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1 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ans sa course et s'évanouit aussitôt après son passage. Moins d'une minute après, se détache à la même place une strie ros
tance, beaucoup plus large que la ligne pâle primitive. Cinq ou six minutes plus tard, la bande rouge se soulève, pâlit dan
millimètres et dont le relief qui augmente encore pendant plusieurs minutes , peut dépasser deux millimètres. Cette papule n
ateuse par congestion netmo- paralytique.) 3° Au bout de quelques minutes , apparition d'une papule érytho- mateuse, répon
appliquant comparativement, pendant un même laps de temps de quinze minutes , un thermomètre à tem- pérature locale aux deux
faire passer le courant. Cette application, pro- longée pendant une minute , ne fut suivie que d'une rougeur peu marquée, d
cutanée très voisine, nous fîmes passer progressivement pendant une minute , un cou- rant de 5 milliampères, qui monta pend
ul. Il fallut un courant de 18 milliampères, maintenu pendant trois minutes , pour amener l'apparition, tant au pôle positif
calculé, car, d'après les règlements de la marine, au bout de cinq minutes que le scaphandrier est sous l'eau, on lui donn
it répondre; s'il ne répond pas, on en fait un second au bout d'une minute , et, si ce dernier reste aussi sans réponse, on d
cond signal, et par conséquent, il est resté sous l'eau environ six minutes , mais l'accident n'étant arrivé que lorsqu'il é
moyen d'une échelle) et qui peut être estimé, croyons-nous, à trois minutes ; donc le malade serait resté environ trois ou q
trois minutes; donc le malade serait resté environ trois ou quatre minutes sous l'eau après son accident. Au moment de l
ng; il parait qu'il ne respirait plus. On pratiqua une saignée cinq minutes après qu'il eut été remonté, le sang coulait di
transmission et n'avait qu'à verser un peu d'huile toutes les vingt minutes environ). Il fut libéré à la fin de juillet 187
plus ou moins; elle dure un temps variable, généralement cinq à dix minutes ; quelquefois aussi c'est pendant des journées ent
à celte profondeur sans jamais prolonger son séjour au delà de dix minutes et n'a jamais eu d'accidents; notons bien que l
. 33 était toujours le même, c'est-à-dire quarante secondes à une minute ; pas d'indisposition, pas de repas avant l'immers
e paralysie brusque et complète du membre supérieur droit, quelques minutes plus tard, du membre inférieur droit. Une dizai
elques minutes plus tard, du membre inférieur droit. Une dizaine de minutes après, le membre supérieur gauche est pris à so
alade à des intervalles très irréguliers; leur durée variait de dix minutes à quatre heures. Les dou- leurs fulgurantes sur
est que la dis- parition chez notre malade s'est faite après cinq minutes , tandis que celui de M. Marie a mis six semaine
d'une paralysie du supérieur correspondant, de sorte qu'en quelques minutes , les quatre membres étaient paralytiques, le ma
généralement chez le malade de l'OBSERVATiON XX, de e cinq à dix minutes , chez celui de l'OBSERVATION XXI, de dix minute
de e cinq à dix minutes, chez celui de l'OBSERVATION XXI, de dix minutes à quatre heures. Quelquefois aussi (OBs. XX), c
Quatre immersions de 2'r ci 2 brasses de profondeur ; dix ci douze minutes de séjour; décompression brusque sans accidents
déjà fait quatre immersions à une profondeur de S4-25 mètres, 10-12 minutes de séjour et de décompression brusque, sans acc
e immersions à une profondeur de 20 à 22 brasses et de dix à quinze minutes de séjour sans accident. Il en fait une cinquiè
, il sent des douleurs violentes à l'épaule gauche. Au bout de cinq minutes , le malade perd connaissance pendant quatre heu
assagères ; son membre se raidissait en exten- sion durant quelques minutes . Etat actuel do janvier 1885. Toute la symptoma
au-dessus sans jamais avoir prolongé le séjour au delà de quinze minutes ; décompression toujours la même. Une heure et dem
s disparition de ces symptômes. Intervalle de bien-être de quelques minutes de durée entre la disparition de ces symptômes
accident mais il n'avaitjamaisprotongésonséjourptus dedix à quinze minutes et DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES.
éphaliques disparaissent complètement et le malade pendant quelques minutes était tout à fait libre de tout symptôme; il se
re paralytique se raidissait parfois en extension, pendant quelques minutes . Etat actuel (2 septembre 1884). Le malade fait
jamais plus d'un quart d'heure de séjour; même décompression. Cinq minutes d'intervalle entre la décompression et l'invasi
de refroidissement ni de toux, ni de repas avant l'immersion. Cinq minutes se passent après la décompression et l'enlèveme
mersions par jour, 10 à 42 brasses de profondeur, et quinze à vingt minutes de séjour. D'après son dire, d'un jour à l'autr
re se raidit parfois en extension, surtout la nuit, durant quelques minutes . Pas de (roubles de la sensibilité. Il n'y a aucu
brusque sans accident. Sixième immersion de la même profondeur, `r5 minutes de séjour. linii2é- diatement u,.a'è lu G1 usrl
INIQUE NERVEUSE. l'estomac, s'irradianl aux côtes.- Au bout de 40 0 minutes , rempltt- cement de ces douleurs par la monoplé
ravail dans l'air comprimé. 10-12 brasses de profondeur et 15 ci 20 minutes de séjour ; amélio- ration rapide. Arrêt de l'a
sions successives, à une profondeur de 20-22 brasses etdix à quinze minutes de séjour et dépression brusque sans accident ; i
rofondeur et, après avoir prolongé son séjour au delà de vingt-cinq minutes , il se fait brusquement comme toujours remonter
gastriques : pas de symptômes céphaliques ou autres. Au bout de dix minutes environ, ces douleurs disparaissent pour faire
usieurs fois son membre se raidissait en extension pendant quelques minutes . Aussitôt le malade reprend son travail par com
n travail par compression, 10 à 15 brasses de profondeur et 15 à 20 minutes de séjour et l'amélioration marche rapidement a
ent de la décompression et l'invasion des symptômes du début : cinq minutes pour l'OBSERVATION XXVI, une heure et demie pou
mitant. La durée de ces douleurs a été très courte, pas plus de dix minutes (Ces. XXVII) environ. e)..Iivenses douleurs et
ces douleurs violentes à l'épaule gauche qui ont précédé de cinq minutes la perte de connaissance du malade de l'OB- 70
début, tandis que chez le ma- lade de l'OBSERVA'rION XXV, quelques minutes se sont écoulées entre la disparition des sympt
VII, le membre paralytique se raidit en extension durant quelques minutes . 5). Dyscampsie articulaire. Quand on fait com-
profondeur, le séjour au fond n'ayant jamais dépassé quinze à vingt minutes , décompression toujours la même c'est-à-dire br
décompression sans accident, mais sans jamais avoir dépassé quinze minutes , il n'était pas refroidi, il ne toussait pas et
ient néanmoins de temps à autre, sous forme d'accès durant quelques minutes ; à ce moment les souffrances du malade devenai
eur sont bien rythmés et réguliers. Le pouls bat 93 pulsations à Ja minute . La température axillaire est de 35°,5. Mais le
ble d'abord à celui du cataleptique, se modifie au bout de quelques minutes ; la ligne droite se change en une ligne brisée,
sujets, devront se faire inscrire au plus tard le 15 juillet. Vingt minutes seront accordées pour chaque communication. D
robuste peut difficilement rester les bras étendus plus de 10 a 15 minutes et qu'un hypnotisé pourra, au contraire, conserve
e et la chirurgie ordi- naires, pour laquelle il sera accordé vingt minutes de réflexion et quinze minutes pour la disserta
pour laquelle il sera accordé vingt minutes de réflexion et quinze minutes pour la dissertation. Le maximum des points sera
que sur deux malades aliénés. Il sera accordé 168 VARIA. · trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes de
168 VARIA. · trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes de ré- flexion et trente minutes d'exposition.
l'examen des deux malades, quinze minutes de ré- flexion et trente minutes d'exposition. L'un des deux malades devra être
ine et la chirurgie ordinaires, pour laquelle il sera accordé vingt minutes de ré- flexion et quinze minutes pour la disser
our laquelle il sera accordé vingt minutes de ré- flexion et quinze minutes pour la dissertation. Le maximum des points ser
e épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes
sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes d'exposition. L'un des deux malades devra être
lade; chaque crise est accompagnée d'un trismusqui dure jusqu'à dix minutes . r ÉTUDE DE l'ÉTIOLOGIE DU TABES. 191 J'ai as
aux et un trismus très violent qui passa au bout de trois ou quatre minutes après l'introduction derrière les joues d'une p
49, p. 22. ARCHIVES, t. XVII. 15 226 6. CLINIQUE NERVEUSE. ques minutes , quelques heures, ou quelques jours tout au plu
e immersion à 24 brasses de profon- deur et après avoir demeuré dix minutes , il s'est fait remonter. Il aurait déjà antérie
dent. Il importe de remarquer qu'il n'avait pas été fatigué. Cinq minutes après la décompression et l'enlèvement du casque,
de repas, pas de troubles res- piratoires avant l'immersion. Dix minutes après l'enlèvement du casque, le plongeur est pri
pris d'une parésie du membre inférieur gauche, qui dans quelques minutes s'est transformée en une paralysie complète. Il n
érieurs, bientôt suivie de celle des membres inférieurs. Quelques minutes après, le malade est réduit à l'impossibilité a
e de l'invasion et B disparition rapide de la paralysie en quelques minutes , en quelques heures ou en quelques jours. B.
rsions à une profondeur qui variait entre 20 et 22 brasses et 7 à 8 minutes de durée, il est redescendu pour la cinquième f
ait cinq immersions à la profon- deur de z à 26 brasses, six à sept minutes de séjour au fond, il est redescendu non seulem
me profondeur, mais encore il a prolongé son séjour jusqu'à douze minutes . ' Il se fait brusquement remonter comme toujou
profondeur de z brasses, il commet la faute de rester au fond vingt minutes , au bout des ? DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES S
ccident, mais jamais il n'avait prolongé son séjour au delà de 6-10 minutes . * Dix minutes environ se passent après la déco
amais il n'avait prolongé son séjour au delà de 6-10 minutes. * Dix minutes environ se passent après la décompression et l'
es conditions, sauf le séjour, qui n'a jamais duré plus de 13-18-20 minutes . Histoire. Rigas (Emmanuel), âgé de vingt-neuf
ion faite à une pro- fondeur de 32 brasses, et après un séjour de 4 minutes , il s'est fait brusquement remonter. Immédiatem
it jamais prolongé son séjour à cette profondeur au delà de z-48-20 minutes . Immédiatement après la décompression, DES ACCI
let, à la cinquième immersion, profondeur de 22-24 et quatre à cinq minutes de séjour. ' Quatre immersions antérieures fait
in- vasion de l'accident. Première aphasie motrice trois à quatre minutes de durée suivie d'un intervalle de six, sept minu
trois à quatre minutes de durée suivie d'un intervalle de six, sept minutes . Deuxième aphasie motrice quatre à cinq minutes
rvalle de six, sept minutes. Deuxième aphasie motrice quatre à cinq minutes de durée suivie aussi d'un intervalle de six à
à cinq minutes de durée suivie aussi d'un intervalle de six à sept minutes . Troisième aphasie motrice de la même durée, su
e immer- sions à une profondeur de 22 à 24 brasses, et quatre àcinq minutes de séjour, il se fait descendre pour la cinquiè
Le malade ne savait ni lire ni écrire. Au bout de trois à quatre minutes , ce trouble de la parole disparait subitement et
ait pas destiné à durer bien longtemps ; en effet, après six à sept minutes , pendant qu'il par- lait, il s'arrête tout d'un
r plus longtemps que le premier..En effet, au bout de quatre à cinq minutes , il disparaît brusquement et complètement. Au b
, il disparaît brusquement et complètement. Au bout de six à sept minutes , un troisième trouble de la parole, tout à fait p
et de même. durée, survient au malade. Enfin, au bout de six à sept minutes d'intervalle, un quatrième et dernier trouble d
ent sous le même aspect clinique que les trois autres. Après cinq minutes environ, ce trouble de la parole disparaît et l
uneprofondeur - de20 brasses, il n'aurait pas séjourné plus de dix minutes mais il a DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHA
compression, le ' séjour n'ayant jamais duré plus de quinze à vingt minutes . Immédiatement après la décompression et l'enlè
n sans jamais demeurer au fond en pareil cas plus de quinze à vingt minutes . Pas de refroi- dissement, pas d'affections pul
durant quelques DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 339 9 minutes pour réapparaître après, et ainsi de suite, qua
es scaphandres. Aussi on n'aura certes pas oublié la cécité de cinq minutes de l'OBSERYATION V, les éblouissemeuts des yeux
amais, jamais, je le répète à dessein, il n'avait dépassé les vingt minutes de séjour au fond. 11 importe en outre de remar
urnée à une profondeur de vingt brasses et il ne demeure que quinze minutes au fond. Il a été extrêmement DES ACCIDENTS PAR
RVATION XXXVIII ; une demi-heure pour ]'OBSERVATION XXXVII; et cinq minutes seulement pour l'OBSERVATION V; 4° leur rapide
nd à une profondeur de vingt-deux bras- ses il ne demeure que douze minutes seulement, au bout desquelles il s'est fait bru
à une profondeur de vingt-trois à vingt-quatre brasses, dix à douze minutes de séjour et d'une décompression brusque, il re
plupart des mois lui échappaient complètement. Au bout de quelques minutes , la surdité était devenue complète et absolue,
nce de nouveau à entendre d'une façon confuse. Dès ce moment, d'une minute à l'autre sa perception auditive se complétait,
n'aurait jamais demeuré à cette profondeur plus de quinze à vingt minutes . Il n'était pas refroidi, il ne toussait pas, il
cinq immersions à une profondeur de 20 à 22 brasses, dix à treize minutes de séjour et d'une décompression brusque, il rede
r contre, la surdité en question survient brusquement dans quelques minutes ou quelques heures. C'est, à coup sûr, le carac
mmersion à la pro- fondeur de 23 brasses et après avoir demeuré dix minutes sans être fatigué, il s'est fait brusquement re
e décompres- sion sans avoir jamais eu d'accident. Une dizaine de minutes après la décompression et l'enlèvement du casqu
oreille gauche ; en même temps il avait des vertiges. Dans quelques minutes , les douleurs étaient devenues insupportables a
rofondeur de 25 brasses et après avoir séjourné au fond de la mer 5 minutes , il ferme la soupape pour se faire instantanéme
de fois à cette profon- deur et avait séjourné au fond 5 et même 7 minutes sans accident, mais il ne s'est jamais décompri
on estomac avant l'immersion, il n'a pas été fatigué au fond. 2 à 3 minutes après la décompression et l'enlèvement du casqu
même profondeur de 20 à 21 brasses et sans demeurer plus de quinze minutes dans le fond de la mer, il s'est fait brusquement
mmersion à27 ou28 brasses de profondeur et après avoir demeuré sept minutes il s'est fait brusquement décomprimer. Il redes
deur mais il prolonge son séjour au fond de la mer au delà de vingt minutes . Un quart d'heure après l'enlèvement du casque,
il fait sa première immersion à la profondeur de 23 brasses, treize minutes de séjour, décompression brusque, Il serait déj
s mangé avant l'accident ; pas de refroidissement, pas de toux. Dix minutes après l'enlèvement du casque, le plongeur est p
s sans accident, à une profondeur de' 23 brasses, de douze à quinze minutes de séjour et d'une décom- pression brusque, il
s les mêmes condi- tions que les sept précédentes. Une dizaine de minutes se passent et le malade se porte parfai- tement
ses immersions à des profondeurs moyennes, 14 à 15 brasses, quinze minutes de séjour et brusque décompression. 11 lui étai
-bras gauche. Quel ne fut pas mon étonnement, voyant après quelques minutes l'avant-bras gauche être agité de quelques cont
rt de l'appareil de Sayre; la durée de la suspension varie de 1 à 5 minutes . M. Moczoutkovsky a vu sous l'influence de ce t
n vient de leur lire ou dénommer, sortent deleur esprit en quelques minutes . Sorte d'agraphie amnésique correspondante. '
'accusation. Ne voyez-vous pas d'inconvénients à ce que, à quelques minutes d'intervalle, le même membre du parquet qui aur
e sent beaucoup mieux. Pouls de moyenne tension, 78 pulsations à la minute . Sur les gencives se c<f5S ! t : c< ! 'MH
; à midi la température est de 37°, 4 le pouls a 96 pulsations à la minute ; le soir, transpiration. Après une nouvelle dose
heures du malin. Première immersion, 28 brasses de profondeur, cinq minutes de séjour, décompression instantanée. Cinq minu
profondeur, cinq minutes de séjour, décompression instantanée. Cinq minutes après la décompression, accès de manie transito
de Salamis, à une profondeur de 28 brasses, il ne séjourne que cinq minutes seulement, au bout desquelles, pour s'amuser, i
ux, pas de repas avant son immersion, enfin, pas.de fatigue. Cinq minutes après la décompression et l'enlèvement du casque,
et il repousse. Le pouls est fréquent et inégal, 95 pulsations par minute . A l'auscultation, on entend au coeur des gargo
S juin 1875, après avoir fait trois immersions à 23 brasses, douze minutes de durée, décompression brusque; il redescend pou
accident, il faisait des immersions à 24 brasses de profondeur, 't2 minutes de séjour au fond et décom- pression brusque sa
uatre immersions à une profondeur de 28 à 29 brasses, quatre à cinq minutes de séjour et décompression brusque sans le moin
urne un quart d'heure, au bout du- quel il s'est fait remonter. Dix minutes après l'enlèvement du casque, soudain, le malad
incelles et de maux de tête, surtout au front, après avoir duré une minute environ, s'est terminé par des nausées. L'accès
un peu dure, il n'entendait pas si bien. Toutes les quinze ou vingt minutes , au milieu de cet état vertigineux se dessinaie
permanent au milieu duquel éclatent des paroxysmes tous les 15, 20 minutes au début, plus rarement ensuite, titubation.) O
cend à une profon- deur de 28 brasses, et, après avoir demeuré cinq minutes à peine, il s'est fait brusquement décomprimer.
au bout desquelles ce scaphandrier revient un peu étourdi. Quelques minutes après, il se porte par- faitement bien. Pas de
end à une profondeur de 27 brasses et ne demeure au fond que cinq minutes . Ne sachant pas encore bien manier la soupape, il
er la soupape, il la ferme et se fait instantanément remonter. Cinq minutes environ après la décompression et l'enlèvement
gitifs, dans l'immense majorité des cas, ne durant que quel- ques minutes ou quelques heures, très rarement quel- ques jo
404 - - CLINIQUE NERVEUSE. bien permanents, ils ne durent plus des minutes et des heures, mais des mois et des années; nou
des yeux. Tous ces symptômes ont disparu pendant sa montée. Cinq minutes après la décompression et l'enlèvement du casque,
la compression, les petits symptômes de son premier accident. Trois minutes après la décompression et l'enlèvement du casqu
le droit se raidit en extension, surtout la nuit, pendant quelques minutes . .. La sensibilité interrogée sous tous ses mod
ne profondeur de 20 brasses; il n'avait encore demeuré que quelques minutes (dix minutes environ) au fond, quand tout d'un
de 20 brasses; il n'avait encore demeuré que quelques minutes (dix minutes environ) au fond, quand tout d'un coup, le tube
brasses et ne prolongeant pas son séjour au delà de douze à quinze minutes . Le cinquième jour de son accident, il était dé
sions à une profondeur de 20 à 22 mètres, demeurant quinze ou seize minutes au fond; il faisait la concurrence à un autre p
ges qu'il laissait derrière lui. Cette lutte a continué pendant dix minutes , il était arrivé à la profondeur de 23 brasses.
ant dix minutes, il était arrivé à la profondeur de 23 brasses. Six minutes se passent après la dé- compression et l'enlève
contre un courant de mer assez fort, il à demeuré chaque fois douze minutes . 11 fait, dans ces conditions, cinq immersions
ccidents, il redescend pour la sixième fois au même endroit. Cinq minutes après l'enlèvement du casque, il a été atteint
ds. La sensibilité aurait été complètement abolie. Au bout de trois minutes , sur- viennent des vertiges très forts, mais il
e lui. Le malade ne sait ni lire ni écrire. -- i Au bout de vingt minutes , le trouble du langage et dans l'espèce l'aphas
accident, il descend à une profondeur de 40 mètres et demeure douze minutes , au bout desquelles il s'est fait remonter. 11 av
i la profondeur de 23 brasses, décom- pression brusque, trente-cinq minutes au fond. Dix minutes d'in- tervalle entre la dé
brasses, décom- pression brusque, trente-cinq minutes au fond. Dix minutes d'in- tervalle entre la décompression et l'inva
llet 1879, première immersion, 20 brasses de profondeur, vingt-cinq minutes de séjour, décompression brusque. Immédiatement
sses et après avoir prolongé son séjour au fond pendant trente-cinq minutes , il s'est fait brusquement remonter. Il avait d
'a jamais demeuré plus d'un quart d'heure tout au plus. ' ' . Dix minutes après la décompression et l'enlèvement du casque,
à une profondeur de 20 brasses, et, après avoir séjourné vingt cinq minutes , il s'est fait, brusque- ment, comme d'habitude
nditions, sauf le séjour qui n'a jamais duré plus.de douze à quinze minutes , sans accidents. Pas de refroidissement, pas de
droite, surtout aux épaules, de douleurs intenses qui ont duré cinq minutes environ. Au bout de ce temps, une paralysie de
mporte de remarquer qu'il n'a jamais demeuré au fond plus de quinze minutes . Il était par- faitement bien portant et il n'a
et 1882, première immersion, 26 brasses de profondeur, vingt-cinq minutes de séjour au fond, ce qui a provoqué une dyspnée
nt vive avec anxiété au creux épigastrique, qui au bout de quelques minutes a été remplacé par un engourdissement très fort
tense à l'estomac sans perte de connais- sance. Au bout de quelques minutes , ces douleurs gastriques dis- paraissent pour f
ons que les six précédentes, à savoir 24 brasses de profondeur, dix minutes de séjour au fond et décompression 132 CLINIQUE
nditions de travail profondeur de 22 brasses, séjour de dix à douze minutes et ' décompression toujoursLmtsqite. Perte de c
roisième immersion, profondeur de 24 brasses, séjour de sept à huit minutes , décompression brusque comme les deux précédent
ès avoir déjà fait 6 immersions à une profondeur de 24 brasses, dix minutes de séjour au fond et décompression brusque; il es
avoir fait 6 immersions à une profondeur de 22 brasses, dix à douze minutes de séjour et décompression brusque, il redescen
deux fois à la profondeur de 24 brasses, demeurant toutefois 7 à 8 minutes et se faisant brusquement remonter, il redescen
; il est arrivé sur le pont du bateau en parfaite santé ; quelques minutes après, il s'est plaint de tournoiements de tête
e ne perdit point connaissance, et il parlait bien pendant quelques minutes encore avant sa mort; il n'eut aucune hémorrhag
t sous l'influence d'un courant même faible mis en contact quelques minutes avec le corps; je tirerai bientôt une conclusio
e, s'agite quelques instants, puis devient immobile pendant 8 à '10 minutes . La grenouille est d'ailleurs susceptible de re
2 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
rthe Lesp... sent un mauvais goût dans la bouche pendant les quelques minutes qui précèdent ses attaques : ce J'ai la bouche em
lit, et est prise de secousses généralisées qui reviennent toutes les minutes environ. Tout d'un coup la tête se renverse, la b
une partie du corps anesthésiée, ramenait infailliblement en quelques minutes la sensibilité au point de contact. Dans la tenta
... Mais bientôt tout rentre dans l'ordre après avoir duré une à deux minutes au plus. Elle a comme la sensation d'un vent qu
peut dire que la période épileptoïde dure dans son ensemble plusieurs minutes , deux, trois, quatre et cinq, rarement davantage.
cercle, par exemple, est souvent gardée par Gen... pendant cinq à dix minutes . De plus, la respiration s'exerce plus ou moins f
lète et bien terminée. Deuxième période. Après un repos de quelques minutes pendant lesquelles la malade semble dormir, elle
et le ventre très proéminent (fig. 44). Elle demeure ainsi une à deux minutes , puis elle retombe sur son lit, et se place presq
sommeil stertoreux peu accusé. La première période dure de une à deux minutes . Deuxième période. — Commence par une contorsio
e un cri rauque. Elle cherche à mordre. Elle ne demeure pas une seule minute en repos. La face est très congestionnée, le cou
iquement de ces mouvements variés, dure en moyenne vingt à ving'-cinq minutes . Troisième période. — Puis Gen... appelle Camil
nt la deuxième période, qui peut durer sans trêve jusqu'à cinq ou dix minutes . Troisième période. — J'ai observé la malade pr
ieuses, véritables poses plastiques, qu'elle garde immobile plusieurs minutes ; tantôt accompagnées de gestes violents et de par
s jointes. Elle demeure ainsi complètement absorbée pendant plusieurs minutes . Ou bien elle s'écrie : « Mon Dieu! secourez-mo
te de se reposer. Mais elle est reprise de délire au bout de quelques minutes : « Oh! je te jure que ce n'est pas ma faute... E
. L'attaque a commencé à sept heures et demie. Il est dix heures cinq minutes . Après une période épileptoïde bien marquée, et u
s rideaux des fenêtres. Survient un accès épileptoïde qui dure cinq minutes , puis le délire recom-mence. «Oh! Jean-Louis-Ph
ques instants par la compression ovarienne droite, maintenue quelques minutes . Les contractures disparaissent, la parole revien
re et complète. La période épileptoïde dure en moyenne de une à trois minutes . D'ordinaire elle est nettement séparée, par un m
itudes passionnelles est la plus longue, elle dure en moyenne de cinq minutes à un quart d'heure. Ces trois périodes, qui con
ée fort difficile à préciser. Elle peut être fort courte, de quelques minutes seule-ment, ou se prolonger beaucoup plus longtem
e cha-cune des attaques composant ses séries, jouit d'un repos de dix minutes à un quart d'heure. Dans ce cas l'attaque est com
composaient avaient des intervalles de repos de quarante à cinquante minutes . Un caractère clinique très important, signalé
res attaques dont nous sommes témoin : lre Attaque. Durée de quinze minutes . Elle est ainsi composée : a) Période épileptoï
ions terribles de la troisième période. 2e Attaque. Durée de quinze minutes . a) Période épileptoïde. b) Grands mouvements
e délire de la quatrième période apparaît. 3e Attaque. Durée de six minutes . Bien que plus courte, cette attaque pré-sente le
as le délire de la quatrième période. 4e Attaque. Durée de quatorze minutes et plus. a) Période épileptoïde. b) Contorsio
Délire de la quatrième période. 5e Attaque. Durée de trente et une minutes . a) Période épileptoïde. b) Rage et grands mo
30 attaques. La durée moyenne de chaque attaque a donc été de quatre minutes . A la suite des séries d'attaques, la malade es
ulsés; respiration normale. Cette période se prolonge de deux à trois minutes . La période des attitudes passionnelles fait dé
s portés en avant et les mains sur la poitrine; — durée, deux à trois minutes . La, troisième période manque, comme dans l'att
le attaque. II. —10 h. 10 min. a). La. période épileptoïde dure une minute . La phase tonique a lieu dans l'extension, les mo
xième période ne pré-sentent rien de nouveau. Elles durent ensemble 2 minutes . Ensuite Suzanne tourne dans son lit, cherche,
commence. Il est midi. L'attaque que nous venons de décrire a duré 10 minutes . Il est difficile de trouver un exemple plus co
épilepsie, avec prédominance des contractions toniques, dure quelques minutes . Puis les bras se fléchissent brusquement, et c
n habituelle du chemin de fer. Elle est ici très développée et dure 2 minutes et demie. 10 h. 57 m. 30 s. La période des atti
ils : 26 septembre 1879. Ernestine Pil... est en attaques depuis 20 minutes . 1 Oh. 2 m. L'attaque commence par des ondulati
ns faire aucun mouvement et sans que la raideur des membres cesse une minute . 11 h m. La respiration se précipite, et une no
angoisses. La crise présente le même caractère jusqu'à 7 heures 40 minutes . On remarque à ce moment une sorte de demi-extase
essives dont nous avons pris la durée, cette phase a duré deux fois 1 minute et une fois 45 secondes. b). Puis la malade s'a
ser-pents de toutes les couleurs. Ces hallucinations durent quelques minutes , puis laissent à la malade un répit de durée vari
res ni le corps éprouvent la moindre flexion. Parfois, après quelques minutes de cette raideur, la malade se contracte vivement
ixe, puis elle tombait, les membres raides. Au bout de trois à quatre minutes , elle se repliait sur elle-même, se débattant pen
puis prenant la position assise, elle se balançait pendant huit à dix minutes . Si l'on intervenait alors par une allu-sion froi
eu d'écume à la bouche. Cette première période durait de deux à trois minutes . Ensuite apparaissaient des mouve-ments désordonn
ude de l'arc de cercle était conservée quelquefois pen-dant plusieurs minutes . Puis elle se répétait un grand nombre de fois, a
s à reprendre la position première qu'il conserva pendant sept à huit minutes . On me dit que, dans ses crises, cet arc de cercl
sque, la malade tombait comme fou-droyée. Cet état durait une ou deux minutes , puis la phase hystéro-épilep-tique survenait, l'
oïde avec son début Drusque, le tétanisme et la durée de une à deux minutes ; la deuxième période avec la tendance à l'arc de
nce et une raideur tétanique de tout le corps, qui dure de cinq à dix minutes , la tête se tourne de côté. — A cette immobilité
uniquement par des mouvements toniques. La durée en est à peine d'une minute . A cette première phase de l'attaque succède, s
s élancements très vifs se font sentir dans l'épaule presque à chaque minute , et des tiraillements douloureux se montrent dans
ensation de boule) et douleur ovarienne gauche très vive. A 4 h. 45 minutes nous essayons, par l'application d'un aimant près
toniques du début avec pro-longation du tétanisme, dure environ cinq minutes . Puis il se produit un relâchement musculaire inc
être supporté tant il accentua les effets pré-cédents. Dans quelques minutes , la patiente demanda à être débarrassée, sous pei
oit plus, ne parle plus. Après un temps variant entre trois et cinq minutes , commence l'attaque. 1° L'inspiration devient l
nt toutes les régions du corps. Phase clonique. Après deux ou trois minutes , ces secousses ne tardent pas à diminuer, puis à
eu bruyante, sans être stertoreuse. 2° Après un calme de une à deux minutes , quelquefois trois, commence la période des conto
aine mélancolie. Cette attaque durait un quart d'heure à vingt-cinq minutes , selon que la compression ovarienne était faite o
lâcher, et après cette phase de réso-lution, qui dure de deux à trois minutes , la malade, sans coma, sans respi-ration stertore
re. C'est la phase des contorsions. Elle dure à peine deux ou trois minutes , et voici qu'apparaissent les grands mouvements.
côté, à gauche. Toutes ces périodes durent un quart d'heure à vingt minutes . Elles se succèdent et se renouvellent parfois de
de la résolution et du relâchement des muscles. 2° Après une à deux minutes de calme, le petit malade grimace, contourne ses
résolution musculaire, et ces deux phases n'ont duré qu'environ deux minutes et demie. Dans cette phase de résolution, la ma
et des grands mouvements. Après un moment de calme de deux à trois minutes , et comme si la ma-lade économisait ses forces po
es possédés. Cette attitude illogique (Charcot) dure trois à quatre minutes ; elle se modifie parfois; puis, sans transition,
ure. Et l'attaque est terminée, après une durée moyenne de vingt-cinq minutes . La malade est revenue à elle, elle a recouvré
oitrine ou du cou, sans spasme ni convulsions : elle dura^environ dix minutes ; mêmes attaques pendant les huit jours suivants,
e vouloit se tenir debout : leur durée n'étoit jamais que de quelques minutes . La malade rendit, dans cet intervalle, beaucoup
, peu d'é-cume à la bouche; le pouls est insensible. Après quelques minutes de cet état, la contraction tétanique cesse, l'ag
ait en arrière, et restait dans cet état tétanique pendant cinq à six minutes ; elle faisait ensuite des mouvements semblables à
avec avantage aux efforts de plusieurs hommes réunis, quand, quelques minutes aupara-vant, une main seule aurait pu la contenir
quelques secousses dans le côté droit de la face. Après deux ou trois minutes de ce calme, toutàcoup se montre l'épilepsie; la
e de la perception pour tout ce qui se fait autour d'elle. Après cinq minutes de cette agitation survient du calme avec de Vext
ferment à demi, il y a du stra-bisme convergent. Au bout de quelques minutes , la tête se meut très rapide-ment par un mouvemen
t, son expression est celle d'une idiote; puis au bout de une'ou deux minutes , l'intelligence renaît rapidement. Les attaques
t par des efforts d'expuition. Cet état, qui se prolongea pendant dix minutes environ, fut suivi d'une nouvelle période de phén
rent enfin remplacés par une hallucination qui dura à peine quel-ques minutes . La malade, ouvrant les yeux démesurément, se jet
ivait souvent l'attaque et causait une aphonie hystérique de quelques minutes . La malade éprouvait une contrariété évidente de
ent pas toujours la même intensité : toutes les trois, quatre ou cinq minutes , plus ou moins, les cris et les mouvements convul
tion d'un certain nombre de muscles reste permanente pendant quelques minutes , plus ou moins, et produit une raideur tétanique
ercle et y demeurer un temps fort appréciable, quelquefois plu-sieurs minutes ; c'est une ébauche de la deuxième période. Ou bie
s'opère tout d'un coup. Cette phase de téta-nisme a duré en tout une minute . 2^ phase. — Suit alors une phase de résolution
entièrement suspendue et le cœur bat rapidement, quelquefois 160 par minute . Ensuite le corps se courbe lentement, de sorte q
énergiques ne peuvent parvenir à vaincre la tonicité des muscles. Une minute après le commencement de la raideur, le spasme ce
inspira-tion longue, pour recommencer de nouveau au bout de quelques minutes et dans le même ordre que précédemment... » Dan
r nombre peut être très considérable, de quarante par exemple en cinq minutes . » ..... Dans le degré le plus fort (de la comm
, GI... estprise desecousses((ui surviennent toutes les deux ou trois minutes . Elle a des sifflements d'oreilles, et entend des
e par Tti. Herpin. l^aris, 1807. p. 1G2 et suiv. ques secondes, une minute au plus. Ces petits accès se répètent toutes les
nute au plus. Ces petits accès se répètent toutes les trois ou quatre minutes . Le lien qui réunit la commotion épileptoïde à
ent dans la face, surtout du côté droit. Toutes les trois ou quatre minutes surviennent de petits accès ainsi carac-térisés :
n bruyants. Piespiration pénible et bruyante. Durée de l'accès : deux minutes . Elle a perdu connaissance. c. Quelques instant
table stertor. Durée générale, y compris le stertor, trois à quatre minutes . En se réveillant elle appelle : « Bot! Bot !'»
nt de torsion vers la gauche est plus prononcé. Puis, au bout d'une minute environ, la tète retombe sur l'oreiller, et la ma
fortement. Ce ballot-tement durait quelquefois pendant quatre ou cinq minutes de suite, et était accompagné et suivi de grandes
phobe, elle rejette ce'te coupe avec horreur. Elle se repose quelques minutes et recommence, puis elle caresse, rit, aboie, se
De légères frictions pratiquées sur l'épigastre, pendant une ou deux minutes . suffisaient pour l'endormir pendant deux ou tioi
eux minutes. suffisaient pour l'endormir pendant deux ou tiois autres minutes , et tout se suivait comme il a été dit. Les mômes
e il a été dit. Les mômes frictions, exercées pendant trois ou quatre minutes , le lui faisaient cesser; alors, ce que j'appelle
et sauter perpendicu-lairement et à la même place pendant cinq à six minutes . Elle répète ces diveis mouvements très régulière
ent vingt ou trente fois dans la journée, et ne duraient que quelques minutes . La malade perdait connaissance et se livrait en
venait de partir. Je regardai ma montre, il était quatre heures deux minutes . Elle était dans son lit, le visage parfaitemen
taient rapprochées et presque jointes sur sa poitrine. Après quelques minutes , elle les unit dans un frottement doux et lent. E
n de la croix. Jusqu'à 1 h. 47 m. c'est-à-dire pendant les trente-six minutes qui vont suivre, la malade va imiter les diverses
rvons » Le pouls est à 112. n Nous com|)tous 100 respirations par minute . Les muscles du thorax semblent paralysés; ils ne
e revient à elle, cause natu-rellement; mais après un répit de 3 ou 4 minutes , les paupières palpitent, la malade devient immob
terre sans connaissance et en complète résolution. Après 10, 20 ou 30 minutes , il se relevait et reprenait l'occupatron interro
n avait quatre ou cinq par jour et leur durée moyenne était de quinze minutes . Pendant l'une d'elles, nous nous avisâmes d'essa
échappe. Puis subitement il reprend connaissance au bout de 20 ou 30 minutes , et demande en riant ce qu'il a fait depuis une d
sentiment, fait quelques gri-maces et puis revient à elle ; quelques minutes après, il n'y paraît plus. Un mois environ avan
Au bout d'un temps généralement court (quelques secondes à plusieurs minutes ) et parfois d'une façon ins-tantanée, survient l'
par la simple occlusion des yeux, il n'a lien qu'au bout de quelques minutes , plus ou moins vite, suivant la constitution nerv
tes mains et les doigts douloureu-sement contractures; depuis déjà 20 minutes , elle était dans cet état si souvent pré-curseur
'hypnotisant, ce qui n'offrit aucune difficulté ; au bout de quelques minutes , le sommeil provoqué était obtenu, et cependant l
e est le suivant : Pendant un espace de tem|îs variable de cinq à dix minutes , elle a des absences; elle secroit marquise, duch
t accusée au moment RICUEH, 28 même de La pose de l'aimant : deux minutes environ après le début de l'ex-périence, nous sur
en bandant simplement les yeux : les choses restant ainsi pendant dix minutes sans que rien survint, ni sommeil ni anesthésie,
aimant en contact avec la face antérieure de l'avant-bras gauche; une minute après, environ, se reproduisit exactement ce que
avec L... nous maintînmes fermées les paupières avec lesdoigls : deux minutes ne s'étaient pas écoulées que la malade retomba d
réveil était presque instantané. Le sommeil survenait au boutdedeux minutes environ, toujours précédé dans le poignet droit e
racture cesse et la malade se sert de la main et du pied gauches. Une minute après, le même phénomène de contracture se reprod
ites sur elle avant son sommeil té-tanique. Je causai deux ou trois minutes avec elle, et je vis reparaître plusieurs fois le
placées par des applications de compresses d'eau froide de dix en dix minutes autour du cou, qui amènent également la réso-luti
si était-elle extrêmement maigre, froide et presque sans pouls. D'une minute à l'autre elle étendait ses bras en forme de croi
Jean, Jean, ouvre-moi les portes du paradis. Elle criait ensuite une minute , posait ses mains sur ses genoux, restait tranqui
ute, posait ses mains sur ses genoux, restait tranquille du-rant deux minutes , après quoi elle recommençait le même manège. Se
nde; ces phéno-mènes (qui rappellent la phase épileptoïde) durent une minute au plus et la malade s'endort plus ou moins profo
tat de résolution complète; le pouls était calme, battait 80 fois par minute , la respiration régulière, le visage sans express
es mouvements spasmodiques du larynx et du pharynx ; puis, après deux minutes de convulsions pendant lesquelles la malade écart
fut attentif à examiner comment les choses se passaient. « Quelques minutes avant une heure après-midi, elle se frotta le fro
^',03 de morphine dès l'apparition du hoquet, il s'arrêtait; 10 ou 15 minutes plus tard survenaient de la perte de connaissance
in, la raideur des membres a disparu, et les bras gardent à peine une minute les positions où on les met. — Le ventre est apla
par le sacrum. Elle est restée dans cette pose diflicile sept à huit minutes , et puis est retombée peu à peu. La journée se
e fortement diminués d'une manière générale, ont varié d'intensité de minute en minute. — Elle a uriné deux fois sous elle.
t diminués d'une manière générale, ont varié d'intensité de minute en minute . — Elle a uriné deux fois sous elle. Le 13. La
ôté gauche ces-sait d'être cataleptique au bout de vingt à vingt-cinq minutes , et comme à ce moment le droit l'était encore, no
-tons devant elle pour lui barrer le passage. A cinq heures moins dix minutes , madame X... quitte le jardin, remonte dans sa ch
est prise aussitôt d'un violent accès d'hystérie. Cet accès dure dix minutes , est suivi d'une période de catalepsie d'environ
dure dix minutes, est suivi d'une période de catalepsie d'environ dix minutes aussi; puis survient un second accès d'hystérie d
n dix minutes aussi; puis survient un second accès d'hystérie de cinq minutes qui se termine par un cri, au milieu duquel nous
les membres inférieurs soulevés pareillement. Elle resta environ dix minutes dans cette position, ne touchant le sol que par u
s deux inaiiis; le pouls était calme, régulier, battait 90 fois par minute ; puis nous vîmes sa physionomie changer d'express
orps forme un demi-cercle rigide (opisthotonos). Au bout d'une à deux minutes , cette contracture exagérée cesse pour recom-menc
rée cesse pour recom-mencer aussitôt, il en est ainsi jusqu'à 9 h. 40 minutes . 9 h. 40 minutes. — Alors nouvelles convulsions
m-mencer aussitôt, il en est ainsi jusqu'à 9 h. 40 minutes. 9 h. 40 minutes . — Alors nouvelles convulsions, surtout du côté d
rle, elle ne répond pas ; tous les sens paraissent abolis. 10 h. 15 minutes . —La scène change, la sensibilité est exquise. La
n dans celle de l'interlocuteur. Si je l'entretiens pendant quel-ques minutes de choses complètement étrangères à son monologue
se plaint d'un violent mal de tête et demande à boire. Au bout da-20 minutes , elle se rendort. 2 h. 1/2. — Début d'une nouve
lle est fort étonnée de me trouver à ses côtés. 16 juillet, 9 h. 40 minutes . — Retard de 20 minutes sur la veille. Mousse lég
me trouver à ses côtés. 16 juillet, 9 h. 40 minutes. — Retard de 20 minutes sur la veille. Mousse légère aux lèvres. Calme ju
inutes sur la veille. Mousse légère aux lèvres. Calme jusqu'à 9 h, 45 minutes . Pouls à 84. 9 h. 45 minutes. — La malade se cr
gère aux lèvres. Calme jusqu'à 9 h, 45 minutes. Pouls à 84. 9 h. 45 minutes . — La malade se croise les bras derrière le dos.
— La malade se croise les bras derrière le dos. Pouls à 96. 9 h. 55 minutes . — Les bras et les jambes sont secoués violemment
aque fois qu'elle retombe, ses membres sont en résolution. 10 h. 10 minutes . — Projections du bassin en avant (hystérie libid
ait de la bouche, les membres sont en complète résolution. 10 h. 13 minutes . — Respiration difficile, rfdes étranglés, projec
icile, rfdes étranglés, projections du bassin, pouls à 80, 10 h. 16 minutes . — Les râles deviennent de plus en plus étranglés
ant sur les mains comme pour aspirer l'air qui lui manque. 10 h. 29 minutes . —Pleurs, sanglots, quelques secousses; les membr
ts, quelques secousses; les membres tombent en résolution. 10 h. 35 minutes . — Les yeux s'ouvrent. Somnambulisme avec monolog
rphysiquement et moralementensniie. Réveil à deux heures. 2 h. 10 minutes . — Nouvelle crise identique à la précédente, et q
Nouvelle crise identique à la précédente, et qui se termine à 3 h. 8 minutes par du somnambulisme. Réveil à 3 h. 40 minutes.
ui se termine à 3 h. 8 minutes par du somnambulisme. Réveil à 3 h. 40 minutes . 17 juillet, 9 h. 30 minutes. —Début de l'accès
par du somnambulisme. Réveil à 3 h. 40 minutes. 17 juillet, 9 h. 30 minutes . —Début de l'accès, mousse aux lèvres. 10 heures.
eures. —Fin des convulsions, projections rhythmées du bassin. 10 h. 5 minutes . — Ronchus plaintifs. 10 h. 20 minutes. — Pleur
rhythmées du bassin. 10 h. 5 minutes. — Ronchus plaintifs. 10 h. 20 minutes . — Pleurs et sanglots, quelques secousses. Appari
aura lieu dorénavant à chaque crise, jusqu'à la dernière. 10 h. 40 minutes . — Somnambulisme avec monologue et état catalepti
utes. — Somnambulisme avec monologue et état cataleptique. 11 h. 25 minutes . — Hallucinations. 1 h. 25 minutes. — Les globe
et état cataleptique. 11 h. 25 minutes. — Hallucinations. 1 h. 25 minutes . — Les globes oculaires roulent sous les paupière
ent sous les paupières : ceci .précède toujours le réveil de quelques minutes . 2 h. 25 minutes. — Début de la seconde crise q
res : ceci .précède toujours le réveil de quelques minutes. 2 h. 25 minutes . — Début de la seconde crise qui se termine à 3 h
2 h. 25 minutes. — Début de la seconde crise qui se termine à 3 h. 35 minutes . 28 juillet. — Début de l'accès 12 h. 15 minute
termine à 3 h. 35 minutes. 28 juillet. — Début de l'accès 12 h. 15 minutes . Nous allons en donner le détail, afin de faire v
u mois, sauf les hallucinations qui ont disparu récemment. 12 h. 15 minutes . — Mousse aux lèvres. 12 h. 18 minutes. — Crois
isparu récemment. 12 h. 15 minutes. — Mousse aux lèvres. 12 h. 18 minutes . — Croisement des bras derrière le dos, la tête e
ête est for-tement appuyée par la face dans les oreillers. 12 h. 19 minutes . — Projections du bassin, la malade se soulève et
u bassin, la malade se soulève et re-tombe plusieurs fois. 12 h. 20 minutes . — Violentes secousses, râles plaintifs. 12 h.
12 h. 20 minutes. — Violentes secousses, râles plaintifs. 12 h. 22 minutes . — Projections rhythmées du bassin. 12 h. 24' m
s. 12 h. 22 minutes. — Projections rhythmées du bassin. 12 h. 24' minutes . — Secousses violentes des membres inférieurs, en
es des membres inférieurs, en cadence avec la respiration. 12 h. 25 minutes . — Les bras sont retournés et placés derrière le
etournés et placés derrière le dos, plaintes et secousses. 12 h. 26 minutes . — Position des mains à la gorge, râles étranglés
minutes. — Position des mains à la gorge, râles étranglés, 13 h. 26 minutes 1/2. — Les bras se tordent et se détordent, viole
ent et se détordent, violentes secousses de tout le corps. 12 h. 28 minutes . — Pleurs et sanglots. 12 h. 30 minutes. — Mouv
e tout le corps. 12 h. 28 minutes. — Pleurs et sanglots. 12 h. 30 minutes . — Mouvement des pouces en cadence avec la respir
ment des pouces en cadence avec la respira-tion plaintive. 12 h. 31 minutes . — Secousses ; elle ouvre les yeux, se soulève fa
s. — Secousses ; elle ouvre les yeux, se soulève faiblement. 12 h. 32 minutes . — Somnambulisme; elle parle. Réveil à 1 heure
souvenir de ce qui vient de se passer et n'a rêvé à rien. Après cinq minutes de lucidité vient une attaque que suspendent les
ilepsie. Jamais nous n'avions observé ces phénomènes. Us ont duré une minute /, puis, une attaque hystériforme, sans écume à la
ont égales, l'insensibilité est absolue et universelle. Au bout d'une minute , résolution et coma. Puis, au réveil, les yeux s'
éterminé un réveil définitif; puis elle était restée pendant quelques minutes dans un abattement pénible et exprimant par geste
al se fait soit spontanément au bout d'un temps qui varie de quelques minutes à plusieurs heures, soit sous l'influence d'exci-
e se souvenait parfaitement d'avoir vu une flamme éclatanle; quelques minutes après, elle voit une lumière éblouis-sante rouge,
ême cause qui les reproduit depuis. Les crises durent depuis quelques minutes , jusqu'à un jour entier et plus. Les essais de
'on venait de l'endormir. Le sommeil n'avait été pro-longé que de dix minutes . La malade a voulu parler; mais la contrainte à l
taque de cata-lepsie venait de la prendre, et la quitta en cinq à six minutes , ce que l'on connut parce qu'elle bâilla, se leva
oyons une première attaque d'épilepsieà neuf heures trois quarts; dix minutes après, une deuxième attaque se pro-duit suivie d'
la température rectale; elle est de 39°8. Au bout détruis à quatre minutes , l'animal paraît inquiet, agité; il gémit, se pla
espiration devient fréquente, la bouche est baveuse. Au bout de vingt minutes , on remarque quelques secousses très légères, ou
la veine crurale la dose énorme de U'^bO d'essence d'absinthe. Cinq minutes après, il a un mouvement de recul brusque, accomp
ma-tières fécales. Les convulsions cloniques persistent pendant deux minutes et demie à trois minutes, et cessent ensuite pend
onvulsions cloniques persistent pendant deux minutes et demie à trois minutes , et cessent ensuite pendant un court espace de te
is minutes, et cessent ensuite pendant un court espace de temps (cinq minutes environ), il n'a plus que la respiration très hal
écume se montre à la boucfie, et la langue est mordue; Après quelques minutes . Cl..., revient à lui, conserve un air hébété tou
. Une lame de platine, après qu'elle a été traversée pendant quelques minutes par un courant très faible, agit à la façon des c
ensibihté —• supposons que ce soit l'avant-bras — au bout de quelques minutes , le malade éprouve de la lour-deur dans le membre
nger plusieurs heures, à la suite d'une seule application de quelques minutes , que M. Charcot a donné le nom d'oscillations con
mètres et 5 dixièmes. Ces oscü-lations se répétèrent pendant quelques minutes , et toujours il fut constaté que pen-dant que la
Au bout d'un temps qui varie de quelques se-condes à quinze ou vingt minutes au plus, on peut suivre pas à pas la réapparition
papiers de diverses couleurs, on constate qu'au bout de la troisième minute de Vap-plication elle distingue le jaune. Puis la
du jaune. 56 m. 10 s. disparition du rouge. A ce moment pendant trois minutes , c'est-à-dire jusqu'à la prochaine oscillation, l
st plus ni anesthésique ni achromatopsique. Cet état durait encore 45 minutes après la fm de cette expérience. Mais la malade o
rapportent à l'observation qui précède. Sur une feuille divisée en minutes par des lignes verticales, nous avons noté avec s
celui de leur disparition dans l'autre œil (voy. p. 541). Quelques minutes plus tard celte hémianesthésie acquise a disparu,
bilité récupérée persiste pendant un temps très variable, de quelques minutes à plusieurs jours. Dans ce dernier cas elle dispa
ée et serait excité outre mesure après un bain électrique de quelques minutes seulement. Un autre supporte dès la première fois
élevaient et retombaient par bonds d'une manière effrayante. Quelques minutes de repos suffisaient pour leur faire oublier le s
, a dit qu'oui, et que ledit Barré lui avait fait beaucoup de mal. La minute originale est signée : De Cerisay, Chauvet, lie
ême temps que leurs pieds. » Cette crise dure plus ou moins, 10, 20 minutes , une demi-heure, selon la cause qui l'a provoquée
epuis en sondant la profondeur du trou. Après un intervalle de deux minutes , le même prêtre cloue de la même ma-nière la main
, le pied de la croix restant à terre. A sept heures cinquante-cinq minutes , on élève la tête de la croix plus haut, en l'app
j'achèverai de suite ce qui regarde Françoise. A neuf heures vingt minutes , elle fait reposer sa croix à plate terre; à neuf
tes, elle fait reposer sa croix à plate terre; à neuf heures quarante minutes , elle la fait relever contre le mur; à dix heures
la croix où elle a resté moins d'une demi-heure. A dix heures douze minutes , on élève la croix de Françoise, dont les pieds é
lame en tâtonnant en plusieurs endroits. Il est dix heures vingt-cinq minutes . Le prêtre enfonce un peu la pointe de la lame qu
moins longue que celle d'une saignée, il ne sort pas de sang. Deux minutes après, Françoise den)ande à boire, on lui donne d
elle avale après bien des signes de croix. A dix heures trente-cinq minutes , on la recouche avec sa croix; il y avait plus de
ssaient s'évanouir, et après être restés dans cet état quinze à vingt minutes ,étaient pris de convulsions généralisées qui n'av
d'atteindre la moitié du cou du cheval, et cela six ou huit fois à la minute . » Les secousses étaient souvent limitées au bras
on une heure sans s'arrêter, et faisait au moins cinquante tours à la minute . » D'autres dansaient « d'un mouvement qui ne man
u varié ». Une jeune femme dansaitsur son banc pendant viugt à trente minutes . Elle avait les yeux fermés, et ses mouvemeids n'
x-mêmes. Une autre femme, placée aussi près de nous, ne cessa pas une minute , pendant plus de deux heures que nous fûmes là, d
e la tête, resta dans c«tf,e position sans mot dire pendant plusieurs minutes , puis tout d'un coup poussa un cri terrible et s'
que l'on peut à peine reconnaître. Tout demeure ainsi l'espace d'une minute et demie à peu près. Puis, la tête se relève, les
n normale; la peau est fraîche, le pouls bat soi-xante-douze fois par minute . Au bout de quelque temps, la conversation langui
bond et se met à genoux dans f attitude de l'oraison. Après quelques minutes d'absorption profonde, elle se "rassied. .....
lument imperceptible, elle râle. .....Cet état dure de dix â quinze minutes , puis la vie se réveille. La chaleur se ranime,
me, le pouls se relève, les joues se colorent, mais, pendant quelques minutes encore c'est l'expression indéfinissable de l'ext
souple, sans aucune tension, battant environ soixante-quinze fois par minute . De temps en temps, les battements de cœur se pré
and on élève les membres su-périeurs, ils gardent pendant neuf ou dix minutes l'attitude qu'on leur fait prendre, puis ils rede
n'est pas facile, les battements sont de cent-viugt à cent-trente par minute . Les mouvements res-piratoires deviennent de plus
re d'une sueur froide. Comme nous l'avons dit, au bout de dix à douze minutes la réaction se produit; le pouls reprend sa force
3 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
e musculaire, et W... reprend connaissance. L'arrêt n'a duré que cinq minutes . Aujourd'hui les attaques présentent quelques mod
r les cuisses, etc. Regard effrayé; pupilles très dilatées. Durée une minute . vne attaque. — a) Période épileptoïde. — Durée
itabilité musculaire.—M.X...regarde fixement la malade; au bout d'une minute , on observe un léger spasme, les paupières se fer
varienne. La malade se réveille en conservant sa contracture. Vingt minutes plus tard, W... est endormie de nouveau par le re
. Quoique l'inhalation d'éther ait été poursuivie durant vingt-cinq minutes , la malade a peu parlé ; son délire est discret.
out depuis le 1er janvier de l'année courante. 10 septembre. — Cinq minutes après notre départ, elle s'est réveillée en pleur
re se dissipe très promptement. W... revient à elle au bout de quinze minutes , et mange énormément, de même qu'à la suite des i
plus rapidement que de coutume. Renâclement, salive mousseuse. — Cinq minutes après la suspension du chloroforme, elle se révei
0 à 40 centimètres1. W... conserve cette position durant près d'une minute ; ensuite elle retombe lourdement sur son lit; 1
rer le chloroforme après avoir fait inhaler de l'éther pendant 10, 15 minutes , etc. Cette double anesthésie a été mise à contri
es, suspendues momentanément, reparaissent après un répit de quelques minutes , d'une ou deux heures au plus. L'une des compli
nde phase de l'aura ovarienne [aura hystêrogène); elle dure de 5 à 10 minutes tout au plus; enfin se manifestent les troubles c
ble. Cette première phase de l'aura dure au plus une demi-journée, 30 minutes au minimum. La boule remonte ensuite jusqu'au l
.., elle atteint jusqu'au larynx même. — qui dure habituellement 10 minutes — qu'intervient la région hystérogène sus-mammair
illes, surtout à gauche, enfin P... perd connaissance au bout de cinq minutes . — Il n'y a pas d'hallucinations. 1 Les attaque
erte », puis, perte de connaissance. L'évanouissement durait 20 ou 30 minutes au début ; plus tard, il se prolongeait pendant 3
ration est plus fréquente, un peu haute. — Au bout de trois ou quatre minutes , on note un léger tremblement des mains. Le pouls
) est toujours à 108. La respiration (R.) s'accélère, arrive à 44 par minute ; P... semble être menacée d'une attaque. Pour la
eur, mais prédomine au-devant du larynx. C'est pendant cette phase (5 minutes ), que la région hystérogène sous-mammaire, — qui
ein. » L'attaque, à ce moment, est inévitable et, au bout de quelques minutes , les troubles céphaliques se développent, aboutis
cousses, change de couleur et les convulsions n'éclatent que 10 à 15 minutes après l'excitation. La pression sur la région s
ncre et conservent l'attitude qu'on leur impose, les jambes pendant 5 minutes , les bras durant 8 minutes. On voit que, chez M
de qu'on leur impose, les jambes pendant 5 minutes, les bras durant 8 minutes . On voit que, chez M..., il y a trois régions o
n au creux de l'estomac. Cette montée de la boule durerait environ 15 minutes . Puis, D... a des palpitations cardiaques, la b
au cou et entre les épaules, déclare la malade, l'attaque n'est pas 5 minutes à venir. » En effet, les troubles céphaliques se
e et dans les reins. — Pertes blanches fréquentes. Aura. — 5 à 10 minutes seulement avant les attaques. P... a une douleur
n'a qu'une très courte durée. 10 janvier. — Application pendant 20 minutes de plaques de zinc au-dessous du coude droit dans
t. — Application de plaques de zinc sur-l'avant bras gauche durant 15 minutes , pas de modification. 13 janvier. — La plaque a
n collier de plaques de zinc autour du mollet. Aucun changement en 15 minutes . 14 janvier. — Application des plaques de zinc
Au bout d'une heure et demie, seconde attaque syncopale qui a duré 10 minutes et après laquelle la vision a reparu à droite.
dans le manchon de la pile Grenet. La sensibilité reparaît en 7 ou 8 minutes sur la main et le quart inférieur de l'avant-bras
Inhalation ammoniaque : P... revient vite à elle; au bout de quelques minutes , les attaques reparaissent : chloroforme. 26 fé
ge de « tortillements ». Cette douleur du dos ne dure pas plus de dix minutes . « Quand ça m'attrape là, dit la malade, j'étouff
es flancs : cette phase (aura hystérogène) de l'aura dure au plus dix minutes . La rachialgie ne subit aucune modification. La
uivie d'attaques qu'après un malaise qui se prolonge une trentaine de minutes , la même manœuvre sur les régions hystérogènes de
a peine à la réveiller et elle ne fut rassurée qu'au bout de quelques minutes . V... n'est pas dormeuse, 5 à 6 heures lui suff
de quelques secondes, il se produit une bande érythémateuse ; 3 ou 4 minutes plus tard, la rougeur disparaît et les lettres se
a névralgie intercostale, une attaque syncopale qui a duré environ 15 minutes : elle était pâle, immobile, semblable à une mort
nts. — Elle se réveille fréquemment et se rendort au bout de quelques minutes : elle est dormeuse, répète-t-elle. La sensibil
exagère d'abord cette douleur, qui diminue ensuite pendant plusieurs minutes . La sensibilité cutanée est à peu près tout à f
. V. 37°, 6. — Les bras, élevés, conservent cette attitude pendant 15 minutes à gauche et 20 minutes à droite. 13 mai. — P. 8
, élevés, conservent cette attitude pendant 15 minutes à gauche et 20 minutes à droite. 13 mai. — P. 80-84; T. V. 37°, 6. 1
es bras conservent la position qu'on leur donne durant quinze à vingt minutes . P. 92; T. Y. 37°, 6. 7 juin. — Dans l'après-mi
fois de suite. Les crises étaient séparées par un répit d'environ 10 minutes . Elles ne s'accompagnaient ni de rires, ni de ple
il y avait de temps qu'elle dormait et s'est rendormie au bout de 10 minutes . Sa situation générale est la même que dans la
tronc, les doigts étant écartés, conservent cette position pendant 5 minutes et se replacent dans l'extension et rigides le lo
. 84 ; R. 22 ; T. R. 37°. Accès de fou rire qui durent quelquefois 10 minutes . Planche XII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE ATTAQUE DE
e. On fait 12 séances d'électrisation (30 à 40 éléments), durant 10 minutes . Un électrode étant placé sur le front, ou le ver
upières se ferment. Cette situation a une durée qui varie de quelques minutes à plusieurs heures, même une journée. Le corps
les bras, placés dans une attitude, la conservaient pendant quelques minutes . La face est rouge, chaude, quelquefois sudoral
ur des siens, et fixez vos yeux sur lui. Vous resterez de deux à cinq minutes dans cette situation, ou jusqu'à ce que vous sent
us les poserez sur les deux épaules, vous les y laisserez environ une minute , et vous les ramènerez le long des bras jusqu'à l
es jusqu'au creux de l'estomac : là, vous vous arrêterez environ deux minutes en posant les pouces sur le creux de l'estomac, e
gnétiser, et même à une certaine distance d'elle ; après les quelques minutes de recueillement qui doivent précéder toute expér
u front et des régions pariétales, et demeurez ainsi pendant quelques minutes . Tout le temps que dure l'opération vous variez p
à son action, lui recommandait de fermer les yeux, et après quelques minutes de recueillement, lui disait d'une voix forte et
rvent qu'à ralentir le commencement du sommeil. Après deux ou trois minutes de cet état immobile, on voit les yeux du sujet r
de que, de chez nous, nous l'endormirions à trois heures du soir. Dix minutes après, nous avions oublié cette plaisanterie. Le
uvais pas bouger ni mes bras ni ma tête. Cela durait à peu près 4 à o minutes . Puis, à la fin, j'éprouvais un bien aise que je
lant le stertor; la tète tombe sur l'épaule. Ceci a duré environ deux minutes . La résolution est complète, la face est immobile
elle pas qu'ils l'étaient avant l'expérience.) — On la rendort en une minute . L'hyperexciiabilité musculaire est très pronon
temps assez long (on n'a jamais prolongé l'expérience plus de 4 ou 5 minutes ); il est possible de mettre une charge de 40 kilo
ait flasque ; le pouls à 28-32; la respiration très ralentie (3-0 par minute ) ; la température au-dessous de 36°; la face cyan
'avoir été inconvenante. Bientôt elle cesse de parler. En une ou deux minutes , elle est dans la résolution et, à ce moment, ell
dormir B... Avec le chloroforme, le sommeil survient en deux ou trois minutes . — Dans les deux cas, elle se réveille promp-teme
t au niveau de la région ovarienne et à l'épigas-tre, dure de 15 à 30 minutes . — Dans la seconde phase, la boule va de l'épigas
va de l'épigastre à la fossette sus-sternale : elle dure environ cinq minutes . C'est alors qu'intervient la rachialgie, la zone
lle préfère s'asseoir ; elle frotte ses paupières. Au bout de 15 à 20 minutes , B... est entièrement rétablie. 3 avril. — Biie
nnent toucher sa tête. Puis, elle a des « extases » qui durent 5 ou 6 minutes : elle s'asseoit brusquement, voit sa sœur au cie
saurait dire si, pendant cette phase, qui ne dure que trois ou quatre minutes , les zones hys-térogènes interviennent. La boule
t des mouvements de déglutition et S... recouvre la connaissance. Dix minutes plus tard, S... est reprise d'une attaque : Jo Pé
ettres se dessinent en relief d'un millimètre et demi. A la cinquième minute , la rougeur disparaît ; à la sixième, les lettres
en inhalation. Elle revient assez vite ; mais, au bout de cinq ou six minutes , elle est reprise d'une attaque dans laquelle ell
dormie par le regard; elle résiste et ne s'endort qu'au bout de 3 à 4 minutes . Palpitations des paupières, plusieurs grandes in
s développées, ajouter : Planche XI. Page 128, ligne '12, après: 10 minutes , ajouter Planche XII. Page 220, ligne 26, après
4 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une grande cage dans laquelle nous avons placé un lapin. Après cinq minutes de mouvements d'évolution complète de l'appareil,
ouvements. Le lapin reste dans cet état de stupeur pendant quelques minutes et, peu à peu, il reprend ses habitudes. Après
utes et, peu à peu, il reprend ses habitudes. Après un repos de dix minutes , il revient à l'état normal, ne supportant pas.
a souvent des secousses générales ; après un repos de deux à trois minutes , il reprend son état normal. Alors nous balanço
omènes. Nous voyons de plus, après des mouvements de vingt à trente minutes , une salivation abondante ; la salive était alc
. Peu après le début de l'expérience, il a com- mencé à lécher; dix minutes après, il bâillait; trente minutes après, il a
il a com- mencé à lécher; dix minutes après, il bâillait; trente minutes après, il a eu une salivation, mais pas aussi a
ssie et du rectum. L'ani- mal est redevenu d'aplomb au bout de deux minutes . Ensuite, nous avons entrepris une série d'expé
Fig. 5. - Tracés pris en repos et après les mouvements de quarante minutes . La cour- bure supérieure indique toujours la r
uvement. Ainsi, il commence à crier pendant les vingt premières minutes ; ensuite, il gémit en se léchant et cela imm
e indique la respiration thoracique. tig. 10. -'l'races pris cinq minutes après la saignée. Fig. 9. - l'rucr ps 'immédi
respirations sont devenues plus fréquentes et moins amples. Cinq minutes après, elles étaient très fréquentes et petites.
. Cinq minutes après, elles étaient très fréquentes et petites. Dix minutes après, elles étaient déjà moins fréquentes et p
ement, tantôt il tombe dans un état de f Fig. 11. - Tracés pris dix minutes après la saignée. Fig. 1v. - Tracés pris en bal
es après la grande saignée, nous avons balancé le même chien ; cinq minutes à peine après le début du balancement, le chien
nimaux placés sur notre appareil en mouvement. a). Lapins. Quelques minutes après le début des mouvements, les lapins ne pe
mais surtout les bâillements et les ravalements. 1 Vingt à trente minutes après le début des mouvements, ils ont une sali
ertige marin. Alors nous nous embarquons ; après une attente de dix minutes , durant lesquelles tout le monde se portait bie
embarquement jusqu'au début du vertige ne dépassait pas quelques minutes , ce qui n'est pas admissible comme incubation p
t, elle étend tout d'un coup le bras droit et reste ainsi plusieurs minutes fixe, immobile, sans répondre aux ques- tions q
orte, qu'elle n'est plus elle. Les membres restent pendant quelques minutes dans les po- sitions qu'on leur imprime ou qu'e
le bras droit étendu, le bras gauche demi-fléchi, pendant quelques minutes . Le visage ne ré- vèle pas de fatigue, la respi
ces posi- tions. Etats cataleptoïdes provoqués persistant quelques minutes . Elle est très calme depuis quelque temps, plut
ulaires qu'il a produites chez des chiens après une rotation de dix minutes (tète fixée au bord de la table qui tourne). Sy
e profonde torpeur ressemblant au sommeil et qui durait environ dix minutes . Au bout de ce temps elle se . réveillait mais
er accident le 18 octobre 1875. Descente à 32 brasses, séjour de 10 minutes , décompression brusque, hiti- tième tmmcMM) ?
en fait une huitième à la même profondeur et après un séjour de dix minutes dans le fond de la mer, on le fait monter en un
our de dix minutes dans le fond de la mer, on le fait monter en une minute . On lui enlève le casque ainsi que la tunique a
es, sans que le malade s'aperçoive de quelque chose d'anormal. Cinq minutes environ après son dépouille- ment, il est pris
peut uriner; la défécation est extrêmement difficile et en quelques minutes , cet affaissement devient une paraplégie coin-
r ses membres s'étendre, sans pouvoir les fléchir, pendant quelques minutes . Pas de dimi- nution de volume des membres, pas
im- mersion faite à onze heures du matin, après un séjour de dix minutes , on le fait monter, on le décomprime comme toujou
n le décomprime comme toujours très rapidement, c'est-à-dire en une minute tout au plus. Immé- diatement après l'enlèvemen
d'heure de séjour dans le fond, et une décom- pression brusque. Dix minutes après l'enlèvement du casque, le malade est att
e l'estomac et aussitôt après, il perd connais- sance pendant trois minutes seulement. Revenu à lui, le malade a 156 CLINIQ
cas contraire, il avait toujours soin de ne pas rester plus de dix minutes dans le fond. Vingt-cinq jours après, son état
faite à la profondeur de 18 brasses, après un séjour de trente-cinq minutes de durée et une décom- pression brusque d'une d
conditions que celle qui a causé l'accident suivant. Pendant six minutes après l'enlèvement du casque, le malade n'a rie
siènte immersion; profondeur de 25 brasses; séjour de plus de vingt minutes ; décom- pression brusque moins de une demi-minu
endu à une profondeur de 25 brasses et avait séjourné plus de vingt minutes ; la décompression a été assez Archives, t. XVI.
tres, quelquefois plus, et prolongeant son séjour de vingt à trente minutes . Dans ces conditions, il a eu la DES ACCIDENTS
t d'heure; décompression brusque. - Cécité complète ayant duré cinq minutes ci peine et aphasie motrice. Paraplégie. Syndro
ongé plus d'un quart d'heure, qu'il a eu l'accident suivant. --Deux minutes après la décompression, faite comme toujours d'
vers, enfin pas d'autres symptômes cépha- liques. Au bout de cinq minutes , la cécité s'est passée d'une façon complète, l
nt l'accident, mais il n'en a pas été de même pour son aphasie. Dix minutes après l'accident à côté de l'aphasie, il devien
ions que les quatre pré- céderzles, 26 brasses de profondeur et dix minutes de séjour dans le fond; décompression brusque,
r et dix minutes de séjour dans le fond; décompression brusque, une minute . Symptômes d'invasion; 166 CLINIQUE NERVEUSE.
es, chaque fois le séjour dans le fond n'ayant pas duré plus de dix minutes , il en fait une cinquième tout à fait dans les
ut à fait dans les mêmes conditions de profondeur, de séjour et une minute de décompression. Il ne toussait pas, il n'avai
; séjour de vingt DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 167 minutes plus prolongé que dans les 5 immersions précédent
urs à l'estomac, gêne de la respi- ration et aphasie motrice de dix minutes . Paraplégie des membres inférieurs. Six heures
de 26 brasses, il en fait une sixième : cette fois, il reste vingt- minutes dans le fond, au lieu de dix a quinze qu'il éta
e ni écrire. Pas d'aphonie. 168 CLINIQUE NERVEUSE. Au bout de dix minutes , ses douleurs ainsi que son trouble de langage
mètres, et chaque fois de prolonger son séjour de trente à quarante minutes . Quant à la décompression, qu'elle soit brusque
de profondeur, une demi-heure de séjour, décompression brusque une minute . Symptômes d'invasion : malaise; douleurs à l'h
décompression a été exécutée comme d'habitude, c'est-à-dire en une minute . Aussitôt après sa montée, il a senti un malaise
e même séjour que les 4 précé- dentes. La décompression a été d'une minute . Un quart d'heure après sa montée et l'enlèveme
l pleurait en pous- sant des cris comme un enfant. Au bout de vingt minutes , cette douleur cesse pour faire place à un engo
rsion, faite à une profondeur de 23 brasses ; séjour de vingt- cinq minutes ; décompression brusque. Paralysie de la motilité
de 23 brasses, mais le séjour ayant été prolongé jusqu'à vingt-cinq minutes , la décompression a été brusque comme toujours. P
e profondeur de 25 brasses, le séjour n'ayant pas dépassé les douze minutes . Il affirme, non seulement lui, mais encore un
ait 4 immersions, de S4 à 27 brasses de profondeur et de huit à dix minutes de séjour, sans qu'elles fussent suivies d'accide
des immersions de 20 à 2b brasses de profondeur et de huit à douze minutes de séjour. Heureusement, la reprise du tra- vai
ril 1886 par la sixième immersion, 25 brasses de profondeur, quinze minutes de séjour, une demi-minute de décompression. Do
tion de la parésie du membre gauche et réapparition au bout de cinq minutes . 23 avril, paraplégie complète et anesthésie de
sa série, il fait une 6e immersion à 25 brasses de profondeur et 15 minutes de séjour. Quatre minutes après la décompressio
ersion à 25 brasses de profondeur et 15 minutes de séjour. Quatre minutes après la décompression qui a été faite en une d
d'autres troubles respiratoires. Pas de symptômes céphaliques. Cinq minutes après, éclate une parésie des membres supérieur
upérieurs, qui ayant commencé par l'extrémité gauche finit quelques minutes après par occuper aussi la droite. La sensibilité
ion ne devait pas durer bien long- temps. En effet, au bout de cinq minutes seulement, la parésie reparait telle qu'elle ét
avant l'éclzesemerzt, profondeur de 28 à 31 brasses, séjour de huit minutes , décompression d'une minute. Immédiatement aprè
eur de 28 à 31 brasses, séjour de huit minutes, décompression d'une minute . Immédiatement après la décompression, dozclezc
sivement jusqu'à 32 brasses. Son séjour s'est prolongé jusqu'à huit minutes . Décompression d'une minute. Dès qu'on lui enlè
Son séjour s'est prolongé jusqu'à huit minutes. Décompression d'une minute . Dès qu'on lui enlève le casque, ce scaphandrie
de se forcer pour faire sortir l'urine ; un intervalle de quelques minutes s'écoulait entre la sen- sation d'uriner et l'a
eu aux Observations 1, III, V, IX, XII. Ce temps a varié entre deux minutes (OBS. V), qui représentent le minimum d'interva
e part d'intervalle de bien-être parfait et d'autre part quelques minutes se sont passées sans symptômes bien définis, sa
iculer un seul mot a été remplacée brusquement dans l'espace de dix minutes seulement par un vocabulaire aussi riche qu'ava
s un espace de temps excessivement court; à notre observation, cinq minutes à peu près ont suffi- pour la guérison. Ces car
ur durée totale a été assez courte et varie entre le minimum de dix minutes (OBs. VII) et le maximum de trois heures (Cas.
piratoires. Ce symptôme a été très fugitif ; il n'a duré que cinq minutes . a). Soif. Ce symptôme paraît souvent tourmente
ngage augmentait, et, avec lui notre vertige, de sorte que quelques minutes après, quand nous avons voulu descendre dans no
ent pour la première fois par mer. On part le matin de Syra, et dix minutes après on sortait du port par une mer calme. Mai
édecine et la chirurgie ordinaires pour laquelle il sera accordé 20 minutes de réflexion et 15 minutes pour la dissertation
inaires pour laquelle il sera accordé 20 minutes de réflexion et 15 minutes pour la dissertation. Le maximum des points sera
° Une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé 30 minutes pour l'examen des deux malades, 15 minutes de r
énés. Il sera accordé 30 minutes pour l'examen des deux malades, 15 minutes de réflexion et 30 minutes d'exposition. L'un d
nutes pour l'examen des deux malades, 15 minutes de réflexion et 30 minutes d'exposition. L'un des deux malades devra être
développement. Ce temps, toujours très court, varie entre quelques minutes (comme chez le malade de l'OBSrRVATION I, dont
par un affaissement brusque, était devenue complète après quelques minutes ) et quelques heures (trois heures pour l'OBSERV
rieurs, qui ayant commencé par le membre gauche a fini, quelques minutes après, par envahir aussi le droit. Durant une d
on n'était pas destinée à durer bien longtemps, car au bout de cinq minutes , la parésie reparait telle qu'elle était aupara
temps variable, il est vrai, mais toutefois assez court, quelques minutes . Les contractures passagères sont bien plus fré
légie complète, soit dès le moment de son invasion, soit quelques minutes ou même quelques heures après : alors de deux c
tes, profondeur de vingt-quatre ci vingt-cinq brasses, dix ci douze minutes de séjour, une minute de décompression. Immédia
t-quatre ci vingt-cinq brasses, dix ci douze minutes de séjour, une minute de décompression. Immédiatement après l'enlèvemen
eux sans accident, à une profondeur de 24 à 25 brasses, dix à douze minutes de séjour, la décompression ne dépassant pas une
ix à douze minutes de séjour, la décompression ne dépassant pas une minute . A 9 heures, il fait sa troisième au même endro
fréquemment ses membres se raidissent en extension pendant quelques minutes , surtout la nuit. Tous les réflexes et plus spé-
e vingt-quatre heures, précédée d'une perte de connaissance de cinq minutes . 2° Accident survenu le 2 mars 1886, (t la quat
e vingt-cinq et vingt-six brasses, séjour au fond de la mer de cinq minutes et décompression d'une minute, au plus deux min
es, séjour au fond de la mer de cinq minutes et décompression d'une minute , au plus deux minutes après l'enlè- vement du c
la mer de cinq minutes et décompression d'une minute, au plus deux minutes après l'enlè- vement du casque, le plongeur per
du casque, le plongeur perd complètement connaissance pendant cinq minutes . Au bout de ce temps, il revient, sentant un po
fait trois immersions, vingt-sept brasses de profondeur, cinq à six minutes de séjour et une minute de décompression sans rie
ngt-sept brasses de profondeur, cinq à six minutes de séjour et une minute de décompression sans rien sentir, il descend p
ne seule éponge. Malgré cela, il a prolongé son séjour pendant cinq minutes . Dès que le scaphandrier a quitté le fond de la
On se hâte de le déshabiller et on commence à le frictionner. Cinq minutes ne se sont pas passées que le malade revient; i
il se lève, il se promène parfaitement bien portant. Au bout de dix minutes , il se plaint d'une céphalalgie intense qui sié
ctures passagères. Ce membre se raidit en extension durant quelques minutes . Pas de trace de paralysie aux membres supérieu
mersion de la deuxième série, trente brasses de pro- fondeur, vingt minutes de séjour, quarante secondes de décompres- sioi
dents, vingt-trois à vingt-cinq brasses de profondeur, dix ci douze minutes de séjour, trente secondes de décompression. De
ci douze minutes de séjour, trente secondes de décompression. Deirx minutes d'intervalle entre l'enlèvement du casque et l'
qui variait entre vingt-trois et vingt-cinq brasses, dix à douze minutes de séjour au fond de la mer et une demi-minute de
ersion à une pro- fondeur de trente brasses et ayant séjourné vingt minutes . Deux minutes après la décompression qui n'a pa
- fondeur de trente brasses et ayant séjourné vingt minutes. Deux minutes après la décompression qui n'a pas duré plus de
e, de sorte qu'à 5 h. lio, il revient lout à fait. Une vingtaine de minutes se passent sans que le malade présente aucun sy
omentanée, reviennent à des intervalles qui ne dépassaient pas deux minutes . En même temps, le malade avait des douleurs du
es, de temps en temps, se raidissent en extension durant quelques minutes , de préférence la nuit; la droite surtout s'agite
issement des yeux, vision d'étincelles. -Au bout de trois ci quatre minutes , perte de connais- sance, huit heures de durée.
accident, vingt à vingt-trois brasses de profondeur et dix à douze minutes de séjour, il fait la quatrième de sa série dan
ement des yeux, il voyait des étincelles. Au bout de trois à quatre minutes , ces symptômes oculaires ont été remplacés par
et une demi- heure de durée, décompression brusque. Trois ou quatre minutes après la décompression et l'enlèvement du casqu
été isochrone, mais il n'aurait jamais demeuré plus de dix à douze minutes . Pas de refroidissement, pas de toux, pas de re
ement, pas de toux, pas de repas avant l'immersion. Trois ou quatre minutes après la décompression brusque comme toujours,
u casque (Obs. XIV, XV, XVII. et tantôt quelque temps après, deux minutes pour ['OBSERVATION XVI et trois à quatre minute
emps après, deux minutes pour ['OBSERVATION XVI et trois à quatre minutes pour t'OasERYATioN XIX. La bonne description cl
raît et fait place à un intervalle de lucidité parfaite pendant dix minutes , au bout des- quelles survient une seconde atta
dans ces différents cas, a considérablement oscillé, depuis cinq minutes jusqu'à vingt-qnatre heures. Son invasion et sa
ment suivie de perte de connaissance qui n'a duré qu'une dizaine de minutes . B). Syndromes de symptômes respiratoires. Ce s
ntinuer, tantôt en laissant entre elles des intervalles de quelques minutes . La crise s'annonce par une légère douleur spéc
parfois elle devient tonique c'est d'un seul côté et pour quelques minutes . Provoquée par l'inquiétude morale, le décubitu
ction des papilles en même temps que le tracé pâlit. Après quelques minutes , la ligne tracée se dessine en relief de deux o
écision qui, dans la plupart des cas, ne lui demandera que quelques minutes d'exa- men. M. de Gavardie. Elle enregistrera
5 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
hangé. Pas d'écume, et enfin la connaissance reparait au boulde3ou. minutes . (Souvent les accès ont plus d'intensité.) Auto
ments alimentaires 3d'heure après l'ingestion des pilules, quelques minutes après le repas.- 23 avril, 6 pil. Du 5 au 13 ma
ouffrir beaucoup plus que quand l'attaque suit de près, de quelques minutes par exemple, l'arrivée des pro- dromes. Une s
s qui, dans l'intervalle des crises, bat en moyenne 30, 40 fois par minute , se ralentit encore pendant l'accès, jus- qu'à
es, égales, battements du coeur sourds et précipités. Au bout d'une minute , la malade ouvre les yeux, regarde d'un air éto
petit coeur, » paroles qu'elle répète plusieurs fois. Deux ou trois minutes s'écoulent encore avant que la face ne reprenne
récédés d'une aura, dont -la durée est approxi- mativement de trois minutes : ainsi, la malade peut venir d'une salle voisi
ace, le pouls diminuait, descen- dant parfois à 56. - Deux ou trois minutes après l'apposition de la vessie de glace, la pe
ent de la glace, la peau con- serve sa rougeur pendant sept ou huit minutes . Alors, il se forme des îlots blancs au niveau
els revient la chaleur. Ce n'est qu'après un laps de temps de vingt minutes que tout est normal. La glace aurait diminué la
u, elle fait place à une obnubi- lation de la sensibilité, et vingt minutes environ après l'éloignement de la vessie de gla
. Ces phénomènes précurseurs de l'accès durent en général de 5 à 15 minutes , parfois davan- tage. B... a été mise, en 1866,
plus colorée. Interpel- lée, B..... ne répond pas. Au bout de cinq minutes , les larmes coulent des yeux de la malade qui p
prononce quelques paroles incohérentes ; enfin, après 2 ou 3 autres minutes , elle revient tout-à-fait à elle. 7 avril : H
entigramme d'apo- morphine au niveau du deltoïde gauche. Cinq à six minutes plus tard, vomissements glaireux assez abondant
e celle-ci a été pratiquée, ils ont diminué et sont tombés, en cinq minutes , à 44. L'inhalation est supprimée, en 8 minutes
t tombés, en cinq minutes, à 44. L'inhalation est supprimée, en 8 minutes les battements du coeur montent à 1 iG ; cette
coeur montent à 1 iG ; cette augmentation continue encore durant 13 minutes (180) et enfin, elle est remplacée par un ralen
remplacée par un ralentissement progressif, de telle sorte que, 73 minutes après le début de l'expérience, on ne comptait
s 14 M. Inhalation de six gouttes de nitrite d'amyle, pendant 7 à 8 minutes avec retrait de la compresse do temps en temps. A
ITRITE D'AMYLE. 77 dix gouttes de nitrite d'amyle fut suivie, en 31 minutes , d'un abaissement de 38° à 34° ; deux heures et
ait de 56 ; une première inhalation réduit les inspirations à 6 par minute , une seconde à 42. - Dans l'Expo III, le nombre
42. - Dans l'Expo III, le nombre des inspi- rations descend à 7 par minute et remonte ensuite à zut et enfin 80. On retrou
ut un spasme du bras gauche qui commença par la main et en quelques minutes plaça les doigts dans l'extension forcée. Celle
tous les autres, la main était affectée de spasme suivi, quelques minutes après, de vertige auquel succédaient des convulsi
ccès. Miss E..., 26 ans. Epileptique depuis sept ans. Environ une minute avant l'accès, elle éprouve une sensation qu'elle
de 5 gouttes de nitrite d'amyle. Néanmoins, il eut un accès trois minutes plus tard. Une seconde fois, bien qu'il eut eu un
ans la matinée. A 10 heures 1/2, inhalation de nitrite d'amyle; dix minutes après, nouvel accès. Le nitrite d'amyle fut adm
malade se plaignit et remua la tète sur son oreiller. Au bout de 10 minutes , on fit une seconde inhalation de 10 gouttes. L
nitrite d'amyle. En 40 secondes, le malade ouvrit les yeux; en une minute , il leva la tête et regarda autour de lui; aprè
en une minute, il leva la tête et regarda autour de lui; après deux minutes , il reprit un peu connaissance et ré- pondit à
un peu connaissance et ré- pondit à l'appel de son nom. Après trois minutes , on lui fit 94 RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. Inh
isons inhaler du nitrite d'amyle à la malade pendant une dizaine de minutes , en ayant soin de retirer la compresse durant d
trite d'amyle à 1 heures 40, une seconde à midi, une troisième cinq minutes plus tard. Soir (5 heures). - B... a eu, depuis
que les lèvres sont violacées. Suspension de l'inhalation. En cinq minutes , M... a trois accès. Troisième inhalation : de
nitrite d'amyle à un enfant, nous écar- tons la compresse. Quelques minutes se sont à peine écoulées qu'un autre accès se p
e précédemment. L... aurait vu, en outre, du- rant une vingtaine de minutes , des chats gris ( ? ) et des étin- celles. Les
s chats gris ( ? ) et des étin- celles. Les urines expulsées quinze minutes "et deux heures àprés~l'altaque étaient claires
ttent les liens qui la main- tiennent. Ceci dure environ une à deux minutes . Puis elle dit : ton RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES.
