nent. Les uns incriminaient le cerveau et le cervelet ; les autres la
moelle
, avec ou sans le concours des nerfs périphériques
bien déterminés du système nerveux — les faisceaux postérieurs de la
moelle
épinière — des lésions facilement saisissables.
s de l'ataxie en soient la conséquence ; 2° Certaines lésions de la
moelle
, primitivement développées en dehors des cordons
e, qu'elle a permis de constater que les lésions V, L'étude de la
moelle
épinière, à l'aide des grossissements, a seule le
e nous l'avons annoncé, diriger à un autre point de vue l'étude de la
moelle
faite à l'aide des grossissements. Il existe, en
pour mettre hors de doute que, dans ce cordon mince qu'on appelle la
moelle
épinière, il existe, pour ne parler que des faisc
bile, pourra-t-elle jamais, dans un organe aussi délicat que l'est la
moelle
, aussi difficile à atteindre, déterminer des lési
journellement de telles lésions, etl'anatomie topogra- phique de la
moelle
nous les fait reconnaître avec la plus grande pré
t confinée dans un tout petit département de la substance grise de la
moelle
: la région des cornes antérieures. On sait encor
le s'observe, par exemple, au renflement cervical, dans les cas où la
moelle
est comprimée sur un point de la région dor- 1
vous ai laissé pressentir que la lésion des cordons postérieurs de la
moelle
, à laquelle se rattachent les symp- sale, par l
nalées, M. Vulpian et moi. Ces bandelettes, vues à la surface de la
moelle
, semblent occuper les sillons collatéraux postéri
était représentée, à l'autopsie, dans la région dorso-cervicale de la
moelle
, que par les deux minces bandelettes grises ; le
elons votre attention, étaient affectées dans toute la hau-teur de la
moelle
et à cela se bornait, dans ce cas, la sclérose de
ans le sens vertical, des connexions entre les diverses parties de la
moelle
. Ces fibres serviraient à la coordination des mou
es prévisions. A la région dorsale, comme à la région cervicale de la
moelle
, la corne grise du côté droit était manifeste-men
ur 1 Pierret (A). — Sur les altérations de la substance grise de la
moelle
épi-nière dans l'ataxie locomotrice, considérées
de dégéné-ration ascendante consécutive à une lésion partielle de la
moelle
dorsale (myélite partielle primitive ou liée au m
ite partielle primitive ou liée au mal de Pott, tumeurs comprimant la
moelle
dorsale), les cordons pos-térieurs sont affectés
i je ne me trompe, M. Louis Un sujet atteint 1 Mém. sur Vétat de la
moelle
épinière dans la carie vertébrale, in Mém. et Rec
e des membres supérieurs. Cependant, à l'autopsie, on constata que la
moelle
dorsale était seule ramollie dans une partie de s
on spinale primitive occupe un point limité de la région dorsale delà
moelle
, on observe, en outre de la paralysie des membres
taines lésions expérimentales, portant sur le segment inférieur de la
moelle
épinière, peuvent retentir, par une action à dist
nt de potasse caustique étant appliqué sur la partie inférieure de la
moelle
, chez une grenouille décapitée, il est impossible
eurs, la sclérose ascendante consécutive aux lésions partielles de la
moelle
dor-sale reste strictement limitée, dans les cord
s, il existe presque toujours, dans les cas de lésion partielle de la
moelle
dorsale, principa-lement lorsque cette lésion siè
la sclérose fasciculée latérale occupant le renflement cervical delà
moelle
épinière. En résumé, lorsque la sclérose second
cor-dons latéraux dans toute la hauteur du renflement cervical de la
moelle
épinière. III. taux du type le plus commun. N
it exister entre certains symptômes gastriques et une affection de la
moelle
qui se rapporte évidemment à la description actue
uration grise s'accuse d'ailleurs dans le nerf optique, comme dans la
moelle
épinière, par la métamorphose fibrillaire de la n
hose difficile ; j'incline beaucoup à croire que, de même que dans la
moelle
épinière, le tube nerveux est affecté en premier
paraissent être sous la dépendance directe de certaines lésions de la
moelle
épinière auxquelles elles se rattacheraient par c
ent à titre d'affection symptomati-que. Les lésions irritatives de la
moelle
épinière, celles surtout qui occupent la substanc
défor-mons. {Note de la i" édition.) les régions supérieures de la
moelle
, alors qu'elle est déjà très ancienne dans la rég
uë. C. Mais, pour ne parler que de ce qui concerne spéciale-ment la
moelle
épinière, je crois pouvoir déclarer qu'il n'est p
ction articulaire c'est celui des lésions traumatiques portant sur la
moelle
épinière ; je me bornerai à citer deux exemples à
M. Viguès, il s'agit d'une lésion de la moitié latérale gauche de la
moelle
épinière déterminée par un coup d'épée. 11 se pro
rappé d'un coup de poignard qui lèse la moi-tié latérale gauche de la
moelle
. On vit peu de jours après sur-venir successiveme
de ces arthro-pathies, et quelle est, en particulier, la région de la
moelle
épinière dont l'altération détermine la lésion ar
st-ce pas là, Mes-sieurs, des éléments suffisants pour établir que la
moelle
est, dans ces circonstances, le grand moteur des
ie, mais encore dans celui de bien d'autres maladies chroniques de la
moelle
épinière. On raconte des merveilles de ce moyen a
e traiterai des accidents qui résultent de la compression lente de la
moelle
épinière. i La leçon de M. Onimus a été publiée
aux de Paris, 1872. DEUXIÈME PARTIE De la compression lente de la
moelle
épinière. Chap.cot. Œuvres complètes, ò. è. C
es complètes, ò. è. CINQUIÈME LEÇON De la compression lente de la
moelle
épinière. — Prodrome anatomique. Sommaire. — La
ière. — Prodrome anatomique. Sommaire. — La compression lente de la
moelle
reconnaît des causes variées. — Importance de son
Importance de son étude. Causes de la compression. — Tumeurs de la
moelle
: gliôme, tubercule, sarcome, carcinome, gomme, d
iôme, tubercule, sarcome, carcinome, gomme, dilatation kystique de la
moelle
. Tumeurs primitivement développées dans les mén
ques, arthrite sèche. — Mal de Pott: mécanisme de la compression delà
moelle
. — Mal vertébral cancé-reux. — Paraplégie doulour
e de paraplégie qui résulte de la compression lente que peut subir la
moelle
épinière en di-vers points de son trajet dans le
occasion-nent, en interrompant le cours des fibres nerveuses dans la
moelle
, constituent souvent les premiers symptômes qui f
e fait des progrès na-turels de leur évolution, jusqu'à intéresser la
moelle
et, d'au-« tre part, dans le temps même où elles
e, d'une manière rapide, les principales dispositions que présente la
moelle
au milieu du canal rachidien. Vous savez que ce c
erposée entre la pie-mère et la dure-mère. Celle-ci, à l'instar de la
moelle
, est, elle-même, suspendue dans le canal rachidie
à des nerfs. En définitive, Messieurs, le canal rachidien enclave la
moelle
et ses enveloppes d'une façon à peu près hermétiq
rogrès ulté-rieurs de son évolution, pourra entrer en contact avec la
moelle
épinière et exercer sur elle une compression plus
s la dure-mère ou dans l'arachnoïde et la pie-mère ; é) enfin dans la
moelle
elle-même. III. Envisageons tout d'abord les
ns tout d'abord les produits morbides qui pren-nent naissance dans la
moelle
elle-même. C'est là, Messieurs, dans l'espèce, un
hénomènes, dans les cas de productions morbides, nées en dehors de la
moelle
, ne se manifesteront que tardivement : d'où un pr
ion pour ainsi dire spéciale à la région : en effet, le cerveau et la
moelle
sont surtout les organes où, jusqu'ici, on l'a re
. Je n'insisterai pas davantage sur le gliôme car, par rapport à la
moelle
, son actif se réduit, pour le moment, à trois ou
étés du sarcome et du carcinome ne se montrent guère d'emblée dans la
moelle
elle-même. d) La gomme ou syphilome est aussi u
reconnaître avec quelque précision durant la vie, la présence dans la
moelle
d'une lésion syphi-litique. e) Je ne veux pas a
a dilatation kystique que présente quelquefois le canal central de la
moelle
épinière. Dans un cas de Gull, et dans quelques a
sait presque toute l'étendue en longueur du renflement cervical de la
moelle
. Le dernier phénomène, atrophie musculaire, se co
'un haricot, ces tumeurs, placées à l'étroit entre la dure-mère et la
moelle
, occasionnent prompte-ment l'aplatissement du cor
ration. Le canal membraneux que forment les ménin-ges se rétrécit, la
moelle
se trouve comme étranglée par ses 1 Kûhle. — Gr
es productions morbides qui, en progres-sant, arrivent à comprimer la
moelle
médiatement, en refou-lant la dure-mère. J'ai v
elles refoulent la dure-mère, et, par son intermédiaire, pressent la
moelle
elle-même. VI. Lésions vertébrales. J'arrive,
u moins, que formant des tumeurs assez volumineuses pour comprimer la
moelle
. 2° Je me bornerai aussi à mentionner Varthrite
ulgaire, on ne s'entend pas encore sur le mécanisme suivant lequel la
moelle
est affectée dans le mal de Pott. Ce desideratum
s peut offrir les déformations les plus extraordi-naires, sans que la
moelle
soit intéressée. Voici, Messieurs, d'après nos
arement, le champignon forme un anneau parfait, de telle sorte que la
moelle
ne paraît comprimée que sur une partie de sa surf
compression, remarquez-le bien, pourra exercer ses effets sans que la
moelle
soit en cause et c'est de la sorte que se produit
s tous les cas de lésions organiques qui, développées en dehors de la
moelle
, produi-sent, dans une de leurs phases, la compre
es tumeurs développées primitivement dans les parties centrales de la
moelle
, échappent à cette loi, parti-cularité dont il fa
nstance qui aura pour conséquence d'entraîner la participa-tion de la
moelle
. Les masses cancéreuses font issue en dehors du c
la plupart du temps, oppose un obstacle bien-tôt vaincu, et ainsi la
moelle
se trouve intéressée. Il y a bien d'autres combin
le plus habituel. SIXIÈME LEGÓN o De la compression lente de la
moelle
épinière. — Modi-fications anatomiques dans les c
e des cancéreux. Sommaire. — Modifications anatomiques que subit la
moelle
au niveau du point comprimé. — Changements de for
lésions organiques qui peuvent déterminer la compression lente de la
moelle
épinière. Actuel-lement, il nous faut étudier les
étudier les effets que cette compression produit sur la texture de la
moelle
. I. Examinons d'abord ce qui se passe sur la
texture de la moelle. I. Examinons d'abord ce qui se passe sur la
moelle
épinière au niveau du point où elle est comprimée
l ne s'agit pas là, Messieurs, de phénomènes purement mécaniques ; la
moelle
réagit à sa manière et s'enflamme tôt ou tard sou
lui que produit l'oblitération artérielle et qui surviendrait dans la
moelle
épinière au niveau du point com-primé. M. L. Trip
'il a été pratiqué dans ce cas, n'est pas à l'abri de la critique, la
moelle
n'ayant été étudiée qu'à l'état frais, et non à l
uration avec ou sans chan-gement de couleur de la région malade de la
moelle
. Mais l'examen microscopique, pratiqué sur des co
une planche où vous pourrez reconnaître les altérations qu'offrait la
moelle
au niveau du point com-primé, chez une femme atte
les effets pour ainsi dire nécessaires de la compression lenle de la
moelle
, soit qu'il s'agisse du mal de Pott, du cancer, d
essus et au-dessous de ce point, le long de certains fais-ceaux de la
moelle
: au-dessus, elles intéressent les cordons postér
latéraux. Enfin, la lésion ne porte que sur une moitié latérale de la
moelle
, si la com-pression est elle-même hémilatérale.
se fasciculée consécutive. ressources de la nature et de l'art? Une
moelle
aussi profondé-ment altérée ne peut-elle pas repr
sorte un résultat prévu, annoncé. Eh bien, dans quel état a été la
moelle
au niveau du point comprimé chez ces sujets, ou m
it guérie depuis plus de deux ans, serviront à la démonstration. La
moelle
, chez cette femme, au niveau du point où avait eu
pondait sur une coupe au tiers environ de la surface de section d'une
moelle
normale examinée dans la même région. Sa consista
on. Sa consistance était très ferme, sa couleur grise ; en un mot, la
moelle
avait toutes les apparences de la sclérose la plu
des tractus gris. Entre ces apparences que sur le point rétréci la
moelle
donne lorsqu'on l'examine à l'œil nu seulement et
dit, était parfait au moment de la mort et, à ce moment cependant, la
moelle
, à ne tenir compte que des renseignements fournis
ibreux très denses, très épais, à la vérité, et qui communiquent à la
moelle
sa coloration grise et sa con-sistance dure, le m
avec fruit les symptômes qui résultent de la compression lente de la
moelle
épinière. Mais, au seuil même de la question, la
nt aux effets de l'interruption du cours des fibres nerveuses dans la
moelle
, ne s'observent presque jamais, dans la clinique,
le veuses entre Je segment supérieur et le segment inférieur de la
moelle
épinière? S'est-il agi là d'une reproduction de t
que je vous l'ai fait remarquer, la surface de section du tronçon de
moelle
rétréci représentait à peine, en diamètre, le tie
tréci représentait à peine, en diamètre, le tiers de la surface d'une
moelle
nor-male, considérée dans le même point. — Le nom
des tubes nerveux était en conséquence, dans le point comprimé de la
moelle
, bien au-dessous du taux normal. J'ajouterai que
les, Luschka). Plus profondément nous trouvons les enveloppes de la
moelle
. En premier lieu se présente la dure-mère. Purkin
mpression et suivant qu'elle s'exerce sur telle ou telle région de la
moelle
. Ce n'est donc pas de ce côté, vous le voyez, qu'
a pie-mère en possède un grand nombre. Ce n'est pas tout encore. La
moelle
paraît jusqu'à un cer-tain degré douée de sensibi
j'ai négligé à dessein jusqu'ici le point le plus important. De la
moelle
épinière partent les racines antérieures et pos-t
d'autres lésions se développent primitivement dans l'épaisseur de la
moelle
épinière. Aussi M. Cruveilhier a-t-il pu dire ave
cerne les tumeurs exlra-rachidiennes qui ten-dent à s'avancer vers la
moelle
, elles amènent un résultat analogue, en produisan
sins de la tumeur sont comprimés les premiers ou, pour mieux dire, la
moelle
peut être comprimée pendant un cer-tain temps ava
n morbide presse également les racines nerveuses des deux côtés de la
moelle
. A l'appui de ces assertions, je crois bon, Mes
— siégeait au niveau de la onzième vertèbre dorsale et comprimait la
moelle
. Le malade avait accusé constamment un point doul
mblent encore le croire aujourd'hui, de la compression exercée sur la
moelle
épinière. Les travaux de M. L. Tripier 2, ceux de
que dans les cas de tumeurs extra-rachidiennes faisant effort avec la
moelle
, comme dans le cas par exemple d'un anévrysme ou
oient propres, ou, autrement dit, le can-cer peut pénétrer jusqu'à la
moelle
sans produire d'autres qui survient dans certai
atents ; — 2° des cancers vertébraux qui amènent la compression de la
moelle
, à peu près sans douleurs prédominantes ; — 3J en
r seul ou s'accompagner des symptômes ordinaires de compression de la
moelle
; mais, je n'hésite pas à le dire, dans l'espèce,
emble des symptômes caractéristiques sans aucune participa-tion de la
moelle
. Leyden, Hawkins, ont relaté des faits du même ge
l cancéreux; mais les symptômes de la paralysie par compression de la
moelle
pourront venir s'y surajouter. Quoi qu'il en so
unp (autre occasion. SEPTIÈME LEÇON De la Compression lente de la
moelle
épinière. — Symp-tômes. — Des troubles de la moti
spinales avec anesthésie croisée. Sommaire. — Lésions que subit la
moelle
au niveau du point comprimé. — Elles occupent tou
e au niveau du point comprimé. — Elles occupent toute l'étendue de la
moelle
en travers ou ne portent que sur une des moitiés
n'est pas, en règle générale, l'agent de la compression que subit la
moelle
épinière; la moelle peut, même en pareil cas, êtr
générale, l'agent de la compression que subit la moelle épinière; la
moelle
peut, même en pareil cas, être comprimée sans que
les symptômes qui relèvent directement de la compression lente de la
moelle
épinière. Nous allons aborder, je ne dois pas vou
où la lésion siège sur un point quelconque de la région dorsale de la
moelle
épinière. Il y a dès maintenant une première di
lir. Tantôt, en effet, la compression affecte toute l'épaisseur de la
moelle
, en travers ; tantôt elle ne porte que sur une de
propos desquelles j'ai dû entrer dans quelques développe-ments. La
moelle
, vous ne l'avez pas oublié, se trouve com-primée,
n entendu de lésions organiques primitivement situées en dehors de la
moelle
, ce centre nerveux n'a pas encore manifesté sa so
n dehors de toute modification dans les propriétés des éléments de la
moelle
, par le fait de la seule intercession mécanique d
très habituellement, dès leur apparition, Ie parties centrales de la
moelle
. Arrêtons-nous un instant aux troubles de la mo
e, les propriétés réflexes s'exaltent dans le segment inférieur de la
moelle
. Alors on voit les membres paralysés se soulever
ée. Il en est de même de l'exaltation des propriétés réflexes de la
moelle
. Il ne faudrait pas néanmoins chercher dans cette
que présentent les cordons laté-raux dans le segment inférieur de la
moelle
. Il est de règle que cette contracture impose d'a
ient être suivis expérimenta-lement dans les cordons antérieurs de la
moelle
jusqu'à l'issue des 3°-5e paires sacrées. Les ner
s cela, toute lésion qui aura pour conséquence d'inter-rompre dans la
moelle
, jusqu'à la sortie des 3e 4e et 5e paires sacrées
l'occlusion constante du sphincter; c'est pourquoi les lésions de la
moelle
cervicale et dorsale pro-duiraient le spasme perm
lésion qui, primitivement, aurait occupé les parties centrales de la
moelle
. Quoi qu'il en soit, voici l'exposé de quelques p
estion : Lorsque la transmission des impressions sensitives dans la
moelle
est rendue difficile par l'interruption d'un cert
guère, dans la paraplégie déterminée par une compression lente de la
moelle
épinière, que dans le cas où la lésion spinale es
achidien détermina une brusque irri-tation du segment inférieur de la
moelle
bientôt suivie de la formation rapide d'escarres
nous sommes occupés que des VIII Toute lésion hémilatérale de la
moelle
, qui ne remplirait pas les conditions expresses q
ns organiques qui interceptent le cours des fibres nerveu-ses dans la
moelle
, sur un point, dans toute son épaisseur. Je veux
tion que nous avons en vue. Nous supposons la moitié latérale de la
moelle
épinière lésée dans toute son épaisseur, jusqu'à
'intérêt a été surtout chirurgical, car la section hémilatérale de la
moelle
capable de déterminer l'hémiparaplégie avec anest
ers la partie moyenne de la région dorsale, une moitié latérale de la
moelle
épinière et supposons, pour nous mieux orienter,
abdominaux de ce même côté. Les téguments, sur moitié gauche de la
moelle
épinière. In Archives de physiologie, t. II, p. 2
a tumeur appliquée sur la face antérieure de la région dor-sale de la
moelle
, qu'elle comprime fortement d'avant en arrière et
compression hémilatérale au lieu de siéger à la région dorsale de la
moelle
, occupait centimètres et demi environ et son ax
en partie dans une dépression qu'elle s'est creusée aux dépens de la
moelle
. {Fig. 7, b.) Elle n'est pas placée exactement su
moitié droite. En un point, la compression de la moitié gauche de la
moelle
est poussée si loin que les deux feuillets de la
s qu'ils soient, après avoir suivi dans chaque moitié laté-rale de la
moelle
épinière, un trajet dirigé de dehors en de-dans e
ré-sulteront d'une telle disposition. La lésion hémilatérale de la
moelle
épinière — qu'il s'agisse d'une plaie déterminée
Au-dessous de la lésion, les conducteurs venant de ce même côté de la
moelle
suivront leur trajet jusqu'à la ligne médiane et
i est des conducteurs des impressions sensitives venues du côté de la
moelle
opposé à celui qu'occupe la lésion, ils ont tous
ysie motrice qui s'observe au-dessous de la lésion hémilatérale de la
moelle
et du même côté qu'elle, c'est une conséquence fa
es qui constituent ce faisceau ne s'entre-croisant nulle part dans la
moelle
avec des fibres homologues du côté opposé. J'av
ise. 11 résulte de cette disposition qu'une lésion hômilatérale de la
moelle
, même assez prononcée, mais qui, ne s'étendant pa
symptomatique qui révèle l'existence de lésions hémilaté-rales de la
moelle
épinière. Je ne puis me dispenser cependant d'ajo
enser pendant un temps, en conséquence de lésions trau-matiques de la
moelle
épinière. Je l'ai pour mon compte observé, sous l
compression à peu près exactement limitée à une moitié latérale de la
moelle
épi-nière. 1 Charcot et Gombault. — Note sur un
ologie 1873, p. 173. HUITIÈME LEGÓN De la compression lente de la
moelle
épinière. — Paraplégie cervicale. — Symptômes par
— Compression des nerfs des extré-mités supérieures. — Lésions de la
moelle
épinière au cou ; leur mode d'ac-tion dans la pro
ession des nerfs périphériques et celle qui dépend d'une lésion de la
moelle
. — Altération des cellules nerveuses mo-trices et
oelle. — Altération des cellules nerveuses mo-trices et tumeurs de la
moelle
, cause d'une troisième forme de la paraplégie cer
e. De quelques symptômes particuliers de la compression lente de la
moelle
cervicale. — Troubles oculo-pupillaires. — Toux e
le point de départ du pouls lent permanent doit être cherché dans la
moelle
cervicale ou dans le bulbe. — Cas du Dr Hal-berto
phénomènes de compression, affecte la ré-gion cervico-brachiale de la
moelle
épinière. leuses et huileuses, etc., en un mot
ntrer encore en conséquence de lésions qui portent leur action sur la
moelle
épinière elle-même. S'il est vrai qu'une compre
e au point, par exemple, de déterminer un aplatissement prononcé delà
moelle
, a pour effet nécessaire, lorsqu'elle s'exerce su
des membres thoraciques occu-pent, dans les cordons antérieurs de la
moelle
cervicale, un plan plus superficiel que celui qu'
de suivant lequel une altération de la région cervico-brachiale de la
moelle
épi-nière pourrait déterminer une paralysie motri
ente s'exerçant sur la partie antérieure de la région cervicale de la
moelle
épi-nière, et ayant déterminé une paralysie motri
utant d'une tumeur qui, primitivement développée vers le centre de la
moelle
cervicale, s'étendrait principalement en avant de
on cervicale, soit de la partie supérieure de la région dorsale de la
moelle
. Les symptômes en question méritent d'autant mi
assez fréquemment par le fait des lésions traumatiques portant sur la
moelle
cervicale ou sur la moelje dorsale supérieure. C'
trer liées aux lésions par compression des régions supé-rieures de la
moelle
. M. Ogle les a signalées dans plusieurs cas de ma
llissement des cordons antérieurs dans la région correspondante de la
moelle
épinière. Il serait facile, sans doute, de multip
ubles fonctionnels du grand sympathique observés dans les plaies delà
moelle
cervicale. In Arch. gèn. de méd., sept. 1869. p 2
. la dyspnée qui, dans la compression des régions supérieures de la
moelle
épinière, peuvent exister à titre de symptômes is
ccomba, quatre mois environ après le début des premiers accidents. La
moelle
épinière, à l'autopsie, fut trouvée ramollie dans
interne de la dure-mèreî elle avait déterminé la compression de la
moelle
, d'avant en arrière, au niveau du point ramolli.
nale (probablement un gliôme) qui occuperait la partie centrale de la
moelle
, dans la moitié inférieure du renflement cervical
présentait un tubercule solitaire développé dans la même région de la
moelle
. Il convient de mettre ces troubles digestifs en
circonstances et se montrent, dans cer-tains cas de compression de la
moelle
cervicale, quelquefois bien avant l'apparition de
n dont se com-portent ces organes lorsque la compression porte sur la
moelle
dorsale. C'est là un point qu'il n'était pas sans
aire supposer les effets bien con-nus des sections d'une moitié de la
moelle
épinière chez cer-tains animaux, l'épilepsie para
s de ce genre dont la moitié environ est relative à des lésions de la
moelle
cervicale déterminées par la compression. 1 E.
le savez, limitées aux parties situées au-dessous de la lésion de la
moelle
épinière. f) Un des faits les plus intéressants
Charcot et Bouchard ^Bouchard, D"S dégé-nérât ions secondaires de la
moelle
épinière, extrait des Archives généra'es de médec
ur l'épilepsie liée aux lésions des régions dorsale et lombaire de la
moelle
épinière, consulter: Leudet (Archives de médecine
and Phys. Journal,ï. LXI, new série, vol. VI, 1829, p. 232). de la
moelle
cervicale, en dehors même de toute influence trau
qu'il soit très accentué. En dehors des lésions traumatiques de la
moelle
cervicale ou du bulbe rachidien, le pouls lent, d
Union médicale. ( 1er mars 1870, n° 25, p. 331). serait pas dans la
moelle
cervicale ou dans le bulbe rachidien, plutôt que
très porté à croire, je le répète, qu'elle doit être cherchée dans la
moelle
épinière ou dans le bulbe. En l'absence d'observa
produits par l'irritation traumatique des régions su-périeures de la
moelle
, mais encore sur la connaissance d'un fait partic
ubi l'ankylose osseuse, de manière à ne permettre aucun mouvement. La
moelle
allongée était très petite et d'une con-sistance
lecliformes et épi-leptiformes, — aux effets de la compression que la
moelle
cervicale et le bulbe avaient dû subir en conséqu
ertains cas, au moins, d'une lésion siégeant dans le bulbe ou dans la
moelle
cervicale supérieure ; c'est là une thèse que je
ui en résulte. L'histoire des effets de la com-pression brusque de la
moelle
cervicale et du bulbe, qui sur-vient alors, ne pr
cier ce cas de ceux où la lésion hémilatérale siège plus haut dans la
moelle
— perte de la sensibilité dans diverses parties d
faits que nous avons enregistrés dans la clinique des maladies de la
moelle
épinière. Je me vois forcé, à mon regret, de lais
ez, ont pour siège les cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
épinière. Avant d'entrer dans l'étude particuli
quer d'une façon tout à fait sommaire. Bien qu'elle occupe, dans la
moelle
épinière, un espace rela-tivement restreint, la s
répèle, si circonscrit, qu'occupe la substance grise au centre de la
moelle
épinière, il y a lieu d'établir plusieurs régions
offre déjà un champ d'étude assez vaste, car les lésions aiguës de la
moelle
épinière qui peuvent entraîner le développement r
ar-ticulièrement de la question, ont, d'un commun accord, dési-gné la
moelle
épinière comme étant l'organe où les lésions prim
nce grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans la région de la
moelle
d'où émanaient les nerfs se rendant aux muscles a
es cellules avaient disparu dans la corne antérieure du segment de la
moelle
correspondant aux muscles atrophiés et, sur les p
2 Medic. chir. Tramact., t. II. London, 1868. Fig. 8. — Coupe de la
moelle
à la région cervicale dans un cas de para-lysie i
tive de tous les faisceaux blancs dans la moitié correspondante de la
moelle
. Iules motrices étaient altérées profondément,
accentuées et elles ré-gnaient à peu près dans toute la hauteur de la
moelle
épinière : elles occupaient, partout principaleme
rieures de la substance grise (Fig. 8). Dans toutes les régions de la
moelle
, les grandes cel- c'est là un fait qu'il convie
racines antérieures, remarquable surtout au niveau des régions de la
moelle
le plus profondé-ment atteintes, altérations déjà
où les procédés d'investigation ap-pliqués à l'étude anatomique de la
moelle
n'avaient pas atteint le degré de perfection qu'i
48, 51. (Octobre, novembre et décembre 187i.) Fig. 9. — Coupe de la
moelle
faite à la région lombaire. — A, corne anté-rieur
mis en lumière, — ne présentent au niveau des régions altérées de la
moelle
épinière, dans les cas récents, que des lésions r
s de M. Damaschino établiraient même qu'on peut, sur les points de la
moelle
le plus profondément atteints, rencontrer tous le
llules mo-trices étaient profondément altérées dans les régions de la
moelle
épinière, correspondantes aux muscles frappés d'a
ection et ils ont reconnu dans ces deux cas que, sur les points de la
moelle
le plus pro-fondément altérés, les lésions locali
arfois dans la myélite aiguë centrale vulgaire, les altérations de la
moelle
épinière, dans la paralysie des enfants, peuvent
ires les Fiq, 10. — Cellules nerveuses des cornes antérieures de la
moelle
épinière. — A, état normal. — B, état hypertro-ph
rophie scléreuse. — F, altération vacuolaire. en ce qui concerne la
moelle
(Soc. de biologie, 1872). Le corps, volumineux et
ontournés. J'ai comparé cette altération des cellules nerveuses de la
moelle
épinière à l'hypertrophie que présente, sous l'in
ation dont les cellules nerveuses des cornes grises antérieures de la
moelle
épinière se mon-trent susceptibles. 1° Je signa
avoir fait la même observation sur les cellules ganglionnaires de la
moelle
. Mais il importe de remarquer que, dans certaines
ie, car elle n'a rien de commun avec l'altération parti-culière de la
moelle
épinière, alors déjà fort bien étudiée par MM. Cl
vost, a montré qu'une lésion, portant sur les parties centrales de la
moelle
, détermine des lésions musculaires fort semblable
ntrifuges, qui prennent leur origine dans les parties affectées de la
moelle
1 M. Kussmaul à proposé la dénomination Polyo-m
produitlà, parle fait de la maladie, dans les parties centrales de la
moelle
épinière, une expérience délicate et toujours réu
ndées, il doit s'en suivre que toute lésion inflammatoire aiguë de la
moelle
épinière, quelle que soit d'ailleurs son origine,
ia-tion2. Quoi qu'il en soit, elle occupe les régions centrales de la
moelle
épinière, la substance grise surtout, et tend à e
la myélite diffuse, révèlent la participation des autres régions delà
moelle
. Ce sont des altérations plus ou moins marquées d
xture par le fait de l'inflammation. Les lésions traumatiqnes de la
moelle
épinière, qu'elles résultent d'une fracture de la
de la Salpêtrière, 1870. qu'une petite étendue de la hauteur de la
moelle
. Mais sou-vent elles se propagent très rapidement
érédité, froid, traumatisme. Anatomie pathologique. — Lésions de la
moelle
: altération limitée aux cornes antérieures de sub
et laissant parfaite-ment indemnes tous les autres départements de la
moelle
épinière, substance blanche et substance grise, t
le. Ainsi, l'élément anatomo-pathologi-que est représenté: Io dans la
moelle
, par une lésion systé-matiquement limitée aux cor
te, consécutif en tout cas. La lésion originelle siège encore dans la
moelle
épinière, mais elle s'est dévelop-pée en dehors d
e fait, il n'est peut-être pas une lésion élémentaire chronique de la
moelle
épinière qui ne soit susceptible, à un moment don
ue a eu lieu, voici l'énoncé des principales formes d'affectiun de la
moelle
épinière qui peuvent donner lieu a l'amyotrophie
ammation des méninges qui occupe surtout le renflement cervical de la
moelle
et qui répond sans doute à ce qu'on appelait autr
répond sans doute à ce qu'on appelait autrefois Y hypertrophie de la
moelle
épinière. La lésion méningée se propage à la moel
ypertrophie de la moelle épinière. La lésion méningée se propage à la
moelle
elle-même et simulta-nément aux origines des nerf
ation spinale comme résultant d'une dilatation du canal central de la
moelle
épi-nière. Il est certain que, dans la majorité d
ier fd'Angers) sous le nom de syHngomyélie ou cavité centrale dans la
moelle
épinière (Traité des mala-dies de la moelle épini
u cavité centrale dans la moelle épinière (Traité des mala-dies de la
moelle
épinière, 3e édil., 1837, t. I, p. 202). J'ai fai
e la substance grise, parcouraient, parallè-lement au grand axe de la
moelle
, le renflement cervical dans toulo son éten-due.
d'un tissu pathologique développé au sein des parties centrales de la
moelle
épinière. La réalité dii fait me semble avoir été
une sclérose qui affecte symétriquement les faisceaux latéraux de la
moelle
épinière, dans toute la hauteur de ce cordon nerv
s déterminée par une compression s'exerçant sur un point limité de la
moelle
épi-nière à la région dorsale ; l'inertie motrice
ale protopathique. 1° Nous commencerons par ce qui est relatif à la
moelle
. La lésion, dont il s'agit, porte nécessairement
ue conjonctive présentent les traces manifes- Fig. 11. — Coupe delà
moelle
épinière à la région cervicale dans un cas d'atro
m. — Note sur un cas d'atrophie musculaire progressive, lésions de la
moelle
. (Archives de physiologie, 1869, p. 79.) 4 Voic
nt. — Mort rapide par le fait d'une pneumonie lobulaire. État de la
moelle
épinière à l'autopsie. — Renflement cervical : à
d'une tuberculisation pulmonaire, à évo-lution rapide. — Examen de la
moelle
épinière durcie, sur des coupes. — Dans toute l'é
moelle épinière durcie, sur des coupes. — Dans toute l'étendue de la
moelle
, mais surtout ù la région cervicale, un grand nom
M. Recklinghausen, n'aurait permis de reconnaîtra aucune lésion de la
moelle
épinière. Malheureusement la relation de l'autops
és antérieures. Nous croyons devoir rappe-ler encore une fois, que la
moelle
épinière peut, a l'œil nu, paraître tout à t'ait
ons de cette localisation fournies par l'étude du développement de la
moelle
épinière. — Formation des cordons latéraux, des f
mic pathologique : Confi-guration et topographie de la lésion dans la
moelle
et le bulbe. — Lésions consécutives de la substan
la substance grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), dans la
moelle
et dans le bulbe. —Altérations secondaires : Raci
reconnaissant plus une circonscription aussi étroite, occupe dans la
moelle
, en outre des cornes antérieu-res, soit la substa
aux no-tions fournies par l'étude du développement embryonnaire de la
moelle
épinière. En effet, on reconnaît alors aisément q
un système à part, distinct anatomiquement des autres faisceaux de la
moelle
épinière. C'est là, Messieurs, un point de vue
ollicitation, dans le labora-toire que je dirige, M. Pierret. A. La
moelle
épinière n'est, vous le savez, dans les pre-miers
re, la masse embryonnaire tend à se séparer, Fig. 12. — Coupe de la
moelle
d'un embryon humain d'un mois. — a, cornes antéri
e antérieure, l'autre postérieure, pour chaque moitié laté-rale de la
moelle
. Ainsi se trouvent ébauchés, en premier lieu, les
es qui tendent à s'accoler et qui régnent dans toute la hauteur de la
moelle
: ce sont les fais-ceaux de Goll (Fig. 14, m). E
faisceaux que j'ai proposé de désigner sous Fig. 13. — Coupe de la
moelle
d'un embryon humain âgé d'un mois et demi. — a, b
, comme dans la figure 14. — /, cordon latéral. Fig. 14. — C. de la
moelle
d'un embryon hu-main âgé de deux mois. — a, b, c,
chez l'adulte au-dessous de l'extrémité du ren-flement cervical de la
moelle
. Ainsi se trouve complété l'ensemble des pièces
space triangulaire correspondant à la partie la Fig. 15. — C. de la
moelle
cervicale d'un embryon humain âgé de 12 à 15 sema
ellules chargées de granulations graisseuses qui représentent dans la
moelle
ce que M. Parrot désigne sous le nom de stéatose
ins prononcé dénote souvent chez le jeune enfant, à l'extérieur de la
moelle
une séparation entre les faisceaux latéraux propr
s les premiers temps de la vie au moins, les faisceaux latéraux de la
moelle
épinière ; je dois compléter pourtant cet aperçu,
ans le pédoncule, la protubérance, le bulbe et toute la hauteur de la
moelle
épinière, une lésion consécutive, qui se traduit
Au-dessous de l'entre-croissement, au contraire, elle occupe dans la
moelle
le côté opposé. Cette lésion du système des faisc
te son étendue, aussi bien dans l'isthme que dans le bulbe et dans la
moelle
épi-nière. Dans cette hypothèse qui, plus d'une f
us les caractères indiquant une nutrition normale. Cette lésion de la
moelle
épinière, entre autres cir-\ constances, s'observ
nte le système des faisceaux latéraux dans les diverses régions de la
moelle
, dans le bulbe et dans Charcot. Œuvres complète
— Coupe transversale passant par le milieu du renflement lombaire.
moelle
. —a) Sur des coupes transversales, à la région du
outefois, elle est séparée constam-ment de la couche corticéile de la
moelle
par un tractus de substance blanche restée intact
a commissure. En dehors, elle se rap-proche de la zone corticale delà
moelle
dont elle n'est séparée que par une languette trè
tous les cas que j'ai observés, prédomine à la région cervicale de la
moelle
épinière; elle est souvent très prononcée encore
ement peu atrophiés. b) Les altérations de la substance grise de la
moelle
épi- Il ne me reste plus qu'à vous entretenir d
que l'on considère comme les ana-logues des cornes antérieures de la
moelle
et, par conséquent, comme servant d'origine aux n
rphologique, tant d'analogie avec les grandes cellules motrices de la
moelle
, se montrent atrophiées ou dé-truites en même tem
sie a été pratiquée par M. Voisin, interne du service. L'examen de la
moelle
conduit par M. Gombault, préparateur du cours d'a
ses motrices dans les cor-nes antérieures à la région cervicale de la
moelle
et dans les noyaux d'origine des nerfs bulbaires.
le descendante consécu-tive à une lésion en foyer du cerveau et de la
moelle
épinière. — Cas à l'appui. - Pachyméningite cer
rophique. — Anatomie pathologique . Altération des méninges ; — de la
moelle
épinière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptôme
-tile. — Desideratum. Amyotrophies indépendantes d'une lésion de la
moelle
épinière ; exemples. Paralysie pseudo-hypertrophi
considérations relatives àl'anatomie pathologique topographique de la
moelle
épinière. ' Messieurs, Pour terminer l'histoi
urviennent consécutivement aux lésions partielles du cerveau et de la
moelle
épinière que les muscles demeurent, dans la règle
pressions, se cou-vrit de bulles et même d'escarres. L'examen de la
moelle
épinière fît reconnaître la sclérose descendante
'ici vérifiée de visu. Je vous ai cité, à l'occasion des plaies de la
moelle
épinière, une observation qui semble devoir se pr
de faire remarquer ailleurs que la sclérose symétrique latérale de la
moelle
peut exister sans participation des cornes grises
la lésion, il est variable ; mais c'est le renflement cervical de la
moelle
qui paraît être, en quelque sorte, le lieu d'élec
nsversale pratiqué ' à la partie moyenne du renflement cervical de la
moelle
épinière, de A. Gastala (Pachyméningite cervicale
dans un cas de ce genre, le canalrachidien, on est frappé de voir la
moelle
, au niveau du renflement brachial, se présenter s
ux. Mais, en réalité, ce n'est pas une véritable hypertrophie de la
moelle
qu'on a sous les yeux; car, sur les coupes transv
yméningite cervicale qui, seule, nous occupe ici; mais, plus tard, la
moelle
elle-même d'un côté, et d'autre part les nerfs pé
autrefois par Laen-nec, Andral, Hutin, sous le nom hypertrophie de la
moelle
épinière, appartiennent à la pachyméningite cervi
appartiennent à la pachyméningite cervicale. C'est aisément que la
moelle
, loin d'être hypertrophiée, est, au contraire, ap
le-ci), ont la propriété de donner naissance à des hématomes. b) La
moelle
épinière participe à l'altération, et l'on y trou
s semblent dépendre surtout de l'extension de la lésion méningée à la
moelle
épinière et aussi d'une altération plus profonde
i que les filets d'origine des nerfs cubital et médian émergent de la
moelle
plus bas que ceux du nerf radial, on comprendra
n, s'effectue, dans ces cas, l'envahissement Fig. 26. — Coupe de la
moelle
épinicre u la région lombaire dans un cas d'ataxi
-elle pas été l'occasion d'erreurs 1 Hayem. — Des altérations de la
moelle
, consécutives à l'arrachement du nerf sciatique c
de départ dans le système nerveux 3 et plus par-ticulièrement dans la
moelle
épinière. En réalité, c'est là une hypothèse qui,
es centres nerveux avaient été négatifs. À la vérité, dans ce cas, la
moelle
épinière ayant été examinée à l'état frais, ou ap
ns Mais * Charcot. — Note sur fêtât anatomique des muscles et de la
moelle
cpi-nière dans un cas de paralysie pseudo-hypertr
nique, aux travaux que je viens de citer. Relativement à l'état de la
moelle
épinière, nos observations ont porté sur des coup
sur les points les plus divers des régions cervicale et dorsale de la
moelle
. Je dois faire remarquer, ici. que les muscles qu
anqué de se montrer très accentuées dans le renflement cervical de la
moelle
épinière. Or, le résultat a été absolument néga
t acces-soire, pour ainsi dire accidentelle, cell s des régions de la
moelle
(cornes grisés antérieures et faisceaux radiculai
faisceaux, un certain degré d'hyperplasie consécutive. L'examen de la
moelle
épinière fournit des résultats intéressants : Les
être considérée comme indépendante de toute lésion appréciable de la
moelle
épinière; j'ajouterai que, dans le fait qui m'est
rogressive, provenant d'une lésion des nerfs sans participation de la
moelle
épinière ; je ne vois aucun motif qui permette de
n plus de l'altération des nerfs périphériques, — il existait dans la
moelle
épinière des altérations très profondes de la sub
mblait devoir être rattachée à une lésion des nerfs périphériques. La
moelle
épinière était tout à fait saine dans ces deux ca
des récentes, relatives à l'anatomie pathologique topographique de la
moelle
épinière. Ces études, vous ne l'avez pas oublié
eur sont dues. D'une façon générale, elles tendent à établir que la
moelle
épinière est composée d'un certain nombre de régi
où se trouvent indiquées, par des feintes diverses, les régions de la
moelle
épinière, jusqu'ici explorées par le pathologiste
fectés systéma-tiquement dans toute leur étendue des deux côtés de la
moelle
, dans le cas de sclérose latérale symétrique et,
sclérose latérale symétrique et, par-tiellement, d'un seul côté de la
moelle
, dans la sclérose des-cendante consécutive aux lé
téraux ; Fig. 30. — Coupe transversale de la région lom-baire de la
moelle
provenant d'un sujet chez lequel les muscles du m
avec amyotrophie dans le membre correspondant à la région lésée de la
moelle
épinière. Pour ce qui est de la substance grise
al des racines antérieures) paraissent être les seules ré-gions de la
moelle
épinière qui intéressent directement la nutrition
ratum organique, une lésion anatomique plus ou moins profonde dont la
moelle
épi-nière est le siège. Il est certain également,
nom de sclérose symétrique et primitive des faisceaux laté-raux de la
moelle
épinière. Mais, il importe de ne pas l'ou-blier,
ulgaire de la ma- 1 OUivier (d'Angers). — Traité des maladies de la
moelle
épinière. 3e édit. Paris 1837, t. II, p. 426. j
ur ainsi dire obligatoire de toutes les inflammations scléreuses delà
moelle
épinière, quelle qu'en soit l'origine, à la condi
on à propos des paraplégies consécutives à la com-pression lente delà
moelle
épinière ». J'ajouterai, pour com- i Leçons sur
où la myélite partielle se rattacherait à la com-pression lente de la
moelle
épinière, elle se caractériserait en outre, en l'
ymptômes parétiques se soient dessinés Si, au lieu de comprendre la
moelle
dans toute son épais-seur en travers, la lésion,
x pyramides antérieures dans le bulbe rachidien, et occupant, dans la
moelle
épinière, sur certains points, les faisceaux post
ture dea lésions. — Pathogénie : propagation de la lésion rénale à la
moelle
par l'intermédiaire des nerfs (Troja, Leyden). —
à l'appui. — Exemples de propagation de l'inflammation des nerfs à la
moelle
. Paraplégies urinaires réflexes. — Symptômes. —
comme cause mais au contraire comme con-séquence d'une maladie de la
moelle
épinière ; nous sommes éclairés maintenant, par n
remier groupe comprend les paraplégies urinaires dans lesquelles la
moelle
épinière est le siège d'une lésion in-flammatoire
mis de constater en pareil cas l'intégrité, apparente au moins, de la
moelle
épinière. C'est, Messieurs, celte forme de para
sie dus membres inférieurs ; à l'autopsie, ramollissement rouge de_la
moelle
lombaire. vent deux, cinq, dix ans même. Ils éc
eignements fournis par l'au-topsie. Il est des cas où, à l'œil nu, la
moelle
paraît ne pré-senter aucune altération ; si alors
s superficiel fait reconnaître déjà, dans les parties affectées de la
moelle
, la diminution de consistance et le changement de
uivant la direction centripète, des reins ou de la vessie, jusqu'à la
moelle
épinière. C'est là l'opinion à laquelle, dans une
anal vertébral autour des racines du nerf, près de leur émergence. La
moelle
épi-nière, dans la région correspondante, était r
les importantes recherches de M. le Dr Hayem. — Des altérations de la
moelle
consécutives à l'arrachement du nerf sciatique ch
1S70 (Tome I, p. 1-152). périphériques peut se propager jusqu'à la
moelle
. Lallemand a cité le cas d'une névrite occupant p
nt au-dessus du ganglion intervertébral, peuvent re-monter jusqu'à la
moelle
et y produire les lésions de la dégé-nération gri
été le siège d'un travail inflammatoire, qui s'est propagé jusqu'à la
moelle
et suivant toute probabilité jusqu'à la substance
embres que d'une paralysie proprement dite ; le pouvoir réflexe de la
moelle
n'est jamais accru ; jamais la paralysie, soit de
s, d'ailleurs assez peu explicites où l'autopsie a été pra-tiquée, la
moelle
a toujours paru exempte d'altération. A la vérité
de déterminer une sorte de contracture prolongée des vaisseaux de la
moelle
épinière et de ses enveloppes, et c'est en conséq
néralement peut-être, c'est que l'irritation de certains points de la
moelle
ou des nerfs spinaux est capable, elle aussi, dan
cir-constances, d'apporter un obstacle aux fonctions régulières de la
moelle
, d'y abolir, par exemple, momentanément, le jeu d
s. Si, l'encéphale étant détruit, chez une grenouille, on irrite la
moelle
épinière, dans sa région inférieure, par l'applic
le même physio-logiste : encore sur une grenouille, le cerveau et la
moelle
sont détruits, jusqu'au niveau du plexus brachial
mples de fausses paraplégies, en ce sens du moins que ce n'est pas la
moelle
qui est atteinte. Les choses se passent, en parei
n qui ne manque guère d'apparaître quand les faisceaux latéraux de la
moelle
sont affectés de sclérose à un certain degré, pou
lade est morte en 1876, de la rupture d'un anêvrysme de l'aorte. — La
moelle
épinière présentait une sclérose des cordons post
thropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cer-veau ou de la
moelle
épinière in Arch. de Phys , t. 1er, p. 161. Voir
ux delà substance blanche, non seulement au niveau de la partie de la
moelle
la plus profondément lésée, mais encore à une gra
tion des cylindres d'axe, dans trois cas de lésions irritatives de la
moelle
épi-nière ; les observations que j'ai faites à ce
rtie du côté opposé, au niveau des lombes. A l'autopsie, on trouva la
moelle
entièrement divisée au niveau de la partie supéri
lambeau de la dure-mère rattachait seul les deux bouts séparés de la
moelle
épinière. L'examen microscopique, fait à l'état f
. L'examen microscopique, fait à l'état frais, de deux segments de la
moelle
, au voisinage de la perte de substance, dans l'ét
uccombe le 15e jour. Autopsie.— Au niveau des 6e et 7e dorsales, la
moelle
dans toute son épaisseur, à l'exception d'une par
ogressivement d'étendue et en se limitant aux régions centrales de la
moelle
. Au-dessous, il descend, également limité à ces r
it isolés, soit agrégés dans les régions cervi-cale et lombaire de la
moelle
épinière où les foyers de désin-tégration de l'hy
ombre de cellules nerveuses motrices, dans les diverses régions de la
moelle
, ont augmenté de volume. Quoi qu'il en soit, ce g
. Bourneville, qui m'a laissé le soin de l'examen histolo-gique de la
moelle
épinière. Pour les détails relatifs au côté clini
ans laisser de traces. Autopsie. — Des sections transversales de la
moelle
épinière, après macération de quelques jours seul
broïde sont notablement épaissies. Après durcissement complet de la
moelle
, l'examen de coupes transversales permet de con
remière de celles que j'ai rapportées, d'une lésion traumatique de la
moelle
épinière. Le renflement brachial surtout avait ét
s aiguës, subaiguës et chroniques pri-mitives de l'inflammation de la
moelle
épinière. Quelle est la signification de cette
rtains cas, la première expression anatomique de l'inflammation de la
moelle
épi-nière. On peut la voir, en effet, exister seu
ontre aussi avec quelle rapidité l'irrita-tion peut modifier, dans la
moelle
, la structure des éléments nerveux, même sur des
cylindres tuméfiés qui, examinés sur des coupes lon-gitudinales de la
moelle
, paraissent inégaux, bossues à leur surface et si
ylindres d'axe n'appartient pas exclusivement aux tubes nerveux de la
moelle
épinière. Je l'ai observée, pour mon compte, plus
res sont de volume normal et ont la coloration blanche habi-tuelle.
Moelle
épinière. Les racines antérieures sont rougeâtres
sont plus vascularisées que d'habi-tude. Dans toute l'étendue de la
moelle
, les cordons latéraux propre-ment dits, les faisc
ve, bien que moins marqué, sur tous les points de la périphérie de la
moelle
. Il a retenti sur la couche qui lui est immédiate
adiculaires antérieures, l'examen d'un certain nombre de coupes de la
moelle
épinière suffit à dé-montrer que c'est là une lés
s scléreuses, étendues de la corne an-térieure à la phériphérie de la
moelle
et rappelant ainsi très exactement la direction d
nerfs crâniens qui présentaient une modification dans leur teinte. La
moelle
, examinée à l'état frais, ne nous a mon-tré aucun
rincipalement sur la moitié gauche et sur la partie postérieure de la
moelle
. Il est possible que, malgré tout le soin qui a é
. Il est possible que, malgré tout le soin qui a été mis à enlever la
moelle
, ce ramollissement ait été produit artificielleme
qui vient d'être dit est relatif sur-tout à la région cervicale de la
moelle
; à la région dorsale, les lésions atrophiques se
et des gan-glions inférieurs, n'a fourni aucun résultat décisif. e)
Moelle
épinière. Examen à l'état frais de la partie ramo
amollie. On sait qu'immédiatement au-dessus du renflement lombaire la
moelle
présentait dans une certaine étendue, une diftlue
-rations qui portent les unes sur les faisceaux antéro-latéraux de la
moelle
, les autres sur la substance grise, en particulie
malades sont comparées aux parties correspondantes sur des coupes de
moelle
provenant des sujets sains. Nous avons pris pour
avons pris pour terme de com-paraison de très belles préparations de
moelle
saine que nous de-vons à l'obligeance de M. Lockh
cusée, mais moins étendue toutefois que dans les autres régions de la
moelle
; elle occupe d'ailleurs le même siège. Les cellu
qui a été signalée à propos des cellules des cornes antérieures de la
moelle
, aux régions cervicale et dorsale. Nous avons pri
al. Observation IL Sclérose symétrique des cordons latéraux de la
moelle
et des pyra-mides antérieures dans le bulbe. — At
dans le bulbe. — Atrophie des cellules des cor-nes antérieures de la
moelle
. — Atrophie musculaire progressive. — Paralysie g
chidien offre tous les ca-ractères de l'état normal. — Le tissu de la
moelle
est partout d'une consistance ferme ; il n'y a pa
rise se retrouvent sur un certain nombre de racines antérieures de la
moelle
. Etude histologique. — Muscles. — L'examen des
centrale contiennent une notable proportion de cellules dégénérées.
Moelle
. La moelle est le siège d'altérations fort étendu
ntiennent une notable proportion de cellules dégénérées. Moelle. La
moelle
est le siège d'altérations fort étendues, qui por
antéro-latéraux. Ils présentent, sur des coupes trans-versales de la
moelle
, tous les caractères de la sclérose des fais-ceau
e cette sclérose, on voit qu'elle oc-cupe, sur toute la hauteur de la
moelle
, des points symétriques dans chacune des moitiés
ubstance grise et symétriquement disposée dans les deux moitiés de la
moelle
, la lésion cellulaire qui a été décrite à propos
ement d'étendue, à mesure qu'elle gagne les régions inférieures de la
moelle
. Tandis qu'au niveau du renflement cervical, c'es
n ensemble, et l'on peut constater dans les régions supérieures de la
moelle
, la pré-sence de véritables foyers. Allongés dans
d'induration. Les artères de la base sont à peine athéromateuses. La
moelle
, exa-minée à l'extérieur et sur des coupes faites
ations durcies par l'acide chromique et colorées par le" carmin. — 1°
Moelle
épinière. — Cou-pes transversales pratiquées sur
us con-jonctifs qui rayonnent du centre gris vers la périphérie de la
moelle
. C'est dans la substance grise et plus spéciale
nes pré-parations provenant des mêmes points, de la même région d'une
moelle
saine, ont montré ce qui suit : Les cellules, q
on pigmentaire décrite plus haut, à propos des diverses régions de la
moelle
épinière. Les cellules altérées sont disséminées
pe les cellules ner-veuses, non seulement dans toute la hauteur de la
moelle
épinière, mais encore dans le bulbe, et d'où résu
gré moin-dre, sur les noyaux du pneumogastrique et du facial. Dans la
moelle
épinière, elle est limitée aux grandes cellules n
t pas être affectées. On la rencontre dans toutes les régions de la
moelle
, mais elle prédomine certainement au renflement c
grand nom-bre de prolongements cellulaires ; on n'y observe, dans la
moelle
comme dans le bulbe, ni foyers de désintégration
re que les cellules gan-glionnaires ont été, dans le bulbe et dans la
moelle
, le siège primitif du mal et que les nerfs périph
présentaient les cellules nerveu-ses dans les diverses régions de la
moelle
et du bulbe, on re-marquera qu'il existait entre
rs qu'il n'existe aucun signe d'une lésion des faisceaux blancs de la
moelle
épinière. 3 Voir, entre autres: A. Wachsmuth. —
que, 1870, p. 247). Note sur l'état anatomique des muscles et de la
moelle
épinière dans un cas de paralysie pseudo-hypertro
enflement cervical et la moitié supérieure de la région dorsale de la
moelle
épiniôre ; 3° di-vers tronçons pris sur les nerfs
point ; je vais m'arrêter actuellement à l'examen que j'ai fait de la
moelle
épinière. II. Les recherches récentes relativ
ait, de rattacher à une lésion de certaines régions déterminées de la
moelle
épinière un bon nombre de ces affec-tions. Bans c
utopsie a été dirigée par M. Cohnheim *. À la vérité, dans ce cas, la
moelle
épinière ayant été examinée à l'état frais ou apr
nheim. Bien que nous n'ayons eu entre les mains qu'une partie de la
moelle
épinière comprenant la moitié supérieure de la ré
les mus-cles qui reçoivent leurs nerfs de cette dernière région de la
moelle
étaient, pour la plupart, affectés, à un haut deg
manqué de se montrer très accusées dans le renflement cervical de la
moelle
épinière. Nos observations ont porté sur des co
sur lespoints les plus divers des régions cervicale et dorsale de la
moelle
. Or, le résultat a été absolument négatif: partou
être considérée comme indépendante de toute lésion appréciable de la
moelle
épinière on des racines ner-veuses. Une observa
faisceaux, un certain degré d'hyperplasie conjonctive. L'examen de la
moelle
épinière fournit des résul- 1 Otto Barth. —Beit
c lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-latêraux de la
moelle
èpinière, par MM. Gharcol et A. Joffroy (Archiv.
a-tions relatives à Tanatomie et à la physiologie pathologiques de la
moelle
épinière 6. Mais je me sépare complètement de l'a
S CORDONS POSTÉRIEURS Pig. 1 (à gauche). — Coupe transversale de la
moelle
au niveau de la sixième vertèbre dorsale. a, a,
ne trace de sclérose. Fig. 2 (à gauche). — Coupe transversale de la
moelle
à la région cervicale. Les rubans externes, a, a,
rla sclérose. Fig. 2 (à droite). — Coupe de la région dorsale de la
moelle
. La sclérose a envahi les mêmes parties qu'au ren
renflement cervical. Fig. 3 (à gauche). — Coupe transversale de la
moelle
à la partie inférieure de la région dorsale. — a,
-missure postérieure. Fig. 3 (à droite). — Coupe transversale de la
moelle
à la partie moyenne de la région cervicale. a,
LANCHE II mal de pott; paraplégie Pig. 1. — Substance blanche de la
moelle
au point comprimé chez un sujet mort avec une par
efoulé sur les parties latérales. Fig. 2. — Substance blanche de la
moelle
chez un sujet guéri de la para-plégie et mort d'u
Î PLANCHE III MAL DE POTT; TAIUPLÉGIE Fig. 1. — Examen de la
moelle
par coupes successives dans un cas de mal de Pott
la partie posté-rieure des cordons latéraux. Fjg. 2. — Coupe de la
moelle
ëpinièrea la région dorsale (au niveau du point c
rieure n'existe plus. — c, Vestiges delà partie latérale droite de la
moelle
. Fig. 3. — Coupe à la région cervicale dans un
mides. p, p, Cornes postérieures. Fig. 2.— Coupe transversale de la
moelle
épinière à la partie supérieure du renflement cer
ures, p, p, Cornes postérieures. Fig. 3. — Coupe transversale de la
moelle
épinière à la partie inférieure de la région cerv
QUE DES CORDONS ANTÉRO-LATÉRAUX Fig. 1 . — Coupe transversale de la
moelle
épinière à la partie moyenne de la région dorsale
ures. p, p, Cornes postérieures. Fig. 2.-— Coupe transversale de la
moelle
épinière à la partie moyenne du renflement lombai
TROPHIE MUSCULAIRE PROTOPATH1QUE Fig. 1. — Coupe transversale de la
moelle
épinière à la région cervicale. — A, Zone radicul
aisceaux sont tout à fait sains. Fig. 2. — Coupe transversale de la
moelle
épinière à la région lombaire. — Les lettres ont
................ 59 CINQUIÈME LEÇON de la compression lente de la
moelle
épinière. — prodrome anatomique. Sommaire. — La
ière. — prodrome anatomique. Sommaire. — La compression lente de la
moelle
reconnaît des causes variées. — Importance de s
Importance de son étude. Causes de la compression. — Tumeurs de la
moelle
: gliôme, tubercule, sarcome, carcinome, gomme, d
iôme, tubercule, sarcome, carcinome, gomme, dilatation kystique de la
moelle
. Des crises gastriques. — Spécificité de leurs
s ; arthrite sèche. — Mal de Pott : mécanisme de la compression de la
moelle
. — Mal vertébral cancé-reux. ?— Paraplégie doulou
.................. 83 SIXIÈME LEÇON de la compression lente de la
moelle
épinière. — modifications anatomi-ques dans les c
e des cancéreux. Sommaire. — Modifications anatomiques que subit la
moelle
au niveau du point comprimé. — Changements dans l
................. 98 SEPTIÈME LEÇON de la compression lente de la
moelle
épinière. ?— symptomes. — des troubles de la mot1
e spinales avec anesthésie croisée. Sommaire.— Lésions que subit la
moelle
au niveau du point comprimé. — Elles occupent tou
e au niveau du point comprimé. — Elles occupent toute l'étendue de la
moelle
en travers ou ne portent que sur une des moitiés
nale........ ... 121 HUITIÈME LEÇON de la compression lente de la
moelle
épin1ère. — paraplégie cervicale. — symptomes par
— Compression des nerfs des extré-mités supérieures. — Lésions de la
moelle
épinière au cou ; leur mode d'ac-tion dans la pro
ession des nerfs périphériques et celle qui dépend d'une lésion de la
moelle
. — Altération des cellules nerveuses et tu-meurs
n de la moelle. — Altération des cellules nerveuses et tu-meurs de la
moelle
causes d'une troisième forme de la paraplégie cer
e. De quelques symptômes particuliers de la compression lente de la
moelle
cervicale. — Troubles oculo-pupillaires. —Toux et
le point de départ du pouls lent permanent doit être cherché dans la
moelle
cervicale ou dans le bulbe. — Cas du Dr Hal-berto
érédité, froid, traumatisme. Anatomie pathologique. — Lésions de la
moelle
: altération limitée aux cornes antérieures de su
ons de cette localisation fournies par l'étude du développement de la
moelle
épinière. — Formation des cordons latéraux, des f
mie pathologique : Confi-guration et topographie de la lésion dans la
moelle
et le bulbe. — Lésions consécutives de la substan
la substance grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), dans la
moelle
et dans le bulbe. —Altérations secondaires : Raci
descendante consécu- tive à une lésion en foyer du cerveau et de la
moelle
épinière. — Cas à l'appui. Pachyméningite cervi
rophique. — Anatomie pathologique . Altération des méninges ; — de la
moelle
épinière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptôme
-tile. — Desideratum. Amyotrophies indépendantes d'une lésion de la
moelle
épinière ; exemples. Paralysie pseudo-hypertrophi
considérations relatives àl'anatomie pathologique topographique de la
moelle
épinière.........................................
ure des lé-sions. — Pathogénie : propagation de la lésion rénale à la
moelle
par l'in-termédiaire des nerfs (Troja, Leyden). —
l'ap-pui. — Exemples de propagation de l'inflammation des nerfs à la
moelle
. Paraplégies urinaires réflexes. — Symptômes. —
.......... 462 Vil. Note sur l'état anatomique des muscles et de la
moelle
épinière dans un cas de paralysie pseudo-hypertro
— Aux hémiplégies cérébrales, 74. — Aux lésions traumatiques de la
moelle
, 75. — Dans l'hémiplégie spinale, 139, 149. Ata
Mo-des d'invasion, 220. — Marche, durée, causes, 224. — Lésions de la
moelle
, 2: 5 ; — des racines an-térieures et des nerfs p
-gée, 412. B Bandelettes externes des faisceaux postérieurs de la
moelle
, 14, 24. Bromure de potassium, 315, 355,387.
e potassium, 315, 355,387. Bulbe rachidien, 432, 456, 458, 470. (V.
Moelle
, Nerfs, Paralysie glosso-laryngée, sclérose.)
s myélites, 414 ; — 164, 245. (V. Atrophie musculaire, Bulbe, Cornes,
Moelle
.) Centre génito-spinal, 328. Céphalalgie dans
s, latéraux (Développement des), 237, 238. Cornes antérieures de la
moelle
; rap-ports avec les filets nerveux radi-culaires,
éninge.) Dysesthésie, 129, 318. Dysphagie dans la compression de la
moelle
, 151. — Dans la paralysie glosso-laryngée, 463,
re centrale de la rétine, 51. Epilepsie dans la compression de la
moelle
, 151.—Partielle, 372 et suiv. — Céphalalgie, 37
. Hyperesthésie, 129, 222. (V. Hémi-paraplégie.) Hypertrophie de la
moelle
, 272. Hypochondrie, 33. Hystérie ovarienne, 361.
. Dure-mère.) Méningite de la base, 52. — Spinale postérieure, 5.
Moelle
épinière (Développement embryonnaire de la), 236.
Gliomes, 87 ; — Gommes, 88 ; — Tubercules, 88. — Compression de la
moelle
, 99. — Myélite transverse, 100. — Scléroses sec
s, 129,1?0. — Transverse, 100,101,317,319.— Par compression, 319. (v.
Moelle
épinière.) — Tuméfaction des cellules nerveuses m
do-hypertrophique, 117,283,477. — Etat anatomiquedes muscles, de la
moelle
, 477. — Saturnine, 291. — Spinale aiguë de l'ad
bres, 173. — Déformations, 173. — Lé-sions des muscles, 175 ; — de la
moelle
, 178. Paraplégie alcoolique. 33. — Cervi-cale,
ngée, 428, 455,456,465.—Ralentis-sement du — dans les lésions de la
moelle
cervicale, 152. — Lent permanent, 153, 156, — Lés
Pyélo-néphrite, 326. Pyramides antérieures (Sclérose des), 458. (V.
Moelle
, Sclérose, etc.) R Rachis (Abcès du tissu cel
nt du cerveau, 237. Rectum (Troubles du) dans la com-pression de la
moelle
, loi. (V. Douleurs.) Réflexes (Exaltation des p
. Symptômes récurrents ou rétrogra-des, 22. Syphilis (V.Epilepsie,
Moelle
, Mo-noplégie, Psoriasis, Rétino-Cho-roïdite.) S
use, 206 ; — Chronique, 227. Toux (De la) dans la compression de la
moelle
, 148. Tremblement sénile, 371. Trépidation da
ito-urinaires dans l'ataxie, t 0. Tubercules quadrijumeaux, 368.(V.
Moelle
.)— Des vertèbres, 14s. Tumeurs cérébrales, 52,
e.)— Des vertèbres, 14s. Tumeurs cérébrales, 52, 55. (V. Mé-ninges,
Moelle
.) Turgk (Développement des faisceaux de), 237.
fonctions de la —, 127. — Troubles de la — dans la compression de la
moelle
, 127. — Dans la paralysie spinale aiguë, dans la
es TOME PREMIER Comprenant la description de l'encéphale et de la
moelle
rachidienne, le volume, le poids, la structure de
îne ganglionaire et les principaux ganglions ; chez les vertébrés, la
moelle
épinière et l'encéphale. Ensuite, j'ai comparé ce
s pour le but que je voulais atteindre. Le cerveau, le cervelet, la
moelle
allongée, la moelle épinière jnt été disséqués, m
voulais atteindre. Le cerveau, le cervelet, la moelle allongée, la
moelle
épinière jnt été disséqués, mesurés, pesés et ana
rien qui ressemble, quant à la forme, au cerveau, au cervelet ou à la
moelle
rachidienne des vertébrés, et leurs ganglions épa
qui fournit aux Fibres musculaires du pied, sont les analogues de la
moelle
rachidienne ; et pour qu'on ne lui objecte pas qu
de la moelle rachidienne ; et pour qu'on ne lui objecte pas que cette
moelle
rachidienne serait fort courte, M. Garner fait ob
s ; il y a, en outre, les tubercules quadrijumeaux, le cervelet et la
moelle
allongée, qui en sont aussi des organes constit
ncéphale des mammifères, qui ressemble le plus à ce cerveau? C'est la
moelle
allongée. En effet, la moelle allongée donne nais
essemble le plus à ce cerveau? C'est la moelle allongée. En effet, la
moelle
allongée donne naissance aux nerfs de l'encéphale
bstance granulée, globuleuse; or, la même substance se trouve dans la
moelle
allongée des vertébrés ; et d'ailleurs, je ne vou
eurs, je ne voudrais pas que l'on désignât ce ganglion sous le nom de
moelle
allongée, ce qui serait lui supposer des rapports
d sympathique, chez les animaux vertébrés , est au pôle terrestre, la
moelle
épinière et le cerveau, sont au.pôle lumineux ; l
inquième paire, mais remonter jusqu'au point où ce nerf entre dans la
moelle
allongée, car c'est là le seul point où ses filet
aque côté, et les ganglions auxquels ils vont s'unir, représentent la
moelle
ra-chidienne des vertébrés. La forme de ces parti
œsophagien des autres mollusques, et dont la postérieure rappelle la
moelle
épinière des vertébrés. Le long de cette chaîne,
erveuses le long de laquelle régnent les ganglions, et vous aurez une
moelle
analogue à celle des animaux articulés , et de ce
elle analogue à celle des animaux articulés , et de ces derniers à la
moelle
des vertébrés, la transition est facile. La sup
Les nerfs spinaux, dit M, Weber, ont un volume inverse de celui de la
moelle
épinière ; chez l'homme, la moelle épi-nière est
t un volume inverse de celui de la moelle épinière ; chez l'homme, la
moelle
épi-nière est considérable comparativement à ses
eaux, chez les amphibies et chez les poissons, tandis que celui de la
moelle
diminue ; enfin chez les céphalopodes, la moelle
ndis que celui de la moelle diminue ; enfin chez les céphalopodes, la
moelle
n'existe plus, les nerfs seuls persistent avec le
filets qui, chez les vertébrés, partent des ganglions pour aller à la
moelle
, et constituent les racines des nerfs spinaux, s'
, ceux d'un côté avec ceux du côté opposé, sans l'intermédiaire de la
moelle
, et forment la commissure moyenne qui joint entre
des se. méd, t. 18. p. a5o. ganglions spinaux des vertébrés et à ia
moelle
épinière; il ne s'arrêtait pas, comme nous avons
ent. Coupez les racines antérieures et les racines postérieures de la
moelle
, et vous ôtez toute action aux ganglions spinaux.
res de la moelle, et vous ôtez toute action aux ganglions spinaux. La
moelle
est l'organe central pour les vertébrés, comme le
clut que les invertébrés n'ont pas l'analogue de l'encéphale ou de la
moelle
rachidienne. La substance du cerveau et celle de
e ou de la moelle rachidienne. La substance du cerveau et celle de la
moelle
sont formées, dit-il, de tubes articulés, lesquel
ées, dit-il, de tubes articulés, lesquels tubes ne contiennent aucune
moelle
nerveuse, mais seulement un fluide dense, transpa
invertébrés, conclut que ces animaux sont dépourvus de cerveau et de
moelle
épinière. Il ne sera pas difficile de faire voir
difficile de faire voir combien cette conclusion est peu fondée. La
moelle
épinière et le cerveau ne sont pas les seules par
; or, si l'on est fondé à nier l'existence d'un encéphale et d'une
moelle
rachidienne chez les invertébrés, par la seule ra
tion s'étend en raison directe de leur développement comparatif. La
moelle
rachidienne est représentée par les deux doubles
glionaire des articulés, chaîne qui, chez les vertébrés, convertie en
moelle
rachidienne, laisse pourtant encore des traces de
z ces animaux l'encéphale des vertébrés; il a plus d'analogie avec la
moelle
allongée qu'avec le cervelet, les tubercules quad
et les ganglions que ces cordons réunissent, sont les analogues de la
moelle
rachidienne. 8. Toutefois, on ne peut pas dire
reconnaît que le cordon médullaire de ces animaux se rapproche de la
moelle
spinale des vertébrés. Le ganglion céphalique, et
e ; une commissure réunit ces deux ganglions qui communiquent avec la
moelle
ventrale par deux cordons constituant l'anneau œs
hage ces deux cordons se réunissent, et de leur adossement résulte la
moelle
ou chaîne ganglionaire qui règne dans toute la lo
re qui règne dans toute la longueur du côté ventral du lombric. Cette
moelle
présente, à la première vue, un aspect noueux qui
e vue, un aspect noueux qui lui donne une grande ressemblance avec la
moelle
rachidienne de l'anguille ; mais cet aspect noueu
u névrilème, et il disparaît en grande partie par l'allongement de la
moelle
. Une ligne médiane sépare la moelle en deux parti
de partie par l'allongement de la moelle. Une ligne médiane sépare la
moelle
en deux parties et sur les côtés naissent les ner
doubles et simples. A l'endroit où naît la double paire de nerfs, la
moelle
éprouve un léger renflement; dans les espaces int
nerf de chaque côté , on n'observe aucun renflement. Le volume de la
moelle
ne varie pas sensiblement de la ventouse orale à
out du corps à l'autre. Un ganglion, situé près de l'anus, termine la
moelle
en arrière. (1) Sangsue (2). Le ganglion céphaliq
cette figure et celle que j'ai fait exécuter pour le ver de terre. La
moelle
est formée de renfle-mens successifs, de chacun d
auche, pour se réunir sous l'œsophage et former le commencement de la
moelle
. Cette moelle a des ganglions très distincts, bie
réunir sous l'œsophage et former le commencement de la moelle. Cette
moelle
a des ganglions très distincts, bien visibles à l
s de nerfs intermédiaires. Une ligne médiane règne tout le long de la
moelle
, qu'elle partage en deux cordons complètement sép
aration, et même de la ligne médiane (1). Un ganglion anal termine la
moelle
; il est très rapproché des deux avant-derniers e
phie des h'vudinées (in-40, Montpellier, 1827), a omis de dire que la
moelle
de la sangsue se compose d'un double cordon nerve
eux les protège comme chez les vertébrés , le canal spinal protège la
moelle
du même nom. Dans l'abdomen ou queue de l'écrevis
nglionaire où on peut les suivre sans interruption. J'ai dit que la
moelle
se renfle de distance en distance et forme là une
s de chaque double paire de nerfs, au moment où elles entrent dans la
moelle
, se partager en deux ordres de racines, les unes
che, et les autres se continuant avec les fibres longitudinales de la
moelle
. Il en est autrement, si toutefois j'ai bien vu,
nt paru se continuer seulement dans les fibres longitudinales dont la
moelle
est composée. Ce serait donc un double mode d'ori
2° les fibres longitudinales composant le double cordon médullaire ou
moelle
ventrale, fibres qui se continuent dans l'anneau
que la double origine des fibres qui forment les nerfs partant de la
moelle
. Pour chacun de ces nerfs (les nerfs isolés excep
racines qui, au lieu de se réunir dans un seul nerf en sortant de la
moelle
, comme dans le ver de terre, resteraient isolées
rand nombre. J'ai vu des globules s'échapper des sections faites à la
moelle
et aux nerfs ; j'en ai vu qui suivaient la direct
aux nerfs ; j'en ai vu qui suivaient la direction longitudinale de la
moelle
et oui,, arrivés au niveau de l'une des doubles r
i s'infléchissent et se courbent pour former les nerfs latéraux de la
moelle
ou chaîne ganglionaire. J'aurais voulu mesurer
œsophagien ou céphalique est le même dans ces deux annelides, mais la
moelle
ventrale diffère beaucoup. Chez la sangsue cette
ides, mais la moelle ventrale diffère beaucoup. Chez la sangsue cette
moelle
est formée de deux cordons seulement adossés et p
tandis que les cordons du ver de terre sont très intimement unis. La
moelle
de la sangsue est pourvue de véritables ganglions
précédons, j'en ai compté trois de chaque côté ; en tout six pour la
moelle
ventrale. Toutefois ces faisceaux quoique distinc
trois, comme je l'ai dit, ils constituent les cordons latéraux de la
moelle
, cordons qui, dans certains endroits, sont nature
spinaux des vertébrés. J'ai pu isoler une des fibres nerveuses de la
moelle
ventrale , et j'ai trouvé à cette libre un diamèt
animaux articulés. On y trouve des fibres longitudinales composant la
moelle
ventrale et se continuant par l'anneau œsophagien
veuses d'un côté avec celles de l'autre côté, en passant à travers la
moelle
et cela dans l'endroit de cette moelle où se trou
côté, en passant à travers la moelle et cela dans l'endroit de cette
moelle
où se trouve de la substance globuleuse ; ce sont
nce des ganglions. Chez le grillon domestique et chez l'abeille, la
moelle
est formée de deux cordons, l'un à droite et l'au
épares ou très facilement séparables. J'ai pu isoler des fibres de la
moelle
et des fibres des nerfs chez les deux insectes do
s disposés par paire et ayant tous deux origines; les fibres de cette
moelle
se prolongeant en avant jusqu'à un double ganglio
, le cœur, les gros vaisseaux, le tube digestif, sont au-dessus de la
moelle
dont la partie antérieure se bifurque pour laisse
re se bifurque pour laisser passer l'œsophage ; chez les seconds , la
moelle
s'est élevée au-dessus des organes de la vie nutr
nt la position se trouve changée, n'ayant plus besoin de traverser la
moelle
pour arriver à la partie antérieure du corps, les
pour arriver à la partie antérieure du corps, les deux côtés de cette
moelle
se rapprochent, mais conservent encore la trace d
ésente le ganglion céphalique des invertébrés, c'est l'encéphale ; la
moelle
ou chaîne ganglionaire ne saurait être un prolong
yait. La chaîne ganglionaire des articulés représentait, pour lui, la
moelle
rachi-dienne; mais il prétendait retrouver chez l
L'analogie qui existe entre la chaîne médullaire des insectes et la
moelle
épinière des vertébrés est tellement grande, que
aits qui concourent à l'établir. On sait que, chez les vertébrés , la
moelle
épinière se termine par des filets en nombre plus
s des vertébrés, la queue de cheval n'existe pas encore, parce que la
moelle
descend très bas dans le canal rachidien : mais p
très bas dans le canal rachidien : mais plus tard, les rapports de la
moelle
avec le canal sont changés, l'extrémité caudale d
ts de la moelle avec le canal sont changés, l'extrémité caudale de la
moelle
est placée plus haut qu'auparavant, soit, comme o
res lombaires et sacrées s'étant développées plus et plus tard que la
moelle
, les nerfs qui terminent cette moelle, ont subi u
oppées plus et plus tard que la moelle, les nerfs qui terminent cette
moelle
, ont subi une elongation proportionnelle à l'élon
e de cheval est (i) Ànat, comp, du cerveau, t. 2, p 120. entre la
moelle
et les ganglions, et non en dehors de ces ganglio
nerveux ou chaîne ganglionaire des invertébrés, est l'analogue de la
moelle
rachidienne des vertébrés. Mais, en parlant de
ir maintenant. Quand j'aurai parlé delà structure microscopique de la
moelle
rachidienne, de la manière dont se comportent dan
de la moelle rachidienne, de la manière dont se comportent dans celte
moelle
, les doubles racines de ses nerfs, j'établirai de
'encéphale des vertébrés. 2. Leur chaîne ganglionaire représente la
moelle
rachidienne. 3. Les cordons formant l'anneau œs
nes les plus importans à l'entretien de la vie. Le faisceau, c'est la
moelle
épinière; la réunion des lobes, c'est l'encéphale
aux; en bas ils sont implantés sur les prolonge-mens antérieurs de la
moelle
épinière; chez les raies et les squales, ces gang
anglions cérébraux sont implantés sur le prolongement antérieur de la
moelle
épinière. 3° Ganglions optiques. Haller, Vicq-d
es; en arrière de celte commissure, les prolongemens antérieurs de la
moelle
qui régnent au-dessous de tous les ganglions encé
guïté extrême, il forme alors une simple lame placée en travers de la
moelle
, derrière les lobes optiques; mais le plus ordina
iste en une sorte d'appendice allongée, implantée latéralement sur la
moelle
épinière, et formant la paroi supérieure d'une ca
e nerf, ils sont adherens aux deux côtés externes et supérieurs de la
moelle
, en arrière du cervelet. Celui du côté droit est
nt implantés à la partie inférieure des prolongemens antérieurs de la
moelle
, et sont pourvus d'une commissure que l'on découv
des poissons, sont des ganglions implantés sur les prolongemens de la
moelle
épinière, et donnant eux-mêmes naissance à une co
arrière des ganglions inférieurs; ils sortent des prolongemens de la
moelle
dans lesquels on peut suivre une partie de leurs
artie de leurs fibres; ainsi ces nerfs appartiennent directement à la
moelle
de laquelle ils émanent sans l'intermédiaire d'au
sième paire, qui sont la continuation des fibres longitudinales de la
moelle
. Les nerfs pathétiques appartiennent donc à un sy
lion qui esl situé immédiatement derrière le cervelet, l'autre sur la
moelle
elle-même. On suil cette dernière racine de chaqu
il cette dernière racine de chaque côté de la partie inférieure de la
moelle
, dans une étendue variable, suivant les poissons,
l'une et l'autre arrivent au niveau du sillon médian inférieur de la
moelle
, et s'unissent en formant là une sorte de commiss
té un petit filet nerveux qui s'implante à la partie inférieure de la
moelle
, et qui'va se rendre au muscle abducteur de l'œil
rière du nerf auditif, et l'a dirigé presque perpendiculairement à la
moelle
épinière, du côté de la queue. (1) 7e Paire, ne
ique. Les fibres ne viennent pas des proîongemens longitudinaux de la
moelle
; mais comme celles du nerf pathétique, elles appa
fibres transverses que l'on ne trouve, chez les poissons, que dans la
moelle
allongée. Je reviendrai sur ce qui concerne ces f
u moins considérable. Le ganglion, situé à la partie supérieure de la
moelle
, en ar rière du cervelet, est, comme on l'a vu
omistes les ont niés. Ils sont implantés à la partie inférieure de la
moelle
, près du sillon médian. M. Serres assure les avoi
régulière pour que j'aie pu les mesurer. Soit que l'on considère la
moelle
épinière comme une production de l'encéphale, soi
les nerfs à l'endroit où ils pénètrent dans les trous crâniens, et la
moelle
épinière au niveau de la première paire des ner
elle s'applique aux poissons. Chez le squale-renard, la section de la
moelle
épinière mesurée au-dessous du point d'insertion
seur de ..... . 5 Ce qui donne, pour le rapport de la section de la
moelle
épinière, au volume de l'encéphale, le rapport de
hétique........ là 6,428 L'abducteur........ là 17,853 Quant à la
moelle
épinière, sa section mesurée, comme celle du squa
i résulte de ces deux séries de faits, c'est que, chez le brochet, la
moelle
épinière elles nerfs encéphaliques, comparées à l
, comparées à l'encéphale, l'emportent du double et même plus, sur la
moelle
épinière et les nerfs du squale-renard qui a par
reur fausserait tous les résultats quand il s'agit des poissons. h.
Moelle
épinière des poissons. Je dois dire, en commenç
ière des poissons. Je dois dire, en commençant la description de la
moelle
épinière des poissons, qu'ayant à comparer cet or
comparaison exacte et facile. En parlant de la face antérieure de la
moelle
de l'homme, il m'aurait fallu ajouter, si j'avais
répétition eût été nécessaire en parlant des racines nerveuses de la
moelle
, qui sont antérieures et postérieures dans l'es
J'ai choisi le nom de spinal pour tout ce qui concerne le côté de la
moelle
vertébrale qui regarde les apophyses épineuses du
t fulcral adjectif. Ainsi, je dis : côté fulcral et côté spinal de la
moelle
épinière; racines spinales et racines fulcrales,
r là des périphrases, et je donne de la clarté à ma description. La
moelle
épinière varie beaucoup chez les poissons, et dan
lon spinal, on découvre un canal qui règne dans toute l'étendue de la
moelle
, et qui corn mence au quatrième ventricule. Par
'a démontré Desmoulins (1), on arrive directement dans le canal de la
moelle
. Le sillon fulcral est bien moins profond que l
utres sillons, moins profonds que les premiers, régnent le long de la
moelle
, et divisent ainsi cet organe en quatre faisceaux
simplement réunis par un tissu filamenteux pénétrant du dehors de la
moelle
dans le canal central de cet organe. Ces faisceau
les poissons, même les plus petits: à l'extrémité encéphalique de la
moelle
, au niveau du calamus scriptorius; on les voit de
z de très petits poissons. Les racines des nerfs qui naissent de la
moelle
épinière, sont doubles chez les poissons comme ch
plus souvent elles restent simples à l'endroit de leur insertion à la
moelle
. Assez communément, on les suit jusqu'auprès du s
la raison de cette différence quand je parlerai de la structure de la
moelle
. La forme de la moelle de l'anguille diffère de
ence quand je parlerai de la structure de la moelle. La forme de la
moelle
de l'anguille diffère de celle des autres poisson
ne substance granulée propre aux ganglions. Dans les renflemens de la
moelle
de l'anguille, aucune fibre transverse et pas de
en plus grande proportion qu'ailleurs. L'apparence ganglionaire de la
moelle
de l'anguille est, comme celle du lombric de terr
La colonne rachi-dienne de l'anguille est très flexible; pour que la
moelle
ren- (i) r. pl. ii. fermée dans cette colonne
e colonne en suive les mouvemens sans se rompre, il fallait ou que la
moelle
fût, extensible, élastique, ou qu'elle fût plissé
qu'être plissée, et elle l'est en effet. L'extrémité caudale de la
moelle
rachidienne est, en général, très longue chez les
n'en a pas été ainsi à tous les âges de sa vie : le fœtus humain a la
moelle
beaucoup plus descendue que l'adulte; elle remont
que l'on n'a pas été plus heureux dans ce qu'on a avancé touchant la
moelle
épinière. Peux faits signalés d'abord par Arsak
de, font une grande exception à la règle concernant la longueur de la
moelle
épinière des poissons. D'après Arsaky, chez la ba
poissons. D'après Arsaky, chez la baudroie (/o-phim pi catorius), la
moelle
épinière se rétrécit tout-à-coup au niveau de la
e a complètement disparu. J'ai disséqué une baudroie chez laquelle la
moelle
avait disparu encore plus promptement : au niveau
s la bouche jusqu'au trou occipital,était de 'jiomill. naître de la
moelle
, immédiatement au-dessous du quatrième ventricule
centim.de circonférence ; la longueur du rachis était de 0, 87, et la
moelle
épinière était tout aussi nulle que dans le cas p
ganglions distincts, implantés sur les prolongemens antérieurs de la
moelle
épinière. 2. Outre les ganglions, il existe che
différence analogue existe quant aux rapports de l'encéphale avec la
moelle
épinière des mêmes animaux. 7. La moelle épiniè
rts de l'encéphale avec la moelle épinière des mêmes animaux. 7. La
moelle
épinière des poissons se compose de huit faisceau
chez les hauts vertébrés. 10. Les renflemens qui paraissent sur la
moelle
épinière de l'anguille, n'indiquent pas la trace
indiquent pas la trace de ganglions. 11. Chez quelques poissons, la
moelle
épinière est excessivement courte. § IL STRUCTU
-SPINAL DES POISSONS. Plusieurs des parties de l'encéphale ou de la
moelle
épinière des poissons, que j'ai seulement mention
scrvazionimicroscopkhe. Napoli, 1776. au cervelet, de celui-ci à la
moelle
allongée, à la moelle épinière et aux nerfs où il
. Napoli, 1776. au cervelet, de celui-ci à la moelle allongée, à la
moelle
épinière et aux nerfs où ils sont les plus petits
ur du même cerveau ; c Que la substance de la glande pinéale, de la
moelle
épinière et des nerfs; ce Enfin, que la masse c
ubstance blanche et de la substance grise du cerveau, et celles de la
moelle
épinière, chez les mammifères, les oiseaux, les r
x, descendre jusqu'au fœtus, et même à l'embryon : et de même pour la
moelle
allongée et la moelle épinière. Sans l'inspection
fœtus, et même à l'embryon : et de même pour la moelle allongée et la
moelle
épinière. Sans l'inspection de l'ensemble, on s'e
nerveux cérébro-spinal des poissons, en parlant de ce qui concerne la
moelle
épinière, parce que c'est elle, comme on l'a déjà
nouvelles, qui forme la base de tout ce système. 1. Structure de la
moelle
épinière des poissons. J'ai enlevé deux centimè
e épinière des poissons. J'ai enlevé deux centimètres environ de la
moelle
épinière d'une anguille tout récemment tuée, je l
métallique, et que l'on peut rap- bords du sillon, j'ai étalé cette
moelle
comme un ruban. Alors, j'ai simplement rapproché
demi transparente. Les fibres étaient parallèles à la longueur de la
moelle
, les granules confus, les vaisseaux sanguins bien
inée à rapprocher l'un de l'autre les deux plaques du compresseur, la
moelle
mieux étalée et déjà écrasée dans quelques endroi
u'à la fin de l'expérience, il s'est échappé de tous les points de la
moelle
des globules très fins, homogènes, trans-parens,
cesser un instant de regarder quels changemens s'opéreraient dans la
moelle
, et j'ai vu toute la substance devenir plus trans
taient autre chose qu'une substance grasse , fluide , provenant de la
moelle
. Quant aux granules et aux vaisseaux sanguins obs
apercevais aucun changement, si ce n'est qu'au fur et à mesure que la
moelle
augmentait de transparence, par le fait de son am
isseaux sanguins, sont restés dans le même état. La substance de la
moelle
ainsi étalée et rendue transparente, j'ai pu fair
éunion des globules graisseux, que la compression a fait sortir de la
moelle
, et les vaisseaux sanguins, objets sur lesquels m
t l'autre à gauche, appartenant à chacun des faisceaux latéraux de la
moelle
. Le diamètre de ces tubes est à celui des fibres
x de la moelle. Le diamètre de ces tubes est à celui des fibres de la
moelle
, comme quinze à un. Dans des expériences subséque
un. Dans des expériences subséquentes, je les ai vus s'arrêter à la
moelle
allongée, et je les ai suivis jusqu'à l'extrémité
oelle allongée, et je les ai suivis jusqu'à l'extrémité caudale de la
moelle
épinière. Tout gros qu'ils soient, et malgré que
ai pas manqué de les voir chez tous les poissons dont j'ai examiné la
moelle
à l'aide du microscope. Revenons aux fibres et
état variqueux comme étant la conformation naturelle des fibres de la
moelle
? Cela dépend de la manière dont M. Ehrenberg a op
de fibres, des fibres rectilignes; car, je le dis ici par avance, la
moelle
allongée de l'encéphale, les parties dans lesquel
n et Jean Muller, ont déjà contesté l'état variqueux des fibres de la
moelle
; l'expérience, dont je viens de donner les détail
ls, fait voir que leur opposition est parfaitement fondée. Entre la
moelle
épinière et les nerfs spinaux, M. Ehren-berg étab
à la nature des fibres; les nerfs auraient des fibres rectilignes, la
moelle
épinière des fibres articulées. L'observation, te
rême division, ne présentent pas de fibres variqueuses, tandis que la
moelle
épinière en présente toujours; mais pour explique
ans les nerfs, la fibre est enveloppée d'un névrilème solide; dans la
moelle
, elle en est dépourvue. Il n'y a donc pas de fi
e en est dépourvue. Il n'y a donc pas de fibres variqueuses dans la
moelle
épinière de l'anguille; et comme l'inspection de
es dans la moelle épinière de l'anguille; et comme l'inspection de la
moelle
épinière des autres poissons m'a donné le même ré
me résultat, je puis dire qu'il n'y a pas de fibre variqueuse dans la
moelle
épinière des poissons. Ce premier point établi,
li, voyons si la disposition longitudinale de toutes les fibres de la
moelle
épinière des poissons, ne nous servira pas à expl
e nous servira pas à expliquer l'apparente bizarrerie que présente la
moelle
épinière du poisson-lune et de la baudroie. J'a
avec plusieurs anatomistes déjà mentionnés, que dès sa naissance, la
moelle
épinière du poisson-lune est dans ses nerfs, et q
En effet, si les fibres existent et se continuent tout le long de la
moelle
épinière, est-ce une chose si importante qu'elles
évrilème9 Un fait beaucoup plus important, c'est la présence, dans la
moelle
épinière, de fibres transversales; or ces dernièr
s qu'elles manquent chez les poissons. Les poissons ont donc tous une
moelle
épinière beaucoup moins dissemblable qu'on ne le
x de leur classe. C'est un ganglion qui existe dans l'épaisseur de la
moelle
, à la naissance des racines spinales; la présence
la naissance des racines spinales; la présence de ce ganglion ôteàla
moelle
épinière de la carpe, la simplicité qu'elle a che
endrai tout-à-l'heure sur ce sujet, et je continue ce qui concerne la
moelle
épinière de l'anguille. J'ai dit qu'elle n'a pas
t formé par le simple adossement des cordons spinaux. Ainsi, [dans la
moelle
épinière de l'anguille, j'ajoute comme dans la mo
Ainsi, [dans la moelle épinière de l'anguille, j'ajoute comme dans la
moelle
épinière des autres poissons, il n'y a, dans la m
comme dans la moelle épinière des autres poissons, il n'y a, dans la
moelle
, pas d'autres fibres que des fibres longitudinale
outefois le ganglion céphalique ; chez les poissons, au contraire, la
moelle
épinière est seulement une partie du système céré
a, il est vrai, que des fibres longitudinales; mais ailleurs, dans la
moelle
allongée, on trouve des fibres transverses en gra
her. La comparaison que je viens d'établir entre la structure de la
moelle
épinière des poissons, et celle de la chaîne gang
Carus (1) touchant la valeur, la signification des renfle-mens de la
moelle
de l'anguille. M. Carus compare ces ren-flemens a
ore une analogie fort éloignée. On a déjà vu que les renflemens de la
moelle
de l'anguille résultent d'une sorte de plissement
t faire disparaître à volonté. L'étude de la structure comparée de la
moelle
de l'anguille et des ganglions de la sangsue par
ns de la sangsue, jamais. La grande simplicité d'organisation de la
moelle
épinière des poissons, tendrait à faire regarder
lème manque chez les autres poissons, et alors le faisceau formant la
moelle
épinière est constitué, non plus par des filets n
us haut, constitue la matière grise qui se trouve à l'intérieur de la
moelle
épinière, le long du canal spinal; sa quantité es
s théories : Gall et Spurzheim admettent que la substance grise de la
moelle
, est la matrice, l'organe générateur de la substa
observer avec 12. rie, c'est le défaut de substance grise dans la
moelle
épinière des poissons, ce Une conséquence de l'hy
se doit toujours être proportionnée à la matière blanche; or, dans la
moelle
épinière, ce rapport, loin d'être constant, est a
plus prononcée encore, et sur plusieurs, à peine trouve-t-on dans la
moelle
épinière, des vestiges de la matière grise. L'hyp
y trouve M. Serres : d'abord, il existe de la substance grise dans la
moelle
épinière des poissons, en plus grande quantité qu
ue M. Serres ne paraît en admettre; ensuite, puisque les fibres de la
moelle
épinière de ces animaux sont longitudinales, ne p
ans cette substance. Eh bien, l'extrémité céphalique des fibres de la
moelle
épinière des poissons, plonge dans la substance g
ce chez tous les poissons, la substance grise manque, en sorte que la
moelle
est canaliculée » (1). Mais le canal de la moelle
ue, en sorte que la moelle est canaliculée » (1). Mais le canal de la
moelle
peut exister avec la substance grise, il n'y a là
on a vu, courent le risque d'être bientôt renversées. Revenons à la
moelle
épinière de l'anguille : j'ai dit que la portion
roisement existerait dans l'endroit correspondant aux pyramides de la
moelle
allongée, et je n'ai rien trouvé d'analogue à ces
d'entrecroisement non plus. Cela constaté, j'ai coupé une portion de
moelle
suivant sa longueur, et j'en ai placé une moitié
j'ai vu les racines fulcrales et les racines spinales entrer dans la
moelle
épinière, et se continuer avec les fibres de cett
(1) Jnatomie descriptive, 4 vol. in-8. Paris, i835. t. îv, p. 6oi .
moelle
; je ne saurais dire si elles allaient aussi se r
nger) tous les faits observés sur l'anguille de rivière, seulement la
moelle
ayant trop d'épaisseur pour être placée entière s
placée entière sous la lentille, je l'ai fractionnée. Une portion de
moelle
épinière de l'anguille dont il s'agit, mise sous
là dans la substance médullaire. En aplatissant la substance de la
moelle
, à l'aide du compresseur, les fibres restent dans
induire en erreur par cette apparence et croire que les fibres de la
moelle
aient une direction variable. Ces fibres marchent
une direction variable. Ces fibres marchent dans le même sens que la
moelle
, et il n'y a d'exception à cette règle que pour l
d'exception à cette règle que pour les fibres qui, se détachant de la
moelle
, vont former les nerfs rachidiens. Ce que je vi
former les nerfs rachidiens. Ce que je viens de dire concernant la
moelle
épinière de l'anguille, s'applique à la plupart
s explications à ce sujet. Si avec des ciseaux très fins, on coupe la
moelle
épinière de la carpe, en deux moitiés, l'une spin
craies se continuent directement avec les fibres longitudinales de la
moelle
, vers l'extrémité céphalique de laquelle ils se p
e dans un noyau de matière grise qui se trouve dans l'intérieur de la
moelle
. Ce noyau est un véritable ganglion ; il a la mêm
zheim ont donné le nom de ganglions de renforcement. Des fibres de la
moelle
viennent en convergeant vers ce noyau ; d'autres
ibres du nerf est plus considérable que celle des fibres venant de la
moelle
: ainsi, c'est avec raison que l'on peut appeler
le mode d'origine des racines spinales et des racines fulcrales de la
moelle
épinière, est très importante à connaître; elle e
uoi les racines fulcrales ont leurs fibres étalées à la surface de la
moelle
, tandis que les racines spinales s'enfoncent dans
ns un espèce de sillon où elles rencontrent de la substance grise. La
moelle
épinière de l'homme offre celte disposition d'une
uée;les racines postérieures des nerfs rachidiens pénètrent dans la
moelle
par un sillon au fond duquel s'avance la substanc
structure de l'encéphale est beaucoup plus compliquée que celle de la
moelle
épinière; les nombreux ganglions dont il se compo
largement du soin qu'elles exigent. J'ai dit avec M. Serres, que la
moelle
épinière des poissons se compose de quatre faisce
situé dans l'intérieur de cet organe. A l'extrémité céphalique de la
moelle
, les deux faisceaux spinaux supérieurs s'écarten
tiformes vont ensemble se rendre dans les ganglions postérieurs de la
moelle
et dans le cervelet, tandis que les faisceaux ful
e. Telle est la terminaison antérieure ou céphalique des fibres de la
moelle
épinière qui composent les faisceaux spinaux;les
Ainsi les nerfs optiques sont en communication avec les fibres de la
moelle
épinière, et il n'y a d'interruption apparente à
s fibres qui vont former le nerf optique ne viennent pas toutes de la
moelle
épinière, car le nerf optique a un volume d'envir
f optique a un volume d'environ le double du faisceau qui émane de la
moelle
, de façon que le ganglion placé à la partie infér
ou plutôt que cette lame est formée, 1° D'un pédoncule venant de la
moelle
épinière ; 2° D'un ganglion de renforcement;
qua-drijumeaux et à la lame optique, le prolongement antérieur de la
moelle
épinière s'avance et se divise en autant de faisc
des poissons sont pourvus de fibres analogues. Toute la partie de la
moelle
sur laquelle sont implantés les tubercules des ne
n voit dans cet endroit rappelle tout-à-fait celui qui a lieu dans la
moelle
allongée de l'homme, entre les fibres des pyramid
ne peut être que les fibres transverses de la partie céphalique de la
moelle
; mais ces fibres vont-elles dans les nerfs et ce
s transverses qui fait saillie sur les prolongemens céphaliques de la
moelle
épinière, l'objection de M. Gottsche n'est pas fo
ndre les fibres transverses qui s'entrecroisent avec les fibres de la
moelle
épinière pour former les lacis intérieurs que l'o
que l'on voit en coupant ou mieux encore en raclant les fibres de la
moelle
allongée, M. Gottsche a raison et je partage son
es , nous trouvons pour chacun de ces ganglions un prolongement de la
moelle
épinière , pour chacun d'eux excepté les ganglion
uadrijumeaux. La substance blanche des ganglions, comme celle de la
moelle
rachidienne, est fibreuse ; la substance grise ou
u Tableau de l'organisa- qu'elles appartiennent aux ganglions, à la
moelle
épinière ou aux nerfs ; elles ne sont pas même pa
s paraissent-elles plus régulières que celles de l'encéphale ou de la
moelle
rachidienne. Observées de cette manière, il arr
encéphaliques et les fibres transverses de la partie supérieure de la
moelle
, sont toujours très pe- don considérée dans l'e
ès petites aussi, sont quelquefois variqueuses ; que les fibres de la
moelle
rachi-dienne, généralement plus grosses que toute
leau suivant indique le diamètre des fibres de l'en- céphale, de la
moelle
épinière et des nerfs de quelques poissons : j'ai
166 0,00664. Id. Id...................... 0,00332 Id. Fibre de la
moelle
épinière... 0,00581 Carpe. Id..................
par exemple, la différence est du double ; il en est de même pour la
moelle
épinière. Cependant, jamais je n'ai vu l'une des
i vu l'une des fibres de la lame optique ou de celles qui croisent la
moelle
épinière au-dessous du cervelet, avoir un volume
nerfs. Les fibres de la lame optique et les fibres transverses de la
moelle
sont toutes excessivement fines et on ne les dist
le passage en question, ce Dans les tubes articulés du cerveau, de la
moelle
épinière et des nerfs de la sensibilité, se trouv
nulaire : c'est le suc nerveux, la liqueur nerveuse qui diffère de la
moelle
des nerfs, comme le chyle diffère du sang. Le suc
uels s'échappait une matière comme gélatineuse et très limpide. Cette
moelle
, si toutefois je puis l'appeler ainsi, était plus
autres comme les globules huileux du crâne, ou bien encore ceux de la
moelle
épinière. Ainsi, malgré leur apparence, ils ne so
ubstance du nerf laisse échapper une infinité de globules huileux. La
moelle
épinière du même animal m'a présenté, sous le com
erché des fibres variqueuses dans le nerf optique. 10e expérience.—
Moelle
épinière. Anguille de mer. La substance blanche d
nce.— Moelle épinière. Anguille de mer. La substance blanche de cette
moelle
aplatie par le compresseur, présente des fibres e
réellement des débris de fibres. 11e expérience. — Anguille de mer.
Moelle
épinière. La portion que j'examine, prise à la su
. Moelle épinière. La portion que j'examine, prise à la surface de la
moelle
, est toute fibreuse ; les fibres ont un diamètre
de renflemens ou nodosités. 12e expérience. — Anguille de rivière.
Moelle
épinière. Àu moment de la compression, la moelle
Anguille de rivière. Moelle épinière. Àu moment de la compression, la
moelle
a laissé échapper une quantité innombrable de g
toutes de volume très différent. 13e expérience. — Anguille de mer.
Moelle
épinière. Pendant que je comprime une petite port
expérience. — Goujon. Les fibres du cervelet, celles qui croisent la
moelle
au niveau du cervelet et des ganglions cérébraux
t que le liquide s^P'différent dans les nerfs et dans les tubes de la
moelle
et de l'encéphale ; en cela , je ne pense pas com
iqueur que j'ai trouvée dans les tubes nerveux de l'encéphale , de la
moelle
épinière et des nerfs des poissons, est parfaitem
ssons, a la consistance d'une huile un peu épaisse. RÉSUMÉ. 1. La
moelle
épinière des poissons est formée de fibres nerveu
3. Toutes les fibres nerveuses, celles des nerfs, comme celles de la
moelle
épinière et de l'encéphale, sont rec tilignes ,
l y a la plus grande analogie, malgré l'apparence contraire, entre la
moelle
épinière divisée du poisson-lune et de la baudroi
e la moelle épinière divisée du poisson-lune et de la baudroie, et la
moelle
épinière fasciculée des autres poissons. 5. Les
nière fasciculée des autres poissons. 5. Les fibres nerveuses de la
moelle
épinière se continuent directement du faisceau fu
oelle épinière se continuent directement du faisceau fulcral de cette
moelle
dans les nerfs qui en émanent; du côté spinal, il
, il y a chez la carpe entre les fibres des nerfs et les fibres de la
moelle
, l'intermédiaire d'un ganglion. 6. Il n'y a auc
raux ou spinaux, chez les poissons. 7. L'extrémité céphalique de la
moelle
épinière va se terminer dans les ganglions cérébr
aux ganglions olfactifs, vont se rendre les faisceaux fulcraux de la
moelle
. On voit les fibres du faisceau fulcral qui se re
e et de substance granulée ; ils reçoivent tous un prolongement de la
moelle
épinière qui vient s'y épanouir. 9. C'est de l'
9. C'est de l'endroit où s'opère l'épanouissement des fibres de la
moelle
, que naissent les commissures. 10. Pour tous le
mill. 02988; celles des nerfs sont plus volumineuses que celles de la
moelle
et celles-ci plus que celles de l'encéphale; les
s ce fait n'est pas encore démontré pour les fibres transverses de la
moelle
allongée et pour celles des ganglions encéphaliqu
ttY.pl. l,fig. 5 et6. que, à celui du corps entier et à celui de la
moelle
épinière, et des nerfs, fournira des données plus
près, la même variété que celui des poissons : chez les reptiles, la
moelle
épinière est conformée d'une manière très analogu
mme implanté sur l'extrémité céphalique du prolongement fulcral de la
moelle
épinière. Chez quelques reptiles, le crapaud et
is du quart. Ils sont implantés sur les prolongemens antérieurs de la
moelle
épinière, et réunis, celui de droite avec celui d
ème ventricule présente des tubercules analogues aux tubercules de la
moelle
allongée des poissons; c'est ce qu'on remarque ch
cervelet et ouvert l'aqueduc de Sylvius, on voit les faisceaux de la
moelle
épinière se prolonger sous les ganglions cérébrau
tique, saillie que l'on remarque sur les pro-longemens fulcraux de la
moelle
, entre les lobes optiques et le cerveau. Les aute
; ils naissent des cuisses du cerveau ou prolongemens fulcraux de la
moelle
épinière, avant leur entrée dans les lobes cérébr
t de sa naissance jusqu'à son état parfait, Ire partie, Milan i836.
moelle
allongée, tout près du cervelet, je n'ai pas été
t petits, placés tout près des nerfs acoustiques, et surgissent de la
moelle
, en arrière des nerfs trijumeaux : ils sont bien
acoustiques. Ils naissent comme les nerfs faciaux sur les côtés de la
moelle
, et un peu au-dessus d'eux ; ils constituent des
l'origine de ces nerfs : je veux parler du volume considérable de la
moelle
au niveau de l'implantation des nerfs trijumeaux,
ux, acoustiques et pneumo-gastri-ques. Dans le lieu que j'indique, la
moelle
est renflée à cause de l'implantation de ces ne
ès marquée, et on l'apprécie d'autant mieux que l'on peut comparer la
moelle
des différens genres de reptiles. Lorsque les rep
a tête, immédiatement au-dessous de la naissance des nerfs vagues, la
moelle
se rétrécit presque de la moitié de son volume, c
membres antérieurs naissent tout près de ceux de la dixième paire, la
moelle
, au lieu de se rétrécir, reste uniformément élarg
rétrécir, reste uniformément élargie. L'augmentation de volume de la
moelle
, supplée donc alors aux ganglions situés sous le
« Ils naissent, dit cet anatomiste, de l'extrémité postérieure de la
moelle
épinière par un certain nombre de filets qui se r
de......là 386 Et pour le moteur commun des yeux de . . là 687 La
moelle
épinière, mesurée au-dessous de la naissance des
de.......là 494 Pour le moteur commun des yeux de . . là 1,009 La
moelle
épinière de la grenouille, beaucoup moins longue
le rapport de 1 à 13. On peut faire, à cette manière de mesurer la
moelle
épinière, une objection très fondée, puisque les
e autre objection serait fournie par ce fait, que les diamètres de la
moelle
, pris à quelque endroit que ce soit, n'indiquent
it que ce soit, n'indiquent pas le volume total de cet organe, car la
moelle
peut être large à sa naissance et être très court
ler, en comparant le poids total de l'encéphale, au poids total de la
moelle
épinière. Chez la grenouille M. Carus,a trouvé qu
rveau (je pense qu'il a voulu dire l'encéphale) pesait le tiers de la
moelle
épinière; j'ai fait la même expérience, et j'ai o
btenu des rapports un peu différens. Dans un cas, j'ai trouvé pour la
moelle
épinière de la grenouille 0,1 gram., et pour l'en
dans un autre cas, chez un animal de la même espèce, j'ai eu pour la
moelle
épinière 0,08 gram., et pour l'encéphale 0,07 gra
...3 mill. Et en épaisseur......2,5 Comme entre l'encéphale et la
moelle
épinière, il n'y a pas de démarcation organique t
dessous de la naissance de la paire des nerfs pneumo-gastriques. 4.
Moelle
épinière des reptiles. La moelle épinière des r
des nerfs pneumo-gastriques. 4. Moelle épinière des reptiles. La
moelle
épinière des reptiles diffère beaucoup, quant à s
ie de son étendue par des fibres passant de l'un à l'autre côté de la
moelle
; il n'y a donc pas d'entrecroisement dans la moe
autre côté de la moelle ; il n'y a donc pas d'entrecroisement dans la
moelle
des reptiles. Le sillon spinal est plus profond q
et permet d'arriver, sans effort, jusqu'à la partie intérieure de la
moelle
qui est creusée par un canal, comme celle des poi
esque su perflcíel dans lequel pénètrent les racines spinales de la
moelle
épinière et qui se termine en haut, en circonscri
s, placées sur les côtés du quatrième ventricule. L'extérieur de la
moelle
épinière est, comme chez tous les vertébrés, comp
nt j'ai parlé tout-à-l'heure, les autres s'étalent à la surface de la
moelle
avec les fibres de laquelle elles se continuent d
nt. La manière dont les racines des nerfs spinaux s'appliquent à la
moelle
ou plutôt s'insèrent dans la substance de cet org
de ces anatomistes, les renflemens partiels qu'ils ont supposés à la
moelle
épinière, n'étaient aucunement nécessaires. En ef
nt nécessaires. En effet, les racines nerveuses n'entrent pas dans la
moelle
sans s'être auparavant divisées en un grand nombr
dessous de ce point. La circonscription des différentes parties de la
moelle
épinière en ganglions distincts, n'est donc pas v
ule conserve la trace des ganglions postérieurs des poissons. 5. La
moelle
allongée ne se présente pas encore comme une part
, sont plus volumineux chez la grenouille que chez le lézard. 9. La
moelle
épinière de la grenouille a un poids à-peu-près é
renouille a un poids à-peu-près égal à celui de l'encéphale. 10. La
moelle
épinière des reptiles se compose de quatre fais
té; elle a un canal central revêtu de substance grise. 11. Quand la
moelle
épinière des reptiles est très longue , elle est
. En examinant, à l'aide d'un très fort grossissement, une portion de
moelle
épinière d'une grenouille, pressée entre les deux
ces procédés ; je passe de suite aux résultats. 1. Structure de la
moelle
épinière des reptiles. Dans la moelle épinière
sultats. 1. Structure de la moelle épinière des reptiles. Dans la
moelle
épinière des reptiles, des fibres longitu -dinale
xfibres transverses qui chez les poissons, existent seulement dans la
moelle
allongée et l'encéphale etdont j'ai trouvé à pein
ongée et l'encéphale etdont j'ai trouvé à peine quelque trace dans la
moelle
épinière deces derniers animaux. En outre, des gr
iner que le siège des fibres transverses est la substance grise de la
moelle
, car après avoir ouvert le canal médullaire et av
moelle, car après avoir ouvert le canal médullaire et avoir étalé la
moelle
, entre deux lames de verre, on peut en faisant g
fibres transverses. Ces dernières sont situées dans l'intérieur de la
moelle
et jamais au dehors. Chez aucun reptile, je n'a
euses, se continuent directement avec les fibres longitudinales de la
moelle
; au moment où elles pénètrent dans cet organe, el
et montent vers l'encéphale. Les fibres transverses appartenant à la
moelle
, viennent aussi se diriger vers les racines des n
tt'rj: jl fpliiqpi e* o n'J«nrU: ;-.-; L'extrémité céphalique de la
moelle
épinière se termine dans l'encéphale. Les faiscea
lle épinière se termine dans l'encéphale. Les faisceaux spinaux de la
moelle
épinière, se portent en dehors du quatrième ventr
fibres nerveuses des reptiles est loin d'être égal dans les nerfs, la
moelle
épinière et l'encéphale ; il ne l'est pas même da
Les fibres encéphaliques sont toujours plus petites que celles de la
moelle
épinière, celles de la moelle épinière plus petit
toujours plus petites que celles de la moelle épinière, celles de la
moelle
épinière plus petites que celles des nerfs. Ces d
ent vides. Les fibres encéphaliques et les fibres transverses de la
moelle
, à quelque degré de pression qu'on les soumette
viennent ensuite les racines des nerfs rachidiens , puis celles de la
moelle
épinière , puis enfin celle des nerfs. Les fibres
de la moelle épinière , puis enfin celle des nerfs. Les fibres de la
moelle
épinière sont celles qui présentent entre elles,
né- (1) Cette'fibre s'embranchait avec une fibre plus grosse de la
moelle
, (a) Cette fibre se continuait avec la racine d
s. Grenouille Fibre du cerveau............. 0,00083 — Fibre de la
moelle
épinière se continuant avec la racine d'un nerf
e du cervelet............. 0,0025 Grenouille Fibre Iransverse de la
moelle
allongée..... 0,0025 — Fibre du cervelet.......
.... 0,0025 — Fibre du cervelet............. 0,0025 — Fibre de la
moelle
épinière......... 0,00333 — Fibre d'une racine
Fibre du corps restiforme ......... 0,00416 Grenouille Fibre de la
moelle
épinière......... 0,00416 (i) — Ibid...........
....... 0,00416 (i) — Ibid................. 0,00666 — Fibre de la
moelle
épinière......... 0,00666(a) — Fibre delà moell
66 — Fibre de la moelle épinière......... 0,00666(a) — Fibre delà
moelle
épinière......... 0,0075 (3) Lézard Fibre du ne
ibre d'une racine de nerf rachidien..... 0,00916 Lézard Fibre de la
moelle
épinière. ........ 0,01 Grenouille Fibre de la
d Fibre de la moelle épinière. ........ 0,01 Grenouille Fibre de la
moelle
épinière......... 0,01111 Couleuvre Fibre de la
Fibre de la moelle épinière......... 0,01111 Couleuvre Fibre de la
moelle
épinière......... 0,01166 Grenouille Fibre plei
'était toujours à angle droit qu'elle s'opérait. En entrant dans la
moelle
rachidienne, les fibres des racines nerveuses per
ite dans le chapitre précédent, au sujet des fibres transverses de la
moelle
allongée et des fibres encéphaliques ; les unes e
la lame optique, celles du cervelet et les fibres trans-verses de la
moelle
allongée et de la moelle épînière des reptiles; q
du cervelet et les fibres trans-verses de la moelle allongée et de la
moelle
épînière des reptiles; qu'il faut soumettre ces p
ni de monades vivantes et d'autres animacules microscopiques. 2. La
moelle
épinière des reptiles est formée de fibres, de gr
rigine des nerfs rachidiens, viennent des fibres longitudinales de la
moelle
; ils ne se continuent pas directement, ceux de dr
nt par l'entremise des fibres transverses ou fibres très ténues de la
moelle
; je n'ai pu trouver de différence, sous ce rappor
s poissons, il n'y a pas d'entrecroisement des fibres nerveuses de la
moelle
. 7. Les faisceaux fulcraux de la moelle épinièr
des fibres nerveuses de la moelle. 7. Les faisceaux fulcraux de la
moelle
épinière se rendent au cerveau et à la lame optiq
cervelet est fibreuse, analogue à celle des fibres transverses de la
moelle
épinière. 11. Nulle part les fibres transverses
part les fibres transverses n'existent en aussi grand nombre qu'à la
moelle
allongée. 12. Les fibres nerveuses des reptiles
2. 13. Les plus grosses fibres sont les fibres longitudinales de la
moelle
épinière, et les fibres des nerfs; les plus petit
ibres des nerfs; les plus petites sont les fibres transversales de la
moelle
, les fibres du cervelet, de la lame optique, du c
l consiste seulement en une petite bandelette placée en travers de la
moelle
, chez le crapaud (1), la grenouille (2) , la sala
lame très niince qui est ùn épanouissement des cordons fulcraux de la
moelle
, lequel épanouissement forme une sorte d'envelopp
es cérébraux des oiseaux constituent une sorte d'ef-fiorescence de la
moelle
épinière, à laquelle ils sont attachés par les cu
osé; on y voit des stries blanches qui viennent pour la plupart de la
moelle
épinière. A la face inférieure du cerveau, on voi
lobe cérébral est un organe dans lequel se terminent les fibres de la
moelle
épinière. A sa partie antérieure, terminée en poi
ur étendue, comme implantés sur la partie externe et supérieure de la
moelle
épinière. Ces corps sont les lobes optiques : leu
. 2y. stance grise ; ils reçoivent des fibres blanches venant de la
moelle
épinière; ils fournissent au nerf optique une dou
rosé. Au centre de l'organe, qui est placé en manière de pont sur la
moelle
allongée, est une cavité très ample, qui s'ouvre
ere-belli ad testes, avec les lobes optiques; latéralement, avec la
moelle
. Cette dernière communication a lieu par deux ord
deux ordres de fibres : les unes s'enfoncent transversalement dans la
moelle
, et forment la commissure diffuse dont il a été q
transverses, dont le pont de varole n'est qu'un développement, que la
moelle
allongée doit l'augmentation de volume qu'elle pr
n cet endroit. Les autres fibres viennent des faisceaux spinaux de la
moelle
. La moelle allongée, placée au-dessous des orga
. Les autres fibres viennent des faisceaux spinaux de la moelle. La
moelle
allongée, placée au-dessous des organes dont il v
en arrière, à son entrée dans le crâne, elle a le même volume que la
moelle
cervicale; mais bientôt elle s'aplatit, s'élargit
rgane , la cinquième paire sort entre les fibres longitudinales de la
moelle
allongée ; 5° enfin à l'endroit où naît le nerf a
2 34. (a)Voy. i53. Poids Poid» Rapport Rapport du du du cervelet.
Moelle
! de la m. al. cerveau. cervelet. au cerveau. a
elet et le cerveau daitis des proportions analogues. Le poids de la
moelle
allongée n'est pas aussi rigoureusement déterminé
parce que, malgré la précaution que j'ai prise de couper toujours la
moelle
au-dessous du trou occipital, il est arrivé qu'un
onnant les oiseaux portés au tableau, d'après le volume relatif de la
moelle
allongée, nous trouvons encore un arrangement qui
emann et M. Serres, avaient déjà cherché à déterminer le volume de la
moelle
et celui des nerfs, comparés à celui de l'encépha
rriver, ils avaient comparé les diamètres de l'encéphale à ceux de la
moelle
et des nerfs. Cette manière de procéder, bonne en
ce volume, réduit en millimètres cubes, le volume d'une partie de la
moelle
et des nerfs égale en longueur à un millimètre :
tendue, les enlever et les peser : mais il n'en est pas de même de la
moelle
épinière que l'on isole complètement des parties
urir à ce moyen chez les oiseaux, que la longueur des diamètres de la
moelle
épinière de ces animaux, pris comme on le fait d'
essous du trou occipital, donnerait fort mal le volume total de cette
moelle
, vu qu'elle présente dans deux points de son éten
urs en rapport avec ses dimensions latérales. M. Car us qui a pesé la
moelle
épinière d'un pigeon comparativement à l'encéphal
neaux.. 4,2 Un vanneau....... 2,5 ce qui donne pour moyenne de la
moelle
épinière des oiseaux, 8,87, ou environ le9edu p
prochons de ce que j'ai déjà dit des reptiles, dont l'encéphale et la
moelle
épinière sont d'un poids à-peu-près égal. Passo
cet organe, à m'en rapporter aux données fournies par son poids. La
moelle
épinière mesurée à sa naissance, c'est-à-dire au-
du cerveau, est comme 1 à 6,6. U. Moelle épinière des oiseaux. La
moelle
épinière présente, chez les oiseaux, une conforma
un renflement, mais moindre que le précédent. Sur la facefulcrale, la
moelle
épinière a dans toute sa longueur, un sillon médi
s racines spinales des nerfs rachidiens. Dans toute la longueur de la
moelle
règne un canal qui commence au quatrième ventricu
e au coccyx. II ne faudrait pas confondre les deux renflemens de la
moelle
avec ces renflemens partiels que Gall a indiqués
ur voir, je dirai pour produire ces renflemens. U faisait bouillir la
moelle
contenue dans le canal et adhérente par les racin
érente par les racines des nerfs rachidiens. La cuisson resserrait la
moelle
qui, fixée par ces racines, était, dans cet endro
iques, on trouve une commissure large, dont les fibres viennent de la
moelle
épinière; une valvule de Vieussens et en arrière,
commissure ayant la forme d'un cordon arrondi, placé au travers de la
moelle
allongée. Les couches optiques sont striées comme
oids du cervelet est à celui du cerveau comme 1 à 6,18. Celui de la
moelle
allongée au cerveau, comme 1 à U, 12. Celui de la
Celui de la moelle allongée au cerveau, comme 1 à U, 12. Celui de la
moelle
épinière à l'encéphale, comme 1 à 8,87. 11. Le
ue constamment plus long que le diamètre antéro-pos-térieur. 13. La
moelle
épinière des oiseaux présente deux renflemens con
ésente une large ouverture qui communique avec le canal central de la
moelle
. § II. STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPI
ce qu'il est chez les reptiles et les poissons. 1. Structure de la
moelle
épinière des oiseaux. L'intérieur de la moelle
1. Structure de la moelle épinière des oiseaux. L'intérieur de la
moelle
épinière est formé de matièregrise dont la quanti
nférieur. Cette matière grise vient presque jusqu'à l'extérieur de la
moelle
par le sillon spinal latéral, celui que traversen
ètre. La substance blanche, recouvrant la substance grise, forme à la
moelle
une sorte d'enveloppe divisée par les sillons don
raux ; les supérieures ou spinales, du sillon latéral-supérieur de la
moelle
. 2. Structure de -l'encéphale des ciseaux. C'
laquelle n'atteignent pas les lobes cérébraux de ces animaux. Dans la
moelle
allongée, il y aussi de la substance grise, mais
rieur de cet organe, chez l'homme. La distribution des fibres de la
moelle
épinière s'opère de la manière suivante, dans les
es lobes encéphaliques. D'abord ces fibres ne se croisent pas dans la
moelle
allongée, où l'on chercherait vainement une dispo
aux latéraux se rend également au cervelet, tandis que le reste de la
moelle
, ou la portion fulcrale de cet organe, se porte
s optiques, et au cerveau. A l'endroit où le cervelet s'insère à la
moelle
, celle-ci est très renflée , et son accroissement
a traversent comme une sorte de pont de varole, placé en dedans de la
moelle
, et à la présence d'une quantité de substance gri
d'une quantité de substance grise plus considérable que celle dont la
moelle
épinière est pourvue. C'est ici le lieu de faire
ns tous les vertébrés, avec les fibres longitudinales provenant de la
moelle
épinière. Si la moelle est considérable et le cer
avec les fibres longitudinales provenant de la moelle épinière. Si la
moelle
est considérable et le cervelet peu volumineux, t
nales : c'est le cas des poissons, des reptiles et des oiseaux. Si la
moelle
diminue de volume, proportionnellement au cervele
e partie seulement s'entrecroise avec les fibres longitudinales de la
moelle
, tandis que l'autre partie reste en relief au deh
la moelle, tandis que l'autre partie reste en relief au dehors de la
moelle
: c'est le cas des mammifères et de l'homme. Quel
calleux. M. Tiedemann a suivi les fibres de cet organe jusque dans la
moelle
allongée ; Gall a suivi ou plutôt admis des fibre
oiseaux, les reptiles et les poissons, il n'en a qu'une, celle de la
moelle
épinière dont les fibres, renforcées par un gangl
au, le cervelet, les commissures ont les fibres les plus petites ; la
moelle
épinière vient après et présente des dimensions t
0,01083. L'une et l'autre de ces parties sont des prolongemens de la
moelle
épinière qui, de tous les côtés de sa surface, a
rième ventricule? Où et comment se terminent les grosses fibres de la
moelle
? En parlant de l'encéphale de l'homme, je répond
régulières, comme on en voit en si grand nombre dans les fibres de la
moelle
épinière ; particularité qui me paraît devoir êtr
e du lobe cérébral.................... 0,002 5 Mésange. Fibre de la
moelle
épinière................. o,oo333 Poule. Fibre
re du nerf pneumo-gastrique.............. o,oo333 Id. ? Fibre de la
moelle
épinière................. 0,00 346 Id. Fibre du
la commissure des lobes optiques...... o,oo583 Mésange. Fibre de la
moelle
épinière................. 0,00666 Id. Fibre du
. Même nerf............................. o,oo833 Poule. Fibre de la
moelle
épinière................. 0,00846 Id. Fibre du
plancher du quatrième ventricule..... 0,01083 Mésange. Fibre de la
moelle
épinière...............*, 0,01166 Poule. Fibre
rapport avec la chaleur à laquelle ils sont soumis. RÉSUMÉ. 1. La
moelle
épinière des oiseaux contient plus de matière gri
trent et se ramifient des faisceaux de substance blanche venant de la
moelle
allongée. 3. Les fibres de la moelle, en arriva
substance blanche venant de la moelle allongée. 3. Les fibres de la
moelle
, en arrivant aux lobes optiques, se comportent d'
e. 5. Il n'y a pas d'entrecroisement de fibres longitudinales, à la
moelle
épinière. 6. Le renflement que l'on observe à l
nales, à la moelle épinière. 6. Le renflement que l'on observe à la
moelle
allongée, lient à la présence des fibres transver
utres, d'après le décaissement de leur intelligence. Le poids de la
moelle
allongée comparé à celui du cerveau, dérange un p
clusion, savoir : que le cerveau, comparativement au cervelet el à la
moelle
allongée, est d'autant plus développé que les ois
a perruche. La comparaison du poids de l'encéphale avec celui de la
moelle
épinière, donne de nouveau l'avantage à la pie su
tage à la pie sur le perroquet et sur les autres oiseaux. La pie a la
moelle
épinière égale à un peu moins du neuvième de l'en
ne la forme de cet organe. Je n'ai pas à parler ici de la forme de la
moelle
épinière, ni de celle des lobes optiques, ces par
rapproche davantage. 3. Il en est de même de celui des nerfs, de la
moelle
allongée et de la moelle épinière, comparé au cer
Il en est de même de celui des nerfs, de la moelle allongée et de la
moelle
épinière, comparé au cerveau. 4. L'élargissemen
maux que les naturalistes ont placé dans la même classe que lui. La
moelle
épinière tend à se subordonner de plus en plus à
au fur et à mesure que l'on s'élève dans la classe des mammifères; la
moelle
allongée se perfectionne par l'augmentation consi
ante dans les mammifères que dans les autres classes de vertébrés. La
moelle
allongée, le cervelet et surtout le cerveau exige
ule; du reploiement du cerveau sur les prolongemens céphaliques de la
moelle
épinière, résulte, de chaque côté, une autre cavi
ésentent que de la substance grise. Le prolongement antérieur de la
moelle
épinière que l'on appelle cuisse du cerveau, pédo
moins; car il sert aussi de commissure à la portion céphalique de la
moelle
épinière ainsi que je l'ai précédemment établi.
uin, la baleine, le singe. Le cervelet est en communication avec la
moelle
allongée par trois ordres de fibres, savoir : cel
du cervelet, les pédoncules du cervelet, et la face supérieure de la
moelle
allongée. Deux petits sinus, un de chaque côté, c
nd volume de cet ouvrage : il en sera de même pour ce qui concerne la
moelle
allongée et la moelle épinière; j'éviterai par là
ge : il en sera de même pour ce qui concerne la moelle allongée et la
moelle
épinière; j'éviterai par là d'inutiles répétition
inutiles répétitions et je fatiguerai moins l'attention du lecteur.
Moelle
allongée. Les mammifères ont tous une moelle allo
'attention du lecteur. Moelle allongée. Les mammifères ont tous une
moelle
allongée plus compliquée que les oiseaux, et les
rai de faire ici la simple énumération des parties qui constituent la
moelle
allongée, me réservant, ainsi que je l'ai dit tou
En procédant d'avant en arrière, on trouve à la face inférieure de la
moelle
allongée, les pédoncules cérébraux formés de fibr
en sont presque entièrement dépourvues. A la face supérieure de la
moelle
allongée, existe un sillon longitudinal résultant
un sillon longitudinal résultant de l'adossement des deux côtés de la
moelle
; ce sillon, appelé calamus scriptorius, se termin
té effilée qui communique avec un canal creusé dans la longueur de la
moelle
épinière. Un léger enfoncement placé dans le qu
t placé dans le quatrième ventricule, tout près de la naissance de la
moelle
épinière, tapissé par la pie-mère et recouvert pa
onné à la partie supérieure ou céphalique des faisceaux spinaux de la
moelle
. Ce sont deux saillies perpendiculaires et parall
e éminence accompagne le nerf, v même après qu'il s'est détaché de la
moelle
(pl. ix, cheval, fig. 2, 1.). 2. Nerfs encéphal
elte épreuve, en pesant comparativement le cerveau, le cervelet et la
moelle
allongée d'un certain nombre de chevaux entiers,
îe poids absolu et le poids relatif du cerveau, du cervelet et de la
moelle
allongée de quarante-trois chevaux, savoir : dix
t Torts -———-, ^ de Rapport cervelet Nombre. Ages. dè du du au la
moelle
avec l'encéphale, cerveau. cervelet. cerveau, a
ntrod,, p. 10). J'attache moins d'importance au poids relatif de la
moelle
allongée qu'à celui du cervelet, j'en ai dit plus
quelles sont les moyennes que le calcul m'a fourni à cet égard. La
moelle
allongée est au cerveau : ohez un Cheval, comme
i qui a les plus gros nerfs comparés au volume de son encéphale. La
moelle
épinière est à l'encéphale : Poids -• —J~— 1,
phale : Poids -• —J~— 1,111 ~~- Rapports. de l'encéphale, de la
moelle
ép. gr- gr. Chez un Lapin de quatre jours ...
chez les animaux ci-dessus désignés : 5,12, Le poids relatif de la
moelle
épinière et celui de l'encéphale, comparés au poi
s de l'encéphale. M. Tiedemann a établi que le cerveau comparé à la
moelle
épinière, à la moelle allongée, aux pyramides ant
iedemann a établi que le cerveau comparé à la moelle épinière, à la
moelle
allongée, aux pyramides antérieures, au pont de v
nt le singe pour le type de la perfection de cette classe, et plus la
moelle
allongée est volumineuse comparativement aux couc
e l'encéphale de l'éléphant, qu'un lobe cérébral, et je n'ai vu de la
moelle
allongée de cet animal, et du cervelet, que des p
st grisâtre, tandis que celui des testes est constamment blanc. l\.
Moelle
épinière des mammifères. La grande analogie qui
lle épinière des mammifères. La grande analogie qui existe entre la
moelle
épinière des mammifères et celle de l'homme m'obl
ncerne. C'est alors que j'examinerai en détail, la conformation de la
moelle
épinière, son volume relatif, l'origine des nerfs
rai de dire que la castration diminue le volume du cervelet. 26. La
moelle
allongée esl au cerveau, comme 1 csl à 6,07. 27
s encéphale el de petits nerfs. 28. Le rapport moyen du poids de la
moelle
épinière est à celui de l'encéphale comme 1 esta
celui de l'encéphale comme 1 esta 5,12. 29. Le poids relatif de la
moelle
épinière et celui de l'encéphale, comparé au poid
les fibres nerveuses de l'âne. Il résulte de ces mensurations, que la
moelle
allongée et la moelle épinière ont des fibres de
e l'âne. Il résulte de ces mensurations, que la moelle allongée et la
moelle
épinière ont des fibres de dimensions très différ
s des mammifères. mammifères. mm. Chauve-soukis . . Fibre de la
moelle
épinière......... . 0,00166 Chien...... Id.....
..... de la moeile allongée......... 0,006 Chauve-soukis. , , de la
moelle
épinière......... 0,00666 Id......... du nerf b
66 Id......... du nerf brachial........... 0,01 Chien...... de la
moelle
épinière......... 0,01166 Ane.......Fibre du co
ippocampe . . . 0,002 Id . ....... des pyramides postérieures de la
moelle
allongée............. 0,002 1*1 "........ de
uatrième ventricule. . . . 0,0025 Id . ....... de l'intérieur de la
moelle
allongée. . . 0,003 ld........ de la commissure
ique ............ ... 0,01166 ld.........Fibre de l'intérieur de la
moelle
allongée. . . 0,0225 § III. FACULTÉS DES MAMMIF
ropres. D'après M. Alexandre Walker, les colonnes antérieures de la
moelle
épinière se rendent vers le cerveau et forment le
se rendent vers le cerveau et forment les faisceaux inférieurs de la
moelle
allongée, ainsi que les pédoncules cérébraux: ell
circonvolutions. Les fibres provenant des colonnes antérieures de la
moelle
, après avoir suivi cette direction divergente, se
rps resti-formes, et se rendent enfin aux colonnes postérieures de la
moelle
. M. Walker prétend avoir pu suivre, par la dissec
marche qui est en rapport parfait avec la direction des fibres de la
moelle
et celles du cerveau. Par l'intermédiaire des c
nt les passions et la volonté ; enfin, les parties postérieures de la
moelle
président aux mouvemens. (1) M. Alexandre Walke
trouve compris le poids du cerveau, celui du cervelet et celui de la
moelle
allongée ; lequel de ces trois organes a l'avanta
s à toutes les hauteurs du tableau : il en est de même du poids de la
moelle
allongée comparé à celui de l'encéphale. Quant
..............................,......... 321 Le poids comparé de la
moelle
épinière au cerveau, et celui de la totalité de l
l'encéphale au poids du corps; et du poids comparé du cervelet, de la
moelle
allongée et de la moelle épinière, au poids du ce
orps; et du poids comparé du cervelet, de la moelle allongée et de la
moelle
épinière, au poids du cerveau. 20. Le volume de
e proportionnels de l'encéphale pois- sons...... . ;.......150 4.
Moelle
épinière des poissons.........157 % II. Structu
ux cérébro-spinal des poissons............ 164 1. Structure de la
moelle
épinière des poissons..... 172 2. Structure de
Poids et volume proportionnels de l'encéphale des reptiles. 233 4.
Moelle
épinière des reptiles......... 237 § II. Struct
x cérébro-spinal des reptiles............. 240 1. Structure de la
moelle
épinière des reptiles..... 241 2. Structure de
.. 283 3. Poids et volume de l'encéphale des oiseaux ..... ld. 4.
Moelle
épinière des oiseaux......... 291 § II. Structu
ux cérébro-spinal des oiseaux............. 294 1. Structure de la
moelle
épinière des oiseaux..... Id. 2. Structure de l
Il ne nous reste donc plus qu'à chercher parmi les affections de la
moelle
. Or, du fait même que je viens de démontrer, du f
la syphilis médullaire, l'hématomyélie. Parmi les affections de la
moelle
susceptibles de donner lieu à un en- semble sym
étaient abolis. A l'autopsie, ou a trouvé la partie centrale de la
moelle
creusée d'une exca- vation qui s'étendait depui
l'exis- tence d'une énorme cavité qui embroche en quelque sorte la
moelle
de part en part depuis la région dorsale supéri
près cette leçon. Voici le résultat de l'examen, à l'oeil nu, de la
moelle
: La coupe est normale au niveau de la région i
on note un épaississement des méninges qui entoure de toute part la
moelle
à laquelle celles-ci adhèrent fortement ; la moel
de toute part la moelle à laquelle celles-ci adhèrent fortement ; la
moelle
à ce niveau, n'a plus sa consistance normale, e
u tissu médullaire devient tel, après la sor- tie du liquide que la
moelle
prend la forme et l'aspect d'un ruban étalé ; on
e racine dorsale ; mais à par- tir de la région dorsale moyenne, la
moelle
présente, à la coupe, des cornes et des cordons
rmaux à l'oeil nu ; on ne voit pas de grosse lésion au niveau de la
moelle
lombaire ; toutefois, le tissu (reste mou et les
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE -- 9 ayant déterminé un SYNDROME DE
ENRI MEUNIER Interne des hôpitaux. Les gommes syphilitiques de la
moelle
épinière sont considérées avec juste raison com
ant son travail, le malade fut pris gomme syphilitique DOUBLE DE la
moelle
épinière 51 d'un malaise brusque, d'une sorte d
he est parésié, le droit indemne. GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 53 la limite de cette anesthésie et co
on formula le diagnostic suivant : , Paraplégie par lésion de la
moelle
; lésion bilatérale transverse, intéres- sant c
iqûre de morphine le sbir.) 1 , ' * GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 55 Le 9.- L'intell igence s'obscurcit;
aire est extraite sui- vant les règles : en palpant délicatement la
moelle
à travers ses envelop- pes, on ne trouve pas de
gitudi- nale de la dure-mère en avant et en arrière, on met à nu la
moelle
et ses méninges internes : le liquide céphalo-r
ce sont très congestionnés, surtout dans la région supérieure de la
moelle
. A la hauteur des premières racines dorsales, l
ieure de la moelle. A la hauteur des premières racines dorsales, la
moelle
présente un léger renl1elllent; - à ce niveau l
ence droite. Une section, une seule, est pratiquée en travers de la
moelle
avec le cou- teau d'autopsie : elle porte sur l
amen d'ensemble des coupes sériées que nous avons pratiquées sur la
moelle
. Anatomie pathologique. A. Topographie des lé
logique. A. Topographie des lésions. L'examen macroscopique de la
moelle
, il l'autopsie, avait dû forcément être restrei
tablir exacte- ment la topographie des lésions macroscopiques. La
moelle
, dans l'étage correspondant à l'origine des '1"°
nferme deux grosses tumeurs, l'une gauche, l'autre droite, FIG. 13.
Moelle
cervico-dorsale, vue par la face postérieure. On
de la 1re racine dorsale : coupe n° lui. GOMMES SYPHILITIQUES DE LA
MOELLE
RÉGION CER·1C0-OORSALE. ETAGE SUPÉRIEUR (COLO
TAI L L R f-10, 1 ft DIT E U R S , GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 57 symétriquement placées par rapport
e d'un bourgeon saillant, large, débordant le pourtour normal de la
moelle
d'environ 3 millimètres et adhérant aux méninge
es. Malgré cette conformation extérieure relativement normale de la
moelle
, les différents éléments constitutifs du névrax
pe, refoulant en arrière et à droite tous les éléments nobles de la
moelle
: son volume est celui d'une cerise (12 à 13 mill
montrent que le noyau gommeux FIG. 14. Coupes en perspective de la
moelle
cervico-dorsale, montrant . la disposition des
et la ;;0 racine dorsale : coupe ne 16. GOMMES SYPHILITIQUES DE LA
MOELLE
RÉGION CERVICO-DORSALE. ETAGE INFERIEUR (DESS
li- }1ATTAILLE & FIC, ÉDITEURS GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 59 gauche diminue peu à peu de volume.
inférieure, la tumeur se rétrécit également dans l'épaisseur de la
moelle
et son tissu néoplasique est peu à peu remplacé p
aussi prononcé des autres parties des éléments 'constitutifs de la
moelle
. Au niveau de son plus grand diamètre, situé à
ez bien circonscrite, occupe toute la portion antéro-latérale de la
moelle
droite, détruisant la corne anté-' rieure, une
utopsie, celle méninge était parsemée dans toute la hau- teur de la
moelle
d'innombrables petites plaques blanchâtres, d'une
nucléaire donne lieu à une remarquable surcoloration. Autour de la
moelle
, dans les sillons antérieur et postérieur et surt
petits vaisseaux issus du réseau pie-mérien, qui pénètrent dans la
moelle
avec les prolongements de la méninge. Au-dessus
ltration cellulaire périvasculaire. GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPtNtÈRE 63 sa paroi externe est constituée par
pant dans la région de son diamètre GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIERE 65 maximum toute la moitié antéro-Iaté
LA MOELLE ÉPINIERE 65 maximum toute la moitié antéro-Iatérale de la
moelle
(Pl. IX, A, B, C). Avec des grossissements plus
ns vu que la tumeur formait un bour- geon assez épais, débordant la
moelle
de 1 à 2 millimètres et s'implantant par la fac
que vemule forme comme un affluent qui charrie vers le centre de la
moelle
d'innombrables cellules ; des extrémités ramifi
onnaissables; en ce point il existe GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 67 sur une hauteur notable un déchirem
LA MOELLE ÉPINIÈRE 67 sur une hauteur notable un déchirement de la
moelle
qui se traduit sur les coupes successives par u
que la première se termine en pointe vers la région centrale de la
moelle
, s'éloignant par conséquent de la sur- face pie
de plus en plus basses ; l'autre qui suit la partie centrale de la
moelle
et qui désorganise cette région jusqu'à une dis
, sur les coupes colorées par les méthodes de Fic,. 16. Coupe de la
moelle
dans la région commune aux deux gommes (voir fi
ns de Sottas. Ces dernières lésions indiquent que ces régions de la
moelle
, soumises sans doute à une ischémie récente par
e envahies par le ramollissement. GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 69 VII. Substance grise. Nous avons vu
nos tumeurs, que celles-ci occupaient les régions antérieures de la
moelle
et qu'elles s'étaient substituées en quelque sort
yonnaire, dont le foyer principal occupe la région antérieure de la
moelle
. z Les lésions varient suivant le point considé
l'on remarque dans leur voisinage. GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 71 Réflexions. I. Considérations ANA
avec formation de deux vastes foyers gommeux dans l'intérieur de la
moelle
. On sait de quelle rareté exceptionnelle sont l
de quelle rareté exceptionnelle sont les gommes syphilitiques de la
moelle
: tandis qu'on ne compte plus les autres lésions
Traité de Méde- cine : 1° Mac Dowel, 1861 : Gomme centrale de la
moelle
dorsale. 2° Wilks, 1863 : Gomme postéro-latéral
oelle dorsale. 2° Wilks, 1863 : Gomme postéro-latérale droite de la
moelle
lombaire. 3° Wagner, 1863 : Gomme latérale gauc
: Gomme latérale gauche bulbaire. 4° Rosenthal, 1865 : Gomme de la
moelle
. 5° Lorenzo Halles, 1872 : Gomme de la moelle l
l, 1865 : Gomme de la moelle. 5° Lorenzo Halles, 1872 : Gomme de la
moelle
lombaire. 6° Savard, 1883 : Gomme superficielle
moelle lombaire. 6° Savard, 1883 : Gomme superficielle gauche de la
moelle
dorsale. 7° W. Osier, 1889 : Gomme antéro-latér
lle dorsale. 7° W. Osier, 1889 : Gomme antéro-latérale droite de la
moelle
cervicale. 8° Mourek, 1893 : Gomme de la moelle
térale droite de la moelle cervicale. 8° Mourek, 1893 : Gomme de la
moelle
dorsale. Les trois dernières observations sont
tage infecté du névraxe, l'infiltration pie-mérienne envahissant la
moelle
par lésions vasculaires, les lésions remarquabl
a réalisation de deux gommes massives, occupant le corps même de la
moelle
: la clef de cette localisation nous échappe; le
y-Iepto-mé- ningite. Le processus gommeux une fois installé dans la
moelle
, le déve- loppement de la lésion s'est continué
laire de leptomyélite syphilitique. GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 73 que soit par la présence d'un résea
nous avait permis dès le premier jour d'af- firmer une lésion de la
moelle
et d'en fixer la hauteur sur le névraxe; en cel
qu'à une lésion soudaine, importante, d'un étage transversal de la
moelle
, ou à un arrêt brusque de l'irrigation sanguine
l'équilibre et détermina l'ictus. GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 75 A partir de ce moment, les phénomèn
- sement de l'infiltration gommeuse, parachevèrent la section de la
moelle
et, comme le processus évoluait symétriquement
s du névraxe, à une véritable section de la moitié antérieure de la
moelle
, cordons blancs antéro-latéraux et cornes antér
use déterminante du syndrome de Brown- Sequard pour la moitié de la
moelle
qui la renferme. C'est ainsi que la tumeur gauc
tumeurs avec les différents conducteurs moteurs et sensitifs de la
moelle
; ayant recours à la fois à la figuration par tra
faisceaux pyramidaux direct et croisé : de cette hémisection de la
moelle
motrice gauche résulte la paralysie motrice de la
J. SoTTAs, Bévue de médecine, 1893. GOMME~SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPIN1ÈRE 77 ralysie du tronc et du membre infér
ne); mais la FiG. 47. - Schéma en transparence et perspective de la
moelle
cervico-dorsale : T et T' : gommes gauche et dr
etc. : racines sensitives droites et gau- elle$. (En dehors de la
moelle
et des racines, on a figuré deux bandes verticale
ici d'un syndrome double déterminé par une lésion bilatérale de la
moelle
. *. Un dernier fait nous reste à interpréter :
le, thermique et douloureuse ne suivent pas les mêmes voies dans la
moelle
: tandis que les premiers (tacti- les), après a
grise de ta cptpnneposténeure, gagnent les régions supéneures de la
moelle
et l'encéphale, par des syslè- GOMME SYPHILITIQ
elle et l'encéphale, par des syslè- GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 79 mes commissuraux contenus dans le c
postérieurs sont relativement respectées; ce sont les parties de la
moelle
qui ont le moins soufferu, or ce sont celles qui
e l'infil- tration embryonnaire dans toute la région centrale de la
moelle
, même en deçà et au delà des tumeurs ; quoi de
ns les cas de gliomatose médullaire ? LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE PAR GILLES DE LA TOURETTE, Profess
u- tant ils deviennent rares et vagues relativement il celles de la
moelle
qui doivent nous occuper actuellement ». Et c
ture et traitement du rachitis, 1797. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 81 En 1889, Siemerling (1) écrivait en
satisfaisantes, on continuait à compter les cas où le cerveau et la
moelle
avaient été héréditairement touchés par la vérole
il n'avait pas étépublié, suivant lui, une seule observation où la
moelle
fût uniquement en cause, la syphilis héréditaire
ait tenté une esquisse géné- rale de la syphilis héréditaire de la
moelle
. Peut-être, dans ces conditions nées surtout de
cueillies. On peut considérer que la syphilis héréditaire frappe la
moelle
épinière à trois périodes de l'existence : pend
ntant les manifestations cliniques d'une syphilis congénitale de la
moelle
épinière. Les cas précoces sont ceux où la déte
-nés avant terme ou à terme, affectés de syphilis héréditaire de la
moelle
épinière. Les cas de cette catégorie qui ont ét
ltérés, ils offraient la consistance molle habituelle à cet âge. La
moelle
de l'un des deux foetus paraissait être à l'éta
es grises. Le microscope y montra des tubes nerveux très nets. « La
moelle
de l'autre foetus, au contraire, était dans toute
i cellule nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute la
moelle
semblait formée par du tissu lamineux, condensé
t entremêlé d'une substance granuleuse abondante. L'examen des deux
moelles
fut fait simultanément et la différence considé
e vasculaire. A. Jarisch (2) a étudié l'anatomie pathologique de la
moelle
dans 7 cas de syphilis, dont 4 se rapportant à
ours, le moins âgé 19 jours. - Les lésions qu'il a trouvées dans la
moelle
consistaient surtout dans l'a- trophie des cell
a région cervicale et disparaissant dans la partie inférieure de la
moelle
. De la pie-mère épaissie partent des prolongement
rolongements fibreux envahissant les cloisons interstitielles de la
moelle
, particulièrement dans la région des cordons et
es vertébrales. Sclérose des vaisseaux de la région cervicale de la
moelle
. Di- verses lésions syphilitiques des autres or
risâtre. La dure-mère est épaissie dans la partie postérieure de la
moelle
. Ostéochondrites syphilitiques des vertèbres, d
sculaires. Les faits les plus récents de syphilis congénitale de la
moelle
appartien- nent à Gangitano ('1 ) qui a publié
ra- tion de la névroglie, et de l'endartérite. , Les coupes de la
moelle
, pratiquées au niveau du renflement cervical, mon
i clinica medica, Milan, 1894, p.448. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 85 tenu et siégeant dans les cordons p
est constituée en grande partie par la dure-mère très épaissie. La
moelle
est renfermée dans le canal vertébral. La secti
relever aucune lésion tant ma- croscopique que microscopique. La
moelle
est de volume à peu près normal. Elle présente, d
chaque branche de division. Vers la 3e ou la 4° vertèbre lombaire, la
moelle
redevient unique et augmente énormément de volu
mément de volume vers la queue de cheval. En ce point, on voit la
moelle
, qui était réduite à un volume très exigu, deve-
les cordons de Goll. Celles-ci com- LA SYPHILIS, HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 87 mencent à apparaître, peu abondante
oyau et leur nucléole. Sur les coupes de la partie supérieure de la
moelle
dorsale, on voit la pie-mère épaissie,infiltrée d
de fissure ; il revêt un aspect uniforme, coupant pour ainsi dire la
moelle
en 4 parties à peu près égales. Le canal est
ses disséminées. Dans la partie inférieure de la région dorsale, la
moelle
est aplatie suivant son diamètre antéro-postéri
voit des lacunes remplies de sang qui forment un anneau isolant la
moelle
de son revê- tement méningé. La dure-mère épa
rmaux analogue à .celui déjà décrit dans la partie inférieure de la
moelle
. Sur la coupe faite immédiatement au-dessus du
gaines variqueuses de myéline. Au niveau du renflement lombaire, la
moelle
redevient de nouveau unique. La dure-mère et la
longues lacunes hémorrhagiques avec des vaisseaux très dilatés. La
moelle
, extrêmement réduite de volume, adhère à une. p
énérescence des cellules ganglionnaires, dédoublement partiel de la
moelle
lombaire ». , L'auteur conclut qu'il y a un rap
'état actuel de nos connaissances sur la syphilis congénitale de la
moelle
. La syphilis peut'donc frapper la moelle (ou mi
syphilis congénitale de la moelle. La syphilis peut'donc frapper la
moelle
(ou mieux le système cérébro- spinal) de l'enfa
ifestations cliniques se rapportant à la syphilis congénitale de la
moelle
. Les faits que nous allons étudier sont plus in
rechercher ce qui appartient, primitivement ou secondairement, à la
moelle
, ce qui ne laissera pas, on le comprend, de rendr
i- festations cliniques classe généralement dans les maladies de la
moelle
. Dans un premier mémoire, publié en 1884, M. Mo
érose cérébrale (avec participa- tion primitive ou secondaire de la
moelle
), s'accompagnant d'idiotie et d'accès épileptiq
aladies de l'enfance, 1887, p. 720. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 91 qui se rapproche sensiblement des p
- ses membranes épaisses et fibreuses. A la partie inférieure de la
moelle
, le processus morbide s'efface peu à peu. Cepen
ion cervicale, une coloration diffuse des cordons postérieurs de la
moelle
. Dans la région thoracique, seuls sont envahis
simples dégénérations descendantes, en un mot que le cerveau et la
moelle
peuvent être indivi- duellement envahis (simult
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE LA. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE PAR GILLES DE LA TOURETTE, Profess
-développement hérédo-syphililique des cordons anléro-latéraux delà
moelle
. Th. Paris, 1889. (3), Breton. Un cas de maladi
ittle. Gaz. des hôpitaux, 89,p. 1416. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 111 iiiiale iiiais ne différant guère
la vérité, que l'hérédo-syphilis peut congénitalement porter sur la
moelle
, sinon tous ses efforts, au moins son action la
hérédo-syphilis s'essayer pour ainsi dire, dès la naissance, sur la
moelle
pour produire, en dernière analyse et dans l'âg
en portants et n'en a pas perdu; serait atteint d'uue maladie de la
moelle
épinière analogue il celle du malade, laquelle
nque l'incisive latérale droite et la LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE . ' 113 médiane gauche. Toutes les gro
` ? ° catégorie. Cas dans lesquels la syphilis héréditaire affecte la
moelle
épinière, non plus congénitalement, mais dans l
i suivent la naissance.- Cas précoces de syphilis héréditaire de la
moelle
. Dans les faits que.nous allons maintenant décr
veau continue à participer très souvent au processus qui affecte la
moelle
épinière. La variété des symptômes cliniques au
en plus, prennent une individualité fonctionnelle plus marquée, la
moelle
, les méninges, les vaisseaux semblent agir, êtr
parer les cas entre eux et surtout de LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 115 tirer des conclusions des données
mblablement causée par quelque dépôt sur la région supérieure de la
moelle
et ses membranes. La lésion comprimait égalemen
rveau gauche est atrophié, les artères basilaires sont altérées. La
moelle
est rigide comme un bâton dans toute son étendue,
l existait une sclérose diffuse s'étendant il toute l'étendue de la
moelle
. Il est permis de penser que, dans ce cas, l'al
oelle. Il est permis de penser que, dans ce cas, l'altération de la
moelle
était consécutive aux lésions cérébrales, lesqu
vertébrales dans Ie2e, accompagnées de scléroses descendantes de la
moelle
consécutives aux lésions cérébrales. Toutefoi
'lln E. Ilenoch. Berlin, 1890, p. 31. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 117 drait pas conclure que les lésions
un des auteurs qui a le mieux étudié la syphilis héréditaire de la
moelle
, est des plus intéressantes à ce sujet. Elle se
ébrales présentaient de l'endo- périartérite. - ' Au niveau de la
moelle
, la dure-mère était saine dans presque toute son
ces, des petites gommes de la pie-mère qui, de 1,'i, pénétraient la
moelle
. - 'es fibres nerveuses étaienf altérées, en pa
accentuée avec participation de la substance grise et blanche de la
moelle
. Les observations qui vont suivre n'ont pas de
natomique, il n'est pas douteux cependant que,dans tous ces cas, la
moelle
n'ait été prise et d'une façon prédominante.
héréditaire tardive, op. cit., p. 24. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 119 « Vous n'avez pas oublié, sans dou
cette paraplégie a son origine dans une affection spécifique de la
moelle
ou de ses enveloppes. L'événement m'a donné rai
att, 1894, p. 470 (article original). LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE l21 ' Les dents, d'ailleurs anormales,
d'ailleurs n'être qu'apparente, nous LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 123 adopterions volontiers les conclus
lieu de penser que, dans les deux cas, les lésions siègent dans la
moelle
et sont de même nature. » Ces conclusions paraî
ieure d'un an à l'apparition de la paraplégie; les mé- ninges et la
moelle
semblent donc bien avoir participé au processus s
t pas le temps de s'occuper d'elle. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 125 Elle est restée chez elle sans tra
ais. Elle /orme une élevure allongée, LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 127 une saillie de I centimètre il 1 c
3e catégorie. -Cas dans lesquels la syphilis héréditaire affecte la
moelle
épi- nière dans l'adolescence ou dans Page mûr.
tte, 1861, t. II, p. 83. Op. cit. ' LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 129 / .. - . le'' janvier 1861. - Sp
e l'on reconnaît être un foyer caséeux ramolli. Moitié gauche de la
moelle
allongée, aplatie et élargie. On ne trouva aucune
e gomme placée au-devant des vertèbres supérieures et comprimant la
moelle
; ils, disparurent après qu'une partie de la gomm
de volume. Sur le cadavre, on trouva encore la moitié gauche de la
moelle
légèrement aplatie ». - - Cette observation est
e et de syphiligraphie, 1892, p. 845. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 131 Vers le 17 juillet 1891, il a ress
te sur le thorax a déterminé chez lui LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 133 un sentiment de paralysie des memb
ébraux qui ont fait défaut), la participation considé- rable que la
moelle
et ses enveloppes ont prise au processus. L'obs
aire sur la base du cerveau, le bulbeêt la région cervi- cale de la
moelle
épinière. ' On remarquera que la malade qui en
tique infantile, 17 mai 1894, p. 431. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 135 Ons. fil (recueillie par M. d'IIer
face toutefois peu marquée ; la bosse LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE . 137 frontale droite est située en av
onsulter le travail original (G.-T.). LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 139 Là encore la lésion siégeait dans
139 Là encore la lésion siégeait dans les parties supérieures de la
moelle
, peut-être dans le bulbe. De plus la paralysie
idation épileptoïde très marquée. Pas LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 141 de troubles de sensibilité, ni d'a
eux qui survinrent ultérieurement tant du côté du frontal que de la
moelle
épinière. Le traitement spécifique s'est montré
l'émission de l'urine, bien que par- LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 143 fois les besoins soient impérieux.
vés et qui seraient en rapport avec des lésions spé- cifiques de la
moelle
lombaire et de la queue de cheval. Prescription
cependanl,il existe un peu d'engour- LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 145 dissemenl passager de la plante de
ommes trouvé en présence d'une lésion des racines inférieures de la
moelle
, ou du cône terminal. Ce sont les nerfs de la q
ieds. ? BATTAILLE ET Cie Éditeurs - LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 149 peu de résultais ; les ligaments s
re et de résumer nos connaissances sur la syphilis héréditaire delà
moelle
épinière, question qui, jusqu'à ce jour, semble a
que nous avons rapportées en font foi. La syphilis peut frapper la
moelle
à trois périodes de l'existence : pen- dant la
toujours, sinon toujours, on note, en dehors des altérations dont la
moelle
ou mieux le système nerveux est le siège, des m
omplètement défaut. Les lésions que l'on trouve alors du côté de la
moelle
, sans parler des vices et arrêts de développeme
éréditaire tardive, op. cit., p. 529. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 151 Si l'enfant touché congénitalement
au milieu des symptômes encéphali- ques, de ce qui appartient à la
moelle
. Analomiquement, le processus embryonnaire est
s ; elle peut cependant se lo- caliser presque exclusivement sur la
moelle
pour produire des paraplégies spasmodiques, ind
début de son évolution. Lorsque la syphilis porte son action sur la
moelle
dans les années qui suivent la naissance, de mê
mes médullaires pures elle affecte une prédilection marquée pour la
moelle
cervicale. Toutefois, la localisation peut siég
cervicale. Toutefois, la localisation peut siéger uniquement sur la
moelle
lombo-sacrée. Dans ces cas de syphilis précoc
en plus, prennent une individualité fonctionnelle plus marquée : la
moelle
, les méninges, les vaisseaux semblent agir, être
partie centrale, s'accole aux cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière, tandis que les fibres externes et int
) Raymond, Maladies du système nerveux, scléroses systématiques de la
moelle
, 1894. (3) Raymond, Article Tabès dorsalis, d
'origine syphilitique, 18S2.. (2) Mahie, Traite\ des maladies de la
moelle
. (3) De Massary, Tabès dorsalis, Dégénérescence
, ni flocons albumineux. » - (1) Marie, Traité des maladies de la
moelle
. (2) Barré, Cotitribulion à l'élude clinique de
celte année même(l), les observations de syphilis héréditaire de la
moelle
épi- nière parues jusqu'alors; il a apporté pou
aient dès lors parfaitement caractéristiques. J'ai ainsi étudié les
moelles
de trente foetus dont vingt-six étaient nés de
près avoir rapporté les quelques cas de syphilis hérédi- tairede la
moelle
dont nous possédons la vérification arl1t01110-pa
ue les principales lésions observées dans l'héré- do-syphilis de la
moelle
il faut dire quelques mots de la- nalure de ces
par la syphilis héréditaire sont les méninges et les vaisseaux, la
moelle
subit le contre- coup des lésions méningées et
e, signalée à propos de la syphilis héréditaire par Jarisch pour la
moelle
et d'autres auteurs, doit encore être réservée, i
s nerveux, malheureusement on n'a pas sou- vent songé à examiner la
moelle
. Elasser est, je crois, le seul (obs. XXXIII de
herches, les principales autopsies publiées d'hérédo-syphiiis de la
moelle
. - L'observation de Potain (1) est la première
seulement par la diffusion et par la profondeur des lésions dans la
moelle
mais encore par ce fait que celle-ci a été prise
érés, ils offraient la consistance molle ha- bituelle à cet âge. La
moelle
de l'un des foetus paraissait être à l'état norma
p. 43. LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 281 « La
moelle
de l'autre foetus, au contraire, était dans toute
e cellule nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute la
moelle
semblait formée par du tissu lamineux condensé,
tremêlé d'une substance granuleuse abondante. « L'examen des deux
moelles
fut fait simultanément et la différence de struc-
gine vasculaire. Jarisch (2) a étudié l'anatomie pathologique de la
moelle
de quatre en- fants atteints de syphilis hérédi
le moins âgé dix-neuf jours. « Les'lésions qu'il a trouvées dans la
moelle
consistaient surtout dans l'atro- phie des cell
e on reconnut être un foyer caséeux ramolli. La moitié gauche de la
moelle
allongée était apla- (1) et Pick, Rermad irn Ri
e gomme placée au-dévant des vertèbres supérieures et comprimant la
moelle
. » Dans le cas de Money (1) il s'agit d'une fil
rveau gauche est atrophié, les artères basilaires sont altérées. La
moelle
est rigide comme un bâton dans toute son étendue,
Il existai tune sclérose diffuse s'étendant à toute l'étendue de la
moelle
. Pas d'examen histologique. Jurgens (2) rapport
a région cervicale et disparaissant dans la partie inférieure de la
moelle
. De la pie- mère épaissie partent des prolongemen
rolongements fibreux envahissant les cloisons interstitielles de la
moelle
, particulièrement dans la région des cordons et
es vertébrales. Sclérose des vaisseaux de la région cervicale de la
moelle
. Diverses lésions syphilitiques des autres orga
dure-mère épaissie principalement dans la partie postérieure de la
moelle
. » Le troisième cas est encore plus intéressant
ses membranes épaisses et fibreuses. « A la partie inférieure de la
moelle
, l'affection s'efface peu à peu; cependant, dan
onnée, grisâtre et large de 3 centimètres. « Sur les coupes de la
moelle
, on constate dans la région cervicale une colo-
euse. » - Mais nous allons voir que les lésions histologiques de la
moelle
(nous les rapporterons il peu près telles qu'el
spinale est de constitution normale, un peu épaissie peut-être : la
moelle
paraît tuméfiée. Après avoir ouvert la dure-mèr
s rouge. Sur la coupe l'arachnoïde est épaisse de un millimètre. La
moelle
montre le cordon droit antérieur épais, vitreux,
ouble : hématoxyline et picro- carmin. Sur toute la hauteur de la
moelle
, aussi -bien dans la moelle elle-même que dans
o- carmin. Sur toute la hauteur de la moelle, aussi -bien dans la
moelle
elle-même que dans les enveloppes, les vaisseau
des tuméfactions qui sont comme de petites tumeurs implantées sur la
moelle
. Elle est formée par des couches stratifiées de
s. Cette végétation fibreuse s'étend d'une façon continue depuis la
moelle
allon- gée jusqu'à la partie inférieure de la m
inue depuis la moelle allon- gée jusqu'à la partie inférieure de la
moelle
sacrée. Le point où le processus atteint son ma
on la région cervicale mais la région moyenne et in- férieure de la
moelle
dorsale. Les vaisseaux les plus petits et les p
structure des parois de ce vaisseau dans la partie supérieure de la
moelle
dorsale est normale, il part une infiltration peu
la tunique adventice; plus loin dans les parties inférieures de la
moelle
dorsale et lombaire on retrouve l'altération de
ce interne de la pie-mère est intimement unie à la-périphérie de la
moelle
et nulle part on ne peut l'en séparer'; si on ten
ant de la pie-mère épaissie on trouve allant vers l'intérieur de la
moelle
d'énormes végétations. En effet, les septa qui
le d'énormes végétations. En effet, les septa qui rayonnent dans la
moelle
sont partout tuméfiés, élargis ; sur eux et sur
de végéta- tion, intimement unis il la pie-mère, s'avancent dans la
moelle
comme prolon- gements de celle-ci et traversent
s cordons postérieurs clans les parties moyenne et inférieure de'la
moelle
dorsale que la pie-mère est la plus épaissie et q
arquer que les cordons postérieurs sont, dans toute l'étendue de la
moelle
, le siège du maximum des lésions. Les cordons lat
ectés au niveau de la partie moyenne et de la partie supérieure de la
moelle
dorsale alors que dans les autres parties leurs
endroits les cornes sont atteintes, ainsi à la partie moyenne de la
moelle
dorsale et du rendement lom- baire, l'extrémité
es racines sont affectées par le processus végétant : Comme dans la
moelle
on trouve dans les septa conjonctifs ou dans le
ltérations que celles déjà décrites pour les fibres nerveuses de la
moelle
dorsale, le reste quoi- que engainé par les mas
ose cérébrale et des altérations vasculaires considérables, mais la
moelle
ne présentait que les lésions de la sclérose de
rapporte trois autopsies de syphilis héréditaire ayant tou- ché la
moelle
: La première est celle d'un enfant de 52 jours
olifération de la névroglie et de l'endartérite. Les coupes de la
moelle
, pratiquées au niveau du renflement cervical, mon
st cons- tituée en grande partie par la dure-mère très épaissie. La
moelle
est renfermée dans le canal vertébral. La moe
rès épaissie. La moelle est renfermée dans le canal vertébral. La
moelle
est de volume à peu près normal. Elle présente da
chaque branche de division. Vers la 3° ou la 4" vertèbre lombaire, la
moelle
redevient unique et augmente énormément de volu
ormément de volume vers la queue de cheval. En ce point, on voit la
moelle
qui était réduite à un volume très exigu de- ve
oyau et leur nucléole. Sur les coupes de la partie supérieure de la
moelle
dorsale on voit la pie-mère épaissie, infiltrée d
de fissure, il revêt un aspect cruciforme coupant pour ainsi dire la
moelle
en 4 parties à peu près égales. Le canal est
ses disséminées. Dans la partie inférieure de la région dorsale, la
moelle
est aplatie suivant son diamètre antéro-hostéri
n voitdes lacunes remplies de sang qui forment un anneau isolant la
moelle
de son revê- tement méningé. La dure-mère épa
aines variqueuses de myéline. Au niveau du renflement lombaire la
moelle
redevient unique. La dure- mère et la pie-mère
longues lacunes hémorrhagiques avec des vaisseaux très dilatés. La
moelle
, extrêmement réduite de volume, adhère à une pr
scence des cordons postérieurs; le 3e le dédoublement partiel de la
moelle
et également la dé- générescence des cordons po
les cordons postérieurs pour atteindre à la portion supérieure de la
moelle
dorsale leur plus forte étendue, elles diminuen
des tumeurs est essentiellement la même dans toute la hauteur de la
moelle
. Les tractus conjonctifs des enveloppes sont cons
e la névroglie qui se trouvent sur des coupes transver- sales de la
moelle
. Toutes les masses méningitiques revêtent .un a
gonflées, leurs noyaux figés, défor- més ou totalement disparus.
Moelle
. Les septa conjonctifs partant de la pie-mère s
es cônes dans les cordons postérieurs de la partie inférieure de la
moelle
lombaire, de chaque côté du sillon sagittal média
on sagittal médian. D'autres sont épars dans toute la hauteur de la
moelle
, tantôt dans un cordon postérieur seulement, ta
stance ner- veuse, des fibres blanches. Quant aux vaisseaux de la
moelle
, ils sont un peu augmentés de nombre, mais cett
est partiellement oblitéré, surtout dans la moitié inférieure de la
moelle
; il est sur toute la hauteur plus ou moins entou
beaucoup plus malade que le gauche. C'est la partie inférieure de la
moelle
dor- sale qui est surtout atteinte. Outre l'é
substance grise les fibres sont épaisses, gonflées, surtout dans la
moelle
dorsale et la partie inférieure de la moelle lomb
flées, surtout dans la moelle dorsale et la partie inférieure de la
moelle
lombaire, au niveau du ren- 294 NOUVELLE ICONOG
ntrons que des cellules altérées. Dans les cornes antérieures de la
moelle
dorsale, surtout dans ses parties inférieures de
ian et latéral qui est affecté par le processus pathologique. Dans la
moelle
sacrée, bon nombre de cellules ont disparu. C'e
bsolue avec les lésions que nous avons nous-mêmes trouvées dans les
moelles
altérées des foetus hél'édo-syphili- tiques.
ES. Mes recherches ont porté sur trente foetus. Pour étudier leur
moelle
et surtout les enveloppes spinales que je soup-
imum des lésions, j'ai, dans le plus grand nombre de cas, laissé la
moelle
et ses enveloppes dans le canal rachidien et aprè
canal. me mettais ainsi à l'abri de tout traumatisme direct sur la
moelle
, difficile à m , , %LOCALISATIONS SPINALES DE
és par la méthode de Pal, qui donne de très beaux résultais sur les
moelles
de foetus, Enfin des coupes colorées au picroca
s vingt-six autres, quatre avaient des lésions très profondes de la
moelle
, lésions évidentes, grossières en quelque sorte
pace extradural, lorsque la coupe les rencontre un peu plus bas. La
moelle
est au centre, on y rencontre les mêmes parties q
e Pal. Les cordons blancs sont remarquables en ce sens que dans les
moelles
que nous avons étudiées les faisceaux-pyramidaux,
mposer pour une dégénérescence descendante. De même dans toutes les
moelles
le cordon de Goll est très distinct du cordon de
SATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 297 Les vaisseaux de la
moelle
proprement dite sont, pour les artères épen- dy
eur un prolon- gement peu visible qui réunit les deux moitiés de la
moelle
, dans le sillon antérieur un prolongement plus
ins gorgés de sang. Elle adhère faiblement par sa face interne à la
moelle
qui plus rétractée s'en sépare généralement rég
ions classiques. Les gros vaisseaux spinaux antérieurs sur une même
moelle
sont très variables dans leurs dimensions, mais
bre, parfois très grosses elles sont sur d'autres coupes de la même
moelle
beaucoup moins volumineuses, et sur la même cou
espectées. Ces différents aspects peuvent se retrouver sur une même
moelle
. En effet les lésions vasculaires quelles que s
. Quoi qu'il en soit, les coupes étagées sur toute la hauteur de la
moelle
, montrent une variété infinie des lésions des g
ésions médullaires proprement dites que les vaisseaux propres de la
moelle
ne sont pas moins atteints. 4 Le contenu des va
n de ces lésions vascu- laires, nous les retrouvons en dehors de la
moelle
et des méninges, en dehors de Taxe spinal propr
r son intermédiaire être une cause évidente de la dislocation de la
moelle
, quand l'espa'ce laissé libre n'est, plus suffi
'arachnoïde, la pie-mère et quelques détritus nerveux, restes de la
moelle
étranglée, pour ainsi dire, à ce niveau par la
- rachidien nous a toujours paru absolument libre sur les coupes de
moelles
de foetus non syphilitiques; chez ceux qui ont
à la duré- mère. Si cette prolifération -existe tout autour de la
moelle
elle est surtout marquée dans la partie postéri
dépasse pas les limites de la demi-circonférence postérieure de la
moelle
, celle-ci rejetée en avant et de côté, évidemment
dans ce qui reste libre du canal rachidien. Plus volumineuse que la
moelle
sur la coupe transversale la gomme se montre, de
e règle générale dans le processus de la syphilis héréditaire de la
moelle
épinière. Et en effet non seulement les extrémi
ées les réserves que nous formulerons en parlant des cellules de la
moelle
, nous ont paru conserver leurs caractères nor-
nducteurs nerveux qui semblent respectés par l'infil- tration. La
moelle
elle-même présente rarement des lésions considéra
rations cellulaires. - La coloration au Pal nous a montré que la
moelle
conservait sa myéline dans les différents systè
ons signalés plus haut. Les parties conjonctivo-vasculaires de la
moelle
sont plus atteintes. Les vaisseaux qui. ont ran
ment des traînées cellulaires qui s'avancent de la périphérie de la
moelle
vers le centre, plus ou moins-épaisses, toujour
retrouve nul vestige du vaisseau, nulle trace d'hématies. Enfin la
moelle
au lieu d'être isolée de la pie-mère, est tantôt
rondes. Deux fois nous avons trouvé des lésions considérables de la
moelle
, c'est dans les observations IX et XVII qu'on p
t limitée, puisqu'elle n'existe que dans la partie inférieure de la
moelle
cervicale et qu'on ne la retrouve pas dans les
moelle cervicale et qu'on ne la retrouve pas dans les coupes de la
moelle
dorsale. Elle consiste dans l'envahissement de la
ans l'envahissement de la substance blanche d'une des moitiés de la
moelle
par un néoplasme mé- ningé volumineux que nous
deur excessive, puisqu'elles désorganisent toutes les parties de la
moelle
, que par leur extension à toute l'étendue de cell
d'un épaississement fibreux véritablement colossal des méninges, la
moelle
comprimée, affaissée, nécrosée a fini par dispa
n retrouve difficilement les différents éléments constitutifs de la
moelle
, plus bas il faut aller jusqu'à la région lombair
eurs sont obstrués, les racines sont infiltrées partout, comment la
moelle
pourrait-elle conserver sa vitalité ? Nous n'av
prédominant était la congestion intense de tous les vaisseaux de la
moelle
. Il faut cependant les signaler puisque pour le
i-cercle jusqu'à la rencontre des veines latérales énormes, dans la
moelle
même dont tous les vaisseaux distendus dessinen
rompre. Nous avons noté des hémorrhagies dans la pie-mère, dans la
moelle
, mais surtout dans l'espace qui sépare la dure-
ningite, tantôt l'é- paississement des parois des vaisseaux dans la
moelle
elle-même, ou bien un exsudat sous-pie-mérien,
nes qui indiquent un processus que nous n'avons pas trouvé dans les
moelles
de foetus non-syphilitiques, même lorsqu'elles
particulier. Le cerveau et ses enveloppes d'apparence normale. La
moelle
à l'aeil nu paraît saine ainsi que ses enveloppes
nt dé- veloppés. Ganglions normaux. Pie-mère, n'adhère pas à la
moelle
à cause de la rétraction de celle-ci ; forme un
culier. Le cerveau et ses enveloppes sont d'apparence normale. La
moelle
a conservé sa forme normale, la dure-mère paraît
eaux sont difficiles à distinguer. Elle est nettement séparée de la
moelle
, mais en certains points il existe entre les deux
nguins bourrés de globules rouges, entourant presque entièrement la
moelle
d'un cercle de sang. Leurs parois sont minces,
issu conjonctif voisin. Au niveau du sillon médian postérieur de la
moelle
, à l'insertion du sep- tum, deux de ces vaissea
ulaire considérable, sans qu'il y ait cependant d'hémorrhagie. La
moelle
aussi bien dans sa substance blanche que dans sa
ci-des- sus. Nous remarquons ici que les vaisseaux distendus de la
moelle
restent en- tourés de leur gaine lymphatique vi
morrhagie. Le sang s'est répandu d'une part entre la pie-mère et la
moelle
, et entre l'arachnoïde et la pie-mère d'autre p
parois épaisses, tandis que les artères restent peu développées.
Moelle
: Région cervicale. La moelle proprement dite e
artères restent peu développées. Moelle : Région cervicale. La
moelle
proprement dite est normale dans ses divers élé
ules rondes, épaisse, irrégulière, festonnée adhère intimement à la
moelle
. La dure-mère est normale en avant, tandis qu'e
au niveau de la région dorsale moyenne, à la face postérieure de la
moelle
, nettement séparée d'elle cependant, une tumeur
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE demi-circulaire, aplatie, comprimant la
moelle
qui prend une forme allongée dans le sens trans
se dévie sur le côté. Les dimensions de la tumeur sont celles de la
moelle
dans le sens transversal et même un peu davanta
car macroscopiquement on n'en trouve plus trace sur le fragment de
moelle
immédiatement inférieur à celui qui la contient
ntient. Sa couleur est d'un blanc mat, différant peu de celle de la
moelle
, sa consistance paraît également être à peu près
être à peu près celle du tissu nerveux. Examinée au microscope, la
moelle
comprimée, légèrement déformée, ne semble pas a
rées par places en petits amas, elle n'adhère pas inti- mement à la
moelle
, mais se confond en dehors avec le néoplasme. En
t alors, englobant les racines toutes refoulées sur les côtés de la
moelle
et s'étale largement^en arrière, présentant alors
s veines sont péné- trées dans leurs espaces interfasciculaires, la
moelle
elle-même présente le long des vaisseaux radiés
l'arachnoïde, des deux côtés de la scissure interhémisphérique. La
moelle
à l'oeil nu paraît saine ainsi que ses enveloppes
n adhérent il,la surface cérébrale sous-ja- cente. L'examen de la
moelle
qui, à l'oeil nu, parait saine, a constamment mon
sez évidentes pour être décrites avec soin. Région CERVICALE.- La
moelle
est petite, très aplatie dans le sens antéro- p
tement l'arachnoïde. On dirait un néoplasme annulaire encerclant la
moelle
et noyant les filets ner- veux des racines, mai
signaler dissociant les fascicules nerveux. Région lombaire. -- La
moelle
est très altérée dans sa forme, le canal épen-
seaux conservent également le même aspect que plus haut, ceux de la
moelle
proprement dite, artères épendymaires, sont le ce
ienne diffusée sur toute la région motrice de l'hémisphère droit.
Moelle
. Les pièces ont été déformées par l'acide nitriqu
es lésions d'infiltration cellulaire et des lésions fibreuses. La
moelle
est asymétrique. Une des moitiés est beaucoup plu
, pen- dant que l'autre est au contraire normalement arrondie. La
moelle
cervicale présente une double fente occupant les
ure elle-même, elle est plus étroite dans la moitié atrophiée de la
moelle
où elle est en pleine substance grise, tandis que
rde la corne et est directement bordée par les faisceaux blancs. La
moelle
dorsale et la moelle lombaire ne présentent rien
irectement bordée par les faisceaux blancs. La moelle dorsale et la
moelle
lombaire ne présentent rien d'analogue. A si- g
paissie, elle est parseméedenombreux noyaux, elle n'adhère pas à la
moelle
mais en est séparée surtout eu arrière par un ex-
ux sont le siège de lésions- manifestes dans toute la hauteur de la
moelle
, mais certainement plus marquées dans la région l
ntraire plus difficilement de la pie-mère sur laquelle il repose.
Moelle
. Dans toute la hauteur de celle-ci il n'y a rien
r que l'é- normité des vaisseaux distendus par le sang soit dans la
moelle
proprement dite, soit dansiez méninges, les rac
ue des poisons tels que l'arsenic peuvent in- différemment léser la
moelle
et les nerfs périphériques. C'est, selon moi, a
élite vulgaire, mais ces altérations des éléments cellulaires de la
moelle
, qu'on qualifie de dyna- miques parce qu'elles
les lésions de la queue de cheval et de la portion inférieure de la
moelle
(3). Les différences ne sauraient être qu'une a
ent d'origine centrale, qu'il est des cas où la participation de la
moelle
est évidente et d'autres où les nerfs semblent
s toute la fosse sylvienne et dans les sillons du lobe occipital.
Moelle
. - Ici l'altération atteint des limites véritable
de considérer les lésions comme indépendantes de la macération. La
moelle
enserrée de toutes parts par la dure-mère épais
Région cervicale. On peut reconnaître au milieu du tissu fibreux la
moelle
LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAI
distingue encore assez nettement la corne grise. La moitié de la
moelle
qui occupe le côté droit de la coupe est presque
nfiltrée de noyaux en grande abondance. Elle adhère intimement à la
moelle
, surtout du côté gauche de la coupe, où on voit
nt des racines postérieures au niveau du diamètre transversal de la
moelle
. D'autre part, elle envoie du côté des racines,
si se 'trouvent transformées en une masse unique ce qui reste de la
moelle
, la pie-mère et les racines. L'arachnoïde n'est
autour de la naissance des raci- nes, les racines elles-mêmes et la
moelle
sont alors tellement comprimés qu'il n'en reste
on dorsale supérieure. - Même aspect que *ci-dessus. Nulle trace de
moelle
dans l'étroit espace enserré par la dure-mère; il
s cellules motrices, mais il est impossible de fixer la forme de la
moelle
confondue à sa périphérie avec la pie-mère et l'i
- raît beaucoup moins dense. Région lombaire inférieure. Enfin la
moelle
a repris un aspect reconnaissa- ble. Mais d'abo
lus déjà à l'eeil nu il est facile de voir qu'une des moitiés de la
moelle
est très atrophiée. Examinons chacun des élémen
rés en violet intense. L'épendyme est normal. Les vaisseaux de la
moelle
proprement dite sont surtout remarquables par l
e-mère épaissie bourrée de noyaux adhère comme nous l'avons vu à la
moelle
et forme la limite de toute une partie dégénérée
médullaire, sur le reste de la circonférence elle est séparée de la
moelle
par un exsudat grenu assez abondant. L'arachn
paissies, par places amas de noyaux en foyers. Vaisseaux. Dans la
moelle
, manchons leucocytiques entourant les capil- la
vient impossible de distinguer la substance blanche de la grise, la
moelle
est le siège de vacuoles énormes, seul l'épendyme
oi autre que le tassement du tissu où ils sont creusés. Plus bas la
moelle
a complètement disparu, même abondance de tissu f
râne chevauchant considérablement. Cerveau ratatiné, aspect normal.
Moelle
. Nous noterons seulement presque sur toute la hau
Moelle. Nous noterons seulement presque sur toute la hauteur de la
moelle
la fusion des trois méninges au niveau de l'ins
petit doigt d'un adulte. ' La substance cérébrale parait normale.
Moelle
. Tout est normal sauf la distension véritablement
ire). Cependant la pie-mère est épaissie, intimement adhérente à la
moelle
. Observation XII, 23 mars 1896 (Broca). Foetu
èse 750 grammes. Organes ^viscéraux normaux. Encéphale. sain. '
Moelle
. N'a pu être examinée par suite de fautes de tech
ammes. Organes viscéraux, d'aspect normal. Encéphale paraît sain.
Moelle
, région cervicale : distension de tous les vaisse
eaux par le sang. Pie-mère mince, peu infiltrée, mais séparée de la
moelle
par un exsudat grenu assez épais, contenant que
us est ainsi limité à l'espace extradural. Dans tout le reste de la
moelle
, même distension vasculaire, sans lésion des pa
d'apparence normale. 358 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
Moelle
. Il n'y a à noter que la congestion intense des v
nt né vivant, mort au bout de quelques heures. Poids, 2750 grammes.
Moelle
extraite du canal rachidien. Aussi les méninges m
Organes viscéraux d'apparence normaux. Le cerveau paraît sain.
Moelle
absolument normale. Rien à signaler. OBERVATION
3. mois de la grossesse. Macéré. Pèse 720 grammes. A l'eeil nu, la
moelle
cervicale se présente légèrement déformée, irrégu
nu du canal rachidien, l'une en avant de la fente est formée par la
moelle
très petite, le foetus est très jeune, mais mon
la fente coupe toute la partie inférieure de la moitié gauche de la
moelle
. En arrière de la fente le néoplasme se continue,
cou- leur, son aspect rappellent assez la couleur et l'aspect de la
moelle
elle-même mais ses dimensions sont bien deux fo
s'approche de la région dorsale inférieure la tumeur augmente,- la
moelle
est complètement refoulée sur le côté, évidemment
évidemment partie intégrante. Au contraire à droite de la coupe la
moelle
est nettement limitée par la pie-mère à laquell
du reste adhérer d'une manière intime. Les vaisseaux propres de la
moelle
, les septa pie-mériens ne présentent rien à not
éments. La.pie-mère moyennement épaissie, intimement adhérente à la
moelle
est en contact intime avec les cellules embryon
de vue histologique avec l'aspect que nous venons de décrire. La
moelle
a sa forme normale, ses vaisseaux propres sont ém
Il faudrait répéter la même description. Disons seule- ment due la
moelle
paraît encore plus atteinte, il est impossible de
térieures. L'enfant naît vivant, mort au bout de quelques heures.
Moelle
. Congestion considérable. Tout semble noyé dans l
entièrement fibreux, sans vais- seaux, adhérent de chaque côté à la
moelle
dont il est d'ordinaire très distinct. L'arachn
8 mois. Mère spécifique depuis 3 ans. Macéré, pèse 2550 grammes. La
moelle
est absolument normale ainsi que ses enveloppes,
ère spécifique secondaire^Non macéré. Un circulaire serré au cou.
Moelle
. - A noter seulement la dilatation vasculaire e
ent la dilatation vasculaire exagérée dans toutes les parties de la
moelle
. Vers la région de la queue de cheval, la pic-m
égion de la queue de cheval, la pic-mère adhère si intimement il la
moelle
que celle-ci s'est rompue, ü cause de la rétracti
7 mois. Mère spécifique secondaire. Macéré. Poids, 1500 grammes. La
moelle
proprement-dite présente des caractères normaux,
rties du névraxe sont assez accentuées et cela de haut en bas de la
moelle
avec les mêmes caractères, il y a cependant une a
s autres. La pie-mère est remarquablement épaisse, non adhérente la
moelle
, du reste, elle est surtout fibreuse, avec rela
ystolie. Opération césarienne, l'enfant est mort. ' C'est une des
moelles
que nous avons prise pour type de notre descripti
s moelles que nous avons prise pour type de notre description de la
moelle
normale, abstraction faite de la dilatation de to
normale, abstraction faite de la dilatation de tous les vaisseaux.
Moelle
se colorant parfaitement dans tous ses détails.
fausses-couches antérieurement. Mort-né, légèrement macéré. ' La
moelle
est normale dans toutes ses parties, cependant l'
issus voisins, se voient sur toutes les coupes du haut en bas de la
moelle
. 364 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
ants mort-nés macérés. Mort-né. Macérés. Poids 2100 grammes. La
moelle
est absolument normale. Distension moyenne de tou
spécifique secondaire, chancre buccal au 2e mois de la grossesse.
Moelle
. Région cervicale. La moelle proprement dite es
buccal au 2e mois de la grossesse. Moelle. Région cervicale. La
moelle
proprement dite est normale, la substance grise
. Région dorsale. Ici les lésions sont beaucoup plus marquées. La
moelle
reste indemne, mais les méninges sont très attein
s du reste par les noyaux. La pie-mère reste bien distincte de la
moelle
. La dure-mère est considérablement épaissie sur
urs que des vaisseaux pie-mériens ou des vaisseaux radiculaires. La
moelle
elle-même est sillonnée par de véritables sinus b
grammes. LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 365 La
moelle
à l'aeil nu ne présente pas de lésions manifestes
touchée au moins dans ses parties accessoires. Région cervicale. La
moelle
proprement dite est saine, les cellules des cor
ien. La pie-mère absolument adhérente sur toute la périphérie de la
moelle
est très épaisse, elle est fibreuse, contient p
extradural est fibreux. Région lombaire. A mesure qu'on descend la
moelle
semble de plus en plus altérée. Comme la coupe
plus altérée. Comme la coupe a dû être faite après extraction de la
moelle
du canal médullaire, nous n'oserions affirmer q
t quelques cellules cylindriques en amas irrégulier au centre de la
moelle
; celle-ci pré- sente des pertes de substance m
e d'aussi jolies figures de gommes miliaires que dans le foie. La
moelle
a dû être étudiée en dehors du canal vertébral.
hors du canal vertébral. La région cervicale donne des coupes où la
moelle
est très abîmée, on reconnaît au centre le cana
d'un artifice de préparation, cependant les autres parties de cette
moelle
et les moelles suivantes qui ont été traitées d
de préparation, cependant les autres parties de cette moelle et les
moelles
suivantes qui ont été traitées de la même façon
blent avoir il l'égard de l'llématoxylinc. Région dorsale. Ici la
moelle
a repris des caractères absolument normaux ; to
s l'héll7a- toxyline ne colore plus les noyaux d'infiltration. La
moelle
lorsqu'on l'enlève du canal vertébral laisse voir
les parois osseuses. Les coupes faites à différentes hauteurs de la
moelle
montrent que celle-ci a conservé dans toute son
s le 3° mois de la grossesse. Non ma- céré, poids 620 grammes. La
moelle
a dû être étudiée extraite du canal vertébral. El
out au plus peut-on signaler l'adhérence intime de là pie-mère à la
moelle
, et l'épaisseur exagérée de la dure-mère. Les vai
à des foetus issus de parents non syphilitiques ne montrent que des
moelles
normales ou seulement congestionnées. Les lés
seulement congestionnées. Les lésions sont considérables dans les
moelles
n°S II, IV, IX et XVII. Si nous mettons à part
nettes dans sept cas : VII, X, XXI, XXXIII, XXV, XXVI, XI VIL Les
moelles
V, VIII, XI, XIII, XIV, XV, XVIII, XX, XXVIII, XX
e, qui va dans quelques cas jusqu'à l'hémorrlwgie. Quatre dernières
moelles
sont absolument indemnes dans les parties que n
e ses antécédents syphilitiques, mais les lésions présentées par la
moelle
que nous avons examinée sont telles que nous so
elles sont identiques, celtes produites par la syphilis acquise. La
moelle
, le plus souvent atteinte dans ses parties conjon
ectes que de lésions médullaires ou radiculaires voisines. Enfin la
moelle
peut être seulement comprimée, sans lésion, par d
ées. La pie-mère épaissie, infiltrée de cellules rondes adhère à la
moelle
ou est séparée d'elle par un exsudat granuleux.
, DE LA SALPÊTRIÈRE T. IX, PL. XLIV i. (OBS. XXII. Non spécifique.)
Moelle
: Région dorsale inférieure. Pie-mère et arachn
isseaux et racines nerveuses bien isolé ? 2. (OBS. II. Spécifique.)
Moelle
: Région dorsale inférieure. l'ie-mere et arach
NOUV, ICONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE T. IX, PL. XLV 3. - (Ons. XVII.)
Moelle
: Région cervicale. Tout l'espace compris entre
ar un tissu de nouvelle for- mation (gomme). La partie gauche de la
moelle
est envahie par le même processus. 4. - (Obs. X
e de la moelle est envahie par le même processus. 4. - (Obs. XVII.)
Moelle
: Région dorsale. Énorme gomme méningée ayant r
I.) Moelle : Région dorsale. Énorme gomme méningée ayant refoulé la
moelle
dorsale. LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS
OUV. ICONOGR. DE LA SALPÊTRIÈRE- - T. IX, PL.-XLVI 5. (013s. IX.)
Moelle
Région cervicale. La moelle a complètement disp
E- - T. IX, PL.-XLVI 5. (013s. IX.) Moelle Région cervicale. La
moelle
a complètement disparu, réduite à quelques détrit
e, elle peut envahir les méninges molles du haut jusqu'en bas de la
moelle
soit d'une façon continue, soit par tumeurs isolé
s à se réunir en groupes serrés. L'hérédo-syphilis ne frappe pas la
moelle
uniformément dans toute sa hauteur, les lésions
issémination, les aspects des coupes sont très variés pour une même
moelle
suivant la région à laquelle elles correspondent.
ès affirmer qu'il n'y a pas de parties absolu- ment saines dans une
moelle
touchée en un point quelconque de son étendue.
rsales moyenne et inférieure dans leurs cas, Jùrgens trouve dans la
moelle
lombaire une induration fibreuse de 3 centimètr
ullaire héréditaire. Ce n'est pas tout, et dans une même région, la
moelle
n'est pas égale- ment altérée dans toutes ses p
le), par P. C. J. VAN BRERO, 206. Gomme syphilitique double de la
moelle
épinière ayant déterminé un syndrome de Brown
278, 352. Gilles DE la Tourette. La syphilis héré- ditaire de la
moelle
épinière, 80. Grasset. « Homme momie ». Sclérod
258. HANOT (V.), Meunier (H.). Gomme sy- philitique double de la
moelle
épinière ayant déterminé un syndrome de Brown-
s dans un cas de tabes supérieur, III. Gommes syphilitiques de la
moelle
(cou- pes), IX, X. Hémarthrose tabétique, XLI
Pott), 20, 21. Clonographe, 3. Gomme syphilitique double de la
moelle
épinière, 13, 14, 15, 16, 17. Maccus, statuet
L`S (D E. FLATAU) A L'IlOPlTAL ISRAÉLITE A VARSOVIE TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE Par Ed
nous guide surtout quand il s'agit des tumeurs du cerveau et de la
moelle
épinière. C'est de ces dernières que nous 1 tra
ré l'attention sur cette question. Il diagnostiqua une tumeur de la
moelle
épinière et décida de l'opérer. L'opération fut
ervation XIII). Ensuite des opérations de tumeurs de la 48 FLATAU
moelle
épinière furent faites à Varsovie par les docteur
e ou une notable amélioration). La classification des tumeurs de la
moelle
épinière les divise en deux grands groupes. Le
compriment secondairement; dans le second groupe, les tumeurs de la
moelle
même (tumeurs intraméciullaires). Bruns, dans sa
es Drs Klichen, Sterling Z) et Mlle Zylberbast. ' . Tumeurs de la
moelle
épinière et DE la COLONNE vertébrale 49 PREMIÈR
ate les 'métastases envahissant le canal rachidien et comprimant la
moelle
épinière. On voit des métastases dans les cotes
e épinière. On voit des métastases dans les cotes. La surface de la
moelle
épinière est sans tumeur. De même les organes i
coupes. Dans ce cas, il faut attirer l'attention sur le fait que la
moelle
ne pré- sentait presque pas de changements anat
vement de la vérité de ce fait j'examinai ultérieu- rement toute la
moelle
épinière. On pouvait supposer qu'un petit segment
les membres inférieurs. Pendant ces dernières années TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBHALE 51 il avai
peau. Mort dans la seconde moitié d'oc- tobre 1908. TUMEURS DE LA
MOELLE
¡;PINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 53 L'exam
e des muscl,es fessiers). Quant aux symptômes qui dépen- dent de la
moelle
épinière même, on ne les a pas notés. Il est vrai
ires). Mais c'est trop peu pour se prononcer pour une maladie de la
moelle
épjnière. La tumeur était maligne. Le docteur Dmo
43 ans, est entrée à l'hôpital le 5 juillet 1 ! J08, TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 55 Il y a
ient vers les hypocbondres et l'abdomen. Les douleurs TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 57 nocturn
ue la tumeur n'a pas provoqué de changement organique grave dans la
moelle
épinière. II est possible que dans une région de
dans la moelle épinière. II est possible que dans une région de la
moelle
(la a dorsale supérieure peut-être) des changem
rs (plantaire, abdominaux et crémastérien) très vifs. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 59 Il nove
droit les racines sacrées supérieures, qui à, ce niveau partent de la
moelle
vers la queue de cheval. Par suite de cette com
une psychose aiguë. La famille est bien porlante. I tumeurs DE la
moelle
épinière ET DE la COLONNE vertébrale 61 Etat ac
demi elle a ressenti des douleurs au sacrum. Pendant TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 63 la marc
ire peut être attribué à l'affection de racines loin- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 65 baires.
l'utérus tt du cul-de-sac de Douglas et d'un sarcome de sacrum. La
moelle
épinière était in- tacte. nm 5 66 FLATAU .
vertèbres lombaires inférieures sont douloureuses. TUMEURS DE LA
MOELLE
EPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 67 Dans le
a constaté un sarcome de la Vile vertèbre dorsale qui comprimait la
moelle
. Le malade est mort le 30 juin 1909. OBSERVAT
ples avec sa jambe gauche. Pendant son séjour â l'60- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 69 pital c
es dans le canal rachi- dien de même que dans la conformation de la
moelle
cervicale et dorsale. La moelle épinière cervic
même que dans la conformation de la moelle cervicale et dorsale. La
moelle
épinière cervicale et dorsale est amincie dans le
toire. C'étaient par conséquent de vrais ostéomes des vertèbres. La
moelle
épinière est le plus mince dans sa partie corre
vertèbre sur un parcours de 1 centimètre dans la partie moyenne de la
moelle
cervicale. La limite supérieure de cette pachym
-à-dire qu'au-dessus bientôt commence la partie la plus mince de la
moelle
. La plaque de pachyméningite se trouve exclusivem
pachyméningite se trouve exclusivement sur la face antérieure de la
moelle
et envoie un seul prolongement vers le haut. La
olongement vers le haut. La dure-mère sur la face postérieure de la
moelle
est normale. Les enfoncements cités plus haut c
racines cervicales (compression évidente de la moitié droite de la
moelle
et des fais- ceaux postérieurs, la moitié gauch
dorsale (les deux fais- ceaux postérieurs et la moitié droite de la
moelle
). L'enfoncement suivant correspond à la IIe rac
d, atteignait seulement la courbe externe de la moitié droite de la
moelle
). Au-dessous on ne constate pas de lésions macr
al droit. - 6. Racine. - 7. Cordon postérieu droit. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 71 uingite
que ; un amincissement exceptionnel de toute la moitié droite de la
moelle
. La déformation externe de même que la modifica
r- régulière : amincissement et gonflement). La moitié droite de la
moelle
est beaucoup plus changée : elle se présente so
très peu de libres dégénérées. 1 Dans le IV. segment cervical, la
moelle
épinière comprimée d'avant en arrière a pris la
t. La dure-mère pèse par son épaisseur sur la face antérieure de la
moelle
. Dans cette partie de la moelle tout à fait déf
isseur sur la face antérieure de la moelle. Dans cette partie de la
moelle
tout à fait défigurée on constate en allant vers
tion habituelle et leur rapport mutuel, tandis qu'extérieurement la
moelle
a changé sa forme : elle est comprimée latéraleme
e blanche et grise vient de pair avec cette épaisseur inégale de la
moelle
. Le réseau myélinique de la substance grise est
zontalement comme on le voit dans le bulbe. Fio.3 3 TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 73 Quant à
ieurs et moyens des défigurations de différentes sortes : Tantôt la
moelle
est comprimée dans le sens frontal, tantôt dans l
ce secondaire des voies pyramidales croisées se poursuit jusqu'à la
moelle
lombaire et sacrée, tandis que la voie directe
ncore que les changements les plus considérables correspondent à la
moelle
cervicale la plus comprimée. Outre la configura
ont on a parlé plus haut, on y voit sur toute la péri- phérie de la
moelle
et surtout le long de sa moitié droite plus mince
'hôpital de Vienne pendant 18 ans, on a eu 151 cas de tumeurs de la
moelle
épinière ou des méninges et des parois c'est-à-
nne, on autopsiait 97 cas), voici la classification : TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 75 émetten
à travers l'es trous de conjugaison, dans le canal rachidien et la
moelle
. Les autres tumeurs peuvent être des métastases
les douleurs disparaissent pendant un certain temps, TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 77 puis re
la suite de compression des racines médullaires (sans atteindre la
moelle
épiiiièt-e), se produit la paraplégie ou l'hémipl
ion des racines sacrées et de quelques lombaires sans lésions de la
moelle
). Mais en général tous ces cas ne font qu'excep
néoplasique des vertèbres passe par les méninges, la dure-mère, la
moelle
épinière et provoque des symptômes médullaires.
IIc et Xle vertèbres dorsales). Frich a décrit un cas TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 79 où la p
E 79 où la paraplégie avec des symptômes d'inflammation aiguë de la
moelle
est apparue un mois après le début de la maladi
s plus loin, lorsque sera exami- née la structure anatomique de la.
moelle
frappée par la tumeur maligne. Une forme de tum
ffère pas sensiblement de celui de la com- pression ordinaire de la
moelle
(les symptômes de la compression médul- laire e
t apparaître sans qu'il y ait des troubles du côté de l'os ou de la
moelle
épinière (Bruns). L'année dernière nous avons e
s cas où l'on hésitait entre la carie vertébrale et la tumeur de la
moelle
. La réaction de Pirquet était positive et dans la
iel doit être fait avec les névralgies, l'ostéite dé- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 81 formant
ANATU31lE PATHOLOGIQUE. Les lésions qu'on peut constater dans la
moelle
épinière au cours d'une tumeur vertébrale peuve
im- portants : a) que malgré l'existence d'une tumeur vertébrale la
moelle
épi- nière peut être parfaitement normale macro
t des tumeurs ailleurs (non dans la colonne vertébrale), et dans la
moelle
des changements toxiques (myélite toxique). L
raplégie, l'examen microscopique ne démontra rien d'anormal dans la
moelle
(Bruns). Dans un autre cas on fit le diagnostic d
sie n'a démontré aucune lésion macro (Bruns) ou microscopique de la
moelle
suffisante (Spiller-Veisenbur). Dans un de nos
de nos cas (obs. I) il n'y avait pas de lésions macroscopiques de la
moelle
au cours du cancer vertébral. Les lésions micro
la dilatation des vaisseaux et cloisons dans d'autres régions de la
moelle
). Quant à cette vascularisation des différentes
ente dégénérescence nécrotique de toute la coupe transversale de la
moelle
lombaire supérieure et dorsale inférieure, Nonn
qu'au cours d'une carcinomatose générale une affection aiguë de la
moelle
peut naître sans qu'il y ait une localisation méd
es néoformées dans les vertèbres augmentent dans la direction de la
moelle
et arrivent à la dure-mère. On peut l'observer
Alquier, Stertz) et d'actinomycose (Ballet-Barbé). Dans ces cas la
moelle
était comprimée et mollasse. A l'endroit de la co
moelle était comprimée et mollasse. A l'endroit de la compression la
moelle
présente des contours internes modifiés, c'est-
ents précités et l'étal des vaisseaux et des cloisons TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE Er DE LA COLONNE VEUTÉBRALE 8,1 (nous
loin quand il sera question des lésions histopatho- logiques de la
moelle
au cours des tumeurs extravertébrates). Nous me
es (ostéome) qui pénètrent dans le canal rachidien et compriment la
moelle
, peuvent apparaître des lésions considérables à l
dans le canal rachidien, tra- versent la dure-mère et attaquent la
moelle
épinière même. Ce sont les cas où les masses né
nt le long des racines médullaires ou à travers la pie-mère vers la
moelle
même (le cas de Stertz, sarcome des vertèbres, et
les foyers des tu- meurs métastatiques se produisent au sein de la
moelle
(Chiari). Lorsque la tumeur est localisée dans
cas de Dejerine-Spiller). Dans un cas d'angiome sortant de l'os, la
moelle
a pris la forme d'un mince ruban (Gerhardt). ,
ein. A l'autopsie on constata l'infiltration cancéreuse du foie. La
moelle
et les vertèbres étaient normales macroscopiqueme
microscopique démontra des lésions des nerfs périphériques et delà
moelle
. Cette dernière présentait le tableau d'une myéli
yélite toxique (décrit par Meyer, Crocq et d'autres) ou celui de la
moelle
des gens atteints d'anémie pernicieuse (Minnich
uer que les tumeurs malignes des or- ganes même très éloignés de la
moelle
et du cerveau peuvent s'accompagner de symptôme
ions cancéreuses peuvent naître dans le cerveau et rarement dans la
moelle
et y former des foyers cancéreux ou une infiltr
e la dure-mère et les racines, tandis que les méninges molles et la
moelle
sont restées libres. Parmi les auteurs qui s'oc
on pouvait supposer que la tumeur avait passé des vertèbres dans la
moelle
ou au moins dans les méninges. L'autopsie dé- m
gements dynamiques imperceptibles ou presque imperceptibles dans la
moelle
(congestion sanguine ! ). Ces changements ont é
ont été capables de donner des symptômes médullaires. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 80 THÉRAPE
sa les arcs vertébraux. La tumeur n'adhérait pas à la dure-mère. La
moelle
était comprimée. Après l'opération, amélioratio
e la localisation des tumeurs vertébrales il suit des TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 87 données
ft f. Nervenheilkunde, 1896. (2) DEJERINE et Thomas, Maladies de la
moelle
, in Traité de Méd. de Brouardel et Gilbert, t.
nt simplement observer que dans les cas en question ce n'est pas la
moelle
ni le système périphérique seulement qui a été
(Dr E.' li'LA1'AV) A L'HOPITAL ISRAÉLITE A VARSOVIE TUMEURS DE LA
MOELLE
EPINIERE - ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE - (Sui
lle est placée en dehors du point central de la moitié droite de la
moelle
. Au-dessous du IIIe segment la tumeur commence à
tumeur englobe à cette hauteur presque toute la moitié droite de la
moelle
, excepté sa partie antérieure. En allant vers l
teint 1/2 mm.). La tumeur est un sarcome à cellules rondes. Dans la
moelle
même on constate des lésions dans une région qui
ors aréolaire, troué comme un tamis ; il rappelle par TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 145 son as
tation des espaces péri- vasculaires). Dans toute l'étendue de la
moelle
, aussi bien en haut qu'en bas de la tu- meur,
roit principalement) et dans le faisceau de Hoche (gauche). Dans la
moelle
lombaire, les masses noires sont plutôt accumulée
générescence moins prononcée de la racine postérieure gauche. Dans la
moelle
sacrée, le triangle de Gombault-Philippe est dé
Dure-mère. droit. 3. Racine antérieure. 5. Tumeur. TUMEURS DE LA
MOELLE
épinière ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 147 dans l
MEURS DE LA MOELLE épinière ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 147 dans la
moelle
, le long de ces dernières, dans l'espace épispina
dégénérescence accentuée du tissu nerveux ; 2° le long de toute la
moelle
, des lésions vas- culo-scléreuses diffuses dans
diffuses dans la substance blanche et grise, plus évidentes dans la
moelle
qui correspond à la tumeur. Enfin comme résultat
nnich et Nonne dans les cas d'anémie et de pyémie (Nonne), dans les
moelles
des vieillards et dans la maladie de Parkinson (R
ions du cou-de-pied et des orteils. Les réflexes ten- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 149 dineux
d'albumine. La malade est morte le 10 septembre dans la nuit. La
moelle
épinière ne présentait pas de lésions macroscopiq
tébrale , sans pénétration dans le canal rachidien. TUMEURS DE LA
MOELLE
EPINIÈRK ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 151 incolo
spaces intercostaux. Le sang contient 14.160 leucocy- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 153 tes. L
ciés) ni le canal rachidien ne contenaient de masses néoformées. La
moelle
épinière était normale à l'examen macroscopique
. Pas de prolifération de la névroglie. Dans d'autres régions de la
moelle
, pas de lésion. Nulle part de dégé- nérescences
il va une tumeur dans l'organisme, même tout à fait en dehors de la
moelle
, cette dernière peut être lésée, Les masses néo
le canal rachidien à travers les trous de conjugaison, pourtant la
moelle
offrait des lésions qui ont provoqué la paralys
a partie supérieure de la cavité thoracique droite. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 155 La tum
e temps de l'observation on n'a pas noté de symptômes du côté de la
moelle
. Les réflexes tendineux étaient exagérés pathol
nt) était un signe précurseur dénotant le début de la maladie de la
moelle
. Il est connu que dans des cas analogues-une tu
soulève. Examen, microscopique. La tumeur est un sarcome mixte.
Moelle
épinière : Les coupes colorées par la méthode de
e de Weigert démontrent les altérations suivantes : TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 157 Dans l
aussi bien que dans la grise. Les vaisseaux de la périphérie de la
moelle
et des méninges sont très dilatés et gorgés de
3. Foyer de lésion dans le cordon postérieur droit. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 159 Au pre
méninges normales. Les vaisseaux y sont dilatés, gorgés de sang. La
moelle
conserve sa configuration interne et externe norm
cordons latéraux et antéro-latéraux. La configuration interne de la
moelle
est normale. A la face externe de la dure-mère
n'y a pas de foyer dans le cordon latéral Fig. 10. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 161 gauche
mblable à celui du gonflement hydrémique, qu'on ren- contre dans la
moelle
au cours de toute une série de maladies : l'anémi
que Schmaus cite dans ses Leçons sur l'anatomie pathologique de la
moelle
(Vorlesungen über die palholog. Anat. des A : &
s cordons postérieurs. De là ils pénètrent dans la profondeur de la
moelle
et surtout dans la substance gélatineuse de Rolan
paralysie presque instantanée des membres inférieurs TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 163 avec t
ait en faveur d'une affection aiguë on subaiguë inflammatoire de la
moelle
. Il nous semblait qu'il s'agissait dans ce cas
issait d'un sarcome.La masse néoplasique avait une influence sur la
moelle
. Elle se trouvait en dehors de la dure-mère et
pace arachnoï- dien. On ne notait pas non plus la compression de la
moelle
. La configura- tion de la moelle était partout
pas non plus la compression de la moelle. La configura- tion de la
moelle
était partout normale. Pourtant les coupes de la
tion de la moelle était partout normale. Pourtant les coupes de la
moelle
au niveau des segments correspondant à la local
e l'indi- quer d'une façon certaine. La tumeur ne comprimant pas la
moelle
il est risqué d'évoquer les causes mécaniques.
e-mère el y pouvait compri- mer les vaisseaux qui pénètrent dans la
moelle
. On doit rappeler que les racines qui se trouva
générées, tandis que celles qui étaient immédiate- ment à côté delà
moelle
sont restées saines. Ce point n'explique pas suff
tose, quoique la tumeur même n'ait aucun rapport immé- diat avec la
moelle
. Le fait que les cordons postérieurs et latéraux
plasique peut être expliqué par ceci, que les toxines arrivent à la
moelle
par le chemin le plus court et que la cause méc
cliniquement une myélite trans- verse sans que la compression de la
moelle
y intervienne. La lésion n'appartient pas à la
essus de la clavicule. La tumeur est assez molle, par TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE El' DE LA COLONNE VERTÉBRALE 465 place
sent des piqûres jusqu'au 3°espace intercostal droit, TUMEURS DE LA
MOELLE
EPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 167 mais p
e masses néoplasiques, qui atteignent la dure-mère et compriment la
moelle
. L'examen macroscopique de la moelle montra : d
a dure-mère et compriment la moelle. L'examen macroscopique de la
moelle
montra : des masses néoplasiques molles dans la
masses néoplasiques molles dans la partie cervicale qui entoure la
moelle
. Les masses intraver- tébrales étaient réunies
pareilles masses extravertébrales. Pendant qu'on faisait sortir la
moelle
on a vu dans cette région un liquide laiteux s'
masses néoplasiques s'étendaient le long du côté gauche de toute la
moelle
cervicale, puis passaient en ayant sur la face an
t sur la face antérieure de la dure-mère et sur le côté droit de la
moelle
, mais ici elles occupaient moins d'étendue long
occupaient moins d'étendue longitudinale qu'à gauche. En arrière la
moelle
épinière n'est pas recouverte de la tumeur dans
moitié droite préci- sément est libre en grande partie. Eu avant la
moelle
est recouverte par la tumeur seulement sur une
a tumeur est un sarcome alvéolaire à petites cellules. Examen de la
moelle
. - Le premier segment cervical coloré par la méth
gauche dans le faisceau pyramidal croisé, et à la périphérie de la
moelle
à côté du cordon droit an- térieur et postérieu
e de la moelle à côté du cordon droit an- térieur et postérieur. La
moelle
est aplatie des deux côtés. L'aspect de toute l
moelle est aplatie des deux côtés. L'aspect de toute la coupe de la
moelle
est un peu plus clair que normalement, la substan
vical 'on voit des masses néoplasiques surtout du côté gauche de la
moelle
. Celle-ci est aplatie des deux côtés. La substanc
antéro-latéraux ; ces derniers sont plus pâles du côté gauche de la
moelle
qu'il droite, cette différence est surtout marqué
les fibres nerveuses plus pâles que dans la zone périphérique de la
moelle
. Le long de la corne postérieure gauche, une zo
ervical les masses néoplasiques sont disposées du côté gauche de la
moelle
. La configuration de la moelle est presque normal
sont disposées du côté gauche de la moelle. La configuration de la
moelle
est presque normale. La substance grise est cla
Du côté gauche une racine antérieure tout à fait normale près de la
moelle
et dégénérée à une certaine distance de celle-c
des fibres fines). Au-dessous de cette région la coupe de toute la
moelle
est comme dessinée par des raies claires (clois
également les masses néoplasiques sont placées du côté gauche de la
moelle
. Dans le 1°r segment dorsal on ne voit que des
plus haut. Un peu plus bas encore on ne voit pas de lésion de la
moelle
. Les coupes de la moelle lombaire inférieure et
bas encore on ne voit pas de lésion de la moelle. Les coupes de la
moelle
lombaire inférieure et sacrée sont un peu plus pâ
substance blanche sont tout à fait bien constitués. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 169 La col
de de v. Gieson montrent les lésions suivantes dans la région de la
moelle
cervicale : lit où la coloration de Weigert donna
rondes et mates (produits de la fibre nerveuse). Au-dessous de la
moelle
cervicale, pas de lésions notables. Un certain ép
démontrent comment se comportent les masses néoplasiques envers la
moelle
et les méninges. Elles sont disposées principal
ère (fig. 12). Elles occupent en grande partie le côté gauche de la
moelle
, mais on les voit aussi, quoique à un moindre d
ules sarcomateuses placés entre Fig. 12. Sarcome alvéolaire de la
moelle
épinière. 1. Masses néoplasiques autour de la m
véolaire de la moelle épinière. 1. Masses néoplasiques autour de la
moelle
épinière. 2. Amas de cellules néoplasiques sur
70 FLATAU les couches de la dure-mère. Dans certains segments de la
moelle
ces cellules néoplasiques se trouvent sur la fa
nt ici détruit tout à fait les méninges molles du côté gauche de la
moelle
épinière. On peut voir des cellules isolées sarco
est difficile de dire si elles pénètrent plus profondément dans la
moelle
, puisqu'il nous était impos- sible de les disti
es lésions des cellules nerveuses dans les segments cervicaux de la
moelle
. Elles ont eu sou- vent la forme de poires, pré
début de la maladie. L'autopsie montra une masse néo- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 171 plasiq
OLONNE VERTÉBRALE 171 plasique molle dans la partie cervicale de la
moelle
entourant la dure- mère surtout du côté gauche.
pique démontra que la tumeur était un sarcome globo- cellulaire. La
moelle
cervicale présentait des lésions qui sont le mieu
par la méthode de Weigert. A côté d'une configuration changée de la
moelle
(aplatissement des côtés) il yavait un aspectpl
ins visi- ble dans le VHP segment cervical et disparaissait dans la
moelle
dorsale. Ce trait était le plus prononcé dans l
ieure gauche, là où les grandes masses néoplasiques comprimaient la
moelle
. Quant aux masses sarcomateuses et à leur rappo
la moelle. Quant aux masses sarcomateuses et à leur rapport avec la
moelle
, on peut dire qu'elles se limitaient ! a face e
ns les méninges molles et s'appro- chaient vers la périphérie de la
moelle
. On pouvait y voir avec une certaine certitude
re du faisceau gauche de Burdach dans les segments supérieurs de la
moelle
. 172 ' FLATAU Dans ce cas les symptômes clini
'origine centrale, c'est-à-dire dépendaient de la compression de la
moelle
cervicale. Tandis que les phénomènes du côté de l
istogenèse et quelle signification elles ont pour la fonction de la
moelle
. Ici de nouveau il faudra invoquer une histogen
enèse mixte. Il est de plus difficile à expliquer pourquoi toute la
moelle
cervicale est clairsemée. La compression exercé
ère de la lésion était le plus prononcé dans la moitié gauche de la
moelle
, dans le cordon antéro-latéral, point où la com
cellules nerveuses sont aussi à notre avis provoquées TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLOGNE VERTÉBRALE 173 par co
ition de petits foyers irréguliers dans dif- férentes régions de la
moelle
. Leur structure rappelle tout à fait celle des
c'est-à-dire là où il n'était pas question d'line compression de la
moelle
par les masses néo- plasiques. Il faut donc s
ou était traversée par la tumeur. En tout cas la compression de la
moelle
174 FLATAU n'était pas bien accentuée. La col
ent être considérés que comme des exceptions. "- if TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 175 et où
on dans le canal rachidien jusqu'à la dure-mère (ou même jusqu'à la
moelle
). Dans le cas de Kollarits, la tumeur poussait
entendu dans le cas de tumeur médiastinale avec envahissement de la
moelle
comme c'était le cas dans l'observation de l3reqm
ur extravertébrale pénètre dans le canal rachi- dien et comprime la
moelle
, il en existe d'autres où la tumeur extraverté-
pas de masses néoplasiques daus le canal rachidien. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 177 Dans c
s loin,cela suffit dans quelques cas pour provoquer la lésion de la
moelle
et amener la paralysie. Dans un de nos cas (obs
émontré un ancien foyer inflammatoire sous forme d'une raie dans la
moelle
cervicale, des petites hémorragies dans l'isthme
brales éloignées de la colonne, avecdes lésions considérables de la
moelle
constatées par l'examen micros- copique (Lubars
tumoraux, mais aussi par suite d'infiltration des méninges et de la
moelle
par les cellules néoplasiques (cancéreuses, sarco
é des lésions médullaires sans intervention de la compression de la
moelle
par les masses néoplasiques. .Ces faits sont
avertébrales qui pénètrent dans le canal rachidien et compriment la
moelle
, nous pouvons constater à un niveau corresponda
i adhèrent intimement. La compression exercée par ces masses sur la
moelle
est ordinairement faible. Dans des cas exceptio
t sur sa face in- terne, envahissent même les méninges molles et la
moelle
. Dans un de nos cas (obs. IX) la tumeur est res
sposée sur sa face interne. Dans un autre (ohs. XIII) TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET UE LA COLONNE VERTÉBRALE 179 les ma
nges molles et des cellules isolées pouvait être constatées dans la
moelle
même (dans la zone névro- glique périphérique).
e névro- glique périphérique). En parlant de la sarcomatose de la
moelle
Westphal attire une atten- tion spéciale sur le
moelle Westphal attire une atten- tion spéciale sur le fait que la
moelle
est surtout réfractaire à l'en- vahissement de
ssez souvent la dure-mère et les méninges molles et pénètre dans la
moelle
, tandis que les masses carcinomateuses d'après
rapport aux méninges et au tissu nerveux médul- laire. Quant à la
moelle
elle ne démontre pas de lésions à l'examen macros
lésions diffuses. Les foyers de dégénérescence apparaissent dans la
moelle
au niveau des masses néoplasiques et dans leur
s cloisons. Quelquefois ils siègent seulement dans une moitié de la
moelle
, quelquefois dans les deux. Il y a des cas où les
peut constater au niveau des masses néoplasiques qui compriment la
moelle
épinière des foyers diffus occupant toute la co
: nous avons remarqué dans notre IX0 cas un fait étrange : dans la
moelle
dorsale médiane et inférieure on ob- servait de
rdons latéraux pyramidaux, et dans le fais- ceau de Hoche). Dans la
moelle
lombaire ces niasses ont été réunies davantage
midal, tandis que dans les segments lombaires inférieurs et dans la
moelle
sacrale on pouvait déjà distinctement voir une dé
immédiatement au-dessous de l'endroit comprimé, tandis que dans la
moelle
lombaire on voyaitdes dégénérescences secondair
1900, p. 116) et de Bruns (Arch. f. Psych., 18U3). TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 181 A côté
vent des lésions vasculaires légères dispersées le long de toute la
moelle
: c'est l'épaississe- ment de leurs parois et l
)s. IX). Ces change- mentsrappellent ceux qui sont décrits dans les
moelles
anémiques (Minriicli, Nonne), septicémiques (No
es moelles anémiques (Minriicli, Nonne), septicémiques (Nonne), les
moelles
séniles dans la maladie de Parkinson (Redlich),
ffuses et en foyers. Il faut se rappeler que dans notre cas X (la
moelle
y était libre de néo- plasme, c'est-à-dire que
vons vu des changements analogues à ceux qui se produisent dans les
moelles
entourées par les masses néoplasiques. Ce fait t
on ne peut pas les expliquer par une cause toxique (le reste de la
moelle
est. normal). Il faut donc supposer que la tumeur
anglions spinaux) et des vaisseaux, et par suite, des lésions de la
moelle
par ischémie. Pour mieux comprendre ces lésions
. Comme causes rares Fickler mentionne les lésions immédiates de la
moelle
, les thrombus et les embolies vasculaires. Fickle
ure-mère et de l'espace épidural et 2° le système lymphatique de la
moelle
épinière et des méninges molles. Le système lym
euvent pas produire l'oblitération des vaisseaux lymphatiques de la
moelle
même. Mais elles peuvent engendrer des troubles
me. Mais elles peuvent engendrer des troubles circulatoires dans la
moelle
et comme suite de ces troubles, des lésions en
haut où la tumeur est très éloignée de la colonne et où pourtant la
moelle
épinière présente des lésions, il faut chercher
tumeur, mais à une dis- tance plus ou moins grande. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 183 THÉRAP
canal rachidien en provoquant des symptômes de com- pression de la
moelle
. Bien que au cours de l'opération on ait éloigné
qui sont régis par des centres nerveux particuliers, logés dans la
moelle
épinière et par le centre vaso- moteur commun q
épinière et par le centre vaso- moteur commun qui se trouve dans la
moelle
allongée dont l'excitation produit la contracti
ai s nous savons qu'un centre vasomoteur, dont le siège est dans la
moelle
allongée, existe ; que ce cen- tre, comme le pr
es qui régissent le système vasculaire et dont le siège est dans la
moelle
allongée. Si nous admettons (1) Detehmaxn, Les
e de compte qu'une lésion cérébrale nu une lésion périphérique ; la
moelle
épinière, dans laquelle plusieurs auteurs (Recl
n trouva des altérations ' étendues des artères du cerveau et de la
moelle
épinière, sous forme de périartérite et d'endoa
au, dans la région des circonvolutions frontales de droite et de la
moelle
épinière; périnévrite et endonévrite des nerfs de
es- sion nerveuse L'un de nous a présenté ici même, le rachis et la
moelle
du cas cliniquement guéri depuis 39 ans, et rés
e mince couche de fongosités englobant légèrement les raci- nes. La
moelle
, très au large dans le canal osseux, ne semble él
S OSSEUSES DU MAL DE POTT , (Alquier et Klmfeld). A. Aspect de la
moelle
recouverte de la dure-mère ; dins la coudure quel
udure quelques fongosités épidurales. B. Empreinte de l'os sur la
moelle
. En arrière de cette dernière se voit un espace
de la compression nerveuse. Enfin, entre la face postérieure de la
moelle
, et la dure-mère, qui, nous le rappelons, ont été
imètre dans le sens antéro-postérieur. L'étude histologique de la
moelle
, ne nous a montré ni sclérose au niveau du sill
hidien, sans qu'il en ré- sulte une compression bien évidente de la
moelle
, l'empreinte marquée par la saillie osseuse sur
s, et ne déterminant, dans le troisième qu'une légère coudure de la
moelle
, sans lésions nettes au microscope comme dans le
. Ménard, que rien ne vient plaider en faveur de l'élongation de la
moelle
, qui serait plutôt, trop lon- gue, en raison du
IE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (Dr E. PLATA ri) TUMEURS DE, LA
MOELLE
ÉPINIÈRE , 1.. J, , ET DE LA COLONNE VERTEBRA
apophyses des VIIe et IXe vertèbres dorsales et ainsi on découvrit la
moelle
dans une grande étendue. On vit que la moelle (
ainsi on découvrit la moelle dans une grande étendue. On vit que la
moelle
(recouverte par la dure- mère) était plus mince
niveau de la VIIe vertèbre qu'au niveau des VIIIe et TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 315 IXe. D
éninges ramollies, troubles. Examen microscopique. - La coupe de la
moelle
correspondante au ni- veau de la tumeur (VIIIe-
e déchirée et forme des sortes de champignons à la périphérie de la
moelle
). Ii'y-a de grandes hémorragies dans la substance
riques des cordons antéro-latéraux. Au-dessous de la tumeur,dans la
moelle
lombo-sacrée existe une légère dégénérescence sec
sont très dilatés, mais non épaissis. En ascendant, on voit dans la
moelle
la corne, tantôt antérieure, tantôt posté- rieu
tion des méninges surtout du côté des cordons postérieurs). Dans la
moelle
lombaire, la substance grise reprend sa configura
ce cas les douleurs furent le premier symptôme. Elles TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 317 î étai
vertè- bre dorsale et la tumeur sur la face interne de cet arc. La
moelle
sembla êlre plus mince au niveau de la VII, ver
ace et le malade mourut quelques jours après l'opéralion. Dans la
moelle
on constata un léger trouble des méninges molles.
ances et des hémorragies diffuses récentes. Il faut supposer que la
moelle
épinière se trouvait ramollie dans cette région
-dessous et au-dessus. Il faut dire aussi que l'autopsie même de la
moelle
provoqua sa modification. L'hétérotopie et les
'au-dessous et au-dessus d'elle.' y a aussi des hémorragies dans la
moelle
sacrée.1 . ' 18 FLATAU On n'a pas rencontré u
n'a pas rencontré une seule cellule nerveuse normale dans toute la
moelle
lombo-sacrée. Au-dessus de la région correspondan
profondes modifi- cations de caractère destructif qui ont frappé la
moelle
pendant ou après l'opération au niveau de la tu
dilatation des vaisseaux est évidente surtout du côté dorsal de la
moelle
. Le cas présent n'était pas difficile à diagnos
cation nous la retrouvons même avec les meil- leurs chirurgiens; la
moelle
épinière évidemment par suite de la longue comp
opératoires et avec quel soin il faut éviter les traumatismes de la
moelle
. TUMEURS BIC LA MOELLE ÉPINIÈRE ICT DE LA COLON
l soin il faut éviter les traumatismes de la moelle. TUMEURS BIC LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ICT DE LA COLONNE VERTÉBRALE 319 Obser
nous avons fait la conclusion qu'il s'agit de la compression de la
moelle
probablement par une tumeur. Riais il nous manqua
par moi et le D' Sterling. FiG. 13. - Fibrosarcome myxnmateux de la
moelle
épinière. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE L
13. - Fibrosarcome myxnmateux de la moelle épinière. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 321 démont
imètres au-dessous de l'endroit opéré. , , Pendant l'opération,la
moelle
ne présentait pas de pulsations.Si notre diagnos-
ur se trouvait à l'endroit où la VIe racine dorsale pénètre dans la
moelle
(fig. 13) (incision de la dure-mère le long de la
13) (incision de la dure-mère le long de la face postérieure de la
moelle
). La tumeur se distingue par sa coloration grisât
sait d'un fibro- sarcome rnyxomateux. La tumeur était faite dans la
moelle
un nid et refoulait la moelle à gauche. ICette
mateux. La tumeur était faite dans la moelle un nid et refoulait la
moelle
à gauche. ICette dernière est très amincie (fig.
^ formation de mailles vidés Fic. 14. Fibrosarcome myxomateux de la
moelle
épinière. / 322 FLATAU avec l'aspect alvéolai
isparaissait assez vite en ascendant et en descendant le long de la
moelle
. Observation XVI. Ch. B., âgée de 58 ans, veu
le point que les pupilles sont régulières et égales, TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPLNIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 3 réagisse
que la méninge, très tendue, contenait beaucoup de liquide, mais la
moelle
épinière ne se laissa pas * sentir. On a fait que
de liquide se fut écoulée, la dure-mère présenta ses pulsations. La
moelle
se montra amincie, atrophiée. On en trouva pas de
ile (thermique, douloureuse, musculaire) est abolie ; TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 325 la mal
il nu à travers la dure-mère une tumeur dans la moitié gauche de la
moelle
; elle se laisse déplacer dans toutes les directi
opératoire. La tumeur a une forme ovale à grand axe, parallèle à la
moelle
.Son diamètre longitudinal est de 2 centimètres, t
) La face antérieure de la tumeur repose dans un enfoncement de la
moelle
comme dans un nid d'où on peut l'énucléer compl
ert par le pus qui est jaune-verdâtre sur la face postérieure de la
moelle
(ou de la tumeur). Résumé. La malade, âgée de 5
che de la maladie ne correspondait pas à l'affection combinée de la
moelle
, qui du reste (on s'en rend compte de plus en p
herrinnton-Bruns, la tumeur devait se trouver locali- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 327 sée de
dessus de ce niveau. La méninge ne présentait pas de pulsations. La
moelle
était aplatie. Vu que le diagnostic n'était pas
le tissu nerveux ne présentait pas de lésions profondes quoique la
moelle
fût comprimée ; on pouvait donc assister à une
croscopique. La tumeur est un fibrosarcome (psammome). Examen de la
moelle
épinière. Les coupes colorées par la méthode de
er convenablement dans la topographie de la substance blanche. La
moelle
n'est plus qu'un étroit ruban adhérant d'un côté
ve de la dégénérescence et une déformation notable. La moitié de la
moelle
qui adhère immédiatement à la tumeur lia droite
est plus lésée que la gauche. Les vaisseaux à la péri- phérie de la
moelle
aussi bien qu'au sein du tissu nerveux sont dilat
eur adhère en un point à la dure-mère. Autour de la tumeur et de la
moelle
épinière,il y a une infiltration cellulaire (mé
Les lésions disparaissent bientôt à mesure qu'on monte le long de la
moelle
328 FLATAU tJ épinière. Vers le pôle supéri
Vers le pôle supérieur de la tumeur, la configuration interne de la
moelle
présente peu de modifications, la substance blanc
ire. Ces lésions sont plus accentuées dans la moi- tié gauche de la
moelle
que dans la droite.On n'y constate pas de signes
la dépendance de la méningite purulente. En remontant le long de la
moelle
on constate des endroits faiblement dégénérés d
n constate des lésions presque analogues dans la partie distale de la
moelle
Fic. 15. Fibrosarcome psammeux de la moelle épi
la partie distale de la moelle Fic. 15. Fibrosarcome psammeux de la
moelle
épinière. 1. Tissu nerveux provenant des cordon
ieure gauche. 7-8. Racines postérieures. 9. Tumeur. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 329 FiG. 1
T DE LA COLONNE VERTÉBRALE 329 FiG. 16. Fibrosarcome psammeux de la
moelle
épinière. 1. Racine antérieure. 2. Cordon latér
n postérieur droit. 7. Tumeur. FiG. 17. Fibrosarcome psammeux de la
moelle
épinière. 1. Foyer de lésion dans le,cordon ant
xiii 22 330 FLATAU ' Au niveau du pôle inférieur de la tumeur, la
moelle
devient presque normale. Il persiste qu'un amin
normale. Il persiste qu'un amincissement de la moitié gauche de la
moelle
(fig. 17) où se trouve aussi une dégénérescence
un peu moindre dans le cordon postérieur. Dans la moitié droite de la
moelle
le tissu nerveux est presque normal. La substan
ignes de stase. Dans la région du pôle inférieur de la tumeur, la
moelle
reprend sa configu- ration interne normale. On
al latéral (dégénérescence secondaire). En descendant le long de la
moelle
, on voit toujours cette même dégénéres- cence d
même dégénéres- cence de la voie pyramidale gauche au niveau de la
moelle
lombaire et sacrée. Le IIe segment lombaire mon
e la cloison longitudinale postérieure. En descendant le long de la
moelle
on con- state encore au niveau des segments dor
nt des lésions considérables au sein du tissu nerveux TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 331 à côté
ns constaté dans le cas précité un amincissement considérable de la
moelle
épinière à l'endroit où la tumeur la comprimait.
le de la moelle épinière à l'endroit où la tumeur la comprimait. La
moelle
y avait la forme d'un ruban ; la configuration in
conservés quoique modifiés. La chose importante est le retour de la
moelle
épinière à son état normal presque immédiatemen
la grise commençaient à reprendre leur configuration normale et la
moelle
épinière sa forme habituelle. En descendant, on p
générescence. Les lésions qui siégeaient dans la moitié gauche de la
moelle
dorsale supérieure dépendaient en grande partie
ce cas est la suivante : une compression même très accentuée de la
moelle
épinière peut ne pas provoquer de modifications
Observation XVII. Le cas concerne une tumeur (le malade Bl.) de la
moelle
épinière à point de départ à la face externe de
FLATAU geait sur la face antéro-latérale de la moitié gauche de la
moelle
: Sa longueur était 21 mm., son maximum d'épais
ieure delà tumeur descend la VII° racine verticale bien amincie. La
moelle
épinière au niveau de la tumeur est comprimée,
lée à droite et ramollie. Au niveau de la VIIe racine cervicale, la
moelle
a pris la forme d'un ruban. Au niveau des Y- et
n ruban. Au niveau des Y- et VI' racines cervicales postérieures la
moelle
épinière, dans la région des cordons postérieur
ion du liquide céphalo-rachidien ? ). FiG. 18. - Endolheliome de la
moelle
épinière. (La tumeur est vue par sa face antéri
prises pour l'examen microscopique.) FIG. 19. - Endolhélioma de la
moelle
épinière. 1. Tumeur. - 2. Sillon longitudinal a
Tumeur. - 2. Sillon longitudinal antérieur. - 3. Moitié gauche de la
moelle
(dégénérée et atrophiée). - 4. Racine antérieur
e antérieure droite, corne. - 5. Racine antérieure. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 333 Examen
xamen microscopique. La tumeur est un endoiliélioiiie. Examen de la
moelle
épinière. Les coupes coloriées par la méthode de
tion interne bien modifiée (fig. 19). Dans la moi- tié droite de la
moelle
on peut encore distinguer la substance blanche de
t devenu impossible. La substance grise dans la moitié droite de la
moelle
présente les modifications suivantes : au lieu
udinal (au lieu des coupes transversales). La moitié gauche de la
moelle
est tellement dégénérée que la substance grise
s vaisseaux sanguins en nombre augmenté dans la moitié gauche de la
moelle
. Les cloisons ne sont pas épaissies comme c'était
sub,tance grise reprendre sa forme normale. La moitié droite de la
moelle
au premier coup d'mil semble ne pas présenter de
sclérose presque complète surtout en arrière). La moitié droite de la
moelle
épinière a 7 millimètres de largeur à ce niveau
a ligne 4 dans la fig. 18), on ne constate pas de tumeur quoique la
moelle
y montre un certain degré d'aplatissement et la d
contours sont bien- accentués (fig. 0). Dans la moitié droite de la
moelle
on voit une légère dé- générescence du cordon d
gauche, un peu dégénérées. Le rapport FIG, 20. - Cndolhéliome de la
moelle
épinière 7= 1. Tumeur. - 2. Racine antérieure.
téral gauche dégénéré. - 4. Ra- cine postérieure. 0 TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 335 entre
e le droit. Ces mêmes lésions peuvent être constatées dans toute la
moelle
dorsale, lombaire et sacrée. Dans cette dernièr
. Outre ces lésions, on a trouvé sur les différentes hauteurs de la
moelle
des formations qu'autrefois on attribuait à la ca
des formations artificielles. produites pendant l'extraction de la
moelle
épinière de la colonne vertébrale Il est possib
pinière de la colonne vertébrale Il est possible que dans ce cas la
moelle
soit plus fragile. Les coupes colorées par d'au
place elle était aussi adhérente aux méninges molles (du côté de la
moelle
). Dans ce cas égale- ment nous pouvions constat
s deux pôles de la tumeur présentent la configuration interne de la
moelle
presque normale : la substance grise dessine la f
leurs assez vives dans la région de l'articulation du TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 337 genou
e et la moitié droite de l'abdomen). En avant l'anes- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA .COLONNE VERTÉBRALE 339 thési
de liquide rachidien s'est écoulé, On n'a pas trouvé de tumeur. La
moelle
épi- nière est un peu aplatie et amincie. Les m
complète spastique. La plaie est bonne. On voit la pulsation de la
moelle
. 12. T. 37°. Phénomènes spastiques considérable
ire (fig. 22). La tumeur,au premier coup d'oeil, fait corps avec la
moelle
épinière d'autant plus que les méninges molles
e d'autant plus que les méninges molles passent immédiatement de la
moelle
sur la tumeur et que la tumeur n'adhère pas à l
elle sur la tumeur et que la tumeur n'adhère pas à la dure-mère. La
moelle
semble être à ce niveau un peu dilatée. En ha
peu dilatée. En haut la ligne de séparation entre la tumeur et la
moelle
est bien distincte. Quand on écarte avec le doi
c le doigt le pôle supérieur de la tumeur on voit que TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 311 1 cett
INIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 311 1 cette dernière comprime la
moelle
en arrière et à gauche vers la droite et avant.
eux encore en faisant la coupe à travers le milieu de la tumeur. La
moelle
épinière se présente sous forme d'un mince ruban,
acée à droite. Fio. 22. Neuro-fibroangiome cavernoso-veiraeux de la
moelle
épinière. 342 FLATAU Presque toute la coupe
les dimensions étaient 1 cent. 3 : 0 cent. 85. Les dimensions de la
moelle
à ce ni- veau sont 0 cent.l : 0. 3 cent. La t
sous forme d'une masse grise rosâtre, qui, dans le voisinage de la
moelle
est compacte, mais dans les parties externes rapp
tumeur, on peut se persuader qu'elle est tout à fait séparée de la
moelle
. Vers le haut et le bas la tumeur diminue gradu
le bas la tumeur diminue graduellement de volume et fait place à la
moelle
. Quant à la localisation de la tumeur, on const
lieu de pénétration de la IXe ra- cine dorsale postérieure dans la
moelle
. Les Xe et XIe racines se trouvent du côté droi
it dans une cannelure qui constitue la limite entre la tumeur et la
moelle
, mais plus près de la première. La même chose peu
aisceaux supérieurs de la Ire racine lom- baire postérieure dans la
moelle
. Examen microscopique. On a fait des coupes en
croscopique. On a fait des coupes en série de toute la région de la
moelle
qui correspondait à la tumeur. Il s'y trouvait le
ivantes : 7 8 FIG. 23. Neuro-fibroangiome cavernoso-veineux de la
moelle
, 1. Racine antérieure (en partie dégénérée). -
rieure (intacte). 10. Ra- cine postérieure intacte. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 343 Dans l
pos- térieure du cordon latéral gauche et au cordon postérieur. La
moelle
y est aplatie obliquement. Toute la coupe prése
est dégéné- rée dans tous ses cordons, mais la moitié gauche de la
moelle
est plus clair- semée que la droite. La zone au
gmenté. Méninges sans modifica- tions. Là où l'arachnoïde quitte la
moelle
pour passer à la tumeur, on voit qu'elle le fai
eur. La tumeur y est libre et n'adhère pas à la méninge molle de la
moelle
. Sur la face dorsale de la tumeur se trouve une
ement, elle devient pareille à un corps caverneux. En même temps la
moelle
perd sa configuration extérieure ; elle est trè
u cordon postérieur et au latéral gauche. Toute la périphérie de la
moelle
est ondulée. La dégénérescence vue sur la coupe
44 FLATAU paces veineux très larges, remplis de sang. Du côté de la
moelle
la tumeur, dans une grande étendue est adhérent
en serpent autour de la tumeur. La tumeur en avant est adhérente à la
moelle
. La moelle y a souffert moins que sur les coupe
tour de la tumeur. La tumeur en avant est adhérente à la moelle. La
moelle
y a souffert moins que sur les coupes situées plu
nt touchée. A mesure qu'on monte, la tumeur diminue de volume et la
moelle
en même temps reprend sa forme habituelle. On v
tumeur au FIG. 24. - Neuro fibi-oatigionte cauernoso-veineux de la
moelle
. 1. Arachnoïde. 2. Racine antérieure (intacte).
acte). 12. Racine postérieure (légèrement dégénérée). TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 345 FiG. -
NE VERTÉBRALE 345 FiG. - Neuro-fibroangiome cavernoso-veineux de la
moelle
épinière. 1. Racine antérieure (presque normale
) et dans les zones périphériques du cordon latéral gauche. Dans la
moelle
cervicale la dégénérescence se limite à la part
lésé que le droit (fig. 27). On peut l'observer tout le long de la
moelle
lombaire et sacrale. Ici elle diminue peu à peu
e correspond en réalité à la droite et vice-versa). TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 347 Quelqu
imités, tous ces traits parlaient en faveur d'une compression de la
moelle
épinière. 348 FLATAU Certains symptômes pourt
. La tumeur adhérait à la face postérieure et latérale gauche de la
moelle
épi- nière. Les méninges molles passaient imméd
oelle épi- nière. Les méninges molles passaient immédiatement de la
moelle
sur la tumeur, de sorte que les deux semblaient
ernes sont remplies de sang dans la partie supérieure TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 34 ! J et
nt par la fuchsine, c'est la pie-mère. L'arachnoïde, en quittant la
moelle
passe sur la face postérieure de la tumeur et la
postérieure de la tumeur et la recouvre. Là où la tumeur touche la
moelle
; les méninges molles se sont accolées in- timem
ppée évidemment à la racine postérieure gauche. Dans le tissu de la
moelle
même on voit seulement des lésions provenant de
la tumeur sont dégénérées en partie, les aulres beaucoup moins. La
moelle
est aplatie, on y constate une dégéné- rescence
es néoplasiques, situées en dehors de la dure-mère et recouvrant la
moelle
dans sa région cervicale inférieure. Le bout su
la In. dorsale (leur lieu de sortie de la dure-mère). TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 351 La tum
au cordon latéral et postérieur. La configuration extérieure de la
moelle
est normale. La figure de la substance grise et d
arge base, ils sont orientés en dehors et de là s'enfoncent dans la
moelle
par des faisceaux et des taches grandes et irrégu
foyers qui s'enfoncent sous forme de coins dans la profondeur de la
moelle
, Ces foyers sont d'une autre structure, ils renfe
s. En descendant,on ne constate plus de foyers de lésion ni dans la
moelle
dor- sale, ni dans la lombo-sacrée. Pas de dégé
ni dans la lombo-sacrée. Pas de dégénérescences secondaires dans la
moelle
dorsale. Dans la moelle lombo-sacrée on constate
Pas de dégénérescences secondaires dans la moelle dorsale. Dans la
moelle
lombo-sacrée on constate une faible dégéné- res
es. 9. Foyer alvéolaire dans le cordon latéral droit. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 353 mées.
t, la dégénérescence se déplaçait vers la cloison paramé- diane. La
moelle
cervicale était libre de foyers excepté auIIIeseg
nt constitués par les cel- lules granuleuses. En descendant dans la
moelle
dorsale, on ne constatait ni foyers ni dégénére
e, on ne constatait ni foyers ni dégénérescence secondaire. Dans la
moelle
lombo-sacrée pour- tant se voyait une faible dé
ulaires). Il était évident qu'il s'agissait d'une compression de la
moelle
cervicale inférieure de plus en plus croissante.
ehors de la dure- mère. - Dans ce cas également les lésions de la
moelle
même étaient minimes. Dans les régions correspo
me étaient minimes. Dans les régions correspondantes à la tumeur,la
moelle
conservait sa forme et la configuration de la s
ndaient à la périphérie et de là s'enfonçaient en languette dans la
moelle
. Ces foyers avaient une struc- ture analogue à
ones radiculaires des cordons postérieurs et non de ces foyers). La
moelle
au-dessous de la tumeur montrait un fait paradoxa
. On les a constatés dans le 1118 segment cervical. A TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 355' côté
mbres sont faibles, mais plus forte- ment lé droit. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 357 La pre
pouvait voir la modi- fication de la configuration extérieure de la
moelle
: elle était comme gonflée par place. C'était s
ent considérablement troublées et un peu épaissies tout le long de la
moelle
. Sur la face interne de la dure-mère, on voyait
plus petites n'adhèrent pas aux méninges molles et ne font dans la
moelle
que des enfoncements peu profonds. Dans la régi
a démontré que dans un endroit seulement la gomme a pénétré dans la
moelle
; voir plus bas). Dans le cerveau on constata l
térite oblitérante). La pie-mère est un peu épaissie,adhérente à la
moelle
et s'enfonce en coin dans la moelle (à la périp
un peu épaissie,adhérente à la moelle et s'enfonce en coin dans la
moelle
(à la périphérie du cordon latéral droit). Dégéné
it. Cette gomme ne change en rien la configuration intérieure de la
moelle
. La dure-mère est notablement épaissie dans la
la périphérie les méninges sont épaissies (surtout la dure-mère).La
moelle
même présente peu de lésions. Faible raréfactio
s et irréguliers. Pas de dégénérescences secondaires. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 359 Le Ve
périphérie de la coupe, surtout en face du cordon latéral droit. La
moelle
est ici aplatie et on y remarque un profond enfon
ques. La dure-mère est un peu épaissie. La pie-mère est soudée à la
moelle
; elle est peut-être un peu épaissie. Les vaiss
e immédiate est normale. Des lésions semblables se trouvent dans la
moelle
dorsale inférieure et la moelle lombo-sacrée (l
ions semblables se trouvent dans la moelle dorsale inférieure et la
moelle
lombo-sacrée (la pie-mère adhère à la moelle, un
rsale inférieure et la moelle lombo-sacrée (la pie-mère adhère à la
moelle
, un peu épaissie peut-être ; arachnoïde épaissi
rme de coins). FiG. 30. Gomme syphilitique de la dure-mère et de la
moelle
. 1. Mince liseré en haut correspond à la corne
ce interne de la dure-mère et pénètrent dans la moitié droite de la
moelle
dans la région du cordon latéral (fig. 30). A un
bstance et disparaît. Dans les endroits où la gomme pénètre dans la
moelle
,on ne distingue plus la pie-mère]de l'arachnoïde.
es trouve pas dans la gomme intra-médullaire ou dans le tissu de la
moelle
épinière. Les vaisseaux présentent des lésions
ement dans la gomme même, mais aussi dans les méninges autour de la
moelle
et au sein du tissu nerveux (dans la snbsiance
n grand nombre de corpuscules amyloïdes. Sur d'autres niveaux de la
moelle
on voit des modifications analogues, quoi que à
rdon latéral. Cette infiltration pénétrait dans la profondeur de la
moelle
sous forme des prolongements en coin effilés. A
sse une gomme, et dans une racine antérieure on cons- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 361 1 tale
la méthode de V. Gieson montrent les mêmes lésions. Au niveau de la
moelle
dorsale moyenne (on y voit une grande gomme) ;
ssl ne démontre pas de lésions notables dans les cellules. (Dans la
moelle
lombaire elles sont très pâ- les, mais d'une co
pécialement ce. fait que, malgré des lésions très- prononcées de la
moelle
,les symptômes cliniques étaientsi minimes qu'on
archait mieux. Ainsi les masses néoplasiques trouvées le long de la
moelle
, qui attei- gnaient jusqu'à un centimètre de vo
ait, non seulement des douleurs, mais aussi de la compression de la
moelle
. En tout cas, cette observation nous prouve évi
observation nous prouve évidemment que les gommes diffuses dans la
moelle
épinière peuvent donner des symptômes cliniques e
que démontra l'existence de néoformations gom- meuses le long de la
moelle
(surtout dans la portion dorsale). Elles pro- v
t pas provoqué une modification notable de la con- figuration de la
moelle
. Même au niveau des gommes assez grandes, la mo
iguration de la moelle. Même au niveau des gommes assez grandes, la
moelle
conservait sur la coupe sa forme ronde et sa conf
u VIe segment dorsal la gomme a pénétré dans la moitié droite de la
moelle
. Par conséquent, nous sommes en présence d'un de
mes en présence d'un de ces cas rares où la gomme se trouve dans la
moelle
même (Hanot-Meunier, Orlovski, etc.). Au poin
5 frictions à 3 0/0), les gommes persistèrent dans le cerveau et la
moelle
. Il va sans dire que dans le cas présent on ne
(3 a pratiqué des sections et des hémi-sections transversales de la
moelle
épinière chez des chiens, mais il n'a examiné leu
n cerveau de chien exa- miné quatre semaines après la section de la
moelle
. ' Je suis revenu sur cesujet dans un travail p
as de lésion du pédoncule cérébral, de six cas de compression de la
moelle
et d'un cas de sclérose latérale al1lyotrophique.
comme intensité selon la durée et la gravité des altérations de la
moelle
et arri- vaient jusqu'à la disparition complète
e Neurologie, 1900, p. 221. 380 MARINESCO région inférieure de la
moelle
, des lésions dans les cellules géantes du lobul
qui ont survécu respectivement 108 et 229 jours à une section de la
moelle
dans la région cervicale. Chez les animaux (cha
lémuriens, singes et chimpanzés) ils pratiquent l'hémisection de la
moelle
cervicale et. en examinant des cou- pes des cer
suivre la dégénéres- cence ininterrompue du faisceau pyramidal delà
moelle
sacrée jusqu'à l'écorce cérébrale. De tels cas
avec dégé- nération de la voie pyramidale suivie qu 7nai,chi de la
moelle
jusqu'au cortex. Revue Neurologique, n' 6, 1906
ique. Des coupes du pédoncule,de la protubérance, du bulbe et de la
moelle
, coloriés au Weigert-Pal, montrent la dégénéresce
rotubérance. Examen microscopique. Sur des coupes du bulbe et de la
moelle
colo- rées au Weigert-Pal on voit une dégénéres
xamen microscopique. Avec la méthode de Weigert-Pal on voit dans la
moelle
une légère dégénérescence des faisceaux pyramidau
sécutive à une fracture de la colonne vertébrale qui sectionnait la
moelle
épinière au niveau du second segment lombaire.
Notes cliniques. 28 ans, tétraplégie à la suite d'une lésion de la
moelle
par arme à feu. Elle fut opérée et la balle fut e
tive à une fracture de la colonne vertébrale qui avait sectionné la
moelle
dans la région lombaire inférieure. Durée de la
urée de la paraplégie, 6 mois. Examen macroscopique. Compression de
moelle
au niveau du IXe segment dorsal. Examen microscop
hyméningite énorme qui détruit toute l'ex- trémité inférieure de la
moelle
depuis le III° segment lombaire jusqu'à la queue
n macrosco- pique. -Kyste hydatique qui avait fortement comprimé la
moelle
épinière au niveau du X" segment dorsal. Durée
le volume d'un oeuf de 394 MARINESCO pigeon qui avait comprimé la
moelle
au niveau du premier segment lombaire. A droite
mprimé la moelle au niveau du premier segment lombaire. A droite la
moelle
était complètement détruite, et un peu moins à ga
16 mois. Examen macroscopique Gibbosité com- primant légèrement la
moelle
au niveau du VIe segment dorsal. Examen microsc
cliniques. - 26 ans, paraplégie spasmodique par com- pression de la
moelle
. Contractures des membres inférieurs, dont la mot
Examen macroscopique. Kyste ayant fortement comprimé et déformé la
moelle
au niveau du VU' segment dorsal. - Examen micro
éningitique qui comprimait et détruisait la partie inférieure de la
moelle
dès le III" segment lombaire jusqu'au filum ter
a maladie, 4 ans. Examen macroscopique. Une sclérose combinée de la
moelle
. Examen microscopique. Les cellules de Betz des
icroscopique. Altérations des cellules des cornes antérieures de la
moelle
cervicale sans participation manifeste de la subs
façon générale descen- dante du fait de l'ascension relative de la
moelle
pendant la phase embryologi- que, mais avec tro
n de la racine postérieure entre son ganglion et son entrée-dans la
moelle
. Comment peut-on s'expliquer la genèse de ces n
les cordons postérieurs et en partie les racines postérieures delà
moelle
(Brissaud) (2) ; et d'autre part qu'elles sont
xile constituant soit un rameau commu- niquant se dirigeant vers la
moelle
, soit un rameau périphérique, soit un rameau in
in. Il y a, en somme, communication de l'organe sympathique avec la
moelle
par des filets sympathiques centrifuges et des
e, à l'exclusion totale des ra- cines poslérieures des nerfs, de la
moelle
et du cerveau. Et en clinique nous retrouvons c
et Cu. Champv, Les lésions cellulaires des cornes antérieures de la
moelle
dans les arthropathies nerveuses. Considérations
e le contact est déjà établi entre le protoneurone centripète et la
moelle
. Et alors le mécanisme du trouble trophique peu
irait, lui aussi, après la connexion du neurone sen- sitif et de la
moelle
. , Mais si le type cellulo-névritique a une ori
u DES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES DE LA COLONNE VERTÉBRALE 423 de la
moelle
, d'abord parce que rien, dans les recherches anam
, on voit la méninge molle opaline et légèrement épais- sie mais la
moelle
et les racines rachidiennes ont leur calibre et l
n de l'axis.La colonne a été rompue (au cours de l'enlèvement de la
moelle
) au niveau des corps C 5,C 6 corps affaissés et s
OVIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (Dl' E. FLATAU) TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE - - [Sui
ome à cellules fusiformes enlevé par une opération). TUMEUR DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 459 OBSEC1
lie dans les mêmes régions (1) Ce cas rare de chromatophorome de la
moelle
épinière sera publié plus en détail par les D™
t le Ier dorsal. On ne constate pas de tumeur extramé- dullaire. La
moelle
paraît large. L'absence complète du liquide cépha
du liquide céphalo-rachi- dien nous frappe. Pas de pulsation de la
moelle
. Période post-opératoire sans complications. Le
nférieurs (le malade se trompe quand on met en mouve- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 461 L ment
nstate un élargissement considérable de la partie cervi- cale de la
moelle
, surtout de ses segments inférieurs (VIIe, VIIIe)
On voit à travers la dure-mère la coloration cyanosée foncée de la
moelle
cervicale inférieure et dorsale supérieure (en ar
rieure (en arrière). Sur les différentes coupes faites à travers la
moelle
on constate des lésions suivantes : Sur la coup
Sur la coupe transversale passant par le premier segment dorsal la
moelle
se montre noire, spongieuse, molle, rappelant par
cepté une zone périphé- rique large de il ? millimètre entourant la
moelle
du côté des cordons anté- rieurs et latéraux. A
eurs et latéraux. Au niveau du VIIIe segment cervical, l'aspect de la
moelle
est analogue à la précédente, avec cette différ
e Il segment dorsal on commence à distinguer la configuration de la
moelle
. On y voit dis- tinctement une fente syringomyé
qui de là, en zig-zag, se rend on arrière. La moitié droite de la
moelle
est mieux conservée que la gauche, qui ne con-
étroite de tissu normal. A part cela toute la moitié gau- che de la
moelle
se présente sous forme d'une masse brunâtre molle
es accumulations, tantôt en moindres ; dans certains endroits de la
moelle
il est en telle quantité qu'il recouvre presque
méninges molles il y a aussi accumulation de pigment. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 463 En rés
e ces symptômes pouvant être rencontré dans une autre maladie de la
moelle
épinière. En 1908, Bruns, dans une grande monog
ait bien, les tumeurs extra-médullaires, dites encore TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 465 encore
té. Elles compriment par conséquent les racines et une moitié de la
moelle
. Par suite de la compression toujours croissant
e jusqu'à la IIe tom- baire). Dans le cas de Starr (fibrome dans la
moelle
dorsale supérieure), les douleurs siégeaient da
nt par le fait que les tumeurs sont localisées plus souvent dans la
moelle
dorsale (Schlesinger). Bien entendu les tumeurs
(Schlesinger). Bien entendu les tumeurs localisées ailleurs dans la
moelle
, donneront d'autres douleurs radiculaires. Il
Vle casd'Oppenheim (Monographie de 1907) la tumeur siégeait dans la
moelle
dorsale moyenne, les douleurs, principalement d
ment,les douleurs frappaient la région de l'occiput (tumeur dans la
moelle
cervicale inférieure). Il faut expliquer ce f
adie. Les symptômes radiculaires apparaissent souvent TUMEURS DE LA
MOELLE
H.l'INiÎ'sRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 467 qu
ans l'unique symp- tôme morbide. D'autres symptômes du côté de la
moelle
ne manquent pasd'inlervenir. Mais, comme nous l
aire, puisqu'elle comprime d'ordinaire une moitié seule- ment de la
moelle
. Pourtant le syndrome de Brown-Séquard dans sa
circulai- res et de l'oedème dans toute la coupe transversale de la
moelle
avant TUMEURS DE LA MOELLE EP1N1ÈRE ET DE LA CO
e dans toute la coupe transversale de la moelle avant TUMEURS DE LA
MOELLE
EP1N1ÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 469 même q
oduire une forte compression et un enfoncement du côté gauche de la
moelle
. c'est-à-dire du côté où elle sié- geait. Par c
é- geait. Par conséquent le tableau de l'affection transverse de la
moelle
(troubles sensitifs et moteurs) n'a pas pu réal
own-Sé- quard. La tumeur comprimait toujours la moitié gauche de la
moelle
, y creusait un nid et provoquait une profonde l
'opération de la tumeur, les sym- tômes dépendant de l'oedème de la
moelle
disparurent, tandis que prirent place ceux prov
stade de la maladie, c'est-à-dire à l'affection trans- verse de la
moelle
, il apparaît le plus souvent en même temps que le
ur, ainsi par exemple sur le pied quand la tumeur se trouve dans la
moelle
cervico-dorsale (Roux-Paviot). Les troubles mot
caractère spastique de la paralysie (Oppenheim, VIe cas). Quand la
moelle
épinière est lésée transversalement dans sa parti
Taube et d'autres). Avec les symptômes précités indiquant que la
moelle
est lésée transver- salement apparaissent des t
endent de l'interruption de la continuité de J'influx nerveux de la
moelle
. C'est un symptôme bien pénible pour les malades,
vec précaution. Nous pouvons nous rendre compte assez TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET UE LA COLONNE VERTÉBRALE 471 1 souv
aires, c'était surtout dans les cas où la tumeur sié- geait dans la
moelle
cervicale (troubles circulatoires). Quelquefois p
faut encore men- tionner un cas d'Oppenheim et Krause (tumeur de la
moelle
dorsale) où l'appareil d'extension a donné une
llon de l'oreille. Starr a diagnostiqué intra uitam un lipome de la
moelle
épinière, en se basant sur le fait qu'une tumeur
n se basant sur le fait qu'une tumeur de cette nature TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTEBRALE 473 était
loi lie les muscles correspondants aux racines anté- rieures de la
moelle
. Il est bien entendu que la détermination du si
e produire. Souvent des oedèmes ou des lésions inflammatoires de la
moelle
474 FLATAU même ou des méninges naissent au-d
nt du niveau où se trouve la tumeur. Lorsqu'elle est située dans la
moelle
cervicale on a des symptômes radiculaires au co
miplégie spinale ou para ou tétraplégie. Si la tumeur siège dans la
moelle
cervicale inférieure et dorsale supérieure, on a
VI" segment cer- vical jusqu'au Il' dorsal). Si la tumeur occupe la
moelle
cervicale supé- rieure peuvent naître des doule
ré la localisation de la tumeur dans la région correspondante de la
moelle
(Oppenheim-Krause). La tumeur localisée dans la
ndante de la moelle (Oppenheim-Krause). La tumeur localisée dans la
moelle
dorsale donne un tableau clinique où les douleu
VIIIe-IXe racines dorsales antérieures). Si la tumeur siège dans la
moelle
lombaire les douleurs sont la plupart du temps
mes médullaires correspondent au type habituel de l'affection de la
moelle
lombaire. Les tumeurs de la moelle sacrée provo
pe habituel de l'affection de la moelle lombaire. Les tumeurs de la
moelle
sacrée provoquent des douleurs dans la région s
des troubles trophiques de la peau (mal perforant). TUMEURS DE LA
MOELLE
I ? f'INIISItE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 47o e
ant la disposition de leurs noyaux dans les différents étages de la
moelle
), par la prépondérance des phénomènes moteurs, pa
eur intra-mé- dullaire (c'est-à-dire dont le point de départ est la
moelle
même).Leyden (ISi4) a cru que la différence con
dans les cas où la tumeur intra-médullaire occupe une région de la
moelle
bien voisine de la mé- ninge molle où des racin
dant 19 ans. Gowers distingue les tumeurs méningées de celles de la
moelle
par les symptômes suivants : les premières prov
aucoup de peine à réunir un assez grand matériel con- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 477 cernan
'il correspond à la croissance graduelle de la tumeur le long de la
moelle
vers la région supérieure ou inférieure (le cer
rogressive, il part de courtes périodes de rémission. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 479 2° Il
dernière, on constata la carie vertébrale et l'abcès comprimallt la
moelle
épinière (jusqu'à ce moment le malade 480 O FLA
se complète grâce aux symptômes qui dépendent de l'affection de la
moelle
se propageant transversalement, tandis que, dans
ement, tandis que, dans la syringo- myélie, les lésions frappent la
moelle
longitudinalement. Il faut encore rappeler une
Ce cas fut décrit'par le Dr IIandelsman, Des dégénérescences dans la
moelle
cau- sées par la compression de la queue de che
la compression de la queue de cheval^ Medycyna, 1908. TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 481 ninges
dullaire. Il arrive encore qu'il y a plusieurs tumeurs dans la même
moelle
épi- ni8re, et alors le diagnostic est bien dif
rt notre XIXe observation où les masses néoplasiques entouraient la
moelle
sans la déformer, partout ailleurs la moelle a su
asiques entouraient la moelle sans la déformer, partout ailleurs la
moelle
a subi une déformation. Elle était le plus souv
côté. Quelquefois cet aplatissement était tellement prononcé que la
moelle
ressemblait à un ruban. Les lésions du tissu ne
'on observe à l'endroit même de compression, la configuration de la
moelle
y présentait des modifications. Parfois (obs. X
urs (elles siègent principalement sur les côtés et en arrière de la
moelle
). Les lésions étaient surtout prononcées du côté
disparition des cellules nerveuses. Par suite de ces TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 485 lésion
issu névroglique. Les vaisseaux étaient dilatés (aussi bien dans la
moelle
que dans les mé- ninges). Leurs parois n'étaien
e capacité de reconstitution. Il peut arriver que la moitié de la
moelle
n'adhérant pas à la tumeur soit plus lésée que
aible degré (Westphal, Busch, Nonne, Pasteur). Dans d'autres cas la
moelle
peut être à tel point envahie par le néoplasme
tuées en dehors de l'endroit comprimé, nous devons constater que la
moelle
épinière se dé- barrasse vite de l'influence de
se vite de l'influence de la tumeur. La configuration interne de la
moelle
devient normale déjà au niveau du pôle supérieur
quement on pouvait constater une plus riche vascula- risation de la
moelle
au-dessous et au-dessus de la tumeur. Dans les .
ertèbre dor- sale) qu'on voyait des hémorragies le long de toute la
moelle
lombo-sa- crée"(avec disparition complète des c
rveuses), et en allant vers le haut, la configuration normale de la
moelle
apparaissait très lentement et graduellement. C
t bien caractéristique ; là, malgré une énorme déforma- tion de, la
moelle
, la dégénérescence descendante fut assez faible d
ononcées au niveau de la tumeur. ' Ce fait indique également que la
moelle
possède une grande faculté de re- constitution
le était absente. Dans le XIX" cas (tumeur siégeant au niveau de la
moelle
cervicale inférieure et dorsale supérieure) on
tater une dégénérescence descendante dans les cordons TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 48-7\ pyra
PINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 48-7\ pyramidaux latéraux de la
moelle
, lombo-sacrée, tandis qu'elle, n'était pas^ vis
moelle, lombo-sacrée, tandis qu'elle, n'était pas^ visible dans la
moelle
dorsale ! Ces faits sont analogues à ceux- décrit
corder un grand rôle : 1° à la compression mécanique immédiate delà
moelle
; 2° aux lésions secondaires, c'est-à- dire prod
En tout cas il est maintenant hors de doute que les lésions de la
moelle
provoquées par la compression de cet organe par l
81'VellX constitue la princip ale conâition de la restitution de la
moelle
et de ses fonctions. Cette restitution est poss
e parle contre la possibilité de la restitution des fonctions de la
moelle
après l'opération ? Nous croyons qu'en tout cas l
orps s'imbibant facilement des laminaires dans l'espace séparant la
moelle
de la colonne vertébrale), nous avons acquis la
Les affections de la queue de cheval et du segment inférieur de la
moelle
. Plusieurs articles sur les tics, les spasztte.s
se des cordons postérieurs extrême- ment prononcée ; l'examen de la
moelle
, des racines et des ganglions n'a pas encore ét
ère, mais très bien à la conver- gence. L'examen histologique de la
moelle
(des coupes ont été prélevées sur tous les segm
nt dans t'hémi- sphère cérébral gauche. L'examen histologique de la
moelle
montre les lésions classiques du tabes incipien
ens : les coupes sont figurées dans notre Traité des maladies de la
moelle
épinière, en collaboration avec le professeur Dej
VIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (D'' E. PLA1'AV) TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE {Suite e
, 21 concernent les tumeurs siégeant dans la région cervicale de la
moelle
, 57 dans la ré- gioi1 dorsale et 18 dans la rég
avorables suivaient les opérations des tumeurs loca- lisées dans la
moelle
dorsale. Il est important de noter que Bruns, e
meurs mé- dullaires opérées jusqu'à la fin de 1908, TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 591 1 celt
es cliniques peuvent dépendre non seulement de la compression de la
moelle
par la tumeur, mais aussi de l'oedème au-dessus
-il, pour se débarrasser des récidives, qui sont très TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 593 rares
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 593 rares dans la
moelle
même lorsqu'il s'agit de tumeurs malignes (sarcom
meur) ! Une cause d'erreur consiste encore en ce que quelquefois la
moelle
est couverte par une masse gélatineuse. Au prem
tumeur peut être tout à fait plate et tellement bien adaptée il la
moelle
épinière, qu'elle peut passer inaperçue pour l'o-
meur fut posé, on constata pendant l'opération, à l'intérieur de la
moelle
, l'accumulation d'une grande quantité de liquid
d'une grande quantité de liquide. On l'évacua par la ponction de la
moelle
et l'amélioration s'en suivit. La restitution
athologique des tumeurs méningées, nous avons fait remarquer que la
moelle
épinière est très résistante à la com- pression
ntes fois les médecins ont pu se convaincre que les fonctions de la
moelle
revenaient après l'opération là où au premier cou
a guérison. Oppenheim, dans un de ses cas, a vu,à l'opé- ration, la
moelle
tellement aplatie qu'il était très inquiet sur le
observe pas d'amélioration malgré la réussite de l'o- TUMEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET OE LA COLONNE VERTÉBRALE 1.1 pérati
ÈRE ET OE LA COLONNE VERTÉBRALE 1.1 pération. Il est évident que la
moelle
a subi une profonde lésion qui ne se laisse plu
ard elle a frappé le malade un an après l'opération (décubitus), la
moelle
était complètement détruite à l'endroit opéré.
