Ainsi, d'après ces quelques expéri
e, refusant de remuer et répondant à toutes les questions : je suis mort . Par une étrange contra- diction, ce dernier in
s avons obtenu des renseigne- ments 5 sont encore vivants, 130 sont morts . L'âge moyen de ces 130 grands-parents, pris au
CONDITIONS BIOLOGIQUES DES FAMILLES DES ÉPILEPTIQUES. 203 de leur mort , 67 ans et 32 grand'mères donnant, elles, 72 ans,
rnel,35 --rand s-pères donnant commemoyenne d'âge au moment de leur mort 69 ans, 38 grand'mères don- nant 68 ans, ce qui
d'épileptiques, 37 sont encore vivants à l'heure actuelle, 42 sont morts , 1 nous est resté inconnu. Les 42 morts se répa
l'heure actuelle, 42 sont morts, 1 nous est resté inconnu. Les 42 morts se répartissent de la façon suivante : 2S pères d
tissent de la façon suivante : 2S pères don- nant au moment de leur mort oxo ans, 17 mères donnant 45 ans ; soit ensembl
épileptiques que nous étudions, '1 nous est resté inconnu, 42 sont morts et 37 vivants. Soit G3,1G p. 100 morts et 46,83
s est resté inconnu, 42 sont morts et 37 vivants. Soit G3,1G p. 100 morts et 46,83 p. 100 vivants. Dans les familles norm
Dans les familles normales, MM. Bail et Régis donnent : 57 p. -100 morts et 42,5 p. 100 vivants. Les 42 morts se compose
t Régis donnent : 57 p. -100 morts et 42,5 p. 100 vivants. Les 42 morts se composent de 25 pères et de 17 mères. Les 37
dus nés à la troisième génération, épilep- tiques compris, 105 sont morts à l'heure actuelle et 140 vi- vants, soit : 42,
sont morts à l'heure actuelle et 140 vi- vants, soit : 42,85 p. 100 morts et G7,'l ! p. 100 vivants. Les - 105 morts se r
nts, soit : 42,85 p. 100 morts et G7,'l ! p. 100 vivants. Les - 105 morts se répartissent de la façon suivante au point de
'a pu faire les autopsies de ses malades; il croit cependant que la mort est causée par l'action d'un microbe sur les ce
le De Bauton JACUBS. Dans les cas mortels de maladie de Graves, la mort peut sur- venir : 1° soit, ce qui est le plus f
nd (17 fév.) : « Un enfant de trois ans, de Mainsec (Charente), est mort pour avoir bu le quart d'un litre de rhum que s
ISME ET FOLIE. 269 fréquentes ; le souci du salut, la crainte de la mort , amènent une recrudescenre des manifestations e
Les lésions en foyer peuvent à leur tour survenir et entraî- ner la mort plus ou moins rapide. Paralysie générale. Chez
t revint à la réalité à l'asile, en face de son père, qu'il croyait mort . Point important à signaler : le délire proprem
ler que suivant les cas, ces psychoses peuvent se terminer par la mort , par la guérison; par la chronicité et le passage
) , - L'auteur présente des préparations de moelle de deux-sujets morts du mal de Pott. Dans le premier cas la moelle a é
des réflexes s'est produite d'emblée et s'est maintenue jusqu'à la mort survenue quarante heures, sept jours et sept mo
u niveau des membres paralysés. 11 n'exis- .tait pas d'atrophie. La mort survint dix jours après le début des premiers a
été produites non sur des cervaux vivants, mais sur des tissus déjà morts , il faut en déduire que ces altérations ne sont
. FLE1%11,NG. (73rain, LlaVl1 et LXXVI11.) Il s'agit de deux femmes mortes dans le marasme après un temps assez court de f
Ayant pratiqué l'autopsie d'un cas de tétanos 13 heures après la mort , l'auteur a trouvé à l'examen histologique la coe
ion de l'épaule gauche est tuméfiée et limitée dans ses mouvements. Mort . A l'autopsie on trouve : Leptoméningite tuberc
ique ; en outre, il faisait fréquemment des excès de boisson ; à la mort de sa femme, il a fait des spéculations mal- he
e de coutume ; vers la même époque, elle apprend, coup sur coup, la mort de deux de ses amies aux- quelles elle était tr
des voix qui l'insultent. Son père était un alcoolique franc et est mort , à trente-neuf ans, d'une attaque de delirium t
son illustre créateur dans la lettre publiée peu de temps avant sa mort et recueillie par la presse scienti- fique, et
e lésions cellulaires. Dans un cas, dont il donne l'observation, la mort du sujet avait été accidentelle et rapide; peut
. enfants que l'on peut classer ainsi : 1 supérieur, 32 normaux, 24 morts d'éclampsie, 20 à troubles physiques (5 ont de
a à présenter les phénomènes bulbaires qui amenèrent brusquement la mort dans un accès. A l'autopsie, rien au cerveau, p
membres, ptosis avec strabisme interne et dilatation pupillaire; mort au bout de cinq jours. A l'autopsie, ramollisseme
al de l'animal et entraîne une cachexie rapide qui amène souvent la mort ; 9° L'ablation du cervelet amène des troubles g
Malade, âgé de douze ans, né d'un père alcoolique. Six enfants sont morts de causes inconnues. Des six autres restés en vie
. aggravation progressive, avec abattement, somnolence et fièvre. Mort en février 1893. A l'autopsie on constate, à côté
lorable, réputation dans son quartier. Quant à Louis Zigan, qui est mort sur le coup, il était veuf et père de deux enfa
emière importance. Notons d'abord que le père de ce jeune homme est mort dans un .asile d'aliénés ; un oncle, frère du p
ante-trois ans. Son père avait des habitudes d'intempérance, il est mort à soixante-dix-neuf ans d'une maladie de vessie
ze ans. P... a perdu un frère et une soeur. Le frère, son aine, est mort à quatre ans, il ignore de quoi ; la soeur, sa
ien portantes. P... est lui-même marié. Il a eu 3 garçons : l'aîné, mort à dix- sept ans, de croissance ( ? ), avait par
ai de traitement médical amélioration puis aggravation progressive, mort en état de mal. Hémisphère gauche pesant 115 gr
is intrautérin. II. Jeune homme présentant des symptômes analogues, mort , hémisphère gauche déformé dans ses deux tiers
pirateurs et du diaphragme en particulier fait de rapides progrès ; mort par asphyxie quatre jours après le début de cet
eux cas de trépana- tion, pour des hémorragies méningées, suivis de mort . IL Traumatisme violent de la région temporo-pa
ment en surface et en pro- fondeur. L'état général s'aggrave, coma, mort . Autopsie. La face interne de la dure-mère corr
nique dans le sang veineux recueilli vingt-quatre heures avant la mort . M. BOINET, -Marie J..., âgée de dix-sept ans,
rencontrent, dans les mêmes conditions, que dans l'écorce de sujets morts en état de mal épi- leptique. On serait tenté d
ile actuel. Les travaux furent poussés activement; mais, hélas ! la mort ne lui permit pas d'achever l'oeuvre qu'il avai
té le suicide du jeune désespéré. On ne sait à quoi attribuer cette mort navrante. L'enfant avait-il été ré- cemment gro
ibution à la et de ses prolongements, par Rybakoff, 251. Peine DE mort . La suppression de la - , 94. Physiologie. PS
83 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mille. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 11 ans. - Frère mort de méningite. Première dent il 14 mois. Dentiti
99 : chute sur la tête étant assise ; affaiblissement progressif. Mort au bout de 5 jours avec une température rectale p
iclucs; pas de migraines; bon caractère. Marié à 34 ans. [Son père, mort it 68 ans, buvait « comme un trou » du vin, de
un trou » du vin, de l'absinthe, un peu de tout. Deux mois avant sa mort paralysie complète des 2 côtés' début brusque,
clic est sobre, n'a jamais été malade. - Grands-parenls pater- tel morts ; pas de renseignements. De môme pour les grands
e facilement, mais sa colère ne dure pas; point de migraines. [Père mort on ne sait de quoi. - Mère morte à 63 ans, de l
s plus âgé que la mère de notre malade. Onze enfants : 1° garçon, mort de méningite à 13 mois, sans convulsions : - 2°
garçon, mort de méningite à 13 mois, sans convulsions : - 2° garçon mort de coqueluche à 21 mois;-3° fille, 24 ans, bien
ectale de 3 il,5. . Température après décès. 1/f d'heure après la mort ? 37° 1/2 heure après la mort 30" si 1 heure
e après décès. 1/f d'heure après la mort ? 37° 1/2 heure après la mort 30" si 1 heure après la mort 3> S 2 heures
rès la mort ? 37° 1/2 heure après la mort 30" si 1 heure après la mort 3> S 2 heures après la mort o. 33° 8 heure
ès la mort 30" si 1 heure après la mort 3> S 2 heures après la mort o. 33° 8 heures après la mort 22. , , Tempéra
s la mort 3> S 2 heures après la mort o. 33° 8 heures après la mort 22. , , Température de la salle ? MÉNINGITE
d'une femme pubère ; il en est de même de l'utérus. Causes de la mort : Congestion pulmonaire, méninge. encéphalite c
MÉNING0-ENCÉPHAL1TE CHRONIQUE. 15 Cette dernière au moment de la mort . Tous ces chiffres montrent que, d'une façon gé
méningite chronique. -Le poids l'entrée était de 3' hilor., à la mort de 33 k. 100. VII. Les détails dans lesquels no
uis du b1 as clroit. -Rougeole, racliitisnie. Cachexie; escarres. - Mort de tuberculose. Autopsie. ? ën : ntte; rubercut
IQUE NERVEUSE. et, depuis, on ne sait ce qu'il est devenu, s'il est mort ou vivant; pas de convulsions, pas de fièvre ty
énériennes. Ne buvait pas. N'était pas tubercu- leux. [Son père est mort de vieillesse. - Sa mère est bien por- tante. S
e il 70 ans d'une tumeur dans le ventre.-Grands parents maternels morts âgés également. Oncles et tantes nombreux et bien
s vivants et en bonne santé, aucun n'a eu de convul- sions ; pas de morts ; 2e a 3 enfants vivants, pas de convul- sions,
e morts; 2e a 3 enfants vivants, pas de convul- sions, un autre est mort de diarrhée infantile;- 3 a 2 enfants bien port
essie normaux. Quelques ganglions sous le mésentère. Causes de la mort . Méningite chronique; tuberculose pulmonaire; c
breuses escarres. VI. Le tableau do la température à l'entrée, la mort quinze jours plus tard prouvent combien nous av
ature (jusqu'à 30°), pendant les quelques; jours qui précédèrent la mort . Cette hypothermie était exclusivement d'origin
t pas longtemps et l'état des malades reste stationnaire jusqu'à la mort , mais il faut encore se souvenir que tout hypoc
s sont divins. Les mala' dies durent au gré des dieux et donnent la mort ou non, suivant le livre de Amen, lequel représ
st éminemment sugges- tionnable. Si le malade meurt, on explique la mort par un arrêt du destin ou, par l'impureté soit
bestialité, des truies ont été exposées publiquement, puis mises à mort , tout comme l'homme qui les avait souil- lées.
ombaire facilitent beaucoup le diagnostic. A l'autopsie des enfants morts au milieu d'accidents ménin- gitiques compliqua
Au niveau des membres gauches, la contracture a persisté après la mort . Du côté-hémiplégie, la peau est sans résistance,
es ma- nifestations sont plus vives chez elles. Charcot, avant sa mort , écrivit à Dumontpallier qu'on ne peut pas dédu
élancolie, l'une il y 10 à 12 ans,l'autre il y a deux ans lors delà mort d'un enfant. Pas de suicides dans la famille. P
ns les urines à l'entrée. Dans la dernière période qui précéda la mort , il a eu de l'oedème des membres inférieurs et de
le service le 15 septembre 1905. Antécédents héréditaires. - Père mort de pleurésie. Mère goitreuse, morte quelques an
t mentaux. Dans l'autre, l'aggrava- tion finale, prémonitoire de la mort , a coïncidé avec la reprise du processus ulcéra
s déchéance de nombreuses fibres des deux py- peu de temps avant la mort , hémorragie de la capsule interne droite ayant
ngée sous-arachnoïdienne bila- térale chez un alcoolique brightique mort à la suite de crises épileptiformes; par Toi.oT
et le rend inaplu à dégénérer comme s'il était inséré dans un tissu mort . On a essayé de modifier les effets de l'auto el
dyspnée, de la dyspha- gie, des lymphangites multipliées, enfin la mort . A l'autopsie, ou- le ? lésions de tuberculose
tuber- culose. Quoi qu'il en soit, la terminaison ordinaire est la mort . L. Wahl. \'11. -Note sur les rêves précurseu
lations fantastiques qui persistèrent pendant deux mois, jusqu'à la mort . A l'aulopsiu : double et symétrique tubercule co
couve .'te ; il mourut sans avoir pu se faire compiendre ; après sa mort on lui éleva des statues. Le prof. Benedikt c
nte des antécédents héré- ditaires presque nuls : père asthmalique, mort à G7 ans. Mère morte de pneumonie il 45 ans ; t
ès affaiblie : la suite de l'observation nous ap- prend qu'après la mort de son enfant, elle n'a manifesté aucun chagrin
ue-là, s'assourdissent et cessent bientôt. L'enfant naît en état de mort apparente, qui ne peut être attribué qu'à l'exist
plet des diverses manoeuvres usitées contre l'asphyxie blanche : la mort est définitive. Nous avons insisté sur le détai
eux n'ont exercé aucune influence sur lui, et pour éta- blir que la mort du foetus est accidentelle. La délivrance est phy
anse purement 188 RECUEIL DE FAITS. obstétricale, tout comme la mort du foetus. Cette évolu- tion normale de la gros
ses infirmeries la maladie qui l'a si promptement terrassé. Il est mort au champ d'honneur, ayant conquis l'estime de t
LBERT PETIT. Nous avons le vif regrel d'apprendre h nos lecteurs la mort du D1' Gilbert Petit, il ! irses éludes médical
encore les dégâts du trauma- tisme initial. Ce malade est en etret mort dément. Les conditions de l'opération du trépan
suivies d'automatisme ambulatoire. Nouvelle série et coma suivi de mort en mai (1901, le 19). Père mort de rupture d'an
re. Nouvelle série et coma suivi de mort en mai (1901, le 19). Père mort de rupture d'anévrisme. Plu- sieurs frères sans
Il.- Le père aurait eu des accidents convulsifs. Un oncle se- rait mort épileptique à Maréville. En présence de tels anté
e série de rhumatismes graves en rapport avec sa profession. Père mort d'une affection médullaire ; mère démente ayant
ces cas sans intoxication exogène parti- culière. Dans les cas de mort consécutive à un accident trau- matique, on a p
tieuses et complètes, rapporter à l'éthylisme le méca- nisme de la mort et éclaircir ainsi le problème des res- ponsabi
moyen- ne, et, unan plus tard,unc désarticulation de l'autre genou ( mort 4 semaines après), on constate ce qui suit : l'
s auparavant, l'amputation de la cuisse à la partie moyenne. Il est mort de phtisie pulmonaire. Les lésions débutent aus
viendront : Volume X : Rapports et mémoires de Séguin, de 1846 à sa mort (1880), y compris son rapport à l'Expo- sition
me, issus d'une la- mille de criminels et de fous, sont condamnés à mort , puis graciés. Saint-Gall, 1° av i il. Par dépê
Journal a rendu compte en son temps, de la dou- hie condamnation à mort du ménage Schubinger, dans le can- ton de Saint
assassinat. Le grand conseil saint-gallois avait commué la peine de mort en celle de la détention perpétuelle, alléguant
cience du paralytique au début. 1;'tatstationnaire en juillet 1902. Mort en janvier 1905, au cours d'une attaque épilept
ndre un travail cé- rébral moins complexe. Enfin, en dehors de la mort , il peut y avoir incapacité permanente et absol
é pathologique grave. Son grand- père maternel était un épileptique mort aliéné; sa grand'- mère maternelle a souffert d
its de Schamyl, un véritable coupe- jarret. Les frères du père sont morts jeunes en combattant contre les Russes. Le père
alade, sa mère a eu trois avortements et, six enfants vivants, tous morts en convulsions en bas âge. Les enfants des deux a
en bas âge. Les enfants des deux autrcsfem- mes du père sont aussi morts en bas âge ; ceux qui sont restés en vie sont t
eucocytose. Syndrome de Landry. MM.Sicard et BAUER, chez un sujet mort au bout dehuitjours, ont trouvé des lésions dif
, un méchant homme que Dieu a puni de ses crimes, et qu'on a trouvé mort subitement. Il n'est pas mort, reprit l'ermite,
puni de ses crimes, et qu'on a trouvé mort subitement. Il n'est pas mort , reprit l'ermite, il n'est qu'enchanté, comme ces
core le fusil qu'elle avait fait partir à l'aide d'un tisonnier. La mort avait été instantanée. La désespérée était sort
parents une lettre d'adieu. C'est ainsi qu'on a pu vérifier que sa mort n'était pas due, comme on l'avait cru à un crim
avons recueilli sur le malade les renseignements sui- vants : Père mort épileptique. Mère morte à 74 ans d'une affec- t
- M ? Marie, femme B ? 48 ans, est entrée le 19 octobre 1903. Père mort à G5 ans de paralysie. C'était un alcooli- que,
mpter l'alcool. Mère morte à 64 ans, d'une tumeur. Un frère, idiot, mort dans un asile. La malade n'a jamais eu de malad
de la ménopause. Elle a eu cinq enfants dont les deux premiers sont morts de tuberculose et le dernier est obtus et sourd
avons pu recueillir sur le malade sont très incomplets. Le père est mort jeune, on ne sait de quoi. La mère est entièrem
laires grêles et peunombreux, des cellules nucléées et des éléments morts . La couche moyenne nettement limi- tée est la p
rai- son de la vie parasitaire de celui-ci et de sa résistance à la mort , ce qui permet au processus inflammatoire d'évo
famille présentant des signes de dégénérescence avancée (stérilité, mort précoce). Chez deux, on relève divers signes de
; chez toutes l'hypersuggestibilité. Des deux dont la cause de la mort a pu être déterminée, l'une mourut d'une affect
une pneumonie, une autre d'un cancer. Des quatre dont l'âge de la mort est connu, la première succomba à 61 ans, la se
iques gauches avec déviation conjuguée, agnosie, raideur, myosis, morts en hyperthermie avaient une hémorrhagie au tiers
84 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l Broussais, salle Delpech. Antécédents IIÉnF : Dl'fAIlOES.- Père mort d'accident, mère d'hydro- pisie. Un frère mort
: Dl'fAIlOES.- Père mort d'accident, mère d'hydro- pisie. Un frère mort pendant la Commune. Aucun autre renseigne- ment
seur PROUST, suppléé par M. Ballet. Antécédents héréditaires. Père mort en 1870, fusillé par les Prussiens ; mère vivan
vralgies faciales très rebelles au traitement, et sujette depuis la mort de son mari à des troubles intellectuels passager
te, la salive s'écoulant au dehors) dans l'impossibilité de dire un mort , Mais, une seconde fois, le bégaiement évolua s
a appartenu à une personne qui leur est antipathique, ou bien à un mort ; ou, encore qu'ils craignent qu'il ait été soui
nts des membres inférieurs. L'état général décline rapidement et la mort arrive le 13 du mois de mars, soit vingt-trois
et moeurs, aucun d'eux n'était épileptique ou aliéné. Son père est mort à cinquante ans d'un cancer de l'estomac, sa mè
atteints de maladie nerveuse. - Il a eu sept enfants dont deux sont morts en bas àge, les cinq autres bien portants ne so
amment du diaphragme, paralysie qui a été la cause efficiente de la mort ; 3" ['existence d'un oedème sous-cutané qui a p
ie des mots et surdité verbale); tel estl'état du malade jusqu'à sa mort produite par une attaque épileptifurllle. L'aut
ans aucun trouble de la sensibilité. Intégrité du facial jusqu'à la mort . Kératite neuroparalylique au début. Infiltrati
, perte de connaissance, flaccidité des quatre extré- mités. T. 41. Mort pendant la nuit; pendant les dernières heures,
hémorrhagie peut constituer une complication capable d'entraîner la mort du malade; 5° Si, dans la grande majorité des c
légère peut donner lieu si une hémorrhagie capable de provoquer la mort du malade. R. M. C. XXIX. Lésion d'un hémisph
ations de l'ouïe; réapparition des phénomènes d'inconscience; coma; mort seize mois après le début de la maladie. A l'
e lôi3li.) Il s'agit d'un homme de 4U ans, sobre, dont un oncle est mort de paralysie générale, cl que son métier force
s, qui donnèrent lieu à des accidents pyohémiques bientôt suivis de mort . R. M. C. IX. DEUX cas DE FOLIE SYPHILITIQUE ap
aires exagérés, le tact et la sensibilité à la douleur diminués. La mort eut lieu trois mois après l'insolation. L'au- t
éance du 22 juin 1889. Présidence de M. Hertz.) M. Hertz annonce la mort de NI. Nasse, dont il retrace la vie et les oeu
siette avaient la figure en sang et Jol... proférait des menaces de mort contre tout le monde, en lançant au travers des b
vail régulier. Suicide d'un enfant DE douze ANS. Sous ce titre : La mort pour un gâteau, le Paris rapporte le fait suiva
. L'enfant fut ramené dans sa cellule. Une heure après on le trouva mort ; il s'était étranglé avec sa ceinture. S'il eût v
re est bien portant. Dans la ligne paternelle : son grand- père est mort d'une attaque d'apoplexie, sa grand'mère est mort
morte poitrinaire. - Dans la ligne mater- nelle : le grand-père est mort emphysémateux, la grand'mère est inconnue. Le m
d'ennuis. Elle était maltraitée et battue par son mari. Le mari est mort il y a trois ans à l'Hôtel-Dieu. Il était diabéti
re morte à cinquante-huit ans d'une hernie étranglée opérée. - Père mort à cinquante-neuf ans, courtier en vins; aurait
r les grands-parents. Elle a deux frères, dont l'un, tonnelier, est mort tuberculeux et l'autre, employé de chemin de fe
ier, est mort tuberculeux et l'autre, employé de chemin de fer, est mort d'un accident, et deux soeurs dont l'une est mo
ier 1890. Son père était vif, emporté, facilement irritable. Il est mort , il y a environ seize ans, d'une maladie surven
l'histoire de sa maladie actuelle qui semble avoir coïncidé avec la mort de son père et une certaine histoire de mariage
même temps que l'instauration menstruelle et peu de temps après la mort de son père. La jeune fille était alors au pensio
fréquemment de tendances au suicide, et aboutit graduellement à la mort . On n'a pas observé de guérison. « 3. - La mala
in le début, brusque et émotionnel, de l'affection à la suite de la mort de son père, cette histoire d'amour contrarié d
, si elle existait, où faudrait-il la localiser ? Six mois après la mort de son père, la jeune fille pré- senta des trou
ents, pouvant amener l'ouverture des articulations et déterminer la mort au milieu de phénomènes pyo- hémiques ; tantôt
s elles ont' persisté longtemps, ceux surtout qui ont été suivis de mort , sont tout à fait exceptionnels. La guérison
ésie subsistait après la disparition 'des troubles paralytiques. La mort ne s'observe que dans des cas très graves dès l
aissables. Les paralysies généralisées onttoujours été suivies de mort , car nous ne tenons pas compte de la faiblesse mu
es sphincters, paralysie des membres supérieurs, du nerf facial, et mort avec des signes de paralysie labio-glosso-laryn
n'ont presque rien appris relativement à la nature des lésions : la mort n'est presque jamais le fait de la paralysie. O
complète offrant tous les caractères des paralysies organiques; la mort survint au bout de deux mois dans le marasme. A
, si nous mettons à part les observations d'hé- mipJé31e suivies de mort où se révèle bien l'origine cen- trale de la ma
existant en perma- nence dans les doigts et les mains qui semblent morts , veloutés, plein de fourmis,engourdis, picotant
) Observation d'un héréditaire dégénéré. Famille de voleurs. Père mort paralytique général. Escroc dès l'âge de quatorze
Relation abrégée des 14 cas de paralysie générale, terminée par la mort à l'asile d'Liohber de 1879-1880. Sur 422 malades
ur 422 malades, il y a eu 24 paralyliques généraux, sur lesquels 14 morts (on n'a perdu à l'asile que 41 aliénés). Il ne
Généralement pas d'excès. Une seule femme : 3 avorle- ments ; mari mort quatre ans auparavant paralytique général. La s
ues, soit : 39,7 p. 100. Eu analysant l'aliénation mentale chez les morts de phtisie, on trouve que, dans l'immense major
oite contracturée dans le sens de l'extension. Idio- tie jusqu'à la mort survénue à trente trois ans. Parole balbuliée s
PIE ET DE THÉRAPEUTIQUE. 259 tre ; la démence termine la scène : la mort a lieu au milieu d'un état de mal apoplectiform
cordons postérieurs avec disparition du phénomène du genou), 9 sont morts , les convulsions étant revenues, et, avec elles
lées. En 1867, démence avec agitation. En 1873, phtisie pulmonaire. Mort (36 ans). L'hémisphère droit présente une lacun
ise d'angoisse avec hallucinations et désordre dans les idées. Deux morts eurent lieu par pneumonie. M. MUELLER. Nous aus
; 3° notre théorie explique le mécanisme de la curabilité et de la mort dans les folies toxi- ques ; de l'incurabilité
entales et nerveuses de l'Uni- versité de Berlin, vacante depuis la mort du professeur Westphal. Faculté DE MÉDECINE DE
Père et mère bien portants. Neuf frères et soeurs, dont quatre sont morts et parmi ces derniers l'un a succombé à une mén
Elle s'est mariée une première fois à vingt-sept ans. Son mari est mort au bout de six- mois, la laissant enceinte. Sa
u'elle allait encore à l'école; elle parlait d'un médecin qui était mort et qui était le sien autrefois. Elle voulait vo
. Aujourd'hui qu'elle est isolée, elle ajoute même « quand on est mort on est bien mort ». Mais autrefois, chez elle, el
u'elle est isolée, elle ajoute même « quand on est mort on est bien mort ». Mais autrefois, chez elle, elle pensait comm
ngtemps et ne sait pas au juste quel âge ils avaient quand ils sont morts , mais elle sait, que lorsqu'elle a terminé son
e est devenue enceinte de suite, et en calcu- lant que son mari est mort au bout de six mois, elle finit par dire qu'ell
out de six mois, elle finit par dire qu'elle est accouchée après la mort de son mari. Son fils s'appelle Henri M..., et
nous lui parlons, elle dit se les représenter très bien. Après la mort de son premier mari, elle reprit son métier de
un choc fatal ou est suivie de suites qui entraînent rapidement la mort . Pour cette raison on n'a pas pu déterminer, co
supérieurs préalablement ou directement unis. Comme la cause de la mort , chez les mammifères, semble dé- pendre surtout
f. Psychiat., XLVI, 1.) Etude statistique de 643 hommes reçus et morts à, Dalldorf en huit ans (tableaux instructifs^.