érieure, e la sputation, Ces phénomènes persistent pendant quelques minutes ; enfin, elle revient tout-à-fait à elle, regard
mpossible de con- tinuer l'inhalation. Aussi, au bout d'une ou deux minutes , les convulsions reparurent-elles. Une nouvelle
nitrite d'amyle; l'inhalation est pratiquée lentement durant 8 à 10 minutes . A midi, la résolution était complète. La malade,
it et a encore des mouvements de lappe- ment et de déglutition. Dix minutes après l'inhalation : T.V. 18(J,L ' . 1 1 févr
assez longtemps et la ma- lade a de nouvelles attaques. A midi 10 minutes , inhalation de nitrite d'amyle et comme c'est l
r- \tiilements et la cyanose delà langue persistent pendant 3 à 4 minutes ; alors que les convulsions ont cesse. M... se lèv
8°, 1. - Nitrite d'amyle; inha- lations successives pendant 10 à 12 minutes ; disparition des convulsions : T. V. 37°,8. Un
atre attaques qui avortent. G... revient à elle au bout de quelques minutes après avoir respiré, en plusieurs fois, les vap
e et le' cou deviennent rouges. - Après un répit de trois ou quatre minutes , on note les in- dices d'une nouvelle crise (ba
ns. La face est devenue d'une pâleur extrême qui a duré cinq ou six minutes . G... se plaint d'avoir la tête plus lourde et
- halation est pratiquée en plusieurs fois pendant une dizaine de minutes . A diverses reprises, G... a des nausées, s'assie
e versée, toute bleue : puis, so ..t u omb de la face. Durant une minute environ, qui nous^semble bien longue /làTacëest
rayante. Les traits se détirent et G... est suivi, au *bout de cinq minutes , est prise un accès e a il suivi, au bout de ci
t de cinq minutes, est prise un accès e a il suivi, au bout de cinq minutes , d'un délire d'abord religieux, puis érotique.
lifie de « pertes de connaissance ; > elles , duraient de 8 à 10 minutes et s'accompagnaient quelquefois de chute (t).
t de chiens enragés, de gardes champêtres, de forêts, etc. Quelques minutes plus tard, la connaissance re- vient ; mais Ler
'écoule de la bouche. Ces divers symptômes ont duré trois ou quatre minutes . Ler... semble s'endormir. Elle se réveille en
membres. Enfin, après un ron- flement stertoreux qui dure quelques minutes , Ler... se ré- veille, exécute de grands mouvem
èdent quelquefois avec une assez grande rapidité. z Au bout d'une minute , Ler... revient à la connaissance. On achève de
vec le même instrument laissé à demeure pendant le même temps (20 minutes ), est à 35o,6 des deux côtés. Lorsqu'on essaie
s ; lavements de bouillon et de lait qu'elle garde à peine quelques minutes . - Application d'une vessie de glace sur la rég
; ISCHURIE. 1 i : 3 "3 cousses. Durant l'attaque, qui a duré trente minutes , l'avant- bras droit, fléchi sur le bras, est a
ait en proie à une oppression violente. Cet état durait depuis cinq minutes , quand la tor- sion de la tète s'est encore exa
à uri- ner et rendait en quelques heures, quelquefois en quelques minutes , 2, 3 ou même 4 litres 1/2 d'urine, contenant 20,
6 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
pour certains muscles, notam- ment à la cuisse, dépasse parfois une minute . L'excitabilité faradique est aussi plus grande
l'excitation a cessé. Si l'on prolonge l'excitation pendant 3/4 de minute à 1 minute, les muscles n'ayant pas encore été
on a cessé. Si l'on prolonge l'excitation pendant 3/4 de minute à 1 minute , les muscles n'ayant pas encore été excités éle
l'excitation et se prolongent souvent long- temps après (jusqu'à 1 minute et parfois même davantage). L'excitabilité galv
succédant au nombre de 2 à 15 par se- conde, pendant 1/2 ou 3/4 de minute ) il apparaît une contraction tonique et totale
le muscle rester contracté pendant un temps assez long souvent 1/2 minute ou davantage et sa décontraction ne se faire qu
t l'inscription était la vitesse minimum correspondant àun tour par minute . L'appareil volta- faradique était le grand cha
première, A, est produite par un courant inter- rompu 165 fois à la minute (2 interruptions 2/3 par seconde). Pendant la p
l'excitation, le muscle reprend aussitôt sa ligne de repos. Dans la minute suivante, après un repos d'une vingtaine de sec
sur le muscle homologue du côté opposé, avec 480 interruptions par minute (8 par, seconde). Au début, comme pour le muscl
e. - Chariot à 6 cm. 9/2. - A. Cuisse gauche. Interruptions 165 par minute (2 3/3 par seconde). - B. Cuisse droite. Interrup
minute (2 3/3 par seconde). - B. Cuisse droite. Interruptions 480 par minute (8 par seconde). - C. Cuisse gauche. Interruption
par minute (8 par seconde). - C. Cuisse gauche. Interruptions 660 par minute (11 par seconde). - T. Temps divise en secondes
des couches périphériques de la substance blanche. Au bout de 3 à 5 minutes , l'hyperhémie de la substance blanche devient p
e mets la planche sous un angle de 35 à 40 degrés; la séance dure 8 minutes . On recommence les séances tous les deux jours
es faites journellement et chaque fois on en augmente la durée de 5 minutes en arrivant progressi- vement à des séances d'u
ttrait le malade dans la position horizontale pour 30 secondes ou 1 minute et après on recommencerait la suspension. 34 NO
a position verticale pour un temps prolongé. Mais déjà au bout de 5 minutes de suspension verticale, on a vu des accidents mo
osition inclinée maximum que supporte le malade et au bout de 3 à 5 minutes , on fixe la planche pour un temps prolongé sous
d'emblée à des séances prolongées. Après la 3e séance qui a duré 20 minutes , la malade étant placée sous un angle de 50°, les
au des- sous de la supérieure. Tout cela ne durait qu'une à deux minutes et la contracture une fois éta- blie on ne voya
e. Chaque jour je la laissais s'exercer en ma présence pendant cinq minutes et à chaque mou- vement des muscles affectés, q
semaine, elle parvint à mettre son visage pendant une vingtaine de minutes dans son attitude normale; à la fin de la huitièm
les mouvements d'un de ses sujets. Chez un autre il a compté en une minute 33 mouvements d'élévation et d'abaissement de la
la petite s'évanouit et resta sans con- naissance pendant quelques minutes . Le lendemain la petite malade était seulement
toutes les six se- maines. Leur durée n'était alors que de quelques minutes . Les attaques arrivent toujours de grand matin
aite sur le même muscle que la Il, série, mais après un repos de 20 minutes . Ici les interruptions sont beaucoup plus fréqu
nutes. Ici les interruptions sont beaucoup plus fréquentes, 660 par minute (il par seconde). Elles produi- saient, avec la
aussitôt l'étal de repos. Les mômes excitations provoquées clans la minute suivante (2° el 3°), ne produisent plus le spasme
résultat d'excitations avec des intermittences au nombre de 190 par minute (3,)/6 par seconde). Nous retrouvons ici, A, qu
tation, retour immédiat et complet du muscle à l'état de repos. Une minute 1/2 après, troisième excitation pendant 14 se-
normal. Les inter- mittences sont un peu moins fréquentes (170 par minute , 2 5/6 par se- conde) ; néanmoins ce tracé, qui
6 par se- conde) ; néanmoins ce tracé, qui correspond à la première minute de l'ex- ploration, montre bien, par comparaiso
auche de notre malade, avec des intermittences au nombre de 370 par minute (6 1/6 par seconde). A la première excitation l
t complè- tement détendu et reprend aussitôt son état de repos. Une minute 1/2 après, troisième excitation; là encore ébau
excitations avec des intermittences encore plus fréquentes (490 par minute , 8 1/G par se- conde). On y voit, comme sur les
Gf..... ^ ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. ! )9 3 minutes . Le spasme myotonique est très marqué et assez pr
aît de nouveau il la quatrième ex- citation après un repos de 2 3 3 minutes . Oir le retrouve aussi en partie il la 6e excit
Bobine à gros fil écartée de 10 centimètres. -Interruptions HO par minute (7 2/C par seconde). (Réduit de 1/2). ô t,5
secondes que le muscle revient complètement au repos en a". = Deux minutes après nouvelle excitation (B, 1°) de 1 1/2 second
condes à se faire complètement. La troisième li- gne, C, prise deux minutes après la précédente, montre encore le même phén
uche. Entre chaque ligne il s'est écoulé un temps de repos de 2 à 3 minutes ; sur chacune d'elles les premières excitations
elles les premières excitations ont été faites il intervalles d'une minute et quelques secondes, c'est-à-dire après que le c
qui persiste longtemps. Pour toutes les excitations fai- tes à une minute d'intervalle cetle décontraction lente est très m
immédiatement après le précédent, Ù la suite d'un repos de quelques minutes ; mais ici la bobine induite au lien d'être la bob
la section précédente (ex- citations prolongées pendant i/2 à 3/ do minute et répétées ensuite à quelques secondes d'inter
tonique du muscle; ainsi la ligne C inscrite après un repos de deux minutes seulement, il la suite des excita- lions de la
de force modérée. Ces excitations sont faites il intervalles d'une minute , excepté plusieurs des dernières ex- citations
5 sept. 1888. ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 115 minute , on voit la décontraction lente se reproduire pen
t si on renouvelle les excitations courtes après un repos de 2 ou 3 minutes , on constate de nouveau sa présence et on voit
els chaque ligne d'inscription a été prise après un repos de 2 ou 3 minutes seulement à la suite de la précédente. Au contrai
à vu plus haut que les excitations prolongées pendant 1/2 ou 3/4 de minute , épuisaient beaucoup plus complètement le désordr
le désordre myotoni- que et qu'un repos prolongé pendant plusieurs minutes était souvent né- cessaire pour voir celui-ci r
ongent après elle, pendant un temps variable, dépassant parfois une minute . Dans cer- tains cas, même, par exemple lorsque
s excitations de la ligne suivante, inscrite après un re- pos d'une minute ; ces excitations se succèdent pendant la même mi
re- pos d'une minute ; ces excitations se succèdent pendant la même minute à quelques secondes d'intervalle. Il n'y a plus
D la première excitation, faite après un intervalle de repos d'une minute , est très courte (2 secondes et 1/3); lorsqu'el
t la décontraction lente du muscle, c'est-à-dire pendant près d'une minute , ce n'est qu'à ce moment, en W, que le muscle a
seconde ligne, B, au lieu de prolonger l'excitation pendant 3/4 de minute , nous avons, fait une excitation courte de 2 seco
s mouvements ondulatoires se pro- longent encore pendant plus d'une minute et au courant de la décontrac- tion le muscle s
ontraclion lente et mouvements ondulatoires ne cessent qu'après une minute de durée. A la troisième li- gne, C, deux excit
tout le se- cond lour du cylindre, c'est-à-dire pendant plus d'une minute . Le muscle droit antérieur de la cuisse droite
de l'excitation le muscle reste fortement contracté, et pendant une minute il est le siège de - 3 1> ui 0 G r
ement menu et irrégulier, qui ne cesse éga- lement qu'au bout d'une minute , en ? à ce moment la décontraction du muscle n'
i se prolonge pendant le second tour du cylindre et dure près d'une minute . Après un repos de deux minutes, une nouvelle exc
tour du cylindre et dure près d'une minute. Après un repos de deux minutes , une nouvelle exci- tation est provoquée, B ; à
e. Lors d'une cinquième excitation, C, faite après un repos de deux minutes , et prolongée pendant un temps un peu plus long
ent alternatifs du muscle et décontraction lente pendant près d'une minute . Les deux lignes suivantes représentent les tra
à ce que le muscle ai t atteint sa ligne de repos, en w, plus d'une minute après la fin de l'excitation. -La ligne suivante
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. temps en temps seulement, toutes les cinq minutes par exemple, surviennent des « secousses fulgur
ont été pris sur le même muscle, le même jour, après un repos de 10 minutes . Ils représen- tent des secousses produites au
le même muscle, dans la même journée, après un repos de quel- ques minutes seulement à la suite des excitations du pôle posi
de fermeture et d'ouverture du pôle positif, inscrites pen- dant Il minutes consécutives, en produisant de 3 à 4 fermetures d
es consécutives, en produisant de 3 à 4 fermetures du cou- rant par minute . Entre les lignes 8 et 9, il s'est écoulé un inte
lignes 8 et 9, il s'est écoulé un intervalle de re- posée quelques minutes nécessité par le changement du cylindre. Pendan
ntes, et qu'ensuite, pendant la seconde, mais surtout pendant la 3° minute ces secousses diminuent de tonicité ; elles se co
ps encore ensuite en état de contraction tonique. A partir de la 3" minute toutes les secousses se res- - 238 NOUVELLE )CO
igure 33 représente l'inscription de secousses produites pendant 14 minutes consécutives par le pôle négatif, dans les mêmes
s 10 el Il il s'est écoulé aussi un intervalle de repos de quelques minutes pendant lequel le cylindre a été changé. Pendan
êmement toniques et se maintiennent très toniques pendant plusieurs minutes . Ce n'est que peu à peu que di- minue ce caract
nt une faible décontraction partielle du muscle. A partir de la 10e minute ce crochet est très marqué et les tracés ressem-
nt. Cette contraction persistait sur certains muscles au delà d'une minute . Ainsi nous l'avons vue se prolonger plus d'une m
u delà d'une minute. Ainsi nous l'avons vue se prolonger plus d'une minute sur le triceps fémoral du côté gauche el près d
d'une minute sur le triceps fémoral du côté gauche el près de deux minutes sur celui du côté droit, qui, ainsi que nous l'
ent de 5 à 30 secondes, et, dans certains cas, peuvent dépasser une minute . L'excitabilité faradique des muscles est aussi
oduisait clans le cas d'une excitation pro- longée (de 1/2 à 3/4 de minute ) et une intensité modérée de courant, d'a- bord
nt qu'on ne l'avait pas laissé au repos un temps suffisant (10 à 15 minutes au moins). Lorsque, avec les mêmes courants il
décontraction lente se pro- longeait, suivant les cas, 1/2, 3/4 de minute et même davantage. Ces ex- citations courtes n'
encore se prolongeaient souvent longtemps après (parfois jusqu'à Il minute et même davantage). Lorsque ces mouvements ondu
Lorsque les excitations sont assez prolongées (pendant 1/2 à 3/4 de minute ) et le courant de force modérée, on voit encore
est très considérable. La durée de l'attaque est tantôt de quelques minutes , tantôt de quelques heures ou même de quelques
, la névralgie faciale en particulier. Le nombre des vibrations par minute serait de peu d'importance; il n'en serait pas
et par suite à l'encéphale, amènent la détente au bout de quelques minutes et souvent même coupent court à l'accès lorsqu'
ence d'un certain nombre de ma- lades, plus d'un quart d'heure à 20 minutes à chaque sujet. Nous espérons pouvoir bientôt c
nte de dérangements. Le petit moteur donne environ 6,000 tours à la minute , tous très réguliers, produisant une vibration co
aitement toléré et sa marche ne cause aucune gène. Au bout de 7 à 8 minutes on a une sensa- tion d'engourdissement qui enva
nt au sommeil. De fait, l'expérience a démontré qu'une séance de 10 minutes faite vers 6 heures du soir procurait un sommeil
se trouvera-t-on bien de couper la séance par une pause de quelques minutes . On sai combien est individuelle pour ainsi dire
mité du moteur. La durée moyenne de la séance doit être de 10 il 15 minutes dans les cas de céphalée neurasthénique, de migra
ou quatre fois dans la journée, chaque accès durant une dizaine de minutes . Elles siégeaient, dit le malade, au niveau des
t cependant gênée, steppante et douloureuse au bout de dix à quinze minutes . ` Aux membres supérieurs, il n'y a ni parésie
au membre inférieur, on peut compter jus- qu'à 160 mouvements à la minute , et ces mouvements persistent la nuit. Cette ex
mbre des mouvements étant descendu au ohiffre habituel, 60 à 80 par minute , il est facile de voir que leur forme s'est mod
rs des actes volontaires. Le nombre moyen des oscillations est à la minute de 180 pour le bras droit, de 120 pour la jambe
correction du courant.) Je fais agir le courant induit pendant 5-10 minutes . Voici les résultats que j'obtiens. Dans les ca
à la faradisa- tion de la région supérieure du cou pendant quelques minutes . Encouragé par le résultat, j'ai répété cette m
squ'au retour de la colo- ration normale. La séance durait 3, 5, 10 minutes . La douleur causée par la maladie cédait à notr
perémie est plus prononcée. Même une faradisation qui durait 10, 15 minutes ne suffisait pas dans les cas graves pour faire
t que vaso-cons- trictrice justifient mon hypothèse. Après 3, 5, 10 minutes de faradisation de la région supérieure du cou
le. LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 379 Après une faradisation de 5 minutes l'injection des restes du tympan était moins pr
trine devient de plus en plus sonore. Ayant fait agir le courant 5 minutes ou environ de chaque côté, je constatais le ret
7 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
hébété on essaie de l'endormir par le regard. Au bout de cinq à six minutes , on voit seulement quelques palpitations des pa
elques mouve- ments de déglutition et cela s'arrête. Au bout de dix minutes , il n'y a aucun résultat et on cesse l'expérien
eptoïde, le malade fait l'arc de cercle lequel persiste pendant uue minute , une minute 8 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYS
malade fait l'arc de cercle lequel persiste pendant uue minute, une minute 8 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE.
L'arc de cercle est très beau, souvent d'une durée qui dépasse une minute ; les pieds se posent sur la plante et non sur l
tifs. Elles sont séparées les unes des autres par quatre ou cinq minutes d'intervalle à peine. Après la dix-septième att
tième attaque le malade se réveille un peu et demande à boire. Deux minutes après avoir bu, les yeux se dévient en bas et à
et les jambes, le tronc restant immobile. Cette agitation dure deux minutes environ, puis le malade se calme. A ce moment les
corps est fléchi en demi-cercle. La durée de ces attaques est d'une minute environ. La respiration est stertoreuse et irré
bes oculaires après commandement de dormir. Il dort au bout de cinq minutes . Pas de catalepsie; on lui parle, il répond et
ennent.-A 8 heures du soir il a de nouvelles secousses pen- dant 15 minutes , puis deux attaques d'une durée d'une minute, et
ecousses pen- dant 15 minutes, puis deux attaques d'une durée d'une minute , et revient à lui presque aussitôt. La nuit est
le en lui soufflant sur les yeux. Une fois réveillé, au bout de dix minutes il reconnaît toutes les couleurs suggérées de l
s le soir. Il n'en a plus après 9 heures et demie. Aura. Quelques minutes avant l'attaque le malade dit avoir des étourdi
nlever le morceau de céleri. Puis il aurait gigolté» environ quinze minutes . Bave san- guinolente légère. Le médecin arriva
ors qu'il était en classe, sans cause appréciable. Elle dura quinze minutes . Pas d'aura, pas de délire. Il s'est mordu la l
s, nouvelle attaque qui a débuté de la même façon : sommeil de deux minutes d'abord, puis il a été pris sans qu'on y touche
e; il s'est levé et est tombé en pirouettant. L'attaque dura trente minutes . Il avait dans sa poche un couteau qu'il prit e
des sortes de grognements. Il eut quatre crises semblables à cinq, minutes d'intervalle : la pre- mière dura vingt minutes
semblables à cinq, minutes d'intervalle : la pre- mière dura vingt minutes , les trois autres dix minutes seulement. 28. No
intervalle : la pre- mière dura vingt minutes, les trois autres dix minutes seulement. 28. Nouvelle crise en présence de l'
e trois Fig. 5. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'üYSTÉRIE MALE. 25 minutes secousses dans tout le corps, puis convulsions to
c grands mouvements, après quoi il tombe en résolution pendant sept minutes . Pendant tout le temps des convul- sions les ye
E. repris de nouvelles convulsions cloniques qui durent une demi- minute environ. Arc de cercle latéral. Secousses dans
rcle latéral. Secousses dans les membres. Résolution d'environ deux minutes . Puis gémissements. Il ouvre légèrement les yeu
é, semble comprendre et se dresse sur son séant pendant environ une minute : Mais tout à coup, il se rejette en arrière co
triclion des mâchoires, frémissement des paupières. Au bout de sept minutes il se redresse sur son séant, pousse un grand s
ombe sur le dos dans un état de résolution complète qui dure quatre minutes . Après quoi, il regarde à droite et à gauche, s
tirer de lui quelques réponses. L'attaque a duré en tout vingt-six minutes . 8 juillet. - Etant assis tranquillement sur un
e s'il s'endormait, puis a glissé à terre. Au bout de quatre à cinq minutes il entr'ouvre les yeux et tourne la tête à gauc
egard dirigé en haut. Rigidité complète avec extension pendant deux minutes , suivie d'une courte résolution. Puis fré- miss
u, battements préci- pités du coeur; peau moite. Résolution de sept minutes . Il entr'ou- vre les yeux,.se redresse sur son
sommeil apparent avec respiration et coeur réguliers, pendant vingt minutes . Il tourne de nouveau la tête à droite et à gau
laquelle il donna de vio- lents coups de tête pendant deux ou trois minutes . Puis il s'est relevé lentement et s'est mis à
est parvenu à l'étendre par terre où il est resté calme pendant dix minutes , puis il est allé se rasseoir dans le fauteuil.
rasseoir dans le fauteuil. 96. - Attaque à 5 heures du soir, de dix minutes de durée, à la suite de laquelle on le coucha l
ées. A 3 heures de l'après-midi, il a une attaque qui dure quatre minutes à la suite de laquelle il a rouvert tes yeux. Le
ôté ses bas toujours debout, est resté immobile pendant cinq à six minutes , puis a été pris d'une atta- que qui a duré sep
cinq à six minutes, puis a été pris d'une atta- que qui a duré sept minutes . Sa température après l'attaque était de 38°,2,
t. z Pendant le concert du matin, il s'est endormi et cinq à sept minutes après il a eu une attaque qui a duré quatre minut
et cinq à sept minutes après il a eu une attaque qui a duré quatre minutes et DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE.
t le malade semble assoupi. La durée de l'attaque a été de dix-huit minutes . Il se relève, répare le désordre de ses vêteme
s une vitrine, puis à terre sur le côté droit. Il reste ainsi trois minutes , le corps agité de légères secousses. Petits gé
de légères secousses. Petits gémissements. Repos de quatre à cinq minutes . Ses yeux se rouvrent, il se dresse péniblement s
nd pas. Il défait encore son gilet de flanelle et reste ainsi trois minutes . Les mâchoires sont contractées et les muscles
- Secousses dans tous les mem- bres et le tronc. Résolution de deux minutes . Il se dresse alors sur son séant en se frottan
gauchement, auto- matiquement. Il ne répond qu'au bout de quelques minutes aux paroles qu'on lui adresse. La durée de l'at
oles qu'on lui adresse. La durée de l'attaque a été de trente- sept minutes . 24.- Attaque de quatre minutes à 8 h. et demie
e l'attaque a été de trente- sept minutes. 24.- Attaque de quatre minutes à 8 h. et demie du matin; une seconde de onze m
que de quatre minutes à 8 h. et demie du matin; une seconde de onze minutes à 9 h. trente-cinq. 95.-Attaque de dix-sept min
seconde de onze minutes à 9 h. trente-cinq. 95.-Attaque de dix-sept minutes à 7 h. et demie; une seconde de douze minutes à
.-Attaque de dix-sept minutes à 7 h. et demie; une seconde de douze minutes à Il h. et demie. 26.-Assis tranquillement au c
avec recueillement, puis peu à peu il s'endort, et au bout de huit minutes il seJève, se dirige lentemenl vers l'orgue, les
mesure de la tête, et reste ainsi, les mains jointes, environ douze minutes . Le concert fini et sur un appel de son nom, sa
'on le touche, il tombe en arrière et a une attaque qui dure quinze minutes . 27. Au moment de la visite, il est pris dans l
les yeux, parait étonné, se lève, se plaint de la tnte. - Durée dix minutes . T. R. 38°,1. Un quart d'heure après, T. R. 37°,8
art d'heure après 37°,9 ; deux heures après 37°,1.- Durée dix- huit minutes . A 5 heures et demie, après son diner, nouvelle a
tombe à terre après avoir sauté deux fois. Il reste tranquille une minute , puis se tourne sur le côté droit les jambes éc
rre entre ses deux mains. Il se relève tout debout, reste ainsi une minute et demie et retombe de toute sa hauteur en cherch
orps. Gémissements et petits cris. Résolution complète pendant sept minutes . Après quoi il se relève. On lui adresse la par
role, mais il regarde d'un air égaré et ce n'est qu'au bout de huit minutes qu'il répond. Durée de l'at- taque : 3Li minute
qu'au bout de huit minutes qu'il répond. Durée de l'at- taque : 3Li minutes . T. R., après l'attaque 38°,4; un quart d'heure
u bout de DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTERfE MALE. 3'1 quatre minutes on constate un peu de fatigue du malade, avec des
jamais été bien accusée ; le réveil a toujours été prompt (une à 2 minutes après le retrait de la compresse). Nous avons t
s hommes qu'elle voyait. La maîtresse ne pouvait pas la laisser dix minutes seule qu'elle était avec un homme. « Ça se pass
8 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
une fatigue considérable des yeux et des paupières. Au bout de trois minutes , les paupières du sujet se ferment, il tombe dans
ir son regard lixé sur l'ornement d'un sucrier en porcelaine. En deux minutes , les traits de madame Braid avaient changé d'expr
ait pas de ce que l'on attendait de lui, donne le même résultat. Deux minutes après il est plongé dans un sommeil profond. Br
mi complètement, nous; lui fîmes la suggestion de marcher pendant dix minutes suivi seulement par son fils. Il y réussit à son
lonnement ; nous lui suggérâmes ensuite do marcher seul pendant vingt minutes . Bref, nous lui fîmes une suggestion progressive
agitation des membres supérieurs, secousses, etc. Au bout do quelques minutes , tout rentre dans l'ordre, mais la malade est bie
parue de, la surface plantaire), plus d'un nombre peu considérable de minutes , même sur une surface plane, non glissante, il es
écution de ce tour de force et d'adresse, pendant douze fois soixante minutes (de huit heures du matin à huit heures du soir),
ête à la région pariétale gauche d'un homme sain. Au bout de quelques minutes , la main droite est prise d'un tremblement convul
niveau de la région temporale gauche d'un homme. Au bout de quelques minutes , on voit battre les paupières du sujet, elles s'a
alysées. Je continue l'application de l'aimant. Au bout de quelques minutes encore le sujet déclare que ses jambes se raidiss
page n="53"> Je lui fais une application de l'aimant pendant dix minutes . Le lendemain l'on me dit que le reste de la jo
par une crise. Je lui fais une application de l'aimant pendant dix minutes . Pendant l'application, il éprouve de l'engourd
cune médication. Je lui fais une application d'aimant pendant douze minutes . Le reste de l'après-midi, il éprouve une sorte
qu'il a à préparer des examens. Quand il a travaillé environ vingt minutes , me dit-il, il se sent accablé de fatigue, son es
il « tombe de sommeil a. comme on dit ; en effet, au bout de quelques minutes , il a cédé à la fatigue ; ses yeux se sont fermés
elle il appliqua des plaquettes de cuivre. Voici, que depuis quelques minutes , les plaques étaient appliquées, et la sensibilit
angoisse extrême et d'un malaise très pénible; cela ne dure que deux minutes , montre en main; au bout de ce temps, les secouss
olentes, plus brusques et plus fréquentes; on peut en compter dix par minute . Notre cas rentre done, par ses caractères, dan
ls: ? Mais ne devions-nous pas passer la soirée au théâtre? » A cette minute , elle ne se souvenait pas de son séjour chez le p
'autres malades sont pris d'une envie brusque de courir dix ou quinze minutes et parfois se livrent à des actes incorrects ou c
eu d'une conversation raisonnable, l'individu qui se met à courir dix minutes , qui a des hallucinations terrifiantes, qui est c
st pour le sommeil? S'il tèlc8à9 fois par 24 heures el pendant 8 à 10 minutes chaque fois, c'est au total une heure et demie, s
uf disait au sujet d'accomplir un acte au bout d'un certain nombre de minutes variant de 350 à 3.200. Sur treize expériences, l
..., pendant qu'elle est hypnotisée, qu'à l'expiration d'un nombre de minutes déterminé elle tracera une croix sur du papier, p
uaient de grandeur, puis s'éteignaient presqu'entièrement en quelques minutes . C'est par celte méthode que j'ai guéri la mala
l'après-midi. — Je suggère un actequi devra être accompli dans 4.417 minutes . Elle me répond : Cela fait dans 3 jours, 37 minu
ompli dans 4.417 minutes. Elle me répond : Cela fait dans 3 jours, 37 minutes , c'est-à-dire samedi prochain à 5 heures moins 23
3 jours, 37 minutes, c'est-à-dire samedi prochain à 5 heures moins 23 minutes de l'après-midi. Remarque. — Il y a une avance
minutes de l'après-midi. Remarque. — Il y a une avance de 1 heure 5 minutes . Le calcul a été fait apparemment à partir de 4 h
té fait apparemment à partir de 4 heures, au lieu de 4 heures moins 5 minutes . N° 11. —4 heures cinq de l'après-midi. — Je su
'après-midi. — Je suggère un acte qui devra être accompli dans 11.417 minutes . Elle me répond: Gela fait dans 187 heures, 50 mi
li dans 11.417 minutes. Elle me répond: Gela fait dans 187 heures, 50 minutes ou 7 jours, 9 heures, 50 minutes, c'est-à-dire me
épond: Gela fait dans 187 heures, 50 minutes ou 7 jours, 9 heures, 50 minutes , c'est-à-dire mercredi prochain à 12 heures 5 min
s, 9 heures, 50 minutes, c'est-à-dire mercredi prochain à 12 heures 5 minutes . Remarque. —II y auneavancede 1 jour,3heures, 2
Cette fois, 1° la durée a été calculée comme étant de 187 heures, 50 minutes , c'est-à-dire, que le nombre 11.470 a été pris pa
1.470 a été pris par erreur pour celui de il.270 ; — 2° 187 heures 50 minutes ont été considérées comme faisant 7 jours 9 heure
ures 50 minutes ont été considérées comme faisant 7 jours 9 heures 50 minutes , au lieu de 7 jours, 19 heures, 50 minutes ; — 3°
aisant 7 jours 9 heures 50 minutes, au lieu de 7 jours, 19 heures, 50 minutes ; — 3° la réponse paraît avoir été calculée sur c
'après-midi. — Je suggère un acte qui devra être accompli dans 10.070 minutes . Elle me répond: Cela fait dans 1.067 heures, -iO
dans 10.070 minutes. Elle me répond: Cela fait dans 1.067 heures, -iO minutes ou 6 jours, 23 heures, 40 minutes, c'est-à-dire m
d: Cela fait dans 1.067 heures, -iO minutes ou 6 jours, 23 heures, 40 minutes , c'est-à-dire mercredi prochain à 4 heures moins
ernière réponse est exacte, mais n'est pas conforme au calcul: 10.070 minutes font 167 heures ;>0 minutes et non 1067 heures
s n'est pas conforme au calcul: 10.070 minutes font 167 heures ;>0 minutes et non 1067 heures 40 minutes. Dans ce cas, ï° un
: 10.070 minutes font 167 heures ;>0 minutes et non 1067 heures 40 minutes . Dans ce cas, ï° un/page> page n="169">
ge> page n="169"> chiffre a été inséré par erreur, et S6 40 minutes ont été prises par erreur pour 50 minutes. La pre
inséré par erreur, et S6 40 minutes ont été prises par erreur pour 50 minutes . La première erreur a été corrigée, mais la secon
é corrigée, mais la seconde maintenue, puisque 6 jours, 23 heures, 40 minutes ont subsisté au lieu de 6 jours 23 heures 50 minu
s, 23 heures, 40 minutes ont subsisté au lieu de 6 jours 23 heures 50 minutes . L'expérience N° 12 se fit dans mon cabinet de
x, elle déclara qu'elle devait tracer une croix et écrire 4 heures 20 minutes . Cela se passait exactement à 4 heures 20 minutes
écrire 4 heures 20 minutes. Cela se passait exactement à 4 heures 20 minutes . Résultats. — En dépit des erreurs commises par
u'il est telie heure; vous devrez exécuter ma suggestion dans tant de minutes à partir de l'heure convenue. » alercredi iS ja
edi iS janvier, 4 heures. No 13. — Suggestion à réaliser dans 4.453 minutes à partir dc4heures45minules. —Cela fait dit C. da
inutes à partir dc4heures45minules. —Cela fait dit C. dans722 heures ^ minutes , ou mercredi prochain à 11 heures moins 15 minute
C. dans722 heures ^minutes, ou mercredi prochain à 11 heures moins 15 minutes du soir./page> page n="170"> Remarque.
ge n="170"> Remarque. — ? y a un retard de 4 jours, 4 heures, 17 minutes . En effet, 4453 minutes font 74 heures 13 minutes
e. — ? y a un retard de 4 jours, 4 heures, 17 minutes. En effet, 4453 minutes font 74 heures 13 minutes et non 722 heures 33 mi
jours, 4 heures, 17 minutes. En effet, 4453 minutes font 74 heures 13 minutes et non 722 heures 33 minutes. N° 14. — Suggesti
En effet, 4453 minutes font 74 heures 13 minutes et non 722 heures 33 minutes . N° 14. — Suggestion à réaliser dans 10.470 min
n 722 heures 33 minutes. N° 14. — Suggestion à réaliser dans 10.470 minutes à partir de 2 heures de i'après midi. — Ceiafait,
ir de 2 heures de i'après midi. — Ceiafait, dit C, dans 197 heures 30 minutes , ou mercredi prochain à 4 heures moins cinq de l'
s cinq de l'après-midi. Remarque. — H y a une avance de 4 heures 35 minutes . En effet, 10.470 minutes font 174 heures 30 minu
Remarque. — H y a une avance de 4 heures 35 minutes. En effet, 10.470 minutes font 174 heures 30 minutes et non 197 heures 30 m
e de 4 heures 35 minutes. En effet, 10.470 minutes font 174 heures 30 minutes et non 197 heures 30 minutes. Je ne trouve aucune
effet, 10.470 minutes font 174 heures 30 minutes et non 197 heures 30 minutes . Je ne trouve aucune explication ni à cette erreu
ur ni à !a précédente. . N° 15. — Suggestion à réaliser dans 10.060 minutes , à partir de 3 heures de l'après-midi. — Ceiafait
3 heures de l'après-midi. — Ceiafait, dit C, dans 8 jours d heures 30 minutes ou mercredi prochain à 4 heures moins 25 de l'apr
oins 25 de l'après-midi. Remarque. — Il y a un retard de 1 heure 45 minutes . La durée mal calculée de 8 jours, 5 heures, 30 m
de 1 heure 45 minutes. La durée mal calculée de 8 jours, 5 heures, 30 minutes correspondait à la durée mal calculée de 197 heur
es, 30 minutes correspondait à la durée mal calculée de 197 heures 30 minutes du N° 14. Ceile durée est apparemment restée dans
L'échéance de la suggestion avait été calculée avec 4 heures moins 45 minutes comme heure initiale (ainsi que dans le N> 13)
ément à ce qu'il a cru comprendre ; 45 fois, l'ordre fut exécuté à la minute ; 8 fois le sujet écrivit l'heure à laquelle la s
à échéance, mais avec de légères erreurs qui n'excédèrent jamais cinq minutes . Il serait trop long de donner ici un récit dét
ui commençait par exemple hier à 3 h. 15 et qui doit comporter 20.840 minutes ? Les objections que Gurney adresse à Bernheim e
moyenne, se répétaient à intervalles inégaux, toutes les 5, 10 ou 15 minutes , avec écoulement de matières glaireuses. Après
dis d'un ton alSrmatif et aussi persuasif que possible que, dans cinq minutes , elle aurait une contraction énergique de la matr
leur de reins dont elle se plaignait tant jusque-là ; au bout de cinq minutes ,en cÎTct,de cette application, une contraction ut
effort violent, mais sans douleur apparente; cet effort dura quelques minutes sans que la patiente fît entendre aucune plainte;
lui affirme encore que les contractions vont revenir toutes les cinq minutes et qu'elles ne lui feront plus de mal. En effet
minutes et qu'elles ne lui feront plus de mal. En effet, après cinq minutes écoulées, une nouvelle contraction se produit, je
ce de mes affirmations, plusieurs autres se succèdent toutes les cinq minutes , avec une précision remarquable, la patiente pous
érience que les contractions reviennent régulièrement toutes les cinq minutes , mais que la malade souffre et se plaint alors be
rgiques et plus fréquentes, qu'elles vont se répéter toutes les trois minutes . Au bout de ce temps, en effet, une contraction a
à partir de ce moment, les contractions se succèdent toutes les trois minutes exactement, avec les quelques soupirs qui suivent
gularité mathématique, d'abord toutes les cinq, puis toutes les trois minutes et, en même temps, sont devenues indolores, la pa
ue-là; j'ajoute que ces contractions vont se répéter toutes les trois minutes avec une durée égale à leur énergie. Trois minu
toutes les trois minutes avec une durée égale à leur énergie. Trois minutes s'étaient à peine écoulées, que je sens sous ma m
gularité mathématique, les contractions se succèdent toutes les trois minutes , fortes et prolongées,/page> page n="182">
. Les contractions énergiques et longues se répètent toutes les trois minutes , heureusement sans douleur; elle souffre quand je
Tous ces. traitements échouèrent. Le malade ne transpirait pas une minute de moms pur jour, et l'abondance de la sueur rest
le malade. Apivs une promière séance, dont la durée varie entre vingt minutes e' une demi-heure, on n'a pas obtenu de résulta
30 grammes d'éther suffisent parfaitement; ils sont respires en deux minutes . Puis je relire le masque et je constate que le m
, il ne vomit pas et, très rapidement (dans l'espace de deux ou trois minutes ), il revient à i'état de veille parfaite. Messi
des douleurs comme fulgurantes qui la forçaient à s'asseoir quelques minutes chaque fois qu'elles apparaissaient. Pendant (roi
ous m'entendrez dire : « Dormez! » etvous vous endormirez pendant dix minutes , après quoi vous vous éveillerez toute seule; ain
reçois en effet une lettre dithyrambique; pendant ces séances de dix minutes , non seulement elle m'entendait, mais elle causai
, tâter son pouls, normal quoique un peu fréquent (100 pulsations par minute ), et prendre sa température axillaire, à peine au
9 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
honse Vidait, me remplace; il lui prend la main ; au bout de quelques minutes , le calme renaît et la raideur cataleptique dispa
des pouces se trouve en contact et en opposition. Au bout de quelques minutes , elle s’endort pendant une heure et demie ; pend
t, puis sur chaque bras en particulier. Au bout de vingt à vingt-cinq minutes que durent ces passes, elle ouvre les yeux, l’œil
urent ces passes, elle ouvre les yeux, l’œil gauche toujours quelques minutes après le droit, et revient complètement à elle, e
trémités des doigts comre les siens (ce qui ne demanda pas plus d’une minute ), nous la questionnâmes sur son étal. Elle nous d
sur la face, les yeux et principalement le front, pendant environ dix minutes . Elle termina en nous certifiant que si toutes se
icule le maxillaire inférieur avec le temporal. Au bout de huit à dix minutes environ, ses lèvres s’ouvrent, ses dents se desse
plaintifs. Le mercredi matin, même état jusqu’à neul heures moins dix minutes ; dans ce moment, les plaintes sont plus fréquente
passes lentes et égales de la tête aux pieds, se reposer pendant cinq minutes , renouveler le même nombre de passes, même repos
malléoles ; elle doit être très-froide, et la durée du bain, de trois minutes d’abord, devra augmenter graduellement chaque jou
e autorisa ce dernier à sortir. Le dompteur passa chez lui, et, vingt minutes après, il pénétrait dans la salle où nous l’atten
ommença jusqu’à trois fois cette dangereuse expérience. Pendant vingt minutes , nous fûmes témoins d’une scène tellement émouvan
l’opérateur, loin d’être diminuée (1) Parti de Paris à 5 heures 10 minutes dans le ballon l'Aigle, descendu à Rouvres, près
t demain. Six coups forts furent la réponse à cette demande. Quelques minutes après, la jeune fille se réveilla en priant son p
cteur mit sa main dans celle de la dormeuse : celle-ci, au bout d’une minute , se mit à crier à cause de la douleur qu’elle épr
nce, et l’on vit apparaître les prodromes du sommeil. En moins de dix minutes , le coma fut complet. La guenon ressemblait parfa
croyait invulnérable), se soumit à l’épreuve nouvelle. A peine deux minutes s’étaient-elles écoulées, que l’on vit ses membre
sur les hanches, et fis des passes jusqu’aux genoux. Au bout de cinq minutes elle me dit : « C’est assez. » Comme elle se
la magnétise à grandes passes, et vois enfin, au bout de dix longues minutes , la circulation se rétablir. Elle rev ient à el
nant toute lumière, dans une obscurité complète, elle me dit, à trois minutes près, l’heure sur une petite montre d’argent que
être imprudent. Si j’osais, je vous prierais de me consacrer quelques minutes et de me donner quelques conseils que je tâcherai
IV, p. 2)9, et toineJX!, p. 57. (luit toujours au bout de quelques minutes . Hier soir, — une dame et deux messieurs, — nous
de la main gauche de la personne placée à droite, et au bout de trois minutes , le chapeau, posé sur une table, a commencé de dr
a conversation n’est pas interdite. Au bout de 15, 20, 30, AO, 60, 75 minutes , la table éprouve comme des frémissements, et fin
l’on place sur le fond, sur une surface lisse, et cela en cinq ou six minutes , et même à deux personnes, avec une assiette en p
imposent leurs mains sur le vase, d'après les règles prescrites; une minute ne s’est pas écoulée, que le vase se met à tourne
rience. J'impose les mains avec Alphonse sur le même vase; dix-sept minutes s'écoulent, et le vase reste immobile. Troisièm
périence, le phénomène de rotation du vase ne se produit qu’après six minutes . Ciuquième expérience. Alphonse, Alfred, Norb
urs mains sont placées d’après les règles indiquées ; au bout de sept minutes et quelques secondes, la table s’agite et se met
le phénomène de la rotation de la table se produit au bout de quatre minutes . Cette expérience a été faite dix fois de suite
nce de la table, moi participant. La rotation s’opère au bout de sept minutes . J’invite un spectateur à. toucher l'un de nous
up plus lourde, et que le phénomène ne s’est pas produit après quinze minutes , durée sans doute insuffisante. Dans toutes les
pas et qu’il restait un petit espace entre eux. « Au bout de quatre minutes , nous avons entendu craquer la table, et un de no
leuse de celui-ci. On allait se lever impatienté. Après trente-cinq minutes , les cinquante doigts pesaient impassibles et eng
blanc, la circonférence où se posaient les pieds de la table. Deux minutes se passèrent. Le guéridon se souleva d’un côté, p
uleva d’un côté, puis retomba lourdement. O11 ne riait plus. — Cinq minutes après, il était à deux pouces au delà du cercle d
ns presque songer àce qui s’apprêtait à côté d eux. Il s’écoula dix minutes tout au plus. «11 y a commencement. d’exécution !
aude aurait été, certes, impossible. Eh bien ! au bout de cinq ou six minutes , ce guéridon remuait, s’agitait, prenait son esso
t en contact les unes avec les autres. « Après une attente de vingt minutes , le mouvement ro-tatoire s’est manifesté d’abord
nombre fourni onze coups. Il lui vinEt-trois coups; le cadran nulles minutes , il a frappé îs minutes. . . quait onze heures vi
s. Il lui vinEt-trois coups; le cadran nulles minutes, il a frappé îs minutes . . . quait onze heures vingt-tro 4ussi quatre foi
guéridon. Un meuble semblable s’est mis en mouvement après vingt-deux minutes d’imposition manuelle. Nous lui avons fait décrir
Cette potion devait être prise par cuillerée à soupe, toutes les dix minutes , jusqu’à effet vomitif. Après avoir pris la deu
ina à l’employer de préférence ii tout autre moyen. Au bout de cinq minutes de magnétisation, l’enfant dormit, et ce n’est qu
our qu’au bout d’un quart d’heure je pusse compter lii battements par minute . La peau reprit sa chaleur et sa couleur nature
urinait très-peu et buvait beaucoup. Le pouls battait 132 fois par minute . En explorant la région de la rate, je constata
suis trouvée si bien depuis que je suis malade. » Je la laissai vingt minutes dans cet état. Le bien-être s’est maintenu après
a malade pour calmer ses souffrances. Elle dormit au bout de quelques minutes . Un instant après, pendant que j’actionnais la tê
ue ou même la faire disparaître, je iis des passes pendant cinq à six minutes , depuis le haut du sternum jusqu’à l’épigastre.
ormir, ce qui me détermina à la magnétiser encore pendant environ dix minutes , au bout desquelles un sommeil profond eut lieu,
tion un agent aussi puissant que le magnétisme, qui peut, en quelques minutes , faire cesser le mal, ce qui est un immense avant
onde quarante-cinq jours, avec des rémissions de quarante à cinquante minutes . Remarque. Les quatre personnes dont il vient
cette (asse, emplissez-la d’eau et magnétisez pendant quatre ou cinq minutes en voulant que ce soit de la sabine. J’obéis. —
mpai le sucre dans de l’eau magnétisée, et le magnétisai lui-même une minute . Le mal d’estomac cessa; mais la malade se plaign
e. Plusieurs questions sont restées sans réponse : après dix ou douze minutes d’inaction, la corbeille s’est remise en marche ;
du petit doigt de son partner, et ainsi de suite. n Au bout de huit minutes , la table éprouva comme une espèce de frémissemen
goureusement sur le parquet. Ces mouvements vibratoires durèrent deux minutes , accompagnés de craquements sourds, et furent sui
it choir quand on le lui disait, et qu’il indiquait les heures et les minutes quand 011 le lui demandait. Pour les heures, il f
il frappait fortement le parquet avec l’un de ses pieds, et pour les minutes , il frappait également avec le pied, mais plus do
e exactitude rigoureuse. Une fois, entre autres, il était 2 heures 25 minutes , il frappa deux coups forts pour indiquer les heu
ndiquer les heures, et il continua de frapper plus doucement pour les minutes ; arrivé à 23, la chaîne fut rompue brusquement d’
e des meubles ont pu être mis en mouvement au bout de trois ou quatre minutes , tandis que d’autres meubles de même nature, plac
is davantage. En général, l’action se produit au bout de dix à quinze minutes , pour une table de soixante centimètres de diamèt
sa relation : « Dix personnes étaient assises, depuis soixante-dix minutes , autour d’une grande table à manger en acajou, at
urnait aux applaudissements de l’assemblée. (i 11 avait fallu trois minutes pour produire cc résultat. « Je dois faire obse
nt. « On la porta aussitôt sur son lit, où elle resta plus de vingt minutes sans pouvoir reprendre connaissance. « Tous les
ble craquait sous la pression du fluide animal. Tout à coup, à la 26° minute , une jeune dame tombe évanouie sur son voisin de
instants après, elle rentre au salon. A peine y était-elle depuis une minute , qu’elle retombe dans son premier état. Cette foi
dans son premier état. Cette fois, on l’emporte sur un lit. Après dix minutes , se sentant parfaitement guérie, elle redescend a
ine, la chaîne magnétique avec les mains. E11 moins de quatre ou cinq minutes , la personne soumise à l'expérience éprouve une i
corps humain l’influence de la chaîne magnétique pendant plus de dix minutes pour prévenir tout accident. » La confirmation
s magnétiseurs finit pourtant par me gagner. Car... après cinq ou six minutes d’épreuves, je crus sentir... « — Bah ! me dis-
douloureux, et les vomissements se succédaient toutes les cinq et dix minutes ; les matières vomies en ma présence étaient gris
droite ; j’agis vigoureusement (j’entends d’intention). A peine trois minutes se sont écoulées, il survient un second gargouill
cement ma malade, en évitant d’actionner la tête; au bout de quelques minutes , voici qu’elle se met îi dire : « Tiens, c’est
ar la superposition du petit doigt et du pouce ; puis, après quelques minutes d’attente, on a vu le navire opérer par enchantem
jou, et rigoureusement isolées du tapis. Or, au bout de quarante-huit minutes , un craquement assez prononcé se fit entendre, pu
é se fit entendre, puis une oscillation se fit sentir ; enfin, quatre minutes après, le billard se portait à droite. Lorsqu’il
e retourner immédiatement à son point de départ. Il y eut environ une minute d'hésitation, après quoi le billard revint et s’a
s trompé; il comptait par ses doigts, allait même jusqu’à compter les minutes , et ses indications ont toujours été d’une exacti
lle tourne dans un sens déterminé par la pensée ; au bout de quelques minutes , le sujet est sollicité par une force intérieure
isage on lisait une émotion facile à comprendre. « A peine quelques minutes s’étaient-elles écoulées, que toute crainte dispa
s agités de mouvements convulsifs. Cet état durait pendant huit à dix minutes , après I011E XII. — N° fî*. — 25 SEPTEMBRE 1853
e la grande piscine ; — douche en pluie générale, d’une durée de deux minutes ; — bains de siège à courant continu, de cinq min
e durée de deux minutes ; — bains de siège à courant continu, de cinq minutes ; — pédiluve froid de trois minutes; — deux lav
siège à courant continu, de cinq minutes ; — pédiluve froid de trois minutes ; — deux lavements froids dans la journée, et ap
er, J.... se met soudain à rire aux éclats pendant cm ¡ron cinq à dix minutes ; elle agite ses membres convulsivement; ses yeux
plaine et les lieux où se rencontre beaucoup d’eau (1). Déjà, cinq minutes avant l’heure annoncée, elle refuse (1) Ce phén
aintenir : le lit est bientôt entraîné au milieu de la chambre. Dix minutes après, la respiration, de rare et concentrée qu’e
même durée. L’intervalle de ces accès était chaque fois de sept à dix minutes ; elle pouvait toujours, sans se tromper, indiquer
s et leur excitation nerveuse, tandis que d’autres fois deux ou trois minutes suffisent aux mêmes personnes pour amener une rot
1° Quand on tient le bras tendu horizontalement, après deux ou trois minutes il survient, il est vrai, un léger tremblement in
vaincre et de vous démontrer, en cette audience, pendant les quelques minutes que le nombre des causes permet seulement d’accor
ire, on -vous a fait poser. — Cela est vrai, mais pendant une seule minute . — N’avez-vous pas vu un monsieur s’enfuir dans
on effet, et doit instantanément commander la rotation. De cinq à dix minutes après (suivant la force ou la faiblesse du sujet)
retirer le pouce du creux de l’estomac. J’ai obtenu douze tours à la minute , et il est plus que probable qu’en agissant sur d
faibles (enfants) l’on pourrait obtenir de vingt à trente tours à la minute . « Adeptes mesmériens, régénérateurs du magnéti
oyons possible ; mais nous n’avons jamais pu obtenir douze tours à la minute : cela m’a paru exagéré. 11 faut, pour avoir quel
apper un soufflet, le plus souvent suivi de regrets ; au bout de cinq minutes on sent le mouvement, on le suit, on marche, on c
mêlée d une certaine crainte, avec une table sur laquelle, depuis dix minutes , elles avaient posé les mains. — A gauche ! dit l
nte douleur correspondait précisément à la dent malade. En quelques minutes , je parvins à faire disparaître la douleur dentai
ne le lui permet pas tout d’abord, ce n’est qu'au bout de cinq ou six minutes que la détente se fait et que le menton, cédant à
n du phénomène après une imposition de mains de trois, quatre et cinq minutes , où nulle tension prolongée des membres, nulle fa
l’épaule jusqu’au Lotit des doigts. Après avoir agi ainsi pendant dix minutes , je demande à ce malheureux : — Sentez-vous que
de persévérer. J’étais tout yeux et tout oreilles. Au bout de cinq minutes , mon malade pousse des cris. Lorsque je descends
i la confiance qui venait de ¿..’arriver comme un courant. Après cinq minutes de repos et une bonne résolution, je lui applique
le contact, jusqu’à l’articulation du coude où elles resteront trois minutes ; puis glisser jusqu'au poignet, où les mains sero
ur la plaie et l’autre sur la tumeur, et garder cette position quatre minutes , que le malade a fort bien comptées, car l’un des
té. Un jeune homme consentit à se laisser magnétiser: au bout de cinq minutes ses yeux se fermèrent, dix minutes après, sur ma
aisser magnétiser: au bout de cinq minutes ses yeux se fermèrent, dix minutes après, sur ma demande, il me repondit qu’il dorma
entre le Havre et Bolbec ; il arrivera ici ce soir, à onze heures dix minutes . Le fait, vérifié le lendemain, s’est trouvé ex
ant à rapprocher les mains vers un centre commun, pendant dix ou onze minutes , dans l’intention bien soutenue d’arrêter l’écoul
10 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
IS. Il n’est aucun enfant endormi qui, magnétisé durant cinq ou dix minutes au plus , ne manifeste suffisamment le changement
on notre volonté la force que nous exigeons d’elle. Après cinq ou dix minutes de repos, nous recommençons les mouvements de nos
ouls devient plus plein, moins fréquent, ne serait-ce que pour peu de minutes . La peau sèche cesse de l’être, mais pour un inst
e la sallo qui vint me le défendre d’un ton insolent. Au bout de huit minutes la roideur était disparue sans retour, et une dem
on pouce sur le front de la cataleptique, et celle-ci, dont, quelques minutes auparavant, on ne pouvait obtenir un signe de sen
er à son tour devant cette jeune dame ; elle regarda pendant quelques minutes faire les passes nécessaires à l’opération, mais
un effet apparent ; à la seconde, le sommeil apparut au bout de vingt minutes ; à la troisième, au bout de dix, et enfin, à la q
inutes; à la troisième, au bout de dix, et enfin, à la quatrième, une minute suffit pour la plonger dans le sommeil magnétique
pprit, en effet, qu’elle avait cessé do parler à quatre heures quinze minutes , après quoi aucun des assistants n’avait pu obten
t simple; elle doit être générale et de courte durée; quinze ou vingt minutes pour chaque fois, et cette application ne dérange
e. Le rapport magnétique établi par une magnétisation de cinq à dix minutes , vous dirigez vos doigts en pointe dans la direct
lle âgée de onze ans, qui venait d’être prise du choléra. En quelques minutes le pouls avait cessé de battre; la peau était d’u
érale, hydropisie du ventre, toux sèche, fréquente, par accès de cinq minutes de durée, et recommençant par intervalle de deux
cinq minutes de durée, et recommençant par intervalle de deux à trois minutes j difficulté très-grande de respirer, douleurs ai
au risque de me faire accuser de vouloir ressusciter un mort... Cinq minutes sont à peine écoulées que la toux est arrêtée, et
est aussi bien mal, mais je n’y vois pas. » « Après une dizaine de minutes de silence, elle me dit spontanément : « Voyez-vo
é. Je le magnétisai enfin, et produisis le sommeil en moins de quinze minutes . La chaleur de la peau et la circulation des vais
e la magnétisai. Elle tomba dans le sommeil magnétique en moins d’une minute . Je dois faire observer que je n’avais jamais vu
Elle y consentit. Le somnambulisme se développa au bout de quelques minutes ; je la laissai dormir quelque temps, et quand je
plus commodément possible pour attendre l’extase. Au bout de quelques minutes , un engourdissement général m’envahit. Il me semb
e littérature. Le premier accès touchait à sa fin. — Après quelques minutes je me retrouvai avec tout mon sang-froid, sans ma
rées dû corps. J’étais comme une éponge nu milieu de la mer; à chaque minute , des flots de bonheur me traversaient, entrant et
que le désir de les dessiner me prit, et que je fis en moins de cinq minutes , avec une vélocité incroyable, sur des dos de let
sai avec cette confiance résolue que donne une bonne intention. Vingt minutes environ s’écoulèrent pendant lesquelles le silenc
engorgement des glandes, etc., etc., vous ne ferez rien avec quelques minutes de magnétisation; c’est par mois qu’il faut compt
s dans les jambes; le pouls battait quatre-vingt-seize pulsations par minute ; la figure était injectée. Bientôt M. B... ferma
e, gémit, pleure et rit tour à tour. Le pouls bat cent vingt fois par minute ; la figure est fortement colorée. Un sentiment d'
uls descend ; il est plus mou et ne bat que quatre-vingt-dix fois par minute . Le délire continue; on lui donne de l’eau, il s’
amen, M. Lafontaine a commencé la magnétisation , et au bout de vingt minutes ladite dame était insensible, à tel point, qu’on
. Il fut mis en état de sommeil magnétique complet, en moins de .cinq minutes et à la distance de huit pas, par un ami qui l’av
ours avoir la dent arrachée, et il répondit affirmativement. Quelques minutes après, le magnétiseur, qui se tenait à distance,
n disant aux assistants qu’il voulait qu’il s’éveillât au bout de dix minutes . On observa l’heure avec soin, et, ce temps préci
ent des yeux, mais ne put les ouvrir, et l’état magnétique dura trois minutes de plus. « Bientôt après son réveil il aperçut
r la tète en frottant et tournant rapidement pendant trois 011 quatre minutes , s’arrête, et sans avoir interrogé auparavant le
d’obtenir le sommeil magnétique et l’insensibilité. Après cinq ou six minutes , Mirra était profondément endormi. Interrogé par
ans l'intention de calmer le malade, et le laissai dormir dix à douze minutes , après lesquelles je lui demandai s’il désirait s
, arrive près de la jeune fille, la magnétise, et,au bout de quelques minutes , celle-ci se trouve soulagée, et même si bien qu’
avait une attaque d’épilepsie. Je la magnétisai, el, treize ou quinze minutes après, au grand étonnement de ceux qui nous entou
lepsie, et cet homme a pu aussi continuer son chemin au bout de vingt minutes . Lapo&te. Pari», 10 mai 1845. — On lit da
s sans de vives douleurs, résolut de le magnétiser. F.n moins de cinq minutes l’enfant remua le bras en disant qu’il ne lui fai
de vingt-cinq ans, d’un tempérament nerveux, éprouve, au bout de deux minutes , une grande accélération du pouls, de violentes p
etée en arrière et la face se colore d’une manière effrayante; quatre minutes ont suffi pour produire ces effels. On arrête la
e ses palpitations. On le rassure à ce sujet, et, au bout de quelques minutes , il ferme les yeux sans pouvoir les ouvrir. Les e
que con-» centrée, était tenu sous le nez pendant cinq, dix, « quinze minutes ou plus, sans produire le moindre «effet, sans em
n faisait durer avec intention, se ter- mina nu bout de six ou sept minutes . Le sang coulait en abondance ; on mit de la char
ui a pu arriver de ce que, n’ayant été magnétisé que pendant quelques minutes , le sommeil ne fut pas assez profond ; si pendant
e taille, nerveux, à l’air vif et à la parole brève. En moins de deux minutes , le corps s’arque en arrière, les yeux se ferment
masie blanche, suite d’une couche, elle s'est endormie au bout de dix minutes el lui a donné des preuves de lucidité dont il do
sur elle des ellois intéressants. Après l’avoir magnétisée quelques minutes , il sc plaça derrière elle, et, à un signal donné
e je magnétisais étaient vivement impressionnés, et cela, en quelques minutes , tandis que dans d'autres temps, où je n’aperceva
e de sensibilité et moins il doit agir. Il est des malades à qui cinq minutes de magnétisation suffisent; le plus longtemps que
ndant quelques instants, lorsque la magnétisation dure plus de trente minutes . Dans des circonstances graves, le temps ne doi
uvait dire que c’était mon véritable portrait. Je rêvai environ vingt minutes sur cet objet surprenant qui occupait tous mes ye
; l’appétit perdu revient, la susceptibilité magnétique augmente, une minute suffit bientôt pour produire le sommeil ; enfin l
force de sos poumons sa femme endormie, mais, vains efforts! Quelques minutes avaient suffi pour fermer tous ses sens; La pri
rder le silence, et touchait toujours son malade. Enfin, après quatre minutes , il dit très-haut et d'un ton très-brusque : Eh!
nsensibles à la douleur, restent horizontalement étendus durant vingt minutes environ. Le réveil ne détruit ni l’insensibilité
nétique, comme si l’on magnétisait une personne malade. Dix ou quinze minutes suffisent. L’eau magnétisée est aussi d’une gra
e je voulais magnétiser, elles n’éprouvaient rion pendant la première minute , mais successivement, etau fur et â mesure que le
la praticabilité de l’opération proposée. 11 vint cependant. En deux minutes la patiente fut dans une catalepsie mesmérique pa
'une autre dent. La patiente consentit en riant et se replaça. En une minute et demie je la plongeai dans la même insensibilit
es pas dans lesa-lon el répond : « Il est dix heures el deux ou trois minutes . » Le fait vérifié est reconnu parfaitement exact
ur dont les pulsations s’élèvent de soixante-douze à cent en quelques minutes . Le sommeil magnétique, avec ses concomiliants,
lus jamais été soumise à ces expériences, on voit au bout de quelques minutes se développer un spasme violent, avec agitation c
Celte jeune personne n'est pas lucide; magnétisée en moins de deux minutes , elle a les yeux clos, le globe oculaire convulsé
c une chaise suspendue aux doigls; cette position dure environ cin« minutes sans la moindre flexion du bras. Les procédés p
Cruxen présente une jeune personne qu’il a magnétisée déjà. Après dix minutes d’action elle présente le double phénomène d’inse
étisai le sixième (un rosier de la reine) matin ci soir, environ cinq minutes seulement. Le 10, le magnétisé, que je désignerai
trois pèches : je les magnétisai lous les jours pendant environ cinq minutes , et au bout de quelques jours seulement ces trois
eures du matin, mademoiselle D’Albanel lut endormie en moins de trois minutes , puis placée sur une table. Un commença aussitôt,
mit à sourire à ceux qui l’entouraient, et demeura ainsi plus de dix minutes sans s’apercevoir de ce qui avait eu lieu, et n’é
cun pressentiment, sc débattait dans des convulsions pendant quelques minutes ; ensuite son corps entier devenait roide comme un
nsistance très-dure. Le pouls offrait quatre-vingt-dix pulsations par minute ; la face était amaigrie et terreuse, l’appéiit dé
tre aucune luxation. Nous nous rendons auprès du malade, et dans ciuq minutes la somnambule le guérit. Recevez, Monsieur, l’a
el de rigidité cataleptoïde des bras et des jambes, qui restent douze minutes étendues horizontalement. M. le docleur Cruxen
tion , il a magnétisé deux personnes, dont l'une, au bout de quelques minutes , a offert de curieux effets d’attraction magnétiq
médecins. M. P.... consent à tenter l’expérience, et au bout de dix minutes dit à la vieille : « Essayez de mouvoir votre bra
’un rhumatisme musculaire aigu des plus intenses, en fut guéri en dix minutes de magnétisation par M. Sauvillez. Le malade ne p
11 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
blanc de deux oeufs durs, coupés en .petits cubes. Au bout de vingt minutes , pas de rumination; nous donnons une cuillerée à
ne demi-heure après son di- ner, le voyant mâcher pendant plusieurs minutes sans qu'il eût rien introduit dans sa bouche, j
de porc, puis ensuite du boeuf rôti, et enfin des fraises; quelques minutes après le repas, nous le priâmes de rendre dans
ujet. Nous avons souvent observé le début de la rumination quelques minutes après le repas, tandis qu'une autre fois, le mê
t, l'espace de temps qui la sépare du repas peut varier de quelques minutes à une heure et plus : en général, c'est au bout
tion, puis les vertiges. La première se montre générale ment peu de minutes après les repas. Elle n'est habituellement précéd
fonctions digestives intactes. Début de la rumination deux ou trois minutes après le repas. Mécanisme, arrêt momentané par
l semble se re- cueillir ; après un temps très court, deux ou trois minutes , il penche la tête en avant, étend le cou, cont
n, à la suite de contrariétés, des attaques de nerfs durant de cinq minutes aune heure; pas de migraines. Pas d'aliénés, et
ts. - Il a souvent des accès de cris, qui durent de quinze à trente minutes , à la suite desquels, il se roule par terre et
ois. Nous l'avons vu ainsi manger deux côtelettes en l'espace d'une minute . Quelque- fois cependant, mais rarement, il sem
qu'il a fini son repas, ce qui, en général, ne demande que quelques minutes , il se lève quelquefois, erre de côté et d'autr
out d'un temps assez variable, DU MÉRYCISME. le9 quelquefois cinq minutes , d'autres fois une heure et plus après le repas
é des mets favoris de l'enfant; en moyenne, il faut compter vingt minutes avant le retour des aliments. Il est évident pour
tout pour les premières bouchées, et dure quelquefois quatre à cinq minutes pour la même. Les bouchées qui remontent les der-
aque main dans l'oreille correspon- dante et demeure ainsi quelques minutes , puis reprend son balan- cement. II ne suce ses
temps avant de se pro- duire et ce n'est, en général, que 35 ou 40 minutes en moyenne après le repas que la première régur
ion, les gorgées ne sont guère séparées que par un intervalle d'une minute ; mais, à mesure qu'elle s'a- vance, cet interv
eul sujet. - L'apparition du mérycisme, qui se fait tantôt quelques minutes , tantôt une heure après le repas, peut être ret
accès à la suite duquel il a paru s'assoupir. On s'est aperçu, dix minutes après, qu'il devenait bleu, qu'il respirait dif
sa bouche les aliments et surtout les liquides; au bout de quelques minutes , il en rejette une partie et ravale l'autre ; l
Grossesse bonne; accouchement, à terme, sans dif- ficulté, en cinq minutes . L'enfant fut élevé au biberon par sa mère, mar
e et ne présente pas de grimaces convul- sives. Pendant environ une minute , l'attitude reste la même et les mouvements de
s, il a com- plètement repris ses sens et se remet au travail. Cinq minutes s'écoulent, au bout desquelles il est de nouvea
sur l'épaule droite. Période de délire. - L'attaque dure depuis une minute environ, lorsque se produit une véritable déten
mais on n'a pas constaté de résultats appréciables. Après quelques minutes de rémission, le tétanisme se reproduit et déte
at, qui constitue la seconde période de la grande attaque, dure une minute , puis l'enfant s'assied, regarde les assistants
du crucifiement; l'arc de cercle très prononcé pendant environ une minute ; quelques vagues abdominales après la fin de la
elle de réso- lution musculaire inclusivement ; après deux ou trois minutes d'immobilité, survient un accès de toux guttura
lade et dirige fixement le regard sur ses yeux. Au bout de quelques minutes , on observe quelques battements des paupières q
n'obtient pas de catalepsie et le membre retombe inerte. Après six minutes de sommeil hypnotique, le ma- lade revient à lu
(23 avril). - On endort le malade par la fixation du regard, en six minutes . Les phénomènes qui annoncent l'invasion et la
ne pustule d'acné pendant le sommeil anes- thésique, qui dure trois minutes . On recommence immédiatement l'expérience et l'
édiatement l'expérience et l'état hypnotique dure, cette fois, cinq minutes . La sensibilité reparaît immédiatement avec le
ouls a battu 60 et les mouvements respiratoires ont été de ? 0 à la minute . Troisième expérience (29 avril). - Le malade e
périence (29 avril). - Le malade est endormi par le regard en trois minutes ; pendant le sommeil qui dure deux minu- tes, on
; on parvient, par ce procédé, à prolonger le sommeil pendant douze minutes , et on constate les mêmes phénomènes que dans l
s immobile, fixé dans cette position, et ce n'est qu'au bout de dix minutes que les talons sont graduellement descendusjusq
uelques instants sans revenir totalement à lui, et, au bout de deux minutes , il est pris d'une attaque à forme épileptoïde.
pleuré, ni tremblé; il s'est remis au travail, mais au bout de dix minutes , durant lesquelles il assure n'avoir rien éprou
casionnée parla chute d'un monte-charge. La crise n'a duré que deux minutes , et il s'est remis aussitôt à son travail. Les mi
t mois. A deux mois, premières convulsions ayant duré de cinq à dix minutes . Depuis cette époque jusqu'à l'âge de deux ans, i
à inter- valles variables; il y en a quelquefois plusieurs en cinq minutes ; mais aujourd'hui, il est rare qu'il y ait plu
nq minutes ; mais aujourd'hui, il est rare qu'il y ait plus de cinq minutes entre deux accès. Description d'un accès. L'a
, premières convul- sions, attribuées à une peur; elles ont duré 10 minutes . De 3 à 5 ans, les convulsions se sont montrées
par mois; elles étaient égales des deux côtés et duraient 10 à 15 minutes ; elles ont cessé à 5 ans. Depuis cet âge, l'enf
sang, par exemple; la figure de- vient alors pâle pendant 1, 2 ou 3 minutes ; mais on ne croit pas qu'il ait eu d'étourdisse
12 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
LLE hémiplégie droite et perd connaissance. L'aura durerait une minute . Les accès sont diurnes et nocturnes. Pas de ve
Aura. — Unedemi-heureauplus avant l'accès, d'ordinaireune dizaine de minutes , L... éprouve : a) une douleur à l'épigastre, ave
e la température. Les convulsions durent un temps variant de 10, 15 minutes .... à une ou plusieurs heures (9 heures chez Perr
ons involontaires. La connaissance reparaît au bout de quatre ou cinq minutes . En revenant à elle, la malade est hébétée, deman
rd la langue, mais rarement. — La durée de l'aura serait environ cinq minutes . 1878. 28 janvier. Gr... traversait une cour, p
, la pupille droite est restée plus dilatée que la gauche pendant une minute . Gr... se rappelle que son accès l'a prise tandis
a eu deux phases : 1° une phase d'incertitude, d'automatisme (2 ou 3 minutes ) ; 2° une phase de fatigue avec retour de la rais
3 minutes) ; 2° une phase de fatigue avec retour de la raison (4 ou 5 minutes ;. Voici la marche des accès de 1865 à 1877. 1
s plus tard (3 ans), elle eut des convulsions qui n'ont duré que cinq minutes \ elles étaient limitées aux membres du côté droi
it d'hébétude consécutive. — T. R. aussitôt après l'accès, 37°,9 ; 20 minutes après, T.R. 37°,6. Les accès, nocturnes et surt
ève. St... reste incertaine pendant quelques instants : au bout d'une minute et demie à deux minutes tout est fini. Elle ne to
aine pendant quelques instants : au bout d'une minute et demie à deux minutes tout est fini. Elle ne tombe pas. Ni dans ses acc
que. L'hébétude consécutive disparaît communément au bout de quelques minutes ,et les malades reprennent leurs occupations ou le
, nous avons trouvé dans le rectum 37°,9 aussitôt après l'accès et 20 minutes plus tard 37°,6. — Chez Lefè... Augustine (Obs. i
accès. Br... raconte que, un peu avant Vaccès, au moins quelques minutes , elle éprouve une douleur au sommet de la tête ;
i constituent en quelque sorte une première phase, durent environ une minute . Alors, la malade tourne sur sa chaise de gauche
de la région dorso-lombaire (Fig. 3). Au bout d'une, deux ou trois minutes , la malade décrit un mouvement de rotation en sen
olontaires. Ces accès d'épilepsie partielle durent au minimum 2 ou3 minutes ; le plus souvent de 5 à 8 minutes. La malade revi
e partielle durent au minimum 2 ou3 minutes; le plus souvent de 5 à 8 minutes . La malade revient vite à elle, n'ayant, pendant
elle ne tombait pas). Ces accès complets ont une durée d'une ou deux minutes . Dans toute la période antérieure à octobre 1875,
hythmi-ques, accompagnées de bruits laryngés. L'accès dure quelques minutes ; la période stertoreuse fait défaut. La malade r
lontaire , la pâleur du visage et le ronflement ont duré plus de cinq minutes . Consécutivement, nous notons la disparition to
D'abord la face regarde directement l'épaule droite et, aubout d'une minute , se porte à gauche. Alors, le membre supérieur ga
ment; la face est pâle. A cette période tonique, qui dure environ une minute , succèdent des secousses clo-niques assez circons
été faite sans que la malade paraisse en avoir conscience.) — • Vingt minutes plus lard, la malade étant revenue à elle : T. V.
9 heures du matin, accès qui se succèdent avec un repos d'une ou deux minutes . On ne les a malheureusement pas comptés. A 10 he
e. V... s'effraya, se mit à trembler et à crier ; on fut plus de cinq minutes à parvenir à la rassurer. Bientôt, on lui donna s
s l'extension. Cette rigidité générale persiste durant 2, 3 ou même 4 minutes . (Période tonique.) Alors, V... secoue la tête
lèvre inférieure, et revient à elle. Ces crises durent, au plus, une minute et demie. Outre ces accidents, on note encore d
avortées, rares le 2, plus fréquentes le 3, se sont succédé de 5 en 5 minutes environ durant la nuit. T. R. 37°,9. — Contractur
l'or et au zinc. Un collier de plaques de zinc, appliqué pendant cinq minutes , ramène la sensibilité de la muqueuse bucco-phary
bilité; — à la face interne du cou-de-pied gauche ; au bout de 5 ou 6 minutes , contracture du pied et du genou. La malade dit a
cture ; — 2° à gauche, disparition de la contracture au bout de 7 à 8 minutes (engourdissement, fourmillements, « sensation de
naissance, chute; immobilité complète. Ces syncopes qui durent 5 ou 6 minutes , inquiètent toujours beaucoup les surveillantes
flements dans l'oreille droite). L'aura n'apparaîtrait que quelques minutes avant l'attaque ; la malade a toujours le temps d
tricolore (1). Une nouvelle attaque, survenue après un repos de 20 minutes , est arrêtée parla compression ovarienne gauche.
ation d'une armature d'or sur l'a vent-bras droit : au bout de 10 minutes , la sensibilité est revenue dans la main et la mo
mplacé par des sauts brusques du membre revenant une ou deux fois par minute . Ils se sont rapprochés de plus en plus et, à 11
s de plus en plus et, à 11 heures et demie, il y en avait 50 à 60 par minute . La compression ovarienne les a momentanément arr
tous les petits symptômes, qui persistent d'ordinaire durant quelques minutes , se dissipent. L... demande à boire. La douleur
revient à elle, cause naturellement ; mais, après un répit de 3 ou 4 minutes , les paupières palpitent, la malade devient immob
es petites filles au coin des bornes)... Après un repos de quelques minutes , L... soulève les épaules d'un air de mépris, rit
que durant le sommeil. Dans le jour, on compte 80 à 90 mouvements par minute . 11 nov. — 30 à 40 mouvements par minute. Sou
pte 80 à 90 mouvements par minute. 11 nov. — 30 à 40 mouvements par minute . Sous l'influence de la compression de la régio
s du bassin ; paroles de désir ou d'en-couragement... Au bout d'une minute à peine — on sait que tout va vite en rêve — X..
e levât pour la rassurer. Souvent,elle se trouvait mal pendant 3 ou 4 minutes (attaques syncopa-les). Enfin,elle a eu fréquemme
très-effrayée ; elle fut prise d'un fou rire, et au bout de quelques minutes , (l'attaques hystéro-epilep tiques (1). Peu après
mant est appliqué auprès du poignet droit ; au bout d'une douzaine de minutes , la contracture disparaît à gauche et s'empare du
13 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
qui se terminaient par des pleurs et du tremblement, duraient 10 à 15 minutes . [Père, nerveux, mort à 83 ans d'une rétention d'
droite. En général, lorsque la manœuvre est continuée durant quelques minutes , les attaques ne reparaissent pas. Pratiquée à ga
let. (Planches XI et XII.) b) Période clonique. — Au bout de deux minutes , les bras et les jambes se détendent, la malade s
e pousse des cris: oue! oue! qui se succèdent rapidement pendant deux minutes environ. b) Période clonique. — Puis, le décruc
mus. La bouche est entre-ouverte, le cou tendu. A onze heures douze minutes , troisième attaque. a) Période tonique {crucifi
iaphragme. Cette suspension de la respiration persiste près de deux minutes ; ensuite on voit se produire des mouvements lége
rapides du diaphragme. Le crucifiement durait depuis une dizaine de minutes , lorsque nous avons pratiqué la compression de la
tièrement à elle. Ce nouveau repos s'est prolongé pendant cinq ou six minutes , après quoi la malade a été reprise et la série n
rise et la série n'a cessé définitivement qu'à midi et demi. Quelques minutes plus tard, M____ s'est (l) L'inhalation du nitr
uille. Ce matin, M... a eu une attaque de crucifiement qui a duré dix minutes . Presque toujours, en 1875, les attaques d'hyst
rigidité est la même des deux côtés.Ces phénomènes durent environ une minute . b) Période cloniqtie. — Elle est constituée
n très-prononcée de la face et ce n'est qu'au bout de trois ou quatre minutes que le visage se colore. La malade s'endort ; de
raire, d'une malade à l'autre. Très-court, ne persistant que quelques minutes chez Léontine, il dure de dix minutes à 4 heures
urt, ne persistant que quelques minutes chez Léontine, il dure de dix minutes à 4 heures et demie, avec quelques intermittences
dont elle-*a gardé le souvenir. A peine y était-elle depuis quelques minutes , qu'elle recouvra la parole et consentit à prendr
ne dort pas ; c'est tout au plus si elle s'assoupit pendant quelques minutes . 19 mars. — M. Chareot réveille Geneviève par l
La respiration est suspendue. c) Période cIonique. — Au bout d'une minute environ, la rigidité disparait, la malade soulève
rs l'attitude prise par la malade, elle la conserve durant 10, 15, 20 minutes et même davantage. A la fin, aussi, on observe le
cheveux. Ces hallucinations se dissipent en général au bout de 5 à 10 minutes . 23 mai. — Le membre supérieur gauche est contr
ts qu'elle m'a donnés sur ses antécé -dents. encore durant quelques minutes et enfin s'aperçoit nettement de la présence des
ènes se produisent, on voit augmenter la congestion du visage. Deux minutes plus tard, la face devient pâle, le regard morne,
te... Ma mère m'a abandonnée... » Elle divague encore durant quelques minutes et revient tout à fait à elle. 16 juillet. —A 7
zontal; le gauche est contracture, à demi-fléchi. Au bout de quelques minutes , G... va se placer dans un coin de sa cellule, la
usses dans les bras. Elle demeure tranquille pendant une vingtaine de minutes , se réveille en jetant un grand cri : « Le voilà
, dirigés vers le ciel. Après avoir gardé cette attitude durant dix minutes , elle pleure, s'agenouille les mains jointes.Tout
e ventre est considérablement ballonné. Cette attitude a persisté dix minutes . G... s'assied sur son lit, regarde dans sa chemi
'endroit où était collé son ventre. Cette scène dure une vingtaine de minutes . Alors, G... saute, rit, se découvre, fait des ge
qui venaient pour l'assassiner. Elle a sauté durant une quinzaine de minutes . Ensuite, elle s'est agenouillée, les bras en l'a
scles du ventre et quelques-unes dans les muscles de la face. Vingt minutes après le début, il est devenu impossible de saisi
r l'épaule correspondante. Cette contracture n'a persisté que 15 à 20 minutes et s'est dissipée lentement (1). 4 février.—Att
r l'épaule droite. M... conserve la même expression pendant plusieurs minutes , puis elle fait des grimaces affreuses. Enfin, el
libre, la jambe allongée; elle marche en boitant. Au bout de quelques minutes , elle est reprise d'une attaque, contrairement à
défaire les manches de sa camisole avec les dents. — Repos de 3 ou 4 minutes . M... s'assied à demi vers le bord gauche du li
ts rapides, Mv.. allonge les jambes et demeure tranquille pendant une minute environ;?Ensuite, elle s'asseoit,., sfeùîit, - en
attaques d'épilepsie, M.... est incertaine, égarée; pendant quelques minutes , elle obéit, se lève, s'habille machinalement. La
sur l'avant-bras et la jambe du côté gauche (anesthésie), pendant 15 minutes , (l) Cette commissiou était composée de MM. Cba
s muscles du cou (torticolis hystérique), qui s'est dissipée en vingt minutes . En 1875, nous avons observé : 3° une contractu
es bras dans l'extension, ils gardent cette position durant plusieurs minutes . Fait-on reposer la malade sur un seul pied, elle
oser la malade sur un seul pied, elle s'y tient pendant trois, quatre minutes ou même davantage. L'éther occasionne aussi un
60.) Ceci reproduit à titre de curiosité. souvent pendant plusieurs minutes , succèdent les grands mouvements de balancement
14 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
de quelques instants, le bras droit refuse son service. Observée dix minutes après l'attaque, la malade n'avait ni déviation à
est rouge, la parole embarrassée, le pouls monte à 132 pulsations par minute , la température rectale s'élève à 10°, 2. Un mati
hôpitaux de Lyon. ques énergiques; il meurt sans convulsions vingt minutes après l'attaque, le 4 Avril 1867. A Vaufopsie,
tombe en résolution complète, a un vomissement et meurt dix ou douze minutes après l'attaque. On trouve à Y autopsie une vas
après la mort, aurait atteint, dans ce cas, au bout de quarante-cinq minutes , le chiffre 45°, 3 (!). Archiv der Heilkunde, B
si ce n'est pendant le sommeil — environ 200 oscillations doubles par minute , à l'aide des membres supérieurs, la température
attendions qu'aucune oscillation ne se montrât plus, depuis plusieurs minutes , dans la colonne mercurielle. Charcot. Œuv. com
centigramme de sulfate de strychnine. Les convulsions commencent cinq minutes après l'injection; clo-niques d'abord, elles devi
deviennent presque immédiatement toniques ; elles ne durent que deux minutes et se terminent par la mort. Une minute aprèsle d
s ; elles ne durent que deux minutes et se terminent par la mort. Une minute aprèsle début des convulsions, la température est
e, elle était à 39°,2 et s'y maintint jusqu'à la mort et pendant huit minutes après la mort. II. Lapin assez vigoureux. Tempé
sent, toniques et cloniques d'abord, puis seulement cloniques, et une minute après leur début, la température est montée à 38°
ne minute après leur début, la température est montée à 38°, G ; deux minutes et demie après, elle est à 38°, 3 ; puis toute ro
ence 38°, 8. Injection de 1 centigramme de sulfate de strychnine. Une minute et demie après surviennent des convulsions clon
empérature descend à 38°, 2. Les convulsions toniques arrivent quatre minutes après l'injection, et la température remonte à 38
e minutes après l'injection, et la température remonte à 38°, 8. Deux minutes après, elle est à 39 degrés ; au bout d'une minut
te à 38°, 8. Deux minutes après, elle est à 39 degrés ; au bout d'une minute à 39°, 2 ; une demi-minute plus tard à 39°, 4, pu
à 39°, 2 ; une demi-minute plus tard à 39°, 4, puis encore après une minute à 39°, 6. La mort survient à ce moment et la temp
ort survient à ce moment et la température reste à 39°, 6 pendant six minutes après la mort. IV. Lapin gros et vigoureux. Tem
es de sulfate de strychnine. La température descend d'abord, en trois minutes , jusqu'à 37°, 4. La convulsion tonique apparaît à
le type clonique et la température descend graduellement, et en cinq minutes et demie, à 37°, 2. La mort survient à ce moment.