à notre disposition. BIBLIOGRAPHIE ADA1111ENVICZ. - Sarcome de la
moelle
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ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE GOL t ManF
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MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE ()O3 f. An
. Diss. Berlin. Sïhi.\nAUs. Analomie pathologique des tumeurs de la
moelle
. Encéphale, 190S, Nr. 11. STunz. - A7t'ti)f.c/t
let. Protubérance. - On ne trouve aucune altération macroscopique !
Moelle
. Elle est petite, rétractée. Sur les coupes macro
eudo-glandes. La réaction névroglique sous-jacente est peu intense.
Moelle
. Il existe de très nombreuses plaques de sclérose
es de ces différentes dystro- phies) (7 pl.), par LEVI, 522, 660.
Moelle
(Tumeurs de la - et de la colonne vertébrale),
it la ménopause (2 pl.), par Bauer et Desuoms, 426. Tumeurs de la
moelle
el de la colonne vertébrale, par FLATAU, 4 ? ,
ques de la colonne -) (2 pl.), par Salvadori, 416. (Tumeurs de la
moelle
et de la colonne ), par Flatau, p. 47, 1h3, 313
ématiques et leur pathogénie (3 pl.), 399. I'LATAU. Tumeurs de la
moelle
épinière et de la colonne vertébrale, ! ;41. 14
pathologique. L'examen microscopique du pédoncule cérébral et de la
moelle
donna des résultats négatifs. L'étude histolo
ompression a été la plus forte. Quant aux différentes régions de la
moelle
épinière, nous n'y avons rien trouvé d'anormal.
héorie de la myélite syphilitique et d'après eux les éléments de la
moelle
seraient soumis à deux causes de destruction, l
baiguës. - En résumé, les travaux récents semblent démontrer que la
moelle
épi- niére, lorsqu'elle est frappée par la syph
ntéres- santes de'ce cas, la diminution remarquable du volume de la
moelle
a attiré notre attention. Il ne nous a pas paru
e pas d'autres lésions qu'un peu d'oedème sous-arachnoï- dien. La
moelle
est diminuée de volume dans la région dorsale.
minuée de volume dans la région dorsale. Examen microscopique de la
moelle
épinière. Après durcissement dans le liquide de
moelle épinière. Après durcissement dans le liquide de Millier, la
moelle
est divisée en seg- ments correspondant aux rac
t et comparées avec des coupes pro- 108 LONG ET WIKI venant d'une
moelle
normale durcie et préparée de la même manière ; 2
ue DES LÉSIONS (coupes colorées par , la méthode de Pal). Dans la
moelle
cervicale et le renflement cervical (4°r segment
s proportions dans la moitié gauche que dans la moitié droite de la
moelle
. On remarque en outre, à mesure qu'on avance da
en outre, à mesure qu'on avance dans le renflement cervical, que la
moelle
se déforme par la diminution du diamètre antéro
ns vasculaires sont déjà plus intenses surtout dans l'intérieur de la
moelle
, où elles prennent les formes les plus variable
n foyer scléreux qui se tra- Fig. 1. -1er segment dorsal. Fig. 2.
Moelle
normale, même niveau. SUR l'état ATROPRIQUE DE
Fig. 2. Moelle normale, même niveau. SUR l'état ATROPRIQUE DE la
moelle
épinière 109 duit, sur les coupes colorées par
myélinisées (fig. 5) ; ce foyer est localisé dans ce segment de la
moelle
, on ne le retrouve pas dans le segment suivant.
ier dans les cordons laté- Fig. 3. - 2° segment dorsal. Fig. 4. -
Moelle
normale, même niveau. Fig. 5. - 48 segment dors
te. Fig. 7. - Partie inférieure du 5° segment dorsal. Fig. 8. -
Moelle
normale, même niveau. Fig. 9. - 6e segment dors
l y ait encore une diminution de volume appréciable, la forme de la
moelle
tend - it redevenir normale. Les faisceaux pyra
nuant progressivement. Fig. 12. - 9' segment dorsal. Fig. 13. -
Moelle
normale, même niveau. Fig. 14. - Renflement lom
normale, même niveau. Fig. 14. - Renflement lombaire. Fis. 15. -
Moelle
normale,même niveau. 112 LONG ET WIKI Il. - E
forme sur toute la longueur des régions supérieure et moyenne de la
moelle
dorsale. On remarque en outre que les racines p
ue nous avons rencontré presque constamment du haut en bas de cette
moelle
. Ce n'est qu'en examinant un assez grand nombre
cervical, s'étendent dans les régions supé- rieure et moyenne de la
moelle
dorsale, prennent une grande intensité au nivea
ons vasculaires n'obéit à aucune règle : dans un même segment de la
moelle
on peut voir, sur une coupe trans- versale, des
nt oblitérés, suivant que l'on examine un segment ou un autre de la
moelle
. Lorsqu'elles sont peu intenses, ces lésions de
20) se retrouvent dans tous les segments supérieurs et moyens de la
moelle
dorsale, avec prédominance au niveau des 5e et 6°
s secondaires prennent naissance dans des segments différents de la
moelle
dorsale moyenne. C'est ainsi que pour le cordon d
ise du côté gauche. 6e segment dorsal. SUR l'état ATROPIIIQUE DE la
moelle
épinière 115 Cette diffusion des lésions en foy
pertes de substance. Tous les éléments histologiques normaux de la
moelle
ne dispa- raissent pas en totalité de ces foyer
ences secondaires systématisées ; 3o une diminution de volume de la
moelle
dans les deux tiers supérieurs de la région dor
cependant qu'elles se sont localisées surtout dans l'intérieur de la
moelle
et que la pie-mère et les vaisceaux pie-mériens
ie-mériens sont presque indemnes. 2" Les lésions destructives de la
moelle
sont en foyers multiples et ne prennent pas l'a
avancé d'organisation scléreuse. 3° La diminution de volume de la
moelle
est surtout manifeste depuis le ter segment jus
mensurations qui ont été prises en comparant les diamètres de cette
moelle
avec ceux d'une moelle normale (Voir fig. 1 à 1
é prises en comparant les diamètres de cette moelle avec ceux d'une
moelle
normale (Voir fig. 1 à 15). SUR L'ÉTAT ATHOPUIQ
s cette explication serait insuffisante car le ratatine- ment de la
moelle
s'étend uniformément sur une grande hauteur, tand
eur distribution est parallèle à celle de l'état dystrophique de la
moelle
(maximum dans les deux tiers supérieurs de la rég
une insuffisance de l'activité circulatoire dans l'intérieur de la
moelle
et que cette dernière a subi de ce fait une dimin
rmanente, et comme résultat anatomique une atrophie partielle de la
moelle
. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL D
x cas qui encore une fois me confirment que les diffor- mités de la
moelle
allongée et du cervelet se rencontrent presque to
es hémisphères cérébraux, du cervelet, de la région cervicale de la
moelle
et de la partie du bulbe rachidien dans un cas d'
bas les membranes épais- sies et riches en vaisseaux recouvrent la
moelle
allongée. Si nous soûle- vons un peu le prolong
equel avant sa séparation était soudé avec la dure-mère,est placée la
moelle
allongée, aplatie d'arrière en avant, abaissée
ère en avant, abaissée et saillante sur la partie cer- vicale de la
moelle
épinière; cette dernière passe sous la moelle all
tie cer- vicale de la moelle épinière; cette dernière passe sous la
moelle
allon- gée. La surface supérieure de la moelle
rnière passe sous la moelle allon- gée. La surface supérieure de la
moelle
allongée est lisse et sert de plan- cher au 4°
photographie n° 3 est donnée la vue postérieure du cervelet, de la
moelle
allongée et de la moelle épinière, qui est coupée
nnée la vue postérieure du cervelet, de la moelle allongée et de la
moelle
épinière, qui est coupée immédiatement au nivea
é vers le bas. Des côtés du 4e ventricule s'élèvent les bords de la
moelle
allongée, laquelle en bas du 4° ventricule pren
- rondi à la fin et suspendu au-dessus de la région cervicale de la
moelle
épi- fière ; c'est seulement la partie antérieu
a partie antérieure de cette dernière qui passe directement dans la
moelle
allongée. - Dans ces deux cas nous observons :
la direction inférieure du 4e ventricule. Le 4e ventricule dans une
moelle
normale s'aperçoit seulement, quand nous soulevon
'allongement du 4e ventricule on observe : 2°, la dislocation de la
moelle
allongée. De ce fait la partie cervicale de la
ocation de la moelle allongée. De ce fait la partie cervicale de la
moelle
est épaissie ; voilà pourquoi le canal rachidien
anal rachidien dans sa partie cervicale est trop élargi. 3° Dans la
moelle
normale le 4 ven- tricule est couvert en haut p
mé d'arrière en avant et correspondant à la partie inférieure de la
moelle
allongée, la- 120 SOLOVTZOFF quelle, comme da
TZOFF quelle, comme dans les deux cas précédents, se dirige vers la
moelle
épi- nière, mais moins symétriquement; elle s'i
t; elle s'incline plus sur le côté, surtout sur le côté droit de la
moelle
épinière. En haut la moelle allongée est cou- v
e côté, surtout sur le côté droit de la moelle épinière. En haut la
moelle
allongée est cou- verte par les membranes épais
mbranes épaissies qui recouvrent le 4e ventricule. Cas IV. - Ici la
moelle
allongée n'est pas suspendue au-dessus de la mo
as IV. - Ici la moelle allongée n'est pas suspendue au-dessus de la
moelle
épinière, il existe seulement un fort épaississem
a moelle épinière, il existe seulement un fort épaississement de la
moelle
dans la région cervicale, dans sa partie postér
cervicale, dans sa partie postérieure. Pareil épaississement de la
moelle
, dans ce cas, comme dans les précédents, se produ
t aux dépens delà dislocation en bas de la partie postérieure de la
moelle
allon- gée, laquelle pourtant ne se sépare pas
e de la moelle allon- gée, laquelle pourtant ne se sépare pas de la
moelle
épinière, mais reste directement liée avec elle
CAS V. - Dans ce cas non seulement nous ne voyons pas, que sur la
moelle
épinière la moelle allongée prenne l'aspect d'une
cas non seulement nous ne voyons pas, que sur la moelle épinière la
moelle
allongée prenne l'aspect d'une formation sup- p
uvons même pas la simple dislocation de la partie postérieure de la
moelle
allongée, comme dans le cas précédent, et pourt
de la moelle allongée, comme dans le cas précédent, et pourtant la
moelle
dans la région cervicale est très épaissie, ce qu
rès épaissie, ce qui saute aux yeux surtout en la comparant avec la
moelle
normale. Dans la partie cervicale (Phot. 5 Pl.
vec la moelle normale. Dans la partie cervicale (Phot. 5 Pl. XI) la
moelle
s'épaissit et atteint au moins 1 1/2 ou 2 fois
Le vermis est absent. En éloignant les mem- branes qui couvrent la
moelle
allongée et correspondent à la valvule de Tarin
ment étendu en bas. Ce dernier fait a provoqué la dislocation de la
moelle
allongée, mais une dislocation qui ne dépend pa
stérieure comme dans les cas précédents. Ce déplacement de toute la
moelle
allongée explique le grossissement de la moelle
acement de toute la moelle allongée explique le grossissement de la
moelle
dans la partie cervicale, de sorte que dans la
ervicale, de sorte que dans la région cervicale on ne trouve pas la
moelle
épinière, mais la partie inférieure de la moell
n ne trouve pas la moelle épinière, mais la partie inférieure de la
moelle
allongée. Après cette courte description du tab
ut qu'à la place où existe l'ouverture do la colonne vertébrale, la
moelle
épinière a les particularités suivantes : le fais
veloppés. La configuration de la coupe est normale, mais bientôt la
moelle
est comprimée d'avant en arrière ; en conséquen
, dans une coupe à la distance de deux millimètres en arrière de la
moelle
épinière, on commence à rencontrer des parties
elle épinière, on commence à rencontrer des parties abaissées de la
moelle
allongée, n'ayant pas au commencement de struct
gée, n'ayant pas au commencement de structure définie. Avec cela la
moelle
épinière est comprimée encore davantage d'avant
x de Goll et de Burdach est indiquée. mais pas très nettement. La
moelle
allongée est quelque peu augmentée de volume et s
u augmentée de volume et sur la Phot. 6 est déjà plus grande que la
moelle
épinière. La moelle épinière s'aplatit d'avant
e et sur la Phot. 6 est déjà plus grande que la moelle épinière. La
moelle
épinière s'aplatit d'avant en arrière. Les cord
téral. Le faisceau cérébello-spinal, grâce à la com- pression de la
moelle
, se trouve dans la partie postérieure de la moell
- pression de la moelle, se trouve dans la partie postérieure de la
moelle
épinière et entoure les fissures qui s'enfoncen
es fissures qui s'enfoncent de la périphérie vers la profondeur. La
moelle
allongée a une forme ovale. En arrière existe une
orrespondant au plancher du 4a ventricule. En avant et en dehors la
moelle
allongée est recouverte à la périphérie par les f
la fissure médiane, près l'une de l'autre, dans la direction de la
moelle
épinière, on voit partir de minces fibres myélini
oit partir de minces fibres myéliniques, qui ne vont pas jusqu'à la
moelle
épinière et se séparent d'elle à la dure-mère ;
nt dans la périphérie toute la partie antérieure et les côtés de la
moelle
allongée en vue des fibres myéliniques, nettement
er du 4e ventricule se dirigent en dedans. La partie restante de la
moelle
allongée, à l'exception du bord dorsal qui se joi
tricule, contient également un réseau de fines fibres myéliniques. La
moelle
épinière n'est pas changée si on la compare ave
la compare avec la coupe précédente. Phot. 8. - La structure de la
moelle
épinière est modifiée seulement en ce sens, qu'
e des fibres myéliniques des cordons postérieurs est passée dans la
moelle
allongée. En conséquence, ils ont dû se courber e
le. Voilà pourquoi ils se remarquent plus nettement ici que dans la
moelle
épinière. Plus loin, par cette raison que la mo
ici que dans la moelle épinière. Plus loin, par cette raison que la
moelle
allongée est placée à quelque distance de la moel
e raison que la moelle allongée est placée à quelque distance de la
moelle
épinière, les cordons postérieurs passant dans
ance de la moelle épinière, les cordons postérieurs passant dans la
moelle
allongée constituent un isthme. La partie média
pâle, contient les fibres myéliniques, les- quelles provenant de la
moelle
épinière se dirigent directement vers le plan-
en dehors et contournent ainsi le bord antérieur et la- téral de la
moelle
allongée, c'est-à-dire absolument comme dans la c
res est généralement plus large. Phot. 9. - L'isthme, réunissant la
moelle
épinière avec la moelle allongée devient consid
s large. Phot. 9. - L'isthme, réunissant la moelle épinière avec la
moelle
allongée devient considérablement plus large; c
respondant à cet élargissement, le nom- bre de fibres partant de la
moelle
épinière est augmenté. Les fibres verticales so
rizontales par une zone pâle. Les fibres myéliniques allant dans la
moelle
allongée comme dans la coupe précédente, pas- s
t celles disposées latéralement entourent au-devant et en dehors la
moelle
allongée sous forme d'une lame qui en arrière,
n horizontale prennent la direction verticale. Des deux côtés de la
moelle
allongée sur le bord antérieur, un peu en dehor
hme, sont disposées les parties pâles et fusiformes. Phot. 10. La
moelle
allongée surpasse comme avant en volume la moelle
mes. Phot. 10. La moelle allongée surpasse comme avant en volume la
moelle
épinière. L'isthme qui la réunit avec la moelle
avant en volume la moelle épinière. L'isthme qui la réunit avec la
moelle
épinière est devenu encore plus large et contie
quantité de fibres myéliniques couvrant la partie antérieure de la
moelle
allongée est un peu amincie ; les fibres myéliniq
incie ; les fibres myéliniques se continuant en arrière, bordent la
moelle
allongée latéralement ; en même temps de la direc
ec- tion horizontale elles prennent la direction verticale. Dans la
moelle
épinière les cordons postérieurs ont passé dans
euse de Rolando occupe le bord extrême de la face postérieure de la
moelle
épinière et passe en partie dans l'isthme, dépl
s myéliniques vers l'intérieur. Dans la fissure qui existe entre la
moelle
épinière et la moelle allongée on voit la racine
ntérieur. Dans la fissure qui existe entre la moelle épinière et la
moelle
allongée on voit la racine posté- rieure, marqu
uée sur les coupes précédentes. PHOT. 11. - L'isthme, réunissant la
moelle
épinière et allongée, est devenu plus court, ma
de côté, passant dans les fibres verticales placées sur le bord de la
moelle
al- longée. La substance gélatineuse de Rolando
LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 123
moelle
épinière dans la coupe précédente, a passé en par
de Rolando ne passe pas seulement dans l'isthme, mais aussi dans la
moelle
allongée dans son bord antérieur, étant entourée
minces fibres myéliniques, lesquelles vont dans la périphérie de la
moelle
en arrière et passent dans le faisceau de fibre
et passent dans le faisceau de fibres, placées sur les bords de la
moelle
allon- gée. Dans la moelle épinière les parties
u de fibres, placées sur les bords de la moelle allon- gée. Dans la
moelle
épinière les parties antérieures et latérales son
s, les cordons postérieurs sont restés en arrière et situés dans la
moelle
allongée. Toute la substance entre la partie anté
uantité de fibres myéliniques passantdescordous postérieurs dans la
moelle
allongée s'amincit subitement ; celles-ci sont co
'amincit subitement ; celles-ci sont conservées seule- ment dans la
moelle
allongée et de chaque côté en forme d'une lamelle
e Ro- lando ; maintenant elle ne va pas jusqu'au bord latéral de la
moelle
allongée et finit bientôt après son apparition.
llongée et finit bientôt après son apparition. Des deux côtés de la
moelle
allongée, dans la partie dorsale, et à la périp
rébelleux inférieur. Phot. 13. Les fibres myéliniques, allant de la
moelle
épinière dans l'al- longée en forme de faisceau
t jusqu'à la commissure antérieure. Cette lamelle blanche sépare la
moelle
allongée en deux moitiés. Au bord de cette lame
est-à- dire près du plancher du 4° ventricule. De chaque côté de la
moelle
allongée nous trouvons une lamelle en forme d'u
racine spinale du nerf trijumeau et séparée de la périphérie de la
moelle
allongée par de fines fibres myéliniques, qu'on v
, qu'on voit partir du faisceau cérébelleux du cordon latéral de la
moelle
épinière et se 124 SOLOVTZOFF diriger en arri
ersent horizontalement la substance blanche du cordon latéral de la
moelle
épinière sous forme d'un arc contournant la subst
urnant la substance gélatineuse de Rolando dans l'isthme et dans la
moelle
allongée : c'est le nerf accessoire de Willis.
: c'est le nerf accessoire de Willis. Dans les autres parties de la
moelle
, il faut remarquer que les fibres myéliniques,
s fibres myéliniques a quelque peu augmenté. Le canal central de la
moelle
épinière est étendu un peu en arrière. - Phot
oupe de cette photographie montre des modifications importantes. La
moelle
allongée a encore augmenté de volume et s'avance
augmenté de volume et s'avance des deux côtés. L'isthme qui unit la
moelle
épinière avec la moelle allongée est devenu à c
avance des deux côtés. L'isthme qui unit la moelle épinière avec la
moelle
allongée est devenu à ce niveau plus large et e
ntérieure et l'enfoncement du 4e ventri- cule. Des deux côtés de la
moelle
allongée nous trouvons les fibres myélini- ques
bstance gélatineuse de Rolando qui est dispo- sée seulement dans la
moelle
allongée sur son bord antérieur et limitée à la
dre part à la constitution du pédon- cule cérébelleux inférieur. La
moelle
épinière présente de grandes modifica- tions da
s du faisceau fondamental du cordon latéral. Le canal central de la
moelle
épinière est réuni avec le 4e ventricule. Dans
re est réuni avec le 4e ventricule. Dans la fissure située entre la
moelle
épinière et allongée on trouve de chaque côté l
ostérieure. Phot. 15. - Ce qui frappe sur cette coupe, c'est que la
moelle
épinière a perdu tout à fait sa configuration.
éraux ont presque disparu et en conséquence l'isthme, sé- parant la
moelle
allongée de l'épinière, a perdu son importance et
e l'épinière, a perdu son importance et en largeur égale presque la
moelle
épinière. Le faisceau fondamental du cordon antér
ente, quand il lui fallait se fusionner avec le canal central de la
moelle
épinière. Les fibres sensitives, indiquées assez
lequel est considérablement déplacé en arrière. Sur les côtés de la
moelle
allongée se trouvent^des fibres myéliniques du
tres changements consistent en ceci, que les cordons latéraux de la
moelle
épinière disparaissent complètement et avec eux a
disparaissent complètement et avec eux aussi l'isthme, séparant la
moelle
épinière de l'allongée ; il se produit une fusion
elle épinière de l'allongée ; il se produit une fusion complète de la
moelle
allongée et de l'épinière et rien ne démontre p
la moelle allongée et de l'épinière et rien ne démontre plus que la
moelle
allongée est formée de deux moitiés. Toutes ces
es modifications sont analogues à celles qui se produisent dans une
moelle
normale ; en même temps change la forme de cou-
temps change la forme de cou- pes ; seulement en comparaison de la
moelle
normale, la moelle est considéra- .blement apla
rme de cou- pes ; seulement en comparaison de la moelle normale, la
moelle
est considéra- .blement aplatie, ce qui provien
r se pré- sente en ligne droite. Les changements correspondent à la
moelle
normale. Les pédoncules cérébelleux inférieurs
ides sont quelque peu agrandies dans leur diamètre. La fusion de la
moelle
épinière avec l'allongée est tout à fait terminée
la moelle épinière avec l'allongée est tout à fait terminée ; de la
moelle
épinière il ne reste pas de trace et maintenant r
ière il ne reste pas de trace et maintenant rien ne démontre que la
moelle
est formée de deux moitiés. Avant de continuer
ricule est clairement visible en bas, ainsi que l'abaissement de la
moelle
allongée, laquelle est suspendue au-dessus de l
ement de la moelle allongée, laquelle est suspendue au-dessus de la
moelle
épinière. L'examen microscopique démontre que c
ion inférieure possède la struc- ture des cordons postérieurs de la
moelle
allongée ; à son bord postérieur se 126 SOLOVTZ
trouve un sillon, servant de plancher au zu ventricule (Phot. 6). La
moelle
épinière avec son canal central se trouve devan
se trouvent deux canaux : le 4e ventricule et le canal central de la
moelle
épi- nière. Et la moelle épinière et l'allongée
le 4e ventricule et le canal central de la moelle épi- nière. Et la
moelle
épinière et l'allongée, séparées d'abord l'une de
nt de manière à former l'isthme entre les cordons postérieurs de la
moelle
allongée et ceux de Pépinière. La fusion se pro
ns de Burdach et la partie antérieure des cordons postérieurs de la
moelle
épinière (Phot. 9, 10). Comme dans la moelle
ns postérieurs de la moelle épinière (Phot. 9, 10). Comme dans la
moelle
épinière, les fibres des cordons postérieurs ont
rieurs ont une direction verticale et comme la partie dorsale de la
moelle
allongée est placée dans ce cas en arrière des
gée est placée dans ce cas en arrière des cordons postérieurs de la
moelle
épinière, il est logique que les fibres des cor
inière, il est logique que les fibres des cordons postérieurs de la
moelle
épinière, pour passer dans l'allongée, doivent
s l'horizontale ; cela explique comment à la coupe transversale de la
moelle
dans l'isthme, les fibres des cordons postérieu
transversalement (Phot. 9-12). Grâce à la dislocation en bas de la
moelle
allongée les cordons postérieurs de la moelle é
location en bas de la moelle allongée les cordons postérieurs de la
moelle
épinière ont dû sortir trop tôt de la moelle épin
dons postérieurs de la moelle épinière ont dû sortir trop tôt de la
moelle
épinière qui se par- tage en deux moitiés, anté
indé- pendamment de l'autre ; du reste, la partie antérieure de la
moelle
épinière reste longtemps sans aucun changement;
ent; cependant les cordons postérieurs passant par l'isthme dans la
moelle
allongée restent dans l'isthme seulement peu de
quelles, en forme de crois- sant, sont placées des deux côtés de la
moelle
allongée ; les fibres horizontales dans l'isthm
e. Après cela le tableau change subitement : le canal central de la
moelle
épinière se fusionne avec le 4e ventricule (Pho
t. 14) et ceci entraîne le commencement de la fusion complète de la
moelle
épinière avec la moelle allongée. Des noyaux des
le commencement de la fusion complète de la moelle épinière avec la
moelle
allongée. Des noyaux des cordons postérieurs do
ntal du cordon antérieur. De cette manière la configu- ration de la
moelle
épinière change : en effet (Phot. 15) les faiscea
s libres du faisceau fondamental du cordon latéral, grâce à quoi la
moelle
épinière diminue dans le sens transversal et le
ufoncer en avant pour s'unir avec le canal central (Phot. 14) de la
moelle
épinière), après sa fusion s'aplatit et il la fin
inaire vers le bas du 4" ventricule se produit la dislocation de la
moelle
allongée, surtout de sa partie postérieure. Et
e, surtout de sa partie postérieure. Et sur toute la distance de la
moelle
cervicale jusqu'à l'extrémité inférieure de l'o
e la moelle cervicale jusqu'à l'extrémité inférieure de l'olive, la
moelle
se compose de deux moitiés : de la partie antérie
a moelle se compose de deux moitiés : de la partie antérieure de la
moelle
épinière et de la partie postérieure de la moelle
antérieure de la moelle épinière et de la partie postérieure de la
moelle
allongée. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CE
onsiste en ceci, qu'ici les moitiés su- périeure et inférieure delà
moelle
allongée sont séparées l'une de l'autre subitem
subitement et on peut remarquer séparément, comment passent dans la
moelle
allongée et comment se forment les cordons postér
u cérébelleux etc., enfin comment change la partie antérieure de la
moelle
épinière, les faisceaux fonda- mentaux du cordo
ure. A ce niveau le cer- velet se voit encore seul, quoique dans la
moelle
normale, encore plus bas, au niveau des olives
que : dans notre cas, à cause de l'allongement du 4e ventricule, la
moelle
allongée -s'éloigne du cervelet et se place en ba
x qui comprend la cellule multipolaire des cornes antérieures de la
moelle
, le nerf moteur et sa terminaison nerveuse intr
ans doute, ce qui s'est produit dans les cellules antérieures de la
moelle
de nos malades I et Il : elles sont probablemen
dans les pédoncules,^ bul- be, le protubérance, ,1e cervelet et la
moelle
. Les nerfs optiques paraissent relativement lib
res nerveuses tout le long du tractus op- tique. ' L'examen de la
moelle
est négatif L'ensemble des lésions microscopiqu
faire saillie à l'extérieur. Les vaisseaux de l'encéphale et de la
moelle
sont déviés de leur voie naturelle et serpentent
ns. Presse médicale, 1891. (3) Ballet, Lésions de l'écorce et de la
moelle
dans un cas de démence, Presse médi- cale, 1897
6) qui, injectant différentes toxines à des cobayes, décèle dans la
moelle
des altéra- tions de même nature, qu'il regarde
tions de la syringomyélie, de l'hématomyélie, des compressions delà
moelle
épinière, de la myélomalacie par artérite syphi
euses. Cette lésion, qui est une lésion diffuse, siège donc dans la
moelle
du côté des taches ou dans l'encéphale du côté
Immédiatement au niveau de l'ouverture de la colonne vertébrale, la
moelle
épinière a la structure suivante : le canal cen
nt aux bords . Plus haut, le canal central est moins dilaté et la
moelle
a déjà une confi- guration normale. Les cordons
en dedans de ce faisceau un pâle faisceau deTurck. , Plus loin la
moelle
a augmenté de volume, quoique sa structure diffèr
Turck, absolument pâle. 252 SOLOVTZOFF La Phot. 21 représente la
moelle
épinière non loin du niveau où el e confine à l
présente la moelle épinière non loin du niveau où el e confine à la
moelle
allongée. La moelle est un peu aplatie dans la di
pinière non loin du niveau où el e confine à la moelle allongée. La
moelle
est un peu aplatie dans la direction d'avant en
- line, avec une petite hémorrhagie. A part cela la structure de la
moelle
reste sans changements. Au devant des cordons p
s passent les racines postérieures. Dans la partie antérieure de la
moelle
épiniere existe le faisceau fondamental du cord
postérieurs diminuent peu à peu ; puis à une petite distance de la
moelle
épinière, au milieu des membranes,se montre la
pinière, au milieu des membranes,se montre la partie abaissée de la
moelle
allongée, qui augmente constamment de volume ;
ui augmente constamment de volume ; à mesure qu'elle s'agrandit, la
moelle
épinière diminue, jusqu'au moment où les deux p
ection d'avant en arrière, au moins de 2 à 3 fois. Dans le reste la
moelle
épinière n'est pas changée. A la distance d'un
mètre de sa surface postérieure est placée la partie abaissée de la
moelle
allongée ayant la forme de croissant. La surface
rmant un isthme étroit, dans le reste des cordons postérieurs de la
moelle
épinière ; en comparaison avec la coupe précéde
ins de libres myélini- ques des cordons postérieurs. A part cela la
moelle
épinière est restée sans changements. Phot. 2
'isthme est devenu un peu plus large. Les cordons postérieurs de la
moelle
épinière ont passé dans la moelle allongée, pré
ge. Les cordons postérieurs de la moelle épinière ont passé dans la
moelle
allongée, présentant des faisceaux myéliniques la
leallongée se changeant en fibres' verticales. Des deux côtés de la
moelle
allongée, à leurs extrémités, sont placées de pâl
? 5. -La quantité de fibres myéliniques horizontales, passant de la
moelle
épinière à l'allongée commence à s'amoindrir, sur
ge d'un côté que de l'autre, de sorte que l'isthme, réunis- sant la
moelle
épinière avec l'allongée, est devenu pâle. Ces fi
des fibres horizontales myéliniques, dans la partie abaissée de la
moelle
allongée, est placée la substance gélatineuse d
liniques, correspon- dant à la racine spinale du nerf trijumeau. La
moelle
épinière apparaît en- core plus comprimée d'ava
t dilaté dans la di- rection arrière. Les cordons postérieurs de la
moelle
épinière ont complètement disparu. La substance
a substance gélatineuse de Rolando a en grande partie passé dans la
moelle
allongée. Phot. 26. Sur cette photographie nous
oelle allongée. Phot. 26. Sur cette photographie nous voyons que la
moelle
allongée dépasse déjà considérablement la moell
nous voyons que la moelle allongée dépasse déjà considérablement la
moelle
épinière en grandeur. Les fibres myéli- niques
es myéli- niques horizontales, venant des cordons postérieurs de la
moelle
épinière ont déjà disparu, mais les libres vert
t conservées. Elles sont disposées dans la partie postérieure de la
moelle
allongée et à sa périphérie, en forme de deux c
de deux croissants, sur les côtés de la ligne médiane. A côté de la
moelle
allongée se trouve la substance gélatineuse de
racine spinale du nerf trijumeau, et dans la périphérie même de la
moelle
sont placées des fibres myéliniques arciformes,
placées des fibres myéliniques arciformes, allant par l'isthme à la
moelle
épinière. Cette dernière a diminué subitement d
nal central est agrandi. Dans les fis- sures latérales, séparant la
moelle
épinière de l'allongée, se sont placées les rac
sures latérales ont beaucoup diminué. Phot. 27. - La fusion de la
moelle
épinière avec l'allongée est devenue en- core p
me avant, quoique faiblement indiquées, et on peut remarquer que la
moelle
a été formée de deux parties. La partie dorsale
que la moelle a été formée de deux parties. La partie dorsale de la
moelle
allongée est restée sans grands changements : l
é encore plus et nous trouvons son ouverture presque com- plète. La
moelle
épinière est beaucoup modifiée : les faisceaux fo
r les côtés, à la xiv ' 18 254 SOLOVTZOFF périphérie même de la
moelle
passent des fibres myéliniques, correspondant t
'autres modifications sont à comparer à celles qu'on remarque dans la
moelle
normale. Le canal central esta tel point élargi
t au com- mencement, quand seulement commençait à se montrer sur la
moelle
épi- nière, dans le le' cas, la partie abaissée
s dans celui-ci comme dans l'autre cas, la partie postérieure de la
moelle
allongée s'est abaissée ; de là provient ce tab
iginal, montrant les dif- formités dans la partie postérieure de la
moelle
épinière et de l'allongée, tandis que la parlie
e inter-olivaire paraîtra. Les cordonspostérieurs se séparent de la
moelle
épinière, et d'autres changements se produisent à
hot. 23). Au commencement les cordons postérieurs se séparent de la
moelle
épinière par un petit faisceau ; après cela la pa
érieure des cordons postérieurs passe dans la partie abaissée de la
moelle
allongée; de cette manière se forme un isthme a
dons postérieurs commencent à disparaître et à la fin nous avons la
moelle
épinière complètement privée des cordons postérie
s horizontales deviennent verticales, et se placent aux côtés de la
moelle
allongée, en formant deux croissants (Phot. 26).
ent dans sa partie médiane. Avant que les cordons postérieurs de la
moelle
épinière ne se terminent dans les noyaux, la part
pinière ne se terminent dans les noyaux, la partie antérieure de la
moelle
reste sans modifications, mais au moment où appar
ibres sensitives, alors les parties antérieures et postérieures de la
moelle
commencent se fusionner, et les cordons antérie
dans le second, outre la dislocation de la partie postérieure de la
moelle
allongée, abaissée sur la moelle épinière, exis
ion de la partie postérieure de la moelle allongée, abaissée sur la
moelle
épinière, existe la dislocation en bas de tout
nne vertébrale nous trouvons déjà les oli- ves inférieures. Dans la
moelle
normale, au niveau des olives le cervelet se tr
l'allongement vers le bas du 4e ventricule, et de l'abaissement de la
moelle
allongée, le 4e ventricule dans sa partie infér
e seulement à se montrer dans les cou- pes la partie abaissée de la
moelle
allongée. On remarque les particularités suivan
a moelle allongée. On remarque les particularités suivantes dans la
moelle
épinière : Les cordons antérieurs sont encore cou
t par les racines postérieures. A la distance de 1 millimètre de la
moelle
épinière, du côté où les cordons pos- térieurs
minces fibres myéliniques. Phot. 29. Les cordons postérieurs de la
moelle
épinière d'un côté sonl dans la partie dorsale
nué de volume comparativement avec le côté opposé. Dans le reste la
moelle
épinière n'a pas subi de change- ments. La form
formation supplémentaire, laquelle était disposée en arrière de la
moelle
épinière, a un peu augmenté de volume. De l'un de
ceau incomparablement plus mince, venant aussi de l'extrémité de la
moelle
et limité il la périphérie par de minces fibres
é des fibres myéliniques horizontales dans la partie abaissée de la
moelle
a nettement augmenté. Sous la forme d'une bande
up- plémentaire, elles entourent en dehors la partie abaissée de la
moelle
allongée. Immédiatement à ces fibres myélinique
ques dans les cordons postérieurs, il faut encore remarquer dans la
moelle
épinière le non développement de la substance g
gélatineuse de Rolando du côté auquel touche la partie abaissée de la
moelle
allongée. Phot. 31. - La formation supérieure
ut à son bord ; indépendamment de cela, à travers le mi- lieu de la
moelle
, des fibres se dirigent, réunissant le commenceme
postérieure se trouve la racine spinale du nerf trijumeau. Dans la
moelle
épinière les cordons postérieurs ne sont pas déve
côté, c'est-à-dire de celui auquel touche la partie abaissée de la
moelle
allongée, elle n'est presque pas LES DIFFORMITÉ
iquée dans la formation supérieure. Phot. z Au devant nous avons la
moelle
épinière ; en arrière d'elle d'un côté est plac
côté est placée une formation supplémentaire, fusionnée déjà avec la
moelle
épinière. La partie antérieure de la moelle é
usionnée déjà avec la moelle épinière. La partie antérieure de la
moelle
épinière qui est restée sans changements, prése
ée du bulbe est suspendue sur les cordons latéraux, passent dans la
moelle
allongée, par des libres horizontales ; une par
formant un faisceau horizontal, entoure du côté de la périphérie la
moelle
allongée ; dans la partie postérieure les fibre
s myéliniques, cor- respondant au faisceau cérébelleux venant de la
moelle
épinière. Par le sillon médian longitudinal pos
En avant des cordons postérieurs, dans cette dernière moitié de la
moelle
épinière, à son extrémité même, se trouve la su
ce gélatineuse de Rolando ; encore plus en avant du bord même de la
moelle
est placé le faisceau cérébelleux. Sur le côté op
oelle est placé le faisceau cérébelleux. Sur le côté opposé dans la
moelle
épinière, la substance gélatineuse de Rolando est
Rolando est absente, mais par contre elle est bien marquée dans la
moelle
allongée et placée le long de son bord antérieu
changée. Jusqu'à présent nous avons vu que la partie abaissée de la
moelle
allongée, disposée d'un côté de la moelle épini
la partie abaissée de la moelle allongée, disposée d'un côté de la
moelle
épinière et fusionnée déjà avec elle, était sépar
res myéliniques horizontales, passant des cordons postérieurs de la
moelle
épinière dans l'allongée, ont com- plètement di
se sont placées dans la périphérie des parties postérieu- res de la
moelle
allongée, raréfiée, grâce à l'accumulation de mas
rrespondant aux cordons postérieurs et à leurs noyaux au bord de la
moelle
, se trouve la racine spinale du nerf trijumeau, s
, située à la péri- phérie du faisceau cérébelleux, lequel va de la
moelle
épinière au bord an- térieur du bulbe rachidien
ère au bord an- térieur du bulbe rachidien, suspendu de côté sur la
moelle
épinière. Lapartie antérieure de la moelle épin
suspendu de côté sur la moelle épinière. Lapartie antérieure de la
moelle
épinière a aussi un peu changé : la fissure média
t passe directement par le fond de la fissure latérale, séparant la
moelle
allongée de l'épinière. Dans cette fissure sont
ns les coupes précédentes, et qui tenait à la partie abaissée de la
moelle
, est disposée d'un côté, et maintenant considé-
t considé- rablement diminuée. Phot. 34. - Le canal central de la
moelle
épinière est tellement élargi dans la direction
ns la direction postérieure. qu'il s'ouvre déjà presque au dehors. La
moelle
allongée, disposée des deux côtés du canal cent
ier est placé à l'extrémité antérieure de la partie suspendue de la
moelle
allongée. En son intérieur se trouve la racine
se trouve la racine spinale du nerf trijumeau. Par la raison que la
moelle
allongée est suspendue au-dessus de la moelle é
Par la raison que la moelle allongée est suspendue au-dessus de la
moelle
épinière, entre la partie latérale de la moelle
due au-dessus de la moelle épinière, entre la partie latérale de la
moelle
épinière et de l'allongée, une fis- sure assez
; la racine postérieure y est placée. Dans la partie voisine de la
moelle
allongée, à son extrémité postérieure même, son
ll et de Burdach. En avant de ces fibres myéliniques, au bord de la
moelle
, nous apercevons la substance gélatineuse de Ro
ncis. Comme dans les coupes précédentes, à la périphérie même de la
moelle
et seulement du côté qui correspond à la moitié m
Ainsi à ce niveau s'est accomplie une fusion assez complète entre la
moelle
épinière et l'allongée. Mais la fissure, dispos
pinière et l'allongée. Mais la fissure, disposée des deux côtés de la
moelle
et LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL D
stérieures, prouve encore ceci, que les parties anté- rieures de la
moelle
allongée se sont formées séparément. Plus loin, l
loin, la struc- ture différente des moitiés gauche et droite de la
moelle
allongée démontre que les deux moitiés sont dép
si sur la photographie 35 nous trouvons que la partie dorsale de la
moelle
n'a pas changé et une moitié du bulbe, comme dans
belleux dans les deux moitiés. Le reste des changements répond à la
moelle
normale et dépend du niveau de la coupe. Ainsi
sont très en évidence de l'un des côtés, à la périphérie même de la
moelle
. Les sillons des deux côtés existent encore et le
érieur est placé un tissu, riche en vaisseaux. Des deux côtés de la
moelle
allongée nous trouvons les fibres myéliniques,
'asymétrie. Comme dans les cas précédents, grâce au déplacement de la
moelle
allongée en bas, le cervelet, au niveau des oli
s olives, n'apparaît pas encore dans la coupe ; cependant, dans une
moelle
normale, à ce niveau le cervelet de- vrait déjà
on 260 SOLOVTZOFF pouvait remarquer que la partie abaissée de la
moelle
allongée est pen- chée sur un côté de la moelle
rtie abaissée de la moelle allongée est pen- chée sur un côté de la
moelle
épinière, et à l'examen microscopique on voit q
re, et à l'examen microscopique on voit que les changements dans la
moelle
épinière et dans la moelle al- longée ne sont p
ique on voit que les changements dans la moelle épinière et dans la
moelle
al- longée ne sont pas produits symétriquement
comme dans les deux cas pré- cédents.Les cordons postérieurs de la
moelle
épinière passent dans la par- tie abaissée du b
e ses moitiés, précisément dans celle sur laquelle est suspendue la
moelle
allongée (Phot. 32). Ensemble avec les cordons
ons postérieurs, la substance gélatineuse de Rolando, etc.) dans la
moelle
épi- nière, comme dans la moelle normale. Ensui
atineuse de Rolando, etc.) dans la moelle épi- nière, comme dans la
moelle
normale. Ensuite, plus haut et dans la moitié o
s se termi- nent dans les noyaux, alors disparaît l'asymétrie de la
moelle
. Une fis- sure profonde, située des deux côtés
e de la moelle. Une fis- sure profonde, située des deux côtés de la
moelle
et contenant les raci- nes postérieures, sépare
u dans les trois cas précédents nous ne trouvons pas ici que sur la
moelle
épinière se trouve la partie abaissée de la moell
pas ici que sur la moelle épinière se trouve la partie abaissée de la
moelle
al- longée comme une formation supplémentaire.
ion supplémentaire. Les changements dans la partie supérieure de la
moelle
épinière etde l'allongée sont analogues à ceux de
sont plus faiblement indiqués. Phot. 37. - Coupe transversale de la
moelle
cervicale avant le commence- ment du bulbe rach
ar les racines postérieures. PnoT. 38. - La partie antérieure de la
moelle
est restée sans changements, seulement le canal
sale des cordons latéraux. Ainsi, comme dans les cas précédents, la
moelle
est partagée en deux moi- tiés : 1° antérieure,
t. 24,seulement ici l'isthme est plus large et la dislocation de la
moelle
allongée pas si fortement indiquée que dans le
llongée pas si fortement indiquée que dans le cas IL Phot. 39. La
moelle
est formée de deux moitiés, qui sont assez nettem
ù sont placées les racines postérieures. La moitié supérieure de la
moelle
est augmentée de volume com- parativement avec
disposées aux deux côtés de la ligne médiane à l'ex- trémité de la
moelle
, limitant les noyaux de Goll et de Burdach, placé
e la ra- cine spinale du nerf trijumeau. La moitié antérieure de la
moelle
est restée presque sans changements. Il faut se
tographie 26 dans le cas IL Phot. 40.- Entre les deux parties de la
moelle
la fusion est achevée. Com- me dans les cas pré
ion des cordons latéraux, les fissures, placées sur les côtés de la
moelle
et séparant la partie antérieure de la moelle d
s sur les côtés de la moelle et séparant la partie antérieure de la
moelle
de la partie postérieure, ont complètement dis-
ieure, ont complètement dis- paru. Dans la partie postérieure de la
moelle
nous rencontrons les noyaux de Goll et de Burda
spinale du nerf trijumeau. D'autres changements correspondent à la
moelle
normale et tout à fait comme dans les cas précé
llongement du 4e ventricule et à cause de l'abaissement de toute la
moelle
allongée dans cette même direction ; le cer- ve
cas avec les précédents consiste en ce que la partie abaissée de la
moelle
allongée n'est pas suspendue sur la moelle épin
la partie abaissée de la moelle allongée n'est pas suspendue sur la
moelle
épinière comme une formation supplémentaire, mais
de Reil (Phot. 40). Cas V. Ici nous ne trouvons pas que sur la
moelle
épinière se soit placée la forma- tion suppléme
vons pas non plus un tel abaissement de la partie postérieure de la
moelle
al- longée, que dans le cas précédent. La moell
postérieure de la moelle al- longée, que dans le cas précédent. La
moelle
épinière et l'allongée ont une structure normal
inférieurs sont bien développés et sont placés des deux côtés de la
moelle
. En avant les pyramides, en arrière d'elles de
artie du cervelet et se soudant avec les enveloppes qui couvrent la
moelle
épinière. - Quelle est la raison de l'allongeme
DANS LE SPINA BIFIDA 263 l'accumulation surplace de liquide dans la
moelle
ou sous les enveloppes. Elle est tellement cons
se produit seulement la dislocation de la partie postérieure de la
moelle
allongée dans la direction vers le bas. Comme par
par l'accumulation excessive de liquide dans le canal central de la
moelle
épinière, sont frappés avant tout les cordons p
arrière, ainsi dans l'hydropisie du 4" ventricule les parties de la
moelle
allongée, qui constituent le triangle inférieur d
et ils se dépla- cent dans la direction vers le bas, rencontrent la
moelle
épinière et se sus- pendentsurelle (Phot. 1-3).
et se sus- pendentsurelle (Phot. 1-3). Pareillement, comme dans la
moelle
épinière le canal central peut s'étendre non un
lement, ainsi dans le 3e cas nous voyons que le 4° ventricule et la
moelle
allongée se déplacent sur l'un des côtés (Phot. 4
placent sur l'un des côtés (Phot. 4). Grâce à l'a- baissement de la
moelle
allongée, la partie dorsale du canal vertébral da
ssement. Par la dislocation mécanique des cordons postérieurs de la
moelle
al- longée à cause de l'hydropisie du quatrième
marqué à l'examen micros- copique de nos cas. A raison de ce que la
moelle
allongée s'est abaissée 264 SOLOVTZOFF et de
64 SOLOVTZOFF et de ce que sa partie dorsale est placée derrière la
moelle
épinière, les cordons postérieurs de la moelle
t placée derrière la moelle épinière, les cordons postérieurs de la
moelle
épinière ont dû complètement changer leur direc
ale ; nous voyons dans tous les cas les cordons postérieurs dans la
moelle
épi- nière disparaître graduellement ; à la pla
lus en plus, et ces fibres passent dans la partie postérieure de la
moelle
allongée, pla- cée derrière la moelle épinière,
s la partie postérieure de la moelle allongée, pla- cée derrière la
moelle
épinière, en formant une sorte d'isthme étroit.
n formant une sorte d'isthme étroit. Comme dans le troisième cas la
moelle
allongée s'abaisse sur un côté de la moelle épi
ans le troisième cas la moelle allongée s'abaisse sur un côté de la
moelle
épinière, nous voyons que les cordons postérieurs
ous voyons que les cordons postérieurs d'une moitié seulement de la
moelle
épinière passent dans l'allongée, pendant que l
s changements ; mais bientôt après cela. et de l'autre moitié de la
moelle
épinière les cordons postérieurs passent dans l
oitié de la moelle épinière les cordons postérieurs passent dans la
moelle
allongée. La moitié antérieure de la moelle épini
érieurs passent dans la moelle allongée. La moitié antérieure de la
moelle
épinière et de l'allon- gée reste sans changeme
rties antérieures et postérieures du bulbe : le canal central de la
moelle
épinière s'allonge dans la direction en arrière e
forme un canal. Les fibres myéliniques hori- zontales, partantde la
moelle
épinière et placées dans l'isthme,finissent dans
aux fibres sensitives. L'isthme, réunissant les deux moitiés de la
moelle
allongée devient de plus en plus large, à la fin
parait, les fissu- res disparaissent aussi, placées aux côtés de la
moelle
, qui par la structure se rapproche déjà parfait
a moelle, qui par la structure se rapproche déjà parfaitement de la
moelle
normale. Grâce à l'abaisse- ment de la moelle a
jà parfaitement de la moelle normale. Grâce à l'abaisse- ment de la
moelle
allongée, ces parties, lesquelles dans la moelle
baisse- ment de la moelle allongée, ces parties, lesquelles dans la
moelle
nor- male sont couvertes du cervelet, dans tous
bien nous ne le rencontrons pas du tout. Pourtant, là comme dans la
moelle
normale, doivent se trouver les noyaux dentelés
par cela, que grâce à l'hydropisie du quatrième ventricule toute la
moelle
allongée s'abaisse et le cervelet reste à sa pl
isie du 4e ventricule, alors les grands ou petits changements de la
moelle
allongée se trouventsous la dépendance de l'éta
quelquefois nous n'observons pas seulement le non-abaissement delà
moelle
allongée, mais aussi que le 4- ventricule reste
dropisie du 4" ventricule peut provoquer la dislocation de toute la
moelle
allongée dans la direction vers le bas. 3) Quel
sie du 48 ventricule se déplace surtout la partie postérieure de la
moelle
allongée, laquelle est suspendue sur la moelle
ie postérieure de la moelle allongée, laquelle est suspendue sur la
moelle
épinière. 4) Grâce à la dislocation de la parti
épinière. 4) Grâce à la dislocation de la partie postérieure de la
moelle
allongée, cette dernière se partage en deux moi
cherches de G. Guillain (1), sur la circulation lympha- tique de la
moelle
, tendent également à montrer dans le canal épendy
ution du néo- (1) G. GUILL.41N, La circulation de la lymphe dans la
moelle
épinière. Société de neurologie de Paris, 9 nov
ont petits et correspondent comme grandeur il ceux d'un enfant. '
Moelle
: la dure-mère rachidienne ne présente rien d'ano
mal, la pie-mère est épaissie surtout sur la face postérieure de la
moelle
. La moelle elle-même a 45 centimètres de longue
-mère est épaissie surtout sur la face postérieure de la moelle. La
moelle
elle-même a 45 centimètres de longueur. Les dim
son aplatissement qui est le plus marqué. Les mensurations de la
moelle
donnent le résultat suivant : 378 SWITALSKI r
es pos- térieures des cordons antéro-latéraux à la périphérie de la
moelle
il existe une bande mince de sclérose très nett
stérieure des cordons de Goll, elle est large à la périphérie de la
moelle
et devient de plus en plus mince vers le centre
ace, les fibres ont disparu complète- ment. Substance grise de la
moelle
. Elle aussi est altérée profondément. Ce qui fr
dans tous les seg- ments de la région dorsale. Tandis que dans une
moelle
normale, le diamètre antéro-postérieur de la co
s antérieures est encore celle des régions sacrée et lombaire de la
moelle
. Au microscope on constate dans toute la substa
canal central est large et double dans les régions inférieures de la
moelle
, ses parois sont revêtues de plusieurs couches
Dans ses par- ties supérieures il est obturé. Les vaisseaux delà
moelle
dans toutes les régions sont altérés. Leurs pa-
s. En résumé, notre examen montre les lésions suivantes : Dans la
moelle
, dégénérescence des fibres dans les cordons de Go
dans les faisceaux de Gowers. Atrophie de la substance grise de la
moelle
avec disparition des cellules. Dans le bulbe, u
, comme l'auteur le dit, c'était « un cervelet en miniature ». La
moelle
et le bulbe étaient petits. Région cervicale 15
millimètres. Au microscope on ne constatait pas de lésions dans la
moelle
. Dans les racines antérieures le nombre des fib
moins prononcée. ' Dans le cas de Menzel l'examen a révélé que la
moelle
, le bulbe, la pro- tubérance et le cervelet éta
pro- tubérance et le cervelet étaient petits. Les dimensions de la
moelle
dans la région lombaire étaient de 87 65 millim
eaux cérébelleux directs. Les cellules des cornes antérieures de la
moelle
étaient atrophiées, celles des colonnes de Clar
rip- tion à la thèse de M. P. Londe : Rien de particulier dans la
moelle
. Le cervelet très petit n'offre que la moitié d
, la protubérance et le pédoncule étaient petits. La longueur de la
moelle
35,5 centimètres, l'épaisseur dans la région ce
Ie « ) 8,5 5 m/m sacrée (Ire « ) 5,5 - 4,5 m/m La structure de la
moelle
était normale. Dans les racines le nombre des f
les, mais pourtant il existe des différences. En ce qui concerne la
moelle
, elle est remarquablement petite dans tous les
as de Fraser, Nonne el Miura on ne constate pas de sclérose dans la
moelle
tandis que Menzel et nous, nous trouvons des lé
la substance blanche occupent plus les parties anté- rieures de la
moelle
que dans le cas de Menzel et que dans ce dernier
De ces deux cas se rapproche celui de Miura : pas de sclérose de la
moelle
, atrophie du cervelet et atrophie du pédoncule
... François est bien jus- tifié, et pourtant nous trouvons dans la
moelle
, dans le bulbe et la protu- bérance, des lésion
volume des fibres, ce qui produit un rapetissement du volume de la
moelle
, du bulbe, etc. Dans ce stade de lésions les fo
auront toujours les mêmes signes communs, tels que l'atrophie de la
moelle
, du bulbe, du cervelet, etc., etc., mais elles pe
baire. Les lésions sont peu près les mêmes en ces deux points de la
moelle
, aussi n'en donnerons-nous qu'une seule descripti
es et 1w'fs. - Les racines ont été examinées à leur émergence de la
moelle
par les méthodes de Weigert-Pal et de la double c
bles des fibres nerveuses. Le processus inflammatoire qui touche la
moelle
s'étend aux racines dont les éléments sont sépa
nd aux tubercules quadrijumeaux, jusqu'à la partie inférieure de la
moelle
. Les méthodes employées pour l'examen histologi
n'ont donc pas existé. Comme d'autre part les parties propres à la
moelle
et en dehors de la dépendance des centres supér
encéphaliques. VI Nous n'en aurions pas fini avec l'examen de la
moelle
si nous ne donnions maintenant une description
qui peuvent être considé- rés comme une portion extériorisée de la
moelle
. L'examen a porté sur des ganglions cervicaux,
aucune atrophie, analogue à ce que l'on observe par exemple pour la
moelle
. Ils sont gros et normalement développés. Les c
nuant d'abondance de haut en bas du système nerveux. Le bulbe et la
moelle
sont parsemés d'ilots sanguins qui baignent les
dernières semble aller en décroissant, lorsque l'on avance vers la
moelle
; elles semblent égale- ment moins nombreuses à
ici à une localisation du noyau du facial supérieur ? VI. - Dans la
moelle
nous avons remarqué en arrière du sillon an- té
e particulier. Les artères de la base sont relativement souples. La
moelle
ne présente, non plus, rien à signaler. Elle es
sseaux sont sains, il n'y a pas trace de sclérose névroglique. La
moelle
a été également durcie dans le Mùller, mais aupar
ette lésion, peu importante au surplus. En somme, les lésions de la
moelle
(très marquées lorsqu'on la compare à l'état du
à l'état du cerveau) sont purement d'ordre vas- culaire. C'est une
moelle
sénile, artérioscléreuse, lésée par ses artères,
ppliquer de même au corps thyroïde et aux capsules surrénales, à la
moelle
et aux nerfs. On peut expliquer ainsi facilemen
s artères encéphaliques épaissies, la pie- mère du cerveau et de la
moelle
épaissie et semée de plaques calcaires. Enfin c
ce que toutes deux dépendent de la même cause. Nous avons, dans la
moelle
de notre malade, trouvé exactement les mê- (1)
loc. cit. UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 429 mes lésions de
moelle
sénile que L. Lévi, et elles ne nous ont pas paru
térieurs, ils seront abolis. Récemment, Curcio (1) a décrit dans la
moelle
un centre trophique des os, qu'il a déterminé e
ous-cutané. Mais où siègent ces centres ? Vraisemblablement dans la
moelle
, dans la substance grise, au voisinage des cent
et sensitifs de la syringomyélie. Les divisions métamériques de la
moelle
(1) Des lésions du système sympathique pourraie
, se fait parfois dans les membres, à la suite du coup porté sur la
moelle
par l'agent infectieux. Parmi les désordres de
compagnant l'atrophie musculaire sympto- matique d'affections de la
moelle
est un sujet qui a été l'objet d'un tra- vail s
e contention de l'enveloppe cuta- (1) BynOM-BHA'IWLL, blalad. de la
moelle
épin" trad. 1883, p. 214. , (2) VULI'IAX, dlala
nerv., 1886, t. II, p. 295. (3) P. Marie, Leçons sur les mal, de la
moelle
, 1892. xiv 38 482 E, HAPIN née. Telle serai
qu'on ne le supposerait, bien que, jusqu'à présent, l'examen de la
moelle
n'ait rien révélé et que l'affection revête le
une lésion médullaire, leurs lé- gitimes soupçons à l'endroit de la
moelle
en présence de troubles trophi- ques de cette n
contribuent à lui créer une place à part parmi les mala- dies de la
moelle
. Or, ces mêmes manifestations manquant également
dans le trophoedème, notre distingué confrère incline incriminer la
moelle
. Entre autres arguments, il recon- naît que la
ngénitale. Avons-nous il en chercher-la cause dans une lésion de la
moelle
pendant la vie embryonnaire ? C'est ce qu'il es
analogue à celui que l'on rencontre dans certaines affections de la
moelle
. C'est la théorie de la « métamérie » indiquée
set) : le siège de la lésion est dans ce cas dans une tranche de la
moelle
lombo-sacrée d'autant plus élevée que le segment
« cum materia » du système cérébro- spinal, affectant sans doute la
moelle
d'une façon prédominante, ainsi que l'indique l
nchent par leur intégrité avec les lésions des (1) Le cerveau et la
moelle
ont été recueillis et seront l'objet d'un examen
IçUX et ROGER Mignot (4 fig.), 39. Syphilis spinale (Atrophie de la
moelle
dans la), par E. Long et `Vzx1 (21 fig.), 105
rale (4 fig.), 32. ' LONG E. et Wiki. Sur l'état atiophique de la
moelle
épinière de la syphilis spi- nale chronique (21
photocollogr.), 388. Wiki et E. Long. Sur l'état atrophique de la
moelle
épinière dans la syphilis spinale chronique (21
S sur les LOCALISATIONS DANS LES MALADIES DU CERVEAU et DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE RECUEILLIES ET PUBLIÉES pah BOURNEVI
cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
épinière (cellules motrices). — Dimensions, forme
ongement nerveux. Comparaison des cellules nerveuses motrices de la
moelle
avec les cellules pyramidales. Cellules pyramid
ellules ner-veuses des cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
épinière, dites encore cellules motrices. La desc
st-à-dire qu'il égale celui des cellules des cornes antérieures de la
moelle
, Quoi qu'il en soit de ces différences dans les
pprocher des cellules nerveuses motrices des cornes antérieures de la
moelle
épinière. Les régions où se rencontre cette imp
et surtout ceux du côté gauche. L'autopsie fit reconnaître dans la
moelle
toutes les lésions découvertes parles auteurs fra
rtiments de l'axe cérébro-spinal. — Systéma-tisation des lésions delà
moelle
épinière.— Localisations spinales. — Le cer-veau
de ce mot pris dans la nomen-clature de M. Piorry, — à savoir : 1° la
moelle
épinière ; 2° le bulbe rachidien; 3° le cerveau p
peut dire qu'un grand fait domine la physiologie pa-thologique de la
moelle
épinière : c'est l'existence très répan-due, dans
parvenue chez l'homme à décomposer l'organe complexe qu'on appelle la
moelle
épinière, en un cer-tain nombre de compartiments,
s la clinique, et ainsi ont été constituées, dans la pathologie de la
moelle
épinière, un cer-tain nombre d'affections élément
mes. Je citerai, comme exemples, les dégé-nérations secondaires de la
moelle
, consécutives aux lésions de l'encéphale, la sclé
vulgaires de l'encéphale. C. Si nous nous reportons maintenant à la
moelle
épinière et au bulbe, nous avons à signaler, avec
qu'il s'agisse de l'embolie, sont choses à peu près ignorées dans la
moelle
épinière. Le bulbe établit pour ainsi dire la t
e épinière. Le bulbe établit pour ainsi dire la transition entre la
moelle
épinière et l'encéphale, car là on note, d'une pa
part, des lésions systématiques qui rappellent ce qu'on voit dans la
moelle
et, d'autre part, un certain nombre d'hémorrhagie
D? fibres directes. — (Schéma d'après M, Huguenin.) terieures de la
moelle
épinière. On doit à M. Gudden, une série d'expéri
rnes de la pyramide, lesquels passent dans les cordons latéraux de la
moelle
, — elles iraient, après s'être entrecroisées, se
la protubérance. la pyramide antérieure et le faisceau latéral de la
moelle
. Analogies et différences entre les scléroses l
de l'entrecroisement bulbaire, et, au-dessous de ce dernier, dans la
moelle
épinière du côté opposé au foyer, tout le long du
ris, 1866. (3) Ch. Bouchard. — Des de'généralions secondaires de la
moelle
épinière. In Arch.gén. de médecine, 1866. condi
malade.— Au-dessous de l'entre-croisement, c'est dans la moitié de la
moelle
, opposée à l'hémisphère lésé et plus explicitemen
ogressivement à mesure que les sections por-tent sur des régions delà
moelle
, de plus en plus inférieures. 3° L'étude, faite
n avant. de la lésion, et de faire reconnaître par exemple, dans la
moelle
, la limitation précise, systématique, à l'aire de
n évidence les carac- Fig. 39, 40, 41. — Coupes transversales de la
moelle
épinière, chez une ma-lade atteinte de dégénérati
42.— Coupe transver- Fig. 43.— Coupe Fig Ai.— Coupe trans-sale de la
moelle
épinière pas- transversale passant versale passan
ramide antérieure, la lésion n'occupe, dans le faisceau latéral de la
moelle
, qu'une région relativement étroite. Celle-ci se
nt la base, un peu arrondie, n'atteint jamais la zone corticale de la
moelle
et, de plus, n intéresse pas davantage le bord an
t pyramidales, mais encore des fibres propres, qui commencent dans la
moelle
et s'y terminent, des fibres à propre-ment parler
'habitude assignées dans les faisceaux latéraiix et envahisse dans la
moelle
des territoires voisins, les cornes de substance
sceau pyramidal). PREMIÈRE LEÇON Introduction. — Topographie delà
moelle
épinière. -Affections systématiques. Sommaire.
rétation phy-siologique des phénomènes morbides. Constitution de la
moelle
épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyr
e Goll et de Burdach. —Celte décomposition des diverses parties de la
moelle
s'annonce dès la période de développement de l'or
s dans la pathologie des cen-tres nerveux : cerveau, bulbe rachidien,
moelle
épinière ; je commencerai parce qui concerne cell
a cons-titution comparativement moins complexe, a) L'anatomie de la
moelle
épinière, faite à l'aide de simples grossissement
t plus compliquée. Un grand fait domine, Messieurs, Yanatomie de la
moelle
épinière : C'est l'existence très répandue dans c
s distingué à l'état normal) et qui rè-gne depuis le bulbe jusqu'à la
moelle
dorsale. C'est le faisceau de Turck ou faisceau p
de doule, dès à présent, d'un côté, l'anatomie de développement de la
moelle
et, d'un autre côté, l'élude des symptômes qui ré
lui qui répond aux phases em-bryonnaires, mais du développement de la
moelle
, à l'époque où le fœtus est à terme, ou encore de
ent de la moelle, à l'époque où le fœtus est à terme, ou encore de la
moelle
épinière du nouveau-né. D'après les études très i
u'elles seront l'objet d'un exposé en règle, toutes les parties de la
moelle
ne sont pas encore définitivement constituées lor
planche de Flechsig que je fais passer sous vos yeux et relative à la
moelle
d'un nouveau-né, vous pouvez constater les partic
sidant aux déterminations motrices volontaires avec les parties de la
moelle
présidante la vie automatique. Voici un plan to
nd l'analyse. On peut même avancer que, dans le cas particulier de la
moelle
épi-nière, l'expérimentateur se heurte à des diff
e possible, non plus, d'atteindre isolément, dans la profondeur de la
moelle
, les cornes antérieures pour y dé-truire les amas
part sérieuse, aux progrès récents accomplis dans la pathologie de la
moelle
épinière. Je me vois obligé de remettre, à une
loppement de ce faisceau. Sommaire. —Affections systématiques de la
moelle
épinière. — Elles réponden à une topographie anat
ects (cordons de Tûrck). —Leur trajet dans les diverses régions de la
moelle
épinière. — Leur trajet dans le bulbe. — Entrecro
remarqué, Messieurs, que chez les enfanls nouveau-nés, tandis que la
moelle
épinière et le bulbe rachidien sont déjà relative
9 0/0 ; dans le cervelet et le pont de Varole par 85,77 ; et, dans la
moelle
allongée par 84,38. Or, la proportion d'eau se tr
quelque sorte, à l'état rudimentaire, tandis que dans le bulbe et la
moelle
épinière, elle se présente déjà avec des caractèr
ceau pyramidal croisé. exclusivement concentrée dans le bulbe et la
moelle
épinière. Il est à peu près certain que les déter
u moins, à accuser un contraste. En effet, il est bien entendu que la
moelle
épinière est, chez l'enfant qui vient de naître,
erveux déve-loppés, par la myéline. Or, vous voyez sur cette coupe de
moelle
épinière que quatre faisceaux bien nettement déli
omique de ces faisceaux. Ils n'appartiennent pas exclusivement à la
moelle
épinière ; on peut en suivre anatomiquement le pa
t plus, attendu qu'on peut les suivre dans la partie inférieure de la
moelle
épinière jusqu'à la deuxième ou troisième paire s
téro-postérieur. En général, on peut les suivre jusqu'au milieu de la
moelle
dorsale ; mais cette disposition souffre de nombr
que leur diamètre diminue à mesure qu'ils descendent plus bas dans la
moelle
, on est en droit de conclure que les fibres nerve
s, nous devons essayer de poursuivre les faisceaux pyramidaux dans la
moelle
allongée. En premier lieu, il est bien facile d
la decussation correspondent, cela va de soi, des asymétries dans la
moelle
, et il importe de les connaître, parce qu'on pour
topographie des fais-ceaux pyramidaux dans les diverses régions de la
moelle
épi-nière et indiquer les rapports qu'ils affecte
e à la figure précédente). Ainsi, vous le voyez, tandis que dans la
moelle
et le bulbe du nouveau-né les faisceaux pyramidau
près avoir traversé la protubérance et le bulbe, arriveraient dans la
moelle
épinière, dont ils atteindraient en dernier lieu
fais-ceau pyramidal dans le pédoncule, la protubérance, le bulbe, la
moelle
épinière. — Degeneration excep-tionnelle du faisc
régions. — Dégénération dans la protubérance, dans le bulbe, dans la
moelle
épinière. Localisation de la lésion degenerativ
Je me propose de traiter devant vous des lésions systématiques de la
moelle
épinière. Je commencerai l'étude des formes div
dans dif-férentes parties du névraxe, cerveau proprement dit, bulbe,
moelle
épinière, ou même dans les nerfs périphériques. U
des centres nerveux (1). II. Les dégénérations secondaires de la
moelle
épinière forment un ensemble assez complexe et il
s à la formation d'une lésion en foyer dans un point quelconque de la
moelle
épinière. Nous verrons pour- (1) Il est inutile
de cause périphéri-que et siège dans les faisceaux postérieurs de la
moelle
épi-Bière. Les exemples connus sont au nombre de
tubérance, puis dans le 1 ulbe, enfin dans les diverses régions de la
moelle
épinièrc. Remarquez d'abord, Messieurs, que si
isement des pyramides, vous constaterez également une asymétrie de la
moelle
épinière résultant de l'atrophie du faisceau anté
du bulbe, la lésion se reconnaît Tig. 58. —Coupe transversale de la
moelle
dans la région cervicale. - A, dé-génération du f
i maintenant nous considérons une série de coupes transversales de la
moelle
, pratiquées dans les diverses ré-gions du cordon
is-ceau peut seul être poursuivi jusqu'à l'extrémité inférieure de la
moelle
lombaire, et comment dans les diverses régions sp
sion complexe de la capsule s'étendait par en bas dans la bulbe et la
moelle
épinière (1). La région de la capsule qui nous
s ganglionnaires dites motri-ces, des cornes grises antérieures de la
moelle
épinière (1), Mais ce n'est pas seulement sous
blir un rapprochement entre les cellules des cornes antérieures de la
moelle
et les grosses cellules py-ramidales. Il existe,
aisceaux pyramidaux, qu'on pouvait suivre dans toute l'éten-due de la
moelle
épinière. (1) Deutsch. Arch. 3D3, 1874. SIXIÈ
es de ce faisceau. — La terminaison des fibres de ce faisceau dans la
moelle
épinière donne matière à plusieurs hypothèses. —
de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la substance grise delà
moelle
épinière. — Atrophie musculaire des hémiplégiques
de plus, procédant de ce point de départ, elles descendent jusqu'à la
moelle
sans avoir présenté d'autres re-lations que des r
les grandes cellules pyra-midales de la région. Mais en bas, dans la
moelle
épiniôre, où et comment se terminent ces fibres ?
et comment se terminent ces fibres ? Nous avons reconnu que dans la
moelle
, le faisceau pyra-midal s'amoindrit progressiveme
va-tions d'anatomie normale montrent dans les différents étages de la
moelle
des fibres dirigées d'arrière en avant et de deho
les se prolongent dans la commis-sure et gagnent le côté opposé de la
moelle
. Contre la première hypothèse, on peut faire va
hypothèse, on peut faire valoir les faits suivants : l'anatomie de la
moelle
du nouveau-né montre (d'après M. Flechsig dont no
de myéline formant le faisceau pyramidal dans le cordon latéral de la
moelle
épinière. — D, D, D, Cellules des cornes antérieu
la moelle épinière. — D, D, D, Cellules des cornes antérieures de la
moelle
.— E, E, F, Kéticulum de la substance grise où s'é
comber, et à l'autopsie, nous reconnûmes sur des coupes durcies de la
moelle
épinière qu'en outre de la sclérose fasciculée, i
entré dans des détails anatomo-pathologiques Fig. 62. — Coupe de la
moelle
e'pinière entre la septième et la neuvième paires
érose descendante existait du côté gauche dans toute la hauteur de la
moelle
; mais, en outre, dans un point limité du renflem
e. — Le cas vulgaire par excellence est celui de la compression de la
moelle
dans le mal de Pott. — Pachyméningite caséo-tuber
araplégie spinale avec anesthésie croisée. Lésion unilatérale de la
moelle
épinière déterminant, à la longue, une al-tératio
ntes que descendantes, qui se produisent dans certaines régions de la
moelle
comme conséquence de Js formation d'une lésion de
vulgaires, car, en raison des dimensions relativement étroi-tes de la
moelle
épinière, il ne peut guère s'établir une lésion d
lgaire. Il s'agira, si vous le vou-lez, de la compression lente de la
moelle
épinière, telle qu'on l'observe si communément da
-tuberculeuse). Par le fait de cet épaississement de la dure-mère, la
moelle
se trouve refoulée et par conséquent comprimée, d
uses, sarcomateuses, les psammomes nés pri-mitivement en dehors de la
moelle
épinière, pourront, en prenant de l'accroissement
és, suivant que la lésion initiale occupe telle ou telle région de la
moelle
épinière ; il en est de même dans les cas où la l
, peut être suivie jusque dans les régions les plus supérieures de la
moelle
. On la retrouve dans les corps restiformes et jus
sent prendre leur origine dans les régions les plus supérieures de la
moelle
dorsale. En con-séquence, leur dégénération ne se
pas si la lésion en foyer siégeait dans les parties inférieures de la
moelle
dor-sale ou au-dessous. Le faisceau en question,
m de faisceau cérébelleux direct, augmente Fig. 63.— A, Coupe de la
moelle
épinière (région dorsale supérieure). — B, Région
pe plus que la partie médiane, qui, dans les régions supérieures delà
moelle
épinière (renflement cervico-brachial), correspon
sur les faisceaux blancs. Ainsi, les altérations même profondes de la
moelle
épinière, quand elles sont limitées à la substanc
équemment dans la pratique, Fiff. 64. — 1, Coupe transversale de la
moelle
épinière au niveau de la quatrième vertèbre dorsa
niveau de la quatrième vertèbre dorsale. Toute la moitié droite de la
moelle
et toute l'étendue des cordons postérieurs sont d
ute l'étendue des cordons postérieurs sont détruites.— 2, Coupe de la
moelle
au niveau de la troisième vertèbre dorsale (sclér
sus, la dégenération n'occupe plus que les deux cordons de Coll. — 4,
Moelle
au niveau de la sixième dorsale (dé-génération de
ramidal gauche. à savoir une lésion transverse et unilatérale de la
moelle
épi-nière. Il est rare que la lésion soit mathéma
-nons un exemple concret. 11 s'agit d'une lésion syphilitique de la
moelle
qui se traduit par les symptômes de l'hémiparaplé
a façon la plus remarquable dans un cas de sec-tion traumatique de la
moelle
épiniôre, observé par W. Millier. 11 s'agit d'u
çut un coup de couteau au niveau de la quatrième vertèbre dorsale. La
moelle
épiniôre, à ce niveau, fut interrompue dans le tr
t pas lieu aux symptômes de l'ataxie locomotrice. — Compression de la
moelle
épi-nière produisant la dégénération totale du fa
. Il s'agit d'abord de reconnaître que, dans toute la hauteur de la
moelle
épinière, les faisceaux postérieurs décrits en an
al que dans l'état pathologique. Fig. 65.— Coupe transversale de la
moelle
cervicale d'un embryon humain de six semaines. (G
e M. Pierret(B). Fia. 66. Fig. 67. Fig. 68. Fig. 66.— Coupe de la
moelle
d'un embryon humain d'un mois. — a, Cor-nes antér
érieure — 6, Zone radiculaire postérieure. Fig. 67. — Coupe de la
moelle
d'un embryon humain âgé d'un mois et demi. — a,
s la figure précédente. — l, Cordon latéral. Fig. 68. — Coupe de la
moelle
d'un embryon humain âgé de deux mois. — a,b, c, e
nal central (d'après Kolliker). Fig. 70. — Coupe transversale de la
moelle
cervicale d'un embryon de neuf à dix semaines (Gr
sont tout à fait distincts. Ils se voient dans toute la hauteur de la
moelle
. c) Par les progrès du développement, les faisc
Des fibres de ces racines» les unes, au moment où elles abordent la
moelle
, plongent directement dans la substance grise des
n a vu le faisceau se dessiner net-tement dans toute la hauteur de la
moelle
. A la région lombaire, il se montre sur les coupe
x de Burdach étaient seuls lésés, et cela dans toute la hauteur de la
moelle
épinière. Quant aux faisceaux de Goll, ils étaien
e ce faisceau, laquelle pourra être suivie dans toute l'étendue de la
moelle
épinière jusqu'au plancher du quatrième ventricul
1) Arch. f. Psych. v. Westphal, V,Bd, 1874, p. 114. eh dehors de la
moelle
épiriière, sur les racines de la queue de cheval,
rieures dégénèrent par en haut, au-dessus de la lésion, du côté de la
moelle
, et la dégénération de ces fibres peut être suivi
savons, par exemple, que la dégénération de certains faisceaux de la
moelle
se fait constamment dans le sens ascendant, tandi
phique de ces racines et des tubes nerveux qui en émanent est dans la
moelle
épinière, « probablement dans la substance grise
nante au ganglion, mais bien la partie centrale, celle qui tient à la
moelle
, et la dégénération peut être suivie dans toute r
s faisceaux céré-belleux directs dont le cenlre trophique est dans la
moelle
elle-même, tandis que leur centre de terminaison
tre trophique occupe la substance grise des régions inférieures de la
moelle
et dont les centres de terminaison répondent à la
aître, à des circonstances qu'on ne pou-vait prévoir tout d'abord. La
moelle
épiniôre du chien (sujet de la plupart des expéri
upart des expériences de ce genre), bien que faite sur le modèle delà
moelle
de l'homme, s'en distingue cependant par quelques
son de la qualité des sujets. Ën effet, ces ani-maux chez lesquels la
moelle
avait été coupée en travers au niveau de la 12e v
tout les dégénérations descendantes qui, ¦ Fig. 74. —A, Coupe de la
moelle
au-dessous de la lesion. — H, Coupe de la moelle
74. —A, Coupe de la moelle au-dessous de la lesion. — H, Coupe de la
moelle
au-dessus de la lésion. — On voit en A la diffusi
chien, était accompagnée de dégénération dans la pyramide et dans la
moelle
; 2° une observation de M. Vulpian qui signale, c
ans la zone motrice peut être suivie de dégénération secondaire de la
moelle
épinière. 1-Cette 'dégénération semblable anato
. DIXIEME LEÇON Détermination du trajet des faiscaux blancs de la
moelle
épinière par l'étude des degenerations secon-dair
s faisceaux pyramidaux. Sommarre. — Tous les faisceaux blancs de la
moelle
sont capables de dégé-nération systématique. — Fa
iloff. — Influence du faisceau pyramidal sur l'activité réflexe de la
moelle
épinière. — Les faisceaux pyramidaux sont les con
hent aux lésions dégénératives descen-dantes des divers faiceauxde la
moelle
épinière, nous devons, sans doute, invoquer surto
effet, être fixés sur quelques points rela-tifs à la structure de la
moelle
épinière, à l'arrangement des fibres nerveuses et
. Pour ce qui a trait à l'arrangement des éléments constituants de la
moelle
épinière, elle fournit, en effet, certains rensei
s que je veux vous présenter, concernant Fanatomie de structure de la
moelle
épinière. I. De tout ce qui précède, vous ave
pu conclure que les faisceaux blancs qui composent le manteau Ae la
moelle
épi-nière subissent tous la dégénêration secondai
intenant, munis de ces données nous envisageons la constitution de la
moelle
tout entière, nous pouvons cons-truire un schéma
dans le travail auquel je vous ai déjà plusieurs fois renvoyés. La
moelle
épinière peut être considérée comme constituée es
érieures sont en relation avec les cellules sesthésodiques. Mais la
moelle
, ainsi compliquée dans sa structure, est ainsi en
ommunication les cellules ses-thésodiques dans toute la hauteur de la
moelle
. Chacune de leurs fibres a son centre tropliiqu
en haut, dans le cervelet, qu'ils met-tent ainsi en relation avec la
moelle
épinière proprement dite. Dans les faisceaux an
ibres traversent l'encéphale, parviennent au bulbe, et, enfin, à la
moelle
épinière, sans avoir contracté de rapports avec l
ivement dans leur trajet descen-dant, dans les diverses régions de la
moelle
où elles entrent en connexion avec les cellules m
exister dans toute l'étendue du prolongement de ces faisceaux dans la
moelle
épinière. 2° A. On convient assez généralement
te et en partie croisée. Quand vous coupez la moitié latérale de la
moelle
chez un cochon d'Inde, par exemple, la paralysie
a sensibilité, conduc-tion différente par tels ou tels éléments de la
moelle
épinière. Ainsi, tandis que la transmission des
transmission des impressions sensitives est encore possible quand la
moelle
a subi, à différents niveaux, deux hémisections e
convaincre d'examiner la configuration d'une coupe transversale de la
moelle
épinière. Et cependant, (1) Dict. encycl. des s
oelle épinière. Et cependant, (1) Dict. encycl. des se. ?ne'd. Art.
Moelle
. Gharcot. Œuvres complètes, ò. iv, Localisation
mploi journalier dans le laboratoire de Ludwig, a pu pratiquer sur la
moelle
épinière du lapin des sections très variées, quan
2). 2° Il est très remarquable que toute la moitié antérieure de la
moelle
puisse être sectionnée, sans qu'il s'en suive auc
ures, établissant des relations fonctionnelles entre le cerveau et la
moelle
épinière, Celle-ci vit en quelque sorte isolément
out son jour quand on observe ce qui se passe après une section de la
moelle
. Mais il est facile de montrer que c'est surtout
telle que la sensibilité soit conservée; de plus, un seul côté de la
moelle
peut être affecté, les faisceaux antéro-latéraux
si bien que chez l'homme, et qu'ils cessent de se produire lorsque la
moelle
épinière est détruite. Tout récemment M. Tschirje
ande précision, les conditions de ce phénomène (2). La région de la
moelle
dont l'intégrité est nécessaire pour que le phéno
cinquième et la sixième vertèbres lom-baires. Quand cette région delà
moelle
est détruite, le phéno-mène ne se produitplus. Au
où le tendon rotulien est percuté, transmettraient l'excitation à la
moelle
lombaire. Cette excitation, portée jus-qu'à la su
st plus brusque, et de forme différente. (Dicrolismc.) moitié de la
moelle
qui correspond aux membres paralysés. En effet, t
ation également permanente exercée par le centre nerveux spinal. « La
moelle
épinière, dit M Vulpian, agit d'une façon inces
es nerfs moteurs, le tonus musculaire ... Cette action continue de la
moelle
est sans cesse provoquée par des stimulations exc
ments. » C'est donc un phénomène dans lequel le pouvoir réflexe de la
moelle
épinière est en jeu. Or, il nous serait bien fa
mesure, le retour de la motilité. La lésion persiste-t-elle dans la
moelle
épinière, et, en pareil cas, y a-t-il suppléance?
parties de la substance grise des hémisphères, sont transportés à la
moelle
par des fibres . nerveuses qui se mettent en rapp
mouvements d'ensemble. Ces groupes sont répartis de chaque côté de la
moelle
; les uns président aux mouvements du côté droit,
xpliquer l'exagération des propriétés réflexes dans les parties de la
moelle
situées au-dessous de la section. Mais cette co
eux et cutané dans l'ataxie locomotrice. — A, cellule motrice de la
moelle
épinière. --E,E, cellules aesthésodiques. — M, le
u.es tendineux et cutanés dans l'hystérie. —A, cel-lule motrice de la
moelle
épinière. -- E,E, cellules aisthésodiques. — M, l
ur les membres paralysés ; son action, bien que s'étendant à toute la
moelle
, se montrera, toutes choses égales d'ailleurs, pl
cellules motrices des cornes antérieures, dans toute la hauteur de la
moelle
épinière; et j'ai proposé d'admettre que la lésio
thologique, paraissent être représentés dans la substance grise de la
moelle
épinière par autant de systèmes diastaltiques dis
elle les deux systèmes de fais-ceaux pyramidaux sont affectés dans la
moelle
et le bulbe.Seu- lement,par en haut, lalésion n
tération retentit sur la substance grise des cornes antérieures de la
moelle
et sur les parties grises analogues du bulbe rach
e et supposons qu'il s'agisse d'un mal de Pott avec compression de la
moelle
épinière. Considérons exclusivement les troubles
écouvrir aucune trace de régénération dans le segment inférieur de la
moelle
; la cicatrice fibrillaire traitée par l'acide os
pasmodique. Sommaire. — Myélites trans verses et hémisections de la
moelle
épinière. — Paralysie des deux membres inférieurs
nsverse s'est localisée sur une partie seulement de l'épaisseur de la
moelle
épinière, de manière à reproduire, en quelque sor
emple en un coup de couteau ayant détruit en travers une moitié de la
moelle
épinière ; 2° le cas très commun de la myélite sp
yramidaux, déjà entrecroisées à la partie du bulbe, subissent dans la
moelle
une seconde décussation, au moins chez certains s
e croisée. En d'autres termes, la section d'une moitié latérale de la
moelle
épiniôre, chez un cochon d'Inde par exemple, prod
dans les diverses parties du névraxe, dominent gé-néralement dans la
moelle
, où elles occupent de préférence les faisceaux an
ses, une fois développées, resteront isolées dans les faisceaux de la
moelle
, sans donner lieu à la dégénération secondaire; i
re permanente n'est pas l'indice certain d'une lésion organique de la
moelle
épinière car il existe nombre de cas où les faisc
otrophies spinales et des localisations dans la substance grise de la
moelle
épinière. Sommaire. — Lésions systématiques de
rise de la moelle épinière. Sommaire. — Lésions systématiques de la
moelle
épinière. — L'étude de ces lésions doit précéder
oublié, à faire embrasser d'un coup d'œil les diverses ré-gions de la
moelle
épinière dans lesquelles, par une sorte de sélect
écède, à considérer les maladies systématiques, dans le domaine de la
moelle
épinière, comme autant d'affections élémentaires,
nutile de faire ressortir à vos yeux que, bien qu'elle occupe dans la
moelle
épinière un espace relativement restreint, la sub
amyotrophies spi-nales deutèropathiques les diverses affections de la
moelle
épiniôre dans lesquelles la lésion des cornes ant
'hypoglosse, du facial, qui représentent les cornes antérieures de la
moelle
allongée,sont souvent le siège exclusif des lésio
tre traduite, en France, dans un traité didactique des maladies de la
moelle
épinière. La compétence de M. Ley-den justifie le
aient rien de spécifique : l'altération de la substance blanche de la
moelle
porterait aussi bien sur les faisceaux an-térieur
de rayonnement. » Si, d'autre part, on considère, non plus dans la
moelle
épinière, mais dans le bulbe, la grande distance
cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
épimère (cellules motrices). — Dimensions, forme,
ongement nerveux. Comparaison des eellules nerveuses motrices de la
moelle
avec les cellules pyramidales. Cellules pyramid
rtiments de l'axe cérébro-spinal. — Systéma-tisation des lésions delà
moelle
épinière.— Localisations spinales. — Le cer-veau
la protubérance, la pyramide antérieure et le faisceau latéral de la
moelle
. Analogies et différences entre les scléroses l
ations spinales PREMIÈRE LEÇON. Introduction. — Topographie de la
moelle
tïpinière. — Affections systématiques. Sommai
rétation phy-siologique des phénomènes morbides. Constitution de la
moelle
épinière. — Lésions systématiques. — Faisceau pyr
e Goll et de Burdach. —Cette décomposition des diverses parties de la
moelle
s'annonce dès la période de développement de l'or
ppement de ce faisceau. | Sommaire. —Affections systématiques de la
moelle
épinière. — Elles répondent à une topographie ana
ects (cordons de Tûrck). —Leur trajet dans les diverses régions de la
moelle
épinière. — Leur trajet dans le bulbe. — Entrecro
u faisceau pyramidal dans le pédoncule, la protubérance, le bulbe, la
moelle
épi-nière. — degeneration exceptionnelle du faisc
régions. — Dégénération dans la protubérance, dans le bulbe, dans la
moelle
épinière. Localisation de la lésion degenerativ
es de ce faisceau. — La terminaison des fibres de ce faisceau dans la
moelle
épinière donne matière à plusieurs hypothèses. --
de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la substance grise delà
moelle
épinière. — Atrophie musculaire des hémiplégiques
e. — Le cas vulgaire par excellence est celui do la compression de la
moelle
dans le mal de Pott. — Pachyméningite caséo-tuber
araplégie spinale avec anesthésie croisée. Lésion unilatérale de la
moelle
épinière déterminant, à la longue, une al-tératio
t pas lieu aux symptômes de l'ataxie locomotrice. — Compression de la
moelle
épi-nière produisant la dégénération totale du fa
DIXIÈME LEÇON. Détermination du trajet des faisceaux blancs de la
moelle
épinière par l'étude dés dégénérations secondaire
es faisceaux pyramidaux. Sommaire. —Tous les faisceaux blancs de la
moelle
sont capables de dégé-nération systématique. — Fa
iloff. — Influence du faisceau pyramidal sur l'activité réflexe de la
moelle
épinière. — Les faisceaux pyramidaux sont les con
spasmodique. Sqmmaire. —Myélites trans verses et hémisections de la
moelle
épinière. — Paralysie des deux membres inférieurs
Des amyotrophies et des localisations dans la substance grisé de la
moelle
épin1èré. Sommaire. — Lésions systématiques de
risé de la moelle épin1èré. Sommaire. — Lésions systématiques de la
moelle
épinière. — L'étude de ces lésions doit precèdei'
u pyrami-dales, 21 ; — Leur analogie avec les cellules motrices de la
moelle
épinière, leur structure, leurs pro-longements, 2
antérieures (Lésions des), 340 ; — lésion irritative, 341 ; — dans la
moelle
allongée, 385. Corps calleux, 38 ; — Circonvolu
e habituelle des troubles nerveux, en déterminant la compression de
moelle
, puis, il ajoute : « Il va sans dire que les tron
ns les compressions du renflement lombaire intéressant à la fois la
moelle
elles racines de la queue de cheval et pouvant al
importance du signe de Babinski, pour apprécier ce qui revient à la
moelle
. Dans sa remarquable monographie, Fickler(2) ra
la compres- sion s'exerçait surtout sur la partie antérieure de la
moelle
, ce qui expli- que, disait-il, la prédominance
ct clinique, en 3 groupes : 1° Cas avec signes de compression de la
moelle
ou des racines dorsales et lombaires supérieure
e et de la queue de cheval. 3° Cas avec signes de compression de la
moelle
ou des racines cervicales. I. Cas avec signes d
ou des racines cervicales. I. Cas avec signes de compression de la
moelle
ou des racines dorsales et lombaires supérieure
réservoirs. L'absence d'anesthésie, lui fait pronostiquer « que la
moelle
n'est pas profondément touchée ». L'eschare sac
complète (ce qui éliminerait l'idée d'une lésion destructive de la
moelle
) avec anesthésie absolue jusqu'à l'ombilic.- Pas
pratiqué la laminectomie des 8e,9e et 10° dorsales,trouva devant la
moelle
une caverne osseuse ramollie grosse comme une noi
orsale à la'lre lombaire avec com- pression et ramollissement de la
moelle
. ' Le malade de Verger et Laubie (2) commença à
s racines et comprimant transversalement la moitié antérieure de la
moelle
à travers la dure-mère dont la face interne est s
saine et ne présente pas d'adhérences avec les méninges molles. La
moelle
est atteinte, au niveau de la compression, de m
de la 7e à la 10e dorsale et, au niveau des 8e et 9e comprimant la
moelle
d'avant en arrière, avec, à ce niveau, quelques
LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 11 compression de la
moelle
et des racines dorsales et lombaires supérieures,
llement t observée des sphincters, indiquent la participation de la
moelle
; il est, enfin, bien difficile de préciser la
il est, enfin, bien difficile de préciser la part qui revient à la
moelle
et aux racines, comme, d'ailleurs, pour les lés
e la queue de cheval, en général. III. Cas avec compression de la
moelle
et des racines cervicales. Dans le mal sous-occ
et Ire dorsale droite avec absence de lésions dégénératives dans la
moelle
. Nous avons récemment observé le cas suivant da
sclérose dense ; nombreuses adhérences, sur toute la hauteur de la
moelle
, entre la dure-mère et les méninges molles (PI. I
n degré d'atrophie musculaire, quand la compression s'exerce sur la
moelle
, il en résulte une paralysie des quatre membres
nquer dans les cas de compression limitée au segment cervical de la
moelle
: quand ils existent, ils se réduisent généraleme
plus spécialement l'attention sur les cas où une compression de la
moelle
et des racines cervicales inférieures détermine
mais d'un sarcome des méninges cer- vicales avec compression de la
moelle
. LES PRINCIPALES FORMES DES TTOUBLES NERVEUX 21
variétés des symptô- mes que peuvent produire la compression de la
moelle
et des racines. On conçoit aisément combien le
ssion n'atteint encore que les racines, respectant momentanément la
moelle
. Dans les deux cas, cette paralysie flasque des
l faudrait passer en revue une grande partie de la pathologie de la
moelle
. Par exemple, nous avons récemment autopsié une m
à cette variété, le foyer tuberculeux épidural doit ne comprimer la
moelle
et les racines que dans la partie du segment ce
nous n'avons pas d'observation avec autopsie. La compression de la
moelle
supérieure s'accompagne, habituellement, des trou
hronique non tuberculeuse. Ajoutons encore les compressions de la
moelle
et des racines dues à d'autres causes que le ma
rysme aortique, ou à des métastases cancéreuses : les tumeurs de la
moelle
et des méninges (cas de M. Raymond), enfin, la
topsie, carie nécrotique des vertèbres 7e c. à 3° d. ; au-dessous, la
moelle
, sur une longueur de 3 cent. 1/2, était réduite
apide en se disant, que sous l'influence du processus infectieux la
moelle
des os et le périoste avaient été stimulés à un
eurs des symptômes observés nous donnent le droit de demander si la
moelle
dorsale de notre malade est absolument intacte. L
us fait-elle-pas supposer qu'il y a peut-être certains segments de la
moelle
dorsale qui participent au processus morbide ?
douleurs tabétiques d'une irritation des racines postérieures de la
moelle
dorsale : mais, il me semble, que dans ce cas-c
Je ne veux pas nier qu'il n'y ait des changements probables dans la
moelle
dorsale dans l'acromégalie. Mon confrère Wintle
ui me semble plus vraisemblable par l'influence du système nerveux (
moelle
dorsale, vaso-moteurs, système nerveux périphériq
ans les centres nerveux, par exemple dans la corne antérieure de la
moelle
, où les cellules, parfaitement normales pour le
si on peut la dénommer ainsi, s'étend de la sortie des racines à la
moelle
jusqu'à un peu en dehors des apophyses transver
; nous verrons également qu'il existe dans la substance grise de la
moelle
, à l'état normal et à l'état pathologique, des
un homme de 56 ans mort dans le service de M. Séglas à Bicêtre. La
moelle
présente des lésions tabétiques peu avancées (P
légitimité du ta- bes dans ce cas ; ceux qui ont coupé beaucoup de
moelles
tabétiques savent en effet combien sont nombreu
ervice de lll. Séglas en état de cachexie,avec de larges eschares. La
moelle
, (1) Babinski et NAGEOTTE, Noie sur un cas de t
i pénètrent au niveau de la coupe paraissent absolument saines ; la
moelle
n'est pas atrophiée dans son ensemble et les cord
le ganglion, mais de ce côté on la perd bientôt. Malheureusement la
moelle
de ce cas, conservée entière pour une étude top
lées dans les ganglions rachidiens et dans la substance grise de la
moelle
. La néoformation de fibres dans les ganglions e
tance blanche du ganglion. Elles sont manifestement attirées par la
moelle
, car aucune ne pénètre dans le nerf périphériqu
ent rapidement moins nombreuses à mesure que l'on re- monte vers la
moelle
; je n'ai pas pu m'assurer si quelques-unes d'ent
ques-unes d'entre elles arrivent à destination et pénètrent dans la
moelle
; il est en effet impossible de distinguer avec
re irrégulièrement contournées. La plupart sont orien- tées vers la
moelle
, au moins dans le tabes incipiens ; d'autres sont
ntéressante. D'une façon générale elles sont toutes attirées par la
moelle
; ainsi que je l'ai déjà indiqué. Dans le tabes
d. ' Massues des centres nerveux (cervelet et substance grise de la
moelle
). - Des massues terminant des fibres nerveuses
sont de nature pathologique. D'autre part, dans les cornes de la
moelle
, j'ai décrit des massues qui ont même forme, mê
uses ; dans les observations I et II, on en trouve moins ; dans des
moelles
que l'on pouvait considérer comme sensiblement
ec les boules norma- les du ganglion et de la substance grise de la
moelle
, dont nous aurons à nous occuper plus loin mais
FiG. 2. - Fibres terminées en massue dans la substance grise de la
moelle
. Les mas- sues sans indication proviennent de,l
lions. Quant aux massues qui existent dans la substance grise de la
moelle
, on peut se demander si elles n'appartiennent p
de plus,l'absence de ces massues dans la subs- tance blanche de la
moelle
et leur accumulation en certains points à la. li-
ont très probablement des régénérations de neurones endogènes de la
moelle
. La régénération des racines postérieures est-e
ent détruits. xix 10 234 NAGEOTTE dans la substance grise de la
moelle
chez un paralytique général et chez deux tabéti
On retrouve des formations analogues dans la substance grise de la
moelle
humaine à l'état normal et à l'état pathologique;
a présence de massues d'accroissement dans la substance grise de la
moelle
, et particulièrement' dans les cornes antérieures
ent de 10 diamètres. Fig. 2. Obs. IIL(tabes incipiens). Coupe de la
moelle
à la hauteur de la 4" lom- baire. Méthode de We
e irrégulièrement dissociée. Rien d'appréciable à l'oeil nu dans la
moelle
: foie gras. Coeur, quelques plaques athéromate
s est d'abord dilaté et le tissu environnant vacuole (com. post. et
moelle
du noyau r.). Plus tard l'aqueduc ne subsiste p
eaux, que l'on retrouve tous. La planche XL, fig. 1 et 2, montre la
moelle
intacte ; le sarcome fait proé- minence dans le
ital pourrait avoir été plus ou moins obstrué par refoulement de la
moelle
. Observation VII. C... Pierre, né en 1864, es
alement par le système nerveux, ne put constater aussi bien dans la
moelle
que dans les nerfs péri- phériques aucune altér
nstata un athérome généralisé; l'encéphale était normal. Quant à la
moelle
, l'étude histologique fit voir un étatathé- rom
is une intégrité absolue de tout le cor- don antéro-latéral dans la
moelle
dorsale et lombaire ; il existait seule- ment d
mbaire ; il existait seule- ment dans une région très limitée de la
moelle
cervicale une sclérose légère touchant le faisc
utopsie que l'un de nous eut l'attention attirée sur ce fait que la
moelle
ne présentait pas les lésions habituelles des par
inférieurs qui sont presque indemnes de lésions. Le cerveau et la
moelle
offrent microscopiquement les caractères de la
en est de même des pédoncules et de la protu- bérance. , Dans la
moelle
,des coupes colorées suivant les diverses techniqu
au contraire n'offrir ni endartérite ni périarté- rite. Une fois la
moelle
était remarquablement saine étant donné l'âge du
ndre signe clinique de tabes dorsal. , A l'autopsie, l'examen de la
moelle
a vérifié l'absence de toute lésion du tabes. N
ndiquer ce point, l'étude anatomo-pa- thologique détaillée de cette
moelle
devant faire l'objet d'une prochaine com- munic
le. Nous n'avons pas pu retrouver toujours l'extrémité attenante à la
moelle
de la racine sectionnée, mais le plus souvent a
es, atrophiés, qui s'inséraient d'un côté sur le sillon latéral de la
moelle
, et de l'autre sur la face profonde de la dure-
onc affirmer l'existence dans le sympathique de fibres venues de la
moelle
en passant par les racines postérieures, fibres q
n passant par les racines postérieures, fibres qui dégénèrent de la
moelle
vers la périphérie. Laignel-Lavastine (4) a montr
myéline issues des ganglions sympathiques et se diri- geant vers la
moelle
par les racines postérieures. Laignel-Lavastine l
de grandes tailles, mu- nies d'un seul prolongement dirigé vers la
moelle
. Un tissu conjonctif pauvre en noyaux s'étendai
pour le ganglion spinal des résultats aussi concluants que pour la
moelle
et le cerveau. Outre qu'il existe plusieurs typ
rapidement et qu'il considéra comme fibres centrifuges venues de la
moelle
. En 1896, Bonne revit sur les racines sacrées c
erfs cutanés, ne sont-elles pas des fibres centrifuges venues de la
moelle
? Pour la seconde fois, nous nous trouvons en f
sement). FiG. 6 et 1 (obs. X). - Dissociation du bout adhérent à la
moelle
des 3° et 4* racines sacrées postérieures (16 j
rédaction. PLANCHE L Fio. 1. - Dissociation du bout attenant à la
moelle
de la 2* racine sacrée postérieure gauche (obse
ême grossissement). ]-'16. 10. - Dissociation du bout attenant à la
moelle
delà tr' racine sacrée postérieure gauche (ubse
raît de nouvelles fibres minces régénérées, qui se dirigent vers la
moelle
par les anciennes gaînes vides de la racine sec
Thomas et HAusEn, loc. cil. (3) DEJERINE et Thomas, Maladies de la
moelle
in Traité Brouardel-Gilbert, t. IX. (4) Thomas
et Hauser) (4), ou sur tout le système lymphatique postérieur de la
moelle
(Marie et Guillain) (5). ' Mais, d'autre part
arie et GUILLAIN, Les lésions du système lymphatique postérieur de la
moelle
sonl l'origine du processus aaatomo pallaolo,gi
Paris, 15 jan- vier 1903. (6) Omm¡ ? ¡¡ et Thomas, Maladies de la
moelle
, 1902. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉR
des racines posté- rieures, dans le bout radiculaire attenant à la
moelle
; elles dégénèrent dans le bout ganglionnaire,
. Les racines postérieures coupées n'ont laissé, au voisinage de la
moelle
que des tractus atrophiés. Les racines antérieure
es complètement grisâtres et atrophiés des extrémités attenant à la
moelle
des racines seetionnées. Ils sont complète- men
en loin, et. reliées par des gaînes vides. Le bout attenant à la
moelle
comprenait également quelques rares boules noir
s. Réunion sans suppuration, mais un traumatisme involontaire de la
moelle
au- dessous du niveau d'origine dès racines sec
de fibres ayant persisté intactes, et qui viennent évidemment de la
moelle
par voie centrifuge. Certains filets ne comprenne
ostérieures droites sectionnées, prélevons les filets attenant à la
moelle
encore assez aisément visibles, adhérant à leur a
des 3°, 4e et 5e raci- nes dorsales postérieures gauches, entre la
moelle
et le ganglion. L'animal se rétablit sans paral
question un peu différemment dans son Traité sur les maladies de la
moelle
épinière lorsqu'il écrit : « Je ne saurais admet-
n trouve en effet des plaques peu nombreuses, souvent limitées à la
moelle
, à contours très irréguliers et pleins d'anfrac
se en plaques. Déjerine et Thomas dans le Traité des maladies de la
moelle
épinière au chapitre du traitement t de cette m
mentionne la combinaison de la sclérose diffuse du cerveau et de la
moelle
avec la sclérose en plaques. Long rapporte une
uite d'une pleurésie. A l'examen anatomo-pa,tliologique on trouva :
moelle
petite au niveau de la partie supérieure et moy
s méninges, deux plaques de sclérose multiple vraie au niveau de la
moelle
cervicale et une myélite syphilitique dans la m
e cervicale et une myélite syphilitique dans la moitié droite de la
moelle
(du 2e au 6e segment). De ce dernier foyer part
le bulbe ne présentent rien d'anormal à l'examen macroscopique. La
moelle
est de volume normal. La méninge postérieure est
rable avec le Weigert ou Weigert-Pal. Les cellules des cornes de la
moelle
sont présentes. ' Moelle cervicale supérieure.-
igert-Pal. Les cellules des cornes de la moelle sont présentes. '
Moelle
cervicale supérieure.- Dans toute la section tran
é représentant le résidu de la gaine myélinique qui va disparaître.
Moelle
au niveau de la 8° racine dorsale. - Jusqu'à ce n
e. Moelle au niveau de la 8° racine dorsale. - Jusqu'à ce niveau la
moelle
ne présente aucune gaine myélinique colorable p
es (PI. LII, fig. 4). Deux racines plus bas, la moitié gauche de la
moelle
ne contient qu'un petit groupe de fibres nerveu
u scléreux. A partir de la susdite racine jusqu'à la totalité de la
moelle
lombaire on rencontre des pla- ques de sclérose
es sont très nombreux dans la méninge de la partie inférieure de la
moelle
, tandis que dans les parties supé- rieures on t
ns cet organe,de même que celles que nous avons rencontrées dans la
moelle
et dans la méninge confirment, à notre avis, la
ents polynucléaires, assez nombreux dans la partie inférieure de la
moelle
. Quelques plaques de sclérose sous l'épendyme des
disséminées dans les pédoncules et la protubérance. Le bulbe et la
moelle
sont les parties les plus atteintes. A partir d
tement normales partout. Tous les vaisseaux de la pie-mère et de la
moelle
présentent des altérations plus ou moins prononcé
après le durcissement ne décè- lent aucune lésion appréciable. La
moelle
épinière offre à l'observation un certain degré d
ures. Les racines ne sont pas grises. Tout ce qu'on peut dire de la
moelle
c'est qu'elle apparaît un peu plus petite qu'à l'
ne très légère raréfaction des fibres myéliniques tout autour de la
moelle
à la façon d'un mince anneau plus clair. Cette ra
3). Au niveau de la, 6° racine dorsale toute la moitié droite de la
moelle
, la com- missure, les cordons de Goll et de Bur
ue des cordons antéro-latéraux (fig. 5). Au-dessous de ce niveau la
moelle
se présente absolument normale. Il suffit de je
mal, surtout postérieurement et au niveau des foyers scléreux de la
moelle
sous-jacente. Elle y contient des vaisseaux à p
r épais- sissement méningé surtout dans la partie postérieure de la
moelle
et au niveau des zones scléreuses. Plaques de s
par les lésions périvasculaires que nous avons décrit, soit dans la
moelle
épinière son dans le cervelet, dans la substanc
moitié inférieure. FiG. 3. Bulbe dans sa partie moyenne. FiG. 4.
Moelle
au niveau de la T'-8° racine cervicale. -Elle ne
cune libre avec gaine colorée avec la méthode de Weigert. FiG. 5.
Moelle
au niveau de la 10° racine dorsale. FiG. 6. - M
ert. FiG. 5. Moelle au niveau de la 10° racine dorsale. FiG. 6. -
Moelle
au niveau de la 11, racine dorsale. FiG. 1. Moe
ale. FiG. 6. - Moelle au niveau de la 11, racine dorsale. FiG. 1.
Moelle
au niveau de la 2° racine lombaire. FiG. 8. Moe
rsale. FiG. 1. Moelle au niveau de la 2° racine lombaire. FiG. 8.
Moelle
au niveau de la 30 racine lombaire. F1O, 9. Moe
baire. FiG. 8. Moelle au niveau de la 30 racine lombaire. F1O, 9.
Moelle
au niveau de la 41-58 racine lombaire. FiG. 10.
aques 11t étude comparative des diverses variétés de sclérose de la
moelle
. Archiv. de physio- logie normale et pathologiq
laques; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudo-systématique de la
moelle
épinière. Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, no 5,
ecine, 1884. 22. Dejerine et A. Thomas. - Traité des maladies de la
moelle
épinière, 1902. 23. DIIESHFELD. - On two case o
. 105. Thomas A. et LoG. Contribution à l'élude des Scléroses de la
moelle
épinière. Société de Biologie, 1899. 106. UII
rvient à midi ce même jour. Examen anatomique. Ni le cerveau, ni la
moelle
ne présentent de particularités à signaler ici.
ire, et l'hypothèse d'un rapport entre ces troubles et l'état de la
moelle
sénile semble pouvoir se présenter à l'esprit.
nant la dis- parition de leur fonctionnement spécifique. Cerveau,
moelle
, ganglions du grand sympathique, corps thyroïde.
avait gardé ses dimensions et sa structure normale ; le cerveau, la
moelle
et les nerfs périphériques étaient intacts. I
NNÉE ? 5 SEl'TED1BRE-UCTOBItE RECHERCHES SUR ? 1 ? 11RESCLNCC DE LA
MOELLE
PAR G. MARINESCO et J. MINEA. Professeur à
ique des maladies nerveuses. La question de la régénérescence de la
moelle
a été le sujet d'un grand nombre d'études expér
ce plus ou moins complète. Muller a observé la régénérescence de la
moelle
épinière sectionnée chez les tritons, et les lé
scence presque complète des éléments nerveux après la section de la
moelle
chez des pi- geons. A côté des résultats positi
ndues et les plus exactes sur la régénérescence expérimentale de la
moelle
. Cet auteur a pratiqué des sections complètes o
e. Cet auteur a pratiqué des sections complètes ou partielles de la
moelle
du lapin adulte entre la région dorsale et la r
ré cette néoformation des fibres nerveuses, la régénérescence de la
moelle
n'est t cependant pas comparable à celle des ne
nerveuse, comme cela ar- · RECHERCHES sur la ftEGËNÈHESCENCË DE la
moelle
41'J rive dans les nerfs périphériques. D'autre
male ci la production de collatérales. Aussi, après la section de la
moelle
il ne se produit pas des fibres puissantes, lon
Fickler (U ) a fait des expériences de section et de contusions de la
moelle
chez le chat et chez le lapin. Il a pu constate
formation proviennent des racines postérieures et pénètrent dans la
moelle
avec les vaisseaux de nouvelle formation partis d
e des racines postérieures et l'autre de la substance blanche de la
moelle
. L'un de nous (2) a décri sommairement dans un
ravail récent la régé- nérescence des racines postérieures et de la
moelle
consécutive aux sec- tions expérimentales. Il a
ns le bout périphérique. En ce qui concerne la régénérescence de la
moelle
,nos recherches ont porté sur des cobayes et sur
l d'une part, du point de section des racines postérieures vers la
moelle
(quelques-unes de ces fibres pénètrent dans la
de ces fibres pénètrent dans la cicatrice), et, d'autre pari, de la
moelle
vers la cicatrice. Le mécanisme de régénération d
06. (3) G. MARINESCO et J. Minera, Note sur la régénérescence de la
moelle
chez l'homme. Comptes rendus hebdomadaires des
y Cajal (1) a publié trois expériences sur la régénérescence de la
moelle
chez le chat. Dans la première, il s'agit d'un
l âgé d'une semaine auquel on a sectionné presque complète- ment la
moelle
lombaire. Cicatrisation sans suppuration. Sur des
substance blanche et grise. Les bouts traumatisés des cordons de la
moelle
présentent beaucoup d'axones altérés et finisse
e-mère pénétrant plus ou moins dans la solution de continuité de la
moelle
; et l'autre, qui parait résulter de la névrogl
acés. Chez le deuxième chat, Cajal a pratiqué une hémisection de la
moelle
lombaire et l'animal a été sacrifié 20 jours ap
iologicas. Ma- drid, 1906. recherches SUR la régénérescence DE la
moelle
421 Ce kyste, tapissé par un prolongement de t'
dans la cicatrice. Le troisième animal a subi une hémisection de la
moelle
et sacrifié 36 jours après l'opération. Les bou
e la moelle et sacrifié 36 jours après l'opération. Les bouts de la
moelle
apparaissent interrom- pus par une masse cicatr
des racines posté- rieures a été sectionnée entre le ganglion et la
moelle
. L'examen micros- copique de la cicatrice montr
alement, soit après les lésions anatomo-patholoiques. Section de la
moelle
chez un petit chien âgé d'un mois. - L'animal a é
imal a été sacrifié 7 jours après l'opération. Les deux bouts de la
moelle
sectionnée sont réunis par un tissu cicatriciel
en voie de dégénérescence. Des deux extrémités des deux bouts de la
moelle
, et surtout du bout supé- rieur, se détachent d
ngitudinale, elles s'épar- . recherches SUR la régénérescence DE la
moelle
423 pillent ou bien décrivent des espèces de to
dans ces ponts cellulaires bien loin des extrémités sectionnées de la
moelle
. Certaines fibres de nouvelle formation sont mo
. Porlion de la cicatrice qui s'est formée entre les deux bouts de la
moelle
sectionnée chez un jeune chien, 7 jours après l
régénérescence des fibres nerveuses à la suite de la section de la
moelle
pratiquée depuis 7 jours. La partie dessinée av
sues rétrogrades, mt, mt'. RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA
MOELLE
425 on trouve plusieurs fibres à l'intérieur dé
le trajet ne correspond pas avec celui des cellules. Section de la
moelle
chez un jeune chien sacrifié 17 jours après l'opé
ulaires émigrés. A l'extrémité in- férieure du bout supérieur de la
moelle
il y a également une accumulation con- sidérabl
rés, il existe un nombre assez important de Fia. 3. - Section de la
moelle
chez un jeune chien sacrifié 17 jours après l'opé
oncernant les rapports de la cicatrice avec le bout supérieur de la
moelle
. La cicatrice présente une espèce d'entonnoir dan
obliques au contraire, ou curvilignes et s'en vont vers l'axe de la
moelle
. On dirait qu'elles évitent de passer à travers l
tus, elle se délimite de l'extrémité supérieure et inférieure de la
moelle
sectionnée et enve- loppe de tous côtés les élé
re les deux bouts. L'ex- trémité supérieure du bout inférieur de la
moelle
est coiffé par une bande de cellules fusiformes
istent également à l'ex- trémité du bout supérieur. Section de la
moelle
de chien adulte : 90 jours. La cicatrice qui a po
se dans une moitié que dans l'autre, étant plus large du côté où la
moelle
est le plus en- dommagée. Elle s'étend comme de
bras du côté de la périphérie, et de la périphérie vers l'axe de la
moelle
. Elle présente une excavation ; de sorte que da
dont la ligne de jonction serait très épaisse. Les extrémités de la
moelle
se terminent en une espèce de cône dont les som
dégénérescence granuleuse. 428 MARINESCO ET MINEA Section de la
moelle
: 109 jours,chien.- Sur les côtés de la cicatrice
tissu conjonctif fibreux qui coiffe le sommet des deux bouts de la
moelle
, décri- vant ainsi une sorte de capuchon.Ensuit
, sinueux, l'excavation pénètre l'extrémité du bout inférieur de la
moelle
, mais le tissu nerveux, à ce niveau, est altéré,a
du centre de la cicatrice conjonctive dans un cas de section de la
moelle
après 109 jours (chien). On y voit des lames de t
lules apotrophiques ca, en ? RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA
MOELLE
429 logent les fibres nerveuses, isolées ou réu
nt le résultat de nos recherches dans deux cas de compression de la
moelle
. La première observation se rapporte à un malad
e moment il présentait tous les signes d'une section complète de la
moelle
; à savoir : abo- lition des réflexes cutanés e
e la racine postérieure dans son trajet arachnoïdien (section de la
moelle
, chien, 109 jours). On y voit un grand nombre de
sues, mt, mt', mt", mt ? nZt ? mi ? se dirigent des ganglions vers la
moelle
, il n'y a que la massue,mh. qui est rétrograde
emps en faisceaux. 430 MARINESCO ET MINEA de la compression où la
moelle
est plus mince et forme comme une espèce de pon
ises à ce niveau sont la cinquième lombaire et la première sacrée. La
moelle
au niveau de la compression est amincie et d'un
e et d'une coloration gris rosâtre. Pour l'étude histologique de la
moelle
, on a fait usage de la méthode de Ca- jal, en e
l'alcool ammoniacal et puis le nitrate d'argent. On a débité cette
moelle
en coupes longitudinales sériées dont l'aspect va
ée par ces cellules et dépourvue de vaisseaux. (Compres- sion de la
moelle
par fracture de la 1" vertèbre lombaire.) RECHE
vertèbre lombaire.) RECHERCHES SUR LA HÉGÉi\ÉII [,CI £ NCI £ nls LA
MOELLE
431 fibres de nouvelle formation suivant la plu
considérée. Les vaisseaux situés tout près de la périphérie de la
moelle
et particulière- ment dans les régions où ils p
ifs à la constitution d'un plexus périvasculàire (Compression de la
moelle
produite par la fracture de la première vertèbre
ent. 1/2 environ qui s'est formée au niveau de la compression de la
moelle
a une constitution très complexe. A l'extrémité
cellules d'aspect spongieux. RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA
MOELLE
433 étoilées, polygonales ou fusiformes ayant l
res dont nous venons de parler, Au niveau du bout supérieur de la
moelle
, là où il y a des vaisseaux de nouvelle formati
tissu conjonctif; quelques- RECHERCHES SUR LA DÉGÉNÉRESCENCE DE LA
MOELLE
435 unes de ces fibres finissent par des massue
s pé- riphériques de ces dernières. Sans doute que les fibres de la
moelle
proprement dite ne restent pas inertes non plus
ouvelle formation sont des fibres en régénérescence provenant de la
moelle
. D'autre part, nous avons également signalé d'a
grise, or, il est certain qu'ils provien- nent des extrémités de la
moelle
épinière. Les fibres d'origine médullaire ne pa-
luxation de la première ver- tèbre lombaire. Lorsqu'on a retiré la
moelle
du canal vertébral, on n'a rien cons- taté d'an
n voit qu'à partir du deuxième jusqu'au quatrième segment lombaire la
moelle
apparaît rétractée et réduite de volume,de sort
u bien une arborisation (a). RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA
MOELLE
437 les manières et qui présentent les caractèr
e provenance radiculaire. Aussi bien dans les racines comme dans la
moelle
, il y a beaucoup de pigment sanguin contenu dan
e pigment sanguin contenu dans les hématophages. Si on exa- mine la
moelle
au .niveau de la compression, on constate qu'elle
njonctif. On pourrait dire que dans ce cas, toute l'épaisseur de la
moelle
est constituée au niveau de la compression par de
ice médullaire qui s'est formée au niveau de la com- pression de la
moelle
par luxation de la première lombaire. Elle est co
t fort probable que les auteurs qui ont décrit des névromes dans la
moelle
n'ont eu surtout en vue que les derniers,et c'est
es de Lautermann (fm, fin'). RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA
MOELLE
439 La région des cordons postérieurs, au-dessu
s sections expérimentales et les compressions pa- thologiques de la
moelle
épinière, il 'n'y a point de différences sensible
longitudinale du septum antérieur dans un cas de compression de la
moelle
par luxation de la première lombaire. On y voit d
double proces- sus de régénérescence médullaire el. radiculaire, la
moelle
ne reprend pas ses fonctions et nos malades son
ns le long trajet qu'ils ont à parcourir d'un bout ;i l'autre de la
moelle
, les faisceaux et les fibres nerveuses s'égaren
ons vu qu'il se forme de pareilles colonies dans la cicatrice de la
moelle
sectionnée. HOPITAL DES ENFANTS MALADES ÉTUDE
ndant la nuit, l'enfant meurt brusquement de syncope. AUTOPSIE.- La
moelle
et le cerveau sont d'apparence normale ; le thymu
ues, les troncs nerveux, les ganglions, les racines nerveuses et la
moelle
. 1° Muscles. Un certain nombre de muscles, prél
par la méthode de Pal, sur des coupes transversales intéressant la
moelle
, et sur des coupes longitudinales des gan- glio
aucune altération de leur substance chromatique. 50 MOELI,E.- La
moelle
a été fixée au Muller (à part deux segments,le 6e
les cornes an- térieures. On constate, sur toute la hauteur de la
moelle
, mais avec une intensité crois- sante à mesure
aussi bien que les racines postérieures à leur pénétration dans la
moelle
(PI. LXIII). Les méninges sont absolument intac
compté les cellules des cornes antérieures dans chaque étage de la
moelle
, après repérage à la chambre claire. Voici le
bre claire. Voici le résultat de cette numération. A. Coupe de la
moelle
au niveau de la XII" dorsale, montrant l'atrophie
insi, d'après l'auteur : Affection symétrique et systématique de la
moelle
épinière, portant sur les cornes antérieures, e
n constata une atrophie musculaire très marquée, et en prélevant la
moelle
, une atrophie également évidente des racines an
s périphériques, atrophie des cellules des cornes antérieures de la
moelle
cervicale, dorsale et lombaire, et atro- phie l
avant la fin de la première année. Les examens histologiques de la
moelle
nous mon- POLIOMYÉLITE DIFFUSE SUBAIGUE DE LA P
e,il'n'y a aucune lésion inflammatoire des cornes antérieures de la
moelle
, et qu'il s'agit bien là d'une affection primit
NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE Extrémité inférieure de la
moelle
épinière et queue de cheval. Hypertrophie des r
araît absolument normal. Ce qui frappe le plus, quand on examine la
moelle
, c'est l'hypertrophie con- sidérable des nerfs
ines antérieures l'hypertrophie diminue pro- gressivement depuis la
moelle
jusqu'au canal dure-mérien ; que pour les racines
s, du moins à un simple examen macroscopique; pour les racines delà
moelle
dorsale et cervicale. La moelle n'est ni diminu
roscopique; pour les racines delà moelle dorsale et cervicale. La
moelle
n'est ni diminuée, ni augmentée de volume ; on ne
V. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTR11RE. T. XIX, PL. LXXIV A. Coupe de la
moelle
au niveau de la Vile racine cervicale. Racines
vicale. Racines hypertrophiées. Méthode de Pal. A'. - Coupe de la
moelle
au niveau de la IIe racine sacrée. Racines hype
B". - IV" racine lombaire an'érieure droite à égale distance de la
moelle
et du ganglion. Color. par l'hématoxyline-éosin
e, par la décroissance du calibre des racines antérieures depuis la
moelle
jusqu'à la péri- phérie, il nous a paru intéres
suivant qu'on l'envisage à des niveaux plus ou moins éloignés de la
moelle
, la plus grande richesse de la gaine en noyaux
tissu conjonctif adulte dans les par- ties les plus éloignées de la
moelle
, il devient très vraisemblable du moins pour ce
manchons analogues à ceux de la racine antérieure au voisinage de la
moelle
. Au-dessous du ganglion l'aspect de la racine p
s hypertrophié, présente des altérations analogues. Exanzen de la
moelle
épinière. La moelle durcie dans le liquide de M
te des altérations analogues. Exanzen de la moelle épinière. La
moelle
durcie dans le liquide de Muller, a été étudiée s
picro-carmin, par l'hématoxyline-éosine. Sur toute la hauteur de la
moelle
, les cordons antéro-latéraux sont absolu- ment
ajet médullaire entre la corne antérieure et la circonférence de la
moelle
et le diamètre antéro- postérieur des cordons a
es à l'oeil nu, occupe une situation variable suivant l'étage de la
moelle
; c'est pourquoi nous étudierons successivement
successivement les diverses régions. A l'extrémité inférieure de la
moelle
, au niveau de la IVe sacrée, par exemple, sur l
même que dans la région cervicale infé- rieure. Un fragment de la
moelle
a été prélevé à la région cervicale et à la régio
ia trie, 1889. 308 DEJERINE ET ANDItÉ-THO11AS postérieurs de la
moelle
.- L'observation de Dubreuilh (1), qui au point
veuses périphériques diminuant de bas en haut, et l'intégrité de la
moelle
épinière : Sainton se demande même si en raison
ont en aucune manière comparables à celles du tabes : enfin dans la
moelle
il existait des dégénérescences com- parables à
. Voici, le plus brièvement possible, les principales lésions de la
moelle
épinière décrites au cours du mal de Pott, en d
pensait Louis, mais d'une manière indéniable dans certains cas, la
moelle
est comprimée par la lésion osseu- se, après qu
és en arrière, lors du tassement. Dans l'un et dans l'autre cas, la
moelle
peut être écrasée contre la paroi postérieure d
ace libre en arrière entre la dure-mère et les arcs vertébraux ; la
moelle
, fixée par les racines et le ligament dentelé, es
s le périoste ou le ligament longitudinal postérieur, exerce sur la
moelle
une action analogue à celle de la compression os-
e la dure- mère, ces lésions peuvent agir sur les racines et sur la
moelle
. Très rapidement les racines sont englobées, pa
culaire ; parfois cependant, elle envahit les ganglions spinaux. La
moelle
peut être atteinte de différentes façons : 1° T
u'à1 cm 1/2 d'épais- seur, compriment et déforment mécaniquement la
moelle
, sur laquelle elles marquent leur empreinte. Ce
erculose ou l'inflammation se propagent aux méninges molles et à la
moelle
. , 3° Dans d'autres cas, les lésions inflammato
ignent pas une épaisseur suffisante pour comprimer mécaniquement la
moelle
: celle-ci n'est ni déformée, ni diminuée de vo
éventua- lité, au niveau du foyer épidural, les mêmes lésions de la
moelle
épinière, qui diffèrent suivant l'âge du proces
tion leucocytique autour des vaisseaux des méninges molles et de la
moelle
: en plus de l'épaississe- ment fibreux que peu
ésions d'endo et de périvascularité, dans les méninges molles et la
moelle
, avec de véritables traînées de lymphangite spi
ues, sont rapportées par presque tous les auteurs, à l'oedème de la
moelle
. D'ailleurs, les chirurgiens disent cons- tater
cet oedème au cours de leurs interventions : même aux autopsies, la
moelle
est fréquemment trouvée plus volumineuse qu'à l'é
, et surtout, on l'observe ailleurs que dans les compressions de la
moelle
. Schmaus a pu le réaliser expérimentalement, en i
méninges molles sont complètement indépendantes de la dure-mère. La
moelle
est, au niveau de l'éperon osseux (7° segment dor
- dérable de la névroglie ; çà et là, surtout à la périphérie de la
moelle
, des gai- nes myéliniques très dilatées, avec t
sions dégénératives diffuses, plus intenses à la périphé- rie de la
moelle
. Méninges molles et vaisseaux sanguins sans lésio
ayant débuté cliniquement à 70 ans. Mort 7 ans après. Coudure de la
moelle
sur un éperon osseux (1). Femme de 77 ans. Débu
dans le canal rachidien, adhérant à la dure-mère, et sur lequel la
moelle
est légèrement coudée. De la in paire dorsale j
la dure-mère et les ménin- ges molles : la partie antérieure de la
moelle
est légèrement aplatie au niveau des lor et 2e
chronique. Foyer épidural peu considérable. - Lésions légères de la
moelle
. (1) Une étude histologique de ce cas ainsi que
gauche. Histologiquement, ce foyer est entièrement extra-dural ; la
moelle
ne présente à son niveau qu'un léger épaississe
seaux et des méninges. Pas de lésions dans les autres régions de la
moelle
. Les cellules nerveuses présentent, dans toutes
e symphyse complète englobant les racines de la queue de cheval. La
moelle
présente partout sa forme et son volume normaux
et en pleine évolution. Il semble qu'on puisse reconnaître dans la
moelle
et les méninges molles deux ordres de lésions.
qu'une néphrite aiguë. Gros foyer épidural comprimant légèrement la
moelle
, début de myélomalacie. Homme de 55 ans, peintr
ant les racines correspondantes. Au niveau des 8e et 9e racines, la
moelle
est légèrement aplatie d'avant en arrière. Les mé
quelques adhérences avec la dure-mère, sur la face antérieure de la
moelle
. Histologiquement, le foyer épidural a la struc
ns lésion nette : la pie-mère présente sur la face antérieure de la
moelle
, au niveau du foyer épidural, quelques amas embry
r épidural, quelques amas embryonnaires. La moitié antérieure de la
moelle
est nettement aplatie, avec élargissement et défo
sement et déformation de la substance grise : le volume total de la
moelle
est plutôt supérieur à la normale. Les cellules
5 mois. - Gros foyer tuberculeux épidural comprimant notablement la
moelle
. Myélomalacie. Après deux accouchements, à 10 m
haut et en bas. Ce foyer, très volumineux, comprime latéralement la
moelle
, surtout à gauche, où il y imprime nettement so
1). Pas d'adhérences entre la dure-mère et les méninges molles ; la
moelle
au ni- veau du foyer est déformée, offre l'aspe
ter des points nécrosés : plusieurs sont comme enchâtonnées dans la
moelle
, qui paraît s'être gonflée. La moelle est atteint
nt comme enchâtonnées dans la moelle, qui paraît s'être gonflée. La
moelle
est atteinte de myélomalacie,avecdisparition co
nt des exemples nets de Compression osseuse. Dans la première, la
moelle
est aplatie d'avant en arrière par un éperon os
ite, est repoussé en arrière, comprimant la partie antérieure de la
moelle
, qui est coudée sur lui. Ici encore, l'éperon o
is, dans les deux derniers, le foyer épidural comprime nettement la
moelle
: aplatissant sa partie antérieure (obs. V),l'étr
n'avons pas trouvé de lésions scléreuses des ra- cines. , Dans la
moelle
, les lésions sont analogues dans les obs. 1 (avec
e l'admettent les auteurs, pouvoir être rapportées à l'oedème de la
moelle
, qui paraissait net dans l'observation VI. D'or
ment perméa-' bles. Aussi bien dans les méninges molles que dans la
moelle
elle-même et, en.général, pleins de sang. 522
ons de Golf) semblent en rapport, plutôt avec les altérations de la
moelle
qu'avec celles des racines. Le foyer épidural
méninges molles,avec propagation à l'intérieur des racines et de la
moelle
. Etant donné la présence de cellules géantes d'
ombaires et 18 dorsales sont légèrement atteintes à leur sortie de la
moelle
. La pie-mère est intacte, ses vaisseaux largeme
latés, ceux des racines, épaissis mais encore perméables. Dans la
moelle
, au-dessus de la région lombaire, pas d'autre alt
re ; les ganglions présentent des cellules en chromatolyse. Dans la
moelle
lombo-sacrée épaississement des méninges mol- l
dissociation syringomyélique de la sensibilité ; compression de la
moelle
par le foyer épidural. Une femme de 56 ans, qui
ntre la dure-mère et les méninges molles sur toute la hauteur de la
moelle
. Celle-ci est, surtout à gauche, aplatie d'avant
vahi par la tubercu- lose. Histologiquement l'aplatissement de la
moelle
est évident; dans la région cervicale inférieur
ural comprimant nettement les racines el, à un degré plus léger. la
moelle
. Evolution en 6 mois 1/2 ; douleurs rndicu- lai
QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 527 la hauteur de la
moelle
, et présentent, çà et là, quelques adhérences ave
plus légère traction. Au niveau des 5° et 6° segments cervicaux, la
moelle
est léèrement compri- mée ; la substance grise
. Elude histologique. Au niveau des 5e et 6e segments cervicaux, la
moelle
aplatie, d'avant en arrière dans sa moitié gauc
nt), au niveau du cordon antéro-latéral droit, la super- ficie delà
moelle
est saillante, tuméfiée, avec dilatation des gaîn
le 6e segment, mais seulement plus légères. Partout ailleurs, la
moelle
et les racines sont saines : pas de lésions d'au-
rne est partout saine, sans adhérences avec les méninges molles. La
moelle
n'est ni comprimée ni déformée. Les centres ner
deux dernières altérations se retrouvent, à un degré moindre, dans la
moelle
lombaire. Les racines postérieures du côté ga
aisceau. Dans ces 3 cas, la compression osseuse faisait défaut ; la
moelle
, dans - l'observation IX, est fortement infléch
Au contraire, le foyer épidural comprime et déforme nettement la
moelle
, dans les observations IX et X. QUINZE AUTOPSIE
né des dégénérations ascendantes des cordons postérieurs. Dans la
moelle
(Obs. X),les lésions « d'oedème » sont très manif
o-postérieure du rachis montre que cet éperon ne fait qu'effleurer la
moelle
, qui n'est pas déformée, seulement coudée. Da
racines, englobées dans ce tissu semblent tiraillées, élongées ; la
moelle
est nettement déprimée par le tubercule. La fac
génératives au-dessus et au-dessous. Dans toute la hauteur de la
moelle
, cellules nerveuses globuleuses ; ébauche de ch
mais avec prédominance pour les zones radiculaires. En dehors de la
moelle
, les racines paraissent intactes. Cas. XIV (n
ù on trouve (pl. L1XIX, fig. 3, face antérieure de la 532 ALQUIER
moelle
: ug. 2 face postérieure) deux masses lardacées e
ardacées englobant les racines et entourant presque complètement la
moelle
, qui n'est nullement déformée. Quelques adhéren
ture d'un tubercule en activité ; à son niveau ( ? 7° dorsales), la
moelle
est atteinte de sclérose névroglique dif- fuse,
euses avec chromatolyse et pigmentation dans toute la hauteur de la
moelle
, sclérose des méninges molles. Vaisseaux largemen
infiltration se pro- page autour des vaisseaux à l'intérieur de la
moelle
et des racines. La moelle présente de légères l
ge autour des vaisseaux à l'intérieur de la moelle et des racines. La
moelle
présente de légères lésions d'oedème et un foye
dans le canal rachidien, une saillie notable, dont l'action sur la
moelle
, variait d'un cas l'autre. Obs. XII : la sailli
ur du canal rachidien, ne dé- terminait qu'une légère coudure de la
moelle
, sans lésions nettes au mi- croscope. 1 Obs.
osseuse est sur la XIe dorsale; la coudure et la compression de la
moelle
sont nettes, et déforment la partie antérieure de
n de la moelle sont nettes, et déforment la partie antérieure de la
moelle
. Mais il est impossible de préciser la part qui r
idurales. ' Obs. I. : la saillie de. la VIe dorsale, aplatissant la
moelle
contre les arcs postérieurs, réduit déplus de m
- Cinq fois, le foyer épidural comprimait et déformait nettement la
moelle
. - Obs. VI : elle est comprimée latéralement et
ré d'une coque fibreuse épaisse qui le fixe aux racines, incurve la
moelle
cervicale. en arc à concavité antérieure, en l'
ons indiqueraient, d'après les auteurs, l'oedème histologique de la
moelle
. La myélomalacie est totale dans l'observation
mais il ne semble pas que cette oblitération puisse causer dans la
moelle
des troubles circulatoires bien accentués ; nou
rouver aucun parallélisme entre l'état des vaisseaux sanguins de la
moelle
et les lé- sions de celle-ci d'une part, et les
chronique avec forte poussée aiguë, chez une artério- scléreuse, la
moelle
présentait de petites hémorrhagies, d'ailleurs in
endu de myélomalacie, peut-être d'origine vasculaire. Lésions de la
moelle
. Dans la moelle, nous trouvons, tantôt des lé-
acie, peut-être d'origine vasculaire. Lésions de la moelle. Dans la
moelle
, nous trouvons, tantôt des lé- sions « d'oedème
être aplaties, déformées mécaniquement lors des compressions de la
moelle
avec déformation accentuée. Hormis ces cas, ell
pédoncules cérébraux, le cervelet, la protubérance, le bulbe et la
moelle
d'un homme, dont nous avons déjà ailleurs (2) p
sait une contraction des deux côtés. A l'autopsie, le cerveau et la
moelle
étaient sains. Les artères encépha- liques étai
dé de Pal. La protubérance,le bulbe et la partie su- périence de la
moelle
cervicale ont été de même débitées en tranches pe
rieur. - Sur cou- pes sériés de la protubérance, du bulbe, et de la
moelle
cervico-dorsale, il est facile de suivre la dég
une petite lacune de désintégration autour d'un vaisseau. Dans la
moelle
cervicale, on ne voit pas de lésions, par les mét
ns, par les méthodes de Pal et de Marchi. Il en est de même dans la
moelle
dorsale, III. - Remarques azatozo-clinirizces.
latérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Detiers avec la
moelle
, faisceau de Marchi, faisceau cérébelleux descen-
érivant des différentes localisations de l'artério-sclérose dans la
moelle
, a fait la classification d'une grande quantité d
hite diffuse, périsplénite chro- nique, sclérose rénale intense. La
moelle
et les nerfs périphériques (radial et Nouvelle
lésions dégénératives en activité irrégulièrement reparties. A la
moelle
on a fait des coupes sériées du segment VII et VI
rmet d'attribuer une valeur causale aux lésions pathologiques de la
moelle
dans la production de la rétraction palmaire. I
onnamour). Mais, l'artério-sclérose ne limitait pas son action à la
moelle
, parce que tous les autres orga nés présentaien
ET ARTERIOSCLEROSE MEDULLAIRE 557 Ï L'artério-sclérose agit dans la
moelle
comme dans tous les autres orga- nes, produisan
dérangement trophique, ne peut-il pas avoir une action à travers la
moelle
, produisant le trouble par une voie ré- xix 37
ier pour ce qui concerne les amyotrophies et l'état lacunaire de la
moelle
. L'atrophie musculaire dont l'origine est artér
é- terminer soit après l'inactivité, soit par action réflexe sur la
moelle
. La première possibilité doit être exclue pas l
hèse. Les atrophies, donc, se rapportent à l'artério-sclérose de la
moelle
: leur distribution est suffisante pour faire r
sclérose des cornes antérieures. La formation des lacunes dans la
moelle
est un fait rare contrairement t aux autres lés
ytren quand elle se localise dans la substance grise centrale de la
moelle
. 2° La plupart des maladies de Dupuytren dépend
istribution et de marche. 5° L'artério-sclérose peut causer dans la
moelle
des cavités semblables à celles de la désintégr
st le do- maine exclusif des fibres qui constituent au niveau de la
moelle
les faisceaux pyramidal direct et pyramidal cro
otalement dégénérée, la réac- tion que l'on observe au niveau de la
moelle
, délimite absolument le territoire qu'occupe, d
vue de notre comparaison) aux cellules des cornes antérieures de la
moelle
qu'entourent les ramifications pyramidales. Où
ou trophique. Nous savons cependant qu'il existe également dans la
moelle
, un système compliqué de collatérales, de voies
ibres que l'on a décrites comme venant des cornes antérieures de la
moelle
et qui se rendent aux racines postérieures ; car
est, au contraire, dé- placé vers la ligne médiane au niveau de la
moelle
mais il faut dire que les voies pyramidales se
ec la même disposition que la voie pyramidale dans une moitié de la
moelle
. Que devient le contingent temporal non-croisé
nique nous enseignent que contraire- ment à ce qui se passe dans la
moelle
, il n'y a pas d'entrecroisement des fibres réti
ous pouvons presque dire que c'est également ici que se dessine une
moelle
assez véritable. Les fibres du faisceau optique
e cal- carine ou cunéo-linguale, est la commissure antérieure de la
moelle
, et qu'il n'est aucune partie du corps calleux
antonne presque exclusi- vement aux régions inférieures du névraxe (
moelle
et rhombencéphale) ; la voie sensorielle est mi
92. Marinesco et MINE,\. Recherches sur la ré- générescence de la
moelle
(13 fig.), 497. IATIGNON. Plaies pénétrantes du
293. Minea et Marinesco. Recherches sur la ré- générescence de la
moelle
(13 ûg.), 417. Moutier et BRISSAUD. Cyphose pro
wila- térale (un cas de) (1 pi.), par KLIPPEL et Maillard, 282.
Moelle
(recherches sur la régénérescence de la) (13 fi
uveaux faits, propres à éclairer le problème de la constitution de la
moelle
épinière, du bulbe et du noyau cérébral, un nouve
e de Paris en 1843. (2) P. Gratiolet, sur la structure intime de la
moelle
épinière. L'Institut, t. XX, p. 272.— R. Wagner.
e chaîne des annelés. Cette tige qu'enferme le canal rachidien est la
moelle
épinière. Il y a certainement pour chaque anneau
essayé l'un des premiers de la résoudre. Il pensait avoir vu dans la
moelle
des renflements successifs au niveau de chaque ve
chaque vertèbre. Cette proposition est surtout fort évidente dans la
moelle
épinière des oiseaux. « Dans l'in-« térieur de la
ente dans la moelle épinière des oiseaux. « Dans l'in-« térieur de la
moelle
, dit-il, il existe des amas de subie stance pulpe
de chaque vertèbre. C'est de ces « ganglions que tous les nerfs de la
moelle
épinière tirent « leur origine... Les renflements
de la moelle épinière tirent « leur origine... Les renflements de la
moelle
épinière doi-« vent donc être regardés comme auta
de ces deux derniers physiologistes sur la force excitomotrice de la
moelle
, il semble que la distinction de l'axe médullaire
ue la vie de chaque partie dépend spécialement de cette portion de la
moelle
épinière dont elle reçoit des nerfs (2). M. Mul
sure, en effet, que « toute excitation vive du pouvoir moteur de la «
moelle
épinière ne stimule d'abord et immédiatement de
1812. « manière à amener des convulsions, que la portion de cette «
moelle
qui donne naissance au nerf sensoriel, et que l'e
e au nerf sensoriel, et que l'ex-ce citation des autres parties de la
moelle
épinière et des nerfs « qui en proviennent, dimin
« la marche rétrograde de l'influence excito-« motrice le long de la
moelle
épinière, telle qu'on l'observe « dans les expéri
.que les phénomènes excitomoteurs sont « limités à des segments de la
moelle
épinière. » Dans ce raisonnement, la conséquence,
endance des zoonites(2). Il nous semble donc que chaque segment de la
moelle
peut être considéré comme un centre particulier d
automate est excité, il ne sent point. L'excitabilité appartient à la
moelle
, la sensibilité dépend d'un autre appareil, du ce
e de comparaison non moins heureux. H se passe certainement dans la
moelle
quelque chose d'analogue. Ainsi nous croyons, ave
s les vertébrés inférieurs et dans les jeunes fœtus de mammifères, la
moelle
épinière occupe toute la longueur du canal rachid
tous les oiseaux, sont dans ce cas. Les segments excitomoteurs de la
moelle
sont alors placés en regard des vertèbres qui leu
ticulé, comparé à un animal vertébré, marche sur le dos. En effet, la
moelle
épinière d'un animal vertébré, placé de la sorte,
inférieure de la chaîne ganglionnaire des « articulés, tandis que la
moelle
épinière est toujours à la « région dorsale ou su
pourquoi le cerveau ne se trouve pas à la même « face du corps que la
moelle
épinière. » Dugès ne me paraît pas avoir rempli
st là un ganglion supérieur qui n'est autre chose qu'un segment de la
moelle
épinière. Un deuxième ganglion également médian e
raison fera ressortir des ressemblances singulières. Le segment de la
moelle
occupera sur le premier anneau la place que le ce
es anatomistes, et mérite qu'on s'y arrête un instant. Supposons la
moelle
très-courte, par suite d'une condensation poussée
ongues racines. Ces racines seront dans ce cas disposées autour de la
moelle
, comme les crins de la queue d'un cheval sur l'ap
tes ont indiqué cette disposition. Condensons de plus en plus cette
moelle
si courte, réduisons-la à un seul tubercule, et s
CHAPITRE PREMIER de l'axe nerveux céphalo-rachidien § 1. De la
moelle
épinière en général. La chaîne des ganglions qu
Ces deux moitiés ont une organisation pareille. L'une d'elles est la
moelle
droite, l'autre est la moelle gauche. La commis
nisation pareille. L'une d'elles est la moelle droite, l'autre est la
moelle
gauche. La commissure unit les deux moelles ver
e droite, l'autre est la moelle gauche. La commissure unit les deux
moelles
vers le milieu de leurs faces juxtaposées. Sauf c
fois, n'est mieux établi que son existence dans toute l'étendue de la
moelle
épinière ; mais il faut avouer que ses parois s
aisément cette erreur. La tige médullaire est donc divisée en deux
moelles
symétriques. Chacune de ces moelles présente à so
dullaire est donc divisée en deux moelles symétriques. Chacune de ces
moelles
présente à son tour des indices de division longi
m de funicule accessoire du cordon latéral. Il y a donc dans chaque
moelle
trois cordons principaux. L'antérieur, le moyen,
stions m'ont longtemps embarrassé, et il faut l'avouer, l'étude de la
moelle
de l'homme ne suffît plus ici, il faut d'autres é
la plus grande évidence. Je recommande surtout pour ces recherches la
moelle
des singes et des carnassiers, tels que le chien,
ction incessante des cordons postérieurs dans toute la longueur de la
moelle
est l'un des faits anatomiques les plus curieux p
stoire de la force excito-motrice considérée dans chaque région de la
moelle
épinière. Nous reviendrons d'ailleurs sur ce suje
amas ou renflement gris qu'elles présentent à quelque distance de la
moelle
(1), de là le nom de racines glanglionnaires sous
rcher à voir leur profondeur. Cette étude intime et approfondie de la
moelle
épinière est extrêmement délicate ; aussi, sur be
encore aujourd'hui toute la précision désirable. § 9. Dtuelc de la
moelle
d'après des coupes transversales. La dissection
de la moelle d'après des coupes transversales. La dissection de la
moelle
, suivant sa longueur, n'apprend rien au delà de
équence, se borner à étudier avec attention des tranches minces de la
moelle
pratiquées en plusieurs directions, et plus parti
rsale de cette épée est sémilunaire. Or, comme il y a en réalité deux
moelles
, la coupe simultanée de leurs axes gris donne lie
e intermédiaire. Le tranchant antérieur de l'axe gris est dans chaque
moelle
épais et arrondi; il est logé dans le centre du f
nt postérieur, il fait, en certains lieux, saillie à la surface de la
moelle
, et se montre au fond du sillon latéral postérieu
urtout abondants dans la région cervicale et sousbulbaire. Les deux
moelles
qui composent l'axe nerveux sont semblables, ou d
l'existence dans toutes les régions. Ce canal est le ventricule de la
moelle
épinière. Il est parfaitement ouvert, et, quoi
s animaux à tous les âges de la vie, et dans toutes les régions de la
moelle
; elle est également constante dans l'enfant nouve
(1) Cela est parfaitement exact, eu égard aux actions propres de la
moelle
et en particulier aux mouvements réflexes. (2)
mieux de nos observations ultérieures. § 3. Structure Intime de la
moelle
épinière. La tige médullaire, outre une charpen
périphériques en fibres nerveuses centrales se voit aisément dans la
moelle
de la grenouille. La première enveloppe des fibre
rfs, cesse brusquement au point d'implantation de ces racines dans la
moelle
. L'axe de la fibre, revêtu de son enveloppe imméd
ociant les unes avec les autres. Ce réseau a l'aspect spongieux d'une
moelle
de jonc. Il sert de soutien aux vaisseaux capilla
nsidère différents animaux ou même les différentes régions d'une même
moelle
, mais encore dans une seule tranche prise isoléme
s'unir aux faisceaux postérieurs; ainsi le plexus des cellules de la
moelle
sert d'intermédiaire entre le système des 'cordon
on. Quoi qu'il en soit, en étudiant avec attention des tranches de la
moelle
pratiquées, soit dans le sens transversal, soit d
roche, forment un vaste plexus qui s'étend dans toute l'étendue de la
moelle
épinière ; d'autres prolongements se continuent a
l on démontre le plus facilement ces anastomoses est le suivant : Une
moelle
extraite aussitôt après la mort chez un animal tu
ée dans de l'alcool à 32 degrés. Deux jours après on détache de cette
moelle
des tranches minces qu'on rend transparentes en l
qu'elles ont entre elles. Je recommande surtout pour cette étude, la
moelle
du chat et celle des grands ruminants, du bœuf en
urs ou latéraux que postérieurs, soit enfin avec le côté opposé de la
moelle
par l'intermédiaire de la commissure. Ce n'est qu
ers temps que je suis parvenu à voir sur des coupes transverses de la
moelle
du chat, à la région lombaire des fibres qui, des
nces de Gœttingue, 16janvier 1854. commissure, au côté opposé de la
moelle
. Tous ces faits ont une haute importance, et peuv
rown-Séquard, et de Schiff. Suivant Owsjannikow, chaque cellule de la
moelle
, dans les poissons, fournit quatre prolongements,
, des plexus semblables peuvent se trouver en d'autres parties que la
moelle
, témoin ceux qui ont été découverts par M. le mar
la justesse en étudiant avec attention des coupes transversales de la
moelle
, démontrent que la limite réelle du cordon postér
l ne faut point anticiper ici sur le paragraphe suivant. § 4. De la
moelle
dans ses différentes régions. La moelle épinièr
raphe suivant. § 4. De la moelle dans ses différentes régions. La
moelle
épinière dans les animaux mammifères n'occupe pas
bre lombaire. C'est là du moins qu'est la terminaison apparente de la
moelle
; car en réalité elle se prolonge au delà sous for
la queue de cheval jusqu'à la base du sacrum. Cette brièveté de la
moelle
ne détruit point les relations réelles de ses seg
connue pour qu'il soit utile d'y insister ici. Les diamètres de la
moelle
varient beaucoup dans ses différentes régions; re
la puissance de locomotion qui est en lui, tandis que le volume de la
moelle
semble surtout en rapport avec la capacité sensit
nce blanche, dans les mêmes proportions dans toutes les régions de la
moelle
. Ainsi, le plus souvent, il y a plus de substance
rable, ce qui semble indiquer qu'à mesure que certaines régions de la
moelle
prennent plus d'importance, elles retiennent plus
esure que les fonctions du cerveau se développent, l'importance de la
moelle
en tant que centre automatique décroît, tandis qu
croît, tandis qu'au contraire cette importance grandit en tant que la
moelle
est un appareil conducteur, eu égard au cerveau.
uvent paraître de quelque utilité pour l'histoire philosophique de la
moelle
épinière. ENFANT NOUVEAU-NÉ homme adulte
'un grand nombre de paires nerveuses s'attachent à cette région de la
moelle
, et devraient accroître la somme de ses fibres, d
orps ne remontent pas jusqu'au cerveau, la plupart s'arrêtant dans la
moelle
épinière, ce que les phénomènes de l'action réfle
a force (t) Voici les mesures relatives des aires des (ranches delà
moelle
prisesdans les trois régions indiquées chez le ch
n dorsale. 1156 186 164 Région cervicale. 2273 676 1142 40 DE LA.
MOELLE
DANS SES DIFFERENTES RÉGIONS. relative des axes
ENTES RÉGIONS. relative des axes gris dans la région lombaire de la
moelle
. Ces axes sont en effet réduits comparativement d
ue nous exprimons ici. Il est donc probable, sinon démontré, que la
moelle
n'est en rapport avec le cerveau, surtout dans se
e. Le bulbe semble, au premier abord, n'être qu'un renflement de la
moelle
dans le crâne. Il n'est point arrondi comme (1)
êtes. Le sommet de la pyramide est dirigé vers le bas, et répond à la
moelle
épinière ; sa base regarde le cerveau. Cette base
triques. Ce sillon, beaucoup moins profond que le sillon médian de la
moelle
épinière, en est la suite et se termine par une f
. Ces bandes ne se continuent point avec les cordons antérieurs de la
moelle
proprement dits, ou du moins elles n'émanent poin
st, dans le bulbe, la continuation du sillon latéral postérieur de la
moelle
épinière. Ce tubercule est donc un renflement, ou
oppement de cette traînée de substance grise qui occupe dans toute la
moelle
le fond du silion latéral postérieur. Il ne s'é
coupant transversalement celles de ses racines qui tiennent soit à la
moelle
, soit à la protubérance, nous découvrirons une tr
osition de ce cordon diffère ici très-peu de ce qu'elle était dans la
moelle
, on y reconnaît aisément les faisceaux médians po
pédoncules postérieurs. Si nous partons des faits que l'étude de la
moelle
nous a révélés, les conséquences de cet écartemen
le, et établissent sa continuité, d'une part avec le ventricule de la
moelle
, de l'autre avec les ventricules cérébraux. Une
dérer comme représentant les tranchants spongieux de l'axe gris de la
moelle
, tandis que les renflements cendrés des frères We
rs soient très-écartés l'un de l'autre dans un point quelconque de la
moelle
épinière ; il s'ensuivrait une pareille modificat
s. (2) Cf. Note sur la comparaison du noyau de l'encéphale et de la
moelle
épinière (l'Institut; t. XX, 1852, p. 373). je
aite sur le cerveau. Le noyau de l'encéphale est au crâne ce que la
moelle
épinière est au rachis; mais ces analogies sont d
xe dans le crâne. § 5. Comparaison du noyau de l'encéphale et de la
moelle
épinière. On a longtemps protesté contre l'idée
nt. Il y a en effet des segments dans les couches musculaires ; et la
moelle
, composée elle-même par une succession de parties
ventricules du cerveau un épanouissement du tube ventriculaire de la
moelle
; dans le bulbe et dans les pédoncules, un prolon
re pas frappé de cette idée, que le noyau est dans le crâne ce que la
moelle
est dans le raehis, le contenant et le contenu, a
t il est difficile de saisir le passage qui, des formes simples de la
moelle
, conduit aux formes si compliquées de l'encéphale
ption sera notre levier. Nous l'avons vu, semblable à un tube dans la
moelle
, se dilater dans le quatrième ventricule, se rétr
ar les parties qui sont annexées au ventricule. Le ventricule de la
moelle
est compris dans l'épaisseur de la commissure,
e est sa lame grise. Or, imaginons dans un segment quelconque de la
moelle
un enroulement du ventricule semblable à celui qu
le encéphalique, n'établit point une différence fondamentale entre la
moelle
et le noyau de l'encéphale. C'est là un fait acce
ésulte d'une dilatation, d'une expansion excessive. Une tranche de la
moelle
, dans laquelle on suppose une dilatation pareille
phalique. Fig. 6. Imaginons, en effet, une coupe transverse de la
moelle
, dans laquelle deux expansions latérales seraient
us pouvons affirmer avec certitude qm h noyau »lo 1'ençéphaje est une
moelle
dilatée et enroulée sur elle-même, en un mot, c
oelle dilatée et enroulée sur elle-même, en un mot, ce noyau est la
moelle
du crâne. C'est autour de cette moelle, comme aut
me, en un mot, ce noyau est la moelle du crâne. C'est autour de cette
moelle
, comme autour d'un centre, que les courbes du crâ
t le système entier des vermis sont en raison directe du volume de la
moelle
et du bulbe ; ¦2° Que le volume des expansions
dons antérieurs proprement dits, et naissent dans la profondeur de la
moelle
, de l'arête centrale des faisceaux moyens par des
tion bien fondée, en étudiant au microscope des tranches minces de la
moelle
, pratiquées au niveau de la région qu'occupe cet
constatons entre les fibres qui composent la commissure blanche de la
moelle
. Maintenant que sont ces pyramides, et pourquoi
ar une série d'entrecroisements continus dans toute la longueur de la
moelle
. Mais au-devant de la protubérance, entre le tria
r abord un aspect très-différent de celui que présentent celles de la
moelle
épinière. Elles contiennent en effet un réseau de
tte structure paraît au premier abord toute différente de celle de la
moelle
épinière, mais avec un peu d'attention on arrive
rates. J'ai dit plus haut comment les fibres de la commissure de la
moelle
se comportent avec les fibres longitudinales de l
interstices, les petits faisceaux isolés de cette arête. Or, dans la
moelle
, la commissure antérieure est fort mince et ne co
ui rend au premier abord très-difficile la comparaison des axes de la
moelle
avec les parties grises du bulbe. Mais les détail
an du bulbe, répond à cet amas de cellules multipolaires qui, dans la
moelle
, touche au faisceau antérieur; l'autre externe re
u antérieur; l'autre externe représente l'amas qui correspond dans la
moelle
au faisceau latéral. Ces cellules du bulbe sont f
térieures des nerfs spinaux traversent les faisceaux antérieurs de la
moelle
, de même ces nerfs du bulbe traversent toute l'ép
tant qu'il résulte d'une modification des parties intrinsèques de la
moelle
épinière. Or, outre ces modifications qui le cara
marquable par l'existence de deux productions qui n'ont point dans la
moelle
d'analogues visibles. Je veux parler des olives e
e centrale des cordons antérieurs tels qu'ils sont constitués dans la
moelle
épinière. (c) . Le groupe du faisceau latéral q
s transversales. Celles-ci représentent la commissure blanche de la
moelle
. Elles sont étendues d'un côté à l'autre du bulbe
antérieurs. Il y a, entre ces faits et ceux que révèle l'étude de la
moelle
épinière, une analogie frappante. 4° Fibres env
nom de fibres arci formes. Ces fibres n'ont point d'analogues dans la
moelle
épinière. L'étude des coupes longitudinales du
ogies avec le bulbe sont si évidentes, et le bulbe a lui-même avec la
moelle
de telles ressemblances, qu'en suivant pas à pas
re partie, sinon la totalité de leurs fibres, se sont détachées de la
moelle
pour se terminer dans le vaste épanouissement d
leuses ; nouveau mode d'épuisement des faisceaux postérieurs, dont la
moelle
épinière ne nous avait offert aucun exemple. Da
dont la moelle épinière ne nous avait offert aucun exemple. Dans la
moelle
, en effet, les fibres des cordons postérieurs s'é
u centre de ses axes gris ; ici, au contraire, elles s'écartent de la
moelle
et se terminent dans un appareil surajouté. Une a
uisent des impressions différentes de celles qui se propagent dans la
moelle
par le centre même de l'axe gris. Mais celte indu
tenant quel sera le trajet des fibres qui, du cordon postérieur de la
moelle
, se portent vers les pédoncules cérébraux? Il sem
r ne diffèrent point de ceux que présente la commissure blanche de la
moelle
. Elle offre un raphé médian que parcourent, d'a
sent essentiellement des fibres émanées des cordons postérieurs de la
moelle
, du nerf acoustique et du pédoncule cérébelleux s
axe, représente assez bien les cornes spongieuses des axes gris de la
moelle
(1). Les fibres qui composent, la coiffe, c'est
rmes. Ces parties sont, si je puis le dire ainsi, les cervelets de la
moelle
épinière. 2° Les parties latérales du cervelet
fibres blanches, occupant le centre de chaque hémisphère, a été nommé
moelle
ou substance médullaire, par opposition au nom d'
des paires rachidiennes; deux racines distinctes les rattachent à la
moelle
épinière; la racine antérieure pénètre dans le si
; la racine antérieure pénètre dans le sillon latéral antérieur de la
moelle
, elle ne porte point de ganglions; la racine post
ne ganglionnaire; elle se rattache au sillon latéral postérieur de la
moelle
et plonge dans l'arête grise gélatineuse qui occu
quelques années, aller beaucoup plus lein ; des tranches minces de la
moelle
examinées à un grossissement de 350 fois environ,
s antérieurs et latécaux, les autres se portent dans l'axe gris de la
moelle
. Celles-ci ont un trajet constant; une ou plusi
glionnaires. Elles plongent dans les sillons laléro-postérieurs de la
moelle
. Leurs fibres sont de deux ordres ; les unes se c
Parmi ces fibres, quelques-unes se dirigent vers le ventricule de la
moelle
; d'autres s'unissent aux petites cellules multipo
vant d'intermédiaire central entre les deux ordres de racines dans la
moelle
. Par conséquent, si ces racines ont des fonctio
impressionnabilité, par exemple, avec la réactivité; voilà comment la
moelle
est, par elle-même, un centre d'action réflexe, e
ables à ceux qu'ont les racines antérieures des nerfs spinaux avec la
moelle
épinière. Stilling et Vallach ont vu et parfaitem
de filets radiculaires, dont les plus inférieurs s'implantent dans la
moelle
au niveau du sixième ou septième nerf cervical. P
ires de nerfs crâniens. Paris, 1853. dans le bulbe l'axe gris de la
moelle
. J'insiste sur ce mode d'origine, qui a été jusqu
rieure de la strie gélatineuse qui occupe, dans toute l'étendue de la
moelle
, le fond du sillon latéral postérieur. Ainsi cett
e un peu en avant, continuerait le sillon collatéral postérieur de la
moelle
, une série de filets dont les plus élevés apparti
és. Tous les nerfs des deux premières catégories appartiennent à la
moelle
, au bulbe et au noyau encéphalique. Mais ceux de
ien digne de fixer l'attention. Les fibres nerveuses qui vont de la
moelle
et des nerfs aux hémisphères, et réciproquement,
t-elles plus nombreuses dans le centre ovale de Vieussens que dans la
moelle
et dans les nerfs? La réponse serait douteuse en
robable. Il n'y a en effet aucun rapport direct entre le volume de la
moelle
et du bulbe et le développement des couronnes rad
logues à celles qui avaient frappé Th. Bartholin lorsqu'il nia que la
moelle
fût une production du cerveau, obligent de conclu
a aucune correspondance nécessaire entre le nombre des fibres dans la
moelle
et dans les nerfs, et leur nombre dans les prolon
savoir, que l'encéphale est une efflorescence ou une production de la
moelle
épinière ; cette idée, avons-nous dit, est de Bar
fait, que la grandeur du cerveau est en raison inverse de celle de la
moelle
, et il semblait fort bien raisonner en disant qu'
e pouvait supposer qu'un plus grand cerveau produisît une plus petite
moelle
, et un plus petit, une plus grande; mais il ne fa
lus petit, une plus grande; mais il ne fallait pas en conclure que la
moelle
produit le cerveau, puisque dans ce cas une petit
lure que la moelle produit le cerveau, puisque dans ce cas une petite
moelle
produirait un plus grand cerveau, et réciproqueme
. VII, Discours sur les animaux carnassiers, page 17. duit point la
moelle
, la moelle ne produit point non plus le cerveau,
ours sur les animaux carnassiers, page 17. duit point la moelle, la
moelle
ne produit point non plus le cerveau, qu'ils ont
nflements primordiaux du cerveau antérieur; enfin les faisceaux de la
moelle
, les pédoncules cérébraux, et toutes les formatio
restiformes, une petite lamelle en bordait la marge et passant de la
moelle
au cervelet, semblait être un débris de la paroi
leur nacrée des pyramides, et celle des faisceaux longitudinaux de la
moelle
qui, par leur apparence fibreuse et leur blancheu
ndice d'une liaison plus intime entre les pyramides antérieures et la
moelle
; mais il n'est pas facile d'expliquer clairement
nés par la nature à une plus longue vie. Serait-ce que la force de la
moelle
épinière, s'éleignant avant celle du cerveau, (
fibreuse, en partie vasculare, revêt immédiatement l'extérieur de la
moelle
et du cerveau. Elle tapisse avec beaucoup d'exact
d'où naissent les fines artères qui pénètrent dans la substance de la
moelle
ou du cerveau. Sa structure a été fort bien décri
un aspect fibreux; c'est ce qui a lieu plus particulièrement dans la
moelle
épinière; mais autour des parties grises de l'enc
es céphalo-rachidiens est fort simple. Elle embrasse immédiatement la
moelle
épinière et forme deux replis, dont l'un tapisse
l complet, ce qui a lieu, par exemple, dans la région cervicale de la
moelle
du Chat. Outre ces prolongements et ces replis, l
e membrane est un epithelium composé de cellules cylindriques dans la
moelle
, et dans l'encéphale de cellules à cils vibratile
égion lombaire et enfin terminé en pointe vers le coccyx, contient la
moelle
épinière et les racines des nerfs qui s'y rattach
fréquemment chargé de graisse. La dure-mère rachidienne contient la
moelle
épinière qui en occupe le centre, et les racines
es rachidiennes. Elle circonscrit un grand espace au milieu duquel la
moelle
est suspendue dans une atmosphère liquide ; des a
tre chose qu'un prolongement de l'enveloppe que la pie-mère fait à la
moelle
; 2° latéralement les ligaments dentelés, sortes
es de la charpente celluleusede la pie-mère, dont la base touche à la
moelle
et le sommet aux parois du sac formé par la dure-
page 8. ces attaches de la pie-mère ne donneraient évidemment à la
moelle
aucune fixité réelle. Mais il n'en est pas ainsi,
et viscéral, enveloppe, à la manière d'un grand sac, le cerveau et la
moelle
épinière, mais il recouvre ces parties sans y adh
contestée, il est refoulé par tous les prolongements qui unissent la
moelle
aux parties périphériques, et revêt ces prolongem
ente de la pie-mère. Ne servant point comme elle à la nutrition de la
moelle
et du cerveau, elle ne pénètre point dans les anf
céphalo-rachidien. Dans le rachis, le feuillet viscéral forme à la
moelle
une enveloppe très-large que distend le même liqu
fficile, dit M. Magendie, de comprendre quelle protection efficace la
moelle
reçoit du liquide qui l'environne, et au milieu d
fs rachidiens. » Non-seulement le liquide céphalo-spinal forme à la
moelle
et au cerveau une enveloppe liquide, il baigne en
rachidien. V Éléments anatomiques propres. (a) . Enveloppes de la
moelle
.—La dure-mère rachidienne est à la fois composée
ard aucun doute. (1) Mtiller's Archiv. 1839. CHAPITRE II. DE LA
MOELLE
. §1. De la moelle en tant que centre nerveux.
1) Mtiller's Archiv. 1839. CHAPITRE II. DE LA MOELLE. §1. De la
moelle
en tant que centre nerveux. Mais quelles sont l
e en tant que centre nerveux. Mais quelles sont les fonctions de la
moelle
à laquelle tous les nerfs sont attachés? Cette qu
re? Ces deux questions méritent d'êtres traitées successivement. La
moelle
est certainement un centre d'actions nerveuses. U
Expériences sur le principe de la vie. Paris, 1812. vements dont la
moelle
est le principe, de ceux qui ont pour cause l'irr
e persistent. 11 va plus loin encore. Il essaye de démontrer que la
moelle
est le principe de ces deux facultés, et fait voi
cipe de ces deux facultés, et fait voir que chacune des parties de la
moelle
a le privilège d'animer toutes les parties du cor
lus à l'Académie des sciences en 1822 et 1823. —M. Flourens divisa la
moelle
épinière en trois segments. — « J'eus alors, dit-
de force excito-motrice n'a point été conservé. Cette faculté que la
moelle
a de recevoir des excitations et de réagir sur el
audrait peut-être mieux (3). Si l'on divise sur un animal vivant la
moelle
épinière en deux segments, la sensibilité et l'in
irritation exit lérieure, subsiste après la décapitation, puisque la
moelle
épinière, agent « producteur de tous ces mouvemen
attachés ; on a pu conclure ainsi d'expériences très-exactes, que la
moelle
a un pouvoir de diffusion ; que toute impression,
bles qui se répandent dans la peau a sur la force de réactivité de la
moelle
une influence beaucoup plus grande que l'irritati
nt d'être excitables dans les troncs nerveux qui se rapprochent de la
moelle
, et 2° qu'il y a entre la peau et les muscles, pa
2° qu'il y a entre la peau et les muscles, par l'intermédiaire de la
moelle
, des relations automatiques si intimes, qu'un gra
n de l'intelligence (3). Quoi qu'il en soit, cette réactivité de la
moelle
se dévelop-pe-t-elle dans un sens direct ou crois
p. 15. Cf. Van Deen, Traités et découvertes sur la physiologie de la
moelle
épinière. Leyde, 1841. solue par les expérience
et de M. Brown Séquard. La réaction est directe. Ainsi divise-t-on la
moelle
dans un plan médian sur un animal décapité, l'exc
muscles gauches. Toutefois dans l'état normal les deux moitiés de la
moelle
influent l'une sur l'autre, et de cette influence
mais plus particulièrement sur les plus inférieurs, démontrent que la
moelle
, considérée comme centre, a un pouvoir propre et
'âme immatérielle des bêtes (2). Dans l'état normal des animaux, la
moelle
est subordonnée au cerveau. Aussi les manifestati
s aussi bien dans les vertébrés que dans les an-nelés(4). Or, dans la
moelle
épinière, les masses grises qui forment les plexu
12 mai 1857.;. u. 22 ciens la question n'était point douteuse. La
moelle
n'était rien qu'un nerf. Nous avons vu qu'elle es
paraît appartenir surtout à ses fasciculations blanches. § 8. De la
moelle
comme conducteur. La découverte de Walker et de
London. (2) Note sur le siège du mouvement et du sentiment dans la
moelle
épinière. Dans Journ. de physiologie expérimental
lus sensibles que les antérieures (2). A la suite d'une section de la
moelle
, pratiquée de manière à ne laisser entiers que le
rite d'être particulièrement notée. Le cordon postérieur gauche de la
moelle
fut divisé dans la région cervicale entre la deux
ais le mouvement y fut conservé. Cet effet croisé des lésions de la
moelle
dans la région cer- (1) Fodera. Recherches expé
Dans une autre expéi-vence, notre auteur divise longitudinalement la
moelle
, de manière à séparer le côté droit du côté gauch
peut dire que parmi les auteurs qui ont écrit sur les fonctions de la
moelle
épinière, nul n'a imaginé plus d'expériences que
premier mémoire. Ce n'est pas tout. Il pratique l'hémisection de la
moelle
. Je (1) Valentin. De funclionibus nervorum cere
arum, (3) Van Deen. Traités et découvertes sur la physiologie de la
moelle
épinière. Ley de, 1841. veux dire qu'il divise
sait pour faire donner à l'animal des signeâ de douleur du côté où la
moelle
avait été tranchée. Après la section des deux cor
volontaire des effets de l'action propre et du pouvoir réactif de la
moelle
. 11 admet donc deux sortes de sentiments : un sen
t en accordant un grand pouvoir conducteur à la substance grise de la
moelle
, Van Deen ne déshérite pas les cordons postérieur
aincu, qu'à ses yeux la substance grise est l'agent essentiel dans la
moelle
épinière. Il suffit, dit-il, du tranchant postéri
pathologiques sur les propriétés et les fonctions des faisceaux de la
moelle
épinière et des racines des nerfs rachidiens. Par
couche mince de substance grise intermédiaire aux deux segments de la
moelle
, suffit pour entretenir la sensibilité du segment
Deen. 11 emprunte à Van Deen son expérience de l'hémisection de la
moelle
et remarque avec lui cette hypéresthésie singuliè
l'hémisection. Lorsque l'on coupe les deux moitiés latérales de la
moelle
, mais à des étages différents et à la distance de
(2) avait étudié sur les mammifères les effets de l'hémisection de la
moelle
. La sensibilité, dit-il, persiste dans le membre
ts conducteurs des impressions sensitives après avoir pénétré dans la
moelle
, se portent en majeure partie dans l'autre moitié
ette préférence. Si l'on tranche, par exemple, la moitié droite de la
moelle
vers la région lombaire, il y aura hypéresthésie
ablit, mais que chez les mam- (1) Mémoires sur la physiologie de la
moelle
épinière, lus à l'Académie des Sciences, le 27 ao
aide à cette manière de voir. La division de la région lombaire de la
moelle
en deux moitiés symétriques, par une section médi
es batraciens. Si l'on tranche, dit Van Deen, l'une des moitiés de la
moelle
d'une grenouille dans la région de la deuxième ve
est pas détruit, et la patte la plus sensible est celle du côté où la
moelle
a été divisée le plus haut. Mais si les deux sect
le sentiment, il suffit chez ces animaux d'un quart postérieur de la
moelle
(2). Dans ce que M. Brown Séquard a fait connaî
dites (1) Fodera. Loc. cit. Exp. 10. Il divisa longitudinalement la
moelle
à la région lombaire de manière à la partager en
liées sans les expliquer, il donne à penser que, dans son opinion, la
moelle
n'est pas le seul organe intéressé dans la transm
ion des impulsions volontaires ; elles passeraient un instant dans la
moelle
pour en ressortir et y rentrer de paire en paire.
ons perçues et du mouvement volontaire, il y a l'action réflexe de la
moelle
. Enfin, toutes les impressions ne sont point semb
nous sentons et nous agissons ; or ces choses ne se font pas sans la
moelle
. Cela est certain, il n'y a d'obscur que le détai
u de l'encéphale. Le bulbe participe à coup sûr aux fonctions de la
moelle
. Il conduit les impressions qui cheminent vers l'
'actions réflexes, mais il a un pouvoir qui lui est propre et dont la
moelle
est dépourvue; Il a certaines fonctions particuli
décapité au-dessous du bulbe ne respire plus; mais si l'on excite la
moelle
, les côtes exécutent les mouvements de la respira
respiration. Ainsi, la cause immédiate de ces mouvements est dans la
moelle
, mais la cause première, le principe qui détermin
dans la moelle, mais la cause première, le principe qui détermine la
moelle
à les produire réside exclusivement dans la moell
e qui détermine la moelle à les produire réside exclusivement dans la
moelle
allongée. On peut soustraire dans un animal le ce
, elle s'effectuera régulièrement; mais une destruction graduée de la
moelle
allongée l'anéantira par de grés, et à un certa
à cette opinion qui nous semble fort exagérée. Les blessures de la
moelle
allongée et du bulbe en particulier déterminent c
es phénomènes deviennent plus intenses à mesure qu'on descend vers la
moelle
épinière. Tous les auteurs ne s'entendent pas s
nt un effet.direct ou croisé. « J'ai découvert, dit M. Flourens, la
moelle
allongée, sur « un pigeon, par le retranchement p
que la marché des fibres nerveuses, suivie d'arrière en avant dans la
moelle
, se fait de sa périphérie ver* son centre. expl
croisé de paralysie qu'avait observé Lorry (l) dans les lésions de la
moelle
allongée, en faisant remarquer que ce physiologis
2) reproduit l'assertion de Lorry. « Les blessures d'un côté de cette
moelle
, dit-il, produisent souvent des convulsions du mê
ux fibres ascendantes qui proviennent des faisceaux postérieurs de la
moelle
. Ce physiologiste admet en outre que le noyau gri
uons que, dans l'ignorance où nous sommes de la vraie structure de la
moelle
allongée, des pédoncules et des couches optiques,
hysiologiste, les entrecroisements qui occupent toute l'étendue de la
moelle
allongée suppléaient en partie à l'absence de ce
cet instinct s'accomplit; il pourrait agir sur eux comme le fait la
moelle
épinière et contribuer à l'énergie de leur foncti
ps, tandis que des mouvements de manège résultent d'une section de la
moelle
allongée faite de manière à intéresser la portion
la moelle allongée faite de manière à intéresser la portion de cette
moelle
qui avoisine en dehors les pyramides antérieures
les mouvements qui ont été voulus dans le cerveau et que détermine la
moelle
épinière parson action immédiate. 11 n'est point
lleux postérieurs, ou corps restiformes) se dirige en arrière vers la
moelle
épinière. Or, si l'on coupe le pont de varole,
s du cervelet présidaient surtout aux mouvements automatiques dont la
moelle
est le principe, et les lobes latéraux aux mouvem
ophie de l'hémisphère gauche du cervelet et de la partie gauche de la
moelle
. Il se croit donc fondé à repousser cette proposi
(1) Turner, De l'alroplne partielle ou unilatérale du cervelet, de la
moelle
allongée et de la moe'le épinière, consécutive au
n dépend sans doute des entrecroisements qui se font, les uns dans la
moelle
épinière, les autres dans la moelle allongée, d'a
ents qui se font, les uns dans la moelle épinière, les autres dans la
moelle
allongée, d'autres, enfin, dans le noyau de l'enc
L'AME. § 1. Opinions des philosophes sur l'âme. L'encéphale et la
moelle
épinière ont été décrits, leur structure a été, a
dans les centres médullaires qui la versent, pour ainsi dire, dans la
moelle
, d'où elle passe dans tous les nerfs par une éman
ns que sollicitent les impressions douloureuses, se produisent par la
moelle
seule chez un animal décapité, alors que l'ablati
sensibilité douloureuse qu'ils ont observée après l'hémisection de la
moelle
dans le membre du même côté, pourrait bien se rat
tur, fractâ jam oculorum vi. Haller, Phys. Lib. XV1Î, sect, in, §2.
moelle
épinière. Abandonné à l'empire des forces végétat
n'y a pas là distinction seulement, il y a rivalité; ainsi, quand la
moelle
, avec ce qui la représente dans le crâne, est gra
cerveau est petit ; et réciproquement, quand le cerveau s'accroît, la
moelle
s'amoindrit. Ainsi cette grandeur du cerveau ne
mais relativement au volume du noyau de l'encéphale, du bulbe, de la
moelle
et du système nerveux périphérique. En effet, et
riphérique. En effet, et toutes les expériences le prouvent, c'est la
moelle
et non le cerveau qui anime le corps, mais le cer
non le cerveau qui anime le corps, mais le cerveau corn mande à la
moelle
; son rapport au corps étant médiat, ce n'est poi
corps étant médiat, ce n'est point au corps en général, mais à cette
moelle
en particulier qu'il faut le comparer. La force
, l'autre par le développement de ses couches corticales. Or, plus la
moelle
et le noyau sont grands eu égard au cerveau propr
iproquement, un grand cerveau commande plus aisément aune plus petite
moelle
. Il faut d'ailleurs remarquer que dans le même
ême groupe zoologique, plus le cerveau grandit absolument, et plus la
moelle
est petite eu égard au volume du corps. Ceci expl
HAPITRE PREMIER. —»e l'axe nerveux céphalo-rachidien. 19 § 1. De la
moelle
épinière en général.............. ib. § 2. Etud
De la moelle épinière en général.............. ib. § 2. Etude de la
moelle
épinière d'après des coupes transversales. 24 §
re d'après des coupes transversales. 24 § 3. Structure intime de la
moelle
épinière........... 28 § 4. De la moelle épiniè
3. Structure intime de la moelle épinière........... 28 § 4. De la
moelle
épinière dans ses différentes régions...... 36
x............. 72 § 5. Comparaison du noyau de l'encéphale et de la
moelle
épinière............................ 82 CHAPITR
nerfs moteurs et des nerfs sensitifs..... 330 CHAPITRE II. — De la
moelle
.................... 332 § 1. De la moelle en ta
30 CHAPITRE II. — De la moelle.................... 332 § 1. De la
moelle
en tant que centre nerveux.......... ib. § 2. D
1. De la moelle en tant que centre nerveux.......... ib. § 2. De la
moelle
comme conducteur.............. 338 CHAPITRE 111
lois qui président au fonctionne- ment du cerveau et à celui de la
moelle
, l'auteur distingue, dans la moelle comme dans
ent du cerveau et à celui de la moelle, l'auteur distingue, dans la
moelle
comme dans le cerveau, deux appareils nettement s
ent les os de la colonne ver- tébrale,l'excitation se transmet à la
moelle
spinale ou aux raci- nes antérieures; en ce cas
celui de Chvostek. En un cas de tumeur de la région dorsale de la
moelle
(autopsie), le réflexe était fort exagéré. Ainsi
esthésique symptomatique d'une lésion de la portion cervicale de la
moelle
et du segment inférieur du bulbe, par P. A. OsT
méninge-myélite syphilitique localisée au segment cervi- cal de la
moelle
, à laquelle participe le segment inférieur du b
araît d'après l'auteur russe que lorsque la lésion anatomi- quedela
moelle
occupe un étage aussi élevé. Dans l'observation
re et du noyau coudé. Atrophie de la cornée antérieure gauche de la
moelle
, de- puis le renflement cervical jusqu'au renfl
imal, ressemblant en cela aux cellules de la corne antérieure de la
moelle
(Geier). Donc toutes les cellules, tous les org
s mêmes régressent. 11 est très probable . que les cellules de la
moelle
possèdent chez le jeune animal une fonction plus
KERAVAL. XI. Contribution à. la question de la régénération de la
moelle
, par G. Oikelès (Neurolog. Centralbl. \\IlllJll'i
tramedut- lairc) se régénérer complètement ; il existe même dans la
moelle
certains processus de régénération. Ceci est
e d'être sur des coupes longitudinales. Chez l'homme, les coupes de
moelle
au-dessous d'une rupture revue d'anatomie et de
plus près de l'axe. Maintenant cet élan vers la régénération de la
moelle
a-t-il une utilité physiologique; aboutit-il; l
re encore àces questions. Notre patient, atteint de rup- ture de la
moelle
, survécut 10 mois à l'accident, et les fibres ré-
er (Universit. of. Pensylvan, Med. Bull., juin 1903) exa- minant la
moelle
de chiens chez qui, 10 mois auparavant ils avai
es. Les deux méthodes de fixation conviennent indiffé- remment à la
moelle
. Pour celle-ci les deux cycles d'opérations son
tuberculeuse font encore (4) CoTA. Du mal de Poil au-dessous de la
moelle
chez les enfants eL de ses conséquences au poin
-iliaques ne présentent aucune lésion extérieure. En soulevant la
moelle
et la queue de cheval, on découvre, au niveau d
olle aisément par une simple trac- tion. Après l'extraction de la
moelle
, on remarque qu'il n'existe au- cune lésion à l
, mais le tissu lardacé remonte jusqu'à la région lombo-sacrée delà
moelle
, bien qu'il reste toujours lo- calisé à la face
re. L'aspect extérieur des racines de la queue de cheval et de la
moelle
est normal. Cerveau normal. Aucune atrophie app
où celle-ci est épaissie (Ilémaléine-éosiiie, Gieson, Pal), sur la
moelle
, au niveau de chaque segment de la région sacra
sacrale et lombaire, de plusieurs delà région dorsale CI cervicale (
moelle
sacrée etlomltaire inférieure au Marchi, le res-
-osine : quelques morceaux cepen- dant, aux diverses hauteurs de la
moelle
, ont été pris pour l'étude des cellules avec la
te raréfiante : dans les mailles du tissu osseux, on re- trouve une
moelle
extrêmement riche en lymphocytes, avec (les tub
onstate de l'infil- tralion embryonnaire. 90 CLINIQUE NERVEUSE.
Moelle
. Les coupes faites au niveau de tous les segments
E. Moelle. Les coupes faites au niveau de tous les segments de la
moelle
lomho-sacrée,confirment, par leurs caractères, le
. Les racines antérieures montrent, à leur point d'entrée dans la
moelle
, et seulement au niveau du 1 cI' segment sacré et
Dans les cordons postérieurs, il existe des lésions (lui, tlans la
moelle
sacrée et lombaire inférieure, consistent, au Mar
e et que, d'autre part, les lésions des cordons postérieurs dans la
moelle
sacrée se sont montrées, au lJarclti,encure ass
avecles autres méthodes de coloration employées parle restant de la
moelle
, ne nous a pas permis défaire l'étude intéressa
s des cordons postérieurs par lésion de la queue de cheval. Dans la
moelle
sacrée,cependant, la disposition radiculaire de
nférieurs qui [tarait relati- vement indemne. Dans le reste de la
moelle
, étudié au Pal, Gieson, la systéma- tisation es
mince triangle à base étroite correspondante il la périphérie delà
moelle
et dont la bissectrice est représentée par le s
nt la bissectrice est représentée par le septum postérieur. Dans la
moelle
cervicale inférieure, légère décoloration de la
issent pas diminuées de nom- bre. Les cellules radiculaires de la
moelle
, étudiées aux diverses hauteurs, sont en grande
flamma- tion. Des coupes faites au niveau de chaque segment de la
moelle
sacro-lombaire ont confirmé des lésions d'inten-
mati- sation radiculaire est surtout évidente, au Marchi, dans la
moelle
sacrée et lombaire inférieure. Les cellules de la
ueue de cheval, comme il peut arriver dans les autres racines de la
moelle
dans le mal de Pott, il est possible que la dur
a révélé des traces de fibrilles dans les cellules nerveuses de la
moelle
ainsi que des grilles fibrillaires bien dévelop
es chez les épileptiques morts dans le co- ma ou en état de mal. La
moelle
ne présente rien de particulier, sauf une légèr
les centres d'arrêt du bulbe ou les voies qui; du cerveau ou de la
moelle
, agissent sur ces centres. Dans l'inertie absol
iques et expérimentales récentes, il faut surveiller le bulbe et la
moelle
cervicale. La plupart des auteurs imputent au
e et de la sensation algique dans les blessures et affections de la
moelle
; par,). PILTZ. (-ATeu2-olog. Centralbl., XXIV,
E PATHOLOGIQUES. 125 ticales dans les blessures et affections de la
moelle
, dans la compression, les blessures et les mala
spinale survient dans la syringomyélie,clans les traumatismes de la
moelle
, dans la com- pression de la moelle, dans l'hem
ie,clans les traumatismes de la moelle, dans la com- pression de la
moelle
, dans l'hemaiomyelie centrale et l'apo- pleaie
ns l'hemaiomyelie centrale et l'apo- pleaie du cordon latéral de la
moelle
, dans le tabès, dans la pachyméningite hypertro
inale à la surface de la peau est radiculaire. 4. Il existe dans la
moelle
une voie spé- ciale propre à conduire les impre
deutonourone) occupe la substance grise de la moitié opposée de la
moelle
. 7. Toute lésion unilatérale de la substance gr
la moelle. 7. Toute lésion unilatérale de la substance grise de la
moelle
engendre : cc). Une thermo-analgésie du même cô
zone qui correspond exactement et invariablement au segment de la
moelle
lésé correspondant. 9. Toute lésion du cordon lat
vertèbres au-dessous de l'endroit de la lésion trauma- tique de la
moelle
, nous pouvons, en dépit d'une hémiplégie ou d'u
spinaux, notamment au début des divers processus chroni- ques delà
moelle
et de ses membranes (proport, maxima 75 %). B.
traîne pas de mouvements. Evi- demment les cornes antérieures de la
moelle
sont hyperexcitées. Cause inconnue. Le malade a
t Camus rapportent un cas de cette affection sans compression de la
moelle
, ni leptoméningite, ni adhérences. Le syndrome
ait répondre à la compression radiculaire et à l'imprégnation de la
moelle
par les toxines tuberculeuses. Hén2atomyélie.
malade simulant l'ostéopathie déformante de Paget. Epithclioma delà
moelle
; cytodiagnostic . MM. Léri et CATHALA chez un
pâles. On vit à l'autopsie qu'il s'agissait d'un épithélioma de la
moelle
. , Anomalies congénitales par atrophie numériqu
iphérie,se propa- geaient le long des troncs nerveux,pour gagner la
moelle
. Uneréaction contreces théories tout hypothétiq
Je m'appuie surtout, pour émettre cette opinion, sur l'examen des
moelles
de 12 amputés du service de M. P. Marie, morts
Les examens à l'oeil nu ou à un laible grossissement des coupes de
moelles
que nous avons laites, M. P. Marie et moi, nous
ngagés à exa- - miner attentivement les méninges sur les coupes des
moelles
de nos autres amputés, et, chez plusieurs d ent
gique. Les différents auteurs qui se sont occupés des lésions de la
moelle
des amputés ont jusqu'ici employé le ter- me«né
rébraux et des méninges cérébrales, peut très bien se propager à la
moelle
et aux méninges rachidiennes, de même qu'elle p
se fi- nale de la maladie lorsque le processus morbide envahit la
moelle
. Mais on le rencontre aussi à la phase d'état et,
de la paralysie générale, sa mar- che ascendante du cerveau dans la
moelle
tout à la phase de début, alors qu'il n'y a pas
es, centres moteurs de ces nerfs sont échelonnés tout le long de la
moelle
, depuis le bulbe jusqu'aux lombes. INCOORDINATI
ations qui règlent la motricité. Et l'étendue même des étages de la
moelle
occupés par les centres moteurs des muscles res
les altérations cérébra- les ou dans les sections transverses de la
moelle
. Dans l'une ou l'autre de ces deux circonstance
M. C. P.aHON et Gr. NAOEJOE (Bucarest).-A la suite de l'étude de la
moelle
cervicale et de la région bul- bo-protubérantie
récédentes- observations sur la myé- linisation du cerveau et de la
moelle
.nous pouvons affir- mer que ces deux régions du
réactions physiologiques que le nouveau-né normal (1). Lorsque la
moelle
épinière existe seule, on observe des mouvement
., » (1). Le reste du système nerveux « se compose simplement de la
moelle
avec ses ganglions rachidiens, du bulbe, de la
faisceau pyramidal. Il en est d'ail- leurs ainsi jusqu'au bas de la
moelle
, mais, dans la région cervicale, tous les autre
t reçues par les nerfs rachidiens.De ce faisceau naissent dans la
moelle
des fibres en relation avec les faisceaux posté-
effacent avec le temps ; 2° la section de la moitié cervicale de la
moelle
produit de la paresse de la motilité ; S0 on pe
ntrer la persistance de l'excitation, dans le tronc inférieur de la
moelle
au niveau des cordons anté- rieurs et delà régi
, c'est- à-dire, en somme, dans le faisceau fondamental (4) ». La
moelle
est donc suffisamment pourvue de fibres sensiti-
céphale, ce faisceau n'existait que dans la partie inférieure de la
moelle
. Mais étant donné sa constitution défibres cour
t et lTaracci, en combattant la théorie des cen- tres moteurs de la
moelle
, ont démontré que l'excitation des racines nerv
on distinct » (1). On a même donné la topographie des centres de la
moelle
. Les divers auteurs de ces travaux, sont d'acco
on ob- serve chez l'adulte. Bien qu'atrophiés, les éléments de la
moelle
normale existent chez le monstre de M. Vurpas.
tivité des (1) SANO. Les localisations des fonctions motrices de.la
moelle
epiniere. Annales de la Société médico-chirurgi
ale d'Anvers, An- vers, 18';)8, Les localisations motrices clans la
moelle
iomhn-snen'0. Ibid. (2) Gf : II. IIoFFDn. Esq
eau dans leurs rapports avec les états des cellules nerveuses de la
moelle
. (Nouvelle Iconographie de la Sal,cctrière, 189
ois cas, extrême petitesse du système nen euxcen- tral ; dans deux,
moelle
aplatie, méninges spinales épaisses, ra- cines
de la syrin- gomyélie h la poliomyélite chronique. L'examen de la
moelle
rué, èle : 1° un processus gliomateux com- pren
iques occu- pant les cornes antérieures, sur toute la hauteur de la
moelle
; les cellules multipolairesont presque complèt
'chi pratiqué sur la portion supérieure du faisceau pyramidal de la
moelle
ne révèlent aucune lésion. Parmi toutes les par
vasculo-nerveux assez semblables aux névromes de régénération de la
moelle
, productions frequen- REVUE d'anatomie ET DE ph
paralysie ascendante aiguë. L'au- topsie montra l'existence dans la
moelle
, en outre d'une polyo- myélite antérieure génér
sauf l'encéphalite aiguë hémorrhagique dont le malade est mort), la
moelle
et les nerfs périphériques n'offrent que des lé
inoffensive chez l'enfant comme chez l'adulte ; toutefois comme la
moelle
descend toujours davantage chez le pre- mier qu
mo-palhologique à l'élude des localisa- ! ! 0)<.; motrices dans la
moelle
de l'homme. Examinant la moelle d'un homme atte
calisa- ! ! 0)<.; motrices dans la moelle de l'homme. Examinant la
moelle
d'un homme atteint d'une tumeur ganglionnaire d
myélites systématisées, en dehors de toute lésion héléromorphe delà
moelle
et de ses enveloppes. Les fails que railleur en
- nes tuberculeuse» peuvent atteindre les racines des nerfs el la
moelle
, el en dehors de toute Itn(érnhlasie;ul'y faire n
pant la 7U cervicale, les 1 ? : 2", cL 3° dorsale- ; au-dessous, la
moelle
, sur une longueur de 3 cent. Il : 2, était réduit
ique. Foyer myélilique. Altérations structurales grossières de la
moelle
: asymétrie manifeste ; déformation de l'axe gris
tI\ bords du sillon antérieur contournant le bord antérieur de la
moelle
et s'¡"ll'IHlant. latéralement pour diminuer brus
rées il la p('l'iplll"I'ie comme il]a pél'iphél'ie dl (IJlI ! 1' la
moelle
. , 2" Dér;el1emtions aSl'I'l1danfe ? Etudi('l's
lle. , 2" Dér;el1emtions aSl'I'l1danfe ? Etudi('l's au niveau de la
moelle
cervicale supérieure il la limite supérieure du
ble ou nulle. Il dit : « si les exemples de compression lente de la
moelle
épinière causée par l'altération de son envelop
sache pas qu'on les ait trouvées épaissies au point de comprimer la
moelle
, et rarement elles sont le siège de fongus anal
le rôle que pouvait jouer la dure-mère épaissie en compri- mant la
moelle
,dans la production de la paraplégie. Mi- chaud
surtout lorsqu'elle se produit instantanément. « Mais lorsque la
moelle
est comprimée d'une façon (1) 01lIVIEII. traite
que la moelle est comprimée d'une façon (1) 01lIVIEII. traite de la
moelle
épinière et de ses maladies Paris 1827. (2) L
de ses maladies Paris 1827. (2) Louis.- Mémoire sur l'étal de la
moelle
dans la carie '"l'dé- ])l'[lIl', 182G, (3) EC
éninges, y produit une méningite, et, après, par propagation à la
moelle
, une myélite. Cette théorie, qui explique d'une
lui suffisante à produire l'inflammation etle ramollissement de la
moelle
épinière à travers les mé- ninges intactes. FRO
héorie mixte, mécanique et inflam- * (1) Vuï.pivx. Maladies de la
moelle
, 1879. · . (2) Lcyiien. lilirrtl : der RlIckcl1
, pour lui aussi, la péri-pachyméningite. Celle-ci peut agir sur la
moelle
d'une manière variable, soit par la compression
ement d'espace dans le canal vertébral et comprime plus ou moins la
moelle
: pour cette raison ' déjà peuvent survenir des
rvenir des lésions des éléments ner- veux ; cette compression de la
moelle
, durant un certain temps, se complique dans la
rations que produit une compression modérée mais dura- ble de la
moelle
. Il constata, en effet, des altérations di- ver
mpha- tiques adventitiels et des voies lymphatiques propres de la
moelle
, se déverse dans l'espace sous-arachnoïdien et
épispinal ; la lymphe qui stagne détruitles fibres nerveuses de la
moelle
d'autant plus facilement qu'il s'agit de fibres
ur le fait qu'une com- pression déjà modérée de la périphérie de la
moelle
peut suffire à empêcher le retour de la lymphe
nts nerveux ; ainsi s'expliquerait l'aug- mentation de volume de la
moelle
observée parfois au lieu de compression ; ainsi
te ; la myélite par compression, c'est-à- dire l'inflammation de la
moelle
due à la compression comme telle, devrait déjà
n- gées, soit par la transmission de la compression directe de la
moelle
à ses vaisseaux. Les phénomènes d' oedème de la
ecte de la moelle à ses vaisseaux. Les phénomènes d' oedème de la
moelle
décrits par Kahler sont trouvés par K1JDRI- : \
nde si l'inflammation qui se passe dans le voisinage immédiat de la
moelle
épinière ne joue ' pas un rôle dans la producti
us, les processus qui déterminent l'altéra- tion pathologique de la
moelle
dans ie mal de Pott sont les suivantes : dans d
oduit des masses qui peuvent exercer une compression directe sur la
moelle
: mais, pour lui, l'oedème de la' z moelle est
ression directe sur la moelle : mais, pour lui, l'oedème de la' z
moelle
est la conséquence la plus immédiate et 'la plus
it pas jouer un rôle exclusif dans la production des lésions de la'
moelle
: dans la compression, d'autres facteurs peuven
berculeuse, ou par la compression des artères des méninges et de la
moelle
même, qui se peut observer dans les cas ou la p
litération de quelques pc - 1 tites artères de la pie-mère ou de la
moelle
due àla throm- I bose ou à des masses embolique
élite parpropagation du processus tuberculeux aux méninges et il la
moelle
; on doit admettre une myélite, selon Schmaus,
on Schmaus, seulement dans les cas où il y aune tu- berculose de la
moelle
; tous les autres processus inflam- matoires qu
les autres processus inflam- matoires qu'on peut rencontrer dans la
moelle
appar- SUR LA PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MÉDULL
iagnostic piffé- rentiel Pour ce qui regarde la compression de la
moelle
d'ori- gine osseuse, tous les auteurs sont d'ac
r en ad- mettre l'existence. Pour Kraske (2) la compression de la
moelle
par rétrécissement osseux du canal vertébral se
deux cas de compression osseuse dans lesquels l'étranglement de la
moelle
se faisait par des fragments osseux morbides. r
vertébral de la' colonne dorsale avec destruc- tion complète de la
moelle
à ce niveau ont été commuai- quéspar CROCQ (2)
que l'arête osseuse ait porté sa pression sur un point limité de la
moelle
, elle a engendré non seulement des lésions loca
iation des corps vertébraux n'est pas assez forte pour comprimer la
moelle
sur la paroi dorsalcdu canal, mais où la moelle
pour comprimer la moelle sur la paroi dorsalcdu canal, mais où la
moelle
est incurvée au niveau du sommet de la cyphose,
ression s'exerce au début seulement sur. la face antérieure de la
moelle
et peut ainsi permettre une certaine circulation
es vaisseaux sanguins et lymphatiques latéraux et postérieurs de la
moelle
, et cela jusqu'au moment où la flexion de la mo
stérieurs de la moelle, et cela jusqu'au moment où la flexion de la
moelle
devient si forte que les vaisseaux dorsaux sont
aussi comprimés par suite de la tension de la partie dorsale de la
moelle
. Tillmanns (/. c.) a lui aussi eu l'occasion d'
d'observer celle modalité particulière de compression osseuse ou la
moelle
était tendue plus ou moins comme une corde sur
core l'attention sur une autre modalité décompression osseuse de la
moelle
qui se ferait dans certains cas de spondylitc t
calciformes qui, provenant en partie du périoste, en partie de la
moelle
osseuse, fixent la colonne vertébrale il la place
exubérants, la lumière du canal vertébral peut être rétrécie et la
moelle
com- primée. ' .. , . On voit donc que les au
e la théorie unieiste de Louis et Olli- vicr. Qu'elle agisse sur la
moelle
, surtout dans les cas de compression osseuse re
A part les cas, encore assez rares, de compression di- recte delà
moelle
par abcès, la majorité des observateurs. sont t
qu'elle ne le soit qu'indirectement. Il est vrai, en effet, que la
moelle
peut être fréquemment comprimée directement et
atteint une , intensité suffisante pour compri- mer directement la
moelle
, elle y a produit des troubles circulatoires. I
res amenés par la compres- sion. - ( La compression directe de la
moelle
, dont l'expression est la déformation, doit êtr
iées, très fréquente : ScHMu's (/. c.) observe la déformation de la
moelle
dans 32 cas sur 52 ; KnASKE (/. c.)dans 5 sur 1
raske, qu'au moins dans la moitié des cas de paralysie pottique. la
moelle
est directement com- primée. Mais très fréquemm
moelle est directement com- primée. Mais très fréquemment aussi la
moelle
conserve sa forme et'son volume normaux ; même
ong et JMACHARD, et d'autres auteurs ont décrit plusieurs cas où la
moelle
, parfois augmentée de volume, présentait les ca
plupart de ces auteurs, comme pour Kahler et Sehmaus,l'oedème de la
moelle
est le fait le plus important et le plus immédi
tuberculose et par lesquels les ptomaïnes devraient arriver à la
moelle
, contractentdes rapports très peuimpoilants avec
898. 430 0 pathologie nerveuse. qu'il ne devrait pas arriver à la
moelle
plus de ptomaï- nes tuberculeuses que dans la t
d'ammonia- que à 25 %, avec lesquelles il aurait' obtenu dans la
moelle
les mêmes phénomènes d'oedème que dans la compr
peuvent bien nécroser la dure-mère et agir ainsi directement sur la
moelle
. ' . Mais même sur les éléments qui concourent
dure-mère contre' l'arachnoïde et la pie-mère et celle-ci contre la
moelle
. On aurait, de cette dernière façon ? une stase
l, mais non avec les es- paces lymphatiques de la pic-mère et de la
moelle
, l'espace sous-arachnoïdien étant complètement
exister dans l'espace sous-arach- noïdien et dans l'intérieur de la
moelle
, parla compres- sion exercée par le tissu épidu
t les veines de la dure-mère sont, il est vrai, en relation avec la
moelle
par le moyen de petites ramifications veineuses
e par le moyen de petites ramifications veineuses qui sortent de la
moelle
et de la pie avec les racines nerveuses , mais
ux spinal par la voie des racines puisse produire une stase dans la
moelle
. Pour Schmaus, cette oblitération aurait, au co
de tumeurs médullaires, que la coloration livide, c anotique de la
moelle
disparaissait souvent après l'extraction des tu
ompression provoque une altération des rapports de pression de la
moelle
, d'où dilatation passagère des voies lymphatiques
encore en suscitant des phénomènes anémiques ou ischémiques dans la
moelle
. Ce fait sur le- quel Ziegler, le premier, atti
t (2), FICHER, Piciv (/. c). Nous avons vu que cette ischémie de la
moelle
peut être provoquée soit par la compression et
intense, par la com- pression des vaisseaux de la pie-mère ou de la
moelle
elle- même. Hoche (/. c.) insiste à ce sujet su
nsiste à ce sujet sur le l'ait qu'on re- trouve fréquemment dans la
moelle
des foyers de dégé- nération cunéiformes, à bas
ans deux cas ; dans les deux cas il s'agissait de compression de la
moelle
dorsale moyenne comme dans les cas de Schmaus e
épaississement des vaisseaux se re- trouvent assez souvent dans les
moelles
pottiques, elles n'atteignent, selon Jickler, q
ans l'oblitération des vaisseaux artériels de la pie- mère ou de la
moelle
par thrombose ou masses emboliques provenant d'
a propagation directe du pro- cessus tuberculeux delà dure-mère àla
moelle
. Que cette myélite nettement tuberculeuse propa
ation de la tuberculose de la dure-mère aux méninges molles et à la
moelle
. SiCARDCt Cestan (/. c) ont prouvé encore que l
lésion tuberculeuse, primitivement épidurale, peut se propager à la
moelle
par l'intermédiaire de la séreuse arachnoïdienn
s légère endo-artérite ei endo-plllé- bite, mais sans thrombose; la
moelle
est envahie par l'in- filtration suivant les es
t les espaces péri-vasculaires, sans qu'on puisse constater dans la
moelle
même ni masses caséeu- ses ni bacilles. Dans la
ation. Dans la première, infiltra- tion cellulaire pure, et dans la
moelle
, simple pénétra- tion de l'infiltration par les
dons postérieurs et localisés dans la partie dorso-lombaire de la
moelle
; dans ces foyers on retrouve une hypertrophie
très vraisemblablement l'action de la tuberculine circulant dans la
moelle
, .. f Voici donc une nouvelle forme de myélite
gique associée il des foyers nécrotiques et héinorrha- giques de la
moelle
. Du fait que ces foyers étaient sans relation d
lesquels on ne peut expli- quer les lésions qu'on rencontre dans la
moelle
sans admettre, avec d'autres facteurs pathogéni
e pour suffire à amener une stase dans le système lymphatique de la
moelle
par com- pression des voies lymphatiques et san
s. Ce sont les cas où on rencontre des lésions destructives de la
moelle
, sans déformation de celle-ci, avec une pachymé
admission que le processus inflammatoire qui évolue en dehors de la
moelle
, sans produire une vraie myélite dans le vieux
cependant, lui aussi. une action plus ou moins impor- tante sur la
moelle
. L'incertitude dans laquelle' nous nous trouvon
blitéra- tion des vaisseaux radiculaires, de la pic-mère ou de la
moelle
avec anémie ou ischémie consécutives ; que ces
consécutif. , Je rapporte ici l'étude anatomo-pathologique de la
moelle
dans 4 cas de mal de Pott. chez des malades aya
mmage pour la bienveillance qu'il n'a cessé de nous témoigner, La
moelle
,dans chaque cas, ri. été étudiée au niveau de pre
issl. Notre travail se limitant à l'étude anatomo-pathologique delà
moelle
, nous n'avons donné avant l'exposé de chaque ca
. Nous donnons ici, pour ce qui regarde la colonne vertébrale et la
moelle
, ce qui résulte du protocole d'autopsie. ' 4
-par)meningit,e il ce niveau même, entourant la moitié gauche de la
moelle
; la masse constituant le tissu épidural est un
ondant du tissu épidural qui l'ail que la convexité nor- male de la
moelle
est remplacée par une dépression. Aucune adhére
lacée par une dépression. Aucune adhérence entre la dure-mère et la
moelle
. Kace interne de la dure, cavité araclutoulienu
Il n'y a pas de symphyse entre la dure, les mé- ninges molles et la
moelle
. L'arachnoïde est légèrement épaissie, surtout,
? uses et la prolifération correspondante du [issu interstitiel. La
moelle
au point maximum de la compression, où la péri-
granulation épidural ; les attires par- fies de la périphérie de la
moelle
sont convexes, pas déformées. Même 'un fort gro
substance grise d'avec la blanche, car de la partie centrale de la
moelle
il ne reste plus qu'un tissu vaguement aréolair
lt', c'esl-à- 442 PATHOLOGIE NERVEUSE. dire à la périphérie de la
moelle
, il existe un léger degré de pro- lifération né
détruites Les vaisseaux,autant dans le sillon antérieur que dans la
moelle
, même dans la zone centrale, sont légèrement ép
et où la pachyméningite atteint encore presque 1 cm. en largeur, la
moelle
a son volume normal : elle est toutefois aplatie
dans les cordons antero-tateraux sur toute l'étendue desquels la
moelle
présente comme un aspect criblé, perforé, qui, à
qui en descen- dant s'approche toujours plus de la périphérie de la
moelle
, se laisse suivre très nettement jusqu'au segme
llediminue,elle aussi, d'intensité dans les étages inférieurs de la
moelle
: au- niveau des segments D 10, D 12, elle n'ex
lolyse, sont intactes. ' Remarques. Les lésions rencontrées dans la
moelle
au niveau de la compression maxima (ramollissem
.de tout élément inflammatoire dans les méninges molles et dans la
moelle
même nous font écarter tout de suite l'hypothès
re la conséquence d'un processus inflammatoire ayant évolué dans la
moelle
. ' Nous ne pouvons pas non plus interpréter cel
némique : les vaisseaux sanguins des racines, de la pie- mère, delà
moelle
même, outre qu'ils ne présentent aucune lésion
vons pas d'éléments pour admettre que l'ir- rigation sanguine de la
moelle
ait souffert d'une façon assez intense pour ame
tées par nous. L'action mécanique de la compres- sion directe de la
moelle
par la pachyméningite ne peut pas, au contraire
pas, au contraire, être niée ; dans son quart antérieur gauche la
moelle
présente, en effet, une concavité corres- ponda
une concavité corres- pondant il un bourgeon du tissu épidural ; la
moelle
est aussi diminuée d'un tiers de son volume. Ce
e l'action directe de la compression ; en effet, non seulement la
moelle
, au lieu oil la pachy-méningite est plus fortemen
considérable et où la perle en fibres nerveuses est moins forte, la
moelle
, bien que présentant la même déformation, la mê
mpression mécanique directe qui s'exerce sur un point t limité delà
moelle
et y produit une déformation, tout il l'ait loc
. non localisées au lieu décompression, mais dif- fuses il toute la
moelle
. Tl faut donc invoquer un autre facteur étiolog
s lésions qu'on peut inter- préter comme causées par l'oedème de la
moelle
dû vraisemblablement aune stase lymphatique et
s et veineuses e1l"éren- tes..La congestion veineuse intense, de la
moelle
plaide aussi en faveur de cette hypothèse. Les
et en largeur embrassant plus de la moitié delà circonférence de la
moelle
. - , Dans notre cas, en résumé, la péri-pachymé
voir agi de deux manières : d'une part en comprimant directement la
moelle
, et d'autre part et surtout, en provoquant par
provoquant par la stase lymphatique et vei-' lieuse 1 oedème de la
moelle
, à la grande intensité duquel parait dû le ramo
m., est très adhérente aux racines. Le gros tubercule comprime la
moelle
, qui présente une concavité dans sa face antérieu
rrespond. Pas de symphyse entre la dure,les méninges moi- les et la
moelle
. La dure-mère el. la moelle dans tout le reste
tre la dure,les méninges moi- les et la moelle. La dure-mère el. la
moelle
dans tout le reste de la bailleur ainsi que les
bailleur ainsi que les méninges molles dans toute la hauteur de la
moelle
, sont d'aspect normal. Tuberculose pulmonaire.
est légèrement proliféré sans excessive multiplication nucléaire.
Moelle
: Au niveau delà pacb; méningite la moelle est ap
ultiplication nucléaire. Moelle : Au niveau delà pacb; méningite la
moelle
est aplatie à la face antérieure et présente un
ncavité correspondant au gros tubercule de la dure, de façon que la
moelle
est, un peu di- minuée dans son diamètre antéro
,diflll ? Ces phénomènes de tuméfaction disséminés dans toute la
moelle
sont cependant plus abondants ¡'¡ la partie exter
al montre que celles-ci sont toutes absolument intactes. Dan-, la
moelle
sacrée el lombaiiv, il existe, dans les cordons
enerations qui, sans être forte ? sont toutefois évidentes. Dans la
moelle
sacrée supérieure, existe une illculu- ration d
récédentes : cofnpictumcnf respecté est toutefois un faisceau de la
moelle
s'étend jusqu'à l'union des deux tiers postérieur
préférence, dans celte région, la zone radiculaire moyenne. Dans la
moelle
dorsale, la dégénérescence se laisse suivre trè
colonne de Glarke. A tort grossissement .les zones dégénérées de la
moelle
lU1l1 ho-a- cree montrent une diminution en lib
· La pie-mère est légèrement épaissie sur toute la hauteur de la
moelle
. Les vaisseaux n'()/ll'ent,tlall la muelle 10J1
absence de tout signe d'inflammation, tant des méninges que de la
moelle
: nous avons, il est vrai, constaté au niveau des
les méninges ne présentent aucun phénomène inflammatoire. Dans la
moelle
, à côté d'une raréfaction des fibres nerveuses, i
qui s'exerce sur la partie médiane de a périphérie antérieure de la
moelle
paraît, ici, avoir plutôt agi en provoquant un
gi en provoquant un oedème de stase qu'en lé- sant mécaniquement la
moelle
. . Pour ce cas aussi.' il est vraisemblable qu'
inution en fibres nerveuses, mais parles phénomènes d'oedème due la
moelle
. Si l'on peut ad- mettre que la compression qui
stase lymphatique (la forte con- gestion veineuse constatée dans la
moelle
en serait un argument favorable), on ne peut pa
forte et limitée à la partie médiane de la face antérieure de la
moelle
, ne saurait produire une telle stase, un tel ra
A PArHOGKNOE DES ALTÉRATIONS 'IIDn.L.\IIOES, L\G3 transverse de. la
moelle
évidemment incomplète, on avait l'abolition des
stérieures par des troubles circula- toires (stase) au niveau de la
moelle
lombaire. l3.iRTrt.s (11, \, dans un cas de mal
tt dorsal avec pachyméningite et lésion transverse incomplète de la
moelle
, explique l'abolition des réflexes patellaircs
observée par l'cllet mé- ca1)iqllc dc la stase dans la partie delà
moelle
sous-ja- centc il la lésion. stase qui aurait p
trajet sous-arachnoïdien qu'au niveau de leur pénétration dans -la
moelle
; en outre, la circulation de la moelle lombaire
de leur pénétration dans -la moelle; en outre, la circulation de la
moelle
lombaire ne nous a pas paru oll'rir d'altératio
ant laquelle l'abolition des réflexes tiendrait il une lésion de la
moelle
lombaire non déce- lable par nos moyens d'inves
que nous n'avons pas constaté ces troubles cir- culatoires dans la
moelle
inférieure. , ' L'hypothèse la plus vraisemblab
ormes que nous rencontrâmes dans les cordons pos- térieurs, dans la
moelle
lombo-sacrée. : leur médiocre intensité, la con
du, réseau myélinique de la co- lonne de Glarke. lofait que dans la
moelle
cervicale Pl dorsale les lésions du même ordre
1)10,1)12 présentent des anfracfuosités remplies de fongosilés. La
moelle
suit l'inflexion de la gibbosité et est comme t
tes formées par des fongosités épidurales : la partie dorsale de la
moelle
esl libre dans le canal vertébral. Sur la face
ges molles, même dans la région occupée par la pachyméningite. La
moelle
présente un léger aplatissement seulement au nive
; cel aplatissement qui touche seule nient la face antérieure de la
moelle
semble être dû à la saillie osseuse laquelle la
rieure de la moelle semble être dû à la saillie osseuse laquelle la
moelle
à ce niveau adhérait ; pn elret, dans la moelle
osseuse laquelle la moelle à ce niveau adhérait ; pn elret, dans la
moelle
durcie au formol, on voil dans la couche externe
ez congestionnes, lanl il la partie antérieure que postérieure delà
moelle
. La moelle 101llhairr, oÙ e-\iste la pér'i-pach
nes, lanl il la partie antérieure que postérieure delà moelle. La
moelle
101llhairr, oÙ e-\iste la pér'i-pachyméningilp, e
posté- rieurs pei'siste une légère dégénération diffuse. Dans la
moelle
lombaire et sacrée, la pie-mère est considéra-
, la pie-mère est considéra- Ittementepaissie ; les vaisseaux de la
moelle
, à parois légèrement épaissies, sont bien permé
es espaces péri-vasculaires, advenlilicls et péri-cellulaires de la
moelle
ne sont pas dilatés. Les cellules de la moelle
-cellulaires de la moelle ne sont pas dilatés. Les cellules de la
moelle
dans toute l'étendue de la ltach Inn- ningite s
rques : En résumé, on a constaté au niveau de l'aplatissement de la
moelle
(segm. Ll, L2) des lésions diffuses de la subst
dans les cordons postérieurs, au-dessous de la région aplatie de la
moelle
, même dans la moelle sacrée inférieure. Dans
ieurs, au-dessous de la région aplatie de la moelle, même dans la
moelle
sacrée inférieure. Dans l'interprétation des lé
lésions médullaires consta- tées au niveau de l'aplatissement de la
moelle
.il faut sans doute faire jouer un rôle importan
a compression os- 458 PXTHOLOGIE NERVEUSE. seuse; à ce niveau, la
moelle
était infléchie, tendue sur la saillie osseuse
l'effondrement des vertè- bres voisines. Que l'aplatissement de la
moelle
soit dû à ce fait et non à la pachyméningite es
le segment sousjacent (L3) où la pachyméningite est aussi forte, la
moelle
a une forme normale. Nous avons déjà traité à p
: notre cas semble en être un exemple évident ; ici, en effet, la
moelle
n'est pas comprimée par l'arête osseuse contre
ie dorsale du canal vertébral ; en ell·et la par- tie dorsale de la
moelle
, complètement libre dans le canal vertébral, a
ici agi plutôt en amenant des troubles de nutrition diffuses de la
moelle
, par l'intermé- diaire de troubles circulatoire
che dans les segments supérieurs et infé- rieurs aux segments de la
moelle
comprimée se laissent expliquer aisément comme
e même natnre que ceux qui ont produit la lésion étendue à toute la
moelle
au niveau de la compression : le fait que cette
'épaississement considérable *de la pie-mère constaté dans toute la
moelle
sacro-lombaire et dans la moelle dorsale inféri
la pie-mère constaté dans toute la moelle sacro-lombaire et dans la
moelle
dorsale inférieure. Quatrième cas. A. l"" jt)
movenne produit une s/mphysc 1'I111'P les méninges et la dure. ,,La
moelle
, de volume normal, ne paraît en aucun point al7la
achnnidien, la pie-mère, sont, surloul à la partie antérieure de la
moelle
. con- fondues presque à cause d'une énorme inli
n, bien qu'intense, est moins l'orle que dans la région lombaire.
Moelle
: Au niveau des segments L3, L+, L ? où la pachym
des segments L3, L+, L ? où la pachyme- ningite est plus l'orle, la
moelle
n'est pas déformée, conserve son volume normal
i\llSCulaj¡'eOIlt dilatés ainsi que les peri-cellulaires. Dans la
moelle
l'infiltration cellulaire est limitée autour des
; à la région cervicale inférieure elle cesse complètement. Dans la
moelle
sacrée l'infiltration est aussi plus légère que
s la moelle sacrée l'infiltration est aussi plus légère que dans la
moelle
lombaire. SUR LA LAUHOGLNIL DES ALTÉRATIONS MÉD
antérii-laléral, où on voit, l'Onlllle'¡'l la 1)i·nilrlu rie de la
moelle
eL dan, lescol'lluns postérieurs, abondamment di.
méfiées l'II'pll'il1l' dégénération : dans la substance grise de la
moelle
on voit aus-i de nombreuses ! ! ranu- l,llions
¡3 et dans le voisinage du ·cllLum. - Les racines qui entourent la
moelle
sont dégénérées d'une l'a- ,;on l ,"g-L'l '1'.
e l'iiiliiii-atioii cellulaire. Des cellules i-a(li(-ulair-es de la
moelle
beaucoup se trouvent en étal de gonflement avec
ll qui parait licitement, bien que discrètement dé- généré. Dans la
moelle
cer icaU', landi· yuc 1t' Gnll cst comltlc- tem
gée par l'escarre fessière : cette infiltration qui se propage à la
moelle
par les voies péri- vasculaires rend l'interpré
es particulièrement difficile. Au niveau des segm. L : 3,Li,L où la
moelle
présente le plus de lésions, celles-ci se montr
ous la forme de perte en fibres nerveuses qui, dilfuse à toute la
moelle
, est toutefois prépondérante à la périphérie de
la production des lésions constatées dans les autres régions de la
moelle
, à cause de la myélite qui sous la forme simple
éments nerveux. La limitation de tout phénomène inflammatoire de la
moelle
à cette simple SUR LA I ? CHOGI.\I1 : DES ,1LIL
e fibres nerveuses n'est, peut-être, que la suite de l'oedème de la
moelle
. Les bonnes conditions de l'irriga- tion sangui
oppement peu intense de la pachyméningite qui ne déforme en rien la
moelle
, écartent, enell'et, l'hypothèse que la perte e
e de faits ischémiques ou de la compression mécanique directe de la
moelle
. La faiblesse de la pachyméningite, sa limitati
foyer tuberculeux, juxta- médullaire. Ces toxines agiraient sur la
moelle
plus peut- être par l'intermédiaire de 1'(oedèm
étranger,indill'érent, mais que peut-être' elle influence aussi la
moelle
par l'intermédiaire de ses' toxines. Même en at
ment l'action du processus inflammatoire qui évolue en dehors de la
moelle
. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE . '1 Le sang dans
. Etude sur le cancer secondaire du cerveau, du cer- velet et de la
moelle
; par les D'" U.4LLAVARDIN et VAR.1L (Rec. de m
e. Syringomyélie. Tabès ; Scléroses combinées. Compressions de la
moelle
; Syndromes de 131'0\\ n-SequaI'l1 et de la queue
correctionnelle, p. 413, -. Voir .1[(1/ ÎI/I¡e, Epithélioma. Voir
Moelle
. I : REUTHOSE émcitive conjoncti- vale, par M
ribution à l'étude de la ophtalmoplé- gique,parLec ! éxio.p.4H.
Moelle
. Voir ]'"riuloIl1Nie, Contribution il la questi
l,t douleur, par Mlle Yotovko, p. 370. Sensation algique. Voir
Moelle
. Sérum sanguin. Voir Epilep- tiques. Applicat
Des troubles trophiques consécutifs aux maladies du cerveau et de la
moelle
épinière. PREMIÈRE LEÇON Troubles trophiques
es à celles des maladies du système nerveux et, en particulier, de la
moelle
épinière, que l'on observe le plus habituelle-men
ement des actes nu-tritifs. — Les lésions passives des nerfs ou de la
moelle
ne produisent pas directement de troubles trophiq
e, de celles des maladies du système nerveux et, en particulier de la
moelle
épiniôre, qui s'offrent le plus souvent à notre o
guës ou dans les exacerbations de quelques maladies chro-niques de la
moelle
épinière sont souvent la cause immédiate de la mo
st en réalité, dans certaines altérations de la substance grise de la
moelle
épi-nière. Multiplier ces exemples serait, je c
s ou dans les viscères n'est pas uniquement dévolu au cerveau et à la
moelle
épinière. Ces centres partagent ce privilège avec
ès la section des nerfs qui s'y rendent, ou la destruction même de la
moelle
épinière, les parties périphériques, telles que l
racture de la colonne vertébrale avec compression et irritation de la
moelle
épinière, des eschares apparaître au sacrum le se
je faisais allusion tout à l'heure, et qui tendent à démontrer que la
moelle
épinière et les nerfs n'ont pas d'influence direc
. organes génitaux chez les mammifères et chez les oiseaux, dont la
moelle
épinière a subi une section transversale complète
s de trois mois à la destruction complète de la région lombaire de la
moelle
épinière, se développèrent normalement; les fonc-
mammifères ou chez des grenouilles, dont la partie postérieure de la
moelle
a été détruite,on peut voir,dit Valentin lacontra
a section transver-sale complète ou la destruction d'une partie de la
moelle
épi-nière, on peut voir se former, principalement
complète des nerfs périphériques ou la destruction d'une partie de la
moelle
épi-nière ne provoque pas, dans les éléments anat
traumatiques, même les plus graves, des nerfs périphériques ou de la
moelle
, pro-duisent, assez difficilement, chez la plupar
effets des sections trans-versales, des destructions partielles de la
moelle
épinière, en ce qui concerne la nutrition des par
s n'ont pas pour résultat de provo-quer dans les parties lésées de la
moelle
un travail d'inflamma-tion, — et c'est ce qui a l
t sur ces troubles trophiques liés à l'inflammation traumatique de la
moelle
épinière chez les animaux, mais il sera plus oppo
antôt elles se sont développées spontanément; 2°par des lésions de la
moelle
épinière et du bulbe ; 3° enfin, par des lésions
ce : 1 "tantôt lalésion con- la section d'une moitié latérale de la
moelle
épinière au dos. Les affections de l'œil ulcérati
grenouille, à la suite de la section delà moitié correspondante de la
moelle
, près du bulbe rachidien. fCommunication orale.)
travail inflammatoire s'est développé dans le segment supérieur de la
moelle
épinière. siste en une section nette et complèt
qui leur donnent passage, les troncs nerveux d'où émane ce plexus. La
moelle
cervicale et les racines des nerfs cervicaux, ain
aux ont été trouvés aussi fortement altérés, sans participation de la
moelle
, des racines spinales tant antérieures que postér
ubles tro-phiques qui se rattachent à des lésions du cerveau et de la
moelle
épinière. 1. Steudener. — Beitraege zur Patholo
ions des muscles. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
épinière. Sommaire. — Modifications anatomiques
M. Brown-Séquard. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
épinière. — En ce qui concerne leur influence sur
ons forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe : Lésions de la
moelle
qui n'ont pas d'influence directe sur la nutritio
ancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de la
moelle
qui influencent plus ou moins vite la nutrition d
quelque sorte plus direct : à la suite de certaines affec-tions de la
moelle
épinière, telles quel'hématomyélie, la myélite ai
e la 2e édition.) troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
ÉP1NIÈRE Les lésions irritatives des centres
ège de troubles trophiques variés, consécuti-vement aux lésions de la
moelle
épinière et du cerveau. Nous traiterons en prem
elative-ment à ces affections, concernent seulement les lésions de la
moelle
et du bulbe, car il est au moins fort douteux que
e importance. Lésions musculaires consécutives aux affections de la
moelle
épinière. — Parmi les lésions spinales de nature
le premier groupe, nous rangeons celles des lésions irritatives de la
moelle
qui, dans la règle, ne modifient pas di-rectement
ou au contraire consécutive à une lésion en foyer du cerveau ou de la
moelle
épinière : qu'elle occupe exclusivement soit les
ns que les muscles, animés par les nerfs issus des points lésés de la
moelle
, souffrent directement dans leur nutrition (1).
c lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-laléraux de la
moelle
épinière. (Ar-chives de Physiologie, t. II, p. 63
élèves, M. Pierret. — Sur les altérations de la substance grise de la
moelle
épinière da?is Vataxie locomotrice, considérées d
eschares. A l'autopsie, nous reconnûmes, sur ces coupes durcies de la
moelle
, que la sclérose fasciculée descendante du cordon
rret et résumé ci-après. Elle représente une coupe transversale de la
moelle
épinière faiie dans le renflement lombaire — A, r
la région cervicale, la presque totalité de la substance grise de la
moelle
, dans une certaine étendue en hauteur, et plus pa
iphériques (1). B. Le second groupe comprendra les affections de la
moelle
épinière qui ont pour conséquence, à peu près iné
s siè-gent le plus communément sur unpoint de la région dorsale de la
moelle
épinière qu'elles occupent dans une très petite é
C'est vraisemblablement,Messieurs,en produisant une irrita-tion de la
moelle
épinière qui, partielle d'abord, tend bientôt à s
ture de la co-lonne vertébrale vers le milieu de la région dorsale. —
Moelle
épinière ramollie dans l'étendue de plusieurs pou
habitude plus opaque, plus dense, parsemée de Fig. 2, — Coupe de la
moelle
faite à la région lombaire. — G, corne anté-rieur
ernières, en général, ne présentent, auniveaudes points altérés de la
moelle
épinière, que des lésions relativement minimes et
ofonde d'un grand nombre de cellules motrices, dans les régions de la
moelle
d'où émanent les nerfs qui se rendent aux muscles
ale, avec lésions des cor-nes antérieures de la substance orise de la
moelle
épinière, in Archiv. de Phy-siolog., p. 135, 1870
lérose en plaques, fendent à établir que, dans le bulbe comme dans la
moelle
épi-nière, les lésions irritatives des faisceaux
des troubles trophiques musculaires consécutifs aux altérations de la
moelle
épinière. Dans la pathogénie de la paralysie infa
aiguë centrale et, en un mot, toutes tes affections irritatives de la
moelle
dans lesquelles l'axe gris se trouve intéressé. D
n des muscles ne soit pas affectée lorsque les faisceaux blancs de la
moelle
sont occupés par l'inflammation. Pour montrer que
èrementcomposésde fibres qui, nées soitdansl'en-céphale, soit dans la
moelle
elle-même, établissent, à la manière des commissu
tablissent, à la manière des commissures, des communications entre la
moelle
épinière et le cerveau, ou encore entre les diver
ir, d'aprèscela, que, à beaucoup d'égards, les faisceaux blancs de la
moelle
, sous l'influence des lésions irritatives, se com
TROISIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
épinière et du cerveau (suite). Sommaire. — Aff
ement rapide (Decubitus acutus) dans les maladies du cerveau et de la
moelle
épinière. — Mode d'évolution de cette affection d
point de vue du pronostic . — Decubitus aigu dans les maladies de la
moelle
épinière : il siège en général à la région sacrée
acrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésion du cerveau ou de la
moelle
épinière.— A. Formes aiguës ou subaiguës : elles
baiguës : elles se montrent dans les cas de lésion trauma-tique de la
moelle
épinière, dans la myélite par compression (tumeur
ntes : 1° atrophie des racines postérieures avant leur entrée dans la
moelle
épinière ; 2° méningite spinale postérieure ; 3°
e serait dans l'altération irritative des faisceaux postérieurs de la
moelle
épinière qu'il faudrait chercher le point de dépa
n des mouvements, sclérose commençante ,des cordons postérieurs de la
moelle
épinière. In Comptes rendus des séances et mémoir
es. Les faisceaux postérieurs sont-ils les seuls départements de-là
moelle
épinière, dont l'irritation soit capable de déter
l'histoire clinique d'un bon nombre de maladies du cer-veau et de la
moelle
épinière. L'affection cutanée dont je vais vous
érieure du même côté est complètement oblitérée par un thrombus. — La
moelle
épinière durcie par l'acide chromique et examinée
acine a été cou-pée, non loin du trou sacré correspondant, jusqu'à la
moelle
; sur celle-ci, elle peut être suivie encore dm.-
j'ai rencontrées à peu près uniquement dans les cas de lésions de la
moelle
épi-nière, il se produit en outre, aux dépens du
arques don.' R. Bright t'ait suivre les observations d'affection delà
moelle
épinière avec for matïon rapide de bulles et d'es
II, London, 1831.) — Le premier fait concerne un ramollissement de la
moelle
, survenu sans cause extérieure appréciable, chez
rois autres cas relatifs, cette fois, à des lésions traumatiques delà
moelle
(chute d'un lieu élevé, écrasement par une charre
de ultime d'un grand nombre d'affections du cerveau, et surtout de la
moelle
épinière. Les eschares, pour peu qu'elles aient
iquide puriforme, grisâtre, acre et fétide imbibe les mé-ninges et la
moelle
elle-même, tantôt dans la partie la plus in-férie
sacrée, la coloration ardoisée se retrouve dans toute l'étendue de la
moelle
épinière ; elle est là, constamment plus prononcé
alom. chirurgicale. — Ollivier (d'Angers).— Traité des maladies de la
moelle
épinière, t. 1er, p. 314, 324, 3° édit. 1837. — A
inent rapidement la vie, dans un grand nombre de cas de maladie de la
moelle
épinière. Nous devons, actuellement, entrer dan
le décubitus aigu, sous l'influence des lésions du cer-veau et de la
moelle
épinière, ainsi que les variétés de siège et d'év
suc-cessivement en revue les diverses affections du cerveau et de la
moelle
qui peuvent donner lieu au décubitus aigu. A. D
sque le décubitus aigu se produit sous l'influence d'une lésion de la
moelle
épi-nière, il se manifeste dans la très grande ma
oit affecté, dans le cas, par exemple, où une moitié latérale de la
moelle
est seule intéressée, et alors c'est fréquemment
dans un cas de myélite partielle sié-geant à la région dorsale de la
moelle
épinière. — a, Partie mortifiée ; — b, Zone éryth
a) Nous mentionnerons en premier lieu les lésions trauma-tiques de la
moelle
épinière, celles, en particulier, qui résultent d
), loc. cit., t. I. 6. S. Laugier. — Des lésions traumatiques de la
moelle
épinière. Thèse de concours. Paris, 1848. 7. E.
hâtive que la lésion traumatique porte sur un point plus élevé de la
moelle
. D'un autre côté, il ré-sulterait d'une statistiq
es symptômes, qui révèlent ha-bituellement un état d'irritation de la
moelle
épinière ou des méninges, se trouvent plusieurs f
n trouve mentionnées, en pareille circonstance, des altérations de la
moelle
qui mettent hors de doute l'existence d'un proces
nsécutive à des bles-sures n'intéressant qu'une moitié latérale de la
moelle
épinière, peut fournir des renseignements utiles
ropathie et l'atrophie musculaire siègent sur le membre du côté où la
moelle
est lésée, l'eschare semble se montrer de préfére
ès les symptômes, lésa principalement la moitié latérale gauche de la
moelle
épinière. Il seproduisit immédiate-ment une paral
suite d'une lésion traumatique por-tant sur une moitié latérale de la
moelle
épinière à la région dorsale, la paralysie du mou
l'autopsie, avait divisé complètement la moitié latérale gauche de la
moelle
épinière à 2 millimètres au-dessus de la troisièm
autre que l'extension, à certaines régions du segment inférieur de la
moelle
, du travail phlegmasique ori-ginairement développ
, M. Cliarcot a cherché à établir que, à la suite des blessures de la
moelle
épinière, des lésions irritatives, telles que: hy
e grise du côté correspondant à la blessure dans toute Tétendue de la
moelle
d'où émanent les nerfs se rendant aux muscles par
et des jointures, et qu'elles s'entre-croisent, au contraire, dans la
moelle
, delà même ma-nière que les fibres préposées à la
ervations d'hémiparaplégie consécutive à une lésion unilatérale de la
moelle
épinière : c'est que le décubitus aigu peut se mo
dans les faits qui précédent, de la blessure ou de l'attrition de la
moelle
épinière, mais bien d'une influence traumatique i
ient aucune lésion ; au voisinage des 5e et 6° vertèbres dorsales, la
moelle
épinière était trans-formée dans toute son épaiss
t dans le cas où une tumeur siégeant dans les parties centrales de la
moelle
provoquerait, par sa pré-sence, le développement
légie résultant de la lésion trau-matique d'une moitié latérale de la
moelle
. En somme, le fait dominant, toujours présent, c'
ent, c'est l'irritation vive d'une région plus ou moins étendue de la
moelle
épinière, se traduisant le plus souvent anatomiqu
s cette fois encore, l'absence d'action, mais bien l'irritation de la
moelle
épinière qu'il faut invoquer: et cette conclusion
es au sacrum ne survient pas à la suite des sections ordinaires de la
moelle
, mais seulement dans le cas où l'inflammation est
n'est guère vraisemblable que toutes les parties consti-tuantes de la
moelle
épinière soient aptes, indistinctement, à provoqu
guë, centrale, où lalésion occupe surtout les régions centrales de la
moelle
épinière, semble désigner tout particulièrement l
rs. A ce point de vue particulier, il y a lieu de reconnaître dans la
moelle
deux régions douées de propriétés très distinctes
Par tout ce qui précède, l'influence des lésions irritatives de la
moelle
épinière sur le développement du décubitus aigu n
M. Samuel cependant a avancé une opinion contraire : il pense que la
moelle
épinière ne joue ici aucun rôle et que les gangli
s faits nombreux de myélite traumatique occupant un point élevé de la
moelle
,—la région cervicale, par 1. Loc. cit. p. 252.
Une masse purulente couvre les faces antérieure et postérieure de la
moelle
et s'étend de-puis la queue de cheval jusqu'à la
et s'étend de-puis la queue de cheval jusqu'à la région cervicale. La
moelle
elle-même, exa-minée d'abord à l'état frais, puis
uit plus fréquemment comme conséquence d'une lésion traumatique de la
moelle
épinière, c'est ce dont témoignent suffisamment l
lus haut de M. Viguès et de M. Joffroy (3). Un cas de commotion de la
moelle
, relaté par M. Gull, fournit une démonstration an
isinage d'un tubercule solitaire siégeant à la région cervicale de la
moelle
, M. Gull signale la formation d'un épanchement in
rthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la
moelle
épinière (Archiv. de jihysiologie, t, I, p. 296.
ent des centres nerveux. D'un autre côté, beaucoup d'affections de la
moelle
épinière sont rattachées à tort à la dialhèse rhu
tels que les eschares à formation rapide et, lorsqu'il s'agit de la'
moelle
épinière, l'atrophie musculaire aiguë des membres
ériques; c'est dans la substance grise des cornes antérieures de la
moelle
que nous croyons avoir trouvé le point de départ
ocomotrice com-pliqués d'arthropathie où l'examen microscopique de la
moelle
a été fait avec soin , les cornes antérieures de
Gharcot et Joffroy. — Note sur une lésion de la substance grise de la
moelle
épinière, observée dam un cas d'arthropathie liée
, de l'envahissement de ces mêmes régions de la substance grise de la
moelle
épinière. Dans le cas où il s'agit du ramollis-se
cérébral, la sclérose descendante de l'un des cordons latéraux de la
moelle
pourrait être considérée comme le point de départ
QUATRIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
épinière et du cerveau (suite et fin). — Affec-ti
i, chez un cochon d'Inde, on lèse à l'aide d'un instrument piquant la
moelle
lombaire, il se produit quelquefois un épanchemen
ressortir que, d'après ia statistique publiée clans son Traité de la
moelle
épinière, tous les épileptiques dont la langue ét
mblent le croire. 2. Brown-Séquard. —¦ Influence d'une partie de la
moelle
épinière sur les capsules surrénales. (Compt. ren
des fractures de la colonne vertébrale, avec lésion consécutive de la
moelle
épinière, les urines subissent fréquemment une al
iste entre Tinflammation des voies urinaires et les altérations de la
moelle
épinière. On peut toujours supposer, à la rigueur
ême lorsqu'il s'agit d'une affection déve-loppée spontanément dans la
moelle
épinière, ou encore d'une blessure déterminée dan
qu'ils montrent qu'une lésion uni-latérale, très circonscrite, de la
moelle
épinière, suffit pour dé-terminer une affection p
a présence d'un foyer hémorrhagique occupant une moitié latérale delà
moelle
épinière, vous trou-verez, dans l'ouvrage de M. R
v. « D'après mes observations », dit Rayer, « dans les maladies de la
moelle
épinière, lorsque l'urine contenue dans la vessie
rations des voies urinaires consécutives aux affec-tions aiguës de la
moelle
, consultez : Engleken, loc. cit., p. 12. — Mannko
es à la suite des affections aiguës, spontanées ou traumatiques de la
moelle
épinière? Évidemment, on ne saurait faire interve
ns maintes circonstances, à la suite des lé-sions hémilaférales de la
moelle
épinière, par exemple (3), sur 1. CT. Bernard.
us l'avez vu, où une lésion siégeant dans les parties centrales de la
moelle
épinière, ou même dans l'encéphale, provoque l'ap
en conséquence de lésions portant sur les faisceaux postérieurs de la
moelle
ou sur les racines spinales sensitives. Pour ce q
ons dans la sclérose en plaques. — Lésions du pont de Varole et de la
moelle
allongée (Parkinson, Oppolzer). — Physiologie pat
emarqué que, dans deux cas d'indu-ration multiple du cerveau et de la
moelle
, le tremblement ne se manifestait qu'à la suite d
une augmentation de volume, avec induration du pont de Varole, de la
moelle
allongée et de la portion cervicale de la moelle;
ont de Varole, de la moelle allongée et de la portion cervicale de la
moelle
; en outre, les nerfs de la langue, ceux du bras,
es, constantes dans ces trois cas (oblitération du canal centra de la
moelle
par la prolifération des éléments épithéliaux qui
lérose. — Leur distribution : cerveau; cervelet, protubérance, bulbe,
moelle
épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. —
Anatomie microscopique. — Notions d'histologie normale concernant la
moelle
épinière. — Tubes nerveux. — Névroglie : sa distr
t le cerveau, la protubérance, le cervelet, le bulbe.aussibien que la
moelle
. Nous allons donc énumôrer les altérations que l'
tre et où les alté-rations sont fidèlement reproduites, vous voyez la
moelle
épi-nière tachetée de plaques grisâtres, à contou
ées sans règle apparente et comme au hasard sur tous les points de la
moelle
. Le bulbe lui-même n'est pas épargné, tant s'en f
, Fig. 1 et 3; Pl. VIII,Fig.. 1 à 5). Nous arrivons maintenant à la
moelle
. A travers la pie-mère, on aperçoit souvent des t
perçoit bien les lé-sions. Elles intéressent toutes les régions de la
moelle
(cervi-cale, dorsale, et lombaire) ; elles envahi
trouve-rons en clinique. Tantôt les plaques occupent exclusivement la
moelle
(forme spinale); tanlôt elles prédominent dans l'
; enfin, l'existence simul- tanée de plaques dans l'encéphale et la
moelle
répond à la forme cérébro-sp ina le. Pour en fi
x d'anatomie normale. D'ailleurs, nous nous occu-perons surtout de la
moelle
épinière, organe moins complexe et d'un abord plu
inces transparentes, pratiquées trans-versalement sur des tronçons de
moelle
convenablement durcis dans une solution d'acide c
1. On sait que les premières études sur la gangue conjonctive de la
moelle
épinière remontent à 1810 et sont dues à Keuffel
a planche, les parties qui appartiennent à la substance blanche de la
moelle
vousparai-sent sans doute, au premier abord, pres
on des tubes nerveux, lesquels tubes sont là, dans cette partie de la
moelle
, disposés pour la plupart suivant le grand axe de
stance en distance, des cloisons qui se dirigent vers le centre de la
moelle
,qu'ils partagent en com-partiments triangulaires
'observationdirecte permet de reconnaître sur des coupes minces de la
moelle
, durcies par l'acide chromique et colorées parle
ez pas oublié, — d'après des observations faites sur des fragments de
moelle
qui ont subi, pendant un temps plus ou moins long
, même à l'état frais, les coupes fines de la substance blanche de la
moelle
, placées dans le sérum iodé et dilacérés sous le
e mieux en relief la texture réticulée de la gangue conjonctive de là
moelle
épinière. Cette disposi-tion préexiste; elle ne s
ile, Messieurs, d'aborder l'étude des altérations histologiques de la
moelle
dans la sclérose en plaques. La description de ce
ui des autres régions. (Ranvier. — Sur les éléments conjonctifs de la
moelle
épinière. In Comptes rendus de l'Académie des sci
ouchard. Soc. anal., 1868; — Hayem. Éludes, etc., loc cit., p. 121.
moelle
, a écrit un gros livre accompagné de planches rem
ersales ; 2° sur des coupes longitudinales, provenant de fragments de
moelle
durcie par l'acide chromique ; nous décrirons ens
mettre en œuvre. A. Lorsque l'on examine à l'œil nu un tronçon cle
moelle
portant une plaque de sclérose, il semble que les
ues, les tubes nerveux sont essentiellement constitués, comme dans la
moelle
épinière, par un cylindre de matière i. Le l'ai
n qui puisse surprendre lorsque l'on sait que les tubes nerveux de la
moelle
^sont dépourxms de cette gaîne celluleuse ou gaîn
chard, dans ses belles études sur les dégénérations secondaires de la
moelle
épinière (3). La description, qui vient de vous
lez que les plaques ouïes îlots occupent quelquefois exclusivement la
moelle
; que d'au-tres fois ils prédominent dans les hém
ingite chronique cervicale avec sclérose de la couche corticale de la
moelle
, dans la sclérose primitive ou consécutive des co
cas de sclérose en îlots multiples et disséminés du cerveau et de la
moelle
épinière. (Mémoires de la Société de bio-logie, 1
tainement pas au même degré dans les autres maladies chroniques de la
moelle
épinière. Je dois revenir un instant, pour y in
aisseur de ces cordons, clans toute l'étendue d'une des régions de la
moelle
épinière, de la région lombaire, par exemple. Or,
ale et à la face antérieure du bulbe el dans le 4e ventricule.—Sur la
moelle
,nous avons trouvé: 1° une plaque de sclérose long
ordons postérieurs; — 4° enlin, sur les faces anléro-lalérnles de la
moelle
existaient plusieurs petites plaques de sclérose.
érose. B). le siège, s'était communiqué, en certaines régions de la
moelle
, aux cellules nerveuses des cornes antérieures de
on générale et dans leurs rapports avec les diverses affections de la
moelle
épinière où ils peu-vent se manifester. HUITIÈM
cules cérébraux, la protubérance, le bulbe et certaines régions de la
moelle
épinière. Or, ces lésions cérébro-spinales, tant
rose multiloculaire, les plaques scléreuses oc-cupent non seulementla
moelle
épinière (Voir Pl. V et VI) et le cerveau proprem
r dépendance elles dégénérations secondaires du méso-céphale et de la
moelle
qui sont la conséquence de ces lésions partielles
passagère (B.). 1. Vulpian. — Note sur la sclérose en plaques de la
moelle
épinière, obs. n, in Mémoires de la Société médic
rès avec les mêmes caractères, dans d'autres formes de sclérose de la
moelle
épinière et en particulier dans la sclérose fasci
. — Il existe de nombreuses plaques de sclérose dans le cerveau et la
moelle
. En raison des symptômes ataxiques offerts par la
cas-là, rapportées à l'envahissement des faisceaux postérieurs de la
moelle
épinière dans une certaine 1. Ilinrîlleiscli. —
gris d'acier, tantôt diffuse, tantôt en plaques disséminées. Dans la
moelle
— et principalement la moelle allongée — la sclér
tantôt en plaques disséminées. Dans la moelle — et principalement la
moelle
allongée — la sclérose occupe, en première ligne,
Je reviendrai aussi sur le groupe si intéressant des scléroses de la
moelle
épinière et, entre autre:, sur celle qui détermin
méningite spinale chronique etde quelques maladies du cerveau et delà
moelle
épinière dont l'histoire a été jusqu'ici très nég
ondon Hoipital Reports, 1806, l. III, p. 373. substance grise de la
moelle
. Le corps strié, lui, serait l'abou-tissant du tr
ents volontaires : il serait l'analogue des cornes anté-rieures de la
moelle
. Cette théorie, dont Schrceder Van der Kolk (1)
essions sensitives, doit sans doute être assimilée à l'axe gris de la
moelle
épinière ; celui-ci, comme on le sait, continue à
on-cerne la transmission des impressions sensitives, l'axe gris de la
moelle
n'est évidemment qu'un conducteur. Quoi qu'il e
radiée était sé-parée delà capsule interne et delà couche optique. —
Moelle
épinière : amas de corps granuleux;, assez abonda
gauche du cervelet. On n'a pas noté de dégénéra-tion secondaire de la
moelle
. Cas III. — Fr. Hasvelka, 22 ans. Ier nov. 1852
e blanche et les deux tiers externes du pied de la couronne radiée. —
Moelle
; légère agglomération de noyaux dans la partie l
psule interne et peut-être aussi une portion du noyau lenticulaire. —
Moelle
: accumulation de corps granuleux dans la partie p
ces mettent en évidence la suspension de l'excitabilité réflexe de la
moelle
épinière par le fait de l'irrita-tion des nerfs p
n excel-lente pour exalter à son maximum l'excitabilité réflexe de la
moelle
, si cette partie des centres nerveux est irritée
montre dans les circonstances variées, oùles faisceaux latéraux de la
moelle
épinière sont devenus, dans une certaine étendue,
rose descendante s'est établie consécutivement à la compression de la
moelle
, déterminée par une tumeur, à la myélite transver
e, c'est-à-dire résultant de la lésion d'une moitié unilatérale de la
moelle
épinière, l'anesthésie, ainsi que l'a montré M. B
ui occupait symétriquement, et à peu près dans toute la hauteur de la
moelle
, les cordons latéraux. A diverses reprises, cette
et cir-conscrite à son extrémité. — Cervelet, isthme, rien à noter.
Moelle
. La substance grise à l'œil nu paraît un peu défo
cité à peu près normale, à parois de consistance ordinaire. — Pont et
moelle
injectés de sang rouge grisâtre, sale. — Poumons
romptement et le malade succombe le 11 février 1882. Autopsie. — La
moelle
épinière est plus dure qu'à l'état normal ; elle
imitée. Le bulbe et surtout les olives sont encore plus durs que la
moelle
; leur surface est parsemée de plaques. La plus é
, occupant irrégulièrement divers points de bulbe ra-chidien et de la
moelle
allongée (pyramides antérieures, surtout la droit
dien. /', La coupe terminale laisse voir jusqu'où a pénétré dans la
moelle
même, à ce niveau, la lésion scléreuseet comment
se occupant irrégulièrement divers points du bulbe rachidien et de la
moelle
allongée (pyramides antérieures, complètement; ol
tement). f, La coupe terminale fait voir jusqu'où a pénétré dans la
moelle
même, à ce niveau, la lésion scléreuse, et commen
ris. P. Lackerbauer Chromo lith. PLANCHE V sclérose en plaques (
moelle
épinière). Fig. 1. — Moelle épinière vue par la
ith. PLANCHE V sclérose en plaques (moelle épinière). Fig. 1. —
Moelle
épinière vue par la face postérieure (la dure-mèr
scularisation spéciale des plaques scléreuses elles-mêmes. Fig. 2.—
Moelle
épinière vue par la face antérieure (la dure-mère
es. Fig. 3. — Coupes horizontales, faites à diverses hauteurs de la
moelle
épi-nière et montrant, dans toutes les régions, l
état frais; elles sont vues par la face su-périeure de la section, la
moelle
étant placée verticalement. a. Partie antérieur
lahaye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VI sclérose en plaques (
moelle
épinière). Fig. 1. —Moelle épinière vue par la
urs. PLANCHE VI sclérose en plaques (moelle épinière). Fig. 1. —
Moelle
épinière vue par la face postérieure (la dure-mèr
oir la vascularisation des plaques scléreuses elles-mêmes. Fig. 2.—
Moelle
épinière vue par la face postérieure (la dure-mèr
re;. Fig. 3. — Coupes horizontales faites à diverses hauteurs de la
moelle
et montrant, dans toutes les régions, la profonde
relatives à l'état frais). Les coupes sont vues de haut en bas, la
moelle
étant supposée verticalemen t placée. a, Partie a
centimètres plus bas. 10, Un peu plus d'un centimètre plus bas. La
moelle
, en ce point, est saine ou à peu près. 11, Un c
es à celles des maladies du système nerveux et, en particulier, de la
moelle
épinière, que l'on observe le plus habituelle-men
ement des actes nu-tritifs. — Les lésions passives des nerfs ou de la
moelle
ne produisent pas directement de troubles trophiq
ctions des muscles. troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
épinière. Sommaire. — Modifications anatomiques
M. Brown-Séquard. Troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
épinière. — En ce qui concerne leur influence sur
ons forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe : Lésions de la
moelle
qui n'ont pas d'influence directe sur la nutritio
ancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de la
moelle
qui influencent plus ou moins vite la nutrition d
TROISIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
épinière et du cerveau (suite). Sommaire. — A
ent rapide (Décubitus acutus) dans les maladies du cerveau et de la
moelle
épinière. — Mode d'évolution de celte affection d
point de vue du pronostic . — Decubitus aigu dans les maladies de la
moelle
épinière : il siège en général à la région sacrée
sacrée. Arthropathies qui dépendent d'une lésion du cerveau ou de la
moelle
épinière.— A. Formes aiguës ou subaiguës : elles
baiguës : elles se montrent dans les cas de lésion trauma-tique de Ja
moelle
épinière, dans la myélite par compression (tumeur
QUATRIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions de la
moelle
épinière et du cerveau (suite et fin). —affecti
ons dans la sclérose en plaques. — Lésions du pont de Varole et de la
moelle
allongée (Parkinson, Oppolzer). — Physiologie pat
clérose. — Leur distribution: cerveau, cervelet, protubérance, bulbe,
moelle
épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. —
Anatomie microscopique. — Notions d'histologie normale concernant la
moelle
épinière. — Tubes nerveux. — Névroglie : sa dis
foyer sanguin du cerveau, note, 62; — d'une lésion hémilatérale de la
moelle
, 103, — de la sclérose en plaques dis-séminées,
erveuses motrices des cor-nes antérieures de la substance grise de la
moelle
, 62. — Lésions de ces cellules : forme aiguë (pa-
t Louis, 359; —de Saint-Médard, 303, 336 ; — de Lourdes, note, 368.
Moelle
épinière (Effets de la section transversale de la
yodynie hystérique, 323. Myopathies consécutives à des lé-sions de la
moelle
, 60. N Néphro-cystite consécutive aux lé-sion
ue, 192. — Distri-bution des plaques dans le cerveau, 193 : — dans la
moelle
, 193 ; — sur les nerfs, 195. — Aspect des plaques
nclusions, 151. — Dans la sclérose en plaques, 263. Tubercule de la
moelle
, 112. Tympanisme, 286, 353, 356. U Urée dan
itre de « Dégénéres- cence atrophique des cordons postérieurs de la
moelle
», et où sont rela- tées les trois premières au
abès sont loin d'intéresser seulement les cordons postérieurs de la
moelle
, mais qu'elles s'étendent encore aux nerfs péri
; les lésions débordent en hauteur le névraxe rachidien et, dans la
moelle
même, ne sont nullement circonscrites aux cordo
Ils crurent à la possibilité d'une sclérose névroglique pure de la
moelle
, la seule sclé- rose de ce genre jusqu'alors co
é et d'aspect plutôt cicatriciel qui se montre sur les coupes d'une
moelle
de tabétique.Envisagée plus spécialementdans sa
on familiale et avec laquelle de- vait coïncider une atrophie de la
moelle
et du bulbe. Les observations de Nonne et de Nl
les autopsies relatent à la fois une atrophie du cervelet et de la
moelle
, apportaient un appoint à cette théo- rie. Le
admettre une lésion intéressant la moitié gauche d'un segment de la
moelle
dorso-lombaire dans laquelle se trouve compris
actuelles, sur les voies de conduction de la sensibi- lité dans la
moelle
si bien exposées par le Dr Long(l). La partie s
gauche eût franchi la ligne médiane, gagné la face postérieure de la
moelle
, la substance grise médiane, à mesure qu'elle l
s patellaires indiquent l'état normal de la partie inférieure de la
moelle
, de même que l'absence des troubles fonctionnel
centre spécial, par progres- sion lente de la partie blessée sur la
moelle
. L'histoire des myélopa Lit ies, suites lointai
r les névrites ascendantes, l'étude clinique et expérimentale de la
moelle
des amputés et des divers trau- matismes des ex
Rosenfeld (4), etc. De l'ensemble de ces travaux résulte que si la
moelle
est un point de départ, elle est aussi un point
neurologistes dans son rapport sur les localisations motrices de la
moelle
. Il résulte enfin que les lésions traumatiques ou
'un nerf mixte peuvent donner lieu à des lésions très variées de la
moelle
, lésions scléreuses (Marie, Switalski) (5), lés
bituellement raide ; le réflexe rotulien s'y montre exagéré ». « La
moelle
, en conséquence, dit M. Charcot, a été occu- pé
effet il rentre anatomiquement dans la famille des scléroses de la
moelle
, de la transverse classique en particulier, nous
er dans les scléroses en général et les affections chroniques de la
moelle
en particulier. C'est donc là une forme cliniqu
iculier. Si, après longue réflexion, le trauma vient échouer sur la
moelle
et y créer une lésion, celle-ci pourra être plu
tances susdites, pouvant même être en corrélation avec l'état de la
moelle
et avoir été déterminé par la rupture de quelqu
erse, telle que la décrivent les auteurs,est une des maladies de la
moelle
« qui résistent à tous les moyens de traitement c
octobre 1903 (1), qui paraplégie par une section transversale de la
moelle
, retrouvait déjà quelques mouvements au bout de h
ervés en vue de leurs recherches sur les lésions consécutives de la
moelle
. Les anciens amputés ont pu vivre longtemps ave
r 'jambe de bois sans se douter des troubles périphériques que leur
moelle
aurait pu leur faire éprou- ver. Enfin les clin
, la prudence demande en effet de surveiller encore longtemps cette
moelle
, d'éviter les fatigues, les refroidissements, l
zones de décalcification sous-périostique et péri-canaliculaire. La
moelle
est altérée, pulpeuse, présente des foyers hémo
te entité morbide est l'atrophie du cervelet », et il ajoute : « la
moelle
ne présentait aucune lésion microscopique, pas
ait à l'examen anatomique de l'atrophie simple du cervelet et de la
moelle
. Déjà les observations de Spiller diffèrent par
ction des cellules de Purkinje. Par contre, dans son ensemble, la
moelle
est diminuée de volume ; elle présente une dimi
l ya a dégénérescence du même faisceau et de celui de Goll. Dans la
moelle
, dont les dimensions sont considéra- blement di
lleux directs et les faisceaux de Gowers ; la substance grise de la
moelle
est atrophiée avec disparition des cellules. ,
ive de tout l'axe cérébro- spinal, bulbe et protubérance, cervelet,
moelle
et racines. Cependant si le volume du cervelet
s de la normale, c'est un cervelet sain d'apparence. Par contre, la
moelle
présente des altérations de la substance grise
rcule ancien, fibreux, siège au niveau du pôle occipital gauche. La
moelle
est très grêle, aplatie à la région cervico-dorsa
té complètement et placé dans divers réactifs. Quelques morceaux de
moelle
, de cervelet et d'écorce cérébrale ont été mis
et de Weigert-Anglade. Le cervelet, la protubérance, le bulbe et la
moelle
ont été mis au Müller et débités ensuite en cou
par exemple, dans les grandes cellules des cornes antérieures de la
moelle
, au cours de la poliomyélite chronique. Mais ic
die commence par le cervelet ; dans la première, elle débute par la
moelle
. Mieux encore faudrait-il voir dans la maladie
prépondérante des fibres nerveuses ambiantes. Très nombreux dans la
moelle
des circonvolutions ils lui donnent un aspect c
ression directe de haut en bas et à une autre de dedans en dehors) la
moelle
présente l'aspect fendillé particulier aux coup
paru présenter d'anomalie. Il en est de même par le cervelet et la
moelle
épinière. Résumé. Tumeur sise en avant des vent
a malheureuse- ment pas été conservé. L'examen miscroscopique de la
moelle
épinière ne nous a rien révélé de pathologique.
Rappelons-nous maintenant que K... n'était point paralysé et que sa
moelle
paraît normale. Nous sommes tentés d'attribuer so
st appliqué sur le côté droit de la protubérance (fig. 10) et de la
moelle
allongée, jusqu'au niveau du croise- ment des p
a- tion. Grosses cellules araignées à proximité. Des coupes de la
moelle
épinière (Carmin et Weigert-Pal) ne présentent ab
chemin à travers l'aqueduc de Sylvius vers l'espace subdural de la
moelle
épinière. Les conséquences sont toutes différen
ue. Le bulbe est normal dans toute sa hauteur. Pas d'examen de la
moelle
, l'autopsie ayant été partielle. La paralysie a
t intéressant de savoir s'il y avait trace d'une reviviscence de la
moelle
osseuse. Sur des coupes longitudinales et trans
calcifiées dans l'acide picrique,nous n'avons constaté aucun foyer de
moelle
osseuse en activité. Nulle part on ne voyait de
sont peu pigmentées. La méthode de Nissl les montre normales. La
moelle
est très peu touchée. Aucune lésion n'est percept
cro-carmin y décèle des fibres atrophiées et un peu de sclérose. La
moelle
lombaire, examinée au Nissl, est normale. Ner
euses au moment même de la poussée acromégalique, on trouverait une
moelle
osseuse en hyperactivité, mais si ce processus
et J. State (2) dans les méninges des plaques calcaires et dans la
moelle
des scléroses pseudo-systématisées, à Cagnetto
une hypertrophie de la glande pinéale et une sclérose diffuse de la
moelle
, à Henrot une glande pinéale doublée de volume et
Erb localise le centre de l'écriture dans la substance grise de la
moelle
cervicale. Quelle que soit la localisation du c
, on devrait même trouver des lésions dans la substance grise de la
moelle
cervicale. Duchenne de Bou- logne et un grand n
e des nerfs et des muscles affectés, le courant faible à travers la
moelle
épinière et la faradisation des muscles. Meyer
être conservée : Wesphal, après avoir exa- miné plusieurs séries de
moelles
de paralytiques généraux dans des mé- moires su
ltération développée primitive- ment dans les faisceaux blancs delà
moelle
épinière. Hislologiquement 1 les tubes nerveux
th. mentale, Doin, 1903, p. 1017. (3) Des scléroses combinées de la
moelle
. Thèse de Paris, 1904. (4) Traité de médecine e
pinales : « 1° les localisa- tions primitives de la maladie dans la
moelle
(méningo-myélite), et 2° les dégénérescences se
érations de la méninge et du système lymphatique posté- rieur de la
moelle
(3) ». Il nous paraît évident que Crouzon n'ajout
dispari- tion des fibres de Tucksek et des fibres de Baillarger.
