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1 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lité avec . stupidité. Ces démences s'accompagnent de rétrécisse- ment du champ visuel, constant en haut, quelquefois
au- dessus de la normale. 18 octobre. Pleure et se lamente au mo- ment de l'examen, le champ reste cependant sensiblemen
rifiantes de la vue, s'accompagnant de réactions violentes. 60 exa- mens périmétriques complets. Ci-dessous le schéma des
nd nombre de fonds absolument normaux ; nous étions particulière- ment bien placés pour le faire. 11 ne sera peut-être p
uelque- lois la pupille réagissait à l'accommodation; mais lente- ment et incomplètement. Il nous a paru que le signe
, 1904). Cet aspect particulier de la rétine ne s'est générale- ment présenté que d'un seul côté à la fois. Dans presq
ensemble était normale dans la moitié des cas ; dans 10 % seule- ment des cas, nous l'avons trouvée inférieure à 1/2.
ale dans 66 % des cas examinés. La dyschromatopsie s'est fréquem- ment rencontrée (29 °%) ; il semble qu'il no s'agisse
dédai- gner jusqu'ici l'étude est que les maîtres de l'enseigne- ment neurologique (qui ont tous abondamment parlé des
s malades qui ont fait des fugues plus ou moins longues ; assuré- ment la fugue est parfois l'apprentissage du vagabon-
cooliques sont plutôt fonction de ce besoin d'activité, de mouve- ment , indépendant de tout processus hallucinatoire que
6 (1) S. Dobiiotwoiisky. Cas d'automatisme ambulatoire e extrême- ment prolongé. (06ro;rémé psicltiatrü IV. 1899). Analy
opos des fu- gues alcooliques se rapporte à ces besoins de mouve- ment périodiques, sans raison plausible, tout à fait
im- portant pour la pathologie humaine qu'un saprophyte complète- ment anaérobie mais fortement toxi-ène continue à vivr
meur du lobe temporal; par le Dr Déroute. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1906, n° 125.) L'observation qui
e bien qu'il fût droitier, le malade n'avait présenté à aucun mo- ment de surdité verbale : il comprenait le langage ora
ne puissent pas y connaître plus complètement, plus personnelle- ment leurs malades,leurs caractères et le tempérament
LAY. XII Sur l'emploi des médicaments hypnotiques dans le traite- ment de l'insomnie; par M. Maule SMlTII.(The Journal o
o-légale; par les D5 de BoECK et de Rode. (Bull. de la Soc. de med. ment , de Belgique, 1906,' n" 126.) 11 s'agit d'une f
les classes : (soldats, marins, voyageurs, etc.) qui plus fréquem- ment contractent la syphilis. Krafft-Ebbing, sur près
. 4° Dès que l'on est débarrassé de l'idée dé désordre primitive- ment intellectuel, il n'y a aucune difficulté à reconn
nt d'office opéré exclusivement par l'autorité judiciaire, notam- ment par le Président du tribunal où est situé l'asile
l a d'ailleurs été frappé du grand nombre de cas qui ne sont nulle- ment conformes aux définitions de Kraepelin. Il propos
l'écorce qu'à l'état normal, mais les érosions lors de leur enlève- ment , manquent dans 40 b des cas ; 3° les granulations
veufs ; 4° chez les hommes la profession est d'ordmaire, relative- ment supérieure ; 5° une sensation illégitime de bien
tuant une grosse différence dans les dimensions ou dans l'arrange, ment des cellules cérébrales, ou dans ces deux choses
dules isolés dans la moelle, donnant lieu à des symptômes exacte- ment semblables aux symptômes de débutde la sclérose d
- ses, et aussi au sommeil qui est nécessaire. Mais le développe- ment doit être assuré aussi avec harmonie et choix, et
paresseux. Le préfet, à l'annonce de cette grève, releva spontané- ment de 2000 fr. au mois d'août 1906 l'ensemble du cré
89 aussi tout fait inconnue, la méthode de : olgi étant complète- ment inefficace à faire la lumière sur ce sujet. La
istance et de l'hygiène publiques, était Commissaire du gouverne- ment . L'urgence a été déclarée, et la discussion a imm
mot fou, qui ne s'applique qu'aux psychoses, aux délires propre- ment dits. Le débile, l'arriéré, l'idiot, le dément sé
les familles sauront que dans la quinzaine, interviendra un juge- ment du tribunal, et elles reculeront trop souvent d
ses, 18 sont franchement hostiles à la réforme ; 13 sont entière- ment favorables, et 5 font des réserves. (Revue de psy
et - les chefs de maisons de santé sérieuses, où l'on fait vrai- ment du traitement, seront les premiers, je n'en doute
remplace par des médecins traitants. S'il n'y avait que change- . ment de qualificatif, le mal ne serait pas grand ; nos
Congrès, une réduction du stage des médecins-adjoints, véritable- ment en effet trop prolongé, l'Inspecteur général, rep
llègue ? Ou ils seront en désaccord d'opinions sur ce point pure- ment technique, et le confrère devra-t-il renoncer à s
ut-être même dans tous les cas, parce qu'ils seraient nécessaire- ment précédés d'une- enquête qui pourrait fort bien êt
cin de l'asile ou de la maison de santé, transformer, par un uge- ment rendu en chambre du conseil, le placement provi-
malades de cette catégorie devront être en état de payer directe- ment leur pension. L'art. 17 parle des placements à
devenir dangereux ; c'est pour cela que nous désirons l'interne- ment de tout aliéné, quel qu'il soit ; mais jusqu'ici
six fois, des vertiges de quelques secondes, de 18 à 20 ans notam- ment . 11 se som iei1l qu'étant à Lourdes, ilaeu pendan
. » 4° Au mois de janvier 1005, quelques jours avant son interne- ment , il se dispute avec un passant, luicrache au visa
l'a- sile avec des excoriations de la plante des pieds suffisam- ment profondes pour qu'on pensât les premiers jours à
sont rattachés par l'auteur aune lésion sous-corticale, probable- ment une embolie du lobe occipital droit, lésion qui a
est relatif à une femme qui présenta tout d'abord un engourdisse- ment qui débuta brusquement en envahissant la jambe ga
stéréotypie des écrits est « un indice de chronicité mais nulle- ment la mu'que d'une démence commençante ou non. » X
nérale chez les jeunes sujets et chez les adultes étant respective- ment six ans et vingt-cinq ans, et le premier groupe a
lisée comme elle l'est actuellement pour la direction du traite- ment , mais encore pour arriver à une meilleure classif
An- gleterre) rendra à cet égard de signalés services. Non seule- ment il découvrirait les malades mais il renseignerait
ue beau- coup de ces malades peu veut arriver à un état suffisam- ment normal pour subvenir à leurs propres besoins. Ces
er. M. ARNAUD fait observer que, dans le délire de négation pure- ment intellectuel, la lésion des centres corticaux ne
- sister sur le développement, mais nous n'avons pas compris com- ment , la personne humaine étant une et indivisible, le
ire tous les délirants partiels « avec qui l'on peut causer longue- ment sans rien observer que de la bizarrerie, jusqu'à
ments, ce chiffre serait inférieur à ceux qu'on obtient actuelle- ment . Il y a donc en Allemagne un enseignement des arr
une haute gravité qui nous ont été confiés, nous semblent évidem- ment prouver celte insuffisance. Sans doute il est acc
mmission de surveillance des asiles publics d'aliénés du départe- ment de la Seine. (Année 1J04). Brochure grand in-8° d
le bandeau restant en place, « l'expérimentateur fixe simultané- ment les deux yeux du sujet... l'action du regard est
co-êtres, se substitue à eux, superpose entièrement ou partielle- ment sa conscience aux leurs, ou enfin s'ajoute simple
artielle- ment sa conscience aux leurs, ou enfin s'ajoute simple- ment ,avec ou sans soudure des états de conscience : le
s, ou devenues ultérieurement capables de se déplacer indifférem- ment dans tous les sens (Spongiaires, Coelentérés, Éch
téries) dont la locomotion est lente et peut se faire indifférem- ment dans la direction de l'un quelconque des rayons,
, d'ail- leurs toujours fondus l'un dans l'autre à un certain mo- ment de leur existence, a gouverné exclusivement l'évo
° 11 est difficile d'admettre que « la conscience réside immédiate- ment dans l'écorce» et y perçoive l'image du monde ext
de New- York eu l'autre [la femmej de Paiis » (p. 12). Cet argu- ment ne mélite pas d'être discuté, mais il met bien en
certain temps l'oeuf encore insegmenté dans de l'eau insuffisam- ment pure, ou en le soumettant à un éclairage intense.
pluri- cellulaire, et peut se voir appliquer le sublime raisonne- ment que nous rencontrerons tout à l'heure à propos du
ns soient destinés à un fonctionnement constamment et rigoureuse- ment synergique, -quoique l'unité de chacun des deux c
- mons leur impose des rapports directs avec les agents de mouve- ment des parois du tronc : c'est pour cela qu'ils sont
t formé sur la ligne médiane. Les deux co-êtres y ont donc égale- ment participé. » (p. 18 et 19). N'est-ce pas mieux tr
s diffus. 1 Asymétrie du névraxe. « Les deux individus qui for- ment l'homme ne sont égaux et semblables en rien. Les
la vie psychique attribuée par l'Auteur aux co-êtres est infini- ment plus étendue et plus complexe que la simple logiq
me temps dans la conscience les termes qui les expriment directe- ment ou par métaphore. Le raisonnement proprement di
t soit moins intellectuel,car je laisse à l'Auteur l'éclaircisse- ment de cette épithète irréfléchie. D'autre part, si,d
erception des rapports indirects, objet d'un raisonnement propre- ment dit. - Suivons maintenant les sensations, les s
d'un seul côté du cerveau ? les fibres [continuant physiologique- ment les fibres] nées en des points identiques des deu
10.' coor- dination de deux individus et de deux individus seule- ment ; il n'explique pas l'a facilité des suppléances
réduction de peine dans tous les cas, et même souvent l'acquitte- ment , elle constitue un non-sens, et, comme on l'a dit
n même, il n'est pas un pur impulsif et est susceptible d'amende- ment moral, il sera remis en liberté,. Dans la discu
exact de prédisposition, de réceptivité morbide, échappent autre- ment que les symptômes d'intoxication alcoolique ? Et
n des biens. L'administration des biens des aliénés a été longue- ment étudiée 'dans le nouveau projet de loi ; il y ava
avait beaucoup à faire de ce côté, la loi de 1838 était certaine- ment insuffisante et^ses dispositions sur la gestion d
mplis- sent cette lourde tâche avec le plus de zèle et de dévoue- ment et gratuitement, que l'idée d'un salaire quelconq
e sa famille. Il existe des cas où tel aliéné riche paye inutile- ment une pension supérieure : il n'aura pas de chambre
obliga- toires pour les départements, les traitements non seule- ment des médecins en chef des asiles publics, mais des
velle loi sur le régime des aliénés, que l'on désigne fort juste- ment déjà sous le nom de loi Dubief. S'il s'était agi
' est située dans la partie méridionale du canton presque totale- ment SUI' le telTitoÍI'c des co " : 1 III 'JO cs de Jl
el- ques années et en achèvement au serv ice des hommes en ce mo- ment . Une longue galerie de surveillance sur laquelle
uve, à une température qui correspond à son optimum de développe- ment . 11 se développe bien et rapidement à la températ
de traiter à cet effet avec un établissement d'un autre départe- ment . Jusqu'à l'expiration du délai prévu au paragraph
p- pliquent au cas où un département aura traité avec un départe- ment voisin pour la garde et le soin de ses aliénés.
lit de telles recherches sur les individus sains et particulière- ment sur les soldats. -Cet auteur a pu, grâce à ces pr
d'une sorte d'hébétude qui fait que le malade réagit automatique- ment et violemment à la douleur morale qui l'oppresse.
importante. M. Dumas a cité des mélancoliques devenues complète- ment indifférentes a l'égard de leurs parents. Les sen
plus riche. Les idées de transformation corporelle sont extrême- ment fréquentes. Les idées de possession corporelle (d
de Psychiatrie. FORCES MÉLANCOLIQUES DE LA DÉMbNCtS PRÉCOCE. 283 ment à la douleur morale comme dans la mélancolie. D
remplissant certaines conditions ayant produit le retour apparem- ment spontané de la personnalité, les troubles organiq
niques peutêtre modifiée par des causes internes, que le change- ment s'accompagne ou non de modifications de l'état me
de définir auparavant les attributs des co-êtres, de montrer com- ment la physiologie et la systématique qui s'adaptaien
sens con- traire par un psychologue qu'il cite pourtant fréquem- ment dans ce chapitre, M. Pierre Janet. Celui-ci avait
t produit. - L'impulsion du dipsomane peut elle, psychologique- ment , être aussi limitée ? Sans aucun doute, lors même
u névraxe ? Dans ce cas donc il n'y aurait pas simple « gouverne- ment » de l'être entier par un co-être et on ne peut p
on sans interrompre l'acte d'écrire, de même que, mais plus rare- ment ,soit en parlant, soit en écoutant, on peut noter
sation. Dans l'un et l'autre cas, l'hémisphère gauche, non seule- ment « gouverne »,mais accomplit à lui seul les actes
ait présenté une période de réveil des sentiments moraux, absolu- ment semblable, moins les troubles de la parole à cert
ca- talepsie est invitée à se laver les mains et les frotte vive- ment l'une contre l'autre. « Ferme-t-on un oeil du suj
uivi le malade pour dépister la cause de l'association, probable- ment fortuite et due peut être à une circonstance tout
, associé soit spontané- SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 311 ment , soit grâce à la longue et puissante éducation do
es de la psychologie : la mémoire qui joue un rôle dans le senti- ment de l'identité ne comprend pas seulement « la suc-
mais tous les processus psychiques qui entretiennent et qui for- ment l'idée du moi : Sentiment d'effort, apports coene
ez l'a- dulte. Enfin, le duplicisme, qui n'explique pas le senti- ment de l'identité ou le sentiment équivalent chez l'e
raît véri- tablement oublier son sujet, la démonstration, évidem- ment ardue, de l'indépendance des coêtres, il se rejet
x cosses sentants... » (p. 79). « ... Les deux coêtres organique- ment distincts quoique en relations régulières ... (p.
actes des animaux qui dépassent la vie purement instinctive et d'y menti er la manifestation de deux consciences distinc
ue. Lors même que l'expérience de Chabry n'aurait pas été fausse- ment interprétée,l'Auteur n'avait pas le droit d'en tr
celle du co-être,la seconde « celle que l'Etre complet a directe- ment exercée » (p. 70). Suivent de longues citations,
se voit en rêve réellement dédoublé, il a conscience du dédouble- ment , et, par cela même, de son unité. L'Auteur refu
'entrée, ce dernier est tenu de transmettre au Préfet du Départe- ment la copie de la demande d'admission, du certificat
s laissons de côté l'intérêt supérieur du médecin de l'établisse- ment ;de ne pas discréditer sa maison par des discus-
s. Mais les garanties du malade ne se bornent pas là, ultérieure- ment son internement sera soumis au contrôle du Préfet
TION. peut être rédigé par un parent du directeur de l'établisse- ment ou de la personne qui a signé la demande d'admis-
ative ou de l'autorité judiciaire ne devrait être que l'entérine- ment des conclusions médicales.C'est donc sur l'intern
ntérine- ment des conclusions médicales.C'est donc sur l'interne- ment définitif prononcé par le Tribunal que porte le p
mulgation de la présente loi, règlera l'organisme et le fonctionne- ment ,ainsi que le cadre du personnel et les conditions
ment,ainsi que le cadre du personnel et les conditions du recrute- ment de l'inspection générale du service des aliénés.
qui y sont attachés, ou de la personne qui fait effectuer le place- ment , ou de la personne à placer. En cas d'urgence, l'
ux dispositions précédentes, ainsi que les personnes dont le place- ment aura été ordonné d'office, ne sont internées qu'à
passage en France, dont l'état d'aliénation aurait exigé le place- ment , conformément aux termes soit de l'article 13, so
lieu, au président du tribunal de l'arrondissement où l'établisse- ment est situé. Le président statue sur la maintenue
chaque mois pendant le reste de la première année, et ultérieure- ment au moins chaque trimestre. Le médecin constate ég
a lieu, la date et les causes du décès. Ce registre est exclusive- ment communiqué aux personnes qui, d'après l'article 1
res auxquels la notification du placement a été faite, conformé- ment à l'article 17, et leur font connaître le nom, la
s. Avec le chloral, la marche des phénomènes est la même ; seule- ment ils sont plus accusés. La caféine,elle aussi,stim
ent ils sont plus accusés. La caféine,elle aussi,stimule énergique- ment la formation de la chaleur,mais elle diffère des
précoce. Dans ces trois maladies, le sens musculaire est notable- ment compromis ; mais un point sur lequel il faut insi
registreurs de la différenciation du sens musculaire sont entière- ment distincts de ceux qui enregistrent les sensations
agent toxique, l'auteur insiste sur le mot directe parce que récem- ment un patholugiste distingué a soutenu que l'hérédit
e était due à une toxémie bactérienne secondaire due à l'écroule- ment , sous la poussée de l'alcool, de la première lign
et sa nature paroxystique. Ces derniers points sont particulière- ment dignes d'attention. L'épilepsie, la chorée, l'hys
. M. le D1' Piaule rappelle d'abord que les travaux d'agrandisse- ment ont été autorisés par l'Administration supérieure
tude de ses facultés mentales. Cette jeune fille était naturelle- ment soumise à une surveillance spéciale, mais elle n'
- tion technique longue et difficile, El je ne comprends pas com- ment des philanthropes, d'ordinaire miew informés, veu
présen- tation est une formule insuffisante, et, d'ailleurs, com- ment une représentation amène-t-elle un trouble soma-
n ne se pro- duit-elle que pour les mouvements de ce bras,et com- ment peut-on arriver à être tellement distrait qu'on
membre s'est séparé de sa synthèse personnelle, d'où le dédouble- ment du moi. Mais si, par suite de cette désagrégation
ns que ce ne soit son médecin lui-même qui le lui ait maladroite- ment suggéré en l'examinant, comme il crée chez lui
mmeil. 357 de l'expliquer psychologiquement. Peut-on raisonnable- ment considérer ces interprétations contradictoir es
eulement est atteinte, alors que les perceptions se font normale- ment . , Supposons maintenant qu'au moment même où l'
t plus qu'elles ne s'opposent. S'il s'agit d'analyser l'enchaîne- ment des phénomènes psychiques inhérents à un trouble
ait ce sujet. Il voulait montrer qu'il s'agissait là de dédouble- ment de la personnalité et que ces modifications de la
lle qu'il aurait actuellement si sa vie s'était déroulée normale- ment .La transformation progressive de l'une à l'autre,
riations parallèles des troubles hystériques et de l'engourdisse- ment cérébral. Nous avons ainsi, dans les expériences
s'en te-' nir « aux faits expérimentalement observés ou logique- ment et rigoureusement déduits»(p.91) : lemoi,expressi
s, attendant encore son substrat anatomique. Voyons ^d'abord com- ment le moi se forme. La Formation du moi est envisa
continuité : il faudra toujours que cette soudure se fasse, autre- ment le «Moi » mourrait d'inanition. Ace moment,la con
s par trois consciences ; ou bien des faits psychiques non seule- ment déterminés par action directe du milieu extérieur
par- tagée tout entière (ou à peu près : l'Auteur a heureusement ment oublié quelque chose) entre les deux coêtres, pui
relations analogues avec des domaines périphériques essentielle- ment distincts. On sait comment, grâce aux successives
, chose curieuse, l'Auteur a la prétention de connaître « l'argu- ment déterministe » (p. 85 à 88) : il l'expose tant bi
age d'un des mots de la phrase qui exprime, mentalement ou orale- ment , l'alternative. Il est enfin à remarquer que, d
els le méca- nisme exposé plus haut donnera plus ou moins rapide- ment la prépondérance effective. D'un autre côté, po
la conscience propre- i SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 387 ment dite et la conscience morale. « La conscience ain
e : « Du dix-huitième mois à trois ans, l'enfant demandait : com- ment se nomment les choses ; de tiois à six, comment
t de six à neuf ans : «Nous n'avons à constater que le développe- ment graduel et simultané de l'un et l'autre coêtres »
- " 3S9 La « personne complète » n'est plus cet être fait unique- ment de raison et de volonté, qui n'a qu'à choisir par
soire. Le règlement le plus minutieux pourrait-il limiter exacte- ment les responsabilités de la Direction et du service
cin ne peut pas être un administrateur, un directeur d'établisse- ment ; les loisirs que lui laissent le service cliniqu
bonne Direction dans l'hôpital. C'est ce «qu'apprécient actuelle- ment tous les médecins militaires qui sont à même de
n liberté compromettrait, en raison de son état d'aliénation, dû- ment constaté par un certificat médical dressé conform
s ce délai, ordonné la sortie, le chef responsable ,de l'établisse- ment est tenu, sous les mêmes peines, d'envoyer copie
ou d'un arrêt de non-lieu, soit d'un jugement ou arrêt d'acquitte- ment rendu par la juridiction correctionnelle, soit d'
ment rendu par la juridiction correctionnelle, soit d'un acquitte- ment en Conseil de guerre ou en Cour d'assises, est re
trateur provisoire des biens de sa femme placée dans un établisse- ment d'aliénés ou dans une colonie familiale. La femme
que la famille ne demande leur admission dans un autre établisse- ment spécial et ne subvienne aux frais de leur entreti
retraites du département où est situé l'asile. En cas de change- ment d'un de ces fonctionnaires d'un département dans
s retenues versées par lui dans la caisse des retraites du départe- ment qu'il quitte, sont reversées dans la caisse du dé
120 du Code pénal, relenir une personne placée dans un établisse- ment , dès que sa sortie a été ordonnée par le préfet o
que sont de deux ordres : 1° une sclérose diffuse ou un développe- ment exagéré des fibres nerveuses de la névroglie dans
tive par une augmentation du pig 420 revue DE pathologie mentale. ment et un déplacement du noyau,c'est-à-dire une dégén
s, tandis que celui des cellules pyramidales demeure sans change- ment . 5° Enfin un autre fait résulte de ces observat
s il est nécessaire,dans l'étude de la folie, de considérer séparé- ment la série des phénomènes psychiques et la série de
mme un véritable stimulant psycho-moteur augmentant considérable- ment le développementdu travail musculaire ; mais cett
rébelleux, épilepsie ; par le Dr Déroute. (Bull, de la Soc. de méd. ment , de Belgique, juin 1906.) Il s'agit d'un mala
autres grands établissements (prisons, workhouses.) L'accroisse- ment des précautions prises durant les dernières année
nerveux trophique. La dysenterie trouve un terrain particulière- ment favorable chez les aliénés par suite de la détéri
Little, très améliorés par l'opothérapie hypophysaire ; ce traite- ment n'est pas toxique. L'opothérapie hypophysaire et
e pédagogique, de-ce traitement thyroïdien dans le cas de bégaie- ment . Epuisement rapide de la sensibilité au contact
orales : 1° Pneumothorax (étiologie, signes, diagnostic et traite- ment ) : 2°anurie (causes, signes, diagnostic) ; 3° acc
l'hys- térie est plus généralisée, ces procédés seront ordinaire- ment insuffisants,il faudra recourir à des méthodes gê
première, ou qui ne lui sert que de complément, de perfectionne- ment . , Et maintenant, j'en reviens à ma théorie du
rticulièrement combattu sur ce point - et même avec un « acharne- ment » qu'il me reprochait à tort à l'égard de M. Pier
de som- meil. Cela ne l'empêche pas' cependant de critiquer vive- ment ma théorie. D'ailleurs, celle de M. P. Janet ne
surde. Je me suis donné plus d'une fois la peine d'expliquer com- ment agit l'émotion sur le cerveau, comment elle l'en-
eau recouvre son fonctionnement normal, la sensibilité, le mouve- ment , l'intelligence reparaissent intégralement. Mais
l provo- quant l'hystérie est qu'il est analogue à l'engourdisse- ment provoqué dans un nerf par une cause quelconque,
es troubles hystériques sont dus à ce sommeil, à cet engourdisse- ment spécial de cerveau, et pour le prouver je les fai
fatal sur lequel le moi du sujet ne peut avoir aucune prise. Com- ment dès lors cet état d'engourdissement cérébral tout
maximum chez les grands, mais atténuées et au prorata naturelle- ment du degré de l'engourdissement. Si je n'ai publi
n en mê- me temps que sur la clinique. Elle consiste essentielle- ment en ceci : l'hystérie est constituée par un état
en tient- il aucun compte : après avoir constaté que le raisonne- ment « éclairé et guidé parles seuls instincts primord
mars (p. 1), d'avril fa. 293) et de mai (p. 371 \ 408 PSYCHOLOGIE ment inadmissibles, forment plus que toute autre un sy
a. Ce double dilemme est injustifié : à côté des sciences propre- ment dites,il y a des groupes de connaissances, tels q
'auteur élimine sans raisons, et qui, logiquement et chronologique- ment , précède l'induction et la déduction : la simple
e coup, par voie de conséquence logique, ri se soumettre au juge- ment des autres hommes » (p. 155). Nous ne cherchero
ture) est en lui même une induction pure (des caractères du juge- ment de tous d'après ceux du jugement d'un seul) et l'
néralisation et au juge- SUR LA SYMÉTRIE BILATERALE DU CORPS. 475 ment sur un principe,non pas inné,mais antérieur ou to
plus claire, ne représente jamais que la conclusion d'un raisonne- ment qui l'aura tout au plus justifiée, mais sans la p
modus vivendi : qu'une telle formule est par conséquent parfaite- ment inutile, qu'il s'agisse de juger, ou bien de diri
réflexion ou des associations fortuites ont fait prédominer l'élé- ment intellectuel. Il n'existe donc dans les science
.) Il faut entendre par atrophie numérique un arrêt de développe- ment d'un organe sans aucune autre lésion que la dimin
Les auteurs admettent comme vraisemblable un arrêt de développe- ment de ce faisceau, reconnaissant la même cause que l
ostéopathie infectieuse ou toxi-infectieuse caractérisée primitive- ment par une raréfaction osseuse et secondairement par
) L'usage d'appareils légers et bien construits augmente notable- ment la capacité de travail et d'attention ; les lunet
pour 24 heures; 2° Couleur : l'urine a paru être plus foncée au mo- ment de l'entrée, c'est-à-dire dans les états plus ou
nerf enlevé par biopsie, faits qui joints aux symptômes précédem- ment décrits font penser à une polynévrite plutôt qu'à
ques et des exercices pratiques. Enfin pour compléter l'enseigne- ment , il a été mis entre les mains des infirmiers,dive
tallent dans l'esprit par suggestion, par ouï-dire ou par senti- ment . Elles ont évolué : d'abord le fétichisme, puis l
ès que les premiers signes de l'idiotie sont constatés. Le traite-' ment doit être maintenu rigoureux, et il faut être trè
sant son arme, il fit feu à six reprises sur sa femme. Heureuse- ment , Mme Blondel ne fut blessée que légèrement à l'ép
de Jane par Robert Jones, p. 5. Caractère. Le et le tempéra- ment de nos malades et com- ment ils peuvent nous ai
. 5. Caractère. Le et le tempéra- ment de nos malades et com- ment ils peuvent nous aider TABLE DES MATIERES. 33
ble ; par Wilson, p. 61. Le re- tour de ]aaprès l'évanouis- - l' ment ; par Lionec Dauriae, ]J, 2 ! J. Constipation.
260. Médicaments hypnotiques. Sur 1'emploi des dans le traite- ment de l'insomnie,; par 1\laule Smith, p. 59. Mél
2 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: il n'y a pas de troubles de l'ouïe ; la malade entend parfaite- ment tout ce que je dis ; vous avez pu vous en apercev
le supérieure : le frontal et l'orbiculaire fonctionnent normale- ment des deux côtés. On ne trouve pas non plus chez
e de la malade, céphalée, vertiges, vomissements, ils ont totale- ment disparu. La ponction lombaire a donné issue à u
uant largement entre elles et remplies d'un liquide clair absolu- ment semblable au liquide céphalo-rachidien normal ;
ul- laires, d'après l'ensemble des cas qui ont été plus spéciale- ment observés dans le service depuis quelques années.
eulement par un affaiblisse- ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. '(5 ment et par une diminution de l'impulsion volontaire.
die, que nous venons de décrire. Il est indubitable qu'au commence- ment de l'année 1892, le malade présentait un tableau
e dans les formes précoces de la démence, ils apparaissent seule- ment de temps en temps et épisodiquement. Nous devon
ale et l'investigation de l'excitabilité, la malade suit attentive- ment la contractilité des muscles et s'y oppose un peu
n piods. Quoique les symptômes catatoniques existent indubitable- ment dans le cas donné, mais ils n'apparaissent ici qu
cas se rapporte à une catatonie lypique. Nous pouvons dire seule- ment que celte supposilion a assez de vraisemblance. E
point remarquer, que les illusions sensorielles sont comparative- ment rares dans la catatonie pure ; secondement, si mê
s degrés de développement d'un seul et même phénomène. Effective- ment , la stéréotypie d'une seule et même position du c
ation). Ainsi donc tout le syndrome catatoïde peut être parfaite- ment expliqué par des symptômes d'inhibition ou par l'
étail- lée, nous pouvons confirmer et nous rapporter plus sévère- ment à la considération fondamentale de Kahlbaum citée
Elle est de part en part en abondance coupée de fibres excessive- ment minces dans toutes les directions. 4. Strato bian
hèse stérile : c'est réellement un principe fécond. Puissent seule- ment les formules modestes quoique pleines d'espoir dé
positive. Elle devient positive quand la myéline est incomplète- ment développée ou altérée (inversion). Si l'on inte
ique. En somme les fibres nerveuses à myéline présentent normale- ment une double réfraction négative accusée. Lorsqu'el
gente de leurs manchons de myéline s'affaiblit, proportionnelle- ment au degré de la dégénérescence : celle-ci est-elle
es deux réflexes, parce que souvent le second se produit très aisé- ment , alors que le premier fait défaut, notamment dans
conservé, tandis que le réflexe abdominal est épuisé, ou inverse- ment . Il semble normalement un peu plus constant que l
jusque dans les pyramides de la protubérance, jusque dans le seg- ment moyen du pédoncule cérébral, point où se fait la
per jusqu'à la limite du cuir chevelu. Dans le cas d'affaiblisse- ment des réflexes, il faut frapper au point de sortie
Lésions syphilitiques des centres nerveux. Foyers de ramollisse- ment dans le bulbe : hémiasynergie, latéropulsion et m
atrophié primitivement et celle d'un cervelet atrophié secondaire- ment ; 2" dans ce processus d'atrophie, il s'isole con
. 61 L'examen histologique du système nerveux portant principale- ment sur les lésions des racines postérieures de la mo
le fêtard à chaque segment de membre répond au niveau du renfle- ment lombaire un groupe plus ou moins limité de cellul
groupe latéral ; elles se comportent ensuite à l'égard du groupe- ment précédent comme celui-ci se comportait à l'égard
eur, aucune conséquence. lâcheuse à redouter. Si, après l'enlève- ' ment de la dure-mère, les membranes paraissent opaques
t- teinte de manie depuis deux ans, devenue agitée : comme au mo- ment des crises précédentes d'agitation, on donne du s
Ce liquide ne s'est jamais montré toxique; il contient générale- ment de l'albumine (globuline), souvent à l'état de tr
urs, en dernier lieu tous les dix jours et duraient très régulière- ment trois jours consécutifs. Après avoir essayé en va
nervose dei yangli spinali umarzi; - A. VAN GEUUCHTEN : Le traite- ment chirurgical de la névralgie ? (tc : '6[<e; Dr8
stice consiste dans l'appréciation de la culpabilité. Si, pratique- ment , cette opinion se trouve à peu près justifiée, ce
que je ne puisse espérer l'obtention de la rectification si juste- ment méritée de l'asile de Meerenberg. Croyez, mon c
ités représentatives ci-dessus suivant la situation de l'établisse- ment auquel ils sont attachés. Ceux de l'infirmerie sp
pur et l'épilepsie franche ? Statistiques el observations franche- ment négatives de la plupart îles auteurs. , Depuis
lus de détails, d'opposer, par exemple, la forme et le développe- ment différents des mains chez le crétin ou chez l'épi
es ovaires ou des testicules, et, par conséquent, d'un développe- ment progressif de ces glandes. 111. Soualnr. Analys
e, trois heures et cinq heures après-midi, trois jours de traite- ment seulement dans une semaine, soit un corps thyroïd
inten- sité du troisième jour et la dépassèrent bientôt sensible- ment . ' Toutes les épileptiques qui ingérèrent ainsi
on de l'autre mais bien que ces variations ont des causes absolu- ment différentes dont je parlerai plus tard et je veux
ent, c'est que, certainement, ces organes doivent jouer, directe- ment ou non, un .rôle dans sa pathogénie. Ce rôle tout
es de la génération est lui-même sous la dépendance du développe- ment du corps thyroïde, ainsi que l'atteste, par exemp
tion journalière, c'est que l'épilepsie se manifeste plus bruyam- ment chez la femme à chaque époque menstruelle. Tout
rois fois par mois, à l'époque menstruelle (ne suit plus de traite- ment depuis longtemps). B... Louise, cinquante-sept
ubin- trants, à l'état de mal. (Nous dirons encore plus loin com- ment une partie de l'influence des glandes génitales d
emme qui a passé l'âge critique, périodicité autrefois manifeste- ment liée à la menstruation, que par la persistance au
on toute probabilité) entre l'infection initiale et le développe- ment de la maladie cérébrale. L'infection du mari a dû
la médecine, n'étant pas encore entrée dans le domaine véritable- ment scientifique, qui est aussi le domaine des acquis
s. Mais nous prévoyons une nouvelle objection de M. Grasset. Com- ment expliquer, si on admet l'activité des centres sup
as longue- Ascmves, 2° série, t. XVII. 'J 130 ' REVUE CRITIQUE. ment sur ce chapitre. Nous sommes forcé cependant de r
est d'apparaitre par suggestion et de pouvoir disparaître totale- ment par persuasion. En résumé, nous croyons avoir m
égale pour cela le traitement en plein air, tel qu'il est actuelle- ment adopté pour la tuberculose. Occuper son esprit pa
'peso de symptômes peuvent se rencontrer. On s'occupera spéciale- ment ici de la paralysie générale, L'auteur rappelle l
lade entend les bruits et les voix avec l'oreille droite exclusive- ment , alors qu'elle est absolument sourde de cette ore
s, par Colmeil, confirmée par Brierre de Boismont, et plus récem- ment par Bail qui va jusqu'à considérer la surdité com
ouvertes. Au dixième mois les fontanelles se fermèrent graduelle- ment et la tête cessa de grossir. Mais le développemen
t mous et flasques, les mouvements spontanés cessent progressive- ment : l'aspect se rapproche de celui des idiots. Réfl
grisâtre, et les vaisseaux tant artériels que veineux sont notable- ment diminués de calibre. L'enfant a vécu jusqu'à l'
urotique, par Latrick et par Ch. H. Beard (The journ. of ne1'v. and ment , diseases, may 1900, analyse dans A1'ch. de neu
la phobie de dire quelque parole inconvenante, en présence notam- ment d'une vieille personne aimée, de l'éreuthophobie,
d'agoraphobie. Il raisonne bien, a le don de la parole, lit énormé- ment . ' - L'auteur a également observé une jeune fil
ns on a remarqué de la diminution de la mémoire de l'affaiblisse- ment de l'intelligence et quelques rares idées de gran
ccidents épileptiformes par l'excitation du nez, plus particulière- ment du cornet inférieur, dans sa partie supéro-convex
ns cérébrales graves. Elles se développent sur une base d'épuise- ment : 4° En outre, une prédisposition post-typhoïqu
ur maladie remonte à plus de dix ans pour qnelques-uns et exacte- ment à vingt-trois ans pour l'un d'eux. M. TOULOUSE
rasténie frappe presque exclusivement, je n'ose pas dire exclusive- ment , les prédisposés. M. JOFFROY. Sur le terrain mé
en pareil cas, qu'il n'y a pas de prédisposition, mais tout simple- ment que nous n'avons pas découvert de faits témoignan
di- vidus sains, les muscles homologues des deux yeux ont exacte- ment la même puissance. Dans l'hémiplégie organique de
transformation. Cette modification dans la forme est particulière- ment remarquable dans les mouvements réflexes des orte
ires, neurones sympathiques, peuvent être plus ou moins profondé- ment lésés sans qu'il soit possible de déterminer les
pas à pas le développement progressif de cet arriéré, dû au traite- ment médico-pédagogique appliqué systématiquement pend
tant à la négligence des préposés de celle-ci le malheureux événe- ment qui le mettait en deuil. Il obtint 10 000 francs
llaires des lèvres. Ecriture tremblée. Pupilles égales, complète- I ment immobiles. A la suite de ses règles, cette malade
s très peu marqués, pas de troubles de la parole; pas de tremble- ment dés mains, ni de la langue, mais mouvements fibri
physiques très accentués, mais par intervalles seulement, notam- ment le tremblement de la langue, très passager. Inéga
pupillaire; les pupilles réagissent bien à la lumière, mais lente- ment à l'accommodation et à la convergence. La malade
ypes, chez lesquels le corps thyroïde fait défaut ou est extrême- ment rudimentaire, sont généralement stériles, que les
enfant bien avant la puberté, montrant ainsi que si le développe- ment des organes génitaux et leur activité fonctionnel
ent « être considérées comme de véritables causes, mais seule- ce ment comme des excitences particulièrement efficaces d
nerveux n'était que peu préparé et que les excitences habituelle- ment suffisantes pour déterminer l'épilepsie avaient b
qu'éprou- vent ces organes, à la puberté et à la ménopause notam- ment , soient assez intimement liées à des modification
t de mal plus rare chez l'homme), alors que l'épilepsie relative- ment fruste, l'épilepsie larvée, par exemple, est, au
nérale et au développement physique, nous voyons éclater fréquem- ment l'épilepsie; - nous constatons, à chaque retour p
que nous connaissions le comment, et maintenant nous savons com- ment se produit la modification du sang qui amène les
emment importante au point de vue de la prophylaxie et du traite- ment curatif. - . . Cette intelligence de la pathogé
iotie avec épilepsie. Les convulsions de l'enfance sont générale- ment convulsions épileptiques ; c'est l'épilepsie qui
e ces glandes sont ainsi stimulées, le corps thyroïde est évidem- ment influencé aussi, en raison des liens étroits qui
- lepsies ne se rattachent que d'assez loin à l'épilepsie propre- ment dite, dont elles ne revêtent, le plus souvent, qu
l'azote a modification des rapports normaux entre les composés (n ment , augmentation marquée de l'ammoniaque et diminuti
Au cours de ces expériences, l'idée se présentait tout naturelle- ment à l'esprit qu'il pouvait exister quelque maladie
toujours du côté correspondant à l'amputation. Il n'y a pas seule- ment .atrophie simple, mais sclérose, et, tandis que l'
cette catégorie, on ne peut évidem- 246 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. ment les atteindre que s'ils tombent un' jour-ou l'aut
ar l'examen nécrospique du cerveau est identique; tous deux esti- ment que le meurtrier étaitsain d'esprit et responsabl
rend service à eux d'abord, à la société ensuite. 3° L'agrandisse- ment des asiles n'atteindrait-il pas le but ? Non, pré
extension des spécialisations diverses dont on a favorisé récem- ment le développement dans les grands hôpitaux ? Préci
ent n'existera pas, si l'on choisit bien les cas, auquel le traite- ment hospitalier est approprié. 9° L'administration de
, MM. Sollier et BOISSIER. Il s'agit de deux faits pouvant utile- ment contribuer à établir les rapports du spiritisme a
bligation de soigner ses infirmes et ses aliénés ; 3° par un règle- ment concernant les placements et les sorties dans les
r les idées indiquent toujours un fond très marqué d'affaiblisse- ment ou d'obnubilation des facultés intellectuelles. L
le; dans les délires de persécution où elles confir- 268 - VARIA. ment l'apparition de la démence lorsqu'elles se relien
de la dégénérescence humaine. Il a aussi insisté sur l'accroisse- ment des cas d'aliénation mentale causés par l'abus de
es sur le tableau noir, Detitius,son professeur, lui heurta violem- ment , par deux fois, la tête contre la muraille. Le le
temps avant de mourir, il avait raconté à son père l'odieux traite- ment dont lui et ses camarades étaient victimes. (L'Au
onnelle 'devient complète, sans que pour cela on note à aucun mo- ment de troubles sphinctériens, les douleurs s'étenden
faire la part dans tous les cas et nous devons distinguer nette- ment les accidents dus à la compression et à 1' 'envah
de section des muscles en était littérale- 288 CLINIQUE NERVEUSE. ment criblée. La plupart de ces granulations étaient d
upe au niveau des plexus sont-ils plus souvent atteints ? Assuré- ment ce n'est pas à cause du groupement lui-même, mais
s « tableaux cliniques identiques à celle des nerfs définitive- « ment constitués la séméiologie radiculaire n'est pas
mo- gastrique, le spinal, le grand hypoglosse sont ainsi fréquem- ment lésés. Presque toujours l'atteinte de plusieurs
racines. Nous savons que le tassement osseux se produit tardive- ment , bien plus rarement que dans le mal de Pott tuber
, la chaîne ganglionnaire et lymphatique prévertébrale est forte- ment atteinte. Bien que les obscurités qui planent e
é la structure de la dure-mère àce niveau, le cancer peut facile- ment pénétrer la gaine du ganglion spinal et les cellu
VEUX. 307 Je voudrais, Messieurs, discnter avec vous plus longue- ment le diagnostic différentiel de ces diverses affect
les qui puissent arriver, et malheureusement elles manquent rare- ment à un degré quelconque. C'est cette atteinte, en e
anien. Pour les autres nerfs crâniens, ils sont atteints fréquem- ment dans le crâne au niveau de l'étage inférieur et a
de drap qu'auparavant il maniait sans la moindre peine. A ce mo- ment nous perdons le malade de vue pendant quelque tem
Le iragment supérieur se termine par un V ouvert en bas. Le frag- ment inférieur, taillé en pointe, présente à la fois d
ment inférieur, taillé en pointe, présente à la fois du chevauche- ment et du déplacement autour de son axe. Il est remon
se produisent presque toujours aux membres inférieurs contraire- ment à celles du tabes. D'une façon régulière la fra
en plein tissu nerveux permettent de dire ceci : Il existe constam- ment dans le tabes une véritable 171éiiingo-171yélite
aboutit au ganglion. Le tabes est la conséquence d'un envahisse- ment des nerfs radiculaires par le processus d'inflamm
basilaire et des cérébrales postérieures et un double ramollisse- ment des lobes occipitaux : à droite ramollissement en
la vessie, diminution de sa capacité et incontinence par regorge- ment . M. Weill croit très probable la fréquence de c
continence est vrai, on pourra espérer voir évoluer plus longue- ment les formes aiguës de la myélite. Au point de vu
d'une néphrite, font des phénomènes délirants, évoluant parallèle- ment aux lésions rénales. Les coefficients urotoxiques
bservation II, ce qui a rendu le diagnostic facile avec le tremble- ment d'origine organique cérébrale. Le tremblement éta
. XLV111. Psychose hallucinatoire aiguë dans un cas d'empoisonne- ment par l'atropine ; par M1110 W.-S. Iakowenko. (Oboz
dégénératives jusqu'alors latentes. La médiumnité n'est pas facile- ment délirante ; il y a le médium à éclipse momentanée
us et semble s'acheminer vers la guérison ; il s'est vraisemblable- ment fait à lui-même le serment de ne plus parler ; il
c- tions régulières, suivies, soutenues et indolores. L'accouche- ment ne tarde pas à se terminer dans d'excellentes con
naux. Nous y trouvons le résultat d'une enquête faite sur le senti- ment de la colère chez les enfants, par M. Malapert, u
t intéressantes. Des réductions de tarif seront très vraisemblable- ment consenties, comme précédemment, par les différent
ver, de comparer, de critiquer, de concevoir, d'associer logique- ment les idées, ne constituent le plus souvent, au déb
aliéniste. Les symptômes oculaires sont d'une recherche relative- ment facile, aussi bien au lit du malade que dans le c
nt pas présenté de symptômes oculaires, elle indique tout simple- ment que nous avons observé 15 malades chez lesquels l
rer sa signification. Cette déformation pupillaire est excessive- ment fréquente chez les paralytiques généraux. Dès les
ser- vateur qu'il est porté à regarder. On aurait alors un mouve- ment de l'iris, dû au réflexe accommodateur, que l'on
suivant : Le malade est assis dans une chambre qu'éclaire légère- ment une source lumineuse placée sur le même plan que
vent. L'accommodation est la faculté que nous avons devoir nette- ment et instantanément à des distances variables entre
que à laquelle fait suite une phase clonique et enfin le relâche- ment moteur. L'acte sexuel ne serait à nos yeux, que l
ns cas de fatigue et de satiété la musique facilite le rapproche- ment sexuel. Dans certains cas pathologiques les rappo
témoi- gnent des expériences précises qui montrent l'affaiblisse- ment et l'affolement moteur pendant l'excitation sexue
tra- vail musculaire prolongé, dans lequel, non seulement l'élé- ment musculaire a été épuisé, mais aussi l'image motri
s et la portée de nos observations. Entre l'image motrice propre- ment dite et l'image motrice devenue sexuelle, il y a
dont chacun apporterait ses éléments à cette image particulière- ment riche et ayant atteint le plus haut degré de cris
; l'inverse s'observe-dans les états d'excitation; il est actuelle- ment impossible d'affirmer davantage. Smo11, LV. Exc
our une démence secondaire bénigne. Le malade a succombé brusque- ment à une hémorrhagie par la trachée, due à un faux a
re les deux moitiés du corps de façon opposée, favorise ce mouve- ment tantôt dans une direction, tantôt dans la directi
jusqu'à s'épuiser dans une pause plus ou moins longue, spéciale- ment quand le sujet concentre dans le calcul toute son
étant caractéristique de l'alcoolisme, et qui s'associe communé- ment à la névrite multiple, peut également s'observer
e et de démographie de 1903, par M. SANO. (Blill. de la Soc. deméd. ment , de Belgique, 1903, n° 112). LXI. Sur un cas de
s rémissions, surtout dans les commencements. Puis l'affaiblisse- ment mental s'accuse, mais les idées délirantes et les
de détails, l'observation de son malade, qui parait incontestable- ment être atteint d'hébéphrénie, bien que le cas ne so
propos de la catatonie ; par le or de BUCK. Bull. delà soc.de méd. ment , de Belgique, 1903, n° 113.) L'auteur rejette s
psychiques, pourrait être fonctionnel ou organique, et c'est seule- ment dans ce dernier cas qu'il appartiendrait à la dém
n'est par la plaie qu'elle a créée à la jambe, et qui a été facile- ment infectée. R. M. C. L\YV. Contribution statistiq
Travail intéressant mais qui nécessiterait pour être convenable- ment analysé la reproduction de questionnaires, de chi
nécessairement caractérisés par une dégénérescence : biologique- ment , ils représentent simplement des directions diver
, le traitement moral entrera pour une bonne part dans le traite- ment de l'affection. {Annales médico-psychologiques, a
e d'hémiplégie droite, compliquée d'oedème de la main. Le gonfle- ment se montra une heure après l'apparition des premie
danser; elle avait fait dans l'art de la danse des progrès vrai- ment remarquables, sans pouvoir, d'ailleurs, se soustr
dans un syndrome mental de nature auto-toxique, le delirium tre- mens , dont les caractères cliniques ont été souvent bi
IE. Pour arriver à une notion exacte des lésions du delirium tre- mens , l'auteur a adopté un plan général d'étude qui lu
« Je n'ai garde d'oublier la part qui revient dans l'accomplisse- ment de l'oeuvre commune, au conco : lrs actif, zélé,
ticulièremetit touché de l'empressement qu'ils mettent en ce mo- ment à me seconder dans des circonstances très diffici
sés parles délires, qu'il fut marqué par des conceptions extrême- ment peu précises, qu'il y eut à la base un état de fr
r à concentrer son attention sur ce que je lui demandais. évides- ment il n'y avait pas encore pensé spontanément ; il m
ère ressentir les émotions bien profondé- 440 ' CLINIQUE MENTALE. ment . Il est assez difficile d'étudier d'une façon vra
tes d'empoisonne- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 4L t ment qu'il éprouva en 1900. Il se disait parfois qu'il
nt qu'il éprouva en 1900. Il se disait parfois qu'il serait facile- ment proie de quelqu'un qui pourrait le faire disparaî
quitter, que son concierge pouvait l'abuser, le préoccupait vive- ment . Il avait conservé de fortes méfiances à l'égard
pensé précédemment au crime de Sylvestre l3ozrzarcl ; mais au mo- ment oit il l'écrivait il a pensé ci Anatole Delaforge
le faire lorsqu'on l'aide, qu'on le soutient; seul, il est rapide- ment fatigué, son attention dilfliie ; le malade e-t p
est paresseux parce que ses pensées ne s'ordonnent pas spontané- ment et que l'effort qu'il doit faire pour les rassemb
nom- bre de phrases composées par lui. Ce qui s'impose immédiate- ment à son e-prit, refont des réminiscences. M. N ? ne
l'état pur que l'intelligence intervient moins pour l'accomplisse- ment du test. - Eh bien ! si l'on s'adresse à des te
peu, il s'en désintéresse, s'habitue peu à peu à une vie totale- ment oisive. L'amoindrissement intellectuel, se tradui
état d'affaiblissement intellectuel, que cet état d'affaiblisse- ment n'a fait que progresser dans l'intervalle des acc
des images qui caractérisent l'état de sa mémoire; elles se résu- ment en cette formule : spontanément, le malade ne pen
inégalité pupillaire ; les pupilles réagissent cependant normale- ment . Tremblement du muscle orbiculaire des paupières,
somatiques on trouve de l'inégalité pupillaire, un léger tremble- ment des muscles de la face et de l'orbiculaire des lè
inés. Le premier, délire alcoolique du type visuel (delirium tre- mens ), est caractérisé par la prédominance des halluci
Elle est un peu excitée, mais bien orientée. Présente un tremble- ment prononcé de la langue et des mains, brusquerie da
stethoscope dans la poche d'un médecin, elle le regarde attentive- ment et le prend pour une bête à deux ou trois pattes,
elle est. Dans l'après-midi du même jour, la malade est parfaite- ment claire, très bien orientée, se rappelle comment e
est obligé d'employer la camisole. Elle fut dans ce cas directe- ment salutaire. C'est à dessein que nous relevons ce f
fait table rase des conceptions délirantes. Dans le delirium tre- mens , grâce au désarroi psychique, rien ne peut se fix
tions terminales; c'est là que la décharge d'énergie, et, probable- ment les processus kataboliques atteignent leur maximu
des neurones) doit être abandonnée ou tout au moins considérable- ment modifiée (il entend parler de la théorie des neur
hissant le lobe temporo-sphénoïdal. Cette tumeur était probable- ment de nature sarcomateuse. Le cas de cette malade mo
dans les arts beaucoup de machines, qui, pour leur mise en mouve- ment , dépendent du remplissement graduel d'un vase par
ôle n'aboutirait pas à une action spasmodique, mais à un déborde- ment chronique d'énergie ayant sou origine dans les mé
irrégulières ; amaigrissement avec pâleure de la face et dépérisse- ment ; troubles du côté de l'encéphale ; changement de
aigus ; souvent on attribue injustement la guérison à un médica- ment qui n'en est pas l'auteur, ce qui contribue à lui
d'emploi l'auteur est arrivé depuis longtemps à écarter complète- ment de la pratique l'emploi des doses narcotiques, à
que de la bromipine; par le D'' DE Ioo[\. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1903, n° 113). On sait que la bro
Congrès de Bruxelles sur le Traitement de l'insomnie dans les mal. ment . 492 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'huile de sésam
ulo-conjouclives aussi bien cérébrales que spinales, et secondaire- ment existait une thrombose partielle d'une des sylvie
Le traitement de l'infection buccale permet de triompher rapide- ment du trismus, et l'état mental disparait. L'hypno
Dès lors, il semble que la suggestion hypnotique soit aussi pleine- ment indiquée dans le traitemment de la crampe des écr
es organes pelviens, ce qui n'empêcha pas, pourtant, l développe- ment des contractions utérines ; évidemment, ces derni
a paralysie générale ne se propage pas, en somme, toujours égale- ment sur toutes les formes de mémoires, et la capacité
la capacité de la parole indépendante, mais il pouvait lire libre- ment de même que répéter les paroles des autres. Il po
ntrer tous les délires systématisés accompagné : , d'af- /'czibliss ment intellectuel et évoluant vers la démence, et comm
inution de la volonté. de l'affaiblisse- BIBLIOGRAPHIE. 515 J 1 ment progressif delà curiosité et de l'activité intell
faire une distinction entre un caractère acquis et un empoisonne- ment du germe plasmatique par l'introduction de l'alco
en- dants indemnes demeure pourtant considérable. Galton a juste- ment fait remarquer que « la loi de régression pèse lo
des mariages précoces, en les assistant pécuniairement ou autre- ment en cas de besoin, au moyen d'agences créées à cet
- conise un système que M. le professeur Clouston a depuis égale- ment défendu et développé (Journal loi Mental Science,
t. De la sorte, promptitude des soins, possibilité de l'enseigne- ment psychiatrique courante) disparition du stigmate i
nisme humain, par Forel, 237. ALCOOLISEE des enfants, 95. Traite- ment de l'- à l'ambulance psy- chothérapique de la c
par zPII1¡¡r. 113, De l'appoint que peuvent apporter au traite- ment de U les pratiques hy- driattques.par lient. 41
ulose. l,a possibilité d'assurer des moyens appropriés de traite- ment aux cas de début et aux cas passagers de - ment
athulogiques, pal' Molan, 400. Nursings Homes. Soins et traite- ment des personnes dont l'esprit est troublé dans le
'asile d'aliénés d'Uc- cle, 525. Silfonal. Un cas d'empoisonne- ment par le , par Alexander, 76. Symptômes mentaux
er. Le - et ses réserves à longue échéance. Contribution récem- ment oflet,te par l'anatomie com- parée, par Bonne,
3 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t· .v lltilie. I ? Ilt· wait eu IS enl'uW., tlunt G emum uclta·lle- ment vivaO·. * Depuis l'¡\¡ : e d,' GO : ni ? bronch
raver- sait de part en part ; partout ailleurs elle était absolu- ment libre, ne contractant, avec des tissus voisins, q
nt déli- mité d'avec le tissu nerveux du cervelet qui est simple- ment atrophié et détruit par compression ; elle ne pro
e du bulbe . Au cours des dernières années, divers travaux notas- ment l'important mémoire de Henneberg et Max Koch (1)
t. Uses. IX. lI°·8 F., 47 ans, malade depuis 1901, test actuelle- ment démente. Elle il dans un état d'agitation incessa
symptômes de l'hébéphrénie ; il existe des signe* d'affaiblisse- ment intellectuel mais la démence n'est pas encore trè
roduisait en général une heure et demie après la prise du médica- ment et devenait à la fois plus prolongé et plus régul
gère d'égale durée. 11 existe en même temps de l'insomnie. Au mo- ment de la phase maniaque, le véronal ne produit aucun
; nous ré- serverons notre opinion sur l'influence de ce médica- ment dans l'insomnie des paralytiques généraux dépri-
rriver, le 6 septembre, à la dose de 0,12 centigr. Malgré cetraite- ment médicamenteux, auquel sont ajoutés des bains, le
dant qu'elle était enceinte de la malade; puis, après l'accouche- ment , furent à peu près 2 mois sans se montrer, après
saveurs acides ou sucrées. Elle mange de la main gauche, propre- ment , en se servant de la cuiller et de la fourchette.
ace externe, la pie-mère est mince. Partout elle s'enlève facile- ment . Au niveau de l'union'du tiers supérieur de la F.
généralisée de l'hémisphère gauche : les circonvolutions, nette- ment dessinées, sont hlanchâtres, indurées, moitié p
individus normaux, résulter de l'action des liquides de durcisse- ment et d'imprégnation, dans des conditions qui ne son
es apparences qui ont donné naissance à la théorie du bourgeonne- ment , d'autant qu'on voit de semblables états sur les
Il existe encore un tractus de fibres dégénérées qui va directe- ment de la capsule interne au tubercule bi-jumeau anté
facteurs agissant toujours de concert. De la périphérie constam- ment exposée il l'action des forces partent des excita
au du Ge seg 52 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ment cervical : les fibres sont en dehors du champ du
. Dans la moelle dorsale, le faisceau pyramidal se colle étroite- ment aux cornes postérieures et dépasse en avant la co
nératif, etc. Ces différentes lésions reconnaissent vraisemblable- ment une étiologie variable. La chorée chronique est u
paralysie gé- nérale ;par le Dr de IkCK, (Bull, delà Soc. de 111éd. ment , de Belgique, février 1904.) Observation d'un
la chorée de Huntington ; par G. Renuart. (Ru/l,de la Soc. de méd . ment , de Belgique, 1904, n° 116.) L'auteur relate qu
ome de Raynaud ; par le 1) P. 31a- soin. (Bull. de la Soc. de mérl. ment , de Belgique, H)Q4, n° 114.) Adoptant l'opini
pa- reil optique, dioptrique, locomoteur des yeux, indemne égale- ment d'affections organiques du système nerveux, de to
la~démence précoce ;par .1. CROCQ. (Bull. de la Soc, de médecil1e, ment . de Belgique, 1903 ne117.) 1 Les-recherches d
cutanée multiple; par le Dr de BUCK. (Bull, de la Soc. de médecine ment , de Belgique, 1904, 114.) S'appuyant sur les
e des psychoses ; par le D1' DEROUBAIx. (Bull, de la Soc. de xxécl, ment , de Belriqzce,190u, n° 116.) Ce travail est des
S'il était établi que celle affection hércdo-lamiliale, probable- ment endogène, enlraîue la cécité avant qu'on ait pu p
l comme hypnotique, par le pr FRANCOTTE. (Bull, de la Soc. de mérl, ment , de Belgique,, 190-'f, no 115.) Le véronal a ét
e avec contracture, douleur sciatique. Le malade ne peutcomptete- ment fermer les paupières, ce signe remontant L'extrêm
directe, soit par l'hydrothérapie froide qui provoque consécutive- ment de la vaso-dilalalion peiipherique. Inversement
neset l, Les chemins de fer des grandes compagnies ou du départe- ment mettront, comme de coutume, probablement, des tar
sans accidents. Habituellement bien portante et réglée régulière- ment . Elle habile la campagne depuis son mariage. Il
dimi- nuent d'intensité au sur et il mesure que l'émotivité aug- mente . « C'est une loi psychologique bien connue, dit M
t, du 15 février 189G au 1 hseplembre 1897, et esl sortie légère- ment améliorée d'un accès aigu de folie sénile, avec i
le d'aliénés. Ace moment, G... qui passait pour avoir habituelle- ment fréquenté des filles du main aise lie, présentait
tremblement de la langue, dill1cull(; de locomotion, affaiblisse- ment considérable de la.mémoire, inconscience du temps
lytiques, attendu que, du côté du mari, on trouvait son père, dé- ment sénile, mort il l'asile de ramollissement cérébra
arrête, en raison de ce que les accidents initiaux ont certaine- ment débuté chez le mari. Et, eu effet. G ? a été le p
. Depuis dix ans, il était toujours sombre, en proie continuelle- ment il des idéos noires. Il y a 4 ans encore on l'a r
l la frappait, puis implorait son pardon en pleurant. Et constam- ment des idées de suicide revenaient dans sa conversai
expo- sés, pour plus de clarté, le montre déjà. Cet affaiblisse- ment global de toutes les facultés, qui domine actuell
iblisse- ment global de toutes les facultés, qui domine actuelle- ment la scène, qui s'est établi lentement, progressive
actuelle- ment la scène, qui s'est établi lentement, progressive- ment , au point que le début en remonte il un an déjà,
; pas plus que la loi de 1538, il ne prévoit la mode de recrute- ment des médecins, il n'en fixe que le nombre : un méd
quel- conque de ses attributions. Il faut qu'il puisse à tout mo- ment faire un rapport, un bulletin de santé, une presc
t actif dans les deux premières années de N-ie, S(,- 1)1-ollollcu ment de moins en moins. - 4° Chaque gramme de moelle C
ons névritiques des papilles sans que celles-ci proéminent nette- ment . Il n'est pas fréquent non plus que l'hyd1'océp
ne se remplissant de sang, la papille forme un renflement modéré- ment saillanl, dès les quelques heures qui suivent l'a
les d'autres zones est, simple- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 141 ment conservée ; 3° ou enfin qu'il y a une limitativn
de la parole pendant l'année qui s'écoula à partir de l'ictus. Com- ment se fait-il que néanmoins le patient demeura capab
pures sans la surdité verbale, avec, paraphasie vraie ou simple- ment I)tl['Ltgl-,Il)llio des mots défectueux, générale
e troubles intra-psychiques dans une localisation qui rigoureuse- ment appartiendra à 1 élément psychomoteur. M. Ossjp
. Mais, ni pendant le temps du traitement spécial, ni ultérieure- ment , c'est-à-dire pendant six mois plus lard, il ne s
t chercher l'aliéné. Ce dernier m'a ce matin même raconté exacte- ment les phases de son voyage. N'est-ce pas joli cet
de leur délire ; 3° les aliénés ayanL, au cours de leur interne- ment , commis des actes dangereux; 4° les dégénérés mal
i- terait les anormaux malfaisants (pie Ton considère insuffisam- ment aliénés pour les asiles et insuffisamment respons
par suite de ce qu'une coupe faite à l'autopsie a porté précisé- ment sur la région des corps genouillés externes. La
tres la situation des coupes que nous reproduisons. Ce ratatine- ment du lobé occipital est en partie compensé par une
dis que le Tap. n'est pas sensiblement changé, Pull. est certaine- ment appauvri en libres et Fli. qui du côté sain appar
rées et dé- montrables sur nos coupes. On y peut constater égale- ment que la substance blanche latérale et inférieure d
e occipi- tal où il ne se produit jamais de ramollissements pure- ment corticaux. Travaux non cités dans le texte : v.
elle de- tnenle coHCM<'e;f. sper di Fren. e nted. leg.d. alieii. ment . XXV, 1899.) (4) MoxDio. Hérédité et dégénére
cutive et dans celui des stéréotypies que l'on y ,'en- contre (Riv. ment , de uettr. etpsych. '4 4 et 5, 1900). (5) Segi.
t être expressive d'une idée, encore que cette idée ait complète- ment disparu pour faire place à l'automatisme, ainsi q
atisfai- sante ? Nous ne le croyons pas. Chaque fois qu'on l'ali- mente , il est vrai, le malade paraît opposer un refus e
gues heu- res d'automatisme musical, le virtuose ne s'est assuré- ment pas plus soucié de son plaisir personnel qu'il ne
d'un jeune catatonique dont la station et la marche sont absolu- ment caractéristiques. Ce sujet, lorsqu'il se tient im
LE ) Sili- vant la conception la plus généralement admise, le dé- ment précoce, après avoir traversé une phase plus ou
« J'ai passé sous Dieu tout le temps de ma ,il'. Le crime que « je Mens de commettre est irréparable..1 ai descendu les c
e reproduit plus ou moins longtemps sans qu'on sache bien exacte- ment la cause de celte prédilection. Mme G.... pose
ultérieurs mirent en évidence des antécédents personnels extrême- ment chargés, tant au point de vue des phobies et des
otones clans la forme catatonique de l'affection, et voici juste- ment que tous les auteurs s'accordent à considérer cel
e, la fi- xité d'altitude ou de mouvement s'installe progressive- ment , d'une façon torpide. et persiste alors qu'il n'e
rompent est le type hyperbolique et parabolique ; exceptionnelle- ment , 10 %, le type elliptique ; jamais une véritable
ui pem ellt apparaître, à un examen superficiel, comme psychique- ment normaux, quand il existe des stigmates permanents
i- jumeau antérieur ; 5° La partie principale des fibres qui for- ment l'entrecroisement dorsal (en fontaine) de la caro
de la neurasthénie (Manierfz). Le pronostic est favorable. Traite- ment galvanique, danger des récidives. L. WAHL, XXII
fait avec les'maladies qui causent secondairement du ralentisse- ment du pouls ; les symptômes concomitants le rendent
nd M. KienI)OEck, même chez un individu ordinaire. Le ramollisse- ment avec transparence des os des doigts, en l'espèce,
émotions aient été la cause immédiate de la cécité ; H fois seule- ment le traumatisme. Nulle pari la paralysie des mus
uérison est la règle ; 38 des 4'J malades se sont rétablis. Traite- ment surtout moral, y compris électricité, magnétisme,
tantinople ; par le Dr Luigi Monter ! . (Bull. delà Soc. cle naéel. ment , rl l3elgique, 1904. no 115.) asiles d'aliéné
citsclt, für l'syc721atrie, 1904, p. 133.) 248 sociétés savantes. ment atypiques ; et lorsque ce traitement n'est pas in
! x. M. Armand-Delille présenlé une tiHettc atteinte de Irenible- ment intentionnel avec démarche légèrement spasmodique
duité à ce cours duranl tout le semestre d'hiver sera régulière- ment délivré. '. Errata. Dans l'article de M. le D1'
as constante. Il dort ensuite environ une demi-heure sans ronfle- ment ; il se réveille tout à fait normal. On ne trouve
r de» picotements dans tous les membres, une sensation d'étouife- ment , de gonflement épigastrique et de serrement à la
empire de l'alcool, les hallucinations devinrent bientôt extrême- ment pénibles ; elle entendait, toujours à son oreille
dre, l'éducation et la santé de nos fillettes en profitent large- ment . Nous espérons même prochainement présenter deux
r les enfants susceptibles de culture intellectuelle, l'enseigne- ment comprend, en ce moment, lecture, écriture, calcul
tte de sa mission avec beaucoup d'activité, de zèle et de dévoue- ment . Depuis son stage à Bicétre, elle y est retournée
dre, l'éducation et la santé de nos fillettes en profitent large- ment . Nous espérons même prochainement présenter d'e
édico- pédagogique leur est donné et cette innovation est assuré- ment une des plus heureuses que nous ayons à enregistr
malheureux enfants, dépourvus de toute occupation, de tout amuse- ment , traînaient invariablement une existence incolore
irmiers peuvent exercer leur surveillance. Ces cours sont absolu- ment indépendantes l'une de l'autre. Elles ne sont acc
n on a un très grand nombre de préparations. Le dépôt peut égale- ment êlre, avant ou après coloration, tiré de l'eau, d
- pide plus loin. La déchéance intellectuelle s'annonce générale- ment par la sitiophobie. Désordres moteurs : marche en
. L'ablation du ganglion de Gasser produit le même effet : seule- ment ces opéralionsdohenlèlie radicales. P. Keraval.
de préciser exactement le degré de la sensation tactile, rapide- ment , en n'importe quel point de la peau, de mesurer l
les de l'espace. Les variations d'intensité de celle vibration for- ment le sentiment du mouvement en tel ou tel sens. Le
dont la destruction provoque des troubles de la vue est extrême- ment large : elle s'étend à toute la partie postérieur
phérique des psychoses ; parle Dr de Buck. (Bcsll.de laSoc. de méd. ment , de Belgique, avril 1904.) L'auteur relate dans
i traumatisme. La suspension elle repos au lit diminuent notable- ment la cyphose. Intégrité- des articulations des memb
est pratiquée, la ponction lomhairea montré qu'il existe fréquem- ment dans cette infection une lymphocytose très abonda
diagnostic : observation à l'appui. Ces douleurs sont non seule- ment les premiers, mais aussi les plus constants sympt
autres observations d'épilepsie jacksonienne syphilitique, égale- ment discutées avec le plus grand soin. La question de
t, cubes de liquide cephalo-racuidien, puis on injecte très lente ment ? ) centim. cubes de sérum antitétanique, puis en
ses croissantes. 11 y a souvent un peu de l II1pllOCytosc au mo- ment de la deuxième piqûre. XV. Ergothérapie et psyc
Diodes du travail, et considérai ions statistiques sur le mouve- ment des aliénés à l'asile de Girifalco (Calahre), ten
Ï\ell1ent rr¡"qUl'ntes en divers endroits du corps, qui graduelle- ment avaient dégénéré en attaques (l'épilepsie si inte
des hystériques, le prof. Dl'je1'Îne rappelle sa méthode d'isole- ment et de psychothérapie à l'étal de veille qui lui a
e l'aliéné l'asile comme pensionnaire. Je reçois ainsi, annuelle- ment , 115 à 130 aliénés, sur lesquels 80 % sont expédi
ons mentales semblables à celles des autres psychoses par épuise- ment (anémie pernicieuse, chlorose, neurasthénie, etc.
rieux devoir qui s'impose aux familles de surveiller rigoureuse- ment les malades qu'on leur a rendus. Hospice de la
enfin médecin directeur de l'asile de Dôle. Il a contribué puissam- ment à la construction et à l'organisation de l'asile
t terme (avortement à 2 mois 1/2); les autres ont évolué normale- ment , mais sur 4 enfants, deux sont morts l'un à dix a
res, se couche à 9 heures comme à l'habitude et s'endort parfaite- ment . Elle n'avait pas souffert de céphalée de toute c
il est moins rouge. Quant à l'oeil gauche, sa rougeur a complète- ment disparu. Dans la semaine qui suit, les phénomèn
lle est nulle à droite : la malade répond qu'elle ne voil absolu- ment rien. Elle ne commence à distinguer les objets ({
grandeur. Il s'agit donc de micropsie portant proportionnelle- , ment sur les trois dimensions, comme on peut s'en rend
compte en se servant d'autres objets. Celle micropsie existe l'ga-\ ment pour les objets colorés. - Pas de diplopie ni d
nt quand les deux yeux sont ouverts et qu'ils entrent synergique- ment en jeu dans la vision binoculaire. Ce caractère
e prisme devant l'oeil droit, deux images sont perçues immédiate- ment comme dans l'expérience 1, et l'image de droite a
lacé devant l'oeil sain. En d'autres termes, si Valentine est vrai- ment amaurolique de l'oeil droit, ayant un verre vert
- tiques aux 3 ronds de tout à l'heure : elle voit donc parfaite- ment l'imatie droite de la ligure 21 : par suite, l'am
ncé, placés devant l'oeil gauche ouvert et l'isolant ainsi entière- ment du jour ambiant, l'oeil droit amblvopo voit les r
e. < Dans la majorité des cas, l'esprit suggestible. est pure- ment passif : toujours prêt il agréer, il se contente
ai 11() : >, M11- X..., lisait un journal qui publia successive- ment Claudine Ú l'école, Claudine en ménage et Claudin
» .\ cclle ulupuc, \Ille \... se voyait congédiée de son apparte- ment ; les propriétaires refusaient de l'entendre et le
xys- tique et mal combiné tout il la l'ois, s'éloigne singulière- ment de la réaction froide et préméditée des persécuté
docteur Maurice L c5rain, des dégénérés en général. C'est seule- ment des dégénérés mystiques que je veux parler, et dé
ognicjue. ; Alors que les métamères sous-encéphaliques sont rare- ment touchés, l'écorce cérébrale l'est presque toujour
vêtus d'em- preintes notablement différentes. De là un rapproche- ment imprévu, irréfléchi, involontaire, entre deux idé
neurones. Elle peut consister aussi dans leur arrêt de développe- ment . Cet arrêt de développement a une conséquence qui
tibilité. Dès lors, chez tout individu arrêté dans son développe- ment , la contractilité du neurone, et par conséquent l
l ne faut pas, pour devenir un voleur de grand chemin, identique- ment les mêmes aptitudes que pour devenir un carme.