39 degrés, Injection de 1 centigramme de sulfate de strychnine. Trois minutes après, convulsions toniques ;la température monte
. Injection de 18 centigrammes d'extrait de fève de Cala-bar. En onze minutes , la température descend à 38 degrés. A ce moment,
que et la température continue à descendre graduellement, pendant dix minutes et demie, jusqu'à 37°.6. La mort survient à ce mo
. L'animal est immédiatement tétanisé, la température s'élève en cinq minutes trois quarts à 40°,2. On interrompt le courant, l
s à 40°,2. On interrompt le courant, la température redescend en cinq minutes à 39°, 8. On rétablit le courant, la température
nutes à 39°, 8. On rétablit le courant, la température remonte en six minutes et demie à 49°, 2. A ce moment, les contractions
e moment, les contractions cessent, la température redescend en trois minutes , à 40°. On interrompt le courant. L'animal meurt.
ourant. L'animal meurt. La température se maintient à 49° pendant dix minutes après la mort. VIII, Lapin gros et vigoureux. T
lle. L'animal est immédiatement tétanisé. La température monte en une minute à 39°, 5. L'animal ne respirant pas, on interromp
courant, la respiration se rétablit et la température descend en cinq minutes , à 39°, 1. Le courant est rétabli, la roideur rep
ant est rétabli, la roideur reparaît et la température remonte en une minute à 39°,4. A ce moment, la roideur cesse, quoique l
sse, quoique le courant soit maintenu, la température descend en deux minutes à 39°,2. On interrompt le courant et après deux m
scend en deux minutes à 39°,2. On interrompt le courant et après deux minutes trois quarts, la température est encore descendue
1. Le courant est alors rétabli, la roideur se reproduit, et en cinq minutes et quart, la température a monté à 39°, 0. Le cou
la température a monté à 39°, 0. Le courant est supprimé, et en trois minutes et demie, la température est revenue à 39°, 2. L'
bres ne participent en rien aux convulsions. L'accès dure une ou deux minutes environ, puis il se reproduit cle nouveau après u
oup plus difficile que les jours précédents; le malade met près d'une minute pour dire deux ou trois mots. Son intelligence es
comme par secousses, la commissure droite des lèvres pendant quelques minutes : c'est là tout ce que l'on observe. Mais bientôt
sions de ia totalité du côté droit cessent au bout de trois ou quatre minutes , et il y a un intervalle de repos d'une durée à p
e 20 francs reliées entre elles, au bout d'un quart d'heure, de vingt minutes , la malade sent parfaitement. Si on pique alors l
des pièces de 20 francs, sont en contact immédiat avec la peau. Deux minutes plus tard, après la production d'un peu de mal à
ctrales disparaissent. « Le bandeau avec ses pièces est enlevé. Une minute et demie à deux minutes plus tard, la couleur ble
« Le bandeau avec ses pièces est enlevé. Une minute et demie à deux minutes plus tard, la couleur bleue reparaît dans les deu
iété de Biologie, a été soumise au magnétisme : au bout de cinq à six minutes , toutes les fonctions troublées sont revenues, co
out d'un temps qui peut varier de quelques secondes à quinze ou vingt minutes , suivant les sujets, la malade vous avertit qu'el
du corps était dans le temps tout à fait insensible. Quinze ou vingt minutes se sont écoulées depuis l'application. Vous const
bout d'un temps généralement court (de quelques secondes à plusieurs minutes ) et parfois d'une façon instantanée, survient Y é
deux états, le pouls est régulier; il bat de 80 à 100 pulsations à la minute , La respiration est faible, irrégulière, suspendu
et présentons au bras les deux pôles de l'aimant. Au bout de quelques minutes , voici que la sensibilité est revenue à gauche. M
l... dans ce solenoide, et nous envoyons le courant qui, pendant cinq minutes , traverse la spirale. Maintenant, vous le voyez
production des phénomènes est très-variable. Ici il a fallu quelques minutes . Chez une malade nommée Witt... il suffit de qu
ut placée entre les branches de l'aimant de Faraday. Au bout de vingt minutes , la sensibilité était revenue et fixée à tout jam
pplication d'un collier fait avec des plaques de zinc. Après quelques minutes , la sensibilité est complètement rétablie. III.
table à proximité de l'aimant. Au bout de peu de temps, deux à trois minutes au plus, voici le curieux phénomène que nous obse
uche. Ce retour s'opère avec plus de lenteur. Il'faut bien cinq à six minutes , et encore s'est-il effectué incomplètement. Au b
avant-bras droit, dans le but de transférer la griffe de ce côté. Dix minutes et plus se passent sans qu'aucun transfert ait li
cousses sont bientôt suivies d'une sorte de stertor qui dure quelques minutes . La paralysie du côté droit n'a pas disparu. Le s
nt à peu de distance de ses yeux et un peu en haut. Au bout de cinq minutes environ, on remarque quelques mouvements clonique
dé de la fixité du regard, en convergence supérieure. Au bout de cinq minutes environ, les yeux se ferment tout à coup, la tête
enlevée, et nous observons ce qui va se passer. Au bout de quelques minutes une contracture généralisée se déclare, le corps
près nos observations, cela ne serait point exact : au bout de 10, 15 minutes , le membre commence à descendre, et au bout de 20
10, 15 minutes, le membre commence à descendre, et au bout de 20 à 25 minutes au maximum il est retombé dans la verticale. 1.
ressemble d'abord à celui du cataleptique, mais, au bout de quelques minutes , des différences considérables commencent à s'acc
enir au même sujet. L'excitation est alors maintenue pendant quelques minutes — la persistance de l'action électrique est à ce
istes. La durée de la contracture est très variable, depuis 10 à 15 minutes jusqu'à 2 heures 1/2. La décontraction s'opère
). —C, Cylindre du régulateur Foucanet, qui fait une révolution en 30 minutes . — L, Levier inscripteur dont une extrémité, main
alades sont actuellement électrisées ; nous allons voir dans quelques minutes se produire une modification complète de l'état d
étincelle, en guise de piqûre explo ratrice. Comme nue vingtaine de minutes sont nécessaires pour que révolution du phénomène
en quelques heures. Voyons, maintenant, dans quel état, après vingt minutes environ d'électrisation statique, se trouvent nos
atre malades. 1° In... Vous avez remarqué qu'on a tenu pendant cinq minutes une pointe métallique en regard de son avant-bras
que chez les précédentes, et dans le même espace de temps, de 15 à 20 minutes , Pil... s'est trouvée délivrée de son anesthésie
lable d'abord à celui du cataleptique, se modifie au bout de quelques minutes ; la ligne droite se change en une ligne brisée, t
nt-bras gauche. Quel ne fut pas mon étonnement, voyant après quelques minutes l'avant-bras gauche être agité de quelques contra
15 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
ne douleur continue avec des exacerbations dont les unes durent une minute , les autres un seul instant; tantôt ce sont de si
inférieur du tronc, 2 milligrammes de chaque côté. Au bout de deux minutes , sudation très abondante. - La sudation locale
ut être exagérée dans d'autres circon- stances. C'est ainsi que dix minutes après le choc du tendon du triceps (ng. 11, b)
chez G. atteint d'hémiathatose gauche. a. à l'état normal ; b. dix minutes après un choc sur le tendon du triceps. Fig. 12
lte position, nous réussissons il lalui faire garder plus de quinze minutes ; au bout de ce temps, le bras tombe peu il peu,
et se sauve dans la cour sans chemise. Cette scène dure environ dix minutes . C'estl'époquc de ses règles. , , '15 octobre
erons plus loin, on verra que les respirations, un nombre de 90 par minutes , ne sont pas toutes régulières ; et sur- tout q
me les plus fatigantes et cela pendant un temps assez long (15 à 90 minutes ). Les membres immobilisés dans ces poses catalept
que ligne icpi-ésente une fraction de Seize secondes et demie de 10 minutes consécufivos. UNE OBSERVATION DE MÉLANCOLIE CAT
mbour à réaction placé sur la main droite. Le tracé, pris pendant10 minutes , nous donne une ligne droite parfaitement régul
nditions sur un sujet sain nous donne au contraire, dès la première minute , des lignes irré- gulières et légèrement trembl
dans la même position. Sur le tracé obtenu sur la malade pendant 15 minutes (et dont la figure 5 reproduit les fractions de
nutes (et dont la figure 5 reproduit les fractions des 11 dernières minutes ), on voit que les lignes sont régulières, bien
jet sain (et dont la figure 2G reproduit une fraction des premières minutes ), on voit que les lignes sont absolument irréguli
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. se modifier' dès la première minute . La respiration devient irrégulière dans son 'r
n voit un exemple dans la figure 28, tracé pris pendant la deuxième minute , ' '. 'Rien de tout cehin'existe chez notre mal
tenir horizon- talement les bras de celte malade pendant, plusieurs minutes , ces caractères de la respiration ne se modifie
ant 1 : minutés.' - Chaque Ij*II("rl'llI'c('ntc une fraction de lli minutes et : dcmiependa nt les 11 dernières minute ? , ,.
ntc une fraction de lli minutes et : dcmiependa nt les 11 dernières minute ? , ,. 1 .. z UNE OBSERVATION DE MÉLANCOLIE CAT
comme on peut le voir dans la ligure 30, tracé - pris à la huitième minute . Le rythme, l'étendue des respirations est . re
s \ qu'elle avait avant le rire. Ces rires se présentent toutes les minutes à rnc. £ 0. Tracé obtenu sur un sujet sain dans
tions que le tracé de la figure : ! 5, mai' pendant les 7 premières minutes . Go tz 0 CI - . ! i n L- r es
à l'élat de repos pendant 27 secondes. (Ce tracé a été pris pendant 3 minutes consécutives.) ... ? 1 ' " z Fie. 28. - Respi
endus horizontalement. (Ce tracé reproduit 27 secondes de la deuxième minute .) c . rli t-f 0 a en R Y e C
à l'étal de repos pendant 27 secondes. (Ce trace a été pris pondant 3 minutes consécutives.) ' Etc. 30. - Respiration de la m
tendus horizontalement. (Ce tracé reproduit 7 secondes de la huitième minute .) ; ; ' . 80 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE. DE LA S1L
s séances de suspension d'une durée progressive de une demi à trois minutes de durée, quatre minutes maximum, suivant les c
'une durée progressive de une demi à trois minutes de durée, quatre minutes maximum, suivant les cas, il l'aide de l'appareil
énérale,. la plus longue séance ne doit pas dépasser trois à quatre minutes ;. ce'chiffre. de trois minutes étant pris comme
ne doit pas dépasser trois à quatre minutes;. ce'chiffre. de trois minutes étant pris comme moyen terme. On commence'par u
e, qu'on' n'éprouve aucune difficulté à faire tolérer d'emblée deux minutes . 'de' suispeii'sioii ? t des malades pesant 60 1
de poids faible (60-70 kilogr.) pourront parfaitement tolérer trois minutes et demie de suspension, est-il inutile de dépas
is minutes et demie de suspension, est-il inutile de dépasser trois minutes chez ceux d'un poids plus élevé. Chez ces derni
la régularité dans les séances est indispensable. Lorsque les trois minutes , par exemple, sont écoulées, le médecin command
ève les diverses pièces et on l'asseoit immédiatement pour quelques minutes dans un fauteuil préparé à cet effet, afin qu'i
, au mois de juillet 1887. L'attaque dure en moyenne quinze à vingt minutes ; elle est précédée d'une aura, qui consiste en un
il gauche, ce qu'elle l'ait lorsque l'on a insisté pendant quelques minutes . Mais le blépharospasme reparaît peu à peu au b
utes. Mais le blépharospasme reparaît peu à peu au bout de quelques minutes . L'apho- nie ne reparait que le lendemain au ré
es; mais elles se reproduisent aussitôt après le réveil ou quelques minutes après. Les douleurs arthralgiques ne peuvent être
rticulations douloureuses repa- raissent au bout de quinze ou vingt minutes ; l'amaurose de l'oeil gauche reparaît le soir,
morsure de la langue, pas de miction. L'accès dure ainsi une ou deux minutes et le malade reprend connaissance; la raideur d
emi-érection, il y a écoulement de sperme. L'accès dure sept à huit minutes , et le malade se relève ; il accuse un vio- len
a lumière. La respiration est normale. Le pouls a Ci pulsations par minute . Le malade mange avec un appétit poussé quelque
releva sans connaissance. Il se remit cependant au bout de quelques minutes , mais on dut le reconduire chez lui, il chancelai
s sont plus fortes. La malade fait de grands mouvcmenls pendant une minute à une minute et demie. Entre chaque attaque, la
ortes. La malade fait de grands mouvcmenls pendant une minute à une minute et demie. Entre chaque attaque, la malade repre
ade qu'elle ne peut tenir son bras horizontalement pendant quelques minutes sans qu'il se contracte immédiatement. Si je romp
oucement à terre pour ne pas se blesser en tombant. Cela durait une minute et tout était fini. Il travaillait alors comme
s, crise d'étouffement, sensation de serrement de la gorge il vingt minutes d'intervalle. 24. juin. Le malade se sent courb
s et de la jambe du côté droit. Ce tremblement a persisté plus de 5 minutes . 2 juillet. - L'amélioration dans l'état de la
l, les yeux fermés, les membres souples. Cet état de calme dure une minute au plus. Phase de délire. - Puis sans altitudes
t oedème est dur; cependant à lapression, il garde pendant quelques minutes l'empreinte en godet formée par la pulpe du doi
geur faible sur la ligne tracée, entourée de deux zones pâles. z1 minute 1/2 : troisième zone rouge périphérique, s'étenda
oisième zone rouge périphérique, s'étendant au loin. Fin de la 2° minute : apparition sur la ligne centrale d'élevures b
hes d'abord isolées et marquées au niveau des follicules pileux. 3' minute : extension de la saillie blanche, qui envahit la
pâle et arrive aux limites de la zone rouge périphérique. 4° ou 5e minute : l'élevure ortiée est complète; les saillies fol
nents, donnant à cette partie un aspect grenu, chagriné. 15 à 20 minutes : commencement du déclin. L'aréole rouge se rét
ntourent d'une petite macule rouge, qui devient au bout de quelques minutes une papule I. Ilirtz, Soc. médicale des Hôpitau
u. Les excitations galvaniques semblent plus actives. Au bout d'une minute environ, avec i éléments Gaiffe, nous avons vu
72. 288 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pendant 1 ou 2 minutes ) une ligne tracée, partie sur la peau intacte,
puis la seconde s'élève à son tour avec un retard variant de 1 à 3 minutes . Finalement le phénomène acquiert t une intensi
e observation c'est qu'on put tirer pendant une attaque qui dura 13 minutes une série d'épreuves instantanées qui donnent l
lade est-il dans son lit que survient une attaque violente durant 4 minutes ; plusieurs autres attaques se succédèrent dans
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. secondes. Elle dure en tout de'4 à 25 minutes . Celle pendant laquelle nous prîmes les épreuve
sentie venir, s'était couché en revenant des champs; elle dura cinq minutes . Pen- dant ces cinq derniers mois il n'en eut p
16 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
intervalles variables sui- vant les jours ; tantôt toutes les cinq minutes , tantôt plus fréquemment. Elles durèrent ainsi
ne moitié du corps et se montrant gé- néralement plusieurs fois par minute . Les trois observations qui ont servi à sa desc
ent du tronc. Elles se répètent en général toutes les trois ou cinq minutes , parfois plus souvent. Elles ne déterminent au-
même côté, lestant limité à ces parties; il durait de deux à trois minutes , sans perte de conscience. Quelque- fois, après
ieur engendre des convulsions tétaniques qui survivent de plusieurs minutes a l'excita- tion, sans mouvements de locomotion
ni- cations, ne pourront occuper la tribune pendant plus de vingt minutes . 154 VARIA. ART, 7. Les membres du Congrès qu
ouleur avec une sensation de suffocation qui l'opprésse pendant dix minutes . Il se couche, la douleur devient moins aiguë,
intermittences dans le rythme et l'intensité (44 respirations à la minute ). Paralysie de la vessie depuis le 3 décembre. Né
ès froide d'acide phénique, après quoi, le cobaye a crevé en deux minutes , à cause d'nne paralysie du coeur et de la respir
es inconvénients de l'hyoscine. Il agit le plus souvent en 10 il 15 minutes ; c'est surtout un hypno- tique ; le sommeil se
s; c'est surtout un hypno- tique ; le sommeil se produit en 20 à 30 minutes . Doses 2 à 3 milli- grammes quand l'agitation e
s de dents sans grands inconvénients, le tout durant de trois à six minutes . Ces attaques étaient quotidiennes. Plus tard,
à la face et au coude gauche et une perte de connaissance de vingt minutes environ. Au réveil, l'enfant a prononcé quelque
hébété on essaie de l'endormir par le regard. Au bout de cinq à six minutes , on voit seulement quelques palpitations des pa
ques mouve- ments de déglutition et cela s'arrête. - Au bout de dix minutes , il n'y a aucun résultat et on cesse l'expérien
eptoïde, le malade fait l'arc de cercle lequel persiste pendant une minute , une minute DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉ
malade fait l'arc de cercle lequel persiste pendant une minute, une minute DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 36
L'arc de cercle est très beau, souvent d'une durée qui dépasse une minute ; les pieds se posent sur la plante et non sur l
tifs. Elles sont séparées les unes des autres par quatre ou cinq minutes d'intervalle à peine. Après la dix-septième att
tième attaque le malade se réveille un peu et demande à boire. Deux minutes après avoir bu, les yeux se dévient en bas et à
et les jambes, le tronc restant immobile. Cette agitation dure deux minutes environ, puis le malade se calme. A ce moment les
corps est fléchi en demi-cercle. La durée de ces attaques est d'une minute environ. La respiration est stertoreuse et irré
bes oculaires après commandement de dormir. Il dort au bout de.cinq minutes . Pas de catalepsie; on ;lui parle, il répond et
ennent.-A 8 heures du soir il a de nouvelles secousses pen- dant 15 minutes , puis deux attaques d'une durée d'une minute, et
ecousses pen- dant 15 minutes, puis deux attaques d'une durée d'une minute , et revient à lui presque aussitôt. - La nuit e
le en lui soufflant sur les yeux. Une fois réveillé, au bout de dix minutes il reconnaît toutes les couleurs suggérées de l
s le soir. Il n'en a plus après 9 heures et demie. Aura. Quelques minutes avant l'attaque le malade dit avoir des étourdi
enlever le morceau de céleri. Puis il aurait « gigolté» environ 15 minutes . Bave sangui- nolente légère. Le médecin arriva
s alors qu'il était en classe, sans cause appréciable. Elle dura 15 minutes . Pas d'aura, pas de délire. Il s'est mordu la l
s, nouvelle attaque qui a débuté de la même façon : sommeil de deux minutes d'abord, puis il a été pris sans qu'on y touche
ouche; il s'est levé et est tombé en pirouettant. L'attaque dura 30 minutes . Il avait dans sa poche un couteau qu'il prit e
a des sortes de grognements. Il eut quatre crises semblables à cinq minutes d'intervalle : la pre- mière dura vingt minutes
s semblables à cinq minutes d'intervalle : la pre- mière dura vingt minutes , les trois autres dix minutes seulement. 28. -
intervalle : la pre- mière dura vingt minutes, les trois autres dix minutes seulement. 28. - Nouvelle crise en présence de
ution complète. Au bout de trois Fig. 36. 384 RECUEIL DE FAITS. minutes secousses dans tout le corps, puis convulsions to
c grands mouvements, après quoi il tombe en résolution pendant sept minutes . Pendant tout le lemps des convul- sions les ye
rcle latéral. Secousses dans les membres. Résolution d'environ deux minutes . Puis gémissements. Il ouvre légèrement les yeu
é, semble comprendre et se dresse sur son séant pendant environ une minute . Mais tout à coup il se rejette en arrière comm
triction des mâchoires, frémissement des paupières. Au bout de sept minutes il se redresse sur son séant, pousse un grand s
ombe survie dos dans un état de résolution complète qui dure quatre minutes . Après quoi, il regarde à droite et à gauche, s
tirer de lui quelques réponses. L'attaque a duré en tout vingt-six minutes . 8 juillet. Etant assis tranquillement sur un b
e s'il s'endormait, puis a glissé à terre. Au bout de quatre à cinq minutes il entrouvre les yeux et tourne la tête à gauch
egard dirigé en haut. Rigidité complète avec extension pendant deux minutes , suivie d'une courte résolution. Puis fré- miss
u, battements préci- pités du coeur; peau moite. Résolution de sept minutes . Il entr'ou- vre les yeux, se redresse sur son
sommeil apparent avec respiration et coeur réguliers, pendant vingt minutes . Il tourne de nouveau la tête à droite et à gau
laquelle il donna de vio- lents coups de tête pendant deux ou trois minutes . Puis il s'est relevé lentement et s'est mis à
est parvenu à l'étendre par terre où il est resté calme pendant dix minutes , puis il est allé se rasseoir dans le fauteuil.
e rasseoir dans le fauteuil. 16. Attaque à 5 heures du soir, de dix minutes de durée, à la suite de laquelle on le coucha l
ées. A 3 heures de l'après-midi, il a une attaque qui dure quatre minutes à la suite de laquelle il a rouvert tes yeux. Le
ôté ses bas toujours debout, est resté immobile pendant cinq à six minutes , puis a été pris d'une atta- que qui a duré sep
cinq à six minutes, puis a été pris d'une atta- que qui a duré sept minutes . Sa température après l'attaque était de 38°2,
49.- Pendant le concert du matin, il s'est endormi et cinq à sept minutes après il a eu une attaque qui a duré quatre minut
et cinq à sept minutes après il a eu une attaque qui a duré quatre minutes et 388 RECUEIL DE FAITS. dans laquelle il s'e
t le malade semble assoupi. La durée de l'attaque a été de dix-huit minutes . Il se relève, répare le désordre de ses vêteme
s une vitrine, puis à terre sur le côté droit. Il reste ainsi trois minutes , le corps agité de légères secousses. Petits gé
de légères secousses. Petits gémissements. Repos de quatre à cinq minutes . Ses yeux se rouvrent, il se dresse péniblement s
nd pas. Il défait encore son gilet de flanelle et reste ainsi trois minutes . Les mâchoires sont contractées et les muscles
- Secousses dans tous les mem- bres et le tronc. Résolution de deux minutes . Il se dresse alors sur son séant en se frottan
gauchement, auto- matiquement. Il ne répond qu'au bout de quelques minutes aux paroles qu'on lui adresse. La durée de l'at
oles qu'on lui adresse. La durée de l'attaque a été de trente- sept minutes . 24.- Attaque de quatre minutes à 8 h. et demie
e l'attaque a été de trente- sept minutes. 24.- Attaque de quatre minutes à 8 h. et demie du matin; une seconde de 11 min
taque de quatre minutes à 8 h. et demie du matin; une seconde de 11 minutes à 9 h. trente-cinq. 25.-Attaque de dix-sept min
e seconde de 11 minutes à 9 h. trente-cinq. 25.-Attaque de dix-sept minutes à 7 h. et demie; une seconde de douze minutes à
.-Attaque de dix-sept minutes à 7 h. et demie; une seconde de douze minutes à 11 h. et demie. 26.-Assis tranquillement au c
avec recueillement, puis peu à peu il s'endort, et au bout de huit minutes il se lève, se dirige lentement vers l'orgue, les
mesure de la têle, et reste ainsi, les mains jointes, environ douze minutes . Le concert fini et sur un appel de son nom, sa
'on le touche, il tombe en arrière et a une attaque qui dure quinze minutes . 27. - Au moment de la visite, il est pris dans
les yeux, parait étonné, se lève, se plaint de la tête. - Durée 10 minutes . T. R. 38°,1. - Un quart d'heure après, T. R. 37°
un quart d'heure après 37°,9 ; deux heures après 37°,1. Durée 18 minutes . A 5 heures et demie, après son dîner, nouvelle a
tombe il terre après avoir sauté deux fois. Il reste tranquille une minute , puis se tourne sur le côté droit les jambes éc
rre entre ses deux mains. Il se relève tout debout, reste ainsi une minute et demie et retombe de toute sa hauteur en cherch
u corps. Gémissements et petits cris. Résolution complète pendant 7 minutes . Après quoi il se relève. On lui adresse la par
role, mais il regarde d'un air égaré et ce n'est qu'au bout de huit minutes qu'il répond. Durée de l'at- taque 35 minutes.
st qu'au bout de huit minutes qu'il répond. Durée de l'at- taque 35 minutes . T. R., après l'attaque 38°,4; un quart d'heure
de nouveau par le regard. Au bout de 390 RECUEIL DE FAITS. quatre minutes on constate un peu de fatigue du malade, avec des
la préparation soit imbibée, ce qui a lieu en une demi-minute à une minute . On absorbe l'excès de matière colorante à l'ai
la préparation qui adhère à l'un des verres. Au bout de cinq à dix minutes on monte dans le baume. Par ce procédé, on voit
n avant. Le Dr Palmer constata chez cet homme : 100 pulsations à la minute , 40 respirations, la dilatation des pupilles, l
17 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
glionnaire. Respiration normale; pouls régulier : 73 pulsations par minute Le malade dit avoir eu des démangeaisons, d'ail
un objet devant les yeux. L'attaque proprement dite a duré dix-huit minutes . Puis Gabriel, après avoir eu une demi-minute,
affaissé comme brisé de fatigue. Il ne fait aucun mouvement. Cinq minutes après, sans que l'enfant perde connaissance à nou
r jusqu'à treize de ces secousses se reproduisant à peu près à cinq minutes d'intervalles. Quelquefois elles sont accompagn
uccédé à une demi- heure d'intervalle. La première a duré cinquante minutes : le début a été semblable à celui des autres ;
s : le début a été semblable à celui des autres ; au bout de cinq minutes inhalations d'ëther. La raideur persiste, la face
à intervalles très éloignés. On cesse l'inhalation au bout de dix minutes , la raideur du corps ayant disparu. Gabriel se
e attaque a présenté les mêmes caractères en raccourci ; durée, dix minutes . - Le 28, une attaque; dans la période de résol
s, - Même traitement. - Onze attaques en tout. Durée moyenne quatre minutes . La rigidité est beaucoup moins accentuée. A la
u regard, durée dix secondes. - Le 5, attaque complète, durée vingt minutes . - Le 21, sommeil agité, l'enfant s'est levé en
quelquefois miction involontaire. Durée de la crise de trois à cinq minutes . Assoupissement consécutif, puis l'enfant se ré
emande qu'est-ce qui vient de se passer. Il se rendort pendant cinq minutes et se redresse lui-même comme s'il n'avait rien
haut, il y de l'extase dans leur expression. La rigidité dure deux minutes , puis les paupières se referment et quel- ques
rmes coulent des commissures internes. L'enfant reste environ trois minutes sans connaissance. On l'aide à se relever, mais
t le monter au- dortoir, et l'étendre sur son lit : il y reste cinq minutes , puis se déshabille les larmes aux yeux et se c
ation violente tout ce qui se trouve à leur portée. Au bout d'une minute commence une période de rémission relative. Les
; n'est pas grimaçante; la respiration est pénible. Au bout de deux minutes les membre se relâchent, la respiration se fait
respiration se fait plus aisément, l'attaque; parait terminée. Doux minutes et demie environ après, nouveau cri strident eu
membres, se frotte les yeux et le front, et se met il pleurer. Deux minutes après, l'enfant paraissait endormi, lorsqu'on l
t de cinq 100 111'S'l'l;Itlt : I,i,ILI : Dls L'l· : NI'e1N( : li. minutes de repos complet, sur une demande que nous lui
ée il côté. Il s'y étend et cherche à dormir, il reste étendu trois minutes environ, puis descend, moule sur la cheminée où
ures et demie. Le 31 juillet Il ... a une attaque d'une durée de 15 minutes , présentant les mêmes caractères que celles du
t personnel. - lt... n'a eu qu'une seule attaque de la durée de dix minutes environ. En revanche, il s'est produit trois at
ssait chercher quelque chose qu'il ne trouvait pas ; au bout de dix minutes , il se baisse et ramasse un bout d'allumette et
écume, ni d'évacuations invo- lontaires. Il se relève au bout de 5 minutes avec une exagé- ration du tremblement des bras
exagération du tremble- ment do la tète. Souvent il a, il quctqucs minutes d'intervalle, deux au trois crises. Une améli
t un peu contractées. Il n'a pas bougé de sa chaise. Au bout de dix minutes , le tremblement a cessé mais les pieds et les m
ors. Lucien essaie de se mordre les mains. Pas d'écume. Durée, cinq minutes . 24 murs. - Un nouvel examen ne décèle aucun tr
gs fermés. Membres inférieurs dans l'ex- tension. Au bout de deux minutes , mouvements de flexion en masse des membres inf
embres inférieurs avec déplacements du corps. -Après trois a quatre minutes , un peu d'écume, repos. Après cinq minutes, nou
-Après trois a quatre minutes, un peu d'écume, repos. Après cinq minutes , nouvelle agitation des paupières, l'en- fant s
les cuisses. Quelques mou- vements de flexion, repos. - Après neuf minutes , mouve- ments brusques d'extension et de flexio
usques d'extension et de flexion, écume blanche, repos. Après dix minutes , B... porte sa main à la bouche. Mouve- ments d
exion des cuisses et de la colonne vertébrale. Repos. Après douze minutes : extension de la colonne vertébrale et des mem
issance et se plaint d'avoir soif. - Durée totale de l'at- taque 15 minutes . Les caractères de cette attaque ne laissent au
et se portaient en haut. » Pas de ronflement. Durée, environ cinq minutes . Le même jour il a eu trois crises dans la matiné
enfin un peu d'écume et un léger ronflement. Ils duraient deux à 4 minutes , et parfois ils étaient suivis de sommeil. Dans
uite quelques secousses, mais sans cris. L'accès durait environ dix minutes . Elle s'endormait après. Jusqu'à 6 ans, elle av
semblait que tout était noir. Ces accidents duraient en général 15 minutes et revenaient envi- ron toutes les deux ou troi
flement, écume à la bouche. Il revint à lui au bout de deux à trois minutes . - Troisième accès, à trois mois, et le quatriè
, il s'est levé, a tourné autour de l'établi pendant une dizaine de minutes , en prononçant des paroles inintelligibles. Qua
ires, décomposition des traits. Cette période dure une vingtaine de minutes . Le corps est en résolution com- plète. Le mala
corps est en résolution com- plète. Le malade s'endort pendant dix minutes . Durant la période clonique, les pupilles, étai
chemin automatiquement. Quelquefois cette sensation durai ! cinq minutes . Il n'en a pas parlé, dans la crainte d'effrayer
ire, elle t'est mise il regarder fixement sans répondre ; durée : 3 minutes . Nous la voyons il la visite : physionomie natu
estions. Dans ses accès antérieurs, tout était fini au bout de cinq minutes . Il assure que sa mémoire ne diminue pas ( ? ).
rnait, les oreilles lui bourdonnaient. Ces sensations ont duré cinq minutes ; il a eu le temps de s'habiller et de remonter
ennent fixes, et elle ne répond pas. Elle reste ainsi deux ou trois minutes . Elle a l'air étrangère il tout ce qui se passe.
18 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
té complète; la mémoire s'est rétablie progressivement jusqu'à la minute même de l'accident; il se souvient maintenant d
9 h. 24, première immersion; 29 brasses de profondeur, vingt- cinq minutes de séjour, une minute de décompression. c A 9 h
rsion; 29 brasses de profondeur, vingt- cinq minutes de séjour, une minute de décompression. c A 9 h. 51, enlèvement du ca
remière immersion, 23 brasses de profondeur, 1 h. 30 de séjour; une minute de décompression. A 1 h. 2 du soir, enlèvement
mersion; 23 brasses de profondeur; une heure trente' de séjour; une minute de décompression. A H h. 32, enlèvement du casq
mersion; 32 brasses de profon- deur ; une demi-heure de séjour; une minute de décompression. A 10 h. 32, l'animal paraît b
s s'arrêtent et le coeur enfin cesse de se contracter cinq à quinze minutes après l'injection. » Le savant professeur de Na
ire pour le second, qu'on se borne à drainer. Au bout de vingt-cinq minutes , le malade se réveille. Il est loquace, parle a
ade s21sl)e7z(lii : mouvements latéraux des bras. - trois ou quatre minutes ; ce chiffre de trois minutes étant pris 134 ' R
s latéraux des bras. - trois ou quatre minutes; ce chiffre de trois minutes étant pris 134 ' REVUE CRITIQUE. comme moyen
On commence le traitement par des séances de une demi-minute à une minute , et progressivement, on arrive au chiffre supér
ple qu'on n'éprouve aucune difficulté à faire tolérer d'emblée deux minutes de suspension à des malades pesant de 60 à 70 k
oins favorables. L'heure paraît importer peu. Lorsque le nombre des minutes fixé à l'avance s'est écoulé, le médecin comman
es pièces de l'appareil, et on l'asseoit en- suite, pendant quelque minutes , dans un fauteuil où il prend du repos. Quelq
haque suspension a lieu, nous l'avons vu tous les jours, durant 1/2 minute ou une minute au plus, et augmentant de durée c
a lieu, nous l'avons vu tous les jours, durant 1/2 minute ou une minute au plus, et augmentant de durée chaque jour, mais
et augmentant de durée chaque jour, mais ne dépassant jamais 8 à 10 minutes . L'amélioration manifeste des' troubles ataxiqu
s de tout état morbide d'augmenter le nombre des respi- rations par minute en même temps que l'amplitude et la force tant
ut être incriminée dans ce cas, parce qu'elle n'a pas dépassé les 4 minutes ; la rapidité de la dé- compression ne peut pas
mais ce scaphandrier à cette profondeur n'a demeuré plus de 15 à 20 minutes . A la profondeur de 17 brasses a eu lieu l'acci
s jamais, jamais, je le répète à dessein, il n'avait dépassé les 20 minutes de séjour au fond. » Donc, la profondeur et la
accident, mais il n'avait jamais prolongé son séjour plus de 10, 15 minutes et c'est la première fois qu'il est resté au fo
20 brasses; séjour de 9 h. et demie à 9 h. 9 m., dé- compression 1 minute . Aucun accident. Expérience X (2 mars). - Chien
deur 21 brasses; séjour de 10 h. 2 m. à 10 h. 8 m., décompression 1 minute . Pas d'accident. Expérience XI (2 mars). - Chie
sses; durée de séjour de 10 h. 36 m. à 10 h. 40 m., décompression 1 minute . Aucun accident. EXPÉRIENCE XII (3 mars 1885).
asses; durée de séjour de 3 lui. 3 m. à 4 h. 48 m., Décompression 1 minute . A 4 h. 33 ni.. l'animal tombe en convulsions s
rasses ; durée du séjour de 8 h. 2 ni. à 9 h. 3 m., décompression 1 minute . A 10 h. ' 48 m., paralysie du train postérieur
sses; durée du séjour de 11 h. 1 m. à 12 h. 1 ni ? -décompression 1 minute . A 12 h. 9 : i m. cris, titubation. Angoisse re
eur de 22 mètres environ et il était resté sous l'eau non pas trois minutes , durée du séjour de l'im- mersion qui a causé l
mêmes conditions de travail à savoir 20 brasses de profondeur, dix minutes de séjour, même durée de décompression sans acc
avoir même pro- fondeur de 25 brasses, même durée du séjour douze minutes et même temps de décompresion. Enfin, si l'on s
ir même profondeur 24 à 27 brasses, même durée du séjour huit à dix minutes , même temps de décom- pression sans accident, d
pour le premier accident, 27 pour le second, même durée de séjour 5 minutes pour le pre- mier, 5 à 6 minutes pour le second
e second, même durée de séjour 5 minutes pour le pre- mier, 5 à 6 minutes pour le second et même temps de décompression s
yant pas dépassé les 4 à 5 mi- nutes et la décompression étant de 1 minute . Ces trois éléments étiologiques ne sont pas à
immersions successives à une profondeur de 23 à 24 brasses, 10 à 12 minutes de séjour et d'une décompression brusque, redes
durée du séjour de 13 mi- nutes, la rapidité de la décompression, 1 minute environ, étaient exactement les mêmes aux cinq.
immersion, qui a été faite de 20 à 21 brasses de pro- fondeur, 15 minutes de séjour et 1 minute de décom- pression, et ce
faite de 20 à 21 brasses de pro- fondeur, 15 minutes de séjour et 1 minute de décom- pression, et cependant les six immers
de profondeur, il s'est dissous durant une compres- sion de douze minutes , une quantité de gaz A, la quantité de gaz deve
r pas au delà de 22 brasses, comme durée de séjour, pas plus de dix minutes et avec une rapidité de décompression tout à fa
dire à la profondeur de 23 brasses, ni à la durée du séjour de dix minutes , ni à la rapidité de décom- pression de 1 minut
u séjour de dix minutes, ni à la rapidité de décom- pression de 1 minute . Un coup d'oeil en effet, jeté sur l'histoire d
compression, 24 brasses de profondeur; ni à la durée de-séjour, dix minutes ; ni à la rapidité de la décompression,-1 mètre
ire 22 brasses; il aurait fait un séjour égal en durée, à savoir 10 minutes et il s'était fait décomprimer au même temps, 1
à savoir 10 minutes et il s'était fait décomprimer au même temps, 1 minute en- viron, sans jamais avoir eu d'accidents. L'
t), il fait sa première immersion à la profondeur de 23 brasses, 12 minutes de séjour, décompression brusque et il est atta
csERVATtON LU après une immersion de 28 brasses de profondeur, cinq minutes à peine de séjour et une décompression toujours
tagnes lui semblaient tourner autour de lui, pendant une dizaine de minutes , au bout desquelles son esto- AIICIIIVC<, t.
ns longue que les deux premières, elle n'a duré qu'une quinzaine de minutes . Le 31 juillet, je ne constate aucune lésion oc
jusqu'à à quatre mois, mais beaucoup plus courtes, de dix à quinze minutes au plus. Jamais d'autres convulsions. Première
s deux côtés. Pas d'halluci- nations des divers sens. Aum. - Une' minute avant les attaques, il se sent mal à l'aise. Il
ie et de douleurs dans les reins. La température rectale prise cinq minutes après l'attaque est de 38° 5. (Fig. 5 et 6.)
et 6.) 11 mai. (10 h. 5). Attaque commencée depuis deux ou trois minutes , précédée cette fois d'un étourdissement très cou
dormir le malade par le regard. Il est assis ; au bout d'une à deux minutes les yeux commencent à s'humecter, il y a quelqu
i donne. Le bras gauche soulevé se main- tient aussi. Au bout d'une minute , on voit le malade se pencher sur le côté droit
pilles ont repris leurs dimensions normales. La durée a été de sept minutes . 21 août. - On l'endort par le regard à 10 h. 3
e pendant toute l'attaque. A 10 h. 13, il s'endort au bout de trois minutes par le regard. On lui ordonne de se lever ; il
1 cr, le 2 et le 10 février qui n'ont pas duré plus de deux à trois minutes . Il travaille chez un cordonnier et sa mère ass
mi-heure il a été pris d'une grande attaque qui a duré environ cinq minutes . Traitement : Douches, tisane de valériane, bro
ient, mais continue à marcher machinale- ment. Durée de moins d'une minute . Il a de un à trois vertiges par jour, surtout
n. Même traitement. 15 avril. A eu une attaqne hier, qui a duré dix minutes . Il est en ce moment placé dans une autre maiso
ra. 11 ne se serait pas débattu, et elle n'aurait duré que quelques minutes . Les autres n'auraient pas duré davantage. Il e
absolument pas. Ces moments d'absence duraient de trente à quarante minutes , rarement de une à deux heure'. Les attaques de
électrode à la muque, l'autre au-dessus du larynx), séance de deux minutes . Gué- rison de tous les phénomènes douloureux,
à 3/55). Chaque station sera de 4 secondes. Durée de la séance : 2 minutes et quelque chose. Une séance par jour. Repos sa
ation relative à des accès de cécité subite durant pendant quelques minutes , caracté- risés par une sorte d'occlusion du ch
visuel en forme de rideau ; -, la cécité même ne dépassait pas une minute , puis la vue (il s'agis- sait de l'oeil droit d
e procursion s'accompagne souvent de cris. Elle survit de plusieurs minutes à l'excitation. Souvent aussi une convulsion to
19 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
omet, quoi qu’il arrive, qu’il sera libre à cette heure. Dix ou douze minutes s’écoulent avant le succès ; mais l’opérateur ne
ôté de ses yeux, il dit sans hésiter : « — Il est 10 heures moins 6 minutes . » a On vérifia, et il était en effet 10 heures m
ins 6 minutes. » a On vérifia, et il était en effet 10 heures moins 6 minutes à la montre, ce qui prouve que sa lucidité est te
nterpella, et lui dit : „ _ Vous vous trompez, c’est 10 heures et 6 minutes « qu’il est. „ _ Voyons donc, dit-il, je ne cro
z bien que j’avais raison, car il est maintc-■ nant 10 heures moins 3 minutes . Vous voyez bien que la « petite aiguille est là
lumettes en ferblanc. Je la lui demandai et la magnétisai pendant une minute . Il fut convenu que cette personne donnerait la b
’homme possible; mais nous n’avons jamais pu obtenir douze tours à la minute . » Voilà une affirmation mêlée de doute; qu’il
s dans toutes vos expérimentations : vous obtiendrez douze tours à la minute . M. XIFFRE. Perpignan, le 25 décembre 1853.
donc la tète de la petite malade entre mes mains, cl en moins de cinq minutes le sommeil eut lieu ; une sueur générale se man
plus abondante vers la tête, et au réveil, qui survint au bout de dix minutes , les parents entendirent, avec une satisfaction m
t se laisser magnétiser. Il y consentit. J'appliquai, pendant trois minutes , une main sur le côté droit, l’autre sur le front
nétisable, elle accuse le plus ordinairement, au bout de dix à quinze minutes plus oti moins, une augmentation de la sensibilit
igts de sa main droite sur le centre d'une table qui, au bout de deux minutes , s’est mise à tourner et s’est ensuite dirigée da
réunirent au presbytère. On fit la chaîne accoutumée. Au bout de'dix minutes la table tourna ; au bout de quinze, elle répondi
e 12, on me l’amena. Je me mis à magnétiser : il y eut trois à quatre minutes de sommeil imparfait. A son réveil, elle dit que
est allé à la barrière de l’Étoile, d’où il est revenu quarante-cinq minutes après, fort tranquillement. 11 a rouvert la porte
nt, part et se dirige à la barrière de l’Étoile. 11 met quarante-cinq minutes pour faire ce trajet, rentre au moyen d'une clef
au pas de course au bois de Boulogne, d’où il revient une heure vingt minutes après, c’est-à-dire à minuit cinq minutes, dans u
il revient une heure vingt minutes après, c’est-à-dire à minuit cinq minutes , dans une parfaite quiétude, fumant une cigarette
dence nous nous dérobons à sa présence. Ce pa-roxisme dure vingt-cinq minutes . Enfin le calme revient un peu, et le besoin d’ai
séréner et à nous de nous remettre de notre commune émotion. Mais dix minutes n’étaient point écoulées, qu’il veut rentrer. Je
ergie de notre volonté a fait le reste. « Au bout de quarante-trois minutes , les légers craquements, précurseurs du mouvement
font entendre; de faibles oscillations se manifestent, et, après deux minutes quinze secondes d’hésitation, la rotation se prod
alade. « En général, les attaques même violentes ont disparu en dix minutes sous l’influence de cette médication. » Pourquo
econdes, de 22 à 22, au bout de soixante... et enfin, au bout de deux minutes , que de la division 10 à la division 10. Qu’un
Ibis avec M. A.-S. Morin. Nous avons rompu la chaîne au bout de vingt minutes , sans avoir obtenu le résultat cherché. Nous avio
faites pour enivrer ceux qui les respirent ; en effet, après quelques minutes de chant, de bruit et de fumigation, du milieu de
rop courte (on sait qu’elle peut être répétée plusieurs fois dans une minute ) ; mais je sais par expérience que tout le monde
il la mit pour combattre son état clilorotique. Au bout de quelques minutes , elle dormit du sommeil magnétique. Le 15 mars,
imes quatre à former la chaîne autour de ce meuble, et au bout de six minutes il commença à tourner. Nous posâmes des questions
bras droit roidi. — Restera-t-il longtemps daus cet état? — Deux minutes . — Peux-tu savoir ce qui a produit cette raideu
conservait toujours son attitude de prière et son sourire. Les deux minutes étant écoulées, M. Charavet, sentant son bras dég
e annihile l’électricité. » Tout mesmériste qui sait réfléchir cinq minutes à l’œuvre fluidique de ses dix doigts, répétera m
ndre qu’il était demandé au greffe. Masson s’est habillé, et quelques minutes après il était conduit il la chapelle, où M. Ca-p
Mais prenez une personne qui tourne facilement; au bout de quelques minutes , votre volonté exprimée mentalement ou verbalemen
mis en rapport avec ma mère par le toucher de la main. Après quelques minutes de concentration, elle nous a dépeint avec une mi
ent les sens. Je procède en présence du malade, et en moins de deux minutes j’amène la somnambule à un état des plus satisfai
à douter de sa raison, de ce qu’il voyait, el ce ne fut que plusieurs minutes après qu’il sortit de la torpeur où l’avait plong
plus complète chez un être pensant, voulant, agissant il y a quelques minutes à peine, et que ne dut-il pas espérer, dès lors,
avec succès dans beaucoup de circonstances, — et après deux ou trois minutes d’imposition de la main sur le siège de la douleu
t par l’insufflation, soit par des passes, j’ai pu calmer en quelques minutes de violents maux de tête, de dents, etc., etc.! M
t cette aiguille sous l’ongle du médium qu’ils exposèrent environ une minute et demie à la flamme d’une bougie, sans que cette
ier lieu, je fis des passes générales, du front au bassin, durant dix minutes ou un quart d’heure; puis j'influençai directemen
utes ou un quart d’heure; puis j'influençai directement, pendant cinq minutes , les plexus solaire et cervical. A peine ce temps
’un cercle violacé. Les plaques furent immédiatement appliquées. Cinq minutes suffirent pour opérer la sortie du mercure. Nous
t nous a prouvé que l’heure d’Ajaccio est en avance de vingt à trente minutes sur celle de Paris (1). J’avais été obligé de me
rentes d'Ajaccioet de Paris justifient cette différence de vingt-cinq minutes dans leur méridien. iliv à Versailles; mais ma
effet de votre magnétisation distance. « A deux heures trente-cinq minutes à Paris, M"’° B... commence il ressentir de l’éto
, et elle glisse dans son corsage le papier qui les enveloppait. Cinq minutes après, elle éprouve de 1 agitation, des mouvement
térés et très-nerveux, puis beaucoup de soubresauts. Au bout de douze minutes , la somnambule dit et répète souvent avec une gra
e toujours d’arracher les fleurs de sa main. « A trois heures vingt minutes , M1"' de M... (1), qui vient seulement d’entrer d
sentes, JIM. de Lagrange et d’Almhert. « M. B..., à neuf heures dix minutes (à Paris), a endormi sa femme, avec laquelle Mm*
qu’elle; car elle attendait les mêmes résultats que moi. Après une minute environ, je remarquai que son rail était fixe; en
ant. J'essayai alors de l'éveiller, ce que j’obtenais toujours en une minute ; mais cette fois je fis des efforts pendant plus
n une minute; mais cette fois je fis des efforts pendant plus de cinq minutes sans rien produire. Elle me dit spontanément : «
'en plaçant la boule sous mes pieds. ■> Je le fis ; en moins d’une minute , la rigidité générale disparut complètement; au b
nute, la rigidité générale disparut complètement; au bout d’une autre minute , elle s’éveilla en se plaignant encore de la sens
rononce un mot d’une façon très-intelligible, puis s’arrête; quelques minutes après elle prononce un nouveau mot qui continue l
tôt dix heures, » elle dit d’abord : « Il est.... (pause de plusieurs minutes ) bientôt.... (autre pose de plusieurs minutes) di
... (pause de plusieurs minutes) bientôt.... (autre pose de plusieurs minutes ) dix heures... » (nouvelle pause de plusieurs min
se de plusieurs minutes) dix heures... » (nouvelle pause de plusieurs minutes ). En vain lui fait-on des questions étrangères, e
femme est la sorcellerie; elle dit (toujours en interposant plusieurs minutes de silence entre chaque mot) qu’une vieille sorci
n'y feront pas attention. Tout à coup elle s’interrompt, et quelques minutes avant cinq heures elle dit : Il est bientôt cinq
pendule et le lit. Lorsque j’arrivai, il était dix heures moins vingt minutes . Pendant que je m’informais de son état, elle dit
t dix heures. » Je regardai ma montre, il était dix heures moins neuf minutes , et à. sa pendule dix heures moins douze minutes.
ix heures moins neuf minutes, et à. sa pendule dix heures moins douze minutes . Je lui mis un flacon d’éther sous le nez ; ell
ille sans que personne se doutât de ce que je faisais ; il peine sept minutes s’étaient-elles écoulées, que la malade ouvrit le
l’index de la main gauche. L’écriture est illisible pendant quelques minutes , mais bientôt elle paraît en lettres fort nettes,
Les caractères demeurent distincts et lisibles pendant quinze à vingt minutes , sans causer au sujet de douleur ni de sensation
ne force capable de le tuer ; il resta gisant et immobile pendant dix minutes . u Une nuit, j'étais seul chez moi. Je demandai
heures. « Je me couchai pour me reposer un moment. Au bout de trois minutes , je vis l’ombre d’une personne qui se mouvait sur
pour que nous pussions voir ce qui allait se passer. Au bout de cinq minutes , un des morceaux de phosphore fut enlevé de la ta
à la table, prit un crayon et écrivit une communication qui dura une minute et demie ; l’écriture couvrit la moitié d’une feu
ombre de personnes. Le jeune somnambule endormi au bout de quelques minutes , et sa figure prit le type séraphique le plus car
prenait la main. Les consultations De duraient guère plus de quelques minutes , et se faisaient toujours avec une douceur et une
qu’il se proposait de magnétiser. Cette prière ne devait durer qu’une minute . Il rappela celle qui avait été dictée à M. Hedde
péré, a reçu dans la rue même les soins d’un des Indiens; en quelques minutes le miracle annoncé se réalisait en présence de la
gues de la nuit passée en visites, ce même Indien a guéri en quelques minutes une petite fille qu’on lui a apportée mourante et
Le lendemain à la même heure le sommeil revient, puis après quelques minutes elle se met à causer tout bas. Les jours suivants
se déployaient en vers majestueux. L’artiste ne réfléchissait pas une minute ; eu un clin d’œil, sa pensée naissait, parcourai
ser avec toute la force dont j’étais susceptible. Au bout de quelques minutes , une de mes mains, appuyée sur le front, était to
mbres du moribond : mais malgré ce moyen énergique, en moins de vingt minutes tous les phénomènes susmentionnés s'évanouirent g
sur le front et l'autre à l’occiput. Me recueillant pendant quelques minutes , je regardai fixement la main gauche, en lui comm
e, s’enveloppa la tête d’une couverture, et après être resté quelques minutes dans cette attitude, il se leva et dit : « Demain
sit à terre comme la première lois, puis se leva et dit : n Dans cinq minutes , vous le verrez. » En effet, dans cet intervalle,
ques jours de traitement, il put parcourir la même distance en quinze minutes , sans canne, et il ne boitait plus que d'une mani
ex, la masse musculaire malade, et continua cet exercice pendant cinq minutes ; un iuterne le remplaça et agit de la même maniè
un iuterne le remplaça et agit de la même manière pendant sept autres minutes . Au bout de douze minutes de massage, le malade s
agit de la même manière pendant sept autres minutes. Au bout de douze minutes de massage, le malade se leva, et, à sa grande su
écieux dans le traitement du lumbago, puisqu’ils enlèvent en quelques minutes une maladie qui, abandonnée à elle-même ou traité
l magnétique, avec un simple effort de volonté maintenu pendant trois minutes environ. « Le sommeil une fois venu, le sujet a
é l'extraordinaire. « Son Eminence trouva le moyen, au bout de cinq minutes , et quelque résistance que j’y fisse, ainsi que M
Le maréchal répéta sa question. « — J’ai besoin de penser quelques minutes avant de vous « répondre positivement, monsieur;
ns que j’avais produites, etc., etc. Enfin, après m’avoir gardé vingt minutes , elle 1110 congédia en me donnant sa main à baise
20 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
jusqu'à 40 kilogrammes. La durée de la séance varie de trois à cinq minutes . Ce procédé a donné de bons résultats dans. le
30 et 40 kilogrammes. La durée des séances varie de dix à quinze minutes ; quelquefois nous augmentons la durée jusqu'à v
quinze minutes; quelquefois nous augmentons la durée jusqu'à vingt minutes . Lorsque nous nous servons de la pièce mentonni
ssant les genoux par les bras, et rester ainsi courbé de cinq à dix minutes . Pour mieux fixer le malade dans cette position
éable position l'auteur américain laissait ses patients près de dix minutes ; il prétend avoir obtenu de bons résultats, M.
le. La séance de la pendaison ne peut dépasser la limite de trois minutes et assez souvent on est forcé de descendre le pat
jours par l'angle de 30°. La durée des premières séances est de dix minutes . Après, nous varions l'inclinaison de 50 entre
nclinaison de 50 entre les deux séances et la durée de trois à cinq minutes . Parfois nous intercalons les différentes incli
e patient à une hauteur de 500 nous le met- tons d'abord pour trois minutes , ensuite pour cinq, etc. La durée d'une séance
ensuite pour cinq, etc. La durée d'une séance varie de dix à vingt minutes , quinze minutes en moyenne. Chez les obèses et
, etc. La durée d'une séance varie de dix à vingt minutes, quinze minutes en moyenne. Chez les obèses et les cardiaques nou
onnes obèses. Ce tiraillement disparaît souvent après deux ou trois minutes de repos. L'innocuité du procédé nous a per- mi
bes et ses pieds; dès qu'il marche, ou du moins au bout de quelques minutes , les symptômes caractéristiques apparaissent :
ôtés. Le 12 mars 1900, première séance de faradisation durant dix minutes . Pas de résultat appréciable. Le 13 mars, deuxi
es. Pas de résultat appréciable. Le 13 mars, deuxième séance de dix minutes encore ; la main droite donne 3 kilogrammes au
ensibilité est redevenue entièrement normale. Faradisation de dix minutes , après laquelle la force est presque entièremen
é. Le 26 septembre L... revient. Nous le faradisons; au bout de 8 minutes nous cessons car la main et le bras ont reconquis
excellente. 16). Le 5 juillet Faradisation pendant une vingtaine de minutes de la main et de l'avant-bras droits : disparit
essauter. Cette anal- gésie faradique durait ordinairement quelques minutes et sa disparition graduelle coïncidait avec le
ous levons la planche à la hauteur voulue, et après cinq ou dix . minutes nous traçons par le même procédé et avec la même
semaine pendant les deux premières années, de trois, quatre et cinq minutes , et une fois par semaine pendant les quatre ann
s par semaine pendant les quatre années suivantes, de quatre à cinq minutes . L'élongation n'a jamais réussi à la malade. Ch
és, arrive maintenant à se tenir debout les yeux fermés une et deux minutes . Chez le malade de la première observation cité
u mois de mai 1901 par l'inclinaison à 40° cinq mi- nutes, 50° cinq minutes . Toutes les semaines nous avons aug- mentela du
rogrès médical. 1889.) TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES. 129 « minutes à 40° et 50°. La malade quitta la clinique au moi
coup s'écoule une énorme quantité de salive fluide pendant quelques minutes à une demi-heure, puis le flux cesse aussi brus-
ression de la sécrétion, qui d'ailleurs ne débute que deux ou trois minutes , parfois cinq minutes après, l'application des
n, qui d'ailleurs ne débute que deux ou trois minutes, parfois cinq minutes après, l'application des électrodes sur l'écorce,
plaie abdominale. Si l'on excite l'écorce pendant quatre ou cinq minutes , dans les deux ou trois dernières la quantité du
te quan- tité continue à croître quelque temps jusqu'à dix ou vingt minutes pour décroitre graduellement tout en se mainten
tre graduellement tout en se maintenant pendant trente ou cinquante minutes encore. B. Les expériences V et VI, permettent
lant sous le microscope : cette différen- ciation dure au moins dix minutes . Elle se traduit, à l'oeil nu, par une couleur
orcipressure de l'aorte, il y a eu, dès les deux ou trois premières minutes , paralysie complète des extrémités postérieures.
nt plus grandes que la forcipressure a été plus longue. Après vingt minutes d'expérience, on. constate sur un grand nombre
a périphérie de l'elément, et c'est tout. Une anémie de cluarante minutes révèle une déchéance plus nette des granulation
s'arrondir. - A la suite d'une forcipressure aortique de soixante minutes , les altérations des cellules motrices de la mo
a celloïdine on plonge la préparation dans du benzol pendant quinze minutes , ensuite dans l'alcool à 80-85 p. 100 pen- dant
tion ? probablement les deux) que je ne rougirai pas de dix, quinze minutes . En général, le trouble psy- chique n'est pas p
ant ma res- piration. Après quelques secondes, une demi-minute, une minute , je me sens vaincu. Alors, une chaleur me prend
4 août. Je l'endors par fixation ; le sommeil vient au bout d'une minute . Je lui fais sentir la jambe droite qui exécute d
sur la plante. Les oscillations sont très rapides, près de 100 à la minute . Léger tremblement latéral du membre supérieur
flexion du membre inférieur. Les orteils sont libres au bout de dix minutes . - Sentez la peau du cou-de-pied : mouvements d
flexion du pouce de la main droite, puis de tous les doigts. - Cinq minutes après, la peau du cou-de-pied est réveillée. Se
ur droit et. très légers des doigts de la main droite. Durée de dix minutes . Sentez la cheville : craquements à chaque mouv
et très étendus du pouce + La cheville se débloque au bout de cinq minutes . - Sentez la peau de la jambe : mouvements de f
ables et isochrones + Le frottement du drap est perçu. Durée de dix minutes . Sentez le mollet : mouvement de flexion et d'e
sa jambe, que l'on ronge son tibia + Tout est libre au bout de huit minutes . Sentez le pied et la jambe : mouvements de fle
exten- sion des membres inférieurs et supérieurs. Au bout de cinq minutes éclate une crise de contracture qui dure deux à t
inq minutes éclate une crise de contracture qui dure deux à trois minutes et pendant laquelle Louis ne me répond plus. Kéve
dant laquelle Louis ne me répond plus. Kéveil après soixante-quinze minutes de travail. 7. Sentez le genou droit : mouvemen
a des noeuds dans l'articulation, qui craque et se débloque Cinq minutes . Sentez la peau de la cùisse : mouvements très
son corps en entier. Louis ouvre les, yeux tout seul au bout de six minutes . , 25. La journée du 24 a été bonne. Je fais à
e fais à Louis du réveil général. Il ouvre les yeux au bout de deux minutes , mais avec un soubresaut : ça a fait poum (à l'
é, il- régresse jusqu'à l'âge de trois ans, fait pendant près d'une minute une paralysie de tous les muscles de la langue
r chevelu. 11 dort d'un sommeil qui semble naturel. Au bout de deux minutes environ, il fait un léger soubresaut et se met
nière l'appelle, il répond ; ils causent tous deux pendant quelques minutes . J'ordonne à Louis de sentir 212 1-) RECUEIL DE
ù Louis reprend sa conversation avec sa mère. Au bout de quelques minutes , je fais récupérer la sensibilité du cerveau : Lo
quelqu'un d'étranger avec vous (M. L.-A. qui est entré depuis dix minutes ) J'en suis sûr, il vient de bouger le bras. Tout
aralysé de la langue, sans pouvoir respirer, environ, je crois, une minute . La tête tomba sur l'épaule droite, le pouls ra
ent à petites oscillations accompagne la crise qui dure de quelques minutes à une heure et demie. A la fin de la crise, sur
fesseur, il est mis à la porte de la classe. Après être demeuré dix minutes dans le corridor, il rentre et demande pardon : r
mes livres sans avoir rien appris, j'apprenais ensuite en quelques minutes . Mais une telle leçon était pour sauver les app
un lapin, a déter- miné une crise épileptiforme après deux ou trois minutes . La présence d'acide urique dans le sang expliq
e électrode expressément mobile est un prisme qui en deux ou trois- minutes est absolument fondu. Ainsi est diminuée la quo
des con- jonctivites. La séance dure ordinairement une, deux, trois minutes et demie au maximum. La peau s'habituant à l'
nces peuvent être plus longues. Généralement après une séance d'une minute et demie, la peau du patient fait les frais d'une
dernach, le dormiol procure généralement le sommeil dans les trente minutes : celui-ci dure en moyenne, cinq, sept, huit he
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. traverse la joue en trois minutes . Elle semble ne pas traverser une couche muscul
de se coucher, puis elle a perdu connaissance et, pendant plusieurs minutes , tout son corps a été agité de violentes secous
qu'une écume sanglante s'échappait des lèvres. Après une dizaine de minutes , les convulsions cessèrent, mais la malade rest
. 1/2. 26. Aujourd'hui, deux attaques convulsives de dix à quinze minutes chacune. 29. Poids = 59 kg. 31. La malade, qui
s faible aussi (secousses dans les bras pendant environ une demi- minute ). Traitement : Seigle ergoté (3 x 0,3 par jour).
et répond aux questions qu'on lui adresse, mais pendant près d'une minute encore ses membres sont agités de légères secou
enir ster- toreuse. La durée de la période convulsive est de deux minutes environ, puis la malade reste encore sans conna
puis la malade reste encore sans connaissance pendant près de dix minutes . Au bout de ce temps, elle ouvre les yeux, mais n
e hauteur d'un mètre et demi. Sa tête a frappé sur le sol. Quelques minutes plus tard, elle est assise sur une chaise sans
ux questions qu'on lui adresse. C'est dans ces conditions que vingt minutes plus tard, au moment où on lui place une vessie
'une fréquence qui oscille entre cinq et cinquante contractions par minute . La nature du tremble- ment, la variabilité de
été d'environ une once. Le malade était étendu; pendant quelques minutes seulement on lui a placé les mains au-dessus de l
; enfin il faut éviter de laisser les bras pendant plus de quelques minutes dans la même position, quelque inoffensive que
elles sont les causes de ce phénomène ? M. Garnier n'hésite pas une minute à l'imputer à l'alcoolisme jusqu'alors croissant.
fant blanc, assez vague, inconnue de la malade. Au bout de quelques minutes , l'hallucination se dissipait, pour se reprodui
t -la nuit, et chaque accès avait une durée moyenne de dix à quinze minutes . Au mois d'août dernier, la malade a eu un prem
rendre et de parler. Au sortir de cet accès, qui a duré environ dix minutes , elle a prononcé des paroles incohé- rentes.
oliques : « le bon Dieu m'envoie vous dire que je n'ai plus que dix minutes à vivre, il ne me pardonnera jamais ce que j'ai
21 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ait des menaces, lui montre le poing. La scène se prolonge pendant 20 minutes . Au bout de ce temps, je dis à la femme G... :
Et je répète l'histoire,en insistant sur les détails. Au bout de deux minutes environ. le souvenir hallucinatoire est éclos dan
estionnés d'emblée : chez d'autres il fallait quelques instants, deux minutes tout au plus, pour que l'image souvenir hallucina
aucun souvenir des premiers moments de notre entrevue. Après quelques minutes de conversation, il s'anima peu à peu: la voix ét
de plus en plus énergiques, prolongées, reviennent toutes les 2 ou 3 minutes . le col a le diamètre d'une pièce de 5 francs; un
fant est une fille? Elle ignore absolument le sexe qu'elle savait une minute auparavant dans le sommeil hypnotique: et quand o
épileptique amenée par la frayeur de la vipère. Au bout de quelques minutes , la scène change, V... est pris de spasmes dans t
la vigne. » Il est paraplégique, sans contracture». V... reste cinq minutes dans une sorte d'état hallucinatoire, puis s'écri
'état de paralysie flasque (1er état de l'asile de Bourg). Quelques minutes après, des convulsions nouvelles surviennent et V
our que nous en donnions une relation nouvelle. Puis, au bout de cinq minutes , il reprend conscience a la Rochelle. Un astre
nsfère. Son hémiplégie devient gauche. Il est à Bourg. Puis, quelques minutes après, il devient paraplégique; il est à Bonnevat
main dans l'église de la Varenne et vous y ferez » une prière de cinq minutes pour remercier Dieu de votre guérison. » Vous d
a charité Messieurs, Permettez-moi de solliciter pendant quelques minutes votre bienveillante attention pour vous exposer,
gent dans tout son être. Quand on laisse, en effet, le sujet quelques minutes en présence de ces reproductions imagées, il cont
déterminer ses réactions. Elle semble s'accumuler pendant une ou deux minutes en silence, et l'on voit ses effets éclater tout
ce semblable ne puisse être longtemps prolongée. Elle n'a duré qu'une minute , et, néanmoins, j'ai pu prendre au vol en quelque
omme sain, Ils amènent l'ivresse plus ou moins rapidement, en 8 ou 10 minutes , avec tout son cortège d'attitudes spéciales, dep
lus complète et l'impossibilité de se tenir debout. Ainsi, en 8 ou 10 minutes , le sujet en expérience, sous l'action d'une dose
ement les phases ultimes de l'envahissement alcoolique, au bout de 10 minutes , avait subi toutes les phases de l'ivresse et éta
-on, en effet, à éloigner le tube contenant le spiritueux, en 8 ou 10 minutes (l'espace de temps qui a suffi à l'alcooliser à f
de la flanelle constamment imbibée de sueur; trente inspirations par minute , cent huit pulsations. En présence de ces symptôm
par le malade, qui éprouve une légère somnolence au bout de quelques minutes . J'en profite pour faire une suggestion. « Il n'a
. Je le laisse dormir une demi-heure et il croit qu'il n'y a pas cinq minutes qu'il s'est endormi. Bien-être après la séance et
Les mouvements respiratoires sont extrêmement fréquents, 60 à So par minute , ;ans qu'il y ait. pour cela, accélération dans l
notre doigt, nous l'endermons très facilement au bout de deux a trois minutes . Nous constatons ensuite qu'elle est sugges-tible
etombe naturellement. Le sujet don profondément; le sommeil dure deux minutes , comme il l'avait décidé lui-même avant de s'endo
que, un flacon d'alcool, et l'ayant laissé pendant vingt à vingt-cinq minutes environ en place, grand fut son étonne-ment quand
s. Il faut que je sorte. » Elle sort, en effet, et revient après deux minutes , disant avoir eu une selle et avoir encore un peu
intes de toux qui continuent pendant un quart d'heure. A 4 heures 6 minutes , application du flacon n° 2. A 4 heures 14, ell
endais parler et s'agiter dans son lit. Cette agitation durait 20, 25 minutes . Puis, silence et sommeil calme jusqu'à 3 heures
égèrement sur les côtés du front, je réussis â l'endormir en quelques minutes . Je le faisais s'asseoir, se lever, se déshabille
rez pas. » Je comprime légèrement les globes oculaires pendant 2 ou 3 minutes . Je le fixe en caressant doucement le visage. Ana
tance) (2), et. en marchant lentement de 9 h. 10 à 9 h. 5o (dont cinq minutes dans l'escalier de M. X...), je tâche d'exercer c
ntanément elle ajouta : « J'ai commencé à avoir envie de dormir vingt minutes avant que vous veniez ; et cela a duré tout le te
e vendredi, à 3 h. 10. J'arrive chez M. X... à 3 h. 38. Je reste sept minutes dans l'escalier et j'entre à 3 h. 45, ayant ainsi
ant ainsi concentre ma pensée autant que possible pendant trente-cinq minutes , de 3 h. 10 a 3 h. 45. Mme B... était sortie depu
elle me dit spontanément qu'elle était à une distance d'environ vingt minutes de la rue qu'elle habite, par conséquent vers 3 h
tion pendant un intervalle de temps très limité, de 11 h. 1 à 11 h. 8 minutes . J'arrive chez M. X... à midi a8 minutes. Mme B..
limité, de 11 h. 1 à 11 h. 8 minutes. J'arrive chez M. X... à midi a8 minutes . Mme B... était éveillée ; mais elle avait cepend
euner. Alors Mme B... était tout à fait éveillée. Ainsi, de 11 h. 5 minutes à midi environ, Mme B... a été plongée dans une s
lundi 17. j'essaye, de chez moi, d'agir sur Mme B... de midi moins 9 minutes à midi 4 Résultat absolument nul. Quand je vais v
est descendue. L'heure à laquelle elle est descendue était cinq à dix minutes après qu'elle a ressenti le commencement de son m
ures est donc 9 h. 20. Si l'on admet que son mal de tête a commencé 7 minutes auparavant, cela fait 9 h. 13 pour le commencemen
B..., étant réveillée, me dit qu'il lui faut à peu près quarante-cinq minutes pour faire ce travail. On peut donc considérer qu
travail. On peut donc considérer qu'une durée d'environ quarante-cinq minutes s'est écoulée entre le moment (1 heure) où Mme B.
ier d'après ces données approximatives, me donne une moyenne de douze minutes environ. On peut donc admettre que, en général, c
donc admettre que, en général, chez Mme B... l'effet se manifeste dix minutes à peu près après que l'action a commencé. II
Ces dix expériences nous donnent ainsi constamment un retard de neuf minutes en moyenne, retard qui coïncide assez bien avec l
il y a eu une action retardée, avec un retard variant de deux à vingt minutes . Pour expliquer ces faits, je ne vois que quatr
du matin à 5 heures du soir, ce qui fait, par fraction de vingt-cinq minutes , environ vingt et une fractions par jour. La vrai
eil de Mme B... coïncidera précisément avec la fraction de vingt-cinq minutes pendant laquelle j'aurai essayé de l'endormir est
es plus hypothétiques. La probabilité que je vais mourir d'ici à cinq minutes est précisément d'un millionième à peu près. Je c
4 h- 25. La bonne l'avait vue éveillée encore à 4 heures et quelques minutes après. 14. 18. 21 et 22 décembre. 4 échecs. 2
le; se trouble très facilement quand on l'interroge. Pendant quelques minutes , elle oublie tout, comme si elle avait de la para
un frisson. On remarque, pendant un certain temps, vingt à vingt-cinq minutes environ, un léger tremblement de tout son corps.
du Groenlandais, selon Blumen-bach, ne bat guère que 3o à 40 fois par minute . L'alanguissement de la contractilité musculair
histoire de l'hypnotisme. pières. II constate qu'au bout de trois minutes , les paupières du sujet se ferment, et qu'il tomb
ir son regard fixé sur l'ornement d'un sucrier en porcelaine. En deux minutes , les traits de Mme Braid avaient changé d'express
savait rien à ce qu'on attendait de lui, donne le même résultat. Deux minutes après, il était plongé dans un sommeil profond.
un tube enveloppé de papier et dont nous ignorions le contenu. Et dix minutes à peine s'étaient écoulées que la figure de cet h
ience un tube de verre noirci, Le tube, demeuré en place pendant deux minutes , n'a donné lieu à aucune réaction.» ACADÉMIE DE
la bouche, tandis que le pouls maintenait de 96 à 100 pulsations par minute , toujours irrégulier comme moyenne, rythme et ten
t elle était effrayée du chiffre auquel on arrivait : plus de 100 par minute . Parfois je lui disais de compter les mouvements
autre sur un ton un peu brusque le chiffre que l'on obtenait, en cinq minutes . Peu à peu, les mouvements ont diminué de fréquen
. Peu à peu, les mouvements ont diminué de fréquence, et, de 100 à la minute , on est arrivé à 5o, 20. 10 et même zéro. J'inven
s des raisons pour l'engager à ne pas faire un seul mouvement en cinq minutes . Je suis parvenu à la longue à la faire se mainte
r un lit, est endormi par la fixation du regard dans l'espace de deux minutes . Pendant le sommeil, l'anesthésie est complète ;
22 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ait des menaces, lui montre le poing. La scène se prolonge pendant 20 minutes . Au bout de ce temps, je dis à la femme G... :
Et je répète l'histoire,en insistant sur les détails. Au bout de deux minutes environ. le souvenir hallucinatoire est éclos dan
estionnés d'emblée : chez d'autres il fallait quelques instants, deux minutes tout au plus, pour que l'image souvenir hallucina
aucun souvenir des premiers moments de notre entrevue. Après quelques minutes de conversation, il s'anima peu à peu: la voix ét
de plus en plus énergiques, prolongées, reviennent toutes les 2 ou 3 minutes . le col a le diamètre d'une pièce de 5 francs; un
fant est une fille? Elle ignore absolument le sexe qu'elle savait une minute auparavant dans le sommeil hypnotique: et quand o
épileptique amenée par la frayeur de la vipère. Au bout de quelques minutes , la scène change, V... est pris de spasmes dans t
la vigne. » Il est paraplégique, sans contracture». V... reste cinq minutes dans une sorte d'état hallucinatoire, puis s'écri
'état de paralysie flasque (1er état de l'asile de Bourg). Quelques minutes après, des convulsions nouvelles surviennent et V
our que nous en donnions une relation nouvelle. Puis, au bout de cinq minutes , il reprend conscience a la Rochelle. Un astre
nsfère. Son hémiplégie devient gauche. Il est à Bourg. Puis, quelques minutes après, il devient paraplégique; il est à Bonnevat
main dans l'église de la Varenne et vous y ferez » une prière de cinq minutes pour remercier Dieu de votre guérison. » Vous d
a charité Messieurs, Permettez-moi de solliciter pendant quelques minutes votre bienveillante attention pour vous exposer,
gent dans tout son être. Quand on laisse, en effet, le sujet quelques minutes en présence de ces reproductions imagées, il cont
déterminer ses réactions. Elle semble s'accumuler pendant une ou deux minutes en silence, et l'on voit ses effets éclater tout
ce semblable ne puisse être longtemps prolongée. Elle n'a duré qu'une minute , et, néanmoins, j'ai pu prendre au vol en quelque
omme sain, Ils amènent l'ivresse plus ou moins rapidement, en 8 ou 10 minutes , avec tout son cortège d'attitudes spéciales, dep
lus complète et l'impossibilité de se tenir debout. Ainsi, en 8 ou 10 minutes , le sujet en expérience, sous l'action d'une dose
ement les phases ultimes de l'envahissement alcoolique, au bout de 10 minutes , avait subi toutes les phases de l'ivresse et éta
-on, en effet, à éloigner le tube contenant le spiritueux, en 8 ou 10 minutes (l'espace de temps qui a suffi à l'alcooliser à f
de la flanelle constamment imbibée de sueur; trente inspirations par minute , cent huit pulsations. En présence de ces symptôm
par le malade, qui éprouve une légère somnolence au bout de quelques minutes . J'en profite pour faire une suggestion. « Il n'a
. Je le laisse dormir une demi-heure et il croit qu'il n'y a pas cinq minutes qu'il s'est endormi. Bien-être après la séance et
Les mouvements respiratoires sont extrêmement fréquents, 60 à So par minute , ;ans qu'il y ait. pour cela, accélération dans l
notre doigt, nous l'endermons très facilement au bout de deux a trois minutes . Nous constatons ensuite qu'elle est sugges-tible
etombe naturellement. Le sujet don profondément; le sommeil dure deux minutes , comme il l'avait décidé lui-même avant de s'endo
que, un flacon d'alcool, et l'ayant laissé pendant vingt à vingt-cinq minutes environ en place, grand fut son étonne-ment quand
s. Il faut que je sorte. » Elle sort, en effet, et revient après deux minutes , disant avoir eu une selle et avoir encore un peu
intes de toux qui continuent pendant un quart d'heure. A 4 heures 6 minutes , application du flacon n° 2. A 4 heures 14, ell
endais parler et s'agiter dans son lit. Cette agitation durait 20, 25 minutes . Puis, silence et sommeil calme jusqu'à 3 heures
égèrement sur les côtés du front, je réussis â l'endormir en quelques minutes . Je le faisais s'asseoir, se lever, se déshabille
rez pas. » Je comprime légèrement les globes oculaires pendant 2 ou 3 minutes . Je le fixe en caressant doucement le visage. Ana
tance) (2), et. en marchant lentement de 9 h. 10 à 9 h. 5o (dont cinq minutes dans l'escalier de M. X...), je tâche d'exercer c
ntanément elle ajouta : « J'ai commencé à avoir envie de dormir vingt minutes avant que vous veniez ; et cela a duré tout le te
e vendredi, à 3 h. 10. J'arrive chez M. X... à 3 h. 38. Je reste sept minutes dans l'escalier et j'entre à 3 h. 45, ayant ainsi
ant ainsi concentre ma pensée autant que possible pendant trente-cinq minutes , de 3 h. 10 a 3 h. 45. Mme B... était sortie depu
elle me dit spontanément qu'elle était à une distance d'environ vingt minutes de la rue qu'elle habite, par conséquent vers 3 h
tion pendant un intervalle de temps très limité, de 11 h. 1 à 11 h. 8 minutes . J'arrive chez M. X... à midi a8 minutes. Mme B..
limité, de 11 h. 1 à 11 h. 8 minutes. J'arrive chez M. X... à midi a8 minutes . Mme B... était éveillée ; mais elle avait cepend
euner. Alors Mme B... était tout à fait éveillée. Ainsi, de 11 h. 5 minutes à midi environ, Mme B... a été plongée dans une s
lundi 17. j'essaye, de chez moi, d'agir sur Mme B... de midi moins 9 minutes à midi 4 Résultat absolument nul. Quand je vais v
est descendue. L'heure à laquelle elle est descendue était cinq à dix minutes après qu'elle a ressenti le commencement de son m
ures est donc 9 h. 20. Si l'on admet que son mal de tête a commencé 7 minutes auparavant, cela fait 9 h. 13 pour le commencemen
B..., étant réveillée, me dit qu'il lui faut à peu près quarante-cinq minutes pour faire ce travail. On peut donc considérer qu
travail. On peut donc considérer qu'une durée d'environ quarante-cinq minutes s'est écoulée entre le moment (1 heure) où Mme B.
ier d'après ces données approximatives, me donne une moyenne de douze minutes environ. On peut donc admettre que, en général, c
donc admettre que, en général, chez Mme B... l'effet se manifeste dix minutes à peu près après que l'action a commencé. II
Ces dix expériences nous donnent ainsi constamment un retard de neuf minutes en moyenne, retard qui coïncide assez bien avec l
il y a eu une action retardée, avec un retard variant de deux à vingt minutes . Pour expliquer ces faits, je ne vois que quatr
du matin à 5 heures du soir, ce qui fait, par fraction de vingt-cinq minutes , environ vingt et une fractions par jour. La vrai
eil de Mme B... coïncidera précisément avec la fraction de vingt-cinq minutes pendant laquelle j'aurai essayé de l'endormir est
es plus hypothétiques. La probabilité que je vais mourir d'ici à cinq minutes est précisément d'un millionième à peu près. Je c
4 h- 25. La bonne l'avait vue éveillée encore à 4 heures et quelques minutes après. 14. 18. 21 et 22 décembre. 4 échecs. 2
le; se trouble très facilement quand on l'interroge. Pendant quelques minutes , elle oublie tout, comme si elle avait de la para
un frisson. On remarque, pendant un certain temps, vingt à vingt-cinq minutes environ, un léger tremblement de tout son corps.
du Groenlandais, selon Blumen-bach, ne bat guère que 3o à 40 fois par minute . L'alanguissement de la contractilité musculair
histoire de l'hypnotisme. pières. II constate qu'au bout de trois minutes , les paupières du sujet se ferment, et qu'il tomb
ir son regard fixé sur l'ornement d'un sucrier en porcelaine. En deux minutes , les traits de Mme Braid avaient changé d'express
savait rien à ce qu'on attendait de lui, donne le même résultat. Deux minutes après, il était plongé dans un sommeil profond.
un tube enveloppé de papier et dont nous ignorions le contenu. Et dix minutes à peine s'étaient écoulées que la figure de cet h
ience un tube de verre noirci, Le tube, demeuré en place pendant deux minutes , n'a donné lieu à aucune réaction.» ACADÉMIE DE
la bouche, tandis que le pouls maintenait de 96 à 100 pulsations par minute , toujours irrégulier comme moyenne, rythme et ten
t elle était effrayée du chiffre auquel on arrivait : plus de 100 par minute . Parfois je lui disais de compter les mouvements
autre sur un ton un peu brusque le chiffre que l'on obtenait, en cinq minutes . Peu à peu, les mouvements ont diminué de fréquen
. Peu à peu, les mouvements ont diminué de fréquence, et, de 100 à la minute , on est arrivé à 5o, 20. 10 et même zéro. J'inven
s des raisons pour l'engager à ne pas faire un seul mouvement en cinq minutes . Je suis parvenu à la longue à la faire se mainte
r un lit, est endormi par la fixation du regard dans l'espace de deux minutes . Pendant le sommeil, l'anesthésie est complète ;
23 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
la douche gé- nérale en pluie et en jet est ordi- nairement d'une minute (1). Manuel opératoire en usage à Bicêtre.
léger ron- lement un peu d'écume non sanguinolente; durée : deux minutes ; il urine sous lui, mais ne déféque que rarement
it eu la nuit suivante des convulsions qui auraient duré de 10 à 20 minutes , on ne saurait dire si elles étaient plus mar-
orsure de la langue ; pas de miction involontaire ; - durée 5, 6, 7 minutes ; Dog..., paraît avoir une aura ; d'après son pè
t (sur le vertex et sur la nuque) avait toujours 60 pulsations à la minute ; tantôt il s'est le plus souvent abaissé penda
ct magnétique, la cir- culation s'accélère de 6 à 8 battements à la minute (ap- plication de 3 à 4 minutes) et l'artère se
s'accélère de 6 à 8 battements à la minute (ap- plication de 3 à 4 minutes ) et l'artère se montre plus contractée qu'avant
pour la première fois des convul- sions qui ont duré environ vingt minutes : déviation des yeux, rigidité des bras qui éta
a été pris de ses- secondes convulsions; elles ont duré vingt-cinq minutes , elles étaient fortes, paraissaient générales e
sommeil, il a été repris de convulsions qui ont duré quatre à cinq minutes : sommeil consécutif et ainsi de suite de cinq
t de quelques secondes, les cris recommencent, durent deux ou trois minutes , et on observe un nouvel état convulsif qui se
rance et rougit ; mais, pendant cette crise, qui dure deux ou trois minutes seulement, les convulsions n'augmentent pas. Le
entué, mais continuel, isochrone et se répétant environ 50 fois par minute . Les mouvements convulsifs sont limités mainten
ccusées au bras droit. A 7 ans, nouvelles convulsions ayant duré 15 minutes . A 13 ans. début de l'épilepsie; les accès revi
écume sanguinolente. Pendant l'accès, dont la durée est d'environ 3 minutes , les pupilles sont légèrement rétrécies. T. R.
u'il a eues au- trefois avec une fille ; ceci dure environ de 6 à 7 minutes . Période tonique. - Soudain, il se met sur son
interrompue par quelques secousses cloni- ques. Au bout de 3 à 4 minutes , Fr... semble se réveiller, passe ses mains sur
un souvenir de ce qui vient de se passer. Durée totale : environ 15 minutes . 11 décembre. Fr... retourne à l'école : le cal
arreaux et se relève ; pas de délire. L'attaque a duré environ 10 minutes et parait avoir été tout à fait limitée à la pé
t par l'examen de celle-ci après l'at- taque. On voit le malade 3 minutes environ après le début ; ii est maintenu avec p
et en pronation. Il existe un spasme inspiratoirc très-marqué. 5° minute . - Le malade se renverse en arrière, puis il se
vers le chevet du lit et regarde la lumière d'un air étonné. n 9° minute . - Nouvelle exacerbation : les yeux devien- nen
rmurant : « Vache ; ah ! vache ! » avec une fureur concentrée. ne minute ? Après être resté quelques instants dans une p
e n'y toucherai, même du bout des doigts.. Je le gêne ? ...». 25" minute . - La respiration devient calme, les yeux se fe
, tout d'abord traversé sans douleur par une épingle, se trouve une minute après dou- loureusement impressionné par une si
s dou- loureusement impressionné par une simple piqûre. Cinquante minutes après le début de l'attaque, F... est courbatur
internes. » Le surlen- demain nouvelles convulsions durant quelques minutes et revenant à plusieurs reprises. Pendant les d
folie Zr ou post épileptique ; quelquefois pourtant, et. durant 2 minutes environ après un accès, il paraissait égaré, sem-
ation n'a jamais été bien accusée ; réveil toujours prompt (1 à 2 minutes après avoir retiré la compresse). Comme phéno-
24 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e l'oblige à ne répondre qu'après un silence de cinq, dix ou quinze minutes , parfois même une pause plus longue. Elle passe
cide un jour à recevoir le médecin, etaprès une attente de quelques minutes pendant laquelle elle s'informe auprès du domes
lui répondez qu'elle est à Paris, à la Salpêtrière, et après une minute ou deux, au plus, elle déclare qu'elle ne sait où
mnambulisme qui est bien connue, mais qui ne se vérifie pas en cinq minutes sur une estrade ; vous aurez en examinant des m
t de rien pendant la veille et qui ne pouvait même pas retenir cinq minutes le nom de la Salpêtrière où elle était, avait d
n, honteux de sa conduite. La scène entière avait à peine duré cinq minutes . A la longue, ces accès de dipsomanie sont deve
action sédative et hypnotique se fait sentir au bout de dix à vingt minutes et dure de une à huit heures. Il n'est que peu de
est rapidement passagère; l'amaurose épileptoïde dure jusqu'à deux minutes , reparaît six à huit fois par jour ou bien plus
réintroduite. On dénude alors la ,veine humérale gauche et en cinq minutes , de 2 h. 30 à 2 h. 35, on injecte 23 c. c. d'urin
e qui doit être liée. Dénudation à gauche facile : injection en dix minutes de 65 c. c. d'urines. Arrêt des mouvements resp
facile de la veine axillaire droite, injection de 50 c. c. en vingt minutes environ. La quantité d'urine des vingt-quatre h
nudation facile sans perte de sang appréciable. Injections en dix minutes de 75 c. c. d'urines. Mort à 75 c. c. avec conv
Dénudation très facile sans perte de sang appréciable. En cinquante minutes , injection de 62 c. c. Accélération rapide des
e malade pour la deuxième fois (3 heures moins 20). Au bout de huit minutes l'injection est refaite. Pendant ces huit mi- n
e la veine est facile. Pas de perte de sang appréciable. En vingt minutes environ, injection de 90 c. c. d'urine; à 30 c. c
es claires à 26 c. c. - répétées très abondantes dans les dernières minutes de l'injection (5 à 6). Mais l'aiguille se bouc
t de 36°,8. Dénudation facile sans perte de sang. Infection en 10 minutes environ de 34 c. c. d'urine filtrée et alca- li
axillaire au-dessus du tendon du grand pectoral. Injection en trois minutes , de 18 c. c. A 5, accélération et superfi- cial
filtrés avec soin. Lapin de 2 kil. 410. Injection en trente-cinq minutes environ de 105 c. c.; vers 20 c. c., myosis, ac
e avec soin. Q = 1.300 c. c. Lapin de 2 kil. 280.- En trente-cinq minutes environ, injection de 220 c. c. Le myosis et
, elle est non ammoniacale. Elle a été filtrée avec soin. En huit minutes environ, injection de 65 c. c. Dès 10 c. c., myos
les muscles de la face, et agitent les poils du museau pendant une minute et demie environ. 1- , ' , . Une seule mictio
eu abondante au début de l'expérience. Durée de l'injection : douze minutes environ. (Cette description peut servir de type
roubles dans les derniers temps de la vie. Durée de l'injection, 17 minutes . Autopsie. - Le coeur continue à battre. Les re
rt. Pas de miction ni de défécation pendant l'expérience. Durée, 15 minutes . Autopsie. Congestion rénale peu accentuée. Pas
isme brusque. Une miction, une défécation. Durée de l'injection, 10 minutes environ. Autopsie. - Congestion rénale. Quatre
ettement acide, filtrées avec soin. Lapin de 1,950 grammes. - En 35 minutes environ injection de 242 c. c. ; - Le myosis et
trées. Q 1070c.c.. . . Lapin de 2 kil. 200. Injection en quarante minutes environ de 235 c. c. Myosis peu accentué dès le
IRE CHEZ LES ÉP1LEPTIQUES. 199 Lapin de 2 kil. 100. Injection en 25 minutes environ de 176 c. c. d'urines. Myosis 35 seulem
ux depuis quelques instants reste couché sans bouger. Il meurt cinq minutes après la fin de l'injection sans convulsions. 4
, claires, non naphtolées, filtrées. - Lapin de 1820 grammes. En 30 minutes environ injection de 220 c. c.. - Myosis franc
es, non naphtolées. ' Lapin de 1.950 grammes. Injection en quarante minutes de 272 c. c. Pendant les 100 premiers c. c., pa
0, on obtient de l'accélération respiratoire; à 120, arrêt de trois minutes dans l'injection, .parce que l'aiguille est obs
- lité : 1.480 c. c. environ. Lapin de 1 kil. 575. En trente-cinq minutes , injection de 233 c. c.; myosis net vers 40 c.
trées. Q = 1.500 c. c. ... " Lapin de 3 kil. 300. -En quarante-cinq minutes environ, injec- tion de 405. c. c.; myosis lége
araissait plus clair dans le champ noir de l'obscurité. Après vingt minutes ou 'une demi-heure le nuage faiblissait, tandis
e troubles gastriques. La durée des accès est en 'général de quinze minutes à une heure, à une heure et demie et plus. D'or
rouble de l'acuité visuelle, se pro- longe seulement pendant quinze minutes à une demi-heure, et après, pendant une durée d
e minutes à une demi-heure, et après, pendant une durée de quelques minutes à une demi- heure, un simple scotôme persiste e
les troubles visuels dans un espace de temps qui varie de quelques minutes à une demi- heure, à une heure, rarement plus.
assait par le point de fixation. La · première attaque dura 10 à 12 minutes , et la seconde, surve-' ' Rappelons le cas de W
jusqu'à la cécité absolue dans les deux yeux- pendant dix à quinze minutes . L'amblyopie n'a jamais la forme typique de l'h
ndrait presque continuellement. Chaque crise dure de quinze à vingt minutes à peu près, mais elle est toute la journée souf
l'artère temporale gauche rigide, le pouls dur (68 pul- sations par minute ), le malade éprouvait des frissons. A l'ophtalm
urose est très L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 221 variable, de quelques minutes à plusieurs heures. Parfois il a eu des crises
Vers deux heures il entre étant parfaitement aveugle, mais quelques minutes après il se frotte les yeux et la vue revient.