Moelle
. Dans toute la hauteur de la moelle on trouve une
ek et des fibres de Baillarger. Moelle. Dans toute la hauteur de la
moelle
on trouve une méningo- myélite discrète ; les a
ont leur paroi dégénérée sur le mode hyalin et au tri niveau de la
moelle
sacro-lombaire, par la méthode Weigert, on consta
et transparentes, très adhérentes. Atrophie des circonvolutions.
Moelle
. Plaque de leptoméningite à la face antérieure, a
bs. XXV, p. 33 du tiré à part. 206 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE
Moelle
. La moelle est congestionnée,mais il n'y a pas de
33 du tiré à part. 206 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE Moelle. La
moelle
est congestionnée,mais il n'y a pas de myélite. I
e de la méningite à prédominance antérieure. Sur les coupes de la
moelle
cervicale,on note une infiltration légère de la p
tuée qu'on étudie des coupes plus inférieures. Sur les coupes de la
moelle
dorsale, on constate une plaque de lepto-ménin-
- matoxyline-éosine et le Nissl, on ne décèle aucune lésion dans la
moelle
; mais par le picro-carmin on voit une sclérose
à myéline, dont la plupart sont atrophiées (PI. XXXIII, fig. 5). La
moelle
lombaire est normale, à part une très légère ra
avastine, loc cit., obs. XXIV, p. 31. PLANCHE XXXIII. 1. Obs. IV.
Moelle
cervicale. Sclérose dense et nettement limitée du
elativement légère de l'aire pyramidale croisée droite. 2. Obs. IV.
Moelle
dorsale. Mêmes lésions que figure 1. 3. Obs. IV
Obs. IV. Moelle dorsale. Mêmes lésions que figure 1. 3. Obs. IV. -
Moelle
lombaire. Sclérose plus limitée des faisceaux pyr
Sclérose plus limitée des faisceaux pyramidaux croisés 4. Obs. III.
moelle
cervicale. Dégénérescence des faisceaux pyramidau
des faisceaux pyramidaux croisés et myélite diffuse. 5. Obs. II.
Moelle
dorsale. Sclérose des faisceaux pyramidaux croisé
le dorsale. Sclérose des faisceaux pyramidaux croisés. 6. Obs. XII.
Moelle
dorsale. Sclérose des faisceaux fondamentaux des
ordons de Goll et des bandelettes externes de Pierret. 1. Obs. V.
Moelle
dorsale. Sclérose tabétique des cordons postérieu
dorsale. Sclérose tabétique des cordons postérieurs. 8. Obs. VII. -
Moelle
dorsale. Sclérose des cordons postérieurs dite du
se des cordons postérieurs dite du tabès in- cipiens. 9. Obs. VI.
Moelle
dorsale. Sclérose tabétique des cordons postérieu
e dorsale. Sclérose tabétique des cordons postérieurs. 10. Obs. XI.
Moelle
cervicale. Raréfaction des fibres à myéline dans
sées, les bandelettes externes et les cordons de Goll. 11. Obs. XI.
Moelle
dorsale. Taches de décoloration dans les aires py
res pyramidales croisées et les cordons postérieurs. 12. Obs. XI.
Moelle
lombaire. Raréfaction des fibres à myéline dans l
tissu nerveux n'est pas infiltré, mais la vascularite est intense.
Moelle
.- La région cervicale est atteinte de myélite trè
énéres- cence des fibres à myéline dans la moitié postérieure de la
moelle
dans l'aire du faisceau fondamental du cordon l
La pie-mère à gauche est simplement épaissie et opalescente. ' La
moelle
ne présente pas d'altérations visibles à l'oeii n
beaucoup plus claire que l'autre ; les fibres y sont clairsemées.
Moelle
cervicale. Légère infiltration méningée à la part
ervicale. Légère infiltration méningée à la partie antérieure de la
moelle
et au niveau de l'émergence des racines antérieur
hromatiques ; la plupart sont en voie de dégénérescence vacuolaire.
Moelle
dorsale. A l'hématoxyline-éosine, elle ne présent
daux se présente au Weigert-Pal avec les mêmes caractères que de la
moelle
cervicale : sclérose limi- tée et dense d'un fa
. Les cellules de la colonne de Clarke paraissent moins touchées.
Moelle
lombaire. L'infiltration cellulaire des méninges
olyse et présentent des vacuoles qui ne contiennent pas de pigment.
Moelle
sacrée. Méninges très congestionnées et infiltrée
pendance des lésions encéphaliques. Il n'est pour ainsi dire pas de
moelle
de paralytique qui ne présente à quelque degré de
écutive à la plaque de lepto- méningite de la face antérieure de la
moelle
dorsale. La troisième parait, avant tout, fonct
myéline à la limite moyenne des cordons de Goll et de Burdach de la
moelle
cervicale. Cette sclérose postérieure per- met
tre enlevée qu'au prix de nombreu- ses ulcérations corticales. La
moelle
présente à l'oeil nu une teinte grise des cordons
ie est gras et montre de la péri-hépatite. Examen IIlSTOLOGIQUE. 1°
Moelle
lombaire. La pie-mère est infiltrée de (1) V. P
ostérieures est également atteinte par le processus dégénératif. 2°
Moelle
dorsale. Les préparations à l'hématoxyline-éosine
érieures sont, comme à la région lombaire, nettement altérées. 3°
Moelle
cervicale. La pie-mère est épaissie et infiltrée.
La pie-mère est épaissie et infiltrée. Dans l'intérieur même de la
moelle
les parois de quelques vaisseaux sont épaissies e
dis- tendue et obstruée par un caillot. Examen HISTOLOGIQUE. - 1°
Moelle
lombaire. - A l'hématoxyline-éosine, on aperçoi
'observent dans la gaine de quelques vaisseaux de l'intérieur de la
moelle
. La méthode de Nissl ne montre pas d'altération
érées sont sectionnées per* pendiculairement à leur direction. 2°
Moelle
dorsale. La pie-mère est épaissie et fibreuse tou
lle dorsale. La pie-mère est épaissie et fibreuse tout autour de la
moelle
. Elle est infiltrée par place de cellules embryon
canal de l'épendyme est obstrué et rempli de cellules en amas. 3°
Moelle
cervicale. Comme dans les régions précédentes, la
base sont athéromateuses. La sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
est visible à t'oei) nu. Le coeur pèse 300 gr.,
es poumons ont quelques tubercules disséminés. Examen histologique.
Moelle
cervicale. Ilématoxyline-éosine. La pie- mère,
Nissl. Les cellules nerveuses sont relativement bien conservées.
Moelle
dorsale. Hématoxyline-éosine. Il existe une infla
ce globuleuse. Dans un côté, elles sont très diminuées de nombre.
Moelle
lombaire. Hématoxyline-éosine. L'infiltration cel
du tabès incipiens,méningo- myélite de la moitié postérieure de la
moelle
dorsale. Chamb.... Louis, 35 ans, cocher, entre
l'adhérence de la pie-mère et une dilatation des ventricules. La
moelle
est molle, ses cordons postérieurs'sont gris. Le
ainsi que les faisceaux cérébelleux directs (pl. XXXIV, fig. 8).
Moelle
. La moelle cervicale, à l'hématoxyline-éosine, ne
e les faisceaux cérébelleux directs (pl. XXXIV, fig. 8). Moelle. La
moelle
cervicale, à l'hématoxyline-éosine, ne présente p
les cellules des cornes sont normales. Dans la partie moyenne de la
moelle
dorsale on trouve un foyer de méningo-myélite en
anuleux visibles au Marchi dans toute la moitié posté- rieure de la
moelle
en arrière des cornes latérales. Dans les mômes r
érose des bandelettes externes de Charcot et Pierret. 2. Obs. IX.
Moelle
cervicale. Sclérose des mêmes bandelettes externe
uche (à droite sur la figure) des faisceaux pyramidaux. 3. Obs. IX.
Moelle
dorsale. Mêmes lésions de sclérose que dans la mo
. 3. Obs. IX. Moelle dorsale. Mêmes lésions de sclérose que dans la
moelle
cervi- cale avec en plus un foyer récent de mén
oyer récent de méningo-myélite occupant la moitié postérieure de la
moelle
. 4. Obs. IX. Moelle lombaire. Sclérose des band
-myélite occupant la moitié postérieure de la moelle. 4. Obs. IX.
Moelle
lombaire. Sclérose des bandelettes externes et dé
et bien limitée à droite, légère et diffuse à gauche. 5. Obs. X.
Moelle
cervicale. Sclérose des bandelettes externes, des
aréfaction des fibres dans les deux aires pyramidales. 6. Obs. X.
Moelle
dorsale. Sclérose des bandelettes externes et de
aréfaction des fibres dans les deux aires pyramidales. 1. Obs. X.
Moelle
lombaire. Sclérose des cordons postérieurs, à l'e
rdons de Goll et des faisceaux cérébelleux directs. 9. Obs. VIII.
Moelle
cervicale. Sclérose des cordons de Goll du tabes
le. Sclérose des cordons de Goll du tabes incipiens. 10. Obs. VIII.
Moelle
dorsale supérieure. Sclérose postérieure du tabes
lésions diffuses de méningo-myélite de la moitié postérieure de la
moelle
. 11. Obs. VIII. - Moelle dorsale inférieure. Sc
o-myélite de la moitié postérieure de la moelle. 11. Obs. VIII. -
Moelle
dorsale inférieure. Sclérose tabétique à peine pe
t et taches disséminées de myélite dans la moitié postérieure de la
moelle
. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T.
s nets ; elles ont des taches de décoloration périphériques. A la
moelle
lombaire, on constate au Weigert une sclérose lég
ales et quelques taches décolorées dans la moitié postérieure de la
moelle
. L'hématoxyline- éosine montre à ce niveau de p
araît atrophiée et complètement décolorée (pl. XXXIV, fig. 1). La
moelle
dans toute sa hauteur est atteinte de méningite ;
présentent sur leurs parois des granulations. La dure-mère de la
moelle
est congestionnée. La moelle est diffluente ; l
s granulations. La dure-mère de la moelle est congestionnée. La
moelle
est diffluente ; les nerfs de la queue de cheval
e réticulée paraît également présenter une'diminution de ses fibres
Moelle
. Au niveau de la moelle cervicale : méningite aig
ment présenter une'diminution de ses fibres Moelle. Au niveau de la
moelle
cervicale : méningite aiguë avec périphlé- bite
s radiculaires et forment entre celles-ci de véritables nodules. La
moelle
présente de la prolifération névroglique périphér
es des cornes antérieures paraissent normales. A l'inspection de la
moelle
cervicale colorée au Weigert, on constate : une
même racine sont intacts. Au Nissl ; cellules nerveuses normales.
Moelle
dorsale. - A l'hématoxyline-éosine on voit une mé
truite en partie, les cellules qui subsistent sont très altérées.
Moelle
lombaire. Raréfaction des aires pyramidales attei
, congestion énorme des racines et aspect relativement normal de la
moelle
. Au Nissl, la majorité des cellules nerveuses s
nd complet. Au point de vue anatomo-pathologique, on trouve dans la
moelle
les lésions du tabes incipiens, c'est-à-dire la
ines postérieures. D'autre part existe, dans toute la hauteur de la
moelle
, un processus inflam- matoire à maximum au nive
maximum au niveau de la pie-mère et de la substance nerveuse de la
moelle
dorsale. Enfin, il y a dans les aires pyramidal
ns les aires pyramidales une raréfaction des fibres, qui donne à la
moelle
l'aspect d'une sclérose combinée. OBs. XI (1).
ire. Au Weigert, les faisceaux pyramidaux paraissent plus clairs.
Moelle
. Méningomyélite discrète dans toute la hauteur, m
cérébrales sont manifestement atro- phiées. Examen nISTOLOCiQOE.
Moelle
sacrée. fléma 1 oxy lin e-éo sine. Les méninges
éri-artérite et endartérite). Les substances blanche et grise de la
moelle
sont également infiltrées de cellules rondes. B
s zones de Lissauer et quelques faisceaux clairsemés des racines.
Moelle
lombaire. Hématoxyline-éusine. L'inflammation mén
rgées de pigment, et contenant encore quelques grains chromatiques.
Moelle
dorsale. Hématoxyline-éosine. - La pie-mère, épai
x dans les gaines péri-vascu- laires de la moitié postérieure de la
moelle
. Nissl. La plupart des cellules nerveuses sont
persistent, les unes sont hypertrophiées, les autres atrophiées.
Moelle
cervicale. Hématoxyline-éosine. L'infiltration de
et son médecin traitant aurait diagnostiqué un ramollissement de la
moelle
. Les troubles intellectuels remontent à dix-hui
s de la base sont saines en apparence. Pas de pachy-méningite de la
moelle
. Le coeur pèse 400 grammes ; l'aorte est épaiss
reins pèsent 290 grammes. La rate 40 grammes. Examen HISTOLOGIQUE.
Moelle
cervicale. Hématoxyline-éosine. Il existe une i
s antérieures sont en neuronophagie, chromatolyse et achromatose.
Moelle
dorsale. Les lésions sont les mêmes que dans la m
achromatose. Moelle dorsale. Les lésions sont les mêmes que dans la
moelle
cervicale, moins la radiculite parenchymateuse.
e parenchymateuse. Les cellules nerveuses sont normales au Nissl.
Moelle
lombaire. Hén,atoxyline-éosine. Il existe une mén
parenchymateuse intense. Cette radiculite est fasciculaire. Dans la
moelle
sont décolorées la moitié interne des cordons p
ent médullaires. Et, de fait,on trouve dans la partie moyenne de la
moelle
dorsale un foyer de méningo- myélite en évoluti
e que la sclérose diffuse des cordons laté- raux, constatée dans la
moelle
lombaire, se réduise dans la moelle cervi- cale
s laté- raux, constatée dans la moelle lombaire, se réduise dans la
moelle
cervi- cale et le bulbe au faisceau cérébelleux
aux sont plus com- 230 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE plexes.A la
moelle
lombaire, les deux aires pyramidales sont scléros
ébral du côté opposé. En effet, depuis ce ramollissement jusqu'à la
moelle
lombaire, on suit la dégénérescence des fibres py
nérescence des fibres pyramidales dans le pédoncule, le bulbe et la
moelle
. La sclérose diffuse et légère de l'autre aire
ain et Crouzon, soit à des altérations des cellules nerveuses de la
moelle
, lé- sions sur lesquelles insiste M. Klippel. S
rine, nous pensons qu'avant d'affirmer une sclérose primitive de la
moelle
, il est nécessaire de débiter celle-ci en coupe
ET LAIGNEL-LAVASTINE phalite ne pouvoir s'exprimer au niveau de la
moelle
et particulièrement des cordons postérieurs que
ière conception, apercevant plus,dans l'anatomie pathologique de la
moelle
des paralytiques généraux, les diffé- rences qu
ice du professeur Brissaud, concerne un paralytique générât dont la
moelle
« par ses lésions peut être placée entre les tabe
e de Nissl. Les vaisseaux du bulbe sont atteints de périartérite.
Moelle
. Dans toute la hauteur de la'moelle, on observe u
sont cependant le siège d'une inflammation notable au niveau de la
moelle
cervicale. Dans toute la hauteur de la moelle,
table au niveau de la moelle cervicale. Dans toute la hauteur de la
moelle
, la pie-mère, au fond du sillon antérieur, est bo
ammes. L'examen macroscopique des centres nerveux : cerveau, bulbe,
moelle
, ne révéla aucune particularité anormale. Exa
en trois régions différentes, supérieure, moyenne et inférieure, la
moelle
au niveau du renflement cervical ont été examinés
aitement par les méthodes de Weigert-Pal et de Nissl. Les coupes de
moelle
ont été de plus traitées par la méthode de Marc
observation du même genre dans un cas de tumeur métastatique de la
moelle
; et Caïman (83) aussi dans des circonstances de l
aits par l'observation d'un cas de paraplégie par compression de la
moelle
. Dans ces observations les oedèmes s'accompa- g
rine et Thomas (85) affirment que dans la marche des maladies de la
moelle
on observe parfois des oedè- mes « irrégulièrem
érie d'observations dans lesquelles les lésions anatomi- ques de la
moelle
ont certainement sous leur dépendance les altérat
des oedèmes chroniques de l'articulation de l'épaule (lésion de la
moelle
cervicale) sans lésion des os, bien circonscrits.
es cutanés étaient symptomatiques d'une affection anatomiques de la
moelle
seraient la preuve de notre affirmation générale.
ue la syringomyélie se localise dans les régions inférieures de la'
moelle
nous pouvons observer le pied succu- lent (Croc
les oedèmes de ce genre étaient symp- tomatiques d'une tumeur de la
moelle
dorsale ou lombaire. Mais nous ne pouvons rien
ules du Rattone qui se trouvent dans les racines postérieures de la
moelle
[Poli (14)]. De même, sur les rap- ports des va
que les ventricules du cerveau, de même que le canal central de la
moelle
puissent être intéressés dans cette affection.
tes. Chapitre II. Le système nerveux et le tissu cérébro-spinal. I.
Moelle
épinière et tissu cérébral des foetus à canal r
le du processus méningitique. Dégénérescence pré-méningitique de la
moelle
. - II. Tissu cérébro- spinal des foetus à rachi
P. Ollivier, Essai sur l'anatomie el les vices de conformation de la
moelle
, épinière chez l'homme (Thèse de Paris, 1823).
ques furent rendues possibles, c'était l'examen microscopique de la
moelle
des pseu- dencéphaliens nosencéphales ou des an
uée sans ligne de démar- cation par la tumeur qui se substitue à la
moelle
épinière. Dans ce cas, en effet, le canal rachi
et il y a lieu de se demander si la constitution particulière de la
moelle
est ou non en corrélation avec la production sacc
ts dont j'ai disposé, autre chose qu'une tumeur encéphalique et une
moelle
. Divers au- teurs, Vaschide et Vurpas (2), en p
fermé, qu'ils aient ou non un bulbe apparent, ce canal renferme une
moelle
épinière parfaitement reconnais- sable comme te
r les méninges. D'une façon générale, le calibre extérieur de cette
moelle
est relativement inférieurà ce qu'il devrait être
qu'en examinant tout d'abord en coupes sériées, de bas en haut, la
moelle
et les méninges renfermées dans un canal rachidie
toutes les au- tres dispositions céphaliques ou rachidiennes. I.
MOELLE
épinière ET TISSU cérébral DES FOETUS A CANAL R
isposition quatre foetus à canal rachidien clos dont j'ai débité la
moelle
en coupes rigoureusement sériées ; j'ai, de plus,
était illu- soire de s'attarder à l'étude des cordons blancs de la
moelle
. La pseudencépha- lie, en effet, ne consiste pa
ctif ; il intervient d'autres processus qui touchent directement la
moelle
et sont de nature à fausser l'interprétation de
s à pas la marche des événements, il faut examiner les coupes de la
moelle
en commençant par les segments les plus inférie
70 RABAUD a) Inflammation méningée. Tout à fait à l'extrémité de la
moelle
lom- baire, au point d'origine du filum termina
substance grise, soit dans la substance blanche : ce segment de la
moelle
est, en somme relativement sain. Par contre,
elle est, en somme relativement sain. Par contre, en dehors de la
moelle
, on constate de très importantes modifica- tion
ement grande de leucocytes. Les vaisseaux forment tout autour de la
moelle
une sorte de gaine, mais une gaine incomplète;
nerveux. Fio. 8. Coupe transversale de l'extrémité inférieure de la
moelle
. M. moelle.- V.a. vaisseaux antérieurs. V.p. va
o. 8. Coupe transversale de l'extrémité inférieure de la moelle. M.
moelle
.- V.a. vaisseaux antérieurs. V.p. vaisseaux posté
ulaire composée de vaisseaux dilatés, gorgés de sang, entourant une
moelle
presque indemne de toute lésion, est - un fait
bserve les mêmes dispositions, légèrement accentuées. Du côté de la
moelle
, les divers procédés de coloration ne mettent en
s de coloration ne mettent en évidence aucune lésion importante. La
moelle
est encore relativement intacte. Pour ce qui est
concerne les vaisseaux. Ceux-ci se sont multipliés tout autour de la
moelle
, ils forment maintenant une gaîne sensiblement
homogène sur tout son pourtour : vis-à-vis du sillon antérieur de la
moelle
, cette gaîne est constituée par un paquet vascu
une étendue correspondante à la moitié antérieure du pourtour de la
moelle
, la gaine vasculaire est faite de vaisseaux pet
ment limités aux méninges, dans le segment lombaire supérieur de la
moelle
. Les cellules ne sont que très .peu altérées, l
de dégénérescence gra- nulo-pigmentaire ou autre. Tout autour de la
moelle
, la gaîne vasculaire est t très accentuée; mais
ettement en dehors, de la pie-mère vers la dure-mère et non vers la
moelle
. Il existe, en outre, des vaisseaux isolés entre
ance de la prolifération vasculaire à gagner, non en dedans vers la
moelle
, mais vers le dehors, pour envahir tout l'espace
, bien que ce soit avec lenteur, le processus s'étend aussi vers la
moelle
. On observe, en effet, la dilatation des vaisseau
t, la dilatation des vaisseaux qui pénètrent dans l'épaisseur de la
moelle
; on l'observe nettement sur une coupe donnée, en
le n'en existe pas moins. En somme, dans la moitié inférieure de la
moelle
, l'attention se concentre sur l'inflammation mé
tendance la plus marquée est de se propager, non en dedans vers la
moelle
, mais en dehors vers la dure- mère. La multipli
rveux. b) Hémorragies et exsudation. - Dans cette région même de la
moelle
, com- mence à apparaître un processus, peu marq
complètent le tableau anatomo-pathologique. Mais à ce moment, la
moelle
elle-même n'est encore que peu touchée. On obse
ependant évidentes. Par opposition à cette intégrité relative de la
moelle
, il convient de noter l'enva- hissement de la d
u sur et à mesure que l'on remonte vers les étages supérieurs de la
moelle
, les phénomènes qui ont pour siège les mé- ning
ous conduit à examiner, au préalable, ce qui se passe du côté de la
moelle
elle- même. Nous avons noté, tout à l'heure,
veineux qui passent habituellement des enveloppes conjonctives à la
moelle
. Le phénomène se reproduit à diverses reprises et
ns. Chaque vaisseau pénétrant dans Fic. 9. Coupe transversale de la
moelle
montrant la prolifération vasculaire et la coal
sculaire et la coalescence de leurs parois. R. Racines nerveuses.
M. Moelle
. - Vpc.Couche des vaisseaux postérieurs. 374 RA
M. Moelle. - Vpc.Couche des vaisseaux postérieurs. 374 RABAUD la
moelle
est accompagné d'un certain nombre d'éléments de
d'un certain nombre d'éléments de tissu conjonctif embryonnaire; la
moelle
se trouve ainsi envahie de toutes parts. Sans dou
postérieur est encore peu atteint. Dans les segments inférieurs de la
moelle
, on constate déjà l'existence de-cellules conjo
assez considérable équivalant environ à la moitié inférieure de la
moelle
. Puis, à ce niveau, le processus devient beauco
e la paroi antérieure et tend à rejoindre le sillon antérieur de la
moelle
(fig. 10). Ce bou- chon est de nature conjoncti
e à la méninge postérieur ; dans les segments les plus élevés de la
moelle
, une grande partie des faisceaux posté- rieurs
ocessus du même ordre s'observe en divers points de l'étendue de la
moelle
, mais avec une bien moindre intensité. Suivant to
ide ; s'il est notablement plus avancé à la partie supérieure de la
moelle
qu'à sa partie moyenne, la progression ne dépasse
s il s'ac- centue et constitue des plages étendues, éparses dans la
moelle
et de plus en plus nombreuses. Il s'agit de vér
aisseaux dilatés existent, nous l'avons dit, dans l'épaisseur de la
moelle
, mais le diamètre de leur calibre n'atteint jam
vé l'existence des globules rouges et blancs dans l'épaisseur de la
moelle
ne se sont pas prononcés nettement ; il semble mê
u ; ils finissent par occuper la majeure partie de la surface de la
moelle
, et l'on se rend bien compte qu'ils ne tarderont
façon plus active, les amas sanguins se substituent peu à peu à la
moelle
dont les éléments cellulai- res, aussi bien que
ns son ensemble, la marche des proces- sus que l'on observe dans la
moelle
. Ces processus sont manifestement ceux d'une vi
agies intra-médul- laires avec la participation des vaisseaux de la
moelle
et la prolifération con- jonctive. L'origine de
une absence d'énergie de crois- sance de la partie antérieure de la
moelle
. Quant à Zingerle, il avance que les amas sangu
pleine lumière. Elle se propage, intus et extra, aussi bien vers la
moelle
que vers la dure-mère. La propagation vers le deh
, l'inflammation descendait jusqu'à la pointe la plus extrême de la
moelle
, y affectant une très grande intensité. Dès la
t une très grande intensité. Dès la région la plus inférieure de la
moelle
, on observe un tissu nerveux fragmenté en faisc
sente de nombreuses racines enveloppant l'extrémité inférieure de la
moelle
réduite en bouillie. La présence de nombreux et
les mêmes, s'accentuant plutôt, dans tout le tiers inférieur de la
moelle
, environ. Puis, en passant dans le tiers moyen,
lésions est notablement moin- dre, c'est une intensité moyenne : la
moelle
forme un tout cohérent enveloppé de la gaîne va
à un faible degré. La particularité remarquable réside ici dans la
moelle
. Elle ne renferme plus aucune cellule nerveuse,
réduite dans tou- tes ses dimensions. Tout se passe comme si cette
moelle
, séparée de ses rela- PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENC
ggravation se manifeste par l'existence de petits vaisseaux dans la
moelle
atrophique. La recrudescence ne persiste pas ;
ste pas ; au-dessus de ce segment, l'arrêt de déve- loppement de la
moelle
est, sans aucun doute, moins accentué ; dans tous
les cas, il est intervenu plus tard, laissant à cette partie de la
moelle
le temps de se développer davantage ; elle renf
r de ce niveau, qui correspond à peu près à la partie moyenne de la
moelle
, le processus méningitique reprend sa marche prog
de beaucoup la plus grande ; puis elle va diminuant, tandis que la
moelle
est frappée d'un arrêt de développement, beauco
l est permis de déduire qu'il a été détruit de la même façon que la
moelle
par des hémorragies progressivement croissantes
s correspondent aux exsudats séreux que nous avons observés dans la
moelle
, autour desquels s'est secondairement organisée
nt nécessaire du processus dont nous avons surpris le début dans la
moelle
et dont nous avons suivi la marche pro- gressiv
éléments embryonnaires qui envahissent, étouffent et suppriment. La
moelle
nous a montré les premières phases de ce processu
faire notre examen en débutant par les seg- ments inférieurs de la
moelle
et remonter graduellement, jusqu'à l'encéphale.
t-elle localisée longtemps dans l'encéphale avant de se propager la
moelle
? La question ne comporte pas une réponse simple
évolue parfois seule durant un assez long temps. Dans les cas où la
moelle
existe encore, il s'est certainement écoulé un
ahissement conjonctif intra-médullaires, les diverses parties de la
moelle
restent encore assez nettement distinctes et faci
e parfois ménagées ; même il est probable que, chez les sujets dont
moelle
et cerveau ont disparu, la propagation de la méni
amma- tion débute par l'encéphale et se propage secondairement à la
moelle
. 50 Dégénérescence pré-méningitique de la moell
econdairement à la moelle. 50 Dégénérescence pré-méningitique de la
moelle
. Chez deux des foetus soumis à mon examen, les
deux des foetus soumis à mon examen, les processus observés dans la
moelle
ne sont pas de même nature, au premier abord, que
aitement re- connaissable. Même, dans les segments inférieurs de la
moelle
, les cellules nerveuses devraient être à peine
fiées. Or il en va ici tout autrement. Les coupes pratiquées sur la
moelle
lombo-sacrée montrent, dans l'intérieur de la p
-sacrée montrent, dans l'intérieur de la pie-mère, à la place de la
moelle
, un amas de débris sans forme, ayant-perdu tout
le d'iden- tifier à l'un quelconque des éléments constitutifs de la
moelle
. Au milieu de ces débris, on distingue quelques
rs, la discordance entre les lésions de la pie-mère et celles de la
moelle
ne laisse prise à aucun doute : celles-ci sont
La discordance est tout à fait marquée dans moitié inférieure de la
moelle
; elle s'atténue, sans cependant s'effacer, à m
n qui, malgré tout, la souligne. Dans les segments supérieurs de la
moelle
, en effet, on voit s'ébau- cher la pénétration
en effet, on voit s'ébau- cher la pénétration des vaisseaux dans la
moelle
et l'envahissement conjonctif; tout à fait en h
d'affirmer que l'absence de toute propagation inflammatoire vers la
moelle
constatée dans les segments inférieurs est bien
chidiennes n'ont nullement déterminé la dégénérescence totale de la
moelle
. Les coupes des régions cervicales mettent en é
qui a bien son importance : tandis que, dans toute la hauteur de la
moelle
, les raci- nes ont entièrement disparu, à ce ni
méningite existe à peine ; même, dans les segments supérieurs de la
moelle
, on ne peut que soupçonner un très léger début
léger début de néo-formation vasculaire. Par contre, du côté de la
moelle
, la désintégration est plus marquée encore, s'i
ent, la désintégra- tion est un peu moins accusé dans le haut de la
moelle
, c'est-à-dire dans les segments qui sont les pr
à fait comparable de la pie- mère, d'autres foetus possédaient une
moelle
à peine modifiée. De plus, lors- qu'une modific
rement dans ce cas, comme dans le cas général, sur les fibres de la
moelle
qui ne sont, pour une bonne part, que la contin
au est très anté- rieure à la propagation de l'inflammation vers la
moelle
. Dès lors, les fibres de celle-ci entrent en dé
tion est sensiblement moins avancée dans le segment supérieur de la
moelle
que dans les segments inférieurs. Nous constato
énération Wallérienne : c'est au niveau de leur pénétration dans la
moelle
que nous re- trouvons leurs traces les plus net
st long- temps cantonnée dans l'encéphale avant de se propager à la
moelle
. Divers facteurs interviennent certainement, au
y a peut-être lieu de rap- procher le retard de propagation vers la
moelle
des faits de recrudescence segmentaire que nous
recrudescence segmentaire que nous avons relevés et décrits dans la
moelle
elle-même. Mais, à côté de ces facteurs individ
dans le second des cas caractérisés par une dé- générescence de la
moelle
s'opposant à une inflammation méningée aussi peu
Il n'en reste pas moins que dans les deux cas qui nous occupent, la
moelle
a nettement dégénéré et que toutes les apparences
pas d'une façon générale un certain rôle dans la disparition de la
moelle
. A deux reprises, nous avons indiqué que les re
sceaux sont ou ne sont pas atteints. Les lésions im- médiates de la
moelle
interviennent nécessairement dans la dégénérescen
r toute action dégénéra- tive dans la disparition progressive de la
moelle
. Suivant toute évidence, dès le moment où tout
e dessus et devient, à elle seule, le processus destruc- teur de la
moelle
. Mais alors, le résultat est très différent ; il
néoformation : cette dernière reste nécessairement en dehors de la
moelle
; sa multiplication est très sensiblement rédui
ÉHISCENT. Dans les divers cas que nous avons examinés jusqu'ici, la
moelle
existait, sous une forme ou une autre, mais exi
su cérébral et le tissu cérébral de foetus qui possèdent encore une
moelle
nettement caractérisée. La similitude ne laisse
ment nerveux encore distinct : le FiG. 11. Coupe transversale d'une
moelle
dans un rachis déhiscent. M. Moelle. - Ep. Epen
FiG. 11. Coupe transversale d'une moelle dans un rachis déhiscent.
M. Moelle
. - Ep. Ependyme. - Pm. Pie-mère. - Vp. Gaine vasc
Quant dire à quelle partie des tissus intra-rachidiens (méninges ou
moelle
) appartiennent les différentes régions que l'on
osition singulière et paradoxale en appa- rence d'être dépourvus de
moelle
épinière, mais de posséder cependant des troncs
anal rachidien fermé ne présentent, du haut en bas, aucune trace de
moelle
; elles sont presque 1YIII Il 26 394 RABAUD
dispositions importantes. Sur les coupes, on distingue nettement la
moelle
; mais elle est réduite à uu volume extrêmement p
nombreux vaisseaux dilatés et gorgés de sang. Dans l'intérieur de la
moelle
se trouve une bouillie informe, dans le sein de
vasculo-conjonctif n'a pas gagné dans ce tissu. Tout autour de la
moelle
existent de nombreuses sections de faisceaux ner-
reuses sections de faisceaux ner- veux, soit à proximité même de la
moelle
, soit à distance, et comme si ces fais- ceaux a
tion et les relations que l'on distingue par endroits, tant avec la
moelle
qu'avec le ganglion rachidien. Quant à ce dernier
ntéressant les segments supérieurs ne montrent plus aucune trace de
moelle
, mais, au contraire, des faisceaux nerveux abonda
l'envahissement de la dure-mère et sa trans- formation. Quant à la
moelle
, il n'en existe pas de traces. Il n'est pas mal
la marche des phénomènes. Ce cas doit être rapproché des cas où la
moelle
, atteinte de dégénérescence préméhingitique, di
m- mation. Le fait le plus important est, ici, la disparition de la
moelle
par dégé- nérescence simple. Le processus a déb
ela a constamment lieu, puis elle a marqué sa tendance à envahir la
moelle
. Et comme celle-ci se trouvait réduite à des détr
effectuée au niveau lombaire et là nous retrouvons les restes de la
moelle
. Dans tous les cas, les détritus qui les compos
ps vertébraux et les arcs étalés. La dégénérescence préalable de la
moelle
ayant supprimé une partie de la charpente sur l
ver ce second fait que dans un canal rachidien ouvert se trouve une
moelle
à configuration normale. Quoique dégénérée, en ef
male. Quoique dégénérée, en effet, il ne fait aucun doute que cette
moelle
s'est constituée suivant le mode habituel et qu
xiste pas dans les régions supérieures de la colonne vertébrale. La
moelle
lombaire existe seule; elle présente des caractèr
tif a évolué moins longtemps, il est corroboré par cet autre que la
moelle
est beaucoup plus volumineuse, c'est- à-dire qu
- laire. Ces dispositions sont celles de la région inférieure de la
moelle
; il con- vient d'ajouter que les troncs nerveux
; mais ils ne paraissent pas en dehors, masqués qu'ils sont par la
moelle
et la masse des vaisseaux. ' Plus haut, la moel
ils sont par la moelle et la masse des vaisseaux. ' Plus haut, la
moelle
disparaît complètement, et l'on ne retrouve plus
édent; il doit être considéré comme une transition entre ceux où la
moelle
, ne subissant aucun phénomène de dégénérescence
e, est envahie, détruite par ce processus,- et ceux où inversement la
moelle
dégénère plus ou moins complètement avant l'int
ence d'une dégénérescence d'origine centrale, le seul segment de la
moelle
que nous retrou- vions soit précisément chez le
s retrou- vions soit précisément chez les deux foetus un segment de
moelle
lombaire. Si, en effet, la dégénérescence est b
n'est pas que ce processus ait fait réellement défaut, c'est que la
moelle
qui avait cessé de s'accroître à une phase rela
. Hémorragies et exsudations, nous les avons vu se produire dans la
moelle
; elles sont d'ailleurs un caractère anatomique
e, et nous pouvons maintenant comprendre l'état dégénératif dans la
moelle
: le cerveau a été détruit tout au début de l'in-
ne série d'hémorragies se succédant rapidement ; consécutivement la
moelle
a dégénéré. Mais, soit qu'elle fut encore peu dé-
le fut encore peu dé- veloppée, soit qu'elle ait tardé à envahir la
moelle
pour une raison ou une autre, l'inflammation ne
pour une raison ou une autre, l'inflammation ne s'est propagée à la
moelle
qu'une fois celle-ci en grande partie dégénérée
e d'une circonvolution cérébrale. B Névroglie a la périphérie de la
moelle
. C. Corne antérieure de la moelle. Cellule avec
B Névroglie a la périphérie de la moelle. C. Corne antérieure de la
moelle
. Cellule avec granulations et réseau de névroglie
u de névroglie. D. Partie postérieure d'une corne postérieure de la
moelle
. E. Racine rachidienne; coupe longitudinale ; a
enne de 250 ce. de liquide fixateur. Au bout de quelques heures, la
moelle
avec ses racines, en extension, le bulbe, la pr
parois ventriculaires, les nerfs crâniens sont entièrement fixés. La
moelle
est rigide, son extraction et son examen immédi
re pas, ou pénètre trop peu dans les espaces sous-arachnoïdaires.
Moelle
. Racines. Nerfs. - Baignés dans le fixateur ils s
et la substance blanche se distinguant nettement l'une de l'autre. La
moelle
a une coloration semblable. MÉTHODE D'EXAMEN
uvre une série de points qui représentent la coupe des fibrilles.
Moelle
. La substance grise se détache en foncé sur le re
ines fibrilles mêlées aux fibres nerveuses. A la périphérie de la
moelle
, au bord du sillon médian antérieur les fibrilles
ue au début, car un certain nombre de cellules gan- glionnaires des
moelles
dorsale et lombaire était atrophié. Dans le cas
sies de Lorrain, de Strümpell (1880) et de Bischoff, l'examen de la
moelle
montra une sclérose latérale combinée à une scl
Goll dans la région cervicale. Les lésions ne dépassèrent guère la
moelle
. Dans le pre- mier cas du mémoire de Strumpell
ombinée. Si d'ordinaire on voit les lésions restées localisées à la
moelle
, il.n'y a rien d'impossible à ce qu'elles monte
un travail de modelage physiologique effectué par le périoste et la
moelle
osseuse dont l'activité est normalement conserv
le cas de Lampe, avait entraîné une atrophie par compression de la
moelle
allongée et de la moelle cervicale. 2° Adultes.
ntraîné une atrophie par compression de la moelle allongée et de la
moelle
cervicale. 2° Adultes. -Chez l'acllondroplasiqu
ètre d'épaisseur. Chaque colonne caitilagineuse s'ouvre ici dans la
moelle
osseuse qui envoie une anse vasculaire dans chacu
psulés, proéminent comme des promontoires déchiquetés du côté de la
moelle
osseuse ; dans l'autre, par des bourgeons médul
olifération. b) zone de rivulation. - c) ligne d'ossi- fication. d)
moelle
et travées osseuses. Fio. 10. Achondroplasie. C
sant communiquer les vaisseaux de la bande fibreuse avec ceux de la
moelle
osseuse. s) zone de ri- vulation. La rivulation
ne de ces colonnes cartilagineuses dans les espaces médullaires. d)
moelle
osseuse avec larges es- paces médullaires et ét
eurs. Dans deux cas nous avons pratiqué l'examen histologique de la
moelle
épi- nière. On en retrouvera le détail dans les
urvues de leur revêtement d'os- téoblastes (Porak et Durante). La
moelle
osseuse est riche en tissu fibrillaire, en leucoc
euses qui se poursuivent sans s'ossifier plus ou moins loin dans la
moelle
(tissu ostéoïde) (comparez PI. LIV, fig. 11 ave
c intégrité complète ou re- lative de l'ossification périostale. La
moelle
osseuse présente également des si- gnes de sclé
et de l'avant-bras gauche et une atrophie de la moitié gauche de la
moelle
cervicale ; la deuxième circonvolution frontale é
veux des animaux amputés à la naissance, et des re- cherches sur la
moelle
des hommes amputés qui suivirent les travaux de
OBRA pendant les premières périodes de la vie foetale, on trouva la
moelle
par- faitement développée [Sperino (11)]. On
myélie, on peut observer dans les premières périodes une ébauche de
moelle
qui plus tard tombe en atrophie, un fait est cert
comparée du cerveau, 1824-26. 5. l'ROISIER. -Note sur l'état de la
moelle
épin. dans un cas d'hémimélie hémitho- racique,
ES; ATROPHIE CÉRÉBELLEUSE ET SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE, PAR G. CATOLA de Florence. Obse
moins atrophiés que les autres parties de l'organe (PI. LXI). La
moelle
ne présente qu'une légère diminution de volume.
artie postéro-interne du corps ciliaire et du feutrage environnant.
Moelle
. -Au niveau des lre-5e racines cervicales on rema
t la commissure grise sont aussi très touchées. ' Au niveau de la
moelle
dorsale, les faisceaux pyramidaux contiennent à
etits îlots sépa- rés irrégulièrement les uns des autres. Dans la
moelle
lombaire la sclérose est limitée aux] faisceaux p
re assez large ; les septa qui s'en détachent pour pénétrer dans la
moelle
sont aussi plus gros que d'ordinaire. Vaissea
t aussi plus gros que d'ordinaire. Vaisseaux. Les vaisseaux de la
moelle
, du bulbe, de la protubérance, du cervelet prés
de cette couche ; dégénérescence de différents fais- ceaux dans la
moelle
; lésion de la pie-mère et de la couche névrogliqu
20 ans, lui paraissait la cause de l'altéra- tion vasculaire de la
moelle
ayant eu pour conséquence l'atrophie avec doule
les racines antérieures et ayant déterminé une atrophie nette de la
moelle
. Celle-ci est aplatie et les cornes antérieures s
e reprendre brièvement les traits généraux des proces- Il) RAFFONS,
Moelle
d'un mon8tre humain anencéphale (Revue neurologiq
or- phologiques relevées dans notre premier chapitre. L'étude des
moelles
où le processus en est encore à ses premières pha
fet, parmi les individus dont je disposais, ceux chez les- quels la
moelle
était le moins altérée étaient précisément ceux q
t établie chez un nou- veau-né dépourvu de cerveau et possédant une
moelle
en voie de destruction. On ne peut, du reste, t
e : en premier lieu, nous trouvons dans cette gouttière ouverte une
moelle
dont la constitution morphologique est abso- lu
. Du reste, le rachischisis se rencontre chez des individus dont la
moelle
est complètement détruite par la néo-formation
la méningite n'envahit pas spécialement tel ou tel centre, mais la
moelle
tout entière; et l'envahis- sement n'a pas une
ion non pas encore localisée du système nerveux (substance grise de
moelle
) (1). Tordeus aussi, croit que les exostoses mu
e la néoformation osseuse est celle dans laquelle le périoste ou la
moelle
engendrent les ostéoblastes, c'est-à-dire des cel
prennent une coloration rouge spéciale et paraissent thrombosés. La
moelle
allongée. Est plus grosse qu'à l'état normal. Tou
des membres postérieurs chez l'axolotl adulte après ablation de la
moelle
lombo-sacrée (Soc. de Biologie, 30 avril 1904).
t, une action trophique quelconque était dévolue au cerveau ou à la
moelle
du foetus, cette action tro- phique serait prof
mesure ce processus est-il lié à la disparition du cerveau et de la
moelle
? C'est ce que nous ne savons pas davantage. Tout
a micro- myélie, assez constante chez les foetus qui ont encore une
moelle
, et sur diverses anomalies qu'il a relevées, te
étérotopie de la substance grise. On ne peut évidemment nier que la
moelle
ait subi un notable arrêt de crois- sance ; mai
cerveau, origine de toute une partie de la substance blanche de la
moelle
. Sous l'in- fluence de cette dystrophie, il s'é
lle. Sous l'in- fluence de cette dystrophie, il s'établit, entre la
moelle
et le rachis, une hété- rochronie dont nous sai
(1). Au demeurant, les foetus étudiés par Zingerle possédaient une
moelle
anor- male, mais se développaient toutefois com
naissance, malgré les plis, malgré l'hétérotopie (2). Ces foetus à
moelle
anormale sont secondairement, et tardivement, dev
rine. C'est dès ce moment que sous l'influence de l'inflammation la
moelle
cesse de s'accroître et de se différencier, ou
is, il existe entre les divers foetus, tant au point de vue de leur
moelle
qu'au point de vue de leur squelette, des diffé
ervenir chez des sujets préalablement affectés d'une anomalie de la
moelle
. Maladie et anomalie. - C'est une erreur assez
exception, le processus a détruit le cerveau , chez quelques-uns la
moelle
reste dans un état d'intégrité relative ; chez qu
lle reste dans un état d'intégrité relative ; chez quelques autres la
moelle
a disparu, remplacée par un tissu exactement se
semblable à celui qui remplace le cerveau. Chez d'autres, enfin, la
moelle
a subi une dégénérescence antérieure à la propa
onctivo-vasculaire ait eu le temps de l'envahir; consécutivement la
moelle
a dégénéré dans un rachis ouvert, il ne reste plu
é : débutant par le cer- veau, il descend plus ou moins bas vers la
moelle
, respectant le bulbe ou le détruisant. La propa
culo- conjonctive se substitue soit au cerveau seulement, soit à la
moelle
et au cerveau. Si la durée est suffisante, cett
- ques. Nous savons cependant que la dégénérescence préalable de la
moelle
se produit parfois dans un rachis fermé. Enfi
l'acéphale des vestiges du cerveau et, constamment, des vestiges de
moelle
en assez mauvais état ; mais la différence est
ons anormales ayant un tout autre caractère. Chez ces dernières, la
moelle
existe, souvent en bon état, mais affectant une f
ne forme générale qui s'é- carte sensiblement de la normale : cette
moelle
est étalée en surface ; les gan- glions spinaux
défaut de substance ; il est la con- séquence d'une anomalie de la
moelle
épinière. Nous sommes loin de l'ou- (1) Foetus
dans les cas de méningite foetale, ouverture qui coexiste avec une
moelle
parfaitement normale plus ou moins complètement
l'existence que de la prolonger. L'objection porte aussi bien sur la
moelle
que sur le bulbe et, jusqu'à plus ample informé
tion d'une hydrocéphalie externe, mais qui possédait un bulbe et une
moelle
intacts. Ce sujet ainsi décérébré a pu vivre 20
résultait en somme d'une action purement mécanique; le bulbe et la
moelle
intacts n'étaient point excités et pro- gressiv
s ; on ne saurait être surpris qu'il prouve à un foetus dépourvu de
moelle
et de cerveau une vie pré- caire sans doute - m
ît et à sa place se trouve la tumeur vasculaire connue. VI. Dans la
moelle
, à ces actions destructrices (hémorragies, envahi
nt la constitution de la tumeur vasculaire. Comme consé- quence, la
moelle
dégénère elle-même très rapidement ; la tumeur ra
(d'Angers). Essai sur l'anatomie et les vices de conformation de la
moelle
épinière chez l'homme, Thèse de la Faculté de méd
gnes de la méningite foetale. Société de Biologie, 1904. Raffone.
Moelle
d'un monstre humain anencéphale. Revue neurologiq
des membres postérieurs chez l'Axolotl adulte après ablation de la
moelle
lombo-sacrée. Société de Biologie. 30 avril 1904.
ques ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudosystématique de la
moelle
épinière (2 pl.), par CATOLA, 583. Sclérose en
s ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudo-systéma- tique de la
moelle
épinière (2 pl.), 583. CF1A1LI.OUS et PAG\IEZ.
A), LXI. Sclérose en plaqes, sclérose pseudo-systé- matique de la
moelle
(CATOLA), LXII. Scoliose alternante (Henry- MEI
CE DE LA SALPÊTRIÈRE). SUR UN CAS D'HEMISECTION TRAUMAT1QUE DE LA
MOELLE
1 (SYNDROME DE BROWN-SÉQUARD) par F. RAYMON
été victime cet homme a eu pour conséquence une hémi- section de la
moelle
. Sans doute vos études antérieures de physiolog
cle que mon maître Vulpian a écrit jadis sur la physio- logie de la
moelle
(Dictionnaire encyclopédique des sciences médical
le (Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales, ar- ticle :
moelle
). Je vous rappellerai seulement, comme une notion
ivo-moteurs qui se déve- loppent à la suite d'une hémisection-de la
moelle
, chez les mammifères; D'avoir montré que chez l
es, qui aboutissent à une solution de continuité d'une moitié de la
moelle
, donnent lieu à ces mêmes troubles sensitivo-mo
imaux tels que le cobaye, le lapin, le chien, une hémisection de la
moelle
entraine une paralysie croisée du sentiment et
ntré que dans les régions qui tirent leur innervation du segment de
moelle
, situé au-dessous de la section, on observe : U
) Bkown-Siïquaud, Recherches et expériences sur la physiologie de let
moelle
épi- nier. Thèse inaugurale, Paris, 1846. - De
aris, 1846. - De la transmission des impressions sensilives dans la
moelle
épinière. Comptes-rendus de la Société de biologi
es diverses espèces de conducteurs d'impressions sensitives dans la
moelle
. Archives de physiologie, 1868, t. 1, p. 160 et
t. 2, p. 236 et M3. SUR UN CAS D'UÈMISt'CTIOX 'lli1U1111TIQUE DE LA
MOELLE
3 émoussement de la sensibilité profonde, muscu
ès constante, du moins au début. Quand l'hémisection intéresse la
moelle
cervicale, on peut observer des troubles respir
r sur- venir chez un animal auquel on pratique une hémisection delà
moelle
, ai dès niveaux variables. Celle expérience est
téristique, vous les observez chez l'homme, lorsqu'une moitié de la
moelle
est interrompue dans sa continuité, soit par un
équard était vraisemblablement en rapport avec une gliomatose de la
moelle
. Dans le courant de l'année dernière, je vous a
paru, je 'vous le répète, a la suite d'une lésion traumatique de la
moelle
. Je vais vous narrer son histoire, puis je tâcher
après l'accident, le ma- SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
5 lade a eu une hémoptysie. Voici du reste quel
ppelle aussi que le médecin porta le diagnostic d'hémisection de la
moelle
. Voici brièvement ce qui s'est passé dans la su
rritoire d'hypoesthésie. SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
Enfin le sens articulaire paraissait être aboli
s éléments, qu'on voit survenir il la suite d'une hémisection de la
moelle
pratiquée sur un chien, un cobaye ? N'est- ce p
rice, il gauche, c'est-à-dire du côté où selon toute probabilité la
moelle
a subi une hémisection : Une hémiplégie motrice
eux, ce qui est la règle dans le cas d'une section incomplète de la
moelle
, d'une section (ou d'une lésion destructive) qu
er à faire la lumière sur la structure fine et la physiologie de la
moelle
, et notamment sur la question de l'en- trecrois
ome de Brown-Sequard). SUR UN CAS D'llÉMISEC'rION TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
il [ tenant, je puis vous certifier que le cas
une telle netteté, il la suite d'une hémisection traumatique de la
moelle
chez l'homme. A ce propos, laissez-moi vous s
les chirurgiens. Elle consiste à représenter l'hémisection de la
moelle
comme étant rare, à la suite d'une blessure par
. E, sous- épineux. 24 HENRI MEUNIER Le cerveau, le bulbe et la
moelle
n'offrent rien de particulier ni dans leur conf
analyserons plus loin les résultats de l'examen microscopique de la
moelle
. Il nous fut possible d'extraire pour la dissec
ait pas ; la même constatation fut faite, d'après Gui- nard, sur la
moelle
cervicale d'un autre foetus humain et sur un veau
atteints tous deux d'ectromélie thoracique; Troisier, examinant la
moelle
d'un enfant présentant une hémimélie thoracique,
des cellules et des tubes nerveux; enfin Variot a remarqué dans la
moelle
de deux hémimèles une atrophie très nette de la
est, en effet, plus aisé de juger par comparaison deux moitiés de
moelle
, dont l'une correspond à une eclromélie unila
lité. Aussi nous fut-il nécessaire de prendre comme critérium une
moelle
saine, ap- partenant à un enfant do même âge et
ne part, sur les dimensions générales des différents étages de la
moelle
et sur les dimen- sions en tous sens de l'axe g
; d'autre part, sur les mêmes dimensions (largeur, épaisseur de la
moelle
; aire de l'axe gris) chez notre amèle. (1) C
grand nombre de coupes, prises à des niveaux homologues ; les deux
moelles
avaient été traitées par les mêmes liquides fixa-
nsions générales du cordon médullaire, la différence entre les deux
moelles
variait suivant l'étage considéré : au ni- veau
vant l'étage considéré : au ni- veau du renllement cenical et de la
moelle
dorsale, les dimensions étaient en faveur de l'
), tandis qu'au niveau du renflement lombaire, les dimensions de la
moelle
amélique étaient inférieures à celles de la moe
dimensions de la moelle amélique étaient inférieures à celles de la
moelle
normale (largeur : 0 mm. 85 ; épaisseur : 1 mm.
2° Au point de vue du volume de l'axe gris, la comparaison des deux
moelles
nous a donné au niveau des deux renflements, mais
us a donné au niveau des deux renflements, mais non au niveau de la
moelle
dorsale, des chiffres plus faibles pour la moelle
n au niveau de la moelle dorsale, des chiffres plus faibles pour la
moelle
du monstre : les différences, du reste, étaient
dilemme nous paraît difficile à ré- soudre, à moins qu'un examen de
moelle
chez un amputé congénital, vienne nous apprendr
gie, p. 349. VARIOT, 189. - Deux cas d'hémimélie, avec examen de la
moelle
, J. de Clin. et- thér. inf., 35. Voir aussi l
altération des filets nerveux et une atrophie des renflements de la
moelle
épinière est un fait. Depuis longtemps Serres,
'un membre est généralement suivie de l'atrophie de la région de la
moelle
qui leur donne origine, se demande où est la ca
e Lancereaux, à l'agénésie ou à une modification des cellules de la
moelle
, pendant la durée de la vie foetale. Pour nous
cette dernière explication que nous aurions tendance à admettre, la
moelle
chez les foetus est loin d'être à l'abri des proc
er chez les foetus issus de parents syphilitiques les lésions de la
moelle
ne sont pas rares, la syphilis héréditaire agit
opinion. M. le professeur Lannelongue a récemment constaté dans la
moelle
d'une enfant atteinte de luxation congénitale d
e des lésions con- sidérables. ' J'ai eu l'occasion d'examiner la
moelle
d'un foetus portant deux pieds- bots ; les alté
au point de vue de la localisation des noyaux muscu- laires dans la
moelle
. Je reviendrai sur ce sujet dans la seconde parti
et égard, les expériences de Gergens, lequel après la section de la
moelle
épinière, excitait l'un de ses bouts et produis
rement ou in- volontairement la question du mécanisme par lequel la
moelle
détermine cet oedème. REMAK est le seul qui s'e
le seul qui s'est préoccupé de préciser quelle est la région de la
moelle
qui entraîne l'oedème dans la syringomyélie. Et
des vaso-moteurs. La question de l'origine des vaso-moteurs dans la
moelle
épinière est DE LA MAIN SUCCULENTE 107 en Lou
physiologistes que les centres vaso-moteurs sont disséminés dans la
moelle
et qu'en outre un centre vaso-moteur principal si
e dans le bulbe. Quant au siège exact des centres d'origine dans la
moelle
, on manque presque complètement de document. En
gion donnée des membres supérieurs et inférieurs, il existe dans la
moelle
des centres sensitifs, moteurs el vaso-moteurs' q
el vaso-moteurs' qui occupent sensi- blement le même segment de la
moelle
: en d'autres termes, ces centres sont juxtapos
CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET. INTERPRÉTATION DES LÉSIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE PAR LÉOPOLD LÉVI Ancien interne la
sco (1) ont attiré, d'autre part, l'attention sur les lésions de la
moelle
épinière dans ce type morbide. Nous avons de même
ées . Tuberculose pleuro-pulmonaire et péritonéale. - Lésions de la
moelle
épinière (Sclérose pseudo-systématique, d'origine
olo- giques. Une étude particulièrement attentive a été faite de la
moelle
épinière. Enfin le nerf sciatique a été étudié.
ltérations portant surtout sur la tunique externe. L'examen de la
moelle
épinière étudiée suivant les procédés en usage do
s coupes. Les vaisseaux sont congestionnés. En ce qui concerne la
moelle
elle-même on note que les lésions des faisceaux
n s'élargissant, à mesure qu'elle s'approche de la périphérie de la
moelle
et prend la forme d'une bouteille il goulot allon
du sillon antérieur et postérieur. Tout le tissu de soutènement de la
moelle
, les septa conjonctifs sont épaissis (Fig. 1).C
vée. Nous désirons insister essentiel- lement sur les lésions de la
moelle
épinière et l'étal des os. I. L'examen histolog
la moelle épinière et l'étal des os. I. L'examen histologique de la
moelle
a fait constater des lésions qui peuvent se rés
rol., VII, janv. 1884. Fig. 1. - Sclérose pseudo-systématique de la
moelle
d'origine vasculaire dans un cas d'ostéite défo
(faisceaux pyramidaux, cérébelleux directs, zone li- mitante de la
moelle
en général). Les auteurs ont été en outre frappés
ue d'origine vasculaire, que nous avons tendance à rapprocher de la
moelle
sénile bien étudiée par Demange (1) et dont il es
as qu'il y ait lieu d'établir de relation entre les lé- sions de la
moelle
épinière et l'ostéite déformante de Paget. Nous c
N 1897 LE TRAITEMENT DE L'ATAXIE . PAR L'ÉLONGATION VRAIE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE PAR GILLES DE LA TOURETTE ET A. CHIP
cours de recherches sur l'anatomie topographique du rachis et de la
moelle
épinière, nous avons été frappés de ce que l'on p
t, à l'aide de certaines manoeuvres bien définies, faire subir à la
moelle
une élongation manifeste, et nous avons cru dev
ons-le tout d'abord, ne produit pas d'allongement appréciable de la
moelle
: si l'on suspend un cadavre non autopsié à l'aid
e, est tou- tefois probable qu'elle exerce une action réelle sur la
moelle
et sur les paires radiculaires : mais c'est une
ongement vrai, mesurable avec un centimètre souple ordinaire, de la
moelle
épinière et des racines. Nos premières expérien
2 cent. et 1 cent. 1. b) Cet allongement total se partage entre la
moelle
et la queue de che- val. La part qui revient à
e entre la moelle et la queue de che- val. La part qui revient à la
moelle
ne varie que fort peu d'un sujet à l'au- tre. A
ais suivants : TRAITEMENT DE L'ATAXIE PAR 1,'ÉLONGATION VRAIE DE LA
MOELLE
147 pendant la flexion du rachis : ascension bi
existence ne contredit en rien la notion de rallongement vrai de la
moelle
pendant le même mouvement. c) Il résulte encore
e encore de nos mensurations que l'allongement proprement dit de la
moelle
ne porte pas avec une égale intensité sur les div
porte nécessairement davan- tage sur les parties postérieures de la
moelle
que sur ses parties antérieu- res, puisque l'ax
ension du rachis ne produit qu'une élonga- lion insignifiante de la
moelle
, sa flexion sur un sujet assis les jambes éten-
sque immédiatement à devenir tout à fait direct; l'élongation de la
moelle
elle-même devint le but des efforts de la théra
re, ne 3, 1890. TRAITEMENT DE L'ATAXIE PAR L'ÉLONGATION VRAIE DE LA
MOELLE
149 pique, voire une salle de gymnastique, où e
te sur le cadavre l'action mécanique de la flexion rachidienne sur la
moelle
et ob- tenu des résultats trois fois plus consi
ci se Fig. 1. TRAITEMENT DE L'ATAXIE PAR L'ÉLONGATION VRAIE DE LA
MOELLE
151 réfléchissant sur la poulie située entre le
e qui est la meilleure preuve qu'il se produit une élongation de la
moelle
et des gros troncs nerveux qui se rendent aux m
est évidemment TRAITEMENT DE L'ATAXIE PAR L'ÉLONGATION VRAIE DE LA
MOELLE
. ! 53 inutile d'intervenir par les moyens mécan
ons vu, a une action surtout marquée sur la moitié inférieure de la
moelle
dorsale, la moelle lombaire et les nerfs de la
n surtout marquée sur la moitié inférieure de la moelle dorsale, la
moelle
lombaire et les nerfs de la queue de cheval ; o
ement de longue durée tel que celui du tabes par l'élongation de la
moelle
, les bénéfices obtenus semblent au moins momentan
flexion rachidienne, seul moyen d'obtenir l'élongation vraie de la
moelle
, comme exempte des dangers de la suspension et
E BORDEAUX. NOTE - SUR LES LÉSIONS DES CELLULES NERVEUSES DE LA
MOELLE
DANS LA RAGE HUMAINE PAR J. SABRAZÈS et C.
rocessus des altérations nerveuses. Au début, on observe, dans la
moelle
et le bulbe, des phénomènes de congestion, de d
olongements protoplasmiques, subissant, surtout dans le bulbe et la
moelle
, un processus régressif de dégénéres- cence gra
insistent sur l'ectasie des vais- seaux de la substance grise de la
moelle
et sur la présence de petites hé- morrhagies di
s avons borné nos recherches à l'étude des cellules nerveuses de la
moelle
cervicale d'un rabique qui a succombé à l'hôpital
lapins, les a rendus rabiques, après une incubation de 15 jours. La
moelle
cervicale de cet homme a fait l'objet de nos rech
nos recherches. Après fixation par l'alcool absolu, les segments de
moelle
, de unà deux millimètres d'épaisseur, ont été i
ESCO. Presse médicale, no 8, 1897. , , DES CELLULES NERVEUSES DE LA
MOELLE
DANS LA RAGE HUMAINE 157 Sur des coupes fines c
procher de celles de M. Mari- nesco qui a exclusivement examiné des
moelles
de lapins rabiques ayant vécu 12 jours. Nous av
ppeler succinctement quel est l'aspect des cellules nerveuses de la
moelle
après l'action de la thionine et de l'alcool. N
un travail des pJus remarqua- bles. Les cellules nerveuses de la
moelle
appartiennent toutes au type multi- polaire. La
ar un réseau irrégulier de linine dans DES CELLULES NERVEUSES DE LA
MOELLE
DANS LA RAGE HUMAINE 159 les noeuds d'entrecroi
cellules de cordon ont exactement les caractères décrits. Dans la
moelle
existent d'autres types cellulaires ; c'est ainsi
cordon. Après avoir montré comment se présentent les cellules de la
moelle
à l'état normal, il nous sera relativement faci
du noyau. D Cellule nerveuse au début de l'altération. COUPES DE
MOELLE
RABIQUE. Microphotographies des lésions. (Régio
f un 1)) MASSON & cte, éditeurs DES CELLULES NERVEUSES DE LA
MOELLE
DANS LA RAGE RIUMAINE 161 ses prolongements ; l
<'w. 13, 14, 15, 1G. Fio. 17, 18. DES CELLULES NERVEUSES DE LA
MOELLE
DANS LA RAGE HUMAINE 163 cellules présentant de
e cependant que les lésions soient beaucoup plus accentuées dans la
moelle
de l'homme que dans celle des animaux. Dans not
athologia nerv. e mentale, oct. 1896). DES CELLULES NERVEUSES DE LA
MOELLE
DANS LA RAGE HUMAINE 165 res karyokinétiques év
t n'est pas généralement admis et demande à être vérifié. Dans la
moelle
rabique, rien n'autorise à penser qu'il existe, c
LA SALPÊTRIÈRE). SUR UN CAS D'MÉM)SECT ! ON TRAUMATIQUE i . DE LA
MOELLE
, (SYNDROME DE BROWN-SEQUARD) (Suite) . PAR
les troubles sensitivo-moteurs, consécutifs à une hémisection de la
moelle
, devront présenter une exten- sion variable, su
moelle, devront présenter une exten- sion variable, suivant que la
moelle
se trouvera entamée à un niveau plus ou moins é
sible, un certain nombre d'exemples d'hémisection traumatique de la
moelle
, empruntés à la pathologie humaine. Je vais group
dresser une sorte d'échelle hiérarchique, en partant de ceux où la
moelle
était entamée à un niveau très bas, pour passer s
ction de la SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 167
moelle
où les troubles sensitivo-moteurs, en rapport ave
ne observation de Reinhold (1). De tous les cas d'hémisection de la
moelle
, dont j'ai pu prendre connaissance, c'est celui
ans une observation déjà ancienne de Viguès (2) l'hémisection de la
moelle
, siégeait à un niveau un peu plus élevé. Le sujet
ng. Inaugural- Dissertation, Berne, 1889. (2) Viguès. Plaie de la
moelle
épinière dans la région dorsale. Moniteur des hôp
que, suivant tou- tes les apparences, c'est la moitié gauche de la
moelle
qui a été entamée. Toujours est-il qu'après une
du'à droite il avait t (1) Charcot. Arthropathies par lésions de la
moelle
. Arch. de phys. normale et pa- thologique, 1868
ette observation dans l'unique but de vous montrer que lors- que la
moelle
est entamée au niveau susdit, les troubles de la
servation de W. Mûtter (3) nous montre une hémisection gauche de la
moelle
, au niveau de la 4e vertèbre dorsale, donnant lie
dénouement. A l'autopsie, on a trouvé une hémisection gauche de la
moelle
, située il 1/2 millimètre au-dessus de l'émerge
y, et Salmon (3) se rapporte également à un cas d'hémisection de la
moelle
au niveau de la 3e vertèbre dorsale, à 5 centim
- rurgie, 1887, t. 26, p. 473. (3) Joffroy et Salmon. Plaie de la
moelle
épinière, etc. Gazette médicale de Paris, 1872,
les troubles sensitivo-moteurs consécutifs à une hémisection de la
moelle
. (1) Enderlen. Ueber Stichveî,letzeii2gen des .
Vorster (1), sur laquelle j'aurai à revenir, ]'lié- misection de la
moelle
siégeait à ce même niveau. L'expression clinique
irurgie, t. XXIX, p. 421. - (2) Gilbert. Un cas d' hémilésion de la
moelle
épinière. Archives de Neurologie, 1882, no 9.
pro- noncer sur ce cas, a diagnostiqué une hémisection droite de la
moelle
; la parésie motrice du membre inférieur gauche
groupes. Elles montrent qu'une lésion traumatique qui intéresse la
moelle
au niveau des deux dernières vertèbres cervical
un auteur allemand Gaschl, qui nous montre qu'une hémisection de la
moelle
siégeant au même niveau (6e vertèbre cervicale,
troisième groupe comprend les cas, où, du fait du niveau auquel la
moelle
se trouve entamée, l'envahissement des membres su
de Brown-Sequard, qui concerne également un cas d'hémisection de la
moelle
, consécutive à un coup de tranchant porté à (1)
l était à peine touché. N'allez pas croire qu'une hémisection de la
moelle
, lorsqu'elle siège au niveau indiqué ou plus ha
peu de chose près, malgré que t'instrument tranchant eut atteint la
moelle
à un niveau (1) BECK. Ueber Verlelzungen der Wi
du rétrécissement pupillaire. Dans une observation de Nolte (4), la
moelle
a été touchée au même ni- veau, c'est-à-dire en
ns où l'existence d'une hémisection de l'extrémité supérieure de la
moelle
a été confirmée par l'autopsie. La première d
opsie a démontré qu'il y avait eu section de la moitié droite de la
moelle
. L'autre observation, publiée par Albanese (2),
ec du calamus scriptorius, intéressait toute la moitié gauche de la
moelle
, à l'exception de la moitié interne du cordon a
ogue a été faite pour déterminer des localisations motrices dans la
moelle
épinière et à ce point de vue, les re- cherches
le de 1896. Ferrier avait posé en principe que chaque segment de la
moelle
épinière, au niveau du renflement cervical, par
arr ont fait faire à la question des localisations motrices dans la
moelle
de vrais progrès et ils ont dressé des tableaux
représentent l'innervation de chaque muscle dans les racines et la
moelle
épinière. Il est à remarquer qu'il ne s'agit pas
rs segments de la région cervicale. Mais pour un même segment de la
moelle
épinière, l'orientation du processus de gliose
co. Société de biologie in Semaine médicale, 1893, et Scléroses de la
moelle
. Roumanie médicale, nos 3 et 5, p. 88 et 139, 1
myélie est, seg- mentaire, c'est-à-dire que certains segments de la
moelle
épinière qui ap- portent l'innervation à certai
on au point de vue de la topographie des noyaux musculaires dans la
moelle
a été ob- servée au plusieurs reprises par Hoff
he en proche des étages inférieurs vers les étages supérieurs de la
moelle
, c'est-à-dire de la région cervico-dorsale vers
ion cervicale inférieure ou au nivcau de la lre dorsale, envahit la
moelle
dans un certain nombre de cas, segment par segm
ne présentent pas la même situation relative et divers segments de la
moelle
, mais ils subissent un mouvement en vertu duque
pinaux qui sont coordonnés et automatiques. On peut marcher avec sa
moelle
ou tout au moins avec ses centres bulbo- médull
dent de l'atrophie du groupe des grosses cellules antérieures de la
moelle
. Enfin, la lésion originelle dans les cas rentr
s médul- laires intéressant son faisceau pendant son trajet dans la
moelle
.Plusieurs de ces faisceaux médullaires voisins,
on peut admettre une plaque de myélite intéressant un segment de la
moelle
. Selliorst déjà avait présenté une origine médu
e navi, les attri- buant à une lésion des cornes postérieures de la
moelle
. Restent les nfovi croisant obliquement plusieu
mais, au cours du développement, lors de l'ascension relative de la
moelle
, il s'établit une discordance de niveau entre l
névrite ou d'une myélite, trouble des nerfs périphériques ou de la
moelle
, paraîtra plus possible encore si l'on se rappel
p.451. Marinesco. - Localisations sensitives et motrices dans la
moelle
épinière et leurs applications cliniques. Semai
périment.), sous trois chefs : lésions des cornes antérieures de la
moelle
(Charcot, Hallopeau, Leyden, Pitres, Pierret, Bri
ICE DE LA SALPÊTRIÈRE) SUR UN CAS D'HÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
(SYNDROME DE BROWN-SEQUARD) (Suite et fin.) (
difiés sur la symptomatologie de 1 hémisection -- traumatique de la
moelle
, chez l'homme. Vous avez acquis cette convic- t
z acquis cette convic- tion qu'à quelque niveau que soit entamée la
moelle
, presque toujours, quand il y a lieu de soupçon
jà moins de constance, dans les cas d'hémisection traumatique de la
moelle
, chez l'homme. D'autre part, considérés au poin
'à la racine des membres inférieurs : c'est ce qui se voit quand la
moelle
est entamée au niveau des vertèbres dorsales infé
r le tronc ; c'est ce qui se voit quand l'hémisectiol1 intéresse la
moelle
à un niveau qui correspond aux vertèbres dorsales
s sensitivo-moteurs ; cette éventualité se trouve réalisée quand la
moelle
est entamée à un niveau situé au-dessus de la 6
s une dernière catégorie, les cas où l'hémisection inté- ressait la
moelle
dans sa partie supérieure, immédiatement au-dessu
fait défaut, il y aurait lieu de se demander si l'hémisection de la
moelle
a eu lieu ef- fectivement. Mais ce n'est pas là
attention : c'est que, clans un cas d'hémisection traumatique de la
moelle
chez ! : homme, le syndrome de Brown-Sequard pe
un côté du rachis, vous SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
307 ' devez vous imposer comme règle de ne poin
. L'autopsie a fait consta- ter l'existence d'une hémisection de la
moelle
, siégeant à droite, à la hau- teur de la 3e ver
épôt de sang caillé. D'après Neumann, la compression exercée sur la
moelle
par le sang épanché rendait compte de ce que l'ex
é- gage cette conclusion : Quand une hémisection n'intéresse pas la
moelle
à un niveau voisin de son extrémité supérieure,
e sorte que vous avez tout lieu de soupçonner une hémisection de la
moelle
, vous aurez d'abord à vous prononcer sur le pro
ous sommes enclins à nous faire de l'importance fonctionnelle de la
moelle
. Ne vous hâtez pas de représenter la victime co
hoses ainsi : Un homme SUR UN CAS 1)'IIÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
309 - qui a la moitié de la moelle sectionnée e
)'IIÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 309 - qui a la moitié de la
moelle
sectionnée est un homme paralysé pour le restan
s sensitivo-moteurs consécutifs à une hémisection traumatique de la
moelle
. Cette améliora- tion peut aller jusqu'à la gué
ail n'a duré que 6 mois. SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
311 Le patient avait 25 ans lorsqu'il fut exami
ce qui peut advenir des suites d'une hémisection traumatique de la
moelle
, à une période de la vie où la croissance n'est
t, on a prétendu que dans les cas d'hémisection trau- matique de la
moelle
, les troubles sensitifs étaient plus prompts à se
blie sur les faits : Les suites d'une hémisection traumatique de la
moelle
ont une tendance à s'améliorer progressivement,
opositions : -1° « Si tant est qu'une régénération se fasse dans la
moelle
, à la suite d'un traumatisme, elle porte exclus
Une partie des troubles consécutifs à une lésion traumatique de la
moelle
est imputable à une tuméfaction des éléments nerv
elle qu'on observe à la suite d'une hémisec- tion traumatique de la
moelle
est précisément imputable à la résolution de ce
côté de cette question complexe de l'hémisection traumatique de la
moelle
, le côté anatomo-physiologique. Je vais examine
a paralysie motrice, qu'on observe dans les cas d'hémisection de la
moelle
. A. Paralysie motrice directe. - La paralysie q
des plus faciles à expliquer. En effet une hémisection droite de la
moelle
interrompt le faisceau pyramidal de ce même côté.
ort avec les grosses cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
. De chacune de ces cellules motrices part (1) A
(2) ENDERLEN, IOC. Cit. SUR UN CAS D'nÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
313 le long prolongement cylindraxile d'une fib
ointe vous fera immédiatement com- prendre qu'une hémisection de la
moelle
entraînera nécessairement une paralysie motrice
nes antérieures, et dont le prolongement cylindraxile sort de la
moelle
avec une ra- cine antérieure, pour aboutir à un
con- courir à former une racine pos- térieure et pénètre dans la
moelle
avec cette racine. Or, une fois qu'elle a pén
a pénétré à une certaine profondeur de la substance blanche de la
moelle
, suivant une direction légèrement oblique, ce
ant, dans la transmission des impressions sen- sitives à travers la
moelle
. Leur destination, leurs points d'aboutissement
ure; après avoir franchi (1) IIA)10,N y Dual, L'anatomie fine de la
moelle
épinière in : Atlas der ptholo-isclien Histolog
ée, à la suite d'une hémisection expérimentale ou traumatique de la
moelle
, une conclusion s'en dégage impérieusement, c'e
T A ASSURER LA TRANSMISSION des IMPRESSIONS SENSITIVES à TRAVERS LA
MOELLE
, mais SEULES, ELLES SONT CHARGÉES de CETTE TRANSM
oit, en effet, une hémisection qui intéresse la moitié droite de la
moelle
en a b (Fig. 4). Les lignes que vous voyez dessin
gne la collatérale col, qui la transporte dans l'autre moitié de la
moelle
, en E. Là, elle impressionne la cellule cordona
e la cellule cordonale c, et elle se propage de bas en haut dans la
moelle
, le long du prolongement cyl indraxile p de cette
dans le cas d'une hémisection a intéressant la moitié droite de la
moelle
, les impressions sensitives (tactiles) qui arrive
ue ces impressions, dis-je, trouvent à continuer leur route dans la
moelle
et jusque dans le cerveau, par la voie des collat
i-anesthésie croisée qu'on observe dans les cas d'hémisection de la
moelle
, si tant est qu'on ne veuille voir dans cette h
rimentation et la clinique nous apprennent qu'une hémisection de la
moelle
entraîne habituellement une hémi-anesthésie crois
n niveau très peu élevé, au-dessus de celui où elle pénètre dans la
moelle
sous forme d'une racine postérieure. L'anatomie
laires postérieures ne subissent pas de décussation directe dans la
moelle
et qu'une partie seulement de leurs collatérales
de la transmission des impressions tactiles dans l'épaisseur de la
moelle
, il est impossible de rendre compte du développem
de l'hémi- anesthésie croisée, consécutive il une hémisection de la
moelle
. S'il venait à être démontré que tous les condu
ure postérieure-ou en tout autre point de l'aire transversale de la
moelle
,- et que cette décussation s'effectue presque aus
sation s'effectue presque aus- sitôt après leur pénétration dans la
moelle
, l'explication du développement de l'anesthésie
gligeable à la transmission des impressions sensitives à travers la
moelle
; il faudrait : SUR UN CAS D'RÉEMISECTION TRAUM
e, siégeant du côté de la lésion dans les cas d'hémisection de la
moelle
. * .. ¥ Vous voyez que ces hypothèses, qu
sitive droite ; ABCD sec- tion portant sur la moitié gauche de la
moelle
. S, Si, S2, S3, 8, racines sensitives du côté d
e le lieu et le mode d'entrecroisement de la voie sensitive dans la
moelle
, les données actuelles de l'anatomie ne s'harmo
ns l'hémi-anesthé- sie croisée, consécutive à une hémisection de la
moelle
, qu'une consé- quence directe d'une lésion orga
vous ai faite d'un certain nombre d'exem- ples d'hémisection de la
moelle
chez l'homme, vous avez été frappés, Messieurs,
a constaté que l'hémianesthésie consécutive à une hémisection de la
moelle
peut disparaître, après élongation du nerf sciati
hésie croisée, que développe habituel- lement une hémisection de la
moelle
, est bien la conséquence directe d'une interrup
On s'expliquerait de la sorte que, dans un cas d'hémisection de la
moelle
, l'anesthésie soit susceptible de s'atténuer et
misection. C. Hyperesthésie directe.-Du côté de l'hémisection de la
moelle
, une hy- peresthésie très nette s'associe, avon
ntrent qu'à la suite d'une solution de continuité traumatique de la
moelle
, les fibres nerveuses divi- sées subissent, jus
n, de la sorte, l'hyperesthésie consécutive à une hémisection de la
moelle
. Fit. 1. SUR UN CAS D 11ÉMISECT10N TRAUMATIQU
de la moelle. Fit. 1. SUR UN CAS D 11ÉMISECT10N TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
323 D. Exagération desréflexes tendineux du côt
fois qu'une lésion interrompt les communications d'une moitié de la
moelle
avec l'encéphale. On l'a attribué à ce que l'encé
wental, et avec la voie sensitive de la moitié correspondante de la
moelle
par l'intermédiaire du faisceau cérébelleux dir
oie sensitive un peu au-dessus de son niveau de pénétration dans la
moelle
, il serait facile de rendre compte des principaux
equard, qu'on voit se développer à la suite d'une hémisection de la
moelle
. RADIOGRAPHIE DES OS DANS LA PARALYSIE INFANTIL
trophie pouvait s'accompagner d'une lésion du même territoire de la
moelle
. L'arthrite avec amyotrophie des hémiplégiques
a recherche des modifications récentes des voies conductrices de la
moelle
dans la polynévrite, on peut avec succès se servi
, on trouva, entre autres lésions, de l'oedéme du cerveau et- de la
moelle
et de leurs enveloppes, un ancien foyer tuhercule
s, muscle cardiaque flasque et dégénéré. Examen microscopique DE la
MOELLE
épinière. I. Préparations par la méthode de Mar
eux cornes est pénétrée dans toutes les direc- Fig. l. - Coupe delà
moelle
, région lombaire, traitée par la méthode de M
lombaire, traitée par la méthode de Marchi. Fig. 9. - Coupe de la
moelle
, région cervicale, traitée par la méthode de
s recherches ont été Fig. 3. - Cellule de la corne antérieure de la
moelle
épinière. Fig. 4. - Cellule de la corne antérie
la moelle épinière. Fig. 4. - Cellule de la corne antérieure de la
moelle
épinière. 352 SERGE SOUKHANOFF choisis les ne
- vrite- ont été observés par M. Sano dans la région lombaire de la
moelle
(1) Mabinesco, Pathologie générale de la cellul
arquer que nous sommes (1) Sano, Les localisations motrices dans la
moelle
lombo-sacrée. Journal de neuro- logie et d'hypn
(3) Sabrazès et CABANNES, Les lésions des cellules nerveuses de la
moelle
dans la rage humaine. Nouvelle Iconographie de
les mo- difications sus-décrites dans les cordons postérieurs de la
moelle
épinière chez notre malade dépendaient de la lé
s les cellules des ganglions intervertébraux et qui entrent dans la
moelle
épinière comme éléments constitutifs des racines
re omise dans aucun cas ; mais le fait qu'à tous les éta- ges de la
moelle
épinière la partie intramédullaire des racines a
ssi de quelques conditions morbides qui se trouvent au dedans de la
moelle
épinière elle-même. LES EMMURÉS DE TIRASPOL P
ction les arthropathies consécutives aux lésions traumatiques de la
moelle
et des nerfs. Les deux mêmes facteurs étiologiq
péciale soit liée à la localisation de la lésion dans les nerfs, la
moelle
ou le cerveau. II. TROUBLES TROPHIQUES articula
ribution à ce chapitre sont : la compression brusque ou lente de la
moelle
, la myélite aiguë traumatique ou spontanée, la
pontanée, la section ou l'hémisection médullaire; les tumeurs de la
moelle
ou des méninges (tuberculose, sarcome), presque t
s . formes ne correspondent pas chacune à une lésion spéciale de la
moelle
. 1° Forme aiguë. - J. K. Mitchell relate deux c
eurologique, p. 387). Contribution à l'étude des traumatismes de la
moelle
. Syndrome de Brown-Séquard, sans paralysie vaso
qu'entraîne une paraplégie grave. e) Cas de Gull.-Un tubercule delà
moelle
chez un enfant de quelques mois donna lieu à la
gts s'ankyloser à demi à la suite d'un coup de feu ayant atteint la
moelle
cervicale. . Gull observa aussi, dans son cas d
le ici. Couyba les a déjà assimilées aux lésions traumatiques de la
moelle
en insistant sur leur cachet inflammatoire qui le
ble fonctionnel permanent, siégeant ailleurs que dans les nerfs, la
moelle
ou l'écorce : ce ne pourrait être que dans le m
as d') (1 planche), par G. GaSNE, 31. Hémisection traumatique de la
moelle
(syndrome de Brown-Séquard) (sur un cas de),
AUNOts (2 phototypies), 355. Lésions des cellules nerveuses de la
moelle
dans la rage humaine (note sur les), par J. Sab
e déformante de Paget (un cas d'). Interprétation des lésions de la
moelle
épinière, par Léopold Lévi (1 figure et 1 pla
MASSARY, 37 . Traitement de l'Ataxie par l'élongation vraie de la
moelle
, par GILLES DE la TOURETTE et A. CHIPAULT (3 fi
et J. Sabrazès. Note sur les lésions des cellules nerveuses de la
moelle
dans la rage humaine (25 figures et 1 planche p
la TOURETTE. Traitement de l'ataxie par l'élongation vraie de la
moelle
(3 figures), 145. ETILNNE (G.).Des nsevi dans l
A. Chipault. Traitement de l'ataxie par l'élongation vraie de la
moelle
(3 figures), 145. Grasset. Tic du colporteur (s
ostéite défor- mante de Paget. Interprétation des lé- sions de la
moelle
épinière (1 figure et 1 planche), 113. Lévi L
et 1 planche), 15. RAYMOND (F.). Hémisection traumatique, de la
moelle
(Syndrome de Brown-Sé- quard) (un cas d') (6 fi
et C. CABANNES. Note sur les lésions des cellules nerveuses de la
moelle
dans la rage humaine (25 figures et 1 planche),
nio-faciale chez deux hémi- plégiques infantiles, XXIX. Coupes de
moelle
rabique, XIX. Contracture hyst'èro-traumatiqued
'épaule ; atrophie musculaire, XXX. Hémisectiou traumatique de la
moelle
: répartition des troubles moteurs et sen- si
teurs n'ont trouvé que des lésions histologiques, du cerveau, de la
moelle
ou des muscles. Un histologistealIemand,leDrPhi
rtance à des lésions des vaisseaux san- guins et des cellules de la
moelle
, signalées par divers auteurs. (1) PIIILIPP, An
me réaction inflammatoire par suite des troubles de nutrition de la
moelle
. Ce serait parfait si d'autres auteurs avaient,
ent également dans le cerveau, mais bien moins marquées que dans la
moelle
. Dans le cas de Caterina, les corpuscules de Ni
orsqu'il succomba à une sarcomatose généralisée de la peau. Dans la
moelle
, Dana constate une légère prolifération du tiss
s intenses des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la
moelle
, consistant en pigmentation, vacualisation, dép
rieure, et des faisceaux pyramidaux; des lésions des cellules de la
moelle
, l'atrophie scléreuse des ganglions rachidiens. D
icipal de Kiel. L'étude minutieuse de fragments du cerveau et de la
moelle
, pris dans les principales régions et étudiées
n externe de la zone radiculaire postérieure de Flechsig. Dans la
moelle
foetale on aperçoit, au centre des cordons postér
tête de la corne posté- rieure est située dans la profondeur de la
moelle
. Ous. I. Un homme de 43 ans est atteint d'une p
a substance corticale ou de la substance médullaire. , Examen de la
moelle
. Après un séjour de trois semaines dans le formol
de la moelle. Après un séjour de trois semaines dans le formol, la
moelle
a été étudiée par les méthodes de Weigert-Pal, de
rtain nombre de fibres fines dans ces 2 dernières paires. Dans la
moelle
nous étudierons la topographie de la dégénérescen
tales de mê- (l)-Je me suis servi, pour colorer les coupes de cette
moelle
et des pièces de com- paraison, d'une légère mo
s fines (substance grise) ; 3° la coloration des racines hors de la
moelle
, qui est si souvent défectueuse par les procédés
ts (v. fig. 1). 4e Sacrée. Le triangle sacré médian, qui dans cette
moelle
n'a pas du tout la forme triangulaire, est plus
oitié postérieure du septum ; il envoie jusqu'à la périphérie de la
moelle
une mince bordure le long de la portion élargie d
du I/o moyen du septum et envoie de là jusqu'à la périphérie de la
moelle
une mince ligne de fibres accolées au septum.Le
on avec ce que l'on observe dans les cas de lésion transverse de la
moelle
dorsale, on est porté à croire que les fibres r
montrent l'intégrité complète des mé- ninges et des vaisseaux de la
moelle
; celles qui ont été colorées au carmin permett
je n'ai pu savoir si les réflexes ten- dineux étaient abolis. La
moelle
a été débitée en segments après repérage minutieu
esque absolument détruites ainsi qu'à tous les autres niveaux de la
moelle
. Ont également disparu les faisceaux radiculaires
ro-externe (exogène) est conservé comme dans toute la hauteur de la
moelle
; il n'est pas absolument intact; (1) J. NAGEOTT
manifeste qu'à ce niveau, comme dans tout le reste de l'étendue de la
moelle
, la sclérose de la bandelette externe s'accompa
ractéristique du centre ovale de Flechsig, tel qu'il existe dans la
moelle
foetale. Le prolongement antérieur de la zone s
du septum médian ; leur extrémité n'atteint pas la périphérie de la
moelle
. 94° Dorsale. Diffère de la 1° en ce que les 1.
se rétrécit progressivement à mesure que l'on remonte le long de la
moelle
et finit par constituer le cordon de Goll à la ré
es distinctes suivant qu'elles ont.trait aux fibres endogènes de la
moelle
ou bien aux fibres radiculaires, C'est dans cet
élémentaires de fibres dans le territoire de chaque racine dans la
moelle
; pour cette partie de mon travail, l'observati
a présence des boules de myé- line, non encore charriées hors de la
moelle
, gêne un peu pour l'examen à un faible grossiss
I) ; il est facile de retrouver ces deux espèces de fibres dans une
moelle
normale, où les fibres fines se montrent avec la
de Lissauer ne diffère absolu- ment pas de ce qu'elle est dans une
moelle
normale. Fio. 2. Obs. I. Fibres endogènes fines
ail- lements provenantdes manipulations auxquelles sontsoumises les
moelles
pendant l'autopsie, il se produit un changement
racine postérieure ; les fibres radiculaires qui entrent dans/1 la
moelle
perdent là leur gaine de Schwann, et il existe à
lie arrondie qui fait une hernie plus ou moins accentuée hors de la
moelle
, à travers l'orifice de la pie-mère ; cette sai
use pour la recevoir, si bien que, sur une coupe transversale de la
moelle
la zone de séparation entre la portion extra-mé
par suite de la direction oblique des racines à leur entrée dans la
moelle
. Lorsqu'on emploie la méthode de Weigert, la seul
comme le dit Pierre Marie dans ses Leçons sur les ma- ladies de la
moelle
, une des altérations précoces du tabes ». K. Seli
yéline sont le plus raré- fiées dans la corne postérieure ; dans la
moelle
D, représentée pi. VII. fig. 4 et 7 où les zone
l faut s'a- dresser aux observations de lésions transversales de la
moelle
au-dessus du renflement lombaire ; dans ces obs
e de longues fibres qui, situées latéralement à la périphérie de la
moelle
, en arrière de la virgule de Schulze dans la ré
sur les fibres endogènes descendants des cordons postérieurs de la
moelle
â la région lombo-sacrée. Journal de Physiologie
Fia. 4. Cette figure et les suivantes représentent les coupes d'une
moelle
écrasée par une fracture de la colonne vertébra
n de transition entre la partie dorsale et la partie lombaire de la
moelle
, il existe de nombreuses variétés individuelles
ébuter la sclérose médiane, dans les cas de lésion transverse de la
moelle
, par un tout petit faisceau qui semble naître sur
soit par celle de Weigert-Pal ou par le carmin . C'est à ce type de
moelle
que répond celle de l'observation I où les fibres
de Hoche, de Dejerine et Theohari appartiennent à la catégorie des
moelles
où le passage des fibres de la périphérie à la
(2) Guizé. Les parties constitutives de la substance blanche de la
moelle
épinière de ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉR
base répond à la partie médiane de la périphérie postérieure de la
moelle
, exactement dans la région qui atteint à l'extr
eval avait manifestement lésé directement la partie terminale de la
moelle
; en effet, ces auteurs décrivent une dégénéresce
ar un néoplasme remontant au-dessus de l'extrémité inférieure de la
moelle
. Leur observation n'est donc pas propice à la d
'éparpiller dans la région antérieure des cordons postérieurs de la
moelle
, il est impossible de distinguer celles qui sont
quer combien ces faits concordent avec les résultats de l'étude des
moelles
d'embryon par la méthode de Golgi. Voici en eff
ance, est constitué exclu- sivement par les racines qui abordent la
moelle
au niveau même où se trouvent les colonnes de C
piens pur (1). De plus elles sont étendues à toute la hauteur de la
moelle
, bien (1) L'expression anatonio- pathologique t
tion ; la lésion est nettement limitée, dans toute la hauteur de la
moelle
, à quatre points qui sont : la bandelette exter
bre des fibres à myéline, visibles surtout par comparaison avec une
moelle
saine. Mais il n'existe aucune tache sclé- reus
tte exlerne, qui se continue sans interruption du haut en bas de la
moelle
. Les fibres endogènes sont complètement intacte
part, il existe dans le livre de Schaffer(2) la photographie d'une
moelle
de tabétique prise au niveau de la région dorsa
froy et Gombault, re- présentant la région dorsale inférieure de la
moelle
d'un paralytique général (3). Enfin, je possède
que en haut et en dedans qu'elles suivent entre leur entrée dans la
moelle
et leur incorporation dans le cordon de Goll. S
- tion de cette zone scléreuse ne varie pas d'un bout l'autre de la
moelle
; elle ne se rapproche nulle part de la corne p
culaire antérieure, soit dans la zone radiculaire postérieure de la
moelle
. En un mot cette disposition prouve que le tabes
e évo- lution se fait soit régulièrement sur toute la hauteur de la
moelle
, soit sur une étendue restreinte. Dans ce.derni
t. Un tabes inci- piens peut être étendu à toutes les racines de la
moelle
, l'observation II en est la preuve ; il peut ég
anatomique du tabes incipiens ; enfin on peut trouver, sur une même
moelle
des lésions de tabes incipiens en une région et
une région et des lésions de tabes avancé dans une autre région. La
moelle
représentée (pl. VII, moelle D) est dans ce cas ;
tabes avancé dans une autre région. La moelle représentée (pl. VII,
moelle
D) est dans ce cas ; dans la région cervicale c
e postérieure. Pour vérifier cette hypothèse j'ai passé en revue 12
moelles
de tabétiques morts à diverses périodes de la mal
de Goll est complètement démyélinisé. J'ai reproduit (pl. VII) deux
moelles
répondant à ces deux derniers types, pour les met
au tabes plus avancé. Si l'on reporte sur un schéma représentant la
moelle
lombaire d'un foetus, ou d'un tabétique, le tra
iculaires pendant leur trajet le long des cordons postérieurs de la
moelle
. xvii 4 FIG. 16. Schéma représentant la super
S POSTÉRIEURS 51 LÉGENDE DES PLANCHES Pl. V. Obs. 1. Coupes de la
moelle
. Méthode de Weigert Pal modifiée. Pl. VI. Obs.
lle. Méthode de Weigert Pal modifiée. Pl. VI. Obs. II. Coupes de la
moelle
. Méthode de Weigert. PI. VII. 1. Coupe de moell
. II. Coupes de la moelle. Méthode de Weigert. PI. VII. 1. Coupe de
moelle
normale à la lIe sacrée (jeune fille de 18 ans).
20 diamètres. 2. Obs. I. Lésion de la queue de cheval. Coupe de la
moelle
à la 2a soirée. Méthode de Weigert Pal modifiée
cu- laires conservées. - 3. Obs. II. Tabes incipiens. Coupe de la
moelle
à la lie sacrée. Méthode de Weigert. Intégrité
sacrée. Méthode de Weigert. Intégrité de la zone de Lissauer. 4.
Moelle
D. Tabes avancé. Coupe de la moelle à la 110 sacr
rité de la zone de Lissauer. 4. Moelle D. Tabes avancé. Coupe de la
moelle
à la 110 sacrée. Méthode de Weigert Pal. Intégr
cales disséminées malgré une sclérose tabétique avancée. 5 et 6.
Moelle
C. Tabes moyennement avancé chez un paralytique g
gion lombaire et des cordons de Goll à la région cervicale. 7 et 8.
Moelle
D. Tabes avancé. 1re sacrée et 5" cervicale. Méth
s combinées qui a été jus- qu'ici mal élucidé. A l'autopsie de la
moelle
d'une sclérose combinée tabétique, on cons- tat
abès. Mais on est frappé aussi de l'apparence grêle que présente la
moelle
en particulier dans la région dorsale, son cali
ans d'assez grandes proportions. Si, à cette hauteur, on examine la
moelle
sur une coupe, on voit que sa surface est dimin
e coupe, on voit que sa surface est diminuée si on la compare à une
moelle
normale; sa forme est modifiée : il existe un a
re qui semble atrophiée dans le sens antéro-postérieur, et alors la
moelle
a l'aspect triangulaire; ou bien elle prend une f
s combinées pseudo-systématiques. Les scléroses systématiques de la
moelle
en général peuvent être primi- tives ou seconda
erons que les lésions systématiques secondaires à des lésions de la
moelle
. ' Dans le cordon postérieur les lésions systém
irect peut dégénérer sous l'influence d'une lésion cellulaire de la
moelle
; les cellules de la colonne de Clarke. Les scl
lition des réflexes rotu- liens. ' 5 1 1 CROUZON - Autopsie. La
moelle
est petite ; elle présente un épaississement pie-
tres que je rapporte plus loin : Ab., Gor., Faur. Au niveau de la
moelle
sacrée, on constate la sclérose des parties latér
ès ce niveau quelques traces de sclérose du cordon latéral. Dans la
moelle
lombaire, la partie postérieure du cordon postéri
constate un triangle de sclérose dont la base répond au bord de la
moelle
et dont le sommet s'enfonce vers la substance gri
t dont le sommet s'enfonce vers la substance grise. Au niveau de la
moelle
dorsale, de la 8e à la 4` ? dorsale, la sclérose
s ; la colonne de Clarke est toujours atteinte. ' Au niveau de la
moelle
cervicale : dans le cordon postérieur, les lésion
sclérose occupe une bande étroite répondant à la périphé- rie de la
moelle
, c'est-à-dire occupant le faisceau cérébelleux di
cérébelleux direct, elles occu- pent non seulement la bordure de la
moelle
au niveau du faisceau céré- belleux direct, mai
OMBINEES (O. Crauzou) A,B,C. Fau.... Sclérose combinée tabétique.
Moelle
dorsale d'aspect losangique ; son calibre est dim
es cordons latéraux. D,E,F. Sal.... Sclérose combinée tabétique. D,
moelle
aplatie et atrophiée dans sa moitiée postérieure.
scopiques ont été pratiquées au niveau de chacune des racines de la
moelle
. Elles ont été soumises aux colora- tions de We
eure présente un léger épaississement sur toute la périphérie de la
moelle
. Les cordons latéraux sont presqne entière- men
éral est un peu plus étendue, gagne davantage le bord latéral de la
moelle
. La méninge est épaissie sur les côtés postérieur
. La méninge est épaissie sur les côtés postérieur et latéral de la
moelle
; elle l'est, à un moindre degré, au niveau du co
mais plus accentuée que dans le cordon antérieur. a 3e dorsale. La
moelle
est considérablement diminuée de volume; elle a
éral a la forme d'un triangle avec un Fig. 1, 2, 3, 4. Coupes de la
moelle
de Dépr... Sclérose combinée tabétique. Colorat
rect et une grande partie du faisceau pyramidal. 4e dorsale. - La
moelle
est déplus en plus déformée ; elle est très pet
cordon antérieur. 5° et 6e dorsales.- Même forme triangulaire de la
moelle
; même étendue des lésions. 7° dorsale. La fo
tantôt la forme quadrangulaire. 4r° lombaire. Les dimensions de la
moelle
sont un peu plus considéra- bles. Les lésions d
atéraux sont'plus étendues sur le bord du cordon. 2° lombaire. - La
moelle
cesse d'avoir un aspect' triangulaire. Elle a une
once vers la substance grise (Voir fig. 4). Diverses hauteurs de la
moelle
cervicale, dorsale et lombaire ont été colo- ré
ningite hyperplastique occupant souvent toute la péri- phérie de la
moelle
. Kattwinkel, discutant l'importance de ces lésion
us intermédiaire entre ces lésions méningées et les lé- sions de la
moelle
elle-même. La théorie lymphatique du tabes de P
postérieure de la couche optique droite. Examen histologique de la
moelle
. Au niveau de la moelle lombaire : dégénération
e optique droite. Examen histologique de la moelle. Au niveau de la
moelle
lombaire : dégénérations diffuses du cordon pos
laire qui s'étend davantage au niveau de la partie supérieure de la
moelle
lombaire. La pie-mère est épaissie. Au niveau
téral, la sclérose se prolonge en avant parallèlement au bord de la
moelle
. L'examen du bulbe a été fait par Kattwinkel qui
inférieurs, surtout'à gauche. Examen microscopique. Au niveau de la
moelle
sacrée, les cordons posté- rieurs sont sclérosé
dont le sommet s'enfonce vers la substance grise. Au niveau de la
moelle
lombaire, le cordon postérieur est complètement
du faisceau pyramidal croisé. Au niveau de la région dorsale, la
moelle
présente un calibre extrêmement diminué et sa f
sente un calibre extrêmement diminué et sa forme rappelle celle des
moelles
précédentes. Le cordon posté- rieur est scléros
ÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 61 Au niveau de la région cervicale, la
moelle
a de nouveau un volume normal, la sclérose est
lésions ont une apparence systématique à la partie inférieure de la
moelle
, mais l'aspect annulaire à la partie moyenne tend
delà verge. Examen histologique. Au niveau de la région sacrée, la
moelle
présente une sclérose diffuse du cordon postéri
ose occupe un triangle dont la base répond au bord postérieur de la
moelle
, et dont le sommet répond à la com- missure pos
il existe des lésions très accentuées des vaisseaux au niveau de la
moelle
dorsale. Le canal épendymaire est dilaté et bourr
(Gor....) Il existe en effet une dilatation du canal central de la
moelle
. Cette lésion a été rencontrée dans d'autres ca
s semblables. M. Pierre Marie a bien voulu nous confier l'examen de
moelles
de tabétiques ou de paralytiques généraux prése
u de dilatation des ven- tricules. - La méninge postérieure de la
moelle
est épaissie, à partir seulement de la région d
baire. Au niveau du sillon postérieur existe une crête qui donne à la
moelle
, un aspect triangulaire. Examen histologique.
triangulaire. Examen histologique. Au niveau de la 2e Cervicale. La
moelle
a con- servé sa forme normale. On constate l'ex
entuée dans la région ventrale (Voir fig. 2). Région lombaire. La
moelle
a été examinée à trois hauteurs différentes de
ration de Nissl a été pratiquée sur cinq hauteurs différentes de la
moelle
. XVII S 66 CROUZON Elle n'a révélé aucune m
a coloration de Marchi pratiquée en quatre hauteurs différentes de la
moelle
n'a montré nulle part l'existence de corps gran
. Nous croyons donc que si les scléroses combinées tabétiques de la
moelle
peuvent être systématiques comme l'ont admis au
ur aspect extérieur avec les dendrites des cellules nerveuses de la
moelle
épinière. Il existe une grande ressemblance entre
l'aspect des den- drites des cellules de la corne antérieure de la
moelle
épinière et les den- drites des cellules nerveu
les dendrites des cellules nerveuses de la corne postérieure de la
moelle
épinière et les dendrites des cellules nerveuse
anté- rieurs d'un autre côté. Comme dans la corne antérieure de la
moelle
épi- nière, dans la partie ventrale des tubercu
privées d'appendices collatéraux ; dans la corne postérieure de la
moelle
épinière et dans la partie périphérique des tuber
CROISÉES DU CERVELET PAR RAPPORT AU NOYAU CAUDÉ, DU BULBE ET DE LA
MOELLE
PAR RAPPORT AU CERVELET, PAR Edmond CORNU
droite du bulbe et du peu de saillie de l'olive de ce même côté.
Moelle
. Elle paraît asymétrique, vue sur des coupes tran
tié droite du bulbe et atrophie nette de l'olive droite (Fig. 7).
Moelle
. - Semble avoir souffert dans tous ses éléments,
ORNU . térieure gauche est moins malade dans toute la hauteur de la
moelle
ou du moins les cellules sont mieux conservées
ue l'on constate des altérations portant sur la moitié droite de la
moelle
. De même dans un cas d'atrophie de l'hémis- (1)
OUR Autopsie. Autopsie le 6 juin 1902, 30 heures après la mort.
Moelle
. - La moelle dans sou ensemble présente une granu
e. Autopsie le 6 juin 1902, 30 heures après la mort. Moelle. - La
moelle
dans sou ensemble présente une granulite très not
e lésions de néphrites. Examen HIICt30SCOPIQUE. - Technique. - La
moelle
et le bulbe ont été fixés au liquide de Muller.
olives. Ces lésions se retrouvent sur toute la hauteur du bulbe.
Moelle
(PI. XVIII).- Sur une coupe passant immédiatement
des cornes antérieures ainsi que des racines antérieures. Dans la
moelle
dorsale, les mêmes lésions se poursuivent. Cepend
égère sclérose des colonnes de Clarke. A la partie inférieure de la
moelle
dorsale, dans la moelle lombaire et la moelle s
nes de Clarke. A la partie inférieure de la moelle dorsale, dans la
moelle
lombaire et la moelle sacrée, la sclérose est b
rtie inférieure de la moelle dorsale, dans la moelle lombaire et la
moelle
sacrée, la sclérose est beaucoup moins accentuée
que celle des racines pos- térieures. Sur toute la hauteur de la
moelle
le canal médullaire a disparu, et est com- blé
médullaires ne sont pas altérés. Enfin, sur toute la hauteur de la
moelle
, les cellules des cornes postérieures 132 PIC E
s XIIIe, Xe et XIIe paires. Dans toute la hauteur du bulbe et de la
moelle
dans les cordons postérieurs, sclérose des cordon
eurs, sclérose des cordons de Goll plus accen- tuée au niveau de la
moelle
cervicale, et sclérose des cordons de Burdach,
cervicale, et sclérose des cordons de Burdach, plus marquée dans la
moelle
dorsale ; dans les faisceaux latéraux, la scléros
al croisé, et du faisceau cérébelleux latéral, plus accusée dans la
moelle
cervicale et la partie supérieure de la moelle do
plus accusée dans la moelle cervicale et la partie supérieure de la
moelle
dorsale ; enfin atro- phie des cornes postérieu
pneumogastrique. Enfin nous n'insisterons pas sur les lésions de la
moelle
, qui sont les lésions classiques de la maladie
es lésions classiques de la maladie de Friedreich : gracilité de la
moelle
, épaississement des méninges, oblitération du c
s et moins typiques que dans les lésions organiques et autres de la
moelle
et des nerfs périphériques. L'hémorrhagie ou le r
e point d'attaque du proces- sus tabétique ? Se trouve-t-il dans la
moelle
, sur les racines ou dans le ganglion rachidien-
. dans l'étude de l'écorce cérébrale ou de la substance grise de la
moelle
, et cela pour plusieurs raisons. Tout d'abord
ranchées que dans les grandes cellules des cornes antérieures de la
moelle
par exemple ; et d'une coupe à l'autre on peut ob
ériphérique. Elle sont un peu moins malades en se rapprochant de la
moelle
. Beaucoup de cellules ont conservé leur aspect no
nération des racines postérieures et des cordons postérieurs de la
moelle
; alors même qu'elles existent, les cellules mal
ningées ceux-ci à la sortie du ganglion, ceux-là à l'entrée dans la
moelle
(Nageotte, Obersteiner et Redlich) - dont l'exist
elques remarques, d'une part sur la topographie fonctionnelle de la
moelle
, et d'autre part la ré- partition des hémorrhag
nte des suffusions sanguines au niveau de la face postérieure de la
moelle
à la hauteur de la fracture et au niveau de la
la hauteur de la fracture et au niveau de la face antérieure de la
moelle
dans la région dorsale supérieure. Les viscèr
scères abdominaux sont très hyperémiés. L'examen histologique de la
moelle
a été fait en coupes sériées, colorées par les
ise par la variabilité de ses aspects. En dehors.de ces limites, la
moelle
était absolument intacte. Le maximum des lésion
dans le VI" segment, répond au siège de la fracture (fig. g). La
moelle
est aplatie dans le sens antéro-postérieur ; la s
upérieur du corps de l'axis à travers le lie segment cervical de la
moelle
. - On voit un gros foyer hémorrhagique nette- m
férieur du corps de l'axis à travers le Il¡- segment cervical de la
moelle
. On voit dans la substance grise trois foyers hë-
ravers la zone intermédiaire aux 1116 et IVe segments cervicaux de la
moelle
. L'hémorrhagie, en multiples foyers, a presque
la corne postérieure droite et respecté relativement le reste de la
moelle
. FiG. d. Coupe passant par le bord inférieur du
de la 3e vertèbre cervicale à travers le IVe segment cervical de la
moelle
. On voit : dans la méninge, l'artère spinale an
travers la zone intermédiaire aux IVe et V8 segments cervicaux de la
moelle
. La moelle est non seulement aplatie, comme dan
one intermédiaire aux IVe et V8 segments cervicaux de la moelle. La
moelle
est non seulement aplatie, comme dans la figure d
s délai' vertèbre cervicale ie travers le Ve segment cervical de la
moelle
. Le caillot du sillon médian antérieur est rédu
euse . cervicale fracturée, à travers le Vle segment cervical de la
moelle
. On constate le maximum des lésions : aplatisse
la moelle. On constate le maximum des lésions : aplatissement de la
moelle
dans le sens antéro- postérieur, destruction à
hyse épineuse . cervicale, à travers le VIle segment cervical de la
moelle
. L'hémorrhagie infiltre la substance grise gauc
la 6 vertèbre cervicale, à travers le VlIie segment cervical de la
moelle
. La moelle, de forme normale, ne présente plus
e cervicale, à travers le VlIie segment cervical de la moelle. La
moelle
, de forme normale, ne présente plus qu'une petite
aissent des figures de neuronophagie au début. En même temps que la
moelle
, le plexus solaire avait été prélevé pour être
lement sous. la dépendance de l'index nerveux tonique fourni par la
moelle
. Après l'analyse que nous venons de faire de ce
hniques qui siègent, comme on sait, dans la partie inférieure de la
moelle
cervicale et supé- rieure de la moelle dorsale.
s la partie inférieure de la moelle cervicale et supé- rieure de la
moelle
dorsale. Nous serions donc ici en présence de ces
laboration avec Marinesco. En 1896, La syphilis héréditaire de la
moelle
^épinière . En 1897, Pallzogénie et prophylaxie
miplégiques . ' Traitement de l'alaxie par l'élonyalion vraie de la
moelle
, en collaboration avec ChipaulL. , En 1898, T
98, Traitement de l'alaxie locomotrice par l'élongation vraie de la
moelle
épinière, en collaboration avec Gasne. En 1899,
aboration avec Gasne. En 1899, Un cas de syphilis héréditaire de la
moelle
, en col- laboration avec Durante. En 1900, La
palais, aux pha- rynx ; et finalement, aux muscles innervés par la
moelle
, ceux du tronc et des extrémités ; toutes ces p
diaphysaire et le rétrécissement du canal mé- dullaire rempli d'une
moelle
grisâtre et comme desséchée. La déviation osseu
(5). - Le cervelet, les pédoncules, la protubérance, le bulbe et la
moelle
très petits. Cette dernière diminuée surtout dans
ieur. Les racines minces, paraissent atrophiées, les méninges de la
moelle
épaissies, surtout à la face postérieure. Elargis
n de Gowers et du faisceau cérébelleux direct, qui commence dans la
moelle
dorsale et peut être suivie jusqu'à la hauteur du
tendineuses dans les jambes. Pied en équin direct. Autopsie (1). -
Moelle
et bulbe très diminués. Le cervelet plus petit qu
- On trouve une diminution de volume, très remarquable de toute la
moelle
, du bulbe, de la protubérance et du cervelet. Un
Gieson. Ce qui frappe avant tout, c'est l'extrême petitesse de la
moelle
, qui a plutôt les dimensions d'une moelle d'un
l'extrême petitesse de la moelle, qui a plutôt les dimensions d'une
moelle
d'un enfant que d'un adulte. Mais c'est surtout l
téro-postérieur qui est le plus fortement réduit. Par conséquent la
moelle
est remarquablement aplatie d'avant en arrière.
uvées par trois auteurs et celles que présentaient les coupes de la
moelle
de Luis Hand... (après le durcissement) dans le
s : Il suffit d'un coup d'oeil pour se rendre compte que toutes ces
moelles
restent au-dessous des dimensions normales, mai
différence est plus marquée dans le diamètre antéro-postérieur. La
moelle
de Luis Hand... pré- sente les dimensions les p
lules. Les racines semblent déjà dans les parties inférieures de la
moelle
être moins riches en fibres que normalement. Da
s fibres fines qui paraissent faire défaut. Substance blanche de la
moelle
. - Ce qui frappe au premier coup d'oeil dans la
ie les coupes d'une provenance plus 1119. 1, 2 et 3. - Coupes de la
moelle
de Luis Hand... 296 RYDEL élevée, cette raréf
: on trouve ici une raréfaction qui longe toute la périphérie de la
moelle
excepté la partie qui est voisine du sillon ant
limitée, on voit qu'elle devient moins intense vers le centre de la
moelle
, et respecte complètement la partie rapprochée
appuie sur la par- XVII 19 1 Fig. 4, 5, 6, 7 et 8. - Coupes de la
moelle
de Luis Hand. 298 RYDEL tie moyenne de la cor
ion. La forme de ces lésions reste la même dans tout le reste de la
moelle
dorsale ; seulement elle augmente d'intensité d
e par un trajet oblique de dégénération l'angle antéro-médian de la
moelle
. A partir d'ici la dégénérescence longe la péri
partir d'ici la dégénérescence longe la périphérie antérieure de la
moelle
tout en res- tant séparée de la substance grise
rivée aux cornes postérieures cette bande se recourbe en dedans de la
moelle
, et occupe la partie juxtaposée de la corne pos
a sclérose du cordon de Gowers. Dans les parties plus élevées de la
moelle
les lésions restent les mêmes dans les cordons
faisseau ne présente aucune lésion. C'est seulement d'un côté de la
moelle
qu'on trouve une plaque de sclérose périphériqu
Gowers et laissant libre le reste de la périphérie postérieure de la
moelle
. A partir de cette même hauteur la sclérose du
ion du second qui se trouve dans les segments les plus élevés de la
moelle
. Ne voulant pas entrer dans le domaine des vagu
de ces faits surprenants. Dans les segments les plus élevés de la
moelle
la dégénération des cordons antérieurs forme un
s insistons sur ce fait, d'autant plus que, d'après l'é- tude de la
moelle
, on pourrait supposer que le faisceau longitudina
c'est le diamètre antéro-postérieur qui est le plus touché. Dans la
moelle
on trouve une ressemblance complète des lésions
érance et par la dégénération du système cérébello-médullaire de la
moelle
. D'autre part l'abolition des réflexes rotulien
on du nombre et du volume des cellules ganglionnaires dans toute la
moelle
. Mirto (7) signale un amincissement du réticulu
(1) ; nous ne nous y arrête- rons pas. Le reste du système nerveux,
moelle
épinière et méninges rachi- diennes, ganglions
- Notre examen a porté sur le système nerveux central, encéphale et
moelle
, et sur les nerfs périphériques. Nous ne décrir
otre malade et n'ont rien à voir avec ses atrophies musculaires. La
moelle
a été examinée par la méthode de Nissl après fixa
iculièrement ma- lades. Les cellules des cornes antérieures de la
moelle
ne présentent pas de lésions de chromatolyse, p
eu d'hyperpigmentatibn,dont on se rend compte en comparant avec une
moelle
d un sujet du même âge. En tout cas, ces lésions
ique ou de la polyomyélite chronique. Dans d'autres parties de la
moelle
étudiées par les autres méthodes, on se rend co
vroglique dilfuse ou systématisée. Somme toute, on peut dire que la
moelle
est indemne. Les nerfs périphériques, après dur
que des nerfs périphériques, du nerf opti- que et des cordons de la
moelle
, qui n'a pas plus de rapport avec un sim- ple é
« des pertes de substance peuvent se creuser primitivement dans la
moelle
sous l'influence de lésions vasculaires et qu'e
autant plus développée qu'on envisage des niveaux plus élevés de la
moelle
. Cette lésion se limite dans la région lombaire e
e forme et la même direction, perd contact avec la périphérie de la
moelle
tandis qu'elle se continue en avant jusqu'au vo
ontrer la topographie des fentes dans les régions principales de la
moelle
(Ve C, Ille D, IVeD, XeD), ainsi que les défor-
oelle (Ve C, Ille D, IVeD, XeD), ainsi que les défor- mations de la
moelle
à ces différents niveaux. Noter la dégénérescence
MYÉLIE 381 remarquable à l'expansion et probablement de ce fait, la
moelle
se présente extrêmement déformée et bouleversée
st ainsi que se présente la lésion qui imprime ici à la coupe de la
moelle
la déformation ha- bituelle à la syringomyélie
be où les rubans delteil sont intacts. Sur toute la hauteur de la
moelle
les faisceaux pyramidaux croisés sont dé- génér
est atteinte dans les régions correspondantes aux seg- ments de la
moelle
où la corne postérieure est lésée. Ce sont les te
sont une nouvelle preuve que la projection sensitive cutanée de la
moelle
se fait selon la topographie radi- culaire. D
de la sensibilité dans les régions innervées par les segments de la
moelle
sous-jacents à la lésion, démontre que la destruc
la transmis- sion des impressions sensitives cutanées amenées à la
moelle
par les racines postérieures sous-jacentes. E
s tractus conjonctifs rectilignes, de toute longueur, traversant la
moelle
sur une grande étendue, sans que les éléments n
ui parcourt la corne postérieure se continuer à la périphérie de la
moelle
directement avec la pie-mére. D'ailleurs cette
mettre qu'elle donne naissance à ces prolongements qui pénètrent la
moelle
en suivant les cornes postérieures et s'y dével
la méninge être reliés par une bandelette fibreuse qui traverse la
moelle
et figure l'arc dont la pie-mère serait la corde.
est dégagée des altérations de voisinage, la lésion primitive de la
moelle
. Autour d'elle que deviennent les éléments nerveu
édente, à l'extrémité gauche de la fente, près de la périphérie de la
moelle
. Ici les bords de la fente sont plus onduleux e
réduction plus ou moins considérable dé la surface de section de la
moelle
. Cet effondrement donne lieu aussi à ces défor-
pertes de substance, et qui a détruit au moins les deux tiers de la
moelle
si l'on en juge par la réduction énorme de la sur
quer celles qui peuvent exister parmi les différents éléments de la
moelle
en dehors des zones que nous avons plus spécial
analogie avec ce qu'on a appelé les névromes de régénération de la
moelle
, productions fréquentes et appartenant presque
de zones en voie de dégénères- A 13ESs.1)I z Fig. 7,- Coupe de la
moelle
cervic. de Poch... Grossiss. faible. Coloration à
aît se limiter, nous l'avons vu, au trajet des gros vaisseaux de la
moelle
et notamment des artères des cornes postérieure
re que la lésion prend naissance à ia périphérie et pénètre dans la
moelle
le long d'un gros vaisseau ; qu'elle est en out
yden (1876), donnant au mot syringomyélie le sens de cavité dans la
moelle
, admet- tent une série de causes -pathogéniques
le mot syringomyélie revenu à son sens primitif de « cavité dans la
moelle
», se trouve désigner à la fois les cavités d'ori
rès souvent systématisé autour des artérioles qui pénètrent dans la
moelle
(arté- rioles de la corne postérieure, artériol
ésion semble pénétrer par la péri- phérie et gagner le centre de la
moelle
, marche inverse de celle qui se réalise- rait d
dont on ne trouve guère d'exemples dans les autres affections de la
moelle
. HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE ET PATHOGÉNIE DE LA SY
tion, puis- qu'il n'existe pas ailleurs de tissu conjonctif dans la
moelle
. Quel est. donc, en considérant maintenant dans
rent une intéressante observation d'anévrysme cirsoïde probable de la
moelle
cer- vicale (Rev. Neurol., 30 mai 1904). L'exam
ale (Rev. Neurol., 30 mai 1904). L'examen microscopique montra que la
moelle
était non seulement entourée, mais aussi pénétr
eux fondée dès lors que son existence est reconnue possible dans la
moelle
. xvu 26 402 91 THOMAS ET HAUSER miques qui
e, mais aussi ^suivant l'activité locale du processus dans une même
moelle
et qu'il peut en résulter des variétés d'aspect
e maître, M. Pierre Marie, a bien voulu nous permettre d'étudier la
moelle
d'un homme mort dans son service de Bicêtre apr
guë, fort semblables ceux de là paralysie infantile ; or dans cette
moelle
nous avons trouvé à des foyers multiples, local
e 12 avril 1903. AUTOPSIE.- 1.-MOELLE ET BULBE.- On remarque que la
moelle
est sensible- ment plus aplatie qu'une moelle n
.- On remarque que la moelle est sensible- ment plus aplatie qu'une
moelle
normale, surtout dans les régions cervicale et
n cervicale, un apla- tissement de toute la moitié antérieure de la
moelle
avec saillie de son rebord de chaque côté du si
toutes les racines et au niveau du bulbe : cependant la portion de
moelle
comprenant les 5 premières racines cervicales,
est très aplati * 438 LÉIII ET-WILSON - ce qui tend à donner à la
moelle
une forme triangulaire à base antérieure, au li
rieure depuis la substance grise jusqu'au voisinage du rebord de la
moelle
, mais non jusqu'à ce rebord. Les cordons de G
r Planche LIX, C et planche LVIII, A). La partie an- térieure de la
moelle
est encore très aplatie. A droite la lésion est l
deux cornes annrieuies. Aplatissement de la partie antérieure de la
moelle
, dépression au niveau de la zone radiculaire anté
rescence. 7e-ge cervicale (Planche LIX, D). Partie antérieure de la
moelle
très aplatie ; le pourtour présente une dépress
volume et une coloration sensiblement normaux. Ire dorsale. - La
moelle
paraît normale à première vue, sauf qu'elle est
ale à première vue, sauf qu'elle est notablement plus petite qu'une
moelle
normale, que la partie antérieure est encore un
. Toutes les lésions sont bien moindres, l'aspect et la forme de la
moelle
sont beaucoup plus normaux, quoique la moelle soi
ect et la forme de la moelle sont beaucoup plus normaux, quoique la
moelle
soit toujours plus petite qu'une moelle normale
up plus normaux, quoique la moelle soit toujours plus petite qu'une
moelle
normale. Dépression au niveau de la zone radicula
ns les groupes cellulaires antérieurs et de Clarke. 3-48 dorsale. -
Moelle
encore très aplatie, losangique au lieu de ronde.
rieures, surtout de la droite ; mêmes cellules. 5e-6e dorsale. La
moelle
est très aplatie d'avant en arrière et présente
ral et dans les colonnes de Clarke. 6e-7° dorsale (Planche LIX, E).
Moelle
moins aplatie, même dépression du rebord, surto
S" dorsale. Mêmes remarques ; aplatissement antéro-postérieur de la
moelle
avec dépression antérieure, aplatissement transve
rs les mieux conservées. Pourtant légère diminution de volume de la
moelle
des cornes antérieures, légère dépression de la z
Les déformations, à l'oeil nu, sont encore bien moins accusées ; la
moelle
et ses cornes ont presque leur volume et leur for
marques : dépression antérieure encore moins marquée ; volume de la
moelle
normal. Les gaines périvasculaires paraissent p
état et le même nombre que sur la coupe précédente. 12e dorsale. -
Moelle
normale à l'oeil nu, sauf peut-être encore un trè
. - Mêmes grosses lésions des cornes antérieures, surtout à gauche.
Moelle
très petite, carrée au lieu de triangu- laire p
grosses dans le même groupe à droite. En regard de chaque coupe de
moelle
de notre malade Ganl..., nous avons dessiné une
de moelle de notre malade Ganl..., nous avons dessiné une coupe de
moelle
normale prise à peu près au même niveau, sauf p
e montrer d'une' façon-frappante : 1° La diminution de volume de la
moelle
à tous les niveaux, due surtout à la diminution
une lésion des foyers. ' ; L'existence d'une lésion générale de la
moelle
, prédominante partout au ni- veau des cornes an
malade mourut de tuberculose pulmonaire : L'autopsie montra dans la
moelle
l'existence d'une double lésion en foyers qui a
ces lésions n'étaient pas les seules ; dans toute la hauteur de la
moelle
en effet, les cornes antérieures étaient atroph
érieures étaient amincies ainsi que les cornes et le pourtour de la
moelle
déprimé à leur niveau. Il exis- tait donc une p
nte des différentes cellules dans le reste delà 448 LÉm ET WILSON
moelle
d'autre part, nous permettent de dire que pas plu
ité complété de la sensibilité : mort au bout de deux mois. Dans la
moelle
, destruction complète bilatérale deila corne gr
truction complète bilatérale deila corne grise antérieure depuis la
moelle
cervicale supérieure jusqu'au deuxième segment
es gaines diminuaient et dis- paraissaient vers la périphérie de la
moelle
; la syphilis n'avait pas été recherchée. Un fai
; on en est con- vaincu à l'examen des lésions considérables de la
moelle
dont la localisa- tion même, prédominante à gau
e atteint d'une affection locale du cerveau, ou d'une maladie de la
moelle
, qu'il faut être plus réservé pour le diagnosti
ai à rappeler ici, pour ce qui a trait seulement aux maladies de la
moelle
, l'observation si curieuse publiée par Renault
une comparaison minutieuse des coupes aux différentes régions de la
moelle
peut faire croire à un tabes légitime alors qu'
raphie et la succession des lésions, si aux différents étages de la
moelle
on n'établit pas le rapport entre l'intensité e
vénile. On verra, par les détails anatomiques que les lésions de la
moelle
peuvent être prises à première vue pour celles
après un examen prolongé, on conclut à une lésion organique de la
moelle
; on appliqua des pointes de feu sur la colonne v
e de carie ou d'autres lésions, pouvant agir par compression sur la
moelle
. Les muscles des membres supérieurs et inférieu
n est congestionné. La rate est petite. Examen HISTOLOGIQUE DE la
MOELLE
épinière Er du cerveau. Moelle lombaire (fig. 1
petite. Examen HISTOLOGIQUE DE la MOELLE épinière Er du cerveau.
Moelle
lombaire (fig. 1). Les faisceaux blancs, colorés
semi- lunaire dont le côté rectiligne confine à la périphérie de la
moelle
; les fibres deviennent de plus en plus nombreu
- cend en arrière et en dedans pour atteindre la périphérie de la
moelle
. Le troisième côté est concave, restant séparé ve
Les racines an lérieures sont normalement constituées; 1 Fi[/. 1. -
Moelle
lombaire. ) 10 CLINIQUE MENTALE. les fibres
rdre, les unes et les autres' sont infiltrées de nombreux noyaux.
Moelle
dorsale (/i. i, 3 et 4). a) Moelle dorsale inféri
infiltrées de nombreux noyaux. Moelle dorsale (/i. i, 3 et 4). a)
Moelle
dorsale inférieure et moyenne. - Les lésions so
ut où elle confine avec la corne grise et va en s'effilant Fifj. 2.
Moelle
dorso-Ioinbaire. (Elle a subi une déformation p
st-moitem.) UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE, il J Fig. 3.
Moelle
dorsale. Fig. i. Moelle dorsale. 12 1. CLIN
PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE, il J Fig. 3. Moelle dorsale. Fig. i.
Moelle
dorsale. 12 1. CLINIQUE MENTALE» , 1 .vers
dorsale. 12 1. CLINIQUE MENTALE» , 1 .vers la périphérie de la
moelle
; mais elle n'atteint pas cette der- nière. Le s
titution de la lésion restent les mêmes dans toute la hauteur de la
moelle
dorsale inférieure et moyenne et semblent corre
Pierret. - Substance grise. - A l'étage tout à fait inférieur de la
moelle
1 dorsale, l'une des cornes antérieures est trè
es fibres, mais le plus grand nombre d'entre elles persistent. b)
Moelle
dorsale supérieure (fig. 5). A l'étage supérieur
b) Moelle dorsale supérieure (fig. 5). A l'étage supérieur de la
moelle
dorsale, lorsque se constitue le cordon de Goll,
postérieure. Elle se rapproche d'assez près de la périphérie de la
moelle
, mais en reste séparée par la zone radiculaire po
eures. Le contraste est moins frappant entre les deux moitiés de la
moelle
qu'aux étages précédents. Les cordons autéro- l
t des méninges et des parois vasculaires est tou- jours très net.
Moelle
cervicale. a) Etage inférieur (fig. 6). - L'intég
act et le ruban sain dont il vient d'être question. Cette Pig. 3. -
Moelle
dorsale. 14 CLINIQUE MENTALE.. bande malade
n dehors tout en s'élargissant un peu jusqu'à la péri- phérie de la
moelle
; elle occupe environ le tiers du demi-cor- don
aines ; quelques fibres manquent aux uns et aux autres. Fig. 6. -
Moelle
cervicale inférieure. UN CAS DE PARALYSIE GÉN
aississement des méninges et des vaisseaux est manifeste. FI ? 7. -
Moelle
cervicale supéie ure. 16 CLINIQUE MENTALE.
à une paralysie hystérique plutôt qu'à une lésion organique de la
moelle
, mais elle excluait à coup sur le diagnostic d'at
cupe. Evidemment si, ayant étudié un à un les divers étages de la
moelle
, nous cherchons à coordonner les résultats obtenu
N CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 17 7 étages, les coupes de la
moelle
lombaire, celles de la moelle dorsale inférieur
VÉNILE. 17 7 étages, les coupes de la moelle lombaire, celles de la
moelle
dorsale inférieure et moyenne, donnent franchem
ctement la série des étages, que l'on arrive à se convaincre que la
moelle
en question dif- fère essentiellement d'une moe
onvaincre que la moelle en question dif- fère essentiellement d'une
moelle
de tabes. Ainsi, on constate dans toute la haut
une moelle de tabes. Ainsi, on constate dans toute la hauteur de la
moelle
l'intégrité presque complète des zones de Lissa
cuter ici la comparaison puisque nous suivons la sclérose depuis la
moelle
sacrée. A vrai dire, on ne saurait insister sur
mais non pas en masse, c'est-à- dire durant toute la hauteur de la
moelle
. Suivant les étages examinés, les éléments nobl
t des deux premières zones radiculaires dans toute la hauteur de la
moelle
, du faisceau de Goll en entier et la sclérose d
cessus, car une compression exercée entre le ganglion spinal et la
moelle
, si elle eût laissé intactes les racines, aurait
te la hau- teur. mais sur des segments plus ou moins isolés de la
moelle
; il nous suffit de constater que ces neurones, d
'a pas conservé son intégrité complète. De plus, tout au haut de la
moelle
, nous avons décrit une lésion dont l'as- pect e
tive des neurones centraux- qu'il s'agisse de l'encéphale ou de la
moelle
le mode de dégénérescence invoqué pour les fibr
a- lysie générale des aliénés; mais après sa mort, l'examen de la
moelle
montrait des lésions telles qu'on aurait pu facil
tes autres REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4 ? 1 affections de la
moelle
, du tabes, en particulier, la syringomyélie peu
els. A. Fenayrou. VI. Sclérose diffuse PSEUDO-SYSTÉU.1TIQUE DE la
moelle
ÉPINIÈRE avec polynévrite dans un cas DE diabèt
ferme le diagnos- tic : sclérose difiruse pseudo-systématique de la
moelle
épinière avec polynévrite dans un cas de diabèt
sliques, histoire clinique, autopsie et examen histolo- gique de la
moelle
épinière d'un acromégalique, reconnu tel après
ie, hypertrophie cardiaque et arlério-sclérose,'lzypertrophie de la
moelle
et défor- mation des os, céphose lomho-dorsale.
rapport de cause à ellet entre les lésions osseuses et celles de la
moelle
épi- nière. Il n'y a pas, par contre, de rappor
. Marie. IX. LE traitement de l'ataxie par l'élongation vraie DE la
MOELLE
épinière; par Gilles DE la '1·OUItE'l'fE et A.
pêt1'ièl'e, n° 3, 18S7.) Recherches anatomiques sur le rachis et la
moelle
, desquelles il résulte que : z Tandis que la su
spension du rachis ne produit qu'une élongation insignifiante de la
moelle
, sa flexion sur un sujet assis, les jambes éten
flexion rachidienne, seul moyen d'obtenir l'élongation vraie de la
moelle
, comme exempte des dangers de la suspension et
ns graves dans les cel- lules motrices des cornes antérieures de la
moelle
: les cellules se tuméfient ; les granulations
ématiques des racines postérieures et des cordons postérieurs de la
moelle
. Les altérations des cellules des ganglions int
ésions bien nettes. Les altérations de la subs- tance blanche de la
moelle
ont été constatées presque exclusive- mont par
oute .que le ? altérations qu'il a trouvées dans les cellules de la
moelle
dans les cas des paralysies diphtéritiques doiven
ne syringomyélie de la partie cervicale et dorsale supérieure de la
moelle
(anesthésie partielle et troubles trophiques).
ration est surtout prononcée au niveau de la partie cervicale de la
moelle
. Les cellules des gan- glions et des cornes pré
ns les nerfs périphéri- ques ; des altérations des racines et de la
moelle
ne sont que d'ordre secondaire. Ce qui reste in
lle partie de ce système est intéressée la première. En étudiant la
moelle
, placée entre le système nerveux central et le
sensitifs ou moteurs, dans leur trajet médullaire. Et de fait, la
moelle
des paralytiques généraux est altérée à un degr
nder, après, si ces modi- fications commencent et finissent dans la
moelle
, ou bien, ce qui est plus admissible, si elles
5 p. 100 des cas observés. Nos constatations ont été faites sur les
moelles
de 20 para- lytiques décédés à l'asile de Toulo
taient des paralytiques parce qu'ils présentaient des lésions de la
moelle
, avant d'avoir démontré que ces lésions existen
Elle se can- tonne le plus souvent dans la moitié postérieure de la
moelle
, en arrière d'une ligne transversale passant pa
aut le dire, une grande intensité. Dans le segment postérieur de la
moelle
, elle intéresse le cordon latéral et le cordon
ons du cordon postérieur qui varie dans les différents étages de la
moelle
. Dans le renfle- ment lombaire, elles sont diff
orte que la lésion représentait exactement ce qui s'observe dans la
moelle
des tabétiques. Plus loin, nous dirons un mot d
du 15 janvier z1898, un travail de Berger qui a soumis au Nissl 10
moelles
de para- lytiques généraux2. C'est bien au Niss
et dégénérée. L'atrophie est souvent plus marquée d'un côté de la
moelle
. On voit des cornes antérieures, dans lesquelles
e et chromatolyse coexistent souvent. Celle-ci s'ob- serve dans les
moelles
de paralytiques dont l'évolution a été rapide s
hrome d'Unna, nous fit voir, dans les cellules radiculaires de la
moelle
cervicale et surtout de la moelle lombaire, deux
s les cellules radiculaires de la moelle cervicale et surtout de la
moelle
lombaire, deux modes de chromatolyse. Car la
s nous- même rencontré cette modification dans un grand nombre de
moelles
provenant de sujets ayant succombé aux affec- t
la corne postérieure. Disons seulement que par comparaison avec des
moelles
saines, elles paraissent raréfiées et atrophiée
où la pie-mère adhère à l'écorce grise. Le revêtement externe de la
moelle
est donc intéressé, Il en est de même du revête
a lumière des connaissances récemment acquises sur l'anatomie de la
moelle
. Cette anatomie nous enseigne que les fibres bl
divisent en deux grandes catégories : celles qui sont propres à la
moelle
et qui servent- à réunir entre eux ses différents
nts étages ; celles, au contraire, qui ne font que passer dans la
moelle
, venant du cerveau ou des racines postérieures. D
de Clarke. C'est leur altération qui trace, dans la plupart de nos
moelles
de paralytiques, cette zone de dégénération sou
de la périphérie vers le centre et du centre vers la périphérie, la
moelle
des paralytiques semble envi- ronnée par du tis
Mais l'analogie est surtout frappante lorsqu'on place, à côté d'une
moelle
de paralytique, celle d'un sujet intoxiqué par
qué par un poison minéral ou une toxine. Prenons, par exemple, la
moelle
d'un pellagreux. Le maïs gâté, par les alcaoïde
ié 20 cas, au point de vue clinique et anatomique, a trouvé dans la
moelle
épinière : « une dégénération systématisée, com
leur faire jouer un rôle de pre- mier ordre dans la syphilis de la
moelle
. Les modifications du côté des veines spinales
etrouvées, depuis, un grand nombre de fois. En ce qui concerne la
moelle
épinière, la phlébite syphilitique s'est montrée
ion. La syphilis agirait-elle direc- tement et primitivement sur la
moelle
, ainsi que procèdent certaines intoxications, a
seulement dans les intoxications et quelques maladies connues de la
moelle
. Nous les avons retrouvées, plus ou moins compl
s avons eu et nous avons encore sous les yeux un nombre imposant de
moelles
d'aliénés. Certains d'entre eux, qui étaient en
rdon latéral ou du cordon postérieur. En étudiant les lésions de la
moelle
, nous sommes conduits à penser qu'elles s'accom
tion de REVUE d'électrophysiologie ET d'électrothérapie. 113 la
moelle
avec la faradisation des muscles; on peut aussi a
des 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cordons postérieurs de la
moelle
: 1° La dégénérescence des racines postérieures
dégénérescence des racines postérieures sur toute la hauteur de la
moelle
, n'affectant point, aux divers étages, tout à f
longitudinal postérieur, et dans les cordons antéro-latéraux de la
moelle
. P. KERAVAL. XXX. Contribution A la paresthésie
hogénie de la maladie de Graves : le coeur, le nerf sympathique, la
moelle
, le bulbe ont été successivement mis en cause,
Addison. On trouva une dégénérescence des racines antérieures de la
moelle
, des nerfs périphériques (sciatique, radial, cu
parties, la base et la calotte que l'on peut, sans inconvénient, la
moelle
et la dure-mère n'étant point encore enlevées, re
l l'espace compris entre le trou occipital et le commencement de la
moelle
, en le défalquant de l'ensemble précédemment ob
es numéros d'octobre 1896 est relaté un cas de greffe réussie de la
moelle
épinière d'un lapin pour reconstituer le nerf m
LE traitement du L'ATAXIE LOCOMOTRICE par l'élongation vraie DE la
MOELLE
épinière; par Gilles de la 'fOURETTE et G. G : 1S
et dorsale supérieure, le néoplasme n'occupe que la pie-mère et la
moelle
; le tissu médullaire est par places mollasse, l
et tissu nerveux en jaune. Nous commençons l'étude des coupes de la
moelle
par l'extrémité inférieure de l'organe. Le cô
l'extérieur de la colonne et devait être coupé quand on enlevait la
moelle
. Le carac- tère de la néoformation ne présente
on n'y voit que du tissu conjonctif. Cette partie corres- pond à la
moelle
: les contours en sont dessinés distinctement par
x; impossible de définir quel endroit de la section correspond à la
moelle
: la destruction en est complète; le même sort
e distinguer dans la partie centrale de la coupe les contours de la
moelle
; ils 1 m SYRINGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA
rnière est concen- trée à l'extérieur de la pie-mère, tandis que la
moelle
se distingue bien sur le fond du néoplasme par
esque de la même intensité qu'au segment précédent; au centre de la
moelle
on voit une tache foncée c'est un amas d'élémen
c de nombreux tractus fibreux. Dans les parties périphériques de la
moelle
l'attention est attirée par des territoires de fo
racine dorsale : l'an- neau de la dure-mère est fermé; autour de la
moelle
on voit un manchon de tissu sarcomateux. La plu
de épaisseur de ce manchon correspond à la partie postérieure de la
moelle
; les foyers des cellules sarcomateuses sont sép
ant d'énormes vaisseaux à parois très épaissies et infiltrées. La
moelle
comprimée revêt l'aspect d'un polygone. La partie
néoformation centrale occupe principalement la moitié droite de la
moelle
qui ne contient presque point d'éléments nerveu
teur de la VIIe racine dorsale. La néoformation méningée entoure la
moelle
comme un anneau, et bouffit la fissure antérieu
u Weigert montrent que le néoplasme, se développant au centre de la
moelle
, a plutôt disloqué que détruit les éléments ner
pe offre un aspect tout particulier : dans la partie centrale de la
moelle
se trouve une grande cavité de forme irrégulièr
édullaire reste la même qu'au niveau de la VII° racine, sauf que la
moelle
a subi un moindre degré de compression par la t
nt graduellement. Une coupe pratiquée à ce niveau fait voir dans la
moelle
un amas d'éléments sarcomateux formant une peti
rmale, est à ce niveau double. Excepté les territoires indiqués, la
moelle
paraît peu altérée; on ne peut constater qu'une
forme de faux, seulement la moitié pos- térieure du pourtour de la
moelle
; les racines nerveuses englobées dans cette mas
pace sous-duremérien, atteignant même la surface antérieure de la
moelle
. La tumeur méningée augmente considérablement d
onsidérablement de dimensions au niveau du renflement cervical : la
moelle
apparaît de nouveau comprimée et déformée. Dans
e en forme d'une tâche à bords diffus; les autres territoires de la
moelle
se colorent vivement à l'hématoxy- line par le
upe transversale, ses dimensions sont plus grandes que celles de la
moelle
. La néoformation est située presque exclusiveme
ou des tâches d'exsudat dissociant les cellules sarcomateuses. La
moelle
a subi une compression excessive dans la directio
un large coin détruisant le tissu nerveux. La partie centrale de la
moelle
est aussi défor- mée : ou y voit deux territoir
au niveau de la IV" racine cervicale les cel- Fig, 10. Coupe de la
moelle
au niveau de la VI* racine cervicale. c, c, can
anneau à son pourtour. A cette hauteur ce sont les dimensions de la
moelle
même qui attirent une attention particulière :
ales. Il est bien évident que ce phénomène dépend d'un oedème de la
moelle
: les intervalles entre les tubes nerveux sont
entaires. A la hauteur de la 111 racine cervicale au pourtour de la
moelle
on ne voit presque point d'éléments sarcomateux
ractère que dans le segment précédent. Hyperémie énorme de toute la
moelle
, vaisseaux de dimensions extraordinaires. Le ca
cale la tumeur méningée prédo- mine sur les parties latérales de la
moelle
sans pénétrer dans sa 174 CLINIQUE NERVEUSE.
Ier segment cervical, une cavité qui modifie bien l'aspect de la
moelle
(fig. 11); les cordons de Goll (dégénérés) se tro
ningée n'est guère prononcée que sur la périphé- rie latérale de la
moelle
; dans la zone radiculaire postérieure du côté
tion, c'est la sarcomatose dif- fuse des méninges spinales et de la
moelle
dans toute la lon- gueur de l'organe. Des lés
ns anatomiques qui occupent presque toujours toute la hauteur de la
moelle
, cela n'oblige guère à des symptômes spinaux pr
iers le tableau clinique était 1 olivier, Traité des maladies de la
moelle
épinière. Paris, lS3î, v. II, p. 490. 3 Schat
quand l'affection, après avoir envahi la partie infé- rieure de la
moelle
, s'est mise à monter le long de l'organe, quand
n présence des phéno- mènes prouvant une destruction complète de la
moelle
dans la région atteinte (paraplégie flasque ave
pie-mère spinale ; elle a détruit toute la partie inférieure de la
moelle
et a percé la paroi vertébrale. A partir de la
e principale s'est jetée dans l'espace subduralpour envelopper la
moelle
en forme de manchon et pénétrer par places dans
'autre voie suivie par la néoformation est la partie centrale de la
moelle
: elle y a poussé en forme de co- lonne assez n
oit une cavité à parois conjonctives. La substance centrale de la
moelle
cervicale (au niveau des premières racines) pré
e cavité débute dans une gliose visible dans toute la hauteur de la
moelle
cervicale sous forme de tâche dans le cordon po
lusieurs endroits. Outre toutes ces lésions, il y a à noter dans la
moelle
une hyperhémie veineuse très accentuée et un oe
MOELLE. 181 Il est à supposer que c'est la partie inférieure de la
moelle
qui donne le plus souvent naissance aux néoform
visible à l'oeil nu. Telle est par exemple la face antérieure de la
moelle
dans la région dorsale supérieure. On y voit le
rencontrent guère dans la partie de la néoformation qui entoure la
moelle
en manchon (c'est-à-dire dans la partie supérie
t limités presque exclusivement au territoire qui corres- pond à la
moelle
détruite. Dans la partie supérieure, où la 'néo
nalé des métastases dans les nerfs périphériques), ce n'est que la,
moelle
qui reste intègre. On serait enclin à SYRINGO
formation a non seulement détruit toute la partie inférieure de la
moelle
, mais elle a donné encore un prolongement centr
onné encore un prolongement central implanté comme une tige dans la
moelle
dorsale. Dans la région cervicale la sarcomatos
tionné un ramollissement qui a détruit la partie supérieure de la
moelle
cervicale et le bulbe. Les causes de cette altéra
ions vasculaires devaient être bien graves, mais cette partie de la
moelle
offre encore des indices d'un processus inflamm
intéressantes au point de vue scientifique sont les cavités dont la
moelle
est creusée. Celle de la région dorsale est ent
ffet cette formation complexe se disjoindre : dans une moitié de la
moelle
apparaît alors le commencement de la cavité, bo
il faudrait s'attendre à la voir dans la partie infé- rieure de la
moelle
, là où le sarcome est le plus. développé. Il s'
l'évolution du processus mor- bide. . D'après cet auteur, dans la
moelle
prédestinée à une syrin- gomyélie, le canal cen
al4 quia a aussi publié une observation analogue. Dans son cas la
moelle
cervicale était comprimée par un sarcome ayant pr
pris naissance dans la dure-mère ; dans la partie centrale de la
moelle
sur toute l'étendue de l'organe l'attention était
come ou plutôt de la compression produite par cette tumeur. Dans la
moelle
normale circule un liquide (le liquide cérébro-
cette théorie. Kronthal déterminait une compression chronique de la
moelle
, en introduisant un bouchon dans le canal rachi
admettre que cette lésion puisse résulter d'une compres- sion de la
moelle
. Ainsi, d'après Schlesinger, la compression ' J
édullaire. la comprimer au plus haut degré. Il en a résulté dans la
moelle
une stase énorme, bien manifeste à l'heure actu
rts sont encore plus frappants. Au niveau du renflement cervical la
moelle
est excessive- ment comprimée par la tumeur mén
ait augmenter d'autant l'aire de la coupe. La partie centrale de la
moelle
est la plus atteinte. le tissu y est extrêmemen
INATION DU BLEU DE MÉTHYLÈNE. 189 tous les cas de compression de la
moelle
en général quelle qu'en soit l'origine. La ma
nt M. Jotfroy mentionne des lésions intéressantes présentées par la
moelle
de ce malade. A côté d'une lésion insignifiante
lation constante entre la dégénérescence des cordons latéraux de la
moelle
et la paralysie avec contracture permanente.
centimètres. Cette sclérose équivalait à unevéritable section de la
moelle
, au-des- sus, la dégénérescence des cordons de
ayant examiné avec le plus grand soin les cornes antérieures de la
moelle
, les nerfs périphériques et les muscles, nous avo
T (de Lyon). - J'ai examiné les préparations micros- copiques de la
moelle
et des nerfs du sujet dont AI. Brissaud vient d
paralysies flaccides à la suite de compression ou de lésions de la
moelle
épinière susceptibles de donner naissance à une
et une sorte d'inhibition exercée par les centres supérieurs sur la
moelle
épinière : soustrait à cette action frénatrice, l
lle épinière : soustrait à cette action frénatrice, le tron- çon de
moelle
sectionnée deviendrait 'le siège de manifestation
onscrites. Lorsque ces lésions affectent dans le cerveau ou dans la
moelle
la forme diffuse (méningo-encéphalites, méningo
et Duthil ont récemment pu provoquer des paralysies en anémiant la
moelle
par la com- pression de l'aorte ; ils détermina
ou moins accentuées dans les cellules des cornes antérieures de la
moelle
. Le malade a guéri dans'l'espace de deux mois.
e Nissl et de Golgi. Dans les régions cervicale et lom- baire de la
moelle
, les cellules radiculaires ont été reconnues nor-
syringomyélie localisée dans le renflement cer- vico-brachial de la
moelle
s'impose presque de lui-môme. Dès lors le diagn
eux dont l'innerva- tion émane du renflement cervico-brachial de la
moelle
; et il est impossible d'admettre qu'avec un ét
centres nerveux qui semblaient durcis, congelés; la surface, de la
moelle
, irrégu- lière, bosselée, paraissait étranglée
sorte de bourrelet saillant. L'examen histologique a révélé dans la
moelle
et le bulbe la présence d'un parasite du genre
s fila- ments articulés et branchés. Les cellules pyramidales de la
moelle
et les grandes cellules du bulbe étaient très a
des troubles de kératinisation est provoqué par des désordres de la
moelle
épinière ou des gan- glions qui s'y rattachent.
particulier : il y avait une sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
, avec prédomi- nance au niveau des régions sacr
a lésion était particulièrement discrète au niveau de l'union de la
moelle
lom- baire avec la moelle dorsale, c'esl-à-dire
ement discrète au niveau de l'union de la moelle lom- baire avec la
moelle
dorsale, c'esl-à-dire au niveau de cette zone d
agères, tantôt il y a lésion organique des cornes antérieures de la
moelle
provoquant des paralysies, des amyotrophies gra
ation de paraly- sies dues à des modifications inflammatoires de la
moelle
, cas qui bien que rares n'en constituent pas mo
de nature subaiguë ou chronique, et des proportions variables de la
moelle
étaient atteintes. 300 REVUE DE PATHOLOGIE NE
ment distincte du tissu nerveux qui l'entoure. Sur des coupes de la
moelle
, on n'ob- serve aucune dégénérescence secondair
D. R. CHARON. XI. La GROSSE localisation DES CORDONS MOTEURS DE la
MOELLE
destinés A DIVERSES parties DU corps ; par J. G
des points de repère pour une différenciation topographique dans la
moelle
, des fibres des pyramides destinées à diverses pa
l'aide de figures. En voici le résumé. La substance blanche de la
moelle
est excitable à l'électricité, en particulier e
ctrique est spécialement remarquable pour la coupe transverse de la
moelle
, et les faisceaux pyrami- daux. En diminuant mé
l'opinion, de plus en plus répandue, que les courtes fibres de la
moelle
se dirigent près de la substance grise, tandis qu
neumonie. Mort. On a fait le diagnostic de gliose du bulbe et de la
moelle
cervicale. Autopsie. Les racines extramédullair
étant un peu moins accentué que dans les racines antérieures. De la
moelle
thoracique inférieure au bulbe, les racines ant
ême raréfaction des fibres, dans la région la plus supérieure de la
moelle
thoracique. Les lésions radiculaires en questio
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 311 antérieures dans la
moelle
sacrée supérieure et lombaire inférieure; aspec
t extrêmement suspect de ces atrophies des deux côtés dans toute la
moelle
thoracique inférieure et moyeune; à coup sûr, des
e; à coup sûr, des deux côtés, il y a atrophie des cellules dans la
moelle
thoracique supérieure et cervicale inférieure.
émergentes de l'oculomoteur commun. Forte hypérémie partielle de la
moelle
; les parois des vaisseaux y sont peu altérées,
primitive des cellules nerveuses dans les foyers gris moteurs de la
moelle
et du bulbe ; lésions des racines antérieures e
rs. Généralement, après trois ou quatre jours pour le cerveau et la
moelle
de l'homme adulte, le durcissement est convenab
ieure. G. D. XX. La chromatolyse O'INS LES cornes antérieures DE la
moelle
, APRES DÉSARTICULATION DE LA JAMBE ET SES RAPPO
ticulation du genou consécutive une gangrène de la jambe droite, la
moelle
fut fixée dans la formaline il 5 p. 100, puis d
pied occupent la partie postérieure des cornes antérieures de la
moelle
et s'étendent de la partie supérieure du cinquièm
couverte d'une pellicule laquelle se continue en bas et passe en la
moelle
épinière. Celle-ci ne con- tient alors que les
le sur toute son étendue ou dans sa partie supérieure seulement. La
moelle
épinière se trans- 342 SOCIÉTÉS SAVANTES. f
angreneuse etpyélo-néphrite. Sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
dans toute sou éten- due. Tumeur gliomateuse au
céphalie interne. L'examen microscopique offre tout d'abord de la
moelle
le tableau habituel du tabes, notamment (dans l
tuel du tabes, notamment (dans les régions lombaire et dorsale dela
moelle
) l'épaississement de la pie-mère, l'atrophie des
nd par place avec le canal central de la SOCIÉTÉS SAVANTES. 343
moelle
, et dans ces endroits, la paroi antérieure de la
plusieurs couches irrégulières. Sur des coupes transversales de la
moelle
, la tumeur occupe presque toute la commissure g
t et sa terminaison dans le cerveau. Dans un cas de sarcome de la
moelle
et de ses enveloppes au niveau des onzième et d
l'auteur sont les suivantes : Le faisceau de Gowers, qui dans la
moelle
épinière occupe sa place habituelle, reçoit, au
II. MM. G. PR1BYTKOFF et S. ïVi.cor.IETxorr. - Un cas d'abcès de la
moelle
épinière. Mme X..., âgée de soixante ans, resse
élite aiguë ascendante. A l'autopsie, on trouve à l'intérieur de la
moelle
épinière, dans ses régions centrales, un abcès
l'épaisseur de cet abcès n'est pas partout égale, ce qui donne à la
moelle
dorsale un aspect fusiforme, nettement aperçu à
roscopique a démontré que l'abcès est partout situé au centre de la
moelle
, derrière la commissure grise, dans la moitié a
as trace d'un processus inflammatoire. Dans la région dorsale de la
moelle
il y a myélite diffuse très prononcée. La dure-
ence de bactéries pyo- gènes, mais on a trouvé sur des coupes de la
moelle
, colorées par la tionine, des microcoques en pe
tratives avant de diagnostiquer avec certitude l'actynomycose de la
moelle
comme cause de l'abcès dans ce cas particulier.
sagère, due sans doute, d'après M. Cullerre, à une congestion de la
moelle
. Pour MM. Christian etRitti,qui ontécrit l'arti
ion sous la dépendance d'une sclérose systé- matisée combinée de la
moelle
. L'auteur pense qu'il y a des degrés dans la dé
ention avec des symptômes d'infection. L'extrémité inférieure de la
moelle
de cette malade portait un renflement conique f
e présent travail, sur l'étude macroscopique et microscopique de la
moelle
. Il existe, depuis la région bulbaire jusqu'à l
x modalités pathologiques, spina-bifida et tumeur congénitale de la
moelle
, d'une part. g11ôme et syringomyélie de l'autre
la cause. Peut-être pourrait-on, en autopsiant systématiquement la
moelle
d'enfants morts d'affections quelconques, trouv
neurolo- gique, mai 1898.) E. B. ACII. Lésions DES CELLULES DE la
moelle
dans UN cas DE maladie DE Parkinson ; par les D
s auteurs ont trouvé dans les cellules des cornes antérieures de la
moelle
d'un malade atteint de cette affection un nombr
elles n'en révèlent pas moins quand elles sont nombreuses, sur une
moelle
d'ailleurs durcie et coupée avec soin, une frag
eau-nés et des adultes, des racines, des nerfs périphériques, de la
moelle
, de l'écorce, dans les cas normaux où à la suit
la peau, des muqueuses et des muscles sont réunies, passentdans la
moelle
épinière, tiaversenLle corpsoplique et se divis
ce des faisceaux pyra- midaux depuis les ascendantes jusque dans la
moelle
. Les troubles variés de la sensibilité constaté
Contribution A L'ÉTUDE des localisations DES noyaux MOTEURS dans la
moelle
épinière ; par le D Marinesco. Continuant ses i
fet : 1° c'est avant tout les cellules des cornes antérieures de la
moelle
qu'attaque, et d'une manière très sensible, la
es ; 2° la toxine diphtérique ne modifie la substance blanche de la
moelle
que dans des cas exceptionnels, alors que la toxi
erveau dans leurs RAPPORTS AVEC L'ÉTAT DES CELLULES NERVEUSES DE LA
MOELLE
; par N. SOL01 TZOPF. (Nouv. lconogr. delà Salp
. Macroscopiquemenl, le tronc cérébral seul est conservé avec une
moelle
allongée, un pont de varole, des tubercules quadr
ité du cervelet, absence absolue des fais- ceaux pyramidaux dans la
moelle
, avec atrophie des cornes anté- rieures. Micros
usions suivantes : 1° Le développement de la cellule nerveuse de la
moelle
épinière est très étroitement lié avec celui du
. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la cellule motrice de la
moelle
et le prolongement cylindraxile de la cellule p
cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule motrice de la
moelle
ne possède que très peu de grains de chromatine e
st la cause de l'arrêt du développement des cellules motrices de la
moelle
épinière. Ces dernières restent dans un état de
ivantes : 1. La section des racines postérieures est suivie dans la
moelle
d'une double dégénération. 1° Une dégénération
1897.) XLVII. SUR L'ÉTIOLOGIE DES dégénérations systématiques DE la
MOELLE
épinière; par C$NI. (Riv. sp. di ? 6) ? fasc. I
cerveau exerce une influence évidente sur l'activité réflexe de la
moelle
épinière, même en ce qui regarde les mouvements
e paire. G. D. LV. Etat DES réflexes ET anatomie pathologique de la
MOELLE
LOMBO-SACRÉE DANS LES CAS DE PARAPLÉGIE FLASQUE
BO-SACRÉE DANS LES CAS DE PARAPLÉGIE FLASQUE DUS A UNE lésion DE la
moelle
cervico-dorsale ; par M. van GEHUCIITEN. (Journ
périmentales de l'auteur qu'à la suite d'une section complète de la
moelle
cervico-dorsale chez le chien, la substance gri
e la moelle cervico-dorsale chez le chien, la substance grise de la
moelle
lombo-sacrée ne reste pas intacte, mais que tou
ahies par la chromatolyse. Cette lésion de la substance grise de la
moelle
lombo-sacrée n'est cependant pas suffisante pou
riques, c'est parce que le tonus normal des cellules motrices de la
moelle
lombo-sacrée se trouve considérable- ment affai
oit très bien les fibres les plus fines de la substance grise de la
moelle
, des lobes cérébelleux, de l'écorce. Cette méth
ne à deux heures. Presque tout de suite, la substance blanche de la
moelle
tranche sur la substance grise plus claire ; la
ns A l'étude DES affections DES segments LES PLUS inférieurs DE la.
moelle
; par E. BREGMAN. (iV6M)'00 ? Centralbl., XVI,
médullaire (intégrité du plexus sacré). La parlie inférieure de la
moelle
sacrée est atteinte parce qu'il existe une para
III. De l'aspect des cellules motrices DE la corne antérieure DE la
MOELLE
A la suite DU repos ET DE l'inanition ; par L. J.
uile. P. Keraval. LXIV. Des voies CONDUCTRICES DES réflexes dans la
MOELLE
ET du lieu DE transmission nÜLExE ; par J. 1105
es cylindraxes de tous les neurones sensitifs qui pénètrent dans la
moelle
entrent en contact avec les prolonge- ments pro
urs. Les fibres radiculaires postérieures après leur entrée dans la
moelle
se divisent en une collatérale ascendante et une
ions précédemment mentionnées. C'est pourquoi à toute hauteur de la
moelle
peut avoir lieu, par la plus courte voie, une t
ules motrices pyramidales, Et c'est précisément à cet endroit de la
moelle
qu'ont lieu les réflexes normaux. Sans doute il
oute il peut y avoir transmission aux hauteurs intermédiaires de la
moelle
ou dans le cervelet. Mais les courtes voies for
Ce faisceau du cordon aiitéiietir croisé s'en va tout le long de la
moelle
cervicale en se raréfiant peu à peu jusqu'à la
le domaine du faisceau de Gowres, gagne la pie-mère; dans toute la
moelle
cervicale c'eL une invasion irrégu- lière mi-pa
e; la dégénérescence dépasse encore les limites antérieures dans la
moelle
dorsale et dans la moelle lombaire. P. Keraval.
se encore les limites antérieures dans la moelle dorsale et dans la
moelle
lombaire. P. Keraval. LXV bis. Examen DE DI1·I·
e la vessie, des organes sexuels. Voyons leurs corrélations avec la
moelle
. Fibres centripètes. Les fibres du ruban de Rei
l'oculo-moteur externe du coté opposé. Et de la couche optique à la
moelle
? Quand on enlève un hémisphère céré- bral, ou
la calotte, en arrière du ruban de Reil, et de là passaient dans la
moelle
où elles se plaçaient en avant des faisceaux pyra
es faisceaux pyra- midaux ; elles pouvaient être suivies jusqu'à la
moelle
lombaire. Tel est le système de Boyce qui relèv
L\Y11. Contribution A l'étude DES dégénérescences secondaires DE la
MOELLE
; par B. Woroiynsm. (Neurolog. Cent1' £ ! lbt., XV
par l'auteur chez le chien : section totale ou hénlllatéraie de la
moelle
diverses hauteurs. Les chiens étaient demeures
. 1° Les dégénérescences secondaires de chacun des systèmes de la
moelle
ne se développent pas simultanément ; les libres
pendant le cours de la deuxième semaine qui suit la section de la
moelle
(méthode de marche) ; elle atteint dans les faisc
ndaires sont à peine visibles trois semaines après la section de la
moelle
; 5° L'ordre dans lequel décénère chacun des sys
s cordons poste- rieurs est certaine; '7° De bas en haut jusqu'à la
moelle
cervicale les faisceaux de Goll reçoivent leurs
reçoivent leurs fibres des racines posté- rieures. Au niveau de la
moelle
cervicale les fibres radiculaires posté- rieure
me, qui change de situation et de forme aux diverses hauteurs de la
moelle
; 9° La section hémilatérdle de la moelle entraîn
x diverses hauteurs de la moelle ; 9° La section hémilatérdle de la
moelle
entraîne une dégénérescence bilatérale des fais
atéraux (de Gowers) atteignent, à la circonférence antérieure de la
moelle
chez le chien, le sillon antérieur, et pénètren
, par Faure, 38. Trai- tement de l'- par l'élongation vraie de la
moelle
, pai Gilles de la Tomette et CLlpault, 60, 144.
ar Lamarchia, 45. COIIDOS LA'IÙ, \UX Trousseau médian des - de la
moelle
, par de Becti- tercez,'498. Cornes .1\TLIiILL
nerveux, par Solowtzow, 311. Dégénérât ions systématisées de la
moelle
, pai Ceïn, 493. Uics ? m : inverti sexuel mOI p
criminel, par Rodti- gues, 521. Diabète. Sclérose diffuse de la
moelle
avec polynévrite dans le-, par Bunardi, Il. Hém
sie, par Samguine, 72. Locai.isatioxs des cordons moteurs de la
moelle
, par Gad et Flatau, 309. - corticales, par IIll
par Poix, 259. maladie de Pyrkinson. Lésions des cellules de la
moelle
dans un cas de -, par Ballet et Faure, 404. 1
, par Serrigny, 476. )/0\ vu\ 1101J : Lns. Localisation des de la
moelle
épinière, par Mari- nesco, 485. OnNunILAIIOx.
phénomènes acromégaliques. par Luntz, 71. - et sarcomatose de la
moelle
, par Ol'lo\Vsld, 1G1 -, par Urriola, 273. Ori
. ANATOMIE RECHERCHE EXPÉRIMENTALE SUR LES VOIES MOTRICES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE; Par GI1ÉGOIHE ROSSOLI10, Pm al Doce
irection des fibres des racines postérieures dans l'intérieur de la
moelle
épinière, j'ai indiqué un fait qui me semblait
certains animaux auxquels a été faite une lésion unilatérale de la
moelle
épinière des phénomènes portant le nom de para-
ès au niveau de leur passage par les racines postérieures dans la
moelle
épinière; en vue de ce dernier cas, j'ai choisi c
' Mais avant de commencer l'expérimentation sur cette ques- , DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 53 tion, j'ai voulu faire plus ample
et j'ai fait plu- sieurs expérimentations avec l'hémisection de la
moelle
épi- nière, principalement au niveau de la part
om- baire. Dans le cas de succès d'une hémisection complète de la
moelle
épinière, les phénomènes de la motilité, ainsi qu
alité, ad- mettre l'entre-croisement des conduits sensitifs dans la
moelle
épinière ; il ne me restait plus qu'à me convai
on d'un certain groupe de conduits sensitifs dans l'intérieur de la
moelle
épinière. Pour atteindre ce but, il fallait lai
n du rétablissement des mouvements après une lésion partielle de la
moelle
épinière, il est peu riche en faits de matériau
observations personnelles. Pour mes opérations d'hémisection de la
moelle
épinière, j'ai toujours choisi des cobayes asse
vertèbre, afin de mettre à nu une partie du côté postérieur de la
moelle
épinière et de pouvoir m'orienter plus facilement
ieure qui longe, sous la dure-mère, la superficie postérieure de la
moelle
épi- nière et qui sert à désigner le juste mili
ernier moment que je voyais apparaître dans la . fenêtre osseuse la
moelle
, j'opérais en arrosantconstamment la plaie d'un
e côté l'acide phénique afin d'éviter son action irai- tante sur la
moelle
et je me bornais aux boules de ouate hygros- co
opique. Je laissais les méninges intactes. Pour l'hémisection de la
moelle
épinière, je me suis servi d'un petit scalpel trè
perpendiculairement vers la partie postérieure de la surface de la
moelle
, le bout vers la veine longitudinale et le côté t
e longitudinale et le côté tran- chant au-dessus de la moitié de la
moelle
, destinée à être sec- tionnée; d'un mouvement r
ide de la main de haut en bas, j'y faisais une section à travers la
moelle
dans la direction droite d'arrière en avant, et
direc- tion latérale, je coupais rapidement toute la moitié de la
moelle
. Il ne résultait jamais de grande hémorrhagie; pa
de la substance moelleuse. L'opération terminée, les bords de la
moelle
étaient soigneusement séchés et la ligature se fa
mple d'un cas, où le cobaye ne vécut que trente-six heures. DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 55 Observation I. 19 mars 1885. Un cob
te. La section trans- versale est faite dans la moitié droite de la
moelle
épinière, sans bémorrhagie. La plaie est cousue
toute la surface postérieure du corps au niveau de la section de la
moelle
épinière. Dans les parties correspondantes du c
crevé. En faisant l'au- topsie, on trouve des signes d'asphyxie. La
moelle
épinière est plongée dans le liquide de Müller,
e dans le liquide de Müller, Environ dans deux mois, lors- " que la
moelle
épinière a durci jusqu'à un degré satisfaisant, l
résulta : la préparation ne consiste que de la moitié gauche de la
moelle
épi- nière, la moitié droite n'existe plus, - e
la moitié droite n'existe plus, - ergo toute la moitié droite de la
moelle
fut sectionnée, tandis que la partie gauche est
u lèse chez le cobaye toute une moitié de la partie dor- sale de la
moelle
épinière, il s'en suit paralysie complète de '
exemple suivant : Observation IL - 27 février 1885. Cobaye mâle. La
moelle
épinière est mise à nu d'après toutes les lois
rsale; j'ai fait une section transversale de la moitié droite de la
moelle
. Aussitôt après l'opération, on peut faire les
e tissu conjonctif du cou de grandes hémor- rhagies. La plaie de la
moelle
épinière est dans un état satisfaisant; on rema
mbrane fibrineuse qui couvre la surface des parties adhérentes à la
moelle
. La moelle épinière est plongée dans le liquide
ineuse qui couvre la surface des parties adhérentes à la moelle. La
moelle
épinière est plongée dans le liquide de Muller. U
térieure du cerveau était restée intacte (fig. 2). Fig. 12. DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. , 57 Donc, dans ce cas, il y avait en
s une section unilatérale complète et incomplète de la moitié de la
moelle
épinière au bout d'un certain temps, les mouvem
s une hémisection com- plète, et il dépendait aussi de l'état de la
moelle
épinière : Ainsi, lorsqu'il y avait possibilité
ssement complet des mouvements dans la patte chez le cobaye dont la
moelle
épinière avait subi une hémisection heureuse, i
. On ouvre la XI" vertèbre dorsale, en même temps, une partie de la
moelle
e épinière est mise à nu; l'hémisection de la m
Contribution à la pathologie et il l'anatomie patho- logique de la
moelle
épinière. Thèse, Helsingfors, 1885. 58 , ANATOM
e côté gauche, ainsi que l'anesthésie dans le côté droit. ' DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 59 23 avril. - L'état général est sat
plus distinct du côté gauche. A cet endroit, du côté gauche de la
moelle
, s'est formée une cicatrice adhérente aux membran
ée une cicatrice adhérente aux membranes, au bord de la plaie de la
moelle
épinière. Les organes de la cavité cérébro-spin
e \luller. Dans les autres organes point de changements. Lorsque la
moelle
est de- venue assez dure, j'ai fait une série d
J'ai déjà men- tionné qu'au- niveau de l'ancienne hémisection de la
moelle
dans sa partie dorsale postérieure, on avait ob
dorsale postérieure, on avait observé, pendant l'extrac- tion de la
moelle
du canal vertébral, un étranglement, ou plutôt
une impression semi-annulaire au côté gauche de la surface de la
moelle
; de là, la structure topographique de cet organe
rités; ainsi, sur la coupe, à l'endroit t de la moitié gauche de la
moelle
- la substance blanche ainsi que les deux corne
orme précise, d'une substance non colorée. - La moitié droite de la
moelle
épinière dans ces préparations n'a pas subi de
édiane centrale, dont j'ai parlé plus haut. Les altérations de la
moelle
dans ses parties adhérentes à la cicatrice de h
res, développées à la suite de l'hémisection du côté gau- che de la
moelle
. Ces altérations se concentrent exclusivement d
ent dans la moitié gauche de la partie dorsale et cervicale de la
moelle
épinière et se localisent, d'un côlé, dans la par
ssure, et le côté droit dirigé vers la périphérie postérieure de la
moelle
; d'un autre côté, elles se localisent dans la p
la plus grande partie de fibres était dans le bout postérieur DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. ' ' 61 et elle diminuait peu à peu ve
èrement par Gozoers ' dans les cas de dégénération ascendante de la
moelle
épinière et qui, en ce qui concerne la topograp
donné les recherches embryologiques. Dans la partie lombaire de la
moelle
épinière, c'est-à-dire dans la région postérieu
giques observées dans l'examen ma- crospique et microscopique de la
moelle
: le cobaye H° 8 vécut après l'opération juste
t ces deux mois, les altérations suivantes se développèrent dans la
moelle
épinière du cobaye : les bords de la plaie, dans
ière du cobaye : les bords de la plaie, dans la partie gauche de la
moelle
épinière, avec les méninges adhérentes se cicat
signe de fibres dégénérées ; en outre, dans la moitié gauche de la
moelle
épinière, se développa une dégéné- ration ascen
suivantes du même cas, après lesquelles après l'hémisection de la
moelle
épinière, après un certain temps on observait p
ercher d'autres voies, - supposons, même-dans la moitié lésée de la
moelle
épinière. L'absence de fibres régénérées, démon
peut expliquer le ré- tablissement des facultés conductrices de la
moelle
épinière est depuis longtemps assujettie à des
e en abrégé. Brown-Séquard' ayant fait une section complète de la
moelle
épinière chez un pigeon, put observer trois mois
sensibilité et des mouvements volontaires; dans la cicatrice de la
moelle
épinière, il put découvrir à l'aide du microsco
'vrage sur plusieurs cas de cicatrisations des plaies, faites à la
moelle
épinière avec retour des fonctions perdues dans l
dans la cicatrice. ' Hl'OWI1-SÚqnard. Régénération des tissus de la
moelle
épinière. (Gaz. mec ! . de Paris. 1850, p. 250.
SGquard.-Szwpzlvseeurs cas de cicatrisation des plaies, faites à la
moelle
épinière avec retour des fonctions perdues. (Gaz.
des fonctions perdues. (Gaz. mécl. de Paris. 1851, p. 177.) DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 63 H. Mùller1 assure qu'il a pu const
ards (lacerta viridis) une régénération complète des éléments de la
moelle
épinière après la résection de plusieurs vertèb
e après la résection de plusieurs vertèbres avec une partie de la
moelle
. Les expérimentations de Masius et de Van-Lair
à deux centimètres de long dans la partie dorsale inférieure de la
moelle
épinière, et au bout de six semaines environ, i
n d'un mor- ceau de la partie inférieure de la région dorsale de la
moelle
épinière, où au bout d'uu certain temps les mou
lontaires furent complètement rétablis; l'examen des coupes de la
moelle
épinière démontra dans la cicatrice des fibres
ce qu'il n'y avait chez les petits chiens point de résection de la
moelle
épinière, mais une sec- tion transversale et un
es recherches sur la régénération fonctionnelle et analomiqne de la
moelle
épinière. (Diss. irzau,g. Berne 187 : 1.) ' Nau
ccolo et S. Sirena dans leurs opérations de section partielle de la
moelle
chez les chiens, de même dans l'opération n° XI
XXII où l'on faisait chez ces chiens une complète hémisection de la
moelle
épinière dans la région dorsale, il ne se dével
érieures, et en examinant à l'aide du microscope la cicatrice de la
moelle
, on ne la trou- vait formée que d'éléments conj
lière, vu qu'il contient un examen soigné d'une grande quantité des
moelles
de chiens, auquels Freusberg 3 avait pra- tiqué
ns, auquels Freusberg 3 avait pra- tiqué une section complète de la
moelle
épinière, n'ayant pu découvrir, même après beau
éléments nerveux. Les opérations de N. Weiss 1 d'hémisectioii de la
moelle
et en gardant aussi un cordon latéral chez les
ntradictoires à la théorie de la régénération de la substance de la
moelle
: l'auteur non seulement n'a pu dé- montrer une
Akiid. d. IJ11ssen,.cltaften.) Rd. LXXX. s. 310. 1879. ' ' DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 65 qui l'avait blessé dans l'ouvrage n
tion de trois opérations d'hémisection de la partie dorsale de la-
moelle
chez les chiens; un de ces chiens n'y survécut po
se fit un rétablissement complet des facultés con- ductrices de la
moelle
épinière dans la direction centripète et centri
son ouvrage; il y décrit en détail les changements trouvés dans la
moelle
épinière, c'est-à-dire le développement de la ci-
ans son opinion ancienne de la possibilité d'une régénération de la
moelle
épinière. W. Kusmine' qui s'occupait dans le la
toire de Stricker de la question sur les voies conductrices dans la
moelle
du chien, put observer, quelque temps après l'o
nne la description du tableau microsco- pique de la cicatrice de la
moelle
, on peut supposer avec certitude que l'auteur e
l'extrémité qui avait été pa- ralysée dans la moitié opposée de la
moelle
épinière. Dans son ouvrage déjà nommé, Hornéu (
que dans aucune de ses nombreuses opérations d'hémisection de la
moelle
épinière chez les chiens il ne put découvrir de r
c admettre que les éléments de la moitié opposée non atteinte de la
moelle
épi- ' W. Kusmine. Experimenlelle unter,<llc
résultats; la seule différence, c'est que la région régénérée de la
moelle
épinière n'avait pas l'aspect tout à fait norma
on sur la possibilité de la régénération des éléments nerveux de la
moelle
épinière n'est pas encore définitivement résolu
antes sont celles où il y a une hémisection latérale complète de la
moelle
épinière. Le lecteur se rappelle probablement q
la restitution des fonctions et la ré- génération des tissus de la
moelle
épinière, car c'est la seule dans ce genre. Arr
Berlin, 1863. l31olo,gisle. Certtrnlblatt. 18811, Il'' 8.) DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 67 mêmes pour les âges différents des
restitution des fonctions, ni régénération du. tissu nerveux de la
moelle
épinière, et dans l'autre se produisirent tous le
s postérieures chez des animaux soumis à une section complète de la
moelle
épinière, on ne peut igno- rer une circonstance
e les meilleurs résultats sont obtenus dans les opé- rations, où la
moelle
épinière avec ses méninges était écrasée à l'ai
tes et grâce auxquelles -se facilite la restitution des voies de la
moelle
épinière. Une étude anato- mique de la cicatric
vements volontaires ni la régénération d'é- léments nerveux dans la
moelle
épinière (Schiefferdecker, Freusberg, Piccolo e
nous font croire, qu'après une section transversale et totale de la
moelle
épinière chez les mammifères il est peu probabl
les mammifères il est peu probable que la faculté conductrice de la
moelle
épinière puisse être rétablie et son tissu nerv
on des fonctions après une section partielle, ou de la moitié de la
moelle
épinière et admettre que dans ce cas aussi il n
lent en faveur d'un pareil phénomène, car ils ne trouvaient dans la
moelle
de leurs ani- maux point d'éléments nerveux rég
ches anatomiques en ce qui concerne l'absence de régénération de la
moelle
à l'endroit de l'hémisectioll. En m'appuyant su
dernières doivent naturellement pas- ser parlamoitié intacte de la
moelle
épinière. Cependant, j'au- rais pu affirmer cet
e : Si chez le cobaye, un certain temps après l'hémi- section de la
moelle
, il n'y a point de nouveaux conduits dans la ci
rémité, qui avait été paralysée, à travers une région intacte de la
moelle
épinière; dans ce cas, une deuxième hémisection,
decine d'Alger. III. CONNEXIONS DU CARREFOUR OLFACTIF AVEC LA , .
moelle
prolongée (arc rachidien). Il s'agit maintenant
Il s'agit maintenant de mettre le carrefour en rela- tion avec la
moelle
, car le nerf olfactif, comme tous les autres ne
RVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 73 En résumé, les connexions entre la
moelle
et le carrefour olfactif sont constitués : 1° p
é, et deux filets blanchâtres qui se dirigeaient en arrière vers la
moelle
épinière; cependant je n'ai pu suivre ces cor-
enre est fourni par BÉCLARD (PRESSAT).- « Chez cet hydrocéphale, la
moelle
allongée était divisée en avant et présentait l
ssaient être les couches optiques et les corps striés. En outre, la
moelle
se prolongeait entre les pé- doncules en deux p
eau. Il décrit un faisceau qui partant des cordons antérieurs de la
moelle
va se jeter danp la tubercule mamillaire. Tub
, est la cause essentielle du processus. L'excitation morbide de la
moelle
allongée n'est qu'une cause accessoire et sans
est-à-dire, sans doute, des ganglions de la base, du bulbe et de la
moelle
. Cette interpré- tation des faits n'était pas c
isque ce physiologiste ne nie point la participation ac- tive de la
moelle
allongée dans la marche ordinaire du dévelop- p
n agissant l'une sur l'écorce cérébrale, l'autre sur le bulbe et la
moelle
. La différence du siège d'élection de ces poisons
poisons, répandus dans la circulation, agissent sur le bulbe et la
moelle
épinière, Rovighi et Santini soutiennent que ce
seraient d'emblée générales. De même, et à plus forte raison, si la
moelle
épinière était d'abord atteinte, les contractio
biliié et du mouvement croissent en complexité, des ganglions de la
moelle
épinière à ceux des corps opto-striés et de ceu
noyaux du corps strié, et ce que sont les ganglions de la base à la
moelle
épinière. » Lussana avait situé dans les lobes
s peut résulter de l'excitation réflexe du centre vaso-moteur de la
moelle
allongée. D'après ce que suppose Vetter, l'accè
laire» de l'épilepsie, celle qui cons- titue dans les centres de la
moelle
allongée et du pont de Varole le point de dépar
adrijumeaux antérieurs et postérieurs pro- voque, comme celle de la
moelle
allongée et du pont (Bins- wanger), si l'intens
l côté du corps, les expé- riences d'Owsianikow ayant établi que la
moelle
allongée est le siège d'un centre de mouvements
pas que les ganglions de la base, le pont de Varole, le bulbe et la
moelle
épinière ne puissent participer au processus et
dans la pyra- mide bulbaire et dans le cordon latéral gauche de la
moelle
épinière. Les ganglions opto-striés étaient nor
BUTION A l'anatomie pathologique DE la formation DE cavités dans la
MOELLE
; par P. Kronthal. (Ibid.) L'observation de M. R
grandes cellules multipolaires des cornes grises antérieures de la
moelle
cervi- cale sont détruites, que les cordons lat
ngomyélie ; il montre que, toutes les fois que la circulation de la
moelle
se trouve gênée par une tumeur de la colonne ve
res. P. KERAVAL. XIV. Des altérations DE la substance GRISE DE la
MOELLE
dans LES lésions DES cordons latéraux; par FUEI
ralysie générale), on voit, au niveau de la partie supérieure de la
moelle
dorsale ou de la partie inférieure de la moelle
ie supérieure de la moelle dorsale ou de la partie inférieure de la
moelle
cervicale (indépendamment de la pro- pagation d
ide l'électricité; il n'est pas rare de voir la galvanisation de la
moelle
produire une amélioration manifeste. P. K. XV
n DE REIL. (Observation de gliomatose d'une corne postérieure de la
moelle
); par G. Rosso- LIMO. (Arch.f. Psych., XXI, 3.)
ion de gliomatose rigoureusement limitée à la substance grise de la
moelle
. P. K. XVII. DE L1 dégénérescence kystique DE l
ennes. P. K. XVIII. Du GENRE et DE la fréquence des lésions DE la
moelle
dans la paralysie progressive ; par KOEUElILI;&
faisceaux, un cas d'hydromyélie, soit 5B p. 100 d'altérations de la
moelle
. La syphilis antérieure était certaine chez six
légie flasque; moit t en trente jours de pneumonie. Intégrité de la
moelle
, du bulbe, des racines des nerfs crâniens, dégé
commun, délire, tremblements, crampes musculaires. Intégrité de la
moelle
et des noyaux des nerfs crâniens, dégéné- resce
ristique, 1)lépharuptose, nystagmus, tachycardie. Intégrité de la
moelle
; dégénérescence atrophique des nerfs périphériqu
isceaux pyramidaux. P. K. XXIV. DEUX ALTÉRATIONS REMARQUABLES DE LA
MOELLE
; par E. KRON- THAL. (Neural. Ccntrabl. 1890). C
casuistiques A LA CONNAISSANCE DES ANOMALIES DE DÉVELOPPEMENT DE L\
MOELLE
; par BUCIIHOLZ. (Arch. f. Psych. 1RII, 1.) A.
BUCIIHOLZ. (Arch. f. Psych. 1RII, 1.) A. Sorte de diplogénèse de la
moelle
chez un boeuf n'ayant pré- senté aucune anomali
s foetales et, par suite, à une métastase do substance nerveuse. La
moelle
a pour ainsi dire tourné autour de son axe norm
r- quée des cordons latéraux, moindre des cordons postérieurs, la
moelle
cervicale présente l'anomalie morphologique suiva
lui, I. Il y a plus de deux systèmes de faisceaux ascendants de la
moelle
au cervelet. D'abord, les cordons postérieurs s
laire, à l'écorce du cerveau. P. K. XXVI. Durcissement rapide DE La
moelle
au moyen du courant ÉLEC- TRIQUE par L. MI1\OR.
LL01DI1F.; par Ai.. OBBEGIA. (YC'2l)'Ol. Centralbl. 1890.) A. Une
moelle
est plongée dans la solution classique de bi- c
te a à peine déterminé de dur- cissement tandis que les segments de
moelle
soumis à l'action du pôle positif sontaussiaurc
EGOROF communique un cas de gliomatose de la partie cervicale de la
moelle
épinière, et expose une série de coupes microsc
due à la dure- mère ; plus haut, elle s'est prolongée le long de la
moelle
épinière jusqu'à la 1 ? racine cervicale, dans
u. La mort a été causée par une hémorragie dans les membranes de la
moelle
épinière. Il n'est pas possible de déve- lopper
ique des vaisseaux, l'autopsie a fait constater l'existence dans la
moelle
épinière de quelques lacunes ayant évidemment la
même origine que i'hyperphasio de la neuroglie trouvée dans la même
moelle
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 141 SOCIÉTÉ PSYCHIATRIQUE
tion « sur les affections symétriques et pseudo-systématiques de la
moelle
épinière ». Ce travail est fondé sur ses recher
légions systématiques (no- tamment dans la moitié postérieure de la
moelle
épinière), mais aussi de se disposer par des fo
t dans les cordons latéraux une très petite éten- due le long de la
moelle
épinière et donnent alors naissance à des sclér
tre, peut-être), exerce une influence énorme sur la nutrition de la
moelle
épinière, non seulement par la propagation du p
s d'une façon purement mécanique en compri- mant et en déformant la
moelle
avec une intensité plus ou moins grande. Cette
grande. Cette déformation peut aller dans certaines régions de la
moelle
grêle et libre comme au niveau du cône médullaire
cône médullaire, par. exemple, jusqu'à une inflexion complète de la
moelle
sur son axe longitudinal et simuler de cette fa
longitudinal et simuler de cette façon une anomalie très rare de la
moelle
son dédoublement. A propos de cette communicati
série de travaux très importants relativement à la pathologie de la
moelle
; aussi, proposa-t-il à la section de remercier
AIRE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE, AVEC LÉSION UËMILATËRALE DE LA
MOELLE
, D'ORIGINE TRAUMATIQUE SIMULANT LA SYRIN- GOMYÉ
st autre que le brachial cutané interne. Ce ne se- rait donc pas la
moelle
, d'après cela, qui serait lésée, mais bien un n
rès avoir traversé le canal rachi- dien en effleurant légèrement la
moelle
, frapper le corps de la première ou de la deuxi
seuse, peut-être la balle elle- même, a lésé la moitié droite de la
moelle
; de là une véritable hémilésion médullaire, sui
rque sur sa scissure médiane inférieure, jusqu'à la naissance de la
moelle
, un amas de pus concrété de la largeur d'une pi
arrivée du pus dans le cinquième ventricule, près du bulbe et de la
moelle
, à l'origine du pneumo-gastrique, nerf mixte -d
. ANATOMIE RECHERCHE EXPERIMENTALE SUR LES VOIES MOTRICES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE1; Par Grégoire ROSSOLJ : \IO, Privât
Il vertèbre dorsale; on y fait la section de la[moitié gauche de la
moelle
. La plaie est cousue d'après toutes les règles
tion et au même niveau on fait une hémisection du côté gauche de la
moelle
; la section est évidemment faite avec succès; la
sale est ouverte et on y fait une section de la moitié droite de la
moelle
épinière (fig. 19). - DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 19
ection de la moitié droite de la moelle épinière (fig. 19). - DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 191 Etat aussitôt après l'opération :
st rétablie. Dans la partie supé- rieure de la région dorsale de la
moelle
épinière, on remarque les signes d'une inflamma
ment annulaire avec une impression plus profonde du côté gauche. La
moelle
est plongée dans le liquide de Muller. Dans deu
est plongée dans le liquide de Muller. Dans deux mois, lorsque la
moelle
eût atteint une consistance satisfaisante on en
érocarmi- nate. Les préparations prises dans la cicatrice de la
moelle
épinière, c'est-à-dire de la région de la pre-
réparations on ne trouve la moindre trace de la moitié gauche de la
moelle
, nous voyons ici une section triangulaire de la
obtenues nous nous persuadons qu'à ce niveau la moitié gauche de la
moelle
épinière est tout à fait annulée, dans la moiti
que dans celle opération a été coupée toute la moitié gauche de la
moelle
épinière et le faisceau antérieur du côté droit a
finies encore une préparation de la région dorsale supérieure de la
moelle
au niveau de la dernière (3°) sec- tion du côté
u côté droit (fig. 21), qui montre que toute la moitié droite de la
moelle
épinière est sectionnée à l'exception d'une certa
c le cobaye n° 15 qui a subi une hémi- section du côté gauche de la
moelle
à la région dorsale inférieure, vécut jusqu'à l
lité se restitua seulement au bout du , Fig. 20. Fig. 21. DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 193 terme cité dans la plante du pied
nte du pied, dans un degré peu important. Pendant ce temps, dans la
moelle
épinière, à la place de la sec- tion, s'est for
état de l'ani- mal une section secondaire de la moitié gauche de la
moelle
, un peu plus haut que la première section, on r
vers 1 extrémité qui était paralysée par la moi- tié intacte de la
moelle
, lorsque après une hémisection latérale s'opère
portant jusqu'alors, d'un côté l'hémisection latérale gauche de la
moelle
épinière au niveau de la sixième vertèbre dorsa
tion laté- rale de la moitié gauche de la région omise à nu de la
moelle
(fij. 22). Une hémorrhagie plus grande que dans
ion a démontré que pendant l'opération, toute la moitié gauche de
moelle
épinière a été atteinte. Cette opération démont
rs, que dans les régions sous-jacentes de la partie dorsale de la
moelle
. L'opération suivante démontre qu'on peut dire
e qu'on peut dire la même chose concernant la moitié droite de la
moelle
épinière au niveau de- la quatrième vertèbre do
rte. A ce niveau, on fait une hémisection de la moitié droite de la
moelle
épinière (fig. 23) ; la plaie est pansée et cou
rve une complèle impuissance de l'extrémité droite Fig. 23. DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 195 postérieure et la conservation de
l'autopsie, on remarque que la plaie est en ordre. La section de la
moelle
épinière a été faite à travers toute la moitié
ent des mouve- ments volontaires après l'hémisection latérale de la
moelle
chez le cobaye ne se produit grâce à une régéné
abolies par d'autres voies dispo- sées dans la moitié opposée de la
moelle
. Dans tous les cas, c'est juste pour la partie
e de la moelle. Dans tous les cas, c'est juste pour la partie de la
moelle
épinière, dans laquelle j'ai fait les opération
ents devaient passer du cerveau dans la moitié non atteinte de la
moelle
épinière, et secondement, par où elles passent en
nt des mouvements paralysés à cause de l'ancienne hémisection de la
moelle
. Alors, dans le cas d'une paralysie de la même
rions pu conclure qu'à ce niveau, c'est-à-dire dans la région de la
moelle
épinière, les voies qui nous intéressent doivent
. Une hémisection est faite à ce niveau de la moitié gauche de la
moelle
épinière. La plaie est pansée et couverte d'une c
icule, le bout inférieur du cervelet, et la région supérieure de la
moelle
épinière. Aussitôt sous l'entre-croisement des py
ôt sous l'entre-croisement des pyrami- des, au bout supérieur de la
moelle
épinière, on y a fait une hémi- section du côté
tôt après l'opération, le cobaye est détaché de la table ; il DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 197 est couché sur la poitrine et sur
- ment rétablis. En ouvrant la colonne vertébrale, on voit que la
moelle
présente un étrangle- ment marqué au ni- ve
plaie laite la veille est dans un état parfait. La sec- tion de la
moelle
durcie, faite dans la région de la deuxième opé
n de la deuxième opération, a [démontré que toute la moitié de la
moelle
épinière a été atteinte (fig. 25). Avant de dis
de lirown-béquard en faisant la section d'une moitié latérale de la
moelle
épinière (voir l'ob- serv. 28, opér. II); cela
rieur de l'ouverture, on fait une hémisec- lion du côté droit de la
moelle
(fig. 26). Aussitôt après l'opération, on remar
s trouvé une certaine suppuration dans la plaie. La section de la
moelle
épinière, s'est trouvée 1 millimètre et demi pl
croisement des pyramides; il a atteint toute la moitié droite de la
moelle
. Cette opération, de même que les précédentes,
uard, même en faisant l'hémisection dans la plus haute partie de la
moelle
épinière. 2). En nous appuyant sur les résultat
nimaux), mais sans entre-croisement vers le bas du côté droit de la
moelle
épinière. Fig. 26. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 199
vers le bas du côté droit de la moelle épinière. Fig. 26. DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 199 Laquelle des deux suppositions es
établis de l'extrémité paralysée par une hémisection latérale de la
moelle
épinière doivent se trouver, depuis le bout sup
ces vers l'extrémité paralysée passent vers la moitié opposée de la
moelle
, au niveau des racines motrices correspondantes
. n° III) : on avait sectionné chez un chien la moitié droite de la
moelle
épinière au niveau de la sixième vertèbre dorsa
sultats; ergo, conclut l'auteur, les nouvelles voies motrices de la
moelle
passent du côté de la paralysie, au niveau des
un chien chez lequel, comme on le sait, les voies motrices dans la
moelle
épinière présentent certaines différences de ce
e la deuxième hémisection a montré que toute la moitié gauche de la
moelle
épinière avait été sectionnée. Cette section a
centimètre et demi plus bas que l'étranglement sur la surface de le
moelle
, formée à l'endroit de la première hémisection.
s motrices de l'extrémité qui reçut de nouveau la Fig. 27. DE LA.
MOELLE
ÉPINIÈRE. 201 possibilité des mouvements volont
de l'entre-croise- ment immédiat des voies de sensibilité dans la
moelle
; dans cette expérimentation, je me suis posé le
e et le long du côté droit de la veine. Les bords de la plaie de la
moelle
sont très enflés. La plaie est pansée (fig. 28)
Evidem- ment, la section a atteint légèrement le côté droit de la
moelle
, car outre une pleine paralysie des mouve- ment
r, excepté le bout inférieur (fig. 29). Les bords de la plaie de la
moelle
sont enflés à un certain degré. Aussitôt aprè
s ce cas, après la destruction de la commissure du Fig. 29. DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 203 renflement lombaire il se produis
pouvons conclure que ces voies dans les parties infé- rieures de la
moelle
épinière ne passent du côté intact au côté de l
ons suivantes : lorsque chez un animal soumis à l'hémisection de la
moelle
épinière, les mouvements volontaires de l'extré
ration par d'autres voies, disposées du côté opposé et intact de la
moelle
épinière dans toute sa' longueur, du haut en ba
ale. [Arc direct.) Toutes les fibres nerveuses qui viennent de la
moelle
épinière se rendant au cerveau et celles qui '
n° 61, p. 69. 204 ' ANATOMIE. viennent du cerveau pour aller à la
moelle
ne passent pas par la station des ganglions opt
des ganglions opto-striés. Il y a com- munication directe entre la
moelle
et l'écorce céré- brale : c'est l'arc direct.
ur est mis en relations par la bande dia ! Jo- nale d'abord avec la
moelle
prolongée. Un faisceau médullaire, qui prend tr
foie, les reins, le péricarde, le tissu cardiaque, les méninges, la
moelle
même et le cerveau. Et, sans doute si le choix
du pied. M. Oppenheim ? Un cas de lésion combinée des cordons de la
moelle
épinière dans l'enfance. Fillette de quinze ans
ésion combinée des cordons postérieurs latéraux et antérieurs de la
moelle
, mais de faible intensité. La lésion des fais-
de la partie inférieure du bulbe, des fibres transversales dans la
moelle
, un déplacement des colonnes de Clarke, l'hétér
En outre, dégéné- rescence partielle des cordons postérieurs de la
moelle
cervicale et de la partie supérieure de la moel
postérieurs de la moelle cervicale et de la partie supérieure de la
moelle
dorsale, atrophie des cellules dans les noyaux
t-être tuberculeuse). On constate au microscope l'inté- grité de la
moelle
et des racines nerveuses. Les nerfs périphériques
M. SIEUERLING. Etude clinique et anatomique sur la syphilis de la
moelle
. Voy. Archiv. f. Psychiatrie. - Séance du 13 ja
e ouvert, sans qu'il se produisit de symptômes de compression de la
moelle
épinière. (Arçhiv. f. Psychiatrie, XXIII, 1.) .
rtainement plutôt un état morbide des nerfs qu'une altération de la
moelle
. Paul BLOCQ. VARIA assistance DES aliénés U
moteurs; professeur Ewald : fonctions du labyrinthe; le chien sans
moelle
, d'après des recherches avec le professeur Goltz.
(Brit. met. io, 1/1' ! 1. 7 avril 1883.) , Altlians. Maladies de la
moelle
"pil11ère, traduction française .1. Alo- rin, 1
dies les plus variées, tumeur du foie, de l'intestin, maladie de la
moelle
épinière, etc., et il avalait des médicaments e
te de l'artère basilaire et de la sylvienne gauche. Intégrité de la
moelle
. Cirrhose hépatique fréquente à la période d'at
es vaisseaux, des cellules, des fibres nerveuses, des lésions de la
moelle
, comparées aux altéra- tions que l'on trouve da
. Ce que l'on sait de la formation de cavités dans le cerveau et la
moelle
. Voici un jeune homme de dix-huit ans qui a eu
R. M. KRONTHAL. Deux cas anatomo-pathologiques remarquables de la
moelle
. Voy. Neurolog. Centralbl., 1890 E. 2. M. BERNH
er, 402; - fonctions du -, par Steiner, 416; cavités du- et de la
moelle
, par Scllultze,ltl7. CERVELET, fonctions du -,
oecke, 227.] 488 TABLE DES MATIÈRES. Microgyrie, par Otto, 423.
Moelle
épiniére, voies motrices de la-, par Rossolimo,
ng, 269 ; - générale, progressive, fré- , quence et lésions de la
moelle
dans la , par Iioeberlin, 129 ; étiologie de
il viendrait irriter les cellules nerveuses de l'encéphale et de la
moelle
et détermi- nerait l'ensemble d'actions réflexe
a propagation au cerveau du processus patho- logique établi dans la
moelle
(Jaccoud). Le tabes et la paralysie générale so
macroscopiques cérébralesclassiques de la paralysie générale. A la
moelle
, lésions histologiques multiples et prononcées, d
s'ajoutent fréquemment à des affections graves du cerveau et de la
moelle
(paralysie générale, apoplexie, tabes, sclérose
rf cubital. 11 est à supposer que, quand cette analgésie existe, la
moelle
cervicale inférieure est déjà prise, mais sans qu
hésie croisées) est ordinairement dû à une lésion unilatérale de la
moelle
par un instrument tranchant ou par une balle de
pendance d'une affection organique du rachis, des méninges ou de la
moelle
. L'hystérie peut également le provoquer, mais a
n sont pas moins l'indice d'une lésion profonde, d'une lésion de la
moelle
ou des nerfs. L'auteur, devant celte considérat
our confirmer cette conclusion. Les centres de coordination de la
moelle
président, non seulement aux mouvements, mais aus
ulier de ces centres. A une stimulation péri- phérique anormale, la
moelle
répondra par un mode d'activité plus grande ou
nt. Les arthrites consécutives aux affections chirurgicales de la
moelle
et des nerfs comprennent des types importants. A
gressif. Les arthrites consécutives aux lésions chirurgicales de la
moelle
constituent de simples curiosités pathologiques
arfaitement homologue des parties antérieures des deux moitiés delà
moelle
, et surtout parce qu'il n'y a pas d'atrophie musc
longue planche à rainure, bille que l'on pourra prendre d'abord en
moelle
de sureau, puis en liège, enfin en bois. Pour a
n Sée, le bromure de potassium diminue l'excitabilité réflexe de la
moelle
sans la détruire ; il diminue les fonctions de
lexe de la moelle sans la détruire ; il diminue les fonctions de la
moelle
en produisant l'olighémie et non pas une action
énérescence des faisceaux postérieurs, antérieurs et latéraux de la
moelle
par altération des faisceaux antérieurs dans le
moire. On constatait ce qui suit dans l'es- pèce. C'était dans la
moelle
, surtout dans les cordons postérieurs et latéra
ès aux faisceaux latéraux des pyramides. Suivant la hauteur de la
moelle
, il y a des différences dans l'intensité de la lé
sion; on peut presque en désigner deux centres : l'un qui occupe la
moelle
lom- 140 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
aisseaux. Il convient d'en rapprocher les altérations séniles de la
moelle
(observation), car alors c'est à ces altération
ant à l'épaississement des vaisseaux, il n'at- teint jamais dans la
moelle
de vieillards autrement bien portants le haut d
(Voy. Démange, Contracture tabétique.) La plus forte atteinte de la
moelle
cervicale explique la rigidité des extrémités s
um anatamo- pathologique. P. K. VI. DES lésions anatomiques DE la
MOELLE
dans LES cas DE TUMEURS cérébrales; par C. MAYE
ait s'expliquer par la lésion de la zone d'entrée radiculaire de la
moelle
lombaire et dorsale inférieure. Observation II.
sement jaune citron de ces deux lobes. Quelques altérations dans la
moelle
lombaire supérieure et dans la partie de ce segme
ombaire supérieure et dans la partie de ce segment qui confine à la
moelle
dorsale, mais elles sont trop minimes pour qu'o
égénérescence dans les noyaux des cordons grêles et cunéiformes. La
moelle
présente une altération douteuse au niveau du c
oins dans ses traits essentiels. Il appartient aux sys- tèmes de la
moelle
à développement tardif, car la plupart de ces '
chons de myéline qu'après le faisceau pyramidal. Il appartient à la
moelle
cervicale et, pour une part aussi, à la portion
l est bien triangulaire mais rien que dans la portion moyenne de la
moelle
cervicale; plus bas près de son origine, il a p
dirigeant donc de plus en plus en avant, au point de passage de la
moelle
dans le bulbe, il touche finalement, dans la pa
indiquent la légitimité de sa désignation : faisceau olivaire de la
moelle
cer- vicale. Comme de l'autre côté de ces olive
pourrait le suivre, dans les plans inférieurs à la périphérie de la
moelle
, jusque près des voies pyramidales antérieures,
rachis, du rachis ouvert, du rachis et de la dure-mère ouverts. La
moelle
a sa limite inférieure aux environs de la premi
plus haut que chez les adultes, ce qui tient au développement de la
moelle
dor- sale qui, vers six ou sept ans, s'allonge
sens des attitudes dépend de celle des cordons pos- térieurs de la
moelle
et des noyaux correspondants. Suivant que l'un
losso-pharyn-ien), du noyau facial, et des cornes antérieures de la
moelle
dans les régions cervicale et dorsale. Légère s
Le groupe de cellules postéro- latéral de la corne antérieure de la
moelle
est le moins affecté et le dernier dans la poly
ini; est probablement en rapport avec les mécanismes réflexes de la
moelle
. P. S. XXIV. CONNEXIONS centrales DE certains N
ndaire s'étend d'une part jusqu'aux colonnes postéro-exlernes de la
moelle
jusqu'à la région dorsale. Le corps dentelé dét
CLINIQUE NERVEUSE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE; Par le D' L. HASKOVEC, Assistant à
à la Clinique psychiatrique tchèque de Prague. La tuberculose de la
moelle
épinière n'a été que dans ces derniers temps l'
fondies, lorsqu'on a fait de fréquents examens microscopiques de la
moelle
atteinte ou suspectée d'une affection tubercule
e ou suspectée d'une affection tuberculeuse. La tuberculose de la
moelle
épinière a été connue plus tard que celle du ce
dans son ouvrage classique, mentionne deux cas de tubercules de la
moelle
et du bulbe et cite aussi les scrofules parmi les
ur la phtisie pulmonaire, 1810. ' P. Olivier d'Angers. Traité de la
moelle
épinière et de ses mala- dies, Paris, 1827. A
ns Varoli). Olivier pense encore que peut-être les tubercules de la
moelle
causent assez souvent des symptômes épileptique
ue que les tubercules peuvent envahir le cerveau, le cervelet et la
moelle
, et il admet même que ces tubercules peuvent êt
s peuvent être primitifs. Rokitansky 2 dit que les tubercules de la
moelle
sont rares; il les a trouvés principale- ment d
Hasse se borne de même à décrire les tubercules solitaires de la
moelle
et fait observer que ceux des enveloppes pro- v
euse (Archives de physiologie, 1870, 490). , LA. TUBERCULOSE DE LA.
MOELLE
ÉPINIÈRE. 179 les tubercules ne se trouvent pas
ment dans les mé- ninges, mais aussi dans le tissu conjonctif de la
moelle
où ils peuvent occasionner une inflammation sub
uville distingue les trois formes suivantes de la tuberculose de la
moelle
: a) l'inflammation tuberculeuse des enveloppes
enveloppes ; b) l'inflammation tuberculeuse des enveloppes et de la
moelle
; c) la tuberculisation de la moelle. Le mémoi
leuse des enveloppes et de la moelle; c) la tuberculisation de la
moelle
. Le mémoire de Liouville indique un progrès imp
médical, p. 709 (Nouveaux exemples de lésions tuberculeuses dans la
moelle
épinière) un nouveau cas de tubercule solitaire
prédisposée à la tuberculose. Il démontre que les tubercules de la
moelle
peuvent être primitifs sans trace de tuberculos
es d'une myélite aiguë. Leyden 3 fait voir que la tuberculose de la
moelle
est rare, et il ajoute qu'on peut trou- ver rel
it plus souvent la partie supérieure que la partie inférieure de la
moelle
lombaire. Au point de vue cli- ' G. Hayem. 0&am
0&set'us< ! OK pour servir à l'histoire des tubercules de la
moelle
épinière. Arch. de phys., 1873. 2 Chvostek. Zic
nique, elle se manifeste soit sous les symptômes d'une tumeur de la
moelle
, soit sous ceux d'une myélite aiguë (akute Erwei-
i- chung). On peut supposer l'existence de la tuberculose dans la
moelle
, mais on ne saurait en certifier le diagnostic. E
que un cas de lepto- méningite tuberculeuse aiguë avec examen de la
moelle
. Un peu plus tard, en 1879, le même auteur3 com
! t's ? (Wien. med., Bit., 1885, p. 41-43.) LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 181 des tuberculoses solitaires dans
leuses l'opinion de son maître. Il classifie les tuberculoses de la
moelle
de la même manière que Raymond2 dans un article
lé de la structure de la tumeur et des lésions consécutives de la
moelle
. Un nouveau cas de tubercule solitaire dans la ré
é décrit par Sachs 2. Obolonskv3 relate un cas de tuberculose de la
moelle
dans lequel on a pu constater la propagation du
uration, Gunsserb mentionne un cas de tuber- culose nodulaire de la
moelle
, présentant au point de vue clinique les symptô
vons pu con- sulter sur les diverses formes de la tuberculose de la
moelle
. Dans le présent travail, je me propose de comm
ch nadorech puvodu infekëniho (Considérations sur les lésions de la
moelle
produites par les tumeurs d'origine infectieuse
. Hématomyélie. (Revue netirol., 1893, 5-6.) LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 183 d'examiner dans la clinique de no
s, sous les clavicules et jusque dans la fosse LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 1HPJ .sous-épineuse en arrière. Depui
succombe. Autopsie. Tuberculose pulmonaire au troisième degré. La
moelle
et le nerf sciatique gauche ont seuls été enlevés
. La moelle et le nerf sciatique gauche ont seuls été enlevés. La
moelle
a été durcie dans le liquide de Müller. Sur la co
il nu, on trouve dans les cordons latéraux de toute l'étendue de la
moelle
dorsale et de la partie inférieure de la moelle c
ute l'étendue de la moelle dorsale et de la partie inférieure de la
moelle
cervicale des échancrures plus ou moins prononc
ntes qui se montrent principalement dans la partie inférieure de la
moelle
cervicale, on ne trouve pas macroscopiquement d
pique les pièces suivantes : A. I. II. Deux portions prises dans la
moelle
cervicale de la partie inférieure. III. Une por
rise sur la limite qui sépare la F1g,6. 1 86 CLINIQUE NERVEUSE.
moelle
cervicale de la moelle dorsale. 5.-Une portion de
sépare la F1g,6. 1 86 CLINIQUE NERVEUSE. moelle cervicale de la
moelle
dorsale. 5.-Une portion de la par- tie supérieu
e la moelle dorsale. 5.-Une portion de la par- tie supérieure de la
moelle
dorsale. C. Une portion de la partie inférieure
de la moelle dorsale. C. Une portion de la partie inférieure de la
moelle
dorsale. D. Enfin une portion de la moelle lomb
artie inférieure de la moelle dorsale. D. Enfin une portion de la
moelle
lombaire. Les coupes ont été colorées par l'hémat
des bacilles tuberculeux. . Quoique les lésions trouvées dans la
moelle
ne diffèrent que par l'intensité du processus m
es dans chaque portion nommée ci-dessus. Nous com- mencerons par la
moelle
cervicale et nous finirons par la moelle lombai
Nous com- mencerons par la moelle cervicale et nous finirons par la
moelle
lombaire. A. Moelle cervicale. - 1. La pie-mè
tration de la pie-mère très abon- dante et elle se continue dans la
moelle
le long de ces tractus. L'arachnoïde est légère
ie, dans le voisinage de la corne postérieure, LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 187 un tubercule composé de cellules
trouve l'infiltration surtout abon- dante. II. Les lésions de la
moelle
cervicale de la seconde portion, sont plus inte
sont plus intenses. L'infiltration de la pie-mère, qui adhère à la
moelle
, surtout dans la partie postérieure, gagne enco
nodules tuberculeux typiques. C'est encore dans celte partie de la
moelle
que l'on voit à la périphérie du cordon latéral
ienveillance qu'il nous a témoignée. Fig. 7. LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 189 coupes, est parvenu au même résul
nt multipliés. III. Dans les coupes provenant de cette partie de la
moelle
, on voit très distinctement la manière dont les
ostérieures droites. Sur les coupes provenant de cette partie de la
moelle
l'infiltra- tion des parois des vaisseaux est p
é plus haut, se rencontrent aussi dans les cordons laté- raux de la
moelle
dorsale. Ils y atteignent des dimensions plus c
e contiennent pas de vaisseau au centre. . La surface entière de la
moelle
est riche en leucocytes et en noyaux. Les vaiss
tits amas de leucocytes se continuent dans les LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 191 cornes antérieures. Dans les coup
rnes antérieures. Dans les coupes provenant de la même partie de la
moelle
, les cornes postérieures et surtout la corne post
etits amas. Dans ces coupes l'hypérémie de toute la surface de la
moelle
est très apparente. Elle est surtout marquée au
erne les carac- tères généraux, on constate dans cette partie de la
moelle
les mêmes lésions que nous avons indiquées dans
yaux et des leucocytes de la pie-mère ainsi que de la surface de la
moelle
. Les parois des vaisseaux y sont aussi légèreme
ent constaté dans la pie-mère, dans les racines spinales et dans la
moelle
, soit des lésions diffuses inflam- matoires, so
ong des vaisseaux et des tractus conjonctifs dans l'intérieur de la
moelle
où elles peu- vent envahir la substance blanche
u trouver les cellules géantes non seulement dans les nodules de la
moelle
dorsale, mais aussi dans ceux de la partie cer-
ide a atteint son maximum d'étendue dans la partie supérieure de la
moelle
dorsale. Il s'agit donc d'une leptoméningite et
. Il s'agit donc d'une leptoméningite et de tuberculisation de la
moelle
. En récapitulant la marche des symptômes cliniq
subite des membres inférieurs nous indiquent que les méninges et la
moelle
, ainsi que les racines de quelques points, onté
ère ne pouvait pas être atteinte plus tôt d'une manière grave et la
moelle
être complètement libre de tuberculose. Au cont
probable que des nodules tuberculeux pouvaient déjà exister dans la
moelle
. Le processus morbide a envahi d'abord la moell
jà exister dans la moelle. Le processus morbide a envahi d'abord la
moelle
dorsale où il s'est propagé irréguliè- rement e
ètement paralysé tandis que, dans le membre . LA. TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 193 inférieur gauche, persistent enco
e la main droite commencent à apparaître (le processus a franchi la
moelle
dorsale) et, le 2 mars, on voit les deux membre
elle est survenue avant que le processus qui se développait dans la
moelle
, eut envahi la partie supé- rieure de la moelle
développait dans la moelle, eut envahi la partie supé- rieure de la
moelle
cervicale. Nous allons maintenant étudier tout
tudier tout spécialement la forme nodulaire de la tuberculose de la
moelle
. Dans les travaux publiés jusqu'à présent par L
. Archives, t. XXX. 13 194 . CLINIQUE NERVEUSE. nodulaire de la
moelle
, toujours coexistante avec la tuberculose des a
es poumons dans le stade très avancé. C'est la partie dorsale de la
moelle
qui est le plus souvent envahie. S'il s'agit d'
ou enfin de la myélite chronique. Cette forme de tuberculose de la
moelle
est très rare. Voici la statistique de l'instit
ouvé dans quelques cas la tuberculose du cer- veau. B. Cerveau et
moelle
. a). 6 cas de méningite cérébro- spinale tuberc
e ; - b). 3 cas de tubercules solitaires dans le cerveau et dans la
moelle
. Dans 9 cas, on a trouvé la tuberculose du cerv
oelle. Dans 9 cas, on a trouvé la tuberculose du cerveau et de la
moelle
. C. Moelle 2. La moelle n'a été atteinte que da
9 cas, on a trouvé la tuberculose du cerveau et de la moelle. C.
Moelle
2. La moelle n'a été atteinte que dans 12 cas,
trouvé la tuberculose du cerveau et de la moelle. C. Moelle 2. La
moelle
n'a été atteinte que dans 12 cas, 1 Je remercie
pte de ce fait que l'on n'a pas enlevé, dans tous ces 2,090 cas, la
moelle
épinière. Cependant nous pouvons dire que nous
e nous ne sommes pas très loin de la vérité. LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 195 savoir : a). 7 cas de méningite a
IQUE NERVEUSE. La tuberculose peut envahir toutes les parties de la
moelle
. Elle se propage ordinairement depuis la périph
t. Outre les nodules et les infiltrations qui se trouvent dans la
moelle
, la pie-mère et les racines, on observe encore de
oits où s'étendent les tractus conjonctifs et les vaisseaux dans la
moelle
. Toute la surface de la moelle est plus ou moin
conjonctifs et les vaisseaux dans la moelle. Toute la surface de la
moelle
est plus ou moins enflammée. S'il s'agit d'un
onner, on n'a pu jusqu'à 1 Pour les tubercules des enveloppes de la
moelle
, ces savants ren- voient le lecteur au chapitre
ren- voient le lecteur au chapitre Cerveau. LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 197 présent, colorer les bacilles tub
c. cil.) Au point de vue clinique, la tuberculose nodulaire de la
moelle
se présente, en général, dans les cas aigus, sous
unsser), elle s'est présentée sous les symptômes d'une tumeur de la
moelle
à marche lente. Les cas subaigus seule- ment se
'une myélite transverse. Le diagnostic d'une lésion organique de la
moelle
n'est point difficile. Pour la diagnose différe
variable. Nous mentionnons ci-dessus les cas de tuberculose de la
moelle
, qui appartiennent à la forme nodulaire. Nous ajo
de la pie-mère, mais on n'a pas fait l'examen microscopique de la
moelle
elle-même, quoiqu'on soit autorisé à supposer q
er qu'il s'agissait, même dans ces deux cas, de tuberculose de la
moelle
. Nous hésitons à penser, avec Hutinel, que dans
en accord très apparent avec ceux de la tuberculose nodulaire de la
moelle
. On peut bien accepter la division de la tuberc
a moelle. On peut bien accepter la division de la tuberculose de la
moelle
faite par A1M. Liouville (1869) et Raymond (188
otre avis, ce groupe de formes nodulaires de la tuberculose de la
moelle
doit être encore augmenté du cas chronique décrit
chronique décrit par Gunsser. Ainsi, la tuberculose nodulaire de la
moelle
peut être aiguë, subaiguë et même chronique. No
pratique de cette étude, il faut faire l'examen microscopique de la
moelle
, non seulement dans tous les cas de tuberculose
qu'à l'avenir l'étude clinique de la tuberculose nodu- laire de la
moelle
sera plus satisfaisante qu'elle ne l'a été jus-
l'a été jus- qu'à présent. Les cas de tuberculose nodulaire de la
moelle
épinière, dont nous ne citons in extenso que le
, loc. cil. ' Thèse de Chàtaufort, loc. cit. LA TUBERCULOSE DE LA
MOELLE
EPINIÈRE. 199 Un cas de Raymond (loc. cit.) et
consécutive à des lésions en îlots dans la partie inférieure de la
moelle
dorsale. - L'altération transverse de la moelle
ie inférieure de la moelle dorsale. - L'altération transverse de la
moelle
est plus complète du côté gauche que du côté droi
que du côté droit. A l'autopsie, on a trouvé que la pie-mère de la
moelle
dorsale était légèrement épaisse dans quelques
té antérieur. Les faisceaux de Goll dans la partie supérieure de la
moelle
cervicale affectent une couleur blanche, tandis q
t où la pie-mère adhère à la dure-mère, la substance nerveuse de la
moelle
se ramollit; par places se trouvent des points
îlots rouges grisâtres. Au-dessus et au-dessous de cette partie, la
moelle
est tachetée. Dans la partie lombaire, les fais
tteintes de dégénérescence amyloide. A l'examen microscopique de la
moelle
, on a relevé dans la partie supérieure de la mo
oscopique de la moelle, on a relevé dans la partie supérieure de la
moelle
cervicale une sclérose des faisceaux de Goll, d
trouvé de tubercules, dispersés tout à fait irrégulièrement dans la
moelle
. La partie dorsale de la moelle a été plus atte
ut à fait irrégulièrement dans la moelle. La partie dorsale de la
moelle
a été plus atteinte. Presque dans tous les faisce
u proces- sus morbide, comme le prouve aussi la marche clinique. La
moelle
a été certainement atteinte en 1886, sinon en 1
ion exagérée met en branle dans le bulbe, ou accessoirement dans la
moelle
, les noyaux qui président à la maladie de Based
égion antérieure du cerveau; en outre, on observe des lésions de la
moelle
. M. GAUSER accorde un rôle étiologique importan
Nous nous occuperons plus particulièrement de ce qui a trait à la
moelle
épinière. Observation I. - Paralysie générale,
très musclé, très vigoureux d'aspect; l'embonpoint est conservé. La
moelle
ne présente pas de lésion apparente, sauf un ce
- Il n'existe pas de dégénérescence systé- matisée ou diffuse de la
moelle
. Néanmoins les coupes colorées par 'la méthode
par 'la méthode de Pal paraissent moins foncées que des coupes de
moelle
saine; certains tubes sont moins réguliers dans l
La névro- glie n'a pas proliféré. Tout l'intérêt que présente cette
moelle
se rapporte à l'état des vaisseaux et surtout d
aisseaux et surtout des méninges. La pie-mère, du haut en bas de la
moelle
et sur toute sa circon- férence, est épaissie p
embrassent l'origine d'un vaisseau au niveau de son entrée dans la
moelle
. Il se forme ainsi en plusieurs points des amas
branes élasti- ques, dont l'interne est de nouvelle formation. La
moelle
elle-même ne paraît pas avoir souffert de la lési
restent très pâles, surtout à mesure que l'on descend du côté de la
moelle
. L'endartère est saine. La pie-mère présente un
eux central. Il est bien évident que les lésions décrites dans la
moelle
et localisées à ce niveau presque exclusivement s
ale observée ; il est infiniment probable pourtant que c'est par la
moelle
que l'affection a débuté, pour envahir ultérieu-
a été vu. Les seuls symptômes qui aient attiré l'attention sur la
moelle
, à part quelques douleurs anciennes qu'il accusai
(1,500 grammes) est tuméfié, mou, marbré de jaune à la surface. La
moelle
présente une trainée grisâtre sur toute son étend
ïde sont épaissies et blanchâtres. Sur une coupe transversale de la
moelle
on constate une atrophie considé- rable des cor
molles à la convexité, surtout en avant. Examen histologique. - La
moelle
présente une dégénérescence avancée des cordons
rapproche de la corne, se distingue assez nettement du reste de la
moelle
; elle est séparée du cordon de Goll par une tra
e par l'action longtemps prolongée du car- min sur des rondelles de
moelle
, ne présentent pas la moindre lésion; elles son
lésion; elles sont aussi nombreuses et aussi belles que dans une
moelle
normale. - Il en est de même pour les cellules de
plètement indépendantes des dégénérescences décrites plus haut. La
moelle
présente dans sa hauteur une inflammation chroniq
prolongement de pie-mère qui pénètre dans le sillon antérieur de la
moelle
contient un grand nombre de ces amas plus ou mo
tôt à l'arachnoïde qu'à la pie-mère. Les artères qui entourent la
moelle
sont absolument saines. ' Les veines, au contra
ines est assez fortement épaissie et infiltrée. Les vaisseaux de la
moelle
elle-même sont peu atteints par l'in- filtratio
rotubérance présentent une méningite de même nature que celle de la
moelle
; la pie-mère est farcie de noyaux ronds, dissém
e diffuse; sa disposition régulière sur toute la péri- phérie de la
moelle
, la participation des veines antérieures . au p
ant sous la dépendance des accidents ultimes. Les capillaires de la
moelle
elle-même ne participent que relativement peu à
, mais fermes et rouges; les pieds sont légè- rement tombants. La
moelle
présente une dégénération intense de ses cordons
précédent. Il n'existe d'ailleurs aucune lésion des cellules de la
moelle
ni des fibres des racines antérieures. Les vais
dmettre qu'ici encore il ne s'agit pas d'une infection ultime de la
moelle
, contemporaine des accidents qui ont amené la m
n histologique nous ne retiendrons que la présence, au niveau de la
moelle
et du bulbe, d'une méningo-myélite vasculaire a
ainsi que le montre la figure 13, une partie de la périphérie de la
moelle
et semble répondre à l'extrémité antérieure du fa
ions vasculaires que l'on retrouve éparses dans tout le reste de la
moelle
(fig. 15). Un de ces capillaires présente une t
hez tous les deux il existe une lésion dif- fuse étendue à toute la
moelle
, constituée comme chez nos tabétiques. 300 .
au moins à une grande partie de ce système, et en particulier à la
moelle
tout entière. Ces lésions sont de même nature,
ux et le tissu connectif, en-un mot l'appareil mésoder- mique de la
moelle
, sont donc pris en eux-mêmes et pour eux- mêmes
peuvent bien donner lieu à des apparences analogues ; cer- taines
moelles
d'alcooliques peuvent bien présenter une cer- t
la paralysie générale. Dans un cas de méningite tuberculeuse de la
moelle
, la ressemblance était certainement plus grande
la lésion ; néanmoins l'examen des préparations provenant de cette
moelle
nous a laissé l'impression que la tuberculose,
paralysie générale et, peut-être, des lé- sions circonscrites de la
moelle
très semblables aux lésions syphilitiques. Mais
le pouvait atteindre les racines postérieures à leur entrée dans la
moelle
pour amener leur destruction et consécutivement
arition a évidemment pour consé- quence une atrophie générale de la
moelle
, atrophie poussée très loin dans certains cas;
itiques, un processus d'inflammation diffuse qui s'étend à toute la
moelle
. Cette lésion mérite le nom de vasculaire ou de
rondes qui envahit la pie-mère, l'arachnoïde, les capillaires de la
moelle
et qui a une prédilec- tion toute particulière
e de l'équilibration, et dans un cas seulement une atrophie de la
moelle
sans lésions dégénératives. Pourtant, comment e
e interne du même côté. Dans la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 313
moelle
, complète sclérose du cordon latéro-pyramidal gau
se ratta- chaient à une lésion peu étendue, mais destructive, de la
moelle
, lésion dont il est, dans l'état actuel de la s
Revue neurologique, mars 1895.) E. B. - XXXII. UN cas d'abcès DE la
MOELLE
; par le professeur HoncEN. A part les infiltra
par le professeur HoncEN. A part les infiltrations purulentes de la
moelle
dues aux trau- matismes, la littérature médical
ttérature médicale ne contient que trois cas certains d'abcès de la
moelle
, en dehors du cas très intéressant décrit par l
côté gauche. ' L'abcès était complètement isolé à l'intérieur de la
moelle
dont les enveloppes étaient intactes, à l'excep
guide dans LE diagnostic DES LÉSIONS DE la partie supérieure DE la
MOELLE
; par ALLEN STARR. (Brain, part. LXVII, 1894, p.
t sur neuf cas de lésions localisées à des niveaux différents de la
moelle
, arrive a établir, en combinant les différents
nées du bras qui sont en rapport avec les différents segments de la
moelle
entre la seconde paire dorsale et la qua- trièm
les lésions de la partie inférieure de la région cervi- cale de la
moelle
produisent un certain nombre de symptômes dus à
à meltre en évidence la localisation des fonctions motrices de la
moelle
. P. S. XXXVIII. Traumatisme SUIVI DE phénomènes
de nos examens : le bacille de Hansen est absent de la gliose de la
moelle
. Le point de départ de la syringomyélie seconda
de départ de la syringomyélie secondaire est tantôt en dehors de la
moelle
, tantôt en dedans de l'axe spinal lui-mênie, ma
la compression qu'exerce l'anneau fibreux pachyméningitique sur la
moelle
épinière, Le tableau clinique diffère de celui de
udo-névral- giques. Enfin des tumeurs, ayant pris naissance dans la
moelle
elle-même comme des sarcomes ou des glio-sarcom
souvent dans les autres processus provoquant une compression de la
moelle
(dans l'hématomyélie de Minor, dans la syringom
corps. C'est l'ensemble des fibres conductrices sensitives de la
moelle
qui est atteint, après leur entre-croisement, com
rence faite, avec projections de coupes anatomo-pathologiques de la
moelle
épinière, par M. Mari- nesco. - t . Le Cong
rtante à l'étude des lésions dégénératives des cordons blancs de la
moelle
épinière, nées sous l'influence de l'atrophie d
onstater, à sa grande surprise, qu'il ne renfermait ni méninges, ni
moelle
, ni racines, mais seulement du tissu adi- peux
'idéation et respectant les autres centres nerveux, spécialement la
moelle
et le bulbe. Le chloralose respecte les fonc- t
taines affections cérébrales), les syphilis locales anciennes de la
moelle
et de ses enveloppes, des foyers myélitiques. P
on A l'étude DE la dégénérescence descendante dans LE CERVEAU ET LA
MOELLE
, AVEC REMARQUES SUR LA LOCALISATION ET LES FAIS
100; viennent ensuite le corps strié gauche, la protubérance et la
moelle
(10,8 p. 100), le noyau lenticulaire et le cerv
ION A l'étude DE la DISPOSITION ET DES fonctions DES CELLULES DE la
MOELLE
cervicale, avec UNE NOTE SUR LES altéra- 'l'ION
t les suivantes : 1° La grande majorité des cellules motrices de la
moelle
cervi- cale présente une disposition bien défin
sont disposées en colonne qui tra- versent plusieurs segments de la
moelle
; 3° Des fonctions définies peuvent être assigné
tribution A l'anatomie pathologique DES cordons posté- rieurs DE la
MOELLE
; par C. MAYER. (J'i/t)'6t<C/t ? Psychiat., X
oir soin de bien distinguer le point où la racine pénètre dans la
moelle
, c'est-à-dire la vraie racine postérieure, et la
risé en particulier par la disparition des réflexes patellaires. La
moelle
paraissait normale et cependant, par la méthode
(dix observations). Les fibres de la zone radiculaire moyenne de la
moelle
lombaire et de la moelle sacrée pénètrent surto
res de la zone radiculaire moyenne de la moelle lombaire et de la
moelle
sacrée pénètrent surtout dans les colonnes de Cla
rajet, se rendent dans la zone radiculaire postéro-médiane. Dans la
moelle
dorsale, le segment externe des cordons postéri
action élective sur certaines aires des racines postérieures de la
moelle
. Telle est la manière de voir de l'auteur. P. K
IX. SUR l'état DES réflexes dans la section TRANSVERSE totale DE la
MOELLE
; par Ernest RENOLDS. (Drain, part. LXIX, 1895, p.
otale transverse de la région cervicale ou dorsale supérieure de la
moelle
, il y a presque toujours une perte définitive des
altération de la substance grise dans les régions inférieures de la
moelle
. On n'a pas encore d'explication satisfai- sant
BLIOGRAPHIE. , , ? . - ? ' ' r ? c. ' ( - III. Les maladies de la
moelle
èpiÎ71èl'c et du bulbe. Die Erkrankungene - Gol
la première partie d'un ouvrage ayant.pour sujet les maladies de la
moelle
épinière et du bulbe. 11 renferme cinq chapitre
e bulbo-spinal. Le premier chapitre est consacré à l'auatomie de la
moelle
et du bulbe. La structure fine de la.moelle épi
osé complet de nos connaissances actuelles sur la physiologie de la
moelle
. On y.trouvera traitée la question de la transm
mpressions douloureuses. Le croisement des voies conductrices de la
moelle
, l'hyperesthésie et la conductibilité du sens m
que. Le troisième chapitre renferme l'anatomie patho- logique de la
moelle
épinière. Les diverses lésions de substance bla
nt dans des considérations intéressantes au sujet des lésions de la
moelle
consécutives 'aux amputations, de la, régénéra-
a moelle consécutives 'aux amputations, de la, régénéra- tion de la
moelle
épinière et des scléroses systématisées et coni-
ections et des intoxications dans la production des maladies de la.
moelle
épi- J nier.' . .1 . Le dernier chapitre, con
chapitre, consacré à la thérapeutique générale. des maladies de la
moelle
épinière, est fort instructif. La questionJili\;.
tricité ait une action curative sur les processus anatomiques de la
moelle
épinière. . Le courant nerveux n'influence d'
ue), D'autres organes centraux peuvent être simultanément atteints (
moelle
épinière, bulbe, etc.) et aussi le système musc
uolisation des cellules ganglionnaires de la corne antérieure de la
moelle
, ramollissement superficiel de l'écorce cérébra
i complique si souvent la paralysie généralepro- gressive. Dans une
moelle
de paralytique général quelques filets radicula
des préparations d'un myome développé à la partie postérieure de la
moelle
lombaire. Cette néoplasie avait pris naissance
appliquée à la coloration des cellules des cornes antérieures de la
moelle
et des cellules de Purlcinja du lapin et de l'h
érique. La présence d'altérations des cellules ganglionnaires de la
moelle
dans les cas de névrites est d'accord avec ce que
sans lésions des nerfs périphé- riques (et aussi sans lésions de la
moelle
). Il n'a jamais présenté l'analgésie du cubital
es des yeux, les nerfs périphériques des yeux et des extiémités, la
moelle
, le bulbe et le cerveau moyen. Hémor- ragies da
- mun. Des foyers hémorragiques récents existent en outre dans la
moelle
lombaire, dans la pie-mère, dans le tissu conjonc
ment atrophiées; celles du noyau gauche sont saines. L'examen de la
moelle
a révélé l'existence des lésions typiques du ta
sensorielle, par Bechterew, 143. localisée dans les lésions de la
moelle
par Starr, 320. Anomalies. Rapports des mor-
xus symptomatique - , par Pineles, 383. Bulbe. Les maladies de la
moelle
et du -, par Leyden et Golds- chelder, 424.
Sieraccmi, 51 . Faisceau OLIVIIRE de la portion cer- vicale de la
moelle
par Bechterew, 144. FA 1 IGur; des muscles so
, 416. Migraine ophtalmique et aphasie, par J.-Di. Charcot, 74.
Moelle
épinière. Tubercule di, la - par Hascovec, 177.
par Weinland, 397. Tumeur cérébrale. Lésions anato- miques de la
moelle
dans les cas de -, par Mayer, 1 10. Vertébral
C XL1V. DE PL.1 Cette planche représente différentes vues de la
moelle
épinière et de la moelle allongée; elle donne aus
te planche représente différentes vues de la moelle épinière et de la
moelle
allongée; elle donne aussi une série de coupes tr
le allongée; elle donne aussi une série de coupes transversales de la
moelle
épinière depuis son extrémité lombaire jusqu'à la
aire. FIGURE 1». Celte figure représente la face antérieure de la
moelle
épinière, de la moelle allongée, de la protubéran
lte figure représente la face antérieure de la moelle épinière, de la
moelle
allongée, de la protubérance annulaire, des pédon
pyra-mide antérieure. Y, corps restiforme. Il, sillon antérieur de la
moelle
épinière. D, saillie en olive de la région antéri
ire. FIGURE 2e. Cette figure représente une vue postérieure de la
moelle
épinière et de la moelle allongée d'un nouveau né
figure représente une vue postérieure de la moelle épinière et de la
moelle
allongée d'un nouveau né, jusques et compris les
'à la ligne médiane. A F, relief longitudinal du faisceau moyen de la
moelle
allongée le long de la ligne médiane de ce planch
le calamus scriptorius et à sa pointe l'orifice du ven-tricule de la
moelle
, ft, corps rhomboïdal. X, corps ou faisceau resti
sceau distinct qu'on peut suivre jusque dans la région lombaire de la
moelle
. ZZZZ, lignes d'origine des racines postérieures
des racines postérieures des nerfs spinaux. M, faisceau latéral de la
moelle
épinière. FIGURE 3e. Cette figure représente
inière. FIGURE 3e. Cette figure représente une vue latérale de la
moelle
épinière, de la moelle allongée et du cervelet d'
Cette figure représente une vue latérale de la moelle épinière, de la
moelle
allongée et du cervelet d'un nouveau-né. Son obje
. Son objet principal est . de faire voir sur la face latérale fie la
moelle
épinière un petit faisceau qu'on peut suivre sa
mbaire jusque dans le pédoncule cérébelleux, qu'il pénètre. Dans la
moelle
épinière du nouveau-né ce petit faisceau se disti
pour laisser voir, en h, l'endroit où le petit faisceau latéral de la
moelle
épinière entre dans le pédoncule cérébelleux. E ,
ux. E , protubérance annulaire. H hf h', petit faisceau latéral de la
moelle
épinière. V, éminence olivaire. W, pyramide antér
a moelle épinière. V, éminence olivaire. W, pyramide antérieure de la
moelle
allongée. Y, corps restiforme. 0, saillie en oliv
ire. FIGURE 4e. Cette figure représente une vue postérieure de la
moelle
épinière, sur laquelle les faisceaux restiformes
eau de cette section jusqu'à l'extrémité de la région lom-baire de la
moelle
, ces faisceaux postérieurs ont été enlevés jusqu'
moelle, ces faisceaux postérieurs ont été enlevés jusqu'à l'axe de la
moelle
. S, glande pinéale. DD', tubercules quadrijumea
sur la ligne médiane. Ces petits faisceaux font partie de l'axe de la
moelle
épinière. Dans toute la longueur de cet axe, on e
stries transversales qui vont de l'axe aux parties excentriques de la
moelle
. E, faisceau latéral. J J, renflement brachial. J
J J, renflement brachial. J'J' , renflement lombaire. Coupes de la
moelle
. — Dans l'intervalle des figures \ et 2, et dans
et 2, et dans celui des figures 2 et 3, sont alignées 17 coupes delà
moelle
épinière. Le n° \ représente une coupe de la mo
17 coupes delà moelle épinière. Le n° \ représente une coupe de la
moelle
allongée faite au-des-susVies éminences olivaires
médiane un point noir qui représente la lu-mière du ventricule de la
moelle
. Cette planche contient six figures destinées à
ures destinées à éclairer la structure du tronçon nerveux qui unit la
moelle
épinière au cervelet et au cerveau. Trois de ces
ncipalement à faire voir la continuation du faisceau postérieur de la
moelle
épinière dans le faisceau restiforme de la moelle
au postérieur de la moelle épinière dans le faisceau restiforme de la
moelle
allongée ; la continuation de ce dernier dans la
postérieure du tronçon pédonculaire avec le faisceau postérieur de la
moelle
, on a coupé le pédoncule externe du cervelet très
u externe du pédoncule cérébelleux jusqu'au faisceau postérieur de la
moelle
allongée avec lequel il se com-bine. E, coupe d'u
corps restiforme. V, émi-nence olivaire. W, pyramide antérieure de la
moelle
. FIGURE 2e. Cette figure est encore destinée
re destinée à montrer les prolongements du fais-ceau postérieur de la
moelle
dans la région postérieure du tronçon pédon-culai
plus le passage de quelques fascicules du fais-ceau postérieur de la
moelle
dans les arcs transverses supérieurs de la protub
ent sur la ligne médiane en arrière des deux moitiés congénères de la
moelle
allongée. Au fond de cet écarte-ment on voit du h
lle allongée. Au fond de cet écarte-ment on voit du haut au bas de la
moelle
allongée une suite de petits fais-ceaux s'entrecr
corps restiforme. X, pyramide postérieure. L, sillon postérieur de la
moelle
épinière. F, pointe du calamus : de cette pointe
jusqu'en C on voit en CC les entrecroisements des deux moitiés de la
moelle
allongée. FIGURE 5e. Cette figure représente
ée. FIGURE 5e. Cette figure représente à la face antérieure de la
moelle
allongée la ter-minaison des entrecroisements vus
ules de la pyramide antérieure gauche passés dans le côté droit de la
moelle
épinière. B, faisceau antérieur. B' faisceau laté
moelle épinière. B, faisceau antérieur. B' faisceau latéral de cette
moelle
. FIGURE 6e. Cette figure représente, sur la m
e. FIGURE 6e. Cette figure représente, sur la moitié gauche de la
moelle
allongée, la dissection de la région fasciculée d
à faire comprendre la structure du tronçon nerveux intermédiaire à la
moelle
épinière et au cerveau. En général les figures de
res de la planche 3 représentent les parties les plus profondes de la
moelle
allongée. L'une de ces figures, la première , don
ne de ces figures, la première , donne, en sus d'une dissection de la
moelle
allongée, une coupe médiane du noyau cérébral ; e
ber cinereum. M, éminence mamillaire. U U', faisceau postérieur de la
moelle
épinière. P, faisceau moyen. N, région fasciculée
ulée du pédon-cule cérébral faisant suite au faisceau antérieur de la
moelle
. E, e, divi-sion de cette région fasciculée dans
e la protubérance. FIGURE 2e. Division sur la ligne médiane de la
moelle
allongée. E E', piliers anté-rieurs de la voûte.
e Sylvius. F, valvule de Vieussens. U U U', faisceau postérieur de la
moelle
allongée. B, fais-ceau antérieur de la moelle épi
isceau postérieur de la moelle allongée. B, fais-ceau antérieur de la
moelle
épinière. P, protubérance. Dans toute la grande s
e des parties antérieures au voisinage des parties postérieures de la
moelle
allongée. Toutes ces stries ont rapport aux entre
ont rapport aux entrecroisements établis entre les deux moitiés de la
moelle
allongée. On voit en C" la coupe d'un gros faisce
lanche 2, à faire comprendre le mécanisme des entrecroise-ments de la
moelle
allongée. K, chiasma. L TS, tractus et couche opt
la ligne médiane en dehors et en arrière dans le faisceau moyen de la
moelle
épi-nière. V, olive. X Y, corps restiforme. W, py
inte du calamus. ij, corps restiforme. P, protubérance an-nulaire. I,
moelle
allongée coupée en travers. FIGURE 2e. Face sup
sphère. B, lobule attenant au nerf auditif. V, olive. W, pyramide. F,
moelle
épinière. FIGURE 4e. Cervelet vu de profil.
lus élevée de cette figure. N, tronçon pédonculaire du cerveau. V Y,,
moelle
épinière. H, nerf triju-meau. Q, ruban fibreux ob
t renversé. La protubérance est en haut; tous les faisceaux qui de la
moelle
épinière se prolongeaient dans cette protubérance
antérieure. 2, canal dans lequel s'engage le faisceau latéral de la
moelle
allongée. 3, canal dans lequel s'engage le fais
rébelleux pour s'unir au trijumeau. F, relief du faisceau moyen de la
moelle
allongée à la surface du plancher ventriculaire.
pyra-mide postérieure, Y, corps restiforme. I, faisceau latéral de la
moelle
épinière. FIGURE 3. Le cervelet a été coupé s
ons distinctes du faisceau pos-térieur et du faisceau antérieur de la
moelle
avec différentes régions du cerveau. Le corps c
P', bulbe rachidien. P , protubérance. Le faisceau postérieur de la
moelle
se prolonge de Y Y' en G jusqu'au niveau de la gl
laisser voir derrière G L, prolongements du faisceau postérieur de la
moelle
N N', les prolongements de son faisceau antérieur
ne saurait la trouver dans la lé- sion organique, puisque c'est la
moelle
qui est en cause dans la paralysie spinale infa
iles à constater et les con- tractures par lésions organiques de la
moelle
qui affectent de préférence la forme paraplégiq
s et en arrière avec le bulbe rachidien qui va se continuer avec la
moelle
épinière. On peut donc distinguer à la protubé-
endement pendant le traitement est la règle. La galvanisation de la
moelle
épinière n'est pas toujours efficace et je ne c
de fois j'ai vu des crises douloureuses après la galvanisation delà
moelle
épinière et une aggravation continue ! Ce pro-
égion claviculaire au contraire n'irrite pas du tout le tissu de la
moelle
. Je dois dire en outre que je ne me contente ja
du côté de l'hémisphère lésé; et s'il s'agit d'une affection de la
moelle
épinière, je faradise les deux régions clavicul
fonte de la substance grise qui constitue la commissure grise de la
moelle
. Cette substance grise se transforme peu à peu
malement presque nulle du canal de l'épendyme : d'où l'aspect de la
moelle
creusée d'un ca- nal central relativement consi
considérable a été comparé à un roseau (syringo- myélie) signifiant
moelle
en roseau. Dans certains cas, les cornes antéri
ilité. Quand la lésion gagne en outre les cordons postérieurs de la
moelle
, la sensibilité est com- plètement abolie sous
fait dû à M. le professeur Potain, concernant une induration de la
moelle
chez un nouveau-né, un autre relaté par M. Lanc
ions du côté des méninges spi- nales, et envahissement limité de la
moelle
dans la région dorsale infé- rieure, un 3e enfi
breuses petites tumeurs dans la dure-mère spinale; à leur niveau la
moelle
était indurée. Les travaux antérieurs de MM. La
omolle (G) ont contribué à nous faire con- naître la syphilis de la
moelle
au point de vue anatomique. Dans un mé- moire q
lemagne, une quantité considérable de travaux sur la syphilis de la
moelle
a paru dans ces dernières années. Depuis l'articl
syphilitiques du cerveau, beaucoup mieux étudiées que celles de la
moelle
se prêtent à une division généralement adoptée en
rationnel de se conformer à la même division en ce qui concerne la
moelle
épinière. Notre intention dans le présent tra-
inique met journellement sous nos yeux. Les tumeurs gommeuses de la
moelle
constituent des lésions d'une extrême rareté :
philitique médullaire, si les lésions vasculaires spécifiques dans la
moelle
ont une autonomie au même titre que celle du ce
itique n'a qu'une durée passagère et qu'elle doit entraîner dans la
moelle
, comme dans les autres organes, des altérations
ous avons pu, grâce à l'obligeance de M. le Dr Merklen, examiner la
moelle
d'un malade syphilitique, mort subitement dans so
nné lieu aux grands délabrements, aux ramollissements étendus de la
moelle
^ souvent observés en pareil cas ; et elle était
but de la paraplégie. Autopsie. Intégrité M peu près complète de la
moelle
et de ses méninges à l'oeil nu. Examen microsco
ntégrité presque complète des artères spinales. Envahissement de la
moelle
dans la région dorsale supérieure. IL, 50 ans,
ement, il 11 heures du matin. Autopsie, 24 heures après la mort. La
moelle
épinière et ses enveloppes ne présentent aucune
mentation de volume au niveau de la tête. Examen histologique. La
moelle
et le bulbe rachidien seulement ont été examiné
paru sain à l'oeil nu n'ayant malheureusement pas été conservé. La
moelle
avait été au préalable durcie dans le liquide d
veloppes du bulbe rachi- dien ; d'autre part, des altérations de la
moelle
elle-même sur une faible éten- due, dans la hau
sont intéressés. La pie-mère est épaissie sur tout le contour de la
moelle
; elle est le siège d'une infiltration cellulaire
oupes transversales, une bordure violette épaisse tout autour de la
moelle
. (PI. XIII, XIV, XV, fig. 2). Les éléments de c
les éléments conjonctifs et élastiques de la tunique moyenne. La
moelle
elle-même n'est pas touchée dans cette région. En
latérales ; quelques cellules rondes disséminées pénètrent dans la
moelle
à ce niveau ; mais il n'existe pas de lé- sions
orsale inférieure. Même répartition des lé- sions : intégrité de la
moelle
, infiltration des méninges et des veines. Sur tou
en particulier au niveau de l'entrée des racines postérieures dans la
moelle
: elle est essentiellement constituée par des a
ures et postérieures), l'o- blitération est complète. Bien que la
moelle
soit relativement saine dans toute la région dors
nce de l'infiltration. Celle-ci, très accentuée à la périphérie de la
moelle
, va en diminuant d'importance vers les parties
lulaire. Un autre détail attire l'attention dans cette partie de la
moelle
; c'est la présence de taches irrégulières, d'un
poursuivent dans toute l'étendue de la région, mais les éléments de
moelle
elle-même sont le siège d'altérations importantes
efois liquide et plus tard coagulée par les réactifs, ait envahi la
moelle
par ce sillon. Bien qu'elle paraisse amorphe quan
ongés dans le sens des travées qui rayonnent de la pie-mère dans la
moelle
, rectangulaires ou ovales. Dans leur voisinage
L'infiltration embryonnaire de la pie-mère a visiblement envahi la
moelle
. Le septum médian postérieur (smp) est considérab
com- plètement détruits dans les points où la néoplasie a envahi la
moelle
de cette manière (tu) ; leur destruction paraît
sale supérieure. Une partie de la cir- conférence postérieure de la
moelle
avec la pie-mère et l'arachnoïde adjacentes. .
nous l'avons déjà observé plus bas. Dans aucune autre région de la
moelle
, les veines périphériques oblitérées n'existent
ent en aussi grand nombre. Il nous reste à signaler au niveau de la
moelle
dorsale supérieure, les altéra- tions, peu éten
plète avec celui que nous avons constaté en cer- tains points de la
moelle
à cette hauteur : infiltration du périnèvre et de
rs pour un grand nom- bre de racines aux différentes hauteurs de la
moelle
. Région cervicale. L'importance des lésions dim
moelle. Région cervicale. L'importance des lésions diminue dans la
moelle
aussi NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Imp EXPLICATION DE LA PLANCHE XIII, XIV, XV. Fra. 1. Coupe DE la
moelle
au niveau DE la RÉGION DORSALE SUPÉRIEURE. (Color
ation dans le sens des travées qui rayonnent de la pie-mère dans la
moelle
est à remarquer. Même avec ce faible grossissem
,grossis- sement 60 diam.). Leploméningile sans envahissement de la
moelle
. Les éléments de la néoformation s'infiltrent d
fuse et hémor1'hagie dans l'espace sous-arachnoïdien. Intégrité de la
moelle
. A, A'. - Veines spinales antérieures, présenta
ent moins grand ; elles ne sont pas groupées par foyers comme dans la
moelle
dorsale ; la plupart sont situées sous la pie-m
u renflement brachial, elle diminue sur toute la périphé- rie de la
moelle
pour se localiser avec une intensité toute partic
e antérieure. Au pourtour des veinules qui cheminent en avant de la
moelle
à ce niveau, ces éléments s'agglo- mèrent en am
spinale antérieure aussi intacte que dans les autres régions de la
moelle
(fig. 3, B, de la planche XIII, XIV, XV). Nous
les vaisseaux offrent la même infiltration néoplasique que dans la
moelle
épinière ; et ceci s'applique non seulement aux
s'applique non seulement aux vaisseaux de calibres, extérieurs à la
moelle
allongée, mais encore aux petits vaisseaux qui
ient d'être question s'atténuent vers les régions supérieures de la
moelle
allongée, pour disparaître à peu près complète-
aux périodes ultimes, quand le processus morbide généralisé dans la
moelle
épinière envahit les noyaux d'origine des nerfs
inférieurs se développe quelquefois en conséquence de lésions de la
moelle
épinière, myélite chronique (Scllieferdecl : er
scopique seul a révélé, dans les méninges, les vaisseaux et dans la
moelle
, des altérations importantes dont les carac- tè
LA SALPÊTRIÈRE. et jusque sur les méninges bulbaires, alors que la
moelle
n'est intéressée que sur une étendue relativeme
ent mal, en un mot une véritable gomme intrapariétale. 3° Dans la
moelle
elle-même, intéressée ainsi que nous l'avons vu,
, on peut voir, le long des travées de la pie-mère qui pénètrent la
moelle
, et dans la paroi des petits vaisseaux qui occu
moindre. La substance grise, dans toute la moitié supérieure de la
moelle
dorsale est creusée de cavités nombreuses qui o
elles au sein du tissu fondamental si délicat de cette partie de la
moelle
. Cet exsudat se serait arrêté aux limites de la s
uites (nous avons vu au contraire que dans les autres régions de la
moelle
ces éléments avaient conservé leur apparence norm
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. onnent de la pie-mère dans la
moelle
(Voir Cig.1, Pl. XIII,XIV,XV) (l).Les plus cara
re part le nombre des tubes malades dans la région supérieure de la
moelle
est beaucoup plus considérable qu'on ne pourrait
, les lésions vasculaires observées dans la substance blanche de la
moelle
semblent de peu d'importance. Elles sont cependan
escription la rareté relative de véritables corps granuleux dans la
moelle
, particularité qui tient sans doute au degré pe
re d'une lésion due à l'action directe du virus syphilitique sur la
moelle
et ses enveloppes ? Nous devons nous demander tou
des altérations des éléments nerveux dans les deux substances de la
moelle
. Pour une part au moins, la myélite est évidemmen
ellulaire, qui envahit les méninges, pénètre de la pie-mère dans la
moelle
et détruit les tubes ner- veux. Restent à exp
truits par l'infil- tration méningée propagée à la périphérie de la
moelle
? Une interpréta- tion semblable a déjà été don
rticipe se- condairement aux divers processus pathologiques dans la
moelle
. Mais dans le cas particulier, nous insisterons
méningite et a1'l/chnite spinales étendues à toute la hauteur de la
moelle
, avec participation des veines mé- ningées ; al
ticipation des veines mé- ningées ; altérations secondaires dans la
moelle
, en partie par propagation des lésions méningée
la lésion, de par ses caractères anatomiques ? Ce n'est pas dans la
moelle
elle-même que nous devons chercher ces caractères
parois vasculaires, soitdansl'inGltrationdif- fuse qui a envahi la
moelle
par endroits : toutes particularités qui ne se
s syphilitiques, de produire des paraplégies, par compression de la
moelle
. Ce sont les cas auxquels Zambaco, dans sa thès
lever dans la littérature. Heubner, dans son article Syphilis de la
moelle
du Ziemssen's Itazdb2ccl signale la prédilectio
édilection de la néoformation syphilitique pour la périphérie de la
moelle
: elle se développe de préférence, dit-il, dans l
anatomique, qui se rapproche de la nôtre à bien des égards (1). La
moelle
présentait dans ce cas à l'oeil nu un ramollissem
r les altérations des enveloppes et des vaisseaux nourriciers de la
moelle
dans les cas de ce genre. Greiff (2) en 1882 si-
te) avec les lésions des vaisseaux qui cheminent à la surface de la
moelle
. Le premier, il décrit les altérations des vein
vail de Rumpl' (3) (1885) sur les altérations vas- culaires dans la
moelle
des syphilitiques sont en grande partie conformes
Dans un cas analogue, il constate au niveau d'un foyer occupant la
moelle
dorsale une inflammation intense des artères et d
rement la pie-mère et les prolongements que celle-ci envoie dans la
moelle
... Celles-ci s'agglomèrent principalement autou
fin les lésions ménin- gées spinales occupent toute la hauteur ; la
moelle
n'étant intéressée que secondairement et dans u
ique émanant de la pie-mère, et s'avançant en forme de coin dans la
moelle
détruisait une partie du cordon antérieur et la c
ement, soit par propagation directe de l'infiltration méningée à la
moelle
, soit par suite des troubles circula- toires qu
ingénieusement tentée par M. Lancereaux, conduit à admettre dans la
moelle
un processus identique au ramollissement cérébral
éveloppée en quelques heures emporta le malade en moins de mois. La
moelle
fraîche paraissait saine à l'oeil nu. Mais le m
et des altérations dé- génératives dans la substance blanche de la
moelle
. La pie-mère offrait une multiplication cellula
, dit M. Raymond, sont les plus fréquentes, le gros tubercule de la
moelle
étant l'exception; et même dans ces formes diffus
élite scléreuse, avec participation des vaisseaux nourriciers de la
moelle
(périartérite et périphlébite). Lecl... Emile,
ettre d'en publier l'observation, ainsi que l'examen anatomique de la
moelle
que nous publions plus loin. Nous l'en remercio
les coupes ; ainsi que la protubé- rance et le bulbe. Du côté de la
moelle
, on ne constate aucune altération du canal rach
nes il l'oeil nu, les vais- seaux qui serpentent à la surface de la
moelle
sont gorgés de sang. Sur les cou- pes, la subst
e prolonge avec les cloisons conjonctives de l'organe. Examen de la
moelle
épinière après durcissement dans le liquide de Mi
a moelle épinière après durcissement dans le liquide de Millier. La
moelle
nous a été confiée après durcissement. On pouvait
upérieure, depuis la 2e jusqu'à la 5e racine. Dans cette région, la
moelle
présente une forme obli- que ovalaire; sa confi
de la coupe, mais surtout prononcée dans la' région postérieure. La
moelle
reprend peu à peu sa configuration et sa consista
olument saine, à part la double dégénération en question. Dans la
moelle
cervicale, jusqu'au bulbe, les coupes transversal
car dans les points où elle se trouve écartée de la sur- face de la
moelle
, une partie du tissu médullaire est restée adhére
nde de la méninge, et il existe une véritable déchirure. Quant à la
moelle
elle-même, sa configuration n'est pas reconnaissa
nce blanche de larges territoires de sclérose, Fig. 15. Coupe de la
moelle
dorsale, au niveau du foyer de la lésion, colorée
uvelles formations creusés dans leur épaisseur (Fig. 17). Dans la
moelle
elle-même, les lésions sont considérables dans le
ance grise. Nous avons déjà signalé leur distribution en examinant la
moelle
as un faible grossissement. En examinant à l'ai
u petit foyer gommeux qui occupe le cordon latéral gauche dans la
moelle
dorsale supérieure. .172 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
s la même région, c'est-à- dire dans le cordon latéral gauche, la
moelle
offre une cavité en forme de fissure demi-circu
le infé- rieure. La sclérose diffuse de la région postérieure de la
moelle
s'atténue, au point qu'au niveau de la 7e racin
plus bas. La substance grise reprend son apparence normale dans la
moelle
dorsale in- férieure : les grandes cellules rec
principal. Elles existent d'ail- leurs dans toute la hauteur de la
moelle
dorsale. Les altérations méningées et celles de
s veines renferme beaucoup plus d'éléments cellulaires que dans une
moelle
normale. Dans le renflement lombaire, il n'exis
qui précède nous a démontré dans les méninges, les vaisseaux et la
moelle
, l'existence de lésions diffuses, anciennes pour
n. Le foyer principal, occupant une hauteur de il 3 racines dans la
moelle
dorsale supérieure, présente une sclérose diffu
hées également sur une étendue en hau- teur bien plus grande que la
moelle
; et dans la région cervicale, où celle- ci est
3. DE LA 111ÉNINGO-i<IYÉLI'1E SYPHILITIQUE 175 vasculaires. La
moelle
elle-même nous montre une sclérose névroglique
tions gommeuses qui émanent de la pie-mère et qui pénètrent dans la
moelle
en manière de coin ou de triangle. Tels sont le
e fut emportée rapidement. L'autopsie mon- tra une induration de la
moelle
dorsale au niveau du cordon latéral gau- che. A
arachnoïde et la pie-mère épaissies étaient intimement soudées à la
moelle
à ce niveau, englobant les racines nerveuses at
r aux enveloppes immédiates des centres nerveux, aussi bien dans la
moelle
que dans le cerveau, c'est-à-dire à la pie-mère
ues deviennent évidentes : l'inflammation avant de se propager à la
moelle
épinière envahit les 3 tuniques, qui s'épaississe
où la syphilis se localise d'emblée sur les enveloppes molles de la
moelle
. Nous envisagerons ici exclusivement les faits
inale syphilitique, pachyméningite spinale avec envahissement de la
moelle
. - Ger... Euphémie 43 ans entre le 28 février 1
ns le Cerveau, ni dans le mésocéphale. Examen macroscopique de la
moelle
. Dans toute la région cervicale, la moelle est
amen macroscopique de la moelle. Dans toute la région cervicale, la
moelle
est entourée d'une épaisse virole formée par les
ien impos- sibles à séparer les unes des autres qu'à détacher de la
moelle
. Vers le renflement cervical, la dure-mère cess
térieure, mais reste soudée aux faces latérales et postérieures de la
moelle
. La forme de celle-ci est parfaitement conservé
la région dorsale supérieure. Dans la ré- gion dorsale moyenne, la
moelle
reprend son apparence normale. La dure-mère n'e
ce, le bulbe il ses différentes hauteurs, le rendement cervical, la
moelle
dorsale et lombaire différents niveaux ont été ex
a méningite est limitée il la demi-circon- férence postérieure delà
moelle
. (Fig. 26). Les 3 méninges sont soudées entre e
). Les 3 méninges sont soudées entre elles et unies intimement à la
moelle
dans l'étendue des cordons postérieurs. Les rac
oblitérés et montrent une transformation fibreuse com- plète. La
moelle
épinière elle-même présente une dégénérescence co
ns latéraux. Cette dégé- nération non systématisée, s'étend dans la
moelle
sous forme d'un triangle, dont la base très éla
15 Fig. 26. Méningite spinale limitée à la région postérieure de la
moelle
: symphyse méningo-médullaire. - Envahissement
postérieurs et de la partie la plus reculée des cordons latéraux. (
Moelle
cervicale). 210 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
de la région qui en soit totalement dépourvu. Dans le reste de la
moelle
(cornes antérieures, cordons antéro-latéraw, sauf
ninges sont un peu épaissies sur les parties antéro-latérales de la
moelle
; mais pas d'une façon comparable à l'hypertrophie
trées de cellules rondos et sont plus ou moins oblitérées ; mais la
moelle
n'est pas intéressée à ce niveau. Fait intéress
niveau. Fait intéressant à noter : les vaisseaux nourriciers de la
moelle
ne présentent d'altérations de leurs parois que
sissement dans la région postérieure, mais sans envahissement de la
moelle
. Les cordons postérieurs sont absolument sains.