.) La coexistence d'une hémorrhagie cérébrale et d'un rétrécisse- ment mitral est exceptionnelle, quand il s'agit d'une
a seconde frontale ; la troisième frontale manque presque absolu- ment . Le corps calleux fait défaut. 11 n'existe pas de
ges. Il y a donc lieu de croire à un simple retard du développe- ment cl'rl'bml, c'est-à-dire à \11H' microcéphali( ! \
ce de corps calleux, qui a probablement retenti sur le développe- ment de l'ensemble du manteau moins les régions tempor
veines du pli du coude. Le malade sortit guéri conservant seule- ment un peu d'exagération des réflexes. Au point de
l'âge de 13 ou 15 ans : cet auteur le* considère alors très juste- ment comme une anomalie de développement. Le cas de
Il'ptiques de leur sommeil normal ou du sommeil qui suif rapide- ment l'ictus épileptique, ils sont conscients, il n'y
plus longue durée, la vie mentale normale se rétablit graduelle- ment ; on constate d'abord une paralysie de toutes les
t une idiote my.voed';¡I/((tl'us ? Elle a l,Il' considÍ>I'ahlt'- ment améliorée par l'injection de la glande Ivphroïde
n- tra pas de récidive. Celte incision s'accompagna d'un soulage- ment instantané. Le liquidecephalo-rachidien se mit il
nsei- gnement purement technique du laboratoire, -qui est absolu- ment nécessaire, par un enseignement oral qui apprendr
plus souvent menteurs, faute d'avoir acquis la fa- culté de ne pas mentir . Les enfants, en effet, à l'encontre de ce que
n effet, à l'encontre de ce que pensent les mom11stes,sont nati 1 l' ment meilleurs. L't'nIant (lui se développe normalem
nati 1 l'ment meilleurs. L't'nIant (lui se développe normalement ne ment que lorsqu'il le veut; l'anor- mal reste menteu
ertis. M. ITTt. La seconde observation au moins ressemble absolu- ment il celle de)1. Antheaumr. - )1. BERNARD a connu
de prophylaxie que nous avons entreprise. Nos tuberculeux surali- mentes , surveillés d'une façon toute spéciale par des ga
- saire de conserver, dans son rapport médical, le plan générale- ment adopté par son prédécesseur, M. le 1)'' Faucher.
ve- nir, parce que la lenteur mise à provoquer l'internement aug- mente la durée du séjour à l'asile. « Nous continuons
contre, qui depuis quelque temps ne paraissait pas jouir pleine- ment de ses facultés, a quitté son domicile il y a une
l'affaiblis- sement précurseur n'échappera pas ou échappera rare- ment et on obtiendra comme nous, à peu de chose près,
ifférence tient à ce que nos constatations n'ont pas porté seule- ment sur la normalité constante, mais aussi sur celle
es fut la même. Le fait se constate également pour l'affaiblisse- ment comme seul trouble et c'est ce résultat qui diffè
les seuls phénomènes occasionnés par sa présence et c'est seule- ment au bout de six à sept heures que la malade songe
anger. 11 prend ses aliments avec voracité, les mâche incomplète- ment et avale des bols volumineux. Aussi voit-on chez
is en repos ; on y constate des oscillations permanentes extrême- ment fines, très variables d'ailleurs suivant les indi
NERVEUSE. XGVlll. Essai sur la physiologie pathologique du mouve- ment : disparition des mouvements dans la chorée chro-
- dullo-encéphalique et qui résistent à tous les modes de traite- ment . Mais ces distinctions sont difficiles à observer
Dansles formes périphériques, il y a en général de l'endolorisse- ment de la région avec paroxysmes dont le début est au
o- pédie sont d'autant plus évidents que l'application du traite- ment est faite de bonne heure; s'il faut en croire les
voyage sans inconvénients : c'est ce que nous faisons régulière- ment dans notre service. « Nous avons remarqué que l
un procédé mixte : l'alitement alternant avec la chambre d'isole- ment . « On a dit que cette méthode, l'alitement, éta
n vénérai dans la première année du traitement et plus difficile- ment ensuite. « De nombreux malades âgés ont été adm
on émi- nente sagacité scientifique, en rappelant tout le dévoue- ment qu'il apportait dans ses amitiés, et la bonté qu'
fonctions de médecin en chef et d'expert, faisaient quotidienne- ment passer devant lui. Garnier n'a pas eu la douleur
ua dans les Commissions par son esprit très ouvert, par son juge- ment très sûr, mûri d'ailleurs par une vaste expérienc
uriste. - La mort a fermé cette bouche d'un coup brutal, au mo- ` ment où nous comptions faire profiter les j eunes doct
cès-ver- baux qu'il rédigea pendant plus de dix ans, alternative- ment avec notre excellent collègue, le D'' Charpentier
ties en un clin d'a : il ; l'inexorable mort l'enlevait' brusque- ment , en pleine force, en pleine activité intellectuel
douloureux sentiments en témoi ? ? son attache- PAUL GARNIER. 481 ment et de sa tristesse ; et pour mapart, qu'il me soi
des y arrivent tout chauds. » Mais celle-ci ne reçoit pas unique- ment des individualités déchues mentalement ; on y a
es semaines, il pouvait encore sortir dehors, mais tout dernière- ment il a été obligé de garder la chambre ; il est mor
ment il a été obligé de garder la chambre ; il est mort paisible- ment hier malin. 48û' nécrologie. \é il. Edimbourg
rançais et étrangers, sur la présentation de la quittance de verse- ment du droit. Les bulletins de versement relatifs à c
l'année, nous prions instamment nos souscripteurs, dont l'abonne- ment cesse à cette date, de nous envoyer le plus tôt p
le sé- rum sanguin, par Gerhartz, 150. réflexe par rétrécisse- ment spasmodique de l'rosa, phage,par Bregman,241. -
bon, 381. 502 ' TABLE DES MATIÈRES. cérébrale. Voir Rétrécisse- ment mit rai. - sous-pie-mé- rienne, par Faure-Beaul
iels dans un cas de subaigu, par Marchetti, 23G. Sur le traite- ment du par les injections intra-rachidiennes de sér
4 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
era consacrée à l'étude des états psychopathiques encore communé- ment désignés sous les noms de folies intermittentes,
s y attacher non plus une importance particulière ; notons seule- ment que Griesinger comparait dé,jà au point de vue
élat d'in- termittence qui s'observe entre la période d'affaisse- ment et la période d'excitation de Informe circulaire
. Une pé- riode d'excitation alterne avec une période d'affaisse- ment , ordinairement plus longue ». Bien que P. Falre
SIVE. 15 choses périodiques ou de folies intermittentes générale- ment usitées aujourd'hui. Nous n'y contredisons pas.
formes inter- mittentes ou périodiques qu'on distingue générale- ment en maniaques et mélancoliques. Nous ferons rema
u'elle vaut, si la circularité n'était pas une loi du fonctionne- ment de notre système nerveux, si nous n'étions pas
sympto- matologie et son évolution ; il est impossible actuelle- ment de lui assigner une étiologie spéciale et de la r
TIQUE. 21 le malade est fortement troublé, l'écriture est absolu- ment impossible. A ces phénomènes spasmodiques, se j
que les syphilitiques par exemple restent justiciables du traite- ment spécifique. L. WAHL. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
verser, dans l'organisme, des produits utiles à son bon fonction- ment ( corps thyroïde, capsule surrénale, etc.)..Malgr
. sullant d'une infection ou d'une intoxication prolongée (notam- ment de l'alcoolisme avec altération hépatique et réna
es de- puis cinq ou six ans. Leur fréquence augmenta progressive- ment et depuis un an le malade les ressent tous les mo
débris du thymus, des kystes du rein, etc., elle est particulière- ment fréquente chez les dégénérés présentant de nombre
ra 18 mois. Pondant cette phase de stupeur on nota un ralentisse- ment considérable des mouvements respiratoires (G à 8
i- nute), une diminution des battements du coeur, du refroidisse- ment des extrémités avec oedème des pieds, etc. Il exi
ni d'excitation, ni d'idées délirantes et qui se caractérise seule- ment par un all'aiblissement rapide et délinitif des f
e- mière vue étranges, dans lesquels un diagnostic, établi nette- ment pendant la période délirante, semble contredit pa
dant ou après la dothiénentérie; cette dernière folie est générale- ment peu curable et se termine fréquemment par un étal
1° Dans la netteté de la cause prediposante qui est ici l'épuise- ment . On ne relève, en elfet chez la malade, ni antécé
veux héréditaires ou personnels qui ont été recherchés soigneuse- ment , ni antécédents organiques. 2° Dans une évoluti
puerpéral, l'auteur pense que l'élément essentiel est ici l'épuise- ment qui a créé dans l'organisme un état anliloxique s
e. 31M. Lejonne, Chartier. .leune fille, 20 ans et 1 m. 28 seule- ment do stature, pas infantile mais dyslrophique (végé
; le sommeil réel de cette femme est simplement le principal élé- ment de son succès auprès de ceux qui viennent la trou
la prétendu clairvoyance relativement au diagnostic et au traite- ment est contraire aux faits bien observés et doit êtr
ont pu être conservés au Patronage le temps voulu pour un traite- ment sérieux. C'étaient 5 voleurs, dont 4 récidivistes
ril- lammentquand il s'attaque aces kleptomanes, jeunes, extrême- ment suggestibles, que les mauvaises fréquentations, l
mentales et difficulté de reviviscence. En résumé, le ralentisse- ment psychique des mélancoliques se ramène à un troubl
pathies organiques ; leur description réciproque est passée rapide- ment en revue. Quant à la mélancolie alfeclive, essent
anciens auteurs, elle constitue le gros problème : est-elle vrai- ment essentielle. ou n'est-elle pas plutôt un syndrome
en- (le soins ; mais, d'un autre côté, il faut qu'il sache égale- ment que ce malheureux, dès qu'il le croira guéri, ne
, troubles, alcool, morphine, opium haschich, etc.) b) indirecte- ment , par suite de l'intoxication des cellules germina
es toxiques organiques ou non. Il faut remarquer qu'on est juste- ment en train de rédiger desstatistirlues comparatives
t au fond de laquelle on aperçoit la face postérieure, régulière- ment conformée, du bulbe et de la protubérance. Ce
10, 12 et 13) dans sa moitié antérieure, qui s'amincit graduelle- ment dans sa moitié postérieure ; au niveau du point
nt plus volumineux à droite qu'à gauche et plus gros que normale- ment . » Dans lecas de Neuburger et Edinger (t), l'at
es (p. 190). » Cause et époque probables des arrêts de développe- ment . Si, dans notre cas, comme dans ceux d'Andral,
on peut fixer approximativement l'époque do l'arrêt de développe- ment . On sait que le vermis, partie du cervelet a pl
e ventricule. Les lésions, consécutives à l'absence de développe- ment de l'hémisphère cérébelleux gauche sont l'atro-
e marche irrégulière et les deux yeux ne sont pas atteints égale- ment . En sorte que le signe d'Argyll-ltobertson peut
le, il est presque toujours immuable, lorsqu'il s'est définitive- ment constitué. Le fazcx.l°gllRobettson,qui se carac
ion pupil- laire et au signe d' Argyll- Hobertson. Cet amincisse- ment de l'iris avec perle de ses reliefs existe aussi
portance qu'il n'y aurait pas lieu d'attacher à l'un d'eux isolé- ment . Il faut noter encore : L'abolition du réflexe
c- tus, et dans ce cas, d'après lraiTL-Ebin ? (1), le rétrécisse- ment est très mai 'que pour le blanc. Quelquefois même
Les trou- bles de la vision ne sont pas parallèles au développe- ment de l'atrophie. C'est là le symptôme le plus essen
ent dues à un processus sgp7tilititiqice ayant évolué antérieure- ment etprennent,de ce fait, une signification importan
esser leurs méthodes. L'allocution de M. Delessalle a été longue- ment applaudie. M. le Maire a donné ensuite la parol
de ceux qui le composent, et le soin qu'on apporte à son recrute- ment . Il termine en rappelant qu'il semble qu'il y a,
nde, que les aliénistes etles neurologistes réalisent magnifique- ment à l'intérieur de ce même temple, glorieusement él
d'agir pour leur propre compte sur sa composition, plus puissam- ment que la tare nerveuse (cardiopathies, brightisme,
o- logiques futures. Encore faut-il ne pas oublier que, actuelle- ment , des variations très grandes dans les résultats s
hez les aliénés comme chez d'autres sujets, des influences autre- ment puissantes. Il semble, en outre, contrairement à
E. - L'arté- rio-sclérose cérébrale. L'artério-sclérose est rare- ment purement cérébrale, on en trouve ailleurs des si-
hérome. 2° Les troubles mentaux de l'artério-sclérosL'\ spéciale- ment étudiés dans ces derniers temps, représentent une
nous a montré le vieillard toujours quelque peu sénile psychique- ment , et le sénile toujours mentalement affaibli, souv
et si on lutte contre le malade pour chaque mouvement successive- ment , on constate qu'il aconservé une grande force. Si
ment l'organe de la pensée, mais aussi l'organe central du mouve- ment , de la sensibilité et le rapporteur ne pouvait pe
gation mentale, une insensibilité psychique indiquantun dédouble- ment de la personnalité. Il est bien évident, d'autre
river à démontrer l'existence de cet état de subconscience au mo- ment del'acte, le problème devient très délicat. Voici
ilité de ceux qui les ont commis en découle alors tout naturelle- ment . , La profonde suggestibilité de l'hystérique e
ac- teurs, quelquefois à deux, et la responsabilité est générale- ment nulle. Il faut, cependant, arriver à cette conclu
i elle trompe les autres, mais souvent elle le fait inconsciem- . ment . L'amour de la mise en scène pousse souvent les h
luants. L'angle de déplacement de l'aiguille, observé successive- ment avec la main droite et avec la main gauche est va
rovoque une simple sensation de froid,amène unesensation extrême- ment désagréable, qui peut aller jusqu'à une douleur i
a- tonie, le relâchement, l'abolition des réflexes sont, précisé- ment , le contraire du spasme, Si donc il existe de vér
s ; 3° Au début du second jour de l'incubation, on observe seule- ment quatre connexions distinctes entre le tube médull
10° Les rapports de continuité qui s'établissent entre le revête- ment médullaire à sa première formation, et les autres
n- clusion suivante : l'hémiatrophie crânienne est due exclusive- ment à la lésion de l'hémisphère cérébral correspondan
x- tra-utérine, quand le cerveau est en voie de rapide développe- ment , limite la puissance évolutive non seulement de l
ceau radiculaire dans l'épaisseur de 1'li,téi-otopie. Ce développe- ment doit se faire au moment où les ganglions nerveux
e manifeste sur les descendants, en ce qu'elle détermine directe- ment chez ceux-ci un état de débilité générale (arrêt
uré, à des épileptiques adultes, nous avons constaté, indépendam- ment du dégoût de l'alimentation, des accidents variés
me ordinaire avec 4 grammes de bromure de potassium), respective- ment 373 et 3S1 accès, et, en juin (régime sans sel av
est normale, les mouvements des doigls s'exécutent môme parfaite- ment bien. La motilité et la marche des membres inféri
été suivie d'une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, autre- ment dit il rentre dans la catégorie de ceux qui clini
autre- ment dit il rentre dans la catégorie de ceux qui clinique- ment se présentent avec des signes de spasmodicité, ma
bourses sont accaparées pour les (ils de pasteurs. Depuis ce mo- ment , quelques excès alcooliques : armagnac et bière.
s'explique d'ailleurs facilement. Néanmoins, à défaut de ce senti- ment naturel, j'ai toujours professé pour elle le plus
sa demande il est évacué sur l'asile public du Gers, son départe- ment d'origine d'où il parvient à sortir au bout d'un
s dans tous les cas couvert par la prescription, ce que certaine- ment le malade n'est pas sans ignorer. Et puis ces h
parurent des crises convulsives Se produisant assez irrégulière- ment , environ tous les quinze jours, crises caractéris
tal. Pendant ces trois jours, l'enfant poussa des cris continuelle- ment , et il fut impossible de l'alimenter. Quand on ap
de sa bouche une cuiller de lait, les dénis se refermaient violem- ment , et ne'pou aient être écartées qu'avec les plus g
des exer- cices méthodiques des muscles du tronc, par l'entraîne- ment journalier de la sensibilité, du sens des attitud
- che, de l'équilibre, de l'ascension, de la descente, est égale- ment nécessaire, suivant les techniques que nous avons
té du malade feront à peu près tous les frais. Ce sont, certaine- ment , les cas auxquels nous venons de faire allusion q
mort, une hémiplégie motrice droite progressive avec hémitremble- ment , et plus tard une hypoesthésie du même côté. Dè
males quelques-unes offrent du prognathisme inférieur par glisse- ment . Les caries sont extrêmement fréquentes, les éros
s sujets sont tuberculeux. Nous avons donc examiné très complète- ment , au point de vue delà tuberculose, tous les sujet
façon imparfaite quel est l'effet de nos médicamments journelle- ment prescrits, nous devons nous contenter de l'empiri
culaire. Sous l'influence de la caféine, tous les paramètres aug- mentent d'où l'on peut inférer que cette substance n'est
xe Valeur pronostique : L'absence des réflexes indique un épuise- ment très prononcé et le pronostic est plus défavorabl
a tète en arrière, etc. Ces tics tous cliniques, sauf les renverse- ment dota tète en arrière, se produisaicl1Ltantôt simu
asile public ou privé consacré au traite- 234 asiles d'aliénés. ment de l'aliénation mentale, soit comme chefs de clin
s d'aliénés en Belgique ; par le Dr Morel (Bull, de la Soc. de met. ment , de Belgique, fé- uier 190a.) Les principaux
té - qu'ils contribuent, dans la mesure de leurs moyens, au paie- ment du prix de la pension. ' De son côté, l'Etat, q
ui éclate exclusivement chez quelques-uns et quelques-unes seule- ment parmi les jumeaux et les jumelles et se manifeste
e époux et épouse. Nous avons ainsi dans notre service, en ce mo- ment , un malade, tout jeune encore, qui a contaminé so
ot, est celle qui se caractérisse, entr'autres, par un développe- ment simultané de la maladie chez les deux jumeaux. Il
des apparte- ments complètement séparés, à la même heure exacte- ment . N'avons-nous pas raison de trouver ingénieuse et
dents; elles sont toutes venues et se sont développées parallèle- ment chez les deux ; de même pour la parole, la marche
fut aussi ; ensemble elles contractèrent un rhume ou un dérange- ment d'entrailles; elles curent simultanément la rouge
ici parce que le médicament a été pris immédiatement au commence- ment des épreuves, cependant les premiers chiffres de
res épreuves avec du brome, on a additionné presque aussi rapide- ment qu'on a copié, et cela probablement parce que la
tte conclusion. Dans les épreuves avec du brome, l'opération aug- mente dans la première moitié, ensuite elle descend,
elle descend au-dessous de celle qu'on pourrait attendre normale- ment Tandis que les premières demi-heures l'élévation
préli- minaires moatrentplus ou moins la tendance à un prolonge- ment continu des temps, et les chiffres finaux, sont,
s os- cillations concordantes entre l'abréviation et le prolonge- ment de temps de réaction. Les données finales ne sont
e aussi à ap- prendre encore pendant une demi-heure, alternative- ment un jour normal et un jour avec du brome. De la
ns évi- dente dans la seconde série, de sorte que le travail aug- mente pendant, ainsi qu'après l'épreuve troublée. Le
a cessa- tion du trouble montre tout d'abord une influence nette- ment favorable sur l'opération, mais que plus tard ell
es- quelles il facilite l'activité, devrait influencer favorable- ment aussi la rapidité de la prononciation. Cependant
e sur les associations mécaniques des additions, sur le déchaîne- ment central des mouvements et sur la marche des mou-
difficile ; 4° La mémorisation des séries de chiffres est évidem- ment rendue plus difficile sous l'influence du brome ;
aux scien- tifiques du D' Anglade qui s'est attaché particulière- ment au point de vue étiologique, pour en déduire les
enter. Suivant ce dernier auteur, les meilleurs moyens de traite- ment pour les états d'agitation sont : 1° un complexus
les malades dans les stations d'observation, autrement le traite- ment au lit pourrait être nuisible; c'est pourquoi on
chef de l'asile deVuillejuif, a traité d'une façon particulière- ment remarquable la question des convalescents sortant
r la bonne parole, il a prêché d'action ; apôtre, il a non seule- ment fondé une église, il a bâti un temple. Il a, comm
res prophylactiques et spéciales ainsi qu'à la cure et à l'isole- ment à l'égard des aliénés tuberculeux, tant dans la c
soins et dont le courage mérite tous les éloges, est très griève- ment blessé, il porto à la région précordiale deux ble
les colonies : par J. A. C. Peeters,, (l3ull. de la Société de med. ment , de Belgique, juin 1905. j On trouvera dans c
blissements d'aliénés, par le))1 Meeus.(Z ? uZ/. de la Soc. de màl. ment , de Belgique, 11°» 120, 121 et 122). Etude tr
rire et à lire couramment. Deux autres commencent à écrire seule- ment . Plusieurs de ces enfants manifestent un goût sin
r un mois. Ils seront renouvelables. Le Préfet en sera immédiate- ment informé et mention en sera faite sur le registre
l'aliéné pourra, si son état l'exige, être réintégré à l'Etablisse- ment sans formalités. Avis de la réintégration et des
jours de pluie et c'était dans les cours une inondation horrible- ment fétide. Il est de toutinteret de tirer définitive
ces jours-là de chasse d'eau dans les cabinets d'aisance, notam- ment dans les sièges placé» dans les salles, ce qui es
ans, de démence d'emblée : il est plus probable qu'il y a seule- ment un haut degré de confusion mentale tendant à deve
s qui, craignant les représailles du mari, attendent son interne- ment pour introduire l'instance. On sait que le divorc
rieure. Je dis « semble », car n'est pas prouvé que le rétablisse- ment qui date des premiers mois de 1906,exagérera, sen
nés de Clermont (Oise). ILOIS, infirmier dans le même établisse- ment ont été blessés dans leur service par des aliénés
soire- 332 BIBLIOGRAPHIE DE LA MÉNINGITE C¡ £ RIBRO-SPI : -¡ALE ment il l'hùpilal de 5ainl-(IomU, il a mis le l'eu au
la méning. cérébro-spinale diplo- pneumococcique de l'enfance. Rev. mens . des mal. de l'enf., Par., 1904, v. ',1-2, p. 2
11 ? lee,-adj, de l' Aile ,l'Armentières, Chargé du cours de mcdee. ment , à lu Faculté de Lille. et L. DCiBAIt, (d
. patrons, il ne buvait pas, se conduisait bien. Il part au régi- ment , fait un an de service (soutien de famille), s'y
l l'épelle cependant très bien, et la difficulté consiste simple- ment pour lui à retrouver les mouvements nécessaires p
MENTALE. paralysie flasque du bras droit s'installa progressive- ment , accompagnée d'anesthésie absolue du membre. Ju
voudrions cependant pas manquer de faire ressortir le rapproche- ment que l'on peut faire entre la monoplégie droite,
s'accom- pagnent de dépression et d'anorexie ; on élimine facile- ment les cas d'excitation et de paralysie générale.
lLAfJAC. - Comm. au Congrès de la tuberculose, 1905. (2) Journal of ment , science, oclobre 1897. la tuberculose dans L
roportion de malades curables au point de vue psychique ou telle- ment affaiblis qu'ils sont les plus exposés à la conta
es dès main- tenant réalisables ne sera pas par lui-même entière- ment suffisant, en raison de la faiblesse d'esprit des
a bacillose dont le rôle est nettement établi, interdiction pour la mente raison des animaux domestiques dans les quartie
s femmes dans un bois de pins; tous deux sont construits entière- ment en tuiles, sur un sol sec dont ils sont séparés p
en étu- diant ses résultats dans un pays où il est parfaite- ment organisé, la Belgique. On sait quels sont,
malades « peuvent respirer « un air abon- « dant, constam- « ment renouvelé, « pur et ils peu- « vent se prome-
peut ne rencontrer dans la cellule que. peu de granulations licite- ment colorées..1. S. XXXIX. -- Un cas de chorée de H
ue le principe actif que l'on rencontre dans le sérum est intime- ment lié aux corpuscules du sang, et que la plus grand
sche med. 1Vochens- ch., 190ti, n° 32 et Bacll, de la Soc. de nxéd, ment , de Belgique, 1906, n° 128). Le cerveau de Mo
[ paires, respecte les noyaux oculomoteurs.Dans Il moelle, notam- ment au niveau des renflements cervical et lombaire, l
\. On voit par ce simple aperçu que l'auteur étend considérable- ment les limites de l'irrégularité et que les irréguli
siet près du Caire ; 12 % des malades traités dans cet établisse- ment sont syphilitiques (soit 79 sur 561 admis en 1901
as été possible à Marie de déterminer l'âge de la syphilis au mo- ment du début de la P. G. ni l'âge delà P. G. au momen
la mélancolie ; que ces résultats curatifs se produisent générale- ment dès les premiers temps de l'admission à l'asile e
s la distribution des emplois, avec l'organisation d'un enseigne- ment professionnel et moral dans les milieux d'hospita
ard est âgé de 40 ans, sa femme, Morencé. Ursule, en a 36. Au mo- ment où les magistrats quittaient Lavaré, celle-ci par
l- lait et aidait à habiller les autres enfants, mais maladroite- ment et lentement. Pas d'onychophagie. (Fig. 30.) II
maintenu constant- IMBÉCILLITÉ P.IONO=-CI : E CONGÉNITALE. 441 ment au chiffre de 2-1 kilogs. Pendant toute la durée
organe. Nulle part on ne trouve de points évidents de ramollisse- ment ou de caséification. Risiologiqiiement, on ne tro
e. Guérison de l'aphasie totalement pour le français, incomplète- ment pour l'allemand. De l'étude de l'aphasie et du
la rééducation de la volonté je fais toujours une part au traite- ment de la timidité. Par des exercices spéciaux j'entr
prostitution, et le concubinage vénal. La prostitution est longue- ment critiquée ; l'Etat ne devrait pas la réglementer
Tannée, nous prions instamment nos souscripteurs, dont l'abonne- ment cesse à cette date, de nous envoyer leplus tôt po
ourbes. FER. Voir Neurasthénie. Fibres nerveuses. Le développe- ment des nerveuses péri- phériques et centrales dans
\IÉNINGO-r.-NC&#x20AC;rIInLITE, voir Pa- ralysie générale. mente . Voir 1110 ? sen. Méthode HYPNO-PÉDAGOG1QUE,
5 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rtige marin. Avec la table à vivisection nous avons obtenu seule- ment des mouvements antéro-postérieurs. Mais ce n'ét
re au moment de tempête pendant laquelle se produisent des mouve- ment de tangage (antéro-postérieurs), ou de roulis (la
érieures sont fixées également et de la même manière à l'entable- ment inférieur, qui supporte tout l'appareil à l'aide
ion devient fréquente-, les oreilles se dressent; un léger tremble- ment apparaît. Alors nous le plaçons par terre. Le t
vation abondante ; la salive était alcaline et coulait continuelle- ment jusqu'à la fin de l'expérience. Avec la salivatio
alement; en- fin, les deux cin- quièmes repré- sentent le mo- ment où la tête était en bas, pour recommencer une
balancement, le chien (t eu de la salivation ; bien que le balance- ment aitduré une heure, le chien n'a pas crié, il n'a
e l'appareil. Nous n'avons pas pu étudier l'influence du balance- ment sur les mouvements du cerveau et du liquide cép
rmal et fin. Des attou- chements légers sont bien sentis etjuste- ment localisés. Le sens musculaire est conservé. L
douleur et la sensibilité électro-musculaire restèrent sans change- ment . L'anesthésie thermique occupa peu à peu une régi
AIRE. 29 et l'avant-bras droits, peut-être est-elle aussi légère- ment abaissée. Dans la sphère d'analgésie complète a
cement du traitement son état allait en s'améliorant continuelle- ment . Tout d'abord les céphalalgies devinrent plus rar
des localisations dans l'é- corce des hémisphères du cerveau. (Rev. mens , de méd. et de c/t ! ) ? 1877.) Nouvelle contri
Nouvelle contribution à l'étude des localisations motrices. (liev. mens ., nov. 1878.) ! Hallopeau et Girodeau. Encéph.
lopeau et Girodeau. Encéph. 1883, p. 331. 3 Charcot et Pitres. Rev. mens . 1877-78. G. Ballet. Arch. de Neurol. 1883, V.2
l'hémia- nopsie, qui peuvent cependant aussi se présenter séparé- ment , « le lobule pariétal inférieur étant d'ailleurs
edie. Presse, 1878, Observât. II), cité par Charcot et Pitres. Rev. mens ., nov. 1878, fév. 1879. . Ferrier. Localisation
ndouzy. In Arch. gén. de 2 ? zéd., 1877. Charcot et Pitres. / ! eu. mens , de méd. et de chir., 1877-78, in loc. cil. t
nérescence et d'un pronostic très grave. Ailleurs (Traité des mal. ment ., 451), il dit que les phénomènes d'extase et d
tère. Mère, nerveuse sans attaques, intelligence faible, tremble- ment de la tête. Pas de consanguinité; pas de renseign
ments, résiste à la sonde, qu'elle avait d'abord acceptée passive- ment . 97 août. Elle dit : « J'ai la fièvre typhoïde,
similé1 : 15 janvier 1886. Elle mange un peu, mais du pain seule- ment , qu'elle achète à mesure; elle travaille un peu e
lors que deux impressions tactiles continueront à être simultané- ment distinguées. Le mécanisme de ces perturbations se
côte plusieurs excitants. Pour M. Stern, l'ataxie serait générale- ment due à une altération des fibres motrices centrifu
s observations propres à l'auteur. Nous signalerons particulière- ment : l'Oss. I : contracture survenues dès le cinquiè
l'appui de la théorie de Broadbent et Ross; l'OBs. VI : tremble- ment posthémiplégique; l'auteur n'aurait rencontré ce
e- ment posthémiplégique; l'auteur n'aurait rencontré ce tremble- ment qu'une fois sur trente cas; l'OBs. VII, hémichoré
est plus riche en hypothèses qu'en faits positifs. Quant au traite- ment du symptôme, le plus rationnel est l'électrisatio
antérieurs et latéraux des pyramides, mais atteignant plus facile- ment les cordons latéraux qui relèvent du cervelet. Da
. LI.) Un homme de quarante-trois ans, atteint de crises extrême- ment violentes, de douleurs fulgurantes d'origine tabé
Quatre observations. Ici le déliré fut, d'après l'auteur, absolu- ment différent de celui qui appartient à la narcose, à
sécutions apparaît de trois façons différentes : soit par raisonne- ment syllogistique ; soit brusquement sans raison appa
cette façon, il y a trois mois et demi. Ce dernier présente exacte- ment les mêmes phénomènes que ceux que l'on observait
urne). Symptomatologie. Proéminence des globes oculaires qui aug- mentent de consistance; dilatation maxima des pupilles. P
triceps fémoral, à la suite desquels on put suivre le développe- ment de l'atrophie. On eut cliniquement affaire à une
colonnes de Clarke, pour la plupart situées en dedans, sont nette- ment moins abondantes ; l'analyse delà préparation 'pe
dit certificat de vingt-quatre heures : 1° au préfet du départe- ment où l'établissement est situé, qui transmet sur-le
qui a préparé le projet du Gouvernement en 1871, et le Gouverne- ment à sa suite, tout en rendant justice aux auteurs d
icle )4 du projet primitif, qui correspond à l'article 20 présente- ment en discussion), renferme l'innovation essentielle
ngs débats, une forte majorité, lorsque le gouverne- - t06 SÉNAT. ment a eu consenti à des modifications notables de son
sées, elle pourra avoir la pensée de recourir elle-même directe- ment à la science médicale ; elle voudra avoir une exp
sans ces interventions de la magistrature qui ne servent absolu- ment à rien dans une foule de circonstances; on l'obse
a conscience d'affirmer une doctrine juste en elle-même et seule- ment nouvelle ou inappliquée jusqu'ici. J'ai donc beso
he, se proposait de reprendre devant le Sénat, par voie d'amende- ment , l'opinion qu'il n'avait pu faire adopter par la
. Ah ! messieurs, le bon sens, une raison droite, ce sont assuré- ment des qualités sans prix dans la conduite de la vie
travers les écueils dont elle est hérissée et de le conduire sûre- ment au port. Messieurs, votre commission était trop
s consignées dans le travail de l'honorable M. Roussel, le mouve- ment annuel des entrées dans les hospices varie beauco
e qui est traitée très en détail et dans laquelle il résume claire- ment toutes les opinions et les travaux des auteurs, t
déterminantes de l'épilepsie partielle ne siègent pas nécessaire- ment au niveau des centres moteurs correspondant aux m
telligence, l'émotion et la volonté. L'auteur examine successive- ment l'influence que peut exercer chacun de ces trois
ie nombre d'observateurs. La thèse de M. Bataille a particulière- ment en vue de chercher à déterminer le rôle du trauma
siauve ; de plus, M. Brown-Sequart a pu déterminer expérimentale- ment des atiaques épileptiques par des excitations pér
1° A l'hôpital Sainte-Marie d'Angers, il y a trois loges suffisam- ment vastes et à proximité du bâtiment des épileptique
nne, est nommé médecin en chef du même établissement en remplace- ment du Dr Dagonet, admis sur sa demande à faire valoi
nt exposées et sans précision de quatre malades, dont deux seule- ment ont été observés par l'auteur; les histoires des
cerveau et à la moelle épinière et amène la mort soit immédiate- ment , soit quelques heures après » ; pas d'autopsie.
uelque chose d'anormal. Cinq minutes environ après son dépouille- ment , il est pris tout d'un coup d'une douleur atroce,
cas de mauvais temps. Ces vertiges peu à peu augmentèrent telle- ment d'intensité que le malade, ayant essayé de se ten
plète des membres inférieurs. Ses membres étaient devenus telle- ment insensibles que ses compagnons lui enfoncèrent un
complète : l'urine coulait goutte à goutte et mouillait constam- ment le malade. Il en fut de même pour le rectum.-A la
placé la rétention a été définitivement guérie. Mais malheureuse- ment , de retour à son pays, il renonce à la compressio
. Il y a une exagération manifeste de mouvements réflexes facile- ment constatable par les diverses excitations de la pe
s. Le 26 janvier 1874, il a pu marcher à l'aide d'un bâton seule- ment ; mais ses pieds étaient toujours très lourds et
n peu plus fortes à gauche. Il a aussi des secousses qui le tour- mentent surtout la nuit. Il y a une dyscampsie des articu
e. La sensibilité examinée sous tous ses modes et très soigneuse- ment , a été trouvée parfaite. Pas le moindre trouble
de fatigue. Le malade affirme que plusieurs fois déjà, antérieure- ment , il avait fait des immersions dans les mêmes cond
oujours assez courtet enfin son incontinence continuait invariable- ment . Là, cette amélioration très lente, mais enfin pr
purgatifs drastiques (huile de croton). La paralysie était à ce mo- ment améliorée parce qu'il pouvait faire quelques pas,
après son accident, le malade est pris de douleurs générales telle- ment fortes qu'il poussait des cris horribles; ces dou
t. A son réveil, 7 heures du matin, il voit avec un grand étonne- ment que ses membres inférieurs sont complètement para
partie inférieure du tronc jusqu'aux côtes, aurait été complète- ment abolie. C'est à peine si le malade avait le senti
ie des quatre extrémités. Le 7 mai, la malade a recouvré entière- ment la motilité et la sensibilité de ses membres supé
ité de ses membres parétiques aurait été assez diminuée. A ce mo- ment ,pas d'autres symptômes quelconques, de sorte que
it au point que deux de ses compagnons ont dû le maintenir forte- ment pour qu'il ne se fit pas du mal. Au bout d'un qua
: immobilisation complète ; anesthésie. On le sondait régulière- ment . Lavements purgatifs. Le 29 mai, un léger chang
té qui fait que tous les objets paraissent se mouvoir. A propre-, ment parler l'étourdissement n'est autre chose qu'une
et très mar- quée à la partie supérieure du ventre. Ce développe- ment est brusque et énorme dès le premier moment de
nt plutôt une complication accidentelle et paraissent habituelle- ment à une période plus tardive. Non seulement ils n
ux endroits (OBS. III) et peuvent probablement exister simultané- ment dès le début de la maladie (OBs. IV). Enfin, dans
fections de la moelle épinière et obscurcir ou détruire complète- ment le tableau caractéristique de la maladie. Schup-
tretenant ces douleurs, dont le caractère central est habituelle- ment évident. La continuité des douleurs est différe
accentuée et plus subite dans l'inclinaison que dans le soulève- ment du navire ; ces mouvements de la tête sont suivis
lant beaucoup ; il sait épeler, sait encore écrire, mais illisible- ment ; il connaît les chiffres. L'enfant mange assez p
né- galité pupillaire et blépharile ciliaire. Pas de tremble- ment de la langue ni des lèvres. Parole réduite au
maux, iris bleu; nez petit.. bouché, 4 centimètres, lèvres moyenne- ment épaisses; oreilles bien développées, détachées; l
on au début. Les coupes du cervelet droit, examinées comparative- ment avec celles du côté gauche n'ont pas paru présent
e ces zones de l'écorce cérébrale est l'aboutissant ' Grasset. Rev. mens . (Fév. 1880, 161.) ' R. Tripier. Rev. mens. (Ja
issant ' Grasset. Rev. mens. (Fév. 1880, 161.) ' R. Tripier. Rev. mens . (Janv. et fév. 1880.) 3 Ballet. Voir les Reche
s, 1881, et art. Sensibilité du Dict. Dech. Charcot et Pitres. Rev. mens . Se mémoire (1883). 4 Du reste, nous verrons da
ascendante (PL. I, fig. i, vert) partent les fibres essentielle- ment motrices formant ce faisceau et qui vont : Dans
rt). Dans la capsule interne, le faisceau géniculé occupe exacte- ment le genou delà capsule, d'où son nom (PL.. I, fig.
1 volumineux, ne s'entre-croise pas, et suit un trajet verticale- ment descendant dans le cordon antérieur de la moelle
- laires moteurs du bulbe et de la moelle. » Mais c'est certaine- ment la méthode anatomo-clinique, qui a donné toute sa
destructive et non simplement irritative, pour qu'il soit nette- ment établi que la suppression de la fonction répond b
ncéphale du Dict. Dech. Charcot et Pitres, série de mémoires. Revue mens . 1877, 79, 83. Ci. de Boyer. Th, citée. . DE
s. FIG. 3. Coupe de la moelle immédiatement au-dessous du renfle- ment brachial. 1, 1 ; cordon de Turk ou faisc. pyramid
longée; or, le système musculaire du sujet observé était absolu- ment normal. D'autres considérations physiologiques on
s s nettement accusés de manie épileptique, on constate générale- ment l'absolu défaut de tout motif ou de toute cause d
es cellules nerveuses qui se distinguent par un protoplasma fine- ment granuleux, se colorant faiblement par le carmin,
ée, la disposition simiesque des lignes temporales, le développe- ment disproportionné de la face et spécialement de l'a
forces correspondantes. L'idéal, c'est qu'il reconnaisse spontané- ment la fausseté des conceptions délirantes dont il se
tion scientifique. Enfin en France, tout récemment, le gouverne- ment a fait demander leur manière de voir à tous les d
n succès; une instruction officielle prescrivit l'action ou l'agré- ment de la police non seulement du lieu même de l'asil
senterions au Playsihus préposé à la surveillance de l'établisse- ment . A quoi bon s'adresser au lieu d'origine du malad
en, sans aucun médicament; aspect de la santé, activité, tremble- ment des mains : faradisation au pinceau salutaire sur
soixante grammes derhum qui constituaient le véhicule du médica- ment ne sauraient avoir agi comme toxique sur un sujet
subsiste toujours, et que l'honorable M. Combes vous a parfaite- ment dépeint, en confiant le soin de statuer définitiv
que par les dispositions que vous prenez. Mais il le sera pleine- ment , et, quand il aura été assez éclairé, je suis bie
disait pas cela, notre amendement ne dit pas cela; c'est absolu- ment l'amendement de l'honorable M. Bardoux, sauf une
rons dans le cours de cette étude ce qu'il faut en penser réelle- ment . Huit observations de délire communiqué que nou
e. Il est rare pourtant que les deux malades reproduisent exacte- ment la même physionomie; en d'autres termes, le dél
ar exemple, ces attentats criminels qui se produisent si fréquem- ment avec le vitriol depuis que le procédé a été ima-
Ce fait ré- sume dans sa simplicité tous les cas rangés communé- ment sous la rubrique : délires communiqués. Il est
xister qu'en vertu de ce fait que l'homme prête assez générale- - ment une oreille complaisante aux souffrances d'au-
sortes de vexations, qu'elle est obligée de subir, et conséquem- ment , on l'a plongée dans la plus noire misère. Des in
que la malade elle-même distingue très bien d'autres rires égale- ment inextinguibles, mais motivés par une hallucinatio
toire des engains, mais elle est trop compliquée pour son entende- ment ; à défaut de comprendre, elle croit aveuglément;
ANDRES. 355 c'est-à-dire pendant un temps suffisant au développe- ment des symptômes spastiques, presque 'toutes ces p
diques. Nous croyons pouvoir considérer cette loi comme complète- ment acquise : nous pourrions même la prolonger au d
ar le cha- touillement de la plante des pieds, se trouvent égale- ment avoir augmenté plus ou moins d'intensité. 2). E
es; tôt ou tard l'épilepsie spinale fait son apparition. A ce mo- ment , il est presque inutile d'ajouter que les réflexe
otre examen, les allures de la démarche spasmodique sont extrême- ment légères et bornées seulement au membre droit. L
l'affection; le malade fut complètement guéri. Il en est exacte- ment de même pour le malade de l'OBSERVATION XIII qu
u, seigle ergoté, hygiène. Etat du malade le 2 juin 1884. Amende- ment considérable des symptômes spasmodiques qui sont
ec la même fréquence et la même intensité. En outre, au commence- ment du mois de mars, le malade a commencé à souffrir
e malade est aussi très content,d'être débarrassé de ce chatouille- ment de la plante des pieds qui lui était si désagiéab
minutes, de préférence la nuit; la droite surtout s'agite fréquem- ment de mouvements convulsifs rythmiques, qu'on peut f
uit plus cette sensation de picotements d'aiguilles, mais un senti- ment très désagréable de tout le membre et que le mala
'étendre alternativement. Quand il est au lit, il est pris fréquem- ment de contractures passagères : ses jambes se raidis
inférieurs qui prédomine à droite. La marche du malade est nette- ment spasmodique, il s'appuie un peu plus sur le pied
ERVATION XIX. Nous ferons la même remarque qui a déjà antérieure- ment été faite, que le trouble de ce malade consiste
on présentée par le malade de I'Observation XVI et due au gonfle- ment de l'estomac coexistant. La deuxième catégorie
on de la para- plégie elle-même. Nous avons à étudier successive- ment et brièvement son mode d'invasion et ses symp-
ités (des fentes) ne s'observaient que par places dans le renfle- ment cervical. A l'exception d'un cas de Schultze, l
s les cor- dons blancs; si avec cela existait toujours parallèle- ment la lésion du sens de la température et de dou-
sur ce point. Nous avons vu (OBSERV. VI) qu'un tableau précisé- ment pareil - la thermanesthésie partielle delà partie
- phie cérébelleuse trouvé la protubérance et le bulbe concurrem- ment intéressés et, à part cela, nous savons que tels
puis jusqu'à vingt fois. Ces crises s'accompagnaient d'un mouve- ment de rotation de droite à gauche, mais quelquefois
uche et la moitié correspondante de la protubérance étaient légère- ment atrophiés ainsi que la pyramide et l'olive droite
mouvement de manège du côté opposé à la lésion. « Dans ce mouve- ment de manège, l'animal décrit un cercle de rayon v
nt plus difficile que les altérations du cervelet peuvent facile- ment retentir sur les organes du voisinage (bulbe, m
eux bruns-z·oux ou blonds-roux, gros, rudes et rares, principale- ment sur la région moyenne de la moitié antérieure de
val. XX. Nouvelle méthode DE déterminer ET d'éprouver judicieuse- ment LE SENS DE LA 'PE11L'1 : I1.1TUftE; par A. GOLDSC
e dépasse pas la couche optique, qui même peut se limiter au seg- ment postérieur de la capsule interne (entre la couche
tions en pleine crise interrompent les contractions qui, inverse- ment , se peuvent montrer au milieu du sommeil nocturne
celle malade, qui a été antérieurement très agitée, est actuelle- ment calme dans la journée ; le soir elle se couche tr
SITÉ D'UN TRAITEMENT HOSPITALIER POUR LES C\S curables d'aliénation ment \le, par S ? 1.-Ii. STIt.\U.\N, (Tlte Jozwnactl
- sements d'Etat en hôpitaux d'aliénés (établissements de traite- ment ) et asiles (établissements de conservation). On a
e espèce d'avantage Je vous conseille donc de voter notre amende- ment , qui consiste tout simplement dans un seul retran
ose. D'accord avec le gouvernement, elle estime qu'il est absolu- ment impossible de donner au médecin, qui est souverai
gement de ces affaires sera plus facile et plus prompt que le juge- ment des affaires rendues en police correctionnelle.
otification doit avoir lieu dans les vingt jours à partir du place- ment provisoire, moins que la chambre du conseil, esti
avoir là-dessus l'avis autorisé de M. le commissaire du Gouverne- ment . Je voudrais qu'il nous d11, s'il ne recule pas
! Mon cher collègue, ayez la bonté de suivre un peu mon raisonne- ment . J'ai une grande déférence pour votre opinion, ma
pas donné des signes d'aliénation mentale, évidemment; mais com- ment voulez-vous que, séance tenaille, on statue sur u
jugement d'homologation. Y a-t-il grand intérêt à ce que ce juge- ment d'homologation soit rendu ? C'était une question,
rer contradictoirement dans un jugement statuant sur son interne- ment dans une maison d'aliénés. Ce jugement, il est vr
vient d'apporter à cette tribune. Notre pensée, quia été parfaite- ment conforme au déir qui nous a été exprimé par le pr
organisez tout un système de procédure, vous enrayez nécessaire- ment le tribunal dans l'accompplisement de son devoir
presque toujours plus tôt. Chez l'adulle, elle se prolonge nette- ment sur le lobule orbitaire. En s'y réunissant en un
té crânienne, asymétrie faciale, prosnatisme, arrêt de développe- ment des membres, pied bot, lésions des organes génita
Du délire des grandeurs. Etude séméiologique. Texior : Du traite- ment de la chorée par l'antipyrine. Fourrier : Respira
es fonctions de médecin adjoint dans cet établissement, conformé- ment aux dispositions des articles 3 et 4 de l'arrêté
s. FiG. 3. Coupe de la moelle immédiatement au-dessous du renfle- ment brachial. 1, 1 ; cordon de Turk ou faisc. pyramid
6 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
réveille-t-il pas aussitôt que l'accident se produit ? Non seule- ment il n'est pas réveillé à ce moment même, mais enco
- trôle de leur personnalité consciente faiblement et imparfaite- ment constituée. Les enfants menteurs répondent à ce t
s, croit en réalité qu'il urine plus que normalement. L'enchaîne- ment logique des choses doit le conduire plus tard à l
la guérison survient d'elle-même après la suppression du traite- ment qui n'a paru donner aucun résultat. Il faut aussi
mère me l'amène parce qu'étant dans la misère, elle ne sait com- ment parer aux conséquences désastreuses pour elle de
r. Observation VI. L. V..., fille de treize ans. Aucun renseigne- ment sur sa famille que je n'ai vue qu'une fois et que
bilité du sujet chez qui la suggestion fait disparaître successive- ment l'incontinence et la pollakiurie et enfin supprim
malade s'est pendu; il était très hypocondriaque, et fut profondé- ment affecté de l'état de son fils. Dès sa jeuuesse,
teste de son innocence. Nous lui demandons si on l'accuse réelle- ment , s'il entend qu'on lui adresse des reproches. 11
garde déchire une manche de sa chemise, aussitôt il se plaint vive- ment de ce que cet homme s'est déchiré pour faire croi
ac- tion. » Puis, s'adressant à sa soeur : « Ne les crois pas, ils mentent . Ils m'accusent parce qu'ils veulent me tuer. I
préfère des bâtons. C'est seule- 38 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment vers cette époque que la malade commença à parler
loureux épiglottique, anesthésie bucco-pharyngienne, rétrécisse- ment du champ visuel, etc. Traitement : potions et pou
es obsessions, cette dernière étant liée à l'hystérie plus étroite- ment qu'on ne croirait. Dans le second groupe, on trou
e autre personne, et la période de la vie qui renferme cet événe- ment funeste est la première jeunesse, les années jusq
4.) Flechsig a fait connaître en 1893 un nouveau mode de traite- ment de l'épilepsie basé sur l'administration de l'opi
le bromure : deux n'ont pu tolérer l'opium, cinq ont vu complète- ment disparaître leurs attaques, huit les ont vu dimin
onné. Plus loin on verra que nous attirons l'attention non seule- ment sur la topographie de ces faisceaux, mais aussi s
ns pas d'expliquer tous les faits disparates signalés antérieure- ment et qu'on pourrait nous opposer. Il en est en désa
niveau de la sixième dorsale la dégénérescence descend manifeste- ment presque dans le cône terminal en se groupant près
ine. Peu de lésions nerveuses sont d'un diagnostic plus générale- ment obscur que la pachyméningite hémorragique cérébra
eur de l'examen des phénomènes ; mais il a dû dégager minutieuse- ment les conditions différentielles de la paralysie ag
normal il est pâle et exsangue et parait avoir subi un commence- ment d'atrophie en masse, mais ne montre pes trace de
tteint, ni de manie, ni de mélancolie, ni de paranoïa, il a simple- ment agi sous l'influence d'une impulsion éclose subit
par elle-même. Elle perd de suite la force directrice, naturelle- ment bien faible d'ailleurs, qu'elle possède sur ses d
es aliénés traités dans des familles étrangères doivent être égale- ment surveillés. La visite régulière des asiles privés
: épaississement des méninges, augmentation du tissu de soutène- ment avec diminution du nombre des vaisseaux dans les
générale. Il importe seulement de s'assurer de l'état de relâche- ment complet des muscles. M. IIIOELI insiste sur ce
de plus pour attacher grande importance à son mode de développe- ment et à sa quantité. En effet, l'intensité et l'exte
Le mot de « querulantenwahn » (délire des quérulentsj est évidem- ment mauvais, et je ne l'ai point employé puisqu'il n'
ment, c'est plutôt un simple affaiblisse- '1JO SOCIÉTÉS SAVANTES. ment intellectuel qu'une extinction des facultés. Il n
imprime d'une lare ineffaçable tout individu qu'elle frappe. Com- ment l'expliquer ? Beaucoup de théories ont été propos
analomique, rue Lionnois, 23, où le secrétariat se trouvera égale- ment transporté pendant la durée du Congrès. Le progra
de remise individuels. Ils sont priés de se conformer très exacte- ment à ces indications et de se hâter d'envoyer leur n
gement gaslro-inleslinal dès longtemps réfractaire à tout traite- ment et qui n'a cédé qu'aux grands lavages du tube dig
Cette tendance serait singulièrement renforcée par le développe- ment des études biologiques. « 3° Tout en nous effor
e soient ces exercices, ils devront toujours être exécutés lente- ment , aussi régulièrement que possible et d'une façon
our se tourner, etc. De là une analyse détaillée de chaque mouve- ment , que le malade aura à exécuter. Pour obtenir des
échi. ? 5° Adduction et abduction de la cuisse. Pendant ce mouve- ment ? 3 genou est fléchi, la plante du pied repose su
, Les exercices au lit constituent la première partie du traite- ment par la méthode de Frenkel. Chez le tabétique qui
ne marche plus, la période des exercices au lit durera naturelle- ment plus longtemps que chez celui qui marche encore.
une marche de plusieurs kilomètres. Le D'' Frenkel nous a récem- ment montré une tabétique qui pouvait sans éprouver au
ion du symptôme le plus gênant de sa maladie, on triomphe rapide- ment des troubles neurasthéniques qui compliquent et a
on- dition qu'on n'institue pas le traitement en plein développe- ment rapide de la maladie, on verra que dans les cas d
ur. Toujours douloureuse, cette sensation est cependant différem- ment traduite par les malades. Le plus souvent c'est u
ou- loureuse, provoquée par la friction ne disparaît pas brusque- ment , mais persiste pendant quelques instants et ne s'
d'urine' Indications ET contre-indications. - Il serait certaine- ment encore prématuré de poser actuellement les indica
importe alors le degré d'ataxie. Il n'y a que la durée du traite- ment qui sera plus longue, si l'incoordination est plu
noncée. Dans l'observation III il fallait plus d'un an de traite- ment pour que la malade réapprenne à marcher. Toutes
kel. Parmi les troubles propres au tabes qui défendent le traite- ment de Frenkel nous devons placer en première ligne l
y a pas de blépharoptose. Les pupilles sont moyennement et égale- ment dilatées des deux côtés. Elles réagissent bien à
thésie rétinienne. A l'ophtalmoscope, papille normale. Rétrécisse- ment du champ visuel. Les tracés pris à l'appareil enr
médiane de la bandelette se fonce; les bords sont plus manifeste- ment rouges. Il y a déjà légère surélévation. Au bout
Elles sont sujettes à des crises paroxystiques de sueurs, égale- ment bilatérales. Le malade ressentirait à certains mo
paralysie '. Nous prions instamment nos lecteurs dont, l'abonne- ment est expiré depuis le 1er JUILLET, de bien vouloir
as vous infliger un discours où mon incompétence tenterait vaine- ment d'aborder les redoutables problèmes réservés à vo
même des choses. Scientifiquement elle est irrationnelle. Pratique- ment , elle aurait pour résultat, si elle était rigoure
Les aliénistes qui étaient restés jusque-là étrangers au mouve- . ment qui se passait auprès d'eux, commencèrent à se pr
é- ciable ou bien à l'occasion d'une émotion, d'un léger abaisse- ment de la température; ils ne s'accompagnent d'aucune
r- mine une tache blanche et un godet qui s'effacent assez douce- ment ; la température des membres atteints est abaissé
S. montrer parfois mais il est plutôt rare. Si l'on couvre forte- ment les extrémités atteintes, le refroidissement et l
aussi de savoir dans quel cas le tremblement est un symptôme pure- ment fonctionnel, dans quel cas il est la manifestatio
ux. M. Régis va plus loin que-M. Parant et estime que le tremble- ment lent de la langue est pathognomonique de toutes l
de l'arracher, l'expérience n'est pas suffisamment faite relative- ment à l'utilité des visites à volonté sans aucune rés
on de conceptions morbides, alors que celles-ci se cachent seule- ment . IX. - La diminution constatée, ces dernières a
fférents. La distinction que je réclame cxiste d'ailleurs pratique- ment eu Angleterre et en Ecosse, dont l'exemple est si
troubles de sensibilité de la zone gastrique, et par le retentisse- ment de toutes les impressions digestives dans le cerv
les époques de la maladie. Il y a plus qu'on ne le croit générale- ment de difficultés de diagnostic entre la neurasthéni
comme un supplice de tous les instants, qui empoisonne littérale- ment leur existence. Aussi ces malheureux ne vivent pa
a- mée, ne se sentant pas amélioré, désire maintenante un change- ment de cerveau, une extraction de cerveau ». L'obse
l'hystérie, que nous avons pu obtenir quelque résultat du traite- ment en particulier par la médication psychique. Chez
bègues, objectif de sa longue et opiniâtre odyssée ; malheureuse- ment il ne fut pas en mesure de réaliser les condition
de l'histoire pathologique de ce malade, sontintimement et unique- ment liés, ainsi que nous l'indiquions au début de cet
ront se plisse, attirant en haut les sourcils, le droit principale- ment , la lèvre supérieure est soulevée par les zygomat
s aux pieds qui, tour à tour, étendus ou fléchis, portent bruyam- ment contre le sol, tantôt par la pointe, tantôt parle
fin le fait que les mouvements volontaires font cesser immédiate- ment les convulsions dans les groupes musculaires qui
et comme dans cette dernière affection ils ont un sens et expri- ment la tendance à des mouvements coordonnés. Le ter
ta- bleau clinique présenté par le malade K..., éveille logique- ment par certains traits, certaines ressemblances, l'i
ieure de cette circonvolution. Dans le type brachial, le rayonne- ment de l'onde envahit d'abord la face, dont le centre
uffisantes en quantité, qualité et variété, pour satisfaire pleine- ment aux besoins des pensionnaires; les facilités pour
ger des cuisiniers d'ordre supérieur à ceux qu'on emploie actuelle- ment ou conseilleriez-vous un chef qui surveillerait e
? L'un était-il beaucoup plus âgé que l'autre ? Leurs âges au mo- ment du mariage ? Avaient-ils ou venaient-ils d'avoi
? Y Le naturel du malade était-il variable parfois ou périodique- ment ? avec ou sans raison ? à quelles occasions ? S
3. Les facilités spéciales, structurales ou autres, pour le traite- ment des cas aigus, paraissent généralement assez médi
firmes et de pensionnaires payants. Le reste travaille volontaire- ment (126 hommes et 131 femmes sur un millier de malad
ais d'ignorance. S'ils daignent jeter un coup d'oeil sur le docu- ment qui précède, peut-être seront-ils plus réservés d
eure. Elle peut être limitée à ces seules régions, mais habituelle- ment elle gagne le membre inférieur et souvent alors e
re- mier symptôme est le symptôme douleur. Cette douleur va rare- ment en s'aggravant. Du reste les douleurs et les anes
la cuisse et de la fesse gauche se manifestant au moindre attouche- ment . Anesthésie du périnée et de la face interne de l
L'hyperesthésie est excessivement développée, le moindre frotte- ment l'exaspère, alors que parfois une pression large,
rit sans accident, les douleurs disparurent rapidement et rapide- ment aussi le membre se remit à fonctionner normalemen
par la réaction inflammatoire. La substance grise est particulière- ment désorganisée par les tumeurs qui occupent son épa
mps diverses autres lésions syphilitiques, des arrêts de développe- ment par exemple, mais c'est surtout l'hépatite inters
se collecter et à aboutir aux gommes. De plus il se joint probable- ment de l'artérite gommeuse proprement dite. En somme,
sont ces propositions que l'auteur veut contrôler expérimentale- ment . Il a, pour cela, institué une série d'expérience
e frayeur : hémiplégie avec anesthésie du côté gauche et tremble- ment du membre supérieur également du côté gauche. Pui
ue. En résumé, dans le premier cas la guérison est due au change- ment de milieu et à l'isolement, un long voyage y est
myélile. L'auteur explique comment ou peut comprendre anatomique- ment la propagation de la lésion des noyaux moteurs su
deux bras, surtout le gauche, ne peuvent être soulevés volontaire- ment . Le cou est un peu rigide. Les muscles deltoïdes
éprouvait des douleurs dans les bras et elle n'ouvrait plus facile- ment les mains. A l'examen actuel, à la clinique : mai
rurent progressivement dans les membres inférieurs, plus rapide- ment à droite qu'à gauche, le septième mois tous les t
fibres nerveuses avec un peu d'épaississement du tissu de soutène- ment . Ce n'est pas cependant une véritable sclérose. L
des altérations fines et primitives de la cellule. Ce sont précisé- ment ces altérations fines et primitives que l'auteur
longueur. L'expression clinique de cette forme, c'est l'amaigrisse- ment rapide, les secousses fibrillaires et la réaction
5.) Cinq observations de malades auxquels après avoir successive- ment réséqué plusieurs branches du trijumeau, on dut r
Je ne fais que signaler ces différents paragraphes, très complète- ment Iraités, dont la lecture est des plus utiles au p
blements des trémulations et des frissons. Il distingue le tremble- ment en général et partiel; parle du tremblement congé
dérations sur le diagnostic différentiel, le pronostic et le batte- ment des tremblements. IIL\1\1E ELMEDICI. VARIA. A
Nous rappellerons que la cotisation annuelle est de 1 franc seule- ment . La séance a été terminée par une conférence chal
e- ment. La séance a été terminée par une conférence chaleureuse- ment applaudie, faite par M. mariner, professeur à l'é
opportun, aurait évité ces graves accidents. On conçoit difficile- ment que cette mesure n'ait pas été prise plus tôt.
et à la marche, les progrès sont plus lents. Ce n'est que pénible- ment et grâce à une énergie et une intelligence vraime
dix-sept ans (chancre, roséole), suit pendant trois mois un traite- ment mercuriel. Début de la maladie. En août et sept
ne l'a pas empêchée d'exercer sa profession. Les yeux sont facile- ment larmoyants. Du côté de l'ouïe quelques troubles s
deux ans et demi, excès vénériens dans des conditions particulière- ment anormales (coït debout). Début du tabès. Il y a
s les avant-bras et dans les bras. Fourmillements et engourdisse- ment dans les doigts et les mains. Etal actuel (le b
une jambe se lève malgré lui. Le corps reste en arrière. Brusque- ment le corps est repoussé par un mouvement de ressort
e. ' Extrémités supérieures. Les mains sont agitées d'un tremble- ment aussitôt qu'il fait un effort quelconque ou s'il
bien senti sur toute la surface des jambes, le chaud moins nette- ment . Phénomène plantaire. La friction rapide avec l
jambe d'une seule pièce, jette le pied en dehors et frappe lourde- ment du talon le sol. Les réflexes rotuliens et plan
L'arthropathie du genou gauche n'a pas été modifiée par le traite- ment . L'anesthésie tactile des jambes s'est un peu amé
ien les couleurs. Les pupilles sont égales des deux côtés, moyenne- ment dilatées et réagissent, quoique lentement, à la l
. Les réflexes rotulien, plantaire et crémastérien sont complète- ment abolis. Les organes thoraciques et abdominaux n
leurs fulgurantes dans les intestins. En même temps : affaiblisse- ment de la puissance génésique et incontinence des uri
u traitement des malades. - Accusation légère qui tient probable- ment à ce que le médecin en chef seul a le droit de pr
absolument ces doses excessives, bien que la mort n'ait probable- ment pas été due à leurs effets immédiats. 11. On n'
e directeur général reconnaît que les asiles renferment actuelle- ment 2,500 malades de plus qu'ils n'en peuvent conteni
00 francs. Le nombre en est d'ailleurs fort limité et leur recrute- ment , dit un rapport, est fort difficile à New-York. S
mille. Prix de la pension par semaine. Le minimum varie générale- ment de 50 francs à 375 francs par semaine. Le plus gr
Ensuite Korsakoff avait décrit trois formes, d'ailleurs ordinaire- ment coexistantes et peu distinctes entre elles : La
classe comprenant tous les individus qui ne sont attirés sexuelle- ment que par leur propre sex.e, la seconde classe comp
cientifique d'Anvers, par le U'' PEETERS. (Bztll. de la Soc. illed. ment , de Belgique, juin 189.) XX11. pSEUDO-l'ARALYSI
atologie incomplète ; par le Dol Francotte. (Bdl. de la Soc. ilIed. ment , de Belgique, juin 1893.) On trouvera dans ce
CUE et EN France; par le D` P. Sérieux. (l1l/ll. de la Soc. de Méd. ment , de Belgique, juin 1895.) XXIV. Troubles psychi
silence. La situation dans laquelle il se trouve contraste violem- ment avec ce qu'il attendait. D'où des réactions varié
l n'est pas, comme pour les sujets précédents, un brusque change- ment dans leur manière de vivre. On ne peut admettre
. On ne peut admettre que les psychoses en question soient seule- ment un chapitre des délires séniles : Frankl-Hochwart
vec mégalomanie, et périodes dépressives, avec idée d'empoisonne- ment , puis amélioration pendant cinq mois et demi ; so
sion de deux états mentaux, de natureopposée, alternant régulière- ment entre eux ; à une période d'expansion et d'activi
u, pas de sentiments affectifs, vagabondage, tendances à voler et à mentir , langage inconvenant, fainéantise, impudicité.
tervention opératoire. Il admet toutefois l'opportunité du traite- ment dans certains cas de compression, par suite de tr
V. Rapports de l'alcoolisme et de la folie. Prophylaxie et traite- ment des alcooliques, par le Dr H. Darin. (Paris, 1896
ls on peut recourir pour restreindre la consommation. Mais du mo- ment que l'on permet la vente de l'alcool, il incombe
souffle ou le vent électrique, peut être employée intermédiaire- ment entre la main (le corps se trouvant dans un bain
et en surdité verbales. En 1881, quatre centres sont anatomique- ment déterminés correspondant à quatre modalités du la
gauche et enfin celui de la cécité verbale, symptôme qui fut nette- ment localisé au pli courbe gauche dans la première au
dont les trous laissaient voir le corps décharné et sale, complète- ment replié sur lui-même. Les membres inférieurs sont
y. - Noble (Cu.-P.). Drainage versus Radical opération in lhe /l'ea/ ment 1 of large pelvic abscesses. Brochure in-8° de
es mêmes. Moreau (de Tours)' dit de même : On ne délire générale- ment que dans le cercle de ses idées et de ses croyanc
gieux. Dans les vieux traités d'exorcismes on trouve très nette- ment exposée la distinction entre les Obsédés et les P
s '. Chez les mélancoliques, en revanche, il n'y a pas, à propre- ment parler, d'idée d'attaque et par suite de défense,
n'ont rien de commun avec les odeurs terrestres, enfin, le firma- ment s'ouvre devant leurs yeux ébahis, ils contemplent
rices). « Ils offrent cependant cette particularité que, constam- ment , leurs idées se rapportent à l'objet principal de
é- laire, avec son Sauveur. C'est alors qu'apparaissent générale- ment les phénomènes psycho-moteurs secondaires, consti
ns la durée du même discours, les théomanes éprouvent successive- ment trois différentes manières d'être conduits dans c
er leur volonté, ni leur intelligence ; ce qui ne dure ordinaire- ment qu'un temps assez court ; ensuite de quoi ils son
e de la volition et de l'automatisme, en arrivent très ordinaire- ment , à se croire eux-mêmes Dieu '. » La nature exac
ien encore dans l'attribution de ces secours l'absence d'établisse- ment ; mais même après l'organisation d'une maison de
. Au reste le danger social est la principale cause de l'interne- ment ; l'administration n'oublie jamais de le mentionn
e ! Quoi qu'il en soit, les projets de construction ou d'aménage- ment d'un établissement spécial dans le cloître de Vie
- tions, engagements et obligations de chaque partie, le départe- ment d'une part et le bureau de bienfaisance d'autre p
ent. Toutes les dépenses pour le traitement, nourriture, habille- ment , entretien et surveillance des aliénés et épilept
les revenus des pauvres de la ville. C'est ainsi que le départe- ment aurait à fournir un mobilier complet et un premie
, de la prison, dite maison de réclusion, dans le local spéciale- ment construit dans les jardins du bureau de bienfaisa
e placement seront inscrites sur un registre spécial, mais seule- ment quand elles seront accompagnées des pièces exigée
crises de tremblement durant une demi-heure et plus. Ce tremble- ment est partiel, il siège tantôt sur une partie du co
sommeil n'est pas le repos du système nerveux confiai exclusive-^ ment , mais bien une fonction biologique générale d'ord
males. Dès son arrivée à la caserne, angine grave très probable- ment diphthéritique qui nécessite un long séjour à l'h
ogique à laquelle on devrait rattacher ce cas, il passe successive- ment en revue les diverses affections de la moelle, au
en deux parties, de façon à reporter la seconde partie au commence- ment de la ligne suivante, comme c'était l'habitude dé
n- globent la plupart des troubles moteurs vulgairement et vague- ment désignés sous le nom de mouvements nerveux. La
tique parce qu'une lésion radiculaire est toujours fonctionnelle- ment moins grave qu'une lésion médullaire. Importance
l- que anomalie de forme ou de direction a examiné plus spéciale- ment cet organe chez un nombre déterminé de malades et
femme de vingt ans, infectée par son mari et atteinte successive- ment d'urNtrite, d'endométrite, de pénmélnte et de sal
lle glissa et la plaie fut insignifiante. Guéri, il partit brusque- ment encore une fois de la ville où il était et se ren
é ? ale 2 centimètres et sa largeur 1 centimètre. Il est régulière- ment cylindrique. Il se continue en haut avec la protu
sonnel par des cours, des conférences, des bibliothèques. Des exa- mens officiels passés devant ces commissions nommées p
d'hallucinations, d'idées de grandeur, etc., sont soumis au traite- ment par le lit dans le quartier de surveillance. On p
dans le quartier de surveillance. 3° Il doit y avoir, non seule- ment dans des locaux voisins, mais dans la salle même
ds avec une solution de formaline à 2 p. 100 supprimèrent rapide- ment toute mauvaise odeur. La formaline agit en empêch
insuffisants à donner une idée des inconvénients de cet encombre- ment qui a atteint, en quelque sorte, sa limite extrêm
s les asiles, par Mercklin, 187. eliez les aliénés, son traite- ment par les <lisulfones, par Lohn. 76. l',VERS
f.amacd, ? 26 : Delmas, 2 ? S; Crocq, 229; l'arisot, 220. Traite- ment des - par l'hypnotisme, par 13ernlieim, ` ? 30;
7 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
elle s'est modifiée incessamment depuis cette époque, parallèle- ment aux acquisitions nouvelles relatives à l'anatomie
e. Les muscles des membres supérieurs et inférieurs sont notable- ment amaigris et présentent quelques stries jaunâtres.
n rouge intense, sans lésions de néphrite. L'estomac est notable- ment distendu, ses parois sont amincies ; la muqueuse
peu malade, car aux confins du septum les fibres semblent légère- ment espacees, ce qui semblerait indiquer un début de
rs. La bandelette externe se présente au contraire comme franche- ment et considérablement sclérosée; c'est une tache ov
tiennent ou non à des faisceaux constitués, car il est difficile- ment soutenables que toutes les fibres commissurales s
nant la destruction d'un segment des fibres radiculaires, du seg- ment seul en contact avec le neurone altéré, sans se p
d'idées de négation peu développées, épisodiques portant unique- ment sur le monde extérieur et disparaissant au bout d
ive ; ces négations vagues, mal dessinées semblent avoir exclusive- ment porté sur le monde extérieur et les personnes de
malade peut arrêter ces mouvements, et en particulier le tremble- ment épileptoïde, en appuyant fortement le pied à plat
sortie, elle a été bien portante. Un second accès débute soudaine- ment , et elle entre en novembre 1887 dans un état d'ex
mêmes. La psychose elle-même paraît s'aggraver, mais indépendam- ment du délire des négations et passer à la mélancolie
e maison forestière sous la garde de sa belle-soeur. C'est à ce mo- ment que les idées de négation prennent tout leur déve
quelques idées parfaitement absurdes qui ont été émises à un mo- ment donné par la malade , comme de se croire trans-
sur son délire antérieur, paraîtra un peu suspect ; malheureuse- ment la rapidité avec laquelle elle fut reprise par sa
trouve la « réaction rnyotonique ». Après trois semaines de traite- ment , cette affection, datant de l'enfance, s'est cons
ujet sera plus intelligent, plus jeune et plus appliqué. Le traite- ment hygiénique et diététique doit être employé en mêm
chaise, la jambe pendante, ils tenteront de la mouvoir volontaire- ment jusqu'à ce qu'ils arrivent à la flexion et à l'ex
glande Ihyroïde. C'est vers l'âge de quatre ans que le développe- ment physique et intellectuel de cet enfant, jusque-là
liquide noirâtre. Il reposait alors dans son lit, respirant facile- ment . On constata alors une paralysie absolue, sensiti
erstitiel réagit, se développe, devient exubérant et étouffe l'élé- ment glandulaire qui persiste par places sous forme de
s, même médecins, n'avaient aucune conscience de leur bredouille- ment . Il croit, comme M. Christian, que le délire para
nés sont légèrement allaiblis aux membres supérieurs, principale- ment du côté droit. Aux membres inférieurs, on constat
sentiments de jalousie poussés à l'excès, qu'on confond générale- ment , au point de vue héréditaire, avec l'aliénation m
revient à l'alcoolisme, que l'on sait atteindre presque exclusive- ment les hommes, on trouve que la paralysie générale s
Abordant la genèse de la paralysie générale, les auteurs la résu- ment de la façon suivante : « 1° Les causes pathogènes
ui varie dans les différents étages de la moelle. Dans le renfle- ment lombaire, elles sont diffuses et ne respectent qu
os- térieur, mais encore et surtout pour le cordon latéral. Rare- ment nous avons pu suivre jusqu'au bulbe l'altération
n certaine d'ailleurs, peut être sous l'influence et postérieure- ment à l'altération des vaisseaux, avec lesquels le Go
er qu'elle a proliféré dans la paralysie générale. Est-ce unique- ment pour remplir.les espaces laissés vides par la des
s cel- lules de Clarke subissent le même sort. Il en est apparem- ment de même des cellules de cordon, des cellules de l
ors même que ces résistances sont par leur valeur en ohms absolu- ment négligeables vis-à-vis de la résistance du corps.
par les courants alternatifs à basse fréquence provenant directe- ment du secteur de la rive gauche (arcs. d'électr. méd
rofesseur Bergonié (Arch. d'électr. méd. oct., 1897) sur le traite- ment électrique palliatif de la névralgie du trijumeau
plus efficaces. Appliqué suivant une technique correcte, ce traite- ment est exempt de tout inconvénient, à plus forte rai
i- cations. Son cas, en montrant d'une façon certaine l'enchaîne- ment causal entre l'embarras grstrique, la constipatio
l'accessoire, du glossopharyngien, du nerf vague; lésions relative- ment faibles des cellules nerveuses. , 'l't8 REVUE
du même membre, de quelques travers du doigt au-dessous du liga- ment de Poupart à quelques travers du doigt au-dessus
nt moins fréquents avant la crise hystérique. L'aura manque rare- ment au début de la crise épileptique mais ne dure que
e dyspnée), pas plus que l'exophtalmie unilatérale, etc. Le traite- ment par l'ingestion de glande thyroïde n'a pas donné
e main de prédicateur. Cette griffe se rencontre presque exclusive- ment dans la syringomyélie, qui offre les conditions l
re; 11° Il existe chez beaucoup de syringomyélitiques un relâche- ment et une distension des articulation de la main, co
ours à la suite des premières injections; elle disparut définitive- ment après la troisième ou quatrième injection. R. C.
phie ; elle est demeurée unilatérale tout en sautant irrégulière- ment sur divers territoires nerveux. Le tronc est rest
au trapèze ; cette paroi étant en rapport avec le troisième seg- ment cervical (Starr et Edinger), tandis que celle du
mois et demi. Appliqué suivant une technique correcte, ce traite- ment est exempt de tout inconvénient, à plus forte rai
danger. Dans plusieurs cas, où d'autres médications avaient entiè- ment échoué, le traitement galvanique a amené une atté
epuis trois ans.) Aussi l'auteur estime-t-il que ce mode de traite- ment de la névralgie du trijumeau peut être placé parm
b) Base du crâne.- Ici, pour que la vessie s'applique bien exacte- ment aux parois intérieures, il faut une certaine dext
TIQUES ET COMMENT SE FONT LES ÉCHANGES NUTRITIFS DANS LE TRAITE- MENT Dnû : l ! O-OPI.\cÉ de t'LEcnsiG ; par R. LAIIDEN
e sodium. Mais il doit v avoir des variétés individuelles relative- ment à l'expression de la charge de Br et à l'action d
e des matières fécales a également révélé que, pendant le traite- ment à l'opium, il s'élimine, par l'intestin, autant d
générescence, ni névrite, et cependant ils résistent à tout traite- ment ; par contre, certains cas témoignant d'une névri
ation du genou et du pied ; les réflexes patellaires sont complète- ment abolis, les réflexes du tendon d'Achille sont con
les troubles électriques dans les membres inférieurs ont notable- ment augmenté d'intensilé; l'anesthésie a envahi la fa
est composé presque uniquement d'un grand noyau, pas trop forte- ment coloré, souvent granuleux; plusieurs cellules en
indices d'une dégénérescence hyaline; tout ce tissu est excessive- ment riche en vaisseaux à parois épaissies, pour la pl
organe, quand ensuite on a pu constater un nystagmus, un tremble- ment intentionnel des mains, des vertiges, etc., l'ens
auteurs; son maximum correspond à la partie inférieure du renfle- ment cervical. L'autre voie suivie par la néoformation
ces deux glioses, vu la grande déformation qu'a subie le renlle- ment cervical comprimé par la tumeur méningée. Il es
oelle une stase énorme, bien manifeste à l'heure actuelle; juste- ment au-dessus de la région détruite par la néoformati
ppants. Au niveau du renflement cervical la moelle est excessive- ment comprimée par la tumeur méningée ; tant à ce nive
al central dans ce processus n'est pas obligatoire comme l'affir- ment Langhans, Kronthal et Schlesinger. CHIMIE PHYSI
un avenir prochain, je l'espère, la solution du problèmp..patiem- ment cherché. La psychologie avait tout à gagner à s'a
ui éloignera les chances d'erreur. Quand le médecin qui sait com- ment se détermine un aliéné appartenantà un type nette
rité scientifique, acquise au prix d'un travail patiemment, longue- ment soutenu. Je sais, pour les avoir longuement éprou
dépendent seulement de l'intervention et ceux qui ont été fausse- ment considérés comme en étant la conséquence. Certa
des trouhles psychiques post-opératoires, regardant comme absolu- ment négligeables des facteurs qui jouent pourtant un
convient de leur attribuer et celle qui incombe plus particulière- ment à l'intervention. Voici comment nous croyons de
fin, et c'est en cela que leur travail se montre plus particulière- ment intéressant, ils attirent l'attention sur des ali
les particularités qu'il présente. Il termine son rapport, longue- ment motivé, par les conclusions suivantes : « 1° 1\1
service du P Joffroy, le malade présente un délire particulière- ment intéressant. Son délire est tout à fait féminin,
anomalies de la vie sexuelle sont rare- 224 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment notés chez les sujets atteints plus tard de paral
5 réflexes. Après une rémission de deux mois, elle tombe brusque- ment dans un état méningitique qui l'emporte en trois
r- sale une méningomyélite marginale typique, très vraisemblable- ment d'origine infectieuse, occupant une hauteur de 4
la partie essentielle du rapport, nous la reproduisons textuelle- ment : « Tout d'abord, dit M. Vallon, il convient de s
l'individu soumis à l'expertise médicale a été atteint antérieure- ment d'un ou de plusieurs accès d'aliénation mentale.