ctifs^. La plupart d'entre eux, malades entre 35 et 50 ans, >ont morts entre 40 et 45. La paralysie géné- rale marche
s de l'asile de Flathurst est des plus regrettables : il a causé la mort prématurée d'un jeune homme plein d'avenir, » L
it être exclue de la société, nourrie et habillée jusqu'à ce que la mort vienne l'enlever aux soins de la communauté.
t hors de doute qu'un grand nombre, pro- bablement environ 50, sont mortes dans les flammes. Quatre soeurs ont perdu la vi
. A ce sujet, nous apprenons, par un Américain qui y a assisté, les morts terribles qui se sont produites dans les incend
e Galicie a été saisi d'une protestation énergique provoquée par la mort subite du comte Dzieduszycki, survenue à la suite
rmis de dire que nous devons nous féli- citer de ce que la peine de mort ait été abolie chez nous, car autrement nous no
mplir le dessein .qu'il nounissait depuis longtemps de se donner la mort . Nouvel asile d'aliénés A Moscou. Les plans et
85 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
iéné et sujet probablement ci des accès d'épilepsie. Frère et sceur morts tuber- culeux. BlEU1' strabique à la suite de c
poplectique. 缭 Tante maternelle, aliénée. Consan- guinité. Un frère mort de convulsions, un autre idiot et épilep- lique
CEDÉMATEUSE. 19 particulier. Grand-père maternel, excès de boisson, mort d'apo- plexie. Oncle maternel, mort de convulsi
ère maternel, excès de boisson, mort d'apo- plexie. Oncle maternel, mort de convulsions. Petit cousin, pieds bots. - Pas
a a goutte » tous les matins et quelquefois dans la journée, il est mort d'une attaque d' apoplexie en une heure. Sa mèr
migraineuse. Elle a eu cinq frères ou sceurs. Ses deux frères sont morts l'un peu après l'accouchement, l'autre de convu
i que leurs enfants. Les grands parents paternels et maternels sont morts vieux, sans accidents nerveux. Dans le reste de l
avons rencontrées sur les tubes nerveux dans un cas de tabes où la mort est survenue rapidement après l'apparition des
es spinales, il n'en est pas de même dans les myélites aiguës où la mort fréquente et rapide des malades a permis de sur
l'imprimé. Cet état dure sans modifications appréciables jusqu'à la mort qui a lieu un an et demi plus tard il la suite
maladie évolue en neuf mois au minimum, six ans et demi au plus. La mort ne souffre aucune exception. Anatomie pathologi
oppes de la moelle. L'opération pratiquée in extremis fut suivie de mort ; on l'avait tentée comme dernière ressource, ma
rtville, avait plusieurs fois manifesté l'intention de se donner la mort . Hier, sa femme s'ab- senta pendant cinq minute
, la Presse libre du 14 octobre publie le récit suivant. « Après la mort de sa femme survenue pres- que subitement, il y
« Le jury de Londres avait, hier, à statuer sur les causes de la mort d'une dame Carver, épouse du révérend Thomas Carv
ait attachée aux pratiques de sa religion. C'est seulement après sa mort que son pauvre mari a découvert quel emploi elle
antécédents névropathiques. Ses parents et grands parents sont tous morts âgés, le père à quatre-vingt-seize ans, la mère
un de ses frères a les mêmes habitudes d'intempérance, un autre est mort -de délire alcoolique aigu et son fils épilepti
parce que l'oreille n'a été examinée ni pendant la vie ni après la mort , et dont d'autres, comme celles de M. Lwoff et
criminelle appli- quée, cite un passage d'un essai sur la peine de mort , dans lequel Rondeau dit que les assassins eux-
pro- tection ou d'exemple, de supprimer une vie humaine. Punir de mort un crime, c'est commettre un autre crime. Il n'ex
est commettre un autre crime. Il n'existe, en faveur de la peine de mort qu'un seul argument, l'exemple, et il est discu
r qu'un seul, Mac Donald rapporte que sur 167 criminels condamnés à mort en Angleterre, 164 avaient assisté à des exécut
e tuer un homme vivant que de le rôtir et de le manger quand il est mort . - Dugdale dit que lorsque les criminels consti
lade du délire du toucher et des phobies diverses. A la suite de la mort de son enfant, son obses- sion génitrice repara
empoisonnés par des miasmes, d'être accusés, électrisés, menacés de mort , entourés d'agents secrets, etc. On constate au
e 39 p. 100. Pour ce qui est des délires initiaux la proportion des morts est, d'après Kraepelin de 61,5 p. 100 ; d'après
t une survie de dix jours, alors que les ·1 ? autres chiens étaient morts dans un délai de quatre à cinq jours. Des expé-
mes arrêtés. Les glandes recueillies aussitôt que possible après la mort du mouton sont débarrassées de tous tissus étra
B. Morts, 33; C. Autopsies, 10. Total des guérisons, 137; total des morts , 163; nombre des autopsies, 130. . REVUE D'AN
eptions qui, en passant par la somno- lence aboutit au coma et à la mort . La période primitive est très souvent suivie d
qui peut se terminer par la guérison, la démence chronique ou la mort . Exceptionnellement, la conscience peut demeurer
Marévilie, secrétaire général du Congrès. DANIEL HACK TUKE. La mort du Dr Daniel Hack Tuke a laissé un vide considéra
avril 1855 a Sainte-Philomène d'une famille de fer- miers. Après la mort de ses parents, survenue alors qu'il n'avait que
Depuis les intéressants travaux d'Elleaume (Essai sur les causes de mort subite, aï) ; d'Ollivier (Dictionnaire en 30 vol.
nu que la rupture du coeur, signalée par Morgagni, est une cause de mort assez fréquente chez les vieillards. Elle a été
emière fissure avec irruption sanguine considérable entraî- nant la mort instantanée. En raison de l'obscurité qui entou
état d'inertie physique et psychique profond, qui a duré jusqu'à sa mort après avoir entrainé la démence. Cette évolut
ectieux jusque dans le cerveau où un abcès se produisit et causa la mort . Un cinquième fait est celui d'un abcès cérébra
cas, qui motiva une intervention chirurgicale et se termina par la mort . Le sixième malade était un enfant de huit ans
normales, ainsi que les réflexes tant profonds que superficiels. La mort survint au bout de deux mois après deux crises
is, et du larynx du côté droit pour aboutir, peut de temps avant la mort , à une paralysie bila- térale incomplète. - L
sies nucléaires, la polyurie, la glycosurie, les tremblements et la mort subite. Les symptômes négatifs comprendraient l
ovoquer le réflexe doit avoir préalablement sou- levé tout un poids mort d'inhibitions. Ce réflexe des muscles volon- ta
tante jusqu'à la huitième vertèbre dorsale, troubles sphinctériens. Mort quatre mois après le début - des accidents par
aralysie des sphincters, crises pseudo-angineuses, léger nystagmus. Mort par broncho-pneumonie dix mois après le débutde
e avec moins de solennité que les années précédentes. On prévoit sa mort prochaine. On dit, à Fuerstenried, que la malad
est même pas ébauchée. Aucun cas, en effet, ne s'est terminé par la mort et les observations à ce sujet sont en général
en calorique du membre atteint étaient les mêmes que pour un corps mort . Un fait restait cependant inexplicable : l'élé
mmit un meurtre. 336 REVUE DE MÉDECINE LEGALE. Condamné d'abord à mort par le tribunal de première instance, ce malade
ndamnée à vingt ans de travaux forcés, et ses complices condamnés à mort . Or, pendant l'instruction, cette femme fut att
es déclarations que les exécuteurs du crime avaient été condamnés à mort . Le rapport fait à ce sujet a conclu que, avant
s démonstratif) un jury et un magistrat à prononcer une sentence de mort que chacun à l'audience sentait et savait ne pa
ent respecté, qu'une maladie incurable avait conduit au seuil de la mort , a mis fin à ses souffrances en se tuant à l'ai
e cette impunité désormais légale, n'augmenterait pas le nombre des morts volontaires. Mais son inconvénient capital est de
mucus, des lambeaux de muqueuse : la terminaison ordi- naire est la mort : on trouve à l'autopsie des lésions inflammation
traitement réussit chez l'adulte, chez l'autre il n'empêcha pas la mort . C'était un enfant nouveau-né d'ailleurs. (Drs
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 363 dorsale, troubles sphinctériens. Mort quatre mois après le début des accidents par tu
ERVEUSE. 365 sphincters, crises pseudo-angineuses, léger nystagmus. Mort par broncho-pneumonie dix mois après le débutde
soeurs étaient de taille moyenne. Son intelligence était faible. La mort l'a surprise comme sa taille croissait encore. So
du plexus cervical; deuxième opération exploratrice sans résultat, mort après six mois. A l'autopsie, tuberculose ménin
incapa- cité initiale de travailler et partant de vivre (crainte de mort , tout le monde va le tuer, bien qu'il n'ait fai
altérée fut seule enlevée à l'aide de douze couronnes de trépan. Mort . - A. M. LXXV. Deux cas d'abcès cérébraux ; par
Occidental médical Times, juin 1895.) Ces deux cas furent suivis de mort malgré le trépan pratiqué, dans l'un pour une o
Vertige, délire. La paralysie persiste adroite; à gauche, parésie. Mort au bout de trente-cinq jours. A l'autopsie, on
côté droit. En mars, cet état . subsistant, légère fièvre, marasme, mort . On constate à l'autopsie : de l'artério-scléro
paule gauche, le premier dix ans et le second quarante ans avant la mort ; la dernière à un homme, mort quatre ans .après
ns et le second quarante ans avant la mort; la dernière à un homme, mort quatre ans .après une amputation du bras droit.
en séries de racines dorsales, lombaires ou sacrées de cinq sujets morts d'affections quelconques, mais dont aucun ne pr
nvulsions cloniques précédées de tremblements et suivies d'inertie, mort . Quatre chiens ont suc- combé, l'un d'entre eux
einte du tabes avec paralysie générale. Son mari, syphilitique, est mort de paralysie générale dans un asile d'aliénés.
M. BENNECICE. A la clinique du professeur Binswanger (Iéna), il est mort , de paralysie générale, après dix ans de maladie,
e vieux cavalier parlait ainsi, le convui de Pinabel, qu'on croyait mort et qu'on portait au tombeau, passa : Maugis s'a
, un méchant homme que Dieu a puni de ses crimes, et qu'on a trouvé mort subitement. - 1[ n'est pas mort, reprit l'ermit
ni de ses crimes, et qu'on a trouvé mort subitement. - 1[ n'est pas mort , reprit l'ermite, il n'est qu'enchanté comme ces
r, parce que deux de ses enfants qui avaient été ensorcelés étaient morts . La foule, indignée, voulait mettre la mégère à m
celés étaient morts. La foule, indignée, voulait mettre la mégère à mort . » IVe CONGRÈS D'ANTHROPOLOGIE CRIMINELLE Du
pp. : Scipio SsIEtE, à Rome.) NÉCROLOGIE. Le Dr Auguste TEB.1LDI, mort en septembre dernier, était né en 1833, à Véron
u-de- vie. Sa physionomie dénote ses habitudes alcooliques. [Père mort à quarante-huit ans (fusillé au fort d'Ivry) ; il
on ne sait de quoi.- Tante, quatre-vingt-quatre ans, démente. Frère mort à cinquante- neuf ans de la poitrine; six autre
t à cinquante- neuf ans de la poitrine; six autres frères et soew's morts en bas âge. Grands parents paternels et materne
s ni de migraines, mais des accès de colère suivis de pleurs. [Père mort de bronchite chronique ; nombreux excès de bois
u grand-père paternel de notre malade, pas de renseignements. Frère mort on ne sait de quoi, faisait des excès alcooliqu
férence d'âge de huit ans. Dix enfants, tous des garçons; huit sont morts du croup à diffé- rentes époques. Ils étaient i
, dit l'enfant. » En raison de son infirmité et aussi à cause de la mort de sa mère, B... fut placé quelques semaines ap
pouvoir examiner le cadavre d'un guillotiné trois minutes après la mort . La section, très nette, sans esquilles, au niv
ue s'est reproduit pendant quelques minutes. Douze minutes après la mort , on n'obtenait plus que des contrac- tions dans
encore sensibles au courant faradique cinq quarts d'heure après la mort , ceux au contraire que l'on met à nu per- dent
'impotence motrice, du ralentissement de la respiration, parésie et mort par convulsions diffuses toniques et cloniques.
a vu un cas d'anorexie hystérique chez un enfant se terminer par la mort , les parents s'étant refusés à se séparer de le
86 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ysie du facial gauche, survenue il l'âge de 06 ans, 13 ans avant la mort , était rapidement devenue complète. Les constat
lissement intel- lectuel. -Développement rapide de la tuberculose ; mort . AUTOPSIE. (- Tuberculose des poumons et des re
seignements sur les grand-parents paternels. - Grand-père maternel, mort à 81 ans, ni para- lysie, ni démence; ne voyait
de décider s'il s'agit de vraies migraines. [Sa famille. - Père, mort à 3G ans, noyé accidentellement : sobre. - Mère
c'était une gastrite ; rien de particulier. - Grand-père paternel, mort iL sa ans, non paralysé.- Grand'mère paternelle
cris ni râles, et sans secousses. La température, au moment de la mort , était de 41°,3. - La marche de la température
de la mort, était de 41°,3. - La marche de la température après la mort a été la suivante : . SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉ.MI
s Aile, par exemple, dans les trois premières heures qui suivent la mort . 7. 11 est également très probable qu'elles peu
Ces lésions peuvent ne s'être produites que peu de temps avant la mort des. deux cotés, car les altérations des cellules
Mais il n'est pas en notre pou- voir d'agir sur la naissance et la mort des cellules nerveuses. Tant que les leucocytes
E. Straeussler. (Neurolog. Centralbl. XX, 1901.) Homme de 6G ans, mort 58 jours après une attaque d'hémi- ptegie gauch
THOLOGIQUES.- 53 fracture spasmodique des extrémités. Constipation. Mort , d'é- clampsie après 2 mois de séjour à l'hôpit
psychiques dénature démentielle et se termine invariablement par la mort au bout de 10, 20 et même 30 années. G. D. Il
ans, s'est suicidé ci : se tirant un coup du revolver la tempe. La mort a été instan- [allé(,. « Il était en 1)1-t)iu d
é variable de dépression hypocondriaque avec crainte anxieuse d'une mort prochaine. Elle est sortie améliorée au bout
sion mentale passagère en rapport avec les idées obsé- dantes de mort imminente. A l'anxiété diuuseet conti- nue se s
dl' 30 an, ( ? l admi,,]1' 10. août 1883. Son père el sa mère sont morts de maladies inconnues. Deux frères, dont l'un,
e. 6 septembre. Il cric toute la nuit : « Je suis perdu ! je suis mort ! « Abrutissement complet ; air égaré ; obtusion
Il quc IlOUS a) OIlS SIII' sa j'alnille l'st quc SOl1 Pl'I'C serait mort dans un accès de (¡èn'f ! chaude, E ! lc-mèmc a l
de émet quelques idées d'humilité, d'indignité et de craintes de la mort , la conscience continue à être profondément tro
ité a diverses reprises, notamment dan- la période qui a précédé la mort qui est survenue le 2G oc- tohl'e par suite d'u
quc énor- me, se l'épélanl il diverses reprises et auxquelles une mort accidentelle vient seulement mettre un terme. C
ne famille de dégénérés. Le père parait indemne, mais son frère est mort à 45 ans d'accidents cérébraux. La mère est név
ents cérébraux. La mère est névropathe. De leurs six en- l'titi est mort iiii autre de scrofule, une lille a eu des conv
82 ; ma- ri, neuf curants dont deux" seulement sont \ hanLs ; trois morts en havane, trois morls île phtisie et un mort p
sont \ hanLs ; trois morts en havane, trois morls île phtisie et un mort pendant la guerre de 1870. Père aliéné. Les p
ent, à l'âge de 72 ans, du 1'2 février au 11- mars 1897, IaLe de sa mort par ramollissement cérébral. (Jetait a son entr
ttendu que, du côté du mari, on trouvait son père, dé- ment sénile, mort il l'asile de ramollissement cérébral, 102 RECU
une par peur d'être fusillé. Ch. ]l...., avait 3 frères : deux sont morts : l'un, d'une tumeur dans la gorge ? ), l'autre l
é l'année consécutive à celle infection, quatre autres enfants tous morts en bas-âge, el sa femme a fait en outre une fau
sorties, beaucoup moins de chroniques anourrir jusqu'à leur belle mort , et une énorme réduction de dépenses. Cela est si
formée par les circon- \olulions.Ch ! 'z un upilcplüluo lc 4't ans, mort aussi subitement, ) les coupes sériaires fronta
te maladie est variable : une seule fois elle s'est terminée par la mort . L. W. 1X1.- Etudes récentes sur l'hystérie; pa
que de la famille. Il est epileptique. Son père, Alexandre III, est mort de tuberculose 23() faits DIVERS. miliairc, a
compte de la tuberculose latente. Le frère aine d'Alexandre 111 est mort de tuberculose. Chez Alexandre 11, on remarqua,
30). A la suite de cet enfantais ont eu chaque année, trois cnfants morts nés, le premier à S mois, le second elle t rois
ions variées ; plus tard elle provoque des maladies du foetus, sa mort et l'expulsion prématurée, etc. Ce n'est pas ré
ue de plusieurs jours, additionnée généralement d'accès convulsifs. Mort dans le marasme (déchéance psychique et physiqu
ervicale et consécutive à une fracture de la 5e vertèbre cervicale. Mort '21- heures après le traumatisme..La comparaiso
rocessus eWra-ventri- culaire. Les deux cas se sont terminés par la mort : ils ne sem- ])lent relever ni de la syphilis
océder avec prudence, car la poneclion lombaire peut occasionner la mort . Cependant dans bien des cas, c'est un palliati
originaux. Nécrologie. Nous avons le profond regret d'annoncer la mort de notre cullahoraLeur, lc 1)' l'. Carnier. Nous
les autres ont évolué normale- ment, mais sur 4 enfants, deux sont morts l'un à dix ans (de tuberculose), l'autre 20 jou
YSTÉRIQUE MONOCULAIRE ; SA DISPARITION 339 Le père, cordonnier, est mort en 1897, à 35 ans, dans un accès de délirium tr
ce d'urine ou des matières. Cauchemars nocturnes. A 7 ans, après la mort du père, les crises ont complètement cessé, mai
sonne peu normale. Elle a toujours eu une peur insurmontable des morts ; la solitude et l'obscurité l'elfrayenl. « Quand
lle qu'un nommé Bazille Sabaton, âgé de quarante et un ans, étant mort lundi à l'asile des aliénés, le médecin constata
s du malheureux des blessures assez graves pour avoir entraîné la mort . Une enquête fut ouverte, à la suite de laquelle
e ne sais quel prétexte de gymnastique cérébrale, à l'étude de la mort . (1) Yves Délace. L'hérédité et les grands prob
us apo- plectique avec contractures généralisées. Cheynes-Stokes et mort deux jours après dans le coma avec hyperthermie
ie aiguë apoplectiforme, à évolution aiguë; puisqu'elle entraîne la mort en 4 jours. * A l'autopsie, les auteurs trouvèr
: Examen ontologique du liquide céphalo-rachi- dien la veille de la mort . Résultat négatif. - 3e Cas : homme de 3G ans,
la veille de la mort. Résultat négatif. - 3e Cas : homme de 3G ans, mort en trois jours de forme hydro- phobique. Diag
quement et expérimentalement. Résultat négatif de l'examen après la mort . ' 4e Cas : Forme furieuse chez un homme. Diagn
ésultat négatif de l'examen du li- quide céphalo-rachidien après la mort . Il n'y a donc pas de leucocytose dans le liqui
n excellente rela- live à un microcéphale de 17 ans (photographie), mort en janvier Archives, 2' série l(JO : 5, t. XIX.