, il n'existe aucune apparence anormale du côté des méninges, de la
moelle
, ni des racines. Bulbe rachidien et protubéranc
les mêmes lésions que dans les cordons postérieurs au niveau de la
moelle
cervicale. Sur les coupes traitées par la méthode
ue (Méthode de PAL). DE LA 11GNINGO-llLYi : LITE SYPHILITIQUE 213
moelle
, dans la région cervicale, est entourée d'une épa
re elles (voir iig. 23). Cette énorme méningite s'est propagée à la
moelle
elle-même, d'une façon diffuse, dans l'étendue
la lésion rachi- dienne, c'est que les vaisseaux nourriciers de la
moelle
et ceux des ménin- ges ne sont intéressés que s
atrice en- globant les 3 méninges, qui sont intimement soudées à la
moelle
: tout au plus existe-t-il quelques cellules ro
plongés dans ce tissu cicatriciel, et de ceux qui pénètrent dans la
moelle
au niveau du territoire dégénéré; mais rien qui r
inale syphilitique. Les seuls qui nous occupent ici sont ceux où la
moelle
est envahie secondairement aux enveloppes ; ceux-
se développe, tend à se propager vers le bas, c'est- à-dire vers la
moelle
épinière. Jiirgens (1) a l'ait remarquer il ce pr
ence inévitable les plus graves désordres anatomiques du côté de la
moelle
épi- nière. Dans l'important travail auquel n
su ambiant. La méningite va en augmentant d'intensité du côté de la
moelle
épinière. Dans les 2/3 supérieurs, il existe une
rophie colos- sale des méninges qui sont unies entre elles et ai la
moelle
; la dure-mère est complètement soudée à l'arach
la moelle; la dure-mère est complètement soudée à l'arachnoïde ; la
moelle
elle-même est très alté- rée dans toute l'étend
rences importantes qui séparent ces pachy-méningiles propagées a la
moelle
épinière des leptomyélites étudiées précédemment
i- tiale sur les méninges et la propagation de l'inllammalion a la
moelle
; enfin la participation des vaisseaux nourricie
a la moelle; enfin la participation des vaisseaux nourriciers de la
moelle
, ayant pour conséquence inévitable des troubles
ès pos- sible, le processus général des lésions syphilitiques de la
moelle
. Mais, ainsi que nous le verrons dans la suite,
s cas, la rachialgie qui précède les affections syphilitiques de la
moelle
et les annonce, présentait des carac- tères trè
(observ. IV, V). Au bout de quelques jours à quelques semaines, la
moelle
elle-même est envahie; et sa participation se t
ement rachialgie spécifique. Dans une 3e étape, envahissement de la
moelle
épinière, marqué par une hémiplégie spinale (sy
lète entre les accidents cérébraux et ce qui'se passe du côté de la
moelle
épinière. Ainsi les céphalées spécifiques semblen
rachialgie nocturne traduit l'envahissement des envelop- pes de la
moelle
. Dans uneseconde phase de la maladie, l'apparitio
lysie dans le domaine des nerfs crâniens, d'accidents du côté de la
moelle
épinière indiquent la participation du tissu nerv
nt toutes les nuits. Au bout de quelques jours, envahissement de la
moelle
: paralysie des si membres. Antélio- ration con
pinale a certainement intéressé les racines spinales, tandis que la
moelle
a été respectée. Nous n'avons pas l'intention d'a
èdent en importance aux altérations des vaisseaux nourriciers de la
moelle
dont elles sont inséparables, et que les phénom
é, parfois d'une façon soudaine. On est tenté d'admettre ici que la
moelle
a été intéressée directement et sans l'interméd
i à faire intervenir les thromboses des vaisseaux nourriciers de la
moelle
, par analogie avec ce qui se produit dans le ra
remarque du professeur Erb, que les affections syphilitiques de la
moelle
épinière ont contribué pour une large part à l'
l de paralytique tous les infirmes par maladies du cerveau ou de la
moelle
épinière. C'est l'époque où Duchenne, de Boulog
e voie féconde, et son tour, de ce groupe confus des maladies de la
moelle
non différenciées, il sort la sclérose en plaques
il la Salpêtrière sur les maladies or- ganiques du cerveau et de la
moelle
jette sur la médecine française un lus- tre inc
a guère de loi absolue en pathologie : les accidents du côté de la
moelle
, les paralysies peuvent apparaître sans avoir é
r ainsi dire, reconnaît une lésion constante qu'il localise dans la
moelle
dor- sale et qu'il suppose située clans la moit
r dans son évolution la méningite spinale syphilitique avant que la
moelle
n'ait été touchée (Voir observ. VU et le cas de
une inflammation générale et avancée, et du ramol- lissement de la
moelle
. Trousseau était disposé à considérer la syphilis
d'altérations considérables du côté des vaisseaux nourriciers de la
moelle
épinière chez les syphilitiques. Nous nous som-
les ne sont pas les seules. Nous avons vu que l'envahissement de la
moelle
pouvait se tra- duire exceptionnellement par le
la l'existence de lésions syphilitiques non seulement du côté de la
moelle
, mais dans d'autres organes, et dans le foie en p
, la profon- deur, ou la localisation des lésions secondaires de la
moelle
. Nous ne saurions passer sous silence enfin que
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. rieurs et les racines de la
moelle
, ctspécialement au niveau des régions qui tienn
e n'affecte jamais les al- lures d'une affection systématisée de la
moelle
épinière, de même que les lésions anatomiques q
avons rapportées. Dans un travail tout récent sur la syphilis de la
moelle
épinière, Goldflam (1) relate 18 cas du même ge
périodes de la syphilis et la forme des lésions spécifi- ques de la
moelle
épinière, au moins en ce qui concerne les méningo
s'observe le plus communément dans les lésions syphilitiques de la
moelle
épinière se rapporte il une méningo- myélite di
çon constante d'altérations du côté des vaisseaux nourriciers de la
moelle
. Les lésions des méninges et des vais- seaux qu
ion des premières, à décrire à part l'arté- rite syphilitique de la
moelle
, comme on distingue la méningite et l'arté- rit
ion n'est généralement pas possible à faire en ce qui con- cerne la
moelle
, et que les deux ordres de lésions prennent toujo
aux localisations de la syphilis sur les méninges d'abord et sur la
moelle
ensuite. La période prodromique est marquée par
pathogénie ? (1) On a observé en outre des lésions organiques de la
moelle
épinière de différentes sortes. Ilelweg. Messag
davantage le droit de rapporter cette affection à une lésion de la
moelle
épinière, les symptômes cliniques propres à ce
élique, XVII, XVIII. Dléningomyélile syphilitique, coupes de la
moelle
, XIII, XIV, 'XV. Myopathie, forme facio-scapulo
52, 53, 54, 55, 56. llléningo-myélite syphilitique, coupes de la
moelle
, 4, 5, 15, 16, 17, 18, 19, 26, 27. Pied dans la
des auteurs; et la localisation toute spéciale des lésions dans la
moelle
et le bulbe est trop bien connue pour qu'il soi
de l'écorce jusqu'à la grande cellule des cornes antérieures de la
moelle
, d'où elle s'étend finalement jusqu'à l'élément
ne semblent pas diminuées de volume. Les surfaces de section de la
moelle
fraîche montrent une congestion assez intense d
artageant cette moitié de la protubérance en deux parties égales.
Moelle
. Les racines antérieures des 4 premières paires
antérieures cervicales. Coloration par le carmin des coupes de la
moelle
: Région cervicale. Outre la sclérose du faisce
ne zone transversale s'étendant presque jusqu'à la périphérie de la
moelle
; dans la région de substance blanche qui s'éte
la bande de sclérose s'étend en avant jusqu'à la péri- phérie de la
moelle
au niveau de l'extrémité antérieure, de la corn
à la région occupée par le faisceau pyramidal dans ce segment de la
moelle
. Les cellules motrices des cornes antérieures s
Weigert (hématoxyline), on constate sur les différentes coupes dela
moelle
les faits suivants : Dans les faisceaux pyramid
inces fibres qui persistent. Quant à ces grosses fibres qui sur une
moelle
normale se voient si nettement avec leur volumi
on au moyen de la coloration par fuchsine acide) (Weigert). Dans la
moelle
lombaire, le nombre des fibres nerveuses de la
fibres ner- veuses semblent un peu moins nombreuses que dans des
moelles
normales prises comme terme de comparaison. Ces
avec le tiers postérieur, empié- tant plutôt un peu sur celui-ci.
Moelle
cervicale. Le nombre des grandes cellules des c
e ces corps dans la subs- tance blanche près de la périphérie de la
moelle
, au niveau d'une ligne horizontale passant par
expansions du tractus intermedio-lateralis. A la périphérie de la
moelle
, on en trouve quelques-uns dans le faisceau cér
sparu et ses restes sont accolés à un volumineux corps granuleux.
Moelle
dorsale. Sa forme n'est pas régulière, le sillon
s branches de cet N n'atteignent pas en arrière la périphérie de la
moelle
. Sur les coupes faites par congélation et trait
ux dans le voisinage de la substance grise qu'à la périphérie de la
moelle
. Au devant des cornes antérieures, ces corps gr
la partie du faisceau antérieur située près de la périphérie de la
moelle
, en avant; au contraire, il n'y en a pour ainsi
x dans les cornes posté- rieures ni dans les cordons postérieurs.
Moelle
lombaire. La sclérose occupe très nettement le
és, mais un peu plus nombreux cependant près de la périphérie de la
moelle
au voisinage de l'extrémité anté- rieure du sil
a substance grise, beaucoup moins que dans les autres régions de la
moelle
; un très petit nombre seulement de cellules ner
ps granuleux, dans l'intérieur des hémisphères cérébraux et dans la
moelle
. Toutes les coupes ont été faites par la méthod
sous le couvre-objet, soit avec le doigt, soit avec un morceau de
moelle
de sureau. En opérant cet écrasement d'une faço
en collaboration avec M. lluet, n'a été appliquée qu'aux coupes de
moelle
; ses résultats ont été supérieurs à ceux obtenu
on en rencontre quelques-uns, assez peu abondants ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPl\1RE. 35 d'ailleurs, dans les espaces périva
éléments. (A suivre.) PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE altérations DE la
moelle
ÉPINIÈRE causées par l'élongation du nerf sciat
e grise occupant les cordons postérieurs dans toute l'étendue de la
moelle
. Cavafy3, ayant pratiqué dix-neuf fois la tract
stata une dégénérescence très accusée des cordons postérieurs de la
moelle
. Nicoladoni élongea les quatre nerfs intercosta
rfs intercostaux inférieurs à un malade qui mourut le lendemain. La
moelle
épinière et les nerfs sus-nommés furent trouvés
des nerfs sciatiques mourut le neuvième jour d'une hémorragie de la
moelle
. Depuis vingt ans syphilitique, ce malade souff
eur Klebs montra une sclérose typique des cordons postérieurs de la
moelle
, une hémorragie sous les méninges et des traces
provenance peut-être mise sur le compte du traumatisme subi par la
moelle
. 1 Nicoladoni. Beitrdge zur Neroerzchirurgie. (
med. lVa- chenschr., 1882, no5 11 et suivants). ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 37 Rosenstein' 1 (Clinique du profess
fut faite par le professeur Marchand. Dans sa partie supérieure, la
moelle
fut trouvée aplatie ; sur toute son étendue la
upérieure, la moelle fut trouvée aplatie ; sur toute son étendue la
moelle
présentait une altération de forme triangulaire
ient plus minces que d'ordinaire et de couleur gris rougeâtre. La
moelle
durcie, examinée au microscope par le Dr Rosens
orpuscules amyloïdes autour du canal central. ' ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
EPIXIHRH. 39 GROUPE III. Recherches expérimenta
s sur l'élon- gation des nerfs chez les animaux sans examen de la
moelle
épinière. M. Duvault' communique dans sa thèse
clinic Messina, 1880. 2 Gillette. - Loc. cft. ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. lift Johnson Syminton' entreprit des
e un retour de la sensibilité dans le membre où l'hémisection de la
moelle
épinière avait produit de l'anesthésie, souvent
thésie. Chez presque tous les animaux soumise une hémisection de la
moelle
dorsale, l'hyperesthésie causée par cette lésio
de la sensibilité affaiblie du côté opposé à l'hé- misection de la
moelle
, après l'élongation du sciatique faite du côté
. (Aoch. sur Psych., etc., 1881 2. p. 532.) . . ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 43 veux indemnes, d'autres tubes, don
gation des nerfs chez les animaux avec examen mi- croscopique de la
moelle
épinière. L'élongation des nerfs réagit-elle su
ue de la moelle épinière. L'élongation des nerfs réagit-elle sur la
moelle
épi- nière ? Y produit-elle au moins des altéra
, Conrad prétendent que l'élongation des nerfs ne réagit pas sur la
moelle
. D'autres, au contraire, comme le Dr Gillette',
e la traction nerveuse peut même être observée à l'oeil nu sur la
moelle
d'un cadavre. Le Dr Gillette fait placer la main
be ; en tirant fortement sur le sciatique, l'aide sent nettement la
moelle
se déplacer sous ses doigts. Le professeur Güss
Le professeur Güssenbauer fixant un point déterminé au niveau de la
moelle
, le vit s'abaisser au moment de la traction. Ce
. - Ueber Neruendchnung. (Prag. med. Wach., 1882, ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 45 amenèrent-elles une altération que
5 amenèrent-elles une altération quelconque dans les tissus de la
moelle
? C'est ce que M. Güssenbauer s'abstient pour l
n d'un appareil graphique, l'effet de l'élongation des nerfs sur la
moelle
dorsale. Il s'assura que même les tractions lég
'assura que même les tractions légères amènent une secousse de la
moelle
. Cependant, l'effet de cette secousse n'aug- me
res, suppose que la traction porte également sur la dure-mère de la
moelle
et imprime à cette dernière vraisemblablement u
ière vraisemblablement une légère secousse. Pour ce qui est de la
moelle
elle-même et des nerfs intervertébraux, ils ne
ue l'effet d'une irritation violente des nerfs périphériques sur la
moelle
fût discutée par MM. Fin- berg3, Tiesler`, Klem
x du bras. Thèse de Paris, 1879. 6 Hayem. Sur les altérations de la
moelle
consécutives à l'ai-i-ache- ment et à la résect
E. description histologique détaillée et précise sur l'état de la
moelle
, consécutif ou traumatisme violent du nerf scia
ue et les sacrifia au bout dé deux mois. Examinée au microscope, la
moelle
épinière présenta, dans la région qui correspon
ermine la rupture des racines antérieures avant leur entrée dans la
moelle
, et des racines posté- rieures dans leur trajet
e un traumatisme considérable de la partie correspon- dante de la
moelle
, et cette sorte de plaie est suivie d'une myéli
rou- vèrent la tendance de cette myélite à se propager à toute la
moelle
jusqu'aux noyaux bulbaires. Mayser P ? 1 Compte
nchen Ruckenmarks. (Ardt. sur Psch., etc., 1S77.) ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. , 47 se servit, pour ses examens micr
OELLE ÉPINIÈRE. , 47 se servit, pour ses examens microscopiques, de
moelles
durcies provenant de lapins auxquels le profess
aché les nerfs scia- tiques avec les racines à leur émergence de la
moelle
. M. Mayser constata dans le renflement lombaire
fs péri- phériques peut occasionner de graves altérations dans la
moelle
et cite, à l'appui de son opinion, les recherch
n petit nombre seulement touche à la question des altérations de la
moelle
, occasionnées par le trauma- tisme des nerfs pé
s jusqu'à présent, aucun travail concernant les altérations de la
moelle
produites par l'élongation des nerfs, n'a été 1
nces sur les altérations que produit l'élongation des nerfs dans la
moelle
épinière, au point de vue histologique. Pour
nen, 1876. St-Pélersbourg, p. 190 et suivantes. ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 49 j on enferme la plaie avec du cate
groupe. Fig. 1. (2/3 de la grandeur naturelle). ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 51 t Sur quarante tractions, il nous
t. Passons maintenant à l'examen microscopique des nerfs et de la
moelle
épinière des lapins soumis à l'é- longation des
en nous conformant exactement aux indications de M. Ranvier'. La
moelle
épinière était durcie dans le liquide pro- posé
e notre travail, qui a pour objet principal les altérations de la
moelle
, nous nous contenterons de donner brièvement ic
lentes tractions, les parties voisines 1 Erlicky. Altérations de la
moelle
épinière du chien api-ès l'amputa- tion. Diss.
ux altérations que détermine l'élongation du nerf sciatique dans la
moelle
. De toutes nos expériences, quatre moelles seul
du nerf sciatique dans la moelle. De toutes nos expériences, quatre
moelles
seulement n'ont pas été examinées au microscope
nné le résultat suivant : Les différents degrés d'altérations de la
moelle
sont en rapport avec les différents degrés d'in
de la fig. 2, par exemple, présente un amoindris- ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 57 sèment de volume de 15 millimètres
re la figure. Il PL. I. ' Il va sans dire que les altérations de la
moelle
ne s'arrêtent pas aux cordons postérieurs seule
ction de force moyenne (de 3 à 4 kilos), nous trouvons déjà dans la
moelle
du lapin sacrifié quelques jours après l'opérat
issu conjonctif trouvé en abon- dance dans la région lombaire de la
moelle
des lapins qui ont survécu plus longtemps à la
cu plus longtemps à la traction. Généra- lement on constate dans la
moelle
de ces derniers, à côté de l'atrophie du cordon
résumant les altérations morbides que nous avons observées dans la
moelle
épinière du lapin à la suite de l'élongation du
° De la prolifération des noyaux de la névroglie; ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 59 4° Un accroissement du tissu conjo
uée avec une certaine force, est loin de rester inoffensive pour la
moelle
épinière ; elle exerce son action principalemen
1° Une irritation traumatique avec hémorrhagies capillaires de la
moelle
à différents niveaux, ce qui con- tribue à l'at
expliquer les graves altérations que nous avons trou- vées dans la
moelle
épinière après la traction ; altéra- tions qui
nes antérieures. Ces modifications constantes dans les tissus de la
moelle
font ressortir les graves conséquences de l'élo
passer chez l'homme et notamment chez l'ataxique, ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 61 quand on le soumet, dans un but th
ltérations, que nous avons constatées dans la région lombaire de la
moelle
, se localisent principale- ment dans les cornes
qui porte elle-même son action sur les cordons postérieurs de la
moelle
? L'élongation des nerfs a été entreprise et l'es
e et de l'atrophie dans les cornes et les cordons postérieurs de la
moelle
. Mais, nous répondra-t-on, on ne saurait compar
arité Annalen, 1883, p. 373. 2 Hayem. Loc. Cil. ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 63 lève tout le corps du malade sur l
ment du tissu conjonctif qui comprime les éléments nerveux de la
moelle
, comment peut-elle être utile dans l'ataxie loc
se et d'atrophie dans les cornes et les cordons pos- térieurs de la
moelle
, ce qui ne saurait contribuer en aucune façon à
. EXPLICATION DE LA PLANCHE I. Fig. 4. - Coupe transversale de la
moelle
épinière passant par le ren- flement lombaire d
de la traction. - Les éléments nerveux du cordon ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
EPINIERE. 68 postérieur, A, sont remplacés par
cordon postérieur gauche, 2mm, 40. Fig. 2. Coupe transversale de la
moelle
épinière passant par le renflement lombaire d'u
corne postérieure droite est diminuée de volume autant que dans la
moelle
précédente. Vau- coles dans la corne antérieure
mé- liore considérablement ; elle guérit même plus souvent, si la
moelle
est peu ou point atteinte, rarement si elle est f
raplégie spasmodique par mal de Pott, qu'au milieu du tronçon de la
moelle
sclérosée il y avait des tubes nerveux qui réta
unications entre le segment supérieur et le segment inférieur de la
moelle
épinière. Ces fibres étaient très probablement
ble des racines qui au-dessous du renflement lombaire partent de la
moelle
pour former la queue de cheval ; ou bien, pour
ines postérieures et antérieures avant l'extrémité inférieure de la
moelle
, et les ganglions spinaux; il porte encore sur
page le long des racines postérieures coupées vers le centre de la
moelle
. Les ganglions intervertébraux serviraient donc
ux racines des nerfs spinaux, mais aux éléments cellulaires de la
moelle
même. L'ascension du processus dégénératif, plus
n variant les expériences. P. K. IV. Remarques SUR la FORME DE la
moelle
ÉPINIÈRE DE l'homme; par M. FLESCH. (Neurolog.
E DE l'homme; par M. FLESCH. (Neurolog. Çei ? 12albl., 188t.) Une
moelle
d'un enfant de dix-huit mois ayant succombé à l
excitation, au contraire, se réfléchit jusque sur les centres de la
moelle
et produit une hypothermie étendue. Voici un ma
e myélite qui a inter- rompu l'arc réflexe; dans ces conditions, la
moelle
n'interve- nant plus, une excitation d'intensit
: Des altérations artificielles cadavériques et pathologiques de la
moelle
; par A. Pick. CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE DE la for
ion DE vacuoles dans LES CELLULES NERVEUSES, ganglionnaires DE la
moelle
, par R. SCHULZ. (Neurolog. Centralbl., 1881.) R
HRONIQUE DE LA QUEUE DE CHEVAL AVEC DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE DE LA
MOELLE
, PROBABLEMENT D'ORIGINE SYPHILITIQUE par C. EL
e de certains segments des cordons postérieurs tout le long de la
moelle
, dégénérescence secondaire ascendantes des racine
es de l'extrémité supérieure droite et de la jambe du même côté. La
moelle
ne présente que des pertes de subs- tances vacu
es des cornes antérieures sacro-lombaires ; même altération dans la
moelle
cervicale entre la quatrième et la huitième pai
ie NERVEUSE. 93 VI. SUR L'EXISTENCE DE cylindraxes tuméfiés dans la
MOELLE
épinière; par F. SCHULTZE. (Neurolog. Centralbl
t de ces tuméfactions à un degré extrême, sur toute l'étendue de la
moelle
, dans tous les cordons, à toutes les hauteurs d
9'p le REVUE DE pathologie nerveuse. des nerfs périphériques, la
moelle
étant restée indemne, notam- ment dans les corn
s nerfs périphériques, presque jamais les racines antérieures de la
moelle
ne sont trouvées malades ; en second lieu, pres
. On ne saurait non plus en principe séparer les altéra- tions delà
moelle
(poliomyélite) de celles des nerfs périphériques
positions intra-histologiques qu'ils suscitent, gagne finalement la
moelle
, d'où le tabès. La prédisposition réside dans l
atholo- gique des ganglions spinaux peut, par action réflexe sur la
moelle
, être 106 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'occasion
ppement de symptômes morbides spinaux. De même, une affection de la
moelle
peut, par action réflexe sur le cerveau, déter-
Je traite les symptômes cérébraux à l'aide de l'électrisation de la
moelle
allongée, en plaçant une électrode dans la fosset
nduisant l'électricité à travers la partie la plus inférieure de la
moelle
cervicale; mais il faut, pour cela qu'ils ne soie
(névrose électrique). - Il,- L'électrisation de l'encéphale, de la
moelle
, des ganglions et du revê- tement cutané exerce
s fussent d'origine centrale, par l'électrisation du bulbe ou de la
moelle
cervicale, dans les cas mêmes où l'électrisation
tion grise des nerfs et des bandelettes optiques. On trouve dans la
moelle
la dégénéres- cence grise des cordons postérieu
tholo- gique. Pas de lésions macroscopiques de l'encéphale ni de la
moelle
. Seule, la substance cérébrale parait oedématié
nâtre, visqueuse, facile détacher. Au mi- croscope, l'encéphale, la
moelle
, les ganglions intervertébraux, les ganglions d
tei- gnent principalement les cellules. Extrêmement vives dans la
moelle
(cornes antérieures) elles se résument en : dispa
gorgés d'hématies présentent la diapédèse desglobulesrouges dans la
moelle
, avecexsudat plasma- tique (colloïde); leurs pa
ructure. Peu de chose dans la substance blanche du cerveau ou de la
moelle
; elle est raréfiée et ses noyaux ont diminué de
ou mieux accès laryngés. Une préparation d'Eisenlohr concernant la
moelle
allongée d'un tabétique ayanl présenté de semblab
r tous les points où ils sont accessibles dans leur trajet entre la
moelle
épinière et la zone. 3° Les zones viscérales, o
crées aux névroses vaso-motrices et trophiques. Les maladies de la
moelle
sont aussi judicieusement traitées. M. Struempe
ie de Friedreich). Enfin, l'étude des lésions hémi- latérales de la
moelle
(paralysie spinale de Brown-Séquard) scra, croy
on y rencontre. De récents mémoires ont rajeuni la pathologie de la
moelle
allongée ; aussi l'exposé des formes rares de l
lechsig; en effet, nous 1 . JI , j à ¡ ? . hj h' , avons, dans la
moelle
cervicale, constaté [Fia. 6. PL. 14 11) ' « t -
'' ' < ' l'existence de corps granuleux dans une partie de la
moelle
située bien en avant du territoire de ce faisceau
avait que quelques-uns, mais ils se voyaient nettement. ' Dans la
moelle
dorsale, il en était de même pour le faisceau p
es corps seulement au niveau des faisceaux de Türck; commé dans la'
moelle
cervicale, nous avons constaté qu'ils existaien
antérieurs et dans les cordons latéraux sur toute la hauteur de la
moelle
dorsale. Quoi qu'il en soit, c'est là, croyons-
as à dédaigner pour l'étude du trajet du faisceau pyramidal dans la
moelle
. Dans la région lombaire, les corps granuleux
igert) est beaucoup moins altérée que dans les autres régions de la
moelle
, cette extension de la sclérose aux faisceaux a
vec un peu d'attention on reconnaît (cela est surtout net dans la
moelle
de Dupont) que les fibres qui persistent ainsi
ment de très minces fibres ; quant à ces grosses fibres qui sur une
moelle
normale se voient si nettement dans leur région
ente produite par l'inflammation prolongée des autres parties de la
moelle
qu'il faudrait rechercher la cause de cette lés
r des faisceaux pyramidaux depuis les circonvolutions jusqu'à' la
moelle
. Mais il faut bien noter qu'ils n'occupaient pas
l faut bien noter qu'ils n'occupaient pas (du-moins au-dessus de la
moelle
) toute la largeur de ceux-ci. Dans 1 'Observati
non des corps granuleux, n'aurait pu être retrouvée au-dessus de la
moelle
, et notamment, quelle qu'en soit d'ailleurs la
pro- venant des circonvolutions motrices et se rendant soit à la
moelle
, soit au bulbe; or ces faisceaux secondaires co
nce coupée par moitié, Observation I. A, corps granuleux. FiG. 6.
Moelle
cervicale, Observation II. A, corps granuleux d
ration sont, d'après lI. Chrisliani,dus à un em- poisonnement de la
moelle
allongée par le sang veineux, qui s'y y écoule
CONTRIBUTION A L'ETUDE DES FAUSSES SCLEROSES SYSTÉMATIQUES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE Par N. POPOFF, médecin il l'asile Sain
on publie cluelques observations d'affections sys- tématiques de la
moelle
épinière, sans que l'on ne porte un nouveau ray
ent d'eux-mêmes sans supposition d'une affection systématique de la
moelle
épinière. Ainsi, M. Adamlciewicz', se basant su
iatrie, 1880. Archives, L. X. 20 306 PATHOLOGIE NERVEUSE. de la
moelle
épinière d'un tabétique, avoue qu'on avait affa
dos qui 1 Arch. de Neurologie, 1884. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 307 augmentaient, puis une faiblesse
ole de l'autopsie. 11 est certain qu'à l'examen macroscopique de la
moelle
épinière à l'état frais, on remarqua une nuance
ie postérieure des cordons latéraux de la partie inférieure de la
moelle
. De la description citée, on voit que les sympt
ns, en un mot, tous les traits caractéristiques de la maladie de la
moelle
épinière, connue sous le nom de tabes dorsal sp
voyons justement chez notre malade. L'examen microscopique1 de la
moelle
épinière, fait par nous mêmes, nous donne : a
liquide de M.Erlitzky (Progrès notez., 1877, no 39) pour durcir la
moelle
, mais la pra- tique me prouva ensuite que bien
cir la moelle, mais la pra- tique me prouva ensuite que bien que la
moelle
atteigne très rapide- mont dans ce liquide le d
teur 'Cscltitsclt tl'Grtréphale, 1881' montrent eu plus que dans la
moelle
durcie d'après la méthode de 1(. Eriitxky, prob
ssemblent beaucoup au pigment. Quant il la pièce en question, cette
moelle
épinière fut durcie dans une solution de bichro
nettement de ceux de Burdach. Fin. 5. - Coupe transversale de la
moelle
épinière dans le renflement cervical. - Prolifé
du bord externe des cordons latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 311 Dans la région de l'origine appar
ig. 7. -Coupe dans la partie supérieure de la portion dorsale de la
moelle
épinière. Sclérose des cordons latéraux et postér
ntée de la manière précé- dente. A partir de. cette portion de la
moelle
épinière, la sclérose diminue peu à peu dans la
ombaire. Sclérose des cordons latéraux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA
MOELLE
ÉIMNIÈKE. 313 b) Substance grise. Dans la rég
ÉIMNIÈKE. 313 b) Substance grise. Dans la région cervicale de la
moelle
épinière on ne remarque pas dans la substance g
ules-araignées bien développées. Dans les parties inférieures de la
moelle
, les changements décrits plus haut ont, dans le
ies voisines de la substance grise. Dans la région lombaire de la
moelle
épinière, les phéno- mènes pathologiques mentio
Un coup d'oeil superficiel sur la marche de la sclé- rose dans la
moelle
épinière de notre malade pourrait conduire à la
s pathologique a plus de développement dans la région dorsale de la
moelle
en diminuant peu à peu 314 PATHOLOGIE NERVEUSE.
paraissent être plus évidents, spécialement dans la partie de la
moelle
où dans la substance blanche le processus patho
Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau et de la
moelle
épinière, 2e fascicule, 1877, p. 3w. 31 {j PATH
I3rilisli médical Journal. Janv. 1881.) DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 3t7 de la veine fémorale. La moelle,
USSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3t7 de la veine fémorale. La
moelle
, examinée à l'oeil nu, fut trouvée ramollie dan
ramollie dans la partie inférieure. A l'examen microscopique de la
moelle
durcie, dans la portion cer- vicale, on remarqu
exté- rieur non plus la périphérie. Dans la portion dorsale de la
moelle
la sclérose était plus claire, en conser- vant
uenzliche Schieht der grauen substanz. En outre, à l'examen de la
moelle
, on ne fit pas attention au foyer de ramollisse
foyer de ramollissemeut existant dans les parties inférieures de la
moelle
, ce qui ne permit d'expliquer ni son caractère,
7 Arçh. f. Psychiatrie, 1884, Bd. XV. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 3t9 320 PATHOLOGIE NERVEUSE. est su
es, il faut les diviser de la manière suivante : Dans deux cas la
moelle
épinière ne présentait pas de changements visib
us exceptons deux observations, où un chan- gement quelconque de la
moelle
ne fut pas constaté etqui, à l'état actuel de n
ent, il nous reste dix-huit cas, où nous pouvons apercevoir dans la
moelle
épi- nière des lésionséclatantesd'un caractère
sent connus de maladies primaires systé- matiques compliquées de là
moelle
épinière. ISS3), puisque cette thèse n'existe p
Minor ont dit qu'ils eurent occasion de voir les préparations de la
moelle
épinière que Jnbiueau (léci-it et ilq li'v Pas
nérescence descendante secondaire ? . DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 32 < Par conséquent, les paroles d
que du tabes dorsal spasmodique dans les différentes maladies de la
moelle
épinière; 3) La première place parmi ces affect
r- ' tient à la sclérose diffuse. , 1 Traité des maladies de la
moelle
épinière, 1837, t. II. Anciliviis. 1. X. il M
smes, rappelant tout à fait les névralgies dues à des lésions de la
moelle
; 5" L'apparition rapide de troubles vaso-moteur
n au diagnostic DES affections EN FOYER DE LA PROTUBÉRANCE ET DE LA
MOELLE
ALLONGEE; par H. SENA- TOR (Arch. f. Psych., XI
Voici ce qu'a constaté ce médecin distingué : de chaque côté de la
moelle
allongée, et reposant sur la surface inférieure d
ord postérieur du pont de Varole, et en dedans une dépression de la
moelle
. Ces tumeurs ne sont adhérentes ni au cervelet,
rs ne sont adhérentes ni au cervelet, ni à la protubérance, ni a la
moelle
; elles siègent à l'ex- térieur du feuillet visc
mps de symptômes spinaux, indique qu'il y a action réflexe sur la
moelle
, d'où l'utilité d'appliquer au cerveau telle sort
urologie, t. X, p. 104. 426 - REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. rants, à la
moelle
telle autre sorte d'électricité. Même action ré
te aux simples réflexes. Pourquoi »ont : ils aussi relégués dans la
moelle
? C'est que des lésions patho- logiques ont ann
un membre, ne paraissant mettre en jeu qu'une région limitée de la
moelle
: tels sont les mouvements de flexion ou d'exte
et pendant un moment l'impulsion fait défaut. Dans tous ces cas, la
moelle
s'émancipe, l'influence psycho-motrice semble s
e sa disposition morale et de sa volonté. Si nous remontons de la
moelle
et du mésocéphale à la couche corticale postéri
or- dons latéraux), un seul ne présentant aucune altération de la
moelle
épinière. M. Tuczek tendrait à croire qu'il y aur
is, 1885.) Utilité de la révulsion dans les affections aiguës de la
moelle
; par CALL.IS. (Thèse de Paris, 4885.) De l'é
trié (fibres du), par Edin- ger, 88. Cylindraxes tuméfiés dans la
moelle
épinière, par Scltultze, 93; - (dans la sclér
e de la queue de cheval avec dég¡'n¡'l'es- cence secondaire de la
moelle
, probablement d'origine' syphili- tique, par
s muscles malades, par Eulcubur, 90. Sciatique (altérations de la
moelle
épinière causées par l'élongation du), par Ta
nerf optique), par Eulenburg), 229. Scléroses systématiques de la
moelle
épinière (contribution il l'étude des fausses
N DES PLANCHES [PLANCHE PREMIÈRE Fig. 1. Coupe transversale de la
moelle
épinière passant par le ren- flement lombaire d
cordon postérieur gauche, 2mm, 40. Fig. 2. Coupe transversale de la
moelle
épinière passant par le renflement lombaire d'u
corne postérieure droite est diminuée de volume autant que dans la
moelle
précédente. Va- coles dans la corne antérieure
du bulbe et du labyrinthe ; les paraplégies et les affections de la
moelle
; les affections des nerfs ; les affections des
vical située soit dans le tronc du nerf, soit à son origine dans la
moelle
ou dans le bulbe, et que l'imagination, la sugges
fois le premier indice d'un mal de Pott, d'une tumeur comprimant la
moelle
. Très souvent les dou- leurs lancinantes consti
lusieurs cas de paraplégie crurale due à une lésion organique de la
moelle
un mouvement d'extension des orteils à la 28 SÉ
e à une plaque de sclérose occupant la région dorso- lombaire de la
moelle
. Le phénomène des orteils est ici encore plus a
e spinale avec anesthésie croisée, consécutive à une blessure de la
moelle
par arme à feu. Du côté gauche, qui est le sièg
a cause, qu'il s'agisse de lésion traumatique, de compression de la
moelle
par mal de Pott, de méningomyélite, de myélite
ale avec anesthésie croisée due à une hémisection traumatique de la
moelle
, à la partie moyenne de la région dorsale, quin
de le produire. Dans deux cas de section traumatique complète de la
moelle
, observés par PHÉNOMÈNE I)ES ORTEILS ET SA VALE
chez l'autre la lésion avait pour siège la partie supérieure de la
moelle
dorsale et l'examen avait eu lieu trois heures ap
re défaut dans la paraplégie résultant d'une section complète de la
moelle
. Si l'on jette un coup d'oeil d'ensemble sur le
lantaire est liée à des affections diverses de l'encéphale ou de la
moelle
. Or, ces affections, à tant d'égards si différent
centres des réflexes tendi- neux depuis la protubérance jusqu'à la
moelle
sacrée. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX
oint que nous aurons à traiter ultérieurement. Si les lésions de la
moelle
cervicale, au lieu d'atteindre tout le renflement
ningées. L'irré- flectivité résultera, soit d'une compression de la
moelle
et sera alors ana- logue à celle qu'engendrent
use et osseuse. Un ictus apoplectique, une compression subite de la
moelle
, une myélite aiguë, une hématomyélie peuvent abol
s en 1890, suivant laquelle une solution de continuité totale de la
moelle
, notamment dans la région cervicale ou cer- vic
ns anatomo-cliniques où une destruction transversale complète de la
moelle
s'était manifestée, entre autres signes, par un
nément. Par contre, depuis longtemps on savait qu'une section de la
moelle
chez une grenouille provoque une exagération de
rington, Sternberg, etc. Chez le lapin, le chien, une section de la
moelle
à la région dorsale ou à la région cervicale pe
par Jackson se maintiennent quelque temps après la sec- tion de la
moelle
. Mais on a publié des faits de section complète
de la moelle. Mais on a publié des faits de section complète de la
moelle
, vérifiée anatomiquement, où les réflexes tendi
sont exactes, elles établissent tout au moins que la section de la
moelle
, chez l'homme comme chez les animaux, n'a pas p
dans la plupart des cas de destruction transversale complète de la
moelle
, on constate une abo- lition des réflexes tendi
t pas sous la dépendance directe de la solution de continuité de la
moelle
, elle doit être liée à des causes indirectes qu'i
d'observa- tions où il n'existait que des lésions incomplètes de la
moelle
cervicale. J'ai rapporté moi-même (Archives de
expérimentale, 1891, n° 2 : Paraplégie flasque par compression de la (
moelle
) un cas de compression de la moelle cervicale o
flasque par compression de la (moelle) un cas de compression de la
moelle
cervicale où j'avais constaté l'abolition des réf
ÉMIOLOGIE ' ne provoqueraient pas dans la partie sous-jacente de la
moelle
une per- turbation comparable à celle que déter
une très intéressante expérience que Lapinski aurait réalisée : la
moelle
étant sectionnée chez le chien, dans la région
ard, on contusionne l'extrémité libre de la partie inférieure de la
moelle
, en la comprimant à plusieurs reprises entre les
'une manière durable. Enfin, on pratique une nouvelle section de la
moelle
au-dessous de la région comprimée : à la suite
e dépend d'une lésion bilatérale occupant soit l'encéphale, soit la
moelle
cervicale au-dessus du quatrième segment. Dans
, où l'exagération des réflexes tendineux ait manqué. Lésions de la
moelle
. La surréflectivité dans les lésions de la moelle
ué. Lésions de la moelle. La surréflectivité dans les lésions de la
moelle
(') De la paralysie par compression du faisceau
diffé- rentes suivant que le système pyramidal est atteint dans la
moelle
ou dans l'encéphale : dans les lésions encéphal
idal. La surréflectivité liée à des altérations syphilitiques de la
moelle
, dispa- rait quelquefois à la suite d'un traite
imés, non dégénérés. La surréflectivité due à une compression de la
moelle
par tumeur peut disparaître aussi, complètement
l'action d'une cause unique. Soit, par exemple, une lésion de la
moelle
lombaire au niveau du troi- sième segment, prov
au point de vue qui nous occupe, ce sont surtout les lésions de la
moelle
cervicale qui méritent une attention particulière
n particulière. Admettons que nous ayons affaire à une lésion de la
moelle
cervicale (méningo-myélite 0, pachyméningite, m
et de localiser, avec une remarquable précision, les lésions de la
moelle
cervicale. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES CUTAN
nt intenses aux membres inférieurs après section transversale de la
moelle
dorsale ('). (') J'ai publié, en collaboration
, 12 mai 1910) . 6) Sur la localisation des lésions comprimant la
moelle
. De la possibilité d'en préciser le siège et d'
- tébrale ayant déterminé une solution de continuité complète de la
moelle
; chez ce malade les réflexes de défense étaien
intéressant les faisceaux pyramidaux, siégeant vers le milieu de la
moelle
dorsale et donnant lieu à de l'exagération des ré
-Valensi relative à un cas de complète solution de continuité de la
moelle
cervicale, le réflexe cutané plantaire était norm
l'ictus. Dans les paraplégies liées à des lésions scléreuses de la
moelle
, il n'est pas exceptionnel d'observer le signe
les scléroses spinales diffuses, dans les cas de compression de la
moelle
par tumeur, pachyméningite, mal de Pott, les ré
intervention chirurgicale dirigée sur les racines postérieures de la
moelle
, mais la crainte d'accidents m'avait toujours e
s'agit généralement, soit d'altéra- tions scléreuses diffuses de la
moelle
, soit d'une compression spinale par une tumeur
ulté de se localiser en divers départements du cerveau, voire de la
moelle
et des nerfs, et de produire les mêmes effets q
e Prochaska qu'une grenouille ou un mammifère, dont on sectionne la
moelle
dorsale, retire brusquement la patte en fléchis
celui qu'effectue, sous la même excitation, une grenouille dont la
moelle
est intacte et qui cherche à se dérober à l'inj
réflexes de défense. vulpin, Dictionnaire de Dechambre. Article :
Moelle
épinière (Physiologie). () Brown-Séquard, Lectu
des animaux , 8 : ig-t86a. 116 SÉMIOLOGIE dans les tumeurs de la
moelle
et dans quelques autres affections de cette par
, par exemple, un sujet atteint de paraplégie par compression de la
moelle
état dans lequel les réflexes de défense sont gén
r : il s'agissait d'un cas de paraplégie par section complète de la
moelle
où il existait, en même temps que des réflexes
it par une sclérose spinale diffuse, soit par une compression de la
moelle
ou du bulbe, elle semble liée, particulièrement q
isation des lésions spinales, en particulier des compressions de la
moelle
. On sait que la topographie de l'anesthésie per
tion de son extré- mité inférieure. Or, dans les compressions de la
moelle
ayant déterminé de la paraplégie avec anesthési
i et moi, tout le territoire cutané en rapport avec la partie de la
moelle
sous-jacente à la lésion et la surréflectivité ne
tes, de déterminer par leur association la longueur sur laquelle la
moelle
est comprimée. A cette première règle nous avon
e la limite inférieure de la lésion siège à la partie moyenne de la
moelle
dorsale ou au-dessus. Notre expérience nous a a
la voie pyramidale, que celle-ci siège dans l'encéphale ou dans la
moelle
. S'ils retiennent seulement cette donnée, j'aur
) : il s'agissait d'un cas de paraplégie par section complète de la
moelle
où il existait, en même (') Revue Neurologique,
me Prochaska qu'une grenouille ou un mammifère dont on sectionne la
moelle
dorsale retire brusquement la patte en fléchiss
celui qu'effectue, sous la même excitation, une grenouille dont la
moelle
est intacte et qui cherche à se dérober à l'inj
quard signalent, il est vrai, leur existence dans les tumeurs de la
moelle
et dans quelques autres affections de cette par
, chez cette malade, où l'existence d'une affection organique de la
moelle
inté- ressant les faisceaux pyramidaux est inco
nt une portée pratique, notamment dans les cas de compression de la
moelle
? C'est une question que nous avons cherché à r
tractions réflexes indique le niveau où existe la compression de la
moelle
. » Il est à noter que ce moyen de localisation
logistes qui s'étaient occupés de repérer les tumeurs comprimant la
moelle
en vue de l'intervention chirurgicale. Voici, e
ons. Dans tout le territoire cutané en rapport avec la portion delà
moelle
sous-jacente à la partie inférieure delà lésion
e la limite inférieure de la lésion siège à la partie moyenne de la
moelle
dorsale ou au-dessus. Notre expérience nous a a
able dans les cas de paraplégie spasmodique par compres- sion de la
moelle
ou par sclérose spinale dans lesquels les .I4o
rtées par divers auteurs ('). Les faits de section complète de la
moelle
observés à la suite de trau- matismes de guerre
t la dégénération descendante secondaire. Une lésion en foyer de la
moelle
, dit-il, peut causer une paralysie spastique ex
savoir aussi qu'une paralysie complète due à une compression de la
moelle
, accompagnée de reflexes de défense très intenses
rtant l'Observation d'une paraplégie due à une tumeur comprimant la
moelle
et guérie à la suite d'une intervention chirurg
e de dire que l'exagération des réflexes de défense témoigne que la
moelle
est délivrée du joug des centres supérieurs; mais
s centres supérieurs; mais, comme on le voit par ce qui précède, la
moelle
, en recouvrant les réflexes de défense de ses a
citer un qui, guéri d'une paraplégie par lésion syphilitique de la
moelle
, avait recouvré la motilité au point de pouvoir
. On peut dire qu'en pareille occurrence il s'agit de la part de la
moelle
d'une fanfaronnade, d'un bluff : elle affiche d
re dénoter une aggravation : dans les cas de section complète de la
moelle
, ces réflexes s'affaiblissent d'habitude à la p
but brusque, ce qui dépend peut-être de ce quelle shock subi par la
moelle
est plus grand quand il s'agit d'une lésion bil
ale avec anesthésie croisée due à une hémisection traumatique de la
moelle
, à la partie moyenne de la région dorsale, et d
el entre les sections complètes et les sections incom- plètes de la
moelle
. Je me permettrai toutefois de soumettre à la cri
ermettent, d'après Head et Riddoch, d'affirmer que la section de la
moelle
est soit incomplète, soit complète. Voici les
tte(') et dont voici le résumé : « Syndrome de section totale de la
moelle
dor- sale moyenne. Phase de shock durant 1 mois
lexion ne dépasserait pas le genou. (') Sur la section totale de la
moelle
, 1919 C\laloine, éditeur), p. 09. RÉFLEXES DE D
ractéristique d'une section totale, d'une libération complète de la
moelle
, ce qu'ils appellent « Massreflex », c'est-à-dire
le les mouvements volontaires n'étaient pas complètement abolis; la
moelle
n'était donc pas entièrement libérée des centre
rement l'occasion d'observer des cas avérés de section totale de la
moelle
. Ce sont les blessures de guerre qui ont fourni l
on suivante recueillie avec un soin minutieux : Compression de la
moelle
de D : 1 à DG (il s'agit du sujet que vous verrez
s'agit généralement, soit d'alté- rations scléreuses diffuses de la
moelle
, soit d'une compression spinale par une tumeur
éflexes d'automatisme, leur intensité implique une libération de la
moelle
inférieure. C'est là un fait qui n'est pas sans
vation de l'état du malade. « Y a-t-il seulement libération de la
moelle
? N'y a-t-il pas en outre irri- tation, exaltat
centres mésocé- phaliques est plus grande, que la libération de la
moelle
est plus complète. Mais, pour qu'il se développ
s dans les cas de paraplégie consécutive à une section totale de la
moelle
la contracture implique la persistance de quelq
lique la persistance de quelques connexions entre l'encéphale et la
moelle
. A certains points de vue, cette conception pat
; ils soutiennent que chez l'homme, dans les sections totales de la
moelle
, les excitations nociceptives d'un côté, quand
re part, ils se rattachent à l'une des fonctions essentielles de la
moelle
, c'est-à-dire à l'automatisme de la marche. » J
on les observe à l'état pathologique traduisent la libération de la
moelle
par rapport aux centres supérieurs. Les faits
vations particulièrement intenses dans les cas de compression de la
moelle
et de sclérose spinale sans dégénération secondai
Est-il permis de soutenir en pareil cas qu'il y a libération de la
moelle
? Ce ne serait alors qu'une libération relative
ressant de rappeler à ce propos que dans les sections totales de la
moelle
, après la période de shock, lorsque les réflexes
une paraplégie - curable - comme on peut dire aussi que chez lui la
moelle
n'est pas encore sous la domination de l'encéphal
ires dont la contraction provoque un mouvement conjugué ont dans la
moelle
des centres fonc- tionnant d'une manière synerg
d'un syndrome de Brown-Séquard par coup de couteau au niveau de la
moelle
cervicale supérieure présentait à son entrée à l'
ensemble de signes dénotant l'existence d'une lésion intéressant la
moelle
cervicale et prédominant du côté droit (probabl
e le centre des réflexes de défense se trouve dans la portion de la
moelle
située au-dessous de la lésion. Quant au centre
de atteinte d'une paraplégie crurale liée à une compres- sion de la
moelle
dans la région cervicale ; les mouvements des mem
lement dans la sclérose multiloculaire et dans la compression de la
moelle
par pachymé- ningite ou tumeur. Elle peut avoir
ue les rapports entre le cervelet et les racines postérieures de la
moelle
. Après compensation des troubles produits par o
ment, au niveau du bulbe; elle disparaît par contre au niveau de la
moelle
dont les deux moitiés sont symétriques ainsi que
suivantes : in Destruction des fibres cérébelleuses remontant de la
moelle
par le faisceau latéral et qui constituent le c
oyers. Le faisceau pyramidal est altéré dans toute la hauteur de la
moelle
; nous ne dirons rien de la disposition de ses.
s cette ligne de démar- cation disparaît ; elles descendent dans la
moelle
en s'écartant un peu de la corne antérieure et
osse au faisceau pyramidal direct en touchant à la périphérie de la
moelle
, et dont la queue se perd dans l'épaisseur du f
du noyau de Deiters, plutôt que de fibres ascendantes venant de la
moelle
et destinées à ce noyau. Il existe, en outre, d
onto-cérébelleuses. SIXIÈME PARTIE PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
1. SCLÉROSE EN PLAQUES. PARAPLÉGIES I SCLÉR
la sclérose secondaire. 6° La régénération des tubes nerveux de la
moelle
chez l'homme avec retour des fonctions, si tant
cérébrale en foyer. 8" Des plaques de sclérose disséminées dans la
moelle
peuvent, lorsque les cylindres-axes sont détrui
extrémité du plexus choroïde. 318 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
au sacrum, aux cuisses, aux jambes et aux pieds
déformations considérables que montrent les figures ci-jointes. La
moelle
, qui a été examinée attentivement sur des coupes
oeuf de moineau, qui distend le sac de la dure-mère et comprime la
moelle
. Les muscles des membres inférieurs sont plus (
e médicale, 27 juillet 1898. 320 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
grêles, plus flasques et moins rouges que ceux
a dure-mère à laquelle il adhère sur une partie de sa phériphérie. La
moelle
est comprimée de droite à gauche, au niveau d
nce de la 7e paire dorsale. La com- pression est considérable et la
moelle
a pris à ce niveau la forme d'un croissant; ell
st d'autant plus intéressante que la malade était vieille et que sa
moelle
présente, indépen- damment des lésions décrites
ues incontestables de sénilité. En effet, sur toute l'étendue de la
moelle
et dans tous les cordons, les vaisseaux sont ép
. Fig. 26 (Obs. II). - Coupe au niveau de la 7e paire dorsale. La
moelle
refoulée et comprimée par la tumeur, présente u
re. Plaque de sclérose légère. 322 p9RAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA
MOELLE
La situation n'a pas notablement changé, si ce
ai 1897. Examen anatomique. A l'oeil nu on ne voit nettement sur la
moelle
qu'une large plaque de sclérose siégeant à droi
au blanc et envahit un peu la corne antérieure. Dans le reste de la
moelle
on n'aperçoit que des traces douteuses de sclér
mergent en ce point sont parfaitement intactes. Dans le reste de la
moelle
, on trouve un certain nombre de plaques qui siège
en un néoplasme intra-crânien et que les faisceaux pyramidaux de la
moelle
n'étaient aucunement altérés, ce cas confirme c
exprimé à ce sujet, dans une leçon sur la compres- sion lente de la
moelle
, de la manière suivante : « Enfin survient la c
e pré- sentent les cordons latéraux dans le segment inférieur de la
moelle
. Il est de règle que cette contracture impose d
anatomique, février Ü : ! 99. 324 PARAPLÉGIES - A1;'FECTIO1VS DE LA
MOELLE
tard, en général, survient, au contraire, l'att
«Il en est de même de l'exaltation des propriétés réflexes de la
moelle
. Il ne faudrait pas néanmoins chercher dans cette
s, en effet, il y en a deux où il s'agit de compression lente de la
moelle
, mais comme on le voit par cet extrait, Charcot
lance, à une compression des racines du renflement lom- baire de la
moelle
par le néoplasme. Si l'on considère que, dans m
, p. 107 et suiv. e) Il est il remarquer qu'une compression de la
moelle
peut, sans produire de lésions appréciables de
e paraplégie flasque. Voir Paraplégie flasque par compression de la
moelle
, par J. Babinski. Archives de médecine expé- ri
séance du 24 mars 189g. . 328 . PARl'lPLÉÇ1ES -. AFFECTIONS DE LA
MOELLE
première crise, une cure hydrargyrique, nous pr
système nerveux central (sclérose spinale, néoplasme comprimant la
moelle
ou le bulbe) n'aboutissant pas à une dégénération
s soit d'une sclérose spinale diffuse, soit d'une compression de la
moelle
ou du bulbe par un néoplasme. Des lésions bil
uit ans envi- ron, de troubles de la marche liés à une lésion de la
moelle
dorsale. En 1912, l'un de nous eut déjà l'occas
nt pour ce qui concerne le membre supérieur, à une altération de la
moelle
et plus particulièrement des fibres sympathiques
es contractions des muscles lisses de 34o .UMPLHCS AFFECTIONS DE LA
MOELLE
la peau (innervation sympathique) et des muscle
Thomas ont eu l'occasion de constater chez les grands blessés de la
moelle
des crises sympathiques plus ou moins durables,
ion sympathique gauche ; il dénote en outre une participation de la
moelle
. Est-il possible de situer exactement cette lés
xactement cette lésion qui intéresse à la fois le sympathique et la
moelle
? La limite supérieure de la zone de produc- ti
myélie et cavités médullaires ; syndrome de compression lente de la
moelle
et réaction pilomotrice permanente. Mmc J. Deje
s. CONTRACTURE LIÉE A UNE IRRITATION DES CORNES ANTÉRIEURES DE LA
MOELLE
DANS UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE ? ) Il y a tout
séquence d'une irritation des cellules des cornes antérieures de la
moelle
, produite par la néoformation gliomateuse. Cett
eurs fausses couches. Son premier mari est mort d'une maladie de la
moelle
qui l'a, paraît-il, fait (1) J. Babinski, Expos
t donc tout naturel de voir, dans ses Leçons sur les maladies de la
moelle
, M. P. Marie constater de la façon suivante que l
que les auteurs sont BAli ? 33 354 PARAPLÉGIES - affections de La
moelle
loin d'être d'accord sur la forme du rétrécisse
s (Thèse de Paris, r885-r886). Marie. Leçons sur les maladies de la
moelle
. Paris, 18g2. Panas. Traité des maladies des ye
teté et leur régularité les distinguant des autres affections de la
moelle
. Il est donc important d'enregistrer avec grand s
drome de Brown-Séquard ayant succédé à une lésion traumatique de la
moelle
dorsale. L'intérêt tout particulier de cette obse
ant entre les lames des VI" et VIIe vertèbres dorsales a atteint la
moelle
au niveau du VIII" segment dorsal. La VII" raci
e de Head sur la « transmutation des impressions sensitives dans la
moelle
». 3" Enfin la conservation complète de la capa
potence était presque absolue. 362 PARAPLEGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
Il entre à cette époque à l'hôpital et l'on con
l'orteil faible. Il existe donc très probablement une lésion de la
moelle
dorsale à sa partie supérieure, et, chez les de
ons que l'hypothèse d'une lésion incomplète d'un seul segment de la
moelle
explique mieux tous les phénomènes observés. La
t Fig. 33. - Obs. Il. Froid. 366 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
encore un signe important qui infirme l'hypothè
sible permet d'affirmer que la lésion médullaire n'intéresse pas la
moelle
dans toute son étendue transversale et l'on pou
s(=) l'observation de 3 malades atteints de lésion transverse de la
moelle
, chez lesquels il a observé « une inéga- lité d
é de Neurologie, 10 mars 1910. 368 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
inférieur gauche est plus faible que le droit.
la sensibilité lhcr- nuque. 37o PARAPLEGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
bras (les fléchisseurs surtout), ceux de la mai
ité thermique. XI SUR LA LOCALISATION DES LÉSIONS COMPRIMANT LA
MOELLE
DE LA POSSIBILITÉ D'EN PRÉCISER LE SIÈGE ET D
cine le 1 6 janvier 1911. Etant donné que les tumeurs comprimant la
moelle
sont, dans bien des cas, susceptibles d'être ex
plasie soit trop bas, particulièrement lorsque la compression de la
moelle
n'est pas très intense, soit trop haut, à cause
Paris, 14 octobre 1910). 372 2 P : 1R.tPLlGIR8 - AFFECTIONS DE LA
MOELLE
Il en est autrement des réflexes cutanés de déf
ui sont liées à des plaques de sclérose ou à des compressions de la
moelle
. Voici comment on les provoque et en quoi ils c
permet de reconnaitre la limite inférieure d'une compression de la
moelle
. Tel est le résultat auquel nous ont conduit nos
trouve devant un malade présentant des signes de compression de la
moelle
, il y a tout lieu d'ad- mettre qu'il s'agit d'u
ayant des manifestations carac- téristiques d'une compression de la
moelle
. La limite supérieure de l'anes- thésie se trou
s'associant de déterminer la longueur de la lésion qui comprime la
moelle
, elles constituent l'une pour l'autre un mutuel
actions réflexes indique le niveau où existe la compression de la «
moelle
. » Il est à noter que ce moyen de localisation n'
rologistes qui s'étaient occupés de repérer les tumeurs comprimant la
moelle
en vue de l'intervention chirurgicale » (Réflex
sion réflexe du gros orteil. 376 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
des fausses côtes, un point douloureux fixe qui
n porte le diagnostic de compression des XIe et XIIe segments de la
moelle
, probablement par tumeur, et l'intervention chi
ouge violacée, située à droite de la ligne médiane et comprimant la
moelle
qui présente sur son flanc droit une dépression
ion ; elle adhère au bouquet des racines postérieures émergeant de la
moelle
au niveau du corps de la Xe vertèbre dorsale ce
iter les lésions qui peuvent résulter de l'exposition à l'air de la
moelle
, on a fait sans arrêt l'irrigation de la plaie av
r avec une précision suffisante le siège de la tumeur comprimant la
moelle
pour intervenir chi- rurgicalement avec succès.
s lésions hypertrophiques des méninges de la région cervicale de la
moelle
, malgré leur fréquence, ne nous semblent pas avoi
ue le proces- sus pathologique avait pris naissance en dehors de la
moelle
. Plus tard l'exagération des réflexes tendineux
mènes douloureux cadraient avec l'hypothèse d'une compression de la
moelle
. Si contrairement à ce qui a lieu d'habitude da
ontrairement à ce qui a lieu d'habitude dans les compressions de la
moelle
il n'y avait pas dans ce cas de troubles objectif
s et le tronc, il y avait lieu d'admettre que la compression de 'la
moelle
ne devait pas étre très profonde. Il nous resta
AUTOPSIE. Examen macroscopique. A l'ouverture du canal rachidien la
moelle
encore comprise dans ses enveloppes apparaît re
e un véritable manchon fibreux enserrant la partie supérieure de la
moelle
. Cette fusion des enveloppes médullaires est, n
es la dure-mère est libre mais il subsiste sur les deux faces de la
moelle
une irritation très accentuée des méninges moll
périeure et, entre les 2e et 3'' segments, la face antérieure de la
moelle
dans sa moitié droite est déprimée par une petite
e plus participé à l'infection, et sur une coupe transversale de la
moelle
au niveau de l'anneau, sans aucune préparation,
astrée dans l'anneau méningé qui enserre la partie supérieure de la
moelle
cervicale. Fig. 45. - Moelle cervicale (face an
i enserre la partie supérieure de la moelle cervicale. Fig. 45. -
Moelle
cervicale (face antérieure) la dure-mère n'a pu ê
re; C. 5. 5e racine antérieure; D. l. ? e racine dorsale. Fig. 116.
Moelle
cervicale (face postérieure) ; la fusion des méni
e de ces différentes couches, d'abord sur la face postérieure de la
moelle
, puis latéralement sur le pourtour des racines
res. Les racines qui traversent cette gaine fibreuse pour gagner la
moelle
ou en sortir présentent des lésions, surtout pron
complète. 3° Lésions médullaires. L'examen des coupes sériées de la
moelle
cervicale nous a permis de suivre les dégénéres
ru. Comme cela est fréquent malgré une compression aussi étendue la
moelle
présente très peu de lésions. Il n'existe d'abo
coalescence des méninges est complète sur la face postérieure de la
moelle
. On voit sur cette coupe qui est également coloré
générescence et d'oedème qui se poursuit sur toute la hauteur de la
moelle
et que l'on retrouve même dans les coupes les p
s'agissait en effet d'une compression de la région cervicale de la
moelle
par un anneau méningé fibreux d'origine syphili
mation de C3C4) n'a cependant pas amené de lésions profondes de la
moelle
. Il n'existe pas en effet de dégénérescences de s
ilité était conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la
moelle
(état clair, dégéné- rescence ascendante du fai
s qui englobent une gomme G. à ce niveau la partie antérieure de la
moelle
est fortement déprimée. , Fig. 52. Coupe du bul
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'ANESTHÉSIE DANS LES COMPRESSIONS DE LA
MOELLE
DORSALE [J. BABINSKI et J. JA.RKOWSKI.] Publi
ession spinale et celle qui est liée à une lésion destructive de la
moelle
. Nous nous proposons dans cette note d'étudier
ente l'anesthésie dans les lésions transversales destructives de la
moelle
. ' Voici un cas de ce genre (fig. 53), les sign
existence d'une lésion transversale destructive très profonde de la
moelle
dorsale. L'examen de l'anesthésie nous montre l
ides, vérifier cette disposition dans quelques cas de section de la
moelle
par un projectile de guerre. Si l'on s'en tient
ncée, considérée comme une équivalence à une section complète de la
moelle
; et, en fait, cette forme peut se rencontrer. En
ite transverse Fig. 511. Tumeur cWra-duremé- rienne comprimant la
moelle
du ge au lIe segment dorsal. 392 l'IRtPLI'GIE
ge au lIe segment dorsal. 392 l'IRtPLI'GIE.S - I FH'EG1'ION.S DE LA
MOELLE
voici un exemple (fig. 54) : à côté d'une parap
es réflexes de défense, en particulier dans les cas de tumeur de la
moelle
. L'anesthésie instable occupe souvent dans les
lgré leur lon- Fig. 57. Tumeur extra-duremé- rienne comprimant la
moelle
du 5e au ge segment dorsal (cas pu- blié par
trement, l'intervention chirurgicale dans les tumeurs comprimant la
moelle
serait depuis long- temps tombée en discrédit.
altérations accessoires, telles que l'oedème dans la portion de la
moelle
sus-jacente à la lésion. D'ailleurs la limite d
jusqu'à présent à repérer avec exactitude les tumeurs comprimant la
moelle
. XV QUELQUES DOCUMENTS RELATIFS AUX COMPRESSI
a moelle. XV QUELQUES DOCUMENTS RELATIFS AUX COMPRESSIONS DE LA
MOELLE
[J. BABINSKI ET .T..TARKOVSKI. Publié dans la
" 6, décembre 1924. Si nos connaissances sur les compressions de la
moelle
sont déjà très étendues, et si, grâce aux donné
in d'être approfondis. Dans certaines espèces de compressions de la
moelle
, telles que le mal de Pott, où la guérison s'ob
ique en flexion avec signe des 3g8 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
orteils, exagération des réflexes tendineux et
duisirent au diagnostic extrême- ment probable de compression de la
moelle
. Nous avons été aussi à même de déterminer le s
ient très fort par sa face profonde à la face posté- rieure de la
moelle
, est presque achevée lorsque le pédicule se rom
ane. (1) J. Babinski, E. Enriquez et J. Jumentié. Compression de la
moelle
par tumeur extra-dure- méricnne : paraplégie in
binski et J..larkowski. Sur la localisation des lésions comprimant la
moelle
, etc. Comm. à l'Académie de Médecine le 16 janv
- tel a été frappé par les adhérences qui unissaient la tumeur à la
moelle
et qui ont rendu l'extraction notablement plus
rtie à une lésion occasionnée par ces tiraillements exercés sur une
moelle
rendue fragile non seulement par l'action mécan
binski et J. Jarkowski. Sur la localisation des lésions comprimant la
moelle
, etc... Bulletin médical, 17 janvier igi2); ell
ractères, leur mode d'évolution, le diagnostic de compression de la
moelle
, proba- blement par néoplasie atteignant la par
proba- blement par néoplasie atteignant la partie supérieure de la
moelle
dor- sale, s'imposait. Il y avait tout lieu d
ieurs années que par des troubles légers ; 2° Une compression de la
moelle
peut déterminer une paralysie complète, avec co
elle se rapporte à une tumeur extra-dure-mérienne comprimant la - i
moelle
dorsale, opérée avec succès. Mais ce cas mérite,
té à cette époque, croyant à l'existence d'une tumeur comprimant la
moelle
, pratique l'épreuve du lipiodol. En voici les r
pitale. (Cliché de M. Foix.) 4d¡ PARAPLEGIES S AFFECTIONS DE LA
MOELLE
sus de la ligne mamelonnaire. Au-dessus de ce v
le diagnostic probable de tumeur extra-dure-mérienne comprimant la
moelle
au niveau des IIe et IIIe segments dorsaux fuit
piodol. (Cliché de M. Foix.) 416 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
Déjà quelques heures après l'opération, la mala
euse. Dès notre premier examen, l'hypothèse d'une compression de la
moelle
par tumeur devait inévitablement se présenter à
essaire. L'expérience que nous avions acquise sur les tumeurs de la
moelle
, notamment sur celles de la région dorsale, ava
ment publiées, il avait été noté que dans les tumeurs comprimant la
moelle
, la COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 4 19 bille de li
- (') Voir Revue Neurologique, 1(J27, t. II, p. 741. « Tumeur do la
moelle
lombosacrée et forma- tions glieuses du type sy
teur, on trouvait de petites cavités dans la substance grise de la
moelle
. A la lumière des constatations anatomiques, ch
ous la dépendance de la myélomalacie et des cavités qui occupent la
moelle
dorsale. C'est à ces dernières lésions que pa
e se produit pas immédiatement après l'entrée de ces fibres dans la
moelle
; il pourrait résulter aussi de ce que l'anesthés
ure dépend de l'irritation des cellules des cornes antérieures delà
moelle
. L'un de nous a publié déjà (') un fait de cet or
inski. Contracture liée à une irritation des cornes antérieures de la
moelle
dans un cas de syringomyélie. Société de Neurol
s caractères par lesquels se manifestent les compressions de la L
moelle
et qui, par leur réunion ou par les traits qui le
rrivées à un terme avancé de leur évolution, les compressions de la
moelle
donnent lieu à la paraplégie spasmodique en fle
es variations. Il est entendu que certains cas de compression de la
moelle
échappent à cette définition ; mais là où ce ta
moins étendue du territoire cutané correspondant aux segments de la
moelle
sous- jacents à la lésion, éprouvent là une sen
Contribution à l'étude de l'anesthésie dans les compressions de la
moelle
dorsale (Revue Neurologique, 1920, n° 9). COMPR
ue, yuQ-y5 et 1922. Fig. 68. 428 PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA
MOELLE
tumeurs en question, il nous est arrivé de cons
cette disposition dans les faits de tumeur énucléable comprimant la
moelle
dorsale, que nous avons eu l'occasion d'observer
. 67). Il s'agissait d'un anneau fibreux englobant et comprimant la
moelle
entre la 5e et la 6e racine dorsale. Observat
a méningite a donné naissance à un exsudat membraneux comprimant la
moelle
, ou bien qu'une inflammation COMPRESSIONS MÉDUL
ivant qu'elle reste limitée aux méninges ou qu'elle se propage à la
moelle
, suivant qu'elle se localise plus particulièrem
Hôpitaux, igo3, p. 1005. 432 P : 1R : 11'LGGIES - AFFECTIONS DE LA
MOELLE
l'une par la naissance d'un enfant de sept mois
atrophies musculaires dites réllexes, in Maladies du système nerveux (
moelle
épinière), 1886, t. II, pp. 541-592. 552 TROU
lesquels se manifestent les affections organiques du cerveau, de la
moelle
et des nerfs, ainsi rice les lésions des vaisse
lesquels se manifestent les affections organiques du cerveau, de la
moelle
et des nerfs, ainsi que les lésions des vaissea
ne réside que dans l'action perturbatrice qu'elles excercent sur la
moelle
en la comprimant. Non traitées, elles détermine
s précis et plus précoces, la localisa- tion des compressions de la
moelle
, au moins à une certaine période de leur évolut
la grosseur d'un grain de raisin, située à la face antérieure de la
moelle
cervicale entre les 5e et 6" racines. Les premi
e d'une tumeur allongée, siégeant à droite, comprimant fortement la
moelle
sur une étendue de 2 à 3 centimètres avec des p
ction de la tumeur, on constate à droite une forte dépression de la
moelle
. Pendant les quatre semaines consécutives à l'i
l'on ait publié de guérison de paraplégie par néoplasme comprimant la
moelle
, l'opération a été faite par Lecène et a permis
tèbre (') Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compression de la
moelle
. Extraction de la tumeur. Guérison, par J. Babi
région dorsale supérieure. Paraplégie crurale par compression do la
moelle
. Extraction de la tumeur. Guérison, par J. Babins
é ont permis de faire une localisation précise et à un moment où la
moelle
n'avait pas encore longtemps souffert de la compr
fficace. VI CONTRACTURE GÉNÉRALISÉE DUE A UNE COMPRESSION DE LA
MOELLE
CERVICALE TRÈS AMÉLIORÉE A LA SUITE DE L'USAGE
e permettent d'affirmer l'existence d'une affection organique de la
moelle
cervicale. D'autre part, les conditions dans le
er que les troubles sont sous la dépendance d'une compression de la
moelle
par un épanchement sanguin associé peut-être à
ux quatre membres, et due vraisemblablement à une compression de la
moelle
cer- vicale par un épanchement ou une pachyméni
n et (') Voir : Contracture généralisée duc à une compression de la
moelle
cervicale, très améliorée à la suite de l'usage
issus déjà traités, mais encore une région nouvelle pour que toute la
moelle
dorsale et lombaire puisse être atteinte par de
. Il est incontestable qu'il s'agit d'une affection organique de la
moelle
atteignant particulièrement le système pyramida
été extrêmement intense. Plaque de sclérose ou tumeur comprimant la
moelle
, telles sont les hypothèses les plus acceptable
use avec prédominance des lésions dans les cornes antérieures de la
moelle
(Revue de Médecine, 1884). - . 10. Note sur un
e de Médecine, r 8S4). I I. Sur les lésions des tubes nerveux de la
moelle
épinière dans la sclérose en plaques (Académie
ques et étude compa- rative des diverses variétés de sclérose de la
moelle
(Archives de Physiologie normale et pathologiqu
ire d'origine cérébrale avec intégrité des cornes antérieures de la
moelle
et des nerfs moteurs (Société de Biologie, 20 fév
aux, 27 février 1891). 29. Paraplégie flasque par compression de la
moelle
(Archives de Médecine expérirnen- tale et d'Ana
i t8g3). 41. Sur les scléroses systématiques dites primitives de la
moelle
(Id., 19 janvier 1894). 112. Paraplégie crurale
OGRAPHIQUE 128. Contracture généralisée due à une compression de la
moelle
cervicale, très améliorée à la suite de l'usage
décembre 1 g09). 165. Sur la localisation des lésions comprimant la
moelle
. De la possibilité d'en déterminer le siège au
d.). 186. Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compression de la
moelle
. Extraction de la tumeur. Guérison (en collabor
région dorsale supérieure. Paraplégie crurale par compression de la
moelle
. Extraction de la tumeur. Guérison (en collaborat
199. Contracture liée à une irritation des cornes antérieures de la
moelle
dans un cas de syringomyélie (Société de Neurol
'électricité médicale, 10 décembre r g i 3). 212. Compression de la
moelle
par tumeur extra-dure-mérienne : paraplégie inter
9. Contribution à l'étude de l'anesthésie dans les compressions de la
moelle
dor- sale (en collaboration avec Jarkowski. Soc
preuve du lipiodol comme moyen de diagnostic des compressions de la
moelle
(Société de Neurologie, 7 février 1924). 278. D
mai 1924). 280. Quelques documents relatifs aux compressions de la
moelle
(en collaboration avec Jarkowski. Revue neurolo
anesthésie 3G1 1 XI. Sur la localisation des lésions comprimant la
moelle
. De la possibilité d'en pré- ciser le siège et
71 I XII. Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compression de la
moelle
, extraction de la tumeur, guérison 35 XIII. -
V. Contribution à l'étude de l'anesthésie dans les compressions de la
moelle
dorsale. 3go XV. Quelques documents relatifs au
dorsale. 3go XV. Quelques documents relatifs aux compressions de la
moelle
....... 097 XVI. Paraplégie crurale par néoplasm
élevée 6o3 VI. Contracture généralisée due à une compression de la
moelle
cervicale très améliorée à la suite de l'usage
mince de substance compacte, une cavité très considérable remplie de
moelle
. Ce squelette, exposé à l'air, a laissé transsude
Luxation spontanée de la ire vertèbre cervicale. — Compression de la
moelle
. — Hémiplégie. — Algidité. L'observation suiv
remarquable d'hémiplégie causée par la compression de l'origine de la
moelle
. Elle n'est pas moins remarquable par l'algidité
raient la réchauffer, que le sentiment de froid réside jusque dans la
moelle
des os. Il semble en la touchant qu'on porte la m
dans le déplacement de l'atlas, d'où résultait une compression de la
moelle
immédiatement au-dessous du bulbe raehidien. li
représente en ET le coup de hache qui résulte de la compression de la
moelle
épinièrc. La compression avait porté sur la moiti
moelle épinièrc. La compression avait porté sur la moitié droite delà
moelle
un peu plus fortement que sur la moitié gauche de
r la moitié gauche de cet organe : dans le premier sens, le débris de
moelle
était gris, sans vestige de substance blanche; da
sans vestige de substance blanche; dans le second sens, le débris de
moelle
contenait encore un peu de substance blanche. L
u déplacement de l'atlas et du degré d'amincissement qu'avait subi la
moelle
; on voit que le coup de hache ET résulte de la c
voit que le coup de hache ET résulte de la compression exercée sur la
moelle
par la moitié postérieure du pourtour du tissu oc
e que de coutume. Réflexions. —Une hémiplégie par compression de la
moelle
est un fait rare, parce qu'il est rare que la moe
ompression de la moelle est un fait rare, parce qu'il est rare que la
moelle
soit inégalement comprimée des deux côtés. Je doi
er sur cette circonstance que la compression portait sur la moitié de
moelle
correspondante au côté paralysé; car l'effet croi
avais eu occasion d'étudier qu'un très petit nombre de maladies de la
moelle
, en sorte que mon attention ne se portait nulleme
: autant, en effet, les crampes sont communes dans les maladies de la
moelle
, autant elles sont rares dans les maladies du cer
me donner l'éveil. L'oppression s'explique par la compression de la
moelle
qui avait lieu au-dessous de l'origine des nerfs
e, vient à l'appui de l'opinion des physiologistes qui considèrent la
moelle
épinière j comme le foyer principal de la chaleur
s l'articulation de la iG et de la 3e vertèbre cervicale. Bien que la
moelle
ne fût que comprimée et non altérée dans son orga
s muscles inspirateurs. Sans doute les maladies du tissu propre de la
moelle
sont plus fréquentes qu'on ne le croit communémen
culation de la 2e avec la 3e 'vertèbre cervicale. — Compression de la
moelle
. — Mort. Chartier, 76 ans, entra à l'infirmerie
maladie consistait dans une compression de la partie supérieure de la
moelle
épinière, que cette compression était produite pa
iquer la disposition anguleuse de la face antérieure, exerçait sur la
moelle
une compression notable. La moelle était aplati
face antérieure, exerçait sur la moelle une compression notable. La
moelle
était aplatie, mais nullement altérée dans son or
ait simple compression de cet organe. La compression exercée sur la
moelle
par les corps des vertèbres était encore augmenté
vertebre cervicale sur la 2de et sur l'occipital compression de la
moelle
épinière d Chazal M. Lith de Bernard t Frey
ure médiane de l'épine avec écartement des deux moitiés latérales. La
moelle
, ou ce qui en tient lieu, est immédiatement sous-
spinale. Il paraît constant que toute la partie cervico-dorsale de la
moelle
manquait entièrement 'et était remplacée par du t
la vapeur, qui a eu lieu dans la cavité abdominale. Le cerveau et la
moelle
épinière sont les seuls organes qui ne se conserv
ur les cartilages eux-mêmes. Le fémur, scié en long, a présenté une
moelle
molle et rougeâtre et quelques globules de mercur
molle et rougeâtre et quelques globules de mercure au milieu de cette
moelle
. Le tissu spongieux du fémur était infiltré de pu
-quatre heures à une paralysie du bras par lésion du cerveau ou de la
moelle
, parce qu'il y avait paralysie du sentiment et du
en sorte qu'on se demande pourquoi les symptômes de compression de la
moelle
ne se sont manifestés que la veille de la mort. L
froid douloureux est remplacé par un sentiment de feu, qui occupe la
moelle
des os. « Les douleurs, dit le malade, sont tantô
le je reconnus tous les signes d'une paraplégie par compression de la
moelle
. Mais quelle était la cause de cette compression
sine des côtes, pénétré jusque dans le canal rachidien et comprimé la
moelle
épinière. Soumis à une observation attentive de
pement dans une toute autre direction, de manière à dégager un peu la
moelle
de la cause qui la comprimait. Mais cette diminut
. Le malade ne peut dormir ni jour ni nuit ; sentiment de feu dans la
moelle
des os, et surtout le long des jambes ; d'autres
sées à gauche jusqu'à la dure-mère, qui était intacte. Le tissu de la
moelle
épinière était parfaitement sain , et ne présenta
— J'ai fait déposer la pièce au musée Dupuytren. La compression de la
moelle
avait lieu latéralement, et s'exerçait presque ég
t sur les colonnes postérieures et sur les colonnes antérieures de la
moelle
épinière. ( PLANCHE III , XLe LIVRAISON. ) Fi
rrons ailleurs que tels sont aussi les caractères de l'atrophie de la
moelle
épinière. La mort subite arrive très fréquemmen
soit générale soit spéciale. Diagnostic. — Lésion de Vorigine de la
moelle
. — Je n'ai point assez de données pour établir si
at, soit de la compression produite par une tumeur de l'origine de la
moelle
, soit d'une altération organique propre de cette
'une autre part la tente du cervelet et par conséquent le cerveau. La
moelle
épinière était d'ailleurs très saine. — La tente
cerveau semble préoccuper tous les esprits, celle des maladies de la
moelle
est sinon complètement négligée, au moins poursui
ves: ce qui les arrête, c'est la manière incomplète dont on étudie la
moelle
malade. De même que beaucoup d'altérations du c
vrilème, dont l'épaisseur et l'aspect nacré masquent la couleur de la
moelle
, et dont la densité masque la consistance. Joigne
oignez à cela la difficulté de l'ablation du névrilème spinal sur des
moelles
qui ne peuvent être examinées que de vingt-quatre
e à trente-six heures après la mort, la facilité des contusions de la
moelle
, par suite de l'emploi des divers rachitomes, et
s souvent à travers le névrilème, qu'on apprécie la consistance de la
moelle
; mais le névrilème, par la compression qu'il exer
la moelle; mais le névrilème, par la compression qu'il exerce sur la
moelle
, peut donner une apparence de densité aux moelles
qu'il exerce sur la moelle, peut donner une apparence de densité aux
moelles
les plus molles. Pour connaître les altérations d
les les plus molles. Pour connaître les altérations de texture que la
moelle
a subies, on se borne à des coupes perpendiculair
stance.Eh bien! j'ai eu occasion de rencontrer dans l'épaisseur de la
moelle
de petites taches jaunes, jaune-serin, des cicatr
lexie capillaire du cerveau, d'où il résulte incontestablement que la
moelle
est sujette à l'apoplexie capillaire. Plusieurs f
s fois on m'a présenté comme ramollies dans leur substance grise, des
moelles
parfaitement saines, et réciproquement j'ai vu re
rfaitement saines, et réciproquement j'ai vu rejeter comme saines des
moelles
qui offraient des altérations très importantes, (
but à cette (i) Que penser d'observations sur des ramollissemens de
moelle
, dans lesquelles il est dit que la substance blan
re qui aurait fait admettre ce principe, que la substance grise de la
moelle
est plus sujette au ramollissement que la substan
un cas, où, le coup de ciseau ayant sans doute frappé obliquement la
moelle
, on note avec une grande exactitude la dispositio
avec une grande exactitude la disposition en biseau des deux bouts de
moelle
que séparait une bouillie blanche. XXXIIe LIVRA
la paraplégie se divisent en ceux qui ont traita la compression de la
moelle
, et qui, par conséquent, dépendent d'une cause ét
moelle, et qui, par conséquent, dépendent d'une cause étrangère à la
moelle
elle-même, et en ceux qui ont trait à une lésion
elle-même, et en ceux qui ont trait à une lésion du tissu même de la
moelle
. Jusqu'à ce moment, il ne paraît pas exister de c
plégie par compression et la paraplégie par altération du tissu de la
moelle
. PARAPLÉGIE PAR COMPRESSION DE LA MOELLE. Par
ée.— Tumeur cancéreuse sous-arachno'idienne f entourant la portion de
moelle
qui répond a la troisième vertèbre dorsale. Fig
i83a. Ouverture du cadavre le 18. Le rachis ouvert, j'ai enlevé la
moelle
entourée de ses enveloppes. Alors, incisant la du
inte. Cette production accidentelle occupait la face antérieure de la
moelle
, qu'elle entourait à la manière d'une demi-gaine:
assez intimement à l'arachnoïde viscérale. La fig. 2 représente la
moelle
vue par la face postérieure, et permet d'apprécie
ier l'aplatissement qu'elle avait subi. La figure 2'' représente la
moelle
vue par la face antérieure et dépouillée delà tum
voit que cette tumeur est tout-à-fait étrangère au tissu propre de la
moelle
, et même à son névrilème, qui a été respecté, et
lequel elle n'avait même contracté aucune adhérence: la lésion de la
moelle
consiste donc exclusivement dans une compression
organe. La figure 2'" représente une coupe antéro-postérieure de la
moelle
au niveau de sa dépression : elle permet de voir
: elle permet de voir combien cette dépression a été considérable. La
moelle
était comme étranglée dans ce point. On eût dit q
de tissu propre, à-peu-près comme il arriverait,si l'on comprimait la
moelle
fortement entre deux doigts, lesquels refouleraie
ral sous-arachnoïdien. Cerveau, cervelet et partie supérieure de la
moelle
parfaitement sains. Le poumon droit est induré et
sous-arachnoïdien. Cette tumeur, malgré sa mollesse, exerçait sur la
moelle
une compression suffisante pour intercepter le mo
s et sautillemens spasmodiques extrêmement douloureux. L'action de la
moelle
n'était donc interceptée qu'en partie, et cependa
e, au premier abord, on aurait pu douter de la présence d'un reste de
moelle
dans le lieu de la compression. La sensibilité
ment était détruit; or, la tumeur occupait la région antérieure de la
moelle
et par conséquent comprimait immédiatement les co
ar conséquent comprimait immédiatement les cordons antérieurs de la
moelle
et les racines antérieures des nerfs rachidiens.
haw et Magendie sur les usages de ces cordons et de ces racines. La
moelle
et les racines des nerfs rachidiens présentaient
celle de ce cerveau, dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la
moelle
, comme d'ailleurs dans le tissu cellulaire sous-a
ervice de M. Rostan, m'a remis au nom de ce professeur une portion de
moelle
appartenant à un vieillard de soixante-trois ans
cerveau, survenu le dernier jour de la vie, il existait autour de la
moelle
, dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien, deux
i de la tumeur inférieure. Les faisceaux postérieurs et médians de la
moelle
étaient pulpeux, grisâtres et demi transparens da
iquement semblable, développée autour de l'extrémité inférieure de la
moelle
et au centre de la queue de cheval, dans les figu
à un vieillard mort de paraplégie avec contraction. Chez ce sujet, la
moelle
épinière était comprimée au niveau de la partie m
tes que dans les faits précédens. Je crois sa nature encéphaloïde. La
moelle
avait notablement diminué de volume au niveau de
baire, soit que la fracture occupe le niveau du bulbe inférieur de la
moelle
épinière, soit qu'elle ait lieu au-dessous et com
aines paraplégies à la néphrite, indépendamment de toute lésion de la
moelle
. Le corps de la première vertèbre lombaire étai
née de la paroi antérieure du canal rachidien, qui avait comprimé la
moelle
épinière : cette pointe osseuse pouvait d'ailleur
tion. Le bulbe rachidien inférieur (car c'était à son niveau que la
moelle
avait été atteinte par la pointe osseuse) offrait
u côté de la face postérieure que du côté de la face antérieure de la
moelle
. Cette dépression, sensible à la vue, était encor
plète du tissu médullaire dans ce point. La section verticale de la
moelle
au niveau de la dépression a montré une cellulosi
épanchement de sang antérieur. Il y a donc eu ramollissement de la
moelle
par suite de la compression exercée par la fractu
ar suite de la compression exercée par la fracture, et l'aspect de la
moelle
dans ce point me paraît le type des cicatrices du
de transmission. On serait tenté de croire que c'est de la portion de
moelle
inférieure à la dépression, que naissent les nerf
e persister encore. Quant au mode de cicatrisation de la portion de
moelle
ramollie, il nous a offert une cellulosité infilt
ien plus vive et bien plus continue dans le cas suivant, parce que la
moelle
n'avait pas éprouvé la solution de continuité que
leur est donc dans cette maladie en raison inverse de la lésion de la
moelle
. La paralysie sans douleur suppose une solution
alysie sans douleur suppose une solution de continuité complète de la
moelle
; la paraplégie avec douleur suppose, soit une irr
ution de continuité, soit une solution de continuité incomplète de la
moelle
. La paraplégie avec douleur est un degré moins
cancéreuse de la première vertèbre lombaire, par suite de laquelle la
moelle
était comprimée, comme étranglée, mais sans solut
araplégie par méningite rachidienne ( 111e livraison, Apoplexie de la
moelle
, p. 9) et de la comparer à la paraplégie par apop
a moelle, p. 9) et de la comparer à la paraplégie par apoplexie de la
moelle
et à celle par compression du même* organe. J'ai
période d'augmentation, et qu'il y a compression et irritation de la
moelle
. Les symptômes d'irritation continuent encore. To
fois il semble que la compression domine seulement dans la portion de
moelle
qui répond à la jambe droite. Il est évident que
ar méningite et la paralysie par compression ou désorganisation de la
moelle
. Je m'inquiète sérieusement sur l'issue de la m
rveau est parfaitement étranger à tous les accidens, tout gît dans la
moelle
, qui a été d'abord irritée et qui est maintenant
ternerais ces deux ordres de moyen. Paraplégie par induration de la
moelle
. L'induration avec ou sans atrophie de la moell
r induration de la moelle. L'induration avec ou sans atrophie de la
moelle
me paraît une cause de paraplégie beaucoup plus f
lir cette vérité. Immobilité générale, rigidité. — Induration de la
moelle
. Gatin (Madeleine), 79 ans, à la Salpêtrière de
aient sains : ventricule gauche du cœur assez épais. Cerveau sain ;
moelle
épinière d'une densité telle que, après l'avoir d
entré. J'ai même dit, clans ma note , qu'elle était plus dense que la
moelle
qui a macéré dans l'alcool. Il y avait distinctio
Il y avait distinction parfaite des deux substances. Le volume de la
moelle
était d'ailleurs dans l'état naturel. Réflexion
ivant. Paraplégie presque complète par atrophie et induration de la
moelle
épinière. — Néphrite. — Rupture de plusieurs foye
de tête intolérables et d'étourdissemens. Diagnostic. Maladie delà
moelle
. Quelle maladie? Est-ce compression? est-ce lésio
oint de compression et en apparence point d'altération du tissu de la
moelle
, autre qu'une diminution notable de volume avec
su médullaire était considérablement induré, plus dur que celui d'une
moelle
qui a macéré clans l'alcool concentré. L'atrophie
; le bulbe rachidien inférieur est moins atrophié que le reste de la
moelle
. Le cerveau, le cervelet et l'isthme de l'encépha
ent altérés dans leur tissu. Réflexions. Encore un cas de lésion de
moelle
, coïncidant avec une altération des reins. Quelqu
tante; car, s'il est douteux qu'une lésion des reins puisse réagir la
moelle
, il ne l'est pas du tout qu'une lésion de la moel
puisse réagir la moelle, il ne l'est pas du tout qu'une lésion de la
moelle
, en paralysant la vessie, n'agisse consécutivemen
o-lombaire. Quelle est la cause de l'atrophie avec induration de la
moelle
? Est-ce une inflammation ? Mais où én est la pre
: tels ont été les symptômes de cette atrophie avec induration de la
moelle
. Nous ne devrons pas oublier comme caractère fréq
ement moindre des membres supérieurs. — Atrophie et induratio n de la
moelle
.—Epaississement et densité de V arachnoïde cérébr
assoupissement, et mourut le quatrième jour. Ouverture du cadavre.
Moelle
épinière atrophiée, aplatie, extrêmement dense :
épinière atrophiée, aplatie, extrêmement dense : on aurait dit d'une
moelle
durcie par la macération dans l'alcool. L'arachno
» Paralysie incomplète du membre supérieur gauche. — Induration de la
moelle
. — Mort par ramollissement rouge amarante des cir
omens très rouge. Elle s'éteint le 3 janvier. Ouverture du cadavre.
Moelle
indurée comme si elle avait macéré dans l'alcool
ons. Bien qu'il soit difficile de faire la part de l'induration de la
moelle
dans cette observation , on ne saurait lui contes
luence de l'hémorrhagie et autres lésions du cerveau sur l'état de la
moelle
, et réciproquement de l'influence des lésions de
état de la moelle, et réciproquement de l'influence des lésions de la
moelle
sur l'état du cerveau. Je puis donner comme posit
cerveau. Je puis donner comme positif ce fait, que les lésions de la
moelle
n'exercent aucune influence sur le cerveau, mais
ue les lésions du cerveau ont une action extrêmement puissante sur la
moelle
et sous le rapport des fonctions et sous le rappo
trouvé, même dans les hémiplégies les plus anciennes ,1a moitié de la
moelle
correspondante atrophiée, ou du moins la différen
moins la différence entre la moitié droite et la moitié gauche de la
moelle
ne m'a pas frappé, ce qui ne veut pas dire que, a
fférence, sous ce rapport, entre le renflement cervico-brachial de la
moelle
, qui répond aux muscles du membre supérieur, et l
ai à une très grande et très profonde eschare du sacrum. Ouverture.
Moelle
parfaitement saine. Il n'en est pas de même du ce
ausse paraplégie. t . Paraplégie par lésion du tissu propre de la
moelle
. — Destruction du tissu propre de la moelle, que
ion du tissu propre de la moelle. — Destruction du tissu propre de la
moelle
, que remplace une cellulosité infiltrée. — Dégéné
e ; cœur sain ; organes digestifs, cerveau sains. Reste à examiner la
moelle
épinière. Vue postérieurement (tig. i , pl. 0,1
examiner la moelle épinière. Vue postérieurement (tig. i , pl. 0,1a
moelle
présente à sa partie inférieure, au milieu des ne
s qui occupent la circonférence de la queue de cheval. Plus haut la
moelle
présentait son volume et sa densité accoutumés: p
. Au niveau de cette adhérence, qui répondait à la région dorsale, la
moelle
épinière est renflée, molle, fluctuante , et para
u de bas en haut jusqu'au calamus. Vue antérieurement (fig. 1'), la
moelle
présente la même disposition que la face postérie
e postérieure, la même adhérence des membranes entre elles et avec la
moelle
, la pseudo-membrane indiquée sur la face postérie
ausse-membrane qui se prolongeait en avant et formait à la portion de
moelle
ramollie et fluctuante une gaîne complète. La tum
La figure 1" représente une coupe verticale antéro-postérieure de la
moelle
et de la tumeur. On voit que le tissu de la moell
-postérieure de la moelle et de la tumeur. On voit que le tissu de la
moelle
a complètement disparu au niveau de sa portion fl
partie antérieure de cette gaîne quelques filamens blanchâtres de la
moelle
, qui avaient échappé à la destruction. Il n'y a d
avaient échappé à la destruction. Il n'y a destruction complète de la
moelle
qu'au centre de l'altération; à mesure qu'on s'él
tance médullaire augmentait. Les nerfs qui procèdent de la portion de
moelle
convertie en poche sont complètement atrophiés da
la vie a pu se maintenir avec une altération aussi considérable de la
moelle
. La continuité de cet organe peut donc être inter
rayeur éprouvée par la malade, d'une part, et cette destruction de la
moelle
, cette tumeur de la queue de cheval, d'une autre
part. Dans quelle catégorie de lésions ranger cette altération de la
moelle
? Il est plus que probable que la cellulosité infi
t une sorte de guérison, de cicatrisation d'une lésion profonde de la
moelle
, que je suppose être un ramollissement: l'invasio
, d'où l'on est en droit d'inférer qu'il peut en être de même pour la
moelle
. Je ne trouve d'ailleurs dans cette cellulosité i
tablir l'affinité qui existe entre cette tumeur et l'altération de la
moelle
. Quant à la conversion du cordon médian postérieu
e la planche 1. Paraplégie par dégénération grise des cordons de la
moelle
. (PLANCHE 11, XXXIIe LIVRAISON.) N'ayant pu r
tes que j'avais recueillies sur les sujets auxquels ont appartenu les
moelles
représentées fig. i et i et 2, je me contenterai
es figures. La figure 1 et 1' représente la partie supérieure de la
moelle
et la protubérance d'une paraplégique, que j'ai o
ougeâtre T'R', T'R', T'R', sur les faces antérieure et latérale de la
moelle
. Fig. i'. D'autres îles rougeâtre TR, TR, se vo
autres îles rougeâtre TR, TR, se voient sur la face postérieure de la
moelle
: les racines qui naissent au niveau de ces îles s
et. La couleur gris rougeâtre n'occupe pas seulement la surface de la
moelle
, mais elle s'étend encore à une demi-ligne, une l
e doute à cet égard. La fig. 2 représente la face postérieure d'une
moelle
appartenant à un autre sujet, elle offre identiqu
t-Guy chronique. — Dégénération grise des cordons postérieurs de la
moelle
(fig. 3). Mademoiselle Gruyer, 54 ans, brodeuse
feuillet viscéral et plus adhérente que de coutume à la pie-mère. La
moelle
était atrophiée, et présentait à-peu-près les deu
ers de son volume ordinaire. Les cordons médians et postérieurs de la
moelle
ont été transformés en une bande grise, gris jaun
gris jaunâtre et indurée TG, TG , qui occupe toute la longueur de la
moelle
(fig. 3, pl. 2). Supérieurement, les cordons tran
ait que la couche blanche est formée par les faisceaux latéraux de la
moelle
. Cette transformation gris jaunâtre se prolonge e
ordons antérieurs et latéraux sont parfaitement sains. La coupe de la
moelle
établit que l'altération et très exactement limit
ur le siège respectif du sentiment dans les cordons postérieurs de la
moelle
et dans les racines postérieures des nerfs spin
ent limitée. Ce fait prouve encore l'indépendance des faisceaux de la
moelle
. Un seul faisceau peut être affecté, les autres r
intacts. Ce fait de l'influence des cordons médians postérieurs de la
moelle
sur le mouvement, aussi bien que sur le sentiment
onsistance des parties. Les deux cordons médians et postérieurs de la
moelle
sont convertis en une pulpe molle, gris rosé , pé
plus profonde à la partie inférieure qu'à la partie supérieure de la
moelle
. A la partie inférieure, l'altération avait comme
vi les nerfs spinaux au delà du canal rachidien : tout le reste de la
moelle
était parfaitement sain. Le cerveau, le cervelet,
aient commencé à subir la transformation à la partie inférieure de la
moelle
; mais cette circonstance n'infirme pas la conséqu
formation est, d'une part, une des maladies les plus fréquentes de la
moelle
, et, d'une autre part, tend à suivre la longueur
rconférence. L'indépendance réciproque des faisceaux ou cordons de la
moelle
est établie par l'état morbide aussi bien que par
détails relatifs à l'amaurose: ils trouveront leur place ailleurs. La
moelle
épinière présentait à sa face postérieure et dans
amens blancs, faisant suite aux filets des racines postérieures de la
moelle
. Tout le reste de la moelle était parfaitement sa
aux filets des racines postérieures de la moelle. Tout le reste de la
moelle
était parfaitement sain. Il en est de même du cer
lète du mouvement.—Dégénération grise des cordons postérieurs de la
moelle
. Meurice,42 ans, mariée, point d'enfans, portiè
avec toute son intelligence,dans un état de suffocation. Ouverture.
Moelle
petite; adhérence de l'arachnoïde viscérale à l'a
; en arrière,pseudomembrane blanche sous-arachnoïdienne, engainant la
moelle
; dégénération grise des cordons postérieurs de la
engainant la moelle; dégénération grise des cordons postérieurs de la
moelle
; atrophie des racines postérieures des nerfs spin
atrophie des racines postérieures des nerfs spinaux. Je plongeai la
moelle
dans l'alcool, pour l'étudier plus à mon aise; ma
s de granulations miliaires. Paraplégie. — Dégénération grise de la
moelle
, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cér
ment. J avais diagnostiqué une lésion de la partie supérieure de la
moelle
. J'avais même été tenté, dans le principe, de con
mateuse, bronchite. La malade est morte par les poumons. Etat de la
moelle
(fig. 4, pl. 2). Face antérieure. —Bulbe rachidie
grise TG s'étendait du bulbe rachidien sur la l'ace antérieure de la
moelle
dans l'étendue de deux pouces; les parties grises
substance blanche et plus bas la transformation grise. La portion de
moelle
étendue de l'origine de la première paire dorsale
à la réunion des deux tiers supérieurs avec le tiers inférieur de la
moelle
. La fig. 4'? qui représente la partie inférieur
de la moelle. La fig. 4'? qui représente la partie inférieure de la
moelle
vue antérieurement, offre une altération qui a be
ort avec celle du bulbe rachidien. Tandis que la partie moyenne de la
moelle
est molle, diffluente et comme désorganisée, cett
ortions qui présentent des îles blanches. La face postérieure de la
moelle
est saine, excepté au niveau du bulbe rachidien q
vement. —Transformation gris-jaunâtre des cordons postérieurs de la
moelle
. Femme Cherpin, 52 ans, paraplégique depuis qui
On n'a pas examiné le canal intestinal. Cerveau parfaitement sain.
Moelle
épinière. L'altération est exactement limitée aux
re. L'altération est exactement limitée aux cordons postérieurs de la
moelle
et consiste dans une transformation de ces cordon
s postérieurs et les petits cordons du sillon médian postérieur de la
moelle
étaient affectés, mais qu'à la région cervicale,
ux, mais encore des fibres juxtà-posées. Les autres faisceaux de la
moelle
, antérieurs et latéraux, étaient parfaitement sai
ns postérieurs président exclusivement au sentiment. MALADIES DE LA
MOELLE
EPINIERE 9 9 "l^raison F//™ Tace postérieure,
del Imp. d Xerrurcie^Btnaid'to C1? ^2 fLivraison MALADIES DE LA
MOELLE
EPINIERE Face post en cure. tace posterieure.
re. ~£ Choraldel. Imp.de.Lfiriirde.ryBcnardftC"' MALADIES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE (PLANCHE VI, XXXVe LIVRAISON.) Parap
e-mère et les lames des vertèbres. — Compression et suppuration de la
moelle
. S'il est des paraplégies susceptibles de guéri
rison, ce sont assurément celles qui résultent de la compression delà
moelle
par une cause susceptible d'être enlevée. Telle l
qui résultent d'une altération plus ou moins profonde du tissu de la
moelle
, ou qui dépendent d'une cause de compression sur
de l'entrée de la malade à l'hôpital, alors que le tissu propre de la
moelle
n'était pas altéré dans son organisation, le diag
épineuses et aux dépens de ces apophyses. La figure 3 représente la
moelle
épinière contenue dans sa gaine fibreuse ouverte
échappé à toute espèce d'altération : il n'en était pas de même de la
moelle
épinière, qui, comprimée entre le kyste hydatique
ncissement extrême avec coloration brune. La figure 4 représente la
moelle
épinière incisée au niveau du kyste hydatique et
ncisée au niveau du kyste hydatique et au-dessous. Toute la partie de
moelle
, inférieure au kyste, était convertie en une poch
nquait-elle en grande partie. Il restait également à peine vestige de
moelle
épinière, dans la portion de cette moelle qui éta
galement à peine vestige de moelle épinière, dans la portion de cette
moelle
qui était comprimée par le kyste. Les apophyses
altération du tissu propre , i° des paraplégies par compression de la
moelle
épinière, 3° des paraplégies aiguës par inflammat
e l'hémiplégie et de la paraplégie. Les lésions ou compressions de la
moelle
peuvent même se manifester sous forme hémiplégiqu
s forme hémiplégique, par exemple, lorsque la partie supérieure de la
moelle
est comprimée et que la compression porte seuleme
t que la compression porte seulement sur une moitié latérale de cette
moelle
. Tel est le cas que j'ai rapporté et figuré, xx
bre i83a), j'avais eu de rares occasions d'étudier les maladies de la
moelle
. Je croyais que l'hémiplégie emportait nécessaire
estement dans la compression graduellement croissante, exercée sur la
moelle
par le kyste hydatique, développé entre la dure-m
sque indéfinie qui l'animait, a dû exercer ses premiers effets sur la
moelle
; qu'elle a surmonté peu-à-peu la résistance des
evé, détaché de leurs insertions les muscles du dos atrophiés; que la
moelle
a dû être soulagée du moment où le trop-plein de
extra-rachidienne, et par conséquent exercer toute son action sur la
moelle
. L'état des acéphalocystes contenus dans la poc
N'est-il pas évident que l'issue des acéphalocystes aurait dégagé la
moelle
, et aurait pu être suivie de la guérison, si tout
cuation avait eu lieu à cette période de la maladie, dans laquelle la
moelle
était simplement comprimée sans aucune altération
uloureuse est en général le résultat d'une compression exercée sur la
moelle
par une tumeur développée, soit dans le tissu cel
paraplégie non douloureuse tient à une maladie du tissu propre de la
moelle
. On conçoit d'ailleurs que la paraplégie par comp
agit lentement, en irritant, sans l'intéresser, le tissu propre de la
moelle
; ainsi une paraplégie par fracture de la colonne
ion devient telle qu'il y a interruption complète entre la portion de
moelle
qui est au-dessus et la portion de moelle qui est
omplète entre la portion de moelle qui est au-dessus et la portion de
moelle
qui est au-dessous de la cause comprimante, ou bi
e compression devient la cause d'une altération du tissu propre de la
moelle
XXXV' LIRAISON. ^ Le fait représenté planche
cause de la paraplégie était dans une tumeur développée autour de la
moelle
, et l'autopsie a parfaitement justifié mon diagno
uppuration et par conséquent la désorganisation du tissu propre de la
moelle
. Enfin les partisans de la distinction entre le
tion entre les colonnes sensitives et les colonnes locomotrices de la
moelle
(i) pourront arguer de ce fait en faveur de leur
ue la compression portait directement sur la région postérieure de la
moelle
; mais en opposition avec ce mode d'interprétatio
VAcadémie royale de Médecine, Paris, 1839, tom. m.) MALADIES DE LA
MOELLE
EPINIERE ffi* Livraison. PL 6. Át/s¿ cLcepkcdoc
fos. @ Cfta a/c/t/ Imp. deLemerciér^B criard et C. MALADIES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. (PLANCHE V, XXXVIIIe LIVRAISON.) Fi
esfîgures i et i' nous offrentun nouvel exemple de cette lésion de la
moelle
que j'ai décrite (voyez xxxne livraison) sous le
le dans les cordons postérieurs que dans les cordons antérieurs de la
moelle
épinière. — Suppuration de la synoviale sous-delt
Vll6 LIVRAISON. I Je diagnostique une maladie du tissu propre de la
moelle
, et je me fonde principalement sur l'absence de d
s qu'elle ne soit complète et avec altération profonde du tissu de la
moelle
, m'a toujours paru s'accompagner des phénomènes d
symptôme qui me paraît à-peu-près constant dans les affections de la
moelle
ou de ses membranes, savoir un sentiment de const
uantité de mucus opaque, qui remplissait les canaux bronchiques. 3°
Moelle
épiaière. Rien clans les méninges rachidiennes. A
épiaière. Rien clans les méninges rachidiennes. Au premier abord , la
moelle
elle-même paraît saine et offrir sa consistance n
u d'attention, je reconnais même à travers la membrane propre, que la
moelle
a subi la dégénération grise, et que cette dégéné
lle qui sépare les racines antérieures des racines postérieures. La
moelle
ayant été dépouillée de son névrilème propre (Pl.
que cette dégénération occupe divers points de la circonférence de la
moelle
, mais qu'elle est bien plus considérableà la régi
région antérieure, représentée fig. i. Les colonnes antérieures de la
moelle
ne présentent qu'un très petit nombre d'îles gris
s fibres de ces cordons. Les colonnes postérieures et latérales de la
moelle
sont intéressées dans une bien plus grande étendu
u tout superficielle, mais pénètre jusqu'au voisinage du centre de la
moelle
. Je ferai remarquer que, relativement à la dégéné
he a complètement disparu. Ce tissu est dense, bien plus dense que la
moelle
,qu'il remplace exactement ni plus ni moins, comme
le but déclaircir cette question d'étiologie, que les maladies de la
moelle
reconnaissent presque toujours pour principe une
ou douloureuse des parties auxquelles ils se distribuent ; 3° sur la
moelle
elle-même, d'où résulte la paraplégie. J'ai méc
Reste à déterminer à quel travail succède la dégénération grise de la
moelle
? Ce n'est point à un foyer apoplectique ; il n'y
n de pathologie. Quant aux effets de cette dégénération grise de la
moelle
sur le sentiment et le mouvement, ils sont tout-à
ment (i) ; or, l'altération des cordons postérieurs et latéraux de la
moelle
était beaucoup plus étendue et plus profonde que
mbre inférieur depuis la première enfance. — Dégénération grise de la
moelle
. — Mort par suite d'un cancer utérin. Mademoi
é. Cette courbure était unique et une conséquence de l'atrophie. La
moelle
était parfaitement saine jusqu'à trois pouces et
ration , il semble que les sillons médians n'existent plus, et que la
moelle
soit transformée en un tissu gris, homogène, indu
Les nerfs qui se détachent au niveau de cette partie altérée de la
moelle
n'ont pas notablement diminué de volume. A la r
le, an niveau des deuxième et troisième vertèbres de cette région, la
moelle
paraît saine au premier abord ; mais, ayant voulu
e au premier abord ; mais, ayant voulu écarter les deux moitiés de la
moelle
dépouillée de son névrilème, j'ai reconnu que les
ils étaient confondus à ce niveau, comme à la partie inférieure de la
moelle
. La protubérance annulaire présentait çà et là
e d'un cancer vaginal et d'une atrophie de la partie inférieure de la
moelle
. L'influence de l'action nerveuse dans la product
tue en brèche par cette coïncidence. Relativement à la lésion de la
moelle
, bien des réflexions sont suggérées par cette obs
grise serait-elle une dégénération primitive? i° JNbn-seulement la
moelle
, mais encore la protubérance, la couche optique,
ation occupait la moitié droite aussi bien que la moitié gauche de la
moelle
; cette circonstance m'avait d'abord embarrassé, p
t de développement et atrophie. Fig. 2. La figure 2 représente la
moelle
rétrécie et comme étranglée par l'effet de la com
exercée sur elle par du pus concret, suite de carie des vertèbres. La
moelle
n'était nullement altérée dans son tissu : elle o
ailleurs l'histoire de la malade à laquelle appartenait ce tronçon de
moelle
. Paraplégie par compression, suite de carie des
éviation manifeste. Néanmoins, je diagnostiquai une compression de la
moelle
: la cause comprimante devait agir avec assez de
c assez de force pour intercepter presque complètement l'action de la
moelle
, car il n'y avait aucune douleur. En outre, l'ins
tonite chronique tuberculeuse, carie des vertèbres, compression de la
moelle
, inflammation chronique de la muqueuse du gros in
tères, ils s'expliquent parfaitement par la forte compression dont la
moelle
avait été l'objet. La mort de la malade aurait
té dans les autres faits que j'ai recueillis sur la compression de la
moelle
que la substance grise ait manqué complètement au
'absorption. La figure 4 est encore un exemple de compression de la
moelle
par carie des vertèbres: on trouvera quant aux sy
a précédente. Maladie de la colonne vertébrale. — Compression de la
moelle
. —Mort par VouveHure du foyer purulent qui entour
3, qui entourait la dure-mère à laquelle elle adhérait intimement. La
moelle
était comprimée, mais sans rétrécissement notable
ce interne qui était libre, lames qu'il est rare de rencontrer sur la
moelle
des jeunes sujets, mais qui sont très fréquentes
symptômes qui résultent de la compression sans désorganisation de la
moelle
épinière. Que la cause comprimante agisse directe
nt affectés, puisque la compression porte sur toute l'épaisseur de la
moelle
. L'étude de la sensibilité cutanée dans les mal
a moelle. L'étude de la sensibilité cutanée dans les maladies de la
moelle
présente un grand intérêt. La perte de sensibilit
é tactile, celui qui résiste le pl us aux causes de compression de la
moelle
, c'est celui qui est relatif à l'accumulation et
ns exécutés par une partie sous Paction de tel ou tel stimulant. La
moelle
épinière, et c'est un fait parfaitement démontré
orrespondans produisissent des contractions sans l'intervention de la
moelle
? Toujours est-il que toutes les fois que je tr
l'influence des stimulans extérieurs ou intérieurs, je conclus que la
moelle
est comprimée et non lésée dans son tissu propre.
x d'une ou de plusieurs vertèbres, d'où résulte une compression de la
moelle
. La colonne vertébrale, examinée avec le plus gra
é va traverser l'obstacle qui le paralyse. J'étais convaincu que la
moelle
était comprimée à la partie supérieure de la régi
sser ma conviction dans l'âme de mon malheureux ami. « Le tissu de la
moelle
est sain, lui « disais-je ; jamais la moelle alté
ux ami. « Le tissu de la moelle est sain, lui « disais-je ; jamais la
moelle
altérée dans son organisation n'a pu perLiettre d
eurs. Si nous parvenons à triompher de la cause com-« primante, votre
moelle
reprendra immédiatement ses fonctions » ; mais je
M. Chomel, Rayer et moi, nous trouvâmes les altérations suivantes :
Moelle
épinière. La colonne vertébrale ayant été ouverte
u très dense, fibreux, formant une gaîne à la dure-mère. Du reste, la
moelle
épinière n'était nullement lésée dans son tissu.
n en forme de gaîne fibreuse qui entourait la partie supérieure de la
moelle
, si la tumeur du foie n'était venue nous éclairer
ent dépourvu de suc cancéreux. Fig. 4. La figure 4 représente une
moelle
épinière, qui a été soumise à la Sociétéanatomiqu
'une inflammation des voies urinaires. Vue par sa face externe , la
moelle
n'offrait aucune trace de lésion: elle n'était pa
yait un renflement léger au niveau de la terminaison de la lésion. La
moelle
divisée nous a présenté un foyer sanguin, qui occ
foyer sanguin, qui occupait la plus grande partie de la hauteur de la
moelle
et était limité à la moitié gauche de cet organe.
était lie-de-vin foncé dans la plus grande partie de la hauteur de la
moelle
. En bas, cette couleur était plus brunâtre, et, d
e paraissait avoir moins d'épaisseur que de coutume. MALADIES DE LA
MOELLE
EPINIERE ßf livraison./¿fi. A. chazal del I
et à droite dans l'épaisseur du pédoncule cérébelleux droit et de la
moelle
correspondante, et du cervelet C, C; cette poche
ntait à droite une tumeur fibreuse de la grosseur d'une aveline. La
moelle
épinière était saine. Cœur de volume ordinaire;
est tantôt affecté isolément; tantôt il est lésé en même temps que la
moelle
épinière. (i) Le fait suivant, que j'ai observé
la masse encéphalique était sain. Je ne pus examiner que la partie de
moelle
qu'on peut enlever par le trou occipital: elle ét
n du bulbe rachidien doit exercer son influence sur la totalité de la
moelle
, considérée en tant qu'organe de transmission des
er souvent ces granulations dans le cerveau et plusieurs fois dans la
moelle
. On dirait que du sable de couleur a été déposé à
e j'avais rencontré plusieurs fois de semblables granulations dans la
moelle
épinière,et cela chez nos vieilles femmes,affaibl
ons matérielles. Ces réflexions s'appliquent surtout au cerveau, à la
moelle
et aux nerfs. 2g " Jj iv rais on PL 2. MALADI
l lith. Im. dcLemcmtr, S åì ard et Ñ MALADIES DU CERVEAU ET DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. (planche iv, xxxixe livraison.) Fig
us de cet étranglement est la face postérieure du bulbe rachidien. La
moelle
épinière était d'ailleurs parfaitement intacte.
le. Il y avait donc encéphalocèle. La masse totale de l'encéphale, la
moelle
épinière non comprise, pèse soixante-huit (1) C
i couches optiques, ni corps striés, ni tubercules quadri jumeaux. La
moelle
épinière est saine. La face interne de la base
quatrième ventricule avec le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la
moelle
épinière. Fig. 3, 3', 3", 3"'. Cysticerque du c
alysie des membres inférieurs, suivant que la partie inférieure de la
moelle
serait comprise ou non dans la tumeur. J'ai déj
ules dans le cerveau, mais bien plus rare encore d'en trouver dans la
moelle
épinière et dans les nerfs, et c'est le motif pou
incompatibles avec la graisse. Il en est de même du cerveau et de la
moelle
. La transformation et les productions adipeuses n
s toute son épaisseur. A ce niveau, le canal médullaire est plein; la
moelle
est remplacée par un tissu cancéreux qui se conti
ntre médullaire de cet hémisphère. Tout le reste de l'encéphale et la
moelle
épinière, étaient dans l'état le plus parfait d'i
lion spontanée de la première vertèbre cervicale. Compression de la
moelle
. Hémiplégie.................. Maladies des arti
3. ALGIDITÉ. Algidilé remarquable résultant de la compression de la
moelle
, 25e liv. pl. iv, p. 2. ALIMENS. Du choix des a
ause d'une rupture du cœur. 30e liv., pl. iv, p. S. — Apoplexie de la
moelle
êpinière. 3e liv., pl. vr, p. ; 5e liv., pl. 1, p
liv., pl. 1, p. 2. — Rapprochement des symptômes de l'apoplexie de la
moelle
et de ceux de l'apoplexie cérébrale. 3e liv., pl.
lexie cérébrale. 3e liv., pl. vi, p. 4. — Apoplexie foudroyante de la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. 6. — Diagnoslic de
le épinière. 3e liv., pl. vi, p. 6. — Diagnoslic de l'apoplexie de la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. y. — Difficulté de
érapeutiques. 3e liv., pl. vi, p. 9.— Curabililé de l'apoplexie de la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. 40. — La moelle est
lé de l'apoplexie de la moelle épinière. 3e liv., pl. vi, p. 40. — La
moelle
est sujette à l'apoplexie capillaire. 32e liv., p
p. 2. — Tumeur cancéreuse sous-arachnoïdienne entourant la portion de
moelle
qui répond à la troisième vertèbre dorsale. 32e l
cer utérin coïncidant avec une atruphie de la partie inférieure de la
moelle
. 38e liv., pl. v,p. 4, —Co-existence d'un cancer
es symptômes de l'apoplexie cérébrale et de ceux de l'apoplexie de la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. 4. — Apoplexie capi
circonvolutions. = Influence des lésions du cerveau sur l'état de la
moelle
. 32e liv., pl. 1, n,p. / 6.— Il est rare que la c
plexie capillaire du cervelet. 37e liv., pl. \,p. 6- CHALEUR. De la
moelle
considérée comme foyer principal de la chaleur an
liv., pl. m, p. 6; 37e liv., pl. 11, p. — Mode de cicatrisation de la
moelle
ramollie. 32e liv., pl. i, il,p. 6. — Mode de c
organes. 3e liv., pl. v, p. 3. COMPRESSIBILITÉ du cerveau et de la
moelle
. 5e liv., pl. vi, p. 4; 8e liv., pl. 1, 11, ni, p
iv, p. 4- — Hémiplégie par compression de la partie supérieure de la
moelle
. 25e liv., pl. iv,p. 2. — Compression de la moe
supérieure de la moelle. 25e liv., pl. iv,p. 2. — Compression de la
moelle
sans altération de son tissu. 25e liv., pl. iv, p
son tissu. 25e liv., pl. iv, p. 3. —Paraplégie par compression de la
moelle
. 32° liv., pl. 1, n, p. 2. — Observation qui peut
ut servir de type poulies symptômes résultant de la compression de la
moelle
sans désorganisation. 38e liv., pl. v, p.9. CON
n, m, iv, y,p. 4s. —Les crampes sont communes dans les maladies de la
moelle
, et rares dans celles du cerveau. 25e liv., pl. n
PINE. Cas d'arachnitis spinal. 3e liv., pl. vi, p. g.—Apoplexie de la
moelle
épinière. 5e liv., pl. 1. p. 2. — Spina bitida. M
achnoïdienne spinale cl venlriculaire. 6e liv., pl. m, p. /, et voyez
moelle
. EPIPLOONS. Cancer aréolaire gélatiniforme des
veau. 20e liv., pl. m, iv , p. //. — Hémiplégie par compression de la
moelle
. 25e liv., pl. iv, p. /, 2. — Caractères différen
rtie du cerveau et intégrité du cervelet, de la protubérance et de la
moelle
. 15e liv., pl. iv, p. 3. — Si l'hydro-rachis est
l'induration du cerveau. 5e liv., pl.iv, v, p. 5. — Induration de la
moelle
. 32e liv., pl. i, n, p. 4 3. — Cas d'induration d
on de la moelle. 32e liv., pl. i, n, p. 4 3. — Cas d'induration de la
moelle
avec atrophie. = Quelle est la cause de l'atrophi
c atrophie. = Quelle est la cause de l'atrophie avec induraiion de la
moelle
. 32e liv., pl..i, n , p. i5. INFECTION. Puissan
ure-mère et les lames des vertèbres. Compression et suppuration de la
moelle
. Paraplégie extrêmement douloureuse. 35e liv., pl
., pl. i,p. ; 27e liv. , pl. m, p. 1; 31e liv., pl. 11, p. i; — de la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. /,• 6° liv., pl. m
ence du pus au sein des caillots sanguins. 36e liv., pl. v, p. 3. .
MOELLE
ÉPINIÈRE. Apoplexiede la moelle épinière. 3e liv.
sanguins. 36e liv., pl. v, p. 3. . MOELLE ÉPINIÈRE. Apoplexiede la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. /. — Rapprochement
iv., pl. vi, p. /. — Rapprochement des symptômes de l'apoplexie de la
moelle
épinièreet de ceux de l'apoplexie cérébrale. 3e l
ale. 3e liv., pl .vi, p. A,— L'indépendance des divers tronçons de la
moelle
les uns des autres est une erreur physiologique.
physiologique. 3e liv., pl. vi, p. 5. — Apoplexie foudroyante de la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. 6. — Diagnostic de
le épinière. 3e liv., pl. vi, p. 6. — Diagnostic de l'apoplexie de la
moelle
épinière. 3eliv., pl. vi, p. 7. — Difficulté de c
apeutiques. 3e liv., pl. vi, p. g. — Cura-bilité des apoplexies de la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. 10.— Compression de
ies de la moelle épinière. 3e liv., pl. vi, p. 10.— Compression de la
moelle
épinière. 5e liv., pl. 1, p. 2.— — Spina bifida
ienne spinale et ven-triculaire. 6e liv., pl. 111, p. /. — Etat de la
moelle
épinière chez les cholériques. 14e liv., pl. 1, 1
lui-même. 16e liv., pl. iv, p. 4. — Hémiplégie par compression de la
moelle
. 25e liv., pl. iv,p. /, 2. — De la moelle comme f
légie par compression de la moelle. 25e liv., pl. iv,p. /, 2. — De la
moelle
comme foyer principal de la chaleur animale. 25e
al de la chaleur animale. 25e liv., pl. iv, p. 2. — Compression de la
moelle
sans altération. 25e liv., pl. iv, p. 3. — Eludes
5e liv., pl. iv, p. 3. — Eludes sur la paraplégie. Les maladies de la
moelle
ont élé incomplètement étudiées jusqu'à ce jour;
iées jusqu'à ce jour; ce qui a arrêté les progrès de la science. = La
moelle
est sujette à l'apoplexie capillaire. 32e liv., p
sacrée. Tumeur cancéreuse sous-arachnoïdienne entourant la portion de
moelle
qui répond à la troisième vertèbre dorsale. 32e l
eutique. 32e liv., pl. 1, n, p. 12. — Paraplégie par induration de la
moelle
. Observations: 1° Immobilité générale, rigidité.
lle. Observations: 1° Immobilité générale, rigidité. Induration de la
moelle
. 2° Paraplégie presque complète par atrophie et i
elle. 2° Paraplégie presque complète par atrophie et induration de la
moelle
épinière. Néphrite. Rupture de plusieurs foyers r
1, n, p. t3,— Quelle est la cause de l'atrophie avec induration de la
moelle
; symptômes de cette atrophie. = Paralysie incom
issement moindre des membres supérieurs. Atrophie et induration de la
moelle
. Epaississemenl et densité de l'arachnoïde cérébr
rs. Paralysie incomplète du membre supérieur gauche. Induration de la
moelle
. Mort par ramollissement rouge-amaranlhe des circ
ions du cerveau. 32e liv., pl. 1, n, p. — Influence des lésions de la
moelle
sur l'état du cerveau. 32e liv., pl. 1, 11, p. 6.
e liv., pl. 1, 11, p. 6. —Paraplégie par lésion du tissu propre de la
moelle
. Destruction du tissu propre de la moelle, que re
ésion du tissu propre de la moelle. Destruction du tissu propre de la
moelle
, que remplace une cellulosilé infiltrée. Degenera
la queue de cheval. 32e liv., pl. 1, 11, p. /7. — La continuité de la
moelle
peut être interrompue dans une assez grande étend
l« i, n, p- 18. — Paraplégie par dégénération grise des cordons de la
moelle
. Observations. Paraplégie incomplète*du sentiment
Saint-Guy chronique. Degeneration grise des cordons postérieurs de la
moelle
. 32e liv., pl. 1, 11, p. tg. — Indépendance des f
oelle. 32e liv., pl. 1, 11, p. tg. — Indépendance des faisceaux de la
moelle
. = Amaurose. Paraplégie du mouvement seulement. D
mplète du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la
moelle
. 32e liv., pl. 1,11, p. 2t. — Paraplégie. Degener
le. 32e liv., pl. 1,11, p. 2t. — Paraplégie. Degeneration grise de la
moelle
, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cér
mouvement. Transformation gris-jaunâtre des cordons postérieurs de la
moelle
. 32e liv., pl, 1, n, p. 23. — Paraplégie extrêmem
dure-mère et les lames des vertèbres.Compression et suppuration de la
moelle
. 35e liv., pl. \i,p. /.—Espèces diverses de parap
r. 35e liv., pl. vî,J . 5.—Degeneration ou transformation grise de la
moelle
. Observations Insensibilité presque complète des
ïdienne. Mort parpleurésie. 30e liv., pl. v, p /. —Les maladies de la
moelle
reconnaissent presque toujours pour principe une
eliv., pl.v, p. 3.—A quel travail succède la degeneration grise de la
moelle
? Les effets de celle degeneration sur le sentimen
membre inférieur depuis la première enfance. Dégénération grise de la
moelle
. Mort par suite d'un cancer utérin. = Considérati
. Périlonile tuberculeuse. 38e liv., pl. v, p. 6. — Compression de la
moelle
. Mort par l'ouverture du foyer purulent qui entou
. MORGAGNI. Ses pressenlimens sur les causes de l'allongement de la
moelle
dans les cas de spina bifida. 16e liv., pl. iv, p
vement et du sentiment. Dégénération grise du^cordon postérieur de la
moelle
. 32nliv., pl. i, u, p. ig.— Paraplégie incomplète
mplète du sentiment. Degeneration grise des cordons postérieurs de la
moelle
. = Erreur des idées reçues sur le siège du mouvem
mouvement. Transformation gris-jaunâtre des cordons postérieurs de la
moelle
. 32e liv., pl. i, n, p. a3. — Le mouvement est se
hrite coïncidant avec une paraplégie par induration et atrophie de la
moelle
. 32" liv., pl. 1, n, p. 14. NERFS. Maladies des
eul, parmi nous, il a aiiaché son nom à l'histoire des maladies de la
moelle
épinière. 32e liv., pl. 1, 11, p. /. OMBILICALE
xation spontanée de la première vertèbre cervicale. Compression de la
moelle
. Hémiplégie. Algidité. 25e liv., pl. iv, p. /.— M
e la deuxième avec la troisième vertèbre cervicale. Compression de la
moelle
. Mort. 25e liv., pl. iv, p-3.—Lesfrac-tures inlra
v,p. S, 6. PARAPLÉGIE. Etudes sur la paraplégie. Les maladies de la
moelle
ont été incomplètement étudiées jusqu'à ce jour,
ience. 32e liv., pl. 1, n, p. /. — Paraplégie par compression de la
moelle
. Observations. Paraplégie avec flexion et rigidit
sacrée. Tumeur cancéreuse sous-arachnoïdienne entourant la portion de
moelle
qui répond à la troisième vertèbre dorsale. 32e l
eutique. 32e liv., pl. 1, n, p. 12. — Paraplégie par induration de la
moelle
. — Observations : 1° Immobilité générale, rigidit
. — Observations : 1° Immobilité générale, rigidité. Induration de la
moelle
. 2° paraplégie presque complète par atrophie et i
elle. 2° paraplégie presque complète par atrophie et induration de la
moelle
épinière. Néphrite. Rupture de plusieurs foyers r
issement moindre des membres supérieurs. Atrophie et induration de la
moelle
. Epaississement et densité de l'arachnoïde cérébr
urs. Paralysie incomplète du membre supérieur gauche. Induration delà
moelle
. Mort par ramollissement rouge amarante des circo
liv., pl. 1, n, p. *6. —¦ Paraplégie par lésion du tissu propre de la
moelle
. Destruction du tissu propre de la moelle, que re
ésion du tissu propre de la moelle. Destruction du tissu propre de la
moelle
, que remplace une cellulosité infiltrée. Dé-génér
l. 1,11, p. iy, — Paraplégie par dégénération grise des cordons de la
moelle
. = Observation. Paraplégie incomplète du sentimen
aint-Guy chronique. Dégénération grise des cordons postérieurs de la [
moelle
. 32» liv., pi. i, ii, p. 49. — Amaurose. Parapl
mplète du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la
moelle
. 32" liv., pl. i, n', p. ai. —Paraplégie. Degener
le. 32" liv., pl. i, n', p. ai. —Paraplégie. Degeneration grise de la
moelle
, du bulbe, de la protubérance, des pédoncules cér
uvement. Transformation gris jaunâtre des cordons posté -rieurs de la
moelle
. 32e liv., pl. 1, 11, p. 23. — Paraplégie extrême
ure-mère et les lames des vertèbres. Compression et suppuration de la
moelle
. 35e liv., pl. vi, p. 4. — Diverses espèces de pa
légie. 38e liv., pl. v, p. 44, 42. — Paraplégie par compression de la
moelle
, occa-sionée par une tumeur anévrysmale agissant
iv., pl. v, p. 4. —Sur la sensibilité cutanée dans les maladies de la
moelle
. 38e liv., pl. v, p. 9. PERCY. Son observation
on. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v,p. 5i. — Réaction des lésions de la
moelle
sur les reins. 32e liv., pl. 1, 11, p. i4. RECT
rface des reins. 23e liv., pl. v,p. 4. — Réaction des lésions de la
moelle
sur les reins. 32e liv., pl. 1, n, p. i4. — Atrop
tismes des af- ANAT. PATHOL. - TABLE DES MATIERES. feclions de la
moelle
épinière. 3e liv., pl. vi, p. 9. — Différences en
sensibilité des membres supérieurs, suite de degeneration grise de la
moelle
épinière. 38e liv., pl. v, p. —Sur la sensibilité
e liv., pl. v, p. —Sur la sensibilité cutanée dans les maladies de la
moelle
. 381" liv., pl. v, p. p.— Le fourmillement est la
ent et du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la
moelle
. 32e liv., pl. 1,11, p. /p.—Erreur des idées reçu
lète du mouvement. Degeneration grise des . cordons postérieurs de la
moelle
. 32e liv., pl. 1, n, p. 21. — Paraplégie complète
mouvement. Transformation gris jaunâtre des cordons postérieurs de la
moelle
. 32e liv., pl. 1, n , p. 23. SERRES (M.). Mention
ra. 14e liv., pl. i, n, ni, iv, v, p. 42. SUEUR. Les maladies de la
moelle
reconnaissent presque toujours pour principe une
rmation. 28e liv., pl. y, p. 4. TRANSPIRATION. Les maladies de la
moelle
reconnaissent presque toujours pour principe une
, pl. v, p. S. — Maladies de la colonne vertébrale. Compression de la
moelle
. Mort par l'ouverture du foyer purulent qui entou
ais l'autopsie a été faite quarante-huit heures après la mort. La
moelle
est également retirée. 11 n'y a aucune lésion du
dure-mère est aussi absolument saine. Mais la face antérieure de la
moelle
étant mise à découvert, on note une teinte opaq
rature. Cette dissociation a été signalée dans la syphilis de la
moelle
par Brissaud ', Oppenheim 2, Schlesinger 3, Raymo
brale, « mais de complications accidentellement survenues dans la
moelle
épinière ». Pour ces auteurs, les affections de
stème nerveux qui s'étend aux méninges, cerveau, cervelet, bulbe,
moelle
, nerfs périphériques. Depuis longtemps cependant
iniques ou amyéliniques(Tuczeck, Zacher, Schultz, Binswanger). La
moelle
épinière est également atteinte. M. Magnan, le
teinte. M. Magnan, le premier, signala l'analogie des lésions de la
moelle
épinière et du cerveau, en 1865 3 d'abord, puis
sta sur la propagation du processus inflam- matoire du cerveau à la
moelle
. Il démontra sous le micros- cope que la lésion
les faits signalés par M. Magnan. Actuellement, l'altération de la
moelle
épinière n'offre plus aucun doute. On découvre
elles du cerveau, des méninges, du bulbe, du cervelet (Luys), de la
moelle
et du sympathique. C'est encore M. Magnan* qui
s relations entre les lésions du cerveau el certaines lésions de la
moelle
el des nerfs de la paralysie générale (Gaz. des
rémités du même côté, dans les opérations portant sur le haut de la
moelle
cervicale, il est naturel de l'expliquer par la
Unverricht, un second entrecroisement dans la substance grise de la
moelle
dorsale et unissant les centles des membres ave
tion de la réparation du cerveau frontal, il n'existait, ni dans la
moelle
, ni dans l'entre- croisement des pyramides, ni
expérimental par l'acétate d'urane; dégéna- tion systématique de la
moelle
épinière ; par RaflaCle Gurrieri. (Riv. di. pat
e la microphotographie. P. Keraval. XVIII. DE l'hétérotopie de la
moelle
; par B. Nagy. (Ce7tl'Cllbl. f, Ne)roenl2eill ?
sseur Laufenauer, l'auteur constate quatre fois l'hétérotopie de la
moelle
chez l'homme. Il s'agissait de trois déments séni
réduplication dane un cas, et, chose particulière, le tout dans la
moelle
cervicale. Origine embryonnaire indéniable (voi
'ailleurs, sur cent individus, malades ou sains, on trouve dans 'la
moelle
un grand nombre de parties dont le développemen
er de la question il faül-r drait, en tous cas examiner beaucoup de
moelles
d'individus n'ayant jamais eu de maladie du sys
stance dans les centres des nerfs lésés, on doit obser- ver dans la
moelle
des sujets qui en sont atteints les lésions corre
le poison est peu diffusible, il se produit une répercussion sur la
moelle
avant que la portion nerveuse inter- médiaire s
d pas à la réalité des faits. - De même, dans les altérations de la
moelle
consécutives aux amputations on a souvent affai
umatisme du coude. L'examen histologique des muscles, des os, de la
moelle
et des nerfs a démontré qu'il s'agissait d'un c
re part, il des prolongements centraux qui gagnent le cerveau ou la
moelle
(racines postérieures). Le nerf transmet les im
au ganglion dont il émane, et de là elles gagnent le cerveau ou la
moelle
par les racines sensitives. Telle est loi général
S. XXX. LES longs tractus sensitifs DE la substance grise DE la £
MOELLE
ET LEUR DÉGÉNÉRESCENCE EXPÉRIMENTALE; par A. CIAG
SII. (Neurolog. G'elatrnl6l., XV, 1896.) La substance grise de la
moelle
contient trois sortes de fibres nerveuses : 1°
Les racines postérieures après leur entrée dans la substance de la
moelle
, dessinent un Y dont les deux branches sont l'une
rales (collatérales sensilives) qui, perpendiculaires à l'axe de la
moelle
, conséquemment parallèles au plan transversal, pé
au plan transverse. Celles qui vien- nent des autres cellules de la
moelle
, surtout des cellules des colonnes de Clarke, a
de la substance grise par les cordons latéraux et antérieurs de la
moelle
, sont parallèles à l'axe longitudinal de celle-
transverses (méth. de Marchi), alors qu'on les voit si bien sur des
moelles
normales (méth. de Weiggert et Pal). Elles ont
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 67 Chez un chien dont on a comprimé la
moelle
lombaire avec une forte ligature de soie (paral
Même résultat chez un chien tué cinq jours après écrasement de la
moelle
(paralysie complète). Un troisième chien tué le 2
y avoir un rap- port entre ce cordon et les fibres sensitives de la
moelle
. Il est probable, d'après les documents acquis
le cordon de fibres blanches qui passe par la substance grise de la
moelle
entre les terminaisons anté- rieures des cordon
ite la trépanation mastoïdienne. A. Fenayrou. XXXIII. LÉSIONS DE la
moelle
épinière dans un cas d'amputation congénitale d
urs ont constaté une réduction de volume de la moitié droite -de la
moelle
, au niveau du renflement cervical. L'hémisphère
ait pas d'atrophie visible à lit nu. Le maximum des lésions de la
moelle
siégeait au niveau du premier segment dorsal et
à, on constatait une hémiatrophie massive de la moitié droite de la
moelle
: dimi- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 69 nution de
isparu. Réduction de nombre des cellules occupant à ce niveau de la
moelle
une situation correspondante à celle de la colo
tumeur a l'aspect d'une châtaigne dont la base est tournée vers la
moelle
allongée et son sommet vers le devant. La parti
allongée et son sommet vers le devant. La partie antérieure de la
moelle
allongée, le pont de Varole et les pédoncules cér
vante : 92 SOCIETES SAVANTES. de myéline s'observe aussi dans la ,
moelle
épinière, ce qui donne aux coupes un aspect tou
térioscléroses). ), Dans quatre à cinq jours après la section de la
moelle
épinière ou après l'extirpation des centres mot
et dans les nerfs périphériques et en partie la destruction dans la
moelle
épinière ne peuvent se BIBLIOGRAPHIE. 93 mani
tères que plus haut. Aucune lésion macroscopique sur les'coupes. La
moelle
est macroscopi- quement saine. Dans cette obs
sive, une variété ascendante ou spinale (lésions s'éten- dant de la
moelle
à l'encéphale) ou, inversement, une variété des
rogressive et lente dégéné- rescence a évolué parallèlement dans la
moelle
et dans le cerveau, donnant naissance dans le p
mettent dans ce cas une hémorrha- gie dans la substance grise de la
moelle
, ayant intéressé les cornes 'antérieures et pos
et croit à l'étendue considérable de l'hémor- rhagie le long de la
moelle
. M. S. OttLovsE). Sarcomatose de la moelle épin
- rhagie le long de la moelle. M. S. OttLovsE). Sarcomatose de la
moelle
épinière et syringomye- sociétés savantes. 167
e. Contribution à la pathologie de la formation des cavités dans la
moelle
épinière. Il s'agit d'une fillette de quatorze
ales (endothéliome). La tumeur a détruit la partie inférieure de la
moelle
épinière, et, au niveau des deux dernières vert
la tumeur s'en va dans l'espace subdurale, de façon à étrangler la
moelle
comme dans une gaine qui s'enfonce par endroits
ie de la tumeur s'enfonce directement dans la partie centrale de la
moelle
où elle forme une colonne nette- ment délimitée
nt plus que l'existence simultanée de tumeurs et de cavités dans la
moelle
a été, à maintes reprises, notée dans la littér
uée la paroi de la cavité localisée dans la partie supérieure de la
moelle
, ne lui parait pas suffisamment faire. D'après
ologique, par Charrin et Nittis; De l'influence de la section de la
moelle
épinière, dans sa région cervicale, sur la répl
lut que les lésions portent aussi bien sur la substance grise de la
moelle
épi- nière que sur la blanche. Nous trouvons
nce grise, des lésions diffuses envahissent aussi les cordons de la
moelle
et plus particulièrement les cordons antérieurs.
e générale débutant par « les cellules motrices et sensitives de la
moelle
», aussi bien que par celles du cerveau. ' Sh
ie des cellules motrices et sensitives des cornes antérieures de la
moelle
, ou bien à la névrite périphérique, elle n'en e
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXV. RÉFLEXIONS SUR LES LÉSIONS DE LA
MOELLE
DANS DEUX CAS d'anémie pernicieuse; par Miche !
rdon latéral gauche. Dans le second cas, la substance grise de la
moelle
présentait des foyers hémorrhagiques de dimensi
tre de deux ans. D'autres auteurs ont décrit diverses lésions de la
moelle
dans l'anémie pernicieuse et la conclusion est
les cordons postérieurs jusqu'au niveau de la région dorsale de la
moelle
. G. D. XLVI. LE mécanisme DES mouvements réflex
. LE mécanisme DES mouvements réflexes; UN cas DE compression DE la
moelle
dorsale avec abolition DES réflexes; par A. van
e dégagent de ce travail basé sur un cas de compression lente de la
moelle
dorsale sont les suivantes : 1° Au point de vue
e clinique, a) dans les cas de lésion transver- sale complète de la
moelle
cervico-dorsale, il existe une abolition consta
ersiste d'une façon constante; b) dans les cas de compression de la
moelle
cervico-dorsale on peut observer les mêmes symp
parB. NAGY. (Neurolog. Ceî2ti,albl., XV, 1896.) Les cellules de la
moelle
et du bulbe de ces animaux sont com- plètement
ie dans les deux maladies, en effet, les cordons, postérieurs de la
moelle
sont sclérosés, dans les deux, la difficulté de m
ue montre cette distinction. En effet, dans l'ataxie locomotrice la
moelle
est de volume normal et la sclérose est limitée
urs et aux racines pos- térieures. Dans la maladie de Friedreich la
moelle
est invariable- ment plus petite, et cette défe
ngomyéiite peut se produire surtout dans la partie inférieure de la
moelle
. La lésion primitive est cependant la sclérose
névroglie; et cette lésion remonte au pre- mier développement de la
moelle
et ne s'est pas montrée sur une . moelle complè
mier développement de la moelle et ne s'est pas montrée sur une .
moelle
complètement développée. Celle sclérose particuli
s cellules nerveuses, surtout dans la corne antérieure gauche de la
moelle
à la région lombaire, des lésions identiques à
ulation de ce sang veineux dans les capillaires du cerveau et de la
moelle
allongée. L'opinion de Meynert que ce sang vein
os- tiqua une hématomyélie spontanée des cornes antérieures de la
moelle
lombo-sacrée, mais le malade étant mort quelque t
alade étant mort quelque temps .après, l'examen macroscopique de la
moelle
ne permit de cons- tater aucune trace d'un exsu
rogressive plus ou moins aiguë consécutive à un trau- matisme de la
moelle
. G. D. XVII. Rapports DES névroses (hystérie, é
r cachexie au bout de cinq mois. A l'autopsie, sur des coupes de la
moelle
à différentes hauteurs, petits foyers hémorrhag
tes ont toujours révélé une lésion des nerfs périphériques et de la
moelle
. La cause de la polynévrite semble se rattacher
e lésions appréciables. 11 y a, au contraire, une altération' de la
moelle
dans toute sa hauteur : dans la région lombaire
cléreuse des deux noyaux dentelés à la partie postéreure seulement.
Moelle
intacte ainsi que le bulbe REVUE DE PATHOLOGIE
e est l'atrophie du cervelet avec simple diminution de volume de la
moelle
. Fraser et Norme con- sidèrent leurs cas comme
s cas où les deux syndromes sont simultanés et où le cervelet et la
moelle
sont également atteints (Aienzel). F. Baissier.
les présentations quelconques, plus fréquemment atteints ; dans la
moelle
, les lésions hémorra- giques rappellent celles
teur. - . SANO (G.). Les localisations des fonctions motrices de la
moelle
épinière. Volume in-8- de 40 pages, avec' figur
longement s'infléchit indivis dans une racine nerveuse et quitte la
moelle
: ces fibres sortent donc bien directement des
res des invertébrés avec les cellules nerveuses du cerveau et de la
moelle
épinièreldes vertébrés supérieurs, une question
liquide n'est point partout également réparti dans le cerveau et la
moelle
épinière, et sa circulation est à la fois plus
t, à G. Marinesco, et repose sur les altérations des nerfs et de la
moelle
épinière qui suivent les amputations. D'après la
éjà après la section du nerf facial, ses cellules d'origine dans la
moelle
allongée su- bissent des altérations dégénérati
de la structure des cellules des ganglions spinaux, provenant de la
moelle
épinière d'un supplicié 1 sain et jeune. Il disti
nerveux dans le sens cellulifuge, de la cellule du ganglion dans la
moelle
épinière; le prolongement périphérique conduit
naux font défaut; les cellules sensitives siègent toutes dans la
moelle
. Il n'y aurait aucun doute ici : le prolongement
re sensitive qui, d'une cellule d'un ganglion spmal pénètre dans la
moelle
épinière, y émet, outre des fibres à direction as
n des stimuli sensitifs de la périphérie aux éléments nerveux de la
moelle
épinière. Grâce à ces collatérales, chaque cell
Lenhossék, les dendrites si énormément nombreux des cellules de la
moelle
épinière, alors que les fibrilles latérales du
s différentes parties du système nerveux (cerveau, cervelet, bulbe,
moelle
épinière, nerfs périphériques, terminaisons nerve
ans les cellules des ganglions intervertébraux. Dans le bulbe et la
moelle
épinière, il existe un état vacuolaire à la pér
es nerveuses et névrogliques. Les fibres nerveuses, d'abord dans la
moelle
épinière et le bulbe, plus tard dans le cerveau e
de la myéline et dégénérescence granuleuse des cylindraxes. Dans la
moelle
épi- nière on rencontre en outre une chute part
velet et du bulbe. Tuméfaction hyaline des cellules nerveuses de la
moelle
épinière. Cette étude consciencieuse, accompagn
cas d'ostéite déformante DE PAGE. Interprétation DES lésions DE la
MOELLE
épinière; par Léopold L1 : VI. (IV021'U. ICOit0y9
examen histologique de la plupart des organes, en particulier de la
moelle
épinière et des os. Il s'agit d'une femme de so
'il n'y a pas lieu d'éta-' blir de relation entre les lésions de la
moelle
épinière et l'ostéite déformante de Paget. Il n
LOGIE pathologiques. LX. SUR un cas d'hémisection traumatique DE la
MOELLE
(Syndrome de l3rowlz-,Seqzcard) ; par F. Raymon
critique d'un cas très intéressant d'hémisection traumatique de la
moelle
, mais encore l'histoire clinique complète de ce
revue un certain nombre d'exemples d'hémi- section traumatique delà
moelle
et les groupe en différentes caté- gories selon
et empiétant plus ou moins sur le tronc. L'hémisection intéresse la
moelle
à un niveau qui correspond aux vertèbres moyenn
corps, nuque et cou compris jusqu'à la face. La lésion intéresse la
moelle
dans sa partie supérieure, immédiatement au-des
du rachis, il ne faut point se hâter de nier l'hémisection de la
moelle
, quels que soient les symptômes cliniques observé
re très réservé au point de vue du pronostic de l'hémisection de la
moelle
, il ne doit point déclarer son malade voué à un
p sévères. Il ne faut point dire : e Un homme qui a la moitié de la
moelle
sectionnée est un homme paralysé pour le restan
sensitivo-moteurs consécutifs di une hémisection traumatique de la
moelle
; cette amélioration peut aller jusqu'à la guér
à assurer la transmission des impressions sen- sitives à travers la
moelle
, mais seules elles sont chargées de cette trans
du lobe occipital du même côté. Dr F. DEVAY. LXIII. LÉSIONS DE la
moelle
épinière dans UN cas DE diabète sucré; par les
sucré; par les Drus Souques et Makinesco. Des coupes minces de la
moelle
d'une femme diabétique, morte dans le marasme,
de ces lésions 'dans certains cas de diabète sucré. En somme, la
moelle
peut être altérée dans certains cas de diabète
897.) . E. Blin. LXV. ETUDE SUR LE trajet DES fibres exogènes DE la
moelle
épinière ; par le professeur Donetti. Les opi
Donetti. Les opinions sont très diverses à propos du trajet dans la
moelle
des fibres des racines postérieures, et les exp
u cordon postérieur, ni du côté opposé, ni en d'autres points de la
moelle
; - 4° le faisceau descendant constitue un faisce
lus de dégénéres- cence du côté opposé, ni en d'autres points de la
moelle
; 6° les autres lésions tiennent à peu près sûr
XVI. Contribution A L'ÉTUDE des dégénérescences secondaires dans la
MOELLE
t.PINIÊRE; par le Dr Serge SoumiANOFF. (Journal
ologie, 1898, n° 1.) L'auteur a constaté qu'après une section de la
moelle
épinière, les fibres qui dégénèrent affectent u
ve que beaucoup d'entre elles appartiennent aux voies courtes de la
moelle
épinière. La disposition des diverses fibres dé
7). E. B. LXV111. D'UN faisceau spécial de la zone latérale DE la
moelle
épinière; par le D1' Alexandre BRUCE. Les cor
épinière; par le D1' Alexandre BRUCE. Les cordons latéraux de la
moelle
se divisent en faisceau fonda- mental du cordon
ées par la liqueur de Aluiler ou l'acide chromique. Par exemple, la
moelle
et le cerveau ont été SOCIÉTÉS SAVANTES. 4111
ies pyramidales sur toute leur étendue. L'examen des cellules de la
moelle
, d'après la méthode de Nissl (avec durcissement
rce atteignent les cellules motrices des cornes anté- rieures de la
moelle
vers le septième mois, et de cette époque date
stence d'un processus inflammatoire dans la région supérieure de la
moelle
épinière s'étendant en bas jusqu'au troisième s
ent dorsal. Les lésions prédominent dans la moitié antérieure de la
moelle
, c'est-à-dire dans les cornes antérieures et la
s'est terminée en encéphalite. Les altérations plus anciennes de la
moelle
ont provoqué des lésions dégénératives dans la ré
siégeant à la limite de la partie cervicale et de la dorsale de la
moelle
épinière, avec phdizo- mènes pupillaires. La
cation entre autres le fait de l'absence des réflexes rotuliens (la
moelle
n'a pas été examinée par la méthode de Nissl).
- cussion. · D' 1 ? lI. VEfiZILOrr. Deux cas de compression de la
moelle
épi- nière. Observation I. La maladie a duré
opique, on constate des dégénérations secondaires habituelles de la
moelle
, entre autres une dégénération descendante dans
cine cervicale et très fortement comprimé tout le côté gauche de la
moelle
. A l'examen microscopique, entre autres dégénér
icile ; BIBLIOGRAPHIE. 423 2° les symptômes moteurs du côté de la
moelle
ont une valeur diagnostique aussi importante qu
s en ce qui concerne l'état des réflexes dans lacompres- sion de la
moelle
. En outre, ont pris part à la discussion : MM.
e située dans la protubérance, le bulbe, la partie supérieure de la
moelle
, les ganglions sympa- tliiqties. Foi,i ? ie ai2
HIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE. UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. DIAGNOSTIC DU SIÈGE PAR LES LOCALISATIONS RADI
et PAVIOT (de Lyon). Les cas complètement observés de tumeur de la
moelle
ne sont pas si fréquents qu'il n'y ait pas d'in
copiquemenl. Tumeur s' étendant sur la partie latérale gauche de la
moelle
; en hauteur, depuis .la sixième cervicale jusqu
en contournant la face lulérale gauche et la face antérieure de la
moelle
. Déviation et compression modérée des cinquième e
es sixième, septième et huitième cervicales, étendu au centre de la
moelle
de la sixième cervicale ci la première dorsale,
le de la sixième cervicale ci la première dorsale, puis sorti de la
moelle
. Généralisations : sous forme d'infil- li-ation
ion cutanée ou muqueuse; sa femme n'a jamais UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 435 eu de fausse couche. Il n'est pas rhumatis
um, les piqûres sont seules parfois senties. UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 437 Le malade est incapable de se soulever ou
roite, entre les septième et huitième cervi- UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 439 cales à gauche. Il est vrai que les douleu
; il est certain que la lésion n'atteint pas toute la hauteur de la
moelle
; les contractions réflexes douloureuses qui se
arc réflexe est intact au moins jusqu'à la limite intérieure de la
moelle
dorsale, car une excitation cutanée ou profonde d
canal racliidien est ouvert de l'occipital à la deuxième sacrée. La
moelle
paraît déjà augmentée de volume au niveau de la
as de congestion. On ne voit aucune lésion du canal vertébral. La
moelle
est retirée avec soin, après avoir placé un fil s
ostérieure sur la ligne médiane. Jusqu'à la quatrième cervicale, la
moelle
présente un aspect normal. Au-dessous de la qua
première et deuxième dorsales. Vue par la face postérieure de la
moelle
, elle est tout entière située sur la face latér
ssez solides entre la dure-mère et la pie-mère. Si l'on retourne la
moelle
et que l'on sectionne la dure-mère sur sa face
e-mère; ses bords paraissent soulevés, décollés, non adhérents à la
moelle
, comme si la tumeur était pédiculée. Au-desso
omme si la tumeur était pédiculée. Au-dessous de cette tumeur, la
moelle
parait saine ; il n'y a plus d'adhérence à la d
tite masse insérée par un mince pédicule sur la face latérale de la
moelle
, et présentant un aspect polypeux. Au milieu
un fuseau; macroscopiquement, on distingue mal ce qui reste de la
moelle
au point maximum d'épaisseur de la tumeur; mais l
l'on voit prédominer nette- ment comme saillie du côté gauche de la
moelle
. Sur les coupes rares que l'on pratique immédia
non plus pos- sible de se rendre un compte exact des rapports de la
moelle
et de la néoplasie. L'impression à l'autopsie
utopsie fut donc que l'on avait affaire à un UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 441 gliome de la moelle, asez malin pour donne
vait affaire à un UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 441 gliome de la
moelle
, asez malin pour donner ces généralisations pet
pie-mère dans presque toute sa hau- teur. Examen histologique. La
moelle
fut recueillie de la façon sui- vante, classiqu
eau envahie. Enfin, de la même façon fut traitée par les alcools la
moelle
cervicale de l'émergence de la quatrième cervic
rgence de la huitième et la neuvième dorsales. Tout, le reste de la
moelle
fut placé dans le liquide de Muller. Les symp
de la deuxième dorsale; aussi, au-dessous de celle racine, toute la
moelle
fut mise dans le Millier, sauf les deux fragmen
ième dorsales; mais extérieurement la tumeur continue à déformer la
moelle
jusqu'à un niveau compris entre l'émergence des
dorsale, elle n'est plus visible macroscopiquement au centre de- la
moelle
; et au niveau de la quatrième, elle infiltre et
et épaissit encore un peu plus la pie-mère, mais ne déforme plus la
moelle
. Après trois semaines de séjour dans le Millier
s de séjour dans le Millier, il fut prélevé deux tranches minces de
moelle
au niveau de la deuxième racine cervicale; deux
s; nous allons donc simplement topographier la tumeur, tant dans la
moelle
que hors de la moelle, en synthétisant les résu
mplement topographier la tumeur, tant dans la moelle que hors de la
moelle
, en synthétisant les résultats que nous ont donné
ortion de la tumeur médullaire séparée par une bande subsistante de
moelle
de la portion extramédullaire. Sur les coupes h
on- naître ce qui appartient à la tumeur et ce qui subsiste de la
moelle
. On peut très vraisemblablement considérer que
ine cervicale; de là, elle a filé en haut et en bas au centre de la
moelle
; en haut, elle ne dépasse pas sensiblement l'ém
e cervicale; en bas, sa limite à l'mil nu, toujours au centre de la
moelle
, ne dépasse pas la deuxième dor- sale sûrement;
eptième cervicale, la tumeur a rapidement gagné la périphérie de la
moelle
, elle en est sortie et de là s'est étendue, en
e à peu près totalement dans la région cervi- cale supérieure de sa
moelle
. Jusqu'au niveau de la deuxième dorsale, la tum
lle. Jusqu'au niveau de la deuxième dorsale, la tumeur déforme la
moelle
, y creusant une forte dépression ; dans toute la
ute la hauteur de la tumeur, le fuseau constitué par celle-ci et la
moelle
s'est moulé sur le canal rachidien, la moelle a
ué par celle-ci et la moelle s'est moulé sur le canal rachidien, la
moelle
ayant subi une légère torsion qui a porté sa mo
araît comme un champignon dont le pied plonge jusqu'au centre de la
moelle
et Firj. 7. Moelle (le la quatrième racine ce
gnon dont le pied plonge jusqu'au centre de la moelle et Firj. 7.
Moelle
(le la quatrième racine cervicale it la deuxième
rvicale it la deuxième racine dorsale- (Les traits qui relient à la
moelle
les cinq coupes dessinées à droite aboutissent au
représentant les limites de la tumeur sur la face antérieure de la
moelle
; - 2, `3, ligue en -1- + (représentant les lim
e. 444 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. le chapeau recouvre la moitié de.la
moelle
, et quand on l'observe par comparaison sur un d
écis et plus que douteux. Quand nous analysons une des coupes de la
moelle
qui ont porté dans des points où la néoplasie n
maires en surproduction, les cellules néoplasiques du centre de la
moelle
, au niveau de la tumeur, et celles de la portion
au de la tumeur, et celles de la portion bourgeon- nante hors de la
moelle
, il n'y a pas de différence morphologique, les
rie des lobules les cellules et leurs noyaux UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 44S surtout sont encore visibles, mais vers le
gée autour de la masse centrale qui occupe la moitié gauche de la
moelle
. Nous ajouterons pour terminer que l'étude des
éveillait immédiatement l'idée, soit d'une lésion transverse de la
moelle
, soit d'une lésion diffuse d'une méningo-myélit
nsitivo-moteur était intact dans toute la pojrtion inférieure de la
moelle
, que par conséquent ni les racines antérieures,
tant, dans les membres supérieurs nous trou- UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 447 1 vions des signes très nets de lésion ext
umé, pour les membres inférieurs, signes de lésion transverse de la
moelle
; pour les membres supérieurs, signes de compre
très analogue de Raymond '. La localisation initiale au sein de la
moelle
de la tumeur nous enlève tout regret à ce sujet.
' Raymond. Contribution u l'élude des tumeurs névrooliques de ta
moelle
. (Arch. Neur., 1893, t. XXVII, p. 97.) UN CAS D
oelle. (Arch. Neur., 1893, t. XXVII, p. 97.) UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 4 lt9 sensations thermiques n'étaient pas perç
ves intra- médullaires. Toutes les sensations sont apportées à la
moelle
par les racines postérieures. On peut les divis
ligaments, aponévroses, articulations, etc. Dès leur entrée dans la
moelle
les sensations cutanées se séparent des sensati
té, comme le prouve l'hémianesthésie croisée de l'hémisection de la
moelle
et du syndrome de Brown- Séquard. C'est là un f
tion des racines postérieures arrivant à la partie supérieure de la
moelle
dorsale produit de l'hyperesthésie du membre in
'expliquer que par une action dynamogénique. UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 451 côté opposé à la section, c'est-à-dire la
Non seulement les sensations profondes restent du même côté de la
moelle
, mais elles suivent les fibres radiculaires moy
sibilités cutanées se séparent des sensi- bilités profondes dans la
moelle
. La section des cordons pos- térieurs nous mont
et d'une façon très nette dans un cas de Raymond (hémisection de la
moelle
par un coup de couteau). (Nouvelle Iconographie
es dilatatrices de la pupille. On sait que ces fibres sortent de la
moelle
par les dernières cervicales et la première dor-
ilatateur des pupilles au niveau delà partie UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 458 inférieure de la moelle cervicale ; mais c
u delà partie UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 458 inférieure de la
moelle
cervicale ; mais cette opinion trouva bientôt d
trécit. Le rétrécissement n'augmente pas si ensuite on détruit la
moelle
cervicale (Scliiff) '. b). Une hémisection de l
étruit la moelle cervicale (Scliiff) '. b). Une hémisection de la
moelle
au-dessous du bulbe pro- duit les mêmes effets
tion pupillaire n'augmente pas (Schi(i) ? c). Après la section delà
moelle
au-dessous de l'atlas, l'exci- tation des nerfs
tre médullaire : a). Chez le chat et la chèvre, après section de la
moelle
entre l'atlas et l'axis : 1° la section du symp
1 liribsnud. Presse médicale, 1896, p. 17. UN CAS DE TUMEUR DE LA
MOELLE
. 455 Les troubles de la sensibilité aux membres
leurs, nous le ' Raymond. Loc. cil. * -Moeller. Gliosarcome de la
moelle
avec métastases du poumon, de l'intestin et de
res (sclé- rose en plaques, myélites transverses, compression de la
moelle
) ; parfois mais rarement, l'exagération des réf
he. Et d'abord, ils diffèrent par leur réaction pathologique sur la
moelle
; le plus souvent, les lésions de l'hémisphère
e qui tient, au moins en partie, à la plus ample distribution, à la
moelle
, des fibres corticales émanées de l'hémisphère
les constatations anatomo- pathologiques qu'ils ont faites sur des
moelles
de cobayes qui a\aient été soumis à l'inoculati
tées par eux dans les grandes cellules des cornes antérieures de la
moelle
à la suite de l'inoculation de toxine tétanique
pas succombé à la section trans- vase des segments supérieurs de la
moelle
. Cela veut dire que les convulsions cloniques à
ES illusions microscopiques DUES A UN écrase- MENT POSTMORTEM DE la
moelle
ET sur la formation DU névrome dans cet organe;
bl., XVI, 1897.) En procédant maladroitement à l'enlèvement de la
moelle
sur le cadavre, on la contrit facilement et l'o
rands laboratoires. Aussi peut-on affir- mer que les névromes de la
moelle
décrits par Raymond (Archives de Neurologie, XX
XCVII. Tractus dégénérés dans LE TRONC DU cerveau par lésion DE la
MOELLE
cervicale inférieure ; par F. DE SOELDER. (A'e :
ais il n'y a que les portions marginales de la moitié dorsale de la
moelle
qui soient tout à fait épargnées. Dans la par
i soient tout à fait épargnées. Dans la partie intermédiaire à la
moelle
et au bulbe, les cordons 49C REVUE d'anatomie E
cation directe entre les parties marginales du cordon latéral de la
moelle
cervicale et probablement la couche optique. Un
qui pénètre dans les sillons médians antérieur et pos- rieur de la
moelle
. D'un diagnostic difficile, quoique le plus sou
nombre de trois : 1° Nerfs phréaétiques; 2° Cordon postérieur de la
moelle
; 3° Rétine (anatomie et physiologie). C'est la
soit es des - par Pitres, 57. Anémie pernicieuse. Lésions de la
moelle
dans 1' , par Clatke, 210; par Lenoble, 239.
gie du -, par Solovtzow, 4t8.Tractus dégénères dupar lésion de la
moelle
cervicale in- férteure, par de Sofider, 495.
Illusions microscopiques dues à un écrasement post-morteln (le la
moelle
, par Schleslnner, iOO. Impulsifs. Mouvements -,
Nécrologie, 268. Migraine ophtalmopligique , par Bouchaud,235.
Moelle
. Hétérotopie de la - , parNagy, 56. Longs tract
a trouvé trois fois au microscope des lésions de méningite dans la
moelle
épinière. Le cerveau n'a pas été examiné. - L
ment répandue sur l'encéphale, surtout t marquée à la convexité. La
moelle
est généralement diminuée de volume; sur aucun
e système pyramidal lui aussi est intact. Seul dans les cordons de la
moelle
le faisceau cérébelleux direct paraît avoir un
des réflexes tendineux chez l'homme sain et dans les maladies de la
moelle
. Ce fut Westphal qui étu- dia plus particulière
révélé il cet égard. En tous cas, les examens microscopiques de la
moelle
ont mon- tré avec une grande netteté que toules
grise des faisceaux postérieurs dans la partie dorso-lombaire de la
moelle
» (1), écrivait \Veslphal à la suite de ses pre-
neuse fait un ressaut en dedans; en arrière par la périphérie de la
moelle
; en de- hors par la substance gélatineuse et le
; aucune altération notable ne nous a frappés. III. EX.l1EN DE la
moelle
(PI. XIII et XIV). - Fixation et mordançage dans
. D'une façon générale, on peut dire que dans toute l'étendue de la
moelle
, les cordons autéro-tatéraux, les cornes et les
t et ce sont ceux qui avoisi- nent de plus près la périphérie de la
moelle
- sont bien colorés par la méthode de Pal ; la
n'atteint pas le point où ce sillon ren- contre la superficie de la
moelle
; la longueur de cette branche se trouve ainsi
sclérose n'atteint ni la corne postérieure ni la péri- phérie de la
moelle
, sauf au niveau du sillon médian postérieur, resp
ne sont très clairsemées ; elles sont très près de la surface de la
moelle
et tranchent sur leurs voisine ? . 4° Région lo
un peu plus en de- dans et en avant à mesure qu'on remonte dans la
moelle
. gaz Régions dorsale moyenne, supérieure, cervi
somme, la lésion est strictement limitée à la région lombaire de la
moelle
, et là, elle occupe étroitement le segment moyen
nes fines verticales. De ce -que cette région était intacte dans la
moelle
de notre malade, on ne peut véritable- ment rie
comprises dans les bandelettes externes occupent,plus ha ut dans la
moelle
, le cordon de Goll, de sorte que si ces bandele
al. Ce sont des ta- bes supérieurs, avec lésions cantonnées dans là
moelle
cervico-dorsale et symptômes céphaliques, ocula
ourtant la lésion siège bien dans la ¡'rfgion dorso-lombai1'e de la
moelle
. Mais la zone de lVestplwl ou zone radiculaire de
érés, trop imparfaitement sans doute pour arriver aux régions de la
moelle
où l'influx centripète est transformé en mouvem
écanisme par lequel se développe une source de som- mations pour la
moelle
et sa réflectivité en subit l'influence tonique e
es quelques fragments de racines persistant sur les préparations de
moelle
montrent un très léger degre de se érose diffus
pte rendu malheureu- sement un peu bref qu'il donne de l'étal de la
moelle
; ceux de Graup- ner (1) furent effectués sur l
igne existe, la lésion intéresse, à la région dorso-lombai re de la
moelle
, une zone exactement définie appelée « zone d'ent
s nerveux, des condi- tions plus favorables au passage à travers la
moelle
de courants nerveux renforcés et plus nombreux,
veux renforcés et plus nombreux, ainsi qu'à leur utilisation par la
moelle
, en vue des actes réflexes. Enfin, le retour
et constamment en mouvement (3) et ils réalisent dans le cerveau la
moelle
et les nerfs, une circulation analogue à celle
e l'opinion dePighini. C'est ainsi que Lugaro a mis des morceaux de
moelle
dans une solution saline isotonique et soumis à u
sous l'influence de l'atavisme d'un ou de plusieurs segments de la
moelle
spi- nale. Dans cette théorie, la segmentatio
e la colonne vertébrale membra- neuse serait dirigée parcelle de la
moelle
spinale. Le système nerveux naissant avant le s
système ner- veux ; si même il était démontré que le cerveau ou la
moelle
puissent amener des changements dans la forme d
en sont une preuve. Isidore Geoffroy Saint-Hilaire pensait que la
moelle
descend d'autant plus bas dans le canal vertébr
, et que c'est pour cette raison que l'homme, presque anoure, a une
moelle
très haute. De ce fait, on pouvait conclure q
, a une moelle très haute. De ce fait, on pouvait conclure que la
moelle
avait agi sur le contenant. Mais l'anatomie com
aux, dont la queue est un organe de peu d'importance ont une longue
moelle
, alors que les singes à queue prenante ont une
nt une longue moelle, alors que les singes à queue prenante ont une
moelle
courte. 8° Ledouble insiste sur l'existence des
culaires de la région, l'étal du crâne, celui i du cerveau et de la
moelle
, etc., ce qui n'est que d'un intérêt secondaire
e lésions macroscopiques, corticales ou centrales; l'axe gris de la
moelle
et les racines rachidiennes ne sont pas atro- p
s dans les régions les plus atrophiées (1). 1 Bulbe HACIIIDlEN ET
moelle
ÉpiNiÈRE.'] On ne trouve aucune modification pa
ns les faisceaux de la substance blanche du bulbe. L'examen de la
moelle
a porté sur les IIP, V, VI0, Vive, 'l11° segments
lement cervical ; on ne les retrouve ni plus haut dans le reste de la
moelle
cervicale, ni plus bas, en particulier dans le
nérescence des racines rachidiennes antérieures à leur sortie de la
moelle
, et ne sont pas la cause des lésions importantes
éactions pupillaires normales. Résumé DE l'examen histologique. -
Moelle
épinière intacte, à l'excep- tion de quelques a
émités et progression vers le tronc. A l'examen anatomique, dans la
moelle
, les cordons postérieurs seuls étaient dégénérés,
douloureux ; à l'autopsie : lésions myopathiques et intégrite de la
moelle
et des nerfs musculaires. (2) Ein Fall vonprogr
s et ceux de la main droite. A l'examen histologique, on trouve une
moelle
intacte ; dans les nerfs des régions malades, u
ractions fibrillaires et de douleurs. Les cordons postérieurs de la
moelle
sont sclérosés (fibres nerveuses incluses dans un
iennes antérieures sont épaissies dans la partie infé- rieure de la
moelle
; leurs libres nerveuses sont entourées d'un tiss
membres supérieurs. L'examen histologique montra l'intégrité de la
moelle
épinière et, dans les nerfs des régions arrophi
atteindrait les troncs nerveux, les racines rachidiennes et même la
moelle
. (2) Elude sur quelques cas d'atrophie musculai
au tronc, et plus tard aux extrémités des membres infé- rieurs. La
moelle
ne présentait qu'un peu de sclérose névroglique d
mue : atrophie cellulaire partielle dans les cornes antérieures de la
moelle
, et le noyau de l'hypoglosse ; diminution des f
ectriques allant jusqu'à la RD. A l'examen histo- logique : dans la
moelle
, sclérose des cordons postérieurs, raréfaction du
nts moins visibles ; racines antérieures intactes à la sortie de la
moelle
; dans les nerfs périphériques : dégénérescence
sses fibrillaires ; troubles mentaux. Examen histologique : Dans la
moelle
, sclérose très étendue des cordons postérieurs
es. Pas de contractions fibrillaires. Examen histologique : Dans la
moelle
, substance blan- (t) Zur Genre der spitalen-neu
nsuffisance mentale. Mort à 42 ans. - Examen histologique : Dans la
moelle
, sclérose des cordons postérieurs; sclérose moi
actions élec- triques ; mort à 7 ans. Examen histologique : Dans la
moelle
, dégénérescence partielle des cordons postérieu
s réactions électriques allant jusqu'à la RD. Examen histologique :
Moelle
nor- male. Dans les ganglions spinaux, les raci
on vésicale passagère; mort à 25 ans. Examen histologique : Dans la
moelle
, sclérose des cordons postérieurs et des faisceau
ni- tales ; signe d'Argyll-Robertson. Examen histologique : Dans la
moelle
, sclérose des cordons postérieurs, diminution d
vec sclérose conjonctive annu- laire, engainant les fibres. Dans la
moelle
, dégénérescence des cordons pos- térieurs ; dim
dée. Dimmution des réflexes lumineux. Examen histologique : Dans la
moelle
, sclérose des cordons postérieurs, raréfaction
plasme des voies biliaires. Examen IIISTOLOGIQUE. - Intégrité de la
moelle
épinière. Dans les troncs nerveux périphériques
tologique on remarque que chez Brandi, les cornes antérieures de la
moelle
ne sont pas indemnes comme chez D. A cela près,
ent la prédomi- nance des lésions sur les racines antérieures de la
moelle
et les nerfs mixtes, faisant contraste avec l'i
ale avec d'autres cas, dans lesquels non seulement l'axe gris de la
moelle
, mais aussi la substance blanche participaient
parité, puisque nom- bre d'observations montrent l'intégrité de la
moelle
épinière. Dans cette dernière, la lésion la plu
s et avec moins de gravité l'axe gris et la substance blanche de la
moelle
(2). Ainsi se fait, par l'anatomie, une transitio
ue A l'autopsie on trouve au niveau de l'extrémité inférieure de la
moelle
, entre les racines de la queue de cheval, une t
êle, son pôle inférieur ne dépasse pas le dernier segment sacré de la
moelle
. Elle présente une couleur jaunâtre qui fait pe
Elle présente une couleur jaunâtre qui fait penser à un lipome. La
moelle
est fortement comprimée et semble même en certain
de certains processus infectieux. 3° Rapports delà tumeur et de la
moelle
. - La moelle est alors débitée en coupes sériée
processus infectieux. 3° Rapports delà tumeur et de la moelle. - La
moelle
est alors débitée en coupes sériées et colorées
ous allons le voir. A) Au niveau du pôle inférieur, la tumeur et la
moelle
sont indépen- dantes ; le cône médullaire et le
araissent 3 l'intérieur. B) Un peu au-dessus (4e segment sacré), la
moelle
et la tumeur entrent en contact, mais restent t
la( partie anté- rieure du néoplasme est simplement déprimée par la
moelle
qui y est incrus- tée (Voir PI. XLII, fig. 5 et
la tumeur se traduit à ce niveau par la déformation générale de la
moelle
qui apparaît nettement sur la fig. 6 : elle est
e les mêmes lésions vasculaires que plus bas. En somme.jusqu'ici la
moelle
est relativement saine et on constate surtout des
st considérablement épaissie, surtout à la partie postérieure de la
moelle
; elle se continue avec l'enveloppe fibreuse de
iees, on assiste à la disparition de la moitié gauche (m. g.) de la
moelle
qui est remplacée par du tissu fibreux ( f), anal
graisseuses et il n'existe plus maintenant de limites nettes entre la
moelle
et la tumeur. Cette dernière est traversée par
libres à myéline enchevêtrées et enroulées. La moitié droite de la
moelle
(11 d.) est fortement comprimée au niveau de S2
11 et 12), on assiste à la reconstitution delà moitié gauche de la
moelle
qui commence par les cordons postérieurs : on voi
ando (gR.). A mesure que se forme ainsi la partie postérieure de la
moelle
, la substance grise de la corne antérieure droi
e et sur la figure 12, où la tumeur a complètement disparu et où la
moelle
reconstituée a repris sa forme normale, les corne
es. E) Au niveau du Sa segment lombaire, la moitié antérieure de la
moelle
a disparu, les lésions de, myélomalacie ayant d
niveau du 3° segment lombaire (ug. 3). Par contre, on suit dans la
moelle
dorsale et cervicale les dégénérescences des fais
plus accentuée à gauche. En résumé : les lésions destructives de la
moelle
s'étendent du 4" segment lc. 3. - Schéma montra
lc. 3. - Schéma montrant les rapports de la masse adipeuse t et de la
moelle
. Avec l'état de cette dernière aux différents s
Elles se localisent plus bas (2e sacré) sur la moitié gauche de la
moelle
; au niveau du 3e segment sacré, il ne subsiste q
ré, il ne subsiste qu'un petit frag- ment de la moitié gauche de la
moelle
. Le schéma que représente la figure 15 donne un
ition des lésions médullaires et des rapports de la tumeur et de la
moelle
. Histologiquement, il s'agit de lésions dues soit
sont les plus fréquentes), soit à une véritable myélomala- cie. La
moelle
est envahie dans les régions détruites par du tis
; les autres sont intactes ; au niveau de leur pénétration dans la
moelle
, leurs fibres sont dissociées, éparpillées. La
la conséquence de l'interruption au niveau de S3 et de S2. Enfin la
moelle
dans son ensemble se montre asymétrique et est
s, comme on pourrait le penser à première vue, d'une tu- meur de la
moelle
. La topographie et la distribution des lésions
nt par la plus grande intensité des lésions dans le même côté de la
moelle
. Nous n'avons pu malheureusement examiner le pa
DES PLANCHES Planche XLI Fio. 2 et 3. Extrémité inférieure de la
moelle
et commencement de la queue de cheval, vues par
postérieures. v. veine médullaire thrombosée. Fie. 4. Coupe de la
moelle
au niveau du cône terminal ; coloration au Van Gi
6. - Coupe passant par S4, coloration au Pal. t. encastrement de la
moelle
il la face antérieure de la masse adipeuse. c.
férieure de Sa, écrasement et destruction de la moitié gauche de la
moelle
. f. tissu fibreux. m. d. moitié droite de la
gauche de la moelle. f. tissu fibreux. m. d. moitié droite de la
moelle
. m. g. moitié gauche. r. p. racines postérieu
anche XLIII Fio. 9. - Coupe passant sur S2, partie supérieure. La
moelle
paraît intacte à droite, complètement détruite il
a partie inférieure de Si. Reconstitution de la moitié gauche de la
moelle
, formation du cordon postérieur par les fibres
o. p. peu couchés. ' Fig. 14. - Coupe du 3 segment lombaire. La
moelle
est redevenue normale, la moitié gauche est alrop
que de dégénérescence affectant les nerfs moteurs du bulbe et de la
moelle
. DYSTROPH1E MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉHALE
étendent des cellules trophomotrices des cornes anté- rieures de la
moelle
aux muscles du squelette. Parfois la dégénérescen
erons sur la lésion très particulière et mal connue que présente la
moelle
cervicale de trois de nos malades au niveau des
, la lésion est déjà visible à un examen quelque peu attentif de la
moelle
. On constate en effet, dans la région cervicale i
et, dans la région cervicale infé- ) rieure, un aplatissement de la
moelle
, visible lorsqu'on la regarde par ( sa face ant
Unilatéral (et c'est le cas ordinaire), cet aplatissementdonneà la
moelle
un aspect asymétrique, elle semble déprimée d'u
solument nor- mal. Ajoutons pour être complet qu'il s'agissait de
moelles
de syphilitiques et que l'on constatait, comme
oudure. C'est cette soudure qui cause la diminution de volume de la
moelle
. L'épaisseur de la corne est en effet remplacée
l'on peut voir même macroscopiquement sur la face antérieure de la
moelle
. La corne du côté opposé n'est d'ailleurs pas c
as de lésion des cornes antérieures dans la partie supérieure de la
moelle
cervicale ainsi que dans la moelle lombaire, la
dans la partie supérieure de la moelle cervicale ainsi que dans la
moelle
lombaire, la moelle sacrée elle reste de la moell
rieure de la moelle cervicale ainsi que dans la moelle lombaire, la
moelle
sacrée elle reste de la moelle dor- sale. Cette
insi que dans la moelle lombaire, la moelle sacrée elle reste de la
moelle
dor- sale. Cette intégrité parfaite élimine abs
e cervicale et la 2c dorsale sont normales ainsi que le reste de la
moelle
. La 1rB dorsale est modérément touchée. En résu
culation médullaire fournit un peu plus de clarté. L'on sait que la
moelle
est irriguée : d'une part, par les branches centr
tion de la corne antérieure et lésion légère de tout le reste de la
moelle
? La prédominance du processus sur le territoire
oi de cette prédilection singulière pour cette région limitée de la
moelle
cervicale inférieure. Ce n'est pas là le point
érale el frappait les éminences thénar et hypothénar. A l'autopsie,
moelle
paraissait saine,les nerfs également, macoscrop
ques tubes grêles. Enfin les lésions que l'on observe du côté de la
moelle
au niveau du 8° segment cervical sur les coupes
HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF, FIBRES MUSCULAIRES STRIÉES DANS LA
MOELLE
. PAR si ANDRÉ-THOMAS et QUERCY. Les premier
gine univoque de la maladie et qui laisse sous-entendre que dans la
moelle
, de même que dans d'autres organes, le poumon par
des malformations, et surtout parce que nous avons trouvé en pleine
moelle
des éléments dont la présence n'est guère expli
pratiquée par le D'' Prouf, qui a eu l'amabilité de nous envoyer la
moelle
épinière, et que. nous remercions très vivement.
voyer la moelle épinière, et que. nous remercions très vivement. La
moelle
a été expédiée dans sa dure-mère intacte, c'est n
on remarque tout d'abord les as- pects très divers qu'affectent la
moelle
, la cavité, le gliome, voire même les membranes
s; ils varient t constamment d'un segment à l'autre. Aspect de la
moelle
. -La moelle est extrêmement aplatie au niveau d
nt t constamment d'un segment à l'autre. Aspect de la moelle. -La
moelle
est extrêmement aplatie au niveau de la région
t elles ne disparaissentpius jusqu'à l'ex- trémité inférieure de la
moelle
: seule la base des cornes postérieures, ou mie
sceaux pyramidaux croisés, qu'on observe sur toute la hauteur de la
moelle
: nous n'insistons pas sur les dégénérations qu
secondaire. Cavité. Sa forme est variable, de même que celle de la
moelle
et du gliome. Elle oscille entre deux types ext
Cvi, Du, DVII) uni ou bilatéralement, et sectionner complètement la
moelle
en deux fragments antérieur et postérieur. Mais
arges cavités. Au niveau de Du, elle coupe la partie centrale de la
moelle
où elle ac- quiert son maximum ; latéralement e
ance nerveuse ou gliomateuse, n'est jeté entre les deux côtés de la
moelle
. En DVII c'est de nouveau une fente transversal
ngle droit pour se continuer en arrière jusqu'à la périphérie de la
moelle
, à travers le cordon postérieur. . 3G8 ANDRÉ-
. Elle est irrégulière, car si elle occupe toujours le centre de la
moelle
, elle envoie des diverticules latéraux ou posté
uns se terminent en culs-de-sac, d'autres fissurent complètement la
moelle
jusqu'à la pie-mère. Par places, ses bords se r
MYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA
MOELLE
(A. Thomas et Quercy) . NOUVELLE Iconographie
MYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA
MOELLE
(A. Thomas et Quercy). SYRINGOMYELIE, HYPLRPL
vec le gliome, mais on peut affirmer que sur toute la hauteur de la
moelle
l'épendyme n'est jamais normal. Lorsque les cel
MYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA
MOELLE
(A. Thomas et Quercy). SYRI\GO\1Y1 : LIR, IIY
sieurs régions, les éléments conjonctifs tendent à pénétrer dans la
moelle
en iorme de coins et élargissent ies sepla ; ils
, Il. 1. Fibres musculaires striées. -- Sur toute la bailleur de la
moelle
depuis Civ jusqu'à Dxl, il existe en diverses r
radiculaires antérieurs, immédia- tement après leur émergence de la
moelle
(PI. LV, L). En 1)vn,, leur disposition est par
traînée gliomateuse qui se poursuit jusqu'à la circonférence de la
moelle
. A ce niveau la pie-mère qui recouvre le cordon p
MYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF. FIBRES MUSCULAIRES DANS LA
MOELLE
(A. Thomas et Quercy). - SYRINGOMYELIE, HYPER
MAS ET QUERCY 2° La présence des fibres musculaires striées dans la
moelle
; c'est la première fois, à notre connaissance,
sous forme de bandes ou de membra- nes les régions centrales de la
moelle
, se continue en diverses régions avec l'adventi
rt qui leur revient dans la dislocation des parties centrales de la
moelle
, on est enclin à supposer qu'une telle poussée
ses par refoulement. , Les dilatations plus grandes qui occupent la
moelle
au niveau de la Ve et la VIe racines dorsales l
élément conjonctif et l'élément névroglique. Il existe dans cette
moelle
des lésions d'un ordre assez particulier; telle
ans d'autres endroits ; les irrégularités de la circonférence de la
moelle
qui a subi plusieurs enfoncements ; les ano- ma
es déformations secondaires ; l'ouverture du sillon antérieur de la
moelle
dans la cavité et l'absence de commissure antér
nts de myotomes auraient été entraînés dans les méninges et dans la
moelle
. C'est sans doute par l'intervention du même pr
n général ; c'est en effet une réelle curiosité de trouver dans une
moelle
adulte des fibres musculaires, dont quelques- u
ciennes d'ordre inflammatoire qui dans certains cas frapperaient la
moelle
et les méninges dès la période SYRING01l1YÉLIE,
a lumière du canal rachidien, ce qui aboutit à la compression de la
moelle
. Ainsi donc, dans l'enfance et dans l'adolescen
is à un âge avancé et sous la forme d'affection com- primante de la
moelle
, et suivant son cours sans 1a moindre déformation
mes plus ou moins accentués et très compliqués de compression de la
moelle
et des racines médullaires. . Fidder; parlant d
la tuberculose des vertèbres qui amena des symptômes violents de la
moelle
. Le malade d'Ascenzi avait 68 ans. C'est pourqu
la syringomyélie, surtout localisée dans la partie cervicale de la
moelle
épinière, se ramifie, provoque des lésions plus
sque exclusivement la face postérieure et les faces latérales de la
moelle
. Le maximum de son développement se trouve à la h
au 8e segment cervical, on aperçoit une masse caséeuse entourant la
moelle
sous forme d'anneau complet; au-dessus et au-dess
nstate une adhérence entre la surface interne de la dure-mère et la
moelle
. Jusqu'à la bordure inférieure du 6° segment cerv
t la moelle. Jusqu'à la bordure inférieure du 6° segment cervical, la
moelle
conserve son aspect normal et une circonférence
ôt dans la partie supérieure du 7e cervical la con- formation de la
moelle
commence à changer. Les sillons antérieur et post
uée dont la convexité est tournée vers la. gauche. En même temps la
moelle
s'aplatit de plus en plus visiblement dans le s
vre le sommet du faisceau droit postérieur. L'aplatissement de la
moelle
augmente encore un peu dans la direction du 8°
t au bord supérieur du : leur segment-cervical la circonférence de la
moelle
, sa substance grise repren· Fig. 4. CARIE DES
ima dela moel- le grossit dans la direction descendante, entoure la
moelle
d'un anneau com- pact de tissus fibreux, adhére
ypertrophiée à l'endroit présentant le plus grand aplatissement de la
moelle
, on constate un tissu granuleux ainsi qu'une ma
ux ainsi qu'une masse caséïnée tuberculeuse qui comprime le plus la
moelle
du côté de la partie postérieure de la zone péri-
sement excessif de la dure-mère a insi que dans les parcelles de la
moelle
les plus proches dans la direction descendante et
qué nulle part la moindre trace d'infiltration cel- lulaire dans la
moelle
. Ainsi donc les lésions constatées à l'endroit de
s lésions constatées à l'endroit de l'aplatis- sement maximum de la
moelle
sont en relation d'une part avec la compression,
y a lieu de souligner le fait que malgré la forte compression de la
moelle
(voir le dessin), les changements anatomiques o
surface extérieure de la dure- mère ; ce fait explique pourquoi la
moelle
épinière est restée intacte sous ce rapport. Le
ents plus profonds, ni même des symptômes de lésion mécanique de la
moelle
. La meilleure preuve de cette susceptibilité pl
usceptibilité plastique extraordinaire et de cette résistance de la
moelle
à la compression est fournie par les expériences
a main et de l'avant-bras gauche. La compression transversale de la
moelle
cervicale inférieure a provoqué l'interruption
me cela a lieu généralement dans les affections transversales de la
moelle
. Au début, il n'y avait que des troubles de la
bonne heure (surtout la constipation) lors de la compression de la
moelle
épinière. Parmi les autres symptômes, il y a li
qui a été constaté souvent dans les processus de compréssion de la
moelle
est surtout au cours du mal de Pott ; ce sont sur
primant dant l'action s'effec- tuait dans le sens transversal de la
moelle
, le seul indice de la carie des vertèbres était
Wirbelcaries. D. Z. f. Ner., 1900, XVI. 6. FLATAU. - Tumeurs de la
moelle
épinière et de la colonne vertébrale. Nouv. lcon.
R, Ostéo-arlhrites du rachis en tant que cause de compression de la
moelle
et de ses racines, The Journal of the Nervous and
n° I. Téphromalacie unilatérale droite. D 1 (moitié inférieure). La
moelle
est presque redevenue normale. La corne du côté d
e. FiG. 6. Obs. no I. - Téphromalacie unilatérale droite. D 2-3. La
moelle
a repris son aspect normal sauf un peu de pâleu
C 7 (partie inférieure) et D 1 (partie supérieure). Le reste de la
moelle
était indemne. L'ATROPHIE ISOLÉE XOX PROGRESSIV
ement dépression à prédominance droite sur la face antérieure de la
moelle
au niveau de C 8. Celte dépression se prolonge
par une cicatrice linéaire d'où une hémiatrophie très marquée de la
moelle
. Les cellules motrices les plus externes persis
s. Pas de lésion de poliomyélite. Pas de lésion dans le reste de la
moelle
dorsale, lombaire et sacrée, sauf un certain de
ie. , Ponction lombaire : lymphocytose modérée. A l'autopsie : La
moelle
présente sur la face antérieure entre C 8 et D 1,
é- xxv 29 434 P. MARIE ET FOIX rieur s'étend assez loin dans la
moelle
. (Il n'y avait cependant pas de gros si- gnes d
s dorsaux sont indemnes. Pas de polio- myélite. Pas de lésion de la
moelle
dorsale, lombaire et sacrée sauf la dégéné- rat
étriquée et grêle. Il existe un notable degré d'hémialrophie de la
moelle
avec sillon très marqué de la face antérieure. Du
C 7 (partie inférieure) et D 1 (partie inférieure). Le reste de la
moelle
était indemne. Fie. 9. Obs. III. C 8 D 9. Téphr
antérieures. Aspect grêle des cornes posté- rieures. Atrophie de la
moelle
avec aplatissement antéro-postérieur et sillon pr
rdons postérieurs et latéraux sensiblement indemnes. Dans ce cas la
moelle
coupée par : (sep;menls étagés ne montrait de lés
és ne montrait de lésion qu'à ce niveau. C 6, U 3 et le reste de la
moelle
étaient indemne. L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESS
iné avant sa mort. A l'autopsie, on remarque un aplatissement de la
moelle
au niveau du segment cervical portant sur sa face
a main. Cette atropliie est limitée au côté droit. A l'autopsie, la
moelle
et les centres nerveux paraissent macroscopiqueme
nes et clairsemées. , On prélève pour l'étude : des fragments de la
moelle
, des racines et des nerfs périphériques à diffé
égénération sur les fragments colorés au Marchi. 3° Au niveau de la
moelle
, les cellules des cornes antérieures du segment
urieuse prédilection de la syphilis pour ce segment inférieur de la
moelle
cervicale. ira2 P. marie et FOIX Cette préd
de nature névritique, 1907, p. 46. Marie (Pierre). Maladiet de la
moelle
. INIEI)E.1 (de Milan). -- Analysé in Revue Neur
as de méningo-myélite syphilitique avec formation de cavité dans la
moelle
épinière. Zeitschrift sur Min. Med- 1898, Bd XXXI
les, p. 159. `VALLEC7WEaf·It. - Sur le ramollissement central de la
moelle
dans la méningite syphiliti- que, Munch medizin
sont bien développés, le canal médullaire n'est pas augmenté et la
moelle
semble normale. Nous donnons maintenant l'exame
. « Ainsi, disent Pic et Cardère, nous ne pouvons rapporter ni à la
moelle
, ni aux nerfs, ni aux muscles l'origine de ces
ns les nerfs du côté paralysé ce qui a lieu aussi dans le cas où la
moelle
épi- nière ou le bulbe ont été atteints d'un pr
) (4 pl.), par GnL- lais, 124. Fibres musculaires striées dans la
moelle
dans un cas de syringomyélie, par ANDIIÉ- Tho
rplasie du tissu conjonc- tif. Fibres musculaires striées dans la
moelle
(4 pl.), par André-Thomas et QUEIICY, 364. Ta
Hyperplasie du tissu conjonctif. Vibres musculaires striées dans la
moelle
(4 pl. 14 fig.), 364. A.NGLADA (Jean). Hyperc
à un traumatisme crânien (Petit), LVI. Fibres musculaire dans la
moelle
dans la syringomyélie (André-Thomas et Quesscv)
élie, hyperplasie du tissu con- jonctif, fibres musculaires dans la
moelle
(ANDRÉ-TiIO31AS et QUEl\CY), LII à LV. Tabes,
L. - M. M..., peintre, ataxique. Père atteint d'une affection de la
moelle
épinière ( ? ). - Oncle sui- cidé. Observatio
-.4tacie héréditaire, maladie de Friedreich. Sclérose diffuse de la
moelle
el du bulbe. (Progrès médical, 1882.) s Seppili
'épilepsie, l'idiotie, l'aliénation, et les autres affections de la
moelle
, comme l'ataxie. - On peut en dire autant des a
minent. On peut encore souvent être édifié sur les maladies de la
moelle
, les paralysies, les convulsions de l'en- fance
USE ÉTUDE D'UN CAS DE FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE COMBINÉE DE LA
MOELLE
(Scléroses systématiques ou péri- tubulaires de
NÉE DE LA MOELLE (Scléroses systématiques ou péri- tubulaires de la
moelle
et scléroses péri-vasculaires) ; Par MM. les D"
méthode anatomo-clinique a permis, on le sait, d'isoler, dans la
moelle
, divers systèmes, qui ont une triple caracté- r
motrice du cerveau et les cellules des cornes anté- rieures de la
moelle
; il dégénère parfois, comme le système postérie
ies » qui aurait d'ailleurs duré fausse sclérose systématique DE la
moelle
. 47 peu de temps. Depuis cette époque, à différ
charre au sacrum apparaît. 1. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 49 La malade succombe le 25 janvier. Au moment
aussi une teinte grisâtre. « Sur les coupes à l'état frais de la
moelle
épinière, on cons- tate ce qui suit : 1° à la r
sur les lésions du système nerveux et spécialement sur celles de la
moelle
que nous dési- rons appeler l'attention dans ce
appeler l'attention dans ce mémoire. B. Examen microscopique de la
moelle
. I. Topographie des lésions.- Un examen attenti
anches I et II et qui reproduisent très exactement les coupes de la
moelle
pratiquées aux différentes hauteurs, permettra
est l'existence de lésions scléreuses dans toute la hau- teur de la
moelle
épinière. Ces lésions sont surtout marquées au
utrepart qu'elles ne sont pas limitées à un seul des systèmes de la
moelle
, mais qu'elles affectent, à des degrés d'intens
n procédant de la partie inférieure vers la partie supérieure de la
moelle
, comme nous l'avons fait pour celles des cordon
sclérose intéresse les cordons latéraux dans toute la hauteur de la
moelle
. Nous la voyons apparaître au niveau du cône mé
ure de la région lombaire. Depuis ce point jusqu'à la réunion de la
moelle
et du bulbe, elle intéresse toute l'épaisseur d
ux de Turck et des cordons antérieurs dans toute la hau- teur de la
moelle
. , c) Substance grise. L'étude des cornes antér
es groupes cellulaires de Clarke étaient fort peu développés sur la
moelle
de notre malade. Sur les points où les cellules
topographie des lésions : Sclérose étendue à toute la hauteur de la
moelle
, intéressant simultanément les cordons postérie
bande trans- versale qui recouvre tout le segment postérieur de la
moelle
(cordons latéraux, cornes et cordons postérieur
cordons latéraux et aux bandelettes de Burdach. II. Examen de la
moelle
à un fort grossissement. -Nous au- rons plus d'
rps granu- leux et de globules graisseux sur les préparations de la
moelle
fraîche faites par dissociation. b) Sur chaqu
atteints. Ce fait qu'on apprécie faci- lement déjà en examinant la
moelle
à un grossissement faible, devient beaucoup plu
àce niveau, les éléments normaux FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 53 de la moelle ont complètement disparu, remp
ments normaux FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 53 de la
moelle
ont complètement disparu, remplacés qu'ils sont
axes font complètement défaut. c) On constate à la périphérie de la
moelle
, dans les parties dégénérées, un grand nombre d
, en effet, intéresse à la fois et dans la plus grande partie de la
moelle
, le système des cordons postérieurs et celui de
nous fournira tout à l'heure l'étude histologique minutieuse de la
moelle
, et considérons exclusivement la localisation d
disposition. de la sclérose que FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 55 dans la maladie de Duchenne la plus légitim
ion le faisceau de Burdach est envahi dans les parties basses de la
moelle
, tan- dis que le cordon de Goll est seul intére
ou du faisceau cérébelleux direct qui confine à la périphérie de la
moelle
, et le système centrifuge ou du faisceau pyrami
r les figures 2 et 3 (Pr.. I); elle s'avance vers le centre de la
moelle
sous la forme d'un triangle à base péri- phériq
figures, à la figure 7 (PL. II) par exemple, celle d'une coupe de
moelle
atteinte de sclérose latérale amyotrophique ou
possédons sur la structure de la FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 57 moelle, notions révélées par la pathologie,
la structure de la FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 57
moelle
, notions révélées par la pathologie, il nous se
midal, qui respecterait absolument dans toutes les parties de la
moelle
les faisceaux de Türck et les cor- nes antérieu
logique de Dreschfeld que les lésions dans toute la hauteur de la
moelle
paraissaient bien limitées à l'aire du faisceau
'agit ici, contrairement à ce qui est pour les autres parties de la
moelle
, d'une véritable dégénérescence ascendante seco
ce point, en agitant la question de la coïncidence possible dans la
moelle
de lésions de sclérose diffuse et de sclérose s
xique. Il n'est pas sans intérêt FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 59 de la voir coïncider ici avec des lésions d
raux, en un mot à une fausse sclérose sys- tématique combinée de la
moelle
, compliquée d'atrophie des nerfs optiques. Un
téraux)', Westphal (dégénéres- cences combinées et primitives de la
moelle
), Kahler et Pick (dégénérescence combinée systé
elle), Kahler et Pick (dégénérescence combinée systématique de la
moelle
), Babesiu (dégénérescence combinée primitive de
! % : rchows, Al'cll ! v., 187U. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 61 affectent toutes les voies centripètes, qui
dans le service de M. Charcot, à la Salpêtrière : les lésions de la
moelle
chez cette malade correspondaient, suivant tout
st le fait remarquer, il existe dans presque toute la hauteur de la
moelle
, entre la corne postérieure et la zone scléreus
un espace plus ou moins étendu selon la hauteur, dans laquelle la
moelle
est saine. C'est donc vraisembla- blement par l
norl1l. etpath., u° 7, ISS ? . FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 63 mémoire de Westphal, ne serait pas ici légi
Qu'un foyer de myélite diffuse chronique envahisse une région de la
moelle
, la région dorsale par exemple, on conçoit qu'i
et la dernière cervi- cale. » FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 65 Un fait publié par M. Pierret (Arch. de phy
rtie de leur étendue : la sclé- rose commence à la périphérie de la
moelle
, recouvre les faisceaux cérébelleux et une part
tique ; ou bien enfin que les lésions de la partie moyenne de la
moelle
étant celles d'une myélite dif- fuse, les altér
ions insister plus qu'il ne con- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 67 vient sur ce premier argument, car, nous l'
ous le dirons par la suite. Quant à la sclérose des parties de la
moelle
sus et sous-jacentes aux régions dorsale supéri
nser que, dans l'espèce, les altérations de la région moyenne de la
moelle
, ont joué le rôle d'un foyer de myélite transve
les cor- dons de Burdach et de Goll, dans toute la hauteur de la
moelle
, d'autre part, dans la même étendue, les faisce
r Psychiatrie, Bd. VIII, Lef1 2. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 69 M. Damaschino a bien voulu nous montrer de
trer de très belles photographies des coupes microscopiques d'une
moelle
atteinte de lésion scléreuse des cor- dons post
raux. Sur ces derniers, l'alté- ration, dans toute la hauteur de la
moelle
, semblait assez nettement limitée au faisceau p
visagée comme la conséquence d'un développement incom- plet de la
moelle
chez la malade. IV. Les développements dans l
oyons-nous, qu'on ne saurait tenir les altérations relevées dans la
moelle
de notre malade, pour véritablement systématiqu
us ne sommes point assez avancés en histologie pa- thologique de la
moelle
, comme le fait justement re- marquer Westphal,
dans l'aspect des tubes nerveux sur une coupe transversale de la
moelle
de notre malade et sur celle d'une moelle attei
coupe transversale de la moelle de notre malade et sur celle d'une
moelle
atteinte de sclérose systématique type, par exe
représentée la coupe d'un cordon FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 71 t latéral dégénéré consécutivement à une lé
vement à une lésion céré- brale, en B celle du cordon latéral de la
moelle
de Sarrazin, aux confins des parties malades et
aiguës, subaiguës et chroniques primitives de l'inflammation de. la
moelle
épinière '. » Nous avons donc le droit de consi
sait, existent, à l'état normal, dans le tissu interstitiel de la
moelle
, comme il résulte des travaux de Jastrowitz \ d
. 5 Debove, cité par Fr. Boll. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 73 l'auteur note également le développement re
appé, en effet, lorsqu'on jette les yeux sur nos diverses coupes de
moelle
, particulière- ment sur la figure 10 (PL. II),
la lésion interstitielle. Mais, dans la sclérose systématique de la
moelle
, on ne rencontre pas, à beau- coup près, un dév
péri- vasculaire. L'histoire des scléroses péri-vasculaires de la
moelle
est encore presque toute à faire. On s'est en e
s'agit du foie. Eh bien ! il en est certainement de même pour la
moelle
: les scléroses de cet organe ont, cela n'est p
de départ; c'est assez dire que FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 7.') si l'on veut caractériser le processus, i
qui nous autorisent à considérer FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 77 cette femme comme atteinte d'une maladie in
t également sur les tractus fi- breux qui relient les méninges à la
moelle
. Lésions de la moelle produites par proliférati
tus fi- breux qui relient les méninges à la moelle. Lésions de la
moelle
produites par prolifération des éléments con- j
ier', aboutissent à la sclérose; pourquoi donc vouloir que, dans la
moelle
, la syphi- lis prenne une forme différente de c
Tabès spécifique, Paris, 1882. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 79 Nous ne nions pas, tant s'en faut, la tenda
rmes : En cas de lésion intéres- FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 81 saut simultanément les cordons postérieurs
lérose du cordon latéral s'étend dans la plus grande partie de la
moelle
, celle des faisceaux de Burdach fait défaut sur
t postérieurs, dans lesquels, la FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 83 lésion de ces derniers imprime à la symptom
générescence scléreuse du cordon latéral dans toute l'étendue de la
moelle
, il yavait aboli- tion de la motilité des membr
que que présentent des scléroses diffusées aux deux cordons de la
moelle
. L'antagonisme qui existe entre certains des sy
dominante. Si la sclérose postérieure occupe toute la hauteur de la
moelle
, l'abolition des réflexes est la règle et les m
ons à cet intéressant tiavail. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA
MOELLE
. 85 EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE 1 Fig.
ELLE. 85 EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE 1 Fig. 1. Coupe de la
moelle
au niveau de la partie supérieure du cône médul
ion cervicale inférieure. Fig. il, 12. - Coupes transversales de la
moelle
aux parties moyennes. a, Sclérose latérale. b
n de Goll. PLANCHE 111 . Fig. 13. Moitié droite d'une coupe de la
moelle
il la région cervi- cale inférieure. a, Artèr
cale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de la
moelle
. a, Sclérose des cordons postérieurs. G, Sclé
onne chez un lapin, le jour de sa naissance, la moitié gauche de la
moelle
épinière, immédiatement au-dessous de l'entrecr
externe de l'acoustique (noyau de Deiters) dépend des fibres de la
moelle
et qu'il n'affecte aucune espèce de rapports av
tant l'action vulnérante d'un choc sur le crâne. Cette lésion de la
moelle
allongée, ce « trouble bulbaire», expli- querai
t état dût être cherchée 136 BIBLIOGRAPHIE. dans une lésion de la
moelle
allongée, et, dans cette idée, M. Tilanus se po
parties sont affectées à la fois, c'est impossible. D'ailleurs, la
moelle
allongée estaffectée aussi, mais elle est dans
probablement causée, en partie, par la plus grande résistance de la
moelle
allon- gée« l'ultimum moriens du système nerveu
composition écrite était la suivante : Cor- dons postérieurs de la
moelle
(anatomie et physiologie). - Les deux questions
es pois, dans les parties du corps strié voisines du ventricule. La
moelle
allon- 150 PATHOLOGIE NERVEUSE. gée et la moe
u ventricule. La moelle allon- 150 PATHOLOGIE NERVEUSE. gée et la
moelle
épinière étaient saines. Pas d'altéra- tion app
sule, ainsi qu'une dégénérescence descendante à travers le pont, la
moelle
allongée et les cordons pyramidaux de la moelle
travers le pont, la moelle allongée et les cordons pyramidaux de la
moelle
. La localisation de la lésion capsulaire n'est ma
men macro et microscopique) de la protubérance, du bulbe et de la
moelle
. ' "' l' ' "' ' , . 1 '<" 1 '11tHJ 1 - 3°
culaire droit, n'empiétant pas sur la capsule. Ramollissement de la
moelle
, à l'oeil nu, jusqu'à la région lombaire. A l'e
pédon- cules. Ramollissement marqué de la substance blanche de la
moelle
, dans la région dorso-lombaire. A l'examen micros
Graves' semble être le premier qui ait signalé des lésions de la
moelle
; il parle d'un ramollisement de la moelle sans
gnalé des lésions de la moelle; il parle d'un ramollisement de la
moelle
sans dépôts uratiques. Albers de Bonn cite plus
t. III, p. 1, 1880). -- l'our lui, l'a1 ! eclIon siégerait dans la
moelle
allongée, où, d'tiptcb les laits de il. liuziur
e ataxie locomotrice. « La sclérose des cordons pos- térieurs de la
moelle
paraît avoir débuté, il y a huit ans; après une
de les rapprocher des phénomènes médul- laires analogues. Bulbe et
moelle
ne sont en réalité qu'un seul et même organe, o
nerf sensible lui-mème, peut agir sur les élé- ments moteurs de la
moelle
et déterminer une para- lysie. » ' ' Qu'on ad
- lons retenir en effet, c'est que, dans la sphère d'action de la
moelle
, on peut observer au début ou au cours du tabes
qu'on en donne, n'impliquent en au- cune façon que la lésion de la
moelle
ait dépassé 1 Leçons publies par 31. le docteur
nne, dans ce cas, aucune lésion des cordons antéro-Iatéraux de la
moelle
, ni de la substance grise. Par contre, il y ava
l'arachnoïde s'amincit rapidement sur les parties laté- rales de la
moelle
et a repris son épaisseur normale avant d'avoir
es résulte d'une atrophie des cellules des cornes antérieures de la
moelle
, et d'autre part, que le processus d'irritation
stérieure se diffuse. Elle chemine, dans sa marche progressive à la
moelle
, le long de voies préétablies et toujours les m
les parties qui, au bulbe, représentent le système postérieur de la
moelle
. C'est qu'en effet les noyaux du bulbe (noyaux
itive du trijumeau un système identique à celui que forment dans la
moelle
les zones radiculaires postérieures et les corn
ses sur la frappante ressemblance anatomique et physiologique de la
moelle
et du bulbe. D'une part, on relève dans plusieu
stème antérieur (cornes anté- rieures) suppose au bulbe comme à la-
moelle
une alté- ration antécédente de la zone radicul
parce qu'il montre que la dégénération des faisceaux latéraux de la
moelle
n'entraîne pas de troubles des fonctions urinai
sie se rencontre encore dans quelques affections traumatiques de la
moelle
, quelquefois dans la com- motion violente du ra
ites aiguës, à la suite de traumatismes 232 REVUE CRITIQUE. de la
moelle
portant sur la partie inférieure du renflement
e rencontre dans les cas de lésions de la partie inférieure de la
moelle
, dans sa totalité, dans l'ataxie locomotrice, dan
Duchenne, dans quelques myélites centrales. Si les affections de la
moelle
épinière retentissent fréquem- ment sur les fon
les affections des voies urinaires ont aussi quel- quefois sur, la
moelle
, une, influence, pathogénique uon dou- teuse. O
rinflammation peut se faire d'un point des voies urinaires vers la
moelle
, par le mécanisme de la névrite ascendante ,('l
détermine une para- lysie plus ou moins complète; dans ces cas, la
moelle
n'est pas atteinte, il s'agit de fausses parapl
ue eut rai- son de tous ces accidents. G. D. XIII. BLESSURE DE la
MOELLE
cervicale par UNE ÉPINGLE A CHEVEUX; par M. ViR
lésions classiques des faisceaux latéraux sur toute l'étendue de la
moelle
, sclérose des cornes antérieures très prononcée
ée. Ni les maladies infectieuses, ni les affections localisées à la
moelle
ne figurent en effet au nombre des sujets qui f
osition de nature à favoriser la localisation de la syphilis sur la
moelle
? Nous vous laissons le soin de faire vous-mêmes
. - Leçons sur la localisation dans les maladies du cerveau et delà
moelle
ép11 ! ière, p. 221. - 13rissaud. - Rrcla.jZnaf
es noyaux de l'hypoglosse. Pas de dégénérescence secon- daire de la
moelle
. Observation III. Embarras de la parole. Foyers
aître que les noyaux de l'hypoglosse ne sont pas altérés. Dans la
moelle
, dégénérescence secondaire du faisceau py- rami
M. Westphal rapporte d'abord deux observations d'affection de la
moelle
, caractérisées par une paralysie des quatre extré
) Observation. I. Un gros tubercule occupe la moitié gauche de la
moelle
allongée d'un enfant de un an. Ce foyer est uniqu
és siégeant danslestubercules quadrijumeaux, la pro tu- bérance, la
moelle
allongée, le cervelet. On rencontre, en outre, de
ns analysées par M. Struempell. La lésion occupe, au début, dans la
moelle
dorsale deux étroites zones latérales symétriqu
es postérieures. On trouve égale- ment de très bonne heure, dans la
moelle
dorsale, une étroite bande de sclérose médiane
, les cordons postérieurs sont affectés dans toute la hauteur de la
moelle
dorsale. A la moelle lombaire, l'altération déb
rs sont affectés dans toute la hauteur de la moelle dorsale. A la
moelle
lombaire, l'altération débute toujours dans l'air
qui se dirige de l'aire moyenne sclérosée au sillon postérieur. La
moelle
cervicale est d'assez bonne heure atteinte dans
n, l'impression anatomo-pathologique. Les cordons postérieurs de la
moelle
cervicale présentent d'ailleurs invariablement de
la partie moyenne de la protubérance. La région supérieure de la
moelle
est fortement hyperémiée. Pneumonie hypostatique,
me étant scléreux; adhérence des méninges à la protubérance et à la
moelle
allongée; oedème prononcé des pyramides. Pneumo
(Ann. de la Soc. méd. chir. de Liège, 1882.) Les affections de la
moelle
dont les lésions sont localisées aux cornes gri
(18 à 24 éléments) : l'un des électrodes est placé au niveau de la
moelle
ou du plexus sacré et l'autre plus petit sur les
ais peut-être une anomalie innée dans les cordons postérieurs de la
moelle
. P. K. XXIX. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'athéto
dure-mère, mais aucun foyer méningitique, aucune compression de la
moelle
. Le microscope révéle au niveau de la région ma
tuméfaction de la névroglie des cordons postérieurs jusque dans la
moelle
lombaire inférieure. L'affec- tion est, en outr
le mode de propagation de l'inflammation de la vertèbre malade à la
moelle
au moyen des méninges infiltrées de pus, sous l
cervelet, dans la protubérance, dans les régions supérieures de la
moelle
allongée, dans les régions cervicales, dorsales
allongée, dans les régions cervicales, dorsales et lombaires de la
moelle
, présentent à la fois les caractères de la myél
s symptômes selon la période prouvent l'ascension des lésions de la
moelle
à la moelle allongée par l'intermédiaire de la
selon la période prouvent l'ascension des lésions de la moelle à la
moelle
allongée par l'intermédiaire de la protubérance
se de l'électrisation galvanique du cer- veau suivie de celle de la
moelle
. Nous connaissons déjà les erre- ments du premi
us connaissons déjà les erre- ments du premier procédé'. Quant à la
moelle
, on la galvanise de bas en haut, de la région l
astiques des doigts '). Nulle symptomatologie en ce qui concerne la
moelle
, le cerveau, la sensibilité spéciale ou général
c l'aliénation mentale ; elle est en relation avec l'atteinte de la
moelle
. L'auteur en met sous les yeux de ses confrères
résente deux stades. Dans le premier, les cellules des cornes de la
moelle
sont milles. Dans le second, elles sont plus du
que ceux de la poliomyélite. Tandis que les cellules normales de la
moelle
se colorent complètement, les cel- lules malade
e commémorative dans le concours pur desphérules ganglionnaires. La
moelle
a aussi un rôle (irradiation à travers la subst
dies du système nerveux comprenant les affections du cerveau, de la
moelle
, des nerfs périphériques, les névroses. Un gran
ier, 246. Mérycisme (du), par Bourneville et Ségalas, 101, 312.
Moelle
(étude d'un cas de fausse sclérose systématique
EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE Fig. 1. -.Coupe de la
moelle
au niveau de la partie supérieure du cône médul
égion cervicale inférieure. Fig. Il, 12. Coupes transversales de la
moelle
aux pai ties moyennes. a, Sclérose latérale.
LANCHES. t27 PLANCHE lit Fig. 13. Moitié droite d'une coupe de la
moelle
à la région cervi- cale inférieure. a, Artère
cale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de la
moelle
. a, Sclérose des cordons postérieurs. b, Sclé
Or, si l'irritation douloureuse du sciatique, retentissant sur la
moelle
pouvait produire une action musculaire, c'est u
filuent et acide et un ramollissement dans la substance grise de la
moelle
, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 51
e tue l'animal par l'ouverture du thorax et procède à l'autopsie.
Moelle
. Des coupes transverses montrent au cordon latéra
granulo-graisseuse des éléments histologiques de cette région de la
moelle
. Au centre de ces foyers, on trouve le maximum
que ces légers signes de myélite que nous avons constaté dans la
moelle
de notre chien tiennent à un travail inflammato
fixée sur la question de savoir si tous les ramollisse- ments de la
moelle
sont de nature inflammatoire. Dans le. travail
ion. L'autopsie, microscopiquement, n'a montré rien d'anormal. La
moelle
ayant été durcie dans une solution d'acide chromi
ré rien d'extraordinaire ; le cerveau a paru intact. J'ai trouvé la
moelle
épinière un peu plus durcie, du reste, très pro
nérescence disséminée des cordons blancs de la région dorsale de la
moelle
ou d'une leucomyélite dorsale disséminée. Au-de
ntent nor- males ; on ne trouve pas de cellules granuleuses dans la
moelle
épinière, même dans les préparations par le pot
ères spinales et à priver ainsi de sang artériel tout un segment de
moelle
. L'ischémie spinale par embolie est déjà aussi
oeur, chez lequel Morgagni a montré un ramollissement central de la
moelle
dorsale et au milieu de la lésion une artère ob
sont beau- coup plus graves et plus fréquentes au cerveau qu'à la
moelle
, et plusieurs fois, elles se rencontrent au cer-
s, elles se rencontrent au cer- veau sans qu'il y en ait trace à la
moelle
. La meil- leure preuve de ce fait est fournie p
ds et quatre petits foyers hémorrhagiques au cerveau et rien à la
moelle
malgré la grande quantité de'bul-; 56 CLINIQUE
ur des nerfs spinaux qui forment la queue de cheval. Ayant coupé la
moelle
épinière dans ses diffé- rentes parties, nous a
nc à un haut degré, puisqu'à peine la pie-mère, fort adhérente à la
moelle
épinière, était-elle coupée ou détachée, que la
tique ramollie s'écoulait pour ainsi dire. Les autres parties de la
moelle
présentaient la con- sistance normale ; pas d'h
présentaient la con- sistance normale ; pas d'hyperhémie ni dans la
moelle
ni dans la pie-mère. On ne trouva pas non plus
e tra-' vail du professeur Leyden intitulé « De l'affection de la
moelle
épinière causée par une diminution brusque de l
rès la mort par le Dr Gelplce n'a fait voir aucune altération de la
moelle
épinière. Les veines du canal vertébral aussi b
épinière. Les veines du canal vertébral aussi bien que celles de la
moelle
étaient remplies. 11 y avait dans le sac de la
assez transparent. Quand on pratique des coupes transversales de la
moelle
surtout à la région dorsale, on voit la substan
e couleur et purulent. Couches épaisses de pus dans la vessie. La
moelle
durcie pendant deux mois dans le liquide de Mûlle
carbonique qui occasionnent des déchi- rures de la substance de la
moelle
. Je n'ai pas pu dé- couvrir ces « Ein7'issen in
ai pas pu dé- couvrir ces « Ein7'issen in die Subslan, » dans les
moelles
des chiens. Schultze, de son côté, n'a pas cons
osé, les vaisseaux finiront par s'alté- rer, comme cela arrive à la
moelle
; d'où la possibi- lité d'une aphasie permanente
gent ou au moins domi- nent au centre et aux cordons latéraux de la
moelle
, nous avons la forme centrale spinale latérale;
stéro-latérale, avec les syndromes propres aux régions lésées de la
moelle
. Le siège des lésions au centre et aux cordons
.transitoires, sont certainement dus à l'ischémie transitoire de la
moelle
par des em- bolies gazeuses de ses vaisseaux. -
centre nerveux sont, suivant Lussana, les cordons postérieurs de la
moelle
épinière. Ces con- ducteurs ne contiennent pas
de la corne antérieure, de la colonne de Clarke, d'une moitié de la
moelle
épinière et des deux circonvolutions rolanriiques
fois après l'ablation d'un membre. L'amputation est suivie, dans la
moelle
, de l'atrophie simple ascendante des voies sens
1887.) Les fibres radiculaires postérieures à peine entrées dans la
moelle
se diviseraient en deux portions : l'une qui pé
res postérieures, mais ces fibres, au-dessus de leur entrée dans la
moelle
à des hauteurs plus ou moins distantes de cette
formes des faisceaux de Burdach dans les portions inférieures de la
moelle
, au début du tabes, de concert avec celles des
rescence des faisceaux de Goll, dans les portions supérieures de la
moelle
. P. K. IL Contribution A L'Éi'UDE des modific
ralbl., 1887). Ce phénomène dépend de l'union des muscles avec la
moelle
. Une grenouille normale qui reçoit un choc lége
loïde du système musculaire; 1'encé- phale était demeuré intact. La
moelle
de l'une des malades était affectée de leptomén
ocalisation habituel notamment au niveau du segment inférieur de la
moelle
dorsale (l'orateur présente des figures et des pr
OGIE CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDES SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE (SYRIr\GOllyJ1;vE, - SCLEROSE C01fU1\É
té de Liège. I. GLIOMATOSE, formation d'une cavité. C'est sur une
moelle
atteinte de dégénérescences secondaires, à la s
bas, sur une longueur de 4 centi- mètres environ. N'ayant pas eu la
moelle
allongée à ma disposition, je ne puis pas en fi
e haut. Sur les' coupes obtenues à la partie la plus élevée de la
moelle
cervicale (V. fig. 19), on observe, au niveau d
e affecte l'apparence Fig. 19. - Coupe delà partie supérieure de la
moelle
cervicale. (Le pointillé indique les pallies dé
le. (Le pointillé indique les pallies dégénérées.) ÉTUDES SUR LA.
MOELLE
EPINIERE 163 .d'un T a branches inégales : la b
i vient d'être décrite et les dé- générescences secondaires dont la
moelle
était atteinte. Il arrive que la syringomyélie
. On les rencontre sur une étendue plus ou moins considérable de la
moelle
. Sauf dans un cas de Schullze8, on n'a pas sign
cences secondaires ; dans les cas dont il s'agit, à 'Maladies de la
moelle
épinière, ll'ad. française. 'Die Leiliiiigsbahn
hultze2, on rapporte la formation de la plupart des cavités dans la
moelle
à la cause que je viens d'indiquer., Le point
c le canal central. Dans son trajet vers la partie inférieure de la
moelle
, elle s'éloigne de son lieu d'origine : elle se
anastomoses fibrillaires les actions réflexes du cerveau et de la
moelle
, et les rapports fonctionnels des diffé- rentes
ules nerveuses qui rappellent celles des cornes anté- rieures de la
moelle
épinière. Les fibres de la 2e caté- gorie sorte
fférences de structure des cornes antérieures et postérieures de la
moelle
épinière, à-t-elle quelque apparence de vérité
des nerfs moteurs avec les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière \ Où fallait-il chercher, dans l'hypot
e- let ? C'est un champ de recherches plus obscur encore. Dans la
moelle
épinière ? Mais, même pour les cel- lules des c
ituer une fibre des racines antérieures ? A cet effet, au lieu delà
moelle
d'un adulte, Golgi soumit à ses réactifs des mo
t, au lieu delà moelle d'un adulte, Golgi soumit à ses réactifs des
moelles
de nouveau-nés et de foetus, et, parce que la g
SIOLOGIE. découvrit que les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière sont bien en rapport direct, quoique n
al : Golgi reconnaît que les ré- gions motrices et sensitives de la
moelle
épinière, que les cellules des cornes antérieur
es cornes antérieures et des cordons anté- rieurs et latéraux de la
moelle
, on observe encore des contractions musculaires
veux sous-jacents, comme essentiellement dis- tincte de celle de la
moelle
épinière. Il s'agit surtout ici, selon nous, d'
voit déjà dans le bulbe, la simplicité relative des ganglions de la
moelle
épinière; mais ce qu'il y a de fondamental dans
peut sans doute être posé dans des termes aussi simples que pour la
moelle
épinière. Mais la solution n'en saurait être es
tes du réseau fibrillaire de l'écorce. Nansen a vu aussi, dans la
moelle
épinière des myxines, des tubes nerveux sor- ti
ù la lésion intéresse le plus souvent les cordons postérieurs de la
moelle
épinière, ainsi que les racines postérieures de
mbreuses analogies avec les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière. Toutes ces cellules nerveuses envoien
es Mémoires de Livio Vin- cenzi Sur la morphologie cellulaire de la
moelle
allongée, Sur l'origine réelle du nerf hypoglos
ids spéci- fique moyen de l'encéphale et de ses parties, et de la
moelle
épinière : LES FONCTIONS DU CERVEAU, 207 i d'
oueuse des deux oculomoteurs communs et des racines nerveuses de la
moelle
. Intégrité du cer- veau ; légère myélite périph
moelle. Intégrité du cer- veau ; légère myélite périphérique de la
moelle
; dégénérescence commençante des cordons de Goll
; dégénérescence commençante des cordons de Goll et, à partir de la
moelle
lom- baire, hyperplasie de petites cellules aut
n ne saurait en- core néanmoins la rattacher à la lésion même de la
moelle
, quoique MM. Oppenheim et Siemerling aient, en
bution A la question des affections systématiques COM- binées DE la
moelle
; par A. Erlicki et J. Rybalkin. (Arch. f. Psych
histologique. Intégrité de '248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la
moelle
et des racines antérieures. Dégénérescence très i
s et postérieures. Dégénérescence des cordons postérieurs dans la
moelle
lombaire qui n'atteint en montant que les faiscea
epter la théorie des myopathies pures. L'absence de lésions dans la
moelle
n'implique pas la négation de toute origine spina
lcheitert. Ses mémoires se rapportent surtout aux 'ma- ladies de la
moelle
, à la paralysie générale des aliénés et à divers
se traduisant pendant la vie par des symptômes dépendant soit de la
moelle
, suivant les uns, soit primitivement des nerfs
point, les autopsies ont toujours montré l'intégrité absolue de la
moelle
(Rosenstein, et deux cas de Nivière) et l'absen
re, en particulier pas d'altération des cordons pos- térieurs de la
moelle
, mais qu'il s'agit principalement de névrites p
permanente serait la conséquence de l'extension des lésions de la
moelle
au plancher du quatrième ventri- cule. On noter
e de décrire schématiquement l'ana- tomie normale des cordons de la
moelle
, en mention- nant ce que nous ont appris les de
lomo-patholo- giques. Chaque moitié de la substance blanche de la
moelle
est d'abord divisée par les racines postérieure
sion appréciable. Les méninges rachidiennes paraissent indemmes. La
moelle
elle- même est très diminuée de volume ; à la c
et examen : le cerveau,' le cervelet, la protubérance, le bulbe, la
moelle
, les racines et les ganglions spinaux, quelques
e l'avantage contestable d'exiger très peu de temps. Examen de la
moelle
épinière. - Région lombaire. - Eu examinant les
une structure presque normale et se confond avec le tissu sain. ,
Moelle
dorsale inférieure. -Beaucoup de fibres transvers
dreich.) La pic-rnèrè est épaissie, les cor- dons postérieurs de la
moelle
sont atteints d'une dégénérescence facile à con
ième ventricule. Il n'y a pas de lésion de la substance grise de la
moelle
. - Atro- phie des racines postérieures. 346 A
ostérieures atrophiées. La dégénérescence se propage un peu dans la
moelle
allongée. Autopsie IV. (Friedreich.) Sclérose
quée par Schültze. Néphrite interstitielle chronique. Du côté de la
moelle
: dégénérescence grise des cordons postérieurs
térieure des cordons latéraux. Aplatissement antéro-potérieur de la
moelle
, surtout au niveau de la région cervicale. Epaiss
tituée par une grande quantité de cellules a noyaux pigmentés. La
moelle
épinière est plus mince ; la diminution de volume
uses est considérablement réduit dans les cordons postérieurs de la
moelle
dorsale et lombaire. Entre les foyers de dégéné
ntes de dégénérescence fibrillaire telle que dans la sclérose de la
moelle
et d,tns le tabes ordinaire. ' On ne peut ape
al ; il en esl de même pour les nerfs et les muscles. Du côté de la
moelle
allongée depuis l'entre-croisement des pyramide
es antérieures, pas de sclérose et de corpus- cules amyloïdes. La
moelle
allongée est plus grêle surtout à la partie infér
es diamètres. Celle diminution portait sur toutes les parties de la
moelle
allongée. Au microscope, les fibrilles et les c
séminée irré- 348 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. gulièrement à travers la
moelle
comme dans la sclérose dissé- minée, mais elle
nerveux et des cellules dans certaines parties bien définies de la
moelle
épinière. Autopsie VIII. (Newton Pitt.) - La
éfinies de la moelle épinière. Autopsie VIII. (Newton Pitt.) - La
moelle
épinière, extrême- ment mince, présente une scl
es fibres saines sont plus nombreuses à la, partie supérieure de la
moelle
qu'à sa partie inférieure où leur présence est ex
plus définie à la partie supérieure qu'à la partie inférieure de la
moelle
. Sclérose diffuse (et beaucoup plus étendue que
, la chose la plus digne de remarque est la grande diminution de la
moelle
dans son diamètre trans- verse ; cette diminuti
es et les parties postérieures des colonnes latérales. En somme, la
moelle
est plus petite que d'ha- bitude, ce qui pourra
. Le cerveau, le pont de Varole, le bulbe et les enveloppes de la
moelle
sont intacts. Autopsie IX (Rütimeyer). Le cerve
REICH. 349 lier, soit dans sou aspect extérieur soit à la coupe. La
moelle
al- longée et la moelle épinière sont très atro
ns sou aspect extérieur soit à la coupe. La moelle al- longée et la
moelle
épinière sont très atrophiées, mais d'une ma- n
re, Les préparations ont été faites par le procédé de Weigert. La
moelle
épinière est mince, surtout à cause de l'aplatiss
ostérieure et le reste des cordons latéraux sont intacts. Dans la
moelle
cervicale antérieure, la dégénérescence des cor-
éalité du type. 1. Tout d'abord en ce qui a trait au volume de la
moelle
épinière elle-même, on remarquera qu'il a toujo
itimement conclure à une véritable atrophie, car dans les cas où la
moelle
est atteinte d'inflammations chroniques analogu
la répartition des lésions en considérant non pas la totalité de la
moelle
, .lecumrs, six. 23 Fig. 31. Fig. 32. Fig.
ébelleux dépasse les limites normales (/if), 34). La partie de la
moelle
qui dans la région lombaire Fig. 38. 356 ANAT
nsi que les fibres grosses sont beaucoup moins abon- dantes dans la
moelle
qu'à l'état normal, et que les fibres très fine
au- teurs. (V. PL. 1, jig. 2.) V. 1. Il est il remarquer que la
moelle
que nous avons examinée présentait une diminuti
faisceaux postérieurs. Si l'on considère d'abord qu'il s'agit d'une
moelle
héréditairement prédisposée, et dont le dévelop
s grosses, dont la consé- quence est de déterminer l'atrophie de la
moelle
elle- même. De plus, on peut invoquer dans quel
s méninges et des trabécules de la pie-mère qui pénètrent dans la
moelle
jouent le principal rôle et peuvent en imposer
rcions infiniment. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 361 régions de la
moelle
, on ne trouve jamais que la dégé- nérescence y
est de prédisposer à la dégénérescence des tubes ner- veux de la
moelle
épinière par le moyen de troubles vasculaires,
r plus longtemps. Nous avons noté d'une part, que le volume de la
moelle
est considérablement réduit, ce qui est 362 ANA
comment se comprenaient il notre sens la diminution de volume de la
moelle
, les altérations des vaisseaux et la formation
ns postérieurs et les faisceaux pyrami- daux se développent dans la
moelle
eu dernier lieu, et sont par suite ses parties
occupant systématiquement des régions exactement déterminées de la
moelle
épinière. EXPLICATION DE LA PLANCHE PI. I, fi
e épinière. EXPLICATION DE LA PLANCHE PI. I, fia, la. Coupe de la
moelle
dorsale moyenne, à un faible grossissement, col
e; i, zune externe de Lissauer saine. PI. 1, fig. 2. - Coupe' le la
moelle
lombaire inférieure, il un faible grossissement
eau pyrnnmhl. PI. I, fig. 3. Région de la colonne de Clarke dans la
moelle
dorsale moyenne, vue il un fort grossissement,
ANATOMIE PATHOLOGIQUE ÉTUDES SUR I/ANATOM1E PATHOLOGIQUE ' DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE1 1 (SYRING011Y1¡LlE. - SCLEROSE COU131
rocessus sclérosiques, atteignant à la fois plusieurs parties de la
moelle
, et déjà, de nombreux exemples de ces scléroses
e l'histoire anatomo-patholo- gique des scléroses combinées. - La
moelle
dont il s'agit, provient d'un homme âgé de soix
pa- ' Voir Archives de Neurologie, t. XIX, li. 181. ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 379 résie des membres inférieurs : ce
nférieurs : le phéno mène du genou faisait défaut. L'examen de la
moelle
à l'état frais permet de reconnaître que les co
dans leur portion médiane. Les méninges offrent l'aspect normal. La
moelle
est durcie dans le liquide d'Erliky et les coup
rement décolorée en forme de coin dont la base arrive au bord de la
moelle
et dont le sommet dirigé ' Nous parlons toujour
0. Coupe à la partie inférieure de la région dorsale. ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 381 vers le centre est à peu près en
re. Ces mêmes caractères se retrouvent dans toute l'étendue de la
moelle
dorsale, mais la portion dégénérée des faisceaux
érie et s'arrêtent à une certaine distance du bord postérieur de la
moelle
. Dans les cordons latéraux, on observe à la par
déjà signalée dans la région dorsale. A la partie inférieure de la
moelle
lombaire, on ne remarque plus dans les cordons
Si nous résumons les résultats de notre examen, nous dirons que la
moelle
a présenté une dégénéres- cence des faisceaux d
ns le faisceau alltéro-latéral, il y avait, à la péri- phérie de la
moelle
, une zone annulaire de «sclérose qui s'élargiss
'un gris-pàle et quelque peu déprimés. Dans toute la longueur de la
moelle
, une bande transpa- rente, gris-brunàtre, occup
Ji üc4-ezimai,ks. -(A 7-eh ives de Virchow. 1879.) ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 383 coin à base- périphérique. Cette
cette dégé- nérescence se présentait sur toute la longueur de la
moelle
. Il y avait également sur toute la longueur de
ur de la moelle. Il y avait également sur toute la longueur de la
moelle
une dégéuération des cordons postérieurs, plus
e que nous l'avons nous-même observée. A la partie supérieure de la
moelle
, la dégénérescence entreprend une zone étroite
. Contribution à l'étude des fausses scléroses systématiques de la
moelle
épinière. Archives de Neurologie, t. X, 188, p.
redildnen N'or- men. (Archives de Virchov, t. LXX.) ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 385 Cette sclérose doit-elle être ran
to. 4 Etude d'un cas de fausse sclérose systématique combinée de la
moelle
. (Archives de Neurologie, t. VU, 1881, p. il).
é par Westphal. Arch. sur Psychiatrie, t. IX, p. 719. ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. ? 7 gnait les cordous de Goll que de
lésion des cordons latéraux s'étendait à toute la longueur de la
moelle
. Peut-on considérer les scléroses combinées com
encontrent avec les mêmes caractères sur une certaine étendue de la
moelle
, tendent faire supposer qu'il ne s'agit pas là
tème particulier de fibres. Or, quand on examine des coupes de la
moelle
, à la partie supérieure de la région cervicale,
vement inco- lore ne se rencontre qu'à la partie supérieure de la
moelle
cervicale. Si l'on examine la série des coupes
de la moelle cervicale. Si l'on examine la série des coupes de la
moelle
en s'éloignant de l'extrémité supérieure, on la
elles qui n'ont pas en- core acquis leur myéline. ' ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 389 rieurs que j'avais déjà constatée
lément. ' Recherches sur la structure des cordons postérieurs de la
moelle
épi- nière de l'homme. Archives de Neurologie,
comment elles se comportent dans leur distribution le long de la
moelle
. La lésion systématique se caractérise non seul
retrouve avec les mêmes caractères sur une certaine étendue de la
moelle
. Or, si la dégénérescence des cordons de Goll s
escence des cordons de Goll se rencontre sur toute la hauteur de la
moelle
, celle des cordons de Burdach ne peut être pour
peut être poursuivie que jus- qu'au niveau du tiers inférieur de la
moelle
: elle affecte les mêmes régions, c'est-à-dire
e la région supérieure de la ETUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3'M 1
moelle
dorsale, il vient s'y ajouter une sclérose de la
n même temps qu'elle s'agrandit, et vers la partie inférieure de la
moelle
dorsale (voir fig. 2'), on se trouve en présenc
e des foyers de sclérose, leur extension à toute la hauteur de la
moelle
, ou du moins à une pOI'tiorï1"considér'able de
dirige la sclérose, qui règle sa propagation à des par- ties de la
moelle
. Quel est ce facteur ? Consiste-t-il dans des c
atteinte de paralysie par compression de la partie inférieure de la
moelle
cervicale (une tumeur existait à ce niveau) ; d
ces formes convulsives. Il est en effet impossible d'attribuer à la
moelle
la genèse de syndromes convulsifs aussi complex
théniques, parMarcus, 272; -par Mendel, Snell, Binswanger, 406.
Moelle
(trajet des fibres radiculaires postérieures da
, 131. EXPLICATION DE 'LA PLANCHE 1 PI. 1, lit. 15. - Coupe de la
moelle
dorsale moyenne, à un faible grossissement, col
', i, zone externe de Lissaller saine. Pl. I, fig. 2. - Coupe de la
moelle
lombaire inférieure, à un faible grossissement,
pyramidal. Pl. I, fig. 3. - Région de la colonne de Clarke dans la
moelle
dorsale moyenne, vue à un fort grossissement, c
pendance ayant progressé, se soit étendu aux parties voisines de la
moelle
et eût provo- qué l'atrophie des muscles delà m
récédents. Ce processus morbide peut atteindre les enveloppes de la
moelle
, comme le prouve une observation de Schultze. O
nes, comme symptôme de cette lésion anatomique une gliomatose de la
moelle
épinière, ce qui est le plus probable. En ce
as une interruption de la conductibilité à un certain point de la
moelle
mais une lésion segmentaire de la substance gri
. L'affection non systématique et largement éten- due le long de la
moelle
épinière , provoquant néanmoins des symptômes a
ue et microscopique dans les maladies du cerveau, du bulbe et de la
moelle
. Pour bien concevoir la topographie de l'axe cé
s des différentes ré- gions à fonctions connues du cerveau et de la
moelle
, on peut déterminer suivant l'expression de Vul
isation anatomo-physiologique et pathologique du cerveau et de la
moelle
épinière. A cet effet, nous devrons mettre à prof
inique 40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des maladies du cerveau et de la
moelle
' ; 2° Y expérimenta- tion physiologique ; 3° e
nique dans la détermination de la topographie du cerveau et de la
moelle
. Tout en marchant de front par ses résultats avec
tonie (probablement d'origine alcoolique); pas d'altérations de la
moelle
. Le pied fut examiné avec soin et nous pûmes vo
ieurs des régions dorsale inférieure et lombaire supé- rieure de la
moelle
à laquelle il faut rattacher la disparition du
de remarquer la coparticipation des faisceaux de Tdrclc et, dans la
moelle
lombaire, celle de la portion correspon- dante
nerfs moteurs du plexus brachial émanent de la même région de la
moelle
. Le pronostic des paralysies radiculaires serait,
binée, la lésion des cordons postérieure prédomine toujours dans la
moelle
cervicale, où elle occupe les cordons de Goll ;
es uns contre les autres, dans la région thora- cique moyenne de la
moelle
, se disséminant ensuite en montant jusqu'à la p
, se disséminant ensuite en montant jusqu'à la partie moyenne de la
moelle
cervicale, et en descen- dant jusqu'à la partie
oelle cervicale, et en descen- dant jusqu'à la partie moyenne de la
moelle
lombaire. Dégéné- rescence secondaire des cordo
ndaire des cordons postérieurs dans les parties supé- rieures de la
moelle
et des cordons latéraux, dans les parties infér
la matière nerveuse (mailles névrogliques vides, surtout dans la
moelle
dorsale inférieure et moyenne). La mort a interro
e infectieuse, dont la nature est inconnue. P. K. XIV. Etat DE la
moelle
chez un malade ayant subi l'élongation sanglant
ubes nerveux ont paru en voie de désintégration. D'autre part, la
moelle
, à côté des altérations caractéristiques du tube,
miner s'il existe un rapport quelconque entre les altérations de la
moelle
et l'élongation des sciatiques. G. D. 74 REVU
ns dans les- quelles une altération scléreuse ou dégénérative de la
moelle
s'est montrée consécutivement à des lésions enc
ule interne ; entre-croisement anormal ou nul des pyramides dans la
moelle
allongée; un tractus de dégénérescence, de form
que du noyau caudé : sclérose de la colonne latérale gauche de la
moelle
. OBs. VIII. Lésions ayant détruit une partie du
hère que dans l'autre dégénérescence de la colonne laté- rale de la
moelle
du côté opposé. Dans la majorité de ces deux ca
tre, les premiers stades SOCIÉTÉS SAVANTES. 91 d'altération de la
moelle
épinière chez les mêmes animaux. On y voit que
nérescence à l'intérieur de la substance blanche. Préparations de
moelle
témoignant d'une dégénérescence marquée dans le
uée dans les cordons postérieurs, dégénérescence limitée, dans la
moelle
cervicale et dans la supérieure, aux faisceaux de
eure, aux faisceaux de (joli occupant, dorsale partie moyenne de la
moelle
dorsale, une petite place à peu près au milieu
de l'organe, de chaque côté du grand sillon postérieur et, dans la
moelle
dorsale inférieure, sur une courte étendue, les
es externes à un degré d'intensité modéré. Intégrité complète de la
moelle
lombaire tout entière. Il s'agissait d'une vier
qui avait conservé sa virginité toute sa vie. Préparations de la
moelle
d'une femme qui, trois ans avant sa mort, avait
e et )''ried ! oender, relatives aux altérations des nerfs et de la
moelle
après amputation, mais il n'est pas démontré qu
les embryons : par exemple les grandes cellules multipolaires de la
moelle
n'en paraissent pas susceptibles. Le mémoire es
la- tions qu'on rencontre dans les grandes cellules nerveuses de la
moelle
épinière du lapin. On injecte l'animal récemmen
avec une solution tiède d'acide chromique à'/sooo On fait durcir la
moelle
dans de. l'alcool progressivement de plus en pl
ÉNAT. loi M. Krontiial. De l'hétérotopie de substance grise dans la
moelle
. Publiée itz extenso dans le Neurolog. Centralb
s auteurs, consiste en conges- tions passagères du cerveau et de la
moelle
épinière, se présente cliniquement par la sympt
hémorrhagie de la partie inférieure (dorsale et lom- baire) de la
moelle
épiuière ». Le troisième degré - * De Vile f/7
en une hémor- rhagie. qui a lieu en même temps au cerveau et à la
moelle
épinière et amène la mort soit immédiate- ment,
ces formes ne peut rentrer dans une maladie quelconque connue de la
moelle
épinière, chacune d'elles constituant une affec
ération considé- rable des réflexes rotuliens. L'excitabilité de la
moelle
épinière est tellement grande et diffuse que le
nts de l'affection décrite se nichent dans la substance grise de la
moelle
épinière, '198 PATHOLOGIE NERVEUSE. et que la
est sans doute liée à la lésion anatomique de cette partie de la
moelle
épinière et des parties homologues de la moelle
ette partie de la moelle épinière et des parties homologues de la
moelle
allongée. C'est à l'examen plus détaillé de ces
s correspondent aux régions innervées par certains segments de la
moelle
épinière (et allongée), comme il en est du rest
ans les parties inner- vées par le segment cervical supérieur de la
moelle
épinière. Dans le cas où cette région n'est pas
isième et quatrième racines sensitives de la partie cervicale de la
moelle
épinière. Même alors-, où l'a- nesthésie envahi
ster sous la forme habituelle qu'elle a dans les affections de la
moelle
épinière et obscurcir ou détruire complète- men
de symptômes de lésion diffuse ou en foyer des cordons blancs de la
moelle
épinière, on peut observer la perte de sensibil
maladie, si l'hyperplasie gliomateuse atteint les enveloppes de la
moelle
. Nous avons vu que la douleur peut exister avec
ge né- cessaire de l'atrophie musculaire dans la gliomatose de la
moelle
épinière, pas plus que dans d'autres amyotrophi
, si le processus pathologique s'étend à la substance blanche de la
moelle
épinière, ce qui, à notre point de vue, constit
elativement précoces de la maladie. A l'extension du processus à la
moelle
allongée et plus haut on peut observer des trou
nètrent à l'état capillaire dans la subs- tance du cerveau et de la
moelle
. Lorsqu'on a enlevé le liquide céphalo-rachidie
uide céphalo-rachidien, en faisant une ponction aux membranes de la
moelle
d'un animal vivant, les DU VERTIGE MARIN. 22S
la pyramide et de l'olive droites. Dégénéralion secondaire de la
moelle
. Maison)]... né le 1° juillet 1868, est entré à
ertaine quantité de liquide et sont dilatés. La moitié gauche de la
moelle
paraît atrophiée et le cordon latéral de ce côt
illiet interne du service. Cer- veau et bulbe durcis dans l'alcool.
Moelle
durcie dans le liquide de Muiler. Cerveau dro
Diminution comparative du volume des noyaux. Du même côté, dans la
moelle
cervicale, les cornes antérieures sont petites
tubes nerveux persistent. En résumé, les lésions du bulbe et de la
moelle
sont consécu- tives ainsi que celles de la cour
ux sont dilatés (Hydrocéphalie consécutive). La moitié gauche de la
moelle
est atrophiée. Nous ne reviendrons pas sur les
terne, le pédoncule et la protubérance et enfin dans le bulbe et la
moelle
, chacun des faisceaux de fibres centripètes ou
coupe du pédoncule cérébral, de la protubérance et une coupe de la
moelle
, en un point d'élection, pour l'étude des régio
( fig. 1,` ? , 3, de la Pl. II) mises en regard. Enfin, la coupe de
moelle
à laquelle nous nous reporterons pour retrouver l
e supérieur immédiatement au-dessous du renflement brachial de la
moelle
. A ce niveau, en effet, la coupe delamoelleseprés
e, la coupe de cette même colonne de cellules, qui n'existe qu'à la
moelle
dorsale et la coupe du faisceau céré- belleux d
aisceau céré- belleux direct par exemple encore, qui disparait à la
moelle
lombaire. C'est donc là un point d'élection, au
et des faisceaux blancs dans le cerveau et dans les cordons de la
moelle
. 1° Faisceau INTELLECTUEL (violet). Le faisceau
olonnes grises, dépendances de la base des cornes antérieures de la
moelle
et sous-jacentes aux ailes blanches internes du
ébrale aux grandes cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
et à leurs représentants bulbaires, où elles abou
s fibres centripètes de l'étage supérieur du pédoncule qui, dans la
moelle
, constitue- ront les cordons antérieurs. Dans
retrouverons, entrant dans la formation des cordons latéraux de la
moelle
(PI,. II, fig. 2, bleu 1); 2° dans l'étage supé
ieur, le fascicule, qui réprésen- tera les cordons antérieurs de la
moelle
(PL. II, fg. 2, bleu 3). Au bulbe, nous pouvo
alors constitué par les deux fascicules que nous trouverons dans la
moelle
sous le nom de portion directe du faisceau mote
n- noncions tout à l'heure, pour leur division définitive dans la
moelle
: un fascicule postérieur et externe, le plus vol
respondant du côté opposé, ou il passe dans le cordon latéral de la
moelle
(faisceau pyra- midal croisé); un autre fascicu
un trajet verticale- ment descendant dans le cordon antérieur de la
moelle
(fais- ceau pyramidal direct). Le mode de décus
on toute probabilité, pour quelques-uns de ces faisceaux. Dans la
moelle
, à partir de la décussation des pyramides, le f
E CRITIQUE. occupent le fascicule postérieur ou cordon latéral delà
moelle
. Ils répondent en dedans aux cornes postérieure
cordon latéral et s'étend du pédoncule cérébelleux inférieure à la
moelle
lombaire. Ils se présentent à l'observateur, su
se présentent à l'observateur, sur des coupes transversales de la
moelle
, faites à la région cervicale, sous l'aspect d'un
faisceau pyramidal croisé, touche la pie-mère à la périphérie de la
moelle
. Le faisceau pyramidal croisé diminue donc grad
constituantes s'arrêtent progressivement aux divers étages de la
moelle
, surtout au niveau des deux renflements médul-
, pour entrer en rapport avec les organes cellulaires moteurs de la
moelle
. Le faisceau pyramidal croisé disparaît complèt
bleu), constituent le fascicule interne du cordon antérieur de la
moelle
. On les appelle encore, faisceaux de Turk, à caus
antes. Ils sont en rapport en dedans avec le sillon antérieur de la
moelle
; en dehors, ils répondent aux zones radiculaires
répondent aux zones radiculaires antérieures. Sur des coupes de la
moelle
, faites à divers étages, depuis la région cervi
bord interne répond immédiatement au sillon médian antérieur de la
moelle
. Dans quelques cas, cependant, sur des moelles
édian antérieur de la moelle. Dans quelques cas, cependant, sur des
moelles
dégénérées, le faisceau de Turk n'est révélé qu
ra- midaux ainsi du reste que les cornes grises antérieures de la
moelle
. Leur lésion expérimentale en outre répond toujou
gressive de la paralysie atteignant dans la compression lente de la
moelle
, d'abord les membres supérieurs, puis les membr
inférieurs dans la suite, que, dans le cordon antéro- latéral de la
moelle
, le tractus moteur cortico-brachial est périphéri
able du cerveau aux organes cellu- laires moteurs du bulbe et de la
moelle
. » Mais c'est certaine- ment la méthode anatomo
tent en arrière et en dehors vers la partie du cordon latéral de la
moelle
contiguë à la corne postérieure. Ordinairement un
lement descendante dans la partie interne du cordon antérieur de la
moelle
(faisceau de Turk)3. ' Fr.-Franck. Fonctions
scences des- cendantes fasciculées, du pédoncule, du bulbe et de la
moelle
, consé- cutives aux lésions destructives locali
oire, in Proq. méd., n° 7, 1877. Issartier. Des dégén. second.de la
moelle
. Th. Paris, 1878, déjà citée. Charcot et Pitres
oteur médullaire est bien isolé dans le département antérieur de la
moelle
par la dégénérescence secondaire descendante, p
descendante, provoquant la contracture', la corne antérieure de la
moelle
, second élément du même système moteur médullai
quence la paralysie progres- sive. Car les cornes antérieures de la
moelle
paraissent être avec les zones radiculaires ant
jet intra-spinal des racines antérieures), les seules régions de la
moelle
épinière qui correspondent à la nutrition des m
après la localisation anatomique de la lésion destructive : dans la
moelle
(amyotrophies m\é- lopathiques), aux racines ra
la périphérie pour les con- duire à cette zone corticale, Dans la
moelle
, le faisceau sensitif forme dans sa totalité le
ordon postérieur (PL. II, fig. 3, rose). Le cordon postérieur de la
moelle
est à peu près entièrement exploré etconnu parles
rébro-spinal. 269 faisceau sensitif dans le cordon postérieur de la
moelle
doit être divisé en deux fascicules distincts,
système médullaire sensitif dans le dépar- tement postérieure de la
moelle
, entièrement distinct du sys- tème médullaire m
al qui représente dans la protu- bérance les cordons latéraux de la
moelle
, en arrière de la portion du faisceau pyramidal
ceau pyramidal correspondant aux cordons antérieurs prolongés de la
moelle
, traversés à ce niveau par les fibres du pédonc
es lors d'hémia- nesthésie de cause spinale (compression lente delà
moelle
, etc.) De plus, certaines lésions de la moelle
mpression lente delà moelle, etc.) De plus, certaines lésions de la
moelle
révélées en clinique sur- tout par des troubles
ce fait même qu'elles se limitent toujours aux mêmes cordons de la
moelle
avons-nous dit, conduisent à penser que ces cor
ts, surtout le premier, dans leur trajet de l'écorce cérébrale à la
moelle
, ils représentent les deux faisceaux cortico-mé
(étage moyen). -3, 3 ; coupe des cordons antérieurs prolongés de la
moelle
(étage sup.). , 1 ; grosso racine de la cinquième
ur réunion les pédoncules cérébelleux moyens. FIG. 3. Coupe de la
moelle
immédiatement au-dessous du renfle- ment brachi
belleux direct. FiG. 4. Tracé schématique du nzésocéplrale et de la
moelle
cervicale (face latérale) pour montrer la termi
ux cortico-bul- baires. A; pédoncule. B; protubérance. C; bulbe. D;
moelle
, cervicale. - a, a ; b, 1) ; e direction des co
actes. R. M. C. BEVUE 1 D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE I. LÉSIONS DE LA
MOELLE
l;PINI1 : RE CHEZ L'HOMME DANS L'IN- TOXICATIOX
apsule s'enlève facilement. La vessie contient un peu d'urine. La
moelle
épinière frappe par la mollesse de son tissu et
coupes transversales prati- quées à des différentes hauteurs de la
moelle
permet d'affirmer l'existence de phénomènes pat
vaisseaux et surtout dans les por- tions cervicale et dorsale de la
moelle
, près du canal central, ainsi que dans le domai
ments du tissu sous-jacent. Quant aux cellules nerveuses de la '
moelle
épinière, une grande partie n'a subi aucune modif
eau macro- scopique et les détails microscopiques de l'examen de la
moelle
épinière sont dans ces deux cas absolument iden
rclrow's lrchio. 1883. fit). 93. REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE 79
moelle
épinière présente dans l'intoxication arsenicale
s; il croit qu'en ne prenant en considération que les lésions de la
moelle
épinière seule, on peut parfaitement bien expli
ques ascendantes issues des faisceaux - grêles et cunéiformes de la
moelle
(fibres arciformes se dirigeant dans le ruban d
ible lésion du parenchyme. Intégrité des nerfs, du cerveau et de la
moelle
au-dessus des parties atteintes; au- dessous, q
tensité varie sans doute suivant le degré de l'ex- citabilité de la
moelle
. En effet, tantôt à chaque coup du marteau perc
par des processus morbides, tantôt portant le nom de gliome de la
moelle
épinière, tantôt celui de syringo- myélie. Les
e et que, pour cette raison, on ne pouvait prendre une cavité de la
moelle
épinière pour ~ point de'départ d'une classific
des tumeurs occupant un espace plus ou moins grand le long de la
moelle
épinière. Leur partie centrale dégé- nère parfo
rigoureusement parlant. Schultze appelle cette forme gliose de la
moelle
épinière, mais ordinairement elle se combine av
eption d'un cas de Schultze, le processus morbide longeait toute la
moelle
épinière et trois fois sur quatre s'étendait ju
e la moelle épinière et trois fois sur quatre s'étendait jusqu'à la
moelle
allongée. Ici le lieu favori du processus est l
dentelle d'hyperplasie et de cavités dans différents endroits de la
moelle
al- longée (l'olive, le noyau de l'hypoglosse,
ns ces derniers. Il est regrettable que les méthodes d'examen de la
moelle
épinière que nous possédons, et d'autant plus c
au tableau de la destruction com- plète de la partie centrale de la
moelle
épinière (cas de Krauss) quelques troubles de s
r les parties situées plus bas ou par le segment correspondant ; la
moelle
épi-< q nière augmente en épaisseur, les élé
pendant long- temps peut-être. Mais quels sont les éléments de la
moelle
épinière et comment s'altèrent-ils dans l'anal-
le que nos connaissances sur la marche des voies sensitives dans la
moelle
épinière nous aident peu, si nous voulions comp
e ces différentes voies prennent après l'entrée des racines dans la
moelle
épinière et de leur marche ultérieure dans la s
es ; dans le cas de Reisinger8, une énorme tumeur au centre de la
moelle
épinière, ayant dilaté les parties environnante
onsistance, délimitation dans les différentes hau- teurs d'une même
moelle
. On ne pourrait donc pas invoquer une pression
fait supposer l'altération également segmentaire des parties de la
moelle
où, premièrement, les con- ducteurs sensitifs d
peut être que la porte d'entrée des racines postérieures dans la
moelle
épinière et les cornes postérieures. Nous avons
e sont pas en réalité aussi grandes qu'après l'endurcissement de la
moelle
épinière et sont remplies durant la vie par un
rocessus diffus, se répandant le long des cornes postérieures de la
moelle
épinière dam chacun de ses segments lésés, détr
urer que le processus pathologique interstitiel longeant toute la
moelle
épinière se localisât seulement dans les voies
espèces de sensibilité aux altérations morbides siégeant dans la
moelle
épinière (ou bien de la conductibilité de diver
l n'est pas aussi fatal que dans beaucoup d'au- tres maladies de la
moelle
épinière, ne portant pas le nom terrible de néo
ement est incon- nue. Dans d'autres formes de la gliomatose de la
moelle
épinière et de syringomyélie on peut considérer
altérées du développement embryologique de la substance grise de la
moelle
épi- nière et que différentes causes accidentel
s pourrions seulement soupçonner l'existence de la gliomatose de la
moelle
épinière. Mais nous ignorons si des cas semblab
ènes tenant à la lésion des cordons postérieurs et latéraux de la
moelle
épinière, de la moelle allongée, etc., indiquan
on des cordons postérieurs et latéraux de la moelle épinière, de la
moelle
allongée, etc., indiquant l'extension ultérieur
e dans aucune autre maladie les symptômes de lésions en foyer de la
moelle
épinière ne se combinent avec la distribution d
es, ils ne doivent pas exclure l'existence de la gliomatose de la
moelle
épinière'. ] ' ' La . où une anestbésie général
dé- truit la conductibilité des impressions thermiques suivant la
moelle
épinière et venant des régions in- nervées par
s pas de données suffisantes pour diagnostiquer la gliomatose de la
moelle
épinière. 4 1 z2 PATHOLOGIE NERVEUSE. que nou
t pas la localisation centrale du processus : la gliomatose de la
moelle
épinière entraîne souvent après elle des troubl
ains segments des colonnes postérieures de la substance grise de la
moelle
épinière et de la subs- tance gélatineuse de la
e d'analgésie et sans autres symptômes de lésion anatomique de la
moelle
épinière ou allongée est pour nous pathogno- mo
, nécessaires au diagnostic du tabes; diagnostic : gliomatose de la
moelle
épinière; DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 4J5 J
essible au traitement plus que ne sont les autres altérations de la
moelle
épinière, moins effrayant et par le nom et par
s, etc., et en même temps sur l'architectonique physiologique de la
moelle
épinière même. Si notre hypothèse un peu compli
des altérations anatomiques limitées des cornes postérieures de la
moelle
épinière ou de la racine ascendante du trijumea
re, les attaques pro- viennent toujours de la protubérance ou de la
moelle
allongée, soit que les parties se trouvent dire
erniers sont dus à la lésion secondaire de la protubérance ou de la
moelle
allongée; c'est ainsi que chez Duch... l'hémisp
et l'olive droite sont atrophiés, ainsi qu'à la moitié gauche de la
moelle
. 2 IYe congrès des neurologistes et aliénisles
euvent facile- ment retentir sur les organes du voisinage (bulbe,
moelle
, protubérance, etc.) avec lesquels cet organe a
ataxie suite de diphlhérie, qui ne céda qu'à la galvanisation de la
moelle
, l'auteur étudie principalement les troubles ne
euse cérébro-spinale avec destruction de la substance blanche de la
moelle
(phéno- mènes paralytiques). Observation I. Lep
ulaires de nature inconnue, occupant les racines postérieures de la
moelle
lombaire et ayant détruit une quinzaine de fibr
re des cordons de Go ! t et des faisceaux latéro-pyrami- daux de la
moelle
lombaire par névrite des racines postétiettt·es.
XXXVI. Courte communication sur un cas DE tubercule solitaire DE la
moelle
cervicale; par 15. S : 1CI1S. (Neurol. Celttrcclb
n intérêt en ce que : 1° la tumeur occupait la substance même de la
moelle
sans léser les méninges; 21 le tubercule solita
e d'ori- gine centrale. Deux faits d'accidents épileptiformes. - La
moelle
allongée, contenant les origines du pneumogastr
ld. Un cas d'altération ( ! ) ! e'M ? ? snM/6 des capillaires de la
moelle
avec pièces microscopiques à l'appui* (Arch. f. P
ve, comme c'est la règle, de lésions ni dans l'encéphale ni dans la
moelle
, qui fournissent l'explication de cette attaque
son avis, en anatomie pathologique et en cli- nique sous le nom de
moelle
sénile, et étudie en particulier la myélite dép
sée. La première de ces lésions à laquelle seule convient le nom de
moelle
sénile est une hypoplasie, qui se rapproche des
s principales formes cliniques qui expriment cette altération de la
moelle
sont : l'affaiblissement progressif des vieillard
par épuisement, par Im- mermann, 91. Anévrvsmes capillaires de la
moelle
, par Hebold, 449. Aphasie avec paralysie tota
s par une hystérique , par Stark, 275. Intoxication (lésion de la
moelle
dans 1' arseuicale aiguë), par Pjpoff, 21(i;
Johtistoiie, 79. Méningite et surdi-mutité, par Schùllz-», 86.
Moelle
(état de la dans l'élonga- tion du sciatirlnr),
(étage moyen).-3, 3 ; coupe des cordons antérieurs prolongés de la
moelle
(étage sup.). 4, î ; grosse racine de la cinquièm
ur réunion les pédoncules cérébelleux moyens. FiG. 3. Coupe de la
moelle
immédiatement au-dessous du renfle- ment brachi
ébelleux direct. Fig. i. Tracé schématique du nzésocéphale et de la
moelle
cervicale (face latérale) pour montrer la termi
cortico-bul- baires. A; pédoncule. B; protubérance. - C; bulbe. D;
moelle
, cervicale. a, a ; b, b ; c ; direction des cou
ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE Droits de traduction et de reproductio
t de reproduction réservés. ANATOMIE PATHOLOGIQUE ])" la r 1%
MOELLE
ÉPINIÈRE 45 PLANCHES EN HÉLIOGRAVURE AVEC TEX
ie spinale. Qu'on me permette de le reproduire ici. « L'étude de la
moelle
épinière à l'aide du grossissement, disais-je, a
rbide. On peut encore diriger à un autre point de vue l'étude de la
moelle
faite a l'aide des Grossissements. Il existe en e
our mettre hors de doute que, dans ce cordon mince qu'on appelle la
moelle
épinière, il n'existe, pour ne parler que des fai
le, pourra-t-elle jamais, dans un organe aussi délicat que l'est la
moelle
, déterminer des lésions exclusivement bornées,
journellement de telles lésions, et l'anatomie topographique de la
moelle
nous les fait reconnaître avec la plus grande p
aux qui, au cours de ces dernières années, dans la géographie de la
moelle
épinière, ont singulièrement rétréci l'aire des
1) Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau et de la
moelle
épinière. 1887, p. 183. VIII PRÉFACE DE M. LE P
de recueillir sur diverses affeclions du système nerveux, et de la
moelle
épinière en particulier, des documents anatomiq
relatives tout au moins à la topographie anatomo-pathologique de la
moelle
épinière, sinon à l'histologie fine des lésions d
ves à la nature des lésions, à leur distribution, à la région de la
moelle
qu'elles occupent ; enfin, lorsque cela présentai
e occasion nos plus sincères remerciements. COUPE SCHÉMATIQUE DE LA
MOELLE
NORMALE Le schéma que nous représentons ci-dess
aux blancs et des parties différenciées de la substance grise de la
moelle
. Nous avons pensé qu'il serait commode, pour fa
e. D. Cellules de la colonne de Clarke. E. Veines profondes de la
moelle
. F. Groupe antéro-interne des cellules ganglion
rdon grèle. Z'. Centre ovale de Flechsig. PLANCHE I FIGURE 1.
MOELLE
NORMALE. RÉGION cervicale supérieure. Coupe pra
J. Commissure postérieure. IC. Racine postérieure. Figure 2.
MOELLE
NORMALE. Cellules ganglionnaires de la substance
ux. L Espace vacuolaire péri-cellulaire. PLANCHE II Figure 3.
MOELLE
NORMALE. Renflement cervical. Coupe pratiquée d
eure. K. Racine postérieure. L. Faisceau antérieur. Figure 4.
MOELLE
NORMALE. Canal central. Coupe pratiquée dans la
. C. Plateau des cellules. F. Vaisseau. PLANCHE III FIGURE 5.
MOELLE
NORMALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans l
tenant un vaisseau. F. Tissu névrotique. PLANCHE IV Figure 7.
MOELLE
NORMALE. Région lombaire supérieure. Coupe prat
rieur. I. Faisceau latéral. J. Faisceau postérieur. Figure 8.
MOELLE
NORMALE. Corne postérieure. Coupe pratiquée dan
erveux de la substance blanche coiiiiguë. PLANCHE V Figure 9.
MOELLE
NORMALE. Renflement lombaire. Coupe pratiquée d
ine postérieure. Jt. Cellule de la corne antérieure. Figure 10.
MOELLE
NORMALE. Cellules nerveuses de la colonne de Clar
gure 2, qui représente les cellules des cornes antérieures de la même
moelle
, préparées par le même procédé, et observées au
éri-cellulaire. E. Réseau fibrillaire. Toutes nos préparations de
moelle
normale, planches 1,11,111, IV,V, proviennent de)
ons de moelle normale, planches 1,11,111, IV,V, proviennent de)a même
moelle
. La pièce a été recueillie sur une femme de qua
t faites à un grossissement identique. PLANCHE VI Figure 1' .
MOELLE
D'AMPUTÉ. - Région cervicale. Coupe pratiquée d
la méthode de Weigert. On y voit l'asymétrie des deux moitiés de la
moelle
, le segment droit étant plus petit que le gauch
rieur. /. Racine postérieure. J. Faisceau latéral. Figure 12.
MOELLE
D'AMPUTÉ. - CELLULES de la corne antérieure de su
érose occupe la presque totalité de la coupe, la partie indemne de la
moelle
est réduite à deux zones marginales latérales p
aisceau postérieur. Ces deux préparations sont prises sur la même
moelle
provenant d'un autre sujet que celles qui ont f
s de sclérose extrêmement étendues, occupant la moitié droite de la
moelle
presque tout entière, et deux zones irrégulières
es de sclérose sont disséminées dans presque toutes les régions de la
moelle
qu'elles affectent avec une intensité variable
latéral gauche. Les figures 23, 25 et 26 représentent des coupes de
moelle
empruntées chacune à des sujets différents. P
I viennent d'un sujet atteint de Mal de Pott avec compression de la
moelle
au niveau de la région dorsale inférieure, et dég
ire et ses cellules ganglionnaires normales. Le manteau blanc de la
moelle
est sain : zut. Corne antérieure saine. A'. C
t aisé d'y constater l'asymétrie des deux moitiés tout entières de la
moelle
, et notamment des deux cornes antérieures, dont
es préparations de Sclérose latérale amyotrophique se rapportent a la
moelle
épinière d'un même sujet, du service de la Clin
ous en avons faite est encore inédite. PLANCHE XXXIV Figure 67.
MOELLE
DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région lombaire. Coupe
e de Pâli. On y voit le peu de développement du manteau blanc de la
moelle
, et notamment des faisceaux postérieurs, et des
eau antéro-latéral. 1. Région du faisceau pyramidal. FIGURE 68.
MOELLE
DE FOETUS DE CINQ MOIS. Région cervicale. Coupe
ans la région cervico-dorsale et colorée par la méthode de Pall. La
moelle
est presque complètement détruite par le néoplasm
e Pall. Cavité aplatie transversalement recouverte d'une paroi ; la
moelle
est réduite à un mince manchon de substance ner
? i<jr.-\ Les étiquettes des préparations portent la mention : «
Moelle
]omJnire. tltaxie locomotrice. Octobre 1880. »
(lite sont encore inédits. PLANCHE XLIV Figure 87. TUMEUR DE LA
MOELLE
,FIBROME). - Région cervicale supérieure. Coupe
G. Pyramide antérieure. 71. 'fumeur. Figure 88. TUMEUR DE LA
MOELLE
(FIBROME). La préparation montre une partie de
versalement. D. Vaisseau. PLANCHE XLV Figure 89. TUMEUR DE LA
MOELLE
(FIBROME). Région dorsale. Coupe pratiquée dans
ode de Pall. On voit que le fibrome occupe la partie centrale de la
moelle
, dont la substance tassée est considérablement
F. Faisceau latéral gauche. G. Tumeur. FIGURE 90. TUMEUR DE LA
MOELLE
(FIBROME). Région lombaire. Coupe pratiquée dan
et colorée par la méthode de Pall. Le fibrome siège au centre de la
moelle
et s'étend transversalement, absorbant presque
Il. Faisceau postérieur. J. Tumeur. Les pièces de tumeur de la
moelle
(fig. 85, 86, 87, 88) se rapportent à un cas de.