Il s'est réveillé étant z aveugle, et seulement au bout de quelques minutes la vue revient. Une autre crise encore au bout
rement et s'est mordu la langue. . La durée de ces crises est d'une minute environ; une minute après le regard reste fixe,
u la langue. . La durée de ces crises est d'une minute environ; une minute après le regard reste fixe, et le malade dit qu
convulsions du membre peut seulement suspendre pendant quel- ques minutes lesaccès,mais non les arrêter. Le malade tombe su
r. Le malade tombe sur le côté gauche, la crise dure une dizaine de minutes . Les petits accès d'épilepsie partielle, c'est-
ul côté (hémiopie), à droite. Le scotôme ayant duré à peu près deux minutes , est suivi d'une douleur que la malade place à
côté droit La névralgie sus-orbitaire dure quelquefois à peine cinq minutes , l'amblyopie transitoire. 227 d'autres fois u
ant cette perte de connaissance, qui ne dure pas plus d'une ou deux minutes , la mère de la malade dit que cette dernière se
uit ou quinze jours à peu près, et ont eu une durée de deux à trois minutes , rarement plus. Les attaques d'am- blyopie temp
sance, il put descendre pour aller se chauffer, et après huit à dix minutes l'engourdissement avait complètement disparu. '
l'obligeant chaque fois d'abandonner ses outils pendant cinq à six minutes . Actuellement le syndrome de - la paralysie pro
par Yale, et le plaçai sous le bras de la malade, au bout de trois minutes il éclata. Le D1' L... en avait un semblable qu
e ligne correspondant, sur le cadran de Javal, à neuf heures treize minutes ; elle voit, dans ces conditions, les chiffres 1
e recourir aux narcotiques. Durée de l'opération : une heure trente minutes . Il revint bien à lui. Vers le 10 janvier, on
perfec- tionnement opératoire me permit de la faire en trente-cinq minutes au lieu d'une heure et quart. Au bout de cinqjo
e manière que la première fois. L'opération fut terminée en vingt minutes avec les nouveaux instruments. 24 mars. - Le so
arqué. 344 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. fis l'opération en trente minutes . L'os saigna bien, mais non d'une façon alarman
pagna pas de la perte de la sensibilité; elle dura une dizaine de minutes ; après l'attaque Ai ? Gi... se sentit un peu faib
it violemment, elle émettait des cris désordonnés et après quelques minutes de respiration ronflante elle retrouvait parfai
es idées deviennent confuses; ces phénomènes durent deux ou trois minutes , après, Cha... émet un cri rauque et il tombe à l
nguinolente s'accumule aux angles des lèvres. Après quinze ou vingt minutes , Cha... reprend parfaitement la conscience en s
isode qui s'y est interposé depuis quelque temps : Cha..., quelques minutes après avoir perdu la cons- cience, se lève brus
ce et tomba à terre. Dans cet état d'inconscience qui dura quelques minutes , il ne se mordit pas la langue et n'urina pas s
qui respectèrent les muscles de la face et des yeux. Après quelques minutes la crise prit fin, enlaissant B... très fatigué.
t dans la jambe et dans le bras une sensation de chaleur, en peu de minutes le mouvement revint complètement dans les deux
heures, qui fut suivie de perte de la connaissance, qui dura vingt minutes . Cette attaque ne fut pas suivie non plus de pa
sychique qui se traduisit par une perte de connaissance de quelques minutes . Maintenant, qui ignore que les émotions violen
sur le sol, en perdant complètement connaissance. Après quelques minutes il revint à lui, la céphalée continua pendant qua
, les doigts à demi fléchis. La perte de connaissance dura quelques minutes , comme la première fois, et lorsqu'il Archives,
herchait les mots et il ne pouvait les trouver, il restait quelques minutes impuissant à exprimer sa pensée avec le langage
s la faculté d'écrire paraissait elle- même supprimée pour quelques minutes . . Les céphalées continuèrent toujours avec le
sculaire même peu prolongé. Par exemple, F... pendant deux ou trois minutes peut écrire avec une calligraphie très belle et
raine ophtalmique), qui peut éclore après un intervalle de quelques minutes à une heure et même plus. Les douleurs de tête,
onnés, s'arrête, recommence. Je l'ai laissée travailler ainsi vingt minutes sans qu'elle ait pu accomplir cet acte si simpl
gestion en un instant, il n'avait pu être fait par volonté en vingt minutes . Comment s'expliquer cette différence ? C'est q
podalique; le pouls, même au repos, dépassait cent pul- sations par minute . Antécédents. Mère anémique, morte de pneumonie
25 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
ient séparés par une distance d’environ quatre mètres. A peine quatre minutes étaient écoulées que tous les deux se levèrent en
s sa position naturelle et maintenu par un appareil approprié. Cinq minutes après le pansement on demande à la malade si elle
its de la face prenaient bientôt un caractère singulier. A peine cinq minutes de magnétisation »’écoulent-elles qu'on le voit s
mon-« 1er à trentfe et un kilogrammes. On le magnétisa : en « quatre minutes le somnambulisme se déclara. On (1) Le mol acti
dans un litre d'eau bouillante, et « on ne laissera bouillir que cinq minutes ; 2° vési-« catoire à l’hypocondre gauche; 3° pend
déplus en plus fréquentes, et maintenant revenaient de cinq en cinq minutes . L’avortement était imminent; le magnétisme me pa
i-« merie où il travaillait, je le fis asseoir et l'endormis « en une minute par les procédés magnétiques les « plus simples
es passes, 2° par le regard, 3° par «derrière et à son insu, en trois minutes ; 4" par « l’insufflation et en présentant les mai
ar « l’insufflation et en présentant les mains sur le front, « en une minute . Lo mémo effet a eu lieu en trois ini- « nutes,
en maçonnerie de un mètre cinquante « centimètres d’épaisseur en cinq minutes . « Pour prouver que le sommeil n’était pas simu
e liquide « concentrée lui a été maintenue sous le nez durant « trois minutes ; « A° On lui a ensuite bourré le nez de tabac
du sol, la chaise ne bougea plus, et je ma-« gnétisai. Au bout de dix minutes les yeux se fer-« nièrent, et j’en restai là. «
oncé sur tout le corps; le pouls présentait cent vingt pulsations par minute . Rhumatisme.- Le 1er septembre Î845 , M. D.,dt*
ortai sur son lit, je lui fis des passes à grands courants; après dix minutes de soins, je l'endormis (lu sommeil magnétique, e
sensibilité particulière. Elle indiquait au moment môme les heures et minutes de chaque montre. Elle parvint souvent, mais pas
r mon coup d’essai je parvins en cinq magnétisations, de sept ou huit minutes chacune, à extirper le mal dans sa racine. J'eus
moigne assez de la véracité du fait que j’avance. Durant les quelques minutes que M. Garrison employa à mettre cette dame sous
isme de Mmc Bénarde avait été obtenu par M. Berlhe en moins de quatre minutes , sans passes magnétiques, sous la seule influence
et l’odorat, la maladie dont cette personne était atteinte. Quelques minutes de réflexions ont suffi, et l’affection a été dép
ppliqué sur son estomac, tout en se croisant les bras. Après quelques minutes de réflexion, à la voix de M. Berlhe, elle a dit
lui faire quelques passes, il tomba dans le sommeil en moins de cinq minutes . Th. Carstairs. Scbeffield, 17 novembre 1849.
cérébrale qu’il eut à l'âge de trois ans, éprouve au bout de quelques minutes des effets qu’il s’efforce de faire comprendre pa
gnement philosophique du magnétisme. Séance du 12 mais. — En qnatre minutes M. Dubois met en sommeil magnétique M11' Gobin. I
equel il devait agir, et après avoir dirigé sur lui, pendant quelques minutes seulement, un regard -sombre et fixe, on voyait b
ober. Les crises éprouvées par ce jeûne homme duraient à peu près dix minutes ; celui qui les avait produites les faisait cesser
mbule, qu’il fascine du regard, etqu’il endort ainsi en moins de deux minutes , sans recourir aux passes ou frictions dont les m
que. M. Delacour actionne ensuite M'"e Derrien-, qui en moins d’une minute s’agiie, crie, pleure, accusant, par des phrases
n chirurgicale. « Le mercredi 27 mai 184G, à quatre heures quarante minutes de relevée, M. le docteur Loysel, aidé deM. le do
l’a déjà mis plusieurs fois en somnambulisme magnétique. Après deux minutes environ, les yeux du sujet se ferment peu à peu ;
sont mis en mesure de seconder l’opérateur. A quatre heures quarante minutes un premier coup de bistouri fait une longue incis
ume d’un œuf. « Cette première dissection n’a pas duré moins de dix minutes , malgré la dextérité avec laquelle elle a été pra
en rapport avec les batlements du cœur. * « Après un repos de dix minutes , M. le docteur Loysel a pratiqué une nouvelle inc
é inexprimables. « Les doux opérations ont duré ensemble vingt-neuf minutes , y compris le temps de repos. Ensuite un des spec
? — ÎN’on, Monsieur, nullement. * • « A cinq heures trente et une minutes on commence le pansement. Les bords de lu premièr
q épingles traversant les tissus, et dont l'application a duré quatre minutes . La se- condc plaie a été fermée par une seule
sur l’autre. Le pansement a été terminé à cinq heures cinquante-sept minutes . Alors on a fait disparaître de l’appartement tou
t habillé lui-môme, a été réveillé par son magnétiseur en moins d’une minute . « Rendu à la vie ordinaire, le jeune Baysset,
tique elle se plaignait de vives douleurs abdominales, et en quelques minutes son ventre prit un énorme développement. Cet acci
ntre revint à son volume normal. L’accès'se maintint en tout quatorze minutes au lieu de trois à quatre heures qu’il durait o
e je la magnétisai, principalement sur les articulations. Après vingt minutes d’une action forte et soutenue elle éprouva des d
s). A une heure et demie je reprends la magnétisation. Après quinze minutes d'une action forte et un peu douloureuse pour ell
tète pour lui procurer ce sommeil réparateur; elle part après vingt minutes ; car notez bien que jamuis la magnétisation n’a é
u paralysées; j’ai été obligée d’appeler à mon aide. Après quelques minutes de magnétisation en dirigeant le fluide sur les r
s opérations, mômes résultats ; la magnétisation ne dure plus que dix minutes ; nombreux visiteurs; le mieux va toujours en augm
tie de l’eau, et elle sauta dessus, et elle y resta pendant plusieurs minutes , puis ayant été de nouveau jetée à l’eau, six ou
inexprimable circula dans l’auditoire, et le cours fut pour quelques minutes interrompu. Si. de Saint-Pierre, étonné, s’arrête
mbule, présente les effels les plus remarquables. Au bout de quelques minutes de magnétisation, elle se lève et se précipite ve
aigus s’échappèrent seuls de sa bouche écumante. Cette scène dura dix minutes , et, démagnétisée, la patiente se plaignit d’une
u se déplace au gré des assistants. Pour moi, j’attendis au moins dix minutes ; elle commençait à désespérer, lorsque, tout à co
juin. — M. Hébert relate une guérison d’ischurie obtenue en quelques minutes par l’application de la main sur l’hypogastre.
ement les effets. Quel fut mon étonnement, lorsqu’au bout de quelques minutes je produisis le sommeil magnétique et les phénomè
gnétisée vers la fin de l'année 1844. « A peine soumise pendant une minute à la méthode ordinairedemagnjitisation, cette per
solue, attestons et certifions ce qui suit : A deux heures quarante minutes , la malade est magnétisée et endormie par M. L. D
t l’insensibilité est profonde et absolue. •A deux heures cinquante minutes , l’opérateur fait, dans le sens vertical, en arri
aperçoit alors à nu le tissu d’une glande considérable qui* en quatre minutes et demie, est disséquée avec précaution et extirp
égion cervicale. Ces deux dernières glandes lurent extraites en trois minutes . Dans la dissection des glandes, une veine d’un
it faite par M. L. Durand. I-i plaie fut lavée de nouveau. Quelques minutes après, les bords furent rt-anis à l’aide de plusi
onseils précieux, et immédiatement je me mets à l’œuvre. Pendant 25 minutes , je cherche le joint où je vais poser le levier.
ement pas. A la fin de cette première séance, qui a duré en tout 40 minutes , j’essaie l’attraction magnétique. La malade ress
abondantes comme les dernières. Deux crises d’une durée chacune de 10 minutes . Je ne les calme point. Telle est d’ailleurs la v
et je m’efforçai de magnétiser avec une grande force de volonté. Dix minutes s’étaient à peine écoulées que la résolution comp
ule m’avait présenté des faits assez curieux de lucidité. Environ dix minutes après son réveil complet, et une démagnétisation
bule, venu de Plymouth avec M Ilarrison, fut endormi en moins de cinq minutes . La catalepsie, la rigidité tétanique des membr
mise en rapport avec cette dame, en abandonna la main au bout de deux minutes , disant que son pouls était équilibré, battait à
26 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
On rentra dans le salon. M. Willis se mit au piano. Après quelques minutes , et pendant qu’il jouait encore , des craquements
rts; je puis donc garantir la réalité du fait suivant. Après quelques minutes , il apparut sur son bras des lettres presque auss
ité fut dissipée par des procédés analogues qi1 durèrent environ cinq minutes ; la malade manifestaitnft vive souffrance, et épr
a transporta au bureau. M. Guidi se mit à la magnétiser : en quelques minutes , il la guérit complètement. La dame n’éprouva plu
it au moment où j’agissais, mais pour reparaître après quatre ou cinq minutes . Je continuai d'opérer ainsi pendant deux jours,
huit jours la continuation de ses accès d’épouvante devant durer deux minutes chacun. Elle en indiqua dix-huit répartis en dive
en somnambulisme avant midi et je lui fis faire la promenade de vingt minutes qu’elle s’était prescrite, et j’observai la ferme
is de novembre 1851, je magnétisai pour la première fois M. X. ; cinq minutes me suffirent pour le magnétiser entièrement, quoi
i fit prendre, en outre, un lavement de décoction de tabac. ’Quelques minutes après l'administration de ces remèdes, le reptile
3 > était vivant et se mit à ramper,; cet animal vécut encore dix minutes . I^e malade rendit ensuite une masse de vers de d
ement des doigts sur la nuque doit être pratiqué pendant dix à quinze minutes et deux ou trois fois par jour; alors le cheval a
ient autour de son lit. Tout ce rétablissement se fit en moins de dix minutes . Il ne fut administré aucun médicament. Je restai
elle; elle était tellement faible qu’elle nu pouvait rester levée dix minutes . 11 était alors midi : vers deux heures, le docte
cteur et M. Long se rendirent avec moi auprès de la malade. En quinze minutes , le docteur la guérit. Elle s’habilla et se prome
affaibli qu’on s'attendait à l'envelopper clans lf1 linceul. Quelques minutes après l’arrivée du docteur, il fut mis en état, d
me faire des rigolades d’eau tiède entre les épaules, de cinq en cinq minutes ; cela me soulagera, mais ne me guérira pas, il n
pour que la silhouette des assistants fût visible. Après quelques minutes de silence, commencèrent ce qu’on appelle les dém
uelques preuves de son identité: elle ne me fit aucune réponse.. Cinq minutes après, je fus ébloui par une lumière bleuâtre, co
qui était sur mon genou, et puis la caressant légèrement pendant dix minutes , je pus sentir cette petite main caresser la mien
îmes le bruit du crayon se promenant sur le papier, et après quelques minutes , il me fut remis par une main invisible à la haut
ame X.... ayant remis le soulierde sa belle-sœur à son pied, quelques minutes après ils furent rechangés et remis à leur place.
ntre mes pantalons et ma jambe gauche , me magnétisant de dix à vingt minutes chaque fois ; mais en le remerciant de sa bonne v
eau devant nous. Nous les avons touchés et reconnus... Après quelques minutes , les chapeaux disparurent, et en sortant, nous le
d'une matière éthérée. Nous regardons autour de nous pendant quelques minutes ; nous voyons nos amis pleurant sur notre corps é
t de cuivre (un sol de France) en une pièce d’or, et cela en quelques minutes . 11 possède un certain nombre de pièces d’or
une boite de bois que l’on clôt minutieusement. En l’espace de trois minutes pendant lesquelles le docteur se tient auprès, mo
t dans le vase de verre, et le vase dans la boîte de bois; et en cinq minutes la pièce d’or est convertie dans les monnaies pri
oi, nous nous assîmes près de la table en face de lui. Après quelques minutes , les esprits dirent au moyen du spiritoscope : Qu
s sièges, et le médium continua de se tenir au spiritoscope. Après 55 minutes d’attente, l’esprit déclara au moyen de cet instr
jeune fille tomba dans un profond sommeil. Tout cela se passa en deux minutes . Je fis sur elle quelques passes magnétiques de l
répandre également mon influence sur tout le corps. Après quelques minutes , je l’interrogeai : elle ne répondit pas ; el
la suite de l’ingestion de ce .mélange, elle demeurerait pendant dix minutes comme privée de connaissance et sans parole; qu'e
s que, pour cette fois, sa clairvoyance n’eût été en défaut ; les dix minutes annoncées me paraissaient d’une longueur désespér
insi demeurée devant moi, souriante mais muette, l’espace de quelques minutes , ma sœur, semblant faire un violent effort, me di
ulsion, qui fut suivie par d’autres crises toutes les vingt ou trente minutes . A neuf heures, un autre habile médecin s’adjoign
n’était pas revenue, et la constipation persistait. A neuf heures 20 minutes , l’enfant éprouva un violent spasme et empira rap
. A minuit, les deux docteurs se retirèrent, disant que dans quelques minutes , tout serait fini, et laissèrent entrer plusieurs
t dans une douloureuse anxiété. Il venait de s’écouler juste quinze minutes depuis l’imposition des mains, quand je sentis la
de mon cœur, que je m'étais représentée, il y avait à peine quelques minutes , glacée par la mort, me regardait et parlait I el
a sur le plancher,, se tordant dans un spasme effrayant qui dura cinq minutes , tandis que l’enfant restait parfaitement .calme.
déploya dans cette circonstance toute sa puissance et provoqua en une minute les premiers symptômes du sommeil magnétique, tan
à l’extrémité des doigts, ne pouvant rester assis ou debout une seule minute sans être forcé de balancer son corps de manière
ns la jambe droite, qu’elle ne peut se reposer sur elle seulement une minute . M. Manlius lui ayant ordonné de marcher sans fai
’autre, mais sans souffrance et sans canne ; elle put se soutenir dix minutes sur cette jambe. Nous pourrions citer beaucoup
er le matin comme d’habitude, quand même je devrais me recoucher cinq minutes après ; de ne prendre aucune médecine, et de boir
r le linge, et je posai cet emplâtre sur l’œil de la malade : en cinq minutes , elle fut entièrement délivrée de ses souffrances
uf heures du matin, vous me magnétiserez la poitrine pendant dix-huit minutes avec la main droite, ayant soin de placer votre m
corps. Votre main gauche perdra toutes ses forces; après les dix-huit minutes , vous l’appliquerez sur le creux de mon estomac p
minutes, vous l’appliquerez sur le creux de mon estomac pendant cinq minutes ; elle pompera tout mon mauvais sang, elle deviend
pompera tout mon mauvais sang, elle deviendra brûlante , et les cinq minutes écoulées, vous tracerez avec la main droite sur l
tisai au moment où la douleur était des plus intenses; après quelques minutes , les souffrances dimi- nuèrent, et bientôt el
a, par un moyen bien simple consistant à me faire garder pendant cinq minutes son passe-partout dans mes mains. Naguère encore,
lusion entre, lui et M. Coljyer. Celui-ci fit, pendant environ quinze minutes , des passes sur le jeune homme qui ensuite se tro
aucune fraude. M. Collyer employa les procédés ordinaires pendant dix minutes ou environ, et le sujet s’endormit graduellement.
en de remarquable. M. Collyer commença à le magnétiser à il heures 28 minutes : pendant l’opération , l’enfant déclarait qu’il n
Collyer, parce que celui-ci avait magnétisé M. Beals. Au bout de sept minutes , il y eut de fortes convulsions des muscles sur t
Ce sujet étant debout, M. Gollyer fait des passes pendant une ou deux minutes , puis il cesse et s’assied. O11 demande alors à M
de très-singulier; je ne puis mouvoir ni les yeux ni les membres. Une minute après, iJ parut plus maître de lui-même, et i
pouvais parler. « M. Jones a agi sur Frédéric qui, au bout de cinq minutes , fut endormi. M. Jones lui fit différentes questi
ite, les mains froides, le pouls tranquille donnant 96 pulsations par minute le pouls du magnétiseur marque également 96. il C
du magnétiseur marque également 96. il Commence à agir à h heures AO minutes .. Sept minute», après, le sujet paraît endormi. L
marque également 96. il Commence à agir à h heures AO minutes.. Sept minute », après, le sujet paraît endormi. Le magnétiseur
que le sujet est alors' dans un état de demi-somnambulisme. Quelques minute après, il fait «le nouvelles passes et demand
ersonnes qui déclarent que ce nombre n’a pas varié depuis plus de dix minutes . — On envoie également le sujet en imagination à
ces personnes tenait à la main le pied d’un tabouret. « A 5 heures minutes , M. Collyer fait des passes pour le réveiller : d
5 heures minutes, M. Collyer fait des passes pour le réveiller : deux minutes après , le sujet commence à remuer la tête; après
minutes après , le sujet commence à remuer la tête; après deux autres minutes , il est debout, soupire profondément, remue les é
un homme qui sort d'un profond sommeil. Il avait dormi une heure dix minutes . Pendant tout ce temps, les diverses tentatives q
dé combien de temps il croyait avoir dormi, il répondit : Environ dix minutes . Il ajouta qu’il ne lui en restait aucun souvenir
z : éprouviez-vous quelque douleur clans les quatre ou cinq dernières minutes ? — 11 répondit négativement. Il dit qu’il n’avai
ement des doigts sur la nuque doit être pratiqué pendant dix à quinze minutes , et deux ou trois fois par jour ; alors le cheval
st de la plus grande exactitude, peut être vérifié par chacun et à la minute même. « Extrait du journal /'Exposition de Dijo
par pure curiosité. Voici les résultats obtenus : Après 10 ou 12 minutes de magnétisation, sur 50 personnes ! Coma simpl
27 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
tout le corps, en sorte que le malade ne pouvait rester quel- ques minutes seulement en repos, quelque effort qu'il fit. S
voyage et venait de quitter sa chaise de poste pour faire quelques minutes d'exer- cice à pied, quand, tout à coup, il sen
à la route, ce qu'il aurait pu faire sans danger pendant plusieurs minutes . Mais presque aussitôt, l'accès, après avoir du
Mais presque aussitôt, l'accès, après avoir duré à peu près deux minutes en tout, se termina sans autre circonstance notab
archaient paisi- blement l'un à côté de l'autre pendant cinq ou dix minutes , puis le malade hâtait tout à coup le pas, et i
ant ou plutôt criant son nom d'une voix haute et brève. Un quart de minute après, il reprend son travail, se remet à parle
mpagnée de vertige. La durée de cet accès n'avait pas dépassé trois minutes . Dans une autre circonstance, il avait été pris
e qu'il reprit sa connaissance. Cette attaque dura en- viron quatre minutes . Outre cet accès, il en eut un autre semblable
bien de l'arrêter dans sa course précipitée, et en moins de deux minutes il se calma. Pendant toute la durée de cet accès,
lle retournait à sa place. La durée de l'attaque n'excédait pas une minute et il n'y avait ni excitation ni délire. Cett
it, il cachait sa tète «dans mon estomac D. Rassuré au bout de cinq minutes on le recouchait et il s'endormait. Les peurs s
enfin contre la grille qu'il saisit et s'affaisse. Durée totale : 2 minutes environ. ' - Au chauffoir, les accès présentent
table; on dirait, qu'il bat la caisse avec son coude, puis, après 2 minutes environ, il se lève, se précipite dans le jardi
se laisse alors tomber de son banc, se roule sans cri, pendant une minute environ, se relève et se sauve. - Si on le main
r des lèvres; il ne revient complètement à lui qu'au bout de deux minutes . 5. - Description d'accès. En descendant de l'i
été de 33. Les accès duraient ordinairement de 3 : ) secondes à une minute , rare- ment de 5 à 12 minutes ( ? ). Le 24 ao
ordinairement de 3 : ) secondes à une minute, rare- ment de 5 à 12 minutes ( ? ). Le 24 août 1886 l'un de nous adressait à
rant le cours de laquelle éclatèrent des convulsions pendant quinze minutes qui laissèrent à leur suite une dé- formation d
mou- vements rapides du pied tapant le sol (160 tapotements à la minute ) qui durent de 6 à 10 minutes. - Le malade ne ré-
ed tapant le sol (160 tapotements à la minute) qui durent de 6 à 10 minutes . - Le malade ne ré- pond pas aux questions, pui
inutes. - Le malade ne ré- pond pas aux questions, puis après 2 à 3 minutes , tandis qu'il essayait de défaire son bas (auto
face n'a pas changé de couleur; Val... reste hébété pendant 2 à 3 minutes , parlant avec peine, puis reprend son pied déchau
ient se placer dans le lit de camp, s'endort pendant une dizaine de minutes et se remet ensuite à son ouvrage. - Parfois, p
ont dilatées. 56 DE' L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. Il s'écoule quelques minutes , puis Vall... est pris d'une sorte de - mouveme
se placer dans le lit de camp et s'y endort pendant une dizaine de minutes semble plutôt devoir les faire assimiler à un a
as d'écume; la main gauche reste contracturée pendant environ vingt minutes après l'accès. La durée de l'accès est d'enviro
ingt minutes après l'accès. La durée de l'accès est d'environ trois minutes ; le malade se lève et continue sa promenade in
sse, non sanguinolente, vient sur les lèvres. Durée de l'ac- cès, 2 minutes . Après l'accès, coma et stertor. L'infirmier ra
téral qui la porte fortement à gauche, puis à droite... Durée : une minute . Le malade a uriné sous lui. T. R. immédiatement
fait trois ou quatre pas en tournant. Après l'accès, pendant vingt minutes environ, il cherche sous les tables, les armoir
ce de M. BOURNEVILLE), Ce malade cherche après l'accès, pendant dix minutes , à ouvrir toutes les portes avec n'importe quel
ollin) et on l'a couché sans qu'il s'en doutât. Au bout de quelques minutes , il revint à lui. Observation XXXIV. Mère, nerv
enêtre pour la même raison. Ces « furies » ne duraient que quelques minutes . Il a mis une fois le feu dans la salle à mange
: après l'accès il fait le simulacre de coudre au moins pendant dix minutes . Observation XXXVII. Père alcoolique, céphalalg
n, prend du linge et une brosse et se met à frotter pendant vingt minutes tout à fait automatiquement. Revenu à lui, il est
se promener dans le réfectoire et fait le simulacre pendant huit minutes de semer des pois ou d'autres graines. III. Aut
« Je le tue » ; d'autres fois, il dit : « Ça y est » ; durée : deux minutes ; mais si à la suite, il y a des convulsions, c
. a eu deux ou trois accès par jour, leur durée est de deux à trois minutes . Après l'accès, le pouls radial est intermitten
tate ni secousses cloniques, ni secousses toniques. Après une à une minute et demie environ, le malade complè- tement hébé
ec une into- nation spéciale et forte; il discourt pendant quelques minutes , d'une voix criarde et animée, de toutes choses
it en courant {vertige procursif ? ). Puis, au bout de dix à quinze minutes , il revenait se recoucher sans rien dire. Le le
t par terre, « était comme un fou n ; cette crise a duré environ 15 minutes . Pas d'aliénés, pas d'autres idiots, pas de déf
saient et tout tournait autour d'elle. Ces phénomènes durèrent cinq minutes . Elle assure avoir pensé tout le reste du temps
ouche, les yeux étaient agités de mouvements qui duraient plusieurs minutes . Jamais de grandes convulsions, pas de pertes d
28 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
ssique des membres inférieurs, qui persiste ensuite pendant 15 à 20 minutes . Par contre, sur un 30 ROSATOFIr-SALOFR plan
rial the ipp.si lion attained persists with little diminution for a minute or more » : Dans, le dernier cas, l'amplitude d
t praticable; nous ne l'avons cependant jamais prolongée plus d'une minute . Nous avons toujours cessé la compression dès que
es cas d'absences épileptiques. L'obnubilation durait de une à cinq minutes , après quoi le malade revenait lui en seplaignant
nonçant des mots sans suite. Cet état dure à peu près pendant trois minutes , puis petit à petit son oeil devient terne, il
lle ne peut pas parler. La langue a tous ses mouvements libres. Dix minutes après elle commence à parler, mais doucement et a
rtoreuse. Les pupilles sont dilatées, son pouls plein, fort. Quelques minutes après, nous essayons de le faire lever. Petit à
a face. Puis survient la perte de conscience ne durant que quelques minutes , après quoi il revient à luise plaignant d'engo
d'engourdis- sement de la moitié gauche du corps se dissipaut en 5 minutes environ. Observation VII (juillet 1913). K. S
ions, n'ayant pas conscience de ce quise passe autour de lui. Trois minutes après, il revient à lui petit à petit en se pla
même temps elle a des convulsions des muscles de l'épaule. Après 4 minutes environ, elle laisse choir sa tête sur le canapé
r le canapé et la face trempée de sueur, s'endort profondément. Dix minutes après elle se réveille, mais après avoir été fo
édiatement perte de cons- cience, suivie de convulsions, durant une minute environ. Pendant l'état con- vulsif, la peau es
est rouge, violacée, puis olJ ! libulation avec regard vague. Trois minutes après, il commence à revenir à lui et répond à no
, immédiatement perte de conscience, puis regard hagard pendant une minute environ. Sans attendre nos questions, il nous dit
engourdissement et de légère fatigue du même membre durant quelques minutes , souvent même une demi-heure. Après l'accès, lé
t du membre inférieur gauche et de la langue durant tantôt quelques minutes , tantôt une heure entière. Trois fois seule- me
es fourmillements et le vertige se sont complètement dissipés en 15 minutes . OBSERVATION XIII (novembre 1914). Z. 1..., o
t l'index et le médius se sont redressés. Parfois, pendant quelques minutes après la blessure, les doigts ont présenté des
e dos de sa main gauche. Il reprit connaissance au bout de quelques minutes et gagna seul le poste de secours. On constat
mécanique. - Pas de modification. Après refroidissement pendant 30 minutes dans l'eau courante à 17° : hyperexcitabilité not
cubital de la main. La bande d'EsmarcU, appliquée pendant cinquante minutes , résout incomplè- tement la contracture. - 5.
général. 2° Conséquences du réchauffement par immersion pendant dix minutes dans l'eau au-dessus de 44 : a) Sur l'excitab
u prendre rien autre que de l'eau. Pouls faible, rythmique, 120 par minute . CI DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIEL
d'asphyxie blanche ; elle ne put être ranimée qu'au bout de quinze minutes de respiration artificielle. L'enfant présente dè
le bras gauche. Température : 35"5. Le pouls : 85 pulsations il la minute . Durant la nuit sui- vante, nouveau vomissement
on sans rien à signaler. La température : 37 ? Le pouls ; 95 à la minute , rythmé. La pression de sang (selon Riva-Rocci
en criant : « Mainte- nant, je n'y vois plus. » Au bout de quelques minutes elle a perdu connaissance et elle est morte. Au
ents d'oreilles et de grandes douleurs de tête. Au bout de quelques minutes , elle a perdu connaissance. Des convulsions dans
e, il était hébété et désorienté. Il a été transporté chez lui. (10 minutes de chemin) en voiture et a eu, pendant le traje
ent est dans un coma profond. Fréquence de la respiration : 21 à la minute . Le pouls : 80. De temps en temps des convulsions
t d'une crise d'épilepsie typique (raideur du corps, après quelques minutes des convulsions, morsure de la lan- gue). A 18
nd cadran. - Le réflexe ocuto-cardiaque donne un ralentissement par minute de 12 pulsa- tions par compression de l'oeil ga
réflexes pupillaires lumineux et accommodateurs sont conservés. Dix minutes après l'injection on note : L'accroissement des
exes lumineux et accommoda teurs normaux. II. - Pilocarpine. 25 minutes après injection sous-cutanée d'un centigramme de
2. Les autres conditions comme avant l'épreuve de l'atropine. Vingt minutes plus tard, pas de modifications des pupilles ni
ns l'oeil du côté droit malade, à raison de 3 gouttes toutes les 10 minutes . Dès lors, la pupille droite est devenue presqu
rqué à droite qu'à gauche : 16, 22 et 20 pulsa- tions de moins à la minute pour 12, 10 et 10 à gauche. Dix minutes après l
pulsa- tions de moins à la minute pour 12, 10 et 10 à gauche. Dix minutes après l'injection d'atropine, le R. 0. C. non mod
entraîné une diminution du R. 0. C. à droite (ralentis- sement à la minute de 20 au lieu de 22 pulsations) qu'on s'explique
traîné un accroissement du R. 0. C. à gauche (ralen- tissement à la minute de 12 au lieu de 10 pulsations) qui paraît parado
auche (ralentissement du R. 0. C. gauche réduit à 2 pulsations à la minute , comparé au ralentissement du R. 0. C. droit égal
mparé au ralentissement du R. 0. C. droit égal à 12 pulsations à la minute ). On voit à la fois la complexité et la délicat
, très variable suivant les individus : de 5, 10, 15 pulsations par minute . Mais quelles sont les voies de ce réflexe ? L'
ion d'atropine, au maximum de l'action de ce poison (vingt à trente minutes ), le réflexe oculo-cardiaque disparaît; or, com
z oculaire ne donne plus le ralentissement de 5 à 10 pulsations par minute , mais des arrêts de 10, ils secondes, des phéno
normal, consistant dans un ralentissement de 15 à 20 pulsations par minute . Observation IL Blessure du pneumogastrique gau
dorsal, montrent une instabilité très marquée du pouls ; à quelques minutes d'intervalle, on voit le rythme varier de 130 à
insi, comment cette habitude pourrait-elle disparaître, en quelques minutes , sous l'influence d'une simple persuasion Pour
quelques instants, puis on accorde au patient une pause de quelques minutes pendant laquelle on lui projette de l'air chaud
ts obtenus. Au bout d'un laps de temps variable, allant de 20 ou 30 minutes à ou 3 heures, le malade est et reste redressé.
6, à la suite de laquelle il aurait perdu connaissance pendant cinq minutes . Lorsqu'il revint à lui, il éprouva des maux de
ic. Il peut se tenir sur ses jambes sans aides, pendant une ou deux minutes ; mais bientôt ses jambes sont prises de trembl
nce dure une heure, avec plusieurs intervalles de repos de quelques minutes . Dans les inter- valles, on lui applique de l'a
malade est tout à fait redressé. La séance dure une quarantaine de minutes . ' Les jours suivants, exercices de gymnastique
d d'une dizaine de mètres. Il a perdu connaissance pendant quelques minutes .. Lorsqu'il est revenu à lui, il était couché s
radique à fil fin de 10 engagements, et, au bout d'une trentaine de minutes , le malade est redressé. Les jours suivants, il
nt électrique, courant faradique à fil fin ; après une séance de 30 minutes environ, il est tout à fait redressé. Les jou
né de douches d'air chaud et d'exer- cices de marche. Au boutade 30 minutes ; le malade est redressé complètement. Le 23 oct
Il aurait été presque enterré. Il perd connaissance pendant 10 à 15 minutes . Revenu lui, il ressent une vive douleur dans l
his, en y adjoignant la persuasion orale. La séance ne dure que dix minutes , mais le malade s'est déjà notablement redressé
le corps sauf la tête était enseveli. Il est resté aiusi pendant 10 minutes . Dégagé par ses camarades, il se met immédiatem
courant faradique à fil fin (1 à 3 engagements). La séance dure 30 minutes environ, et le malade se 436 SOUQUES ET MÉGEVAN
ectrique, courant galvanique à fil fin : après une séance de trente minutes , il est tout à fait redressé. La guérison s'est
CORMIE PAR l'ÉLECTROTHÉRAPIE 437 (en un temps qui a varié de trente minutes à trois heures). Tous ont été soumis, pour assu
29 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
iverses actions dont j’ai été instruit au réveil. Au bout de quelques minutes je revins à moi, conservant une vague idée des se
expériences; et je le magnétisai quinze jours de suite, environ vingt minutes chaque fois. Les fruits non magnétisés tombèrent
uis je la fis magnétiser, savoir: 1° magnétisation générale pendant 5 minutes ; 2° magnétisation locale sur les yeux le même esp
conde semaine elle devait prolonger sa magnétisation jusqu’à 15 ou 20 minutes , s’il ne survenait pas d’effets extraordinaires.
d vous le voudrez, dit-il, elle viendra nous rejoindre. — Dans cinq minutes . — Soit. Quelle émotion voulez-vous qu’elle épr
entrant ici, elle croira voir devant elle un abîme de feu. Les cinq minutes révolues, la porte s’ouvrit, et la somnambule s’a
sur la durée de l’apparition, qu’ils jugèrent avoir été d’environ dix minutes . Les draperies noires, la tête coupée, les flot
demandai l’heure; elle répondit : il est trois heures moins dix-sept minutes . C’était en effet l’heure qu’indiquaient en ce mo
t les horloges de la ville; mais ma montre marquait onze heures vingt minutes . (Explosion chez les incrédules.) » 11 est résu
ble et j'eus beaucoup de peine à décider le premier à persévérer cinq minutes , au bout desquelles il devint ivre et demanda la
nait l’endroit piqué. L’autre infirmier fuma le hookah pendant sept minutes , avec des intermittences considérables, et quand
t plus fumer je tins la fiole d’éther sous son nez. Au bout de sept minutes , il demanda à se coucher et il fallut le porter s
était tout à fait calme et non bruyante. 11 fut éthérisé à 1 heure 10 minutes du soir. Je le piquai alors partout avec persévér
e piquai alors partout avec persévérance, par intervalles, pendant 10 minutes encore, et essayai de l’éveiller en frottant les
iquide. L’intensité de la catalepsie dura tout le temps. A 1 heure 25 minutes je cessai et défendis qu’on le dérangeât. Je me f
lut bien m’accompagner à 1 hôpital. Nous arrivâmes à 2 heures moins 5 minutes et. trouvâmes la catalepsie diminuée et le patien
enir; et toujours l’insensibilité delà peau se maintint. A 2 heures 5 minutes il fut porté dehors et assis sur les marches de l
demanda s’il sentait quelque chose, il répondit que non. Au bout de G minutes il ouvrit les yeux pour la première fois, mais il
j’étais un Bnboo. L’immersion froide fut continuée, et à 2 heures 20 minutes il se leva subitement ; une expression instantané
t dissipé, mais je suis certain qu’on eût pu l’écorcher vif durant 15 minutes sans qu’il s’en aperçût, car il était tout a fait
oi il fut aussi soumis à l’immersion d’eau froide pendant plusieurs minutes , à l’action de laquelle il était tout à fait inse
inaire. Le massage que je faisais succéder aux passes pendant l5ou 30 minutes , produisait toujours un bien-être indicible. Sous
ion, et le forçait, quelque part qu’il fût, à l'immobilité pendant 10 minutes environ. Je le magnétisai une seule fois pendant
endant 10 minutes environ. Je le magnétisai une seule fois pendant 25 minutes ; quelques jours après, il vint me dire plein de j
a mère, je lui fisquelqucs passes sur le tronc. Au bout d’une ou deux minutes l’enfant se réveilla en sursaut, poussant des gém
arriver. Deux heures plus tard je l’actionne de nouveau pendant vingt minutes et je le mets à même de faire des pas un peu plus
s soins. Depuis six semaines elle a une fièvre de cent pulsations par minute , un mal de tète continuel, privée de sommeil, san
étrange façon à plusieurs reprises, je vis, au bout de dix ou quinze minutes , arriver une sorte de vipère, puis bientôt une au
glisséedans le tube, comme dans un étui. On la retire après quelques minutes , ou bien on l’y laisse indéfiniment. Au bout de q
stes érigés en forteresses, 18 fois 18 députés dévoués, n’a pas eu 18 minutes à lui pour faire ses préparatifs de fuite; cet ho
e prise : séance une heure et demie après l’attaque; au bout de vingt minutes de magnétisation, la langue est dégagée: tète lou
n seul rameau de pêches grosse-mignonne, traité selon les rites, cinq minutes par jour seulement, et c’est bien peu, lui donne
à peu, elle avance tout hébétée; elle approche enfin, après quelques minutes de magnétisation, au point que je puis sans diffi
oumit à un essai, dans une de nos séances. Sa main, tenue cinq ou six minutes dans la mienne, avait recouvré sa tranquillité no
e vénération.) P. Qu’est-ce donc que Dieu ? V. (Hésitant quelques minutes .) Je ne puis pas le dire. P. Dieu n’est-il pas
a en arrière sur son oreiller et expira. Je remarquai que moins d’une minute après son corps avait la sévère rigidité d’une pi
s dépossédé par un autre monarque. — Qu’il n’abdique pasà temps — (25 minutes trop tard), qu’il ne puisse y avoir une régence,
i donne 2,135,250 jours, ou 51,246,000 heures, ou enfin 3,074,760,000 minutes . Ce nombre de minutes expirées depuis le commen
ou 51,246,000 heures, ou enfin 3,074,760,000 minutes. Ce nombre de minutes expirées depuis le commencement des temps jusqu’à
river à ce but, sans pouvoir l’atteindre; après l’avoir magnétisé dix minutes environ, et voyant que ses yeux se rem-plissaient
echantait encore; après l’avoir fait asseoir, je le magnétisai quinze minutes , et tout disparut; alors je l’engageai de ne pas
c confiance et résolution, et dans cette première séance, après vingt minutes de magnétisation, Suire ne se sentait absolument
malgré les paroles bienveillantes que nous lui adressâmes. Après cinq minutes de magnétisation, Suire s’empressa de nous saluer
allait la faire luire à ses veux : je le magnétisai. En moins de cinq minutes cet homme robuste, exerçant, je crois, la profess
ce avec centgrains de sucre de lait, et on broie un certain nombre de minutes . Alors on prend un grain de ces cent grains, soit
ficie totale de cent mètres carrés, et si chaque trituration de vingt minutes ne divisait chaque molécule qu’en cent corpuscule
té avec laquelle certains enfants parviennent à résoudre, en quelques minutes , des problèmes d’arithmétique qui auraient coûté
es éprouvent une amélioration marquée d'une électrisation de quelques minutes avec une tige de ce métal. Ce résultat est encore
rpignon le constate douloureusement. Le magnétisme grandit à chaque minute , et ce mot magique va partout ranimer l’espoir. Q
fixais sur le mur le point traversé par le courant, et après quelques minutes d’observation je voyais une colonne lumineuse ven
hèque la relation d’un fait «le même nature. En effet, après quelques minutes de recherches, il me souinil une brochure im- p
édisaient la durée de leurs accès, et s’éveillaient à l’heure et à la minute qu’elles avaient indiquées. Maupertuis ( Œuvres
in, le pouls devient tout à fait insensible, cl, à huit heures deux minutes , une roidcur cataleptique envahit spontanément t
n le regardant fixement et lui faisant des passes pendant une ou deux minutes , parvint à l’endormir. M. Rumball lui toucha alor
qui avait duré vingt-quatre heures, le 15 juin 184i • Au bout de dix minutes de magnétisation, elle tombe en somnambulisme; et
magnétisation, elle tombe en somnambulisme; et, après trois ou quatre minutes de repos, le docteur lui demande : — Où est vot
de temps voulez-vous dormir? — Un quart d’heure. « Au bout de dix minutes , montre en main , je lui demandai i — Combien d
i demandai i — Combien de temps avez-vous encore à dormir? — Ciuq minutes . « Le vésicatoire fut appliqué le 19 au matin.
cins. La malade , magnétisée en leur présence, dormit au bout de cinq minutes . Je leur fis remarquer la catalepsie, et ils se p
ère fois, le 29 juin i845, elle tomba en somnambulisme au bout de dix minutes . Elle devint bientôt excessivement lucide. « El
e février 18 4G, je la soumis au mesmérisme. Elle s’endormit en trois minutes . A la seconde séance, j’obtins les phénomènes d’a
uvements respiratoires descendent souvent de vingt-quatre à seize par minute . L’inspiralion et l’expiration sont plus lentes e
e plus faible courant de la machine électro-magnétique, pendant trois minutes , après quoi il s’éveilla. « Le 5, fortement pin
nt pince et tourmenté par la machine électro-magnétique, durant trois minutes , il commença à se tourner, et s’éveilla bientôt a
and bruit sans l’éveiller ; son corps fut piqué partout durant quatre minutes , ac testis multum comprimebatur, sans aucun effet
différence l’action de la machine électro-magnétique durant plusieurs minutes , et qu’il pût être piqué, pincé partout impunémen
oindre sensation ; l'application de la machine électrique durant cinq minutes déterminait des mouvements convulsifs dans les me
rement à la coutume, il ne sentit de douleur dans la partie que dix minutes après qu’il fut instruit du fait. Au bout d'une d
30 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
suffit de regarder Michel fortement pour l'endormir une fois dans une minute , qu’il soit étendu dans son lit ou assis sur une
voir endormi Prudence en lui tenant simplement les pouces pendant dix minutes , contact qui n’est pas indispensable puisque le d
nt de la réveiller, ce qu’un de ses élèves de Chûlons fit en quelques minutes , à l'aide de passes transversales. Dans une aut
depuis longtemps, je cherche vainement à combattre. En moins de cinq minutes j’obtins 1111 tel efl'et que j’en fus effrayé, a
s de dessus elle, et. m’éloignai de quelques pas: la crise cessa à la minute . « Ces messieurs, si contents de mon procédé et
arante ans. Elle alla droit à 1 émir en vue, et lui parla pendant une minute environ, sans doute pour l’instruire de sa maladi
e fit présumer que cette femme avait un érysipèle de la face. En cinq minutes la cérémonie fut achevée. Retirant alors d’un des
ent. Vous croyez pouvoir impunément introduire durant vingt ou trente minutes dans les poumons de ces malheureux la vapeur délé
tif et s’appréteàsai-sirlcsmoindresparticularitésdel’expérience. Deux minutes sont à peine écoulées, que déjà des mouvements co
septembre 1827, fut atteint d’nne apoplexie foudroyante : dans quinze minutes il ouvrit les yeux, et dans vingt-sept il parla p
ieusement. Dès la première séance, je la plongeai, en moins de huit minutes , dans le sommeil magnétique le plus complet, et j
à un autre, par la seule influence de ma volonté, et en moins de dix minutes . Elle est si éminemment magnétisable que ses am
is par semaine. « J’ai rencontré un sujet que j’ai endormi en trois minutes , et en cinq il était somnambule; en six minutes:
j’ai endormi en trois minutes, et en cinq il était somnambule; en six minutes : lucidité. Je l’ai magnétisé quinze jours pour de
mystère, par quelle puissance ce fait s’était produit. Mais quelques minutes après l’opération, il éprouvait dans les bras et
nce qui y a été déposée au moment du tracé, tracé quia demandé quatre minutes de préparation seulement. Durant ce court espace
partager les émotions profondes du voyant? Il reste ainsi dix à douze minutes , murmurant, articulant quelques mots ; et c’est a
centimètres de diamètre. M. Stewart l'incisa alors, et au bout de six minutes la tumeur était enlevée et l’artère spermatique l
eur, qui cependant résolut d'essayer le 21 octobre dernier. « Vingt minutes avant l’heure fixée pour l’opération, je magnétis
animèrent et les traits perdirent de leur immobilité en moins de cinq minutes . J’avais la certitude que mon action était sentie
sa répugnance, elle se soumit à la magnétisation, et auftout de vingt minutes elle était lucide. Endormie dans une chambre vois
i soutenait une espèce de terrasse extérieure vint à manquer quelques minutes après, et entraîna en tombant plusieurs personnes
ent àux épreuves magnétiques, et elle put s’endormir au bout de vingt minutes ; elle parla, TOME IV.—KO 4«.— 25 MAI 1847. 10
à son côté madame Valette, qui lui tenait la main. Au bout de vingt minutes , elle s’est endormie. Interrogée pourquoi elle av
e le hoquet convulsif, etc. » Quant aux névralgies temporales, cinq minutes suffisent au premier mesmériseur pour que les bat
us la douleur environnante. Si le lendemain elle reparaît, idem, cinq minutes . Le malade s’v soumet bien plus volontiers qu’à d
lui proposa de le magnétiser ; il y consentit, et au bout de quelques minutes il dormait d’un sommeil tranquille. A son réveil
tremblements, trémoussements de tous les membres, qui dureraient deux minutes ; qu’il faudrait que je fusse seul à celte séance
et deux femmes, mises dans l’état de sommeil magnétique, en quelques minutes , par M. L. Durand cl M. Loysel, en présence d’un
de à l’éthé-risation ; à peine avait-elle respiré l’éther pendant une minute et demie, qu’elle tomba dans l’accès d’hystérie l
ulgaris) et qu'on la place sous un verre à boire renversé pendant une minute au plus, si c’est au soleil, et trois minutes au
ire renversé pendant une minute au plus, si c’est au soleil, et trois minutes au plus à l’ombre, mais à la température de 12° l
« Pour éthériser une sensitive (mimose pudica), il faut huit ou dix minutes d’influence au soleil, et à l’ombre naturellement
la céphalalgie, l’incontinence d’urine, durant souvent moins de deux minutes . Cette maladie est très-rare; la plupart des cas
nne doutant qu’elle put promptement voiler sa pensée. Au bout de cinq minutes , c’était fini, et l'é-tonnement fut extrême quand
té droit, avec rétraction des muscles poplités, guérie en vingt-trois minutes , en présence de sa famille et de MM. Delpit (ils
« Deux femmes sont venues avec des goitres énormes ; en moins de dix minutes l’une était guérie. « Un enfant de cinq ans, ay
ait de distinguer de quel sexe il était, s’est trouvé au bout de cinq minutes dans un état naturel ; pourtant les médecins avai
tte de cristal, puis il toucha le col de la femme, qui au bout de dix minutes était presque réduit à son volume normal. Alors M
ma personne. 31ais quel fui mou étonnement lorsque, au bout de dix minutes à peu près, une grande métamorphose s'opéra dans
sme. Mais quelle ne fut pas aussi ma joie lorsque, au bout de vingt minutes de magnétisation, la malade me dit éprouver une t
re magicien. Mais cette sieste obligée dura peu ; au bout de quelques minutes il s’éveilla en sursaut, se leva brusquement, pri
ucoup de suite. Cette dame était très-impressionnable : deux ou trois minutes d’action la plongeaient dans uncoma profond. Elle
, qui put constater une modification assez remarquable après quelques minutes , en prenant dans les siennes des mains qu’on lui
obstacle où il resta comme cloué. En l’y laissant tranquille quelques minutes , le sommeil augmenta; il devenait insensible aux
de sa santé, tout en le magnétisant d'intention. Au bout de quelques minutes , il cessa de me répondre; je le lis sortir de la
cs; mais l’insensibilité est quelquefois produite au bout de quelques minutes , preuve que des individus sont insensibles et peu
nce de la peau, du derrière de la tète à l’épigastre; restez quelques minutes sur les yeux, nez et bouche, puis passez une main
e tiens le bout de mes doigts plongé dans le liquide. Au bout de cinq minutes , l'eau est saturée. » Le docteur Elliotson dit
e d'une longue maladie, un dépôt à la poitrine qu'il a rendu en vingt minutes .) (1). 15. M...., de Sarrance. (Inflammation
opération, qui consistait dans l’ablation d'un sarcocèlc, dura quatre minutes . Ni ses bras ni ses jambes n’étaient maintenus. 1
, juste comme on finissait la première (ce qui avait duré un quart de minute environ et causé des con* torsio ns du corps et d
e proscrivit l’ordonnance suivante: Cataplasmes de riz échaudé cinq minutes seulement. Lotions fréquentes d’eau de Goulard.
es de la magnétisation ; ma sensibilité se manifestait après quelques minutes d’action par une grande agitation des différentes
n de votre lettre du 9 du mois dernier, parvenue avec le rapport, les minutes , procès-verbaux et divers autres documents y re
e la nuit en sursaut. « Quelle heure est-il? — Deux heures vingt-cinq minutes », ai-je répondu. —J’allais comme l’horloge des T
l’eau el un punkah; mais quand il fut complètement remis, environ 10 minutes après, il demanda quand el par qui il avait été o
les chocs, mais son altitude resta parfaitement calme; au bout de dix minutes sa lète se tourna convulsivement de cftté, mais s
bitement enlevés, ce qui l’ex|K»sa nu à l’air froid ; au bout de deux minutes environ il frissonna do tout le corps, la respira
l’éveilla. Le 29, magnétisé davantage, il resta immobile plusieurs minutes à l’air libre, puis il frissonna partout; sa resp
alors porté à l’entrée de la porte nord où il s’éveilla au bout d’une minute d’exposilion à l’air. Il dit encore que le froid
quelques légères contractions du front et des orteils. Environ -10 minutes après la ligature des artères, il s’éveilla comme
he sans qu’il s’émût. Alors j’enlevai les couvertures; en moins d’une minute il frissonna, soupira profondément, comme une per
connaissance par l’exposition du corps à l’air froid durant quelques minutes , g? Toutes les personnes admises le mois dernier
d’un tombeau..... Bien que cette expérience n’eût duré que quelques minutes , les suites s’en firent senlir plus de quatre heu
nvitation, et quinze personnes forment un cercle autour de nous. Peux minutes ne sont point •'■coulées que nous la voyons en
Telle fait sa révolution dans une demi-seconde, telle autre dans une minute , telle autre dans une heure, celle-ci dans un jou
quelque apparence de sommeil somnambulique qui ne durait que quelques minutes ; toutefois mon ami en profita pour interroger la
ec une pincée de valériane el autant de houblon, infusés pendant cinq minutes . Elle m’ordonna pour le neuvième jour un lavement
e son, deux feuilles de bouillon blanc, le tout bouilli quatre à cinq minutes . Il me restait encore de l’eau dans la tète; je
s le 4 mars elle la crut nécessaire, et après avoir cherché plusieurs minutes , elle me dit que je m’en procurerais rue de la Fo
31 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atteints abaisser et redresser la tête trente à qua- rante fois par minute . Ces accès, qui se répètent sou- vent plusieurs
- Grossesse bonne; accouchement à terme, sans dif- ficulté, en cinq minutes . L'enfant fut élevé au biberon par sa mère, mar
e et ne présente pas de grimaces convul- sives. Pendant environ une minute , l'attitude reste la même et les mouvements de
s, il a com- plètement repris ses sens et se remet au travail. Cinq minutes s'écoulent, au bout desquelles il est de nouvea
sur l'épaule droite. Période de délire. - L'atlaque dure depuis une minute environ, lorsque se produit une véritable déten
mais on n'a pas constaté de résultats appréciables. Après quelques minutes de rémission, le tétanisme se reproduit et déte
at, qui constitue la seconde période de la grande attaque, dure une minute , puis l'enfant s'assied, regarde les assistants
ci-zicifiemei2t; l'arc de cercle très prononcé pendant environ une minute ; quelques vagues abdominales après la fin de la
celle de réso- lution musculaire inclusivement; après deux ou trois minutes d'immobilité, survient un accès de toux guttura
de et dirige fixement le regard sur ses yeux. Au u bout de quelques minutes , on observe quelques battements des paupières q
n'obtient pas de catalepsie et le membre retombe inerte. Après six minutes de sommeil hypnotique, le ma- lade revient à lu
ce (23 avril). On endort le malade par la fixation du regard, en·ix minutes . Les phénomènes qui annoncent l'invasion et la
e pustule d'acné pendant le sommeil anes- tltésique, qui dure trois minutes . On recommence immédiatement l'expérience et l'
édiatement l'expérience et l'état hypnotique dure, cette fois, cinq minutes . La sensibilité réparait immédiatement avec le
pouls a battu 60 et les mouvements respiratoires ont été de 20 à la minute . Troisième expérience ( ? 9 avril). Le malade e
périence ( ? 9 avril). Le malade est endormi par le regard en trois minutes ; pendant le sommeil qui dure deux minu- tes, on
; on parvient, par ce procédé, à prolonger le sommeil pendant douze minutes , et on constate les mêmes phénomènes que dans l
l DE faits. fixé dans cette position, et ce n'est qu'au bout de dix minutes que les talons sontgraduellement descendus jusq
uelques instants sans revenir totalement à lui, et, au bout de deux minutes , il est pris d'une attaque à forme épileptoïde.
pleuré, ni tremblé; il s'est remis au travail, mais au bout de dix minutes , durant lesquelles il assure n'avoir rien éprou
asionnée par la chute d'un monte-charge. La crise n'a duré que deux minutes , et il s'est remis aussitôt à son travail. Les mi
n seul sujet. L'apparition du mérycisme qui se fait tantôt quelques minutes , tantôt une heure après le repas, peut être ret
accès à la suite duquel il a paru s'assoupir. On s'est aperçu, dix minutes après, qu'il devenait bleu, qu'il respirait dif
sa bouche les aliments et surtout les liquides; au bout de quelques minutes , il en rejette une partie et ravale l'autre; ]e
urot, Vautliier, Morin, Ollier, Cambi. La première épreuve, de cinq minutes , a consisté dans la reconnaissance de vingt sub
s la reconnaissance de vingt substances simples. La seconde, de dix minutes , aporté sur la recon- naissance de dix substanc
Pouls régulier, sans inter- mittences, soixante-dix pulsations à la minute . Du côté des membres, rien à noter, si ce n'est
nt plus ou moins rapidement pendant quelques secondes ou quelques minutes . Ces accès sont séparés par des intervalles var
s. Ces accès sont séparés par des intervalles variables de quelques minutes à un quart d'heure, quelquefois plus. Les cri
s résistant. La malade meurt subitement cette nuit même en quelques minutes avec des signes évidents d'obstruc- tion laryng
le est à 1 heure 1/4 de Langaa. L'asile est dans la ville même, à 5 minutes de la station ; limité à l'est par le lac de Vi
respiration devient sterloreuse (trente-quatre respirations à la minute ), sans Cheyne-Stokes, la température monte à 40°,
uivant : Coma absolu. Respiration, régulière et bruyante, 2'a par minute . Pouls petit, accélé, irrégulier, 104. - Températ
blanc de deux oeufs durs, coupés en petits cubes. Au bout de vingt minutes , pas de rumination; nous donnons une cuillerée à
ne demi-heure après son di- ner, le voyant mâcher pendant plusieurs minutes sans qu'il eût rien introduit dans sa bouche, j
de porc, puis ensuite du boeuf rôti, et enfin des fraises; quelques minutes après le repas, nous le priâmes de rendre dans
ssi chaude que le malade peut la supporter (55° à 60°) pendant cinq minutes de façon à annihiler, pour ainsi dire, l'exci-
(<2, 15, 20 élém. siem.); on en prolonge le passage durant trois minutes . En diminuant 1 V. Archives de Neurologie, t. I
de réduction des pensions. L'hôpital Saint-Jean est situé à vingt minutes à peu près de la vieille ville de Roeskilde, qu
S MALADIES MENTALES. 1° Épreuve sur un cas de maladie ordinaire (10 minutes d'examen; 10 minutes d'exposition). VARIA. 40
1° Épreuve sur un cas de maladie ordinaire (10 minutes d'examen; 10 minutes d'exposition). VARIA. 405 L'examen des épreuv
maximum. 2° Consultation écrite sur un cas de médecine mentale (10 minutes d'examen; le jury déterminera le temps accordé
minera le temps accordé pour la rédaction). 3° Leçon clinique de 20 minutes sur deux malades aliénés (après 10 mi- nutes d'
Epreuve clinique sur un malade atteint d'une maladie ordinaire (10 minutes d'examen; 20 minutes pour la leçon orale), 20 poi
un malade atteint d'une maladie ordinaire (10 minutes d'examen; 20 minutes pour la leçon orale), 20 points. 3" Epreuve cli
s maladies mentales; un seul malade (20 mi- nutes pour l'examen, 20 minutes pour la dissertation), 20 points. 4° Double épr
'examen d'un aliéné, et rapport sur un cas d'aliénation mentale (15 minutes pour l'examen de chacun des malades; une heure
ation), 30 points. 50 Epreuve clinique sur deux malades aliénés (1S minutes pour cha- cun d'eux; 30 minutes pour la dissert
inique sur deux malades aliénés (1S minutes pour cha- cun d'eux; 30 minutes pour la dissertation), 30 points. MÉDECINS DES
ts. MÉDECINS DES HÔPITAUX. 1.0 Epreuve clinique sur un malade (10 minutes d'examen, 15 minutes de dissertation), 20 point
PITAUX. 1.0 Epreuve clinique sur un malade (10 minutes d'examen, 15 minutes de dissertation), 20 points. 20 Epreuve orale
0 points. 20 Epreuve orale théorique sur un sujet de pathologie (20 minutes de réflexion; 20 minutes pour la leçon), 20 poi
e théorique sur un sujet de pathologie (20 minutes de réflexion; 20 minutes pour la leçon), 20 points. 30 Consultation écri
pour la leçon), 20 points. 30 Consultation écrite sur un malade (10 minutes d'examen; 3/4 d'heure pour la rédaction), 20 po
gie (3 heures), 30 points. 5a Epreuve clinique sur deux malades (20 minutes pour l'examen des deux malades; 30 minutes pour
que sur deux malades (20 minutes pour l'examen des deux malades; 30 minutes pour la dissertation), 30 points. 406 VARIA.
32 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
ntrée de nourrice, convulsions ou mieux un accès de deux ou trois minutes , après lequel il ne pouvait se tenir debout. La
, générales, avec déviation des yeux, cyanose, d'une durée de 4 à 5 minutes . Pendant un an, elles se sont reproduites très
té gauche ; bave mais pas de mic- tion involontaire, durée de 4 à 5 minutes ; sommeil consé- cutif. Quelquefois, les accès l
e frictionner énergiquement; il n'a crié qu'au bout de sept ou huit minutes ; la tête était très grosse, déformée; la sage-f
s (Fig. 8), époque où il aurait eu des convulsions qui ont duré dix minutes : les membres étaient raides, les paupières clo
fermaient, la tête tombait; il restait inconscient pendant quelques minutes , puis rouvrait les yeux. Ces accidents révienne
nne a eu l' ou 15 crises semblables. Leur durée a varié de à à 15 minutes . On n'a pas remarqué de secousses cloniques pen-
es du soir : rigidité, puis secousses générales, écume; durée 4 à 5 minutes . - Nouvelles convulsions vers 11 heures du soir
r à diverses reprises, des convulsions qui ont duré chaque fois dix minutes ; elle devenait roide, toute bleue, avait des se
là jusqu'à quatre mois, mais beaucoup plus courtes, de dix à quinze minutes au plus. Jamais d'autres convulsions. Première
x côtés. Pas d'halluci- nations des divers sens. A : o'<f. Une minute avant les attaques, il se sent mal à l'aise. Il
ie et de douleurs dans les reins, La température rectale prise cinq minutes après l'attaque est de 380,5. (Fig. 17 et 18.)
t 18.) 11 mai.- (10 h. 5). Attaque commencée depuis deux ou trois minutes , précédée cette fois d'un étourdissement très cou
ndormir le malade par le regard. Il est assis; au bout d'une à deux minutes les yeux commencent à s'humecter, il y a quelqu
i donne. Le bras gauche soulevé se main- tient aussi. Au bout d'une minute , ou voit le malade se pencher sur le côté droit
pilles ont repris leurs dimensions normales. La durée a été de sept minutes . 21 août. - On l'endort par le regard à 10 h. 3
e pendant toute l'attaque. A 10 h. 13, il s'endort au bout de trois minutes par le regard. On lui ordonne de se lever ; il
1er, le 2 et le 10 février, qui n'ont pas duré plus de deux à trois minutes . Il travaille chez un cordonnier et sa mère ass
mi-heure il a été pris d'une grande attaque qui a duré environ cinq minutes . Traitement : douches, tisane de valériane, bro
ient, mais continue à marcher machinale- ment. Durée de moins d'une minute . Il a de un à trois vertiges par jour, surtout
n. Même traitement. 15 avril. A eu une attaque hier, qui a duré dix minutes . Il est en ce moment placé dans une autre maiso
ra. Il ne se serait pas débattu, et elle n'aurait duré que quelques minutes . Les autres n'auraient pas duré davantage. Il e
as de « tournoiements de tête » qui auraient duré trois ou quatre minutes . La vue était brouillée. Elle a senti qu'elle tom
e. Elle aurait eu'cinq crises semblables dans un espace de quarante minutes . Dans l'intervalle des crises, elle avait les yeu
plus fréquentes. Elle en a deux par jour de trente à quarante-cinq minutes . Voici le tableau des crises : 164 UNIT FAMIL
bjets brillants pour les porter à sa bouche (durée de quatre à cinq minutes ). Elle se donne des coups de poing sur la poitr
a nature du délire est ordinairement triste (durée de quatre à cinq minutes ). Elle revient à elle tout d'un coup et demande
et 30 septembre et le 6 octobre. 14 octobre. - Une attaque de cinq minutes . Pas de sommeil à la suite. 2. novembre. - Pa
squement, sans cause. Elles durent au maximum vingt, au minimum dix minutes . A la fin des attaques, elle reste le regard fi
elle reste le regard fixe et sans voir, dit-on, pendant environ dix minutes . Mais, si on lui passe la main devant les yeux,
s. Les engourdissements sont revenus tous les jours durant quelques minutes . Pas de contractures. 1889. Décembre. - Depuis
33 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
mouvements, mais après un très long retard. Elle mettait environ une minute pour saisir et porter à sa bouche une cuillerée d
Victor Hugo, trouvant peu intéressant de dévisager pendant vingt-cinq minutes des inconnus dans l'intérieur d'un omnibus en esc
rt! Ah, elle est bien bonne ! » Sa crise de rire dure, au moins, cinq minutes pleines, avec une telle intensité qu'il en éprouv
connaissance mais revenait rapidement à elle. Enfin, douze ou quinze minutes avant la sortie de la tête elle ressentit tout à
e depuis six ans. ¦ M1" P. a depuis trois semaines 24 hoquets par minute . Elle arrive chez moi dans un état très inquiétan
venu qu'une fois. Cette fois d'ailleurs il n'a fallu à nouveau qu'une minute pour le faire disparaître. Voilà, Messieurs que
s à propos du contre-temps survenu. Il était à peine parti depuis dix minutes que je reçus une dépêche me priant de prévenir M.
Les suggestions sont répétées à chaque malade environ toutes les dix minutes . Je garde chaque malade chez moi pendant une heur
he tracée sur un milieu noir, et qui reste fascinée pendant plusieurs minutes sans faire un mouvement et sans détacher ses yeux
la poule sur le dos et de la soutenir dans cette position pendant une minute environ pour qu'elle entre dans l'état d'immobili
ut la laisser libre, elle continue à rester immobile durant plusieurs minutes sans mouvement ni volonté. Il observa en même tem
position sur la table. Ils restent immobiles parfois jusqu'à quinze minutes . Mais les mêmes faits entrepris sur les pigeons n
après quelques essais de se retourner, se tranquillise en une ou deux minutes ; on le laisse alors libre, mais on tient le creu
tête pour empêcher l'influence de la lumière. Alors, en cinq à quinze minutes , la grenouille cesse complètement de se mouvoir e
e, convulsions, quelquefois écume à la bouche. L'accès dure près de ô minutes , puis la malade reprend connaissance et s'endort.
ut de suite, je parviens à arrêter l'accès, qui a duré à peu près une minute ; après quoi la malade s'endort. J'essaie d'entre
de chloroforme, la malade est prise d'un accès de rire qui dure 2 à 3 minutes . Pour l'apaiser, il faut augmenter la dose de chl
obtiens facilement l'état de catalepsie suggestive. La séance dure 20 minutes . Le lendemain, la malade vient chez moi et me dit
eur couteau, leur verre; s'ils se mettent à lire, au bout de quelques minutes le livre leur tombe des mains; en marchant dans l
il est irrésistiblement envahi par le besoin de dormir; il dort cinq minutes , dix minutes, un quart d'heure, puis se réveille
istiblement envahi par le besoin de dormir; il dort cinq minutes, dix minutes , un quart d'heure, puis se réveille spontanément
le dos et maintenue de force dans cette position pendant une à quinze minutes , reste immobile dans cette position pendant quelq
cette position pendant quelques secondes, voire même pendant quelques minutes , si on l'abandonne librement à elle-même. Elle
uoi d'étonnant que la grenouille, qui résiste et se débat pendant dix minutes jusqu'à un quart d'heure pour se libérer des main
tiennent et l'oppressent, se fatigue, s'exténue et cède pour quelques minutes ! Elle a dépensé tant de forces dans de vains eff
ser certaines grenouilles vigoureuses et alertes, même après quarante minutes jusqu'à une heure d'essai. Finalement, elles lass
ouilles recevaient une légère douche rafraîchissante durant plusieurs minutes , ce qui paraissait leur être très agréable. Dans
nt la grenouille demeurait immobile dans cette position au bout d'une minute , et l'on pouvait dès lors la laisser libre. Dans
mbres postérieurs et on la retenait par des chevilles durant quelques minutes . Les grenouilles en inanition généralement ne lut
llu souvent une tranquillité complète autour d'elle pendant plusieurs minutes , mais cette précaution devenait superflue dans le
dans cette période, même si on les laisse libres. Mais après quelques minutes , la respiration redevient normale, puis bientôt l
que la respiration pulmonaire s'arrête complètement pour quelques minutes , puis elle reprend de nouveau soit spontanément,
ce A (13 juillet 1901). — Grenouille profondément endormie depuis dix minutes . Pas de réflexe palpebral. Respiration à peine pe
l. Expérience B (15 juillet). — Grenouille endormie depuis quelques minutes . Mouvements respiratoires bien manifestes. ? Pr
Expérience C [17 juillet). — Grenouille endormie depuis quelques minutes ; ne réagit pas aux excitations auditives. Les pu
ce de respiration. On laisse l'animal dans cette eau pendant quelques minutes et puis on y ajoute progressivement de l'eau chau
rience II. — Le même après-midi, une autre grenouille dort depuis dix minutes dans le cristallisoir. Subitement, on verse dans
ais pas de réveil. On laisse l'animal dans cette eau pendant quelques minutes , en y ajoutant de la glace pour maintenir la temp
nt une contraction tonique très accentuée. Le sommeil dure depuis dix minutes . On ajoute alors dans le vase de l'eau chaude. La
ra probablement pas et il en éprouve presque du soulagement. Quelques minutes après, elle fait son entrée ; aussitôt il se sent
grenouilles ont été plongées dans de l'eau à 7°. Pendant la première minute , leurs mouvements se ralentissent beaucoup ; elle
piration est très ralentie, la peau devient très pâle. Au bout de dix minutes , on les relire de l'eau et on les place dans la p
là cloche. Cette surexcitation dure de plusieurs secondes jusqu'à une minute , puis viennent la prostration et l'insensibilité,
n effet, montré que les grenouilles qui ont séjourné pendant quelques minutes dans les vapeurs d'éther conservent cet état de d
lquefois la paralysie des membres postérieurs ne durait que plusieurs minutes ; d'autres fois, elle persistait pendant des heure
nuera d'une façon graduée la longueur du pas, pendant trois ou quatre minutes avant l'arrêt définitif. Si, au début, on resse
malade ignore encore ce mode de progression, donner des leçons de dix minutes un quart d'heure au plus. Puis quand les mouvemen
ent. Aussi faut-il donner, au début, des leçons très courtes : 8 à 10 minutes , un quart d'heure au plus, et augmenter peu à peu
e fois l'entraînement obtenu, ils supportent très aisément de 40 à 60 minutes de course à bonne allure. Les neurasthéniques à
bout de plusieurs semaines qu'ils arrivent à dépasser vingt à trente minutes à petite allure. L'amélioration est toujours le
buffet, en criant : « Messieurs' les Voyageurs, vous avez encore dix minutes ! » Il arrive souvent que cette annonce produit l'
ourg la puissance de l'image s'y montre telle, qu'on gagne une à deux minutes sur la durée des réembarquements aux grandes staf
nesthésique. Instantanément, toute douleur est jugulée. Au bout d'une minute ou deux, l'hypernarcose va faire place à l'hypona
a chose est fort simple, une séance d'hypnotisme dure tout au plus 20 minutes , et c'est suffisant. Il y a des cas où l'hypnot
34 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
d, à Milan, où ils furent mis en liberté, étaient de retour en treize minutes auprès de leurs petits. La dislance est de 30 kil
Palais même pour annoncer leur départ ne les devança que de quelques minutes . La conclusion à tirer de tous ces faits, c'est
Gersq.) des objets qu'il voit, ce que nous pouvons faire. En vingt minutes , les Chali-codoma de M. Fabre avaient parcouru le
preuve est que le Chalicodoma franchit ses trois kilomètres en vingt minutes et que la fourmi lisolée) a besoin d"un temps éga
ions religieuses, chez trois jeunes filles, et dure de quinze à vingt minutes . Laure et Marie sont des jeunes filles d'un esp
ourni les jeunes filles, elles auraient vu ainsi pendant environ cinq minutes . Puis, elles appelèrent une autre jeune fille qui
es prêtres et l'évèque, et la foule. Tout cela dura bien encore dix minutes . A ce moment passa, au bout du pré. un individu
rouver bien et de n'éprouver aucune fatigue au réveil. Au bout de dix minutes , on l'éveille par suggestion verbale. A l'étal
ntir un peu moins du côté gauche que du côté droit. Au bout de cinq minutes , on l'éveille par suggestion verbale et aussitôt,
ne plus souffrir des jambes et de marcher sans difficulté. Apres cinq minutes de sommeil, on l'éveille, et, sur l'invitation qu
ut remarquer cependant que lorsqu'il a écrit pendant quinze à vingt minutes , il n'a pas ce qu'on pourrait proprement appeler
endait de lui, je loi fis seulement signe de regarder. Au bout de dix minutes , il était évident que le malade commençait à s'hy
té plongé dans le sommeil hypnotique, n'avait pas duré plus de quinze minutes . Je constatai qu'il entendait parfaitement le b
autrefois, mais oubliait tous les faits nouveaux après deux ou trois minutes à peine. En étudiant cette amnésie extraordinai
sont, on peut dire, incapables de réduire exactement en heures et en minutes un nombre de minutes tel que 1.000 on même 350; à
incapables de réduire exactement en heures et en minutes un nombre de minutes tel que 1.000 on même 350; à plus forte raison de
s forte raison de calculer à quelle heure tombe par exemple la 1.050° minute après 6 h. 33 du soir. Elles reçurent des sugge
es suggestion* à accomplir après 350, 900, 1-600. 1.150, 1.300, 3.300 minutes . Ces suggestions étaient faites à n'importe quell
"il n'avait pat les idées très nettes lorsqu'on l'interrogea quelques minutes plus tard. Mais voilà où apparaissent la sugges
n, il faudra qu'il commence par retirer sa main. Je prêche depuis dix minutes un ami pour le décider à une démarche qui lui coû
ovenant de la projection d'une masse de 3 kilogrammes. Après quelques minutes de (1) Note résumée de In communication. perl
dant le sommeil de suggestion, l'état anormal disparut au bout de dix minutes et la guérison s'est maintenue depuis. Dans ces
te dans tous les seas devinrent faciles et, au bout de trois à quatre minutes , la matado réveillée déclara ne plus rien avoir,
et, l'obligeant à me regarder en face, je lui commande de rester deux minutes sans faire un mouvement. EI!c obéit, et subitemen
ns de la punir. Elle se calme aussitôt, et, cette fois, j'obtiens une minute entière de repos absolu. Je la lâche alors, et pe
inute entière de repos absolu. Je la lâche alors, et pendant quelques minutes je lui laisse sa liberté. Je recommence, et cette
ndiquées par quelques spasmes. d'autres fois se prolongeant plusieurs minutes . Elles précédent on terminent les accès délirants
aphique fonctionnellement distinct. (Progrès medécal, n° 25, 1892.) minutes le 18 septembre, eu état de condition, seconde, a
vec tous les symptômes habituels de la syncope. An bout de quelques minutes , les signés de la vie reparurent, moins l'usage d
. Mais le réveil n'a pas lieu au bout de cinq secondes. Deux ou trois minutes s'écoutent avant qu'elle revienne à elle. Aussitô
ue indéfinie. Une malade que j'ai guérie cette année même en quelques minutes d'une moitophégie brachiale et d'une surdité hyst
s ouvrir les paupières. J'obtins cet effet rapidement, en moins d'une minute . Et alors, je la défiai d'avoir ses idées sinistr
sistai pendant près d'un quart d'heure, la laissant parfois plusieurs minutes en plein silence. Or, il est clair pour un psyc
jour des accès d'hystéro-épilepsie, d'une durée de vingt â vingt-cinq minutes , avec amnésie totale après la crise. Le 15 sept
a salle des cours, demain, dans l'après-midi, à cinq heures moins dix minutes , et à cinq heures précises vous aurez un accès de
emarque encore rien d'extraordinaire sur la malade. A cinq heures six minutes le faciès de la malade se modifie, elle devient p
tres des assistants avec la pendule montre que celle-ci avance de six minutes . Ainsi la malade avait l'accès qui lui avait été
lle, et elle était assise vis-à-vis de la pendule qui avançait de six minutes . Si la malade avait simulé son accès, il est év
euil assez éloigné de lui et je lui dis : « Il ne se passera pas deux minutes avant que vous soyiez allé vous asseoir dans ce f
faisait entendre une sorte d'aboiement continuel, et toutes les cinq minutes survenait une crise pendant laquelle elle sautait
grands intervalles, où la bouche s'entrouvre un peu pendant quelques minutes . II en est de même les jours suivants, et pour la
ssées. La respiration était normale el je comptais 84 pulsations a La minute . Le dimanche 13, la bouche ouverte, comme les a
le sommeil survint. Le lundi 14, après une assez bonne nuit et dix minutes d'aboiement, le visage de l'enfant prit de nouvea
s était toujours accompagné d'une sorte d'aboiement qui durait de dix minutes à un quart d'heure. l'eu à peu cependant l'étal
laquelle le Ds Semeotzki eut la bonté d'sssi'tor dura à peu près dii minutes . Ouoiqu'il fût plongé pendant les trois séances
ent le thermomètre donne 36. 3 sous l'aisselle. Le pouls est à 6i par minute . L'examen avec la machine électrique donne les
ours des règles, la malade a des syncopes qui durent, la première dix minutes , puis une demi-heure, puis une heure, puis deux h
ne réussit pas, mais les passes parvinrent, au bout de trois à quatre minutes , à mettre la malade dans un état d'engourdissemen
t, les paupières de Jean S... s'agitent et se ferment au bout de cinq minutes , des passes achèvent l'hypnotisa lion : il entend
x ; l'intelligence est vive. La malade est endormie au bout de quatre minutes par la fixation d'un objet brillant, l'hypnotisat
s; pas de zones spasmogènes ni d'aura. Marie P... s'endort en trois minutes par la fixation d'un objet, brillant. Les veux so
t, mais en faisant des passes lentes on parvient, au bout de quelques minutes , à produire le sommeil hypnotique. L'état qui s
a courageusement contre relie impulsion, mais il sentait que si, cinq minutes après, le bateau ne s'était pas arrêté, il n'aura
je lui disais qu'il fallait être raisonnable, la crise continuait dix minutes ou un quart d'heure, tandis que quand je lui disa
ctuel. Ces troubles s'acceutuèrent rapidement et, au bout de quelques minutes , le nouvel aliène reproduisait exactement la stom
35 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
brasserie, sans être ivre, il tomba dans la rue et resta plusieurs minutes sans connaissance; il n'eut pas de convulsions.
t raideur des. membres et de tout le corps ; cela dure dix à quinze minutes , puis la ma- 46 pathologie NERVEUSE. lade rev
s la paralysie d'origine périphérique, il ya un retard d'une à deux minutes dans la sudation du côté paralysé. Les sueurs p
mpe droite lorsqu'il mangeait. Cette sueur apparaissait une ou deux minutes après la première in- gestion des aliments et c
ts ont. été mis en contact avec la muqueuse buccale. En- viron cinq minutes après le repas il n'y a plus de sueur. L'im- pr
é; elle persiste tant que dure le repas et ne cesse que cinq ou six minutes après que le malade a fini de manger. En plaç
urs et même plusieurs fois par jour, durant environ trois ou quatre minutes , remontent le long de lapartie interne du bras
On ne constate pas de rougeur locale. La sueur apparaît après une minute un quart. La sudation dure quarante-cinq minutes,
apparaît après une minute un quart. La sudation dure quarante-cinq minutes , mais n'atteint que les parties qui suent habit
ité : le diamètre pupillaire peut augmenter ou diminuer en quelques minutes . La pupille réagit normalement à la lumière. Un
l a de nouveau assisté au développement de cet accès ; après deux minutes d'anxiété, il a perdu connaissance. Cependant, il
ication etqu'un aliment très sapide est tenu pendant quatre ou cinq minutes dans la bouche. M. Brown-Séquard a constaté le
iologie : la substance savoureuse est du chocolat. En moins de cinq minutes , son visage est baigné de sueur. » Dans d'aut
us le publions aujourd'hui, en le faisant précéder d'un extrait des minutes du greffe du tribunal de Marseille z1539) et su
fait Landouzy (p. 67), que «cet état syn- copal varie de plusieurs minutes à plusieurs jours quant à la durée et qu'il peu
bat en moyenne quatre-vingt-quinze à quatre-vingt-dix-huit fois par minute . La température prise plu- sieurs fois dans l'a
ières se ferment. Cotte situation a une durée qui varie de quelques minutes à plu- sieurs heures, même une journée. » Joi
lorsque Lan- douzy écrit que « cet état syncopal varie de plusieurs minutes à plusieurs jours quant à la durée » on ne saur
nt, accidents paralytiques du côté gauche permanents. Mort quelques minutes après le derniers ictus. L'autopsie révéla deux
saient tantôt dans un doigt, tantôt dans l'autre pour deux ou trois minutes . La faiblesse de la main continue à augmenter l
re, rarement dans deux doigts simultané- ment, pour ne durer qu'une minute ; elle était due à une con- traction qui se pro
l'avant-bras. Ils se produisent de temps à autre pour deux ou trois minutes dans les muscles de la main droite alterna- tiv
ment serré le poing, ouvre la main droite, l'index reste pour une minute spasmodiquementfléchi. Mou- vements fibrillaire
aisse, non sanguinolente, vient sur les lèvres. Durée de l'ac- cès, minutes . Après l'accès, coma et stertor. L'infirmier ra
téral qui la;porte fortement à gauche, puis à droite... Durée : une minute . Le malade a uriné sous lui. T. R. immédiatement
fait trois ou quatre pas en tournant. Après l'accès, pendant vingt minutes environ, il cherche sous les tables, les armoir
ce de M. Bourneville). Ce malade cherche après l'accès, pendant dix minutes , à ouvrir toutes les portes avec n'importe quel
Rollin) et on l'a couché sans qu'il s'en doute. Au bout de quelques minutes , il revint à lui. Observation XLV. Mère, nerveu
enêtre pour la même raison. Ces « furies p ne duraient que quelques minutes . Il a mis une fois le feu dans la salle à mange
leur; après l'accès il fait semblant de coudre au moins pendant dix minutes . Observation X).VU ? P'euCOOMe, céplaulcclqique
in, prend du imce et une brosse et se met à frotter pendant vingt minutes tout à fait automatiquement. Revenu à lui, il est
se promener dans le réfectoire et fait le simulacre pendant huit minutes de semer des pois ou d'autres graines. III. Aut
« Je le tue » : d'autres fois, il dit : « Ça y est » ; durée : deux minutes ; mais si à la suite, il y a des convulsions, c
. a eu deux ou trois accès par jour, leur durée est de deux à trois minutes . Après l'accès, le pouls radial est intermitten
tate ni secousses cloniques, ni secousses toniques. Après une à une minute et demie environ, le malade complè- tement hébé
ec une into- nation spéciale et forte; il discourt pendant quelques minutes , d'une voix criarde et animée de toutes choses,
nt à ce calme général de l'économie. Elle est de 10,'la, 20, 22 par minute ; quelquefois moindre, elle peut descendre jusqu
pouls est également calme et régulier, battant de '10 à 80 fois par minute ; parfois il peut descendre beaucoup plus bas (6
c'est atroce- ment douloureux. Et puis cela se reproduit toutes les minutes ou toutes les deux minutes pendant des heures e
ux. Et puis cela se reproduit toutes les minutes ou toutes les deux minutes pendant des heures entières.» Quand la crise es
it, plus la dilata- tion augmentait, de sorte que vers la quatrième minute les pupilles s'étaient complètement dilatées. A
rd est devenu inquiet, le chien a perdu sa gaieté. Vers la deuxième minute , nous avons constaté un tremblement des muscles
lentement; pour revenir à l'état normal, elles mettent plus de deux minutes , tandis que dans les premières expériences elle
e début des mouvements. Le tremblement se produit après la première minute . Après la fin de l'expérience, le chien avale q
mentant, l'animal renonce à manger, de sorte que vers la deuxième minute , non seulement il ne mange plus, mais il détour
es, laquelle augmentait progressivement, de sorte que dans quatre minutes on ne voyait plus l'iris. Quarante secondes apr
les. Mais dans les expériences sui- vantes les pupilles mirent deux minutes à se remettre. Avec les premiers mouvements, l'
ceux des cuisses et des oreilles. Chaque expérience durait quatre minutes avec intervalle d'une minute et demie. Vers la
es. Chaque expérience durait quatre minutes avec intervalle d'une minute et demie. Vers la sixième expérience, la dilata
e. Vers la sixième expérience, la dilatation a commencé une demi- minute après le début des mouvements, et le tremble- m
près le début des mouvements, et le tremble- ment après la première minute . Au début de l'expé- rience, le chien avale que
xpé- rience, le chien avale quelques morceaux de viande. Mais une minute plus tard, non seulement il refuse de manger, m
r LES CHIENS. - Le chien au début de l'expérience n'aboie pas. Deux minutes après le début du balancement nous avons vu par
Un jour nous nous sommes aperçus qu'après un balancement de trente minutes , la température rectale est descendue à 37° et
nt ces quatre heures, l'animal n'a été balancé que pendant quinze minutes seulement, et cela par intermittence. Donc, mal
s toucher, aux pneumogastriques. Après mi balancement de quelques minutes , nous avons laissé le lapin en repos. Fig. 35
a bande d'Es- bach fonctionnait, est descendue jusqu'à 35°,5. Dix minutes après la suppression de la bande, la tempé- rat
. Les lapins préféreraient plutôt rester immobiles pendant quelques minutes . Malgré une immobilisation longue (de quatre he
36 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
ors le résultat de l'expérience. Au bout de peu de temps (une ou deux minutes ) on voit ordinairement l'un d'eux se diriger vers
énérale, avec tresmus, pâleur de la face. Les attaques durent 5 à 6 minutes et elles sont souvent suivies de délire avec inco
sont souvent suivies de délire avec incohérence d'actes qui durent 5 minutes et qui nécessitent la présence de 3 à 4 personnes
s. La mère me dit quelle est facilement hypnotisable. En effet, une minute au plus après lui avoir fait fixer le miroir de L
ause connue, survenait encore un accès de colique durant environ cinq minutes . En outre il sentait toujours à trois travers de
rès les repas, devenaient des élancements aigus durant trois à quatre minutes . Huit jours après sa sortie de l'hôpital, cette
ation, sans même te toucher. Il suffit que je t'endorme pendant trois minutes . Et j'ajoute : il va s'endormir très facilement.