t notre affection, furent anéanties en un clin d'oeil; l'inexorable mort l'enlevait brusquement en pleine force, en pleine
ont été transférés, 17 sont sortis pour d'autres cau- ses, 153 sont morts . BIBLIOGRAPHIE. 401 Le mouvement spécial du q
lille sont sortis pour d'aulres causes, un garçon et 4 filles sont morts . L'encom'brunient du pavillon destiné aux garço
ont arrivés dans un état lamentable. 1G d'entre eux sont, en etiet, morts moins de 8 jours après leuren- Irée, 8 autres n
la première période de l'affection jus- qu'à sa terminaison par la mort . Ainsi nous procédâmes et sur 30 paralytiques n
mbien toujours anormal. de l'éclosion de la paralysie générale à la mort ,et aussi chez combien il y a alternative des de
fournies par les 54 paralytiques qui ont été observés jusqu'à leur mort dans le marasme paralytique, à la phase ultime,
'éclosion. de la paraly- sie générale jusqu'à sa terminaison par la mort se résu- sument dans les conclusions suivantes
érant les seuls paralytiques il évolution 1 complète, ceux qui sont morts il la troisième période dans le marasme ultime,
(Revue de niés., décembre 1903.) Castrés intéressant terminé par la mort d'un sujet s5lphilitique depuis onze ans qui fu
sont susceptibles de guérison, les cas graves se terminent par la mort ; les troubles sensitifs sont rares dans cette af
), puis les idioties (4) et les épilepsies. La cause certaine de la mort ne peut être posée avec certitude qu'après véri
re posée avec certitude qu'après vérification nécropsique. C'est la mort par « cachexie paralyti- ' que » qui fournit le
t mieux dire. M. Anglade signale deux malades séniles (72, 8 ? ans) mortes quelques jours après leur entrée. « N'eût-il
rincesse de Cobourg : le rapport n'était pas encore rédigé quand la mort vint le surprendre. Tout en s'acquittant de ses
ir de ceux qui l'ont connu et apprécié dans la vie. \ Dr DROMARD. Mort et obsèques du DI' Paul Garnier Lorsque, dans l
arnier Lorsque, dans la journée du 18 mars dernier, fut connue la mort inopinée du docteur Paul Garnibr, sur- venue su
ale de sur- prise, de douloureuse et de, sincère sympathie. Cette mort , qui attéra les amis du maître disparu, avait un
Mais, dans l'intervalle, amis et élèves se succé- dèrent auprès du mort bien aimé et firent tour à tour la veillée des
u s'attirer des dévouements réels, Garnier les a retrouvés après sa mort , et ses fu- nérailles, dont une partie seulemen
légale de France, je saluele Collègue profondément regretté que la mort vient de nous enlever d'une manière si brusque,
psychia- trie, j'adresse au Dr Paul Garnier un dernier adieu. La mort , en nous enlevant Garnier, n'a pas seulement ravi
langage l'élégance d'un lettré etla précision d'un juriste. - La mort a fermé cette bouche d'un coup brutal, au mo- `
les j eunes docteurs de cette expérience si longuement acquise. La mort a été cruelle pour nous ; elle a été clémente p
une véritable stupéfaction que nous avons appris la nouvelle de la mort soudaine de notre savant et estimé collègue, No
otre affection, furent anéanties en un clin d'a : il ; l'inexorable mort l'enlevait' brusque- ment, en pleine force, en
tombe qui sera bien loin de nous. JOHN SIBBALD. Nous apprenons la mort de sir John SIBBALD., à l'âge de 72 ans, inspec
s tout dernière- ment il a été obligé de garder la chambre ; il est mort paisible- ment hier malin. 48û' nécrologie.
humeur habituels, qui ne se démentirent ja- mais durant sa ,il'. Sa mort est une perle cruelle pour les psy- chiatres d'
87 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
dité qui pesait sur elle (mère internée à Bourg et frère épileptique, mort à Villejuil). —A été en traitement pendant 3 ans,
nvulsions por-tant sur le côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et méningo-en
K. Sommaire : Père, excès de boisson (absinthe) . — Grands-pa-rents morts vieux. — Mère, rien de particulier, ni dans sa fa
erait pas plaint pendant son séjour de cépha-lalgie. •— Son -père est mort à 77 ans. n'avais jamais été ma-lade, cultivateur
migrai-neuse. — Les grands-parents tant paternels que maternels sont morts très vieux, n'auraient jamais été malades. — Pas
ne sauté ; pas de migraines ; est sobre. — Le grand-père paternel est mort à 45 ans pendant les émeutes de 1848. — La grand-
st morte à 30 ans, on ne sait de quoi. — Les grands-parents maternels morts de sénilité, n'avaient jamais été malades. — Pas
is été malades. — Pas d'oncles ni de tantes. — A eu sept sœurs toutes mortes jeunes, on no sait si elles ont eu des convulsion
ituées, pas de condamnés. (1) Depuis ces renseignements le père est mort d'une fluxion de poitrine, en 1902, Pas de cons
e est constamment somnolente, surtout après ses accès. Etat de mal, mort . — Le 13 septembre 190G, l'enfant Mar... est mont
heu-res la malade avait eu 229 accès. La température au moment de la mort était de 40"5, elle tomba ensuite régulièrement c
eau ci-dessous, atteignant la tempé-rature ambiante 9 heures après la mort . Température à la mort ........................
t la tempé-rature ambiante 9 heures après la mort. Température à la mort ............................. 40°5 1/4 d'iieure
........ 29° Autopsie pratiquée le 18 septembre; 57 heures après la mort . — Le cadavre no présente aucune ecchymose, absen
éral par une rémission plus ou moins cour-te, pour se terminer par la mort , après l'une ou l'autre période, ou parla guériso
apparait, la température s'élève, l'état de mal est cons-titué et la mort peut arriver. {Fig. 1). Mais le plus sou-vent la
x circonstances peuvent se produire : l'état de mal se termine par la mort avec une élévation de la température qui atteint
plusieurs heures sans accès etla températures'est abaissée à 39°4. La mort est survenue après 229 accès. Ici l'état cle mal
oitrine. — Mère: un peu ner-veuse, bien portante. Grand-père maternel mort d'une hypertrophie du cœur.— Consanguinité: père
as eu d'accidents nerveux. — Son grand-père pater-nel, boulanger, est mort elle ne sait de quoi. Sa grand'mère paternelle es
ns; n'était ni paraly-tique ni démente. — Son grand-père maternel est mort elle ne sait de quoi. Sa grandJinère maternelle,
colère, mais c'est vite passé, je n'ai pas de rancune ». [Son père, mort d'une hypertrophie du creur à 62 ans, était sobre
maternel était le grand-père paternel du père de l'enfant; boulanger, mort elle ne sait do quoi. Sa grand- mère maternelle
chevelu sug-gestif d'atavisme. » « Il s'agit d'un homme de 41 ans, mort d'épilepsie le 22 décembre 1902. « Son apparenc
ulmonaire ; température oscillant autour de 37° et plutôt au-dessous. Mort en hypothermie (35°,2), à l'iige de 15 ans. Autop
culose, à la fois pulmonaire et intestinale, qui a été la cause de la mort . — Elle a montré de plus un crâne mince, avec nom
t 19 k. 7 au lieu de 25 k. 2 En 1903, à l'âge de 15 ans, époque de sa mort , il mesurait 1 m. 23. au lieu de 1 m. 51. Il pesa
rvice duquel est pas-sé Georges, nous a promis de nous prévenir de sa mort et de nous permettre de faire son autopsie ou d'y
vulsions portant sur le côté droit. Si-gnes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et mè- ning
88 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
du cou et vers la fin de la vie une paralysie] du facial gauche. La mort a été amenée par la paralysie des muscles respira
me, les membres supérieurs n'exé- cutèrent plus aucun mouvement. La mort fut causée par la paralysie des muscles respira
ection à une évolution nettement et continuellement progressive. La mort subite est. fréquente et Szczypiorski cite deux c
s de terminai- son de ce genre de kystes hydatiques du cervelet. La mort doit être attri- buée soit à la compression occ
tion ortiée, une syncope, des accidents choréiformes, quelquefois la mort subite. L'urticaire qui suit les ponctions appa
ompson), d'une roséole (James). Achard rapporte plusieurs cas où la mort suivit une ponction, ou un traumatisme ayant oc
la main appliquée pendant la vie sur la paroi-crânienne d'un enfant mort de kvste hydatique du cerveau percevait, lorsqu
res- tant de taille exiguë. Aussi est-ce souvent sur des individus morts d'affec- tions complètement étrangères à ces tu
s hydatides même volumineuses ou multiples. Letulle, chez un malade mort de fiè- vre typhoïde, a trouvé un kyste du volu
é à des lésions très di- verses. C'est dans 36 cas seulement que la mort a été réellement due à l'existence de la tumeur
as d'ouverture du crâne pour kyste hydatique du cerveau, il y eut 9 morts et 7 guérisons ou amende- ment notable des symp
sans déchirer une partie du tissu voisin. Il s'agit de cysticerque mort , dégénéré. a Aucun kyste n'est diffluent, ni pu
risée par de la céphalée, de la somno- lence et qui a occasionné la mort subite. L'encéphale contenait environ quatre ce
il n'y[avait d'ailleurs pas la moindre irri- tation méningée. La mort subite qui a mis fin à l'histoire de notre malade
nt, mais la surdité corticale persiste sans modification jusqu'à la mort qui survient trois semaines après la dernière cri
restier, entre le 6 décembre 1900 à Ville- Evrard où son fils était mort quelques années auparavant épileptique. Bien po
s on constate aussi des hallucinations de l'ouïe. Le 23 décembre, mort à la suite d'accidents infectieux. Autopsie. La
la grosseur d'un pois. A peu près le quart 1 de ces parasites était mort . Comme on l'a souvent remarqué ils ont pu res-
ils ont pu res- ter longtemps sans entraîner d'accident grave et la mort ne leur est pas im- putable. Le cerveau, ainsi
Raymond, salle Prüss, n° 6. Antécédents héréditaires. Son père est mort à 78 aus, après 10 ans de paralysie ; sa mère e
-dire qu'originairement il a été formé de façon à se garantir de la mort et que même après avoir péché il peut vivre encor
au point que l'un d'eux, l'abbé Picot, ne voulut point croire à sa mort . ' Dans une de ses lettres à M. Quylichem (Voir
ie que je le fais maintenant, et quoique ci-devant je crusse que la mort pût me l'abréger de 30 à 40 ans, elle ne peut m
la vapeur qui s'élève du corps d'un animal qu'on vient de mettre à mort , et combien l'application d'un animal vivant est
de cette façon que Démocrite le célèbre philosophe rieur recula sa mort de quel- ques jours en approchant des pains cha
ir les sages-femmes ranimer de cette façon les enfants qui naissent morts en apparence. Le même procédé a été employé ave
et de races si diverses. La luxure tua Salomon comme elle cause la mort d'un grand nombre de princes de l'Asie. La pr
: un premier enfant qui est toujours resté chétif, un second enfant mort de méningite à l'âge de 7 ans et un troisième enf
cond enfant mort de méningite à l'âge de 7 ans et un troisième enfant mort de péritonite à l'âge de f5 ans. Maladie actu
entes. Enfin on constate des symp- tômes de tuberculose pulmonaire. Mort le 20 octobre 1899 par pyélonéphrite ascendante
chute, paraplégie complète quatorze mois après début de la maladie. Mort par infection urinaire. Résumé DE l'examen hist
gne) ; 4° un garçon, âgé de 17 ans ; 5- deux jumeaux, dont l'un est mort à 5 ans de bronchite, et l'autre est bien porta
rrompre son travail dans ces derniers mois et s'est terminée par la mort en février dernier ; il était âgé de 50 ans. Lu
ément. I. - GOELLER, 1698 (2). - Foetus de 7 mois, du sexe féminin, mort . A droite et à gauche absence totale du cubitus
oliose droite. IV. - Hohl, 1852 (3). - Enfant màle de 20 semaines ; mort . ' Le cubi- tus manque totalement à droite. - D
'un orteil. V. - PRIESTLEY, 1856 (4). - Nouveau-né du sexe féminin, mort . Le cubi- tus droit fait complètement défaut. D
ie et 5° ( ? ) doigts manquent. * VI. - STEFFAL, 1875 (5). Enfant mort , pas complètement à terme. A droite, absence to
sé raccourcissement du fémur. ' XI. - DEVILLE, 1849 (5). Vieillard, mort . - D'un seul côté, à droite, absence de la part
duire l'amputation congénitale, ont pu être capables d'entraîner la mort ou d'entraver le développement des bourgeons embr
s doute été exécutée vers la fin du XVIII- siècle, le peintre étant mort en 1804. En second lieu, ne faudraitpas croire
mode de suicide usité sous l'empire romain, - je veux parler de la mort de Sénèque, sujet maintes fois reproduit et sur
ilepsie, légères parésies localisées; enfin, démence, gâtisme,coma, mort . - Nécropsie : Volumineuse tumeur sphéroïdale, ci
avons rencontré des lésions tout à fait sem- blables chez un malade mort de coma diabétique. Toutes ces observations cli
Accumulés en grand nombre autour des cellules nerveuses malades ou mortes , ils jouent peut-être un rôle dans leur absorpt
ans, une opération qui fut suivie de guérison. 2° Frère du père. - Mort au service militaire, étant sergent-fourrier, à l
rte à 30 ans. Elle était, au dire du malade, livide au moment de sa mort . IIf. Père. - Le père du malade a 68 ans. Il n'
a main gauche, sur- tout le médius et l'annulaire, qui sont « comme morts » dit-il, et plus livides encore qu'à l'ordinai
tre malade semble avoir eu des attaques d'épilepsie et est morte de mort subite. (1) Le champ visuel étant le champ du b
ection mentale 239 Observation. L... Maria, 43 ans. - Le père est mort d'une attaque d'apoplexie à 69 ans. Il était al
té générale, on la chatouille la nuit sous les pieds, elle voit des morts . Elle prétend que depuis qu'elle a lu « les mémoi
V L... nous dit parfois qu'elle entend causer son père ou son mari morts depuis plusieurs années. Elle semble présenter
alement froids et aplatis. Notre sujet en conclut que c'étaient les morts qu'elle avait priés qui venaient l'étreindre. A
fut commandé à Rubens en 1604, avec deux autres, à l'occasion de la mort d'Eléonore d'Autriche, mère du duc Gonzague, et
inte d'un foetus achondroplase, né à 8 mois de vie intra-utérine et mort immédiate- ment, en est la preuve (Pl. XL, D).
pu obtenir, avoir présenté de déformations osseuses. Le père serait mort bacillaire. Un frère et une soeur. - Le frère e
l : 49 heures; application de forceps. L'enfant est venu en état de mort apparente. Nourrie au sein pendant six mois, au
i une maladie du coeur ; une de ses tantes également ; son père est mort paralysé à 73 ans ; un frère est mort de diphté
ntes également ; son père est mort paralysé à 73 ans ; un frère est mort de diphtérie. Antécédents personnels. - Jusqu'à
issement démentiel, crises épileptiques, parésies localisées, coma, mort : constituent les éléments essentiels communs aux
de latence, d'excitation, de convulsion, de coma, etc., aboutit la mort . C'est ce qui résulte des recherches des ex- pé
.). OBs. I. Un couvreur, tombé du haut d'un toit, est regardé comme mort pendant 1/4 d'heure ; on le porte chez lui ; on
ment de cette blessure, et jouit d'une fort bonne santé jusqu'à sa mort qui arriva, comme je l'ai dit, dix ans après.
uperficielle sur la fesse droite ; gâtisme ; urines albumineuses et mort en avril 1900. L'examen des yeux pratiqué par M
ent analogues au clonus du pied. Pas de vomissement ni de céphalée. Mort dans le coma avec forte élévation de températur
e où le diagnostic d'hérédo-ataxie cérébel- leuse fut fait avant la mort du malade est le cas de M. Miura. xiv 20 374
on des doigts dans la paume. Morte à 50 ans, 13 ans après le début. Mort précédée d'oedème des membres inférieurs. Une t
e moins marquée dans la région antéro-externe des jambes. 2 mars. - Mort du malade à li. 1/2 du soir. Autopsie Cerveau
avons le tableau classique delà maladie. Si à ce moment survient la mort nous trouvons le système nerveux atrophié comme
ces analomo-physiologiques actuelles rapprochées de cette cons- (1) Mort , Ganglions et centres nerveux. Archives de physio
sultation des maladies nerveuses depuis trois mois. Son père est mort à 69 ans de l'influenza : il était très nerveux.
le 8 avril, à onze heures, exactement vingt-quatre heures après la mort . Nous avons pu constater à ce moment la grande
tent les lésions étendues de la broncllOpneumonie qui a entraîné la mort . 11 n'y a pas trace de tuberculose aux sommets.
la malade avait la peau bronzée, mais vu le mal qui avait amené la mort , la coloration ictérique devait prédominer. L
auxiliaire de la médecine, qui vient pour disputer un moribond à la Mort . , Le Gérant : BOUCHEZ Imp. J. Thevenot, Sain
observation du mémoire de Landouzy a pour sujet un homme de 65 ans, mort à la suite d'une hémiplégie droite, avec sclérose
ois vivent encore et sont bien portants. Des deux décédés, l'un est mort de la pe- tite vérole et l'autre par suite d'ac
pendant quelques jours, a mis la petite malade à deux doigts de la mort : fièvre intense, T. 40 degrés, pouls incomptable
me et cet infantilisme est d'origine dysthyroïdienne. Le père est mort jeune, de pneumonie. La mère, d'après quelques re
dire d'une saignée historique, celle de Sénèque le philosophe. La mort de Sénèque nous a été racontée en détail par Taci
» Après quoi, ils tendirent l'un et l'autre leurs bras, le genre de mort usité en pareil cas étant l'ouverture des veine
troces douleurs, et pour éviter à sa femme le cruel spectacle de sa mort , il la pria de passer dans une autre pièce, res
auxquels il tint des discours demeurés cé- lèbres. Cependant, la mort était lente à venir. Alors, le philosophe demanda
Servi liúertique obli- \ gant brachia, premunt srl1lguinem. La mort de Sénèque a inspiré un grand nombre d'oeuvres d'
ie DE LA SALPÊrRJLRI T. \1\', l'l.l.»1\' LA SAIGNÉE EN IMAGE La mort de Sénèque Tableau de Il. Il. Ruums, Pinacothèq
es, et ayant par surcroit absorbé la ciguë, il vient, pour hâter la mort , de se plonger les jambes dans un bassin d'eau ch
. 538 HENRY MEIGE D'autres oeuvres d'art ont été inspirées par la Mort de Sénèque, parmi lesquelles on peut signaler :
emand, 1723-1795), Musée de Cologne (n° 495). Enfin il existe une mort de Sénèque de DELACROIX à la bibliothèque de la
DAVID, en 1774, fut refusé au concours du prix de Rome, pour une Mort de Sénèque ; on dit même que, de chagrin, il voul
89 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e et mor- telle est très restreinte : coma brusque aboutissant à la mort en quelques jours, souvent en quelques heures.
rouges. Dans un cas analogue, Furbringer fit la ponction après la mort et retira du sang presque pur. Dans un cas d'hémo
souffrances très vives dans les membres et sensation d'angoisse, de mort prochaine; légère cya- nose de la face et des l
st extrêmement rapide = 200. La perte de connaissance est complète. Mort à 2 h. 1/2. Autopsie le 20 novembre.-A l'ouve
érébrale. Mais l'autopsie a été faite quarante-huit heures après la mort . La moelle est également retirée. 11 n'y a aucu
18 CLINIQUE NERVEUSE. dant la vie, mais l'interprétation après la mort , présentaient de grandes difficultés. Nous élim
Arnaud. Sur la période terminale de la paralysie générale et sur la mort des pamlytiglles généraux (Archives de neurologie
ètement ranimé. Les autopsies ont éte faites immédiatement après la mort et les pièces ont été comparées à celles de deu
se incolore, d'aspect vitreux. Dans les deux cas, elle aboutit à la mort de la cellule nerveuse. On observe aussi dans l
pouvons en distinguer les dessins artificiels produits sur un tissu mort . De là, à nettement différencier les dessins hist
able, et qui ont eu et ont encore à certains moments le désir de la mort . Ce désir survient par crises, le plus souvent
on père et aussi à l'hérédité cérébrale (le grand-père paternel est mort du ramollis- sement et un oncle paternel était
ulsives. Cachexie progressive. Tuberculose pulmonaire et pleurésie. Mort . Autopsie. Aucune altération des os ni de la du
s, elle reste enfoncée dans ses draps sans un cri. Elle souhaite la mort avec instance. 5 mars. Cachexie de plus en plus
vomissements, etc., jusqu'à l'ictus apoplectiforme ter- miné par la mort , en passant par des phénomènes irritatifs de mo
terminer des symptômes de plus en plus graves et se terminer par la mort dans le marasme ou dans un ictus. Elle peut, su
e M. le professeur Teissier. Antécédents héréditaires. Son père est mort à quarante-cinq ans d'une pleurésie. Sa mère âg
er comme type classique une forme condui- sant progressivement à la mort en deux ou trois ans, ou par ictus congestif ou
turée de la race. 10° La maladie se terminant invariablement par la mort , et ses causes étant de celles que l'on peut, d
onsécutifs peuvent disparaître sans laisser de traces, ou amener la mort . Dans ces conditions, le pronostic, très variab
tre simple, deviennent très graves dans le goitre exophtalmique, la mort subite étant très fréquente. De plus, ces opéra
e iliaque résultant- d'une incision chirurgicate, comme cause de la mort . Or, la victime-avait 172 BIBLIOGRAPHIE. été
fille mère, étant allée chercher son enfant en nourrice, le ramène mort . Le médecin appelé déclare que cet enfant a suc
ou suffocation; par A. Lacassagne. Il s'agit de cet homme trouvé mort dans une malle appartenant à sa maîtresse et da
un an de prison pour blessures ayant involontairement occasionné la mort . (A suivre.) IABORO\\'SIi1'. VARIA. Quartie
lysé pendant douze ans; un oncle maternel a eu des enfants qui sont morts tous d'accidents cérébraux. J... Gabriel est à la
nts héréditaires. Père et mère ayant toujours été bien portants, et morts entre cinquante et soixante ans. Ils ont eu cin
alade était bien constitué : il a fait son service militaire et est mort quelque temps après; quant au malade, il a été
: 1° une fille, actuellement mariée et mère de famille; 2° un fils, mort quelques jours après sa naissance. Hâtons-nous
nsi dire extraordi- naire, le malade de l'observation ci-dessus est mort le 18 oc- tobre 1897, c'est-à-dire assez longte
s court. Voici maintenant les conditions dans lesquelles J... est mort ; c'était dans la matinée du 18; l'infirmier venai
: Prendre des frag- ments très minces du cerveau d'un sujet dont la mort ne remonte pas à plus de dix heures : plonger d
plus. A la fin de 1894 il existe une paralysie générale au début, Mort le 16 avril 189. On trouve à 1'(ititopsie l'infla
grave ; dans un des cas cités par M. Thouvenet, elle a entraîné la mort . Chez d'autres malades, l'intoxication a engend
es des plus manifestes, puis après exemple d'une myélite aiguë avec mort et nécropsie A. M. VIII. Crétinisme acquis ou
gique appréciable des méninges et du cerveau. Chez un autre malade mort de pneumonie sans avoir présenté aucun symptôme
cornes antérieures de la moelle lombo-sacrée, mais le malade étant mort quelque temps .après, l'examen macroscopique de
e paralysie bulbaire asthénique descendante, ont procédé après sa mort a l'examen analomo-palholcgique des centres nerve
rren- tielles : 1° La paralysie récurrenlielle grave, qui mène à la mort , du fait des lésions qui l'ont déterminée; 2° l
cause n'était autre que l'idée fixe, plus ou moins modifiée, de la mort . de son enfant ; cette idée, primitivement consci
resté à peu près stationnaire pendant deux mois environ, jusqu'à sa mort survenue par suite d'une broncho- pneumonie.
ent soustraire son impulsivité. Aussi doit-on supprimer la peine de mort et la prison et les remplacer par des asiles, col
e l'Académie de médecine, médecin honoraire des hôpitaux, etc., est mort le 13 janvier dernier. Il était né à Saumur en
QUE Présidence de MM. Garnier ET MEURIOT. Le Président annonce la mort de M. Mesnet et donne lecture du discours qu'il
tances malheureuses, de la malveillance dont elle est entourée : la mort est ce qui peut arriver de mieux. Ces accès dur
e gens qui paraissaient sains au point de vue mental : son père est mort à cinquante-six ans d'une fluxion de poitrine;
quand elle a perdu son enfant elle a été moins affectée que par la mort de son père ou de sa mère; elle souffre autant de
Grand'mère paternelle migraineuse et nerveuse. Grand- père maternel mort tuberculeux. Grand'mère maternelle cardia- que.