, 86, 87, 88) se rapportent à un cas de. fibromes mul- tiples de la
moelle
recueilli dans le service de M. le Pr Charcot. Le
he que l'on observe chez les individus atteints de la maladie de la
moelle
épinière, connue sous le nom de tabes ou d'atax
est certain. Ils ne sauraient être rapportés à aucune maladie de la
moelle
épinière, du cerveau ou- d'un organe quelconque
névrose. Pour nous, Delannoy n'est atteint d'aucune maladie de la
moelle
épinière, d'aucune maladie mentale ; nous estimon
ofesseur Joffroy.) La question du début des dégénérescences dans la
moelle
comporte deux points de vue : le premier est re
rièvement de la façon suivante : Sur des coupes transversales de la
moelle
épinière, se montrent disséminés parmi des fibr
où la cellule nerveuse s'altère, on trouve dans les cornes de la
moelle
épinière, des lésions de ces cellules qui peuvent
nale n'est que la suite et la phase ultime. C'est en étudiant des
moelles
qui semblent d'abord indemnes de lésions, qu'on
ve de plus, disons- le en passant, de l'altération des cornes de la
moelle
dans cette maladie; altération sur laquelle not
émie grave, dès 1893, Minnich a observé sur les tubes nerveux de la
moelle
dont il a établi les lésions dans cette maladie
Balès et Kalindero et aussi dans une série d'autres maladies de la
moelle
où elle semble une lésion surajoutée probableme
dans l'inflammation qui suit ou précède 1'liémorrlia-ie aiguë de la
moelle
. Enfin cette tuméfaction des cylindraxes a été
plus grand nombre des dégénérescences communément observées dans la
moelle
. Elle précède la sclérose et la prolifération n
ssement de la.pie-mère et des vaisseaux, diminution de volume de la
moelle
malgré une prolifération névrologique exagérée.
hie des cellules des cornes antérieures dans toute la hauteur de la
moelle
; intégrité de la substance blanche; dégénérescenc
t la physionomie de celle du tabes. Cette dégéné- rescence, dans la
moelle
lombaire, respecte la zone radiculaire moyenne
adiculaire moyenne et gagne la cloison médiane postérieure; dans la
moelle
dorsale, elle n'atteint ni les zones médianes,
continue à être asymétrique et disséminée irrégulièrement. Seule la
moelle
cervicale présente une dégénérescence des cordo
teurs psychiques. P. K. XXXV. EFFETS tardifs DU traumatisme DE la
moelle
CHEZ LES mineurs; par Hhys GnlFFlrlls. (Britisl
es sensoriels persistent longtemps. Les affections organiques de la
moelle
consécutives à une altération fonctionnelle et
mbiné de l'infection et de la pesanteur, jusqu'aux enveloppes de la
moelle
. L'opération pratiquée in extremis fut suivie d
ades africaines; l'orateur en cite plusieurs exemples. Le voeu ' D'
moelles
. Internationale Monalschr. zur Ilelwnthfuu ! 1 (I
retirés à la lecture de la question écrite : Substance goi,c de la
moelle
(anatomie et physiolo- gie). Les autres questio
aire dans la mem- brane qui tapisse les ventricules cérébraux et la
moelle
, proliféra- tion qui est un caractère si essent
ies apparaissaient le plus souvent et le plus distinctement dans la
moelle
épinière et elles atteignaient également la sub
taté dans son observation la lésion 'des faisceaux de Goll, dans la
moelle
épinière ainsi que dans le bulbe. Il est à rema
conjonctif (surtout dans les cordons postérieurs et latéraux de la
moelle
épinière). En examinant les cas que nous trou
ue ces altérations avaient eu lieu pour la plupart du temps dans la
moelle
épi- nière et dans le bulbe, mais elles ne fure
la polyné- vrite alcoolique, remarqua dans la région dorsale de la
moelle
épinière une assez grande quantité de très peti
n de faisceaux pos- térieurs, surtout auprès de la périphérie de la
moelle
épi- nière, une dégénérescence des racines post
forme des corps amylacés. Payne démontre une altération aiguë de la
moelle
en forme de la myélite. Dans le cas de M. Korsa
q cas de paralysie alcoolique avec autopsie, où l'on trouva dans la
moelle
épinière des altérations qui ne furent pas égal
C'est lui qui remarqua dans son cas sur la coupe transversale de la
moelle
épinière la disparition d'une grande partie de
e cas les fibres nerveuses dégénérées ont été dis- séminées dans la
moelle
épinière. On observa la dégénérescence partiell
périphériques doit s'accompagner d'un change- ment sensible dans la
moelle
épinière (etj'envisage cela comme règle), c'est
t-à-dire de la dégénérescence disséminée des fibres nerveuses de la
moelle
avec la lésion spéciale de la zone radiculaire
nous voyons que la lésion du système nerveux central, surtout de la
moelle
épi- nière, dans la polynévrite, se rencontre t
permettent d'être d'accord avec Campbell que les altérations de la
moelle
et de ses ra- cines sont inévitables pour la né
'exemple très visible des lésions aiguës et très pro- noncées de la
moelle
épinière et en partie du bulbe. Le malade âgé d
un semblant de la névrite segmentaire. Examen microscopique de la
moelle
1. Région lombaire. Sur les coupes transversale
ut cas plus que les antérieures. Sur les couper transversales de la
moelle
épinière on voit nettement que les fais- ceaux
plus de fibres dégénérées. Ce qui concerne les autres cordons de la
moelle
, c'est-à-dire les cor- dons antérieurs et latér
ue dans les faisceaux antérieurs et latéraux. A la périphérie de la
moelle
épinière, plus près du bord extérieur du faisce
dégénérées. Outre tout ce que nous avons dit des changements de la
moelle
épinière, il est remarquer que nous ne trouvâme
nous pouvons dire que nous avons affaire à une maladie aiguë de la
moelle
épinière et du bulbe. On peut s'en assurer facile
a lésion des cordons postérieurs sur les différentes hauteurs de la
moelle
épinière s'explique de la manière suivante : une
DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNEVRITE. '189 trée dans la
moelle
, s'approchent vers la ligne médiane et elles se
ceaux de Burdach, n'est pas égal sur les différentes hauteurs de la
moelle
; ce fait s'ex- plique par cela que les racines
que dans les supérieurs. Quel rapport existe entre la lésion de la
moelle
et du bulbe et la névrite multiple ? L'altérati
pareil nerveux péri- phérique, avec le changement très marqué de la
moelle
et du bulbe et aussi des parties situées plus h
système nerveux entier. Nous connais- sons plus les anomalies de la
moelle
qui sont observées dans la polynévrite et qui c
ode de Weigert, concernant le système nerveux central et surtout la
moelle
épinière dans la polyné- vrite. Dans notre re
atre cas dé- crits par lui, une lésion des voies conductrices de la
moelle
épinière, en se servant outre la méthode de Wei
il réussit à constater ici les anomalies semblables à celles de la
moelle
épinière. En ce qui regarde les recherches micr
et nous voyons que dans un cas existe la lésion très profonde de la
moelle
épinière, dans un autre la -moelle souffre comp
la lésion très profonde de la moelle épinière, dans un autre la -
moelle
souffre comparativement peu, mais.la névrite mult
i donne naissance à l'état criblé déjà indiqué. Altérations de ta
moelle
épinière. Presque invariablement on constate un
que invariablement on constate un amoindrissement du diamètre de la
moelle
et une diminution de son poids. Les membranes s
plus petite que la* gauche; mais' on n'y constate aucune lésion. La
moelle
paraît saine du moins à l'oeil nu. Une planche
- indique des altérations organiques des segments lom- baires de la
moelle
, telles que celles qui accompagnent la dégéné-
e sensoriel indique une poliomyélite de la portion lom- baire de la
moelle
du même côté. Après avoir énoncé ces propositio
et accompagnée de cyanose, à moins qu'il n'y ait compression de la
moelle
, auquel cas elle se ralentit progressivement jusq
à signaler en passant un état pigmenté de la pie-mère qui revêt la
moelle
allongée et la région cervicale de la moelle, qui
pie-mère qui revêt la moelle allongée et la région cervicale de la
moelle
, qui est assez commun chez les aliénés, et qui,
rcules qua- drijumeaux. P. K. XXIV. LES faisceaux sensitifs DE la
moelle
d'après LES recherches DE M. F. IIOLZINGER ; pa
tralbl., XIII, 1894.) . Expériences sur des chiens; section de la
moelle
dorsale (au niveau des troisième et quatrième v
'anal- gésie, pas plus que la section de la partie antérieure de la
moelle
, c'est-à-dire de l'ensemble des cordons antérie
sectionner les deux cordons latéraux ou la moitié postérieure de la
moelle
, et, encore, dans ce dernier cas, faut-il que l
sceaux pyramidaux; si la destruction de la partie postérieure de la
moelle
ou des cordons latéraux est peu profonde, il n'
à myéline de tout le système nerveux central. IL La commotion de la
moelle
se traduit par des foyers de ramollissement sur
s pédoncules présentent de l'hémiatrophie il droite; le bulbe et la
moelle
cervicale de l'hémiatrophie à gauche. Le corps
'appareil locomoteur (Luciani), tantôt un organe modérateur pour la
moelle
et excitateur pour le cerveau (I.ussell) avec i
len- draient à faire admettre que le siège de la lésion est dans la
moelle
plutôt que dans le cerveau. L'auteur termine so
elle est parfois consécutive aussi aux lésions du cerveau et de la
moelle
. Elle compte parmi les symptômes les plus saillan
pertrophique d'une lésion des méninges localisée à la hauteur de la
moelle
cer- vicale. La moelle tout entière, le bulbe e
on des méninges localisée à la hauteur de la moelle cer- vicale. La
moelle
tout entière, le bulbe et même le cerveau peuvent
lésions, ce n'est que par suite des rapports plus intimes avec la
moelle
. Les lésions int.ra-l11édullaires doivent être co
rmes. G. D. LX. Deux cas de tumeur du canal rachidien comprimant la
moelle
; par MM. RaYMoaD et Nageoite. (Journal de neur
rtébrales, le troisième dans le canal rachidien où il comprimait la
moelle
.. Dans le second cas, il s'agit d'un homme de q
ogé dans le huitième trou de conjugaison dorsal droit comprimant la
moelle
par un prolonge- ment intra-rachidien. Dans les
s si la cause de leur altération, c'est-à-dire la compression de la
moelle
, avait été supprimée. Les constatations histolo
res organes. Pour l'étude microscopique, on a pris le cerveau et la
moelle
, les ganglions intervertébraux, les parties cer
ppement des cellules de noyaux arci- formes des deux côtés. Dans la
moelle
épinière, à la hauteur de la deuxième à la quat
e nombre des cellules nerveuses des colonnes citées disparaît et la
moelle
présente partout un tableau parfaitement normal
cas spasmodiques que dans les cas tabétiques. - L'atrophie de la
moelle
est la règle dans la paralysie générale ; mais il
outre que les altérations révélées par l'examen microscopique de la
moelle
justifient pleinement cette manière de voir. R.
tiques, la rattache à une irritation du noyau du nerf vague dans la
moelle
, et Bevan Lewis attribue l'excès de liquide à l
on, examiner avec précision les cornes anté- rieures des nombreuses
moelles
de paralytiques généraux. P. K. XLVIII. Des par
.. '\... ? LXI. DEUX cas DE TUMEUR DU canal rachidien comprimant la
moelle
; par MM. RAYMOND et NAGEOTTE. (Journal de neur
e inférieure de la tumeur. 1% i. 21. Observation 1. Coupe de la
moelle
un peu au-dessus du point le plus lésé, (colora
- Prolongement intra-rachidien de la tumeur qui vient comprimer la
moelle
et semble situé sous l'arachnoïde, alors qu'en
rtébrales, le troisième dans le canal rachidien où il comprimait la
moelle
. Dans le second cas, il s'agit d'un homme de qn
s m M t4 cl en S Fig.'21, Observation II. Coupe de la
moelle
et de la tumeur; D M, dure-mère; S, smface de sec
ogé dans le huitième trou de conjugaison dorsal droit comprimant la
moelle
par un prolonge- ment intra-rachidien. Dans les
s si la cause de leur altération, c'est-à-dire la compression de la
moelle
, avait été supprimée. Les constatations histolo
ltat, mort après six mois. A l'autopsie, tuberculose méningée de la
moelle
sur la face latérale. A. M. LXXIV. Mélancolie
mène réflexe par élongation du tendon du biceps qui, transmise à la
moelle
, fait contracter le muscle élongé. B. Dans la n
raplégiques complets (sensibilité et motricité) par affection de la
moelle
, une légère et égale percussion de la face anté
de cellule nerveuse; 5° les cellules des cornes anté- rieures de la
moelle
et toutes les cellules à organisation sériaire ou
Etude spéciale des fibres issues de la substance grise même de la
moelle
, auxquelles il serait peut-être opportun de réser
assemblent dans le cordon antérieur et dans le cordon latéral de la
moelle
dor- sale, en une couche ininterrompue qui ento
es longues sont atteintes de dégé- nérescence dans le segment de la
moelle
, isolé par la section double ; ces longues fibr
; 5° le champ antérieur des cordons postérieurs se compose, dans la
moelle
lombaire, pour la plus grande partie, de fibres
d'origine rnyélogène ; il n'y a donc, quand le développement de la
moelle
est terminé, pas de systèmes purs, c'est-à-dire
du bulbe partent des fibres qui se rendent il trois systèmes de la
moelle
. La crosse masse gagne l'entre-croisement; elle
côté ; c) quelques fibres, restant du même côté, descendent dans la
moelle
pour constituer le fais- ceau pyramidal direct
ectement des racines postérieures dans les cornes antérieures de la
moelle
où, en rayon- nant, elles gagnent les grosses c
ements du pavillon de l'oreille. De même les noyaux mo- teurs de la
moelle
sont disposés non suivant les nerfs périphé- ri
s qui agissent. Il en est ainsi pour les racines postérieures de la
moelle
et les nerfs sensoriels. L'embryogénie et la
es et acoustiques correspondent donc aux racines postérieures de la
moelle
ainsi qu'aux prolongements de celles-ci dans le
u'aux prolongements de celles-ci dans les cordons postérieurs de la
moelle
jusqu'au noyau grêle. Les noyaux nerveux du nerf
tique sont comparables au noyau grêle, ou encore aux cellules de la
moelle
autour desquelles se trouvent les fibres nadicula
les ganglions spinaux et leurspro- longements cylindraxiles dans la
moelle
; la rétine et le nerf optique sont donc bien le
éiieures et leurs prolongements dans les cordons pos- télieursde la
moelle
sont l'homologue des nerfs optique et acuus- ti
de la base de la corne postérieure, suivant toute la hauteur de la
moelle
, corres- pondent aux centres optiques et auditi
e partent les cytin- draxes qui vont aux racines postérieures de la
moelle
, se retrouve dans le lobe optique des oiseaux,
L. XLV. Contribution A l'étude DES affections syphilitiques DE la
moelle
; par A. BoETrIGER. (Archiv f. Psychiat., XXVI, 3.
gnature de la syphilis, mais c'est un fait extrêmement rare dans la
moelle
. - On pourrait, d'après l'auteur faire le diagn
te syphilitique, la méningo-my en te syphilitique, les gommes de la
moelle
, en tenant compte du début de la maladie a la s
AIAES DE la dégénérescence SECONDAIRE DANS CHACUN DES CORDONS DE LA
MOELLE
; pal' K. SCIIAF- FER. 1,Nezirolog. Cent2'albl.;
ique du décubitus lentement progressifs. La lésion transverse de la
moelle
a déterminé : tout d'abord, une dégéné-' rescen
ceux de la série des dégénérescences secondaires des systèmes de la
moelle
. P. K. LI. LA SECTION TRANSVERSE DE DEUX PYRAMI
eur à une gracilité congénitale et héréditaire du cervelet et de la
moelle
épinière. Cette fois, M. Nonne, se basant sur sep
tif de ce vaste système de libres qui, par les cordons grêles de la
moelle
, les olives, les corps resliformes croisés, pén
pe aux lésions. Lworr'. LV. SUR LES altérations secondaires DE la
moelle
épinière, CONSÉ- CUTIVES aux désarticulations D
nd Nervenkmnliheiten, t. XXVH, 1. Il.) Etude microscopique de trois
moelles
épinières dont les deux premières appartenaient
u niveau des septième et huitième paires, la moitié .atteinte de la
moelle
est plus petite, ce qui tient à une diminution
e on l'a souvent prétendu, d'une simple atrophie d'une moitié de la
moelle
. La lésion pre- mière, c'est la dégénération bi
tvoff. LVI. SUR la compression totale DE la RÉGION supérieure DE la
MOELLE
épinière; par EGGER, (A1'chiv, rÜ1' Psychiatrie
sie et examen microscopique : Destruction totale des éléments de la
moelle
épinière au niveau de la première racine dorsal
ns et dissociation de la substance grise. A la partie moyenne de la
moelle
cervicale, dégénérescence ascendante typique. I
l'ensemble des cordons. Au niveau de la deuxième racine dorsale, la
moelle
a sa configuration nor- male. Sclérose dans la
res, surtout à droite. C'est la un nouveau cas de compression de la
moelle
avec abo- lition des réflexes tendineux; fait p
ologiques. contredit les données classiques de la physiologie de la
moelle
. Cette contradiction a attiré dans ces derniers
a pu faire une recherche minutieuse de l'état des vais- seaux de la
moelle
, dans un cas de paraplégie syphilitique récent
i pouvait être regardé comme à peu près intact du haut en bas de la
moelle
; 2° que la lésion initiale était partout la pé
es compliquées d'infection septique secondaire, les vaisseaux de la
moelle
présentent des altérations bien différentes de
; il conserve : au système nerveux son élasticité; le cerveau et la
moelle
ne sont ni friables ni recoquillés, les lésions
force simplement les caractères ainsi que la beauté. Ainsi, pour la
moelle
tabétique; on voit nettement à l'oeil nu, les p
ntre des noyaux bien colorés. Voici au sur- plus la technique. La
moelle
sera durcie dans une solution de formol à 1/2 p.
par les microbes ; on ne trouve pas un seul microorganisme dans la
moelle
. F. B. LXX. Névrite alcoolique périphérique dan
e ; analgésie complète. Donc au point de jonction du bulbe et de la
moelle
, les fibres conduc- trices du tact et de la dou
anent ou, au contraire, aller à travers un nerf périphérique, de la
moelle
épinière à un muscle des extrémités, par exempl
les différences relatives de ces cellules suivant les régions de la
moelle
, du cervelet, de la substance corticale du cervea
IE PATHOLOGIQUE. exemple d'une cellule de la corne antérieure de la
moelle
et passer par la commissure pour aller se ramif
mes cellules va à travers la racine postérieure se ramifier dans la
moelle
. Bien des argu- ments sont en faveur de cette f
ans le neurone qui de la corne antérieure de la LES NEURONES. 42]
moelle
va au muscle. Le prolongement cylindraxe ou neura
'au point où il se termine librement dans la corne antérieure de la
moelle
. En ce;point ,le courant est repris par un nouv
ns sensibles parties de la périphérie, à travers les neurones de la
moelle
, du bulbe, etc., dans les couches corticales. N
ent où arrivée au corps cellulaire, cette im- pression va gagner la
moelle
, elle s'éloigne du centre du neu- rone et doit
1 Au point de vue physiologique le neurone qui va de la peau à la
moelle
a donc ses prolongements dendritiques dirigés ver
dirigés vers la périphérie; son prolongement neural dirigé vers la
moelle
. Les mêmes considérations sont applicables aux
sisté sur ce fait en faisant concourir à sa démonstra- tion dans la
moelle
, l'encéphale et les nerfs périphériques un nomb
en foyer circonscrit siégeant dans les nerfs, dans le cerveau et la
moelle
. Il en résulte que cette double dégénérescence
tres chaînes de neurones unis- sent de distance en distance dans la
moelle
, dans l'encéphale, ces deux grandes lignes phys
, le pédoncule, le bulbe et arrive dans la corne antérieure de la
moelle
où il se termine au contact des prolongements den
l'archineurone de la chaîne motrice, celui qui va de l'écorce à la
moelle
et dont le prolon- gement neural suit le faisce
s, la dégérescence de LES NEURONES. 431 propagation se fait de la
moelle
vers le cerveau et, de plus, qu'elle peut reste
ou par de nombreuses collatérales au niveau des centres gris de la
moelle
; quelquefois il remonte jusqu'au au bulbe au ni
jours, par les ramifications libres avoisinant les neurones de la
moelle
et du bulbe. Les connexions avec ces derniers s
xions avec ces derniers sont donc nombreuses; elles se font dans la
moelle
par les branches directes ou collaté- rales des
enons d'étudier; ces neurones sont ceux dont la cellule est dans la
moelle
, le bulbe, le cerveau, au lieu d'être dans le g
us ne l'avons pas rencontrée une seule fois. LES NEURONES. 435 La
moelle
comprend en outre dans sa substance grise un tr
ladies qui se localisent primitivement sur la substance grise de la
moelle
. Aussi, en pareils cas, la subs- tance grise es
i par- vient jusqu'au bulbe en suivant le cordon postérieur de la
moelle
. D'après la loi de dégénérescence de neurone à ne
ous les neurones et ils sont nombreux dans la substance grise de la
moelle
dont les dendrites se mettent en rapport avec l
bilité de ces lésions descendantes dans le cordon postérieur de la
moelle
. 1 A l'époque où nous avons fait les leçons (fé
al, mais au contraire dans les neurones de la substance grise de la
moelle
. Une telle manière de voir n'est cependant pas
ude sur les al'lhl'opalhies consécutives il quelques maladies de la
moelle
el du cerveau (Revue photogr. des hôpitaux, 1871,
s faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux de la
moelle
; il y a par conséquent relations anatomiques du t
'entre-croisant pas à la région de passage entre le cer- veau et la
moelle
, descendent du même côté dans le cordon anté- r
la moelle, descendent du même côté dans le cordon anté- rieur de la
moelle
tout contre le sillon longitudinal antérieur, R
à l'état de cordon antérieur des pyramides. Ces fibres-là, dans la
moelle
, s'entre-croisent, non en trousseaux, mais isol
nication cérébro-cérébelleuse. P. K. LXXIX. DES altérations DE la
MOELLE
CONSÉCUTIVES A UNE OBTU- ration momentanée DE l
ion a été com- plète, des cellules ont disparu, et les cornes de la
moelle
sont remplacées par un tissu formé de névroglie
fibres longitudinales dégénérées; on peut les suivre jusque dans la
moelle
cervicale supérieure. Le faisceau lon- gitudina
une direction longitudinale. Ces fibres courent tout le long de la
moelle
et forment l'aire de dégénérescence décrite dans
grand nombre de fibres radiculaires antérieures émergentes de la
moelle
, sont la conséquence dés altérations dégénérative
nt et ne vont pas, après l'avoir traversée, au cordon latéral de la
moelle
, car il n'y a de dégénérescence que du cordon lat
téral; de là partent des fibres centrifuges qui vont jusque dans la
moelle
lombaire. Du cervelet partent aussi des fibres
éro-latéral dans le bulbe, les activités cérébelleuses passent à la
moelle
. Dans la moelle, nous retrouvons, le trousseau
e bulbe, les activités cérébelleuses passent à la moelle. Dans la
moelle
, nous retrouvons, le trousseau cérébelleux cen-
trifuge, qui occupe le cordon antéro-latéral, et, plus bas, dans la
moelle
lombaire, le cordon antérieur. Les racines antéri
re, le cordon antérieur. Les racines antérieures émer- gentes de la
moelle
contiennent aussi des fibres cérébelleuses cen-
e la lésion du faisceau cérébelleux dans les cordons latéraux de la
moelle
. L'excitation de ce faisceau dans la région du
faisceau dans la région du vermis, et à l'extrémité centrale de la
moelle
des animaux nouveau-nés, produit la rotation du t
XXV. Contribution .1 la QUESTION DE l'excitabilité ÉLECTRIQUE DE la
MOELLE
humaine; par A. Hoche. (Neurolog. Gent1'aLbl., XL
e cervicale, lais- sait voir un plan transverse lisse et poli de la
moelle
en celte région. Sur cette surface de section,
'examen microscopique révéla plus tard une parfaite intégrité de la
moelle
. P. KERAVAL. LXXXVI. SUR la valeur RESPECTIVE
roscopiques et des dessins se rapportant à deux cas de tumeur de la
moelle
. Une discussion très animée s'engage entre M. B
ment des hémorragies, des thromboses. Quant aux dégénérations de la
moelle
elles sont dues non à la compression, mais à la
nerfs des muscles et de la peau, soit à la périphérie, soit dans la
moelle
. Bruns reconnaît cependant qu'il y a certains sym
améliorée et a guéri. Elle n'était pas due à une compression de la
moelle
. M. Grasset l'attribue à une action à distance
lement fonctionnelle, dyna- mique, portant sur un autre point de la
moelle
que celui qui est en rapport avec la gibbosité.
du Dr Guibert sur la sclérose primitive des cordons latéraux de la
moelle
; une observation d'ataxie locomotrice avec atro
te, par Sargent et Snow, 78. Equivalents de la-, par Bary, 368.
Moelle
. Traumatismes de la - chez les mineurs, par Gri
l à la cuisse, pat Freud, 389. . Sensitifs. Les faisceaux de la
moelle
d'après les recherches d'llolzinser, par de Bec
eaux de fibres blanches, la substance grise des circonvolutions et la
moelle
épinière. Il n'était pas possible de reproduire
rébro-spinal renfermée dans la cavité du rachis forme l'axe spinal ou
moelle
épinière, ses éléments constituants sont réguliè-
vec les deux lobes cérébelleux. Au trou occipital, il prend le nom de
moelle
épinière. La partie encéphalique donne naissance
onnexions, aux grandes cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
(Microphotographie, Pl. A, fig. III). Ces cellu
upérieurs et le ruban de Reil ; et en un plan inférieur, formé par la
moelle
allongée, constitué par les pédoncules cérébraux,
et le bulbe. La portion extra-crânienne du névraxe porte le nom de
moelle
épinière. Elle occupe toute la hauteur de la cavi
uis la région antérieure du cerveau jusqu'à la région terminale de la
moelle
épinière. Dans la moelle épinière, la substance
cerveau jusqu'à la région terminale de la moelle épinière. Dans la
moelle
épinière, la substance grise est entourée d'une é
des prolonge-ments lamelleux, issus des membranes qui enveloppent la
moelle
. Ces prolongements lamellaires se ramifient dans
es cordons entourent comme une coque, occupe la région centrale de la
moelle
et se prolonge, dans toute son étendue, de chaque
sommets des deux colonnes pyramidales forme la commissure grise de la
moelle
. Sa partie antérieure renferme sur la ligne d'axe
partie antérieure renferme sur la ligne d'axe le canal central de la
moelle
. Ce canal s'étend de la cavité ventriculaire du
cavité ventriculaire du cerveau jusqu'à l'extrémité inférieure de la
moelle
, en suivant la ligne qui occupe l'axe de la colon
ace interne de cellules à cils vibrátiles. La substance grise de la
moelle
est composée par des cellules nerveuses de petite
racines postérieures, qui s'éparpillent en fibrilles en atteignant la
moelle
, se fusionnent et disparaissent dans le réseau de
ne demeure pas exactement semblable à celle qu'elle présente dans la
moelle
épinière. Au premier abord, il semble que la po
ventricule moyen. Les faisceaux blancs, qui forment les cordons de la
moelle
, présentent, à partir du col-let du bulbe, une mo
édullaire a donc été subdivisée, par la décussation des cordons de la
moelle
, en quatre colonnettes formées de chaque côté de
plans successivement plus élevés montrent que le canal central de la
moelle
se rapproche de plus en plus de la partie postéri
semblables à celles que l'on rencontre dans la corne antérieure de la
moelle
; leurs dimensions varient de 30 y. à 70 p. de mi
sentent une grande analogie avec les cellules qui constituent dans la
moelle
les colonnes dites de Lockart-Clarke ; elles poss
mmence au-dessus de l'entre-croi-sement des cordons postérieurs de la
moelle
, par des fibrilles qui prennent naissance dans le
s apparente au-dessus de cette coupe. § 2. La substance grise de la
moelle
, qui est demeurée contiguë au canal central après
urée contiguë au canal central après la décussation des cordons de la
moelle
, forme à la partie supérieure de l'aqueduc de Syl
e forme par conséquent, depuis les régions les plus inférieures de la
moelle
jusqu'aux régions les plus antérieures du cerveau
en faisceaux pris-matiques autour de la colonne grise centrale de la
moelle
subissent une modifi-cation profonde dans leur si
cement progressif et total. § 1. Entre-croisement des cordons de la
moelle
. — Les cordons latéraux de la moelle s'entre-croi
tre-croisement des cordons de la moelle. — Les cordons latéraux de la
moelle
s'entre-croisent sur la ligne médiane, se redress
ristique (Pl. IV, 22; XL, 27, XLIII). Les cordons postérieurs de la
moelle
s'inclinent en avant, s'entre-croisent sur la lig
. Les cordons antérieurs, entre-croisés sur toute la longueur de la
moelle
, s'écartent l'un de l'autre au niveau du collet d
corne pos-térieure (Pl. XXXVIII, 25). Les cordons postérieurs de la
moelle
sont prolongés dans le bulbe par un faisceau appe
fibres spinales à travers la protubérance. — Les trois cordons de la
moelle
, arrivés au delà du bulbe, se prolongent dans la
l'extrémité supérieure des pédoncules cérébraux, chaque cordon de la
moelle
se dirige vers les éléments cellulaires qui lui s
éments cellulaires qui lui sont propres. Les cordons latéraux de la
moelle
, portion motrice des pyramides, se portent en ava
ce et paraît former dans le bulbe le prolongement des faisceaux de la
moelle
que M. Charcot (1) désigne sous le nom de cordons
rps strié et le noyau lenticulaire avec les régions antérieures de la
moelle
épinière (Pl. XXVI, 9; XXX, 14; XLIV, 18). Le f
lenticulaire par Meynert qui le fait aboutir aux noyaux moteurs de la
moelle
allongée. Il irait par conséquent se confondre av
de la calotte, et se terminer alors aux cordons antéro-latéraux de la
moelle
. La totalité de l'étage inférieur du pédoncule
sur les maladies du système nerveux. Les cordons postérieurs de la
moelle
, portion sensitive des pyramides, se dirigent en
eures du lobe occipital (Pl. XXVI, 5). Les cordons antérieurs de la
moelle
se portent progressivement en arrière, atteignent
laire, et pour point de terminaison les cordons antéro-latéraux de la
moelle
. Ils le considèrent comme un faisceau moteur. L
s), qui relient les cellules nerveuses des régions postérieures de la
moelle
avec le cervelet (Pl. XXXVI, 15). Le cervelet s
et se trouve ainsi relié par ces trois pédoncules avec le cerveau, la
moelle
allongée et la moelle épinière. En traversant l
ié par ces trois pédoncules avec le cerveau, la moelle allongée et la
moelle
épinière. En traversant la protubérance, les fi
lles représentent les fibres efférentes de ce volumi-neux noyau de la
moelle
allongée, qui établissent un rapport entre les él
c les éléments nerveux du cervelet et avec les éléments nerveux de la
moelle
épinière. Ce gros amas de substance grise donne
e possède des attributions particulières, différentes de celles de la
moelle
épinière, et qu'elle joue dans les fonc-tions de
iamètre. Planche G. ¦* Fig. I. — Substance grise centrale de la
moelle
épinière (région dorsale). a. Corne postérieure
re (région dorsale). a. Corne postérieure. b. Canal central de la
moelle
. c. Substance médullaire. d. Racines antérieu
ergeant de la corne antérieure. Fig. II. — Corne antérieure de la
moelle
épinière (agrandissement delà figure pré-cédente)
llules multipolaires. b. Trame de la substance grise centrale de la
moelle
épinière. c. Racines antérieures des nerfs mote
on médian antérieur. /. Raphé médian. t k. Cordon antérieur de la
moelle
; formation de la portion sensitive des pyramides;
vius avec le ventricule moyen et, en bas, avec le canal central de la
moelle
épinière. 16. — Coupe de la protubérance annula
ette excavation est constituée par l'évasement du canal central de la
moelle
; sa forme est celle d'un losange que traverse le
rise en continuité avec la substance grise centrale du bulbe et de la
moelle
; elle repose en avant sur le bulbe et sur la pro
Goll (Kolliker) ; ils se perdent dans les cordons postérieures de la
moelle
vers la portion inférieure de la région cervicale
des faisceaux des fibres nerveuses qui constituent les cordons de la
moelle
. XXXV. — Encéphale dont on a détaché la coupe p
Faisceaux postérieurs du bulbe continuant les cordons antérieurs delà
moelle
qui se sont inclinés en arrière et séparés l'un d
éparés l'un de l'autre pour laisser passer les cordons latéraux de la
moelle
. 24. — Canal central du bulbe. 25. — Portion
ntral du bulbe. 25. — Portion antérieure des cordons latéraux de la
moelle
continuant dans le bulbe le trajet direct ascenda
ps restiforme. 26. — Portion postérieure des cordons latéraux de la
moelle
s'inclinant en avant et en dedans. Les fibres d
des pyramides antérieures du bulbe. 27. — Cordons postérieurs de la
moelle
. Les fibres de ces cordons s'entre-croisent au-de
x, entre-croisés plus bas, sont formés par les cordons latéraux de la
moelle
; ils sont séparés par un noyau de substance gris
des antérieures formant le prolongement des cordons postérieurs de la
moelle
, après leur entre-croisement. Elles sont séparées
rps olivaires. 27. — Portion postérieure des cordons latéraux de la
moelle
qui s'entre-croisent au raphé médian. 28. — Cor
i s'entre-croisent au raphé médian. 28. — Cordons postérieurs de la
moelle
s'inclinant en avant pour s'entre-croiser sur un
eur. 29. — Cornes postérieures de la substance grise centrale de la
moelle
. 30. — Olives bulbaires. Les corps olivaires re
aissent la corne postérieure et les faisceaux antéro-latéraux de la
moelle
. La membrane du corps olivaire s'étend moins bas
tive des pyramides antérieures. 24. — Cordons antéro-latéraux de la
moelle
. 25. — Mode d'entre-croisement des fibres des c
nt des fibres des cordons antérieurs et des cordons postérieurs de la
moelle
. 26. — Substance grise centrale de la moelle (c
dons postérieurs de la moelle. 26. — Substance grise centrale de la
moelle
(cornes postérieures). 27. — Olive bulbaire. El
ligne médiane (25, Pl. XLII) et se continuent, du côté opposé dans la
moelle
, sous le nom du cordons latéraux. En dessous du
croisement de ces faisceaux est la coupe des cordons antérieurs de la
moelle
, qui se sont écartés pour leur livrer passage (vo
névraxe................. 40 § 1. Entre-croisement des cordons de la
moelle
......... ..... 40 § 2. Passages des libres spin
est de celles-là. » Pierre MAniE. Leçons sur lesn ? aladies de La
moelle
, p. 380. Il est constant que Leyden en attribua
ique du tabes, la lésion des racines et des cordons sensitifs de la
moelle
épinière, n'était pas encore connue, on la locali
- Séquard, en d'autres centres de coordination plus élevés que la
moelle
épinière, soit encore, suivant Charcot, en des fi
tre à la périphérie l'influence coordinatrice du cerveau. « Dans la
moelle
épinière, écrivait Erb, il doit exister des fibre
». Leyden opposa les constatations suivantes : 1. Les parties de la
moelle
épinière atteintes par le processus pathologiqu
, mais non plus solides, sa théorie scientifique des maladies de la
moelle
ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES.
ral cylindraxile des cellules des ganglions spinaux pénètre dans la
moelle
épinière. Les fibres des cordons postérieurs dé
le centre trophique des racines postérieures qui pénètrent dans la
moelle
épinière. Dans le tabes, la dissociation des di
x; mais ce n'est pas non plus une affection uniquement limitée à la
moelle
épinière3. Dans la moelle épinière des tabétiqu
lus une affection uniquement limitée à la moelle épinière3. Dans la
moelle
épinière des tabétiques on trouve toujours une
Ilaii-es des racines pos- /e')' : 6M)'M. Les fibres endogènes de la
moelle
ou ne sont pas affec- tées ou ne le sont que se
le sont que secondairement. Les autres altérations typi- ques de la
moelle
épinière des tabétiques concernent simplement l
DU TABES. 9 radiculaires postérieures des cordons postérieurs de la
moelle
épinière, ou, en d'autres termes, comme l'a éta
tion des racines postérieures intéressant cer- tains segments de la
moelle
et amenant la dégénérescence de leurs fibres ou
égénération fort avancée d'une moitié des cordons postérieurs de la
moelle
, l'autre moitié doit très rarement être intacte
u'il faut rapporter, dans le tabes, à une dégénération locale de la
moelle
lombaire et de la plus grande partie de la moel
tion locale de la moelle lombaire et de la plus grande partie de la
moelle
dorsale les cas où les extrémités inférieures e
énéra lions locales, isolées, de quelques paires rachidiennes de la
moelle
dorsale moyenne et supérieure. Les petites diff
érences anatomo-patholo- giques existant entre les deux côtés de la
moelle
se manifestent également dans la. symptomatolog
natomiques initiales, ont envahi des territoires circonscrits de la
moelle
lombaire, il n'existe, en dépit d'une ataxie pr
e lombaire. Comme, dans les cas de tabès ordinaire, la région de la
moelle
lombaire présente des signes de dégénération lo
de dégénération locale, et comme les colla- térales réflexes de la
moelle
lombaire supérieure participent du même process
laire. Si la dégénérescence tabétique se localise plus bas, dans la
moelle
sacrée, on constate la perte du réflexe tendineux
une dégénérescence des libres se rendant à la substance grise de la
moelle
, avant tout, des collatérales réflexes qui s'ar
ajet, et, d'une manière correspondante, chaque région motrice de la
moelle
épinière reçoit des collatérales pro- ' Cwald H
ndantes du cordon postérieur qui s'arborisent dans les noyaux de la
moelle
allongés, noyaux d'où part, après entre-croisem
abes, alors que les dégénérations sont nettement décelables dans la
moelle
lombaire et dans la moelle dorsale, elles s'att
ations sont nettement décelables dans la moelle lombaire et dans la
moelle
dorsale, elles s'atténuent toujours en remontan
dérable des processus nerveux réflexes qui sont élaborés dans la
moelle
épinière ont à souffrir de ces lésions, un petit
nerveux qui l'incitent à l'accom- plissement de cette fonction ; la
moelle
épinière est sûrement une de ces sources d'éner
orde avec le mode de connexion qu'affecte ce centre nerveux dans la
moelle
épinière, en particulier avec les parties qui s
er ici de cette participation étendue du faisceau cérébelleux de la
moelle
épinière (et vraisemblablement des fibres spino
collatérales, etc., qui se distribuent à la subs- tance grise de la
moelle
. Du fait de l'arborisation terminale de ces fib
a moelle. Du fait de l'arborisation terminale de ces fibres dans la
moelle
, le courant y subit une interruption ; un secon
çoit le courant, dont le cylindraxe passerait de l'autre côté de la
moelle
. épinière et monterait dans les cordons autéro-
ourant, apporté par une fibre, à plusieurs neurones endogènes de la
moelle
épinière. Les phénomènes d'excitation de la sen
cordon postérieur du côté opposé' ni d'autres cordons blancs de la
moelle
épinière (p. 34). Relativement aux dégénération
ieurs, dans des cas de compression et de lésions traumatiques de la
moelle
épinière, Redlich estime qu'il est encore diffici
tet absolument, le plus grand développe- ment, c'est-à-dire dans la
moelle
lombaire, inversement à ce qui se présente pour
e dans la moelle lombaire, inversement à ce qui se présente pour la
moelle
dorsale. Avec Marie, Redlich admet que des fibr
ine endogène. » ' Sur les lésions des cordons postérieurs dans la
moelle
des lépreux. Revue neu- rologique, 1698, p. 751
iques et pathologiques des diverses'régions de l'encéphale et de la
moelle
épinière, destinées à illustrer ses leçons et s
port sur Les lésions non tabétiques des cordons posté- rieurs de la
moelle
épinière; par le professeur Ch.-L. DANA (de New
esseur Ch.-L. DANA (de New-York). Les colonnes postérieures de la
moelle
épinière et ses racines postérieures sont, en t
incte de cas dus aux lésions aiguës de la colonne postérieure de la
moelle
. Ceci arrive chez les personnes mûres ou âgées,
port sur Les lésions non tabétiques des cordons pos- térieurs de la
moelle
épinière; par E.-A. Homén, d'Helsinnfors (Finla
ïncident parfois avec des altérations légères mais distinctes de la
moelle
, sont très diffi- ciles à constater; 4° En cas
il existe une certaine proportionnalité entre les altérations de la
moelle
, des racines, voire même des ganglions. Cela
te des différents systèmes de fibres et des différents étages de la
moelle
. La parti- cipation des zones endogènes me para
scence par transmission. Dans 2 cas de lèpre, les altérations de la
moelle
étaient évidem- ment de nature exogène, se rapp
nerfs affectés : microbes, toxines, etc., sont transportés dans la
moelle
, et plutôt parles racines postérieures qu'antér
ne remarque pas une proportionnalité entre les altéra- tions de la
moelle
et les altérations périphériques celles-ci peu-
mbaire (moins dans le cervical), et dans la partie supérieure de la
moelle
altération distincte des cordons de Goll. Dans
lles étaient au moins aussi développées que les altérations dans la
moelle
. SOCIÉTÉS SAVANTES. -1 f Dans les cas de canc
' SOCIÉTÉS SAVANTES. Quant aux lésions purement syphilitiques de la
moelle
(une ving- taine de cas), soit dépendantes des
e), j'ai démontré expérimentalement qu'à la suite de sections de la
moelle
, non seulement les différents tubes d'un même f
crois que dans ces cas il existe une fai- blesse particulière de la
moelle
épinière, résultant d'une irrigation sanguine d
igation sanguine défectueuse ou d'une susceptibilité spéciale de la
moelle
vis-à-vis des agents d'intoxication. ' Souven
u prononcées et insuffi- santes pour produire les altérations de la
moelle
; il n'y a pas de processus inflammatoire. Le vi
n'y a pas de processus inflammatoire. Le virus est apporté dans la
moelle
par le sang et produit la lésion dégénératrice,
culation lympathique des nerfs et la circulation lympathique de la
moelle
. J'ai injecté dans le nerf sciatique de chiens et
rmin d'indigo), j'ai pu constater la progression ascendante vers la
moelle
de ces granulations. En injectant dans ces nerf
minutes auparavant permet de constater la diffusion facile vers la
moelle
du liquide colorant. Ces expériences nous par
ent de comprendre les relations pathologiques entre les nerfs et la
moelle
, elles expliquent la névrite ascendante, l'as-
elle, elles expliquent la névrite ascendante, l'as- cension vers la
moelle
des toxines microbiennes; elles montrent nettem
microbiennes; elles montrent nettement cette voie d'injection de la
moelle
, les relations évi- dentes entre la circulation
irculation lymphatique des nerfs et la circulation lymphatique delà
moelle
et de ses enveloppes. Sur la systématisation da
ques et musculaires des atrophies myélopa- thiques. Au niveau de la
moelle
les auteurs ont constaté une sclé- rose légère
A l'autopsie des trois cas on a trouvé, sur toute la hauteur de la
moelle
, des lésions atrophiques des cellules nerveuses
propose i 80 SOCIÉTÉS SAVANTES. d'assigner à cette partie de la
moelle
épinière le nom d'épicdize médullaire. Sur la
es expérimentales m'ont montré que les microbes disparaissent de la
moelle
au bout de quelques jours ; or, dans mon cinqui
ar l'injection d'un microbe dans une voie sanguine éloignée de la
moelle
; 2° par une voie sanguine qui l'irrigue directeme
le n'est pas très accusée. La même injection dans les artères de la
moelle
donne surtout naissance à des polio-myélites ;
ons parenchymateuses profondes sans réaction inflammatoire. 2° La
moelle
présente une résistance organique faible; la sub-
mmatoires aiguës sont moins fré- quentes et moins violentes dans la
moelle
que dans les autres vis- cères et qu'elles sont
que les intoxications produisent des ravages plus accentués dans la
moelle
que dans les autres organes et plus marqués dans
flammatoire dans un organe résistant, pourra ne donner lieu dans la
moelle
qu'à des lésions toxiques. Un même poison susce
sans doute produire, chez un autre, que l'intoxication aiguë de la
moelle
. 5° Une délimitation exacte entre les deux proc
itation exacte entre les deux processus, inflamma- tion aiguë de la
moelle
et intoxication aiguë de la moelle, n'est pas p
ssus, inflamma- tion aiguë de la moelle et intoxication aiguë de la
moelle
, n'est pas possible. Entre l'inflammation aiguë
ature du poison et suivant la résistance plus ou moins grande de la
moelle
. 6° L'inflammation aiguë de la moelle est carac
plus ou moins grande de la moelle. 6° L'inflammation aiguë de la
moelle
est caractérisée par la congestion, l'hyperdiap
ou.en même temps le tissu conjonctif. io L'intoxication aiguë de la
moelle
est caractérisée par une altération primitive d
lsingfors). Il est évident, selon les recherches de M. Homen sur la
moelle
, selon les miennes sur l'encéphale, que les mic
nt d'hématomyélie de l'épicône et de la base du cône terminal de la
moelle
. Les accidents ont débuté brusquement en novemb
el que le limitait Munier au récent Congrès de Paris. Critipes de
moelle
provenant d'un cas de tubes associé ci une paehy-
osent que la douleur change des régions pendant son passage dans la
moelle
épinière. Pour Van Gehurthen la douleur se trans-
. Becuterew (\V. v.). Les voies de conduction du cerveau et de la
moelle
. In-8° de x-856 pages, avec 400 ligures et une pl
s est de celles-là. » Pierre Marie. Leçons sur les maladies de la
moelle
, p. 380. Le labes dorsalis est une dégénérescen
ol. Ceutralbl. 1898,2 sq. 2 P. Marie. Leçons sur les maladies de la
moelle
, etc., 1892. 3 ! 7 ? t<e ? 'i<c/tM ? 6) :
ganglions correspondant à la hauteur du processus labétique dans la
moelle
: atrophie, pigmentation, vacuolisation du protop
postérieures au niveau correspondant de la lésion tabétique dans la
moelle
épinière. Les nerfs sensibles périphériques iss
nglions spinaux « le point de départ de l'affection tabétique de la
moelle
épinière doit être cherché dans les racines pos
de la nutrition, des cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
épinière, dans le tubes, a pour expression clin
uisqu'il s'agit des cellules nerveuses des cornes antérieures de la
moelle
'. Le prolongement nerveux de ces cellules, la fi
énération des racines postérieure et de leurs prolongements dans la
moelle
épinière, les collatérales de ces fibres n'entour
culaires. Karl Schaffer ayant examiné avec la méthode de Nissl une
moelle
tabétique dont le sujet avait présenté une atroph
typique du genou droit, trouva que si les cellules nerveuses de la
moelle
cervicale étaient complètement saines, celles de
es de la moelle cervicale étaient complètement saines, celles de la
moelle
lombaires offraient différents degrés d'altérat
complètement indemnes ? Pourquoi, dans les cordons latéraux de la
moelle
, la dégénération n'affecte-t-elle pas exclusiveme
elquefois de névrite ascendante . Mais, outre que les lésions de la
moelle
, et en particulier celles des racines posté- ri
Redlich. L'état des cellules et des fibres nerveuses du côté de la
moelle
épinière correspondant aux membres amputés n'a
dons postérieurs. Mais Redlich fait remarquer que les lésions de la
moelle
épinière consécutives aux amputations sont de sim
ndaire des cordons postérieurs avec la méningite des méninges de la
moelle
, mais sans considérer cette affection comme la
ailleurs' dériver aussi,' selon' lui, des lésions cellulaires de la
moelle
, sans qu'il existât la moindre mé- ningite ; en
toujours dans le tabes au point où ces racines pénè- trent dans la
moelle
, c'est là qu'il faut chercher la lésion initiale.
amp si vaste de la littérature relative à l'état des méninges de la
moelle
dans le tabès, il résulte que les causes pathog
ers temps que le z tabes n'était pas uniquement une affection de la
moelle
épinière,. mais peut-être du système nerveux to
de l'écorce cérébrale ; le tabes dorsal n'est pas une maladie de la
moelle
épinière, mais du cerveau. Il est vraisem- blab
(Marie), lesquelles tirent leur origine de la substance grise de la
moelle
épinière. ' Marie. Leçons sur les maladies de l
ise de la moelle épinière. ' Marie. Leçons sur les maladies de la
moelle
. Paris, 1892, 209, 380. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE
etc., et surtout Pierre Marie dans ses leçons sur les Maladies delà
moelle
. (Appareil olfactif, appareil gustatif chez les t
s les 'genres de fibres contenues dans une racine postérieure de la
moelle
épinière ne réagissent pas de même aux causes d
dégénèrent, quoique faiblement, dans une partie circonscrite de la
moelle
épinière; qu'avec le progrès du mal, toujours d
rait véritable. L'affection tabétique des cordons postérieurs de la
moelle
n'est pas une affection systématique, au sens o
ladie de la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 135
moelle
épinière. Nerfs périphériques, moelle, encéphale,
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 135 moelle épinière. Nerfs périphériques,
moelle
, encéphale, peuvent être successivement ou simu
nt pas semblables à celles que l'on observe dans les cellules de la
moelle
après l'administration de certains poisons, ell
riens à la fin de la vie; l'étude microscopique d'un fragment de la
moelle
cervicale a montré une atrophie des cornes anté
L la suite des recherches faites sur deux cas de destruction de la,
moelle
lombo-sacrée chez l'homme que la lésion traumat
ganglions sont proportionnellement bien développés et où ceux de la
moelle
épinière sont déjà très développés ; elles sont
cerveau de ces animaux, tous les noyaux sous-corticaux ainsi que la
moelle
allongée des animaux éthérisés ont été étudiés
. Le cerveau ne présente pas de lésions. L'étude histologique de la
moelle
montre une diminution des fibres dans les faisc
sion s'observe, même quand on tranche le bulbe, quand on détruit la
moelle
. i° On n'observe pas alors les hautes ondes du
duite par une lésion de l'isthme de l'encé- phale du bulbe ou de la
moelle
, les symptômes de foyer sont typiques. L'hystér
-midi. - PnLSiDEKCE DE M. IIO : .IFN (d'IIelsingfors). Tumeur de la
moelle
épinière; par le professeur llEIOEclm ? Sur lui
type des grandes cellules radiculaires de la corne antérieure de la
moelle
épinière. Traitement mécanothérapique des Hém
méthodes comme l'ont fait Perrin de la Touche et Dide. Coupes de
moelles
d'amputés du membre inférieur. M. SL'IIITL.15KI
M. SL'IIITL.15KI présente des dessins et des préparations de cinq
moelles
d'amputés dans lesquelles il n'y a pas seulement
nce plus grande de ces lésions à mesure qu'on s'élève le long de la
moelle
, de telle sorte que peu marquées dans la région l
myélie. Si l'on a pu observer des cas multiples d'hémorragies de la
moelle
dans la même famille, et si la loi d'hérédité é
la lésion essentielle; peut-être aussi les zones sensitives de la
moelle
ont-elles été suffisamment atteintes pour donner
rs : : Ilartwig la. regarde comme une imbibition oedémateuse de lai
moelle
cervicale; Westphall combat cette théorie : com
si l'intérêt des malades. Il en est de même pour les maladies de la
moelle
épinière et du sys- tème nerveux en général. La
il ne peut s'agir ici que d'une lésion des cornes antérieures de la
moelle
cer- vico-dorsale intéressant le noyau segmenta
tercostaux, mais représente l'innervation émanée des segments de la
moelle
. A mesure que l'anesthésie monte sur le tronc,
les extrémités supérieures, exactement comme dans les lésions de la
moelle
ou des racines postérieures. Un autre point car
uand l'épreuve a duré quelques minutes. Dans les traumatismes de la
moelle
, dans la myélite, on trouve souvent une bande h
s ancsthésiques peuvent être doubles, ce qui semble indiquer que la
moelle
peut être envahie simultanément à des niveaux d
cence dans les cellules motrices de la corne grise antérieure de la
moelle
. Dans aucune des nécropsies on n'a trouvé de ro
n ne constate aucune lésion cérébrale. La surface postérieure de la
moelle
est couverte tout entière d'un exsudat fibrino-
ions thoiaciques supérieure et moyenne. La surface antérieure de la
moelle
est recouverte d'un exsudat pareil à celui de l
a face postérieure ils sont entièrement masqués par l'exsudat. La
moelle
est un peu molle surtout dans les régions thoraci
qui émanent de la 2° et de la 3° racine lombaire. La lésion de la
moelle
siégeait surtout aux premier, deuxième et troisiè
raux. La dure-mère était intacte et ne ren- fermait pas de sang. La
moelle
, même au niveau de la fracture était parfaiteme
ait comme ne pouvant se rattacher qu'à une lésion unilatérale de la
moelle
. Le type pur de cette paralysie est très rare d
fs passent du côté opposé immédiate- ment après leur entrée dans la
moelle
, en sorte qu'ici les fibres qui pénétraient au-
équard, la lésion devait être unila- térale et située du côté de la
moelle
correspondant à la paralysie motrice. - La na
ons sur la trans- mission du mouvement et de la sensibilité dans la
moelle
. · R. de illUSf,Ii.IVE-GL ? 1-. XXIV. Les enc
us saillantes que les .parties correspondantes du côté gauche. La
moelle
épinière semble avoir son volume et ses proportio
liquide encéphalo-rachidien en quantité anor- male. Au niveau de la
moelle
allongée, la dure-mère adhère [plus que de cout
Les méninges rachidiennts ne présentent rien de particulier et la
moelle
, débitée en coupes, ne présente aucune altération
ramollis. La tumeur, grisâtre, avait l'aspect du tissu cérébral; la
moelle
était saine, sauf les efforts de la com- pressi
l. Ces corps sont particulièrement nombreux dans l'intérieur delà
moelle
allongée et dans les espaces péri-vasculaires de
vus remplir les espaces prévasculaires, sans toucher au reste de la
moelle
. A l'état frais ils sont beaucoup plus volumine
gie à l'exclusion de toute autre cause toxique ou infectieuse. La
moelle
dans le mal de Pott. MM. Thomas et HA.USER ont
de toute compression osseuse, une destruction presque totale de la
moelle
au niveau de la région dorso-lombaire avec dégé
des régions recevant des conducteurs nerveux qui pénètrent dans la.
moelle
, au-dessous des lésions. Je'7'eo-a<a.E : '
: 'Ë cérébelleuse. M. SwiTALSKi présente des coupes provenant de la
moelle
d'un sujet atteint d'hérédo-ataxie cérébelleuse
4 SOCIÉTÉS SAVANTES. grité des noyaux était complète. Du côté de la
moelle
au contraire les lésions intra-médullaires étai
x lui-même n'est pas envahi par les productions épi- tliéliales, la
moelle
ne présente que des altérations minimes. Le sec
-opitie du cerveau et ses résultats sur le cervelet, le bulbe et la
moelle
; par W. Mott et F. Tredgold. (Londres, Mac Ililla
du faisceau pyramidal direct à gauche et du croisé à droite dans la
moelle
; atrophie du cordon autérolatéral gauche; atrop
aisceau efférent correspondant dans la protubérance, le bulbe et la
moelle
. Intégrité des gan- glions de la base, de la ba
efférents correspondants à travers la protubérance, le bulbe et la
moelle
. Quand la lésion intéresse les ganglions de la ba
dct)'6) ! Sfo ? K ? ? ee<s autres affections cavitttii-es de la
moelle
, par Philippe et Oberthur; Cas de lèpre observé
mique et ataxie consécutives à des foyers de ramollissement dans la
moelle
allongée et le cer- velet provenant d'une occlu
ude sur le trajet des faisceaux sensoriels et coordinateurs dans la
moelle
allongée ; par Henry IioN. (1'/te iyew-Yoi-li i
nicotinique). A noter dans le second cas une sclérose diffuse delà
moelle
por- tant surtout sur les cordons antéro-latéra
s en général les cellules sont petites. A la région cervicale de la
moelle
, abon- dance des cellules dans les cornes antér
invitent à supposer la présence dans un point encore inconnu de la
moelle
, d'un centre trophique dont l'excitation a pour
type expérimental de Brown-Séquard produit par l'hémisection de la
moelle
. L'auteur rapporte une observation où ce syndro
is sans aura pares- thésique. M. II. XLIX. Sur les maladies de la
moelle
chez les nouveau-nés hérédo- syphilitiques ; pa
LI. Sur le diagnostic général de la syphilis du cerveau et de la
moelle
; par B. Sachs. (Tlie New York Médical Journal,
s. (Tlie New York Médical Journal, 27 mai 1899.) Le cerveau et la
moelle
sont plus fréquemment atteints par la syphilis
pas exclusif, et les vaisseaux plus volumineux du cerveau et de la
moelle
sont le siège d'altérations importantes que les b
égion lombaire. Les membranes étaient légèrement congestionnées. La
moelle
était normale. L'hémorragie méningée spinale ex
tat de l'irritation intense provoquée dans les membranes ou dans la
moelle
elle- même, ou peut-être dans ces deux tissus p
erfs spinaux moteurs efférents, les cornes grises antérieures de la
moelle
et le tissu médullaire : elle est constituée pa
supérieurs. L'examen des pédoncules, de la protu- bérance et de la
moelle
montra une diminution des faisceaux pyramidaux
aires des gros vaisseaux et les dégénérescences des faisceaux de la
moelle
ou des tractus optiques. Si l'on étudie maint
e, on trouva une cavité SOCIÉTÉS SAVANTES. 435 tout le long de la
moelle
cervicale et dorsale jusqu'aux onzième et douzi
sky. Contribution à la question de la formation des cavités dans la
moelle
. En se basant sur l'examen anatomo-pathologique
plus épais, ces deux caractères se trouvaient des deux côtés de la
moelle
et ne me permettaient pas d'admettre qu'un côté
es. Ce n'est une affection organique classée ni du cerveau ni de la
moelle
. Le chloroforme montre qu'il s'agit d'une malad
ue des vaisseaux du cortex on constata de la diapédèse autour de la
moelle
, une néoformation vasculaire au niveau de la su
rtout les petites sont lésées; il en est de même des cellules de la
moelle
. Les cordons postérieurs de la moelle sont sclé
st de même des cellules de la moelle. Les cordons postérieurs de la
moelle
sont sclérosés ainsi que la bandelette externe
s fibres blanches. Il n'y a pas non plus de lésions vasculaires. La
moelle
et les racines sont intactes. Les auteurs, aprè
des phénomènes de poliomyélite dans les régions supé- rieures de la
moelle
, en même temps qu'une lésion des noyaux des ner
s, l) tumeurs du pont Varolet m) ophtalmoplégie. 3° Maladie de la
moelle
épinière et du bulbe : ' a) ankylose de la colo
rogressive. 4° Maladies organiques communes de l'encéphale el de la
moelle
: a) méningite tuberculeuse et nieningomyélile,
des* , aliénés, par Meunier, parCasteras, 260. ApmKS. Coupes de
moelle
d' - , par SwUtaslm, 184. Analgésie et anesth
'Ilir du cerveau et ses résultats sur le cervelet, la bulbe et la
moelle
, par %loft et'fred;old, 351. Hcwcuonée d'orig
3. I)arSwi- talski, 343. IIÉRÉ,DO-S-l'IlILITIQUES. Maladie delà
moelle
chez les -, par de Peters. 'f01. Hersage des
par Eliot, 255. Mobilis vtion en pathologie nerveuse, par 110.
Moelle
Lésions non tabé- tiques des cordons postérieur
? 5G : par Brousse et rlrdtn-Deltetl, 101. - du cerveau et de la
moelle
, ftar Sachs, 405. Happ0 ! tsde)aetdetafotie,
selon que : i° elles intéressent le cerveau et ses membranes; 2° la
moelle
ou ses enveloppes; 3° le système nerveux périph
de tels cas un certain rôle au pouvoir réflexe excito-moteur de la
moelle
déchainé sous l'influnece de l'action répétée e
humo-muscu- laire peut être lésé. C'est dans les altérations de la
moelle
épinière et des nerfs oculo-moteurs du mesencép
raves et diffuses, même quand la substance grise anté- rieure de la
moelle
et le système nerveux périphérique ne présentent
rachidien de la cinquième à la der- nière racine cervicale incluse.
Moelle
presque indemne, à peine quelques fibres dégéné
ques par la compres- sion de l'aorte abdominale et y succombant. La
moelle
ayant été durcie, on pratique des coupes à l'al
ations qui, dans le corps des cellules des cornes antérieures de la
moelle
de l'homme ou des animaux, ont une disposition
imilé par Gerlach à celui des cellules des cornes antérieures de la
moelle
, Meynert mentionne expressément les vastes rami
es parties du système nerveux central, telles que le cervelet et la
moelle
épinière. Avant la méthode à base d'héma- toxyl
anastosmoses fibrillaires les actions réflexes du cerveau et de la
moelle
, et les rapports fonctionnels des différentes r
llules nerveuses qui rappellent celles des cornes antérieures de la
moelle
épinière. Les fibres de lu deuxième catégorie s
éren- ces de structure des cornes antérieures et postérieures de la
moelle
épinière, a-t-elle quelque apparence de vérité
ts des nerfs moteurs avec les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière. Où fallait-il chercher, dans l'hypoth
cervelet ? C'est un champ de recherches plus obscur encore. Dans la
moelle
épinière ? Mais, même pour les cellules des cor
tuer une fibre des racines antérieures ? A cet effet, au lieu de la
moelle
d'un adulte, Golgi ici encore le véritable préc
le véritable précurseur de Ramony Cajal, soumit à ses réactifs des
moelles
de foetus et de nouveau-nés, et parce que la ga
ment Golgi découvrit que les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière sont bien en rapport direct, quoique non
tral : Golgi reconnaît que les régions motrices et sensitives de la
moelle
épinière, que les cellules nerveuses des cornes a
distinctes anatomique- ment. «Cependant, ajoutait-il, même pour la
moelle
, il semble que l'exception ilepeut êtreconsidér
ons du réseau fibril- laire de l'écorce. Nansen a vu aussi, dans la
moelle
épinière des myxines, des tubes nerveux sortir
e du réseau nerveux, qui envahit toute la substance grise centrale,
moelle
épinière, moelle allongée, noyaux gris encéphal
ux, qui envahit toute la substance grise centrale, moelle épinière,
moelle
allongée, noyaux gris encéphaliques, écorce du
cordons postérieurs et dans le noyau de la couche réticulaire de la
moelle
cervicale ; une atrophie simple dans le noyau r
squ'elles s'entrelacent; ainsi, dans la commissure antérieure de la
moelle
, en particulier chez les animaux inférieurs, et
ION DES dégénérescences secondaires dans la substance blanche DE la
MOELLE
, par SUITE de lésions DE la QUEUE DE cheval; pa
Ce2z- 12,albl., XV, 1896.) Cas de dégénérescence ascendante de la
moelle
; étude anatomo- pathologique sans étude cliniqu
s qu'il y ait jonction intime. ' I. Comme il n'existe pas dans la
moelle
d'autre affection en foyer qui ail pu détermine
emière. La dégénérescence en question occupe toute la hauteur de la
moelle
. Dans le segment sacré et lombaire, les fibres
de leur coupe transverse. A partir de l'extrémité inférieure de la
moelle
dorsale, le nombre des fibres dégénérés décroit g
sceaux de Goll s'arrêtent principalement au segment inférieur de la
moelle
dorsale et surtout aux colonnes de Clarke. En c
erminent dans la substance grise du segment le plus inférieur de la
moelle
. Les autres vont, sans interruption, par les fa
ire qu'il y a union directe des fibres sensitives des racines de la
moelle
avec les noyaux des faisceaux de Goll. Les raci
aux de Goll. Les racines postérieures qui viennent d'entrer dans la
moelle
occupent le voisinage de la corne postérieure a
ieure. C'est pourquoi la dégénérescence des fibres sensitives de la
moelle
, en se propageant de bas en haut, apparaîtra av
ent le trajet des fibres radiculaires au sein de la substance de la
moelle
et portait seule- ment sur celles des fibres qu
jumeau. P.IiERAVAL. IV. DE LA SECTION DES régions supérieures DE la
MOELLE
CHEZ LES chiens; par J. GAD et E. fL.AT : 1U. (
nes chiens de quatre à six semaines, en parfait état, on détruit la
moelle
, en la liant sans ouvrir la dure-mère au niveau
se de la région cervicale (trois échantillons), ou, enfin, entre la
moelle
dorsale et la moelle lombaire (4° spécimen). Des-
cale (trois échantillons), ou, enfin, entre la moelle dorsale et la
moelle
lombaire (4° spécimen). Des- cription très déta
otamment du réflexe patellaire (dans le cas de section élevée de la
moelle
); ces réflexes sont au REVUE D'ANATOMIE ET DE P
THOLOGIQUES 135 contraire exagérés quand il y a eu section entre la
moelle
dorsale et la moelle lombaire. Les chiens opéré
aire exagérés quand il y a eu section entre la moelle dorsale et la
moelle
lombaire. Les chiens opérés dans les régions haut
la moelle lombaire. Les chiens opérés dans les régions hautes de la
moelle
présentent encore le réflexe dit de grattement, c
nt général de l'animal vivisecté. Chez un des chiens (section de la
moelle
dorsale supérieure) on produisit du rachitisme de
inaison DES fibres DU « champ ovale » DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA
MOELLE
LOMBAIRE ; par À. HoCHE. (Neurolog. Centl'albl.
ituée des deux côtés de la cloison postérieure, sur le milieu de la
moelle
(centre ovale, zone médiane, champ médian) à la
lombaire et dorsal donnant alors l'image d'un champ, ovale dans la
moelle
lombaire, triangulaire aigu (à base périphériqu
mbaire, triangulaire aigu (à base périphérique postérieure) dans la
moelle
sacrée. Barbacci croit que ce sont les fibres de
oison postérieure. Parvenues en cet endroit, elles forment, dans la
moelle
lombaire, un territoire ovale ; dans la moelle sa
les forment, dans la moelle lombaire, un territoire ovale ; dans la
moelle
sacrée, 136 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
nt contigu à la moitié interne de la péri- phérie postérieure de la
moelle
. Au niveau de l'entrée de la 3° ra- cine cervic
nification n'est pas expliquée. 7° Il n'y a pas à l'intérieur de la
moelle
d'entre- croisement d'un cordon latéro-pyramida
11, VI.) XXI. Les EFFETS DE l'excision DES racines sensitives de la
moelle
épinière ET LEUR interprétation; par le Dr P.1L
s suivantes : 1° les espaces sous-arachnoïdiens du cerveau et de la
moelle
com- muniquent entre eux et avec les ventricule
om- muniquent entre eux et avec les ventricules cérébraux ; 2° la
moelle
descend chez l'adulte jusqu'à la seconde, et chez
ième ou le quatrième espace inter- laminaire ne peut pas toucher la
moelle
, et s'engage simplement parmi les racines nerve
du liquide cérébro-spinal de l'enveloppe sous-arachnoïdienne de la
moelle
et des cavités du cerveau ; au point de vue théra
directement provoquée par un traumatisme grave du cerveau et de la
moelle
. On pourrait, à non moins juste titre, en faire
à petites doses répétées, et aussi l'administration d'un mélange de
moelle
rouge des petits os, de sang et de glycérine. R
erveau accompagnés de kystes, isolés ou non, avec les gliomes de la
moelle
dans la syringomyélie. Dans un nombre considéra
yringomyélie. Dans un nombre considérable de cas, les cavités de la
moelle
sont d'origine congénitale, mais elles peuvent au
s des cavités médullaires. La conception qui fait des cavités de la
moelle
le résultat de la dégénérescence des tumeurs n'
1879, t. I, p. 330. 2 Pierret cité par Vulpian. 3 Maladies de la
moelle
épinière, p. 610. ' Itaymond. Tabès clorsttlis.
taymond. Tabès clorsttlis. Dict. encycl., p. 310. '' Maladies de la
moelle
, J 7. leçon, p. 21G. o Topinard. Traité de l'at
e troubles mentaux, p. 61. 8 Thèse de 1896. 0 Erben. Wiener merl.
moelle
? 18S6, n<" 43 et li, cité par de Mas- sary
rd dans l'écorce cérébrale, le bulbe olfactif, la corne d'Ammon, la
moelle
épinière, la rétine. Les branches collatérales
de cellules envoyaient, par exemple, dans la substance grise de la
moelle
épinière : mais la décharge nerveuse résultant
rveuses des cordons postérieurs qui montent jus- qu'au niveau de la
moelle
allongée, peuvent, sur tout leur trajet, contra
par leurs collatérales, avec presque toute la substance grise de la
moelle
épinière. Le riche plexus de fibres à myéline q
us de fibres à myéline que l'on voit, dans la substance grise de la
moelle
épi- nière, autour des cellules nerveuses surde
ussi des collatérales qui forment la commissure posté- rieure de la
moelle
et les fibres fines de la commissure antérieure.
sentent la morphologie et les connexions des éléments nerveux de la
moelle
épinière. I. Chaque fibre nerveuse n'est que le
ique seul de la cellule. III. Les cellules de substance grise de la
moelle
épinière sont de deux espèces : les cellules ra
lules radiculaires motrices, émettent à leur passage à travers la
moelle
des collatérales entre les cellules nerveuses.
. IV. Les fibres sensitives des vertébrés ne naissent pas dans la
moelle
: elles proviennent, comme l'a établi W. His, des
suivant Cajal, des cellules de ces ganglions, courant transmis à la
moelle
épinière par la branche centrale, d'autres cour
ntrale de leur prolongement nerveux dans la substance blanche de la
moelle
épinière, où son cône d'accroissement finit par
stance grise où elles s'arborisent entre les éléments nerveux de la
moelle
épinière. Outre les arborisations terminales de
ellules de la colonne de Clarke (voie cérébelleuse ascendante de la
moelle
) ; celles-là, issues de la portion voisine de l
ant des voies courtes se terminent dans les divers seg- ments de la
moelle
épinière. Dans l'çC0ltCE cérébrale, identique a
ns l'écorce du cerveau, proviennent peut-être indirecte- ment de la
moelle
épinière, du cervelet, etc. Ces longues fibres tr
es; 4° courants apportés peut-être indirectement des cellules de la
moelle
épinière ou du cervelet, etc. ; 5° courants ven
anches d'un arbre des tro piques, » avec les éléments nerveux de la
moelle
ou du cerveau ; les vastes ramures aplaties, hé
s grains les courants nerveux de la voie cérébelleuse directe de la
moelle
épinière. Grâce au plexus fibrillaire de l'écor
celles de la commissure blanche antérieure ; 4° des cellules de la
moelle
ou du cervelet, etc. ; 5° les cellules pyramida
ême composition chimique. Les cellules des cornes antérieures de la
moelle
, les cellules ganglionnaires de la rétine, celles
courage : ce qui distingue les cellules cérébrales de celles de la
moelle
et des ganglions, n'est pas dans la forme extérie
descendent que d'un plus petit nombre d'ancê- tres. Ainsi, dans la
moelle
épinière et le cervelet des oiseaux on trouve d
biens et les reptiles, ces formes de transition se montrent dans la
moelle
épinière : il n'existe que des cellules épithél
ent, comme substance de soutènement, que des cellules épithéliales (
moelle
épinière des poissons, écorce du cerveau des am
ent); à des degrés plus élevés, les cellules en araignées dominent (
moelle
épinière des oiseaux et des mammifères, écorce
l doit être protégé comme les surfaces externes du cerveau et de la
moelle
. Il est remarquable que la couche pie- mérienne
bre nerveuse (dans le cerveau, le cervelet, la partie interne de la
moelle
allongée), tantôt ce sont des faisceaux entiers
longée), tantôt ce sont des faisceaux entiers (partie externe de la
moelle
allongée). Une autre fonction delà névroglie co
-SEQU.1RD, avec quelques REMARQUES SUR LE TRACTUS SENSORIEL DANS LA
MOELLE
ÉPINIÈRE DE l'homme ; par Pearce Bailey. (New-Y
x derniers ordres de fibres devient complète dès l'entrée dans la
moelle
et se poursuit sans interruption de bas en haut d
ation immédiate des fibres du sens musculaire à leur entrée dans la
moelle
. Il constate ensuite que les fibres du sens mus
elations : en effet, tandis que dans les lésions unilatérales de la
moelle
, les deux fonctions sont souvent conservées pou
s fibres de la sensibilité tactile ne s'entre- croisent pas dans la
moelle
, du moins au niveau même des lésions observées,
veau même des lésions observées, puisque si, dans les lésions de la
moelle
, cette fonction est abolie, c'est que la lésion
paration des sensations tactiles et doulolt1'ellses au niveau de la
moelle
. Dans les nerfs périphériques elles peuvent trè
ue dans les cas très rares où l'on a constaté l'exis- tence dans la
moelle
de causes provocatrices de l'inflammation. Les
été observés aussi dans des cas de tumeurs ou de compression de la
moelle
, qu'on ne saurait ranger dans le groupe des inf
(tranmatisme), qui n'ait pu donner lieu à des inflammations de la
moelle
: la fréquence seule de ces complications varie s
symptomatique est celui d'une section plus ou moins complète de la
moelle
et quand l'anammèse révèle une infection ou une
i nous ont appris l'existence de deux systèmes de vaisseaux dans la
moelle
: 10 les artères centrales qui, du sillon antér
antérieure) que pour qu'il aille agir sur toute la périphérie de la
moelle
par les petites artères périphériques, et cela
pour qu'il se produise une myélite disséminée intéressant toute la
moelle
et peut-être le cerveau, que pour que l'inflamm
sversales et celles qui intéressent seulement la péri- phérie de la
moelle
sont les plus rares. On rencontre d'ailleurs to
s que, même dans les névrites typiques, le poison touche aussi la
moelle
et le cerveau. La sclérose multiple parfois évo
clinique du tabès; à l'autopsie on a trouvé une dégénéralion de la
moelle
portant surtout sur les cordons postérieurs. Le
ant la nature du poison. Il semble que les divers territoires de la
moelle
présentent une vul- nérabilité inégale à l'égar
ôle capital des vais- seaux dans le processus de dégénération de la
moelle
: on consta- tait de nombreux foyers hémorragiq
ations multiples déterminent plus aisément une dégé- nération de la
moelle
, de là le danger des maladies infectieuses de l
gies récentes sans leucocytes ni pigment. Mêmes hémorragies dans la
moelle
, la protubérance (sur- tout sous l'épendyme), l
s calleux. Puis on place des petits frag- ments du cerveau ou de la
moelle
dans un mélange d'une solulion 332 SOCIÉTÉS SAV
e des lésions de la névroglie ; il a pu mettre en évidence, dans la
moelle
de sujets adultes, l'existence de cellules iden
entes régions de l'écorce cérébrale, du cerveau en géné- ral, de la
moelle
épinière et du cervelet. Cette connexion s'opèr
Le cylindraxe du neurone pyramidal se dirige quel- quefois vers la
moelle
épinière, le cervelet, etc. ; mais quelle que s
écorce cérébrale et la substance grise de la corne antérieure de la
moelle
épinière. Cet état spasmodique marche naturelle
he descendante, les libres pyramidales traversent successivement la
moelle
cervicale, la moelle dorsale, la moelle lombair
ibres pyramidales traversent successivement la moelle cervicale, la
moelle
dorsale, la moelle lombaire et la moelle sacrée
raversent successivement la moelle cervicale, la moelle dorsale, la
moelle
lombaire et la moelle sacrée on voit parallèlemen
nt la moelle cervicale, la moelle dorsale, la moelle lombaire et la
moelle
sacrée on voit parallèlement l'état spasmodique
PARALYSIE GÉNÉRALE; par G. MaRINESCO. L'auteur a examiné plusieurs
moelles
de sujets atteints de para- lysie générale et d
ns d'autres cas ? En exa- minant, pour élucider cette question, des
moelles
provenant d'in- dividus non tabétiques, l'auteu
ividus non tabétiques, l'auteur a trouvé avec surprise que dans les
moelles
d'hémiplégiques ou dans celles qui ne présentaien
n temporaire de l'importante étude de M. Marinesco est que dans les
moelles
des tabétiques, des para- lytiques généraux, et
lles des tabétiques, des para- lytiques généraux, et aussi dans des
moelles
d'individus morts d'an- tres affections, les ce
matophiles sont réduits à une rangée périphé- rique ; mais dans les
moelles
de tabétiques et de paralytiques généraux ces m
pratique des sec- tions perpendiculaires à l'axe longitudinal de la
moelle
et du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
scendante dans la partie lombo-sacrée DES cordons postérieurs DE la
MOELLE
; par A. BANCE et R. MUNIR. (Bmrin, été et autom
à la suite d'une lésion importante intéressant un point élevé de la
moelle
, ici la lésion est plus voisine de la région lo
'une fracture de la douzième dorsale ayant complètement écrasé la
moelle
; la mort survint cinq semaines après l'accident,
he DES dégénérations secondaires DANS LES DIFFÉRENTS SYSTÈMES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE DU CHIEN; par le Dr WOROTYNSKI. Jusq
is les expériences de Schaffer relativement aux dégénérations de la
moelle
, et est arrivé aux conclusions suivantes : 1°
suivantes : 1° Quatre jours et demi après la section complète de la
moelle
d'un chien , survient une dégénération ascendan
pement du processus dégénératif est atteint, après la section de la
moelle
, dans les cordons de Goll et de Lowenthal vers
nerveux. M. JULIUS13ERGER (Ilerzberge) présente des préparations de
moelle
épinière de l'homme, durcie d'après le procédé
ut constatée une infiltration angio-sarcomateuse des méninges de la
moelle
épinière, du bulbe et du cervelet. Le néo- plas
é dans la région des tuméfactions et à la surface postérieure de la
moelle
. Le tissu médullaire n'était pas altéré et seul
iquement on devait admetlre que la syphi- lis héréditaire frappe la
moelle
comme elle frappe les autres organes, et que se
lésions congénitales ne saurait laisser de doute : ayant étudié les
moelles
de 26 foetus mort-nés, issus de parents syphiliti
sont pas sous la dépendance de quelque complication (lésions de la
moelle
ou des nerfs périphériques). Quant aux eschares
t le système nerveux. La lésion siège le plus ordinairement dans la
moelle
mais on peut la rencontrer dans l'écorce et dan
s l'écorce et dans les racines nerveuses. Lorsqu'elle siège dans la
moelle
elle-même, les altérations anatomiques sont cel
de préciser la nature des altérations qui se sont produites dans la
moelle
lorsque la para- lysie a brusquement fait son a
la dure-mère, et ayant son maximun dans la partie lombaire de la
moelle
épinière. Microscopiquement on trouva des altérat
copiquement on trouva des altérations de la zone périphérique de la
moelle
entière; dans l'intumescence cervicale, les lés
tie marginale étant complètement dégénérée ; quant au centre .de la
moelle
, il était presque intact. Ce cas fournit un exc
rare de méningite tuberculeuse, dans laquelle les enveloppes de la
moelle
sont attaquées les premières, forme spinale, fo
l'autopsie, on ne trouve d'abord rien. Après le durcissement de la
moelle
épinière, le microscope décèle des lésions myélit
t d'une forme très singulière. Dans la partie sacro- lombaire de la
moelle
, celle-ci est saine ; elle est au contraire gra-
éite condensante et d'autres taches rouges d'ostéite raréfiante. La
moelle
osseuse est très vasculaire. L'examen histo- lo
oelle osseuse est très vasculaire. L'examen histo- logique de cette
moelle
a montré les caractères de la moelle foetale, c
examen histo- logique de cette moelle a montré les caractères de la
moelle
foetale, caractérisée par de nombreuses cellule
ence de vési- cules adipeuses. L'encéphale pèse 1,250 grammes. La
moelle
pèse 40 grammes, elle a partout sa consistance
LXXIX. Considérations générales SUR LES affections CHRONIQUES DE la
moelle
épinière ; par JoNES. (NOl'thw. Lancet, déc. 1896
gnification des principaux symptômes fournis par les maladies de la
moelle
, il faut connaître sa structure et les fonction
uant les particularités qu'ils présentent dans les affections de la
moelle
. Dans la polyomyélite antérieure, la paralysie
). Les douleurs sont surtout prononcées dans les compressions de la
moelle
par tumeurs ou par méningite. - L'ataxie et l
0)10-l'.1TIIOLOGIQUES pour SERVIR A la chirurgie DES tumeur ? DE la
MOELLE
épinière ; par L. Bruns. (Archiv. sur Psychiatr
s correspondant à une lésion dont le siège serait à la limite de la
moelle
dorsale et lombaire; troubles de la sensibilité.
se. Paraplégie motrice et sensitive complètes dans le domaine de la
moelle
sacrée, sensibilité dissociée (contact conservé)
rée, sensibilité dissociée (contact conservé) dans le domaine de la
moelle
lombaire. Pendant un temps très court quel- que
et lombaires supérieures. Diagnostic : Tumeur (fbrosarcome) de la
moelle
épinière com- mençant au niveau de la pie-mère
ninges et des racines mé- dullaires. Siège primitif au niveau de la
moelle
lombaire. Pénétra- tion des tumeurs à travers l
pie-mère et par les racines dans la substance médullaire. Toute la
moelle
lombaire est transformée en une tumeur sarcomat
la pie- mère et sur les racines jusqu'à la partie supérieure de la
moelle
dorsale. Deuxième observation : homme de ving
e en dehors de la dure-mère entourant la par- tie postérieure de la
moelle
et intéressant les racines des deuxième et cinq
mme la substance médullaire ne sont pas atteintes par la tumeur. La
moelle
épinière est complète- ment ramollie au niveau
des foyers disséminés, des vais- seaux malades, des hémorragies. La
moelle
lombaire est indemne. Dégénération descendante
élite assez aiguë, qui se développa à cause de la compression de la
moelle
épinière au niveau de la qua- trième et de la c
ome des vertèbres et de la dure- mère médullaire, compression de la
moelle
, dilatation du canal central dans la partie sup
s disséminés de la pie-mère médullaire, adhérée à la dure- mère. La
moelle
dans sa partie inférieure est endurcie d'une co
r cas (myélite par compres- sion) au-dessus de la compression de la
moelle
épinière le canal central est dilaté, plus bas
large cavité syringo- myélique, qui occupe la partie centrale de la
moelle
épinière, se prolongeant plus bas dans le canal
ormale, faite avec la méthode des dégénérations secon- daires de la
moelle
humaine, démontre que les cordons postérieurs p
une place variable suivant la hauteur considérée ; latéral pour la
moelle
cervicale et dorsale, il forme la virgule de Seli
et dorsale, il forme la virgule de Seliultze médian au niveau de la
moelle
lombo-sacrée, il devient le centre ovale de Fle
ire de la région sacrée et du cône terminal postéro-latéral pour la
moelle
dorso-lombaire, il constitue une bandelette pér
re postérieur, depuis la racine jusqu'au cordon correspondant de la
moelle
. Les fibres moyennes de Singer et Alunzer sont
de Singer et Alunzer sont prises avec élection, et au niveau de la
moelle
(bandelettes externes de Pierret), et au niveau
stérieurs. Dégénéres- cence de la partie lombo-sacrée des - de la
moelle
, par Bance et Muir, 365. Cotes. Fragilité des
y, 359. Dégénérescences secondaires de la substance blanche de la
moelle
par Darkschewitschsch, 132. - des faisceaux p
ant survenir dans les maladies soma- tiques, par Reynolds, 236.
Moelle
. Section des légions supé- rieures de la- chez
par Ablecoff, 61. Syringomyélie consécutive à une lésion de la
moelle
par Alexan- droff et Minor, 481. Tabès. Cause
s crâniens ne nous ont présenté aucune altéra- tion, - Cerveau et
moelle
. Au point de vue macroscopique, sauf un léger d
n léger degré d'oedème cérébral,^ les hémisphères cérébraux et la
moelle
, n'offrent aucune particularité. A l'examen histo
er et paraissent de structure normale. L'examen microscopique de la
moelle
n'a pu être pratiqué jusqu'ici que sur la régio
ue par exclusion. Etant donnés tous ces signes de compression de la
moelle
, l'opération était indiquée. On trouva une tume
emières vertèbres lom- baires, comprimant la fece pestérieure de la
moelle
et l'origine de la queue de cheval. Les suite
e inférieur, qui comprend les cellules des cornes antérieures de la
moelle
et les nerfs périphé- riques, qui en sont le pr
sterno-mastoïdien. L'électricité n'a jamais guéri une maladie de la
moelle
. Elle n'est indiquée dans aucune affection aigu
de la moelle. Elle n'est indiquée dans aucune affection aiguë de la
moelle
; mais il n'en est pas de même en ce qui concern
de la sclérose primitive et symétrique des faisceaux latéraux de la
moelle
épinière et demandait le contrôle d'observation
hique ou bien associée à des altéra- tions d'autres faisceaux de la
moelle
. Le tabes spasmodique étant rayé du cadre des a
bsence complète de fibres pyramidales, cylindraxes compris, dans la
moelle
d'un foetus de sept mois et fait de cette insuf
- ration des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la
moelle
sans participation des faisceaux blancs latéraux
ur Kojewnikoff. II. M. ORLOVSKY. Un cas de gomme syphilitique de la
moelle
épi- nière. Le malade, âgé de quarante-neuf ans
e, dans la dure-mère et la seconde enfoncée dans la substance de la
moelle
épinière, qui était fortement comprimée, et déf
ique quant aux méninges et aux vaisseaux des régions voisines de la
moelle
épinière, ils présentent aussi des alté- ration
2° une dégénérescence considérable des racines postérieures dans la
moelle
épinière, plus marquée surtout dans les régions
: en outre des dégénérescences descendantes secondaires, dans la
moelle
épinière et une névrite parenchymateuse des nerfs
du renflement cer- vical. La syphilis héréditaire peut frapper la
moelle
. Un enfant, dont le père et la mère sont attein
'auteur de résoudre certains problèmes de la localisa- tion dans la
moelle
épinière; ainsi l'auteur conclut de ses recherche
seurs, ces centres se trouveraient dans la région cervicale de la
moelle
. Ce travail, comme tous les travaux antérieurs
en jugerez par les ouvrages de l'époque : Ollivier d'Angers pour la
moelle
; notre Lalle- mand et Rostan pour le cerveau.
ns. Nous avons essayé, après bien d'autres, de le montrer pour la
moelle
' et les névroses-; Raymond a récemment étudié ce
lus complet encore que chez notre premier malade; en de- hors de la
moelle
vous avez cinq autres groupes de foyers scléreu
ue des cellules et des fibres des cornes anté- rieures grises de la
moelle
dans toute sa hauteur, allant en s'amoindrissan
; elle nous montre : 1° la sclérose des faisceaux postérieurs de la
moelle
; 2° des plaques fibreuses d'arachnitis spinale
voyez combien l'altération est complexe : la sclérose porte sur la
moelle
, les nerfs, les méninges, les vaisseaux, le pér
e tout à fait anté- 1 Vulpian. ? f«7. du sy ? ncit'. : malud. de la
moelle
, 181 ! ). ' MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 1 I 1
ante du tabes est dans le protoneurone sensitif ou centripète de la
moelle
(cordons postérieurs, racines postérieures, gan
'heure actuelle », qu'il décrit le tabes « parmi les maladies de la
moelle
et comme une maladie de la moelle ». 2. Avec
tabes « parmi les maladies de la moelle et comme une maladie de la
moelle
». 2. Avec le tabes coexistent souvent chez le
1 Du tabès combiné (ataxozpasmod.) ou sclel'-f1ostel'olatel' de ta
moelle
. (.11,ch. de Xeurol., 1887, XI, 15G et 380; XII
. De même, un homme à hérédité névropathique et ayant affaibli sa
moelle
par des excès fait de la sclérose multiple diss
de la syphilis ou de l'arthritisme : la sclérose se localise sur la
moelle
dont la résistance est diminuée et il fera du t
1. 118 8 CLINIQUE NERVEUSE. Tout ce que nous venons de dire de la
moelle
ou des nerfs pourrait bien dans une certaine me
ter une réponse. Je vous ai montré pour divers organes, rein, foie,
moelle
..., la discussion entre les deux écoles sur le
sus accuse une grande symétrie dans les deux hémisphères. Dans la
moelle
épinière se voit une zone d'égale largeur au voi-
. III. Trois cas DE NÏ30PLASIES avec formation DE cavités dans la
moelle
; par W. TOURNER. (Drain, parts LXXIV et LXXV.)
cornes postérieures des deux côtés dans la partie supérieure de la
moelle
étendu de la deuxième paire cervicale à la prem
n de cavités sans épithélium ni communi- cation épendymaire dans la
moelle
intéressant les deux colonnes postérieures et l
ine et Mayor (1873), de Hayem et Gilbert (1884) sur les nerfs et la
moelle
des amputés, travaux de Vanlair (1891), Krause (1
dégénération ascendante, pouvant atteindre les ganglions et même la
moelle
. Aussi pour se mettre à l'abri de l'inflammatio
en deux fibres, l'une qui descend dans le nerf, l'autre qui va à la
moelle
. Son noyau est formé d'un réseau de chromatine
s ganglions de la région lombaire, ainsi que sur les portions de la
moelle
correspondante. Fleming décrit ses résultats avec
au septième jour, bien avant que les cellules multipo- laires de la
moelle
ne soient altérées. L'un des premierschangements
tre les cellules ganglionnaires et les cellules multipolaires de la
moelle
. P. RELLAY. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 153 VI. Une HETÉROTOPIE DE la
moelle
artificielle; par J. COLINS (Neuralog. Central.
par J. COLINS (Neuralog. Central. Ch. XIV, 1895). Il s'agit d'une
moelle
empruntée à un malade atteint de sclèro'e latér
al ; elles sont imputables, d'après l'auteur, à une contusion de la
moelle
post mortem. P. K. VII. Note SUR la THÉORIE DE
hite; des deux autres qui vivent encore, l'un a une affection de la
moelle
l'autre est bien portant. La tumeur du crâne es
hercher la formule anatomo - pathologique du. tabes au niveau de la
moelle
, c'est étudier successivement sa topo- graphie
. IV. 12 178 pathologie NERVEUSE. · de la région 'sensitive de la
moelle
, comprenant les cordons postérieurs, les cornes
néraux du problème à résoudre.- . . Les cordons postérieurs de la
moelle
apparaissent, d'après les derniers travaux, com
e : les unes (libres courtes) se terminent, dès leur entrée dans la
moelle
, autour des cellules de la corne posté- rieure
ce titre, le tabès reste une affection de la région sensitive de la
moelle
. DES LOCALISATIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALI
escendantes; de plus, ces fibres occupent, suivant les étages de la
moelle
, des régions diverses. Tout cela doit forcément
llules nerveuses qui se rencontrent dans la portion sensitive de la
moelle
, ne présentent pas moins de variétés. Nous avon
et de cellules nerveuses qui constituent la portion sensitive de la
moelle
épinière. Malgré cette complexité, l'étude topo
re, depuis son début jusqu'à sa fin, à n'im- porte quel étage de la
moelle
; l'anatomo-pathologisle et, le clinicien ont in
ité du tabès » que nous avons fait l'examen en coupes sériées de 10
moelles
tabétiques; cet examen nous a permis de reprend
s cordons postérieurs et aux cellules de la portion sensitive de la
moelle
. Dans la seconde, nous donnerons les caractères
ique, embryogénique ; méthode des dégénérations secon- daires de la
moelle
humaine. A notre avis, la méthode des dégénérat
ine. A notre avis, la méthode des dégénérations secondaires de la
moelle
humaine est seule capable de fournir des document
acines lombo-sacrées ; examinons en coupes sériées transversales la
moelle
, depuis le cône termi- nal jusqu'au bulbe, et n
re l'excellence de la méthode des dégéné- rations secondaires de la
moelle
humaine, quand on veut étudier l'architecture o
de cordons). 1° Faisceaux exogènes des cordons postérieurs de la
moelle
humaine. - Ces faisceaux constituent les champs
ntré l'existence de filets radiculaires descendants ; mais, dans la
moelle
humaine, la méthode des dégénérations secondair
raît donc secondaire. Ainsi toute racine postérieure, abordant la
moelle
, suit un trajet ascendant bien délimité (zone c
es ces notions topographiques en quelques lignes. - Au niveau de la
moelle
sacrée, lombaire et dorsale infé- rieure, le ch
champs endogènes (régions quadrillées) aux principaux étages de la
moelle
. ' Les champs radiculaires ou exogènes occupent
lles qui consti- tueront les triangles du cordon de Goll. Dans la
moelle
dorsale et cervicale, le champ radiculaire -obé
ur par l'exposé de la nouvelle con- ception du cordon de Goll de la
moelle
cervicale. Les anciens auteurs désignaient sous
ombo-sacrés. 2° Faisceaux endogènes des cordons postérieurs de la
moelle
humaine. - Les champs radiculaires forment la plu
s cette étude des faisceaux endogènes des cordons postérieurs de la
moelle
humaine, nous utiliserons les seuls documents f
descendant du cordon postérieur existe dans toute la hauteur de la
moelle
, depuis le bulbe jusqu'au cône terminal; mais i
l'étage considéré ; en d'autres termes, suivant qu'il s'agit de la
moelle
cervicale, dorsale, lombaire ou sacrée. Nous l'
e pour les trajets radicu- laires, sur une coupe transversale de la
moelle
. Dans la région cervicale et dorsale, il s'appe
érieure allant de la commissure grise jusqu'à la périphérie de la
moelle
, parallèlement au bord interne de la corne, dont
, dans son tra- vaiisur les .voies conductrices du cerveau et de la
moelle
épinière, mais sans lui donner sa vraie signifi
e présente sous forme de triangle; sa base atteint la surface de la
moelle
; sa pointe touche la commissure postérieure.
dorsale inférieure. Cette bandelette borde la périphérie même de la
moelle
et atteint en dedans le sillon médian ; elle ap
endant du cordon postérieur existe donc dans toute la hauteur de la
moelle
. Comme tout faisceau commissural, il reçoit et
commissural, il reçoit et perd des fascicules à chaque étage de la
moelle
. Chaque fascicule nouveau paraît prendre naissa
nsister sur l'importance que présente, pour le fonctionnement de la
moelle
, cette longue voie com- missurale descendante q
re chacun d'eux aux points extrêmes du renflement lombaire ou de la
moelle
sacrée ; elle doit jouer un grand rôle dans la
mpression périphé- rique, est ainsi projeté à tous les étages de la
moelle
. Le faisceau endogène ascendant des cordons pos
olutiondu problème topographique dans l'examen en coupes sériées de
moelles
tabétiques à diverses périodes de leur évolutio
ère étape anatomique de la mala- die). Coupes transversales de la
moelle
, sacrée et lombaire. La moitié postérieure est se
A, racines postérieures adjacentes, sur le point de pénétrer dans ia
moelle
; B, zone de Lissauer (faisceau grêle) ; C, cor
s les cordons postérieurs. Mais si ces fibres se détruisent dans la
moelle
, très vraisemblablement elles se détruisent aus
depuis la cellule ganglionnaire jusqu'à leurs terminaisons dans la
moelle
ou le bulbe : leurs réactions pathologiques son
ngues); il atteint égale- ment les fibres endogènes. Ainsi, sur une
moelle
de tabes avancé, le faisceau endogène descendan
e faisceau endogène descendant est pris dans toute la hauteur de la
moelle
(faisceau triangulaire médian, centre ovale, ba
mule histologique gé- nérale. Le plus souvent, le cordon de Goll (
moelle
cervicale) se prend suivant un mécanisme bien é
alors représenté par une tache blanche, dans toute l'étendue de la
moelle
DES LOCALISATIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS
ces trois cas, la lésion, uniquement cervico-dorsale, respectait la
moelle
lombaire, par conséquent les fibres longues du
et dégénératives, au cours de ce processus, aux divers étages de la
moelle
. Notre technique a été spéciale pour chaque ord
ses a été faite sur les racines postérieures, sur les cordons de la
moelle
, enfin sur les ganglions rachidiens. Pour les r
u cours de nos recherches sur les altérations interstitielles des
moelles
tabétiques, nous avons été frappé par le peu de d
postérieures étaient empri- sonnées, sur une certaine étendue de la
moelle
, au sein de lamelles conjonctives développées a
ogie varie, suivant que les fibres sont atteintes en - dehors de la
moelle
(racines postérieures) ou au niveau de leur tra
radiculaire; qu'il prenne naissance sur les racines en dehors de la
moelle
ou au niveau de leur trajet intra-médullaire, ce
rnes étaient considérablement raréfiées dans toute la hauteur de la
moelle
lombo-sacrée, et cepen- dant la malade, suivie
remière idée qui vient à l'esprit est celle d'une compression de la
moelle
par mal de Pott probablement. Mais l'enfant mis
discute avec détails le diagnostic de l'affection. Une lésion de la
moelle
peut-elle produire ce syndrome ? Non. Une lésio
peut-elle produire ce syndrome ? Non. Une lésion unilatérale de la
moelle
produirait la paralysie du même côté- et l'anes
je con- nais cependant un certain nombre de faits dans lesquels la
moelle
était le siège de lésions identiques à celles q
ques de la maladie, comme cela a été fait pour les affections de la
moelle
aujourd'hui mieux connues. Après tout, le cerve
ues. Après tout, le cerveau n'est-il pas un simple renflement de la
moelle
, composé 248. SOCIÉTÉS 'SAVANTES.. des mêmes
t pas. L'artériosclérose cérébrale peut débuter comme celle de la
moelle
par des éléments nerveux différents; de là des va
SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 257 Î plein effet de son action d'arrêt sur la
moelle
, assez cependant t pour éveiller des idées subc
Essarts.) Il aurait eu, m'écrivent les parents, une maladie de la
moelle
épinière ? ? ... Il a eu un côté paralysé pendant
il jouit actuelle- ment d'une parfaite santé. Cette maladie de la
moelle
, pour moi qui ai connu l'enfant, a bien l'air d
ique démontrèrent qu'il n'y avait aucune lésion du cerveau ni de la
moelle
, en particulier des faisceaux pyramidaux. Apr
, l'auteur, en présence de la dyspragie cérébrale, se demande si la
moelle
ne peut pas être elle aussi, en état de mau- 32
iques. M. AnGL : IDE lit un rapport sur l'examen histologique de la
moelle
de 40 aliénés pris dans son service. 14 étaient
it comme contrôle de faire également des études histologiques de la
moelle
chez ces sujets normaux. La rééducation suggest
aisseaux, soit dans, soit autour de la gaine péri- vasculaire. La
moelle
paraît légèrement atteinte dans les faisceaux des
ensitif du triju- meau. · En outre, on a trouvé des lésions de la
moelle
épinière, princi- palement dans les cordons dor
rescence plus ou moins marquée dans les cor- dons postérieurs de la
moelle
épinière. La dégénérescence la plus sensible es
graduellement, et s'affaiblit le plus dans la partie lombaire de la
moelle
épinière. Les racines postérieures sont aussi a
aux, exprimée de même principalement dans la région cervicale de la
moelle
épinière. Il faut chercher la cause 346 SOCIÉTÉ
disséminées de sclérose dans les pédoncules, la protubé- rance, la
moelle
allongée et sur toute l'étendue de la moelle épi-
la protubé- rance, la moelle allongée et sur toute l'étendue de la
moelle
épi- nière ; la moitié droite de la moelle épin
ur toute l'étendue de la moelle épi- nière ; la moitié droite de la
moelle
épinière, principalement les cordons latéraux e
précoce des dérangements graves, indiquant une lésion stable de la
moelle
épinière ; 2° des oscillations très marquées dans
forme de lame triangulaire est situé dans la région ventrale de la
moelle
allongée et du quart postérieur de la protu- bé
on travail en notant la coïncidence de la région de la plaque de la
moelle
allongée avec le bassin de certains vais- seaux
té étudiés par lui à l'aide des injections. La moitié caudale de la
moelle
allongée reçoit son sang par des artères spino-
réunion des artères vertébrales (arteria foraminis coeci). Dans la
moelle
épinière on a trouvé une dégénérescence secon-
IOURATOFF a été porté à envisager les altéra- tions indiquées de la
moelle
épinière, comme des plaques scléro- tiques. M
aussi, en partie, dans le trou occipital. Le pont de Varole et la
moelle
allongée du côté droit sont comprimés par la tume
tives n'ont lieu que dans les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière (Crocq fils, Pernice et Scaliosi). Le
ne diphtérique à des cobayes. Pour la coloration des cellules de la
moelle
épinière il se servait principalement de la mét
lindraxes) et des altérations particulières dans les cellules de la
moelle
épinière, principalement dans les cornes antérieu
tra l'existence des névrites très marquées; dans les cellules de la
moelle
épinière, les modifications étaient déjà effacées
autres conditions accessoires; les altérations de l'encéphale de la
moelle
allongée, de la substance blanche de la moelle
de l'encéphale de la moelle allongée, de la substance blanche de la
moelle
épinière et des ganglions intervétébraux sont c
O suppose que la lésion particulière des cornes anté- rieures de la
moelle
épinière est en liaison avec les modifications
ifications analogues dans les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière ont été observées aussi après les inje
Oela- roche et Cie. SANO (F.). Les localisations motrices dans la
moelle
louzbo-srrcrée. Brochure in-8° de 11 pages, ave
ou 392 CLINIQUE MENTALE. une lésion nerveuse (racines nerveuses,
moelle
, cerveau en avant des tubercules quadrijumeaux)
teur de l'hospice 6lar- coutza. Notre maître, ayant fait enlever la
moelle
ephnere ainsi que les nerfs périphériques (cubi
s le but d'étudier les lésions légères des cellules nerveuses de la
moelle
provoquées par l'anémie temporaire de cet organ
a station ou de la marche. On sacrifie alors le cobaye; on place sa
moelle
pen- dant vingt-qaatre heures dans l'alcool à 9
ifications bien connues que subit la cellule lorsque J'anémie de la
moelle
a été long- temps prolongée, c'est-à-dire la ru
rolongée de l'aorte abdominale, les embolies expéri- mentales de la
moelle
épinière, les infections intenses, les intoxi-
les cas graves, suivis d'autopsie, d'affections traumatiques de la
moelle
(par suite de fracture, luxa- 440 SOCIÉTÉS SAVA
onnue dans les localisations les plus diverses du traumatisme de la
moelle
épinière, il faut accorder une atten- tion spéc
rifiée dans d'autres observations d'affections trauma- tiques de la
moelle
, à l'exclusion des cas de myélite transverse, ce
e place. Dans le système nerveux central, la corne antérieure de la
moelle
et le cervelet, j'ai trouvé des lésions très ne
sang épanché en pleine substance grise, dans la moitié droite de la
moelle
qui n'était pas rompue, en dehors du canal épen
if de gliose tendant à gagner excentri- quement la périphérie de la
moelle
. Nous. tenons surtout à faire ressortir l'exten
accélératrices; dans une autre série d'expé- riences j'ai coupé la
moelle
au-dessus de la première vertèbre dor- sale qui
a paralysie musculaire hypertrophique des lésions anatomiques de la
moelle
épinière, n'étant pas encore jusqu'ici définiti
s minutieuses. Des altérations importantes ont été trouvées dans la
moelle
épinière et dans les troncs nerveux. Dans la mo
rouvées dans la moelle épinière et dans les troncs nerveux. Dans la
moelle
, ces lésions s'observent dans les cellules gang
le système vasculaire; mais aussi dans la subs- tance blanche de la
moelle
, des troubles dégénératifs se sont éta- blis d'
la région lombaire et cervi- cale que dans la région dorsale de la
moelle
. Dans le nerf crural et nerf ischiatique et dan
établir un parallèle, on fit des recher- ches comparatives sur une
moelle
saine et sur des troncs ner- veux sains d'une p
es et répandues, même lorsque la substance grise antérieure de la
moelle
épinière présente seulement des modifications his
primitive, généralisée et profonde des racines antérieures de la
moelle
épinière. 3. Ces altérations sont constituées par
des moyens s'adressant à la sclérose et des moyens s'adressant à la
moelle
. 1° Moyens s'adressant à la sclérose. - Le trai
si l'action spéciale de cet agent sur les cordons postérieurs de la
moelle
. On comprend dès lors qu'on ait employé ce médi
t du tabes. Brown-Sequard l'administrait dans les congestions de la
moelle
et les myélites. Dans le tabes, Charcot l'emplo
e seigle ergoté peut nuire aux tabé- tiques soit en exerçant sur la
moelle
une action trop énergique et déprimante, soit e
ux divers faits indi- viduels. a) Si la sclérose est limitée à la
moelle
, le régime sera surveillé, mais sans règle très
b) Si la sclérose a envahi simultanément d'autres organes que la
moelle
(artères, veines, coeur...), le régime sera plus
ux repas. c) Enfin, si la sclérose a envahi, en même temps que la
moelle
, des organes de première importance pour la des
t coexister parfois avec le tabès. -- , 2° Moyens 's'adressant à la
moelle
. Les agents thérapeutiques de ce groupe s'adres
particulier que la sclérose est, chez nos malades, localisée sur la
moelle
: ils cherchent à modifier spécialement la moel
localisée sur la moelle : ils cherchent à modifier spécialement la
moelle
. Pas n'est besoin d'insister sur la révulsion l
s de Rung, qui établissent l'action exercée sur les vaisseaux de la
moelle
par les bains froids limités aux extrémités inf
s membres inférieurs, et leur demande une action inhibitrice sur la
moelle
. Le plus souvent,, on préfère appliquer les poi
e Frenkel est un récent et utile moyen : c'est la,rééducation de la
moelle
par le cerveau ou le développement, par faction c
érer comme étant secondaires. Sur la nature des modifications de la
moelle
épinière dans le tabès. M. L. DARKSCIIEWITSCU (
EWITSCU (de Kasan). La modification des cor- dons postérieurs de la
moelle
dans le tabès dorsalis n'est pas une affection
e inflammation chronique et progressive des enveloppes molles de la
moelle
. Ces deux causes initiales peuvent être combiné
de, qui s'étend aux faisceaux des racines postérieures. ' Dans la
moelle
, ces modifications se localisent dans la zone d
a leptoméningite, qui provoque des modifications tabétiques dans la
moelle
, se localise presque exclusivement dans la zone
s de paraplégie semblent se rattacher à un choc nerveux subi par la
moelle
et résultant de l'excitation exagérée et passa--
able il ce qui se passe à la suite des lésions expérimentales de la
moelle
entre la huitième dorsale et la deuxième lombaire
es, des trois phalanges digitales. Diagnostic ' syringomyélie de la
moelle
cervicale et dor- sale supérieure. L'auteur a
pas probable que la lèpre puisse produire des exca- vations dans la
moelle
. Le terme de « maladie de Morvan est à remplace
vités situées latéralement, au contraire des cavités médianes de la
moelle
, manquent toujours d'un revêtement épen- dymair
et de la petite portion du trijumeau. Dans la pachyméningite de la
moelle
, on rencontre une forma- tion cavitaire qui, se
elles affectionnent particulièrement les racines postérieures de la
moelle
et que c'est sur le point où ces racines offren
veau, tandis que ceux qui en sont indépendants cor- respondent à la
moelle
. Nous n'avons pas encore dit le dernier mot sur
xpérimentalement provoquée chez des cobayes par l'hémisection de la
moelle
. Enfin la castration montre l'intime liaison qui
les racines posté- rieures et sur les cornes anté- rieures de la
moelle
, par Flaming, 151. Etude des propagées, par D
s le - et l'épilepsie, par Jonnesco,522. Gomme syphilitique de la
moelle
, par Orlowsky, 78. Goutteuse. Accidents nerve
Charcot, 323. Mimiques. Essai sur las - voulues par Dupuis. 28L
Moelle
. Néoplasies de la -, par Tllrner, 14S. Hétéroto
ressantaux causes du -, par Grasset, 449. 111o(hfica- tions dp la
moelle
dans le -,par barkscliewitscli, 457. Thyroïdi
E TRAITEMENT DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE PAR L'ÉLONGATION VRAIE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. PAR GILLES DE LA TOURETTE ET GEORGE
e traite- ment de l'ataxie locomotrice par l'élongation vraie de la
moelle
épinière. La méthode que nous proposions était
ouvait obtenir par la flexion forcée du rachis un allongement de la
moelle
pouvant aller jusqu'à deux centimètres. Nous ra
lexion, pour ainsi dire, normale chez ces sujets, la longueur de la
moelle
ne varie pas ou varie dans des limites insuffisan
tébrale offre une rigidité très marquée et comme l'élongation de la
moelle
et des racines est intimement liée à la flexion
si nous ne pouvons pas refuser entièrement un rôle secondaire à la
moelle
allongée, aux centres inférieurs et aux ganglio
ion les centres moteurs placés dans la protubérance, le bulbe et la
moelle
. Ils affirment aussi que la destruction de cette
nt la mort. Westphal (3) a eu le mérite de préciser la région de la
moelle
par où passe le réflexe rotulien. Nous avons eu
ù passe le réflexe rotulien. Nous avons eu l'occasion d'examiner la
moelle
d'un sujet atteint de tuberculose, d'insuffisan
en l'enlevant un oedème sous- pie-mérien appréciable, diffus. La
moelle
est diminuée de volume. On constate à l'oeil nu u
âtres. Examen histologique. - Les dissociations extemporanées de la
moelle
fraî- che au niveau des cordons postérieurs n'o
ntraire les alté- rations de la névrite segmentaire périaxile. La
moelle
tout entière a été fixée et durcie dans le formol
(péri-artérite embryonnaire, caillots dans leur intérieur). ' La
moelle
a fait l'objet d'une étude systématique. Après le
carmin. D'une façon générale on peut dire que toute l'étendue de la
moelle
, les raci- nes antérieures, les cordons antéro-
tie interne du cordon de Burdach qui n'atteint ni la périphérie de la
moelle
, ni le sillon médian postérieur. Le champ cornu
la substance gélatineuse de la corne postérieure, la périphérie de la
moelle
, et une ligne virtuelle parallèle au sillon méd
e du cordon de Burdach, limité en arrière par la péri- phérie de la
moelle
qu'il' n'atteint pas , en dedans par le sillon mé
dian postérieur, s'écartant un peu davantage de la périphérie de la
moelle
, et limitée par les champs postérieurs conservés
Lissauer est faiblement touchée. (PI. XI, B.) 6° ire lombaire. La
moelle
à ce niveau est moins sclérosée que dans les ré-
légèrement sclérosée; des fibres assez nombreuses pénètrent dans la
moelle
, appartenant surtout au groupe interne des fibr
en forme d'L qui borde le sillon postérieur et la périphérie de la
moelle
(bandelette périphé- rique), enfin un champ pos
andelette externe, mais la lésion n'atteint pas la périphérie de la
moelle
; elle en est séparée par la zone limitante de
de Burdach, enfin une couche de fibres limitant la périphérie de la
moelle
, juxtaposée à la région de Goll sclérosée. On
le. Les lésions du tabes se rencontrent dans toute la hauteur de la
moelle
, mais elles ont une prédominance au niveau de l
e. Elles sont particulièrement discrètes au niveau de l'union de la
moelle
lombaire supérieure avec la moelle dorsale. Le
rètes au niveau de l'union de la moelle lombaire supérieure avec la
moelle
dorsale. Le tabès est, par conséquent, légitime
vraisembablement, dans une certaine mesure, sans parler même de la
moelle
. En réalité, c'est aux racines postérieures et
me de la moelle. En réalité, c'est aux racines postérieures et à la
moelle
, siège pour ainsi dire constant des lésions, qu
e tabes est d'origine médullaire. Et il suppose que la lésion de la
moelle
a une influence inhibitrice sur la réflectivité
le réflexe réap- paraît. (1) Rnuox Y Canal, Aiiatoinie fine de la
moelle
épinière (Atlas der patliol. IIisl. des Nervers
pré- cise. Westphal (1) a démontré, en effet, qu'il existe dans la
moelle
une zone dont la lésion détermine l'abolition d
devant nous une maladie nerveuse centrale, qui se localise dans la
moelle
épinière. , VIII.-Un homme de 20 ans, paysan pe
ur les ganglions inter-vertébraux et sympathiques, ainsi que sur la
moelle
épinière des amphibies et des mammifères, a provo
est provoqué par tel ou tel. autre désordre dans les centres de la
moelle
épinière, ou dans les ganglions qui s'y rattachen
idérer cette maladie comme le résultat d'une lésion primitive de la
moelle
. Nous verrons, dans la suite, que la manière de
Celui de Lendon a été l'objet de recherches microscopiques dans la
moelle
cervicale, restées malheureusement sans résulta
de Munchmeyer. Lendon n'a pas trouvé, non plus des lésions, dans la
moelle
cervicale de son malade. SYMPTOMES . La myosi
des lésions nerveuses diverses scléroses des circonvolutions, de la
moelle
, des nerfs périphériques. Sans songer une lésio
p Certes, les recherches négatives de Schultze et de London sur la
moelle
z épinière, ne cadrent pas avec l'hypothèse à l
ds : 155 grammes. Le bulbe et la protubérance paraissent normaux.
Moelle
. - Les méninges paraissent saines ; une fois cell
- Les méninges paraissent saines ; une fois celles-ci incisées, la
moelle
apparaît grêle dans son ensemble ; mais cette gra
iiiis) A. Coupe du bulbe : t sa partie inférieure. B. Coupe de la
moelle
au niveau de la V ! Ie cervicale. NOUV. ICONOGR
MALADIE DE FRIEDREICH A DÉBUT TARDIF (L. Bonnus) C. Coupe de la
moelle
au niveau de la IXe dorsale. D. Coupe de la moe
C. Coupe de la moelle au niveau de la IXe dorsale. D. Coupe de la
moelle
au niveau de la IIc lombaire. E. Coupe de la mo
D. Coupe de la moelle au niveau de la IIc lombaire. E. Coupe de la
moelle
au niveau de la IIIe sacrée. F. Coupe du nerf m
Examen histologique. Le système nerveux central (cervelet, bulbe et
moelle
) a été durci et fixé par les sels de chrome et le
es sont en moins grand nombre et paraissent plus petite que sur une
moelle
normale. Les fibres pa- raissent aussi atrophié
ne pas de la description habituelle, du moins en ce qui concerne la
moelle
; les lésions que nous avons trouvées sont celles
s les cas. Nous avons signalé aussi l'intégrité des vaisseaux de la
moelle
. Un autre fait à relever, c'est l'altération tr
aladie de Fried- . reich d'une sclérose systématisée combinée de la
moelle
, opinion soutenue par presque tous les auteurs.
VEAU DANS LEURS RAPPORTS AVEC L'ÉTAT DES CELLULES NERVEUSES DE LA
MOELLE
(I) PAR N. SOLOVTZOFF Prosecteur de la Mais
opage aussi à la colonne vertébrale : alors le cerveau manque et la
moelle
épinière de même. Une cause tout à fait opposée
nne médiane. (PL XXIII, A.) Lorsque le cerveau fut enlevé on vit la
moelle
allongée, le cervelet, plus loin un reste des h
t. À l'examen plus détaillé du cerveau on constata ce qui suit : la
moelle
allongée, le cervelet en dessous, un reste du t
eux. Dans tous les trois le tronc cérébral seul était conservé, la
moelle
allongée, le pont de Varole, les tubercules qua-
gi et Nissl. Nous avons trouvé les particularités suivantes dans la
moelle
épinière ; toute la moelle épinière était beauc
uvé les particularités suivantes dans la moelle épinière ; toute la
moelle
épinière était beaucoup plus mince qu'elle ne l'a
bservé une fissure (découpure) qui entrait dans la profondeur de la
moelle
(Fig. 1), celte fissure était plus accusée dans l
ons de Turk étaient plus fins que chez l'en- fant normal. Dans la
moelle
allongée on a noté les particularités suivantes :
rochant du cerveau, le seul changement* qu'on obsene encore dans la
moelle
allongée est le suivant : les olives se sont asso
es en question, à savoir la fissure dans les cordons latéraux de la
moelle
épinière et plus haut dans le tronc cérébral le
ment ; le développement de toutes les voies qui Fio. 1. Coupe de la
moelle
épinière (région cervicale) (cas III). Fie 2.
ramides dans le tronc cérébral et l'existence de la fissure dans la
moelle
épinière, à l'endroit du faisceau croisé (PI. X
. C). Un fait très intéressant s'observe aussi lorsqu'on examine la
moelle
épinière par les méthodes de Golgi et de Nissl.
lement, c'est pourquoi sont absentes aussi les voies motrices de la
moelle
épinière qui vontdu cerveau vers les cellules m
moelle épinière qui vontdu cerveau vers les cellules motrices delà
moelle
épinière. Ces dernières, privées du stimulus pr
anastomose pas avec les prolongements des cel- lules motrices de la
moelle
épinière; il n'influe sur elles, d'après l'opinio
one supérieur avait péri ; de sorte que les cellules motrices de la
moelle
épinière dans nos cas étaient privées de cette
nous allons porter nos investigations concernant les cellules de la
moelle
épinière sur des em- bryons de l'homme et des a
ne dissolution de formol à 5 0/0 dans laquelle nous avons laissé la
moelle
épinière pendant une journée, le lendemain la m
vons laissé la moelle épinière pendant une journée, le lendemain la
moelle
était placée dans l'alcool à 95o que l'on devait
à 95o que l'on devait changer une seule fois ; après trois jours la
moelle
était transportée dans l'aniline où les morceau
isième jour on pouvait déjà obtenir toute une série de coupes de la
moelle
. Il faut encore mentionner le fait suivant ; en e
moelle. Il faut encore mentionner le fait suivant ; en examinant la
moelle
épinière d'embryons qui était conservée depuis pl
ormaline, nous n'avons pu noter aucune influence pernicieuse sur la
moelle
par suite d'un si long séjour dans le formol. L
se coloraient tout aussi bien que les cellules des embryons dont la
moelle
venait d'être placée dans la formaline. En exam
raît pas à la fois dans toutes les cellules et partout le long de la
moelle
épinière ; l'on peut souvent rencontrer des cel
Un fait analogue s'observe il l'examen des cellules nerveuses de la
moelle
épinière chez les animaux. Ainsi la cellule emb
mée complètement : l'aspect sin- gulier des cellules motrices de la
moelle
épinière chez nos monstres dé- pend de ce que c
r : Nous disions, que chez nos monstres les cellules motrices de la
moelle
épinière ne s'étaient pas développées parce qu'
cerveau soit déjà assez bien développé, les cellules motrices de la
moelle
épinière ne reçoivent pas encore le stimulus néce
ne s'est pas encore mise en connexion avec la cellule motrice de la
moelle
épinière. D'après les investigations de M. Van
indre-axiles de la cellule pyramidale s'observent seulement dans la
moelle
allongée ; dans la moelle épinière ils manquent
pyramidale s'observent seulement dans la moelle allongée ; dans la
moelle
épinière ils manquent encore. Ce n'est que lors
896, Ne 13. . 198 N. SOLOVTZOFF corce et la cellule motrice de la
moelle
épinière se sera établie que les cellules comme
ause a provoqué l'aspect si singulier des cellules mo- trices de la
moelle
épinière dans nos cas et celui des cellules dans
tra-utérine, l'absence du cerveau priva les cellules motrices de la
moelle
épinière du stimulus indispensable pour leur dé
le contact n'a pas encore eu lieu entre les cellules motrices de la
moelle
épinière et les cellules pyrami- dales de l'éco
e l'écorce cérébrale, de sorte que pour les cellules motrices de la
moelle
épinière de l'embryon, c'est comme s'il n'y avait
es. CONCLUSIONS. 1° Le développement de la cellule nerveuse de la
moelle
épinière est très étroitement lié avec celui du
. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la cellule motrice de la
moelle
épinière et le prolongement cylindre-axile de l
cellule pyramidale de l'écorce cérébrale, la cellule motrice de la
moelle
épinière ne possède que très peu de grains de c
st la cause de l'arrêt du développement des cellules motrices de la
moelle
épinière. Ces dernières restent dans un état de
ie infantile. Elle est en rapport avec une lésion pri- mitive de la
moelle
, qui a entraîné l'atrophie des cellules trophique
ns en fournir un exemple, on peut rencontrer aussi une lésion de la
moelle
. Mais, comme il est facile de leprévoir, cette
· Examen iiistologique. Il a porté sur les nerfs, les muscles, la
moelle
, le cerveau. Des dissociations sont faites aprè
méthode de Pal, ne laissent percevoir aucune lésion accentuée. La
moelle
a été étudiée d'une façon systématique, racine pa
'autres coupes portant, en outre, sur les différentes régions de la
moelle
, après inclusion au collodion, ont été colorées p
NTRES NERVEUX (ACHARD Ct LÉOPOLD-LÉVI) Photographies de coupes do
moelle
(méthode de Pal, faible grossissement) 1. Moell
phies de coupes do moelle (méthode de Pal, faible grossissement) 1.
Moelle
de paralysie infantile (région cervic.ile). Foyer
ion cervic.ile). Foyer de sclérose au niveau de la corne gauche. 2.
Moelle
dans le cas J'atrophie simple, saite d'atrophie d
gauche est artificielle et n'est pas visible sur la préparation. 3.
Moelle
de paralysie iiifititile (région lombaire inférie
s résultats suivants, en ce qui concerne la substance blanche de la
moelle
. 1 Nous avons noté en général une légère différ
oupe. Elle est d'ailleurs concordante sur une grande éten- duede la
moelle
. Elle a rendu pour ainsi dire inutile le point de
surtout à partir de la 3e racine lombaire, à son émergence de . la
moelle
, que les différences entre le nombre des cellules
aible grossissement (oc. 0, obj. 00 Nachet) d'une préparation de la
moelle
, colorée par la méthode de Nissl. On note une a
issl. On note une atrophie considérable de tout le côté droit de la
moelle
, mais surtout de la corne antérieure. Il y a, à
e. On compte 101 cellules il gauche, 93 à droite. 38 sacrée. - La
moelle
est beaucoup moins volumineuse. La corne saine es
nifestent point non plus de différence notable sur les coupes de la
moelle
colorées au picro-carmin en masse où on les ret
génitale) à l'âge de 41 ans. On constate une atrophie simple de la
moelle
et de l'atrophie cérébrale. Quant à la cause de
thrite du genou, suivie d'atrophie musculaire, cet auteur étudia la
moelle
. Il constata une atrophie pigmentaire des cellule
la moelle. Il constata une atrophie pigmentaire des cellules de la
moelle
lombaire avec modification du nombre des cellules
cale moyenne, et ce n'est que par comparaison avec les coupes d'une
moelle
supposée normale, prise chez un malade de même
our cette atrophie la dénomination d'atrophie numérique. Quant à la
moelle
, il pratiqua des coupes histologiques du renfleme
smise par les conducteurs centripètes de la sensibilité commune, la
moelle
répondra par un mode d'activité plus faible des c
nne un caractère d'authenticité indiscutable à l'intervention de la
moelle
dans l'acte trophique (4). (1) LnDE11, hlinilz
se. Quelle place doit-elle occuper parmi les autres atrophies de la
moelle
? Elle est très voisine de l'atrophie secondair
paralysie infantile, myélopatliie primitive. Les altérations de la
moelle
, lors d'amputation acquise ou congénitale des m
Arch. de physiol., 1884. (4) DEJEKHE et Mayen, Altérations de la
moelle
et des nerfs chez les amputés de vieille date.
l'âge de G mois. Le malade mourut à 53 ans. ' Sur une coupe de la
moelle
colorée parla méthode de Pal (l'l. 1V,1) portan
cident. L'auteur signale' une atrophie de la corne antérieure de la
moelle
et du centre cérébral correspondant au membre p
esse, montrant les contours du cerveau ; on reconnaît (Pl. XL,C) la
moelle
allongée et le cervelet ; mais à la place des aut
prend exactement les contours du cerveau. D. - Cas IL Encéphale :
moelle
allongée, cervelet, et un reste d'écorce cérébral
L 373 vrit un cerveau d'un aspect tout à fait anormal (PI.Xú,D). La
moelle
allon- gée et le cervelet, à l'examen macroscop
d'une membrane ; cette dernière se continue inférieurement avec la
moelle
épinière. Ce qu'on observe alors se trouve repr
s bas, cette membrane forme un repli infundibuliforme et ga- gne la
moelle
épinière. En arrière, on voit que la cavité crâni
cas, la partie inférieure du bulbe seule est conservée. Quant à la
moelle
épinière, cette dernière ne présente rien de pa
les parties dorsale et cervicale, est très élargi, de sorte que la
moelle
épi- nière présente dans ces endroits la forme
t aussi ; la partie supérieure du canal vertébral est ouverte et la
moelle
épi- nière n'existe que dans les régions dorsal
rveau. Si ce processus morbide s'étend aussi au canal central de la
moelle
épinière à une distance plus ou moins grande, a
ppement incomplet des arcs postérieurs de la colonne vertébrale. La
moelle
épinière sous l'influence de la pression du liqui
s derniers le cerveau tout entier, et même chez l'un d'eux toute la
moelle
épinière, étaient réduits à une membrane. Nous
s substances blanche et grise des parties lombaire et dorsale de la
moelle
cérébrale,mais dans la région cervicale les par
nsversales ; le fait est surtout apparent par com- paraison avec la
moelle
épinière des enfants normaux âgés de quelques j
tion de cette fissure dans les cordons latéraux. Si l'on examine la
moelle
allongée au niveau de l'entrecroisement du ruba
DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (N. Solovtzoff) O. - Cas ? Coupe de la
moelle
; région cervicale ; atrophie des cordons latérau
ophie des cordons latéraux des deux côtés. P. - Cas II. Coupe de la
moelle
allongée, au niveau de l'entrecroisement du ruban
du ruban de Reil ; absence des pyramides. Q. - Cas 1. Coupe de la
moelle
allongée, un peu plus haut. Absence de pyramides.
es cas, nous allons nous arrêter à celui de la fillette chez qui la
moelle
épinière existait seule, le cerveau manquant to
ne était recouverte d'une membrane très fine se prolongeant vers la
moelle
épinière. A l'examen microscopique de la région l
damental du cordon antérieur et du cordon latéral, qui entourent la
moelle
épinière par la périphérie existent seuls (I'l.
existent seuls (I'l.1LVI, a). Plus haut,au niveau de l'union de la
moelle
épinière au bulbe, existe une membrane, dans la
e vertébrale était L fendue dans la région cervicale supérieure, la
moelle
épinière existait L seulement dans les régions
tre de diamètre dans l'endroit le plus large. Après avoir traité la
moelle
par le procédé de Pal, on pouvait voir nette- m
dans la membrane elle-même (PL XLVI, b). Un aspect si bizarre de la
moelle
épinière s'explique, comme nous l'avons déjà dit,
st produite il une période très précoce de la vie inter-utérine. La
moelle
épinière, ainsi que les tissus qui l'entourent, n
spinal s'ouvrit suivant toute sa longueur, et il n'est' resté de la
moelle
épinière que sa partie antérieure transformée e
SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (N. SoloYtzoff) a. - Cas III. Coupe de la
moelle
, région cervicale. Absence des voies pyramidales,
, cérébelleuses, et de la racine spinale du trijumeau. b. Cas 1',
Moelle
épinière et membrane recouverte de fibres myélini
couverte de fibres myéliniques, racines postérieures. c. - Cas Il'.
Moelle
épinière; par suite de l'hydromyélie la région ve
e ; la région postérieure est e ? ti ornement atrophiée. d. Cas 1-.
Moelle
allongée. Absence des faisceaux de Goll, des pyra
cellules pyramidales de l'écorce ne s'observent pas encore dans la
moelle
épinière. La même cause, c'est-à-dire l'absence
le commence le processus pathologique qui sépare le cer- veau de la
moelle
épinière, l'aspect des cellules apparaît différen
développe- ment des cellules nerveuses de la corne antérieure de la
moelle
épinière dépend de l'intégrité des voies pyrami
vertébral ouvert, tous les éléments de la 384 NICOLAS SOLOVTZOFF
moelle
épinière, il savoir : des cellules nerveuses, des
rieures parlant indubitablement des cellules. C'était réellement la
moelle
épinière, qui se présentait sous un tel aspect
e, c'est à la suite d'une hydrocéphalie et d'une hydromyélie que la
moelle
prit un aspect aussi bizarre. Pour mieux s'expl
iquer le mécanisme qui a provoqué un aspect si extraordinaire de la
moelle
épinière examinons d'une manière plus détaillée
ée (Cas IV). L'hydrocéphalie interne s'était aussi propagée vers la
moelle
épinière, mais ici le processus morbide n'était
er ; il ne restait que le bulbe qui n'était pourtant pas entier. La
moelle
épinière sous l'influence de l'hydro- céphalie
pourtant il est clos sur toute sa longueur ; le canal central de la
moelle
est aussi tellement élargi qu'en certains endroit
loin, sous l'influence de l'hydromyélie la partie postérieure de la
moelle
épinière qui actuellement est presque nulle, se
des vertèbres et il ne serait resté que la partie antérieure de la
moelle
; nous aurions vu alors un aspect analo- gue à
les cas ou la colonne vertébrale est com- plètement fendue et où la
moelle
épinière est réduite à une simple mem- brane (l
e du canal cérébro-spinal; il existe encore une petite portion delà
moelle
dans sa partie postérieure (PI. XLVI, C). En un m
des cas précédents c'est-à-dire que les coupes transversales de la
moelle
épi- nière n'auraient pas eu la forme d'un anne
un anneau, mais simplement 'd'une membrane. En ce qui concerne la
moelle
allongée, nous trouvons dans cette der- nières
elle a fait disparaître le cerveau presque complètement et, dans la
moelle
épinière elle a déterminé un degré très marqué
le manque, mais encore toute la voûte crânienne; il ne reste que la
moelle
épinière et parfois une partie du bulbe (on obser
de la racine spinale du nerf trijumeau), ou bien il ne reste que la
moelle
épinière seulement et nous ne trouvons dans celle
uverture complète de la colonne vertébrale, alors il ne reste de la
moelle
épinière qu'une partie antérieure révélant l'aspe
surfaces articulaires. Recherches dans la portion cervicale de la
moelle
: rien d'anormal (1). Cas observé en Angleterre
squ'à l'époque contemporaine. Il y a seule- ment un demi-siècle, la
moelle
était considérée comme un simple conducteur, co
e de con- cevoir la structure, les fonctions et la pathologie de la
moelle
. Je voudrais vous faire saisir, en quelques mot
ution. Au lieu d'un simple nerf, plus volumineux que les autres, la
moelle
s'est révélée il nous, comme un enchevêtrement
s de relier ces mêmes appareils aux centres situés, les uns dans la
moelle
, les autres dans l'encéphale. Ces connaissances
x et les lésions dés divers centres ou faisceaux dont se compose la
moelle
. Jusque- là, on se bornait à considérer ces tro
n capitale d'une mala- die qui a son siège dans un territoire de la
moelle
, chargé de veiller la nutri- tiun des muscles.
tude de ces rap- ports a fourni les éléments d'une pathologie de la
moelle
qui envisage surtout t des espèces morbides. Je
bles nerveux, correspond bien la lésion de tel ou tel système de la
moelle
ou de l'encéphale, on toucha à cette révélation c
xister indépendamment de toute lésion appréciable du cerveau, de la
moelle
et des nerfs. Voilà une ré- vélation dont, je v
é, traçant la première ébauche d'une physiologie pathologique de la
moelle
, dont les grandes lignes se retrouvent dans notre
'oeuvre considérable de Charcot dans les maladies du cerveau, de la
moelle
et des nerfs ; je voudrais vous exposer à mon t
veau dans leurs rapports avec l'état des cellules nerveuses de la
moelle
, par N. SOLOVT- zoff (13 fig., 6 phot.), 185.
Traitement de l'ataxie locomotrice par l'é- longatiozz vraie de la
moelle
épinière, par Gilles DE la TOURETTE et G. GASKE
e traitement de l'ataxie locomotrice par l'élongation vraie de la
moelle
épinière, 18. GASxE (G.). Sens stéréognostiqu
e traitement de l'ataxie locomotrice par l'élongation vraie de la
moelle
épinière, 1 18. Jorroox (A.). Syndrome tempor
veau dans leurs rapports avec l'état des cellules nerveuses de la
moelle
(13 fig. et 6 phot.), 185. SOLOVT70FF (N.). Des
NERVEUSE. - . Paraplégie spasmodique dans un cas de compr de la
moelle
dorsale équivalant à une secti , Par E. BRISSAU
au point de vue de la thérapeutique chirurgicale des maladies de la
moelle
. Les paraplégies flaccides sont en effet le plu
Les différentes formes de paraplégie dues à la com- pression de la
moelle
épinière; leur physiologie pathologique. [Presse
ésie des membres inférieurs, p. 356. - Roux et Paviot. Tumeur de la
moelle
, paraplégie spasmodique el troubles de la sensi
neurologique, 1899. - Senator. Tumeur et destruction complète de la
moelle
à son niveau, paraplégie spasmodique avec anesthé
odique avec anesthésie, p. 58. Versiloff. Deux cas de tumeurs de la
moelle
, paraplégie spasmodique, troubles de la sensibi
e la paraplégie flasque consécutive à une lésion transversale de la
moelle
, est véri- tablement due à l'interruption anato
début; et elle est devenue plus spasmodique. Autopsie. Rachis et
moelle
épinière. Au niveau de la gibbosité dorsale les
teau. Le canal rachidien apparaît alors rempli d'un pus fluide ; la
moelle
, aplatie, est coudée suivant un angle de 43° ré
ostérieur, nerf du quadriceps, saphène interne) sont prélevés. La
moelle
étant extraite du canal rachidien, on fend la dur
aires. Dans la partie la plus épaissie la dure-mère est soudée à la
moelle
. Lorsque l'on débite la moelle en segments, la
issie la dure-mère est soudée à la moelle. Lorsque l'on débite la
moelle
en segments, la portion lombaire inférieure et
ique. Au niveau de la plus forte compression (S' paire dorsale), la
moelle
est extraordinairement réduite de volume, aplat
rès petit nombre ; en particulier toute la partie postérieure de la
moelle
et les faisceaux pyramidaux sont remplacés par
par des zones de sclérose complète. Dans la partie antérieure de la
moelle
, des points noirs plus nombreux dessinent vague
loration s'atténue graduellement en allant vers la périphérie de la
moelle
. A l'hématoxyline-carmin, la substance grise es
aroi ; cette prolifération se retrouve sur une grande hauteur de la
moelle
. 12 CLINIQUE NERVEUSE. Les coupes permettent
mbre de vaisseaux remplis de sang et dont la paroi est épaissie. La
moelle
présente une quantité de noyaux plus considérab
és et pleins de globules rouges; par places elle est adhérente à la
moelle
et les tissus de l'une passent à l'autre par tran
ement représente 3 ou 4 fois le diamètre antél'o-posté¡'ieu1' de la
moelle
. Elle présente dans sa partie périphérique, une
nes sont dégénérées. Au-dessous du point maximum de compression, la
moelle
aug- mente de volume, mais surtout par sa parti
Au niveau de la 1 le paire dorsale toute la partie antérieure de la
moelle
tend à reprendre un aspect normal. Les cornes ant
ussi les deux bords du sillon antérieur médian. La périphérie de la
moelle
est toujours pâle, depuis les cornes anté- rieu
brale. Une bande noire souligne, dans la moitié postérieure de la
moelle
, les cornes de la commissure. La zone postérieure
s contiennent un grand nombre de fibres saines. Plus bas encore, la
moelle
continue à augmenter de volume. La partie antér
x on ne distingue pas de dégénérescence. Au-dessus de la lésion, la
moelle
demeure longtemps très aplatie. Le 3e segment d
les altérations relevées plus bas; puis, à mesure qu'on s'élève, la
moelle
grandit lentement, par sa partie posté- rieure
tie sclérosés (dégéné- rescence rétrograde ? ). La périphérie de la
moelle
est pâle (fais- ceau cérébelleux direct, faisce
tre encore un peu de dégé- nérescence des faisceaux pyramidaux ; la
moelle
est pâle à la périphérie correspondant au faisc
pinaux superposés ; la dite sclérose équivalait à une section de la
moelle
; et elle se traduisait cliniquement par une par
de la continuité anatomique des voies spi- nales, la sclérose de la
moelle
, lorsqu'elle se présente sous la forme que nous
ster et persister dans les cas de destruction lente d'un segment de
moelle
dorsale, où les 14 il CLTNIQUE-NERYEUSE. corn
pro- duisant des lésions équivalentes à la section complète de la
moelle
, nous citerons, mais sans y insister, un cas fort
près à l'âge de huit ans,etlafigure (don- née par M. Spiller) de la
moelle
au lieu de compression rappelle de tout point c
2 a déjà rappelé des faits où la lésion trans- versale totale de la
moelle
se traduisait par une paraplégie spasmodique :
ntenu du canal rachidien ne se réduit pas à l'axe nerveux ; mais la
moelle
elle-même n'est pas faite exclusive- ment de su
e de la sensibilité dans les compressions et les traumatismes de la
moelle
épinière et son explication physiologique (Sema
anatomique en est venue à équi- valoir à une section complète de la
moelle
. Nous ne contestons pas bien loin de là qu'une
stons pas bien loin de là qu'une sec- tion complète et subite de la
moelle
, comme en peuvent pro- duire certains traumatis
ne striction indéfiniment prolongée, et transformant le tissu de la
moelle
en une véritable cicatrice, peut donner lieu à
plutôt gênante qu'utile, car elle ne produit aucune extension de la
moelle
épinière et si elle agit sur la colonne vertébr
- pension sur le rachis et peut-être par son intermédiaire sur la
moelle
épinière. Il est certain, qu'ayant le bassin du p
ourette. Dans ce mode de suspension on suppose un allongement de la
moelle
épinière, produite par la flexion du corps du p
llaires agissant l'un sur le rachis et par son intermédiaire sur la
moelle
épinière et l'autre sur la déviation de la colonn
la colonne vertébrale et, par conséquent, son action directe sur la
moelle
se réduit à zéro. Il est vrai que l'auteur a de
mère, au niveau des régions dorsale et lombaire. Le cer- veau et la
moelle
paraissent normaux, sauf un peu d'infiltration
pas dû à une nouvelle hémorrhagie comprimant plus complètement la
moelle
et, par l'obstacle apporté à la libre circulation
attri- bués, d'après l'auteur, à une compression unilatérale de la
moelle
par une gomme siégeant au niveau du premier ner
entre ceux qui incriminent une lésion des cornes antérieures de la
moelle
(Charcot), où la névrite périphérique (Westphal,
' Evidemment il s'agit d'une apoplexie des cornes antérieures de la
moelle
. Est-ce une embolie d'une des branches de l'artèr
up l'excluent d'emblée. La notable éten- due du foyer le long de la
moelle
contredit à la thrombose comme à l'embolie. Ce
s, indépendants de la maladie actuelle, permettent de croire que la
moelle
était déjà affectée. M. Mourawiew suppose qu'un
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 63 miner des hémorragies légères dans la
moelle
; celles-ci ont occasionné une prolifération de
t effectué un épanchement sanguin étendu du côté des méninges de la
moelle
. La preuve en est dans l'améliora- tion survenu
éliora- tion survenue au bout de trois à quatre semaines. Mais la
moelle
même a été lésée, très probablement aussi, par
ubital, indiquant une lésion du cinquième au huitième segment de la
moelle
cervicale. La substance grise de cette région est
Mais il est à penser que la substance grise d'autres régions de la
moelle
a également été atteinte à divers degrés d'intens
rois mois. L'atteinte plus ou moins grave de sections isolées de la
moelle
lombaire et de la moelle sacrée ressort : de la
s ou moins grave de sections isolées de la moelle lombaire et de la
moelle
sacrée ressort : de la paralysie passagère du pér
action de la suspension sur le centre nerveux en général, et sur la
moelle
épinière en particulier ? Pour le professeur Mo
uspension doit être expliquée non seulement par l'allongement de la
moelle
épinière, mais par l'excitation de la dure-mère
xpériences, faites avec Strasser, il conclut que la dure-mère de la
moelle
épinière suit l'élongation de la colonne vertéb
t Braun sont de même avis. Dlprton admet aussi une élongation de la
moelle
et des troncs nerveux. Pour llthaus, la'suspens
ait d'après ces auteurs, de z13 à 16 mm. Elle se partage entre la
moelle
et la queue de cheval. Pour la première elle vari
te. Leçons svr les maladies nerveuses, 1898. 112 THÉRAPEUTIQUE. '
moelle
épinière ne porte pas avec une égale intensité su
porte nécessairement davantage sur les parties pos- térieures de la
moelle
que sur ses parties antérieures, puis- que l'ax
t Brown-Séquard, la suspension produirait une anémie relative de la
moelle
à la suite de la compression des nerfs intercos
e Bogroff. D'après cet auteur, il se produit une hyperhémie de la
moelle
à la suite de la pression négative produite par l
1. » Ces phénomènes furent trouvés par l'auteur tout le long de la
moelle
épinière. « La suspension, dit plus loin M. Bog
orragies des méninges, de la substance grise, et dans un cas, de la
moelle
épinière. Le professeur Benedict compare l'acti
pension ne produit aucune modi- fication anatomo-pathologique de la
moelle
, elle agirait comme un moyen de suggestion. Tel
ues, des racines postérieures et antérieures, des méninges et de la
moelle
épinière. » Cette extension agit par réflexe su
rt directement par la suspension et par l'action de celle-ci sur la
moelle
. L'excitation du centre vaso-moteur provoque un
- Parmi les auteurs qui réfutent l'hypothèse de l'allongement de la
moelle
épinière, il faut citer M. Cagney. D'après cet
et auteur anglais, la suspension ne produit aucune élongation de la
moelle
, mais agit sur la moelle parle redressement de
nsion ne produit aucune élongation de la moelle, mais agit sur la
moelle
parle redressement de la colonne vertébrale. L'ac
cissement de la colonne vertébrale dans sa portion lombaire. Ici la
moelle
resterait sans modification. La portion dorsale
uée, t. XIV, 1898.. 7/7- TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 118
moelle
épinière en particulier. Elle influence directeme
ination. M.Pierre Marie dit, dans ses leçons sur les maladies de la
moelle
: «Qu'il me suffise de vous rappeler que la sus
du système nerveux, 1897. 8 P. Marie. Leçons sur les maladies de la
moelle
, p. 330. P. Marie. /.epOM ! < ? ' maM : Me a
de l'artère vertébrale gauche. Hématorrachis. Compres-. sion de la
moelle
; par DOUCII.\UD. (Revue de médecine, novembre 1
ar hémorrhagie intra-rachidienne et compression consécutive de la
moelle
. II. Altérations pathologiques précoces des cel
IX. Du « réflexe fémoral » par trouble de la conductibilité de la
moelle
dorsale; par E. HEMAK. ! NclI1'olo,r¡isehes Cent1
ordon latéro-cérébelleux. Elimi- nation de la substance grise de la
moelle
sacro-lombaire au moyen de l'anémie expérimenta
e. On constata une nécrose, par places, de la substance grise de la
moelle
lombo-sacrée, depuis la par- tie la plus inféri
la moelle lombo-sacrée, depuis la par- tie la plus inférieure de la
moelle
dorsale jusqu'à la partie moyenne de la moelle
lus inférieure de la moelle dorsale jusqu'à la partie moyenne de la
moelle
sacrée : cette nécrose nulle part n'avait détru
aussi le tissu intermédiaire. Dans les parties moins altérées de la
moelle
sacrée et de la moelle lombaire, les cellules des
iaire. Dans les parties moins altérées de la moelle sacrée et de la
moelle
lombaire, les cellules des cornes antérieures p
de l'élément, altérations qui décroissent quand on s'élève vers la
moelle
lombaire supérieure. La substance blanche est c
ral : elle commence au niveau de la partie la plus inférieure de la
moelle
sacrée, monte, à droite, jusqu'à la moelle dors
la plus inférieure de la moelle sacrée, monte, à droite, jusqu'à la
moelle
dorsale supérieure, à gauche, jusqu'à la moelle
droite, jusqu'à la moelle dorsale supérieure, à gauche, jusqu'à la
moelle
cervicale moyenne. Le cordon latéral 136 REVUE
en plus dégénéré, parce que la substance grise du côté gauche de la
moelle
sacrée a subi une plus forte destruction. Il se
éral sacro-lombaire cesse, en apparence, à la substauce grise de la
moelle
dorsale supérieure et de la molle cervicale, d'
en, à produire une destruction iso- lée de la substance grise de la
moelle
lombo-sacrée ; 2° l'élimina- tion de parties ét
2° l'élimina- tion de parties étendues de la substance grise de la
moelle
sacrée supérieure et moyenne, en rapport avec l
aisceau, qui subit la dégénérescence ascendante, se termine dans la
moelle
dorsale supérieure et dans la moelle cervicale,
ascendante, se termine dans la moelle dorsale supérieure et dans la
moelle
cervicale, tandis que d'autres fibres dudit fai
a trait à une myélite aiguë, siégant il la partie supérieure de la
moelle
dorsale au niveau des cinquième et sixième pair
netteté en descendant. Au niveau de la partie la plus élevée de la
moelle
dorsale, la dégéné- rescence ascendante du cord
plus nette en montant ? A la suite de la lésion transverse de la
moelle
, les fibres qui ont d'abord à subir une dégénéres
le cordon pyramidal que dans le cordon posté- rieur. Comme dans la
moelle
les fibres longues sont entremêlées de libres à
latéral des pyramides au niveau du segment le plus inférieur de la
moelle
, et, pour les libres ' du cordon postérieur au
irconscrites des fibres musculaires lisses dans les vaisseaux de la
moelle
; par A.-l'ICh. (Neurolog. Cen- Jralbl., XIX, 19
ié deux cas dans lesquels les vaisseaux des méninges molles de la
moelle
portaient des proliférations considérables de leu
lativement récente. A la hau- teur du septième segment dorsal de la
moelle
, l'artère centrale, qui côtoie le canal central
oglie pré- sentant, par exemple aux environs du canal cenlral de la
moelle
, une coloration bleue intense qui tranche sur l
e du quatrième ventricule peut provoquer la dislocation de toute la
moelle
allongée dans la direction vers le bas; 3° quelqu
I. De l'influence de l'anémie aiguë sur les cellules motrices de la
moelle
; par J. 1BELTZSr. (Obozrénié pschiat1'ii, V, 1900
anatomiques immédiatement après l'expérience. Examen comparatif de
moelles
enlevées de la même façon à des animaux non sou
ifiée par Téliatnik. (Figures.) - Les cellules des lapins dont la
moelle
n'a pas été forcipressée sont normales. Celles
moelle n'a pas été forcipressée sont normales. Celles des animaux à
moelle
anémiée présentent 152 REVUE d'anatomie ET DE P
ue de soixante minutes, les altérations des cellules motrices de la
moelle
sont beaucoup plus tranchées. La décadence des
tamm. (A'(;Uî-0109. Cen- « Les cellules de la substance grise de la
moelle
, écrit Edinger, sur laquelle se-branchent les r
écutives à la section totale ou paltielle de la moitié droite de la
moelle
, au niveau des premier, second, troisième seg-
eure de la substance grise au niveau de la portion supérieure de la
moelle
cervicale, qu'un puissant faisceau s'entrecrois
nombre assez fort de fibres resterait dans la substance grise de la
moelle
, dans la formation réticulaire et dans d'autres
s fibres entrecroisées ascendantes, dans la partie supérieure de la
moelle
cervicale, forment la couche médiane du faisceau
portions externes de l'aire du faisceau de Gowers, au niveau de la
moelle
cervicale contiennent les neu- rones originaire
fibres croisées ascendantes qui unissent la substance grise de la
moelle
au cerveau moyen et au cerveau intermédiaire. C
ses de sclérose en plaques, et particulièrement deux plaques sur la
moelle
seulement, dont une à la région lom- baire sur
use à la région cer- vicale faisant une véritable hémisection de la
moelle
. Parmi les nombreuses plaques du cerveau l'une
s de chorée d'Huntigton : Macroscopiquement. - Cerveau, cervelet et
moelle
épinière sans asymétries, mais de petit volume;
rès les mêmes altérations dans le cervelet, la tige cérébrale et la
moelle
épinière, où elles sont plus prononcées dans le
ère les modifi- cations pathologiques de la tige cérébrale et de la
moelle
épinière comme étant d'origine primitive, dues
f. Le nouveau procédé consiste en ceci : On prend des morceaux de
moelle
où de cerveau (fixé dans n'im- porte quel liqui
t d'une partie d'alcool absolu. On place ensuite les morceaux' de
moelle
dans une solution « normale » de celloïdine coupé
t des coupes, qui ne doivent pas dépasser 5 Il- d'épaisseur pour la
moelle
, 10 0 pour le bulbe et la Il. pour la protubéranc
gouttes d'alcool pour bien dissoudre la colloxyline. Le morceau de
moelle
, préalablement déshydraté dans l'alcool et l'anil
902. Présidence DE'M. Gombault. Deux cas de compression lente de la
moelle
ayant donné lieu à une paraplégie spasmodique.
ent les conclusions suivantes. Une section complète et subite de la
moelle
(comme celle que provoquerait un traumatisme) e
une striction indéfiniment prolongée et transformant le tissu de la
moelle
en une véritable cicatrice, peut donner lieu à
anciennes idées. Deux cas d'une tumeur ayant comprimé lentement la
moelle
et donné lieu à une paraplégie spasmodique .
bservation avec autopsie de deux femmes atteintes de psammome de la
moelle
qui ont pu -être suivies, l'une pendant cinq an
res et infiltrées de concrétions pierreuses; à leur niveau les deux
moelles
étaient réduites à deux lamelles transparentes
r une grande importance au facteur de durée dans les sections de la
moelle
. Archives, 2* série, t. XIII. J ü 242 SOCIÉTÉ
e une malade atteinte de gliomatose de la ré- gion inférieure de la
moelle
. Paysanne âgée de vingt ans. Paraplégie spasmod
évoluant plus ou moins rapidement. En traitant les racines et la
moelle
parle procédé de l3ousch, on obtient des résult
centres d'origine des nerfs qui règlent les fonctions vitales : la
moelle
allongée ; cette dernière est donc le centre de
ès toute excitation organique, physique ou psychique. C'est de la
moelle
allongée que partent les excitations qui modifien
génération des nerfs; par 111orr et DaRRATT. -, Etude faite sur les
moelles
de deux hémiplégiques. Un cas de sclérose latér
vec symptômes médullaires. Dégéné- ration de tous les cordons de la
moelle
; par le même. Trois cas de tumeur du troisième
me décrite. Les lésions semblent avoir été confinées d'abord à la
moelle
dorsale pour s'étendre ensuite progressivement.
ssivement. Recherches sur les lésions produites dans le cerveau, la
moelle
, les muscles et les autres organes, chez les su
des de l'organisme produites par l'action d'un centre situé dans la
moelle
allongée et qui serait l'agent direct des émoti
du cordon posté- rieur qui décroît en descendant ? (myélite aiguë,
moelle
après amputation) ; par G. 131KELES, (NellTolog
t regardé comme produisant une réelle interruption des libres de la
moelle
, son caractère aigu 304 REVUE d'ANATOMIE ET DE
est séparée, quel qu'en soit l'éloignement. Voici, par exemple, la
moelle
d'un homme de vingt-neuf ans ayant, quinze ans
trée des racines postérieures qui paraissent dégénérées, et dans la
moelle
dorsale supérieure et dans la moelle cervicale. n
aissent dégénérées, et dans la moelle dorsale supérieure et dans la
moelle
cervicale. n'y a pas trace de dégénérescence de
ns la moelle cervicale. n'y a pas trace de dégénérescence depuis la
moelle
lombaire supérieure jus- qu'à la moelle dorsale
de dégénérescence depuis la moelle lombaire supérieure jus- qu'à la
moelle
dorsale supérieure. Dans la moelle dorsale supéri
lombaire supérieure jus- qu'à la moelle dorsale supérieure. Dans la
moelle
dorsale supérieure, la décoloration commence to
tat dans le faisceau de Goll jusqu'à la partie la plus élevée de la
moelle
cervicale. La théorie de la dégénérescence de la
l'altération en question ne portait que sur ce segment élevé de la
moelle
. Mais on la retrouve dans la moelle lombaire in
que sur ce segment élevé de la moelle. Mais on la retrouve dans la
moelle
lombaire inférieure, en rapport avec l'entrée d
stérieure : chez un' de ces animaux qui avait subi la section de la
moelle
lombaire, le- cordon postérieur avait dégénéré
celaient que quelques traces disséminées de destruction. Enfin* une
moelle
lombaire inférieure normale traitée par la méthod
ltiple est seule en jeu. 11 n'existe pas de signes de lésions de la
moelle
, sauf dans l'observation I où il y avait de l'inc
'insignifiantes alté- rations scléreuses du segment inférieur de la
moelle
aient pu agir sur les muscles des mains. Deux h
ent assez marqué des cir- convolutions du côté gauche. Hien dans la
moelle
et dans ses méninges. C'est du cancer. P. Kerav
ie et BISCHOFFERDER ont examiné par la méthode de Marchi toutes lés
moelles
des Tabétiques morts dans le service de Bicêtre
entricules cérébraux. A l'examen microscopique, on constate dans la
moelle
des alté- rations syphilitiques très accusées :
préparations : 1° du cerveau avec hernie post-opératoi1'c; 23 de la
moelle
épinière avec hénhltomyélie centrale. Secrétair
étendue que plus tard à d'autres parties de l'en- céphale et de la
moelle
. P. KERAVAL.. LXVII. Obnubilation crépusculaire
cochons d'Inde devenus épileptiques ci lu suite de la section de la
moelle
ou du sciatique pou- vaient laisser une postéri
ux d'une affection syphilitique vraie et non métasyphililique de la
moelle
. Ce n'est point un tabes, car il n'existe pas de
les deux maladies voisinent ou se compli- quent ; 6° Maladies de la
moelle
, pseudo tubes ou tubes syphilitique : .' est be
re, et envahit probablement certaines portions du cervelet et de la
moelle
; mais c'est surtout le bulbe qui est atteint,
es ou à des lésions syphi- litiques des vaisseaux postérieurs de la
moelle
, aboutissant soit à l'obstruction, soit à l'hém
affecter spéciale- ment les parties latérales et antérieures^ de la
moelle
, comme on l'observe dans la paralysie spinale s
, elle n'est jamais négligeable dans ces régions et atteint même la
moelle
. Atrophie consécutive à une ligature artérielle
se très peu , altérée. Pie-mère épaissie. Tout ceci s'applique à la
moelle
cervi- cale et dorsale. Dans la moelle lombaire
e. Tout ceci s'applique à la moelle cervi- cale et dorsale. Dans la
moelle
lombaire, la lésion des cordons postérieurs éta
ie. anémie aiguë. Influence de l' sur les cellules motrices de la
moelle
, par Bielitzky, 151. AacsTUése bystérique,par
llT(nRLE gauche Plaie de l' -, lienl;ttorachis. Compression de la
moelle
, par Bouchard 13J. ASC1UALISA7l0\ envisagée com
oint de vue embryo- logique ? pal 0. Fragmto. 148. motrices de la
moelle
. Voir Ané- mie. Forme particulière de reac- t
es. Proliférations circonscrites des - dans les vais- seaux de la
moelle
, par A. Pick, 137. - spinales ascendantes croi-
par Wegandt, 499. GU01l l'I'OSI : de la région inférieure de la
moelle
, par A. Schmidt, 247. Glycosurie et albuminurie
ations avec l'épt- lepsie et l'hystérie, par Kratft- Ebing. 57.
Moelle
. Compression de la -, par Boucliard, 131. Voir
o\v. 494. Paraplégie spasmodique dans un cas de compression de la
moelle
dor- sale éqUivalant à une section, par E. BI
r Decroly, 4b. - fémo- ral par trouble de la conductibilité de la
moelle
dorsale, pal nemak, 134. pupillaires dans les m
ont été trouvées, avec les lésions qui les accompagnent. Dans la
moelle
épinière, le môme fait a souvent été observé chez
s lésions hypertrophiques des méninges de la région cervicale de la
moelle
, malgré leur fréquence, ne nous semblent pas avoi
que le processus pathologique avait pris naissance en dehors de la
moelle
. 14 BABINSKI, JUMENTé ET JARKOWSKI Plus tard
mènes douloureux cadraient avec l'hypothèse d'une compression de la
moelle
. Si' contrairement à ce qui a lieu d'habitude d
ontrairement à ce qui a lieu d'habitude dans les compressions de la
moelle
il n'y avait pas dans ce cas de troubles objectif
rs et le tronc, il y avait lieu d'admettre que la compression de la
moelle
ne devait pas être très profonde. Il nous resta
Autopsie Examen macroscopique. A l'ouverture du canal rachidien la
moelle
en- core comprise dans ses enveloppes apparaît
la partie MÉNINGITE CERVICALE HYPERTROPHIQUE Li) supérieure de la
moelle
. Cette fusion des enveloppes médullaires est, nou
ites la dure-mère est libre mais il subsiste sur les deux faces de la
moelle
une irritation très accentuée des méninges moll
upérieure et, entre les 2e et 3c segments, la face antérieure de la
moelle
dans sa moitié droite est déprimée par une peti
plus participé, à l'infection, et sur une coupe transversale de la
moelle
au nivean de l'anneau, sans aucune préparation,
de ces différen- tes couches, d'abord sur la face postérieure de la
moelle
, puis latéralement sur le pourtour des racines
res. Les racines qui traversent cette gaîne fibreuse pour gagner la
moelle
ou en sortir présentent des lésions, surtout pron
mplète. 3° Lésions médullaires. - L'examen des coupes sériées de la
moelle
cervi- cale nous a permis de suivre les dégénér
ru. Comme cela est fréquent malgré une compression aussi étendue la
moelle
pré- sente très peu de lésions. Il n'existe d'a
dégénérescence et d'oedème qui se poursuit sur toute la hauteur de la
moelle
et que l'on retrouve même dans les coupes les p
s'agissait en effet d'une compression de la région cervicale de la
moelle
par un anneau méningé fibreux d'origine syphili
mation de GJ C4 n'a cependant pas amené de lésions profondes de la
moelle
. Il n'existe pas en effet de dégénérescences de s
ilité était conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la
moelle
(état clair, dégéné- rescence ascendante du fai
astrée dans l'anneau méningé qui enserre la partie supérieure de la
moelle
cervicale. FiG. 2. Moelle cervicale (face antér
gé qui enserre la partie supérieure de la moelle cervicale. FiG. 2.
Moelle
cervicale (face antérieure) la dure-mère n'a pu ê
. 5. 5° racine anté- rieure ; D. 1. : 1'" racine dorsale. FiG. 3.
Moelle
cervicale (face postérieure) ; la fusion des méni
coalescence des méninges est complète sur la face postérieure de la
moelle
On voit sur cette coupe qui est également colorée
s qui englobent une gomme G. à ce niveau la partie antérieure de la
moelle
est fortement déprimée. FiG. 9. Coupe du bulbe
TE, A CZYSTE (VARSOVIE). TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA
MOELLE
, par Julian ROTSTADT. Grâce aux progrès de
nter- vention de la chirurgie dans toute une série de tumeurs de la
moelle
est tout indiquée, logique, et indispensable po
indispensable pour sauver le malade.' Arriver à la dure-mère de la
moelle
épiniére peut être considéré comme une opératio
elativement facile ; toutefois, mettre à jour, en cas de besoin, la
moelle
, par une incision longitudinale de la dure-mère
la dure-mère (écoulement du liquide céphalo-rachidien), déplacer la
moelle
dans la recherche d'une tumeur, souvent latente
ation restèrent invaria- traitement CHIRL'RGIC.1L des tumeurs DE la
moelle
37 bles pendant cette période. Vers la fin de 1
es limites sus-indiquées ; traitement CHIRURGICAL DES TUMEURS DE la
MOELLE
39 mouvements involontaires, accroissement des
de Pirquet, n'écarte que pour un instant l'idée d'une tumeur de la
moelle
, conseillant par suite l'emploi de l'appareil d
ophyses épineuses des vertèbres dorsales 3, 4,5 ; mise à jour de la
moelle
par incision longitudinale de la dure-mère. Le
la dure-mère ; elle adhérait à sa surface intérieure, comprimait la
moelle
directement du côté droit, par devant et par de
ôté droit, par devant et par derrière ; la tumeur était reliée à la
moelle
au moyen d'une membrane qui l'en- serrait comme
pparut sous forme d'une pruue forte, de consistance assez molle. La
moelle
ne donnait pas de pulsation sous la dure- ' mèr
e ; il y avait cependant des symptômes de lésion transversale de la
moelle
, marqués par la paralysie complète spasmodique
eau de la ligne xyphoïde,. traitement CHIRURGICAL DES TUMEURS DE la
MOELLE
41 Il faut noter particulièrement d'un côté la
de penser qu'au-dessus de l'endroit de la compression directe de la
moelle
par la tumeur, il s'était formé un oedème et un
l'aplatissement ou plutôt de la lésion plus ou moins continue de la
moelle
par la compression de la tumeur, compression qu
augmentation des douleurs. TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA
MOELLE
43 3 3. - Douleurs violentes ne cédant pas aprè
mais confirment par contre le diagnostic d'une tumeur comprimant la
moelle
, et relativement les racines postérieures, sur le
re ne fut pas mise à découvert et il n'y eut pas de pulsation de la
moelle
. Après élimi- nation détaillée complète du néop
sition, d'autre part à la nutrition défectueuse de cette partie de la
moelle
, par suite de la compression des vaisseaux cont
, suivant la même voie ou une autre, se rapprochent à nouveau de la
moelle
. Il y a cependant lieu de noter que l'on n'a pu c
maladie avant l'opération, témoignait une affection nouvelle de la
moelle
et suggérait l'idée d'un amas de nouvelles mas-
demi paume de la main. Le tissu du néoplasme faisait corps avec la
moelle
au-dessus de la dure-mère, se fondait des deux
en dé- burrassa, aussi complètement que possible, l'espace entre la
moelle
et la paroi du canal et son extérieur ; quant à
a plaie, elle fut préservée par un drain et recouverte, sans que la
moelle
ait été mise à nu sous la dure-mère. Dès le jou
ed faiblit des deux côtés. TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA
MOELLE
47 2-28 août. Le malade fait ses premiers pas a
période finale de l'observation, comme trace d'une affection de la
moelle
, il ne resta uniquement que des réflexes tendin
de démarcation horizontale TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA
MOELLE
49 passant deux doigts au-dessous de l'ombilic
symptômes d'une affection transversale toujours grandissante de la
moelle
font penser à un cas de tumeur progressive à la h
é supprimés et la dure-mère mise à jonr; absence de pulsation de la
moelle
. La table d'o- pération une fois placée dans un
rès accentuée, par une in- cision longitudinale de la dure-mère, la
moelle
a été mise à nu ; écoulement du liquide céphalo
les ; au niveau de la 9e vertèbre, une certaine tumé- faction de la
moelle
et déviation de celle-ci vers l'arrière. Vers le
e celle-ci vers l'arrière. Vers le côté gauche antéro-latéral de la
moelle
, à la hauteur'des segments dorsaux 9-10 on trouve
pas unie à la dure-mère et ne faisant qu'en apparence corps avec la
moelle
. La tumeur (fibrome) à forme distinctement fuselé
environ 1 1/2 cm. de long sur 8 millimètres de large et de haut. La
moelle
, à l'endroit comprimé au côté gauche antéro-latér
ment sous la dépendance de l'affection transversale complète de la
moelle
au niveau de l'endroit opéré. Celle affection a
s'est trouvé de remuer et de déplacer d'une façon assez marquée la
moelle
à l'endroit le plus comprimé, aplati et gonflé,
'énucléer dans son enlier. TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA
MOELLE
"51 f Observation IV. C. M..., 40 ans, insc
s généraux le développement du tableau clinique d'une maladie de la
moelle
, par laquelle passe pendant une année, une femm
ment, en tant que symptôme TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA
MOELLE
53 fixe dans'la maladie subséquente. Aussi, vu
oplasme, comprimant les racines postérieures, à l'exté- rieur de la
moelle
. Notre observation 1 rappelait, dans sa période
endant 6-7 mois le seul symp- tôme d'une compression initiale de la
moelle
par une tumeur extramé- dullaire. Malgré l'abse
ns 1 et II, malgré la localisation des néoplasmes sur le côté de la
moelle
, d'un seul côté, l'ensemble des symptômes de Brow
- roxysme répété était le fait cependant d'une modification dans la
moelle
, survenue après l'ablation de la tumeur. En eff
s du coeur. Il est possible que la cicatrisation de la 'plaie de la
moelle
, rela- tivement dans le canal de la colonne ver
res. Cela a été observé du reste dans certains cas de tumeurs de la
moelle
. Cette hypothèse, légèrement différente, n'excl
onsidérablement, son état, TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA
MOELLE
55 lui rendant le mouvement dans les extrémités
ue. Les observations 1 et II accroissent le nombre de tumeurs de la
moelle
opérées avec succès, même avec guérison complèt
s prononcée accompagnée d'une raideur des muscles générali- Fio. 1.
Moelle
'épinière. Racine postérieure (Formol, celloïdine
les formations stelliformes. . II Les coupes longitudinales de la
moelle
épinière traitées de la même manière que les ne
e 5. Fio. 40. Section longitudinale de la substance blanche de la
moelle
épinière (Immersion). 132 HASKOVEC ET BASTA -
(fig. 11). Si l'on compare les coupes de la substance blanche de la
moelle
épinière avec celles des nerfs périphériques, o
iques, on trouve que le réseau du voisinage des cylindraxes dans la
moelle
épinière est analogue au réseau intramé- dullai
nhain. Quant aux éléments cellulaires de la substance blanche de la
moelle
épinière, les coupes longitudinales nous montre
re une telle régularité fait défaut dans la substance blanche de la
moelle
épinière. Les cellules de la névroglie sont dis
anatomique des nerfs périphériques et de la substance blanche de la
moelle
épinière. Chaque fibre nerveuse du nerf périphéri
ibres nerveuses. Les fibres nerveuses de la substance blanche de la
moelle
épinière qui ne possèdent pas de gaine de Schwa
ble à celui des coupes longitudinales de la substance blanche de la
moelle
épinière. Les cylindraxes des fibres ner- veuse
es réseaux névrogliquesdans le cerveau, dans le cervelet et dans la
moelle
, de même que les cylin- draxes des nerfs périph
coloration d'après Alzheimer (3). Les coupes longitudinales de la
moelle
(substance blanche) colorées selon Ziveri offre
x. L'étude du tissu névroglique dans les coupes transversales de la
moelle
traitées selon Ziveri est des plus instructives
able à celui que nous trouvons dans les coupes longitudinales de la
moelle
. Il s'agit ici de réseaux formés d'éléments san
th-Alzheim er, réseau nêvroglique. A droite substance blanche de la
moelle
épinière. Gieson. Réseau névroglique avec un no
s également le long des cylindraxes dans la substance blanche de la
moelle
épinière. Ces fibres se croisent en formations d'
ussi particulièrement notre attention. Les cellules nerveuses de la
moelle
épinière offrent tout d'ahord en tous les point
tique que la pigmentation des cellules de la corne antérieure de la
moelle
épinière. L'épaississement des fibrilles intracel
a coloration des gaines médullaires dans la substance blanche de la
moelle
épinière selon Weigert n'a montré aucune altérati
mmersion. 142 2 HASKOVEC ET BASTA Dans l'autre cas par contre, la
moelle
épinière, traitée selon Marchi, présente dans l
ytes. La richesse de pigmentation des cellules radiculaires dans la
moelle
épi- nière a été constatée par tous les auteurs
eau extracellulaire. La raréfaction de la substance blanche dans la
moelle
épinière constatée par plusieurs auteurs, surto
intéressait dans notre second cas toute la zone périphérique de la
moelle
sans aucun rapport avec les cordons. La névro
agitante. Dans les éléments cellulaires du tissu névroglique de la
moelle
épinière, nous n'avons pu déceler aucune trace
em- blable à celle qu'on a à la suite de lésions localisées dans la
moelle
allon- gée, ou par quelques autres lésions de l
ltiple pouvant blesser aussi les nerfs qui ont leur origine dans la
moelle
allongée, il était nécessaire de penser, pour mon
OPITAL JUIF A ODESSA D' J. M. BAÏMISTE. LES MODIFICATIONS DANS LA
MOELLE
ÊPINIÈRE AU COURS DES TUMEURS SIÉGEANT DANS LA
ns de parties du système nerveux assez éloignées et notamment de la
moelle
épinière. Nous pouvons rattacher à ces signes l
écidés à nous en occuper. Ce travail est basé sur l'examen de trois
moelles
dorsales, appartenant à trois malades dont l'hi
ont l'histoire clinique est cilée plus loin. Après avoir traité nos
moelles
par la solution de bichromure de potas- sium à
cuper'quede la recher- che des modifications assez grossières de la
moelle
épinière (ce n'est qu'après l'étude détaillée d
l de la cellule nerveuse). La conservation assez prolongée de nos
moelles
dans la solution de for- 246 RAIMISTE ET NE1DIN
néoformation est dure au palper, du volume d'un oeuf de pigeon. La
moelle
épinière et ses enveloppes ne présentent macrosco
l'Hôpital de la Ville, le D'A. Sineff. LES MODIFICATIONS DANS LA
MOELLE
EPINIERE 247 rieurs dénote un oedème des fibres
rième ventricule est assez dilaté et semble être dévié à droite. La
moelle
épinière ne présente rien d'anormal. Examen m
s dont les fibres ont disparu. l'io. 2. LES MODIFICATIONS DANS LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 249 Segments lombaires supérieurs (fig
bre et surtout au point de sa pénétration dans les enveloppes de la
moelle
. Des modifications du même caractère et identiq
de lar- geur et pesait 5 grammes. La moitié gauche du pont et de la
moelle
allongée sont déprimées. Le quatrième ventricul
dilatation marquée est aussi notée dans les autres ventricules. La
moelle
épinière ne pré- sente macroscopiquement rien d
encore très incertaine : est-ce une anomalie du développement de la
moelle
ou est- elle produite par la stase et augmentat
cas, en nous servant des méthodes d'exa- LES MODIFICATIONS DANS LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 251 men habituelles, nous n'avons noté
rien d'anormal dans les cellules médul- laires. Et examinant quatre
moelles
épinières de malades, qui avaient la tumeur sié
dorsale inférieure et leur diminution dans la partie lombaire de la
moelle
.Dans les trois autres cas, rien d'anormal dans
s cas, rien d'anormal dans les cellules. La substance blanche de la
moelle
n'a présenté, dans aucun des cas, examinés par
x. Cette dégénérescence avait le caractère tabétique et frappait la
moelle
épinière dans toute son étendue; la dégénéresce
re cérébrale, Jacobsohn et Jamane n'ont noté rien d'anormal dans la
moelle
dorsale, mais dans le quatrième cas ils ont tro
d'après Hoche). L'état du système vasculaire et lymphatique dans la
moelle
dorsale au cours des tumeurs siégeant dans la f
Zeitschrift für Nervenheilkunde, XI Band. LES MODIFICATIONS DANS LA
MOELLE
EPINIERE 253 dans la moelle, mais aussi dans le
e, XI Band. LES MODIFICATIONS DANS LA MOELLE EPINIERE 253 dans la
moelle
, mais aussi dans les méninges. Dans quelques prép
emier cas décrit, où on se trouve en pré- sence des lésions dans la
moelle
dorsale au cours d'une tumeur non solide. Dans
Jamane, cité par nous plus haut, et présentant des lésions dans la
moelle
dorsale, les premiers symptômes se sont déclaré
tômes se sont déclarés un an, et dans les deux autres cas, avec les
moelles
dorsales normales à l'examen microscopique, vingt
ladie d'une part et le tableau anatomo-pathologique que présente la
moelle
dorsale d'autre part. Batten et Collier émetten
Batten et Collier et dans trois cas de Jacobsohn et Jamane,dont la
moelle
dorsale ne présentait rien d'anormal, on se tro
ravail de M. Angela d'après l'extrait du journal. Les lésions de la
moelle
dans les cas de tumeur intracra- nienne. Manièr
0, p. 185. Cet auteur a décrit les lésions qu'il a constatées dans la
moelle
dans un cas de tumeur kystique de l'hémisphère
254 RAIMISTE ET NEIDING nos trois cas présentant des lésions de la
moelle
dorsale d'une intensité différente, nous avions
la présence et le degré de la stase papillaire et des lésions de la
moelle
dorsale. Les réflexes patellaires étaient conse
t de tenter l'exploration de la cause de toutes ces lé- sions de la
moelle
dorsale. Dinkler cherche à les expliquer par l'ac
l'augmentation de la pression dans la production des lésions de la
moelle
dorsale plaide d'après Hoche le fait, constaté
rveau, de la stase du fond de l'oeil avec des modifications dans la
moelle
dorsale, croit avoir affaire ici avec un phénom
phénomène constant ; la stase papillaire et les modifications dans la
moelle
dorsale sont dues, d'après Hoche, à la même cau
inal. Le mécanisme par lequel la pression augmentée produit dans la
moelle
dorsale les modifications décrites, nous parait
, nous parait être le suivant : subissant LES MODIFICATIONS DANS LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 255 une forte pression, le liquide cér
obstacle, d'une part,â la circulation en retour de la lymphe de la
moelle
dorsale, et d'autre part pénètre lui-même par l
ase vei- neuse, produisant à son tour la stase de la lymphe dans la
moelle
dorsale. Cette stase veineuse et lymphatique et
On peut croire avec Batten et Collier que les modifications dans la
moelle
dorsale sont dues non seulement à l'intensité de
en Morbus Basedowii. Mûnchener med. Wochenschr., n° 41, 1903. (3)
MOELLE
, Diffuse symetrische Sklerodermie und Morbus Base
rrio (14) a relaté le cas d'un homme atteint de vitiligo et dans la
moelle
duquel on trouva une tumeur névroglique de la r
ctions nerveuses telles que l'épilepsie et les névralgies, et de la
moelle
en particulier, telles que la pachyméningite et
us que les cellules d'origine du sympathique sont disposées dans la
moelle
sous forme de groupes superposés, ainsi que les r
des groupes d'origine du sympathique à une région déterminée de la
moelle
épinière. Les troubles de sensibilité, bien q
zig-Wien. 1912. .14. FEIIIIIO. Vitiligo et tumeur nêvroglique de la
moelle
, Revue neurologique, 1905, p. 283. 15. C. Par
1902. 16. Bruce. - Sur la segmentation de la colonne latérale de la
moelle
. Tractas inter- médiolaléral, Review of neurolo
s. L'infiltration est à prédominance polynucléaire. Une coupe de la
moelle
au niveau de la 7e dorsale, à l'endroit où la por
es ; on y retrouve quelques cellules géantes. Il y en a une dans la
moelle
elle-même, en pleine substance blanche, au vois
l sous- arachnoïdien ; mais, malgré que la surface antérieure de la
moelle
à ce (1) Plusieurs ensemencements qui furent né
nte méningée. L'intérêt de ce cas ne résidait pas seulement dans la
moelle
,les méninges rachidiennes et les vertèbres dors
en série de la protubérance annulaire, du bulbe rachidien et de la
moelle
épinière, étudiés par la méthode deWeigert-Pal
vations d'acromégalie avec autopsie et vérification de l'état de la
moelle
se comptent. Quoi qu'il en soit, il est bien
aire avec néoformations inflammatoires englobant les méninges et la
moelle
(cône terminal). Il parait toutefois que non se
e, mais aussi tout procès morbide déterminant une compression de la
moelle
et constituant en même temps un obstacle pour l
combé dans un marasme général le 18 mars 1902. A la nécropsie, la
moelle
cervicale et lombo-sacrée ne présente rien de par
nts mé- dullaires compris entre les VI" et XIe racines dorsales. La
moelle
présente à ces niveaux des dimensions exagérées
es enlever sans entamer la substance nerveuse. La consistance de la
moelle
est gélatineuse, demi-fluide, de coloration gri
- quait presque toujours une lésion dans la région inférieure de la
moelle
. Dans 20 cas, sur les 6 publiés, la paraplégie
DE LA XANTOCHROMIE ET DE LA COAGULATION 497 méningite, a invahi la
moelle
d'une part, la dure-mère de l'autre, cons- titu
uleux englobant la partie correspondante des méninges molles, de la
moelle
et des racines nerveuses. L'examen histologique
de la grosseur d'une petite noix, située sur la face dorsale de la
moelle
.qu'elle comprimait au niveau des VIl", VIIIe et I
cas. Depuis le Ile segment dorsal jusqu'au XI0, les méninges et la
moelle
étant adhérentes, il nous a été impossible de l
s entamer en même temps la substance nerveuse. La consistance de la
moelle
, l'aspect macroscopique sur section et aussi l'
opiques ont indiqué des altérations profondes des méninges et de la
moelle
. Nous avons montré jusqu'ici que la symphyse mé
amiliale), par KLIPPEL et FELSTEIN, 445. - (Modifications dans la
moelle
au cours des tumeurs siégeant dans la fosse pos
ki, 10. Ménitigo-eiicéphalite chronique, par Smîssv- REFF, 433.
Moelle
(Modifications dans la - au cours des tumeurs s
ns la fosse posiérieu, e du crâne), par Raimiste et Neiding, 245.
Moelle
(tumeurs), traitement chirurgical, par IIOTSTAO
ninges, par Rauzier et Baumel, 397. 'Tumeurs (Modifications dans la
moelle
au cours des - siégeant dans la fosse poste-
e poste- rieure du crâne par Raimiste et NEIDING, 2/.5. - de la
moelle
(Traitement chirurgical des - par Rotstadt, 36.
tielles, 85. Neiding (\1.) et RAi3llSTE. Les modifications de la
moelle
dans le cas de tumeurs sié- geant dans la fosse
umsTE (J. M.) et NEIDING (M.) (d'Odessa). Les modifications dans la
moelle
épinière au cours des tumeurs siégeant dans la
DT (Julian) (de Varso%ie). Traitement chirurgical des tumeurs de la
moelle
, 37. Roubinovitch (J.) et Barbé (A.). Un cas
eût fallu qu'elle se cantonnât dans les colonnes antérieures de la
moelle
, c'eût été une poliomyélite antérieure aiguë.
contractilité faradique un peu augmentée tant pour le courant de la
moelle
aux nerfs que pour 1 e nerveux musculaire ou musc
39 L'ouverture faite, on voyait ce qui suit (PI.VI, C). D'abord la
moelle
épinière, continuant le bulbe rachidien, le 4e
empli d'un li- quide transparent. Celui-ci s'amassa au-dessus de la
moelle
allongée, ou dans le 4e ventricule trop élargi
ICOLAS SOLOVTZOFF l'ouverture de la colonne vertébrale on trouve la
moelle
; à la place où l'ouverture commence, la partie
oelle ; à la place où l'ouverture commence, la partie dorsale de la
moelle
épinière se termine et la partie antérieure s'é
e de la- quelle partent les racines des nerfs. Sous cet aspect la
moelle
épinière se continue dans toute l'étendue de l'
ndue de l'ouverture et là où elle se termine apparaît de nouveau la
moelle
épinière et sa partie dorsale. Immédiatement
Immédiatement au-dessus de l'ouverture de la colonne vertébrale, la
moelle
épinière a la grosseur d'une plume d'oie, mais sa
en dans sa partie cervicale est trop élargi. Ce grossissement de la
moelle
épinière dans sa partie cervicale provient de c
cerveau en forme de cône à sommet tourné en bas, se dirige vers la
moelle
allongée ; dans sa partie inférieure elle n'est p
le allongée ; dans sa partie inférieure elle n'est pas liée avec la
moelle
épinière qui est seulement comprimée d'arrière en
t ces deux parties sont unies entre' elles et passent ainsi dans la
moelle
allongée. Ainsi les particularités de ces cas s
° L'ouverture de la colonne vertébrale dans la partie dorsale de la
moelle
épinière ; 2° L'hydrocéphalie interne ; 3° Da
ère ; 2° L'hydrocéphalie interne ; 3° Dans la partie cervicale la
moelle
épinière est couverte par une masse qui descend
l'autopsie nous avons aussi trouvé un très fort grossissement de la
moelle
épinière dans sa partie cervicale, provoqué par
;[') " 1) et E. Cas IL Cerveau, face et profil. 1' et G. Cas III.
Moelle
disséquée et cervelet. La moelle, très épaissie d
face et profil. 1' et G. Cas III. Moelle disséquée et cervelet. La
moelle
, très épaissie dans la région cervicale, est de
tral de la fillette sans cervelet. A l'examen microscopique de la
moelle
épinière par la méthode de Pal les particularit
e faisceau de Goll et de Burdach bien développé. A l'examen de la
moelle
allongée, au niveau de l'entrecroisementdes fibre
S DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (N. Solovizoff) Coupa .1" Cas Il. Il
Moelle
, région cervicale ; - I Bulbe au niveau de l'entr
III et IV. Au-dessous de l'ouverture de la colonne vertébrale la
moelle
est nor- male, excepté un très grand développem
grand développement des vaisseaux. Au niveau de l'ouverture, où la
moelle
épinière se transforme en membrane, nous trouvo
terminent dans les cellules nerveuses. Au-dessus de l'ouverture, la
moelle
épinière a la forme ordinaire, seulement elle e
t en arrière. Plus haut, à la place où commence la séparation de la
moelle
en deux par- ties, elle est fortement comprimée
s, elle est fortement comprimée d'avant en arrière. A cela près, la
moelle
épinière a la forme ordinaire de celle d'un enfan
oigné de ce triangle suit parallèlement la partie postérieure de la
moelle
. Dans le côté opposé du triangle se trouve son
u centre de ce triangle, il y a beaucoup de vaisseaux. Plus haut la
moelle
épinière est comprimée encore pl us (Pl. IX, 0)
n se fait plus distinctement (P1.X, Q), pourtant on remarque que la
moelle
se compose de deux parties, et sa partie antéri
ibres entrecroisées dans la ligne du milieu. Le canal central de la
moelle
et celui de la formation supérieure s'unissent
s et l'entrecroisement des pyra- mides. Enfin auniveaudesolives, la
moelle
allongéea une structure normale (Pl. X, S). Ain
t ; elle se déplaçait et en- traînait les cordons postérieurs de la
moelle
, s'unissant avec eux et apla- tissant la moelle
s postérieurs de la moelle, s'unissant avec eux et apla- tissant la
moelle
, d'avant en arrière. Plus bas, il quelque distanc
ère. Plus bas, il quelque distance, elle se propage au-dessus de la
moelle
comme formation indépendante. Quelle est la rai
re. (Coupes : 1 deux h.lutllrs voisines) P. Cna III. Soudure de 1.1
moelle
et de 1.1 fOlm,nion "'ppIÓment,lire. M ASSO N C
TÈME NERVEUX CENTRAL (N. Sotovtzotr) Ci'% III. Qel R. Coupe de la
moelle
et du bulbe ,tvec 1.1 formation supplémentaire. L
ulbe ,tvec 1.1 formation supplémentaire. La partie antérieure de la
moelle
n'a pas changé. Au-dessus noyaux de Goll et de Bu
ertébrale et aussi la disparition des cordons posté- rieurs ; de la
moelle
restait seulement le faisceau fondamental du cord
rale. Ainsi la cause qui provoqua cette curieuse' difformité de la
moelle
dans ces deux cas était double. D'un côté, à ce
partie dorsale est suffisante pour produire cette difformité de la
moelle
. Mais si le spina bifida est dans la région sacré
e métencéphale, 3° l'isthme du rhobencéphale donnant naissance à la
moelle
allongée, à la protubérance annulaire, aux pédo
e répand dans les six segments. Nous trouvons la même chose dans la
moelle
épinière : le processus com- mence par l'hydrom
le du bulbe rachidien si ce processus frappe la partie dorsalede la
moelle
ou elle peut provoquer seulement la dislocation d
l'hydro- pisie des ventricules cérébraux et du canal central de la
moelle
épinière. L'accroissement énorme du liquide cép
cervicale nous rencontrons déplus en plus de vaisseaux, et là où la
moelle
se termine, elle est toute infiltrée de vaisseaux
guent en rien des nerfs normaux. Macuoscopiquement, l'encéphale, la
moelle
de ses racines ne présentent aucune espèce de m
une altération histologique notable. Sur des coupes étagées de la
moelle
on ne constate ni foyers de sclérose ni cavités
est sensiblement le même que dans les points correspon- dants d'une
moelle
normale. Parmi ces cellules beaucoup ont conservé
s sont particulièrement mar- quées dans le renflement cervical. Une
moelle
de tuberculeux du même âge, noir myopathique, e
s nerveuses, les lésions de chromatolyse sont les mêmes que dans la
moelle
du myopathique, mais les cellules des cornes an
reçoivent leur innervation totale, non plus des racines, mais de la
moelle
elle-même, non plus des rhi- zomères, mais des
spinale exercée par un véritable centre, et si, corollairement, la
moelle
est composée elle-même de tron- çons superposés
de lésions pas- sagères ou durables des nerfs, des racines ou de la
moelle
épinière. Un exemple de trophonévrose à peu pré
arrieu ajoutait : « Quanta la théorie de la iiiétaniérisption de la
moelle
, elle a été émise par Lannegràce et Forgue, bien
en faisant observer : il que la théorie de la métamérisation de la
moelle
est très antérieure aux excellents travaux de L
s travaux de Lannegràce et Forgue ; 2 que la métamérisation de la
moelle
est absolument différente de la métamérisa- tio
se : c'est bien une lésion des racines, et non pas une lésion de la
moelle
. Plusieurs étages de racines sont en cause ; do
NÉVROSES 75 tion n'a, je le répète, rien de commun avec celle de la
moelle
elle-même. La métamérie radiculaire, c'est la m
que une symétrie d'action qui n'apparlient qu'à un centre nerveux :
moelle
épinière ou cordon sympathique. Nous examineron
ents ; ils ne peuvent avoir leur conjonction qu'en un point de la
moelle
représentant le centre métamérique du tronçon a
épaissi, rugueux, irrégulier et déformé, présentant l'aspect de la
moelle
de sureau son extrémité libre, ou exfolié et stri
n naevus, une pigmentation anormale existent chez cet être privé de
moelle
et de cerveau, il est bien évident que toute infl
1eu1'oses réparties conformément à la topographie métamérique de la
moelle
(1). (1) Voy. Etienne, Des nxvi dans leurs rapp
la Salpêtrière, 1897, n" 4. UN CAS DE SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE AVEC AUTOPSIE par GILLES DE LA TOU
cerveau pouvait produire des lésions secondaires dégénératives de la
moelle
épinière elle était également capable d'intéres
- nal. » (1) Gilles DE la TouRETTE, La syphilis héréditaire de la
moelle
épinière. Nouv. Iconographie de la Salpêtrière,
endant la vie, à savoir la localisation du processus morbide sur la
moelle
épinière à l'exclusion du cerveau, ce qui est rar
ons nerveuses de la syphilis héréditaire. Examen histologique de la
moelle
et du cerveau. MOELLE. - La moelle, conservée d
ilis héréditaire. Examen histologique de la moelle et du cerveau.
MOELLE
. - La moelle, conservée dans du liquide de Millie
ire. Examen histologique de la moelle et du cerveau. MOELLE. - La
moelle
, conservée dans du liquide de Millier, était, l
ement, se montrant d'une façon uniforme sur toute la longueur de la
moelle
, il était peu probable qu'il fut dû à des trau-
uvait pas ici. L'examen histologique, a, du reste, montré que cette
moelle
avait été prélevée avec assez de soins ; nous n
aucun signe notable d'altération cadavérique, et, d'autre part, la
moelle
ayant été placée à l'étuve à 37°, son durcisse-
la fixation de la pièce. Les coupes faites sur des téguments de la
moelle
prélevés à différentes hauteurs, ont été coloré
l'hématoxyline et par les méthodes de Weigeir, Pol et Kaiser. La
moelle
ayant été conservée en totalité dans le Millier,
thode de Nissl. Mais nous ne croyons pas SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 97 que les coupes étudiées par cette m
les altérations hislologiques que nous avons constatées dans cette
moelle
. A. Région lombaire. 1) Les colorants de la m
due ; la zone dégénérée arrive au contact de la circonférence de la
moelle
, mais ne tranche pas le bord externe des cornes
E DE LA SAIPGI'RIE1LE. T. XII. PI. XVI SYPHILIS héréditaire DE la
MOELLE
ÉPINIÈRE (Gilles de 1.\ TOUl ? tc et Durante)
MOELLE ÉPINIÈRE (Gilles de 1.\ TOUl ? tc et Durante) Coupe de lu
moelle
(Coloration pur la méthode de 'Pal) A. Reninndn
moyenne. 13. Région cenicate inférieure SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 99 2) Par les colorants .nucléaires ,
ieure et présentent la même topographie. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 101 La seule différence à noter ici, e
H. BULBE ET protubérance. Les lésions ne semblent pas dépasser la
moelle
. Au-dessus de l'entre- croisement des pyramides
tteints de périarthrite, mais d'une façon moins accusée que dans la
moelle
. I. Cerveau. 1) Extrémité inférieure de la ci
rescence de faisceaux pyramidaux croisés sur toute la hauteur de la
moelle
bilatérale, mais plus intense et plus étendue à d
rt aux lésions des faisceaux pyramidaux. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 103 Les zones radiculaires des cordons
dans les colonnes de Clarke, bien fourni sur toute la hauteur de la
moelle
. 8) Malgré l'existence d'un peu de péri artérit
vasculaires de ces racines se retrouvent sur toute la hauteur de la
moelle
, on ne peut leur attribuer les altérations des
rieurs est partout bien conservée. 9) Sur toutes les hauteurs de la
moelle
existe une périartérite assez marquée. Cette pé
leur évolution ? Tout d'abord les dégénérescences observées dans la
moelle
ne sauraient en aucune façon être attribuées à
radiculaires sont diminuées également sur toute la hau- teur de la
moelle
et ne cadrent pas avec une dégénérescence des cor
tablement, dans le cas actuel, d'une affection systé- matisée de le
moelle
, d'origine purement spinale. L'étude des coupes
on comprend qu'il ai t pu nous échapper, car nous avons sectionné la
moelle
en un certain nombre de segments pour obtenir u
e l'encéphale. Revue neurologique, 1898. SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 105 malade il se peut qu'elle soit pré
ence des faisceaux cérébelleux s'observe sur toute la hauteur de la
moelle
. On pourrait la faire dépendre également du foyer
ur exiger ici une plus longue dis- cussion. Les altérations de la
moelle
que nous avons constatées semblent donc bien re
sez étendu quoique touchant inégalement les différents points de la
moelle
. Cette myélite a rétrocédé dans la suite, ne la
et de périartérite disséminée relevées sur les coupes tant dans les
moelles
que dans les racines, elles peuvent avoir été l
e à concavité supérieure ; la 7e cervicale va en ligne droite de la
moelle
au sommet du plexus brachial ; les 5e, 6e, 8e c
l eu, pendant la réduction, un ébranlement contusif des segments de
moelle
correspondants, suivi d'un processus local de pol
'épaule, siège de la luxation, peuvent se répercuter jusque dans la
moelle
. Ganglionnaires et médullaires, selon toutes pr
-médullaires des racines. Les cellules des cornes antérieures de la
moelle
ont surtout subi le con- tre-coup des altératio
avons'si longuement insisté et leur reten- tissement jusque dans la
moelle
constituent la cause principale, le pri- mum mo
hie de ce membre a atteint un si haut degré. La participation de la
moelle
cervicale nous parait d'autant moins douteuse que
racines jusque dans leur trajet rachidien et intra-médullaire. La
moelle
s'atrophie dans le segment métamérique correspond
elque sorte qu'une vaste frondaison de l'extrémité antérieure de la
moelle
,et il n'y a aucune raison à priori de ne pas ad
à priori de ne pas admettre que les affections systématiques de la
moelle
ne se retrouveront pas dans le cerveau, sous un
cs, qui les unissent, avec les commissures corres- pondantes de, la
moelle
, que si l'idée d'une systématisation pathologique
ubéran- tiels, ceux qui correspondent aux cornes postérieures de la
moelle
, sont si haut placés dans le voisinage des cent
ens sans former de cordons homologues aux cordons postérieurs de la
moelle
. Ceci est im portant à considérer au point de v
i sont les prolongements de la tète des cornes postérieu- res de la
moelle
. De ces noyaux partent les impressions qui, soit
sensoriel est subjectif, c'est-à-dire infra-organique. C'est, pour la
moelle
, l'ensemble des appareils tactiles profonds, ar
serons la question au point de vue physiologique. Il existe dans la
moelle
des fibres qui des cornes postérieures vont direc
res,à des centres nucléaires prolongeant les cornes antérieures de la
moelle
. LE TABES LABYRINTHIQUE 137 Certaines de ces
laires des racines postérieures cheminent de conserve le long de la
moelle
et se forment en . cordons systématisés qui ren
si apparentes au niveau des cordons ascendants et parallèles de la
moelle
, ne se montrent plus ici qu'indivi- duellement
vantage. Si l'on applique les lois de Pflü3er aux noyaux gris de la
moelle
allon- 154 PIERRE BONNIER gée, on s'explique
Giraudeau, Accidents verlig. et apopleclif, dans les maladies de la
moelle
épinière, 1882, p. 45. 160 PIERRE BONNIER duc
er d'être complet, les variations dans l'excitabilité réflexe de la
moelle
au cours d'affections labyrinthiques, et partic
on du livre d'Abercroznbie sur les maladies de l'encéphale et de la
moelle
épinière, 1S35. (3) MAUCHESSAU, Arch. gén. méd.
artie la plus externe du segment antérieur de la capsule interne.
MOELLE
.- L'examen de la moelle a été pratiqué par plusie
segment antérieur de la capsule interne. MOELLE.- L'examen de la
moelle
a été pratiqué par plusieurs métho- des. 1° M
tes les parties constituantes de la cellule. Sur une coupe de la
moelle
cervicale inférieure (entre la 8e racine cer- v
en dehors les racines postérieures, séparée de la périphérie de la
moelle
par une zone de fibres saines. Les colonnes de Cl
- Coupe au niveau de la (je cervicale. V. - Partie supérieure de la
moelle
cervicale. DE L'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE 213
lésions que nous avons rencontrées sont : 1° Des altérations de la
moelle
: .' a) Sclérose des cordons postérieurs prédom
de la cuisse. A l'autopsie, les lésions observées portaient sur la
moelle
, les nerfs pé- riphériques et les muscles. La m
rtaient sur la moelle, les nerfs pé- riphériques et les muscles. La
moelle
était le siège d'une sclérose des plus marquées
ique de cette forme d'amyotrophie. 1° Lésions médullaires (5). La
moelle
ne présente rien de spécial ni dans sa conforma
. DE L'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE -319 celui que l'on voit snr une
moelle
normale. Mais ces cellules sont dimi- nuées de
lus intense que l'on se rapproche de la portion lombo- sacrée de la
moelle
. A un faible grossissement, outre cette diminutio
acquièrent à peu près la même intensité dans toute l'étendue de la
moelle
de la région cervicale jusqu'à la région lombaire
en général elles sont respectées dans le reste de la hauteur de la
moelle
. Sur une coupe faite au niveau de cette région,
res étaient très altérées, semble-t-il, dans toute la hauteur de la
moelle
; il n'en était pas de même chez notre malade I
de section des racines postérieures, de section transversale de la
moelle
. Marinesco (4) reprenant les recherches de Læhr
u laboratoire d'anatomie pa- thologique, a examiné des fragments de
moelle
épinière, de nerfs, de muscles. On constate sur
es. On constate sur des coupes pratiquées à différents étages de la
moelle
épi- nière une atrophie très considérable des c
mme un gros pois à l'insertion du sous-épineux. Appareil nerveux. -
Moelle
. - La moelle ne présente aucune altération ma-
ois à l'insertion du sous-épineux. Appareil nerveux. - Moelle. - La
moelle
ne présente aucune altération ma- croscopique,
persistant dans tous les tubes. A la périphérie, les contours de la
moelle
sont fortement ondulés ; dé- pression assez for
e J.-B. Char- cot. Toutes ces altérations sont identiques dans la
moelle
cervicale et dans la moelle lombaire. Les rac
ces altérations sont identiques dans la moelle cervicale et dans la
moelle
lombaire. Les racines ne présentent pas d'altér
ques plaques laiteuses au ni- (1) Brissaud, De la névroglie dans la
moelle
normale et dans lasyringomyélie, Revue neurolog
a- ladie curable, ou au contraire s'il s'agit d'une affection de la
moelle
incu- rable souvent, parfois mortelle. (1) Le
phie musculaire ne se produit pas si les racines postérieures de la
moelle
qui concourent à l'exercice de la réflectivité
tion ou leur section chez les adultes ainsi que l'hémisection de la
moelle
accé- lèrent la marche de l'atrophie musculaire
cas de rhumatisme chronique s'est livré à un examen minutieux de la
moelle
et des nerfs périphériques, ses résultats ont été
ts deMoussous (3). M. Raymond (4) n'a pas constaté de lésions de la
moelle
ni des nerfs chez ses animaux ; il a trouvé des
réflexe elle dépend du retentisse- ment de la lésion locale sur la
moelle
qui devient le siège d'altérations purement dyn
azin dans leurs expériences out, examiné les muscles, les nerfs, la
moelle
de leurs animaux, ct, étant donné l'absence de lé
erfs articulaires. Darkschew itsch (1) a constaté l'intégrité de la
moelle
, des nerfs périphé- riques, des muscles dans un
d'une lésion des cellules radiculaires des cornes antérieures de la
moelle
, mais fonction d'un trouble dynamique des corps
es évidentes, des corrélations intimes entre les deux moitiés de la
moelle
. La loi de la sy- métrie des réflexes de Ptlûge
ier et se terminer dans la substance grise delà moitié opposée delà
moelle
. Par ces dentrites on comprencl qu'une incitation
adiculaires postérieures dans les racines postérieu- res ou dans la
moelle
. Déductions physiologiques. La tendance à la
siège dans les racines postérieures ou dans l'épaisseur même de la
moelle
. En effet, on sait de par les remarquables rech
ns la lésion des cordons médullaires et de la substance grise de la
moelle
. D'après les recherches de Ross (1), d'Allen St
ies à disposition segmentaire : A chaque segment (en hauteur) de la
moelle
correspond une zone d'innervation sensitive pér
mitation comparableà celles que réalisent certaines affections de la
moelle
et tout spécialement la syringomyélie. Dans cet
pouvant d'ailleurs être primitive ou secondaire à une lésion de la
moelle
» (1). . .. La parenté des oedèmes névropat
s long terme), par P. de Molènes, 219. Syphilis héréditaire de la
moelle
(un cas de), par DURANTE et Gilles de r.a Toa-
ante et Gilles de la TOURETTE. Un cas de syphilis héréditaire de la
moelle
(2 phot.), 95. Etienne. Sur les atrophies mus
les de la TOURHTTE et Durante. Un cas de syphilis héréditaire de la
moelle
(2 phot.), 95. Gotiiard (de) et A. Riche. Etu
(HAUSHALTER et Spillmann), XXVI, XXVII. Syphilis héréditaire de la
moelle
épinière (Gilles DE la Tourette et DCTR.1NTE),X
ain état flou du proto- plasma, avec pigmentation légère. Enfin, la
moelle
, étudiée aux différents niveaux (renflements ce
, étudiée aux différents niveaux (renflements cervical et lombaire,
moelle
dorsale) paraît tout à fait saine : les grandes
ux sont normaux. Enfin, pas plus au niveau de l'encéphale que de la
moelle
, il n'existe la moindre lésion méningée. Reste,
ous les sens par des jetées osseuses irré- gulières. Ici encore, la
moelle
osseuse ne contient plus d'éléments en activité.
agnostic d'atrophie musculaire de nature myélopathique on enlève la
moelle
et vu la rareté du cas on prélève en même temps
e, la safranine, l'encre d'anthracène, le procédé de Van Gieson. 1.
Moelle
épinière. L'examen des segments médullaires corre
au leur segment dorsal inclusivement, et de quelques segments de la
moelle
dorso-lombaire donne un résultat négatif. Dès
ES SUPÉRIEURS 49 pelle les lésions bien connues de l'axe gris de la
moelle
dans la poliomyélite antérieure chronique. Les
'aspect normaux (La comparai- son a été faite avec des coupes d'une
moelle
normale). Il n'y a donc pas ici de raréfaction
- térations appréciables. Le résultat négatif de cet examen de la
moelle
épinière fait contraste avec les lésions consid
men était négatif en apparence et concordait avec l'intégrité de la
moelle
épinière constatée ultérieurement. Mais les lésio
s voies biliaires. Résumé de l'examen histologique. Intégrité de la
moelle
épinière. Dans les troncs nerveux périphériques
ont en elles-mêmes indolores et que les lésions de l'axe gris de la
moelle
le sont également (poliomyélite antérieure chro-
a-musculaires, d'autre part au niveau des racines antérieures de la
moelle
. Ces lésions périphériques systématisées des fi
tissement appréciable sur les cellules des cornes antérieures de la
moelle
. En passant à l'examen détaillé des lésions des
gauche) montre à l'examen histologique une intégrité certaine de la
moelle
épinière et des nerfs sympathiques. Les filets
rs la périphérie où le nombre des gaines vides est considérable. La
moelle
est normale. Dans l'observation II de Dubreuilh o
juxtaposées d'hypertrophie et d'atrophie des fibres musculaires. La
moelle
(1) HOFFMANN, Uber neurotische progressive Musk
clinique de Charcot et Marie. Les lésions sont complexes : dans la
moelle
diminution numérique des cel- lules radiculaire
s supérieurs il y avait des lésions des cor- dons postérieurs de la
moelle
; dans les nerfs périphériques la raréfaction d
t des deux membres inférieurs) indique une intégrité évidente de la
moelle
épinière ; dans les nerfs périphériques, en mêm
) les lésions portent à la fois sur les cordons posté- rieurs de la
moelle
, sur les racines rachidiennes antérieures et post
r Dubreuilh présentent de notables différences : dans le premier la
moelle
est intacte, la névrite interstitielle périphé-
s nerveuses raréfiées des enveloppes en anneaux ; dans le second la
moelle
est également intacte, les nerfs pé- riphérique
cervicale; les racines postérieures le sont du haut t en bas de la
moelle
; dans le cas de Dejerine et Sottas les racines ra
dans les régions inférieures que dans la partie supé- rieure de la
moelle
. Gombault et Mallet citent les différences qu'ils
. Dans la thèse de M. Crouzon sur « Les scléroses combinées de la
moelle
» (1 ), un chapitre très intéressant est consacré
tte étude n'ai pas montré la présence d'une sclérose combinée de la
moelle
, mais celle d'une atrophie très particulière (1
hie très particulière (1) 0. Crouzon, Des scléroses combinées de la
moelle
, Paris, 1904. Nouvelle Iconographie DE la Salpê
nt nullement épaissies ni adhérentes. La protubérance, le bulbe, la
moelle
épinière ne sont pas réduites de vo- lume : leu
ématéine-éosine, hé- matéine-Gieson, Gieson. Nous avons étudié la
moelle
à différentes hauteurs ; les coupes ont été colo-
substance grise que dans la blanche du bulbe et de la protubérance.
Moelle
.' Dans la moelle épinière étudiée sur un grand no
ue dans la blanche du bulbe et de la protubérance. Moelle.' Dans la
moelle
épinière étudiée sur un grand nombre de segments
tisation. Les racines postérieures adjacentes à la périphérie de la
moelle
et coupées ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE D
RENCHYMATEUSE DU CERVELET 77 transversalement, celles surtout de la
moelle
lombo-sacrée et dorsale inférieure contiennent
dantes. Dans les cordons latéraux, surtout vers la périphérie de la
moelle
, il existe la même raréfaction des fibres que d
e est ici encore plus légère, à peine perceptible et se limite à la
moelle
lombo-sacrée ; dans la moelle dorsale et cervic
à peine perceptible et se limite à la moelle lombo-sacrée ; dans la
moelle
dorsale et cervicale les cordons latéraux ont un
ste une grande abon- dance de corps amyloïdes. Les méninges de la
moelle
sont normales. En résumé, l'examen histologique
ervelet, du bulbe et de la protubérance surcoupes sériées, et de la
moelle
épinière, nous donne les résultats suivants :
e la moelle épinière, nous donne les résultats suivants : Dans la
moelle
des lésions presque insignifiantes ; celles-ci co
s banales, analogues à celles qu'on rencontre assez souvent dans la
moelle
des vieil- lards et qui sont vraisembablement l
rance et du bulbe, et sur celles faites aux diverses hauteurs de la
moelle
, pu nous assurer de la parfaite intégrité de ce
s lésions des racines postérieures et des cordons postérieurs de la
moelle
ne pourraient pas expliquer cet élément ataxiqu
tané plantaire en extension. Les auteurs qui se sont occupés, de la
moelle
sénile ont en effet pu met- tre sur le compte d
lorsqu'il écrivait, en 1892, dans ses Leçons sur les maladies de la
moelle
: « J'ai la convic- tion que grâce à un hasard
et le bulbe ne présentent pas de lésions appréciables à l'oeil nu.
Moelle
la dure-mère est d'aspect normal, sans adhérences
nges molles ne semblent pas épaissies. L'examen macroscopique de la
moelle
permet de noter très aisément que les racines a
crés avec leurs racines correspon- dantes.A ces divers étages de la
moelle
on peut, même à l'oeil nu, sur les mor- ceaux e
tes : Gieson, hématoxyline-éosine, Pal, Pal- cochenille, Weigert.
Moelle
.- A l'oeil nu on voit déjà qu'il existe, dans la
,S et des 4 derniers segments lombaires une forte asy- métrie de la
moelle
: la moitié gauche est beaucoup moins développée
transversalement, sont immédiatement adjacentes à la périphérie de la
moelle
. sont beaucoup moins volumineuses à gauche qu'à
Au niveau de S 3 (PI.XXVII) il y a encore une légère asymétrie de la
moelle
par l'atrophie de la corne et du cordon antéro-
sus-jacents n'en est pas moins nette. Au niveau deS4 l'aspect de la
moelle
redevientà peu près normal (LXXVII). Au niveau
e on observe quelques cellules d'aspect nor- mal. L'asymétrie de la
moelle
est moins accusée que dans les segments sous- j
rites dans la racine gauche. Dans la région dorso-cervicale de la
moelle
il n'existe ni dans la corne gau- che, ni dans
ion ni sclérose. L'atrophie du cordon latéral gauche, nette dans la
moelle
sacro-lombaire, est ici beaucoup moins apprécia
gauche persiste au contraire très nette dans toute la hauteur de la
moelle
cervico-dorsale, même au niveau de C 1 ; il s'a
s nerveu- ses. Les colonnes de Clarke dans toute la hauteur de la
moelle
lombo-dorsale sont de volume et d'aspect normal
légère atrophie, sans dégénérescence, ni sclérose, décrite dans la
moelle
lombo-sacrée gauche. Méninges normales, sauf un
éger épaississement de la pie-mère à la région sacro-lombaire de la
moelle
. Bulbe. - Protubérance. - Les coupes intéressan
apporté la paralysie cérébrale infantile de notre malade. Dans la
moelle
, l'existence d'un foyer typique de poliomyélite a
sacrées correspondantes et forte atrophie de la moitié gauche de la
moelle
. C'est à ce foyer que nous devons rap- porter l
sultat de la localisation céré- brale du même processus qui dans la
moelle
engendrait la paralysie spi- nale infantile. Et
u, systématisé et localisé dans la substance grise antérieure de la
moelle
,-il concluai t que dans l'hé- miplégie cérébral
orticalité motrice, tantôt dans la substance grise antérieure de la
moelle
. La preuve que la substance grise de la zone mo
seule différence consiste probablement en ceci que tantôt c'est la
moelle
, tantôt le cerveau qui est le siège de la lésio
nce grise de la corticalité motrice ou des cornes antérieures de la
moelle
, comme le croyait Strümpell, mais de lésions en
porter sur les cornes postérieures, sur la substance blanche de la
moelle
. (1) RoGER et Damaschino, Gaz. méd, de Paris, f
ain, 1885, VIII, p. 14. (6) Pierre Marie, Leçons sur les mal. de la
moelle
, Paris, 1892. (7) GOLDSCHEIDER, Zeitschrift f.
ntrales ou des artères radiculaires antérieures à l'intérieur de la
moelle
. Si nous demandons maintenant si les observatio
Medin, Calabrese (2)]. Parfois les conséquences de l'atteinte de la
moelle
disparaissent presque complètement et il ne res
inflammatoire vasculaire de la poliomyélite, de l'hyperémie dans la
moelle
allongée, de l'infiltration péri-vasculaire ave
montra, outre les lésions de la paralysie spinale infantile dans la
moelle
, des petits foyers inflammatoires dans le bulbe a
de l'hémisphère gauche, et un foyer de paralysie infantile dans la
moelle
lombaire, à droite, avec atrophie des racines ant
céphalite supérieure de Wernicke peut s'étendre vers le bulbe et la
moelle
, s'accompagner des symptômes de la paralysie bu
ites infectieuses, analogues à celles qu'on observe au niveau de la
moelle
dans la poliomyélite aiguë et déterminant dans
glions cérébro-rachidiens, ganglions des racines postérieures de la
moelle
et des nerfs sensoriels, se formant aux dépens
e, qui constituera soit un rameau communiquant se dirigeant vers la
moelle
, soit un ra- meau périphérique, soit un rameau
tout le système sympathique, à l'exclusion totale du cerveau, de la
moelle
et des racines postérieures des nerfs (Simon et
s-cutané. . Mais où siègent ces centres ? Vraisemblablement dans la
moelle
, dans la substance grise, au voisinage des cent
de ces systèmes. » 1 Les recherches d'anatomie microscopique de la
moelle
que l'un de nous a faites avec Mme Parhon (15)
amide bulbaire gauche. Sur les coupes des différents segments de la
moelle
enfin, on constate une atrophie de tout le cord
aux ont été dé- bités séparément en coupes frontales. L'étude de la
moelle
a porté sur de nom- breux fragments prélevés à
thode de Weigert, soit par celle de Weigert-Pal-coehenille. Pour la
moelle
(renflements cervical et lombaire), nous avons
les dégénérations descendantes dans la protubérance, le bulbe et la
moelle
. 1° Au niveau du foyer. - Les fihres de la IIIe
y sont rares, celles qui persistent sont cependant bien colorées.
Moelle
. - Sur les coupes de la moelle, et jusque sur cel
istent sont cependant bien colorées. Moelle. - Sur les coupes de la
moelle
, et jusque sur celles du 3e segment sacré inclu
à une atrophie en masse de ce cordon antérieur. Les coupes de la
moelle
colorées au van Gieson, montrent qu'il existe des
ures sont normales, ainsi que les vaisseaux et les mé- ninges de la
moelle
. 4° Lobe occipital. - Les coupes frontales du l
1. LE PROFESSEUR RAYMOND) LES LÉSIONS ANATOMO-PATHOLOGIQUES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE DANS LA MALADIE PAR DÉCOMPRESSION CHEZ
), aussi bien que les faits concernant l'ensemble des lésions de la
moelle
, ayant examiné cinq moelles épinières dans le lab
concernant l'ensemble des lésions de la moelle, ayant examiné cinq
moelles
épinières dans le laboratoire de M. le professe
j'ai pu examiner dans le laboratoire de la Salpêtrière une sixième
moelle
d'un jeune plongeur mort après 3G jours de mala
e et surtout des plongeurs. LÉSIONS AN.1TOAL0-PATnOLOGIQUES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 209 vic.). Vomissements sans nausées p
bien que des inférieurs) persiste. Nous verrons dans l'examen de la
moelle
la raison de ce phénomène. Aux autres symptômes
agonie et mort. AUTOPSIE. - J'ai constaté les faits suivants . La
moelle
épinière presque entièrement ramollie. Dans les m
en apparence du moins, rien d'anormal. Examen histologique de la
moelle
. Dans une publication antérieure (1), j'ai expl
ès l'opinion que j'exprimais, ils affaiblissent la résistance de la
moelle
contre les agents pathogènes absorbés par le cana
u- cocytes et déterminent le processus myélitique. L'examen de cinq
moelles
et l'étude des faits cliniques se trouvent en h
en harmonie avec cette inter- prétation. L'examen de cette sixième
moelle
vient de confirmer cette ma- nière de voir. Q
ent de confirmer cette ma- nière de voir. Quant aux lésions de la
moelle
chez les plongeurs, je dois rappeler sur- tout
avaux deLeyd2n et Schrotter. M. le professeur E. Leyden examina une
moelle
et trouva des lésions caractérisant la myélite pa
j'ai trouvé ces lésions. M. H. -V. Schrotter, de Vienne, examina 3
moelles
de plongeurs morts longtemps après l'attaque, et
es. Dans mes cas on peut voir ces lésions. Les grosses lésions delà
moelle
rappellent la topographie vasculaire de la moel
sses lésions delà moelle rappellent la topographie vasculaire de la
moelle
épinière. Ce sont des nécroses plus ou moins nett
tance altérée, a une forme serpentine ; la partie postérieure de la
moelle
semble être aplatie et comprimée. Dans chaque c
après la résorp- tion. · Les méninges molles sont attachées à la
moelle
; infiltrées de leuco- cytes, elles présentent d
nt part au processus. Ces lésions existent à tous les niveaux de la
moelle
dorsale ; elles dimi- nuent d'intensité vers la
te de la décompression atmosphérique brusque, il se produit dans la
moelle
des embolies gazeuses, par conséquent des foyers
ont grêles, mais ne présentent pas d'al- tération. Le bulbe et la
moelle
ne présentent pas d'altération. La glande pitui
ont ceux que provoque l'excitation du centre irido-dilatateur de la
moelle
cervicale ou des filets sympathiques jusqu'à le
déniable, il y a lieu de se de- mander s'il y a des lésions dans la
moelle
proprement dite et en particu- lier si l'hémian
ensibilité profonde. Il y a donc, certainement, du côté droit de la
moelle
cervicale, une lé- sion syringomyélique de la z
mpérature au ni- veau de C' indique qu'au point correspondant de la
moelle
la lésion se propagea gauche où elle atteint la
r cela même une lésion qui se propagerait sur toute l'étendue de la
moelle
. Une lésion de la région cervicale parait suffi
lexes tendineux est une confirmation de l'atteinte importante de la
moelle
au niveau de la région cervicale droite et il f
en C., elles se prolongent probablement dans toute la hauteur de la
moelle
cervicale et peut-être à la partie supé- rieure
de la moelle cervicale et peut-être à la partie supé- rieure de la
moelle
dorsale ; aucun phénomène n'indique qu'elles desc
occupe surtout le côté droit, aussi bien dans le bulbe que dans la
moelle
cervicale. Il semble que le processus soit avan
n rôle (absence de douleurs, de raideur de la nuque, etc.). Dans la
moelle
, la lésion paraît atteindre avant tout la corne p
issons mal les voies conductrices des diverses sensibilités dans la
moelle
. Les deux faisceaux pyramidaux sont comprimés e
aux, comme l'ont montré Klippel et Rabaud. « Sans doute, Fig. 11.
Moelle
cervicale (à la 8e paire cervicale) Nombre de c
n enfant. VIII. Troisier, Hémimélie thoracique droite. Examen de la
moelle
épinière. Société anatomique, juillet 1871, p.
cutané ne reçoit ni fibres musculaires ni filet nerveux apparent.
Moelle
épinière. Après durcissement dans une solution fa
s inférieurs. L'amoindrissement porte sur les deux substances de la
moelle
, mais surtout sur la substance grise. A un fo
e présentent aucune altération de structure. Le canal central de la
moelle
offre des dimensions normales. 308 KLIPPEL ET B
soin ; on n'y a constaté aucune lésion corti- cale ou centrale. La
moelle
ne présentait aucune altération à l'oeil nu, mais
; la sérosité sous-arachnoïdienne est très abondante. Du côté de la
moelle
, il n'y a rien au point de vue macroscopique. M
éveloppement du squelette et du reste du membre. Les coupes de la
moelle
, faites par M. Bourdon montrent une atrophie por-
hémimélie. Les cordons blancs sont symétriques des deux côtés de la
moelle
. Au contraire, l'asymétrie est frappante, surtout
ar la méthode de Nissl aucune altération des cellules nerveuses. La
moelle
, examinée au Marchi, fait voir quelques rares g
eux coupes sont retournées par rapportais suivante.) (1. 1)ans la
moelle
cervicale on ne trouve d'autre lésion qu'une légè
égère pâleur diffuse et variant d'un niveau à l'autre. 3° Enfin, la
moelle
présente des lésions légères, diffuses, pâleur de
on suffisante de la force musculaire : la voie motrice est, dans la
moelle
, à peine touchée ; on trouve des lésions de la su
hnoïde, la pie-mère et la dure-mère sur la face posté- rieure de la
moelle
; dans les régions cervicale et dorsale, les méni
et dorsale, les méninges parais- sent épaissies. La section de la
moelle
fait constater l'existence d'une cavité qui comme
teur de C. IV et se termine vers D. IX. Au-dessous de la cavité, la
moelle
a gardé son aspect normal. ETUDE histologique.
Pal, de Nissl, de Van-Gieson, ne montrent aucune modification. ·
Moelle
épinière. Description de la cavité. La cavité com
té de cette grande cavité, il en existe une plus petite, à droite. La
moelle
est dans son ensemble aplatie dans le sens anté
u côté droit. A la région dorsale, la cavité s'agrandit encore, et la
moelle
est réduite à un mince ruban, la cavité est irr
ium épendymaire ; il réapparaît normal à la partie inférieure de la
moelle
dorsale. La paroi de la cavité syringomyélique
d'hémorragie. Substance grise. - Elle est parfaitement normale à la
moelle
cervicale jus- qu'au niveau du IVe segment. Là,
'elles sont par la cavité ou par la gliose juxta-cavitaire. Dans la
moelle
dorsale inférieure, les cornes postérieures réapp
, pigmentées, sans chromatophiles, quelques-unes sans noyau. A la
moelle
lombaire, la substance grise est normale. ' Les
s niveaux considérés. Méninges. Il existe sur toute l'étendue de la
moelle
occupée par la cavité un épaississement des mén
taient gros, trapus, à leur niveau la peau était normale. Dans la
moelle
épinière, existait une cavité syringomyélique qui
e de Pierre Marie, il n'est pas besoin de recourir à l'examen de la
moelle
ou de l'hypophyse pour faire le départ de ce qu
'une noix, et le développement d'une cavité syringomyélique dans la
moelle
cervico-dorsale, la malade ne présentait aucune
asation sanguine, l'ecchymose ? Brown-Séquard, par une lésion de la
moelle
allongée chez le cobaye telle que la section d'un
e Lancereaux, à l'agénésie ou à une modification des cellules de la
moelle
, pendant la durée de la vie foetale. La moelle,
n des cellules de la moelle, pendant la durée de la vie foetale. La
moelle
, chez le foetus, est loin d'être à l'abri des pro
chez les foetus issus de parents syphiliti- ques, les lésions de la
moelle
ne sont pas rares, la syphilis héréditaire agit
altération des filets nerveux et une atrophie des renflements de la
moelle
épinière, doive être considérée comme purement fo
n'a trouvé aucune lésion organique de 404 . KLIPPEL ET BOUCHET la
moelle
; l'atrophie consistait en une diminution du nomb
sité. Dareste est dans le vrai quand il dit : « Ces atrophies de la
moelle
et du cerveau sont la conséquence et non la cau
troubles sont relativement plus marqués dans le membre que dans la
moelle
, plus marqués dans celle-ci où on note à la vue u
'atrophie numérique telle qu'elle fut décrite par l'un de nous. '
MOELLE
. - et) Examen de la moelle. Toutes les modifica
u'elle fut décrite par l'un de nous. ' MOELLE. - et) Examen de la
moelle
. Toutes les modifications portent sur la 'subst
p) Examen histologique des nerfs et des muscles. Ici, comme pour la
moelle
, on trouve du côté malade une diminution du nombr
rées de l'examen microscopique. Il résulte de ces faits que dans la
moelle
, dans les nerfs, dans les muscles, les éléments
1891. Troisier. - Absence de l'avant-bras, à droite : examen de la
moelle
, Soc. anat. Paris, XLVI, 1871, p. 140. Archives
rieur gauche, et du nerf optique droit. Dans toute la hauteur de la
moelle
, il n'y avait aucun indice de dégénéralion ; le c
moelle, il n'y avait aucun indice de dégénéralion ; le cervelet, la
moelle
épinière et les ganglions vertébraux étaient abso
glions vertébraux étaient absolument normaux. Cette intégrité de la
moelle
dans la porencéphalie avait déjà été signalée p
nte et ci-dessus décrite. La protubérance annulaire, le bulbe et la
moelle
étaient normaux. Sur le cerveau, on préleva pou
e des racines pos- térieures ; ou bien l'énorme accroissement de la
moelle
in-toto. On remarque souvent dans l'acromégalie
La lésion anatomique qui peut expliquer ces faits est-elle dans la
moelle
ou bien dans les racines, ou dans l'une et les au
- res ont précédé la manifestation des symptômes des maladies de la
moelle
épinière : avec la déformation du visage parure
essive, 91. ZOGRAFIDI Les lésion» afialomo-patliologi- ques de la
moelle
dans la maladie par décompression chez les scap
pl.), par Raymond et BABONIOEIX. 28. Scaphandriers (lésians ue la
moelle
dans la /lia rtrlre pur décompression) (1 pL).
ilisme et insuffisance diastématique (VIGOUROUX et DELMAS), XLVI.
Moelle
(lésion de la) par décompression chez les scaph
25. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE COMMOTION DE LA
MOELLE
éPINIèRE 'ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les
vait là une cause plus fréquente et plus puissante de lésions de la
moelle
épinière, elle n'avait rien de spécial, et que
terrain sur lequel on a établi la doctrine de la commotion de la
moelle
épinière, dont l'étude est encore fort obscure.
s probants; mais constatons de suite que l'étude des maladies de la
moelle
épinière, si complètement refaite à notre époqu
te 1 System of surgery, by Holmes, v. II, p. 378. COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 3 que la question s'est étendue du do
ain que les premiers observateurs qui ont décrit la commotion de la
moelle
épinière y ont surtout été conduits par analogi
nces notables dans les conditions statiques de l'encéphale et de la
moelle
. Celle-ci étant entourée par un espace que remp
traire, que lorsqu'un choc arrêtant brusquement le tronc a lieu, la
moelle
épinière suit le mouvement acquis dans le canal
ication que nous entendons donner à l'expression de commotion de la
moelle
épinière. Avec la plupart des auteurs, nous pen
ubir. Nous yrattachons les cas seuls où le traumatisme a atteint la
moelle
, sans y produire de lésions en foyer, et où les
y produire de lésions en foyer, et où les troubles COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 5 fonctionnels immédiats ne sont pas
ux membres supérieurs, douleurs spontanées jusqu'au COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 7 poignet à droite, jusqu'au métacarp
ration est toujours exclusivement diaphragmatique- COMMOTION DE LA.
MOELLE
ÉPINIÈRE. 9 Les douleurs profondes persistent a
, nulle dans l'extenseur commun ; i la région péro- COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. il i nière, même résultat que du côté
matin, la température est à 40°,3, le soir à 38°,3. COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 13 93° jour. Les accidents de la veil
-Pris à une heure du soir d'un accès fébrile avec COMMOTION DE LA.
MOELLE
ÉPINIÈRE. 15 tremblement violent des membres su
, ne fait reconnaître aucune anomalie. Les méninges sont saines. La
moelle
est ferme, un peu congestionnée à la région cer
charnues. Examen microscopique. Durcissement et préparation de la
moelle
. La moelle, coupée par fragments de deux centi-
Examen microscopique. Durcissement et préparation de la moelle. La
moelle
, coupée par fragments de deux centi- mètres env
est mise immédiatement dans l'alcool ordi- naire. Une partie de la
moelle
fut laissée dans l'alcool ; une autre partie, c
ique, suivant le procédé habituel. Nous eûmes ainsi des portions de
moelle
durcie par l'alcool seul les autres par l'alcoo
aler et que nous n'avons constaté que dans les coupes faites sur la
moelle
durcie dans l'alcool exclusivement : nous voulo
us inflammatoire; ne l'ayant pas retrouvée sur les coupes delà même
moelle
ayant subi l'action de l'acide chromique, nous
yant subi l'action de l'acide chromique, nous nous procurâmes une
moelle
saine d'enfant de onze ans et après l'avoir durci
oir durcie dans l'alcool exclusivement, nous constatâmes dans cette
moelle
ainsi durcie la même infiltration embryonnaire.
pect tient-elle au mode de durcissement ? Cela est COMMOTION DE LA.
MOELLE
ÉPINIÈRE. 17 probable; aussi ne faisons-nous qu
SE. EXPLICATION DE LA PLANCHE I. FIG. 1. Coupe transversale de la
moelle
(région dorsale). Schéma indiquant la région en
. Atrophie des cordons antéro-latéraux de la région cervicale de la
moelle
, de la substance noire du pédoncule et du noyau
e Neurologie, t. VIII, p. 75.) 60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
moelle
, os). Il s'agissait d'un vieillard de soixante-di
A la pathologie et au diagnostic de la formation DE CAVITÉS DANS LA
MOELLE
ÉPINIÈRE; par FuERSTNER et ZACIIER. (Arch. f. P
a- tions. P, M. V. Sur la symptomatologie DE la compression DE la
MOELLE
, par. CARIE TUBERCULEUSE DES DERNIÈRES VERTÈBRE
cervicale et ses caractères et sur ce fait que la compression de la
moelle
par carie des dernières vertèbres cervicales s'
l y avait toujours pahyméningite externe à la face antérieure de la
moelle
, aussi pense-t-il qu'on peut diviser en deux grou
ement galvanique du grand sympathique (d'une apophyse mastoïde à la
moelle
cervi- cale) et à la faradisation modérée des m
la- quelle il arrive est qu'il s'agit d'une compression lente de la
moelle
épinière, consécutive à la carie de quelques ve
t encore après la section transverse du pédoncule cérébral et de la
moelle
. Fréquemment ils présentent un caractère toniqu
microscope ne décèle pas d'altération de la 86 SOCIÉTÉS savantes.
moelle
, ni du sciatique en rapport direct avec l'élongat
lation, dans lesquels il n'y a généralement pas d'altérations de la
moelle
allongée. 2° Les cas à foyer bilatéral ou unila
ecommandable. M. RuMt'r présente des préparations d'encéphale et de
moelle
syphilitique dans lesquelles apparaissent les a
x (section du nerf, section des racines postérieures, section de la
moelle
, intoxication au chloroforme, au curare, la str
résentation d'anomalie de développement toute par- liettlièrc de la
moelle
. Un des cas concerne un spina-bifida de la colo
ocié à une anomalie de structure du qua- trième ventricule et de la
moelle
épinière. Dans le renflement cervical, le canal
s ganglions ovariques, d'où part une excitation qui retentit sur la
moelle
, en raison de la relation intime qui existe entre
duction, par exemple, à la description du trajet des fibres dans la
moelle
. On se préoccupe ainsi successivement : 4° de l
lement établies. » Et M. Kahler décrit en détail les segments de la
moelle
, en allant du général au particulier, et en mor
à chaque région, à chaque étage, de bas en haut. Il gagne ainsi la
moelle
allongée. Il la passe en revue sous deux chefs
volutions, AL Kahler commence par leur consacrer, ainsi que dans la
moelle
, quelques lignes esquissant les grands traits de
réatinine, que Rosenthal a constatée de son côté. G. Maladies de la
moelle
épinière. 83 malades traités pondant l'année :
s faits sur lesquels on peut baser l'étude de la commotion de la'
moelle
épiuière, nous pouvons les ranger en quatre cat
r et par P. Franck, où l'examen de la co- lonne vertébrale et de la
moelle
a été complètement négatif. On objecte à ces fa
able; il est rapporté par Buzzard' : 1 Loc. rit. commotion DE la.
moelle
épinière. H7 7 Un commerçant, âgé de quarante a
Ce fait, ajoute Buzzard, paraît être un exemple de commotion de la
moelle
ayant occasionné une pneu- monie. II. S'il es
pas d'hémorrhagie ni de congestion à la surface du cerveau et de la
moelle
épinière. L'examen minutieux du cerveau n'y fit
y fit découvrir aucune lésion; mais'une section longitudinale de la
moelle
montra, au niveau de la quatrième vertèbre cerv
aucune autre lésion dans les portious adjacentes ou autres de la
moelle
. Ici, ajoute Savory, s'il est possible de ratta
nductrices du mouvement et de 1 Loc. czi., p. b4. commotion DE la
moelle
épinière. 119 la sensibilité à la lésion visibl
as de même du pouvoir réflexe. La sup- pression de la fonction delà
moelle
considérée comme centre est due à la commotion,
dit Erichsen, présente les traits ordinaires de la commotion de la
moelle
d'une manières ! évidente qu'il peut presque eu
elques traces de suppuration vers la faulx, un épaississement de la
moelle
allongée augmentée d'un tiers en largeur, un ép
tiers en largeur, un épaississement marqué des mem- branes de la
moelle
et une induration de la portion cervicale qui r
rt des lésions parait avoir été dans les méninges du bulbe et de la
moelle
, et sans êtreaussi anirmatifque l'est Erichsen
lision de ' 7')'aM. Pcth. Soc., vol. XVII, p. 20. commotion de la
moelle
épinière. 151 chemin de fer un choc sans plaies
piratoires. L'autopsie révéla une dégénérescence très étendue de la
moelle
épi- nière. Dans une observation de Bastian2,
n considérable. A l'examen ,^011 rencontra une dégénérescence de la
moelle
et, à la' fin de' la région cervicale, des lési
rres de décubitus qui se ratta- chaient à la lésion primitive de la
moelle
. D'après ces considérations nous sommes portés
ou fongueuses vraisemblablement aux dépens des enve- loppes delà
moelle
; la nature de ces lésions autorise à croire que
ath'olo- 1 : i4° ohcrvation.. ? ? v, 1 . , .....1 commotion DE la
moelle
épinière. 153 ..... ..i.rJll allt 1 gique. Ce
était peu ' 1·hr l.iyrel, vol. Il, 1881', p. JG. commotion DE la
moelle
épinière. 155 altérée, si même elle l'était. Le
observations X et XI de l'ouvrage d'Erichsen où la commotion de la
moelle
amena des troubles attribuables à la myélite ch
cette maladie. Leudet' a réuni sous le titre de congestion de la
moelle
, à la suite de chutes ou d'efforts, un certain
, que le traumatisme n'a pas agi directementsur les vaisseaux de la
moelle
, car, en admettant la possibilité de cette acti
été immédiats. Il y a eu un intermé- diaire qui n'a pu être que la
moelle
même modifiée dans quelques-uns de ses éléments
28. 2 Arch. grnér. de méd., 1863, vol. I, p. 257. COMMOTION DE LA
MOELLE
I'1n1li1tL. 157 dans la commotion, on rompt ave
- ment se fasse sentir différemment sur les divers éléments de la
moelle
et que dans certains cas, les éléments vaso-mot
as songé à suivre les nerfs jusqu'au centre, mais on a examiné la
moelle
et le bulbe qui sont intacts. Le rôle du rhumatis
le coma. Diagnostic. D'abord, dégénéres- cence multiloculaire de la
moelle
en lésion associée de certains cordons, en rése
anche, surtout dans l'hémisphère cérébral gauche. Au microscope, la
moelle
présente une dégénérescence des cordons latérau
postérieurs ne descend jamais, dans les cas de ce genre, jusqu'à la
moelle
lombaire Il n'existe pas, d'ailleurs, dans la s
uquel les systèmes histologiques qui, dans le déve- loppement de la
moelle
, ferment la marche, c'est-à-dire les sys- tèmes
té des cordons postérieurs, à partir de la portion inférieure de la
moelle
dorsale et dans toute la moelle lombaire; les c
rtir de la portion inférieure de la moelle dorsale et dans toute la
moelle
lombaire; les cordons postérieurs sont-ils lésé
e groupes d'obser- vations. Ce sont : 4° des paralysies générales à
moelle
indemne (nécropsies); 2° des paralysies général
des centres corticaux en connexion avec les centres réflexes de la
moelle
; elle n'im- plique aucunement l'idée de la dest
ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE CAUSÉES PAR L'ÉLONGATION DU NERF SCIAT
longations des nerfs entreprises sur des animaux, sans examen de la
moelle
épinière. - Groupe IV : Les mêmes, avec examen
e épinière. - Groupe IV : Les mêmes, avec examen histologique de la
moelle
. C'est à ce dernier groupe que se rapporte notr
Deutsche Zeitschr. fiii, Chirurgie, 1872, p. 450. altérations de la
moelle
épinière. 291 aux tissus voisins. Au lieu des c
h. Deulsche metl. 117ocheiische,ilt, 1880, n" 19. ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÉRE. 293 Enraiement des douleurs et retour
, Mardi.) 8 Veriieuil. - V. Duvatilt, loc. cit. ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 295 en Allemagne, en introduisant la
élongation des nerfs. (Arclz. de médecine. 1878.) ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 297 l'extrémité supérieure chez un ho
iggeiis. - The Brit. med. Journ. 1879, 1, p. 89 ? ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 299 leurs cessèrent. En 1878, l'auteu
en. oplicus (Deutsch med. lVoch., 9882, 11- 1.) ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÉRE. 301 i (1882) pratiqua cinq fois l'élo
le même recueil. é Morton. Thomas, loc. cit. ALTÉRATIONS DE LA
MOELLE
FP1NI,RE. 303 Soulagement de courte durée. Stru
ley. - The New-Yorlc 7zc £ Record., 1880, p. 173. ALTÉRATIONS DE La
MOELLE
ÉPINIÈRE. 305 traitement, prétend que la tracti
endehnung, etc. (Charité Annalen, 188-9, p. 267.) COMMOTION DE LA
MOELLE
EPINIERE. 307 nul. Blum' (t882) : Deux cas de s
, résultat nul. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPliNIÈRE3 ETUDE CLINIQUE ET CRITIQUE Par les
us difficile à résoudre dans le diagnostic des traumatismes de la
moelle
épinière. L'hématorrhachis peut rendre l'erreur
on the principles (iiiii pracliseof medicine, t859. COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 309 exigerait l'accumulation d'une qu
malade, au moins pour le réflexe plantaire. Les deux moitiés de la
moelle
ne sont pas toujours également influencées; nou
ée. Erichsen, après avoir avancé d'abord que la com- motion de la
moelle
ne s'accompagne pas de paralysie des sphincters
es périodes avancées de la maladie, lorsque le ramollissement de la
moelle
est complet. Notre observation est en contradic
notre malade que le trente-huitième jour ; nous la COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 311 I trouvons d'abord affaiblie et m
emble indiquer un certain degré d'excitabilité des éléments de la
moelle
. Nous devons aussi noter dans cette pé- riode q
ables de faire distinguer la simple commotion de la contusion de la
moelle
et de la com- pression produite par un épanchem
s luxations de la colonne vertébrale. De plus, la contusion de la
moelle
amène rapidement la décomposition ammonia- cale
basé la critique de la doctrine de la commotion. COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉP1NIÈRE. 313 On peut les trouver sous la dure-
lles de la pie-mère (hémorrhagies méningées), dans le tissu de la
moelle
(hématomyélie). L'hématorachis trauma- tique, f
testablement former un foyer assez consi- dérable pour comprimer la
moelle
2. Un fait que nous avons observé depuis la réd
duel des fonctions. S'il y a eu quelques phénomènes COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 315 d'excitation, ils n'ont pas empêc
surtout qui a cherché à ruiner la doctrine de la commotion- de la
moelle
. Ne pouvant nier les faits, il en a cherché l'e
vasé dans le canal rachidien, avec intégrité des vertèbres et de la
moelle
. Evidemment ce n'est pas l'épanchement sanguin
e faire une étude complète des symptômes de la com- COMMOTION DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 317 motion à tous ses degrés depuis l
o-spinale conviendrait mieux à ces cas que celui de commotion de la
moelle
épinière. Mais, après une perte de connaissance
lus profondément les effets du traumatisme. Tous les éléments de la
moelle
peuvent être influencés dans les fortes commoti
ments moteurs que les sensitifs, et, 318 PATHOLOGIE NERVEUSE. DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. parmi ceux-ci également ceux qui prés
sident aux* diffé- rentes variétés de sensibilité. Le rôle que la
moelle
remplit dans certaines fonctions organiques, pe
plus ou moins rapidement, ce qui indique que l'inté- grité de la
moelle
a été peu compromise, il n'en est pas toujours
ment primitif, et l'on est autorisé à penser que la structure de la
moelle
lui donne une suscepti- bilité extrême à ressen
n'est pas DU CURARE DANS L'ÉPILEPSIE. 319 du reste, spécial à la
moelle
. On le retrouve dans la pathologie du cerveau,
ons de cet exposé les conclusions suivantes : 1° La commotion de la
moelle
épinière doit être maintenue dans l'état actuel
des olives, l'atrophie porte au contraire sur le côté gauche de la
moelle
. L'hémisphère cérébelleux droit pèse 5 gr. de p
le gauche. Autopsie : tuberculose pulmonaire ; méningite purulente (
moelle
et cerveau). Charm... (Emile), dix ans, entré à
sont réduits au réflexe simple; leur domaine se trouve limité à la
moelle
, au centre génito-spinal de Büdge. C'est l'onanis
le réflexe part de l'écorce cérébrale postérieure et aboutit à la
moelle
. La vue seule, l'image d'un sexe différent, quell
selés. M. Remak ne serait pas éloigné d'adopter cette genèse par la
moelle
, et de songer à l'existence, dans l'espèce, d'u
comme on sait, d'abord dans les segments les plus postérieurs de la
moelle
; rien ne dit que, plus tard, il ne se produira
endante droite du trijumeau dans le segment le plus supérieur de la
moelle
cervicale de ce côté (cas de Schultze, Fuerstne
lusion : Il s'agit d'une lésion à évolution chronique oc- cupant la
moelle
cervicale et la moelle dorsale dont elle intéress
e lésion à évolution chronique oc- cupant la moelle cervicale et la
moelle
dorsale dont elle intéresse lestractus sensitif
sillons de Rolando. Aucune anomalie microscopique des nerfs, de la
moelle
épinière, des muscles. Il s'agit, dans l'espèce
Rosenstein, 85; (élongation du nerf sciatique et altération de la
moelle
consécu- tivesl, par Tarnowsky, 289. Encéphal
usées par l'élongation du nerf sciatique) , par Tarnowsky. 289.
Moelle
épinière (formation de ca- cités dans la), 60;
ON DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE FiG. 1. Coupe transversale de la
moelle
(région dorsale). Schéma indiquant la région en
sections se rapportant aux affections des muscles, des nerfs, de la
moelle
, des méninges, de l'en- céphale et de l'apparei
atrophiés dans un cas d'amyotrophie consécutive à une lésion de la
moelle
, j'avais pensé qu'il s'agissait d'une disposi-
rté des éléments nouveaux pour la localisation des affections de la
moelle
cervicale et de ses racines. J'ai démontré enfi
cause, qu'il s'agisse de lésion traumatique, de compression de la
moelle
par mal de Pott, de méningomyélite, de myélite tr
avec anes- thésic croisée due à une hémi-section traumatique de la
moelle
, à la partie moyenne de la région dorsale, quin
lantaire est liée à des affections diverses de l'encéphale ou de la
moelle
. Or, ces affections, à tant d'égards si différe
peuvent ne pas rester cantonnées dans les cornes antérieures de la
moelle
et envahir les cordons latéraux ; sa fréquence
paraplégies dues à un foyer de sclérose ou à une compression de la
moelle
ces réflexes se manifestent par des mouvements pl
cas de syndrome de Brown-Séquard dû à une lésion syphilitique de la
moelle
. Chez un 'autre malade, atteint d'un syn- drome
e (voir p. 67) et comme moyen de localiser les compres- sions de la
moelle
(voir p. io5). RÉFLEXES PUPILLAIRES De l'abol
ntervention chirurgicale portant sur les racines postérieures de la
moelle
, mais la crainte d'accidents m'avait toujours emp
a syringomyélie et qui, imputable à une affection orga- nique de la
moelle
, doit cependant être distinguée aussi bien de la
raît due à une irritation des cellules des cornes antérieures de la
moelle
produite par la néoformation liomateuse (1 DD)'
on noyau d'origine jusqu'à sa terminaison. » IV. - AFFECTIONS DE LA
MOELLE
PARAPLÉGIE SPASMODIQUE EN FLEXION Les notions
orme de paraplégie. Charcot, à propos de la compression lente de la
moelle
épinière. la mentionne incidemment. Voici ce qu
ée. Il en est de même de l'exaltation des propriétés réflexes de la
moelle
. Il ne faudrait pas néanmoins chercher dans cet
phénomènes est comparable à celui qui rattache 88 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
l'exagération des réflexes tendineux à la parap
it par une sclérose spinale diffuse, soit par une compression de la
moelle
ou du bulbe, elle semble liée, particulièrement
ue. - L'autopsie montra qu'il y avait compression très légère de la
moelle
par un névrome, et l'examen des coupes per- mit
bes à systématisation exceptionnelle » (120). 90 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
Dans le fait que nous avons rapporté, la topogr
lexe achilléen chez tous ces malades, sauf dans 92 AFFECTIONS DU LA
MOELLE
un cas où le trouble n'était qu'unilatéral. Or,
s liés aux altérations nerveuses du tabès, mais 94 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
cette conception, énoncée d'ailleurs avec beauc
moment, le malade n'avait eu d'hématémèse ou de 96 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
mélaena. Le malade étant mort de granulie, l'ex
emblablement une condition sine l3auwssi. 7 98 - AFFECTIONS DE LA
MOELLE
quâ non du tabes. Aujourd'hui, c'est une notion
une certaine mesure l'évolution du tabes. » 100 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
J'ai été, je le rappelle, un des premiers le pr
a Thèse de Doctoral, m'ont conduit à soumettre 102 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
à la critique certains points controversés et à
elques faits FIG. IO. \ et B. - Tubes à myéline nor- maux de la
moelle
Lis sur une coupe longitudinale. a. Cy- lindr
gratrices jouent vraisemblablement ici un rôle 104 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
prépondérant. Il est à remarquer que la fragmen
oit, le problème de l'origine des corps granuleux, phagocytes de la
moelle
, qui d'ailleurs n'est pas encore résolu, a été
la question controversée de la régénération des tubes nerveux de la
moelle
. « La régénération des tubes nerveux de la moel
s nerveux de la moelle. « La régénération des tubes nerveux de la
moelle
chez l'homme, disais-je, est encore loin d'être
n cérébrale en foyer. « Des plaques de sclérose disséminées dans la
moelle
peuvent, COMPRESSION DE LA MOELLE. TUMEURS ] :
s de sclérose disséminées dans la moelle peuvent, COMPRESSION DE LA
MOELLE
. TUMEURS ] : '\TRA-RACI/lDIEOEES 105 lorsque le
une forme aiguë de la sclérose en pla- ques. » COMPRESSION DE LA
MOELLE
. TUMEURS INT Rr1-IAGHIDIrITNrS Localisation.
INT Rr1-IAGHIDIrITNrS Localisation. Dans les compressions de la
moelle
, la topographie de l'anesthésie permet générale
j'ai cherché à l'établir avec Jarkowski (171). 106 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
La hauteur du territoire cutané dont l'excitati
permet de reconnaître la limite inférieure d'une compression de la
moelle
. Tel est le résultat auquel nous ont conduit no
e lésion spinale siégeant certainement à la partie supérieure de la
moelle
dorsale et chez lesquels l'excitation de l'ab-
nt de déterminer, par leur association, la longueur sur laquelle la
moelle
est comprimée; elles constituent l'une pour l'aut
totale. Nous pûmes reconnaître 1 existence d'une compression de la
moelle
, probablement par tumeur, et en déterminer avec p
pé aux dépens des méninges molles fut aisément 108 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
extrait. L'examen histologique montra que c'éta
s atteint d'une contracture généralisée due à une compression de la
moelle
cervicale, contracture rapidement améliorée, pu
e permettent d'affirmer l'existence d'une affection organique de la
moelle
cervicale..... Vraisemblablement, l'hémiplégie
tance d'une perturbation du système pyramidal. 110 AFFECTIONS DE LA
MOELLE
« Y a-t-il coïncidence purement fortuite de l'u
pratiquée plus tard a décelé l'existence d'une tumeur comprimant la
moelle
, confor- mément à l'hypothèse qui avait été émi
part des tentatives de radiothérapie dans diverses affections de la
moelle
(tabes, sclé- rose en plaques, etc.). A vrai di
algré la durée et l'intensité de cette méningite, les racines de la
moelle
, qui sont restées plusieurs mois en contact ave
'on aurait pu attribuer à une lésion siégeant exclusivement dans la
moelle
, et, sans la ponction, l'existence même de la m
très forte, n'avait cependant pas amené de lésions profondes de la
moelle
; il n'existait pas, en effet, de dégénérescence
ilité était conservée. 3° Les racines, quoique plus altérées que la
moelle
(état clair, dégé- nérescence ascendante du fai
ion organique des cellules ner- veuses des cornes antérieures de la
moelle
. J'ai montré (i4) qu'une lésion cérébrale accom
section des nerfs ou à la destruction des cornes antérieures de la
moelle
, sans que les cellules des cornes antérieures s
peut les constater aussi dans la monoplégie liée à une lésion de la
moelle
ou à une névrite. Pour interpréter ces faits, i
nés en coupes sériées, par la méthode de Marchi. Des cou- pes de la
moelle
sont pratiquées au niveau de chaque paire radicu-
veau de chaque paire radicu- laire (méthode de Marchi). De plus, la
moelle
et l'écorce cérébrale sont examinées sur des co
mique et occupant toute l'étendue de la cavité sous-arachnoïdienne (
moelle
et cerveau) ; 2° des lésions locali- sées, véri
ters, en partie du cervelet ; s'il existe une voie ascendante de la
moelle
au noyau de Deiters (Probst), cette voie est ég
la couche interolivaire ; d) les voies ascendantes latérales de la
moelle
(faisceau de Gowers), le faisceau cérébelleux d
rées que l'on peut suivre jusque dans les régions inférieures de la
moelle
; elles forment un faisceau qui coiffe la corne
igne de l'orteil) de l'hyperexeitabilité des centres réflexes de la
moelle
, telle que peut la produire la dégénérescence du
use avec prédominance des lésions dans les cornes antérieures de la
moelle
(Revue de Médecine, 1884). 10. Note sur un cas
e de Ifédeciiie, 188b). Il. Sur les lésions des tubes nerveux de la
moelle
épinière dans la sclérose en plaques (Académie
laques et élude comparative des diverses variétés de sclérose de la
moelle
(Archives de Physiologie normale et pathologiqu
e d'origine cérébrale avec intégrité des cornes anté- rieures de la
moelle
ci des nerfs moteurs (Sociélé de Biologie, 20 fév
ux, 27 février 1891). 2(). Paraplégie flasque par compression de la
moelle
(Archives de Médecine expé- riurenlale el d'eln
1893). 41. Sur les scléroses systématiques dites primitives de la
moelle
(Id., ig jan- vier r Sg4). 42. Paraplégie cru
ire (Id.). 128. Contracture généralisée due à une compression de la
moelle
cervicale, très améliorée à la suite de l'usage
cembre 1909')' 165. Sur la localisation des lésions comprimant la
moelle
. De la possibilité d'en déterminer le siège au
d.). 186. Tumeur méningée. Paraplégie crurale par compression de la
moelle
. Extraction de la tumeur. Guérison (en collabor
région dorsale supérieure, Paraplégie crurale par compression de la
moelle
. Extraction de la tumeur. Guérison (en collaborat
igg. Contracture liée à une irritation des cornes antérieures de la
moelle
dans un cas de syringomyélie (Société de Neurol
iale 80 Ilémispasme facial périphérique 81 IV. - Affections de la
moelle
8r. Paraplégie spasmodique en flexion 86 Tabè
................. 101 Sclérose en plaques loi 1 Compression de la
moelle
. Tumeurs intra-rachidiennes.......... 105 Local
d'étudier les signes cliniques des altérations bilatérales de la
moelle
, qui, d'après desobservations antérieures, se pro
s. Pas de sillon au lobule paracentral ; rien à la corne d'Ammon.
Moelle
. Plusieurs coupes n'ont pas fait découvrir de scl
me sur le développement de la contracture, lorsqu'il existe dans la
moelle
épinière une lésion capable de déterminer une e
fluence d'un traumatisme dans certaines lésions matérielles, delà
moelle
épinière, peut-être rapproché de ce qu'on observe
SCEAU SENSITIF. 71 1 sensibilité générale ou spéciale arrivent à la
moelle
par les racines postérieures ou au bulbe par l'
nnées cependant sont acquises : 1° le trajet des sensations dans la
moelle
n'est ni régulier ni constamment le même, la co
ent élucidée. Peut- être la perturbation apportée dans le jeu de la
moelle
par le retentissement de l'altération du cervea
urs cerveaux (surtout la circon- volution frontale ascendante et la
moelle
allongée) de ma- lades morts de fièvre typhoïde
a constaté les mêmes altérations dans les cellullcs nerveuses de la
moelle
allongée et surtout dans le noyau du pneumogast
uva dans les bronches àpeine quelquestraces d'organisation. Dans la
moelle
, on constata un fort développement d'éléments c
optant l'opinion que l'épi lepsie est corticale c'est-à-dire que la
moelle
allongée influence d'abord les vasomoteurs céré
nt la localisation de la syphilis sur les cordons postérieurs de la
moelle
épinière, sont personnels ou héréditaires; parm
que le pense le professeur Luciani pour lequel l'excitation de la
moelle
allongée n'est qu'un phénomène secondaire et non
ant, les unes sur l'écorce cérébrale, les autres directement sur la
moelle
sans qu'il soit besoin de la substance cortical
à l'excitation d'autres régions des centres nerveux, telles que la
moelle
al- longée. P. M. le REVUE DE PATHOLOGIE NERV
traînait des mani- festations aiguës. Les cordons postérieurs de la
moelle
n'avaient participé au processus que d'une faço
eant dans la moitié postérieure droite du renflement cervical de la
moelle
, plus tard compliquée de dégénérescence seconda
té des zones et du nerf dis- parait. Les courants agissant sur la
moelle
(ascendants ou descendants) et sur le cerveau,
es altérations pathologiques tétaient les suivantes : SARCOME DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 325 OEdème du poumon, hyperhémie très
e apparition tout à fait inattendue et intéressante du. côté, de la
moelle
épinière.. . il . t;..., z ., 1 ., 1 La partie
le épinière.. . il . t;..., z ., 1 ., 1 La partie 'intérieure de la
moelle
cervicale et particulièrement le segment inféri
umeur prenait part surtout la face antérieure et, latéiialci dalla,
moelle
PL.'V, fi. 1, 2, 4 et 5). La proéminence avait
a forme diune,ellipse, elle comprenait toute la moitié gauche de la
moelle
et pénétrait dans la moitié droite de telle man
centimètres, son axei longitudinal se confondait avec .celui de la
moelle
.. Juste au milieu ? cest-i,rdiue sur le point c
e, elle se présentait à l'oeil comme une projection en fuseau de la
moelle
; la couche superficielle était composée de subs
e qui se confondait, et 'se,con tir nuait sans interruption avec la
moelle
environnante. i-1-1 ? r h ! Sur une coupe trans
t donc cette néoplasie qui, pér sapré- sence dans l'intérieur de la
moelle
épinière, avait occasi0nnécetté difformité. L'i
ômes et particulièrement ceux qui auraient indiqué une lésion de la
moelle
à la 'naissance du plexus brachial n'ayant pas
les et se développer avec une force extraordinaire aux'dépehs de la
moelle
, sans provoquer aucun trouble de ce côté : ' 1,ti
la.substance gnse de la partie saine, z de la moitié droite de la'
moelle
, conservait sa configuration naturelle, la corn
issie une taché foncée'(Iï7(/. 2) qui se distinguait du reste de la
moelle
par une plus grande'épais- si, ji- 111311,/ lit
s net, et finalement la tumeur apparaissait, séparée du reste'de la
moelle
, par une capsule. fresi fine de tissu conjonctif
étroitement lié, par l'intermédiaire de la capsule, au tissu de la
moelle
; son bord postérieur était, au con- capslle, ti
lusçp dedans sur la substance grise, en dehors, vers le bord de la'
moelle
.' Enfin ne' trouvant plus assez 4 ? ilP'ftrfîii
/ 1 ,. ? ? i J .. , T , de préférence pour colorer les coupes de la
moelle
cptmere du brun de Bismarck et du violet de gen
ïé'VîoIet ile,'èehtiànb%à1 l'avantage' tout laaoticû- SARCOME DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 327 ' ' ' OJ- lier de teindre en vi
ance blanche' ainsi que les vaisseaux, et le tissu conjonctif de la
moelle
? J0'" 1 t Sur la coupe je trouvai la substance
a tumeur avait 'fait subir à la" substance blanche, et, grise de la,
moelle
érïmrôi nanié ecuent`tivs` éiii)3r- quables. El
ion micrométrique com- parative de ces cordons des deux côtés de la
moelle
épinière. Substance blanche. (PL. V, i,g. 5.)
V, i,g. 5.) * 1° Cordons antérieurs des pyramides. SARCOME DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 329 qui ne rappelait plus que par sa
ment diminué de volume, comparés à ceux de la moitié' droite de; la
moelle
. ! ' i Les modifications de la substance grise
étrique en largeur et longueur des ganglions des deux moitiés de la
moelle
, d'après les coupes transversales citées plus l
u : il s-'j|> 'ilfll'i/ .l'il u i . u t i' 1, 1 .1 SARCOME DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 331 (' , NC.LION- '. 332 RECUEIL DE
présent sur la nature et sur certainespropriétés des éléments de la
moelle
épinière, d'autant plus précieux qu'il seraient
une pression lente et croissante, dont jouissent les tissus de la
moelle
. Si on connaissait déjà par la voie expérimentale
riphérique peut être comprimé jusqu'à changer complè- SARCOME DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 333 tement de forme, sans pour cela p
ogique. D'après Klebs, la plupart des tumeurs du cerveau et de la
moelle
sont des neurogliomes, c'est-à dire des hyperplas
'est-à dire des hyperplasies des tissus normaux du cerveau et de la
moelle
. Les tumeurs plus 334 'RECUEIL DE FAITS. rare
icroscopiques de la tumeur, elle ne provenait ni delà surface de la
moelle
, ni de lapie-mère, ni des vaisseaux, mais très
ar un petit faisceau de tissu conjonctif parcburu' de SARCOME DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 335 quelques vaisseaux. Quoique la. t
essante et nou- velle. Dans mon travail sur « les vaisseaux de la
moelle
épinière chez l'homme » '.publié récemment, j'a
che accompagnent les plus grandes ramifications des vaisseaux de la
moelle
etque la substance grise est le siège des capil
figures représentent des coupes successives (de haut en bas) de la
moelle
au niveau de la tumeur. Fig. 1. Augmentation du
moelle au niveau de la tumeur. Fig. 1. Augmentation du volume de la
moelle
antérieure de la corne antérieure gauche sans a
re qui peuvent se rencontrer aussi bien dans le cerveau que dans la
moelle
. Rappelons toutefois que Mùller, Kulz, Taylor e
terme d'acétonémie. , REVUE D'ANATOMIE I. Sur les vaisseaux DE la
moelle
épinière (Analyse et critique du mémoire de M.
, si l'auteur eût donné à nos recherches sur la circula- lion de la
moelle
épinière la place qu'elles méritent, et qui leur
s nerveux, et en extraire ce qu'il dit sur la vascularisation de la
moelle
: Il y a une harmonie complète dans toute la va
u'aux noyaux. Il en est de même pour les artères nourricières de la
moelle
: les unes sont médianes, les autres radiculair
les unes sont médianes, les autres radiculaires... Il y a dans la
moelle
des artères médianes antérieures et postérieures
te très complète sur la circulation des vaisseaux nourriciers de la
moelle
épinière. Il y a bientôt neuf ans. (Voy.,yVo/e' l
/e' les artères nourricières et sur les vaisseaux capillaires de la
moelle
épinière, in Progrès médical, 23 novembre 1873,
er dans le Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales; art.
Moelle
et dans plusieurs ouvrages français et étranger
fesseur Charcot a introduit ces recherches sur la circulation de la
moelle
épinière dans son enseignement public à la Facu
mplète, l'origine et la distribution des artères nourricières de la
moelle
épinière c'est-à-dire des vaisseaux artériels q
es résultats principaux de nos recher- ches sur la circulation delà
moelle
épinière. Si leur originalité reste entière, et
relative aux vaisseaux artériels et veineux dans l'épaisseur de la
moelle
épinière ; la seconde, sur l'originalité de laq
x sur des coupes horizontales faites à différentes hauteurs dans la
moelle
épinière, sur des coupes transversales ou front
elativement ,à>la» disposi- tion des réseaux capillaires dans la
moelle
épinière : Un réseau 1 " ' 4 360 REVUE d'anat
iption de l'aspect général du réseau capillaire des vaisseaux de la
moelle
épinière, M. Adamkiewicz s'occupe de l'étude de
antérieur, quand elle a atteint le voisinage du canal central de la
moelle
épinière, se divise en une multitude de rameaux
za stilci), selon l'auteur allemand,est une des plus grosses 'de la
moelle
, son diamètre varie de 0 m. 135 à 1 m. 270 mm.
uve sept environ par centimètre de hau- teur ; de sorte que sur une
moelle
d'adulte qui mesure environ 0 m. 36 à 0 m. 38 d
colonne de Clarke ne se voient que dans la partie inférieure de la
moelle
dorsale et dans la partie supérieure de la moel
inférieure de la moelle dorsale et dans la partie supérieure de la
moelle
lombaire, où existe seulement la colonne de Cla
montent et des- cendent verticalement dans la substance grise de la
moelle
de chaque côté du canal central, à quelque dist
urales : elles fournissent du sang à la partie grise centrale de la
moelle
épi- nière, en occupent symétriquement les deux
es de la substance grise. Le deuxième système des vaisseaux de la
moelle
épinière, d'après M. Adamkiewicz, est le systèm
seaux de la couronne et comprend tous les autres vaisseaux de la
moelle
épinière. La description qu'il en donne ne diffèr
sion remarqua- ble à nos connaissances sur la vascularisation de la
moelle
épinière. Une dernière coïncidence entre les tr
es, semblent donc prédominer comme les régions posté- rieures de la
moelle
chez le foetus, prédominance retrouvée par Broc
. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. Lésion unilatérale DE la
moelle
; par le Dur Richard SCHULZ (de Brunswick). (Ce
conservée. Il s'agit ici évidemment d'une lésion hémilatérale delà
moelle
. L'instrument a atteint la moitié droite, entre
flam- mation de la caisse, au cerveau ; celle du labyrinthe, à la
moelle
allongée. Gull a modifié cette loi trop absolue d
de la pie-mère etde l'écorccen ces régions. Intégrité absolue de la
moelle
et des. gros troncs nerveux. Généralisation sar
icale. Phénomènes tendineux pro- noncés. Myélite (transverse) de la
moelle
dorsale inférieure avec dépôt pigmentaire abond
s scléreux à travers la région dorsale inférieure et lombaire de la
moelle
. Lésions des cordons de Goll dans la moelle dor
ieure et lombaire de la moelle. Lésions des cordons de Goll dans la
moelle
dorsale et cervicale; lésions du faisceau pyram
moelle dorsale et cervicale; lésions du faisceau pyramidal dans la
moelle
lombaire. Le processus devrait être considéré c
XXIII. Dégénérescence I'UNIb'OR : 11E DES CORDONS postérieurs DE LA
MOELLE
ACCOMPAGNÉE DE 91LNIGODIYLITE EN FOYERS ; par J
chronique à travers les tractus conjonctifs qu'elle envoie dans la
moelle
(prolifération interstitielle et atrophie consé
la troisième paire cervicale. Atteinte des cordons de Goll dans la
moelle
allon- gée. Faible lésion des faisceaux cunéifo
ormes. Altérations mar- ginées en toute la moitié postérieure de la
moelle
allongée, et çà et là, le long des cordons post
mmatoires de la pie-mère tout autour de la portion inférieure de la
moelle
allongée et de la coexis- tence en cet endroit
sse- ment considérable de l'épendyme à la région supérieure de la
moelle
, au-dessous de la protubérance, sans dégénérescen
ion gagnant en profondeur d'abord dans les cordons postérieurs delà
moelle
lombaire, puis dans la région thoracique supéri
thoracique supérieure comprenant les cordons antéro-latéraux de la
moelle
cervicale et d'un loyer parenchymateux dans les
portante; parmi les symptômes caractéristiques d'une maladie de la
moelle
, ne sauraient dépendre que du foyer qui siège a
ions) ; l'extension transverse, à cette. hauteur, des lésions de la
moelle
aux deux cordons antérieurs, (expériences de Br
seule fois il était absent, et dans trois cas il était exagéré. La
moelle
a été examinée dans dix- huit cas ; quand les r
xaminée dans dix- huit cas ; quand les réflexes étaient normaux, la
moelle
n'of- frait aucune lésion ; quand ils étaient e
on SPINALE.- lésions destructives DE L'EN- céphale. AFFECTION DE LA
MOELLE
; par W. JULIUS Mickle. (Tlce Journal of Mental
qui avait paru exister sur les membres du côté droit. L'état de la
moelle
tou- tefois fournit quelques explications sur c
(notes et observa- tions surIa),parBoarneyd)e et Wuillamié, 52.