gère, n'a pas encore pris fin, le problème à résoudre est relative- ment simple : il consiste à reconnaître si les trouble
et après l'accès, qui se reproduit rare- 232 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment ». Schwarzer et Kraeplin n'admettent pas la prédi
maire d'Angers, député de Maine-et-Loire, qui a mis si gracieuse- ment la salle des fêtes de la mairie à notre dispositi
philis, tuberculose, etc.). Cette localisation est due tout simple. ment à la présence dans cette tunique du tissu conjonc
aladies infectieuses sont aussi capables de se localiser primitive- ment sur l'endartère, de sorte que l'on peut décrire à
ulaire être lésé, à l'exclusion de l'élément nerveux ou réciproque- ment . Les toxines peuvent agir sur ces deux systèmes,
oma. A l'autopsie nous trouvâmes une lésion énorme de ramollisse- ment blanc, occupant les deux tiers inférieurs des cir
. La cause de ce ramollissement devait être recherchée naturelle- ment dans l'état du système artériel ; or, fait partic
artérielle et de la vis a tergo ? Eh bien, cet oedème est précisé- ment le même que celui qui, dans notre cas, a dissocié
ments, nos sincères félicitations. Nous les adressons respectueuse- ment aussi à celle qui vous aide et qui a voulu prendr
- diques rythmiques multiples, continus, avec paroxysmes extrême- ment violents, tantôt localisés, tantôt généralisés le
imiter ses mouvements et étouffer ses cris. Cet état était' absolu- ment continu, et dans les moments d'accalmie, il subsi
are névropathique, la mère eut une grossesse normale, l'accouche- ment se fit à terme, mais fut particulièrement laborie
e que la maladie de Little peut être due seulement à un accouche- ment laborieux, et tend à faire prévaloir l'opinion de
corpuscules apparemment névrogliques ; c'est surtout le développe- ment de ceux-ci aux dépens de la cellule qu'ils envahi
ges. Un directeur-médecin peut facilement s'acquitter convenable- ment de toutes ses fonctions sans y consacrer ordinair
que celles qui ne les possèdent pas, doivent se consacrer unique- ment aux fonctions de médecin en chef, qui aujourd'hui
simples chefs de bureaux des préfets qui administreront complète- ment les asiles et annihileront l'influence médicale,
importante, j'ai fait construire une centaine de chambres d'isole- ment à l'asile d'Evreux. L'opendoor qu'on vante beau
- quentes, à mesure que l'ancienneté de l'aliénation mentale aug- mente ; qu'au bout de quelques années, lorsque la malad
mmé Abd el Kader ben Mohamed, âgé de vingt-quatre ans, en traite- ment dans cet asile depuis quelque temps, devait par o
- oelos de faire l'autopsie d'Abd el Kader. Dubosc sera probable- ment poursuivi pour homicide par imprudence. (Le Radic
tion, on a dû avoir recours à tous les procédés, en usant finale- ment du moyen très populaire de le lancer dans l'espac
étaient insensibles et engourdis. Il y a un an que l'engourdisse- ment envahit le pouce de la main gauche et un peu plus
e obtient l'impressionnent vivement, il tel point que, immédiate- ment , brusquement, éclatent de violents maux de tête e
lent, el. les fonctions organiques ont paru s'accomplir régulière- ment ; à aucun moment on n'a constaté de fièvre. La ma
ont examinées; ils y ont seulement constaté des grains très forte- ment colorés en bleu, ronds, un peu moins volumineux q
nombreuses (les unes personnelles, les autres publiées antérieure- ment ), l'auteur conclut qu'on ne peut pas, dans l'affe
pouvoir en conclure que le phénomène des orteils est lié intime- ment à la lésion des fibres des faisceaux pyramidaux,
dite beaucoup plus grande de l'évolution caractérisent assez nette- ment la sclérose latérale amyotrophique pour lui faire
articulaire retentit sur son centre médullaire. Mais ce retentisse- ment est variable : tantôt il n'y a qu'une lésion dyna
toutes les fois qu'on n'a pas épuisé les moyens logiques de traite- ment médical répondant par exemple à l'origine arthrit
.) C'est l'observation d'un homme de trente ans soumis au traite- ment par les tablettes d'extrait pituitaire. Améliorat
bulbe, il convient d'en rapporter avec détails tous les cas nette- ment observés. Le cas suivant est intéressant en rai
qu'à l'autopsie par la découverte d'unetumeur (gliosarcome) nette- ment limitée au bulbe. Il s'agit d'un sujet vigoureu
e dans ce cas de macrodactylie « un vice congénital de développe- ment de même origine que toutes les malformations des
sur le galvanomètre. Si l'aiguille du galvanomètre reprend rapide- ment sa situation sans secousses, si l'on fait agir de
nce moyenne, à réaction dégénérative faradique. On n'a pu exacte- ment rattacher tels ou tels éléments électrophysiologi
position héréditaire ou acquise est nécessaire pour le développe- ment des accidents désignés sous le nom de folie post-
rotuliens n'est presque jamais un neurasthénique, mais probable- ment un paralytique. G. D. V. LES opérations GYNÉCOL
usagère, d'une durée de quelques heures à plusieurs jours seule- ment ; née sans cause appréciable à la suite d'une att
atteint, à son arrivée, d'épilepsie ; hébété, il répond difficile- ment aux questions posées et ne peut donner de renseig
anfractuosités qui les séparent sont moins profondes que normale- ment . Le cerveau est évidemment comprimé par la voûte
aux lombes, aux aines et à la face antérieure des cuisses. Tremble- ment des mains, avec sensation d'engourdissement le ma
C'était celle d'un être à face humaine, très velu et très sommaire- ment vêtu. Aussitôt qu'il apercevait quelqu'un il disp
t à l'âge mûr et à la ménopause, dans l'éclosion et le développe- ment de certaines psychoses dépressives. Selon M. Kl
uvent déterminés par auto-intoxication, ne seraient pas sensible- ment différents de ce qu'on observe dans l'alcoolisme.
exus délirants d'autre nature. Ne distinguons-nous pas journelle- ment ce qui revient à l'alcoolisme dans une mélancolie
. 7 juillet. - La nuit a été calme. La malade est dans un hébéte- ment profond avec gâtisme complet. Pas d'embarras gast
, d'après M. Auguste Voisin, l'anesthésie est parfois, mais rare- ment complète et durable. M. Grasset et M. Cullerre cr
ons n'offrent rien de caractéristique. « Nous partageons entière- ment ont-ils écrit, la manière de voir de Mindel qui n
ur et à mesure des progrès et de la marche de la lésion du mouve- ment , se demande M. Dagonet dans la nouvelle et récent
es renseignements précis, dans les phases avancées l'affaiblisse- ment intellectuel. Or, ici là part du malade est entiè
Le sujet ayant les yeux fermés on recherche s'il apprécie nette- ment la forme, la surface extérieure des objets dont i
à prévoir ; c'est ainsi qu'à la première période 3 p. 100 seule- ment de nos constatations furent infructueuses; à la s
lètes, témoignant ainsi que le malade n'est pas guéri mais seule- ment amélioré. En second lieu, nous voyons par notre
e en évidence par notre tableau qui étonne, c'est l'état constam- ment normal du tact dans les formes purement dépressiv
E. facultés, l'étude de la statistique a pris un grand développe- ment . Son importance a fixé l'attention publique, et d
isins d'autre part, ont rendu un service incalculable à l'avance- ment de la science ; tous ceux qui ont eu à s'occuper
L'auteur a déjà cité huit cas dans lesquels ce trouble était nette- ment associé à des phénomènes d'origine labyrinthique
a irritation labyrinthique, et celle-éi accompagne très fréquem- ment la paralysie faciale. M. Bernhardt a critiqué l
NTON. Il s'agit d'un homme de quarante-sept ans qui, au commence- ment du second semestre de 1897, présenta les premiers
en d'ailleurs ne permet de supposer une autre cause d'empoisonne- ment médicamenteux, accidentel ou criminel. L'analyse
el chez les aliénés ; par le Dr DE BOECK. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1898, n° 89.) Partisan de l'ori
maines à deux mois la santé physique et mentale semblait totale- ment revenue. Dans la pratique privée il emploie la su
psychose. Le médecin ne doit prendre la responsabilité du traite- ment à domicile d'un mélancolique que s'il est rompu à
la maison DE santé ; par le D'' J. Morel. (ull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1898, no 89.) Ce rapport se ter
on sera ouvert du jeudi 13 au mercreds 26 octobre 1898 inclusive- ment . Hospices DE Bicêtre et Il.- la SALPÈTRiÈRE. Co
is c'est là toute la ressemblance de ces foyers avec un ramollisse- ment cérébral nécrobiolique. Nous ne trouvons nulle pa
reconnaît, par place, aucune structure ; d'autrefois ils sont fine- ment granuleux. Jamais ils ne renferment de noyaux. On
la zone immédiatement voisine. Après cela nous passerons rapide- ment en revue les faibles altérations de la substance
me caractéristique. Enfin on en observe qui ont subi un commence- ment de dégénérescence granuleuse ou scléreuse. On ne
d'in- flammation cérébrale, nous jugeons utile de passer rapide- ment en revue tout ce qui a trait à l'histoire de l'en
oïdes disparaissent toujours par dégénérescence, mais très lente- ment , mettant quelquefois des années pour cela. La cic
ité aient à première vue l'aspect de petits foyers de ramollisse- ment . Les cellules épithélioïdes sont la réponse - phé
èle de l'encéphalite chronique, ou ce qu'on appelle plus communé- ment de la sclérose cérébrale. Mais ici il s'agit de l
aux san- guins, même en dehors de la région inflammatoire propre- ment dite. Les symptômes de paralysie pseudo-bulbair
Fig. 2. - Foyer d'encéphalite subaigue, mais il moindre grossisse- ment . (Zeiss. ocul. 3 obj. D.) Fig. 3. Accotement de
ent deux réflexes parallèles. Il faut au contraire séparer nette- ment le réflexe irien lumineux du réflexe irien de l'a
ce niveau. 2° Spongioblastes. Le corps de ces cellules est égale- ment situé dans la couche granuleuse interne (/ ? . 28
les centrifuges jusque dans la rétine où elle provoque un ajuste- ment des neurones, qui rend plus facile le passage de
on, ni de prendre la défense du déterminisme. Nous dirons simple- ment que pour nous tout n'est qu'automatisme. Au poi
en- tation du mouvement à exécuter, puis l'illusion d'agir libre- ment . Cet acte est qualifié de volontaire. Ce n'est ce
tement jusqu'au jour où les possibilités de guérison sont sérieuse- ment diminuées ou que le cas devient désespéré. Commen
en se basant sur les principes généraux qui régissent l'enseigne- ment de la médecine, le praticien ordinaire traiterait
delirium TREMENS ; par le 1)' VIL- LERS, (Bull, de la Soc. de méd. ment , de Belgicl'ce, 1898, n° 89.) Cette étude porte
ions DITES PSYCHIQUES : par M. X. Francotte. (Bull, de la Soc. met. ment , de Belgique, juin 1898.) On sait que d'après M
tions délirantes dépourvues de tout élément hallucinatoire propre- ment dit. 1 « Les hallucinations psychiques, dit-il,
et défaut de provisions de mots. La verbigération, c'est un mouve- ment mécanique des mêmes muscles produisant les mêmes
dans LES cas DE dégénérescence physique ET d'arrêt DE développe- MENT mental avec llÉRIDITÉ PELLAGREUSE; par 11 ! 0RPUR
systématisée des cordons postérieurs peut se montrer consécutive- ment à une affection localisée de l'encéphale ou du bu
cellules motrices de la moelle lombo-sacrée se trouve considérable- ment affaibli par suite de la suspension d'action qu'e
ive de dépression ou d'excitation de l'élément basique ou de l'élé- ment acide dans l'influence d'un sel aloïde. Par exemp
cités A + B; mais l'action de B est modifiée par A et réciproque- ment , et selon qu'un des éléments l'emporte, son influ
mersion et la force de la solution. L'auteur se propose ultérieure- ment de chercher la corrélation des phénomènes positif
avec n'importe quel mode de fixation antérieure, avec le durcisse- ment à l'alcool ou à l'acide chromique; mais les coupe
inutes suivantes, la différenciation est suffisante, mais générale- ment il faut une heure ou deux. Si deux heures n'ont p
ains tièdes prolongés pour l'éréthisme, traitement moral, change- ment de pays et de milieu temporairement. Ce petit ouv
avouent, honorent même, et cela ouvertement, bien plus, officielle- ment , les suicides qui s'inspirent de motifs honorable
ubes d'une solution d acide tannique au 3/100 et on secoue forte- ment . Si le sang examiné contient de l'oxyde de carbon
r- tout sans oublier les offrandes de bonne heure réciter pieuse- ment les prières à Bouddha et à la reine du Ciel, priè
utragent la divinité. Ces trois facteurs peuvent exister simultané- ment , mais ils peuvent aussi se montrer séparément. Da
rais donc pour mon compte exposé l'évolution de la peine, autre- ment que ne le fait M. Makarewicz. Son mémoire n'en es
JANVIER étant la plus importante de l'année, nous prions instam- ment nos souscripteurs dont l'abonnement cesse à cette
) Fig. 2. Foyer d'encéphalite subaiguè, mais à moindre grossisse- ment . (Zeiss. ocul. 3 obj. D.) - Fig. 3. - Accotemen
course, par P. Rucher, 317, ï. Mélancolie. Diagnostic et traite- ment de la -, par Ziehen, 425, - avec verbigération,
8 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sur Cing..., un certificat de bonne conduite émanant du 2° régi- ment étranger à Sa... (Algérie), qu'il avait falsifié
1887, il fut refusé, paraît-il, pour sa vue, et libéré définitive- ment le 11 septembre de la même année. Cing... se fixa
is. Sur sa promesse, je barricade la porte et je me pends solide- ment sans secousse à seule fin de ne pas me disloquer.
e mousse très légère aux lèvres après ses chutes, ou au commence- ment du ses crises, que d'abord il pâlit, puis devient
n de l'asile avait conclu à son sujet comme le premier, et notam- ment en face des crises qui eurent lieu en sa présence
17 savait les quatre règles, s'exprimait bien, écrivait passable- ment malgré de nombreuses fautes d'orthographe et poss
té- rieur dans un asile d'aliénés et des circonstances véritable- ment exceptionnelles de sa sortie. Et, en effet, si Ci
morale. Le seul problème d'une folie morale se posait nécessaire- ment dans l'espèce en récapitulant l'observation entiè
moral, on le sait, ne s'acharne qu'après son entourage immédiat, ne ment que pour le plai- sir de mentir, ne vole que po
qu'après son entourage immédiat, ne ment que pour le plai- sir de mentir , ne vole que pour le plaisir de voler, ne tue q
ent au diagnostic de son confrère, lui avait refusé un élargisse- ment qu'il espérait. Il m'eût été facile de faire obse
es ; . 2° Il n'a jamais été aliéné et par conséquent son interne- ment dans un asile ne peut lui créer un motif d'atténu
sexes, dans le même asile, où certains services sont nécessaire- ment communs, ne soit un obstacle insurmontable à cett
onde), sauf aux malpropres, où nous comptons une chambre d'isole- ment en plus et une salle de bain. L'infirmerie comp
s malades. Ne sont admises dans l'ouvroir que les malades absolu- ment calmes et qui sont susceptibles de donner un trav
eurs et notamment ceux dont nous nous occupons plus particulière- ment ici. En effet, et dans l'esprit même de l'auteur
du toucher actif soit un symptôme négligeable en clinique, juste- ment parce que cette perte révèle une lésion assez imp
En démontrant que la réalité objective du génie résulte précisé- ment du fonctionnement du cerveau à son plus haut degr
visuelles, délire de persécution évoluant dans un cercle exclusive- ment délimité par des excitations sexuelles. cl'4 RE
t les mains de préférence. Point de tatouages obscènes. Générale- ment il est unicolore, soit bleu-foncé, noir de fumée,
paralytiques alors que ceux-ci sont morts, elle est incontestable- ment beaucoup plus délicate et devra être surtout basé
'extension de l'avant-bras sur le bras et d'élévation et d'abaisse- ment du membre), tendant à établir une association étr
mes avec manifestations superficielles et transitoires, est facile- ment curable. Quant au tic avec angoisse, véritable ob
son exagération, le surmenage, ont sur elle une action manifeste- ment perturbatrice. Le travail d'élaboration des idées
utile : en lui, en effet, git la source féconde de ce perfectionne- ment continu du dynamisme cérébral, qui se produit, se
a inventé pour le traitement du tabes. Celui-ci s'adresse unique- ment au symptôme ataxie, tandis que par celle-là, M. I
n'est pas impossible d'obtenir par cette méthode, dans le traite- ment de la sclérose en plaques, des résultats plus fav
e .de variétés secondaires qui en sont comme des nuances (abatte- ment , découragement, angoisse, terreur, etc.) exercent
tout à fait surprenante ; et si à ce moment on essayait un médica- ment nouveau ou une méthode nouvelle, on serait exposé
de Fowler et sa prompte disparition après la cessation du médica- ment paraissant bien établir un rapport de cause à eff
droite. Pupilles répondant à la lumière, mais un peu paresseuse- ment . Analgésie de la face à droite, parésie des deux
se sentirait poussée à faire une fugue, elle rentrerait immédiate- ment chez elle, s'endormirait profondément, puis, aprè
traventions se sont, parait-il, toutes rencontrées dans le tempera- ment lymphatique. Mais elles ont été évidemment condit
ius et Wollenberg en font une maladie spéciale, distincte, nette- ment caractérisée, qui forme une espèce clinique à par
hait pas de maigrir. Pour le repas du soir il exigeait ordinaire- ment qu'on lui servît des omelettes de huit oeufs !
ain de suicide ou môme de tentative de suicide provenant directe- ment d'un accès de désespoir causé par le sentiment qu
n- tal caractéristique de la chorée héréditaire. Cet affaiblisse- ment qui s'accompagne d'une diminution progressive de
illes de paralytiques généraux que nous avons étudiées, 2 seule-' ment nous sont restés inconnus. Des 1S sur lesquels
à part, à cause de leur situation spéciale et des exigences pure- ment scientifiques qui priment ici la question d'assis
ment scientifiques qui priment ici la question d'assistance propre- ment dite, on peut obtenir des documents des médecins
à la campagne dans une colonie tout hôpital qui occupe actuelle- ment une ville. ' Les 108 hommes et les 88 femmes qu
e- loppement des lésions, l'extension de la substance de soutène- ment , les altérations primitives, de la substance blan
es psychomotrices en est la cause. Briicke a montré que le mouve- ment volontaire d'un muscle est dû aux décharges succe
de plus en plus prononcée ultérieurement. Pas du tout de tremble- ment intentionnel, pas de nystagmus, pas de troubles d
tem- pérature de la chambre, ou au bain-marie jusqu'à développe- ment de vapeurs; 4° lavages à l'eau distillée changée
la protubérance, le cervelet. Mais le cerveau n'a été que faible- ment touché, probablement à cause d'une quantité insuf
897.) Etude physiologique toute de détails appuyée par mille exa- mens pratiqués par l'auteur au moyen de sou algésimètr
éduit au minimum, le cordon latéral du même côté contient simple- ment , dans la partie la plus élevée de la moelle cervi
VAL. XX. Altérations du système nerveux consécutives à l'arrache- ment des nerfs ; quelques considérations relatives à l
le déplace- 156 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ment du noyau qui quitte le centre de la cellule et se
si que son contenu; les prolongements de la cellule ont complète- ment disparu ou sont réduits à peu de chose. La substa
'intervalle des attaques ; 2° que l'attaque-type envahit simultané- ment toute l'écorce, au lieu de se propager par irradi
pileptiques, la cause est permanente, il est évident que le traite- ment dont il vient d'être question demeurera simplemen
s : « 1° Le sérum antistreptococcique exerce une influence nette- ment stimulante sur les centres nerveux dans le coma m
Le chancre datait de quatre ans et le malade avait été sérieuse- ment traité par des médecins qu'on a tout lieu de supp
malade s'améliora rapidement ; est-ce sous l'influence du change- ment de milieu ou de traitement anti-syphilitique ? c'
le traitement de l'épilepsie ; par 130D01\I. (Riv. di pat. nerf. et ment ., fasc. IX, 1899.) Huit observations dont l'aut
es hémiplégiques organiques par son procédé et par le chatouille- ment de la plante du pied et il eût été alors vraisemb
r, il saisit ses organes génitaux dans les mains et les tira forte- ment comme pour les arracher ; parfois aussi, il fait
struction des nerfs de la sensibilité entraîne la perte du mouve- ' ment des yeux, de la face, de la locomotion, etc. Le m
ie. La théorie de Lange et de W. James sur les émotions est vive- ment critiquée par M. J. Soury. Il n'existe pas, dit-i
s, et que cette mort avait altéré ses facultés. 11 parlait fréquem- ment , depuis cet événement, de suicide, et le sort de
nté. Etendu dans le décubitus dorsal, les téguments sont normale- ment colorés ; toutefois, à la face interne de la cuis
sens musculaire est conservé. Il n'existe ni sensations de dérobe- ment de jambes, ni soubresauts dans le lit. Le malade
nts hystériques : insignifiante au début, elle a progressé lente- ment , comme une affection organique, pour constituer h
S. 201 nutrition rares dans l'hystérie et que traduit urologique- ment l'élimination de proportions considérables d'urée
sse 27 litres en vingt-quatre heures et l'autre s'intéresse vive- ment à la maladie de son voisin. M. Ilirtz, frappé de
é de 6; le besoin d'uriner se faisait sentir chaque fois normale- ment ; la malade pouvait y résister et la quantité émi
lui semble qu'une toile obscurcit,sa vue ; je la rendors profondé- ment , lui dis de se réveiller complètement ; au comman
rine et lorsque la pression a cessé, elle respire mieux, l'étouffe- ment disparaît, la poitrine lui fait moins mal. J'ai r
Le 18 mai, j'essaie de l'endormir ; je n'y arrive que difficile- ment ; je procède à un réveil général. La séance dure
égres- sion et de la progression de la personnalité; le couronne- ment de la synthèse du moi se fait à la fin de la prog
t- elle pas une preuve de plus et ne démontre-t-elle pas directe- ment qu'il existe des centres viscéraux ? ` ? Je per
e ? S'il en est ainsi, ne voit-on pas là le principe d'un traite- ment nouveau de l'hystérie, traitement tout mécanique,
est bien conservée. La parole est nette ; le malade trouve facile- ment ses mots et les articule nettement ; aucun troubl
Quel traitement allons-nous faire subir à ce malade ? Le traite- ment bromuré a été essayé, sans aucune espèce de résul
e para- lysie générale au début ; par Zanzi. (Riv. di pat. nerf. et ment ., fasc. IX, 1899.) Cas de rigidité pupillaire
ion d'un fait de dégénérescence; par SCABIA. (Riv. di pat. neru. et ment ., rase. VII, 1899.) La polyurie simple doit ê
psychose maniaco-dépressive ; par Il. Gucci. (Riv. di pat. nerf. et ment ., fasc. VII, 1899.) Recherches critiques à prop
quelques maladies mentales ; par Lambranzi. (Riv. di pat. neru. et ment ., fasc. VII, 1899.) Elle est absolument normale
chez les mélancoliques; par Serafino ARNAUD. (Riv. di pat. neou. et ment ., fasc. IX, 1899.) Plus fréquentes chez les vie
x cas d'idiotie myxoedémateuse ; par Tanzi. (Riv. di pat. zzezv. et ment . fasc. IV, 1899.) XXII. Une variété de myxoedèm
myxoedème fruste; par Tambroni et Lambranzi. (Riv. di pat. Msn'. et ment ., fasc. V, 1899.) XXIII. Les « Stéréotypies » d
égie infantile avec l'idiotie ; par E. Tant. (Reu. di pat. neru. et ment ., fasc. V, 1899.) Les caractères différentiels
la démence secondaire, qui aug- nière est quelquefois progressive, mente la dégradation psychique quelquefois décroissante
présentent le même degré d'asymétrie. Il existe un raccourcisse- ment correspondant des extrémités inférieures. L'aut
n'y a pas de difformité des membres. L'action favorable du traite- ment thyroïdien chez ces malades est encore discutée.
t de dégénérescence myxoedémateuse. Mais l'hydrémie s'étend rare- ment à d'autres parties du corps. La température recta
ce travail aideraient certaine- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 247 ment à dissiper les pires malentendus qui existent au
o- moteur gauche. Le moteur oculaire commun droit était complète- ment dégénéré. Enfin, il existait deux foyers symétriq
. Dans tous les cas la dose toxique mortelle est restée sensible- ment constante au lieu que le mode de réaction individ
Notre savant confrère trouve que l'article 2 n'est pas suffisam- ment impératif quant à l'admission deces ma'heureux qu
lacune d'ordonner la construction des locaux destinés au traite- ment de l'ivrognerie sans fournir les moyens de forcer
longtemps avec son fils Paul, qui a vingt-deux ans, un petit loge- ment rue des Quatre-Vents. l'aul Laurent avait eu une
. 58.) ACQUISTO (e Pusateri). Sull'anatomia patologica degli ele- menti nervosi nell' uremia acuta sperimentale. (Rivista
.) CENI (Carlo). Sugli effetti della tossina difterica negli ele- menti istologici del sistema nervoso. (Ri{ú1'ma medica,
.) Pusateri (et ACQUISTO). -- Sull'anatomia patologica degli ele- menti nervosi nell'uremia acuta sperimentale. (Rivista
lein la gorge et fait remonter le mal à une époque (il y a précisé- ment deux ans) où il a pris une tasse de café servie p
ainsi qu'il menace le médecin d'un couteau parce qu'il a simple- ment peur du médecin ; mais quand il veut accomplir un
e de la Vierge, comme instrument de l'acte, a donc un sens nette- ment mystique, bien que le malade n'en ait peut-être p
a prédit qu'elle mourrait par le sang. La langue demeure légère- ment saburrale, la plaie du bras s'est infectée. 31.
ssion et l'effort musculaire ; par G. Ouici. (Riv. clz pal. nerv et ment . fasc. II. 1899.) XXVIII. Aplasie congénitale d
et chez un chien; par DEGAIOELLO etSravcARO. (Riv. di put. ner0. et ment ., fasc. II, 1899.) XXIX. Sur les lésions des él
péritonite par perforation; par l3.muacc. (Riv. di pat. nerv. et ment ., fasc. 111, 1899.) XXX. Recherches expérimenta
s échanges organiques ;- par Giulio Varozzi. (Riv. di pat. nerv. et ment ., fasc. I, 1899.) XXXVIII. Sur les altération
e l'extirpation de l'hypoglosse; par G. FoA. (Riv. di pat. nerv. et ment ., fasc. I, 1899.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
sensoriels, sensitifs et moteurs; parLuGARO. (Riv. di pal. nerv. et ment . fasc. VI, 1899.) XLII. Sur un cas de malformat
ctée de diplégie infantile; par Guilio LEN-1. (Riv. di pat.nerv. et ment ., fasc. VII, 1899). XLIII. Sur les altérations
nement subaigu par l'aluminium ; par ZOUDER. (Riv. di pat. nerv. et ment ., fasc. VIII, 1899.) XLIV. Le pouls cérébral da
res des hémiplégiques ; par Serafino ARNAUD. (Riv. di pat. nerv. et ment ., fasc. 111, 1899.) 11 y a des hémiplégiques qu
La fonction corticale qui préside à ces mouvements agit directe- ment sur l'hypertonicité des fléchisseurs. L'apparit
er- mine de l'augmentation de la pression du sang et assez égale- ment de l'hypérémie cérébrale ; il y a un certain para
drogène sulfuré, en solution, en ayant soin d'arroser préalable- ment les pièces, de ne pas les immerger brusquement. O
impressions sensorielles, mais c'est une simple disposition. - Com- ment alors se fait-il que la même impression sensoriel
hy et moi avons montré que cette substance n'accompagne générale- ment pas les fibrilles dans tow leur parcours. Le syst
orsque l'attention est tournée sur un excitant lumineux; b) faible- ment quand elle est portée sur l'idée de lumière; 1° L
fibres sont bleu foncé, l'écorce et les foyers de noyaux franche- ment brun clair, les endroits amyéliniques jaune clair
un certain trajet antéro-postérieur et s'en va aboutir provisoire- ment aux segments antérieurs du groupe nucléaire antér
eur maligne de la pituitaire ; par AGOSTlxl. (Riv. di pat. nerv. et ment ., fac. IV, 1899.) Observation d'un malade de
- La voix changea de hauteur, de ton, et de qualité, devint nette- ment nasale. Langue moins habile, « engourdie », avec
Arthropathies de Charcot : furent typiques dans, 5 cas ; gonfle- ment suspect des jointures dans 3 autres cas. Troubl
bète hydrurique au cours d'une phtisie. M. Robin a étudié égale- ment plusieurs cas de polyurie et de grand diabète dan
d'intérêt. Au bout de dix-huit mois, elle suit un nouveau traite- ment devenu efficace grâce à la suggestion hypnotique;
ait grand temps de ne plus en nommer, ceux qui existent actuelle- ment étant déjà trop nombreux. Dans la plupart des asi
criminels moraux. Leur sortie ne pourra s'effectuer que sur juge- ment rendu après avis des médecins. Dr A. Marie. N.
l qu'il en puisse sortir des notions positives sur le fonctionne- ment du cerveau troublé. Aussi a-t-elle toujours tenu
pu se développer librement et arriver à leur complet épanouisse- ment . Pendant ses études, le Dr Bouchereau avait été
ux. » Permettez-moi, cher Maître, une seule réflexion : Le senti- ment qui vous a dicté ces dernières lignes dément cett
e l'ouverture du concours. Ils auront à justifier de l'accomplisse- ment d'un stage d'une année au moins comme interne dan
complet de la liste des candidats qui auront concouru antérieure- ment à sa nomination de chef de clinique '. Art. 9.
est soumis à une forte excitation par le fait d'une trace forte- ment colorée, cette dernière vient se confondre avec l
oliques ayant des tendances au délire de persécution, ou franche- ment persécutés. L'un de nous a signalé ces phénomènes
service de il. Magnan. C'était un homme adulte, alcoolique forte- ment halluciné. Il suffisait de lui percuter la poitri
entendu, avec la paume des deux mains; ou nous appliquons simple- ment les mains sur les oreilles, c'est toujours, en ré
es existent surtout au début de l'intoxication alcoolique, autre- ment dit, et qu'elles ont pour siège les membres, le p
- Habitudes d'alcoolisme depuis l'âge de dix-huit ans. Actuelle- ment alcoolisme subaigu, hallucinations multiples ; hy
la syphilis. En outre, l'introduction du mercure ioduré, directe- ment dans l'organisme, passe pour un remède médical, e
- lement l'apparition de la stomatite fait interrompre ce traite- ment et souvent la veille même d'une affection des vai
stent aussi dans les autres parties de la peau. Moi, personnelle- ment , je préfère le dos, les côtés et la poitrine, mai
anisme. A cause de cela je recommande particulièrement le traite- ment suivant : chaque jour un bain de 35° C, de 20 à 3
seu- lement un bain, et je conseille de se soumettre à ce traite- ment pendant cinq ou six semaines. Avec cela j'ordonne
é- veloppeoaent de la stomatite qui ferait interrompre le traite- ment commencé quoiqu'on frictionnât le malade chaque
uc- tueux de la syphilis par les injections sous-cutanées, nommé- ment le temps relativement court que le mercure reste
les cas dangereux, où le traitement doit s'effectuer très rapide- ment , on peut recourir aux injections sous-cutanées, m
ntisy- philitique, occupe au moins trois mois et donne ordinaire- ment les meilleurs résultats. Ici, je voudrais faire
? 9 La réponse est bien simple : la cause en est dans le traite- ment insuffisant de la syphilis, en même temps, que ce
oire du tout, et que les refroidissements, sont pour lui extrême- ment nuisibles; que, si l'accomplissement de ses devoi
es est conservée; avec les yeux fermés, la répétition d'un mouve- ment quelconque, appris auparavant au moyen de la vue,
e à un traitement antisyphilitique énergique, je tache simultané- ment de soutenir de toute manière les éléments nerveux
irec- tion. Au contact des électrodes le malade n'éprouve évidem- ment encore aucun courant. Ensuite, je sépare les élec
con- tractilité. Lorsque le choc ou la pression agissent directe- ment sur le muscle, surtout suivant l'axe transversal,
lorsque les mouvements d'ensemble ont diminué ou cessé complète- ment ». Pour rechercher la contraction locale on peu
té cardiaque demeurent intactes, ce qui permet au malade entière- ment paralysé de vivre ; son épave flotte et peut, la
éventail. Ce n'est qu'en arrière de la limite inférieure du renfle- ment olfactif que ce faisceau s'épuise sur les côtés e
méningite, plus accusée, comme celle-ci, à droite, occupe exacte- ment l'endroit de passage des racines postérieures à t
niveau de la deuxième paire lombaire, elles occupent très nette- ment la place du faisceau postéro-inédian. Plus bas, r
d'ivresse furieuse; par le Dr FRANcoTTE. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1899, n" 94.) 11 s'agit d'un homm
élire de la jalousie ; par le D, Villers. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1899, nos 93 et 94.) Ce travail s
'une école d'infirmiers et d'infirmières où sera enseigné spéciale- ment l'art de soigner les épileptiques, ensuite l'orga
serve le moindre souvenir après l'attaque. Il rapporte sommaire- ment dix observations très démonstratives à l'égard de
prêtent à l'étude objective, les activités sensorielles étant pure- ment subjectives, on est obligé de s'en rapporter, en
manifestations caractéristiques du tabes, pourra se croire simple- ment en proie à des douleurs rhumatismales et il ne lu
dans le eervelet (circonvolutions et arbre de vie). Histologique- ment , elle est constituée par une trame névroglique tr
vibration. Les os, situés superficiellement, perçoivent plus nette- ment que ceux cachés plus profondément. Les sujets jeu
dans les os, sur l'influence de l'hyperémie vasculaire, peut égale- ment être invoquée ici. L'observation offre un grand i
blis. Dans la disparition de la myéline peut prendre part égale- ment le protoplasma hyperplasié avec ses éléments cell
pilule les urines deviennent bleues, en effet ; à partir de ce mo- ment , la contractture spasmodique du diaphragme dispar
jeunes femmes qui paraissent bien portantes et ne songent nulle- ment à se faire soigner. Néanmoins, ces symptômes prés
ure déjà publiés, l'intérêt de l'observation résidant principale- ment dans les altérations anatomo-pathologiques qui on
C'était un homme vif, à caractère bizarre ; il s'emportait facile- ment et pour un rien battait femme et enfants. Mais un
ts. Les temps humides exerceraient sur ces mouvements très nette- ment choréiques, une réelle influence. La volonté est
malade a toujours eu un caractère très vif; avec cela légère- > ment craintif; il a peur de l'orage par exemple. Il n'
9. Le malade ne peut absorber aucun ali- 470 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment solide : on le nourrit avec du lait qu'on lui fai
des capillaires un véritable manchon. 474 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment très grand; nous les voyons également en grand no
s. C'est un grand garçon robuste et bien musclé. Il est actuelle- ment encore sous l'influence d'hallucinations spontané
M... Alphonse est habituellement triste ; il se décourage facile- ment , parfois il pense au suicide, mais n'a jamais ten
. Le 22 avril toute hallucination a disparu. Le malade, complète- ment revenu à lui, se rend compte de sa situation. La
ser- vations précédentes, ce cerveau est hyperesthésié partielle- ment ; ici, c'est la vue qui réagit; dans tel autre ca
tion, ditLeuret, n'est pas un souvenir, c'est une chose actuelle- ment perçue; elle diffère autant et de la même manière
compléter certains points de l'observation. 49C RECUEIL DE FAITS. ment implantés et moins abondants à la paupière inféri
dort assez bien, mais la nuit elle crie sans cesse. Même traite- ment général, vaseline boriquée sur les régions qui de
grès lents des symptômes montrent que la tumeur s'accroît lente- ment ; ceci est plutôt en faveur d'un gliome que d'un
qui existent à la périphérie de la corne antérieure dans le renfle- ment cervical et dans la moelle lombo-sacrée président
u secondaire interne,-un groupe moyen, formé lui-même par un seg- ment antérieur et un segment postérieur, chez le chien
le bleu et le rouge. Pas de scotome central. Olfaction complète- ment abolie. Le malade était fort buveur de wisky, et
tre le groupe occipital. Le traitement médical a échoué complète- ment et non seulement n'a pas guéri, mais n'a même pas
M. Raymond déclare qu'il ne croit pas à l'efficacité de ce médica- ment . Il lui préfère l'iodure de potassium ou de sodiu
de, consistant, comme le montre une radiographie dans un décolle- ment de l'épi trochlée attirée au bas et fixée à la pa
e- loppement désordonné, mal équilibré, qu'un arrêt de développe- ment . En observant de près les bizarreries de leur con
tion des écoles de réforme. Il y a d'abord le système de caserne- ment pratiqué en Belgique : c'est le plus économique,
, durant le temps qui va de sa libération au départ pour le régi- ment . A nos législateurs de combler cette lacune, et à
9 (1911) La pratique neurologique
rendra ce livre aux éludes neurologiques, j'éprouve un réel senti- ment de gratitude pour les élèves et pour les amis qui
ène le curseur de la périphérie vers le centre de l'arc. Au mo- ment où il pénètre dans le champ visuel, il est perç
e point de fixation. La constatation de ce redresse- ......"1 1 ment démontre 1 existence au strabisme. Mensuratio
e très légère d'un des globes, les yeux ne se dirigent plus exacte- ment vers l'objet fixé, l'image de cet objet vient se
ntinuellement ses dimensions, se dilate et se rétrécit alternative- ment . Ces mouvements pupillaires sont provoqués par de
réciproque. Ces réflexes peuvent, en elle ! , être atteints isolé- ment , sans que l'altération de l'un d'eux empêche les
vergence peut être abolie et la pupille continuer à réagir normale- ment dans la vision rapprochée. Les dénominations de r
cmuut, courant électrique...). On voit la pupille se dilater lente- ment et quelquefois d'une manière considérable. C'est
cours d'une affection de l'utérus (augmentation de volume, déplace- ment , etc.) surviennent des obscurcissements de la vue
à l'ophtalmoscope. C'est à cette variété de lésions, particulière- ment aux hémorragies, qu'appartiennent les scotomes ob
Le rétrécissement du champ visuel de nature hystérique porte égale- ment sur les couleurs. D'ordinaire, l'ordre physiologi
rs affections, autres que l'hystérie, peuvent donner un rétrécisse- ment concentrique plus ou moins régulier du champ visu
e au niveau ou au delà du chiasma. II n'y a donc pas, à propre- ment parler, d'hémia- nopsic monoculaire. Nous déc
manquante du champ visuel est absolument verticale et passe exacte- ment par le point de fixation en suivant le méridien v
eur, àge avancé du malade. Autres troubles cérébraux de ramollisse- ment : mémoire diminuée, affaiblissement intellectuel,
déviation secondaire est égale il la déviation primaire. Voici com- ment on recherche ce dernier symptôme : Quand le mal
n FAUSSE... ? ...- Le malade a de la difficulté pour saisir rapide- ment avec la main un objet fixé pai l'aeil paralysé. S
En présence d'une paralysie oculaire il faut déterminer successive- ment : 1° le muscle paralysé; 2° le siège dans les voi
aisceau de l'étage inférieur du pédoncule; elles occupent probable- ment l'étage supérieur (la partie voisine de la couche
sion la physiologie des mouvements de l'iris et, plus particulière- ment ici, l'inlluence exercée sur eux par le système n
re exemple : l'excitation du tronc du M. 0. C. produit un resserre- ment pupillaire très léger; l'excitation des nerfs cil
odes d'excitation. Des alternatives de dilatation et de rétrécisse- ment pupillaire sont toujours un signe fâcheux au cour
ommodation. Les trois dernières sont dues à l'absence, au durcisse- ment ou au déplacement du cristallin, elles ne résulte
aucoup d'enfants, dont plusieurs, mais pas tous, sont d'un tempéra- ment nerveux. Elle' est plus rare chez les jeunes gens
saillant écarte les paupières; d'autres fois l'oeil est modéré- ment saillant, mais les pau- pières rétractées, élar
on lacrymale peut résulter de l'exophtalmie elle-même, de l'écarte- ment palpébral, de l'insuffisance du clignement. De là
fections du nerf optique (atrophie, névrite), altèrent très rapide- ment et d'une manière considérable la vision des coule
rtension considérable sans papillitc. Les exemples en sont extrême- ment fréquents, ne serait-ce que dans l'hydrocéphalie.
naires paraissent exagérés, les plus légers même résonnent étrange- ment , deviennent douloureux et produisent de l'agitati
ptomalologie : vertiges, bourdonnements et surdité avec accompagne- ment de phénomènes congestifs du côté de la face, de l
nt pu pénétrer dans la clinique journalière. Il a donné lieu récem- ment à une active poussée de nouvelles recherches à la
les fractures de la base du crâne, la lame criblée étant manifeste- ment un point faible qui cède souvent dans les traumat
ibles des odeurs habituellement bien tolérées. Elle est habituelle- ment passagère et détermine rarement de manifestations
s maladies du nez occasionnent des troubles nerveux extraordinaire- ment variés. Les uns s'accompagnent de lésions organiq
es pieds et les déplacé en piétinant sur place, il étend, latérale- ment les bras et les fait osciller ou les projette en
trouble nucléaire des centres bulbo-protubérantiefs, particulière- ment des vastes noyaux étalés sous le plancher dru}" v
e, à la vitesse de sa rotation. Ce vertige rotatif est très facile- ment provoqué par la descente rapide d'un escalier étr
t par une sensation d'étourdissement, d'ebtonissemcnt, de tournoie- ment passager, à la suite de certains mouvements ou ap
nt sans cause apparente ou le plus souvent à l'occasion d'un mouve- ment brusque, surtout d'un brusque changement de posit
rs portant sur le labyrinthe; lIitzig veut y voir une origine pure- ment mentale, un simple trouble de la conscience du mo
tant ce vertige, avec ses nausées et ses vomissements particulière- ment importants, peut être provoqué par des excitation
y a pas de traitement applicable au vertige en général : le traite- ment de chaque vertige varie avec sa cause. Pourtant
ous les traitements des vertiges auriculaires, celui qui a assuré-, ment donné les résultats les plus fréquents est la pon
ndeur et sa persistance. La connaissance, la sensibilité, le mouve- ment sont abolis ou tout au moins profondément altérés
utable. Quoi qu'il en soit, dès le second jour, l'assoupisse- , . : ment souvent est moins profond. Des appels réitérés, d
tanées ou visuelles amènent quelque réf1l'xc ou même quelque mouvez ment conscient. En un mot, Ions les phénomènes morbide
tense et des fourmillements pathognomoniques aux extrémités, notam- ment au bout du nez. Quant il la strychnine, ce toxiqu
Au cours des sommeils morbides que nous venons de passer rapide* ment en revue, le malade endormi demeurait inerte, pas
série de faits tout différents, la période; de sommeil n'est nulle- ment une période de repos absolu. Le cerveau du malade
), soit par l'influence d'une volonté étrangère (suggestion propre- ment dite). Les effets du sommeil hypnotique ont été c
ans un certain nombre de cas, l'éréthisme nerveux est particulière- ment intense, et l'insomnie presque absolue peut s'obs
ence, l'état général de l'intelligence. Le malade se rend-il seule- ment compte que l'on cherche à nouer conversation avec
astrique. La non-utilisation de la colonne d'air expiré peut égale- ment déterminer le silence verbal. 20 La mutité relè
parition totale des troubles de la parole dans le chant. Le bégaie- ment n'a, par lui-même, aucune valeur séméiologique bi
quemment chez les ascendants ou collatéraux. On a décrit un bégaie- ment hystérique, à début et terminaison brusques, Il c
Les malades présentaient une voix brève, menue, uniforme, extrême- ment précipitée, à peine distincte, presque breelouill
. Tantôt il s'agit de déficit intellectuel, d'absence de développe- ment cérébral, comme chez l'idiot, le dégénéré, tantôt
ystique de l'épilepsie. On les rencontre avec leur plein développe- ment dans les diverses formes d'aliénation mentale.
e malade est-il poursuivi par certains mots qui reviennent constam- ment dans ses essais de conversation (Intoxication par
langage oral (para et jargouagraphie). Le plus souvent, spontané- 1 ment ou sous dictée, l'aphasique de Wernicke trace seu
rtain degré de dysarthrie; les mots sont émis avec etfort, fréquem- ment déformés. L'accent est défectueux. la prononciati
malaisé de reconnaître si le malade comprend, entend intellectuelle ment ce que l'on attend de lui. Le diffe- rend nous
es ou élémentaires en sensations supérieures ou perceptions propre- ment dites. Elle' représente un trouble de l'idenlific
itera enfin de prendre l'agnosique, multiple, complexe, pour un dé- ment : l'agnosique se présente en effet comme un ignor
erminations thérapeutiques nécessaires, pour conseiller un interne- ment par exemple. Il faut éviter d'examiner les mala
la localisation de ces souvenirs dans le temps, examiner aussi com- ment se fait la conservation des images nouvelles. - .
ns .1'ccmzesie rétrograde le malade a perdu le souvenir d'un événe- ment et celui de tous les faits se rapportant à une pé
perdu le souvenir d'une période de son existence suivant immédiate- ment un événement, l'amnésie est dite antérograde ou m
très systématisées. Elles apparaissent, en général, assez tardive- ment ; leur pronostic est grave, car elles prouvent la
de suicide, soit par dépression psychique profonde; il est absolu- ment nécessaire de faire chez eux l'alimentation forcé
tien était il leur charge et qui seraient placés dans un établisse- ment spécial d'aliénés. En cas de contestation il se
pourvoir devant le tribunal du lieu de la situation de l'établisse- ment qui, après les vérifications nécessaires, ordonne
des parties intéressées, ou sur celle du procureur du roi, le juge- ment (pn nommera l'administrateur provisoire pourra en
ans le cas où un administrateur provisoire aura été nommé par juge- ment , les significations ? faire à la personne placée
tif, l'cmploi du produit de ce travail sera déterminé par le règle- ment intérieur de ces établissements. : lnT. ,1 fi. Le
ectuosités d'articulation ou de prononciation : bégaiement, zézaie- ment , etc. Quelquefois, au milieu de phrases incomplèt
l indiscutable et elle a pu être d'un grand secours dans le traite- ment médico-pédagogique inslilué par Buul"l1eville. Le
' Complications. Les complications de l'idiotie . sont non seule- ment les symptômes associés à la paralysie que nous av
l'existence d'appareils et de lilets nerveux différents, spéciale- ment et uniquement adaptés à recevoir et à conduire te
Obersteinerj ou al/est I/(>sie (Longuet). Ce phénomène est rare- ment noté dans les observations ; il est probable qu'o
ptionnellement absolue comme dans l'hystérie, elle est ordinaire- ment incomplète ou fruste. Incom- plète, elle n'inté
sthésie avec retard dans la perception des sensations et élargisse- ment des cercles de Weber. Ces faits sont d'autant '
de lui avoir fait mal. alors qu'en réalité, on l'avait tout simple- ment piqué; ce défaut d'analyse peut être tel, que l'o
de, l'hémisphère resté intact parvenant .spontanément et graduelle- ment à rétablir l'élaboration (\va impressions sensori
n et élargissement des cercles de Weber. Parfois, mais plus rare- ment , il existe de l'anesthésie com- plète. Les sens
ographie médullaire. Ces troubles intéressent il la fois ou séparé- ment les divers modes de sensibilité superficielle ou
versement, à une paraplégie sensitive marquée correspond ordinaire- ment une paralysie motrice grave. Lorsque la paralysie
5e, 6" racines dorsales. Souvent aussi, l'anesthésie envahit égale- ment les faces antérieures et postérieures du bord cub
embres supérieurs et le tronc, plus rarement les jambes. Ordinaire- ment symétriques, ils sont plus rarement unilatéraux;
eusitivo-motrice à type radiculaire permet d'affirmer presque sùre- ment que les racines sont touchées. C'est dans ce cas
s lignes, on peut dire que le diagnostic différentiel est pratique- ment moins difficile qu'il ne paraît l'être au premier
e, suivant que tel ou telnerf crânien ou rachidien sera pris isolé- ment . La distribution cutanée des nerfs périphériques
sthésie peut envahir le pied, la jambe, etc., et s'arrêter brusque- ment au niveau du tronc ou des membres suivant une lig
veut obtenir de lui au sujet des sensations qu'il éprouve spontané- ment , et en évitant de le laisser s'égarer dans des dé
insistent sur le fait qu'elles sont plutôt superficielles et affir- ment que c'est la peau et les plans cellulo-graisseux
dernier caractère important : ces algies ne cèdent à aucun traite- ment analgésique externe ou interne; la morphine même
nvasion ou de syncope locale. Ce sont des sensations d'engourdisse- ment , d'onglée, de doigt mort survenant par crises, so
que la teinte cyanotique de la peau, les phlyctènes, le parchemine- ment et les escarres. , 2° Dans les affections des n
sensation de chaud ou de froid. L'intensité de ces sensations aug- mente à mesure que la paralysie se développe, et, comme
5° Dans lès névroses et les psychoses. Les dysesthésies sont égale- ment des sensations subjectives qu'on observe dans les
oin de la, miction, du besoin sexuel, qui peuvent s'observer égaler ment ici, on note des modifications de la sensation de
éflexes rotuliens ont, été étudiés dans' la syphilis, et non seule- ment chez les syphilitiques d'ancienne date, mais enco
eau avec la pointe d'une épingle au niveau de l'abdomen successive- ment à droite et à gauche de la ligne médiane : il se
réflexe abdominal se recherche au-dessous de l'ombilic successive- ment il droite et à gauche de la ligne médiane. Il se
ions suivantes : abolition dans 45 pour 9 Ull des cas, affaiblisse- ment dans 55,3 pour 100 des cas. La disparition du r
perréflectibilité cutanée généralisée a son type dans l'empoisonne- ment par la strychnine et la tétanie. On la rencontre
Chacun de ces organes est nécessaire pour la production du mouve- ment réflexe, les lésions quelconques de l'un d'eux en
certain nombre de phénomènes surajoutés n'appartenant pas directe- ment à la fonction motrice et épie l'on a cependant co
n degré de parésie; celle-ci porte surtout, mais non pas exclusive- ment , sur les muselés de la face innervés par le « fac
Les muscles moteurs des globes oculaires participeraient générale- ment à la paralysie, d'après Mirallié et Desclaux, Wil
ion douloureuse, ou bien qu'il se produit soit un léger tressaille- ment des muscles au niveau du point piqué, soit même u
ent des muscles au niveau du point piqué, soit même un léger mouve- ment de retrait du membre. On dit alors qu'il y a hémi
le pique, ou bien c'est un des assistants qui s'est appuyé brutale- ment sur son membre paralysé, etc.... Jamais, en tout
par ramollissement cérébral, c'est l'hémianopsie, qui est extrême- ment rare chez les lacunaires, si tant est même qu'ell
is qu'elle est fréquente chez les individus atteints de ramollisse- ment (il est bien entendu qu'il s'agit d'aphasie vraie
ques. et en réalité le diagnostic des lésions de ce genre est rare- ment assuré. Dans ces dernières années, Dejerine, avec
gue série de syndromes alternes, tous exceptionnels, ont été récem- ment signalés par les auteurs : Type Foville du synd
L'hémiplégie peut être traumatique soit par contusion ou enfonce- ment des os du crâne et lésions du cerveau ou hémorrag
z lequel on ne constate pas d'affection cardiaque, doit être forte- ment soupçonné de syphilis. L'hémiplégie syphilitique
u'avec un doit placé sous le menton, on résiste un peu il ce mouve- ment . Le signe de la pronation (Babinski) ne s'observe
as le mouvement associé est asymétrique. Un autre exemple de mouve- ment associé asymétrique est le mouvement ébauché par
a face antérieure de la cuisse. On voit alors se produire un mouve- ment d'élévation du bord interne du pied avec rotation
neumonie. Enfin, on a pu observer égale- MOUVEMENTS ASSOCIÉS. 485 ment ce signe au cours de la pleurésie purulente à pne
La recherche des signes de Babinsky et d'Oppcnheimmontre générale- ment une grosse extension de l'orteil. On note égaleme
Les réflexes cutanés peuvent être normaux ou abolis, ils sont rare- ment exagérés. Du côté de la sensibilité, des troubl
le même individu, peuvent encore une fois se présenter successive- ment ces différents tableaux. Diagnostic différentie
, affection distincte de l'alhétosç post-hémiplégique, est extrême- ment ralentie. Le sujet se livre il de multiples conto
mation rachidienne, de la douleur vertébrale. On constate fréquem- ment la dissociation s ! Jril1gomyélique de la sensibi
écise encore, mais non pottique. Ces réserves sont destinées seule- ment à mettre le clinicien en garde contre une assimil
En dehors des grands désastres causés par section lors du glisse- ment d'une vertèbre cariée, la moelle des tuberculeux
s marquée, prononcée surtout aux mains. Celles-ci présentent égale- ment de l'atrophie du type Aran-Duche11lH', et à la pé
Le siège de la tumeur tlllt'l(-Itt('clllllCl2'l'L influe naturelle- ment sur la symptomatotogie. Il existe souvent une pre
diagnostic est aisé lorsqu'avec.. ta paraplégie coexistent tremble- ment intentionnel, (roubles de la parole, nystagmus. M
lles peuvent entraîner la mort. L'issue fatale peut survenir égale- ment au cours de phénomènes bulbaires. , De cette fo
, la mort peut survenir par infection vésicale ou cutanée, fréquem- ment par escarre énorme, dénudant le sacrum, ouvrant l
le myopathie sénile sur laquelle l'école de la Salprtrière a récem- ment attiré l'attention. D'après Lhermitte et Lejonne
nesthésie du côté de la lésion. A la racine S', sectionnée égale- ment , et il toutes les racines inférieures S, S (rep
, dans ses trois quarts supérieurs et sur le tiers externe du liga- ment interosseux. Il reçoit en outre dans la moitié de
r une forte aponévrose située sur sa face postérieure, sur le liga- ment latéral externe de l'articulation du coude, sur u
a région postérieure de l'avant-bras comprend huit muscles qui for- ment deux couches. La couche superficielle se compose
cubital postérieur, l'anconé. La couche profonde se compose égale- ment de quatre muscles : le long abducteur du pouce, l
ce s'insère en haut sur la face postérieure, du cuhitus et du liga- ment interosseux, en has sur l'extrémité postérieure d
remier interosseux dorsal s'insère sur la face cubitale (partielle- ment ) du premier métacarpien, sur la face radiale (en
5'' et 4" vertèbres sacrées, sur la face antérieure du grand liga- ment sacro-sciatique, sur la partie la plus élevée de
bords latéraux de la rotule qui est reliée, elle-même, par le liga- ment rotulien à la tubérosité antérieure du tibia ; qu
. Physiologie. L'extenseur propre du gros orteil étend énergique- ment la première phalange, plus faiblement la seconde.
, sa rotation en dedans. Il amène le pied en varus équin. Le mouve- ment d'extension est énergique pour l'arrière-pied et
rdial dans la marche, le saut. Les deux jumeaux contribuent légère- ment à la flexion du genou. Lorsque le triceps sural
extension, parfois suhtuxécs, les deux autres sont fléchies et for- ment une grille, la face plantaire des orteils ne pren
oi thoracique proprement dite. Le creux de l'aisselle est profondé- ment modifié, sa paroi postérieure disparait peu près
ion, il en résulte que ces faisceaux musculaires ne sont véritable- ment rotateurs qu à la région dorsale et à la région c
pour conséquence une cyphose cervicale, pour compenser le déplace- ment la tète s'étend sur le cou, il se produit une lor
ominale antérieure ; dans cette dernière variété, grâce à un mouve- ment de bascule du bassin, les apophyses dorsales les
le muscle frontal alors que d'autres se servent presque exclusive- ment d'un muscle antagoniste, le muselé, sourcilier, q
win a insisté sur ce fait que le pyramidal se contracte synergique- ment avec le sourcilier et l'orbiculaire des paupières
C'est un fait sur lequel a insisté lluet et qui s'explique facile- ment . Le bras qui pend le long du corps tend par son p
quence de la paralysie des fibres radiées de l'iris, le rétrécisse- ment de la fente palpébrale et l'enophtalmie la conséq
té le plus souvent observée en clinique. Kilo est le plus f'réquem- ment consécutive il des traumatismes violents. La para
du type complexe, sont atteintes des racines appartenant et au seg- ment supérieur et au segment inférieur du plexus. Ces
nes, surviennent le plus souvent'au cours d'une maladie antérieure- ment reconnue (tuberculose vertébrale, cancer, syringo
e du côté paralysé; ces troubles du goût existent d'ailleurs seule- ment au sujet des substances sucrées ou salées, car la
durée et révolution d'une paralysie radiale, dépendent essentielle- ment de sa cause. Le pronostic sera basé, comme dans t
ride musculo-fibreuse anormale du cou permirent presque instantané- ment au malade de manger comme tout le monde, alors qu
rme en voix bitonale et la voix finit même par s'améliorer notable- ment , ce qui tient à ce que la corde vocale saine tend
usale, par la gymnastique respiratoire, mais ils récidivent facile- ment et sont au total d'un pronostic très sérieux chez
conditions sont bien nombreuses pour qu'on puisse affirmer facile- ment qu'il y a entre les deux membres une différence d
ns signes d'affection nerveuse. Dans le premier cas, l'affaiblisse- ment musculaire est tout et la gène fonctionnelle est
es voies nerveuses sont indemnes et que les muscles sont primilive- ment atteints, comme tous les symptômes que l'on consi
utre variété de myopathie. Dans un bon nombre de cas, il y a seule- ment une hérédité neuropathique, et l'on trouve chez l
uence (Lion et Gasne (5). ,Jofl'roy). C'est surtout, non exclusive- ment , dans ces cas qui ne semblent pas héréditaires ou
nt épargnées (Juglis). La propagation se fait d'autant plus facile- ment par les femmes que, quand elles sont, atteintes,
805. 2. Sacaha. Th. Bucarest, 1895. "). l3uvrmc ? ouf. neru. and ment , dis., juin 1 ! )Q;¡. 4. Suc : hi.ms. Biil. méd
stante dans les myopathies, la pseudo-hypertrophie n'en est aucune- ment caractéristique ; on ne la trouve guère, il est v
cles peuvent exister dans toutes les 1. (;OIIfJON. J. o/' ne1'U. a. ment , dis., juin 1905. ' MYOPATHIES. 671 1 formes
rons d'abord ces symptômes accessoires, puis nous passerons rapide- ment en revue la distribution et l'évolution de l'atro
l'importance duquel P. Marie a appelé l'attention ; cet aplatisse- ment peut être tel que le diamètre antéro-postérieur n
D. Zeilsch. y. Neruenh., lld \I1', IS97. 2. LLOYD. J. o/'nerv, and. ment , dis., oct. 1884. 5- Haixion. France méd., 20 n
ent dans un cas jusqu'à l'infantilisme avec monorchidie; le gonfle- ment des glandes salivaires a été parfois signalé, Cla
affaiblissement et pseudo-hypertrophie semblent évoluer simultané- ment . L'affection n'attire généralement l'attention de
uemment atteint de pseudo- hypertrophie, et. quelquefois précoce- ment , peu de mois après le début aux membres inférie
e long de leurs cuisses et de leurs lombes, maintenant alternative- ment chaque main solidement appuyée pendant que l'autr
s les intermédiaires : dans la pratique, on rencontre très fréquem- ment des cas où l'on remarque en plus ou en moins l'at
gros orteil ; les mus- cles du mollet sont tardivement et modéré- ment atrophiés. A la cuisse, le triceps peut être at
érieurs qui l'empêchait de marcher facilement, faisait quotidienne- ment de longues promenades à bicyclette. L'atrophie
aladie débute par les membres supérieurs, elle envahit très rapide- ment les membres inférieurs; d'après llaincl (5), l'af
ent par les bras (Etienne) ou le tronc, tout à fait exceptionnelle- ment par les pieds et les jambes (cas de Raymond et Ph
Enfin la contractilité galvanique diminue et disparait définitive- ment . La réaction de dégénérescence n'apparaît donc da
crit une « forme amyotrophique ». Pour Lejonne ('),.qui en a récem- ment repris l'étude, cette forme amyotrophique se dist
, dans la période d'incoordination confirmée, réduisent symétrique- ment les membres inférieurs à des proportions squelett
traire, et en particulier l'atrophie Aran-Duchenne, dépendent sûre- ment d'une atrophie des cellules radiculaires antérieu
'1'10 : . Soc. neurol.. Décembre 1902. i. Col.l.ns. J. of nerv. aud ment , dis., Juin 1905. Pratique \EUII()f.. ! 5 [A.
myotrophies primitives, d'atteindre d'emblée, plus ou moins rapide- ment , la totalité des muscles qui doivent être frappés
re de cas d'atrophie musculaire progressive survenant très tardive- ment , parfois après 40 ou 50 ans, soit au niveau de mu
(Bouchard, Debove ('), Joffroy et Achard, Dejerine), très fréquem- ment des troubles trophiques et vaso-moteurs des tégum
thermie, oedème, hyperidrose, ulcérations, etc.) sont très fréquem- ment liés aux paralysies atrophiques d'origine périphé
on essentielle ; elle se marque d'abord par t'anestbésie, générale- ment douloureuse, des jambes, des doigts, de la bouche
e; que le travail excessif soit rendu nécessaire par un fonctionne- ment physiologique exagéré ou par certains troubles pa
t jamais assez considérable pour que le muscle apparaisse clinique- ment hypertrophié : aussi, en clinique, l'hypertTophie
euse ou de phlébite, parfois peut-être d'artérite, ayant immédiate- ment précédé dans le membre atteint le développement d
de la sensibilité objective, d'autres facteurs entrent certaine- ment pour une part dans la genèse de l'ataxie tabéti
Pierre Marie, ont établi la constance dans les tabes, joue assuré- ment un rôle : on comprend que la perte de la tonicité
tion très nette des mouvements simples qu'il exécute, il est seule- ment incapable de commander en même temps à la muscula
le tronc, rarement la face. Le début peut se faire, exceptionnelle- ment , par les membres supérieurs (tabès supérieur), pr
oscillations, le manque d'équilibre se révèleront bien plus facile- ment dans ces mouvements subits et imprévus que dans l
l'individu au degré atténué de ses sensations, par un perfectionne- ment du contrôle de la vue sur les mouvements, en somm
t parfois de troubles des réflexes; la terminaison serait générale- ment favorable. La paraplégie ataxique subaiguë, déc
l'ataxie tabétique, elles n'altèrent pas le sens général du mouve- ment dont les différentes parties restent assez bien c
u'un des éléments d'un syndrome cérébelleux dont nous devons égale- ment la connaissance à Babinski et dont nous aurons à
tantôt trop à gauche, parfois même en arrière, toujours Irrëgullè- ment loin de la ligne droite qui mènerait au but à att
r- donne de croiser ses bras, d'étendre et d'écarter légère - ment ses jambes, et de chercher ainsi à s'asseoir.
eulement les mouvements simples ne peuvent être exécutés simultané- ment , mais encore ils ne peuvent être exécutés success
té de l'écriture, la scansion de la parole, peut-être le tremble- ment volitionnel des cérébelleux. L'écriture, qui né
ons dit qu'il y a deux grandes variétés d'incoordinations actuelle- ment isolées, l'incoordination cérébelleuse et l'incoo
puis jusqu'à la pointe du pied ; varier de la même façon ce mouve- ment en faisant arrêter le pied en chemin, à volonté e
La description sommaire de ces dessins permet de comprendre com- ment on peut, en les utilisant, arrivera faire exécute
. B) Tronc. La rééducation des mouvements du tronc est le complé- ment presque toujours indispensable de la rééducation
hémiplégie alterne, type Weber ou Millard-Gubler. Il existe égale- ment un syndrome bulbaire analogue ou hémiplégie alter
es et la bouche élargie, surtout dans le rire, fendue transversale- ment , avec de grosses lèvres éversées des commissures
l semble plutôt s'agir ici de myasthénie que de paralysie à propre- ment parler (V oirchap. Paraplégie). . Vertige paral
lacée par la paralysie, l'excitation de l'écorce cérébrale à un mo- ment donné arrivant en quelque sorte à son stade d'épu
il s'agit d'un enfant plus âgé, on procédera tout aussi méthodique- ment qu'auparavant à l'Interrogatoire, à la recherche
e tentative d'empoisonné- CONVULSIONS ET CRISES C011'ULSI'Is. 827 ment ou à un empoisonnement involontaire par la strych
n fait remarquer que les oscillations pour caractériser le tremble- ment doivent être régulières et rythmées. D'antre part
et la confusion quand il s'agit d'un degré plus avancé. Ce tremble- ment peut également se manifester aux membres inférieu
hme pendulaire, et qu'il puisse se produire dans l'état de relâche- ment des muscles du malade. Il doit être distingué par
tremblement qu'il a décrit dans sa thèse (Paris, 1885). Ce tremble- ment existe d'une façon à peu près constante dans cert
lisé, il imite le tremblement de la maladie de Basedow, le tremble- ment alcoolique et celui de la paralysie générale. Ce
. Joffroy (Progrès médical, 1885), a cependant trouvé très fréquem- ment la diminution des réflexes patellaires et même le
spect tout particulier de cette chorée molle la rend donc clinique- ment différente de la chorée vulgaire, aussi souvent a
e mouvements systématiques coordonnés dans le but de l'accomplisse- ment d'une fonction, elle peut imiter les mouvements d
l'étudede l'hémiplégie, cependant elle signifie plus particulière- ment que l'on a affaire it une hémiplégie infantile qu
'exagèrent jusqu'à la mort. Elle siège dans les membres, plus rare- ment dans la face, elle s'exagère à propos des mouveme
oeffer, Boinet et Touche ont mis. au point la question; plus récem- ment elle a été l'objet d'une excellente Bévue général
res du tic est que la volonté peut toujours le suspendre momentané- ment ou l'atténuer : si la volonté était assez puissan
moyens de contention réels, ils n'empêchent momentanément le mouve- ment qu'en nécessitant l'attention du malade et en sou
ariés. Les tics nouveaux apparaissent souvent, mais non nécessaire- ment , dans les portions du corps qui avoisinent les pr
nsi que, parmi les facultés intellectuelles, l'intelligence propre- ment dite peut être ou non altérée, le jugement, le ra
est plus grande encore, ils imitent invoioutairement et inconsciem- ment les gestes qu'ils voient exécuter (echomimie)ou l
rent guère des spasmes. Pour Joifroy (') les tics, et particulière- ment la maladie des tics, rentrent dans un groupe natu
ication quelconque, par la diminution de la conscience, du « senti- ment des convenances », sous l'influence d'une altérat
e l'oeil), cloniques; tic de clignement, tonique; tic d'écarquille- ment , clonique ou tonique. Ces tics sont généralement
de desserrer les dénis pour parler avec possibilité d'ouvrir large- ment la bouche pour exécuter certains mouvements, tire
ère et accélérée chez les tiqueurs, sans qu'il y ait de tic propre- ment dit de la marche. Tics de la déglutition. Tics
façon convulsive, brusquement et inopportunément; on peut générale- ment retrouver au début la signification logique de ce
tion que chez les autres tiqueurs. Les « tics hystériques » propre- ment dits sont fréquemment des tics rythmiques; ils re
facial vrai : il n'est pas rigoureusement unilatéral ni rigoureuse- ment limité au domaine du nerf facial, les secousses n
tic est un mouvement figuré, la chorée est constituée par un mouve- ment amorphe » ; les mouvements choréiques suivent une
se, interrompue par les écarts les plus imprévus. Ils sont extrême- ment variables ; ils siègent exclusivement ou de façon
de détente : les muscles tiqueurs devront être relâchés instantané- ment au commandement. 5° Dans le troisième stade, on
olument de tiquer quand on les fait respirer profondément et lente- ment . Le fait seul de chanter ou de déclamer ou de com
ute voix une fable quelconque, en faisant fréquemment et régulière- ment , tous les deux ou trois vers par exemple, une ins
au contraire cette idée d'irritation organique : or il n'est nulle- ment démontré que ces affections soient toujours organ
Ces troubles moteurs peuvent se présenter sous des formes extrême- ment variées; pour la commodité de la description plus
renoncer à écrire. La crampe se suspend alors immédiatement, et la mente main peut s'occuper à toutes sortes d'autres ac
Dans la variété trémulente, le spasme est remplacé par un tremble- ment qui peut aussi ne frapper qu'un ou plusieurs doig
t qui peut aussi ne frapper qu'un ou plusieurs doigts où simultané- ment l'avant-bras, le bras, l'épaule ; l'écriture est
ement sur un terrain mental prédisposé, déséquilibré, particulière- ment émotif et aboulique. De plus, la crampe des écr
ans le moment même où un centre préside ,'1 l'exécution d'un mouve- ment , le centre symétrique est prêt à commander ce mou
e également dans la paralysie générale où il a décrit un aplatisse- ment du pied par hypotonie. Elle est aussi un symptô
'étiologie .de cette paralysie, et. même chez les individus simple- ment atteints -d'ostéo-arthrite rhumatoïde. Dans la
procher de la scléro- dermie, tout en l'en distinguant nette- ment , la sclérodacty- lie ou sclérodermie des extr
e d'ailleurs les ten- dons et de ce chef détruire irrémédiable- ment le jeu fonction- nel de ces doigts. Il est à
ttribuer à quelque trophonévrose hypothétique ce qui relève unique- ment du fer rouge ou de la potasse caustique. Ce n'est
insuffisance thyroïdienne myxoedémateuse ; c'est un oedème extrême- ment dur, épais, que le doigt ne saurait déprimer en g
le fort rapprochée des troubles de cet ordre. On les observe égale- ment au cours de nombreuses affections, névrites infec
aires) ou latérale (affec- Fig. 7. - Escarre sacrée particulière- ment profonde développée au cours d'une myélite. «
qu'exceptionnellement mutilantes. - Signalons pour mémoire seule- ment 1'aïnlaun2, singulière névrite exotique dans la
rès Jeanselme). Fig. 11.. Syringomyélie : usure trophique rapide- ment guérie par le repos, Musée de l'hôpital Saint-
gaiie. Il existe, en effet, une cheiromégalie et même un accroisse- ment de la face syringomyélique rappelant un peu les d
e distance de l'arti- culation. En d'au- tres cas, l'épanche- ment articulaire fait défaut, l'arti- culation est
ans les méningites, le syndrome de Choyne-Stokes s'observe fréquem- ment , c'est avec l'urémie la cause la plus fréquente d
ention est complète, brusque, absolue. Sa durée est variable, rare- ment très longue, de quelques jours il 2 ou 5 semaines
devenir irrémédiable, et beaucoup d'incontinences dues au regorge- ment disparaissent. En même temps les reins sont proté
age. Ailleurs, lorsqu'il y a incontinence, par exemple, le relâche- ment du sphincter permet l'incursion spontanée des mic
e-ci devient hésitante, se fait goutte par goutte; c'est le bégaie- ment urinaire, premier indice du spasme 1l1'élrai. Cet
e une congestion habituelle des organes génitaux dont le développe- ment prend parfois des proportions considérables. C'es
et même leur excitation génitale, la règle est de les voir rapide- ment disparaître; l'inappétence sexuelle devient compl
eulement des picotements, se plaignent de froid ou de chaleur pure- ment subjectives. En dehors des aliénés, la majorité d
remédier d'urgence. Reprendre ou forcer l'alimentation est fréquem- ment la seule façon de nettoyer une langue de la sabur
lise naturellement aux papilles caliciforines. Le médecin, fréquem- ment consulté par cet obsédé, devra le rassurer, le tr
tremblement des mains chez les parkinsoniens, nystagmus et tremble- ment intentionnel dans la sclérose en plaques, etc.
nts sont encore possibles à l'exclusion d'un seul, celui du creuse- ment en gouttière. Nous n'insisterons pas sur les trou
c'est le côté droit si la luette se dévie à gauche, et réciproque- ment ; ou bien, les deux palato-staphylins sont pris,
de l'aorte) sont continus et tenaces; au contraire, le spasme pure- ment névropathique présente des fluctuations étranges,
porte un pronostic très sévère. L'alimentation est, en effet, abso- ment compromise, et l'inanition atteint un point fort
pique par ailleurs, ou être un équivalent. Il s'accompagne fréquem- ment de gastralgie et de nausées; mais il peut être is
digestion. Un simple accès de nausée peut le remplacer. Le vomisse- ment post-paroxystique est spécialement dangereux; sur
rnelles, un certain nombre aussi sont justiciables du grand traite- ment des vomissements hystériques, c'est-à-dire de l'i
ssemblables. Tantôt tournoiement vrai, tantôt sensation de soulève- ment , de culhute ou (l'enfoncement, il est quelquefois
la section de la moelle soit complète, et se soit produite rapide- ment , à condition encore qu'il n'y ait point de contra
. La respiration reste alors superficielle et à peu près exclusive- ment costale. On peut dépister cette simulation en fai
aire; il est préférable de ne pas assumer la direction d'un traite- ment . si l'un ne peut, au point de vue très particulie
s chaque entretien familial ou même après chaque lettre. Cet isole- ment sera combiné au repos absolu : le lit, pas de lec
le seule, à condition cependant que celle-ci ne demeure pas absolu- ment isolée, mais s'accompagne parfois d'émission de m
Dans les tumeurs cérébrales, on rencontre parfois de l'affaiblisse- ment de l'intelligence, de l'enfantillage (Brissaud) a
lu. Barbouillage. Un certain nombre de malades ne sont pas seule- ment incontinents, mais encore se salissent les mains
e (cpwx'r¡ ,. phoque), absen- ce des segments basaux, le seg- ment terminal, la main pour le membre su- périeu
ssion ( corr9yem;s,.tanneurs, blanchisseuses, etc.) ont eu fréquem- ment les mains dans l'eau. " - Déjà par la palpation
x maladies à troubles sensitifs objectifs tout particulière - ment accentués, la syringomyélie et la lèpre. C'es
ment accentués, la syringomyélie et la lèpre. C'est précisé- ment parce qu'ils sont indolents que les panaris,
La main-bote congénitale paralytique s'observe quelquefois, notam- ment après des traumatismes obstétricaux du plexus bra
relâchés et les articulations flottantes ; la déviation est facile- ment réductible, au moins pendant longtemps, jusqu'à l
s pieds participent, à un moindre degré que les mains, à l'allonge- ment et à l'amincissement des os dans la dolieliosténo
ans augmentation notable de longueur. L'hypertrophie porte égale- ment sur tous les tissus, squelette et parties molle
souvent à la plante des pieds ou au talon; ils caractérisent nette- ment la goutte. En l'absence de tophus le diagnostic p
squameuse, les ongles cassants, atrophiés, striés longitudinale- ment . Les oedèmes dits hystériques portent moins s
par la' rétraction de l'aponévrose plantaire; très exceptionnelle- ment ils sont fortement étendus dans la 'l rc phalange
Le « pied de Friedreich » s'observe presque constamment et précoce- ment dans la maladie de Freidreich, exceptionnellement
certain degré en même temps que les muscles aniéro-ealorncs, rare- ment avec grillé parce que les muscles de la plante so
dans toutes moyennes des sériations par taille, par âge, parallèle- ment , il (elle ou lelle autre variation de diamètres d
era égal qu'au 82.10 centièmes de cette quantité. Et. c'est unique- ment pour simplifier le calcul que l'on multiplie le n
rdinaire renflement placé entre les crêtes sourcilières, immédiate- ment au-dessus du point nasal, la glabelle peut n'être
nt, mais avant tout nous aurons employer la toise. C'est un instru- ment simple : tige de 2 mètres de haut, sur laquelle u
sommet de la crête iliaque, bout du médius et de mesurer directe- ment ensuite au ruban, le malade étant écarté, soit le
du crâne sera, comme nous aurons l'occasion de le redire, spéciale- ment profitable. Enfin, les viscères seront soigneusem
signes de l'acromégalo-gigantisme. - Le malade examiné a générale- ment été l'objet de la curiosité sinon des médecins, d
ntisme et acromegalic (Brissaud et Il. Meige). GIGANTISME. 1085 ment l'acromégalie. Il existe quelques caractères seco
sente un aspect disgracieux, repoussant. Son maximum de développe- ment se prononce dans le sens vertical, et. dans ce vi
réclucl- [F. MOUTIER] 1084 GIGANTISME. INFANTILISME, NANISME. ' ment , signalée ; on peut même rencontrer la cécité com
mbement, étalé en « verre de montre ». De plus, la face est absolu- ment indemne et il existe une cyphose dorsale inférieu
dent. ' Infantilisme gigantesque. L'esquisse précédente a rapide- ment établi le syndrome infantilisme. En réalité, les
tes et. cruels. Comme les enfants, ils sont susceptibles d'attache- ment et de dévouement. Leurs haines ne sont bien souve
ules et les ovai- res, l'hypophyse (tuberculose) sont éventuelle- ment un obstacle à notre évolution normale quand leu
ès infantile, tandis que certains infantiles acquièrent secondaire- ment l'aspect de « petits vieux ». Les premiers sont d
téristique. Cette voûte crânienne énorme est d'ailleurs parfaite- ment ossifiée. La face est normale, petite, mais l
icatrices cutanées. Ces nains syphilitiques sont tout particulière- ment chétifs, étriqués, rabougris, séniles. Leur crâne
etc. Il ne faut pas oublier, du reste, que nous sommes tous légère- ment asymétriques, et que normalement (Liebreich), le
'accroisse- [r.MûtrrjM] ] 1100 STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE. ' ~ ment des espaces intercostaux », par Tétroitessc du st
rieures dont les malformations congénitales entraînent corrélative- ment des modifications thoraciques. Anomalies muscul
a parole : mutité, balbutiement, nasonnement, bégaiement, zézaie- ment , etc. A, coté des altérations du langage parlé se
roubles sensitifs. Anesthésie. llypoesthésie, hyperesthésie (notam- ment des os de la face, Schaikewitsch). Analgésie. Ext
nt. - Stigmates nerveux. Nous nous attacherons plus particulière- ment aux stigmates nerveux de t liérédo-syphilis. Four
ilis, suivant Fournier. C'est un crâne qui représente assez exacte- ment la forme des fesses : il est. renflé à la partie
le fréquence dans l'hérédo-syphilis et peut-être même plus fréquem- ment que dans n'importe quelle autre maladie. Stigma
ce procédé ne réussit pas, on retirera et on poussera alternative- ment l'aiguille de quelques millimètres, de façon à re
des faites sur ce point ont été négatives et s'opposent très nette- ment aux résultats obtenus dans la paralysie générale.
le diagnostic de fracture et la clarté du liquide écarte complète- ment ce diagnostic. Cette valeur a été admise par Demo
Audebert et Fournier la considèrent comme un bon moyen de traite- ment des convulsions éclamptiques. ' . Quoi qu'il en
agnostic des fractures du crâne, mais encore comme moyen de traite- ment . Dans un article de I;t l'rcsse Jlc·clicalc tlu &
25 pour 100, 18 pour 100, 14 pour 100. Et le sérum agit non seule- ment en diminuant la mortalité, mais encore en abrégea
orragique, séro-purulent ou purulent, le liquide ventriculaire aug- mente de façon considérable surtout chez les enfants où
i le liquide est très abondant et dénué, comme cela arrive fréquem- ment dans les cas subaigus et surtout chroniques, d'él
S. douloureuse que celle du cote sain. Les convulsions sont tranche ment unilatérales ou prédominent d'un côté; on enreg
dont ils dérivent. Pour y parvenir, il faut y penser systématique- ment , et surtout ne pas se contenter du diagnostic com
ndymite primitive- [G. DELAMARE. 1160 SYNDROMES VENTRICULAIRES. ment cérébrale devient successivement sylvienne, rhomb
en présence de l'infection grave d'une cavité close, chirurgicale- ment accessible. A l'employer, on n'a rien à perdre, t
téréoradiographie ou radiographie stéréoscopique sera particulière- ment apte à donner une image précise et vivante. Elle
areil stérilisé est prêt à servir au cours de l'opération. A ce mo- ment le chirurgien réappliquera l'appareil exactement
oit, pourrait avoir un certain intérêt pour la direction du traite- ment . La colonne vertébrale présente encore des dévi
thésiqw', il ne prend que rarement la colonne vertébrale, et seule- ment alors que les petites articulations des extrémité
jji cannelure circulaire. , Disques intervertébraux manifeste- ment plus transparents que les corps, l'as ou ;1 p
Dans certains cas d'hémiplégie organique, quelques auteurs, notam- ment Dejerine et Ttléottari (3), ont parfois constaté
les avec G. Legros nous ont montré une disposition assez régulière- ment conservée malgré les courbures de l'os et parfois
ourbure anormale auparavant peu appréciable. Il en est ainsi notam- ment dans les cas de lésion d'un seul os, relativement
e ont. dans quelques observations, fourni des résultats très nette- ment encourageants. Enfin le goitre exophtalmique et
Les compressions médullaires du mal de Poil peuvent être heureuse- ment influencées, surtout quand elles relèvent de la p
t, il n'en doit pas moins être enregistré et autorise indiscutable- ment la radiothérapie avant toute intervention chirurg
conque de ce circuit. Lemilliampèremètre doit être convenable- ment choisi suivant les applications que l'on se ,
tre aussi élevée que possible ; en la faisant diminuer progressive- ment , l'intensité du courant s'élève peu à peu. Quand
t employées dans les recherches physiologiques, beaucoup plus rare- ment dans les applications etcctrotherapiqucs. COURA
es nerfs, tandis qu'en fai- sant agir le pôle négatif on aug- mente leur excita- bilité par le fait du catélectro
es nerfs du goût. Des sensations gustatives, en effet, sont facile- ment produites par le passage du courant galvanique co
uil de l'excitation; de plus, quand l'électrode n'est pas suffisam- ment placée sur les points d'élection, on peut avoir,
nterrupteur-inverseur et permettant en E l'exploration alternative- ment avec le pôle négatif et le pôle positif. ]-"XII
bobines induites formées par des fils plus ou moins gros. Générale- ment , avec un chariot faradique sont fournies deux bob
à des variations de flux. Celles-ci sont produites par rétablisse- ment et la disparition du courant primaire et sont ren
tenir les électrodes en place en laissant passer le courant libre- ment . Si l'on provoque des contractions avec tétanos p
ctro-diagnostiques ne permettent pas de les reconnaître convenable- ment ; dans les applications thérapeutiques, ces excit
z importantes pour le diagnostic. L'hyperexcitabilité est générale- ment plus accusée sur les nerfs que sur les muscles; e
es diphtériques, etc.; le pronostic de ces paralysies est générale- ment assez hénin. Dans d'autres cas les mêmes genres d
ngitudinale. Pour les rechercher, on ne place plus, comme précédem- ment , l'électrode exploratrice au niveau des points d'
t davantage ; il est fréquent de les voir apparaître ainsi tardive- ment dans la paralysie faciale. Période d'état de la
ont pas toujours facilement reconnaissables en raison du développe- ment lent des altérations nucléaires et neuro-musculai
des neurones, soit par le fait d'altérations produites secondaire- ment sur ces cellules, l'une et l'autre de ces conditi
terrompt le courant excitateur, le muscle ne revient pas immédiate- ment à l'état de repos, il ne se décontracté que lente
rfois de mouvements ondulatoires plus ou moins fréquents non seule- ment pendant le temps de l'excitation, mais encore pen
renouvelant alors leur excitation on provoque de nouveau l'épuise- ment de leur excitabilité. Avec les courants faradiq
courant sont un peu élevées. Cette sensation se produit non seule- ment à la fermeture du courant, niais elle persiste pl
tensités, et en poursuivant l'examen de la même façon que précédem- ment , il y a lieu d'observer non seulement à quelle in
eux mains plongées dans des bains. Dans d'autres conditions, notam- ment de la nuque au sternum, ou d'un bras à l'autre, n
s vu, dans les applications ainsi faites à l'épaule, de retentisse- ment nuisible sur la contracture. M. Vigoureux, et a
veuses intra-rachidiennes. Pour le moment nous aurons particulière- ment en vue le traitement il appliquerais manifestatio
sées et assez étendues, suivent spontanément une évolution notable- ment différente; les unes aboutissent assez rapidement
sur la partie inférieure, des muscles les plus atteints. Générale- ment dans ce cas on donne au courant une intensité plu
e, etc. Ainsi compris, le traitement électrique s'étend habituelle- ment sur plusieurs années. Les résultats, sont très va
ément; la réparation cependant est parfois traînante, et le traite- ment électrique peut la rendre plus rapide. En pareil
de de 5 il ! ¡. centimètres de diamètre, sera appliquée successive- ment au-dessous et en arrière de l'oreille au niveau d
la bouche. Dans ces conditions, il faut cesser d'abord tout traite- ment électrique, même la galvanisation continue, sur l
. Paralysies des nerfs moteurs du globe oculaire. Dans le traite- ment de ces paralysies on peut se borner le plus souve
nne. Les applications portées directement sur la langue sont égale- ment possibles. Affections à processus chronique por
tenir la nutrition et ramener dans la mesure possible le développe- ment des parties des muscles qui n'ont pas été complèt
excitations et une révulsion plus énergiques en promenant directe- ment sur la peau, suivant le même trajet, le balai mét
raient plus ou moins persistantes, et parfois aussi dans le traite- ment de névralgies récentes dont les symptômes ne prés
de la névralgie sciatique, seront suivies également pour le traite- ment des autres névralgies soit aux membres inférieurs
oir de se contracter. On a soin de rythmer plus ou moins régulière- ment les excitations pour ne pas fatiguer les muscles,
il des troubles dans les fonctions du grand sympathique. Actuelle- ment on le rapporte plutôt à des troubles dans les fon
contact avec le sternum, les malades peuvent supporter habituelle- ment une force de courant assez grande. On promène ens
les récidives, il est nécessaire de ne laisser reprendre que lente- ment et progressivement les exercices qui provoquaient
ployées, pour l'élude générale des contre-indications de ce traite- ment tirées soit de l'âge, soit de l'état du système c
rticulier sur les pédoncules. En effet, le cerveau étant préalable- ment enlevé, il est facile d'inciser la tente du cerve
en haut avec une pince à disséquer, et l'on sectionnera successive- ment ,, avec de fins ciseaux, les racines rachidiennes.
par la région pédonculaire supérieure. Ainsi l'on peut ultérieure- ment pratiquer des coupes microscopiques symétriques d
e fréquent et qui m'ont paru être spécialement utiles pour les exa- mens anatomo-pathologiques habituels. C'est ainsi que
thésique, 554. Type scgmen- taire. Type insulaire, 555. - Traite- ment électrique, 1327. Anglade. Yoy, I\'éarocllic..