bres. Traitement de l'hydrocéphalie. Amygdalite. Diarrhée. Dyspnée. Mort . Autopsie. Ci âne : persistance de la fontanell
ère de l'enfant, le 15 décembre 1893). Père, peintre en décors, est mort à trente- deux ans depht31epu ! monaire. Très s
ns intenses depuis son retour d'âge. -Le grand-père paternel serait mort à soixante-douze ans, durant la guerre. Une gra
e enseignements sur les autres grands-parents. Trois frères dont un mort en naissant. Vaine des survivants a trente-deux
ère blépharite ciliaire dans son enfance. Famille delamère. Père, mort à quarante-cinq ans de tuber- culose pulmonaire
cause d'une maladie d'yeux ( ? ). Grand-père paternel, cultivateur, mort à soixante-et-un ans, très travailleur, pas d'a
atre-vingts-huit ans, jusque-là bien portante. Grand- père maternel mort subitement à quarante-deux ans; intendant à la
ois du choléra infantile. Elle a eu des convulsions au moment de la mort . Elle paraissait devoir bien venir. La troisièm
progrès, grâce à l'éducation qu'essayait de lui donner sa mère. La mort du père mit un terme aux soins mater- nels et l
R. 41°,4. L'enfant meurt à 8 heures du matin. Température après la mort . 296 RECUEIL DE FAITS. miens, la gauche deux.
intercurrente qui semble la plus simple cause occasionnelle de la mort . L'autopsie, du reste, ne révèle aux viscères (sa
e de 90 cas de syphilis cérébrale publiée par Fournier, il y eut 14 morts , 33 cas d'amélioration avec infirmités graves,
enché en avant, tête un peu tournée à gauche ; réflexes augmentés ; mort de tuberculose. Autopsie : cavité cérébelleus
;par H. White. (Brain, part. LXXVI, 189fui.) Enfant de treize mois, mort après six jours de méningite tuber- culeuse cla
tor, cobaye) qui n'est qu'une simulation consciente et voulue de la mort , et celui de l'anémie des centres infirmé par l
e corticale au point de produire cet état convulsif, qui a amené la mort . Il n'y a donc pas de doute que ces accidents,
s. Gâtisme dans la majorité des cas. Sur quinze cas il y a eu douze morts , deux guérisons, et un cas terminé par la démen
annexes ont été pratiqués dans cet asile : il y eut un cas suivi de mort , un cas suivi de guérison du désordre mental et
inome du pylore ne put être diagnostiquée que peu de temps avant la mort . L'existence du carcinome remontant au moins à
étais pas éloigné... » Un malade cité par Iibot3, et qui se croit mort depuis deux ans, s'exprime ainsi : c J'existe,
vie réelle, matérielle, et malgré moi ; rien ne m'ayant donné la mort , tout est mécanique chez moi et se fait incons-
t donc des troubles de nutrition qui détermineraient directement la mort des cellules nerveuses séparées de leur prolong
examiné qu'une partie du système nerveux et chez des sujets humains morts d'affections aiguës ou infectieuses, et qu'ils
a opéré sur des lapins sacrifiés en bonne santé. Aussitôt après la mort , les ani- maux étaient placés dans une étuve à
a été isolé et plongé dans le liquide durcissant aussitôt après la mort . L'auteur a ensuite effectué plusieurs milliers d
ction de la moelle, il ne doit point déclarer son malade voué à une mort certaine. Si la lésion intéresse la partie supé
de son mal, il est voué, par son inconscience et son incurie, à une mort prochaine. C'est une raison pour qu'on ne renco
e dans sa phase adynamique avec troubles trophiques très accentués. Mort le 31 décembre. Observation II. Femme âgée de t
iments, grimaces multiples demi-conscientes; fièvre irrégu- lière ; mort le 11. Après avoir analysé et discuté le côté c
rs survint une paralysie complète des muscles des globes oculaires. Mort le 14 mars 1896. La température du corps resta
la main, mais seulement aux mou- vements volontaires. Le malade est mort de dysenterie, et l'au- topsie a permis de cons
ymptômes oeulo-pupillaires du côté gauche ; quelques jours avant la mort , survint d'une façon brusque, une paraplégie in
Edouard-Constant SÉGUIN. Nous avons le profond regret d'annoncer la mort de notre ami le Dr E.-C. Séguin (de New-York),
e dorsale seulement a droitc. Absence de phé- azomènes pupillaires. Mort de pneumonie. Autopsie. Macroscopiquemenl. Tume
'auscultation fait entendre un souffle tubaiie à la base droite. -' Mort le 18 septembre. Autopsie le 19 septembre. On t
malades les plus disposés au suicide. Alors même qu'ils se croient morts , ou dans l'impossibilité de 'jamais mourir, ils
domine. Dans la stupeur, les malades s'imaginent plutôt qu'ils sont morts ; on en voit même qui présentent alternati- vem
ts ; on en voit même qui présentent alternati- vement l'idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir mourir, suivant leurs é
nation et aux flammes de l'enfer. Cela ne l'empêche pasdedésirer la mort par le suicide qu'on lui ordonne, bien qu'ensui
e. 472 PATHOLOGIE MENTALE. reau. Tentatives réitérées de suicide, mort des suites d'une plaie abdominale qu'il s'est f
fièvre avec symptômes spinaux et névritiques persistant jusqu'à la mort survenue au bout de six semaines. Foyer de ramo
d'un nouvel accès, a tué son mari à coups de canif. On annonce la mort , à Bergerac, d'un officier d'état-major disting
alais), frappa ce dernier de six coups de couteau. Dieulot père est mort peu après. Ce fait rapporté par le Journal du 3
90 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
ôme de la discussion. Cette femme était très bien portante avant la mort de sa fillette. Elle avait présenté seulement à l
nd des choses. Aujourd'hui, malheureusement, M. Gaston Tissandier est mort . Mais si la prétendue organisation de l'enseignem
religieuse malade d'une effroyable maladie, qui lui causa bientôt la mort , (.''étaient des ulcères qui s'étaient faits en
lorsqu'il plut à Dieu « de me faire revenir comme des portes de la mort . Je me confessai « aussitôt et communiai en répan
ide. C'est celui de l'homme qui s'asphyxie avec un poêle et attend la mort . 2° Le suicide indirectement obtenu. Un être qu
r qu'il ne mange pas avec l'intention bien arrêtée de mourir. Cette mort par désespoir pourrait s'observer chez l'homme, e
s des rúcenles communications de M. Caustlcr et de M. Lépiaay. La mort par vertige est aisée à expliquer en psychologie.
mains sur les côtés de la poitrine et du ventre; l'homme tomba comme mort ; au bout de deux minutes, il était revenu à lui.
à M. le professeur Raymond, membre de la Société, à l'occasion de la mort de son gendre. M. leDf Delpeuch, médecin des hôpi
ents héréditaires : père et mère bien portants : un frère et une sœur morts de variole en bas âge. Lamalade a toujours été
coupé de fréquents cauchemars. Il revoit sa mère et son frère dont la mort l'a beaucoup frappé et il se réveille en sursaut.
dité : sa mère était une hystérique à grandes crises et son frère est mort dans un asile. Lui-même, tout jeune, était très i
ofession en 1638 (16 ans), et était devenue abbesse d'Hiéres après la mort de sa sœur Clarice-Diane. \ Claude d'Angennes n
publia, la même année, une Remontrance du clergé de France. Après la mort de son frère Charles, il fut transféré à l'évêché
nri III, qui les avait fait assassiner les 23 et 24 décembre 1588, la mort de Henri I" de Lorraine, duc de Guise, et do Loui
nes eut parmi ses six enfants : Jacques III d'Angennes, né en 1577, mort le 14 mai 1647, à 70 ans. Il fut sacré évêque de
ut six enfants parmi lesquels : François de Halhvin, évoque d'Amiens, mort en 1537. Philippe de Halhvin, qui mourut avant so
nisme, qui lui dit : « Vous êtes obligée de demeurer ferme jusqu'à la mort , sans que jamais le mauvais exemple vous ébranle
de l'appareil digestif, car alors la dénutrition eut été rapide et la mort n'eut pas tardé à survenir. Il s'agit donc de sit
te aucune modification de l'état psychique. Dans le premier cas, la mort a été causée, au bout de quatre ans et demi par u
rdinaire, elle tomba dans une maladie qui l'a conduite lentement à la mort » ('). La relation de cause à effet entre l'hygiè
arler d'un dévoiement continuel. » f1). Trois mois environ avant sa mort , c'est-à-dire vers le 30 juillet 1660, le mal s'a
erculeux. Elle était devenue très maigre. « Quinze jours avant sa mort ... l'affaiblissement extrême de son corps la rend
à deux heures après midi, l'agonie commença, accompagnée de sueur. La mort survint à trois heures et demie. L'affection data
fants d'avoir quelque impression dans les sens de ce que c'est que la mort » (*). Tant il est vrai que les religieux ne négl
et alors que la phtbisie était en pleine évolution, elle désirait la mort , et « avoit de la compassion pour celles qui paro
ceur d'esprit et une égalité admirable », néanmoins « la pensée de la mort lui donnoit de tems en tems des inquiétudes » (10
it dans ce sens des lettres à Port-Royal. « Elle devint pâle comme la mort dès qu'elle les vit » « Néanmoins, les Religieuse
un grand cri et en l'agitant avec violence, et l'enfant devint comme mort » ('). Nous diagnostiquerions aujourd'hui épile
t par simple attouchement [Luc, XXII, 51). Jésus a ressuscité trois morts : Lazare, la fille de Jaire et le fils de la veuv
icielle : Elisée entra donc dans la maison ; et voici, l'enfant était mort et couché sur son lit. Et étant entré, il ferma l
ux. » Les apôtres Pierre (Actes, IX, 4ûj et Paul ressuscitèrent des morts . Mais, Paul reconnut également qu'il s'agissait d
r son âme est en lui « [Actes, XX, 10]. Ils pouvaient aussi amener la mort ou plutôt la léthargie par suggestion. Pierre fai
. (Actes, V, !.) A cette époque, les païens même ressuscitaient les morts . Les Héca-mins, prêtres égyptiens, prétendaient p
es Héca-mins, prêtres égyptiens, prétendaient pouvoir ressusciter les morts ; chez les Grecs, Hercule, Chiron, Empédocle, Esc
Grecs, Hercule, Chiron, Empédocle, Esculape savaient ressusciter les morts . Apollonius de Tyane réveilla ainsi une jeune f
ss, ibid., 1.1, p. 22. qu'un citoyen qui se promenait était tombé mort . Il s'approcha, et après avoir examiné cet homme,
me des fous, mais au bout d'un quart d'heure l'homme que l'on croyait mort commença a se remuer, il revint ensuite parfaitem
ellent médecin, mais je ne vous croyais « pas homme à ressusciter les morts . — J'avoue que j'entends la médecine, « répondit
la médecine, « répondit Rhazès, mais je ne sais pas rendre la vie aux morts , c'est l'ou-« vrage de Dieu. Quant à ce que je pr
, un d'entre eux se laissa « tomber de son cheval, comme s'il eût été mort . Un vieillard de notre o troupe mit pied à terre
istribua à tous, et nous commençâmes k nous exercer sur le « prétendu mort , comme nous fîmes, il y a quelques jours sur le c
effet, resté que trois heures sur la croix, alors qu'ordinairement la mort est très lente. Le coup de lance qu'on lui aurait
rait donné n'aurait pu faire sortir du sang s'il avait été réellement mort . III A. Debay : Histoire des sciences occultes,
Gui Patin, en date du 2 juin 1657, et par conséquent postérieure à la mort de Théophraste Renaudot (1653), j'extrais le pass
le passage suivant relatif probablement à Isaac Renaudot: * Il est mort ici un honnête homme de votre ville de Lyon (J),
et fort réglé. Il a tant jeûné et tant fait d'austérités qu'il en est mort ; et de peur qu'il n'en échappât, Guenaut et Y un
naut et Y un des ga\etier$ lui ont donné du vin émétique, dont il est mort dans l'opération. Qu'elle {sic) sottise, de prend
Sainte-Epine, et qu'ils l'estimoient autant que la résurrection d'un mort » (*). Cette religieuse mourut le 24 juin 1662,
gestibilité chez toutes ; 10° Deux.dontnous connaissons le genre de mort , moururent, (1) Viesint. III, 267. (2) Nécrol
uite d'un érysi-pèle; 11° Quatre, dont nous connaissons l'âge de la mort , moururent : la premièreà 17 ans (Marguerite d\An
assez grave; elle est liée à l'artériosclérose et on Ta vue causer la mort sur la voie publique'. Notre malade est fils d'
me révéler la vérité sur l'immortalité de l'âme ; mais il est si bien mort que mes prières sont vaines, et qu'il ne m'est ap
LON Notre rédacteur en chef vient d'être cruellement éprouvé par la mort de son père, M. Eugène lîérillon, décédé subiteme
mbre le plus actif do la a Society for Psychical Rescarches ¦ dont la mort prématurée a douloureusement ému tous ceux qui s'
ne paraissait plus avoir sa raison d'être, puisque les petits étaient morts . Cette propriétaire m'a dit qu'elle n'avait fait
dit, faisait de la médecine une longue et navrante méditation sur la mort . M. Huchard, avec un rare bonheur d'expression, a
es que vous savez si bien trouver et exprimer: à la méditation sur la mort , qui forme le fond de l'enseignement officiel, il
femme meurt; le mari survit, mais on l'accuse d'avoir voulu donner la mort à sa femme ; il se défend mal, on l'incarcère, il
tiques d'hypnotisme mal dirigées ; le massage ne" déterminera plus la mort subite, par son application intempestive à la phl
e pour l'abattage, à la fourrière, des animaux qui doivent être mis à mort , et j'examine à quel degré ces animaux sont anest
sa vie présente. Elle a perdu son mari, elle a perdu son fils qui est mort de la diphtérie ; elle raconte, — sans faire atte
elopper en dehors des autres sciences commet une faute qui condamne à mort cette science. Toutes les sciences, dans l'univer
ion scientifique commis dans ce sens porte avec lui la condamnation à mort de cette science orgueilleuse. Je vous disais q
ement des habitudes d'intempérance. - 3° La perte d'un être aimé : La mort d'un conjoint ou d'un enfant, par exemple. 4° L
sociale. L'occasion s'offre à nous de célébrer l'anniversaire de la' mort de notre très regretté maître, non point par des
istinctes et quelquefois disparates. Etre frappé d'une condamnation à mort , au bagne ou à la prison, semble, pour Lombroso,
reuse et d'entière certitude. - « Telle resta, jusque sur le lit de mort , cette claire et forte intelligence. 11 vit venir
91 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
t que quelques heures, l'enfant fut baptisé à la bâte de peur d'une mort subite. Contrairement aux prévisions, l'enfant
etqui fut suivie par l'examen du crâne à l'autopsie du même sujet, mort après une poussée d'hydrocé- phalie aigué. J'
de maux de tête. Ils ont été 6 enfants dont 4 sont en vie. L'un est mort à Page de 3 mois, probablement à la suite d'une c
e de 3 mois, probablement à la suite d'une coqueluche. Un autre est mort à t'age de 20 ans, tué avec une arme à feu. Les a
ymptomatique d'un néoplasme cérébral. Trois ont guéri et trois sont morts . A l'autopsie de ces derniers on n'a pas trouvé u
i, à deux mois et demi, avait fait une ménin- gite aiguë et qui est mort à deux ans et neuf mois, la pie-mère de la base
, approximativement 800 centimètres cubes de liquide. Le malade est mort en 1908. A l'autopsie Vigouroux a trouvé dans l
de, âgé de 39 ans, présentant des phénomènes céré- belleux, qui est mort subitement pendant une attaque convulsive. A l'au
il en a déjà eu autrefois, il se met à pleurer en se souhaitant la mort plutôt que d'en arriver à être l'amusement du m
gal ; c'est une démence maniaque ; un autre frère de la mère serait mort à onze ans de méningite ; deux autres encore ex
ts ; grand'mère maternelle morte subi- tement a 78 ans ; grand père mort à 74 sans maladie. Père mort il 67 ans d'usure
e subi- tement a 78 ans ; grand père mort à 74 sans maladie. Père mort il 67 ans d'usure physiologique; une tante et un
rt il 67 ans d'usure physiologique; une tante et un oncle paternels morts de vieillesse; la grand'mère avait, paraît-il, de
dans lesquelles les réflexes rotuliens ont été conservés jusqu'à la mort et où la zone d'entrée des racines était intact
ième séjour s'étend du 9 octobre 1910 au 7 janvier 1911, date de la mort . Il raconte qu'il a contracté auprès de sa femme,
rne du ventricule dont l'ouverture n'aurait pas manqué d'amener une mort subite. La surface médiane de l'hémisphère est ir
et fugitives. La moindre sensa- tion imprévue lui fait craindre la mort . Dans l'espace des huit mois où nous venons de
alement d'une assez haute stature. Deux frères ou soeurs seraient morts en bas-âge, en nourrice. Un vivant, bien portan
our la première fois en français, qu'en 1664, quatorze ans après la mort de Descartes, publié par Clerse- lier (1), son
e, quand le vent est un peu trop faible pour le remplir ». Après la mort , comme le courant des esprits animaux s'est arrêt
ccupe égale- ment des structures réticulées qu'on constate après la mort sans l'interven- tion des agenls fixateurs. Il
ranulations de sécrétion de ces glandes gonflent tellement après la mort que le protoplasma intergra- nulaire est réduit
e l'éponge. Ensuite, dans les autres cellules, il apparaît après la mort une structure pose-mortelle comparable aux modi
prélevés sur l'animal vivant, et de l'homme, immédiatement après la mort , nous n'avons rencontré que d'une façon tout à
N issi. Cette iliétliode de coloration dite supravitale produit la mort de la cellule et la précipita- tion n'a pas lie
ules frais, colorés en bleu, comme cela s'observe dans les cellules mortes . De plus, les granulations colloïdales ne se pr
es par Pierre Marie et Sainton, qu'un malade de Scheu- tlieueir est mort aliéné, et que le malade de llirtz et Louste étai
mari. Parmi les frères de Caroline, deux qui étaient matelots sont morts noyés, les autres sont tous bien portants et tr
, en 1905, la mère mourut, et que le père annonça la nouvelle de sa mort à Caroline, celle-ci se mit à pleurer bruyamment
édait dans la pièce de Caroline à la toilette de la morte ; mais la mort de la mère ne provoqua aucun autre changement d
ement qui, pour toute la famille, fut une grande surprise. Après la mort de sa femme, le père de Caroline avait pris dans
lier lorsque les membres de la famille étaient absents. « Depuis la mort de la mère, Caroline était moins laissée à elle
cernant sa maladie ou les affaires de la maison, ni concer- nant la mort de sa mère, ni concernant quoi que ce fût ; et po
t dévouée qui l'a soignée et nourrie à l'insu des autres ; après la mort de la mère, Caro- line a dû faire ses besoins e
assez plausible qu'au réveil Caroline ne voulut pas se rappeler la mort de la mère, ni reconnaître ses frères, et qu'el
seignements précis sur ses parents. De ses quatre frères, deux sont morts de fluxion de poitrine, un par accident, le qua
USS1VE TYPE AISAN-DUCHENNE 285 Autopsie pratiquée 7 heures après la mort . - Dans le protocole d'autopsie, dicté par le D
s inférieurs presque à la même époque. Après douze ans d'évolution ( mort à l'âge de H5 ans par cancer de l'estomac), l'e
pupillaires abolis, voix nasonnée ; psychose maniaque dépressive ; mort à 20 ans. Examen histologique : sclérose des cord
ées dans les muscles atrophiés. Signe d'Argyll-Bobertson incomplet. Mort à 80 ans. Examen histologique : Dégénérescence sc
ibilité. Troubles vaso-moteurs périphériques. Insuffisance mentale. Mort à 42 ans. - Examen histologique : Dans la moelle,
la sensibilité ; psychose mania- que-dépressive, tics convulsifs ; mort à 45 ans. Examen histologique : Dé- générescenc
ras, sensibilité intacte ; diminution des réactions élec- triques ; mort à 7 ans. Examen histologique : Dans la moelle, dé
mbres inférieurs attribuée au Kakke ; rétention vésicale passagère; mort à 25 ans. Examen histologique : Dans la moelle,
; douleurs peu fréquentes ; sphincters intacts ; troubles mentaux, mort à 59 ans. Hypertrophie des raci- nes rachidienn
termittentes pendant quelques années dans les mem- bres supérieurs. Mort il 67 ans par néoplasme des voies biliaires. Ex
l ne fume pas. Marié à 27 ans, il a eu cinq enfants dont trois sont morts en bas âge du croup. C'est en 1$9J, c'est-à-dir
r de nuit. Rien à noter dans les antécédents héréditaires : parents morts à un âge avancé ; pas de rachitisme, pas de défor
âge (à l'insu de sa tante chez qui il avait été recueilli après la mort de ses parents), écrit à Paris, vers juillet 1909
» suivant son expression. On parlait dans ces livres de « Tètes de mort , du Diable que l'on peut faire apparaître, etc. »
rats et disant les entendre gratter. Il voyait aussi une tête de mort au-dessus de son lit et « le Diable était là ».