, qu'il dormirait toute la nuit et serait tout à fait bien. Après dix minutes , je réveillai le malade. Il ne se souvenait de ri
'il faisait son ouvrage de cordonnier. Il continue ainsi pendant deux minutes jusqu'à ce que je l'invite à s'asseoir. C'est une
boire et me rend le verre fictif. Je lui suggère un acte. Dans trois minutes , tu auras l'idée de monter sur les gradins de l'a
tu regarderas à la pendule l'heure et tu reviendras. Au bout de trois minutes , cet enfant timide traverse les bancs à travers l
doucement, lui expliquant que je veux simplement l'endormir quelques minutes dans son lit, que cela ne le fatiguera plus, au c
'hui, que je me contenterais désormais de l'endormir pendant quelques minutes dans son lit pour guérir sa maladie de poitrine,
érir sa maladie de poitrine, et, lui tenant ses yeux clos pendant une minute , lui suggérant qu'il dormait, qu'il était très bi
nsistai sur la disparition de la douleur thoracique, et au bout d'une minute , il était pris de nouveau en sommeil profond. Au
affirme avec conviction que la douleur va se dissiper, que dans trois minutes il ne sentira plus absolument rien ; je maintiens
; je suggère la chaleur qui remplace la douleur. Puis, après quelques minutes , je vous montre qu'il n'y a plus rien, que je peu
ux fois par une crampe très intense des mollets qui dure environ cinq minutes . Quand cette douleur est très forte ou quand il a
a première moitié à 9 heures du soir ; il s'endormirait au bout de 20 minutes jusque dans le milieu de la nuit. Alors il prendr
n. La suggestion médicamenteuse est efficace; le malade s'endort 20 minutes après avoir pris la première moitié de la potion
'endors et lui suggère qu'à son réveil, il se rendormira au bout de 2 minutes . Ce premier essai ne réussit pas. A son réveil, a
minutes. Ce premier essai ne réussit pas. A son réveil, au bout de 2 minutes , il se frotte les yeux comme s'il avait sommeil,
dors une seconde fois et lui suggère que cette fois il se rendormira2 minutes après son réveil. La suggestion a réussi. J'espèr
yanotiques ; le thorax large se soulève en masse, 44 respirations par minute ; les veines thoraciques sont dilatées ; le cœur b
de nouveau bien, grâce à la suggestion; elle tousse à peine quelques minutes matin et soir. Le 2 et le 3, elle ne tousse plu
9 au 30, sans oppression ; le lendemain matin, elle tousse pendant 10 minutes . J'apprends alors que cet énervement a été provoq
t, et, par conséquent, de ne jamais le toucher. Au bout de quelques minutes , on observe d'abord comme une détente complète de
rmirait très vite et qu'il n'aurait plus aucune sensibilité. En dix minutes il était parfaitement insensible, et, le lendemai
suivie de plusieurs autres pendant un mois, chacune ne durant qu'une minute environ. Comme un jour sa mère le conduisait chez
corps, immobile. Cette contracture durait généralement de cinq à dix minutes . Elle était aussi très sujette à ce phénomène q
à l'une des parties quelconques du corps du sujet, même après 4 ou 5 minutes de présentation ; maintenant si je continue l'enr
restez-ici, moi je prierai. » La prière à voix basse dura 3 ou 4 minutes . « Maintenant, monsieur, retournez chez vous, mai
nt exactement de la même manière que le matin ; la prière dura 3 ou 4 minutes ; le malade fut engagé à revenir le lendemain. Il
effet, il ferme les yeux et son corps se raidit. Au bout de plusieurs minutes , le domestique, au lieu d'exécuter Tordre reçu, v
nt) sur le membre (pied, main ou doigt), ne l'y retenant que quelques minutes ; on l'enlevait avant de s'endormir. Un autre soi
le corps entier ou dans les organes spéciaux, pendant les différentes minutes et secondes du sommeil, doivent aussi influencer
et vous gagne, par rayonnement, quand vous entendez, depuis quelques minutes à peine, cette parole ardente, colorée, et d'une
eu d'aide, à prendre son équilibre et à le garder pendant une ou deux minutes . Voyant que j'avais obtenu un léger résultat, j
obile; d'autres le gardent tout entier catalep-tisé pendant plusieurs minutes ou indéfiniment. Cette catalepsie est quelquefo
n'éclatassent que la nuitt j'avais, dans le jour, des absences d'une minute de durée, si bien que lorsque je ne me sentai
, M. Ingle Rogers, regarde un scbelling en pleine lumière pendant une minute ... L'auteur ajoute : avec l'idée d'en fixer l'ima
... en concentrant son esprit sur l'image du schelling. Au bout de 43 minutes — il faut de la patience — la plaque développée m
cé en opérant avec un timbre-poste. Le timbre fut regardé pendant une minute , puis remplacé par une plaque sensible que M. Rog
, puis remplacé par une plaque sensible que M. Rogers fixa pendant 20 minutes . On développa et il apparut une épreuve, qui, mal
s en l'air, souleva une chaise et la tint suspendue pendant plusieurs minutes à 40 centimètres de hauteur; la parole était plus
is maître absolu de sa crise. Je fis donc cesser la crise en quelques minutes , mais en agissant néanmoins avec prudence. Pour c
nsation d'étouffement, d'étranglement, le tout durant de dix à trente minutes . Elle a cinq à six attaques semblables par jour.
ur commandant d'ouvrii' les yeux. Dans un cas seulement, il mit dix minutes pour réveiller le sujet endormi. Avant de réveill
nce ; les orateurs ne pourront occuper la tribune pendant plus de dix minutes et, avec l'agrément du président, pendant un quar
dans un fauteuil et à écouter mes conseils. Au bout de deux ou trois minutes , il paraissait déjà très influencé, et, peu à peu
de la répétition fréquente des douleurs ; cependant, au bout de trois minutes au plus, elle tombe dans le sommeil. Je lui suggè
37 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
à mes expériences. M. Regazzoni la suivit et la ramena après quelques minutes en lui montrant que ma machine était très-faible
beaucoup de force pour fléchir seulement un doigt. Après cinq ou six minutes , lorsque je pensai que la sensibilité de la peau
d’abord la mèche de cheveux de la maman. II lui fallut au moins trois minutes avant de nous répondre. Ce n’était pas trop long
nce plus ou moins fortement. Ce massage bien exécuté peut en quelques minutes développer une sueur abondante. Les Russes se mas
par dessus les vêtements, il suffit souvent pour enlever en quelques minutes de grandes fatigues. » f « « Je viens de revoir
rcher, répétant : « 11 doit être ici, je l’y ai mis il y a quelques € minutes , et personne ne peut l’avoir pris. » Dans cet éta
trouvait sur la table, et nous nous en amusâmes pendant environ cinq minutes quand, levant les yeux, nous pûmes voir, par les
ute autre manière, après quoi chacun se recueille pendant environ dix minutes , ainsi que le médium, qui, resté isolé de tous, f
Malgré ces précautions et son poids, la table se mut au bout de douze minutes , sans déplacement de la sciure. Désormais il ne
éridon que la Société a fait construire pour ces essais tourna en six minutes . Un thermomètre placé sur la table accusa 12° ; p
ins ne pussent adhérer au bois. L’expérience recommença. Après quinze minutes d’attente vaine (le thermomètre marquait 20“), je
quait 20“), je retirai le sable, et la rotation avait lieu après deux minutes . Enfin, je couvre la table d’un linge mouillé.
d’un linge mouillé. Elle tourne trois fois dans l’espace de dix-sept minutes . Débarrassé etséché, leguéridonatournéaprès tro
dix-sept minutes. Débarrassé etséché, leguéridonatournéaprès trois minutes . Des feuilles de plomb très-mince, puisdu verre
assai le sujet des fds de laiton, je nettoyai la table, et après deux minutes elle se mit en mouvement. Cette table est celle d
prétendait que pour un peu plus il allait hausser (enrager.) En deux minutes je le guéris. A quelques jours de là un de ses
ffet, je pris un verre d’eau et j’imposai la main dessus environ deux minutes avec l’idée que cette eau me servît de vomitif et
bois cette eau et m’asseois, attendant l’clTet du remède. Environ dix minutes après, je sens un léger frisson s'uivi de la fièv
l ne fut pas notre étonnement de voir cet homme, après environ quinze minutes de passes magnétiques, profondément endormi et ré
lorsque la montre de tel spectateur indiquera précisément 8 heures 44 minutes , 2 secondes, par exemple. A dater de ce moment
re est consultée aussitôt en présence de tous..... Il est 8 heures 44 minutes , 2 secondes ! Quel est celui qui nous donnera l
- remis, et qu’elle tint en les appuyant sur ses genoux ; quelques minutes après, il commença à interroger la somnambule , e
abondante, mais régulière. Le 12 août, un jeudi, un accès-de trente minutes se déclara à la suite d’une frayeur. Depuis ce mo
réponse, la malade demanda une demi-heure de sommeil. A peu près cinq minutes avant la demi-heure révolue, je voulais la réveil
oulais la réveiller. Elle prétendit qu’à ma montre il manquait quatre minutes et demie pour que la demi-heure fût complète; je
accès à neuf heures du soir. Enfin elle demanda un sommeil de vingt minutes . Au bout de dix-huit minutes, je voulus la réveil
Enfin elle demanda un sommeil de vingt minutes. Au bout de dix-huit minutes , je voulus la réveiller; elle me dit qu’elle avai
minutes, je voulus la réveiller; elle me dit qu’elle avait encore dix minutes à dormir. A minuit survint un accès très-fort.
rsonnes qui l’entourent et qui la fatiguent. Enfin elle demande vingt minutes de sommeil. Après son réveil, la malade va à se
trecoupée des hystériques. Nous la laissons dans cet état pendant six minutes environ pour observer l’accès, et observons que,
ps dur# L’ayant assise sur une chaise, je la magnétise ; après cinq minutes de passes, elle est endormie. « Cet accès sera-
s. — Et les accès ? — Je n’eu aurai plus. La malade demande dix minutes de sommeil. Au bout de ce temps, elle me demande
prenez comment la vibration lumineuse partie du soleil arrive en huit minutes treize secondes jusqu’à la terre? Est-ce que vous
e 10 fr. était le prix d’une consultation ordinaire de quinze à vingt minutes ; mais qu’il exigeait davantage si ce temps était
douter, et elle fut, ainsi qu’une seconde, endormie en moins de deux minutes . Mon étonnement, on le conçoit, fut extrême, et t
ve-et très-enflammée, Maria, après l’avoir examinée, prescrivit vingt minutes de magnétisation; l’oppression cessa et les doule
sitôt et me prescrivit ce qui m’était nécessaire pour me calmer; cinq minutes après toute douleur avait disparu. Enfin, quelq
ujourd’hui ce sont les nerfs qui souffrent. » Elle me magnétisa dix minutes environ, et je fus parfaitement calmé. Ainsi, r
plus près possible de la membrane du tympan. Au bout de sept à huit minutes d’une action énergique, l’enfant entendit très-di
gnétise à un signal convenu et donné par un des médecins, et en trois minutes elle était en état de somnambulisme complet. M.
j'étais susceptible, et fus assez heureux pour, au bout de cinq à six minutes , provoquer les mouvements du fœtus, au point de l
nt de les rendre très-sensibles pour la mère et pour moi. Pendant dix minutes que ma main resta appliquée sur le ventre, ces mo
juger de mon triomphe et m’aider de ses conseils. En moins de deux minutes notre malade fut de nouveau plongée dans le somme
s souvent (car je manquais quelquefois mon coup), au bout de quelques minutes , quatre à cinq, je sentais comme une chaleur inte
e ragle se manifeste par accès, dont la moindre durée est de quelques minutes . Le ragle continu constituerait l'hallucination d
. Un bain, si toutefois on trouve de l’eau, puis un sommeil de quinze minutes , donnent un soulagement qu’il est difficile de dé
ser la malade. Dès son premier essai, il obtint., au bout de quarante minutes , un état de coma-vigil, et d’insensibilité à la d
té aux opérations de M. Tubbs. « M. Tubbs obtint le sommeil en neuf minutes , en tenant les mains et en fixant les yeux de M’’
ps, ses paupières tremblèrent et ses yeux se tournèrent en haut. Neuf minutes après, ceux-ci se fermèrent et sa tête s’inclina,
e témoins, se mit à éveiller la patiente, il y réussit en moins d’une minute par des passes transversales. « Elle regarda au
a sangle de l’animal, et y avait fait un nœud trois fois. En quelques minutes la jument était remise sur pied ; elle mangeait a
’une assez forte complexion. Assis dans un fauteuil, en moins de cinq minutes il a été livré à un sommeil profond, et nous avon
ndre une suffocation et la mort. Souvent il mâchait pendant plusieurs minutes , et ces mouvements ne cessaient que lorsqu'il pre
t la convenance, l’opportunité merveilleuse du jour, de l’heure, delà minute où tel remède peut et doit être appliqué (p. 23).
donne à la même heure, à la tombée de la nuit. Au bout de cinq à dix minutes , il entend de l’intérieur du piano sortir un brui
stamment, chaque fois que l’enfant se met au piano, après cinq ou dix minutes de jeu. Cela n’arrive qu’à cet enfant, bien qu’il
rites, l’on promènera de la nuque aux reins, environ l’espace de cinq minute *, un fourreau de laine rempli d'avoine chaude, to
sque le plus léger nuage u’obscurcit les délices de l’entretien. A la minute , sous les doigts de M"° 0, s’épanouit une épopée
répondit : — Non, c’est votre père. La conversation continua quelques minutes entre lui et son interlocuteur invisible ; mais l
fréquents dans la journée : le soir, je la magnétise durant quelques minutes seulement, pas de crises, calme parfait, dix heur
ses pen- dant la journée ; je la magnétise le soir pendant quelques minutes , elle dort onze heures. Dans la journée je lui av
sonne digne de foi le fait d’un soulagement notable opéré en quelques minutes par Driesken hypers sur un homme atteint d’un vio
machine et me les apporta : ils étaient entièrement froids, quarante minutes s’étant écoulées depuis l’accident. « Je me dis
on de rappeler que les morceaux avaient été détachés pendant quarante minutes , et que je les trouvai froids et ratatinés. Maint
38 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s du bi- ceps, un tube de caoutchouc laissé en place durant vingt minutes , matin et soir. Les effets de cette cons- trict
tion est évalué à l'aide d'un test : examen d'une gravure pendant 2 minutes et description écrite des re- marques suggérées
urs, aucun orateur ne pourra occuper la tribune pendant plus de dix minutes ou, avec; l'agrément du Président, pendantun qu
des membres, de l'écume aux lèvres, lo tout d'une durée de quelques minutes seulement. Etat actuel. Il y a six jours enviro
Celte scène pénible pour elle et ses parents cesse après quel- ques minutes subitement, pour recommencer à plusieurs reprises
épidation épileptoide (Osier). Réflexe pat. absent pendant quelques minutes , exagéré au re- tour, exagération plus durable
ine et la chirurgie en général, pour laquelle il sera accordé vingt minutes de ré- flexion et quinze minutes d'exposition.
our laquelle il sera accordé vingt minutes de ré- flexion et quinze minutes d'exposition. Le maximum des points sera de 20.
euve portera sur un seul malade. 11 sera accordé au candidat quinze minutes pour l'examen de l'aliéné, y compris le temps d
ur l'examen de l'aliéné, y compris le temps de réflexion et vingt minutes d'exposition. Le maximum des points sera de 20.
une série de SOmots à 4 syllabes chacune. A chaque intervalle de 5 minutes , on notait le nombre des chiffres lus. La vites
268 ÉTUDE CRITIQUE. Les 500 réactions avec choix n'ont pris que 40 minutes donc en moyenne 125 réactions chaque 10 minutes
x n'ont pris que 40 minutes donc en moyenne 125 réactions chaque 10 minutes . Le sujet n° 1 présente des temps de réactions
s la première. Il paraît donc que la fatigue, imminente après 20-30 minutes dans les autres recherches, est abso- lument ab
ns la reproduction du temps initial,sans inter- ruption, pendant 45 minutes ; seulement, dans les jours de brome intervient,
ndant 45 minutes; seulement, dans les jours de brome intervient, 10 minutes après le commencement, une interruption de quel
a calculé la quan- tité des fautes constantes faites pendant "> minutes . Ainsi, on a obtenu pour chaque épreuve 9 valeu
ur chaque épreuve 9 valeurs, faisant abs- traction de combien ces 5 minutes moyennes diffé- rent-elles du temps initial, qu
avec des oscillations insignifiantes, à peine les dernières 5 ou 10 minutes trouve-t-on une diminution des fautes constante
l'élévation des fautes constantes est suivie subi- tement 15 ou 20 minutes après l'assimilation du brome, par une diminuti
ans toutes les épreuves avec du brome, apparaît après 15 jusqu'à 20 minutes après la prise du brome, une très visible dimin
une élévation exceptionnelle de l'opération pendant les premières 5 minutes , ce qui est une preuve de la forte tension de l
érience avec du brome les effets apparaissent subitement ou après J minutes , dans B. II, ils apparaissent pendant le dernie
llabes apprises était relativement très petit. Un moyenne pendant 5 minutes on a appris 13 syllabes à peu près, moins que l
un poids de 5 kilog. dans l'opération et on a marqué toutes les dix minutes par des courbes, jusqu'à l'épuisement de l'acti
nfluence du brome, il a été laissé passer dans B. 1 et II, 30 et 20 minutes avant le retour au laboratoire, et dans B. III,
s quatre jours d'expérience, et on a pris 100 réactions, pendant 13 minutes , avant la marche, et 300 réactions, 42 minutes
ctions, pendant 13 minutes, avant la marche, et 300 réactions, 42 minutes après. Tous les deux jours de brome, celui-ci a
e crise, elle tomba dans l'eau. Sa mère s'aperçut de l'accident dix minutes après et un voisin retira la malheureuse fille,
populaires, même lorsque l'on en dit le commencement. Il met une minute pour dire les douze mois de l'année, quinze sec
ncer et sur lequel son attention a été attirée/cherche pendant cinq minutes et ne retrouve pas. 314 . CLINIQUE MENTAL ?
utes et ne retrouve pas. 314 . CLINIQUE MENTAL ? 3 3 mai. Trois minutes après lui avoir fait lire et copier la phrase i
uve d'abord communication, puis intéressante communi- cation en une minute et demie ; au bout de quatre minutes, il ne ret
ressante communi- cation en une minute et demie ; au bout de quatre minutes , il ne retrouve plus rien. ' 3 mai. Il ne peu
usité il éprouve quelque embarras, c'est ainsi qu'il a cherché cinq minutes après le mot civilité. Il nous fait spontanémen
tion visuelle de ces mots, il n'y parvient pas, cherche plu- sieurs minutes et finalement doit y renoncer. Quand nous lui f
doux. 15 avril. Il entend siffler la Marseillaise; après quelques minutes il en reconnaît l'air, mais ne retrouve pas le no
siffle la Marseillaise, le malade en reconnaît l'air après quelques minutes mais il est incapable de le répéter. 20 avril-L
crivons lisiblement : Vous ne savez plus écrire ? Il met plus d'une minute à lire cette question. Ecris ton nom. Après u
plus d'une minute à lire cette question. Ecris ton nom. Après une minute 1/2 d'efforts, il lit : Crire crire.Au.. lu mon
lui montrons imprimés les mots équilibre, surveillance. Il met une minute pour épeler en scandant chacun de ces mots. Nou
: « Un ami nous fait celle intéressante communication « demande 1 minute i/2. Il met 65 " pour déchiffrer le mot ancien
" pour déchiffrer le mot ancien dans un journal. Il met près d'une minute pour lire la lettre t, lit très vite u, moins v
lettres, les épelle,et ne peut arriver à lire le mot. Il a m,s dix minutes ce matin pour lire le mot imprimé citoyenne. Il
prend le mot imprimé congrès, épelle les lettres, au bout de trois minutes , déchiffre la première syllabe, puis une minute
, au bout de trois minutes, déchiffre la première syllabe, puis une minute après le mot entier. 13 avril. La difficulté
nt : Recevez je vous prie mes sincères sa- lutations. Il a mis sept minutes pour écrire cette courte phrase, avec des arrêt
us sommes aujourd'hui lundi. chaque lettre étant épelée, il a mis 8 minutes pour le faire; l'l de lundi lui a demandé beauc
recopier la phrase que nous venons de lui dicter, il le fait en une minute . La copie de la phrase imprimée : Un ami nous
nous fait celle très intéressante communication, est effectuée en 8 minutes , le malade a surtout beaucoup de peine à retrou
ver la manière d'écrire la lettre f. 12 avril. D ? met plus d'une minute pour écrire le mot civilité, il ne savait plus
facilement, cepen- dant il met encore 20 " pour écrire son nom,et 1 minute pour écrire le nom d'une autre personne, Dubar
lle du mot. 17 juillet. Les progrès sont lents, il met encore une minute et demie pour écrire spontanément : ,le voudrais
E NERVEUSE. 401 "2" Le phénomène du pied, apparaît de quatre à sept minutes après l'anesthésie cutanée et demande une anest
ccès de tachycardie paroxystique essen- tielle, 200 pulsations à la minute avec un pouls lent permanent, 40 pulsations à l
ations à la minute avec un pouls lent permanent, 40 pulsations à la minute . Au coeur pas d'arythmie, pas d'hyper- trophie
réciable. 11 est comme paralysé pendant quelques secondes, quelques minutes ou quelques heures. Or, celte influence iuterme
39 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
regarder fixement un petit objet brillant l'espace de quinze ou vingt minutes , et le sujet ayant subi par ce moyen une modifica
té noire. Vous dites à votre sujet : « Dans 365 jours, 6 heures et il minutes , toute affaire cessante, tu mettras le feu à ta m
our fatal venu, regarde sa montre pour compter les heures et puis les minutes restant à courir jusqu'au dénouement proscrit
r mes yeux, vous allez presqu'aussitôt vous endormir. » Moins d'une minute après, il dormait. La jeune femme était ravie, et
ien, restez ici, moi je prierai. » La prière à voix basse dura 3 ou 4 minutes . « Maintenant, Monsieur, retournez chez vous, mai
té réduites à la plus simple expression, expédiées en trois ou quatre minutes , et exemptes, semble-t-il, de toute exaltation re
spèce de tare. Ces phobies durent à peine quelques secondes, quelques minutes , pendant lesquelles une peur angoissante envahit
clipse en me disant qu'il allait revenir. J'attends cinq, dix, quinze minutes ; bref, j'envoie le garçon aux cabinets.... perso
es trois secondes. Il y en avait donc à peu près exactement vingt par minute . Co double cri, d'un timbre élevé, très intense e
, éclairé faiblement. « On passait là au moins un quart d'heure, 20 minutes , le temps de se faire à l'obscurité. Tout à coup
us ou moins sévèrement. Une visite médicale eût pourtant, en quelques minutes , mis les choses à leur place et désigné pour
elle était assise et je lui dis qu'elle allait s'endormir pendant 10 minutes et qu'à son réveil elle pourrait marcher avec ass
ise dans le fauteuil, elle s'endormait et cela pour le temps dit : 10 minutes , 1/4 d'heure, et, chose digne de remarque, comme
lé: ses jambes se refusent à le porter. Quand il a travaillé quelques minutes , il sent des tiraillements douloureux dans les mu
rmer tous les matins seul à seul avec X... pendant trente ou quarante minutes . Utilisant tour à tour les injections hypodermiqu
ec toute la force de volonté dont j'étais capable ; et en moins d'une minute , avant que le feu fut rallumé, ayant levé les yeu
de nouveau énervé, je lui dis qu'il allait dormir tranquillement dix minutes et que je le réveillerais ensuite, quand il serai
ller. L'ordre mental fut plus fort que la suggestion verbale, car une minute ne s'était pas écoulée que le sujet poussait un p
er dans cette pensée ou plutôt dans cette volonté pendant une ou deux minutes , trente secondes au minimum ; et, à mesure que ce
onsciemment une assez longue résistance, et il me fallut près de deux minutes pour provoquer le sommeil. Quand je le vis endorm
n fut à peu près aussi lente que la première ; mais enfin, après deux minutes environ de lension cérébrale, j'eus la satisfacti
nditions qui me paraissaient absolument satisfaisantes. Au bout d'une minute de mon action, on entrouvrit la porte, et on vit
assis. La porte refermée, j'envoyai l'ordre mental du réveil : et une minute après, on voyait Gustave, réveillé, se disposer à
paraient de mon sujet. Je lui ordonnai mentalement de s'endormir. Une minute ne s'était pas écoulée que mon confident venait m
le renvoyai à son poste et ordonnai mentalement le réveil. Encore une minute , et Ton venait me dire : « il est réveillé. » I
ncentrai dans la volonté de provoquer le sommeil ; et. en moins d'une minute , mon sujet était endormi. Xotre président m'objec
ormi, à l'autre bout de la salle, se réveilla en efîet en moins d'une minute . Tels sont les faits sur lesquels je me borne a
éclairé faiblement. « On passait là au moins un quart d'heure, 20. minutes , le temps de se faire à l'obscurité. Tout a coup
rectale, entrait dans Tenu à l'heure prescrite ; il en ressortait 15 minutes après, exécutant ponctuellement notre ordon-
le temps: on le voit s'agiter inquiet; puis, au bout de deux ou trois minutes , prendre brusquement congé de vous. Il parle de c
Eid, du Caire, et d'un étudiant. Je précède ces Messieurs de quelques minutes dans la chambre du petit malade et je l'endors en
dant à chaque instant « si ce serait bientôt fini. » Au bout de vingt minutes environ, quand on plaça les serres-fines, l'enfan
tes, on fait un essai d'hypnotisme par fixation du regard pendant dix minutes , par pression des globes oculaires et imposition
es oculaires et imposition des mains sur le front pendant cinq autres minutes . Résultat nul. La malade n'est pas sensible à l
s vives que la veille. Nouvelle imposition des mains pendant quelques minutes ; disparition complète des douleurs. Pour la premi
ant toutes mes phrases par l'impératif dors, j'obtins en moins de dix minutes , sans pression des paupières, ni miroirs, jets de
l'amnésie complète au réveil. Je recommençai à l'endormir. En deux minutes , elle était en somnambulisme. Je lui fis une sugg
riable : l'attaque à laquelle nous avons assisté n'a pas dépassé deux minutes . Le malade reprend, généralement, assez vite co
érison ne tarderait pas à se manifester. Il a suffi, en effet, de dix minutes environ pour que la malade se levât complètement
contiennent vingt, cinquante, soixante-quinze siècles? En moins d'une minute et demie, M. Diamandi en fait connaître le nombre
47 ou le 29 avril 1824 tombait un lundi ou un jeudi..., etc.. En deux minutes , il extrait mentalement, soit la racine carrée, s
ombre de cinq chiffres par un nombre de trois chiffres : pendant deux minutes , il s'efforce de fixer dans sa mémoire tous ces é
successivement ces cinq opérations dont il énumère, au bout de trois minutes , les résultats les uns après les autres. En (l)
premiers casiers réunis contiendront de grains (1); en moins de trois minutes , notre calculateur énonce ces deux résultats (2).
regardons fixement dans les yeux, en lui affirmant qu'en moins d'une minute elle va s'endormir profondément. Nous obtenons, e
fait de les maintenir légèrement sur la partie affectée pendant vingt minutes environ. Cette méthode de traitement, très à la m
sera d'après les procédés employés, — sur cela, étant éveillés peu de minutes après, avec telles idées dominantes dans leur esp
deux ou trois jours de sommeil ininterrompu. Ses réveils durent deux minutes à peine ; elle ouvre les yeux, appelle, demande i
gravité du cas l'avait obligé à déterminer un sommeil de huit à neuf minutes , au sortir duquel le malade s'était trouvé complè
40 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
oulez-vous « donc me faire manquer à mon serment? Attendez « quelques minutes , je parlerai quand je verrai ! » En effet, depuis
féroce que personne n’osait l’approcher, l’endormit en moins de trois minutes , montrant les crocs et grondant encore. Sa Grâce
courageux ecclésiastique continuant à agir, parvint, au bout de deux minutes , à déterminer chez son ennemi ce clignotement par
omme les premières influences de l’action magnétique. Trois ou quatre minutes après, les yeux du taureau se fermèrent insensibl
s succédèrent des passes transversales sur la poitrine. En quelques minutes , un mieux marqué se manifeste. La respiration plu
ent. II est nécessaire, en les réglant, de compter les battements par minute , en sc servant d’un régulateur, et de changer la
banc, en suivant le mouvement de l’horloge; il « s’endormit en trois minutes , et on le laissa ainsi « pendant près d’une heure
qu’elle consultât Mmc Rose. Celle-ci l’a palpée pendant dix ou quinze minutes , puis a décrit tout ce qu'elle avait ressenti, au
demeurait silencieux, la somnambule le palpait pendant une dizaine de minutes , appliquait principalement une de ses mains sur l
on ne trouverait pas un seul livre, n’a besoin que de palper quelques minutes , puis, sans avoir eu recours à aucune question, e
anipulationsusuelles étaient exécutées pendant trois, quatre, ou cinq minutes . Une contraction soudaine des muscles, comme sera
s insufflations sur la région des poumons. Au bout de trois ou quatre minutes , je sentis se soulever la poitrine, un long soupi
ployé uniquement la magnétisation directe et à grands courants, vingt minutes chaque fois, et cela a suffi pour rendre à la san
inévitablement subordonné à l’impressionnabililé du sujet ; quelques minutes suffisent habiluellement. Si l'on s’en rapporte
e l’autre, et ainsi magnétisées en même temps, durant à peu près cinq minutes . On les interroge alors, et celles qui n’éprouven
droite actionne le crâne, le sujet ferme les yeux, et au bout de deux minutes , à la question mentale : Dormez-vous? je reçois l
bien déterminé: Je veux que ce que Louise demande soit. » Après dix minutes de silence et de réflexion, elle me dit: «Ma vie
e Louise dorme une heure avec Paul. » Je sors. Une heure moins sept minutes après , je reviens; la mère était auprès du lit d
demie sonnaient à l'église voisine; il étail neuf heures trenle-sept minutes à ma montre! Le surlendemain, 011 déposait dans
, pour faire disparaître cette douleur, il me fallait au moins cinq minutes et presque toujours plus. Une autre assertion d
part des compresses, je les fis enlever, et il me suffit alors de dix minutes pour que toute douleur cessât et que la malade se
tre cl la flanelle d'opium et de morphine, et j’imposai la main vingt minutes , ce qui amortit les douleurs et procura une bonne
. Dès que je la vis, le i4 août dernier, je la somnambulisai en trois minutes , en présence de M. el Mme S...., du professeur Fl
age 7 : « Il est des malades sur lesquels on agira « en deux ou trois minutes ; chez d’autres, il faut « plusieurs jours, et che
cette ligne messieurs les magnétiseurs: que voulez-vous? cinq ou six minutes de pression avec les doigts allongés sur les temp
nt pas délivrée, M. Léaumont la mit en somnambulisme eu deux ou trois minutes , el lui dit alors : « Faudra l-il vous délivrer b
é. » Et le médecin fit [a délivrance le mieux du monde, en quelques minutes , pondant lesquelles le dialogue suivant s'établit
es conditions, elle n’éprouverait pas les effets. Après dix ou quinze minutes de celle énergique concentration de l’esprit, pro
tombe à droite ou à gauche de l’obstacle. S’il lui dit de dormir une minute , de sifiler, etc. , l’effet a lieu aussi régulièr
s que lui-même la fixe avec la plus grande intensité. Au bout de cinq minutes environ, M. Lewis fait des passes el certains ges
ans le sens des côtes, sur la partie malade, et ce durant environ dix minutes . Il m'a semblé qu'il suivait surtout le sens de
tte petite batterie galvanique; il y joint des passes de cinq en cinq minutes , et après un quart d’heure, il reprend ses talism
voulant exiger du Dr Fiske qu’il opérât sur lui. Après dix ou quinze minutes d’attente, le Dr Fiske ne paraissant pas, je lis
les plus fréquentés de la ville, nous ne puissions, en moins de cinq minutes , rencontrer plusieurs professeurs des deux scienc
près son expérience de cas semblables, que cet homme 11 avait pas une minute à vivre. Le docteur, qui était plaisant, jugeant
es voulurent faire essai de la nouvelle science, et, en moins de cinq minutes , la femme ivre revint à l’clat de sobriété (all r
adies auxquelles la nature humaine est sujette, peut se guérir en une minute , sans douleur, sans frais, sans remèdes et sans d
rement TU31E X. — K" H3G. — NO\EMl)URE 1831. 11 pendant environ une minute , le mal doit avoir disparu. Sur plus de cent ex
’ai trouvé par l’expérience qu’il fallait quelquefois bien plus d’une minute pour guérir. Quand le mal est grave el chronique,
el chronique, il faut persister. Si vous avez soulagé au bout de cinq minutes , vous êtes presque sur de réussir avec de la pers
leine est chargée, se mêle avec le liquide. Cette opération dure cinq minutes . Dès qu’elle esl terminée, je fais boire l’eau au
au au malade. 11 faul avoir soin do passer la main pendant quelques minutes sur la lOtc et sur la poitrine du patient .ivant
alheureusement, je ne pouvais ainsi concentrer ma volonté plus de dix minutes , je m’arrêtais, el ma douleur reparaissait non mo
manda : « Comment vous réveillera-t-on? — Fixez sur votre montre la minute à laquelle vous voudrez me voir sortir de cette c
me voir sortir de cette crise, et j’en sortirai. » Nous fixâmes la minute et nous assîmes en silence. A la minute désignée
sortirai. » Nous fixâmes la minute et nous assîmes en silence. A la minute désignée par nous, ignorée de la som- nambulc,
il expliquera le somnambulisme naturel de cetle dame et son réveil, à minute fixe, sans dégagement de fluide. Plus je vais,
cures ; le secrétaire tiendra registre de ses actes, en irésentera la minute au président pour être signée far lui à chaque pr
posée quelques moments sur son cou, et ensuite promenée, pendant dix minutes , delà poitrine à l’abdomen, fit cesser les cris d
drogue, depuis dix jours sans pouvoir le faire dormir, et que peu de minutes de magnétisation ont plongé dans un sommeil répar
le mit notre leçon en pratique, et le malade devint somnambule en dix minutes . Magnétisé journellement depuis lors, sa santé s’
attentivement l’objet que sa vue doit pénétrer, se recueille quelques minutes , puis décrit minutieusement ce qu’elle aperçoit.
r lesquelles on lui avait demandé une rétribution de 5 francs par dix minutes , la somnambule, mise en contact avec la mèche de
re, explique Deleuze(2), on commence par l’embrasser pendant quelques minutes ; on s’éloigne ensuite et l’on dirige le fluide ve
Suivant Deleuze (2), on magnétisera une carafe d’eau en deux ou trois minutes et un verre d’eau en une minute. Nous pensons que
ra une carafe d’eau en deux ou trois minutes et un verre d’eau en une minute . Nous pensons que le temps nécessaire pour ce gen
e marquait, sans la regarder. Il répondit: « Neuf heures « vingt-cinq minutes . » Ce qui était vrai. Le propriétaire de cette mo
pas adhérer, mais enfin il consentit à me donner une séance de vingt minutes seulement pour mes 5 francs. Il me vantait sa som
5 francs. Après bien des difficultés qui faisaient écouler les vingt minutes qu’il m’accordait pour 5 francs, il finit par con
et les remèdes à y apporter, mais le magnétiseur me dit: « Les vingt minutes sont écoulées ; si vous voulez payer une autre sé
inutes sont écoulées ; si vous voulez payer une autre séance de vingt minutes , nous allons continuer; sinon, je réveille la som
41 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
rouge qu’on aurait passé près de son corps. Je n’avais pas opéré deux minutes , qu’elle me déclara ne plus avoir ni douleur, ni
xés sur les siens, ma volonté tendue, lui passif, moi actif. Quelques minutes se passent, et il me dit de cesser : « Vous me fa
indispositions , dont quelques-unes fort graves, guéries en quelques minutes , — des cas de somnambulisme très-curieux..... — u
t par trois à quatre applications de la main, pendant l’espace de dix minutes chaque fois. « Il est une remarque que je crois
première ingestion d’une décoction d’oignons vulgaires bouillis cinq minutes dans un litre d’eau, remède administrée par madam
es jours précédents, le pouls variait de 120 à 160 pulsations par minute . Ce soir-là il était si bas qu’à peine je pouvais
l’avais priée de me regarder, croyant cela utile. « Au bout de deux minutes : — Je ne puis vous regarder davantage ; vos yeux
et continuai les passes dans le même sens. « Au bout de sept à huit minutes , je la crus endormie et m’arrêtai.—Dormez-vous? l
ais toujours être comme ça. « Je continuai les passes deux ou trois minutes encore et m’arrêtai de nouveau ; puis, la laissan
reprises, — elle n’a rien entendu et vient de s’éveiller depuis cinq minutes . « Je quitte Oran trois jours après. Madame T..
e chaque côté, le cheval, avec la même fermeté. Au bout de vingt-cinq minutes au plus, l’animal a commencé à relever la tête et
nimal a commencé à relever la tête et à se trouver mieux. Environ dix minutes après, il a commencé à manger, ce qui nous encour
e le magnétisme ; elle prit sa montre et fit constater l’heure. Trois minutes après, ma fille était guérie ! Elle mangea immédi
ndue de cinq centimètres. Madame Ogier, la patiente , pendant vingt minutes qu’a duré l’opération, n’a pas seulement poussé u
ait parler, et me répéta exactement les paroles prononcées si bas une minute auparavant, qu’elle n’avait entendues que lorsque
foule. A travers l’ivresse, la crédulité montait. Pendant sept à huit minutes environ , sans entre-acte , l’Aïssaoua, religieus
vainqueur le saisit et du coup le jeta par terre. « Là, durant deux minutes , il se roula hurlant et se tordant, comme en coli
e , mais d’une manière plus calme et pendant moins longtemps. En deux minutes , l’esprit vint à bout de celui-là, et le fit se r
laissant prendre en tout sens, et gardant sans broncher, pendant une minute entière, sa tête inoffensive dans la bouche ouver
de réussir ! Et la foule admirait I « Cela dura ainsi plus de cinq minutes , après quoi l’Aïs-saoua laissa son œil se replace
os mains et de vous tâter le pouls? (Il venait de jouer du sabre cinq minutes avant.) « — Volontiers. « — Nous regardâme se
tat est certainement incapable de se donner en spectacle pendant cinq minutes , d’agiter un bâton en le poussant dans la cavité
le fais presque toujours, par une magnétisation générale de quelques minutes , comme si je voulais endormir le sujet. L’expérie
ensée : Douleur disparais, Dieu puissant, calmez cette douleur! Trois minutes étaient à peine écoulées, que cette femme, si agi
me par enchantement sous son influence. » Je magnétise pendant quinze minutes à peine et je laisse cette femme en paradis,
mment et avec le même succès. La magnétisation dut se prolonger vingt minutes , mais elle fut victorieuse et sans retour de nouv
’applique sur la tumeur sans pression sensible, et je magnétise. Cinq minutes étaient à peine écoulées qu’un léger borborygme s
d’olives, je place nia main sur le côté malade, et, en moins de cinq minutes de magnétisation , j’entends le patient dire en s
nsufflations fratc/ies sur la face, le front et le cerveau. Après dix minutes , la malade commença à donner signe de vie par de
er ; ce que j’exécutai avec le plus grand bonheur, puisque , quelques minutes après, elle était remise complètement, quoiqu'un
le-lement ses mouvements, qu’il ne battait plus que quarante fois par minute ; qu’elle ne voyait qu’un moyen pour être débarras
vralgie, dont les accès se répétaient souvent trois à quatre fois par minute , était accompagnée de suffocation, de pilleur et
u’à l’aisselle, puis le long du bras jusqu’au bout des doigts. Deux minutes de magnétisation suffirent pour faire dispa-
ît que ma dernière heure a sonné ! » et se rue sur l’ennemi. Quelques minutes plus tard, Napoléon envoyait le général Caulainco
ait pour être mise en présence de la personne désirée. Après peu de minutes , nous fûmes prévenus de la réu9-site de la vision
el deux médiums n’ont qu’à poser chacun une main. Au bout de quelques minutes , la planchette s'anime et se met en marche, e
i les applaudissements l’interrompent et il rentre dans sa cage. Cinq minutes après, on réclame le mot d’une charade. L'oiseau
expressif vouloir, et le visiteur s’apaisa. Mais il revenait à chaque minute . Dans une intermittence, le mouvement d’une imp
e, 011 le transporte dans la salle, on le frictionne, et, en quelques minutes , scs membres perdent leur raideur, reprennent leu
u’il habitait. Pendant ma route qui, chaque fois, durait deux à trois minutes , je (is, un jour, un soubresaut (sur sa chaise) ,
mps des sybilles, un collège de jeunes voyants, et là, après quelques minutes d’un religieux recueillement, les esprits agitant
y attirer la transpiration. Chose merveilleuse ! au bout de quelques minutes , la douleur se calma et il put s’endormir. Le l
ue lois qu’on lui faisait quelques passes il s’assoupissait en peu de minutes . A la fin de la première semaine, les accès étaie
is toucher. p Des astronomes prétendent qu’il nous faut sept k huit minutes pour voir la clarté du soleil qui est plus de tre
er à ce malaise: je lui fis alors boire un verre d’eau magnétisée, 20 minutes après il rendit une grande quantité de matières e
te pas. J’en ai vu de belles pour avoir furtivement guéri en quelques minutes , en contravention aux règles de la pharmacopée, q
ffre est acceptée; notre homme se met à l’œuvre, et, au bout de vingt minutes , la dame s’endort profondément. Tout d’un coup, e
veille le somnambule qui, bien que l’expérience n’ait duré que quinze minutes environ, semblait accablé sous le poids d’une gra
ient un bruit de souffle continu. La tête ayant été prise pendant dix minutes entre les mains, l’une sur le front, l'autre
n était très-manifeste, n’importe clans quel sens. Vu bout de vingt minutes de sommeil, la malade fut réveillée ; elle se sen
gnétisation ; il prit aussitôt le sein, mais, au bout de deux à trois minutes , il le quitta pour se livrer au sommeil pendant l
pouvait y être remarqué. Cette table reposait sur quatre pieds. Deux minutes ne s’étaient pas écoulées depuis que nous nou
ap- pliquai une main sur l’abdomen, l'autre à l'épigastrc ; vingt minutes ne s’étaient pas écoulées que les vomissements et
cidité, elle me prédit ses crises successives, le jour, l’heure et la minute ; elle devait en avoir quatre pour obtenir sa gué
citron paralyse les forces corruptives. Déchargez pour dix ou vingt minutes (second cas) le malade , faites-lui quelques pass
der l’entrée. Les lumières furent éteintes, et, au bout de quelques minutes , les raps commencèrent sur un des murs et apparem
t, que deux enfants réduits à l’immobilité de caryatides. La première minute n’était pas écoulée qu’un véritable vacarme de sa
ordinaire s’appliquent derrière ma tête, et sont promenés pendant une minute sur toute la région de l’occiput. Je terminai m
venu le mari de madame Faudot qui est ici devant vous ? Environ trois minutes après, elle poussa un soupir et répondit : il est
e ma montre, qui m’a été soustraite il y a environ quinze jours? Deux minutes environ après cette question , la somnambule me r
es, absorba toute la liqueur en murmurant contre la qualité. Quelques minutes après, le fripier se plaignit très-haut de la dis
42 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il redevenu capable de se lever et de marcher seul pendant quelques minutes , quitte à s'observer et à se mon- trer prudent,
de ses affaires. A la campagne il fait des courses d'une dizaine de minutes . Ces. XI. M. J..., cinquante ans, comptable. In
. (Sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux, 15 minutes de préparation, 15 minutes d'exposi- 118 varia.
et de physiologie du système nerveux, 15 minutes de préparation, 15 minutes d'exposi- 118 varia. tion, 20 points). Séance
x soif transfor- mée en épreuve écrite ; 3° qu'il soit accordé deux minutes de reflexion avant l'épreuve de la question de
la durée du temps nécessaire à l'endormir a été plus longue (quinze minutes ). Pendant l'état d'hypnose, surtout au début, e
r réobtenir l'exci- tabilité faradique originelle est d'environ une minute . L'étude minutieuse de l'ensemble des éléments
oscillations. Chez la mère, les oscillations sont de 420 à 130 par minute , chez l'en- fant de 70 à 80. M. Jacqueau insi
née pendant quel- ques secondes, puis devient pâle pendant quelques minutes avec transpiration abondante durant un quart d'
iminuer de grandeur, et demeurer ainsi plus petits pendant quelques minutes ; puis ceux-ci repren- nent leurs dimensions nor
a malade était très affaiblie, le pouls faible et accéléré (130 par minute ). Elle reçut des transfusions d'une solu- tion
de tam- pons sur les points douloureux pendant trois, cinq ou dix minutes , avec une intensité variable, bà,10milli-ampèresp
DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 245 géant les tampons de place toutes les minutes environ. Deux ou trois séances constituent souv
e pôle actif est le pôle positif. La durée des séances est de vingt minutes environ. Après Bergonié, Mias, Bordier, Guilloz
ne action insignifiante lorsqu'on fait des applications de quelques minutes ainsi que l'enseignent les traités classi- ques
us à intensité faible (3 à 12 milIi-ampëres)eK6;H< quarante-cinq minutes , une heure et davantage, tel est le procédé que
portants de la réussite. On estime généralement qu'une durée de dix minutes est suffisante; elle est même considérée par ce
certains auteurs comme une application longue puisque trois à cinq minutes représentent pour eux un temps moyen. Nous -met
iptions telles que celles-ci : application de courant voltaïque une minute sur chaque point douloureux; ce qui est absolum
i est absolument dérisoire. Bergonié proposait des séances de vingt minutes et ses élèves l'ont suivi dans cette voie. Peut
e contente d'une intensité ne dépassant pas 10 milli-ampères, vingt minutes ne suffisent plus. Nos premières applications f
mières applications furent faites pendant un quart d'heure et vingt minutes , mais nous n'avons pas tardé à nous apercevoir
avec des séances de trente, quarante, quarante-cinq et cinquante minutes , et actuellement, après avoir tâtonné dans cette
épassant une demi-heure : dans un cas, trente- cinq à quarante-cinq minutes , dans l'autre, quarante à cin- quante minutes.
cinq à quarante-cinq minutes, dans l'autre, quarante à cin- quante minutes . Autant que nous, les malades sont convaincus d
les mêmes phénomènes, elle n'a que trois ou quatre inspirations par minute . La survie tient probablement à ce que la paralys
et de physiologie ; 2° Epreuve définitive. Epreuve orale de quinze minutes , après dix minutes de réflexion sur la patholog
; 2° Epreuve définitive. Epreuve orale de quinze minutes, après dix minutes de réflexion sur la pathologie interne, la path
pause prochaine. Traitement. Commencé le 28 mars 1900 (4 à 6 mA. 15 minutes ). Amélioration dès la 7° séance, qui a progress
du 22 au 27 juillet. A partir de juillet les séances sont de trente minutes au mini- mum. En août 1901. Etat très satisfa
onsidérable des petites crises résiduelles parles séances de trente minutes . Elle prétend que les douleurs ont été plus cou
s mais parfois très rap- prochées, et se produisant toutes les cinq minutes . Etat actuel. La crise est annoncée par un lége
ensiblement d'intensité et arrive à une période d'acmé qui dure une minute entière. Puis la douleur décroit insensiblement
tentative avec des intensités de 12 à 20 milliampères pendant vingt minutes , mais la malade s'en trouve mal et accuse une r
mentent pas au moment des règles. Les séances sont de quarante-cinq minutes à une heure. En octobre, l'état reste très sati
t de deux à trois secondes environ. Il y a envi- ron deux accès par minute . Ces accès ne cessent pas la nuit d'une façon c
re notée du 10 au 21 juillet. On prolonge les séances à trente-cinq minutes , et les douleurs cèdent bientôt à nouveau. Le
aindre une récidive, mais après quelques séances de qua- rante-cinq minutes ou une heure de durée, cette période doulou- re
NIQUES DE LA. NÉVRALGIE FACIALE..347 revenant en moyenne toutes les minutes ». Lorsque les crises sont très violentes, le m
aitement a été commencé le 22 octobre 1900, avec une durée de vingt minutes environ à ce moment, durée qui plus tard a été
une heure et demie; d'ordinaire cependant la crise dure quelques minutes . La malade a essayé de nombreux médicaments don
itement électrique à partir du 21 novembre 1900 (séances de vingt minutes , 4 milliampères). Après la 56e séance, la malade
TICULARITÉS CLINIQUES- DE LA NÉVRALGIE FACIALE. 349 durent que cinq minutes au maximum, et leur intensité est beau- coup mo
térite. Dès la huitième séance (8 milli-ampères, à raison de trente minutes , durée minima) l'amélioration se produit au dir
plication de tampons sur les points d'émergence pendant une ou deux minutes . 35° ? 6HIQtJE nerveuse. de névralgie faciale
nces, les crises étant séparées par un intervalle de trois à quatre minutes et chaque accès durant envi- ron une trentaine
à quatre minutes et chaque accès durant envi- ron une trentaine de minutes . Quand la crise approche, la malade la devine p
st pas là un phénomène constant. Actuellement les accès durent deux minutes , puis disparaissent pendant plusieurs heures :
le traitement électrique, d'abord à raison de 5 mA pendant vingt minutes , et, à partir de la 15° séance, la malade déclare
est à partir de cette époque que nous faisons des séances de trente minutes . Ces douleurs diminuent vers la lin août et au
ment. Le traitement est commencé le 15 novembre 1901. quarante-cinq minutes par jour avec une intensité de 4 à G milli- amp
légère des douleurs. Ces douleurs, assez violentes, de dix à quinze minutes de durée qui n'existaient plus les jours précéd
t plus tenaces. Elles surviennent par accès durant une vingtaine de minutes . D'après les dires da la malade il est difficil
jour au minimum. Souvent ils apparaissent toutes les cinq ou dix minutes , d'autres fois, toutes les demi-heures seulement.
x accès d'au- trefois. La durée est de une seconde au lieu de vingt minutes et il n'y en a que trois à quatre par jour au l
ortes des groupes musculaires isolés ; l'accès dure deux ou trois minutes . La conscience est conservée. La sphère émotive e
ssement du pouls, jusqu'à 54-42 BIBLIOGRAPHIE. 391 battements par minute , des vomissements, des constipations, des contr
'é- trangle et lui coupe bras et jambes. L'accès ne dure que cinq minutes , mais il est d'une violence extrême. Enfin le d
s mouvements, mais après un long retard. Elle mettait environ une minute pour saisir et porter à sa bouche une cuillère d'
e quarante-deuxans,'vient d'être assis sur sa chaise; dans quelques minutes , quelquefois cinq ou six minutes, on le voit ma
assis sur sa chaise; dans quelques minutes, quelquefois cinq ou six minutes , on le voit manifester une gêne et une souffran
la pupille. Celui de Saenger montre la fixation pen- dant plusieurs minutes de la pupille à son plus fort état de con- trac
que très lentement, et l'iris demeure contracté plusieurs secondes, minutes , ou heures pour ne se dilater que graduellement
ette malade le vertige voltaïque. Après la première séance de trois minutes , la patiente se déclara infini- ment mieux et é
43 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
suggestion, — vous ne pourrez vous » empêcher de dormir pendant deux minutes . » « 2° Après deux minutes de sommeil, vous le
z vous » empêcher de dormir pendant deux minutes. » « 2° Après deux minutes de sommeil, vous le regarderez fixe-» ment et vou
ranchi le seuil de la porte, que Mme M... s'endormait au bout de deux minutes ; elle s'éveilla, puis me regarda d'un œil fixe,ét
a méthode ordinaire, à l'aide de laquelle il mettait une vingtaine de minutes pour obtenir la vue avec les yeux fermés, et je l
s cette dernière phase, la magnétisation a duré encore une dizaine de minutes , mais il me fut impossible de constater de nouvea
comme un automate. Tout cela s'opérait avec un retard d'une ou deux minutes , et le sujet, interrogé sur la manière dont il pe
la fatigue des yeux arrive vite et. en général, au bout de cinq à six minutes , quelquefois même d'une façon instant-mée, on les
s de l'adresser à M. de Rasquinet. Elle fut endormie en Jeux ou trois minutes , au point d'être insensible aux pincements et aux
tout autre connu et lequel dure quelquefois un quart d'heure ou vingt minutes au plus, et qui se manifeste par ces paroles : O
e je vous décris : // ne m'a jamais fallu plus de trois ou quatre minutes pour les mettre dans cet et ai. • La question d
t connaître la personne que je lui amenais. Cependant, après quelques minutes de contact, elle parut respirer difficilement, et
liqua la main sur le front et la région du cœur, et. au bout de trois minutes , elle dit que le sang se portait à la tête: qu'ac
ts assez fortement et cette opération durait généralement une ou deux minutes . Un silence absolu fut observé, à l'exclusion d'u
e la tête. Le mouvement était incessant. La crise dura vingt à trente minutes , pour se terminer par une somnolence invincible e
sudation abondante. Ces troubles disparaissent au bout d'une à deux minutes , lorsqu'un second élancement dans la verge ne vie
uspendue au-dessus de sa téte. Le sommeil a été obtenu après quelques minutes de fixation de l'objet et après l'injonction de d
ans les mâchoires et dans les membres : cette crise dura deux à trois minutes ; il put se relever, mais conserva une douleur à l
nts et de grincements de dents : chacune des crises durait cinq à dix minutes . A l'époque de ces crises, il ne se levait plus,
occlusion des paupières, la respiration s'accélère et au bout de deux minutes il est endormi. Dans cet élatv le changement est
ence des accès varient beaucoup; en général, ils durent cinq à trente minutes , puis l'enfant reprend possession de lui-même et
n clignotement continuel. Cet état de raideur dure environ une à deux minute *, pour recommencer après un très court intervalle
e boule en cet endroit. Ce spasme douloureux se prolongea pendant dix minutes environ, et se reproduisit presque aussi violent
meil nerveux provoqué. J'endormis la malade par le regard, après deux minutes de fixation, et je la remis, complètement insensi
de comractilîté et tfanalgcsie. Le sommeil est miintenu pendant vingt minutes . Au réveil, les diverses suggestions sont réalisé
un rétrécissement des pupilles, 40 respirations, 100 pulsations à la minute . L'accès dura une heure et dix minutes. Le lendem
spirations, 100 pulsations à la minute. L'accès dura une heure et dix minutes . Le lendemain, la fréquence du pouN était encore
e lendemain, la fréquence du pouN était encore de 120 battements a la minute . M. Licbeault signale un fait du même genre dan
toutetois l'Académie de m'ac-corder encore la parole pendant quelques minutes . Je voudrais formuler quelques propositions dont
réveil, elle ne me verrait plus : je ne serais plus là. Au bout de 10 minutes seulement, elle me verrait rentrer. A son réveil,
retrouvons ainsi le t8, et il meurt le 19 juin 1887, ii c, heures i3 minutes du soir. L'autopsie est pratiquée par nous-même
heure au moins, et qu'elle est invariablement suivie de cinq a quinze minutes de repos. Ce sont là de précieuses indications
'attendis sans rien dire, puisqu'elle n'entendait pas. Au bout de dix minutes , il se produit un léger tremblement dans les memb
rez le nom d'Elise, quand il sera prononcé. » J'attends encore cinq minutes environ et je la réveille en lui soufflant sur le
dont le iv Metzger a fait la fortune, et passent tour à tour quelques minutes auprès du docteur qui leur fait subir le massage
sens et de la mémoire. Après avoir causé avec elle pendant quelques minutes et fixé son attention par les questions que je lu
r l'épreuve. 11 m'avait été possible de lui donner, trois fois en dix minutes , un même objet dont elle avait pris possession à
émonstratif de la reviviscence de la mémoire ? — Réveillée quelques minutes après, tout est oublié. — elle n'a rien vu, ne sa
s à elles-mêmes ; j'ai pu, dans chacune d'elles, par trois fois à dix minutes de distance, donner un même objet, dont ma malade
it, du somnambulisme, passée à l'état léthargique. Revenue quelques minutes après au somnambulisme, elle n'avait plus d'é
vain: il entendait encore sonner le tocsin, et ce ne fut guère qu'une minute plus tard, au bout de la rue. que son hallucinati
laire une personne de rassemblée et je la prie de toucher pendant une minute une des pièces métalliques. Pour que chacun soit
l'attention. La pièce touchée, serrée entre les doigts durant une minute , m'est immédiatement révélée par sa différence de
ion, par un mot, à abréger leur durée, à les prédire à jour, heure et minute précises. Il est bien évident qu il s'agît là d'u
ondes ce bouton tenu dans la main droite pour s'endormir pendant cinq minutes précises. Au bout de ce temps, l'hémor— rhagie au
ns que j'ai arrêtées ou produites chez plusieurs personnes à heure et minute fixe par la suggestion ne peuvent reposer sur une
ossible avant la séance. 1-e S avril, seconde séance, qui a duré 20 minutes : sommeil léger. Suggestion : distinguera la di
galement à la distance de 20 cent. Le 9 avril, troisième séance (i5 minutes ] : pesanteur des paupières et de la tè*:e, engour
comme à travers un voile. Le 7 mai. première séance. Au bout de 5 minutes , la malade est tombée dans le sommeil ; néanmoins
vomissements et des contractions spasmodiques qui duraient plusieurs minutes . Pendant quinze mois, on U nourrit à la sonde,
ée de la cessation momentanée de la loquacité et de l'agitation; cinq minutes après l'enlèvement de l'appareil, la pression éta
is dans un iiutre cas, je pouvais supprimer l'ataxie pendant quelques minutes et les douleurs pendant un certain temps. Chez
44 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
riode de temps variable qui,chez notre sujet, ne dépasse pas quelques minutes : on peut d'ailleurs, en lui soufflant (1) Rich
yeux fermés, dans l'attitude d'une personne endormie. Au bout de dix minutes environ, M. Liébeault, sans rien lui dire, lève
et et rend, sans effort, quelques gorgées de sang. Cet état dure deux minutes et les grandes convulsions se produisent. Il tend
e, le malade est absolument sans connaissance. Au bout de cinq ou six minutes , les mouvements convulsifs s'arrêtent. Invariab
rès courtes, cessant les tentatives d'hypnotisation après cinq ou dix minutes , si le malade n'en ressent aucun effet. Bientôt
la poule, l'anesthésie dure une demi-heure. Chez la langouste, vingt minutes Chez les autres animaux (serpent, jeune crocodill
Chez les autres animaux (serpent, jeune crocodille), de dix à quinze minutes . Chez les animaux sur lesquels on a obtenu les
r-phine dont j'injectai environ 3 centigrammes, au gras du bras. Cinq minutes ne s'étaient pas écoulées que la malade est prise
hacune de ses mains et les lui serre asser fortement pendant quelques minutes . Puis il fait des passes ou mouvements uniformes
ce procédé chez des sujets nouveaux, sans rien obtenir au bout de dix minutes ou plus. Et alors en quelques secondes, par sugge
engourdissent, le sommeil vient. Dormez. »11 est rare que une ou deux minutes se passent sans que l'hypnose soit arrivée. Quelq
pour le réveiller. Il affirme ausujet, qu'il va se réveiller dans une minute , par l'attouchement d'un certain point du crâne.
un léger ralentissement d« la respiration. L'anesthesie dura vingt minutes et fut complète avec relachement musculaire, au p
enregistre le progrés accompli, le nombre de kilos gagnés en quelques minutes par un biceps parésié, le chiffre de l'acuité vis
ique, c'est brusquement, en deux ou trois séances, quelquefois en dix minutes , que l'on voit la paralysie se dissiper, ou tout
s yeux qu'elle était sous l'éminence d'une crise et que dans quelques minutes elle serait guérie. Les infirmières, mises au cou
né, que notre petite malade roulait à nos pieds. L'attaque dura vingt minutes et Marie se releva ayant recouvré l'usage de ses
il hypnotique par la fixation du regard, ce qui a lieu en moins d'une minute . Les docteurs Triani cl Colombo, médecins itali
le bras anesthétique des plaquettes de cuivre. Déjà depuis plusieurs minutes les plaques étaient appliquées et la sensibilit
illé du sommeil de la nuit, à s'endormir de nouveau, pendant quelques minutes seulement, et à se réveiller. On a ainsi une péri
En très peu de temps, les pieds sont redevenus froids. Au bout de dix minutes , j'avais froid aux pieds comme avant. Cette obs
s, il faisait froid dans la ville du nord où j'étais. Au bout de cinq minutes environ.j'ai chaud aux pieds.Je constate, en touc
je me donne l'auto-suggestion d'avoir chaud aux pieds. Au bout de dix minutes , j'ai chaud aux pieds; j'espère conserver cette s
to-suggestion d'avoir chaud aux pieds, le résultat est obtenu en cinq minutes environ. Cette expérience a été faite très souven
je me donne l'auto-suggestion d'avoir chaud aux pieds. Moins de cinq minutes après, j'ai la sensation d'avoir chaud aux pieds,
ux et sans changer ma manière d'être éveillé. J'ai voulu pendant cinq minutes une seule chose, avoir chaud aux pieds, cet effor
e l'auto-suggestion de ne pas avoir mal à l'estomac. Au bout de vingt minutes , le résultat est obtenu ; le mal d'estomac dispar
éducation, c'est elle qui a été la première exécutée au bout de dix minutes . La seconde, ne plus avoir mal a l'estomac, a été
us avoir mal a l'estomac, a été aussi exécutée, mais au bout de vingt minutes . 5° Hallucinations. (a) Un soir, ayant de m'e
s. Le résultat a été, du reste,obtenu très facilement au bout de deux minutes , et je n'ai pas cherché à reproduire cet état hal
ésique. Cet état nerveux a été supprimé très facilement en quelques minutes par l'auto-suggestion, 7° Causer. Je me donne
tion causée par le jeu me fait disparaître ce mal de tête en quelques minutes . L'auto-suggestion mal pratiquée développe l'hy
donc placée sur un canapé, je lui dis de s'endormir ; en moins d'une minute , elle était plongée dans un état d'hypnose assez
dé par des suggestions de sommeil, faites a intervalles de cinq a dix minutes et d'une patience de la part de l'opérateur, à l'
e versés dans l'inhalateur suffirent pour provoquer, en moins de cinq minutes , la période suggestible du sommeil anesthésique e
J'essaie d'hypnotiser moi-même la malade et j'y réussis au bout de 10 minutes par le procédé de la fixation de ses yeux, de l'a
'invincible somnolence ; elle en sortit cependant au bout de quelques minutes . Putz renouvela sa tentative une demi-heure après
ue le proprétairc du café et sa femme essayèrent en vain, pendant dix minutes , de lui faire reprendre ses sens. Effrayés, ils a
ifeste immédiatement tous les signes de la terreur; s; je lui dis une minute après que c'est un colibri, il l'admire et le car
a position qu'elle occupe ; cet état dure de quelques secondes â deux minutes environ, puis une inspiration profonde indique qu
otisation pendant toute la durée de l'opération qui fut environ d'une minute et demie. A maintes reprises, j'avais vu faire
isant un ramage tel que tous les malades se sont plaints. » Plusieurs minutes après, je le réveille. Il se frotte les yeux, cro
imanche, afin qu'ils soient un peu moins sales, on leur accorde vingt minutes ! Or, il n'est personne ayant quelque souci de la
Une demi-heure sera accordée pour les soins de la toilette ; quelques minutes prises sur celte demi-heure pourront, dans la bel
te forme, de toute ligure, que nous voyions se développer en quelques minutes sur tous les points parcourus par l'instrument.