5. Aortite, vertiges, 170. Aphasie. Examen d'un aphasique. Com- ment se fait la compréhension de la pa- role, 210. E
, I 77. - Diagnostic différentiel, 181. étiologique, 184. Traite- ment , 187. Appareil digestif. Troubles nerveux, 977.
aire réllexe, 708, 711. , Asphyxie locale des extrémités. Traite- ment électrique, 1541. ' Astasie-abasie, 781. 1. A
ec- trique, 1509, 1310. - - par inaction fonctionnelle, traite- ment électrique, 1515. - - primitives, progressÍ1les
issante, 1252. Appli- cations à l'électrodiagnostic et au traite- ment , 1235. - Graduation des courants, 1254. Excitat
s. Description, 1152.- Pny- SIOLOGIE pathologique, 1159.- Traite- ment , 1162. cérébrales. Kpendymile hydrocc'hlta- l
teils, 1047. - symétrique des extrémités, 1050, 1047. - - traite- ment électrique, 1541. Gastroxynsis de Rosbach, ! )f
romégalie, 1081. - Diagnostic du - acromégalique, 108). - Traite- ment , 10811. - transitoire de la pu- , berté, 1080.
ns de la réaction de dégéné- rescence, lu)56. - Maladies, Traite- ment par l'électricité, 12 : alc,, 1296, 1510. =-7 C
u système nerveux, 81. - Infections, intoxications, 82. - Traite- ment électrique, 1508. - des nerfs crâniens et des n
rophique, atrophie musculaire type Duchenne-Aran, 702. - Traite-- ment électrique, 1510. Scoliose des myopalhiques, 67
67. - digestifs. - de dé- ylzcfiliora, de spulation, de mâchonne- ment , z. - Diagnostic, 891. - Traitement. Rééducatio
895. - Gymnastique respira- toire, 897. - Psychothérapie. Traite- ment chirurgical, 898. - Traitement électrique, 1559
10 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ies récentes l'occlusion des paupières se faisait plus difficile- ment , plus lentement et moins complètement du côté mal
ro- bablement aussi la capsule interne ; ils passent dans le seg- ment interne du noyau lenticulaire ou dans son voisina
sie ne, manque pour ainsi dire jamais dans ces muscles, spéciale- ment dans ces cas d'hémiplégie où les muscles inférieu
Quand il rit, les muscles de lajoue droite se contractent brusque- ment et attirent violemment en arrière la commissure b
passifs est moindre à gauche qu'à droite. Le malade ferme isolé- ment l'un et l'autre oeil. Pas de troubles de motili
ce de lésion. Sur la coupe de Flechsig on voit que le ramollisse- ment de la substance corticale et sous-corticale s'éte
, em- piétant un peu sur le segment interne, et au niveau du seg- ment postérieur de la capsule interne un kyste ocreux,
symp- tôme apparaîtra comme très fréquent. Il peut exister isolé- ment ; des observations avec autopsie en font foi ; ma
ment synergiques, bien qu'on puisse les faire agir asynergique- s ment , etdiminue simplement la tonicité du moteur ocula
ndi- vidus qui peuvent, les deux yeux étant fermés, ouvrir isolé- ment chaque oeil. On comprend donc pourquoi la parésie
, des plaintes entrecoupées, des gestes saccadés, des actes pure- ment mécaniques et constamment les mêmes. Ils se débat
s la mélancolie où il y a une dépression, une sorte d'assoupisse- ment de l'activité de la couche corticale et des centr
elle a eu, elle ne sait plus ce qui est arrivé avant son interne- ment à l'hospice. Elle arrive bien difficilement à se
compte de l'état de la mémoire, de la perception et du raisonne- ment de notre malade, ainsi que de ses sentiments ou d
it normalement, le réflexe accommodateur ne se fait pas complète- ment . Le réflexe pharyngien est diminué. Il n'existe p
avec la peau voisine, de même l'hélix qui paraît s'insérer directe- ment à la surface cutanée. Antécédents personnels. t
m- mandons d'exécuter un mouvement, qu'elle exécute très tardive- ment et lentement, et, parfois, pas du tout. La patien
un garçon, bien portant, pas de convulsions, apprend convenable- ment . Notre malade. A la conception, le père dit « q
le thorax est également très bombé ; cet aspect diminue sensible- ment quand les bras sont élevés au-dessus de la tête,
bille et se laisse doucher comme les autres. Il cause même gaie- ment avec ses camarades. 24. Crise à la suite d'une
ns suivies d'un affaiblissement de l'intelligence et d'un bégaie- ment très prononcé. De huit à onze ans, il apprenait m
r les membres de sa famille, sans qu'il y ait une tentative vrai- ment sérieuse. Le travail intellectuel devient de plus
- rescence complète d'emblée. Chez ces sujets, ce mode de traite- ment est toujours inutile; il peut même être dangereux
ques, ont respecté, complète- 612 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment ou presque complètement, les téguments des membre
peau sont des signes communs à ces deux affections. L'assoupisse- ment existe aussi dans la maladie du sommeil comme dan
droite et hémianopsie du côté droit, d'origine centrale probable- ment , avec atteinte du nerf facial droit, du nerf olfa
temps à autre, il éprouve des crampes douloureuses, mais générale- ment les contractions sont de courte durée. Elles cour
et. N'ayant obtenu qu'une amélioration très minime par le traite- ment , on a pratiqué une transplantation musculaire afi
tions chirurgicales, même les plus simples, et survenant générale- ment dans les premiers jours qui suivent l'opération.
suivent l'opération. Contraire- 72 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ment aux états d'excitation, les formes mélancoliques
qui constituent les représentants du futur organisme, non seule- ment dans ses parties physiques, mais encore quelques
modalité spéciale. La seule autopsie où la cause fut un épanche- ment sanguin est celle de M. Dejérine. Le seul caractè
montrent que, si, dans les affections du système nerveux le traite- ment est souvent ingrat, il y a des cas pourtant, où u
vessie, d'empêcher l'infection de la cavilé buccale et secondaire- ment des poumons, d'alimenter le malade dès que cela s
iquée sous différentes formes et l'électricité. Quant au traite- '- ment médicamenteux en dehors des préparations ferrugin
toutes boissons fermentées et n'autoriser que de l'eau très légère- ment rougie. Sixième leçon. La morphinomanie et son
pré- coce du système nerveux, et que Charcot appelait anatomique- ment la syphilis tigrée, il y a cliniquement un grand
JANVIER étant la plus importante de l'année, nous prions instaot- ment nos souscripteurs dont l'abonnement cesse ci cell
exis- tait aussi fréquemment chez les paralytiques et aussi rare- ment chez les aliénés non paralytiques et s'il était p
aliénés non paralytiques, elle est de 42/'100, chiffre sensible- ment égal au leur/c'est-à-dire à 39/'100. Si l'on je
Les poumons sont normaux, mais la respiration se fait plus lente- ment et incomplètement. Les battements cardiaques sont
Comme parole il est à noter que le malade. répond très difficile- ment , après de longues insistances nous obtenons quelq
ouche- .lncEnves, 2° série, t. VII. 8 114 PATHOLOGIE MENTALE. ment , son caractère commençait à changer, elle devient
897. Etat physique. De taille moyenne, constitution et développe- ment faibles. Comme stigmates de dégénérescence : la b
minuée tant pour les faits récents qu'anciens. Il répond difficile- ment aux questions. L'attention lui manque. Il nous di
ange de position qu'après quelque temps, bien tard et bien lente- ment ; il semble même que ses membres tombent et revie
développement faibles, sans traces de violence. Il présente seule- ment les traces d'un séton qu'on lui a appliqué à la r
tion- naires, visiteurs ou commissionners, qui ont fait le place- ment . Ici, le médecin traitant n'est consulté qu'à tit
. En résumé, c'est le pneumocoque qui fut trouvé le plus fréquem- ment , puis le staphylocoque ; mais en se reportant aux
physiologie sont remplis de traditions scolastiques qui non seule- ment écartent la science de ses voies les plus larges,
ban de Iteil et la bandelette olfactive ; ce sont donc indubitable- ment , des conducteurs sensibles ; à ce moment il n'y a
al muni de fibres de projection éparses, qui est placé immédiate- ment à côté des ascendantes. Chaque zone corticale t
alade ; 7° les rechutes s'observent plus souvent lorsque le traite- ment n'a pas été assez prolongé ou lorsque le médecin
re rejetés. Quant aux substitutifs, ils n'ont qu'une valeur absolu- ment illusoire. L'auteur explique la gravité des réc
ré- sentait cependant quelques signes de dégénérescence et notam- ment de l'asymétrie faciale, de l'adhérence des lobule
cela s'explique par le peu d'étendue du travail : M. Ley a simple- ment voulu donner à ses confrères le sens des indicati
1898.) L'enterrement d'un buveur. On mande du Mans qu'un enterre- ment peu banal vient d'avoir lieu a Montbizot, une pet
tiques. Le sang, le sérum sanguin des épileptiques ont été égale- ment étudiés. MM. Voisin et Petit ont fait l'examen ba
tte association il n'y a ni exagéralion ni abolition, mais seule- ment 4 p. 100 d'affaiblissement. On dirait que ces deu
ion comparée de ces trois réflexes in Bulletin de la Soc. de blécl. ment , cle 13e1ligae, 1897. LE SENS TACTILE ET LA P
ié à un état normal du tact, plus rarement avec de l'affaiblisse- ment , jamais avec l'exagération. VI. Nous avons noté
a suggestion hypnotique. Les toniques peuvent être prescrits utile- ment , mais, dans tous les cas, il faut traiter par des
difications du caractère, émotivité, perte de la mémoire, du juge- ment , du sens moral, idées extravagantes de grandeur,
vice, peut, pratiquée modérément, être salutaire par le soulage- ment physique et moral qu'elle procure. . A un certa
sexuelle vers les fins sexuelles naturelles, dès lors, inévitable- ment , se produisent les phénomènes auto-éroliques. (7'
ts sont invariablement accompagnés d'amnésie; ils sont ordinaire- ment sans motifs et si impulsifs qu'ils paraissent avo
tation d'un pronostic variable bénéficient également d'un traite- ment à domicile lorsqu'elles sont traitées à leur débu
tèrent et finirent par l'empêcher de travailler. Un premier traite- ment fut essayé à Glascow : un nerf fut sectionné du c
ci résista au traitement ; mais la maladie du sommeil fut rapide- ment améliorée et même guérie. L'ingestion de corps
r deux causes : soit qu'un trouble organique grave, particulière- ment du système nerveux, soit considéré par erreur com
as. L'asile d'Emmendingen supporterait, au besoin, un agrandisse- ment pour 100 lits ; celui de Pforzheim qui est destin
de paralytiques généraux dont les parents avaient été manifeste- ment atteints eux-mêmes de paralysie générale. J'ai pu
gie syphilitique peuvent expliquer qu'une diathèse, si manifeste- ment héréditaire, perde ce caractère chez les paralyti
ala- dresse des mouvements des mains. Depuis quelques mois seule- ment , diplopie. Etat, présent. Front étroit et décli
se tenir sur un seul pied. Démarche ataxique cérébelleuse. Senti- ment de lassitude dans les jambes. Exagération des réf
et. En outre, la perte d'une vésicule quelconque entraine fatale- ment celle des système nerveux qui y prennent leur ori
es peuvent être secondaires, consécutives au manque de développe- ment de la substance nerveuse. IL T. RYBAKOFF. Contr
de l'écorce cérébrale des cobayes qui avaient subi un empoisonne- ment plus ou moins prolongé (de cinq à trente jours) p
par les plus fines branches des dendrites et s'étendent graduelle- ment aux troncs plus épais jusqu'à atteindre le corps
inis- tration est pourtant de se renseigner, de connaître exacte- ment la situation, afin d'éclairer les législateurs, l
ur, ainsi que des sentiments de joie et de bonheur, a été claire- ment indiqué par Pinel et par la plupart des'observate
'est une machine qu'on habille chaque matin et qui vit mécanique- ment , comme cette vieille mélancolique dont parle M. J
distinctes. (A suivre.) AVIS A NOS LECTEURS. Nous prions instam- ment nos abonnés qui ne nous ont pas encore fait parve
re le nom de la plupart, à moins qu'ils ne lui viennent spontané- ment . Si on les lui indique, elle les oublie aussitôt.
illusions, les hallucinations; par suite, elles sont essentielle- ment mobiles, variables, contradictoires, entremêlées,
ait peut-être des réserves à faire au sujet de la division, pure- ment provisoire d'ailleurs, des confusions mentales en
s mêmes formes morbides que dans l'alcoolisme, depuis le tremble- ment , le rêve, le cauchemar, l'hallucination visuelle
de Bordeaux 1896.) Voici les conclusions de ce travail qui résu. ment notre pensée : « 1° Les symptômes psychiques de
s de ce genre à l'hôpital Saint-André, comme à l'hôpital d'isole- ment de Pellegrin, nous avons pu faire cesser ou faire
Mont de stupidité, 1843. LES psychoses d'auto-intoxication. 295 ment . Il termine en effet en disant : « Je ne signale
délire de collapsus est un état de confusion profond à développe- ment excessivement rapide, avec trouble des sens analo
depuis. Il n'est pas possible, croyons-nous, de trouver un argu- ment plus probant. Nous venons d'établir -que le dél
cise, Lasègue prouve que le délire alcoolique est, chronologique- ment et symplomatiquement, la suite d'un rêve. L'idée
les vraies psychoses d'auto-intoxication ne s'observent générale- ment pas dans les asiles. Sur un total d'une trentaine
me jour, la cellule diminue progressivement de volume. Contraire- ment à l'opinion généralement admise, l'auteur a const
de miel : cette apparence peut se montrer aussi dans le prolonge- ment cylindraxile. Le noyau est très coloré, diminué
accessoires; 2° à un degré plus accentué, elle supprime non seule- ment l'écorce cérébrale, mais la voûte crânienne. 11 n
s déformations scapulo-humérales peu accusées qui sont : abaisse- ment du moignon de l'épaule, élévation en masse de l'o
ant directement et sur l'élé- 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment nerveux et sur l'élément vasculaire. Enfin les pr
phère au niveau de la région capsulo-striée, détruisant complète- ment chacun la moitié antérieure de la capsule interne
à l'acide urique comme tel, mais à une des substances qui le for- ment , probablement au carbamate d'ammonium qui reste d
ire, stade d'induration fibreuse et stade d'ossification; clinique- ment , ces trois périodes sont moins distinctes, elles
oeur, diaphragme, sphincters); 11° l'affection offre un épaississe- ment de tout le système conjonctif de l'appareil locom
ankylose des doigts; 14° le traitement médical est nul; le traite- ment chirurgical au début reste sans résultats éloigné
paralysie générale, dans la sclérose en plaques et plus fréquem- ment encore dans le tabes. Il résulte en effet des rec
lidation paraît parfaite et notre malade en état de marcher. Vaine- ment , on essaie de le soutenir et de lui faire faire q
is aux doigts de la main gauche, en nombre de onze-treize, notam- ment au pouce, à l'index et au médius. Vers la même ép
Toutes ces altérations sont encore plus prononcées dans le renfle- ment cervical et dans le bulbe. Au fond du quatrième v
, refus de prendre des médicaments, etc. On va imposer l'interne- ment immédiat. Toutefois, avant d'y consentir, M. Fare
dant cinq heures d'un sommeil assez tranquille, entrecoupé seule- ment par quelques cris ou déclamations. Au réveil, l'a
humide et rosée, le faciès plus reposé ; il n'y a plus de tremble- ment des mains. La malade s'alimente suffisamment; ell
le même caractère pénible. Les nuits continuent à être ordinaire- ment assez tranquilles, la malade dormant, en moyenne,
s, de délire plus ou moins imparfaitement systématisé, ordinaire- ment à type de persécution, à type plus rarement mégal
le pied et les doigts; que l'anesthésie n'a pas disparu complète- ment dans le membre inférieur droit et qu'il n'y a auc
lontaire. Nous observons encore que le tonus oculaire est légère- ment augmenté dans le cas de mélancolie avec stupeur e
iante. Le champ du regard est modifié, ainsi l'oeil regarde fixe- ment d'une façon atone, dirigé surtout en bas, les mou
fait trois avortements après lesquels elle est soumise à un traite- ment mercuriel et termine une nouvelle grossesse par u
direction imprimée à l'élément esprit, une action, souvent extrême- ment puissante, soit sur les troubles psychiques, soit
Enfin sur 8 opérations pour des lésions vaginales, il y eut seule- ment 3 améliorations du trouble mental. Les affectio
et le présent des hommes de science, dont le savoir et le dévoue- ment ont contribué dans une large part à l'extension d
ticulièrement douloureuses, il eut le malheur de voir successive- ment mourir ses deux filles, ce dont il demeura incons
des troubles sensoriels intenses. 11 prouve aussi que, contraire- ment à l'opinion de Krafft Ebing, ces malades ne sont
ns- pecteur des Enfants assistés; Bayle, conseiller d'arrondisse- ment du 1er canton; Thourel, conseiller général; la pl
7 nerveux périphérique, le tremblement radiculaire et le tremble- ment segmentaire spinal. Séance du jeudi (soir). Pré
l'espèce, a dévié vers des formes pathologiques dout l'enchaîne- ment conduit à sa disparition ou à celle de sa descend
a- midal croisé et, dans les faisceaux postérieurs, plaque égale- ment symétrique, ne laissant indemnes que les parties
e relation très intime entre le cervelet et le cerveau, et notam- ment avec les centres corticaux ; 12° 11 s'agit d'un r
d'aspect variable dans les diverses parties du corps, et notam-- ment : rouge dans la partie supérieure du tronc, et bl
iques dans lesquels la discontinuité des actes apparaît plus nette- ment que celle de l'intelligence ou de la sensibilité;
nt. « Le devoir du philosophe est de ne pas abandonner exclusive- ment aux médecins l'étude des troubles de l'esprit » ;
liques chroniques par l'affaissement de leur volonté sont facile- ment des récidivistes. Nous ne partageons pas tout à f
méthodique, les observations toutes personnelles sont judicieuse- ment choisies ; il sera consulté avec fruit. L. Thivet
- baux des conseils de révision. On y trouve pour chaque départe- ment le nombre des conscrits exemptés comme atteints d
proportion de 1 bègue pour 1.000 conscrits examinés ; le départe- ment à moyenne maximum, les Côtes-du-Nord, en a près d
9 pour cause d'affection nerveuse à ceux d'exemption pour bégaye- ment , l'on voit que les deux statistiques présentent d
points de ressemblance et que la silhouette générale est absolu- ment la même. Au fond la chose ne présente rien que
lire. L'explication de ce mode de début se trouve tout naturelle- ment dans la constitution^psychique même des sujets. C
ue l'on saura que le malade apprécie de la même façon, non seule- ment les faits de sa vie actuelle, mais encore ceux de
et un ans, il a fait son service militaire et est sorti du régi- ment avec le grade de sous-officier. Toujours scrupule
relief. Les caractères actuels du délire, son mode de développe- ment nous portent déjà à le considérer comme se rattac
anxieux. Les considérations précédentes sur le mode de développe- ment de l'affection considérée dans son ensemble et da
- tic d'une forme vésanique quelconque ne doit pas reposer seule- ment sur l'existence de tel ou tel délire, mais sur l'
ant de la folie systématique primitive à laquelle il donne seule- ment , dans la circonstance, une teinte un peu particul
avons relevées ne nous permettent pas de l'affirmer catégorique- ment . 444 PATHOLOGIE MENTALE. II. Passons mainte
d'autant plus sensible à ces événements. Et c'est alors que subite- ment , sans avoir présenté d'autres troubles psychiques
me « diminué » ? C'est là sa préoccupation prédominante actuelle- ment , et elle mérite à notre avis d'être notée; car el
elle n'accepte aucune discussion de ses idées : à partir de ce mo- ment , les hallucinations se présentent le jour comme l
eu un accès tout à fait semblable de délire, ayant débuté subite- ment sans cause connue, et duré six semaines avec les
mé- decine générale et ne s'en est séparée que vers le commence- ment de notre siècle. Ensuite, il vint une période de
sion de souvenirs verbaux indispensables pour parler automatique- ment . La même chose se passe quand on apprend à lire o
as la parole qu'on lui adresse, parle, lit et écrit paraphatique- ment ; . 3° L'alexie isolée (cécité verbale) survena
s variétés : le balbutiement cortical (dysphasie) et le balbutie- ment subcortical (dysarthrie). Le balbutiement d'origi
- cieuse d'une ou de plusieurs lettres, la parole restant absolu- ment compréhensible. L'origine de cette anomalie peut
e accident. Le mutisme dura quarante-cinq jours et cessa brusque- ment : P... se trouvant avec des amis se mit tout d'un
disparut brusquement. Un matin P... se réveilla voyant parfaite- ment des deux yeux. Une huitaine de jours plus tard, i
sa vie passée, sur les circonstances qui ont motivé son interne- ment , il garde le silence. Il n'a pas l'air de compren
lui est impossible d'articuler une seule parole; il parvient seule- ment à émettre un son guttural toujours le même, absol
nt comme dans les accès de 1885 et de 1891. Il comprend parfaite- ment tout ce qu'on lui dit et répond très bien à l'aid
du bureau qu'il lui semble sortir d'un rêve, qu'aujourd'bui seule- ment il se rend compte de sa situation ; il comprend q
déclarer, avant tout, que je me suis servi exclusivement d'un docu- ment dont l'impartialité s'impose, « la statistique mé
cal et sont l'objet de punitions ou de condamnations. Personnelle- ment , dans les nombreuses années que j'ai passées dans
naitla haute compétence de M. Paul Garnier, ce qui prouve simple- ment que, dans une simple expertise, aucun aliéniste n
l'objet d'un rapport médical antérieur. Quant aux aliénés directe- ment méconnus par les tribunaux, c'est surtout aux tri
par M. Dubief à la Chambre des députés et qui ont trait au place- ment obligatoire dans des asiles qui pourront être spé
, abattement extrême, subdélire, elle essaye de manger ses excré- mentis ; elle meurt le 23. Autopsie. Caverne au sommet
à peine sur le talon, est plus contracture et présente un tremble- ment marqué. Le côté gauche de la face est asymétrique
dant la conversation, elle ressent des crampes, de l'engourdisse- ment dans le membre inférieur gauche ; elle s'affaisse
irage, gêne croissante de la respiration, cyanose avec refroidisse- ment ; pouls filiforme, intermittent, pupilles punctif
spécifique. Autour des cellules pyramidales, mais non exclusive- ment autour d'elles, on voit de petites cellules ronde
out simple. La place définitive du monu- 508 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment sera dans la salle de la commission, dans laquell
e. M. Paul FAREz. La Société de médecine légale s'est tout récem- ment occupée des mesures qu'il conviendrait de prendre
. L'hypnotisme et le traitement de l ? par Flavianos, 416. Alite- ment dans les formes aiguës de 1' ,par Magnan,489. L
s mammi- lères, par Bonne, 313. Ciiarcot. Inauguration du monu- ment de J.-)) ? 74. CHOIIEE. Sur la d'Hunllngton, pa
ln wm- TABLE DES MATIERES. 519 puthiquc cerwcal comme traite- ment de il -, par Aceveilo, 159. - larvée à tonne ga
. Symptômes de myscrtlème au dé- but chez une femme antérieure- ment atteinte de , par Gau- tier, 362. Gawn nenEl.
matière de , par Vidal, 335. .Maladie de GnAtLS. Manie rapide- ment mortelle dans la , par Bat ton Jacobs, 219. M
ar Homen, 68. - et traumatisme, par Donadieu-Lamt, 328. Traite- ment thermal du -, par Belugon, 405. Un cas deincipi
11 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rches exagérées que ces campagnes ont entraînées '. Donc cet élé- ment étiologique existe et nous pouvons l'invoquer ici
a- ladie et en avait indiqué les principaux symptômes. Non seule- ment , dans les quelques lignes qu'il consacre à cette
ans un autre. Enfin, comme pour se jouer de notre faible entende- ment , dans ses méfaits, la nature se plaît à se contre
ariété des plus vives. Dans la soirée, elle est prise « d'un serre- ment d'estomac avec sifflement d'oreilles » et perd co
ici- lement captivée. Acuité visuelle normale, pas de rétrécisse- ment du champ visuel, pas de dyschromatopsie ; le goût
de la paupière. Sous l'influence de l'émotion, le mouvement aug- mente d'étendue ; alors le clignement des yeux s'effect
- nue ; il ne s'agit pas de grognement, mais de paroles parfaite- ment articulées; enfin, elles sont prononcées en dehor
d'une façon péremptoire que les expressions coprolaliques haute- ment articulées, sont étroitement liées aux secousses
uvement du membre inférieur soulève quelques remarques. Ce mouve- ment a été comparé à un tressautement, c'est-à-dire à
casion d'une mission, un orage épouvantable éclate; J... est telle- ment impressionnée qu'elle reste une dizaine de minute
ur la tête et les épaules qui sont détachées du sol à chaque mouve- ment convulsif. Dans la station debout, en plus des
rré- guliers, surviennent par accès, s'accompagnent de tressaute- ment des membres inférieurs, reconnaissent constamment
péti- tion de mots presque toujours les mêmes, prononcés constam- ment à intervalles réguliers, et que le plus souvent l
écla- tante et successive de mots grossiers, se produisant seule- ment dans des moments d'agacement', alors, J... est
du début de l'affection, de son évolution, des qualités du mouve- ment et des troubles nerveux. Elle se manifeste dans l
cas, le caractère hystérique du bégaie-- 44 PATHOLOGIE NERVEUSE., ment , du bredouillement et de la monoplégie crurale, n
deuxième, la céphalalgie, la diplopie, la parésie et le tremble- ment du bras; dans le troisième, la frayeur avec sensa
gravité de sa maladie, en l'engageant à se soigner très sérieuse- ment . Ail... fut très préoccupé de ces conseils, il fi
différents groupes musculaires sont bien conservés, mais extrême- ment faibles et incomplets. AU... ne réussit pas avec
es douleurs lombaires ; en outre de cela, ses jambes, particulière- ment la jambe gauche, étaient très faibles. Il s'aperç
e chose morte. La résistance que le malade peut opposer au mouve- ment passif qu'on imprime aux différents groupes muscu
achtungen über hysterischen contracluren. 60 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment elle peut être observée dans l'hystérie dans les
dans les parties frappées par le trauma, par un mécanisme unique- ment psychique, qui a son origine fondamentale dans l'
nte. L'exophtalmie commence à apparaître vers 240; à 305 brusque- ment dilatation énorme de la pupille, exophtalmie énor
accès reparaissent (cas de Broch). Cette hypotoxicité est un élé- ment de diagnostic pour affirmer que la série n'est pa
utres manifestations, si nombreuses, de la névrose en sont égale- ment tributaires, et nous en trouvons la preuve à la f
ériques. - A une époque plus récente, au xvIll'' siècle, le docu- ment figuré s'est associé au document écrit, et l'ouvr
e s'adresse maintenant l'eau de la piscine; elle guérit soudaine- ment les ulcères les plus rebelles; dira-t-on encore q
lle pourra dès ce premier jour se servir de ces membres nouvelle- ment rappelés à la vie, mais dont la maigreur porte en
ent et avec force la tête du malade en arrière. Ce premier mouve- ment exécuté, l'opérateur laisse un instant reposer le
liénés ; par les DS DE BOLT et SLASSE. (Bull, de la Soc. de lŸI(id. ment . de Belgique, 1891.) . Les auteurs n'ont fait p
DES DÉGÉNÉRÉS; par le Dr P. Sérieux. (Bull, de la Soc. de 11féd, ment . de Belgique, 1891.) Travail destiné à mettre e
personnalité; par le Dr Jules DaGONET. (Bull, de la Soc. de Méd. ment . de Belgique 1891.) Observation d'une héréditai
du LOBE frontal DROIT; par le Dr SALGO. Il2llt. de la Soc. de Med. ment . de Belgique, 1891.) - Relation de l'autopsie d
xie P.aCHYDEIl3rIQLE, par le Dr COUSOT. (Bull. de la Soc. de lIléd, ment , de Belgiquc, 1881.) Il s'agit de deux nouvelle
nés; par les D™ J. DE Roeck et A. SLOSSE. (Bull. de la Soc. de Med. ment , de Belgique, 1891.) De leurs recherches qui
l'aliéné qui refuse de manger, la quantité d'acétone urinaire aug- mente dans de grandes proportions. (Annales médico-psyc
des symptômes somatiques et psychiques avaient presque complète- ment disparu depuis huit mois, lorsqu'il mourut presqu
- ment disparu depuis huit mois, lorsqu'il mourut presque subite- ment à la suite de crises épileptiformes. Or, à l'au
, puis une crise arriva soudaine- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 99 ment , la température descendit à 36°, l'appétit revint
s- sance, prenait une expression étonnée et murmurait invariable- ment « Raiiber » (Robber). Cet état durait ordinaireme
connaissance ne dépendant pas des hallucinations parfois complète- ment absentes. Mobilité de l'humeur tantôt anxieuse, t
aux cellules de la névroglie augmentées de volume ; ces noyaux aug- mentent , mais sans se multiplier; on ne constate ni altér
morrhagies et surtout la puerpéralité. Par conséquent, le traite- ment est inscrit dans l'étiologie. ' Voy. Archives d
s. M. SCHUELE. C'est aux autopsies qu'il faut demander si réelle- ment la dure-mère joue, comme je le crois moi-même, un
3° dans une partie des fibres du « gyrus fornicatus », principale- ment dans celle ,qui, après s'être recourbée des circo
ante : le défaut crânien pratiqué artificiellement, peut-il réelle- ment se remplir par un os de nouvelle formation, après
de néoformation de l'os consiste principalement dans l'accroisse- ment et le gonflement de l'os mère, jusqu'à adhésion c
normal dans la soudure fibreuse, le nombre des ostéoblastes aug- mente autour des canaux et des espaces du morceau décal
p- tibles de provoquer les mêmes phénomènes généraux et d'épuise- ment , des états pathologiques analogues. Sous le coup
les états de dépression. Par suite, l'imagination se trouve égale- ment influencée dans le même sens, et peut arriver à c
Varsovie. Il comprend deux parties. L'une est destinée au traite- ment des aliénés et peut recevoir 210 hommes et 210 fe
n . La colonie se compose d'un bâtiment pour hommes et d'un bâti- ment pour femmes (en tout 104 incurables) ? Un , trois
ment pour femmes (en tout 104 incurables) ? Un , troisième bâti- ment ,est; réservé,' pour le rez-de-chaussée, à. des a
120,000 marks seront consacrés à l'agrandissement de l'établisse- ment . Il va de soi que l'asile d'idiots annexe connu s
lers, le vieux monsieur put regagner son domicile sans être autre- ment inquiété. Mais le plus curieux c'est qu'il a été
ature dyna- mique et, malgré les apparences contraires, parfaite- ment curable. Un malade, de constitution robuste, âg
ÉRIEUR. 175 elles peuvent rétrocéder soit lentement, soit rapide- ment suivant les cas. Ces atrophies souvent considé-
jugé, sans idée préconçue, vous verrez qu'il n'y a rien d'absolu- ment contradictoire entre les faits observés chez notr
soumis au traitement spécifique, mais pendant trois jours seule- ment . Le troisième jour, il fut pris de gonflement, d'
te doser ce contrôle de la vue. « Si, au lieu de fermer complète- ment les yeux du malade, vous vous bornez à lui cacher
lus difficile est la flexion de l'avant-bras sur le bras, et notam- ment l'action de se moucher. La gène des mouvements a
bras, la malade projette l'avant-bras en haut, en élevant brusque- ment le bras, ce qui entraîne le segment inférieur du
A droite, l'omoplate n'est pas déviée anormalement dans ce mouve- ment . A gauche, cependant, elle est portée un peu en d
llante. Le relief des pectoraux est peu sensible, et il y a évidem- ment un aplatissement de ce muscle. La saillie de l'ap
lair, tirant sur le gris, tout à fait pâle et se confondant absolu- ment avec le tissu cellulo-adipeux ambiant, au point q
uis- sance de l'influence nerveuse trophique ? Ce serait précisé- ment un désordre primordial de la nutrition de la fibr
nombreux ; et l'unilatéralité n'exclut pas l'intervention de l'élé- ment névropathique. L'an passé, nous avons à cette p
fluence du vin arsénical et des gouttes amères de Baumé, relève- ment des forces, bourdonnements moindres, la parole es
carotidiens; corps thyroïde énorme; se plaint de surdité graduelle- ment plus forte surtout depuis quelques semaines, lége
ment plus forte surtout depuis quelques semaines, léger tremble- ment général; pas d'oedème, point décote très habituel
e objectif. J'ai déjà dit que ces états d'éréthisme sont fréquem- ment des signes prémonitoires de la surdité par scléro
rces et vu commencer ses malaises il y a deux ans et demi, au mo- ment où elle nourrissait. Cela débuta par un accès de
M = 8 centimètres à droite. Cependant la parole est assez facile- ment entendue sans effort et sans faire répéter à dist
laces. La figure 18 donne une idée de l'état de la lèvre à ce mo- ment , mais une idée incomplète, car elle n'a été prise
e pour ainsi dire pas de traces : l'ouverture buccale est simple- ment un peu rétrécie. Le malade n'est mort que plusi
bilité extraordinaire, entre parfois en colère et se mord furieuse- ment le dos des mains. ' . , 1888. Juillet. Pas de m
pas la vérité, mais que souvent elles présentent des images absolu- ment fausses. D'autre part, quelques conditions mental
-dessus de nous, une étoile diffère d'une autre étoile, mais seule- ment en gloire. » Ce n'est pas seulement en France q
de cette constante, sinon d'une augmentation de poids, il est éga- ment vrai que, plus une maladie est ancienne, plus rar
mais qui vont en s'atténuant peu à peu, le poids de l'individu aug- mente toujours, puis reste stationnaire, puis diminue u
la COMMOTION CÉRÉBRALE, ET DU COMPLEXUS VASOMOTEUR QUI GÉNÉRALE- MENT LES accompagne; par FRIEDÜANN. (Archiv f. Psychia
ives A l'aphasie; par le D L. de Rode. (l3ull. de la Soc. dc tlled. ment . de Belgique, 1891.) .) XIII. D'UNE FORME rare
ul sans pénétrer dans la cavité sous-arachnoïdienne, cet épanche- ment sera peu marqué et ses traces pourront disparaîtr
- ment sera peu marqué et ses traces pourront disparaître rapide- ment . (Américanjoumal of insanity, 1891.) . B. XXI.
ues. Chez l'homme arrivé à l'âge mûr, M. Fuerstner a vu spontané- ment , sans aucun accident, extérieur, se produire une
- latéraux du cordon postérieur de la moelle lombaire sont égale- ment occupés par des fibres myéliniques. Mais déjà. le
résultat de cette opération. Il faut attendre; il faudra probable- ment plusieurs années pour les développer. Nous espéro
faire pour leur enfant. Cependant, en face du pronostic : absolu- ment mauvais et de l'avenir malheureux réservé à de te
e processus spécifiques, mais d'altérations banales; or, le traite- ment exerce un effet direct sur les processus spécifiq
ance chez les aliénés, par le De PEETERS. B2Lll. de la Soc. de méd. ment , de Belg., 1892.) Courte note destinée, dans
t nommé médecin-adjoint à l'asile de Bailleul (Nord) en remplace- ment du docteur Dupain nommé à Alençon (8 février 1893
A la place de médecins (medico primario) est attribué le traite- ment de 2,000 francs, outre le logement et la nourritu
RS. - 'Un nommé Fort, homonyme de la victime, mais n'étant nulle- ment son parent, a été arrêté. Interrogé, il a fait de
très amélioré, il ne souffrait plus du tout de l'épaule. L'écoule- ment s'est bientôt tari, et il est resté deux ans sans
le faire, le mouvement est très faible, et l'on s'y oppose facile- ment (tandis que du côté opposé il faut déployer une f
vement. Le résultat est tout à fait nul. Les doigts sont complète- ment inertes. Le résultat est également uul pour les m
e- ments qu'on lui commande quand on les a fait exécuter passive- ment à ses doigts d'abord. Le massage de la région, qu
sibilité restera intacte. Je ne voudrais pas généraliser hâtive- ment à propos d'expériences encore relativement peu no
non anesthésique. Mais les hystériques de ce genre sont relative- ment exceptionnelles; nous avons cependant pu, avec le
en croyant à la possibilité des monoplégies expérimentales pure- ment motrices, nous pensons qu'il faut encore s'en ten
l- miquepeut être une manifestation de l'hystérie, et plus récem- ment , M. Fink3, dans sa thèse, en a rapporté deux nouv
Un simple coup d'oeil suffit pour constater l'état d'amaigrisse- ment considérable que montrent les quatre membres; les
la variété dorsale principale, bien qu'elle soit peut-être légère- ment dorso-lombaire. Sa convexité est tournée à gauche
e rotation, de manière que sa face antérieure s'est tournée légère- ment à gauche. Ceci nous explique en même temps la pos
'il a puisés auprès de ses parents; il fait ces opérations entière- ment de tête. Il ne sait pas écrire. La peau des jam
présentent rien de pathologique. Lorsqu'il est couché tranquille- ment , ses membres inférieurs sont dans un tremblement
sistait chez lui durant deux semaines avec des interruptions seule- ment pendant le sommeil. Après ce temps, le trouble mo
tion et précédé par des prodromes habituels : sentiment de serre- ment de la gorge, de pesanteur dans l'épigastre, bourd
erre- ment de la gorge, de pesanteur dans l'épigastre, bourdonne- ment , etc. Ce n'est qu'après de semblables accidents p
plus grand qu'une série de lettres écrites par la malade non seule- ment mettent en retief les conceptions délirantes de c
e la maladie est la confusion des idées par suite de l'affaiblisse- ment et de l'incoordination du processus de l'associat
rités spéciales. L'attaque cholérique fait disparaître temporaire- ment tous les états maniaques, modifie peu les états m
tend que le réveil est brusque; pareil phénomène s'observe égale- ment dans l'épilepsie. larvée, le petit mal et même le
sensation douloureuse ; les deux mains sont atteintes simultané- ment , en commençant par la main gauche; le pouce n'est
invente de curieux néologismes dont quelques-uns sont véritable- ment pittoresques. Ici intervient l'apparition des idé
prédisposés vésaniques. Le délire sensoriel ne résulte pas seule- ment d'un désordre dans les représentations et mouveme
ensoriel comporte un rétrécisse- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 389 ment et une obnubilation du champ de la conscience, en
taient des symptômes d'aliénalion mentale tels que leur interne- ment immédiat dans un asile s'imposait d'une manière é
3° sensations plus vagues, mais analogues, et participant probable- ment des deux premières variétés. A ces trois groupes,
accom- pagnent ordinairement pas de phénomènes douloureux propre- ment dits, l'auteur remonte à leurs causes : la plus c
la connaît si bien dans ses symptômes et dans sa marche constam- ment fatale, que les membres des familles atteintes do
voit apparaître l'exagération du réflexe rotulien et l'affaiblisse- ment musculaire généralisé; puis la sclérose générale
tentative doit être imitée. Ce mode de traitement est le complé- ment naturel de l'assistance publique à la condition q
arriver à prendre possession de sa chaire et, dans son enseigne- ment , contrairement à l'obligation qu'a tout auteur ou
un chaos des idées et des actes, sans dérange- 404 BIBLIOGRAPHIE. ment intellectuel proprement dit. L'accès maniaque qui
huit ans, qui, par le fait de leur naissance en dehors du départe- ment de la Seine, ont leur domicile de secours dans un
cependant proportionnelle. Il est toutefois évident que ce paie- - ment ne saurait être fait en argent ; mais rien n'est
s ». Le Dr Prince démontre justement que « après qu'un établisse- ment aura été pourvu des moyens nécessaires à l'extinc
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQ UE. ANGELUCCI e Bierraccim. Sullo slalo di mente del carabinicreC. Au- guslo impulato di blancal
ucun phénomène. Mais une définition, sauf dans les sciences pure- ment rationnelles, comme les mathématiques, n'a jamais
laré par hypothèse le plus important et en montrant aussi claire- ment que possible que tous les autres faits dépendent
'. » Mais ces modifications mentales ne se manifestent pas seule- ment par des délires et des altérations des caractères
lus curieux exemples et qui ont été depuis constatées si fréquem- ment 1. Enfin, le somnambulisme peut être provoqué sin
des expressions émotionnelles. Nous sommes loin du savoir exacte- ment quels sont les mouvements des membres, les contor
que le sujet dans tel ou tel état hypnotique retrouvait complète- ment la mémoire de ces idées fixes subsconscientes.
Au sujet de sa fièvre typhoïde, M... raconte qu'il fut très grave- ment malade et très long à se rétablir : il serait res
he. Il ne peut incliner la tête de ce côté, se sert très difficile- ment de son bras. Au bout de deux mois de souffrances,
artie effacés, on croirait voir un masque où serait peint l'étonne- ment (fig. 1). A un examen plus attentif, on reconnaît
o- niaque ne produit pas de sensation désagréable. Le chatouille- ment de la muqueuse nasale provoque l'éternuement. L'o
, ce sont des stigmates hystériques bien définis : le rétrécisse- ment concentrique du champ visuel =, la dyschromatopsi
termine l'évacuation du contenu de la tumeur, soit que l'épanche- ment se résorbe de lui-même; mais, dans tous les cas,
e avec délire DU toucher ; par MASS.\UT. (Bull. de la Soc. de JIéd. ment . de Belgique, 1892.) La malade qui fait l'objet
néral résultant de pertes sanguines considérables et d'un allaite- ment prolongé. G. DENY. LXII. Hystérie A deux. Vols
ols A l'étalage ; par le Dr L. DE Rode. (Bull. de la Soc. de lIIéd. ment , de Belg., 1892.) Observation médico-légale ten
ent intellectuel; par le Dr X. Francotte. (Bull, de la Soc. de Méd. ment , de Bel- gique, 1892.) L'attention étant la c
uvent être utilement traités sans que l'on ait recours à l'interne- ment , ni aux agents médicamenteux usités dans le trait
M. Bernheim, d'autre part, enseigne que des malades sont réelle- ment hypnotisés, et cependant il n'obtient chez eux en
- tisme détermine des modifications nerveuses qui rendent subite- ment manifestes les phénomènes pathologiques latents p
de personnes, par suite de dispositions nerveuses encore inexacte- ment connues, l'hypnose devient de plus en plus profon
diverses. Dans l'aliénation mentale, l'hypnotisme pourra certaine- ment être employé avec succès dans quelques cas, mais
fonctions de l'assistance des idiots et des épileptiques, conformé- ment la teneur de la loi du 11 juillet 4891. L'orate
avait des idées fixes présomptueuses qui entraînent tout naturelle- ment , malgré l'intégrité du mécanisme de l'intelligenc
la connaissance se modifie, la personnalité s'exagère subsidiaire- ment ; il survient des illusions de la mémoire, et l'i
iale de cette maladie et à son diagnostic différentiel. Pour le mo- ment , je m'en tiendrai à des aperçus de pathologie gén
a pas eu d'accident de personne, les pensionnaires de l'établisse- ment ayant évacué sans difficulté le pavillon où l'inc
acomo, Tuholske, Miller, 292. Imbécillité avec arrêt de développe ment d'un membre, par Angio- lella, 390. hrLUENzA
nérale, pal' Fuerslner, 123. Névroses convulsives et affaiblisse- ment intellectuel, par Francotte, 4 : 57. ' Obsess
12 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
masticateur (interpré- tation de Sérieux et Marinesco). Malheureuse ment , cette théorie se trouve en contradiction avec
naire; la deuxième portion de l'arc nerveux entre seule en mouve- ment , le malade assiste à ce déclanchement automatique
ès souvent, ils sont altérés en sens inverse ; ainsi c'est seule- ment dans la faible proportion de z16,1-) p. 100 qu'il
e l'exagération avec éjaculation normale ainsi que l'affaiblisse- ment ont évolué en sens inverse, la première augmentan
ir et d'écrire aujourd'hui touchant la structure et le développe- ment du système nerveux dans la série des vertébrés. S
tions, la même réaction, c'est à celui qui soutient que ce mouve- ment est accompagné de conscience d'en administrer les
uand même de futures découvertes devraient attribuer essentielle- ment la production des réflexes, c'est-à-dire de la vi
dernier numéro du Mental Science, et qui concerne tout spéciale- ment le procès criminel de Mary Ansell. R. de Musgrave
VI. Le système Brabazon dans un asile, histoire de son établisse- ment et de son fonctionnement pendant une année : par
st indispensable, car elles seules peuvent apporter à cet enseigne- ment volontaire le temps et la patience qui feraient f
et le tissage des corbeilles. Ces occupations ne servent pas seule- ment à désennuyer les malades, elles ont paru utiles à
iffuse et indolore; c'est aux jambes seule- 58 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment qu'elle est lobulée et douloureuse. Il s'agit don
encore un petit asile de charité à Woroniège'et un petit établisse- ment 'privé à Mitawa. Moscou possède depuis une vingta
aractéristique consiste dans leur apparition tardive, le développe- ment progressif, la déformation intense et, pour la pl
ontanée. L'attention volontaire suscitée par la crainte d'un châti- ment ou l'attrait d'un récompense, doit être le moins
p tôt à l'inaction, alors qu'il serait peut-être utile et certaine- ment courageux de poursuivre la maladie, quelle que so
s et de ne pas se prêter à une exploitation qui se fait au détri- ment des malades des départements. Sévérin G authier
1901.) Les réflexions que nous avons faites au sujet du départe- ment de l'Eure s'appliquent au département du Calvados
sur 59 malades nécessitant un traitement chirurgical, cinq seule- ment ont pu être opérées. Certes certaines malades n'o
demain. Quant à H..., il ne reprit connaissance que le 10 seule- ment . Et aussitôt sa femme s'aperçut qu'il avait total
signalé la persistance possible d'une amnésie après l'empoisonne- ment par les vapeurs de charbon. 1 . 1 Briand. Compt
rovoquer une contraction musculaive isolée, quoique plus communé- ment elle en provoque toute une série, combinée en vue
tres exemplaires de son espèce, peut-il en acquérir individuelle- ment de nouvelles au cours de sa vie ? C'est ce que Be
ce genre d' valion. Tous les vertébrés inférieurs « mènent essen ment une existence léthargique d'où ils ne sortent, pc
out parce qu'on n'a pris garde qu'à l'événe- -106 REVUE CRITIQUE. ment dont on constatait la manifestation actuelle, san
ydrorrhée nasale, sans lésion du nez, et paraissant d'origine pure- ment nerveuse. ' Le cas que l'auteur décrit dans le
couchait il plat-ventre. Si elle se couchait sur le dos, l'écoule- ment .s'arrêtait, mais elle toussait car le liquide pas
soumis et pourra ignorer des indications précieuses pour le traite- ment ; 9° de même que les sensations tendent à éveille
appe sur les autres notes, on éveille des sensations qui, relative- ment , ne sont ni spécialisées ni intellectuelles, et q
nt, ne sont ni spécialisées ni intellectuelles, et qui, collective- ment , constituent une corde sensorielle volumineuse qu
on s'aperçoit que leur origine et leur sens primitif sont absolu- ment physiques. On sait parfaitement aussi que les fac
même processus mental par la notation rigoureuse de son commence- ment et de sa fin : on n'aura tranché que la question
Dans un certain nombre d'autres cas, les réflexes étaient seule- ment diminués. En somme, il semble résulter de ces rec
Chez les sujets au contraire, qu'on pourrait appeler électrique- ment myasthéniques, le relâchement musculaire survient
s , psychiques chez. les hystériques ; par LUZlèN ? BERGI R. (Itiv. mens , de i psich. for, 1900-1.) Travail intéressant,
t précédé la maladie ; elle commence à octobre 1894, juste au mo- ment où il est revenu de son travail. 11 ignore la mor
'métabolisme du sang, qui est au fond des névroses de développe- ment , et il est légitime de croire que les toxines que
- quefois dans l'excitation maniaque. 5o Dans la démence émousse- ment des processus sensoriaux qui se rattachent à la c
tes, subie pendant le séjour à l'asile, est restée sans retentisse- ment aucun sur l'état mental; d'autre part l'hémorragi
visage, pendant qu'on les examine sur ce point', montre suffisam- ment l'inquiétude et le trouble que leur cause cet exa
u trijumeau et la migraine ; par J.-J. Putnam. (jours. of Nerv. and Ment . Desease,. Mars 1900). La différence entre migr
s cas cliniques ; par William M. LESZYNSKY, (Jot/1'Il. of Nerv. and Ment . Desease, Mars 1900). Après la relation de tr
t persistante, oblitérant sa conductibilité ; et cela est probable- ment le résultat d'un processus inflammatoire local ad
jeune fille de onze ans ; par C. A. VEASEY. (J02lTn. of 1'erv. and. Ment . Diseuse, août '1900.) Elle survint chez une
voir qu'elle voyait avec l'oeil gauche,bien que le droit nécessaire ment , fût couvert. Il n'y avait pas de zones d'anest
ubaiguë par compression; par Th. -IL KELLOGG. (Jour, of 11'crv. and Ment . Disease, nov. 1900.) Définition. Névrite subai
rale. M. ANGLADE au moyen de son procédé personnel qu'il a récem- ment perfectionné, montre la prolifération névroglique
étudiant surtout l'état des pédoncules cérébelleux. Elle est égale- ment remarquable par le grand développement de la sclé
- tance de ces guérisons est à signaler à ceux qui, systématique- ment , déclarent la suggestion pendant le sommeil natur
modèles. Mais n'ayant pas trouvé de ce côté les solutions si ardem- ment poursuivies il se confine de 1736 à 1745 dans la
notions théoriques indispensables pour le diagnostic et le traite- ment des troubles de la réfraction. Son livre a le gra
es individuels que ses membres seront appelés à donner journelle- ment aux malades, ainsi que dans les limites de l'auto
bles d'un cas de paralysie générale survenu à la suite de l'écrase- ment d'un bras et d'accidents infectieux aigus chez un
sibles du côté gauche, les réflexes pupillaires existent normale- ment des deux côtés. Pas de lésion ophtalmoscopique, p
des au niveau des tempes : le passage du courant incommode forte- ment le sujet, mais n'entraîne pas plus de succès que
lectrisatioll : mais les résultats, cette fois, demeurent complète- ment négatifs. Cette cécité dure une huitaine de jours
tion centrale que dans ses segments interne et externe, est absolu- ment nulle de même que celle de la conjonctive : mais
etits accès de toux, de temps à autre, d'ordre laryngé et certaine- ment nerveux. Le coeur présente quelques irrégularités
vivement à la pression. Les fonctions rénales s'exécutent parfaite- ment . L'examen des urines fait à plusieurs reprises n'
presque aussitôt la main, flaccide, revient lentement, progressive- ment au point de départ, sans tremblement, ni secousse
ïe. Les troubles du côté de l'appareil de la vision sont extrême- ment intéressants, en ce sens qu'ils affectent les deu
s imparfaite ; il n'y a pas fusionnement des images. Ce fusionne- ment ne s'effectue pas mieux avec des points ou des im
plus ou moins marquée des troubles sensoriels du côté où le tégu- ment externe est insensible M. 1 Cruchet et Aubaret.
ition de la vision binoculaire. Les cas de ce genre sont extrême- ment rares, probablement parce que la cécité, presque
on les lignes ou les numéros composés, tandis que très difficile- ment il arrivait à fusionner les figures. C'était seul
eur à écrire encore : « L'oeil amaurotique fonctionne inconsciem- ment , en accord avec l'autre, comme d'une façon analog
on qui en résulte demeure alors inconsciente, qu'elle est exacte- ment pour le sujet comme si elle n'existait pas réelle
er expérimentale- RECHERCHES SUR LES TROUBLES PSYCHOLOGIQUES. 209 ment , ce que pouvait provoquer dans une conscience,' n
r une jeune femme de ses compagnes. Elle l'ut soignée successive- ment à l'asile clinique (Sainte-Anne) (un an), à la Sa
'agitation ; 1;... demeure deux ans paralytique, n'éprouvant nulle- ment envie ou le besoin de marcher, elle guérit brusqu
sente. Dans l'intervalle de ses hallucinations G... est parfaite- ment lucide, sa mémoire est à peu près normale, le jug
ord de la distraction. G..., qui jusqu'alors répondait immédiate- ment , fait des réponses plus lentes, moins justes. A c
iate- ment, fait des réponses plus lentes, moins justes. A ce mo- ment , si nous lui demandons ce qu'elle ressent, elle n
de lui faire convenir que ses hallucinations, n'ont aucun fonde- ment réel, et qu'elles n'ont pas plus de réalité que d
c'est l'état mental, qui dans le cas particulier est principale- ment causé par des hallucinations très intenses, et le
allu- cinations ne disparaissent pas mais, diminuent progressive- ment ; ce sont les hallucinations de la sensibilité gé
garder qui nous sommes. Pour commencer, elle ne porte que timide- ment la main sur nous, puis elle s'enhardit, touche no
état de confusion mentale. Le rapproche- 220 PSYCHOLOGIE MORBIDE. ment , que cette expérience naturelle permet entre deux
aute expression, état dans lequel les images se succèdent rapide- ment , voltigent autour de l'objet de l'hallucination p
écorce dans la fatigue ; par GUIDO GUEIIRINL (Rio. di pat. nerv. et ment ., 1900, fasc. 1.) ,Y1VII. Sur les modificatio
gi- quement ; par Luigi Comparini Bardsky. (Rie. di put. nerv. et ment ., 1900, fa=c. 2.) XXXVIII. Sur la pathologie de
llules des ganglions sensitifs; par Luz.no. (Riv. di pul. 7zeiv. et ment ., 1900, fasc. 4 et 6.) XXXIX. Un cas de porencé
Un cas de porencéphalie; par UacBERro DEGA1'OELLO. (Riv. di pal. et ment ., 1900, fasc. 5.) 1L. Importance du prognatliis
saphène interne droite, à la cuisse et à la jambe, était énormé- ment dilatée et flexueuse. Depuis environ 'quinze anis
, En dehors du sympathique directeur de notre grand établisse- ment départemental d'aliénés, vous ne rencontrerez pro
Mais que dire de l'alcoolisme qui sévit aux sources de rajeunisse- ment de notre espèce, qui mine et vicie nos réserves !
tions spéciales, ses obsessions bien à lui et ses impulsions vrai- ment morbides, j'entrevois les résultats nouveaux de c
s cornes postérieures on observe seule- 2o2 ri SOCIÉTÉS SAVANTES. ment la chromatolyse. Le cortrx cérébelleux parait moi
ues, les troubles des réflexes, l'inégalité pupillaire, le tremble- ment généralisé, l'altération de la parole, les troubl
ns de chromatolyse cellulaire, et inverse- 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment des lésions et peu de délire. On peut avoir un dé
et une vingtaine de 'dames, avaient accepté l'invitation aimable- ment faite par le sympathique docteur Delotte, au nom
phique de 1 écriture ordinaire de la main droite change complète- ment . Psychose )o-ope)'a<0 ! ')'e. M. DEVAY (de
. Néanmoins, il a fallu prolonger pendant plus d'un an le traite- ment pour arriver à une guérison qui, depuis 4 mois no
n- dra d'un état mental moins atteint. La prolongation du traite- ment médical doit- être en tous cas poursuivie avec la
ériode de torticolis de celle du tic aug-[ 272 SOCIÉTÉS SAVANTES. mentait de durée. Le malade finit par guérir complètement
l on le compare, abaisse toujours la température, soit immédiate- ment après l'absorption, soit au réveil. b) L'hédona
pénalité dont ils ont bénéficié. Pour sauvegarder la société, vrai- ment , efficacement, le mieux serait de les placer dans
sonnement, il ne suffit pas d'être un bon praticien, il faut égale- ment posséder à fond les sciences accessoires qui expl
s dangers. Les blessés sont au nombre de sept dont quatre griève- ment . VARIA. 283 Le nomme Bardet, soixante-deux an
que le cordon spermatique avait perdu toute sensibilité au pince- ment et à la pression. Modifications DES réflexes. 1
des pieds sera d'abord insensible, on verra s'abolir respective- ment le réflexe crémastérien, les réflexes abdominaux
une région pathologiquement douloureuse mais analgésiée complète- ment par une injection lombaire de cocaïne. Il s'agiss
plus grande extension de l'analgésie ; elle diminue progressive- ment et les réflexes reprennent insensiblement leurs c
les mala- des chez lesquels ont apparu ces phénomènes de tremble- ment trépidatoire étaient tous des hystériques ; 3° No
eurs nocturnes, l'insomnie, l'irritabilité excessive, la tendance à mentir et à tromper sans motif intéressé, « pour l'amo
des autres, et bien d'autres phénomènes qui se rencontrent égale- ment dans les états névropathiques des adultes. Quant
hien, le tonus des muscles volontaires se fait presque exclusive- ment par les voies longues; le centre de ce tonus peut
elle-même, partout et toujours. J'ai l'habitude, dans mon enseigne- ment , de distinguer plusieurs variétés de contracture.