Moelle
(lésions unilatérales de la), 369. Moelle (af
e et Wuillamié, 52. Moelle (lésions unilatérales de la), 369.
Moelle
(affections de la), localisa- tion, 395. Moel
de la), 369. Moelle (affections de la), localisa- tion, 395.
Moelle
(dégénérescence funiforme des cordons postérieu
rieurs de la) accompagnée de méningo-myé- tite en foyers). 383.
Moelle
épiniere (sarcome de la), à marche latente siég
au point d'émergence du plexus brachial, par Adamkiewicz, 323.
Moelle
épiniere (sur les vaisseaux de la), par Adamkie
aibles d'esprit, 117. Rhéostats à manivelle, 253. Sarcome de la
moelle
épinière, par Adamkiewicz, 323. Sclérose laté
figures représentent des coupes successives (de haut en bas) de la
moelle
au niveau de la tumeur. Fig. 1. Augmentation du
moelle au niveau de la tumeur. Fig. 1. Augmentation du volume de la
moelle
antérieure de la corne antérieure gauche sans a
elle il était arrivé à s'éclairer à son temps sur les cordons de la
moelle
, à établir le plan général de cons- truction du
les différents centres de la partie du milieu du cerveau, avec les
moelles
allongée et épinière, et cela aussi bien par de
). Ce savant n'obtenait, en[irritant les racines postérieures de la
moelle
épinière chez la grenouille, aucune variation nég
blement montré, lors de l'irritation des racines postérieures de la
moelle
épinière, des contractions musculaires réflexes ;
la douleur commencent comme cordons indépendants seulement dans la
moelle
épinière, cependant qu'elles n'existent pas com
conjonctif irrite les cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
du côté correspondant, d'où le phénomène de con
6, II, p. 216). ' (3) BOUCHARD, Des dégénérations secondaires de la
moelle
épinière. Arch. gén. de méd., 1866. LE MÉCANI
iens disaient excitation du cerveau ; Bouchard dit excitation de la
moelle
. A celte époque d'autres auteurs comme Leubnsch
-versa les cas de compression médullaire ou de section totale de la
moelle
cervico-dorsnle avec phénomènes de paraplégie fla
tissu conjonctif du cordon latéral sur les cornes antérieures de la
moelle
. Ce qui conduit M. Brissaud à admettre, d'accord
harcot,que la contracture est un état de strychnisme permanent delà
moelle
. Charcot (2) a bien vu que la contracture, quoi
ait l'excitation des cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
, irritation analogue à celle que produit la str
T, Leçons sur les loculisaliims dans les maladies du cerveau el de la
moelle
épinière. OEuvres complètes, t. IV, p. 339. (
te du pouvoir inhibiteur du cerveau sur les cellules motrices de la
moelle
. Ceci nous fait passer à la théorie de M. Pierr
e, nous verrons plus tard ce qui excite les cellules motrices de la
moelle
. Mya et Levy, Rïtssell, Freud, Massatollgo adop
éorie de P. Marie. (1) Prenne MAME, Leçons sur les maladies de la
moelle
, 1892, p. 24. 30 NOICA Jusqu'ici il nous para
encéphale, et va mettre en activité l'ilot de substance grise de la
moelle
d'où naissent les fibres nerveuses destinées au
les îlots homologues de la substance grise de l'autre moitié de la
moelle
... » * Unverricht montre que les mouvements bil
2, éd., t. Il, p. 86. Cité d'après Camus. ' (2) VULPIAN, Article
Moelle
. Dictionnaire Dechambrr, 528. LE MÉCANISME DE L
que chez l'homme dans les cas de lésion transversale complète de la
moelle
, dans la région cervicale ou dorsale supérieure,
r par des faits cliniques qu'à la suite de sections complètes de la
moelle
, le malade, s'il vit encore, présente delà para
démontre que s'il n'y a pas de communication entre le cerveau et la
moelle
il n'y a pas de contracture, d'où les conclusions
admettre que dans les conditions ordinaires, le cerveau envoie à la
moelle
des impulsions vagues et diffuses, nécessaires à
s à l'acti- vité fonctionnelle propre des centres renfermés dans la
moelle
. Cette explication suffit pour interpréter les
influence que l'écorce cérébrale exerce sur certaines parties de la
moelle
épinière permet à l'influence cérébelleuse d'ex
ZD « Par quelles voies s'exercerait cette action du cervelet sur la
moelle
, action antagoniste de celle du cerveau ? Il n'
de la voie directe cortico- spinale aux cellules radiculaires de la
moelle
; soustraites ainsi à l'action inhibitrice, au
e l'influence du cerveau, alors le cervelet reste seul et excite la
moelle
, d'où le tonus exagéré (la contracture), d'où l
contracture), d'où les réflexes tendineux exagérés ; et si toute la
moelle
est sectionnée à la région cervicale, c'est-à-dir
CA il faut absolument que la communication entre l'encéphale et la-
moelle
existe, autrement pas d'excitation du cervelet,
ue d'après Charcot-Bouchard du moment qu'il y avait la sclérose, la
moelle
pouvait être séparée de l'encéphale. La différenc
e du côté sain, dit excitation, dit liaison entre l'encéphale et la
moelle
. Et avec tous ses progrès, le mécanisme de la c
nécessaire d'être mieux renseigné sur la physiologie normale de la
moelle
; nous sommes prévenus d'autre pari que la physi
projection cortico-médullaires. Mais dans la région cervicale de la
moelle
épinière (fig. 5) apparaît une dégénérescence t
action des fibres du cordon de Goll dans la partie supérieure de la
moelle
, on sait qu'elle s'observe fréquemment chez les v
protubérance annulaire et le bulbe, mais elles reparaissent dans la
moelle
épinière où on suit le trajet du FPyC (1) jusqu
paracentral n'envoie que peu de fibres de projection jusque dans la
moelle
épinière ; il a fallu re- chercher dans cette d
JD droit ne montrent pas de sclérose névroglique interstitielle. La
moelle
épinière n'ayant pu être retirée à l'autopsie,
i de la 5e était atteint seu- lement dans sa partie postérieure. La
moelle
était étranglée, entre les 5e et 6e paires,et r
sont très dilatés, la différenciation entre les deux substances de la
moelle
a presque complètement disparu. Dans la substan
, jusqu'aux limites delà compression, dans les autres régions de la
moelle
,il n'y a que les dégénérescences ascendantes et d
Envahissement des corps vertébraux correspondants. Étranglement de la
moelle
entre les V* et Vl paires. Intégrité de la dure
rvicales et de la 4r° dorsale avait déterminé une compression de la
moelle
et des plexus brachiaux; le diagnostic clinique
néo- plasme avait détruit la 5° vertèbre dorsale, et comprimait la
moelle
. Mais, le plus souvent,la marche des accidents
xtirpa la tumeur et les apophyses épineuse des 5" et 6e dorsales.La
moelle
était ramollie, la dure-mèreparaissaitintacte. En
ans le canal, une tumeur du volume d'une petite pomme comprimant la
moelle
. Elle fut extirpée, et l'auteur enleva à la gou
pell (1) notamment insiste sur l'intégrité, parfois complète, de la
moelle
en pareil cas, ce qui explique la rapide guérison
es toxines, dans la genèse des lésions médullaires. En comparant la
moelle
de notre malade avec celle des nombreux Pottiqu
VI" segments dorsaux. E. Substance blanche du cordon latéral de la
moelle
au point comprimé. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PAR
s séjour dans le Muller, a été traitée par la méthode de Marchi. La
moelle
a été examinée dans 4 segments : la moelle sacr
la méthode de Marchi. La moelle a été examinée dans 4 segments : la
moelle
sacrée au Marchi, la partie moyenne du renflement
les aspects de la symphyse radicuto-meningée, des racines et de la
moelle
. Symphyse radicuLo-neéaingée. La masse princi
nciennes et plus grandes qu'on les étudie plus bas. Fm.5, 6 et 1. -
Moelle
sacrée. Marchi. On voit dans SI, S)), SIII. la
t localisé à droite et prédominant sur les racines sensitives. La
moelle
a des lésions dégénératives de deux ordres. Le
° paire lombaire droite ; les racines antérieures sont normales. La
moelle
lombo-sacrée, depuis le il, segment lombaire jusq
midal croisé formant un petit triangle touchant la périphérie de la
moelle
et séparé de la corne postérieure par une bande
le long du sillon médian postérieur jusqu'au bord postérieur de la
moelle
et la zone cornu-commissurale de plus en plus pet
eue de cheval par dégénérescence ascendante massive, suivie dans la
moelle
, des racines sen- sitive.s droites, Lv, Si à Sv
s troubles est la même, que la lésion porte sur la racine ou sur la
moelle
. Aussi ce sont des nuances ou des symptômes conti
IG, Hémato»iyélie de l'épicdne et de la base du cône terminal de la
moelle
. Soc. de Neurologie, 6 déc. 1900. (4) Orrevurm,
omyélite hémorragique de la moitié gauche du segment terminal de la
moelle
une impotence subite du membre inférieur gauche a
du centre ovale de Fleschsig (3) (faisceau de Ho- che) (4) dans la
moelle
lombaire et du triangle de Gombault et Philippe (
moelle lombaire et du triangle de Gombault et Philippe (5) dans la
moelle
sacrée montre, une fois de plus, qu'ils ne dépend
n de la zone cornu-commissurale à me- sure que l'on descend dans la
moelle
sacrée et que le faisceau de Hoche d'abord, le
ntient aussi des fibres endogènes puisqu'elle est conservée dans la
moelle
lombo-sacrée, son aire se modifiant aux dépens
du faisceau de Hoche au-dessus de VI montre que l'ana- tomie de la
moelle
, dans le cas actuel, ne répond pas à la descripti
uleuse, subir des lésions indépendantes de toute modification de la
moelle
épinière et absolument comparables à celles qu'
place indépendamment d'une lésion préexistante du cer- veau et delà
moelle
épinière. De ces névrites ils en firent trois cat
arcot et quelques autres. 136 G. CATOLA Examen histologique DE la
moelle
épinière (PI. XXIV, XXV, XXVI). Méninges. Métho
s évidente de la Fig. 3, qui reproduit une racine postérieure de la
moelle
lombaire inférieure, sur une coupe longitudinal
- lorées par la laque hématoxylinique à n'importe quel niveau de la
moelle
. Méthode de Cajal. Fixation en alcool ammoniaca
euses qui constituent les racines antérieures et postérieures de la
moelle
épinière. Moelle épinière. Méthode de Marchi. L
nt les racines antérieures et postérieures de la moelle épinière.
Moelle
épinière. Méthode de Marchi. Les petits morceaux
pinière. Moelle épinière. Méthode de Marchi. Les petits morceaux de
moelle
, enlevés à ses différentes hauteurs, ont été pa
ent préalable de trois mois environ dans le liquide de Müller : .
Moelle
cervicale : On peut dire que les 9/10 des gaines
t la coloration jaunâtre caractéristique de la méthode de Marchi.
Moelle
dorsale : On observe à ce niveau les mêmes faits
: On observe à ce niveau les mêmes faits qu'on a constatés dans la
moelle
cervicale (fig. 6). Moelle lombaire supérieure
mêmes faits qu'on a constatés dans la moelle cervicale (fig. 6).
Moelle
lombaire supérieure : Dans cette région le nombre
n noir est sensiblement plus grand dans la moitié postérieure de là
moelle
que dans l'antérieure. Cette différence se rend s
dans la substance grise il n'y en a que quelques-unes isolées. *
Moelle
lombaire inférieure : Ici le nombre des gaines my
nsidérer comme réduit à la moitié de ce qu'il était au niveau de la
moelle
cervicale. Cependant les zones de pénétration o
ntré plus haut (Fig. 2). Contrairement à ce qu'on a observé dans la
moelle
cervi- cale et dorsale, la substance grise cont
aux des fibres nerveuses teintes en noir, entrelacées en tous sens.
Moelle
sacrale : On y retrouve les mêmes faits que dans
us sens. Moelle sacrale : On y retrouve les mêmes faits que dans la
moelle
lombaire inférieure excepté un nombre encore mo
n pratique des coupes longitudinales, à n'importe quel niveau de la
moelle
, on confirme d'abord la constatation, que nous av
nglement progressif des zones intermédiaires. , Méthode de Cajal. -
Moelle
cervicale : Des cellules des cornes antérieures
res et aussi dans la substance blanche des différents cordons de la
moelle
, semblerait constituer un argument d'une cer- t
que nous l'avons d'ailleurs obtenu sur des coupes, provenant d'une
moelle
saine durcie dans le liquide de Millier pen- da
rties égales ; coloration des coupes avec le bleu de toluidine. -
Moelle
cervicale : On peut dire tout d'abord qu'un certa
servent encore à peu près leur aspect habituel. - 140 G. CATOLA
Moelle
dorsale : La plus grande part des cellules de la
ns que nous avons brièvement résumées à propos des cel- lules de la
moelle
cervicale. 1 Moelle lombaire : A ce niveau le n
vement résumées à propos des cel- lules de la moelle cervicale. 1
Moelle
lombaire : A ce niveau le nombre des cellules, co
ésiculaire. Ainsi que nous venons de le voir, les altérations de la
moelle
épinière de notre malade sont assez prononcées
n'aient pas négligé d'appliquer cette même méthode à l'étude de la
moelle
épinière dans des cas de ce genre. Il faut cepe
on trouve que les auteurs se sont surtout attachés à l'étude de la
moelle
épinière chez les tuberculeux et que c'est just
ntraire, beaucoup moins envisagées. Le premier auteur qui étudia la
moelle
épinière chez les tuberculeux avec la méthode d
ouve décrites des altérations du même genre, tantôt légè- res de la
moelle
et diffuses, tantôt localisées à certains système
des granulations noires assez fines dans la substance blanche de la
moelle
et dans les racines. Nonne (1899), dans 3 cas
Il considéra cette altération comme l'expression d'un trouble de la
moelle
. hahlden (1901) en étudiant 6 de ces cas à l'ai
e méthode trouva lui aussi une dégénération légère et diffuse de la
moelle
avec lésion plus intense des zones radiculaires
intense des zones radiculaires postérieures. Ransohoff (1902) en 18
moelles
sur 11 provenant d'aliénés tuberculeux rencontr
altérations des cordons postérieurs étaient plus accentuées dans la
moelle
cervicale ; celles des faisceaux pyramidaux,au ni
moelle cervicale ; celles des faisceaux pyramidaux,au niveau de la
moelle
lombaire supérieure. La portion extramédullaire d
dégénéra- tive d'origine tuberculeuse, observa un foyer limité à la
moelle
lombaire avec participation de la corne antérie
e système nerveux pé- riphérique, peuvent agir en même temps sur la
moelle
épinière, en y dé- terminant pour ainsi dire un
euses terminales que dans les troncs nerveux eux-mêmes, mais que la
moelle
et les racines médullaires sont toujours normal
la polynévrite tuberculeuse ne mentionne pas d'autres lésions de la
moelle
en dehors de quelque altération médullaire. S
tes des cordons postérieurs, sur- tout dans le cordon de Goll de la
moelle
cervicale avec épaississement du feutre névrogl
méthode de Marchi a été complètement né- gligée dans l'étude de la
moelle
épinière dans la polynévrite tuberculeuse. Il f
renchymateuse, symétriquement disposées dans les deux moitiés de la
moelle
et revêtaient toujours le caractère de dégénérati
que la méthode de Marchi ne donnait aucun résultat au niveau de la
moelle
cervicale et dorsale, mais, qu'au contraire, dans
u de la moelle cervicale et dorsale, mais, qu'au contraire, dans la
moelle
lom- baire il y avait dégénération graisseuse d
t dégénération des zones radiculaires postérieures. Au niveau de la
moelle
sacrée la dégénération des fibres myéliniques éta
bre colorée en noir de la même façon que nous avons décrite dans la
moelle
épinière. Le nerf sciatique reste presque intac
intéressant sur les dégénérescences primaires et secondaires de la
moelle
épinière, que la dégénérescence primaire est cara
es choses, au contraire, ne se passent pas de la même façon dans la
moelle
épinière, ainsi que nous l'avons déjà vu plus hau
pour les fibres des nerfs périphériques et les cordons blancs de la
moelle
épinière. En d'autres termes, une même cause ag
ons que nous avons observées dans les cellules ganglionnaires de la
moelle
épinière ne seraient pas suffisantes pour justi
anatomo-pathologique du système nerveux périphérique et celui de la
moelle
épinière et montrer d'une façon péremptoire la di
Prn. 1. Coupe transversale d'une racine postérieure au'niveau de la
moelle
cervicale. Méthode de Marchi. Grossissement : O
ode de Marchi. Grossissement : Oc. 4 Comp., Ob. A, Zeiss. Fic. 2. -
Moelle
lombaire coupée transversalement. - Racine postér
n postérieur (Cp). - Méthode de Marchi. Même grossissement. Flo. 3.
Moelle
lombaire, coupe longitudinale.- Rp, racine postér
hode de Marchi. Même grossissement. Fig. 4. Racine antérieure de la
moelle
cervicale, coupée transversalement. Méthode de
ment : Oc. 4 Comp., Ob. DD, Zeiss. FiG. 5. Coupe transversale de la
moelle
cervicale. - c, commissure blanche. - Méthode d
ement : Oc. 4 Comp., Ob. A. Zeiss. Fia. 6. Coupe transversale de la
moelle
dorsale. - ld., Id. PLANCHE XXV Pio. 7. Coupe
dorsale. - ld., Id. PLANCHE XXV Pio. 7. Coupe transversale de la
moelle
lombaire supérieure. Zp, zone pyra- midale. Mét
e de Marchi. - Même grossissement. Ftu. 8. Coupe transversale de la
moelle
. sacrée. - Id., Id. Fia. 9. Coupe longitudinale
de la moelle. sacrée. - Id., Id. Fia. 9. Coupe longitudinale de la
moelle
cervicale à travers les cordons posté- , rieurs
éthode de Marchi. Grossissement : Oc.4 Cornp.,Ob.DD,Zeiss. Fio. 10.
Moelle
cervicale, corne antérieure. Coloration avec le b
- D, NOICA.- Considérations analomiques et physiologiques sur la
moelle
. Les réflexes tendineux et cutanés, autant que
ous croyons l'avoir trouvée dans la physiologie et l'anatomie de la
moelle
. Quoique pour la production d'un réflexe osseux i
préalablement porté un peu en arrière représente la fonction de la
moelle
, ou des muscles excités, qui se traduit par l'act
les études modernes des localisations des fonctions motrices de la
moelle
épinière, Bruce, van Gehuchten, Nelis, Sano, Ma
t de suite qu'une pareille excita- tion, unique, qui, arrivant à la
moelle
, peut reproduire l'attitude du membre supérieur
raction, ne peut prove- nir que des centres supérieurs à ceux de la
moelle
. Notre conviction s'est faite surtout en remarq
BRISSAUD ET GY ressé chez notre malade les cornes antérieures de la
moelle
dans toute leur étendue, les noyaux du facial,
men histologique du cervelet, de la protubérance, du bulbe et de la
moelle
n'a pu être fait. Hémisphère droit,- Sur les co
e se fait sans doute par les fibres commissurales antérieures de la
moelle
. Que devient chez les hémipégiques le réflexe p
axe encéphalo- médullaire : « le fait que la section complète de la
moelle
cervico-dorsale provoque l'abolition permanente
es réflexes semblent haut situés : le singe, après la section de sa
moelle
, peut encore rééduquer ses fibres courtes, et ses
re constaté. - Enfin, il existe dans la commissure antérieure de la
moelle
des fibres qui réunissent les cellules des deux
tre part l'ordre peut atteindre, par la commissure antérieure de la
moelle
, les grandes cellules radiculaires antérieures
néré. Cette transmission, à travers la commissure antérieure de la
moelle
, de l'ordre de flexion descendu du cerveau par
té : l'influx moteur pourra franchir la commissure antérieure de la
moelle
, comme il le pouvait lorsque chez un hémiplégiq
égrité est totale sur notre pièce, soit, à plus forte raison sur la
moelle
elle- même. D'après les descriptions de Pierr
I. Rhumatisme ankylosant vertébral et tabès. La participation de la
moelle
au processus d'ankylose vertébrale a été divers
laires, d'origine hémorragique, et une raréfaction des cornes de la
moelle
, consécutives aux altérations vertébrales. Enfi
n'a décrit jusqu'ici que des lésions limitées des racines et de la
moelle
; ces lésions paraissent rester sous la dépenda
être déterminante du processus tabé- tique si elle s'exerce sur une
moelle
syphilitique. - J'exprimerai toute ma pensée en
dies nerveuses et men- tales, et particulièrement dans celles de la
moelle
épinière (maladie de Friedreich, quelques atrop
indice de troubles fonctionnels des organes hématopoiétiques,(Ie la
moelle
osseuse etdu foie, causés par des substances to
antilisme peuvent être interprétées comme un signe de maladie de la
moelle
osseuse qui pourrait être ou secondaire à une aff
Le fait a donc presque la valeur d'une expérience et montre que la
moelle
de l'enfant peut mieux résister que celle de l'
aphie DE la SALPÊTRIÈRE T. XXI. PI. LXVIII Renflement cervical.
Moelle
dorsale. Moelle dorsale. Renflement lombaire.
RIÈRE T. XXI. PI. LXVIII Renflement cervical. Moelle dorsale.
Moelle
dorsale. Renflement lombaire. TABES ET PARALY
Le cervelet ne nous a pas paru présenter de lésion importante. A la
moelle
les coupes traitées par la méthode de Nissl nouso
blement symétrique de la ban- delette externe. Du bas en haut de la
moelle
nous la trouvons séparée par une zone saine de
ce niveau. Il y a une sclérose peu accentuée du cordon de Goll à la
moelle
cervico- dorsale, no OSPEDALE 31AURIZIANO UMB
blement. Leyden, dans ses Leçons cliniques sur les maladies de la
moelle
, (trad. franc., p. 95), rapporte un cas assez s
en conclure que les muscles ne sont pas atteints et que c'est la
moelle
qui est seule en jeu ? Nous ne le croyons pas ,
cules cérébraux, plaques coiiflitei2tes sur la partie inférieure de
moelle
. G... (Louis), âgé de trente-trois ans, faisant
ur les différentes parties de l'encéphale, sclérose en plaques delà
moelle
épinière. A l'époque où la malade fut présentée
presque sous le scalpel. Si nous passons maintenant à l'étude de la
moelle
, nous consta- tons que la distribution de la lé
u type clas- sique. Si, sur bulbe et les portions supérieures de la
moelle
, il est encore possible de.reconnaître isolémen
preuve la plus manifeste d'une prolifération de la névroglie. La
moelle
durcie et préparée suivant l'enseignement de M. D
ignement de M. Dcbove [Note sur la technique des préparations de la
moelle
, in Archives de Neurologie, tome I) et divisée
sible de délimiter les différents départements topographiques de la
moelle
, ils sont cependant envahis par une néoformatio
Charcot. (1 suivre.) REVUE D'ANATOMIE I. Sur les vaisseaux de la
moelle
épinière (analyse et critique du mémoire de M.
icz est relatif à l'étude des vaisseaux sanguins à la surface de la
moelle
épinière : nous n'avons de ce chef aucune revendi
il adopte, très justifiable cette fois, deux ordres d'artères de la
moelle
épinière : les ver- téhro-spinales et les spina
azztica de l'auteur allemand), qui parcourt toute la hauteur de la
moelle
. Toutes les racines antérieures ne sont pas pourv
té deux rameaux, qui s'en écartent à angle droit pour contourner la
moelle
et s'anastomoser avec les branches des artères
eut conclure à la richesse vasculaire de ces deux renflements de la
moelle
épinière, et, sur les pièces injectées et les f
b) Les artères spinales postérieures occupent toute la partie de la
moelle
qui est au dessous des artères vertébro-spinales
x de chaque côté. Il y a donc, derrière la face postérieure de la
moelle
, quatre 84 zut REVUE d'aNATOMIE. anastomoses
oindre volume. Enfin les petites anasto- moses de chaque côté de la
moelle
sont réunies, de dis- tance en distance, par de
nsi quatre courants sanguins par- courent la face postérieure de la
moelle
: deux externes plus forts, deux internes plus
vient de remarquer cette richesse d'anastomoses tout autour de la
moelle
: anastomoses longitudinales, anastomoses horizon
eut de com- prendre comment le cours du sang dans l'intérieur de la
moelle
est constant et capable de pourvoir abondamment
r une des artères grandes spinales antérieures, on peut injecter la
moelle
entière. Ajoutons enfin pour terminer que de ce
diculaires posté- rieures. Veines, a) - Nous avons décrit dans la
moelle
épinière, au ni- veau de sa face antérieure, tr
leurs tubes collecteurs. On voit donc à la face antérieure de la
moelle
trois veines principales : 1° la veine médiane an
nent se jeter dans la veine médiane. b) A la face postérieure de la
moelle
existent trois veines longitudinales, une média
ermédiaire de veinules qui passent et cheminent sur les côtés de la
moelle
entre les racines antérieures [veines iiite2,-
nes iiite2,- radiculaires). Les veines de la face postérieure de la
moelle
se vident par les veines spinales postérieures,
motique du réseau veineux des faces antérieure et postérieure de la
moelle
explique comment on peut facile- ment l'injecte
termine son travail sur la circulation 86 REVUE d'anatomie. de la
moelle
en montrant qu'à la surface de cet organe, entre
les recherches que nous avions inaugurées sur la circulation de la
moelle
épinière. Il a révélé l'existence de deux petit
ssances. L'étude de la disposition des vaisseaux à la surface de la
moelle
est oeuvre personnelle de l'auteur allemand.
ition des artères infra-médullaires, des artères nourricières de la
moelle
. II. NOUVELLES RECHERCHES SUR la topographie CR
du reste pour l'envahissement graduel et ultérieur du segment de la
moelle
allongée intermédiaire au cerveau et à la moell
r du segment de la moelle allongée intermédiaire au cerveau et à la
moelle
. Il range enfin parmi les symptômes bulbaires l
rencontre d'autres dégénérations imprévues qui vont jusque dans la
moelle
, l'ex- périmentateur croit que la partie moyenn
a base sains. Intégrité de l'insula, de la capsule interne et de la
moelle
: absence de dégénérescence secondaire. Observa
és et delà région sublllalamique, des pé- doncules cérébraux, de la
moelle
allongée, du faisceau pyra- midal. REVUE DE P
lus de six semaines. P. K. V. DE la formation DE cavernes dans la
moelle
épinière par suite DE stase sanguine; par LANG1
.) L'auteur a observé quatre cas de formation de cavernes dans la
moelle
épinière (région cervicale et dorsale). Ces caver
oir que le sang de la portion cervicale et dorsale supérieure de la
moelle
, trouve son débouché par en haut, vers la cavit
othèses pendantes'qui sont : ou avant la maladie le sujet avait une
moelle
trop petite comme dans les cas d'ataxie hérédi-
e, si souvent atteint dans le tabes du même ordre de lésions que la
moelle
, constituerait un terrain fécond d'expérimentat
vastes externes des deux' côtés (type Erb-Hitzig). Intégrité de la
moelle
et du cerveau. Exci- tabilité électrique d'abor
inévritique. P. K. VIII. Cas d'affection combinée des cordons DE la
moelle
AVEC ALTÉRATION DE LA SUBSTANCE GRISE par SIOL1
topsie décèle une dé- générescence grise des cordons latéraux de la
moelle
cervicale ; de la pachyméuingitc pseudo-membran
les cordons de Burdach ; les cordons latéraux sont pris, depuis la
moelle
lombaire jus- qu'au point où ils contournent le
u dans le corps restiforme ; atteinte du fais- ceau pyramidal de la
moelle
lombaire, jusqu'à la deuxième paire cervicale ;
cervicale ; diffusion de ces altérations aux autres cordons dans la
moelle
dorsale supérieure. Disparition du groupe moyen
ntérieures, depuis la quatrième paire cervicale, jusqu'au bas de la
moelle
sacrée ; l'ensemble de la substance grise des c
tant d'éliminer cet organe, l'auteur pense à la moitié gauche de la
moelle
allongée (anesthésie droite en rapport avec l'e
mine alors les localisations anatomiques et histo- logiques dans la
moelle
, le bulbe, les hémisphères cérébraux ; il rappe
e, l'auteur arrive à celle de la localisation physiologique dans la
moelle
et le bulbe, et passe en revue les nombreux cen
dysenterie) ; les méninges rachi- diennes étaient intactes, mais la
moelle
présentait plusieurs foyers de ramollissement.
adie à part et la localiserait, soit dans le cervelet, soit dans la
moelle
allongée. La discussion s'engage : M. Seguin a
Dr Weber, il loca- lise la lésion de la paralysie saturnine dans la
moelle
. M. Edes était autrefois partisan de cette loca
s un second mémoire, M. Gibney cite deux cas de com- pression de la
moelle
par l'apophyse odonloîdc ; le premier a déjà ét
ie des cordons latéraux qui aoisine les cornes posté- rieures de la
moelle
, mais atteignaient aussi la région des fibres p
oin du faisceau pyramidal pour en rendre compte. Élongation de la
moelle
épiizièî,e, par M. DANA. - Ce travail sera anal
vertèbre dorsale, une tumeur assez volumineuse et qui comprimait la
moelle
. Les corps des vertèbres étaient envahis par des
erf, in- dépendamment d'une altération primitive siégeant dans la
moelle
ou dans les ganglions rachidiens. Les névrites
teindre par une migration centripète les ganglions rachidiens et la
moelle
elle-même. , Les altérations des fibres nerveus
semblables à celles qui infiltrent normalement les cel- lules de la
moelle
et des ganglions. Ces granulations, qui mesuren
Les pédoncules ne présentent pas de dégénération appré- ciable. La
moelle
est molle, presque diffluente, au point qu'elle
et leur coloration. Les ganglions, les racines et les portions de
moelle
corres- pondant à ces nerfs ont été également e
ine postérieure et la racine antérieure sont absolument normales.
Moelle
. La moelle dorsale, durcie dans une solution de b
eure et la racine antérieure sont absolument normales. Moelle. La
moelle
dorsale, durcie dans une solution de bi- chroma
et delà base du cerveau et de la portion cervicale antérieure de la
moelle
. ' Pipa... (Ernest), âgé de 21 ans. Entré le 19
ur de la substance cérébrale. Rien au cervelet, ni dans le bulbe.
Moelle
. La moelle parait volumineuse; la dure-mère est
bstance cérébrale. Rien au cervelet, ni dans le bulbe. Moelle. La
moelle
parait volumineuse; la dure-mère est injectée;
; il a toujours obtenu des contractions plus fortes en excitant la
moelle
entière qu'en localisant son excitation sur un
îné la complète disparition DE la RÉGION cervicale INFÉRIEURE DE LA
MOELLE
par FRIEDRICH SCHULTZE. (A9'CIt2U. f. Psych. u.
, dut comprimer graduellement les racines anté- rieures et toute la
moelle
(de la troisième à la sixième vertèbre cervical
nce (pas d'altération correspondante des cellules antérieures de la
moelle
), tandis que celle des muscles de la main, remo
ervicale à la huitième dorsale, sans trace d'inflammation méningée.
Moelle
ramollie, en bouillie au niveau des trois premi
e après la destruction de même cause de la portion inférieure de la
moelle
lombaire limitée aux fibres du sciatique, on trou
n trouve une dégénérescence secondaire descordons postérieurs de la
moelle
. Cette dégénérescence remontait, dans le second
e. Cette dégénérescence remontait, dans le second cas, jusqu'à la
moelle
allongée, n'intéressant que les segments les plus
t avec le sciatique. Dans une observation d'atrophie complète de la
moelle
cervicale inférieure, il existe une dégénéresce
interne des cordons posté- rieurs représente, dans l'ensemble de la
moelle
, de longues lignes dont le diamètre transversal
des fibres des racines postérieures qui, après leur arrivée dans la
moelle
, s'infléchissent en bas. La dégé- nérescence as
res communications sur ce point. Des affections syphilitiques de la
moelle
, par M. de li 1,N-ECKLR (de Wurzbourg) ? asypl]
on remarque qu'à l'époque de son évolution, où elle s'adresse à la
moelle
, elle est loin d'être aussi systématique dans s
éléments (noyaux du cerveau, cellules de la corne antérieure de la
moelle
) présentent assez souvent par le même traitemen
ii,inei-nl)ref inférieur, droit. On avait cru' à une lésion, de. la
moelle
.,L<L moelle était saine; il'' existait seule
inférieur, droit. On avait cru' à une lésion, de. la moelle.,L<L
moelle
était saine; il'' existait seulement une. plaqu
réciable. 1 ib ° , , , z 1 1 lui, ^ 'un1 L,i fl*~ di"^u» j-^- -La
moelle
des"os'longs'(tibia) est d'un blanc léjèrementyri
aucune altération appréciable. ' ' '' - ' 'Après avoir enlevé' la
moelle
et-incisé' longitudinalement la dure-mère, on r
rachidiénne postérieure. -Tout le long de la face postérieure de la
moelle
, l'arachnoïde est louche, épaisse, fi'- hroïdc,
lésions sel montreiil surtout dans lesdetix tiers inférieurs de la
moelle
; elles sont moins profondes que le tiers supérieu
be. Rien de pareil n'existe sur la'face antérieure de lamelle. z La
moelle
elle-même est ou- général molle- et, pâle. Sur de
mmissuré postérieure, en arrière par la sur- face-postérieure de la
moelle
et latéralement par les deux, cornes postérieur
ité- ri téï;'(Ies 1 cel lui e§ljdes" cornes' antérieures' de' ''la1
moelle
,, et on .chercha,. a rattacher, les trou )les' tr
rl.f·I s1t'7 ih ·t ' seconde d une fracture spontanée du bras. Les
moelles
ont été examinées, après durcissement, sur des
ante, quand on sait pertinemment que les cellules antérieures de la
moelle
jouent vis-à-vis des muscles correspondants le
'ignore,. pas les.- connexions' qui existent dans l'intérieur de la
moelle
entre les différents groupes de cellules nerveu
groupes' de niuscles,·nieparaîttâvoir ! sonpoüitldé' départ dans la
moelle
. Il est probable,, en- effet, qu'au ? '1 'l'ill.l
ns les commun icationsj'etr ! es ]anastomoses, qui existent dans la
moelle
entre les différents ? foyers d'oriinedesfnerfs
d'un nerf mixte ont leur,oriine·à,,pcu près au,même,niveau.dans la
moelle
, et' que, les, fibresi sont reliées les unes,,a
encoré dansrun. g.roupe,cellu ;, laire des cornes antérieures de la
moelle
? Plusieurs cas de paralysie localisées, comme
fonctionnels' a une e ' ailection plus ou 'moinsrpasséâeré 'de' la,
moelle
ou des me- ...l.i t v.). ' ° . 1 ? H."lli-ir t
ortion de fibres aux mêmes 1 troncs nerveux. Quand on, examine la
moelle
, , il est facile do se convaincre S·^t 1 ! i ?
dent ne font qu'indiquer approximati- vement sur quel segment de la
moelle
tel nerf prend son origine; elles montrent que
ster dans les paires nerveuses, n'existe pas, au contraire, dans la
moelle
; mais ce lliltn. - On t'esl cmcl yotiu, » élit.
"m SUR LES PLEXUS DES NERFS SPINAUX. : 1 Il li groupement dans la
moelle
ne peut être établi que par d'autres méthodes d
cines'des différents,nerfs, que les filets nerveux naissent de-laiq
moelle
dans' un ordre constant : a partir de son origine
it y avoir"' · que deux points constants : le point de départ de la
moelle
, et le point d'arrivée à la périphérie'. . Be
, If 111 ? Là systématisation de l'innervation musculaire dans la
moelle
pourrait encore être éclairée par l'étude des lés
e.^, |( 3 ? <s j, ? 81t1 n'D" n - Les -lésion's, limitées 'de la
moelle
dans, des cas'de paralysie,. , . n tn , r SI W·
? J -.10 a1 I J yL 2° 'Si' cette*' systématisation existe dans la,,
moelle
, .elle, neri peut être établie que par I étûdé
1o'e" ... ? i ? i- », - -- ca8 ^, ' Troisier. Note sur l'état de la
moelle
épinière dfins,un\cas d'Jiémi^.0'^ 22élie tinit
la section latérale du pont de Varole, obtenu par hémisection dé la
moelle
chez le' même les troubles fonctionnels du'gran
excitation périphérique' de la peau agit sur le centre vaso-moteur (
moelle
allongée), gagnant ensuite le foyer qui préside
ies sexuelles. L'excitation s'étend-elle à des centres voisins delà
moelle
allongée, on observe des palpitations, anhélation
rations des cellules nerveuses D1NS'L'IN1L : lvi- ' TIrl1'ION de la
moelle
épinière ; par Luis BARAQUER. (Gacela meclica c
" ' . ' iil. DE L EXCITABILITE ELECTRIQUE DANS LES LESIONS DE LA
MOELLE
CHEZ LES DÉMENTS PARALYTIQUES ; par FiSCIIER jeun
ù cette conclusion que, quelqu'importantc que soit une lésion de la
moelle
, se produisit- elle chez les paralysés généraux
aralysie spinale spasmodique, sans que l'examen microscopique de la
moelle
ail décelé d'altération dans les cordons latéra
est le bilan macroscopique. L'étude microscopique révèle, dans la
moelle
, de la sclérose multiloculaire diffuse; dans le c
MENTALE. 371 de la démarche. M. Westphal ajoute : « L'examen de la
moelle
d'un grand nombre de paralytiques démontre, au
loppée. Granulations- élie`nd5,niaires dans le erikricul,e ? L,, La
moelle
épinière,- elle,'» dans, lairé-io 1 il,tlo r sa
ire, ,,la .section ? transverse indique > l'exis-- tence de deux
moelles
complètement-développées, de diamètres peu.prës
prédisposition. '< h 1JP e"P/ Kr""o> ? XXV. DES lésions DE la
moelle
dans la démence paralytique ET DE leurs relatio
lien,; par exemple), il existerait des cordons, pos téri eurs de la
moelle
,, des- c,e,nd,a,yjisqûPdans la;r4bion,lomloairç
ération,des,p,Qrtios,;éx,ll - ternes des cordons postérieurs, de la
moelle
, lombaire. ,. La dege ^.. > g- ^ ' e 1 tf uJ
ns en foyer dans l'écorce, par Eicl,liolt, 37'i ; - lésions de la
moelle
dans la - et de leurs relations avec le phéno
té ouvertes, 397. Malformation particulière du cer- veau et de la
moelle
; lésions se- condaires des deux organes, par
(struc- ture des), 258. Tumeur néri-méningée a5-antclétruit la
moelle
, par Schultze, 238. Vertébral (cancer avec para
ituée dans la cavité crânienne et une longue tige cylin- drique, la
moelle
épinière, logée dans la cavité rachidienne. J 'di
x gan- glions infra-corticaux, à la protubérance, au bulbe et il la
moelle
épinière; elles entrent dans la constitution de
et les centres nerveux inférieurs (cervelet, isthme de l'encéphale,
moelle
épi- nière), il concourt à la formation de la r
cet ouvrage comprendra : le cervelet, l'isthme de l'encéphale et la
moelle
épinière. Nous procéderons ici comme pour le cer-
re, mieux que toutes les descriptions possibles, les rapports de la
moelle
allongée et des corps pyramidaux avec la protub
t l'on peut dire qu'à cette époque les données sur la texture de la
moelle
épinière et des centres nerveux étaient encore tr
de coupes successives, de reconstituer, dans l'encéphale ou dans la
moelle
épinière, le trajet de tel ou tel faisceau déte
illing, en effet, a été surtout appliquée jusqu'ici à l'étude de la
moelle
épinière et de l'isthme de l'encéphale, et y a do
centre trop/tique du nerf sensitif et que la partie antérieure de la
moelle
épinière nous savons aujourd'hui de par l'anato
dullaires, et nous savons aussi que les cordons posté- rieurs de la
moelle
dégénèrent à la suite de lésions des racines corr
de celle qu'il présentera par la suite, et que les faisceaux de la
moelle
épinière, ne présentent pas encore tous la colo
-nés, au niveau de la partie postérieure des cordons latéraux de la
moelle
et en dehors des faisceaux pyramidaux, l'existe
ant, par la méthode des coupes en séries le cerveau, le bulbe et la
moelle
, dans les derniers mois de la vie intra- utérin
et de ses élèves, de très grands services, pour déterminer dans la
moelle
et en général dans le sys- tème nerveux central
e, les deux artères vertébrales etenlin, aussi bas que possible, la
moelle
épinière. Les doigts de la main droite étant pl
omie 1),-ttiioIo- gique. 2. Ouverture du hachis. Extraction de la
moelle
épinière. Le cadavre étant couché sur le ventre
es vertébrales s'effectue suivant une ligne passant en dehors de la
moelle
épinière. Il suffit donc de maintenir d'une mai
qu'à l'occipital, toute la paroi postérieure du canal rachidien. La
moelle
entourée de sa dure- mère apparaît alors dans t
superficielle de la dure-mère, puis on procède à Y extraction de la
moelle
, en sectionnant d'abord la queue de cheval au n
a dure-mère par une section longitudinale, pour extraire ensuite la
moelle
doit être rejeté. Extraction de la moelle épi
our extraire ensuite la moelle doit être rejeté. Extraction de la
moelle
épinière. 10 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ét
c'est le cas ordinaire l'extraction du cer- veau avant celle de la
moelle
, il arrive constamment que, par suite de la sec
l'on présume l'existence d'une lésion de la partie supérieure de la
moelle
, ou lorsque l'on veut étudier en coupes sériées
l est préférable d'ouvrir la cavité rachidienne et d'en extraire la
moelle
, avant de procédera l'ouverture du crâne. On se
e, avant de procédera l'ouverture du crâne. On sectionnera alors la
moelle
perpendiculairement à son axe, au niveau de l'a
Il est souvent nécessaire, lorsque l'on pratique l'extraction d'une
moelle
pathologique, de prendre un point de repère, pe
e compression des racines. Pour arriver à ce résultat il suffit, la
moelle
étant encore contenue dans le canal rachidien, de
la pièce une fois durcie on procède en- suite a l'extraction de la
moelle
. Pour éviter, du reste, toute cause d'erreur da
coupe analogue passant par la région moyenne des olives. Quanta la
moelle
épinière, on la divisera, si c'est nécessaire, à
ennes. Il est préférable de ne pratiquer ces coupes, que lorsque la
moelle
a déjà séjourné une semaine dans le liquide de Mi
l'été, nous avons l'habitude de ne faire qu'une seule section de la
moelle
épinière, et de plonger de suite cet organe dan
s différencia- tions par les méthodes de Weigert ou de Pal. Pour la
moelle
épinière il faut de six à huit mois. On aura so
ssion trop prolongée, on retournera la pièce fréquemment. Pour la
moelle
épinière, la protubérance et le bulbe, on se serv
e et le bulbe, on se servira "éga- lement de liquide de Millier. La
moelle
sera posée à plat dans un cristalli- soir, d'un
11 est nécessaire, pour obtenir un bon durcissement, de séparer la
moelle
en une série de fragments, mais, ainsi que nous l
avons dit, il y a avantage à ne pratiquer ces coupes que lorsque la
moelle
, le bulbe, etc., ont séjourné une semaine au mo
le plus possible le nombre. On se rappellera aussi que, lorsque la
moelle
épinière est atteinte de Influence de la tem-
urcisse- s™ ment. Technique à suivre pour ^durcissement de la
moelle
épi- nière. Étude histologique des lésions
ramollissement surtout lorsque la lésion est de date récente, - la
moelle
a perdu sa consistance sur une partie plus ou moi
ment des troncs nerveux, on emploiera la même technique que pour la
moelle
épinière liquide de Millier, ou l'acide osmique
le volume de la pièce. Trois jours suffisent pour des fragments de
moelle
ou de bulbe; mais pour de grosses pièces, telle
es., 1 d'inclu- sion à la parafrlne. fragments de tissu nerveux
moelle
épinière, troncs nerveux, - les pièces au sorti
culièrement recommandable si l'on se propose d'inclure à la fois la
moelle
et ses racines. Au lieu du collodion d'hôpital,
mploi pour les coupes sériées du bulbe et de la protubérance, de la
moelle
épinière, de la région sous-optique et même de
a pièce avant de la couper. S'il s'agit d'une pièce de petit volume
moelle
, bulbe, protubérance, - la pièce imbibée de collo
e nous, puis par Achard dans des recherches sur les scléroses de la
moelle
épinière (1890). Hématoxyline. Une des méthodes
al ou périphérique. Méthode d'Exner. - Les pièces provenant de la
moelle
ou du cerveau, doivent être prises immédiatemen
. On fait durcir des morceaux d'écorce cérébrale, de cervelet et de
moelle
épinière ayant 2 à 3 centimètres de côté, dans
uivante : on enlève avec soin le système nerveux central en entier,
moelle
et cerveau, la dure-mère comprise. On étend les p
e. Nous avons employé cet instrument pour dessiner nos coupes de la
moelle
épinière. Mais l'emploi de la chambre claire n'
end des services pour reproduire les coupes de petites dimensions -
moelle
de l'adulte, bulbe de foetus mais qui ne peut s
dessiner les prépara- tions figurées dans cet ouvrage celles de la
moelle
exceptées et, pour continuer à nous servir de m
d'avec la gouttière médullaire proprement t dite (rudiment de la
moelle
épinière) (fig. 10). Dès le début de la vie em-
l'aspect d'un fuseau allongé et se continue insensiblement avec la
moelle
épinière, tandis qu'elle est nettement séparée de
nuque. z 13, isthme du corveau postérieur. - Loi, lobe ottactm. - m,
moelle
, épinière. -MoY4, membrane obturatrice du 4° v
on aspect tubulé primitif, qui rappelle très exactement celui de la
moelle
épinière (fig. 13 et 1 i.) L'arrêt de développeme
. - Is, isthme du cerveau postérieur. - 11',lèyre rhomboïdale. - M,
moelle
. - .111, membre inférieur. - MoV. membrane obtu
ostérieur. lr. lèvre rhomboïdale. Lola, lobe olfactif antérieur. M,
moelle
, Tm, tubercule mamillaire. VII, vésicule des hémi
raît au niveau de la nuque, à l'union de l'arrière-cerveau et de la
moelle
épinière : c'est la cour- bure de la nuque, l'a
nt son maximum vers la sixième semaine. A cette époque, l'axe de la
moelle
allongée forme avec celui de la moelle épinière
A cette époque, l'axe de la moelle allongée forme avec celui de la
moelle
épinière, un angle de près de 65°. A partir de ce
édullaire. Chez un embryon de la quatrième semaine, la cavité de la
moelle
épi- nière affecte la forme d'une fente antéro-
ngitudinal latéral, plus rapproché de l'extré- - mité dorsale de la
moelle
que de son extrémité ventrale, divise les épaisse
son extrémité ventrale, divise les épaisses parois latérales de la
moelle
épinière en deux segments inégaux, l'un ven- fr
st en rapport avec le développement du cervelet. Cavité de la
moelle
épinière. Lame fondamentale. Lame alaire.
smatique, grâce à l'interposition entre les bords postérieurs de la
moelle
, de la membrane obturatrice du quatrième FIG. 2
mbrane obturatrice du quatrième FIG. 25. - Coupe transversale de la
moelle
d'un embryon humain d'environ quatre semaines et
trous de Monro primitifs. Les sillons longitudinaux latéraux de la
moelle
épinière peuvent être poursuivis dans toute la
est donc morphologiquement, l'analogue de la corne antérieure de la
moelle
et des noyaux moteurs de l'oeil (His). Les cinq
DU SYSTÈME NERVEUX. 79 II. DÉVELOPPEMENT ULTÉRIEUR DU NÉVRAXE 1.
MOELLE
ÉPINIÈRE Au commencement du deuxième mois, les
INIÈRE Au commencement du deuxième mois, les parois latérales de la
moelle
épinière se coudent légèrement, et ce changemen
Ftc. 2b. - Coupe transversale de la région dorsale supérieure de la
moelle
d'un em- bryon humain d'environ quatre semaines
es racines des nerfs sensitifs. Ces racines forment, en abordant la
moelle
épinière, un petit faisceau longitudinal, à secti
on marginal de His (sm) (Randfurche), au sillon cylindrique de la
moelle
(se). Elle donne naissance au col de la corne p
Fie. 27. Coupe transversale de la ré- gion dorsale supérieure de la
moelle
d'un embryon humain d'environ se- maines mesu
e embryonnaire, qu'un es- ¡ace relativement petit au centre le la
moelle
(fig. 29 et 30). Le canal central se termine
tum postérieur (fig. 30), lequel s'étend jusqu'à la surface de la
moelle
légèrement déprimée à ce niveau. Cette dépressi
volution de la substance gri- se et de la substance blanche de la
moelle
s'effectue de haut en bas; vers le troisième mo
de haut en bas; vers le troisième mois de la vie intra-utérine, la
moelle
cervicale présente déjà les apparences de la mo
tra-utérine, la moelle cervicale présente déjà les apparences de la
moelle
lombaire de l'enfant, tandis que les cornes et
ont à peine ébauchés dans les régions médullaires infé- rieures. La
moelle
cervicale est donc toujours, il un stade de dével
st donc toujours, il un stade de développe- ment plus avancé que la
moelle
lombaire, laquelle conserve, même chez l'adulte
conserve, même chez l'adulte, un caractère foetal par rapport à la
moelle
cervicale. (His.) Les renflements cervical et l
Fio. 28. Coupe transversale de la région dor- sale supérieure de la
moelle
d'un embryon hu- main d'environ sept semaines e
ginal. voûte. ! 82 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Rapports de la
moelle
avec le canal rachidien. Rapports des ra- c
rudiment des membres, mais ces rapports changent ultérieurement. La
moelle
épinière s'étend en effet au début, jusqu'à l'ext
e mois, le développement de la colonne vertébrale s'accélère, et la
moelle
, ne conservant plus ses rapports avec les vertèbr
remonter. Ce changement de rapport s'effectue très len- tement : la
moelle
n'affecte en effet ses rapports définitifs avec
la naissance jusqu'à la troisième vertèbre lom- baire. Mais si la
moelle
sem- ble remonter, par contre, les racines mé
début, les racines médullaires se détachent à an- gle droit de la
moelle
, pour se porter vers les trous de conju- gais
re et sacrée, les racines s'allongent au sur et à mesure que la
moelle
semble remonter, et prennent une direction d'au
i s'insère au sommet du sacrum. Pénétration des vaisseaux dans la
moelle
embryonnaire. Immédiatement après l'occlusion d
tement après l'occlusion de la gouttière neurale, l'encéphale et la
moelle
épinière, se trouvent situés dans un canal tapiss
Fie. 29. - Coupe transversale de la région dorsale supérieure de la
moelle
d'un embryon humain de huit semaines et demie,
mbreux bourgeons vasculaires,qui pénètrent dans l'intérieur de la
moelle
. Les branches qui naissent des artères spinal
onstituent les fu- tures artères du sillon médian antérieur de la
moelle
, abor- dent la partie antérieure de la moelle
n antérieur de la moelle, abor- dent la partie antérieure de la
moelle
; -elles divergentbien- tôt, se portent de chaqu
eures est plus tardive que celle des antérieures. Elles abordent la
moelle
un peu en avant du point de péné- Lcs vaisseaux
nales antérieures eu une seule. FiG. 30. Coupe transversale de la
moelle
de la région dorsale supérieure d'un foetus hum
rtère du sillon médian antérieur. Les artères qui pénètrent dans la
moelle
par les racines antérieures, apparaissent encor
ères radiées, destinées aux parties latérales et postérieures de la
moelle
; elles ne se mon- trent guère avant le troisièm
courbure de la nuque, c'est-à-dire l'extrémité supé- ï rieure de la
moelle
épinière. Chez le nouveau-né et chez l'adulte il
e nom de l'aqueduc de Sylvius. Il délimite, comme au niveau de la
moelle
, la lame fondamentale située en dedans, de la
le prolonge- ment de la colonne grise de la corne antérieure de la
moelle
. Cette colonne fournit en outre dans la région
Sur le prolongement de la colonne grise de la corne latérale de la
moelle
, on voit naître dans la région bulbaire, les no
ui constituent l'homologue de la commissure anté - rieure de la
moelle
; enfin, entre le raphé et le noyau d'ori- g
nal postérieur de la calotte, l'homologue du cordon antérieur de là
moelle
. Au sur et à mesure que la couche grise de la sub
(fib. 33, Fs), et qui est l'homologue du faisceau de Burdach de la
moelle
épinière. Dans la région du quatrième ventricul
oisième, trois saillies, dont l'inférieure forme le rudi- Fm. 36. -
Moelle
et encéphale d'un em- bryon humain d'environ tr
brane obturatrice du 4° ventricule - RC, rendement cervical de la
moelle
. renflement, lombaire de la moelle. Sih, sillon
- RC, rendement cervical de la moelle. renflement, lombaire de la
moelle
. Sih, sillon inter-hémispberiquo. - smp, sillon
intermédiaire par le pédoncule cérébel- leux supérieur, et avec la
moelle
épinière par le pédoncule cérébelleux infé- rie
ifères. Les fibres pyramidales, qui relient l'écorce cérébrale à la
moelle
épinière, n'apparaissent que chez les vertébrés
fibres névrogliques du raphé, l'homologue du septum antérieur de la
moelle
éiunière : il fournit en outre la mince lamelle
e prolongement de la colonne nucléaire de la corne antérieure de la
moelle
, au noyau d'origine du mo- teur oculaire commun
,innexiou de la protubérance. A-, isthme du cerveau postérieur. DI,
moelle
épinière. Th, thalamus. tUI, tænia thalami. V3, :
9,; tion de l'écorce cérébrale dans la protubérance, le bulbe et la
moelle
épinière, est à peine ébauché chez les oiseaux
Lola,lobo olfactif antérieur. - Lôlp, lobe olfactif postérieur. M,
moelle
. - ob, obex. - Po, protubérance. - Qa, tu- berc
inférieures, telles que la protu- bérance annulaire, le bulbe et la
moelle
épinière. Dans leur trajet à travers le corps s
eau direct, le plus petit, se rend dans le cordon anté- rieur de la
moelle
du même côté, et constitue le faisceau pyramidal
faisceau croisé se rend dans le cordon latéral du côté opposé de la
moelle
, où il forme le faisceau pyramidal croisé. § 3.
Ce pédicule s'amincit 1<'10. 73. - Cellule germi- native delà
moelle
èpi- nière d'un embryon hu- main. (D'après W.
ssous des protovertèbres. b) Coupe au niveau de l'occlusion de la
moelle
. c, d, e) Conpes correspondant aux u-, 8° et 3°
ues voisins. b'ic.75.-Cellules germinatives et épithéliales de la
moelle
d'un embryon de Prissiurus de 4m ? 5 S de lon
stiques. - ZC, zone des colonnes. Fic. 79. - Section frontale d'une
moelle
épinière du tétard. Myelospongium avec voile ma
tes FiG. 80 et 81. - Cellules de transition et spongioblastes de la
moelle
épinière d'un embryon humain. (D'après "W. His.
tes. -ZC, zone des colonnes. Fig. 82. - Jeunes neuroblastes de la
moelle
épinière du même em- . bryon humain que les fig
1 lui-3 par exemple, qui deviendront les cellules antérieures de la
moelle
, un cylindre-axe assez long pour atteindre la l
a couche interne forme à elle seule le plan- cher et la voûte de la
moelle
épinière, au niveau desquels il ne naît aucun n
e. La couche grise interne tonne la planche et la voûte de la
moelle
. La couche grise externe forme les cornes d
de la 'moelle. Fio. 83. - Trois neuroblastes moteurs isolés de la
moelle
épinière d'un embryon humain. (D'après W. His.)
es cordons latéraux cylindre-axe dans les régions antérieures de la
moelle
; une partie de ces derniers forment les fibres
res des cor- dons longitudinaux de la région postéro-latérale de la
moelle
. Les fibres arquées se portent en avant, et reç
osent en groupes dont l'ensemble forme, dans toute la hauteur de la
moelle
, la largo colonne ininterrompue des noyaux d'orig
s envoient leur cylindre-axe, dont Fra. 81. Coupe transversale de a
moelle
d'un embryon humain de quatre semaines environ et
5 l'apparition est. très précoce dans les racines antérieures de la
moelle
. On'peut distinguer dans cette colonne de noyau
sale, la zone de la corne latérale. Dans toute la hauteur de la
moelle
do°so-lonz- 6c : M'e et dans la moi- tié infé
oelle do°so-lonz- 6c : M'e et dans la moi- tié inférieure de la
moelle
cervicale, les racines motrices qui naissent
. Les cylindre-axes des cellules des cor- nes antérieures de la
moelle
, se rendent dans les muscles striés, ceux des
sympathique, dont elles constituent les rami-communicantes. Dans la
moelle
cervicale supérieure, les points d'émergence des
a. 85. - Coupe transversale de la région dorsale inférieure do - la
moelle
d'un embryon humain d'environ quatre semaines et
nt de la zone de la corne antérieure. Les racines antérieures de la
moelle
cervicale supé- rieure ne sont donc pas exactem
onc pas exactement l'homologue des racines des autres parties de la
moelle
; il leur manque en effet le contingent des fibres
l. La division de la colonne nucléaire qui apparaît au niveau de la
moelle
cervicale supérieure se maintient dans le bulbe
lui traversent comme un méridien le ganglion; l'un se dirige vers la
moelle
, 'autre vers la périphérie pour former le nerf
qui constituera soit un rameau communicant , qui se dirige vers la
moelle
, soit un rameau connectif qui se porte dans le
diens se dirigent en arrière et atteignent bientôt la surface de la
moelle
, où la plupart se bifurquent et forment un fais
caudales des v^, tXe et xa pai- res. coupes transversales de la
moelle
embryonnaire ce cordon, situé à la péri- phérie
s externe et in- terne. Que la cellule épendymaire appartienne à la
moelle
ou à l'encéphale, elle affecte toujours une dis
et s'étend par ses prolongements à travers toute l'épaisseur de la
moelle
ou de l'encéphale, de la paroi ventri- culaire
iguré de remarquables exemples provenant des parois latérales de la
moelle
foetale (fig. 89). Golgi (1886), à l'aide de sa
ui forment une couronne épithéliale autour du canal cen- tral de la
moelle
et des cavités ventriculaires de l'encé- phale.
es du voisinage des sillons mé- dians antérieur et postérieur de la
moelle
présentent à noter quelques particularités que
prolongements des cellules épendymaires des parois latérales de la
moelle
atteignent la périphérie de celle-ci après un tra
onsidérable; ils débordent bientôt de chaque côté le plancher de la
moelle
en avant, et déterminent la formation d'un sill
forment ainsi une véri- 1'"10. u. - ueiiuie épendymaire de . la
moelle
d'un embryon de mou- ton, long do 45 mm. (D
e ne ils, qui.occupe le méridien 1 de la section transversale de la
moelle
, et affecte la forme d'un cône,, décrit par Caj
laisse passer que les cylindre- axes qui formeront au niveau de la
moelle
la commissure blanche antérieure et au niveau d
1 r , Fis. 90. - Coupe transversale de la région cervicale de la
moelle
d'un embryon humain de Ow,i5 1 , de long. (D'ap
insigni- fiant, qui s'étend du canal central à la périphérie de la
moelle
. Le canal central de la moelle ne conserve pas
canal central à la périphérie de la moelle. Le canal central de la
moelle
ne conserve pas pendant longtemps la forme d'un
e postérieur, ou septum postérieur, qui atteint la périphérie de la
moelle
, et que l'on avait longtemps considéré comme d'
n une cavité circulaire, que toute la partie postéro-latérale de la
moelle
, celle qui correspond à la corne et au cordon p
stes, que l'on constate leur présence dans la substance grise de la
moelle
, et ce n'est que beaucoup plus tard, vers le qu
s des cel- lules nerveuses. , I Cellules névrogli- ques de la
moelle
. tandis que les autres prolongements continuent
es grise et blanche du névraxe, et atteignent la péri- phérie de la
moelle
, où ils se terminent. Quelques cellules présenten
résentent en outre un prolongement ventriculaire (Cajal). Dans la
moelle
humaine, les cellules araignées ne présentent en
ment primordial Fra. 91. - Ccl- lules de la né- vroglie de la
moelle
épinière d'un embryon de brebis, long de 0m,0
, et qu'ils se dirigent comme ces derniers vers la périphérie de la
moelle
. Tant qu'ils siègent dans la substance grise, l
ités terminales ramifiées et coniques forment à la superficie de la
moelle
une mince écorce névroglique, l'enveloppe névro
ypique. Ces cellules ont été étudiées avec beaucoup de soin dans la
moelle
épinière par v. Lenhossek, qui distingue plusieur
érieure du cordon postérieur, et se terminent à la superficie de la
moelle
sans se ramifier. Leurs prolongements secondair
très variables suivant les régions. Dans la substance blanche de la
moelle
, un petit nombre se rattache, d'après v. Lenhos
de la substance blanche (b, d) et de la substance grise (a, c) de la
moelle
d'un embryon do vache. e, cellule do la névro
les cel- lules nerveuses, tout à fait sembla- bles à celles de la
moelle
adulte, ne s'en distinguent que par leur vo-
olaires du ganglion auditif.' FiG. 95. - Cellules nerveuses de la
moelle
d'un embryon de mouton long de 45 millim. (D'
usieurs larges vacuoles dans c. ric. 96. - Cellule nerveuse de la
moelle
d'un embryon de brebis long de 0m,10. (D'aprè
t inler" FIG. 97. - Cellule nerveuse des cornes antérieures do la
moelle
d'un enfant né il terme et ayant vécu quatre mo
ables; elles s'étendent dans toutes les directions, passent dans la
moelle
d'un côté à l'autre, à travers les commissures an
, épines collatérales. FiG. 102. - Deux cellules radiculaires de la
moelle
dorsale d'un chien nouveau-ne. Méthode rapide d
belleuse, ainsi que sur les cylindres-axes des cordons blancs de la
moelle
, que ces cylindres-axes appartiennent aux racine
les des ganglions rachidiens) ou aux « cellules des cordons » de la
moelle
de Ramon y Cajal (Voy. t. II, moelle épinière).
« cellules des cordons » de la moelle de Ramon y Cajal (Voy. t. II,
moelle
épinière). Les arborisations terminales , soit
l > Cellule de Cajal. · Fie. 104. - Coupe transversale de la
moelle
lombaire d'un jeune chat de deux jours montrant
ipolaires des ganglions spinaux, dont une branche se dirige vers la
moelle
et se continue avec une fibre radiculaire posté
ellule nerveuse cylindre- axe court de la corne postérieure de la
moelle
lombaire d'un embryon de vache de 0 ? 55. (D'ap
Cellules pyramida- les. Fici. 109. - Coupe longitudinale de la
moelle
dorsale d'un embryon de vache de Om,5. Méthode
tions dendri- tiques. Dans la substance blanche du cerveau et de la
moelle
, on rencontre de nombreuses dendrites ramifiées
u, connusousle nom de réseau de Gerlacla, donnait naissance dans la
moelle
épinière aux racines postérieures, et recevait le
veloppement de la fibre. Si la cellule d'origine est située dans la
moelle
et qu'elle envoie sa fibre vers le bulbe ou vers
s des régions inférieures, telles que la protubérance, le bulbe, la
moelle
épinière, etc., etc., la dégé- nérescence est d
des nerfs sectionnés. Névromes des am- putés. Lésions do la
moelle
chez les am- putés. Méthode de Gud- den, so
x nerfs sensitifs. lorsqu'on pratique des sections partielles de la
moelle
, du bulbe, etc., lors- qu'on fait l'ablation de
-dire lorsqu'on le rompt au ni- veau de sa sortie du bulbe ou de la
moelle
. Ces faits sont importants à connaître car, en
ons de faire, il résulte donc que : 1° Les cellules nerveuses de la
moelle
, du cerveau, ou des ganglions, sont toutes isol
ressions sensitives et dont le cylindre-axe central pénètre dans la
moelle
où il s'arborise librement. De là l'influx nerveu
gements nerveux périphériques, soit d'une cellule radiculaire de la
moelle
ou du bulbe, soit d'une cellule des gan- glions
llule. Tome Vf, 1890. Du même. La Structure des centres nerveux. La
moelle
. épinière et le cervelet. Li Cellule. Tome VII,
de Biol., 1894. - VIGNAL. Sur le déve- loppement des éléments de la
moelle
des mammifères. Archives de physiol. nor111. et p
blanche et grise varie selon les segments que l'on considère. Dans la
moelle
épinière, la substance blanche occupe la périph
ntes parties de la substance grise. Elle occupe la périphérie de la
moelle
épinière, relie l'écorce cérébrale et cérébelle
cérébraux et cérébelleux, ainsi que dans la substance blanche de la
moelle
, d'autres faisceaux de fibres; les unes commiss
lule épendymaire, et qui atteint chez le foetus la périphérie de la
moelle
ou de l'encéphale, il ne joue qu'un rôle embryo
a névroglie existe à l'état de pureté autour du canal central de la
moelle
et à la périphérie de la moelle et de l'encéphale
ureté autour du canal central de la moelle et à la périphérie de la
moelle
et de l'encéphale, où elle . forme une couche c
énéral de 8 it 10 u. de diamètre. - Dans la substance blanche de la
moelle
, du cervelet ou du cerveau de l'homme, on trouv
glie, les vais- Fi(;. 122. - Cellule de la corne antérieure do la
moelle
épinière de l'homme, colorée d'après la méthode
ainsi qu'il est facile de s'en convaincre en examinant une coupe de
moelle
, de bulbe, de cervelet ou de cerveau, traitée à l
s que l'on observe dans la gaine de myéline des tubes nerveux de la
moelle
coupés transversalement après durcissement dans
- l, B, C, D et. E, divers tubes nerveux des cordons antérieurs de la
moelle
opinièro du chien, isolés par dissociation aprè
rencontre qu'autour des vaisseaux, et il est plus abondant dans la
moelle
que dans le cerveau. Dans la moelle il forme de
et il est plus abondant dans la moelle que dans le cerveau. Dans la
moelle
il forme des travées péri-vasculaires rayonnant
fit, ainsi que l'a montré Ranvier, d'ar- racher la pic-mère sur une
moelle
fraîche; on voitalors très nettement que ` les
du névraxe, en particulier des grosses cellules multipolaires de la
moelle
épinière. Il contient, au contraire, ainsi que
^poissons. continue avec une fibre des racines postérieures de la
moelle
, tandis que l'autre se porte à la périphérie, e
e avec les fibres motrices éma- nées des cellules antérieures de la
moelle
pour former le nerf mixte. v. Lenhossek a établ
leur existence. v. Lenhossek et Cajal ont décrit, en outre, dans la
moelle
du poulet au quatrième ou cinquième jour de l'i
cylindre-axile traverse d'avant en arrière toute l'épaisseur de la
moelle
et entre dans la racine postérieure, où on peut l
06 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres venant des cellules de la
moelle
épinière. Fibrilles Yal'i- queuses. Cellu
cants ou fibres centrales. Les ganglions reçoivent en outre de la
moelle
, par les racines anté- rieures, des fibres nerv
prennent leur origine dans les cellules de la corne latérale de la
moelle
(Gaskell), et qui se terminent par des arborisa
ier, une membrane continue qui accompagne le cylindre-axe depuis la
moelle
jusqu'à sa terminaison péri- phérique : elle es
ncéphale ; ce dernier relie le cervelet au cerveau et celui-ci à la
moelle
épinière. Le cerveau proprement dit constitue l
protubérance annulaire ou pont de Yarole, et le bulbe rachidien ou
moelle
allongée. Avant de passer à l'étude de ces segm
n. of Anat. and Physiol. XXV N S, V 3, p. 338, 1891. - DEBIERBF. La
moelle
épinière et l'encéphale. Paris, 1894. - Ebers-
ière, analogue à la ligne d'émergence des racines antérieures de la
moelle
; il est séparé de MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 323 -1
it), considéré tour à tour comme le prolongement du cerveau vers la
moelle
, ou de la moelle vers le cerveau, ou comme les
ur à tour comme le prolongement du cerveau vers la moelle, ou de la
moelle
vers le cerveau, ou comme les bras, les jambes
ral, du cerve- let, de la protubérance, du bulbe rachidien et de la
moelle
épinière, la repro- duction d'un assez grand no
SR) et de la protubé- rance puis dans celle du cordon latéral de la
moelle
. - Les fibres de Ventre-croisement de la calott
e et entrent dans la constitution du cordon antIYro-lall'l'at de la
moelle
. Toute la région de l'étage supérieur ou calott
ées, Paris, 1786. - ViGNaL. Sur le développement des éléments de la
moelle
des mammifères, avec planches. Arch. de Phys. nor
ntraux, à la région sous-optique, à la protubérance, au bulbe, à la
moelle
épinière; 4" des fibres centripètes ou terminal
médiane, à la manière des fibres de la commissure antérieure de la
moelle
, et se ter- minent, dans l'écorce de l'hémisphè
été conservé pendant près de deux ans dans l'alcool. Bulbe. - La
moelle
allongée était comprimée dans sa totalité de gauc
ce, son aplatissement diminue dans la région caudale, du côté de la
moelle
épinière ; elle est déplacée et déformée. La py
tudie la série des coupes depuis la partie la plus inférieure de la
moelle
allongée en remontant vers la protubérance, on dé
ndo. cop, reste de la corne postérieure. cl, cordon latéral de la
moelle
épinière. Coa, reste de la corne antérieure.
il y a quelques années. s'agis- sait d'un ramollissement aigu de la
moelle
allongée par une thrombose consécutive à l'obst
t du bulbe. La déformation particulière de la moitié gauche de la
moelle
allongée nous explique déjà la nature de. la co
s racines rachidiennes et les ganglions rachidiens sont normaux. La
moelle
volumineuse est aplatie d'avant en arrière. Les
et desquels nous n'avons pu saisir de modifications appréciables.
Moelle
. Au niveau de la moelle examinée dans la région c
ns pu saisir de modifications appréciables. Moelle. Au niveau de la
moelle
examinée dans la région cervicale dorsale et lo
rapportées surtout an partie de vue de l'examen microscopique de la
moelle
et des nerfs et ne contiez- nent que des détail
on des nerfs de la queue de cheval et à une lésion ascendante de la
moelle
. La gibbosité persista sans modification no- ta
tait en elfe[ une scléi,pse évidente des faisceaux postérieurs delà
moelle
. Ou vérifia l'étal du rachis et l'on ne trouva
urs après. Autopsie. - Organes splanchniqucs sains. Encéphale sain.
Moelle
: sclérose des cordons postérieurs . Thrombus f
litérant, dur, grisâtre, sec et d'aspect ubroïde. Encéphale sain.
Moelle
très molle. Teinte grisâtre translucide occupant
aire des cor- dons postérieurs dans les deux tiers inférieurs de la
moelle
et seulement les cordons de Goll dans le tiers
physes épineu- ses ont dû être lésées à l'autopsie pour extraire la
moelle
et il ne subsiste que celles des troisième, qua
e. Autopsie. - Hépatisation grise du poumon gauche. Encéphale sain.
Moelle
: sclérose des cordons postérieurs. Examen du
Aulopsie. - Hépatisation grise du poumon gauche. Encéphale sain.
Moelle
. - La coupe permet de constater une teinte grise
s cordons posté- rieurs en totalité dans la moitié inférieure de la
moelle
. Dans la région cervi- cale, les cordons de Gol
res lombaires : les autres ont été enlevées dans l'extraction de la
moelle
. Tous les os que nous venons d'examiner sont d'
que, hemorrhagie cérébrale, ictus, mort dans le coma. Autopsie. -
Moelle
: sclérose des cordons postérieurs sur toute la h
dilatation et insuffisance aortique. Congestion pulmonaire double.
Moelle
: sclérose des cordons postérieurs étendue sur to
lérose des cordons postérieurs étendue sur toute la hauteur de la ,
moelle
. Les méninges rachidiennes sont saines. Au niveau
invitent à supposer la présence dans un point encore inconnu de la
moelle
d'un centre trophique dont l'excitation a pour co
semblable que celui d'altéra- tions primitivement localisées sur la
moelle
. Nous reviendrons d'ailleurs sur ce point parti
état vacuolaire des cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
. 08S. Xi KAHLEH, De la polynévrite radiculaire
dunévraxe, justement dénommé par Charcot, la syphilis tigrée de la
moelle
. La myélite aiguë se reconnaît à des douleurs l
uestion devient délicate si l'on essaie d'interpréter le rôle de la
moelle
dans la production des troubles moteurs. Sans abo
lles de divers constructeurs. Ainsi, pour les vues d'ensemble de la
moelle
allongée, nous avons uti- lisé les lentilles et
tral du nerf réséqué, pas de réunion des deux bouts du nerf. 1 La
moelle
allongée et les ganglions plexiformes droit et ga
Examen microscopique, analyse et discussion des préparations. a)
Moelle
allongée. - Les noyaux des nerfs réséqués se dist
ervelet qu'au niveau de l'écorce cérébrale, de l'encéphale ou de la
moelle
. Les artères de l'encéphale ne sont ni épaisses
également conservé et le tout plongé dans le liquide de Millier. La
moelle
qui semble aussi plus petite qu'une moelle nor-
e liquide de Millier. La moelle qui semble aussi plus petite qu'une
moelle
nor- male est fixée et durcie par le même procé
t détaillé des lésions histolo- giques ; des petits fragments de la
moelle
prélevés à différentes hauteurs, ont été examin
le cérébelleux inférieur. - Corps restiforme (PI. XLVIII, D, E, F).
Moelle
(Pl. XLIX, X, L, M) et bulbe (PI. XLVII, A, B, C)
E, F). Moelle (Pl. XLIX, X, L, M) et bulbe (PI. XLVII, A, B, C). a)
Moelle
. - L'examen des fragments prélevés à la région do
du cordon antérieur et du 'cordon latéral, et à la périphérie de la
moelle
; celte dégénérescence est symé- trique, située
X, KM). b) Bulbe. - Les prolongements bulbaires des faisceaux de la
moelle
ne sont pas dégénérés ; sur les coupes colorées
vant de la place occupée par le faisceau de Gowers, au niveau de la
moelle
cervicale supérieure, se poursuit dans le bulbe
res etdu petit faisceau dégénéré danslecordon antéro- latéral de la
moelle
cervicale supérieure ; par sa topographie, ce fai
ffirmer cette origine. La petitesse du névraxe, l'hétérotopie de la
moelle
cervicale ne doivent être tout au plus considér
térieures localisée au niveau de la huitième ra- cine cervicale, la
moelle
ne présente aucune autre lésion manifeste, les
phie du cervelet ou du moins elle est douteuse, mais, par contre la
moelle
est diminuée de volume, il existe des lésions d
e, des troubles cardiaques auxquels il succomba. A l'autopsie, la
moelle
est plus petite qu'elle ne devrait être pour la t
inges sont injectées ; sur les surfaces de coupe on constate que la
moelle
est comme affaissée entre les cordons anté- rie
ieurs et latéraux et les cornes antérieures, particulièrement dans la
moelle
dorsale, paraissent atrophiées. Dans la région
moelle dorsale, paraissent atrophiées. Dans la région moyenne de la
moelle
dorsale la petitesse de la moelle est frappante
ées. Dans la région moyenne de la moelle dorsale la petitesse de la
moelle
est frappante, surtout du côté droit. Dans la par
frappante, surtout du côté droit. Dans la partie in- férieure de la
moelle
dorsale le canal central est dilaté ; vers l'extr
est dédoublé et ce dédoublement se poursuit jusqu'à l'origine de la
moelle
lombaire. La pie-mère cérébrale est oedématiée
issie et très injectée, la substance blanche est ferme. Le pont, la
moelle
allongée et principalement le cervelet et la moel
me. Le pont, la moelle allongée et principalement le cervelet et la
moelle
comparés aux autres parties du système nerveux
'existe aucune trace de sclérose on d'altération d'aucune sorte. La
moelle
est aplatie, mais nulle part il n'existe d'altéra
ophie scléreuse (Spiller), atrophie dégénérative avec lésions de la
moelle
(Menzel) ; sclérose de la moelle Si on tient co
ie dégénérative avec lésions de la moelle (Menzel) ; sclérose de la
moelle
Si on tient compte de la nature des lésions anato
s cérébelleuses. Lorsque les plaques de sclérose sont limitées à la
moelle
, ces troubles font défaut. Sans nous prononcer
compres- sions des racines rachidiennes, des troncs nerveux, de la
moelle
. Les symptômes habituels du tabes se compliquen
ce est visible encore par toute la périphérie antéro-latérale de la
moelle
allongée et aussi dorsalement de la pyramide gauc
'hémisphère gauche descendent par les parties sus-indiquées vers la
moelle
épinière.En ce qui concerne le tronc céré- bral
rfs crâniens contiennent aussi des blocs noirs de myéline modifiée.
Moelle
épinière. - I. Région cervicale. - a) Plus haut
e de cette dégénérescence n'atteint pas jusqu'à la périphérie de la
moelle
épinière (Voyez Pl. LXXI, C). En outre, dans le
dans le faisceau de Türck et presque dans toute la périphérie de la
moelle
épi- nière on voit aussi une raie noire étroite
marquée de globules noirs. On observe aussi par la périphérie de la
moelle
épinière une ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATH
'endroit de la plus grande dégénérescence de la moitié droite de'la
moelle
épinière a approximativement l'aspect d'un triang
scence, en se raréfiant un peu, atteint jusqu'à la périphérie de la
moelle
. Les fibres dégénérées sont devenues bien moins
e. La dé- générescence des fibres nerveuses sur la périphérie de la
moelle
épinière de- vient bien moins grande; au contra
es noirs. Sur les racines, coupées transversalement et entourant la
moelle
épinière, les fibres dégénérées sont comparativ
rativement peu nombreuses. Dans l'un des vaisseaux, en dedans de la
moelle
épinière, on trouva une cellule géante rembourrée
d'autres moins. VI. Coupe longitudinale de la région dorsale de la.
moelle
épinière,- Nous nous assurons ici aussi dans la
disposent auprès des vaisseaux. Parmi les faisceaux dégénérés de la
moelle
épinière dans le cas donné la lé- sion du faisc
disséminées peuvent être suivies jusqu'à la partie terminale de la
moelle
épinière. Concernant l'endroit, occupé par le f
ceau pyramidal dégénéré dans les régions dorsale et cervicale de la
moelle
épinière. il faut remarquer, que son bord interne
tendue. La quan- tité des fibres dégénérées sur la périphérie de la
moelle
épinière est aussi très marquée, ce qui dépend,
lésion des cordons postérieurs dans les régions infé- rieures de la
moelle
épinière est plus prononcée, que dans les régions
re et en général les cellules nerveuses de la substance grise de la
moelle
épinière par tout le long de la moelle épinière c
de la substance grise de la moelle épinière par tout le long de la
moelle
épinière contiennent une grande quantité de glo
uses contiennent une quantité assez marquée de globules noirs. III.
Moelle
épinière a) lntumiscence cervicale (Pl. LXXI, E).
blocs noirs menus est observée en général par la péri- phérie de la
moelle
épinière, et aussi à un degré moins grand dans le
ifications en général étaient bien plus profondes. L'examen de la
moelle
épinière dans le cas donné démontre une dégénéres
i va de l'écorce cérébrale et descend par le tronc cérébral dans la
moelle
épinière. Elle n'est pas compacte, ce qui prouve
r, ici aussi la dégénérescence est observée sur la périphérie de la
moelle
épinière, ce qui se trouve, proba- blement, en
rieures, est bien plus accentuée dans les régions inférieures de la
moelle
épinière que dans les régions supérieures de la
ieures de la moelle épinière que dans les régions supérieures de la
moelle
épinière; et ce fait à son tour donne une dégénér
lus mar- quée des cordons postérieurs des régions inférieures de la
moelle
épinière si- tuées plus bas. Les cellules de la
ieures de la moelle épinière si- tuées plus bas. Les cellules de la
moelle
épinière contiennent ici aussi une quantité con
phère gauche jusqu'à la partie inférieure de la moitié gauche de la
moelle
épinière, les changements vasculaires, la dégén
cellules corticales des cellules nerveuses du tronc cérébral de la
moelle
épinière, la dégénérescence dans d'autres systè
emier cas ; ici la dégénérescence du faisceau latéral droit dans la
moelle
épinière était moins marquée que dans le premie
u côté opposé. Dans les deux cas on a observé à la périphérie de la
moelle
épi- nière une dégénérescence très marquée des
aires et des cordons postérieurs dans les régions inférieures de la
moelle
épinière, que dans les parties supérieures. Le
veloppement de la dégénérescence dans les cordons postérieurs de la
moelle
épinière. La dégénérescence des faisceaux pyram
rébrale, de même que sur toute l'étendue du tronc cérébral et de la
moelle
épinière. La dégénérescence décrite plus haut d
voie pyramidale, en commen- çant par l'écorce cérébrale jusqu'à la
moelle
épinière, dans le premier cas a été exprimée d'
sa monographie décrit,entre autres, les résultats de l'examen de la
moelle
épinière dans 12 cas de paralysie générale (par l
es, l'un ou l'autre degré de lé- sion des voies pyramidales dans la
moelle
épinière : « Sur l'intensité de la dégénérescen
die et, seconde- ment, l'exacerbation du procès paralytique dans la
moelle
épinière dans le cours du temps, proche de l'is
f, Des dégénérescences des cellules nerveuses et des fibres dans la
moelle
épinière dans la paralysie générale. St-Pétersbou
ives des excitations que reçoivent les cen- tres vaso-moteurs de la
moelle
: ceux-ci réagissent à leur tour par voie réfle
pas pour seule raison un trouble trophique dû aux altéralions de sa
moelle
. D'où en premier lieu, la nécessité d'ex- plore
névrome fusiforme au bout central. Immédiatement après la mort, la
moelle
allongée, les ganglions plexiformes droit et ga
rs fois. Après cinq jours pour les ganglions et douze jours pour la
moelle
les objets sont sortis de la solution de formol e
haut. Examen microscopique, discussion et analyse des coupes. a)
Moelle
allongée. A l'inspection des coupes (PI.LXXVI,A
distante du bout pé- riphérique d'au moins un demi-centimètre. La
moelle
allongée, les ganglions plexiformes droit et gauc
osine. Examen microscopique, analyse et discussion des coupes. a)
Moelle
allongée (PI. LXXVII, A). Les cellules sont tou
pace de moins de cinq millimètres sépare les deux bouts du nerf. La
moelle
allongée et les ganglions plexiformes droit et ga
avail. Examen microscopique, analyse et discussion des coupes. a)
Moelle
allongée.. 1 Les cellules des noyaux du pneumog
pointe en 5314 . RENÉ MARTIAL corne avait certainement atteint la
moelle
épinière, cordon postérieur droit et antérieur
é- dullaire d'une maladie générale, ou encore à l'extension dans la
moelle
d'une affection locale siégeant dans un organe
dès l'année 1875, dans son li- vre classique sur les maladies de la
moelle
épinière, décrit admirablement l'anatomo-pathol
t la sclérose latérale amyotro- phique, toutes les affections de la
moelle
sont dues soit à une infection, soit à une into
ent hémorrhagique et même Oppenheim classe le ramollisse- ment delà
moelle
parmi les myélites. La moelle est tuméfiée, molle
nheim classe le ramollisse- ment delà moelle parmi les myélites. La
moelle
est tuméfiée, molle, NATURE ET TRAITEMENT DE LA
ent un rôle essentiel dans la production de ce ramollissement de la
moelle
, mais il est probable qu'en dehors de ces troub
es expérimentales m'ont montré que les microbes disparaissent de la
moelle
au bout de quelques jours; or dans mon cinquièm
coque pathogène. Enfin j'ai eu la bonne fortune d'examiner quelques
moelles
des chiens qui ont succombé à la suite de la ma
tat de l'excitation Fic. 3. - Coupe transversale d'une partie de la
moelle
et des méninges. On y voit l'infiltration consi
ès la pénétration de l'agent myélitogène dans les vais- seaux de la
moelle
, il se produit un autre phénomène très important,
imitent pas seulement aux vaisseaux, mais les autres éléments de la
moelle
sont intéressés. Aussi nous trouvons dès le déb
du noyau et du corps cellulaire; Fiv. 5. - Coupe transversale de la
moelle
dorsale d'un chien mort avec troubles ner- veux
canal arachnoïdien. J'ai rencontré dans la substance blanche de la
moelle
une lésion assez caractéristique qui a été décr
ue P. Marie ait généralisé cette formule à plusieurs maladies de la
moelle
; cependant démonstration de la nature infectieu
eur oeuvre de destruction, peuvent disparaître com- plètement de la
moelle
, et le résultat de l'examen aussi bien anatomo-
ladie. Le point de départ des agents infectieux qui vont envahir la
moelle
est communément une surface cutanée ou une muqu
par 572 MARINESCO la diminution de la résistance organique de la
moelle
; ou enfin parce que les deux facteurs sont int
t des cas de myélite aiguë il existe un état de vulnérabilité de la
moelle
épinière, vulnérabilité qui commande la localisat
iques du nerf malade, arriveront, eux ou leurs produits, jusqu'à la
moelle
, donnant naissance à ce qu'on appelle myélite, su
le myélite, suite de névrite FiG. 8 bis. - Coupe transversale de la
moelle
dorsale supérieure dans un cas de myé- lite aig
hten et Nélis qui constituent en somme une lésion banale. Dans la
moelle
épinière, j'ai constaté dans les trois cas de rag
lions cérébro-spinaux et dans ceux du sympathique cervical, dans la
moelle
épinière, dans le bulbe, dans la protubérance.
tention. Dans l'axe cérébro-spinal et plus particulièrement dans la
moelle
, j'ai trouvé une réaction vasculaire avec infil
a. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 57 manifestes dans la
moelle
ou dans le bulbe. Par contre, dans la plupar de
ou endogène et qui ne sont pas fabriquées par les microbes dans la
moelle
est une étude sans doute intéressante à faire.
ire par les toxines, l'étude que j'ai faite sur les lé- sions de la
moelle
provoquées par la toxine du bacille botulis, et q
o-myélite, mais aussi de la voie que cet agent suit pour envahir la
moelle
épinière. Si par exemple, le microbe est lancé
tout d'abord la cavité arachnoïdienne et ensuite pénètrent dans la
moelle
. C'est ce qui m'a engagé à répéter les expérien-
que certaines infections qui produisent la myélite arrivent dans la
moelle
non pas par l'intermédiaire des vaisseaux sangu
ble et s'expliquerait difficilement si le microbe était apporté à la
moelle
par les vaisseaux sanguins. Du reste, l'injecti
lite aiguë. Ainsi la pénétration des microbes par les artères de la
moelle
donne surtout naissance à des poliomyélites, tand
érieures, l'altération ne s'é- tend que sur quelques segments de la
moelle
. La paralysie ascendante de Landry, lorsqu'elle
ure. - On voit que la connaissance de l'irrigation vasculaire de la
moelle
telle qu'elle nous a été fournie par les recher
ocalisation se manifeste, il faut que la résistance organique de la
moelle
soit diminuée, ce qui peut arriver dans les infec
icrobes dont une partie sont détruits dans le sang, agissent sur la
moelle
par l'intermédiaire de ces toxines. En effet, l
e voir que Thoinot et Masselin ont retrouvé le coli commune dans la
moelle
quelques mois après son injection dans le sang.
action générale et initiale de tous les éléments constituants de la
moelle
suivant leur nature, provoquée par des microbes
entre dans la constitution du processus anatomo-pathologique de la
moelle
. Par conséquent, la plupart des scléroses de la m
ogique de la moelle. Par conséquent, la plupart des scléroses de la
moelle
épinière doivent être supprimées du groupe anat
rachnoïdien m'ont permis d'admettre trois classes d'infection de la
moelle
: 4° des infections qui à proprement parler ne dé
ulaire manifeste. Fio. 17 B. Sic 17 C. - Coupe transversale de la
moelle
épinière d'un lapin (région lombaire). Injectio
sus de l'injection des microbes Fia. 18 A. Coupe transversale de la
moelle
lombaire du lapin auquel on a pratiqué une inje
ninges aux cordons postérieurs (fig. 20). On sait que l'abcès de la
moelle
est très rare et dans la pathologie humaine on ne
autres fois j'ai observé de la méningite purulente sans abcès de la
moelle
. 3° Des microbes qui ayant pénétré dans le cana
onucléaires auxquelles ils don- Fio. 19. - Coupe transversale de la
moelle
dorsale d'un lapin avec injection intra-ra- chi
c'est la virulence variable des FiG. 20. - Coupe transversale de la
moelle
d'un chien auquel on a fait une injection intra
l'acliro- Fi(;. 22. - Cellule nerveuse radiculaire provenant de la
moelle
d'un lapin. FiG. 23. Achromatose relative d'une
ire, elle intéresse d'une façon régulière toute la périphérie de la
moelle
; tantôt FIG. 27. - Cellule radiculaire; chroma
NT DE LA MYÉLITE AIGUË 593 elle est circonscrite à une région de la
moelle
postérieure ou antérieure. . Un bel exemple de
de 8 à 12 heures avec paraplégie, troubles sphinctériens ; et dans la
moelle
, on trouve une méningo-myélite très accentuée.
un streptocoque virulent dans le nerf sciatique, on trouve dans la
moelle
un grand nombre de streptocoques xiii 39 594
région lombaire ces microbes siègent au pourtour de la moitié de la
moelle
correspondante au nerf injecté et les microbes en
nerf sciatique opéré avec participation de quelques vaisseaux de la
moelle
épinière et les mi- crobes suivent le trajet de
e forte leucocytose dans les vaisseaux de la pie-mère et même de la
moelle
et les streptoco- ques se retrouvent à l'intéri
ection du streptoco- que dans l'oreille ne se rencontre pas dans la
moelle
, ni sur les coupes, ni par la méthode des cultu
onowa concernant des foetus privés congénitàlement de cerveau et de
moelle
et chez lesquels les muscles ocu- laires ainsi
I en conclut à l'indépendance de développement des muscles et de la
moelle
. Si la rela- tion ne s'établit pas entre ces or
primitive des' vertèbres pou- vant provoquer une compression de la
moelle
: la déformation de la colonne vertébrale s'eff
symptômes médullaires, effet d'un développement fibromateux dans la
moelle
. C'est précisément la localisation spinale qui
(3) JACOTTET, Etude sur les altérations des cellules nerveuses de la
moelle
et des gan- glions spinaux dans quelques intoxi
tribution à l'élude des noyaux, sections des noyaux moteurs dans la
moelle
épinière. Revue neurologique, 30 juillet 1898, p.
46). 648 CHARLES LADAME reste stérile, on trouve toujours dans la
moelle
un certain nombre de cel- lules en voie de disp
re la manière dont une cellule motrice de la corne antérieure de la
moelle
et une cellule d'un ganglion spinal réagissent
si bien dans les ganglions noueux que dans les noyaux moteurs de la
moelle
allongée. - Pour Marinesco, la soudure des deux
nce directe de la présence du bout périphérique du nerf coupé. La
moelle
de notre chat de 118 jours, celle du chien de 122
es deux tronçons du nerf réséqué. En revanche, si l'on examine la
moelle
du lapin de 195 jours, on est frappé d'y voir u
Contribution à l'élude des localisations des noyaux moteurs dans la
moelle
lombo-sacde el de la vacuolisation des cellules n
lignes seg- mentaires, la réaction sympathique jusqu'au jour où la
moelle
mieux édu- quée pourra corriger l'excitation dé
e granuleuse, méningite à exsudat séro-fibrineux sanguinolent. La
moelle
est aplatie d'avant en arrière de la IVe racine c
isses. Au niveau de la IVe racine cervicale, la moitié gauche de la
moelle
est plus petite que la droite, surtout à sa par
ithéliales NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. r. XVI, PL. XIV.
Moelle
au niveau de la cinquième racine cervicale (cût
oelle au niveau de la cinquième racine cervicale (cûté gauche de la
moelle
, à droite du lecteur). Moelle au niveau de la s
racine cervicale (cûté gauche de la moelle, à droite du lecteur).
Moelle
au niveau de la sixième racine cervicale (côté
Moelle au niveau de la sixième racine cervicale (côté gauche de la
moelle
, à droite du lecteur). SYRINGOMYÉLIE (F.. Bri
`.W teurs. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XVI. PL. XV
Moelle
au niveau de la deuxième racine dorsale (côté g
Moelle au niveau de la deuxième racine dorsale (côté gauche de la
moelle
, à droite du lecteur). Moelle au niveau de la c
e racine dorsale (côté gauche de la moelle, à droite du lecteur).
Moelle
au niveau de la cinquième racine dorsale (côté
Moelle au niveau de la cinquième racine dorsale (côté gauche de la
moelle
, à droite du lecteur). Moelle au niveau de la p
e racine dorsale (côté gauche de la moelle, à droite du lecteur).
Moelle
au niveau de la partie inférieure de l'étage corr
correspondant - à la cinquième racine dorsale (côté gauche de la
moelle
, à droite du lecteur). SYRINGOMYÉLIE (E. Bris
inue,marque les limites latérales de cette ca- vité (Pl. XV, D). La
moelle
gauche est moins aplatie que la droite; la fente
ment quelques petites lacunes dans la racine postérieure gauche. La
moelle
lombaire au niveau de la première, de la troisi
- minés ultérieurement. ' 78 BRISSAUD ET BRUANDET Dans toute la
moelle
la pie-mère est épaissie, les parois vasculaires
faisceau de Ilelweg ne nous a pas paru dégénéré. Les coupes de la
moelle
épinière montrent des lésions nouvelles, essen-
tout à fait indépendantes de celles-ci. Il existe en effet dans la
moelle
dorsale'inl'é- rieure un foyer de méningo-myéli
a lésion et des cordons postérieurs au-dessus. Sur les coupes de la
moelle
cervicale on voit en effet une dégénération des
ntact de la face supérieure, sans cependant s'ouvrir à l'extérieur.
Moelle
. - La dure-mère rachidienne se présente comme un
coule un liquide laiteux,surtout au niveau de la région dorsale. La
moelle
tout entière est engainée par un tissu blanchâtre
ment gênées. Des coupes il la paraffine ont été faites sur toute la
moelle
et sur les princi- pales régions du cerveau (pl
me et l'inclusion celloïdinée, a servi pour certaines régions de la
moelle
. ' Etude microscopique des lésions encéphalique
d'infiltration. C. Coupe de la n : oe) ! e déformée, - D. Coupe de la
moelle
SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE 89 étroitement t
une trace de paroi de nature conjonctive. Elude microscopique de la
moelle
. Les coupes microscopiques diffèrent suivant le
tes cellulaires, très superficiellement sur toute la périphérie de la
moelle
, excepté en trois points : au niveau des cornes
dans les lésions de l'encéphale précédemment décrites. Autour de la
moelle
se dispose le large anneau, épais sur les faces l
njonctives sont écartées par l'infiltration cellulaire. Du côté de la
moelle
se dessinent de nombreuses lignes cellulaires p
es tissus néoformés, dont la surface équivaut parfois à celle de la
moelle
elle-même. Elle est uni- formément colorée; nul
s antérieurs. Les racines, dispersées sur toute la périphérie de la
moelle
, groupées ensemble parfois loin de leur positio
de la région qu'elles traversent. ' Une région particulière de la
moelle
montre au plus haut degré un caractère, que l'o
t le point où la corne postérieure vient aflleurer la surface de la
moelle
. La pie-mère y est très épaissie ; quelques noyau
; quelques noyaux allongés se montrent il la limite indécise de la
moelle
et de la méninge et dissocient en pénétrant dan
se de la moelle et de la méninge et dissocient en pénétrant dans la
moelle
elle-même les éléments des cornes postérieures.
générées, en raison du mode de fixation. Dans toute l'étendue de la
moelle
, il n'existe aucune dégénérescence systéma- tis
mmes loin dans notre observation des Cij extrêmes, ou mé- ninges et
moelle
sont remplacées par un cordon fibreux, laissant s
et 189 1. (2) Gilles DE la Tournette, La syphilis héréditaire de la
moelle
épimère, in Nouv. Icon. de la Salp., 1896. (3
tteinte profonde du canal central. Réduit sur toute l'étendue de la
moelle
à une fente transversale sans épithélium distin
ssant intact le sillon pos- térieur ; sur toute la périphérie de la
moelle
, elles formaient une couronne peu épaisse ; en
endus. Nous avons décrit précédemment une région périphérique de la
moelle
, particulièrement SYPHILIS HÉRÉDITAIRE TARDIVE
tive dans les amas nucléaires. L'anneau de tissu jeune entourant la
moelle
est surtout intéressant par l'état des vaisseau
formes longues au contraire, c'est l'état de dystrophie lente de la
moelle
, qui amène la déchéance des éléments nerveux et
cide avec des modifications vasculaires moins accusées (1). Dans la
moelle
, où nous n'avons pas constaté de foyers de ramo
es et à l'épais- sissement des tuniques. Tous les vaisseaux de la
moelle
étaient encore perméables, les vais- seaux de n
our du canal central, constitueraient les lésions principales de la
moelle
, aux- (1) Long et Kiki, Sur l'état airophique d
es de la moelle, aux- (1) Long et Kiki, Sur l'état airophique de la
moelle
épinière dans la syphilis spinale chronique, No
es lésions se diffusèrent à toutes les méninges encéphaliques, a la
moelle
, et clans la dernière période probablement, à la
bulbe 130 grammes. Rien de particulier au niveau du bulbe et de la
moelle
. Examen micrographique. -- L'examen a porté sur
ques et la rétine semblent normaux. Pas de lésion du bulbe et de la
moelle
. La localisation exacte des centres visuels n'e
e cas, des lésions névritiques, peut-être même une altération de la
moelle
. Notre malade n'est pas un myopathique simple.
iège causal des amyotrophies au niveau des cornes antérieures de la
moelle
, à quelque catégorie qu'elles appar- tiennent :
n axe blanc, qui s'arrête brusquement, c'est le cône terminal de la
moelle
qui tend à saillir dans la cavité anormale. La
s membranes qui auraient pu être des vestiges de l'encéphale, de la
moelle
n'y a absolument rien révélé d'une telle origine.
pathologique à la Faculté de médecine de Nancy. Les tumeurs de la
moelle
sont.assez rares. A ce titre seul, cette obser-
s reins sont le siège de congestion légère. SYSTÈME nerveux (1). La
moelle
épinière prélevée hâtivement a été sec- tionnée
en avant et en arrière sur la ligne médiane de façon à découvrir la
moelle
dans toute sa longeur. Partout, la dure-mère se
On distingue très nettement les divers détails exté- . rieurs de la
moelle
cervicale. On y voit le sillon antérieur, les div
-mère. Jusqu'à la hauteur de l'émergence des racines de C. VIII, la
moelle
cervicale ne présente extérieurement rien d'ano
s restes de ces méninges accolées à la tumeur. Du côté gauche de la
moelle
les caractères extérieurs normaux- sont peu mod
était adhérente. La. consistance du cylindre nerveux, ferme dans la
moelle
cervicale, comme à l'état, normal, est diminuée
as été pratiqué de section à l'état frais. A partir de D. III, la
moelle
reprend brusquement ses dimensions normales et
es liquides qui pouvaient se trouver à l'intérieur de la tumeur, la
moelle
tout entière a été fixée dans le formol à 10 p. 1
dans les différents tronçons, correspondant il divers étages de la
moelle
, ont été colorées selon les méthodes usuelles, et
es à montrer en-coupe transversale la' topographie de la lésion. La
moelle
est représentée avec ses dimensions naturelles ;
oit où la tumeur a le plus grand diamètre = 17 m. m. L'aspect de la
moelle
a totalement changé à ce niveau ; on n'y reconnaî
sidérer la tumeur comme développée dans les régions centrales de la
moelle
et aux dépens surtout de la t substance grise.
plus colorée à la périphérie ; en outre dans la partie droite de la
moelle
, la corne antérieure et la corne latérale parai
, on remarque que la tumeur ne fait plus saillie extérieurement. La
moelle
encore déformée cependant est augmen- tée dans
gauche. La tumeur paraît développée ici dans la moitié gauche de la
moelle
, en ar- rière de la commissure et en dedans de
ière de la commissure et en dedans de la corne gauche. Le reste de la
moelle
ne paraît pas considérablement modifié ; on dis
tour de la coupe. Sur uue coupe de la région dorsale vers D. IV, la
moelle
n'était plus le siège d'aucune lésion extérieur
de la coupe. Enfin la Phot. 6. d'une coupe faite vers la fin de la
moelle
dorsale ne pré- sente plus aucune lésion appréc
elle s'effile in- férieurement et se trouve plongée au milieu de la
moelle
comme un véritable clou à deux pointes. La de
rapports de ses éléments constituants avec les éléments normaux de la
moelle
, rechercher son point de départ, et examiner le
ique le long des capillaires qui vont des parties cen- trales de la
moelle
vers les parties périphériques. -C'est parallèlem
u en tous points analogue à la névroglie qui entoure normalement la
moelle
; ce tissu sert pour ainsi dire de guide à la tum
portions périphériques du nodule néoplasique, l'envahissement de la
moelle
se fait d'après le mode déjà analysé. , La su
vasculaires, et une dégénérescence analogue. L'envahissement de la
moelle
est moindre ; il existe encore quelques cellules
t de la zone de dégénérescence signalée aux étages supérieurs de la
moelle
; le tissu y est comme dissocié par un liquide
'une lésion qui a produit une interruption pres- que complète de la
moelle
épinière au niveau des VHP racine cervicale et
la tumeur développée primitivement dans les parties centrales de la
moelle
vers les racines C. VIII et D. I, s'étendail ex
basée sur divers arguments : Les tumeurs que l'on rencontre dans la
moelle
sont de natures très di- verses. Les plus fréqu
nt de (1) J. PATOIR et RAWAPT. Gliomes el formation cavitaire de la
moelle
. Arch. de méd. expér. et d'Anat. path., t. XIII
ns du canal épendymaire (sans dilatation) à un certain niveau de la
moelle
, il est permis de supposer qu'il y avait peut-êtr
t pour l'apparition de nodules tuberculeux ou syphilitiques dans la
moelle
après un traumatisme local, que le gliome médul
ômes morbides évidents. » D'ail- leurs, de toutes les tumeurs de la
moelle
, on peut dire qu'elles ont apparu le plus souve
ère, et une prolifération névroglique rapidement dégénérative de la
moelle
. Ces deux types très distincts l'un de l'autre
nsion en longueur expliqueraient la localisation de la lésion il la
moelle
elle-même et la longue durée de la maladie : dans
ent à envahir rapidement les méninges, détruire plus promptement la
moelle
. C'est précisément ainsi qu'a dû se développer
l'atrophie, traduction de la destruction de la moitié droite de la
moelle
au niveau du renflement cervical. . Dans la sui
le dé- veloppement d'une tumeur intramédullaire ayant interrompu la
moelle
au * niveau de la partie inférieure du renfleme
e développent comme dans lecas présent, près de la périphérie de la
moelle
, de telle sorte que les symptômes radiculaires un
plus ou moins complète de la conduction motrice ou sensitive de la
moelle
. Le diagnostic n'est pas toujours aisédans ces
niveau du bulbe ni de la protubérance. A la région cervicale de la
moelle
, il n'y a ni sclérose, ni épaississement des mé
upe interne et 6 à 7 dans le groupe postérieur. Nulle part, dans la
moelle
, on ne note de sclérose ; en quelques points de
avec épaississement, comme cela se ren- contre fréquemment dans les
moelles
séniles. Les racines sont normales. Les coupes
s ou triplés de volume ; chez quelques-uns l'intestin, le coeur, la
moelle
même (Linsmayer) avaient subi un développement pa
on préalable de l'axe cérébro-spinal. Si l'on connaît des cas où la
moelle
et le cerveau étaient intéressés en même temps
e la paralysie générale unies ensemble. Rabaud soutient que dans la
moelle
épinière des paralytiques existe une intégrité ab
endant prises, et cela spécialement dans la partie inférieure de la
moelle
, point d'élection pour les altérations radicula
ieures dans le tabes. Pour ce qui concerne la substance grise de la
moelle
chez les paralytiques géné- raux, Klippel et Ma
E (CUriOl11) RAPPORTS DU TABES AVEC LA PARALYSIE GÉNÉRALE 277 7
Moelle
épinière : Les méninges rachidiennes sont très co
congestionnées. On ne constate pas d'altérations grossières dans la
moelle
. Examen histologique. Les fixations ont été fai
e à peu près toujours les mêmes altérations. Pour ce qui regarde la
moelle
, on observe que l'infiltration des ménin- ges e
ges est étendue sur toute la surface et sur toute la longueur de la
moelle
, plus accentuée au niveau de la région cervical
. En certains points la méninge est comme séparée de l'écorce de la
moelle
par des couches de fibrine. On ren- contre par
partie centrale. La sclérose, beaucoup ac- centuée au niveau de la
moelle
dorsale, devient moins intense à mesure qu'on s
affaire à une véritable méningo-encéphalite ? Par ses lésions la
moelle
épinière de notre cas peut être placée entre le
'un élément que j'ai pu constater fré- quemment, aussi bien dans la
moelle
que dans le cerveau du cas que j'étudie. Lais
qu'une lésion syphilitique du système lymphatique postérieur de la
moelle
»,peut-être la discussion entre les patholoistes
l ne présentent rien de pathologique (Voy. pl. LXII, fig. A, c). La
moelle
paraît normale. Les mensurations, faites après
chnittenen Nerven (Virch. Arch. LV1. Berg. Contrib. à l'étude de la
moelle
et des nerfs chez les amputés. Thèse de Pa- ris
méd. Russe, 1897). Dejerine et Mayor. Rech. sur les altér. de la
moelle
et des nerfs du moignon chez les amputés d'anci
tal. de . Biol., 1898). Marie (P.). Leçons sur les maladies de la
moelle
. Paris, 1892. Neumann. Ueb. Degen. und Regen. z
periph. après destruction des cell. des cornes an- térieures de la
moelle
dans certains cas de poliomyélites anciennes (Soc
el'aedéme, commandée par les lésions des régions tro- phiques de la
moelle
. Et, si l'on veut bien admettre ce premier point,
amérique des trophonévroses, ce qui implique la participation de la
moelle
, et j'admets bien volontiers que la localisatio
3. Paraplégie cervicale incomplète par tu- meur gliomateuse de la
moelle
avec pa- chyméningite néoplasique (3 pl. en pli
ann. Paraplégie cervicale incomplète par tumeur gliomateuse de la
moelle
avec pachyméningite néopla- sique (3 planches e
cug. Paraplégie cervicale incomplète par tumeur gliomateuse de la
moelle
avec pachyméningite néopla- sique (3 pl. en pho
ry MEiGE),XXVIII. Paraplégie cervicale ; tumeur gliomateuse de la
moelle
. (Spillmann et Hoche), XXXII, XXX111, XXXIV).
a) Des origines bulbaires du trijumeau (centre bulbaire'); b) De la
moelle
cervicale (centre spinal). Les premiers (d'orig
aralysie de l'appareil nerveux irido-dilatatcur, qu'il vienne de la
moelle
ou du bulbe, amène l'irido-constriction (myosis p
pupillaires. A, pédoncules cérébraux; C, protubérance; B, bulbe; M,
moelle
; GS, ganglion sympathique cervical; 1. GG, gang
représente le prolongement du tractus inter- medio-lateralis de la
moelle
, origine du sympathique. Une amblyopie hystériq
urs et sensitifs des nerfs mesocephaliques, avec le cervelet, avec la
moelle
. TROUBLES NERVEUX LIÉS 11 : DES LÉSIONS ORGANIQ
son placé devant le conduit opposé; la voie du rél1exe passe par la
moelle
, par un centre réflexe otu-sltinal. En clinique,
et de réception des impressions sen- sitives, ncri's périphériques,
moelle
et cerveau. Dans ces derniers cas, cas d'altéra
SIBILITÉ. De là, les fibres nerveuses sensitives, pénétrant dans la
moelle
(pour les nerfs du tronc et des menibres), form
périphérique. Les fibres sensitives périphériques, arrivées dans la
moelle
par les racines postérieures, vont s'arboriser
rmé par des fibres sensitives provenant de la substance grise de la
moelle
du côté opposé (origine encore mal connue) et se
iphériques. On admet, depuis les expériences de Schiff, que dans la
moelle
épinière les impres- sions tactiles suivent le
cette opinion. Ces différenciations des voies conductrices dans la
moelle
est loin cependant d'être absolue, et de nom- b
f1('('- tions cérébelleuses (le faisceau de Gowers s'étendant de la
moelle
au ver- mis cérébelleux), ne permettent pas d'a
rmet pas d'indiquer d'une façon précise les chemins suivis, dans la
moelle
et dans le cerveau, par les différentes impress
galement que la conduction de la sensi- bilité soit croisée dans la
moelle
(Long). Cette idée, émise tout d'abord pour exp
ralysie avec anesthésie croisée dans les lésions unilatérales de la
moelle
), tend à être abandonnée en présence; d'expérie
analoino-cliniepie ne nous permettent de-suivre exactement dans la
moelle
le trajet parcouru par les diverses impressions
ontraire, s'opposant à la spécificité des sensations, attribue à la
moelle
la fonction non seulement de transmettre, mais en
ou moins intenses venues de la périphérie (Long). Il existe dans la
moelle
, pour les impressions sensitives reçues par les
myélique). D'autres fois, au cours des affections centrales -de la
moelle
ou de l'encéphale, c'est L'inverse que l'on obs
de la sensi- bilité profonde (Marinesco) ; sa transmission dans la
moelle
se ferait par les cordons postérieurs. En oppos
ncontrent dans les différentes affections du système nerveux, de la
moelle
, du cerveau et des nerfs périphériques; on les
raux, pédoncule, protubérance, bulbe); 2° dans le* affections de la
moelle
; 5° dans les lésions des racines rac Indiennes ;
des centres nerveux (hémisphères, pédoncule, protubérance, bulbe et
moelle
), soit dans les névroses comme l'hystérie, où i
tanée (tumeurs, syphilis ou tuberculose des os, des méninges, de la
moelle
; hématomyélie, foyer de ramollissement). Cara
18. Syndrome de Brown-Séquard. llémisection de la moitié droite de la
moelle
par coups de tranchet; laminectomie. A droite,
nsitive. Causes. Elle se rencontre, dans les lésions intéressant la
moelle
sur une grande partie de sa largeur, ou dans sa
éoplasiques des vertèbres, du tissu conjonctif, des méninges, de la
moelle
; par myélite transverse, syphilis médullaire, mal
istent guère sans troubles mo- dans les affections organiques de la
moelle
(exception faite pour la syringomyélie et l'hém
e), aux cordons postérieurs (tabès), et dans les compressions de la
moelle
intéressant en même temps les racines. - . . La
tient autant aux lésions des racines rachidiennes qu'à celles de la
moelle
épinière, mais comme le plus sou- vent, en clin
ression, méningite, tabès), nous allons étudier ici, à propos de la
moelle
, la topographie radiculaire de l'innervation cuta
E LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 rencontre dans les affections de la
moelle
qui suivent : compressions médullaires, tabès,
clans nombre de cas, indiquer au chirurgien il quelle hauteur de la
moelle
siège la compression, et parlant, à quel niveau
de l'écorce, comme ils se projettent dans la substance grise de la
moelle
. L'existence de ces troubles de sensibilité du v&
e la distribution des zones anesthésiques dans les affections de la
moelle
, rappelons en quelques mots ce qu'on doit enten
taire des troubles sensitifs au cours de certaines affections de la
moelle
, et en particulier de la syringo- myélie, Briss
élie, Brissaud a émis l'hypothèse que la projection cutanée dans la
moelle
, se faisait suivant une disposition segmentaire.
ne répond un métamère. Chez l'homme, chaque paire segmentaire de la
moelle
, ou métamère, correspond à un segment de l'indi
tamères sont étages suivant un plan perpendicu- laire à l'axe de la
moelle
; dans le renflement cervical et lombaire, ils
métamérique du renflement brachial (schéma d'après Brissaud). S.
moelle
épinière; M S, membre supérieur; BR, renflement b
moelle épinière; M S, membre supérieur; BR, renflement brachial de la
moelle
; A, B, C, métamères du tronc; il, 2, 5, centres
ébral, mal de Pott). En général, elles portent en même temps sur la
moelle
et sur les racines postérieures, et leur sympto
t ou simultanément, mais à des degrés différents. Enfin, lorsque la
moelle
participe à la lésion (compres- sion de la moel
Enfin, lorsque la moelle participe à la lésion (compres- sion de la
moelle
et des racines), apparaissent des troubles sphinc
adiculaires peuvent exister seules ou associées à des lésions de la
moelle
; en effet, certaines causes de lésions médullaire
essions, intéressent habituellement en môme temps les racines et la
moelle
. Nous avons donc à étudier les paralysies radicu-
llement dans les cas de lésion de la région lombaire supérieure, la
moelle
épinière (qui descend jusqu'à la 2° vertèbre lomb
Ce type total est presque toujours l'expression d'une lésion de la
moelle
(cône. terminal qui se trouve à ce niveau); aus
ubles sensitifs (type total) peut s'observer dans les lésions de la
moelle
elle-même; il faut alors que la compression siè
x radiculaires qui se trouvent au-des- sous de la terminaison de la
moelle
(milieu du corps de la 2" vertèbre lombaire) et
: ' "' en clinique par une lésion intéressant. les segments, de la
moelle
lombo- sacrée d'où partent les racines qui vont
de cheval ou ce qui revient au même, pour chacun des segments de la
moelle
sacrée et. des trois derniers segments lombaire
plus seulement le cône terminal (trois derniers segments), mais -la
moelle
sacrée donnant naissance aux pre- mières paires
s et à la 'De lombaire on a le syndrome radiculo- ségmentaire de la
moelle
sacrée : dans ce cas l'anesthésie comprend, en
, jusqu'à la 5'' lombaire inclusivement (ou si la compression de la
moelle
siège au niveau du ;le segment lombaire), l'ane
suivantes : '10 Les racines sont-elles seules intéressées ? 20 La
moelle
est-elle seule intéressée ? 3° Racines et moell
éressées ? 20 La moelle est-elle seule intéressée ? 3° Racines et
moelle
sont -elles prises ensemble ? En clinique, la s
dans les lésions sacrées et qui plaide pour une participation de la
moelle
. L'examen de la colonne vertébrale révélant une
e topogra- phie périphérique, la lésion doit siéger au niveau de la
moelle
plus haut que lorsqu'elle porte sur le trajet e
tant que topographie radiculaire scnsitivo-mutrice une lésion de la
moelle
au niveau de la .1 le vertèbre dorsale. En ré
nt pour la différenciation des lésions de la queue de cheval, de la
moelle
sacrée et du cône terminal. Dans ce dernier c
rares en [ROUSSY.] 544 SENSIBILITE. comparaison de celles de la
moelle
; lorsqu'elles existent, il y a en général des s
du cône » survenant brusquement est l'expression d'une lésion de la
moelle
; 2° Les lésions à évolution lente de la queue d
de cheval (tumeurs) sont beaucoup plus fréquentes que celles de la
moelle
et, dans les premières, les douleurs typiques,
sympathiques de l'organe lésé. Dans les cas de trauma- tisme de la
moelle
, on retrouve des zones hyperesthésiques ayant la
eresthésie cutanée, dans l'étude des localisations sensitives de la
moelle
, n'a pas la même valeur objec- tive que celle d
bes, ce même type peut se rencontrer dans d'autres affections de la
moelle
ou des racines. Un type de douleur ne répond donc
rachialgie s'observe dans les affections aiguës et chroniques de la
moelle
et de ses enveloppes. Elle est presque constante
ème nerveux et s'observent : 1° dans les maladies organiques (de la
moelle
en particulier) ; '2" dans les névroses. 1° D
cutanée du nerf fémoro-cutané. .... 5" Dans les affections de la
moelle
, surtout à la période prodromique, les sensatio
rche diagnostique. On les observe clans toutes les affections de la
moelle
et des méninges : méningite, compression médull
et faisant partie du syndrome de claudication intermittente' de la
moelle
épinière (de Deje- rine) ('). Ce syndrome est e
évidemment dus à l'insuffisance de l'irrigation d'une région de la
moelle
, insuffisance qui devient apparente dès que la mo
région de la moelle, insuffisance qui devient apparente dès que la
moelle
est appelée à fournir un travail quelque peu pr
eu prolongé. 4° Dans les affections du cerveau, comme du côté de la
moelle
, les dysesthésies peuvent faire partie de la sy
t les radiculites peuvent se rencontrer aux différents étages de la
moelle
cervicale, dorsale, lombaire et sacrée. Pitre
scolioses), les tumeurs intra-rachi- diennes, les affections de la
moelle
dorsale, certaines cardiopathies. Chantemesse e
mment d'une lésion de la colonne vertébrale, du petit bassin, de la
moelle
ou de ses enveloppes. La scia- tique double se
tendineux sont exagérés, comme d'ailleurs l'activité réflexe de la
moelle
en général : ils diminuent quel- ques semaines
ces cas, il s'agit de lésions limitées à la partie supérieure de la
moelle
, de lésions discrètes méningo-vasculaires ou de
ulien est un des éléments du syndrome des scléroses combinées de la
moelle
dans la forme tabétique, dans les scléroses com
xe achilléen. Il est cependant un certain nombre d'affections de la
moelle
que nous avons laissées de côté et dans lesquel
pressions de la ineielle. " En général, dans les compressions de la
moelle
, la paralysie reste flasque au début de la mala
Au contraire, dans un'certain nombre de cas de compression de la
moelle
, les réflexes sont et demeurent abolis. Dans ces
t abolis. Dans ces cas, suivant Bas- tian, il y a destruction de la
moelle
, par conséquent l'abolition perma- nente des ré
réflexes a une grande valeur pour le diagnostic de la section de la
moelle
, suivant Baslian. Telle n'était pas cependant l
omplète, pouvait ne s'accompagner d'aucune lésion appréciable de la
moelle
. Dans la compression brusque de la moelle, l'ab
lésion appréciable de la moelle. Dans la compression brusque de la
moelle
, l'abolition des réflexes s'observe également.
es réflexes est passagère. Il semble qu'elle soit due au choc de la
moelle
, elle peut disparaître et guérir très vite, ell
tébraux, fractures de la colonne vertébrale, coups de couteau de la
moelle
el hémalomyélie, myélite tranSVe1'SI ? L'abolit
meurs de l'encéphale, dégénérescence des racines postérieures de la
moelle
, peut-être l'abolition des réflexes est- elle d
re. Rappelons à ce propos l'expérience de Prévost où l'anémie de la
moelle
par la ligature de l'aorte diminue l'excitabili
S RÉFLEXES. 41."> Enfin, nous avons dit que la compression de la
moelle
par un mal de Poil, par une tumeur vertébrale,
ut encore s'observer d'un seul côté au cours des hémisections de la
moelle
, les réflexes sont exagérés du côté de la lésio
de réception périphériques dont la vibra- tion se répercute sur la
moelle
par l'intermédiaire des nerfs. Ces organes de r
illral, indiquer nettement la portion de la substance hlanche de la
moelle
par où pénètrent ces libres; c'est la zone d'en
enée du coude de la corne postérieure vers le bord postérieur de la
moelle
. Si nous conservons comme exemple le réflexe ro
réflexe rotutien. la voie centripète du réflexe se continue dans la
moelle
, mais non pas dans toute la hau- teur de cet or
organe et, suivant Westphal, ces libres centripètes entrent dans la
moelle
au niveau de l'union de la moelle lombaire et de
ibres centripètes entrent dans la moelle au niveau de l'union de la
moelle
lombaire et de la moelle abdominale. Nous avo
dans la moelle au niveau de l'union de la moelle lombaire et de la
moelle
abdominale. Nous avons suivi jusqu'ici la mar
llaires et nous avons accompagnée jusqu'il la substance grise de la
moelle
. Là, elle est transmise à une ou plusieurs des ce
2° Le nerf périphérique centrifuge : 5° Le cordon postérieur de la
moelle
; 4" La substance muse médullaire : 5" Le nerf
névrite périphérique, par lésion des cordons postérieurs de la
moelle
comme dans le tabès, par des lésions de la subs
e ce sont des phénomènes qui se passent en dehors de l'action de la
moelle
; ils objectent, en effet, il la théorie de l'ar
ivants : A) La disparition du phénomène du genou quand on anémie la
moelle
, par exemple par la compression de l'aorte. B
uc agit tout d'abord sur le cerveau, puis plus tardi- vement sur la
moelle
épinière et sur la moelle allongée. Ces faits s
e cerveau, puis plus tardi- vement sur la moelle épinière et sur la
moelle
allongée. Ces faits semblent donc confirmer la
issement et de convergence des yeux, ophlal- moplégie interne. e)
Moelle
. Le diagnostic de l'hémiplégie spinale est souven
risée, telle qu'un traumatisme, la syringoinyélie, une tumeur de la
moelle
, ou la syphilis médullaire; dans ce dernier cas
rome de Brown-Séquard dépend d'une héiniseetion trauluat ique dc la
moelle
ou d'une hémicompression (tuberculose, syphilis
jours sont déter- minées par les sections brusques et totales de la
moelle
, et, chez les spastiques, par les altérations s
de couteau en général) détermine seulement une hémisec- tion de la
moelle
et provoque le syndrome de Brown-Sequard. Le di
pasmodique qu'au bout d'un temps variable. Lorsque la section de la
moelle
est immédiatement totale, la paralysie demeure
s causés par section lors du glisse- ment d'une vertèbre cariée, la
moelle
des tuberculeux peut être atteinte par abcès fr
acte. Géné- ralement, en effet, les racines sont atteintes avant la
moelle
, et le pronostic ne peut être porté avec un peu
ité; la lésion aurait, dans ce cas, atteint les racines d'abord, la
moelle
ensuite. Plus tard, il pourrait ne plus avoir s
e. Plus tard, il pourrait ne plus avoir seulement compression de la
moelle
, mais aussi myélite, et la paraplégie, de spasm
intra- rachidiennes ou extra-rachidiennes, qui peuvent atteindre la
moelle
. Les méningites chroniques peuvent agir de même
on plus de tumeurs illha-rnéclllllnircs, mais de dila- tation de la
moelle
ou de cavités centrales, les malades se présenten
nte des tableaux cliniques variables. Comme dans le mal de Pott, la
moelle
peut être atteinte de' façons difté- rentes. El
t plus progressives et plus irrémédiables. Pour ne parler que de la
moelle
en effet, les accidents précoces, survenant de
coup de couteau) ou indirect (fracture, luxation rachidienne) de la
moelle
, par mal de Pott [vertèbre cariée (voussure sub
iques) ; niais elle demeurera flasque seulement si la section de la
moelle
a été d'emblée ou rapidement totale. Les troubl
oubles sphinctériens sont précoces et intenses. Si la section de la
moelle
est incomplète, la paraplégie deviendra spasmod
fant, les lacunes de l'encéphale, les altérations vasculaires de la
moelle
, la sclé- rose musculaire essentielle chez le v
galement favo- rable en ce quelle indique une atteinte légère de la
moelle
. Nous serons brefs sur le traitement. Il sera,
heureux secours. Etant donnée l'obliquité des racines émanées de la
moelle
, on se sou- viendra, conformément aux indicatio
e lombaire, la compression éven- tuelle s'exercera, non plus sur la
moelle
proprement dite, mais sur la queue de cheval.
jacentes. Syndrome cervical supérieur. Les com- pressions de la
moelle
cervicale portent, au ni- veau des trois prem
fente palpébrale et l'aplatissement de la joue. Syndrome dorsal. La
moelle
dorsale s'étend de la 2'' à la 9e ver- tèbre do
a lésion se rapproche du renflement lombaire. Syndrome lombaire. La
moelle
lombaire donne naissance aux quatre premières l
illéen est conservé ou même exagéré (Grasset). Syndrome sacré. « La
moelle
sacrée (ou éllicelnc) mesure un centi- mètre et
deux dernières paires sacrées. » Mais ici, plus encore que pour la
moelle
lombaire, l'obliquité des racines émergentes ét
côté, il est fréquemment difficile de distinguer le syndrome de la
moelle
sacrée du syndrome de la queue de cheval (voir
ndrome de la queue de cheval (voir plus loin). La compression de la
moelle
sacrée se traduit par un syndrome sciatique. c'
de ses lésions est en général difficile à distinguer de celui de la
moelle
lomho-sacréc ou epiconc et se confond d'ordinai
Fig. 2. Cône médullaire et épicône. Vertèbres osseuses inférieures et
moelle
inférieure avec ses différents segments. Le côn
Fig. 5. Syndrome de Brown-Séquard. Représentation schématique de la
moelle
vue de dos (coupe longitudinale). CSG, colonne
ve droite; A, B, C, D, section portant sur la moitié gauche de la
moelle
; S, S, S, SI, Si, S3, SI', racines sensitives d
(Cbwhy) . r . TOPOGRAPHIE MEDULLAIRE MOTRICE Les lésions de la
moelle
se traduisent fréquemment eh clinique par le sy
chapitre de cet ouvrage. Je rappelle qu'une lésion limitée l'hémi-
moelle
donne lieu au syndrome de Brown-Séquard. Une lé
ont constaté. Les lésions des cellules des cornes antérieures de la
moelle
ont pour conséquence l'atrophie des muscles inn
ornes antérieures. Certains auteurs admettent l'exis- tence dans la
moelle
de localisations motrices pour des muscles isolés
erine a fait remarquer que s'il existait dans l'axe antérieur de la
moelle
une localisation motrice segmentaire, on devrait
ont des locale sations radiculaires ; les racines antérieures de la
moelle
proviennent de noyaux étagés les uns au-dessus
seul filet suffit à maintenir tous les muscles en relation avec la
moelle
. Minier excite avant leur réunion les trois ner
racine .innerve un groupe de muscles synergiques et répond dans la
moelle
à des centres de flexion, d'extension, d'adductio
radiculaire, s'ajoutent souvent des symptômes de compression de la
moelle
ou de myélite. Paralysies radiculaires dans la
inflam- matoire, sous forme de foyers qui occupent la surface de la
moelle
épi- nière et intéressent un plus ou moins gran
e créées soit par des lésions du cortex, soit par des lésions de la
moelle
, des racines ou des nerfs périphériques, forme un
uée comparativement à celle que l'on observe dans les lésions de la
moelle
ou des nerfs. Les (roubles de la sensibilité qui
i montré avec Pierre Marie. Les lésions de la substance grise de la
moelle
, les poliomyélites peu- vent amener des monopte
. GUILLAIN ] 650 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES DES NERFS CRANIENS la
moelle
cervicale (compressions, poliomyélites), ou des c
é, que des deux actions des cellules radiculaires antérieures de la
moelle
, action dynamique et action trophique, transmis
ation dynamique des cellules corticales aux cellules motrices de la
moelle
; mais sans doute dans ce cas l'altéra- tion pyr
linique de l'inflammation systématique des cornes antérieures de la
moelle
, de la poliomyélite antérieure chronique. L'étu
ique est une atrophie des cellules radiculaires anté- rieures de la
moelle
. L'atrophie débute dans la première enfance (fi
périphériques (névrite interstitielle et parenchymateuse) et de la
moelle
(cordons postérieurs, cellules radiculaires ant
e et à la dispa- rition des cellules radiculaires antérieures de la
moelle
sous l'influence d'un processus morbide chroniq
as rares une inflammation systématique des cornes antérieures de la
moelle
, une poliomyélite antérieure chronique, qui se
clinique : les signes associés montrent que d'autres parties de la
moelle
et de ses enveloppes sont, atteintes (cordons lat
lusivement les cellules radi- culaires des cornes antérieures de la
moelle
. Dans la sclérose latérale amyotrophiques, la p
e, soit sans doute à une lésion des cellules radi- culaires de la
moelle
. Elle frappe surtout les mains, mais-ne produit
re- ment d'une atrophie des cellules radiculaires antérieures de la
moelle
[(Pierre Marie ('). Condoléon (2), Leyden, Char
re une cause commune la élite 1. P. Maiîik. Leç. sur les mal. de la
moelle
, Paris, lu. 2. <CO ! .MX. Th. Paris, 1885.
l'atrophie dans le cas où elle est étendue et progressive; dans la
moelle
d'un vieux saturnin, chez lequel l'atrophie, d'ab
ose due à un trouble purement dynamique des cellules motrices de la
moelle
, trouble transmis par la voie des filets sensit
s aucune altéra- tion inflammatoire et une intégrité complète de la
moelle
, défendue sur- tout par Raymond (') et par lIof
des lésions véritables des cellules radiculaires antérieures de la
moelle
. Les atrophies réflexes s'observent le plus sou
ophies s'observent à la suite de toutes les affections aiguës de la
moelle
où les cornes antérieures se trouvent rapidemen
yélies). On pourrait y ajouter toutes les maladies chroniques de la
moelle
où ces cornes antérieures sont ou peuvent être
e Aran-Duchenne. On a expliqué ces localisations successives sur la
moelle
de processus sans doute infectieux et différent
en masse des membres inférieurs. A la suite des compressions de la
moelle
, on peut voir survenir des atrophies musculaire
fonctions trophiques des cellules radiculaires antérieures de la
moelle
; anatomiquement d'ailleurs, on constate d'ordin
miquement d'ailleurs, on constate d'ordinaire que la moitié de la
moelle
du côté de l'hémiplégie est tout entière plus
tion de nombre des éléments des muscles, des os, des nerfs, de la
moelle
, etc. (« atrophie numérique » de Jiuppel) ly. D
iques était toujours liée à une lésion des cornes antérieures de la
moelle
. Babinski, dont les observations ont été confirmé
phie a pour origine une pertur- bation des cornes antérieures de la
moelle
, mais celle-ci se manifeste suivant son degré d
en a été rencontré non seulement dans les nerfs, mais aussi dans la
moelle
. Dans le béribéri, maladie contagieuse et épidé
inait parfois à la périphérie et ne se prolongeait pas jus- qu'à la
moelle
(Dejerine). Au contraire, les auteurs que nous av
ités plus haut ont constaté des lésions des cellules motrices de la
moelle
, et dans les trois observations de Raymond et P
tensité modérée paraissent devoir être appliqués de préférence à la
moelle
en posant les deux électrodes aux deux extrémités
, les cordons postérieurs et en même temps d'autres faisceaux de la
moelle
, en particulier les faisceaux pyramidaux ou les
pre, la pellagre, le lathyrisme. paraissent frapper surtout dans la
moelle
soit les cordons latéraux soit, dans les cordon
, d'origine sénile ou syphilitique, des vaisseaux postérieurs de la
moelle
; son développement durerait de à l 5 jours, ell
s feraient défaut quand les plaques de sclérose sont limitées il la
moelle
. Souvent le syndrome de l'asynergie est symptom
et paralytiques : on trouve, en effet, une sclérose combinée de la
moelle
à laquelle prennent part il la fois les cor- do
fois la petitesse de tout le système nerveux central, surtout de la
moelle
, l'atrophie de la substance grise, la dégénérat
le siège de la lésion des voies sensifivesousen- sorielles) : a)
Moelle
(racines et cordons postérieurs) : " INCOORDINA
t dans le domaine de l'histoire : la suspension, l'élongation de la
moelle
ou des nerfs ont donné quelques résultats si fâ
nt encore incomplet des centres modérateurs situés plus haut que la
moelle
. Cette prédisposition est particulièrement manife
ique, dégénérative, inflammatoire ou toxique, siégeant soit dans la
moelle
(les théories anciennes, encore admises par Ben
e partie de l'ensemble neuro-musculaire qui permet l'acte d'écrire,
moelle
, nerfs ou muscles n. On comprend que,, suivant
it une maladie chronique ou une affection aiguë du cerveau ou de la
moelle
. On observe souvent un oedème extrêmement dur,
la dyspnée peut faire partie des symptômes de la compression de la
moelle
dans les segments supérieurs où la pneumogastri
le rein goutteux. Presque toutes les affections douloureuses de la
moelle
peuvent déter- miner des névralgies rénales, ma
uites pap'un mécanisme analogue. Nombreuses sont les maladies de la
moelle
dans lesquelles on la ren- contre dans les myél
' polyurie. s'observe il la suite de traumatismes du crâne et de la
moelle
, surtout dans les lésions du 4" ventricule, princ
s lésions des tubercules quadri- jumeaux, ainsi que de celles de la
moelle
cervicale et du centre génito- spinal ; l'érect
lus souvent la spermatorrée est symptomatique d'une affection de la
moelle
dont l'influence sur l'éjaculation. est certaine
on voit fréquemment la spermatorrée dans la compression lente de la
moelle
, sous forme du'1,1- culations involontaires non
inal produit le même effet (frac- tures de la colonne, plaies de la
moelle
, inflammations transverses, etc.). Il en résult
al, n'est plus acceptée aujourd'hui : par contre, des lésions de la
moelle
cervicale, du centre génito-spinal ont pu détermi
st d'origine psychopathique. Plus fréquente dans les maladies de la
moelle
, on l'observe dans certaines affections graves
r si, dans ces cas, les lésions concomitantes du consécutives de la
moelle
ne jouent pas le principal rôle. - Très rare
à la deuxième période, constante dans les compressions lentes de la
moelle
et dans la para- plégie, etc., l'impuissance su
le fait-partie du syndrome des traumalismes et compres- sions de la
moelle
: une fracture, un mal de Pott déterminent ainsi
sques quel que soit leur siège, il condi- tion que la section de la
moelle
soit complète, et se soit produite rapide- ment
n. Il y a également incontinence quand le centre sphinctérien de la
moelle
dorso-lombaire est détruit. lui fin, il peut y av
e dans l'hémiplégie, presque de règle dans toutes les lésions de la
moelle
autres que les exceptions sus-men- tionnécs. Ma
e autres que les exceptions sus-men- tionnécs. Mais au niveau de la
moelle
cervicale, les troubles sont très inconstants.
nérale, dans un cas de gliome fusiforme de la substance grise de la
moelle
(10" segment dorsal au 2" lombaire, région tatero
çon générale, il y a incontinence lors des sections complètes de la
moelle
, rétention dans le cas contraire. Il convient c
échappent et souil- lent le linge du malade. Dans la syphilis de la
moelle
,- il existe souvent des mictions impérieuses qu
une paralysie infantile au membre supérieur ; quand la lésion de la
moelle
est assez intense pour déterminer lllïg. 14. -
exccp- tionnellement dans les compressions et hémisections de la
moelle
et dans la paralysie mlantlle. L atrophie .musc
erses, diffuses ou disséminées, dans les .9ectiolîs complètes de la
moelle
, on peut observer des pieds-bots para- lytiques
araplégies spasmodiques d'origine médullaire, par traumatisme de la
moelle
, section incomplète, écrasement ou com- pressio
cérébrales, des hémorragies pie mériennes siégeant au niveau de la
moelle
, de la surface du cervelet, et de la surface mê
tiqucs relèvent- ils d'une épendyniilc médullaire ? Les abcès de la
moelle
déterminant une paraplégie spasmodique avec per
ux altérations banales, quasi physiologiques du canal central de la
moelle
humaine pour qu'il soit possible de leur attribue
S , 1" Classification des cas justiciables du radiodiagnostic. La
moelle
et le cerveau sont des organes de faible densité,
dès corps étrangers métalliques ont pénétré dans l'encéphale ou la
moelle
: la radioscopie peut être alors fort utile.
ues dans l'étude des affections suivantes : 1° Traumatismes de la
moelle
et du cerveau avec ou sans pénétration de corps
tématisées, soit diffuses et irrégulières. 1° TRAUMATISMES DE (LA
MOELLE
ET DU CERVEAU Lorsqu'on suppose qu'un corps étr
CERVEAU Lorsqu'on suppose qu'un corps étranger a pénétré dans la
moelle
ou dans le cerveau, la radiographie ou la radiosc
para- plégie brusque, signe habituel en cas de pénétration dans la
moelle
, peut 1. Loison. Les rayons de 11(jifleii. Dois
t1torachis), soit de la mé- ninge (hémorragie méningée), soit de la
moelle
elle-même (hématomyé- lie), ou bien à la suite
xceptionnels, [tour juger si l'agent vulné- rant a ou non louché la
moelle
et si la paraplégie résulte ou non d'une sectio
ostic cherché, mais elle ne révélera jamais les hémorra- gies de la
moelle
, de ses enveloppes ou du rachis dont l'éliminatio
cs du rachis avec ou sans bascule de vertèbres et compression de la
moelle
, les arrache- ments de fragments osseux d'un co
s osseux d'un corps vertébral ou d'une apophyse venant comprimer la
moelle
ou les racines, etc. ; or c'est dans ces cas pr
d'accidents purement névro- pathiques ou de maladies définies de la
moelle
ou du cerveau dans l'appa- rition desquelles le
nombre de paraplégies traumatiques tardives par com- pression de la
moelle
. 2 ? DÉFORMATIONS PATHOLOGIQUES DU CRANE ET DU
ateux n, la couche compacte est mal délimitée vers le centre, vers la
moelle
osseuse, elle est mal délimitée aussi vers la p
s X en thérapeutique neurologique.) Les recherches de Labeau sur la
moelle
en voie de développement oui montré la résistan
s diverses zones temporo-1'rontales et par la bouche, on irradie la
moelle
par chacune des gouttières vertébrales (méthode
ainsi à donner au point à traiter, l'hypophyse ou une hauteur de la
moelle
, par exemple, la moitié de la dose que reçoit la
s résultats obtenus par la radiothérapie sur certains gliomes de la
moelle
épinière donnant les symptômes de la syringomyéli
l,(l el de Marinesco sur « la Radiothérapie dans les maladies de la
moelle
épinière » (Congrès de Physiothérapie, Paris, 1
'à 1. Babinski. Contracture généralisée due à une compression de la
moelle
cervicale, très améliorée a la suite de l'usage
moins étendues situées dans la profondeur du corps, par exemple la
moelle
épinière, il [E. HUET.-\ Fig. 15 (d'après Erb
rodes. On emploiera ce procédé pour atteindre un point limité de la
moelle
épinière ou un point situé dans la profondeur
urant relativement à sa pénétration dans la profondeur (ici dans la
moelle
épinière). A, quand les deux électrodes sont ra
server dans des affections du système nerveux central, encéphale et
moelle
, surtout à leur début ou à des périodes peu avanc
s la sclérose en plaques, dans des paralysies par compression de la
moelle
. L'excitabilité électrique n'est pas nécessaire
musculaires qui dépendent de lésions des cornes anté- rieures de la
moelle
, l'excitabilité électrique est généralement plus
Dans les processus aigus portant sur les cornes antérieures de la
moelle
, la poliomyélite antérieure aiguë, par exemple, o
dans des affections aiguës portant sur les cornes antérieures de la
moelle
. Les modifications de l'excitabilité électrique d
igine les cellules des neu- rones moteurs (cornes antérieures de la
moelle
, noyaux du bulbe et de l'isthme de l'encéphale)
ion progressive, comme on l'observe dans certaines affections de la
moelle
, soit d'une affection procédant par étapes succ
processus chroniques. La. DR se rencontre dans les maladies de la
moelle
qui atteignent les cornes antérieures, soit dir
suffisamment épargnées, dans un grand nombre de compressions de la
moelle
, dans les myélites diffuses et non systématisées,
érêt à rechercher comment la DR se comporte dans les maladies de la
moelle
suivant leur nature; nous ne donnerons sur ce p
spinales, dans des compressions ou des sections hémilaférales de la
moelle
, dans des névrites périphériques, dans l'hys- t
les neurones moteurs centraux, soit dans l'encéphale, soit dans la
moelle
. Dans le second se trouvent réunies les maladie
oit au niveau des cellules de ces neurones dans le bulbe et dans la
moelle
, soit dans leurs prolongements périphériques, r
EMENT SUR LES NEURONES MOTEURS CENTRAUX DANS L'ENCÉPHALE ET DANS LA
MOELLE
Comme type des affections atteignant plus spéci
ar des applications de courants galvaniques continus dirigés sur la
moelle
. On place une large électrode, de 100 à 200cl11"
courant. 11 n'est pas démontré que la galvanisation continue de la
moelle
ait une bien grande influence sur la sclérose des
é plus loin. Il convient de ne pas commencer la galvanisation de la
moelle
dès le début de l'hémiplégie; il ne faut pas, d
urrait combiner la galvanisation cérébrale à la galvanisation de la
moelle
en plaçant une large électrode en rapport avec le
es portant plus particulièrement sur les neurones centraux, dans la
moelle
épinière. dépendent soit de lésions en foyer (myé
ons en foyer (myélites transverses, blessures ou compressions de la
moelle
), de lésions plus ou moins disséminées (scléros
ent s'appliquer en grande partie au traitement des affections de la
moelle
dont il est actuellement question. Le plus souv
tement des paralysies cérébrales. La galvanisation continue de la
moelle
constituera une première étape du traitement. O
n continue : on pourra le combiner avec le traitement dirigé sur la
moelle
, en plaçant l'une des électrodes il la hauteur
ant un processus aigu, atteignent soit les cornes antérieures de la
moelle
comme les poliomyélites anté- rieures aiguës, s
ment par la galvanisation continue delà PARALYSIE INFANTILE. 1 U7
moelle
. Si la paralysie est localisée sur les membres in
n peut cependant, si l'on veut soumettre les deux renflements de la
moelle
, correspondant a l'origine des nerfs des membre
y a généralement indication d'associer le traitement dirigé sur la
moelle
au traitement dirigé il la périphérie sur les ner
raitement, soit après quelque temps de galvanisation localisée à la
moelle
. Dans la plupart des cas de poliomyélite antéri
a com- mencé. La galvanisation continue spécialement localisée à la
moelle
ne comporte pas dans ces cas d'indications part
éra- tions des racines nerveuses dans leur partie comprise entre la
moelle
et les plexus. La première indication à remplir
indiqués peuvent lui être appliqués : galvanisation continue de la
moelle
soit seule, soit associée à la galvanisation pé
es manifestations symptomatiques. La galvanisation continue de la
moelle
a été souvent conseillée cl employée contre le
nt, comme il a été indiqué précédemment pour la galvanisation de la
moelle
il propos des paralysies cérébrales ou médullai
yée seule ; mais il vaut mieux l'associer il la galvanisation de la
moelle
qui vient d'être indiquée. Le traitement électr
le long de la colonne vertébrale, soit par la galvani- sation de la
moelle
. Ces modes de traitement pourraient être appliqué
eut devenir utile, soit que l'on agisse, par la galvanisation de la
moelle
, soit que l'on agisse sur les muscles, dont l'e
ra employer le traitement indiqué par Raynaud : galvanisation de la
moelle
avec des courants descendants, le pôle positif su
der- niers nerfs de la base du crâne et finalement de sectionner la
moelle
cer- vicale au niveau de ses premiers segments.
la protubérance, le bulbe ra- chidien et la partie supérieure de la
moelle
cervicale. Il est possible, et c'est là d'aille
u trop . puissants, car il est extrêmement facile de léser ainsi la
moelle
épinière et de créer des altérations artificiel
tain nombre d'observations d'hétérotopies ou de myélomalacics de la
moelle
épinière sont dues simplement à des coups de ma
ever la série des apophyses épineuses et des lames vertébrales ; la
moelle
est alors mise à nu. Dans le cas de lésions de la
vec un davier ou une pince à disséquer. M. Cbavigny (Autopsie de la
moelle
épinière. Instrumentation spéciale. Presse Médi
r, l'instrument nie paraît très pratique. La dure-mère contenant la
moelle
sera progressivement soulevée de bas en haut av
n, après avoir enlevé les pédicules des vertèbres. Pour extraire la
moelle
de foetus ou d'enfants nouveaux-nés, on procé-
fil et l'on aura ainsi une indication topographique exacte quand la
moelle
sera durcie. M. et Mme Dejerine spécifient auss
remier nerf dorsal. » Coupes macroscopiques de l'encéphale et de la
moelle
. - - On laissera le cerveau et la moelle plusie
es de l'encéphale et de la moelle. - - On laissera le cerveau et la
moelle
plusieurs jours dans le liquide fixa- teur et d
ne faut jamais faire de coupes macroscopiques sur un cerveau ou une
moelle
à l'état frais, car on rend ainsi les pièces inut
r un examen microscopique ultérieur. Pour faciliter la fixation, la
moelle
, au bout de quelques jours passés dans le liqui
suivante est souvent employée pour la fixation du cerveau et de la
moelle
. 1552 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX. o
me nerveux central. Méthode d'Exner. Des fragments de cerveau ou de
moelle
, recueillis immédiatement après la mort, ayant
e Nageotte pour la coloration des fibres à myéline des nerfs, de la
moelle
et du cerveau. L'avantage de celte méthode est
tage de celte méthode est de pouvoir donner des coupes de nerfs, de
moelle
ou de l'encéphale le lendemain de l'autopsie. -
u de l'encéphale le lendemain de l'autopsie. - Pour les nerfs, la
moelle
et les faisceaux blancs du cerveau, la fixation
bre humide il 1'('tttve. pendant une demi-heure. Pour les coupes de
moelle
, on peut opérer plus vile en chauffant la prépa
erse. hori- xonhde maxima, 1069. Claudication intermittente de la
moelle
, 577, 505. du cerveau, 578. Clonus du pied, 4
ire thérapeutique, 1142. Compas de Weber, 285. Compressions de la
moelle
, atrophies musculaires, 713. Radiothérapie, 1
ision des couleurs. Coupes macroscopiques de l'encéphale et de la
moelle
, 9 4S. sériées, procédé pour obtenir des coupes
des extré- mités,. 575. Dans les affections des nerfs, 370. de la
moelle
.-du cerveau, 577. Dans les névroses et les psy-
t des maladies du système nerveux. Maladies de l'encéphale et de la
moelle
, 1288, - Maladies des neurones moteurs périph
nelle, 214. - descriptive, 214. - Troubles chez les aliénés, 252.
Moelle
(Affections de la ). Troubles de la sensibilité
que dans les différentes affections nerveuses. - Traumatismes de la
moelle
et du cerveau, 1111G. - Déformations t pathol
u diagnostic, 1255. Lésions de l'encéphale, 1256. - Lésions de la
moelle
, 1257. Lésions des nerfs, 1258. - Lésions des m
du système nerveux, 0 . - Affections de l'encéphale, 305. - de la
moelle
, 515. - des racines rachidiennes, 556. - des ne
au cérébral aux ganglions infracorticaux, au rhombencéphale et à la
moelle
épinière, et représente dans son ensemble un va
corticalité cérébrale et le som- met à l'extrémité inférieure de la
moelle
épinière (Fig. 1). Le système du rhinencéphale
collet du bulbe avec celles du côté opposé, puis pénètrent dans la
moelle
épinière et se terminent dans toute la hauteur
verse : cer- veaux antérieur, intermédiaire, moyen, rhombencéphale,
moelle
épinière. Dans ce chapitre, nous ne nous occupe
les connexions de la voie pédonculaire dans le rhombencéphale et la
moelle
épinière. 1. TRAJET DES FIBRES DE PROJECTION DA
la corlicalité cérébrale au locus niger, au rhombencéphale et à la
moelle
épinière (fibres corlico-rotuGé- rantiellcs et
par une seule espèce de fibres sont en ell'et des plus rares dans la
moelle
, aussi bien que dans le cerveau. Fibres do pr
fibres de projection corticales destinées au rhombencéphale et à la
moelle
épinière, constituent t la voie pédonculaire et
oisement moteur et à la constitution des faisceaux pyramidaux de la
moelle
. La méthode des dégénérescences secondaires La
faisceaux pyramidaux direct, c/'oeet /to ? MO/6 ! /e ? '6 ! / de la
moelle
épinière. Bibliothèque des Internes en Médeci
ux des cordons de Goll et de Burdach, les cordons postérieurs de la
moelle
au lobe occipital (Fig. 51). Pour Charcot, ce fai
montra que cette atrophie peut être suivie dans le 'côté opposé de la
moelle
épinière. L. Tiirck, dans une série de travaux
e-dans la partie postérieure du cordon latéral du côté opposé de la
moelle
. admit, en outre, que la destruction des premier
s le long du sillon médian antérieur dans le cordon antérieur de la
moelle
du même côté. Tiirck établit ainsi, à tort du r
sé et la partie non croisée qui aboutit au cordon anté- rieur de la
moelle
; 2° Que dans les lésions de la partie postérieu
'opinion de Tiirck, montra que les faisceaux direct et croisé de la
moelle
épinière appartiennent à un seul et même faisceau
oisement inférieur des pyramides; 7, par la région supérieure de la
moelle
cervicale. - Les voies centrifuges sont colorées
vec le cordon postérieur gauche. - fat, cordon antéro-latéral de la
moelle
cervicale. - flp, cordon postéro- latéral de la
atéral de la moelle cervicale. - flp, cordon postéro- latéral de la
moelle
cervicale. - fl (coupes G et 1), cordon latéral d
al de la moelle cervicale. - fl (coupes G et 1), cordon latéral de la
moelle
et du bulbe. - Fp, cordon postérieur. - g, subs
le faisceau latéral du [bulbe (coupe 5) et le cordon latéral de la
moelle
(coupe Cf. Lp, la partie postérieure du [ruban de
); sa continuation avec la partie postérieure du cordon latéral de la
moelle
(coupes 5, 6, 1). - Lg, lingula. - Ol, l'olive
l'entre-croisement moteur des pyramides ; elles occupaient dans la
moelle
le cordon antérieur, le long du sillon médian ant
s, puis se continuaient dans le cordon latéral du côté opposé de la
moelle
épinière (Fig. 51). Outre le contingent strié q
et se continuaient indirectement avec les cordons postérieurs de la
moelle
. Meynert, eu égard aux cas d'hémianesthésie d'o
eut être suivie (jusque dans le cordon latéral du côté opposé de la
moelle
. Carville et Duret, Dejerine (1875), eurent l'o
l'anatomie de développement, le trajet du faisceau pyramidal dans la
moelle
épinière et s'occupe plus spécialement des vaii
et se continue avec les faisceaux pyramidaux direct et croisé de la
moelle
. Dans la capsule interne, il occupe la partie p
p. 100), soit une diminution de volume de la corne antérieure de la
moelle
épinière (Fig. 77 et 159). Les atrophies indire
l ; Fig. 57, cas Pichepin; Fig. 152, cas Rivaud) et la moitié de la
moelle
épinière opposée à la lésion cérébrale (Fig. 77
latérale du tronc en- céphalique et de la moitié croisée de la
moelle
épinière. 92 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. in
es, et il en est presque de même dans la pyramide bulbaire. Dans la
moelle
épinière enfin, les fibres du faisceau pyramidal,
lésion du pied du pédoncule, de la protubérance, du bulbe et de la
moelle
épinière, les faisceaux sectionnés dégénèrent d
ute la moitié gauche du rhombencéphale et de la moitié droite de la
moelle
épinière. Les noyaux caudé et lenticulaire étai
et des fibres directes et croisées que cette dernière envoie dans la
moelle
épi- nière, fibres pouvant être suivies dans to
pi- nière, fibres pouvant être suivies dans toute [la hauteur de la
moelle
(Fig. 77) ; une dimi- nution de volume considér
ramide antérieure du bulbe qu'elles forment en totalité, puis dans la
moelle
épi- nière (faisceau pyramidal direct et croisé
édoncule, de la protubérance el du bulbe) et la moitié droite de la
moelle
épinière, mais on ne pouvait y suivre de fibres
rouge et l'absence ou le FiG. 77. - Cas Pradel. Quatre coupes de
moelle
des régions cervicale, dorsale moyenne, dorsa
ne antérieure droite, atrophie en masse de la moitié droite de la
moelle
. Méthode de Weigert 3/1 grandeur nature. Fi
re de l'en- tre-croisement moteur et la région supérieure de la
moelle
au niveau de l'émergence de la première paire
ite zone sclérosée qui borde le sillon médian anté- rieur de la
moelle
épi- nière. Des fibres pyramidales homolatéra
homolatérales et peuvent être suivis dans toute la hauteur de la
moelle
cervi- cale supérieure. Ilémialro- phie en ma
érieure. Ilémialro- phie en masse de toute la moitié gauche de la
moelle
portant sur la substance grise et l'ensemble
midal droit agénésié. lIémiatrophie de toute la moitié gauche de la
moelle
(substance grise et cordons blancs). Méthode de
ulaire envoie à la calotte. Notons enfin que la moitié gauche de la
moelle
épinièr(présente dans toutes ses parties une légè
u même côté (Fig. 151, 156, 162) et se rend au cordon latéral de la
moelle
du même côté, où il se place en avant du col de l
irrégulièrement disséminées. La sclérose pyramidale occupe dans la
moelle
les faisceaux pyramidaux directs et croisés et
les s'étant bornés à l'examen des régions infé- rieures du névraxe,
moelle
, bulbe quelquefois protubérance, ou encore à la
ccupe la place de la pyramide arrètée dans son développement. Dans la
moelle
cer- vicale (Fig. 212) il existe des zones pres
randeur nature. ' Fic.` ? 12.-Cas Longery. Coupe passant - par la
moelle
cervicale supérieure. 1 Méthode de Weigert-Pal.
Aullage, 1899, Leipzig. Bouchard. Des dégénérations secondaires de la
moelle
épinière. In Arch. gen. de Méd., 1866, t. I, p.
ilsch. f. Psychiatrie, Bd.5l, 189r. - 11-YEM. Des altérations de la
moelle
consécutives tc l'arrache- ment du nerf sciatiq
tral])]., 1897, p. 993. Iss.\nTIER. Dêgènèrations secondaires de la
moelle
provoquées par des lésions expérimentales de l'
utsche Klinik, 1863). -Du )lime. Traité clinique des Maladies de la
moelle
épinière. Trad. franç., 1879. - F. A. Longet. Ana
, 2. S., t. VI, 1879 - Pures. Des dégénérescences secondaires dans la
moelle
provo- quées par des lésions corticales du cerv
u cerveau dans leurs rapports avec l'état des cellules neneuses de la
moelle
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1898,
Turner. De l'atrophie partielle ou unilatérale du cervelet et de la
moelle
allongée et de la moelle épinière consécutive l
tielle ou unilatérale du cervelet et de la moelle allongée et de la
moelle
épinière consécutive li la destruction avec atrop
Influence de l'abolition des fondions des nerfs sur la région de la
moelle
épinière qui leur donne origine. Arch. de Physiol
ériences relatives ci la pathogènie des atrophies secondaires de la
moelle
épinière. In Arch. Phys. norm. et pathos, 1869. -
pondante du tronc encé- phalique, la corne antérieure croisée de la
moelle
et l'hémisphère cerébel- leux croisé. Elle tien
e antérieur de la protubérance et de la pyramide bulbaire, et dans la
moelle
une dégénérescence des faisceaux pyramidaux dir
e grise avoisinante, de la pyramide antérieure du bulbe, et dans la
moelle
des faisceaux pyramidaux direct, croisé et homo-l
antérieure du bulbe et le faisceau pyramidal croisé et direct de la
moelle
. Les segments sous-lenti- culaire et rétrolenti
ieure du bulbe et les faisceaux pyrami- daux croisé et direct de la
moelle
. Il existe, en outre, une dégénérescence du locus
ssemblent par leur aspect aux cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière. Les plus volumineuses mesurent de 43 à
t par leur intermédiaire avec les cordons postérieurs croisés de la
moelle
épinière. Le pédoncule cérébelleux supérieur pa
de la substance perforée antérieure au processus reticularis de la
moelle
cervicale et qui comprend de haut en bas : 1° L
Meynert et relierait ainsi les noyaux des cordons postérieurs de la
moelle
avec le globus pallidus du même côté et du côté
me des fibres commissurales du raphé du tronc encéphalique ou de la
moelle
épinière, il s'agit ici bien plus d'un entre-cr
velet se trouve enfoncé a la façon d'un coin entre le cerveau et la
moelle
épinière. Il est situé au-dessous des hémi- sph
olonge dans le cervelet, effilée en bas où elle se continue avec la
moelle
épinière et en haut où elle fait suite au cerveau
us de la première paire de racines cervicales, à la naissance de la
moelle
épinière. Sa direction est presque verticale ch
hale (Chaus- sier), noeud cle l'encéphale (Soemmcring), corps de la
moelle
allongée ! . Elle est limitée en haut par le si
nc 1. Pour les anciens anatomistes (\Yillis, Vieusscns),le terme de
moelle
allongée s'appliquait non seulement au bulbe ra
iel en bas, où il se continue avec le sillon médian antérieur de la
moelle
épinière et où il est comblé en grande partie par
une hauteur de 6 à 7 millimètres et sert à délimiter le bulbe de la
moelle
épinière (Fig. 333, 349). La majorité des fibre
end après décus- sation dans le cordon latéral du côté opposé de la
moelle
et constitue le faisceau pyramidal croisé. Un p
t en dedans, et se rend dans le cordon antérieur du même côté de la
moelle
dont il longe le sillon médian anté- rieur. On
quelques fibres directes, dans le cordon latéral du même côté de la
moelle
. Ce sont les fibres pyramidales home- latérales
fibres pyramidales se rendent dans le cor- don latéral croisé de la
moelle
. Tantôt le faisceau pyramidal direct l'em- port
es les fibres se rendant dans le cordon antérieur homolatéral de la
moelle
(Voy. IVe partie, Moelle épinière). Lorsque le
dans le cordon antérieur homolatéral de la moelle (Voy. IVe partie,
Moelle
épinière). Lorsque le faisceau pyramidal est lé
st hypertrophiécet les fibres pyramidales homolalé- rales de la
moelle
sont très nombreuses (cas Ri- vaud, Fit. 151,
ors la pyramide ' antérieure qu'il sépare du cordon antérieur de la
moelle
. Plus rarement, il se porte en arrière et en ba
rte en arrière et en bas, vers le sillon collatéral antérieur de la
moelle
. Le sillon olivaire externe ou 2él2,o-olivaii,e
ceau de Gowers. En bas, il se fusionne avec le cordon latéral de la
moelle
épinière; en haut, il atteint le sillon bulbo-p
eure, cylindrique qui se continue sans ligne de démarcation avec la
moelle
épinière, ci une partie supérieure, évasée, for
s toute sa hauteur : il l'est dans sa partie cylindrique comme la
moelle
épinière, par l'apposition des cordons postér
ides postérieures et se continue avec le siilon de même nom de la
moelle
épinière, dont il se dis- tingue par sa profo
vient de plus en plus superficiel (Fig. z48 à z3) el se réduit à la
moelle
à une légère dépression. La séparation des cord
une légère dépression. La séparation des cordons postérieurs de la
moelle
est établie, F ! G. 3 : ;2. - Le plancher du 41
uent sans ligne de démarcation avec le cordon de Burdach (CB) de la
moelle
épinière. Verticaux et étroits en bas, les corp
u bulbe et se continue avec le sillon col- latéral postérieur de la
moelle
ou sillon de pénétration des racines médul- MOR
ant nouveau- né, on remarque en outre, dans le cordon latéral de la
moelle
, un faisceau myélinisé qui, au-dessus du tuberc
e Sylvius et qui se continue en bas avec le canal épendymaire de la
moelle
épinière. Étroite en haut, elle s'élargit à sa
ehors et en bas, et se continue avec un faisceau longitudinal de la
moelle
épinière, le faisceau dit acéré- bulleux direct
- du bulbe, et se prolonge dans les cordons antéro-latéraux de la
moelle
épinière : c'est l'étage antérieur, basal ou vent
la région sous-optique et de la calotte du pédoncule cérébral à la
moelle
cervicale, contient tous les noyaux d'origine et
ette coupe, p. G8G, coupe H21, Fig. 41.) Ca, cordon antérieur de la
moelle
. - CII, cordon de ]3urdach. - CG, cordon de Goll.
ordon de ]3urdach. - CG, cordon de Goll. - Cl, cordon latéral de la
moelle
. - Coa, corne antérieure. Col, corne latérale. -
e noyau juxta-olivaire in- terne et le cordon antérieur de la
moelle
. 1\Iode de décussa- trton du faisceau pyram
a corne antérieure et qui appartient déjà au cordon antérieur de la
moelle
épinière. La décussation du faisceau pyramidal
arrière, et forment à la partie postérieure du cordon latéral de la
moelle
le faisceau pyramidal croisé. Un petit nombre d
s descendent directement dans le cordon antérieur homolatéral de la
moelle
épinière, le long du sillon médian antérieur; i
le et descendenl dans la partie postérieure du cordon latéral de la
moelle
. Elles présentent dans leur nombre les plus grand
ussation jusque dans la partie supé- rieure du cordon latéral de la
moelle
, où les fascicules sont en outre séparés par un
ticiper ensuite à l'entre-croisement pyramidal et descendre dans la
moelle
épinière; d'autres s'épuisent dans la calotte ou
d'autres enfin descendent dans le cordon latéral homolatéral de la
moelle
épinière. Dans la région pédonculaire les fibre
olive bulbaire et descendant dans le cordon latéral homolatéral de la
moelle
. Elles sont particulièrement abondantes en arri
pédonculaire abandonne parfois au cordon latéral homolatéral de la
moelle
un petit Fibres aberrantes bulbaires. 550 A
ous de l'olive, toutes deux descendent dans le cordon latéral de la
moelle
, soit en arrière de l'olive bulbaire (Fig. 383, 3
berrantes ; elles descendent dans la substance grise centrale de la
moelle
, à la base de la corne postérieure, puis réintè
tègrent le faisceau pyramidal croisé aux différentes hauteurs de la
moelle
cervicale inférieure ou dorsale supérieure. Le fa
dalité anatomique de ces fibres (voy. Entre-croise- ment pyramidal,
Moelle
épinière, IVe partie). 2. ÉTAGE POSTÉRIEUR OU D
ite à la région sous-optique, et en bas où elle se prolonge dans la
moelle
cervicale. Elle est limitée en dedans par le ra
et spinal (XIe paire) ; ce dernier noyau se prolonge jusque dans la
moelle
cervicale où il se fusionne avec la corne latér
a hauteur de la calotte bulbo-protubérantielle, se prolonge dans la
moelle
cervicale, se continue avec la substance gélati
ticulée. Dans son long trajet étendu de la région sous-optique a la
moelle
cervicale supérieure, le réseau de substance gr
H17,H18,Fig. 370, 400, 402). Au niveau du collet du bulbe el de la
moelle
cervicale supérieure, ils constituent les cornes
supérieure, ils constituent les cornes antérieure et latérale de la
moelle
(coupes H 19 et H 20, Fig. l'e9 à 450, p. go).
e faisceau cérébelleux direct de Flechsig, et se prolongent dans la
moelle
épinière. La surface de section de ce faisceau
e Burdach. - CG, cordon de Goll. - Cl, cordon antéro-latéral de LUI
moelle
. - Crst, corps restiforme. - Flt, faisceau latéra
La corne anté- rieure décapitée. la future corne antérieure de la
moelle
cervicale. Les fibres longitudinales s se conce
rie du bulbe et se continuent L avec le cordon antéro-latéral de la
moelle
. Au niveau du collet du bulbe et de l'entre-cro
rne antérieure et se continuent avec le cordon antérieur (Ca) de la
moelle
. Quant à la formation réticulée grise (SRg), se
itudinales se continuent avec le cordon antéro-- latéral (CI) de la
moelle
, tandis que la masse arrondie des trabécules gris
faisceau pyramidal croisé qui se rend dans le cordon latéral de la
moelle
et elle se présente alors sous l'aspect d'un am
la corne antérieure est reliée au reste de la substance grise de la
moelle
par un col plus ou moins étroit; sa partie post
coupe, p. G8G, coupe H 20, Fig. 450.) Ca, cordon antérieur de la
moelle
. - CB, cordon de Burdach. CG, cordon de Goll. -
a continuation en grande partie avec le cordon latéral croisé de la
moelle
, et en petite partie avec le cordon antérieur du
le corps restiforme se prolongeait dans le cordon postérieur de la
moelle
, et admettaient que le faisceau latéral ou interm
onsti- tué par toute la poition de la colonne antéro-latérale de la
moelle
, qui ne se continue point avec la pyramide du c
ire son origine principale des noyaux des cordons postérieurs de la
moelle
épinière, contribue à former les fibres arcifor
(coupe H7,Fig. 400), se continue avec les cordons postérieurs de la
moelle
et segmente la masse grise commune en deux noyaux
tte coupe, p. 683, coupe H18, Fig. 448.) Ca, cordon antérieur de la
moelle
faisant suite à la formation réticulée blanche. C
aplatie latéralement et plongée au sein du cordon postérieur de la
moelle
(Fig. 426, p. 630). Les noyaux de Goll et;de Bu
les noyaux de terminaison des libres des cordons postérieurs de la
moelle
; ils sont situés sur le trajet de la voie cérébe
variées dont les unes proviennent des cordons antéro-latéraux de la
moelle
, les autres du corps restiforme, du corps juxta
occupent la périphérie rétro-olivaire du bulbe et proviennent de la
moelle
épinière; il est renforcé probablement par quel
ceau jusque dans la partie postérieure des cordons antérieurs do la
moelle
dont il procède. Faisceau central de la calotte
ppey et DUVAL. Trajet des cordons nerveux qui relient le cerveau à la
moelle
épinière. Acad. des Sciences, 17 janvier 1876.
rgeon terminal. ça, cordon antérieur. - Cp, cordon postérieur de la
moelle
. - fai, fibres arciformes internes du bulbe. Ilp,
grise centrale du tronc encéphalique et de la partie supérieure de la
moelle
. - spo, sillon postcentral. - spop, sillon post
épaissit, puis se continue avec la substance grise cen- trale de la
moelle
épinière, sépa- rant ainsi le bulbe en deux par
par une extrémité effilée, et par le cordon postérieur (Cp) de la
moelle
épinière; l'autre, anté- rieure, comprenant lap
r (Flp) peut être suivi jusque .dans le cordon antérieur (Ca) de la
moelle
; il sépare, à la limite inférieure de la coupe
bstance grise centrale de la partie fermée du bulbe (Sgc') et de la
moelle
épinière (Sgc"). Dans la partie postérieure et
xtrémité effilée, entouré par les fibres du cordon postérieur de la
moelle
(Cp). Le noyau du cordon de Goll est en réalité
ris entre le cordon postérieur (Cp) et le cordon latéral (CI) de la
moelle
, appartient à la substance gélatineuse de Rolan
nal, étendu du tronc du trijumeau (Vs) à la partie supérieure de la
moelle
cervicale. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur n
de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cp, cordons postérieurs de la
moelle
. - Cusl, corps restiforme, ses connexions à droit
urdach (\'13) et sa continuation avec les cordons postérieurs de la
moelle
. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fin, fi
ne en bas avec la substance gélatineuse de la corne postérieure de la
moelle
épinière. La coupe H 3 intéresse le trijumeau a
de Gowers (FG), qui, originaire surtout de la substance grise de la
moelle
épinière du côté opposé, monte dans le cordon a
épinière du côté opposé, monte dans le cordon antéro-latéral de la
moelle
, en avant du fais- ceau cérébelleux direct, for
e partie parcourt toute la hauteur du bulbe et descend jusque dans la
moelle
épinière. CoupeH7 (Fig. 13û). - Celte coupe p
les coupes sont plus proches du collet du bulbe, et partant, de la
moelle
cervicale. Coupe H 8 (Fig. 438). Cette coupe pa
tre des fibres en connexion avec les cordons antéro- latéraux de la
moelle
; que la couche inte1'J'éticlllée con- tient, à
l postérieur (Flp) qui se prolongent dans le cordon antérieur de la
moelle
ou qui en dérivent; la partie antérieure de la co
tient surtout des fibres en connexion avec le cordon latéral de la
moelle
, fibres qui se terminent dans le noyau central
d) et appartiennent déjà aux cordons postérieurs du bulbe el tie la
moelle
épinière. Sur les coupes suivantes, ces modificat
stiforme. - Crst, corps restiforme. - Cp, cordons postérieurs de la
moelle
. - Fcd, faisceau cérébelleux direct de Flechsig.
se transforme petit à petit en noyaux des cordons postérieurs de la
moelle
. Quant aux fibres du corps l'esti- forme qui n'
es, le corps restiforme, les noyaux des cordons pos- térieurs de la
moelle
, la formation réticulée grise et les noyaux latér
lle se continue plus bas avec la périphérie du cordon latéral de la
moelle
, com- FIG. 44 - La région bulbaire inférieure.
deur nature. Cp, extrémité supérieure des cordons postérieurs de la
moelle
. - Crst, corps restiforme. - fas, fibres arcifo
onnexion 'avec le corps restiforme et les cordons postérieurs de la
moelle
, ne participent à la formation, ni des fibres arc
ode Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, cordons postérieurs de la
moelle
. Crst, corps restiforme. fcb, fibres arcifonne
ement étroit de la subslance grise centrale, et les préparations de
moelles
d'embryon traitées par la méthode de Golgi montre
es, se continuent avec les fibres des cordons antero-latéraux de la
moelle
. La formation réticulée grise (SRg) a changé d'
latéral du bulbe (Fit) et se continue avec le cordon luléral de la
moelle
épinière. Un autre conglomérat de fibres se ren
n de Burdach. - CG. cordon de Goll. - Cl, cordon anlero-latéral de la
moelle
. - Crst, corps restiforme. - Fil, faisceau laté
: le faisceau latéral du bulbe en avant, le cordon postérieur de la
moelle
en arrière. Ce dernier forme sur la coupe un fais
dedans, où elle correspond à la future corne antérieure (Coa) de la
moelle
épinière. Fusionnée en dehors avec le reste de
a laquelle fait suite dans cette région, le cordon antérieur de la
moelle
(Ca). Toute la moitié externe du bulbe, située
u cordon 681 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. antéro-latéral de la
moelle
(CI). La substance gélatineuse de Rolando revêt t
[de Weigert-Pal. 0/1 grandeur nature. Ca, cordon antérieur de la
moelle
. - CIS, cordon de Burdach. - CG, cordon de Goll.
oll. - - Ci, cordon latéral du bulbe. - Coa, corne antérieure de la
moelle
. - fir, libres iWcrréli- culées et entre-croise
de Weigert- Pal. 6/1 grandeur nature. Ca, cordon antérieur de la
moelle
. Cil. cordon de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl
don de Burdach. CG. cordon de Goll. Cl. cordon antéro-latéral de la
moelle
. Coo, corne antérieure. Col, corne lalérale. -
e la formation réticulée, puis occuper le cordon latéral (Cl) de la
moelle
épinière. Dans ce trajet elles changent rapidemen
faisceau pyramidal croisé (FPyc) dans le cordon latéral (Cl) de la
moelle
, s'effectue par gros fascicules; entre ces fasci-
Pyc) n'a pas encore atteint complètement le cordon latéral (Cl) de la
moelle
, et la corne antérieure est reliée il la corne
ode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Ca, cordon antérieur de la
moelle
. - C13, cordon de Burdach. CG. cordon de Goll.
ent fasciculé, du reste des fibres du cordon 11nté¡'o-laléral de la
moelle
. Sur la coupe H23 (Fig. 453), ]'e1l{¡'e-C¡'OlÚm
oite, la substance grise affecte la forme caractéristique propre à la
moelle
cer- vicale supérieure ; on y distingue une cor
distinguent des autres libres constitutives du cordon latéral de la
moelle
, que par les travées névrogliques plus abondantes
n aspect autre, et FIG. i : 2. Le collet du bulbe aux confins de la
moelle
cervicale. Coupe transver- sale H22 passant par
ode Weigert-Pal. G /1 grandeur nature. Ca, cordon antérieur de la
moelle
. C13, cordon de Burdach. CG, cordon de Goli. Cl
upes intéressant les régions cervicales supérieure et moyenne de la
moelle
épinière, la distance qui sépare TOME II. 44 't
are TOME II. 44 't Fig. 433. La région cervicale supérieure de la
moelle
au niveau de l'émergence de la première racine
ainsi d'autant la surface du cordon Latéral (CI). Les cordons de la
moelle
ainsi constitués paraissent homogènes, il n'en es
faisceaux plus ou moins compacts et d'origines très diverses (Voy.
Moelle
épinière, Il partie). CHAPITRE IV STRUCTURE E
en reçoit) de nombreuses fibres destinées il l'olive bulbaire, à la
moelle
épinière, etc., et qui relient ces organes au c
générale, ou si elles s'y mêlent d'une façon complète comme dans la
moelle
. L'étude anatomique des dégénérescences est impui
entent sur leurs bords de fines rayures blanchâtres. Le bulbe et la
moelle
sont fortement congestionnés. A l'examen micros
diennes ne présentent que peu d'altérations. De même, le^ coupes de
moelle
par les diverses mé- thodes restent négatives a
athogéniques, basées sur le fait d'un processus inflammatoire de la
moelle
et de ses membranes, et sur des troubles circul
intaines étant respectivement les arborisations de la peau et de la
moelle
. La conséquence de cette doctrine nouvelle, en
hydrocéphalie (620 cen- timètres cubes) et d'une syringomyélie. La
moelle
, depuis le bulbe jusqu'à 1 centimètre du cône t
cher; tantôt, c'est une virole qui adhère aux méninges molles, à la
moelle
, aux racines rachi- diennes, même au périoste d
que est associé le plus souvent à des lésions syringomyéhques de la
moelle
, consi- dérables ; mais il n'accompagne pas néc
nécessairement les grandes cavités, et il peut exister sans que la
moelle
soit très altérée; d'où la conclusion que syrin
ne médicale du 13 avril 1898, signalait dans les compressions de la
moelle
(myélite transverse) la dissociation en question
Dans les cas graves, avec autopsies, de lésions traumatiques de la
moelle
, à la suite de fractures, déplacements, luxatio
se, incoordonnée, en un mot d'un écrasement de la sub- stance de la
moelle
épinière dépourvu de règle. Dans les cas rares
générées que, quoiqu'en petit nombre, on peut suivre jusque dans la
moelle
jusqu'au cordon latéral du côté opposé. La lési
donc toujours une dégénérescence de fibres quelconques allant à la
moelle
. La dégénérescence de toutes les fibres des pyr
u système du nerf examiné, et celles dont le trajet appartient à la
moelle
. P. KERAVAL. V. Contribution à l'histologie e
- ment, les altérations primitives, de la substance blanche de la
moelle
. Il passe en revue le tremblement intentionnel et
veuses les plus fines dans les parties scléreuses des cordons de la
moelle
, peut être le produit d'une dégénérescence ou d
dée d'une compression qui devrait porter sur tout le diamètre de la
moelle
; suivant le degré de la compression, on devrait
gaine de myéline n'est pas lisse, il est filamenteux, comme dans la
moelle
normale du reste. Comme il existe aussi des altér
on protoplasmique des gaines de myé- line, on peut dans l'axe de la
moelle
constater la tuméfaction de quelques cylindraxe
de muscles. L'ataxie tient à des foyers qui siègent au-dessus de la
moelle
(Zuckerkandl et Erben). Contrairement il ce qu'
sse seringue. Chez un enfant l'auteur a parfaitement durci toute la
moelle
, le bulbe, la protubérance, le cervelet. Mais l
40 centimètres cubes. Cette méthode lombaire est excellente pour la
moelle
épinière. Pour durcir le cerveau, il faut, modi
ominal), ne donne qu'un durcissement mé- diocre du cerveau et de la
moelle
, même si l'on a la précaution de faire pénétrer
isent pas et occupent d'ordinaire le cordon latéral, et que dans la
moelle
des mammifères où il n'existe que des faisceaux
e lésion de la capsule interne d'un hémisphère cérébra ira, dans la
moelle
produire une dégénérescence du cordon latéral d
ême côté contient simple- ment, dans la partie la plus élevée de la
moelle
cervicale, au niveau de la région du faisceau p
eprésente une nouvelle voie, longue, chargée d'unir le cerveau à la
moelle
, quel- que chose comme le faisceau sulco-margin
marginal antérieur de Loewenthal. Une lésion expérimen- tale de la
moelle
cervicale du chien a pu produire, dans le point o
Par conséquent, les fibres du faisceau de Gowers, originaires de la
moelle
lombaire, traversent les organes et territoires s
te et des yeux à gauche. Présentation de photographies de coupes de
moelle
dans un cas spécial de tabès. M. Klippel. Cet
coupes de moelle dans un cas spécial de tabès. M. Klippel. Cette
moelle
présente des lésions sur toute la hauteur des c
rdon de Goll est sain sur la plus grande partie de leur étendue. La
moelle
lombaire présente une légère sclérose diffuse.
faudrait donner une part plus importante aux lésions endogènes, la
moelle
étant malade par elle-même; et ne faut-il pas d
es pos- térieures envoient des fibres dans toutes les parties de la
moelle
où elles peuvent par conséquent laisser voir de
re, a été observée trois fois par MM. Cl. Philippe et Oberthur : La
moelle
augmentée de volume, avec pachyméningite cervic
onde; ainsi dans un cas, les deux formes avaient évolué sur la même
moelle
, l'une au-dessus de l'autre. Cliniquement, la s
rêt de la question serait maintenant de savoir si les lésions de la
moelle
et celles des méninges ne mar- chent pas assez
ientifique des localisations fonctionnelles de l'encéphale et de la
moelle
, écrit M. Jules Soury, est assez tard venue dan
s fonctions inhibitrices s'exercant sur les cellules motrices de la
moelle
. Mais cette théorie était incomplète. Dans les
s de paraplégie flasque et de lésion < transversale totale de la
moelle
cervico-dorsale, la contracture fait défaut, ma
tion excitatrice aux cellules motrices de la corne antérieure de la
moelle
par l'intermédiaire des fibres cérébello-spinal
plégie flasque des membres qui dépendent du tronçon inférieur de la
moelle
avec l'affaiblissement et même l'abolition des
parties de l'écorce. Outre d'ailleurs le centre vaso-moteur de la
moelle
allongée, il existe un centre vaso-moteur cortica
près avoir accusé nettement un point au renflement cer- vical de la
moelle
. Les diverses sensations subjectives dues au re
nce : crainte morbide de voir du monde, abattement moral; pour la
moelle
: douleur au dos, aux bras, au ventre : trembleme
er seul : il est irritable (il ne l'était pas) et oublieux; pour la
moelle
, il a mal au dos, il boite; il y a de la paralysi
reuses qui ont été cons- tatées dans les faisceaux sensoriels de la
moelle
, on sera amené à croire que ses altérations son
bo-protubérantielles intéressant des fibres cérébelleuses. Quand la
moelle
est seule atteinte ce tremblement n'existe pas.
ropathies analogues constatées à la suite de coups de couteau de la
moelle
par les professeurs Joffroy, Vignes, Kirmisson,
- tive des artères destinées aux noyaux moteurs du bulbe et de la
moelle
. Il faut plutôt croire que nous avons à faire dan
a : N, Winter, 1895.) llEKllTEREFF (\V.).- Voies conductrices de la
moelle
épinière et du cerveau, 1898, Pétersbourg, 2° é
895.) CENI (Carlo). Sur les fines altérations histologiques de la
moelle
épinière dans les dégénérescences secondaires asc
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVI. Recherches histologiques sur une
moelle
épinière atteinte de syringomyélie et hétérotop
vantes : dans la paralysie générale, on peut voir se former dans la
moelle
épinière des cavités de nouvelle formation. Dan
11, 1899.) XXXI. Sur les altérations des cellules nerveuses de la
moelle
épinière consécutives à l'occlusion de l'aorte
E PATHOLOGIQUES. 309 XXXIX. Les dégénérescences rétrogrades dans la
moelle
épinière en rapport avec le rétablissement fonc
les lésions dégénératives ascendantes des cordons postérieurs de la
moelle
, de quelque ori- gine qu'elles puissent être, s
v. et ment. fasc. VI, 1899.) XLII. Sur un cas de malformation de la
moelle
épinière chez une idiote affectée de diplégie i
de l'homme, les cornes antérieures et la substance blanche de la
moelle
du lapin, les fines cellules-araignées de la subs
aignées de la substance blanche cérébrale et cérébelleuse, enfin la
moelle
d'un tabétique ; ici, dégé- nérescence du tissu
P. KERAVAL. LVII. Hétérotopie, canal central double et triple de la
moelle
; par H. SENATOR. (Nezerolog. Cenlralbl., XVIII,
e dans la Berlin. klin, Wochenschré/ft, n° 8, 1899. Il s'agit d'une
moelle
étroite et mince, macroscopiquement bien confor
un canal central double et triple. Le canal central, simple dans la
moelle
cervicale, a la forme et le volume habituels; i
la règle générale, a débuté par les segments cervico-dorsaux de la
moelle
, et attire particulièrement l'attention sur ce
e rotulien (du deuxième au cinquième segment lombaire) alors que la
moelle
cervico-dorsale était le siège principal des lé
eux, et d'un défaut de développement dans les tractus moteurs de la
moelle
et du pont. La paralysie bulbaire asthénique au
corce cérébrale et cérébelleuse, noyaux bulbaires, cellu- les de la
moelle
). Le mauvais état général peut à la vérité caus
ar nous ne pou- vons aucunement faire que le tissu conjonctif de la
moelle
épinière, déjà hyperplasié, se rétrécisse; ce q
es altérations syphilitiques des éléments du tissu conjonctif de la
moelle
épinière, que précèdent ordinairement l'hypertr
is compter ces altérations des éléments du tissu con- jonctif de la
moelle
épinière précisément pour les éléments spécifiq
nément avec les bains chauds de 35° C ; 1 2° L'électrisation de la
moelle
épinière par le courant électrique continu et c
atteint effectivement son but ; elle réveille l'excitabilité de la
moelle
épinière, améliore sa nutrition et ne l'irrite
les cas de la déchéance particulière de l'activité du centre de la
moelle
épinière génito-vésical : de l'érection et de l
tanées de spermine sur la sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
épinière peut être nommée absurde. Il est vrai
moyen de la suspension du malade, comme méthode du traitement de la
moelle
épinière, je dois avouer que, moi aussi, j'aiis
extension considérable des racines de la 412 ) CLINIQUE NERVEUSE.
moelle
épinière, agit certainement, d'une manière irrita
ère, agit certainement, d'une manière irritante ou excitante sur la
moelle
épinière, provoquant, entre autre, l'hypé1'émie
ette extension des nerfs, l'action d'une pareille hypérémie de la
moelle
épinière doit conduire à une plus forte hyperplas
oit conduire à une plus forte hyperplasie du tissu conjonctif de la
moelle
épinière, laquellese trouverait sans cela en ét
me complètement guéris de la sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
épinière. Prof. D' S. TClIlRtI : : W. 19 ma
rculation du bulbe est-elle préservée, tandis que la syphilis de la
moelle
pro- duit l'endartérite de ce dernier organe ?
de ce dernier organe ? C'est que le courant sanguin qui irrigue la
moelle
ne vient pas des vertébrales, il ne coule pas d
en bas, il vient des artères lombaires et coule de bas en haut à la
moelle
cervicale. Les artères lombaires fournissent un
ines antérieures du plexus sacré, arrive à la face antérieure de la
moelle
lombaire et charrie de bas en haut le sang, le
t charrie de bas en haut le sang, le long de la ligne médiane de la
moelle
. C'est dans celte direction que le sang va aux
elles le répartissent au réseau sanguin qui arrose la surface de la
moelle
. 420 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
érite syphilitique, elle produit, de bas en haut, les lésions de la
moelle
. Elle fournit une chaine anastomotique antérieure
eure (Adam- kiewicz) qui continue à grimper le long du sillon de la
moelle
, et donne les artères du sillon. Celles-ci pénè
int parce qu'il a une circulation diffé- rente. Une injection de la
moelle
par la grande artère spinale gagne le long de l
la grande artère spinale gagne le long de la face antérieure de la
moelle
jusqu'à la moelle cervicale, jusqu'au point de
spinale gagne le long de la face antérieure de la moelle jusqu'à la
moelle
cervicale, jusqu'au point de celle-ci où les de
De même la masse de l'injection pénètre la face posté- rieure de la
moelle
, et s'arrête en haut exactement à la limite du
OGIQUES. 421 pas le moins du monde, comme on l'a cru, le long de la
moelle
jusqu'au cône irriguer toute la moelle (on les
me on l'a cru, le long de la moelle jusqu'au cône irriguer toute la
moelle
(on les avait appelées à tort à cause de cela a
rouva une ménin- gite limitée de la pie-mère enserrant seulement la
moelle
cervi- cale et surtout à droite. Méthode de Mar
de Marchi. La dégénérescence des racines postérieures, limitée à la
moelle
cervicale, siège de la méningite, plus accusée,
iveau de la zone postéro-externe (ceci est très net au niveau de la
moelle
cervicale inférieure à droite); elle monte très
lheureusement le bulbe manque. En bas, la lésion étant limitée à la
moelle
cervicale, les parties latérales droites du fai
de fibres dégénérées, et est encore plus accusée à droite. Dans la
moelle
dorsale supérieure, une raie dégénérative, entre
arrière sans atteindre cependant la périphérie postérieure de la
moelle
. Cette raie diminue elle-même en bas et n'occupe
tte raie diminue elle-même en bas et n'occupe plus, au niveau de la
moelle
dorsale, que la partie antérieure du cordon pos
ns le cordon postérieur droit et il n'y a plus rien du tout dans la
moelle
lombaire même des deux côtés du sillon postérie
, comme elle l'est chez les animaux, chez lesquels on a comprimé la
moelle
dans les régions élevées. C'est la dégénérescen
fecte la virgule de Schultze avec le faisceau postèro- médian de la
moelle
lombaire et sacrée ? Voici une autre série de p
oupe précis. En un mot la compression de la partie supérieure de la
moelle
dorsale a provoqué la dégénérescence de la virgul
one postéro- médiane. En outre, le cordon postérieur, dans toute la
moelle
dorsale. présentait d'autres mottes noires diss
endante de la zone de Schultze, que l'on peut suivre jusque dans la
moelle
lombaire mais qui disparaît promptement à son t
ituant le faisceau posléro-médian occupe les plans supérieurs de la
moelle
des deux côtés de la ligne médiane et s'éparpil
des racines postérieures descendantes de la région supérieure de la
moelle
; 2° A la formation du trousseau postéro- média
ent part des fibres descendantes que l'on voit déjà au niveau de la
moelle
dorsale supérieure, dans la partie antérieure d
ir au momeut de se coucher. Foulard. LXIX. Un cas de tumeur de la
moelle
épinière ; par le Dur Joseph COLLINS. New York
degré et à l'étendue des lésions. De même dans les maladies de la
moelle
épinière avec troubles de la sensibilité cutanée
cune de ses parties sont fixés en vue de l'examen microscopique. La
moelle
et les nerfs périphériques ont été également fi
myéline gonflées et fragmentées, ayant conservé l'acide osmique.
Moelle
épinière. La méthode de Nissl a été appliquée ici
disséminées irrégulièrement sur toute la surface de sec- tion de la
moelle
, un certain nombre de fibres gonflées réfractaire
nfil- tration de cellules névrogliques existent également dans la
moelle
et notamment dans la colonne de Clarke. Pas de
uche ; il en est de même de la moitié droite de la protubérance. La
moelle
ayant été sectionnée trop haut, on ne peut comp
rie de la corne antérieure dans le renfle- ment cervical et dans la
moelle
lombo-sacrée président à l'inner- vation de tou
MM. van Gehuchten et Nelis sur les modifications des cellules de la
moelle
dans les cas de mélectomie récente. La localisa
mère au niveau du sixième et septième segment médullaire dorsal. La
moelle
à ce niveau n'avait subi aucune déformation ni
'acro- mégalie. POULIiD. XXXIII. Sclérose combinée subaiguë de la
moelle
épinière et ses relations avec l'anémie et la t
érieurs sont pris les premiers et plus fortement que le reste de la
moelle
. Ils sont inté- ressés dans toute leur longueur
t, mais tardivement. Enfin, il peut y avoir du ramollissement de la
moelle
et produc- tion de cavités. Les vaisseaux san
oculo-pupillaires relevant de lésions de la substance blanche de la
moelle
. L'auteur développe un parallèle entre la sclér
ontenaient beaucoup de liquide. La pie-mère pàle, le cervelet et la
moelle
ne présentaient rien. Pas de grandes lésions da
normale. G. DE Majewska. XLV. Un cas de syphilis héréditaire de la
moelle
épinière avec autopsie ; par Gilles de la TOURE
sorte qu'il faut voir dans ce cas, une affection systématisée de la
moelle
d'origine purement spinale et secondaire à un anc
rf trijumeau, phénomène que l'auteur attribue à la présence dans la
moelle
cervicale de fibres sensitives du trijumeau. G.
et associé à un traitement élec- trothérapique (galvanisation de la
moelle
avec des courants faibles) et à des bains tiède
e de Morvan. M. LESAGE montre des photographies et des coupes de la
moelle
d'un malade qui avait présenté aux quatre extré
es membres. A l'autopsie on trouva la substance grise saine dans la
moelle
. Lésions de névrite sans lépromes ni bacilles d
'est pas éloigné d'en faire un lépreux à cause de l'intégrité de la
moelle
avec anesthésie pro- fonde et en raison du séjo
n- nellt, 308. IIÉTÈROTOP1E. Recherches histolo- giques sur une
moelle
atteinte de syringomyélie et d' -, par Lom- b
d' -, par Lom- bardi, 306. , canal central double et triple de la
moelle
, par Senator, 320. Homicide. Folie et -, par
. MÉCROSTHÈMESur un nouveau symp- tôme d'auto-, par Bloch, 352.
Moelle
ÉPINIÈRE. Kecheiches histo- logiques sur une -
perlrophlque par Philippe et Ilu- doeviing, 442. - combinée de la
moelle
, rapport avec l'anémie et la hucémie, par Dana,
et tabès port- syphililique, par Tchiriew, 399. héréditaire de la
moelle
, par Gilles de la Tourette et Durante, 524.
éréditaire, par NalbandofT, 267. Recherches hittologiques sur une
moelle
atteinte de et d'hé- térotcpie, par Lombardi, 3
. Eléments anatomiques du -, par Lenhossek, 316. Tabès. Coupes de
moelle
dans un cas de -, par Klippel, 171. - cervica
les résultats observés dans les cas de lésions transversales de la
moelle
: les uns pré- tendent avec Bastian, Brun, von
Bastian, Brun, von Gehuchtenet Crocq que la section complète de la
moelle
provoque chez l'homme une abolition totale du t
rissaud, Gras- set, Raymond et Cestan que la section complète de la
moelle
ne donne lieu à l'abolition du tonus et des réf
u'ils observent : les uns, convaincus que la section complète de la
moelle
ne donne lieu à l'abolition du tonus et des réfle
brusque, considèrent comme répondant à une sec- tion complète de la
moelle
les cas que d'autres et Crocq en parti- culier
d rond et pour le sous-scapulaire, a son origine constituée dans la
moelle
par un seul groupe cellulaire, formant un noyau
al et occupe une situation diffé- rente dans un autre segment de la
moelle
cervicale (Revue neuro- logique, mai 1901). E.
ableau. Il existe une analogie entre la compression mécanique de la
moelle
et l'hydrocéphalie interne, car dans celle-ci la
nche (corps calleux) est affectée ; or, dans la compres- sion de la
moelle
, c'est elle qui est surtout altérée. Quant à l'or
inent les arcs réflexes sensitivo-moteurs des divers segments de la
moelle
. Ce fait est démontré par le développement morp
sent sur les parties extérieures du corps par l'intermédiaire de la
moelle
et des ganglions spéciaux, absolument de la mêm
re de l'écorce sensitivo-motrice, des ganglions spé- ciaux et de la
moelle
; . 12° Finalement, l'inhibition et l'action ré
-iège de la mentalité, jusqu'aux ganglions les plus primitifs de la
moelle
, qui ne conservent que le degré le plus faible ou
xistence, d'une lésion portant à la fois sur ces deux nerfs dans la
moelle
allongée. D'après les expériences relatées dans c
tes ; par le Dr Bischossvverder. L'auteur en étudiant des coupes de
moelle
dans deux cas de syringomyélie, y a rencontré d
etrouve une grande complexité des altérations his- tologiques de la
moelle
dans la paraplégie. En dernière analyse, on arr
ble, mais très rare, qu'un fragment de vertèbre vienne comprimer la
moelle
; 2° Il est rare également que la tuberculose at
la moelle; 2° Il est rare également que la tuberculose atteigne la
moelle
(tubercules disséminés ou tubercule solitaire);
ennent des troubles fonctionnels ou des lésions histologiques de la
moelle
est des plus complexe, car il est vrai- semblab
ibilité normale. A l'autopsie, cerveau absolument intact; mais à la
moelle
double lésion avec altérations vasculuires inten-
ssant tout ou partie de ce membre, des lésions apparaissent dans la
moelle
épinière. 1 SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 2o l'appari
he paraissent consister en une atro- phie totale de la moitié de la
moelle
correspondant au côté de l'amputation. 5° L'é
pparence au moins, de lésions profondes de structure ; l'état de la
moelle
encore très rudimentaire chez nos têtards et nos
ossible d'affirmer l'existence de noyaux distincts' dans toutes les
moelles
, noyaux parmi lesquels on soit en mesure de se
te des relations certainement très impor- tantes entre l'état de la
moelle
et l'apparition des régénérations. Nous nous pr
ar le liquide céphalo-rachidien. '18 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. La
moelle
épinière ne présente pas d'altérations macroscopi
processus aigu occupant les ganglions de la base, le cerveau et la
moelle
. Les mêmes symptômes, de concert avec des troub
nctionnelle envahit toujours des groupes de muscles innervés par la
moelle
et peut s'étendre à tous les muscles du squelet
égulière des accidents, qu'on doit rapporter à la compression de la
moelle
cervicale par des lésions progressives de pacby
- M. Marie présente les pièces d'une méningite postérieure de la
moelle
. ' Bourneville. SOCIÉTÉS SAVANTES. 179 M. H
brusque de la colonne verlébrale. MM. Léui et Mocquot présentent la
moelle
d'un sujet atteint de mal de Pott il y a huit a
un affaissement brusque de la colonne dorsale avec paraplé- gie. La
moelle
comprimée par une forte saillie angulaire des cor
rieurs sur les centres des étages inférieurs du cerveau et de la
moelle
; or il n'y a aucune raison de ne pas rattacher a
es artériopathies très multiples, tant dans l'encéphale que dans la
moelle
, sont rela- tivement précoces, par opposition a
ninges, les ventricules, qui envahit le mésocéphale, désorganise la
moelle
par la diffusion la plus complète et qui aboutit
générale soit considérée comme une méningo-encéphalite. Et dans la
moelle
, ce qui est aussi la règle, c'est la méningo-myél
ltration nucléaire des parois veineuses : elle est la règle dans la
moelle
des paralytiques. Toutefois, je suis plus exigean
patient dont la tête seule émerge, sont d'excellents toniques de la
moelle
et ren- dent des services dans le traitement de
la sclérose des- cendante, on trouva, à la partie supérieure de la
moelle
dorsale et à la partie inférieure de la moelle
tie supérieure de la moelle dorsale et à la partie inférieure de la
moelle
cervicale, une disparition très nette des cellu
teurs et sécrétoires du tabès (Pierret), de certaines tumeurs de la
moelle
(Seelicmüller) et de la syringomyélie (Grasset,
n l'a prétendu, à la vie extra-utérine. Comme les altérations de la
moelle
nous permettent de penser que l'éclatement de l
ce à côté des anencéphaliens et des pseudencéphaliens, qui n'ont ni
moelle
, ni cerveau, et de ceux qui n'ont qu'une moelle
liens, qui n'ont ni moelle, ni cerveau, et de ceux qui n'ont qu'une
moelle
, aux sujets qui possèdent un bulbe et que nous
u'elle se fasse sentir dans les ganglions du sympathi- que, dans la
moelle
, dans le bulbe ou au niveau même de l'écorce cé
uerelleurs, menteurs, ivrognes, orgueilleux, per- vertis jusqu'à la
moelle
ils constituent de véritables plaies sociales.
et les attribua à une atrophie aiguë des cellules antérieures de la
moelle
. Cette hypothèse de Duchenne fut bientôt confir
de l'adulte dont le diagnostic ait été confirmé par l'examen de la
moelle
». Malgré ces faits, beaucoup d'auteurs n'admet
t survenue deux mois après le début de la paralysie. L'examen de la
moelle
a démontré l'exis- tence d'une destruction comp
uction complète bilatérale de la corne grise anté- rieure depuis la
moelle
cervicale supérieure jusqu'au niveau du deuxièm
t sacré. C'est ce que démontrent de toute évidence les coupes de la
moelle
qui vont être projetées. Cette destruction de l
es en petits faisceaux distincts, sortent de la face latérale de la
moelle
cervicale le long des cinq premiers segments médu
petit faisceau de fibres radiculaires traverse transversalement la
moelle
jusqu'au niveau de la partie externe de la corn
Enfin, dernièrement, j'ai trouvé les appendices piriformes dans la
moelle
épinière du lapin et surtout chez la grenouille.
longtemps que les fines arborisations des fibres nerveuses dans la
moelle
épinière. l'écorce cérébrale et cérc- belleuse,
icaux supérieurs sur ceux des étages inférieurs du cerveau et de la
moelle
. M. le Lf Henry Meige (Paris) communique au Con
ses blessures. A l'AUTOPSIE, l'encéphale avait un aspect normal, la
moelle
présen- tait dans sa portion cervico-dorsale le
xpliqués par la pression sur la moitié droite du cervelet et sur la
moelle
épinière. Par conséquent Fin. -16. ' UN CAS D
. Y a-t-il des voies centrifuges qui vont de la couche optique à la
moelle
? par A. V.1LLE\I3ERG (Neurolog. Ceatralbl., XX,
eur chemin jusqu'au cordon antérieur et à la corne antérieure de la
moelle
, elles se comportent exactement, dans cette derni
otte de Forel, et arrivent avec ce faisceau au cordon latéral de la
moelle
. C'est l'origine thalamique du faisceau de. Nloii
D'où viennent les fibres qui, dans les segments inférieurs de la
moelle
, longent la cloison postérieure, 'et subissent la
érescences tabetiques, extrêmement accusées, portaient sur toute la
moelle
, sacrée, lombaire, dorsale, et même sur les rac
et même sur les racines postérieures de la partie supérieure de la
moelle
cervicale depuis la 5° paire en montant. La col
Pal montre que seules les zones d'entrée radiculaires sont dans la
moelle
cervicale inférieure assez bien conservées : à
nérescence absolue. générale, des zones d'entrée radiculaires de la
moelle
sacrée et de la moelle lombaire : dans la moell
érale, des zones d'entrée radiculaires de la moelle sacrée et de la
moelle
lombaire : dans la moelle dorsale, ces zones so
radiculaires de la moelle sacrée et de la moelle lombaire : dans la
moelle
dorsale, ces zones sont complètement ou presque e
nt complètement ou presque entière- ment dégénérées. A partir de la
moelle
sacrée jusqu'au niveau de la moelle cervicale,
ment dégénérées. A partir de la moelle sacrée jusqu'au niveau de la
moelle
cervicale, absence partout des fibres arquées de
corne postérieure. Et, malgré cela, tout le territoire médian de la
moelle
sacrée est tout aussi bien coloré que dans une
médian de la moelle sacrée est tout aussi bien coloré que dans une
moelle
tout à fait normale. Donc, ce territoire, de mê
bres peu connu situé à la périphérie du segment antérolatéral de la
moelle
cervicale, par V. de ËKCHTE- REw. * Le faisceau
le, était à côté du faisceau pyramidal, et plus bas descendait à la
moelle
en dehors des grosses olives. Ce faisceau n'a e
énte du faisceau d'ileiweg : on la peut suivre jusqu'au début de la
moelle
dorsale. Il est cependant impossible d'eu précise
idal, nette, mais peu intense, cesse à l'extrémité supérieure de la
moelle
dorsale : cela s'explique, puisque l'extrémité
Hyperémie très marquée des méninges et de la substance grise de la
moelle
. Néphrite double. Le pylore est le siège d'un rét
buée de la substance blanche du nerveux central. Les cellules de la
moelle
et du cerveau sont le sièee d'altérations de be
émi- latérale. Autopsie. Conclusions générales. Les cavités de la
moelle
doivent pour le moment être envisagées comme le
deux côtés. lit L'influence de la région cervicale et dorsale de la
moelle
sur l'or- gane diminue graduellement de haut en
s granuleux. R. de Musgrave-Claï. XXXIX. Sur quelques états de la
moelle
dans les anémies graves, par ARCIIIBALR Cnuacn.
nsécutifs aux anémies ou associés à elles, sont en ce qui touche la
moelle
, une découverte récente, et l'un des premiers t
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. iI fois un état de dégénérescence de la
moelle
, sur lequel dans deux cas seulement, les symptô
ons étaient presque toujours limitées à la moitié postérieure de la
moelle
, et qu'elles épargnaient la substance grise ; p
. L'examen d'un grand nombre de faits montre que les portions de la
moelle
dont l'ali- menlation sanguine est la moins ric
S DR NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE Hémisection traumatique de la
moelle
; (Syndrome de Brown-Sequard). l R 3111. PE
pour la plus grande partie du même côté sur tout le parcours de la
moelle
. Pour le trajet des fibres sensitives, l'accord
ues ne permettent pas d'en déterminer le siège sur la section de la
moelle
. Les autres modes de la sensibilité, tactile, t
ervis par des fibres qui ne se croisent que par- tiellement dans la
moelle
. Kocher a défendu l'hypothèse que les fibres ex
légère à l'élude de ces problè- mes suscités par les lésions de la
moelle
épinière. En voici l'histoire, brièvement résum
at le 28 décembre 1893. Fig. 36 et 37. Aspect macroscopique de la
moelle
. M8 F.17110LOG1 \RliU ? Il y rentre en mars 1
elle atteignait presque la face antérieure. (7'7. 36 et 37). ; La
moelle
portait une plaie verticale ayant détruit sur une
de sa moitié droite. 01 F , " - 1 , Au-dessus de cette plaie, la
moelle
, macroscopiquemeut. parait saine. A son niveau,
ant d,u malade. Comment était constitué le foyer principal d'e la
moelle
dorsale moyenne, si caractéristique .avec sa dure
e que soit la coloration employée, les coupes n'ont plus heureuse
moelle
: elles ne permettent aucunement de reconnaître l
D'autres sont longitudinaux et s'orientent suivant l'axe même de la
moelle
; moins nombreux, ils forment aes îlots interca
ns les simples foyers cicatriciels consécutifs à l'écrasement de la
moelle
par une fracture de la colonne vertébrale. Ce t
rsistance de quelques îlots de tubes net veux à la périphérie de la
moelle
; conservation d'un peu de subs- tance grise da
e) permettent bien de penser que cette moitié latérale gauche de la
moelle
, au niveau de la 8" racine dorsale, est envahie
re, sont atteintes. Epaissies et fibreuses, souvent adhérentes à la
moelle
principalement en arrière et dans tout le côté
x altérés de diverses façons. Les artères présentent, comme dans la
moelle
, lIEhII5EC1'lUP1 TRAUMATIQUE DE LA MOELLE. 473
présentent, comme dans la moelle, lIEhII5EC1'lUP1 TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
. 473 une inflammation scléreuse de leurs tuniqu
eux ; à gauche, au cent ! aire, elles forment à la périphérie de la
moelle
7 à 8 fascicules arrondis qui conservent un gra
ême en avant, elle n'at- teint pas complètement la périphérie de la
moelle
, dont elle est séparée par un tissu névroglique
rveux conservés sont plus nom- breux. sur toute la périphérie de la
moelle
, et quelques-uns vont assez avant dans le cordo
assez marqué. Les mé- ninges molles sont épaisses, adhérentes à la
moelle
et à la dure- mère. Leurs nodules inflammatoire
scléreux, surtout à droite ; d'ailleurs, toute la périphérie de la
moelle
dans son segment antéro-iatérat est à peu près
les vides de tubes nerveux. E. Coupes au niveau de la 3 dorsale. La
moelle
n'a certaine- ment aucune lésion primitive. A s
nettement prédominante à droite. En résumé le foyer principal dela
moelle
dorsale moyenne loin d'être simplement cicatric
de a abouti à cette sclérose névrotique de la moitié gau- che de la
moelle
, encore en pleine évolution. Au-dessus et au-de
cessus n'a pas atteint la huitième racine dorsale ; à ce niveau, la
moelle
ne présente plus aucune lésion primitive. Il
ion d'un fait connu depuis longtemps : Les blessures graves de la
moelle
épinière ne déterminent pas de myélite suppurée.
s ont montré qu'une simple piqûre portant sur une des moitiés de la
moelle
équivaut, pour ce qui est des effets immédiatem
ous per- mettait de prévoir. Nous avons trouvé tout le long de la
moelle
, dans la portion sous jacente à la section, des
but, îles troubles des réservoirs. 11ÉM1SECTI0N TRAUMATIQUE DE LA
MOELLE
. 477 Nous avons vu que le faisceau pyramidal du
ères des dégénérations fasci- culées dans les parties droites de la
moelle
situées au-dessus de la section. ' Au début,
une et l'autre, semblent donc ne pas suivre les mêmes voies dans la
moelle
. Quant au sens musculaire, il était, lui aussi,
ommandé toute la symptomatologie. Les lésions systématiques de la
moelle
, les dégénérescences fasciculées, ont, au point d
umatique. Les autres s'étalent à une plus grande distance dans la
moelle
. Le tissu qu'elles ont édifié est plus grêle, se
rition rullv s'accompaenent, lan, le cas de section complète de la
moelle
, d'une paraplégie llaccide, quelle que soit d'ail
. Mais en est-il de même de la section progressive et lente de la
moelle
? En rapport avec le fait communiqué au Congrès
onc supposer que, si elle est rapidement séparée de l'encéphale, la
moelle
lombaire ne peut reprendre son autonomie primit
·t le Bruns. · Si, an contraire, elle e-t isolée de l'encéphale, la
moelle
s'ha- bilite à retrouver peu a peu l'indépendan
diquu. Dans le problème de l'action d'une section complète de la
moelle
sur les réflexes tendineux, M. Itaymond estime qu
e striction indéfi- niment prolongée et transformant le tissu de la
moelle
en une véritable cicatrice, peut donner lieu à
, est le fait des lé-ions des- tructives complètes et subites de la
moelle
. (Iteutte février 1002.; E. BLIN. ASILES D'AL
e aiguë au cours d'un carcinome secondaire de la dure-mère ou de la
moelle
. GILBERT-B.4LLET et Laignel-Lavastine présenten
BERT-B.4LLET et Laignel-Lavastine présentent les prépa- rations des
moelles
de deux cancéreux, qui ont succombé avec le syn
encieux et complet basé sur l'étude méthodi- que et comparée de six
moelles
appartenant à des sujets morts à un âge adulte,
vie aucun trouble pouvant dépendre d'une altération médullaire. Ces
moelles
ont été débitées en coupes sériées et traitées
des membres. Ces noyaux sont échelonnés dans toute la hauteur de la
moelle
, formant une co- lonne ininterrompue, visible e
iker, en tenant compte de ses deux solutions de continuité, dans la
moelle
lombaire et dans la moelle cervicale; la colonn
es deux solutions de continuité, dans la moelle lombaire et dans la
moelle
cervicale; la colonne latérale motrice, depuis le
ième segment sacré jusqu'au premier segment lombaire, puis, dans la
moelle
cervicale, depuis le premier seg- ment dorsal j
aladie de Friedreich, par Cestan et Sicarrl, 526. ' Anémies. Voir
Moelle
. Z par riessiuger. 183. Année psychologique.
Briquet. Voir Syndrome. BIIOWN-SIQU,l;D. Voir Epilepsie - Voir
Moelle
. BecsE Voir Monstres eiicéplialieiis, BLILEII
u con- nu situé à la périphérie du seg- ment antéro-latéral de la
moelle
cervicale, par Bechterew, 432. Folie. Contrib
ure indétermi- née, pat Oufutir et Chaix, 177. il À]SECTION. Voir
Moelle
Hématome de la Juie-mère 61,ébiale (pachyméni
s. Mensonge. Le - eliez la femme hystérique, par lîicharri. 91.
Moelle
. Voir Voies ceutrifiiyes. cervicale. Voir Fibre
aiguë au cour-, d'un carcinome secondane de la dnie-moe ou de la
moelle
, par llallet et Laiânel-Lavasttne, 527 .NIYOC
ues; autrement dit, ces lésions ont-elles pour siège le cerveau, la
moelle
, le nerf ou le muscle ? Quel est enfin le mécan
phiques, au- trement dit à l'influence des cornes antérieures de la
moelle
. Par consé- quent la cause de cette paralysie d
e et névropathe, dont le père avait été atteint d'une maladie de la
moelle
( ? ) qui aurait guéri. Une tante aurait été ne
dans un cas il les a nettement rattachés à un ramollissement de la
moelle
épinière (2). Plus tard, en 1859, il devait rev
des cas où l'in-' flammalion débute, dans le mode chronique, par la
moelle
épinière, où les mouvements et la sensibilité s
opique d'une dégénération des cordons postérieurs et latéraux de la
moelle
. Plus tard, en 1841, Parchappe observait des fa
ésion propre de la paralysie générale, laquelle peut débuter par la
moelle
ou' par le cerveau, mais finit toujours par env
'une, capable seulement de se localiser diversement, tantôt dans la
moelle
seule, tantôt dans le cerveau seul, tantôt à la
ale, mais simple- ment d'une paralysie générale ayant débuté par la
moelle
avec prédomi- nance des lésions dans les cordon
s constatations anatomiques ; on va voir que l'examen complet de la
moelle
et du cerveau a confirmé les conclusions que j'av
assique et à attribuer la paraplégie à une poussée congestive de la
moelle
. Ces accidents de paraplégie ne furent du reste
ésente aucune altération, non plus que celle du 4" ventricule. La
moelle
comme le cerveau est congestionnée il sa surface.
sent saines. Les méninges sont épaissies sur tout le pourtour de la
moelle
. , Coupe faite au niveau de la région cervicale
eux. La pie-mère est épaissie, fibreuse, sur tout le pourtour de la
moelle
, avec des chromoblastes abondants. Les parois d
que général, avec les lésions classiques de l'encéphale. Quant à la
moelle
, elle ne présente que des lésions ma- croscopiq
tisation ré- gulière du tabes que l'on observe lorsqu'on examine la
moelle
non sur une seule coupe ou dans une seule régio
e qui est en quelque sorte placé aux confins de la pathologie de la
moelle
et de la pa- thologie du système nerveux périph
une affection centrale ; dans' cette région seulement, en effet, la
moelle
épinière et les nerfs lombaires ou sacrés, déjà c
eurs, et sur la cons- titution anatomique du système sensitif de la
moelle
. b) En raison des succès que les chirurgiens on
erfs naissent du renflement lombaire par des racines qui sortent de
moelle
, dans une direction très oblique, 'et parcouren
en jetant un coup d'oeil sur notre deuxième figure (fig. 9), que la
moelle
se termine inférieurement parmi cône effilé, le c
P. Poirier) : le cône terminal, d'après Charpy, est la partie de la
moelle
qui donne nais- sance aux nerfs coccygiens ; il
xpériences de Longet et Cruveil- Fig. 8. Extrémité inférieure de la
moelle
épinière et queue de cheval, vues par leur face
e vertèbre lombaires, on a les plus grandes chances de traverser la
moelle
vers la base du cône terminal. Fig. 9. z Les li
eure du filament interne est médullaire, c'est-à-dire formée par la
moelle
. Quant au filament externe, il serait, suivant
filament terminal interne, qui est en partie un prolongement de la
moelle
, et qui s'étend de la 3e vertèbre lombaire à la 2
vous vous le rappelez sans doute, est un prolongement direct de la
moelle
, constitué par du tissu médullaire. La tumeur,
airement à ce qui arrive dans le cas d'une lésion destructive de la
moelle
, siégeant à un ni1 : ea7¿ tant soit pen élevé, le
dénouement dans les cas de lésions du segment dorso-lombaire de la
moelle
. Une observation de Valentini et une autre d'Eu
ffection de la queue de cheval ou de la partie correspondante de la
moelle
. ' Voici d'ailleurs quelle signification exacte
aires), qui vont consti- tuer le plexus lombaire, que la portion de
moelle
d'où émanent ces raci- nes sont indemnes. L'aff
faire, intéresse les s racines du plexus sacré, ou la portion de la
moelle
d'où ces racines tirent leur origine. Il est
e partie des cordons latéraux étaient désor- ganisés. 3° Enfin la
moelle
, y compris le cône terminal, peut être indemne et
la vessie. Les autres branches de la queue de cheval, ainsi que la
moelle
, étaient dans un état de parfaite intégrité.
les racines du plexus sacré, ou de la portion correspondante de la
moelle
). f) Ces mêmes symptômes, plus une parésie des
140 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tie sensitive entre la
moelle
et le ganglion, résection complétée par celle d
ineuse cervicale, sommet correspondant à peu près à la sortie de la
moelle
de la 8epaire radiculaire, fut pris comme centr
ciation de celui-ci mit bientôt t nu, avec une netteté parfaite, la
moelle
et trois paires radiculaires que l'on Fin. 19.
ainsi résé- quées sur une grande étendue, depuis leur sortie de la
moelle
jusqu'au moment où elles rejoignent les racines
stérieure sur un crochet mousse, la sectionner d'abord au ras de la
moelle
, ensuite au ras de la dure-mère, ce sont là des m
ane du canal rachidien, et s'enfonçait dans la partie médiane de la
moelle
, en respectant les racines du nerf crural. Sdll
Je vous disais alors que, dans les cas de lésion destructive de la
moelle
occu- pant un niveau un peu élevé, les symptôme
malade de Erb, au- topsié par cet auteur, la lésion intéressait, la
moelle
et la maladie dura cependant sept années conséc
res trophiques des nerfs moteurs, dans les cornes antérieures de la
moelle
épinière et, plus encore, par les observations cl
ement trouble et dont la paroi est for- tement pigmentée en brun.
Moelle
allongée. - La face postérieure de la moelle allo
ent pigmentée en brun. Moelle allongée. - La face postérieure de la
moelle
allongée ne présente rien de particulier, sauf
ompare avec les coupes pratiquées sur le nerf normal du côté droit.
Moelle
épinière. - Après avoir été mise dans le liquide
Millier, puis lavée dans l'eau courante et durcie dans l'alcool, la
moelle
épinière présentait ma- croscopiquement sur la
eures et postérieures, ainsi que dans la substance bilan- che de la
moelle
, il l'exception de la partie du faisceau latéral
spectée. Après avoir été durci et coloré par le même procédé que la
moelle
, le bulbe fut coupé en série dont nous donnons
Maladie osseuse de Paget, et deux fois nous avons rencontré dans la
moelle
des lésions qui nous paraissent mériter l'attenti
on déjà subie par les os, on ne peut rien dire du périoste et de la
moelle
. Cependant celle-ci est abondante dans les cana
e particulier. Le cervelet, le bulbe parurent également normaux. La
moelle
épinière avait été enlevée et parut saine à un
enlevée et parut saine à un examen macroscopique. Une partie cle la
moelle
cervicale resta adhérente au bulbe, l'autre ne fu
le liquide de Millier où elle avait été immédiatement placée que la
moelle
dorsale et lombaire. L'examen que nous en avo
2). Ajoutons qu'il n'a pas été recueilli de nerfs périphériques. La
moelle
enlevée n'a pas été examinée microscopiquement à
r, la dé- coloration n'est pas aussi accentuée. Sur des morceaux de
moelle
qui ont été traités par l'acétate de cuivre, ce
Ils appelaient de nouvelles recherches, la région cervicale 'de la
moelle
n'ayant pas été examinée, et les nerfs périphér
LE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE T. VIII. PL. XXXV. COUPES DE LA
MOELLE
(RÉGION DORSALE) DANS UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMAN
pour expliquer ces particularités. Les lésions macroscopiques de la
moelle
que nous avons rencontrées ont leur maximum dan
rieure (Pl. XXXV). Ces lésions sont constatables à l'oeil nu sur la
moelle
à l'état frais ; elles donnent même immédiateme
nt la signification des lésions que nous avons cons- tatées dans la
moelle
et dans les nerfs phériphériques. Dans notre pr
t jusque-là unique nous nous étions demandés en ce qui regardait la
moelle
que nous avions seule examinée s'il ne s'agissa
avant dans l'intimité du processus, nous remarquerons que, dans la
moelle
, l'altération est consti- tuée par une lésion d
st vrai que nous avons noté aussi une congestion très intense de la
moelle
et qu'on pourrait admettre que les lésions médull
ntielles médianes, qui correspondent aux médianes antérieures de la
moelle
, naissent de la partie supérieure du tronc basi-
u nerf moteur ocu- Fic. 5 ? Les artères de la face antérieure de la
moelle
allongée et de la protubérance annulaire (d'apr
, en définitive, que la prolon- gation des cornes antérieures de la
moelle
. Cela étant, je vous laisse le choix entre la p
othèse d'une lésion spinale légère, ayant entièrement guéri. Ici la
moelle
aurait été lésée, comme l'a été la protubérance
ns rapporter l'histoire étaient atteintes d'affections aiguës de la
moelle
bien différentes par leur étiologie : l'une a suc
s. - Le canal rachidien ne présente aucune lésion appréciable. La
moelle
étant enlevée et les méninges incisées, on aperço
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les veines postérieures de la
moelle
sont extrêmement congestionnées dans toute la m
nt extrêmement congestionnées dans toute la moitié inférieure de la
moelle
. A part un aspect un peu blanchâtre, comme lavé
e autre altération des méninges, des racines et de la surface de la
moelle
. La consistance de la moelle est normale ; à pe
es, des racines et de la surface de la moelle. La consistance de la
moelle
est normale ; à peine note-t-on une légère dimi
expansions qui atteignent presque la pie-mère. Dès la 4e dorsale la
moelle
est envahie sur presque toute sa surface de sec
ur gauche, et une mince bordure irrégulière à la péri- phérie de la
moelle
(Fig. 63). Jusqu'à la 5e dorsale la topographie
la circonférence depuis l'émergence des raci- Fro. 63. Coupe de la
moelle
au niveau de la 3e dorsale (coloration du Pal).
u niveau de la 3e dorsale (coloration du Pal). Fio. 64. Coupe de la
moelle
au niveau de la 5e dorsale. 330 NOUVELLE ICONOG
la scissure antérieure. Par rapport aux différents faisceaux de la
moelle
, on constate que les cordons antérieurs ont été
thode de Pal. Les lésions vasculaires qui pa- Fig. 65. Coupe de- la
moelle
au niveau de la 8e dorsale. DEUX CAS DE. MYÉLIT
S DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 333 La pie-mère, du haut en bas de la
moelle
, est le siège d'une infiltration leucocytique d
efoulant les faisceaux conjonctifs. Dans la partie inférieure de la
moelle
les leucocytes s'accumu- lent également dans le
bstance grise, sa tendance manifeste à fuser le long de l'axe de la
moelle
s'expli- que peut-être par la vascularisation p
ien dans l'intérieur même du foyer qu'en dehors, à la surface de la
moelle
. Il est donc très vraisemblable que nous avons eu
une perturbation complète dans le fonctionnement des régions de la
moelle
situées au- dessous d'elle. Le tonus musculaire
ue les conducteurs de ces différentes sensibilités occupent dans la
moelle
des places différentes ? ' ? 336 NOUVELLE ICONO
niveau des deux talons des eschares au début de leur évolution. La
moelle
ne présente rien de caractéristique à l'oeil nu,
upes, pratiquées de distance en distance sur toute la hauteur de la
moelle
et colorées par le procédé de Pal, montre qu'il
on a déjà envahi la presque totalité de la surface de section de la
moelle
; elle ne laisse libre en arrière qu'un petit s
tion en rapport avec la distribution générale des vaisseaux dans la
moelle
, puisque dès son origine elle empiète sur les deu
s'du foyer. Il faut noter qu'à ce niveau, comme dans le reste de la
moelle
; les vaisseaux nourriciers de la moelle ont leu
, comme dans le reste de la moelle; les vaisseaux nourriciers de la
moelle
ont leur calibre parfaitement libre, aussi bien
A LONDE PHOTOCOLL. BERTHAUD MYELITE TRANSVERSE AIGUË Coupes de la
moelle
. L BATTAILLE ET " Nouv Iconogr. ut- la SAL"TH
UNDI- . PHOIOCOLL FU RTHAUD. MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË Coupe de la
moelle
. ? BATTAILLE ET C" ÉOITkURS DEUX CAS DE MYÉLI
contourné dais sa gaîne élargie. En dehors du foyer de myélite, la
moelle
présente dans toute sa hauteur VIII 23 342 NO
arche et en voie de guérison. Les dégénérescences secondaires de la
moelle
sont très peu marquées sur les coupes colorées
st absolument comparable à celui que nous venons de décrire dans la
moelle
. Au niveau des points déprimés le tissu hépatiq
fluence d'une cause mécanique : d'une part les gros vaisseaux de la
moelle
sont intacts, d'autre part le dévelop- pement d
ne faut donc pas considérer toutes les lésions syphilitiques de la
moelle
, même parmi celles à début rapide, comine des ram
parfaitement justifiée. En d'autres termes le ramollissement de la
moelle
, au sens propre du mot, peut aussi bien être un
chez qui plus apte à être mû et rompu est le cerveau à cause de sa
moelle
qui est desséchée et diminuée comme il appert d
llaire),XXXV. Paralysie générale ci forme tabétique (coupes de la
moelle
), IV. Paralysie bilatérale du deltoïde, VIII et
pholo- gique), ti9, 70, 71. Myélite transverse aiguë. Coupes de
moelle
, 63, 64, 65, 63. Myopathie progressive chez un
t une altération profonde des cellules des cornes antérieures de la
moelle
. Nous laissons de côté cette dernière lésion qu
ROISEMENT SENSITIF DU BULBE. 7 seulement dans toute l'étendue de la
moelle
, mais aussi dans le bulbe, où ses fibres fortem
. - Les lettres comme pour les figures précédentes. TECHNIQUE DE LA
MOELLE
. 9 Ainsi donc, pour nous, la plus grande partie
roisements bulbaires'. NOTE SUR LA TECHNIQUE DES PRÉPARATIONS DE LA
MOELLE
Par le D' M. DEBOVE. De tous les procédés emp
cool. On a souvent essayé d'appliquer cette méthode à l'étude de la
moelle
; les préparations ont toujours été défectueuse
écautions, nous avons pu éviter cet inconvénient. Nous mettons la
moelle
trois semaines dans une solution (que nous ne r
ient plus exac- tement le centre de leur enveloppe de myéline. La
moelle
ainsi traitée est placée dans une solution de g
tournée cette grosse difficulté de la non-coloration des coupes de
moelle
et du bulbe, après l'action de la gomme et de l
hroniques des nerfs, primitives ou consécutives à une maladie de la
moelle
épinière, ont pour caractère commun de détermin
elle-ci reconnaît pour cause une lésion de la substance grise de la
moelle
épinière, mais encore lors- qu'elle est la cons
ité d'une façon incessante, et il en est de même de la partie de la
moelle
qui donne naissance a ces nerfs. Cet état de co
on centripète, qui se réfléchit par la médiation ' Vulpian. Article
Moelle
. (Dict. encyclopédique des sciences- mdd., p. 5
INCOORDINATION DES ATAXIQUES. r4.> de la substance grise de la
moelle
, surlles,nerssmo, GVJ ? ? Q1'O()'1P '1 H. ¡llPi
ces ganglions peut être suivi jusqu'aux colonnes postérieures de la
moelle
; 4° La paire postérieure est hypertrophiée chez
nstituent, il décrit des faisceaux blancs qui s'étendent jusqu'à la
moelle
, y forment la partie la plus profonde des colon
du reste ceux employés en histologie pathologique ; en étudiant la
moelle
de la grenouille, M. Mason est arrivé aux concl
on est arrivé aux conclusions suivantes : 10 le canal central de la
moelle
est cylindrique chez la grenouille. Si quelques
elques auteurs l'ont considéré comme ovale, cela tenait à ce que la
moelle
avait été déformée en la dépouillant de ses mé-
cées ; 4° on ne peut pas trouver dans les parties supérieures de la
moelle
, de différence de structure correspondant aux f
rêt du coeur. H. D'OLIER. IL Décussation DES fibres d'arrêt DE la
MOELLE
épinière ; par MM. J. OTT et R. MEADE SwITrI. (
ues survenaient dans le sphincter anal à la suite des lésions de la
moelle
épinière. Dans un travail précédent, M. Ott (Jo
t descendaient, selon cet auteur, dans les cor- dons latéraux de la
moelle
. Le travail de MM. Ott et Smith a pour but de r
th a pour but de rechercher si ces fibres s'entrecroisent dans la
moelle
. Voici le procédé opératoire auquel ces auteurs
les contractions sont plus évidentes à la suite de la section de la
moelle
. Les chats sont maintenus par le fixateur de Cz
rveau derrière la couche optique, à l'aide d'une lame recourbée. La
moelle
épinière est alors découverte et l'on pratique
ant par conséquent hyperesthésique à droite), une hémisection de la
moelle
faite du côté gauche a produit le remplacement
ésie par une section de la moitié latérale gauche du bulbe ou de la
moelle
, tandis que des phénomènes inverses se produira
ves. » H. D'O. IV. RECHERCHES SUR LES faisceaux conducteurs dans la
moelle
chez LE chien; par N. Wriss. (Travail de Instit
lupart des vertébrés, les fibres sensitives s'entrecroisent dans la
moelle
épinière au niveau même de leur pénétration dan
ilité et la moti- lité sont complètement abolies des deux côtés, la
moelle
ayant été divisée dans la région dorso-lombaire
. Dans la région dorso-lombaire d'un jeune chien, il sec- tionne la
moelle
de manière à ne laisser intacts que le faisceau
grise était parfaitement respectée. En dernier li'eu, il divise la
moelle
sur 3 points différents : t° section des 2 cord
ire d'un système de fibres quelconque, l'examen microscopique de la
moelle
, durcie dans le liquide de Müller, donna un rés
éra- tions. Pourtant l'examen rigoureux des portions supérieures (
moelle
allongée, protubérance, pédoncules), n'est pas te
ig, vont sans interruption de l'écorce aux cornes antérieures de la
moelle
, sont intacts dans tout leur parcours. Si d'aut
énérations ascendantes et descen- 164 BIBLIOGRAPHIE. dantes de la
moelle
, dont le type clinique a été primitivement donn
primitivement donné par M. Charcot à propos de la compression de la
moelle
dans le mal de Pott; après avoir consacré quelq
deuxième partie de sa thèse, M. Chauvet s'occupe des maladies de la
moelle
et des méninges rachidiennes. A ce pro- pos, M.
s ou descen- dantes, consécutives à des lésions syphilitiques de la
moelle
et du cerveau. En quoi ces dégénérations second
é singulier de voir M. Chauvet faire l'anatomie du cerveau et de la
moelle
, M. Arnozan celle des articulations et de la pe
acer. r,unncor (J. il.) - Des localisations dans les maladies de la
moelle
épinière, leçons faites à la faculté de médecin
périphériques de celui qui frappe le mênie élément au niveau de la
moelle
épinière dans certains cas de myé- lite aiguë o
ë. Or, les observateurs qui ont décrit cet état du cylindre dans la
moelle
épinière (Frommann, MM. Charcot, Joffroy, Hayem
ion wallérienne commen- çant par l'extrémité la plus éloignée de la
moelle
, remonterait lentement le long de la fibre, au
ncera vers la Fig. 4.-Schéma représentant la corne antérieure de la
moelle
épinière A, de laquelle partent quatre fibres n
rer est que l'altération n'avait pas atteint la face. Du côté de la
moelle
épinière, la substance grise antérieure offre,
e en contraction, pourvu qu'il soit encore relié par les nerfs à la
moelle
. Cette contraction réflexe, si bien étudiée par
ceux de, la paralysie infantile ;, malheureusement l'examen de la
moelle
n'a pu être fait. Puis, sont survenues des pert
et isthme. - Poids 130 gr. ; ils ne présentent rien de particulier.
Moelle
: rien. Viscères. - Hépatisation à la base du p
comment les cellules nerveuses des hémisphères cérébraux et de la
moelle
épinière, après avoir subi au contact des vapeurs
la zone motrice peut être suivie de dégénération secondaire de la
moelle
épinière; . 2" Que cette dégénération, semblabl
vaso-dilatateurs du foie et des or- ganes abdominaux émanant de la
moelle
par les trois premières paires de nerfs dorsaux
ces différents nerfs aux centres vaso-dilatateurs cheminant dans la
moelle
jus- qu'à la hauteur de la première paire de ne
e laquelle, jusqu'à la troisième paire peut-être, ils sortent de la
moelle
pour gagner la chaîne sympathique et de là les ne
ie. Rien d'anormal dans le cerveau à l'examen macroscopique. Sur la
moelle
durcie, se trouve une plaque de sclérose dans l
u du premier nerf cervical. REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 287 La
moelle
allongée, le pont, les pyramides, n'offrent rien
Il n'y a rien non plus dans les portions dorsale et lombaire de la
moelle
, dans le tronc du sciatique. Il s'agit donc ici
ent l'opinion que, dans la chorée grave, la substance blanche de la
moelle
subit des altérations qui portent sur les fibres
la' graisse,-3/ 0 /Ó ? ti1lj t' qu.)l.l' Js l : n ? nal privé de sa
moelle
en contient fort peu ; 2° diminution énorme deS
vice congénital ou à une dén'éné- ration des .cordons latéraux delà
moelle
.* 3.) ¡'())'l'vJI''2aB IV X .' J " , , c I ISCS
dans les muscles, lés'glandes/lâ peau ? certainement aussi dans''la
moelle
et péut-ètre'dàris1 le cerveau ! ' 'Les malades
e dominant, il faut ou que la lésion siégeant à la périphérie de la
moelle
ait envahi la pie- mère,, ou que les fibres des
lésée, ou bien enfin qu'une tumeur com- prime les enveloppes de la
moelle
. Les troubles de la(motilité, la faiblesse, la
aumatisme de 31O REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ? 4 , III t -' la
moelle
une élévation thermique. C'est ainsi qu'il a vu d
asser 401" L'autopsie montra qu'il exis- tait une compression de la
moelle
, accident qui parait être l'origine) de cette h
n trouble,tro- phique, dû au défaut d'action des nerfs émanés de la
moelle
au-dessous de la lésion et altérés consécutivem
ure du MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË. 383 canal rachidien. La
moelle
est enveloppée d'une couche fibrino- purulente.
coupes du cerveau n'ont rien montré, ni foyer, ni tuber- cule. La
moelle
était enveloppée d'un exsudat purulent qui sem-
nnées et sillonnées de capillaires chargés de corps granuleux. La
moelle
a été examinée fraîche, elle paraissait intacte.
on retrouve l'aspect opalin des méninges de la convexité. Sur la
moelle
, on aperçoit au niveau du renflement cervico- b
édiane en avant et en arrière, laisse voir la face antérieure de la
moelle
absolument saine, la face postérieure au contra
renflement lombaire, mais elles existent sur toute l'étendue de la
moelle
. Les poumons sont congestionnés, surtout le gau
es coordina- teurs des mouvements. L. L. VII. SUR LES NERFS DE la
MOELLE
DES os ; par G. VARIOT et le Dr CH. RÉMY. (Jour
80.) Annoncés par Duverney, contestés par Bichat, les nerfs de la
moelle
des os ont été décrits pour la première fois par
détails de leur structure. Ces recherches ont porté d'abord sur la
moelle
des os de l'homme prise sur un membre amputé dans
esseur Gosselin; puis, elles ont été con- trôlées par l'étude de la
moelle
des os du chien, de quelques autres mammifères
chien, de quelques autres mammifères et même des oiseaux. Dans la
moelle
des os de l'homme, les nerfs marchent acco- lés
vaisseaux ou ailleurs, on n'a aperçu de terminaison nerveuse. La
moelle
des os du chien a semblé particulièrement favo-
dans l'eau pour les débarrasser de la graisse et des éléments de la
moelle
, on peut suivre facilement les filets nerveux s
eaux nerveux, on distingue nettement une gaîne de péri- nèvre. La
moelle
du cheval est moins favorable qu'on aurait pu le
fs. Elle est indirecte ou réflexe, lorsque l'exitation porte sur la
moelle
ou le bout central d'un nerf mixte, dans les né
ocarde, des terminaisons des nerfs sensibles, des méninges ou de la
moelle
, chemine dans la moelle jus- qu'aux centres vas
des nerfs sensibles, des méninges ou de la moelle, chemine dans la
moelle
jus- qu'aux centres vaso-dilatateurs ou excito-
ts de départ de nerfs dilatateurs vasculaires qui cheminent dans la
moelle
jusqu'à la hauteur de la première paire de nerf
bul- baire, d'où partent des filets centrifuges cheminant dans la
moelle
jusqu'au niveau de la première paire de nerfs dor
à partir de laquelle, jusqu'à la troisième paire, ils sortent de la
moelle
pour gagner la chaîne sympathique et de là le ner
s. Les fonctions vitales persistent un peu plus longtemps pour la
moelle
que pour le cerveau : chez un animal à sang chaud
près la mort, on obtient des contractions manifestes en excitant la
moelle
. La substance grise perd son excitabilité avant
la blanche. Deux à trois heures après la mort, l'excitabilité de la
moelle
a disparu. Les nerfs d'un même membre perdent t
es variétés anatomiques qu'affecte le système com- missural dans la
moelle
épinière. Il y a peu d'années, on con- sidérait
hes grises en sont jaunâtres; cervelet anémié, anémie extrême de la
moelle
allongée, qui est plus ferme que la protubérance;
ges médullaires modérément vasculaires; absence d'épaississe- ment.
Moelle
cervicale assez ferme, anémiée; substance blanche
lle cervicale assez ferme, anémiée; substance blanche un peu grise;
moelle
dorsale très molle. Le renflement lombaire est
tumeurs, ramol- lissement des diverses parties du cerveau et de la
moelle
cons- tatés alors. Mais en même temps leur exis
rée intense; il en meurt, et l'on trouve à la face antérieure de la
moelle
allongée une dépres- sion unie, une fossette an
dontoïde. Bright avait observé de même à la moitié supérieure de la
moelle
une série de lamelles osseuses appendues à la p
des modifications qu'ils subissent dans les cas où une lésion de la
moelle
soustrait une région de celle-ci à l'influence
plet de la sclérose latérale primitive, et à l'autopsie desquels la
moelle
fut cependant trouvée parfaite- ment saine; il
rend assez invraisemblable l'hypothèse d'une lésion organique de la
moelle
, et dans le cas même où il y aurait eu une lésion
prolongement de la corne antérieure de la substance grise et de la
moelle
, qui remplissent à la fois des fonctions motrices
tations, qu'elles se produisent du côté du cerveau ou du côté de la
moelle
paraissent être .sous la dépendance de deux pro
paralysies hystériques; enfin, 10° des maladies organiques de la
moelle
(ataxie, atrophie musculaire, méningite spinale),
la constater jusque dans les cellules des cornes antérieures de la
moelle
. Le travail de M. Brissaud est divisé en trois
ctuels. Puis, l'auteur étudie le faisceau de dégénération dans la
moelle
et met en lumière un fait des plus intéressants,
édul- laire ; c'est encore au processus irritatif communiqué à la
moelle
par l'inflammation des cordons postérieurs qu'il
ivisé son traité en six parties; les maladies de l'encéphale, de la
moelle
, de la moelle allongée, des méninges, des nerfs
té en six parties; les maladies de l'encéphale, de la moelle, de la
moelle
allongée, des méninges, des nerfs et des névros
téesdans l'urne étaient t ainsi conçues : Cordons postérieurs de la
moelle
, anatomie et phy- MOte. A ! '<M'es du cervea
esdeux autres questions restées dans l'urne étaient ainsi conçues :
Moelle
épinière. Anatomie et physiologie. Artères du cer
travail irritatif dont les racines et les cordons postérieurs de la
moelle
(et la pie-mère correspondante) sont le siège.
rsque les racines pos- térieures ou les faisceaux postérieurs de la
moelle
sont compromises. « Si ces douleurs semblent av
ies périphériques, cela tient à ce que les impressions nées daus la
moelle
épinière ou dans les racines postérieures, sont
qui porte sur les racines et les faisceaux blancs postérieurs delà
moelle
, amène- t-il, en même temps que les douleurs fu
iculaires postérieurs sur les nerfs voso-moteurs qui émergent de la
moelle
par les racines antérieures ECCHYMOSES TABÉTIQU
n douloureuse des nerfs sensitifs ou des racines postérieures de la
moelle
, congestion aboutissant rapidement à la diapédè
d'accord pour admettre que les nerfs vaso-moteurs qui émanent de la
moelle
empruntent la voie des racines antérieures. Il
ets vaso-dilataiezirs contenus dans le nerf sciatique quittent la
moelle
par les racines postérieures des 4° et 5° pai-
onséquence de lésions portant sur les fais- ceaux postérieurs de la
moelle
ou sur les racines spinales sensitives.... Un c
ence de filets vaso-dilatateurs dans les racines postérieures de la
moelle
. Si la présence, dans les racines postérieures,
ent probablement vers les cordons et les racines postérieures de la
moelle
pen- dant les grandes crises de douleurs fulgur
re.) REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE XI. Examen microscopique DE la
moelle
dans UN cas DE PA- RALYSIE infantile (avec plan
disparition des cellules multipolaires dans toute la hauteur de- la
moelle
jusqu'à la région cervicale supérieure du côté
ticulière d'affection parenchymateuse DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA
MOELLE
; par C. WESTPHAL. (Archiv. f. Psych. u. IVerve
(gommes du cerveau et dufoie) coïncidant avec des altérations de la
moelle
cervicale qui consistaient en l'hypérémie et l'
XVI. Étude minutieuse DES lésions DES CORDONS postérieurs dans UNE
moelle
d'ataxique; par Albert Adamkiewicz. (Arclzz'v.
rvezlcrazzllzez'len,fasc.3,1880.)c L'auteur décrit avec détails une
moelle
d'ataxique avec alté- ration des cordons postér
postérieurs ; C. Le point d'entrée des racines postérieures dans la
moelle
et leur territoire d'irradiation ; ' D. Les r
re d'irradiation ; ' D. Les ramifications des cloisons qui, dans la
moelle
lombaire, abandonnent les bords postérieurs des
Ied. Journ. , janvier 1881, p. 615.) L'examen microscopique de la
moelle
montre une dégéné- ration de la totalité des co
iques,, de -.vrais gliomes ou gliosarcomes : il cite le fait' d'une
moelle
^ cervicale, dont' les. cordons postérieurs.se tro
- tion identique de la substance blanche dans les couches grises (
moelle
dorso-lombaire). Au même ordre d'idées appartienn
altérations anatomiques évidentes, les petits foyers scléreux de la
moelle
des choréiques (Eisenlohr) ondes enfants atteints
let 1879), cette dernière ayant trait surtout aux altérations de la
moelle
des os, ou du moins devant être considérée comm
urplus que peu ou pas de tendance à envahirla substance grise de la
moelle
ou les cordons latéraux, mais elles se propager
omp- tement à toute la hauteur des fibres postérieures jusqu'à la
moelle
allongée on prenant fin au plancher du quatrième
thologie NERVEUSE. 597 LXXXIII. CONTRIBUTIONS A la pathologie DE la
MOELLE
épinière ; par le Dr ADOLF. STRUWPEL. (Al'chiv.
s le titre II, l'étude des affections systématiques combinées de la
moelle
. On y lira avec intérêt de nouvelles observatio
, IL De dégénérescence des faisceaux pyramidaux, surtout dans la
moelle
dorsale inférieure et lombaire, accompagnée de
des cordons latéraux dans le cervelet et des faisceaux pyramidaux (
moelle
dorsolombaire). Méningite chronique, atrophie d
exigé par une sensation douloureuse pour se réfléchir à travers la
moelle
dépend de la force d'incitation ; si, à l'état
directement sur l'arc de réflexion, dans l'état pathologique de la
moelle
, toute l'excita- tion arrivera au cerveau : de
ie démontra une hyperplasie conjonctive diffuse du cerveau et de la
moelle
(petits foyers dans cette dernière) coïn- cidan
motrices d'origine péri- phérique, les troubles fonctionnels de la
moelle
, y compris les exsudats encore résorbables, la
processus d'atro- phie musculaire dans les cornes antérieures de la
moelle
que la question a pu être étudiée complètement.
on connaît aujourd'hui les propriétés des cellules motrices de la
moelle
on ne sait pas encore par quel mécanisme patholog
, 257, 413, 564. Métallothérapie, par R. Vigoureux, 257, 413.
Moelle
des os (nerfs de la), par Va- riot et Remy, 430
7, 413. Moelle des os (nerfs de la), par Va- riot et Remy, 430.
Moelle
épinièro (faisceaux conduc- teurs de la), chez
(faisceaux conduc- teurs de la), chez le chien, par Weiss, 133.
Moelle
(technique des préparations de la), par Debove,
133. Moelle (technique des préparations de la), par Debove, 9.
Moelle
épinière l décussation des fibres d'arrêt de la
l décussation des fibres d'arrêt de la), par Ott et Smith, 130.
Moelle
épinière (Leçons sur les ma- ladies de la), par
le épinière (Leçons sur les ma- ladies de la), par Tommassi, 313.
Moelle
épinière (dégénérations se- condaires de a), ap
s- ley, 297; par Cornil, 300. Paralysie infantile (examen de la
moelle
dans un cas de), par B. Bramwell, 573. Paraly
aire de la miction fait défaut et que le cerveau ne régisse plus la
moelle
, c'est parce qu'il existe une sorte d'inhibition
on-assimilation de la sensation de besoin envoyée au cerveau par la
moelle
, ou à des préoccupations urinaires subconscient
ublie sa fonction ou ne ressent pas les inci- tations parties de la
moelle
; ou encore est frappé d'inhibition par quelque
lieu de croire que la paralysie péronière tenait à une lésion de la
moelle
lombaire, qu'il y avait, par suite, tabes sous-
re il y un grand nombre de modifications secondaires (lésions de la
moelle
consta- tées par J\11nnich dans l'anémie grave)
ujet de l'épreuve écrite était le suivant : Cordon postérieur de la
moelle
.- Les questions restées dans l'urne étaient : C
MM. Toy, Roux, DoDERO. La question écrite : Cordon postérieur de la
moelle
. Question orale : Signes et diagnostic du mal de
NATOMIE. z ' - 1 SUR LE GROUPEMENT DES FIBRES ENDOGÈIIti4 DE LA
MOELLE
DANS LES CORDONS POSTERIEURS; Par )1. le D' lll
existence des fibres endogènes dans les cordons pos- térieurs de la
moelle
est une notion qui n'est plus absolument de dat
s Xervensyslems. Archives, te série, t. IL 6 82 ANATOMIE. de la
moelle
, dénommées cellules des cordons, que ces fibres
voies commissurales, reliant entre eux des étages superposés de la
moelle
, il semble que jusqu'ici on n'ait attribué à'ce
ofesseur Raymond, les altérations histo- logiques que présentait la
moelle
d'une malade morte avec une .compression des ne
ne constatent pas la pré- sence de dégénération descendante dans la
moelle
à la suite de sections des racines postérieures
uthéliome ayant comprimé les racines rachidiennes inférieures de la
moelle
depuis la troisième lombaire inclusivement. La
sion opérée len- tement a duré environ cinq ans laissant intacte la
moelle
, le cône terminal jusqu'à sa partie inférieure.
Société .lnaloll11qllr, février 1896. z DES FIBRES endogènes DE la
moelle
. 85 picro-carmin; elles présentent une diminuti
ore un grand nombre de filets nerveux conservés. Les coupes de la
moelle
ont été colorées par les méthodes habituelles, pi
nérescence secondaire descendante dans des cas de compression de la
moelle
siégeant assez haut l3arbacci Iloclie 4. ? C'
du septum sur une assez faible largeur, depuis la périphérie de la
moelle
en arrière jusqu'à la commissure postérieure en
précédente pour la zone cornu-commissurale. En remontant dans la
moelle
les filets radiculaires prennent une telle exte
e ovale) on voit ici qu'elles ont reculé vers la péri- phérie de la
moelle
. Elles siègent à peu près à l'union du quart po
bandelettes médianes (centre ovale) touchent la périphé- rie de la
moelle
toujours séparées l'une de l'autre par le septum
tte saine bor- dant le segment postérieur de la circonférence de la
moelle
. De telle sorte que l'image déterminée par cett
que sorte une contre- épreuve. Dans deux cas de compression de la
moelle
assez haut placée quatrième et sixième cervical
produisait chez les singes qu'après une section transversale de la
moelle
et non après la section isolée des racines. U
la quatrième lombaire inclusivement : « Dans toute la portion de la
moelle
située au-dessous de la troisième racine lombaire
augmentait à mesure que l'on se rapprochait de la terminaison de la
moelle
, car cette circonstance prouve que les fibres s
Que les filets coccygiens existent et suivent en remontant dans la
moelle
un trajet très voisins de celui- des racines sa
rées, nul doute à cet égard. Mais dans les cas de compression de la
moelle
et non plus de racines, dans ces cas où la comp
cendant ne le fussent pas à la suite de la lésion destructive de la
moelle
et dans ce cas il ne peut être question de file
bacci, de Hoche où consécutivement à une lésion destructive de la
moelle
, variant comme hauteur entre la sixième dorsale e
s se prolongeaient manifestementjusqu'à la partie terminale de la
moelle
et dans le cône terminal en se groupant en descen
sait d'une façon positive que les fibres endogènes existent dans la
moelle
. On lit dans van Ge7azccLen, page 20o : « Ehrli
e (expérience de Stenson) amène la mort de la substance grise de la
moelle
lombaire... Ils ont trouvé chez des animaux, qu
t comment il faut comprendre le trajet des fibres endogènes dans la
moelle
: voie d'union courte pour toutes ses fibres ou
l 1 , Psychiatrie. 1880. J Marie. - Leçons sur les maladies de la
moelle
, 1892. Semaine médi- cale, 1891. Gazelle des hô
ron à égale distance de la com- missure et du bord postérieur de la
moelle
D, voilà donc un territoire qui non seulement c
nt à des lésions radiculaires, à côté des lésions ascendantes de la
moelle
, existait une zone cornu-commissurale respectée
et Marinesco. Ces fibres courtes dans les cas de compression de la
moelle
ne devront dégénérer qu'au voisinage de la lési
vement ce qu'a représenté Hoche. Dans les régions inférieures de la
moelle
, seul le faisceau postérieur a subi la dégénére
ral court, dégénérant vers le bas à la suite de compres- sion de la
moelle
, ou restant intact lors de lésions localisées a
Les faisceaux de ce système n'atteignant pas la périphérie de la
moelle
, restent cantonnés au voisinage soit du sillon
rticulière qui fait supposer que ces fibres mettent en connexion la
moelle
d'une part, les filets radiculaires d'autre par
ranche transversale le long de la circon- férence postérieure de la
moelle
et une branche postéro- interne le long du sept
qu'à aucun moment il n'ait à couper les fibres radiculaires dans la
moelle
. Chemin faisant il reçoit les rameaux transvers
çoit les rameaux transversaux provenant des différents étages de la
moelle
et en perd probablement sur son parcours; mais
ence aller de la région cervicale jusqu'à la partie terminale de la
moelle
. La continuité de ce faisceau peut facilement é
oyons quelles lésions seront la conséquence d'une compression de la
moelle
. Suivant la hauteur, on trouvera deux champs dé
avec exception possible pour la région tout à fait inférieure de la
moelle
(cône terminal). Une compression de la région c
aisceau virgule de Schultze, accompagnée sur toute la hauteur de la
moelle
de la dégénération descendante de notre faiscea
94. Semaine médicale, 189. 30. Marie. Leçons sur les maladies de la
moelle
, 1892. 31. Viarinesco. Société de Biologie, jui
s par lésions vertébrales, par syphilomes des enve- loppes ou de la
moelle
elle-même; aux méningites spinales; aux lésions
lésions radiculaires, aux méningomyélites, au ramollissement de la
moelle
, aux phénomènes labél1furllles. Enfin un long cha
que les paralysies diphtériques étaient dues à l'intoxication de la
moelle
épinière et de la moelle allongée par les poiso
riques étaient dues à l'intoxication de la moelle épinière et de la
moelle
allongée par les poisons engendrés par le bacille
lmonaire. Que, dans beaucoup de cas, les inflammations aiguës de la
moelle
et du cerveau étaient manifestement provoquées
cas de section de nerfs périphériques (sciatiques) et anémie de la
moelle
, par compression de l'aorte abdominale chez le
l'esprit des dispositions anatomiques de la partie inférieure de la
moelle
dans le canal rachidien, aussi M. Raymond début
es régions, par les muscles intéressés, on reconnaît le point de la
moelle
atteint par la lésion. On observe ordinairement e
qui terminent si souvent le processus morbide des affections de la
moelle
, autres que celles de ses parties tout à fait inf
uccès. Ils sectionnèrent les racines au niveau de leur sortie de la
moelle
, et pour ne pas laisser les extrémités des nerf
vais, mort le 28 février. Autopsie. Tous les organes sains, sauf la
moelle
et les méninges spinales. Plaque molle, blanchâ
la hauteur du renflement lombaire. Les veines postérieures de la
moelle
sont très congestionnées. A l'oeil nu, la moelle
postérieures de la moelle sont très congestionnées. A l'oeil nu, la
moelle
paraît nor- male, sauf une coloration insuffisa
e lésion est de nature syphili- tique. Les centres nerveux, sauf la
moelle
et les méninges, sont indemnes. A l'oeil nu, la
eux, sauf la moelle et les méninges, sont indemnes. A l'oeil nu, la
moelle
est simplement congestionnée, les méninges sont
rtains endroits, ce foyer envahit à peu près toute la section de la
moelle
, mais ses contours sont très irré- guliers et i
congestion ne dépasse pas les limites du foyer et partout, dans la
moelle
saine, les vaisseaux nourriciers ont leur calib
e de nombreuses lésions syphilitiques siégeant ailleurs que dans la
moelle
, démontre que la lésion qui siège dans celle-ci
rnière considéra- tion. C. XXXII. Gomme syphilitique DOUBLE DE la
MOELLE
épinièrk ayant DÉTERMINÉ UN SYNDROME DE BRONN-S
eurs proprement dites. En outre la dure-mère adhère intimement à la
moelle
au niveau des gommes. A l'examen histologique,
ve aussi de vraies gommes miliaires. Les gommes syphilitiques de la
moelle
étant très rares, on se demande s'il s'agit bie
e par un arrêt brusque de l'irrigation d'un étage transversal de la
moelle
, où l'au- topsie a, en effet, montré l'endartér
équivalent à une section véri- table de la moitié antérieure de la
moelle
, chacune des tumeurs est ainsi la cause du synd
st ainsi la cause du syndrome de Brown-Séquard pour la moitié de la
moelle
qui la renferme. Plus encore, les tumeurs n'étant
e sensitive située immédiatement au-dessus des régions lésées de la
moelle
est respectée dans son trajet d'entrecroisement
dons sont relativement respectées, et que ce sont ces parties de la
moelle
qui renfeiment les systèmes commissuraux. L'anest
n dont le point de départ fut l'eschare. La partie supérieure de la
moelle
est diffluente, tout le tissu a un aspect lacun
a fait et publié plus tard. C. XXXIV. La syphilis héréditaire DE la
MOELLE
ÉPINIÈRE; par M. GILLES DE la TOURETTE, profess
e la Salpêtrière, 9S9G, ni 2 et 3.) La syphilis héréditaire de la
moelle
est une question encore mal connue et qui n'a,
re d'inédites dans le travail actuel. La syphilis peut frapper la
moelle
à trois périodes de l'existence : pendant la vi
r que si les observations de syphilis héréditaire congénitale de la
moelle
sont rares, il ne s'en- suit pas que cette mani
dans le cerveau, mais elle peut se localiser exclusivement dans la
moelle
pour produire des paraplégies spasmodiques inde
de symptômes cérébraux concomitants. Lorsque la syphilis touche la
moelle
dans la première enfance, et pendant l'adolesce
ui est atteint. Dans les formes médullaires pures, c'est surtout la
moelle
cervicale qui est touchée, cependant il existe
il existe des cas où la localisation s'est faite uniquement sur la
moelle
lombo-sacrée. Dans les cas de syphilis précoce
ituent l'expression clinique du tabes de la partie supérieure de la
moelle
. C. XXXVI. DE la cataphorèse électrique; par le
r les noyaux moteurs superposés au bulbe, à la protubérance et à la
moelle
. Les cordons médul- laires sont indemnes puisqu
ent la propagation de la lésion des noyaux moteurs supérieurs de la
moelle
aux noyaux moteurs du bulbe, et la propagation de
d'une inflammation de la dure-mère qui, hypertrophiée, comprime la
moelle
à l'instar d'un anneau fibreux. (Rivista clinic
te à la por- 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion dorsale de la
moelle
, l'hystérie n'est pas en cause. Du reste, on hy
ltures de spectrocoques à des cobayes qui meurent paraplégiques, la
moelle
est altérée. Expériences analogues de Thoinot,
au congrès de Bordeaux, sur l'action des infections diverses sur la
moelle
, etc.. Les observations du professeurItaymond : b
localiser ensuite sur beaucoup d'organes et qu'il n'épargne pas la
moelle
. Mais quelle est la pathogénie des accidents médu
tion générale de celui-ci et la production de foyers divers dans la
moelle
et ailleurs. En réalité, le revêtement épithéli
ont la consécration réclame de nouveaux faits. ire autopsie. - La
moelle
semblait normale à l'oeil nu, on ne l'a pas exa
La zone radi- culaire moyenne est partout respectée. Le reste de la
moelle
semble intact sauf cependant une certaine raréf
riques sont à l'oeil nu, considéra- blement augmentés de volume. La
moelle
présente les mêmes allérations que celles trouv
fin de compte selon deux modes différents : ou elles compriment la
moelle
d'une manière mécanique, ou elles déterminent u
me, il consiste en des troubles multiples du fonction- nament de la
moelle
. Voici un cas remarquable de mal de Pott dû à u
symptomatique au tableau clinique classique de la compression de la
moelle
, et il fait voir qu'il s'agit chez ce malade d'
fait voir qu'il s'agit chez ce malade d'une lésion localisée de la
moelle
au niveau de la seconde vertèbre dorsale. La symp
malade est absolument telle qu'elle serait si on avait sectionné la
moelle
en ce point avec un bistouri. La respiration di
ions urinaires ne sont pas troublées parce que la compression de la
moelle
siège bien au-dessus du centre urinaire. En s
centre urinaire. En somme, le diagnostic de la compression de la
moelle
à l'endroit sus-indiqué est évident. Quelle est
u mal de Pott ne sont, du reste, pas rares ; les compressions de la
moelle
qui en dépendent sont, après les com- pressions
nenestdanscefaitque la compression ne provoque pas toujours dans la
moelle
des lésions bien importantes. Il arrive qu'on n
t la vie, tous les signes de la compression, et qu'à l'autopsie, la
moelle
parait saine à l'oeil nu, et le microscope fait
s, il passe successive- ment en revue les diverses affections de la
moelle
, aucune d'elles ne répond au tableau symptomati
hétique de fibres reliant le cer- veau aux cornes antérieures de la
moelle
et expliquant l'action de la volonté, qui peut
de Charcot et Flayem. qm ont soutenu que le ramollissement de la
moelle
précède toujours l'hémorragie et que l'hématomyél
dissocier cli- niquement ce qui, parmi ces symptômes, revient à la
moelle
, ou ce qui revient aux racines. Dans le prése
orise à dire qu'elles portent tantôt sur les racines, tantôt sur la
moelle
, tantôt sur l'une et l'autre à la fois. Importanc
uxième et troisième vertèbres lom- baires. Axe cérébro-spinal. La
moelle
épinière, longue de 10 centi- mètres et demi, e
e extrémité libre ; sa face antérieure est, on l'a vu, accolée à la
moelle
. La protubérance très élevée tend à la vertical
, plus ou moins, du type normal. Pour l'examen histologique de la
moelle
, des coupes ont été pra- tiquées de bas en haut
seulement un peu d'asymétrie entre les deux moitiés latérales de la
moelle
et le canal central est très large. Ce dernier
coupe de l'extrémité inférieure du bulbe. Comme elle n'adhère à la
moelle
que par sa partie moyenne, il en résulte l'exis
hez les Lémuriens. Les particularités présentées par le bulbe et la
moelle
semblent dépendre les unes des autres. La surab
ervation des membres est systématisée dès la sortie des nerfs de la
moelle
; ainsi les fibres motrices qui émergent de la
rgent de la 486 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
moelle
à un même niveau, se rendent à des muscles synerg
es éléments nerveux avec une prolifération de la névroglie. Dans la
moelle
, légère dégénération des cordons latéraux et pos-
ues. Autopsie. Kyste assez volumineux de la couche optique et de la
moelle
allongée; kystes nombreux et peu étendus, cicat
l'écorce de l'hémisphère droit, avec lésions diffuses généralisées.
Moelle
: poliomyélite antérieure chronique dans la par
substance grise, disposés parallèlement à la sur- face de l'écorce.
Moelle
: dégénération des cordons de Goll et des cordo
IEUX. BIBLIOGRAPHIE. VIII. Voies conductrices du cerveau et de la
moelle
épinière; par V. M. 131CII-IEREI'r. (T. le', 2°
istologie cérébrale et les faisceaux qui composent le cerveau et la
moelle
épinière. L'ordre adopté par l'auteur est très
tance grise en quatre parties principales : substance grise de la
moelle
, celle du tronc cérébral, celle du cervelet avec
avec cette division l'auteur étudie successivement les fibres de la
moelle
épinière, y compris celles des racines posté- r
rveau. Voies conductrices du TAULE DES MATIERES. 501 i et de la
moelle
, par de Bechterew, 492. Czevcm.t..lny ome sim
Miraclleuses. Guérisons prétendues - du Mont Saint-Michel, 40S.