Cette rougeur diffuse constitue le premier temps du phénomène. Deux minutes après. la lettre ou l'inscription commence à para
qui m'a prêté gracieusement son concours ; elles ont été faites cinq minutes après le tracé, et n'ont été ni exagérées, ni ret
ve de sensation de chaleur ou de picotement : et après quatre ou cinq minutes écoulées, l'inscription apparaît dans tout son re
ituels: aucune saillie ne se montra sur l'avant-bras droit. Après dix minutes d'attente, la bande d'Esmarch fût enlevée, peu à
eu la cyanose disparut, et l'inscription, restée fruste pendant vingt minutes , se montra en reliefs égaux sur les deux bras.
si supprimer ses vomissements. Après l'avoir fixée pendant cinq à six minutes , avec l'idée ferme de l'endormir, elle ferma spon
s traînées rouges, qui devenaient saillantes et boursouflées quelques minutes après. - Conduit par la nature de ce phénomène,
es lignes irrégulières, que nous vimes apparaître en l'espace de cinq minutes , en reliefs autographiques assez saillants pour q
aussitôt d'endormir mon malade par la fixation du regard. En quelques minutes , il arriva au sommeil hypnotique, avec anesthésie
malade. Il s'y soumet avec la plus grande docilité. En moins de deux minutes , il tombe dans un sommeil profond. Dans cet état,
ler à son secours, mais n'a pu la ramener sur la berge qu'après vingt minutes de recherches. Ce qui rend cet accident tout à
où il toucha la porte du poêle, qui n'avait pas été allumé. Quelques minutes après, il fut possible de constater une rougeur s
45 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
outtes sciatiques, dont une guérie en une seule magnétisation de cinq minutes . « 5° Deux pertes sanguines abondantes, accompa
le magnétisme dans les parties que je touchais; enfin, au bout de dix minutes , le malade ferma les yeux et tressaillit par tout
st dans son état normal. 20 mars. — Pouls, 98; respiration , 18 par minute . Cet homme devra être magnétisé tous les jours, u
. Son pouls était de cent huit, et sa respiration de vingt-quatre par minute . mars. L’opération a eu lieu en présence de bea
e la femme, ni la plus légère contraction sur ses traits. Environ dix minutes après que tout fut terminé, je la réveillai, elle
é, il dit qu’il n’avait pas même été troublé par un rêve. Environ une minute après son réveil, il dit quil sentait quelque cha
e la vider. Les feuilles alors se confondirent, mais dans moins d’une minute elles reprirent leur forme de la manière la plus
une sonde dans la vessie, on le maintint dans cette position quelques minutes , 011 la retira, et le malade fut recouché. Lorsqu
ubis-. Le 17. On le piqua presque partout le corps pendant quelques minutes . La tumeur fut découverte, et rejetée,par une sec
uai, ce fut sur une dame que j’entrançai pour la première fois en dix minutes , dans l’espoir de la soulager d’un mal de tête ne
sentait beaucoup de force. Je plaçai mes doigts devant ses yeux, une minute ou deux, et elle s’endormit de nouveau. Elle do
me sous l’influence d’uu rêve pénible, et lorsqu’il s’éveilla, peu de minutes après, il dit qu’il n’avait été troublé par rien
ppareil, avec la batterie portée au troisième degré, pendant quelques minutes . On l’assit sur son lit, et on le renversa soud
artères. Je dis à l’élève de continuer à le mesmériser, et en peu de minutes il fut entrancé de nouveau. Une demi-heure après,
ne vive souffrance. Je le fis aussitôt mesmériser, et en moins de dix minutes , il fut rendormi profondément. A ce moment, le Dr
u deuxième degré, puis au troisième, chaque fois pendant environ deux minutes et demie, sans manifester les moindres mouvements
rofondément entrancé, il fut piqué partout le corps pendant plusieurs minutes , et sa tumeur fut plusieurs fois secouée avec for
s. Elle devient insensible, et écume. Les attaques durent environ dix minutes , et reviennent généralement deux fois par mois. L
e. « Du i'r lévrier. Venue à huit heures; mesméri-sée quarante-cinq minutes . Je 11’y pus rester, à cause d’un tremblement et
mois , généralement aux changements de lune; ils durent environ dix minutes , après quoi il reste insensé pendant huit ou dix
, la nuit dernière, avec de fortes convulsions, durant h peu près dix minutes . 11 s’en est suivi de la pesanteur et de la doule
apparu. Du a3. Un accès est survenu la nuit dernière, il a duré six minutes , avec de violentes convulsions, mais il n’a été s
venue. Du 11 mai. Un accès a eu lieu à onze heures, il a duré cinq minutes avec convulsions, mais 11’a été suivi d’aucun mal
ied droit. Point de sommeil. Une magnétisation locale de vingt-cinq minutes calma la douleur, la lit changer de place, et end
, où elle est plus vive. Magnétisation générale et locale de trente minutes , qui amène le sommeil. Le troisième jour le mie
aussi en catalepsie. 11 la magnétisa immédiatement, et après quarante minutes d’action, il lui dit : « Joignez les mains , et p
nt ; il était sans connaissance, et cette syncope dura quatre ou cinq minutes . Il n’avait aucun souvenir. I ne jeune femme es
en voici les motifs. Je le magnétisai de nouveau, et au bout de vingt minutes de magnétisation environ, la douleur de l’é-pigas
s douleurs à l’épigastre et aux jambes avaient reparu depuis quelques minutes seulement, ajoutez à cela un tiraillement dans to
e et du tronc, ainsi que de faibles tremblements. Au bout de quelques minutes , trois ou quatre en moyenne, ils sc penchent fort
cité était telle, qu’il supporta l’action de la machine pendant trois minutes sans s’éveiller. Troisième Observation. Khêtu
re des vaisseaux : point de sentiment. Réveil spontané au bout de dix minutes , ignorance absolue de ce qui s’est passé. Seizi
ortement les mamelons, et on le piqua avec le scalpel durant quelques minutes . Pour plus de sécurité, oq lui mit dans la main u
phosphorescente fut sensible, puis remplacée, après le délai d’une minute , par le développement le plus puissant et le plus
u s’animer, s’agrandir et briller d’un éclat très-vif. Après quelques minutes , et lorsqu’il eut jugé que ce jeune homme était s
ent l’irriter, à en juger par scs sifflements. Pendant environ quinze minutes , le vieillard continua sa manœuvre, marchant, tou
fflements, et qu’elle mordit. Le poulet expira dans l’espace de trois minutes : quant à l’homme, elle n’essaya pas même de l’at
es ; alors il tenta de me frapper, et m’injuria avec fureur. Quelques minutes après, je lui jetai de l’eau froide sur les yeux,
presque aussitôt. La circulation resta une demi-heure suspendue : une minute de plus lui aurait peut être été fatale. Vingt-
ssion, simplement appliquée. Notez bien ceci; c’est important. Cinq minutes , dix minutes, un quart d’heure, c’est long en mag
ment appliquée. Notez bien ceci; c’est important. Cinq minutes, dix minutes , un quart d’heure, c’est long en magnétisme, dans
st long en magnétisme, dans une semblable perplexité. — Rien. — Vingt minutes , vingt-cinq minutes; mon homme se tourmentait....
e, dans une semblable perplexité. — Rien. — Vingt minutes, vingt-cinq minutes ; mon homme se tourmentait..... et rien. Les vom
paroles, mais de l’efficacité de mon pouvoir. A peine, cependant, une minute écoulée, il tressaille, son visage s’altère, ses
insérée clam en Jnnrnal, lome Y, page 76. 1ü“ Envie d'uriner de dix minutes en dix minute», ou rétention pendant douze heures
Jnnrnal, lome Y, page 76. 1ü“ Envie d'uriner de dix minutes en dix minute », ou rétention pendant douze heures, cl quelquefo
-riseur; aussi l’occupation l’altend-elle pour lui disputer jusqu’aux minutes comptées de ses repas. J’ai été témoiu d’une pa
NS E. Première assemblée générale imnueHe. (Suite.) Extrait des Minutes du Greffe de la Cour d'appel de Paris. La Cour
va se produire, et de ne point interrompre, quoiqu’il arrive. A deux minutes de là, la face du patient s’altère, il éprouve di
nés de succès; le pouls, qui donnait i5o, jusqu’à 200 pulsations à la minute , s’est ralenti ; la fièvre s’est calmée, le somme
46 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
echerches de M. Léger, Je succès était complet au bout de la première minute . On (toit, d’ailleurs, comprendre qu’avec cette f
ue j’avais vu faire il y a plusieurs mois, j’essayai pendant quelques minutes de ce dernier moyen. Peu à peu , M. M... rouvrit
nterrompue par des accès de catalepsie parfaite qui duraient quelques minutes ; mais out aussitôt elle recommençait... Pendant s
3‘ (Note de la Rédaction.) ^ H Je redoublai d'ardeur, et quelques minutes après, je le vis pâlir, crisper les muscles de so
-être. Vois, ta vue seule m'a rendue plus calme, u En effet, quelques minutes après , elle parut soulagée. u Immobile de surp
s passes locales. L’effet eu fut des plus merveilleux, puisque peu de minutes après il s’endormit tranquillement. «Ayant cont
nce par des coups produits le plus souvent dans le vide , et quelques minutes plus tard, à peine le sujet tend-il à s’endormir,
e me dit de poser les mains sur la poitrine du patient pendant quinze minutes , pour faire descendrel’Aumeurqu’elle voyait dépos
aient de la nature la plus violente; elles duraient de quinze à vingt minutes et étaient-suivies d’une demi-heure environde som
es d’un sentiment de malaise inexprimable, s’annonçaient, environ une minute avant leur irruption , par cette sorte de sensati
es membres convulsés, et je voyais alors disparaître en moins de deux minutes ces attaques qui d’abord se prolongeaient au-delà
ce de ma volonté, je voulus fermement, magnétisai, et,'«« bout de dix minutes ,-ainsi que le constata le médecin présent,—l’enfa
a mère qui, après s’être un peu reposée, recommence à magnétiser. Six minutes ne se sont pas écoulées, qu’on voit apparaître, m
plus prompts et plus nombreux dans un aussi court délai. Trente-cinq minutes à peine furent consacrées à ces expériences. La p
jeune homme d’une force herculéenne; après l’avoir magnétisé si\ minutes , benqu il no parut point sensible, je le priai de
tement une dame anglaise, âgée de trente-cinq à quarante ans ; quatre minutes me suffirent pour éteindre la sensibilité; bientô
ndit-elle, je n en suis pas bien sûre... Après un silence de quelques minutes , elle reprit : Ah ! encore une tempête... Oh ! ma
lement négociant à Beaucaire, fut magnétisé complètement en cinquante minutes ; il ne put devenir lucide , mais il réussit cepen
s quelque hésitation, sur les instances du pharmacien. Au bout de dix minutes , à sa grande surprise et presque à son effroi, el
s muscles du cou et du bras gauche. Guérison complète opérée en vingt minutes . Juillet. Mademoiselle .V., deNicderad, près
ieurs fois par mois et déjà ancienne. Une légère magnétisation de dix minutes amena un commencement de somnolence et la cessati
e année. Quelques passes magnéti-i ques prolongées pendant huit à dix minutes , jointes à quelques autres moyens magnétiques , a
nse et périodique qui disparaît comme par enchantement au bout de dix minutes . Août. Mademoiselle L. Perrenaud. Douleurs d’
le répondit qu’elle allait tâcher d’aller jusque-là, et deux ou trois minutes après, elle dit : « C’est un peu loin , mais enfi
ous le priâmes de lire dans ce livre ainsi renversé. En deux ou trois minutes , M. Benaud lut ou plutôt épela une phrase de deux
mandant quelle heure elle marquait; il nous répondit une heure et dix minutes . Alors seulement nous regardâmes le cadran : ce n
seulement nous regardâmes le cadran : ce n’était pas une heure et dix minutes , mais onze heures moins dix minutes, chiffres pla
: ce n’était pas une heure et dix minutes, mais onze heures moins dix minutes , chiffres placés dans des positions symétriques,
nné au cocher de prendre une autre direction, et, au bout de quelques minutes , on me faisait entrer dans un salon rempli de ino
x de dents, névralgies, etc. : le temps que j'y emploie varie de cinq minutes à trois quarts d'heure, d BIBLIOGRAPHIE. LE
anlable. C’est ce qui arriva dans le cas présent; après deux ou trois minutes .de concentration, sans distraction, je sentis les
t : «Oh! que c'est bon, que c’est bon, merci ¡»Elle devint calme à la minute . — Mais, lui dis-je, quand de pareilles crises
me a rendus à la justice, par la découverte de crimes. Après quelques minutes de délibération du tribunal, M. le président pron
. A la fin de chaque séance (dont la durée était d’environ quarante minutes ), elle se levait et allait dans l'appartement che
lus loin : j’ai entendu plusieurs fois sonner l’horloge deux ou trois minutes d’avance : celle du Dijonval, celle de la paroiss
Dijonval assez distinctement pour compter les heures ; deux ou trois minutes après l’horloge sonnait réellement, et l’on voyai
ndant une heure et plus; chaque fois on appliquait les mains quelques minutes de suite. Le résultat fut toujours à. la confusio
fet on allait être témoin d'un acte vraiment imposant. A la dixième minute , les deux dormeuses se levaient én même temps, ma
ins, fut prise d’accidents nerveux; il y eut, pendant quinze ou vingt minutes , perte de connaissance, puis mouvements convulsif
re; puis il est devenu tout à fait calme. J’opérais de trois à quatre minutes , surchaque faculté, par jour, pendant un mois. Pa
s encore dans le sein de leur mère : six ou huit magnétisations d'une minute suffiraient pour obtenir le résultat. Dans ce cas
oppé : ceci ne doit point effrayer ; cinq ou six magnétisations d'une minute , de deux jours en deux jours, suffisent pour le r
volonté et le regard seulement, je me mis à agir mentalement. « Dix minutes , un quart d'heure se passèrent sans obtenir de ré
er Iressalllement flefveux la saisit, elle ferma les yeux pendant une minute environ, puis les rouvrit aussitôt. Pour dissiper
entis ému. Cependant je pris les mains de la dame; et, après quelques minutes , car mon imagination galopait sans relâche, je pa
elle expectorait abondamment.’ Après que je fus resté à peu près deux minutes dans la Zambie, en imposant mes mains sur la mala
aient la fin de l’accès , qui durait ordinaiiement de quinze à trente minutes . Après l'accès, la physionomie conservait longtem
ondante, mais régulière. « Le 12 août, un jeudi, un accès de trente minutes se déclara à la suite d’une frayeur. Depuis ce mo
te réponse, la malade demanda une demi-heure de sommeil. A peu près 5 minutes avant la demi-heure révolue, je voulus la réveill
voulus la réveiller. Elle prétendit qu’à ma montre il manquait quatre minutes et demie pour que la demi-heure fût complète ; je
rait un accès à 9 heures du soir. Enfin elle demande un sommeil de 20 minutes . Au bout de 18 minutes je voulus la réveiller ; e
s du soir. Enfin elle demande un sommeil de 20 minutes. Au bout de 18 minutes je voulus la réveiller ; elle me dit qu'elle avai
inutes je voulus la réveiller ; elle me dit qu'elle avait encore deux minutes à dormir. « A minuit, survint un accès très-for
ucoup de personnes autour d’elle la fatiguent ; enfin elle demande 20 minutes de sommeil. « Après son réveil, la malade va à
re-coupée des hystériques. — Nous la laissons dans cet état pendant 6 minutes environ, pour observer l’accès, et observons que,
orps dur. — L'ayant assise sur une chaise pour la magnétiser, après 5 minutes de passes, elle est endormie. a Première questi
e certaine anxiété l’effet de la formule magique, Au bout de quelques minutes , on entendit une voix étrange qui semblait venir
opéré d’un abcès qui avait exigé une incision importante. Dix à douze minutes après l’opération , l’insensibilité durait encore
es conditions, elle n’éprouverait pas les effets. Après dix ou quinze minutes de cette énergique concentration de l’esprit, pro
tombe à droite ou à gauche de l’obstacle. S’il lui dit de dormir une minute , de siffler, etc., l'effet a lieu aussi régulière
s que lui-même la fixe avec la plus grande intensité. Au bout de cinq minutes environ, M. Lewis fait des passes et certains ges
e à épée qu’il brandissait dans tous les sens; Au bout de cinq ou six minutes d’un silence obstiné, une interpellation nouvelle
47 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
t il tomba dans le Rhône, où il - resta la tête sous l'eau quelques minutes , les jambes prises sous la terre éboulée; on le
it au traitement suivant : ' . a. Tous les jours, une' séance de 15 minutes d'électricité, courants intermittents (pile de
e éléments) le long des muscles. ' . Bains sulfureux (durée de 20 minutes ), tous les deux jours. c. Régime tonique, huile
Elles se reproduisent, identiques entre elles, au nombre de 300 par minute . Elles se font d'une façon simultanée à la cuisse
tremblement dont les oscillations se répètent environ 160 fois par minute . » M. Germain Sée3, dans une leçon sur la choré
et qu'elle est incapable, pour cette raison, de conserver quelques minutes consécutivement. Ces douleurs sont réveillées
i- gineuse ; il serait restéimmobile, la bouche ouverte pendant une minute environ. A partir de cette époque les crises se
Ler... Augustine. inscrite avec le pneumographe de Marey pendant 4 minutes consécutives (11 août 1888). -'Amplitude du levie
RIQUES. 101 difié et la respiration ne s'effectue pendant plusieurs minutes consécu- tives que par bâillements seuls ou par
Sur la figure 37, le mode respiratoire a été inscrit pendant quatre minutes consécutives. Pendant les deux premières minutes,
rit pendant quatre minutes consécutives. Pendant les deux premières minutes , représen- tées par les deux lignes inférieures
nes inférieures (la figure représente 32 secondes de chacune de ces minutes ), la respiration normale est remplacée par des
normale est remplacée par des bâillements. Pendant les deux autres minutes (voir les deux lignes supérieures), des secouss
suivant (fig. 39), représente la respiration de la malade pendant 8 minutes consécutives (chaque ligne correspond il 32 secon
cutives (chaque ligne correspond il 32 secondes de chacune de ces 8 minutes ). Il montre que la respiration s'effectue uniqu
et 9 secondes. Il existe en moyenne de sept à huit bâillements par minute . - Le pouls est régulier mais peu fré- quent, c
ouls est régulier mais peu fré- quent, cinquante-six pulsations par minute , aussi bien avant qu'après l'inscription du tra
e ou deux heures. Elle présente souvent du délire, pendant quelques minutes , au moment où elle se réveille.. Depuis quelque
FIG. 30. - ncspilalion costa)es))perioredoLor...in9critependant8 8 minutes consécutivos (1er sep- li' tembre 1888). Amplit
e du levier au minimum. - Chaque ligne représente une fraction de ' minute de 32 secondes (une demi-grandeur naturelle), ,
aturelle), , 1 10-1- NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. 5 minutes consécutives (chaque ligne reproduite ici corresp
que ligne reproduite ici correspond à 49 secondes de chacune de ces minutes ). Il existe encore quelques bâillements séparés
Ces bâillements sont régulièrement espacés, au nombre de douze par minute , tout au moins pendant la durée de notre examen ;
« A l'origine, dit M. Charcot, elle bâillait environ huit fois par minute , 480 bâillements par heure, soit 7,200 en quinz
tolérance. Certains malades supportent assez facilement une à deux minutes de suspension ; puis surviennent des bourdonnem
xemple, l'as- surance au malade qu'il n'est suspendu que depuis une minute ou une minute et demie, nous avons pu faire tol
surance au malade qu'il n'est suspendu que depuis une minute ou une minute et demie, nous avons pu faire tolérer les trois m
inute ou une minute et demie, nous avons pu faire tolérer les trois minutes , terme moyen de la suspension suivant le poids
examiné à différentes reprises, ne dépasse guère 80 battements par minute , même dans les moments d'excitation : il n'exis
ertébrale. 17 décembre. - L'électrisation a été faite pendant vingt minutes avec la pile d'Onimus ; le pôle positif est app
loureux pendant le passage du courant; ces élancements durent vingt minutes à une demi-heure après la séance (Note de M. Bo
gauche a monté de 33° à33°6. L'application des courants a duré dix minutes pour chaque main. Les courants continus étaient
e, 21°8; main gauche, 33°8. L'application des courants a duré dix minutes pour chaque main. Pendant l'application des cou
. Jamais il n'est tombé pendant la crise, qui au bout de huit à dix minutes cessait comme par enchan- tement. , Le malade
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. pointes doit èlrc laissée deux ou trois minutes en place pour que le malade perçoive le frémiss
tinue, mais éclate par accès; ces paroxysmes durent de dix à quinze minutes et se renouvellent plusieurs fois par jour. E
nd trois fois par semaine; les séances durent trois, quatre et cinq minutes , eton ajoute un poids de kilogrammes au membre
48 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
le, qui chez le plus grand nombre des malades dure seulement quelques minutes , peut, sans perdre ses caractères essentiels, s'é
de chatte, elle la pousse, la roule et la fait sauter. Deux ou trois minutes après, sa respiration devient un peu bruyante ; e
sachant ce qui vient de lui arriver. L'attaque avait duré cinq ou six minutes environ. La crise de la Salpêtrière avait été p
lui, très étonné de trouver son foulard autour de son cou. Durée : 10 minutes environ. Il dit ne se souvenir de rien, ne compre
obes oculaires. Le résultat se fait attendre un peu plus longtemps (2 minutes ) mais il est exactement le même. Même période de
l revient à lui spontanément sans avoir annoncé son réveil. Durée : 7 minutes environ. Son teint est un peu animé, sa face un p
il se recouche, ouvre les yeux et c'est fini. Cela a duré environ 20 minutes . On voit que la crise spontanée présente absolu
quarts d'heure, et le lendemain une autre qui dura une heure et vingt minutes . Dans ces longues attaques, le fond du délire res
op chatouilleuse sous les bras (elle rit aux éclats pendant près de 5 minutes ). « .....Au feu ! Au feu ! Voilà toute la maiso
tête et les bras, puis elle reste immobile et inerte pendant quelques minutes )..... « ..... Oh ! tous ces cafards, toutes ces
e à bras, quand tout à coup il perdit connaissance et tomba. Quelques minutes après, en revenant à lui, il s'aperçut qu'il avai
a transition de la santé à la maladie se fait rapidement, en quelques minutes , d'une manière insensible, sans convulsions, sans
e quelqu'un qui sommeille. Tout cela n'avait peut-être pas duré une minute , mais l'apparition de ces phénomènes convulsifs,
ait sa confession générale. Cette tirade dure environ trois ou quatre minutes . On l'interrompt en piquant avec une épingle le
Voyez planche II, Fig. 1). Etant dans l'état de veille, il a mis sept minutes à écrire avec difficulté ces quatorze vers. Comme
ous écrire « La fête des morts », il s'exécute facilement et en trois minutes il trace d'une main ferme les lignes suivantes, q
u Lieu de fond. Enfin, tandis qu'à l'état de veille il avait mis sept minutes à écrire ces quatorze vers d'une façon incorrecte
écrire ces quatorze vers d'une façon incorrecte à tous égards, trois minutes lui avaient suffi dans son somnambulisme pour acc
avait à faire sur elle un rapport médico-légal) qui s'endort « en une minute , et présente dans son sommeil hypnotique les même
t, en général, assez courtes. Elles ne durent guère que cinq à quinze minutes . Ce sont les mêmes phénomènes de commencement d
les questions qu'on lui pose. Cette première phase dure dix à quinze minutes et l'auteur a constaté, pendant sa durée, la prés
, chante, gesticule. Cette période, dont la durée est de dix à quinze minutes , peut manquer dans quelques-unes des attaques.
sommeil profond, dont rien ne peut la tirer et qui dure deux à trois minutes ; puis elle s'éveille. Mais elle est différente de
C'est dans ces conditions qu'on l'amena à la Salpêtrière. Quelques minutes après son admission, je la pris avec moi dans le
née, durer environ une heure. En moyenne elles sont à peu près de dix minutes . J'ai étudié moi-même l'état A, non seulement d
un général romain et celle-là une reine d'Egypte. Au bout de quelques minutes , l'état B étant revenu spontanément, elle a perdu
voqué est généralement très court et ne dure guère plus de cinq à dix minutes . Nous n'avons jamais pu, par des suggestions réit
nouvelle était fausse, mais le coup était porté et lorsque, quelques minutes après, on ramena le mari, elle tomba dans un état
elle. A peine conserve-t-elle le souvenir de l'impression pendant une minute et puis tout s'efface irrévocablement, qu'il s'ag
ents qui se succèdent. L'impression, vous disais-je, dure à peine une minute , puis s'évanouit et ne peut être rappelée. Eh bie
it survenue sans motif, sans prodromes, et n'aurait duré que quelques minutes , ainsi incluse entre deux intervalles de raison p
l'avoir déshabillée on la transporta sur un lit. Là, quinze ou vingt minutes après le début de cette crise convulsive, l'agita
es embrassa, mais ce retour à la raison fut tout à fait éphémère; dix minutes après, le délire hallucinatoire reparaissait avec
ce qu'elle a fait ce matin, ce qu'elle vient de dire et de faire à la minute , et que l'oubli des faits actuels se fait presque
présente s'est beaucoup élargie : au lieu de garder les souvenirs une minute ou deux, comme elle faisait autrefois, elle les g
nts de dents sans grands inconvénients, le tout durant de trois à six minutes . Ces attaques étaient quotidiennes. PJus tard, el
e lourdeur. S'il appuie un instant, ses bras restent pendant quelques minutes « comme morts ». 11 se plaint surtout d'une név
ations rapides et courtes avec des intervalles de calme de cinq à six minutes . Depuis cette époque, ces crises de douleur se
e. Les mouvements respiratoires sont très accélérés (vingt-trois à la minute ). Pouls = 150. Le 2 mars, la congestion a envah
onvulsions prédominant à droite, morsure de la langue. Durée : 2 ou 3 minutes . Se répète tous les mois. Aura : Secousse brusq
e en quatre ans, avec un intervalle d'un an. Aura: Pendant les cinq minutes qui précèdent la crise, vision de carreaux lumine
Dans nombre de cas il est impossible de poser ex abrupto, en quelques minutes , un diagnostic positif. On fait alors revenir à l
ensiblement tous de même durée. Nous en avons compté environ 140 à la minute , soit 24,000 en douze heures. Cela constitue, vou
n est précipitée, peu profonde: on compte environ 56 respirations par minute . Mais cette précipitation n'entraîne aucune gêne
ux ou trois fois de suite, et il se reproduit environ trente fois par minute , toutes les deux secondes. Il rappelle assez bien
fléchit quand il travaille et garde cette attitude pendant plusieurs minutes , parfois pendant quelques heures. Depuis un an
49 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
t, comme le jet de vapeur d'une locomotive, comptant au moins 100 par minutes ; la fece était terriblement pâle et anxieuse: le
d normal devenant de plus en plus fréquent et faible, plus de 160 par minute ; une douleur atroce l'étreignait à la région prœc
était une impression comme le silence de la mort. Puis après quelques minutes , sa face exprima un nouvel étonnement anxieux: «
une mort certaine. Depuis 18 mois, elle n'avait pas marché plus de 3 minutes de suite, le mouvement de la marche exaspérant se
econde semaine, je m'aperçus qu'elle pouvait rester éveillée quelques minutes et pendant la troisième septénaire on parvint à l
on, à l'état de veille, en concentrant leur attention pendant . 1 à 3 minutes , à réveiller en eux le souvenir de ce qui s'est p
ès. Il m'arrive souvent d'enrayer ainsi instantanément ou en peu de minutes les crises d'hystérie qui se développent en ma pr
; vous verrez marcher les aiguilles : celle des secondes, celles des minutes et celle des heures comme elles; doivent marcher.
première séance, facilement hypnotise par suggestion. Au bout de deux minutes , il est déjà profondement endormi. Comme il pas
de nouveau depuis deux mois lorsqu'on nous fûmes appelé a Mouy. Cinq minutes après notre arrivée, la malade parlait et depuis
re passe sur son front, elle disparait sans bruit et, au bout de cinq minutes , on la voit revenir l'œil brilla::; et .a figure
misérable vient de m'empoisonner, » Effectivement il mourut quelques minutes plus tard, avec tous les symptômes de l'empoisonn
, j'essaie la fascination par la fixité du regard qui dure pendant 35 minutes sans résultai, puis la friction des globes occula
igner ainsi l'état vague dans lequel elle est demeurée pendant 4 ou ^ minutes . Jusqu'au 20 déc l'hypnotîsation par les procéd
ntractions utérines répétées à intervalles réguliers pendant 10 ou 1* minutes exactement comme si elle était en travail d'enfan
les contractions se succèdent régulièrement et trèssoutcnues.a 70U S minutes d'intervalle, à une heure 1 anouuelessai 1}. Ch
uleurs, pour obtenir l'apparition des contractions à intervalle de to minutes , cette suggestion s'exécuta jusqu'à deux heures.
e contractions utérines 1res soutenues et renouvelées de deux en deux minutes ce qui a lieu jusqu'à 5 heures 1 2 du soir. A ce
rceau a un gros garçon de 5.100. La délivrance s'est effectuée cinq minutes après. La contraction de l'utérus a été si complè
talement supprimé pendant près de 1 /2 heure ; il n'y avait pas trois minutes que le placenta et les membranes étaient retirées
quelquefois instantanément, d'autres fois dans l'espace de huit a dix minutes , un état de sommeil spécial et progressif qui dif
chiens jeunes et sains, soumis à la compression oculaire pendant huit minutes :r.-tiron : 1° Des tremblements musculaires ver
: 1° Des tremblements musculaires vers la troisième ou la cinquième minute : 3° Une atténuation de la sensibilité extérieure;
faire tamponnement, je résolus d'essayer l'hypnotisme. En une ou deux minutes je réussis endormir Mme C... et lui sug-gérai que
connaissance, comme cela arrive dans le petit niai. Puis, une ou deux minutes après, elle ouvrait les yeux et communiquait libr
un carton que la balle venait de perforer. « Eu moins d'un quart de minute , je suggère àMM G... l'idée de tuer M. M... d'un
au des poignets une légère compression pour déterminer en moins d'une minute tes phénomènes anormaux que nous allons décrire.
feste immédiatement tous les signes de la terreur ; si je lui dis une minute après que c'est un colibri, il l'admire et le car
s. les douleurs ont reparu; elles sont fortes et se répètent à chaque minute . La femme est très excitée, crie, pleure, réclame
qui paraissaient assez fortes, revenaient toutes les trois ou quatre minutes . A la palpation de l'abdomen, je constatai une
ression des globes oculaires et la suggestion verbale, parvint en une minute , à endormir la patiente. Ses paupières étaient cl
rise et démoralisée.— J. D. régulièrement an bont de trois à quatre minutes et leur durée était aussi longue qu'avant le somm
. Je lui dis qu'il pouvait essayer et les commander toutes les quatre minutes . A partir de ce moment et montre en main, nous pû
ousser comme auparavant, qu'elle aurait des douleurs au bout de trois minutes , mais qu'elle ne les sentirait pas. La dilatati
languissaient, obéirent à la suggestion et revinrent toutes les trois minutes . Au moment où le muscle utérin commençait à se du
plus en plus (I). La délivrance se fit sans encombre, moins de dix minutes après la sortie de l'enfant et sans que la femme
dilaté et les douleurs revenaient environ toutes les quinze ou vingt minutes ; dans l'intervalle des contractions, elle se lev
iter la sortie par des manœuvres. Le placenta suivit au bout de dix minutes . La malade, ayant recules soins antiseptiques que
que je donnai à la malade une dose de 50 centigr. de chloral. En dix minutes le sommeil fut profond. Je donnai la suggestion q
lendemain nouvelle administration de chloral. Sommeil obtenu en cinq minutes . Alors je suggérai que le chloral n'était plus né
vant, sans chloral, rien que par suggestion, il y eut sommeil en deux minutes ; et les autres jours sommeil instantané. M. Be
us. Elle consent, fixe la montre, mais les douleurs revenant à chaque minute , l'empêchent de fixer, alors je fais l'occlusion
st une affaire de quelques secondes ponr la plupart des sujets, d'une minute on deux à peine pour quelques récalcitrants. Ceux
ur la nuit. Vous allez dormir d'un sommeil très calme, et en quelques minutes vous serez délivré ». Quelques-uns commencent d'e
elle commença à huit heures du matin par un sommeil qui dura quelques minutes ; au réveil, il ressentit une secousse, puis perdi
les sur des sujets futiles, ressassant les mêmes histoires à quelques minutes d'intervalle, s'emportant quand on lui en faisait
t état A ne dure pas longtemps et, au bout d'un quart d'heure à vingt minutes , elle a une tendance invincible à retomber dans l
tement compte de la façon dont sa chute est arrivée. Mais environ dix minutes après, son père l'avant conduit à pied dans une m
te, et que Philippe X... n'a tu se manifester !'amnosic que huità dix minutes après l'accident. a L'amnésie rétrograde peut d
en devenant raide. Le sommeil ne dure que très peu de temps (quelques minutes seulement) si on la laisse tranquille; mais si de
goisse qui n'était assurément pas simulé. Elle resta pendant quelques minutes dans ce semi-état d'engourdissement et se plaigni
allais l'endormir et que j'allais les lui faire disparaître. En une minute , elle fut hypnotisée d'après la méthode ordinaire
50 (1911) La pratique neurologique
entement, la dilatation pupillaire ne reparaît qu'au bout de 1 à 10 minutes . Ce trouble réflexe pupillaire ne s'est vu, rar
n ptosis plus ou moins complet. Elle marche par accès qui durent 10 minutes environ. Gerlier en observa une épidémie. Le pt
ôt continu, tantôt intermittent, il survient par crises de quelques minutes , provoquées ou exagérées par l'exci- tation lum
Tous ces symptômes surviennent par accès qui durent de une à dix minutes ; les accès se reproduisent en série pendant deux
les à ceux de l'hémorragie cérébrale, précédant l'accès de quelques minutes à plusieurs jours, con- sistant en céphalées, v
oute influence traumatique ou epileptique. L'accès dure de quelques minutes à un quart d'heure, rarement quelques heures ou
e quelques convulsions épileptiformes. L'accès ne dure que quelques minutes , mais il peut se répéter plusieurs fois dans une
té pendant le sommeil. La durée de ce dernier peut être de quelques minutes à plusieurs mois, à plusieurs années. Il se man
)" Intermittence des phénomènes : pendant un certain laps de temps ( minutes , heures ou même jours), le sujet parlera sans b
ordonnés n'aura pu être exécuté, nous lais- serons écouler quelques minutes puis nous exécuterons nous-même cet acte en fai
ravers le linge humide des fric- tions sur la peau pendant quelques minutes , puis le malade sera entouré par un drap sec. L
édative. D'après Beni-Barde une douche prolongée durant cinq à huit minutes sur les côtés de la colonne vertébrale diminue
progrès ; ils disparaissent complètement après un repos de quelques minutes . Ce sont les signes avant-coureurs d'une paralysi
rottent avec énergie le côté affecté ; ces accès durent de quelques minutes il un quart d'heure et parfois davantage; certa
orte la main à son visage, la douleur dure quelques secondes ou une minute , puis cesse brusquement. Dans la névralgie épi-
s pendant son séjour a l'hôpital, fut examiné par nous moins de dix minutes après l'apparition de l'hémiplégie. Le phénomèn
ect (et de nature) tout à fait hémiplégique qui peut durer quelques minutes ou quelques heures après les convulsions; il pe
être fort instable. Il reste parfois immobilisé ainsi d'une à deux minutes . Cette myotonie est toute la maladie, et le spasm
aussitôt, c'est-à-dire dans un délai de quelques secondes ou d'une minute au plus, il ne peut se retenir plus longtemps e
es mouvements respiratoires, la malade avait 4 à 5 respirations par minute . J'ai décrit, avec Guy Laroche, une forme apnéiqu
osée; finalement, après un temps variant de quelques secondes à une minute ou même plus, la respiration se rétablit plus o
composées d'un certain nombre d'exercices d'une durée de quelques minutes suivis de repos; elles seront répétées deux ou tr
er se prolonge, inextinguible, pour se reproduire par- fois à toute minute . La face devient souvent rouge, vultueuse, le tho
es paraly- tiques. D'ailleurs, chaque accès dure peu, de une à deux minutes ; mais les crises peuvent se renouveler pendant
s toniques, bientôt suivies par le stade clonique. Après une à deux minutes , stertor qui termine l'attaque. Le patient épui
sensible reste dans la torpeur, il ronfle. Puis au bout de quelques minutes , d'une demi-in'ure et quelquefois davantage, on l
respiration qui paraissait se composer de 90 à 150 expirations à la minute était, en réalité, composée d'une série d'actes
nière intermittente et sous forme d'accès pouvant durer de quelques minutes il quelques jours. La chorée arythmique est moi
ons se produisent par accès ou par intervalles qui vont de quelques minutes à '1/2 heure quelquefois. D'autre part les contra
s disparaissent plus rapidement aussi,. après des accès de quelques minutes à quelques jours; ils reparaissent parfois après
uvements cônvulsifs de salutation très rapides (20 à 50 et plus par minute ), mouvements se produisant par accès espacés, diu
seulement, puis un temps de plus en plus long, jusqu'à cinq ou six minutes . Ensuite les mêmes muscles tiqueurs devront res
.... Pendant ce stade, les séances ne dureront d'abord que quelques minutes , deux il cinq minutes, elles seront répétées ju
les séances ne dureront d'abord que quelques minutes, deux il cinq minutes , elles seront répétées jusqu'à 4 à C fois par jou
het : Le sujet est placé droit contre un mur. Pendant deux il trois minutes , il récite il haute voix une fable quelconque,
emple, une inspiration lente et profonde; pendant les deux ou trois minutes suivantes, il fait des inspi- rations longues e
e respiratoire en augmentant les inspirations (jusqu'à 50 ou 55 par minute ) par des exercices variés : montée et descente
u une éruption purpurique. L'oeclèmc peut se constituer en quelques minutes , plus souvent eu quelques heures. Il atteint de p
épasse alors les chiffres normaux; ces chiffres sont de 16 à 18 par minute chez l'adulte; 40 à 44 chez le nouveau-né; 28 à
utes les fois que le pouls battra chez l'adulte plus de 80 fois par minute , chez l'en- fant plus de cent fois. On sait en
effet que, chez le foetus, le pouls est de 150 à 140 pulsations par minute et que les battements du coeur se rapprochent c
. Ces douleurs procèdent par crises dont la durée varie de quelques minutes à plusieurs jours : dans ces derniers cas, elle
rême, se renouveller 50, 40 fois en 24 heures, parfois toutes les 5 minutes et demeurer incessants. La douleur est alors co
n augmentant progressivement l'intensité du courant pendant 5 ou 10 minutes . Les courants de haute fréquence ont aussi donné
S DE L'APPAREIL URINAIRE. de choix; on la fera bouillir pendant dix minutes dans un récipient où on la laissera jusqu'au mo
r le périnée, on l'ait passer un courant faradique pendant ai ou 10 minutes ; une dizaine de séances sont nécessaires pour la
inte des muscles respiratoires. Ces divers accès durent de quelques minutes à plusieurs heures; ils se reproduisent sans in
ient souvent. après le repas, et cela à heure fixe quelquefois, dix minutes , une demi-heure après. Elle est absolument exce
le sera rendue aseptique par l'ébullition dans l'eau, pen- dant dix minutes . Toutefois, il sera préférable d'avoir, dans un l
ou de stovaïne au centième. Avec la cocaïne, il faut quatre à cinq minutes avant d'obtenir une anesthésie; avec la stovaïn
un centrifugeur électrique; on fera la centnfu- gation pendant dix minutes au minimum ; 2° Le tube sera alors renversé, on
ues heures. 1 6° On fixe les préparations en les plaçant pendant 20 minutes au mi- nimum dans un mélange à parties égales d
du de moitié d'eau; on laisse la lame dans le mélange pendant 5 à 5 minutes , on décolore par l'alcool absolu jusqu'à ce que
tout d'abord dans une solution d'éosine à l'eau à 1 ? pendant cinq minutes , on la lavera à l'eau courante, on la plongera en
suite dans une solution d'hématéine ou d'hérnatoxyline pendant cinq minutes aussi, on lave ensuite à l'eau de fontaine pour
est complète qu'après un temps variable, de quelques secondes à une minute ou davantage, suivant les cas. Lorsque les couran
varie, suivant les cas, de quelques secondes à une demi-minute, une minute ou davantage; parfois, pendant que le muscle op
oins rapidement, et pendant plus ou moins longtemps (de plu- sieurs minutes généralement à un quart d'heure ou davantage) jus
;) on laisse passer le courant pendant un temps variant de quelques minutes il un quart d'heure, prolongé parfois jusqu'à u
e en haut et l'anode en bas ; on laisse passer le courant de 5 à 20 minutes , puis on le ramène progressivement à zéro. On p
tion, la direction du courant; après l'avoir laissé passer quelques minutes , 5 minutes par exemple, dans une première direc
rection du courant; après l'avoir laissé passer quelques minutes, 5 minutes par exemple, dans une première direction, on le
ulaire, l'électrisation ne sera pas prolongée au delà de une à deux minutes . Il suffira de renouveler l'élec- trisalion deu
secousses, et après l'avoir laissé passer un temps moyen de 5 à 15 minutes on le ramène progres- sivement il zéro. . Le
e 5 à ni. A., pendant un temps variant de une demi-minute il 2 ou 5 minutes sur chacun des groupes musculaires choisis. L
égion sous-épineuse. Un courant continu est établi pendant 10 il 15 minutes avec une intensité relativement assez forte, 10,
. La durée de chaque nleclrisation peut être comprise entre 5 et 20 minutes , plus rarement une demi-heure; il nous paraît s
cas on laisse passer le courant dans chaque direction pendant 5 ou minutes donnant à l'électrisation une durée totale de 1
ndant 5 ou minutes donnant à l'électrisation une durée totale de 10 minutes à une demi-heure. Ce dernier mode de traitement e
lacée sur la région cervico-dorsale. On fait passer pendant 10 à 20 minutes un courant continu auquel on donne une intensité
is que l'on change sa direction, et en le laissant passer de 3 it 5 minutes dans chaque direction. Lorsque les troubles p
çon que la durée totale de l'électrisation ne dépasse guère 20 à 50 minutes . Les séances de traitement peuvent n'être répétée
11. A. Après ces excitations on laisse généralement passer quelques minutes encore le courant, à l'état continu, en relevan
à ce traitement on limitera l'élec- trisation à une durée de 1 à 2 minutes en répétant les excitations à intervalles de 1
tes avec des courants d'énergie modérée, et prolongées de 1. à 2 ou minutes sur chaque muscle ou groupe musculaire soumis à
ons doivent être très modérées et assez peu prolongées-, une à deux minutes , par exemple, sur chacun des principaux muscles
lèvres. Sur chacun de ces points on fait passer pendant une à deux minutes un courant continu de 3 il 5 m. A. On peut empl
sur le menton ; dans ces conditions on fait passer pendant 10 à 12 minutes un courant de il 10 m. A., courant faible étant
, et la durée totale de l'électrisation est le plus souvent de à 15 minutes . ' . On a cherché aussi à agir plus directement
inférieur; sur chacun de ces points on fait passer pendant quelques minutes un courant galvanique continu avec une intensité,
de l'électrisation sur chaque muscle sera en moyenne de si. il 7.) minutes ; d'une façon générale, elle doit être, plus court
inférieure, et l'on fait passer pendant un temps variant de 10 à 50 minutes un courant continu dont l'intensité est habi- t
lectrode. La durée de l'électrisation doit être assez longue, de 20 minutes à 1/2 heure; elle peut être prolongée davantage
node. Sur chacun des points choisis on fait passer pendant 10 il 20 minutes un courant galvanique continu avec une intensité
entre 10 et 50 on ti0 m. A. et on le laisse passer de 10 à 20 ou 50 minutes suivant le nombre des points à soumettre à l'él
courant est prolonge NÉVRALGIE FACIALE. t : n1 1 pendant 20 à 50 minutes , parfois davantage si l'état de la peau le permet
mètre carré. La durée de l'électrisation doit être assez longue, 20 minutes au moins, et, lorsqu'il est possible, une demi-
ssage, du courant varie également : courte pour les uns, "> à 10 minutes ; plus prolongée pour d'autres, nn TARES DORSAL.
tiers des intensités moyennes de 10 il 50 m. A., et une durée de 10 minutes à une demi-heure, suivant la façon dont ces coura
uscle sterno-cléido-mastoïdien ; courant de ai à 10 m. A. pendant J minutes de chaque côté. La galvanisation du grand sympath
les membres supérieurs; courant de 10 à 50 m. A., pendant 10 il 20 minutes . Le bain peut être remplacé par des plaques fix
, et la durée de l'électrisation est comme précédemment de 10 ;1 20 minutes . On a employé aussi contre les douleurs fulgura
n, et sur le périnée dans l'incontinence). On fera agir pendant dix minutes ou un quart d'heure un courant continu avec une
durée du premicr bain statique sera généralement courte, de il z10 minutes ; celle des bains suivants est peu à peu augment
plus ou moins rapidement. suivant la tolérance observée, à 15 ou 20 minutes , parfois une demi- heure, rarement plus. En mêm
no-cléido-mastoïdien de chaque côté; on fait passer pendant 10 à 20 minutes un courant continu avec une intensité de à 1 m.
4 [E. HUET.] 1550 ÉLEcTROTJI]IIAPIE, - courant pendant 10 il 15 minutes ; avec l'électrode métallique nue, on ne pourrai
on la place sur le côté droit. On établit d'abord pendant quelques, minutes un courant assez faible de 2 à G ni. A. Puis, l
nt assez intense, 40 il 00 ni. A., s'il est possible; au bout d'une minute , on renverse brusquement le courant; l'intensité
nue un peu. et l'on continue l'électrisation pendant une dizaine de minutes , en faisant il chaque minute un renversement du
'électrisation pendant une dizaine de minutes, en faisant il chaque minute un renversement du courant. Les renver- sements
nger davantage la durée de l'électrisation et la porter il 15 ou 20 minutes . La galvanisation peut être pratiquée par un au
t 100 m. A. La durée de l'électrisation sera en moyenne de ! 0 a 15 minutes . On peut employer encore la galvano-faradisatio
précédemment, la durée de l'électrisation est en moyenne de 10 à 15 minutes . Nous n'insisterons pas sur d'autres procédés d
, il convient de commencer par des séances courtes, de iL -ci '1(,) minutes ; on en augmente plus ou moins rapidement la dur
on en augmente plus ou moins rapidement la durée, jusqu'à 20 ou 50 minutes , rarement davantage. Il vaut mieux, le plus hab
r le lit condensateur, en leur donnant une durée moyenne de 10 a 15 minutes . Ces modes de d'arsonvalisation abaissent, comm
idienne. La durée totale de la faradisation générale est de 10 à 20 minutes , en faisant varier d'ailleurs, suivant les indica
it passer un courant de il 20 ni. A. pendant un temps variant de JO minutes à une demi-heure; on établit et l'on fait cesse
sur la région épigastrique, courant de 5 10 ni. A. pendant 10 à 20 minutes . Dans le cas de troubles dyspeptiques, avec ou
ur chacun de ces points courants de 5 il J 2 m. A. pendant quelques minutes . On peut ajouter au traitement par la galvanisati
t faite successivement des deux côtés el dure pour chacun d'eux une minute et demie environ. Dans le deuxième temps, farad
on du grand oblique. Celte faradisation est prolongée de une à deux minutes sur un côté; ensuite on la fait de la même faço
en excitant leurs points moteurs. Ce troisième temps dure de 5 à 5 minutes . Dans un quatrième temps on pratique la faradis
uche au voisinage du sternum et on laisse agir pendant deux à trois minutes un courant assez faible pour provoquer tout au pl
, courants faibles de quelques milli-ampères pendant une dizaine de minutes , ou la galvani- sation labile avec l'électrode
r le plexus brachial, avec intensité de à à 10 m. A. pendant 5 à 10 minutes . Pour agir sur les membres inférieurs d'une faç
oir avant de. se coucher un bain chaud à 5,1 ? ai", 57" de 20 ou 50 minutes de durée, soit de prendre it la fin de l'après-mi
e l'après-midi une dou- che chaude à 55" en jet brisé de une à deux minutes . Chez d'autres malades le résultat sera meilleu
et du froid, par exemple une douche chaude à 40". 45" de une à deux minutes de durée il laquelle succède une douche froide
à 5 jours dans l'alcool absolu. Les coupes sont colorées une à deux minutes par une solution saturée de fuchsine chauffée j
boratoire. La décoloration se fait par l'alcool absolu pendant deux minutes et par l'essence de girofle jusqu'à ce qu'il ne s
rt : , . - . METHODES DE COLORATION. 1501 tillée pendant quelques minutes , puis on les transporte dans cette solu- tien :
ssement par les bichromates. Les coupes sont mises pendant quelques minutes dans une solution d'acide osmique il pour 500 o
es prennent une coloration noire : puis on les chaufle pendant cinq minutes dans une solution de tanin à 5 pour 100. Lavage
éparation sur un hec deBunsen jusqu'à production de vapeurs; en une minute la coupe est saturée. La solution d'héma- téine
ures dans la solution d'alun de ter, on les colore pendant 15 ou 50 minutes dans le bleu polychrome de Unna. Elles sont ens
51 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
perd complètement connaissance. La durée delà crise varie de quelques minutes â nu quart d'heure. Son père esl marchand de vins
ce est à peine de 40 mètres. Je l'hypnotisai tout à l'ait, en 4 ou .5 minutes . Elle présenta immédiatement des phénomènes d'ins
niblement jusqu'à la maison, et fut endormie profondément en quelques minutes . Puis je procédai à l'examen du genou. I .1 chose
ntrer dans son cerveau I idée slu sommeil. Au bout d'environ quinze minutes , la patiente paraissait endormie. elle ne l'é
ne ville que j'ai habitée, et cela en une durée de inoins de quelques minutes , quand il m'aurait fallu plus d'une heure au moin
heure, la suspension dura une demi-minute, et, dans 3 cas. près d'une minute 1/2 à 2 minutes 35 secondes. Dans un cas même, l'
nsion dura une demi-minute, et, dans 3 cas. près d'une minute 1/2 à 2 minutes 35 secondes. Dans un cas même, l'observateur vit
scènes. Je l'en- dors de nouveau et après un sommeil de quelques minutes , je le réveille, il n'avait aucune souvenance île
tiformes (agitation, mouvements cloniques violents) qui durèrent deux minutes , suivis de stertor et de sommeil comateux; le mal
ît. La malade est tres hypnotisable. Je l'ai endormie au bout d'une minute ; et après la première séance les crises ont consi
z à moi et vous vous endormirez profondément, la crise passera et une minute après vous vous réveillerez tout à fait bien port
rre plein d'eau je l'ai placé dans la main du sujet. J'ai attendu dix minutes , j'ai piqué les parois du verre sans faire de bru
il retrouve l'entière connaissance de ce qu'ils ignoraient à quelques minutes d'intervalle. La reviviscence de la mémoire est
isme, ni création de personnalité seconde. Le sujet n'a pas cessé une minute d'être M. de Lévita. Un ignorant a-t-il ledroit
pas du lout v arriver ; il s'arrête alors complètement etune ou deux minutes après il recommence. En allant faire une commissi
il fait des tentatives pour parler mais cela lui est impossible, deux minutes après il parvient à le dire, pourtant il n'est ni
arler de sa voix naturelle. Toute la procédure avait duré à peine dix minutes . La malade ainsi que sa mère étaient hors d'elles
la souplesse et la mobilité des doigts et des muscles. Apre» quelques minutes lorsque je l'éveillai, la main droite était aussi
ieux, et elle sort pour faire des visites. Vers deux heures, quelques minutes avant de rentrer chez elle, elle rencontre des pe
une autre dame au chemin de fer. s Ces dames ont causé environ quinze minutes . Mme G... avait « l'air le plus naturel. Elle dit
é d'épuisement, peau terreuse, yeux excavés. pouls 120 pulsations par minute , température 38°, urine rare, pas d'albumine, l'i
embrasser M"' Henriette, vous regagnerez votre place et au IkuI de ." minutes vous vous réveillerez sans avoir le moindre souve
Je réveille mon sujet et la suggestion réussît complètement. Dix minutes après j'endors le second sujet et sans rien lui s
nd sujet et sans rien lui suggérer je le réveille au bout de quelques minutes , je lui présente les boules et j'obtiens le même
'ulcères disparus immédiatement, de fractures consolidées en quelques minutes , etc., etc., inutile de dire que nous n'en av
sée non par notre procédé, mais par l'audition d'une montre durant 20 minutes . Puis le bras est levé eu catalepsie pendant 15 m
tre durant 20 minutes. Puis le bras est levé eu catalepsie pendant 15 minutes . Au réveil il est douloureux ainsi que l'épaule;
fille peureuse et candidate à l'hystérie, attendre pendant 20 longues minutes , l'oreille lixée sur le bruit d'une montre, un ét
l'idée du sommeil. Cela sutlit chez beaucoup pour que en une ou deux minutes , au plus, le sommeil ou un état voisin du sommeil
mal ? » Elle dit : « oui ». Je continue à toucher la région. Après 2 minutes , je dis avec conviction. « vous n'avez plus mal d
lever le restant de la douleur. » Je continue a frictionner pendant 2 minutes , puis je dis: « Enfin tout est fini. Vous n'avez
heure ou plus à la suggestion par la parole, elle a cédé en quelques minutes la suggestion ainsi matérialisée. Voici un viei
malade vint chez moi. Dans mon cabinet elle eut une crise durant une minute , perte de connaissance, secousse des quatre membr
ussitôt une épidémie de toux a gagné l'auditoire, et pendant quelques minutes ou n'a pu entendre les paroles de la grande actri
évelopper; de plus en plus, bien, endormez-vous, etc. » Au bout d'une minute clic dormait profondément, tout son corps obéissa
aussitôt ses yeux se refermèrent. Je la laissai dormir une dizaine de minutes , après lui avoir dit très nettement que le seul
it peu de progrès. Je dois diner le soir chez un ami qui demeuro à 15 minutes de chez ma malade. Mme des Chesnais à qui j'ai ra
dans les cabinets d'aisance, y dormait tranquillement pendant S à 10 minutes , jamais plus, et rentrait tout à fait dispos dans
fallait s'étendre alors tout de son long par terre, s'endor-mant une minute , mais reprenant, nouvel Anthée, ses forces aussit
enfin, dernier termo de cet état anervique, il dort pendant quelques minutes . Ce court instant de calme absolu, d'inconscience
seul, il se remettait avec ardeur à son ouvrage; ce repos de quelques minutes lui ayant redonné une nouvelle activité. Le mêm
is il avait un peu d'écume sur les lèvres. Sa crise, d'une durée de 4 minutes s'est terminée par une sueur qui a inonde tout so
approchant les talons, et il a gardé la position indiquée pendant dix minutes sans chanceler, il a même fait treis fois le tour
52 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
sta cependant pas longtemps couché sur l'herbe. Au bout de quelques minutes , il put se relever et comme les Indiens étaient
se remit en route le surlendemain, mais il n'avait pas marché vingt minutes qu'il reçut son choc et dut s'arrêter. L'année
Preissnitz, suivie pendant deux mois, il put marcher vingt- deux minutes de suite. « Mais, dit-il, les crises amenées par
par l'eau sont venues et je n'ai plus pu marcher que deux à cinq minutes . » Je continue de citer sa propre description qui
5. A 2 h. 22, neuvième immersion ; 24 brasses de profondeur; trente minutes de séjour; une demi-minute de décompression. -
r a été atteint de douleurs dans les articulations des pieds, vingt minutes après, survint- une paralysie complète des membre
aître et la circulation se rétablir pour faire place après quelques minutes à une nouvelle embolie du même vaisseau suivie
diatement après l'enlèvement même du casque, (Observation L), dix minutes après la décompression (OBs. LI). Si nous avons
eure. De 15 à 20 brasses, un quart d'heure. De 20 à 25 brasses, dix minutes . De 25 à 28 brasses, cinq minutes. De 28 à 30 b
d'heure. De 20 à 25 brasses, dix minutes. De 25 à 28 brasses, cinq minutes . De 28 à 30 brasses, trois minutes. De 30 à 32
utes. De 25 à 28 brasses, cinq minutes. De 28 à 30 brasses, trois minutes . De 30 à 32 brasses, une seule minute. On ï4 CL
s. De 28 à 30 brasses, trois minutes. De 30 à 32 brasses, une seule minute . On ï4 CLINIQUE NERVEUSE. ne dépasse jamais c
e, et, toutes les 2 brasses, arrêter la décompression pendant une minute . De cette manière, on obtient d'une part, par l
n soumet le plongeur à scaphandre à une compression nouvelle de une minute , qui sert il re- dissoudre le peu de gaz dégagé
immédiate faite à une profondeur de 10 à 12 brasses, quinze à vingt minutes de séjour, et d'une décompression lente et en p
par jour à une profondeur de 8, 10 et 12 brasses, quinze à trente minutes de séjour et d'une décompression mé- nagée. Int
as de « tournoiements de tête » qui auraient duré trois ou quatre minutes . La vue était brouillée. Elle a senti qu'elle tom
e. Elle aurait eu cinq crises semblables dans un espace de quarante minutes . Dans l'intervalle des crises, elle avait les yeu
ux DE l'hystéro-épilepsie. 101 par jour de trente à quarante-cinq minutes . Voici' le tableau des crises : 102 RECUEIL D
a nature du délire est ordinairement triste (durée de quatre à cinq minutes ). Elle revient à elle tout d'un coup et demande
f et le lendemain vingt-neuf; l'une d'elles aurait duré vingt- cinq minutes . Les crises sont d'habitude légères. Les différen
es jours. Les crises les plus longues ne durent que trois ou quatre minutes . Elle se débat toujours un peu, balance la tête
28 et 30 septembre et le 6 octobre. 14 octobre. Une attaque de cinq minutes . Pas de sommeil à la suite. 1 25 novembre. -
squement, sans cause. Elles durent au maximum vingt, au minimum dix minutes . A la fin des attaques, elle reste le regard fi
elle reste le regard fixe et sans voir, dit-on, pendant environ dix minutes . Mais, si on lui passe la main devant les yeux,
s. Les engourdissements sont revenus tous les jours durant quelques minutes . Pas de contractures. 1889. Décembre. - Depuis
que l'on observe. Les aliénés qui, jusqu'alors, n'ont pu dormir une minute , récupèrent la nuit un sommeil prolongé et répa
les aliénés soit dans le domaine de l'asile fermé, soit à quelques minutes de celui-ci c'est-à-dire à la colonie, les initie
nvincible somnolence ; elle en sortit cependant au bout de quelques minutes . Putz renou- vela sa tentative une demi-heure a
le propriétaire du café et sa femme essayèrent en vain, pendant dix minutes , de lui faire reprendre ses sens. Effrayés, ils
nts, crainte de mourir, angoisre psychique. L'accès dure vingt-cinq minutes : pouls tendu très accéléré. P. K. 240 REVUE
ir les quatre cinquièmes des malades quelconques en cinq à ' quinze minutes . Si on les réveille, elles ne tardent pas à se
nt l'ombre dans un milieu frais et bien abrité. Au bout de quelques minutes , il se produit des battements et des pulsations
n, qui sont loin d'être favorables à la méthode. On n'y lit à toute minute que les mots : aggravation progressive; ac- cid
istant pas, répétait constamment (plus de trente fois en quel- ques minutes ), les mêmes propos absurdes que rien ne justifiai
a Kunz s'est mal conduite toute la nuit. Elle ne m'a pas laissé une minute de repos. J'ai pensé qu'il fallait en finir. J'
e de laboratoire suivante : Un chien auquel on avait fait, quelques minutes auparavant, une injection hypodermique de morph
ce de l'injection. Il trouva que l'estomac excrète la morphine deux minutes quinze secondes après l'injection hypodermique
ection hypodermique et qu'il n'en rejette plus cinquante à soixante minutes après celle-ci. Le lavage s'oppose en outre au
oins instructive. L'eau qui est retirée de l'estomac dans les vingt minutes consécutives à l'intoxication (Baumert) contient
se rendre compte à des inter- valles périodiques réguliers (de cinq minutes ) du point où en est le devoir. On leur demander
r à son secours, mais n'a pu la ramener sur la berge qu'après vingt minutes de re- cherches. Ce qui rend cet accident tout
53 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
hypothèses variées, nous n'eussions pas hésité à l'adopter une seule minute . Mais il est loin d'en être ainsi et nous sommes
ns addition ni d'eau, ni de bromure. Après avoir laissé la plaque une minute environ dans ce bain, on ajoute une bonne dose d'
sée et un peu plus grande, bien entendu. Laissez le cliché quelques minutes dans lhyposulfite, même lorsqu'il paraît fixé, af
miné, dans une cuvette contenant de l'alcool. Après un séjour de cinq minutes on l'essorera rapidement et l'on pourra ensuite l
... 7ogr Après avoir mis le cliché à tremper dans l'eau pendant dix minutes , on le plonge dans le bain de bichlorure en ayant
de transfert est très variable, il se chiffre le plus souvent par des minutes ; on pourra donc trouver avantage à disposer l'app
l'appareil de façon à prendre automatiquement une épreuve toutes les minutes . Au bout de 9 épreuves (1 ), il suffira de remett
jet endormi et à des mouvements dont la durée totale est de plusieurs minutes , nous donnerons le temps de pose que nous reconna
durées d'exposition seront en général assez longues, une ou plusieurs minutes au moins. Nous supposons en effet qu'on fait la r
ances en question, au par exemple, d'y plonger la plaque pendant deux minutes , de la laver abondamment et de la faire sécher.
à 4mm- Vu le grossissement considérable, les poses ont varié de 1 à 2 minutes jusqu'à 8 ou 10 dans certains cas. Nous croyons
...... ioogl' Les épreuves doivent rester dans ce bain au moins dix minutes et il faut les remuer constamment pour assurer l'
r une solution de bichromate de potasse à 3 pour 100 pendant quelques minutes , de trois à cinq suivant la saison. Ce papier, un
e fait en mettant dans l'eau froide les deux papiers pendant quelques minutes , puis on les applique l'un contre l'autre face co
met face en dessous sur un drap noir et on l'expose pendant quelques minutes à la lumière diffuse. Cette opération a pour but
000 Acide citrique............................. 20 Après quelques minutes de séjour et un nouveau lavage on fixe dans le ba
n passe le papier dans un bain d'alun où il doit séjourner au moins 5 minutes ; on termine par un lavage rapide. On peut dévelo
s sont nécessaires au jour; au gaz à im de distance, il faut de 1 à 5 minutes ; avec ces plaques il vaut donc mieux opérer au jo
avec les nouvelles plaques à ton noir de Ilford ou Guilleminot, i à i minutes sont suffisantes. A ce point de vue, ces plaques
rence publique de photographier notre auditoire et de lui montrer, 35 minutes après, l'épreuve sur l'écran. Nous avons fait la
35o La solution ne doit pas dépasser la température de i5"; après 5 minutes d'immersion, le papier est mis à sécher à l'abri
terminé, on lave à l'eau froide, on immerge dans l'alcool pendant 10 minutes et l'on met sécher. L'épreuve est faible et même
54 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a respiration, le nombre des pulsations peut atteindre 100- 120 par minute , n'étant dans les autres cas de mélancolie simp
ou avec stupeur que bien ralentis, à peine à 35-40 pul- sations par minute . La respiration est superficielle, ralentie, in
ement à la lumière. Le pouls est petit, déprimé (110 pulsations par minute ). Les battements du coeur sont forts et sonores
ère et serait tombé si on ne l'avait pas retenu. Durée, moins d'une minute . La même crise s'est reproduite cinq fois, de jan
une heure et demie. Reconduit chez sa soeur, il s'est évanoui cinq minutes . En revenant à lui, il est tout étonné et demande
state pas d'onanisme. Devient plus instable que jamais, après vingt minutes de travail, ça ne va plus. On ne sait à quoi
es lèvres entr'ouvertes, la salivation abondante; au bout de deux minutes René se débat (on le maintient toujours), il pleu
; il parait avoir des difficultés pour res- pirer, cela a duré deux minutes et s'est produit à deux reprises. 18. La nuit a
é se couche par terre, fait semblant de dormir; au bout de quelques minutes , quelques contorsions, puis raideur des membres
les lèvres écar- tées, les yeux fixes et grands ouverts. Durée deux minutes . Rémis- sion de trois minutes, puis nouvelles c
x fixes et grands ouverts. Durée deux minutes. Rémis- sion de trois minutes , puis nouvelles contorsions pendant une minute,
is- sion de trois minutes, puis nouvelles contorsions pendant une minute , sans raideur consécutive. L'enfant reste couché
es. Le 25, à table, petit accès de mélancolie d'une durée de cinq minutes environ. A partir du 26, l'enfant ne présente a
hevaux). René en a été si impressionné qu'il a tremblé durant vingt minutes . Il n'y a pas eu d'autre suite. Le 20, on const
s pathologiques, mais le pouls est petit et lent (64 pulsations par minute ). Rien à noter du côté des aatres viscères et o
ne constale pas de bruits anormaux; pouls faible, 60 pulsations par minute . Le foie est augmenté de volume et douloureux.
tements cardiaques rare=, le pouls petit, étroit, 60 pulsations par minute . Les ganglions inguinaux sont pris des deux côt
'entend pas de souffle. Le pouls est petit, rare (62 pulsations par minute ). Les extrémités sont froides et cyanosées. Les
me opération, cinq attaques seulement, la plus longue de vingt-cinq minutes , la plus courte de moins d'une minute. Les trou
la plus longue de vingt-cinq minutes, la plus courte de moins d'une minute . Les troubles physiologiques ont tous disparu,
e, et au besoin même l'approfondir. Au bout de dix, quinze, vingt minutes , on obtient suffi- samment de sang, ou du moins
-devant des deux membres posté- rieurs. La quantité est 1 ce. Dix minutes après, la souris a brusquement des secousses épi-
tiformes dans les quatre membres ; ces secousses durent à peine une minute ; les membres postérieurs sont anesthésiés. L'an
ience Il 23 mai, 2 heures du soir. Sérum sanguin pris quarante-cinq minutes avant une attaque de très courte durée. Injecti
début de l'injection la température rectale du lapin est de 39 ? 5 minutes après, accélération respiratoire ; la contrac-
accélération respiratoire ; la contrac- tion pupillaire commence 15 minutes après ; myosis à 2 h. 1/2. La respiration se ra
s avaient eu des attaques seulement une demi-heure et quarante-cinq minutes après la piqûre. On ne peut donc pas considérer
e XIV. La malade E... a eu une attaque épileptique le 20 mai. Vingt minutes après la crise nous avons pris du sang. L'injec
t de 3906'. Au début de l'injection elle est descendue à 39°3'. Dix minutes après l'injection la contraction pupillaire com
le,... a eu une attaque le 3 juin, à 4 heures de l'après-midi. Dix minutes après l'attaque nous prenons le sang. Le 4 ju
mmédiatement après l'injection nous n'observons rien d'anormal. Dix minutes plus tard la respiration ralentit, les pupilles s
rsée, tout le corps fait un demi-cercle. Les convulsions durent une minute ; pendant cette attaque la température remonte
température remonte à 39, et la respiration s'arrête. Deux à trois minutes après, une seconde attaque de convulsions épile
e attaque de convulsions épileptiformes qui n'a pas duré plus d'une minute . Tempéra- ture : 39°5'. Une troisième attaque,
troisième attaque, plus forte et plus longue est survenue quelques minutes plus tard, et le lapin est mort à G h. 1/4. Ava
un vertige le 7 septembre, à 5 h. 20 du soir. Nous avons le sang 15 minutes après le vertige. Le 8 septembre, à 5 heures, n
u début de l'expérience la température du lapin était 39°,1; treize minutes après l'injection, le lapin a subitement des conv
main, à 4 heures, nous injectons le sérum recueilli la veille vingt minutes après l'attaque. Quantité du sérum : 3 ce. Poid
té du sérum : 3 ce. Poids du lapin : 495. Tempéra- ture : 38°9. Dix minutes après l'injection, contraction des pupilles, ra
piration. Somnolence. La température s'abaisse : 36°4. Vingt-cinq minutes après, le lapin a quelques secousses convul- si
plus satisfaisant, plus concluant. Le sang recueilli de dix à vingt minutes après l'attaque est toxique puisque 5 ce. de sé
est essentiellement éphémère; elle dure très peu de temps, quelques minutes au plus et cesse dès que la douleur sus-orl)ita
sensation d'une attrition, sensation qui persiste pendant quelques minutes , puis disparaît tout aussi brusquement. Il n'
is regardez-les, tous ces outils qui montent après moi ! » Sans une minute de répit, elle cherche à se défendre contre ces
de connaissance, avec contracture généralisée, durant quatre à cinq minutes . Cela n'a d'ailleurs été que transitoire. Pourtan
sta dans la blessure médullaire d'où il ne fut extrait que quelques minutes après, sur le théâtre même des événements. Il n
elez certainement combien fut grande notre anxiété pendant quelques minutes et avec quels soupirs de soulagement nous accue
blement, on tient compte de la fré- quence de ses oscillations à la minute et de l'influence que les mouvements exercent o
curité la plus complète, l'on lient la main pendant une durée de 15 minutes au-dessus d'une plaque sensible (plaque Lumière
tigantes et involontaires, qui se renou- vellent plusieurs fois par minute , la malade immobilise son mem- bre supérieur dr
igent rythmiquement dans la même direction trois ou quatre fois par minute . Les paupières ont des oscillations convulsives
55 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
Le pouls du sujet, pris à l'état de veille, marque 78 pulsations à la minute . Le dicrotisme est peu marqué; la tension artérie
2- tracé. — Hypnose. Suggestion de ralentissement. G6 pulsations. minute après la suggestion, le pouls marque 66 pulsation
ons. qu'elle est essoufflée et que son pouls s'est accéléré. Deux minutes après, le pouls marque 102 pulsations. Le dicroti
nce de ces suggestions le pouls tomba progressivement, au bout de dix minutes , à 125 pulsations. Jugeant le fait digne d'être
Expérience. — A l'état de veille, le pouls marque 132 pulsations par minute . Le dicrotisme n'est pas apparent. (i*r tracé.)
ion qu'elle est calme, que le cœur se régularise et se ralentit. Cinq minutes après la suggestion, le pouls est descendu à 114
ême suggestion est répétée. Le pouls repris après une attente de cinq minutes , donne 102 pulsations. (4e tracé.) 4e tracé. —
t et régulièrement. Le nombre des pulsations n'est plus que de 84 par minute . (5e tracé.) 5e tracé. — Hypnose. 3e suggestion
ssi, après avoir laissé la malade reposer tranquillement pendant cinq minutes , nous la réveillons, et nous constatons que le po
nombre des pulsations est tombé de 78 à 66 et a diminué de douze par minute , dans le second, il est tombé de 132 à 84. La dim
aux cantiques, les Ave aux Ave. Deux heures durant, sans trêve d'une minute , un bon curé de village, tête nue, le chapeau d'u
elques instants lentement et doucement, elle restera pendant quelques minutes immobile, après quoi elle se redressera soudain.
eu noire, (je cite textuellement). Cela demande généralement quelques minutes , à ce qu'il parait. Au bout de quinze jours à t
la malade, sa toux devient plus faible et même cesse pendant quelques minutes . La toux s'exaspère lorsque l'attention n'est plu
ments douloureux. On la relève, on la porte dans son lit et, quelques minutes après, tout disparaît. Elle n'a pas perdu connais
, comme si elle souffrait d'une crampe violente ; et cela durait cinq minutes . Une fois elle eut, de suite, quatorze crises de
il y a bien des raideurs bilatérales, mais elles durent plus de cinq minutes et ne s'accompagnent pas de sensations douloureus
Marie Alacoque pendant sa période d'amour ; je cite : « Pendant vingt minutes , raconte « cette malade, j'entends mes meubles cr
l'on inocule à un animal du sang charbonneux chauffé à 50° pendant 8 minutes , la mort s'ensuit presque à coup sûr. Tandis qu'a
mort s'ensuit presque à coup sûr. Tandis qu'après un chauffage de 18 minutes , l'animal survit et est vacciné, ce qui prouve d'
son directe du temps pendant lequel cette température a agi; après 15 minutes , le développement parait suspendu. Si l'on soumet
e ses doigts pouvaient s'étendre; je pressais la suggestion; quelques minutes après, elle fut tellement persuadée, qu'elle alla
sphériques. Le même phénomène se produit, après une exposition de dix minutes à la température de — 8°. A 0°, le réseau se refo
suc cellulaire et tournent sur elles-mêmes. Mais, au bout de quelques minutes , elles s'unissent entre elles, se soudent aux fil
i de 40° à 16°, les mouvements circulatoires s'arrêtent au bout d'une minute . Ils s'arrêtent au bout de six à huit minutes dan
s'arrêtent au bout d'une minute. Ils s'arrêtent au bout de six à huit minutes dans le même poil brusquement réchauffé de 16° à
cellules des poils des Mormodica. Si l'on expose pendant vingt-cinq minutes dans l'air humide à 50° ou 51° des poils de Lycop
Dans ce dernier gaz, les mouvements cessent au bout de quarante-cinq minutes à une heure. Dans l'hydrogène, reffet est un peu
irectement sur le crâne déterminait, après une application de 10 à 20 minutes , une sensation d'engourdissement qui enveloppait
parties du crâne du sujet a provoqué constamment au bout de quelques minutes Un engourdissement général et une prédisposition
ans le traitement de l'hémianesthésie des hystériques. Après quelques minutes de vibration locale, nous obtenions le retour de
un endroit qui lui convienne. A la première épreuve, la tortue mit 35 minutes pour arriver au bon endroit; à la seconde, un qua
endroit; à la seconde, un quart d'heure lui suffit: à la troisième, 5 minutes , et au bout de quelques jours, elle faisait le vo
minutes, et au bout de quelques jours, elle faisait le voyage en une minute . Un jour, elle inventa même un raccourci. Ayant,
s'étendre sur une chaise longue et à fermer les yeux pendant quelques minutes avant de leur tenir le discours approprié. C'es
. Les cours se succèdent d'heure en heure avec un intervalle de dix minutes de repos. Ils sont faits sans phrases, sans digre
; morsure de la langue ; perte absolue de connaissance. — Durée cinq minutes . Réveil brusque. — Le malade qui avait glissé d
ci reprend sa motilité, par amnésie des mots. Cela dure environ une minute . La promenade ne s'est pas interrompue et la marc
ment de la déchéance physique et morale qui torture. Au bout de dix minutes , la crise était finie et le malade avait recouvré
t, ils ne savent plus où ils se trouvent et qu'il leur faut plusieurs minutes et un grand effort pour se reconnaître. Bien de
56 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
rès nos. observations, cela ne serait point exact : au bout de 10, 15 minutes , le membre commence à descendre, et, au bout de 2
0, 15 minutes, le membre commence à descendre, et, au bout de 20 à 25 minutes au maximum, il est retombé dans la verticale. Or,
ssemble d'abord à celui de la cataleptique, mais, au bout de quelques minutes , des différences considérables commencent à s'acc
don rotulien, on produit une contracture temporaire qui dure quelques minutes . Eh bien I dans de telles conditions, il y a immi
res et un tremblement très rapide, se produisant environ 200 fois par minute , de la commissure labiale gauche ; le peaucier pa
nos ; il peut être soulevé tout d'une pièce. Cela dure trois à quatre minutes , puis les membres se détendent, les yeux se mouil
n. D'après nos observations, cela n'est pas exact. Au bout de 10 à 15 minutes ., le bras delà cataleptique commence à descendre,
le bras delà cataleptique commence à descendre, et au bout de 20 à 25 minutes , il reprendlaposition verticale suivantles lois d
nifester le contraste. A l'origine, c'est-à-dire durant les premières minutes , la respiration est égale et régulière ; mais bie
tombe à terre, il était paralysé du côté droit, assure-t-il. Quelques minutes après, il perdit connaissance. A partir du mome
. On lui fait lire une ligne en caractères imprimés : le malade met 8 minutes à la déchiffrer et 3 minutes seulement à lire la
en caractères imprimés : le malade met 8 minutes à la déchiffrer et 3 minutes seulement à lire la même ligne en lettres cursive
assez régulièrement croissante des progrès accomplis : 21 mars : 1 minute 43 secondes par ligne. 23 — 1 — 53 — 24—2—11
ne à lire, quand il esta jeun, moins après manger. Au bout de 15 à 20 minutes de lecture, il se sent très fatigué. Si on l'inte
si : République... Indépendance, Ptérygoïdiens, 4 à S secondes. 1 minute . 4 minutes. Il répète plusieurs fois : « Quand
ublique... Indépendance, Ptérygoïdiens, 4 à S secondes. 1 minute. 4 minutes . Il répète plusieurs fois : « Quand je veux com
ne contracture des deux orbiculaires des yeux qui peut durer de 3 à 5 minutes , sans perte de connaissance : ou encore, l'enfant
éprouva, il put se relever et aider à remonter le tonneau. Mais, cinq minutes après, il eut une perte de connaissance qui dura
, cinq minutes après, il eut une perte de connaissance qui dura vingt minutes . En revenant à lui, il était incapable de marcher
te d'aphasie motrice qui, en général, ne dure pas plus de huit ou dix minutes , mais qui, une fois, a persisté pendant près de s
a d'une hauteur d'environ deux mètres, et resta, à la suite, quelques minutes seulement sans connaissance sur le lieu où il éta
ain, etc. » L'expérience réussit à merveille, car au bout de quelques minutes de discussion, la monoplégie était redevenue ce q
it pas eu de perte de connaissance immédiate, et pendant les quelques minutes qui ont suivi l'accident, 5 ou 6 minutes peut-êtr
ate, et pendant les quelques minutes qui ont suivi l'accident, 5 ou 6 minutes peut-être, le malade est resté conscient. 11 se r
nombre de fois mon affirmation première. Vous voyez qu'après quelques minutes de discussion, la paralysie s'établit en effet dé
r. Voici les résultats de notre exploration : Au bout de six à sept minutes , après une période d'excitation très courte, cont
veil fut devenu complet, c'est-à-dire au bout de vingt à vingt cinq minutes , la déformation, la douleur, la claudication rede
ce, ont donné des résultats tout à fait semblables ; en moins de cinq minutes , en effet, nous avons produit chez elles, sur le
ans les doigts ; mais la durée de ces phénomènes ne dépassa pas trois minutes . M. Gussenbauer relate des faits du même genre. C
le poignet, le coude, l'épaule. Cette opération qui dura environ dix minutes , avait provoqué d'abord des douleurs assez vives,
.. fut conduit chez un pharmacien d'abord, où il est resté environ 20 minutes , et, de là, toujours sans connaissance à l'hôpita
ns le cabinet du chef de gare, il ne reprit ses sens qu'au bout de 20 minutes environ. Il est intéressant de relever les phén
diser les muscles de l'épaule et du bras du côté droit; au bout d'une minute , la sensibilité était revenue dans cette région (
la sensibilité était revenue dans cette région (sans transfert), une minute plus tard, la sensibilité existait dans tout le m
avril, il parle et lit à haute voix, mais non sans fatigue. Après dix minutes de lecture, il se sent essouflé et obligé de s'
rapport avec la violence de l'attaque ; la durée moyenne est de 4 à 5 minutes . Cet état s'accompagne de phénomènes subjectifs
s mal. » Les jours suivants, la compression fut continuée (cinq à dix minutes chaque séance), l'émission du son devint plus dis
57 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rd il pâlit, puis devient très rouge et reste quelquefois plusieurs minutes à terre, après chute, mais qui n'est pas le cas
aménagé d; telle sorte qu'il puisse être trans- formé, en quelques minutes , en une salle de spectacle. En créant une usine
pour se rappeler ces mots manquants. Puis, pendant une dizaine de minutes , il se remet à répondre et à parler normalement ;
e, voire désagréable. Si l'on prolonge la pression pendant quelques minutes , apparaissent quelques convulsions dans l'aire
chez des sujets réfractaires, je leur fais respirer en une ou deux minutes 30 ou 40 grammes d'éther, à l'aide du masque. Apr
nte un malade âgé de trente-un ans, qui parfois, le matin, quelques minutes après son réveil, est pris d'impulsions irrésis
ns peu- vent se répéter ainsi, deux, trois fois de suite à quelques minutes d'intervalle, la quantité d'urine rejetée est a
es efforts, il ne pouvait parvenir alors à pisser. Puis deux, trois minutes après, alors qu'il y pensait le moins, nouveau
se alors d'un besoin irrésistible de dormir, se réveillant quelques minutes après. Ajoutons enfin, qu'au plus fort de ses g
commandement la toile existe toujours, puis disparait au bout d'une minute . Zoé a recouvré la sensibilité des orteils de s
e- ment ; je procède à un réveil général. La séance dure quelques minutes à peine ; Zoé se réveille spontanément. Depuis, e
quinze à dix-huit mi- nutes ; une autre le 21, de dix-huit à vingt minutes , -Février : une attaque le 14, durée vingt-deux
inutes, -Février : une attaque le 14, durée vingt-deux à vingt-cinq minutes ; une autre le 28, durée de dix à treize minute
-deux à vingt-cinq minutes ; une autre le 28, durée de dix à treize minutes . Mars : une attaque le 12, du- 232 RECUEIL DE F
e attaque le 12, du- 232 RECUEIL DE FAITS. rée vingt à vingt-deux minutes ; une seconde, le 20, de dix mi- nutes ; une tr
nde, le 20, de dix mi- nutes ; une troisième, le 29, de dix à douze minutes .- Avril : une attaque le 20, durée, treize à qu
à douze minutes.- Avril : une attaque le 20, durée, treize à quinze minutes . Alai : une attaque le 22, durée, six minutes ;
urée, treize à quinze minutes. Alai : une attaque le 22, durée, six minutes ; une autre le 30, de dix minutes. Juin : une a
i : une attaque le 22, durée, six minutes ; une autre le 30, de dix minutes . Juin : une attaque le 27, durée, quinze minute
utre le 30, de dix minutes. Juin : une attaque le 27, durée, quinze minutes ; une autre le 28, de douze minutes. - Opérat
ne attaque le 27, durée, quinze minutes ; une autre le 28, de douze minutes . - Opération (fin juin 1988). De juillet à nove
les un léger vertige. - Décembre : un accès le fer, durée, dix-huit minutes . 1899. Janvier : un accès le 2. Février : accès
it minutes. 1899. Janvier : un accès le 2. Février : accèsde quinze minutes le 9 et un autre de deux minutes le 10. Rien en
cès le 2. Février : accèsde quinze minutes le 9 et un autre de deux minutes le 10. Rien en mars. En avril : un accès de dix
tre de deux minutes le 10. Rien en mars. En avril : un accès de dix minutes le 4, un autre de douze minutes le 10. En mai :
en mars. En avril : un accès de dix minutes le 4, un autre de douze minutes le 10. En mai : un accès de dix minutes le 12 e
tes le 4, un autre de douze minutes le 10. En mai : un accès de dix minutes le 12 et une série de trente-cinq minutes le 23
En mai : un accès de dix minutes le 12 et une série de trente-cinq minutes le 23 (4 accès). - Rien en juin. - En juillet :
s le 23 (4 accès). - Rien en juin. - En juillet : un accès de douze minutes le 6 et un le 23 août. A cette date le malade q
l'état de veille ; ils se reproduisent jusqu'à huit et dix fois par minute ; ilssont surtout intenseslorsque le malade est
ron. A la suite de cette hémorrhagie la malade succombe en quelques minutes , en pleine connaissance. Autopsie. - Poumons
La durée des crises, courte en général, n'a jamais dépassé quelques minutes . Le malade suit un traitement par le bromure de
ine et la chirurgie en général, pour laquelle il sera accordé vingt minutes de réflexion et quinze minutes pour la disserta
pour laquelle il sera accordé vingt minutes de réflexion et quinze minutes pour la dissertation. Le maximum des points ser
épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera ac- cordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes
a ac- cordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes de réflexion et trente minutes d'exposition. L'un
ur l'examen des deux malades, quinze minutes de réflexion et trente minutes d'exposition. L'un des deux malades devra être
hommes, cachés pour le tuer, parlaient plus haut. Cela durait deux, minutes environ, puis les hallucinations redeve- naient
multiplier ces exemples, prouver que ces sensations durent quelques minutes , qu'on peut les éveiller plusieurs fois de suit
puis elle ne les entend plus. L'hallucination a duré environ une minute . On la reproduit de la même façon vingt minutes a
n a duré environ une minute. On la reproduit de la même façon vingt minutes après la première expérience. En ce qui concern
nt que tout à l'heure et il se rapproche. » Puis, tout à coup, deux minutes envi- ron après le début de la sensation, le ma
malade s'écrie : « Je n'en- tends plus rien, c'est fini. » Quinze minutes après cette première tentative, on la renouvelle
cris trois fois par se- maine les bains de 35° C. de vingt à trente minutes et les préparations iodurées intérieures. Je
demi degré et arrivant à '1 ? C.; la durée de la douche est de une minute à une minute et demie ; si les douches sont déj
t arrivant à '1 ? C.; la durée de la douche est de une minute à une minute et demie ; si les douches sont déjà réduites à
e manière un peu plus détaillée. Electriser pendant deux ou trois minutes par un courant continu et avec cela choisissant
ieurs. Je con- tinue une pareille électrisation pendant six ou huit minutes . 3° La cautérisation par Pacquelin de l'épine d
e pilule contenant cinq centigrammes de bleu de méthylène; quarante minutes après l'ingestion de la pilule les urines devie
affaire ; c'est au cou qu'il faut le frapper. » C'est environ deux minutes que dure la perception nette des paroles. Ce te
plusieurs fois. La persistance de cette sen- sation dure plus d'une minute . Vers quatre heures de l'après-midi, on le reno
regardez bien, qu'est-ce qu'il y a la ? » Lui. « Hien... » mais une minute après : « Je vois, c'est un chien, un joli peti
58 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e le malade revient à lui, il s'assied auprès du poêle et, quelques minutes après, il lui semble que la boule qu'il sent da
s du matin), et voici ce qu'on observe alors : au bout de. quelques minutes , la sensibilité reparaît à la face dorsale des
finit par faire mouvoir le coude et l'épaule et fina- lement, vingt minutes environ après le début de l'opération, tous les
sibilité a déjà très notablement diminué. On renouvelle pendant une minute environ la flagellation dans la région temporo-
lus sur la tète mais sur la partie sensible du bras malade ; quinze minutes après le début de l'opération, retour de la mot
mporo-pariétale du côté opposé, a rétrocédé en l'espace de quelques minutes ; il est évidemment inutile d'insister sur la po
aroles suivantes : « V..., il y a quatre lettres à votre nom ; cinq minutes après votre réveil, il faut que ça saigne à vot
ment chez lui lorsque le terme d'une suggestion approche. Quelques minutes après, on voit la peau de l'avant-bras gauche s
de son nom (lettres de un centimètre et demi de hauteur). Quelques minutes après, V... s'hypnotise par le procédé décrit p
le procédé décrit plus haut et s'exprime ainsi : « V..., dans cinq minutes , il y aura un A sur votre front et cet A saigne
les seront marquées sur votre cuisse gauche et saigneront ». Quatre minutes seulement après cette auto-suggestion , une rou
r compte des observations de Fuerstner et d'observer à toutes les minutes une atfection éminemment nuancée. P. K. III. L'
applications sur chacun des côtés de la tête duraient environ sept minutes : elles étaient faites tous les deux jours. Au bo
e des applications pour chaque côté de la tête était réduite à cinq minutes . R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 69 D
on aperçoit des petites branches invisibles avant, après vingt-cinq minutes d'inhala- tions ininterrompues il y a réplétion
l'inhalation d'amylnitrite. Cet état de soulagement cessait quinze minutes après que l'inhalation avait cessé. Le malade c
la température monte; mais ces effets ne durent que quinze à vingt minutes ; 3° le patient manifeste alors une sensa- tion
re les débris de la voiture et revient à lui au bout de cinq à sept minutes . Il ne présente à ce moment aucune blessure exté-
de physiologie du système ner- veux ; 2° l'épreuve orale de quinze minutes sur un sujet de pa- thologie interne et de path
ujet de pa- thologie interne et de pathologie externe, après quinze minutes de préparation. Il sera attribué 20 poiuls à ce
dans le membre paralysé. A la suite d'une séance de massage de dix minutes , la contracture s'atténue très notablement, et
, ne savait plus au juste où il était ; il est resté par terre cinq minutes , jusqu'à ce que l'on eut enlevé le demi boeuf,
mps, les doigts se redressent et le malade arrive, au bout de dix minutes , à faire exécuter spontanément à ses doigts, son
Il nous suffira de faire remarquer qu'une séance de massage de dix minutes a suffi pour ramener en grande partie les mouve
l cessa d'être pressé par les deux tampons, et il resta ainsi vingt minutes sans connaissance. Lorsqu'il revint à lui après
la malade parla fixation des yeux, et j'y réussis au bout de vingt minutes environ; je produisis un sommeil complet, avec
peu, de telle sorte que le plus souvent, il peut écrire pendant une minute ou même pendant quelques minutes avant que les
souvent, il peut écrire pendant une minute ou même pendant quelques minutes avant que les secousses s'établissent, ceci dép
variable; elles peuvent n ? uter jusqu'à 100 et beaucoup plus, par minute , s'il continue à tci ir la plume. A l'exameu de
it dans les intervalles. Les attaques se répétaient toutes les cinq minutes ; dans les intervalles, on observait l'opisthotonu
rdait à moitié connaissance. Les attaques avaient une durée de deux minutes , en laissant une lassitude générale. Il faut en
la peine à le contenir. L'attaque de convulsions dura une couple de minutes , après quoi la jambe gauche, le bras du même cô
n contre le lit deux ou trois fois, et puis, pendant près de quatre minutes , garde la position suivante : les jambes sont à
lques régions des muqueuses (du pharynx, de la conjonctive); 15, 20 minutes avant l'accès, le malade se couche, tombe en ét
vements violents et exces- sivement désordonnés. Cela dure de 3 à 5 minutes ; puis arrive un relâchement des muscles momenta
gonfler ses joues et la nourriture restait quelquefois sept ou huit minutes entre les dents et les lèvres. On constata enfi
sujet à des étourdissements l'obligeant à s'asseoir pendant 5 à 10 minutes .- Quelques excès alcooliques très légers et très
esse d'une façon permanente si la blessure est tamponnée quelques minutes avec un morceau d'éponge. Ayant ce fait en vue,
59 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
t avec une infaillible précision la durée de son accès, l’heure et la minute à laquelle il doit cesser et celles auxquelles do
médium dont j’ai oublié le nom. Après qu’ils se furent assis quelques minutes , les esprits saisirent des sonnettes préparées po
les exhortations d’un vieux camarade, mon successeur n’eut pas, une minute ou deux, promené sa main, riche d’une pléthore nu
ns son M. Hébert la prie de vouloir bien l’examiner. Après quelques minutes de communication silencieuse où le consultant tie
s précises : je les dois encore à vos souvenirs. Je te demande huit minutes de suspension. Juste à la terminaison de la hui
e huit minutes de suspension. Juste à la terminaison de la huitième minute (1) la manifestation reparaît. M. Hébert la prie
etite montagne ; je la vais faire flourir • pour vous dans cette même minute , attendez. » Après une courte pause, le mouveme
re des expériences qu’on se proposait de répéter, a fini, après vingt minutes d'entretien ou plutôt d’hésitation , par déclarer
t, et, par un effort lent et continu, la détache en faisant durer une minute et demie l’opération, qui n’exige ordinairement q
! — Parbleu ! Il n’est pas possible qu’une femme subisse pendant une minute et demie une pareille douleur sans crier, sans ma
et j’actionnai fortement l’utérus et le cerveau. Au bout de quelques minutes , les convulsions devinrent plus faibles et moins
, se terminent souvent par de la catalepsie, et durent environ de dix minutes à un quart d’heure. Aucune médication n’a pu modi
s du matin, elle eut un accès d’hystérie qui ne dura pas plus de cinq minutes . 11 survint ensuite de la catalepsie, puis, à tro
comme par enchantement à quelques passes faites, pendant sept à huit minutes , depuis le haut du ster» num jusqu’au bas-ventre.
arrière, et... tout au zénith... j’aperçus... (je dirai quoi dans la minute ). Après ma promenade, on appela Dormond. En acc
est telle heure à telle pendule. Or, l’heure indiquée ù. un quart de minute près était presque toujours d’une exactitude rigo
; au moment où il parlait désignant l'heure exacte : onze heures huit minutes . _ Bientôt la crise passa, et il|s’écria : « Ma
opper en conséquence. « Cette crise effrayante dure de deux ii cinq minutes ; puis la malade se calme peu à. peu, frotte ses
té ne sont qu’éphémères, et ne se prolongent jamais au-delà de quinze minutes ; c’est alors qu'une sorte de hoquet se déclare,
, « assiste à l’accroissement rapide d’un Lilliputien qui, dans « une minute , aura la taille de Gargantua, et découvre ainsi «
ume dans un tiroir d’une autre chambre, et à les laisser pendant cinq minutes . A l’expiration de ce temps, M“« Belden fut pouss
t. — Si deux amis, en se réparant, prenaient soin de noter toutes les minutes auxquelles ils pensent l’un à l’autre, est-ce que
ète, et que je rentre chez moi épuisé des petites excursions de vingt minutes que j'ai l’intrépidité de pousser jusqu’il la rue
e promenait doucement sur les parties souffrantes. Au bout tle deux minutes environ d’un massage qui, après avoir contourné l
e tirer les conséquences du fait. Quant à moi, je l’atteste : en deux minutes , j'ai été guéri d’une entorse grave, dont plusieu
tit air, — une sorte de marche, — y fut exécuté pendant environ trois minutes . Et, tandis que je tenais ainsi le tambour élevé,
toutes vos pensées comme si vous vouliez dormir, » Après sept ou huit minutes de magnétisation sans passes, uniquement par le r
en sommeil magnétique. Je plaçai alors la main droite pendant trois minutes sur le sommet de la tête, et faisant ensuite des
'«, ferme volonté de décharger les régions cérébrales. Au bout de dix minutes , les paroles de la malade devinrent pénibles et i
s les distinguer. Il a été magnétisé pendant plusieurs mois de 5 à 10 minutes par jour, et il peut maintenant lire pendant plus
auquel il joignit des passes à grands courants, il ramena en quelques minutes cet infortuné à la vie, puis il disparut, laissan
venait franchement jaune, et ces symptômes se dissipaient en quelques minutes . (2) Nous citons cet exemple, parce qu’il est r
vez soulager. « Conformément à cette invitation, je parlai quelques minutes . Je raisonnai avec eux de la grande doctrine du p
uler très-exactement la vitesse de la lumière ; elle met environ huit minutes à nous venir du soleil (distance trente-deux mill
Si, par exemple, un fait a lieu à midi, l’image arrivera à midi huit minutes à une distance de trente-deux millions de lieues
eues ; elle y sera réfléchie et parviendra au somnambule à midi seize minutes . On ne peut affirmer que les choses se passent
assant sur la cheville et allant jusqu’au bout du pied. En quelques minutes , la jambe, qui avait toujours jusque-là été tremb
au-dessus d’un morceau de charbon, M"* G***, tout au plus un quart de minute après l’émission de mon ordre. Il me la dépeint e
écrit, marche dans une rue. Je lui commande de la suivre ; après cinq minutes de marche, elle entre dans une maison ; la descri
t d’un coup elle perdait sa vision, elle restait assoupie une ou deux minutes , puis, après avoir éprouvé une secousse générale,
me brun ; un oui fut répondu par le général. Mmc Ogier resta quelques minutes sans mot dire, puis elle reprit : Je viens de le
trouvait sa sœur, et toutes ses craintes. M. G... n’hésita pas une minute : il s’agissait de tenter une guérison pour conso
sation de celui d’où il se révèle. » Je magnétisai l’œil malade dix minutes chaque matins Application de la main, sept minu
l’œil malade dix minutes chaque matins Application de la main, sept minutes ; Insufflations, trois minutes; Eaumagnétisée
atins Application de la main, sept minutes ; Insufflations, trois minutes ; Eaumagnétiséepourbassiner l’œil dans la journé
un public impartial et désintéressé. Chaque magnétisation dure dix minutes , temps bien court et ordinairement insuffisant da
iques. Or, on a estimé que ce n’était pas en une magnétisation de dix minutes , et en présence d’un public distrait et indiffére
leur fit adopter des attitudes dans lesquelles on ne peut rester une minute en état de veille, et les leur fit conserver pend
60 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ffet, il y a quatre ou cinq mois, elle bâillait environ huit fois par minutes (480 bâillements par heure, soit 7.200 en quinze
tion normale d'une hystérique très émotive.Elle est fréquente (30 par minute ). Fig. 2. — Ler.. .., 1er sept. La respiration
ts. La plupart des bâillements sont doubles (B). Huit bâillements par minute . Fig. 3. — Ler....., 15 août. Alternance de la
, et ensuite régnèrent seuls, se répétant alors environ huit fois par minute . Depuis le mois d'octobre,les choses se sont régl
rficielle. Nous comptons, à peu près, de 170 à 180 respirations par minute . Tout cela se fait silencieusement et sans bruit.