ppelle volontiers contracture myotonique, se trouve réalisée notam- ment chez les malades atteints de maladie de Parkinson
on comme le fondement de l'obsession et que nous en avons longue- ment exposé les raisons dans divers travaux=. .. Je
sion du doute et comme je l'engageais, pour triompher plus aisé- ment de la peur des couteaux qui la torturait, non à l
idée obsédante. Mais certains malades vont plus loin. Non seule- ment ils éprouvent la crainte angoissante de rougir à
stant, invariable, c'est-à-dire l'élément fondamental, c'est l'élé- ment émotif. C'est pourquoi nous rejetons l'opinion
postérieures. Or d'après 1\L\1. 'J'rumer et Hallion, c'est précisé- ment sur ces racines que s'exerce d'une i'eçon presque
les opérations arithmétiques. Actuellement, l'enfant lit couram- ment , écrit lisiblement, fait des devoirs et des dicté
pour le k, prononcé t, et le changé en n, elle n'était pas totale- ment défectueuse. Sterl..., s'isolait, ne jouait avec
r, ill, gn, bl ; mais tous ces sons, bien articulés au commence- ment ou dans le corps des mots, sont nuls lorsqu'ils f
ra « papa » pour paille; « vi » pour vigne alors qu'il dit facile-' ment bouillon, gagné. Mazie... -(Henri), né le 2 jui
s. La deuxième condition à remplir, c'est de continuer le traite- ment avec persistance pendant un long temps au point d
r l'instruction, eu commençantpar les leçons de choses, l'enseigne- ment des notions usuelles, par exemple, le nom des rég
incurables. C'est donc à tort qu'on a prétendu exclure du traite- ment médico-pédagogique l'instruction primaire, dont,
faire de sa situation. Le caractère épileptique est fort heureuse- ment traité. Mais, combien n'est-il pas regrettable qu
385 moins qui se présentent à deux degrés; le simple affaiblisse- ment plus ou moins marqué de la réaction normale et l'
récentes recherches de MM. Féré et Lance comme les nôtres confir- ment cette opinion. Aussi serait-il à désirer que les
observations cliniques d'homicide alcoolique démontrent excellem- ment combien est insignifiant et dépourvu de valeur le
stade clonique, la tendance des crises à s'imbriquer, et l'épuise- ment général qui leur succède. La folie de la ménopaus
veille), enfin que par l'abstention systématique de tout médica- ment de cet ordre il a obtenu, chez ses malades, un no
ce un poste de sous-surveillant ou sous-surveillante de remplace- ment 1. 2° Organisation du service de veille, en lai
e, à une discussion générale, mais puisqu'on a préféré immédiate- ment la discussion des propositions ou des voeux formu
ajoute que à son avis, il faudrait pour toutes ces écoles un règle- ment unique dont tous les points devraient être précis
i achèvent d'épuiser un personnel déjà surmené. 11 demande égale- ment que ce service soit fait par un personnel spécial
lication de l'open-doo/' dans la plus grande partie de l'établisse- ment , suppression complète des murs et des grilles et
e son plan et de son aménagement, mais sous le rapport du traite- ment général des malades. Ajoutons que pour la réalisa
enus encours de peine) dont l'Etat a le devoir d'assurer le traite- ment . L'établissement provincial ne pouvait être tenu
m- prend deux sections de vingt-quatre malades chacuue, complète- ment indépendantes l'une de l'autre, et situées, l'une
urs. Ai;l. 11. A la fin de chaque séance, il sera donné publique- ment connaissance aux candidats du nombre de points qu
première année choisissent leurs places d'après l'ordre de classe- ment . Pour les années suivantes, le choix se fait suiv
dans lequel est situé un asile provincial fournit proportionnelle- ment plus d'entrées dans.l'asile que les districts lim
8° Pour les villes dont la population atteint ou dépasse légère- ment 100.000 habitants un quartier spécial, composé de
quartiers d'observation réservés aux aliénés laissent considérable- ment à désirer au point de vue de l'aménagement : on c
sans être obligé d'augmenter notablement le personnel. Un classe- ment des malades en trois catégories est suffisant :
es vagabonds précoces, que chez ceux qui le sont devenus tardive- ment (25 p. 100). Dans cette dernière catégorie prédom
une gesticulation désordonnée, des poses et une mimique extrême- ment variées avec mutisme presque complet. Le malade e
rmule : Pas de contamination des malades par les objets de panse- ment , les instruments, les infirmiers et la literie. P
dans les travaux français : ce sont les stéréotypies. Ordinaire- ment confondues avec les tics ou les spasmes, les chor
volumineuses. L'enveloppe, qu'il timbre toujours, porte invariable- ment l'adresse suivante : ' Lettre, Papiers d'Affair
uves nouvelles, « il se borne à la répéter à tout venant, exacte- ment sous la même forme, et avec les mêmes expressions
Quand le délire se systématise, les actes se systématisent égale- ment , ils semblent appuyer l'idée délirante qui leur a
onds maladif de la sensibilité sur lequel... s'étaient graduelle- ment développées les idées délirantes. » Alors qu'à ce
déjà exécutés autrefois, qui à un certain moment ont été exacte- ment en rapport avec l'ensemble des circonstances, mai
ard dans le cours de la maladie. Ce fait s'explique assez facile- ment . Au début des différentes psychoses, les malades
Les stéréotypies nous révèlent toujours la disposition congénitale- ment faible du cerveau de l'individu chez lequel elles
serait d'avoir vécu avec la femme de son frère, au retour du régi- ment . Il a eu alors des idées de suicide. Il refusait
surtout : « En haut, tout en haut, la tête », qui revient constam- ment et qui est répété vingt fois de suite. Ces paro
- taine coïncidence entre les paroles qu'il murmure et son mouve- ment de la tête. Mais cette concordance n'est pas abso
arence d'actes intentionnels; ils se répètent longtemps, fréquem- ment , toujours de la même façon. - Mais ces actes n'on
éréo- typés ne le sont pas. Ils pourront bien s'accomplir rapide- ment , avec une certaine vivacité; ils n'auront jamais
hystérique. Parmi les phénomènes de ce genre le mutisme est rare- ment relaté. « Eu égard au grand nombre de malades,
ez elle pour y travailler. 11 aimait à s'occuper et faisait exacte- ment tout l'ouvrage de la maison. Après deux ans de
s dans quelque action violente, qui mettait les esprits en mouve- ment (car c'est pendant le sommeil qu'ils sont en plus
it quelquefois la parole dans l'eau, mais avec beaucoup d'enroue- ment . Quand elle avait la fièvre, elle parlait dans le
pentant. Depuis ce temps elle parle aussi souvent et aussi libre- ment qu'avant ses couches, ayant toujours son arrière-
aratoires. Il faut s'occuper de toute l'écorce et non point unique- ment de la cellule en particulier, et de la propagatio
gane sensoriel sur cette série dont on vient de parler est précisé- ment de lui donner un commencement et une fin qui sont
lorsque l'heure de la retraite a sonné pour eux, collaborer utile- ment pour leurs confrères, agréablement pouf eux, et c
ment pour leurs confrères, agréablement pouf eux, et charitable- ment pour les malades à l'oeuvre qui a été l'occupatio
dans les modifications des réflexes que l'on observe consécutive- ment , Crocq a lié la moelle cervicale ou dorsale supér
s toxiques. Dans l'une ou l'autre hypothèse la méthode de traite- ment que l'auteur préconise a simplement pour effet de
de la maladie de Basedow, de l'épilepsie, et tout à fait dernière- ment , de l'atrophie simple du nerf optique. Les cas so
c'est certainement un des plus importants progrès réalisés récem- ment par la chirurgie. L'auteur entre ici dans des con
selon des localisations ou des degrés de gravité dépendant seule- ment des conditions de virulence plus ou moins actiie
retombe malade après guérison par les autres méthodes de traite- ment . Simon. 536 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. .XVI. La
n ' agrandissement du calibre des artères cérébrales, un abaisse- ment de la pression artérielle et une élévation de la
on. Délire d ? par Oudard, 280. Automatisme alcoolique extrême- ment prolongé, par Dobrotwor- sky, 130. ambulatoire
as récents de , par Burr, 534. Fou. Odyssée d'un , 367. Traite- ment du en Perse, 534. par- ricide, 546. , Ganglio
Tabès. Sensibilité oculaire dans le , par Le Merle, 280. Traite- ment des douleurs du par l'asperine et la rachicocaï
13 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une chose facile que de pouvoir diriger par une contrainte pure- ment morale et jamais opprimante ces enfants au cer-
chez elles. Ce sont ces considérations qui m'ont déterminé récem- ment à réunir au centre colonial toutes les enfants pl
contre l'instinct universel de l'Humanité, et qui oriente logique- ment toute la conception sociologique, indifféremment,
à-dire des deux co-êtres... ? à quoi M. Bonne réplique triomphale- ment : Votre théorie « ne tient pas compte des connexi
e considère à tort comme nés simples. Parmi eux, et particulière- ment cité par lui se trouve le canal thoracique. Vraim
i une page du professeur Prenant, de Nancy, qui lui démolit joli- ment toute sa thèse. Je me borne à la reproduire. «
- mation impaire, on doit le considérer comme présentant typique- ment une constitution bilatérale. Cela résulte de troi
'une cellule unique ; car si je le puis croire constitué primitive- ment par deux cellules dont l'une sera née dans la par
La partie essentielle, fondamentale du tube digestif est évi- dem ment , représeiitée par son épithélium dérivé de l'endo
tache embryonnaire, le feuillet endodermique s'étale symétrique- ment à droite et à gauche de la ligne médiane ; et ses
Que reste-t-il à mentionner ? Le canal de l'urèthre, organe assuré- ment plus urinaire que génital, et annexe véritable du
tube digestif dont nous connaissons déjà la formation originelle- ment double, que nous en revenons ; c'est à lui qu'il
x poumons, etc., j'avais, très en passant, ébauché un autre argu- ment , celui de la différenciation. suivant aptitudes d
substance, en son essence,et en son origine,et dont le développe- ment se poursuit dans un milieu identique, aient pu se
Un seul se développe et devient individu. Si l'autre se fut égale- ment développé, c'est deux individus qu'il y aurait eu
étendant en sens variés ou se réfractant, elles varieront incessam- ment de volume et de forme. La cavité de segmentation
et suivant le mot de Chabry, pétries. Comment en serait-il autre- ment . puisqu'il faut que dans le cadre de l'oeuf, deux
d'encoignements, et même de sacrifices qui iront jusqu'à l'avorte- ment de certains organes chez l'individu de droite ou
us, c'est-à-dire de larves purement dimidiées. Il n'y a aucun argu- ment à en tirer pour la thèse de M. Bonne. Mais comb
tr'eux. 3e preuve. Les sensations peuvent être subies inconsciem- ment , subconsciemment ou consciemment ; de même en est
blastomère'ne heurte en rien les notions scientifiques actuelle- ment acquises sur l'évolution de l'oeuf. Elles sont au
orps est attesté par la différence d'aptitude qui existe manifeste- ment entre chacun d'eux : différence de force musculai
u'il cite lui-même et celle qui la suit (p. 198). Où trouver un dé- menti ? Je ne vois, pour ma part,dans l'étonnement de l
e mode de segmentation ne corresponde pas toujours et rigoureuse- ment à la répartition dans l'oeuf des substances proto
ce dernier cas, l'oeuf est dit isotrope. Or, il existe, non seule- ment chez les Phytozoaires et notamment chez les Coele
même que dans l'oeuf fécondé. Je rappelle à ce propos l' « argu- ment de la dualité d'origine » si élégamment présenté
en montrant que ses « cellules se disposent pendant le développe- ment à droite et à gauche de l'axe de l'oeuf (p. 25,-3
tion. à) La déformation apparente se traduit par un raccourcisse- ment du segment brachial au profit du segment antihrac
L'élévation de température locale est frappante ; elle est nette- ment perceptible à la main et se révèle d'une façon pl
edème chronique dans la partie moyenne du membre et particulière- ment à la lace postérieure du coude. L'enquête soign
itiques à l'origine de pareils accidents. L'hypothèse est évidem- ment soutenable mais il ne nous semble pas nécessaire
dégénérescence en plaque des cellules nerveuses ; leur enchâsse- ment dans les petits vaisseaux ou l'obstruction des va
l'aile du nez et de l'angle de la bouche, ou de ces derniers seule- ment ) est presque constant dans la tétanie aiguë, peu
- lativement jeunes; des 41 survivants examinés par l'A. 9 seule- ment furent trouvés en parfait état de santé ; 7 étaie
n cas d'aphasie-apraxie; par d'HoLLANDER, (Bull, de 'a Soc. de méd. ment , de Belgique, 1906, n° 129.) Il s'agit d'un hom
t ? spontanément ou sous dictée, pouvait seulement copier pénible ment une lettre ou un dessin, mais cependant avait con
es idées délirantes avaient cessé et le malade se rendait parfaite- ment compte de la nature morbide des symptômes disparu
Liepmann a publié les observations, l'intelligence était relative- ment peu touchée. Lorsqu'exceptionnellement l'apraxie
dans laquelle il s'est trouvé jusque-là, du fait de son emprisonne- ment d'abord, de son internement ensuite. N'ayant ja
le et on ne peut prendre la responsabilité médicale d'un interne- ment définitif ; en pratique. ces professionnels explo
notion du libre arbitre et de la liberté morale et du développe- ment de l'ascendant du déterminisme. Or s'est ainsi
cé, dirigé, discipliné de bonne heure, méthodiquement et constam- ment . Une certaine éducation du sens musculaire permet
orter it la loi de 1838 sur le régime des aliénés, poursuit active- ment ses (ravaux sous la présidence de M. Rolland. Dan
i- me normal auquel il ne pourrait être dérogé qu'exceptionnelle- ment et sous des garanties spéciales. LES aliénés EN
images motrices graphique, chez une hystérique jappée simultané- ment de cécité, de surdité et de mutisme. (Revue de l'
vons recueilli beaucoup de ses lettres ; et un phénomène extrême- ment intéressant s'y fait remarquer : un certain nombr
: « Décembre 1891 (à son mari), Mon cher ami, deux mots seule- « ment : je suis un peu fatiguée; j'ai bien peur d'une a
l'existence même de ces personnalités diverses, de ce fractionne- ment du moi, ne fait que déplacer la question et que l
our prési- der ses travaux. Il rend hommage avant tout au dévoue- ment et au zèle des excellents secrétaires généraux, M
ner- gie du courant et la durée du contact. Les convulsions pure- ment toniques n'atteignent jamais la durée des convuls
'ail- leurs encore en cours actuellement. On peut l'appeler vrai- ment un précurseur. Le Du de la Rive mourut en 1834,
ion diamétralement opposée : à mon sens, le médecin est parfaite- ment qualifié et il est seul qualifié pour éclairer le
n- sabilité sociale qu'elle appellerait culpabilité, mais unique- ment , la responsabilité médicale telle que nous l'avon
onsa- bilité atténuée, en précisant que ce mot est pris exlusive- ment dans le sens de responsabilité médicale ou physio
ent intime- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. loi ment , démontrant, dit G. Ballet : « la commune origine
l- ques très rares fibres radiaires dégénérées, décelables seule- ment par la méthode de Marchi. Ces constatations, an
s : Le nervosisme est souvent en relation avec le mal fonctionne- ment de la glande thyroïde et peut se présenter sous l
'es- prit humain ; elle représente une brisure dans le développe- ment de la mentalité. Aussi l'hystérie, dans sa forme
s MM. Claude et Sclmeyder, parce que, je le déclare bien sincère- ment , je n'ai pu parvenir, malgré tous mes efforts, à
la persuation, les gros accidents de l'hystérie, ils ont pu égale- ment remarquer le peu d'efficacité de la suggestion ch
en injections, et l'alimentation rectale, sous la forme du lave- ment peptonisé. En dehors de ce phénomène, la malade
t n'est-ce pas le définir ? Cette définition doit être exclusive- ment basée sur des caractères cliniques. J'ai pensé
ain peut être constitutionnel ou acquis. Acquis, c'est l'ébranle- ment nerveux, choc physique ou moral, c'est l'émotion
est un mode spécial de réagir du système nerveux et particulière- ment de l'écorce cérébrale, qui a tendance à rester fi
le nom de « raki » et à l'usage des alcools provenant ordinaire- ment des substances amylacées ; 5° La paralysie généra
terfibrillaires e1 dans l'axolyse lésions qu'on rencontre égale- ment dans le bout périphérique des nerfs sectionnés. N
t, on le ligota solidement. A l'aide de seaux d'eau, le commence- ment d'incendie fut ensuite éteint. Léon lluolt a été
es. D'après lui, c'est le rouge qui est la couleur la plus nette- ment perçue et quelquefois aussi le bleu. Pour Hammond
ubouschine z (4). Les recherches allemandes sur des cas clinique- ment bien définis sont beaucoup plus rares qu'on ne
ns va- rient suivant les différents auteurs et l'on n'a actuelle- ment aucune donnée certaine à ce sujet. Si laissant
semblaient gonflés à un haut degré ; la membrane nucléaire forte- ment plissée; le corps cellulaire très ratatiné, montr
tation cor- respondant à l'ordre chronologique de leur développe- ment .10 Lésions préalables inconstantes, d'origine con
réparables. Cette hypothèse n'est guère conciliable avec les exa- mens de liquide céphalo-rachidien des déments précoces
te à l'oc- casion d'un surmenage intellectuel ou physique, au mo- ment de la puberté, ou bien encore à la suite de troub
notre igno- rance puisqu'on connaît en pathologie nerveuse notam- ment des maladies dégénératives avec lésions facilemen
cilement visibles, mais dont l'explication nous échappe complète- ment encore ; sclérose latérale amyotrophique, atrophi
de leurs fonctions, les arrêtés ministériels déterminant le traite- ment à leur allouer, et la date de leur entrée en fonc
l'in- firmerie en général est bien moins une question de dévoue- ment qu'une question de connaissances rationnelles du
. Donnez-nous des infirmières capables, instruites, et le dévoue- ment leur viendra tout naturellement parce que l'altru
a- ractère habituel de ces sujets, et ils disparaissent spontané- ment lorsqu'un traitement hygiénique, physique ou médi
servations d'hystériques que j'ai recueillies je relevais dernière- ment au moins 120 cas très nets dans lesquels on retro
extrêmement intenses. Le développement de ce délire est étonnam- ment régulier : la scène de la crucifixion ou la scène
mine le sujet revient à la vie normale et semble avoir complète- ment oublié ce qui vient de se passer. Dans bien des c
s que présentent les hystériques constituent un symptôme extrême- ment original et important. Considérons un phénomène
ée. Certains troubles viscéraux sont indiscutables et ont exacte- ment les mêmes caractères. La fonction de l'alimentati
du système nerveux est réparti régulièrement en vue du fonctionne- ment normal. L'hystérie est un simple trouble de l'équ
nution d'un autre côté ; il n'y a pas d'augmentation mais déplace- ment . La diminution de la force portée à l'excès abo
e fait que les parents des grands hommes sont d'un âge mûr au mo- ment de la conception de leurs enfants, qui deviennent
econdes. 3 La pression sanguine commence à augmenter au commence- ment de la phase clonique de l'attaque ; cette pressio
es extrémités supérieures et inférieures s'amincissent progressive- ment , tandis que la portion la plus épaisse située à l
à Bicêtro et à la Fondation Vallée, vous en avez tracé sommaire- ment l'histoire,mettant ainsi en relief les efforts ac
mission chargée d'établir le programme d'éducation et d'enseigne- ment médico-pédagogique des pupilles difficiles de l'a
e sur tout l'établissement, et cette surveillance s'exerce notam- ment sur l'administration du Directeur, en ce qui conc
ter à la loi de 1838 sur le régime des aliénés, poursuit active- ment ses travaux sous la présidence de M. Rolland. Dan
de- cins pourraient habiter extérieurement et se consacrer libre- ment à l'exercice de la médecine en dehors des asiles
, et les aurait déposés dans une succursale d'un grand établisse- ment de crédit. La mère, ayant constaté le vol, déposa
eu- lement comme la preuve ccrLaine de l'amour de son mari. Vrai- ment , Mme X. s'est mariée par amour ; pendant li ans c
i- ment, Mme X. s'est mariée par amour ; pendant li ans ce senti- ment s'est alTermi et ses relations journalières avec
singulièrement un vague sentiment de plaisir. Le caractère pure- ment sexuel de ces vagues sentiments s'est manifesté c
e système; elle a commencé à parler bien sérieusement et franche- ment et manifesta un vif désir de se débarrasser de la
ente et elle l'éviterait très volontiers. Mme .1. dit tout franche- ment qu'en réalité elle ne se refusait pas à le subir
ien- ne ici trop tôt à cause de l'irritabilité exagérée du senti- ment sexuel. Comme je l'ai dit plus haut, l'aspect d'u
etterie ren- ferme en elle-même le moyen de satisfaire immédiate- ment et complètementles tendances sexuelles patholo-
es renseigne- ments précis concernant les circonstances et le mo- ment où elle s'est aperçue pour la première fois de sa
s : Le malade, encore enfant, à l'âge de 5-6 ans, avait été vive- ment impressionné par les récits concernant les crimin
à éprouvé la satisfaction sexuelle complète, le malade naturelle- ment retourne toujours à ses pensées concernant « les
à se tenir à l'affût des dames élégantes et à les garotter mentale- ment ; les forçats l'intéressent de nouveau. Un nouvea
de femme avec les parties génitales du malade (sans aucun frotte- ment ) a provoqué l'éjaculation et l'orgasme voluptueux
ter aux avantages de divers ordres dont ils bénéficient actuelle- ment . Quant aux asiles situés dans l'iniérieur ou au
raire, dans l'organisation qui me paraît la meilleure, non seule- ment autorisés, mais invités à loger hors de l'asile,
ons- tructions seront élevées ou appropriées, le mode de recrute- ment et de fonctionnement des écoles nouvelles. Conf
coles et d'emplois. Quant aux indemnités de résidence et au loge- ment ou à l'indemnité représentative, ils seraient, co
pri- maire, d'un directeur ou maître d'une école de perfectionne- ment et d'un médecin, déterminera quels sont les enfan
postérieur, ou bien un trouble de l'arc réflexe cérébral générale- ment admis. B.a vu souvent manquer,dans la pégé avec A
e droite. ALQUIER et Ciovini on[ trouvé à la suite un ramollisse- ment de la partie moyenne de la frontale ascendante, c
s ART. 17. Toute discussion politique ou religieuse est formelle- ment interdite pendant les réunions de l'association.
fois nos intérêts et ceux de l'Etat, mais je supposais préalable- ment , définitivement acquis par voie législative, notr
ment, définitivement acquis par voie législative, notre rattache- ment à la Caisse des rclraites civiles. Or il y a touj
penser. Or,à tout prendre, avons-nous bien intérêt à ce rattache- ment ? a .le réponds : non, sans hésiter, ayant une so
. , Bientôt les deux femmes sont certaines que leurs espions for- ment une bande ; on cherche quel en peut être le chef
Marie Forel parlait de Nelly Dor à son amie, elle ajouta incidem- ment . « Que je vous dise, elle a au Crédit Lyonnais un
à elle léguée par un Monsieur Pieratoni, et une troisième probabl- ment , appartenant à une demi-soeur qu'elle s'est décou
ambiante l'a dès le début affligée plutôt que révoltée ; naturelle- ment humble, elle se sent à charge à ceux qui la mécon
u mot, ne convient donc pas à un tel cas, il n'est que partielle- ment admissible. En effet, pour une contingence de plu
igne généra- lement des délires issus des mêmes causes au même mo ment . Or, ici les délires sont bien contemporains, mai
i- culté, et cela pour une raison bien claire. S'il est relative- ment facile de dénommer une maladie due à un pro- ce
édiai- res, contrairement à ce qui se passe ailleurs, sont forcé- ment les plus nombreux. Dans chaque cas, les individ
- gère dysphasie au début.aucune douleur dans les jambes ; seule- ment quelques douleurs gastriques. Réflexes rotuhens p
andeur. Mais par un contraste curieux,tandis que l'optimisme aug- mentait , les idées optimistes sont devenues plus vagues,
M ? vient se ranger devant la maison. De plus, à dater de ce mo- ment -là, toutes les clientes qui d'ordinaire boivent d
lade est comme une épave.ballottée au gré de'ses erreurs de juge- ment . L'activité délirante du patient n'est pas figée
réaction de Jolly mais aurait une influence favorable sur l'épuise- ment faradique (Murri). D'ailleurs dans la réaction de
les points même inexcitables par le faradisme, répondent normale- ment aux stimulis galvaniques. On devrait alors suppos
canisme cependant de cette intéressante réaction serait parfaite- ment éclairci en supposant que les nerfs cutanés, qui
lité des nerfs et des muscles se borne aux points cutanés directe- ment excités par l'électrode. 2° L'épuisement obtenu
bien supérieure à celle qu'il est capable de fournir à un autre mo- ment ,et cela avec une moindre fatigue.il faudrait donc
sentent les enfants dont le sommeil est insuffisant va continuelle- ment croissant et aboutit à une diminution importante
) A.doute que les méthodes « qui permettent de distinguer facile- ment les lésions de la P. G. de celles de la démence s
genou du corps calleux. Intégrité du reste de l'hémisphère, notam- ment des circonvolutions centrales et de la capsule in
L'incontinence nocturne essentielle de l'urine n'implique nulle- ment , d'après l'auteur, une faiblesse organique du sph
r compte de ces phénomènes en clinique ce qui est assez générale- ment négligé aujourd'hui. L. WAHL. XLIII. Hyperesthé
te, puis l'amaurose probable- . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 383 ment sans névrite optique, qui dura six semaines ; la
B. reprend en détail chacun de ces symptômes ; il insiste notam- ment sur les mouvements des paupières, l'examen électr
de abondance, dans l'arbre interne, et c'est le cerveau, naturelle- ment , qui a la faculté d'ordonner ces contractions et
de ce qu'on nomme la raison Ces ordres, que dicte la raison, com- ment prouver qu'ils ne sont pas eux-mêmes des impulsio
a méthode des sorties et congés d'essai. Cette méthode, précédem- ment suivie, est demeurée féconde en heureux résultats
du 1 C,. août 1906, instituant un concours annuel pour le recrute- ment des médecins adjoints des asiles publics d'aliéné
it la maison de santé de la rue du Picpus dans le 12° arrondisse- ment , dont il a été maire durant de longues années. So
téra- tions de la sensibilité articulaire dans notre cas : au mo- ment de la disparition des troubles de la sensibilité
ieurs person- nes ont' présenté les mêmes symptômes d'empoisonne- ment , ayant Consommé des homards qui ont été achetés
ès les premières convulsions ; ils se seraient répétés journelle- ment , et auraient encore augmenté après la seconde cri
ié- rée avant les premières convulsions, il s'agit vraisemblable- ment d'un état congénital aggravé par des convulsions.
ade ne semble plus ouvrir la bouche avec plaisir, mais machinale- ment , et sans avoir l'air de se rendre compte de ce qu
et de Magnan : trouble intellectuel (; : o : pC1. vow) exclusive- ment qualitatif, tout d'abord manifesté par un naturel
s hallucinations ; conduite longtemps irréprochable, affaiblisse- ment intellectuel assez tardif et assez lent pour perm
l'emploi du mot français obsession, -lequel s'applique non seule- ment aux représentations obsédantes, mais aux impulsio
eignement des infirmiers. Une villa séparée contiguë au comparti- ment féminin, a été érigée en 1882, pour l'école et la
points nombreux du territoire, des établissements pour le traite- ment des maladies nerveuses et des cas de folie à la p
but où l'internement n'est pas possible. Le certificat d'interne- ment estune -frontière arbitraire entre la folie et la
e, c'est recourir un argument extra-médical, bien plus,à un argu- ment de circonstance. Dans la pratique, sous des forme
faire l'une des trois réponses suivantes : 1. Cet acte est pleine- ment imputable à X... (en raison de la lucidité de sa
a solution du problème pratique ? Pour que la société fût pleine- ment à couvert, il lui faudrait des asiles-prisons, de
portance au titre du chapitre. A l'Ecole de droit, dans les exa- mens , cela vaut une boule noire au candidat. Le deux
est qu'il implique une idée de métaphysique. Or ce mot non seule- ment dérive du mot latin respondere, mais bien mieux,
dénomina- tions différentes, telles que furiosus, démens, insanus, mente cap- tus, alienatus mentis. Tous ces états impl
es, telles que furiosus, démens, insanus, mente cap- tus, alienatus mentis . Tous ces états impliquaient, au point de vue p
que peut courir son petit. Il serait utile d'étudier comparative- ment dans quelles conditions et sous quelles impulsion
gence, elle grandit les bonnes suggestions, les développe, les aug- mente , les multiplie ; elle refoule ou fait disparaître
rge est également répailie entre eux pour le meilleur fonctionne- ment de tous les services. Nos infil'miel'set. nos i
(2). Art. 15. A la fin de chaque séance, il est donné, publique- ment , connaissance aux candidats du nombre des points
de leurs fonctions, les arrêtés ministériels déterminant le traite- ment a leur allouer et la date de leur entrée en fonct
ents. Art. 1S.- Les frais du concours sont à la charge du départe ment de la Seine. - Art. l'J. - Sont abrogés les arr
miliales. Voir Enfants arriérés. Caun. Rupture du-, ralentisse- ment du pouls, crise épilcpti- forme ; importance pa
mand Dèlillc, p. 165. Voir Spasmes. Pédagogie. La - à l'avance- ment des sciences, par Béril- lnn, p. 307. Pellagr
- -, par Atxhei- mer, p. 367. Torticolis. Inutilité du traite- ment chirurgical dans un cas TABLE DES MATIERES. 4
14 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de dilata- tion des pupilles. Ces accidents disparaissent rapide- ment après une nuit tranquille et un sommeil profond.
E NERVEUSE. trop longue pour le lecteur et qu'on pourrait facile- ment allonger encore, que la maladie ourlienne peut
; la raideur musculaire et l'hémianesthésie ont presque complète- ment disparu. Le malade, qu'il avait encore fallu sond
mots ; on ne peut en particulier lui faire articuler convenable- ment le mot fourchette. Il y a encore de la faiblesse
aut l'avouer. Pour Eichhorst', ces accidents seraient dûs simple- ment à une hyperhémie cérébrale passive, reconnaissant
déterminent qu'une irritation superficielle qui disparaît rapide- ment après avoir donné lieu à des symptômes plus red
à des lésions de l'encéphale lui-même (encéphalite ou ramollisse- ment ) qui produisent alors des aphasies et des para-
avail où se trouvent rapportés un cas qu'il a étudié personnelle- ment et deux autres observations analogues de v. Has
tes les fenêtres, puis la douleur se calme et disparaît complète- ment vers midi, en laissant une sensation de lourdeur
che pas une grande importance. On ne constatait chez lui à ce mo- ment , comme symptômes tabétiques, que le signe d'Ar-
nt seules, sans troubles consécutifs, si ce n'est un léger égare- ment très passager. Depuis quelques années, les crises
sion.1 D'autre part, savons-nous au juste ce qu'est pathogénique- ment l'urémie ? Est-ce autre chose qu'une expression c
mot d'acétonémie doit être banni de la pathologie, l'empoisonne- ment résultant pour lui non d'un produit déterminé, ma
r une à deux gouttes de perchlorure de fer, on obtient immédiate- ment une belle coloration rouge rubis. Il suffit donc
s froid, fut pris en arrivant à Paris d'un malaise avec affaisse- ment général, bientôt suivi de coma, et succomba en tr
qu'il faut se garder de s'attacher à faire disparaître complète- ment et trop brusquement le sucre de l'urine des diabé
es. La suppression rapide de la glycosurie les expose non, seule- ment à l'acétonémie, mais à des complications de toute
éguliè- rement ou irrégulièrement, symétriquement ou asymétrique- ment distribués dans les quatre membres ; en même temp
r.aire était compensée par un flux diarrhéique; mais, contraire- ment à ce qu'on observait si nettement dans le cas de
ême tableau. 3" Le .symptôme le plus constant en est le rétrécisse- ment bilatéral du champ visuel. - 4° La participation
temps, dont l'intelligence est un peu affaiblie, cela, indépendam- ment de l'attaque et de son mode. Il s'agit, dans tous
les moitiés conservées du champ visuel présentent un rétrécisse- ment concentrique plus ou moins accentué. IV. Anesth
ent des symptômes de goitre exopthalmique qui disparurent rapide- ment et une enflure généralisée qui, au contraire, per
SUR QUELQUES POINTS DE LA PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE DU RAMOLLISSE- MENT cérébral; par M. MAYET. (Lyon méd., 1884, t. XLV.
Poetz. De la valeur des asiles d'aliénés agricoles pour le traite- ment des aliénés et en particulier de l'installation d
dix-neuf réglées irrégulièrement, soixante-sept étaient régulière- ment menstruées. A côté de cela, généralement un exame
logie, t. V, p. 391, et t. VU, p. 3r>2. 108 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment de la gymnastique, mais l'éducation anglaise acco
tubes. -- Voici deux malades. L'un en proie presque continuelle- ment pendant dix ans à des accidents syphilitiques, sa
projection de divers groupes de fibres nerveuses possèdent égale- ment une fonction différente; ainsi l'écorce du lobe f
- mènes du dédoublement de la personnalité ; elle possède réelle- ment deux existences intellectuelles bien séparées : u
l'entourent, etc., et profite de ce nouvel état pour boire avide- ment plusieurs verres d'eau. Cette existence premièr
visiteur s'en va avec cette heureuse impression, que le départe- ment de l'Isère n'a poiut fait ! de sacrifices inutile
s eu ni rhumatisme, ni maladie diathésique. C'est un homme forte- ment charpenté, bien proportionné, à développement crâ
- voque l'attention du malade, qui se plaint en outre d'un batte- ment continu au niveau de la fosse temporale gauche, b
atte- ment continu au niveau de la fosse temporale gauche, batte- ment qu'il compare au mouvement du balancier d'une p
dant près de deux mois encore le malade en observation ; à ce mo- ment , la guérison est entière et complète. Depuis lo
stent géné- ralement des troubles physiques et plus particulière- ment des troubles de la nutrition qui aident leur acti
loppement de l'aliénation mentale, devons-nous démontrer directe- ment ce rôle. Dans ce cas, cette démonstration est c
lait celle de la paralysie générale à son début, s'explique aisé- ment ; cette modalité nous permet même, en jugeant p
nt disparu, indique que la cellule cérébrale a été plus profondé- ment atteinte qu'elle ne l'est généralement dans la
cette alié- nation mentale'se lié intimement, dans son développe- ment , sa marche et sa'terminaison, à des lésions infla
e typhoïde, dont l'influence pathogénique est cependant actuelle- ment bien connue et admise par tout le monde. « Le p
tionnelle, par le rapport intime qui existait entre le développe- ment des lésions péri-auriculaires et le développement
es produi- sent, ou par un de leurs éléments constitutifs, l'élé- ment congestion ou fluxion dont la localisation du côt
- cence, il reçut une lettre dont la lecture l'impressionna vive- ment , et, à partir de ce moment, il commença à refuser
tomie et la physiologie pathologiques, le pronostic et le traite- ment de la nouvelle maladie, que nous voudrions voir
xistence simultanée de la paralysie spinale spastique est simple- ment indiquée par la paralysie, les tensions muscu-
fit à jus- tifier notre étude qui a la seule prétention de forte- ment attirer l'attention sur cet important sujet. II
la famille névropathique et Ballet et Landouzy les ont spéciale- ment étudiés en ce qui concerne le tabes. Epilepsie,
est profon- dément arthritique et la famille maternelle profondé- ment névropathique. Cette manière de concevoir les c
névropathique. Cette manière de concevoir les choses n'est nulle- ment une simple vue de l'esprit. Mise en présence de
s cérébrales. L'aspect et l'histoire de ce malade font immédiate- ment penser à un tabes : l'incoordination motrice, l
milieu de mai, on s'aperçut que la malade tenait sa tête oblique- ment vers la gauche. Le 20, l'examen révéla une hémian
au du cerveau, fermement adhérente à la pie-mère et un peu seule- ment à la dure-mère. Sa longueur était de 3 centimètre
ulière, frissons suivis de fièvre et de sueurs. Il avait été forte- ment purgé et était très faible. Le coeur était plus g
s) dans leur trajet vers la capsule interne, de sorte que finale- ment chaque capsule interne contient toutes les fibres
r. La seconde est une hystérique hypnotisable chez qui non seule- ment quelques symptômes hystériques, mais principaleme
bon de dire que le mari de la dernière tante s'enivrait habituelle- ment et rendait le ménage malheureux). Mllyrlrch....
or- deaux, et là les désordres malariques s'effacent progressive- ment . Un an après ce changement de demeure (1861, cl
- parition de ces hémorrhagies nasales coïncide avec l'établisse- ment de règles qui paraissent provoquer de la sorte un
e qui a retentit sérieusement sur l'endocarde ne se révèle nette- ment que quand l'épilepsie convulsive se disssimule, q
ente un cas type dans lequel trois périodes principales sont nette- ment observables : 1° l'état léthargique; 2° l'état ca
- cial quelques-uns des chefs-d'oeuvre de l'art classique, notam- ment : la Vénus de Médicis, la Vénus et la Diane du Br
es qui sont bien connues de tous ceux qui s'intéressent au mouve- ment moderne de la psychologie physiologique. Après le
« nimum : mais c'est aussi et surtout une transmission relative- « ment très rapide. En fait, tout acte nerveux central d
xcelsioi, de l'espèce humaine : le progrès psychique doit fatale- « ment s'arrêter un jour, soit devant la limite absolue
nce. Dans les mouvements volontaires rapides, nous savons exacte- ment qu'il s'est produit un mouvement et quel en a été
l. La courbe de la première planche provient d'un sujet physique- ment fort et bien musclé, mais d'une faiblesse intelle
ues particularités maladives; mais je crains qu'il ait trop facile- ment admis, parmi ses héréditaires, des êtres physiolo
environ 16,26 p. 100 de la mortalité totale. Evidemment ce docu- ment ne peut permettre de tirer le chiffre absolu conc
d'aliénés, dont cinq privés. Le'fûl : iû-lu=fénki0-iu(élahlisse- ment de la ville de le plus grand de tous, mérite une
andsjar- dins quiserventdepromenadesauxmaiades. Onycompte unbâti; ment pour lesfoncliouuaires(r1), quatre pavillons de m
lades (a) et quatre cellules (cc') qui d'ailleurs ne sont que rare- ment utilisées. Les deux pavillons postérieurs (D-E)'s
vroses accompagnées de vésanie. L'alcoolisme est proportionnelle- ment peu connu; cela vient manifestement de ce que les
t'c/t.y. Psych. XV) '. Les lignes qui précèdent confirment précisé- ment cette dernière assertion, elles montrent en outre
grave accident crânien. Depuis lors, il se plaignit parfois, notam- ment à l'occasion de certains mouvements ou d'efforts,
ma- niaque (incubation), d'une période de manie avec affaiblisse- ment intellectuel, d'une phase maniaque avec désordre
e plus qu'un facteur simplement prédisposant. Dans son établisse- ment , 51 p. 100 des paralytiques généraux ont eu, d'ap
e- mand). Il s'agit non de sevrer les malades brusquement, lente- ment ou par un procédé intermédiaire, mais bien d'adap
crase du sang, tantôt rapidement, tautot lentement, et générale- ment aboutissent à des affections spécifiques du systè
Hanovre, à Gcetlingen3. En 1868, on ouvrit le troisième établisse- ment à Osnabriich4. Aussi se produisit-il momentanémen
se développant très lentement, les malades se conduisent convena- ment , ils continuent à s'occuper. Les idées de persécu
provoque de la sueur. Les articulations des genoux sont constam- ment le siège d'une légère sensation de traînée compar
bles mentaux est demeurée complète; il est parti après un traite- ment de onze mois et n'est pas revenu à l'asile tant l
il s'agit d'une paralysie hystériforme. La cyanose, le refroidisse- ment , la résistance de la peau à conduire le courant é
e. S'agit-il de la distinguer de la paralysie générale et, notam- ment , des cas dans lesquels, les symptômes cérébraux s
aucun souvenir, ou bien il n'en conserva qu'un souvenir extrême- ment sommaire. Etat de somniation dans leur intervalle
l'intérieur du cerveau, comme en témoigne l'uniformité du,mouve- ment ; un mouvement monotone prouve le cantonnement de
moins nombreuses et moins élémentaires que dans le delirium tre- mens , on ne rencontre pas cette succession kaléidoscop
visions variant à vue d'oeil en grandeur, en couleur, en éloigne- ment , c'est au contraire un système formé de tableaux
plus tard (un exemple de l'auteur), ce qui pourrait servir d'élé- ment au diagnostic différentiel entre le délire et les
t par conséquent l'apparition de phénomènes d'inanition; inverse- ment un delirium tremens peut, de par l'angoisse et le
thouénie, on voit se montrer les diverses formes du delirium tre- mens . Ce fait est propre à faire rejeter l'idée d'une
en même temps de réfectoire; le long côté N.-O. est essentielle- ment formé par un large corridor. Des deux extrémités
e, avec colonie et quartier d'infirmes. L'addition ou l'agrandisse- ment de 6 divisions d'hommes et de femmes, permit, de
aliénés. Les nouvel les cons tractions comprennent : l'agrandisse- ment de l'habitation du directeur, une grande habitati
. La Société DE médecine légale vient de procéderai ! renouvelle- ment de son bureau qui, pour l'année 1886, est composé
. « Cet incident amena sur la place de la. Bastille un rassemble- ment de plus de cinq cents personnes, lesquelles prire
oprement dite; les altérations histologiques reproduisent exacte- ment celles que M. Ranvier a décrites sur le bout in-
ement vers les extrémités du segment, au voisinage d'un étrangle- ment interannulaire, pour gagner ensuite les por- ti
éritique et chez un sujet dont l'affection avait évolué clinique- ment sous la forme d'une paralysie ascendante aiguë '.
dans les doigts et les orteils, puis le malade arrive progressive- ment à déplacer ses membres en les faisant glisser sur
figurées; nulle part on ne peut constater l'existence d'un fila- ment rappelant de près ou de loin le cylindre-axe. L
a même forme, comme on la voit se produire en apparence spontané- ment dans l'hystérie. Je viens aux hypothèses d'inhi
qu'on voit apparaître dans l'hypnotisme est causé par un abaisse- ment anormal des inhibitions physiologiques, qui acc
possible, et que la plus forte action résultera de l'amoindrisse- ment manifeste de l'inhibition. Au contraire, le mou-
n courant faradique, la contraction du muscle qui s'était subite- ment produite ne finissait pas avec la rupture du co
si les muscles synergiques participent presque toujours au mouve- ment provoqué. Quelquefois on observe une fonction t
es extérieures auxquelles la substance corticale réponde apparem- ment indépendamment de notre volonté, ce sont les ré
urs regarder droit devant lui où il mettra le pied. Léger tremble ment dans les mains, spécialement dans la main droite,
ne chaise, etc. L'influence de l'occlusion des yeux est expressé- ment indiquée dans six cas (il" 1, 4, 15, 24, 28 et 33
au greffe pour formuler son appel. Elle nous raconte très simple- ment et très sincèrement comment les faits s'étaient p
x interstitiel, d'une dégénérescence graisseuse et du ramollisse- ment cérébral, de l'ectasie des capillaires cérébraux
reuse et les pupilles sont dilatées. On n'observe pas de relâche- ment des sphincters. Il meurt le soir sans présenter
s. Mort à la suite de crises subintrantes. Autopsie : ramollisse- ment de la substance blanche nerveuse entourant le pro
sse- ment de la substance blanche nerveuse entourant le prolonge- ment postérieur du ventricule latéral droit. Père mo
. Depuis, la sensibilité est incomplètement revenue et, actuelle- ment encore une piqûre d'épingle est mal sentie par le
moire est diminuée et l'intelligence affaiblie. Il pleure facile- ment . Les réflexes sont exagérés du côté paralysé, mai
festement ceux de la compression cérébrale, et ils étaient telle- ment marqués, ils sont survenus si rapidement qu'on' a
toute confiance le diagnostic d'hémorrhagie cérébrale, probable- ment ventriculaire. Les phénomènes observés après la m
ait, -et est demeurée, au-dessous de la normale. Quant au traite- ment , il y aurait lieu évidemment de le modifier en pr
lui-même. (Obs. VIII). Evidem- REVUE DE pathologie, nerveuse. 425 ment , après l'électrisation, le champ visuel's'augment
vers moments, la largeur de la fente palpébrale varie involontaire- ment , par conséquent on ne saurait faire cas de quelqu
- 1" De l'ensemble mal défini des cas que l'on désigne habituelle- ment sous le nom de mélancolie, de mélanchoha atluuita
ne se dissimule pas d'ailleurs que ses inductions sont actuelle- ment basées sur un trop petit nombre de cas pour deven
cendie survenant dans un asile d'aliénés; il insiste particulière-' ment sur la nécessité de ménager dans les asiles des p
ie d'Addison. Le malade a succombé et son autopsie est soigneuse- ment relatée. L'auteur lui-même est d'avis qu'il ne
bégayant et balbutiant oralement, on ne peut dire qu'invariable- ment les mots balbutiés et bégayés verbalement soient
e- ment les mots balbutiés et bégayés verbalement soient précisé- ment ceux qui sont vicieusement écrits. Par suite, l'i
I. Névralgies et affections douloureuses du même ordre. A. Traite- ment galvanique polaire des névralgies, et en particul
périphérique, soudaines dans leur apparition, récidivant brutale- ment à la moindre émotion, sans influence sur la nutri
cerveau par la névrose; elles résistent à toute espèce de traite- ment gynécologique ou autre. Courants galvaniques au d
. - On prend souvent pendant longtemps des troubles nerveux pure- ment fonctionnels, hystériques, pour des lésions céréb
02 ; dans trois cas, il a invariable- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 443 ment obtenu un résultat nul à la dose de z ; quatre fa
tique n'est pas le raisonnement lui-même, qu'au fond ce raisonne- ment est une inférence du particulier au particulier,
ais ces images ajoutent notablement aux notions fournies directe- ment par les sens au moment de la perception. Par exem
ent une perception, celle d'un livre par exemple, et un raisonne- ment . Les expériences sur des somnambules décrites trè
ne chose qui raisonne; M. Binet ajoute automatiquement, consciem- ment ou inconsciemment. Nous nous sommes efforcés da
voienouvelle de l'expérimentation en psychologie. L'esprit vrai- ment scientifique de M. Binet saura tirer de cette ing
euse méthode toutes les conséquences qu'elle comporte nécessaire- ment . P. CHASLIN. III. Etudes cliniques sur la grand
accompli par des sujets dont l'état d'intégrité mentale soit nette- ment établi, il s'agit toujours d'irréguliers incapabl
lorsque les cylindres-axes sont détruits, se manifester clinique- ment par les symptômes qu'on observe dans la myélite c
e. Si la marche de la sclérose en plaques est d'ordinaire éminem- ment chronique, elle peut exceptionnellement présenter
Enfin, il existe une affection dont la symtomatologie est exacte- ment celle de la sclérose en plaques : paralysie avec
es plus inconvenants et cherche à attenter à son honneur. (Mouve- ment d'attention dans l'auditoire.) «M. le juge de p
établissement unique suffirait à soigner tousles maladesau traite- ment desquels la ville doit pourvoir. Mais celle-ci es
des) par Wit- kowski, 317. Aliénation mentale (cas d') intime- ment liée a un abcès s'ouvrant par l'oreille externe
15 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la face moins mobile que la droite; réflexes rotuliens légère- ment exagérés à droite; vomissements; augmentation de
ns, de quelques jours de durée seule- ANTECEDENTS PERSONNELS. 3 ment . Rien ne permet de soupçonner la syphilis. Alcool
du pouls. 8 mai. - Depuis 2 jours diarrhée; elle a eu un vomisse- ment . 10 mari. : Douleurs sourdes dans la région occ
ère, l'impression de M. Monod étant qu'il s'agissait là probable- ment de lésions tuberculeuses. Le seul bénéfice tiré d
mine. Le visage est asymétrique, et la voûte palatine manifeste- ment ogivale. L'observation précédente nous fournit
e, dont les fonctions sont appropriées aux besoins de ce départe- ment tout spécial ? » Hélas ! je crains bien que pour
du corps médical de ces asiles tel qu'il est constitué actuelle- ment . - Cette proposition ayant t j u4eiiieii t éiii
cours d'abord régionaux, puis centraux, après les résultats vrai- ment remarquables de ces derniers concours, mon admini
ellule nerveuse : sa présence est intimement liée à celle du pig- ment , aussi s'observe-t-il de préférence chez les suje
. sidérable chez les personnes âgées, puisque chez elles, le pig- ment occupe la plus grande partie de la cellule, G. D"
ure du deuxième myeilotome sacré et étaient localisées au groupe- ment cellulaire situé en arrière du groupe X de Onuf e
onnelle de l'apparition de la paralysie générale fut, assez rare- ment il est 'vrai, le surmenage nerveux, l'alcoolisme,
t la vie, soit après les recherches nécroscopiques, particulière- ment au niveau du fond des. sillons qui séparent certa
. 53 ou acquise des centres nerveux : de telle sorte que, finale- ment , il n'y aurait pas de différence tranchée entre l
latés dans ce travail plaident en faveur de la présence d'un élé- ment somatique à la base de ces délires. Quant un exam
énérale, ainsi que les diverses sensibilités spéciales sont totale- ment suspendues. Tantôt elle se réveille toutes les 24
sans uriner, ni déféquer. Ce sommeil ne se termine pas brusque-, ment , on assiste à des réveils partiels et à la restau
à cette seconde catégorie sont souvent hypnotisables. L'entraîne- ment hypno-suggestif est long et difficile. Le trait
es rendre contagieuses. Les peuples mythologiques peuvent facile- ment recevoir une éducation sérieuse ; il suffit de le
autorité. La disparition de la timidité peut s'opérer graduelle- ment . Dans un grand nombre de cas elle s'opère d'une f
nement de son larynx, et leur constatation ramène tout naturelle- ment la gaieté et la confiance. Les aphonies hystériqu
fâ- cheux sur l'intelligence et le caractère et engendrent lente- ment un état mental caractérisé par un amoindrissement
AITS DIVERS Asiles d'aliénés. - Nominations et promotions. Mouve- ment de décembre IUO.j. M. JIaBILLE, ancien receveur d
1 globe oculaire droit est plus saillant, sa pupille est constam- ment très dilatée, et ne réagit pas ; de ce côté la -v
role est embarrassée, traînante, scandée ; ces troubles sont égale- ment plus sensibles aprèsles accès. Niveau intellect
te la journée une croûte de pain. Parle peu et rarement spontané- ment , répète de temps à autre quand on lui donne des s
après une chute, toujours à gauche, la tète se fléchit plus forte- ment de ce côté, etyue le membre supérieur gauche s'éc
A droite, l'r1 ? Jphale est recouvert par une tumeur dure, entière- ment comprise dans l'épaisseur du tissu durai et s'ète
La face externe est formée il sa partie, antérieure pal' F3 forte- ment divisée par des plis de passage profonds qui ou m
'1\ la base du cerveau l'espace intcl'pédollCulail'1' est profondé- ment situé en contre-bas (les circonvolutions olfactiv
san- guins. La tumeur est entièrement comprise dans un dédouble- ment du ce feuillet profond auquel elle adhère plus ou
e la faux du cerveau, de la tente du cervelet, etc.), si frequem- ment rencontrées, chez les aliénés en particulier. 1
ité crâ- nienne. Il est impossible de prévoir quand ce développe- ment cessant il a subi la dégénérescence avec transfor
mal et que si les phénomènes hypnotiques apparaissent plus nette- ment chez les hystériques, c'est parce que toutes les
LE. 109 de ce malade qui était venu consulter le médecin, unique- ment pour avoir un certificat d'exemption du service
Le mal dont il souffre est congénital : le malade affirme nette- ment avoir toujours été raide dans les mouvements, mai
ques et même psychiques que divers auteurs ont observé concurrem- ment avec l'affection fondamentale. 3° Dans le cas a
- riodes alternatives d'amélioration et d'aggravation ; actuelle- ment , quoique toujours affaibli au point de vue mental
e dans les classes aisées. Gosselin et Velpeâu partagèrent égale- ment cette manière de voir ;-pour eux, la pression dé-
paralysie générale se complique d'alcoolisme. D'après lui égale- ment , l'existence du mal perforant favoriserait les ré
omniosus de Charcot et aux eschares médianes du sacrum (générale- ment progressives et graves), les eschares unilatérale
LE. 119 lions spontanées, il n'y avait qu'un pas que naturelle- ment on a franchi. ' Malheureusement les résultats d
ications à effets somatiques ont, poussé les cliniciens et notam- ment un Anglais, Lews C. Bruce, à appliquer les abcès
u- quel elles appartiennent, si bien qu'au niveau du second' seg- ment cervical elles l'ont sans exception rejoint. Ob
'abord le territoire des faisceaux de IIl11'darh ; puis, graduelle- ment , poussées par les nouvelles racines qui entrent d
moelle sacrée. Si l'on admet que les cordons postérieurs renfer- ment deux espèces de libres descendantes, des libres c
lpe Ltazci-Ci;.nclti. Le son que l'on entend en plaçant cet instru- ment sur un muscle qui se contracte volontairement et.
e supérieur. Frappez il l'aide d'un marteau assez fort et rapide- ment l'extrémité inférieure de ce ligament, vous obten
ne sont nettes qu'à partir du 120°.jour pour croître continuelle- ment jusqu'au z. A celle époque, le ganglion devenu pl
un perfectionnement de la technique histologique sur le durcisse- ment du cerveau qu'on a dû de pouvoir la distinguer de
du corps calleux. L'auteur montre, par exemple, que le développe- ment de la portion olfactive de la commissure antérieu
es ou anosmiqucs (oiseaux et mammifères aquatiques, le développe- ment en est faible ou nul. Le développement des partie
auditive à laquelle il va être soumis, il ne peut guère invariable- ment commander aux mouvements réflexes de ses paupière
s ou moins augmenté dans quelques maladies fonctionnelles, notam- ment dans l'hystérie. Afin d'éviter de mettre l'air
les artères radiculaires antérieures s'arrêtent au troisième seg- ment lombaire, et, sur les artères radiculaires postér
Les faits anatomo-cliniques enseignent que l'altération du renie- ment et de la bandelette olfactifs entraîne l'auosmie
s. Noté également des paresthésies des mains d'ailleurs générale- ment rapidement passagères. Une dame du 27 ans qui, en
alaxie, celle-ci d'ailleurs fort légère. Point de trouble du senti- ment de position et de mouvement des membres, probable
génie de 1a NEURASTHÉNIE CONSTITUTIONNELLE OU ACQUISE PAR ÉPUISE- MENT ou compensation et des rapports (le cette affecti
Un jeune artilleur de ? ans, raconte il voix basse, indistincte- ment , agrand'peine, la lin d'octobre 1901, un beau soi
les il nous montre ces manifestations comme résultant successive- ment d'idées délirantes, d'une attitude stéréotypée, d
iié-ativistique : s'il mangeait, il s'arrête dans l'altitude du mo- ment , la cuiller il. la main, la bouche ouverte, fixe
s. En janvier 1905, elle ne prit plus rien du foui, mais à ce mo- ment intervinrent des phénomènes de négativisme et d'o
narine droite. La malade était assez docile et s'habituait rapide- ment ; elle se laissait lever, asseoir surune chaise,
a lever, elle se laisse faire assez facilement, mais c'est à ce mo- ment que commence chez elle une série de stéréotypies
soit ses chaussons, soit sa descente délit, elle sort la tête vive- ment et gémi 0 jusqu'à ce qu'on ait réparé le désordre
qu'elle a pris. Au début, et pendant près de dix jours, ce mouve- ment se perfectionne de plus en plus, s'accomplit de p
typie, du négativisme, et toujours ces symptômes sont si étroite- ment liés qu'on ne peut attribuer la sitiophobie à auc
perçues. Les fonctions de l'odorat et dugoût s'effectuent normale- ment . Tels sont les résultats des divers examens aux
e- ments : si la malade a les mains croisées sur l'abdomen au mo- ment de la contraction (altitude habituelle), elles so
bras. Lesmuscles abdominaux se contractent violemment, énergique- ment , pour tendre la paroi. 11 a été impossible de sav
n clignement d'yeux douloureux. Les lèvres se serrent convulsive- ment , et la contraction de l'orbiculaire des lèvres dé
de la contraction des muscles de la glotte qui se produit brusque- ment au moment de l'émission des sons. Si la malade
con- traction n'immobilise pas le membre dans son altitude du mo- ment ; ladirection primitivement- voulue est. totalemen
a grossesse aurait un peu exagéré cet élat choréique, mais seule- ment au point de vue de sa fréquence. Cet état rend la
légèrement fixée, défléchie ; la région occipitale est très nette- ment perçue à droite et un peu en arrière ; le dos, di
par finertie utérine. Notons que pendant cette durée aucun lave- ment de chloral n'a été administré. Il n'existe d'autr
en dernier lieu le front, violacés, ecchymotiques. Après fléchisse- ment manuel de la tète, celle-ci se dégage aussitôt et
mateuse. Les urines ne contiennent pas trace d'albumine. Traite- ment : 1 litre de lait par jour, 50 cgr. de théobromin
ment : 1 litre de lait par jour, 50 cgr. de théobromine, un lave- ment quotidien de chloral (ce dernier est supprimé dès
USE. vu évoluer une grossesse : il était intéressant de voir com- ment évoluerait celle-ci et quelles modifications elle
gné que de très rares mouvements involontaires, localisés unique- ment il la face. Il en a été de même pendant les 3 ou
appro- che d'une nouvelle attaque d'épilepsie et la veille seule- ment , que l'agitation motrice a reparu avec son inten-
posé au déséquilibre : l'équilibre préexistant était essentielle- ment instable et l'élément nerveux très vulnérable. Lo
vrent le parti de la libre-pensée et le parti clérical, conslam- ment les passions y sont en effervescence ; cléricaux
ccroît dans de très larges mesures les difficultés de ce recrute- ment dans certaines régions : aussi la plupart des asi
ques libres radiculaires du 111, paraissent aux auteurs pu argu- ment probant en faveur de l'existence du faisceau anft
de la paralysie générale, mais elle peut également agir communé- ment avec un autre facteur étiologique héréditaire ou
ar des considérations sur l'influence de la fatigue, de l'entratne- ment et des excitations psychiques..1. S. L. La stru
de toute lare nerveuse héréditaire ou personnelle, créer entière- ment la névrose. Ce sont ces derniers cas qui ont surt
'attention des auteurs. Parmi ces cas ils distinguent particulière- ment ceux dans lesquels les manifestations hystériques
les adultes, l'éloignement du milieu et même le véritable tinte- ment favorisent la rééducation. Il[. Aux séances de
. C'est la septième fois en deux ans qu'elle tombe ainsi, subite- ment , sans connaissance dans la rue. Chaque crise surv
grande frayeur. Pendanl ces crises. la menstruation n'est nulll'- ment troublée ; les fonctions dénutrition sont notable
ten- dus convu lsionnairus concluent unanimement que leurs mouve- ment * cl contorsions n'ont l'il'n dl' ('011\ nl;;if II
,\1. Louis FAVRE. - La. définition de chose doit être provisoire- ment laissée «le côté ; elle ne peut être donnée que l
asthénique. Ces I roubles, fréquents chez l'adullu, sont actuelle- ment bien connus en France depuis tes travaux de Régis
siques. Si ces types cliniques sont variés, les causes sont, égale- ment nombruusus mais malgré la fréquence relative de c
ner ses excellents parents, il ne tarda pas à mettre son dévoue- ment au service des malheureux : accueilli d'abord à l
est nommé directeur-médecin à Rodez (.\I\ ! I'I)II) eu remplace- ment de .\1. le D1' Halliadil ? IIOII111l{' iL à Bloi.
us perfectionnés. Cet outillage leurpennet d'obtenir très rapide- ment un nombre considérable de coupes très fines et tr
uel- ques mots, papa, maman, pain et soupe, sont articulés nette- ment . - La marche est assez bonne pour lui permettre d
fiée. L'écholalie très prononcée au début, a diminué progressive- ment pour faire place à une certaine spontanéité. Actu
sive- ment pour faire place à une certaine spontanéité. Actuelle- ment Félix assemble quelques mots que l'on comprend fa
elle- ment Félix assemble quelques mots que l'on comprend facile- ment , ces mots ne sont pas dits machinalement, ils son
lai- sir. Il lit et écrit un grand nombre de mots imprimés isolé- ment ; syllabe assez facilement; fait l'addition, la s
9 ans, idiotie, nanisme, s'est beaucoup amélioré intellectuelle- ment et moralement. Archives, 2° série, 1906, t. XXI
- ration assez sensible, il y a plus de lucidité dans le raisonne ment , plus de calme, il a mis sou à sou ce qu'il gagna
s'habillait et se déshabillait seule, mais le faisait maladroite- ment . En classe, Augustine n'avait aucune stabilité, n
e n'est pas un brin méchante, une certaine activité et un enjoue- ment ont remplacé cette inertie et cette tristesse. El
mais s'arrangeait sans goût. Les ouvrages manuels allaient lente- ment , elle ne manquait pas d'adresse pour l'uuvroir, r
bonne grâce, quelquefois de fort mauvaise humeur; car indépendam- ment de son travail, l'enfant a conservé ses bizarreri
ue nous désirions, tout en suivant la méthode indiquée du traite- ment médico-pédagogique et celle des sourds et muets.
jours après, le 4 mai 1900. L'excitation générale diminue rapide- ment ; on constate alors chez le malade de l'embarras
, tenaces. Parfois, cependant, les accidents se montrent tardive- ment , sans avoir été précédés d'accidents transitoires
ctait que, chez plusieurs, l'affaiblisse- 312 CLINIQUE MENTALE. ment démentiel fùt plutôt fonction d'épilepsie traumat
ans un état de démence paralysiforme simple, qui a marché rapide- ment eLa abouti en assez peu de temps à un marasme com
emens trau, matique. Mais il ne faudrait pas imputer trop facile- ment à Dupuytren une erreur pareille, et la thèse de B
e) On retrouve le centrede la main dans toute V étendue du, l" seg- ment dorsal ; à sa partie inférieure, il n'y a plus qu
hlépharoptose, irrégularité de la pupille droite avec affaiblisse- ment du réflexe lumineux de ce côté. Cinq mois plus ta
lotti. Les mouvements d'extension des membres associés au bâille- ment chez les hémiplégiques sont désignés sous le nom
lésion organique, la sollicitation nauséeuse devient le vomisse- ment habituel, périodique ou incoercible, lorsque le s
e des mémoires concernant la thérapeutique générale et le traite- ment de l'épilepsie. Prix Thrfodore IIerpin (de Genè
s, et P. Plagniez, de Paris. Isolement et psychothérapie. Traite- ment de l'hystérie et de la neurasthénie. Pratique de
tuteur à Lyon ; le Dr COURJON, directeur général de l'établisse- ment médical de Meyzieu ; COUI2JON (A.), externe des h
n ; MM. GRANDVILLIEnS, directeur de l'enseignement à l'établisse- ment médico-pédagogique deMeyxicu; Goujon, entrepreneu
étation : Ex : // ne saurait être tenu compte de phénomènes pure- ment subjectifs, conséquence de l'état mental de l'ouv
ux des dé- générés, sorte de dégénérescence acquise individuelle- ment en dehors de tares ancestrales particulières. I
d'une sem- blable précision, dit Lucas-Championnière, immédiate- ment après le traumatisme même le plus simple, a d'a-
lement par tout le corps, sensibilité générale exagérée, tremble- ment douloureux des membres, sensation de frisson, t
n réelle ou même de guérison par le mariage, les 99 autres récla- ment contre les abus de la destinée et protestent au n
t au nom du mari destiné, en ce cas, à jouer le rôle d'un médica- ment contre l'épilepsie. En revanche, nous trouvons
portance quand elle se rend à ces différents exercices. Actuelle- ment , elle est comme une enfant normale de 6 à 7 ans.
in- téresser aux soins du ménage, se tient elle-même très propre- ment . En classe, ses progrès sont sensibles, elle aime
néral, le labes des jeunes sujets est discret, peu ataxique, rare- ment ou tardivementdoulourew. Ceux qui en sont atteint
et 3e racines lombaires en apparence, mais en réalité la 1 seule- ment car la fosse ovale est intacte ; il n'y arien sur
ans. lln'en est pas de même du bégaiement, qui croît progressive- ment de la première année à la sixième : ce qui lait d
a- lion prouve d'une façon péremptoire que fréquemment le bégaie- ment comme la blésité sont des stigmates d'une lare né
ues, mais ces phénomènes ne coïncidaient pas avec un affaiblisse- ment intellectuel et devaient vraisemblablement releve
d'au- tant plus facilement inaperçu. Et il étaye fort judicieuse- ment son opinion des constatations anatomo-pathologi-
violence. Elle se mit à battre ses enfants, les frappant brutale- ment avec une barre de fer au point qu'elle leur fit d
née sur la poitrine, les bras collés au corps, marchant difficile- ment à tout petits pas en traînant la jambe droite. Sa
c un bruit laryngé tout particulier, larmes abondantes et écoule- ment involontaire de salive (pleurer spasmodique;. Cha
de la gauche ; les membres inférieurs, surtout le gquche, égale- ment sont presque paralysés. A l'examen, on constate
tard dans le jet urinaire. La sensibilité tégumentaire est absolu- ment normale. Le malade, en dehors deson émotivité,
e quelques mots de son langage, encore faut-il étudier attentive- ment sa mimique quand il parle. Pas de pleurer spasmod
t, à'gauche plus encore qu'à droite; les interosseux sont évidem- ment touchés. Le crâne est petit, un peu oxycéphale.
elle.mais il semble que l'encéphale ait été d'abord particulière- ment touché, contrairement à ce que l'on observe habi-
t de renouvellement et d'infiltration oedémateuse. Le ramollisse- ment peut pénétrer dans le ventricule et produire une
ême abon- dance de vaisseaux. Ceux-ci sont volumineux et extrême- ment nombreux. Autour de chacun d'eux est un épais m
sous tous les rapports. L'enfant s'exprime bien, répond directe- ment aux questions qui lui sont posées, tient bien con
lettres est parvenue à lire couramment, elle écrit très lisible- ment , fait des copies, apprend la grammaire, récite de
t la buanderie. Cette occupation rentre tout à fait dans son élé- ment : l'enfant aime tout travail qui exige un certain
res- sif. Elle n'a plus de défaut de prononciation, ni de bégaie- ment . Elle construit des phrases et sait tenir une pet
sait aussi se faire aimer de toutes ses compagnes, qui la récla- ment dans leurs diverses occupations. Elle sait mettre
ouvent en quelques mois, il sérail possible de les guérir. L'isole- ment est la base du traitement encore plus pour celle
anormaux. - Consullcr sur les procédés qui constituent le traite- ment médico-pédagogique, la première partie de nos Com
o- médullaire ; la répercussion de la méningite sur le développe- ment du l'ictus; les causes de la méningite t'wtale ;
7 ans, amputée du liras gauche en S9Sa, pour une lésion probable- ment congénitale caractérisée par une augmentation pro
gites,onpeut constater : 1° des cellules grossièrement et entière- ment altérées ; 2° des lésions légères ; 3° des lésion
partie postéro-externe, les noyaux interne et médian, et le frag- ment correspondant de la capsule interne produit toujo
à la suite de quelques incidents particuliers, deviennent grave- ment injustes et leur pèsent. 508 asiles d'aliénés
eurs. Les maisons de correction, telles qu'elles existent actuelle- ment , ont une organisation insuffisante. L'éducation d
éve- loppement de l'étiologie de la - générale dans le départe- ment de l'Orne, par Cpulanjou, 50. - - générale. Voi
16 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
son caractère avant de tomber. Elle paraissait calme. Immédiate- ment avant la chute, étant à l'école, elle dit à sa vo
t monter ici ? » Elle ne se souvenait de rien. Température au mo- ment du ronflement, 37°, 6 ; un quart d'heure après 31
neville. Nous avons noté tous les six mois, à peu près régulière- ment l'évolution de la puberté chez Rachel D... de 189
vres, surtout en haut, ceux des aisselles n'augmentent que lente- ment en abondance et en longueur. Les seins qui avai
es fausses sensations du toucher, de l'ouïe, etc., sont invariable- ment rapportées aux organes qui les concernent. Les di
es du tronc et de la nuque des premières semaines disparut égale- ment , ce qui prouve que le centre des muscles du tronc
le sens ordinaire du mot, car il répondait généralement prompte- ' ment et correctement dans un ton enjoué, avec assaison
aisanteries. Il était encore capable de renseigner vite et juste- " ment sur ses affaires et sa personne, de prendre des d
que cette lésion fut légère, ou peu étendue, ou évoluât heureuse- ment . Mais chez un idiot profond, la lésion peut aussi
con- mune. Rappelons que la loi du 30 juin 1838 n'est pas seule- ment une loi de police, mais aussi et surtout une. loi
Un passager, natif des environs de Montargis, était pris subite- ment , presque en face de la maison d'école de Givraine
puis plusieurs mois déjà, la direction provisoire de cet établisse- ment est confiée à M. le Dr Leroy, le distingué médeci
épithélioïde pour Zié ? Iei- ; elles sont constituées essentielle- ment par des papilles vasculaires nées de la pie-mère
fois détruisent un système de fibres. Cependant le caractère nette- ment destructif du néoplasme est à signaler; nous pouv
rem- blement statique et intentionnel de la main droite, talonne- ment et ataxie de la jambe droite pendant la marche, e
on doit surtout attribuer les troubles ataxiformes et le tremble- ment intentionnel observés dans le bras et lajambe du
it pu déterminer leurs lésions anatomiques. Nous avons naturelle- ment divisé ces faits d'après les symptômes surajoutés
L'enfant est née à terme, les couches ont été bonnes : l'accouche- ment avait duré trois jours, mais les grandes douleurs
Les réflexes patellaires sont légèrement exagérés. Le chatouille- ment de la plante du pied détermine un léger relèvemen
frap- pant d'autres eu vertu de lois obscures ou mieux parfaite- ment inconnues. Il existe certainement une relation di
'a pas de tremblement intentionnel des membres. Il marche facile- ment , n'a pas de Romberg. Cependant la mère signale qu
. Nous pensons donc qu'ici encore une anomalie dans le développe- ment du système nerveux central a entraîné l'apparitio
Il est le premier enfant. La grossesse a été normale, l'accouche- ment a été facile. Il a été élevé au sein par la mère
également plus marqués qu'à l'état normal. Il n'a pas de tremble- ment fibrillaire des muscles. Examen des yeux. Nysta
âge, du tremblement des yeux qui a toujours existé. Ce renseigne- ment est donné par les soeurs actuellement vivantes.
types comme les représentants d'une lésion centrale progressive- ment croissante d'après la variété considérée. D'aille
t faire au point de vue de la pathogénie probable de ces tremble- ment résulteront des connaissances acquises par nos de
uscles. a. « Les centres nerveux pourraient provoquer le tremble- ment soit par défaut d'impulsion, soit par excès : ce
aient. » b. La conduction défectueuse serait la cause du tremble- ment dans la sclérose en plaques par exemple : dans ce
nt présenté jusqu'alors et s'il ne viendra pas s'ajouter à un mo- ment donné de leur existence des symptômes nouveaux
Le 16 mai 1895, à la suite d'un délire qui aurait éclaté subite- ment deux jours auparavant, J. Ch... entre à l'infirme
son histoire, c'est ce fait qu'il ait causé lui-même son interne- ment au cours d'une crise convulsive, internement effe
ur éveiller sa curiosité; alors je vis le malade soulever légère- ment ses paupières et jeter un regard circulaire autou
es dans une atmosphère chargée de vapeurs d'étlier, que le mouve- ment spontané (fonction psychomotrice) peut exister en
s intervalles, elle a des accès de colère. Depuis six mois seule- ment on constate quelques indices de coquetterie. Ob
e, les stigmates ou les commémoratifs syphilitiques sont extrême- ment fréquents. Si l'on tient compte - de ces deux fai
) A l'aide de chiffres et de tableaux, qui paraissent judicieuse- ment établis et puisés a bonne source, l'auteur montre
' De ces diverses circonstances est résulté le récent accroisse- ment de la paralysie générale chez les juifs. Les stat
la sensibilité thermique. La sensation de la chaleur était absolu- ment normale et ses divers degrés étaient appréciés co
de la page le mot dictionnaire qu'il a vu ailleurs et au commence- ment de l'article le/ titre de cet article qu'il a vu
ire ; les signes pupillaires sont d'ailleurs variables et probable- ment transitoires. M. Séglas met en garde contre les e
llu- laire du neurone ayant subi la même action que son prolonge- ment cylindraxile. Pour observer le fait, des injectio
ou en restauration complètes. Quelques cellules seulement grave- ment atteintes sont vouées à une destruction certaine.
les résultats suivants : Tableau V - PARALYSIE GÉNÉRALE. 201 ment .de la paralysie générale, comme moment étiologiqu
formes maniaques, chez les hommes était : PARALYSIE GÉNÉRALE. 205 ment et nous avons constaté que chez les paralytiques
es téguments de la répion pariéto-occipitale gauche avec enfonce- ment des parois crâniennes correspondantes. Le sang pr
persistèrent des troubles mentaux. Dans ces derniers temps seule- ment ces troubles auraient dégénéré en accès de fureur
Actuelle- DÉPRESSION YÉRATIQUE ET ÉTATS ENCEP11ALOPATHIQUES. 215 ment le malade, tout en ayant recouvré une certaine co
. Réglée tardivement, à l'âge de dix-sept ans et assez régulière- ment durant la première année. A noter seulement quelq
'étais restée longtemps en oraison, je fus surprise d'un ravisse- ment si subit qu'il m'ôta presque la connaissance et j
is sans le vouloir, il faut, malgré soi, les écouter. Si on voulait mentir à ce sujet on dirait qu'on les entend avec les
ntre- tiens que j'avais avec les autres, me mettait en recueille- ment , et sans que je pusse m'en défendre, il me disait
teur, mort victime de son dévouement et dont on rappelait récem- ment le souvenir glorieux à l'occasion du centenaire d
notre collègue de Villejuif, le docteur Marie, nous ont spontané- ment offert l'hospitalité et qui, aujourd'hui, dépassa
nce ! Partout, sauf sur ce dernier point, vous désirez du change- ment . Il est cependant une chose que vous voulez conse
feu plus tard, plus tard encore elle se borna a être imposée douce- ment , lentement sur le front du possédé, en même temps
miers mots, ses gestes, ses jeux, tout vous apporte un renseigne- ment . Par le calcul mental, par la chronométrie mécani
chologie zoologique. Vocable assurément nouveau, mais établisse- ment peut-être rêvé par Descartes qui y serait sans do
e. Etiologie : Fréquence. Généralement très répandue, principale- ment chez les dégénérés. Causes prédisposantes Sexe fé
mais les troubles moteurs ne sauraient être négligés. Le tic pure- ment mental (tic psycho-mental de Cr'uchet) ne saurait
r tiqueur de répéter plusieurs fois et même sans raison un mouve- ment , si brusque soit-il. « N'est pas tiqueur qui veut
l'aliénation mentale, sans y arriver, et aussi chez des gens nulle- ment prédisposés à devenir aliénés. Dans la période pr
actes de siège et d'intensité différents, préside à leur développe- ment . Bien plus, il existe des sujets chez lesquels le
associé à une grimace de la face ; c'était là, au début, un mouve- ment de défense, raisonné, conscient; à la longue il e
dans le savant ouvrage qu'ils viennent de publier. Je crois, notam- ment , qu'il eût été préférable de ne pas détourner le
I. Les grandes lignes de l'étiologie des tics ont été magistrale- ment tracées par M. Noguès dans son rapport, et par MM
as davantage quand on les prie de respirer lentement et profondé- ment . C'est cette action frénatrice des modifications
- sent les diverses méthodes de gymnastique appliquées au traite- ment des tics. En faisant disparaître chez un individu
autre ordre de faits que ceux dont a parlé M. Noguès II est nulle- ment lié à la dégénérescence originelle. La volonté n'
à conjurer un maléfice, ou encore un geste stéréotype, un mouve- ment automatique et inconscient, etc. Je crois que le
Je suis convaincu que les insuccès sont dus au manque d'entraine- ment ou de patience des opérateurs. - , M. Bouhnevil
Marie, vice-président, ont reçu le meilleur accueil à l'Etablisse- ment thermal et au Casino. Personnellement, nous remer
t doit-on s'y prendre pour fonder, pour organiser administrative- ment , scientifiquement de nouvelles colonies ? Où trou
6. Pour que ce travail intellectuel puisse s'accomplir parallèle- ment dans deux esprits différents, il faut que ces deu
re. 8° Dans la plupart des cas, le second malade est moins forte- ment atteint que le premier. Il peut même quelquefois
te par M. Régis est très importante, mais quand on lit attentive- ment les observations publiées, on s'aperçoit que les
act duquel il a laissé une partie de sa raison lui crée certaine- ment une prédisposition fâcheuse pour l'avenir 2. » Ma
suite notam- SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE ET D'ALCOOLISME 307 ment à la suite des ictus : il a acheté 10000 hospices
« droite. Depuis trois ou quatre jours, il grinçait continuelle- « ment des dents et se montrait plus agité et plus incoh
nant pour ainsi dire dans tous les sens et s'atténue progressive- ment jusqu'à disparaître au delà de la pariétale ascen
lafond elle croisait la jambe droite sur la gauche et d'un mouve- ment lent et rythmique, elle frottait avec le talon du
i d'une crise convulsive quelconque. Quelquefois, mais très rare- ment , étant en compagnie, elle s'est endormie du même
THÉRÈSE 321 50 Oraison DE ravissement. Pour l'oraison de ravisse- ment qui correspond à la grande névrose, celle avec co
a dévotion. Si nous étudions scientifiquement ou plutôt médicale- ment cette dernière oraison, nous constatons divers fa
démence. Que nous dit sainte Thérèse dans son oraison de ravisse- ment et dans la description de ses hallucinations ?
c doit d'abord faire face aux besoins des malades de son départe- ment , les y recevoir facilement au début de l'aliénati
sfaisants. C'est pourquoi notre établisse- SOCIÉTÉS SAVANTES. 339 ment médical de Meyzieux (Isère) comporte non seulemen
: c'est qu'un bacille chromogène, regardé jusqu'ici comme absolu- ment inoffensif pour l'homme et pour les animaux, le B
stes. L'expérimentation chez le cobaye a permis d'appuyer solide- ment cette manière de voir, car chez cet animal, dont
gne considéré comme un être dangereux et comme un malade (traite- ment forcé des ivrognes) ; 3° modifier la loi sur l'iv
ur et anxieux, se demande s'il a réelle- SOCIÉTÉS SAVANTES. 349 ) ment commis le crime dont il a cultivé l'idée, et arri
nerveuses, caractérisées par une série de modifications : gonfle- ment nucléaire, désintégration protoplasmique, etc., e
our en même temps que la couche moléculaire diminue considérable- ment de.volume; la disparition des cellules de Purkinj
- II. Les nerfs sont ordinairement très résistants à l'envahisse- ment cancéreux. Cependant, selon leur texture, ils réa
taire des centres nerveux. Pour le premier : structure essentielle- ment fibro-plastique ; évolution lente ; destruction m
plus refoulés que détruits, ces tumeurs sont à évolution franche- ment fibreuse sur les racines rachidiennes qui se mont
véritablement excessif. Les antécédents héréditaires sont extrême- ment chargés. Le grand-père maternel, alcoolique, est
sulte. Ils concernent une catégorie de malades qui sont ordinaire- ment plus dangereux pour eux-mêmes et pour leurs proch
t l'examen est toujours difficile et rare- SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 ment possible, à moins qu'on ait affaire à un prévenu
n portant. Le pétrissage, le tapotement vigoureux ou même simple- ment les séances trop longues ou le massage trop étend
lactose et quelquefois la théobromine ou la diurétine, par l'alite- ment , les purgatifs et même les injections de sérum. D
x, Régis) dont la phase prodromique neurasthéniforme est extrême- ment importante à connaître pour établir un pronostic
ce sens « qu'ils ne sont que des symptômes et ne peuvent aucune- ment plaider en faveur de l'entité « neurasthénie ». L
.démontrer que le délire des négations de Cotard n'est pas seule- ment un synchronie, mais une affection mentale distinc
facultés intellectuelles, en un mot la démence, reconnue générale- ment comme favorisant les diverses dégénérescences des
latoires, des imperfections physiques de toutes sortes, et fréquem- ment des désordres nerveux et mentaux, on conviendra q
t laborieuses séances. En terminant, nous remercions personnelle- ment tous nos confrères de Grenoble de leur cordial ac
hésitations, les répugnances qui retardent trop souvent le place- ment des malades, au grand détriment de leur curabilit
- pressionnable ; intelligence bornée cependant. Aucun renseigne- ment sérieux sur antécédents familiaux, mais hérédité
pour les noyer avec elle. Ces circonstances déterminent le place- ment à Maréville. ' , Etat au moment de l'entrée (fi
la conviction qu'elle est innocente, tout en protestant obstiné- ment de son innocence, chercher toujours à se démontre
le principal, si l'idée de culpabilité n'existait pas préalable- ment pour ainsi dire à l'état latent chez elle, ne ser
'ar- rêter une idée de culpabilité. Comme elle doit ainsi fatale- ment aboutir à une forme d'idée de culpabilité, le rôl
l'in- fluence d'idées de négation que l'on ne rencontre générale- ment pas dans les conditions qu'elle présente : elle n
un persécuteur déguisé. « Pourquoi nous a-t-on engagées si forte- ment à aller le voir ? Pourquoi est-il venu nous trouv
vant très indélicats de lui imposer un travail d'esprit dans un mo- ment de douleur morale (sic). Elle a fait en outre val
e. - En revanche, elle a envoyé de nombreuses pétitions au Parle- ment , aux présidents de la Chambre et du Sénat, au pré
lancolique. Il paraît profondément débile et ne répond que lente- ment , avec effort aux questions qu'on lui pose. Il par
pour considérer comme vrai un délire de ce genre, enfanté isolé- ment par l'un d'eux'. » » , Nous pouvons donc conclu
eu un caractère doux, mais fourbe et sournois, menteuse, du reste a menti du jour où elle a parlé. A été en classe de qua
21 t bondage et dit au commissaire qu'on la battait chez elle. Elle ment sans cesse, dit à son père qu'elle va travaille
t demandé si elle ne « s'amusait pas toute seule ». « On dit que je mens , c'était forcé, bien sûr on croira papa, qui voul
bien sûr on croira papa, qui voulez-vous qui sache lequel des deux ment , il n'y avait pas de témoins ! » D'après le pèr
queur tous les muscles de la physionomie qui agissent simultané- ment pour donner à la face l'expression du sourire ou
suite de l'administration de Kl, elle ne cesse de faire un mouve- ment caractérisé par l'allongement avec élévation des
manifestations de l'état de dégénérescence allant de l'affaiblisse- ment intellectuel jusqu'à la démence complète, de la d
, mais la vision s'étendit du côté gauche progressivement; seule- ment , la portion du champ visuel située à gauche de la
tropho-asthénie et comprenant les éléments suivants : amaigrisse- ment , malgré la conservation de l'appétit ; modificati
ux ordres principaux de mouvements donnant lieu, l'un au soulève- ment du pied au-dessus du col et à sa translation, l'a
I. Sur l'emploi de l'extrait de capsules surrénales dans le traite- ment des maladies mentales; par W.-R. Dawsuy. (The Jou
'excitation et d'exaltation, dans lesquels ou constate ordinaire- , ment un abaissement de la pression sanguine ; 4° Dan
surveiller plus aisément les malades ; 23° il n'exclut pas l'isole- ment ; 24° c'est un agent thérapeutique auxiliaire pou
vent aussi des états stationnaires et des aggravations. Dernière- ment MM. Jaboulay et Lannois ont pensé devoir les rech
es aliénés, et il est surtout frappé de voir que ce mode de traite- ment n'est pas appliqué spécialement à telle ou telle
comme une cruauté (ainsi que Neisser), les autres, bien que rare- ment , l'appliquent cependant assez volontiers, ne voya
l'occasion qni se présente pour recouvrer le calme. Enfin, l'alite- ment régularise la circulation, ce qui peut de même pr
ine et de fonctions des cavités nerveuses ; ses conclusions confir- ment l'expérimentation et la clinique. M. J.-A. Sica
es. La cytologie du liquide céphalo-rachidien est, vraisemblable- ment , appelée à un grand avenir. Déjà elle a éclairé d
tudes antérieures, isolement qui doit être pratiqué aussi rapide- ment que possible dans un établissement spécial ». L
écessiteux sortant de l'asile, a continué de fonctionner régulière- ment . En 1901, 37 aliénées sortantes ont été assistées
ariêter d'une façon pratique, active et peu coûteuse, l'accroisse- ment de ces établissements. Le Congrès a décidé de s
isation. Un double enseignement est à tirer de ce tragique événe- ment : l°La nécessité d'envoyer d'urgence à l'asile d'
que. » cc Pour que cette idée angoissante puisse surgir spontané- ment et dominer toutes les autres occupations intellec
erniers auteurs considérant l'obsession comme un trouble- propre- ment intellectuel. Meynert la comprend sous le nom d
our ce dernier l'obsession étant toujours un trouble essentielle- ment émotif, tellement émotif qu'il localise le point
session. L'anxiété latente diffuse non encore formulée ou' seule- ment momentanément au hasard des circonstances, qui, à
e vie à part automatique, à côté de la vie intellectuelle propre- ment dite. Ainsi une malade de M. Séglas, atteinte d
ives. Ainsi que nous l'avons vu, la phobie systématisée est rare- ment unique; le plus souvent, plusieurs idées obsédant
moins purulent, si bien qu'en avril persista seulement un suinte- ment séreux qui finit lui-même par tarir. L'état gén
um. La cicatrisation, nous le constatâmes, s'était faite normale- ment , ne laissant comme traces que très peu de tissu f
n restant centripète, n'a rien de commun avec la sensation propre ment dite, elle sert de voie de transmission centripèt
. Dans les myélites de la région dorsale inférieure et du renfle- ment lombaire, au moment où le processus morbide prése
quelquefois sous la protubérance pariétale (y donnant ultérieure- ment lieu à des fausses membranes ou à des kystes) à l
du nombre des éléments clii omatiques ; leur forme change égale- ment et devient arrondie. Cette description se rapport
. Dans le passé les systèmes d'éducation n'ont pas tenu suffisam- ment compte des enfants à intelligence défectueuse ou
prend les sujets moralement défectueux : mais ils sont héréditaire- ment mauvais, généralement incurables et du ressort de
'l'insuffisance mitrale, on rencontrera de préférence l'engorge- ment veineux ou l'hyperémie passive, que dans le rétré
cas de catatonie, par M. le Dr CUYLIT7 (Bulletin de la Soc. de méd. ment , de Belgique, mars 1902). Observation d'un mala
rale ; par le De MARANDON de MO.4- TYEL (Bitll. de la. Soc. de méd. ment , de Belgique, septem- bre 1901). De l'étude d
ale. - XXVI. Un enfant d'idiote ; par le Dr LEx (Biill. (le la Soc. ment . de Belgique, décembre 1901). Il s'agit d'un
optiques. Clouston a publié deux cas de folie choréique étroite- ment associée au rhumatisme, mais sans souffle cardiaq
un groupe musculaire dévolu à une fonction. Elles ont cédé facile- ment à un traitement psychothérapique. Comme les sujet
existe chez le malade de l'induration tuberculeuse avec ramollisse- ment partiel du poumon gauche. 534 SOCIÉTÉS SAVANTES
une lésion de l'appareil cérébelleux et qui présentent très nette- ment ce phénomène. Ce trouble est donc la conséquenc
Eu 1901, il y a eu 145 admissions, dont 23 d'aliénés du départe- ment de la Seine. Les sorties ont été de 261, dont 32
ns- tatés par l'entourage immédiat du malade, symptômes, extrême- ment variables; 2° les symptômes d'augment, existant a
s symptômes d'état durant la v : e entiéfe, à savoir l'affaiblisse- ment intellectuel rapide, les symptômes psychiques et
vellec, promu à la ire classe du cadre. Nécrologie. 7'/m./OM)'n. of ment . Science d'octobre annonce la mort du De G. 111
psules surrénales. Sur l'emploi de l'extrait de - dans le traite- ment des maladies mentales, par i Ddwson, 440. Car
oir Histologie. Contribution à l'étude de l'état et du développe- ment des cellules nerveuses de l' -' chez quelques v
. Voir Idiotie. La pathogéine de l' -, par M. Faur ? 378. Traite- ment de l' par la sympatliec- tomie, par Jaboulay et
valeur du rcnf'xescaputo-humëraL par Bechteruw, 490. De l'épuise- ment (les - tendineux et de sa valeur diagnostic dan
Voir Syringomyélie. L'usage et l'abus des voyages dans le traite- ment des mentaux, par Savage, 444, Sur les lésions c
17 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rus et d'Etoc Demazy, soit à l'imbécillité et à l'idiotie propre- ment dite. Il a mentionné, en outre, une folie raison-
tu d'une disposition morale. Il s'opère, à l'intérieur, un mouve- ment fortuit de pensées, au préjudice de l'action vo
impuissance morale, soit avec la paralysie générale, si curieuse- ment représentée par une confiance béate, des préten-
s jours ne l'a pas décidée à accompagner sa protectiiice. Physique- ment , la santé est parfaite. 11 en est ainsi de beauco
ervée dans ce cas, que le membre supérieur a été proportionnelle- ment plus affaibli que le membre inférieur correspon-
urs, puisque celui du côté paralysé ne peut exécuter aucun mouve- ment volontaire, tandis que celui du côté opposé peut
t faire un seul pas donnent au dynamomètre des chiffres relative- ment élevés. En voici des exemples : Boy... (n° 38),
s mouve- ments volontaires. Toutefois cette loi n'est rigoureuse- ment exacte que pour les membres supérieurs. La moti
llimètre, nous nous bornons à signaler le fait, n'étant actuelle- ment en état d'en tirer aucune conclusion. MÉDECINE
NE LÉGALE. sa femme; ces deuils successifs l'impressionnent vive- ment ; son sommeil se trouble, le travail lui paraît p
optent par- fois des gens réputés sobres, qui n'est point assuré- ment le propre de l'ivrogne, mais qui, néanmoins, de-
Durant les premiers mois de son séjour à l'liospice, on nota seule- ment de nombreux vertiges (15 à 20 par jour) et des ha
La quatrième et la cinquième circonvolutions frontales sont nette- ment dessinées. Scissures perpendiculaire, externe et
s d'ecchymose sous-pleurale. Les poumons s'affaissent incomplète- ment , ils sont un peu oedématiés. A la coupe, il s'éch
e plis de passage. Des sillons assez profonds les séparent nette- ment les unes des autres. Notons aussi le développemen
ents de trépidation d'amplitude progressive- 6t RECUEIL DE FAITS. ment croissante. En redressant la pointe du pied,on pr
facilement la trépidation spinale, qui no s'épuise que très lente- ment . La percussion du tendon rotulien détermine une t
existent à peine au membre supérieur gauche qui parait complète- ment intact. La sensibilité au contact, à la douleur
leurer ou à rire avec une expression bêle, bien qu'il ait parfaite- ment conscience qu'il n'y a matière ni à pleurer ni a
mais il marchait et pouvait faire plus d'un kilomètre, aidé seule- ment d'une canne. Dans une lettre datée du 6 mai, le
le membre inférieur droit, le plus anciennement et le plus grave- ment atteint, il s'est produit dans ce membre un certa
ici l'analyse, nous nous soyons attaché à exposer aussi complète- ment que possible les résultats qui découlent des rech
facilité des suppléances corticales, nous parait rendre difficile- ment compte des particularités d'un symptôme dont la c
attribue ci la segmentation des cellules. Les cellules nouvelle- ment formées contenaient un grand noyau et un protopla
i- mitive et que la thrombose du sinus s'est produite secondaire- ment ; cela paraît ressortir de ce fait qu'on trouva d
aux troubles de la sensibilité postparoxystiques. Ce sont juste- ment ces perturbations sensorielles qui, mal interprét
elles apparaît pour faire, après une durée indéterminée, brusque- ment place à une autre entité. Quand l'épilepsie est i
toute circonstance son autonomie, ne se mélangeant que très rare- ment avec d'autres modalités. Que ces accidents précèd
asique peuvent être conservés ensemble ou détruits chacun séparé- ment , à savoir : 1° l'intelligence, 2° la force morale
puis, ils maigrissent rapide- 118 REVUE DE PAT)tOLO(J)Ë MENTALE. ment . Le visage pâlit, devient cadavéreux, la peau se
rares. Ces troubles somatiques et psychiques conduisent fréquem- ment les malades au dégoût de la vie et à des tentativ
et une surveillance étroite du malade peuvent amener un soulage- ment durable, et c'est vers ce but que le médecin doit
sa. Voici le résultat de mon examen : taille moyenne, amaigrisse- ment considérable, état squelettique, aspect cadavéreu
imbéciles doivent être traités d'une façon différente et séparé- ment des autres malades; 2,° il n'y a aucun avantage à
ême acuité, en même temps qu'apparaissent les signes de l'épuise- ment somatique : T. 37° ou 36°,9; P. 60. Durée : génér
puise- ment somatique : T. 37° ou 36°,9; P. 60. Durée : générale- ment moins de huit jours ; guérison rapide, grâce au r
es indications ressortissant à la communauté de la cause se résu- ment à relever les forces, stimuler l'énergie cardiaqu
combé à une maladie pendant laquelle il a eu la raison profondé- ment troublée ; un de ses proches parents est mort à l
aisir et admettre, en conséquence, l'aliénation mentale très nette- ment caractérisée, au nombre des causes du divorce.