de phy- sique qui ont fait cela, je vois le Diable... des têtes de mort .» - On remarque qu'il se rend compte à certains
« Depuis trois mille ans ! ... « J'ai vu tout à l'heure une tête de mort qui devait être mon père... Mon pa- « tron, rep
ais entendre des voleurs. « L'autre jour j'ai vu encore une tête de mort ... que des os.. c'était lorsque « j'étais sur l
Je vois toutes sortes d'affaires que vous ne pouvez pas voir, des « morts , des squelettes ! La porte n'est pas ordinaire :
ait. A « ceux qui venaient je leur disais : Allez-vous-en, c'est la mort . » Il raconte encore : « Les bêtes avaient la p
ue tout était houle- « versé... J'étais puni dans l'éternité... Les morts me piquaient quand je « mentais : Dis la vérité
oujours été comme cela... il y a eu la guerre.... Les cadavres sont morts ... ils sont dans la terre... on mange tout cela
1 ne dites pas cela. « OU ! la la ! Vous n'allez pas l'adorer...La mort viendra,mais trop tard,trop tard « sera ! ... Q
sent des tas d'affaires ! Savent-ils ce qu'ils sont ceux « qui sont morts ! r11 ! Jésus-Christ ! Le fils de Dieu fait homme
« qui sont morts ! r11 ! Jésus-Christ ! Le fils de Dieu fait homme... mort sur « la Croix pour délivrer les hommes 1 » O
qu'il y avait dans ce livre et j'ai revu « des mains... J'ai vu un mort qui agitait un os... Je me souviens que j'avais
ugmente : on le fait interner à Lesvellec où il présente jusqu'à sa mort des idées de persé- cution. - La mère, après av
e grande « nerveuse », est prise subitement, quelques mois après la mort de son mari, d'un accès de fièvre chaude : elle
t troubles mentaux. Antécédents héréditaires et collatéraux. - Père mort d'obstruction intes- tinale. Mère, accuse fréqu
oncle maternel a été interné à la suite d'excès alcooliques et est mort à l'asile. Les deux frères du malade sont bien
ale plutôt que d'une syringomyélie qui ne progresse pas si vite. La mort du malade interrompt toute observation subséquent
s et dans le tronc pour persister en augmentant toujours jusqu'à la mort . Pourtant dans le mal de Pott, les douleurs doi
le seul indice de la carie des vertèbres était l'abcès froid. Si la mort prématurée du malade n'avait pas interrompu les
t deux avortements (première et cinquième grossesses) ; un fils est mort à l'âge de 4 mois ; 2 garçons et 3 filles sont vi
e. - La malade ne se souvient pas de ses aïeuls ; ses parents sont- morts à un âge avancé, son père d'une maladie du coeur
ection méritant mention. La malade a eu trois frères : un d'eux est mort jeune d'une maladie aiguë, et les autres sont enc
ar l'autopsie. La tumeur a été diagnostiquée quinze mois avant t la mort du malade; mais il ne s'est laissé opérer que dan
ments. 424 E.' MONIZ . Antécédents héréditaires. Père alcoolique, mort . Mère bien portante. Il n'y a pas de tuberculos
men anatomi- que de nos cas avec autopsie. Observation I Pa..., mort à 81 ans en décembre 1910, cordonnier, anciencolo
ctique est aisément perçu, et le sens stéréognos- tique conservé. Mort le 9 décembre 1910. A l'examen anatomique. Macr
alibre des artérioles. Observation II Ch..., garçon de magasin. Mort il 76 ans. Son histoire présente également à ét
aggrave à nou- veau. Il a de la fièvre et une escarre. Le 21 mai. Mort dans le marasme,température 0°7. En résumé : At
est fait de façon lente, progressive et à peu près non douloureuse. Mort par ictus s'accompagnant d'hémiplégie droite avec
ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 435 été examiné avant sa mort . A l'autopsie, on remarque un aplatissement de la
tion V F..., 61 ans, menuisier; syphilis à 20 ans, 7 enfants dont 3 morts en bas âge. Le malade vient consulter pour faib
ne intervention, néphrotomie d'un côté, décapulation de l'autre. La mort survint néan- moins cinq heures après, et à l'a
ent plus, mais la malade ne peut pas nous préciser de quoi ils sont morts . Notre malade n'aurait pas eu la syphilis (mais
ion). Elle a fait grand usage d'alcool. Elle n'a eu qu'un seul enfant mort deux semaines après la naissance. La malade a s
juin 1911. Son père ne vit plus, mais nous ignorons la cause de sa mort . Sa mère est bien portante. Nous igno- rons si
à 25 ans, de tuberculose aiguë (alcoolisme possible). Son père est mort a 56 ans, très probablement d'un cancer du pylo
92 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
il faut marcher en avant, car l’ennemi que nous avons combattu faille mort , mais il esl plein de vie, et relèverait bientôt
intenta un procès au magnétiseur en l’accusant d’être l’auteur de la mort du tilleul, et de l’avoir fait périr par magie ou
e eut, dit-on, hâté sa fin, il l’estimait, et parut plus touché de sa mort qu’on ne l’aurait attendu d’un cœur aussi sec que
me, il y a de la sorcellerie là-dedans. A cette heure... et depuis la mort de la reine, votre gracieuse épouse.... on dit qu
e la religion de mes ancêtres. » Maintenant, si l’on se rappelle la mort de Gustave III, et le jugement d 'Ankarstroem, so
rité pour lui. Et cependant, ai-je répondu, vous condamnez un homme à mort , sur la foi de deux témoins. Cetargument ad honii
tat ; trois jours nous l’ont donné. Soyez bénis, vous tous qui êtes morts pour la patrie; car non-seulement vous avez assur
la patrie; car non-seulement vous avez assuré la liberté, mais votre mort aura préparé pour les générations ce que la liber
de là aussi le nom de Morphée, divinitédes songes, et le mot mors (la mort ) cette sœur du sommeil. M. Huttmann a ajouté qu
on. \ l’on trouve le nombre 15. . , . . 5 On obtient. . . . 1821 Sa mort . Sur le nouveau règne des Bourbons. Ils sont
0 En faisant la même opération 1 8 3 0 On obtient. . • 1842 Mort du duc d’Orléans. Si l'on additionne comme préc
ons tous. Voyez-vous le sang couler de sa poitrine, il est frappé a mort . — C’est un rêve, lui dis-je, rien n’arrivera de
s X est déchu du trône à Tige de 74 ans, 22. En lévrier, mois de la mort du duc de Berrv. 23. Il abdique en faveur de so
r, car c’est dans la vérité qu’est le salut commun. M. Guersent est mort d’une fluxion de poitrine ; il reconnut parfaitem
aire croire au développement d’accidents majeurs, et, peut-être, à la mort des magnétisés. N’a-t-on pas déjà dit que les mag
intesiato des enfants légitimes ou naturels ou adoptés ait lieu à la mort de chaque possesseur; il sera donc établi une loi
près Montmédy. Des émigrés, frappés de la précision avec laquelle la mort de Louis XVI y élait annoncée, en prirent copie;
nombres: 3 I 8 I 0 on obtient encore......13, jour de sa mort . Une coïncidence non numérique, mais d’une liai
anormale, dont les phénomènes ressemblent littéralement à ceux de la mort , ou du moins leur ressemblent plus qu’aucun des
ation et parlant comme avec effort.) J’en mourrai. P. Cette idée de mort vous afflige-t-elle ? V. (Avec vivacité.) Non,
l n’y a pas lieu à le désirer. L’état magnétique est assez près de la mort pour me satisfaire. P. Je serais bien aise que
x deux conditions de la chenille et du papillon. Ce que nous appelons mort n’est que la métamorphose douloureuse. Notre inca
re. P. Vous avez dit souvent que l’état magnétique ressemblait à la mort de très-près. Comment cela ? V. Quand je dis qu
t de très-près. Comment cela ? V. Quand je dis qu’il ressemble à la mort , j’entends qu’il ressemble à la vie ultérieure. C
varient avec les traits généraux du monde qui leur a été alloué. A la mort , ou à la métamorphose, ccs créatures, jouissant d
uvrage moitié des notions à communiquer sur ce sujet. Du moment où la mort de l'inventeur ne laisserait plus de démenti à re
réfie pas et continue de s’alimenter. Cependant elle est en l’état de mort accidentelle, privée de senlimentet de sensibilit
nalogue à l’état naturel de désorganisation physique qu’on appelle la mort ; seulement celte dernière résulte de la perte des
ents fût suivi d’accidents graves ; car nous remarquâmes alors que la mort disputait souvent le triomphe. Nos sinistres prév
mportant à constater; car, nos lecteurs le savent, c’est l’absence de mort sur près de deux cents opérés, en état magnétique
sédons et vous ne voulez pas nous entendre. Beaucoup de ceux qui sont morts vivraient si vous aviez voulu. Le magnétisme, com
re florissante! Et quand pour lutter contre ce fléau inéxorable de la mort , on voit se dresser l’art et la science de la (
le qu’aucune puissance ne saurait amender : cette loi est celle de la mort ; or il serait injuste d'accuser, en principe, la
corps qui semblait par sa force et sa jeunesse devoir prétendre à la mort de la vieillesse. Cet enfant, cet époux, ce frè
vraisemblance à la doctrine de M. Cahagnet touchant l’apparition des morts . Son livre est rempli de phénomènes semblables. C
ntermédiaires. « Je me suis approché, dit Apulée, des confins de la mort ; ayant foulé aux pieds le seuil de Proserpine, j’
devaient retrouver tous ces plaisirs dans l’Elysée. Chacun après la mort remplit encore les fonctions et conserve les goût
promises. M. Cahagnet, par ses voyants, fait apparaître les âmes des morts : allez, vous qui doutez, vous entretenir avec ceu
côté. Plusieurs magnétiseurs diront : Je veux voir les esprits des morts , m’entretenir avec eux; jusqu’à ce qu’il en soit
e ou au moins appréciable par un de nos sens, sauvera le malade d’une mort qui serait inévitable entre vos mains. J'ajoute à
n grain de la 30e atténuation d’une substance, dont un grain donne la mort , devra produire ce résultat d’une manière beaucou
ls il n’a pu entrer en relation, mais qu’il a pu communiquer avec les morts , qui, du reste, ne lui inspiraient aucun effroi.
nfondus de ce mystère ne seront-ils pas trop souvent impuissants ? La mort , comme le ministre de secrets surhumains, viendra
ppliquera des formules qui réussiront aujourd’hui et qui donneront la mort le lendemain, il ne saura pas distinguer le pourq
, chacun de ces systèmes sera, pour beaucoup de malades, une cause de mort . Combien donc la profession de médecin doit par
vec éloge. Les habitués de nos conférences dominicales apprendront sa mort avec surprise car il y manquait rarement et assis
car il y manquait rarement et assistait encore à la dernière. Il est mort d’une affection de vessie, à 78 ans. — Une magn
, Madame Fitz-Herbert, vient également déterminer sa carrière par une mort sénile. Ilcvue «les Journaux. — A Troyes, comme
ie d’apostasie? — L'Union (monarchique), du 3 octobre, mentionne la mort du comte Maxime de Puységur. — Le Courrier de L
ard s’exprime de la manière suivante : « On dit qu’il rappela de la mort à la vie Hippolyte, fils de Thésée, un Capanée, u
eu à l’un de ses petits camarades. Peu de temps après, on le retirait mort du canal où, dans sa hâte, il s était laissé tomb
eut lieu au Dock-Tavern sur le. cadavre de l’enfant, et un verdict de mort par accident a été rendu. {Globe.) liustc fie M
u’ici s’en sont dits les ministres. itccrologic. — Jamais autant de morts ne se sont comptés dans nos rangs. Le docteur Via
t nous pariions dernièrement à propos du pliarniaco-magné* Usine, est mort , le 16 du courant, à Brest où il était attaché à
dans l’erreur; tout ce qu’il dit s’applique au frère aiué ou marquis, mort en 1824. Loin d’adopter les principes républicain
miration sans bornes.» A ce moment, la malade était dans un état de mort apparente, qui durait depuis plusieurs jours, mal
histoire d’un frénétique qui prédit, à la suite d’un de ses accès, la mort prochaine d’une personne qui jouissait alors d’un
xante-quinze ans, après avoir prédit longtemps d’avance le jour de sa mort . 11 ajoute (1. VIII, c. xxiv ) que cette disposit
t connaître l’observation d’un habitant de Rhodes qui, sur son lit de mort , indiqua avec la plus grande exactitude dans qu
D’après l’opinion de Camérarius, il y a des personnes qui sentent la mort de leurs parents par un sentiment étrange d’anxié
ature. Plutarque nous apprend que Cornélius Scilla fut averti de sa mort pendant un accès d’hallucination, et qu’il se pré
ent des exemples de prévision pendant l’extase et aux approches de la mort . Bodin ( Démon., p. 65 et suiv. ) est du même a
n., p. 65 et suiv. ) est du même avis. Homère ( Iliade ) admet à la mort une force expansive de l’âme qui lui révèle l’ave
ire des quatre hydropiques qui annoncèrent le jour et l’heure de leur mort . L’événement ne tarda pas à démontrer la vérité d
oi-même, dit-il ( Ib., p. 739 ), un sexagénaire prédire le jour de sa mort un mois d’avance. Il mourut d’une fièvre épiale a
ncien député de la Seine et conseiller à la Cour de cassation, que la mort vient malheureusement de nous ravir, est rempli d
es de l’Hôtel-Dieu pour y mourir. Or, le 12 novembre 1822, il était mort dans cet hôpital une femme nommée Catherine Samso
e dit avec effroi : « Les émotions m'ont brisée ; c’est une espèce de mort pour moi. J’aurai une crise affreuse dans une qui
pas supporter cet évanouissement plus de trois heures ; je vois la mort au bout...... Faites en sorte de m’endormir ava
outes les indications nécessaires pour l’arracher, disait-elle, à une mort certaine. Le dimanche, 28, mêmes accidents toujou
il n’avait pas voulu y voir figurer son nom. Mais à présent qu’il est mort , il m’est bien permis de vous peindre toutes ses
excellence , unissant la théorie à la pratique et à l’expérience. Sa mort est d’autant plus déplorable pour la noble scienc
e h ce dernier, qui, outre mille accidents graves, a souvent causé la mort sans circonstances atténuantes, tandis que l’on n
stances atténuantes, tandis que l’on ne peut pas citer un seul cas de mort résultant de l’emploi du mesmérisme. « Relative
peut se séparer du corps, et aller dans les lieux éloignés, sans que mort s’en suive. Ceci est prouvé par des personnes qui
). étend son empire sur le corps, même jusqu’à la production de. la mort . L’usure du corps par le désespoir et l’abattemen
honte d’une exécution publique, et qu’ils le saigneraient jusqu’à la mort . Ils lui bandèrent les yeux, lièrent les membres,
e ventre était libre ; quelle avait rendu la lèle du ver; qu’il était mort par la chicorée cl pourri ; qu’une pilule suffira
on , et que les médecins voulaient faire saigner à blanc, ou purger à mort . Je crois, mon cher maître, que vous avez tort
25o de ce Journal. Les suites en furent déplorables. Cet homme est mort , il y a deux mois environ, après avoir donné de n
que les artistes les plus éminents ont vu leur vie troublée et sont morts misérablement. Ilélas ! tout, dans celte vie, peu
93 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
du magnétisme. Les maîtres en littérature, et, pour ne citer que des morts , Balzac, Eugène Sue, Frédéric Soulié, puis le fre
mais tendrement : j'eus le malheur de le perdre. Trois jours après sa mort , un soir que je me déshabillais dans ma chambre,
ier), mon père fut à toute extrémité. J'eus un (iressenti-nient de sa mort , quoique je ne susse pas qu’il fût malade. J’obti
Je demandai la faveiïr de passer la nuit dans là cliam-breoù il était mort . A peine (üs-je au lit, que mon père m’apparut. I
enfin, étaient susceptibles de catalepsie, l'bypnobatase amènerait la mort en irès-peu de mûutes. L’œil éveillé qui examin
voir mystérieux, leur envoient des maladies, des infimités et même la mort ; on appelle /ioiiears d'aiguillettes ceux qui se
ation fébrile, marasme et une foule d’accidents qui peuvent ameuer la mort . Tous ces résultats s’expliquent très-bien par le
tres encore peuvent être d’un grand secours et sauver un malade de la mort ou tout au moins d’une maladie grave : la nature
l y a électricité,ily a lumière, le corps en estrcmpli,illiirainé; la mort seule y produit la nujt, tous les flambeaux s’éte
lbury, et, quelques heures après, il l'endait le dernier soupir. La mort de cet homme a fait révéler in»« histoire des plu
ne. — .1 Ecoule, lui dit-il, mes dei'nières volontés ; Quand je serai mort , tu remettras au sieur H.... la ciel de mon prie-
lui ôter sou babit, il s’affaissa tout à coup sur lai-même; il était mort . 1 Son corps fut déposé sur un iit, mais quelle
de garde national. Dans le fond de ce schako se trouvait une tète de mort , encore garnie de ses cheveux; puis dans le fond
LE eARO.1 DU POTCT. Moniieiirl« Baron, M. le docteur Vandoni est mort à Milan; sa venve sc trouve dans une positiiin pl
ouvrages étant déjà publiés, il était trop tard pour en parler, et sa mort fut trop prompte pour qu'il pût rectifier ses err
l'esprit sur son semblable. Ils découvriront, non plus les poi?sance3 mortes , mais la puissance vivante, active et pensante. O
s âmes les grattent, car on est satisfait de leur bavardage ; à leui' mort souvent on les embaume, ce soutles plus heureux.
ondit-elle, les cheveux sont ceux d’un enfant, « tout jeune encore et mort voilà quelques semaines ; puis u elle s’arrête et
trouvai ; étendue sur les bras de sa mère, elle avait la pâleur de la mort , ses yeux étaient immobiles, fixes, sa bouche se
vant que de mourir, il oi'donna à ses enfants de lui mettre, après sa mort , cette promesse datis les mains, et de l’enseveür
en mourant, et leur avait ordonné de le mettre en ses mains après sa mort , itttisque personne le sût. Alors l’évêqueleurrac
nes avaient été écrites de la main de ce philosophe chrétien après sa mort , fut gardée pendant plusieurs siècles dans la sac
s et volontairement dans une obscurité pifi^ride. Anam'as frappi de mort par saint Pierre, Pourquoi le célerions-nous? l
rveuses la leur montrent à chaque instant, et certaines apoplexies ou morts subites en prouvent indubitablementl'existence. L
l’ont-elles pas foudroyé, ne l’oiit-elles pas frappé sur-le-champ de mort ou de démence ? Il Quel est le inédecin, quel e
L'homme est donc bien méchant, s'il ne peut reconnaître que chez les morts la supériorité que donne parfois le génie! Je m
me les savants par leurs calomnies, par leurs sarcasmes otit blessé à mort tant d’hommes d'éülc qui, s’étant élancés dans le
de. VARIÉTÉS. PRESSEnriUEKT. Ud fait assez curieux, suivi d’une mort non moins singulière, s’est passé ces jours-ci au
dien : «Je sens que je n’ai pas longtemps à vivre ; je veux, avant ma mort , faire un dernier bon repas, préparez-moi tout ce
te. Tout à coup, -sa langue reste muette, son regard fixe. Il était mort ! (Akbkar.) NECROLOGIE. Il vient d’être pronon
pas le courage humain tout seul qni inspire et soutient de pareilles morts ; c’est surtout la conscience de bonnes actions,
ien ; c’est la ferme croyance que tout ne finit pns pour l’homme à la mort ; qu’il ne s’engloutit pas tout entier dans les a
ccepta, mais sans aucune confiance, le moyen proposé. 11 n’est que la mort , dit-elle, qui pourra mettre un terme à mes souff
a res-pira'ion ne cessant pas de fonctionner, il n'y a point aussi de mort véritable : l’âme se sent unie au corps par ce se
s peuvent être, n’ont pas moins entre elles liiiliui. Ainsi, après la mort , l'àme, qui s’aiTranchit tout à fait de ses liens
coloration de son visage, sa tristesse, tout offrait les signes d’uoe mort prochaine ; l’écume blanchâtre qui monta à sa bou
teur, on me donna une place, et je restai dans cette ville jusqu’à ma mort , qui arriva peu de temps après ma réformation. »
chives, oû l’on trouva le nom du susdit prédicateur, et la date de sa mort , qui 6tait juste celle donnée par la table parlan
tait, en sorte qu’ils ne pouvaient non plus branler que s’ils étaient morts ; secondement, que c'était la main d’un pendu; tro
ous les ans avec une verve entraînante (1). LE mAGNÉTISME N’EST PAS MORT . Air; Powro Calpigi (rorare). Mes chers amis,
en terre, Elle s'en réjoaissait fort.... Le magnétieme n'est pas mort , (iti) Des savants, des docteurs de France Je i
oins rebelle, Nous apportera éo renfort : Le magnétisme n'est pas mort . (Mr) (1) Nos lecteurs D'oublleront point que t
ais qu’on soit, ou non, de son l>ord> Le magnétisme n'est pas mort , (6if) L’an dernier, l’un de nos chimistes Cont
amp;... Du sieur Mabru plaignez le sort ! Le magnétisme n'est pas mort . (6^*} Une dernière découverte Devait consommer
lle : Ça les fit loucher tout d'abord.... Le magnétisme n’est pas mort . (bi$) Hélas! un livreencor plus triste, C'es
de fête En réveillant le chat qui dort.... Le magnétisme n'est pas mort . (dû) 11 n'est pas mort, qu'on se le dise 1 Dès
chat qui dort.... Le magnétisme n'est pas mort. (dû) 11 n'est pas mort , qu'on se le dise 1 Dès aujourd'hui foo fraternis
ut me présage Que Mesmergagoera le port.... Le magnétisme n’est pas mort . {bit) Salut, magnétistes modèles ! Honneur à
oire table , Alors je dis avec transport: Le magnétisme n'est pas mort i (iii) M. Lovy fut fort applaudi, et ses collè
ux, une sorle de paralysie générale, que l’on a souvent prise pour la mort réelle, quand elle se prolonge un temps suffisant
bien fait de déchirer que la décomposition était le seul symptéme de mort qu’il soit prudent de regarder comme infaillible;
que la vermine n’ait pu s'y introduire ets'y développer. Le prétendu mort pourrait être exhumé et revenir à la vie, aü cont
ans, sur une douzaine de crapauds emplâtrés, dont un seul fût trouvé mort , précisément parce qu'il avait éprouvé le contact
pondrons qu’il ne s'agit de rien moins que itXuholilion delà peine de mort , qui serait remplacée dans nos codes par celle de
sommeil non interrompu de deux cent quarante-six heures et demie. Sa mort a été très-calme, et comme la continuation du som
cordent aux ministres de cette science le droit terrible de vie et de mort I.... Ab I nous appelons de nos væux et de nos pe
Aura-t-il atteint son but? J’en doute beaucoup, car, outre le cas de mort de l'acheteur, il en trouvera bien peu dans le si
maladie parfois, comme de violents chagrins, souvent l'approche de la mort même peuvent déterminer ce ravissement d’esprit d
Ccations latentes, se disant l’Esprit d'un jeune Romain nommé Cinnus. mort au vr siècle, nous traça la croix et l’inscriptio
e un nom français : Gérahd de Féné-TBANGE. Ce serait un Jeune savant, mort de la peste à Marseille, à l'âge de viDgt*neuf an
ommer Absinus Polionius Nestob. 11 vivait à Home au siècle d’Auguste. Mort à l’âge de trente-cinq ans, sa uaissance précéda
niques, depuis le commencement de l'évolution embryonnaire jusqu'à la mort , qui survient lorsque le corps ou quelqu’un de se
e, suite des exhalaisons pestilentielles de la campagne d’Italie, est mort de pyohémie, àMelun. Averti très-tardivement,et s
tit. (( Un Agrégé de la Faculté de médecine de Paris pronostique la mort avant le terme de sbc mois. » « Le 20 novembre
ARE. (^3......11 cria k hêolQ vois s Litara, «on da 1k. Aà. Et 1« mort wui ajant la« miio« at lu pi«ljkiétd« baod«^ cl
ique, c’est une sorte de résurrection d’une partie souvent frappée de mort . Beaucoup de malades condamnés par la science, ab
t ne la trouvant point dans les puissances physiques, dans les forces mortes que la science a pu s’asservir, il va droit au ci
ance, sans laquelle, qui pourrait différer un instant de se donner la mort ? L’espérance et la folie (1) sont les deux remède
ur-propre, qui est une fuli«, et l'espérance ne nous quilteat qa'6 le mort . tle l'hiver. Combien n'eu est-il pas d’assez i
l crie, on vient avec de la lumière... le malheureux somnambule était mort . (() LA CLEF OES SRANDS «YSTÉnES suivant Hêkocb
onde est supportable. » {idem, p. 371,3*2.) « Jusqu'au moment de sa mort , on l'entendit prêcher ces sublimes maximes, sans
: celles du temps deviennent mutation : celles des génération vie el mort . Les efflcaces de Dieu, sont la pensée et l’âme :
oserez-vous? • Vos |)cres ont mangé la manne au désert, el ils sont morts ..... «Si vous ne mangez la chair du Pils dc i'H
vec individualité et ses facultés, lorsque le corpa . a été frappé de mort ; quant aux autres corps 3 n@ laissent après eux
le Iwnheur : époque primitive où il n'y avait ni mal, ni maladie, ni mort , ni combat des hom- Ne nous étonnons donc pas d
exprimable que la vie, prête i B’éteindre, s'était ranimée, et que la mort , forcée d’abandonner sa proie, avait été vaincue.