anoxémie. Il n'y a pas d'accélération non plus du pouls (60 à 80 par minute ).L'auscultation montre d'ailleurs que l'inspirati
ement connaissance. La durée de l'inconscience fut, paraît-il, de dix minutes environ. Une plaie verticale, assez étendue et pr
de ce côté soit, dans la station assise resté pendant durant quelques minutes , pour qu'il prenne une teinte d'un rouge violacé
e soir elle se maintient à 40°. Pouls très fréquent : près de 140 par minute et un peu après à 120 seulement ; arythmie très p
t qui saignait médiocrement. Elle reprit connaissance peut-être trois minutes après l'accident. Alors je la fis se tenir debout
, revenaient par accès surtout nocturnes ; l'accès durait environ dix minutes , elles ont persisté pendant quinze jours en tout.
vant ; il lui est possible de se tenir sur un seul pied, pendant deux minutes environ. Les douleurs fulgurantes sont devenues b
passera pas unemi-nute ; le deuxième j our elle sera peut-être de une minute et demie ; on la portera à deux minutes le troisi
our elle sera peut-être de une minute et demie ; on la portera à deux minutes le troisième, à deux minutes et demie le quatrièm
e minute et demie ; on la portera à deux minutes le troisième, à deux minutes et demie le quatrième et ainsi de suite.En tous c
et ainsi de suite.En tous cas on ne devra jamais dépasser huit ou dix minutes et on n'oubliera pas que, plus le poids de l'indi
hors de tout état morbide, d'augmenter le nombre des respirations par minute en même temps que l'amplitude et la force, tant d
ensons que la plus longue séance ne doit pas dépasser trois ou quatre minutes ; ce chiffre.de trois minutes étant pris comme mo
ce ne doit pas dépasser trois ou quatre minutes ; ce chiffre.de trois minutes étant pris comme moyen terme. On commence le trai
e. On commence le traitement par des séances de une demi-minute à une minute , et progressivement,on arrive au chiffre supérieu
emple qu'on n'éprouve aucune difficulté à faire tolérer d'emblée deux minutes de suspension à des malades pesant de 60 à 70 kil
moins favorables. L'heure paraît importer peu. Lorsque le nombre des minutes fixé à l'avance s'est écoulé, le médecin commande
erses pièces de l'appareil, et on l'asseoit ensuite, pendant quelques minutes , dans un fauteuil où il prend du repos. Quelque
ce jour a été de trente-trois, chacune d'elles durant de une à trois minutes . Dans la note relative aux effets produits nous
eu jusqu'à ce jour trente-six suspensions de une demi-minute à trois minutes de durée. Dès la deuxième séance,diminution d'u
ent,le 10 octobre 1889.Trente-huit séances de une demi-minute à trois minutes chacune. La démarche a commencé àdevenir plus sûr
nombre des séances a été de trente et une,de une demi-minute à trois minutes chacune.Pendant le premier mois, résultats favora
iode de temps variable qui, chez notre sujet, ne dépasse pas quelques minutes : on peut d'ailleurs, en lui soufflant sur la figu
de se noyer, bien qu'il soit bon nageur, lorsqu'enfin, après quelques minutes d'angoisses, il fut repêché et ramené sur le bate
te fois sans crise convulsive préalable. On note que toutes les vingt minutes environ la malade ouvre les yeux tout grands, s'a
me les jours précédents au nombre de trois, environ, toutes les vingt minutes . Il y a un peu de raideur dans le membre inférieu
our-dissements. Le malade l'a vue sans connaissance pendant plusieurs minutes . Cousin germain de la mère, 50 ans marchand de
leur contact ; plusieurs fois ces images ont persisté durant quelques minutes après le réveil. Ces rêves, presque constamment,
rofonde. Aussitôt il s'évanouit et resta inconscient pendant quelques minutes . A partir de ce moment-là, tout est changé en l
puis passage Saulnier pour y prendre des patères. J'étais à pied. Dix minutes peut-être après mon départ, étant dans la rue, j'
ombe de cheval au manège; après une perte de connaissance de quelques minutes , il. se rend avec ses camarades au dortoir, parco
alors seulement qu'il reprend possession de lui-même, après quelques minutes d'ahurissement. Ses souvenirs personnels ne daten
vement, et chose assez curieuse, la mémoire s'est rétablie jusqu'à la minute même de l'accident ; il se souvient maintenant du
ties-là prennent lorsque les membres inférieurs sont, durant quelques minutes , restés pendants, une teinte violacée très pronon
Les accès sont en général isolés, et ne durent pas plus de huit à dix minutes en tout. Une fois, à la suite d'une de ses attaqu
ssance? Le malade : Oui,monsieur, complètement, pendant huit ou dix minutes peut-être, mais je ne puis rien affirmer là-dessu
ement constituée au moment du réveil qui a eu lieu seulement quelques minutes après et telle qu'elle est restée jusqu'au lendem
sement et resta étendu, immobile sur son siège, pendant peut-être dix minutes . Le lendemain, une paralysie incomplète pour le m
sse respiratoire, de battements dans les tempes. Gela a duré quelques minutes ; il était environ 4 heures du soir. En ce moment
de temps en temps, s'arrêter complètement, pendant une période de 4r5 minutes et même plus. J..., par un effort de la volonté
emain de ce qu'il a dit ou fait la veille ; dans l'espace de quelques minutes il répète dix fois la mêmechose,et souvent il hés
rdit immédiatement connaissance. Quand il revint à lui, deux ou trois minutes après, il s'entendit appeler par les voyageurs ;
et il tomba sans connaissance. Quand il revint à lui, au bout de dix minutes environ, sa femme, qui était présente, lui racont
61 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
sur cette cuiller, la tête un peu renversée en arrière. Au bout d'une minute et demie, il perdit connaissance et s’évavouit. O
vive douleur qu’il éprouve, et en poussant des gémissements. n Cinq minutes s’étaient écoulées depuis que les yeux étaient fi
u ]ialient, qui regarde la spatule avec peisévé-rance. u Après cinq minutes du plus profond silence, je pratique l’amputation
par la méthode à deux lambeaux. Pendant cette opération, qui dure une minute et demie, le malade ne profère aucune plainte el
rcher à voir la spatule. L'un des élèves pinça la cuisse environ deux minutes aeant l’amputation et demanda au malade s'il épro
s me demandiez si j’éprouvais quelque douleur.» Or, ce n’est que deux minutes après cette interrogation que commença l’opératio
et qui avait les yeux très-mobiles, commença, au bout d'environ deux minutes , à présenter de la fixité dans le regard, à clign
ces parties garda la position qu'on lui imprimait. Au bout de trois minutes environ, la poule sortit spontanément de cet état
toujours maintenir le bec de la poule dans l’axe de cette ligne. Deux minutes après, immobilité des globes oculaires, clignotem
cou gardent les positions variées qu’on leur donne. Au bout de trois minutes , la poule, qui continue toujours à avoir le regar
énomènes, l'insensibiltté et la catalepsie survinrent au bout de deux minutes . On souffla alors légèrement sur l'œil droit, et
cédé d'hypnolisation. Résolution musculaire complète au bout de trois minutes , insensibilité et catalepsie très-prononcées. On
sur le front du sujet, qui dut le regarder fixement pendant quelques minutes , el, en efiet, la personne soumise à cette expéri
’on se met à fixer cet objet, ou voit survenir, au bout de iiiieiques minutes , un 6tut singulier, les inpml>res deviennent l
é, jÀusieurs jours, plusieurs mois à l'avance, le jour, l'heure et la minute de l'invasion et du retour d'accès épileptiques,
par le magnétisme. D’après sa volonté, la magnétisation durait trente minutes et était partagée entre l'estomac, le ventre et l
lade dans la main de madame Grison. Il me fallut attendre au moins 40 minutes , dégager de la tête aux pieds, chasser en un mot
on produisait une série de points douloureux que j’éprouvais quelques minutes avantlui. La moitié droite du corps était égaleme
ouîait lui cionner. Ajirès celte expérience, qui dura environ cint} minutes , l'un des convives, M. *** (1) ayant consenti à s
na le plus grand étonnement pour tout ce qu’il avait fait ou dit. Une minute après et sans aucun préparatif, M. •** avait enco
un verre d'alcool renverse la raison de son trdne sublime et quelques minutes lui suffisent pour faire tomber le plus noble gén
plaie, etit aucun résultat. On ne douta pas longtemps : Au bout de 50 minutes de magnétisation, un engourdissement survint et e
un sujet déjà décomposé par la nature propre, il sufllt (te quelques minutes de passa magnétiques pour établir entre toi et lu
et tout le monde de rire à se tenir les côtes. Au bout de quelques minutes , pourtant les rires avalent cessé et les spectate
premier sur lequel j'ai essayé le fluide magnétique. Après quelques minutes de passes non interrompues, j’ai vu le patient ép
c milady. La lucidité n’est pas revenue. Je magnétise pen- dant dix minutes la malade, à gi'ands courants, et, peu d'in-slant
ralentissement du pouls qui, chez l'homme, fournit lûO pulsations par minute dans la première enfance, et seulement 50, ou moi
s nmsf?ages le long des hypochondres : la magnétisation avait duré 40 minutes el j’y avais déployé une telle nrdeiir, que je me
la tour de Malakolï, sa femme est frappée au rnènx’ moment, à la même minute , ;'i!a même seconde, (l’iiii Ituieste pressentime
lectricité à mes traitements, je ne magnétise ainsi que de cinq à dix minutes au plus, et je continue la séance par le magnétis
e logique (2). » Comment! sans preuve'i Laissons de cfllé, pour une minute , les faits nombreux qni vous cernenl irrévocablem
ssances humaines. Le premier essai réussit à merveille. Après vingt minutes de magnétisatiou, M. Severini tomba daos le somme
ultat de ma seconde séance fut encore plus extraordinaire. Après sept minutes de magnétisation, pendant lesquelles les deux méd
oncée à une assez grande profondeur; on lui fit respirer pendant deux minutes de l’ammoniaque; on lui passa daus les fosses nas
ubeg, marcba, fit mouvoir ses ailes, et tout cela pendaot près de six minutes . {Rechercket phytiologiques et expérieneet turlav
ce de moi, une jeune dame dans une position intéressante, et, en deux minutes , on la vit fléchir, soumise entièrement à la puis
, m’approchant tl'une jeune peisoiiui.' jilacén près d’elle, rlciix minutes ine siiitircnt encore pour produire le somiiaiiil
ne de dix-huit ans envirou, je provoquai de nouveau, en deux ou trois minutes , une crise de sommeil. Celui-ci présentait d’autr
prévenant toutefois qu’elle ne se croyait point sensible ; mais deux minutes me suffirent encore pour agir sur elle, et on vit
s plié-noniônes ; Il provoque des crises et il les arrête en quelques minutes ; en un mot, il est tout puissant ! Comme on le
attaques d’épilepsie, d’hystérie; il arrête ces désordres en quelques minutes ; il fait cesser les accès de noctambulisme, la l
cela j’ai besoin d’étudier. (La somnambule se livra pendant qnelques minutes à un travail mental qui paraissait mettre en jeu
les mains au jeune P. L. et j’ai provoqué une crise eu moins de deux minutes . Depuis celte époque cet individu éprouve en ma p
). Journellement elle avait quinze accès, qui lui duraient de 25 à AO minutes . Les moyens les pins énergiques et les plus diver
, dont la couronne était en partie tombée. L’opération dura pendant 7 minutes , et on sait si elle est douloureuse! A son réveil
e réelle, elle ne mangeait et ne buvait presque rien, et les soixante minutes expirées, elle se rendormait de la même manière q
la domination de 1 od absorbé, et n'en est délivrée qu’après quelques minutes , souvent après des quarts d’heure et même des • h
62 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
1/2, se montrèrent les premières convulsions. Leur durée fut de 15 minutes à la première attaque ; le même jour, elles se
les se produisirent une seconde fois et persis- tèrent durant vingt minutes . Sans perdre connaissance, l'enfant devenait «
du cordon, ni séjour prolongé au passage; cet état se prolongea 20 minutes et ne (1) Bien que l'influence de l'hérédité au
e la tête, mais donne des signes d'im- patience au bout de quelques minutes . Sans motif appré- ciable, il a parfois des acc
térale; enfin, dans un laps de temps variant de 20 se- condes à une minute au maximum, survient la résolution et le malade
l les sen- MÉNINGO-ENCÉPHALITE. 19 tait venir, et, dans les vingt minutes qui les précédaient, il disait sans cesse ; « M
es accès sont revenus; ils sont presque quotidiens, durent 20 ou 30 minutes et sont identiques à ceux que nous avons décrit
omba privé de connais- sance et se débattit beaucoup pendant 7 à 10 minutes , puis il reprit connaissance, eut un peu de dél
t donne des coups de tête. Ici, survient une rémission de plusieurs minutes . Une nouvelle crise se déclare : l'enfant en me
t, jusqu'au milieu du ventre. Puis il se recouche, et s'endort deux minutes après. La série est Unie; elle a duré une heure
'hui dure deux heures. Survient une série de crises de deux à trois minutes chacune, dans lesquelles le phéno- mène prédomi
14 mars. A huit heures du soir, survient une crise uni- que de cinq minutes de durée. Il n'y a pas eu de convul- sions clon
avec les mêmes caractères, mais ont été d'une durée variant de dix minutes à une heure. 16 avril. Douches. 21 mai. Les poi
ainsi que dans le mois de novembre il n'y en a eu qu'une de trente minutes . On note ce matin une hémianesthésie de la moit
estait roide et immobile; la durée était de quelques secondes à une minute . Il n'y avait ni écume buccale, ni miction invo
peur et l'adynamie; l'oppression est intense (50 respi- rations par minute ). Les pommettes du visage sont rouges. Le pouls
s se sont montrés à quatre jours d'intervalle, d'une durée de 4 à 5 minutes ; depuis, ils sont devenus quo- tidiens. Aujou
ans, a eu une nouvelle attaque de convulsions, d'une durée de 10 minutes , le 15 novembre 1880, un mois avant sa réad- mi
l'enfant est tombé sur le sol, où il est resté environ vingt- cinq minutes sans aucun soin. On n'a pas constaté de plaie à
emières convulsions internes ont apparu à trois ans et ont duré dix minutes . Depuis lors, après un inter- valle de trois mo
n constate de la dyspnée avec un peu de tirage (36 respirations par minute ). La sonorité thoraci- que est normale ; malgré
63 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
semblable à celle du 17 mai. Elle avait accompli la miction quelques minutes auparavant et rendu de l'urine nor-male. La surve
gique peut se produire, c'est l'erreur sur le temps et l'espace : une minute pour les uns a la durée d'un jour, d'un mois, d'u
instants après l'injec-tion, ne présentait plus que 54 battements par minute . Dans ces expériences, aucune des grenouilles n'a
e a été pris de convulsions clo-niques, qui ont duré à peine quelques minutes , et qui nous ont donné le spectacle d'une véritab
vulsives étaient fréquentes et se succé-daient toutes les cinq ou six minutes ; les mâchoires étaient forte-ment serrées ; depu
s règles datait du 12 juin 1871. Le soir de son entrée, à 8 heures 15 minutes , elle accoucha spontanément d'un fœtus mort-né. C
de la miction, après laquelle elle persiste encore pendant plusieurs minutes . — Les garde-robes composées de petites crottes d
actifs commencèrent à déceler la présence de l'iode dans l'urine; une minute après l'injection la réaction violette était plus
rès l'injection la réaction violette était plus franche, et après une minute et demie elle était très-marquée. Quelquefois l
dans un essai, la réaction violette était extrême-ment accusée quatre minutes après l'injection, et, une minute plus tard, tout
était extrême-ment accusée quatre minutes après l'injection, et, une minute plus tard, toute trace d'iode était effacée. (The
sque l'expérience persiste, sans interruption, pendant trois à quatre minutes . IV. DO système veineux DU crane et de l'encéph
et pratiquer la respiration artificielle. Ce ne fut qu'au bout de six minutes que toute crainte de danger disparut et que l'opé
n bain électrique pour la pre-mière fois. Il reste dans le bain vingt minutes . Tous les jours il prend un bain.—Après 7 bains,
est envoyé pour la première fois au bain électrique ; il y reste 20 minutes . — Tous les deux jours il prend un bain de même
M. Paul envoya le malade aux bains électriques, tous les jours, et 20 minutes chaque fois. Après 8 bains, un mieux sensible s'é
l'écraseur. Bien que la section eût été faite promplement en 13 ou 14 minutes , il ne s'écoule que quelques gouttes de sang. L'u
ef termina l'accouchement par une application de forceps à mi-nuit 15 minutes . — Délivrance spontanée à minuit 30 minutes. — Fi
n de forceps à mi-nuit 15 minutes. — Délivrance spontanée à minuit 30 minutes . — Fille née morte pesant 3,700 grammes. Second
minée les jours précédents, ne contenait pas d'albumine. De minuit 45 minutes , à 5 heures du matin, neuf accès. En tout, onze a
ade dans le service de médecine. De 5 heures du matin, à 10 heures 30 minutes du soir, dix accès qui se succèdent comme suit :
ants continus. A partir de la 9e ligne (Fig. 7), c'est-à-dire après 9 minutes de passage d'un courant continu, on n'obtient plu
est dirigé en sens inverse du courant pri-mitif, et qui dure quelques minutes . Cela explique également pour-quoi le courant d'o
La face devint cyanosée et l'écume sortit de la bouche. Au bout d'une minute , respiration profonde et supérieure et relâchemen
fin bâillement, ouverture dès yeux et retour de la conscience après 6 minutes . La malade est en bon état, sa langue un peu ch
t devenu dur, anémique, et est complètement so-lidifié au bout de dix minutes . La force d'impulsion et les batte-ments y ont ég
. Ce courant de 8 à 12 éléments n'est maintenu que pendant une à deux minutes , et lorsqu'on a soin de ne mettre ni d'enlever le
s des courants plus énergiques et dont la durée varie de dix à trente minutes ? Dans les observations de M. Lefort nous aurion
un léger resserrement artériel et un gonflement des veines. Quelques minutes après l'électrisation, on trouve encore les artèr
fait avec une grande facilité. L'opération n'a pas duré plus de cinq minutes . La portion du col enlevée présente une longueur
de la gestation. La durée de ces compressions variera de cinq à huit minutes ; elles seront répétées dix, vingt,, quarante fois
s et séparées l'une de l'autre par des pauses de une demi-minute, une minute et même trois minutes, suivant l'urgence du cas,
e l'autre par des pauses de une demi-minute, une minute et même trois minutes , suivant l'urgence du cas, l'époque du travail où
petit cri, fit quelques mouvements et mourut au bout de deux ou trois minutes , sans autre cause apparente que sa faiblesse. Son
faiblesse. Son cordon était de longueur et de grosseur normales. Dix minutes après environ, deux pieds se présentant à La vulv
étant toujours abaissé. Ce tampon, maintenu en place pendant quelques minutes , arrêta l'hémorrhagie. On laissa alors l'organe r
ppe. Je tamponnai alors avec de la charpie sèche, mais en moins d'une minute le tampon était traversé, puis ce tampon pro-voqu
64 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
non successives, et séparées par de courts intervalles de quelques minutes ; quelquefois le repos est plus long, d'autres f
s surviennent à intervalles très rapprochés, toutes les deux, trois minutes , et ne cessent que pendant le sommeil qui est t
t un autre ; il a éprouvé une grande frayeur ; est resté quelques minutes sans pouvoir parler, les bras agités de trembleme
ce et de secousses généralisées. Les accès duraient de trois à cinq minutes et ne laissaient après eux aucun symptôme. Le t
, suspend son occupation et s'assied près de son lit. Deux ou trois minutes après, elle est prise d'une toux involontaire,
es éternuments, puis la toux revient au bout de quatre, six ou huit minutes pour ainsi alterner jusqu'à la cessation complè
lète de ces accès, durant un temps quia varié entre dix et soixante minutes et se montrant dans le jour, d'une manière indé
nts et correspondant à des pulsations radiales (entre 90 et 120 par minute ), irrégulières, parfois presque imperceptibles.
s; les attaques de celte catégorie ne dépassent guère dix ou quinze minutes et ne s'accompagnent pas de perte de connaissan
d'éther, dont les effets sont apparus au bout de quatre, six, huit minutes , fait des allusions à sa profession, 58 REVUE D
rnuments de la malade et nous avons eu, pendant le même nombre de minutes , une quantité d'éternuments variables; ainsi tant
iables; ainsi tantôt nous comptions 32, 37, 40 éternuments dans une minute ; tantôt 100, 95 dans trois minutes; tantôt 161
32, 37, 40 éternuments dans une minute ; tantôt 100, 95 dans trois minutes ; tantôt 161, 149 dans cinq minutes. Dans l'es
te ; tantôt 100, 95 dans trois minutes; tantôt 161, 149 dans cinq minutes . Dans l'espace de vingt-deux jours (21 octobre
t plus naturel et plus logique de sa part que de s'attendre a toute minute à une descente de police.-Lafamilie, très désireu
'elle a recouvré la mémoire : vérifica- tion faite, au bout de deux minutes , les faits et les visages sont de nouveau effac
); employés pendantdeuxmois et demi (six séances par semaine de dix minutes ), ils font gra- duellement cesser presque absol
s- tibles résultent de l'asymétrie de l'innervation. Pause de dix minutes , à la suite de laquelle M. Kussmaul em- pêché e
sur son lit. Il ne se produit pas de ci Les convulsions durent dix minutes ; la jambe gauche y participe; deux heures de so
osition de maximum d'efforts, un poids dooà to livres durant t a 30 minutes ), elierellaità biense rendre compte sur le chan
ait suivant : Chute sur la tête, étourdissement pendant quelques' minutes , retour de la connaissance avant l'arrivée à l'
ion sur les reins, eut une perte de connaissance pendant quelques minutes et dut rester aulit pendant uumois. Au bout dec
est présenté à nous, il en avait à peu près une par jour durant dix minutes . Le jour même de notre consultation sous l'infl
ns précipité. Alors que, généralement, il se passe à peine quelques minutes sans qu'une secousse musculaire limitée ne se p
? une femme malaise âgée et très respectable. Je causai environ dix minutes avec elle sans rien soupçonner d'anormal. Tout
lui, sourit; mic- tion involontaire inconstante. Durée totale : une minute . Dans d'autres accès; pas de cri ou d'autres fo
frotte la figure de la main gauche et se réveille peu à peu (Xà6 6 minutes ). Parfois, il pleure après ses accès. 4880. 2G
ite qu'à gauche. Parfois, la période clonique manque. Au bout d'une minute environ, la tête revient de gauche à droite, l'
e est entre les dents, il y a de l'écume. Cet état dure en- viron 4 minutes , puis le ttcrlor cesse. Pendant la dernière pério
de taches rouges aux extrémités. Le pouls est lent, faible, 40 par minute . A sept heures du soir, la température rectale
, à peine quelques instants furent-ils passés, qu'il ac- corda cinq minutes pour terminer son portrait, et ne consentit à p
i la montre à la main. Quand l'aiguille marqua la dernière des cinq minutes , il seleva tout à coup en disant : « C'est fini
ves et il en trouvait dans le cas de Miche), qui, en moins de vingt minutes , tuait six personnes à coups de croissant à éla
u 15 juin 1883. Le temps d'une communication ne dépassera pas vingt minutes , ou, avec la permis- sion du président, trente
ra pas vingt minutes, ou, avec la permis- sion du président, trente minutes . L'argumentation de chaque orateur sera au plus
ente minutes. L'argumentation de chaque orateur sera au plus de dix minutes . Archives, t. IX. 27 418 SOCIÉTÉS SAVANTES.
s, varient d'intensité et de fréquence (on en compte jusqu'à 60 àla minute ) et paraissent indépendantes de la respiration in
té a été traité par la force centrifuge ; il est mort au bout de 17 minutes ; on constate sur le crâne, les méninges, le cer
perémie centrifuge modérée, à petites doses non mortelles, quelques minutes chaque jour, en plusieurs séances successives.
65 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
omber ce qu'elle tient à la main, et enfin s'assoupit pour quelques minutes . ÉCLAMPSIE ET ÉPILEPSIE. 43 Dans ce fait, la
a une femme malaise âgée et très respectable. Je causai environ dix minutes avec elle sans rien soupçonner d'anormal. Tout
enser, mais il ne pouvait émettre aucun mot. Durée desattaques, dix minutes a dix heures environ; aphasie avec agraplue. Ré
ement soudaine, sans perte de connais- sance ; il recouvre quelques minutes plus tard la parole, ruais le soir du même jour
rière en avant par une ondulation : c'est l'aura qui dure une à une minute et demie. L'organe est ensuite involontairement,
onvulsions arythmiques se succè- dent cinquante à soixante fois par minute . La parole et la dégluti- ' Archives de Neurolo
autre accident immédiat ou consécutif. Durée de l'accès, une à deux minutes ; il est suivi pendant quelques minutes de contra
urée de l'accès, une à deux minutes ; il est suivi pendant quelques minutes de contractions fibrillaires. Répétition à des
nseigne que chacune d'elles doit avoir une moyenne totale de quinze minutes , sur lesquels on consacre : REVUE DE THÉRAPEUTI
surtout aussi immédiat. Le sommeil se fait sentir dans les quelques minutes qui suivent l'ingestion, mais il est léger. En
nt les mêmes modifications. Ces phénomènes inquiétants durèrent dix minutes environ pour céder la place à une ivresse pure,
sommeil de huit heures. Comme par la voie gas- trique, il faut cinq minutes pour que l'effet narcotique se pro- duise. Les
ditionsidentiques : elles calment, momifient même en une dizaine de minutes eL au calme succède souvent, sans in- terruptio
s hallucina- 13f; CLINIQUE NERVEUSE. tions durent de cinq à dix minutes . A son réveil, R... n'a aucun souvenir de ce qu
e que le malade plongé dans le coma est pris toutes les cinq ou dix minutes d'un accès classique spas- modique. C'est dans
ignement, , mais ré; 1 it,u....Jn.... , petejau'bout de; quelques minutes ; sa première , assertion j^il, dé- clare se, re
ue,,tà,se,rappclér.des conceptiôns de même, sorte pendant plusieurs minutes , .voire pendant quelques jours. Inver- sèment,
ychique. ' u sh Entre chaque heure, on intercale une pause dequinze minutes . vn On fait ensuite le premier déjeuner : un qu
r désormais la limite des communications à mnrt'iirürutes ou trente minutes au maximum en cas d'agrément du président; ;- c
rateur, à l'occasion d'une discussion, ne pourra parler plus de dix minutes . Cette motion est adoptée. ' La séance close, o
uve clinique commune sur un malade. 11 sera accordé au candidat dix minutes pour l'examen du malade et vingt minutes pour d
ra accordé au candidat dix minutes pour l'examen du malade et vingt minutes pour développer oralement son opinion devant le
es pour développer oralement son opinion devant le jury, après cinq minutes de réflexion; 3° une épreuve clinique sur les m
e sur les maladies mentales : un seul malade. Il sera accordé vingt minutes pour l'examen du malade; et vingt minutes pour
de. Il sera accordé vingt minutes pour l'examen du malade; et vingt minutes pour la dissertation, après cinq minutes de réf
amen du malade; et vingt minutes pour la dissertation, après cinq minutes de réflexion ; 4° Une épreuve écrite comprenant
r un cas d'aliénation mentale. Il sera accordé au eau- didat quinze minutes pour l'examen de chacun des malades, et une heu
ur deux malades d'un service d'aliénés. - Le candidat aura quinze minutes pour l'examen de chacun des deux malades et trent
quinze minutes pour l'examen de chacun des deux malades et trente minutes pour dissertation orale, après cinq minutes de ré
deux malades et trente minutes pour dissertation orale, après cinq minutes de réflexion. Le maximum des points à attribuer
ots inintelligibles. Ces at- taques se terminent quelquefois en dix minutes ; d'autres fois, elles se sont prolongées pendan
on maximum d'intensité. Jamais la jambe n'a été prise. Environ deux minutes après ce premier accès, un second.se déclare, p
es ARCHIVES, t. V111. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE. les cinq à huit minutes ; elles sont plus rares la nuit; elles sont plus
ras et de l'épaule, (action sur le plexus brachial); au bout de dix minutes , la respira- tion s'exécute spontanément. On tr
, fait le plus souvent dormir très rapide- ment(généralementen cinq minutes , rarement en un quart ou une demi-heure), ou to
emps. - La pa- raldelyde a provoqué une somnolence de cinq à trente minutes dans 90 p. 100 des essais faits le soir, chez 6
66 (1852) Journal du magnétisme [Tome XI]
s et sa jambe gauches sans qu’elle le sente. A cinq heures moins cinq minutes , même épreuve. Au moment où ma montre marque cinq
son lit et placée sur un fauteuil, où elle s’évanouit au bout de dix minutes . Le 17, depuis deux jours'elle éprouve des faib
e, le somnambulisme naturel et lucide d’une personne, et son réveil à minute fixe sans magnétisation et sans dégagement? 4°
ande M. Ordinaire, le somnambulisme naturel et lucide, et le réveil à minute fixe sans magnétisation et sans dégagement ? Ma
erveux? Quand l’individu est persuadé qu’il doit s’éveiller à telle minute , il s’éveille en effet; quand il croit sentir tel
ne indicible expression de piété et de résignation. Au bout de sept minutes , il demanda de l’eau, et poussa un profond soupir
dans l’état normal. Je le laissai magnétisé pendant soixante-dix-sept minutes , puis je le réveillai. Mercredi, 9 décembre. Je
s de violence que jamais. Cela commencera à neuf heures quarante-cinq minutes du matin, et se termina à onze heures quatorze mi
quarante-cinq minutes du matin, et se termina à onze heures quatorze minutes . Je souffrirai beaucoup, mais ce sera pour la der
ù vois-tu de l’avenir? — Jusqu’au 5 mars i85), à onze heures trente minutes ... Au delà de celte date, je ne vois rien... (sou
urs de monde. Un des assistants lira sa montre, cl, quand arriva la minute fixée, Félix tomba snns connaissance dans les bra
es mains peudant un quarl-d’heure, selon l’un des médecins, et de dix minutes suivant l’autre, ramena définitivement la fonctio
67 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
intention, à ce moment, de les tenir et quelques heures ou quelques minutes plus tard, \ exécutent ce qu'ils venaient de pr
r celte question) ; 2° Épreuve clinique commune sur un malade. (Dix minutes MÉDECINS ALIÉNISTES DES HOPITAUX. XCIII d'exa
minutes MÉDECINS ALIÉNISTES DES HOPITAUX. XCIII d'examen et vingt minutes de dissertation après cinq minutes de réllexion
OPITAUX. XCIII d'examen et vingt minutes de dissertation après cinq minutes de réllexion). 3" épreuve clinique sur les ma
épreuve clinique sur les maladies mentales : un seul malade (vingt minutes d'examen et vingt minutes de disser- tation, ap
maladies mentales : un seul malade (vingt minutes d'examen et vingt minutes de disser- tation, après cinq minutes cle réfle
ngt minutes d'examen et vingt minutes de disser- tation, après cinq minutes cle réflexion : Il'' Epreuve écrite, comprenant
un cas d'aliénation mentale. (H sera accordé aux concurrents quinze minutes pour l'examen de chacun des malades et une heur
r deux malades d'un service d'aliénés. (Les candidats auront quinze minutes pour l'examen de chacun des deux malades et tre
t quinze minutes pour l'examen de chacun des deux malades et trente minutes pour la disserta- tion après cinq minutes de ré
es deux malades et trente minutes pour la disserta- tion après cinq minutes de réflexion). Le nombre des points attribués i
ation est sifflante et prolongée. Mouvements respiratoires 2t il la minute . Creut' normal; 80 pulsations. Ventre souple. L
- Épistaxis léger. Température vespérale 40°. Respiration à 46 par minute . 5 janvier. - La bronchopneumonie devient de pl
ns généralisées aux quatre membres, et qui ne durèrent que quelques minutes . Vers 7 heures du soir, le même jour, il fut pr
ient de lui faire répéter les lettres et d'en tracer pendant S à 10 minutes . - D... est tou- jours enclin à la colère et au
nt le pouls peut s'élever de 100 à I°0, de 170 v 140 battements par minute . Dans ces conditions, on comprend qu'une marche
des pulsations augmente de 20, 30 et quelquefois même 40 dans une minute . Il ne faudrait donc pas attribuer unique- ment
s et les odeurs. Respiration : 15 à 16 mouvements inspiratoires par minute . Le pouls est à peine perceptible au poignet. L
net. Le pouls cru- ral, plus perceptible, indique 80 pulsations par minute . Rien de spécial à noter à l'auscultation du co
ec une femme qui l'avait insul- tée ; syncope consécutive de quinze minutes , puis, douleurs abdominales qui ont fait croire
e, son corps était « mou »; il a repris connaissance au bout de dix minutes et a pleuré abondamment en revenant à lui. Troi
il s'est calmé lui-même, et est venu faire des excuses. Durée vingt minutes , - Le 21 mai, l'enfant va passer chez lui les f
e juin a été bon. Une crise de colère le li,, qui n'a pas duré cinq minutes . L'amélioration s'est accentuée. L'enfant est d
s réflexes. La station debout n'est possible que pendant quelques minutes ; le malade qui sent son équilibre instable cherch
tation debout, sans appui, ne pcut se prolonger au-delà de quelques minutes . La plante du pied droit repose à peu près comp
68 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
tombait par terre, raide, sans connaissance, et restait ainsi vingt minutes sans reprendre ses sens. Ces at- taques se reno
itôt à son secours, dit-il, il se serait brûlé. Il est resté quarante minutes sans connaissance ; il n'aurait, au dire de ses
sez souvent tombe sans connaissance. Il reste ainsi durant quelques minutes , puis tout se dissipe, il se relève et reprend
e. Bl... en a ressenti une frayeur si violente qu'il est resté cinq minutes sans pouvoir parler. Il peut cependant rentrer
st sorti pour faire une livraison. Dans la rue de Clignancourl, à dix minutes de chez lui, il a été pris, dit-il, de vertiges
classiques avec aura et grands mouvements qui durent quinze à vingt minutes et se répètent une ou deux fois par semaine. Pa
eures. Il écrit bien et marche bien à son réveil, mais dix à quinze minutes après, la parole rede- vient pénible et diffici
ticule parfaitement, il marche sans difficulté, etc. Au bout de dix minutes , il rentre dans son pre- mier état. L'auteur
ouvait ni lire ni coudre extemporanément; mais, au bout de quelques minutes , elle pouvait lire. La pupille gauche ne réagis
, est facile ; la durée moyenne de mes opérations à été de quarante minutes , panse- ment fait; elle est moindre actuellemen
thme n'est pas modifié, et il est de vingt- quatre inspirations par minute , comme à l'état normal. Le coeur bat un peu plu
e-vingts pulsations à l'état normal, il va à quatre-vingt-seize par minute . Dans cette situation anormale, le malade peut
moins du monde incommodé et cela pen- dant un temps très long, dix minutes , un quart d'heure. Pour faire ouvelle Iconograp
araître éprouver la moindre'gêne, si ce n'est au bout de cinq à dix minutes . Le tracé pneumographique ci-dessus (fig. 25) a
ns les oreilles ; ça lui tapait dans les tempes. Cela dura quelques minutes , après quoi sa vue se troubla et il perdit connai
ments de pronation et de supination involontaires. Au bout de vingt minutes environ le tremblement s'est suffisamment calmé
e parquet. Elle revint à elle et put se relever au bout de quelques minutes . Comme elle était seule, elle ignore si elle s'
, que « ça lui tapait dans les tempes ». Tout cela durait' quelques minutes , un quart d'heure; après quoi le'malaise, l'ang
t il tomba sans connaissance. Quand il revint à lui, au bout de dix minutes environ, sa femme qui était présente lui raconta
it immédiatement connaissance. Quand il revint à lui, deux ou trois minutes après, il s'entendit appeler par les voyageurs; i
d'arrêt sont très brèves; pen- dant quelques secondes, une ou deux minutes au plus, le tremblement cesse, puis reprend soi
cèdent régulières et à intervalles égaux, pendant deux, trois, cinq minutes et plus; puis des mo- ments d'arrêts se produis
arité, la même inconstance. Parfois il persiste pendant une ou deux minutes sans interruption et avec une régularité parfaite
endant quelques instants, parfois très courts, quelques secondes, une minute ou deux, et reparaître ensuite, sans qu'un mouv
tremblement était un peu plus fort, il se montrait toutes les vingt minutes ou demi-heures persistant pendant quelques minute
toutes les vingt minutes ou demi-heures persistant pendant quelques minutes et disparaissant pour reparaître encore. 11 a t
ension forcée, l'oreille droite bourdonne plus fort ; cela dure une minute au plus- Les membres ne se raidissent pas, le tre
e au niveau de la face dorsale des deux mains donne au bout de cinq minutes les résultats suivants : 111. D.=34°; M. G. =28
les huit jours environ, des tremblements qui durent de dix à quinze minutes et quelquefois plus. Pas d'attaques de nerfs. L
ractérisé par une raideur tétanique qui paraît avoir duré plusieurs minutes , avec perte de connaissance complète, sans cri,
upeur peu apparente, il a pu se remettre à lire au bout de quelques minutes . Du 12 novembre au G février, il a eu en outre
épaules. Ces douleurs survenaient, dit-elle, par crises de quelques minutes , tous les jours, pendant un an; elles étaient t
nent plus maintenant que de temps à autre et ne durent que quelques minutes ; ces douleurs sont toujours exquises, surtout a
, il a eu plusieurs crises analogues; elles duraient chacune trente minutes , une heure et même davantage, et venaient tous
Il est entré pour des palpitations; le pouls battait alors 1G0 à la minute ; il avait une douleur assez vive dans la région
mais son facies était si altéré qu'on l'a crue morte pendant quinze minutes . On lui a fait boire de la « liqueur hygiénique»
s, avec alternatives de rire et de pleurs. Celte attaque dura vingt minutes ; elle ne se mordit point la langue; elle n'uri
s jours, plusieurs fois par jour, et duraient environ dix il quinze minutes . Elle ne trépignait pas, elle ne s'agitait pas,
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S1L1'I : 'l'Pll;ItE. Au bout de quelques minutes la crise est finie. Elle ne perd pas connaissance
avait environ chaque mois des accès incomplets durant deux ou trois minutes , dans lesquels il faisait claquer sa langue et
ait de 1/2 à 1 centimètre. Quand le chien restait suspendu de 3 à 5 minutes , le niveau du mano- mètre baissait encore de à
le; il suffisait de laisser le chien suspendu pendant trois ou cinq minutes , et on voyait que le niveau d'eau dans le manom
let de la pression atmosphérique. Dans l'espace de ces trois à cinq minutes il se produisait donc un phénomène nouveau deca
de remettre le chien dans la position horizontale pour dix ou vingt minutes et tout rentrait dans l'ordre : l'hyperhémiedis
mpli de colle ou de charbon. La durée de l'extension était de vingt minutes . J'ai eu recours à une extension aussi prolongée
69 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
t, et fait que la coloration du carmin peut être obtenue en vingt minutes . Ainsi se trouve tournée cette grosse difficult
nts, aux piqûres d'épingle et même au chatouillement. - Après dix minutes d'électrisation, la malade prend dans ses doigts
un crayon, etc. Mais ce résul- tat n'est pas durable, et, quelques minutes après qu'on a cessé l'électrisation, l'anesthés
ntre le bras et la poitrine, les pôles tournés vers l'aisselle. Dix minutes environ après cette application la sensibilité
action du biceps. On fait continuer ce mouvement pendant cinq à dix minutes . On note les températures nouvelles cinq minute
pendant cinq à dix minutes. On note les températures nouvelles cinq minutes après la cessation du mouvement. Si l'on s'aper
t les membres rigides; une autre fois, il y eut une absence de deux minutes . - Pendant les huit der- niers jours, la malade
re part, le peu de temps consacré à prendre les températures (7 à 8 minutes en moyenne) sous l'aisselle, laisse planer un d
ÉNIE DES TREMBLEMENTS. 211 t que ce premier accès dura à peine cinq minutes ; six mois après le tremblement revint de nouvea
e moment, il répond tant bien que mal. Ces accès durent à peine une minute , et il n'y a pas de stupeur consécutive. Ils ap
fré- quente, stertoreuse et l'accès se termine au bout de 5 à 10 minutes , sans laisser aucun souvenir. L'état mental s'e
s celle où l'anesthésie est le plus prononcée. On attend quelques minutes , en faisant par intervalles une légère piqûre d'a
ux). Après un temps qui varie, suivant les cas, entre deux ou trois minutes et un quartd'heure ou davantage, si le métal a
ides de Trouvé (sulfateldecilivre) ! La sensibilité, après quelques minutes , revint dans le voisinage des électrodes, avec
vai dans l'im= «possibilité de répondre à sa question et passai' 20 minutes « à m'efforcer de lui faire comprendre ce que j
orce d'arbre; le paquet, sans être défait, est plongé pendant vingt minutes dans un grand verre d'eau chaude ; on exprime e
ouchement provoquait des spasmes, qui survenaient toutes les 4 ou 3 minutes . Teinture de belladone et hydrate de chloral; s
uve clinique commune sur un malade. Il sera accordé au candidat dix minutes pour l'examen du malade, et vingt minutes pour
a accordé au candidat dix minutes pour l'examen du malade, et vingt minutes pour développer oralement son opinion devant le
tes pour développer oralement son opinion devant le Jury après cinq minutes de réflexion ; 3° une épreuve clinique sur les
e sur les maladies mentales : un seul malade. Il sera accordé vingt minutes pour l'examen du malade, et vingt minutes pour
. Il sera accordé vingt minutes pour l'examen du malade, et vingt minutes pour la dissertation, après cinq minutes de réfle
examen du malade, et vingt minutes pour la dissertation, après cinq minutes de réflexion ; 4° une épreuve écrite comprenant
sur un cas d'aliénation mentale. Il sera accordé au candidat quinze minutes pour l'examen de chacun des malades, et une heu
sur deux malades d'un service d'aliénés. Le candidat aura quinze minutes pour l'examen de chacun des deux malades, et tren
uinze minutes pour l'examen de chacun des deux malades, et trente minutes pour la dissertation orale après cinq minutes de
ux malades, et trente minutes pour la dissertation orale après cinq minutes de ré- flexion. 348 FAITS DIVERS. Le maximu
mbe à 37°, 6. (Fig. 18.) Fig. 18. Chaque ligne verticale répond 1 5 minutes . x signifie la température initiale. La courbe
courbe inférieure répond 1 la température du bain, prise de 5 en 5 minutes . Les étoiles * indiquent l'eau froide ajoutée a
s où on a ajouté de l'eau froide. Chaque ligne verticale répond à 5 minutes . 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. Ni contractures, ni
monter de l'autre. De sorte que si l'on note les degrés observés de minute en mi- nute, on a deux colonnes de chiffres qui
qu'un kilogramme de pression acqué- rant graduellement, en quelques minutes , une force de qua- rante kilogrammes au détrime
; avant que le passage soit effectué, la malade peut, pendant une minute de plus, présenter une anesthésie totale ou bien
orsale de l'avant-bras. Dès que l'action commence (une ou plusieurs minutes après l'application), une plaque d'anes- thésie
du membre que vers la périphérie. De sorte que, au bout de quelques minutes , les plaques elliptiques d'anesthésie sont deve
re allusion, l'anesthésie n'était générale qu'après vingt ou trente minutes . Pour suivre, sans trop de tâtonne- ments, la m
tion, qui devient de plus en plus intense, persiste quelquefois une minute après la cessation de l'excita- tion et reparaî
après qu'on a fléchi le pied, saillie qui persiste pendant quelques minutes . Cette persistance de la flexion du pied s'ob-
ment après la mort, l'excitabilité musculaire est, pendant quelques minutes , plus grande que sur le vivant; le maximum d'ex
r, de deux attaques de convulsions violentes, durant à peu près dix minutes , limitées d'abord au côté droit, puis au côté g
ette compression ne pouvait être maintenue chaque fois que quelques minutes à cause des phénomènes qui survenaient du côté
inr'' ,.) ? [rxij Su : 116 ;> t R ? 0 . zone . cérébrale 10 a 15 minutes dans 1 eau ordinaire. Le grand segment ou segme
son''acuité ? se fatigue après un court ,exercice. Au bout de cinq minutes de lecture,' un. nuage -s'étend devant-les yeux
visions ». É. e z « La malade vint chez moi avec sa mère. Quelques minutes après son entrée, tandis qu'elle racontait les
ogi- quement à cette idée. Elle se lave les mains toutes les cinq minutes , et s'essuie longuement chaque doigt. Elle reste
la peau froide et couverte d'une sueur visqueuse. Au bout de quinze minutes , j'appliquai REVUE DE thérapeutique. 615 l'au
effets ont été remarquables, la guérison a été complète en quelques minutes ; il n'y a pas eu de résultat dans les sept autr
cuisse gauche, et l'autre sur la région cervicale. Au bout de onze minutes , les mouvements avaient cessé; pas de re- chute
des trois périodes classiques de l'épilepsie, et durant de 10 ou 15 minutes à plusieurs heures. Quelquefois l'enfant ne sur
anque^J'hébétude consécutive disparait ordinaire- ment ,en quelques minutes et les malades reprennent leurs occupations; qu
tout entier tourne du côté contracturé. Cet accès dure cinq à huit minutes ; la malade se retourne en sens inverse et tout
70 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
ns de tous les muscles respiratoires se répètent jusqu'à 280 fois par minute . Chose curieuse, aussi longtemps qu'elle est sous
semaine. Il pèse 62 kilos. Je lui fais fixer mon regard et, en une minute , il tombe en catalepsie. Dans cet état, je lui su
tait devient chaude, il y aura ù espérer une amélioration. En trois minutes , je l'hypnotise; il tombe en catalepsie légère. D
ques gouttes de cette substance sur un peu d'ouate réussissent en une minute à triompher de l'opposition te la malade et à la
ans toutes ces séances, la malade est resiée endormie pendant 15 à 20 minutes . i" juin. Administration du chloroforme, sommei
tion générale. 2 juin. La malade s'est endormie dans l'espace d'une minute . La suggestion a eu pour résultat une amnésie com
ement fort petit, et si lent qu'il battoit à peine cinquante fois par minute ; son sang était si gluant qu'il ne couloit que g
ttaque de catalepsie venoit de la prendre et la quitta en cinq ou six minutes , ce que l'on connut parce qu'elle bailla, se leva
EAU, Villa des Pages, 9, avenue des Pages, LE VESINET {8,-et-O.l à 33 minutes de Paris, pan Sat*t-ùtan '¦ i trains par Jour).
l bat en moyenne quatre-vingt-quinze a quatre-vingt-dix-huit fois par minute . La température prise plusieurs fois dans l'aisse
tracture provoquée. Le pouls battait environ quatre-vingts fois par minute au repos. Le phénomène pathologique le plus imp
. pathologique. Cette crise parait s'éteindre au bout de quelques minutes mais elle reprend, un quart d'heure après, pour c
ultat. Au bout d'un temps variable (de quelques secondes à dix, vingt minutes et plus suivant les malades) j'observais le retou
suite. Grâce à la fixation du regard, il tombe au bout de quelques minutes dans un assoupissement assez profond. Je lui fric
upissement assez profond. Je lui frictionne la tempe pendant quelques minutes , en lui suggérant à plusieurs reprises que le mal
aO, Villa des Page*, 9, avenue dea Pages. LE VESINET (S.-ct-O.) k fti minute * de Part», »er* MUl-Uurt (K traie» par |nun. Pi
taines fois, le caractère des attaques est un peu modifié. Durant une minute la malade souffre d'un violent mal de tète dans l
stesse et le mal de tête, bientôt suivis d'une attaque qui dure vingt minutes . Après le 1S août, les attaques cessent jusqu'à s
attaque s'est passée sans convulsions et n'a duré qu'une vingtaine de minutes . La mémoire de la malade s'améliore manifestement
EGEAU, Villa do» Pages, 9, avonuo de» Pago». LE VESINKT (S.-??.) ? S) minute » da Parta, t*n 1?1?1-/???* (70 train* par Jotin.
EAD, Villa dea Pages, 0, aTenuo des Pages, LE VESINET 'S.-el-O.l i 30 minutes do Parla, par* tataf.baia» (ÎO traîna par joun.
EAU, Villa des Pages, 9, avenue des Pages. LE VÈSLNET (s.-ct-o.) à 30 minute » de Parts, pan Saut-Laitrr (70 iratns par Jour).
irement à la pointe de l'aiguille. On constate, au bout de quelques minutes , dans lu majorité des cas, un mouvement d'attract
on ; puis toutes les lumières furent éteintes. Au bout des quelques minutes nécessaires, les lumières furent allumées de nouv
EAU, Villa dos Pages, 8, «venue des Pages, LE VÉSINET [S.-et-O.J a S) minutes da Paris, tan Saiiu-lstmr* (T0 trains par Jour}.
u Christ le banc qu'il lui demandait pour se reposer pendant quelques minutes ... Mais moi, le Paria, j'ai refusé, en Egypte, l'
quante ans... etc. Si, par exemple, elle est restée au lit quelques minutes plus tard qu'à l'ordinaire, clic se le reproche c
FEGEAU, Villa des Pages, 9, avenao dos Pages, LE VESINET (S.-et-O.) i minutes de Pari*, car» Saitd-Letan {70 train* par jonfl.
parties du crâne da sujet a provoqué constamment, au bout de quelques minutes , un engourdissement et une predisposi lion au som
lis les suggestions appropriées aux circonstances, lui laissai vingt minutes de repos, puis la réveillai et m'en allai. A ma g
ans retard l'avjrtcment. La malade est très facile à endormir. En 5 minutes , je réussis à provoquer chez elle le sommeil hypn
e laboratoire qui sont fixés a mon étuve de culture, et au bout d'une minute j'ai obtenu la température de 36 degrés. Eh bien,
Je fais l'application de la main hypnogénique; après une vingtaine de minutes , l'enfant s'endort pour plus d'une heure. Toutes
alme et légère sans éprouver la moindre douleur. La séance dure vingt minutes . A son réveil, elle est soulagée. Le lendemain ?
, Villa des Pages, 9. avenue dea ?????. LE VKSINKT ;s.-«>t-0.) à » minute * de Pari*, fer. iatáx-Luara ,70 iralna par Jour).
ès le réveil ; et, sans faire aucune objection, elle s'endort, en dix minutes , par la fixation du doigt; elle s'endort encore p
e lettre tu respireras la poudre qu'elle contient et tu oormiras cinq minutes . Ma volonté sera avec toi. « Inutile de dire où
de sommeil. Ce sommeil est très court, ne dépassant jamais cinq à dix minutes ; il est très léger, le sujet se réveille au moin
ade était ralenti d'une façon très nette ; il battait de 40 à 50 a la minute et n'a jamais paru modifié par les crises du somm
71 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Il tomba sans se débattre. Lorsqu'il revint à lui, au bout de cinq minutes environ, la jambe et le bras droit étaient paré
es suivants le nombre des mouvements exécutés par la malade. En une minute , elle exécute trois salutations, deux projectio
ques violentes des membres, du bassin et du cou. Le tout dure trois minutes environ. Ensuite coma, slertor, résolution des
iron. Ensuite coma, slertor, résolution des muscles. Après quelques minutes de coma, le malade revient à lui et les muscles
decine et la chirurgie ordinaires, pour laquelle il sera accordé 20 minutes de réflexion et 15 minutes pour la dissertation.
naires, pour laquelle il sera accordé 20 minutes de réflexion et 15 minutes pour la dissertation. Le maximum des points ser
° Une épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé 30 minutes pour l'examen des deux malades, 15 minutes de r
énés. Il sera accordé 30 minutes pour l'examen des deux malades, 15 minutes de réflexion et 30 minutes d'exposi- tion. L'un
nutes pour l'examen des deux malades, 15 minutes de réflexion et 30 minutes d'exposi- tion. L'un des deux malades devra êtr
t aussi par l'état atmosphérique de la journée devint en quelques minutes furieux, indomptable. Le début de la scène commen
voir des supplications touchantes de ce père, sans s'arrêter une minute au spectacle de l'exaltation où l'appareil et le
impossible, pour peu qu'il soit complexe. La malade porte, en une minute , 48 fois la main droite et 36 fois la main gauche
brer, la montre suffit. On en compte cent quatre-vingt-douze par minute , soit un peu plus de trois à la seconde : C'est l
qui est entrée avec une tachypnée excessive (132 respirations à la minute ) et qui nous a quitté le surlendemain sans prév
rimé dans les doigts. La durée de ces troubles ne dépassa pas trois minutes . Bilroth admet 2 qu'un choc local intense peut
ie. Galvanisation fréquente, avec des interruptions de trois à cinq minutes , des troncs nerveux et de la colonne vertébrale
cessivement en dix, vingt, trente secondes; puis, repos de quelques minutes , et répétition des mêmes accidents, cela pen- d
oue avec animation et se donne un mouvement très actif, en quelques minutes apparaît le bleuissement du côté droit de la fa
e retours repétés de ces convul- sions partielles, durant alors une minute , accès complet d'épi- lepsie débutant par la fl
minution se transforme en augmentation, de sorte qu'après une à une minute et demie, on aatteint la nouvelle ré- sistance
rice de 7 il 10 milliampères, un courant, qui actionne pendant cinq minutes deux à trois centimètres cubes de chloroforme,
jeunes gens vigoureux ; l'anesthésie persiste pendant trois à cinq minutes , le voisinage du lieu d'application s'en ressen
timètres cubes d'un solution d'alun à 5 p. 100 ; faites bouillir 20 minutes ; filtrez après refroidissement. Choisissez entre
'acide molybdophos- phorique. Filtrez. Plongez les coupes de 2 à 10 minutes dans ce mélange, lavez à l'eau distillée; déshy
et 1 centimètre cube d'alcool. Immersion des coupes de trois à dix minutes . Les colorations varient selon l'usage d'un des c
ine et la chirurgie ordinaires, pour laquelle il sera accordé vingt minutes de réflexion et quinze minutes pour la dissertati
pour laquelle il sera accordé vingt minutes de réflexion et quinze minutes pour la dissertation. Le maximum des points ser
e épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes
sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes de réflexion et 30 minutes d'exposition. L'un d
s pour l'examen des deux malades, quinze minutes de réflexion et 30 minutes d'exposition. L'un des deux malades devra être
ar occuper tout le champ visuel'. Puis, après une durée de quelques minutes , la vision lumineuse s'atténue, et dis- parait
ngue, mais ne pousse pas de cris. L'attaque dure habituellement dix minutes , et dès qu'elle est terminée, Prudh... revient
parsemé de points brillants 1. Ces crises ne durent que quelques minutes ; elles apparaissent spontanément six à huit fois
éciser davantage la forme et les autres caractères; au bout de cinq minutes environ tout revint à l'état normal. Depuis c
s bassins de l'asile étaient mis à sec par une pompe à vapeur en 10 minutes après quoi, on ne pouvait disposer que d'une tr
it à la prison d'Hirson. Si cette, tentative avait eu lieu quelques minutes plus tard, il se jetait avec la locomotive en tra
72 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
estant de la façon suivante : elle se fatiguait au bout de quelques minutes , sentait ses jambes comme coupées et était obligé
uleurs au début n'apparaissaient que de nuit, pour durer de 10 à 15 minutes jusqu'à une demi-heure, interrom- pant le somme
tobre il quitte son lit sans aide, se tient debout pendant quelques minutes , fait quelques pas sans appui. De temps en temp
uille dans l'oeil ». Ces élancements, fort douloureux, durent 4 à S minutes . puis disparaissent pour réapparaître ultérieurem
pas de dilatation. 'Pouls : régulier, bien frappé, battant à 84 par minute en moyenne. Pression artérielle 12 maxima au Pu
du tronc et de la face. Leur fréquence oscillait entre 10 et 40 par minute . Elles étaient arythmiques, de fréquence, d'int
ui se répè- tent à courts intervalles ou avec une durée de quelques minutes . Ces secousses, malgré leur intensité, ne peuve
de ces contrac, tions est très variable. Elles sont de 10 à 40 par minute . Ce phénomène se produit souvent dans les muscl
inter- valles ou sont séparés par des intervalles de deux ou trois minutes . On peut observer 35 et 40 aux périodes de plus
t qu'on peut isoler dans certains cas 100 et même 180 secousses par minute , ce qui montre qu'elles peuvent avoir lieu en q
s myocloniques. Dans le cas de Ilomen on a compté 100 secousses par minute , 120 dans le cas de Ziehen et 180 dans le cas d
vations. Quelquefois nous avons compté entre 10 et 40 secousses par minute dans les deux cas et quel- 100 MONIZ quefois
et quel- 100 MONIZ quefois nous avons vu se passer deux et trois minutes sans aucune con- traction. Ces secousses n'on
1 heures du matin. 17 février. Convulsions généralisées, pendant 20 minutes . 21. - Convulsions et léthargie depuis 8 heures
cool absolu 10 centi- mètres cubes, l'alun. ammon. à 5 p. 100 (5-10 minutes ), Gram (2 min.), alcool, xylol. (2) Arch. f.
lée par l'acide glacial (1 goutte pour 10 centimètre cubes d'eau) 2 minutes , colorer dans l'hématoxyline de Mallary bien dilu
montre d'eau distillée, la solution ne doit pas être transparente 2 minutes ; lavage à l'eau dist. quelques minutes, alcool,
oit pas être transparente 2 minutes ; lavage à l'eau dist. quelques minutes , alcool, xylol. DU SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARA
as de troubles viscéraux impor- tants. Le pouls plutôt rare, 64 par minute . L'état psychique ne semble présenter rien de p
tème pileux. Musculature d'apparence athlétique. Respiration 22 par minute . Pouls 132. Au point de vue psychique remarquon
né que le malade prend rapidement les ordres. Pulsations : 104 à la minute : la température varie entre 37°2 aux premières
'état général est bon : pouls valide, rythmique (80 pulsations à la minute ), la température est normale (toujours sous 37°).
ont moins vivaces. Pouls et respiration normaux (Pulsations 68 à la minute ). Poids du corps 23 kil. 200. 22juin. Tous les
ouls diminue no- 214 PUBLIO CIUFFINI tablement (de 104 il 80 à la minute ) ; la température du corps devient normale. Alo
e : 1 gramme par litre. A 9 heures du soir un frisson qui a duré 15 minutes avec 39° de température. 13. - 39°3 le matin, 3
s sont con- servés des deux côtés. Pouls 104, respiration 9-10 à la minute , la malade étant couchée. Nous avons diagnostiq
hsolument normal. D'abord en gelée il se liquéfie au bout de 4 ou 5 minutes . Sur plusieurs préparations microscopiques, fai
tant habillée et malgré sa haute taille. Le pouls dépassait 160 par minute . Devant la gravité du cas, l'un de nous lui con
yons X, en faisant des séances de 15 en 15 jours d'une durée de dix minutes . Son état s'améliore un peu, elle peut se prome
DOW ET SCLÉRODERMIE 275 j Le pouls bat; pendant le repos, à 130 par minute . La malade est très émo- tive, elle est fatigué
nt le volume d'un poing d'enfant. Le pouls bat à 100 pulsations par minute . Elle n'a pas de tremblements, la mens- truatio
diteurs A PROPOS D'UN cas DE névrome d'amputation 325 prochent de minute en minute. Les douleurs partent du milieu de la f
A PROPOS D'UN cas DE névrome d'amputation 325 prochent de minute en minute . Les douleurs partent du milieu de la face posté-
et désignation des objets parfaites. Elle sait lire l'heure et les minutes , reconnaît la valeur des dessins, des symboles,
nt normaux ; la verge est forte. ' 77 ! /joefënte. Après quelques minutes d'examen du malade debout, on constate qu'il se
st animée de petits mouvements de haut en bas. Il danse une ou deux minutes et termine en mettant la main droite sur la bouch
ions de boule oesophagienne. La perte de connaissance dure quelques minutes pen- dant lesquelles il y a incontinence d'urin
dans l'eau froide en tom- bant d'un canot et resta dans l'eau 4 à 5 minutes . Il fait remonter cette chute et à la frayeur q
rt d'heure on voit des flocons dans la masse du liquide et après 2o minutes la coagulation est complète. Dans la môme journ
. Ponction lombaire : liquide /aune citriii qui se coagule quelques minutes après l'extraction. On trouve après centiifugal
a bouche est ouverte. La respiration s'est arrêtée, le pouls 90 par minute . Cette syncope a duré deux minutes, puis tout e
on s'est arrêtée, le pouls 90 par minute. Cette syncope a duré deux minutes , puis tout est revenu dans l'ordre. 6. - La mus
73 (1934) Oeuvre scientifique
ces explorations, je suis obligé, par- fois, de consacrer plusieurs minutes à la recherche d'un seul réflexe pour être fixé
été de biologie : . « L'observation fut commencée un peu plus d'une minute après l'exécution. Les membres étaient en résol
ous ont pu constater comme moi ce réflexe qui a persisté jusqu'à huit minutes après l'exécution. » . Cette observation, à p
ou même impossible de maintenir volon- tairement, pendant plusieurs minutes consécutives, les muscles au degré nécessaire d
relaté l'histoire de six cas d'ictus apoplectique examinés quelques minutes après le début dans lesquels les réflexes, les ro
attaque, ont eu l'occasion de constater ces signes dès la première minute . L'exagération des réflexes de défense parait d
e pince et à l'incision pratiquée pour l'inter- vention. Pendant 20 minutes , jusqu'au moment de l'ouverture du canal rachid
fond, les réflexes tendineux et les réflexes cutanés, examinés de 2 minutes en 2 minutes, ne subissent pas de modification
lexes tendineux et les réflexes cutanés, examinés de 2 minutes en 2 minutes , ne subissent pas de modification appréciable.
, 1910, p. 287. RÉFLEXES DE DÉFENSE 147 réflexes est fait, 4 ou 5 minutes après le précédent. Cette fois, transfor- matio
et par une abduction des autres orteils, fait place, pour quelques minutes , à un réflexe cutané plantaire absolument normal
uire une anémie profonde du membre et on laisse la bande de 20 à 25 minutes . Quelques minutes après que la bande a été enle
ofonde du membre et on laisse la bande de 20 à 25 minutes. Quelques minutes après que la bande a été enlevée, la malade exé
ments ; ce retour de la motilité volitionnelle ne dure que quelques minutes . Dans des cas de paraplégie incomplète, les mou
out à la lumière. Mais pratiquant une nouvelle exploration quelques minutes (1) Voici, en quoi consiste cette méthode : l'e
s yeux de la malade et à les lais- ser ainsi pendant vingt à trente minutes ; immédiatement après qu'on a enlevé le bandeau,
t placer dans la même position ; elle subsiste longtemps, plusieurs minutes , et le malade, contrairement à ce qui a lieu chez
ser le courant pendant un certain temps (de quelques secondes à une minute ) : la rotation voltaïque conjuguée au lieu d'êt
rmal (sens de la giration) à laquelle succédera après deux ou trois minutes une contre-déviation, soit une déviation de trè
us de la perte de substance osseuse. L'opération dura en tout douze minutes . L'opéré revint à lui très rapidement, et, dès
che. Ces mouvements spasmodiques se reproduisent plusieurs fois par minute et, sans être douloureux, donnent lieu à une se
s circonstances ; ils se succèdent jusqu'à quinze et vingt fois par minute ; ils sont généralement plus intenses et plus fré
dans le fond de sa bouche, et encore garde-t-elle parfois quelques minutes le bol alimentaire avant de l'avaler. C'est en
, J'ai bien souvent attendu une courte réponse pendant plus de cinq minutes . Récemment, il a fait appeler un notaire ; le n
ralentis et le nombre des inspirations peut descendre jusqu'à six par minute . (') Troubles respiratoires dans les états park
ns être soutenu, plus ou moins longtemps mais rarement plus d'une minute ; au début, les oscil- lations de la partie supé
temps dont la durée varie, mais qui peut atteindre et dépasser une minute , il titube et tomberait si l'on ne venait à son
dans la même position ; cette fixité persiste longtemps, plusieurs minutes , et le malade, contrairement à ce qui a lieu ch
es deux mains sont immergées vers 10 heures du matin pendant quelques minutes dans de l'eau froide ; à leur sortie de l'eau e
u froide ; à leur sortie de l'eau elles restent environ quatre à cinq minutes aussi froides l'une que l'autre et les veines s
fort. Ensuite, à mesure que l'expé- rience se poursuit, on voit, de minute en minute, l'amplitude des pulsations augmenter.
ite, à mesure que l'expé- rience se poursuit, on voit, de minute en minute , l'amplitude des pulsations augmenter. Elle aug
s l'eau froide a provoqué une réfrigération d'une durée de quelques minutes seulement à gauche et de plusieurs heures à dro
ux. Parfois la malade soulève un bras et le main- tient pendant dix minutes , plus longtemps même, dans cette position, sorte
s réflexes pendant le sommeil chloroformique, en les recherchant de minute en minute, depuis les premières inhalations jus
pendant le sommeil chloroformique, en les recherchant de minute en minute , depuis les premières inhalations jusqu'à la péri
catgut et la peau est réunie sans drainage. L'opération a duré 45 minutes . Il n'y eut dans les jours suivants aucun phéno
festant delà façon suivante : elle se fatiguait au bout de quelques minutes , sentait ses jambes comme coupées et était obli
écessité de s'appuyer pour ne pas tomber; se repose-t-elle quelques minutes elle peut repartir. Elle maintient assez bien l
re ; la radiographie, faite après que la malade est restée quelques minutes la tête en bas, montre que l'huile nouvellement
odol par voie lombaire. Après que la malade est restée pendant cinq minutes en position renversée, la radiographie donne l'
cksonienne limitées à la face et se répétant toutes les cinq ou dix minutes ; or, l'analyse des mouvements convulsifs m'a mon
rvés : i. à bord, immédiatement après le torpillage, pendant les 17 minutes qui ont séparé l'explosion de la torpille de la
celui des réflexes tendineux, précéda parfois de vingt à vingt-cinq minutes les premières manifestations de la conscience.
ment portée à 50 milli-ampères, maintenue à ce chiffre pendant trente minutes environ et ramenée ensuite au zéro, progressive
aire aux deux précédentes ; la durée moyenne des poses a été quatre minutes ; la distance de l'ampoule à la plaque, 45 centim
entimètres seulement de l'ampoule ; l'examen a duré de dix à quinze minutes , l'ampoule fonctionnant d'après les constantes do
dans l'une, la face postérieure du cou a été irradiée pendant cinq minutes , dans l'autre, pendant dix minutes ; l'ampoule
cou a été irradiée pendant cinq minutes, dans l'autre, pendant dix minutes ; l'ampoule était placée de telle sorte que les t
rant cette période on effectua 22 séances d'une durée moyenne de 10 minutes chacune sur la région verté- brale qui a été di
nités H. Dans le cas particulier, la pastille virait en trente-cinq minutes . Le cône des rayons X actifs venait frapper la
es rayons pénétrants d'une ampoule Chabaud grand modèle, pendant 10 minutes , puis ce fut le tour de la partie médiane de la
sur la région lombo- sacrée. En trois séances ayant duré chacune 10 minutes on fit absorber en tout environ 4 H de rayons p
74 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
quatre cas de tic rotatoire de" la tête ; le tic ne laissait pas une minute de repos à ces malades. Les chirurgiens ont publi
her quelque chose dans ses poches. Le malade n'est pas tranquille une minute . Quand il vient chez moi, je l'entends déjà au ba
M. Vincent Mandofia, en lui faisant fixer ma montre En moins de deux minutes , il tombe dans une somnolence assez profonde. Alo
. Les suggestions sont répétées plusieurs fois par intervalles de dix minutes pendant une heurs que dure la séance. Dès le lend
ntervalles. Je procède ensuite à son réveil, en ces termes: Dans cinq minutes , vous serez complètement éveillé ; à votre réveil
rez communique également une avalanche de télégrammes qui arrivent de minute en minute et sont adressés par M. Lepeskine, de M
ique également une avalanche de télégrammes qui arrivent de minute en minute et sont adressés par M. Lepeskine, de Moscou ; M.
e hypnotisera en moyenne 40 malades par jour. Il donnera quelques minutes à ceux qui n'ont pas besoin de l'hypnose elle-mêm
rimpe quatre à quatre les escaliers de ses clients-leur accorde trois minutes et court dans sa voiture pour pouvoir terminer sa
vous concerne, mais enfin il est encore temps. Ne perdez donc pas une minute . Rentrez chez vous tout de suite, et suivez mon a
couche sur le côté droit. Le 26, elle a une crise hystérique de cinq minutes ; elle frappe le lit de ses poings et de ses jamb
oste, mais à la condition que vous l'occupiez immédiatement. » Deux minutes après, installé dans ma chaire, dominant le tumul
tais si bien pénétré des faits auxquels j'avais assisté que, sans une minute d'hésitation, je me mis à l'œuvre et rédigeai un
ion d'une façon continuelle sur une partie du corps amène en quelques minutes un changement dans la fonction de l'organe lo
e à l'axe du corps, ont pu conserver cette position pendant plusieurs minutes . Un morceau de papier, placé sur le dos de la mai
à sa vue sur la table, à lui ordonner de fermer les yeux pendant cinq minutes , de garder une immobilité complète, de respirer l
au malade, qui voyant que cette suggestion du réveil se réalise à la minute prescrite, ne doute plus de l'efficacité des sugg
e s'il cherchait à regarder à son centre. Pendant les dix premières minutes , le sujet tiendra les regards fixés sur le même p
ur le même point, cela produira un premier état d'hypnose. Les cinq minutes suivantes il regardera et lira attentivement les
tentivement les suggestions qu'il tient à la main. Puis, pendant cinq minutes , il regardera de nouveau le centre du globe, pens
ans la transparence du cristal. Il continuera ainsi de cinq en cinq minutes et, le plus souvent, au bout de peu de temps il p
le globe transparent. II les regardera alors attentivementpendant dix minutes ; puis, fermera les yeux et, au temps fixé, il s'
- versité de Genève. En faisant fixer au patient pendant quelques minutes la lumière d'une lampe électrique bleue, le docte
ient par accès, d'ordinaire très courts (quelques secondes à quelques minutes ), à début généralement subit, avec ou sans prodro
succès, Fièvre, insomnie, agitation, tout disparut dès les premières minutes de l'hypnotisation-Comme la malade souffrait beau
le. Il est comme inhibé, paralysé pendant quelques secondes, quelques minutes ou quelques heures. Or, cette influence inter-men
frapper avec le bout de son bec, quelquefois pendant quinze ou vingt minutes consécutives, un des objets qui l'environnaient.
unikoff, Yersin, Calmettes, Martin, ne se sont pas attardés une seule minute dans la préparation stérile des concours. On pe
aux questions posées par son oncle en grec. Mais, au bout de quelques minutes , M... a oublié tout ce qu'il vient d'apprendre et
oujours. En présence de M. L..., je l'hypnotise. Au bout de trois minutes , il présente une somnolence légère. Alors je lui
es violents. Quand ce sujet se mettait en colère, au bout de quelques minutes , au paroxysme de sa fureur, elle perdait conscien
e soi, les interroger plus lentement, leur poser la question quelques minutes d'avance pendant que d'autres répondent, leur con
estibilité. Par les procédés ordinaires, je l'hypnotise en quelques minutes . Et à mon grand étonnement je constate qu'il est
75 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cinq jours. Le le, et le 2 juin, le pouls, petit, bat 90 fois à la minute , l'urine est albumineuse et les selles contienn
ent, c'est la lenteur relative du pouls qui ne bat que 60 fois à la minute . L'aus- cultation du coeur et de la poitrine re
colonne vertébrale; à chaque séance quoti- dienne, de dix à quinze minutes , nous avons employé un nombre progressif d'élém
très accéléré, atteignant cent vingt, cent trente pul- sations par minute , devient faible, petit, tout en restant régulie
rmale, le nombre des inspi- rations étant de vingt à vingt-cinq par minute ; en tout cas, la dyspnée caractéristique de l'a
ions survenaient par crises qui ne du- raient guère plus d'une demi minute à une minute; elles se renouvelaient quinze à v
ent par crises qui ne du- raient guère plus d'une demi minute à une minute ; elles se renouvelaient quinze à vingt fois par
ion d'un malade atteint de pouls lent (trente-quatre pulsations par minute ) chez lequel les prétendues attaques syncopales
voir été de nature tétanique, et dont chacune dure de quatre à cinq minutes . Puis son état mental s'améliore un peu ; mais
rvalles de pause. On les voyait cesser tout à fait pendant quelques minutes en faisant lire l'enfant à haute voix devant qu
tteint 38°,2 ; le pouls est lent ; il bat de 50 à 60 pulsations par minute . A bout de trois jours, l'affaiblissement dispa
ien ou presque rien (légère sensation de contact); mais, quelques minutes après, il a des sensations douloureuses au niveau
examen révèle une anémie générale ; pouls faible, lent (63 à 66 par minute ). Coeur faible, avec un souffle net d'insuffisanc
mènes convulsifs ni d'hallucinations conscientes, ceci durait vingt minutes environ; enfin, la plus jeune des soeurs du pèr
es gastralgies lipothymies, sueurs, lesquelles duraient trente-cinq minutes à DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE
gue dans ses deux dernières crises. La durée de l'accès est de deux minutes au plus. Courba- ture et faiblesse consécutives
s, car, par contre, le sujet ne répondra plus au bout de six à neuf minutes , aux divers procédés employés pour faire appara
ploie le kymographe pour accomplir une rotation entière est de deux minutes . Si le bras obéissait à la volonté, nous aurion
est impossible (si nous prenons comme mesure de temps toujours deux minutes ) ? Le grand nombre d'expériences auxquelles nou
état de tenir une articulation dans l'immobilité pendant plusieurs minutes ; l'homme ne peut en faire autant. Si, en fais
que nous fournit un bras (l'expérience ayant duré cinq, dix, quinze minutes ), nous verrons que le tracé, arrivé à son point
t maintenir les mains- appuyées sur la table sans bouger durant une minute environ. Il écrit encore illisiblement (fig. 8)
de 31 malades hommes. Entre ces deux corps de logis, qui sont à dix minutes l'un de l'autre, on a projeté la construction d
ne société de secours pour les aliénés sortants. hicdric/c, à 20 - minutes d'Eichberg, on est en train de cons- truire un
diens les servent (deux dis- tributeurs, 4 sommelliers.) En 20 à 25 minutes le repas est ter- miné ; la vaisselle, les rest
ation debout et celle-ci ne peut être maintenue au delà de quelques minutes . La sensibilité est normale. 25. - Le bras ga
ra, mais fréquemment avec émis- sion involontaire d'urine. Quelques minutes après, elle a de la peine à rassembler ses idée
,01 d'apomorphine pendant la période des convulsions toniques; deux minutes après, diminution légère des convulsions avec n
des convulsions avec nausées, mais pas de vomissements. Quelques minutes après, les crises reviennent de plus en plus fo
température axillaire de 38° 9, un pouls lent mais régulier, 30 par minute en moyenne. Les battements du coeur sont tumult
thode dans le lieu douloureux; action d'un fort courant pendant 1 minute et demie; nul autre inconvénient qu'une eschare.
rectifié : la douleur disparait immédiatement, mais au bout d'une minute et demie, il pâlit et tombe étendu sur le lit; à
t où les mouvements musculaires allaient com- mencer. Deux ou trois minutes après leur cessation, les phénomènes convulsifs
ures. L'ingestion interne commence à agir au bout de vingt à trente minutes ; l'injection hypodermique opère en cinq à dix m
gt à trente minutes; l'injection hypodermique opère en cinq à dix minutes . Les tentatives thérapeutiques n'ont en général p
76 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
gymnastique, la fanfare, iL l'orphéon, aux ateliers pendant 15, 30 minutes , etc., atin de varier leurs occupations, d'amélio
ours avec un repos de deux heures h midi, et des poses de cinquante minutes le matin et le soir. Il est plus que probable q
atin, deux heures et demie d'étude, cou- pées par deux repos de dix minutes . L'après midi : deux heures d'études. Entre l'é
ifficile soit exécuté le matin; que la leçon ne dure pas plus de 30 minutes ; que la leçon soit précédée de quelques minutes
dure pas plus de 30 minutes; que la leçon soit précédée de quelques minutes d'exercice physique. Les enfants d'un âge donné
heure en demi-heure. Chaque heure de travail est suivie de 10 iL 15 minutes de repos. Les chants, les exercices en plein ai
es convulsions à sept mois, avec la première dent, pen- dant trente minutes . Aurait été toute raide, sans secousses, yeux g
e, puis elle ronlla. Ni bave, ni écume, ni évacuations : durée cinq minutes . Pas de folie pré-ou post-épileptique. Sa mère
accès aujourd'hui, précédé d'une série de vertiges. Pendant cinq minutes , elle est restée debout, immobile, le regard fixe
puis violacée, bave assez abondante, ront1pment. Au bout de deux minutes environ elle est revenue à elle : Où suis-je ? J'
rtes secousses. Après cette première période qui a duré environ une minute , le corps est devenu flasque, la malade a ronfl
nolente). Elle a uriné sous elle et s'est endormie pendant quelques minutes . On l'a montée au dortoir pour la changer. C'es
ans et demi, chute dans l'eau. - A neuf ans, enfermé, pen- dant dix minutes , dans une salle de discipline pour avoir jeté des
orrespondant. Les joues deviennent rou- ges. Au bout d'environ deux minutes , l'enfant qui, jusque là, était resté penché en
oniques des membres. Ni stertor, ni bave, ni miction. Au bout d'une minute il revient tout à fait à lui. - Parfois, il tom
eurs. Ni ronflement, ni bave, ni évacuation involontaire. Durée une minute . Il se relève, ramasse et remet sa ceinture.
gestion cérébrale, dans le cabinet du mé- decin, enlevé en quelques minutes (probablement une rup- ture du coeur en raison
pas de perte de connaissance, s'est remise au bout de moins d'une minute et en a ri. Pas d'envies de boire. accouche- me
l devenait mou. 11 aurait eu 6 ou 8 crises par jour, durant de cinq minutes à une heure au maximum. Les convulsions ont con
ectrique, les yeux tournaient, la face pâlissait. Durée au plus une minute . - Pas de secous- ses isolées. Ces crises sont
le mettre au chariot. De 18 il 21 mois, il n'y restait que quelques minutes ; à partir de deux ans, il s'y est peu à peu hab
loral 4 gr. par jour, plus 2 gr. de bromure de sodium Un bain de 20 minutes tous les deux jours. Dès son entrée à la Fondat
re 38°, 5 le matin, 38°, 6 le soir; pouls bon, mais rapide, 116 par minute , respiration superficielle et précipitée, 21 pa
de, 116 par minute, respiration superficielle et précipitée, 21 par minute : les pupilles sont resserrées, la cornée injec
77 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ds et il tomba dans le Rhône, où il resta la tête sous l'eau quelques minutes , les jambes prises sous la terre éboulée. On le s
'avait placé. Cette perte de connaissance peut avoir duré environ dix minutes . De là, il fut transporté chez un pharmacien qui
otre contre-suggestion. Vous le voyez, il nous suffit de dix à quinze minutes et cette main redevient blanche comme l'autre, mi
aient également en même temps. A la première séance on mit environ 30 minutes pour arriver à ce résultat. Il fallait d'abord fa
douleur avec une sensation de suffocation qui l'oppresse pendant dix minutes . Il se couche, la douleur devient moins aiguë, et
nte dont les instants ne se chiffraient plus même par heures mais par minutes . » On lui donne un bain froid vers onze heures
omplètement modifié et la respiration ne s'effectue pendant plusieurs minutes consécutives que par bâillements seuls ou par bâi
Sur la figure 53, le mode respiratoire a été inscrit pendant quatre minutes consécutives. Pendant les deux premières minutes,
scrit pendant quatre minutes consécutives. Pendant les deux premières minutes , représentées par les deux lignes inférieures (la
ignes inférieures (la figure représente 32 secondes de chacune de ces minutes ), la respiration normale est remplacée par des bâ
normale est remplacée par des bâillements. Pendant les deux autres minutes (voir les deux lignes supérieures), des secousses
Ler... Augustine, inscrite aveu le pneuraographe de M.irey pendant 4 minutes consécutives (11 août 1888). — Amplitude du levie
litude du levier au maximum. —Chaque ligne représente une fraction de minute de 32 secondes (une demi-grandeur naturelle). T =
cé suivant (Fig. 55) représente la respiration de la malade pendant 8 minutes consécutives (chaque ligne correspond à 32 second
nsécutives (chaque ligne correspond à 32 secondes de chacune de ces 8 minutes ). II montre que la respiration s'effectue uniquem
7 et 9 secondes. Il existe en moyenne de sept à huit bâillements jpar minute . — Le pouls est régulier mais peu fréquent, cinqu
Le pouls est régulier mais peu fréquent, cinquante-six pulsations par minute , aussi bien avant qu'après l'inscription du tracé
une ou deux heures. Elle présente souvent du délire, pendant quelques minutes , au moment où elle se réveille. Depuis quelques
Fig. 55.— Respiration costale supérieure de Ler... inscrite pendant 8 minutes consécutives (1er septembre 1888). — Amplitude du
litude du levier au minimum. —Chaque ligne représente une fraction de minutes de 32. secondes (une demi-grandeur naturelle).
a figure 56 représente la respiration de la malade inscrite pondant 5 minutes consécutives (chaque ligne reproduite ici Fig.