Moelle
. Groupement des fibres en- dogènes de la-, par
es de neurologie, 1891, Vol. XXI, n" 63. Débierre. Le cerveau el la
moelle
épinière avec applications physiologigues et mé-
s régulière que dans le type pathologique décrit. Protubérance et
moelle
allongée. Nulle part une trace des altérations
R LES DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES CONSÉCUTIVES A UNE LÉSION DE LA
MOELLE
CERVICALE Par Ed. LONG. Communication faite
dications les plus ptécises que nous avons sur les connexions de la
moelle
épinière avec l'encéphale ont été obtenues par la
en des, dégénérescences secondaires consécutives à une lésion de la
moelle
cervicale. Nous nous occuperons spécialement, d
idale et aux cordons postérieurs ne dépassent pas les limites de la
moelle
et ne poursuivent pas au-delà les dégénérescenc
M. le professeur Askanazy qui a eu l'obligeance de nous remettre la
moelle
et le cerveau. A l'ouverture de la cavité rachidi
rtèbres, ni pachyméningite, ni adhérences des méninges internes. La
moelle
cervicale est déformée au ni- veau de son renfl
olume (fig. 6) envahis- sant à la fois, dans la moitié droite de la
moelle
, la substance grise (cornes antérieure et posté
uve dans le segment Cc (P1.1V, fig. B). Ici, la moitié droite de la
moelle
n'est plus représentée que par un peu de substa
, C r, DÉGÉNÉRESCENCE ASCENDANTE CONSÉCUTIVE A UNE LÉSION DE LA
MOELLE
CERVICALE (E. Long). DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDAN
LA MOELLE CERVICALE (E. Long). DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA
MOELLE
CERVICALE 63 sa partie centrale, est criblé de
res le confirme, la lésion a atteint surtout la moitié droite de la
moelle
; elle a eu, en outre, un certain retentissemen
la série des figures 1 à 5, qui représentent plusieurs étages de la
moelle
étudiée dans le sens descendant, on observe succe
res ; l'asymétrie des dégénérescen- ces ans les de ux moitiés de la
moelle
est à peine visible ; (1) Les figures qui accom
s nom- breux. Dans toutes les figures, les cornes antérieures de la
moelle
ou l'étage anté- rieur de l'isthme de l'encépha
. - Segm. D7 ric. 5. - Segm. L2 DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA
MOELLE
CERVICALE 65 le segment Dl libéré de cet élémen
Cs et avec une localisa- tion prédominante sur la périphérie de la
moelle
et les racines (fig. 3) ; au delà (fig. 4 et 5)
et les racines (fig. 3) ; au delà (fig. 4 et 5) dans le reste de la
moelle
dorsale et le renflement lombaire, on ne trouve
sil- lon médian postérieur, un champ ovale, visible jusque dans la
moelle
dorsale inférieure. Nous n'insistons pas dava
ences ascendantes ont été suivies sans interruption ci tra- vers la
moelle
cervicale et l'isthme de l'encéphale jusqu'à la c
(1). Trajet cervical et connexions intraspinales. - L'étude de la
moelle
cervicale supérieure (fig. 7-10) comprend deux po
l'apport de nouvelles fibres endogènes. Dans la moitié droite delà
moelle
, elles arrivent ainsi par étapes successives à se
les se confondent en arrivant au bulbe. Dans la moitié gauche de la
moelle
, les fibres éparses dans le faisceau fondamenta
11). Celte translation est déjà visible dans la moitié droite de la
moelle
; elle est encore plus évidente pour la moitié gau
aucune investigation à cet égard. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA
MOELLE
CERVICALE 67 ED. LONG . PL. XVII Fis. 6. - Pa
pyramidal croisé qui, à ce niveau, s'étale jusqu'à la surface de la
moelle
.- On trouve cette disposition anatomique dessin
ontrent aussi ce déplacement du faisceau cérébelleux direct dans la
moelle
cervicale supérieure. Ce n'est cependant qu'une
s postérieurs aux voies cé- 1 . DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA
MOELLE
CERVICALE 69 rébelleuses par les fibres arcifor
spinales est bien connue. Quelques auteurs l'ont suivie jusqu'à la
moelle
cervicale, d'autres dans la pyramide bulbaire, tr
. 11 Fio. 12 Fin. 13 Fm. 14 DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA
MOELLE
CERVICALE 71 la capsule de l'olive, en entouran
cicules posté- rieurs ne viennent pas des cordons postérieurs de la
moelle
; ils se détachent de la voie du corps restiform
. LONG PL. XIX Fw, 15 FIO. 16 DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA
MOELLE
CERVICALE 7 : 3 descendante du trijumeau ; l'au
en continuité avec le faisceau fondamental du cordon antérieur de la
moelle
; ils les suivent dans leurs rapports avec la p
ew, Goldstein, faisceau qui remonterait le cordon anté- rieur de la
moelle
cervicale en passant par le triangle de Helweg ;
n est de même plus bas ; nous avons en effet déjà signalé é dans la
moelle
cervicale que des fascicules entiers quittent la
u moins pour la partie terminale de leur trajet, c'est-à-dire de la
moelle
cervicale à l'écorce cérébelleuse. Il est préféra
Iatéraux à l'écorce cérébelleuse. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA
MOELLE
CERVICALE 75 ED. LONG PL. XX FIO. 17 Fm. 18
bservé de fibres venant directement des cordons pos- térieurs de la
moelle
. La masse commune aux faisceaux cérébelleux et
Nervenk., vol. 39 (1904), p. 74. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA
MOELLE
CERVICALE 79 BLUMENAU. - Sur la terminaison sup
BOC'IIF.IOEK. Dégénérescence des fibres endogènes ascendantes de la
moelle
après li- galure de l'aorle abdominale. Le Névr
nerveux, t. II, 1901. Dejerine et A)i[1RÉ-THOIAS. - Maladies de la
moelle
épinière, 2e édit., 1909 (anatomie des faisceau
de la moelle épinière, 2e édit., 1909 (anatomie des faisceaux de la
moelle
, p. 55-101). DI'DI\SKr. Ein l3eitrag zum Studiu
nti ? 1898, p. 935. - 80 LONG. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA.
MOELLE
CERVICALE ROTfIM.INN. Zur Anatomie u. Physiolog
plusieurs fois par jour. Il meurt le 17 septembre. Autopsie. La
moelle
est enlevée dans son étui dure-mérien. L'aspect
é latéralement les deux moitiés de la dure- mère on remarque que la
moelle
,au niveau de la partie supérieure de la région
racine antérieure de la première paire dorsale gauche, comprime la
moelle
(Voy. PI. XXII). La compression est très légère
La compression est très légère ; la tumeur, petite, ne laisse sur la
moelle
déviée qu'une empreinte minime, au niveau de la
premier, partie supérieure du second). La tumeur n'est reliée à la
moelle
par aucune adhérence ; elle se trouve tout enti
développée la tumeur est uettement atrophiée depuis sa sortie de la
moelle
jusqu'à la néoformation. La racine postérieure
oubles paralytiques observés. D'autre part l'examen minutieux de la
moelle
, de lotîtes les racines et des méninges ne nous
llement dilatées au-dessous de la zone comprimée ; et le segment de
moelle
en rapport avec la tumeur n'avait ni l'aspect ané
ixées dans le formol à 10 0/0. Tous les segments de la partie de la
moelle
(de CI à l'extrémité inférieure) ont été coupés
ré). Masson & Cie, Éditeurs. paraplégie TYPE BABINSKI 85 1°
MOELLE
ET racines au niveau DE la compression. 1° dors
niveau DE la compression. 1° dorsale (Pl. XXIII). Le contour de la
moelle
u'est pas régulier ; il existe une dépression n
sillons médians est un peu moins étendue que la partie droite. 2°
MOELLE
ET racines au-dessous DE la COMPRESSION (pal. XXI
tération nette. 6e dorsale. A ce niveau l'état histologique de la
moelle
change assez brusquement. Les cordons antérol
retrouvé sur de nombreuses coupes normales. La moitié droite de la
moelle
est plus volumineuse que la gauche ; la corne a
pes transversales à plusieurs niveaux, nous ont paru normales. 3°
Moelle
ET racines au-dessus DE la COMPRESSION. Au-dess
dessus DE la COMPRESSION. Au-dessus du niveau de la compression, la
moelle
présente quelques alté- rations. Sur CI il exis
n que les méninges et les vaisseaux des différents seg- ments de la
moelle
sont absolument normaux nous comprendrons que du
asser en revue : 1° C'est tout d'abord une compression légère de la
moelle
au niveau de D' et D3, par un petit névrome ou
orsale gauche. 2° Une hémiatrophie légère de la moitié gauche de la
moelle
portant sur la substance grise et sur le faisce
flexion ». Cetle paraplégie élait due à la compression légère de la
moelle
déter- minée par une tumeur radiculaire du volu
bien voulu examiner après nous les coupes de plusieurs étages de la
moelle
, au-dessous de la compression. On est donc en
nclusions principales que la lésion des cordons pos- térieurs de la
moelle
rendent compte des troubles sensitifs à type tabé
n observe moins fréquemment des symptômes relevant de lésions de la
moelle
épinière que de lésions d'origine névritique..
us petit nombre, où les symptùmes correspondent à des lésions de la
moelle
. Et non seulement la lèpre a une prédilection p
raite des cas où il n'y a pas d'altération dans le cerveau et dans la
moelle
, tant au point de vue du conducteur qu'au point
e qui apparaît chez ses des- cendants clans la portion sacrée de la
moelle
épinière et dans les nerfs correspondants. Ai
lésions de celle amyotrophie portent à la fois sur les muscles, la
moelle
et les nerfs périphériques. Je passe sur l'atro
us la dépendance de lésions du système nerveux. Les lésions de la
moelle
frappent et les cornes antérieures dont un cert
blerait logique. Faut-il enfin avec Bernhardt incriminer la fois la
moelle
et les nerfs, et parler d'amyotrophie à la fois
se demander s'il ne s'agit pas d'une dégénération simultanée de la
moelle
et des nerfs, d'un arrêt de développement, d'uue
e le noyau rouge affecte avec le cervelet, le bulbe rachidien et la
moelle
épinière, il convient d'admettre que, par contr
avec les noyaux moteurs du bulbe et les cornes anté- rieures de la
moelle
épinière (voie rubro-spinale), et d'autre part av
sur les connexions du corps strié avec l'écorce d'une part, avec la
moelle
épinière de l'autre, nous expli- quent leur inc
nerveuses avec quelques proliférations diffuses de la névroglie. La
moelle
allongée montre les mêmes particularités que la p
t l'augmentation légère de la névroglie qui peuvent être relevés.
Moelle
épinière. - Il y a absence de toute dégénérescenc
vent la participation des méninges et de la substance blanche de la
moelle
: lymphocytose rachidienne, exagération des rélle
T. XXVII. PL. LII SCLÉROSE MÉDULLAIRE TRANSVERSE DORSOLOMBAIRE a,
moelle
; b, tumeur adhérente aux méninges ; c, coupe de
, tumeur adhérente aux méninges ; c, coupe de la tumeur trilobée d,
moelle
ramollie et comprimée par la tumeur. UNIVERSITÉ
actère insolite d'une guérison dans l'histoire des affections de la
moelle
épinière qui nous avait engagé à la publier. On s
ral, on remarque tout de suite une proémi- nence circonscrite de la
moelle
épinière, située au niveau de la région dorsale
ures légèrement saillantes correspondant à une tumeur oc- cupant la
moelle
à cette place. En coupant la dure-mère sur sa fac
rte à un obstacle à ce niveau, les méninges y faisant corps avec la
moelle
. Partout ailleurs la dure-mère se détache assez f
ement injectées, surtout au-dessus de la tumeur, tout le long de la
moelle
dorsale. A l'endroit de la soudure des méninges e
la moelle dorsale. A l'endroit de la soudure des méninges et de la
moelle
, ou constate l'hyperémie de la surface externe de
te l'hyperémie de la surface externe de la dure-mère. Tandis que la
moelle
est en général d'une consistance molle, la tumeur
nçant encore dans son tissu. Elle a presque complètement détruit la
moelle
épinière dans toute sa largeur, ayant avancé de g
u névraxe en amont et en aval de la grosseur. Cette petite bande de
moelle
ramollie ne mesure que 2 à 3 millimètres et s'é
ant de la tumeur. Les coupes transversales des autres parties de la
moelle
font ressortir, déjà ;'1 zip nu, la dégénérescenc
Pour contrôler au microscope les dégénérescences secondaires de la
moelle
épinière, on a enrobé des morceaux pris au-dess
a démonstration des fibres myéliniques. On a constaté alors dans la
moelle
cervicale une dégénérescence ascendante des cordo
u côté droit, tandis que du côté gauche et vers la périphérie de la
moelle
, il existe encore quelques fibres dissé- minées
ce descendante est bien marquée dans les faisceaux pyramidaux de la
moelle
lombaire ; elle est plus forte du côté gauche que
Il s'agissait donc d'une tumeur ayant exercé une compression de la
moelle
au niveau des 9e et 10e vertèbres dorsales, du cô
-mère, ou d'une production constrictive telle qu'une sclérose de la
moelle
. En faveur de la sclérose plaidait une bénignité
, et de lames vertébrales à résé- quer en vue de la recherche d'une
moelle
aplatie, écrasée et d'une tumeur extirpable san
iquent, sinon un néoplasme, du moins un processus irri- tatif de la
moelle
ou des méninges. » Ces ponctions avaient en out
Fic. 4. - Première et deuxième périodes. - Coupe schématique de la
moelle
et de la lumeur. La tumeur a, ayant débuté du c
ériode. Coupe schématique longitudinale, a. tumeur. b. re'.te de la
moelle
comprimée presque entièrement détruite et ramolli
l montre un détail peu connu dans l'histoire des compressions de la
moelle
décrite d'une manière si magistrale par Charcot
aussi des difformités assez accentuées du squelette (atrophie de la
moelle
osseuse et des os) chez une femme de 45 ans, at-
lle- ment l'intoxication et la fatigue de l'écorce cérébrale, de la
moelle
, du système sympathique, c'est-à-dire des neuro
, 81. Dégénérescences ascendantes consécutives à une lésion de la
moelle
cervicale, par Long, 61. Démente (Maladie de
ctylie. Hémimélie. Absence du péroné, par KLIPPEL et RABAUD, 333.
Moelle
cervicale (Sur les dégénérescences ascendanles
les dégénérescences ascen- dantes consécutives à une lésion de la
moelle
cervicale, 61. Marchand (L.) et Usse (F.). Mala
VIII. Dégénérescences ascendantes consécutives à une lésion de la
moelle
cervicale (Long), XV. Dystrophie hypophysaire
mations congénitales des membres (KLIPPEL et Rabaud), LVI à LXII.
Moelle
, compression (Révccr,IOn), LII. Mouvements acti
ne antérieure (Sano, Les localisations des fonctions motrices de la
moelle
épinière, Anvers, 1898), Van Gehucliten et son él
enfle- ment cervical en connexion avec le membre supérieur et de la
moelle
lombo-sacrée, en connexion avec le membre infér
Neccrol.,1901) ; par la méthode expérimentale et par l'élude d'une
moelle
humaine après extirpation du muscle grand pecto
clu de ces recherches que les groupes naturels qui existent dans la
moelle
épinière ne peuvent pas être considérés stricteme
pathologie humaine des faits indiscutables, à savoir : étude d'une
moelle
, 8 jours après une section nerveuse unique ou une
ion générale dont est atteint le malade peut créer, au niveau de la
moelle
, par action directe, des altérations cel- lulai
cylindraxe, lorsqu'elle est pratiquée à-une certaine distance de la
moelle
, ne détermine pas nécessairement dans sa cellul
alisées. Pour résoudre le problème des localisations spinales de la
moelle
hu- maine ilsembledoncpréférablede recourir enc
stance grise de la corne antérieure est loin de la périphérie de la
moelle
, et si nous constatons dans une syringomyélie p
AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL ET DU SEGMENT INFÉRIEUR DE LA
MOELLE
, PAR R Le Professeur. RAYMOND (1). Messieur
plus inférieure du contenu du canal rachidien. Vous savez que la
moelle
se termine par une extrémité pointue, lecône te
ont occupés de la pathologie de la portion la plus inférieure de la
moelle
. D'ailleurs, les récentes recher- ches du Dr Ro
ni une base anatomique ; elles nous ont appris que la portion de la
moelle
, qui donne naissance aux trois dernières paires s
ement le filu1n terminale, mais encore la portion inférieure de la-
moelle
(fig. 2). Cela dit, vous concevrez sans peine q
t aux apophyses épineuses. Fig. - : \1. segment inférieur de la
moelle
. Q. queue de cheval. F. filum terminale. D.
fection de la queue de cheval ou de la portion correspondante de la
moelle
. Est-ce que les aulres manifestations pathologi
ité du cinquième segment lombaire et du premier segment sacré de la
moelle
, ainsi que du nerf sciatique, elle nous autorise
ueue de cheval et aux affections de la portion correspondante de la
moelle
. J'ai dit symptomatologie commune aux affection
ections de la queue de cheval et de la portion correspondante de la
moelle
. Il va de soi, en effet, que les mêmes symptôme
cines du plexus sacré, ou une lésion du segment correspondant de la
moelle
, ou une lésion à la fois radiculaire et spinale.
ntre la figure, ces racines tirent leur origine de la portion de la
moelle
, qui correspond au foyer A. Donc, les deux Fig,
faire à une affection médullaire, une affection de la portion de la
moelle
, qui correspond au foyer A, ou à une affection
ortion adjacente dit sacrum. En effet, l'extrémité inférieure de la
moelle
ne descend pas au-dessous de l'apophyse épineus
ssous de ce niveau, ne peut avoir de retentisse- ment direct sur la
moelle
. c) Quand il n'y a pas eu de traumatisme antécé
x où les lésions se cantonnent dans la portion correspondante de la
moelle
. Notre malade, vous vous le rappelez, souffre s
'hypothèse d'une affec- tion de la portion la plus inférieure de la
moelle
, vous en serez toujours réduits à formuler un d
probabilité aussi, les racines qui émergent de cette portion de la
moelle
sont, en partie du moins, le siège d'une névrit
'un foyer d'hématomyélie et d'un foyer hémorrhagique extérieur à la
moelle
et com- primant la queue du cheval. Ainsi s'exp
es, en particulier au niveau des vertèbres lombaires et du sacrum. La
moelle
ne pa- rail pas comprimée et on l'enlève facile
ise la dure-mère, qui n'est pas adhérente et on a sous les yeux une
moelle
sans méningite, sans foyer de myélite lombaire
it au contraire, au niveau du ganglion. L'examen histologique de la
moelle
a montré l'absence de lésions de myélite pri- m
rieurs et des racines postérieures sacrées avant leur entrée dans la
moelle
. On peut donc affirmer que la lésion a porté su
rb et Charcot, la lésion siégeait t dans les cordons latéraux de la
moelle
frappés de sclérose. SYNDROME DE LITTLE 139 R
se traduit par une excitation anormale des cellules motrices de la
moelle
. Pour la faci- lité clinique, on avait fait de
ébrale à travers la capsule interne, le pédon- cule, le bulbe et la
moelle
(système du neurone moteur central). 1 Ce cas,
substance blanche et la substance grise sont bien délimitées. La
moelle
ne donne rien de pathologique à l'examen macrosco
nne rien de pathologique à l'examen macroscopique. Les coupes de la
moelle
lombaire (Nissl) montrent les cellules ganglion-
males et leurs prolongements anormalement colorés, mais pas tous.
Moelle
cervicale : les cellules ganglionnaires sont en v
ostérieur. Les voies pyramidales sont normales et les cordons de la
moelle
assez bien développés. Dans le 2e cas, mort à
perplasiées et les vaisseaux sanguins augmentés. -Les cordons de la
moelle
sont moins développés que dans le cas précédent
Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau et de la
moelle
. Paris, 1878-1880 p. 365. - 11. Naef. - Thèse d
nes motricesde l'écorce, motrice comme les cornes antérieures de la
moelle
, a aujourd'hui vécu. Elle a fait place à des conc
dans cha- que segment, ou dans plusieurs segments successifs de la
moelle
, une distribution des cellules motrices en grou
ie, postérieure de l'hémi- sphère droit. BULBE. - L'origine de la
moelle
, au lieu d'être couchée sur la face inférieure
une forme en entonnoir. A la partie postérieure de l'origine de la
moelle
, la face postérieure de celle- ci est escortée
PHALE 233 234 UAUSHALTER ET BRIQUEL postérieure du bulbe et de la
moelle
. Peut-on l'interpréter comme un rudiment d'encé
e canal de l'épendyme présente, sur des coupes microscopiques de la
moelle
, son aspect normal, perméable, avec un revêtement
ines postérieures la systématisation qui avait été reconnue pour la
moelle
, et la lésion fondamentale du tabes devint une
usive, car ce ne sont pas seu- lement les cordons postérieurs de la
moelle
et les racines postérieures qui sont atteints d
uire l'atrophie des racines en les étranglant à leur entrée dans la
moelle
(Obersteiner et Redlich), ou en les comprimant
ite ascendante qui du nerf périphérique remonte aux racines et à la
moelle
. Quoi qu'il en soit, l'atrophie des racines pos
érieures au même titre que celles qui s'éten- dent du ganglion à la
moelle
, on est conduit à diviser au point de vue topog
s racines en trois portions : une portion sus- ganglionnaire, de la
moelle
au ganglion, une portion intra-ganglionnaire, u
l'entrée dans le ganglion, que dans des plans plus rapprochés de la
moelle
, et par place les noyaux de la gaine de Schwann
s pathologique dans la substance grise des cornes antérieures de la
moelle
. C'est là, en effet, d'après Erle que se trouve
de Friedreich figurée par M. Raymond (2j, dans ses scléroses de la
moelle
. La force musculaire mesurée par la résistance
bles de la marche dans l'hérédo-ataxie. (2) Scléroses systém. de la
moelle
, 1894, p. 329. LE SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMO
itation volontaire produit l'état morbide dans un point donné de la
moelle
, mais il faut admettre pour le développement de
ure de l'étal d'excitation per- manente des cellules motrices de la
moelle
entretenue par les impressions périphériques ;
entres supérieurs (cerveau, cerve- let, protubérance). « C'est la
moelle
,dit111. Grasset,qui présideà la coordination des
t le siège des lésions chez nos malades ; le placerons-nous dans la
moelle
ou dans les centres supérieurs ? Ces deux hypot
périeurs ? Ces deux hypothèses pourraient être soutenues ; c'est la
moelle
qui est atteinte dans la maladie de Friedreich,
euses au voisinage immédiat du ganglion qu'un peu plus haut vers la
moelle
; mais il en est (notamment, obs. II et X) où la
olue, suivant laquelle l'atrophie augmenterait ou diminuerait de la
moelle
vers le ganglion. Au reste presque toujours,
re que dans tous nos cas nous nous sommes assurés, par l'état de la
moelle
épinière, que le tabes était indiscutable. LÉSI
tl'allge, Jena, 1897. (3) J. DEJEIII1m et A. Thomas. Maladies de la
moelle
épinière. Traité de médecine de Brouardel et Gi
névromes de régénération, à l'entrée des racines postérieures dans la
moelle
(Raymond) (1). Il est en somme probable que l
trajet même de la racine postérieure depuis le ganglion jusqu'à la
moelle
qu'il faut chercher la cause de l'atrophie des ra
nulaire que leur l'ait subir la pie-mère à leur pénétration dans la
moelle
. Nous insisterons dans un prochain travail sur
quelque peu artificiel, etNageotte prétend qu'il fait défaut si la
moelle
est durcie sur place dans le canal vertébral. E
ue jusqu'au ganglion rachidien, à moins d'admettre qu'en deçà de la
moelle
, il ne s'agisse d'une atrophie rétrograde, ce qui
t souvent les racines postérieures jusqu'à leur pénétration dans la
moelle
et qui durent de nombreuses années ne donnent lie
ez fréquentes; d'après lui les dégé- nérescences radiculaires de la
moelle
au cours des tumeurs cérébrales reconnaissent l
ECTIONS z'" DE LA QUEUE DE CHEVAL ET DU SEGMENT INFÉRIEUR DE LA
MOELLE
(1) PAR Le professeur F. RAYMOND. Messieurs
c'est-à-dire à un niveau où elle ne peut pas agir directement sur la
moelle
. Dans cette même leçon, j'avais insisté sur ce
es, situées à des niveaux différents de la portion inférieure de la
moelle
, peuvent se révéler par les mêmes expressions sym
e lésion nucléaire, une lésion intéressant la substance grise de la
moelle
sacrale sur toute sa hauteur, devrait occa- sio
la galvanisation du nerf sciatique et de la partie inférieure de la
moelle
, à l'administration interne de l'iodure de pota
Or, la poliomyélite, la myélite limitée à la substance grise de la
moelle
, peut revêtir un caractère franchement hémorrha
es foyers d'hématomyélie peuvent se cantonner dans une moitié de la
moelle
, voire dans une colonne antérieure. Supposez do
a désorganisé, dans une certaine étendue, la substance grise de la
moelle
? De la révulsion sous forme de pointes de feu, d
solue certitude et pour qu'aucun foyer primitif n'ait échappé. La
moelle
a été fragmentée en segments et des coupes ont ét
niveau de chaque paire radiculaire (méthode de Marchi). De plus. la
moelle
et l'écorce cérébrale ont été étudiées sur des co
nfiltration cel- lulaire. 496 BABINSKI ET NAGEOTTE niveau de la
moelle
, mais surtout au niveau du cerveau où l'espace so
. T'/T Le faisceau pyramidal est altéré dans toute la hauteur de la
moelle
; nous ne dirons rien de la disposition de ses d
puis cette ligne de démarcation disparaît; elles descendent dans la
moelle
en s'écartant un peu de la corne antérieure et
osse au faisceau pyramidal direct en touchant à la périphérie de la
moelle
, et dont la queue se perd dans l'épaisseur du f
imaux et qu'il a décrites comme des fibres ascendantes venant de la
moelle
et destinées au noyau de Deiters. On doit se dema
e paralysie générale ou de lésions conglomérées du cerveau et de la
moelle
. Ces lésions constituent, en quelque sorte, les
e gauche de l'axe médullaire; s'il existe une voie ascendante de la
moelle
au noyau de Deiters (Probst), cette voie est ég
de Reil ; 4° une interruption des voies ascendantes latérales de la
moelle
(faisceau de Gowers) avec conser- vation probab
permettaient pas de supposer l'absence d'un centre ciliaire dans la
moelle
; mais comme il n'existe pas de fibres dégénérées
es phénomènes pupillaires unilatéraux dans les hé- misections de la
moelle
cervicale. Nous-mêmes avons vu un myosis unila-
tion de la fente palpébrale chez des chiens après hémisection de la
moelle
au-dessous du bulbe. Chez deux lapins, qui ont
mêmes phénomènes après une simple piqûre latérale du bulbe ou de la
moelle
cervicale supé- rieure ; mais dans ces deux cas
. Quel que soit leur lieu de passage, ces fibres s'arrêtent dans la
moelle
; HÉMIASYNERGIE, LATÉROPULS10N ET MYOSIS BULBAI
latérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Deiters avec la
moelle
; 3' l'interruption de la .voie centripète consti
supérieurs ? Le noyau de Deiters dont le faisceau efférent vers la
moelle
est sec- lionné, semble jouer un grand rôle dan
toucher et manifestement sclérosée. La protubérance, le bulbe et la
moelle
, en dehors d'une légère diminution de volume ne
les faisceaux médullaires ascendants, dans la substance grise de la
moelle
, dans la protubérance et le reste du système ne
DES CELLULES NERVEUSES DES CORNES ANTÉRIEURE ET POSTÉRIEURE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE CHEZ DES enfants NOUVEAU-NÉS (méthod
btenir l'imprégnation chromo- argentique des éléments nerveux de la
moelle
épinière chez les vertébrés adultes, parce que
ce que nous avons fait non seulement des coupes transversales de la
moelle
épinière, mais encore des coupes longitudinales,
ff, la pénétration du liquide fixatif dans la substance grise de la
moelle
épinière est plus rapide. Dans nos ouvrages précé
s nerveuses de la corne postérieure et de la corne antérieure de la
moelle
épinière chez des enfants nouveau- nés ; nous a
vec les résultats que nous avons obtenus auparavant. CELLULES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 531 Sachant par notre expérience précé
adultes, il est nécessaire de faire des coupes longitudinales delà
moelle
épinière, nous avons eu recours à ces dernières a
possibilité d'obtenir de meilleuree préparations. Des morceaux de
moelle
épinière, coupés d'une manière ordinaire, étaie
mélange on laissait les préparations 2 à 3 jours. Les coupes de la
moelle
épinière étaient faites en direction longitudin
rs. Poids 2.900 grammes. Dé- (1) Nous avons reçu les morceaux de la
moelle
épinière des enfants nouveau-nés de la Maison d
t. 532 SOUKHANOFF ET CZARNIECK bilité physique. Le morceau de la
moelle
épinière a été pris six heures après la mort.
ordinaires; ces formations rappellent des Fit. 2. CELLULES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 533 appendices collatéraux complexes o
s que les contours des ramifica- Fi,. 5. Fig. 6. CELLULES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 535 lions plus fines et terminales (vo
tre des cellules nerveuses, ayant les pro- Fig. 8. CELLULES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 537 7 longements protoplasmiques il co
ènes dans nos recherches faites par la méthode, Golgi-Cajal, sur la
moelle
épinière d'un lapin adulte ; nous l'avons menti
recherches antérieures, par la méthode Golgi-Cajal, concer- nant la
moelle
épinière des hommes adultes, nous avons pu consta
endices collatéraux, se ratta- chent les cellules pyramidales de la
moelle
épinière, les cellules de Pur- kinje, du cervel
du cervelet, la plupart des cellules des cornes postérieures de la
moelle
épinière; quant aux cellules des cornes antérieur
la moelle épinière; quant aux cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinières, elles possèdent des dendrites, ayant
e fonction directrice. La signification des cellules CELLULES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 539 pyramidales corticales et des cell
l. Il est intéressant que les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière, possédant de nombreuses connexions ré
ngements protoplasmiques des cellules de la corne postérieure de la
moelle
épinière sont, en somme, riches en appendices col
ces cellules, et leur cylindraxe forme les sensitives isolées de la
moelle
épinière, qui conduisent les différentes espèce
cnémiens, dans lesquels ou trouve quelques trichines encapsulées.
Moelle
épinière, à peu près normale, sauf un peu d'hyp
tocollogr.), par Brissaud, 281. Cellule* nerveuses des cornes de la
moelle
épinière chez les nouveau nés (Les pro- 10ngc
, par Geyel, 359. Queue de cheval et du segment inférieur de la
moelle
(sur les -affections de la) (5 fig.), par F. Bn
- ments protoplasmiques des cellules ner- veuses des cornes de la
moelle
épinière chez les nouveau-nés (8 fig.), 529.
es affections de la queue de cheval et du segment inférieur de la
moelle
(5 fig.), 81, 413. Rarnow (F.) et Janet (Pierre
wccx. Prolongements protoplasmiques des cellules des cornes de la
moelle
chez les nouveau-nés (8 tig.), 529. Souques (
'air comprimé. Application de pointes de feu. Galvanisation de la
moelle
et de l'urèthre par le cathéter galvanique trois
r comprimé; l'application de pointes de feu; la galvanisation de la
moelle
et de l'urèthre par la sonde galvanique trois f
siège aux régions postérieures de la partie dorso- lombaire de la
moelle
. Cette lésion doit être certaine- 60 CLINIQUE N
ALE. Suivant que le siège de la localisation a lieu, soit dans la
moelle
épinière, soit dans les méninges, nous distingu
est le siège de la lésion aux méninges de la région cervicale de la
moelle
et surtout de sa partie inférieure et l'irritat
de deux jours, la lésion méningée, en raison de son extension à la
moelle
épinière et l'alté- ration plus profonde des ne
tème vaso-moteur. Or, chez OS p. 400 des aliénés, on trouve dans la
moelle
, entre les cordons antérieurs et latéraux, un t
ques. Ce triangle offre les dis- positions suivantes. Au haut do la
moelle
cervicale, il a sa base tournée en dehors, cett
rage ; par K. SciirFEn. (drclv. r, Psych., XIX, 1.) Examen de la
moelle
d'une femme de quarante ans atteinte de J'IO re
on des lésions des cordons postérieurs à la moitié supérieure de la
moelle
, au contraire la généralisation de celles des cor
explique par son âge, son étendue, sa nature, les altérations de la
moelle
; il se rattache lui-même e à une embolie. P. KE
de l'endroit détruit pour gagner la partie la plus inférieure de la
moelle
. Dans les deux cas, paralysies simple- ment tra
i 10 dé- cembre. La question donnée a été : Cordon postérieur de la
moelle
{anatomie et physiologie). Les candidats sont a
TOMIE RECHERCHES SUR LA STRUCTURE DES CORDONS POSTÉRIEURS ' DE LA
MOELLE
ÉP1NIÈRE DE L'HOMME ; Par le Professeur N. POPO
le Professeur N. POPOFF, de Varsovie. Les cordons postérieurs de la
moelle
épinière de l'homme, présentant une région nett
12 ? - 178 ANATOMIE. moyen des coupes qu'il a pratiquées dans la
moelle
épinière des foetus, à différentes époques d'év
du développement em- bryonuaire' et fait des investigations sur la
moelle
épinière des embryons, principalement dans la s
onde moitié de leur vie utérine, j'ai dû de mon côté 1 Je durcis la
moelle
épinière dans une solution de 2 p. 100 de bichro-
du microtome de Chanz et colorées d'après le procédé de Weigert. La
moelle
épinière d'un foetus étant généralement très fr
s minces, d'après la méthode adoptée de plonger des fragments de la
moelle
dans de la paraffine. C'est pourquoi le système d
ode soit assez compliqué. Il consiste en ce que les fragments de la
moelle
épinière, suffisamment durcie dans du bichromate
stance plus forte que celle d'un léger sirop, où les morceaux de la
moelle
doivent rester de deux à quatre jours, pour êtr
ts constituants des faisceaux de Burdach, mais sur des coupes de la
moelle
épinière des foetus plus déve- loppés, j'ai pu
t leur enveloppe à myéline. On a pu observer sur des coupes de la
moelle
épinière des embryons au neuvième mois de leur
h, en étaient encore presque dénués. Dans la partie cervicale de la
moelle
épinière, où les faisceaux de Goll sont les plu
eduYaisseandcUtud.n'h.E,J.apic-mi;re. DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 181 mentionnée, servant de limite ave
. Sur les coupes de la partie thoracique supérieure (P. ni) de la
moelle
épinière, le tableau ci-dessus dé- crit est moi
s externes et internes des faisceaux de Goll sur les coupes de la
moelle
épinière des embryons d'un âge comparative- men
arrière et au dedans et 182 ANATOMIE. DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA
MOELLE
. atteint ainsi la région des faisceaux de Goll
-musculaire comme un phéno- mène réflexe dont le centre est dans la
moelle
ouïe cerveau et dont le point de départ est dan
e possi- ble, l'ordre anatomique : Encéphale avec ses subdivisions,
moelle
épinière, nerfs périphériques. Puis, dans deux
cture histolo- gique. MM. AdamkiewitzetBabès avaient décrit dans la
moelle
un corps appelé par eux substance chromoleptiqu
re pathologique; en effet, sur un grand nombre de préparations de
moelles
de lapins et de chiens bien portants, il n'a trou
la même dégénérescence. En général, les lésions atrophiques de la
moelle
épinière sont moins avancées que celles des autre
s apoplecti- formes. A l'autopsie, on trouva une tumeur coiffant la
moelle
épinière ; son épaisseur atteignait jusqu'à un
seur atteignait jusqu'à un centimètre à un ' centimètre et demi. La
moelle
comprimée, offrait par places snr une coupe, la
dans les couches optiques. 278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. II.
MOELLE
E1'INII'iRE. Comme méthode d'étude de divers sy
'iRE. Comme méthode d'étude de divers symptômes anatomiques de la
moelle
, les savants russes ont presque toujours employé
terminaison des racines postérieures dans la substance grise de la
moelle
. Il a reconnu dans les racines postérieures l'e
ontrent encore mieux. Excitabilité des différents faisceaux de la
moelle
chez les animaux nouveau-nés. L'excitabilité de
contraction des muscles innervés par le segment correspondant de la
moelle
. L'excitation des racines postérieures donne le
ons. Voies conductrices de la sensibilité et du mouvement dans la
moelle
. - M. Rossolimo, dans des expériences d'hémi-sect
moelle. - M. Rossolimo, dans des expériences d'hémi-section de la
moelle
n'a jamais vu se faire la régénération des fibres
dmettre que les impul- sions motrices arrivent aux deux côtés de la
moelle
par le seul côté resté intact. Une hémi-seclion
moelle par le seul côté resté intact. Une hémi-seclion gauche de la
moelle
au niveau de la dixième vertèbre dorsale amène
et la 7*' vertèbre thoraciques. Des foyers de ramollissement de la
moelle
occupaient toute cette étendue. A l'oeil nu on
tendu de la cinquième vertèbre dorsale à la partie inférieure de la
moelle
thoracique; au microscope ce foyer présentait u
qu'à cette époque déjà les lésions de la myélite avaient altéré la
moelle
à ce niveau. Paralysie spinale périodique. Sous
er en l'abscence de toute communication par le sympathique entre la
moelle
et la pupille. L'enregistrement graphique simul
dilatatrices de la pu- pille, issues de l'encéphale, sortent de la
moelle
avec la huitième ' paire cervicale et les premi
u centre cilio-spinal de Budge est inadmissible car la section delà
moelle
au niveau de l'entrecroisement des pyramides ab
syphilitique, infantile) ; dans les affec- tions spasmodiques de la
moelle
(myélites chroniques, scléroses multiloculaires
ctions combinées des cordons); dans les lésions hémilatérales de la
moelle
(mouvement associé unilatéral du côté paralysé)
l'aptitude variable à la réceptivité des stations terminales de la
moelle
et du cerveau, l'excitabilité modifiable des ex
épaississement et produits caséeux- : compression ultérieure de la
moelle
. Myélite ititersti. tielle des faisceaux pyrami
on. Etude critique. Le fer rouge, mauvais dans les affections de la
moelle
, convient aux affections de ses méninges. P. K.
on). IL Paralysie partielle de la sensibilité (gliome central de la
moelle
cervicale ? ). Lésion de la zone radiculaire des
thique observé pendant la vie. La lésion fut consti- tuée : dans la
moelle
dorsale, par une bande étroiteimmédiatement cpn
adiculnire de Weslplial) ; cette bande, plus courte au sommet de la
moelle
dorsale, unit le milieu de l'arête interne de la
terait, d'après huit autopsies, en : dégénérescence funiforme de la
moelle
soit exclusivement dans les cordons postérieurs
lés en masse sur la plus grande partie de la coupe transverse de la
moelle
; un canal central oblitéré par une proliférati
ules-araignées occupant le centre des deux cornes antérieures de la
moelle
cervicale. D'ordinaire, même dans les colonnes
expérimentale ci la pathologie et ci l'anatomic pathologique de la
moelle
épinièrc ; par M. E. A. Homent. L'auteur s'est
econdaire quiintervient à la suite des sections transversales de la
moelle
: au cours de ses expériences, il a noté les tr
férentes sur les suites des lésions après sections partielles de la
moelle
épinière. Voici en général ce qu'on observe en
icinische Vocheizsch7-ifi, iio 47, issu. Botli. Gliome diffus de la
moelle
, Syringomyelie, atrophie musculaire. Ar- chives
1886, p. 447. Joliet. Sur un cas d'anomalie du canal central de la
moelle
épinière. (Gazette médicale de Paris, 1867.) Kl
onat. Recherches sur le développement accidentel d'un canal dans la
moelle
épinière. Archives générales, 1838, I, p. 287.
Leçons sur les localisations dans les maladies du cewoeau et de la
moelle
épinière, recueillies par Bomnevillo et Crissaud,
ne « fausse sclérose», mais une 'fausse sclérose systématique de la
moelle
épinière » et si M. Atthaus avait bien voulu remp
Avant tout, c'est l'absence des altérations anato- miques dans la
moelle
épinière; naturellement ce point ne peut pas av
des altérations très caractéristiques des cordons postérieurs de la
moelle
épinière. Par la comparaison avec les cas de ta
es avec ceux de M. Fuczek, soit par les symptômes con- cernant la
moelle
épinière, soit par l'étiologie; en même temps,
l, ou bien encore par une lésion des faisceaux postérieurs, de la
moelle
épinière ou bien encore par ces deux lé- sions
grande part qu'y prennent justement les cordons postérieurs de la
moelle
épinière; ainsi Fuczek cite déjà des cas de lé-
par M. Vierordt de troubles dans les faisceaux postérieurs de la
moelle
épinière dans un cas à.' intoxication alcoo- li
ques), il y avait des troubles dans les cordons posté- rieurs de la
moelle
épinière sans foyers diffus. De- .puis, il y a
ort peu de temps, j'ai examiné, le plus minutieusement possible, la
moelle
épinière d'un gnr- çon mort du diabète et là au
iabète et là aussi, dans les cordons pos- térieurs, j'ai trouvé (la
moelle
était durcie au bichro- mate de potasse) des ta
toute spéciale, le rôle des fibres des cordons postérieurs de la
moelle
épinière; elles semblent être une place du syst
ux, suivant que la localisation de l'agent pathogène se fait à la
moelle
épinière ou bien au cerveau. En décrivant les d
des véritables lésions cérébrales, qui coexistent avec celles de la
moelle
; en d'autres termes nous sommes en présence de
le. R. Schultz n'a trouvé que deux cellules vacuolisées dans vingt
moelles
examinées, moelles ayant appartenu à des indivi
trouvé que deux cellules vacuolisées dans vingt moelles examinées,
moelles
ayant appartenu à des individus qui n'avaient s
ion. Mais M. Pekoeur, en Russie, a fait remarquer que sur ces vingt
moelles
, quelques- unes avaient appartenu à des vieilla
vaient appartenu à des vieillards de quatre-vingts ans; or dans les
moelles
séniles, on trouve toujours une grande quantité
l'hyperémie, une grande quantité de cel- lules du cerveau et de la
moelle
se colorent mal par le carmin ; ces cellules so
es couches opti- ques, les tubercules quadrijumeaux, le bulbe et la
moelle
; dans le cervelet, la couche des cellules de P
pas d'abaissement de la température si on sépare l'encéphale de la
moelle
(Svvadowsky). La myélite aiguë d'origine toxiqu
ues n'offrent pas d'al- térations appréciables. Altérations de la
moelle
dans l' empoisonnement par l'arse- nic. Suivant
léments nobles du système nerveux central. Dans le bulbe et dans la
moelle
, les lésions sont les mêmes. M. Rosenthal n'a p
s. Elles peuvent exister sans la moindre lésion du cerveau et de la
moelle
. On trouve plus souvent des altérations dans le
le soutenir M. Platonoff d'une lésion des cornes antérieures de la
moelle
et des noyaux mo- teurs du bulbe, les centres m
litsky va également faire paraître : 1° Traité d'his- fologie de la
moelle
épinière; 2° Histologie de la moelle allo ? Z-
1° Traité d'his- fologie de la moelle épinière; 2° Histologie de la
moelle
allo ? Z- gée (en collaboration avec M. Rosenba
et Avtokratoff instituent des expériences sur la compression de la
moelle
. Ils introduisent dans le canal rachidien une p
inté- ressaiites de syringo-myélie. Dans certaines parties de la
moelle
on voyait deux canaux épendymaires ; il était dif
ncore : un cas de maladie de Friedreich et un autre de gliome de la
moelle
épinière avec hémorrhagie médol- laire consécut
or nous a présenté un enfant de douze ans atteint d'un gliome de la
moelle
: le tableau clinique était celui d'une hémisec
le : le tableau clinique était celui d'une hémisection gauche de la
moelle
(analgésie 'gauche ; paralysie, atrophie muscul
. 47S 5 Bechtérew. De l'excitabilité des diflérenls faisceaux de la
moelle
épinière chez les animaux nouveau-nés Le Médeci
cédé thérapeutique dans le trai- tement de certaines maladies de la
moelle
épinière. Saint-Pétersbourg, 1883. Pauomareft
1886. 478 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Popoff. Des lésions de la
moelle
épinière dans l'intoxication arsenicale aiguë.
ecin, n° 38, 1886. De la constitution des cordons postérieurs de la
moelle
chez l'homme. Revue de Médecine, n° 14, 1887.
s. M. le Dr J.-H. LLYOD (de Philadelphie). Un cas de tumeur de la
moelle
cervicale. M. le D1' Wiurton Sinkler (de Philad
l'appli- cation avec la compétence spécifique de diverses régions :
moelle
épinière, centres sensorio-moteurs, centres cor
s consécutives à un traumatisme (commotion spinale, t·o2ebles de la
moelle
et du cerveau après des accidents de chemin de
par Freund,310. Aprosexie, par Guy, 301. Arsenic (lésions de la
moelle
dans l'empoisonnement par 1'), 463. Asiles (c
urgiens américains, 489. Cordons postérieurs (structure des de la
moelle
chez l'homme), par Popoff, 177. Corps calleux
e la périphérie jusqu'aux cellules des cornes antérieures dans la
moelle
, et le second qui va de là jusqu'à l'écorce céréb
- phérie est pour ainsi dire projetée sur la substance grise delà
moelle
, point pour point, élément pour élément. J'ai pro
n'en est pas de même pour les rela- tions entre les éléments de la
moelle
et ceux de l'écorce. Le nombre des fibres condu
phérie sur l'écorce. Il faut supposer que les fibres qui vont de la
moelle
à l'écorce ne repré- sentent plus chacune un se
lésion inflammatoire attaque les nerfs spinaux ou les centres de la
moelle
, on trouvera toujours que la motilité souffre en
ion. Nous avons dit que le nombre moindre des fibres qui vont de la
moelle
au cortex en comparaison avec le nombre des fib
omparaison avec le nombre des fibres qui vont de la périphérie à la
moelle
, est la base de la différence entre la paralysi
encéphale. Atrophie très accusée d'une des cornes antérieures de la
moelle
cervicale; atrophie des grandes cellules ou for
. Lésions des quatre ganglions spinaux cervico-inférieurs. Entre la
moelle
et les ganglions en question, lésion des mancho
mmençante des nerfs périphériques; hémorrhagies capillaires dans la
moelle
. - OGselw2tioz Il ? Paralysie d'un seul membre,
es qui cesse brusquement au moment où ces racines pénètrent dans la
moelle
; dégénérescence très accusée des nerfs sciatiqu
nt de l'existence d'hémorrhagies encéphaliques, d'altérations de la
moelle
et des racines spinales, de REVUE D'ANATOMIE ET
la paralysie générale ET notamment A l'étude DES altérations DE la
MOELLE
ET DES nerfs PÉRIPHÉRIQUES; par fUERSTNER. (A1'ch
culier du delirium tremens (p. 310, t. I, 1850); Compression de la
moelle
épinière par une tumeur osseuse (p. 354, t. I, 18
NERVEUSE. ' CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA
MOELLE
'ÉPINIÈRE (SYRINGOMYÉLIE A TYPE SPASMODIQUE)
stic précis. Je passai successivement en revue les affections de la
moelle
dans lesquelles le symp- tôme contracture est l
cervicale hypertrophique. Compression antérieure et latérale de la
moelle
; myélite transvez se consécutive ayant détruit
ariations du tableau cli- nique, dans les maladies chroniques de la
moelle
. L'absence de tout trouble de la sensibilité m'
ate nettement l'existence d'une saillie à la face postérieure de la
moelle
. En pinçant cette saillie entre les deux mors d
ouvert un kyste assez étendu situé dans la région postérieure de la
moelle
et qui n'était séparé de la surface que par une
re de Rolando. Il n'y a rien d'anormal dans le reste de l'organe.
Moelle
. Au niveau de l'incision opératoire on trouve un
èbres cervicales sont enlevées à droite. Après avoir découvert la
moelle
complètement, on constate que la dure-mère n'es
erçoit de 'grosses veines tortueuses qui rampent à sa surface. La
moelle
a conservé partout son volume normal, si ce n'est
asme étant beaucoup plus avancée dans les régions supérieures de la
moelle
, il est plus facile de la décrire en allant de
n assiste à l'envahissement successif des différentes régions de la
moelle
. Dans le cône terminal, la tumeur apparait à en
à environ un centi- mètre au-dessus de l'extrémité inférieure de la
moelle
(fig. 1). En ce point elle est constituée simpl
. 110 PATHOLOGIE NERVEUSE. La figure 4 représente une coupe de la
moelle
à la hauteur de la huitième cervicale; on voit
le reste de DES TUMEURS NEVROGLIRUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 113 la
moelle
, un petit amas de cellules proliférées, refoulé p
ace. II. Structure de la tumeur. - Il existe du haut en bas de la
moelle
une porticn du néoplasme qui est nettement circon
vée dans sa partie supérieure; cette tige est isolée du reste de la
moelle
par une mince couche fibrillaire, lâche, très v
affirmer l'origine de la cavité. D'ailleurs on peut trouver dans la
moelle
qui nous occupe une preuve directe de la réalit
1. t'rcio-carminetbbmaloxylinc.) DES TUMEURS ? NÉVROGLIQUES DE LA.
MOELLE
ÉPINIÈRE. 119 cipale dans le cas actuel; on la
on très curieuse qui, je crois, n'a pas été encore observée dans la
moelle
; je veux parler de véritables névromes de régén
seur des tractus vasculo-con jonctifs, à différentes hauteurs de la
moelle
. Ce sont de petits fascicules nerveux, de forme a
, par conséquent, ils ne répondent à aucune formation normale de la
moelle
; d'autre part, étant toujours séparés du tissu
suivre plusieurs jusqu'à l'entrée des racines pos- térieures de la
moelle
(fig. 11), et j'ai tout lieu de croire qu'ils son
nterrom- pues par la tumeur. Fig. 11. SP, sillon postérieur de la
moelle
; NR, névromes de régéné- ration partant des rac
acines postérieures sont toutes complètement saines, en dehors delà
moelle
, mais elles sont interrompues dans leur trajet
ération intense des faisceaux pyramidaux dans toute l'étendue de la
moelle
. Les faisceaux pyramidaux directs sont parfaite
u cunéiforme, produite par une destruction très haut située dans la
moelle
, diffère de celle que Fig. 12. Coupe du bulbe a
ifférents troubles sensitil's. D'abord la déformation extrême de la
moelle
, l'écartement, le refoulement, l'étirement des
e ; puis les notions que nous avons sur les voies centripètes de la
moelle
sont beaucoup trop insuffisantes : lorsqu'il s'
eures dans le cas qui nous occupe. L'étude de la régénération de la
moelle
a vive- ment intéressé de nombreux observateurs
restauration presque complète chez les pigeons après section de la
moelle
(sur plusieurs cas de cicatrisation de plaies f
la moelle (sur plusieurs cas de cicatrisation de plaies faites à la
moelle
épinière, avec re- tour des fonctions perdues,
ences de ceux qui croient à la possibilité de la restauration de la
moelle
. Cependant les ré- sultats d'Eichhorst, en part
suspectés, et Tooth conclut, dans son remarquable mé- moire, que la
moelle
a d'autant plus de tendance à se régé- nérer qu
s chirurgicale de Ilorsley, de Mac-Ewen, prouvent, en effet, que la
moelle
est susceptible de recouvrer toutes ses fonctio
ables névromes de régé- nération qui remontaient assez haut dans la
moelle
; la des- cription et les planches que j'en ai d
nt dans les nerfs périphériques que dans les cordons blancs de la
moelle
. Jusqu'à quel point ces nerfs régénérés sont-ils
ruction totale des cordons postérieurs à la partie supérieure de la
moelle
; il n'y a eu, en particulier, aucun symptôme d'
dépendance de lésions placées au voisinage des com- missures de la
moelle
; or, chez mon malade, ces régions étaient fort
tainement à un vice d'évolution, , la présence d'une cavité dans la
moelle
paraît pouvoir résulter , 1/ J . , 'y '.) Ji, 1
rnier auteur obtenait, en effet, une cavité dans la cicatrice de la
moelle
de ses animaux toutes les fois qu'il avait prat
clusivement cel- lulaires et diffuses, tandis que les tumeurs de la
moelle
sont très pauvres en cellules, très riches au c
tes. D'autre part, on a montré qu'il existe des gliomes vrais de la
moelle
, caractérisés par la rapidité beaucoup' plus gr
me de. tumeurs intermédiaires,, de même on peut trou- fer dans, la,
moelle
des. tumeurs contenant un nombre très - variabl
enant compte, bien entendu, des autres facteurs, altérations de la'
moelle
, des nerfs périphé- riques, etc ? Dans les cas
''Association dé 'la maladie de Thomsen avec une "affeclioiic de là
moelle
. Exagération persistante du tbnu ? ata : xie, aff
J r i '.<-,, , , (1 11- i . XXXIII. UN cas D'HÉTÉROTOPIE de la
moelle
CHEZ un paralytique, t ' général; par B. Feist.
es leçons dans la Gazette des Hôpitaux (1868). J.-M. CHARCOT. 181
moelle
épinière, la sclérose primitive des cordons laté-
roubles tro- phiques consécutifs aux maladies du cerveau et de la
moelle
épinière. La guerre criminelle de 1870 vint les
ie 4, sur les Localisations dans les maladies du cer- veau et de la
moelle
épinière 5, etc. Bien qu'il s'agisse là d'une b
anomalies de l'ataxie locomotrice, sur la Com- pression lente de la
moelle
épinière, les Amyotrophies spinales, les Parapl
sur l'hypnotisme, sur les maladies orga- niques du cerveau et de la
moelle
épinière, d'autres travaux sur l'aphasie au poi
aire de la première paire dorsale, avec lésion hémilaté- rale de la
moelle
, d'origine Iraumatiqve simulant la sYI'i1 ? ! Jom
rage intitulé Les Localisations dans la maladie du cerveau et de la
moelle
épi- nière. M. Charcot a été nommé : Docteur
estion veineuse de la pie-mère, il n'y a rien d'anormal, ni dans la
moelle
, ni dans les méninges. Après ablation de la cal
y a aucune dégénérescence du reste de l'axe nerveux. Le bulbe et la
moelle
sont complètement sains. - Une femme de quarant
LEYDEN. -j)7 ? /g/t<e chor21- que et lésions systématiques de la
moelle
. M. JOLLY. En effet, le complexus symptomatique
e d'établir, des variétés cliniques. La sclérose multicolaire de la
moelle
peut, durant des années, présenter le tableau de
. En cela il détruit le groupement nosologique des affections de la
moelle
et le diagnostic qui repose en réalité sur le c
ltérations correspondantes localisées en tels ou tels organes de la
moelle
. M. Leyden n'en pour- rait dire autant de la te
i est certain que des lésions combinées de certains cordons de la
moelle
produisent un tableau clinique constant, qu'il y
ansion et à l'intensité des lésions dans les deux territoires de la
moelle
, dans ! les deux cor- dons de cet organe, faut-
de sclérose disséminée, affec- tions combinées des faisceaux de la
moelle
, etc. '} - M. Jolly vient de dire que Westphal
ous ce nom, comme l'a fait Vulpian, les lésions des faisceaux de la
moelle
; sans doute l'idée du système physiologique esl
ÉTÉS SAVANTES. M. MARINESCO. Sur les altérations des nerfs et de la
moelle
consé- cutive aux amputations. Etude de trois m
. Atrophie des racines postérieures dans toute leur étendue dans la
moelle
lombaire et dorsale inférieure. La seconde obse
mitée au faisceau de Burdach; intégrité du faisceau de Goll dans la
moelle
cervicale et dorsale. L'observation III est ide
anisme des altérations des fibres sensitives dans les cordons de la
moelle
. Séance du 14 mars 1892. Présidence de M. JOLLY
rance présentent aussi à la coupe la même consistance scléreuse; la
moelle
, d'aspect normal, divisée en plu- sieurs segmen
de l'é- quilibre. De. nombreuses coupes ont été partiquées sur la
moelle
: elles ne présentaient absolument rien d'anorm
ès tous à des observations de sclérose multiple du cerveau et de la
moelle
, recueillies en Allemagne par des cliniciens de
elle que depuis les travaux de Ferrier, il faut, sans dépouiller la
moelle
de la fonction que lui attribuait Marshall Hall
e de circonvolutions cérébrales. Le plan inférieur est formé par la
moelle
, la moelle allongée et la protubérance : il cor
volutions cérébrales. Le plan inférieur est formé par la moelle, la
moelle
allongée et la protubérance : il correspond aux
physiologique s'étend aux organes oui président au mouvement, à la
moelle
, aux centres psycho-moteurs, et l'étendue des p
isphères cérébraux chez un ani- mal : les centres locomoteurs de la
moelle
entrent en activité, et exécutent, sans le cont
calisée, etc., etc.). C. Relation des altérations anatomiques de la
moelle
avec les symptômes cliniques. Relation des part
postérieurs lésés avec chacun des symptômes cliniques. C'est à la
moelle
seule qu'il convient de rattacher les symptômes
ostérieure, entrele segment thoracique et le segment lombaire de la
moelle
. D. Comparaison des résultats de ce travail ave
du côté gauche et se propageant surtout dans la moitié droite de la
moelle
. L'auteur conclut que la chorée tient toujours
ompulser la relation de 1,565 examens de crâne, du cerveau et de la
moelle
, pratiqués par des neuro-pathotogistes tels que
out particulièrement sur le fait que, les signes d'une lésion de la
moelle
épinière que l'on n'observe qu'à titre d'exceptio
évrite et que, dans le cas de Leyden, la lésion peu prononcée de la
moelle
épinière ne suffit pas pour expliquer tous les
nhorragiques, parce que le -otiococcus ne fut pas trouvé dans la
moelle
épinière quoiqu'on l'ait cherché. SOCIÉTÉ DE PS
ont comparables à ceux qui se rencontrent dans la compression de la
moelle
. Il con- vient de ranger dans la même catégorie
és, coordonnés, connus. M. 11PPEN. De la formation de cavités de la
moelle
à l'état aigu avec démonstrations. Sera publiée
douleurs qui m'avaient fait croire longtemps à une altération de la
moelle
par la carie vertébrale. Ch...; trente-huit ans
, qu'elle indiquait, résultaient de la déformation verté- brale. La
moelle
serait intéressée. Je fis de la révulsion le lo
la SUSPENSION SUR LES TROUBLES DE la vue dans les affections DE la
moelle
; par DE BECHTEREW. (Neurolog. Ccntralbl., 1893.
les racines antérieures étaient aussi atrophiées ; en dehors de la
moelle
, intégrité de la commissure1 antérieure'; 'légè
bres que les cellules nerveuses des ganglions spinaux envoient à la
moelle
. Ainsi s'explique l'atrophie dans les régions qui
t départ en part altérées; 9° les alté- rations pathologiques de la
moelle
atteignent également les régions mo- trices, ca
, , l.jjijiv- ff 'mrT- LVI. Uni CA$;DE,LESION-DLAfILATÉR.1LE, DE la
moelle
avec atteinte du trijumeau du côté delà lésion;
moelleJéérvicàlé entre les mièré.e ? de xièrûe."ra'ciiiés spinâles
moelle
, cervicale entre les .première, et deuxième racin
a'spinale'postérieure', celui qui^anime.la partie. supérieure de la
moelle
;' syphilis probable Z1 'q A q , ni .1 ').tl(ht
OLOGIQUES. .. 1 .n.. i<...).i ? t u 1.. I I.n .ya aa 4' ·1V ·1
moelle
sont un produit de l'ictodemmet que la lame médul
ellules des cornes antérieures,, et des raciries'aritérieures de la
moelle
, on trouvait 'dans les'extré- , Z mites des mus
e'ta'giiose'(syringomyé ! ie) .et de,la, liomatose (uéoplasie'de Ia
moelle
) : 'J'ât soüvént'`c'ônstâlL l'existence.) d'une
s', chez un malade atteint de névrite alcoolique; l'intégrité de la
moelle
et des nerfs contraste ici avec l'atrophie cons
ux noyaux lenticulaires; - sclérose des cordons postérieurs dans la
moelle
cervicale; dégé- nérescence radiculaire dissémi
la moelle cervicale; dégé- nérescence radiculaire disséminée de lai
moelle
dorsale, cervicale'et lombaire; dégénérescence
rvicale'et lombaire; dégénérescence des cornes) antérieures dans la
moelle
cervicale; atrophie dégénérative de la plupart
équence commune un affaiblissement de l'influence du cerveau sur la
moelle
». Dans un travail intitulé : Etude sur les tics
. a Le pseudo-tabes est pro- duit par une simple neurasthénie de la
moelle
. On le rencontre dans l'hystérie et dans les pr
qu'un syndrome de diverses maladies amenant une neurasthénie de la
moelle
. » Ainsi, le pseudo-tabes est à la fois le résu
bes est à la fois le résultat et la cause d'une neurasthénie' de la
moelle
! Qu'est-ce que tout cela veut dire ? Ces conce
athologtque, parSan- son, 269, 1 II¡ : TtlloPIE, un cas d'- de la
moelle
' chez un paralytique général, par Feist, 146
de la folie, par Sa- vage, 329. Miracles, les de Lourdes, 511.
Moelle
, contribution à l'étude des altérations de la e
'âne, 57. 1 MvËnTE ? chronique/, et, lésions systématiques de la -
moelle
, par - Leyden, 333. "· ? ". ,/x ? ,/j AIYxOf.
ayer, 265. Nerfs, contribution/à à l'étude;,des altérations de la
moelle
et,des ? , périphériques, par Fuerstneu,49; d
ériphériques, par Fuerstneu,49; de l'altération des ,= etlfde.l,r
moelle
, consécutive aux'amputa- tions, par de la , d
ï,"par `Lioubinrow,' 53; ;' ,un cas d'hétérotopie';¡'dâns 'lIa si
moelle
, chez^un ? général;'4+6.' PARAMYOCLONUS inult'i
uence de la sur les troubles de la vue dans les affections de' la
moelle
, par Betchrew,'479.v ? Sympathique, de' l'inf
June hémiplégie, etc ? par,' Hàdden, '50; névrogl iques, (113' la
moelle
épinière, par F : ' Raymond ,t 97; "casuistiq
é- dent, on peut déjà déduire le siège probable des lésions de la
moelle
. - Tout le premier groupe de phénomènes (incoor
de séméiologie spinale. C'est en étudiant, la symptomatologie de la
moelle
et de ses divers systèmes queje l'ai formulé (a
i- nales d'états généraux (que nous appelons les mala- dies de la
moelle
), se déterminent, chez les uns, par une lésion
de lésion diffuse dans le cerveau et de lésion systématisée dans la
moelle
(paralysie générale et ataxie locomotrice); on
énérale et ataxie locomotrice); on peut aussi avoir dans. la même
moelle
une lésion diffuse et une lésion systématisée (
s syndromes cliniques, qui prennent rang parmi les maladies de la
moelle
, il faut deux choses : l'individualité symptoma-
ique distinct, et mérite de figurer à part parmi les maladies de la
moelle
. Il resterait un dernier point de détail à étud
s radiculaires postérieures dans les sections correspondantes de la
moelle
. Il y. a là un chapitre très intéressant du tab
de recon- naître tout d'abord qu'on a affaire à une maladie de la
moelle
: ce premier temps du diagnostic est commun à t
fuse est envahissante, elle frappera les hauteurs successives de la
moelle
de la même manière, c'est-à-dire en détruisant
teur, non en largeur; elle ne frappe jamais une rondelle entière de
moelle
; elle ne produit jamais ces paraplégies complè
aralysie des sphincters qui montrent que la partie inférieure de la
moelle
est séparée de la par- tie moyenne par une zone
e des indications tirées de l'acte morbide anatomique (lésion de la
moelle
) : ré- 40 PATHOLOGIE NERVEUSE. vulsifs de tou
'existence d'un type clinique, distinct des autres ma- ladies de la
moelle
, qui mérite une place à part dans 42 -) PATHOLO
USE. supposition d'une exagération de la fonction réflexe dans la
moelle
, ou bien dans les organes subcorticaux pendant
uls semblant appartenir à l'excitation de la région cervicale de la
moelle
. G. D. II. ERYSIPÈLE PÉRIODIQUE DES MEMBRES I
yélite classique est suivie d'une longue étude micrographique de la
moelle
, des diverses parties de l'encé- phale, des ner
tablir J'influence d'une destruction plus ou moins com- plète de la
moelle
pendant vingt et trente ans sur l'état ana- tom
'Ch. %. Psych., XV, 3.) Observation I. Gliome intramédullaire de la
moelle
épinière. - Surprise nécroscopique. Homme de qu
Néoplasme occupant la portion centrale de la région cervicale de la
moelle
. llIéningo-périencéphalit0. Dégénérescence secon-
optiques, Hémor- rhagies capillaires dans la substance grise de la
moelle
. Dégéné- rescence secondaire des cordons latéra
et postérieurs. Observations 111. Cysticerques du cerveau et de la
moelle
. - Femme de soixante-trois ans. Parents indemne
ns frontale et pa- riétale ascendantes. Souvent aussi, on trouve la
moelle
très atrophiée; il existe, en outre, une altéra
la chorée apparaisse. Par une erreur regrettable, le cerveau et la
moelle
ne furent REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 75 l'o
corne postérieure, pour se terminer dans la substance grise de la
moelle
épinière. La plus grande somme des trois faisceau
affectant une direction extéro-interne et inféro-supérieuie (de la
moelle
à la protubérance); elles se terminent dans les m
des fibres qui rattachent l'acoustique aux tractus sensitifs de la
moelle
épinière. L'angle inférieur et médian du noyau
e qu'il émane d'une colonne ininterrompue de cellules, qui, dans la
moelle
spinale, est située en arrière et en dehors de
être considérées comme le probn- gemeutimll1édiat des fibres de la
moelle
. De la substance blanche spinale il n'y a que l
du système latéral des restes du cordon antérieur, les autres de la
moelle
allongée (trijumeau) glosso-pliaryngien, pneumo
eaux raphéiques sont chargés de transmettre aux nerfs moteurs de la
moelle
épinière ou aux muscles correspondants les ordr
ramides; mais, de- puis l'entrecroisement de ces organes jusqu'à la
moelle
cervi- cale, les cornes grises antérieures se m
ramidal dans le cordon latéral au niveau du segment supérieur de la
moelle
. La subs- tance fondamentale au sein de laquell
ale infantile ou de déchet congénital de certains territoires de la
moelle
. (Voy. le cas de liemak : spina bilida chez un
ieurs, une lésion circonscrite de la corne antérieure droite, de la
moelle
lombaire supérieure. Les lésions étendues de la
Les lésions étendues de la périphérie ne pouvaient dépendre de la
moelle
épinière, lésions centrales et périphériques prov
lésions caractéristiques de l'alcoolisme chronique; intégrité de la
moelle
, des racines antérieures et postérieures. Dégén
ibution à l'étude des paraplégies par troubles de circulation de la
moelle
, par Meunier. (Thèse de Paris, 1885.) Etudes su
e. Le sujet de la composition écrite était -.^Substance grise de la
moelle
épinière. Maison nationale DE CsARENTON. Il ser
inutile de discuter la possibilité d'une affection organique de la
moelle
ou des nerfs. Il suffit, en effet, de lire atte
indépendante de toute lésion matérielle de là substance grise de la
moelle
et des nerfs périphéri- ques. ? C'est là une
e qui résulte d'une lésion organique des cornes antérieures de la
moelle
ou des nerfs moteurs, et qui constitue le type
modification dans l'état des cellules des cornes antérieures de la
moelle
; il est vrai que ce n'est encore là qu'une hypo
tion purement dynamique du système nerveux ; les centres gris de la
moelle
et les nerfs périphériques sont normaux, l'atro
était indépen- dante de toute lésion des cornes antérieures de la
moelle
et des nerfs moteurs'. Dans ce cas, il ne peut
u système nerveux central; or, puisque les cornes antérieures de la
moelle
cons- tituent le centre trophique des muscles e
es modifications trouvées au moyen d'examens micros- copiques de la
moelle
épinière expliquent suffisamment le tableau cli
changements pathologo-anatomiques que nous montre l'autopsie de la
moelle
épinière et de ces mem- brancs. La dure-mère,
forts jusqu'à un centimètre, et davantage. La substance grise de la
moelle
dans la partie lombaire est d'une couleur rouge
les de derrière sont à peine visibles. Dans la partie spinale de la
moelle
épinière la substance grise est d'une couleur j
e derrière. 5 centimètres plus haut que l'intumescence lombaire, la
moelle
épinière, sur l'étendue de 4 centimètres, prése
a pie-mère est en état d'hyperémie stasique. Il est rappeler que la
moelle
oblongue et le début de la moelle épinière sont
stasique. Il est rappeler que la moelle oblongue et le début de la
moelle
épinière sont plus solides. L'olive gauche est to
ns maintenant aux données fournies par ['examen micros- copique. La
moelle
a été endurcie dans le liquide millérique, et e
éclaircis dans l'huile de girofle. Les altérations trouvées dans la
moelle
épinière, au moyen des recherches microscopique
tte altération est aussi fortement pro- noncée du côté gauche de la
moelle
épinière. L'examen microscopique de la moelle é
du côté gauche de la moelle épinière. L'examen microscopique de la
moelle
épinière a été fait au laboratoire de professeu
de l'autopsie et les résultats des recherches microscopiques de la
moelle
épinière il est clair que nous avons devant nou
f jours avec une rapidité foudroyante. La maladie chronique de la
moelle
épinière consistait dans une hyperémie stasique d
ans une métamorphose dégéné- rative, des éléments cellulaires de la
moelle
épinière et qui s'est accompli en neuf jours av
de la paralysie Landry, puisque des modifications chroniques de la
moelle
épinière ont été constatées, il n'en est pas mo
. EXPLICATION DE LA PLANCHE I Frg. 1. - Coupe transversale 'le la
moelle
. (Insumesc. bracliialis.) Fig. 2 Coupe transver
Contributions A l'étude DES scléroses systématiques combinées de la
moelle
; par le privat-docent ERLITZICY et le docteur
scence des faisceaux pyramidaux croisés dans toute la hauteur de la
moelle
. Intégrité des faisceaux cérébelleux et des cor
siège à <6° et -18° R., par la galvanisation descen- dante de la
moelle
lombaire, l'ingestion d'opium et l'extension fo
facultés sexuelles, des pupilles ; par conséquent, intégrité de la
moelle
. En fait de particularités remar- quables, l'au
réflexes patellaires des deux côtés; dégénérescence classique de la
moelle
lombaire et dorsale infé- rieure, (double raie
dégénérescence de la marge externe des colonnes de Clarke; dans la
moelle
dorsale supé- rieure, on rencontre une dégénére
(A9'CIE. f. Psyeh., XVI, 2.) I. De lu syphilis du cerveau et de la
moelle
. - Un homme de trente et un ans, atteint un an
it présente la dégénérescence secondaire classique. Au milieu de la
moelle
cervicale, juste à l'entrecroisement des pyramide
a 18 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.- mesure qu'on descend vers la
moelle
dorsale et s'accompagne alors de l'altération d
suite de para- lysie infantile spinale. Examen du cerveau et de la
moelle
d'un individu de dix-huit ans, mort de phthisie
l droit paraisse atrophié au niveau de la partie supérieure de la
moelle
cervicale, des noyaux des nerfs moteurs de l'oeil
anatomie pathologique du tabès dorsal ET au trajet des FIBRES DE la
moelle
épinière de l'homme. Communica- tion provisoire
e chacun des lroncs radiculaires, pour se disposer à entrer dans la
moelle
; les faisceaux ainsi produits, composés exclusi
nant pas le degré qu'on a cou- tume de noter dans les lésions de la
moelle
. Conclusion. Névrite multiloculaire à début sub
es der- niers efforts de Déjerine, si les lacunes vacuoliques de la
moelle
sont en relation avec elles (lacunes anatomopat
uite de son accouchement. IV. Sarcome primitif de la pie-mère de la
moelle
épinière sur toute la hauteur de l'organe*. - H
liome de la protubérance; une nièce a succombé à un sarcome de la
moelle
épinière. La femme qui fait l'objet de cette obse
formulé : méningo-myélite aiguë ; la myélite ayant commencé par la
moelle
cervicale s'était probablement étendue inférieure
gagné le faisceau respiratoire de Krause qui s'étend jusque dans la
moelle
cervicale. La promptitude de l'évolution ne per
pathologie NERVEUSE. 239 seaux méningés; asymétrie congéniale de la
moelle
spinale dont les segments lombaires et cervicau
it, conformément au cas récent de Hitzig être rattachée, quoique la
moelle
n'ait pas été examinée, à une hémor- rhagie des
gnostic ne pouvait hésiter qu'entre l'hystérie et une maladie de la
moelle
épinière. Le début subit de la maladie sans fiè
nes qui supposaient que B... souffrait d'une lésion organique de la
moelle
épinière. Le patient peut alors facilement urin
urine qui ne pouvait être causée que par de profondes lésions de la
moelle
épinière; enfin, l'a- mélioration rapide de la
risque facilement de con- fondre avec des lésions organiques de la
moelle
épi- nière, lorsque la paralysie des membres in
n dut appliquer simulta- nément de faibles courants continus sur la
moelle
. Quand l'affec- tion médullaire eut rétrocédé,
urs qui les apportent à ce centre; 2° les cordons postérieurs de la
moelle
trans- mettent deux espèces de sensations; 3" c
qui en découlent. Le dernier chapitre sur le bulbe rachidien et la
moelle
fait apprécier'en songeant aux précédents trait
Eug. Vanderhaegnen. · VULPIAIQ (A). - Maladies du système nerveux (
moelle
épinière). Leçons professées à ls Faculté de Mé
(combiné ataxo-spasmodi- que ou sclérose postéro-laté- rale de la
moelle
), par Gras- set, 27 ; (anatomie patbo - logiq
DES PLANCHES PLANCHE PREMIÈRE Fig. 1. - Coupe transversale 'le la
moelle
. (Intumesc. brachials.) Fig. 2. Coupe transvers
la moelle. (Intumesc. brachials.) Fig. 2. Coupe transversale de la
moelle
(région lombaire). Fig. 3. - Cellules nerveuses
RIS CLINIQUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA
MOELLE
DES OS ( MÈDULLITE AIGUË) par culot, interne ie
es qui y peuvent survenir. Ce milieu des vaisseaux osseux, c'est la
moelle
, dont le siège n'est pas là seulement où on la dé
sous-périostique dite ostéoïde par M. Robin, et qui est une véritable
moelle
externe, Le tissu médullaire, comme l'a dé-montré
e pour pénétrer en chevelu plus profon-dément. Les lymphatiques de la
moelle
, tissu osseux et périoste rendus évidents par les
toujours de ces maladies, n'en sont jamais les producteurs, et que la
moelle
seule peut être primitivement mise en cause, Le
etit phlegmon qui peut, à la rigueur, agir sur la couche ostéoïde, ou
moelle
externe, à travers la partie la plus profonde du
nts à leur condition première. Comment l'os pourrait-il, alors que la
moelle
serait saine, remplir ces condi-tions? Le tissu o
ndairement dans toutes ses maladies. Un trouble, une altération de la
moelle
a toujours pré-cédé. Il ne nous reste donc que
suffiront pour justifier le nom d'Inflammation aiguë primitive de la
moelle
des os, que j'ai cru devoir donner à mon travail.
'observent dans le cours de l\ sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
(suite) . Les deux observations qui précèdent n
rs jours. Autopsie le 25 mars 1871 *. Les cordons postérieurs de la
moelle
sont atteints de sclérose dans toute leur hauteur
ion malade s'était sen-siblement dégonflée. Autopsie le 16 août. La
moelle
épinière offre une atrophie avec dégénération gri
le bavaroise de forme ovalaire. Méninges rachidiennes : normales. —
Moelle
: Un peu conges-tionnée à la surface. A la coupe,
ie. CLINIQUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA
MOELLE
DES OS (MÉDULLITE AIGUË) par culot, interne des
manifestaiions gommeuses, qui sont de véritables inflammations de la
moelle
, suppurent assez souvent, J'excepte aussi cet éta
agent physique ou mécanique, le froid puisse agir directement sur la
moelle
sous-pé-rioslique et y déterminer une inflammatio
s objections, je suis amené à conclure que l'inflammation aiguë de la
moelle
des os reconnaît, dans la grande majorité des cas
'observent dans le cours de la sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
. (Fin.) Nous aurions pu multiplier les cas d'ar
ni coups, ni chocs, etc. Il est probable que, alors, la lésion de la
moelle
à laquelle on est autorisé de rattacher la produc
ré plus ou moins avancé de la lésion dans le côté correspondant de la
moelle
. Anatomie pathologique. — En raison des détails
te particulière, dépendant d'une cause persistante, l'affection de la
moelle
, contre laquelle ont échoué jusqu'ici les efforts
s différentes communica-tions sur Vaction de l'acide phénique su?' la
moelle
, sur ^resistance des animaux nouveau-nés à l'acti
mmu-nications relatives à ïépilepsie, produite, soit par lésion de la
moelle
épinière, soit par lésion du sciatique, soit par
sium a hautes doses, quelques considérations sur la physiologie de la
moelle
épinière ; sur les troubles de la pupille, après
s ou mémoires ayant trait à Yanatomie pathologique, l'encéphale et la
moelle
épinière occupent une large part; c'est ainsi que
uchut sur Vophthalmoscopie appliquée au diagnostic des maladies de la
moelle
épinière, mémoire duquel l'auteur essaye de faire
ur essaye de faire ressortir les faits suivants: Les maladies de la
moelle
épinière, telles que la myélite aiguë, la scléros
ptique. — Les lésons du nerf optique produites par les maladies de la
moelle
sont le résultat d'une action réflexe ascendante
férieurs, indique l'existence d'une ma-ladie aiguë ou chronique de la
moelle
. Nous devons aussi signaler une observation pou
1. iii. arthropathies consécutives a une lésion tralma'f ique de la
moelle
. Nous n'en connaissons qu'un exemple dû à M. Vi
en donnons le résumé2 : Observation VI. — Lésion traumatique de la
moelle
. — Arthropa-ihie du genou gauche. — Eschare. — En
téresser la tota-lité du cordon postérieur et du cordon latéral de la
moelle
du côté gauche, et la presque totalité, sinon la
lésions de la substance grise et des faisceaux anléro-latéraux de la
moelle
epi-nicre. [Arch. de physiologie, 1869, p. 629, e
. guale ni rougeur, ni chaleur, etc. ; et, de plus, la lésion de la
moelle
nous paraît la môme , à savoir ; lésion des cellu
chées à des troubles trophiques consécutifs à des maladies : a) de la
moelle
, b) du cerveau comprend les arthropathies qui se
ropathies qui se déve-loppent, soit dans les cas de compression de la
moelle
(tumeur, mal de Pott, etc.), soit après une lésio
contraire, sous la dépendance plus ou moins directe des lésions de la
moelle
ou du cerveau. Sans plus de préambule, procédons
iv. arthropathies qui s'observent dans les cas de compression de la
moelle
. Les cas de ce genre, dans lesquels des arthrop
t|loin d'être complet. Observation VII. — Tumeur tuberculeuse de la
moelle
. —Arthro-pathie du genou droit (Gull, Cases of Pa
nt cervical ayant causé une absorption complète du tissu propre de la
moelle
. Nul détail sur l'état de la jointure. — L'hydr
le, ici, qu'à un trouble de la nutrition consécutif à la lésion de la
moelle
en quelque sorte détruite en un point, car le rhu
. — CLINIQUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA
MOELLE
DES OS (MÉDULLITE AIGUË) PAR CULOT, INTERNE LES
OGIE PATHOLOGIQUES. Les phénomènes inflammatoires commencent par la
moelle
osseuse contenue sous le périoste, sinon toujours
s canalicules du tissu osseux com-pacte, les cavités du spongieux, la
moelle
centrale. Cette propaga-tion se fait avec une rap
tre les lésions sous-périosti-ques, deux foyers apoplectiques dans la
moelle
, et la circonférence médullaire était purulente.
éduit à une coque osseuse. Les aréoles du compacte s'agrandissent. La
moelle
s'abcède dans leurs cavités. La moelle centrale,
du compacte s'agrandissent. La moelle s'abcède dans leurs cavités. La
moelle
centrale, rajeunie sous l'influence de la maladie
t les dimensions du séquestre qui devra être éliminé plus tard. Si la
moelle
sous-périostique a seule été malade, on pourra n'
seule été malade, on pourra n'avoir qu'une légère exfoliation ; si la
moelle
centrale a suppuré, toute la diaphyse meurt. Entr
t, la formation constante aussi de nouvelles couches osseuses dans la
moelle
sous-périostique, nouvelles couches qui trop gêné
culté. PATHOLOGIE EXTERNE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA
MOELLE
DES OS (MÉDULLITE AIGUË) PAR CULOT, INTERNE LES
s. Leur nouveauté m'a obligé d'insister un peu. — On a peu examiné la
moelle
et ses méninges, où il faudrait rechercher la cau
pas à la troisième. La multiplicité des lé-sions du système nerveux (
moelle
et nerfs) éloigne de toute idée d'une affection e
t, en outre, concilier cette théorie avec les lésions multiples de la
moelle
et même des nerfs, énumôrées dans des ob-servatio
ce se fera sentir sur les racines antérieu-res, sur les cordons de la
moelle
, dans son centre, sur les racines postérieures, s
e influence marquée sur la nutrition des muscles. — Les lésions de la
moelle
qui sont plus particulièrement en rapport avec l'
uscles par l'intermédiaire des nerfs. — Lorsque cette affection de la
moelle
est diffuse, chronique, lentement progressive, el
ie musculaire progressive. — Le siège variable des alté-rations de la
moelle
épinière explique seul la distribution irrégu-liô
autopsies d'amyo-trophie progressive, où l'examen microscopique de la
moelle
épi-nière a été conduit avec toutes les précautio
moteurs existait entre le siège des altérations des cellules dans la
moelle
, et la localisation particulière de l'atrophie de
ssentir que les altérations des cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière devront jouer uu rôle important dans la
aires. PATHOLOGIE EXTERNE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA
MOELLE
DES OS (MÉDULLITE AIGUË) par culot, interne ees
e, c'est-à-dire résultant de la lésion d'une moitié unilatérale de la
moelle
épinière, l'anesthésie, ainsi que l'a montré Brow
ui occupait symétriquement, et à peu près dans toute la hauteur de la
moelle
, les cordons latéraux. A diverses reprises, cette
otographique, 1871, page 120. 2 Des Dégénérations secondaires de la
moelle
épinière, p. 08, 1860. Plus loin (p. 72), achev
au ventre. Le canal vertébral est gorgé de sang; les enveloppes de la
moelle
sont pâles ; la moelle épinière est complètement
tébral est gorgé de sang; les enveloppes de la moelle sont pâles ; la
moelle
épinière est complètement normale. Le crâne est
ié. Cerveau. — Pas d'œdème arachnoïdien, aucune lésion impor-tante.
Moelle
, saine. — Cette observation ayant été communiquée
spèce, il existe une atrophie prononcée de la corne anté-rieure de la
moelle
épinière du côté correspondant à l'articulation m
contre-coup des altérations situées dans les cornes antérieures de la
moelle
: mais la peau, organe de sensibilité, échapperai
Artiiropatmes (Étude sur les) consécu-tives à quelques maladies de la
moelle
et du cerveau, par Bourne-ville, 9 ; — des ataxiq
e progressive, parle même, 67 ; — suite de lésions traumatiques de la
moelle
, par le même, 68; — dans les cas de compression d
es de la moelle, par le même, 68; — dans les cas de compression de la
moelle
, 69 ; — dans le cours de la myélite primitive, 70
Médullitë aiguë, par Culot, 1, 44, 115, 142, 182. Mélanémie, 257.
Moelle
des os (voy. Os). — Épinière (voy. Arthropathie
eille (voy. Cancroïde). Os (De l'inflammation primitive aiguë de la
moelle
des), par Culot, 1,44, 115,142, 182. — (Structure
de lésions macroscopiques. De même pour le cervelet, le bulbe et la
moelle
épinière, dont l'examen histologique sera publi
très volumineuses. La colonne vertébrale semble peu intéressée. La
moelle
épinière a pu être extraite sans difficultés.
durcissement aient permis de faire des coupes microscopiques de la
moelle
. GILLES DE la Tourette, L. lI'IACDELAhI : , m
Syndromes hystériques sima- lale1l1's des maladies organiques de la
moelle
épiniere. Thèse. Paris 1891, Lecrosnier el ) !
ent les méningites syphilitiques ont tendance à se propager vers la
moelle
; c'est la pachyméningite interne avec arachnitis
l'on rencontre en pareil cas (2). Dans l'observation précédente, la
moelle
n'a pas été touchée, mais les racines rachidien
HÉSIE CROISÉE D'ORIGINE SYPHILITIQUE Les lésions traumatiques de la
moelle
épinière et en particulier les hé- misections p
inorganiques intéressant la colonne vertébrale, les méninges ou la
moelle
: arthrite vertébrale, productions méningées, f
p. 62. Vov. aussi. - GALLAIU>, sur un cas d'affection rare de la
moelle
d'origine syphilitique. Union médicale, no 13 : i
rophie, affections probablement indépendantes de toute lésion de la
moelle
ou des troncs nerveux. 1° Paralysie pseudo-hy
ent pas produites toutes les deux par une lésion des nerfs ou de la
moelle
? La lésion dans le cas des myopathies dites pr
tes leçons de mon collègue et ami, P. Marie, sur les maladies de la
moelle
épinière. Laissez-moi seulement vous rappeler som
tives à des troubles dont le siège primordial est le périoste ou la
moelle
osseuse. Il ne saurait être question des cartil
Vous savez l'intensité des phénomènes vitaux dont le périoste et la
moelle
sont doués, et vous ne pouvez être surpris de l
l1'opathies bilatérales sur 1 r9 cas, et P. Ma- rie, Maladies de la
moelle
. La bilatéralité existait 13 fois sur GO aux geno
APOPHYSES ÉPINEUSES I Le diagnostic de niveau des lésions de la
moelle
est devenu, en dehors de son intérêt anatomique
d'anatomie n'en par- lent pas ; les figures qui y représentent la
moelle
et les racines médullaires ne peuvent être d'au
ent être d'aucune utilité pour la préciser, car elles montrent la
moelle
et les racines, soit séparées de toutes leurs c
plus fructueuse l'application des moxas dans les maladies de la
moelle
», y étudie le rapport de l'origine des nerfs r
USES 251 mettait à nu les racines postérieures de leur sortie de la
moelle
à leur pas- sage à travers la dure-mère; le niv
ent un verre, où l'on traçait la projection verticale des os, de la
moelle
et des nerfs à l'aide d'un bloc prismatique de
incision médiane et rabattement bilatéral des méninges reproduit la
moelle
et la portion intra-durale des racines : nous avo
s : niveau topographique des limites supérieure et inférieure de la
moelle
, de ses segments régio- naux, des trous inter-v
de l'issue rachidienne des ra- cines. La limite supérieure de la
moelle
, déterminée par la 1 ? paire cervicale, ne se t
e bord posté- rieur du trou occipital. La limite inférieure de la
moelle
, indiquée par la dernière racine coccygienne, s
. En effet, si l'on prend le niveau de l'extrémité inférieure de la
moelle
non plus par rapport aux extrémités apophysaire
age intervertébral enlre la 4r et la 2e lombaire. Chez l'enfant, la
moelle
est au même niveau que chez l'adulte, sans qu'o
on retrouve la différence sexuelle précitée. Chez le nouveau-né, la
moelle
descend un peu plus bas habituellement que chez
ons toujours constaté que le niveau de l'extrémité inférieure de la
moelle
varie de quel- ques millimètres, suivant qu'on
extension a donc, à niveau égal, un peu moins de chance de léser la
moelle
qu'une fracture par flexion. Ajoutons que le ni
par flexion. Ajoutons que le niveau de l'extrémité inférieure de la
moelle
présente d'après Cruveilhier des variations ind
ombre de plus de soixante. Les limites des segments régionaux de la
moelle
, on pourrait le deviner rien que par les faits
nt pas aux limites des segments rachidiens de même nom. En effet la
moelle
cervicale (limitée par le bord inférieur de la
cale) se termine au niveau du 6° espace inter-épineux cervical ; la
moelle
dorsale (allant du bord supé- rieur de la 4r pa
la 12°) se termine au niveau de la 9e apophyse épineuse dorsale, la
moelle
lombaire va de celte apophyse au bord inférieur
oelle lombaire va de celte apophyse au bord inférieur de la 12e; la
moelle
sacrée occupe la partie supérieure du canal lom
né et le petit enfant, nous avons trouvé la limite inférieure de la
moelle
dorsale plus haut que chez l'adulte, au niveau
s dit, est loin d'è- tre le cas, du même point de la longueur de la
moelle
, que les variations individuelles des apophyses
grande de la portion cervicale du rachis, chez l'enfant, puisque la
moelle
dorsale de l'enfant commence au même niveau rachi
. Elle ne lient pas non plus à une brièveté générale relative de la
moelle
puisque chez l'enfant et chez l'adulte le cône
l'adulte. Elle ne peut donc tenir qu'au développement même de la
moelle
dor- sale, prenant dès lors à partir de 6 ou 7
r déviation ultérieure ne peut être que l'abaissement relatif de la
moelle
dorsale, supposé tout à l'heure pour une autre
les mêmes. C'est le coeur, c'est l'estomac, c'est le foie, c'est la
moelle
épiuière, c'est le cerveau surtout qu'ils décla
raplégie spasmodique, n'allez pas conclure que la rate, le foie, la
moelle
épi- nièrene souffrent pas réellement. Lorsqu'o
siou du travail qui préside aux fondions de notre être, laisse à la
moelle
épinière une partie de la besogne. C'est la moell
être, laisse à la moelle épinière une partie de la besogne. C'est la
moelle
qui est toujours la première informée de ce qui
TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ 281 pour donner un ordre sommaire il la
moelle
qui l'exécute dans son entier. Je marche en vou
n cerveau ne calcule pas les mouvements que vous me voyez faire; ma
moelle
, une fois l'ordre reçu, se charge de diriger, en
rdination fonctionnent régulièrement, il est indis- pensable que la
moelle
épinière soit bien informée. Alors, et de colle f
smise par les conducteurs centripètes de la sensibilité commune, la
moelle
répondra par un mode d'activité plus grande ou
x autres, des résultais contradictoires. Colorez, d'une part, une
moelle
tabétique par les réactifs de Weigert ou de Pal
;t la dégénération du cylindraxe, pas plus dans les maladies de la
moelle
que dans celles des troncs nerveux. Même si l'o
kow) sur l'histologie de la sclérose disséminée du cerveau et de la
moelle
épinière Neurol. Centralb., 1894, n- 9. 28't
i plus ou moins plaintif. Il existe donc dans toute la hauteur delà
moelle
une série d'arcs clias(al(i jnes nI- flexes qui
son influence motrice sur les cellules des cornes antérieures de la
moelle
, ces dernières conservent la fa- culté d'action
ns : 1° Lésions articulaires et périarticulaires ; 2° Lésions de la
moelle
, des nerfs, etc. La première partie de cette ét
arce que la lésion siège de préférence a la partie supérieure de la
moelle
. D'autre part elles sont si rarement symétrique
ine médullaire. Dès le commencement de leur histoire, c'est dans la
moelle
que l'on a cherché la lésion causale (Charcot e
125, n° 7S. - Contribution à l'élude des tumeurs névrogliques de la
moelle
épinière. Fig. 79. Arthropathie syringomyélique
, p. 1162 sous ce titre : Essai de diagnostic d'une affection de la
moelle
indépendante du labes avec arthropathie du coud
il) Les arthropathies consécutives aux affections chirurgicalesde la
moelle
ou des nerfs vont, de même que les précédentes,
nt, les arthro- pathies consécutives aux lésions chirurgicales delà
moelle
sont de pu- res curiosités pathologiques. Les o
cas de Joffroy et Salmon, où à la suite d'hémisection gauche de la
moelle
dorsale se montra dans le genou gauche une doul
u côté droit paralysé ; les cas de Vignes (hémisection gauche de la
moelle
par coup d'épée) et de Lannelongue (plaie de la
gauche de la moelle par coup d'épée) et de Lannelongue (plaie de la
moelle
par balle), où dans le pre- mier le genou du cô
En somme les altérations articulaires par lésion chirurgicale de la
moelle
affectent généralement la forme hydarthrose : par
exceptionnel de W. Milchell, ou à la suite de plaie par balle de la
moelle
cervicale, les articulations des doigts s'ankyl
arthropathies consécutives aux scléroses systématiques ou non de la
moelle
, le traitement local est le seul à tenter. a) A
Physiol., 111, 1890. 310 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
moelle
, et qui n'est manifestée que par l'apparition d'o
ttitudes segmentaires dépend de celle des cordons postérieurs de la
moelle
et des noyaux correspondants. Sui- vant que l'u
ent en arrière d'un frag- ment osseux demi-circulaire comprimant la
moelle
. Ablation de ce fragment Guérison. Le 5 mai 1
olongements de ses éléments bipolaires se conduire vis- à-vis de la
moelle
absolument comme ceux d'une racine spinale posté-
cerveau purement épithélial, un morceau d'ectoderme rentré comme la
moelle
à son début, le ganglion neuro-latéral se disti
r irritation. Ce sont donc des cellules rameuses comme celles de la
moelle
, mais leurs ramifi- cations voyagent longtemps
n a comparées (Ertitzky) aux fibres des racines anté- rieures de la
moelle
, encombré des éléments du ganglion de Scarpa, occ
Corti, et qui sont les homolo- gues des racines postérieures de la
moelle
, forment à leur entrée dans le tronc bulbo-prot
nerf labyrinthique. IV Formations médullaires. En montant de la
moelle
à la protubérance, les colonnes grises qui for-
trecroisement vont se placer derrière les fihres motrices ; puis la
moelle
s'est ouverte en arrière par la dilatation de l
u nerf labyrinlhique, correspon- dant aux cornes postérieures de la
moelle
. Le noyau interne, le noyau de Bechterew et le
stibulaire. Un grand nombre de fibres pénètrent directement dans la
moelle
allon- gée et se dirigent d'avant en arrière, l
rébelleux. S'il existe réellement, il n'a pas son homologue dans la
moelle
. Ce nerf vestibulaire est avant tout cérébelleu
z-vous commun des fibres cérébelleuses di- rectes et croisées de la
moelle
et du nerf vestibulaire, et d'un grand nombre d
avons dû. pour la clarté de la figure, représenter la section de la
moelle
en sens inverse de la protubérance, de façon à re
ine cochléaire correspond à celui des racines grêles externes de la
moelle
, et nous avons poursuivi l'homologation au delà d
comprend le nerf vestibulaire et les grosses racines internes de la
moelle
. VIII a. Noyau antérieur.- TA. Tubercule acoust
aux fibres ascendantes qui proviennent des parties profondes de la
moelle
et gagnent avec elles l'anse latérale qu'elles co
dans l'appareil optique. La tactilité tégumentaire véhiculée par la
moelle
vers l'écorce pariétale emprunte des voies cond
la précision d'une expérience physiologique, la partie gauche de la
moelle
, ainsi que je m'en assurai après ouverture du sac
fragments, l'esquille tout entière : libérant ainsi complètement la
moelle
sur laquelle je suturai la dure-mère et, sans dra
. 96. - Mécanisme de la compression osseuse de la moitié gauche de la
moelle
chez le malade de l'obs. I. Déplacement en arri
toute lésion médullaire actuelle : très pro- bablement du reste, la
moelle
avait été autrefois commotionnée ou contuse, Fi
L'esquille osseuse, qui chez le premier de mes opérés comprimait la
moelle
, ne serait pas disparue toute seule, et la luxa
issent les fibres du nerf labyrinthique, 91,93. Compression de la
moelle
dans un trauma- tisme rachidien, 96. Equilibr
ANATOMIE PATHOLOGIQUE ÉTUDES SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA
MOELLE
ÉPIN1ÈRE 1 SI'1t1\GOIYI : LIE. SCLÉROSE COMBINÉ
de mars, soit vingt-trois jours après le début de la maladie. La
moelle
épinière est enlevée avec ses membranes. On cons-
Voir Archives de Neurologie, t. XIX, p. 181 et 378. ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 47 tate sur la face postérieure de l'
e que celle qui existe normalement. Dans sa moi- tié inférieure, la
moelle
présente absolument sa consistance nor- male. D
l'oeil nu des surface de section n'indique pas d'al- tération. La
moelle
est plongée dans le liquide de .Millier; quand el
de atteint son maximum d'intensité à l'ex- trémité supérieure de la
moelle
dorsale au niveau des deuxième et troisième pai
e, de petits foyers disséminés dans les diffé- rentes parties de la
moelle
. A l'examen microscopique, l'attention'est d'ab
s îlots. Ils sont entou- Fit, 7. Coupe à la partie supérieure de la
moelle
dorsale. Distribution des foyers de sclérose qu
ro-carmin; B, coloration par l'hématoxyline alunée. , ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 49 Dans d'autres mailles, on trouve d
tres n'ont qu'une légère teinte jaunâtre. En somme, au niveau de la
moelle
que nous examinons, la subs- tance blanche est
s saines sont extrêmement limitées. Des coupes longitudinales de la
moelle
faites au même niveau, montrent particulièremen
niveau de la troisième paire cervicale, partie la plus élevée de la
moelle
qui ait été à notre disposition. Mais les lésio
encore des signes même dans les parties les plus inférieures de la
moelle
. Ainsi, à l'extrémité inférieure du renflement
périvasculaire, une accumulation abondante d'éléments ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 51 qui se retrouvent aussi dans les a
PINIÈRE. 51 qui se retrouvent aussi dans les autres parties de la
moelle
. Quelle est la nature de ces éléments ? ? Achar
rencontrées autour des vaisseaux et dans les autres parties de la
moelle
. La présence de corps granuleux dans la myélite
1888, vingt-cinq jours après le début de la myélite. L'examen de la
moelle
au moment de l'autopsie ne renseigne en fait d'
très fidèlement ce que nous avons constaté nous-même. ÉTUDES SUR LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 53 La substance grise est également a
coupes pratiquées en se dirigeant vers l'extrémité supérieure de la
moelle
, on voit que les lésions persistent mais diminu
niveau de la quatrième paire cervicale, partie la plus élevée de la
moelle
qui ait été à notre disposition, on ne constate
en trouve encore des traces jusqu'à l'extrémité inférieure de la
moelle
lombaire. Les vaisseaux sont assez distendus, leu
eau que le processus a atteint sa plus grande intensité et que la
moelle
a été envahie dans l'étendue la plus considé- r
une infiltration cellu- laire abondante de toutes les parties de la
moelle
et en particulier, de l'espace périvasculaire :
causes n'affec- tent pas de la même façon tous les éléments de la
moelle
et que de la sorte, il se produise certaines diff
de fixer avec certitude l'étiologie 56 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. de l'affection dans les deux cas et d
déjà usé et décrépit : évidemment, les tissus et en particulier la
moelle
, ne possédaient pas chez ces deux sujets les mê
oscopique ne s'est pas fait de la même façon dans les deux cas : la
moelle
de la malade R... a séjourné dans l'alcool plus
ique, microbe ou ptomaïne. Cet agent porte son action nocive sur la
moelle
épinière et particulièrement sur la partie supé
ie supérieure, bulbaire. Les lésions trouvées aux autopsies dans la
moelle
sont sans CAS DE TÉTANOS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE. 6
, se multiplie au lieu d'inoculation et est ensuite porté vers la
moelle
par une voie ou par une autre, ou s'il envahit de
is-je, affirmer que l'agent nocif produit, en fin de compte, sur la
moelle
, une modification profonde, élémentaire, dont l
en soit, dans le tétanos, les cellules des cornes antérieures de la
moelle
envoient aux muscles une excitation violente et
conséquence de la décharge, transmet aux cellules du bulbe et de la
moelle
l'incitation à leur fonctionnement : d'où la co
re malade, quand la décharge épileptique a lieu, les cellules de la
moelle
obéissent à ce qu'on peut appeler l'ordre du ce
éissent aux cellules cérébrales à cause de la subor- dination de la
moelle
par rapport au cerveau. Ce n'est pas là, je le
E l'action DU SEIGLE ERGOTÉ ET DE SES PRINCIPES constitutifs SUR la
MOELLE
DES animaux ; par A. GRUENDFELD. (Arch. f. Psyc
ue fussent les lésions pathogénétiques des syn- dromes toxiques, la
moelle
épinière fut trouvée aussi normale chez les suj
éthodique (forts courants sur la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 79
moelle
, courants assez forts sur les muscles des bras co
LES DÉGÉNÉKESCKNCES DESCENDANTES EXPÉRIMENTALES DU CERVEAU ET DE LA
MOELLE
, COMME CONTRIBUTION A LA TUÉOIUE DES LOCALISA-
'où elle descend dans le faisceau pyramidal du cordon latéral de la
moelle
: cet entre-croisement est caractéristique, il-
d'Inde. Conclusions : 10 Les fibres des racines postérieures de la
moelle
cessent, chez le cochon d'Inde, après leur entr
ndroit. - 2° Il n'y a donc pas, dans les racines postérieures de la
moelle
du cochon d'Inde, de fibres qui se prolongent san
llure ANATOMIQUE, légitime DES racines aux diverses 'hauteurs DE la
MOELLE
; par SII : AfEItLING. (Neurol. Centralbl., 1886
à l'exclusion des racines sacrées. 10 Les racines antérieures de la
moelle
cervi- cale et lombaire ont pour caractère l'ex
es fibres fort abondantes. 2° Dans les racines postérieures de la
moelle
cervicale et lombaire, il existe un assez grand n
tubes nerveux épars ou en petits groupes. 3° Dans les racines de la
moelle
dorsale il existe un très grand nombre de petit
OGIE PATHOLOGIQUE. 89 Série de coupes méthodiques sur le segment de
moelle
humaine compris entre la première paire dorsale
ois infléchies à. angle droit, à travers la substance blanche de la
moelle
, et arriver à la périphérie. Ces trousseaux de
ANTÉRO-LATÉRALE ET LE cordon aNl'GItO-L.1TI : ftaL ascendant de la
MOELLE
; par W.-R. GowERS. (Neurol. Centralbl., 1886.)
amidal, comme un ruban très mince, presque jusqu'à la surface de la
moelle
; 2° A la région lombaire, le faisceau antéru-l
a commissure postérieure, des racines sensitives de la moitié de la
moelle
du côté opposé. Mais il est aussi probable que
upes transverses émanant : l'une, d'un foetus, de six mois, dans la
moelle
allongée duquel le système des fibres des olive
e du genou ; pourvu naturellement qu'il s'agisse de la région de la
moelle
épi- nière qui va de la portion dorsale au renf
ves sur la pathogénie du réflexe patellaire et la physiologie de la
moelle
à son sujpt. En ce qui concerne la dégénérescence
e et atrophie des cellules nerveuses de l'ecorce cérébrale et de la
moelle
. Sclérose médullaire primitive latérale et post
érative n'est pas sur- venue. M. Bruns montre des préparations de
moelle
empruntées à un sujet présenté par M. NrcoL a l
e quelques manchons de myéline et de quelques cylindraxes dans la
moelle
, notamment le long des cordons postérieurs. AI.
idus en état de misère physiologique, les cordons postérieurs de la
moelle
sont dégénérés. C'est par un mécanisme analogue q
lésion de la irophicité médullaire. En s'étendant du centre de la
moelle
aux cordons antérieurs, elle détermine la parésie
n travail du D'' 1'eber- ghien sur le traitement des maladies de la
moelle
épinière par la suspension ; 2° un mémoire du D
it comme lésion anatomique des cavités creusées dans le tissu de la
moelle
, consécutive à des gliomes dé- veloppés dans le
Démange affirme n'avoir trouvé que les altérations banales de là
moelle
sénile ; une atrophie générale de la moelle, une
térations banales de là moelle sénile ; une atrophie générale de la
moelle
, une pig- mentation anormale des cellules nerve
ine artérielle, lorsqu'elle se localise sur certaines régions de la
moelle
, une cause fréquente du tremblement sénile. Dém
senté des symptômes de paralysie ascendante aiguë. Le cerveau et la
moelle
paraissaient intacts (l'examen histologique ne
8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. infection, lésions organiques de la
moelle
, troubles hystériques, alcoolisme, asphyxie loc
e pathogénie, selon les faits. Tantôt il y aurait hypé- rémie de la
moelle
favorisée par la ménopause et exagérée par la s
hériques par des actions thermiques diverses, excitation gagnant la
moelle
et ses centres vasomoteurs, et, parsuite, troub
TE ascendante avec paralysie réflexe (ex- pression consacrée) DE la
moelle
; par TUISSEN, (Centr. f. Nerv., - 1886.) Obse
t absolument indépendant du tabes mais surajouté à la maladie de la
moelle
. Le tabes ne change pas, tandis qu'il déve- lop
e interne et la calotte un autre faisceau de fibres au centre de la
moelle
. Ce centre vésical de la couche optique a en même
tologiques DES NERFS périphériques, DES GANGLIONS SPINAUX, ET DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE A LA SUITE D'AMPU- TATIONS ; par E. A.
nerfs lombaires du côté sain afin de pouvoir comparer le côté de la
moelle
cor- respondant au membre amputé et la dégénére
OGIE PATHOLOGIQUES. 267 DES hétérotopies DE substance GRISE dans la
MOELLE
; par P. KRONTEIAL. (Neurol. Centralbl., 1888.)
NTEIAL. (Neurol. Centralbl., 1888.) Le cas envisagé ici concerne la
moelle
d'un saturnin chez lequel en outre de ces sorte
e au milieu de la substance blanche, on trouva une sorte de seconde
moelle
annexée en quelque sorte à la première. Foyers
succombèrent à une affection n'ayant absolument rien à voir avec la
moelle
, tous présentèrent des altérations au sein de l'o
ans le numéro I. Procédé parfait pour les nerfs périphériques et la
moelle
(Krauss). B. Procédé au carmin acide à 0,06 p
ème phase de la maladie. Ces troubles nerveux peuvent porter sur la
moelle
(paraplégies passagères, con- lraclures fugaces
omie à l'Ecole de médecine .1'aller. Dans chacun des segments de la
moelle
épinière, l'appareil sensitivo-moteur se compos
térieure de cette écorce. Enfin, quelques faisceaux provenant de la
moelle
ne s'arrêtent pas à la station de la couche opt
tent pas non plus à la station des corps striés pour se rendre à la
moelle
: c'est l'arc direct. En résumé, les renfleme
irect. En résumé, les renflements de substance grise (cornes à la
moelle
), les corps opto-striés (cornes inter- médiaire
s ses grandes lignes pour les nerfs tributaires des seg- ments de
moelle
, il n'y a aucune raison de ne pas l'appliquer a
on de ne pas l'appliquer aux nerfs tributaires des segments de la
moelle
dans la cavité crânienne. Je pense pouvoir en d
vons, pratiquement quelquefois, théoriquement toujours, séparer la
moelle
et le mésencéphale en un amas de centres individu
r excitabilité, comme les nerfs séparés des cônes antérieures de la
moelle
, au point qu'après quatre jours la plus forte e
e du temps nécessaire à la transmission de l'impulsion à travers la
moelle
et les nerf moteurs, est pour l'écorce de 45 se
erne périphérique. P. Keraval. XLI. Contribution A l'anatomie DE la
MOELLE
ET DU bulbe ; . par J. WAGNER. (Centr. f. lleru
. Cette dégénéres- cence forme, au point où la racine entre dans la
moelle
, un tri- angle, immédiatement contigu à la poin
que coutiguë au faisceau de G011. Dansles parties supérieures de la
moelle
, au lieu de passage de la moelle et du bulbe, la
Dansles parties supérieures de la moelle, au lieu de passage de la
moelle
et du bulbe, la dégénérescence qui succède à la
sclérose en plaques. Ces deux genres s'observent également dans la
moelle
épinière. Les atrophies diffuses au'contraire
E l'irritabilité de certains trousseaux DE FIBRES NERVEUSES dans la
moelle
DES animaux NOUVEAU-NÉS; par W. BECHTEREW. (Neu
oursuivre dans la pyramide du même côté jusque profondément dans la
moelle
cervicale et en descendant dans le faisceau pos
simultanément sur les nerfs' et l'encéphale. Il est probable que la
moelle
est elle-même atteinte. en résulle toujours des
nce de la pour le diagnostic de la folie, par Si- Lorsiiy, 2af.
Moelle
'1¡I'IJi,HE, anatomie patholo- gique de la -, p
s de substance grise dans la-, par Krontllnl, 267; anatomie de la
moelle
et du bulbe, par Wagner, 427; irritabilité des
es, par Korsakow, î : 4; ascendante a \ec paralysie réflexe de la
moelle
, par 'l'Ilissen, 2H; - troubles men- taux dan
que l'on n'a aucun droit de refuser toute espèce de conscience à la
moelle
épinière, et Herzen abonde dans le même sens, a
nous prévoyons la forme, l'énergie, la inaiclie et l'effet; mais la
moelle
épinière d'un animal décapité ne peut posséder
ope, etc. : elles dominent également l'activité des centres de la
moelle
épinière, du mésocéphale et du cerveau. Ajouton
êtres vivants », ont émigré, au cours des âges, des ganglions de la
moelle
épinière, dans le mésocéphale et l'écorce des h
les segments respectifs des renflements brachial et lombaires de la
moelle
. Mais, à mon avis, toute autre représentation^e
ne action marquée sur le système nerveux et principalement sur la
moelle
. Le D'' Lépine l'a employée avec succès pour co
ornes antérieures ; concrétions amyloides disséminées dans toute la
moelle
. P. K. XXII. Inconscience. Considérations MÉDIC
ER (de Fribourg). Présentation d'un cas d'affection chronique de la
moelle
avec ataxie inhérente ci des troubles très pro-
on des cordons postérieurs et laté- 1 aux de la moitié droite de la
moelle
. Discussion. M. EnD. Ce cas constitue un excell
rniers noyaux du bulbe. 11 est probable qu'elles descendent dans la
moelle
, car, dans les points mêmes des coupes antéro-p
- nelles des nerfs crâniens et spinaux et quelques systèmes de la
moelle
elle-même, ce n'est que chez les mammifères que l
es affections orga- niques locales du cerveau et les maladies de la
moelle
, lequel est rattaché, par l'auteur, à l'irritat
e du plexus, peut- être même encore plus haut, dans la région de la
moelle
d'où cette partie de plexus tire son origine.
ion ou la participation patholo- gique des centres trophiques de la
moelle
épinière. L'absence de toute lésion apparente d
s considérables de myélite; dans un grand nombre de ré- gions de la
moelle
(il s'agissait d'une paralysie des quatre mem-
refuser toute valeur. Les lésions, en effet, occu-- paient dans la
moelle
une étendue correspondant assez exacte- ment au
prématurément attribuée, il n'est pas impossible que le rôle de la
moelle
, dans la pathogénie des névrites en question, s
il ne faudrait pas croire que, dans les paralysies alcooliques, la
moelle
épinière soit toujours absolument res- pectée.
tracture est à son maximum. M. Pitres a eu l'occasion d'examiner la
moelle
de qnelques hémiplégiques qui avaient présenté
disparition des cellules motrices dans les différents étages de la
moelle
correspondant aux muscles atrophiés. La logique
à la périphériepar les branches et rameaux musculaires issus de la
moelle
. Pour s'expliquer l'influence de la dégénéra- t
pian avait démontré expérimentalement l'influence dynamique de la
moelle
sur l'apparition des lésions trophiques périphéri
cas, souvent les nerfs périphériques en rapport avec le segment dé
moelle
lésé, sont encore profondément altérés 1. » '
des hémiplégiques, indépendante de toute lésion appré- ciable de la
moelle
, n'existe ou ne présente une certaine inten- si
ant, ici encore, il n'y a pas à invoquer une lésion grossière de la
moelle
'. Bref, si beaucoup de uévrites parmi lesquell
jeu de divers instruments) s'organisent dans le cerveau et dans la
moelle
. M. Charcot compare volontiers ce mécanisme à c
après la décapitation. B. Salemi Pace pense que le rôle joué par la
moelle
est pré- pondérant, aussi conclut-il, à l'occas
lui, à une modification fonctionnelle spéciale et partielle de la
moelle
épinière avec perte de la mémoire motrice dynamiq
un siège dans l'écorce cérébrale, tandis que l'autre réside dans la
moelle
épinière; ces deux centres étant reliés l'un à
de marcher était revenue pendant un an, avant la mort, montrait la
moelle
réduite è un tuyau de plume, sur la longue éten
, en faisant passer le courant maximum dans toute la longueur de la
moelle
: tout le corps de l'animal est vio- lemment so
autres formes de sensibilité, se porte en haut du côté opposé de la
moelle
. Mais ni des recherches expérimentales, ni path
certaine, dans quelles parties particu- lières du côté opposé de la
moelle
, les tractus sensitifs montent vers le cerveau.
e grise a été séparée, quand toutefois les colonnes latérales de la
moelle
restent intactes. Ils ont trouvé que lorsque la c
nt en haut à une grande distance après la séparation complète de la
moelle
à n'importe quelle partie. Des trajets qui subi
aussi loin que les noyaux graciles ou noyaux post-pyramidaux de la
moelle
allongée. Les colonnes externes pos- térieures
u, diffère dans sa période de développement des autres cordons delà
moelle
. Celui-ci constitue le cordon antéro-latéral. A
latéral qui est en haut la continuation de la corne latérale de la
moelle
cervicale, aussi appelée corne viscérale. Le tr
ieu le cervelet. Gowers rapporte un cas do lésion unilatérale de la
moelle
qui semblerait être à l'appui de cette hypothès
la suite d'une section trans- versale de la moitié antérieure de la
moelle
, on observe de l'anal- gésie. Dans aucune de ce
lequel j'avais sectionné la plus grande portion d'une moitié de la
moelle
(excepté le cordon postérieur), une partie du c
ils ont été publiés ailleurs3, j'ai coupé tout le côté gauche de la
moelle
, à l'exception du cordon médian antérieur et post
londeur, que j'avais calculée, par des expériences répétées sur des
moelles
, que les cordons mé dians postérieurs soient di
se croise pas avec les autres tractus sensitifs, mais monte dans ja
moelle
du même côté; de sorte que dans une demi- secti
e sorte que dans une demi- section ou une maladie unilatérale de la
moelle
, le sens musculaire est atteint ou aboli du mêm
t dans le membre opposé anesthésique. Les faits d'hémisection de la
moelle
chez le singe sont à mon avis opposés à cette h
. Des quarante-trois cas1 de lésion apparemment unilatérale de la
moelle
, desquels il n'y a cependant que deux autopsies,
e que tout le trajet de la sensibilité remonte du côté opposé de la
moelle
et qu'il n'est pas contenu ni dans la colonne pos
dégénéfescence ascendante comme les autres cordons afférents de la
moelle
. (La fin au prochain numéro.) REVUE DE PATHOL
hénomène qui pût dès lors être rattaché à une affection grave de la
moelle
fut, un mois ayant la mort, des manifestations
diagnostic de tumeur cérébrale avec hydrocéphalie et lé- sion de la
moelle
. L'autopsie révèle une énorme gomme a la base,
gomme volumineuse de la pie-mère au niveau du seg- ment moyen de la
moelle
. Nombreuses figures à l'appui. XIII. Nouvelles
et très claire, accompagnée de schémas des plus nets (lésions de la
moelle
, du bulbe, de la protubérance). P. K. REVUE D'A
on dans le tome XIX, 2, ayant succombé, on trouva les lésions de la
moelle
mises en relief par Struempell, Krauss, Lissaue
ce des nerfs moteurs périphériques et des racines antérieures de la
moelle
explique, en l'absence de lé- ' Voy. Archives d
que le traumatisme a produit la syringo- myélie qui a débuté par la
moelle
cervicale; trois mois plus lard, 278 REVUE D'AN
les vaisseaux ; 7° La névroglie et les vaisseaux du bulbe et de la
moelle
. En anatomie pathologique, il faut s'en défier.
. K. XVIII. D'une lésion TRAUMATIQUE limitée au CÔNE terminal DE la
moelle
épinière; par H. Oppenheim. (Archiv f. Psychiat
cité et de la contractilité des tuyau\ artériels. Il existe dans la
moelle
, suivant le segment con- sidéré, des centres va
uses des cornes antérieures. La dégéné- rescence des cellules de la
moelle
entraîne la dégénérescence des nerfs périphériq
des racines spinales antérieures. Dans les cornes antérieures de la
moelle
thoracique moyenne et du segment lombaire supér
- mologues à celles qui ont été observées dans les cellules de la
moelle
et décrites par Charcot, Leyden, Erb (myélite par
se bibliographique, l'auteur signale qu'il a, dans le cerveau et la
moelle
des animaux précités, trouvé quantité vai iable
les cellules épen- dymaires du ventricule ou du canal central de la
moelle
; on y voit une 11 ? pergéiièse de jeunes cellul
belleux, puisque les deux tractus qui mettent en communication la
moelle
avec le cervelet sont centripètes; ce sont : les
. sociétés savantes. 293 M. BRUNS présente encore à la Société la
moelle
épinière enlevée à un malade atteint de scléros
nt dans la substance grise; au niveau de la région supérieure de la
moelle
dorsale, toute la coupe transverse est prise. L
isceau pyramidal gauche. Pas de lésions de la substance grise de la
moelle
épinière; les auteurs disent qu'ils ont trouvé
iques se trouvaient également réparties dans les deux moitiés de la
moelle
épinière, de sorte qu'il paraîtrait irra- tionn
culier. Les pédon- cules cérébraux, la protubérance, le bulbe et la
moelle
épinière sont sains à l'inspection; sur les cou
lomérées dans le domaine du faisceau pyramidal seulement. Dans la
moelle
épinière, la configuration des cornes grises para
ces affections organiques locales du cerveau et des maladies de la
moelle
(1881). - De la folie avec prédominance du déli
semblent montrer que dans leur trajet jusqu'au cerveau à travers la
moelle
et la protubérance, les cordons sensitifs passe
le postérieur médian, qui ne subissent pas de décussation dans la
moelle
, subissent la décussation dans les nucléi gracile
rne du pied du pédoncule est le passage des tractus sensitifs de la
moelle
dans la capsule interne ; et en faveur de cette
ne devrait pas donner lieu à une dégénérescence centrifuge dans la
moelle
, France' a trouvé, en rapport évident avec la des
érescence secondaire des cordons pyramidaux dans le pédoncule et la
moelle
. On doit remarquer l' cependant que dans la plu
raîne une dégénérescence descendante des cordons pyramidaux de la
moelle
avec contracture secondaire des membresparalysés.
rescence secondaire dans les cordons pyramidaux du côté droit de la
moelle
jusqu'à la région lombaire. Dans le cas repré
couronne rayonnante et des cordons pyramidaux du côté opposé de la
moelle
, jusqu'à la région lombaire, ou émergeait les n
squ'à la décussation des pyramides, mais devient bilatérale dans la
moelle
. Cependant, dans le cas du centre laryngé qui e
u décrit par Schùppel ', le malade anesthésique par maladie de la
moelle
était capable de coordonner ses membres parfaitem
éalité des centres sensitifs qui excitent les vrais centres de la ^
moelle
par l'intermédiaire des cordons pyramidaux qui le
esquelles la coordination harmonieuse des différents segments de la
moelle
et des centres inférieurs est assurée sans le c
ésiques était l'excitant immédiat des vrais centres moteurs dans la
moelle
, il en résulterait que les soi-disant centres mot
es unissent. Si les vrais centres moteurs étaient seulement dans la
moelle
, on s'attendrait à voir les centres de la moell
seulement dans la moelle, on s'attendrait à voir les centres de la
moelle
développés en cor- - respondance avec les capac
s motrices de l'animal. Dans pareil cas, les centres moteurs de. la
moelle
de l'homme chez lequel les * Centres psycho-mot
ont d'ordre inférieur. Le dé- veloppement des centres moteurs de la
moelle
correspond à celui des combinaisons musculaires
E PATHOLOGIQUE. les régions frontales avec les noyaux moteurs de la
moelle
. Les dégénérescences dans ces parties du pédonc
à l'exalgine indiquent une action très marquée de médicament sur la
moelle
et l'innervation vaso-motrice, par exemple des
50 p. 100 des para- lytiques avec lésions des cordons latéraux ou à
moelle
saine étaient des syphilitiques certains. Il fa
dans les muscles et des changements anatomo- pathologiques dans la
moelle
épinière et dans les nerfs périphéri- ques. La
fications très nettement prononcées de nature dégénérative dans la
moelle
épinière et les nerfs périphériques. Pour expliqu
te irritation se transmet aux cellules de la corne antérieure de la
moelle
et détermine ainsi un certain trouble dans leur
sies, les modifications anatomiques s'observent dans le cerveau, la
moelle
épinière et les nerfs péliphéliques, mais dans ce
de ces lé- sions est une névrite parenchymateuse multiple. Dans la
moelle
épinière, les lésions sont moins constantes et
céphale avec le crâne. En ce qui concerne l'anatomie médicale de la
moelle
épinière, les transformations qu'a subies l'ouv
culté, a commencé le 6 avril des conférences sur les maladies de la
moelle
dans le petit amphithéâtre de la faculté, et les
Schule, 131- Migraine (thérapeutique de la), par Neftel, 125.
Moelle
(influence des centres tto- phiques de la -) su
y, 135. Ncvturta roxururs, influence des centres trophiques de la
moelle
sur la distribution topographique de certaine
s du tissu cellulaire; une matière grasse, ayant la consistance de la
moelle
des os ou bien du suif, recouverte par une couche
tte partie, qui « est comprimée et refoulée à droite. L'origine de la
moelle
est également déjetée de ce côté; en arrière, « c
tumeur se prolonge sur le faisceau postérieur gauche ou cuisse de la
moelle
allongée qu'elle comte prime, mais sans adhérer a
mais au lieu de se diriger en avant ou en haut, entre les bras de la
moelle
allongée, elle s'était portée en arrière et à gau
et déjeté à droite la protubérance annulaire, la cuisse gauche de la
moelle
allongée et le bulbe rachidien; il paraît même qu
meur, à la compression exercée sur la protubérance et l'origine de la
moelle
, qu'il faut attribuer la paraplégie, et il est ma
acéphalocystes du foie, avec beaucoup de détails. ) APOPLEXIE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE MALADIES DE LA MOELLE ÊPINIÈRE. Apop
coup de détails. ) APOPLEXIE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE MALADIES DE LA
MOELLE
ÊPINIÈRE. Apoplexie de la moelle épinière (*).
A MOELLE ÉPINIÈRE MALADIES DE LA MOELLE ÊPINIÈRE. Apoplexie de la
moelle
épinière (*). (planche vi, iiie livraison.) J
de FAP(fig. 1.) : les faisceaux postérieurs de la moitié gauche de la
moelle
sont à ce niveau pénétrés de sang, légèrement sou
sociés et non déchirés ; nous reconnûmes de suite une apoplexie de la
moelle
épinière : le foyer sanguin se prolongeait en deh
point altéré leur continuité. Le reste de la face postérieure de la
moelle
ne présentait rien de particulier, excepté inféri
pas à un espace aussi circonscrit, mais qu'il y avait au centre de la
moelle
du sang nouvellement épanché ; j'ouvris donc cett
entre de la moelle du sang nouvellement épanché ; j'ouvris donc cette
moelle
en arrière dans toute sa longueur, en divisant la
re de ruban. Alors je vis (fig. 3 et 3') que la substance grise de la
moelle
avait été remplacée par du sang concret qui occup
(fig. 3), jusqu'au bulbe de terminaison MO (fig. 3'), en sorte que la
moelle
épinière tout entière était convertie en un canal
t à partir du foyer apoplectique jusqu'à l'extrémité inférieure de la
moelle
. Ce sang offrait tous les caractères d'un épanc
sains. RÉFLEXIONS ET CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR L'APOPLEXIE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. On ne saurait méconnaître dans la l
ÉPINIÈRE. On ne saurait méconnaître dans la lésion organique de la
moelle
, représentée planche vi, ine livraison, tous les
actères distinctifs de l'apoplexie. En appliquant à l'apoplexie de la
moelle
épinière les données acquises sur l'apoplexie cér
e. Ces trois foyers apoplectiques occupent la substance grise de la
moelle
: un seul est circonscrit , les deux autres étaie
tous les effets de la fluxion sanguine, et en cela l'apoplexie de la
moelle
se rapproche de l'apoplexie du cerveau; d'une aut
la longueur. La substance blanche qui constitue commel'écorcede la
moelle
, étant beaucoup plus résistante, et soutenue d'ai
coup d'im'pctuosité dans un point. Le sang s'épanchera alors entre la
moelle
et la membrane propre qui pourra elle-même se déc
une-serin qui tapissait le canal formé par la substance blanche de la
moelle
. Enfin c'était les derniers jours, la veille peut
. Si nous rapprochons maintenant les symptômes de l'apoplexie de la
moelle
de ceux de l'apoplexie du cerveau; nous verrons q
ment la continuité du cerveau avec les prolongemens céphaliques de la
moelle
a pour résultat la paralysie plus ou moins complè
suivie, ainsi que j'en ai vu plusieurs exemples. L'apoplexie de la
moelle
s'est annoncée par une vive douleur à la nuque, l
médullaires s'écartent, se rassemblent suivant d'autres lois qu'à la
moelle
; deux gros faisceaux blancs et gris très-denses,
aisceaux FM, faisceaux mamillaires qui sortent du sillon médian de la
moelle
, se renflent légèrement en forme de mamelon, pour
sur le bord postérieur des faisceaux rectiformes. L'apoplexie de la
moelle
est donc une hémorrhagic spontanée comme l'apople
t que j'ai cru devoir appeler apoplexie capillaire. L'apoplexie de la
moelle
, en effet, a été précédée et accompagnée de doule
e, comme dans beaucoup d'apoplexies des vieillards. L'apoplexie de la
moelle
ne peut évidemment reconnaître une pareille ruptu
t les faisceaux blancs, qui semblent n'être placés à la surface de la
moelle
que pour mieux protéger cette substance grise: la
te, sinon dans la moitié gauche, au moins dans la moitié droite de la
moelle
: mais qui sait si ce défaut de sentiment et de m
entricule gauche du cœur? L'indépendance des diverses parties de la
moelle
les unes des autres, l'indépendance de la moelle
verses parties de la moelle les unes des autres, l'indépendance de la
moelle
du cerveau, assez généralement admise dans ces de
d'ingénieuses expériences. L'opinion des anciens, qui regardaient la
moelle
comme un gros cordon nerveux destiné à répondre l
anatomique de la continuité du système nerveux. Les maladies de la
moelle
ne produisent pas d'effet croisé. La première att
il y a trois ou quatre ans, n'intéressait que la moitié gauche de la
moelle
, et ce sont les extrémités supérieure et inférieu
ire mourir l'animai; je pus agir sur toute la portion cervicale de la
moelle
épinière: lorsque j'irritais la moitié droite de
cale de la moelle épinière: lorsque j'irritais la moitié droite de la
moelle
, j'obtenais un mouvement d'inclinaison du côté dr
nement dit que trois choses peuvent avoir lieu dans l'apoplexie de la
moelle
. Si l'épanchement de sang est peu considérable, i
u pour le foyer FAP (fig. i ), FAA ( fig. i). Enfin on conçoit que la
moelle
peut être convertie en bouillie, remplacée pour a
roisième vertèbre dor-« sale, oû on commençait à apercevoir, sinon la
moelle
3 au moins un corps un peu plus formé, sans ce-«
arrivai à la septième vertèbre cervicale où je commençai à trouver la
moelle
épi-« nière dans son intégrité quant à la forme,
avité de l'arachnoïde ou entre l'arachnoïde et la pie-mère; i° que la
moelle
épinière était transformée en une bouillie rouge
qu a partir de ce point j usera 'à la septième vertèbre cervicale, la
moelle
était réduite en pulpe rougeâtre; 4° que, depuis
On ne saurait méconnaître dans cette altération une apoplexie de la
moelle
, mais foudroyante, tellement que non-seulement la
; la désorganisation s'est faite d'abord à la partie inférieure de la
moelle
, d'où paralysie complète des extrémités inférieur
n s'est étendue rapidement de bas en haut; probablement la portion de
moelle
qui répond au nerf diaphragmatique, ou peut-être
cation donnée par M. Ollivier, dans son excellente Monographie sur la
moelle
épinière, au sujet du fait de M. Gauthier, et j'a
la gène apportée dans la respiration. Diagnostic. L'apoplexie de la
moelle
s'annonce-t-elle par des caractères tellement pos
Nous trouvons pour tout caractère une douleur vive à la région de la
moelle
qui est le siège de l'épanchement, douleur que le
du mouvement. Mais je ne vois là que des signes de compression de la
moelle
, et toute cause qui comprimera brusquement cet or
stance. A l'ouverture, nous avons trouvé la partie inférieure de la
moelle
cervicale et le commencement de la moelle dorsale
la partie inférieure de la moelle cervicale et le commencement de la
moelle
dorsale comprimés par une tumeur encéphaloïde qui
rtèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la quatrième côte. La
moelle
épinière comprimée à la fois par la tumeur encéph
donc bien difficile de distinguer les phénomènes de l'apoplexie de la
moelle
de ceux qui résultent d'une compression de cet or
roduisent des phénomènes instantanés ; il semble que le cerveau et la
moelle
puissent supporter sans danger un certain degré d
ent comme dans l'apoplexie. On pourrait confondre l'apoplexie de la
moelle
avec l'arachnitis spinal. C'était même là le diag
le sujet de la planche vi. J'avais annoncé que nous trouverions la
moelle
comme en gainée dans un canal pseudo-membraneux r
ssu cellulaire sous-ara chnoïdien, de même que dans l'apoplexie de la
moelle
, la douleur du racbis et des membres précède la p
ôt du sous-arachnitis spinal (*). Enfin toutes ces affections de la
moelle
épinière ont été prises pour des rhumatismes, mot
me hémiplégique ou paraplégique, tiennent toujours à une lésion de la
moelle
épinière ou de ses prolongemens cérébraux. L'épid
le poplité externe. Chez quelques-uns, la cause s'étant fixée sur la
moelle
épinière, il y a eu paraplégie : dans un cas malh
mieux du bulbe raehidien de terminaison, s'est étendue le long de la
moelle
épinière jusqu'à la partie moyenne de la région d
urines et des matières fécales. Peut-on méconnaître une maladie de la
moelle
? Les douleurs qu'éprouve le malade, homme de l'a
ées générales et locales, les dérivatifs (*) Ollivier, Traité de la
moelle
épinière, tome II, page 55(3. IIIe LIVRAISON. S
e efficacité toute particulière. Peut-on guérir d'une apoplexie de la
moelle
? Je n'en doute nullement, et je me fonde sur des
nde sur des cicatrices celluleuses rencontrées dans l'épaisseur de la
moelle
, sur la disparition de la substance grise remplac
emples dans un intéressant Mémoire de M. Hutin sur les maladies de la
moelle
épinière (*). Attendons au reste pour prononcer l
e 170. On lit aussi dans ce Mémoire le fait suivant d'apoplexie de la
moelle
épinière : Un vieillard de soixante-dix ans, dont
une forte noisette , un peu allongé dans le sens de la longueur de la
moelle
. Le voisi-k nage de ces deux épanchemens était un
t-il un léger coude AV, lequel ne devait pas notablement comprimer la
moelle
, d'où le défaut de paraplégie. Ce cas est un de
et cependant la consolidation s'est effectuée sans compression de la
moelle
épinière, et il y a eu ankylose. Tous ces débris
onne vertébrale. Le canal vertébral ouvert en arrière, j'ai vu que la
moelle
était aplatie, mais intacte et sans aucune espèce
urvation se fait brusquement et avec coude, d'où la compression de la
moelle
: si elle envahit un grand nombre d'os, le coude
mes s'allongent, les apophyses épineuses se recourbent. En un mot, la
moelle
peut continuer à être protégée même après la disp
e l'anneau vertébral est essentiellement un cylindre protecteur de la
moelle
: les grands surtouts ligamenteux antérieur et po
t jouissait de la liberté du mouvement des extrémités inférieures. La
moelle
peut s'aplatir légèrement, acquérir dans un sens
eloppées dans Vépaisseur du corps des vertèbres. -— Compression de la
moelle
. — Mort. Les figures i et 2 représentent un tes
rieuse,- elle fait partie de la 111e livraison (voyez Apoplexie de la
moelle
épinière). Je rappellerai seulement ici que, six
rtèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la quatrième côte. La
moelle
épinière était aplatie, mais non réduite en pulpe
e des vertèbres a été atrophié comme le tissu propre du testicule; la
moelle
a été comprimée, d'où la paralysie et la mort. Le
; lorsque c'est la portion d'arachnoïde qui recouvre le cerveau ou la
moelle
épinière, c'est sous cette membrane que le pus es
olivaires sont très-saillans; les pyramides antérieures atrophiées. —
Moelle
épinière saine. — Rien dans les autres appareils.
vides et communique avec le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la
moelle
épinière. J'ai coutume de décrire cette masse de
est étendu jusqu'au cerveau. 6e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. ( Arachnitis ventriculaire et spinale.
LLE ÉPINIÈRE. ( Arachnitis ventriculaire et spinale. MALADIES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. (PLANCHE III, VIe LIVRAISON. ) Spin
s plis et brides que présentait la surface interne de la tumeur. La
moelle
épinière et les racines des nerfs spinaux sont en
représente la face postérieure, la figure 2 la face antérieure de la
moelle
. Ge pus floconneux se prolongeait en avant (fig.
ite par M. Magendie, avec le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la
moelle
. Du reste le tissu de la moelle et du cerveau éta
su cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle. Du reste le tissu de la
moelle
et du cerveau était parfaitement sain. (*) Obse
e sérosité abondante, trouble et jaunâtre. Au niveau de la tumeur, la
moelle
épinière est divisée en deux cordons latéraux par
ier a disséqués, deux fois il a trouvé cette espèce de descente de la
moelle
allongée et du cervelet dans la partie supérieure
nières et qui m'a toujours donné les mêmes résultats. J'ai détruit la
moelle
du fémur, à la moelle j'ai substitué du mercure.
ours donné les mêmes résultats. J'ai détruit la moelle du fémur, à la
moelle
j'ai substitué du mercure. Les animaux (c'est sur
aucune altération, nous avons brisé le fémur et nous avons trouvé la
moelle
remplacée par une matière purulente qui infiltrai
a coupe d'un foie sain, c'est-à-dire un tissu spongieux analogue à la
moelle
du jonc. Considérations générales sur la cyrrho
dans les ventricules et dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien.
Moelle
épinière, saine ; ses diverses coupes sont sablée
u cellulaire sous-jacent CC, très injectés. Sang liquide entourant la
moelle
épinière. Fig. 2 et 3. Caillots de sang dans le
ioste et des os; la dure-mère rachidienne très distendue et bleuâtre;
moelle
nageant dans du sang liquide. Une couche mince de
sage. Ouverture. Sang liquide autour du cerveau, du cervelet et de la
moelle
. Grande quantité de sérosité sous l'arachnoïde. H
dien du cervelet présentait la même couleur vert sale que celui de la
moelle
. J'ai pensé que la couleur vert sale était l'indi
re : arachnitis spinale ; le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la
moelle
était infiltré de pus : le pus infiltré s'étendai
ous l'aspect d'une traînée *risàtre s'enfoncer dans l'épaisseur de la
moelle
. Les olives avaient leur volume naturel. Tuber-cu
ie. L'arachnoïde spinale fut enlevée au moment où elle se porte de la
moelle
sur le cervelet; et en écartant avec précaution l
ie du cerveau et intégrité du cervelet, de la protubérance et de la
moelle
(i). Ancelin (Alphonse), âgé de neuf mois , est
e. Le crâne ouvert, la dure-mère et la tente du cervelet incisées, la
moelle
coupée vers le trou occipital, la masse encéphali
let, membrane gélatiniforme, de forme demi-circulaire, )) tenant à la
moelle
alongée par deux pédoncules membraneux et gélatin
voyait l'orifice du canal de Sylvius; elle s'étendait un » peu sur la
moelle
, et altérait légèrement les corps restiformes, et
n'a pas été déterminée). Les artères vertébrales exis-)) taient : la
moelle
épinière n'a rien présenté de particulier, )) O
let, la membrane gélatiniforme, de forme demi-circulaire, tenant à la
moelle
alongée par deux pédoncules membraneux et gélatin
ns entamer leur continuité. 16e. Livraison. Pl. 4. MALADIES DE LA
MOELLE
ÉPINI È R E. Spina-Bifida MALADIES DE LA MOEL
MALADIES DE LA MOELLE ÉPINI È R E. Spina-Bifida MALADIES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE Spina bifida (XVIe livr., pl. IV.) EXP
de la tumeur ( fig. 5 ). Cette tumeur T L est renversée à gauche. La
moelle
M , M s'enfonce dans l'épaisseur des parois de ce
depuis la troisième vertèbre lombaire jusqu'au coccyx : la fin de la
moelle
vient se perdre dans la tumeur comme dans le cas
nches antérieures des nerfs correspondants. La fig. 4 représente la
moelle
et une coupe du cerveau chez le même sujet : la m
représente la moelle et une coupe du cerveau chez le même sujet : la
moelle
est en-gain ée dans une pseudo-membrane ou pus co
, et que la distension étant portée outre mesure, les membranes de la
moelle
feront hernie à travers les lames cartilagineuses
nterruptions qu'il présente entre les vertèbres? Les enveloppes de la
moelle
, distendues par le liquide, feraient-elles d'abor
quer et la formation de ces tumeurs, et sur-tout la disposition de la
moelle
et des nerfs à leur niveau, sans admettre une adh
des nerfs à leur niveau, sans admettre une adhérence préalable de la
moelle
et de ses enveloppes avec les téguments; adhérenc
nce antérieure à la cartilaginificationdes lames,qui maintiendrait la
moelle
hors du canal vertébral et s'opposerait par consé
résultat de cette réduction ; la compressibilité du cerveau et de la
moelle
permet de se rendre compte de ce phénomène. On
ntré : i° que cette disposition était constante, i° que chez tous, la
moelle
avec ses enveloppes, allait se perdre dans l'épai
dans l'épaisseur des parois de la tumeur, et que de cette portion de
moelle
quelquefois saine, d'autres fois atrophiée ou ram
ueue de cheval qui allaient se confondre avec la tumeur, mais bien la
moelle
elle-même. La plupart de ces dispositions anato
nnes nerveuses et vasculaires qui la traversent. Le déplacement de la
moelle
et son adhérence aux parois de la tumeur, ont été
e la découvre point tout entière , se demande si cet alongement de la
moelle
ne tiendrait pas à ce que des adhérences insolite
moelle ne tiendrait pas à ce que des adhérences insolites unissant la
moelle
aux parois de la tumeur, et celle-ci s étant accr
ant la moelle aux parois de la tumeur, et celle-ci s étant accrue, la
moelle
aura dû la suivre dans son développement. La vé
c'est que chez le fœtus , dans les premiers mois de la conception, la
moelle
occupe toute la longueur du canal vertébro-sacré;
anal vertébro-sacré; or, ne suit-il pas de la présence du corps de la
moelle
dans la tumeur , lors même que cette tumeur occup
tte même époque, des adhérences se sont établies. L'adhérence de la
moelle
avec la tumeur, l'altération qu'a subie son extré
Vient-elle des téguments? Vient-elle de l'irritation qu'exerce sur la
moelle
le liquide refoulé? Quoi qu'il en soit, l'influen
le cas représenté fig. 4, une fausse membrane verdâtre environnait la
moelle
dans toute salongueur: elle occupaitle tissu cell
bien la formation, si l'on considère la laxité de l'arachnoïde de la
moelle
au moment où elle se réfléchit sur le cervelet; c
e certaine compression. Ruysh parle d'altération considérable de la
moelle
qu'il aurait observée dans un cas de spina bifida
ne balle de pistolet. En incisant la protubérance et la queue de la
moelle
alongée, on voit un 4e tubercule qui soulevait la
vent occuper le cerveau, le cervelet, la protubérance annulaire et la
moelle
épinière : il n'est aucun point de l'étendue de c
nte le corps des vertèbres nos 11, 11, il, des fragments desséchés de
moelle
n° 12, contenus dans la gaine fibreuse formée par
oreilles, du nez, de la bouche : point de cerveau, de cervelet, ni de
moelle
; la langue pouvait être reconnue. Point de vestig
e aréolaire : le cylindre médullaire était rétréci à ce niveau, et la
moelle
pénétrée de sérosité. Dans le cancer par masses
5e vertèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la 4e côte : la
moelle
épinière était comprimée. Tous les autres organes
ieur, présentaient à l'intérieur une masse fibreuse qui remplaçait la
moelle
de ces os. Le foie était occupé par une multitu
sible que cette fracture fût postérieure à la mort de la malade. La
moelle
, dans l'intervalle des tumeurs et au-dessous, éta
st raide et comme d'une seule pièce. On soupçonne une affection de la
moelle
, et on applique un sinapisme le long de la colonn
ièrement disséminées. Les autres parties du cerveau sont saines. La
moelle
n'a pas été examinée. Reflexions. — Cette obser
ux de communication entre ces ganglions............. Maladies de la
moelle
épinière. Apoplexie. Observations et considératio
très lente, très régulièrement étendue à tous les faisceaux de la
moelle
, et, si les cellules nerveuses souffrent de la ci
euses. Enfin lorsque la lésion des gros vaisseaux nourriciers de la
moelle
, artères ou veines, prend une importance prépon
foyers de ramollissement, par thrombose. Ce qui est établi pour la
moelle
est loin de l'être aussi bien pour le cerveau ;
uvait dans certaines lésions des gros vaisseaux du cerveau et de la
moelle
. L'Observation II a déjà été publiée, à un autr
le, la myélite, au lieu d'être étendue à tous les faisceaux de la
moelle
, comme c'est l'habitude, se cantonnait presque ex
idien ne présentent rien d'anormal. A la partie posté- rieure de la
moelle
, dans la moitié inférieure de la région dorsale,
l'espace situé entre les émergences des racines postérieures. La
moelle
ne présente pas d'autre lésion macroscopique appr
dans les différentes parties de l'écorce, dans le bulbe et dans la
moelle
; la région de l'aqueduc de Sylvius a fourni dan
d en outre à tout le reste de l'axe nerveux, en constituant dans la
moelle
une méningo-myélite dif- fuse qui répond de tou
rveau et, plus accusée encore, dans la protubérance, le bulbe et la
moelle
où nous la retrouverons tout à l'heure. Dans l'
ule supérieur contient une petite gomme; lésion des vaisseaux de la
moelle
. 7M ? M<o.N/MM de Delalield, éosine. (Obj. 0
rcolemme dans ceux qui dépendent du moteur oculaire commun droit.
Moelle
. La lésion vasculaire et méningée se continue dan
Moelle. La lésion vasculaire et méningée se continue dans toute la
moelle
, mais avec une intensité beaucoup plus grande d
. La névroglie n'a, pour ainsi dire, pas proliféré, mais toute la
moelle
est comme imbibée d'un exsudat amorphe, qui écart
tails sur les coupes colorées au carmin. Les éléments nerveux de la
moelle
ont en vérité peu souffert; les cellules se col
les coupes Archives, t. XXVII. 2 , Fig. 7. Sillon antérieur de la
moelle
(région dorsale supérieure); la lésion veineuse
la base du cerveau et de la région dorso-lombaire postérieure de la
moelle
. Ici nous voyons sur certaines veines une infiltr
celle des artères, à la base du cerveau comme à la surface de la
moelle
. Chose remarquable, elle est à peu près indépenda
arrière, que les lésions veineuses sont les plus marquées, dans la
moelle
, tandis que la méningo-myélite est à son maximum
es. On ne trouve aucune lésion sur la coupe des ' hémisphères. La
moelle
ne parait pas diminuée de volume; elle est flasqu
tes d'accroissement parfaitement nettes. Examen après durcissement.
Moelle
. Les cordons postérieurs sont du haut en bas le
sentent une tache claire à leur centre. ri. 1 ? . Observation II.
Moelle
lombaire ; sclérose des zones radiculaires et des
n de Goll, surtout à droite. D'ailleurs dans toute la hauteur de la
moelle
la lésion est plus avancée à gauche qu'à droite.
uter que ces constatations ont été faites d'abord sur les coupes de
moelle
et vérifiées ensuite sur des dissociations des ra
lésions vasculaires du cerveau dans la paralysie générale et de la
moelle
dans la méningo- myélite embryonnaire syphiliti
a que très peu de méningite comparativement à l'intensité Fig. 15.
Moelle
cervicale; lésions vasculaires dans les faisceaux
quable, elle ne prédomine nullement dans le segment postérieur delà
moelle
. Enfin, bien qu'au premier abord la lésion vasc
urés de fibrilles névrogliques, comme on l'observe souvent dans les
moelles
qui ont une lésion quelconque en un autre point
u sacrum et au trochanter droit. Pas de lésions dû'racbis. ., , La'
moelle
, est molle, de, volume nor- mal ; elle, âuiï, a
dès le milieu du renflement cervical ; a la partie supérieure de la
moelle
dorsale, la sclérose parait "envahir; la ' plus
il,, * 'TH Il. 3 Il /( -item,- '^f( n* 1 1 Examen hislologique. La
moelle
présente uii fo3,et- de m3,éliLe scléreuse éten
., 1 1 -jt> Z A*l lu(, IL16tu colorée par la méthode de Pal, la`
moelle
est marbrée de tachés, qui prédominent" dans le
es con- sécutives à des lésions'de iacines situées trcs bas dans la
moelle
, j- sous forme d'un triangle' étroit' dont sa p
rect est abso- lument intact. ,- ' - Si l'on étudie maintenant la
moelle
à l'aide de forts grossisse- ments/on constate
te, tout en se continuant jusque dans les régions supérieures de la
moelle
. Les, veines, qui accompagnent les artères, por
s minces, hyalines et leur calibre est'énormément dilaté. Dans la
moelle
,- au niveau du point le plus malade, les vaisseau
intense., Les mêmes lésions vasculaires se retrouvent dans toute la
moelle
, mais avec une intensité beaucoup moindrë'et"un
grandes et petites, t'sont'-Uésées'dans'fa plus grande partie de la
moelle
, depuis la f région ! lombaire'jusque très haut
e la moelle, depuis la f région ! lombaire'jusque très haut'dans la
moelle
cervicale ; c'est naturellement1 au' niveau' du
s, mais seulement un certain nombre,,qui varie avec;le niveau de la
moelle
; 'tous» les j"\ Z groupes cellulaires sont atte
de Clarhe, qui présentent une situation un peu anormalo dans^cette
moelle
, participent à l'altération ? t1·leq ·atmg otMJf'
> "'fy df'ul n ? ") ? t'T"T ? n ? T Revenons a la syphilis. La
moelle
est le siège d'une méningori tnÿélitekembrÿônna
naires de la méningo-encé- phalite diffuse syphilitique, et dans la
moelle
des lésions tabé- tiques qui me paraissent indi
interprétation, c'est la présence) dans les autres cordons ' de la
moelle
, de quelques capillaires qui'presentent/çà et là'
par les progrès de la cachexie tuber- culeuse. ' ? '. ' i ? z Sa
moelle
est le siège d'une myélite 'scléreuse diffuse, as
ions transverses; je l'ai déjà vue dans un cas de compression de la
moelle
par une tumeur, mais bien moins développée et b
et bien moins régulière. .Sans doute ici l'altération diffuse de la
moelle
l'a favorisée ; d'ailleurs la durée de la malad
faisceau pyrami- - dal direct n'est pas atteint ; et la forme de la
moelle
ne permet 'pas de supposer que l'entre-croiseme
observé ces formations névrogliques dans le cas de tumeur .. de la
moelle
. auquel j'ai fait allusion plus haut, mais elles
les pourraient être sous la dépendance de cellules des cornes de la
moelle
. Kôlliker, dans la dernière édition de son imité
l. Sottas dans quatre cas de lésion syphilitique trans- verse de la
moelle
épinière. (Soc. de Biol., 25 nov. 1892.) . , 13
a lésion cérébrale était associée à diverses lésions diffuses de la
moelle
, que l'on s'accorde aujourd'hui à > regarder
ces associations sont rares, et, en pratique, lorsqu'on examine la
moelle
des paraly- tiques généraux,' on trouve soit le
peut rencontrer un léger processus inflammatoire étendu à toute la
moelle
cervicale et dorsale. Ces lésions anatomiques p
s, multiplication des noyaux dans la paroi du canal central de la
moelle
. P. K. XII. DES troubles mentaux dans la maladi
51 hissement d'emblée par l'affection d'une portion tendue, de la
moelle
; la disproportion entre l'intensité du processus
tactile. Cette asso- ciation' de - 1'liémort-lia-ie centrale de la
moelle
à la gliomatose vraie, sous l'influence d'un tr
On diagnostique une hémorrhagie en tuyau sur toute la hauteur de la
moelle
. L'autopsie montre en effet le sang ensaucisson
ce d'une lésion tout à fait localisée de la partie supérieure de la
moelle
, au niveau des deuxième et troisième paires dor
sans aucune impulsion à l'acte. En d'autres termes, c'est tantôt la
moelle
, tantôt le cerveau antérieur, seul ou associé à
tantôt la moelle, tantôt le cerveau antérieur, seul ou associé à la
moelle
, qui entrent en jeu, sous l'influence de l'inst
s 'apparu singulièrement intéressante ; chez lui, c'est d'abord'la"
moelle
"qui entre en jeu, d'où l'éveil pré- coce des ap
nanisme/ lés perversions génitales ' de toute espèce; let ènéôre"lâ
moelle
n'agit-elle que par' cer- tains de ses centres,
lés,rdifTéfe'rites opinions,'1 tend à localiser 1'afrectiondansja'
moelle
? lé1 bulbe" et' la'1 protubérance.1 Les dégéné
ction delà névroglie centrale : depuis l'extrémité supérieure de la
moelle
cervicale. A la hauteur de la dixième paire dorsa
paraissant due' 'l'ex tensio r'dè»s'l é'si'o'n"s ? qù radial sur la
moelle
. Plus tard, il ' sembla que la corne antérieure
de l'éminence théiiar, de'ee côté (paralysie par. propagation à la
moelle
),danslé grand pectoral droit (myopa- thie primi
On constate à l'atitopsiefà(,» l'hyper-émie, des méttingesiet'-deia
moelle
, des masses caséeuses entre l'arachnoïde. et le^
ingomyé)ie)durenflement cervical et,deflapartie, supé- rieure de la
moelle
dorsale a pour symptômes ^l'atrophie, muscu- la
est particulièrement dif- ficile quand il y ad;autres lésions de la
moelle
,) telle que l'hyper- 192 t REVUE, DE IPATHOLOGI
qui occupe toute une corne postérieure sur toute la, hauteur de la
moelle
et produit exclusivement des troubles de la sen
èse-n ' 1 erp e ce de la commissure dans la"p'aiLie'mo3,eiine de la
moelle
dorsale";1 2° la dégénérescence des colonnes de
iilr;3·to'r 4'l' Y).t ? m r VIII. LES racines POSTÉRIEURESJ,DE la (
moelle
ET LANATODiIE PATIiO ? logique du tabès dorsal;
ion; se compose des fibres des racines postérieures du seg- ment de
moelle
en question qui affectent, dans lazone radiculair
celle des fibres radiculaires émanées des parties inférieures de la
moelle
; sur la ligne médiane; celle des racines entrant
sur la ligne médiane; celle des racines entrant dans le segment de
moelle
'déterminé ;' survie bord' médian de la' corne
fibres' dégéné- rées dans la partie antérieure du faisceau de Goll (
moelle
cervicale), parce'que'Ià au faisceau de Goll s'
nes. postérieures marchent parallè- lement aux ialtérationslide, la
moelle
. (Pas d'altérations marquées des ganglions spin
uelle qu'elle soit agit surtout'sur les. cordons' postérieurs de la
moelle
et, par- continuité; par l'intermédiaire dés ra
es ravages. ,;Mieux encore, dans le ? voisinage de la lésion.de· la
moelle
, se dévetoppe une périnévrite qui, graduellement,
e la phonation' de la respiration, dysar- thrie.'àlort."Azttopi,ë ?
Moelle
lésioÏÏ dë, cellules des cornes anté- rieures (
ant d'une' localisation Il insolite des lésions'en question dans la
moelle
,soit in situ, s'oit par expansion, ou de la com
imo,Déjerine et Soltas) ; 2° gliose atteignant les deux côtés de la
moelle
cervicale et la substance grise de la`moelle do
t les deux côtés de la moelle cervicale et la substance grise de la`
moelle
dorsale d'un"côté sur une1 longue étendue, ou u
"côté sur une1 longue étendue, ou une seule corne postérieure de la
moelle
dorsale ; 3° cas particulièrement difficiles da
iciles dans lesquels la" lésion,1 en forme' de tumeur, fuse dans la
moelle
dorsale inférieure et monte ensuivant la corne
le centre de la vessie, dnr rectum;l'de91'érectiônnoccupe dans la'
moelle
sacrée la- région originaire 'des quatre premiè
arties moyennes des zones radiculaires ;4 atteinte,s précoce) de la
moelle
cervicale'^ plus' âtteintenque'lestpartiesr,iuf
oelle cervicale'^ plus' âtteintenque'lestpartiesr,iuférieures de la
moelle
(processus' plutôt : descendant qu'ascendant) ;
iresisolés';ttJrl tf.j ? a ? )9=a') ! (n'i. 'tz4odie31.4au9a ? T La
moelle
cervicale est plus fortement atteinte queF la moe
1.4au9a ? T La moelle cervicale est plus fortement atteinte queF la
moelle
lombaire,'et cependant les extrémités supérieur
s racines antérieures avec le nerf spinal, soit sur le rebord de la
moelle
; pour la majeure partielle grand axe, est parallè
t xoBam). ^'XL. DE l'hétérotopie detlaI substance GRISE,DANS la<
moelle
; lu- , v ? u par P. KIioNTH : IL.' (Neurolog :
lle soit), agit principa- lement sur les cordons postérieurs de la,
moelle
et, par continuité, par les racines postérieure
ses ravages. Mieux encore : dans le voi- sinage de la lésion de la
moelle
se développe une périnévrite qui, graduellement
grosseur du canal centéâl'fait`-resseml)lér'leTôné terminât'à'la
moelle
foetale. Les''cellulês9de'la corne 'postérieure y
* .tf)n ? i " " i>" ,'jj ? 1 ' ? ', XLVII. Sur les courbes DE la
moelle
epiniere chez l homme; partie », , D'fa,rzY. (R
-b .4j ? ar ? fcf tb ? ],11'm" rrt. , XLV111. Dégénérescence DE la
moelle
ÉPINIÈRE dans l'empoisonnement , expérimental p
atellaire. A : l'autopsie on constate : à toutes les hauteurs de la
moelle
il y a lésion de' la zone' radiculaire po'stéro-m
avec laquelle l'ergotisme- atteint les cordons postérieurs de la
moelle
, mais sans caractère progressif. P. K. IL Notes
t, d'examiner la protubérance, le bulbe, ia partie supérieure de la
moelle
, le cervelet. Enfin si la coloration ou la cons
nert; elle est très rare dans les grandes cellules pyramidales. -
Moelle
. On constate, surtout dans la région lombaire, un
dégénérescence des,cordons latéraux^et, des : dons postérieurs de la
moelle
. ^ j-, ? ,,tir<,a,x. ? 8'; - uJ- Lorsque la
l sur un'carton au coin duquel on inscrit sa'spêciR- cation. Pourra
moelle
on a pour"points de repère le numéro du nerf sp
r|>i«'j ., ). ' , ? z 1 P. Marie. Leçons sur les maladies de la
moelle
, 1892, p. 211. 414 7 ? q b 1 u E ;NERVEUSE.gM&a
de barrière infranchissable entre les parties .constituantes de la
moelle
, 'comme, entre la moelle et le cerveau. C'est ce
ble entre les parties .constituantes de la moelle, 'comme, entre la
moelle
et le cerveau. C'est ce dont témoignent les cas
-musculaire, de sclérose, multilocu- laire portant à la fois sur la
moelle
et le cerveau, de tabes à l'autopsie( desquels
syphilis paraît très plausible. ' In Leçons sur les maladies de la
moelle
, par Marie, 1892, p. 362. FI ' . 1 ..y ? v n
ralysie .agitante, crampes professionnelles); 2° les maladies de la
moelle
(ataxie locomotrice, paralysie infantile, hémorra
, principales ? Recherches^ et expériences sur la physiologie de la
moelle
épinière 1846; "Recher- ches sur la physiologie
de la moelle épinière 1846; "Recher- ches sur la physiologie de la
moelle
callongée, 4849 ? De la trans- mission des impr
gée, 4849 ? De la trans- mission des impressions sensitives dans la
moelle
épinière, 71849; -7- De la transmission croisée
sphères cérébraux, par Matett, 208 ; de la substance ' grise'de)a
moelle
; par Kronthal, '219." " - ' Homicide," sur un
52; formules contre la , 399. MiRROv-WRiTUNG/ par'Ireland, 382.
Moelle
, des, courbes de la '- chez 1'liomme, ". par T;
hilitique, par ''Nonne,' 185.' Les racines ' posté- rieures de la
moelle
et l'anatomie '< pathologique du dorsal, par
arachnoïdienne irritant les méninges du mésocéphale et celles do la
moelle
. Quant aux crises convulsives, elles sont ! reg
néraux exempts de toute complication par névrose ou affection de la
moelle
, afin d'avoir des résultats appartenant exclusi
des sphincters sont sous la dépendance de l'infiltration soit de la
moelle
, soit des racines créée par la méningo-myélite
iant cette masse grise aux masses grises du pont de Varole et de la
moelle
allongée. Dans aucune de ses expériences. l'aut
ts des jambes. Après une étude microscopique assez complète de la
moelle
l'au- teur conclut ainsi : Endartérite et dégén
lut ainsi : Endartérite et dégénérescence hyaline des artères de la
moelle
et des méninges, méningite légère, infiltra- ti
dans la région dor-ale supérieure. Sclérose de la périphérie de la
moelle
dans les cordons latéraux dans toute la région
icaux postérieurs médians. C. SCHÉPILOFF. VIII. La géographie de la
moelle
épinière ; par BENOIT. (Union mé- dicale du Can
cours sur les maladies du système ner- veux et en particulier de la
moelle
épinière. Exposé très clair des connaissances a
cal, il y avait une sclérose intense des faisceaux pyramidaux de la
moelle
, et aucune trace de cette sclérose'au- dessus -
n'y avait ni hémiatrophie, ni hémisclérose des pédoncules et de la
moelle
, mais le cervelet était asymétrique. Ainsi des
aisceaux. D'autres auteurs ont montré que la section complète de la
moelle
détermine la perte des réflexes au-dessous de l
lus que probable, les rares fibres corticales qui pénètrent dans la
moelle
viennent de portions de l'hémisphère non direct
ettre qu'une irritation de quelque importance passe du cerveau à la
moelle
, et il faut se rattacher à la théorie suivant l
re des cellules de purkinje. Tous les fais- ceaux cérébelleux de la
moelle
, surtout les directs, sont fortement atteints ;
, surtout les directs, sont fortement atteints ; la neuroglie de la
moelle
est notablement accrue et dans toute la moelle,
; la neuroglie de la moelle est notablement accrue et dans toute la
moelle
, le nombre des corps amyloïdes de Redlich est é
ent complètement dégénérés, même dans les régions inférieures de la
moelle
, l'auteur a suivi de bas en haut avec une nette
ifications morphologiques des cellules des cornes antérieures de la
moelle
en action; par J. LUXEM13LTIiG. (Neuro- log. Ce
transverse, l'influence des centres situés au-dessus du segment de
moelle
qui commande à la fonction motrice des pattes p
es de tubes de verre. Ceci fait, on tue l'animal en sectionnant. la
moelle
cervicale ; le segment inférieur r de la moelle
en sectionnant. la moelle cervicale ; le segment inférieur r de la
moelle
est enlevé et placé dans le liquide de fixation,
: 1° La provision d'énergie potentielle des cellules motrices de la
moelle
est contenue dans la substance chroma- tique ;
s corticaux d'un hémisphère vient de constater que la cellule de la
moelle
prend un aspect finement grenu, et que, par con
le tonus et la contraction réflexe persistent encore (section de la
moelle
), mais le processus est le même. La genèse de c
ar des perturbations vaso-motrice s engendrées par la section de la
moelle
ou par l'interruption du faisceau pyramidal dan
larisation excessive de la surface du cerveau, du cervelet et de la
moelle
. F. B. XIII. Neurasthénie et hystérie traumatiq
sibilité tactile cor- respondant à la disposition segmentaire de la
moelle
, ou au territoire innervé par les racines dorsa
dres) ; 5° Des lésions non tabétiques des cordons postérieurs de la
moelle
. Rapporteurs : Bruce (d'E- dimbourg), Hômen (He
e Moscou). Les lésions non tabétiques des cordons postérieurs de la
moelle
. Rap- porteurs : MM. Ch. Dana (de New-York), Br
ésies cutanées et viscérales profondes. Autopsie. Inté- grité de la
moelle
, par les Drs Joffroy et Gombault (de Paris). Le
Leur siège est également variable; c'est en général au niveau de la
moelle
, mais ce peut être également dans le corte et les
aide de la méthode de Golgi. Seuls les noyaux gris de la base et la
moelle
allongée sont profondé- ment altérés mais uniqu
ution. Analgésies cutanées et viscérales profondes. Intégrité de la
moelle
. MM. JOFFROY et Gombault (Paris) rapportent l'h
s grains chroma- tiques dans les pyramidales grandes et géantes. La
moelle
est indemne aussi bien dans sa substance blanch
ieurs sont aussi richement pourvus de fibres à myéline que dans une
moelle
nor- male. Les racines antérieures et postérieu
s. De l'encéphale, on ne connaissait que l'anatomie grossière. La
moelle
était considérée comme un prolongement du cerveau
es congestions, de l'inflamma- tion, des productions morbides de la
moelle
et de ses enveloppes, de l'atrophie et de l'ind
ennent leur origine dans la substance grise. Ils soutenaient que la
moelle
n'est pas un simple prolongement du cerveau, com-
des racines postérieures et des faisceaux blancs dont se compose la
moelle
, les travaux de ces deux illustres physiolo- gi
'axe spinal. A l'époque dont je parle, on entrevoyait déjà, dans la
moelle
, un centre immédiat de mouve- ments, mais on s'
Cette manière d'envisager l'organisation et le fonctionnement de la
moelle
se reflète dans les traités de pathologie nerveus
, dans les classifications adoptées pour l'étude des maladies de la
moelle
. Vers 1830, la conception,. par trop vague, qu'
econde moitié de ce siècle, la structure intime du cerveau et de la
moelle
nous était connue dans ses traits essentiels. D
partie. Wa- gner l'avait formulée en ces termes : le cerveau et la
moelle
se réduisent à des agglomérations considérables
t constaté l'existence d'une atrophie des racines antérieures de la
moelle
, dans un cas d'atrophie mus- culaire progressiv
t de l'atrophie des racines antérieures devait être cherché dans la
moelle
. En 1860, Luys fut plus affirmatif. Il avança q
ança que la dégénération des cellules des cornes antérieures de- la
moelle
constituait la lésion anatomique principale de l'
e lésion des cellules tropho- motrices des cornes antérieures de la
moelle
. Au cours de cette même période, une origine an
de simple raisonnement, à placer le siège de cette maladie dans la
moelle
. De par les observations de Cornil, de Prévost
'étude des dégénérescences secondaires, qu'on voit survenir dans la
moelle
, avait été amenée à un point d'avan- cement qui
s grandes lignes, tels que nous les voyons encore aujourd'hui. La
moelle
nous apparaissait définitivement comme un assem-
es. Ainsi prit corps la doctrine des affections systématiques de la
moelle
. Une semblable conception de l'organisation arc
une organi- sation analogue à celle que l'on connaissait déjà à la
moelle
. La doctrine des localisations cérébrales était
sence des mouvements ne reste pas sans influence sur les os et la
moelle
osseuse, par conséquent sur la composition du san
ne dimension pour des cerveaux d'imbéciles, le pont de varole et la
moelle
seuls étant très petits, pesant dans chaque cas
ement atrophiées dans leur trajet bulbo-protu- bérantiel et dans la
moelle
(faisceaux pyramidaux croisés). Les noyaux des
s, vul- garisées par Charcot, sur les voies de conductibilité de la
moelle
et du cerveau, d'après l'histoire de leur dével
s centres nerveux ; ses travaux sur les lésions systématiques de la
moelle
(1877-1878), sur les lésions du tabès, sur l'an
t plus grande lorsqu'elle est volontaire ou quand elle porte sur la
moelle
que lorsqu'on la localise sur le nerf ou sur le
ges des sinus de la-- dure-mère de la sur- face du cerveau et de la
moelle
. On trouve, aussi sous les méninges cérébrales
correspondent à la classe des atrophiés simples sans lésions de la
moelle
et que jusqu'à présent la réaction de dégénéres
nnervation motrice des extrémités. De l'élongation permanente de la
moelle
dans l'ataxie et les myélopa- thies scoliogèies
ies; par CIIIPAULT (de Paris). « L'élongation intermittente de la
moelle
par suspension (Moczu- kovski) ou par flexion d
affections qu'il s'agit de traiter. L'élongation permanente de la
moelle
remédie à ces deux inconvénients. L'élongation
lle remédie à ces deux inconvénients. L'élongation permanente de la
moelle
est obtenue par le port d'un appareil plàtré sp
ériques ont montré que l'appareil produit un allongement réel de la
moelle
. Les observations cliniques démontrent des modi
Mais s'il s'agit de suivre le trajet des fibres à l'intérieur de la
moelle
, il faut pous- ser plus loin la différenciation
décoloration complète ou presque complète des parties isolées de la
moelle
. On constate alors que les différentes parties
s de la moelle. On constate alors que les différentes parties de la
moelle
se comportent de manière toute différente vis-à
niveau de la substance grise. Rapprochant cela du fait que dans la
moelle
certaines formes de syringomyélie dites myélite
sont en relation avec un processus pathologique différent dans la
moelle
. 11 divise ainsi en trois types les cas de paraly
stérieurs ; Deuxième type. Paralysie avec sclérose latérale de la
moelle
: les réflexes sont exagérés; Troisième type. F
sont exagérés; Troisième type. Forme cérébrale : les cordons de la
moelle
sont intacts, les réflexes rotuliens nor- mau
sseur Oppen- heim; les conférences publiques sur les maladies de la
moelle
par les professeurs Jolly, Oppenheim, Leyden ;
dont la voie mène directement à travers la substance grise de la
moelle
, à la hauteur des deuxième et quatrième racines l
au cerveau, ou d'une excitabilité accrue des éléments nerveux de la
moelle
séparée des centres supérieurs. 4° Le tonus m
être causée par shock nerveux ou par une lésion secondaire de la
moelle
. . 7° L'abolition des réflexes tendineux en cas
uve d'une division transversale totale des éléments nerveux de la
moelle
. 9° L'abolition des réflexes patellaires dans l
tion des réflexes patellaires dans les lésions trauma- tiques de la
moelle
cervicale ou dorsale est une preuve clinique qu
ale ou dorsale est une preuve clinique que la substance grise de la
moelle
lombaire est aussi atteinte; cette extension du
réflexes palelluires après la section transversale et totale de la
moelle
au-dessus des lombes; par Bruns (de Ilanovre).
s réagissent sur les cellules motrices de la corne antérieure de la
moelle
par deux voies nettement dis- tinctes : la voie
bro-spinale. Ces deux voies descendent dans le cordon latéral de la
moelle
épinière où elles sont formées toutes les deux
ne témoin de l'activité réflexe exagérée du tronçon inférieur de la
moelle
lésée. Mais cette exagération dans l'activité r
moelle lésée. Mais cette exagération dans l'activité réflexe de la
moelle
ne s'ap- plique pas aux réflexes physiologiques
ique qui se produit par suite d'une dégénération ascen- dante de la
moelle
. M. 0. VoGT (de Berlin). A propos du rapport de
pport et entre autres la description du cas de section totale de la
moelle
que j'ai observé. Quant aux mensura- tions du t
n'ai pas dit que dans les cas de lésion transversale complète de la
moelle
, toute réflectivité médullaire était abolie. Ce
etc. Ces réflexes normaux sont abolis. Le tronçon inférieur de la
moelle
présente, dans ces conditions, une réflectivité
ollet du bulbe et descendent dans les cordons antéro-latéraux de la
moelle
. Ces libres présentent dans leur existence même
a partie postérieure et moyenne du cordon latéral homolatéral de la
moelle
, c'est-à-dire dans la région 504 congrès intern
collet du bulbe, descendent dans la substance grise centrale de la
moelle
, puis réintègrent le faisceau pyramidal croisé
tègrent le faisceau pyramidal croisé aux différentes hauteurs de la
moelle
cervicale inférieure ou dorsale supérieure. Le
collet du bulbe a\ec les fibres du faisceau pyramidal croisé de la
moelle
épinière. La connaissance du système des fibres
t sur Les lésions 1lOn-tabélirlues des cordons i)os- térieurs de la
moelle
; par M. BRUCE (Edimbourg). Le sujet sera discu
: 1° les lésions des racines posté- rieures, 2." les lésions de la
moelle
elle-même qui interrompent la continuité des co
ne ou de plusieurs racines qui ont été lésées à leur entrée dans la
moelle
, soit par tension produite dans les leptoméninges
Le fait que la dégénérescence s'étend autour de la périphérie de la
moelle
sans se limiter au septum, mais correspond à la
tribution à l'étude des tumeurs du ceiveau et des altérations de la
moelle
concomitantes ; par A. Schule. (iS'euro- lo;i5c
ule. Il existe une. dégénérescence des racines postérieures de la
moelle
, elle a dû être déterminée, d'après l'auteur, par
ression cérébrale : celle-ci aurait exercé sur la circulation de la
moelle
une gêne aboutissant à l'oedème de l'organe, sa
git en l'espèce d'une méningite localisée des méninges molles de la
moelle
; il en résulte une lésion des racines postérieu
racines postérieures et d'une partie des racines antérieures de la
moelle
; sous l'influence de la série des réactions Ar
et surtout des cordons postérieurs et des faisceaux pyramidaux (la
moelle
étant surtout en jeu ici). Seulement ce ne sont p
nou présente de bien plus grands changements dans la syphilis de la
moelle
, que dans des hémorragies apoplectiques. ou dan
e syphilitique (dû à une affection syphilitique des vaisseaux de la
moelle
) le phénomène du genou fait défaut sans qu'il s
e la muqueuse buccale est sensibilisée par un côté du bulbe et à la
moelle
cervicale. Et il est probable que la muqueuse d
t que les organes tirent leur sensibilité d'une autre hauteur de la
moelle
, soit que la lésion ait épargné certains segments
t très probablement hystérique. Psamm6me des méninges comprimant la
moelle
. M. Touche présente les photographies de coupes
oupes se rapportant à deux cas de cette affection affectant l'un la
moelle
dorsale, l'autre la moelle lombaire et ayant do
cas de cette affection affectant l'un la moelle dorsale, l'autre la
moelle
lombaire et ayant donné tous les signes de comp
naires du -, part'. Marie,42t. Tumeurs du - et altérations de la
moelle
concomitantes , par Sclmeler, 512. Ciiohée ma
électro- phvsiologic et d' -, par Itégnier. 397. ELOwTIOV de la
moelle
dans les Illyoelopathies -, par Chipault, 421
liscUer, 156.. 311cRoro'IE pour cerveau, par Na- geotte, 426. -
Moelle
émnunE. Géographie de la , par Benoit, 126. M
Question des rapports des pa- tellaires après la section de la
moelle
, par Bruns, \97. - cutanés et tendineux, par va
de membranes, ces îlots sont identiques à la substance grise de la
moelle
épinière, ainsi qu'aux ganglions cérébro-spinau
eu de chose près,à celle des fibres des racines antérieures de la
moelle
épinière. Ces tubes nerveux sont assez unifor-
ompose d'un double ré- seau, à l'instar de la substance grise de la
moelle
épi- nière. L'un de ces réseaux est formé par l
sie révèle : uno atrophie de la région thoracique et lombaire de la
moelle
en partie ramollie, une coloration gri- 90 REVU
nal est moindre (lie ventricule) reparaissent à mesure que, dans la
moelle
, le diamètre de ce dernier augmente et s'accom-
cn- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 91 dyme. Môme mécanisme pour la
moelle
; de sorte qu'à l'hydro- céphalie se joint l'hy
rcir le diagnostic. Cu. F. XVII. SUR UNE lésion DE l'axe GRIS DE la
moelle
épinière dans un cas DE SYPHILIS RÉCENTE ; par
ans certaines affections cutanées. Il a eu l'occasion d'examiner la
moelle
d'un individu atteint de syphi- lide papulo-squ
lo-squammeuse. Sur certaines coupes de la partie in- férieure'de la
moelle
dorsale, on constatait que les cornes an- térie
pathologique. Dans" l'a"'méme,réal9'n'; la substance blanche .de^la
moelle
était vascularisée, son tissu conjonctif était
tées dans l'urne étaient : 4 Il concours : Nerf pneumogas- trique ;
Moelle
épinière ; 2° concours : Moelle épinière (anato-
concours : Nerf pneumogas- trique ; Moelle épinière ; 2° concours :
Moelle
épinière (anato- mie et physiologie); Artères d
ves de Neurologie. Gowens (W. R.). Du diagnostic des maladies de la
moelle
épinière, traduit de l'anglais par 0. Jexwxcs.
légie et secon- dairement une sclérose fasciculée descendante de la
moelle
. I. Il est probable, dans notre cas, que c'est
ouche optique et du corps strié (Faj. 9 et 10), s'est propagée à la
moelle
en atrophiant sur son passage une partie de la
es noyaux lenticulaires et les couches optiques; tout le long de la
moelle
, prolifération cel- lulo-granuleuse localisée,
es analytiques. 230 SOCIÉTÉS SAVANTES. rieure et inférieure de la
moelle
allongée, conformément au diagnostic porté. C'e
de cette paralysie partielle en faveur d'une lésion nucléaire de la
moelle
allongée. Au cours de la discussion, à laquelle
les rapports anatomiques qu'affecte la région en question avec la
moelle
allongée (trajets des fibres nerveuses). Séance
dériverait d'une lésion du centre dilatateur de la pupille dans la
moelle
ou des nerfs qui en dépen- dent (Erb). Le syn
'altération des cordons- postérieurs remonterait environ jusqu'à la
moelle
allongée. Il termine en proposant, pour mesurer
qui, dans le tabes, la paralysie des fibres oeulopupillaires de la
moelle
cer- vicaleassure la prééminence du nerf oculo-
g) : sur une anomalie de formation particulière du cerveau et de la
moelle
. Cette observation qui sera publiée in exteîîso
a se trouve notamment à découvert de ce côté; absence d'aphasie. La
moelle
est double à la région lombaire, bien que le ca
ommande au Congrès un appareil à placer des coupes de cerveau et de
moelle
dans leur ordre sériaire respectif : il s'agit
ns- titué presque de toute la masse des cordons postérieurs de la
moelle
dont il formerait en même temps le prolongement a
is sur treize sujets une anomalie de formation du cervelet et de la
moelle
allongée, consistant pour le premier cas en la
ar une hypertro- phie cérébelleuse considérable. A l'état normal la
moelle
allongée de la grenouille beye largement à la r
h. Rumpf. La double série d'expériences envisagées ici a trait a la
moelle
et au cerveau. Elles démontreraient qu'une doub
lle et au cerveau. Elles démontreraient qu'une double section de la
moelle
pratiquée transversalement à la région cervical
sensibilité. Inversement l'interrup- tion des faisceaux moteurs, la
moelle
segmentée conservant, dans les mêmes conditions
et même persistante des autres systèmes ; 4° La conjonction de la
moelle
avec les cordons moteurs suffit pour en conserv
me nerveux central, le résultat de l'examen pratiqué par lui sur la
moelle
des individus morts. Il a trouvé et montre aux
dach. Mais il était facile de le suivre dans toute la hauteur de la
moelle
jusque parmi les vestiges des cordons cunéiform
et desanimaux, M.Brown-Séquard déterminait le trajet suivi dans la
moelle
épinière par les différents conducteurs sensiti
la façon suivante le tableau symptomatique des hémilésions de la
moelle
: « Ou observe les particularités suivantes chez
seur transversale d'une petite portion d'une moitié latérale de la
moelle
épinière : « Du côté correspondant : 1° paralys
ulée Contribution à l'étude clinique des lésions unilatérales de la
moelle
épinière, Vinot pouvait réunir quarante-neuf ca
épinière, Vinot pouvait réunir quarante-neuf cas d'hémilésion de la
moelle
. Les causes qui sont susceptibles d'engendrer l
rachidiens, les plaies, hémorrhagies, tumeurs et sclé- roses de la
moelle
, en résumé toutes les causes qui, par un mode q
s fonctions médullaires. Dans cette étiologie des hémilésions de la
moelle
, les plaies prennent une part importante, puisq
un trajet oblique, le couteau ait sectionné la moitié gauche de la
moelle
épinière : c'est ce que démontre l'examen de la
aisément, si l'on admet avec M. Brown- Séquard qu'il existe dans la
moelle
des conducteurs spéciaux pour chaque mode spéci
nis avait déjà été notée par Aurran, dans un cas d'hémilésion de la
moelle
dorsale; notre observation prouve une fois de p
e plus que ce trouble génital n'est point spécial aux lésions de la
moelle
cervicale, comme l'out cru beaucoup d'auteurs.
Hutchinson, le pouls reste toujours régulier dans les lésions de la
moelle
, contrairement à ce qui aurait lieu s'il s'agis
ittence du pouls DE L'A1STÉR0-1',PILEPSIE. 281 que la plaie de la
moelle
peut seule expliquer, car cette lésion a été ab
aire. (A suivre.) RECUEIL DE FAITS Note sur les altérations DE la
moelle
épinière RLNCON- TRÉES dans un cas DE pied BOT
la jambe et du pied n'ont pas été disséqués. Seuls le cerveau et la
moelle
ont été l'objet d'un examen attentif qui a révé
Nulle part dans l'encé- pliale on ne trouve de lésions en foyer. La
moelle
a été durcie dans une solution à 2 p. 100 de bi
un certain nombre de cas la conséquence des lésions limitées de la
moelle
épinière. Michand en 15î0', M. Déjerine en 1875
bservations très régulières de pied bot anciens, dans lesquelles la
moelle
méthodiquement examinée a été trouvé tout à fai
fformité de ce genre paraissant liée à une lésion congénitale de la
moelle
épinière. (Archives de Physiologie, 1S74, p. 586)
es de Physiologie, 1S74, p. 586). ' Déjerine. Note sur l'état de la
moelle
épinière dans un cas de pied bol varus équin. (
Coyne et Troisier. Pied bot varus congénital double : examen de la
moelle
épinière. (Archives de Physiologie, 1871-1872, p.
wn-Séquard sur la transmis- sion des impressions sensitives dans la
moelle
épinière; cet éminent physiologiste soutient qu
corps, se transmettrait à l'encéphale par la moitié droite de la
moelle
, et réciproquement. M. Brown-Séquard cite à l'app
n) et le remarquable article de M. Vulpian sur la physiologie de la
moelle
épinière dans le Dictionnaire encyclopédique de
plu- sieurs mois, ne pouvait dépendre que d'une compression de la
moelle
épinière au niveau de la région cervicale; et l'o
unépaississementlimité de la dure-mère. Mais dans quelle étendue la
moelle
a-t-elle été comprimée ? à quel degré était-ell
qu'elle siégeait princi- palement à droite et qu'elle atteignait la
moelle
épinière de ce côté. Mais la lésion était-elle
is la lésion était-elle exactement limitée à la moitié droite de la
moelle
, et la compression ne s'exerçait-elle que sur c
ression ou d'une altération partielle RECUEIL DE FAITS. 327 de la
moelle
épinière ; et il est permis, avec les réserves qu
n- Séquard sur la transmission des impressions sensitives dans la
moelle
épinière. Nous avons exploré bien souvent l'éta
K. V.Du FAISCEAU LONGITUDINAL POSTÉRIEUR DE LA CALOTTE ' DANS la
moelle
allongée; par le Dl ROLLER, de Strasbourg. (Con
ule cité ; qu'il constitue en outre un trait d'union direct avec la
moelle
, plus direct sans nul doute que les pyramides p
d'anatomie. très seraient contenues dans les cordons latéraux de la
moelle
. D'après ces notions, c'est à la solution de co
ment eu arrière de la couche optique, puis une hémi-section de la
moelle
ou seulement du cordon antérn-latéral, tantôt du
rappelle les expériences par lesquelles Brown-Séquard, en lésant la
moelle
, obtint l'épilep- sie spinale (1858) ; puis les
lexe ; enfin, A. Waller rejette l'idée d'un réflexe et pense que la
moelle
n'agit qu'en maintenant le tonus musculaire qui
roduction du phénomène. Par des sections méthodiques portant sur la
moelle
et les racines, Tschiriew pense avoir démontré
que l'anémie abolit rapidement les propriétés physiologiques de la
moelle
, tandis qu'elle laisse persister assez longtemp
si le phénomène du genou, tout en ayant besoin de l'intégrité de la
moelle
pour se produire, n'est pas dû à l'exci- 356 RE
ise en trois espèces, suivant qu'elles dépendent des muscles, de la
moelle
ou du cerveau. Il s'étend plus longuement sur les
tral, 237. Anomalie de formation particulière du cerveau et de la
moelle
, 233 Anthrax rave (améboration chez un paraij
), Jeiiseli, 211. 1. Mmrninc ophthalmique, liar Cli. Féré, 331.
Moelle
allongée (faisceau longitu- tlmnl postérieur de
gitu- tlmnl postérieur de la calotte dans la), par Rollei, 345.
Moelle
épinière (décussation des fibres inbibitoires d
e), par Pasternatzky, 316. Pied bot varus équin (altération de la
moelle
dans un cas de), 310. Piacidia crythrina, par O
lis (et ataxie locomotiice), 3'iU; - (lésions de l'axe glis de la
moelle
épinière dans un cas de récente), 103. Systèm
e digitée, que je n'ai trouvée qu'une seule fois. Plus en arrière, la
moelle
épinière côtoyée par le nerf spinal. La ligne p
lement la section de cette lamelle. pp. Pyramides postérieures delà
moelle
allongée, circonscrivant la partie inférieure du
sont un peu plus larges que dans la famille des renards, et enfin la
moelle
allongée avec les racines postérieures des deux p
n grande partie découvert ; et plus en arrière encore, une portion de
moelle
spinale côtoyée par le nerf spinal et présentant
trois lobes du cervelet et plus en arrière encore , une portion de la
moelle
épinière. Fig. 2. Face externe du lobe droit de
et du renard (pl. IV), et vous verrez que, chez tous les animaux, la
moelle
allongée, les tubercules quadriju-meaux,la glande
résente leur est manifestement contraire. PLANCHE VINGT-TROISIÈME
MOELLE
ÉPIN1ÈRE. Dans cette planche sont représentées,
IN1ÈRE. Dans cette planche sont représentées, avec l'ensemble de la
moelle
épinière de l'enfant nouveau-né, certaines coupes
e l'enfant nouveau-né, certaines coupes des principales régions de la
moelle
de l'enfant nouveau-né et de l'adulte, dessinées
des axes gris et des faisceaux blancs qui les enveloppent. 'ig. \.
Moelle
épinière de l'enfant nouveau-né (Face postérieure
ervical. C. Renflement lombaire. Fig. 2. Profil gauche de la môme
moelle
. a. Tubercule quadrijumeau antérieur. b. Tube
le cendré de Rolande y. Funicule accessoire du faisceau latéral de la
moelle
. k. Son expansion autour des corps restiformes.
e. n. Sillon latéral postérieur. Fig. 5. Face antérieure de la même
moelle
. a. Éminences mammillaires. b. Pédoncules cér
. i. Trou borgne antérieur. y'., /. Sillon médian antérieur do la
moelle
. Fig. 4. Face postérieure d'une portion de la m
ntérieur do la moelle. Fig. 4. Face postérieure d'une portion de la
moelle
du Papion. Cette figure est destinée à faire mieu
e. Cordons postérieurs de la région cervicale. Fig. 5. Coupe de la
moelle
de l'enfant nouveau-né dans la région intermédiai
acines antérieures des nerfs spinaux. e. Ventricule central de la
moelle
. /. Cordons disséminés sur la tête centrale du
ale du faisceau latéral. g. Cornes postérieures des axes gris de la
moelle
, parcourues d'arrière en avant par des faisceaux
es racines postérieures des nerfs spinaux. Fig. 6. Coupe de la même
moelle
vers le milieu du renflement cervical. a. Sillo
-grandes, des axes gris dans cette région. Fig. 7. Coupe de la même
moelle
vers le milieu de la région dorsale. On peut y
née des faisceaux blancs et des axes gris. Fig. 8. Coupe de la même
moelle
, vers le milieu du renflement lombaire. a. Sill
comparés à i'écorce blanche qui les enveloppe. Fig. 9. Coupe de la
moelle
d'un homme adulte vers le milieu du renflement ce
antérieur, á. Sillon médian postérieur. Fig. 4G\ Coupe de la même
moelle
vers le milieu de la région dorsale (Cf. fig. 7).
antérieur. b. Sillon médian postérieur. Fig. \\. Coupe de la même
moelle
, vers le milieu du renflement lombaire. a. Sill
are ces trois dernières coupes aux coupes analogues pratiquées sur la
moelle
de l'enfant nouveau-né, fig. 6, 7 et 8, on pourra
45. Cellules conjuguées de l'axe gris dans la région cervicale de la
moelle
d'une vache (grossies 2-10 fois). a. Cellule mu
. d. Rayons subdivisés. PLANCHE VINGT-QUATRIÈME STRUCTURE DE LA
MOELLE
, DU CERVELET ET DU CERVEAU. CERVEAU D'UN MICROCÉP
ELUI D'UN ORANG ET D'UN CHIMPANZÉ. Fig. 4. Coupe transversale de la
moelle
du Chat pratiquée vers le milieu du renflement lo
ns l'épaisseur des axes gris, et s'infléchir vers le ventricule de la
moelle
, tandis que d'autres fibres se portent dans les c
ongitudinaux de la commissure. g. Canal central ou ventricule de la
moelle
épinière, revêtu à l'intérieur d'une couche de
ts canaux vasculaires situés à droite et à gauche du ventricule de la
moelle
. h. Fibres entrecroisées sur la ligne médiane c
ue; 4° tabès combiné; 5° sclérose en plaques; fit compression de la
moelle
et myélites transverses ; 7° hémiplégie spasmod
sont les prolongements cellulifuges des cellules antérieures de la
moelle
. - Au-dessus de ces cellules radiculaires, sont
démontré que cette tumeur était un tubercule. Il existait, dans la
moelle
, de la sclérose descendante du faisceau pyramid
à laquelle nous sommes accoutumés des maladies systématiques de la
moelle
a créé une certaine habitude d'observer, une ma
Pas d'épilepsie dans sa famille. 1 Troisier. Sole sur l'état de la
moelle
épillière dans un cils d'héllli- JI/élie ztailh
guës, apoplexie, épilepsie, hémicranif, convulsions, maladies de la
moelle
, mélancolie, manie, démence. Ces données permet
s. En outre on constate une hyperémie de la substance grise de la
moelle
. Les nerfs périphériques restèrent indemnes dans
s membres inférieurs; un tt aumatisme, capable d'avoir sectionné la
moelle
, expliquait ces symptômes. Mais en outre exista
e 13rown-SéIJuard traduisant une lésion de la moitié gauche de la
moelle
cervicale. Une paralysie alterne de la sensibilit
nne des indications exactes. P. KERA VAL. XI. Des altérations de la
moelle
consécutives à la forcipressure de l'aorte abdo
mbres postérieurs, mais point de paralysie complète. L'anémie de la
moelle
lombaire et sacrée est manifestement plus grand
térale, plus faible est la différence entre l'anémie initiale de la
moelle
et l'irri- gation consécutive à la disparition
ologique. Les altérations des cellules des cornes antérieures de la
moelle
sacrée et lombaire sont très considérables chez
de vascularisation exagérée. Au sur et à mesure qu'on monte de la
moelle
sacrée à la moelle lombaire inférieure et de cell
n exagérée. Au sur et à mesure qu'on monte de la moelle sacrée à la
moelle
lombaire inférieure et de celle-ci plus haut, l
interne de la pyra- mide et le long du cordon antéro-latéral de la
moelle
. On peut le suivre sur toute la hauteur de la m
-latéral de la moelle. On peut le suivre sur toute la hauteur de la
moelle
, où il occupe la place du faisceau marginal ant
ce faisceau se mettent en rapport avec les cornes antérieures de la
moelle
du même côté et en partie également du côté oppos
ves dans les deux cas. A l'examen microscopique du cerveau et de la
moelle
, on trouve : hypérémie vasculaire, émigration des
iquement. Sous l'influence de l'irritation des organes génitaux, la
moelle
se trouve émancipée et soustraite à l'influence c
e des nerfs de ce follicule ; ceLtè irritation est transmise par la
moelle
aux centres encé- phaliques de perception, prob
coccique. L'examen histologique de ce nerf, de ses racines et de la
moelle
épinière a révélé l'existence des lésions suivant
iculaires et dans la tunique externe de certains vaisseaux. Dans la
moelle
les lésions localisées au- dessous de la IVe lo
s de leu- cocytes et des cellules névrogliques. Nulle part, dans la
moelle
, il n'y avait des microbes. Les lésions des cel
obes, les toxines, se propageant de proche en proche jusque dans la
moelle
, ont donné naissance aux lésions vascu- laires,
x espaces lymphatiques du nerf, de proche en proche, jusque dans la
moelle
épinière, c'est-à-dire qu'à la phase névritique
centre, avant même que la substance toxique se soit propagée à la
moelle
. Si, au contraire, il s'agit de poisons très diff
du cervelet, ni de préciser la localisation patliolo- logique de la
moelle
. L'atrophie du nerf optique de l'observation Il
e sous la pie mère médullaire, au niveau de la région dorsale de la
moelle
; en outre les ventriculaires cérébraux contenai
ic : Lésion probablement combinée et limitée (hémato- myélie) de la
moelle
épinière et de la queue de cheval au niveau de
voir une grande valeur dans la symptomatologie des affections de la
moelle
épinière. M. KORNILOFF prend part à la discussi
nératives des racines postérieures et des cordons postérieurs de la
moelle
. La communication de L... a été accompagnée de
re, exclu- sivement due à l'absence de faisceaux pyramidaux dans la
moelle
épinière, à cause de la naissance avant terme (
le puisqu'il comprend 15 cas, examinés aux principaux niveaux de la
moelle
, du bulbe et de la protubérance, parfois même d
. Imprenta de J. Peuser. Grasset. - Diagnostic des maladies de la
moelle
(Siège des lésions). Volume in-1G carré de 96 p
normal dans le cerveau, le cervelet, la protubérance ni le bulbe.
Moelle
. - Les méninges rachidiennes sont distendues par
de congestion ni de lésion apparente des méninges. Les coupes de la
moelle
qui est ferme et d'aspect normal ne révèlent non
e révèlent non plus aucune lésion macroscopique. Des fragments de
moelle
, de bulbe, de cerveau, de nerfs périphé- riques
les méthodes ordinaires les renflements lombaire et cervical de la
moelle
, la partie inférieure du bulbe rachidien 1 Fait
altération des cellules nerveuses, des méninges, ni des vaisseaux.
Moelle
. La moelle nous offrit des lésions d'autant plus
des cellules nerveuses, des méninges, ni des vaisseaux. Moelle. La
moelle
nous offrit des lésions d'autant plus accu- sée
dans la corne antérieure, et semblables dans les deux moitiés de la
moelle
. Le Nissl montre de grandes variétés dans l'aff
n trouve à l'état normal dans la plupart des grandes cellules de la
moelle
. Au niveau du renflement ce1'vicalles lésions c
étaient peu avan- cées, moins marquées encore que les lésions de la
moelle
cervicale et consistaient uniquement en l'état
) ne présentent que des lésions minimes dans toute la hauteur de la
moelle
et du bulbe. H n'existe en aucun point de trace
s. Il est rationnel de l'assimiler au processus qui a causé dans la
moelle
et le bulbe ces lésions électives des éléments
ode de Nissl. Il est inutile, pour un organe aussi altérable que la
moelle
, d'employer des fixateurs délicats pour des piè
: la variété infinie de formes et de dimensions des cellules de la
moelle
, on voit combien délicate est l'estimation de c
ions ordinaires : 10 avec un fragment de la partie antérieure de la
moelle
dorsale ; 2° avec un fragment analogue recueill
tion de l'infection par les vaisseaux de la partie antérieure de la
moelle
; mais ces vaisseaux n'irriguent pas exclusiveme
igine infectieuse. 368 CLINIQUE NERVEUSE. pression exercée sur la
moelle
par la tension du liquide puisse favoriser cet
ONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 369 cornes antérieures de la
moelle
et des noyaux moteurs bulbaires, sans adjonctio
omme intensité, comme extension. Souvent les faisceaux blancs de la
moelle
sont atteints en même temps que les cellules de
a pas fourni la preuve certaine qu'une affection des centres, de la
moelle
et du bulbe en particulier, peut donner naissan
e stade d'une névrite chronique multiple passée par continuité à la
moelle
épinière ». La polynévrite chro- nique serait u
coque), rapproche au point de vue pathogénique ces affections de la
moelle
et des méninges. CLINIQUE MENTALE. LES HALLUC
river aux conclusions sui- vantes : 1° Les fibres afférentes à la
moelle
épinière se terminent en s'arborisant autour de
IV. Des différentes formes de paraplégie due à la compression de la
moelle
épinière. Leur physiologie pathologique ; par M
compression médullaire, tout dépend du degré de compression que la
moelle
subit à un moment donné et du nombre, et surtou
es provenant du mésencéphale, de la protubérance annulaire et de la
moelle
allongée, la para- plégie devient flasque et le
lus longtemps. Il est à remarquer que, de toutes les fibres de la
moelle
, ce sont celles du faisceau cérébelleux et celles
stérieurs qui paraissent les plus vulnérables. La compression de la
moelle
épinière, à n'importe quel niveau, ne retentit
hée dans les ganglions spinaux. P. Keraval. XVII. Recherches sur la
moelle
et le cervelet des oiseaux ; par A. FHIEDLÆNDER
l. XVII, 1898.) Etude chez le pigeon domestique des relations de la
moelle
et du cervelet, qui n'est chez l'oiseau qu'un v
l éthérisé. Analyse fine de l'anatomie normale du cervelet et de la
moelle
ainsi que de leurs rapports connus jusqu'ici. Dét
Détails relatifs : A) aux expériences de sections transverses de la
moelle
destinées à décider s'il y a dégénérescence asc
sumé. - I. Faisceaux qui à la suite de l'hémisection latérale de la
moelle
dégénèrent dans la moelle en haut et en bus. - 1°
la suite de l'hémisection latérale de la moelle dégénèrent dans la
moelle
en haut et en bus. - 1° Il y a des fibres qui,
zônes. Il doit donc y avoir dans la plu- part des conducteurs de la
moelle
des oiseaux des faisceaux dans les deux sens. M
s postérieurs arrive au petit cordon postérieur du bulbe. Dans la
moelle
lombaire, le cordon postérieur se colle sur le cô
éré6cllo- spinal antérieur médian. Sur les coupes transverses de la
moelle
ces fibres ne peuvent guère se séparer des fibr
ns le bulbe. II. Faisceaux qui après l'Ieémisectiott latérale de la
moelle
dégénè- rent dans le cervelet. - Dans le cervel
rvelet. - Dans le cervelet ne se prolongent que les faisceaux de la
moelle
qui occupent la périphérie du cordon laté- ral.
Contribution au trajet des fibres des racines postérieures dans la
moelle
cervicale de l'homme; par K. Sciiafter. (Neurolog
stérieurs. Figures. On sait que les lésions des racines, tant de la
moelle
dorsale supérieure que de la moelle cervicale i
lésions des racines, tant de la moelle dorsale supérieure que de la
moelle
cervicale inférieure, entraînent une dégénérescen
érescence descendante en rapport avec les lésions transverses de la
moelle
(Mlestplial, Schultze, Kahler et Pick) s'expliq
missurales. Une observation récente de destruction transverse de la
moelle
par spondylite prouve la dégé- nérescence desce
postérieurs survient dans le cas de lésion transverse totale de la
moelle
tout aussi sûrement que dans le cas de lésion d
usseau de Schullze est superflue. Dans la lésion transversale de la
moelle
de l'homme, les racines postérieures sont toujo
bulbe ; -, les zones qui correspondent aux racines dégénérées de la
moelle
dorsale supérieure et de la moelle cervicale in
ent aux racines dégénérées de la moelle dorsale supérieure et de la
moelle
cervicale inférieure sont en dehors de la clois
es postérieures ; 2° le cordon de Goll parait simplement, dans la
moelle
cervicale, limité latéralement par la cloison par
es dégénérescences secondaires, consécutives à la compression de la
moelle
; par F. Quensel. (Nell1'olof}. Cen- tralbl., XV
lof}. Cen- tralbl., XVIII, 1898.) Inteiruption transversale de la
moelle
incomplète, siégeant à à peu près à la hauteur
ractéristique de l'atteinte de la septième racine postérieure de la
moelle
. Quelle était la nature de la compression ? Un
it aisément : il fallut seulement résé- quer la septième racine, la
moelle
n'étant ni enserrée ni modifiée dans sa consist
nce. Le malade mourut de septicémie. Autopsie. Ramollissement de la
moelle
limité au niveau des neuvième et dixième segmen
ième segments dorsaux ; on ne constate pas d'autres lésions dans la
moelle
cervicale, mais on a réussi à suivre de ces fib
aspect tout à fait semblable à celui des cellules nerveuses de la
moelle
anencéphale et des ganglions spinaux. Elles tranc
4 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. cerveau et à la
moelle
. Les cellules sont dégénérées. Les cellules des
te. Sclérose des bandelettes externes des cordons postérieurs de la
moelle
. Eugène X..., chauffeur mécanicien, est né en 1
traitement pendant l'année 189j et peut, malgré son affection de la
moelle
, s'occuper comme chauf- feur dans une usine. L'
e offre de nombreuses granulations sur le toit et sur le plancher. -
Moelle
. Dégénération grise des cordons posté- rieurs a
bre supérieur est due à la présence d'une plaque de sclérose sur la
moelle
ou à une névrite périphérique d'origine infecti
ique. L'auteur conclut : Il y a soit névrite, soit altération de la
moelle
, rien de cérébral. Ce fait offre une grande res
sées puisque l'hystérie est une maladie de l'encéphale et non de la
moelle
. Impossible donc de parler alors d'une polioencép
cente en foyers disséminés. Pneumocoques. A diverses hauteurs de la
moelle
dorsale, foyers disséminés ; infiltration de la
en nombre et en dimension du renflement cervical à la moitié de la
moelle
dorsale ; ils diminuent de là jusqu'au 1/3 de l
oitié de la moelle dorsale ; ils diminuent de là jusqu'au 1/3 de la
moelle
lombaire où il existe encore un petit foyer dans
ans le coi- don latéral. Il est certain que la région moyenne de la
moelle
dor- sale est séparée du reste de l'organe bien
ien que peu de foyers s'éten- dent de la périphérie au centre de la
moelle
; généralement à la périphérie il existe une li
l n'y a de collections de cellules rondes. A partir du milieu de la
moelle
dorsale, le canal central est dilaté ; 506 REVU
fection puisqu'on a trouvé des pneumocoques dans la substance de la
moelle
. P. 11FR.1 ? 1L. LXXVII. Contribution à la ca
s. M. GUILL.11N. La circulation des liquides lymphatiques dans la
moelle
épinière. L'auteur, à la suite de recherches entr
direction ascendante de la part des liquides nourriciers dans la
moelle
. La circulation lymphatique serait indépendante d
dans des limites considérables, absolument comme au niveau de la
moelle
et du bulbe. Les auteurs insistent, avant tout, s
ringomyélie et qui continue la gliose des cornes postérieures de la
moelle
, comme il est facile de s'en rendre compte en e
croscopiques et des ligures, par Versllolf. 235. Recherches sm la
moelle
et le des oiseaux, par Fnedlander, 101. CHHtL
Compression. Des différentes formes de paralysie due à la - de la
moelle
épinière. Leur physiologie pathologique, 401.
consécutives à la coin- a34 Ir TABLE DES MATIÈRES. pression de la
moelle
, par Ques- nel, 410. Sur les titér"ltiolls Em
ité par la rebec- tion du nerf lémoro-cutané, par Souques. 416.
Moelle
. Des altérations de la - consécutives il la for
S MOTRICES ET A LA PATHOGÉNIE DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES DE LA
MOELLE
; Par le D Mabtial HUBLÉ La connaissance des f
rotubérance n'offrent, à l'oeil nu, rien de particulier à noter. La
moelle
n'a pas été examinée. Réflexions. Nous nous bor
sanguinolent dans le ventricule latéral. Le cervelet est sain. La
moelle
n'a pas été examinée au-dessous de l'entre-croise
oeil nu, nous gardons la conviction que l'examen histologique de la
moelle
aurait décelé de nombreuses fibrilles de tissu
ur le facial droit, à l'égard du courant fara- aique; finalement la
moelle
allongée est atteinte (dès lors, mort rapide).
mment de la zone corticale motrice seule, soit par une lésion de la
moelle
, com- pliquant les altérations encéphaliques, q
ngomyélie, structure anormale du manteau de substance blanche de la
moelle
épinière. Cas dans lequel un gros épanchement d
tait en même temps une cavité centrale longue de 6 centim. dans la
moelle
dorsale inférieure. Il s'agit d'une femme de cin-
eurement soulevée en massue ; espace sous-dure-mérien vide. Dans la
moelle
, l'espace sous-dure-mérien, est, depuis la par-
e, l'espace sous-dure-mérien, est, depuis la par- tie moyenne de la
moelle
dorsale jusqu'au cône médullaire, dis- tendu pa
bstance nerveuse y est un peu tuméfiée, la portion inférieure de la
moelle
dorsale est déli- quescente. La cavité en quest
impression d'une tumeur. Il en est de même pour divers points de la
moelle
, par exemple au lieu de passage du renflement c
dant la nuit au dehors ? M. 1 r.ESCa. Sur l'état anatomique de la
moelle
épinière de deux microcéphales. Examen des chif
la substance grise et en particulier, des cellules nerveuses de la
moelle
épinière. Mais on ne saurait distinguer si tels
cription relative au chien qui, à la suite de la séparation de la
moelle
et du cerveau, aurait continué à présenter des co
la symptomatologie de la plupart des lésions sys- tématisées de la
moelle
, de fixer les yeux sur les cas dans lesquels le
abes combiné (ataxo- spasmodique) ou sclérose postérolatérale de la
moelle
épinière. Les exemples de cette maladie sont
gurer désormais dans la classification ordinaire des maladies de la
moelle
. DU TABES COMBINÉ. 159 I. HISTORIQUE ' C'es
e nos tableaux. En 1867, dans un travail consacré à l'étude de la
moelle
dans la paralysie générale des aliénés2, West-
1871-72, IV, 364. 4 Leyden. 7 ? < : i<e clin, des mal. de la
moelle
épin., traduct. franc, de Richard et Viry, 603,
ants que tous les pré- cédents. L'étude de la lésion combinée de la
moelle
était le but même du mémoire. Il donne cinq obs
rs étudient, à ce sujet, les maladies systématisées combinées de la
moelle
, qu'ils définissent : la maladie, simultanée et
stèmes. Il faut la dis- tinguer des autres maladies multiples de la
moelle
par complication ou par extension de la lésion,
psych.), 1877, V111, 251 et IX, 413. DU TABES COMBINÉ. 163 de la
moelle
(cordons pyramidaux, cérébelleux, de Goll et zo
qu'on observe dans des cas de lésions des faisceaux latéraux de la
moelle
épinière. Cette tré- pidation ne pouvait pas ce
Minor. Etude d'un cas de fausse sclér. <enta<. combinée de la
moelle
(scier, systém. ou pcrilubul. de la moelle et scl
enta<. combinée de la moelle (scier, systém. ou pcrilubul. de la
moelle
et sclér. pzéc·ivasC.) ; (.lrclz. de Ncurol.),
nsion extracérébelleuse du corps restiforme, est à chercher dans la
moelle
allongée, et il n'y a de connexions entre le ce
devons nous borner à reproduire ici ses conclusions : « I. Dans la
moelle
êpinière : conscience élémentaire, imper- « son
ctivité, parce que toutes les réactions qui sont du « ressort de la
moelle
s'accomplissent automatiquement, et parce «que
matiquement, et parce «que les stimulations, ne rencontrant dans la
moelle
aucun mé- K canisme propre à la décharge, sont
é de ces centres, cette « activité n'est pas réduite, comme pour la
moelle
, à l'état de « mécanisme purement automatique e
e. XIV. CONTRIBUTION A la localisation DU CENTRE ANO-VSICAL DE LA
MOELLE
ÉP1N1$DE DE L'HOnIME; par KIRC11ROFr A7·C)b. f. P
veau de la première lombaire, ayant déterminé une compression de la
moelle
, aplatie à trois cen- timètres au-dessus du fil
rme d'une étroite bande longeant les cornes postérieures, depuis la
moelle
cervicale jusqu'à la partie moyenne de la régio
phériques du même système : atrophie des racines'postérieures de la
moelle
lombaire. L'absence du réflexe tendineux rotuli
c la localisation dorsale inférieure et lombaire supérieure de la
moelle
. Planche à l'appui. P. K. Archives, t. XI. 17
de liquide. On place dans la liqueur deMueller protubérance, bulbe,
moelle
. Leeeruecau présente un arrêt de développement
naux des nerfs de la peau ou dans les travées interstitielles de la
moelle
. G. BALL. De l'hérédité dans la paralysie génér
Ban.uuc. Traitement des congestions et exsudations chroniques de la
moelle
<'pu ! tere au moyen de vcnl ntscs (Et)' aile
de plan, basée sur les diagnostics vagues et variés de lésion de la
moelle
et d'hypocondrie. Il y a trois ans, pouvait enc
règlent le-rhythme des mouvements respira- toires, se rendent à la
moelle
allongée où aboutissent également des nerfs mot
ôt. Traitement à j'antipyrine; hydrothé- rapie, galvanisation de la
moelle
; injections hypodermiques de strychnine jusqu'à
- matie dans l'encéphale, à part de l'oedème et de la cyanose. La
moelle
ne présente extérieurement aucune anomalie; les m
antérieures grises sontsemées de macules rouge-brique qui, dans la
moelle
lombaire, tranchent nettement sur le pourtour.
tranchent nettement sur le pourtour. Ces macules s'effacent dans la
moelle
dorsale; on commence à les rencontrer dans la p
monte vers sa partie supérieure et vers la région inférieure de la
moelle
cervicale, on les trouve limitées aux cornes anté
moelle cervicale, on les trouve limitées aux cornes antérieures, la
moelle
cervicale supérieure demeurant absolument normale
; en trois cas, par du tabès ; en un cas, par un foyer sis dans la
moelle
allongée (mentionné supri). Fuerstner rattache
cessus diffus de l'écorce -aboutissent à des foyers multiples de la
moelle
, on observelecontraire de ce que nous venons de
rise avec gtioso diffuse, el, en outre, lésion systé- matique de la
moelle
. S'agit-il de la distinguer de la paralysie gén
du tabes, de la syringomyélie, de la sclérose multiloculaire de la
moelle
, et cer- tains états qui se montrent chez des g
origines : 1° dans le cerveau moyen; 2° dansle cervelet; 3° dans la
moelle
allongée. M. Friedmann (de Stephansfeld). Contr
ive à la diphthérie ; dégé- nérescence des cornes antérieures de la
moelle
ainsi que des noyaux du bulbe. Au microscope, c
eur. Mort par hémorrhagie pulmonaire. Intégrité du cerveau et de la
moelle
. Névrites à forme segmentaire des nerfs périphé
nage, la pie-mère parait légèrement hype- rémiée. A l'oeil nu, la
moelle
ne montre aucune altération appré- ciable. .
durcissement dans les régions cervicale, dorsale et lombaire de la
moelle
, démontrent l'intégrité absolue de cet organe. Su
faradique des muscles paralysés. Les centres nerveux, cerveau et
moelle
, sont dans un état de parfaite inté- 352 PATHOL
daire, un état deutéropathique, consécutif à une altération de la
moelle
. Il s'agirait alors d'une téphro-myélite légère (
du protoplosma des modifications inflammatoires ». L'atteinte de la
moelle
serait donc le fait primordial, l'altération de
périphériques, des racines spinales et de la substance grise de la
moelle
, ces dernières uni- quement caractérisées par l
s que le centre spinal ». Dans le fait que nous avons rapporté la
moelle
ne présente aucune altération appréciable. Il e
rrive bien quelquefois, dans les cas où la fonc- tion réflexe de la
moelle
épinière est fortement accrue, que la contracti
lades atteints d'une énorme exagération de l'activité réflexe de la
moelle
épinière d'une cause quelconque, on aurait pu p
vent point leurs influences sur les parties corres- pondantes de la
moelle
épinière; ce qui nous mène aussi à la localisat
teurs entendent par réflexe exclusivement l'activité réflexe delà
moelle
, c'est-à-dire des-parties sous-pédoncu 1 aires,
rcice. Ceux du pre- mier ordre correspondent à l'organisation de la
moelle
épinière et sont transmis, selon les lois de Pf
illée. Quand une irritation entre par la racine postérieure dans la
moelle
, elle peut prendre deux directions : elle peut
de ces parties. L'extension de l'irritation n'est pas égale dans la
moelle
et dans le cerveau. Dans la moelle, l'extension
tation n'est pas égale dans la moelle et dans le cerveau. Dans la
moelle
, l'extension dépend seulement de la conducti- b
s être constantes et primitives. Les ectasies capillaires dans la
moelle
allongée, l'existence d'un exsudat albumineux g
lus Meyer constate les mêmes particularités patholo- giques dans la
moelle
allongée et dans l'écorce cérébrale; mais ce so
normale. - Le bulbe et la protubérance paraissent intacts. z La
moelle
n'a pas été examinée. Coeur : poids, 37S gr. Pl
partie infé- rieure et interne, et appuyé sur la protubérance et la
moelle
. Le quatrième ventricule contenait un peu de sa
sur les fibres cérébrales du côté droit de la protubérance et de la
moelle
. L'incertitude de la démarche, les nausées, les
s de paralysie grave, atrophique, à lésion intense du nerf ou de la
moelle
(Cas. III), la-réaction dégénérative se transfo
modi- fication du champ visuel. Etau surplus, l'électrisation de la
moelle
allongée peut bien agir par action réflexe. En
re toujours aussi facile. P. K. UV cas D'ANGIOS\RCOME central DE la
moelle
; par G. GLASER. (Arch. f. Psych., XVI, 1). F
embraneux et des grains blanchâtres du volume d'un grain de mil. La
moelle
est, par places, parsemée d'une matière molle e
(électrisation des muscles et des nerfs jusqu'à leur entrée dans la
moelle
). Une observation. III. Traitement électrique d
it une étude comparative des diverses . variétés de scléroses de la
moelle
, afin de faire mieux ressortir par ce rapproche
ski traite la question de la régéné- ration des tubes nerneux de la
moelle
. Il a rassemblé et analysé les principaux docum
rs dessins, dans le texte, représentent une série de coupes de la
moelle
échelonnées de haut en bas et permettent de se re
ion cérébrale en foyer. Des plaques de sclérose disséminées dans la
moelle
peuvent, lorsque les cylindres-axes sont détrui
ubaiguë, elles affectent tous les symptômes d'une compression de la
moelle
: tantôt comme dans la forme infiltrée ou nodul
rapeutique du sulfate de), 442. Dégénérations secondaires de la
moelle
, par Ilublé, 19. Délire émotif, 119. Delirium
le), par Flesch, 112. Migraines (traitement), par Storch, 293.
Moelle
épinière (localisation du centre ano-vésical da
ès combiné (ataxo-spasmodique) ou sclérose postéro-latérale de la
moelle
, par Grasset, 156, 380. Tabes (histologie patho
o (3) a même été jusqu'à décrire un centre trophique des os dans la
moelle
épinière, au voisinage du canal central, centre
nt liées sans doute à des troubles de l'irrigation vasculaire de la
moelle
; certaines peut-être sont conditionnées par la l
les centres trophiques correspondants, de la corne antérieure de la
moelle
. » Les plaques de méningites spinales diffuses
hie musculaire suite d'arthrite du genou. Examen histologique de la
moelle
et des nerfs. liull. de la Soc. anatomique, janvi
i à l'examen de l'encéphale. Sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
. Lésions de méningite posté- rieure chronique.
ERVICALE (Berlololfi) . POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE DE LA
MOELLE
CERVICALE - ATTEINTE BILATÉRALE ET SYMÉTRIQUE
n dégénérative par- tielle dans le domaine de la XIe paire et de la
moelle
cervicale. Quel est le diagnostic que l'on peut
nd des noyaux bulbaires du spinal jusqu'aux derniers segments de la
moelle
cervicale. Une lésion radiculaire ou de névrite
tous les autres symptômes sont négatifs. Toute forme de gliose de la
moelle
cervico-dorsale a un début bien différent, s'ac
stéma- tisée qui a envahi les cellules des cornes antérieures de la
moelle
cervi- cale, et en plus s'étend à cette colonne
l. L'examen électrique des muscles innervés par le spinal et par la
moelle
cervicale donne des réactions cadrant avec le t
ien évident qu'en raison de la topographie des noyaux moteurs de la
moelle
cervicale et des noyaux médullaires du nerf spi
faut admettre une lésion nucléaire dans la moitié supérieure de la
moelle
cervicale. Après avoir démontré la nature et le
ique est encore plus apparent sur les sections avec maximum pour la
moelle
épinière ; on le trouve également dans l'encéphal
noirs, de signification douteuse, et, dans les cordons blancs de la
moelle
, quelques corps granuleux, peut-être plus nombreu
rporée la poudre radifère. 2 expériences sur le cerveau et 1 sur la
moelle
ont été faites avec des appareils 0,025, d'ac-
pie-mère, et dans l'intérieur de l'écorce cérébrale. C - E\p. 3.
Moelle
cervicale inférieure (au voisinage du point d'app
dans le cerveau (PI.XV, B), mais encore dans toute la hauteur de la
moelle
. Ces lésions n'avaient d'ailleurs déterminé auc
reuses et plus diffici- les, mais nous le retrouvons encore dans la
moelle
dont il est l'unique rouage. Or,comme le cervea
ns la moelle dont il est l'unique rouage. Or,comme le cerveau et la
moelle
ne forment qu'un seul organe, l'axe cérébro- sp
s intellectuelles, un mécanisme analogue à celui qui existe dans la
moelle
. IV Avec les éléments dont nous disposons en
brale soit immédiatement soit médiatement par l'intermédiaire de la
moelle
et y conditionnent les réactions qui leur sont
e trophique et doit se rencontrer surtout dans les mala- dies de la
moelle
. Le traumatisme n'est pas exclu absolument ; mais
et Festi, se basant sur les données pathologi- co-anatomiques de la
moelle
dans la contracture de Dupuytren, pensent que d
t les centres pris ? Sont-ils logés dans le cerveau ou bien dans la
moelle
? D'après les don- nées physiologiques et patho
pathologiques, les cellules motrices des cornes anté- rieures de la
moelle
sont aussi les centres trophiques des différents
liers des troubles trophiques dans les maladies du cerveau et de la
moelle
nous aidera à comprendre et à mar- quer leur di
l'écorce a pu faire le même état du côté opposé du cerveau ou de la
moelle
, pareillement aux phénomènes observés dans les
cence vacuolaire des cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
lombo-sacrée. p : pigment. Colorât. : méth, de Ca
amen microscopique.- Nos recherches microscopiques ont porté sur la
moelle
cervicale, la moelle dorsale et la moelle lombair
Nos recherches microscopiques ont porté sur la moelle cervicale, la
moelle
dorsale et la moelle lombaire ; sur ces ganglions
copiques ont porté sur la moelle cervicale, la moelle dorsale et la
moelle
lombaire ; sur ces ganglions rachidiens et les
ches : enfin sur les muscles des membres inférieurs (Pl. L). ' La
moelle
et les ganglions rachidiens furent fixés soit par
rent fixés par le liquide de Bouin et par la méthode de Cajal. 1°
Moelle
épinière. - A aucun niveau nous n'avons trouvé da
l. 1° Moelle épinière. - A aucun niveau nous n'avons trouvé dans la
moelle
de foyer de myélite ou de lésion de poliomyélit
raphique des lésions. Retenons dès à présent qu'à aucun étage de la
moelle
nous n'avons rencon- tré de lésions inflammatoi
rapidement après la mort, la présence de cellules vacuolisées dans la
moelle
lombo-sacrée et rien qu'à ce niveau, l'existenc
us l'avons retrouvée dans les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière du chien au voisinage d'une ancienne s
2) En collaboration avec NI. PIIILIPIISON, Section transversale de la
moelle
datant de trois ans. (3) HAUSlIALTER et Colin
cinct de la question dans notre étude sur la section ancienne de la
moelle
(Philippson et Dustin). (2) Cajal, Trav. du lab
s à régénérer un nou- vel axone. Nous avons vu qu'au niveau de la
moelle
lombo-sacrée n'existait aucune lésion inflammat
sation des cellules radiculaires dénotent une lésion profonde de la
moelle
, lésion à laquelle sont dues les altérations né
cuments nécessaires' à cette étude. SUR LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE DANS UN CAS DE SYPHILIS DU NÉVRAXE A M
malade a été emporté par une syphilis nerveuse à marche rapide, la
moelle
présente les lésions d'une myélite syphilitique
ans. Syphilis il y a dix ans, ALQUIER. LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA
MOELLE
ÉPIN1LRE 369 soignée méthodiquement pendant les
tes séreux sur la toile choroïdienne des ventricules. Etude de la
moelle
épinière. Les méninges sont légèrement épaissies
ans les méninges aucun vaisseau nettement oblitéré ou sténose. La
moelle
présente, depuis la région cervicale inférieure j
Alquier). Masson & Cie, Editeurs. L GENÈSE DES LÉSIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 371 enfin que, dans plusieurs racines
t des points très limités de démyélinisation analogues à ceux de la
moelle
. En dehors de ces lésions, fort peu importantes,
qu'à la région sacrée ; au- dessus et au-dessous de ces limites, la
moelle
reprenaitson aspect normal. En particulier, la
s limites, la moelle reprenaitson aspect normal. En particulier, la
moelle
sacrée est absolument indemne, en dehors d'une
montrent bien que leur cause doit être cherchée à l'intérieur de la
moelle
. Certains présentent bien, déprime abord, l'asp
ère en carte de géographie 372 ALQUIER. LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ne cadre guère avec l'idée d'une origi
i dire, la poliomyélite aiguë serait une maladie systématique de la
moelle
, détruisant une partie bien délimitée de la corne
térieures plus ou moins atteintes sur une très grande hauteur de la
moelle
ou dans toute la moelle (Dejerine et lluet, Dau
atteintes sur une très grande hauteur de la moelle ou dans toute la
moelle
(Dejerine et lluet, Dauber, Redlich, Neurath, H
es lésions anatomiques sont étendues aussi aux autres parties de la
moelle
, par exemple aux colonnes de Clarke, aux faisceau
u- bles respiratoires qui sont la conséquence d'une affection de la
moelle
et du bulbe. En outre, mes observations m'ont
facilement nous faire une idée sur l'intensité de l'affection de la
moelle
. Comme on l'a déjà dit, les cas qui n'ont pas é
ic d'une hématomyélie, s'é- tendant sans interruption dans toute la
moelle
, depuis la région sacrée jusqu'aux segments sup
moelle, depuis la région sacrée jusqu'aux segments supérieurs de la
moelle
dorsale, et qui aurait atteint les cornes posté
complète des faisceaux pyra- midaux dans la partie supérieure de la
moelle
dorsale. Presque en même temps que le passage d
78), il y a 7 ans, sur les voies de la sensibilité cutanée dans la
moelle
. J'avais groupé aussi complètement que possible t
complètement que possible tous les cas pu- bliés de maladies de la
moelle
étudiés par l'observation clinique et anato- mi
uvait tirer des conclusions sur les voies de la sensibilité dans la
moelle
. Ce sont surtout les cas de coups de couteau dans
dans la moelle. Ce sont surtout les cas de coups de couteau dans la
moelle
qui m'ont rendu de très grands services, parce
oint, mon analyse m'a amené à cette conclusion qu'il existe dans la
moelle
deux voies pour la sensibilité tactile : l'une es
Ce résultat de mon analyse sur les voies de la sensibilité dans la
moelle
nous conduit à une conséquence nécessaire, c'es
rlé contre cette conception sur les voies de la sensibilité dans la
moelle
, mais l'ont au contraire appuyée. Nous allons m
ui a atteint les cordons postérieurs à la partie supé- rieure de la
moelle
dorsale. Cette conclusion est évidemment indépend
de nature syphilitique ou autre) dans les segments supérieurs de la
moelle
dorsale. Si nous acceptons ce dia- gnostic, il
né- ralement avec Bastian qu'une lésion transversale complète de la
moelle
ne cause pas ordinairement une paraplégie spasm
ptômes par une myélomalacie limi- tée aux segments supérieurs de la
moelle
dorsale, on ne peut en outre s'empêcher d'être
usion (P.) indiquée ci-dessus sur les voies de la sensibilité de la
moelle
), il faudrait admettre une lésion symétrique des
t admettre une myélomalacie ou myélite à la partie supérieure de la
moelle
dorsale, mais nous ne pouvons dire avec certitu
adie, par exemple, avec l'extension de la lésion anato- mique de la
moelle
. L'étude de nos observations nous apprend que sur
vons établir une relation sûre entre l'extension de la lésion de la
moelle
et la fré- quence avec laquelle les symptômes m
l'examen a été poussé assez loin pour les segments différents de la
moelle
, on a constaté, comme nous l'avons déjà fait re
les lésions anatomiques s'étendent sans interruption . par toute la
moelle
. Naturellement on ne peut conclure qu'il y ait un
es supérieurs, il y a de très bonnes raisons de croire que toute la
moelle
dor- sale, située entre les deux renflements at
ette phase tendent fortement à prendre une grande extension dans la
moelle
, il est très probable qu'on a toujours, quand il
pigmentation un peu plus marquée que normale- ment. L'étude de la
moelle
a été faite sur des fragments de régions cervical
antérieures étaient normales sur toutes les coupes examinées, et la
moelle
ne présentait pas d'autres modifications qu'une a
vons traité par la méthode de Cajal des fragments du bulbe et de la
moelle
, et des ganglions rachidiens, mais, sans doute en
ui n'est pas diabétique. Nous savons qu'on a souvent trouvé dans la
moelle
des acromégaliques la dégénération des cordons
eurs cérébrales ; State a parlé aussi de lésions tabétiformes de la
moelle
chez les acromé- galiques et Sternber admet l'e
u plutôt des cellules ganglionnaires des racines postérieures de la
moelle
, ils doivent être distingués nettement de la va
linique (obs. 6, malade du Dr Launois), nous avons constaté dans la
moelle
une lésion dont l'importance ne sau- rait passe
eule lésion, qui occupe une étendue de 3 centimètres environ sur la
moelle
, au niveau de la région cervicale inférieure et d
sez analogue d'aspect au locus niger et située au centre même de la
moelle
, au niveau et autour du canal épendymaire, form
ne épaisseur de 1 à 2 millimètres. Sur une coupe transversale de la
moelle
, cette lésion est évidente à l'oeil nu sous forme
us on ne retrouve plus rien de semblable sur toute la hauteur de la
moelle
. Sur la coupe histologique, la coloration est m
ne saurait échapper. L'intégrité des racines ou des cellules de la
moelle
au jour de l'autopsie, vingt ans après l'évolut
sion, ou un reliquat de lésion, siégeant précisément au point de la
moelle
qui est voisin des régions de l'innervation du
ale. Assez grande quantité de liquide clair sous la dure-mère de la
moelle
épinière. Pie-mère pâle ; substance grise d'un
aisseaux du cerveau sont légèrement sclé- rosés. La dure-mère de la
moelle
épinière est épaissie. Cet épaississement est s
ue, légèrement épaissie, surtout dans les zones supé- rieures de la
moelle
épinière. L'examen microscopique montre un épaiss
fibreux. On trouve une pigmentation très marquée des cellules de la
moelle
épinière et une atrophie des cellules nerveuses
élite chronique diffuse interstitielle ; atrophie des racines de la
moelle
épinière, surtout des racines postérieures ; pach
la paralysie générale progressive. Certaines modili- cations de la
moelle
épinière, à savoir les signes d'une méningo-myéli
et leur étendue. Les lésions de la dure-mère et des racines de la
moelle
épinière montrent un processus ancien dont l'év
d'hérédité. On pourrait admettre l'inflammation des méninges de la
moelle
épinière (ce qui a été confirmé à l'autopsie) com
ississement de la dure -mère au niveau de la région cervicale de la
moelle
épinière ainsi que son adhérence avec les gangl
ation chronique de la pie-mère au niveau de la région dorsale de la
moelle
épinière. D'après Bechterew, les lésions commen
que le froid appliqué sur la colonne vertébrale, les méninges de la
moelle
épinière et les racines sensitives, a provoqué
ue cette compression de- vait s'exercer sur toute l'épaisseur de la
moelle
et non seulement sur une moitié et d'une façon
elles servi- raient à charger d'énergie les cellules motrices de la
moelle
et du cervelet et aussi elles augmenteraient et
faisceaux de Goll et Burdach et semblables en tout aux lésions de la
moelle
épinière sénile. Du reste, la distribution de
pourraient coexister, comme on a vu coexister les altérations de la
moelle
épinière. C'est pour cela que je crois qu'en l'
se conti- nuer sans interrupiion le long d'une grande partie de la
moelle
. Mais, si cette règle se vérifie pour les muscl
et sur sa tendance à se répan- dre sans interruption le long de la
moelle
. Tous les symptômes sont expli- qués par une lé
sont expli- qués par une lésion ne s'étendant pas au-dessous de la
moelle
cervicale. Une paralysie du diaphragme dans la
de la respiration thoracique. Il s'agissait d'une compression de la
moelle
dans la région du renflement cervical avec para
hase aiguë d'une façon diffuse et avec une grande extension dans la
moelle
. 558 . PETREN et EHRENBERG, SUR LE pronostic
e part et d'autre part avec le feutrage de la substance blanche de la
moelle
. Les noyaux sont d'habitude situés aux points d
ando, la queue s'arrêtant à quelque distance de la périphérie de la
moelle
. A la région dorsale la zone de dégénération es
dégénération descendante du faisceau py- ramidal, occupant dans la
moelle
le territoire du faisceau pyramidal croisé, res
nt remar- quer l'absence de dégénération du cordon antérieur cle la
moelle
à ses 1 a il * Hd ! n NOUVELI.E ICONOGRAPHIE
rologie, 7 janvier 1909. (2) CnouzoN, Des scléroses combinées de la
moelle
, thèse de Paris, 1904. (3) ITAI.0 Rossi, Atroph
e plus les atrophies secondaires aux affections du cerveau ou de la
moelle
ne trouvent pas place dans cette classification.
émiatrophies croisées (Thomas et Cornélius), ou à des lésions de la
moelle
(maladie de Friedreich, tabes) ; d'autres au cont
ment et vers le haut. Dans son ensemble, la tumeur s'étendait de la
moelle
cervicale exclusivement au sillon pédotictilo-
es. Il ne reste donc qu'à penser à une vulnérabilité spéciale de la
moelle
épinière qui facilite les localisations morbide
fait sentir. A cette vulné- rabilité spéciale, non seulement de la
moelle
, mais de tout l'axe cérébro- spinal, comme fait
. De quelques accidents spéciaux déterminés par la présence dans la
moelle
d'un ancien foyer de myélite infantile. Revue de
skelatrophie, Neurol. Centr. 1908, p. 753. ODDO. - Maladies de la
moelle
et du bulbe. Paris, Doin, 1908. CLINIQUE MÉDICA
liomyélite aux hémisphères cérébraux, ou de la poliencéphalite à la
moelle
épinière. Car lorsqu'on voit par exem- ple une
t bien obligé de conclure que la localisation de cette infection à la
moelle
épinière (et au bulbe) est un caractère très di
théorique. La poliomyélite consiste en une inflammation aiguë de la
moelle
, surtout des cornes antérieures, due à une mala
traordinaire de la lésion dans le bulbe (ou peut-être aussi dans la
moelle
? ). En tout ers, comme les observations proban
e long ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 675 de toute la
moelle
sans aucune interruption, et souvent aussi dans l
ain degré de cette altération également dans d'aulres parties de la
moelle
et aussi dans les méninges. Si nous nous rendon
ion répandue sur toute la longueur 676 PETREN ET EHIIENBERG de la
moelle
. Les seuls cas de la maladie qu'il me semble légi
use. En général, on a accepté l'idée que l'infection viendrait à la
moelle
par la voie artérielle (Pierre-Marie et d'autres)
le bien évident, qu'une répartition de l'inflammation dans toute la
moelle
par exemple depuis les segments in- férieurs de
, 1901. 26. Dejerine (J.) et Thomas (A.). Traité des maladies de la
moelle
épinière, Paris, 1902. 27. Dennett. - A case
médical, 1885, t. II, p. 167. 62. - Leçons sur les maladies de la
moelle
, Paris, 1892. 63. - Sur la coïncidence, chez un
r une cellule ner- veuse avec ses prolongements ou nerfs jusqu'à la
moelle
où elle est réflé- chie directement sur une aut
aux deux humérus (2 pl.), par D.\1\Los, ApEuT et PL1NDIN, 682.
Moelle
(Lésions dans une syphilis du nc·'- vraxe a mar
5, 189, 289. Syphilis du névraxe à marche rapide, le- sions de la
moelle
(2 pl.), par Alquier, 368. Tabès, ostéo-arthr
infantile (1 pi.), 650. ALQuiER. Sur la genèse des lésions de la
moelle
épinière dans un cas de syphilis du névraxe à m
pl.), 682. BERTOLOTTI. Poliomyélite antérieure chro- nique de la
moelle
cervicale. Atteinte bilatérale et symétrique de
eurologie, 1905, n" 4.) Les auteurs ont étudié Ifistologiqucmcut la
moelle
de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
topographie des paralysies et des atrophies dans les maladies de la
moelle
est beaucoup plus souvent spinale que radiculai
iculaires voisins. Au point de vue des localisations motrices de la
moelle
ce cas offre également un certain intérêt : à l
aient des lésions chromatolytiques très accentuées. Au niveau de la
moelle
dorsale la colonne de Clarke était le siège des
. dans le cas cité), extrêmement longs. Ils peuvent intéresser la
moelle
allongée et devenir fatals ; mais d'ordinaire ils
ossédons au- cun moyen d'influencer la marche du mal à travers la
moelle
épinière. Il en Va de même que pour le traitement
a de même que pour le traitement des dégénérescences communes de la
moelle
. L'absence de dou- leur appelle la vigilance du
roduit non seulement des effets toxiques aigus, dans le cerveau, la
moelle
épinière et les nerfs. Son emploi, tels que com
s montre que renfoncement osseux était relativement éloigné de la
moelle
, qui était peu comprimée. Moelle : Fover de mén
était relativement éloigné de la moelle, qui était peu comprimée.
Moelle
: Fover de méninge-myélite chronique caractérisée
térisée par des adhérences des méninges à la face postérieure de la
moelle
, qui est élargie transversalement du double de
; en arrière on trouve e une symphyse totale des méninges et de la
moelle
, tandis que sur les côtés, la dure-mère est net
e e>t nor- male et ne présente aucune trace d'inflammation. La
moelle
ne confient presque plus de fibres nerveuses norm
oit de la compression maxima, on retrouve les mêmes lésions; dansla
moelle
dont nous n'avons pu obtenir que des cou- pes i
A l'autopsie, pachyméningite in- terne et myélite traumatique de la
moelle
sacro-lom- baire. Cette observationprésente p
système nerveux incapable de réagir. Car c'est à une réaction de la
moelle
qu'il faut at- tribuer la spasmodicité habituel
cs vertébraux postérieurs, qui restent aune certaine distance de la
moelle
. Cette constatation n'a pas de valeur absolue d
e dans ces cas. Jollr en a publié encore un en 1933, dans lequel la
moelle
n'était plus qu'un cordon fibreux confondu avec
malade il ne semble pas y avoir eu de compression très forte de la
moelle
par la fracture, car celle-ci ne porta pas sur
entué. Il est donc probable que l'aplatissement transversal de la
moelle
est moins le résultat du traumatisme que celui
avité centrale qui existait dans le renflement pa- thologique de la
moelle
fait penser à la possibilité d'une hématomyélie
maladie est arrivée, à la participation plus ou moins grande de la
moelle
aux lésions du cerveau. Tendance àla suppuratio
l'autre côté. P. Keraval, \Il.- Des processus compensateurs dans la
moelle
hu- maine, par A. Click. (Neurolog. Centralbl.
ie infantile cérébrale. llémiatro- phie du cerveau. Asymétrie de la
moelle
; substance blanche el corne antérieure gauches
doncule cérébral ; d) par l'irrita- tion de certaines régions de la
moelle
lombo-sacréu ou même de toute la moelle ; e) pa
de certaines régions de la moelle lombo-sacréu ou même de toute la
moelle
; e) par l'action réflexe de grands nerfs sensiti
i'1.- Contribution à l'étude du trajet de quelques cordons de la
moelle
, par L. de Dydynski. [Neurolog. Centralbl., XXII.
ion de myélite transverse au niveau de la partie supé- rieure de la
moelle
dorsale. On a pu suivre par la méthode de March
e dorsale. On a pu suivre par la méthode de Marchi presque toute la
moelle
et la base du cerveau (ligures). A. Examen des
. Chaque fibre des racines postérieures, dès qu'elle est arrivée la
moelle
se divise en deux branches : une ascendante,une
dans la REVUE D'ANATOMIE ET DE P,lYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 123
moelle
vers la commissure postérieure, elles se collent
Toutefois les racines postérieures de la partie su- périeure du la
moelle
dorsale ainsi que toutes les racines cervi- cal
si que toutes les racines cervi- cales, après avoir pénétré dans la
moelle
, sont enclavées dans les l'aisceaulleBurlla<
élimitation exacte est im- possible. Us viennent des cellules de la
moelle
, les premiers nais- sant surtout des cellules d
nt constitué par une catégorie de libres situées sur la marge de la
moelle
en dehors de la substance gélatineuse. Au momen
de la moelle en dehors de la substance gélatineuse. Au moment où la
moelle
passe clans le bulbe, ce las- cicule s'allonge,
latéro- cérébelleux, avoisinenl, dans les régions supérieures de la
moelle
les cordons postérieurs, pour se terminer avec
t faisceau des cordons antérieurs par- lant du foyer el longeant la
moelle
jusqu'au bulbe (Beehlurevv, il il a dégénéré, d
, il il a dégénéré, donc il provient d'une région inférieure a la
moelle
dorsale supérieure. B. Examen des dégénérescenc
e du la - 126 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES,
moelle
sacrée. Si l'on admet que les cordons postérieurs
ellules des faisceaux ? L'interruption transversale et totale de la
moelle
par un foyer détruit simultanément racines post
s premiers ne dépassait pas le niveau de la partie inférieure de la
moelle
dorsale ; celle des seconds allai l jusqu'au cô
et ascendantes trahissent enfin l'atteinte des courtes fibres de la
moelle
au-dessous et au- dessus du foyer. P. Keraval.
lontaire émané des centres inférieurs ou cor- nes antérieures de la
moelle
en état d'excitation ? Le silence au niveau des
c) des lésions secon- daires à d'autres lésions du système nerveux (
moelle
) ; d) des lésions banales d'infection. Ce derni
exus choroïdes. Le pied du pédoncule est atrophié et en moignon. La
moelle
prend à la coupe un aspect d'artério-sclérose e
insi produit. P. KERAYAI, XXXI. Le locus minoris resistentise de la
moelle
épiniè- re ; par M. 1..\STWA TZATOUROW. (Obo;;¡
enne. Il en résulte une l'aligne mé- eanique qui rend ce segment de
moelle
particulièrement suscep- tible. Puis, le premie
tteinte particulièrement prononcée des ban- delettes externes de la
moelle
lombaire. Si l'exercice ne dure pas trop longte
le cette affection avec les maladies organiques du cerveau et de la
moelle
. P. KERAVAL \\ ? D'une forme d'affection nerveu
en 3 ans.Mort soudaine. Les cellules des cornes an- térieures de la
moelle
el du bulbe trahissent toutes les phases de l'a
ort tlu;carlavre. [Ectopie cérébelleuse post mortcm). Lésions de la
moelle
dans la démence précoce. JDI. KLiPPELet LnERMiT
ppliqué les récentes méthodes embryonnaire de Cajal à l'étude du la
moelle
allongée de lapins et de chats nouveau-nés, l'a
que uniformément à toute la partie de l'encéphale examinée. Dans la
moelle
, il décrit des altérations des cellules radicul
létant l'observa- Lion clinique par des études microscopiques de la
moelle
au niveau des régions cervicale, dorsale et lom
ations hie- gea ! 1L surtout au niveau des cornus antérieures de la
moelle
. De plus, les Doubles moteurs seraient égalemen
. LV. Le réticulum neuroflbrillaire des cellules motrices dans la
moelle
épinière des animaux tétanisés ; par 'ft- BERTI
rité que le réticulum 11b ! 'jllail'e des cellules mo- trices de la
moelle
épinière des lapins tétanisés ne présente pas de
Nissl. Toutes sont abondamment fournies de pigment jaune-brun. '
Moelle
épinière : Abondance extraordinaire du pigment ja
l'équilibre avec prédominance tantôt sur le cervelet tantôt sur la
moelle
. Syndrome myopathique guéri chez un enfant. M
rses, et siègent au cerveau d'une façon presque constante, et il la
moelle
. Un tableau d'ensemble montre la variété extrêm
-Recherches de la localisation motrice du membre inférieur dans la
moelle
de l'homme ; par C. PARHON et M. GOLDSTEIN. (Ne
qui représentent le début de la région motrice de la jambe dans la
moelle
: un peu plus bas, le centre du triceps a disparu
u des réseaux névro- gliques plus ou moins épais. Au niveau de la
moelle
, les lésions sont limitées à la région lombosac
'origine et les rapports récipro- ques des éléments nerveux dans la
moelle
épinière du poulet ; par IUGENIO La PFGNA. (Ann
traumatiques des nerfs, les myélites, les affections en foyer de la
moelle
et du cerveau. L'exagération de la sensibilité mu
ingo-myélite, soit ir, des altérations des cellules nerveuses de la
moelle
; - scléroses postérieures tabétiques, substratum
é à M. le Dr 0. Crou- zon, de Paris : Des scléroses combinées de la
moelle
. Des men- tions honorables sont accordées à : 1
ujet mort au bout dehuitjours, ont trouvé des lésions diffuses delà
moelle
surtout à la région dorso-lombaire, diminuant v
, chez le sujet, suivi au Marchi la dé- génération pyramidale de la
moelle
au cortex à travers le bulbe, la protubérance,
st pas admise sans conteste. Dans ses leçons sur les maladies de la
moelle
(1892), M. P. Marie les si- gnale comme très fr
meur qui en fait comme un vivant paradoxe. G ? dégénéré de par sa
moelle
, l'est encore par son cerveau ; de là la comple
nférieurs. La lésion anatomique a envahi à la fois le cerveau et la
moelle
.mais il semble que l'encéphale ait été d'abord
esté en rapport avec ce centre, demeure normal. Après section de la
moelle
et du nerf sciatique chez des lapins et des chi
d'observer au cours des paraplégies flasques par compression de la
moelle
, des décubi- tus avec destruction des muscles f
entres des muscles détruits. Il m'est également arrivé d'étudier la
moelle
dans un cas de paralysie infantile et de mala-
4.) E. fiLIN, - Influence exercée par la section transverse de la
moelle
sur les lésions secondaires des cellules motrices
s venues des centres supérieurs par la section transversale de la
moelle
au-dessus de l'origine du nerf sur lequel on a op
LOGIE PATHOLOGIQUES. 499 Elles leur ont montré que la section de la
moelle
a une influence certaine sur les phénomènes de
urs favorise l'intensité des altérations. De plus, la section de la
moelle
empêche la répa, ration des cellules en réactio
que, février 1905.) E. B. LXXI. - Vitiligo et tumeur centrale de la
moelle
; par L. FERRIO. De nombreuses observations cli
d'affection du système nerveux. Mais l'examen histo- logique de la
moelle
permit de découvrir un processus néoplasi- que,
rir un processus néoplasi- que, ayant envahi le canal central de la
moelle
dans toute sa longueur. A l'aide d'un fort gros
er qu'il existe une relation directe entre la gliose centrale de la
moelle
et le vitiligo, l'auteur pense qu'il est intére
, 1905.) ZD E. D. LXXI1, -. Cas d'angiosarcome des méninges de la
moelle
chez un sujet porteur d'angiomes multiples ; pa
tumeurs, à cette néoformation sous-dure-mérienne des méninges de la
moelle
" ? Quels rapports uiiisseiiurette néoformalion au
un tissu angiomateux pur, l'autre, située entre la dure-mère et la
moelle
dont la sépare la pie-mère ; cette dernière tum
elle dont la sépare la pie-mère ; cette dernière tumeur comprime la
moelle
, sans lui adhérer et est constituée par un tiss
r Pseudencé- phalie. Angiosarcome. Cas d'- des mé- ninges de la
moelle
chez un sujet porteur d'angiomes mul- tiples,
o, 4 ! jus, Influence exercée par la sec- tion transverse de 1a1,
moelle
sur les lésions secondaires des - motrices so
ns des - au xviii0 siècle, par de Coy- nard, 228. Cordons. Voir
Moelle
. Corne d'Ammon. Anatomie com- parée et physio
i- des dans le - - par Broad- bcut, 56. ' Démence précoce. Voir
moelle
. La - précoce dans l'armée, par Kagi, 157. -
hon, 42. - Recherches de la - motrice du membre inférieur dans la
moelle
de l'homme, par Parhon et Goldstein, 321. Loc
Parhon et Goldstein, 321. Locus minoris. Le resisten- tio/3 do la
moelle
épinière, par Astvvalzatourovv, 137. Loi mili
La -, par Oecono- makis, 324. Migraine. Voir Rêves, épilepsie.
Moelle
. Voir Processus. - Con- tribution à l'étude du
(Mal de -). Voir 'Clénus. Processus. Des - compensateurs dans la
moelle
humaine, par Pick, 122. Prix de l'Académie de
Réticulum neurofibrillaire. Le - des cellules motrices dans la
moelle
épinière des animaux té- tanisés, par Tiberli.
des -, par Hoyel, 47. Vessie. Voir Innervation. Vitiligo. Voir
Moelle
. Voix. Voir Suggestion. Psycho- logie de la ,
t sur les faits cliniques dans lesquels il y a lésion limitée de la
moelle
ou des racines. Il pense que les segments spina
SUR LES TROUBLES SENSITIFS PRODUITS par UNE LÉSION localisée DE la
moelle
; par Hale WHITE. (B7-ain, Part. Ill, 1893, p. 375
WHITE. (B7-ain, Part. Ill, 1893, p. 375.) Cas de compression de la
moelle
au point d'origine de la hui- tième paire dorsa
qui tenait sans doute à l'inégale compression des deux côtés de la
moelle
. Cette disposition confirme les vues de Head. De
roid et à la chaleur. Le sens muscu- laire était conservé. Comme la
moelle
était comprimée sur les par- ties latérales, l'
s sensations musculaires passent par les parties postérieures de la
moelle
. P. S. IV. OEDÈME ANGIO-NERVEUX; par Ernest Wil
S. VI. Cas DE fracture DE la COLONNE vertébrale avec LÉSION DE la
moelle
; par TiiUNNICLIFFE. (Bi-ain, part. III, 1893, p.
peresthésie douloureuse. A l'autopsie, on voyait sur la coupe de la
moelle
au niveau de la lésion de nombreuses taches hémor
hémiplégie hystérique. J.-B. C. XVIII. UN cas DE GLIOtATOSE DE la
moelle
(avec syringomyélie) avec hémorragies; par Ch.-
observation publiée est un exemple d'infiltration gliomateuse de la
moelle
ayant provoqué des symptômes de myélite transve
e la huitième dorsale, on constate un élargissement fusiforme de la
moelle
, s'étendant en haut et en bas pendant environ 3
veau montrait un caillot sanguin occupant la presque totalité de la
moelle
; ce foyer hémorragique correspondait à l'élargi
moelle; ce foyer hémorragique correspondait à l'élargissement de la
moelle
. L'examen histologique a montré que la moelle é
l'élargissement de la moelle. L'examen histologique a montré que la
moelle
était infiltrée de tissu gliomateux et que l'hé
ragie a été secondaire. Dans des points avoisinants, on trouvait la
moelle
infiltrée de tissu glioma- teux et par places d
petits foyers hémorragiques. Dans la portion inférieure du bout de
moelle
lésé, on trouve un petit foyer de tissu gliomat
cas d'a- myotrophie spinale. C. 141AYEn. Lésions anatomiques de la
moelle
dans les tumeurs cérébrales. DE SOFLDFR. Présen
considérée chez les aliénés. Paris, 1826. In-8°; Des maladies de la
moelle
épinière. Paris, 1839. In-8°; De la folie con-
141. A. 1839; Migraine, t. XX, p. 3 à 10. A. 1839 ; Maladies de la
moelle
épinière, t. XX, p. 33 à 129, A. 1839; Monomani
lésions portent sur les divers organes, les muscles, le cerveau, la
moelle
épinière et les nerfs et que par suite le bérib
licat. A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Chirurgie DE la
moelle
épinière ET DE SES annexes; par W. THORBURN. (B
é supprime les actions inhibitoires descendantes dans le côté de la
moelle
lombaire, auquel correspond le réflexe reparu.
couches externes de la dure-mère delà portion dorso-lombaire de la
moelle
épinière, qui amènerait des adhérences solides
spinaux et surtout les antérieures, sans intéresser sérieusement la
moelle
elle-même. Cette inflammation aurait peut-être
. Ces modifications consistent tantôt dans une dégénérescence de la
moelle
épinière sous l'influence du virus syphilitique
les tracés obtenus. Ducamp. XIV. Association D'UNE maladie DE la
moelle
avec l'anémie PERNI- CIEUSE; par Bowmann. (Bi,a
II, 1894, p. 198.) On ne connaît guère que dix cas de lésion de la
moelle
dans l'anémie pernicieuse. Le premier a été sig
sparut sous l'influence du traitement. P. S. XXIV. Syphilis DE la
moelle
; par SAciis. (Brain, part. III, 1893, p. 405.)
L'auteur pense qu'on peut arriver au diagnostic de syphilis de la
moelle
en dehors de l'aveu même du malade, par certains
sur la plus grande 128 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. partie de la
moelle
, comprenant à la fois, comme cela arrive sou- v
n évidence par la préservation de quelques-unes des fonctions de la
moelle
avec perte complète des autres. Diminution rapide
des 132 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. colonnes antérieures de la
moelle
, altération qui, suivant son degré, donne la ch
icularités anato- miques caractéristiques de la lèpre. Quant à la
moelle
, elle n'a encore été examinée que deux foi, dan
lésions des nerfs péri- phériques, soit qu'on envisage l'état de la
moelle
épinière, les faits jusqu'ici connus sont loin
ott cervical accompagné de lésions chroniques des méninges et de la
moelle
indépendamment de toute compression; une poussée
ération responsable de ce symptôme. En tout cas ce n'est pas à la
moelle
seule qu'il faut l'imputer, car, chez un malade
'arsenic rend des services. M. Bruns présente des préparations de
moelle
empruntée à un malade de ce genre qui finalemen
bl., 1894 2. Voici maintenant une autre observation de tumeur de la
moelle
opérée le 25 avril 1894 et le corps du délit en
t normale. Les jours suivants les progrès de la com- pression de la
moelle
deviennent des plus certains. Douleurs sié- gea
lus haut, que cette tumeur avait débuté par le segment gauche de la
moelle
, et qu'elle avait presque totalement comprimé c
psie que le néoplasme descendait jusqu'à la cinquième dorsale, la
moelle
avait été comprimée sur toute la hauteur comprise
t du malade. La lésion occupait aussi toute l'aire transverse de la
moelle
. ' M. Wulff présente une tumeur, du frontal gau
l'exagération du pouvoir excito-moteur des parties centrales de la
moelle
présidant à l'innervation vasculaire. L'interru
la colonne vertébrale pour diminuer le pouvoir excito-moteur de la
moelle
. A la théorie centrale de Raynaud, Vulpian a op
d'une insuffisance aortique qui peu .après entraîna la mort; sur la
moelle
de cette malade il est arrivé, grâce à de nom-
En superposant selon leur siège normal les diverses coupes de la
moelle
, on relève de suite, dans la lésion des cordons p
e ces deux maxima absolus, la dégénération suit, tout le long de la
moelle
, un parcours spécial : à partir du maximum infé
s fournira l'étude du cervelet, de l'isthme de l'encéphale et de la
moelle
épinière. Les progrès faits dans la connaissanc
le. (Revue neurologique, 1893.) E. B. XX. DE la névroglie dans la
moelle
normale ET dans la SYRIEN- gomyélie; par le Dr
; par le Dr Brissaud. Le canal de l'épendyme, chez l'adulte dont la
moelle
est nor- 300 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
protubé- rance, repoussé le lobe latéral du cervelet, ainsi que la
moelle
allongée. Du côté gauche, le lobe temporo-sphén
foyer hémorragique étendu dans les deux cornes antérieures de la
moelle
cervicale et lombaire. Au microscope on constate
d'une myélite aiguë occupant surtout la substance grise de toute la
moelle
. Grande intensité dans les ren- 302. REVUE D'AN
Helweg fait une réserve. Il y a, dit-il, union indubitable avec la
moelle
par un petit trousseau qui, parti de l'olive in
jusqu'à la 4e paire cervicale; c'est le faisceau triangulaire de la
moelle
cervicale. En outre, un grand nombre de fibrill
érieur, que l'on peut suivre jusque dans la partie inférieure de la
moelle
dorsale. P. K. XXIV. nIICItOCÉPH.1L1$' AVEC FEN
XVII. Observation DE totale destruction traumatique DU SEG- ment DE
moelle
intermédiaire a la moelle cervicale ET A la moe
e destruction traumatique DU SEG- ment DE moelle intermédiaire a la
moelle
cervicale ET A la moelle dorsale; par L. Bruns
U SEG- ment DE moelle intermédiaire a la moelle cervicale ET A la
moelle
dorsale; par L. Bruns (Archiv. f. Psychiat., XXV,
e la vessie et du rectum. On procède à l'examen microscopique de la
moelle
spinale delà quatrième paire cervicale au cône
tricielle totale directe traumatique occupant tout le segment de la
moelle
compris entre la huitième racine cervicale et la
cinquième vertèbre dorsale pour le cordon postérieur et jusqu'à la
moelle
sacrée pour les autres systèmes. En bas, à part
ns postérieurs, plutôt que de véritables foyers, et cela jusqu'à la
moelle
lombaire; en revanche, l'aspect des cellules ne
veuses des colonnes de Clarke laisse à désirer. Pour le reste de la
moelle
, notamment pour la moelle lombaire et sacrée, il
rke laisse à désirer. Pour le reste de la moelle, notamment pour la
moelle
lombaire et sacrée, il y a complète intégrité d
des extrémités intérieures, avec une lésion transverse totale de la
moelle
siégeant si haut. C'était précisé- ment ce qu'a
quand il disait : , « Lorsqu'il y a lésion transverse totale de la
moelle
au niveau des régions cervicale ou dorsale, la
totale de la moelle au niveau des régions cervicale ou dorsale, la
moelle
lombaire restant intacte, malgré la dégénéresce
, paralysie permanente de la vessie'et du rectum. Anatomiquement la
moelle
était tota- lement détruite au' niveau de la hu
t ascen- 'dante de tous les systèmes en question. État normal'de la
moelle
'lombaire, notamment pour-les racines antérieur
fonctions psychiques. Il faut également s'airêter aux lésions de la
moelle
, presque égales, chez les deux malades quoi qu
et la membrane fenêtrée ainsi qu'au pourtour du conduit. Dans la
moelle
, tuméfaction de la plupart des cellules (carmin)
re dimension qu'à gauche. Cordons postérieurs normaux. ,P Dans la
moelle
cervicale, on voit les racines antérieures se réu
! qui a de préférence frappé l'hémisphère gauche ; la lésion de la
moelle
émane donc de celle de l'écorce. L'arrêt de dév
il y aurait eu myélite aiguë, principalement de cette moitié de la
moelle
qui a présente le plus grand arrêt de développeme
la manière d'être des réflexes dans lca section lrcazs- verse de la
moelle
? L'orateur a observé un malade atteint de tume
ade atteint de tumeur des vertèbres dorsales avec compression de la
moelle
, chez lequel, pendant quatre ans et demi, il y
ns de Bastian. A l'autopsie, on constata qu'à l'endroit comprimé la
moelle
était transformée, en une substance mince et tr
e ancienne. f' M. HITZIG présente, en revanche, des préparations de
moelle
et 'de muscles empruntées à une malade qui, à l
à la suite d'une chute, subit une séparation presque complète de la
moelle
entre la région cervicale et la région dorsale.
ence primitive des deux pyramides et de leurs systèmes. Depuis la
moelle
lombaire jusqu'à la capsule interne. Le malade
ciation de syringomyélie et de lésion combinée des cor- 'dons de la
moelle
semblable à celle qu'a' décrite Strumpell. Il e
en dans les parois des cavités, et dans les parties éloignées de la
moelle
jusque dans la moelle lombaire; ceci doit être
cavités, et dans les parties éloignées de la moelle jusque dans la
moelle
lombaire; ceci doit être en rapport avec le tra
aux; l'intégrité des zones d'entrée radiculaires, notamment dans la
moelle
lombaire, explique pourquoi la lésion simultané
catégorie localise les cellules ner- veuses de nerfs mixtes dans la
moelle
. On avait préalablement interrompu lies connexi
maladie comme une affection spéciale des cordons postérieurs de la
moelle
épinière, les rapportent comme faisant - partie
ring Cross Hospital. " ' ' 388 .REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. . La
moelle
entière fut examinée ; d'après les symptômes clin
membre supérieur droit. La lésion médullaire s'étendait à toute la
moelle
depuis la décus- sation des pyramides, particul
pu rendre des animaux épileptiques par lésion du sciatique et de la
moelle
et par lésions irritatives du cer- veau ; ils o
iè ? ,e, 1894, n° 6.) Les deux seules variétés de traumatisme de la
moelle
, dans les- quelles l'intervention chirurgicale
s la dépendauce de lésions des viscères autres que le cerveau et la
moelle
. 2° Dans la paralysie générale et en particulie
ie des centres nerveux, par Déjerine, 237. Anémie, maladies de la
moelle
et - pernicieuses, par Bowmann, 125. Apiusie,
iarcot, souscription du monument (le -, 493, 496. Chirurgie de la
moelle
épinière, par Thornburn, 119. Chlorose, troub
fession- nel des - (les asiles, par Morel, 412. GnoMATOSE de la
moelle
avec hé- morragies, par Dana, 40. GOITRE exop
. Miracles de saint Ignace Loyola, par Meige et Batlaille, 497.