e perte assurée, en arrêtant le fléau formidable qui les livrait à la mort , I avait également élu pour arracher do leurs yeu
calme, il couronne ses exploits guerriers en se donnant froidement la mort , pour démonstration convaincante du bonheur étern
aient sa société s’arrêtent au septième ou au huitième : l’HenuÈs est mort à son quatrième volume , la Bibliothèque magnétiq
à la dé/enso du magriétisme ont été fournies par la province et sont mortes au bout de quelques mois : on ne faisait pas mieu
lois exceptionnelles. Mais trêve à toutes ces réflexions, lorsque la mort aura fait passer de vie à trépas tous ces faux Es
istance de la vie dans des cas présentant toutes les apparences de la mort , 295. Cataleptisation (la) remplaçant la peine
rences de la mort, 295. Cataleptisation (la) remplaçant la peine de mort ; proposition de M.Jobard, 301. Causeries magnét
t de l'y faire rentrer à volonté. Conte à l'appui, 163. Nécrologie. Mort des magnétistes : Germer-Ballière, 28 ; — Dr Van
à Mesmer; couplets par M. Jules Lovy, 280. — Le Ma gnétisme n'est pas mort ; chanson nette par le même. — Histoire drôlatique
94 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uditives, gustatives, état de confusion hallucinatoire. Pneumonie ; mort . Autopsie. Encéphalite interstitielle avec adhé
ensé 3 millions en quatre ans, vivait séparée de son mari. Un oncle mort de paralysie générale. Le malade est marié, a d
et de grandeur. Inconscience de sa situation. » Antécédents. Père mort à cinquante ans d'une pneumonie ; mère morte à
por- tants, quelques-uns ont des stigmates de scrofule. Trois sont morts en bas-âge. Le malade a eu la syphilis et a é
nt impuissant et cette fois l'impuissance est définitive jusqu'à la mort ; le délire génital ne reparait pas. II. -Jules
te date retour définitif de l'impuis- sance qui persiste jusqu'à la mort sans aucune conception délirante adéquate. II
l est complètement impuissant et il reste tel d'ailleurs jusqu'à la mort . Or en février 20 CLINIQUE MENTALE. et mars 1
l. En mars, de nouveau impuis-ance absolue et définitive jusqu'à la mort et passage à la seconde périorle; le malade gât
pas de rival; pourtant l'impuissance persiste et dure jusqu'à la mort . Vil. Lucicn Bi..., trente-cinq ans, menuisier;
plus du sens génésique. L'impuissance revient pour durer jusqu'à la mort et seulement durant une ving- taine de jours ce
ois, et quand elles eurent disparu, l'abolition persista jusqu'à la mort qui n'arriva qu'un an et demi après. Ce fait pr
comme coule l'eau quand on ouvre le robinet. Depuis, le mari est mort , sa femme s'est remariée avec celui qui la mit
900, mai.) Autopsie d'un enfant de trois ans, opéré de méningocèle, mort huit jours après l'opération. L. D. X. Contri
le qui évolue plus repidement que dans la forme commune et amène la mort en douze ou vingt-quatre mois. La période d'inc
.intacte, le 3 et 4 août la malade l'ait son testament. Le 20 août, mort après une série de petits ictus qui ne touchèrent
ce cérébrale des cerveaux recueillis deux ou trois jours après la mort et abandonnés pendant plusieurs jours dans le lab
et Rossolimo. Séance extraordinaire du 5 mai 1900, provoquée par la mort du vice-président de la société, le professeur
ne tardent pas par les progrès de la généralisation à entraîner la mort . Mais en dehors de cette chirurgie qui pour n'ê
ograde persistante sous forme continue pendant dix mois, jusqu'à la mort Tous ces faits prouvent donc qu'un même symptôm
Musgrave-Clay. Il. Un cas de décomposition rapide avant et après la mort ; par E. 13. M'IIITCOM13E. (The Journal of Menta
t. Le malade mourut une heure plus tard. Qua- torze heures après la mort le corps tout entier avait doublé de volume et
tes : La décapsulation, en un temps ou en deux, amène toujours la mort après un temps qui varie d'après la résistance in
pas à l'immunisation de l'ani- mal, mais s'accumulent et amènent la mort . L'ablation d'une cap- sule est compatible avec
94, juste au mo- ment où il est revenu de son travail. 11 ignore la mort d'Alexandre 111 et l'élévation au trône de Nico
s muscles fléchisseurs du bras gauche et des extenseurs des doigts. Mort par congestion pulmonaire au cours de ces accid
sthésie), perte des réflexes et diminution de la réation faradique; mort au bout de quinze jours. L'autopsie montra la
certain temps pour se développer, et dans la paralysie de Landry la mort peut survenir avant que ses symptômes soient de
électriques doivent être recherchées, mais dans beaucoup de cas la mort survient avant que l'atrophie atteigne un degré
par le fait que l'étude clinique fut faite quelques années avant la mort , et, dans ce cas, une dégénération progres- siv
ion dans les doigts, ensemble qui ressemble au phénomène du « doigt mort ». Quelquefois, sensibilité sur le trajet du ne
veau. MM. HEITZ et BENDER présentent l'hémisphère droit du malade mort à la suite d'une série de crises d'épilepsie jack
3e paire était totale; la face et les membres étaient indemnes. La mort survint au bout de trois semaines par gangrène
rappelant les contractures précoces* de certains hémiplégiques. La mort survient rapidement avec une fièvre progressiveme
t dementiel; rire et pleurer spasmodique : cachexie, gâtisme, coma, mort . A l'autopsie, trois petits( foyers de ramollis-
pre. Swe- denborg cause avec des personnages historiques et autres, morts depuis des siècles ou depuis peu mais seulement
écipita par la fenêtre. Un médecin, aussitôt appelé, déclara que la mort avait été instantanée. M. Belouino, commissaire
d'adolescent. Un jeune homme de dix-sept ans, Leduc, s'est donné la mort hier soir, en se tirant un coup de revolver dans
ctère nerveux et susceptible. Son grand-père maternel, boucher, est mort à soixante-quatorze ans : il était sujet il de fr
t qu'en dehors de lui est continuelle; elle le porte comme un corps mort qui tient parfois une place inutile, et souvent
ingo-myélites, formes incomplètes, soit parce que la rapidité de la mort en a interrompu le développement, soit pour d'a
r à la ponction lombaire. Si l'on retardait les recherches après la mort , on pourrait n'obtenir qu'un résultat négatif en
sang qu'il n'en faut pour l'action normale des organes vitaux : la mort surviendrait si, des organes ainsi conges- tion
nchi i <iLt ? CC ! n i n o examinèrent le sang de deux ma- lades morts de délire aigu. Les ensemencements de ce sang don
ie avec la gravité de son état et qui est un signe précurseur de la mort prochaine. 11 tombe ensuite dans le collapsus,
les lésions que l'on rencontre dans le système nerveux des malades morts de délire aigu, on est encore frappé de la ress
es différentiels entre les lésions du système nerveux d'un malade mort à la suite d'un délire apparu dans le cours d'une
ladie aiguë toxi-infectieuse et celle du système nerveux d'un sujet mort de délire aigu proprement dit. M. Crocq. - Le
orde avec ce fait que l'épilepsie n'a eu lieu que huit ans avant la mort et explique pourquoi les nerfs voisins de la tu
Accès impulsifs fréquents : crises de larmes ou de gémis- sements. Mort à la suite d'une poussée aiguë de tuberculose.
dans l'organisme, c'est ainsi que nous avons pu, sans déterminer la mort faire à un chien de 9 kilogs, une injection int
elle que l'instrument se cassait contre la colonne verté- brale. La mort a été instantanée. Son crime accompli, Farges pri
coup sur coup, vingt-cinq absin- thes. A la quinzième, il est tombé mort . (Le Bonhomme Normand, du 11 au 17 janvier 1901
sible à toute intervention chirurgicale. Environ deux mois avant la mort . il commence à s'écouler de la narine droite un
audition (un peu imparfaite, il est vrai) et la conserve jusqu'à la mort . Le flux avait été assez abondant pour presque
Le flux avait été assez abondant pour presque suffoquer la malade. Mort par convulsions cloniques et coma en janvier 18
dernière observation dans les Archives de neurologie, le malade est mort après une série d'attaques épileptiformes et que
à peu elle descend à 23°S pour se relever à 26° c. au moment de la mort survenue 58 heures après la première constatati
nt la tempéra- rature s'abaissa les jours suivants jusqu'à 26 c. La mort survintle huitième jour après la première const
Ce dernier malade présentait dans le sang examiné la veille de sa mort , des coli-bacilles de petites dimensions qui ont
, avec 35°,2; 5° Gren... (Marcellin), six ans, idiotie congénitale, mort de tuberculose pulmonaire avec 3fin. Tous ces e
le, mort de tuberculose pulmonaire avec 3fin. Tous ces enfants sont morts durant les jours les plus froids de l'hiver. La
r guérir, allant 340 SOCIÉTÉS SAVANTES. même jusqu'à souhaiter la mort pour se débarrasser du tourment - qui les ronge
idales (grandes cellules du lobule paracentral) chez douze malades, morts de maladies générales (pneumonie, tuberculose,
infectieuse n'a pas été d'une gravité suffisante pour entraîner la mort , ne laissant derrière eux que l'état mental sénil
tre. Les agents, appelés par les voisins, n'ont pu que constater la mort de la victime et celle du meurtrier. L'enquête,
dans la poitrine d'un pau- vre marchand de moules, qui n'en est pas mort , mais qui restera infirme. (Le Bonhomme Normand
es signes d'aliénation mentale, et proférait souvent des menaces de mort à l'adresse de sa femme. Après l'attentat il s'
arrondissement de Lisieux, a eu trois enfants naturels dont un est mort . Elle fait élever les deux autres. Fiant en place
té, sur les mêmes malades, seulement dans l'intervalle 18 étaient morts , 13 étaient sortis, 1 avait été transféré et 3 on
au bout d'une heure de coma. Autopsie vingt-quatre heures après la mort . Les os du crâne sont excessivement épais, au m
ie. 11 s'était tiré une balle de revolver dans l'une des tempes. La mort avait été instantanée. (Le Bonhomme Normand, 19
nte-un ans, est admis une pre- mière fois le 14 décembre 1887. Père mort à soixante ans, mélau- ' Je n'avais pas encore,
s continuels, mussitation, car- phologie, refroidissement, coma. La mort survient le 17, trois jours après le début de l
mon allure ; il pensait que sans cela ses ennemis avaient droit de mort sur lui. Souvent, ajoute l'auteur, ces malades
: il en a distingué sept, plus six espèces différentes de cellules mortes . Les difficultés deviennent inextricables quand
aractère spécifique de la psychose plus ou moins longtemps avant la mort . Nissl ne vient-il pas d'affirmer qu'aucune des
ation I. -A. Deux états pathologiques coexistaient au mo- mentde la mort dans la pie-mère et l'arachnoïde, l'un récent, l'
LXIV. Corps étrangers dans les deux bronches ; broncho-pneu- monie. Mort ; par Francis-O. SimpsoN. (The Journal of Mental
émence épileptique. Pneumonie lobulaire à début brusque. Orthopnée. Mort . A l'autopsie, on trouve dans chacune des deux
amélioration marquée dans 80 p. 100; insuccès dans 12,5 p. 100, et mort dans 9,3 p. 100. C'est à Jonnesco, de Bucarest,
quelque pilier de maison ou poteau d'étable, il y reste jusqu'à sa mort . L'article contient aussi quelques renseignemen
rs trouvé des lésions névrogliques chez les paralytiques généraux morts au début de la maladie. D'une façon générale, M.
ccombé à une méningite tuberculeuse et qui; plusieurs mois avant sa mort , avait présenté un état mélancolique d'une forme
ionne des modifications de la circulation qui peuvent déterminer la mort du malade. Les expériences ont montré que sous
TABLE DES MATIÈRES. ¡H9 Décomposition rapide avant et après la mort , par Wihtcombe, 109. Dégénérés hystériques au p
95 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
résultat étant le même, quel que fut le côté que Chabry frappait de mort ,il est évident que l'oeuf contenait de chaque c
e a vécu, s'est développée et a ainsi affirmé son individualité. La mort d'un blastomère dans l'oeuf humain au stade II
res impulsés parfois par des motifs différents, il faut, à peine de mort de l'être entier, qu'il s'éta- blisse une formu
0 mois on constata une exagération notable, qui persista jusqu'à la mort , du phénomène du genou à gauche, et son absence
s lancement des jambes, le corps étant penché en avant et à droite. Mort en 2 jours d'une pneumo- nie réduite à peu près
hémiplégie faciale et la persis- tance des phénomènes généraux : la mort eut lieu le 6° jour. A l'autopsie du crâne,on t
périences de Kussmaul et Tenner et que presque tous les lapins sont morts de la manière indiquée par ces auteurs : des ch
sont morts de la manière indiquée par ces auteurs : des chats sont morts exactement delà a même manière dans la proporti
Neurol. Centralbl. XXV, f. 16, p. 738 à 741, 16 août 1906.) Homme mort en crise en 36 ans, observé depuis l'âge de 23 an
Tisser. X. Deux cas d'hémorrhagie protubérantielle. Hyperthermie. Mort rapide ; par Marie et Moutier. (Nouv. Icon. de la
il 1907. Présidence de M. DENY Nécrologie : LE PRÉSIDENT annonce la mort de M. Ch. Féré, médecin de Bicêtre. Palmarès
le, 1`31 -- G \IINIEH, ibid., 1W î. 1'uou.;t. Académie des sciences mort . Archives, 0' série, 1907, l. IL 7 '.{8 MÉDEC
x garçons inintelligents (2) et une lillc idiote ; le quatrième est mort de brûlures à la suite d'un accident ; le cin-
ns cesse ses chagrins domestiques et l'excite à y mettre fin par la mort volontaire. Ue là des tentatives incessantes de
alade, perdant l'usage de tous ses sens, entrait dans une pâleur de mort avec suspension presque complète de la circulat
fier l'animal en expérience. Il résulte de ces ex- périences que la mort par le courant électrique n'est pas due à l'inh
lopathie diffuse chronique de nature mal déter- minée. Hugo Wolf, mort de paralysie générale, présenta, de vingt- sept
s effets de la psychose périodique sur le génie des deux musiciens, morts tous deux d'une affection organique du cerveau,
omeneur solitaire ». Il avait à ce moment G4 ans (deux ans avant sa mort ). L'affaiblissement lent de l'intelligence chez
ÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 155 que si l'ictus dont il est mort n'avait brusquement coupé court à cette décaden
esse et de satisfaction. Inégalité pupillaire. Crises d'excitation. Mort à l'âge de 57 ans. La température rectale est t
l'âge de 57 ans. La température rectale est tombée la veille de la mort à 28° ; elle s'est abaissée progressivement pou
; elle s'est abaissée progressivement pour tomber au moment de la mort à 23°. L'examen des urines n'a décelé ni sucre, n
ve. Hallucinations visuelles. Ni albumine ni sucre dans les urines. Mort à 40 ans. La température rectale est tombée tro
rt à 40 ans. La température rectale est tombée trois jours avant la mort à 29°, pour s'abaisser pro- gressivement à 28°5
ort à 29°, pour s'abaisser pro- gressivement à 28°5 au moment de la mort . A l'autopsie, lésions de méningo-encéphalite d
quième ictus en 1906. Pas de sucre, pas d'albumine dans les urines. Mort à 57 ans. Du 18 au 24 mai 1906, époque du décès
es lésions médullaires ou cérébrales. Quand l'ani- mal succombe, la mort est imputable à des escarres cutanées de radiod
acines postérieures. M. Long (de Genève). - A l'autopsie d'un homme mort à soixante-trois ans et tabétique depuis l'âge
e, 15 avril 1905. (i2) Laignel-Lavastine et Leroy. Dénient précoce, mort phti- sique avec stéatose hépatique et lésions
ns pouvant dépendre de l'affection intercurrente ayant déterminé la mort . Comment, en effet, peut-on, dans ces cas, fair
nces provenant sans doute de l'état de délire aigu dans lequel sont morts les malades d'Alzheimer. Et il ajoute : « la tu
d'Alzheimer. Et il ajoute : « la tuberculose,cause immédiate de la mort , n'était pas en cause, puisque l'auteur remarqu
rapport avec la démence précoce. Or si nous examinons les causes de mort dans les cas que nous avons cités, nous voyons
otal de 22 observations cliniques on en trouve 7 dont la cause de mort n'est pas indiquée,4dus à une affection autre que
le cas de Dunton, l'autopsie aurait été faite huit heures après la mort . Dans le cas de Laignel-Làvastineet Leroy publi
Laignel-Làvastineet Leroy publié aux Congrès de Pau, le malade est mort le 27 octobre 1903, et l'autopsie fut pratiquée
ogique, octobre 1905) l'au- topsie fut pratiquée 24 heures après la mort . Quant au autres auteurs, Klippel et Lhermitte,
ns large du mot, et ses frère et soeurs nés plus tard encore - sont mort en bas âges (Auguste est mort à deux ans ; Anne,
et soeurs nés plus tard encore - sont mort en bas âges (Auguste est mort à deux ans ; Anne, à 4 jours, Marie Margaretha
e sa femme rentra quel- ques instants plus tard, le désespéré était mort . (La Petite Répu- blique 30 juillet.) LFS CRI
° ex- trait du casier judiciaire. Une mégère IMBÉCILE condamnée A mort . Berlin, 24 juin.- Le tribunal de Bromberg a co
mnée A mort. Berlin, 24 juin.- Le tribunal de Bromberg a condamné à mort Casimira Chmieleeicz âgée de 20 ans, et origina
on sait que le disparu était épileptique. N'aurait il pas trouvé la mort dans un fourré où il se serait dissimulé sentant
s se retirer des affaires, cesser de travailler et se préparer à la mort . Or la pensée constante et la crainte de la mort
t se préparer à la mort. Or la pensée constante et la crainte de la mort dimi- nuent leur résistance ; elles s'autosugge
ur résistance ; elles s'autosuggestionnent tous les jours, pour une mort prématurée. Si elles éliminaient la crainte et la
mort prématurée. Si elles éliminaient la crainte et la pensée de la mort , si elles écartaient de leur esprit l'inquiétude
ps de serpe, dans un herbage voisin de sa maison. Un l'a re- trouvé mort le lendemain matin. Il avait encore pu se traîner
sabot et de soulier, et lui brisant deux côtes, le laissèrent pour mort . Le docteur Homery, directeur de l'asile de Bea
lier et Vurpas. NECROLOGIE. - Nous avons le if regret d'annoncer la mort du Dr N. VASCHIDr ? directeur adjoint du labora
14 ans, depuis le procès qui a tout changé. » Un de ses enfants est mort ; les deux autres tournent mal, trompant ainsi
ous leurs crimes ! » Alors les gens disparaissaient blêmes comme la mort . Enfin elle compte sur la police qui veille tou
nt. t. Grâce à cet optimisme, elle reste dans l'hôtel où on veut sa mort . Un appareil fonctionne la nuit, contre son lit
it dit la malade. A. H. Son père, qui était armurier en Alsace, est mort à 51 ans d'une affection pulmonaire non détermi
te d'une péritonite à l'âge de 61 ans. Des huit enfants, trois sont morts en bas-âge ; sur les cinq autres, quatre sont v
n bas-âge ; sur les cinq autres, quatre sont vivants et l'autre est mort à Paris de la. tuberculose à 40 ans. Il reste à
, pour des accidents pleurétiques ; elle n'a pas appris de suite la mort do son mari, elle ne l'a pas vu, et aujourd'hui
acile de se procurer, dit-elle, elle se demande s'il est réellement mort . ' Entrée à l'asile le 26 juillet 1907, à la su
eut-être désire-t-on la remettre avec son mari qu'elle ne croit pas mort , puisque les papiers qu'on lui a fournis, sont
curer ? Peut-être veut-on la marier, dans le cas où son mari serait mort , ce qui se peut, mais ce qu'elle ignore, avec q
conte que la grand-mère lui a dit plusieurs fois que son mari était mort ; or chaque fois elle lisait sur sa figure, dans
aralysies postparoxystiques ; démence progressive.Deux ans avant la mort (à 41 ans), après un état de crises, hémiplégie g
a force psychique de W. Croolies (apparition de spectres de parents morts ; xénoglossie, ou don des langues ; phénomènes
la province de Caserte, un certain Alessandro, très affecté par la mort de sa fiancée, alla au cimetière et, ayant déterr
cteur. NÉCROLOGIE. - Nous avons le très vif regret d'apprendre la mort du Dr Goujon, sénateur de l'Ain. Né à Pont-de-Vey
tes des mêmes homards sont tombés malades et deux enfants sont même morts . L'auteur ne dit rien des symptômes de l'empois
ons por- tant sur lecôté droit. Signes de méningite. Epilep- sie. Mort en état de mal. Sclérose atrophique et mé- ning
Sommaire : Père, excès de boisson (absinthe). - Grands-pa- rents morts vinix. Mère, rien de particulier, ni dans sa fa
erait pas plaint pendant son séjour de cépha- lalgie. -Son père est mort à 77 ans, n'avait jamais été ma- lade, cultivat
grai- neuse. Les grands-parents tant paternels que maternels sont morts très vieux, n'auraient jamais été malades. Pas
santé : pas de migraines ; est sobre. Le grand-père paternel est mort à 45 ans pendant les émeutes de 1848. - La grand-
morte à 30 ans, on ne sait de quoi. Les 1 grands-parents maternels morts de sénilité, n'avaient jamais i été malades. Pa
été malades. Pas d'oncles ni de tantes. A eu sept soeurs, ï toutes mortes jeunes, on ne sait si elles ont eu'des convulsion
ituées, pas de condamnés. (1) Depuis ces ronseignmnenls le père cbL mort d'une fluxion de l, poitrine, en 1902. < D
est constamment somnolente, surtout après ses accès. Etat de mal, mort . Le 13 septembre 1906, l'enfant Mar... est mont
res la malade avait eu 229 accès. La température au moment de la mort était de 40°5, elle tomba ensuite régulièrement
ci-dessous, atteignant la tempé- rature ambiante 9 heures après la mort . 430 CLINIQUE nerveuse. en forme de grosse am
ral par une rémission plus ou moins courte, pour se terminer par la mort , après l'une on l'autre période, ou parla guéri
paraît, la température s'élève, l'état de mal est-constitué et la mort peut arriver. (Fig. 1). Mais le plus souvent la
circonstances peuvent se produire : l'état de mal se termine par la mort avec unélévation de la température qui atleint,
usieurs heures sans accès etla température s'est abaissée 3 3-1. La mort est survenue après 229 accès. Ici l'état de mal
mate de soude; les urines prirent une teinte verte qui indiquait la mort de la grenouille et la malade fut gué- rie. - L
É)IOI\J\IIAGIE. Deux cas d' - prolubéranlicllc. I typcrthcr- mie. Mort rapide par Marie et 1'10uLier, p. 73. -, Voir l
lsions portant sur le côté droit. Signes de méningite. Epilepsie. Mort en état de mal. Sclérose atro- phique et méni
96 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
faudrait des examens cliniques aussi rapprochés que possible de la mort du sujet. Déplus, la compression étant, d'ordin
e (1) dans lequel la laminectomie fut suivie, à quelques heures, de mort subite par embolies pulmonaires, nous apprend que
rs, sensibilité obtuse aux membres inférieurs. Quelques jours après mort dans le marasme. Autopsie : carie de la Ve vert
it ; oedème du membre inférieur droit, hydarthrose des deux genoux, mort 15 jours après la paraplégie. Autopsie ; caverne
en ceinture, hy- poesthésie des membres inférieurs, puis eschares. Mort par infection géné- rale 6 mois plus tard. Pas
n gros oedème des membres inférieurs. Affaiblissement progressif. Mort 16 mois après les premières douleurs. Aucun sig
ion absolue, s'établit brusquement une rétention complète d'urines. Mort le lendemain. ' A l'autopsie (V. pl. II, fig. c
droit, sensibilité obtuse, retard à la per- ception des sensations. Mort 6 semaines après les troubles abdominaux. A l'a
toute la partie sous-jacente du corps. Près de ans après le début, mort de tu- berculose pulmonaire. Il n'y avait d'aut
s dans la rotation de la tête à gauche, et, quelques jours avant la mort , sensibilité à la pression des VIe et Vlle vert
n de troubles sensitifs). Amélioration par un traite- ment tonique. Mort 15 mois après le début. A l'autopsie, carie tuber
rue pour anémie. Mariée à 26 ans, elle eut 5 enfants, dont l'un est mort à 13 mois, de congestion pulmonaire, 4 fausses co
avec flexion des 3e et 4e orteils. Fièvre avec délire tranquille. Mort cinq semaines après son entrée à l'hôpi- tal.