édecin, faisant ou non reprendre le malade par ses parents, absolu- ment comme les aliénés assez améliorés pour être rendu
ue dans le cas de mise en liberté provisoire des gens tarés; seule- ment généralement cette infraction résulterait chez no
esponsable chargée du libéré sont suffisants. Au travail, et notam- ment à celui de l'agriculture qui a déjà produit de bo
criminels aliénés, qu'ils soient en congé ou renvoyés définitive- ment . ' Il demande que la commission se compose de j
commission se compose de juristes expéri- SOCIÉTÉS SAVANTES. 125 mentes et de médecins aliénistes pratiques qui veuillent
r produire la paralysie du facial et de l'hypoglosse. Le tremble- ment de la tête serait dû, pour l'auteur, à l'excitati
20 La sortie limitée ou décisive d'un criminel aliéné, actuelle- ment dans un asile et qui n'aurait pas purgé sa condam
établissements pénaux. 11 cite des cas de délinquants continuelle- ment atteints par des peines disciplinaires à raison d
d'agitation maniaque (1 : 22); la quantité en était considérable- ment diminuée dans quatre observations dont trois avai
état durait treize ou quatorze jours, se terminant aussi brusque- ment qu'il débutait. Puis les allures .presque normale
urés sur un cas particulier, le rapport médico-légal étant notoire- ment incapable à lui seul d'atteindre ce but. Si, comm
uarante-sept hectares, on trouve à quelques minutes de l'établisse- ment un domaine disposé pour une colonie agricole. M
peu de travail. Il est impossible d'apprécier même approximative- ment leur production laborieuse en nombres ou en fract
ues y compris la morphine sont abandonnés; 2" quand domine l'élé- ment moteur (manies chroniques à rémission ou folies c
l'albuminurie expérimentale de Cl. Bernard, celle du delirium tre- mens (Furstner), des épileptiques, des hystéro-épilept
tion etqu'on se préoccupera simplement de déterminer l'enchaîne- ment étiologique des manifestations sans s'inquiéter d
t depuis la veille; la sensibilité est revenue à gauche complète- ment dans le membre supérieur et à la face, légèrement
s la même à droite et à gauche. Il est vrai qu'il existait seule- ment à gauche une légère diminution de sensibilité; sa
ues n'ont pu être examinées qu'une fois; elles confirment pleine- ment l'opinion du D' R. Vigouroux. Grâce à un trans-
te que vous n'écriviez pas. Je voudrais pourtant bien savoir com- ment on vous appelle, ou plutôt comment on vous appela
fondues avec le véritable délire de persécution qui est relative- ment rare chez les malades de cette espèce. Bien diffé
nt des ter- reurs ; la réalité extérieure transformée et confusé- ment perçue finit par être niée. Certaines négations s
ne vont plus à la garde-robe, et en fait ils refusent énergique- ment les aliments et souvent retiennent leurs matières
malades que leur agitation inquiète rend incapables de recueille- ment et de prière. ' Ce ne serait pas assez d'une ra
, des phéno- ? n Li v 1 911 ''1rn n · . tf ' r ' menés nouveaux qui mentent de fixer 1 attention en raison de leurs caractè
ce besoin maladif de mutilations, de destruction et d'anéantisse- ment total. Quelques-uns se montrent violents envers
àseïtà IltutdGuch). DES MALADIES SEXUELLES CHEZ LES ALIÉNÉES. 175 ment (Marcé, Ripping, Schmidt', et la plupart des au
ères formes d'endométrite, de vaginite, etc., doivent nécessaire- ment échapper à l'observation et, par conséquent, at
proche de ses troubles psychiques et en conclut à un ramollisse- ment cérébral. Elle consentirait volontiers, dit-elle,
a cédé à ses prières. A mon avis, M-1 C... a quitté l'établisse- ment , où on ne la perdait pas de vue, pour se tuer deh
articulaire actuelle est constituée par le col du condyle légère- ment renflé à son extrémité. Cette surface est d'ail
le fibro- carhlage. L'extrémité inférieure de l'os est extrême- ment poreuse, mais il n'y a pas de destruc- tion de
deux fragments qui étaient res- tés mobiles présentent un renfle- ment d'aspect poreux par places, éburné sur d'autres
e. Les deux tiers supérieurs du corps du fémur forment un renfle- ment fusiforme, dont la surface présente un aspect por
la vue, avant de devenir une fonction semi-consciente et finale- ment automatique ; et le sujet ataxique est ramené, pa
de souffrance. Amélioration dès la première suspension du traite- ment , exacerbation moindre à la première reprise et fi
des hémisphères cérébraux, on observe ordinairement le resserre- ment de la pupille dans l'oeil opposé à l'hémisphère e
habituellement lent, plein et dur au début; plus tard, l'épuise- ment survient, et il devient rapide et faible; dans qu
-il les envisager ? Quelles sont les causes de la folie ? - Coin- ment doit-on se conduire vis-à-vis des aliénés ? Par q
es de propreté, rangement, nettoyage), et la voir cesser brusque- ment (guérison ou intermission très prolongée ? ). Le
de toute (liatlièse ou d'élément héréditaire, supporte admirable- ment les fatigues de la campagne, y compris le service
ont causé un ébranlement du système nerveux tel que progressive- ment s'est développée cette affection cérébrale La man
'importance. Le premier, c'est qu'il existe des individus profondé- ment pervertis qui côtoient sans cesse la limite entre
n trop grand nombre d'individus nuisibles dans un même établisse- ment ; ils permettraient d'en suivre plus facilement l'
ou dans le cours de la vie intra-utérine, ayant atteint symétrique- ment les circonvolutions ascendantes des deux hémisphè
e conservation du cerveau par dessiccation. Après avoir minutieuse- ment dépouillé l'organe de la pie-mère, il le place da
ice versa. 11 comble une lacune qui se faisait du reste principale- ment sentir pour le traitement des bourdonnements d'or
diagnostic différentiel de semblables états repose : anatomique- ment , sur l'adhérence des méninges à la base ; cliniqu
gne actuellement sous ce nom des formes de monomanie essentielle- ment différentes de la stupeur. M. Meynert ajoute qu
. Tous les symptômes de l'absinthisme sont plus ou moins directe- ment sous l'influence du système nerveux. Le caractère
cq est nommé médecin adjoint à l'asile de Saint-Yon, en remplace- ment de M. Seliils, nommé à Ville-Evrard. M. Febvré es
d'un projet d'asile mixte d'aliénés, à construire dans le départe- ment du Var. - Le coût de l'établissement (mobilier
ette cruelle affection. Au point de- vue nosologique, il a égale- ment prouvé que l'accès apoplectiforme, la. forme la
« Des lé- sions de l'oreille moyenne que l'on constate clinique- ment en même temps que le vertige de Ménière. » Mais
'accident vertigineux a disparu : si les canaux sont guéris, com- ment expliquer que le reste du labyrinthe puisse être.
chez cer- tains individus,- qui n'en avaient jamais eu spontané- ment , bien que l'examen fît découvrir une lésion de la
ontenu de l'oreille interne, et par quoi est-elle amenée brusque- ment ? Si l'on se guide sur les données de l'expérimen
chute dans la rue, rentra chez lui glacé et fut pris d'un tremble- ment intense avec claquements des dents. Le médecin ap
Des frissonnements analogues se seraient reproduits irrégulière- ment tous les jours pendant cinq ou six heures. M. C..
UBFT. Fli-(ignie71ts psychologiqiies, p. 121, 407 et stiiv. Traite- ment moral, p. 274, 281. Mobel. Etudes cliniques, t.
our- rait atteindre jusqu'à la folie. J'ai dit que l'affaiblisse- ment des fonctions intellectuelles et des facultés aff
st-ce qu'il ne passe pas aux yeux de tous pour un homme parfaite- ment sain d'esprit ? L'on serait certainement mal venu
ère et d'une mère qui avaient tous deux un tempérament excessive- ment nerveux; sa mère principalement, qui vit encore,
nd une expression de stupidité sensuelle. Il éprouve un frémisse- ment intérieur dans la verge, mais il n'y a pas d'érec
te ses forces; mais encore la vue de son neveu l'impressionne vive- ment ; à table, dans sa famille, elle se place loin de
ure (PL. V, fig. 4 et 5). Tout ce que la tumeur, par son envahisse- ment , avait laissé de substance blanche et grise, étai
et les tubes nerveux avec leur cylindre-axe-avaient considérable^ ment diminué de volume, comparés à ceux de la moitié'
. Une circonstance intéresssante à noter, c'est que ce dépérisse- ment des forces peut apparaître subitement à l'occasio
de connaissance, d'une paralysie du bras gauche avec engourdisse- ment du membre et un peu d'embarras de la parole. Le m
pé- tant plusieurs fois dans les vingt-quatre heures et spontané- ment ». C'est là un fait très intéressant à connaître,
n aliéné diabétique on voit survenir, sous l'influence du traite- ment , une amélioration portant à la fois sur l'état ph
ux qui en partent en divergeant ; tantôt ils sont coupés oblique- ment , et on n'a sous les yeux qu'une portion du vaisse
- pelle les anastomoses longitudinales centrales (ou plus simple- ment , proposons-nous, les artères longues anastomotiqu
de Sylvius. La branche postérieure de cette scissure est constam- ment d'abord supérieure à l'écaillé du temporal et s'a
. , Longtemps avant que le transfert ait été étudié scientifique- ment , l'auteur avait fréquemment appliqué avec succès
E. qu'une carie dentaire, le procédé procure au moins un soulage- ment momentané. On pourrait l'essayer même dans certai
re- marquer que dans cette manière de procéder on 'évite absolu- ment toute traction sur le tendon d'Achille et par sui
t si elles constituent une attaque isolée, sont presque certaine- ment épileptiques. Dans tous ces cas, indépendamment d
e et des circonvolutions pariétales, celles-ci recevant probable- ment des fibres sensitives issues de celle-là. P. K.
celle des cordons antérieurs immédiatement au-dessous du renfle- ment cervical. Le microscope localise ces lésions dans
moins en arrière (sans sélection systématique) ; de l'épaississe- ment considérable de l'épendyme à la région supérieure
on thoracique supérieure. Enfin une troisième pathogénie, égale-- ment possible, relève de la production concurrente d'u
sonnes étrangères à l'étude de la folie conçoivent moins facile- ment , c'est que les faits puissent être exactement con
se soient reliées les unes aux autres, et nous concevons facile- ment le mécanisme suivant lequel peuvent se produire,
chorée; deux observations; par Joseph WiGLESwopTH. (llie journ. of Ment . Science, avril 1882.) Voici le résumé de ces
DIVERS Asile public d'aliénés de M.1RÉ\'ILLE. Le mode de recrute- ment des internes de l'asile vient d'être modifié. Jus
Hallucinations dans la paralysie générale, considérées spéciale- ment dans leurs rapports avec les localisations céré
Maladie de Méniere (note sur la et en particulier sur son traite- ment par la méthode de M. Char- cot), par Féré et De
18 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
au fasse partie du système sympathique médullaire. Le ralentisse- ment de la respiration dans les ictus pourrait être ra
ie, défilé d'objets agréables, lumineux, mobiles mais d'un mouve- ment uniforme et se faisant toujours dans le même sens
ous avons eu l'occasion de les observer. Rappelons qu'antérieure- ment à l'entrée à l'Asile il avait existé une autre ha
ales. Chez les vertébrés inférieurs les cellules pyramidales for- ment un réseau plus dense et serré ; leurs corps cellu
i explique le fait, que le poids du cerveau des individus, riche- ment doués de talent et même de génie, est quelquefois
ones pyramidaux chez l'adulte ne s'augmente pas, et le développe- ment psychique s'effectue par l'apparition de nouvelle
ti- nuellement, apparaissant à différents endroits ; le renforce- ment de la vibration moléculaire peut s'effectuer avec
chement devient moindre pour chaque fibre correspondante; il aug- mente , au contraire, à l'époque d'une plus grande activ
lésion amène tout d'abord une démence générale et un appauvrisse- ment de la vie psychique. Dans le panache protoplasm
23 plus grande quantité d'éléments affectés amène un affaiblisse- ment plus marqué de la vie psychique. Toute forme de
opiques. Dans quelques formes de maladies mentales, particulière- ment dans les maladies organiques, où nous pouvons con
fa- culté de passer d'un état à un autre avec une rapidité telle- ment exagérée et morbide, que cela amène des connexion
nes se joignent à l'aide d'un prolonge- 28 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ment protoplasmique commun , tandis que la fibre nerve
pis encore privé totale- DU MUTISME CHEZ L'ENFANT QUI ENTEND. 29 ment de la parole, autrement dit, l'enfant peut, quoiq
1 Ce mutisme de naissance ne nous semble pas constituer à propre- ment parler un cas d'aphémie, d'aphasie motrice. L'aph
- noncée. Sa physionomie n'exprimant pour ainsi dire aucun senti- ment , son air hébété ainsi que son mutisme faisaient p
L'audition indirecte nous permet de saisir distinctement non seule- ment ce que nous dit à nous-même, mais encore ce que s
s obtenus au point de vue de la fonction verbale et du développe- ment intellectuel, nous allons d'abord esquisser la mé
vocaux. Exécutés par le professeur et reproduits presque simultané- ment par l'enfant, ces mouvements, après avoir mis en
es secondaires. Cet enseignement se simplifie et devient excessive- ment clair si on le divise conformément aux éléments s
ploi du TLtlO ? 1L ; par le D1' VILLERS. (Biill. de la soc. de méd. ment , de Belgique, septembre 1896.) Dans 10 cas de d
sation était parfaitement définie. Mais bientôt un nouveau revire- ment se lit; on en vint à parler de dégénérescence pro
l prescrire un traite- Fig. 8. 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment local, les mouvements des lèvres, de la langue de
mpossibilité de siffler, de mouvoir latéralement la langue visible- ment atrophiée et agitée de secousses fibrillaires, le
par l'affirmation de l'existence de ce type démontrée indubitable- ment et par M. Jean Charcot et par lui-même. Il est
hémiparésie gauche. A son entrée à l'hôpital on constate unique- ment les signes suivants : hémianesthésie gauche, rétr
jamais ouvertes et par-dessous lesquelles on changeait trop rare- ment d'ailleurs, la paille souillée de déjections qui
ré qu'on trouvait là très probablement le rapport, jusqu'ici vaine- ment cherché ailleurs, des stigmates physiques et des
convaincu que certains moyens de contrainte, eten cela il a absolu- ment raison, ne sont qu'une cause d'irritabilité et d'
le 12 avril de l'année 1893, remarqua le jour même l'affaiblisse- ment du mouvement des lèvres (il pouvait à peine souff
une modification de l'acuité de lavue et encore dans un rétrécisse- ment très prononcé du champ visuel. Le goût est affa
n des membres supérieurs. Le myographe démontre aussi un tremble- ment à la contraction volontaire du biceps. Lorsque l'
ce. Depuis le 17 septembre de l'année 1895 on observa un aggrave- ment très marqué des phénomènes de parésie. État act
bérance et des pédoncules cérébraux, qui se localisait principale- ment , mais non exclusivement, dans la substance grise,
A la clinique de la Salpêtrière ce traitement a été systématique- ment institué. Dans un cas le traitement a été suivi d
é pré- sente un crochet élevé, pointu du côté droit, mais légère- ment coupé à gauche par un petit plateau qui indique l
hy- perplasie conjonctive. Seulement il y a des variétés : notam- ment la sclérose primitive et la sclérose secondaire à
al des Praticiens, 1897, p. 303. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 121 ment de cette question M.Grasset aurait dû étudier dan
son complète elle ne peut exister que lorsqu'elle est due unique- ment à de simples troubles circulatoires. Dans celle
t d'alimentation chez laquelle on essaiera de pratiquer l'avorte- ment ; l'avortement tardant à se produire, on fera cro
nous n'avions pas sous la main d'instruments pour amener rapide- ment l'avortement et que du reste nous trouvions la ma
roire, car la- maladie des deux femmes revêtait une forme absolu- ment semblable. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1. Su
la folie; l'auteur incline à penser que cet accroissement est pure- ment fictif. On interne aujourd'hui beaucoup plus d'al
doit jamais être employé dans un but d'économie, mais exclusive- ment en vue de l'intérêt des malades. R. de Musgraves-
1° Arrêt du développement cortical. Si l'on considère le développe- ment des différents tissus, on voit que les organes em
e stimulations modérées venant des cellules voisines. Si abondam- ment qu'un centre puisse être être baigné par un sang
qu'on y voie un rapport avec leur anomalie sexuelle. Il faut égale- ment considérer que chez un certain nombre l'éducation
sommeil profond et durant trois jours de suite. Ensuite successive- ment , bégaiement, lapsus, paraphasie, impossibilité de
lite chronique probablement dû au traumatisme ancien. Epaississe- ment oblitérant des vaisseaux capillaires de nouvelle
lule, chez les vertébrés supérieurs, est unipolaire. Son prolonge- ment cylindraxile se divise en deux fibres, l'une qui
e liquide. A deux ans une voiture passe sur lui; la grosseur aug- mente de volume ; ponctionnée de nouveau elle donne enc
es malades à l'influence hypnotique, les envoie aussi très fréquem- ment , et après d'abondantes libations d'alcool dans de
thyroïdienne, après échec complet des autres méthodes de traite- ment . De l'étude de ces deux cas il tire les conclusio
goitre alors que dans la région le crétinisme s'observe générale- ment sans goitre. Contrairement à la règle signalée pa
haschisch. Il semble, d'après ces données, que l'on ait singulière- ment exagéré l'influence du chanvre indien dans la pat
ui devraient, préalablement à tout service actif, subir l'enseigne- ment professionnel. C'est une grosse affaire qui certa
Des centaines de brochures diverses ont été distribuées. Le mouve- ment qui s'accentue tous les jours dans l'enseignement
des muscles et une ankylose des articulations, et était complète- ment idiote. La malheureuse victime, âgée de dix-neuf
Les accusés nient la séquestration ; ils prétendent l'avoir simple- ment empêchée de sortir à cause de sa simplicité d'esp
t d'abandonner momentanément l'étude de la théologie, qui décidé- ment influait d'une façon néfaste sur son état cérébra
proces- sus. Est-il primitivement parenchymateux, frappant l'élé- ment nerveux lui-même (fibre ou cellule) ? Est-il, au
et les autres, jusqu'où peut aller l'affection dans l'envahisse- ment successif des cordons postérieurs. Comme techni
radiculaires (fibres courtes, fibres longues); il atteint égale- ment les fibres endogènes. Ainsi, sur une moelle de ta
ires ou conjonctives) ne nous ont jamais paru en nombre suffisam- ment considérable pour pouvoir prétendre à un rôle que
ls que Duchenne, Charcot, Erb, Westphal, etc., ont su rigoureuse- ment établir. Ces syndromes constituent donc la partie
nécessaire- DES LOCALISATIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS. Oe'1 ment par chacun de ces syndromes, au moins quand il su
quelques exemples tirés de nos observations. Nous voulons simple- ment en donner ici la conclusion générale : le tabes m
11 bien mauvais service aux aliénés dont elle entraverait grande- ment le traitement. Il est inutile de longtemps cherch
, le texte sénatorial. Le Sénat, avec raison, confiait exclusive- ment au directeur et au médecin en chef la nomination
lié- niste dans l'impossibilité matérielle de soigner convenable- ment les aliénés. Tout d'abord il y a des chances pour
ié- nistes seraient payés sur le même pied que les autres, seule- ment ils ne seraient pas tenus à la résidence et serai
le lobe temporal; il peut, par suite, encore écrire, même spontané- ment ; le centre moteur de l'écriture n'est pas lésé.
organes abdominaux, les organes sexuels de la femme ; plus rare- ment les affections respiratoires. Voici un cas dans l
sa peine, mettre au service de la plus noble des causes son dévoue- ment enthousiaste, cette chaleur communicative dont il
qui recevaient les insensés. Son coeur sensible saigna douloureuse- ment au spectacle des faits lamentables qu'il eut à co
et savant Cruveilhier, la Faculté de médecine de Toulouse récem- ment restaurée, désire, elle aussi, apporter son tribu
vérité, méritent de subsister et, en effet, subsistent éternelle- ment . » Ce nouvel et éloquent hommage, rendu à la mé
suggestion hypnotique a été acceptée sans conteste dans le traite- ment de toutes les formes de l'hystérie chez l'adulte.
e l'on a soulevées contre l'emploi de la suggestion dans le traite- ment de l'hystérie infantile sont les suivantes : « Vo
porte aucun, d'aucune sorte. 11 nous semble qu'il est souveraine- ment injuste de faire retomber sur le second les méfai
suggestions expérimentales pour se limiter aux suggestions nette- ment indiquées par l'état du malade, surtout lorsqu'on
Elle a des zones d'anesthésie sur les quatre membres. Le tremble- ment qui était d'abord intense est aujourd'hui lent et
'établissement pourraient être faits par un médecin de l'établisse- ment . Le règlement du service intérieur, modifiable pa
: Nécessité d'éviter l'encombrement actuel des asiles, encombre- ment si fâcheux pour la bonne exécution du service, en
igue 1. Suivant lui, les portes ouvertes le seraient très suffisam- ment dans nos asiles actuels. Les asiles de province e
portier est une maison mal tenue, à plus forte raison un établisse- ment public. On nous parle des aliénés comme on en p
ne s'appliquent-ils pas à essayer la thérapeuthique du raisonne- ment chez ces malades au cours de la contre-visite à l
on- sidérés comme des fabriques de chroniques. On sent immédiate- ment qu'un vent de réforme a soufflé, réforme qui se t
osition pour amener la guérison des cas curables, à savoir l'isole- ment . N'est-ce pas bien souvent pour être isolés trop
diens postérieurs). Hémiatrophie gauche de la langue avec tiraille- ment fibrillaire. Paralysie du palais mou du côté gauc
résie de celui du côté droit. Papillite bilatérale avec commence- z ment d'une atrophie à la suite d'oedème, rétrécissemen
ux. Ce fait montre combien sont sages les prescriptions du règle- ment des asiles qui recommandent de ne jamais laisser
ce but. Commençons par le directeur, ou, pour parler plus juste- ment par la direction. Comme je ne puis assez exprimer
la part de responsabilité et d'attributions qui devrait légitime- ment leur revenir dans des questions qui demandent leu
illes allaient croire que l'idée de malade évoque tout naturelle- ment celle de médecin ayant exclusivement la responsab
dre (bien qu'ils subissent presque tous je ne sais quel entraîne- ment qui les pousse à voir, dans chaque médecin, un en
éraux appartenant à la partie sociale fortunée sont plus communé- ment victimes de troubles congestifs que les paralytiq
s, surtout au niveau des genoux; on ne peut imprimer aucun mouve- ment aux jambes sans arracher à l'enfant des cris perç
e la glace, des sangsues aux apophyses, etc., et ordonne un lave- ment purgatif. Le lendemain matin, même état, la const
cuentuée; la fillette n'a jamais eu ses règles, elle est excessive- ment pâle et présente le souffle carotidien. Pas d'alb
connaissance. Enfin l'agitation cesse, l'enfant dort continuelle- ment , sa respiration est assez régulière, pupilles dil
on quatre semaines. Mais il est très bien guéri, il jouit actuelle- ment d'une parfaite santé. Cette maladie de la moell
persiste pendant dix jours. Faciès non typhique, pas de gargouille- ment , pas de diarrhée, rien à la poitrine. L'enfant bo
i ne dépassait pas trois ou quatre ans. Notre petit diabétique fait mentir cette assertion, puisqu'il est atteint depuis q
l'occasion des mouvements : c'est donc essentiellement un tremble- ment intentionnel. Il augmente après les efforts. -Cet
du système nerveux; par Niccolo 13UCCELLI. (Riv. di. pat. nerv. et ment ., fasc. 10, 1996.) Le tabac est un toxique, qui
alas. XIV. Sur la myoclonie; par E. Lugaro. (Riv. di. pat. nerv. et ment ., fasc. 10, 1896.) Observation suivie de quel
BULBAIRE unilatérale ; par'Gaetano GEROUZI. (Riv. di. pat. neuv. et ment ., fasc. 6, 1896.) XVI. MÉNINGO-ENCËPHALITES INF
mpathique cervical; par Andréa CRISTIANI. (Riv. (lui. pat, ne1 ? et ment ., fasc. 6, 1896.) XVII. Asystolie POST-li1'ILEI
paralysie de la sixième paire gauche. Au bout d'un mois de traite- ment polybromuré, disparition de l'ophtalmoplégie, sau
M. Doutrebente s'appuie sur ce rapport pour préconiser le traite- ment spécifique dans la paralysie générale d'origine n
saurait trop conseiller à tous les médecins d'examiner soigneuse- ment tous les' jeunes déments précoces. Un cas de ce g
15 juillet 1896, on pouvait considérer la malade comme complète- ment guérie. Vers la fin de septembre elle commençai
résisté d'autant plus à l'influence morbide que leur fonctionne- ment avait été plus durable, et, par suite, que leur o
- tures brusques des quatre membres, ou bien une sorte de bâille- ment , de respiration profonde, parfois des contracture
bulbe et s'épuisent graduellemenl vers le niveau de l'entrecroise- ment supérieur, n'est décrite par personne encore. En
cience. Les convulsions débutent du côté gauche et passent facile- ment du côté droit. Phénomènes post-épileptiques d'ass
s périphériques peuvent influer immédiate- 352 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment (par les nerfs trophiques ou vasomoteurs) sur la
courants très forts on peut encore recevoir tout à fait symétrique- ment des contractions du quart inféro-externe du muscl
moelle épinière, les modifications étaient déjà effacées passable- ment . De sorte qu'à l'intoxication des cobayes par le
aire remarquer dans sa préface. L'auteur a étudié le rôle de l'élé- ment nerveux dynamique psychique dans diverses affecti
la diathèse, l'individualité. Il n'accorde à l'émotion morale, élé- ment dynamique, qu'un rôle occasionnel et ne se dissim
urale, et après avoir terminé ses études médicales il se mit brave- ment à affronter dans le département d'Eure-et-Loir le
qui se croyait être dans sa ville natale, où il a habite véritable- ment le faubourg Baniez. On se demande comment le malh
me impression. On ne crut pas devoir alors traiter fort sérieuse- ment ce nouveau spectacle. Cependant, il convient que
ation XIV. Fillette de sept ans. Etouffements nerveux, eii ? ,ozie- ment nerveux. A quatorze ans, après une tentative de v
s, névropathes ; j'avais porté le diagnostic : étouffement, enroue- ment hystérique. Diminution de la sensibilité du phary
'hystérie en Vendée. La suggestion, dans l'hystérie, est le traite- ment par excellence ; mais dans les autres affections
nous apparaissent pas, chez eux, aussi nettement, aussi fréquem- ment que chez l'adulte, c'est que la recherche de cert
i même que la forme somatique de l'affection est la plus fréquem- ment notée. On le comprend quand on songe combien sont
signes ont une valeur séméiologique considérable, le rétrécisse- ment du champ visuel surtout qui a une signification c
vation. Les démangeaisons de la peau se produisent aussi fréquem- ment , si on en juge d'après la tendance qu'ont certain
rs et ' même aux membres inférieurs on observe un peu de tremble- ment . Analgésie des nerfs cubitaux à la pression dan
très volumineux, les capsules rénales se détachent bien et facile- ment sans perte de substance corticale du rein. Une se
erti- cale de l'écorce, disposés par couches plus ou moins nette- ment séparées, et c'est aussi dans l'épaisseur de l'éc
circonvoluzioni cerebrali e cerebellari (Riv. di patologia nerv. e ment ., Il, 1897). 398 REVUE CRITIQUE. grises dans
nc et les branches protoplasmiques de ces neurones. Le développe- ment des arborisations grimpantes est un exemple remar
e ». Le volume du crâne est en raison des exigences du développe- ment encéphalique ; il suit celui-ci durant toute l'év
res de faits, anatomiques et physiologiques, influent nécessaire- ment sur la quantité de la substance blanche et, parta
'emploi DE la PARALDÉHYDE; par P. Daman. (Bull. de la Soc. de Dléd. ment , de Belgique, juin 1896.) Administré à des para
oïdiennes; par G. Vassale et F. Generali. (Iliv. di. pat. rzerw. et ment ., fasc. 7, 1896.) SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉT
S'il en est ainsi à l'état physiologique, il ne peut en être autre ment à l'état pathologique. Considérons par exemple l'
n effet, l'élément fondamental des états d'obsession, c'est évidem- ment elle qui doit servir de base à leur classement.
nt dans un état permanent de tension émotive, qui éclate brusque- ment par paroxysmes, à propos de tout et de rien, comm
nerveuse ainsi produites, avec celles qui apparaissent consécutive- ment aux sections des troncs nerveux, telles qu'elles
blable aux altérations secondaires. Les dissemblances habituelle- ment observées entre ces deux ordres de lésions sont p
. Encore quelques séances d'électrolhérapie et elle eût complète- ment recouvré les mouvements physiologiques. M. L. m
cordons. Autour de ce kyste d'origine hématiquo évoluait sourde- ment un processus progressif de gliose tendant à gagne
les fois que la syphilis antérieure sera probable, ou même seule- ment possible. On ne s'abstiendra donc de tout essai t
ante de 1 à 6 grammes ou même 8 grammes par la bouche ou en lave- ment . - Après ce premier traitement, la conduite var
Toujours dans le même ordre d'idées, si l'iodure n'était absolu- ment pas toléré, on pourrait donner les sels d'or, not
un cas, se compliquaient d'accidents cérébraux, céder très rapide- ment à l'antisepsie du tube digestif il. Le régime e
de hauteur, sont construits en briques et présentent un développe- ment de 3 800 mètres environ. 'Ils suivent toutes les
sible ; on en a écarté tout ce qui, comme appareil et comme orne- ment , pouvait être une cause de plus-value. On a pensé
. La symptomatologie est plus nette. On peut dresser schématique- ment le tableau suivant : une première phase de prodom
diminu- tion de l'oxyhémoglobine, comme dans les états d'épuise- ment consécutifs aux traumatismes, aux hémorrhagies, a
ogique tout spécial, le nombre des attaques augmente progressive- ment d'un repas à l'autre, de sorte qu'on peut, pour c
rieurs. Pas d'exopthalmie. Urines : ni sucre ni albumine. Traite- ment bromure. 25. L'état mental est bon. Persistance
asthénie. Une considération importante doit être tirée du traite- ment . A l'entrée, le symptôme qui dominait la scène ét
Il s'agissait du type facio-scapulo-lmméral, ayant débuté brusque- ment , sans cause, à l'âge de dix-neuf ans (photographi
es deux jambes sont contracturées en extension et que tout mouve- ment est impossible. La sensibilité est normale. La ma
multiples. Ainsi s'explique que, le neurone n'étant pas primitive- ment atteint, ce soient d'abord les - manchons de myél
e avec épilepsie (Rivista spel'imentale di freniatria, XXI); seule- ment il l'impute à l'écorce du cerveau. P. KERAVAL.
mande ensuite le repos au lit, avec massage journalier et traite- ment par les courants faradiques pendant six à huit se
évitée. Il ne faut user des alcools et du tabac que très modéré- ment . Les bains froids ou tièdes, ne dépassant pas 18°
nerveuse, doit être prise en considération sérieuse dans le traite- ment curatif, parce qu'en quelque cas la névralgie seu
rut très vascularisée; la substance célébrais fut trouvée notable- ment dure, comme sclérosée. Les suites de l'opératio
psychomotrice de l'encéphale. Elle offre des formes multiples rare- ment circonscrites, avec des manifestations localisées
ection totale et bilatérale du sympathique cervical dans le traite- ment du goitre exophtalmique et de l'épilepsie; par M.
rès la résection du nerf d'un côté, j'ai toujours vu le rétrécisse- ment immédiat de la pupille de ce côté. A près l'opéra
on encéphalique, et les divers organes qui sont altérés secondaire- ment dans leur fonctionnement : yeux, coeur, voire mêm
nution de la force de la systole cardirque ne peuvent être réelle- ment obtenus que par l'enlèvement du ganglion cervical
inférieur, pour voir cesser la tachycardie. Pourquoi ultérieure- ment a-t-il abandonné cette manière de voir, conforme
M. le D1' UYCC Drrcr(\vol1.TH (de Londres). Je donnerai sommaire-' ment les détails de 4 cas : 3 d'abcès cérébraux ou cér
du coeur se fût arrêtée. La respiration artificielle ne put aucune- ment rétablir ces fonctions, et des injections hypoder
és A Lierneux en 1897 ; par le DDEPERON. - (Bull, delcSoc. de naél. ment . deBelgique, juin 189 î .). Fondée en 1884, la
te vaste superficie, l'absence de cours d'eau navigable, l'éloigne- ment des grands centres établissent la possibilité de
primitivement veillait particulièrement à la bonne tenue du loge- ment chez les nourriciers, et actuellement chargé de s
flétris par le casier judiciaire, alors que les autres sont simple- ment soumis à l'éducation correctionnelle. M. Vidal-
PARÉSIE pseudospasmodique d'ori- gine traumatique avec tremble- ment , par Fuerstner et par Nonne, 234. PINEL. Elog
19 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
eau est lisse et luisante comme du parchemin et ne présente absolu- ment aucune trace de crevasse. Cette conformation pa
post-opératoire et fonctions de l'hypophyse. - Riv. di pat. nerv. e ment ., fas. 12, décembre 1906. DE SANCTIS. - infanti
refuse à adopter les conclusions de mon article, car c'est précisé- ment contre de telles définitions de l'infantilisme, à
. E. Levi reproche au terme de chétivisme « d'impliquer nécessaire- ment un état plus ou moins athrepsique ou cachectique
les on pourrait rattacher les arrêts et les anomalies du développe- ment du système nerveux et aussi presque toutes ses af
mations osseuses, étaient considérés comme rachitiques tout simple- ment . On faisait une certaine différence entre le rach
ormations diverses du squelette et, psycbiquement par un développe- ment exaeéré, anormal, mais le plus souvent passager,
» Cette définition embrasse très bien l'achondroplasie « physique- ment » ; « psychiquement » elle présente une erreur, mê
es, le nombre actuel beaucoup plus réduit s'expliquerait naturelle- ment . Mais avant de conjecturer sur la pathogénie de
u tronc et de la tête sont habituelle- UN cas d'achondroplasie 39 ment intéressés (chapelet costal, front olympien, crân
ourd'hui (6° hypothèse). D'après ce que nous avons dit au commence- ment de cette étude, cette idée n'est pas nouvelle : P
lière d'un achondroplase de nos jours quand il n'existe pas propre- ment dit une telle variété humaine et dans ce sens il
z les achondroplases, mais cette déformation dépend de l'élargisse- ment du plateau tibial et de la position de la tête du
hondroplasie typique du type de Pierre Marie, ils ont reçu apparem- ment une description presque définitive dans les trava
quelle les neurologistes les plus illustres s'efforçaient unique- ' ment de faire les diagnostics les plus précis, le mome
foyers inflammatoires, ni dégénérescence secondaire dans aucnn seg- ment . Les coupes colorées par la méthode de Weigert mo
gne que c'est une néoformation maligne assez bien délimitée, riche- ment infiltrée tout autour. On y distingue deux sortes
ypodermique d'une tumeur primitive de la colonne vertébrale (égale- ment endothéliome). Résumé. Nous sommes en présence
le dos, le ventre et les membres inférieurs. Elle marche difficile- ment à cause des douleurs qui augmentent-par le mouvem
ctement localisées sans se propager ailleurs. Les douleurs la tour- mentaient toujours, elles ne cessaient parfois que pour 1 o
).Rétention et incontinence des matières fécales (les selles seule- ment après un lavement et alors les matières aqueuses
es internes ne présentent rien de notable. On administre le traite- ment spécifique. 10 septembre. Le malade affirme que
ents actifs : le membre supérieur droit dispose seulement du mouve- ment d'élévation de l'épaule, de l'adduction et de la
paraplégie complète s'établit (sarcome des vertèbres). Nonneégale- ment a décrit des cas de sarcomatose et carcinomatose
ume, mais à droite surtout, la paralysie radiale prédominait nette- ment et le malade ne pouvait contracter-les extenseurs
donc aisé de constater que cette maladie familiale a frappé seule- ment les individus du sexe féminin, en épargnant compl
acture aux membres inférieurs. En effet Marguerite traînait légère- ment les jambes en marchant et ses pieds avaient tenda
complètement défaut chez elle. L'affectivité même parait complète- ment perdue, elle hait ses soeurs et je ne crois pas q
aireau sur sa figure. Les sensations de froid et de chaud sont éga- ment bien perçues. La branche motrice du trijumeau par
les trophiques des téguments des extrémités inférieures sont telle- ment évidents qu'il suffit de regarder la planche XIII
hie musculaire se manifeste chez elle avec une localisation absolu- ment identique à celle de Marguerite. Cette atrophie e
s les muscles de l'avant-bras, on peut relever des réactions nette- ment altérées dans leur formule avec les manifestation
us des genoux, l'excitabilité galvanique et faradique est complète- ment abolie sur les uerfs et sur les muscles. Les mu
a papille déjà assez avancée et qui contraste avec l'état relative- ment suffisant de l'acuité visuelle. Les bords de la
tion faite pour le quadriceps antérieur qui est altéré qualitative- ment avec réaction partielle de dégénérescence et très
ar eux. Les jumeaux au contraire présentent des réactions relative- ment moins altérées. 122 BERTOLOTTI A présent que
'agit à n'en pas douter d'une maladie familiale qui a frappé seule- ment les individus du sexe féminin en épargnant les mâ
ite, tous les symptômes morbides ont acquis une importance extrême- ment grave; il en est de la déchéance psychique comme
r encore dans quelques cas où les réflexes tendineux sont complète- ment abolis (scléroses combinées, tahes, névrites péri
ité dans la station debout à laquelle on a donné le nom de piétine- ment sur place. Ce symptôme a été envisagé d'une faç
trois observations ; chez mes malades, en effet, il existait seule- ment une simple diminution de la sensibilité tactile d
suite nous avons décrit leurs symptômes spino-névritiques parfaite- ment identiques à ceux que l'on rencontre dans la form
un est mort d'entérite dans le jeune âge; un fils est âgé actuelle- ment de 33 ans, une fille de 32 ans ; tous deux sont b
iverses phases de l'affection sont bien particulières. Entre le mo- ment du traumatisme et l'apparition des crises d'épile
ie porta sur tout le membre supérieur. La sensibilité était légère- ment diminuée dans la moitié droite du corps ; les réf
De notre observation, comme de celle de M. André, il ressort nette- ment que, chez l'adulte, des troubles cutanés et artic
iration bronchique. Le diagnostic de pleurésie gauche avec épanche- ment fut prononcé. On évacua 300 centimètres cubes de
couleur rose pâle. Elles se disposent quelquefois par groupes, for- ment des ilots (fig. 11) ou sont dispersées isolément.
icables. Nous sous-entendons les douleurs qui dépendaient probable- ment de la tumeur. ' ` Il est un fait connu, c'est q
saient étaient dégénérées, tandis que celles qui étaient immédiate- ment à côté delà moelle sont restées saines. Ce point
ouleurs dans la moitié gauche du tronc et d'une sensation de serre- ment dans la partie inférieure du thorax et supérieure
que les symptômes médullaires entrent en jeu. Ils débutent brusque- ment , quelquefois violemment. Dans un de nos cas (ob
légères dispersées le long de toute la moelle : c'est l'épaississe- ment de leurs parois et la prolifération névro,,11(lue
iques à elles-mêmes de la folie maniaque-dépressive fussent unique- ment d'origine psychique ? Ne doit-il pas y avoir là q
tution de la corticalité ? On a de la peine à se représenter autre- ment que chaque phase puisse débuter, évoluer et se dé
vons-nous affirmer qu'une différence de structure ou de fonctionne- ment explique les particularités psychiques des différ
psychiques ? N'est-ce pas, en effet, ce que l'on observe journelle- ment pour les maladies infectieuses, le typhus, la pne
aurait été facile de présenter ses idées sous une forme plus aisé- ment acceptable. « On trouve,sans cesse la simulatio
ption, si elle n'est pas tout à fait celle de Babinski est directe- ment inspirée de ses travaux. En dehors de ce caract
a simulation tout entière est-elle donc de l'hystérie ? Non assuré- ment , il reste d'abord la simulation naive, grossière,
èle, un véritable instinct de simulation, une ten- dance générale à mentir , à tromper, à mystifier, à inventer des histoires
ation, du milieu, des circonstances, il faut noter un fait extrême- ment intéressant. Nous pouvons voir apparaître cette t
culté de simuler, ils feront sûrement des hystériques. Enfants, ils mentiront , pleureront, accuseront des souffrances imagina
de l'inactivité prolongée ; ni oedème, si ce n'est le léger gonfle- ment de la main avec un peu de cyanose et de refroidis
nt parfois extrêmement difficile, lorsque le malade s'y est longue- ment exercé ; il faut alors avoir recours à des tracés
exemple, de paralysies hystériques comprenant exactement et unique- ment le territoire d'un nerf périphérique ou d'une rac
tre côté (Grasset,Gaussel). Pendant que vous faites faire ce mouve- ment à un sujet normal, placez votre main sous le talo
ouvements associés, ignorés du malade. Celui-ci se comporte absolu- ment comme un simulateur, ce qui n'a rien d'étonnant p
e lésion organique (signe du gros orteil de Babinski). Malheureuse- ment il. est trop fréquentque le réflexe so i t i IIdi
uire une incapacité de travail, puisque leur caractère est précisé- ment de n'apporter aucun trouble. En quelques années,
un stigmate d'émotivité. Il ne faut pas le prendre pour un tremble- ment pathologique. Il se produit pendant l'examen, lor
ves à l'état mental normal des lépreux européens on[ été admirable- ment décrites en 1812 par Xavier de Maistre dans son l
nte des périodes d'abattement et de fatigue qui sont dues précisé-' ment à la toxi-infection lépreuse ; il se plaint souve
raves et terminaux « le souvenir des faits anciens peut être égale- ment effacé » (Korsakoff). - « 2° Par un affaiblisse
, ou intellectuelle de leurs sujets, de leurs élèves. C'est réelle- ment un diagnostic clinique qu'il s'agit d'établir. Ce
difficultés. Et il existe des cas limite qu'on ne saurait juste- 1 ment classer en deçà ou au delà de la normale. En deho
le plus de chance de noter à, l'état d'isolement ? C'est probable- ment la timidité. Autrement dit, je suis disposé à cro
ut-on attendre davantage de la dégénérescence héréditaire ? Evidem- ment , elle intervient, mais par quel mécanisme ? On ac
ous avons eu l'occasion d'observer plusieurs cas d'un raccourcisse- ment congénital singulier de l'un des os du métapodium
n'a que un mètre dix : elle est bien conformée, trapue mais nulle- ment achondroplasique. Elle présente aux deux mains un
ier. Notre patient, à cause de sa petite taille, de sa tête énormé- ment développée et de ses extrémité raccourcies, était
ite il reprit ses voyages, toujours en bonne santé. Une fois seule- ment , ayant mal pris ses mesures pour sauter, il tomba
s sont un peu petites ; normale la perception de l'ouïe bilatérale- ment . ' Cou. Il est cylindrique, gros et court. On n
s côtes normales ; aucun signe de chapelet rachitique. Postérieure- ment le thorax est aplati, les omoplates sont petites
ngueur de celui d'une femme normale, les extrémités sont excessive- ment raccourcies ; les mains, petites, courtes et larg
aujourd'hui 12 ans environ, elle est haute de 80 centimètres seule- ment ; sa tête est grosse, les extrémités sont très ra
rachitiques n'en sauraient faire autant, eux qui, bien plus facile- ment que les autres, sont exposés aux maladies, partic
r avec la croissance et d'autres encore peuvent se faire graduelle- ment évidents et plus clairs. Dans des cas assez fréqu
int de vue du gain. Donc de tels animaux ne se trouvent pas absolu- ment dans des .conditions autres que celles de la lutt
is, ce qui ne se vérifie point dans notre cas, les os ne s'y défor- ment ni ne s'hypertrophient pas, mais ils deviennent t
user aux autres os du squelette et surtout aux os longs, contraire- ment à ce qui arrive dans le plus grand nombre des cas
assé la syphilis attaque le système nerveux, non seulement fréquem- ment , mais aussi dans une période précoce. Le second f
men psychique. On relève sur le sujet les marques d'un affaiblisse- ment mental avec attaques transitoires d'irritabilité
'âge et par l'intoxication alcoolique, il en attaquera plus facile- ment les parois, qui, par là même, deviendront le sièg
aire, incliner vers ceux qui nient l'influence favorable du traite- ment spécifique antérieur sur le développement d'une a
t adduction, fléchir et étendre le genou. Le pied droit est absolu- ment immobile, les orteils sont un'peu plus mobiles. L
. Ii'y-a de grandes hémorragies dans la substance grise principale- ment ,mais dans la blanche aussi. Dans certains endroit
on exercée par la tumeur et d'autres causes inconn ues, estextrême- ment vulnérable et sujette à l'infection. Il est pos
ignifiant. Les espaces lymphatiques ne présentent pas un élargisse- ment évident. Dans ce cas les troubles circulatoires c
t ces lésions disparaissent également de sorte que dans le VIe seg- ment dorsal on ne trouve qu'un foyer dans le cordon po
ente aux méninges molles (du côté de la moelle). Dans ce cas égale- ment nous pouvions constater une disparition rapide de
la région qui correspond au pôle inférieur de la tumeur (XIIe seg- ment dorsal) les dimensions de cette dernière ne sont
blanche des raies claires. Ce sont des cloisons élargies qui renfei ment des vaisseaux dila- tés et gorgés de sang. Les
la structure de la tumeur, la zone périphérique est plus intensive- ment colorée, elle est stratifiée, rappelle la structu
pénis qui a vite guéri. Il était donc difficile de dire définitive- ment si nous avions affaire à une affection spécifique
gnant des douleurs. Les deux membres sont faibles, mais plus forte- ment lé droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE L
les recherches de Brodmann. Smith (8), de son côté, a décrit égale- ment plusieurs zones dans le domaine des circonvolutio
par acentral (1). Une constatation analogue a été faite plus récem- ment par Hobnes et Page May. Contrairement à la doct
entralbl., 1902, p. 530. (18) FRANCESCIII, Rivista di pat. nerv. c. ment . 1902, n 10. (14) Italo Rossi et G. Roussy. Un
Lésions macroscopiques. Foyer hémorragique qui détruisait profondé- ment la moitié postérieure du lobe pariétal gauche.
on des cellules de Betz. Le nombre des cellules altérées, relative- ment petits dans le lobule paracentral et dans la fron
ais, aux membres, les naevi-névrites sont aussi disposés parallèle- ment à l'axe du membre, comme nous allons le montrer.
as. VU. lVxvus fissuraire pigmentaire et verruqueux, suivant notam- ment la ligne médiane de la face et du cou, et se réfl
rfs symétriques innervant les tissus voisins ; elle est donc forcé- ment une ligne frontière de Voigt. D'autre part, les f
Dans ces conditions, nous comprenons très simplement le retentisse- ment d'un trouble sympathique embryonnaire sur la trop
t d'un mois. A la même époque, la menstruation s'établit régulière- ment , sans phénomènes dignes de note. A 18 ans, elle s
ment des rapports entre un corps vertébral et l'autre, et spéciale- ment entre la 3e et la 4° vertèbre lombaire, de façon
mbres inférieurs, les troubles de la sensibilité à type principale- ment radiculaire, le symptôme de Romberg, les parésies
ce est très bien conservée; la mobilité est un peu gênée mécanique- ment , les mouvements des doigts et des mains sont un p
e incontinence d'urine est apparue, qui s'est accusée considérable- ment depuis et qui était causée par un léger degré de
droite de l'axis, qui est en même temps tordue en bas ; le glisse- ment apparent de l'axis vers la droite ; l'atrophie de
atrièmes métatarsiens avec raréfaction osseuse.survenue insidieuse- ment , sans inflammation ni tuméfaction, et (peut-être)
ERG (2) a étudié très complètement une observation de Raccourcisse- ment symétrique du squelette du médius. Il s'agissait
(2) a vu chez une jeune fille de vingt-quatre ans un raccourcisse- ment symétrique des métacarpiens des médius ; la même
a tête et la moitié supérieure du corps transpirent très intensive- ment . Au mois d'août 1906, affaiblissement permanent d
sans s'aider d'une canne. Il se plaint d'une sensation de tiraille- ment et de crampe dans la jambe gauche et de douleurs
tion de brûlure). Les membres supérieurs présentent un affaiblisse- ment très prononcé. Le malade peut marcher, mais doit
laires vifs (le gauche plus faible); achilléens, abolis bilatérale- ment ; abdominaux, abolis bilatéralement ; crémastérie
- TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIERE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 461 L ment même les grandes articulations de hanches). Les d
ites, on ne peut pas se prononcer d'une manière certaine si ce pig- ment se trouve en dedans de ces cellules ou non. Souve
ostic de ces néoplasmes . Nous répétons que la question principale- ment traitée ici ,est celle des tumeurs extra-médullai
eau de la nuque et de l'occiput. Dans notre XXIE observation égale- ment ,les douleurs frappaient la région de l'occiput (t
meur médullaire, puisqu'elle comprime d'ordinaire une moitié seule- ment de la moelle. Pourtant le syndrome de Brown-Séqua
es inférieurs. Il est exceptionnel que ces douleurs soient stricte- ment localisées (Behn-Laquer), le plus souvent elles s
es fois la sclérose en plaqnes avec les paralysies d'un côté seule- ment . Dans un de ces cas la malade se plaignait de for
rtin. Schwartz, Schmidt et Schlesinger en ont décrit des cas égale- ment . En général cette question reste encore incertain
toutes les autres elles n'étaient qu'ébauchées, quelquefois unique- ment du côté de la tumeur dans une direction seulement
e la littérature, a relevé avant tout que, chez les gauchers égale- ment , la « moitié postérieure du gyrus temporalis supr
Virchow's Archiv, 1893, Bd. 132. (5) Rode, Bull, de la Soc. de méd. ment ., VI, 1891. 502 MINGAZZINI "- dans la répét
se que nous venons d'émettre, à savoir, que ce segment fait réelle- ment partie de la couronne rayonnante. Le faisceau sou
t beaucoup moindre et la paroi interne du ventricule est intégrale- ment conservée ; de même le trigone est parfaitement s
t et Sklarek attribuent cette malformation à un arrêt de développe- ment . Ils comparent l'absence de la commissure calleus
préférence dans la couche des cellules pyramidales. On note égale- ment un grand nombre de foyers hémorragiques minuscule
correspondant à leur âge réel, tout en étant d'une taille extrême- ment réduite. Les nains achondroplasiques, pottiques
as acceptable, car il est toujours très difficile de savoir exacte- ment par les parents de nos sujets l'état véritable de
toire cérébrale, on observe des retards ou des arrêts du développe- ment sexuel cependant que le déficit psychique présent
il paraîtra rationnel d'admettrequel'amoinflrissement du développe- ment somatique soit donné dans les microsomies uniform
res à l'époque radiographique, c'est-à-dire qu'elles ne nous infor- ment aucunement sur l'état de développement du squelet
umineuses ; son tissu cellulaire sous-cutané présente un développe- ment féminin ; son. pubis est cependant complètement g
uelques points comparable aux nôtres ; nous ne sommes pas complète- ment d'accord avec le Professeur romain dans son diagn
st d'ailleurs ui trop fine ni trop lisse et de coloration parfaite- ment normale ; les tissus sous-cutanés ne sont nulleme
ucune déviation du rachis ni dans le segment dorsal ni dans le seg- ment lombaire. La poitrine est bien développée ; les
me à se laisser piquer le doigt ; sur ce point il ne voulut absolu- ment pas céder. Examen radio graphique (PI. LXI, LXI
e ; successivement notre ménage eut une autre lille qui a actuelle- ment 6 mois, qui semble être normale, mais que nous n'
amen objectif. En regardant la photographie le lecteur pourra aisé- ment constater que notre patient représente un exemple
; la réduction de toutes les parties de son corps est si parfaite- ment harmonique et proportionnée que, en ignorant sa t
. Le larynx est parfaitement conformé, quoique petit, et est nette- ment différencié ; La voix est absolument normale et
es réflexes crémastériens sont vifs. Les érections se font normale- ment et fréquemment et le sujet a, avec sa femme, des
'autopsie il existait une sclérose des cordons postérieurs extrême- ment prononcée ; l'examen de la moelle, des racines et
Il garde sa forme générale. La diaphyse est brève, souvent légère- ment incurvée. La base et la partie adjacente du corps
d'une activité moindre, se calcifié précocement,. Le raccourcisse- ment préexiste à l'apparition des points d'ossificatio
it trapue et massive. Si parfois un os est plus court, c'est seule- ment d'un petit nombre de millimètres ; il n'y a pas u
sité même, n'explique rien. « Dire qu'il y a un arrêt de développe- ment ..., c'est constater un fait, ce n'est pas en donn
usceptibilité morbide du cartilage paraît pouvoir être héréditaire- ment transmissible, au même titre que la prédispositio
tive étant lésée, la croissance en longueur peut être considérable- ment gênée. Tous les chirurgiens modernes (4), le prof
iculier, insistent sur ce raccourcissement osseux après un décolle- ment épiphysaire. Mais ce raccourcissement, enseigne-t
sance d'un organe ; la prolifération cellulaire s'effectue normale- ment dans une enceinte trop étroite,mais l'organe comp
a tuberculose d'un métacarpien « laisse après elle un raccourcisse- ment réel et permanent de tout le doigt, sans modifica
Dic. Dechapnbre, art. Doigt, t. 30, p. 225. (3) L. D'ASTIS08, Rev, mens . des mal. de l'enfance, nov. 1901, t. 19, p. 493-
'hypothèse d'une ostéomyélite, d'une chondroépiphysite plus exacte- ment , pendant la vie intra-utérine, nous semble rendre
Success/ull laminectomy for spinal cord tumour. Journ. of nerv. and. ment . dis. 1903, Febr. Neurol. Zentralbl., 1903, p.
Small round cell sarcoma of the spinal colunuz. Journ. of. nerv. and. ment . dis., 1905, Sept. Neurol. Zentralbl., 1906. p.
en /or hypertrophical cervical pachymeningitis. ,Ioum. of nerv. and ment . dis., 1897, p. 567. Cramer (E.). - Uber multip
321. DERCUM. Thyroid melaslasis to tlte spine. Journ. of nerv. and ment . diss.. 33, 1906, p. 153 ; .fahresber. f. Neuro
ession of the spinal cord by an lzydatid cyst. Journ. of. nerv. and ment . dis., 24, 1897, p. 111. ME\DEL(K.) uvn AnLEn.
ree cases of tumour involving the spinal cord. Journ. of. nerv. and ment . dis., 1903, Nr. 11. PUT.X.1%1 AND Wirhen. The
De même, Wauters prétend que c'est sous l'influence du décourage- ment que le peintre se décida à quitter le réfectoire
pendymaire que par une sorte de pédicule. Ces plaques ont générale- ment la même structure que les plaques à distance que
atifiées parallèlement les unes aux .autres, rectilignes ou légère- ment sinueuses. Les noyaux névrogliques au milieu de c
nt plus que la substance cérébrale, à ce niveau est dense et forte- ment colorée ; de plus le tissu cérébral est infiltré
en presque totalité dans la zone sous-épendymaire et particulière- ment dans la gaine des vaisseaux, dans les cralnespéi-
faisceaux de fibrilles nerveuses de l'adventice sont aussi fréquem- ment envahis par les leucocytes ; ils présentent une i
e et que l'état réticulé qu'il présente n'est que le résultat pure- ment mécanique de la dissociation de ses fibres. Il se
en occupe environ la moitié inférieure. Ce faisceau paraît légère- ment atrophié bien qu'il se colore fortement par l'hém
ons entre le corps de Luys et le globe pallide sont exceptionnelle- ment faciles à suivre. La couronne rayonnante pariét
outefois, que quelques-uns de ses fascicules, situés plus latérale- ment , pénètrent encore dans l'intérieur de leur circon
xité temporale. Le faisceau arqué de Burdach se dessine plus nette- ment que dans les régions antérieures. On note une fus
cas d'agénésie du corps calleux, Oscar Vogt et Zingerle ont égale- ment suivi les fibres du cingulum jusque dans la paroi
ensemble, mais elle ne se colore fortement qu'au niveau de son seg- ment ventral ou inférieur.Elle entoure complètement la
ceau au système calleux et nous le désignerons désormais, conformé- ment à la nomenclature adoptée pour la description de
ue cette membrane double représente selon toute probabilité le seg- ment homolatéral involuté et partiellement invaginé de
ée en raison de sa faible coloration et que l'on voit passer lente- ment de la zone sous-épendymaire à la zone sous-cortic
ésions épendymaires sont susceptibles soit d'empêcher le développe- ment du corps calleux, soit d'entraîner sa disparition
ue ce sont les lésions ventriculaires qui ont empêché le développe- ment de la commissure calleuse. Certes, les traces d'u
ant ne guère laisser de traces. Toutefois, nous admettons parfaite- ment qu'il est d'autres facteurs qui peuvent détermine
, la commissure calleuse peut manquer, soit en partie, soit totale- ment , mais ce que nous ne croyons pas, c'est que le sy
et à vrai dire il devrait à lui seul suffire à trancher définitive- ment cette question, puisqu'il démontre qu'une commiss
atomie normale, parce qu'ils nous permettent de suivre plus facile- ment le trajet d'un bon nombre de faisceaux. Nous av
che dans ce cas d'agénésie avec une netteté égale à son enchevêtre- ment dans le cerveau sain. Les coupes frontales sont d
viner qu'il s'agit d'un nain si l'on ignore sa taille : c'est vrai- ment un petit homme, merveilleusement musclé, d'appare
La fonction sexuelle s'est manifestée chez nos deux sujets normale- ment et précocement et se maintient actuellement tout
ude radiographie du squelette que nous avons pratiqué systématique- ment chez tous nos sujets ; nous considérons en effet
examen comme essentiels pour le diagnostic différentiel, non seule- ment entre les différentes formes de nanisme, mais sur
n absolument normale, car dans tout cas d'ossification même légère- ment retardée, l'image de cet os n'apparaît pas sur le
e ces caractères (l'infantilisme non seulement ne sont pas extrême- ment développés, mais manquent tolalementcliez nossuje
enne de cette forme de nanisme total, on pourrait invoquer un argu- ment : nous avons nous-même fait remarquer, en effet,
jours comme problématique et juge leur conjugaison sexuelle fatale- ment stérile ; eh bien ! nos nains adultes étaient, sa
ues, lesrachitiques, lespotticlues, l'appareil génital est normale- ment développé, paraît même proportionnellement exagér
ien saisir les deux termes du problème que je vous expose en ce mo- ment , etc. » . - Nous voyons donc se traduire dans l
relativement un peu grosse, le cou un peu court, le ventre légère- ment proéminent, les membres un peu arrondis, le revêt
saud,les symptômes de dysthyroïdie devraient être chez lui extrême- ment prononcés. Eh bien ce n'en est pas le cas, et j
icrosomiecombinée à l'infantilisme ? Ou enfin l'arrêt du développe- ment ,qu iest à présenta peine à son début, s'arrêtera-
mprend plus rien, pousse des cris inarticulés, s'agite continuelle- ment , s'empare de tout, frappe n'importe où. Le gâtism
ideux, produit une impression profonde, justement par ce rapproche- ment imprévu . Les deux squelettes sont à peu près a
le charadrios (1 pl.), 92. WIKI (B ). Etude anatomique d'un monu- ment funéraire du xviii0 siècle, 704. ZANASI et FLAN
20 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
administra- tion chez l'homme malade, et cela plus particulière- ment au point.de vue de la dose à administrer, nous
nti- grammes ; on n'a jamais obtenu le sommeil; deux fois apaise- ment marqué des cris et du tapage. Nous retrouvons d
use du bavardage continuel se renouvelant chaque nuit. Le médica- ment a supprimé le parlottage peu à peu, mais n'a pas
te sédation musculaire se produire sous l'influence de ce médica- ment même administré à faible dose. Nous retrouvons
bord nié avec énergie, car un impulsif au feu qui avoue spontané- ment ne se rencontre guère ou s'empresse de retirer
our dispa- raître et reparaître encore. On comprend dès lors com- ment ces infortunés semblent jouir de la plénitude de
as renoncé à ce système de défense; sa conduite dans l'établisse- ment était d'ailleurs on ne peut plus correcte. Il se
guéri, et qu'il n'y avait pas lieu dès lors'de prolonger l'isole- ment . Mer... rendu à la liberté est venu me remercier.
d'obtenir l'aveu qu'à ces moments le besoin d'incendier la tour- mentait de nouveau, et la surveillance continue dont el
ains moments, s'opérait dans le cerveau de Vuil...; son empresse- ment à porter secours n'était pas non plus le fait d'u
sion irré- sistible à mettre le feu, qui semble jaillir spontané- ment du plus profond de l'inconscient. II. Dans un t
le, quel- que futile qu'il soit, ainsi que nous l'avons précédem- ment établi '. 1 Archives de Neurologie, t. X, n" 30
joie étrange de sa lugubre besogne. Il montrait quelque attache- ment pour son gardien habituel, le défendait quand il
le droit est d'une conformation un peu moins simple, principale- ment dans sa moitié postérieure. (Fig. 1 et 2.) ' Sc
lligence relativement développée. Ce malade n'était pas complète- ment idiot : il parlait, bien que d'une manière très i
r classe cette vésanie parmi les états secondaires d'affaiblisse- ment intellectuel expliquant ainsi la formation et la
les catatoniques de Kahlbaum 1. Ces délires aboutissent brusque- ment ou graduellement à la guérison. 4° La dernière fo
5 Pelman Allg. Zeitsch. /. Psych. Brui. XXXVII, p. 58 du Supplé- ment , 1882. ° Cuauck. Arch. f. Psych. B. XII, 1882,
pathologique du tabes; chacune de leurs parties peut être isolé- ment malade; il est, par conséquent, extrêmement proba
ébut tient à ce que la lésion se localise d'abord à tel ou tel seg- ment des faisceaux de Burdach. P. K.. II. CONTRIBUTI
la substance grise de la cavité encéphalo-médullaire, immédiate- ment en dehors du faisceau longitudinal postérieur. Il
nt, méthodiquement, franchissant une a une des étapes invariable- ment les mêmes et nous offrant, en quelque sorte le sp
t. Des diverses opinions qui viennent d'être tour à tour éloquem- ment exprimées, il résulte que la théorie du médecin d
nt et en arrière. Sur les côtés des salles, trois chambres d'isole- ment , pour chacune ; cette annexe est absolument indis
e pondération dausses mouvements, il subit un arrêt de développe- ment physique marqué, ne sait plus lutter pour l'exist
je necroispas que les expériences sur les animaux puissent seule- ment effleurer la théorie. M. Nissl en appelle à l'é
i deviennent dans l'esprit des magistrats des causes d'adoucisse- ment pénal, il peut le faire dans son rapport, mais pa
- rieures), mais lorsqu'on résèque une partie de l'écorce (notam- ment le gyrus sigmoïde), ou quand on excite le bout pé
n- tent des anomalies organiques, souvent elles ont un développe- ment prématuré, une physionomie génitale caractérisée
que par les parents et voisins'du sujet, et lui annonça franche- ment qu'il abandonnait l'aflaire, le priant que, pour
corail. La langue était bonne et de couleur normale, et suffisam- ment humectée par une salive peu abondante. Les narine
te maladie si singulière, la jeune fille ne commença pas brusque- ment et d'un seul coup à s'abstenir de nourriture. Car
oi- sins pour que la jeune fille fût transportée le plus commodé- ment possible dans, une litière, à la ville qui est à
ar l'ordre du premier des magistrats, après huit jours d'interne- ment ,, elle fut rendue à la liberté, et, se retrouvant
- ment,, elle fut rendue à la liberté, et, se retrouvant constam- ment , avec sa fille, elle ramena en elle par sa présen
nière restait continuellement dans le même état, on fut suffisam- ment convaincu qu'il n'y avait dans ce cas aucune.supe
froides lui couvraient le visage. lime dit qu'il désirait ardem- ment que je vinsse voir sa soeur, ce que je lui promis
ri- vées qui ont pu se commettre à la faveur, on peut dire hardi- ment avec la complicité de la loi de 1838 ? » Ces gr
d'urgence. Depuis un demi-siècle, le milieu social s'est profondé- ment modifié, la science a fait de grands progrès, l'e
ble de ne pas tenir compte. D'accord avec le Gouverne- SÉNAT. 139 ment sur bien des points, la commission, s'inspirant d
rd Shaftesbury, que l'Angleterre a eu le malheur de perdre récem- ment . Leur pouvoir, au point de vue de la surveillance
ten- tion du Sénat les volumes publiés récemment par le Gouverne- ment , et qui reproduisent les délibérations des deux C
plus, les magistrats et les tribunaux n'y avaient que très rare- ment recours. Il n'en est plus de même depuis un certa
vrir que pour l'aliéné dont la folie est dûment reconnue, et nulle- ment à des individus, prévenus et inculpés, qui peuven
n invoquant la loi, même lorsque la demande ou l'ordre d'interne- ment émane des magistrats; mais l'enquête faite par M.