Moelle
, chirurgie de la -, par Thornburn, 1 19 ; malad
man, 317. Névrite diabétique, par Pryce, 128. Névroglie dans la
moelle
normale et dans la syringomyehe, par Bris- sa
, par Jackson et Taylor, 120 ; dans la section transversale de la
moelle
,. par Gehrardt, 318. Responsabilité, liberté,
Mackensie, 34; troubles- produits par une lésion localisée de la
moelle
, par H. White, 35. Sexuelle, sphère chez l'enfa
epetin, 227. Syndrome de Weber, par Lacour, 131. Syphilis de la
moelle
, par Sachs, 127. Syringomyélie, maladie de Mo
Tumeurs hydatiques intra - cra- niennes, par Ciarke, 128; de la
moelle
, par Bruns, 144 ; - du frontal gauche, par Wuif
idt, 321. Vertébrale, fractures de la colonne - avec lésion de la
moelle
, par Thunniclilfe, 30. Vésicaux, simulation d
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. donnant lieu aux paresthésies dans la
moelle
épinière et principa- lement dans la moitié inf
apulo-humérale (énormes végétations fibro-cartilagineuses) et de la
moelle
(atrophie des cornes anté- rieures, foyers lacu
lésions de méningo- myélite disséminées sur toute la hauteur de la
moelle
. L'examen histologique de ces différentes lésio
le et d'une partie du bras, prendrait son origine plus haut dans la
moelle
que les- racines du plexus brachial. L'hémiat
903). E. B. IV. Les lésions du système lymphatique postérieur de la
moelle
sont l'origine du processus anatomo-pathologiqu
, c'est la lésion de tout le système lympha- tique postérieur de la
moelle
, système constitué par la racine pos- térieure,
qu'une lésion syphilitique du système lymphatique postérieur de la
moelle
. Nous savons, en effet, avec quelle fréquence e
les polinévrites, la possibilité des modifications ni du côté de la
moelle
épinière, ni du côté du cerveau. Et S.-S. Korsako
ion de l'artère latérale antérieure. Dans beaucoup d'endroits de la
moelle
épinière et du tronc céré- bral on remarquait u
iverses objections. Ainsi la présence de bacilles au niveau de la
moelle
ne prouve pas leur origine névritique, on peut pe
quels ces auteurs ont rencontré des ba- cilles de la lèpre dans des
moelles
de syringomyéliques sont généralement considéré
es le tubercule, la gomme en sont des exemples -- or jamais dans la
moelle
on n'a encore rencontré le léprome. Si pourta
nser d'abord qu'elle gagne l'espace sous-arachnoïdien et ensuite la
moelle
, mais mes élèves, MM. Sicard et Cestan, ont rep
e autre voie de communication, l'infection gagnant directement la
moelle
en épargnant l'espace sous-arachnoïdien. Nous sav
lérose en plaques, les dégénérescences primitives des cordons de la
moelle
, les altérations corticales de la démence préco
moyen de l'immobilité permanente de l'animal. Si l'un sectionne la
moelle
à la partie dorsale moyenne, et que l'on fasse
volumineuses que les cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
. 11 occupe les mêmes portions de la formation rét
les prolongements des faisceaux essentiels du cordon latéral de la
moelle
. Aussi peut-on le nommer noyau centrai supérieur
par quel mécanisme ? 2 Les dégél1émtions du cordon antérieur de la
moelle
. MM. P. Marie et GUILLAIN défendent contre une
isceau pyramidal d'origine corticale bien qu'elles occupent dans la
moelle
une situation adjacente. , F. BOISSIEft. SOCI
être envisagées comme délire absurde. Un cas de carcomatose de la
moelle
épinière. P.-A. PRÉOBRAGENSâY. - La malade, de
ne hématomyélie et un ramol- lissement de la partie cervicale de la
moelle
épinière. L'examen microscopique démontra un an
pyramides, il devient presque imperceptible : dans le centre de la
moelle
épinière il avait l'aspect d'une petite raie :
droite et. en partie, la moitié gauche de la région cervicale de la
moelle
épinière : en appro- chant de la partie inférie
très intéressant celait que les hémorrhagies se disposaient dans la
moelle
épinière en aspect d'îlots; évidem- ment, une c
a influé, d'une manière identique, sur les endroits analogues de la
moelle
épinière dans différents niveaux. ' G.-J. PRI
compte très grave la disposition de la tumeur dans le centre de la
moelle
épinière, presque partoutsonlong;cela rappelle
conde question sur les localisations des fonctions motrices dans la
moelle
: rapport consciencieux, où sont exposés avec pré
ance du 2 août (soir.) La localisation des fonctions motrices de la
moelle
épinière. M. SAno, rapporteur, rappelle que les
me nerveux ont été étudiées en France par Vulpian et Hayem, pour la
moelle
épinière. Depuis, les progrès de technique ont
quinzaine de jours, dans les cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière, la « réac- tion à distance » qui peut
echerche des loca- lisations : enlever un muscle et trouver dans la
moelle
un groupe de cellules nerveuses en réaction à d
ue nerf rachidien possède en général dans la corne antérieure de la
moelle
épinière, un noyau principal et des noyaux acce
les du dos en particulier. Knape prétend qu'il n'existe pas dans la
moelle
, des noyaux nettement circonscrits, d'où les ne
l- tats furent plus précis ; on découvrit à chaque muscle dans la
moelle
un noyau d'innervation déterminé (Parhon, Goldste
gments de membres, et découvrirent des localisations nettes dans la
moelle
, résultats concordant avec les recherches de Br
étude des rapports topo- graphiques de ces noyaux entre eux dans la
moelle
fut faite. Ces multiples découvertes ne se cont
un groupement de noyaux, au segment d'un membre correspond, dans la
moelle
, une zone qui comprend les noyaux fonctionnels
do-mastoïdien, le quadriceps fémoral, etc., on peut trouver dans la
moelle
des noyaux répondant à chacun des grands faisce
Il est remarquable de voir que la disposition des noyaux dans la
moelle
reproduit la topographie des muscles dans les mem
Il faut, en effet, tenir compte, dans l'anatomie pathologique de la
moelle
humaine, des affections qui ont nécessité l'inter
cial de rechercher les localisations des fonctions motrices dans la
moelle
; aussi - n'est-il pas possible encore de donne
thode, préconisée par Nissl, l'inclusion préalable des fragments de
moelle
. Telle est l'idée qu'une comparaison impartiale
res contradictoires, mais bien superposés. C'est l'application à la
moelle
d'une loi générale dont on trouve des exemples
, par exemple, est l'analogue d'une racine motrice antérieure de la
moelle
, et a trois groupes de centres dont la lésion p
droit. Ces centres sont ana- logues aux centres segmenlaires de la
moelle
. Ainsi le nerf de la troisième paire a trois or
sième paire a trois ordres de .centres superposés. De même, dans la
moelle
, la distribution des troubles périphériques des l
u grand sympathique. - Note sur quelques centres sympathiques de la
moelle
épinière. M. LAIGNEL-LAVASTING montre le corps
racique ont leurs cen- tres trophiques dans la corne latérale de la
moelle
dorsale et dans un noyau latéro-exteme de la co
dorsale et dans un noyau latéro-exteme de la corne antérieure de la
moelle
cervicale inférieure ; 1° Ce noyau laléro-ext
1° Ce noyau laléro-externe de la base de la corne antérieure de la
moelle
cervicale est distinct du noyau postél'O-exte1'ne
anente exclusivement intérieure. 'Apropos des modifications de la
moelle
consécutives aux amputations de membres chez le
chez le Têtard. . Ji31. BRISSAUD, et BAUER. Lorsque l'on compare la
moelle
de deux têtards de même âge ayant subi le même
tions de régénérations influent, mais influent peu sur l'état de la
moelle
; elles n'arrêtent guère la réparation des alté
portance à cet égard ; - 44° Cette restauration des lésions de la
moelle
n'est jamais par- faite. Il ne s'agit pas ici c
; 3° le feuillet externe constitue les centres nerveux : cerveau et
moelle
épinière ; les organes sensoriels et la peau ;
s, on a trouvé chez lui une syringomyélie occupant une partie de la
moelle
cervicale et la portion supérieure de la moelle
nt une partie de la moelle cervicale et la portion supérieure de la
moelle
dorsale. Peu de temps avant son entrée à l'hôpi
e : les groupements postéro-latéral et post-pos- téro-laléral de la
moelle
lombo-sacrée sont en rapport avec les muscles d
l'étude des représentations motrices du membre in/ë- rieur dans la
moelle
épinière de l'homme. MM. PARHON et GOLDSTEIN. N
épinière de l'homme. MM. PARHON et GOLDSTEIN. Nous avons étudié la
moelle
lombo-sacrée de deux malades dont le premierava
. SCHROETTER. (ACli-0- log. Centralb. XXI. 1902). Il s'agit de la
moelle
. I. - Prenez une solution à 1 ou 2 p. 100 de su
compression avec dégénérescence des racines posté- rieures dans la
moelle
lombaire; par M. MARTELS. (Neurolog. Cen0'a ? X
(Neurolog. Cen0'a ? XXI, 1902.) Un foyer tuberculeux comprime la
moelle
au niveau du cinquième segment dorsal depuis 4
trente ans), il sentait encore. En revanche, on constate dans la
moelle
lombaire la dégénéres- cence de toutes les raci
eures ou trans- versales) des cellules des cornes antérieures de la
moelle
du boeuf traité par la méthode de Nissl (bleu d
é- sentent des intervalles non colorés; il en est de même pour la
moelle
du lapin. Ces dessins n'ont rien de commun avec
Quervain dans les corpuscules de Nissl. Et les mêmes cellules de la
moelle
soumise à des coupes horizontales et transversale
ubstance blanche. , En somme un foyer de la substance grise de la
moelle
cervicale, de la corne antérieure, a occupé l'é
s a été suivie de paralysies soudaines mortelles avec lésions de la
moelle
ressemblant à celles de la myélite aiguë. , P.
ifiée par Kadyj). Nulle altéra- tion du cerveau, du cervelet, de la
moelle
, sauf des foyers d'hé- morrhagie récents et anc
paramyoclonus aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la-
moelle
. Unverritch attribue l'hémimyoclonus au cerveau
mides jusque dans la protubérance, le bulbe et le côté opposé de la
moelle
. L'atrophie de la couche optique porte principa
d'affirmer qu'à chaque muscle corresponde un centre spécial dans la
moelle
, les recher- ches exposées dans ce travail vien
e si le plus ordinairement les dégé- nérescences postérieures de la
moelle
dans la paralysie générale affectent un type sp
erveau est purement et simplement associée au tabes classique de la
moelle
. (Revue neu- rologique, novembre 1903.) E. B.
nguer la syphilis cérébrale des autres maladies du cerveau et de la
moelle
(à l'exception du tabes), pour différencier la pa
ux années plus tard le patient présente des accidents du côté de la
moelle
(sclérose en plaques probable) auxquels il succ
le résultat de l'action du poi- son tétanique sur les centres de la
moelle
allongée et de la protu- bérance. G. D. XLIX.
baire du spinal. Atrophie très marquée de la corne antérieure de la
moelle
cervicale supérieure. (Noyau u cervical du spin
» du torticolis congénital, l'atrophie de la corne antérieure de la
moelle
cervicale supérieure c'est-à-dire du noyau d'or
Cil. Paraplégie cervicale incomplète par tumeur gliomateuse de la
moelle
avec pachyméningite néoplasique, par Spillmann et
5. 3 planches). Après l'exposé clinique et anatomo-pathologique (la
moelle
ne parait pas avoir été examinée) du fait, cour
de petits foyers de ramollissement cap- sulaire. Les lésions de la
moelle
ne sont jamais bien syetérna- tisées ; elles so
due et de siège suivant les sujets et suivant la hauteur d'une même
moelle
. Sans l'affirmer, les auteurs pensent que ces l
ucune conclusion des recherches histologiques entre- prises sur les
moelles
d'individus ayant présenté les signes cli- niqu
scopique on trouve : une myé- lite aiguë diffuse très intense de la
moelle
dorsale inférieure et du renflement lombaire, u
drome anatcmo-clinique, dû à la prédominance, en certains points (
moelle
, nerfs optiques), d'altérations généralisées à to
NTALE. 503 ningo-corticales de la paralysie générale. Du côté de la
moelle
, lésions des méninges du canal épendymaire et d
lles du tabes vrai et du pseudo-tabes Dans le cerveau comme dans la
moelle
, abondance de prlasmazellen, disséminés entre des
ille) communique un cas de lésion de l'épicone dans une plaie de la
moelle
. M. Lannois (de Lyon), à propos de la remarque
vropathes, il y a désé- qnilibre fonctionnel entre le cerveau et la
moelle
épinière. Le sommeil normal rétablit l'équilibr
ebllls, intitulé : La Bosse des Mathématiques, par Ahrens, 320.
Moelle
. Voir Névrite. Les lésions du système lymphatiq
te radiculaire subaigue. Degé- . nérescences consécutives dans la
moelle
(racines postérieures) et dans les nerfs périph
, 330. Paraplégie cervicalemcomplète par tumeur gliomateuse de la
moelle
avec pachyméningite néoplasique, par Spillman
ompression avec dégénéres- cence des racines postérieures dans la
moelle
lombaire, par Bartels, p. 33 : : ? Du carpopha-
romégahe, par Raymond et Guillain, 163. Système lymphatique. Voir
Moelle
nerveux ; voir Anatomie pa- thologique. nerve
du cytodiagnostic du , par Widal, Sicard et Ra- vaut, 53. -. Voir
Moelle
. -. Voir Paralysie générale. Les formes fébri
nfinité derayons chargés de rattacher chaque point de l'écorce à la
moelle
épi- nière ou aux ganglions de la base. Cette b
ent que les moyens de communication sup- posés entre l'écorce et la
moelle
épinière étaient in- terrompus, cela suffisait
DE PHYSIOLOGIE. IL Recherches sur L1 substance guise centrale DE la
moelle
15PI- NIÈRE ET DE LA MOELLE ALLONGÉE ; par W. A
s sur L1 substance guise centrale DE la moelle 15PI- NIÈRE ET DE LA
MOELLE
ALLONGÉE ; par W. AINSLIE HOLLIS. {Journal or A
et du déve- loppement de la névroglie dans la substance grise de la
moelle
(substance poliosynectique). Puis étudie les ce
nts. Hollis attribue la transparence plus grande des coupes de la
moelle
dans la substance grise à ce que le tissu synecti
NOYAU EXTERNE DE L'.1COUS1'IQUH : , El' DE LEURS H11'YOIiIJ avec la
moelle
; pai-v.iNlo.NAKow. (A1'CIz. f. fS ! /r/t.MV6)'t)e
on. Deiters seul le considère comme un relai entre les fibres de la
moelle
(cordons aiitéro-latéraux) et les pédoncules cé
kow s'est proposé d'éli- miner de la région les tractus issus de la
moelle
. Il a pratiqué chez le lapin nouveau-né une sec
ouveau-né une section transverse complète de la moitié gauche de la
moelle
, immédiatement au-dessus de l'entre- croisement
éesparl'expérimentalionsontlessuivanle : Les cordons latéraux de la
moelle
participent à la formation du strutum zonale, m
rapport étroit avec le nerf acoustique ; il dépend bien plus de la
moelle
et doit être regardé comme un noyau du faisceau
; il succomba en huitiours à des accidents encéphalopathiques. La
moelle
, le cervelet et le bulbe contenaient des traces d
s assertions d'Aufrecht sur l'atrophie des cellules nerveuses de la
moelle
cervicale et dorsale (granulations obscures et gr
'agit d'une forme paraplégique. La substance grise antérieure de la
moelle
lombaire présente une disparition presque absolue
ener à leur suite : 1° une hyperexcitabi- lité(très manifeste de la
moelle
; 2° la paralysie des muscles part aux convulsi
ine de-la neuvième paire et de celles. du corlius ileiitulunl dè la
moelle
. SuJkws *\o wmi.il uaa c n,. Mais, eu outre, la
ni dans laT moelle' allongée,"ni dans la ré- « gibn cervicale delà
moelle
,' bien que des coupes prises dans- ces- REVUE D
u vertex gauche, et de diverses autres portions du cerveau et de la
moelle
qui étaient parsemées d'îlots plus ou moins rap
bles purement fonctionnels 'affectant les centres trophiques, de la
moelle
, vers, la périphérie 9'(zones des nerfs moteurs
dans les nerfs, tantôt de préférence sur les segments moteurs de la
moelle
, tantôt peut-être aussi en même temps sur ces d
llules nerveuses dans leur voisinage. Les cordons postérieurs de la
moelle
offrent la dégénérescence grise. Discussion :
ion microsco- copique exacte de l'écorce du cerveau, et si, dans la
moelle
, les cordons postérieurs étaient seuls altérés
y a d'interruption, et encore est- elle peu importante, que dans la
moelle
allongée, où les fibres nerveuses du stratum zo
ent sous la pie-mère. C'est surtout dans la substance blanche de la
moelle
qu'on en constate le mieux les rapports, parce
doivent être notés. Les particularités variables selon les régions (
moelle
épinière, écorce du cervelet, écorce du cerveau
que, parmi les vaisseaux sanguins, les uns (substance blanche de la
moelle
, du bulbe, du cerveau), possèdent une enveloppe
re pour en- traîner la dégénérescence complète de la pyramide de la
moelle
allongée. P. K. XII. Résultats expérimentaux
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXIII. Un cas d'affection chronique DE la
moelle
épinière,guérison; par Alessandro Marin\. (Lo S
inaires de la méningo-périencéphalite; la substance cérébrale et la
moelle
sont dures et élastiques. Le microscope montre
érescence vi- treuse. Sclérose évidente de la protubérance et de la
moelle
; cel- lules granuleuses et corpuscules amyloïde
éphale; lepto- méningite spinale chronique ; sclérose diffuse de la
moelle
; foyers de sclérose disséminés dans les divers
monaire et intestinale. On trouve, au microscope, l'intégrité de la
moelle
épinière et des racines antérieures. Les nerfs ra
lmonaire. Le diagnostic se base sur l'intégrité du cerveau et de la
moelle
. Bien des cas, tels que celui-ci, considérés à
XIX. Contribution a l'étude de la dégénérescence secondaire dans la
MOELLE
épinière DE L'HOMME (avec remarques sur l'anatomi
rapportées par Schultze con- cernent la série des altérations de la
moelle
consécutives à des fractures et luxations de la
n degré d'altération très avancé surtout dans les renflements de la
moelle
et notamment à la région lombaire (prolifératio
que la dégénérescence du faisceau pyramidal ne s'observe ni dans la
moelle
allongée, ni dans le pédoncule cérébral et que
est bien propre à le corroborer. D. BERNARD. XXXII. Tumeur de la
MOELLE
ALLO\GF : E;DI\BTP : sucré; par DE JOIGE. (Arch
gauche, mort dans le coma. La tumeur occupe le bord gauche de la
moelle
allongée; elle commence immédiatement au-dessous
cunéiforme et du faisceau grêle. Pour l'auteur, le tubercule de la
moelle
allon- gée a engendré le diabète non en agissan
I.DES.1LTEE.\TIONSaRTIFICIELLES cadavériques ET pathologiques DE la
moelle
épinière; par R. aCIIUL2.(1YC71TOl. CC72TCflGI. 1
s d'individus ayant succombé à toute espèce de maladies laissant la
moelle
indemne, l'auteur enlève l'organe en question d
les variétés d'aspect de la névroglie dans les cordons blancs de la
moelle
ré- sultent des diversités dans la réussite des
rtilagineuses que l'on rencontre parfois sur la pie-mère spinale de
moelles
normales paraissent être un effet de l'âge, et
11 termine par le tableau des dimensions des diverses régions de la
moelle
et des différents cordons dans les endroits où
sensitive émane toujours d'altérations de la substance grise de la
moelle
, cette opinion doit supporter cer- taines restr
t le pied du pédoncule cérébral, la protubérance, la pyramide de la
moelle
allongée, et le cordon latéro-postérieur du côt
méninges au niveau du quatrième ventricule de façon à embrasser la
moelle
allongée surtout en avant et à gauche. L'auteur f
tissu conjonctif conservant leur intégrité. En ce qui a trait à la
moelle
, ce sont les cellules des cornes an- térieures
ucocytes présentent des espaces périvasculaires di- latés. Souvent (
moelle
épinière) il y a eu diapédèse. On trouve aussi
'on ait affaire dans l'espèce à une sclé- rose multiloculaire de la
moelle
spinale et de la moelle allongée ou à une lésio
spèce à une sclé- rose multiloculaire de la moelle spinale et de la
moelle
allongée ou à une lésion cérébelleuse avec dégé
rescence primitive prenantson origine dans les fibres nerveuses. La
moelle
allongée ne révèle pas de localisation anatomopat
ter la myosite ossifiante à une lésion des cornes antérieures de la
moelle
ou plutôt, si l'on constatait réellement, comme
our l'hémisphère cérébral gauche, 84 grammes pour le cervelet, la
moelle
allongée et la protubérance ensemble, soit80 à 90
nce ensemble, soit80 à 90 grammes de différence avec la normale. La
moelle
épinière fraîche ne présentait à la vue aucune
à la pathologie et au diagnostic de la formation de cavités dans la
moelle
. 11 sera publié in extenso '. M. Rumpf (de Bonn
athologique du 1(tbes do7,salis. Il s'agit d'une liémorrliaie de la
moelle
consécu- trice à l'élongation du sciatique dans
ure en diamètre, suivant une perpen- diculaire qui tomberait sur la
moelle
allongée, 2,8 centimètres, son plus grand rayon
icule ou éminence du vermis supérieur fait défaut. Les olives de la
moelle
allongée sont invisibles. La protubérance est t
petite, n'est nulle part épaissie. Le diploë est bien conservé. La
moelle
allongée et la moelle épinière susciteront d'au
art épaissie. Le diploë est bien conservé. La moelle allongée et la
moelle
épinière susciteront d'autres détails après exame
rices des réflexes monte- raient avec les cordons postérieurs de la
moelle
, glisseraient sous l'écorce du cerveau, s'enfon
ice, et qui se rencontre dans certains faisceaux du même côté de la
moelle
, quand les pertes de substance sont étendues, a f
ération multiples dans l'encéphale, y compris la protubérance et la
moelle
allongée; il est probable qu'ici les noyaux des n
es de la Société les or- ganes, et en particulier l'encéphale et la
moelle
d'un tabétique atteint, quatre mois avant sa mo
ine à la capsule externe. La capsule interne, la protubérance et la
moelle
allongée ne présentent aucune ano- malie. Dans
ance et la moelle allongée ne présentent aucune ano- malie. Dans la
moelle
épinière on rencontre les lésions de l'ataxie l
itrophes externes des mêmes cordons) et se retrouvent enfin dans la
moelle
cervicale (exclusivement bornées aux faisceaux
motrice, se rattachent purement et simplement à l'affec- tion de la
moelle
, et n'indiquent aucunement que l'encéphale Arch
8°; Essai sur quelques points de physiologie et de pathologie de la
moelle
épinière considérée dans ses rapports avec l'or
paralysés), pal, Reitiliiiid, 98. Dégénération secondaire de la
moelle
, par Schultze, 330; par 398 TABLE DES MATIERE
mus, 247. Gliomateuse (dégénérescence de la protubérance et de la
moelle
allongée, 336. Goitre exoplithalinique avec m
tuberculeuse de l'adulte (étude sur la), par Chantemesse, 124.
Moelle
épinière (sur la substance grise de la et de la
se, 124. Moelle épinière (sur la substance grise de la et de la
moelle
al- longée), par Hollis, 76; (aflec- tion chr
ns artificielles cadavériques et pa- tholoôic'ues cle la), 335.
Moelle
allongée (tumeur de la), 333. Morphiomanie, 1
SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 1 (Sclérose en plaques, paraplégie, ta
'ici : à la simulation par l'hystérie des maladies organiques de la
moelle
épinière. Nous avons, dans ce but, parcouru la li
incomplet : la bibliographie de l'hystérie et des affections de la
moelle
est beaucoup trop riche pour qu'on ne laisse ri
diant non pas la simulation hystérique de toutes les maladies de la
moelle
le pro- gramme serait trop vaste et trop au-des
LE ICONOGRAPHIE DE LA S1LI'$TItI$IiE. d'une maladie organique de la
moelle
. Et comme corollaire obligé, nous signalerons l
lles raisons la névrose simule-t-elle les maladies organiques de la
moelle
? Question délicate s'il en fut, à laquelle il es
erches anatomo-cliniques de l'École française, les affections de la
moelle
épi- nière ne sont plus confondues dans un chao
. 1G. G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. organiques de la
moelle
. Nous verrons plus loin que cette barrière n'a
ontre dans l'hystérie les élé- ments primordiaux des maladies de la
moelle
. Que, chez certains hystériques, ces éléments s
donne pas un brevet d'immunité contre les maladies organiques de la
moelle
, bien au contraire; pour être hystérique on n'e
gnostic à faire : celui de l'hystérie. En effet, les maladies de la
moelle
nous sont aujourd'hui trop fami- lières pour qu
réalité, les syndromes hystériques simulateurs des affections de la
moelle
peuvent durer des années, devenir une véritable i
une manière indirecte, il est vrai, le pronostic des maladies de la
moelle
. Règle générale, les myélopathies évoluent prog
l'hystérie et susceptibles de simuler les maladies organiques de la
moelle
C'est Westphal qui, en 1883, a rapporté le prem
après, ce malade mourut dans son service. Dans le cerveau, dans la
moelle
, dans les nerfs périphériques, les recherches l
ami Souques sur les syndromes hystériques simu- des maladies de la
moelle
. Ons. IX (de M. Pitres, in Progrès médical, sep
ndromes hysté- riques « simulateurs » des maladies organiques de la
moelle
épinière (Nouv. 7eoMo ? n° 1, 1891, p. 13, obs.
SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA
MOELLE
KPIMHRn (Sclérose en plaques, paraplégie, tabes
tendu les indications aux paraplégies par compres- sion lente de la
moelle
dans le mal de Pott et les tumeurs médullaires.
a chirurgie française. Trépaner, c'est, dans l'espèce, dé- gager la
moelle
comprimée. Le manuel opératoire a été admirableme
s ferons simplement remarquer que, parmi les tumeurs diverses de la
moelle
, il est un groupe qui contre- indique toute esp
aires qui occupent la substance grise ou la substance blanche de la
moelle
, ou les deux à la fois. Même interdiction pour le
soin par M. Charcot dans ses Leçons sur la compression lente de la
moelle
, et dans les travaux plus récents de Gowers, Wh
le le plus aux paralysies causées par les maladies organiques de la
moelle
». « J'ai vu, dit I-Iammond \ souvent des contr
colonne vertébrale, croyant avoir affaire à une inflammation de la
moelle
épinière. » Il nous serait facile de multiplier
e Paris, 1852, p. 34. 3. Leyden, Traité clinique des maladies de la
moelle
épinière. Traduction par MM. Richard et Viry, 1
est pas moins exposé aux causes ordinaires de la compression de la
moelle
et à la myélite transverse. C'est dans l'existenc
sme avait exagéré le mal de Pott et déterminé une compression de la
moelle
. On l'enveloppe dans un appareil silicate pour im
rofesseur Charcot montre sans peine que les nerfs périphériques, la
moelle
, le mal de Pott ne pourraient expliquer ces acc
arcot. Elles ne sauraient répondre, disons-nous, à une lésion de la
moelle
ou des nerfs. Qu'on en juge plutôt par les sché
paraplégies. Fixe. 46. - Distribution de l'anesthésie (plaie de la
moelle
au niveau de la dixième vertèbre dorsale). 148
te seule ou qu'elle soit associée il une altération organique de la
moelle
, le mode de début et l'évolution fourniront enc
ents utiles. Le début est d'ordinaire brusque s'il y a lésion de la
moelle
. Au contraire, les paraplégies hystériques, ain
icule, a épargné le bulbe pour envahir les cornes antérieures de la
moelle
. C'est aussi par les phénomènes oculaires, ptos
ans réaction musculaire anormale, prouve que la moitié gauche de la
moelle
n'est que très légèrement touchée. L'observat
nne motrice s'est faite non plus par le bulbe supérieur mais par la
moelle
. Les noyaux commandant aux muscles des membres,
a peu à peu envahi les noyaux de la colonne grise antérieure de la
moelle
et de la substance grise du deuxième au troisiè
trique (en partie) des noyaux des nerfs moteurs du cerveau et de la
moelle
allongée (polioencéphalitc supérieure et inférieu
dans le renflement cervical et lombaire et dans tout le reste de la
moelle
(poliomyélite) et commandant aux muscles isolés
fs crâniens vers les cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
. 11 s'agit donc d'une polioencéphalite inférieure
iers jours et la malade aurait avalé de travers. Le cerveau et la
moelle
furent macroscopiquement trouvés intacts. L'exa
l'affection. L'invasion de la colonne motrice se fait tantôt par la
moelle
, tantôt par le bulbe supé- rieur ; il existe do
sa marche progressive et gagne la colonne grise antérieure de la
moelle
. L'atrophie apparaît alors à la main, au bras et
il la vérité, où la lésion bulbaire supérieure, se propageant à la
moelle
a atteint au passage le noyau du facial. Nous a
s'étend ensuite plus ou moins rapidement au bulbe inférieur et à la
moelle
. On devra donc toujours, en présence de malades
be supérieur entraîne un pronostic moins sévère que le début par la
moelle
. Il est juste aussi de faire remarquer que, dan
fraîches hémorrhagies capillaires, le gonflement des vaisseaux de la
moelle
allongée doivent être regardés comme s'étant fo
e grise en plaques, vitreuse, d'une grande partie du cerveau, de la
moelle
et du bulbe. ' DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 23
topsie, on trouva sur la face inférieure du pont de Varole et de la
moelle
allongée, un caillot de sang frais. Pas d'altérat
nt les traces d'une dégénérescence graisseuse avec atrophie. Sur la
moelle
on découvrait à l'oeil nu une teinte grise des co
ostérieurs allant du segment, cervical à la partie inférieure de la
moelle
; cette dégénérescence occupait deux faisceaux di
ar leur concordance sur les points essentiels. Wernicke a trouvé la
moelle
intacte, de même que le cerveau à la seule exce
ouva rien non plus d'anormal dans les autres parties du cerveau. La
moelle
allongée paraissait aussi en bon état, mais dan
'épendyme était épaissie et recou- vert de petites granulations. La
moelle
épinière et ses enveloppes ne pré- sentaient ri
ère et ses enveloppes ne pré- sentaient rien d'anormal ; ni dans la
moelle
épinière ni dans la moelle allongée on ne trouv
é- sentaient rien d'anormal ; ni dans la moelle épinière ni dans la
moelle
allongée on ne trouva de corps granuleux. Malhe
dans le bichromate de potasse d'une grande partie du cerveau, de la
moelle
allongée et de la moelle épinière, on fit une q
asse d'une grande partie du cerveau, de la moelle allongée et de la
moelle
épinière, on fit une quantité de coupes dans le
icroscope il n'y avait pas d'autres altérations dans'le cerveau, la
moelle
allongée et la moelle épinière. , ? Pour clor
pas d'autres altérations dans'le cerveau, la moelle allongée et la
moelle
épinière. , ? Pour clore le chapitre d'anatom
NDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS » . DES MALADIES ORGANIQUES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE (Sclérose en plaques, paraplégie, tabe
niques ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 305 de la
moelle
épinière, lorsque la paralysie des membres inféri
es de paralysie écartent toute idée d'une affection organique de la
moelle
. Et pourtant, dans des cas analogues, cette hyp
spinale, pouvait bien éveiller l'idée d'une lésion organique de la
moelle
. Mais elle avait été précédée, depuis trois ans,
ment rien. Les vertèbres étaient saines dans toute leur étendue. La
moelle
fut retirée et examinée macroscopique- ment. A
nt normaux. La colonne dorsale ne présentait aucune altération ; la
moelle
était saine à l'oeil nu, et, très évidemment, l
alade. On nous objectera peut-être que l'examen microscopique de la
moelle
aurait pu révéler des altérations capables de tou
ger soit à un mal de Pott sans déviation, soit à un tubercule de la
moelle
. On y songea tout d'abord; plus tard en présenc
S SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS DES MALADIES ORGANIQUES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE (Sclérose en plaques, paraplégie, tabe
t, à la tuber- culose, à la syphilis médullaire, à une tumeur de la
moelle
, etc. Nous en avons cité de nombreux exemples.
rront donner l'éveil. Les para- plégies par compression lente de la
moelle
n'appartiennent pas direc- ment à la famille né
, Paris, 18G4, p. 57. 6. Leyden, Traité clinique des maladies de la
moelle
. Traduct. française, 1879, p. 85. 7. Charcot ct
eudo-tabétique. cl Il n'a pas, dit-il, de lésions indélébiles de la
moelle
épinière. C'est un de ces faux ataxiques qui pe
con- trer, l'auteur se trouva en présence de lésions étendues de la
moelle
cervico-dorsale et du bulbe. Et de pareilles lé
SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE (Sclérose en plaques, paraplégie, tabe
nus dans les muscles ? Dans tous ces faits, il a toujours trouvé la
moelle
intacte. Et cependant le rôle pathogénique de l
trouvé la moelle intacte. Et cependant le rôle pathogénique de la
moelle
dans la production de ces accidents ne saurait
et Vulpian, en mettant à l'abri de toute contestation le rôle de la
moelle
comme centre trophique. Les nerfs périphériques
ffet, nous avons déjà écarté l'hypothèse de lésion organique de la.
moelle
. Reste l'atrophie cérébrale. Que depuis l'enfance
ible, extérieure, d'une lésion localisée à la substance grise de la
moelle
; elle n'est pas, à notre avis, pathognomonique
es signes identiques à ceux de la gliomatose. Que les lésions de la
moelle
soient hémorrha- giquesou gliomatcuses, comme l
uggéré les questions suivantes : 1° Quels sont les rap- ports de la
moelle
épinière, de ses enveloppes et des racines nerveu
on une action favorable sur l'évolution de certaines maladies de la
moelle
épinière ? Ayant acquis la conviction que la su
rl, la compression des nerfs intercostaux pro- voque l'anémie de la
moelle
épinière, et, comme, pendant la suspension, cet
amener une tension dans les racines nerveuses, une élongation de la
moelle
et de la pie-mère avec ses vaisseaux; ce ne ser
les adhérences entre la pie- mère et les cordons postérieurs de la
moelle
. Sans entrer dans le fond même de ces intéressa
i prouve que la suspension n'est pas une chose indifférente pour la
moelle
épinière. Dès lors il devient clair qu'on a tor
dure-mère, qui se présente comme une gaine sacciforme entourant la
moelle
épinière et réunie aux parois du canal par du t
parois du canal par du tissu cellulaire. En haut la dure-mère de la
moelle
se continue avec la dure-mère crânienne. Supp
en arrière et des deux côtés par la rigole. Le premier contenait la
moelle
épinière, ses enveloppes, le liquide céphalo-rach
veux et des hémorrhagies dans les substances grise et blanche de la
moelle
épinière. Cependant les observations de Lombroso
instantanée; quand les battements du coeur cessaient on enlevait la
moelle
et on la plongeait toute entière dans la liqueur
. Les foyers hémorrhagiques étaient disséminés tout le long de la
moelle
épinière, et nous n'avons pas trouvé une seule co
bution à l'étude des syndromes -, -, simulateurs des maladies de la
moelle
épinière), par Souques, 1, 130, 300, 36G, 409
ciales, 19, 50, 56, 57, 58. Microcéphale (Cerveau de -), ), 10.
Moelle
épinière (Distribution de l'anesthésie dans une
ristique dont 1 la présence est révélatrice d'une compression de la
moelle
ou des racines rachidiennes. Tumeurs intra-rach
e. Pour que cela arrive, il faut qu'il existe une compression de la
moelle
elle-même, circonstance qui est réalisée dans l
dérable. Mais il n'en est pas toujours ainsi. Dans bien des cas la
moelle
elle- même n'est pas comprimée, mais seulement
elle-même par une sorte d'effondrement de plusieurs ver- tèbres. La
moelle
même reste à peu près indemne ; au contraire les
as de tabes, 2 casdemyélite, 1 cas de compression traumatique de la
moelle
, 7 cas de sciatique, etc. » Nous ne retenons de
altération des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la
moelle
; les névrites multiples observées dans quel- qu
hall comme étant l'expression pure et simple de l'état sénile de la
moelle
. 2° Une observation (d'Eisenlohr) passible d'un
stant pas aux manipulations techniques que nécessite l'examen de la
moelle
au microscope. 3° Enfin deux observations (d'
VRITES. 141 le bulbe, les méninges, et les racines rachidiennes. La
moelle
a une apparence et une consistance normale; à l
ophie cellulaire des cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
épinière, sclérose plus accusée dans les région
en 1886, dans un accès de suffocation. Autopsie. - A l'oeil'nu, la
moelle
présente une apparence absolument normale. L'ex
normale. L'examen microscopique montre, sur toute la hauteur de la
moelle
, une atrophie très prononcée des cellules ganglio
côté des vaisseaux. Les autres parties de la substance grise de la
moelle
, de même que les cordons blancs sont indemnes. Le
e nous avons fait des régions cervicale, dorsale, et lombaire de la
moelle
épinière, des nerfs médian, cubital, et sciatiq
s durcissement resta absolument négatif. Notons spécialement que la
moelle
allongée, le pont de Varole et la' région des t
représente la partie terminale de la colonne grise antérieure de la
moelle
prolongée dans le bulbe et la protubérance. Rap
te antérieure l'affection systématique des cornes antérieures de la
moelle
, Wernicke propose par analogie d'appeler polien
ce des cas complexes intéressant à la fois les noyaux moteurs de la
moelle
et ceux de la région bulbo-protubérantielle. C'es
yaux sensitifs étant respec- tés, tout comme lorsqu'il s'agit de la
moelle
, dans l'atrophie muscu- laire du type Duchenne-
oire de M. le professeur Charcot (Suite') 1) Examen histologique.
Moelle
. Région cervicale. -On est frappé tout d'abord
entre elles très EXPLICATION DE LA PLANCHE Fig.l. - Coupe de [la
moelle
lombaire de polynévrite, colorée par la méthode d
s; c, cordon latéral; d, cordon postérieur. Fig. 2. - Coupe de la
moelle
cervico-dorsale de poliomyélite, colorée par la m
artériole. Fig. 5. - Région dégénérée de la corne antérieure de la
moelle
de poliomyélite, colorée par le picro-carmin, v
n'est pas exactement symétrique par rapport aux deux moitiés de la
moelle
, le côté droit est plus intensément intéressé.
nt systématiquement la substance grise des cornes antérieures de la
moelle
. Le maximum d'altérations siège il la région do
es altérations de la sub- stance grise des cornes antérieures de la
moelle
. Notre observation montre aussi que des névrite
s, on ne trouve pas trace d'altérations anciennes ou récentes. La
moelle
épinière (il n'y a pas de déviation de la colonne
atrophiés, mais moins altérés qu'à la main. Examen histologique.
Moelle
. - La moelle a été durcie dans la liqueur de Mû
mais moins altérés qu'à la main. Examen histologique. Moelle. - La
moelle
a été durcie dans la liqueur de Mûller et la ce
thode de Pall et de Weigert. On constate dans toute l'étendue de la
moelle
l'intégrité des fais- ceaux blancs. Dans la s
ortement pigmentées (Planche XXXII, fig. '1). Les vaisseaux de la
moelle
sont un peu dilatés, et leurs parois sont légèr
ute atrophie musculaire était censée relever d'une altération de la
moelle
, où il n'était pas même question des névrites en
pour les muscles, minimes pour les nerfs, presque nulles pour la
moelle
. Quelles relations existent entre ces dernières
l'abord hors de cause les quelques modifications que présentait la
moelle
. Elles se réduisaient, en effet, à une diminuti
fuse, mais bien les désordres qu'on constate ordinairement dans les
moelles
séniles. D'autre part, la région des cornes ne
int de sclérose en foyer. En réalité, ces marques de sénilité de la
moelle
épinière ne peuvent être invoquées comme ayant
e lésion des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de la
moelle
. De même il est permis d'affirmer qu'il existe ég
peut déceler d'altérations fondamentales de la région motrice de la
moelle
. Il ne serait donc pas légitime de s'autoriser
s lequel l'absence de toute lésion des nerfs périphériques et de la
moelle
épinière lui a fait rapporter logiquement le tr
adultes. Il pense que ce n'est pas dans les faisceaux blancs de la
moelle
eux-mêmes qu'il faut chercher la cause de cette
cent une influence régu- latrice sur le pouvoir excito-moteur de la
moelle
. Que les communi- cations entre les centres psy
ntres psycho-moteurs et la substance grise (système antérieur de la
moelle
) se trouvent interrompues, et du même coup on v
tro- phiques (cellules ganglionnaires des cornes antérieures) de la
moelle
. Que ces centres trophiques cessent d'être en c
auteur, sous la dépendance de lésions des cornes antérieures de la
moelle
. 2° On observe, d'autre part, des complexus sym
ui ne recon- naissent pas pour cause des lésions appréciables de la
moelle
épinière. 3° On ne peut affirmer absolument, da
aire (cellules cérébrales motrices, cellules ganglion- naires de la
moelle
, nerfs moteurs, muscles), par un agent pathogène
ppes ménin- gées, sans lésion des centres nerveux : cerveau, bulbe,
moelle
épinière. L'examen microscopique ne fut pas pra
urs du bulbe supérieur et des cellules des cornes antérieures de la
moelle
. La lésion de la colonne motrice est en effet l
llc d'or) tics IrJlil;mv. (A suivre.) ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ' 1 ICONOGRAPHIE PHOTOGRAPHIQUE L'At
yons ces planches est destiné à faciliter l'étude des lésions de la
moelle
épinière. La distribution topographique de ses
systématiques, les myélites non systématiques et les tumeurs de la
moelle
. Les myélites systématiques sont représentées i
XLIII). 11 s'agit d'une coupe faite dans la région cervicale de la
moelle
d'un adulte ayant subi une atteinte de poliomyé
ire et ses cellules ganglionnaires normales. Le manteau blanc de la
moelle
est sain. Les planches XLIV, XLV et XLVI sont
he XLIV reproduit une coupe de la région cervicale supérieure de la
moelle
, relativement peu altérée à ce niveau. La pré-
rme de fente perpendiculaire aux sil- lons antéro-postérieurs de la
moelle
; les cordons latéraux présentent un léger degré
sion, énorme dans la première, à peine accusée dans la dernière. La
moelle
n'est guère reconnaissable dans la région cervico
; la cavité centrale est moins grande, et toutes les parties de la
moelle
sont aisément recon- naissables : on y remarque
N PLAQUES ; FORT GROSSISSEMENT ) > ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE. 311 EXPLICATION DES PLANCHES Planch
lancolie cataleplirorme (Un cas de-), par Sollieret Souques, 120.
Moelle
épinière (Anatomie pathologique de la -), par P
ette dégénérescence peut se prolonger dans toute la hauteur de la
moelle
; ordinairement, il s'agit d'une dégénération en
e pseudo-tabé- tique. Au point de vue clinique, les lésions de la
moelle
se mani- festent presque toujours par l'aboliti
'établissement des lésions des racines et cordons postérieurs de la
moelle
au cours des tumeurs céré- brales. Je ne veux p
re à vous dire que d'autres régions 10 CLINIQUE NERVEUSE. 1 de la
moelle
peuvent être atteintes : par exemple, les zones
postérieures comme, dans les régions motrices et antérieures de la
moelle
. Dans chaque tube nerveux, la gaine de myéline
it à la dégénérescence des fibres des colonnes postérieu- res de la
moelle
avait pour siège les cellules des ganglions des r
mportance en tant que cause primi- tive des lésions nerveuses de la
moelle
, de remarquer que Marinesco dit que les lésions
s et la dégénérescence des fibres des colonnes posté- rieures de la
moelle
, et conclut que lorsqu'on considère l'incons- t
ui existent entre l'intensité de la dégénérescence des fibres de la
moelle
et le peu d'importance relative des lésions des
nt que la dégénérescence des libres des colonnes postérieures de la
moelle
n'est pas sous la dépendance d'ude lésion primi
Il rend compte des dégénérescen- ces de fibres rencontrées dans la
moelle
chez les tabétiques et' montre que l'on a souve
qu'un même faisceau de fibres peut être sain dans une région de la
moelle
et malade dans une autre. Bien plus, dans les f
as de névrite consécutive aune dégénérescence parenchymateuse de la
moelle
par A. D. ROCHVELL. (The New York Médical Journ
en forme et en grandeur aux cel- lules des cornes antérieures de la
moelle
. 4. Une couche de petites cellules ganglionnair
s cellulaires de ce dernier. Le. faisceau rubrospinal le porte à la
moelle
où, par voie de contact, il est transmis aux ce
unication avec le cervelet, et par là, avec le cordon latéral de la
moelle
. Le cervelet recevant presque toutes les fibres
lle. Le cervelet recevant presque toutes les fibres sensibles de la
moelle
, (voie cérébelleuse directe, faisceau de Gowers
obablement. Il doit être en rapport avec le segment inférieur de la
moelle
dorsale. Il peut ainsi marquer le niveau d'une
elle dorsale. Il peut ainsi marquer le niveau d'une affection de la
moelle
, s'il est conservé, tandis que le réflexe abdom
hémiplégique. P. KERAVAL. XII. Des altérations du cerveau et de la
moelle
dans la psychose polynévrilique de Korsakow, pa
vent être suivies dans les ra- cines postérieures et jusque dans la
moelle
. 4. Dans les cordons postérieurs, la dégénéresc
es affections de la queue de cheval et du segment infé- rieur de la
moelle
; leçon clinique de M. le Dr RAYMOND (Nouv. . l
latérale du faisceau qui met en rapport le noyau de Deiters avec la
moelle
par l'interruption de la voie centripète consti
des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures de la
moelle
épinière chez des enfants nouveau-nés (méthode
rches antérieures por- tant sur l'homme adulte, indique que dans la
moelle
adulte les prolongements des cellules motrices
ant principale- ment sur les lésions des racines postérieures de la
moelle
et des ganglions rachitiques dans onze cas de t
tion non encore locali-ée du système nerveux (substance grise de la
moelle
); pour la variété à évolution suppurative, la t
Celle-ci permit de constater, au niveau de la partie moyenne de la
moelle
dorsale la présence d'un sarcome très vasculair
cidents permettent d'affir- mer l'existence d'une compiession de la
moelle
, à la limite des segments dorsal et lombaire, c
d'asystolie due à une sthénose aortique. Les coupes en série de la
moelle
ont montré une dégénération systématique du cor
paraplégique, qui semblait indiquer des altérations profondes de la
moelle
, contraste avec l'exiguité des lésions constaté
Brown-Séquard après la vivisection d'un nerf ou d'une moitié de la
moelle
et du bulbe : inhibition d'un côté, dyna- mogén
. L'examen microscopique démontra des modifications du côté de la
moelle
épinière, des nerfs périphériques et des muscles.
ye en coupant le sciatique, ou en prolongeant une hémisection de la
moelle
, et que cette épilepsie pouvait même se transme
tion. Mêmes lésions cellu- laires dans les cornes antérieures de la
moelle
, avec un maximum au niveau de la région lombair
gite sarcomateuse avec envahissement des racines nerveuses et de la
moelle
. Cytologie positive et spéciale du liquide céphal
méningite sarcomateuse diffuse ayant envahi toute la hauteur de la
moelle
. Cette méningite a déterminé par places quelque
elle pousse les prolongements sarcomateux dans l'intérieur de la
moelle
. Le sarcome envahit la moelle également par l'int
ts sarcomateux dans l'intérieur de la moelle. Le sarcome envahit la
moelle
également par l'intermé- diaire du canal de l'é
: Nerf glosso-pharingien, Nerfs du coew', Cordons antérieurs de la
moelle
. Questions de garde : De la con- duite à tenir
tèrent aucune rigidité. Les cel- lules des cornes antérieures de la
moelle
ne semblent donc pas affectées seules, car si e
alhi- ' que et qu'il doit exister dans les cornes antérieures de la
moelle
une altération anatomique ou une excitation fon
alentissement des mouvemenls respiratoires et circulatoires), et la
moelle
(abolition du tonus et des réflexes) sont égale
son sang circule. L'ébranlement s'est pro- pagé jusqu'au bas de la
moelle
et a épargné certaines régions bulbaires. Cette
01). E. B. XL VI. Fibres nerveuses à myéline dans la pie-mère de la
moelle
. épinière, par les Drs DERCum et SPILLEIt, L
et SPILLEIt, Les fibres nerveuses à myéline dans la pie-mère de la
moelle
sont chose assez rare. Parmi les préparations m
tte partie de la pie- mère qui couvre les cordons postérieurs de la
moelle
épinière. Ces fibres étaient si entrelacées, qu
cas de mal de Pott. Malgré l'interruption presque com- plète de la
moelle
au niveau de la première racine lombaire (il ne
noux. Anatomiquement, malgré l'absence de compression osseuse, la
moelle
était considérablement réduite de volume, cette r
ya- line des éléments nerveux, et au développement, au sein de la
moelle
, de formations cavitaires d'apparence identique à
PATHOLOGIQUES. .....1,. ? \ f. , ... - XLVIII. Les lésions de la
moelle
épinière chez les amputés, " ' . par M. SIVIT :
mputés, " ' . par M. SIVIT : ILSIÜ. ' L'auteur a pu examiner cinq
moelles
d'amputés. Dans quatre cas, il s'agissait d'une
au tiers supérieur. Dans les cinq cas, il existe une atrophie de la
moelle
, du côté correspondant à l'ampu- tation ! ' A :
nt de bas eu haut; Pour qu'une sclérose 'puisse se produire dans la
moelle
d'un am- puté, il faut que,la survie, après l'a
renchymateuse avec retentissement sur les groupes cellulaires de la
moelle
. Un phénomène palpébral constant dans la paraly
s). Ayant examiné par la méthode Golgi les cellules nerveuses de la
moelle
épinière chez le chien, le chat, le lapin etc.,
Rien de visible à l'oeil nu, dans le squelette, le cerveau et la
moelle
. Tous les organes abdominaux sont farcis de ces
enveloppes sont indem- nes de toute métastase, sauf au niveau de la
moelle
lom- baire où l'on trouve sur un certain nombre
certain nombre de noyaux cellulaires des cornes antérieures de la
moelle
, en rapport avec les régions plus particulièremen
que la lésion atteint la portion du plexus la plus rapprochée de la
moelle
; il se rencontre aussi lorsqu'il existe des lés
ers viscéraux, l'expression de la souffrance du sympathique dont la
moelle
extérioriserait ainsi les sensations. C'est une
able névrite, sans signes médullaires...La symptoinalo- logie de la
moelle
n'entre en scène que beaucoup plus tard. Reteno
méningite externe et interne ne nous satisfait pas davan- tnge, la
moelle
serait comprimée en même temps que les ra- cine
épreuse a pu amener la syringo- myélie en portant son action sur la
moelle
. Chauffard, Babinski ont observé des lépreux pr
se généralisée des méninges. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 319 La
moelle
des tabé tiques présente deux ordres de lésions :
ganglions rachidiens où elles naissent jusqu'aux centres gris de la
moelle
et du bulbe où elles se terminent, le processus m
elle et du bulbe où elles se terminent, le processus marchant de la
moelle
aux ganglions. La lésion consiste en une atrophie
assez irrégulièrement répar- tie sur les différentes racines de la
moelle
et mên : e sur les diffé- rents fascicules de c
ne véritable 171éiiingo-171yélite vasculaire qui représente dans la
moelle
à un degré atténué ce qu'est dans le cer- veau
oires de l'élément conjonctif existent dans toute- la hauteur de la
moelle
, dans le bullu, dans la protubérance. Cette m
progressive de la vessie, comme si, dépourvue de tout lien avec la
moelle
la vessie avait obéi à une excitation spasmodiq
i ont montré l'indépendance relative des sphincters vis-à-vis de la
moelle
, sans cependant établir l'existence d'une vérit
gger. Le faisceau pyramidal direct dans le cordon antérieur de la
moelle
. 11 ? DÉJERINE, au moyen de très nombreux cas d
DERNY, de Paris. 2° Neurologie. Des localisations motrices dans la
moelle
. Rapporteur : NI. le Di. SANO, d'Anvers. - 3° Ass
s précédentes, les auteurs ont soutenu qu'il n'existait pas dans la
moelle
des tétaniques de lésions cellulaires pouvant ê
question, comme pour eux,les lésions cellulaires,observées dans la
moelle
d'hommes ou d'animaux tétaniques, sont banales
gris, lésions analogues, mais moins marquées, dans l'axe gris de la
moelle
, se traduisant ici et là par une infiltration d
quantité de liquide purulent, clair, baignant la protubérance et la
moelle
et fi- lant le long des gaines des nerfs crânie
ent nettement atrophiés dans la mésencéphale, la protuberance et la
moelle
; 5° Le cervelet avait son développement normal;
et la moelle; 5° Le cervelet avait son développement normal; 6° La
moelle
pré- sentait une défectuosité de la colonne ant
oint à noter est l'absence de développement de la névroglie dans la
moelle
au point où devraient se trouver les fibres pyr
e sclérose, bien que cette lésion existe à un certain degré dans la
moelle
allongée et dans la pyramide antérieure gauche.
irculation et de la respiration. Les effets de la compression de la
moelle
allongée se manifestent sur la circulation le p
façon indépendante. Du côté de la respiration, la compression de la
moelle
allongée fut accompagnée d'un arrêt respiratoir
iculation, ganglions spinaux, centres trophiques vaso-moteurs de la
moelle
, ganglions sympathiques et nerfs vaso-moteurs.
tiges ; le médecin de l'endroit le. soignait pour une maladie de la
moelle
épinière (sic). Il semble avoir eu à cette époq
Vigouroux et LuGNEL-LAVASTINE. Dans les deux cas, l'as- pect de la
moelle
lombaire est identique, sclérose des aires pyrami
ans l'un la sclérose diffuse des cordons latéraux constatée dans la
moelle
lombaire se réduit dans la moelle cervicale et le
ordons latéraux constatée dans la moelle lombaire se réduit dans la
moelle
cervicale et le bulbe à une sclérose du faiscea
Sur les modifications du canal central dans les traumatismes de la
moelle
épinière (avec projection des préparations). L.
) F.-A. Geier. Le rapporteur a examiné par la méthode de Golgi la
moelle
épinière des embryons de poulets et il a réussi à
lement a été détruite la liaison entre la partie infé- rieure de la
moelle
épinière et le cerveau, mais les centres de la
le pronostic du tabès, par Terrien, 496. Cellules nerveuses. Voir
Moelle
. Sur la signification de la chroma- z tolyse
schkow, 52. Cerveau. Voir Anatomie. Des alté- rations du et de la
moelle
dans la psychose polynévritique de Korsakow,
arcomateuse avec en- vahissement des racines nerveu- ses et de la
moelle
. Cytologie po- sitive et spéciale du liquide ce
dmann, 51. Miroir hypnog-énique, par Pau (le Saint-Germain, SE.
Moelle
. Voir Névrite. - Voir Ce)'- veau. Voir Queue de
cas de con- sécutive une dégénérescence pa- renclivmateiise de la
moelle
, par Rocktvrll, 46, optique, par Brissaud el
cheval. Sur les affections de la - et du segment inférieur de la
moelle
, par Raymond, 57. Ramollissement. - bulbaire ai
oeil nu, des centres ner- ^eux, sauf, à la partie postérieure de la
moelle
dorso-lombaire, de nombreuses plaques ossiforme
téoblastes et circonscrivant des cavités renfermant une vérita- ble
moelle
osseuse. Seule, l'infiltration calcaire faisait d
motices, ni tln. liltrc. scit·ilivc·, tlan· la protubérance ou la
moelle
. Enfin, les VIII0 IX" et Xe paire* du côté gauc
Contribution à l'histologie des altérations par com- pression de la
moelle
dans les tumeurs vertébrales ; par M. BIELSCHOW
., XX, 1901.) Con- tribution à la question de la régénération de la
moelle
; par A. Eicrler (Ibid). ' Les observations I
ons de Fichier. D'autre pari, l'expérimentation nous apprend que la
moelle
n'a pas la faculté de régénérer les éléments co
gaine de Schwann, et ne se distinguent plus des autres libres de la
moelle
. D'autres fibres apparaissent contre les capill
mpagnent les vaisseaux pie-mericns à la périphérie antérieure de la
moelle
. d'où elles gagnent les racines antérieures qua
oration, c'est que l'on ne Il'om'ai pas de fibres sur un segment de
moelle
aussi long que chez le malade de 31. Fickler. C
Ce dernier a fait de nouvelles expériences sur la compression de la
moelle
chez le chat, et il a conslalé dans les cordons
ylindraxes conservés. Strophe du reste affirme que les libres de la
moelle
sont généralement capa- bles d'émettre des reje
ré. L'auteur croit qu'avant que ne s'effectuât la compression de la
moelle
par la métastase carcinomatcuse, sur la vertèbr
VSKY décrit les lésions qu'il a observées chez cinq malades dont la
moelle
a été soumise à l'action successive du formol,
! ,) Figures montrant que l'écorce, la protubérance, le bulbe, la
moelle
sont le siègl' (l'allé l'll 1 ions mal'(luées, ta
appréciation de leur degré permet de dire qu'elles ont débuté parla
moelle
. Il existe une dégénérescence des colonnes de C
ero-externe de celle olive. Le faisceau de Rus- sel semble, dans la
moelle
cervicale, être plus en avant que lui. Le faisc
Le faisceau d'Jleh\eg ou lnri-olivairu de Gechlcrovv est dans la
moelle
situé un peu plus en avant que le faisceau de 5[I
: on en retrouve c cependant quelques-unes vers la pie-mère dans la
moelle
cervi- cale inférieure ; et, dans la moelle dor
ers la pie-mère dans la moelle cervi- cale inférieure ; et, dans la
moelle
dorsale, elles forment un trousseau ininterromp
rousseau ininterrompu qui va jusqu'à la périphérie antérieure de la
moelle
où elles décrivent un crochet de côté ; ce systèm
n crochet de côté ; ce système est encore distinct plus bas dans la
moelle
lombaire supérieure et, dans la moelle sacrée,
re distinct plus bas dans la moelle lombaire supérieure et, dans la
moelle
sacrée, il est aussi marqué par quelques débris
don latéral des pyramides du même côté est atteint jus- que dans'la
moelle
lombaire supérieure ; la dégénérescence est «le
baire supérieure ; la dégénérescence est «les plus accusées dans la
moelle
dorsale. Le cordon latéral entrecroisé conserve
cervelet est en une zone étroite assez purement conservée. Dans la
moelle
dorsale, le faisceau pyramidal se colle étroite-
'étendue en descendant mais elle n'a complètement cessé que dans la
moelle
lombaire. P. Keraval. XI. -- Examen histologiqu
u cervelet, de la partie du centre ovale contiguë au corps calleux.
Moelle
plus dure que normalement : substance blanche d
e que normalement : substance blanche des cordons postérieurs de la
moelle
dorsale inférieure un peu grise et luisante. C'
s postérieurs, notamment les cordons de Goll, sont dégénérés dès la
moelle
cervicale jusque dans la moelle dorsale inférie
dons de Goll, sont dégénérés dès la moelle cervicale jusque dans la
moelle
dorsale inférieure : on remonte ainsi jusqu'à leu
res. La substance grise, celle surtout des cornes antérieures de la
moelle
cervicale, contient des débris de myé- line : d
de la moelle cervicale, contient des débris de myé- line : dans la
moelle
sacrée, l'altération, insuliforme, empiète sur
es libres du cerveau moyen, protubérance, cervelet, bulbe, et de la
moelle
. Ce processus est descendu par les cornes antér
s, et aux crises viscérales propres il certaines af- fections de la
moelle
, ainsi qu'a certaines lroplfuu3v roses. Chez l'
ené une intoxication suit des cellules de la cornu antérieure de la
moelle
, soif des nerfs périphériques, soit des muscles
08 CLINIQUE MENTALE z gancs superposés, couches optiques, bulbe,
moelle
, dans lesquels existent des centres inférieurs
miciles. P. 11EI2AVAL, XXII. Contribution à l'anthropologie de la
moelle
; par Il. PFI$1'ER. (1\'curolog. Centralblatt,
; par Il. PFI$1'ER. (1\'curolog. Centralblatt, XXII, 1903.) 1" La
moelle
épinière des garçons est, quelque soiL leur âge,
el plus longue que celle des filles. 2° Comparée à l'encéphale, la
moelle
des garçons est il la nais- sance plus légère q
ture, le poids du cer- veau semble marcher de pair avec celui de la
moelle
; mais à lue- sure qu'ilsavancenl en âge, la mo
vec celui de la moelle ; mais à lue- sure qu'ilsavancenl en âge, la
moelle
devient comparativement plus lourde. 3° Le po
oelle devient comparativement plus lourde. 3° Le poids movende la
moelle
, qui, à la naissance, est de 3 il 3 rn. 4, atte
ie, S(,- 1)1-ollollcu ment de moins en moins. - 4° Chaque gramme de
moelle
COI'- respond, chez le nouveau-né, il 14 cent,
lle. Avec 1 ;i,u la stature diminue par rapport la même quantité de
moelle
. La moelle comparé au volume du corps est chez
i,u la stature diminue par rapport la même quantité de moelle. La
moelle
comparé au volume du corps est chez le garçon un
s lourde que chez les IiIll ? - 50 La IOIl¡illl'UI' 111Oellne de la
moelle
qui eSL chez le nouveau-né à peu près de 14 cent.
-25 o¡",Ce chil1'l'e cor- rct-pund au l'appoll du la longueur de la
moelle
il la (aille de l'a- dulte. l'. lvFlt.w.w. 12
t la syringomyélie. El vraiment, dans les maladies organiques de la
moelle
, on rencontre très llWluemmenL de ces signes de
'encéphale est encore le siège d'un cenlre convulsif clonique. La
moelle
dans toute sou étendue, chez tous les mammifères,
que jamais de convulsions cloniques. Chez la grenouille verte, la
moelle
provoque au contraire des convulsions cloniques.
clonique remonte pro- greSSi\ClIll'nl dans l'échelle animale, de la
moelle
jusqu'à l'écorce cérébrale ; bulbo-médullaire c
tiques généraux, v l'aululr.ie desyuels on trouva des lésions de la
moelle
, caractérisées par une myélite avec périarlé- r
vienne ; 3° séance, Hari- ne> antérieures et postérieures de la
moelle
. - Epreuve de garde : l". .séance : Indications
es auteurs étudient l'état des différents groupes de cellules de la
moelle
dans les seg- ments de cet organe préalablement
aisceau pyramidal proprement dit, tout àfait indemne ; rien dans la
moelle
même. Si l'on se ré- fère au schéma d'Ollerstei
aisceau longitudinal postérieur, à gagner le cordon antérieur de la
moelle
du côté opposé. En ef- fet, de la région du noy
t du noyau intratrigéminal quel est leur Ira- jeu ultérieur dans la
moelle
? '1 De ses recherches, l'auteur conclut : 1"
e Mey- nerf constitue le tractus tectohulbaire qui n'atteint pas la
moelle
. ;\0 Le tractus tectobulbaire est propre il ass
lement, il présente les symptômes d'une lé- sion transe erse cle la
moelle
, au niveau du premier segment dor- sal. Il meur
onstante sur- foules les coupes trans\ erses depuis l'endroit où la
moelle
a été lésée jusqu'àun morcewsitué en haut dans
zoaires qui ont pour localisation principale la région bulbaire, la
moelle
et les ganglions spinaux. Les expériences exécu
use occa- sionnelle un effort musculaire exagéré. L'affection de la
moelle
a préalablement, comme le dit, M. Charcol, déte
vringomyé- lie. Les os du malade devaient, de par l'affection de la
moelle
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.' 243 être préd
e par la zone de Charcot ctPil'l'I'ct des cordons postérieurs de la
moelle
(zone intermédiaire, bandelettes externes), et qu
IQUES. 295 cordon antérieur et d'une partie du cordon latéral de la
moelle
cervicale. Ce territoire correspondrait au fais
, LXI 1.- Syndrome solaire par néoplasie médullaire et état de la
moelle
lombo-sacrée,54 ans après l'amputation de la ja
es organes abdominaux étaient sains, mais on trouva au niveau de la
moelle
dorso-lombaire un petit gliome auquel l'auteur
vie de son malade. D'autre part, l'examen en coupes sériées de la
moelle
lombo- sacrée démontré que 54 ans après l'amput
lle esl un 1)lié- noumène anormal. - G. D. LXV. Altérations de la
moelle
en un cas d'amputation ancienne de l'avant-bras
XV1. Du faisceau X à la région cervicale la plus infé- rieure de la
moelle
; par Purves-Stewart. (\'eunolor7. Cen- tre/. X
occupe les 7° et 8e segments cervicaux et ne continue pas dans la
moelle
dorsale. Situé en avant et en dehors du faisceau
rt-Pal, de \Iarchi et de \issl, portant sur les divers étages de la
moelle
dans deux cas de lésion de la queue de cheval e
ande ressemblance avec les den- drites des cellules nerveuses de la
moelle
épinière. Il, C. LXXX. Un cas de tumeur cérébra
s croisées du cervelet par rapport au noyau caude, du bulbe et delà
moelle
par rapport au cervelet. LXXX1. Type infantile
les constatations hislologiqucs nolées aux dilférenls étages de la
moelle
permet de conclure qu'une lésion médullaire local
fs plausibles, et notamment la lésion des racines ner- veuses de la
moelle
plus voisines des plexus, l'auteur est obligé d
ysies d'un pronostic très de- favorable, dues il une affection delà
moelle
: à l'avenir de déci- der pourquoi. 1. 11BRA\'.
intéresser le ccrvcau tout entier. Cer- tains idiots, réduits iL la
moelle
et au bulbe, et par suite aux réflexes rudiment
ourvues de toute sensibilité à raison d'une lésion transverse de la
moelle
, ne s'opposent souvent pas à la perception des
ions relatives au mode de ré- partition des cellules motrices de la
moelle
au niveau de l'origine des nerfs des membres, p
\\llI, 1904.) Supposons une coupe transverse et h')I'ÍzJntale de la
moelle
dans les régions en question. - L'innervation
e postérieure exceptée) surtout au niveau du deuxième segment de la
moelle
dorsale. LXXIX. - Contribution à l'étude de la
de même nature 448 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. que celles de la
moelle
, en particulier les voies optiques et au- ditiv
. (Rev. de mèd.\ janvier 1904.) Les lacunes de désintégration de la
moelle
ont été signalées en 1883 par H. Martin, bien é
U a OhI'I'1 é dell cas avec evteiision il la lace postérieure de la
moelle
dans les hémorrliagies cérébrales. Escarre sacr
drome bulboprotubérantiel à étiologie variable, par Lévi, 160.
Moelle
. Contribution à l'histo- logie des altérations
ue. Voir Folie. solaire avec néoplasie médullaire et état de la
moelle
lombo-sacrée, 54 ans après l'amputation de la
ermiques, 452. table des auteurs. 509 Tumeurs vertébrales. Voir
Moelle
. Observation de - de La protubérance avec dégén
quatrième ventricule. F', couverture du quatrième ventricule. G,
moelle
épinière. G s, cordon supérieur de la moelle. '
rième ventricule. G, moelle épinière. G s, cordon supérieur de la
moelle
. ' G i, cordon inférieur. 11, lobe impair du
génieulé, externe. Z, prolongements des cordons inférieure de la
moelle
au-devant de la protubérance. a, pédoncule du l
dullaires du quatrième ventricule, o, cordon transversal gris de la
moelle
, p, feuilles lanéolées grises. , q, corps den
e extérieure de l'en- veloppe sans envoyer le moindre filament à la
moelle
G, et que ce n'est qu'à comp- ter de la septièm
Fig. 6. Encéphale de hérisson développé, et vu en-dessus. Fig. 7.
Moelle
épinière de l'homme avec les insertions des racin
t; des lobes optiques et de la protubérance chez l'homme. Fig. 8.
Moelle
allongée, premier étage de la protubérance, passa
us). , PLANCHE XIII. , Fig. 1. Lobe du quatrième ventricule, ou
moelle
allongée et protubérance annulaire de l'homme,
filaments arciformes. c. a. cordons antérieurs ou abdominaux de la
moelle
épinière. - t. c. tubercules cendrés.- p. a. pyra
s et delà protubérance.a ? , y. faisceaux du cordon inférieur de la
moelle
, qui se croisent devant et derrière l'o- live c
médiane. Les autres signes comme dans la figure précédente. Fit. 3.
Moelle
allongée, protubérance, pédoncules cérébraux et t
aux avec le tubercule noueux ougéniculeux.-c. s. étage supérieur delà
moelle
allongée ou corps trapézoïde de Tiédemann, appe
os- térieure ? pédicule cendré de la glànde.pituitairc. . Fig. 5.
Moelle
allongée, valvule de Vieussens et tubercules quad
est la ter- minaison des replis supérieurs des faisceaux gris de la
moelle
qui ont formé latéra- lement les tubercules cen
oyen de la commissure du cervelet. Fig. 9. Coupe transversale de la
moelle
allongée, très-près de 1,1 protubérance. -d. co
arrière ou en bas avec la jonction des deux faisceaux cendrés de la
moelle
épinière. Fig. il. (Elle est vue renversée, ain
versée, ainsi que la Il ibis). Coupe transversale de la queue de la
moelle
allongée à l'origine des pyramides. c. g. faiscea
ngée à l'origine des pyramides. c. g. faisceaux gris latéraux de la
moelle
avec leur lame de réunion. - Fig. 1 1 bis. Coup
met de l'angle du quatrième ventricule. 12 ' Fig. 12. Coupe de la
moelle
allongée du' boeuf, une ligne et demie au-dessus
uatrième ventricule. c. g. extrémité des cordons gris. " 1 i. ]5.
Moelle
allongée, protubérance, etc. , d'un veau, vu en-d
la glande pituitaire. - ¡ : a. faisceaux des cordons antérieurs de la
moelle
épinière. ? S. étage supérieur de la commissure d
les ont été constatées dans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 59 la
moelle
épinière : altérations d'intensité variable des c
enflement lombaire, existaient encore, mais moins accusées, dans la
moelle
cervicale. L'examen bactériologique a permis d'
res extravasations sanguines, prolifération névroglique ; isthme et
moelle
indemnes. 3° Homme, quarante-six ans (père chor
és dans la région pariétale, dans le chiasma, la protubérance et la
moelle
. Dix ligures hors texte reproduisent ces divers
ves (1897, II). A propos d'un cas d'hémisection traumatique de la
moelle
, le professeur expose magistralement, au point
re aux idées reçues, les suites d'une hémisectiou traumatique de la
moelle
ont une tendance à s'améliorer progressivement
e hypertrophique, et lésions cellulaires sur toute la hauteur de la
moelle
. La névrite apoplectiforme ne mérite pas d'être
mémoire sur les riotlerop. conséc. aux maladies du cerveau et de la
moelle
. (B.) Archives, 2* série, t. VII. 6 8 : 2 B
symptômes, le système cérébro-bulbaire ayant concurremment avec la
moelle
participé au processus. Puis viennent les myélite
celles-ci, la forme amyotrophique. La syphilis héréditaire de la
moelle
appartient presque en tota- lité à M. Gilles de
ntant les manifestations cliniques d'une syphilis congénitale de la
moelle
épinière. Les cas précoces sont ceux où la déte
mble que l'analgésie ulnaire puisse se présenter sans lésions de la
moelle
épi- nière ni des nerfs périphériques. Aussi,
ues et en des endroits ayant force de lois exactement comme pour la
moelle
, le bulbe, le cervelet, le cerveau moyen; 2° le
end en dehors du cervelet à d'autres régions du système nerveux (là
moelle
épinière dans le cas de Nonne), et notamment au
loureux comme symptôme isolé, permet de croire qu'il existe dans la
moelle
un centre trophique ou vasomoteur, nettement di
qui forment le pied du pédoncule. L'oedème du canal cen- tral de la
moelle
donne lieu soit à l'hydromyélie, soit à la forma-
- niques qui accompagnent les manipulations de l'extraction de la
moelle
pendant l'autopsie, et qui peuvent donner lieu à
peuvent donner lieu à des dépla- cements ou des dédoublements de la
moelle
épinière, surtout chez les nouveau-nés. Il re
tue le premier stade de la névrite. Dans la substance blanche de la
moelle
et du cerveau, on voit sur des préparations fai
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 30S XVII. Etude microscopique de la
moelle
dans deux cas de Mal de Pott ; par William G. S
tn Hopkins, juin 1896.) , - L'auteur présente des préparations de
moelle
de deux-sujets morts du mal de Pott. Dans le pr
moelle de deux-sujets morts du mal de Pott. Dans le premier cas la
moelle
a été peu comprimée par la vertèbre déplacée, d
e à l'exposé des lésions, et six photographies de préparation de la
moelle
accompagnent ce travail. XVIII. Le réflexe vi
XX. Abolition du réflexe rotulien malgré l'intégrité relative de la
moelle
lombo-sacrée ; par F. Sano. (Jounn. de Neurologie
travail quatre concernaient une lésion de la partie cervicale de la
moelle
et deux une lésion de la partie dorsale supérie
partie dorsale supérieure. Trois fois le début a été brusque et la
moelle
complètement sec- tionnée : dans ces trois cas,
mpagnée d'une abolition des réflexes tendineux. Dans les six cas la
moelle
lombo-sacrée n'était le siège d'aucune altérati
romatolyse) de la plupart des cellules des cornes antérieures de la
moelle
épinière. Les nerfs des membres inférieurs présen
nique et la prédominance des lésions au niveau des régions de la
moelle
correspondant à l'origine des nerfs les plus mala
ysie ascendante aiguë sans lésion histolo- gique des nerfs et de la
moelle
; par les D18 GmAUDEAuet LL ? 1. 11 s'agit d'un
'inté- grité des nerfs périphériques et des racines antérieures. La
moelle
examinée suivant les différentes méthodes, ne s
GIQUES.- 317 XXXIV. Sur les lésions des cordons postérieurs dans la
moelle
des lépreux; par les D's JEANSELME et P. Marie.
ent l'écorce cérébrale, mais la voûte crânienne. 11 ne reste que la
moelle
épinière et parfois une partie du bulbe ; 3° Si
r l'impo- tence. Les bas élastiques, le massage, l'élongation de la
moelle
, la cure thermale, la gymnastique de Frenckel,
e meurt de pyémie. m 0 A l'autopsie on trouve à l'intérieur de la
moelle
une cavité cen- trale qui s'étend du bulbe jusq
'autopsie on trouve : Leptoméningite tuberculeuse. Gliomatose de la
moelle
épinière; cavité centrale au-dessous du renflemen
statations de l'auteur : Dans les régions dorsale et lombaire de la
moelle
épinière : hyperémie intense des vaisseaux de l
RECUEIL DE FAITS NOUVEAU SYNDROME CONSÉCUTIF A UNE BLESSURE DE LA
MOELLE
; Par Ciro L. URRIOLA (de Panama). Entre les s
hésie croisée, auquel on assignait pour cause une hémisection de la
moelle
du même côté que l'ltémiparalysie, s'appuyant s
re de la conduction directe des impressions sensitives à travers la
moelle
par suite d'une blessure faite avec une arme tr
symptômes, provenant de la blessure en apparence unilatérale de la
moelle
, sous bien des rapports, méritent d'être discut
es segments apparaissent SYNDROME CONSÉCUTIF A UNE BLESSURE DE LA
MOELLE
. 353 en extension forcée, et le pied, dans la m
de la décussation des conducteurs de la sensibilité au niveau de la
moelle
, il faudrait admettre que la blessure causée par
e de la colonne vertébrale, produisit dans la moitié gauche de la
moelle
une hémisection complète, et comme conséquence,
part. En effet, en vertu de quel mécanisme l'arme qui blessa la
moelle
de droite à gauche a-t-elle pu respecter les cord
cela n'a pu se produire. SYNDROME CONSÉCUTIF A UNE BLESSURE DE LA
MOELLE
. 355 On connaît dans la littérature médicale qu
s, en particulier celui de Millier, chez lequel la blessure de la
moelle
s'est produite du côté opposé à la pénétration de
, devait produire forcément l'hémisection de la moitié gauche de la
moelle
. Dans le cas de la Munoz, l'arme a pénétré depu
ive, celle-ci a dû blesser, en premier lieu, la moitié droite de la
moelle
, et avec la pointe, ou la partie plus étroite,
e ? Evidemment la partie antéro- latérale de la moitié gauche de la
moelle
. Si nous rappelons les circonstances dans lesqu
avant; attitude qui rendait plus vulnérable la moitié droite de la
moelle
et la partie anléro-latérale de la moitié gauch
dra facilement que l'arme a dû produire dans la moitié droite de la
moelle
une hémiseclion complète et dans la moitié gauc
ais, pendant que dans le côté opposé à celui de l'hémisection de la
moelle
, il ne se produit aucun phé- nomène moteur, ni
chirie sensorielle, conséquence de l'hémisection du même côté de la
moelle
. Quant à la para- lysie du membre opposé et à l
e la pointe du machete arriva à blesser dans la moitié gauche de la
moelle
le faisceau pyra- midal, blessure qui a engendr
la décussation des conducteurs de la sensibi- lité au niveau de la
moelle
, complètement détruite par les expériences du s
révélées jusqu'à présent, le rôle de trans- mettre à un côté de la
moelle
les impressions qui lui arrivent 'Ramoii y Caja
t l'hydropisie des ventri- cules latéraux et du canal central de la
moelle
épinière. L'accrois- sement énorme du liquide c
nerveux, l'exsudation du liquide lymphatique dans le cerveau et la
moelle
. L'auteur pense que cette artérite généralisée
restés si longtemps insondables des maladies du cerveau et de la
moelle
. Il n'est pas un symptôme que vous n'ayez analysé
sard. Au surplus, si le fonctionnement normal du cerveau et de la
moelle
, si les maladies de ces organes recèlent encore q
nce wallérienne, segmentation du cylindraxe, etc...; l'examen de la
moelle
et du cerveau (lobule paracentral) montra les m
cellules pyrami- dales sont les mêmes que celles produites dans la
moelle
par la section d'un nerf périphérique (Nissl, M
faire à une névrite d'origine périphérique ou à une affection de la
moelle
? Chez notre malade, les membres para- lysés n'
plusieurs petites plaques grisâtres, d'aspect gélatineux, sur la
moelle
dorsale de l'un et l'autre côté. A la partie supé
moelle dorsale de l'un et l'autre côté. A la partie supérieure delà
moelle
cervicale double tache scléreuse ne respectant qu
es reins sont également atteints de dégénérescence graisseuse. La
moelle
épinière présente les phénomènes de syringomyélie
Contribution à l'étude des localisations des noyaux moteurs dans la
moelle
lombo-sacrée et de la vacuolisation des cellules
uvelles recherches sur les localisations des noyaux moteurs dans la
moelle
lombo-sacrée. Les faits observés concordent ent
lachromatolyse consécutive à la section des nerfs, au niveau de la
moelle
lombo-sacrée, deux groupements de cel- lules ne
es auteurs décrivent les lésions dans le cerveau, le cervelet et la
moelle
épinière (augmentation de volume du protoplasma
UES. 475 'J rapidement des altérations des cellules nerveuses de la
moelle
qui peuvent se résumer ainsi : 1° Coloration di
es peuvent se poursuivre jusque dans l'extrémité supé- rieure de la
moelle
cervicale. Elles se terminent par des ramifi- c
oumons, des reins, des centres nerveux. L'examen histologique de la
moelle
montre un aspect vacuolaire anormal des cellule
ynévrite n'est pas douteuse et étant donné l'as- pect anormal de la
moelle
, il est probable que l'emploi de la mé- thode d
s qui souvent a fait affirmer l'intégrité des nerfs et surtout delà
moelle
dans la maladie de Landry. Elle est parfois d'o
ctieuse comme dans les cas de Galleta. On voit sur les coupes de la
moelle
de notre malade, quelques rares bacilles minces
de ; il est très abondant sur certains points et empêche de voir la
moelle
; sa partie inférieure et la queue de cheval sont
caillot intra-méningé correspondant à la partie antérieure de la
moelle
, occupant sa partie latérale sur une longueur de
entimètres. De là, le caillot descend sur la face postérieure de la
moelle
sur un trajet de 17 centimètres et se continue
foyer hémorragique qui recouvre les parties antéro-latérales de la
moelle
sur un parcouis de 18 cen- timètres. Le cerveau
de la moelle sur un parcouis de 18 cen- timètres. Le cerveau et la
moelle
ne présentent pas d'altérations. La disposition
me. Les méninges rachidiennes sont épaissies. Les vaisseaux de la
moelle
sont dilatés, surtout au niveau des cornes antéri
sont entourés de cellules embryonnaires. La conserva- tion de cette
moelle
dans le liquide de Mutier, n'a pas permis d'emp
e quelques cocci irrégu- lièrement disséminés dans les coupes de la
moelle
et des méninges Barie a vu, dans un cas analogu
6î. Lépreux. Sur les lésions des cor- dons postérieurs dans la
moelle
des ,parJeansetme et P. Marie, 317. Lnu.s.
, par Trac- zewshi, 160. Mal de PoTT. Etude microscopique de la
moelle
dans deux cas de ? par Spillei,, 305. Médian. S
aine. La fausse réminiscence dans l'aura de la , par Féré. 229.
Moelle
. Noiveau syndrome consé- cutif à une blessure d
- aseendante aiguë sans lésion histologique des neifs et de la
moelle
, par Giraudeau et Lévi, 312. - llypotllèse sur
s, 305. Abolition du - rotulien malgré l'intégrité relative de la
moelle
lombo-sa- crée, par Sano, 306. Relations phys
3bslctrr , ,1 flntomieét physiologie du sqsteme nerveux, (cerveau,,
moelle
'etorpanes des sens). (Exercices de laboratoire
ctionnels.' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des centres nerveux,
moelle
ou cerveau, il admet qu'ils peuvent être foncti
s méninges pie-mère et arachnoïde sont, dans toute la hauteur de la
moelle
, infiltrées de cellules, à' gros noyaux se colo
n du vaisseau. ""f @-1,1 I ? ? & se hiim,, , ;1, .. ;,1. - ' La
moelle
, elle, n'est atteinte qu'à la région dorsale. L'i
aplégie"- ,{>' z Autopsie. Lepto-méningitesclérense diffuse. Ala
moelle
, sclé- roseinévrosique' avancée, -disposée. en
tes, contre les travées conjonctives.' Dans les méninges et dans la
moelle
, péri-artérites et péri-phlébites. Latdis- posi
érites et péri-phlébites. Latdis- position des îlots scléreux de la
moelle
démontre l'origine vasculaire de ceux-ci ? Tout
avec épaississement ou adhérence intime des trois enveloppes de la
moelle
, en arrière et aux régionssupé- rieures du rach
e diffuse avec altérationi constante des vaisseaux nourriciers delà
moelle
, et que le processus anatomique débute toujours
syphilitiques, on ne peut établir cette même indépendance pour, la
moelle
. Dans la myélitesyptilitique; il a.-toujours co-
du. cerveau, 'anatomie et physiologie ; Cordons postérieurs de' la
moelle
j origine, trajet, terminaison, fonctions ; pou
s. 78 faits DIVERS. Restées dans l'urne : Substance blanche de la
moelle
épinière, nerf facial, nerf pneumogastrique, ci
x de Ramon y Cajal, pour l'encé- phale, et de van Gehucten, pour la
moelle
et les ganglions - pour ne citer que les princi
corticale de l'hémisphère du côté opposé; nous connaissons dans la
moelle
les cellules donnant naissance à des fibres qui
êler à celles qui forment les cordons latéraux ou postérieurs de la
moelle
; nous avons appris quelles sont les connexions
mmes et de boisson. Malade depuis trois ans, pour une maladie de la
moelle
. A pris des douches et du bromure, a toujours é
ndrome clinique avait du reste fait admettre la participation de la
moelle
au processus morbide. ' Les paralysies arsenica
es organes viscéraux et du catarrhe intestinal hémorragique. , La
moelle
, les troncs nerveux principaux et, dans la. plupa
ifications nerveuses musculaires et cuta- nées, ont été enlevés. La
moelle
et les troncs nerveux ont été durcis par le bic
rie. IX. Importance DE la SUSPENSION dans QUELQUES maladies DE la
moelle
; par W. DE BECHTERFW. (kete ? -olog. Cen<)'6[&
résultats dans le tabes dorsal et surtout dans la compression de la
moelle
, la myélite par compression, les cas anciens de
médullaire, quelques cas de myélite transverse. Amélioration de la
moelle
, aug- mentation de la force des extrémités infé
bi toutes les épreuves. Question écrite : Cordons postérieurs de la
moelle
(anatomie et 160 FAITS DIVERS. physiologie).
lée avec préparations microscopiques à l'appui. Les préparations de
moelle
' sont des types de dégénération secondaire par
ssé- minées à la surface de l'hémisphère gauche. D'autre part, la
moelle
était absolument saine dans toute la hauteur des
la disparition des cellules nerveuses motrices dans le bulbe et la
moelle
d'une malade atteinte d'atrophie mus- culaire e
açon égale- ment directe l'altération d'autres organes, tels que la
moelle
et les muscles. SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 Enfi
ui est en somme une portion de l'encé- phale. Pour ce qui est de la
moelle
qu'un certain nombre d'auteurs ont déclarée ind
a tendance générale est aujourd'hui de considérer les lésions de la
moelle
comme concomitantes à celles des nerfs périphér
ui de cette manière de voir, c'est que l'on trouve parfois, dans la
moelle
des sujetsayantprésenté pendant la vie des trou
l'existence d'altérations des cellules des cornes antérieures de la
moelle
. Il faut reconnaître toutefois que ce dernier arg
ue la lésion préexistante des centres nerveux siège au niveau de la
moelle
(polymyélite, tabes, etc.) ou du cerveau (hémip
des racines postérieures, altérations de la subs- tance grise de la
moelle
ou du bulbe, atrophie des nerfs optiques et enf
,dont ces fibres dérivent, c'est-à-dire des cellules motrices de la
moelle
et du bulbe. Dans certains cas les modification
tions organiques dont les altérations des fibres des nerfs et de la
moelle
ne seraient que la conséquence. Enfin, la dégén
me nerveux par le poison diphtérique, Stcherback n'a trouvé dans la
moelle
, en de- hors des petites hémorragies, que des a
es. Les auteurs ont soumis à l'examen histologique le bulbe et la
moelle
de trois chiens, qui avaient reçu, en injection s
ain nombre de segments médullaires, des lésions intéressantes de la
moelle
ainsi que des racines. Les lésions radiculair
gnification secondaire. D'une façon générale, ce qui domine dans la
moelle
épinière, ce sont les altérations des vaisseaux
iales des fléchisseurs. P. K. XIV. DE l'asymétrie DES moitiés DE la
moelle
, consécutive A UNE anomalie DE STRUCTURE du BUL
. f. Psychint., L. 1 et 2.) - Classification des asymétries de la
moelle
. 1° Asymétrie delà substance blanche par agénés
pagnée d'asymétrie de la substance grise d'un des renflements de la
moelle
avec arrêt du développement ou absence de l'ext
correspondante; 4° même asymétrie limitée à un petit segment de la
moelle
par arrêt de formation local ou excès de substa
raux par entre-croisement pyramidal disparate; 6° asymétrie de la
moelle
par anomalie de structure du bulbe et, par suite,
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XVI. NOTE$UR l'eximen bactériologique DE la
moelle
et des NERFS DANS LA SYRING0511ÉLIE; par A. PIT
tiqués uue fois sur un filet nerveux et les deux autres fois sur la
moelle
, ont démontré aux auteurs l'absence complète du
et la disparition du signe de Romberg. L'examen histologique de la
moelle
a donné les résultats suivants : Sur une coup
Sur une coupe au niveau du fiers moyen de la région cervicale delà
moelle
épinière, on trouve les racines saines; les ménin
ines dont les altérations sont minimes sur une grande étendue de la
moelle
et beaucoup moins accusées que dans le tabès cl
rieures. A l'intérieur de la gaine de Henle, on voit les fibres à
moelle
avec leurs segments interannulaires et la dispo
trait, l'une aux maladies de l'encéphale, l'autre à celles de la
moelle
. Les quatre dernières parties concernent successi
atre dernières parties concernent successivement les maladies de la
moelle
allongée, les maladies des méninges, les maladi
BAYMOKD (F.). Contribution à l'élude des tumeurs névrogliques de la
moelle
épinière (syringomyélie tt type spasmodique). Bro
les deux pneumogas- triques du cou sont normaux. Les lésions de la
moelle
épinière, très nettement prononcées, appartienn
es. Avec le temps, par compression, se produisent des lésions de la
moelle
(Obs. III). Evolution lente, mais progressive.
ent dans l'espèce, à l'hyperexcitabilité réflexe pathologique de la
moelle
lombaire. P. K. ' LXV. Des formes de diplégie
ons atteignant la partie caudale du pont et la partie ouverte de la
moelle
allongée, surtout celles situées tout près du cor
traumatiques ou spontanées dans les hémisphères cérébraux, dans la
moelle
ou dans les nerfs périphériques. Si on place le
nts spinaux sont beaucoup moins variés cliniquement que ceux-ci. La
moelle
n'a pas mille façons de réagir comme le cerveau
n sait positivement aujourd'hui que des lésions considérables de la
moelle
peu- vent passer inaperçues à l'oeil nu. Dans l
c des accidents spinaux, l'infiltration plus ou moins diffuse de la
moelle
.se rencontrait beaucoup plus fréquemment que le
e part importante aux altérations des vaisseaux nourriciers de la
moelle
(Greiff, Rumpf, Moeller, Lancereaux, etc.). On ad
A. La méningite syphilitique spinale pure sans participation de la
moelle
est extrêmement rare. Nous en avons rapporté de
ents douloureux, la rigidité du rachis. Dans une troisième étape la
moelle
est atteinte à son tour elles paralysies spinal
marche descendante de la méningite syphilitique du cerveau vers la
moelle
est tout à fait typique. Il est à remarquer que
nnés plus haut. C. Myélite. Dans un assez grand nombre de cas, la
moelle
parait atteinte primitivement, en ce sens que les
ment liées aux lésions des vaisseaux nourriciers impor- tants de la
moelle
. Le traitement ne paraît avoir aucune action su
oute les complications mortelles sont rares en ce qui concerne la
moelle
; mais il faut reconnaître que les guérisons radi
logique. La méningite spi- nale guérit ou bien elle se propage à la
moelle
. Les examens anatomiques qu'il nous a été donné
ons rencontré la pachyméningite avec envahissement secondaire de la
moelle
, et la leptomyélite. A. La pachyméningite propa
e la moelle, et la leptomyélite. A. La pachyméningite propagée à la
moelle
correspond aux formes cliniques dans lesquelles
tendance à envahir surtout la demi- circonférence postérieure de la
moelle
. L'envahissement des cordons postérieurs rend c
chvmeningite spinale sypnniuque avec unvamssemem z secondaire de la
moelle
(région cervicale). 470 ANATOMIE PATHOLOGIQUE,
tation méningée. Elle correspond donc aux formes dans lesquelles la
moelle
parait touchée pri- mitivement (fig. '13). Le
state une infiltration néocellulaire compacte se propageant dans la
moelle
le long des travées conjonctives de la pie-mère
cette variété de leptomyélite (fig. 14). Les éléments nobles de la
moelle
sont donc exposés à deux causes de destruction
(tissu de Fig. 13. Leptoméningte syphilitique avec intégrité de la
moelle
. Fig. 14. Périartérite ancienne dans un cas de
les lésions récentes. Ayant eu précisément l'occasion d'examiner la
moelle
d'un individu qui avait succombé dans le cours
ns pu constater au microscope : 1° une infiltration diffuse de la
moelle
sur une hauteur limitée de la région dorsale. Cet
géantes. ' z . 3° Les altérations des vaisseaux nourriciers de la
moelle
- Fig. 15. Foyer de ? ? ? t0-m ? smp. scptum
lles sont susceptibles de donner sur les troubles vasculaires de la
moelle
. Actuellement déjà les résultats auxquels nous
cés : 1° de ne pas produire de grands désordres anatomiques dans la
moelle
; 2° d'éviter les embolies dans les membres infé
mmédiate de l'animal. Nous y sommes parvenus dans plusieurs cas. La
moelle
pa- raissait saine à l'oeil nu, et le microscop
ubstance pulvérulente injectée eût amené des embolies telles que la
moelle
entière eût offert l'aspect du ramollissement r
oblitérations artérielles uniformément réparties dans un segment de
moelle
, c'est la substance grise qui subit la première
s expériences d'Ehrlich et Brieger, de Spranck sur l'ischémie de la
moelle
par la compression de l'aorte. Il y a là, ce no
ations vas- culaires ? Ajoutons que le système circulatoire dans la
moelle
lombaire du chien étant le même que dans la moe
ulatoire dans la moelle lombaire du chien étant le même que dans la
moelle
de l'homme, le rapprochement n'a rien de forcé.
s lésions atteignant les nerfs périphériques, le cerveau et même la
moelle
. Pour quelques-unes on n'en a pas trouvé. Les lés
moitié droite du bulbe, sur la région située entre ce dernier et la
moelle
épinière, sur les conducteurs chargés de transm
céphale sont signées G2-ay,Pî-itchaid et Shultz; les maladies de la
moelle
, Obersteiner; les affections des nerfs périphér
le -, par Grube, 213; altération des cor- dons postérieurs de la
moelle
dans le , par Williamson, 482. Diphtérique, m
ico-pédagogique des idiots nn- crocéphales, par Bournevillc, 331.
Moelle
, asymétrie des moitiés de la - , par Ihch, 317.
-, par Lamy, 46'r. Syringomyélie, examen bactériolo- gique de la
moelle
et des nerfs dans la-, par Pitres et Sabrazès,
,muscles pâi'çl`â sectiiil,lcs dcuxnorssjdiaphragmatiques et de la,
moelle
1 a¡J,i¥Ja,uqùer,<¡1¡ .sjil1e., v,erèbre 1 d
sensoriels dîi ceveazc. Le trijumeau prendrait son origine dans la
moelle
, par sa racine ascendante, au niveau de l'entrecr
t;¡ln ! '> hiJltr,'l,IItIJPJdb - ? 4 V : SUR LA structure DE la'
moelle
1tPI-\ILIRE ', lpai, , J.-B." Il HI '1 ' > I
1,1 rI 1 : J,IaI'l'( -1 3 ? JJlI-' 1" On trouve fréquemment dans la
moelle
des cellules adjacentes, qui envoient leurs pro
thisie pulmonaire, lit pOllr(' la, pre III if' re fois, .examiné la
moelle
, et les muscles. ,1 ? pe,, `"i ? 91[0.11(1'\ ? 1
ll"v ? ull¡,IIIf ? ( 11,1 ! leur couleur et leur volume normaux; la
moelle
est anel11leC ses r' ? ci "h 1'10;1 ]'J1\' "'f'
celles que \I11 : Dichinsoil et 'Vulpian font ! décrites 'dans la-
moelle
.» des' 'amputés.1 '' `"t^'I ? .'1 -)'Il) norJol
eau antérieur ». J 2° Alors, que les procèdes de durcissement de la
moelle
accusent une dégénérescence symétrique des cord
du cervelet 110. L'analyse microscopique, révèle l'intégrité de la
moelle
, l'aspect classique des points scléreux dans le
pyramides' sont demeurées intactes. Dans'la région inférieure de la
moelle
allongée (entrecroi- . 'sèment des faisceaux se
de doute. L'altération bilatérale, étendue à toute la hauteur de la
moelle
, se limitait symétriquement, aux, faisceaux - .
ues et même ataxj*que ? 1;Lréflexes patellaires persistèrent et, la
moelle
, t ? H ? r l'Il') A<j<-(u. il .t"I"J ,J..
9rten ver.j lal,g'au,che.t Leiagn9stic porté : fut : tumeur, de'la,
moelle
allongée;» destruction [du noyau de l'abducens
lflY ir·flli '111111 W 1 ' Svli 1.4, 1· 1 '11.11 q plissement de la
moelle
Il - sur les préparations durcies, la umc- ft ?
sion au lieu de passage des portions thoraciques et lombaires de la
moelle
. Le second fait a traita de l'analgésie avec hé
dans,le cerveaymoJ-en,;le;çervelet, la. -portion supérieure de la
moelle
. Intégrité , des adères.,Coloi-aLion,])Ieue,-gris
JJ 1 lJo -'tt' - ? f,( 290tI8,12CIL2r.°h·'tt Il IL Maladies de la
moelle
épinière; par Bvno-BnnrNra.r,,ltraduit de l'ang
s; édit ? 1 l 883. . ' ' 11L If 1.'1 1 L'étude des maladies de la
moelle
ne, date pas.de si longtemps déjà, et n'est pas
istingué a passé en revue les'" dijfél : eÍ1le5'¡ affections. de la
moelle
, rapprochant les lésions dessY,mpt1es'1110ntrl}
e-mère rachidienne saine. Arachnoïdite de la face postérieure de la
moelle
dans les deux tiers inférieurs de la région dor
érieurs. très appréciable sur les coupes de la région dorsale de la
moelle
; teinte grise limitée aux cordons de Goll dans
es, ne se propageaient pas uniformément de la périphérie jusqu'à la
moelle
ou inversement de la moelle jusqu'à la périphér
formément de la périphérie jusqu'à la moelle ou inversement de la
moelle
jusqu'à la périphérie. La moelle était sclérosée
u'à la moelle ou inversement de la moelle jusqu'à la périphérie. La
moelle
était sclérosée dans certains points : les raci
qui se rapportent aussi à des cas d'altérations primitives de la
moelle
, suivies, à un moment donné de leur évolution,
: il n'a contracté au contraire aucune adhérence avec les os. La
moelle
étant enlevée et la dure-mère incisée dans toute
lle ne présente ni rougeur, ni fausses membranes, ni adhérences. La
moelle
elle-même a sa consistance normale dans les rég
es coupes fraîches, on remarque, dans les parties supérieures de la
moelle
, une sclérose très apparente des cordons de Gol
, et il est évident, à l'oeil nu, qu'à ce niveau la structure de la
moelle
est profon- dément altérée. Nous avons recuei
trémité la plus antérieure du gros orteil gauche. En enlevant la
moelle
, on constate que les troisième, qua- trième et
ci est rouge très vascu- laire dans ses trois quarts inférieurs. La
moelle
est difflucnte, véritablement liquide dans le p
prit, d'admettre une propagation continue de l'in- flammation de la
moelle
aux racines, des racines aux troncs nerveux et
nerveux, nous n'avons pas trouvé d'altérations continues, entre la
moelle
et les nerfs altérés. Entre l'altération centra
re fois, en 18721, ', sur les cellules des cornes antérieures de la
moelle
dans la téphro-myélite antérieure. Il remarqua,
l'avons pas encore observé jusqu'ici chez les adultes, ni dans la
moelle
, ni dans le cerveau. On voit donc que sur ce po
xcitation de la sensibilité agit par le centre sous-cortical sur la
moelle
comme vaso-constrictive, engendrant par l'anémi
,ltt ,.>>, ? > M. ilOLn,p1'éSeT' 4e des préparations de la
moelle
cervicale, d une f ' 1 t« .'j'i " T,. f. f ! ,
et. 'Anders6hyont.' pensé que la lésion prinutlve "siégeait dans la
moelle
, et le premler sér hasait sur l'existence fréquen
'`lndersùli,'i3e Simmons, de Baelz et de l'auteur où l'examen de la
moelle
a été pratiqué, on n'a pas trouvé de lésions; d
ues artlzropathies consécutives aux affections du ce/ veau et de la
moelle
épinière. (drclt. de Physiologie normale et patho
ettement ataxique, aiusi que l'a d'ailleurs démontré l'examen de la
moelle
épinière, l'origine de l'affection du pied ne p
itrate d'argent; en outre, on employa d'abord l'électrisation de la
moelle
épinière par le courant galvanique, puis on posa
du rachis ne présentaient aucune altération ; la dure-mère de la
moelle
épinière était intacte, la pie-mère bien ténue et
plexus veineux était rempli de sang. La forme et la grandeur de la
moelle
épinière étaient normales; sa con- sistance éta
1 CI ri Examen MICROSCOPIQUE. -En dissociant des fragments do la
moelle
épinière à l'état frais ou après une macération d
s corps granuleux étaient en très grand nombre tout le long de la
moelle
, de la partie lombaire jusqu'au bulbe. En même te
uait graduellement de haut en bas. Quelques-uns des vaisseaux de la
moelle
épinière conte- naient dans leurs espaces périv
faire à une dégénérescence symétrique des colonnes latérales de la
moelle
épinière, ce qui fut en tout point confirmé par
re, ce qui fut en tout point confirmé par l'examen des coupes de la
moelle
durcie. Sur les coupes transversales colorées p
éclaircies, on voyait clairement que la dégénéres- cence suivait la
moelle
épinière dans toute sa longueur presque symétri
d'un triangle, dont la base était tournée vers la périphérie de la
moelle
, mais ne l'atteignait pas, en étant séparée par
e que la base de ce triangle n'attei- gnait pas la périphérie de la
moelle
, la partie antérieure n'é- tait pas non plus.au
e même un triangle, dont la base atteignait ici la périphérie de la
moelle
, le som- met étant tourné vers la substance gri
térale amyo- trophique. Tout le reste de la substance blanche do la
moelle
(il sera question plus tard de la substance gri
eurs et postérieurs ne présentait rien d'anormal tout le long de la
moelle
épinière, en sorte que, même dans sa portion ce
ntré que leur dégénéres- cence existait non seulement dans toute la
moelle
épinière, mais aussi dans le bulbe et le cervea
es faisceaux pyramidaux allait donc de l'extrémité inférieure de la
moelle
épmière, sans interruption aucune jusqu'aux hém
e nous avions devant nous le même processus morbide que celui de la
moelle
épinière et du bulbe, c'est-à-dire une dégénére
IL DE FAITS. les deux hémisphères ; dans l'encéphale, comme dans la
moelle
épinière, nous nous trouvons en présence d'une
x à travers les pédoncules, la pro- tubérance, le bulbe et toute la
moelle
épinière. Outre l'altération des faisceaux pyra
s muscles, des nerfs périphériques et de la subs- tance grise de la
moelle
épinière. Quant aux muscles, on voyait déjà du
à quelques fibres ner- veuses seulement. La substance grise de la
moelle
épinière a été très soigneu- sement examinée, s
es transversales, soit par la dissociation de petits morceaux de la
moelle
encore fraîche ; dans les cornes antérieures de
Dans les régions thoracique et lombaire, la substance grise de la
moelle
épinière n'était pas modifiée. Nous voyons donc
catégorie, c'est-à-dire les altérations de la substance grise de la
moelle
épinière, des racines antérieures, des nerfs pé
s nerveux et de fort légères altérations dans la partie grise de la
moelle
épinière. Mais le principal intérêt que présent
ous avons pu diagnostiquer la sclérose des colonnes latérales de la
moelle
épinière. Un seul point était indécis : nous ne s
sur la possibilité de suivre la dégé- nérescence à travers toute la
moelle
épinière, le bulbe, la pro- tubérance et les pé
que la dégénérescence passait sans interruption à travers toute la
moelle
épiniere, le bulbe, la protubérance, les pédonc
long trajet la maladie s'est déclarée : a-t-elle commencé dans la
moelle
épinière en suivant une marche ascendante ? Est-
Est- elle apparue dans les hémisphères et descendue de là dans la
moelle
épinière ? Cette dernière supposition nous parait
U«tersttcli«ug verluren. 372 2 RECUEIL DE FAITS. phères et de la
moelle
épinière offraient le même développe- ment et é
constituent en effet la continuation des faisceaux pyramidaux de la
moelle
épinière (ce dont on ne peut guère douter), not
ions. C'est probablement à une altération du cerveau moyen, de la
moelle
allongée, qu'il faut attribuer la disparition de
ordres de manifestations; il ne s'agit plus de simples réflexes. La
moelle
et la moelle allongée se font pour les irradiat
ifestations; il ne s'agit plus de simples réflexes. La moelle et la
moelle
allongée se font pour les irradiations des sens
la stupi- dité est susceptible d'une prompte compensation. C'est la
moelle
, la moelle allongée, et, même en certains cas,
ité est susceptible d'une prompte compensation. C'est la moelle, la
moelle
allongée, et, même en certains cas, le cerveau qu
péciale ayant amené la diminution de l'excitabilité ré- flexe de la
moelle
. 2° L'exagération des réflexes tendineux est au
'un fait de notion constante en neurologie; dans les maladies de la
moelle
, la lésion d'une région limitée peut abolir la mo
un cas d'hydutide du cer- veau ; - Note sur un cas de rupture de la
moelle
chez un nouveau-né. par suite de manoeuvres pen
centraux ; 2. Dégénérations secondaires dans le cerveau et dans la
moelle
épinière ; - 3. Les troubles de la parole d'origi
6, 246, 376. llicrocéphalie, par Bourueville et \Vnillarmé, 72.
Moelle
(dégénérescence secondaire de la). t). 81 ; - (
dilec- tion avec laquelle les accidents frappent le cerveau et la
moelle
, enfermés qu'ils sont dans leurs cavités osseus
t que les autres organes ; l'excès de pression sur le cerveau et la
moelle
doit s'en aller par les passages étroits par où
possible d'admettre que dans ces cas il se produit une lésion de la
moelle
, et que cette lésion a dû être une hémorrhagie.
congestionner l'axe cérébro-spinal. Le système cir- culatoire de la
moelle
, comparé à celui du cerveau, est infiniment plu
rendent compte du siège de prédilection des accidents du côté de la
moelle
. Nous donnons cette explication, bien entendu,
centres nerveux et particu- lièrement le renflement lombaire de la
moelle
, dilater les tissus, produire des tumeurs et un
cerveau. Bulbe. - Il n'y a ça et là que quelques rares bullettes.
Moelle
épinière. - On voit une grande quantité de bullet
u diminuée, je tue l'animal en lui ouvrant le thorax. Autopsie. -
Moelle
. - Nous trouvons un ramollissement très. avancé
grise. Pas de ramollisement de la substance blanche. Le reste de la
moelle
est ferme; pas d'injection. A l'aide, de la loupe
en dans les artères que dans les veines de fines bullettes d'air.
Moelle
. - lies coupes transversales montrent à la moitié
cette région. Nous n'en avons pu trouver aux autres régions de la
moelle
. Expérience IV (6 juillet 1886). - Chien 7 kilo
aussi bien dans le coeur que dans les artères et dans les veines.
Moelle
. - Oblitérations gazeuses intravasculaires à la r
des perles gazeuses dans l'artère centrale qui en est oblitérée,
Moelle
. - Il y a des bulles de gaz aussi bien dans ses v
six mois. Conclusions : Les fibres motrices ont leur centre dans la
moelle
même. Quant à la raison de l'intercalation des
sans prendre d'attache avec les cellules et puisant la vie dans la
moelle
même, et qu'ainsi s'ex- plique que la section m
rbone; -, la grossesse et l'accouchement : enfin les maladies de la
moelle
telles que sclérose en plaques, tabes, maladie
tiques de la faculté. Le cerveau avait été durci par l'alcool, la
moelle
par le liquide de Muller; des coupes ont été fait
ux vaisseaux qui se rendent aux cordons latéraux et au centre de la
moelle
, ont pu produire par embolies capillaires l'isc
bolies capillaires l'ischémie et la nécrobiose de ces régions de la
moelle
. C'est donc le hasard de la localisation qui do
I, p. 22. 260 REVUE CRITIQUE. dans la substance corticale de la
moelle
allongée. Ce procès por- taitles symptômes d'un
aux lésions des cellules multipolaires des cornes antérieures de la
moelle
, une atrophie des fibres du nerf moteur et des
M. KnoNTHAL présente une piéce anatomique de syringomyélie de la
moelle
compliquant une tumeur de cet organe. On en fera
aux, aide-préparateur d'histoloêie à la Faculte de médecine. » La
moelle
cervicale a ses parties symétriques, mais il y a
grand nombre dans les cornes postérieures. Les cordons blancs de la
moelle
lombaire et les cornes anté- rieures, qui sont
inflamma- lion.chronique (encéphalite) à différents degrés; dansla
moelle
, le même processus parait plus avancé encore, e
334 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. L'atrophie des circonvolutions et de la
moelle
résulte donc de la condensation de la névroglie
On sait que, beacoup moins fibrillaire dans le cerveau que dans la
moelle
, elle l'est surtout extrêmement peu en apparenc
etlésions des cellules pyramidales, évoluantparallèle- ment. c).
Moelle
cervico-dorsale. Les cordons blancs sont, symétri
s; les cornes sont égales; le canal de l'épendyme est intact. d).
Moelle
lombaire. Même aspect, congestion intense des m
-lequel la mort a été précoce; il n'y avait pas d'altération de la
moelle
. Pruvo..., 1877-1885. Idiotie complète, excès d
Il existe quelques corps granuleux dans la substance blanche. La
moelle
cervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclér
ux. L'épendyme est régulier, son épithélium est en place. Dans la
moelle
dorso-lombaire, il n'y a non plus rien à noter;
gonales; les cellules sont normales et les tubes sont sains tant la
moelle
que e dans les racines coupées avec elle. Ain
lésions étendues de la convexité des hémisphères, nous trouvons une
moelle
relative- ment saine; donc on peut supposer que
es lésions diffuses, si avancées parfois, que l'on trouve dans la
moelle
en d'autres cas, ne sont consécutives qu'à l'alté
yramidales de la région sont petites et entourées de myélocytes. La
moelle
cervicale présente une disparition à peu près com
produisant toujours au même point; de plus, ici, les lésions de la
moelle
existent, portant sur les cellules nerveuses el
ps cellulaires ne paraissent pas distincts les uns des autres. La
moelle
cervicale examinée après coloration au picro-carm
-latéraux comprise dans les concavités antérieure et latérale de la
moelle
grise. Dans celle-ci, les îlots cellulaires son
ve). Examen histologique. Cet veau et bulbe durcis dans l'alcool.
Moelle
durcie dans le liquide de Muller. Cerveau droit
Diminution comparative du volume des noyaux. Du même côté, dans la
moelle
cemicalu, les cornes antérieures sont petites m
tubes nerveux persistent. En résumé, les lésions du bulbe et de la
moelle
sont consécu- tives, ainsi que celles de la cou
eux nombreux, aspect fibrillaire, grosses fibrilles anastomosées.
Moelle
cervicale. - La substance grise à des altérations
ons. Il n'y a pas de systématisation. Les vaisseaux sont dilatés.
Moelle
dorsale. - L'aspect est le même de tout point.
ct est le même de tout point. LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 3bo-
Moelle
lombaires Les lésions sont les mêmes, la tuméfact
non le reste. Les lésions diffuses que nous avons pu voir dans la
moelle
, échappent à tout essai de systématisa- tion. N
Maladies du système nerveux, p. 822, 1879. Leyden. - Maladies de la
moelle
, p. 56, 1879. Magnan. Idiotie, mutisme, atrophi
oteurs ou d'exécution sont les cellules nerveuses du bulbe et de la
moelle
. « Psychologique- ment, a écrit M. Gley, ces or
ique, un système afférent aux cellules motrices du bulbe et de la
moelle
. Il y a la théorie des confluents. Mais les rés
us, des phénomènes de suppléance. Si, par une sorte d'éducation, la
moelle
épinière devient en effet capable de suppléer d
brés supérieurs, au cerveau et au bulbe, mais s'étendent aussi à la
moelle
épinière. 384 PHYSIOLOGIE. suppléance des r
n rapprochent le plus. » Ainsi, cette activité supplémentaire de la
moelle
, dont l'importance est en raison inverse du dév
e la sensibilité tactile par section des cordons- postérieurs de la
moelle
, pour les reconnaître chér- les animaux dont le
iles (Tastcentl'll7n), où monteraient les cordons postérieurs de la
moelle
épinière, et d'où decendraient les faisceaux py
nts cérébraux des faisceaux sensitifs des cordons postérieurs de la
moelle
, et qu'après l'extirpation des aires excitables
tre les mouvements dus à l'irritation des cordons postérieurs de la
moelle
, et ceux qui résultent de l'excitation de la su
trice, apparaissent après la section des .cordons postérieurs de la
moelle
; mais il ajoutait que, cinq jours après la sect
deux sensations sont transmises par les cordons postéiietirs de la
moelle
épinière. Ueber die Spaltung des Tenaperatursin
ogie de Florence n'a pas prouvé que les cor- dons postérieurs de la
moelle
sont en relation directe avec la zone motrice c
pas, comme ceux-ci, unis directement aux racines antérieures de la
moelle
épinière, et que, selon toute apparence, « ils
teindre les faisceaux en rapport avec les noyaux gris moteurs de la
moelle
épinière. Ces régions corticales « psycho-motri
ant, pourvu que l'excitation ait une intensité suffisante ou que la
moelle
soit très excitable. Exner professe que chaque
rd sur celle-ci ; selon cet auteur, l'association se ferait dans la
moelle
, au niveau des commissures transversales qui re
rapport avec une distri- bution bilatérale de la dégénération de la
moelle
. En tout cas, Pitres les a rencontrés dans les
ncontrés dans les dix observa- tions de scléroses bilatérales de la
moelle
épinière, consécutives à des lésions uuilatéral
égal à celui qui est nécessaire pour qu'un nerf moteur séparé de la
moelle
cesse de réagir aux excitations. « Les physiolo
até des altérations microsco- piques bien nettes des éléments de la
moelle
allongée dans un des cas publiés par lui, ne se
du côté droit, et à sa périphérie seulement du côté gauche. Dans la
moelle
allongée, on trouva des petits foyers, surtout
ésions analogues furent rencontrées dans le segment supérieur de la
moelle
allongée; mais dans ce cas l'intégrité des nerf
èvent directement d'une sclérose diffuse des cordons latéraux de la
moelle
. Cette sclérose est essentiellement diffuse et
de pro- duire de la leplo-méninite ou de la sclérose diffuse de la
moelle
pourra, dans certaines conditions donner lieu a
il utile ; surles légers accidents de parésie et d'excitation de la
moelle
avec troubles de la seiisiblité atteinte des ré
. d'agrégation, 1880. 3 Pierre Marie. Leçons sur les maladies de la
moelle
, 1892. ' 6 CLINIQUE NERVEUSE. syphilis l'orig
x lésions des nerfs ni des muscles, ni des os et encore moins de la
moelle
. Il s'agit donc d'une douleur d'ori- gine psych
tre philosophie. (SAAICESPSARB.) THÉRAPEUTIQUE L'ÉLONGATION DE LA
MOELLE
EN ORIENT; Par M. Alexandre HASTONIL. En 1883
e pre- mier la suspension dans le traitement des affections de la
moelle
. Depuis, ce procédé a pris une grande extension e
rire deux ou trois mots sur la méthode orientale d'élongation de la
moelle
. Nous pouvons considérer trois temps dans l'app
uter un arc assez étendu pour opérer une élongation salutaire de la
moelle
. Troisième temps. L'opérateur se place dos à do
ois mots sur la manière dont on essaie en Orient l'élongation de la
moelle
. Que si, n'ayant bien sincèrement d'autre intér
pachyméningite. Intégrité de la substance blanche et grise de la
moelle
, même au microscope; cellules nerveuses normales.
0 ); elles ressemblent fort à celles des colonnes de Clarke dans la
moelle
dorsale. En ce qui concerne les relations des c
phiés. P. Kéraval. VI. Des altérations DES cellules nerveuses DE la
moelle
; par K. SCHAFFER. (Neurolog. Central., 1891.)
c'est-à-dire le cône médullaire. L'exci- tation transversale de la
moelle
étudiée chez le chien de la tête à la queue, mo
u nerf trijumeau du même côté. Voici d'autre part l'encéphale et la
moelle
d'un lapin, chez lequel, aus- sitôt après la na
t leur origine première dans les parties les plus inférieures de la
moelle
cervicale; la série des coupes commence à la haut
a substance grise ET des PRO- CESSUS DE division DES noyaux dans la
moelle
SOUS DES INFLUENCES pathologiques; par FUERSTNE
latéral du côté opposé dégénère, tandis que tous les segments de la
moelle
demeurent intacts, ce qui prouve qu'il n'y a pa
le tissu conjonctif est atteint. Chez le lapin, l'hémisection de la
moelle
provoque la myélomala- cie transverse de la sub
e interne. Le faisceau pyramidal dans la protubérance, le bulbe, la
moelle
, est plutôt rabougri que dégénéré, mais son étio-
bleu foncé; l'hématoxyline les teint en bleu. On les trouve dans la
moelle
et le bulbe, disséminés parmi les noyaux, dans
s cellules des cornes antérieures des parties correspondantes de la
moelle
. Le rapporteur pense que ces expériences ont un
que suivies de lésions des parties centrales (substance grise de la
moelle
) et pense que dans les expériences du rapporteur
neurile multiple peuvent survenir consécutivement des lésions de la
moelle
; en dehors, bien entendu, de ces cas bien connu
tendu, de ces cas bien connus il existe une lésion simultanée de la
moelle
et des nerfs provoquée par une cause commune.
e et donne son observation sous le titre : Lésion traumatique de la
moelle
et de l'épine dorsale.- La malade a cinquante-c
des réflexes tendineux par l'hypertonie des grandes cellules de la
moelle
provoquée par l'irritation des nerfs centripète
ble que la pathogenèse de ce cas est une gliomatose, montée vers la
moelle
.allongée et ayant atteint les noyaux des hypo-
I). M. le Dl' A.-A. EGoRov. Pied bot déterminant des troubles de la
moelle
épinière. Une petite fille de douze ans, obligée
'auteur croit expliquer ces troubles nerveux par l'excitation de la
moelle
épi- nière, déterminée par le pied plat. Cette
, devrait trouver son explication dans l'excitation .analogue de la
moelle
épinière. D'après M. Roth, l'amyotrophie de- so
mptômes caracté- ristiques d'une poliomyélite aiguë antérieure à la
moelle
cervicale. Ultérieurement, des douleurs spontan
ant la substance grise des cornes antérieures de cette région de la
moelle
peuvent reproduire assez fidèlement les caractè
de réaliser une destruction lente des cellules ganglionnaires de la
moelle
cervicale. Le fait est exceptionnel, mais il a
s, etc. Elle avait été reconnue comme indépendante de lésions de la
moelle
et des nerfs, par Eulenbourg et Conheim en 1866
te forme, et de montrer qu'indépendante de toute altération de la
moelle
et des nerfs périphériques, elle devait faire r
lieu de marcher, comme quelqu'un qui lit, automatiquement, avec la
moelle
; celle-ci chez lui étant malade, il lui est impo
ne fixent pas leurs pieds. Voilà pourquoi 1 Althaùs. Maladies de la
moelle
épinière ; trad. franç., 1885, p. 224. '182 CLI
n de toute leur atten- tion cérébrale pour diriger leur marche ; la
moelle
épinière, chez eux, ne peut plus y parvenir seu
rien à faire 1 Vulpian. Maladies du système nerveux; maladies de la
moelle
, t. 1, 1879, p. 502. 1 Trousseau. Art. Alaxie
nature, en montrant qu'elle ne dépendait pas d'al- térations de la
moelle
épinière, mais consistait en une myo- pathie pr
dimensions différentes. L'encéphale, non plus que le bulbe ni la
moelle
épinière, ne pré- sentent ni extérieurement ni
, Notre examen a porté sur les muscles, les nerfs périphériques, la
moelle
épinière et le bulbe rachidien. z Muscles. Les
s aux précédentes. Même intégrité des nerfs musculaires. . Bulbe,
Moelle
épinière. Nerfs périphériques. - Ne présentent ri
ules ganglionnaires des cornes antérieures de substance grise de la
moelle
épinière, centres trophiques.des muscles. Du mo
ers cas, il dénote l'altération des cornes grises antérieures de la
moelle
. L'ordre de son apparition et de son évolution
de dedans en dehors ou de dehors en dedans aux cordons blancs de la
moelle
. G. D. XVII. SYNDROME DE Friedreich et DE MORVA
l'hyperexcita- bililé du système nerveux central (cerveau -bulbe -
moelle
). Les troubles vaso-moteurs sont peut-être le r
veuses du noyau du facial et des deux trijumeaux. Inté- grité de la
moelle
cervicale. P. KERAvaL SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉ
. M. GoLTZ a, en commun avec M. Ewer.n excisé de gros segments de
moelle
épinière chez les chiens. 'Ces animaux ont survéc
hienne à laquelle le 28 mai 1891 on a sectionné transversalement la
moelle
cervicale au niveau de la cinquième vertèbre. E
ère remonte au 5 janvier 1892, on lui a réséqué 13 centimètres de
moelle
à partir de la queue de cheval, d'arrière en avan
s cas précédents et de la paralysie agitante typique. M. Edinger.
Moelle
épinière artificielle. Sur ses indications, M.
s, M. Loew a fait fabriquer par la maison Jung (d'Heidelberg) une
moelle
épinière avec son bulbe. Cette pièce se distingue
état graisseux), de la dégénérescence des racines antérieures de la
moelle
, et des cellules des cornes antérieures. L'exam
oppement des manchons de myéline dans les cordons postérieurs de la
moelle
, avec présentation de préparations. Examen par
tion de préparations. Examen par la méthode de Pal et Weigert de la
moelle
lombaire, dorsale, cervicale inférieure, de foe
atteint 24 centimètres de longueur. Sur une coupe transverse de la
moelle
lombaire, on n'en trouve pas une seule dans une
z uniformément disséminées sur tout le reste de cet organe. Dans la
moelle
dorsale et cervicale inférieure, ces fibres myé
orme non organisée commence au niveau de la partie inférieure de la
moelle
dorsale, elle monte dans la partie supérieure d
tie supérieure de la même région jusqu'à la partie inférieure de la
moelle
cervicale et, dans ces deux segments, son somme
de long, les segmeuts·postéro- latéraux du cordon postérieur de la
moelle
lombaire sont égale- ment occupés par des fibre
ernes, notamment au niveau de la partie inférieure et moyenne de la
moelle
dorsale ; à cette époque, il n'est guère possib
ent externe du cordon. En s'élevant dans la partie supérieure de la
moelle
dorsale on retrouve la bande claire qui s'est é
nouvelles fibres reçoivent leur myéline (région lombaire). Dans la
moelle
dorsale et cervicale infé- rieure, les fibres m
ties claires et de parties obscures quelle que soit la région de la
moelle
. A cette époque, les fibres du cordon postérieu
segment externe (faisceau de Burdach) du cordon postérieur dans la
moelle
dorsale et cervi- cale inférieure, les fibres d
n, dans lequel les fibres du quatrième stade demeurent intactes. La
moelle
dorsale et cervicale inférieure est surtout, à
sa ressemblance avec la polio- myélite de la corne antérieure de la
moelle
. Si un tel diagnostic pouvait être fait dans un
fr.). 4,500 fr. à ml. LONDE et BLOCQ : Anatomie pathologique de la
moelle
. Prix Civrieux (900 fr.). M. de Vallon, médecin
Société. M. Kronthal. De l'hétérotopie de la substance grise de la
moelle
de l'homme. - L'orateur présente une série de p
échappent à la recherche à cause du mode habi- tuel d'examen de la
moelle
. Discussion : M. Cramer présente des coupes de
e la sclérose en plaques a propos des leçons sur les maladies de la
moelle
. Brochure in-8° de 16 p. Paris, 1892. Librairie
s suppositions relatives à des lésions matérielles des nerfs, de la
moelle
ou de l'encé- phale. Ces études de diagnostic o
t. Considérant comme prouvées les modifications des centres de la
moelle
épinière consécutives aux affections périphérique
e la sclérose en plaques à propos des leçons sur les maladies de la
moelle
par P. Marie. Paris, 1892. Librairie 0. Berthie
r Vors- tel, 126. 111;'1 h1\OTOPU : de la substance grise de la
moelle
, par Krontlial, '3US. table DES matières. /e8l)
onge et aliénation, par Mielo, 103. -Microgyrie, par Otto, 112.
Moelle
, élongation de la -, cn Orient, par Rastonil. 8
qui ne vient pas en contact direct avec les canaux médullaires. La
moelle
ne peut pas être bien étudiée sur les coupes des
e pour la décalcification. Mais sur des frottis ou des coupes de la
moelle
provenant des régions en contact immédiat avec l'
ssu compact et un agrandissement. parallèle du canal médullaire. La
moelle
osseuse très abondante qui remplit ce canal éla
acte qui est devenue translucide, laissant voir la coloration de la
moelle
. Il faut toutefois remarquer que les altération
ngieuse, mais l'élargissement du canal n'est pas si accentué et ! a
moelle
a la coloration jaune de la moelle en repos.
nal n'est pas si accentué et ! a moelle a la coloration jaune de la
moelle
en repos. Dans les phalanges on rencontre de no
très impor- tant de la substance compacte avec prolifération de la
moelle
qui élargit les espaces du tissu spongieux qui
assin. On trouve dans ces derniers, comme dans les phalanges, de la
moelle
rougeâtre rappelant celle des os jeunes. Dans l
ncis- sement et la transformation spongieuse du tissu compact. La
moelle
a une coloration jaune-rougeâtre. Dans les os de
oelle a une coloration jaune-rougeâtre. Dans les os de la jambe, la
moelle
est jaune. Le tissu compact des diaphyses est tra
canal médullaire n'est pas très élargi. Dans les os des orteils la
moelle
est jaune-rougeâtre et le tissu compact très am
s côtes très nexi- hles et facilement coupables avec le couteau. La
moelle
était rouge foncé. Altérations analogues pour l
lus rouge que nor- malement. L'examen microscopique montre qne la
moelle
présentait les signes d'une activité marquée, i
avait que peu de vésicules de graisse et partout les cellules de la
moelle
remplissaient les espaces intertrabéculaires ; pa
fectieuse de l'ostéomalacie en trouvant des microorganismes dans la
moelle
osseuse. Pétrone (140) aurait trouvé dans le sa
s la moelle osseuse. Pétrone (140) aurait trouvé dans le sang et la
moelle
osseuse de ces ma- lades le microbe nitrifiant
avec d'autres animaux osléomalaciques ou par l'inocula- tion de la
moelle
de ces dernières. Pecaud (144) réussit à isoler
de ces dernières. Pecaud (144) réussit à isoler un diplocoque de la
moelle
osseuse et d'au- tres organes des chevaux ostéo
s. Le microcoque se trouve, d'après ces au- teurs, dans le sang, la
moelle
osseuse, l'urine, etc. Dans le cas de notre cré
ouble glandulaire ame- nant par exemple une réaction spéciale de la
moelle
osseuse (prolifération des ostéoclastes) qui à
t qu'il y aurait à connaître d'une façon exacte les réactions de la
moelle
osseuse dans les différentes modifi- cations cl
ssent et sont atteints de dégénérescence granulo-graisseuse. « La
moelle
osseuse subit en même temps une transformation em
mé par les résultats de l'autopsie; à l'analyse microscopique de la
moelle
épinière on a constaté : LA Sl'ONDYLOSE RHIZOMÉ
s et os- seuses et si elles sont toujours liées à une maladie de la
moelle
. Depuis les travaux de Charcot, on a rapporté d
es, et chez des syphilitiques, qui n'avaient pas de mala- die de la
moelle
. Nous rapportons ci-dessous une histoire que no
on positive et le manque de signes d'une maladie quel- conque de la
moelle
épinière, nous avons porlé tout d'abord le diagno
de n'a pas eu de signes de tabes évidents, ni d'autre maladie de la
moelle
. La paralysie du nerf péronier peul être expliq
et syringomyéiiquesmais chez d'autres qui ne souffrent point de la
moelle
épinière ; par conséquent ces lésions ne sont p
ale, exclusivement liées à une lésion des cordons postérieurs de la
moelle
. ÉTUDE ANATOMO-PATHOLOGIQUE - D'UN CAS DE M
U TISSU CÉRÉBRAL )H7 7 Je me bornerai donc à relever que, dans la
moelle
allongée, la pyramide droite est complètement d
tres moteurs et trophiques que sont les cellules radiculaires de la
moelle
. Une partie d'entre elles ne subit pas cet entrec
foyers intra-liémispliériques. Enfin, sur la face postérieure de la
moelle
, il existe une hémorragie sous- araclmoïdienne,
le cervelet, les espaces sous-arachnoïdiens de l'encéphale et de la
moelle
. Dans la seconde, on en relève 11. Dans l'un co
aire gauche avec dégénération des libres. Méningite chronique de la
moelle
, surtout il) tlorrc, Jour, of nerv. and mental
emble ne correspond pas au territoire d'innervation d'un segment de
moelle
ni d'un nerf périphérique. Au contraire, une lési
paisseur un lin vaisseau sanguin qui se détache des vaisseaux de la
moelle
. Chaque papille de l'arborescence papillifère d
Système nerveux. Nous avons soumis à l'analyse microscopique : la
moelle
épinière (tous ses segments), les racines postéri
ologiques : les substances blanche et grise de l'encéphale et de la
moelle
épinière sont dans un état normal, aussi bien q
faible et uniforme dans toutes les parties de l'encéphale et de la
moelle
épinière, qui ne peut être découverte qu'à une
ur de la maladie se développent des phénomènes de compression de la
moelle
épinière. 3" Pachyméningite cervicale hypertr
les atrophies d'ori- gine radiculaire et, enfin, des troubles de la
moelle
épinière. li Le rhumatisme articulaire aigu de
le canal rachidien, ces exostoses produisent une compression de la
moelle
épinière et des racines nerveuses. Les dépôts o
lammation chronique qu'il a consta- tée sur les deux méninges de la
moelle
épinière et le tissu cellulaire qui les entoure
t des foyers isolés de dégénérescence de la substance blanche de la
moelle
épi- nière et une dégénérescence des cellules d
s normales des ganglions sympathiques, des cornes antérieures de la
moelle
dans les grandes, moyennes et petites cellules py
dépendant de l'intégrité des racines postérieures sensitives de la
moelle
épinière. La section de ces racines le fait ces
É DE MOSCOU Professeur : W. Roth. ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE ET DE LA MOELLE ALLONGÉE (SYPHILIS C
W. Roth. ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA
MOELLE
ALLONGÉE (SYPHILIS CRÉBItO-SP1NALE. PAR R A
it, dominant tous les autres, est une atrophie très prononcée de la
moelle
épinière et d'une partie de la moelle allongée. C
atrophie très prononcée de la moelle épinière et d'une partie de la
moelle
allongée. C'est sur cette atrophie que je m'éte
ccessives de cette longue histoire. ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 361 C'est à l'âge de 18 ans, en 1878,
rieurs s'expliquaient par l'hypothèse d'une lésion transversale de la
moelle
que le microscope ultérieurement confirma. L'
es et sur les veines. Un grand foyer occupait la protubérance et la
moelle
allongée dans sa partie droite, et à peu près t
ocessus pathologique. C'est au niveau de la partie inférieure de la
moelle
allongée que com- a b c d, coupes de la moelle
tie inférieure de la moelle allongée que com- a b c d, coupes de la
moelle
atrophiée. a' b' c' d', coupes d'une moelle nor-
- a b c d, coupes de la moelle atrophiée. a' b' c' d', coupes d'une
moelle
nor- mole, - aa' moelle cervicale. bb' région d
moelle atrophiée. a' b' c' d', coupes d'une moelle nor- mole, - aa'
moelle
cervicale. bb' région dorsale ; La moelle dorsale
e moelle nor- mole, - aa' moelle cervicale. bb' région dorsale ; La
moelle
dorsale atrophiée est doublée d'une pachyméning
RE 363 menée l'atrophie ; elle passe insensiblement du bulbe à la
moelle
cervicale' tout en accentuant son intensité. La
u bulbe à la moelle cervicale' tout en accentuant son intensité. La
moelle
épinière, dans toute sa hauteur, présente une a
ée ; de plus une pachyméningite développe son épaississement sur la
moelle
dorsale, du 2e au 11° segment. L'état atrophiqu
le, du 2e au 11° segment. L'état atrophique est très marqué pour la
moelle
épinière, il l'est d'une façon plus légère dans
é pour la moelle épinière, il l'est d'une façon plus légère dans la
moelle
allongée. Si on considère l'atrophie dans les d
de reproduire ici les chiffres obtenus dans la mensu- ration de la
moelle
épinière fixée dans la formaline. 364 . HEIMANO
les chiffres obtenus pour le quatrième segment dorsal, niveau où la
moelle
se présente atrophiée au maximum. Faisant usage
urait réunir en un groupe unique et différencié les atrophies de la
moelle
et de l'encéphale ; à plus forte raison, la cli
une entité si l'on veut, ne saurail ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE I 365 être admise ; en effet, l'atroph
res. Telle est la myélite dont la conséquence est la sclérose de la
moelle
; telle est la lésion destructive des cornes gris
spinales qui supprime l'apport nutritif; dans l'un et l'autre cas, la
moelle
subit des rétractions. Cela n'a pas empêché c
penheim a publié un seul cas d'atrophie du système nerveux central (
moelle
épinière). Long et Wiki, qui ont décrit un fait a
étendue du premier jusqu'au 9e segment dorsal, d'une atrophie de la
moelle
s'exprimant par les nombres suivantes : 366 HEI
de l'atrophie ne pouvait pas tenir non plus à une compression de la
moelle
, circulaire ou non. La compression médullaire qui
cela n'existe pas dans notre cas. Dans la région dorsale de noire
moelle
, c'est-à-dire là où l'épaississement pachyménin
t pachyméningitique se présente avec ses plus fortes dimensions, la
moelle
épinière se trouve considérablement réduite. Il
région lombaire, il n'existe pas trace de méningite et cependant la
moelle
épinière s'y montre aussi consi- dérablement at
s refuser une certaine importance . ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA
MOELLE
ÉPINIÈRE 367 au processus J.1aclJ)'tJléniugiti,
ce qui concerne la détermination d'une diminution du diamètre de la
moelle
en cette région. Sur toute la hauteur de la moe
diamètre de la moelle en cette région. Sur toute la hauteur de la
moelle
dorsale, en même temps que nous constations la
'ad- joignant à l'atrophie, a provoqué la diminution maximale de la
moelle
épinière dans la région dorsale. Il ne semble
dans notre cas est susceptible d'expliquer l'état atrophique de la
moelle
épinière et de la moelle allongée est une lente i
ptible d'expliquer l'état atrophique de la moelle épinière et de la
moelle
allongée est une lente influence toxique. En d'
uvé expérimentalement qu'en réséquant les cordons postérieurs de la
moelle
chez les animaux, ceux-ci présentaient ensuite
laxie labéliqite, mécanisme, par NOlc.\, 31l, 481. Atrophie de la
moelle
épinière el de la moelle allongée. Syphilis méd
me, par NOlc.\, 31l, 481. Atrophie de la moelle épinière el de la
moelle
allongée. Syphilis médullaire, par flctxa- vo
1'-)l, 236. Syphilis médullaire (Atrophie curieuse et rare de la
moelle
épiniel el de la moelle allongée -), par IIEIE1
médullaire (Atrophie curieuse et rare de la moelle épiniel el de la
moelle
allongée -), par IIEIE1.1Y0\\'l'l'SCII, 3GO,
, 472. IIEIJ11 : \o\\'tTscn (A.). Atrophie curieuse et rare de la
moelle
épinière. et de la moelle allongée, 360. JEAN
scn (A.). Atrophie curieuse et rare de la moelle épinière. et de la
moelle
allongée, 360. JEANNE et Halipré. Dystrophies
aisseaux delà base, la basilaire notamment étaient athéromateux. La
moelle
épinièrene présentait pas d'altérations macroscop
entent néanmoins encore que des réflexes dont le centre est dans la
moelle
. Plus tard, au contraire, l'enfant apprendra à
seul caractère parait fixe, c'est la petitesse du cervelet et de la
moelle
, avec ou sans lésions macro et microscopiques;
rieurs. Il peut aussi se produire des foyers inflammatoires dans la
moelle
. P. KERAVAL. e REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
ulaire. Il est difficile d'établir la topographie segmentaire de la
moelle
, alors que la topographie radiculaire en est cl
n cérébelleuse consécutive à un traumatisme occipital. Examen de la
moelle
d'un malade porteur du signe 6t'A)'o ? ? o ! 'e
pation, sensation générale de faiblesse et de douleur le long de la
moelle
épinière. Dans cet état, la malade est amenée à
ettre un arrachement des racines , coïncidant avec une lésion de la
moelle
. M. Duplant pense que certains cas de maladie d
ires bulbaires ont donc intéressé tous les noyaux du bulbe et de la
moelle
situés au-dessous de la Vie paire. M. Collet
l s'agit ici d'une lésion systématique de la substance grise, de la
moelle
et du bulbe, d'une polyoméhte avec polieucéphal
interne SOCIÉTÉS SAVANTES. '199 et du faisceau pyramidal dans la
moelle
. Le tremblement inten- tionnel et le nystagmus
éficier d'une discipline motrice méthodique. M. CMuzoN montre les
moelles
de trois cas d'hémorrhagie céré- brale avec pon
nettement sanglant; des suffusions sanguines existent le long des
moelles
. · · Pathogénie du tabès. M. G. Guillain et P
onstante, elle porte sur la pie-mère de la région postérieure de la
moelle
, alors que la pie- mère de la région antérieure
phatique spécial et autonome dévolu à la région postérieure de la
moelle
et la partie postérieure de sa pie-mère, système
e pathôgénique est une lymphangite posté- rieure syphilitique de la
moelle
. M. Déjëmne conserve l'opinion qu'il a émise av
a émise avec M. Thomas. Cette diffusion de corps, granuleux dans la
moelle
, est sujette à caution ; elle ne caractérise pa
trouve de ces corps granuleux même dans la région antérieure de la
moelle
. M. PIIILIPPE, invité à émettre son opinion par
par le choix même des fibres qui sont spécialement touchées dans la
moelle
et 202 SOCIÉTÉS SAVANTES. les racines. Ces fi
hnoïdien, la répartition a été uniforme faisant manchon autour delà
moelle
avec maximum au niveau des racines aussi bien a
es médecins, est considérée exclusivement comme une affection de la
moelle
et parfois du bulbe. Nous avons cependant obs
renflements, en particulier pour le renflement lombaire et pour la
moelle
sacrée, en entraînant une dégénérescence second
ascicules par fascicules. Les cordons postérieurs, le restant de la
moelle
sont intacts. Les nombreux nerfs périphériques, d
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. pondantes de certains neurones de la
moelle
, pas du tout celles du cerveau. Il y a lieu d
s fibres radiculaires postérieures, qui n'altère pas la forme de la
moelle
. Racines postérieures, région externe des cordo
es cordons postérieurs, envahissement des faisceaux de Goit(dans la
moelle
cervicale), telle est la marche de la lésion de b
glie sont intactes à côté des lacunes de la substance blanche de la
moelle
. Enfin, si la lésion est extrême, la charpente de
HOLOGIQUES. après coup d'infection, a obtenu une inflammation de la
moelle
atteignant le canal central, espèce de syringom
té des méninges et des vaisseaux, et désorganisation complète de la
moelle
au niveau du foyer de myélite. Contrairement
'il s'agit souvent d'un véritable arrêt dans le développement de la
moelle
, celui-ci dans bien des cas d'après l'auteur ne
l'existence dans la substance grise de la corne anté- rieure de la
moelle
, de groupements cellulaires en connexion intime
rite par propagation, ayant déter- miné une lésion initiative de la
moelle
. L'autopsie montra qu'il s'agissait d'une sclér
r le pied. Au point de vue anatomo-pathologique : altérations de la
moelle
(sclérose des cordons postérieurs, prédominante
e pout descendre ensuite directement dans le cordon antérieur de la
moelle
; ainsi donc une lésion pédonculaire entraine dan
onc une lésion pédonculaire entraine dans le cordon antérieur de la
moelle
d'une dégénérescence d'un faisceau qui est dist
Marie appuie l'opinion de M. Cestan et présente quelques coupes de
moelles
montrant des lésions consécutives à des altéra-
SAVANTES. 297 extrêmement nettes à l'entrée de ces racines dans la
moelle
, on les constatait également dans les cordons d
ns des racines. M. Marie considère que la r.»gion postérieure de la
moelle
forme nn bloc composé de l'élément nerveux, vas
l n'y aurait pas eu de phénomènes si accentués de compression de la
moelle
allongée. Dr G. PftIBYT60PF trouve que les modi
tives et voit sur la préparation une compression très marquée de la
moelle
allongée, qui indique l'augmentation lente de l
. RéSeaZi endocellulaire de Golgi dans les éléments ner- veux de la
moelle
épinière. Le procédé GoLGi-VERATTi permet de ré
Le procédé GoLGi-VERATTi permet de révéler dans les cellules de la
moelle
épinière l'existence d'un réseau intracellulaire
istence d'un réseau intracellulaire particulier. Les morceaux de la
moelle
épinière doivent être placés pour la fixa- tion
yes de trois et cinq mois. Mais avant de placer les fragments de la
moelle
épinière dans le liquide fixateur formulé ci-de
pinière dans le liquide fixateur formulé ci-dessus, les tronçons de
moelle
étaient partagés par une section longitudinale
e Veratti de vingt à trente jours. En suite, les petits fragmentsde
moelle
étaient portés dans un mélange de bichromate de
endocellulaire s'obtient plus difficilement dans les cellules de la
moelle
épinière que dans les cellules des ganglions sp
de M. Paul Ricucn. Troubles fonctionnels de la moitié droite de la
moelle
consécutifs à un traumatisme de la main. AI.
ntissement sur la moitié correspondante de la substance grise de la
moelle
dont les fonctions sont altérées, notam- ment a
eurs insupportables. « Il lui semblait que ses nerfs, et jusqu'à la
moelle
de ses os étaient pénétrés de l'àcreté si cuisa
. du biceps crural, du demi-tendineux et du demi-membraneux dans la
moelle
épinière; par les Drs Parhon et GOLDSTEIN. (Jou
utre. Les animaux furent sacrifiés au bout de 15 à 19 jours et leur
moelle
fixée parles pro- cédés habituels a été ensuite
I. Réseau endocellulaire de Golgi dans les cellules nerveuses de la
moelle
épinière ; par le Dr SouKHAKOFF. Description de
technique pour obtenir le réseau endocellu- laire de Golgi dans la
moelle
des cobayes et morphologie de ce réseau. Quelle
436 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. hauteur de la
moelle
, des fentes et foyers de désorganisation pri- m
vue de la détermination des localisations sensitivo-motrices de la
moelle
tendent à opposer deux théories, celle de la di
étudié l'anatomie descriptive des enveloppes et des vaisseaux de la
moelle
, puis son anatomie topographique, il aborde l'his
ions motrices et sensitives, c'est-à-dire la représentation dans la
moelle
des différents territoires cutanés, des différe
érieure, sert à la conservation des pièces anatomiques (cerveaux et
moelle
) ; il est utilisé en outre comme salle d'autops
iques et pathologiques des diverses régions de l'encéphale et de la
moelle
, M. Sommer possède une riche collection de type
ble des symptômes que l'on trouve dans les sections complètes de la
moelle
à la région cervico-dorsase, c'est-à-dire la pa
ces quatre vertèbres, réduit à une hauteur de 6 à 7 millimètres. La
moelle
était totalement ramollie sur une hauteur de 3
qui s'est produit chez sa malade. En premier lieu compression de la
moelle
, irritation des faisceaux descendants (faisceau
les affections de la queue de cheval et du segment inférieur de la
moelle
. Leçon de M. le Pr RAYMOND (Nouv. Iconogr. de l
u'elle se fasse sentir dans les ganglions du sympa- thique, dans la
moelle
, dans le bulbe ou au niveau même de l'é- corce
ps et des extrémités droites. Diabète. Diagnostic : Affection de la
moelle
allongée. Cas 11. Malade B..., quarante-cinq an
e. Diagnostic : Affection du tegmentum du pont de Varole et de la
moelle
allongée. Cas IV. Alalade P..., quarante-sept a
d'admettre pour un tel symptôme complexus la lésion localisée de la
moelle
allongée dans la région des fibres arciformes i
t Feliks GZ : IIiNIEC61. Les dendrites des cellules nerveuses de la
moelle
épinière chez les vertébrés adultes jusqu'à pré
ment des préparations (par la méthode de Golgi-Ramon Y CAJAL) de la
moelle
épinière des vertébrés supérieurs adultes de la
or.trwoFF consiste en ceci, que avant de plonger les morceaux de la
moelle
épinière dans le liquide chromo osmique, il est
des investi- gations (par la méthode deGalgi Ilamon y Cnjal) de la
moelle
épi- nière d'un vieux lapin (d'aspect bien port
s ». Ensuite, les auteurs citent les résultats de leur examen de la
moelle
épinière de deux hommes (de trente-neuf et de c
M. MARIE montre les pièces de deux méningites postérieures de la
moelle
. Thrombose médullaire et hyperesthésie. MM. B
oint si restreint qu'elle avait réalisé une section très fine de la
moelle
, une minuscule portion d'une seule racine posté
rtébrale (1 cas), sarcome des méninges (2 cas), trauma- tisme de la
moelle
épinière (4 cas), pellagre avec paraplégie (2 cas
gne de Babinski fait défaut dans 3 cas de section traumatique de la
moelle
épinière et dans le cas de cancer de la colonne v
n de ces trois phénomènes. Dans les compressions progressives de la
moelle
épinière, les réflexes peuvent disparaître de m
es pyramidales. Le siège du phénomène des orteils n'est pas dans la
moelle
, car il ne se produit pas dans les lésions tran
rveux. Apoplexie. Voir Orteils. ARG1LL-130BERTSO\. Examen de la
moelle
d'un malade porteur du signe - - Tabes fruste,
biceps crural, du demi-tendineux et du demi-membraneux dans la
moelle
épinière. par Parhon et Go(isteiii, 152. - Ce
GOLGI. Réseau endocellulalre de - dans les éléments nerveux de la
moelle
épinière. par Soul : llauolF, 307. Réseau emloc
07. Réseau emlocellllalre de - dans les cellules nerveuses ils la
moelle
épinière, par Soukliariolï, 154. Goût. De la
e opbtalmo- plégique, par Matins, 281. Mimique. La-, par Cuyer.
Moelle
épinière. Voir Golgi. -, Voir Centres moteurs.
de chevu.. Sur les affections I de)aet du segment inférieur de la
moelle
, par liaymond, 537. li.vcms. Iracture du -.1'ar
Cestan et Le- jonne, 366. fonctionnels de la moitié dioite de la
moelle
consé- cutifs à un traumatisme de la main, pa
cu. 1 DE l'astasie ET DE l'abasie 21 l'excitabilité réflexe de la
moelle
bien plutôt qu'à la perturbation des irradiatio
ence des faisceaux pyrami- daux dans les cordons latéraux depuis la
moelle
lombairejusqu'à la décussation. Peu d'altératio
forme ataxique, au moment où les lésions, qu'elles débu- tent parla
moelle
ou qu'elles s'y propagent, s'installent dans cet
les zones radiculaires des cor- dons postérieurs des segments de la
moelle
correspondants sont altérées (Zacher, Westphal)
t en particulier des zones radiculaires postérieures jusque dons la
moelle
cervicale. A aucune période de la maladie il ne
rable. Elles supportent l'examen à la loupe; ainsi sur une coupe de
moelle
faiblement grossie on saisira, sur le dessin, à l
l'absence de troubles de la sensibilité implique l'intégrité de la
moelle
postérieure. Le processus s'élant limité exclusiv
rocessus s'élant limité exclusivement à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 131
moelle
lombaire, l'auteur croit que l'inflammation s'est
n s'est propagée des articulations vertébrales à la méninge et à la
moelle
.. M. le U° rncnuavrr (de Stephansfeld). Des alt
ment sur la né- vroglie. Cependant, dans la substance blanche de la
moelle
, le premier résultat peut être, même par une lé
éparations de ganglions spinaux de chat et de chien et de coupes de
moelles
de chiens, afin de montrer que les cellules nerve
les cellules nerveuses normales présentent dans les ganglions et la
moelle
des réactions colorées différentes même à l'éta
ntes même à l'état nurmal. -Courte observation de tubercule dans la
moelle
épinière et le bulbe chez un homme de quarante-
l'organe. La compression qu'il exerçait sur l'autre moitié de la
moelle
avait déterminé une dégénérescence ascendante sec
lésions semblables produites par d'autres poisons). Une des quatre
moelles
décèle (préparations à l'appui), une atrophie p
traitement consistait principale- ment dans la galvanisation de la
moelle
épinière et des bains tièdes. Le premier temps,
e symptômes fondamentaux, caractéristiques de la gliomatose de la
moelle
épinière. Une série d'autres symptômes qui s'as
des cornes postérieures et antérieures de la substance grise de la
moelle
épinière, ayant une symptomato- iogie semblable
la sphère de distribution de nerfs de la partie supérieure de la
moelle
épinière du côté droit, nette- ment limitée par
nt, nous ayons affaire à une lésion des cornes postérieures de la
moelle
épinière et de la racine ascendante du tri- jum
sont, à notre avis, des signes typiques de la glioma- tose de la
moelle
épinière. Des paresthésies, des douleurs excent
substance grise dans la moitié droite du renflement cervical de la
moelle
épinière, ayant le même caractère que celle des
est pour ainsi dire incorporée ou incarnée dans la structure de la
moelle
épinière et y subsiste à titre de substratum d'
mis en jeu par un stimulus approprié : par là, les facultés de la
moelle
s'élaborent et mûrissent graduellement '. » Ces
f, il est permis de se bor- ner à considérer que les facultés de la
moelle
épinière sont acquises par l'éducation. « L'enf
EUSE. d'énergie et correspond à un développement progressif de la
moelle
épinière; il est, en un mot, le devenir de sa f
x, le centre des mouvements coordonnés pour la marche est dans la
moelle
.-Si on coupe la tête d'un canard d'un coup de c
bien là évidem- ment de mouvements dont le mécanisme est dans la
moelle
épinière , mouvements automatiques et non raiso
consécutives. A l'autopsie, on fut frappé de ce que le volume de la
moelle
, sur la longue étendue du siège de la compressi
des mouvements coor- donnés pour cet acte subsistait intact dans la
moelle
1 Hartmann. Philosophie de l'lncocascienl, t. I
de filets irido-dilaiateurs (Franck), soit plutôt un point de la
moelle
ou même des centres supérieurs commun aux filet
ical (expériences de Lucksinger et Nawrocki), soit d'un point de la
moelle
ou du bulbe, mais que nous ne saurions préciser
rminer l'influence qu'exer- cent sur ces divers ordres de fibres la
moelle
, l'encé- phale, la moelle allongée, c'est là un
cent sur ces divers ordres de fibres la moelle, l'encé- phale, la
moelle
allongée, c'est là une question bien difficile
ires à sa solution, nous n'y insisterons pas davantage. De même, la
moelle
peut, dans certains cas bien dé- terminés, donn
s plus ou moins étendues et quelquefois dimidiées. Il est dans la
moelle
un système anatomique inter- médiaire aux zones
t que les lésions de l'ataxie locomotrice portant uniquement sur la
moelle
suffisent à expliquer les éphidroses que l'on o
est donc avéré, pour conclure, que des lésions de l'encéphale de la
moelle
, du tronc et des ganglions du grand sympathique
vec avantage, il y aura lieu d'essayer les courants continus sur la
moelle
, les sédatifs du système ner- veux, l'opium, le
he à la place du pont étendu du 260 REVUE CRITIQUE. cervelet à la
moelle
allongée, derrière le quatrième ventricule.. Da
autre altération, sauf une légère sclérose des cordons blancs de la
moelle
. Il trouve une grande analogie de l'état du cer
médicaments usités, la maladie, dont le siège était reconnu dans la
moelle
épinière et le système gan- glionnaire, étant t
NS. A l'autopsie, absence DE sclérose DES cordons postérieurs DE la
moelle
épinière; intégrité complète DES racines rachidie
n commune de myélites chroniques, la plupart des affections de la
moelle
épinière, il s'occupa uniquement de déterminer
lle-même : la sclérose systématique des cordons pos- térieurs de la
moelle
, avec atrophie des racines posté- rieures des n
ment définis du tabès à certaines alté- rations systématiques de la
moelle
épinière était, il faut bien le reconnaître, co
e théorique. Si on accepte l'idée que les cordons postérieurs de la
moelle
sont les organes de l'ataxie, on conçoit très b
ogiques il fallait distinguer, dans les cordons posté- rieurs de la
moelle
, deux régions tout à fait distinctes : l'une ce
t fourni l'explication de quelques-uns des cas dans les- quels la
moelle
est indemne de toute altération chez des malade
pris de ne trouver à l'autopsie aucune altération appréciable de la
moelle
ni des racines postérieures. Je pouvais encore
és. Mort de pleurésie tuberculeuse. Autopsie. Pas de sclérose de la
moelle
. Pas d'atrophie des racines postérieures. Intég
On ne remarque pas de dégénérescence grise des nerfs crâniens. La
moelle
épinière est enlevée avec précaution. Après incis
pect chatoyant qu'elles présentent dans les conditions normales. La
moelle
elle-même est ferme. Ni à sa surface ni sur les
ec la forme, le volume et la consistance de ganglions normaux. La
moelle
a été plongée aussitôt après l'.autopsie dans une
et montés en préparations persistantes. Examens histologiques. 1°
Moelle
épinière. Sur les coupes transversales provenan
ur les coupes transversales provenant des différentes régions de la
moelle
(cer- vicale, dorsale et lombaire), colorées au
parois des vaisseaux sanguins sont, dans toutes les hauteurs de la
moelle
, plus denses et plus épaisses qu'à l'ordinaire.
st peut-être un peu plus manifeste dans le segment postérieur de la
moelle
(cordons et cornes), mais qu'il existe aussi da
acines rachidiennes provenant des régions dorsale et lombaire de la
moelle
ont été dissociées et soumises à l'examen : Il
t, à son autopsie, on ne découvre aucune altération organique de la
moelle
, ni des racines rachidiennes,- 352 CLINIQUE NER
ir à l'autopsie aucune altération appréciable du cerveau ou de la
moelle
épinière'. Rien n'est plus difficile, du reste,
s, soit enfin la paralysie générale progressive. Les maladies de la
moelle
épi- nière n'y figurent que très rarement, seul
augmente la fréquence des battements du coeur. - La section de la
moelle
épinière à la région occipito-atloïdienne impri
. D'une callue légitime, régulièrement coordonnée des racines de la
moelle
épinière aux diverses hauteurs. Voici les concl
oici les conclusions de l'auteur : i° les racines antérieures de la
moelle
cervicale et de la moelle lombaire regorgent de
auteur : i° les racines antérieures de la moelle cervicale et de la
moelle
lombaire regorgent de grosses et larges fibres
fins en faisceaux isolés ou en petits groupes; 3° les racines de la
moelle
dorsale contiennent un très grand nombre de petit
t à droite. Le microscope révéla qu'à gauche, dans le segment de la
moelle
qui constitue la limite entre les régions dorsa
lusions. - 1° Les fibres motrices ont un centre tro- phique dans la
moelle
. - 2° Un certain nombre de fibres ner- veuses d
ensuite à la péri- phérie, ont aussi leur centre trophique dans la
moelle
. Ainsi s'explique la dégénérescence partielle d
ne (altération centralegliomateuse ? ) localisée aucôtégauche de la
moelle
cervicale (Voy. Centralbl. f. Nervenheilk, 1887)*
. 1 in. 480 SOCIÉTÉS savantes. Gliose de la moitié droite de la
moelle
cervicale inférieure et dorsale supérieure port
rma- tives. C'est décidément la lésion des cornes antérieures de la
moelle
Archives, t. XV. 31 482 sociétés savantes.
En cherchant la cause de l'hyperhémie dans la substance grise de la
moelle
épinière il était naturel de se demander si la du
rel de se demander si la dure-mère et la subs- tance nerveuse de la
moelle
subissent un allongement pendant la suspen- sio
édé nous avons pu nous convaincre que la subs- tance nerveuse de la
moelle
s'allonge pendant la suspension. Après avoir ex
ure-mère, on introduisit une épingle dans la subs- tance même de la
moelle
au même niveau que dans l'expérience précé- den
un peu moins d'un millimètre, ce qui prouve que l'allongement de la
moelle
épinière sous l'influence de la suspension est
dure-mère. Il ne restait qu'à déterminer l'allongement total de la
moelle
sans retirer l'épin- gle qui marquait sur la su
n peu moins d'un millimètre. Le corps étant suspendu, j'enlevais la
moelle
, je l'immobilisais en fixant son extrémité supé
on a observé pendant la suspension. La différence de longueur de la
moelle
avant el après l'extension représentait l'allon
ension et le déplacement de la dure-mère peuvent être transmis a la
moelle
épinière soit par l'intermédiaire du ligament den
ermédiaire des ligaments dentelés ; on prend un petit tronçon de la
moelle
épinière, on l'incise le long de la ligne médiane
bord infé- rieur de la dure-mère on constate que l'extension de la
moelle
épinière suit celle de la dure-mère et comme le
rfs' rachidiens, le déplacement de la dure-mère se communique il la
moelle
par l'inter- médiaire non pas de ces racines ma
mais du ligament. Quoi qu'il en soit, le fait de l'extension de la
moelle
est hors de doute, 20 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
t dans ce sens. Or les divisions du ligament dentelé rencontrent la
moelle
sous un certain angle et par conséquent le liga
sera tirée en bas et latéralement. La pie-mère étant adhérente à la
moelle
, sa traction se traduira par une augmentation d
ar une augmentation des diamètres longitudinal et transversal de la
moelle
en général et de son canal central en particuli
contraire comme indispensables. Toute tension de la substance de la
moelle
épinière doit produire une dis- tension de sa n
er, nous voyons que pendant la suspension, il y a allongement de la
moelle
épinière et de la dure-mère ; l'allongement de
lé, à la pie-mère et grâce aux prolongements qu'elle envoie dans la
moelle
, cette dernière augmente suivant ses diamètres
s sont intéressés; de même l'hyperhémie de la substance grise de la
moelle
parle en faveur de l'appli- cation de la suspen
ar la suspension un afflux plus grand du sang, un allongement de la
moelle
avec écartement des éléments nerveux, nous rapp
ssion brusque qui occasionnait des hémorrhagies capillaires dans la
moelle
épi- nière, en amenant une dilatation et une ru
iens dont on étendait le tronc seulement, la partie cervicale de la
moelle
était aussi in- jectée et aussi riche en foyers
- jectée et aussi riche en foyers hémorrhagiques que le reste de la
moelle
. Par conséquent, le collier qui amène une compr
ouvelles recherches et y inciter. CHAPITRE PREMIER MALADIES DE LA
MOELLE
. Nous n'avons pas il nous occuper ici des dévia
é par des observations remarquables la merveilleuse tolérance de la
moelle
vis-à-vis des incurvations les plus accentuées,
d'aucun phénomène douloureux de quelque (1) Leyden, Maladies de la
moelle
, trad. franc..1. B. Baillière, 1879, p. 201. (2
te hebdos, de méd., 1888, no 39, p. 617. (2) Leyden, Maladies de la
moelle
épinière. Trad. franç., p. 'no. (3) Thèse de Pa
ette région ». A l'autopsie, sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
. Lésions intenses des racines postérieures lomb
e montre, conformément au diagnostic, une sclérose en plaques de la
moelle
, avec intégrité du cerveau. Nous relevons, dans
tions vertébrales. On peul dire que la plupart des maladies de la
moelle
épinière peuvent, dans une mesure variable, eng
scléroses médullaires systémati- sées ou d'autres altérations de la
moelle
. Ce n'est là qu'une hypothèse ; nous la donnons
it avec soin, et notamment de pratiquer l'examen histologique de la
moelle
, qui nous a paru altérée. Le durcisse- ment des
rs auteurs pour expli- quer les déviations dans. les maladies de la
moelle
ou du cerveau. On a invoqué deux théories princ
ections attei- gnent, à des degrés divers, la substance grise de la
moelle
. La région de la substance grise, frappée dans
sion des ganglions intra-crâniens et de la portion supérieure de la
moelle
peut-être du corps strié, queClay-Scliaw conseill
on s'en présentait, de chercher du côté de la portion cervicale de la
moelle
, du noyau de la septième paire et du corps stri
'a décou- vert rien d'appréciable à l'oeil nu, ni au cerveau, ni la
moelle
. L'examen microscopique que MM. Blocq el Parmen
ne présentent une disposition normale sans lésion appré- ciable. La
moelle
examinée à l'oeil nu sur des coupes transversales
, de Putnam et de Iluet, dans lesquels l'examen microscopique de la
moelle
n'a pas révélé d'altération. En résumé, l'aff
lbes, ni sur les ventricules latéraux, on ne trouve trace ni sur la
moelle
, de sclérose. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOU
bservation primitive, éliminant ainsi les maladies organiques de la
moelle
épinière dont notre collègue et ami Sou- ques a
encéphale qui sont loin de former un ensemble aussi homogène que la
moelle
épinière, il nous était indispensable d'adopter
« syndromes hystériques simulateurs des mala- dies organiques de la
moelle
épinière ». Nous n'hésitons pas à regarder son
ien même il ait seulement en vue quelques-unes des mala- dies de la
moelle
. Il a tracé la méthode il suivre qui est de tous
faire dans ces cas et dans tant d'autres, ou c'est le cerveuellt la
moelle
épinière, le poumon ou un autre viscère qui est i
eut se promettre rien de cette manipulation dans les maladies de la
moelle
épinière et des viscères. En ce qui concerne la
ladies de la moelle épinière et des viscères. En ce qui concerne la
moelle
épinière, c'est du troisième ganglion cervical du
les ramifications, entre autres, l'artère vertébrale qui nourrit la
moelle
épinière, le bulbe, la protubérance, le cervele
eure du cou qu'il faut faradiser pour modérer l'afflux du sang à la
moelle
épinière et à ses méninges. L'anatomie nous indiq
ure de l'hémiplégie dans l'ex- citation des cellules motrices de la
moelle
épinière, par l'intermédiaire des fibres transv
artère sous- claviére et l'artère vertébrale qui est destinée il la
moelle
épinière. J'ai dit déjà plus haut que le couran
s-clavière et son rameau, l'artère vertébrale qui est destinée à la
moelle
épinière. C'est donc dans les maladies de cet o
ent à son traitement. La myélite tend à détruire la substance de la
moelle
. La rapidité du processus morbide varie selon l
varie selon les cas. Dans les plus graves une certaine partie de la
moelle
est définitivement détruite en quelques jours et
n seulement le malade ne meurt pas, mais les éléments nerveux de la
moelle
résistent jusqu'à un certain point, à la destru
mmandent des moyens qui tendent à diminuer l'afflux du sang vers la
moelle
: le froid le long de l'épine dorsale, les vésica
effets me semblent dus au resserrement des vaisseaux dilatés de la
moelle
épinière parce que je ne puis attribuer à la fa
ent. L'artère vertébrale n'est pas la seule artère qui nourrisse la
moelle
; les artères intercostales lui envoient aussi de
s fibres coordinatrices pas- sant par les cordons postérieurs de la
moelle
. Mais l'ataxie peut être pas- sagère. Un sujet
fut par- faitement guéri par Erb au moyen de la galvanisation de la
moelle
. L'a- taxie, les douleurs disparurent pour touj
s fibres et que l'excitation est portée aux cellules motrices de la
moelle
et aux fibres qui en partent. Le signe de Romberg
région claviculaire étant un moyen puissant contre l'hyperémie de la
moelle
supprime donc l'ataxie. Mais j'ai dit plus ha
iquer ce résultat par la diminution de la pression sanguine dans la
moelle
à la suite du resserrement des vaisseaux et j'a
e croisée (syndrome de Brown-Séquard), par lésion traumatique de la
moelle
épinière dans sa moitié latérale. 1er Malade
moins d'une façon sommaire, l'histoire chirurgicale des plaies de la
moelle
épinière qui se produisent dans les conditions
son de certaines combinaisons sur lesquelles je ne puis m'étendre, la
moelle
épinière subit, le plus souvent, à cè qu'il sembl
imentateur (1). Fig. 15. Cas de Millier. a. Le couteau. b. La
moelle
épinière. c. Corps vertébral. d. Apophyse épi
. d. Apophyse épineuse. Cas de Müller. Hémisection gauche de la
moelle
épinière. Chez notre homme le coup de couteau a
e qui va se dérouler devant nous, sur la moitié latérale droite de la
moelle
épinière que la lésion a porté. Vout n'ignorez
rtante remarque de Brown-Séquard dans ces lésions hémilatérales de la
moelle
épinière, une simple piqûre portant sur une des m
donné, aurait dépassé les limites de la moitié latérale gauche de la
moelle
. Je veux parler d'une rétention d'urine qui aurai
ois retentir à ses oreilles le diagnostic: hémisection latérale de la
moelle
épinière. Défait, aujourd'hui encore, il paraît f
ayant pour effet d'affecter profondément sur un point, le tissu de la
moelle
épinière dans une de ses moitiés latérales ou d'e
otre illustre ami a montré qu'une section hémilatérale complète de la
moelle
épinière déterminait régulièrement la production
on porte,je suppose, comme dans notre cas, sur la moitié gauche de la
moelle
, et voici alors ce qu'on observe : A. Du côté g
ne conséquence de la restitution progressive des parties lésées de la
moelle
. C'est d'ailleurs en se rétrécissant de la péri
ompression par pachyméningite caséeuse portant sur un seul côté de la
moelle
, observés par M. Rosenthal et qui se sont terminé
aplégie spinale avec anesthésie croisée, par lésion traumatique de la
moelle
épinière, terminé par la guérison, guérison incom
mite d'anesthésie du côté droit placée trop bas pour une lésion de la
moelle
située au niveau de la 3e ou 4e vertèbre dorsale.
notre malade,et je rattache ce syndrome à la lésion traumatique delà
moelle
épinière. Mais je n'irai pas jusqu'à prétendre qu
rties centrales du cerveau. Rien du côté du cervelet ni du bulbe : la
moelle
épinière, à l'œil nu ne présente aucune trace d'a
à la connaissance des maladies organiques du centre nerveux et de la
moelle
épinière en particulier, comme une maladie d'étud
roitement aux cornes antérieures de la substance grise centrale de la
moelle
; il serait bien difficile, pour ne pas dire plus
animaux, ces seules cornes antérieures, sans Fig. 32.— Croupe de la
moelle
faite dans la région lombaire. — A. Corne antérie
lé résoudre. Dans nombre de cas, les lésions qu'on rencontre dans la
moelle
épinière, chez les sujets qui ont été atteints de
tracée. On ne saurait s'y engager cependant Fig. 33. — Coupe de la
moelle
à la région cervicale dans vin cas de paralysie i
raplégie spasmodique évidemment causée par la compression lente de la
moelle
épinière, compression qui nécessairement, autant
es Leçons sur les localisations dans les maladies du cerveau et de la
moelle
épinière (Paris, 1876, 1880; voir en particulier
e pathologique et à la sympto-matologie de la compression lente de la
moelle
épinière dans le mal de Pott. Chose remarquable,
sté bien longtemps sans s'entendre sur le mécanisme suivant lequel la
moelle
est aifectée dans le mal de Pott. On sait comment
malades du système nerveux. T. II p. 93. Delà compression lente de la
moelle
épinière. canal rachidien lorsqu'une ou plusieu
is peut offrir les déformations les plus extraordinaires, sans que la
moelle
soit intéressée. Il paraît établi, actuellement
cès intrarachidien, qui déplace d'avant en arrière les méninges et la
moelle
, — les rapprochant ainsi de la partie postérieure
s à la Faculté de médecine. Paris, 1888, p. 110. telle sorte que la
moelle
ne paraît en général comprimée que sur une partie
e dans le mal de Pott (2). Que devient, en pareil cas, le tissu de la
moelle
au niveau du point comprimé ? Nos observations no
ussi prof ondes, — celles de la dure-mère aussi bien que celles de la
moelle
ne sont pas, tant s'en faut, placées au-dessus de
r la dure-mère que par une surface rugueuse, et pour ce qui est de la
moelle
au point comprimé, elle peut retrouver l'intégrit
a paraplégie par mal de Pott était guérie depuis plus de deux ans, la
moelle
, au niveau du point où avait eu lieu la compressi
sur une coupe durcie au tiers environ de la surface de section d'une
moelle
normale examinée dans la même région ; sa consist
ion ; sa consistance était ferme, sa couleur grisâtre ; en un mot, la
moelle
en ce point offrait toutes les apparences de la s
d. London, 1886. 2. Suivant M.le DrLannelongue,le refoulement de la
moelle
et des méninges peut être produit par le développ
es fongosités dans le canal vertébral, la dure-mère étant intacte, la
moelle
l'étant également, et n'accusant que des lésions
und 52), Pick (Real EncyclopadAe, art. Ruckenmark), les lésions de la
moelle
dans la paraplégie par compression, suite de mal
Sp. Path. und. Therap. etc. 2e Bd. 1 Theil. 3. Auflage, p. 167. de
moelle
sa coloration grise et sa consistance ferme, le m
t très habituellement dès leur apparition les parties centrales de la
moelle
. C'en est assez sur ce sujet pour le but que je
us une forme congestive ou autre, soit sur la dure-mère, soit dans la
moelle
elle-même, et en réalité il est difficile de ne p
appeler, qui siège dans les régions cérébrales inférieures ou dans la
moelle
. Quelques-uns d'entre vous pourraient supposer qu
la suspension des malades au traitement de quel fues affections de la
moelle
épinière par Motchoutkowski.Extrait du Journal Vr
uer celle-ci des parésies ou paraplégies par lésions organiques de la
moelle
épinière, qu'elle pourrait simuler. La « plaque s
r qu'il s'agit ici delà mise en jeu d'une hyper-kinésie morbide de la
moelle
par le contact de la plante du pied sur le sol. C
l'un siège dans l'écorce cérébrale, tandis que l'autre réside dans la
moelle
épinière ; ces deux centres étant reliés l'un à l
normal doit être cherchée clans l'encéphale ou, au contraire, dans la
moelle
. Je compare quelquefois les groupes cellulaires
erait, vous le savez, chez un tel sujet, dans certaines régions de la
moelle
épinière, les vestiges de la myélite centrale aig
llumera plus. Peut-on en dire autant de la lésion cicatricielle de la
moelle
épinière ? Cela certes, n'est pas aussi démontré.
est-elle la conséquence d'une lésion primitivement développée dans la
moelle
épinière, ou est-elle, au contraire, primitive el
et laissant parfaitement indemnes tous les autres départements de la
moelle
épinière, substance blanche et substance grise. J
ple. Ainsi l'élément anatomo-pathologique est représenté : 1° dans la
moelle
par une lésion systématiquement limitée aux corne
e seconde date, consécutif. La lésion originelle siège encore dans la
moelle
épinière, mais elle s'est développée primitivemen
e fait, il n'est peut-être pas une lésion élémentaire chronique de la
moelle
épinière qui ne soit susceptible, à un moment don
marche progressive se développe indépendamment de toute lésion de la
moelle
épinière et, le plus souvent aussi, des nerfs pér
: « De quelques accidents spinaux déterminés par la présence, dans la
moelle
, d'un ancien foyer de myélite infantile (1). »
ces et propager ensuite l'inflammation aux parties avoisinantes de la
moelle
épinière. Cette théorie peut sans doute s'adapter
ts héréditaires à signaler : la mère serait morte d'une maladie de la
moelle
épinière ; ses jambes étaient complètement paraly
taines cavités qui peuvent se former dans les parties centrales de la
moelle
épinière, on a ignoré jusque dans ces derniers te
oncer l'existence de 1. « Syringoyméiie : « cavité centrale dans la
moelle
épinière, » Ollivier d'Angers, Paris 18b7 de aupt
ers, Paris 18b7 de auptyywSrii;, creusé en forme de tuyau, et [aueXoî
moelle
. 2. Dans la première édition des leçons sur les
désigner toute lésion cavitaire occupant les parties centrales de la
moelle
: mais tout porte à croire aujourd'hui, qu'il exis
és tout à l'heure. La production gliomateuse occupe généralement la
moelle
'dans toute sa Fig. 113. — Moelle de syringomyé
liomateuse occupe généralement la moelle 'dans toute sa Fig. 113. —
Moelle
de syringomyélie par gliomatose médullaire. Régio
à leur tour envahis. Les lésions que la gliomatose produit dans la
moelle
sont indélébiles, irréparables. Leur marche est l
ra la symptomatologie des lésions de cet ordre, localisées de de la
moelle
indépendante du Tabès avec arthropathie du coude
ique qui représente en quelque sorte, Yépitome de la pathologie de la
moelle
épinière telle que l'ont faite les travaux récent
inal des racines antérieures), sont en somme les seules régions de la
moelle
épinière qui intéressent directement la nutrition
les cas où l'investi-« gation nécroscopique fait reconnaître dans la
moelle
l'existence de la « syringomyélie ou du gliome ce
ttre, que le point de départ de l'affection doit être cherché dans la
moelle
, celle-ci, cependant, n'a jamais présenté aucune
mp visuel)....... 49 Fig. 15.—Syndrome de Brown-Séquard (Etat de la
moelle
) ... 54 Fig. 16 — (Sensibilité) ..... 59 Fig.
gomyélie (Lésions médullaires)......... 491 Fig. 104. — Coupe de la
moelle
normale ....... 493 Fig. 1 OS. — Syringomyélie.
ale croisée (syndrome de Brown- Séquard) par lésion traumatique de la
moelle
épinière dans sa moitié latérale............. 53
. Clinique (de la Méthode), 25. Combemale, 94. Commissures delà
moelle
(Rôle). 494, 499. GoMMOTiONs prémonitoires de l
liotti, 64, 68, 362. Misère et hystérie mâle, 285. MÔbius, 235.
Moelle
épinière.—Compression, 179,182. — (Hémisection
Pott (Mal de). — (antécédents dans le), 190. — Compression de la
moelle
, 179, 182. — Difficulté du diagnostic au début,
t maladies nerveuses, 30. — et neurasthénie, 30. Traumatismes de la
moelle
, 53. Tremblement. — alcoolique, 232 — dans la m
se et la substance blanche, les pédoncules, la protubérance et la
moelle
étaient sains. L'hémisphère cérébelleux droit éta
symptômes ont été : ataxie avec atrophie musculaire et scoliose. La
moelle
épinière avait conservé son volume normal, il y
erdue par suite d'une maladie. ' III. Diagnostic des maladies de la
moelle
. Siège des lésions ; par le Professeur Grasset.
Etant donné un malade chez lequel on a reconnu une maladie ' de la
moelle
, comment peut-on cliniquement déterminer le siège
ns un premier chapitre, il étudie la séméiologie des systèmes de la
moelle
, c'est-à-dire les signes auxquels on reconnaît le
troubles vaso-moteurs ; 8° le syndrome d'une moitié latérale de la
moelle
: hémiparaplégie croisée. Dans un second chapit
entaire du cône médullaire ; le syndrome radiculo-segmentaire de la
moelle
sacrée : le syndrome radiculaire de la moelle l
ulo-segmentaire de la moelle sacrée : le syndrome radiculaire de la
moelle
lombaire; le syndrome métamérique ou segmentaire
de la moelle lombaire; le syndrome métamérique ou segmentaire de la
moelle
lombo-sacrée ; le syndrome radiculaire de la moel
gmentaire de la moelle lombo-sacrée ; le syndrome radiculaire de la
moelle
dorsale; le syndrome métamérique ou segmentaire
de la moelle dorsale; le syndrome métamérique ou segmentaire de la
moelle
dorsale ; le syndrome radiculaire de la moelle
ou segmentaire de la moelle dorsale ; le syndrome radiculaire de la
moelle
brachiale ; le syn- drome segmentaire ou métamé
a moelle brachiale ; le syn- drome segmentaire ou métamérique de la
moelle
brachiale et enfin le syndrome de la moelle cer
re ou métamérique de la moelle brachiale et enfin le syndrome de la
moelle
cervicale. E. B. VARIA. Douzième congrès des
e tuberculose viscérale. Double broncbo-pneumonie de la base. 'La
moelle
est extraite facilement ; le canal osseux, les mé
es la méthode de Marchi n'a pas montré un faisceau dégénéré dans la
moelle
cervicale. Le cas que nous venons de relater so
océphale, en particulier dans le noyau rouge et par- viendrait à la
moelle
par la voie cérébelleuse descendante et par un
ait son centre d'origine dans l'écorce motrice et parviendrait à la
moelle
par le faisceau pyramidal. On comprend dès lors
autres parties de l'encéphale tandis qu'il cesse si l'on sépare la
moelle
du bulbe. Le tremblement intentionnel a été rep
t par Pasternotsky au moyen de lésions des cordons antérieurs de la
moelle
et de la partie antérieure des cordons latéraux
mple. On sait depuis Kôlliker que les divers faisceaux blancs de la
moelle
ne sont pas tous engainés de myéline péricylind
rencontrer dans tous les cas de lésion transversale complète de la
moelle
, alors que les réflexes tendineux et cutanés so
it effraction dans ses vertèbres et déterminé une compression de la
moelle
surtout des cordons antéro-latéraux et de la su
s postes de l'appareil con- ducteur de la sensation, placés dans la
moelle
. L'irritation varie d'intensité, et cesse aussi
esque tous les nerfs depuis la troisième paire corticale jusqu'à la
moelle
ianée ; 2° une sensation générale de fatigue exag
s, dans leur trajet radiculaire, ou bien à une adultéra- tion de la
moelle
elle-même. L'expérimentation d'ailleurs prouve
s le cas actuel, absence d'hématomyélie ou d'allusion directe de la
moelle
par une fracture de la colonne vertébrale, mais
sseur considérable de la gaine de tissu pathologique qui entoure la
moelle
^ quant à l'évolution clinique, elle est caractéri
re. Néanmoins tous, aujourd'hui, vous considérez les troubles de la
moelle
et ceux du cerveau, du même point de vue que ce
riences prouvent que leurs centres, localisés chez le chien dans la
moelle
, sont situés au contraire, chez le singe et surto
s la plupart des cas. En effet, quand on examine les coupes de la
moelle
ou des circonvolutions cérébrales immédiatement a
ibro-plastique dévelop- pée à la hauteur du renflement cervical, la
moelle
présentait, au- dessus et au-dessous des lésion
ES. à évoluer sur place, se contentant de comprimer le segment de
moelle
adjacent ou la circonvolution cérébrale avoisinan
ennes, en particulier celles de la queue de cheval, nerfs crâniens,
moelle
, écorce). Ces observations ont été interprétées
ément psammomateuses sur les méninges, plutôt embryonnaires dans la
moelle
dont les éléments nerveux paraissent plus refou
pement. Or, en examinant à ce point de vue spécial les noyaux de la
moelle
, des méninges, des racines rachidiennes et des
la compression cérébrale. 11 est à remar- quer que les noyaux de la
moelle
, des racines et des nerfs périphé- riques ne do
porte le cas de 111, Z..., chez laquelle une section complète de la
moelle
cervico-dorsale, par coup de revolver, abolit p
édullaire avec sclérose intense du ruban étroit qui représentait la
moelle
et dans lequel on apercevait cependant encore q
plète. Cliniquement, ces cas répondent à une section complète de la
moelle
; anatomiquement, on constate .la persistance d'
emenl l'importance de la circulation aortiquesurlanulii- tien de la
moelle
lombaire. D'après lui, ce fait est depuis longtem
voixana- tomique descendante reliant les ganglions lombaires au la
moelle
- est, dans l'état actuel de nos connaissances,
ntes reliant des corps opto-striés aux cornes anté- - rieures de la
moelle
. La paralysie générale au début devant les magi
l'axe cérébro-spinal, mais surtout caractésistiques au niveau de la
moelle
, où elles occupaient des localisations diverses
rtex présentaient les différents degrés de l'atrophie; celles de la
moelle
étaient intactes, sauf une légère diminution de
ier ganglion dorso-spinal et ainsi affecté la substance grise de la
moelle
, comme dans une poliomyé- lite bénigne. XIX.
ion, montre qu'une alté- ration de la corne antérieure gauche de la
moelle
, à la partie inférieure de la région cervicale,
a partie antéro-latérale gauche du segment cervical inférieur de la
moelle
, enserrant ou détruisant la première racine dor
elles communications sur les essais d'excitation élec- trique de la
moelle
des décapités; par A. Hoche. (Yeurolog. Cen- tm
rale a été tranchée entre les troisième et quatrième cervicales. La
moelle
est raide, lisse, brillante, libre dans le cana
um quand on excite directement les racines anté- .rieures, entre la
moelle
et la dure-mère. Le faisceau pyramidal, dans le
minutes après la décapitation, l'excitabi- lité de la surface de la
moelle
a beaucoup diminué. 1 Voir sur ce sujet : Loye,
s grand que les pôles sont rapprochés du pourtour anté- rieur de la
moelle
et ne quittent pas la zone des racines antérieure
nt dans le canal vertébral parallèlement à l'axe longitudinal de la
moelle
. Les courants forts suppriment toute différenci
e à renforcer l'action du courant passagèrement. Conclusions. 1° La
moelle
de-l'homme, après la décapitation, demeure exci
andent aux nerfs des membres supérieurs aux diverses hauteurs de la
moelle
cervicale ; 7° si l'on commence les opérations
uveau pour interrompre complètement la transmission du cerveau à la
moelle
par le faisceau pyramidal. L'entrecroisement de
que les longues fibres ascendantes des cordons pos- térieurs de la
moelle
semblent les prolongements des fibres des racin
Dans les longues fibres ascendantes des cordons postérieurs de la-
moelle
, il existe au» moins deux systèmes. Un système, l
formées des fibres des racines postérieures qui débouchent dans la
moelle
. Il est à croire 'que les impressions cutanées
t dans la - REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 495
moelle
, conduisent en somme les excitations centripètes
es racines est segmen- taire. Mais dans chacun des segments de la
moelle
, toutes les fibres radiculaires ne sont pas tou
s du cervelet, entée sur un arrêt de développement congénital de la
moelle
, des corps optostriés, et du cervelet. On y tro
, l'asthénie Très souvent les voies cérébelleuses centrifuges de la
moelle
sont 496 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
rdons antérieurs et latéraux, ou encore une affection diffuse de la
moelle
et du tronc du cerveau. Ces compli- cations pat
rdinateurs du cervelet, sans altérations de voies centripètes de la
moelle
. - L'ataxie donc, qu'il s'agisse de la maladie
les des colon- nes de Clarlce, certaines cellules des cordons de la
moelle
épinière, les cellules du sympathique, certaine
ns de pigment. E. B. XXXVIII. La circulation de la lymphe dans la
moelle
épinière ; par M. GUILLAIN. (Reu2ce neurologiqu
des liquides nourriciers, la circulation de la lymphe suit dans la
moelle
épinière une voie ascendante. 2q La circulation d
fonctions d'un canal lymphatique. 4° Les espaces lymphatiques de la
moelle
sont déterminés surtout par la disposition de l
s névrogliques immigrées dans la par- tie la plus postérieure de la
moelle
,' de chaque côté du septum. - 4° Outre cette in
effectivement des lésions de polynévrite avec retentissement sur la
moelle
: l'auteur en rapporte trois observations proba
du nerf est-elle primitive ou secondaire à une lésion centrale ? La
moelle
est incontestablement lésée : on ne peut dire s
plaques en pareille occurrence, mais de scléroses bilatérales de la
moelle
dans lesquelles ni la protubé- rance, ni le cer
grandes cellules des cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
épinière. C'est la ptemière observation avec au
nomène spasmodique. L'autopsie a montré, dans toute l'étendue de la
moelle
épinière, avec prédominance pour la région lomb
ieux. Voir Maladies ? 7 : en- tales. Exicitation électrique. Voir
Moelle
. Faisceau pyramidal. Hypertrophie du ; par) ?
t, 506. Miracles. Etudes sur les de la Salette. par Rouby, 380.
Moelle
. Diagnostic des maladies de la -, siège des lés
he, de la pyramide antérieure gauche et du cordon latéral droit de la
moelle
. On découvre sur une circonvolution du lobe antér
aire très manifeste qui se produit dans le cordon latéral droit de la
moelle
. Symétriquement à ce grand foyer de l'hémisphère
t, de la pyramide antérieure droite et du cordon latéral gauche de la
moelle
. Les artères de la base du cerveau ne sont pas at
ès altérés, scléro-athéromateux ; une dégénérescence secondaire de la
moelle
se voyait également. Obs. LXXIII. Hospice des M
autopsie, en même temps que la sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
, d'assez nombreux anévrysmes intra-cérébraux. N
fréquemment quelques jours après l'accident, chez les sujets dont la
moelle
épinière est lésée par le fait d'une fracture ou
à la suite d'altérations des racines ou des cordons postérieurs de la
moelle
. On sait aussi que les fibres nerveuses sensiti
s sensitives qui forment les racines et les cordons postérieurs de la
moelle
ont une terminaison à la peau plus complexe qu'on
ation non perçue. Ces faits posés, suppose-t-on une irritation à la
moelle
ou sur un point quelconque du trajet des fibres n
chaleur du sang. En dirigeant des courants interrompus à travers la
moelle
épinière chez des chiens, MM. Leyden (2) et Fick
paisseur des muscles des gouttières vertébrales ou directement sur la
moelle
épinière elle-même. Première série d'expérience
sen, on introduit les réophores dans le canal rachidien sans léser la
moelle
. L'animal est immédiatement tétanisé. La températ
mbie (Rech. pathol. et prat. sur les maladies de l'Encéphale et de la
moelle
cpuiièrc, T édil. Traduction de I. Gendrin) nous
e symptôme paraît devoir être rattaché à une lésion consécutive de la
moelle
épinière (sclérose consécutive descendante). Ces
rthropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la
moelle
épinière (1). Parmi les affections si diverses
e du système nerveux central, telle par exemple, que le cerveau ou la
moelle
épinière. La présente note aura surtout pour bu
raît être toujours postérieure en date à l'altération scléreuse de la
moelle
épinière. J'incline même à croire qu'elle lui est
t la quatrième vertèbre dorsale littéralement brisée. La partie de la
moelle
qui correspondait à la fracture était ramollie et
e au douzième jour, aux talons le quinzième jour après l'accident. La
moelle
épinière était ramollie et renfermait un petit ab
ien avérés de lésions spontanées, exclusi-ment bornées au tissu de la
moelle
, et qui ont eu néanmoins pour conséquences la for
nal 1826, juillet ; et Ollivier (d'Angers), Traité des maladies de la
moelle
épinière, t. I. p. 317. Paris, 1837. 2. Golliny
lier que les troubles de la nutrition, provoqués par une lésion de la
moelle
, prennent quelquefois pour siège les jointures, e
ntéresser la totalité du cordon postérieur et du cordon latéral de la
moelle
du côté gauche et la presque tota- 1. Gunshot W
rise du même côté (1 ). Ainsi, consécutivement à une blessure de la
moelle
, on voit se développer chez ce sujet, en même tem
c celle que nous avons observée chez les alaxiques. Les lésions de la
moelle
capables de déterminer la production d'arthropath
atteints de carie vertébrale sous l'influence de la compression de la
moelle
. Les articulations étaient tuméfiées, rouges et q
r un caractère commun : c'est l'irritation des éléments nerveux de la
moelle
, qu'elle soit provoquée par la déchirure ou l'at-
eurs centaines d'animaux survivre des mois entiers à la section de la
moelle
épinière et ne présenter aucune autre lésion de n
, où des exostoses s'étaient formées à l'endroit de la section de la.
moelle
et comprimaient le bout inférieur, il y a eu une
cuisse. ?« Il faut donc distinguer les effets de l'irritation de la
moelle
épinière et des nerfs, de ceux de la paralysie ou
z divers animaux, à la suite delà section d'une moitié latérale de la
moelle
épinière au dos,, lies affections de l'œil (ulcér
enouille, à la suite de la section de la moitié correspondante de l;i
moelle
près du bulbe rachidien (communication orale . El
travail inflammatoire s'est développé dans le serment sup/'rkw fc la
moelle
épinière. 2. Gharcot et Bouchard. —Douleurs ful
n des mouvements, sclérose commençante des cordons fn slcrieurs tU lu
moelle
. 'Comptes rendus de la Soc de biologie. Isiili).
jacente. La partie la plus antérieure du cordon latéral droit de la
moelle
présente, sur une coupe faite à la région cervica
es. En second lieu, les lésions de la dégénération secondaire de la
moelle
étaient ici très prononcées, tandis que chez la n
ique d'une paralysie due à une myélite, à une lésion matérielle de la
moelle
? A côté de cette jeune fille, je place une femme
que l'on dit caractéristiques des myélites partielles latérales de la
moelle
, de ces myélites qui intéressent surtout les fonc
trois phénomènes classiques delà lésion des faisceaux latéraux de la
moelle
. Il faut donc chercher ailleurs le diagnostic dif
orbides caractérisés par un accroissement de l'activité réflexe de la
moelle
épinière, comme dans les paraplégies spasmodiques
oint, parce qu'elle est subordonnée au degré d'activité réflexe de la
moelle
et que nos observations nous ont appris que, souv
e loi de Pfluger qui veut que l'excitation réflexe se propage dans la
moelle
, toujours de bas en haut et jamais de haut en bas
s malades ou chez une même malade, suivant les diverses régions de la
moelle
, mais aussi chez une même malade d'un jour à l'au
admet que l'excitation portée sur les antagonistes détermine dans la
moelle
, par la voie des nerfs centripètes, une sorte d'a
On n'ignore pas les connexions qui existent dans l'intérieur de la
moelle
entre les différents groupes de cellules nerveuse
tains groupes de muscles, me paraît avoir son point de départ dans la
moelle
. Il est probable, en effet, qu'au moment où se fa
, sur lesquels elle est directement portée, d'où i. Vulpian. — Ail.
Moelle
du Dictionnaire Encyclopédique, elle retentit s
s que dans les communications et les anastomoses qui existent dans la
moelle
entre les différents foyers d'origine des nerfs m
n d'abord sur le cerveau, puis successivement sur le cervelet, sur la
moelle
et enfin sur le bulbe. Nous avons donc soumis a
es d'un nerf mixte ont leur origine à peu près au même niveau dans la
moelle
et que les fibres sont reliées les unes aux autre
xe dans ce cas, l'excitation centripète qui doit la produire gagne la
moelle
où elle rencontre les cellules motrices, origine
es antagonistes. Les connexions qui existent dans l'intérieur de la
moelle
entre les.différents groupes de cellules nerveuse
ésultat d'une activité réflexe permanente et ne cédant que lorsque la
moelle
est détruite ou les nerfs musculaires sectionnés.
sure reliant les régions dites motrices de l'écorce cérébrale avec la
moelle
. 11 est rendu vraisemblable par un ensemble de fa
euro-musculaire comme un phénomène réflexe dont le centre est dans la
moelle
ou cerveau et dont le point de départ est dans l'
hropathies qui paraissent dépendre d'une lésion du cerveau ou de la
moelle
épinière............................. 151 Arthr
2; — caractères des —, p. 172; — consécutive à des traumatismes de la
moelle
, p. 174; dans 1'hémiplégiecérébrale, p. 181; — ob
e canal vertébral et la colonne postérieure, après l'enlèvement de la
moelle
et sur les pièces sèches. Ces changements dans la
pièce ; à l'autopsie, nous avons trouvé une impression de l'os sur la
moelle
; pendant la vie, des phénomènes de paralysie avai
idien, les racines nerveuses peuvent participer aux altérations de la
moelle
, ramollissement, inflammation, destruction, par s
udes. Ces dernières reconnaissent pour cause une action réflexe de la
moelle
, une contracture ou une contraction instinctive d
mac, certaines névralgies, l'anévrisme de l'aorte, les maladies de la
moelle
; je n'insisterai pas sur les éléments d'un diagn
par les conditions nouvelles où se trouve placé le centre nerveux. La
moelle
épinière, en effet, n'est-elle bouvier. 3 pas,
s varient, du reste, avec la gravité, la profondeur des lésions de la
moelle
et des nerfs. La moelle est quelquefois à peine l
c la gravité, la profondeur des lésions de la moelle et des nerfs. La
moelle
est quelquefois à peine lésée, à peine comprimée,
res. La paralysie siège dans les parties inférieures au point de la
moelle
lésé ; elle varie donc suivant la hauteur du mal
a vu la paralysie n'affecter que les membres supérieurs seulement. La
moelle
, dans ces cas, devait être saine dans une partie
e d'Ollivier (d'Angers), qui attribue cette particularité à ce que la
moelle
aurait, par elle-même, la faculté d'entretenir le
rme de la propriété excito-motrice qui produit l'action réflexe de la
moelle
, constatée par l'expérimentation directe chez les
us n'avons pas la conscience, et qui réside plus spécialement dans la
moelle
crânienne et rachi-dienne; on peut appeler motric
e communiquent avec les lobes cérébraux que par l'intermédiaire de la
moelle
. Il en résulte, d'après les données physiologique
braux seuls cessent d'agir sur les nerfs, les fonctions propres de la
moelle
restant intactes au-dessous du point malade; c'es
i; dans 3. l'autre, il y a, en outré, abolition de l'action de la
moelle
elle-même ; c'est la paralysie spinale du même au
n nerveuse de l'axe cérébro-spinal laisse persister l'influence de la
moelle
sur les muscles, la motricité directe involontair
est ce que l'on observe dans le mal vertébral, lorsque l'action de la
moelle
n'est troublée que dans le point malade. Le mouve
nerfs sont privés de l'influence du cerveau en conservant celle de la
moelle
. Vous avez sous les yeux un jeune garçon, le n°
rouvent dans les mêmes conditions que les reptiles dont on a coupé la
moelle
, et qui, sous l'influence d'un excitant douloureu
pas, chez eux, sec- (1) Cinquième leçon, 15 juin 1855. tion de la
moelle
, mais une interruption d'action plus ou moins com
tion nerveuse. Il existe un rapport constant entre l'altération de la
moelle
et les troubles fonctionnels. Dans ce troisième
e paralysie correspondent à des lésions plus ou moins profondes de la
moelle
. 1° Compression. — La simple courbure de l'épin
sement du canal, et des arêtes qui produisaient une impression sur la
moelle
. Plusieurs faits de compression tenant à cette ca
que celle dont il est ici question, et qu'une compression lente de la
moelle
n'est pas toujours incompatible avec la persistan
struction de l'arête osseuse. Il n'est pas impossible non plus que la
moelle
, dont la surface aurait été lésée, recouvre son a
rachidien. Il y a, ai-je dit, d'autres causes de compression de la
moelle
que l'arête osseuse dont il a été fait mention ;
a matière tuberculeuse, sont autant d'agents qui peuvent comprimer la
moelle
. Les symptômes sont les mêmes que dans le cas de
les vertèbres et le ligament commun postérieur. De chaque côté de la
moelle
, on voyait, de plus, un foyer tuberculeux communi
ées; comprimant, en outre, le cordon rachidien. 2° Altération de ta
moelle
. — Il existe des lésions plus graves, corresponda
cés de la maladie. Ces lésions sont celles de la substance même de la
moelle
, telles que myélite, ramollissement ; des pointes
autopsies des plus intéressantes, offrant cet ordre de lésions. Si la
moelle
est malade, les symptômes sont généralement plus
plus intenses. D'après M. Duchenne (de Boulogne) (1), la lésion de la
moelle
est grave s'il y a abolition de l'irritabilité mu
trémité inférieure de la région lombaire se trouve atteinte, comme la
moelle
n'existe plus en ce point, non-seulement la paral
volontaires, et coïncide avec la lésion des parties antérieures de la
moelle
. Vous savez, en effet, — les expériences de Charl
n rencontrer de grandes difficultés à distinguer la compression de la
moelle
par le mal vertébral des autres compressions, de
canal vertébral, fait cesser la compression qui était exercée sur la
moelle
, soit par ce liquide lui-même, soit par les séque
et les apophyses épineuses, qui ont été enlevées pour mettre à nu la
moelle
épi-nière. La maladie s'étend plus loin : les 9e
action musculaire, provoquée elle-même par un mouvement réflexe de la
moelle
. Ce torticolis offre des traits de ressemblance a
mais, chose surprenante, pas de paralysie des membres supérieurs. La
moelle
était comme ramassée et revenue sur elle-même.
mitif de l'affection, lequel est plus rapproché de la dure-mère, Là
moelle
épinière souffre nécessairement, et plus dans ce
se en avant et que l'apophyse odontoïde se rabat avec force contre la
moelle
, qu'elle écrase. Deux fois, au Val-de-Grâce et à
compression est moins étendue, si elle est lente, les fonctions de la
moelle
peuvent ne pas être lésées, ou bien l'on voit seu
ralysie comme dans le mal vertébral ordinaire. La compression de la
moelle
est possible dans tous les sens dans le mal sous-
it être plus fréquente, la compression des parties postérieures de la
moelle
, qui président à la sensibilité, étant plus souve
lus souvent observée dans cette seconde espèce du mal vertébral. La
moelle
peut éprouver d'autres lésions; on a publié un fa
rent pas, la santé n'éprouve pas d'atteinte. Les déformations de la
moelle
peuvent également se trouver consacrées par la fo
du trou occipital, qui, cependant, est encore suffisant pour loger la
moelle
. Enfin, un mot d'une cinquième variété de l'ank
6. IV. lésions nerveuses. — Les signes fournis par la lésion de la
moelle
et du cerveau ajoutent aussi aux moyens de diagno
: vertiges, céphalalgie, éblouissements. Les symptômes du côté de la
moelle
sont encore plus importants ; ce sont des engourd
des causes différentes; chez l'un, le foyer de la maladie est dans la
moelle
, sans affection vertébrale; chez l'autre, la tend
res que j'avais appelé en consultation diagnostiqua une maladie de la
moelle
, et il se trouva avoir raison. Une autre fois j
le fémur que renferme ce bocal. La faible lame solide qui entoure la
moelle
finit souvent par céder; elle se brise, se courbe
fort dirigé dans le même sens qu'à l'état normal. G. Viscères. — a.
Moelle
, épinière. — Parmi les organes renfermés dans les
s cavités du tronc, aucun n'est aussi intimement lié au rachis que la
moelle
épinière. Plus que tout autre, elle devait subir
t, à la disposition du canal vertébral, et, de l'autre, à celle de la
moelle
dans l'intérieur de ce canal. Le canal vertébra
vertébraux et celle des apophyses épineuses. Pour ce qui est de la
moelle
, ses courbes ne sont pas parallèles à celles du c
du côté convexe des courbures à mesure qu'elles se produisent, et la
moelle
reste accolée à leur concavité ; sa direction cro
ontrent ces pièces et ces dessins, où l'on voit le canal ouvert et la
moelle
à nu ou encore recouverte de son étui membraneux,
et remplissant le canal osseux, là desséché et rétracté autour de la
moelle
, dont il suit la direction. Vous devinez l'avan
antage qui résulte de cette disposition : les angles de flexion de la
moelle
sont adoucis au milieu de chaque courbure, et ses
nt les courbures considérables et anciennes finissent par déformer la
moelle
; elle se raccourcit un peu du côté concave des c
Delpech (2) entre autres, ont parlé des lésions fonctionnelles de la
moelle
épinière ou même du cerveau chez les sujets gibbe
rale de ces courbures sur les fonctions de la partie inférieure de la
moelle
ou des nerfs qui en émanent. La gestation peut
uite d'une affection morbide des os ou d'une simple compression de la
moelle
. Je devrais encore vous entretenir du diagnosti
Lésions concomitantes..................... 15 1° Denudation de la
moelle
................ 16 2° Extension de la maladie a
ension de la maladie au centre nerveux........ 3° Déformation de la
moelle
................ § II. — Diagnostic du mal verté
....... 40 1° Compression.................... 2° Altération de la
moelle
................ 41 Diagnostic différentiel de l
.................. ib. G. Viscères........................ 411 a.
Moelle
épinière................... ib. b. Poumons.....
corps strié et l'appareil olfactif, aussi bien d'ail- leurs que' la
moelle
épinière, le cervelet et le cerveau moyen, ne p
es, Schaper ait réussi à supprimer complètement les fonctions de la
moelle
épinière : la partie de la moelle indépendante
complètement les fonctions de la moelle épinière : la partie de la
moelle
indépendante du cerveau détruit a pu persister,
e ces appareils dans la chaîne du sym- pathique et dans celle de la
moelle
épinière des vertébrés. L'estomac, les intestin
et la physiologie expérimentale ont établi que les appareils de la
moelle
épinière et de la moelle allongée ne fonctionne
mentale ont établi que les appareils de la moelle épinière et de la
moelle
allongée ne fonctionnent que suivant le mode ou
des phénomènes. Une-question reste pourtant encore irrésolue : la
moelle
épinière peut-elle apprendre, fixer, conserver le
upart des centres et des appareils d'as- sociation s'étendant de la
moelle
épinière jusqu'aux corps striés possèdent, chez
hose encore des fonc- tions des parties du cerveau situées entre la
moelle
allongée et l'écorce cérébrale. Pour les bien c
remontait jusqu'à la base du cerveau. L'examen histologique de la
moelle
à démontré l'existence de lésions inflammatoire
iers et les fléchisseurs de la cuisse. L'examen. microscopique delà
moelle
montra des lésions sem- blables à celles de la.
rfs périphériques, avec dilatation des vaisseaux sanguins dans la
moelle
et autour d'elle. Méthodes d'examen employées : C
Les lésions étaient unilatérales et intéressaient une moitié de la
moelle
presque tout entière. Mais à côté des autres ré
ndant pas parallèlement à l'anes- thésie au froid. , Autopsie. La
moelle
dans la région correspondant à la frac- ture ét
pas moins vrai qu'à côté des lésions constatées dans le reste de la
moelle
, celles des cordons postérieurs sont insignifiant
r les fibres des cordons postérieurs.Il n'y a aucune cavité dans la
moelle
, mais le siège des lésions dans la substance gr
ant nos connaissances sur le trajet des fibres sensitives dans la
moelle
, conclut que les impressions de douleur, de chaud
que l'asté- réognose peut être due à des lésions du cerveau, de la
moelle
ou des nerfs périphériques. L'astéréognose peut
ts de com- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' lg9 pression carcinomateuse de la
moelle
et des racines ne relèvent pas d'une localisati
u niveau des corps vertébraux, gagnant de là les enveloppes et la
moelle
. Il s'agirait bien plutôt d'une invasion méningée
s. Par contre, il existe sur toute' la région lombaire sacrée de la
moelle
et particulièrement dans le groupe postéro-laté
rébelleuse et épilepsie. Il. Cestan. Cas de compression lente de la
moelle
avec autopsie; contribution à l'élude de la par
psie; contribution à l'élude de la paraplégie par destruction de la
moelle
Ct;ru : 'KO-df))'sa/e ? Maurice Faure et Laigne
avec exactitude cer- tains états dégénératifs des cylindraxes de la
moelle
épinière. surtout dans leurs degrés légers, on
ourir méthodiquement aux coupes microscopiques longitudinales de la
moelle
, parce que dans les coupes transversales, ces é
des cel- lules des cornes antérieures. Les vaisseaux sanguins de la
moelle
étaient légèrement altérés; légère prolifératio
n'y a pas de différence entre les altérations qu'on trouve dans les
moelles
séniles et celles qu'on voit dans le cas de par
é une prolifération de la névroglie dans la substance blanche de la
moelle
, en même temps que des altérations scléreuses d
obs- \ tacle au passage de l'influx nerveux allant du cerveau à la
moelle
, mais Sander ne place pas cet obstacle dans les
é; les troncs nerveux plus volumineux n'of- frant aucune lésion. La
moelle
présente quelques modifications dans les région
dans le cas de maladies intéressant le faisceau pyramidal ,dans la
moelle
; 4° Le réflexe de Babinski ne se voit jamais à
d'environ trois pouces de longueur, s'étendant parallèlement à la
moelle
. On détache la moelle, on la sectionne à l'extrém
es de longueur, s'étendant parallèlement à la moelle. On détache la
moelle
, on la sectionne à l'extrémité supé- rieure de
mince et on peut à peine la suivre sur la surface postérieure de la
moelle
. L'extré- mité inférieure de la dilatation se t
te la longueur, de trois millimètres. A la surface antérieure de la
moelle
, à l'extrémité inférieure de la région lombaire
oins fort que celle qui a été décrite. L'examen microscopique de la
moelle
n'a rien révélé de particulier. - , L'auteur es
compression exercée par une tumeur sur la région postérieure -de la
moelle
; 2° le siège de la dilatation s'accorde avec le
coupes fines, il a fait plus pour la pathologie du cerveau et de la
moelle
que n'eussent pu faire le génie philosophique e
centrales, l'écorce cérébelleuse, le corps den- telé, le bulbe, la
moelle
spinale, les racines antérieures et posté- rieu
superficielles du cortex cérébral et cérébelleux. Dans le bulbe, la
moelle
, les racines spi- nales et les nerfs, la gaine
sont le siège d'une dégénérescence primitive, systématique dans la
moelle
(m. à la nigrosine). L'infiltration nucléaire (
IOLOGIE. tains auteurs, à une action directe de la cocaïne sur la
moelle
, et à une modification fonctionnelle consécutive
clinique des symptômes oculaires dans la sclérose postérieure de la
moelle
[tabès); par Charles A. Olivier. (The Amel'ican
perception a son siège dans l'écorce occipitale. De même pour la
moelle
: dans la paralysie hystérique les cel- lules m
motrice qui sont en fautes, et non les cellules subordonnées de la
moelle
: la même forme de rai- sonnement est applicabl
che du cervelet, qu'elle comprime fortement la protu- bérance et la
moelle
, qu'elle a d'ailleurs sensiblement déplacées. S
donne lieu à l'abolition du tonus musculaire ; 2° la section de la
moelle
, à la région cervicale, chez la grenouille, ne
inue pas le tonus musculaire ; 3° la sec- tion ou la ligature de la
moelle
cervicale ou dorsale supérieure, chez le chien
xagère le tonus des sphincters ; 4° la section ou la ligature de la
moelle
cervicale on dorsale supérieure, chez le singe, d
phincters; Reliez l'homme,les lésions transversales complètes de la
moelle
, à la région cervicale ou dorsale supérieure, pro
s provoque l'abo- lition de tous les réflexes ; 2° la section de la
moelle
cervicale, chez la grenouille, donne lieu a l'e
s- jacents à la lésion (ftg. 5); 3e la section ou la ligature de la
moelle
cervicale ou dorsale supérieure, chez le lapin
e des réflexes cutanés (lig. G); 4° la section ou la ligature de la
moelle
cervicale ou dorsale supérieure, chez le singe,
et cutanés (fi : ]. 7); 5° chez l'homme, la section complète de la
moelle
, à la région cervicale ou dorsale supérieure, pro
ouvant se produire à un niveau quelconque de toute la hauteur de la
moelle
épinière. Partout où l'élément péri- phérique r
des irritations minima, passent-ils par la partie supérieure de la
moelle
cervicale. Lorsque cette région est détruise, l
chemin par d'autres voies moins praticables. La sépa-, ration de la
moelle
ducerveau ne supprime donc pas définitivement l
n des réflexes à la suite d'une lésion de la partie cervicale de la
moelle
soit le résultat d'une interruption des voies c
cliniques, dans lesquelles une lésion de la partie cervicale de la
moelle
, équivalant à une véritable section de cet organe
s de lésion de la capsule interne ayant séparé la corticalité de la
moelle
, ayant détruit le faisceau pyramidal, et cepend
e spasmodique. D'autre part, les lésions aiguës trans- verses de la
moelle
cervicale déterminent une paraplégie flaccide,
e spinal antérieur, mais les destructions lentes trans verses de la
moelle
peuvent déterminer une paraplégie spasmodique.
tielle, et des lésions tabétiformes des colonnes postérieures de la
moelle
. Sur ce dernier point il reste beaucoup à faire
tout le long du trajet moteur depuis l'écorce cérébrale jusqu'à la
moelle
lombaire, et augmentent d'intensité lorsque de
t certainement pas dues toujours aux organes périphériques, ni à la
moelle
. Elles sont ordinairement d'origine centrale. D
ranslucide.- La protu- bérance était molle et désorganisée, mais la
moelle
ne parais- sait pas altérée. · 524 REVUE D'AN
, abolition des réflexes tendineux. On crut à une compression de la
moelle
dorso-lombaire par un processus néoplasique mét
'autopsie démontra l'absence complète de compression médullaire. La
moelle
qui, microscopiquement, paraissait normale, de
chez l'homme aussi bien que chez l'animal, le pouvoir réflexe de la
moelle
peut être conservé après sa section cervicale o
attentif d'un certain nombre de cas de lésions du cerveau et de la
moelle
, M. Van Gehuchten croit pouvoir conclure à l'in
flexe de Babinski. G. D. LXXVIII. Les effets de la ligature de la
moelle
cervico-dorsale chez les animaux; par CROCQ. (J
ntrer que la gêne circulatoire provoquée par la com- pression de la
moelle
à la région cervico-dorsale n'est pour rien dan
ons des réflexes que l'on observe consécutive- ment, Crocq a lié la
moelle
cervicale ou dorsale supérieure chez quatre lap
ure ne jouent qu'un rôle secon- daire dans la vascularisation de la
moelle
lombaire qui serait irri- guée avant tout par l
e nerveux, qui est surtout prononcée dans la portion lombaire de la
moelle
et dans le bulbe. Les modifications du pouls so
les unilatéraux de la -- faciale, par Lannols et Pau- tet, 352.
Moelle
. Ligature de la chez les ' animaux, par Crocq,
s TABLE DES MATIÈRES. 553 oculaires de la - postétieure de 1 la
moelle
, par Olivier, 299. Sclérose en plaques. Des for
ouble «chez les Mam- mifères parce que, chez d'autres Vertébrés, la
moelle
se forme par suture progressive, le lung de l'a
l'orifice. Quelle différence établir alors entre l'encéphale et la
moelle
au point de vue de la « duplicité » ? Je soumet
« duplicité » ? Je soumets à l'inventeur les équations suivantes :
Moelle
= co-êtres ; encéphale= moi supérieur. C'est un p
ins à hauteur de ses yeux», il y a déjà longtemps que son coeur, sa
moelle
.sa route et son égout ont perdu leur dualité pr
dos du pied serait donc plus,fréquent dans les cas de lésion de la
moelle
; dans les paraparésies, il serait,en outre, plu
cales et des 5 premières dorsales, la dégénération n'atteint pas la
moelle
lombaire. Après section unilatérale des racines
don de Goll et cor. don de Burdach ne s'applique exactement qu'à la
moelle
cervi- cale supérieure. Dans les segments cervi
ne du genou à gauche, et son absence complète à droite.- Autopsie :
Moelle
lombaire supérieure : légère dégénérescence de la
aisceaux pyramidaux croisés, beaucoup plus accusée à gauche dans la
moelle
lombaire supérieure. 2° Femme de 35 ans ; signe
avant la moit ; le ré- flexe gauche manque constamment. Autopsie :
Moelle
cervi- cale : légère hypertrophie conjonctive d
ux côtés ; plusieurs hémorrhagies dans la corne postérieure droite.
Moelle
dorsale : D à à D 7j dégénération symétrique, en
ration symétrique, en vir- gule, dans les deux cordons postérieurs.
Moelle
lombaire : hémor- rhagies dans la corne postéri
e : Dé- génération diffuse des cordons postérieurs, légère, dans la
moelle
cervico-dorsale, plus accusée dans la moelle lo
ieurs, légère, dans la moelle cervico-dorsale, plus accusée dans la
moelle
lombo-sacrée : à ce niveau et mieux encore un p
. L'auteur remarque que dans les cas I et III, il y avait dans la
moelle
lombaire supérieure,du côté où manquait le réflex
n° 129, p. 204. F. T. XII. Recherche sur la dégénérescence de la
moelle
; par 1lIARrNSSCO et MINA. (Nouv. Icon. de la S
s sections expérimentales et les compressions patholo- giques de la
moelle
épinière ; dans les deux ordres de faits il se pr
om de « cellules apo trophiques».IVIaI- gré ces efforts combinés la
moelle
ne reprend pas ses fonctions et les paralysies
liant la veine cave supérieure et la veine azygos,les veines de la
moelle
et du canal vertébral, Hermann et Escher ont ob
la lésion était donc toujours très limitée. De plus, comme dans la
moelle
, les fibres intervenant dans les sensations de
thique cervical, la piqûre du bulbe ou l'hémisection homomère de la
moelle
cervicale. L'A. discute encore la pathogénie du
ulsions clo- niques est l'isthme de l'encéphale. L'excitation de la
moelle
, ne provoque chez tous les mammifères et les oi
es convulsions toniques. Chez les grenouilles, l'excitation de la
moelle
provoque des convulsions tonico-cloniques, tandis
ique avec dégénération de la voie pyramidale suivie au Marchi de la
moelle
au cortex ; Par les D'" Italo Rossi (de Milan)
dégénération de la voie pyramidale (au Marchi et au Weigert) de la
moelle
sacrée jusqu'au cortex, à travers le bulbe, la
ve; fait défiler en projections une nombreuse série de coupes d'une
moelle
épinière pour ser- vir de contribution à l'étud
ÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 159 Effets des rayons X sur la
moelle
et le cerveau après laminec- tomie et craniecto
is à nu le cerveau sur une étendue de 2 centimètres carrés, ou la
moelle
sur une largeur de 2 centimètres environ et sutur
ons conservées : noyaux de la base, isthme de l'encéphale, bulbe et
moelle
, ont développé leurs fibres qui ont leur place
j'ai constaté l'absence de sclérose des cordons laté- raux, mais la
moelle
, atrophiée dans les régions dorsale et lombaire
gne d'Ar- gyll-Robertson. Ici encore les racines postérieures de la
moelle
étaient très peu altérées. Ces faits donnent
os cessent, pour dans l'ordre BIBLIOGRAPHIE. 171 suivant : bulbe,
moelle
, cerveau intermédiaire, corps strié, cer- veau
uteur détaille les homologies stratigraphi- ques du cortex et de la
moelle
, la substance blanche de celle-ci étant représe
n connue à l'heu- re actuelle. Les accidents qui prédominent sur la
moelle
mais qui peuvent atteindre d'autres organes, so
dorsale. Elle était située à la partie antéro-latérale droite de la
moelle
et avait une forme allongée, mesurant 4 cent. de
rieure et la partie latérale droite du bulbe et d'une portion de la
moelle
cervicale. Elle s'étendait sur une hauteur de 8 c
teur de 8 cent. 5 dont 2 cent.5 accolés au bulbe et 6 le long de la
moelle
cervicale. Elle siégeait presque exclusivement
vicale. Elle siégeait presque exclusivement sur le côté droit de la
moelle
dépassant à peine la ligne médiane. Dans le sen
ressante à plus d'un titre, d'abord par la rareté des tumeurs de la
moelle
, puis par la marche de l'affection. Il s'agissa
xtérieure et sur la coupe, reposait sur la partie postérieure de la
moelle
qu'elle avait creusée d'une dépression appréciabl
ndante au- dessus de la tumeur dans les faisceaux postérieurs et la
moelle
. Au point de vue histologique, la tumeur présen
etites hémorrhagies. Des coupes faites à différentes hauteurs de la
moelle
, toutes portent des amas purulents, mais les fi
x nerveux sont soudés par des masses de pus, mais à mesure que la
moelle
se [orme, le processus inflammatoire se limite à
ces depéripachyméningite. A défaut d'altérations tabétiques dans la
moelle
, pour expli- 298 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
bstance grise centrale, ou dans le toit mésencéphalique, ou dans la
moelle
cervicale, ne serait pas démontrée.B. repousse en
sis, celui-ci ren- drait vraisemblable l'existence de lésions de la
moelle
cervicale et d'un faisceau allant de l'écorce c
r le chat ont démontré l'existence, dans la partie inférieure de la
moelle
cervicale, d'un centre d'inhibition pour le réfle
ptôme (zône intermédiaire aux cordons de Goll etde Burdach, dans la
moelle
cervicale supérieure). Pourtant on ne peut nier
dons posté- rieurs et l'on sait que dans la partie supérieure de la
moelle
cervi- cale, toutes les fibres ascendantes dégé
tent une syringomyélie lésant sur- tout les cornes antérieures delà
moelle
cervicale et dorsale, à cause de la marche et d
de paraplégie spastique progressive ;les lésions sont limitées àla
moelle
. Injections arachnoïdiennes de fibrolysine dans
encore.amyélinique ; les axones sont bien développés dans toute la
moelle
et dans le tronc cérébral, tandis que la format
fibrilles apparaissent simul- tanément sur toute la longueur de la
moelle
et dans le tronc céré- bral. Les cellules pyr.
ques et de leucocytes, tan- dis que ces éléments manquaient dans la
moelle
autour des vais- seaux, conformément, du reste,
l'appareil con- jonctivo-vasculaire que la pie-mère envoie dans la
moelle
, signes plus nets dans le cas de tabes incipien
aux cordons postérieurs mais s'étendait sur toute l'épaisseur de la
moelle
; dans un cas où elle fut recherchée dans tout
. II. il 370 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la
moelle
,mais atrophie considérable de l'hémisphère droit
s con- nexions entre les terminaisbns nerveuses périphériques et la
moelle
, ainsi que de celles entre la moelle et le cerv
nerveuses périphériques et la moelle, ainsi que de celles entre la
moelle
et le cervelet, celui-ci se montrant comme un a
durée et de leur ténacité. F. TISSOT. XLII. Des altérations de la
moelle
épinière chez le lapin sous l'influence de la v
cliniques et les désordres anato- miques que peut produire dans la
moelle
la commotion prolongée de celle-ci sous l'influ
'inflammation envi- ronnante, et agissant sur les racines et sur la
moelle
. Les méninges molles et la moelle sont rarement
gissant sur les racines et sur la moelle. Les méninges molles et la
moelle
sont rarement envahies par la tuberculose ; sou-
la moelle sont rarement envahies par la tuberculose ; sou- vent la
moelle
présente des lésions d'oedèmo qui peuvent aboutir
Brown-Séquard est rare, parce que l'hémisection expérimentale de la
moelle
qui la détermine n'est presque jamais réalisée
straction faite de la polynévrite, des ma- ladies différentes de la
moelle
, du tronc cérébral et du cerveau. Mais, dans no
tement abolis,ce qui est toujours en rappoi t avec une lésion de la
moelle
correspondant à la racme de leur arc réflexe, ils
ucation ? Discussion par MM. 1\lEIGE et Sicard. Compression de la
moelle
et de la queue de cheval. MM. Claude et TOUCIIA
de cheval, dans l'autre à une compression ou lésion organique de la
moelle
sacrée. Sclérose en plaques avec association de
diations juxtaposées de Kicnloek, qui permet de faire absorber à la
moelle
dcs doses doubles do celles qu'absorbe la peau.
ba- taillons d'Afrique, par Jude, p. 310. Dégénérescence. Voir
Moelle
. Délire des préjudices prcscniles par Pascal
Miracle. Le et la critique his- torique, par Saint-Yves, p. 91.
Moelle
. Recherche sur la dégé- nérescence de la -, par
) pour 190G, par Monestier, p. 474. Rayons X. Effets des sur la
moelle
et le cerveau après la- minectomie et craniecto
avec dégénération de la voie pyramidale suivie au Marchai de la
moelle
au cortex, par Rossi et Roussy,lt. 140. Deux ca
die. D'autre part, dans ces cas, Pierret a constaté l'intégrité de la
moelle
en même temps qu'il appelait l'attention sur l'at
ion de M. Morvan. Le foyer, dit-il, est situé dans cette partie de la
moelle
qui sert d'origine aux nerfs brachiaux. Quelles s
s, puisqu'il y a une anesihésie totale ; les centres trophiques de la
moelle
, à savoir, la partie médiane et peut-être la corn
es cornes et des faisceaux postérieurs et des parties centrales de la
moelle
. Dans ces conditions, la névrite périphérique est
rait à démontrer que la lésion des parties trophiques centrales de la
moelle
est ici la chose essentielle. La parésie et l'ana
une affection caractérisée par les lésions les plus grossières de la
moelle
épinière. Mais,restant sur le terrain clinique, v
s, ce qui ne se voit pas en général clans l'affection cavitaire de la
moelle
épinière. Un autre point de l'histoire de Desf.
s syndromes hystériques « simulateurs » des maladies organiques de la
moelle
épinière (th. Paris, 1891) et son travail paru da
existe une altération organique de la substance grise centrale de la
moelle
épinière. Remak (2) et Roth (3) signalent dans
é de croire à une altération trophique de certains départements de la
moelle
épinière. Evidemment, comme Fa fait remarquer M
um, alors qu'il s'agirait, dans cette éventualité, d'une lésion de la
moelle
devant intéresser, de par son siège, les soi-disa
soi-disant centres génito-urinaires. Je ne dis pas cependant que la
moelle
n'est pas intéressée dans le cas présent ; elle l
as présent ; elle l'est, à mon avis, dynamiquement. Je m'explique. La
moelle
me paraît avoir été ici l'intermédiaire obligé en
lever d'une lésion de la substance grise des cornes antérieures de la
moelle
épinière (1). Il s'agit là de ces cas rares, en
ment, par exemple, les cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
dans l'atrophie musculaire progressive du type Du
ur, etc., qui représentent dans le bulbe les cornes antérieures de la
moelle
. Les cas d'ophthalmoplégie externe ressortissan
s noyaux sensitifs étant respectés, tout comme lorsqu'il s'agit de la
moelle
, dans l'atrophie musculaire du type Duchenne-Ar
n des noyaux gris quand il s'agit du bulbe, et, quand il s'agit de la
moelle
, sur leurs analogues, les cornes antérieures de l
rs la meilleure, — d'une altération des cellules ganglionnaires de la
moelle
. L'ophthalmoplégie concomitante de la maladie a
sion inflammatoire des cornes antérieures de la substance grise de la
moelle
avec destruction des cellules motrices. L'évoluti
baiguë cette fois, des cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
qu'il faut rapporter l'amyotro-phie des membres,
tération portant sur le système analogue des cornes antérieures de la
moelle
épinière. Dans le premier cas cette combinaison
ceux dans lesquels le mal s'est étendu aux portions similaires de la
moelle
épinière, c'est-à-dire aux cornes antérieures de
s bulbo-médullaire, depuis le pédoncule cérébral jusqu'à la fin de la
moelle
lombaire. L'ophthalmoplégie externe s'associe à l
res à la vérité, où la lésion bulbaire supérieure, se propageant à la
moelle
, a atteint au passage le noyau du facial. Nous av
, s'étend ensuite plus ou moins rapidement au bulbe inférieur et à la
moelle
. On devra donc toujours, en présence de malades d
une lésion spinale centrale occupant surtout la substance grise de la
moelle
cervicale. Les névrites constatées plusieurs fois
rites constatées dans ce cas, il existait une lésion centrale dans la
moelle
cervicale, conformément aux prévisions de M. Morv
es, sans dissociation. L'examen microscopique fit reconnaître dans la
moelle
l'existence d'une syringomyélie gliomateuse typiq
, se traduisant pendant la vie par des symptômes dépendant soit de la
moelle
, suivant les uns, soit primitivement des nerfs pé
er point, les autopsies ont toujours montré l'intégrité absolue de la
moelle
(Rosenstein, et deux cas de Nivière) et l'absence
ssière, en particulier pas d'altération des cordons postérieurs de la
moelle
, mais qu'il s'agit principalement de névrites pér
ins permanente serait la conséquence de l'extension des lésions de la
moelle
au plancher du quatrième ventricule. On notera so
ulaire de la première paire dorsale; Avec lésion hémilatérale de la
moelle
, d'origine trauma-tique simulant la syringomyélie
, difficultés du diagnostic. — Observation d'un malade :'lésion de la
moelle
, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du
n'est autre que le brachial cutané interne. Ce ne serait donc pas la
moelle
, d'après cela, qui serait lésée, mais bien un ner
près avoir traversé le canal rachi dien en effleurant légèrement la
moelle
, frapper le corps de la première ou de la deuxièm
osseuse, peut-être la balle elle-même, a lésé la moitié droite de la
moelle
; de là une véritable hémilésion médullaire, suiv
ubles trophiques qui se montrent au cours de certaines maladies de la
moelle
ou des racines et des nerfs périphériques (2).
s sont des plus graves, car, pour ne parler que de ce qui concerne la
moelle
épinière, on assiste à une dégénération secondair
lérose peuvent dans quelques cas frapper les cornes antérieures de la
moelle
. Les cellules de ces cornes, à l'instar des cylin
cependant, M. Pitres trouva des îlots de sclérose disséminés clans la
moelle
et dans le bulbe. Il trouva pareillement, dans le
le siège de plusieurs plaques de sclérose éparses sur le cerveau, la
moelle
, le bulbe, les nerfs optiques, etc. (Fîg. 47 à 52
ns l'espèce, la lésion prédomine dans les faisceaux postérieurs de la
moelle
, car on n'a pas signalé, que je sache, de combina
iculaire de la première paire dorsale, avec lésion hémilatérale de la
moelle
, d'origine trauma-tique, simulant la syringomyéli
, difficultés du diagnostic. — Observation d'un malade : lésion de la
moelle
, lésion des nerfs du plexus brachial, troubles du
e la — dans la syphilis héréditaire tardive, 3o0. Compression de la
moelle
, 339. Coxalgie hystérique, 122. D Démarche ch
(démarche — ), 365. Hélipode (démarche — ), 365. Hémilésion de la
moelle
, 346. Hémiplégie : spasmodique simple dans la s
akd : syndrome de — Gubler, 317 ; — anatomie pathologique, 318.
Moelle
: lésion par coup de feu de la—, 335. Morvan :
syringomyélie par l'hystérie, 105; - par une lésion traumatique de la
moelle
et du plexus brachial, 333. Simulation hystériq
aleur pro-, nostique dans la sclérose des cordons postérieurs de la
moelle
épiniére (Th. de Paris, 1890.) - . . ? .... 5
it à supposer qu'il s'agissait là d'une sorte d'arrêt exercé sur la
moelle
en état d'hypérexcitabilité. On pouvait penser
probable que le type se compose d'une affection systématique de la
moelle
entée sur un arrêt de développement (ataxie hér
lus fines sont finalement atteintes). ' Tel est l'ordinaire dans la
moelle
dorsale et dans la moelle lom- baire : la moell
atteintes). ' Tel est l'ordinaire dans la moelle dorsale et dans la
moelle
lom- baire : la moelle cervicale présente des v
'ordinaire dans la moelle dorsale et dans la moelle lom- baire : la
moelle
cervicale présente des variations individuelles..
des cartilages, épaississement- des capsules et ligaments. Dans la
moelle
, les vaisseaux sont épaissis ou oblitérés, la d
L'auteur croit que le virus syphilitique a agi simultanément sur la
moelle
et les méninges. Pour lui, la méningite, plus réc
a passé inaperçue parce que ses symptômes, en ce qui con- cerne la
moelle
, se sont confondus avec ceux du second et que,
linique du tabes syphilitique, mais la présence, au voisinage de la
moelle
, de lésions syphilitiques implique, sui- vant t
tale ascendante. Comme au microscope il n'y a aucune anomalie de la
moelle
ni du tronc du cerveau, pas plus qu'ailleurs da
est donc un arrêt de déve- loppement. Le microscope révèle, dans la
moelle
: une exagération des fibres fines aux dépens d
e semblait être myopathique, ne trouve-t-on pas d'altérations de la
moelle
? Enfin, souvent on néglige l'examen des muscle
s et des hémorrhagies dans les diverses régions du cerveau et de la
moelle
(encéphalite interstitielle de Juergens, myélit
en ce qui concerne le diagnostic d'une affection syphilitique de la
moelle
, sur la simultanéité des symptômes cérébraux, l
s'observer dans les affections cérébrales, dans les maladies de la
moelle
, dans les névrites périphériques, dans les névr
atrophie nacrée du tabès. M. Galezowsky 2 ' Althaus. Maladies de la
moelle
épinière. Traduction française de J. Morin, 188
ourd'hui. M. JOLLY. Des troubles trophiques dans les maladies de la
moelle
. - Voici un jeune hemme qui, à l'âge de vingt a
tion qualitative. Il doit y avoir syringomyélie ou gliomatose de la
moelle
; en un mot c'est une maladie de Morvan, car les
M. FUERSTNER, sur les phénomènes de la division des noyaux dans la
moelle
des chiens et des lapins à la suite de piqûres. T
Strasbourg). Des cellules nerveuses des racines ~ antérieures de la
moelle
de l'homme. C'est le développement de la note p
cellules que l'on trouve dans les parties lombaire et sacrée de la
moelle
et qui est en relation intime avec les fibres d
t que se produise la dégénérescence descendante du bulbe et de la
moelle
, bien qu'évidemment le système des faisceaux pyra
docardite valvulaire proliférative de daté récente. Intégrité de la
moelle
et des mé- ninges. L'hystérie et l'urémie étant
nt essayé de rattacher la maladie d'Addison à des altérations de la
moelle
. On se rappelle les expériences de Tittoni qui,
es capsules surrénales, a observé des troubles de circulation de la
moelle
, des hémorrhagies et des phé- nomènes inflammat
TÉS savantes. constaté que des dégénérescences insignifiantes de la
moelle
; il - n'a pu en faire un élément spécifique de
ont été successivement examinés à ce point de vue. On a pris à leur
moelle
des segmenls de diverses parties de cet organe;
hez six d'entre eux, on a trouvé en effet des dégénérescences de la
moelle
; elles étaient surtout marquées dans les racine
. Il n'a pu constater que l'altération se propage aux racines de la
moelle
. M. SCHULTZE. Les lésions du système nerveux ce
Minor, dans sa communication sur la sciatique el les tumeurs de la
moelle
épinière, appelle l'attention sur des cas d'affec
présenté une préparation anato- mique de la partie inférieure de la
moelle
qu'il avait reçue soi- disant normale, mais dan
e hypérémie ou d'une inflammation circonscrite des enveloppes de la
moelle
. M. le Dr Econow : Cas de paralysie spinale spn
muscles, directe, surtout aflaiblie. NFC=FFC. C. ' A l'autopsie,
moelle
et racines normales; altération parenchy- mateu
syndromes hystériques «.simulateurs» des maladies organiques de la
moelle
épinière (sclérose en plaques, paraplégie, tabe
t simuler la symptomatologie de quel- ques malades organiques de la
moelle
. Ces associations, ces « syn- dromes simulateur
romes hystériques qui peuvent simuler les maladies organiques de la
moelle
; 2° ces syndromes simulent de toutes pièces la
stive (M. Binswanger). Suites de l'excision de gros fragments de la
moelle
épinière (MM. Goltz et Ewald). Traitement de l'al
rine, Popoff, Marie, Landouzy, etc., qui ont étudié l'état de la
moelle
et du cerveau à la suite de variole et de fièvr
pouvait plus s'asseoir; assise, elle ne pouvait plus se relever. La
moelle
n'obéissait plus à l'influence psycho-motrice.
stincts, désignaient successive- ment les différents segments de la
moelle
, du méso- céphale et des hémisphères cérébraux
aladiepsychologique. Elle existe non dans les mem- bres, ni dans la
moelle
, mais dans l'esprit représenté, si vous voulez,
le faisceau direct des pyramides dans les cordons antérieurs de la
moelle
et le faisceau croisé du cordon latéral ; de so
ur, le faisceau pyramidal s'en allant parfois jusqu'au milieu de la
moelle
dorsale oubien s'arrêtant la partie supérieure
érieure du même segment, tandis qu'en d'autres cas il cesse dans la
moelle
cervicale ; l'ana- lyse des longueurs respectiv
chez les cétacés, les pyramides n'existent pas (dans le bulbe et la
moelle
) chez l'éléphant ; elles constituent de minimes
mais seulement t le segment antérieur des cordons postérieurs de la
moelle
; elle est à l'état de faisceau compact immédiat
s il ne faut pas les confondre avec les fibres des trousseaux de la
moelle
qui traversent les pyramides. En effet, chez le
u faisceau fondamental, du faisceau cérébello- latéral direct de la
moelle
, du trousseau limitrophe de substance grise, on
éléments appartenant à des systèmes voi- sins. Dans les segments de
moelle
sous-jacents, plus bas (renfle- ment lombaire)
a dégénérescence descendante des pyramides, non seulement dans la
moelle
et les pyramides, mais au niveau de la protubéran
escence descendante des faisceaux moteurs de la moitié droite de la
moelle
. Et c'est tout. P. KERAVAL. XV. Hémorrhagie cér
e. Le pédoncule droit, la moitié droite de la protubérance et de la
moelle
allongée offraient un volume REVUE d'ANATOMIE E
Ramon y Cajal, sur l'écorce du cerveau et du cervelet, ainsi que la
moelle
d'embryons. MM. Saclls et Lissauer projettent d
es nerfs périphériques aussi bien que les cellules nerveuses de la,
moelle
sont complètement intactes. L'atrophie musculai
syndromes hys- tériques simulateurs des maladies organiques de la
moelle
, par Souques, 258 ; psychologie de l'idiot et
ique, 288, 457. CELLULES nerveuses des cornes an- térieures de la
moelle
, par Hoche, 242. CÉHÉBBOPATHIE, due à -la syp
asiles, 127; - concours des -, 132. Mérycisme, par Roller, 433.
Moelle
, troubles trophiques dans les maladies de la -,
e qui, suivant les doses, est limité à l'extrémité inférieure de la
moelle
ou s'étend à l'en- semble de ce système. Cette
IE I. SUR LES parties constituantes DES cordons postérieurs DE la
MOELLE
. ÉTUDE BASÉE SUR L'EXAMEN DE LEUR DÉVELOPPEMENT;
. Centi-albl., 1885.) Examen, à l'aide de la méthode de Weigert, de
moelles
d'em- bryons de cinq, six, sept, huit mois; étu
A la connaissance DU trajet DES fibres DU CORDON postérieur dans la
moelle
allongée ET LE pédoncule cérébelleux inférieur;
nus à la couche intermédiaire des olives. Plus haut, au point où la
moelle
allongée s'est enrichie du système des olives e
assent directement dans le corps restiforme... etc..» En résumé, la
moelle
épinière fournit à la couche intermédiaire des
ferme trois portions dilfe- rentes : 40 des fibres appartenant a la
moelle
; 2° des libres émanées de racines nerveuses, du
Les grosses olives représentent des relais intercalés non entre la
moelle
(cordons postérieurs) et le cervelet (opinion de
is entre le cervelet et le cerveau; elles n'ont rien à voir avec la
moelle
épinière. P. K. IV. Communication provisoire su
s, on le tue, et l'on se met en devoir d'examiner son cerveau et sa
moelle
. On voit à l'oeil nu : 1" une atrophie de la mo
rtain, c'est qu'il se rattache aux grosses olives, sans venir de la
moelle
. Flechsig ajoute qu'une série de coupes portant
ion collatérale, à l'endroit même où les racines postérieures de la
moelle
forment les nerfs sensitifs; les cellules multi
HARDINE. XI. COURTE NOTE concernant LE RENFLEMENT lombaire DE la
moelle
; par E. C. SPITZKA (NeU ? '01. Centralbl., 1885).
résentent parallèlement un raccourcissement et une atrophie de leur
moelle
lombaire. L'extrémité du cône terminal ne dépas
, c'est à peine si la surface de coupe est la moitié de celle de la
moelle
cervicale. On rencontre néanmoins dans la corne
re del'albu- minurie ; et cela non pas seulement quand ou mutile la
moelle
lombaire et dorsale (section des racines antéri
; les questions restées dans l'urne étaient : Substance grise de la
moelle
; Lobe cérébral antérieur. Questions orales : 1° S
e centripète : dira-t-on, par exemple, que la substance grise de la
moelle
est le siège de la mémoire des mouvements génér
du cas de Frie- dreich et l'examen microscopique du biceps et de la
moelle
. L'hypothèse de Friedreich a bien quelque proba
e de certains groupes de cellules dans les cornes antérieures de la
moelle
; mais dans notre cas et dans celui de Seeligml
dolescence, il pense qu'il s'agit d'un arrêt de développement de la
moelle
. Govvers (1880) rapporte l'histoire d'une famil
im conclut que les lésions périphériques émanent de la lésion de la
moelle
. P. K. III. SUR UN COMPLEXES symptomatique TOUT
OUT particulier dans UN CAS DE LÉSION DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA
MOELLE
; par C. Westphal. (Ai-ch. f. Psych., XVI, 2 et
ll et les faisceaux de Burdach (v. le texte) du haut en bas de la
moelle
; on y rencontre d'ailleurs peu de granulations gr
es, et l'atrophie des fibres est particulièrement prononcée dans la
moelle
dorsale. En même temps, la partie la plus anté-
rieure des cordons latéraux est, sur une hauteur de 1 c. 5 dans la
moelle
cervicale, le siège d'une altération périphérique
r la question. P. K. IV. Anévrismes DES PLUS PETITS vaisseaux DE la
MOELLE
ÉPI- . NIi;RE; par 0. HEBOLD (Arch. f. Psych.,
un abcès dans le lobe temporal droit; myélite et ané- vrismes de la
moelle
. Tuberculose pulmonaire et intestinale. Thrombo
ose de l'artère pulmonaire gauche. C'est particuliè- rement dans la
moelle
dorsale supérieure que se présentent, sur une h
l central au milieu d'un tissu scléreux. Les veines centrales de la
moelle
étant oblitérées (thromboses) immédia- tement a
a rougeur et la tuméfaction de la joue (trouble vaso-moteur) ; à la
moelle
se rattacheraient l'incerti- tude de la démarch
r donne enfin l'état de la scorie sur les lésions des nerfs de la
moelle
et du cerveau, dans la lèpre. Les descriptions so
me. Mort. 39 L) RECUEIL DE FAITS. A l'autopsie, on trouve dans la
moelle
les lésions caractéristiques de la sclérose lat
faisceau pyramidal existait aussi bien dans le cerveau que dans la
moelle
et occu pait toute l'étendue de celui-ci. Dans
les lésions du faisceau pyramidal fussent d'abord visibles dans la
moelle
, puis dans la protubérance, dans les pédoncules
ou si au contraire ce point de départ peut être dans le bulbe ou la
moelle
. 1 Ce fait est très analogue au cas de 0. Viern
les fibres nerveuses ne sont qu'un produit pathologique. Sur des
moelles
normales, partout où l'on peut suivre le trajet l
ie. Dégé- nérescence des cordons de Goll ayant atteint le bulbe, la
moelle
cervicaleet la moelle dorsale. Faible dégénéres
es cordons de Goll ayant atteint le bulbe, la moelle cervicaleet la
moelle
dorsale. Faible dégénérescence dans les parties
es cordons postérieurs, au niveau de l'ex- trémité inférieure de la
moelle
dorsale. Lésion très modérée des racines postér
es postérieures au niveau des régions moyenne et infé- rieure de la
moelle
dorsale et de la moelle lombaire. Dans le bulbe
u des régions moyenne et infé- rieure de la moelle dorsale et de la
moelle
lombaire. Dans le bulbe, la lésion des cordons
e. Dans le bulbe, la lésion des cordons de Goll est totale. Dans la
moelle
cervicale supérieure, la partie postérieure des
4) I si REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. seule atteinte, dans la
moelle
dorsale, leur altération gagne en intensité dan
11. Contribution au trajet des fibres DE la corne postérieure DE LA
MOELLE
HCSMAINE ET A LEUR MANIÈRE D'ÊTRE DANS LE TABES
faits, les observations les plus disparates. P. KÉRÀVAL. XIX. La
moelle
épinière des aliénés; par le Dl R.-S. Steward.
Th. de doct., Glasgow, 4886, Maedongati, éditeur. Les lésions de la
moelle
épinière chez les aliénés sont encore peu connu
un d'idiotie simple. L'auteur a trouvé des lésions sur toutes les
moelles
qu'il a exa- minées. A l'examen microscopique i
s. 0-ii-a constaté une fois l'atrophie portant sur presque toute la
moelle
, comme le faisait supposer son poids; enfin, une
poser son poids; enfin, une autre fois, outre les autres lésions la
moelle
présentait de la sclérose généralisée. L'aute
que nous avons énumérées, il a toujours trouvé quelque lésion de la
moelle
. Ces lésions sont caractérisées par la congesti
accompagnée d'une quin- zaine de figures représentant des coupes de
moelle
. A. RAOULT. XX. Traitement de l'hydrocéphalie c
rps strié (-1880); Pneumo-gaslrique (1884); Substance grise de la
moelle
épinière (1886). faits DIVERS. 467 Assistance
on expérimentale à la pathologie et à l'anatomie pathologique de la
moelle
épinière. Thelung (est. 1885. JENNIKGS (0.). Su
'), par Séglas, 245. Anévrsimes des plus petits vais- seaux de la
moelle
, par He- bold, 237. Asiles d'aliéuésetpolitiq
Méningite tuber- culeuse et delirium tremens, par Soruao, 461. La
moelle
épinière des aliénés, par Steward, 458. Bro
ptique avec conservation de l'intelligence, par J. Voisin, 354.
Moelle
épinière (anévrismes des plus petits vaisseaux
direct), par Marandon de Montyel, 19. Renflement lombaire de la
moelle
, par Spityka, 85. Représentations simples et co
pouvait plus s'asseoir; assise, elle ne pouvait plus se relever. La
moelle
n'obéissait plus à l'influence psycho-motrice.
altérations qui s'étendent à toutes les parties constituantes de la
moelle
. En outre, Duchenne y ajoute la méningite, ce q
ension du processus des cornes antérieures à d'autres parties de la
moelle
.' Vulpian, d'ailleurs; ne nie pas complètement
E LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 27 Î tance grise de la
moelle
. Quant à la hauteur de ces lésions; la particip
e lésions systématiques et diffuses de (la. substance grise de la
moelle
. On est en droit en : effet 'de circonscrire la
en indiquant par ce dernier terme que les cornes antérieures de la
moelle
et le reste de la substance grise sont largemen
grité de l'encéphale. Dysmorphie congénitale du canal central de la
moelle
, multiplication du tissu conjonctif dans les fais
ransmissions du processus pathologique des nerfs périphériques à la
moelle
. P. K. VI. Contribution A la pathologie DE la p
u troisième ventri- cule, de l'aqueduc de Sylvius et ayant gagné la
moelle
. La propa- gation s'est opérée non par continui
est opérée non par continuité ni par contiguïté, mais par sauts, la
moelle
ayant été atteinte avant les planches du quatrièm
du quatrième ventricule et sur les cornes grises antérieures de la
moelle
(observations de Goldtlam et Eisenloh). 4° Le
dans le bulbe et sa trans- mission aux animaux par l'inoculation de
moelles
allongées em- pruntées à l'homme, nous ne pouvo
tieuse du pro- cessus, car on constate dans le bulbe, comme dans la
moelle
, des altérations inflammatoires et même destruc
as, consiste dans l'envahissement de la pres- que totalité des os à
moelle
rouge persistante par le tissu osseux d'origine
lles-ci intercalées dans ceux-là, la syphilis de l'encéphale, de la
moelle
et des nerfs péri- phériques en particulier. Au
'vous and Mental disease. Marie (P.). Leçons sur les maladies de la
moelle
. Volume in-8° de 504 pages, avec 244 figures. -
s de la jambe à la face. En même temps, les centres moteurs de la
moelle
allongée et rachidienne, sur lesquelles agissen
eurs années en proie à cette affection. L'autopsie révéla : dans la
moelle
une atrophie complète des cellules des cornes a
et que, par suite, la dégénérescence des nerfs périphériques de la
moelle
consécutive à la lésion des cornes antérieures, t
K. VIII. UN cas DE RKDUPUCATION ET D'nÉTEMTOPlE partielles DE la
moelle
; par L. JacoBSON. (NeuroL. Centralbl., 1891.) I
a alors eu sa myélite (probablement syphilitique) tout comme si sa
moelle
eût été normale. Au point de vue technique, on
prouve de grandes difficultés à travailler, à colorer ces sortes de
moelles
, car la coloration des coupes, dans toutes leur
) Jusqu'à ce jour, on a prétendu que, sur une coupe transverse de
moelle
épinière, l'existence de cellules nerveuses est l
tres. On sait aussi que, dans toutes les racines postérieures de la
moelle
, il y a quelques cellules nerveuses, exceptionn
omalie dans LE trajet DES FIBRES ET DE redouble- ment partiel DE la
MOELLE
chez UN paralytique général ; par B. FEIST. (Ne
sseaux cérébraux; épendymite. Atrophie des cornes antérieures de la
moelle
, du plexus brachial, des muscles des extrémités
Au microscope, atrophie simple des cornes grises antérieures de la
moelle
; légère sclérose des faisceaux radiculaires ant
due. Intégrité complète des cornes antérieures et des racines de la
moelle
. Intégrité des cornes antérieures et des nerfs
oriels. En un mot, lésion de la substance grise du cerveau et de la
moelle
(cellules des cornes an- térieures, noyaux du b
sion, du côté parésié, l'absence du sens muscu- laire du côté où la
moelle
est lésée. Le malade n'a que peu de chose à la
roites et des troubles de la parole. En revanche, on trouve dans la
moelle
de l'inflammation méningée, des exsudats le lon
ale dans les grandes comme dans les petites cellules et que dans la
moelle
, si la lésion atrophique était prédo- minante à
droite ainsi que dans les cornes postérieures. De sorte que dans la
moelle
ainsi que dans le cerveau toutes les cellules n
rouvons donc en présence d'une maladie cérébro-spinale, qui dans la
moelle
comme dans le cerveau, dans toute la longueur d
ment sains et qu'on ne peut alors subordonner les altérations de la
moelle
épinière à celles du cerveau. Cette façon de com-
années, à établir que les maladies du cerveau et les maladies de la
moelle
sont toujours séparées à tort et à prouver que
Paul BLOC(j. bibliographie. 359 XI. Leçons sur les maladies de la
moelle
; par le Dl' Pierre Marie. Paris, 1892, G. Mass
consacrée d'une part à l'étude des dégénérations secondaires de la
moelle
, d'autre part à celle du tabès dorsal. Les autres
du cerveau et celles qui sont entraînées par des altérations de la
moelle
elle-même. En deux cas, les lésions des faisceaux
ns des faisceaux pyrami- daux dominent, mais, lors de lésions de la
moelle
, il existe, en outre, des dégénérations moins b
gnaler le chapitre qui a trait aux dégénérations des nerfs et de la
moelle
consécutives à une amputation des membres. M. M
binées, et, dans d'intéressantes remarques sur la circulation de la
moelle
, il trouve la démonstration de l'opinion qu'il
à fait analogues à ceux de telle ~ ou telle maladie organique de la
moelle
ou du cerveau. Et cette ressemblance peut être
. Souques. Des syndromes hystériques simulateurs des maladies de la
moelle
, Paris, 1891. * Qu'il nous soit permis d'exprim
as à se tromper sur leur nature : les névroses, les affections dela
moelle
et des nerfs, qui peuvent les produire ces phén
NISSL. Des altérations expérimentales des cornes antérieures de la
moelle
chez le lapin avec présentation de pièces microsc
e phosphore, l'arsenic, la strychnine et l'alcool ; infection de la
moelle
par des cultures pures de staphylo- coccus p3og
toute une variété de formes de cellules dans le cerveau et dans la
moelle
. Il en est une carac- térisée par l'existence :
e lapin, le chien, le chat, sont, dans les cornes antérieures de la
moelle
, préposées à leurs fonctions motrices. Ce sont
vantages de la méthode Nissl au rouge magenta pour les coupes de la
moelle
. Les cellules se voient d'une merveilleuse faço
rmet de conclure à une amblyopie nicotinique ou alcoolique. Dans la
moelle
, l'altération portait sur les cordons postérieurs
atait une sclérose des cordons laté- raux, des pyramides jusqu'à la
moelle
dorsale, et des faisceaux de Goll dans la parti
elle dorsale, et des faisceaux de Goll dans la partie moyenne de la
moelle
dorsale. Les ascendantes étaient atrophiées. Ma
LEYDEN. De la myélite chronique et des lésions systématiques de la
moelle
. Entre la sclérose, la dégénérescence grise et le
'importance subordonnée. Ce qui est spécial à la pathologie de la
moelle
, c'est la dégéné- rescence en cordons, en bande
itiel. M. Vulpian avait distingué deux espèces de processus dans la
moelle
ceux qui s'éten- dent en suivant les tissus et
témati. ques. Telle est la naissance des lésionssyslématiques de la
moelle
. Tout autre processus scléreux appartient à la
'existence de lésions scléreuses. D'autre part, la sclérose dans la
moelle
se propage exactement comme la myélite aiguë; à l
des faits ; on en a tiré un schéma artificiel des maladies de la
moelle
, on a sacrifié la clinique à l'analyse anatomique
doivent être désignées sous le nom d'affections systématiques de la
moelle
. - Ce sont : a le tabès; .6 l'atrophie musculai
ais la maladie de Friedreich est une espèce à part de maladie de la
moelle
. Enfin la maladie de Morvan (syringomyélie) est
ingomyélie) est une cinquième forme des affections chroniques de la
moelle
. Séance du 8 février 1892. Consacrée à la fêt
de la mémoire, par Sollier, 357; - Leçons sur les maladies de la
moelle
, par P. Ma- rie, 359. Bulletin bibliographiqu
Montyel, 486. 1\IICROCÉPHALIE (voir Craniectomie, Trépanation).
Moelle
, réduplication et hétéro- topie partielles de l
Bérard aîné, citation d'Olivier d'Angers, Traité des maladies de la
moelle
épinière, t. II, p. 143. Paris, 1847. , . DE L
peu dans ses Recherches sur la sensibilité (1877). Vul- pian (art.
Moelle
du Dict. encyclop.) n'admet pas l'existence du
une distribution différents des nerfs moteurs, et pénétrant dans la
moelle
par les racines postérieures, ont fait rejeter
nt produits par la simple mise en jeu des mécanismes réflexes de la
moelle
épinière, de la même façon que les animaux, pri
s en majeure partie du système cérébro-spinal, et qui sortent de la
moelle
avec les ra- cines antérieures. Etant donné l
ale. La dure-mère et la pie-mère avaient une apparence normale ; la
moelle
était comprimée, mais ne présentait aucun signe
ctionnelle sans atrophie musculaire et sans lésions évidentes de la
moelle
. Il y a donc chez cette- jeune fille une filiat
n, ne peut-on s'arrêter à l'idée d'une lésion du cerveau ou de la
moelle
. Par exclusion, il suppose une altération primiti
ic suivant : affection rhu- matismale probable des enveloppes de la
moelle
(pachymé- ningite cervico-brachiale ? ) portant
l , qui se traduirait nécessairement par une hémiplégie. Reste la
moelle
. S'agit-il d'un des faits d'hémiparaplégie décr
nostic sur ce motif assuré- ment plausible, qu'une hémilésion de la
moelle
aurait déter- miné ces symptômes simultanément
. Il semble malaisé, en effet, d'ad- mettre qu'une altération de la
moelle
ainsi localisée puisse attendre deux ans avant
aurait fini par gagner secondairement les cornes antérieures de la
moelle
lombaire gauche ou les racines spinales antérie
n qui a paru toute naturelle : l'ataxie tenant à une sclérose de la
moelle
épinière et la paralysie générale s'accompagnan
du cerveau, on s'est dit que dans certains cas la lé- sion de la
moelle
pouvait se propager de bas en haut. Je me suis
bstance blanche des faisceaux latéraux et la corne antérieure de la
moelle
. La partie intéressante de cette étude anatomo-
olifération spéciale de la névroglie, dans la substance grise de la
moelle
épinière (et de la moelle allongée). Jusqu'à ce
névroglie, dans la substance grise de la moelle épinière (et de la
moelle
allongée). Jusqu'à ces dernières années, les ca
leur a consacré que quelques pages de son manuel des maladies de la
moelle
épinière, sous le titre Barra et Curiosa, et ne
xistence d'un processus pathologique, dans la substance grise de la
moelle
épi- nière et admettre que, grâce à ces mêmes a
sions ther- miques était interrompue avec tous les segments de la
moelle
épinière situés plus bas ; mais l'anesthésie th
hler de définir d'une manière plus précise, l'endroit atteint de la
moelle
épinière et il s'arrêta avec raison sur la syri
in droite). A l'autopsie on trouva une cavité le long de toute la
moelle
épinière; la substance blanche en était nor- ma
racine ascendante du nerf trijumeau fut également atteinte. Dans la
moelle
allongée se trouvèrent des fissures, et une atr
née de formation d'une cavité le long de la sub- stance grise de la
moelle
épinière, sur toute la lon- gueur de laquelle l
corne antérieure gauche. Le processus s'étendait éga- lement à la
moelle
allongée; ce qui se traduisait par des phénomèn
ion limitée de la face une altération de la substance grise de la
moelle
épinière, produite clans la région d'émergence
e ces symptômes caractéristiques, ou d'étudier un grand nombre de
moelles
épinières, pour se convaincre de la fréquence r
nt une période de quelques années, 7 à 8 cas variés de gliome de la
moelle
épi- nière et de syringomyélie; et dans cinq ob
sentent, et au fond desquels siège à notre avis la gliomatose de la
moelle
épinière. La variété apparente de ces descripti
ortants, il est possible de reconnaître les cas de gliomatose de la
moelle
épinière. Ces recherches seraient pourtant inut
pour confirmer ce qui a été dit plus haut : que la gliomatose de la
moelle
épinière est loin de constituer une affection r
pendant ces dernières années, à diagnostiquer la gliomatose de la
moelle
épinière chez des malades, qu'un examen insuffi
hôpital lemalade usait de bains chauds et de la galvanisation de la
moelle
épinière trois fois par semaine. Pendant le pre
nterruption de con- ductibilité (pour les voies sensitives) dans la
moelle
' épinière; 3° troubles trophiques, il est vrai
et rem- pli de graisse. A peu près à un centimètre au-dessous de la
moelle
allongée, le canal central de la moelle épinièr
centimètre au-dessous de la moelle allongée, le canal central de la
moelle
épinière se dilatait peu à peu. Au niveau de l'
res ; mais ce n'est qu'au commencement de la partie lombaire que la
moelle
épinière présente une section transversale parfai
inière présente une section transversale parfaite- ment normale. La
moelle
épinière n'est évidemment dilatée dans sa total
ue du fais- ceau pyramidal dans son trajet des circonvolutions à la
moelle
. 408 . REVUE DE pathologie NERVEUSE. Il n'y a
ion du lobule pariétal inférieur. G. D. IV. DE la STRUCTURE DE la
MOELLE
CHEZ LES microcéphales. Contribution à la conna
rattacher à des lésions localisées ; l'arrêt de développement de la
moelle
porte sur la substance blanche et, en particuli
dans l'espèce plutôt agénésie que dégénérescence. Les parties de la
moelle
les plus atteintes sont celles qui contiennent
s en route. Conclusions. 1° La formation des libres nerveuses de la
moelle
qui correspondent aux pyramides dans les cordon
ntralbl., 1886.) Kreyssig a trouvé que les cellules nerveuses de la
moelle
(1711-choiv,s. Archiv., t. CII, p. 386; présent
de sillon longitudi- nal de la face antérieure ou inférieure de la
moelle
allongée et qui sont les représentantes des pyr
va rejoindre, après avoir croisé le raphé, la moitié opposée de la
moelle
. L'entre-croisement s'effectue de trois manieres
igine une lésion des cellules motrices des cornes antérieures de la
moelle
, comme MM. Charcot et Pierret l'ont démontré; i
ément de dia- gnostic en aliénation mentale, par Sikowsky, 302.
Moelle
(stiucture de la - chez les microcéphales), par
tiques de la Faculté. Le cerveau avait été durci par l'alcool, la
moelle
par le liquide de Millier; des coupes ont été fai
on entre les deux espèces de cellules de la couche granuleuse. La
moelle
cervicale a ses parties symétriques, mais il y a
grand nombre dans les cornes postérieures. Les cordons blancs de la
moelle
lombaire et les cornes anté- rieures, qui sont
inflamma- tion chronique (encéphalite) à différents degrés; dansla
moelle
. ,e même processus parait plus avancé encore, e
la para- lysie générale. L'atrophie des circonvolutions et de la
moelle
résulte donc de la condensation de la névroglie
On sait que, beaucoup moins fibrillaire dans le cerveau que dans la
moelle
, elle l'est surtout extrêmement peu en apparenc
t lésions des cellules pyramidales, évoluant parallèle- ment. c).
Moelle
cC1'Vico-dol'sale. - Les cordons blancs sont symé
s; les cornes sont égales; le canal de l'épendyme est intact. d).
Moelle
lombaire. - Même aspect, congestion intense des
s lequel la mort a été précoce; il n'y avait pas d'altération de la
moelle
. Pruvo..., 1877-1885. Idiotie complète, excès d
11 existe quelques corps granuleux dans la substance blanche. La
moelle
cervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclér
ux. L'épendyme est régulier, son épithélium est en place. Dans la
moelle
dorso-lombaire, il n'y a non plus rien à noter;
gonales; les cellules sont normales et les tubes sont sains tant la
moelle
que dans les racines coupées avec elle. Ainsi
lésions étendues de la convexité des hémisphères, nous trouvons une
moelle
relative- ment saine; donc on peut supposer que
es lésions diffuses, si avancées parfois, que l'on trouve dans la
moelle
en d'autres cas, ne sont consécutives qu'à l'alté
yramidales de la région sont petites et entourées de myélocytes. La
moelle
cervicale présente une disparition à peu près com
e produisant toujours au même point; de plus, ici, les lésions delà
moelle
existent, portant sur les cellules nerveuses el
ps cellulaires ne paraissent pas distincts les uns des autres. La
moelle
cervicale examinée après coloration au picro-carm
-latéraux comprise dans les concavités antérieure et latérale de la
moelle
grise. Dans celle-ci, les îlots cellulaires son
. Examen histologique. - Cerveau et bulbe durcis dans l'alcool. -
Moelle
durcie dans le liquide de Muller. Cerveau droit
Diminution comparative du volume des noyaux. Du même côté, dans la
moelle
cervicale, les cornes antérieures sont petites
tubes nerveux persistent. En résumé, les lésions du bulbe et de la
moelle
sont consécu- tives, ainsi que celles de la cou
eux nombreux, aspect fibrillaire, grosses fibrilles anastomosées.
Moelle
cervicale. - La substance grise à des altérations
ons. Il n'y a pas de systématisation. Les vaisseaux sont dilatés.
Moelle
dorsale. - L'aspect est le même de tout point.
L'aspect est le même de tout point. t44 ENCÉPHALITES CHRONIQUES.
Moelle
10mbai1'c. - Les lésions sont les mêmes, la tuméf
non le reste. Les lésions diffuses que nous avons pu voir dans la
moelle
, échappent à tout essai de systématisa- tion. N
Maladies du système nerveux, p. 822, 1879. Leyden. - Maladies de la
moelle
, p. 56, 1879. Magnan. - Idiotie, mutisme, atrop
e peut faire supposer l'existence d'une affeclion du cerveau ou de la
moelle
. On sait que la peau des parties, dont les nerf
une partie de l'avant-bras privée de sensibilité. Relativement à la
moelle
épinière, on observe tous les jours des faits qui
ès tard après la lésion du rachis, on voit que, dans les premiers, la
moelle
épinière est comprimée et, conséquemment, irritée
s centaines d'animaux, survivre des mois entiers, à la sec-tion de la
moelle
épinière, et ne présenter aucune autre lésion de
ire, où des exostoses se sont formées à l'endroit de la section de la
moelle
et comprimant le bout inférieur, il y a eu une at
la cuisse. Il faut donc distinguer les effets de l'irritation de la
moelle
épi-nières et des nerfs, de ceux de la paralysie
'incurvation latérale que présente la colonne vertébrale au cou. La
moelle
épinière et les racines des nerfs ont été examiné
grand soin, surtout à la région cervicale. Les racines, ainsi que la
moelle
, n'ont présenté aucun changement de coloration ou
n'ont présenté aucun changement de coloration ou de consistance ; la
moelle
ne paraissait pas avoir subi la moindre compressi
ermettre l'examen comparatif des nerfs cervicaux encore attachés à la
moelle
par leurs racines. Voici le résultat de cet exame
t aussi les racines postérieures, entre les ganglions spinaux et la
moelle
, n'étaient nullement altérés et contrastaient, pa
s antérieures, soit aux racines postérieures, entre le ganglion et la
moelle
. Ces dernières circonstances ont été relevées p
exclusivement de cellules unipolaires ; les tubes nerveux venus de la
moelle
épinière ne font que traverser le ganglion. Le ra
constitué en partie par les tubes du rameau afférent pro-venant de la
moelle
, qui ont traversé le ganglion, et en partie par d
les unssensitifs ou moteurs, qui ont des con-nexions directes avec la
moelle
épinière ; les autres, moins nombreux, dont l'ext
ux émanés des cellules gan-glionnaires et isolés anatomiquement de la
moelle
épinière, sont-ils, après cela, doués de propriét
eux qui constituent les racines posté-rieures entre le ganglion et la
moelle
. Dans les cas patholo-giques qui nous occupent, l
contestable, d'un côté, que, dans certaines circonstances données, la
moelle
épinière influence, dans une certaine mesure, la
après avoir coupé la racine postérieure d'un nerf rachidien,entre la
moelle
épinière et le ganglion, voit la partie de la rac
e épinière et le ganglion, voit la partie de la racine qui tient à la
moelle
s'altérer, tandis que le segment qui demeure en r
de l'urine. 2. Sur un cas d'atrophie des cordons postérieurs de la
moelle
épinière et des racines spinales postérieures (at
s ob-tenus par d'autres observateurs, les colonnes postérieures de la
moelle
et les racines postérieures étaient atrophiées ;
ire l'amélioration dans les cas de ce genre. La substance grise de la
moelle
épinière est ordinairement in-tacte dans ces cas
2. Dans le second des deux cas, dans lesquels nous avons examiné la
moelle
et les racines nerveuses, nous avions annoncé d'a
tubes nerveux sensi-bles et les cellules de la substance grise de la
moelle
, et plus tard l'altéra-tion des tubes nerveux eux
suivant toute vraisemblance, l'existence d'une vive irri-tation delà
moelle
épinière. Le nitrate d'argent est prescrit le 19
'agissait d'une para-plégie survenue à la suite d'une commotion de la
moelle
épi-nière, et qui avait persisté longtemps après
ois à rétablir des malades qui ont subi une compression directe de la
moelle
épinière ou tout au moins à les améliorer. Nous a
nsibilité. Le nitrate d'argent a fait reparaître l'excitabilité de la
moelle
, et les mouvements réflexes se sont reproduits; b
effets obtenus ont été plus complets. Dans les cas de ce genre, la
moelle
a probablement cessé d'être directement compri-mé
-tions transcurrentes et d'autres moyens appropriés, pour dé-gager la
moelle
des épanchements qui la compriment; on donne alor
te une contracture des membres, qui correspond à une altération de la
moelle
, déjà signalée par M. Cruveilhier, et mieux étudi
ode d'action des sels d'argent dans les affections chroniques de la
moelle
épinière. — D'après les faits que nous venons de
éliorer, et quelquefois guérir, certaines affections chroniques de la
moelle
épinière, qui ont été rangées, jusqu'à ces dernie
traitement qui stimule la nutrition ou l'activité fonctionnelle de la
moelle
épi-nière, sont susceptibles de revenir à l'état
que, dans tous les cas où il existe des phénomènes d'excitation de la
moelle
, des contractures, par exemple, dans la paraplégi
ain point, à celle de la strych-nine: il stimule les propriétés de la
moelle
, développe le pou-voir excito-moteur, et réveille
s hémiplégies anciennes, 429; — dans les affec-tions chroniques de la
moelle
, 430; — dans les affections du tube digestif, 431
atière peccante, 331. Membrane germinale des hydatides, 266, 277.
Moelle
: sels d'argent dans les af-fections chroniques d
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