autopsié, il y a quelques mois, une malade qui, trois ans avant sa mort , avait eu une fracture de la colonne dorso-lomb
jours ainsi ; en parcourant les protocoles d'autopsie des pottiques morts à la Salpêtrière, nous trouvons souvent mention
eures, avaient permis de penser au mal de Pott; or, le malade étant mort il y a quelques jours, l'autopsie démontra l'in
n homme âgé de 38 ans soigné dans' le service de M. Pierre Marie et mort de tuberculose pulmonaire. ' Le squelette a été
sesse gémellaire. Un grand-oncle est le grand-père paternel. Il est mort d'une chute attribuée à une attaque apoplectiqu
é les nombreuses applications électriques qu'on lui a faites ». Est mort à 18 ans. Jante : Est venue au monde d'un accou
SME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 55 120.000 francs. Ce n'est qu'à sa mort qu'on découvrit les dettes. Contracta la syphil
ta la syphilis après la naissance des fils, devint tabétique et est mort à 64 ans. Oncle : Intelligent, mais déséquilibr
eur d'une grosse fortune, il dissipa tout son bien. ' Oncle : Est mort de tuberculose vers l'âge de 50 ans. Tante : Al
rrémédiablement perdu ; et tout cela pèse sur sa conscience comme une mort . Les insomnies, dont il s'est plaint dernièreme
58 MAGALHAES LEMOS pas continuer à vivre ainsi. Le remords pour la mort de l'homme ne l'aban- donne pas un instant ; il
cette situation et demande à se confesser. Il a sur la conscience la mort d'un homme. C'est très grave. Le maçon est bien
conscience la mort d'un homme. C'est très grave. Le maçon est bien mort , et il a la responsabilité de sa mort, parce qu
très grave. Le maçon est bien mort, et il a la responsabilité de sa mort , parce qu'il l'avait chargé de la construction de
a conscience bien tranquille. Il est certain que le maçon n'est pas mort , parce qu'il était venu le visiter. Il ne pouva
qu'il était venu le visiter. Il ne pouvait donc pas s'accuser d'une mort qui n'existait pas ; mais si je ne l'ai pas tué
ique, pendant lequel il fut tourmenté par l'idée que son père était mort ; cet accès se termina au bout de trois mois, le m
1898 à l'âge de 48 ans, de tuberculose, le grand-père paternel est mort des suites d'une maladie de coeur, la grand'mère
st très chargée : le grand-père maternel était alcoolique : il serait mort dans une crise de delirium tremens, un oncle ma
et demi (janvier 1906). Comme antécé- dent on note que son père est mort tuberculeux, sa mère d'une maladie de coeur ave
ité précoce. Ajoutons que la malade a eu deux frères aînés qui sont morts en bas âge, de méningite à ce qu'il semble, et de
DE ET LEJONNE dans les ascendants (père), les collatéraux (2 frères morts de méningite) ; elle-même est actuellement une
de la maladie de Recklinghausen. Antécédents héréditaires. - Père mort , à 52 ans, d'un cancer de l'esto- mac, atteint
'esto- mac, atteint d'ichthyose. Grand-père et grand'mère paternels morts à 84. et 86 ans. Mère vivante, 57 ans, bonne
4. et 86 ans. Mère vivante, 57 ans, bonne santé habituelle. Aïeul mort à 96 ans, grand- père maternel à 82 ans ; grand
faiblit rapidement. Elle succomba au bout t de quelques jours. La mort a été provoquée par une altération grave des deux
la persistance de l'acné, elle a eu le temps de repousser avant sa mort survenue le 10 octobre. Ons. III. Paralysie gén
cer du rectum. Cas. I. Tabes amyolrophique chez un homme de 46 ans, mort dans le service de M. Babinski. C'est le cas qu
II. Paralysie générale avec tabès incipiens chez un homme de 56 ans mort dans le service de M. Séglas à Bicêtre. La moelle
qui y siège. Cas. IV. - Paralysie générale chez un homme de 34 ans, mort dans le service de lll. Séglas en état de cache
les paraissent complètement indé- pendantes de l'affection dont est mort le sujet ; ici encore, la seule diffé- rence qu
ofondes, toutes traduisant un processus très actif. qui a frappé de mort les différentes cellules avant qu'aucune réacti
indiquent, par la série des caractères que Nissl a bien décrits, la mort de la cellule. La nécrose de la cellule se dédu
es chez le vieillard normal, doit-on prendre garde à la cause de la mort et éliminer les cas où la terminaison fatale fu
ubliant qu'il y est allé la veille. Il ne se consolera jamais de la mort de sa femme et de son enfant, mais il en parle su
les conserver en cage jusqu'au jour de l'autopsie. Sauf le chat I, mort d'entérite au 247e jour, les autres chats sont pa
ccidents nerveux graves qui peuvent en quelques mois en- traîner la mort . Quant à son étiologie je pourrais vous donner de
aide-pharmacien, entré à Bicêtre le 28 juin 1901. Antécédents. Père mort à 71 ans des suites d'un accident ; mère morte à
oeurs qui ont toujours eu une très bonne santé : un autre frère est mort en Afrique à la suite des fièvres malariennes.
ndant quelques jours, éruption papulo-pustuleusé, état subcomateux. Mort . Le sujet, qui était 348 ' GIUN10 CATOLA- syp
le dia- gnostic de paraplégie syphilitique. Le père du malade est mort en 1889 très âgé : il avait été un grand buveur
DE PARIS. DEUX CAS D'HÉMORRHAGIE PROTUBÉRANT1ELLE. HYPERTHERMIE. MORT RAPIDE (1). PAR Pierre MARIE et F. MOUTIER.
vient le 15 mai au matin ; la température est peu de temps avant la mort de 2°t. Examen anatomique. - Il existe un ramol
son second séjour ayant été des quelques heures qui précédèrent la mort , dans une crise d'urémie. Cet acromégalique pré
'ici, on savait qu'une armée en campagne avait en moyenne de 4 à 10 morts de maladies pour 1 tué. Les médecins japonaise et
ois, a eu 43.349 tués et 112.542 blessés pour un peu plus de 10.000 morts de maladies, soit 1 mort pour 4, 3 tués. C'est
12.542 blessés pour un peu plus de 10.000 morts de maladies, soit 1 mort pour 4, 3 tués. C'est un record 1 PI. LX. n. 1.
sque et de l'anesthésie de toutes les formes de sensibilité. Il est mort 29 jours après l'accident. A l'autopsie, on const
alade les réflexes rotuliens étaient abolis. Quelque temps avant sa mort , le malade a eu des douleurs atroces qui ont né
i- lité faradique et de l'excitabilité galvanique. L'enfant étant mort de broncho-pneumonie on fit une autopsie suivie
clinique fut très analogue, mais l'affection débuta plus tard et la mort survint quand l'enfant avait déjà 4 ans. Voici
s antécédents familiaux, que sur 15 frères et soeurs, quatre aînés, morts pendant leur 2e ou 3e année de maladies infecti
e, on n'observe ni paralysie bulbaire ni aucun trouble cérébral. La mort survient dans les premières années de la vie ;
- que et galvanique, sans réaction de dégénérescence bien nette, la mort se fit par affection pulmonaire. A l'autopsie o
e la même famille ont été atteints d'une affection analogue et sont morts dans les premiers mois de la vie ». L'ex- plora
s cette catégorie par Jovane, par Sorgente, se sont terminés par la mort dans les premières semaines de la vie et parais-
ers mois de la vie, et peut évoluer assez rapidement pour amener la mort avant la fin de la première année. Les examens
ME DU LOBULE SPHÉNOÏDAL 459 Nous l'avons autopsié aussitôt après la mort et nous avons fixé immédia- tement le système n
ses aliments ; la stupeur ne fait que s'accuser et, le 5 avril, la mort arrive dans le coma. ' Nécropsie. On ne trouve
particulier dans ses antécédents héréditaires. Son père et sa mère, morts de maladies acciden- telles, étaient bien const
- telles, étaient bien constitués. Elle a eu trois frères ou soeur, morts dans l'enfance, et elle a actuellement un frère
syphilis chez les procréateurs. Elle avait un frère grand et fort, mort il y a 5 mois, à l'âge de 22 ans, de tu- bercul
té taciturne et solitaire. Depuis cinq mois, c'est-à-dire depuis la mort de son frère,son caractère' s'est transformé. E
s affectifs sont développés. Elle aimait beaucoup son frère qui est mort , et l'irritabilité de son caractère, les gestes
encontrée par lui dans la rue. Il était esclave d'un maître qui est mort depuis quelques années. t < Il s'intoxiqua
e, il s'appuie sur un long bâton. La face se dresse haute, les yeux morts regardent au loin, comme dans la fresque d'Ange
de vingl-qualre ans. Excès alcooliques. Etat men- tal de dégénéré. Mort à quarante-cinq ans. Autopsie. Antécédents pers
ophtalmoscopique négatif. Gibbosité de la région dorsale moyenne. Mort 9 mois après l'admission, dans un état cachectiqu
Cas. II (nu801). Mal de Fott ayant débuté cliniquement à 70 ans. Mort 7 ans après. Coudure de la moelle sur un éperon o
ctériens. Gibbosité dor- sale inférieure douloureuse à la pression. Mort un an après. Autopsie. - Tuberculose cavitaire
n douloureuse au palper et à la percussion. Huit jours plus tard, mort subite, par crise d'angine de poitrine à l'occasi
plutôt qu'au mal de Pott. Cas. IV (n° 75 ! ). - Mal de Pott dorsal. Mort 16 mois après les premiers symptômes. Infection
. Fièvre, hecticité, amaigrissement, oedème des membres inférieurs. Mort 16 mois après le début, 2 mois après l'admissio
ouges et rares. Au 5e jour de l'entrée, rétention brusque d'urines. Mort le lendemain. Autopsie. Symphyse pleurale. Quel
d'escarres multiples, hecticité, cachexie, oedème périmalléolaire. Mort 6 mois plus tard. Pas de gibbosité pendant toute
carre fessière font leur apparition ; cachexie avec fièvre hectique ; mort - 47 mois après le début. Pas de signes rachidi
, apparition du signe de Babinski, fièvre avec délire tran- quille, mort 5 semaines après son entrée à l'hôpital. Autops
ève progressivement et atteint 40 degrés le soir du quatrième jour. Mort le lendemain. Autopsie. Pas de tuberculose pulm
llations montant progressivement jusqu'à 39°2. Hématuries répétées. Mort un mois après l'entrée à l'hôpital sans avoir p
rgyll,troubles sphinctériens par moments. Escarre fessière, fièvre, mort . Autopsie. - Tuberculose pulmonaire ancienne. M
erculose, on pratique une injection de calomel. Aggravation rapide. Mort subite quelques jours plus tard (4 mois environ
une ou plusieurs fois ; leur apparition n'indique pas toujours une mort prochaine ; il en est de même pour l'escarre sa
elleux. Le foyer protubérantiel était récent. Il fut la cause de la mort . Le foyer cérébelleux, vieux de deux ans, a ent
e temps écoulé entre l'époque de formation du foyer cérébelleux et la mort xix 36 542 LAIGNEL-LAVASTINE fut particuliè
membres inférieurs sont normaux. Autopsie (faite 12 heures après la mort ). Diagnostic anatomique : Aortite chronique ave
97 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tumeur. Au bout de vingt-six jours, signes de collapsus brusque et mort en état de dyspnée et de cyanose. A l'autopsie
ures creuses. 3. Les préparations de cerveau emprunté aux ani- maux morts révèlent, même peu de temps après la moi t, l'aug
ment de lapupille gauche. Douze jours après le début des accidents, mort en syncope. A l'autopsie, lésions syphi- litiqu
tés intellectuelles conservent une netteté remar- quable jusqu'à la mort , qui survient le cinquième jour après l'ap- par
trace. Par contre, son père était certainement syphilitique. Il est mort paralytique général, sa mère a perdu trois enfant
lue jusqu'à l'ombilic, diminution des sensibilités profondes, etc. Mort dans le coma, après un syndrome psychapothique de
ue. Cette guérison se maintient depuis cinq mois. Le réreil et la mort de la dormeuse de Thénelles. M. Paul Farez, apr
soumise pendant vingt ans. De ce réveil, précédant immédiatement la mort , il rapproche ce fait que des aliénés, plongés
Saiut-Jean-d'IIeraus. (Petit Parisien, 22 septembre), Un oublié. Mort d'Auberlin. L'attentat contre Jules Ferry. - Au
dedans, s'amusant à voir l'infortuné lutter désespérément contre la mort . Néanmoins par un revirement de sentiment inexp
trois terminées par des fausses couches ou la naissance d'en- fants morts . De nombreuses métrorrhagies à la même époque l
t nécessité l'intervention continuelle des médecins. Son mari est mort il y a deux ans et demi à la suite d'accidents
ux de pouvoir vous fournir quelques rensei- gnements au sujet de la mort du sieur R..., dont vous avez actuel- lement la
ous avez actuel- lement la femme en traitement. « Le dit R... est mort d'accidents cérébraux qui se sont succédé dans
jamais présenté aucun trouble mental, est devenue, à la suite de la mort d'un parent, sombre, déprimée, pour arriver peu
brale et démence. M. \TCCOUnoUx communique l'observation d'un homme mort de syphilis cérébrale et dont l'état démentiel
171 mais la mère a perdu deux enfants en bas âge, et le dernier. mort il y a trois mois, était nettement hérédo-syphili
un cas analogue chez une jeune fille de quinze ans, fille d'un père mort de syphilis cérébrale. C'était une para- lysie
dessus de 38° et oscille pendant les huit jours suivants jusqu'à la mort du malade, entre 38°,5 et 39°,5. Pendant les dix
rite optique à marche rapide avec myélite aiguë ayant déterminé .la mort en peu de temps. Ces cas méritent un nom spécia
gé. M. LEItILLON présente un homme de quarante ans qui, depuis la mort de sa femme, survenue il y a dix-huit mois, prése
à une solive. D'après M. le De Texier, qui a constaté le décès, la mort remontait à vingt-quatre heures environ. Depuis q
189 la rue; elle s'est brisée le crâne et cassé jambes et bras. La mort a été instantanée, Mlle Gohier qui revenait à c
ron, que ces rêves ne sont que des auras et que la fin du songe, la mort , est le commencement de l'attaque convul- sive,
nt chez des chiens normaux. Chez les autres, conservés jusqu'à leur mort , et qui présentèrent une émaciation marquée et
ciation marquée et des symptômes de cachexie, mais chez lesquels la mort sembla toujours due à une affection intercurren
ent moins violentes et la respiration moins rapide, de sorte que la mort est précédée d'une période de calme relatif, si
ait pu porter sur la thyroïde entière. Dans un cas seulement. où la mort survint du fait même de la maladie avec des sym
ps, si l'on a de la patience on verra revenir à la vie de prétendus morts (Revue neurologique, mars 1901). E. B. XL VI.
u'un vice de la législation sur les aliénés a été la cause de cette mort . - li. de MUSGPAVE-CLAY. REVUE DE MÉDECINE LÉGA
é chez sept malades le traitement qu'il préco- nise : un malade est mort , deux sont guéris, et quatre sont en voie d'amé
ste à Canly, a été trouvé pendu dans son grenier. On suppose que la mort remontait à quarante-huit heures car, depuis sa
gène llallet offrait des signes de dérangement céré- mais depuis la mort de sa femme, survenue le 18 décembre dernier, s
des questions scientifiques dans son numéro de janvier, annonce la mort , à l'âge de soixante-deux ans, de l'un de ses plu
s, comparaît devant le tribunal sous l'inculpation d'avoir causé la mort d'un enfant de treize ans, nommé Busche. 1 De
técédents héréditaires ne sont pas connus. Son père et sa mère sont morts jeunes; elle ignore dans quelles conditions, el
lua pendant dix-huit mois, fut jugé inopérable et se termina par la mort ; ceci se passait en 1881. Ce n'est qu'au mois
pronostic d'un tel état ne saurait être que fort sombre et c'est la mort au milieu de souffrances intolérables qui viend
état ne tarda pas à s'aggraver par les progrès de la cachexie et la mort survint rapidement. Pendant les derniers jours,
ne présente dans ses antécédents rien de particulier. Son père est mort accidentellement ; sa mère sujette aux rhuma- t
ccupations. Huit jours avant son entrée il avait été très ému de la mort subite de sa grand'mere. Examiné à cette époque
'incontinence urinaire est une des causes les plus fréquentes de la mort dans les myélites, par la provoca- tion et l'en
topsies on ne retrouve pas l'oedème cérébral qui disparait après la mort , mais on note de la distension et de l'hy- drop
Crises an- goissantes nocturnes dans la région précordiale. Grippe. Mort par pneumonie. Ons. Il. Maladie de Parkinson.
nuque. On sait que c'est une forme sévère, entraînant rapidement la mort . L'examen nécropsique et histologique donne les
aque d'un troisième accès. Il apprend inopinément la nouvelle de la mort de son père le voilà en proie à des convulsions
uéri pour sortir de l'asile; trois sont encore à l'asile; deux sont morts . L'auteur termine par quelques considé- rations
urs et l'on ne pensa à l'anévrysme que vingt-quatre heures avant la mort , en présence d'une toux métallique et d'une cri
. - Je vous présente un homme de quarante-quatre ans qui, depuis la mort de sa femme, survenue il y a dix-huit mois, pré
VOISIN. - Ce malade a dû présenter de la confusion mentale après la mort de sa femme; il est maintenant beaucoup moins con
eut plutôt alternance de périodes de stupeur et d'irritabilité; la mort survint alors qu'elle était en état soporeux.
fille était atteinte du délire de la persécution et on attribue sa mort à des troubles cérébraux. Vendredi dernier, ell
us et ont coupé la corde avec laquelle la suicidée s'était donné la mort . (Semeur de l'Oise. 11 mars). L'enseignement
le protoplasma de la cellule nerveuse; mais le cas est suraigu. la mort est survenue cinq jours après l'injection et tr
de taenia. Puis délire, cécité complète, rétention d'urine, coma et mort . A l'autopsie : organes thoraciques et abdo- mi
la nécessité d'examiner ces cellules aussitôt que possible après la mort , car, de même que les autres éléments cellulair
ans les premières phases du processus. Il a été décelable, après la mort , en quantité extraordinaire dans le liquide cép
t général, lentement progressive qui dura un an. Un mois avant la mort apparurent des troubles psychiques, modification
ible à la convexité, absence de battements, petite plaque méningée. Mort en pleine hémiplégie droite avec contracture et
prit brusquement une forme aiguë, avec accompagnement de manie. La mort sur- 400 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. vint en
fection des poumons, delà vessie, de la prostate et de l'épididyme, mort . Dans la troi- sième observation,*il s'agit d'u
r et anévrysme de l'aorte : rupture dans la cavité du u péricarde ; mort . H. DE IUSGn.avE-CL1'. 1.'\1'\. Nomenclature de
ions de chromatolyse observées après le délai légal imposé entre la mort et l'autopsie ne sont ni des altérations cadavé
ique, aboutit rapidement à leur épuisement com- plet. Le coma et la mort surviennent dans ces cas par véritable insuffis
ur M. le Préfet de Police, ont successivement adressé à l'infirmier mort à son poste, le dernier adieu. Impersonnel mé
decin chef du service de la ll'° section où l'infirmier a trouvé la mort , M. Pactet, a rendu un suprême hommage à son mo
rts pour rappeler la victime à la vie demeuraient inu- tiles. Cette mort slupide, d'un homme de 38 ans, tué par unirres-
saillis et tués par les malades. Et voilà qu'en quelques jours deux morts sont survenues à la suite des mêmes causes : l'
enregistrer des actes de violence et souvent c'est miracle que la mort ait pu être évitée. , « Je ne veux pas insister
trop souvent méconnu, n'est que plusrespec- table. a Cahusac est mort simplement, en faisant son devoir. « Ses camara
inséparable des regrets et de la profonde pitié que nous a causé sa mort . » Après les obsèques le corps a été transporté
a mère, en tirant sur elle avec un " canardier » à bout portant. La mort a été instantanée. On dit que le meurtrier ne j
tric. Le père Lemestric, entrepreneur de transports très connu, est mort subitement il y a deux mois environ. (Le Petit
ngué collaborateur. Nécrologie. Nous avons le regret d'apprendre la mort de M. le Dr Vallée, médecin de l'Asile d'aliéné
n'aurait pas d'antécédents lier, dILaire. bon père et sa mère sont morts , jeunes encore, de maladies de coeur. Sun grand-p
t les concerts dont il lit même des comptes rendus. Sans doute la mort de ses parents semble avoir jeté momentanément du
e c'est qu'il n'existe que depuis 1890. Il a été très affecté de la mort de ses parents avant cette date. Depuis, il ne
s, entré l'asilele 21 février 1903. Antécédents héréditaires : Père mort à l'âge de cinquante-cinq ans (d'un refroidisseme
Idées de persécution et de jalousie envers sa femme. A menacé de mort cette dernière à plusieurs reprises, ainsi que le
r 1904. Antécédents héréditaires. - Rien de précis à ce sujet. Père mort d'accident, mère en bonne santé. 462 CLINIQUE
otie et de diplégie cérébrale infantile. L'un des deux frères était mort son autopsieavait révélé une atrophie cérébelle
ument analogues à celles de la paralysie infantile. Le malade était mort à trente ans, la paralysie datait de l'âge de v
u de nous y appliquer en commun pen- dant les vacances de 1903 ; la mort de la malade, en mai. à réduit à néant notre pr
générale chez l'adulte. La syphilis détermine donc, comme le pense mort , une diminution de 1 éoislance, d'origine toxiq
d'opium et, au milieu des hallucinations du narcotique, attendit la mort . Quand au bout dequelques heures on est venu ou
lance de ses gardiens, s'est jeté dans un puits et en a été retiré mort . Dimanche dernier, un autre drame s'est produil d
m- Anderlecht, avait perdu ses facultés mentales à la suite de la mort de son fils. Enfermée à l'asile d'aliénés, elle é
paralytiques généraux, par Kéra- val el lianjean, 193. / Opium. Mort d'une fumeuse ci ? 525. Organes. Insuffisance
acteurs dans le -, par Céhbert, p 415. Thenelles. Le réveil et la mort de 538 TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS.