ig. 56. — Respiration costale supérieure de Ler... inscrite pendant 5 minutes consécutives (15 octobre 1888).—Amplitude du levi
itude du levier au minimum. — Chaque ligne représente une fraction de minute de 49 secondes (une demi-grandeur naturelle). F
Fig. 57. — Respiration costale supérieure de Ler... inscrite pendantG minutes consécutives (15 octobre 1888). — Amplitude du le
costale supérieure d'une hystérique très émotive, inscrite pendant 6 minutes consécutives. — Amplitude âu levier au minimum (u
demi-grandeur naturelle). corespond à 49 secondes de chacune de ces minutes ). Il existe encore quelques bâillements séparés p
Ces bâillements sont régulièrement espacés, au nombre de douze par minute , tout au moins pendant la durée de notre examen;
: « A l'origine, dit M. Charcot, elle bâillait environ huit fois par minute , 480 bâillements par heure, soit 7,200 en quinze
78 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
ésentait les mêmes symptômes. Je fixai son regard et après quelques minutes d'oscillation pupillaire, elle s'endormit profond
environ de l'auditoire déclarèrent percevoir l'odeur. Au bout d'une minute , M. Slosson était obligé d'interrompre l'expérien
ment scandées; je maintiens le même rythme, mais, au bout de quelques minutes , je hausse le Ion ; ma voix augmente d'intensité,
récise et, pour ainsi dire, raisonnablement. L'épreuve a duré trois minutes . Un procès-verbal de cette expérience à été é
le évoque mon souvenir, elle me voit, m'entend et s'endort pendant 15 minutes . A son réveil elle se trouve très bien et sent qu
vement sa main. Celle-ci se dégonflerait à vue d'œil. Au bout de 20 minutes sous l'influence de cette c expectant attention »
d'un rythme lent ; le chœur était interrompu toutes les deux ou trois minutes , et dans le silence s'élevait une mélopée plainti
ans le front, deux dans le cou et deux dans la poitrine. Pendant cinq minutes , le marabout promena l'homme ainsi lardé, puis lu
e la poitrine et du ventre; l'homme tomba comme mort; au bout de deux minutes , il était revenu à lui. Les possédés se succédaie
va, se mit le torse nu, et s'élança dans la campagne ; il revint cinq minutes après, comme on l'avait déjà oublié, le dos tout
ison finale. Il a hôte d'être endormi et le sommeil vient en quelques minutes , profond et somnambulique. Les suggestions sont r
comme je le disais au début, pour être traitée utilement en quelques minutes ; j'ai simplement voulu la mettre à l'ordre du jou
rité de dire que je fis le simulacre de l'injection. Après quelques minutes d'attente, pour donner à la cocaïne le temps de p
etombe tout d'une pièce. Cela se répète régulièremeni toutes les cinq minutes pendant deux ou trois heures. La malade possède a
uvoir en sortir et une violente émotion le gagne. Au bout de quelques minutes , on le délivre et il rentre chez lui. Le soir, il
hui la perte de connaissance est la règle. La crise dure environ deux minutes ; il se relève très fatigué, pleure abondamment ma
ochez, ce n'est pas lui.... Vous continuez à marcher et, à quelques minutes do là vous voyez, vous rencontre^, à ne pas vous
ilieu de la. nuit. » On répète mentalement cette pensée pendant vingt minutes environ en se reposant de temps en temps. Puis on
ce est bien fait, que l'on s'endort pendant un quart d'heure ou vingt minutes . Quelquefois le sommeil dure seulement cinq minut
d'heure ou vingt minutes. Quelquefois le sommeil dure seulement cinq minutes . Quand on est suffisamment expert, quand on a v
qui sont sollicitées et constamment en activité. Au bout de quelques minutes , la fatigue survient et elles ont besoin de repos
e dix à cinquante fois, avoir de bonnes idées, et il se reposera deux minutes . Puis, 2° il répétera mentalement de dix à cinq
tera mentalement de dix à cinquante fois, Ecrire, et se reposera deux minutes . Puis, 3° il se répétera mentalement de dix à
alement de dix à cinquante fois, avoir de l'ordre et se reposera deux minutes . Voilà comment il devra s'y prendre théoriqueme
to-suggestion, ptaire vingt ou trente fois de suite, on se repose une minute , puis on passe à l'auto-suggestion suivante, caus
d la fatigue arrive, au bout de vingt à trente fois, on se repose une minute . Puis on reprend la première auto-suggestion pt
plaire, on la répétera vingt fois environ. Puis on se reposera une minute . On reprendra cette même auto-suggestion plaire
Alors il est bon de prendre un repos un peu plus long, de cinq à dix minutes . Si Ton est débutant, il est bon de terminer à
donne un résultat certain, il faut lui consacrer un minimum de vingt minutes . C'est l'expérience qui a donné celte mesure. Que
t s'aperçut qu'il suffisait de le vouloir fortement pour rester vingt minutes à une demi-heure les bras étendus en croix à l'ég
eu, je fais la pression des yeux et du creux de l'estomac et, en deux minutes , j'obtiens le sommeil hypnotique. Je procède alor
oints sensibles, ovaires et des yeux ; sommeil hypnotique, après deux minutes au plus. Suggestion, pression, massage des bras
79 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es convulsions à sept mois, avec la première dent, pen- dant trente minutes . Aurait été toute raide, sans secousses, yeux g
e, puis elle ronfla. iN bave, ni écume, ni évacuations : durée cinq minutes . Pas de folie pré-ou post-épileptique. Sa mère
accès aujourd'hui, précédé d'une série de [vertiges. Pendant cinq minutes , elle est restée debout, immobile, le regard fixe
puis violacée, bave assez abondante, ronflement. Au bout de deux minutes environ elle est revenue à elle : Où suis-je ? J'
es secousses. Après cette première- période quia a duré environ une minute , le corps est devenu flasque, la malade a ronfl
nolente). Elle a uriné sous elle et s'est endormie pendant quelques minutes . On l'a montée au dortoir pour la changer. C'es
t ans et demi, chute dans l'eau. A neuf ans, enfermé, pen- dant dix minutes , dans une salle de discipline pour avoir jeté des
orrespondant. Les joues deviennent rou- ges. Au bout d'environ deux minutes , l'enfant qui, jusque là, était resté penché en
oniques des membres. Ni stertor, ni bave, ni miction. Au bout d'une minute il revient tout à fait à lui ? Parfois, il tomb
eurs. Ni ronflement, ni bave, ni évacuation involontaire. Durée une minute . Il se relève, ramasse et remet sa ceinture. '
(l'auteur) travaille par séries de 4 ergogrammes; des repos de cinq minutes , séparant les séries, et des repos d'une minute
des repos de cinq minutes, séparant les séries, et des repos d'une minute séparant les ergogrammes de chaque série : le m
2° série, t. XII, p. 372). 24' PHI810LOGIE.... Expérience 1. Cinq minutes avant le travail, on prend une pilule fraîche d
32 PHYSIOLOGIE. Immédiatement après la 9° série, c'est-à-dire cinq minutes avant la 100, on a repris 1 gramme d'extrait de
ine et la chirurgie en général, pour laquelle il sera accordé vingt minutes de réflexion et quinze minutes d'exposition ; le
pour laquelle il sera accordé vingt minutes de réflexion et quinze minutes d'exposition ; le maximum des points sera de 20
e épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes
sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes de réflexion et trente minutes d'ex- position.
ur l'examen des deux malades, quinze minutes de réflexion et trente minutes d'ex- position. L'un des deux malades sera plus
urs être guéri en quelques jours, en quel- ques heures, en quelques minutes . Formation DES miracles hystériques. Il est trè
ent en contrac- tion, maintient le pied en flexion pendant quelques minutes ; c'est Archives, surie, t. XIV. 10 '[46 REVU
gi- nisme qui rendait tout rapport sexuel impossible. En quelques minutes , la malade fut endormie. Nous lui suggérons qu'el
arrassée, bredouillante. Le 2 mars une autre attaque qui dure trois minutes , avec perte incomplète de connaissance, loca- l
tique avec tendances réactionnelles violentes. Pouls « lent (60 par minute ). Le surlendemain, atténuation du délire, « ave
oute l'intelligence et toutes les affections. L'accès dure de dix minutes à une demi-heure, jamais plus; il cesse brusque
dre mouvement produisant une accélération de 20 à 30 pulsations par minute ), respiration faible, dyspnée facile, parésie d
gie 1901, n° 22.) Neuf séries de quatre ergogrammes séparés par une minute de repos, dont on trouvera la relation clans ce
antité de salive ; le mouvement se répétait environ toutes les cinq minutes : le sujet ne pouvait l'empêcher qu'avec peine
tes : le sujet ne pouvait l'empêcher qu'avec peine pendant quelques minutes , au bout desquelles le spasme se reproduisait a
Observation III. Homme de vingt-cinq ans. Chute du couteau à 7 h. 5 minutes . Début des expériences à 7 h. 7 minutes. On se
. Chute du couteau à 7 h. 5 minutes. Début des expériences à 7 h. 7 minutes . On se propose d'employer le courant faradique
aux muscles du thorax, de l'abdomen, voire de la cuisse. A 7 h. 15 minutes , en dépit de la force du courant, les contracti
'on enfonce l'électrode à 1 centimètre ou un demi-centimètre. Douze minutes après la décapitation, l'excitabi- lité de la s
vation IV. Homme de cinquante-trois ans. Chute du couteau à 7 h. 15 minutes . Décollation à la'hauteur de l'extrémité inféri
teur de l'extrémité inférieure de la troisième cervicale. A 7 h. 18 minutes , un courant minimum sur la région des cordons a
du thorax, de l'abdomen, le diaphragme, le psoas-iliaque. A 7 h. 30 minutes , c'est-à-dire quinze minutes après la chute de
iaphragme, le psoas-iliaque. A 7 h. 30 minutes, c'est-à-dire quinze minutes après la chute de la tête, l'excitabilité de la
es opérations deux à trois minuutes après la mort, on a dix à douze minutes à sa disposition; le trajet extra- spinal des r
rmir, le malade tombe dans une sorte d'automatisme, de dix à trente minutes , pendant lequel, inconscient, ne comprenant pas
nément une tachycardie des plus accusées (140 à 150 pulsations à la minute ); or, on peut affirmer que cette tachycardie n'
80 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
iat, on notait une douleur cuisante qui durait environ une dizaine de minutes . Quant aux accidents consécutifs, nous avons rema
t à 124, la respiration à 64, la température vagmale à 40°. Après une minute de répit, en apparaît une autre ainsi caractérisé
st stertoreuse, l'écume s'éch.ippe de la bouche. L'attaque a duré une minute et demie; elle n'a été précédée d'aucun cri, ni a
tion com-plète, puis recommencées une fois encore au bout de quelques minutes , ont fait cesser les crises de 11 heures 10 minut
bout de quelques minutes, ont fait cesser les crises de 11 heures 10 minutes à midi 50 minutes. De midi 50 à 1 heure 10, mom
minutes, ont fait cesser les crises de 11 heures 10 minutes à midi 50 minutes . De midi 50 à 1 heure 10, moment où nous revoyo
a uriné sous elle. — Le thermomètre, placé dans le vagin depuis trois minutes , était à 40 degrés, quand est survenue une crise
peu près égale aux dimensions d'une pièce de 2 francs. En moins de 40 minutes , nous comptons douze attaques. Une heure 50 min
En moins de 40 minutes, nous comptons douze attaques. Une heure 50 minutes . —Le col de l'utérus étant suffisamment dilaté, o
6, la température vaginale à 39°, 6. Après la délivrance (2 heures 20 minutes ) : P. 124; T. V. 59°,5, La ma-» lade a perdu peu
n état demi-comateux. 19 nov. A 5 heures, attaque éclamptique d'une minute de durée environ et suivie d'un coma profond pend
ce, accompagnée d'abord de con-vulsions toniques de tout le corps; 20 minutes plus tard, convul-sions cloniques générales avec
ion avec une bougie d'un numéro inférieur, qu'on laissera pendant une minute ou deux seulement. Les jours suivants, on passera
e forte couche de caustique de Vienne, que j'y maintins pendant vingt minutes . Les eschares se détachèrent presque toutes au
uge par le peu d'étendue de l'endroit mouillé. R... meurt à midi 45 minutes . La température prise cinq mi-nutes plus tard éta
'évacua-tions involontaires. — Pouls 56; R. 28; T. R. 33°,7 après dix minutes et le thermomètre étant bien placé. 9 heures. L
rée, jetons un coup d'œil sur la marche de la température. Quelques minutes après le début de l'attaque apoplectiforme, sympt
péra-ture. — et II correspondent au pouls et à la température 10 à lo minutes après le début. = température aussitôt après la m
ion, l'urine était trouble et d'un jaune vineux ; au bout de quelques minutes , les couches supé-rieures se clarifièrent, les in
lle était faiblement alcaline dans toutes ses couches; après quelques minutes de repos, elle était neutre dans les couches su
de petit-lait ; ils se rassemblè-rent au fond au bout de dix à quinze minutes . Il y avait une grande quantité d'épithélium vési
rtout on entend une respiration faible, très-fré-quente (48 fois à la minute ) et très-superficielle. Matité cardiaque plus gra
de par le chloro-forme. L'anesthésie fut complète an bout de quelques minutes ; le chirurgien fit alors la section de la peau pa
ng assez abondant, qu'on arrête facile-ment en maintenant pendant dix minutes environ une éponge dans le fond de la plaie. Pans
, des étourdissements avec perte de connaissance pendant deux à trois minutes . L... dit que son ventre a commencé à grossir i
81 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
ait guérie de tous ses maux : « Dormez, vous allez dormir pendant dix minutes et au réveil vous serez guérie. Vous m'entendez b
e vous entends, et je me trouve bien. » « Dormez, dormez, et dans dix minutes vous vous réveillerez. Il est entendu que vous au
souffrirez plus, vous êtes guérie. Dormez, dormez, et lorsque les dix minutes du sommeil que je viens de provoquer seront écoul
ns de provoquer seront écoulées, vous vous réveillerez. » Après dix minutes Mme X... se réveillait et déclarait ne plus souff
a mère de la malade, « Dormez, madame, dormez, vous allez "dormir dix minutes , vous entendez bien, dix minutes, et tout le temp
dame, dormez, vous allez "dormir dix minutes, vous entendez bien, dix minutes , et tout le temps de votre sommeil vous penserez
nce et sans aucune fatigue consécutive. Dormez, dormez. » Après dix minutes , la malade se réveillait comme la veille et répét
arqué, et Mme X... se réveillait spontanément et exactement après dix minutes . Elle avait donc pendant le sommeil une notion pa
ommandation, de se reposer et rie dormir .en état d'hypnose, quelques minutes , sur sa chaise longue et cela dans l'après-midi,
tension artérielle s'éléve déjà de plus de 100 grammes après quelques minutes de sommeil, cette augmentation s'accroît progress
faisant regarder un objet brillant, la malade, au bout de cinq à six minutes , a tout d'abord les yeux larmoyants, puis commenc
e la salle, à condition toutefois qu'on la suive. Au bout de quelques minutes d'apprentissage, elle va à droite et à gauche, sa
nfant sur un fauteuil et, après l'avoir regardé fixement pendant deux minutes , je lui dis: « Dormez. » Aussitôt elle s'endormit
out ce que je lui avais dit, je la réveillai. La séance avait duré 20 minutes . Je renonce à peindre la stupéfaction de l'enfant
première fois, à la suite d'une chute. J'hypnotisai et, en quelques minutes , contracture et douleurs avaient disparu. Je reno
s, en quinze secondes, (le rapporteur avait dit, en 1884, un quart de minute ). VIL M. Liégeois rappelle que, à la même époqu
ient en gambadant, en sautant, en chantant ; elle ne peut rester deux minutes en place ; elle parle continuellement avec une in
rpeur intellectuelle. Après quelques secondes, parfois après quelques minutes , il se rend compte qu'il est le jouet d'une illus
nt au visage, une sueur abondante lui couvre tout le corps ; à chaque minute , il s'attend à être interrogé: il craint que la q
assis, il s'y endormira profondément. Et cela se réalise en quelques minutes . Dès lors on est persuadé que l'on se trouve en f
ement encore, de violentes crises gastriques qui durent de cinq à dix minutes et se répètent généralement toutes les six heures
du pouls pendant l'effort pour tenir les membres étendus pendant cinq minutes serait beaucoup plus grande à l'état d'hypnotisme
eux par les images terrifiantes du sommeil, survit pendant plusieurs minutes au réveil, et, pour quelques instants, donne nais
énomène a toujours été d'assez courte durée, de trente secondes à une minute . Souvent la vision ne faisait, suivant l'expressi
pire lentement et profondément, en faisant environ 8 inspirations par minute , el il les compte. Au bout d'une vingtaine d'in
e d'un tempérament nerveux de s'hypnotiser elle-même en deux ou trois minutes au maximum. On peut également, à l'aide de cet ap
s yeux à une distance de quinze centimètres et, pendant deux ou trois minutes , sur la pointe de l'aiguille, pour goûter aussitô
nous pourrions courir le risque de l'éveiller; accordons-lui quelques minutes de répit et, quand il aura recouvré le calme, nou
secondes, — nous avions dit nous-mème, antérieurement, « un quart de minute , — nous pouvions endormir un de nos sujets, « lui
fut en vain, dès lors, que Delbceuf s'escrima pendant quinze ou vingt minutes pour endormir le jeune malade, qu'il avait antéri
a colonne vertébrale, mais les pôles sont intorverlis toutes les cinq minutes , ensuite l'une des plaques passe sur le devant de
82 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
sommeiller une heure. — Les séances suivantes durèrent de cinq à dix minutes ; je les répartis de la manière suivante : 2 sé
iez « ordonné : j'ai appliqué le billet sur mon front et je mis trois minutes a à m'endormir; j'ai un souvenir confus de vous a
renouvela dans toutes les hypnoses suivantes. Il fallut à peine une minute pour l'endormir la seconde fois: je lui suggérai
ssant la parole et en lui disant : « La malade va s'éveiller dans une minute , tout cela n'est rien ». La malade, qui parait êt
lui fis des principaux signes du sommeil, elle tomba, en moins d'une minute , dans l'étal de somnambulisme léger où elle n'ava
estive directement appliquée à la malade suffisait. Dans moins de dix minutes , en effet, celle-ci était guérie, et la guéri son
é sa défiance, la bonne dame était d'une suggeslibilité extrême ; une minute suffit pour la faire tomber dans un sommeil très
ons réciproques de ces derniers. V Supposons maintenant, pour une minute , que les choses se passent autrement, et que l'ex
ts, le membre est secoué par de. violentes secousses. Cela dure trois minutes . Sa face se contracte douloureusement, sa respira
déjà observés. Ces attaques sont toujours précédées pendant quelques minutes d aura avec étonffement, cris. Je me suis trouvé
r mon injonction, il ne le sentait plus. J'arrivai ainsi, en quelques minutes , à lui écraser presque les chairs sans qu'il sent
eaux avant mon arrivée. Les douleurs se suivaient à trois ou quatre minutes de distance; elles étaient violentes, arrachant d
chevelu était peu marquée. Je restai près de la malade pendant dix minutes après l'accouchement, l'utérus se contractait d'u
nécessaire pour la déterminer a varié de quelques secondos à quelques minutes . Le réveil est obtenu par la suggestion seule o
lorsque je vous le permettrai ». Quelques instants après, une ou deux minutes à peine, si un des assistants demande à l'enfant
oublié aucun détail de la scène à laquelle lu as assisté ». Quelques minutes après, un interrogatoire en règle est institué; l
intenses dans cette dernière région (aine] duraient pendant quelques minutes et se continuaient ensuite pendant quatre heures
ue je parviens aujourd'hui à l'hypnotiser. J'ai dû lutter pendant dix minutes : elle ne voulait pas dormir. Pendant l'hypnose
ait maigri de 86 livres. Elle ne mangeait que des pommes. En quelques minutes , cette femme fut plongée dans l'état hypnotique p
é et il suffisait de dire a la malade : « Vous saignerez dans tant de minutes », pour voir le phénomène se reproduire et se mai
nt plus, mais qu'elle saignerait au creux de la main gauche. Quelques minutes après avoir été réveillée, elle présenta en effet
tte rougeur diffuse constitue le premier temps du phénomène. « Deux minutes après, la figure commence à paraître sous forme d
ne couleur rosée et se borde de deux zones pâles très étroites. Une minute après, apparition d'une zone rouge, périphérique,
a pour lui une nuit fort agitée; il lui fut impossible de prendre une minute de sommeil. Il revint me voir et, au bout de deux
ses, etc. Non; il suffira parfois, je l'ai dit en 1884, d'un quart de minute . MM. Binet et Féré disent quinze secondes ; nous
fut en vain que M. Delbœuf s'escrima ensuite, pendant quinze ou vingt minutes , pour hypnotiser son jeune malade, qu'il avait an
siens à mon tour sans faire aucun mouvement des lèvres. Au bout d'une minute , ses paupières supérieures s'abaissèrent franchem
Je l'hypnotisai par la fixation du regard. H dormit au bout de cinq minutes du sommeil somnambulique. Le travail était fait :
un heureux résultat, mais je me mis à l'œuvre, et au bout de quelques minutes la malade donnait profondément. Je lui suggérai :
'hypnotisme et, malgré son incrédulité, je l'endormis au bout de deux minutes , et à son réveil, je pus lui extraire celte dent,
itement tout ce qu'on lui dit, le comprend, s'en souvient pendant une minute environ, pois l'oublie complètement. Aussi, tout
fois. J'y réussis pleinement par une fixation du regard de cinq à dix minutes . Elle fut mise dans un sommeil assez profond, som
ée et se répètent toutes les dix, toutes les cinq et toutes les trois minutes , de plus en plus prolongées. Le col est effacé, i
douleur et sans plaintes; elles se répètent toutes les cinq ou trois minutes , elles sont presque continues et l'accouchement s
(l'expulsion du placenta), s'était accomplie au bout de dix à quinze minutes dans les mêmes conditions d'anestbésie. Une pet
83 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qui restent en éveil, et qui est de très courte durée, de quelques minutes généralement, de une heure ou deux au plus. Cet
oyé ce garçon des tisses d'avoine prenaient feu sous un hangar cinq minutes après qu'il eut quitté cet endroit. Il contribu
truments glacés dans un milieu refroidi. Sinon, dès les quelques minutes qui suivent la résection, l'écorce devient cide
une réaction acide; cette réaction se montre souvent dans les deux minutes qui suivent l'hémor- rhagie ou l'oblitération l
- tives à la suite d'oblitérations artérielles ayant duré 5, 7, 9 minutes (nécessité de la respiration artificielle) ; dans
r cas, l'auteur a réussi à obtenir une réaction neutre trente- huit minutes après avoir rétabli la circulation de l'écorce; i
de fortes secousses en rapide succession, jusqu'à cent et plus par minute , et accom- pagnées de mouvements d'extension co
temps du maximum d'excitation, les secousses étaient de 40 à 50 par minute , tandis qu'au moment du plus grand calme, on n'
bservation le nombre des secousses monte quelquefois bien à 100 par minute . Friedreich dit qu'il arrivait rarement que les
le violet à droite : on l'expose à la lumière rouge pendant quatre minutes . Elle nomme alors le rouge, le vert, le bleu, l
de celte malade un verre rouge à tria- vers lequel elle regarde une minute : je n'obtiens aucun résultat. Je la fais regar
aucun résultat. Je la fais regarder une seconde fois pendant quatre minutes : le verre, une fois retiré, elle voit tout rou
ptômes de fatigue, qui disparaissent d'ailleurs au bout de quelques minutes , me mettent en garde (je dirai tout à l'heure p
s yeux plusieurs fois desuite,'chaque série durant de deux à quatre minutes au plus. Dans une première séance, après deux s
mais je le faisais regarder trois à quatre 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. minutes de suite à travers un verre rouge. Au bout de que
parce résultat, je lui fais faire tous les jours, pendant quelques minutes seulement, des mouvements du bras et de la jambe
des articulations malades, par séances journalières de cinq à dix minutes ; l'auteur préconise le même traitement surtout da
it, il cachait sa tête «dans mon estomac ». Rassuré au bout de cinq minutes on le recouchait et il s'endormait. Les peurs s
fin contre la grille qu'il saisit et s'affaisse. - Durée totale : 2 minutes environ. Au chauffoir, les accès présentent les
able ; on dirait, qu'il bat la caisse avec son coude, puis, après 2 minutes environ, il se lève, se précipite dans le jardi
se laisse alors tomber de son banc, se roule sans cri, pendant une minute environ, se relève et se sauve. Si on le mainti
r des lèvres; il ne revient complètement à lui qu'au bout de deux minutes . 5. Description d'accès. En descendant de l'inf
it été de 33. Les accès duraient ordinairement de 39 secondes à une minute , rare- ment de 5 à 12 minutes ( ? ). Le 24 ao
ent ordinairement de 39 secondes à une minute, rare- ment de 5 à 12 minutes ( ? ). Le 24 août 1886 l'un de nous adressait à
rant le cours de laquelle éclatèrent des convulsions pendant quinze minutes qui laissèrent à leur suite une dé- formation d
mou- vements rapides du pied tapant le sol (160 tapotements à la minute ) qui durent de 6 à 10 minutes. Le malade ne ré-
ed tapant le sol (160 tapotements à la minute) qui durent de 6 à 10 minutes . Le malade ne ré- pond pas aux questions, puis
minutes. Le malade ne ré- pond pas aux questions, puis après 2 à 3 minutes , tandis qu'il essayait de défaire son bas (auto
face n'a pas changé de couleur; Val... reste hébété pendant 2 à 3 minutes , parlant avec peine, puis reprend son pied déchau
ient se placer dans le lit de camp, s'endort pendant une dizaine de minutes et se remet ensuite à son ouvrage. Parfois, pen
pilles sont dilatées. 352 CLINIQUE NERVEUSE. Il s'écoule quelques minutes , puis Vall... est pris d'une sorte demouvemenl
se placer dans'le lit de camp et s'y endort pendant une dizaine de minutes semble plutôt devoir les faire assimiler à un a
facilement provoquée et donne cent soixante dix-neuf secousses à la minutes (pied gauche). Elle est plus difficile à provoq
ent comme du bois; d'ailleurs le malade ne peut rester que quelques minutes dans cette position (jambes étendues), car il é
il ne peut alors s'arrêter etcontinue de rire pendant une ou deux minutes ; l'inspiration devient bruyante'et présente une s
84 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vulsions, toujours précédées d'une aura visuelle, qui dure de vingt minutes à deux heures ; la crise convulsive débute par
lise Notre-Dame. Après s'être promené paisiblement pendant quelques minutes , il monta soudain sur une chaise et entonna d'u
quer sa place à table. On lui fait écrire son nom et son âge : cinq minutes après, il ne s'en souvient plus et « ne croit p
menthol iodé qu'il ne connaît pas : on lui dit le nom, et quelques minutes après il ne s'en souvient plus et dit : « c'est d
) On lui fait au front deux piqûres et après un intervalle de dix minutes , une autre à la main : une minute après, il se ra
es et après un intervalle de dix minutes, une autre à la main : une minute après, il se rappelle seulement celle des doigt
toutefois qu'après la décapitation, ne fût-ce que durant quel- ques minutes , certains -mouvements bien organisés s'exécu- t
E PATHOLOGIQUES. selon les sujets mais toujours assez long, 10 à 30 minutes , le muscle peu à peu cesse de réagir et se relâ
rs inférieur de l'avant-bras et qu'il a fait dis- paraître en vingt minutes par la suggestion. M. Hikmet (de Constantino,pl
in gauche. Le lendemain, à son réveil, elle demeure durant quelques minutes , dans l'impossibilité de remuer les membres sup
suite d'endormir la malade en pressant doucement pendant quel- ques minutes sur les paupières fermées : vaine tentative ! On
à coup elle s'arrête, dit voir trouble de l'oeil gauche ; quelques minutes après, elle ne distingue plus rien de cet oeil
ui survinrent dans des conditions analogues et durèrent de quelques minutes à une heure. II. Ainsi qu'il ressort des recher
ellement, après une séance d'hypnotisme de un quart d'heure à vingt minutes , la malade reste jusqu'à six jours sans avoir d
vous fiche un coup de pied. Non, lâchez-moi, s'il vous plaît, deux minutes seulement... » Tels sont les propos, que nous t
culo-indien. Après un temps variable, d'ordi- naire au bout de deux minutes environ, succède une constriclioD manifeste de
uvenir des impressions visuelles, dans le cours des trois premières minutes qui suivent la réception, se modifie peu : au b
minutes qui suivent la réception, se modifie peu : au bout de cinq minutes , il s'affaiblit notahlement ; après dix minutes
u : au bout de cinq minutes, il s'affaiblit notahlement ; après dix minutes , il parait avoir tout à fiit disparu ; 2" Les per
s intervalles entre des mouvements séparés varient au moins de deux minutes ; quand ces intervalles sont moindres, les sens
les intervalles de temps qui séparent deux mouvements sont de cinq minutes , le sujet met deux fois plus de temps à se rapp
nt à l'os, a été laborieuse, et l'opération a duré une vingtaine de minutes environ. Au réveil chloroformique, l'opéré a pl
prendre aussi la forme tétanique et immobiliser pendant plusieurs minutes les membres dans une extension forcée im- possi
s aux mus- cles du mollet. Ces mouvements n'ont duré que quelques minutes ; 5° Au début de la rachicocaïne et après l'insta
ans le premier cas, la perte du sentiment n'ayant duré que quelques minutes ; elle fut plus marquée dans le second, le mala
nier cas, une forte suggestion suffisait pour rétablir, en quelques minutes , la faculté du langage, et une nouvelle suggest
trépidation épileptoïde s'abolir complètement au bout de quelques minutes , alors que les réflexes tendineux persistent inal
ns le temps convenu. Les séries sont séparées par des repos de cinq minutes , les les ergogrammes de chaque série par des re
minutes, les les ergogrammes de chaque série par des repos de une minute . Neuf séries de ce genre, sans excitation d'aucun
subaigue, peau souple et moite. Etat aigu : pouls de 90 Il 120 par minute : état subaigu de n0 à 80. Le fonctionnement méca
apide, dur, avec tendance à l'irrégularité, atteignant 90 à 120 par minute . Pression artérielle élevée 140 à 180 millimètres
t pas sur la conduite ; 2° pouls régulier, plus souple, 70 à 80 par minute . Pres- sion artérielle 120 à 130 millimètres; 3
se le triple des places va- cantes ; 2° une épreuve orale de quinze minutes sur un sujet d'ana- tomie et de physiologie du
jet d'ana- tomie et de physiologie du système nerveux, après quinze minutes de préparation. 11 sera accordé vingt points po
ccordé vingt points pour cette épreuve; 3° une épreuve orale de dix minutes sur une question de garde. Il sera accordé quin
ie de l'effet. Expérience IV. On commence à fumer la cigarette cinq minutes avant le travail et on continue pendant la prem
GIE PATHOLOGIQUE. EXPÉRIENCE V. -On commence à fumer la cigarette 5 minutes avant le travail et on continue pendant la prem
72 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Expérience VII. On commence à fumer 15 minutes avant le tra- vail et on continue pendant la pr
ongée. Ces différents mouvements se produisaient plusieurs fois par minute pen- dant un certain temps sous forme d'une sor
85 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ant à Nice, en voyage de noces, son mari la laissa pendant quelques minutes à l'attendre devant un magasin. A ce moment, un
1899, ce même jour à il heures il a une crise qui n'a pas duré cinq minutes ; à 1 h. Si une autre de dix minutes; à 3 h. 1/
ne crise qui n'a pas duré cinq minutes ; à 1 h. Si une autre de dix minutes ; à 3 h. 1/2 une troisième. Pendant la nuit du 1
médiatement un paquet de trional de 0,50, l'accès n'a duré que deux minutes . La nuit a été tranquille. Depuis ce jour, les
secousses tétamformes de tout le corps : ces secousses duraient dix minutes dans les membres inférieurs, elles sont moins l
suis assise sur un banc et je ne regardai plus cet homme qui, cinq minutes après, vint s'asseoir près de moi, déboutonna s
t intermittente et subordonnée à la marche : régu- lièrement, vingt minutes de marche la provoquaient : pour la faire dispa
marche la provoquaient : pour la faire disparaître, un an et de dix minutes était nécessaire et suf- r- fisant. Si le malad
se remettait à marcher, la douleur reparais-, sait au bout de vingt minutes , pour disparaître après dix nouvelles 158 SOCIÉ
es, pour disparaître après dix nouvelles 158 SOCIÉTÉS SAVANTES. - minutes de repos, et ainsi de suite. Depuis quinze mois l
ouleur de tête persiste. Après un temps qui peut varier de quelques minutes à quel- ' Broadbent : On ingnauescertl apoplexi
nte des mbuvements convulsifs du côté droit, pendant une dizaine de minutes . La résolution devient complète, sauf pour le b
eurs : dans l'observation IV de Broadbent, la malade après quelques minutes de malaise présenta une diminution de la sensib
it imminent. Le pouls est très rapide; on compte 116 pulsations par minute ; la langue est sèche et rôtie, mais il n'y a pa
s obligé... Touchez-moi, s'il vous plait (Pleurs pendant une à deux minutes suivis d'éclats de rire subits). D. Où êtes-vou
ujourd'hui, à quatre heures du soir, le pouls bat 95 pulsations par minute . La plaie de la région axillaire est à peu près
vert d'iode 0,20 - eau distillée 100 - on colore pendant cinq à dix minutes et on décolore dans l'alcool à 95° ou absolu).
paraissent parésiés. La respira- tion est rapide (30 respirât, par minute ) et difficile. Le diaphragme est nettement paré
lus difficile. Le pouls est rapide, ample mais dépressible (120 par minute ). Pendant la journée l'état continue de s'aggra
objet devant les yeux. L'attaque proprement dite a duré dix-huit minutes . Puis Gabriel après avoir eu une demi-minute une
st affaissé comme brisé de fatigue. 11 ne fait aucun mouvement. Cmq minutes après sans que l'enfant perde connaissance à no
jusqu'à treize de ces secousses se repro- duisant à peu près à cinq minutes d'intervalles. Quelquefois elles sont accompagn
ccédées à une demi-heure d'intervalle. La première a duré cinquante minutes : le début a été semblable à celui des autres;
utes : le début a été semblable à celui des autres; au bout de cinq minutes inhalations d'éther : la raideur persiste, la f
t à intervalles très éloignés. On cesse l'inhalation au bout de dix minutes , la raideur du corps ayant disparu. Gabriel se
me attaque a présenté les mêmes caractères en raccourci; durée, dix minutes . Le 28, une attaque ; dans la période de résolu
ars. Même traitement. - Onze attaques en tout. Durée moyenne quatre minutes . La rigidité est beaucoup moins accentuée. A la
regard, durée dix secondes. - Le 5, attaque complète durée vingt minutes . -- Le '1, sommeil agité, l'enfant s'est levé en
érébrantes extrêmement vives. Chaque paroxysme dure de dix à quinze minutes , rend toute marche impossible, oblige la malade
te sécurité, et il réitérerait des bains froids à 18°, dix à quinze minutes durant, toutes les deux ou trois heures, suivant
e. En avril 1897, ictus, la perte de connaissance dure environ cinq minutes . Sous l'influence des excès alcooliques, Eugène
le dos. Il reste à terre comme paralysé et pousse pendant quelques minutes des miaule- ments plaintifs. Cinq à six semaine
é droit, perte de connaissance; stertor. Trois attaques de quelques minutes entre chacune desquelles le malade revient à lu
terne gauche et se plaint de douleurs spontanées, durant une à deux minutes , obtuses ou violentes, accompagnées d'engourdis
ette émotion. la voilà prise d'une aphasie qui ne dure que quelques minutes . Quelques heures plus tard, appa- rait une hémi
é atteint d'hémiplégie, et que, d'ailleurs, elle a disparu quelques minutes après l'ictus, ce qui indique qu'elle est psychiq
sans appui, les yeux ouverts ou fermés; cependant, au bout de 2 à 3 minutes , il tombe toujours du même . côté. Si l'on comm
,... dix mille soixante- dix,... onze mille quatre cent dix-sept... minutes , etc. Quarante- cinq fois l'ordre fut exécuté à
-sept... minutes, etc. Quarante- cinq fois l'ordre fut exécuté à la minute ; dans huit cas il y eut de légères différences
it cas il y eut de légères différences qui n'excédèrent jamais cinq minutes . Ghloroforme et suggestion. M. Paul Farez. To
circonstances sui- vantes : Ce matin, vers cinq heures, quelques minutes avant le réveil des prisonniers il a approché s
86 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lourdeur. S'il appuie un instant, ses bras restent pendant quelques minutes « comme morts ». Il se plaint surtout d'une név
ions rapides et courtes avec des intervalles de calme de cinq à six minutes . ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 87
siblement tous de même durée. Nous en avons compté environ 140 à la minute , soit 24.000 en 12 heures. Cela constitue, vous
récipitée, peu pro- fonde : on compte environ 56 respirations par minute . Mais cette précipitation n'entraîne aucune gên
ou trois fois de suite, et il se reproduit environ trente fois par minute , toutes les deux secondes. Il rappelle assez bi
sternum. Ce hoquet revenait réguliè- rement toutes les cinq ou dix minutes . Il persista pendant trois ans, sans s'accompag
oquet a persisté dix-huit heures de suite par accès espacés de cinq minutes . La température rectale ne s'était pas élevée d
it de ces attaques de paralysie successives et passagères (quelques minutes ) qui précèdent l'installation de l'hémiplégie. Un
ropre frère de Ml'e Dourches, tinrent bon. Ce fut, pendant quelques minutes , une mêlée indescriptible. Enfin les quatre agr
asseoir, on lui donna de l'éther à respirer et au bout de quelques minutes la crise était passée. Au sortir de cet ictus, il
quelquefois néces- saire d'attendre depuis dix secondes jusqu'à une minute avant que l'on puisse positivement décider si l
Hypertrophie colossale du foie. Deux cents battements de coeur à la minute , accès d'angoisse avec tachy- cardie, à plusieu
nt par l'esto- mac. Le sommeil a lieu d'ordinaire en quinze à vingt minutes . M. EisNLOUR. Contribution à l'anatomie patholo
emain matin, les deux malades sont sortis au jardin, mais, quelques minutes après, Gontscharoff est rentré au dortoir et s'
mais elle ne désigne jamais nominativement la personne. Après vingt minutes de plaintes et de gémissements, elle s'est btus
enlait ni ne voyait la personne qui lui faisait obstacle. Après dix minutes de tentatives infructueuses, elle eut l'idée qu'o
traits, ralen- tissement du pouls et de la respiration. Après cinq minutes de cet état léthargique, elle se frotte les pau
meil léthargique copiée sur les précédentes, d'une durée de vingt minutes ; puis agitation, bavardage délirant dans lequel e
heures du soir, deuxième crise comme le jour précédent. Après vingt minutes de sommeil léthargique, période d'agitation ave
à 10 heures et demie, - retour du sommeil léthargique, réveil cinq minutes après dans ^un état d'inconscience parfaite. '
eil léthargique du début qui durait d'or- dinaire de quinze à vingt minutes , est maintenant d'une heure un quart à une heur
ue ce sommeil ne 300 CLINIQUE MENTALE. durait jamais plus de cinq minutes , puis elle en sor- tait instantanément, sans en
r elle avait eu trois petites crises de sommeil léthargique de cinq minutes . Pendant le voyage, elle fut calme et silencieu
rnis par la fille de service, immédiatement après l'attaque, quinze minutes au plus après le début des convulsions; la péri
la commissure labrale gauche et la jambe droite. Le tout dure cinq minutes environ. Puis la malade se réveille inconscient
par des contorsions de la face dont la durée est considérable : une minute et demie environ. Les muscles du facial supérie
particulièrement sur la face. Les accès se répètent toutes les deux minutes environ. Perte complète de la connaissance dans
Le sang est liés noir et rougit difficilement à l'air. Dans les dix minutes qui suivent le pansement, les attaques rede- vi
nent distinctes les unes des autres : un intervalle de deux à trois minutes les sépare. La malade est sondée à une heure moin
u soulagé ; alors, il se recouche et se rendort, mais pour quelques minutes seulement. La souffrance le réveille à nouveau.
raitement; quatre jours plus tard, attaque convul- sive de quelques minutes , avec prédominance des convulsions à droite; lé
les dimanches, mercredis et vendredis. Il guérit aussi en quelques minutes et sans rechute toutes sortes de névralgies et ma
87 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
ever au moyen d’une corde. A ces mouvements, qui durent de une à deux minutes , succèdent quelquefois une position qui se prolon
je retrouve parfois. Je tins mes mains sur sa tête pendant plusieurs minutes ; je fis des passes à grands courants sur tous les
re faveur. Poursuivons notre analyse : « Je magnétise pendant dix minutes la malade, à grands courants, et peu d’instants a
deux apparitions ont eu lieu simultanément à la même heure, à la même minute . Nous étions dans ce moment-là occupé à nous prom
ouvrière bourdonne, s agite, s élance au dehors... et, dans quelques minutes , vous avez sous les yeux mille poitrines palpita
de mer est de n'y rester que fort peu de temps : deux, trois, quatre minutes au plus les premiers jours, et en- (t) L’observ
l'ensemble. suite augmenter peu à peu leur durée jusqu’à vingt-cinq minutes , mais jamais au delà. On ne devra pas non plus se
t le cours de la maladie! Madame Cornet fut prise, durant vingt-cin i minutes , d'affreus-s convulsions, qui furent suivies d'un
clioder, une bouteille d’eau de deux litres, l’espace de deux à trois minutes ? En dehors de l’intention, ces divers moyens doiv
ions bémorroïdales une baguette de fer plongée dans l’eau durant cinq minutes , pour une bouteille de moins d’un litre, me sert
n souffle dans toute la masse du liquide: Cette opération durait cinq minutes . Dans le cas ci-dessus, cette pratique m'a semblé
nambule que j’ai endormi de se souvenir; je le réveille ; cinq ou dix minutes se passent sans qu’il parle de rien ; j’applique
qu’un des assistants lui tient l’autre bras. Au bout d’une ou deux minutes (souvent, m’a-t-on dit, après quelques secondes s
blée qui avait déjà protesté contre des lectures de trente à quarante minutes — qui ne lui convenaient pas, ne l'eût pas toléré
s les anneaux glacés du naja, crut entrer dans la crise des dernières minutes . On l'entendit alors supplier l’assemblée, éperdu
-vous, ne parlez plus! calmez-vous, ne parlez plus! Au bout de peu de minutes , la loquacité, devenue moindre , avait totalement
n nombre de huit chiffres, et qu’elle me produit ce résultat en trois minutes , quand il me faut deux heures, avec une table de
surprise do tous, on le trouva haché en plusieurs endroits. Quelques minutes plus tard, les travailleurs allaient monter dans
leur insu, pour leur prouver la puissance du magnétisme. » A la même minute il apparut alors à ses deux sensitives. Que trouv
se laisse enfin toucher et prend le malade par les mains. h En peu de minutes le mieux se déclara; on tient l’enfant « cinq qua
s caractères (mal reproduits dans un croquis pris par moi en quelques minutes ) ne le fait pas, à mon avis, remonter au delà du
ouvai ma montre arrêtée; les aiguilles n’avaient avancé que de quatre minutes et demie depuis le commencement de la magnétisati
, d’après une pendule d’accord avec ma montre, avait duré trente-huit minutes . Cette nouvelle manifestation d’un fait plusieu
ût 1861 à huit heures et demie du soir. — La magnétisation a duré dix minutes . — Le rapport a été établi par contact au moyen d
moyen des pouces, selon la méthode Deleuse; ce rapport a duré deux minutes ; après quoi des passes générales de la tôte aux g
été pratiquées à '25 ou 30 centimètres de distance. — II y avait une minute que ces passes duraient quand un tremblement géné
eures Rabaissèrent et se collèrent sur les inférieures. Après trois minutes de passes à distance, je demandai à voix très-bas
le front, à la naissance du nez, et je la laissai ainsi environ trois minutes et demie, puis je renouvelai ma demande au sujet
88 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ient de lui quelques réponses monosyllabiques, puis, en moins d'une minute , il re- tombe dans sa demi-catalepsie. Cet ét
mba privé de connaissance, et se débattit beau- coup pendant 7 à 10 minutes , puis il reprit connaissance, eut un peu de dél
de l'asile, qui est de quarante-sept hectares, on trouve à quelques minutes de l'établisse- ment un domaine disposé pour un
ous relevions exactement le nombre de divisions parcourues à chaque minute par l'aiguille gatvanométrique, jusqu'au moment
se trouve atteint en DE L'ACTION DES COURANTS CONTINUS. 147 cinq minutes ; l'autre présente des caractères opposés : l'ai
ractères opposés : l'aiguille arrive à peine à 3 milliweber en huit minutes . Il suffit d'un simple coup d'oeil pour reconna
e première fois appliqué, donne à droite un maxi- mum de 25° en une minute seulement, à gauche un maximum de 18° en trois
de 25° en une minute seulement, à gauche un maximum de 18° en trois minutes ; on voit sur la figure les deux lignes toujours
vient le môme, mais est atteint d'emblée du côté sain, en quatre minutes du côté malade; enfin dans la troisième électrisa
des plus complètes. On obtient d'abord pour maximum : 50° en douze minutes à droite (côté sain), 40° en neuf minutes à gau
ur maximum : 50° en douze minutes à droite (côté sain), 40° en neuf minutes à gauche (côté malade). Une deuxième électrisat
e maximum 55° à droite et à gauche, mais d'emblée à droite, en deux minutes à gauche. La plus parfaite égalité existe enfin
l'électricité sont inverses des précédents. Maximum : 50° en douze minutes du côté gauche devenu sain, 40° en onze minutes
imum : 50° en douze minutes du côté gauche devenu sain, 40° en onze minutes du côté droit devenu malade. Les applications s
t alors de part et d'autre une même dévia- tion de 65o. mais en six minutes à droite, en huit minutes à gauche. Ce maximum
une même dévia- tion de 65o. mais en six minutes à droite, en huit minutes à gauche. Ce maximum est atteint d'emblée des d
é droit est resté normal. Maximum : 70° des deux côtés, en quatre minutes à gauche (hyperesthésie), en neuf minutes à dro
des deux côtés, en quatre minutes à gauche (hyperesthésie), en neuf minutes à droite (état normal); la différence entre les
e : le maximum de déviation est de 9 milliweber et est atteint en 5 minutes . Tracé 2 : Forte résistance : le maximum de dé-
: le maximum de dé- viation est de 3 milliweber et est atteint en S minutes . PLANCHE IV. Résistance électrique comparée d
en il est pris d'un rire nerveux et incoercible, qui dure plusieurs minutes . M. X... se procure encore ses spasmes en se fa
u contraire tout est chez lui lutte, artifice et contrainte; chaque minute voit naître un motif nouveau d'angoisse et de p
lui est propre. Cette contraction peut durer de une jusqu'à vingt minutes et plus, après quoi elle disparait graduellement.
es, à 1070,8. 11 fut alors plongé dans un bain à 68° pendant quinze minutes . La température tomba à 9(>^, mais s'éleva d
nait, sa jambe gauche fléchit subitement sous lui, et en quelques minutes il devint complètement paraplégique. Ni douleurs
malade, et dix mi- nutes pour chaque compte-rendu oral, après cinq minutes de ré- flexion) ; 3° une épreuve de petite chir
e : le maximum de déviation est de 9 milliweber et est atteint en 5 minutes . Tracé 2 : Forte résistance : le maximum de dé-
: le maximum de dé- viation est de 3 milliweber et est atteint en 8 minutes . 41.4 ' EXPLICATION DES PLANCHES. PLANCHE IV
89 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
pincé, les lèvres sont tremblantes. Ces crises durent 15, 20, 30 minutes . A la fin, le visage est très pale l'enfant cherc
roits ». On n'a pas remarqué de secousses. La convulsion durait une minute , revenait au bout d'une demi-heure. Ces acciden
r, en supprimant l'huile de foie de morue. Deux bains salés de 10 minutes chacun. - Exercices de la marche. 3 juillet. -
ment sur le côté gauche. La durée de ces convulsions était de 2 à 3 minutes et une rémission de 10 à 15 minutes les suivait
es convulsions était de 2 à 3 minutes et une rémission de 10 à 15 minutes les suivait. La série convulsive dura quatre jour
la 4e semaine de la maladie; Ces convulsions duraient de 15 à 20 minutes . Elles se répétaient 3 ou 4 fois par jour. Depuis
, avec pâleur de la face, respiration de plus en plus rare, une par minute environ, de sorte qu'on l'a crue morte une diza
ne par minute environ, de sorte qu'on l'a crue morte une dizaine de minutes avant l'heure réelle de la mort. La température
la crise, une expulsion d'urine et de matières fécales. Après vingt minutes environ, il reprenait connaissance, dormait un
quence. Elles diminuèrent à 4 ans. Leur durée n'excédait pas cinq minutes . Il y en avait jusqu'à trois ou quatre par jour
férieurs. Ni morsure de la langue, ni émission d'urine. Durée : une minute . Sommeil consécutif : 10 minutes. T. R. à la fi
ni émission d'urine. Durée : une minute. Sommeil consécutif : 10 minutes . T. R. à la fin de l'accès : 3gaz,9; - un quart d
at. Notons en même temps que l'enfant présente toutes les 5 ou 10 minutes une sorte de secousse tonique tétaniforme très
sisté. État général toujours grave. 54 mouvements respiratoires par minute . Affaissement général, pouls filiforme, visage
un délire continuel avec quelques lueurs d'intelligence de 2 ou 3 minutes . Elle n'aurait pas eu de troubles moteurs ni de p
que la respiration s'établit. Cet état asphyxique dura au moins dix minutes . Les jours suivants l'enfant n'était plus bleu.
ment des convulsions : « leur durée maximum n'a jamais excédé deux minutes ; il n'y avait ni rigidité, ni secousses du corps.
du lait chaud. Vers deux heures, accès de suffocation qui a duré 15 minutes . Les inhalations d'oxygène ont paru le soulager
oite, tandis qu'à gauche, ils s'agitent violemment. Au bout de deux minutes l'accès s'est terminé par une émission d'urine
l'enfant fut pris de nouvelles convul- sions. Leur durée fut de 30 minutes . Les deux bras étaient contractures. Mardi...
ements cloniques. Pas d'évacuation durant l'accès. Le tout a duré 2 minutes . A la lin, quelques cris gutturaux. Le pouls es
sses sont en adduction, les jambes en légère abduction. Durée une minute à peine. T. R. 39° après la crise. L'enfant reste
bruit a,'rique suivi d'un mouvement de déglutition, cela depuis 20 minutes environ (lic). 27 mais Traitement : 2 bains sal
d'hui. Les batte- ment du coeur sont extrêmement fréquents : HO par minute . Le pouls est à peine perceptible. 2(j novemb
NEVILLE, Bicêtre, 1892. 18 Fig. 27. 274 DESCRIPTION DES TICS. minutes en faisant environ soixante tours par minute. Les
DESCRIPTION DES TICS. minutes en faisant environ soixante tours par minute . Les derniers tours sont encore plus rapides, a
90 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
e s'accompagne pas d'écume ni dc stertor. La durée totale est d'une minute environ, puis elle est suivie d'un repos très c
nté aucune direction fixe ; la durée totale de la série a été de 35 minutes . 3° Pas de délire. 27 janv. Début des attaques
pouces en dedans. Cet état de tétanisme généralisé dure environ une minute . 2e période. (Clownisme). Après un moment de ca
ire. L'intervalle entre chaque attaque est ordinairement de 3 à 4 minutes . Cette série s'est terminée de la manière suiva
e la sensibilité commence à devenir obtuse du côté droit : quelques minutes plus tard l'hémianesthésie est revenue et l'enf
a résolution musculaire surviendrait toujours au bout de quelques minutes . Ces divers phénomènes ne se sont pas toujours
rte congestion de la face se produit généralement au bout de 2 ou 3 minutes . La respira- tion a presque toujours été, comme
nalé. C. Système nerveux .-Perte de connaissance au bout de 1 à 3 minutes ; anesthésie au bout de 3 à 5 minutes, s'accent
connaissance au bout de 1 à 3 minutes ; anesthésie au bout de 3 à 5 minutes , s'accentuant à mesure que l'inhalation se prol
aucunement souffert du traitement (une inhalation de 5 à 10 ou 15 minutes tous les matins pendant deux mois). Au bout de
utre inci- dent ; tantôt au contraire, après un répit de quelques minutes , une nouvelle attaque se produisait avec phase
us rarement par un rire inextinguible accompagnant le délire. Dix minutes ou un quart d'heure après, le malade complè- te
jusqu'à l'anesthésie et, dans plusieurs cas, prolongée- jusqu'à 20 minutes , 5 ont présenté en juin une diminué- tipn consi
usc et l'accès épilepsie; délire. 57 se termine au bout de 5 à 10 minutes , sans laisser aucun souvenir. L'état mental s
91 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
a mort subite. L'urticaire qui suit les ponctions apparaît quelques minutes après l'opération (Debove), rarement après deux
ère le cou. Le bain est journalier, sa durée est tout d'abord de 10 minutes , puis graduellement jusqu'à 30 minutes. Nous lu
durée est tout d'abord de 10 minutes, puis graduellement jusqu'à 30 minutes . Nous lui avons prescrit également de l'huile d
». les employés y sont obligés de transmettre environ 25 mots à la minute . Le mouvement effectué consiste à presser simplem
igides. Il pouvait cependant continuer à écrire pendant cinq ou dix minutes , en maintenant son bras avec sa main gau- che ;
de petites crises, sans perte de connaissance, qui durent de 1 il 2 minutes et sont uniquement constituées par la sensation
dans l'espace laissé libre par les caractères écrits. Au bout de 15 minutes environ toute la rougeur a disparu et il ne res
environ une heure, ou lorsqu'il a couru pendant une quin- zaine de minutes , il survient toujours au même endroit un changeme
ions : malade cou- ché : 56 : immédiatement après une course de dix minutes : 76 ; quelques mi- nutes après : 64. Pressio
uches. Le pouls est très petit, égal, régulier; il bat 88 fois à la minute . Pression sphygmomanométrique, 14. La malade n'
s, depuis sa « danse de Saint-Guy » qu'il l'ait abaudonné une seule minute . Mouvements spasmodiques. W... présentant ses d
et simultanément à intervalles à peu près réguliers 6 à 3 fois par minutes ; l'amplitude de ces secousses n'est pas toujou
èrent ce spasme,en précipitant les oscillations jusqu'à 50 fois par minute , ou en amplifiant un peu les secousses ; dans c
de jardinier pour laquelle il se sentait du goût. Il met plusieurs minutes à enfiler une aiguille; calant sa main droite s
deux heures après-midi, le tremblement reparu très fort pendant dix minutes dans tous les membres et deux heures environ dans
ent. Essai d'hypnotisation par la fixation du re- gard, après trois minutes W... ferme les yeux : il reste immobile les yeux
iques, les séries d'ergogrammes sont séparées par des repos de cinq minutes , et les 4 ergogrammes de chaque série ne sont s
gogrammes de chaque série ne sont séparées que par des repos de une minute . Dans la série de recherches qui ont précédé im
ntes on avait empiriquement fait agir les excitants sensoriels deux minutes avant le commencement du travail. Ce n'est pas
la première série de quatre ergogrammes et pendant les repos de une minute qui les séparent. Les résultats des expériences s
essence de cannelle. 330 FÉRÉ Exp. IV. Excitation commençant huit minutes avant le travail. Odeur d'essence de cannelle.
R LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 337 Exp. X. - Excitation commençant 4 minutes avant le travail Hauteur Nombre Travail Hauteur
ie : Sans excitation. 340 FÉRÉ Exp. XII. Excitation commençant 12 minutes avant le travail. Hauteur totale Nombre. Travai
Fig. 2. zizi. Série d'ergogrammes pris au repos et une heure après 2 minutes d'excitation de l'odorat par l'essence d'absint
xp. XV). - III. Série d'ergogrammes pris au repos une heure après 4 minutes d'excitation de l'odorat par l'essence d'absint
Cc. 3. - IV. Série d'ergogrammes pris au repos, et une heure après 8 minutes d'excitation de l'odorat par l'essence d'absint
. XVII). V. Série d'ergogrammes pris au repos et une heure après 12 minutes d'excitation de l'odorat par l'essence d'absint
UE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 349 Exp. XVII. - Excitation de 8 minutes précédant le travail de 1 heure. Odeur d'essenc
ces expé- riences la durée de l'excitation a été uniformément de 8 minutes et le travail n'a commencé qu'une heure après l
'une heure après la fin de l'excitation. Exp. XX. - Excitation de 8 minutes (odeur d'asa /oe< : ft) précédant le travail
IGUE PAR LES EXCITATIONS DE L'ODORAT 351 Exp. XXII. Excitation de 8 minutes (odeur de musc) précédant le travail , de 1 heu
e musc) précédant le travail , de 1 heure. 352 -) FÉRÉ Après 45 minutes de repos, on a fait une nouvelle série d'ergogram
de quatre ergogrammes : les séries sont séparées par des repos de 5 minutes et les ergogrammes de chaque série par des repo
e 5 minutes et les ergogrammes de chaque série par des repos de une minute . C'est le médius qui travaille en soulevant cha
s bras de son père, puis elle se raidit, la crise dura en tout deux minutes ; il n'y eut ni émission d'urines, ni morsure il
re les questions qu'on lui pose : elle revient à elle au bout d'une minute , elle a l'air de sortir d'un rêve, cette fois c
92 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e aux questions les plus simples, la malade regardait fixement, une minute entière, celui qui l'in- terrogeait, ne paraiss
'électricité qui, à travers l'unité de résistance, décompose en une minute un centimètre cube d'eau ) par la résistance to
laces vacantes. Epreuve définitive : 2° une épreuve orale de quinze minutes sur un sujet de pathologie interne et de pathol
ant-bras droit, dans le but de transférer la griffe de ce côté. Dix minutes et plus s.e passent sans qu'aucun transfert ait
usses sont bientôt suivies d'une sorte de stertor qui dure qnelques minutes . La paralysie du côté droit n'a pas dis- paru.
nt à peu de distance de ses yeux et un peu en haut. Au bout de cinq minutes environ, on remarque quelques mouvements cloniq
plat sur le dos. Elle s'asseoit, regarde fixement pendant quelques minutes , puis tout rentre dans l'ordre,ou l'attaque rec
peur et l'adynamie; l'oppression est intense (50 respirations par minute ). Les pommettes sont rouges. Le pouls est petit,
a mobilité. Elles passent d'un jour à l'autre, d'une heure ou d'une minute à une autre, avec une incroyable rapidité, de l
(vendredi) ; la durée des symptômes convulsifs variait de quelques minutes à plu- sieurs heures pendant lesquelles il étai
s d'une crise convulsive soudaine durant à peu près trois quarts de minute ; la crise passée on lui remettait le bras. Une
erminés 240 SOCIÉTÉS SAVANTES. par un sommeil réparateur de vingt minutes . A la dernière séance, au moment où l'on en ava
à terre en proie aux convulsions les plus violentes pendant quatre minutes . Absence d'écume à la bouche. Cet incident, qui
péniblement. La lampe au magnésium n'avait produit aucun effet cinq minutes auparavant. L'ovaire gauche n'est plus senti ;
prochent ; à sept heures et demie, elles reviennent toutes les cinq minutes , la malade se met au lit. A sept heures cinqu
se produit, en commençant par le côté gauche, à huit heures deux minutes . Deux minutes après, deuxième attaque de con- t
en commençant par le côté gauche, à huit heures deux minutes. Deux minutes après, deuxième attaque de con- tracture, le br
s ; la malade ronfle, mousse et geint ; la contracture a duré trois minutes , et a cessé encore par le côté gauche d'abord.
ré trois minutes, et a cessé encore par le côté gauche d'abord. Une minute après, nouvelle attaque analogue à la seconde.
attaque de contracture analogue aux précédentes et qui dure trois minutes . A neuf heures quarante-cinq, nous faisons resp
cture, le chloroforme fut suspendu. Nous pûmes cons- tater quelques minutes après que l'insensibilité n'était pas modifiée.
malade accoucha sans en avoir conscience, à onze heures trente-cinq minutes , d'une fille bien constituée. A minuit dix, le
e la fixité du regard, en convergence supérieure. Au bout de cinq minutes environ, les yeux se ferment tout à coup, la tête
ait trois ou quatre heures. Il les sentait venir, et, dans les ingt minutes qui les précédaient, il disait sans cesse : « M
es accès sont revenus; ils sont presque quotidiens, durent 20 ou 30 minutes et sont identiques à ceux que nous avons décrits.
fait croire à un glaucome aigu. Après un temps variable de quelques minutes à une heure et plus, éclate la douleur céphaliq
93 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ur son épaule gauche pour le transporter dans une ferme située à 10 minutes de chemin de chez elle. Tout coup elle ressenti
rdiaque. Notre malade présente en moyenne 14 à 15 inspirations à la minute , pas de dyspnée, sauf celle due à l'effort. L'o
TOLOTTI Le pouls est parfaitement régulier et rythmique (70-80 à la minute ). Aucun signe de bradycardie ou de tachycardie
re impossible s'il est obligé d'élever le bras. Au bout de quelques minutes d'écriture dans cette position, il ressent des
ableau, ou même des cartes géographiques, au moins pendant quelques minutes consécutives. La marche lente ne s'accompagne p
e- naient si vives qu'il était obligé de s'arrêter ; après quelques minutes de repos il pouvait repartir, mais bientôt les
s si fortes que le sujet était obligé de s'arrêter ; après quelques minutes de repos, l'écriture pou- vait être reprise. Le
. est brisé, suant, comme effondré. Chaque accès dure de une à deux minutes , mais la succession et le nombre sont tels que
e de leur cadre habituel. La crise passée, et elle dure de quelques minutes à un quart d'heure, le malade demeure abattu, m
rler. Lorsque l'interrogatoire se prolonge, les troubles, en 5 à 10 minutes , attei- gnent leur maximum. 128 RIMBAUD ET AN
ccentuant peu à peu pour atteindre leur maximum au bout de quelques minutes . Le matin au réveil le sujet peut prononcer quelq
rsqu'il se mettait à sa table de travail ; mais au bout de quelques minutes il « se dérouillait » et pouvait écrire plus fa
t apparu, généralisé à tout le corps, comme un frisson, pendant dix minutes , puis localisé au bras droit, et ne se mani- fe
e peut à peine tracer une lettre ou deux. Mais, au bout de quelques minutes , M. R... peut écrire, et, une fois lancé, n'épr
l'employé doit être telle qu'il transmette en moyenne dix mots par minute , ce qui en admettant que chaque mot comporte en
âgée de 27 ans, qui, obligée de trans- mettre jusqu'à 25 mots à la minute avec l'appareil Hughes, avait eu au bout de peu
eune musicienne de 19 ans, observée par Berger, qui, après quelques minutes de jeu, éprouvait une certaine dif- ficulté à r
un fonctionnement régulier. Le pouls, régulier, fort, bat à 88 par minute ; la tension artérielle relevée au niveau des ra
de Riva Rocci a donné à droite 110 mm. Hg. avec un pouls de 94 à la minute , et à gauche 125 mm. avec 98 pulsations à la ra
autour du bras, au-dessus du biceps et laissé en place durant vingt minutes matin et soir ; la stase veineuse ainsi obtenue
doit être faible : 2 à 5 milliampères ; la durée d'application de 3 minutes , deux fois par semaine environ. Dans la forme t
vant-bras ; les séances ont lieu deux fois par jour pendant 25 à 30 minutes ; on termine par quelques minutes de réapprentiss
eux fois par jour pendant 25 à 30 minutes ; on termine par quelques minutes de réapprentissage de l'écriture par une méthod
ressivement portés de 1/4 d'heure à 3/4 d'heure; bains locaux de 20 minutes à 35°; douches sédatives sur les parties malade
es parties malades, en pluie et à faible pression, à 35° pendant 10 minutes ; et enfin massage léger sous la douche. Sept foi
e alors de s'exercer tous les jours chez lui pendant une dizaine de minutes à écrire de cette façon. Il rapporte chaque fois
s crises, le membre contracture; pendant l'accès, qui dure quelques minutes , le malade s'efforce de maintenir avec sa main
gauche son membre convulsé. Après la crise, persiste, pendant vingt minutes environ, un état parétique très accusé du membr
e la surface du corps. Le pouls est à 128. Toutes les quatre à cinq minutes , ces petites crises d'épilepsie jack- sonnienne
Stokes. La tachycardie est prononcée; on compte 108 pulsations à la minute , sans élévation de température. Les vomisseme
isent parallèlement, symé- triquement,spasmodiquement cinq fois par minute ; ces phénomènes moteurs n'existent pas dans le
rts accès de dyspnée, pendant lesquels on compte 60 inspirations la minute et qui s'accompagnent d'une tachycardie très pron
llait complètement. Le pouls restait à plus de cent pulsations à la minute , était très dépressive,souvent à peine perceptibl
uvent à peine perceptible, La respiration restait à plus de 30 à la minute . LA POLYNÉVRITE GRAVIDIQUE 351 Ce fut dans ce
ner aucun renseigne- ment. Le pouls est à 27 pulsations au 1/4 de minute ; il est très dépressible. Le rythme du coeur e
s au début de notre examen les élève facilement au bout de quelques minutes . Le pouls est régulier à 82. Il ne persiste r
rythmique, régulier, très ample un peu tendu. 68 pulsations ;'1 la minute pression v.<sale : HO mm de Hg au Riva-Racci.
t fréquente, un peu superficielle, à type costo-abdominal : 28 à la minute . Le décubitus est indifférent. Intelligence trè
elle,costo-abdominale,plus fréquente qu'à l'état nor- mal : 26 à la minute . CoeU1', - L'ictus de la pointe n'est ni visibl
est tombé dans une glacière dont il ne fut retiré qu'au bout de 20 minutes par quelqu'un qui avait en- tendu ses cris. Lor
et aux aines. Température 36°4. Pulsations 75. Respiration 20 à la minute . Le crâne se montre très développé spécialement
t, on entend un bruit veineux continu, pas âpre. Pulsations 75 à la minute . Pouls d'ondulation moyenne régulier, rythmique
e. Le coeur est normal ; le pouls régulier bat à 75 pulsations à la minute , les urines ne contiennent ni sucre ni albumine
vements respiratoires et il déclare lui-même qu'il mourra « dans 5 minutes ». Dans cette situation tragique et extrêmement
ble, on a interrompu la respiration artificielle et, au bout de dix minutes , il n'y avait plus aucun signe de fonctionnement
s ce cas, la fréquence de la respiration était tombée jusqu'à 7 par minute le matin même de l'opération (c'est-à-dire avant
chaque pas. 28 octobre. Le malade perd la connaissance pendant deux minutes , et présente une contracture tonique généralisé
aux genoux et au poignet droit, qui disparaissaient après quelques minutes ; ces faits se sont produits quatre ou cinq fois
94 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lles se produisent avec une fréquence variable. De deux à trois par minute , les secousses peuvent atteindre douze, quinze,
personne qu'elle ne connaisse pas. Parfois, il s'écoulera plusieurs minutes sans qu'elles se manifestent. La volonté n'a au
cinq contractions consécutives, puis un repos d'une ou plusieurs minutes ; leur fréquence augmente avec l'émotion, elles ce
est très variable. Si la malade est émotionnée, on compte dans une minute six à sept mouvements du premier type et deux à
guliers; tantôt il s'é- coule trente, quarante secondes, tantôt une minute et plus. La posi- tion occupée par la malade n'
te; J... est telle- ment impressionnée qu'elle reste une dizaine de minutes sans pou- voir prononcer une parole. En 1890, l
la fatigue, on notera 10, 12 secousses musculaires généralisées par minute ; par contre, si l'attention est 28 PATHOLOGIE
es irré- guliers ; tantôt on constatera un repos d'une ou plusieurs minutes , tantôt la période d'accalmie sera seulement de
durée de l'injection. L'animal est calme. Premier arrêt de quelques minutes dans l'injection à 180 c. c., parce que l'urine
ison. L'injection a donc été faite très lentement en une heure cinq minutes environ. Vers 200 c. c., la respiration devient
Raiiber » (Robber). Cet état durait ordinairement de dix il trente minutes et était suivi d'une crise. Le pouls n'excédait j
it suivi d'une crise. Le pouls n'excédait jamais 104 pulsations par minute . Aussitôt que la connaissance revenait, le mala
jours pour pivot du tableau le cheval. Nous recevons ainsi, en deux minutes , près de six cents impressions qui forment six
à une demi-minute. Entre les accès, on constatait 26 pulsations par minute , des fois même 18 pulsations. Après une amélior
rès une augmentation des pulsations de 36 à 40, même de 50 à 56 par minute , les accès disparurent. Le rapporteur veut reli
n peut encore s'exercer cependant, et la malade peut tenir quelques minutes son bras relevé; pendant ce temps la partie sup
gauche et tourne avec une très grande rapidité et cela parfois deux minutes en faisant environ soixante tours par minute. Les
et cela parfois deux minutes en faisant environ soixante tours par minute . Les derniers tours sont encore plus rapides, a
éracine; en outre, trois fois par semaine bains faradiques de trois minutes . Sous l'influence de ce traitement, la malade n
um des séances a été de quinze secondes; leur durée maximum de cinq minutes , mais cette durée n'a pu être supportée qu'une
s'est produite avant que la durée de la suspension ait dépassé une minute et quinze secondes; la diminution des troubles
roubles moteurs a été obtenue avec des séances n'excédant pas trois minutes . G. D. XV. Dermographie CHEZ un hystérique; par
but de l'expérience la teinte rosée devient d'un rouge foncé; Une minute et parfois deux minutes après le début, on consta
teinte rosée devient d'un rouge foncé; Une minute et parfois deux minutes après le début, on constate un bourrelet blanc
; 266 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. A la sixième ou à la septième minute , le bourrelet commence à s'atténuer ; à la ving
eptième minute, le bourrelet commence à s'atténuer ; à la vingtième minute environ, le bourrelet a complè- tement disparu.
il exagère le pouvoir excito- moteur et cela pendant vingt à trente minutes ; au bout de ce temps, cette fonction devient pl
e n'est jamais pris. La durée de l'accès est variable : de quelques minutes à une demi-heure. En dehors de l'accès, les doi
mes mouvements, les mêmes cris, les mêmes paroles : on peut prévoir minute par minute ce qui va se passer. On a beaucoup d
s, les mêmes cris, les mêmes paroles : on peut prévoir minute par minute ce qui va se passer. On a beaucoup discuté pour s
effet, se ferment à de longs in- tervalles : il s'écoule plus d'une minute entre deux occlusions con- sécutives; si on veu
95 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
était très bien décrit par lui. L'accès dura de vingt à vingt- cinq minutes , il eut des sanglots bien nets ; puis les acciden
essionnés par cette méthode. Mais il y en a qui au bout de quelques minutes ont de certains troubles de la vue (ils voient
u'on appelle la danse débute. En tous cas, un quart d'heure à vingt minutes parais- sent un minimum nécessaire. Je ferai re
i causa un échec complet aux Folies-Bergères. Au bout de quelques minutes , le public réclamait déjà les exercices. Peut-
tout le corps, en sorte que le malade ne pouvait rester quel- ques minutes seulement en repos, quelque effort qu'il fit. S
voyage et venait de quitter sa chaise de poste pour faire quelques minutes d'exer- cice à pied, quand, tout à coup, il sen
à la route, ce qu'il aurait pu faire sans danger pendant plusieurs minutes . Mais presque aussitôt, l'accès, après avoir du
Mais presque aussitôt, l'accès, après avoir duré à peu près deux minutes en tout, se termina sans autre circonstance notab
e PROCURSIVE. 73 blement l'un à côté de l'autre pendant cinq ou dix minutes , puis le malade hâtait tout à coup le pas, et i
ant ou plutôt criant son nom d'une voix haute et brève. Un quart de minute après, il reprend son travail, se remet à parle
mpagnée de vertige. La durée de cet accès n'avait pas dépassé trois minutes . ' Dans une autre circonstance, il avait été pr
e qu'il reprit sa connaissance. Cette attaque dura en- viron quatre minutes . . Outre cet accès, il en eut un autre semblabl
bien de l'arrêter dans sa course précipitée, et en moins de deux minutes il se calma. Pendant toute la durée de cet accès,
lle retournait à sa place. La durée de l'attaque n'excédait pas une minute et il n'y avait ni excitation ni délire. Cett
assez intenses pour que le malade perdit connaissance pendant vingt minutes . Les jours suivants, il y eut de l'affaiblissem
du piano, sans éprouver des malaises notables. Au bout de quelques minutes , elle coin- DES MONOPLEGIES PARTIELLES DU MEMBR
ette différence que la fatigue arrive de suite au bout de quelques, minutes d'exercice. Les symptômes les plus saillants so
pression sur un dynamomètre quatre fois par jour, pendant quelques minutes ; et fit appli- quer un aimant la nuit, perpendi
as d'écume; la main gauche reste contracturée pendant environ vingt minutes après l'accès. La durée de l'accès est d'enviro
ingt minutes après l'accès. La durée de l'accès est d'environ trois minutes ; le malade se lève et continue sa promenade int
es avec battements de coeur, et flammes devant les yeux pendant une minute , rem- plaçant les céphalalgies. Garde-robes par
pâleur, ronflement, affaissement, sans convulsions; durée quelques minutes ; puis, plus rien, sicen'estpendant quelque temps,
itale. Assez souvenldouleurs dans la jambe droite, pendant quelques minutes , depuis les orteils jusqu'àla hanche; augmentat
ambe droite, accompagnés d'accé- lération du pouls pendant quelques minutes (90 à 100). Le 8 février, la malade s'habille p
bles ; pas de convulsions; ronflement; P., 80 ; rien à la face; dix minutes après, raideur persistante, fortes convulsions du
accidents. Les 27 et 28, six accès de perte de connaissance de dix minutes avec ronflement et légères plaintes. Ces accès
ant, les yeux largement ouverts et tournés à gauche ; P., 50 ; sept minutes de gémissements, puis retour de la connaissance
nous le maintenons énergiquement. Le 30, nous nous rendons quelques minutes avant l'heure fixée chez M. Grasset, où se trou
it en courant (vertige procursif ? ). Puis, au bout de dix à quinze minutes , il revenait se recoucher sans rien dire. Le le
96 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
t88'), 2G octobre 1885, lesquels actes ont été déposés au rang des minutes de 1\t. Renard, notaire à Paris ; vu la lettre de
ns toutes les 6 semaines environ. Ces convulsions duraient de 1 à 5 minutes . Lorsque les molaires ont percé, il a eu des co
répond aux questions. Ces symptômes, dont la durée ne dépasse pas 5 minutes , se sont reproduits à différentes repri- ses ;
été soumis àdes inhala- tions d'Iodure d'étyle pendant une à trois minutes . Sommeil et congestion de la face au bout d'une
une à trois minutes. Sommeil et congestion de la face au bout d'une minute . 18tH, 20,/aHi>ier. Rougeole (V. dans le Com
n'est jamais bien long et quelquefois ne dépasse pas deux ou trois minutes . Dans cet intervalle, la face est plus pâle, les
, un changement dans son caractère D'autres fois, il dit que 7 ou 8 minutes avant le début de l'at- taque, il ressent une v
région précordiale : rien à la gorge. Cette aura commencerait 40 minutes au moins avant l'attaque et permettrait au malade
s'agi- tait d'une façon automatique, il divaguait pendant 15 à 20 minutes . Il fallait souvent plusieurs personnes pour le m
abord blanche, puis rouge (morsure de la langue). Cela dure . 5 à 6 minutes ; il reste tranquille 1 ou 2 minutes, puis arrive
la langue). Cela dure . 5 à 6 minutes ; il reste tranquille 1 ou 2 minutes , puis arrivent des secousses, les yeux tournent
r brusquement en disant oh ! à chaque essai, cela dure à peu près 5 minutes : une fois debout tant bien que mal, il se met
sure de la langue, déviation des yeux du haut. Au bout de 2 ou 3 minutes , il s'est débattu (convulsions cloniques) et se
rts et le regard fixe tourné en haut ; le visage grimace, durée 1/2 minute . Ronflement très fort, écume blanche abondante
le corps est encore secoué par des mouvements convulsifs, pendant 1 minute : puis le malade se met debout sur son lit ; le
ons ni de selles involontaires. Cette attaque dure à peine quelques minutes , il reprend très vite connaissance; mais après
contractures ne persistent pas longtemps et ne durent que quelques minutes . On a assayé à différentes reprises d'hypnotise
ements. Les convulsions, égales dcsdcux côtés, ontdurô dix à quinze minutes , puis ont cessé pour reprendre une heure ou une
core. Secondes convulsions un mois après qui durèrent deux ou trois minutes . Quatre mois après, troisièmes convulsions, de
97 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ins d'Eusapia reposent sur la table, près des bords. On attend 15, 30 minutes , parfois plus longtemps, sur la demande du médium
ce des fils de l'archet à la sonnette), les tint ainsi immobiles, une minute à peu près, appuya les coudes sur la table et pro
e mouvait. En 5 moments pareils, qui duraient avec les pauses 15 à 20 minutes , la table s'approcha tellement de moi, que je pus
nt; quand on levait son bras, il retombait inertement. Après quelques minutes de repos, nouveau paroxysme de de rire spasmodiqu
de bas foncés, reposaient sur les genoux d'Ochorowicz. Après quelques minutes , à droite d'Eusapia, une demi-aune au-dessus de s
r des vomissements il suffirait à la malade de s'endormir une ou deux minutes après chaque repas pour faire cesser toute menace
ttaques de nerfs, ni éblouis-sements. Je ne la laisse dormir que cinq minutes et je la réveille comme je lui ai dit. Après son
que sa main tremblait. Pris de peur, il demanda à s'absenter quelques minutes , mais ne revint pas, et ce fut un de ses collègue
ne heurta personne. Ses jambes étaient alors raides ; après quelques minutes les genoux se plièrent et le médium glissa de la
ment la lumière des lampes, que je ne voyais plus rien. Dans quelques minutes la terrine et la sonnette de l'autre table se tro
, pour mieux dire, sur la sonnette et la terrine. Elle resta quelques minutes dans cette position, se leva lentement et passa d
ières dans un espace de temps variant de quelques secondes à quelques minutes . Si le sommeil n'est pas vite obtenu de cette man
e cette façon. J'eus alors l'idée de l'hypnotiser. Une séance de 10 minutes suffit pour me convaincre que l'opération pourrai
e sont préoccupées de la façon d'endormir, seulement au bout de vingt minutes , chez d'autres seulement à la troisième ou à la q
tension s'abaisse. En même temps la respiration monte de 18 à 30 par minute . La figure exprime une grande agitation ; tout le
es deux mains d'Eusapia dans ses mains, sur la planche, et après 8-10 minutes , Eusapia déclara sentir un vent froid dans les ma
nent des convulsions épileptoïdes très courtes, suivies, pendant cinq minutes environ, de grandes convulsions classiques. Enfin
ieu d'un profond silence, un ornement en baleine. Au bout de quelques minutes arrive l'accès convulsif ; le dieu s'est empare d
; en même temps le pouls s'élève graduellement de 88 à 120 coups par minute et devient extraordinairement vigoureux ; je ne s
mènes), qui apparaissent dans de courts intervalles de temps (de 3-10 minutes et plus), et tantôt laissent la conscience intact
atzki. La conscience n'est pascom-plète. Tout cela dure de cinq à dix minutes et passe peu à peu. Eusapia ne se souvient pas la
d, Metchnikoff, Yer-sin, Calmettes, ne se sont pas attardés une seule minute dans la préparation stérile des concours. On pe
ccès de notre intervention. L'hypnose fut obtenue en moins de trois minutes en priant le sujet de fixer notre index gauche. L
à un de ses côtés et se renvoient régulièrement, pendant dix à quinze minutes , son corps qui oscille comme le balancier d'une p
la somnolence (classification de Bernheim). Je ne le retins que cinq minutes dans cet état, et aux séances suivantes, je ne pr
angue. Laideur de la face. Durée ordinaire de l'attaque : dix à vingt minutes . Au sortir de l'attaque, elle ne reconnaît pas
out son développement. Les frissons précurseurs durèrent environ cinq minutes ; leur violence alla toujours croissante, jusqu'à
98 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
incre, et qui, abandonnée a elle-même disparaît au bout de quelques minutes . Il existe des mouvements athétosiques des deux
técédents héréditaires ET personnels. pas retenu. Durée moins d'une minute . La même crise s'est reproduite cinq fois, de j
une heure et demie, Reconduit chez sa soeur, il s'est évanoui cinq minutes . En revenant à lui, il est tout étonné et deman
state pas d'onanisme. Devient plus instable que jamais, après vingt minutes de travail, ça ne va plus. On ne sait à quoi at
les lèvres entr'ouvertes, la salivation abondante. Au bout de deux minutes René se débat (on le maintient toujours), il pl
les bras en croix, les yeux grands ouverts, fixes; au bout de cinq minutes , il pleure en croisant les bras sur la Descript
l ; il parait avoir des difficultés pour respirer, cela a duré deux minutes et s'est produit à deux reprises. 18. - La nu
e couche par terre, fait semblant de dor- mir ; au bout de quelques minutes , quelques contorsions, puis raideur des membres
, les lèvres écartées, les yeux fixes et grands ouverts. Durée deux minutes . Rémission de trois minutes, puis nou- velles c
eux fixes et grands ouverts. Durée deux minutes. Rémission de trois minutes , puis nou- velles contorsions pendant une minut
émission de trois minutes, puis nou- velles contorsions pendant une minute , sans raideur consé- cutive. L'enfant reste cou
le. Le 25, à table, petit accès de mélancolie d'une durée de cinq minutes environ. A partir du 26, l'enfant ne présente a
vaux). René en a été si impressionné qu'il a tremblé durant vingt minutes . Il n'y a pas eu d'attiré suite. - Le 20, on cons
s membres ni émission d'urines. - (lette première crise a duré cinq minutes au plus et, à la 140 État de mal convulsif ; ÉP
ume, miction involontaire. Ces accès durent un quart d'heure, vingt minutes ; après la crise le malade est plongé dans la s
e différence entre les deux côtés du corps. Cette crise a duré deux minutes . Le même jour elle en aurait eu deux -autres.
a noté deux ou trois crises par jour, durant chacune moins de deux minutes . Au bout d'un mois, elles sont survenues plusie
99 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
charbonneuses, finit toujours par les dis-soudre, au bout de quelques minutes , après avoir modifié leur couleur, qui devient ro
x. La face est paie, terreuse, le pouls fréquent (114 pulsations à la minute ), faible. La tempéra-ture cependant est peu élevé
que, avec douleur épigastrique ; la mort survient au bout de quelques minutes . Autopsie. Poumons sains. L'artère pulmonaire d
ues inspirations bruyantes et profondes, et meurt au bout de quelques minutes . Autopsie. Ulcérations des plaques de Peyer et
rs! » Un médecin du voisinage fut immédiatement appelé, et arriva dix minutes après l'accident: il nota les phénomènes suivants
e: pâleur extrême, respiration difficile: la mort eu lieu trente cinq minutes après le début de l'attaque. Autopsie vingt-qua
mot, et tout à fait imprévue (obs. VIII, X). Elle a eu lieu quelques minutes seulement après le début des accidents dyspnéique
on peut compter jusqu'à qua-rante-cinq ou cinquante inspirations à la minute , et tous les muscles qui servent directement ou i
our d'elle sans qu'elle donne le moindre signe de vie. Après quelques minutes de confu-sion, on se hâte de courir chez les méde
nnaissance s'est reproduite, mais n'a duré que quelques instants, une minute environ. Dans ce moment, la figure, loin de pâlir
lequel elle a été sans connaissance n'a guère dépassé douze à quinze minutes , bien que ce temps ait paru beaucoup plus long au
embres sont roides, contractés, refroidis. Au bout de vingt ou trente minutes , les symptômes s'amendent ; l'animal se relève, e
a progression ; mais au bout d'un temps variable, parfois de quelques minutes seule-ment, la boiterie se reproduit. Qu'on frapp
e le reste du corps était baigné de sueur. Au bout de vingt ou trente minutes , quelquefois plus, quelque-fois moins, tous les s
aractères de l'état normal ; mais àpeinea-t-i trotté pendant quelques minutes que la claudication réparai! tout-à-coup. Ce reto
ce. Le malade se voit alors obligé de s'asseoir pour prendre quelques minutes de repos; pen-dant ce temps, les symptômes se son
t la marche est redevenue possible ; mais au bout d'une ving-taine de minutes , ils se reproduisent derechef, et un nouveau temp
douloureuse, produits parla marche, mais disparaissant après quelques minutes de repos, sans laisser de tra-Ciiarcot. Œuvres co
nt la marche, alors que celle-ci avait duré un quart d'heure ou vingt minutes environ. Jamais ils ne se manifestaient lorsque l
ré à la marche pendant moins d'un quart d'heure. Un repos de quelques minutes suffisait toujours pour faire disparaître tous le
isent pour que les tissus puissent récupé- rer, au bout de quelques minutes , leurs propriétés physiologi-ques. Mais les muscl
enlre dans l'ordre ; le voilà de nouveau au trot, et après quelques minutes , 1/4 d'heure peut-être, la boiterie recommence.
u normal. Mais bientôt vous seriez détrompés, car au bout de quelques minutes , d'un quart d'heure de marche, tout recommence, l
é ayant commencé, on enlève la ligature, on voit, au bout de quelques minutes , l'état normal reparaître et la rigidité cesser.
nérale du membre; cessation des troubles après un repos de cinq à dix minutes . Avec la reprise de la marche, retour des acciden
— Le malade, un jour, remarqua qu'il ne pouvait marcher plus de cinq minutes sans éprouver une douleur dans le pied et dans le
le mollet droit, suivie d'engourdissement, de crampe. Après quelques minutes de repos, la douleur cessait et la marche re-deve
s, la douleur cessait et la marche re-devenait possible, pendant cinq minutes , et ainsi de suite. Une jarretière placée sous le
gauche. Je fais marcher le ma-lade devant moi, pendant quatre ou cinq minutes . Au bout de ce temps il éprouve les sensations ha
us de quatre mois. Il peut maintenant marcher un quart d'heure, vingt minutes et plus, même, sans souffrir. Récemment il a été
100 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
oeur sont bien rythmés et réguliers. Le pouls bat 9 pulsations à la minute . La température axillaire est de 33°,5. Mais le
ine au lit. Le pouls est petit, bat environ quatre-vingts fois à la minute . A l'auscultation du coeur, il n'y a pas de dif
ains et les pieds, » sans se débattre. L'accès a duré peut-être dix minutes . L'enfant est retombé dans le sommeil sans se r
ire pour le second, qu'on se borne à drainer. Au bout de vingt-cinq minutes , le malade se réveille. Il est loquace, parle a
ne et la chirurgie ordi- naires, pour laquelle il sua accordé vingt minutes de l'éflexion et quinze minutes pour la dissert
pour laquelle il sua accordé vingt minutes de l'éflexion et quinze minutes pour la dissertation. Le maximum des points sera
e épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes de
sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes de ré- flexion et tl'enteminutes d'exposition.
ine et la chirurgie ordinaires, pour laquelle il sera accordé vingt minutes de ré- flexion et quinze minutes pour la disser
our laquelle il sera accordé vingt minutes de ré- flexion et quinze minutes pour la dissertation. Le maximum des points ser
e épreuve clinique sur deux malades aliénés. Il sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes
sera accordé trente minutes pour l'examen des deux malades, quinze minutes d'exposition. L'un des deux malades devra être
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