du Code.pénal ou aux attentats à la liberté individuelle qui for- ment l'objet des articles 114 et 122du même code. L'or
indi- quer en ce moment. Le projet institue, dans chaque départe- ment , deux commissions différentes : d'abord la commis
Etat, vous pourrez intervenir dans le foyer domestique ? Evidem- ment non. Vous pourriez cependant éviter ainsi quelque
s ! Tout se passait, jusqu'à présent, dans un secret absolu. Com- ment voulez-vous, avec votre organisation nouvelle, qu
de veiller à la bonne gestion des intérêts financiers du départe- ment , de surveiller la gestion des directeurs et des é
autrui. Lui demandait-on de donner la main, il tirait invariable- ment la langue... » La première observation de Seppi
ments de l'écriture, dont le rôle est de contrôler le fonctionne- ment de la première. C'est par cette dernière mémoire
NERVEUSE. permettre à celui-ci de bien saisir et de juger saine- ment ces données périphériques; dans le second cas, le
r mémoire des mouvements de la parole a donc fonctionné correcte- ment , alors que leur mémoire des impulsions orales f
autrui, sans intelligence du sens de ces mots, il y a fonctionne- ment du centre de Broca, sans fonctionnement de la '
ion de la mé- moire des mouvements de l'écriture avec fonctionne- ment persistant de la mémoire des impulsions gra- ph
to... Faut-il considérer ces faits comme des exceptions ou seule- ment , de même que ceux du précédent tableau, comme des
bius (1879), dans un travail assez complet, insiste particulière- ment sur l'opposition remarquable des troubles graves
nent normalement. Les réflexes tendineux rotuliens sont complèle- ment abolis, des deux côtés. Il n'existe aucun trouble
hypochondriaqnes. %I. Westphal, tout en reconnaissant que générale- ment les mélancoliques s'accusent eux-mêmes, a observé
cution, basées sur des hallucinations multiples, léger affaiblisse- ment intellectuel ou celle de folie périodique. 1 KL
er- prétés dans le sens du délire qui surgit d'ailleurs spontané- ment et dont ils ne fournissent pas les éléments. De p
; their mecanism and their diagnostic bearing (Journal of uerv. and ment , diseases, 1881). LA PARANOÏA. 229 Citons enc
ique, néoplasme n'ayant atteint la glande pinéale que secondaire- ment ? Une recherche plus complète est de rigueur. P.
six semaines plus tard, strabisme; trois semaines encore, au mo- ment où l'état local semble satisfaisant, agitation, d
tendance atiï hémorrhagies, qu'il affaiblitpeut-être aussi directe- ment l'action du centre thermique et celle des centres
n cherche à lui assigner. Elle peut persister longtemps indéfini- ment avec les caractères qui lui sont propres. J'ai ob
une série d'excitations très courtes produites en passant seule- ment le verre rouge devant les yeux plusieurs fois des
pendante : la mélancolie anxieuse. Je puis dire qu'il n'est nulle- ment question d'attribuer au délire chronique ce qui n
sent une surface plane, une surface connexe, une surface légère- ment concave. Cela ne peut être obtenu très nettement
s rapports de l'encéphale et du crâne par ce procédé ? Voici com- ment M. Jensen y est arrivé. Il moule le crâne avec du
attachait la plus grande importance, à la pensée qu'un établisse- ment d'aliénés de 500 à 600 malades suffirait par cour
ts. Je n'examine pas les causes diverses auxquelles cet encombre- ment est dû. Je dois noter cependant que les termes de
arrivée à séparer les établissements en établissements de traite- ment , consacrés aux aliénés proprement dits qui sont s
rant que les établissements spéciaux seront consacrés « exclusive- ment aux maladies mentales », le Gouvernement s'était
cerveaux malades qui n'ont pas besoin d'être soumis à l'interne- ment et pour lesquels les asiles ne sont pas faits ; e
nous pouvons l'introduire dans la loi. Tout en donnant l'assenti- ment du Gouvernement aux deux premiers paragraphes de
ations à présenter pour répondre à M. le commissaire du Gouverne- ment . Je suis étonné qu'après avoir admis les deux p
para- graphes de l'article 1 ? il se refuse, au nom du Gouverne- ment , à accepter le troisième paragraphe. Quel est, en
ce n'est pas une obligation immédiate qu'elle impose au Gouverne- ment . Il est d'autant plus important de faire construi
réservant ces mots : «Ils sont exclusivement consacrés au traite- ment de l'aliénation mentale », et j'en donne une nouv
pté.) « Art. 3. Chaque département est tenu d'avoir un établisse- ment public destiné à recevoir les aliénés ou de trait
s'adresser à un « quartier d'hospice » à la place d'un établisse- ment privé était de nature à empirer plutôt qu'à améli
publics en.tout ce qui concerne la direction médicale, le traite- ment et la surveillance des aliénés. Cette partie du s
graves inconvénients, et je reconnais sans difficulté au Gouverne- ment le droit de créer un directeur provisoire. Ce d
ie prendra fin naturellement; ou bien, au contraire, le Gouverne- ment , si les propriétaires de rétablissement privé ne
mettre fin à une difficulté que les propriétaires auront véritable- ment tout avantage à trancher au plus tôt, car la régi
mentale, à moins qu'elles ne soient placées dans un local entière- ment sepai é. Ces établissements devront être, à cet e
nt sepai é. Ces établissements devront être, à cet effet, spéciale- ment autorisés par le Gouvernement, et seront soumis,
au- torisation du Gouvernement et sans avoir déposé un cautionne- ment ». Mais il n'y aura pas de disposition dans le pr
oumettent pas aux prescriptions établies par le règle- SÉNAT. 289 ment d'administration publique. Mais la commission n'a
exerce la surveillance sous sa responsabilité, il se trouve égale- ment dans les conditions en faveur desquelles on a pré
dire inapplicable, car quelle serait la sanction de l'accomplisse- ment de cette formalité ? Il n'y en a pas dans le proj
au- torisation du Gouvernement et sans avoir déposé uu cautionne- ment ... » Là. pas de difficulté, le texte est d'une
Le sujet est d'une importance pratique très grande, et non seule- ment les infirmiers d'asile, mais aussi les jeunes méd
- gentes ou les plus ardues. » Cette idée maîtresse, qui a égale- ment guidé l'éminent médecin-légiste dans la publicati
le des maladies nerveuses et mentales en Russie tient principale- ment à trois causes : l'hérédité, l'abus de l'a ! cool
les buveurs qui incapables, par les moyens ordinaires de traite- ment , de renoncer à leur habitude vicieuse, troublent,
- tion de cet établissement, à cause principalement d'un entasse- ment outré des malades, est des plus fâcheuses. IV.
s accès duraient ordinairement de 39 secondes à une minute, rare- ment de 5 à 12 minutes ( ? ). Le 24 août 1886 l'un d
dans le dortoir pour s'assurer que tous les malades étaient réelle- ment couchés, qu'il aurait dû s'assurer de visu des ac
grave et qui, comme vous le verrez, mérite d'attirer très sérieuse- ment votre attention. Un malade aliéné, Grand...''Ch
t nocturnes; il a, en outre, quelques accès ordinaires exclusive- ment nocturnes etse mord fréquemment la langue. Deux o
core rendue plus probable par ce fait que, parfois, quoique rare- ment , Grand... urinerait sous lui pendant les accès de
rte de connaissance, rigidité, convulsions du côté gauche sezcle- ment , ni stertor, ni écume, ni urination involontaire.
che, .il tombe lentement en arrière sans cri. La face est légère- ment congestionnée. Les secousses débutent par le bras
- sent dans la rue, le bruit des meubles qu'on déplace, le tinte- ment des cloches, etc., sont aussi perçus par lui et i
n pouvait alors s'expliquer cela par l'intégrité et le développe- ment de la mémoire des images écrites, qui suppléait e
oin d'articuler très nettement, lente- DE LA SURDITÉ VERBALE. 373 ment , syllabe par syllabe. Je lui pose ainsi diverses
parfois les mots entendus, à son grand étonnement, et à l'étonne- ment des.personnes présentes ; or, comme il ne peut, d
e nous pou- vons admettre six types de surdité verbale, suflisam- ment distincts tant au point de vue symptomatique qu
on note quelquefois, mais beaucoup moins accentuée, 'sur le tégu- ment des autres parties du corps. Elle consiste eu un
. Les fonctions de l'estomac sont toujours troublées et générale- ment beaucoup. L'appétit est perdu ou mauvais et le pa
s- sachussetts General Hospital, » qui, après six mois de traite- ment , sortit tout à fait bien portant et capable de re
portance et rendent à son auteur la justice qui lui est légitime- ment due. RECUEIL DE FAITS OBSERVATION DE SCLÉROSE
La première phalange des orteils, sauf pour le pouce, est légère- ment portée en extension. Pas de troubles vaso-moteurs
étendues dans le lit, une saillie considérable et sont durs absolu- ment comme du bois; d'ailleurs le malade ne peut reste
du palais et de la paroi postérieure du pharynx; elle est parfaite- ment intacte au niveau de la base delà langue et de l'
les Archives de Neurologie, 1885, nous avions tout particulière- ment insisté sur ce que la dégénération du faisceau py
avons traduit ces mots par folie de la chicane, bien qu'ils expri- ment de plus l'idée de plainte. Consulter aussi à ce s
mentale. Un autre élève de M. Magnan, M. Legrain', déclare nette- ment admettre que les,dégénérés peuvent être atteints
nt dite, ce n'est plus qu'une forme de délire systématisé simple- ment secondaire à des états maniaques ou surtout mélan
llement remplies de produits de dégénérescence; atrophie extrême- ment faible à son début, de la substance blanche latér
orps genouillé externe, ceux en particulier qui, situés inférieure- ment , sont peuplés de cellules de gros calibre, semble
tous les points où se trouvent des nerfs sectionnés transversale- ment , on aperçoit de courtes fibres ; là où passent de
dans le même sens qu'elles, ces fibres longues sont considérable- ment multipliées, mais elles sont chose normale et nep
de rares poils; la verge, du volume du petit doigt, est profondé- ment implantée au-dessous; le scrorum, très effacé, es
oit saillir de chaque côté un bourrelet cutané dont le rapproche- ment de la ligne médiane à mesure que la partie' moyen
donnant les apparences d'une vulve. Ici, en effet, c'est un rudi- ment de scrotum qui semble s'être formé tardivement po
fait remarquer par leurs allures rien moins qu'agréables, notable- ment par des évasions répétées nécessitant finalement
le de Friedrichsberg (Hambourg) me montre que l'on peut parfaite- ment séquestrer les criminels aliénés dans les asiles
lequel on veut transporter ces malades est-il un asile de traite- ment ou un asile-hospice. On ne saurait les confier à
e système fut pratiqué sur une large échelle; on n'y compte actuel- ment que deux sections fermées (une pour vingt femmes,
bourg pour quarante à cinquante malades. (Voir Balty Tuke Journ. of ment , science, oct. 1881.) Qu'en résulte-t-il ? TA
some misitoi, matte ? *s or 17zaiia- gement in asylums. Journ. of. ment , science, oct. 1883. Fr. Nee- dham. The open-do
ience, oct. 1883. Fr. Nee- dham. The open-door-system The journ of. ment . science. juill. 1881, janv. 4 882.) -A Koenigs
que les gardiens les plus appropriés qui sont appliqués au traite- ment des malades. Le public ne se montre pas hostile a
- ment des malades. Le public ne se montre pas hostile au traite- ment des malades en liberté; il est plus accoutumé aux
t dans les petits départements, comportent un effectif numérique- ment peu considérable. M. Georges Martin, sénateur de
a commission n'a pas fait de difficulté, pour donner au Gouverne- ment pleine satisfaction, d'insérer dans le texte même
infirmes ci-dessus désignés continueront à être réglées conformé- ment aux articles 45 et 46 de la présente loi. » Les
place après le paragraphe 2 cette disposition : Lorsque ce place- ment s'effectuera, les dépenses des malades ou infirme
faction plus complète aux préoccupations qui ont dicté l'amende- ment , en même temps qu'a celles que l'honorable M. Rog
- voquer un placement d'office. Cette solution ressort naturelle- ment des dispositions nouvelles qui caractérisent le p
lté. La surveillance est organisée; on peut ne pas être complète- ment d'accord avec la commission sur l'étendue de ce d
De même, en ce qui concerne une autre législation qui est égale- ment citée dans le rapport car tous les documents que
ôle dont le principe avait été posé par le Gouverne- 452 2 SÉNAT. ment . Je me bornerai donc à répondre à la question qui
3 Dans tous les cas, au bout d'un certain temps, cet être tendre- ment chéri d'abord devient une charge, une gêne, et de
à l'aliéné parce qu'il est presque toujours contraire à son traite- ment , est fâcheux pour la famille' elle-même, parce qu
et injecta alors un demi-drachme de liquide de Morton. Le traite- ment fut continué, avec quelques changements, pendant
tricht (hôpital Calvarienber), 80 malades.Medenib)ick (établisse- ment de l'Etat), 500 malades. Rosmalen (Condewaler), 5
21 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à droite, très prononcée à gauche. Les sourcils sont irrégulière- ment implantés, les poils peu nombreux au niveau de la
Sur tout le corps la peau est pâle, jaunâtre, cireuse, principale- ment à la face; elle est douce au toucher et n'offre p
ée. Pseudo-lipomes des aisselles et du cou. 24 . thérapeutique. ment a été commencé le 31 mai. Un demi-lobe de corps t
nce pour le mouvement a disparu; elle essaie de marcher spontané- ment ; elle titube souvent et pousse un petit cri chaq
ce et son adolescence nous ne possédons non plus aucun renseigne- ment précis. De 1877 à 1881, Delannoy est infirmier da
comme un homme ivre. Dans l'ataxie locomotrice il y a habituelle- ment disparition, du réflexe rotulien ; chez Delannoy,
nt à l'époque où il a eu lieu. Mais comment se rappeler un événe- ment dont' on n'a pas eu conscience et qui. par conséq
séquent n'a pu se ûxer dans le cerveau ? C'est impossible. Delannoy ment donc quand il prétend avoir agi inconsciemment,
ntes. En faisant varier la vis micrométrique, on constate facile- ment que toutes les parties du '^cylindraxe ainsi cont
rétrécies et effilées. Ces lésions indiquent déjà que non seule- ment le cylindraxe est flexueux et contourné, mais qu'
rtement colorés par le réactif du cylindraxe. Beaucoup plus rare- ment cet organe se présente comme un filet très grêle
défaut, le début de la lésion se faisant là par le fait dans l'élé- ment nerveux lui-même. Ces processus dégénératifs de
se tandis qu'au point de vue clinique, elle a évolué silencieuse- ment . Elle se rencontre dans les points où va se produ
et passant en revue les travaux sur la question, étudie successive- ment le symptôme incoordination et parésie motrice, le
paralytiques commencent à se dissiper, on électrise comparative- ment les parties corticales lésées et les points symét
L'auteur se propose d'attirer l'attention sur un mode de traite- ment qui n'a pas encore été généralement adopté dans l
dose, la température commence à s'élever, et elle tend graduelle- ment à se rapprocher de la normale. Après deux ou troi
imi- nuée alors même que la température se maintiendrait notable- ment au-dessous de la normale. Il convient de commen
r réapparition étaient indépendantes des interruptions de traite- ment . L'hémiatrophie n'a paru subir aucune modificatio
veux) subissent une atténuation marquée sous l'influence du traite- ment thyroïdien ; on est ainsi amené à se demander si
ces malades doivent naturellement être rattachés à un établisse- ment pénitencier. , Le Conseil provincial, à la suit
es suites, fut sérieusement atteinte, car il ne se souvient aucune- ment , ni du traumatisme lui-même, ni d'aucun des événe
ordinaire, est caractérisée par de l'engourdissement et du picote- ment à la main droite, surtout au pouce et à l'index;
devient ombrageux, soupçonneux ; idées de persécution : tendance à mentir , même alors que son intérêt manifeste est d'être
s membranes, on prélève, eu vue de l'examen histologique un frag- ment de la dure-mère, et on referme la plaie par la mé
ntal, le magistrat devrait pouvoir tenir au criminel le raisonne- ' ment suivant : « Votre état mental vous rend irrespons
tempérance et réunissent un total de 5,000, adhésions. Ce mouve- ment est suivi par les provinces voisines : Namur en c
p. - 1 ? 5. Vol. I. Février 1896. N° 2 ARCHIVES DE NEU CLINIQUE MENT ^ ? Asile CLINIQUE (SAINTE-ANNE . PROFESSEUR JOF
s ardu. D'autres fois encore il y a des lésions cérébrales telle- ment diffuses ou tellement profondes qu'on se demande
formé ses sensations lumineuses en hallucinations, ou plus juste- ment en illusions de la vue. M. Féré a rapporté de s
. , A l'oeil nu l'encéphale présentait seulement de l'épaississe- ment des méninges et de l'athérome artériel. L'examen
inés et étudiés. Il conclut d'ailleurs à la réalité de l'accroisse- ment du nombre des cas de folie en Irlande. - R. M. C.
a- quelle se meut un index relié à l'équipage mobile de l'instru- ment . Il permet de mesurer les courants alternatifs, l
électricité a marqué un très grand progrès en rendant plus facile- ment comparables des examens faits soit avec des sourc
n'est pas un criminel-né. Mais celles dont le caractère est pure- ment physique, se rencontrent fréquemment chez l'homme
i- minel que chez l'homme normal, et qui s'observent, respective- ment , d'une manière plus accusée dans certaines formes
utilisées en vue du diagnostic, de la classification et du traite- ment , et c'est alors que les anomalies purement physiq
tient pas à l'homme de se laisser guider. Van Hamel a dit juste- ment que le plus grand obstacle auquel se heurtent les
la place importante, prépondérante même qu'ils sont particulière- ment aptes à occuper. R. DE Musgrave CLAY. REVUE DE
ue ; mais il y a aussi des idiots et des imbéciles qui sont absolu- ment indifférents à la musique. Wildermuke a examiné c
cérébrales étendues, alors même que celles-ci ont plus profondé- ment atteint les facultés mentales plus complexes. »
d'eux-mêmes; il convient d'entrer dans quelques détails relative- ment au premier degré ; le premier degré est analogue
ns. Les mélancoliques, en état de dépression, ne jouent que rare- ment , et la musique ne leur fait d'ordinaire aucun pla
l'un des côtés les plus intéressants de la question ; malheureuse- ment l'auteur n'a pu observer qu'un nombre de cas asse
ire constater leur état d'aliénation et de curabilité, est étroite- ment liée aux formalités et coutumes, d'ailleurs assez
qu'aux cas purement idiopathiques de paralysie générale, et nulle- ment à ceux où l'alcool et la syphilis ont joué un rôl
toxiques (par exemple dans la névrite alcoolique), vient évidem- ment à l'appui de la théorie de l'auteur en indiquant
certains d'entre eux, peuvent être dus à un défaut de développe- ment proportionnel normal entre le système circulatoir
TICS CONVUL- siFS; par le Dr Remonchamps. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Bel- gique, mars 1895.) La malade qui fai
ur les délinquants irresponsables, mais qu'elle n'est pas suffisam- ment appliquée.) , .. , ) ..ut.. o. - » ! ! . L f z
rité à colloquer l'individu dans un asile; mais le met tout simple- ment à la disposition du préfet. Celui-ci peut faire c
en chef ne peuvent suffire à la-besogne'. Reste le troisième élé- ment du service médical de nos asiles : le corps des i
i assiste-t-on, surtout dans les asiles excentriques, à un mouve- ment continuel d'internes. On voit, par exemple, trois
au premier plan, aux dépens de la question capitale : le traite- ment des malades curables. Le cercle des attributions
rcu- laire du 20 mars 1857, portant envoi aux préfets d'un Règle- ment du service intérieur des asiles d'aliénés, le min
ment du service intérieur des asiles d'aliénés, le ministre com- mentait ainsi l'article 54 du Règlement ' : « J'appelle
malades, supportés par les familles, les communes ou le départe- ment . Le conseil adopte ces propositions et décide que
utres. Armentières (Nord). Le quartier comprend un corps de bâti- ment séparé pour recevoir 100 enfants (50 de chaque se
ul- tiple des nerfs périphériques doit s'accompagner d'un change- ment sensible dans la moelle épinière (etj'envisage ce
ë de la moelle épinière et du bulbe. On peut s'en assurer facile- ment en examinant les préparations microscopiques fait
ures dans un endroit frais. Au bout de ce temps on exprime forte- ment dans un petit linge préalablement stérilisé par i
e de porcelaine; mais sous faible pression et même a tout simple- ment filtré sur du papier ou du coton de verre convena
glycérine et eau salée. Les liquides ainsi préparés sont parfaite- ment aseptiques ; mais leur activité thérapeutique est
Le praticien que nous citons dit que l'on doit diviser le traite- ment en deux périodes : dans la première, qui comporte
Ils en sont tellement contents qu'ils décident, un peu prématuré- ment peut-être, de le reprendre à la fin du mois. No
glie, aux cellules nerveuses, aux fibres nerveuses; 2° clinique- ment , à la paralysie générale, à la folie alcoolique,
Si l'on recherche sur quelles preuves cette théorie du dédouble- ment de l'activitécérébrale peut être établie, on trou
contraction des muscles du pharynx donnant lieu à du gargouille- ment pharyngé ; les muscles du larynx participaient pl
ment pharyngé ; les muscles du larynx participaient plus légère- ment à cet état convulsif. Le côté droit de la face de
phiés. La pie-mère est ordinairement épaissie; elle est ordinaire- ment facile à détacher, 'mais quelquefois elle entrain
signification pathologique de premier ordre; elle est ordinaire- ment accompagnée d'autres symptômes de nature objectiv
uf le cas de lésion complicante. L'état des pupilles est ordinaire- ment modifié, mais aucun des changements qu'il présent
- époque et à un degré variables. La température reste ordinaire- ment au-dessus de la normale. Comme la perte primitive
avec rein plus ou moins contracté) est à cet égard particulière- ment démonstrative. Le coeur, si l'on prend la peine
me ventriculaire; il se propose en terminant d'indiquer sommaire- ment la nature histologique des petits corps que l'on
a- lion dans le traitement des maladies du système nerveux. Rare- ment on a vu des opinions'aussi contradictoires : les
e l'internat des hôpitaux. Mais ces deux internats ne sont nulle- ment comparables, et cette imitation trop fidèle n'a p
istes pour relever aux yeux de l'étranger la science et l'enseigne- ment de la psychiatrie auxquels elle a servi de bercea
ans; 3° L'épreuve écrite de trois heures devra porter, non seule- ment sur un sujet d'anatomie et de physiologie du syst
nt dans le même asile des services aigus et chroniques, dédouble- ment réclamé par Esquirol en 1817 et par le projet de
recueillir les documents nécessaires à la création d'un établisse- ment d'arriérés comme annexe de l'asile provincial de
e, de cordonnerie, de vannerie ; ils s'occupent égale- 254 VARIA. ment aux travaux agricoles et aux soins du ménage. Les
aire, mais reçoit en plus de la bière. L'auteur reproduit le règle- ment très détaillé de l'asile d'idiots de Dalldorf. (K
à prendre part au prochain concours en seront prévenus officielle- ment et recevront également les indications nécessaire
396. Vol. I. Avril 1896. N° 4. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENT DÉMENCE VÉSANIQDE, RAMOLLISSEMENT DU CERVELET
. Le noyau de la neuvième paire, à droite, n'est que très légère- ment atteint. Le faisceau respiratoire est complètemen
angage. Lenteur et affaiblisse- 270 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment intellectuels. Diminution considérable des forces
L'auteur débute par un historique, très succinct, mais suffisam- ment complet de la question, et il résume ainsi les do
Les troubles de la sensibilité générale n'ont été que trop rare- ment notés pour qu'on puisse arriver à une conclusion
n- dance des symptômes ci-dessus énumérés à s'améliorer spontané- ment pour récidiver ensuite. Enfin, l'auteur fait rema
consulté nombre de médecins de la région où il se trouvait, l'élé- ment psychique joue encore un état important, puisque
s ET épilepsie; par le Dr LUC.1RRELL1. (l3acll. de la Soe. de blés. ment , de Belgique, Mars 1895.) L'auteur dit avoir vu
) Un homme de- quarante-cinq ans a présenté un léger affaiblisse- ment moteur de tout le côté gauche avec ophtalmoplégie
de conjugaison dorsal droit comprimant la moelle par un prolonge- ment intra-rachidien. Dans les deux cas la lésion médu
L'auteur rapporte un intéressant procès qui s'est déroulé récem- ment dans l'Illinois : une femme demandait le divorce
E droit civil; par le D'' L. DERODE. (Bzlll. de la Soc. de Médecine Ment , de Belgique, décembre 1894.) On sait que, d'ap
maladie; elle peut être modifiée par la volonté ou par un traite- ment moral et soit comme vice, soit comme profession,
et trouble toute l'existence du malade ; elle entraine secondaire- ment toutes sortes d'idées et d'appréciations fausses.
térieur de la cellule. Portes solides, s'ouvrant en dehors, rapide- ment , et munies de plusieurs appareils de fermeture. D
nombre d'aliénés auxquels l'internement dans un asile n'est nulle- ment nécessaire et qu'ils recevraient tout aussi bien
Cet établissement, d'abord propriété privée, a été considérable- ment agrandi, consécutivement à la loi du 11 juillet 1
envoyés à l'hôpital de Potsdam. Il n'y a pas de chambres d'isole- ment ; les sujets agités sont transférés dans les asil
pour faire ressortir l'utilité pour le médecin de connaître exacte- ment ces troubles nerveux, si complexes, parfois si bi
Duchesne et par Robert, ces troubles nerveux ne furent sérieuse- ment étudiés qu'en 1866 par Erichsen. Depuis cette épo
ntrer en ligne de compte s'il s'agit de névroses traumatiques pure- ment fonctionnelles, dépendant d'une émotion morale ou
ère période. Les accès de folie furieuse ont fait place à l'écrase- ment d'une idiotie absolue. Le malheureux a perdu tout
élie. En parcourant la littérature de la question on peut facile- ment se convaincre que l'anatomie pathologique de l'oe
naire, quand le malade en question avait déjà la fièvre régulière- ment tous les soirs, on a noté que l'élévation de la t
s-nous, l'oedème est accompagné et même est précédé d'un abaisse- ment notable de la température locale. Ainsi dans un c
s été que légères et d'une très courte durée. Deux malades seule- ment atteintes simultanément l'une de fièvre thyphoïde
premiers jours de juillet, c'est-à-dire pendant un mois. A ce mo- ment la menstruation se produit pour la première fois
nt du crime devait être imputé à la suggestion hypnotique, notam- ment dans l'affaire Bompard, à Paris ; dans laffaire-C
pour que l'hypnotisé, devant une tierce personne, signe un testa- ment , un chèque, en requérant cette tierce personne de
DROIT civil; par le Dr L. DERODE. ("J} : <M. de la soc. de méd. ment , de Belgique, décembre 1894.) On sait que, d'ap
r la dénomination de paralysie générale comme désignant suffisam- ment un type clinique bien accusé ; mais en comparant
\ S ! rU'Ht ? t XXXHI. Recherches collectives EN H. T;E,DE maladies mentais ;; par Charles AIERCIEII. COLLECTIVES EN I. e DI
ine et de la responsabilité qui lui incombe par suite de l'éloigne- ment de la partie la plus saine et la plus vigoureuse.
tion de la question de folie ou non-folie se trouve donc actuelle- ment entre les mains du public, et si ceux qui sont en
- men microscopique. A ne considérer d'ailleurs que l'épaississe- ment des artères de la pie-mère et l'accroissement de
ation des arcs et d'une partie des corps vertébraux. Prolonge-, \ ) ment dans le canal rachidien et dans la gouttière vert
de conjugaison dorsal droit comprimant la moelle par un prolonge- ment intra-rachidien. Dans les deux cas la lésion médu
rps était très émacié; ce qui frappait, c'était le petit développe- ment de la poitrine et du tronc relativement à celui d
moins que celle des hanches. Le coeur était d'une grosseur légère- ment au-dessus de la moyenne, tandis que les poumons s
question, du centre à la périphérie, comme si les nuages se frag- mentaient ; l'accès a complètement cessé au bout d'une demi
che ; parésie avec hypoesthésie du trijumeau gauche ; affaiblisse- ment et diminution de la sensibilité dans les membres
re à peu près irrésistibles, puisqu'il est jeté dans la vie morale- ment dépouillé du sexe qu'il extériorise seulement, ay
e une maladie mentale « caractérisée par la tendance au dédouble- ment permanent et complet de la personnalité '. Le liv
les réveille ? - - Je serais assez curieux de voir un désenchante- ment , reprit le soldat, mais je voudrais que ce fût su
9. Sur quelques types de criminels au point de vue de leur traite- ment pénal. (Rapp. : Comité russe.) 10. Quelles sont
IQUE. pathologie nerveuse que nous devons à des travaux relative- ment plus anciens. - S'il existe une unité nerveuse,
423 qui se résume dans le bout périphérique de ce dernier. Seule- ment les deux lésions ne seront pas identiques. Le bou
i- sinage d'un neurone altéré et dont la fonction est si étroite- ment liée à la sienne ne peut pas rester indifférent p
lus ou moins longue échéance celle du téléneurone, ou réciproque- ment . Supposons, par exemple, un foyer cérébral sectio
énie. Les recherches que nous avons pu faire sur ce point confir- ment la manière de voir des auteurs qui ont établi que
ois : c'était le PREMIER PANARIS ANALGÉSIQUE. Sauf une tendance à mentir , B... n'a pas de mauvais instincts, il n'est ni
re inférieure sont fortement accentués. Bouche d'habitude légère- ment entr'ouverte, lèvres assez épaisses. Langue, amyg
le bassin tout entier sont notablement arrêtés dans leur développe- ment par rapport à la moitié supérieure du tronc. La
ue le bien du mal. Il est toutefois facile à entraîner à mal faire, ment quelquefois en classe pour évi- ter des réprima
inférieure persiste, et il en est de même de l'arrêt de développe- ment du reste du tronc (fig. 29). Les mesures suivante
, 52, 67, etc.). PARÉSO-ANALGESIE DES EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES. 468 ment , qui atteint les membres inférieurs, le droit plu
iode, de nombreux travaux. Elles ont d'abord été étudiées séparé- ment . Puis, divers auteurs ont soutenu que cette sépar
rescence que j'ai désignée, dans les coupes transverses successive- ment étagées du bulbe, sous le nom de vestige du cordo
Le cordon latéral des pyramides n'appartient donc pas exclusive- ment à la grande communication entre-croisée musculo-m
faisceau longitudinal postérieur. Les secondes se dirigent oblique- ment au milieu et en avant, pour se terminer dans la s
et le vestige du cordon antéro-latéral. Le premier est exclusive- ment un raccord centrifuge entre le cervelet et le bul
S21E des cellules nerveuses ; par E. LUGARO. (Riv. di pat. IW'V. et ment ., n° 1, 1896.) LXXXVII. SUR L'ANATOMIE microsco
AROLE CHEZ L'HOMME ; par le D1' E. PUSATERI. (Riv. de pat. nerv. et ment ., . n° 1, 1896.) LXXXVIII. SUR l'examen bacté
LE délire aigu; par le Dr Clemeute CADITTO. (RiV. di put. nerf. et ment ., ni 2, 1896.) Dans quelques cas, corresponda
u sur l'échange azoté; par le Dr BELMONDO. (Riv. di pat. nerv. et ment ., n° 2, 1896.) - XC. SUR l'anatomie MICROSCOPIQ
UES chez l'homme; par le D1' Domenico MIRTO. (Riv. di pat. nerv. et ment ., fasc. 2, 1896.) XCI. SUR LES rapports ANASTOM
DU vague; par ]esD ? R'IIRTO et PUSATERI. (Ii.i'U. di pat. nerv. et ment ., fasc. 2, 1896.) XCII. Observations CLINIQUE
antérieure aiguë; par le Dr Ezio LUISAD.1. (I,iv. di pal. 7zerv. et ment ., fasc. 3, 1896.) XCIII. SUR LES effets DE l'ex
YRO- DIENNES; par C. Vassale et F. GENERALI. (Riv. di 7at. nerv. et ment ., fasc. 3, 1896.) XCIV. Modification DE la mé
TUDE des centres nerveux; par le Dr G. MIRO. (Riv. di pat. nerf. et ment ., fasc. 3, 896.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
a- tomique. Pour le traitement, il semble démontré que le traite- ment antisyphilitique reste impuissant, et que l'affec
les des individus très vieux, et toutà fait normaux intellectuelle- ment . Beaucoup des vieillards qui versent dans la foli
hez les épileptiques; par l' le Dr AGOSTINI. (Riv. di pat. nerf. et ment ., fasc. 3, 1896.) , Le suc gastrique de l'épile
lapin, a une action toxique manifeste et donne lieu à un abaisse- ment de la température, de l'abattement psychique, de
caractère masculin ? Par suite l'inverti sexuel, qui congénitale- ment a des sentiments opposés à ceux de son sexe, a dû
raitement par les tablettes anglaises de corps thyroïde. Ce traite- ment parait avoir fait disparaître de pénibles paresth
i que des paralysies oculaires d'apparence nucléaire, du tremble- ment intentionnel, des troubles de la parole et des pu
cerque du quatrième ventricule chez une jeune fille. Il est évidem- ment moins grave de prendre une manifestation hystériq
l'alcool. Aussi le médecin aliéniste doit-il s'intéresser au mouve- ment de tempérance qui se manifeste, surtout grâce à l
vation. M. Grasset en publie les documents et parmi eux le juge- ment du tribunal qui accorda au malade des dommages-in
- aigue, par Wataenberg, 373. Buveurs. Interdiction et interne- ment des -, 408. Capillaires. Structure des - céré-
nmster, 359 ; par Kiernan, 359. DÉGÉNÉRESCENCES spinales . Com- ment débutent les -, par Klip- pel, 33. Déglutitio
22 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tif, l'épaississement de la paroi des vaisseaux plaidaient égale- ment pour une origine alcoolique ou syphilitique et il
alytiques. IV. Chez 22 autres on observe un aspect flou d'un seg- ment de la papille, soit externe, soit interne, soit i
ganisée, le ventre gangrené. C'est la conséquence de son avorte- ment , la punition de sa faute... Peu à peu l'anxiété
atteint de maladie du doute avec scrupule de toute espèce, notam- ment doute d'avoir pu frapper ou blesser quelqu'un mal
rent aux médecins thérapeutes d'utiliser désormais de façon vrai- ment scientifique les moyens physiques, non pas que la
e que la rééducation n'est, il faut le reconnaître, qu'un traite- ment symptomatique et que c'est à défaut de traitement
efficacité avant de pouvoir prendre rang comme méthode de traite- ment , or un pareil résultat n'a pas été obtenu sans ef
eux qui connaissaient bien l'éducation physique, avaient confusé- ment pressenti les idées qui représentent aujourd'hui
e heure combien pouvait devenir vaste le champ d'action nouvelle- ment découvert ; il montra la voie à ses élèves, formu
nctions dépendant des centres nerveux moteurs présentent normale- ment des localisations constantes, cette spécialisatio
trice. La rééducation, c'est-à-dire la méthode basée essentielle- ment sur ce double principe, pourrait alors être défin
inée. Mais il était logique de chercher à faire bénéficier égale- ment des procédés de rééducation d'autres affections d
ore que le fonctionnement de chaque muscle envisagé individuelle- ment , et ces notions, il est vrai, sont déjà intéressa
es mouvements qu'il veut rétablir : il lui faut connaître exacte- ment les effets de chaque contraction musculaire, le m
rices compromises, ou encore qu'elle ne représente que le traite- ment correctif de l'ataxie des tabétiques. Ces deux op
n mouve- ments essentiellement simples et correspondront directe- ment à l'action de chaque muscle ou chaque groupe musc
xercice, mais de plus un pareil code de rééducation serait forcé- ment faux et par conséquent dangereux, car il faut cho
uront pour raison d'être de forcer le malade à exécuter un mouve- ment volontaire précis, ils rendront donc des services
sance des contre-indications, car avant d'entreprendre un traite- ment long et difficile, encore faut-il s'assurer qu'il
lleurs d'une application facile, si on remarque que tout déplace- ment , tout mouvement même peut, à condition d'être fai
ses. Sans entrer ici dans l'étude détaillée des effets du traite- ment sur chacun des éléments de l'ataxie, on peut dire
appel, presque fatalement progressive et aboutissant nécessaire- ment à l'ataxie confirmée, aujourd'hui tous les neurol
qui s'étaient intéressés à cette question y avaient très générale- ment répondu par la négative. Les mutilations subies s
riences de transmission des mutilations sont insuffisantes, nulle- ment démonstratives et ne peuvent, jusqu'à nouvel avis
es, durent de un à huit jours pour disparaître également brusque- ment , tandis qu'à d'autres endroits d'autres surgissen
par tout le corps ou en quelques points, disparaissent complète- ment dans les endroits totalement' paralysés. Les réfl
les coupes dans l'eau ; 5° déshydratation par l'alcool progressive- ment concentré ; ainsi se produit la différenciation d
grise et de la substance blanche des coupes à l'origine uniformé- ment colorées ; 6° éclaircissement à l'essence de caje
nuer et le le, janvier 1901, elles avaient disparu presque totale- ment . Depuis ce moment, la mastication des aliments es
r une légère diminution de la fente palpebrale, un peu d'enfonce- ment du globe oculaire et du myosis bilatéral, mais pl
du moins affecter les bandes radiculaires comprises dans un seg- ment du tégument. M. Dejerine a toujours vu dans ce
bien, ont la vie facile et ne sont nulle- 100 SOCIÉTÉS SAVANTKS. ment préoccupés par les soucis de l'existence. Ceux qu
état, mais au contraire le lui révéler; en lui promettant formelle- ment qu'il pourra se guérir s'il se soigne résolument,
femmes, assez rares, qui ont une véritable barbe, d'aspect nette- ment masculin ; Je vous en fais passer plusieurs photo
si de la réaction de l'intelligence, et de la volonté contre l'élé- ment inné. Les causes qui concourent à la formation du
l'avènement des solidistes : puis les uns font dépendre le tempéra- ment du développement des organes et voient partout de
cussions auxquelles il les soumet témoignent d'un esprit véritable- ment scientifique. M. Malapert ne s'arrête pas à l'obs
Question de garde (séance du 7 décembre) i Diagnostic et traite- ment de l'occlusion intestinale. Questions restées dan
d, 14 ; Bour, 15 ; Haberchtaldt, 13. Le jury a proposé le classe- ment suivant : internes titulaires, MM. Dromard, 62 po
Lenot, cinquante ans, ouvrier maréchal. La maison a été entière- ment brûlée, ainsi que tout le mobilier qu'elle renfer
années de leur jeunesse des maladies nerveuses curables, 2 seule- ment manifestèrent des défectuosités nerveuses congéni
(t deux chez plusieurs membres d'une même famille (th., .0 ? )t. of ment . Science, il- d'oc- tobre 1897). Meyer. Contr
1900, 11- 14). W. Griffin, Cas de folie communiquée (The Journ. of ment . Science, janvier 1900). Meyer. Contribution
moins nécessaire à leur existence ; c'est la suggestibité de l'élé- ment réceptif. Cette suggestibilité dépend essentielle
dans certains délires systématisés, on voit arriver très rapide- ment les idées mégalomaniaques ou les réactions délira
rédisposé. Comme la prédisposition du sujet passif, un autre élé- ment , la continuité de la suggestion morbide du sujet
évo- luent par la suite, même une fois qu'il est séparé de l'élé- ment contagieux. C'est un aliéné au même titre que l
Le 8 janvier le certificat de quinzaine porte : Léger affaiblisse- ment intellectuel avec hallucinations et idées de pers
urs actes. Com- Nina Rodriguès. Loc. cil. 154 CLINIQUE MENTALE. ment , cependant, considérer comme responsables de leur
s idées d'homicide, qui la tourmentaient bien encore continuelle- ment , mais d'une façon moins intense. Puis, de nouveau
le éprouvait une envie irrésistible soit de le tuer avec un instru- ment , soit d'empoisonner ses aliments. Elle avait cons
ini parla guérison. Ce mode de terminaison se rencontre générale- ment . Nous verrons ultérieurement les opinions qu exis
de fourmillements dauslos bras, elle devenait anxieuse et finale- ment la crise éclatait. Elle se caractérisait par un
e treize années, trois épisodes morbides avec des troubles nette- ment distincts, qui se sont montrés à des époques vari
délire du toucher; pour lui, ce rapport intime existe nécessaire- ment et l'apparition du délire du toucher marque le dé
e. I. L'auteur fait remarquer que ce travail constitue le complé- ment de celui qu'il a fait paraître dans la Peuisclie
a rémission, la lassitude musculaire disparaît ou décroit énormé- ment ; la réaction anormale aux courants faradiques pe
) mais aussi chez les géants. C'est cet examen quia permis récem- ment à MM. Launois et Roy, en montrant l'agrandissemen
urent des idées de persécution, l'un d'entre eux devient véritable- ment dénient, un autre, quatre mois avant sa mort, eut
ni névrite segmentaire périaxile ; leurs lésions sont histologique- ment parlant d'ordre purement secondaire et dégénérati
tinct, à la manière des fourmis, des actes d'héroïsme et de dévoue- ment ». Plus tard, il sera possible de faire interveni
liorer ceux quilne concorderaient plus avec les nécessités du mo- ment . Pour ne pas faire entacher d'utilitarisme outré
3 février, à huit heures et demie, L'émotivité morbide : Le traite- ment psycho-lhérapique de lcz timidilé; par 11. le D'
vateurs et qui- aujourd'hui peut être considéré comme définitive- ment tranché. A part Ollier et Ledentu, qui au cours d
élan- colie aiguë avec tendance au suicide, qui disparut brusque- ment dès que la malade put se lever. Le diagnostic d
vier 1890). A partir de ce jour, la malade s'est sentie physique- ment affaiblie. En 1895-96, un train où elle se trou
1) Thoinot de l'Hôtel-Dieu. Les règles qui se produisaient au mo- ment de l'accident, furent suspendues, puis reprirent
ce. Il y a une quinzaine d'années était sujet à des « étourdisse- mens », « le sang lui montait à la tète et il devenait
ne peut donner aucun renseignement sur les causes de son interne- ment et les circonstances qui l'ont amené. Il ne se re
, etc. ». L'un des caractères qui se retrouve à peu près constam- ment chez tous et sur lequel, à notre avis, les auteur
ne l'avons observé que 7 fois, encore ne s'est-il montré franche- ment accusé que 4 fois. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE
sa crise. Dans les périodes d'analgésie, elle disparaît complète- ment . Est-ce là un trouble trophique ? C'est ce que no
édant seules à quelques cachets de quinine, tandis que ce médica- ment n'avait aucun effet sur la grande névralgie. Cett
api- dement aperçu que les hautes intensités n'étaient pas égale- ment bien supportées par tous les malades, quelque dou
t mis à appliquer l'électrode faciale hermétiquement sur le tégu- ment , il est impossible d'empêcher le courant de s'éco
la cathode, sans qu'il m'ait été possible de différencier nette- ment l'action prédominante de l'un des pôles. » Parm
E. 2oS Non, d'après Bergonié, qui, du reste, n'accorde au traite- ment électrique qu'une valeur palliative- Oui, d'après
in sur 4 cas de névralgie du type léger, nous noterons un traite- ment incomplet, une amélioration considérable et deux
gestes, la mimique etc., d'une personne donnée, de façon à finale- ment constituer l'histoire d'une période de sa vie, ai
a sensation amère et de la sensation salée diminue vraisemblable- ment graduellement à mesure que l'on passe de la sylvi
me d'un entonnoir à base externe ; le sommet communique générale- ment avec le ventricule latéral. L'absence de la dure-
s faits : que la crise laryngée est fréquente, qu'à l'état d'isole- ment , elle est rare; que, le plus habituellement, elle
morbides qui l'atteignent. La gravité de l'affection est naturelle- ment subordonnée à l'intensité de ces lésions et aussi
en ieu que secondairement pour commander la reprise du cliquote- ment lorsque toute cause d'irritation a disparu. Tout
u moins tendu et plus rapide ; la force dynamométrique a notable- ment augmenté ; l'état des réflexes est resté le même.
ensorielles différentes. Les impressions ne se fixent pas suffisam- ment pour faciliter la comparaison nécessaire ; l'atte
l'entrée on a constaté le phénomène suivant : En relevant forte- ment la plante du pied droit, on détermine un clonisme
ifférencier par- ces caractères objectifs du clonisme particulière- ment marqué qu'on constatait au même moment chez un hé
. M. Babinski ne pense pas que l'épilepsie spinale dénote fatale- ment une lésion pyramidale,.on la rencontre dans des i
ce traitement qui ne rétrocèdent pas. Tout en admettant entière- ment l'origine syphilitique du tabes, il doute de l'ef
prédisposé, le champ reste libre pour l'apparition et le développe- ment d'autres symptômes morbides. C'est donc une améli
de tous points erronée, à laquelle les faits donnent quotidienne- ment un formel démenti. Le psychothérapeute, au contra
dépression sont très accusées; son pessimisme est fait d'un senti- ment d'amertume ; sa misanthropie s'étend à sa personn
n mentale commença à disparaître progressivement [et alors seule- ment on a eu la possibilité d'examiner d'une manière p
par an, par suite de la présence d'un aumônier dans l'établisse- ment ; soit, pour 1901 : 314 BIBLIOGRAPHIE. occasi
s qu'on pourra dans des Instituts médico-pédagogiques 1 spéciale- ment organisés, dans lesquels les parents pourraient a
ille, nommé médecin-inspecteur du service des aliénés du départe- ment des Alpes-Maritimes, est maintenu dans ses foncti
a- tions qui survinrent pendant ces quatre années. « Au commence- ment de 1660, elle tomba dans une dangereuse maladie,
ré. 4° Elle s'accompagne d'angoisses morales, dues vraisemblable- ment à une légère altération des neurones corticaux pr
émotions. En août 1666 (trente-trois ans), elle tomba dangereuse- ment malade. Elle mourut le 1 ? avril 1684, vers 8 heu
aint- Denis. Au moment de quitter ses compagnes, « dans un mouve- ment de douleur et de tendresse qui me mettoit hors de
e dans une période d'irrégularité menstruelle, due vraisemblable- ment à la ménopause prochaine. Traitement. Commencé
Amélioration dès la 7° séance, qui a progressé, mais très lente- ment jusqu'à la 30°. Les périodes menstruelles d'avril
et seulement au moment des règles. Août : on continue le traite- ment ; du 6 au 10, douleurs d'intensité moyenne, les r
nous conseillons à la malade un mois à un mois et demi de traite- ment prophylactique. Juin'1901 : Les chaleurs sont m
is. A partir de mars les douleurs ont de nouveau presque entière- ment disparu. Oss. II. M ? B... vingt-six ans. Antéc
gles. Mais, si jeune fille, elle a eu quelques migraines excessive- ment légères, c'est depuis sa grossesse que la douleur
effet, la malade est prise de douleurs très violentes, avec gonfle- ment considérable de la parotide, de la sous-maxillair
fois aucune recrudescence des douleurs. 11 s'est produit unique- ment un léger gonflement de la sous-maxillaire qui n'a
sont rapprochées et à partir de ce moment les douleurs sont telle- ment violentes que le malade ne peut ni parler ni mang
n état de spasme intermittent qui donne l'impression du mâchonne- ment . Le sillon jugo-nasal se trouve très accentué e
très violentes, et la malade soumise à l'obscurité guérit rapide- ment de celte complication. Ces douleurs vagues se son
s. Élut actuel. Les trois branches du trijumeau paraissent égale- ment atteintes; il parait y avoir une légère prédomina
ouleurs faciales analogues, à celles qui la font souffrir actuelle- ment qui, cependant, n'ont pas été traitées, ces phéno
les douleurs ont complète- FIBROMATOSE-ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 359 ment cessé sur le sommet de la tête; seules les douleu
if. 6 mai. A la suite d'une série d'attaques la malade, profondé- ment cachectique, succombe le 6 mai. Autopsie. Epanc
dant que les uns sont fortement marqués, les autres sont simple- ment esquissés. - . Il faut considérer comme symptômes
D'ailleurs il existe nombre de faits très comparables, parfaite- ment admis en physiologie ou en pathologie, bien que l
ner une direction psychologique, et influer plus ou moins directe- ment sur la localisation unilatérale de l'hallucinatio
toire, déjà vieille de cinquante ans et qu'elle doit, sous peine de mentir à ses origines et se laisser devancer par de plus
et qu'à la suite on relève des phénomènes de fatigue et d'épuise- ment moteur. c. L'excitation motrice se traduit égal
bstance grise de la moelle dont les fonctions sont altérées, notam- ment au point de vue sensitif. M. Marie a vu de nomb
tellectuellement indéfinis paraissent pouvoir se fixer plus facile- ment dans la mémoire des aphasiques. Chez un sujet att
présentait pas d'incoordination, mais avançait ses jambes lente- ment en les traînant derrière lui comme s'il avait eu
ont retrouvé cette démarche avec traîne- '382 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment de jambes, chez un malade atteint d'hérédoafaxie
héréditaire (cas de Drestfeld, Polieus, Frend, etc.). Le développe- ment tardif des symptômes s'explique par les causes en
notre thèse où nous franchissons peut-être un peu trop délibéré- ment le pont qui relie les tics et les idées fixes. II
de vomissement, l'aérophagie, ceux de la respiration, le ronfle- ment , le reniflement, le soufflement, le sifflement, l
serve la manie rarement avant quinze ans et de plus en plus rare- mens après vingt-cinq ans. Il faut encore noter, entre
rédi- ' taire dans la paralysie générale est notée approximative- ment dans 75 p. 100, dans la mélancolie, dans 82 p. 10
quel le sujet se sent sans cesse comme sous la menace d'un événe- ment pénible et imminent, d'un malheur qui le guette e
du. Chez ceux-ci et à un moindre degré, mais d'une manière égale- ment certaine, des troubles remarquables, ruminations,
avaient tout à fait disparu et Mme M... est aujourd'hui complète- ment guérie. Mais si Freud a fait une remarque juste
i- lité, intelligence et volonté. Seule l'émotivité est profondé- ment troublée. Il semble donc que le siège de l'affect
ale. 10 juillet, 1897. Lalanne. Des états anxieux dans les maladies ment /des. Rapport au Congrès des aliénistes et neuro
id. 38,è. 'Néci,ologe (16 Pnrl-Roïal. 420 HISTOIRE ET CRITIQUE. ment un peu allier1 », était très charitable, craignai
'aller voir. Elle partit surlechamp pour Paris, et subit non seule- ment les suggestions de ce prêtre, mais celles de Jacq
ale. Il semble que cette maladie modifia complètement le tempéra- ment de Pierre Thomas du Fossé. En effet celui qui ava
t per- sonne à Port-Royal qui fut capable d'aller frapper bruyam- ment , la nuit, dans le but de lui faire peur, à la por
T CRITIQUE. Ici nous n'avons plus les mêmes raisons que précédem- ment pour repousser l'hypothèse d'un tour joué à un dé
ditaire et que ce qui est anormal dans le cours de ce développe- ment et jusqu'au moment de l'éclosion de ce même oeuf
. ' On comprend que les accoucheurs, qui affirmaient aussi nette- ment leur conception d'un foetus s'accommodant passive
les Antonius, les Carlovingiens, les Valois, les Bourbons. Récem- ment encore, les journaux nous apprenaient que la sult
constaté alors que chez le premier chien, les cellules du groupe- ment intermédiaire du noyau du sciatique étaient en ré
pendantes au début de toute gliose, peuvent susciter secondaire- ment une réaction névroglique prononcée. (Revue neurol
degrés : au premier degré la lacune n'est pas constituée à propre- ment parler, c'est la lacune miliaire (raréfaction du
employés par le médecin clu'avec une grande hésitation et seule- ment lorsqu'il s'y voit contraint et forcé. Il y a deu
surveillance générale; il faut donc que cette personne soit absolu- ment digne de confiance, que l'on puisse s'en rapporte
e magnésie et le liquide, chauffé après infiltration, reste absolu- ment clair. Quand on chauffe le liquide céphalo-rachid
alade. Ses yeux sont ouverts plus que d'ordinaire, le front légère- ment froncé, les sourcils soulevés, les mouvements mim
r les nombreux travaux effectués sur les ressources de l'établisse- ment et la situation de caisse envoyée récemment à M.
cette époque elle éprouva surtout quelques jours avant l'écoule- ment qui était régulier, et sans douleur, ni troubles
i- nition. C'est parce que M. Bernheim (de Nancy) a émis récem- ment , dans l'article auquel nous faisons allusion une
nutieuse des symptômes à prouver que l'hystérie simule grossière- ment , pour qui n'y regarde pas de près, mais qu'avec u
e de la réalité des rayons Roentgen est-il suggestionné ? Evidem- ment non. Il est persuadé ou convaincu. Pour être clai
cérébrales : le Centre 0 et le Polygone. Nous essaierons prochaine- ment de passer en revue cet ouvrage. 2 Voir P. Série
clinique est encore très favorable au point de vue de l'enseigne- ment ; elle permet, en effet, aux étudiants de fréquen
au-dessus du sol varie de 1 mètre à m. 50. A l'exception du bâti- ment principal, ils possèdent un toit en saillie dans
ce qui donne à ce pavillon le caractère d'un quartier de traite- ment en lui enlevant la physionomie d'un quartier cell
cacotide gauche l'augmente. Pas de 'souffle- oculaire, ni frémisse- ment , ni battement dans la région crânienne. M. Clém
teur des pupilles à l'accomodation et à la convergence, ou mouve- ment myotonique des pupilles ; par J. STHASBURGER. Du
ental selon que le trouble viscéral, fonctionnel, survient brusque- ment et dure peu (aphasie transitoire par simple indig
es gens pieux; à un degré supérieur, ces gens sont plus spéciale- ment favorisés de Dieu. Un pas de plus et Dieu leur pa
maladie en quelques heures. Au début : vertige, nausée, vomisse- ment , hoquet opiniâtre de longue durée, trouble de la
marche cérébelleuse avec tendance à tomber à droite. Rétrécisse- ment et réaction lente de la pupille gauche. Trouble o
la première séance de trois minutes, la patiente se déclara infini- ment mieux et étonnée à l'excès de voir presque tout s
st ainsi franchie. C'est progressivement, honnêtement, ho urgeoi.-e ment , sans jamais s'enivrer qu'on arrive ainsi à i é
L'auteur propose un questionnaire spécial qu'il détaille longue- ment pour l'examen anthropologique adapté au cas spéci
leur infériorité est l'absence de cet élément capital du développe- ment intellectuel : la formation du langage articulé e
IX. Le trop-surfait Wallis ne parait, au point de vue l'enseigne- ment des sourds-muets, que comme un vulgaire charlatan
ndus. - Revue des périodiques étrangers. Livres nouveaux. Abonne- ment , du 1"' janvier : Un an, Paris, 30 fr. ; départem
lam. 904. De la poudre miné- rale de 1'runececl : dans le traite- ment desartério-sc ! érosés. par Marchand, 288. Voir
Etats psychiques anormaux. Obser- vation d' survenant périodique- ment , par Kure, 361. Etudiant. Psychologie de l' - e
Moge, 278. - et fonction, par 111eye, 285. Les - et leur traite- ment , par Menuet Fondei, 394. T.I : VIa, Manie aiguë
23 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cool en particulier si fréquemment incriminé, n'agissent directe- ment sur la production des troubles cérébraux que dans
s cram- pes avaient été considérés comme des accidents exclusive- ment alcooliques. D'ailleurs, en présence de tels ma
sion des femmes, le second de la division des hommes. Leur loge- ment est situé dans le bâtiment principal, c'est-à-dir
connaissant à fond les malades et pouvant se remplacer mutuelle- ment sans que le service en souffre. Le remplacement d
ladie, la vieillesse, etc.; 4- que le nombre de décès est relative- ment élevé (paralysie générale, complications organiqu
mais l'enfant venu à terme était déjà déformé. Lors de l'accouche- ment , le placenta a paru normal; l'enfant a un peu dép
qui a trait à la mentalité de l'enfant, nous abordons immédiate- ment son examen somatique. Gustave se tient constamm
3. Les organes génitaux participent de la petitesse du développe- ment ; on perçoit deux testicules de la grosseur d'un
. On comprend que son accroissement ultérieur ait été singulière- ment entravé par les lésions existantes du système oss
elles semblent à leur tour négatives, le père ayant nié formelle- ment avoir été, soit en état d'ivresse, soit en état p
rtout s'il est seul ; quand on est près de lui. il se tait brusque- ment . Peau blanche, glabre; aucune cicatrice de vaccin
s degrés de l'escabeau. Caressant, gai, joueur. Pleure très rare- ment . Pas d'onanisme. Ni voleur, ni gourmand. Tenue gé
les bourses, du volume d'un haricot, prépuce recouvrant entière- ment le gland ; région anale normale. Parole amélior
v, z, j, r, ill, gu, bl. Tous ces sons, bien articulés au commence- ment ou dans le corps des mots, sont nuls lorsqu'ils f
is par an, de 1890 à 1902, montre qu'elle a toujours été notable- ment au-dessous de la moyenne. A la fin de 1902, elle
ter au milieu des foyers de myélite sans que les réactifs actuelle- ment en usage puissent les déceler. G. D. IV. Sur l'
2 fois des lobes occipitaux petits et 'arrêtés dans leur développe- ment ; enfin dans un cas il y avait des irrégularités
moteurs et des centres sensoriels, séparés; mais ils sont étroite- ment entremêlés et présentent les uns avec les autres
s- tence de cette collection on devra ouvrir le crâne indépendam- ment de la brèche mastoïdienne; malheureusement les si
La céphalalgie, les vomissements, les vertiges, la titubation, for- ment les symptômes fondamentaux des tumeurs cétébelleu
t qui peuvent être en même temps mises à profit pour leur traite- ment . Une première remarque est qu'un certain nombre d
IX racines. Sur cette hauteur, les altérations occupent successive- ment , de bas en haut, toute la colonne motrice latéral
vers le milieu du segment compris entre X et IX, puis successive- ment les parties externes et postéro-externe de cette
s pouvoirs publics dans les asiles-écoles privés existant actuelle- ment . Discussion du rapport « Etiologie et thérapeut
· Cet état mental, le plus fréquemment observé, semble ordinaire- ment appartenir à la neurasthénie psycho-génitale méla
uée à parler contre la vérité. Mais peut-on inférer de cela qu'elle mente vérita- blement ? Souvent il y a dans son cas u
personnalité. En dehors de ces faits l'hystérique peut réellement mentir , mais ordinairement ses mensonges relèvent de sa
elle est légèrement corrigée par sa mère qui la menace d'un châti- ment ultérieur et la renvoie à la recherche de l'argen
DIOTIE 107 Fig. 15. - Squelette de Deb... 108 RECUEIL DE FAITS. ment bornés à apprécier à vue d'oeil le degré d'atroph
de la base crânienne tel que le trou auditif A correspond exacte- ment au basion B (bord antérieur du trou occipital). O
nos chiffres il se dégage un fait absolument particulier. Relative- ment à leur épaisseur, la longueur des os est extrêmem
l s'agit unyuemeut le lepfonvuittgle, avec participation, sensible- ment égale, des deux membranes molles, arachnoïde et p
u niveau des tubes nerveux la dysgénésie ou l'arrêt de développe- ment si évident pour les cellules nerveuses. Scléros
antes s'offrent alors à notre observation; elles sont particulière- ment marquées à un demi centimètre environ de la papil
cellule nerveuse saine, mais en maint endroit, toute trace d'élé- ment noble a complètement disparu. Les logettes qui le
de diamètre l'article externe d'un cône, en 13 c'est vraisemblable- ment à un fragment de bâtonnetque l'on a affaire. D'
eaucoup moins épaisse, on y constate bien encore de l'épaississe- ment des parois artérielles et de la sclérose conjonct
e. L'examen clinique des urines qui sont peu abondantes et forte- ment colorées indique laprésence d'une petite quantité
L'état mental est celui d'un homme fortement affaibli, générale- ment euphorique, avec quelques préoccupations hypoclro
La substance cérébrale est le siège d'une inflammation relative- ment faible, les artérioles sont également altérées en
as de la parole, exagération des réflexes patellaires, affaiblisse- ment intellectuel et euphorie, syphilis ancienne. L'ex
uel. L'opinion formulée par les D9 Spratling et Weeks est absolu- ment conforme à la réalité. C'est parce qu'il se renda
a- gissent, sous le stimulus de l'élément du sérum, pathologique- ment : leurs fonctions, déjà altérées, s'éloignent de
fatigue. Il importe ici plus que partout ailleurs que le développe- ment intellectuel suive le développement physique et n
um. Neurasthénie à hypotension. Quatre petits repas, très modéré- ment copieux, viande, poissons, légumes, repos au gran
revêtiront la forme optimiste, et si cette forme est particulière- ment fréquente, c'est que la paralysie générale est or
l'association des idées. » De cette caenesthésie dépend le groupe- ment des phénomènes de mémoire qui constitue les impul
par rapport aux meurtres effectivement accomplis montre suffisam- ment avec quelle préméditation et quelle volonté le me
trente et quarante ans. Les statistiques de Broadmoor ne confir- ment pas cette manière de voir.-La folie puerpérale es
infanticides commis dans un délai de deux mois après l'accouche- ment , et à la folie de la lactation les crimes commis
ordre : dans ce nombre on compte seize filles-mères. On sait com- ment les choses se passent en pareil cas : l'enfant cr
ramènent le professeur à l'idée d'une tumeur en voie d'accroisse- ment . Cette tumeur serait une néoplasie maligne (sarco
Aspect ondulé persistant des racines médullaires après un affaisse- ment brusque de la colonne verlébrale. MM. Léui et M
corollaire dans presque tous les cas un retard dans le développe- ment du faisceau pyramidal. 4° C'est vers 5 ou 6 moi
à un pareil mal. Seul il ne pouvait s'empêcher de pleurer abondam- ment et il avait peine à se dominer et à retenir ses l
sque la seule vue de la montre éveillait chez la malade un senti- ment d'une grande peur. Dans le cas donné existait enc
toujours inégales sont très contractées. Les paupières sont légère- ment oedématiées. L'auscultation du coeur permet de co
que nous avons cru devoir rapporter son histoire qui a naturelle- ment sa place dans une discussion sur les tics. Somm
Le cuir chevelu glisse en arrière, le front se plisse transversale- ment et verticalement. Les paupières des deux côtés cl
temps que la tête s'incline vers l'une des épaules avec un mouve- ment de rotation, comme si elle voulait y essuyer sa j
et en haussant les épaules. Ces faits se reproduisaient journelle- ment . Ses tics ne se présentent pas toujours isolés
est excité, déprimé, stupide, confus, délirant, mais il est autre- ment intéressant défaire le diagnostic de cette excita
n spontanée ou provoquée : telles sont les stéréotypies du mouve- ment , certains tics, les différentes formes d'échokiné
239 tuberculeuses- dont tout le monde admet la fréquence ? Récem- ment encore, M. Armand-Delille a réalisé expérimentale
Il y a aussi, de la part de ceux qui devraient diriger l'enseigne- ment dans ces asiles, une résistance formidable à l'in
Les unes et les autres vous montreront les résultats progressive- ment obtenus. (Photographies collectives). · Idiotie
Peu à peu, avec une extrême lenteur, nous avons vu l'engourdisse- ment qui enveloppait notre malade se dissiper. 1899.
e refroidi les calmaient instantanément. Les rayons X sont égale- ment puissants comme sédatifs de certains états doulou
inq p. 100 des tabétiques guérissent d'une façon complète clinique- ment . Un nombre égal, 5 p. 100, subit au contraire une
n ou de guérison du tabes par le traitement hydrargyrique, récem- ment publiés, sont peu nombreux. D'autre part, nous sa
sensiblement le même chez les tabétiques qui ont subi un traite- ment mercuriel, et chez ceux qui n'en ont subi aucun.
ectrisatiori peuvent aussi êire dirigés sur les muscles insuffisam- ment nourris. Il va sans dire que cette thérapeutique
part. à un grand nombre d'actes fonctionnels; ils coopèrent notam- ment à la mastication et à la mimique. Aussi les tics
Ces résuliats nnt été obtenus en combinant l'ergogramme d'épuise- ment de Mosso avec l'ergograrnme de Maggiora, rythmé d
es contractions espacées (ergogramine de Maggiora) sont sensible- ment de même hauteur, chez les neurasthéniques myélast
ffectés d'atrophie névritique, les choses se passent très dillérem- ment et se rapprochent de ce qui a lieu à l'état norma
typique ayant débuté à dix-sept ans après une scarlatine (tremble- ment classique, nystagmus, parole scandée, exagération
rme, ainsi qu'il arrive dans t'anencéphatie, ce qui tient probable- ment à l'absence de compression de la tête sur le segm
délire des plus intenses, reposant unique- 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment sur des troubles cérébraux en tout point analogue
début de la paralysie générale ; mais il l'a observé très fréquem- ment à des périodes plus avancées de la maladie. Marce
sions de l'auteur. Dans le tabes le sexe masculin est plus fréquem- ment atteint dans la proportion 3 à 1. La syphilis peu
traordinaire pour son âge et sa mémoire la sert encore admirable- ment , mais pour excuser son fils, elle recourt volonti
prise ii son égard. rapport SUR l'état mental DU nommé D... 291 ment recommandé par son père, ami du colonel. Peu dégo
on de chemin de fer, soi-disant destinée à lui servir de cautionne- ment pour une place de garçon de recettes. En réalité,
Depuis son arrivée dans cet établissement, D... paraît véritable- ment atteint de troubles mentaux. A chaque instant il
ade U... reçoit quelques égratignures sans importance. Immédiate- ment il se croit gravement atteint : il veut faire app
ent un traitement et des soins spéciaux. La colonie est actuelle- ment habitée par 172 sujets, la maison de convalescenc
ppe- lée : Loi sur l'instruction élémentaire, votée par le Parle- ment en 1899, contient une clause qui limite à 15 le n
, et à 60, répartis entre 4 bâtiments, leur nombre par établisse- ment . Sans cette clause, des enfants seraient actuel
ent aux épileptiques) à trouver du plaisir à s'occuper régulière- ment , et à regagner la confiance, souvent perdue, en l
nt de maîtres on arrive à faire de grands progrès intellectuelle- ment et physiquement. L'essai qui a été fait à Chalfon
des épileptiques dans des colonies, car c'est un mode de traite- ment plus récent que le traitement dans les hôpitaux q
mal, et leur sommeil est peuplé de cauchemars en rapport apparem- ment avec les pénibles sensations organiques qu'ils re
'autres s'endorment vite, mais s'éveillent bientôt et ne se rendor- ment plus que très difficilement. A la première catégo
vent être entendus par les malades quand le phénomène du relâche- ment se passe dans les muscles de l'oreille moyenne. A
n rapport avec cette augmentation de poids existait un accroisse- ment de l'acide phosphorique et de l'azote dans les ur
- ploi comme sédatif (le bromure est dans ce dernier but communé- ment employé comme adjuvant). Les doses fractionnées n
heures, parait satisfaisant et reposant, quoique suivi éventuelle- ment de céphalalgie, d'une sensation de fatigue, de va
es dont l'état de la fonction cardio-vasculaire ne peut plus utile- ment ou même sans danger être sollicitée en vue de la
de la substance grise est le plus accentuée au niveau du renfle- ment cervical et lombaire. Elle y est tellement intens
d'une jeune fille atteinte d'une toux nerveuse, véritable rugisse- ment continu, commençant à sept heures du matin et s'a
'heure, par exemple, en avançant l'heure de la pendule, le rugisse- ment cessait à l'heure artificielle. La malade guérit
tilages épiphysaires étaient soudés, la taille a subi un accroisse- ment régulier et considérable. (Nombreuses radiographi
nie. M. Paul Masoln (Gheel). L'auteur a étudié tout particulière- ment les symptômes catatoniques dans la démence précoc
e d'elles ne dure que vingt-quatre heures. La malade a régulière- ment , depuis dix mois, une journée d'agitation et une
n, hypnotique ou à l'état de veille, n'est plus contestée actuelle- ment pour certaines maladies. Si quelques médecins ref
orel, Vogt et d'autres encore, il pense que l'essentiel du .traite- ment hypnotique est dans une hypnose profonde ; au déb
nt la narcose chloroformique. Mais le chloroforme est d'un manie- ment délicat : il comporte de multiples inconvénients,
ata, comme nous, une malformation anatomique empêchant l'allonge- ment de la langue; il remarqua, au niveau du frein, tr
e, nous constatâmes que, si l'enfant parvenait à amener spontané- ment la pointe de la langue hors de la bouche (ce qu'i
san- guine ou séreuse, ni commencement de reprise, ni bourgeonne- ment appréciable. A la différence près du tissu adipeu
entaille faite sur le cadavre. Le catgut était à peu près entière- ment résorbé. En ce temps, la malade ne manifestait ni
logique et anatomo-pathologique, des caractères- cliniques pure- ment objectifs psrmettent de reconnaître le spasme fac
logique, mais tandis que Lange n'a pas vu ou voulu voir le senti- ment spécial de plaisir ou de peine qui se surajoute a
Le D'' Dumas ne discute pas l'opinion de James, il s'est simple- ment borné à publier une traduction scrupuleuse de tou
née, orientée vers le midi et attenant au potager de l'établisse- ment , au delà duquel se trouve la pleine campagne. T
atteints de tuberculose, groupés actuelle- 406 ASILES D'ALIÉNÉS. ment dans le pavillon d'isolement sont au nombre de 47
ons à leurs familles, améliorés à la fois physiquement et morale- ment et pénétrés - à la suite du séjour dans ce quarti
e. La phase de préoccupations, de mélancolie, a été particulière- ment longue. Nombreux sont les exemples analogues mo
este- raient suffisamment encore que la démence n'est pas fatale- ment précoce dans la psychose catatonique dégénérative
quelques alcoolisés dans son ascendance; je n'ai aucun renseigne- ment précis à cet égard. Née en 1853, elle D'à jamais
lait sur elle ; doit être habillée, déshabillée, ne prend spontané- ment aucun aliment ; nourrie plusieurs fois à l'aide d
Les lésions papillaires constatées à l'ophtlialmoscope sont égale- ment distinctes à l'autopsie, et on différencie fort b
a moelle dorsale, ces zones sont complètement ou presque entière- ment dégénérées. A partir de la moelle sacrée jusqu'au
ovoïdes. On ne voit nulle fibre nerveuse. Cet arrêt de développe- ment cérébral est antérieur au 51 mois de la vie inlra
'élève de 25 et de 30 millimètres. Chez les sujets sains, le pince- ment douloureux de la peau provoque une hyperpression
sez épaisses, le faisceau périolivaire contient des libres extrême- ment fines, pauvres en myéline. M. Obersteiner fourn
oncule cérébral montre que comme l'a dit Mellus (Journal ofnerv.aud ment . disease, 1899), les fibres des pyramides desti
accadée et superficielle, la flexion des orteils et des doigts aug- mente . Hyperexcitabilité mécanique, faradique et galvan
la moelle. Néphrite double. Le pylore est le siège d'un rétrécisse- ment cicatriciel probablement consécutif à une gomme.
re les tractus optiques et le centre de la vision, on conçoit aisé- ment quetaprédominanoedessymptômesvisuets sur les symp
mait. Même pendant ses repas, il fallait le stimuler continuelle- ment pourqu'il ne s'endormit pas en mangeant. On ne co
et la catatonie; par le Dr P. Masoin. (Bitl. de la Soc. de zzaécd. ment , de Belgique- décembre 1902.) L'auteur s'est
s toxiques formées par les échanges nutritifs agissant non seule- ment sur le système nerveux, mais sur les muscles stri
ni à celui de leur distribution intérieure, ces défauts sont large- ment compensés par la propreté méticuleuse qui règne p
, où l'espace nous a paru parfois leur être un peu parcimonieuse- ment mesuré. Les moyens de traitement les plus usité
L'atelier de couture était, au moment de notre visite, provisoire- ment , installé dans la salle des fêtes. Signalons enfi
t à peine atténuée par la certitude, où l'on était, que l'enseigne- ment admirable du Professeur de la Salpêtrière avait s
les destinées à venir de leur commune, du progrès le plus ardem- ment souhaité, et le plus impatiemment attendu : l'add
e comprise par tous ceux qui verront et admit eront ce beau'monu- ment . Vous avez tenu à l'inaugurer à propos d'une ques
patience à une trop longue épreuve, après avoir rappelé succincte- ment ce que fut Charcot en tant que thérapeute, et com
'est rouverte et a laissé couler du pus. Elle est refermée au mo- ment de son entrée, et nous lui trouvons les caractère
eté spéciale, sa coloration brunâtre surtout accusée dans le seg- ment postérieur, et ce sillon longitudinal., assez pro
is- tendus par le sang, mais elles possèdent des parois suffisam- ment intactes. Les racines rachidiennes ne sont plus
ée comme précédemment. La substance grise est représentée simple- ment par quelques grandes cellules radiculaires, dissé
eux. E. Coupes au niveau de la 3 dorsale. La moelle n'a certaine- ment aucune lésion primitive. A signaler simplement :
on- dition extérieur ait changé, soit peut-être que le chuchotte- ment ne résulte que de la fatigue de l'organe vocal, s
e. En voici un autre : B..., malade du service, se promène lente- ment en tournoyant sur lui-même et lépétant d'un ton m
TALE. On peut remarquer que les mômes phrases reviennent constam- ment , que les mêmes mots sont employés. D'ailleurs son
périr. « Quelle vérole, avouez-le, docteur. Allons, un bon mouve- ment . Tenez, ce brouillard qui emporte mon virus .. (i
rurier. » Le caractère logique ou décousu du monologue est égale- ment important pour le pronostic. Le logique est surto
sion ne peut frapper que cette unitateraiité sans modifier autre- ment le trouble sensoriel lui-même, d'où la bilatérali
épiuastriqiie est attiré en arrière et forme un entonnoir au mn- ment de chaque inspiration, taudis qu'il bombe pendant
par \l. 13n ? md, les auteurs rapportent deux observations absolu- ment yn-rposables; dans chaque ca,, il s'agit d'un psa
ara- lysie générale du gouvernement de Smolensk n'est pas unique- ment représentée par des citadins et des gens cultivés
surveillance générale; il faut donc que cette personne soit absolu- ment digne de confiance, que l'on puisse s'en rapporte
tale, dont l'état permet, ne fût-ce que temporairement, le place- ment dans l'établissement ouvert. La clinique mental
dances obscènes, d'ailleurs,se rencontrent beaucoup plus fréquem- ment dans les asiles du côté des femmes que du côté de
sible de l'état mental. Les états oedémateux fréquents chez les dé- ment * ! précoces seraient-ils à rapprocher du myxoedèm
paît a un grand nombre d'actes fonctionnels : ils coopèrent notam- ment à la mastication et à la mimique : aussi les tics
1. La chéilopliagie est justiciable des mêmes procédés de traite- ment que toutes les habitudes intempestives. La survei
chorée musculaire, car il prend très facilement et très régulière- ment les objets les plus petits. C'est un exemple de c
lombaire, puis, dans la moelle cervicale, depuis le premier seg- ment dorsal jusqu'à la limite supérieure du quatrième
épara jamais l'une de ses études de l'autre. Et c'était là précisé- ment ce qui faisait son originalité, sa personnalité.