98 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ite antérieure aiguë. Les deux affections comportent des dangers de mort , et dans les deux cas ces dangers sont liés à l
ntres respiratoires et cardio-vasculaires, le malade est voué à une mort à peu près certaine. Dans un cas de polynévrite
. Twer. Twer. sance. Antécédents Le père de ces trois malades est mort à l'âge de 64 ans héréditaires. d'une maladie d
(elle a 5 ans) et se porte bien. Ils avaient 7 enfants, dont un est mort en bas âge d'une cause inconnue. Les autres enf
paralysées. Elle urinait bien et les selles étaient normales. A sa mort la température était élevée, ce qui démontre que
troublées. Cet homme a succombé aux progrès de la phtisie ; il est mort après une période de coma ayant duré quelques h
a ayant duré quelques heures, le 8 mai 1898 ; quatre jours avant la mort , la température axillaire au lieu d'osciller comm
opsie. L'autopsie a été pratiquée le 9 mai 1898, 22 heures après la mort ; le corps étant réclamé, nous avons été limité
decin sans chapeau n'a plus aucun prestige. Il ne salue même pas la mort : c'est une trop vieille connaissance. Un hom
agner de troubles permettant de songer à des lésions cérébrales. La mort était survenue à la suite de la cachexie due au
études expé- rimentales sur les animaux examinés de suite après la mort , n'a plus qu'une valeur très relative en anatom
t même chez les cancéreux ne faisant que de l'auto-intoxication. La mort * de nerveux est le plus souvent précédée d'une
l'état cachectique de l'infection des eschares qui avait précédé la mort . Enfin l'absence de toute dégénérescence dans l
tisme, ni obésité. Une soeur est bien por- tante ; deux frères sont morts de diphtérie (sans paralysie). Etat actuel (15
autre la nausée, LE TABES LABYRINTHIQUE 155 à celui-ci la petite mort , à celui-là une affre épigastrique, etc. Et combi
a généreuse promesse de la lui laisser par testament. Charcot étant mort avant le Dr Mesnet, le tableau revint aux héritie
malade est née à 7 mois. A été élevée au sein jusqu'au moment de la mort de la mère. N'a jamais été malade. Rougeole il
Fillette de 6 ans. Père et mère bien portants. Grand-père maternel mort à 42 ans d'une affection médullaire. Un frère â
semaines. Autopsie. Elle fut pratiquée vingt-quatre heures après la mort . Examen du GEMEAU. Extérieurement, celui-ci ne
petite salle. , Antécédents héréditaires et collatéraux : . Père mort en 1881 il l'âge de 61 ans d'une grosse hernie om
déformée. Elle a présenté pendant les dix années qui ont précédé sa mort des vomissements de sang, cela régulièrement to
tants. Elle n'avait pas d'embonpoint anormal. Un frère plus jeune, mort il 19 ans, tuberculeux pulmonaire très pro- bab
e ni obèse. Il est à remarquer aussi que le père de cette femme est mort d'une hernie étran- glée et qu'elle-même a prés
ants syphilitiques. Notre malade a eu sur 8 grossesses sept enfants morts de méningite et de convulsions. Enfin, s'il e
lle a eu ensuite six grossesses, 4 filles et deux garçons, tous six morts entre 18 et 20 mois. Ce cas me semblant singuli
pparence en venant au monde. Nourris tous six par la mère, ils sont morts tous entre 18 et 20 mois, et tous de la même fa
894, elle me raconta tout ce qui précède, me dit que son mari était mort il y a 7 ans d'une tumeur de la langue (leucopl
decin qui n'a pas observé les symptômes nerveux qui ont entraîné la mort de tous ces enfants. Mais, comme l'a fort bie
patriotes, Richard (ou Régnier) Brackenburgh, né à Haarlem en 1650, mort en 1702. D'un dessin moins serré, d'un coloris
sont rares aujourd'hui. Son fils, Samuel van Hoogstraaten, né et mort à Dordrecht (1627-1678) fit ses pre- miers essa
g. 4. \Iyxcedème franc à la période de cachexie, trois jours avant la mort . au point de vue de certains désordres viscérau
) 13USCII.\U (loc. cit.) mentionne, parmi les causes qui ont amené la mort dans le myxoedème, les calculs biliaires enclav
icilement des renseignements exacts sur les parents. Le père serait mort d'hydropisie et de rhumatismes. La patiente se
ois. Elle a eu de son premier mariage cinq enfants dont un seul est mort ; du second mariage, elle a eu quatre enfants dont
mort; du second mariage, elle a eu quatre enfants dont .trois sont morts ; du troisième lit, elle n'a qu'un enfant, qui vi
60 ans. Elle a eu sept enfants. Elle les a tous allaités, sauf un, mort après quelques jours. L'allaitement a été chaque
es. Son grand-père et son père, quatre de ses frères et soeurs sont morts de tuberculose. La mère était bien consti- tuée
un garçon, est bien portant et bien développé. Le second enfant est mort au bout de peu de jours. Le troisième est la peti
, minces. Le visage est plaqué de psoriasis. (Fig. 26.) Le père est mort tuberculeux. La mère est obèse et je n'ai pu re
est morte de tuberculose. Trois de ses tantes du côté paternel sont mortes de phtisie pulmonaire. Le traitement thyroïdien
, n° 41). 332 ANDRÉ RICHE ET DE GOTIIARD Antécédents. Le père est mort à 57 ans, d'une maladie de coeur, la mère est m
trière, salle Cruveilhier, lit n° 9. Antécédents . - Son père est mort à 60 ans subitement, sa mère est morte à 70 ans
0 octobre 1896, salle Broca, lit n° 10. Antécédents. Son père est mort à 65 ans des suites d'un accident de che- min d
salle Duchenne de Boulogne, lit n° 14. , Antécédents. Le père est mort à 84 ans ; la mère est morte du choléra en 1849
éra en 1849, à 32 ans. Elle a un frère bien portant, un autre est mort à 28 mois. Il n'y a pas de maladie nerveuse dan
52 ans. Mariée à 25 ans ; son mari, de bonne santé habituelle, est mort à 27 ans du charbon. Elle a eu deux enfants :
. Dans le cas suivant, d'ailleurs très classique, elle aboutit à la mort 18 mois après le début des premières manifestatio
main, surmenés'; évolution rapide en 18 mois ; troubles bulbaires ; mort par bronchopneumonie intercurrente. Dur... Hub.
çon, 61 ans (Pl. LXII, fig. F et G). Antécédents héréditaires. Père mort à 61 ans, cause inconnue; mère morte à 71 ans ;
e morte à 71 ans ; a eu 2 frères et 1 soeur. Les deux frères sont morts l'un à 64 ans, l'autre à 66 ans sans cause connue
. Marié ; a un enfant âgé de 37 ans. 11 a perdu deux autres enfants morts l'un au bout d'une 1/2 heure, l'autre à 14 ans.
ation quelques râles, expectoration impossible. Dyspnée intense ; mort à 8 heures du soir. Autopsie. - Poumon D. B. co
néral (type Vulpian) par les muscles surmenés. Troubles bulbaires ; mort . Poull..., 65 ans, manoeuvre (Pl. LXI, fig. D).
lle n'a eu de maladie nerveuse ni d'atrophie muscu- laire. . Père mort il 80 ans. Mère morte à 45 ans. A encore une
rte à 45 ans. A encore une soeur de 58 ans bien portante ; 3 soeurs mortes jeunes. Marié, n'a pas eu d'enfants. N'a pas eu
quitte le service à la fin de novembre 1891 ; et nous apprenons sa mort survenue quelques jours plus tard, par suffocatio
membres et serait morte dans un grand état d'amaigrissement. Père mort à 66 ans, de pneumonie; dans les ascendants colla
poplexie, étylisme avéré. Mère bien portante. Grand-père maternel mort d'hémorrhagie cérébrale. Tante paternelle attei
bles trophiques : Artlaropa- thies de l'épaule, eschares multiples. Mort dans le marasme. - Lésions nerveuses classiques
s ont atteint un âge avancé; mère morte à 57 ans, asthmatique; père mort d'accident. Un frère, atteint de bronchite baci
on valvulaire. Les parois du coeur sont épaissies, couleur feuilles mortes , quoique encore assez fermes. ' Quelques végé
ifs. Son père, qui tou- jours aurait joui d'une bonne santé, serait mort en 1870 de la variole. Sa mère serait morte en
taires sont assez incomplets. Nous savons seulement que le père est mort à 80 ans de vieillesse, la mère à 50 ans, de co
père du géant acromégalique illustré par Brissaud et Meige (3) est mort d'apoplexie. Garnier et Saintenoise (8) observe
re, alcoolique, s'est suicidé, et dont quatre frères ou soeurs sont morts de convulsions en bas-âge. Nous arrêterons là c
, couturière ; entrée le 18 avril 1896. Antécédents. - Son père est mort subitement il 55 ans, sa mère est âgée de 76 an
t mariée, son mari est en bonne santé ; elle a eu un enfant qui est mort de la coqueluche à 3 ans 1/2 ; on ne relève aucun
13 juillet 1897, salle Rayer, lit no 3. Antécédents. Son père est mort à 63 ans accidentellement, sa mère est morte à
ction pulmonaire aiguë. Elle a eu cinq frères et soeurs : deux sont morts vraisemblablement de tu- berculose pulmonaire ;
l'est encore' maintenant. Elle s'est mariée il 35 ans, son mari est mort à 67 ans. Elle a eu deux filles ; l'une est bie
1897 petite salle Cruveilhier, lit n° 4. Antécédents. - Le père est mort à 72 ans, d'une fluxion de poitrine ; la mère e
a Salpêtrière, salle Rayer, lit n° 14. Antécédents. - Le père est mort à G5 ans, d'une pneumonie ; la mère est vi- van
eu huit enfants, dont il reste six qui sont bien portants, l'un est mort à 19 ans d'une fluxion de poi- trine, l'autre a
l'école flamande, attribué à un peintre peu connu, Thomas (Gérard) ( mort en 1721 ? ) z1). , C'est une oeuvre d'art de va
gures, le fini des accessoires, fioles, livres, parchemins, tête de mort , etc., et surtout l'étrangeté et l'habileté de l'
a vie vient de s'éteindre soudainement. Mais, rassurons-nous, cette mort ne peut être qu'apparente. La vieille dame s'en
le coeur. Et cette défaillance n'est peut-être que le prélude d'une mort prochaine. Devant elle, un petit chien aboie la
emment avant, pendant ou après. La règle était de saigner jusqu'aux morts . Mais si l'opération n'était pas suivie de succès
ques épi- leptiformes. - Troubles psychiques de forme circulaire. - Mort par hémor- rhagie cérébrale. - Autopsie. - Vast
llissement cérébral ; elle est agitée, violente et aurait menacé de mort son mari. A son entrée, on cons- tate une hémip
s » qui res- semblaient à celles des enfants. L'un de ces oncles, mort il l'âge de 25 ans,était oedématié des deux mem-
e, dit la famille, lui étant remontée au coeur ». L'autre oncle est mort aussi, âgé de 27 ans, on ne sait trop de quoi.
est morte a la suite de couches, les grands-parents maternels sont morts de vieillesse, la grand'mère à 79 ans, le grand-p
gastriques. Marié il 37 ans, II... a eu 3 enfants ; le premier est mort à G mois , le deuxième à 4 ans du croup, le tro
99 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ils sont fort significatifs. Grands parents inconnus. Son père est mort de la poitrine. Un de ses oncles paternels, culti
s été complète, le malade est resté « toujours un peu drôle ». Il est mort à 61 ans. — Une cousine germaine du côté maternel
e. ONGLE PÈRE MÈRE TANTE TABLEAU DE FAMILLE______ —____ Aliéné. Mort Morte de tuberculeux, tuberculeuse. | _ | Cou
ait plus après cela où elle les avait mis ; elle a eu un fils qui est mort vers l'âge de 40 ans, aliéné, à l'asile de Clermo
La petite est la 7e de 10 enfants ; 8 survivent. Les deux autres sont morts dans la première enfance. Mon fils aîné est aujou
on lit sur la partie supérieure et interne de son avant-bras gauche: « Mort aux femmesinfidèles. » C'est aux infidèles, aux i
la durée, un mois environ. —«R.Vigou-roux. » très irrégulière, est mort paralysé d'un côté du corps. —Sa mère est nerveus
ns. — Un oncle maternel ¦a été paralysé (?) à l'âge de 9 ans ; il est mort de la poitrine à l'âge de 30 ans. Voilà les ant
plutôt une infirmité qu'une maladie. J e malade : J'ai eu un frère, mort maintenant, qui a été traité à Bicêtre dans le se
Du mariage de A et B sont nés quatorze enfants. Six d'entre eux sont morts de « convulsions »;Br... notre malade, est le sep
iguë grave, menaçant au premier chef au point de vue du pronostic. La mort peut s'en suivre, en effet, dans un bref délai, e
énéralement bénigne, puisse en réalité se terminer quelquefois par la mort ? Eh bien, oui,cela peut arriver dans certains cas
c Lendet (Mémoire sur les chorées sans complications, terminées parla mort . Arch. de Méd. 1853, 2° série) et avec le Dr Stur
er exclusivement, car à mon avis, messieurs, si la terminaison par la mort a lieu chez notre pau vre garçon, comme, je le
it ou non complication viscérale imflammatoire, la terminaison par la mort , dans la chorée, est chose vraiment rare. Ainsi a
l'ai plusieurs fois observé, qu'on peut redouter de voir survenir la mort dans la chorée non compliquée. Ainsi, en d'autres
On n'a pu découvrir cliniquement aucune complication viscérale. La mort est survenue dix jours à peine après le début de
endocardite présente ou passée. Sur dix cas concernant des choréiques morts pendant la chorée relevé par M. Dickenson, on en
t delà chorée. Les chorées des adultes qui doivent se terminer par la mort reconnaissent souvent les causes susdites. Elles
ortelle sans complication, au nombre de qui se sont terminés par la mort . Ils sont relatifs à un garçon de dix-neuf ans et
erminaison fatale dans ces cas de chorée des adultes aboutissant à la mort ? Là-dessus, je n'ai pas de bien grands éclairciss
gues et plusieurs d'entre eux ont proposé de rapporter la cause de la mort à une modification générale de l'organisme, et en
nvestigation, qu'on puisse incriminer. C'est donc en pareil cas de la mort par Yépilepsie qu'il s'agit bien réellement et no
la mort par Yépilepsie qu'il s'agit bien réellement et non pas de la mort déterminée chez un épileptique par l'intervention
i sur cette question des « chorées sans complication terminées par la mort ». C'est un sujet sur lequel j'aurai malheureusem
_______ 1 ¦ ¦ •___________ 1er enfant né à 7 mois. 2 autres enfants morts Le 4e enfant, A., .cl en bas âge. Gabriel, notr
t qu'il est le dernier de quatre enfants dont les trois premiers sont morts en bas âge. Avec une telle hérédité, on compren
t que 80, mais la température qui était à 38, s'est élevée à 38,8. La mort a eu heu à 5 heures du matin. 19 Je crois int
ésultats de l'autopsie qui a été pratiquée vingt-huit heures après la mort . Je me bornerai à extraire du protocole, les déta
é cadavérique très prononcée ; elle l'était déjà sept heures après la mort . Crâne : pas de pachyméningite ; l'arachnoïde e
ment de la rougeole. C'est l'émotion éprouvée à l'occasion de cette mort qui parait avoir du reste provoqué chez notre jeu
tares nerveuses. COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Un frère du père est mort Père, 45 ans. Mère, 38 ans. tliéné à 1 âge de 3
et a dernières grossesses, les attaques de nerfs. 8 enfants dont 3 morts en bas âge. Une des sœurs de la malade, âgée de
técédents de famille ne fournit aucun renseignement intéressant. Père mort d'un cancer du larynx à l'âge de 56 ans ; la mère
ui l'avez soigné: Voici l'ordonnance que vous lui avez donnée. Il est mort à 43 ans, au mois de septembre dernier, des suite
de fort remarquable à noter dans les antécédents héréditaires : père, mort à 52 ans, d'une maladie du cœur ; mère morte « hy
de chorée et d'épilepsie avec état de mal rapidement terminés par la mort , dont je vous ai entretenus dans une précédente l
aternel, a été atteinte de chorée. Plusieurs frères de la malade sont morts de convulsions en bas âge ; une de ses sœurs a ét
« dormeuse ». La famille de son père n'est pas connue ; son père est mort « de la poitrine ». Sa mère n'a jamais été malade
folle pendant quelque temps. Un frère du père, Père, cousin de la mort en 1886, à65ans. mère, âgé de 77 ans, Il était
ans, Il était sujet à des cultivateur, bien por- étourdissements. Mort tant, mais ivrogne. en tombant du haut d'une voit
riques ont un peu changé de caractère. Ils ne sont plus relatifs à la mort de son fils. Il voit, maintenant surtout, des ani
ait un homme vigoureux, robuste, d'un bon moral, avant l'époque de la mort terrible de son fils. Il a eu autrefois la fièvre
lcoolique, empor-buveurs, té, il tombait raide quand il avait bu. — Mort d'apoplexie ? COTÉ MATERNEL Mère Oncle matern
maternel Très emportée, mais Très colère. pas d'attaques de nerfs. Mort par cancer de l'utérus. Un Frère Frère mort Une
as d'attaques de nerfs. Mort par cancer de l'utérus. Un Frère Frère mort Une Sœur Épileptique Apoplectique avait eu souv
ts précis, mais il nous a raconté l'histoire d'un de ses grands-pères mort en 1848 en Russie, « sous le knout (?) » et cette
sont pas connus. Ro...el a eu neuf frères et deux sœurs, la plupart morts en bas-âge. Il ne lui reste plus qu'un frère. Ce
une affection tabétique. Ce frère a eu six enfants dont quatre sont morts en bas-âge. L'une des fillettes qui ont survécu
s principaux faits de l'histoire pathologique de cette famille, où la mort prématurée a sévi tant de fois, et dont les membr
Père Alcoolisme — Suicide par amour (?) » Pendaison. 11 enfants morts en bas âge. Mère Tante 0 Aliénée — Internée d
. Frère Notre malade Ataxique. hystérique abasique. 6 enfants 4 morts en bas âge. 1 fille hystérique. Les antécéden
on existence. Elle ne peut déterminer la date à laquelle son mari est mort ; tantôt elle dit que cet événement, qui a cepend
éccdents de notre malade. m Son père était un alcoolique ; il est mort à l'âge de cinquante-huit ans. Elle aune tante ma
circonstances qu'elle a contracté l'habitude de boire. Son mari étant mort en 1882, elle a abandonné son établissement et s'
onnaît pas du tout la famille de son père. Sa mère et sa tante sont mortes de maladie cardiaque. Celle-ci avait fréquemment
maginaire ; sur son avant-bras gauche on lit l'inscription suivante « mort aux gendarmes. » Au beau milieu du tronc, un peu
paraît-il, très nerveuse. Elle est morte pendant le siège. Après la mort de sa mère, l'enfant fut réduit à mendier dans le
ne sont pas tués sur le coup, à part quelques cas exceptionnels où la mort survient après quelques jours, en sont quittes po
ues exceptionnelles qui changèrent du tout au tout la situation. La mort de ses parents, celle de sa mère en particulier q
e de Dechambre, art. Fulguration, p. 307. Nancy le 18 juillet 1873, mort sur le coup : on a trouvé seulement sur cet homme
udre globulaire sont innocents. » Souvent il arrive qu'elle frappe de mort ceux qu'elle atteint, et il cite le cas du physic
e, incohérentes, enfantines au premier chef. Tantôt il se dit presque mort et, un instant après, il exprime le regret de n'a
in blessé par la foudre resta plus d'un quart d'heure dans un état de mort apparente ; à peine rappelé à la vie, il jeta des
nnes paralysées momentanément, dans une maison où la foudre frappa de mort une vieille dame et sa nièce, à Borlington (1).
si grand dan-ger,lui raconta quelques faits defoudroiement suivis de mort . Ces propos, vous le savez, l'émurent vivement et
cherché à s'empoisonner; son grand-père maternel est, assure-t-elle, mort de chagrin àia suite de revers de fortune; elle a
dien, avait la mauvaise habitude de boire beaucoup d'absinthe; il est mort également à l'hôpital Saint-Antoine. Voici main
rite supputée. — Cystite. — Perforation de la vessie. — Péritonite. — Mort . — Autopsie. — Syringomyélie. En outre de la lési
organiques spinales dont elle peut être cliniquement rapprochée. La mort a été quelquefois déterminée par l'extension aux
rchow's archiv. 1882 p. 537 chez lui d'antécédents héréditaires. La mort de sa femme qui a eu lieu il y a cinq ans l'avait
trois années; ils ont commencé à paraître deux ou trois mois après la mort de son enfant. Dans le but de rendre l'enseigne
gne collatérale, aucun élément d'hérédité névropathique. Son père est mort à l'âge de 68 ans, il était « d'un tempérament ca
a succombé à une maladie de poitrine à l'âge de 11 ans; un frère est mort de pneumonie à 32 ans. Tous les autres vivent en
et tranquilles. Marié, il a eu sept enfants; deux de ses enfants sont morts du croup; les autres sont bien portants. Après
nd tout à coup qu'il a perdu sa fortune ou qui voit périr son fils de mort violente (1). Dans tout cela, où est le traumatis
ncipaux traits de l'histoire de cette malade. Elle a un père aliéné mort à l'asile de Glermont ; elle a 25 ans ; de 20 à 2
e gauche; il était incapable de mouvoir ces membres qui étaient comme morts et complètement insensibles. Durant les deux jo
Fièvre, 106, sq. Chorée grave, 103. — Autopsie,128. — (Causes de la mort dans la), 112. — Complications dans la),108.—Et
la, 106, sq. —Hérédité dans la, 111. Intensité des mouvements, 111. — Mort dans la, 127. — Fréquence de la mort dans la, 109
Intensité des mouvements, 111. — Mort dans la, 127. — Fréquence de la mort dans la, 109. —Phénomènes généraux, 108. — Pronos
108. — Parole, 171. — Réflexes, 171. — Terminaison. 39. Chorée. — ( Mort dans la), 103. — Mouvements, 104.—(Mouvements int
—de la maladie de Basedow, 239. Etat de mal epileptique,113,239.— ( Mort dans F), 113. — et chorée grave, 113. Etat de m
433. — Tremblement, 431. Morphinomanes (Bâillements chez les), 5. Mort .— dans la chorée, 103, 108.— Dans la chorée grave
100 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
ation de notre'interne de l'année, devenu notre ami, H. d'Olier. La mort nous l'a enlevé le 20 février. Afin de rendre u
. 3G°,4. Pas de convulsions, ni de contractures, ni de paralysie. - Mort à midi. Autopsie 40 heures après la mort. Cadav
ures, ni de paralysie. - Mort à midi. Autopsie 40 heures après la mort . Cadavre extrême- ment maigre. Ventre en bateau
s. Plusieurs accès de cyanose se produisent encore dans la journée. Mort le soir. L'autopsie montra une persistance du t
14 MALADIE BLEUE. Les températures rectales prises le jour de la mort ont été : le matin 32-, 4 ; le soir 31°. Obse
é (fille), cyanose très marquée dès le lendemain de la naissance. Mort dans la journée. (L'autopsie n'a pas été faite.)
ès de -cyanose bien que plus courts sont de plus en plus fréquents. Mort à 1 heure de l'après-midi. - L'autopsie montre
es. C'est ainsi que dans les quatre cas qui se sont terminés par la mort du sujet (obs. I, XIX, XX, XXI), la température
XX, XXI), la température s'est progressivement abaissée jusqu'à la mort . L'élévation thermique finale de l'obs. I ne co
s, de suicides, etc. Le père et le grand-père paternel seuls sont morts d'apoplexie. Pas de consanguinité; le père est
rétinisme soient endé ? miques dans le pays. Un frère du malade est mort à l'âge de 15 mois en nourrice, mais sans avoir
est nerveuse, mais n'a pas eu d'attaques de nerfs. [Père et mère morts du choléra en 1849. - Soeur morte à G ans, elle
chute ; 2° fille, 23 ans, intelligente (Elle a eu 3 enfants, l'un, mort à 5 mois, ne semblait pas intelligent; un autre
sions, il avait 15 jours : le dernier est intelligent); - 3° garçon mort de diarrhée à 2 mois et demi : - 4° fille, 19 a
désistement de boire et de manger quatre ans unze mois, et de sa mort . Il croit à l'authenticité du cas ! Il s'agissait
e typhoïde, un érysipèle et la teigne ; intelligence moyenne. [Père mort d'une hernie étranglée; pas d'excès. - Mère mor
s'est développée lentement. Tous les autres enfants (filles), sont morts au- dessous de deux ans et n'auraient pas eu de
ui ont suivi ce traitement. Quatre d'entr'eux, dont 3 enfants, sont morts en état de mal épileptique, 2 en juillet (1), l
la fréquence des accès. VI. Epilepsie, délire, idées de suicide; mort par érysipèle de la face. Inégalité des hémisph
troubles Le malade avait un frère et cinq soeurs, dont deux sont mortes de la poitrine. Les premiers accès épileptiques
i ordonnent de temps en temps à travers la muraille de se donner la mort pour le bien de ses semblables. Dès qu'il enten
ts incompréhensibles. T. R. 39°. - Soir : T. R. 39°,6. le, avril. Mort à 6 heures du matin. T. R. une heure avant la m
,6. le, avril. Mort à 6 heures du matin. T. R. une heure avant la mort 39°,8. Autopsie. - Cuir chevelu épais d'un cent
éningite récente, vraisemblablement suffisantes pour expliquer la mort . Réflexions. Nous n'insisterons pas sur les ano
ie droite. - Idiotie, épilepsie jacksonienne à forme hémiplégique.- Mort en état de mal; par II. d'OLIER, interne des hô
ux étaient ternes, les dents fuligineuses, le faciès décomposé : la mort paraissait imminente. Des applications de sinap
L'enfant succomba dans la nuit. Température immédiatement après la mort : 41°,9. Autopsie. - Crâne épais. La base du cr
es sur les mem- bres inférieurs. - Érysipèle. - Bronchopneumonie. Mort . - Autopsie : Lésions pulmonaires et cérébrales;
peau sans élas- ticité, comme figée sur les parties sous-jacentes. - Mort le 28 novembre. Autopsie, 40 heures après la
sous-jacentes. -Mort le 28 novembre. Autopsie, 40 heures après la mort . Les poumons pré- sentent dans leurs lobes infé
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