e Nissl et, par une étude critique, établissait ce qu'on peut vrai- ment lui demander ; il collaborait dans le « Traité de
ybaku/f, J1. Drames de l' -, la( 94. L' , accès de deliriuni Ire- mens , 383 La guerre l ? 381 Ai iénés. Aspects contem
es de névropathes, par Adler, 1 CI 1. Au7Hlcc Voit, Ramollisse- ment z Autistes. Voir Trac. 151LES d'aliénés. Nomi
Fibres. Un svstème de - peu con- nu situé à la périphérie du seg- ment antéro-latéral de la moelle cervicale, par Bech
niez et Philippe (CI.), 165. Mongoliens. Idiots -. Voir Traite- ment thyroïdien. Monstres encéimialiens. Contribu-
, par Leri et Vurpas. 275. Morpiiimstes. Voir Deliiu ? ? z Ire- mens . lloarumonawe. Auto - observation d'un médeci
ecte, par Van Gehuchlen, 333. NcuatsruHntE. La - et son traite- ment , par Romme, 153. De la sénile, par Gnmauri, 286
oedémateiix infantile*, obèses et ollrant un ai,iêt de développe- ment physique, par l3ouruuville. 347. TRAUU\TISSIf
loi de et discussion en coins s sur la structme et le fonctionne- ment des organes nerveux, par Durante, 530, WESTpm
24 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
ons décrits (1). La seconde catégorie comprend les idiots absolu- ment incurables, en beaucoup plus petit nombre qu'on
et au grand détriment des enfants éducables. Ces malades absolu- ment incurables sont au nombre de huit. II. Enfants
e). - Ces enfants fréquentent la petite école, confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 170 e
e tend à disparaître et l'enfant commence à répondre plus exacte- ment quand on lui parle. Il devient gai, chante et com
bien moins fréquents et ont fait place iL une attention relative- ment soutenue. Ces progrès remarquables, chez un tel
e instruc- tion primaire ont été acquises, l'âge et le développe- ment physique venant, les enfants passent iL la grande
école en septembre 1900. L'amélioration déjà obtenue a sensible- ment augmenté. Au point de vue intellectuel, il a fait
ntes. LXIX nombre variable, des cas de teigne dans cet établisse- ment . La suppléante, chargée du pavillon d'isolement,
on a chargé M. le D'' Sabouraud de faire une inspection parfaite- ment inutile dans la circonstance (12 août 1901). Si,
s enfants au nombre de 32, sauf 3 mises en observation à l'isole- ment , ont été soignées à la Fondation où nous les av
sation de cette réforme à laquelle vous avez donné votre assenti- ment . Avant de vous soumettre de nouveaux documents,
nts, il nous parait y avoir quelque utilité il rappeler sommaire- ment les premières étapes. Après nous être borné à s
l, d'un travail d'ensemble sur cette question qui intéresse vive- ment les médecins et pédagogues... au-delà de nos fron
ne édu- cation spéciale en raison de son infériorité comparative- ment à ses camarades. La conclusion de cette statistiq
ible de faire un adulte normal au point de vue mental, le traite- ment pédagogique sera plus compliqué que s'il s'agit d
e quel- ques notions d'arithmétique; en considérant cet enseigne- ment comme simplement complémentaire de l'éducation
, dès que l'instituteur découvre une anomalie dans le fonctionne- ment des sens, il doit soumettre l'enfant à l'examen
DIOTS. par l'emploi judicieux d'appareils spéciaux et l'enseigne- ment des arts mécaniques. Je parle, ajoute l'auteur, p
merce d'enfants affligés de cette terrible maladie peuvent hardi- ment demander il nouveau la discussion de leur cas d
. Leipzig. Comme on le voit c'est une oeuvre de véritable relève- ment . La ville de Brunswick signale également aux co
une sixième classe devra être créée; il en existe cinq actuelle- ment , le nomhre des enfants à un même instituteur ne
d'Anvers. Je pense que dans votre propagande, que j'espère vive- ment voir arriver à un résultat, il y aurait peut-être
il tire profit. Rappelons que la Famille, la Commune, le Départe- ment et enfin l'Etat ont l'impéiieux devoir de faire
en argent, délivrance des médicaments, on diminuerait l'encombre- ment des asiles, on maintiendrait les liens familiaux,
lucinations. Sentiments affectifs; impressionnabilité. Etourdisse ment *, céphalalgies, krouomanie, changements de colo
émis- sion la plus longue pendant l'année qui a précédé le place- ment . Chez les hémiplégiques : préciser le début et
ateurs, n'a pour ainsi dire pas le temps de s'exprimer intégrale- ment . De ce fait se produisent des articulations rap
son caractère avant de tomber. Elle paraissait calme. Immédiate- ment avant la chute, étant à l'école, elle dit à sa vo
t monter ici ? » Elle ne se souvenait de rien. Température au mo- ment du ronflement, : 37«, 6 ; un quart d'heure après
'I1.3,E. Nous avons noté tous les six mois, à peu près régulière- ment l'évolution de la puberté chez Rachel D... de 189
vres, surtout en haut, ceux des aisselles n'augmentent que lente- ment en abondance et en longueur. Les seins qui avai
lui est impossible de manifester la vérité. Avec ses camarades, il ment pour se donner de l'impor- tance ; il a tout vu
il a tout vu, tout fait, il renchérit sur tout; avec ses maîtres il ment encore pour se disculper d'une faute et pour se
amais, d'une surveillance rigoureuse, et nous constatons qu'A... ne ment pas cette fois. Il est en effet des choses qu'o
draient le faire engager, d'autres n'y tiennent pas. Malheureuse- ment A... est au courant de ces divergences, et il par
pré- senté de troubles mentaux, l'hérédité paternelle est forte- ment chargée, puisque nous relevons parmi les ascendan
eu un caractère doux, mais fourbe et sournois, menteuse, du reste a menti du jour où elle a parlé. - A été en classe de q
aga- bondage et dit au commissaire qu'on la battait chez elle. Elle ment sans cesse, dit à son père qu'elle va travaille
t demandé si elle ne « s'amusait pas toute seule ». « On dit que je mens , c'était forcé, bien sur on croira papa, qui voul
bien sur on croira papa, qui voulez-vous qui sache lequel des deux ment , il n'y avait pas de témoins ! » D'après le pèr
es proportions le muscle est l'agent du trouble trophique. Autre- ment dit quel rapport eiili-e les uaniitions osseuse
e défectueuse. Pour substituer aux à peu près des documents vrai- ment précis, nous avons demandé à l'un de nos ancien
ns variables. Il y a d'autres particularités (comme le développe- ment inégal des crêtes d'insertion tendineuse) que n
résultat' de l'activité musculaire et que son degré de développe- ment est proportionnel à cette activité, nous devons
affirmer que sur nos os les variations pilas triques sont égale- ment d'origine musculaire. (1) Variations morphologi
. ' 47 facile. La photographie le montre d'ailleurs assez claire- ment . Aussi voit-on sur la Planche II que la différenc
nes ou animales que l'os s'adapte aux fonctions du muscle. Autre- ment dit : si celui-ci tout en se développant trouve u
prochées que le développement musculaire est plus grand relative- ment au volume de l'os. Qu'un fémur fournisse une larg
phologie, à ce niveau dépend donc du volume des muscles relative- ment àla surface osseuse. Il est évident que nos fémur
ne plusgrande surface relativement à son volume phénomène éminem- ment favorable à l'insertion musculaire. Sans insister
ques. rai et simple. Normalement les membres offrent alternative- ment un appui de môme durée. Dans la paralysie, le cor
iplégiques. aussi nécessaire. La première ne peut produire isolé- ment qu'un faux génu-valgum, (;'est-il-dire une déviat
t insuf- fisante (faiblesse musculaire relativement au développe- ment osseux clans le cas du géant, paralysie dans nos
r des os ; 2° La méthode il employer pour mesurer les os directe- ment ; 3° Le procédé il suivre pour avoir sur le viv
trochanter. Ces longueurs ne peuvent être employées indistincte- ment et sont d'inégale importance. A notre point de vu
nsité. Les rugosités atteignent, dans certains cas, un développe- ment considérable en un point où les fibres du grand p
u'il se forme une face externe très étendue par suite du déplace- ment du bord externe de la gouttière et de sa saillie
te et durant deux heures (états de mal); tics multiples; balance- ment du tronc, etc., cognements de tête, bave, grincem
e moins d'une minute et en a ri. Pas d'envies de boire. accouche- ment trois semaines avant terme, naturel, sans chlorof
a que depuis 11 mois qu'il a commencé à dormir un peu régulière- ment ; auparavant, il dormait une heure ou deux, criai
marche. 29 août. - L'enfant se tient bien seul et marche facile- ment , s'il est tenu par la main. 5 décembre. - Vacci
tement. 17 mat. - Guérison de la teigne. - On continue le traite- ment . t. iS9't.- Januiea. - Puberté : léger duvet su
ort. 10t Juillet. - L'enfant maigrit énormément, quoiqu'il s'ali- mente bien. Souvent il jette des cris perçants, prolong
ILLE. par une urine limpide, claire, d'odeur ammoniacale, légère- ment alcaline. Elle contient 5 gr. 85 d'urée par litre
ans l'enfance, produit la même symptomatologie que le ramollisse- ment chez l'adulte ou le vieillard. VI. - Folie de
rien de notable. - Rougeole vers deux ans et,deini. Consècutivér ment , troubles de la parole qui, de distincte auparava
uatorze ans écolage souvent interrompu par un état d'affaiblisse- ment attribué par les parents à la mauvaise hygiène de
r les grands-parenls tant paternels que maternels, on sait seule- ment qu'ils sont morts aussi très âgés. Pas de renseig
que la malade continue à parler seule, et il rechercher l'isole- ment . Elle a des alternatives de galle et de tristesse
on poids a augmenté de 12 kgr. et sa taille de 1 cm. Même traite- ment , douches, bains, etc. Les règles sont venues régu
com- pagnes. Après beaucoup d'insistance, elle a lu très couram- ment une quinzaine de lignes. Elle a pleuré ensuite et
Sylvius est profonde, son extrémité postérieure s'arrête brusque- ment sans se bifurquer; son rameau antérieur d'abord s
. La tête de la circonvolution est très volumineuse et excessive- ment compliquée par plusieurs sillons anormaux. La cir
ort d'un can- cer de l'estomac. La grand'mère paternelle a égale- ment succombé à la même maladie. Sa mère est décodée
relevé une ascension à 38°,2 le soir du 16 février et un abaisse- ment matitudinal à 36°,8 et 36°, 6 du 24 mars au 14 av
ure de 35°,3. VI. La tuberculose n'a point paru envahir sérieuse- ment les poumons. L'auscultation et la percussion ont
tales sont bien dessinées. La scissure parallèle sépare complète- ment la première temporale de la seconde. La deuxième
n la fit jouer, mais ne jouait pas spontanément. Elle était vive- ment impressionnée par les sons musicaux : un air gai
par accès. «Elle avait comme peur, criait, se retournait brusque- ment et ne se calmait que quand je la prenais dans mes
- rieure de la pariétale supérieure et (dans la profondeur seule- ment ) la partie antérieure de la P A. Le moulage nou
Le rein droit est également ferme ; il se décortique plus facile- ment que le gauche. L'appareil génital est normal. C
t ni irré- gulières, ni déchiquetées, mais au contraire parfaite- ment lisses, arrondies. L'orifice do communication a
om- plètes. A partir du 26 novembre l'agitation tend progressive- ment il disparaître, les périodes de tranquillité sont
tant de sourire quand on lui cause; elle semble, de plus, légère- ment confuse ; elle prétend le lendemain ne pas se rap
doit subvenir avec le prix de journée qu'elle reçoit du départe- ment . En ce qui concerne le crédit pour les Bibliothèq
émentaires in.2'1.) Sous-chapitre III. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in
aires - (p. 28.) Sous-chapitre XXXIII. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in
entaires (p. 28.) Sous-chapitre XXXIV. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in
entaires (p. 28.) Sous-chapitre XXXIV. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèques des écoles d'i
mentaires (p. 28.) Sous-chapitre XXXV. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in
entaires (p. 28.) Sous-chapitre XXXIX. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in
émentaires (p 2f.) Sous-chapitre XXIV. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in
mentaires (p. 26.) Sous-chapitre XXIV. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque' des écoles d'i
mentaires (p. 26.) Sous-chapitre XXIV. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in
ntaires (p. 26.) 1 Sous-chapitre XXIV. Subvention du départe- ment de la Seine pour bi- bliothèque des écoles d'in
25 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
visoire- Arciiives, 21 série, t. XI. ' ' '1 1 2 REVUE CRITIQUE. ment , on doit songer, dans l'ataxie, à une lésion des
e par là que pour l'exécution correcte des mouvements, non seule- ment les sensations cutanées et celles des parties pro
supprimées par l'occlusion des yeux, l'ataxie deviendra naturelle- ment plus manifeste. Certaines anesthésies, au sens ét
i servent aux fonctions de la sensibilité consciente. Anatomique- ment , les nerfs sensitifs ont subi la même lésion dégé
grise possède, relativementet absolument, le plus grand développe- ment , c'est-à-dire dans la moelle lombaire, inversemen
un des médecins de la clinique, prévenu par télégramme ou autre- ment , qu'un individu vient d'être pris de troubles int
est nécessaire, ajoute Kraepelin, d'avoir deux pavillons de traite- ment distincts : l'un pour les malades calmes, l'autre
la suppression des moyens de contention (non-restreint), le traite- ment en liberté (open-door) et la colonisation parmi l
cette question, il est utile cependant d'indiquer brièvement com- ment et pourquoi on pratique l'alitement depuis près d
déjà un grand nombre de ces images, très utiles pour l'enseigne- ment . · « La méthode stéréoscopique est excellente,
rythme, les paroles et les cris d'un aliéné en délire. Non seule- ment on peut par ce moyen étudier en tous temps les pa
eillante en chef sont en général placés dans le pavillon de traite- ment ou dans le quartier des agités. Dans plusieurs ét
moscope, névrite optique double, plus accusée à gauche, tremble- ment de la langue et des lèvres, articulation des mots
vomissements auraient dû persister ; leur disparition est un élé- ment de doute. Parmi les symptômes localisateurs les
pports enlève à l'esprit toute décision et toute précision de juge- ment . De pareilles habitudes sont psychologiquement an
celui qui la possède ou qu'elle possède en deçà de la ligne forcé- ment arbitraire qui sépare la folie de la raison. Le
souvenir que dans la guérison de ces malades, le temps est un élé- ment indispensable : il en faut beaucoup avant d'obten
E. VII. Un cas de concussion du cerveau simulant le delirium tre- mens ; par J.-R. Ambler. (The Journal of 31ental Scien
térieur que l'imperfection de leur vision est due à un affaiblisse- ment temporaire des muscles de l'accommodation. Kahi
vec la folie épileptique, puisqu'ils ne se rattachent qu'indirecte- ment à la syphilis. - III. Folie métasyphilitique (p
laire, sont associées chez les métazoaires à des éléments spéciale- ment développés qui constituent le système nerveux (mé
t; 11° L'évolution du langage, en tant qu'instrument de renforce- ment des activités psychiques (lesquelles, toutefois,
; 14° Avec la puberté, naissent et se développent, considérable- ment et rapidement (comme les organes qui se rattachen
Dans 2 cas de lèpre, les altérations de la moelle étaient évidem- ment de nature exogène, se rapprochant de celles du ta
être certain que les réflexes n'étaient pas supprimés temporaire- ment par une lésion périphérique susceptible de guéris
décelant seul la perturbation du système pyramidal, qui, autre-. ment , aurait passé inaperçue. A côté de ce premier g
qu'on voit souvent dans toute myélite aiguë, c'est le ramollisse- ment hémorragique : lésion qui est la conséquence des
a été mise en lumière par Pierre Marie, duquel j'accepte pleine- ment les idées à ce sujet. La nature infectieuse et to
myélites aiguës admises par Pierre Marie est démontrée actuelle- ment par les examens anatomo-pathologiclues, par les r
iété d'oedème névropathique encore peu connue et qui a été récem- ment isolée par M. H. Meige. Il montre les photographi
ion rénale, en ce qui touche le fonctionne- SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 ment du glomérule. On sait, en effet, que par le glomé
de profondes altérations des cellules ganglionnaires, et précisé- ment celles-ci sont au contraire d'une importance mini
raitre par suggestion. M. Gilles de la Tourette a soutenu récem- ment que l'ulcère rond de l'estomac était presque touj
u- meaux au point de vue de la psycho-pathologie sont-elles vrai- ment extraordinaires et devons-nous nous en étonner ?
devient inerte et un peu bestiale, elle urine souvent involontaire- ment au lit. Bref la démence s'installe progressivemen
ericca o centrale dei loro ]Jrolongamenlo. .Riv. di patol. nerv. e. ment ., 1896. .. l ? #......# i .# . .... t '1' - \
nt jusqu'ici habituées n'ont cessé de prédominer que progressive- ment , si bien que les cellules ont eu le temps de s'ad
ganglions d'Andersch et de Gasser étaient altérées histologique- ment . Où débutent pour Klippel les lésions du tabes ?
Preuves ethnologiques. - Dans les races humaines intellectuelle- ment inférieures, les lobes occipitaux sont petits.
catégorie la plus déshéritée qui présente le plus faible développe- ment occipital. Tout le monde sait que les idiots se f
sions fermes, mais les faits ont été simplement notés et sommaire- ment groupés. Un autre élément d'ailleurs aurait manqu
die mentale où les altérations dont il s'agit ont été particulière- ment constantes est la démence secondaire. Il est, en
filament primitif qui regarde extérieurement devient le prolonge- ment supérieur de la cellule ; celui-ci est donc le pl
oup (jue les diverses régions de l'écorce se développent simultané- ment . Au moment où l'on constate les germes évidents d
; on peut observer une arythmie grave du coeur. 5° Le ralentisse- ment et l'arythmie sont surtout accentués si les vague
dégénérations vasculaires, cardiaques ou rénales. Il est générale- ment possible de découvrir l'existence de ces dernière
Dans l'hémiplégie hystérique, la paralysie faciale est excessive- ment rare : ce qu'on voit d'habitude, c'est une pseudo
), soit comme première manifestation de la névrose (8 fois seule- ment sur il cas). < L'hérédité nerveuse remplit t
e respiratoire purement névropathique qui sera prolongé indéfini- ment par l'obsession. r, Séance de clôture, jeudi 9
a période de démolition du délire, l'aliéné expliquait raisonnable- ment ses hallucinations. M. SÉGLAS ne peut formuler
se. Il cite deux cas de syphilis tertiaire, rebelles à tout traite- ment , qui ont été guéris en peu de temps. En ce qui co
que les expertises en matière d'aliénation mentale soient unique- ment confiées à des aliénistes. M. Bnrwn, tout en ad
avons étudiés en détail. Le noyau se divise lui-même amitosique- ment , soit par étranglement, soit par fissuration. 'Ce
On voit donc que la physiologie et la psychologie sont parfaite- ment d'accord et l'on comprendra que la suggestion hyp
Nous demeurons convaincus que tous les praticiens, particulière- ment ceux qui de la campagne, n'entreprendront pas une
a paralysie qu'il a observée chez ses deux fils ressemblait absolu- ment à ce'qu'il avait éprouvé lui' même. La.' mère est
l'infirmerie parce qu'il boitait : cette infirmité, qui a complète- ment disparu après cette période de repos, était la co
instruction rudimentaire, le malade lit à peine et signe difficile- ment son nom. La langue est bonne, non tremblante. L
berg. Force musculaire conservée aux membres supérieurs et égale- ment aux membres inférieurs. G... (Jean) prétend pourt
' ' Revue de Médecine, 183fui. MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. zou ment successif des divers segments des membres inférie
Xeurol., 1895, p. 81. 1. ' Ed. \illy Taylor. Jourct. of Xerv. and ment ., clis., sept. et oct. 1898. ' 9tner. Jourca. o
ot. était très nerveuse : quarante-huit heures après un accouche- ment , elle fut frappée de paralysie périodique des qua
" Les renseignements que nous venons de donner s'appliquent seule- ment à l'Université de Uerlin. Dans les autres' Univer
s quatre ou cinq semestres consacrés aux études cliniques propre- ment dites, l'étudiant, dit M. Schultze, doit apprendr
rquer que sous la,rubrique.«, étrangers ». sont comptais non seule- ment les étudiants de nationalité étrangère, mais enco
11'urzbour où les conditions d'admission se rapprochent sensible- ment de celles édictées par la : loi française, de.183
Si, après cette longue enquête sur l'organisation de l'enseigne- ment de la psychiatrie en Allemagne, nous examinons le
ue. P. Sérieux et FARNAROER. Travail et alitement dans le traite- ment des maladies mentales. Arch. neurol., (léc. 1889.
donnent de très bons résultats ; le médicament est employé utile- ment comme sédatif dans toutes les formes de folie chr
llamcr.. VI. L'hédonal; par J. Clans. (Biill. de la Soc. de 772él. ment . de l3elgique, juin 1900.) L'hédonal est un d
hypertrophiée de la glande pituitaire, dont elle forme probable- ment une partie. Le corps thyroïde et le thymus ne pré
ces désordres qui, sans altération organique grave, sont communé- ment associés à la neurasthénie. Au premier rang de ce
u de la onzième dorsale. Les membres inférieurs étaient complète- ment paralysés et on n'y remarquait pas de mouvements
t admis que les nerfs sensitifs passent du côté opposé immédiate- ment après leur entrée dans la moelle, en sorte qu'ici
ussi des altérations articulaires et osseuses, ayant vraisemblable- ment pour origine des troubles trophiques : ces altéra
de sa vie, et que ne frappait aucune hérédité anormale. A ce mo- ment , il fut atteint d'une thyroïdite aiguë qui dura u
Le titre de cette observation la résume ; l'auteur ajoute seule- ment que ni la syphilis, ni le saturnisme, ni l'alcool
- demain, accouchement prématuré d'un enfant mort. Affaiblisse- x ment progressif et rapide. L'auteur donne les résultat
considérable de quelques-uns des vaisseaux sanguins, épaississe- ment non limité à une seule tunique, mais portant sur
n toutes langues sur la question. [A l'asile d'Armentières l'alite- ment n'aurait d'ailleurs pas donné les résultats atten
toute l'ampleur désirable; les théories sont plus parcimonieuse- ment analysées. Puis, le rapporteur a souvent la bonne
s, au troisième ou quatrième mois. Pas de syncope, mais, tremble- ment des membres pendant cinq minutes l'empêchant de r
). La calotte enlevée, la masse encéphalique s'affaisse complète- ment en arrière. On recueille 430 grammes de liquide
r qu'il doit évidemment à un peu d'hémoglobine. Il réduit légère- ment la liqueur de Fehling. IDIOTIE MICROCÉPHALIQUE.
uffisante, sauf à la partie antérieure de T2 et dont le ramollisse- ment déjà signalé intéresse toute la profondeur ( ? 10
région la plus reculée de T3 en un point correspondant extérieure- ment aux trois petits territoires ischémies déjà signa
es- unes de ces suppurations et ne pas céder toujours à l'engoue- ment actuel en accusant les oreilles. Toutes les malad
teinte violacée, par la solution de Lugoi. Ils ne sont pas absolu- ment identiques à la substance amyloïde qu'on trouve e
arrondis, et, lorsqu'ils sont fortement colorés, homogènes. Faible- ment colorés, quelques-uns d'entre eux paraissent avoi
er divers prolongements protoplasmiques ramifiés; mais primitive- ment ces prolongements ne sont constitués que dans des
aqueuse de formol à 6 p. 100). L'auteur décrit ensuite minutieuse- ment la technique employée, et impose la structure nor
mental des condamnés; par le D' de Rode. (Bull, de la Soc. de. écl. ment , de Belgique, septembre 1900.) « De l'exposé
choses extérieures; c'est la forme d'hypnotisme la plus communé- ment employée : elle exige aussi la soumission conscie
. Mais il y a une autre forme, qui peut-être beaucoup plus large- ment employée avec avantage pour la généralité des mal
ressée au D1' PEETERS par le D Bojénoff. (D«M. de la soc. de inétl. ment . - de Belgique, septembre 1900.) - IV. Les ga
- tout uniforme; il ne sera pas moins utile de prendre comme élé- ment de comparaisan les données anthropologiques fourn
iénés sont grands et sérieux : 1° les défectuosités dans le traite- ment des premières périodes de la maladie sont absolue
en grandes masses, la responsabilité du traitement n'est ni claire- ment ni suffisamment déléguée ; 5° le personnel médica
on est l'isolement des tuberculeux. Il a fait baisser considérable- ment le pour cent de la mortalité dans 2 asiles (Lanca
qui il fournil l'illusion du chez soi, rationnel, et demande seule- ment que lenombredes habitants de chaque cottage soitl
que les médecins qui s'occupent des asiles sont en face non seule- ment du problème du bien-être individuel d'un malade.m
dal ; on ne trouve, en effet, dans le côté droit, ni d'affaiblisse- ment bien net, ni de contracture, ni d'exagération des
placement est marqué dans les colonies où ils bénéficient large- ment de la vie libre, tandis que l'internement dans un
- montré dont il fut l'organisateur. « C'est lui qui, méthodique- ment , patiemment, avec des ressources modestes, a jeté
parties de la Clinique sont reliées entre elles dans un même bâti- ment composé d'une partie centrale, de deux ailes laté
immédiate des salles de surveillance servent à isoler passagère- ment , dans le jour ou la nuit, des malades agités et n
vagabondait. Tantôt elle parlait de mettre le feu à son apparte- ment , tantôt elle menaçait ses voisins de les tuer. El
rendus. Revue des périodiques étrangers. Livres nouveaux. Abonne- ment du 1"' janvier : un an, Paris, 30 francs; départe
l printing office. 1'oaoLt (G.). Délia clinoterapice nette malallie mentait , Brochure in-8° de 31 pages. Ferrara, z Z dell'
ur dans les doigts et dans le pouce de la main droite; immédiate- ment après, la main se fermait et l'avant-bras se fléc
très limités. Les extenseurs de la main se contractaient énergique- ment et les fléchisseurs faiblement. Les muscles intér
sives ne firent que gagner en fréquence et en intensité, constam- ment accompagnées de perte de la connaissance. Une t
ue je viens d'énoncer ne s'est trouvée remplie qu'exceptionnelle- ment , une seule fois, chez le malade opéré par Braun.
mentale. Mais l'alitement n'est pas seulement utile comme traite- ment auxiliaire ou comme base de traitement d'aliénati
aînées : L'alitement n'est qu'en apparence une cause d'accroisse- ment bien sérieux de dépenses, à l'encontre de ce que
ation même du maniaque non alité, destruction d'effets d'habille- ment , bris de vitres, d'objets divers, indemnisations
r, hyp- notiques pour la nuit, hydrothérapie ne donnaient absolu- ment aucun résultat, mais l'isolement, en chambre ordi
dans la région pédonculaire. A droite, deux foyers de ramollisse- ment ; à gauche un foyer de sclérose : le tout causé p
ercure, alcool, etc.) ; 3° polynévrite paraissant causée exclusive- ment par la syphilis (huit cas dont deux personnels).
Le pronostic de l'affection fut plutôt favorable et a cédé facile- ment à un traitement mercuriel. M. H. L. Paraplégie
son remède favori, l'alcool, et les accidents s'amendent rapide- ment . Si l'on voulait interpréter les phénomènes ner
09 enseigne que tout sujet du sexe masculin qui présente brusque- ment du strabisme et du ptosis avec diplopie est un at
les cas déjà nombreux de syringo-myélie. Il est évident actuelle- ment que le carcinome ordinaire et certaines formes de
influence à la sienne, et parmi eux le plus fréquent est naturelle- ment l'alcool. Enfin il faut tenir compte de l'état gé
. Le pronostic est toujours sérieux, mais non certain. Le traite- ment est naturellement celui de la syphilis, et parmi
mais il est véritable que beaucoup de .ceux qui s'ôtent volontaire- ment la vie sont en état de trouble mental : d'ailleur
tre cultivés, il en est un dont la culture a été déclarée « modéré- ment virulente » et le bacille appartenait à un malade
- tement déviée présente une concavité cypho-scoliotique extrême- ment prononcée, dont le sommet se trouve à la hauteur
ie de dégénération provenant des suites d'anomalies de développe- ment du canal central ; 5° Les altérations qui forme
- M. Mouratow fait remarquer que si l'on veut nier le ramollisse- ment avec formation de cavités d'origine traumatique,
tive. M. Paul FAREZ. Une jeune fille de dix-sept ans, précipitam- ment amenée auprès de sa mère en danger de mort, éprou
Frend. Un chapitre spécial particulièrement intéressant est finale- ment consacré à l'élément sexuel inhérent au mysticism
et lui en jeta le contenu au visage. Rougier, qui restera probable- ment aveugle, a été transporté à l'hôpital Tenon et sa
tion, s'est tiré dans la bouche un coup de feu qui l'a très griève- ment blessé. (Le Bonhomme Normand; 7 février 1901).
gique s'est en réalité accomplie. Les dépêches signalant l'événe- ment ont confondu les deux maisons, de là l'erreur de
prix fondé par le Dr Liébeault (de Nancy) sera décerné annuelle- ment par la Société d'Hypnologie et de Psychologie à l
une inertie complètes. En septembre 1898, il rejoignit son régi- ment . Mais sa démence était devenue telle que, hors d'
40 Instabilité des mains avec secousses digitales, sans tremble- ment proprement dit. - 5° Marche intil assurée, surt
Au point de vue mental, l'état se caractérise par un affaiblisse- ment très notable des facultés. En ce qui concerne la
délire mégalomaniaque habituel, se manifeste sous la forme pure- ment démente. Cette particularité, qui se retrouve,
a craniec- tomie employée comme moyen pour produire le développe- ment cérébral, en modifiant favorablement le fonctionn
des idiots et arriérés. Les cas que je connais confirment pleine- ment l'opinion formée par le savant de Bicètre, et à l
es. Cet enfant, âgé de vingt-cinq mois, naquit à terme, accouche- ment facile. -Son père et sa mère n'ont souffert d'auc
es signes d'intelligence, et les convulsions se répétaient fréquem- ment . Vers les onze à douze mois sa dentition commença
se meut en tous sens. 11 crie constamment, il remue inconsidéré- ment son bras gauche, mais on n'obtient pas qu'il rega
et, dans ce dernier cas. il conseillait de la suturer soigneuse- ment , et il ne faisait pas la résection par crainte de
us, c'est tantôt un frottement léger, tantôt un véritable craque- ment analogue à celui que l'on perçoit dans une articu
Sur neuf cas négatifs, trois fois il n'existait plus de tremble- ment , deux fois le tremblement était très fort, et dan
hez des individus ayant fait peu d'excès, qu'il disparaît rapide- ment après le sevrage chez les uns, qu'il persiste au
mpérature; 23° Par conséquent l'idée directrice initiale du traite- ment , à savoir la prodution d'un état fébrile, n'est p
a médication thyroïdienne produit souvent une amélioration telle- ment grande que le degré de la démence est considérabl
ais s'il s'agit du puni, les motifs du punisseur lui sont parfaite- ment indifférents ; la punition, d'où qu'elle vienne,
(énergie de l'impulsion, faiblesse de la résistance) aucun châti- ment ne doit être infligé. Il y a très peu de fous,
d'une résistance inutile et recommence à s'alimenter volontaire- ment . L'auteur espère que ceux qui prendront la peine
° que le liquide évacué doit être aussi riche que possible en sédi- ment . - On répond suffisamment à la première de ces ex
congénitale. Les succès scolaires et les examens heureux n'infir- ment pas cette manière de voir parce qu'il ne s'agit,
les ? 0.000 élèves environ des écoles primaires. 43 enfants seule- ment étaient admis, pa< ce que l'école auxiliaire n
! vraie démence sénile. Etude delà dégénérescence mentale, notam- ment de l'imbécillité, de la folie morale. Les limites
trôler leurs actes, il leur restait une impression vague du mouve- ment nécessaire à l'accomplissement de l'acte redouté
ce. M. Sollier a observé un jeune garçon hystérique qui, brusque- ment , a cessé de voir sa propre image reflétée dans un
n'est pas modifiée, il y a eu au début des métrorrhagies, actuelle- ment il y a des épistaxis ; il n'y a pas de troubles t
ité qui occupent un côté du corps, qui se caractérisent principale- ment au membre supérieur par un tremblement, au membre
qui nous occupe ; dès que le malade tâchait d'exécuter ce mouve- ment , il se produisait, au contraire, un spasme des mu
e isolée des phénomènes variables et généralement légers, abat e- ment , stupeur, parfois quelques secousses généralisées
s n'a donc chez lui lien de commun avec t'amjotrophie, contraire- ment à ce qui a lieu chez le premier. L'examen électri
t presque pas souffert, de môme que le nerf spinal. Sont notable- ment atteints les noyaux des nerfs oculomoteurs, à l'e
pas jeter un regard oblique, de côté, sur un objet situé latérale- ment . Parfois cependant, les yeux du malade se tournen
ment. Parfois cependant, les yeux du malade se tournent latérale- ment , indépendamment de sa volonté. Mais si le malade
notamment des équivalents épileptiques, elle a évolué épisodique- ment , mais le délire a pris de la consistance et de la
restreinte pourrait nous entraîner loin, nous nous arrêtons seule- ment sur le mode de classification des maladies mental
URI E, par Campbell, 479. Ili'.%IlSYNEIIC,IE avec hemitremble- ment céréhello- protubérantielle, par Balnualci, 31l
26 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
exception à cette loi de pathologie nerveuse; ni le refroidisse- ment , ni l'ébranlement nerveux ne peuvent suffire à
técédents personnels et héréditaires y font d'ordinaire complète- ment défaut; d'autres fois ils sont absolument insuffi
Albert H... a eu, il y a quatre ans, à la suite d'un refroidisse- ment , une paralysie faciale du côté gauche; la guériso
es innervés par le facial gauche sont paralysés, mais incomplète- ment seulement; l'examen électrique ne nous révèle d'a
te, subissent sans broncher des opérations chirurgicales, évidem- ment douloureuses. Les mêmes blessés, quelques jours
nseigner sur la matière, et j'ai appris quelques détails extrême- ment instructifs, en particulier ceux que j'ai recueil
silencieux. Contrairement à ce que l'on dit, il redoute parfaite- ment la douleur, même la douleur atténuée, la seule
de réelle importance et qui méritent d'être étudiées.méthodique- ment . L'hystérie a toujours joué un rôle important d
nervo- sisme, et chose très remarquable, il s'adresse exclusive- ment à l'homme. Dans cette religion, la femme ne jou
uas, le côté religieux est fort abandonné. Le jeûne est probable- ment fort négligé aussi. La plupart ne quittent leurs
ntre eux ils attachent une grande importance à un bon accompagne- ment . Le musicien est du reste, un personnage soldé
fait ils évitent avec le plus grand soin toute région manifeste- ment vasculaire. Ils ont pourtant aussi la prétentio
n animal qui ressemblait à une couleuvre et avait l'air sérieuse- ment malade et je ne puis dire dans quelle mesure le
motif qui les détermine à faire ces exercices, On admet générale- ment qu'ils obéissent à un entraînement religieux. P
es dans des conditions pathologiques. Nous chercherons non seule- ment la façon dont ces lois se comportent dans l'orga-
tions, auxquelles il répondit avec beaucoup de netteté et de juge- ment . Il m'apprit qu'il n'avait éprouvé la première in
de l'oeil, disait-elle, roulait dans son orbite, agité d'un mouve- ment convulsif, la tète se penchait du côté gauche, le
t en fut bon, et, finalement, la malade est aujourd'hui parfaite- ment guérie. Les phénomènes observés ne permettent p
ses ouvriers, porter la main à la tête et prendre ensuite subite- ment sa course vers une haie, au-dessus de laquelle il
ai der anfcïlle, p. 2 il. 78 CLINIQUE NERVEUSE. - DE L'ÉPILEPSIE. ment un cas d'épilepsie procursive : « J'ai eu moi-
LAIRE. 93 sur la valeur du sens musculaire, comme guide du mouve- ment est superflue, vu l'observation pathologique qui
de raison d'admettre des centres moteurs, et ce dont on a seule- ment besoin, c'est l'existence des registres sensoriel
gatif. Est-ce là une raison suffisante pour rejeter catégorique- ment l'hypothèse d'hystérie ? Non certainement. Ne sai
sens musculaire sont aussi des caractères que l'on note fréquem- ment dans l'anesthésie hystérique. Enfin, le retour de
la plus vraisemblable a échappé. Ces kystes résulteraient simple- ment de l'absence de soudure par points des deux feuil
t l'écartement des os du crâne qui à l'âge du malade sont solide- ment soudés depuis longtemps. A. RAOULT. IX. Note su
-droit. L'électrisation faradique si t disparailre presque entière- ment ces phénomènes, au bout d'un traitement de cinq m
Les symptômes dans les cas types sont ceux qui suivaient naturelle- ment une irritation ou une perte partielle ou complète
cours de l'existence; ce serait au contraire « un processus telle- ment net et défini que l'on peut prédire lasérie des p
ns. M. Christian, passant ensuite en revue les opinions précédem- ment émises, reconnaît volontiers que le délire des pe
s- tration comme le grand danger à l'encontre duquel le Gouverne- ment voulait se prémunir par la rédaction proposée. Vo
l y a là une exagération des précautions à prendre. Il y a notam- ment un cas qui n'a pas été prévu et qui se présentera
toutes ses tristes conséquences : il sera toujours, par son dévoue- ment à la hauteur des circonstances. Je crois donc qu'
M. le commissaire du Gouvernement. M. le commissaire du Gouverne- ment a nettement précisé la question que soulève l'art
» Je conserve donc toutes les garanties de la commission ; seule- ment , je prie le Sénat de vouloir bien ajouter ces mot
tout à l'heure l'honorable M. Lacomhe, visent deux cas parfaite- ment distincts. Pour l'application de l'article 8 il f
8. Seulement ce que j'ai proposé au Sénat, c'est un léger amende- ment à la proposition faite par la commission et par l
tes les garanties pruposées par la commission et par le Gouverne- ment .. Par cela même, je trouve suffisamment que je
s; mais certains membres de cette Assemblée le repoussent absolu- ment , et c'est cette opinion qui ne s'est pas encore p
ex- périence, veux-je dire, M. de Marcère demandait un renseigne- ment précieux. Mais enfin, monsieur le rapporteur, dis
en emparer de plus en plus. Aliéné ! Mais qu'en savez-vous ? Com- ment ! voilà un homme qui n'a pas ces mouvements désor
dent. M. LE Président. Je donne d'abord' lecture de votre amende- ment ; vous demanderez ensuite la division, monsieur R
bation sur les mêmes bancs.) En effet, la rédaction du Gouverne- ment adoptée et proposée au Sénat par la commission, p
M. LE Président. Messieurs, si on n'écoute pas, je renonce vrai- ment à expliquer le vote au Sénat. Je viens de dire qu
un aliéné dans les conditions ci-dessus indiquées est tenu seule- ment d'envoyer un nouveau rapport médical à des interv
symptômes observés et les preuves de folie constatés personnelle- ment par le signataire, ainsi que son appréciation sur
faire, de laisser l'aliéné dans la situation qui existait précédem- ment , ou bien, s'il s'assurait qu'il y avait quelque c
e retirées; les obligations auxquelles sont soumis les établisse- ment prives autorisés; les bases sur lesquelles doit ê
qu'on lui avait faites sur ce jeûne si étonnant, qui, non seule- ment avait attiré l'attention de tous les grands perso
PHIQUE. maladies physiques sans ces phénomènes nommés arbitraire- ment psychiques, quoiqu'il puisse y avoir du délire ou
rédisposés peuvent déterminer des accidents divers, d'ordre pure- ment psychique, caractérisés tantôt par une douleur
ons dans la perception des couleurs, signe clinique moins facile- ment palpable, mais très topique quand il existe; la
ralysé. Quelque temps après, étant chez lui, il éprouve un senti- ment de malaise, une boule qui lui remonte vers le lar
haise, porter une carafe, etc. Au dynamomètre, elle donne facile- ment avec la main gauche une pression de 40 kilog., ta
e avérée, qui, il y a deux ans, a eu un accès de goutte parfaite- ment net au gros orteil du pied gauche, accompagné de
sont évidem- DES MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 195 ment d'origine spinale et qui nécessitent souvent l'ap
aimants : la force musculaire qui était nulle revient graduelle- ment par la seule évocation du mouvement lui-même, e
faveur de désordres nerveux purement fonctionnels, vraisemblable- ment d'origine psychique ^ il n'est pas jusqu'à ce bru
ES. eaux. Il rejette cependant ce diagnostic sur ce motif assuré- ment plausible, qu'une hémilésion de la moelle aurait
IE MENTALE. paralysie générale chez la femme, me bornant stricte- ment à relater ce que j'ai vu et observé moi-même. C
cline à croire moi-même que la paralysie générale devient réelle- ment plus fréquente. J'en déduirai les raisons plus
Paris, 1880). Vingt-trois de mes malades avaient été antérieure- ment infectés; chez aucun le traitement antisyphi- l
nt d'ail- leurs, la paralysie générale ne survient que très rare- ment chez les ataxiques : je n'en ai que trois cas p
nd nombre d'a- taxiques devenus aliénés, j'en ai encore en ce mo- ment dans mes salles : ce ne sont pas des paralytiques
de privations pour entretenir ce ménage, dont il fallait absolu- ment cacher l'existence à ses parents. La femme devint
- gnait de rien, il ne pouvait d'ailleurs donner aucun renseigne- ment , en raison de son état d'imbécillité. - Durant l'
foie au-dessous des fausses côtes droites confirme ce renseigne- ment . -Pas d'augmentation apparente de la rate. T. R.
rses persistaient encore après l'admission. Il a travaillé seule- ment jusqu'à vingt-cinq ans. Les facultés intellectuel
n- volution frontale est sinueuse, plissée, dédoublée incomplète- ment en avant; insertion de niveau; pas de plis de pas
e ner- veux de la vie animale étant resté constamment et entière- ment muet chez cette idiote hydrocéphale et épileptiqu
te de Stuttgart, dans laquelle le poignet est maintenant constam- ment étendu ainsi que les doigts, sauf sur ces dernier
re. Dans la première consultation, celle qui a précédé l'interne- ment , M. Motet détermine sous le nom d'accès d'excitat
ter. Le même jour, 24 mai, M. le Dr Laborde constatait, conformé- ment à la loi, l'état mental de M. le baron Seillère e
s ma conduite ne prête à une interprétation douteuse. Votre juge- ment , les témoignages de sympathie et d'estime que vou
é la perte du libre arbitre, mais ils ne purent répondre unanime- ment à la question formulée par le président du tribun
dans la tête qui lui enlèvent le sentiment, et le torturentconstam- ment . A l'ophlalmoscope, on constate, du côté gauche,
r ce terrain sont demeurées extrêmement favorables. On a constam- ment observé que des malades dont l'intelligence est é
un parent aliéné comme bon lui semble à condition que le traite- ment soit dirigé par un médecin spécialiste ; dans le
iénés en Sibél'ie» » est intéressante par l'étiologie du développe- ment progressif des maladies mentales dans ce pays. Po
disparition de la coercition sous toutes ses formes dans le traite- ment des maladies mentales et est allé même jusqu'au «
cale très active. Dans le cas contraire (et ce cas est malheureuse- ment celui qui se présente le plus souvent), il n'y a
ses de St-Pétersbourg que nous tâcherons de reproduire textuelle- ment : 1° mélancolie ; 2° manie; -3° folie primitive :
peuvent être réalisées par l'hystérie, depuis le simple étourdisse- ment jusqu'à la grande attaque comateuse. L'hémi-ane
re ou médullaire, l'un d'eux pouvant, par exemple, être profondé- ment désorganisé tandis' que les autres sont encore pr
rable 111. Clément qui m'a donné tout à l'heure cet excellent argu- ment que je regrette qu'il n'ait pas présenté lui-même
et. « En inaugurant cette inscription, nous ne voulons pas seule- ment honorer l'un de vos prédécesseurs, nous entendons
mais au bout de trois semaines il fut pris de bronchite; et finale- ment mourut de coma-urémique, par suite d'un mal de Br
ERT, nommé directeur-médecin de l'asile de Bordeaux, en remplace- ment de M. le Dr DbSWATINF.3, nommé directeur-médecin
somatiques fixes, quand ils existent, ne rentrent pas nécessaire- ment , pour tous les sujets, dans le cadre tracé par
apricieux ne lui permettant que difficile- 330 CLINIQUE NERVEUSE. ment de se plier à la discipline de l'hôpital, elle de
et de n'avoir plus ni attaques de sommeil, ni accès de tremble-' ment . Le 18, elle revient à l'heure fixée. Nous essa
lle retombe dans l'attaque de sommeil, comme après l'accomplisse- ment de toute suggestion. Pendant quelle est endormi
aller travailler à la journée, qu'elle s'est reveillée juste au mo- ment de venir ; ne sachant pas l'adresse de M. Grasset
Elle raconte que la dernière fois, lorsqu'elle a quitté, parfaite- ment réveillée, la maison de M. Grasset, elle a eu bea
atiques fixes; chez les seconds, le sommeil provoqué est entière- ment dominé par la suggestion. F... appartient au pr
nt les modifications de la grandeur absolue de l'excitant, autre- ment parler, la perceptibilité différentielle dépendra
; sous un angle visuel plus faible que ses parties prises séparé- ment et qui déterminent sa forme. Cette dernière opé
fférences des caractères isolés avec le fond dussent être simple- ment calculées d'après le degré de concentration de
suf- fisante. II est en somme impossible de déterminer exacte- ment , à un centième près, une grandeur physiologique
t du côté gauche. La localisation première des troubles du mouve- ment et de la sensibilité, et la marché ultérieure de
s cas peu nombreux, où le tableau de la maladie a été très nette- ment dessiné, cela venait de ce que les auteurs en ign
cles de l'avant-bras gauche. Le réflexe rotulien est considérable- ment exagéré à droite, il est peu apparent à gauche; l
- sation de constriction et de tension musculaire a considérable- ment diminué : la scoliose s'est amoindrie; il s'est m
esthésie et l'irrégularité pupillaire n'ontpoint éprouvé de change- ment . Pendant ses quatre mois de séjour à l'hôpital le
omprise entre le vertex et l'occipital ; bosses pariétales moyenne- ment saillantes. Front assez élevé, légèrement fuyant,
pain préparées par l'infirmier; ses doigts les serrent énergique- ment . Lorsqu'il porte le pain à sa bouche, la bouche v
20. Notes complémentaires.- Sommeil bon, il s'endort assez lente- ment « Deux... ou trois... heures... après que... je s
ace entrent en jeu d'une façon exagérée, la bouche s'ouvre large- ment , les sillons naso-labiaux se creusent profondémen
Observation II. Père très nerveux, sujet à des accidents probable- ment épileptiques (vertiges ]JI'oeursifs ? ),. fréquen
testicules peu volumineux. Pas d'onanisme : il proteste énergique- ment contre cette allégation : et dit non, non, avec d
de montrer ce qu'il sait faire. Sa marche est gênée considérable- ment par les mouvements choréiformes exagérés qui lui
que la moelle épinière présente une section transversale parfaite- ment normale. La moelle épinière n'est évidemment dila
s davantage de prévoir le siège de la lésion, elle indique seule- ment que cette lésion occupe un point quelconque du fa
ei- gner sur le siège et la nature de la lésion. Quant au traite- ment , il faut se laisser guider par les indications, p
x ans pour une sclérose en plaques, d'origine inconnue. L'amende- ment des symptômes morbides et en particulier de l'épi
on observe d'abord de l'accélération du pouls puis du ralentisse- ment , ou quelquefois inversement mutais mutandis. Si l
écrivains, et surtout d'un exposé critique des méthodes de traite- ment , à la suite duquel il préconise le procédé de Nef
er une oiseuse prescription...; le Gouvernement engagerait grave- ment sa responsabilité, s'il négligeait d'user de l'au
projet de loi, cette grande « innovation » faite par le Gouverne- ment suivant l'expression même qui est employée dans l
ingt mille jugements - environ - qu'ils auront à rendre annuelle- ment en chambre du conseil pour le placement des alién
on aujourd'hui, après avoir été revu de concert avec le Gouverne- ment et la commission, est devenu le texte par lequel
eurs de l'amendement, je n'ai pas à m'occuper davantage en ce mo- ment de cette partie de l'amendement. Le reste du mê
ement la commission elle-même. Tel est donc le but de mon amende- ment : créer deux agents, l'un chargé de la partie méd
ie. M. DE Gavardie. Messieurs, il est incontestable que l'amende- ment de l'honorable M. Bardoux améliore les dispositio
rs, ne dépendait pas de l'administration, comme le veut l'amende- ment de M. Bardoux, mais qui était nommée par la justi
ant trop souvent ceux qui sont en son honneur. Mais, malheureuse- ment , on néglige de dire que les médecins directeurs n
Ainsi que je vous l'ai dit l'an dernier, dans divers pays, notam- ment en Angleterre et aux Etats-Unis, on se préoccupe
le conseil municipal; ce qui été fait pour les asiles du départe- ment de la Seine par le conseil général, imitant en ce
vent vous encourager à remplir vos fonctions avec zèle et dévoue- ment , à éviter avec soin tout acte de violence envers
s. Si vous suivez ces conseils, si vous accomplissez scrupuleuse- ment vos devoirs envers les malades, vous récompensere
- fications que l'on devait chercher à amener dans le fonctionne- ment de l'intelligence chez les aliénés, c'était de tr
- nent trop méchants ? Je les déchaîne. - Et alors ? -Ils se cal- ment . » Avec un tel auxiliaire la réforme de Pinel dev
ment. » Avec un tel auxiliaire la réforme de Pinel devait facile- ment triompher. Les chaînes tombèrent et furent rempla
n hôpital détaché pour les fiévreux commença à remplacer le bâti- ment en bois installé provisoirement en 1884 pour les
27 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à savoir où elle avait pris les objets qu'on lui réclamait et com- ment elle les avait pris. Elle entrait dans un magas
larmlun de \lontwl· DERMONEUROSE STERÉOGRAPHIQUE ET NRYTRHASMA. 9 ment au cours d'un accès de délire alcoolique subaigu
piqûre, les excitations galvaniques et faradiques sont parfaite- ment perçues. Le sens de position est également intact
rd. · Fonctions organiques. Les fonctions organiques sont absolu- ment normales, chez R... et tous ceux de ses organes q
re. Si l'excitation est plus vive, si nous appuyons un peu forte- ment le style traceur, la ligne pâle primitive, au lie
RTTHRASMA. 21 presque exclusive. L'urticaire provoquée mécanique- ment diffère beaucoup à cet égard de l'urticaire dite
e l'autre. Resterait à étudier le mécanisme, c'est-à-dire le com- ment de ces troubles vaso-moteurs dont l'expression
plus la même sensation de picotements d'aiguilles, mais un senti- ment très désagréable et indéfinissable de tout le m
appelle bizarre et qui consistait en ce qu'il ne comprenait absolu- ment pas ce qu'on disait autour de lui, et cependant,
ur. Etat actuel (13 juillet 1886). La marche du malade est nette- ment ataxique, il projette brusquement ses jambes en m
3 la sensation d'étouffement qui les accompagnait avant le traite ment . L. Les crises gastriques n'ont pas reparu. L
vementdu casque, pendant lesquelles le malade se porte parfaite- ment bien. Au bout de ce temps, il était 2 heures et d
e du début. Durant cet intervalle, le malade se portait parfaite- ment bien. Il nous a été impossible de définir exacte-
parfaite- ment bien. Il nous a été impossible de définir exacte- ment la durée de cet intervalle : le malade ayant re
période du début disparaît et le malade reste éveillé, parfaite- ment bien portant jusqu'à minuit. A ce moment, il s'
a été observée chez ces trois malades à des degrés de développe- ment différents. Par exemple, l'ataxie des malades d
ne tenaient qu'un peu vers leur base, les a détachés très facile- ment et sans la moindre douleur. Les ongles tombés o
mois; enfin, chez le malade de l'OBSERVATIOI; XXI, un mois seule- ment et quelques jours ont suffi pour que le syndrome
début, mais au mo- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 55 ment de l'invasion de la deuxième période, l'unifor-
devait en faire 4-5 par jour. Il a continué quatre jours ce traite- ment et, dès le premier jour, il a senti une améliorat
la moelle. Cette lésion doit être certaine- 60 CLINIQUE NERVEUSE. ment très légère, ce qui est parfaitement démontré p
d'allures de démarche spasmodique. La sensibilité estconsidérable- ment et uniformément altérée du côté droit, depuis une
e 15 octobre, le malade put marcher sans appui en boitant légère- ment ; à ce moment, il commence à trembler. Secousses.
eur droit; par contre, le gauche est parétique, ce qui fait légère- ment boiter le malade. Il y a une exaltation très marq
S'il veut y résister, ses urines alors lui échappent involontaire- ment . Les fonctions génitales sont troublées, les érec
droit. Sensibilité du même membre énzozessée. Deux mois d'alite- ment , secousses. - Le 16 août, possibilité de se tenir
nse majorité des cas, la marche de la monoplégie est essentielle- ment rétrogressive. La rétrogression de la monoplégi
elle que la sensibilité a été trouvée constamment altérée, au mo- ment de l'invasion de la monoplégie. Mais, à une étape
enfin, à une étape ultérieure, cette uniformité devient extrême- ment monotone, car la symptomatologie à ce stade est
ou entrée en scène éminemment polymorphe et uniformité du dénoue- ment ou évolution uniforme. A ces caractères générau
et l'élévation en masse des épaules paraissent se faire régulière- ment . Les rhomboïdes et les grands dorsaux sont normau
t au moindre effort. Une hernie ombilicale aurait guéri spontané- ment . Elle ne sort plus depuis plusieurs années. - Chu
on des tendons, etc. Les muscles de-la face se contractent seule- ment au moyen de ces manoeuvres, mais n'entrent pas en
nations. Lorsqu'il en est ainsi, les attitudes fixes artificielle- ment imprimées aux membres, ou d'une façon plus généra
gestion. * 2° Etat léthargique. Il se manifeste : a), primitive- ment , sous l'influence de la fixation du regard sur un
friction légère. Cet état parait correspondre plus particulière- ment à ce qu'on a appelé le sommeil magnétique. « Le
s ou moins effacés, et on arrive par degrés à des variétés telle- ment frustes qu'on peut se demander, en présence de ch
tions et des conceptions délirantes qui se pressent et se transfor- ment au gré des images morbides. Nous ne voyons pas qu
à l'esprit de système, car aucune d'elles ne se prêtait complète- ment à l'esprit de généralisation qu'on poursuivait. M
f- firmer une fois de plus son bon renom dont vous êtes légitime- ment fiers. M. 111.aAnoov de lllOirTYEL pense qu'une
aujourd'hui qu'on ne puisse dans certains cas, supprimer brusque- ment la morphine, mais il faut cependant se rappeler a
ur le remboursement à l'établissement des frais de séjour, notam- ment aux sociétés de bienfaisance. 6° Mais ces société
stipulées, détaillées. Or, il est évident que l'économie du traite- ment matériel, intellectuel, moral incombe tout entièr
grandes villes. M... F. en a observé 12 cas frappants, ultérieure- ment contrôlés. Les conditions actuelles lui permetten
ôté de l'appareil sexuel (4 observations), telles qu'un rétrécisse- ment consécutif à la chaude-pisse, la diminution de l'
la capsule interne. Uansl'une, il s'agit d'un foyer de ramollisse- ment assez étendu, ayant détruit, dans l'hémisphère dr
us inférieure de la moelle. Dans les deux cas, paralysies simple- ment transitoires. (Le mémoire sera publié in extenso
ont une, et dans des conditions où ceux qui ont opéré le déplace- ment , l'autorité administrative elle-même pour les pla
le. Après avoir reconnu l'importance de la question du transfère- ment des aliénés, sous le régime actuel, la commission
soit deux rapports signés chacun d'un seul médecin. Le Gouverne- ment , pour des motifs expliqués dans le rapport, a adm
S'il s'agit d'un mineur ou d'un interdit, il est donné immédiate- ment avis de la déclaration des médecins aux personnes
Mais je l'indique, parce qu'en l'examinant on y trouvera un argu- ment de plus, démontrant la nécessité de mesures nouve
service que la commission avait voulu créer dans chaque départe- ment par l'institution de la commission permanente d'a
établissement qui n'est pas spécialement consacré à leur traite- ment , pendant plus de quinze jours, à moins d'une auto
vis du médecin inspecteur du département dans lequel l'établisse- ment pénitentiaire est situé, conduits dans des quarti
n de l'autorité administrative, qui pourra prescrire son interne- ment pendant un temps absolument indéterminé dans un a
tive sa comparution devant la cour d'assises, il n'était pas compos mentis ; il n'était pas suffi- samment responsable de s
e période les seuls asiles consacrés aux aliénés dans le départe- ment . Le Concours supprimé par l'Empire a été rétabli
es médecins adjoints. » Ou serait même amené à retarder l'avance- ment des uns au profit des autres moins méritants, si
fois en faveur d'un concours spécial pour les asiles du départe- ment de la Seine : Multiplicité des asiles : (Bicêtre,
seront prévenus officiellement en temps utile et recevront égale- ment les indications nécessaires au sujet du lieu où s
ÈRE. 1 î ) fibres dont l'enveloppe à myéline était déjà sensible- ment développée, les faisceaux postéro-périphériques,
it Flechsig, généralement vers la fin du septième ou le commence- ment du huitième mois de la vie utérine. Ayant étudi
la scissure postérieure, possèdent une couche de myéline infini- ment plus développée que les extérieures, quoique les
s coupes de la moelle épinière des embryons d'un âge comparative- ment moins avancé, à peu près au commencement du neu
ressemblant à des crises gastriques; l'année suivante, un vacille- ment à yeux clos; à quarante-cinq ans, douleurs lancin
s. Antécédents. La malade, d'excellente constitution, nie absolu- ment toute hérédité dans la famille; les conditions de
les symptô- mes qui les avaient frappés et sur le mode de traite- ment , nous pouvons ajouter que dans les cas VI, VII
bservateurs cliniques soigneux d'aujourd'hui tomberont difficile- ment dans cette erreur, car, comme le dit Kussmaul,
aujourd'hui; « ils sont remplis de sottises. » Je lui ai fréquem- ment donné quatre journaux dans un jour, pour voir s
était écrit. Il est, en outre, établi qu'il comprenait parfaite- ment le langage imprimé, qu'il continuait à lire un
rs expé- riences sur le lobe occipital qu'ils enlevèrent entière- ment , au moyen d'une incision verticale, faite le long
ut presque dire que les expériences sur les animaux sont entière- ment inutiles pour élucider la théorie de la cécité
tes. ' Il se fait brusquement remonter comme toujours. Immédiate- ment après la décompression et l'enlèvement du casque,
- ter. Il va sans dire que ce scaphandrier avait déjà antérieure- ment fait des immersions à la même profondeur et bien
plongeurs à scaphandre à titre de forme clinique spéciale, autre- ment dit, ces symptômes peuvent se rencontrer isolés,
accident. Au bout d'une demi-heure, le malade a commencé brusque- ment à voir clair et tout rentra dans l'ordre, sauf la
spéciale, la symptomatologie de ce genre d'accident étant unique- ment et exclusivement caractérisée. par les troubles
lement, au bout desquels il a repris son travail, étant parfaite- ment bien portant. Depuis lors jusqu'à présent, il a
à deviner les intentions de l'opérateur. Il devient donc absolu- ment impossible, quand les conditions deviennent aussi
même ordre. Les premières observations de M. Charcot ont évidem- ment une valeur pour ainsi dire absolue : d'où, en eff
encore que les opinions que nous soutenons appartiennent exclusi- ment à M. Charcot et à ses élèves et que jamais en deh
tiel, à savoir que cette assertion s'applique plus particulière- ment aux formes de l'hypnotisme étudiées par M. Charco
îlots oùlaneuroglie est ramollie et qui se colorent plus facile- ment parle carmin. Les circonvolutions sont plus aplat
ulaires. -Systématisation des éléments anatomiques. Le développe- ment des éléments anatomiques des tissus s'opérant sui
Sphincters intacts. Sensibilité normale. Voile du palais complète- ment paralysé; luette déviée un peu à gauche. Pas de t
u- laire des paupières paralysé; impossibilité de clore complète- ment les paupières. Yeux presque immobiles, fixés en a
t dans les cellules de la corne postérieure, quelques-unes seule- ment se prolongent jusqu'au noyau latéral de la corne
maxi- mum est précédé d'un rétrécissement qui correspond exacte- ment à la fin de l'excitation. La dilatation qui se pr
commence à se soulever, le jambier antérieur se contracte forte- ment (saillie du tendon), de sorte que le pied se fléc
côté paralysé). Dans la paralysie spasmodique, souvent spontané- ment , même pendant le décubitus dorsal tranquille, se
oublié. Cet oubli est d'autant plus inexplicable que c'est précisé- ment devant deux des membres de ce même bureau que M.
vi. duelles. L'orateur a vu chez une dame survenir non pas seule- ment de violents accès de vertige, mais une longue et
résultent des trousseaux assez forts qui se dirigent horizontale- ment , en formant des arcs, le long de la limite intern
que qui commande à la digestion et à la circulation (affaiblisse- ment de l'énergie du coeur et stases qui se surajouten
mettre (cas légers) à des frictions froides en frottant énergique- ment la peau, employer peu les calmants, tels qu'opium
congestifs, dus à un surmenage intellectuel et physique, brutale- ment , au milieu de la nuit, manie avec délire anxieux
précoces, prématurément acquises, et, par suite, très fréquent-" ment congénitales. L'hérédité n'en demeure pas moins u
synonyme. (Notons qu'il s'agit d'objets usuels.) Ce sont évidem- ment les substratums optiques des notions et des objet
l'accusé se défend en soutenant qu'il était atteint de folie au mo- ment où le crime a été commis, et que cet état mental
être l'objet d'un examen et, si cela est nécessaire, d'un interne- ment qui sauvegardera la sécurité publique. Voilà très
et dans les départements les préfets ordonnent d'office le place- ment dans un établissement d'aliénés de toute personne
9 : « Le prévenu ou l'accusé au profit duquel intervient un juge- ment ou un arrêt d'acquittement eii matière correction
111. DI'sLSOL. Messieurs, il est difficile de discuter un amende-' ment qui est déposé à cette tribune et que la commissi
ion de l'autorité administrative, qui assurera l'exécution du juge- ment . Quelles mesures peuvent mieux sauvegarder à la f
ème proposé par l'amendement, car au lieu de le livrer immédiate- ment à l'autorité administrative, elle lui assure le b
dé- rablement les recherches du lecteur et lui remémorent rapide- ment les faits exposés. Enfin cette étude de la vie de
'extirpation de régions déterminées du cerveau peuvent graduelle- ment s'atténuer jusqu'à la restitutio ad integrum pres
mènes observés chez les animaux, et donnent un plus solide fonde- ment à leur interprétation. » Seppilli, écrivain dél
vons cepen- dant, en nous basant sur cette communication, pleine- ment le droit d'assurer que dans le nombre considé-
été soula- gées et ont même totalement disparu, grâce au traite- ment parle mercure et cela quoique les malades nias-
r en jour chez les médecins que la principale cause du développe- ment du tabes et de la paralysie progressive est, dans
e le présenter comme un cas indiscutable de tabes; je suis égale- ment loin de soutenir qu'il provient d'une intoxica-
été fait avec le plus grand soin et à plusieurs reprises, se résu- ment dans le tableau suivant. Deux contacts ont été re
où elle est réduite à zéro par endroits, elle est encore passable- ment intacte, à la hanche droite, par exemple; à la ha
-ce qui peut donc décider le diagnostic dans une marche relative- ment si rapide du tabès ? 1) l'autopsie, mais nous n'e
rapproche pas de ce tableau clinique ou du moins, ne doit absolu- ment pas être rangé dans cette catégorie.. z Nous av
par l'ensemble de leurs symptômes, mais qui occupent pour le mo- ment une place à part, grâce à leur étiologie spéciale
taie n'a pas manqué de refléter sur son moral. Il s'emporte facile- ment , très souvent avec violence; il est menteur, onan
n- sidérable étant presque bombée. Le malade expulse continuelle- ment par la bouche et par l'anus des gaz qui font du b
Aussitôt après l'enlèvement du casque, il sent des vertiges telle- ment forts qu'il a crié : « Tenez-moi ! je m'en vais,
igé de se décomprimer. Traitement. Nous lui avons défendu sévère- ment le travail dans l'air comprimé pour la raison qui
interne de t'oeil droit que l'on découvrait, exécutait un mouve- ment très visible de redressement en dedans. Ces paral
du droit externe, du droit interne de l'oeil gauche, rétrécisse- ment irrégulier du champ visuel, atrophie de la papill
localisation de l'agent pathogène faite uniquement et exclusive- ment aux poumons, au coeur ou au tube digestif. Quan
e Progrès médical, n° z 2 août 1884. Voici la relation textuelle- ment empruntée de ce fait : . « Cette hémorrhagie es
qui était gonflée. A 4 heures du soir, le malade était complète- ment revenu, et il riait, en voyant ses compagnons tit
fris- sonnement ; pas de perte de connaissance. Cet engourdisse- ment après avoir duré une heure, a disparu pour faire
t, après avoir séjourné vingt cinq minutes, il s'est fait, brusque- ment , comme d'habitude, décomprimer. Il avait fait, an
- ment, comme d'habitude, décomprimer. Il avait fait, antérieure- ment , ti.es immersions dans les mêmes conditions, sauf
geur ne peut pas déterminer, il a été pris d'une douleur extrême- ment vive avec anxiété au creux épigastrique, qui au b
s de refroidissement, pas de toux, pas de repas avant son écluse- ment , enfin pas de fatigue. Une heure après la décom
même de la dé- compression soit rapidement, quelques heures rare- ment un ou deux jours après elle. Quels sont les sym
nférieurs, qu'il remuait difficilement, sans avoir de l'étourdisse- ment ; le malade ne perdit point connaissance, et il pa
e exécute quelques mouvements de latéralité pour éviter l'instru- ment ; et, aussitôt, commencent des mouvements précipi
à M. Popoff deux ordres de lésions : 1° d'un côté un épaississe- ment des parois du vaisseaux, une prolifération du tis
omplète. Ce fait, joint à ceux que nous avons rapportés précédem- ment , nous parait justifier la création d'une forme pa
une classification complète, homogène, irréprochable : indéfini- ment perfectible comme la science même qu'elle représe
bizarreries du caractère, devenant subitement soupçonneux au mo- ment de l'excès de boisson, apparition subite dans les
en volitions instables, résultantes variables de causes incessam- ment changeantes, la volonté n'ayant, en un mot, pas d
spice. Fidèle à ses principes Bricon a voulu être enterré civile- ment ; partisan du progrès, il s'est fait incinérer. S
8,000 marcs appartiennent à l'asile, de sorte qu'il y a actuelle- ment 109,000 marcs (136,000 francs) en caisse. Le te
28 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de som- nambulisme avec glossolalie. Malgré l'apparence étrange- ment mystérieuse et déconcertante des phénomènes prése
it toujours absente, elle était selon sa propre expression « folle- ment distraite » ce dont on la plaisantait en disant :
es malaises nerveux, l'éréthisme génital redevenait particulière- ment lancinant. Cam... reprenait son mari en grippe, e
eux toujours fermés, mais après avoir regardé elle écrit mécanique- ment : « Dessin rare en sa netteté, figure de Dieu ant
quelques explications orales : « Les enfants seuls seront réelle- « ment Ifamiens; le tsar (dont elle a évoqué typtologiqu
l'esprit avait ordonné contre la diarrhée d'un autre ami un lave- ment d'eàu de Cologne qui heureusement ne fut pas admi
s ne soient synostosées, le cerveau pourra acquérir un développe- ment normal. Les circonvolutions seront tassées les un
t être rare, car ainsi que nous le faisions remarquer antérieure- ment dans un mémoire sur Le crâne dans les idioties »,
ation. Quelle que soit la causé première de l'arrêt de développe- ment des centres nerveux, le forme cranienne n'est-ell
brale. Ce qui est vrai pour les cas de microcéphalie l'est égale- ment pour les cas où le cerveau est atteint d'un retar
Ledouble (Traité des variations des os du crâné), rattachent égale) ment la déviation de l'apophyse à l'inégalité de volum
, l'orifice interne du conduit auditif n'est pas aussi régulière- ment arrondi du côté sain. Nous avons d'ailleurs noté
e, l'agrandisse- Fig. 11. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 43 ment des trous pariétaux. Nous la signalons non seulem
duction de tout le pied et parfois aussi de la cuisse, sans mouve- ment des orteils, sous l'influence de la friction avec
se de la grande richesse symptomatique du cas (asthénie, vomisse- ment incoercibles; accès de grande tétanie; troubles n
e- vant des impressions inusitées, ne parvient pas au premier mo- ment à les corriger et, par suite, se trompe dans l'év
flexes de l'énergie nerveuse et de même les décharger artificielle- ment par des mouvements passifs. (Revue neurologique,
l'intervention chirurgicale n'a constitué qu'une partie du traite- ment ; dans 3 cas, l'aggravation a été manifeste ; dan
Leur origine vasculaire fait qu'elles sont le plus souvent nette- ment prédominantes au début au niveau du réseau pie-mé
matin, alors que son mari dormait, l'inconsciente se leva douce- ment , alla dans sa cuisine où elle emplit d'acide sulf
non, mais non, chère amie, répondit l'ouvrier. - Si, je le sais, ne mens pas, s'écria alors Mme Justier. Je suis même une
nar, les avant-bras et les jambes sont le siège d'un amaigrisse- ment manifeste. Au bout de trois mois de traitement pa
000 en Europe. Depuis lors et grâce sans doute à ce sévère isole- ment , la fréquence de la maladie décrut de façon manif
vio- lemment, en syllabes appuyées rythmiquement comme un batte- ment d'horloge. Un autre jour, dans des circonstance
cher sa pensée. Elle entretient même avec l'un d'eux, particulière- ment complaisant, une correspondance dont elle fait d'
soulignent l'apparition. Sur nos instances, tout en croyant ferme- ment à l'essence surnaturelle de ses interlocuteurs, C
part et après un travail de préparation inconsciente consécutive- ment mûri que l'hallucination téléologique prend cette
isent au dehors en communications qui ont l'air de venir directe- ment de désincarnés ». Remarques psychiatriques. Flo
tu verras comme le vrai Henri 13... est beau». Il se demande com- ment il sortira de sa guenille et rentré chez lui l'en
s et des mots très expressifs. Ces malades ne constituent évidem- ment pas un groupe distinct à classer à part. Dans la
* Le danger d'homicide doit aussi entrer en ligne de compte. Récem- ment les journaux mentionnaient une tentative d'homici
toutes différentes de celles des solutions chlorosodiques, notam- ment sur le système nerveux central du paralytique gén
'injection. D'autre part saignée aseptique d'autres patients égale- ment sevrés de tout traitement anti épileptique; c'est
cervicales. Ce n'est pas un réflexe mécanique. Il existe constant. ment à l'état normal et échappe à l'influence mentale
qui a polarisé sa vie psychique dans un sens net et défini, com- ment sa vie s'oriente dès lors autour de ce système, c
n. Dans l'état psychique du malade on ne remarquait aucun change- ment jusqu'au dernier temps, c'est-à-dire jusqu'au 10
pas très accentuée. Le discours un peu intelligible Un affaiblisse- ment général des muscles de tout le corps. Une faibles
se disposaient dans la moelle épinière en aspect d'îlots; évidem- ment , une cause quelconque a influé, d'une manière ide
particulier. Tandis que son corps repose, son esprit reste constam- ment éveillé; si elle rêve, elle a conscience qu'elle
onvient qu'il est possible que des angiomes surviennent spontané- ment chez les adultes sans avoir'été précédés d'un noe
s malignes comme le voulait Trélat. M. Le Guiner a montré, récem- ment , que la plupart des micro-hémangiomes apparaissen
r. Théoriquement vraie, cette proposition ne l'est plus pratique- ment , parce que les démences consécutives ou secondair
depuis une dizaine d'années, la démence précoce est essentielle- ment caractérisée par un affaiblissement spécial et ra
forme, présente des caractères spéciaux qui le différencient nette- ment des autres états démentiels. Le premier de ces ca
pruntent leur dénomination à la superposition, à cet affaiblisse- ment intellectuel, de troubles psychiques variés : con
hypocondriaques, mystiques, érotiques, etc.; elles sont foncière- ment polymorphes et asystématiques, au moins dans l'hé
- mes de Dide), des alternatives d'engraissement et d'amaigrisse- ment rapides survenant sans cause appréciable (Séglas)
simplement qu'une prédisposition est indispersable au développe- ment de la démence précoce. A vrai dire, cette prédisp
lequel ils sont greffés est permanent et s'accentue progressive- ment pour aboutir au bout de plusieurs années à la per
es conceptions repose sur une fiction, mais celles-ci sont logique- ment déduites les unes des autres et on en conclut à l
- tolyse, mais de la destruction de l'élément et de son remplace- ment par des amas de noyaux ou tout au moins par une d
précoce soit liée à des phénomènes auto-toxiques, mais certaine- ment très différents des auto-intoxications hépato-rén
ois, jusqu'ici, on n'a pas fourni, à mon avis, de preuves suffisam- ment convaincantes de sa légitimité. De certains car
y en ait une bien nettement reliée à la puberté, sorte d'avorte- ment de ce dernier stade de l'évolution individuelle.
sions ont, en effet, suffi à elles seules à produire un bouleverse- ment de la topographie médullaire et à empêcher de fai
rebente et Marchand ont eu l'idée de faire l'application du traite. ment de la fièvre typhoïde en donnant à leurs malades
s doses. Le résultat très favorable obtenu par ce mode de traite- ment a engagé ces auteurs à en faire la publication.
gangrène symétrique des orteils des deux pieds, affectant seule- ment les phalangettes des trois derniers orteils ; les
nance au voisinage 'de l'aqueduc, plutôt que d'une maladie réelle- ment systématisée..... - i, 1 : : 244 SOCIÉTÉS SAVAN
érieurs ; 2° quand la cécité doit survenir, elle survient générale- ment avant la plupart des symptômes du tabes ; 3° l'af
les nuances. Sous ce rapport, la conjonctive a plus de discerne- ment , elle se rapproche davantage de la peau et des au
de 1838 et qu'avant de prendre quelque mesure hâtive, on expéri- mente ce qu'on a déjà, à savoir l'établissement de Gail
ire; l'unanimité ne se retrouve que pour demander le désencombre- ment des asiles, l'augmentation du personnel médical e
inistration pénitentiaire, elle n'aurait plus qu'une fonction pure- ment exécutive. Aussi songe-t-on à créer pour l'aliéné
il est loisible à certains médecins d'expérimenter cet établisse- ment pour quelques-uns de leurs aliénés criminels part
- ment pour quelques-uns de leurs aliénés criminels particulière- ment difficiles. Il y a des situations locales à envis
« 1° Qu'il soit créé d'urgence des asiles spéciaux pour le traite- ment des aliénés particulièrement dangereux; » 2° Qu
7° La volonté étant le passage du jugement à l'acte, et le juge- ment ne pouvant s'établir que par l'apport des mémoire
taire sévère joint à la médication appropriée a mené très rapide- ment la sédation et la disparition des troubles psychi
e. Aujourd'hui la nature infectieuse de ces délires est parfaite- ment établie ; comme dans les psychoses post-opératoir
fonctions digestive, sécrétoire, vaso-motrice en faisant fréquem- ment appel aux interventions du contrôle cortical. C'e
pement central est en rapport avec le grand adducteur, le groupe- ment externe avec le quadriceps. Contribution à l'ét
pathiques démentiels subaigus chez des cachectiques, est un argu- ment de plus pour rapporter à une intoxication l'eupho
Cette observation est intéressante parce qu'elle établit claire- ment le substratum anatomique de l'état mental si spéc
coups de poing. Tandis que le Dr Rorke, subissait ce joli traite- ment avec un sang-froid admirable, il parvint à tirer
lui, elle aurait pour cause principale l'accumulation incomplète- ment satisfaite de l'excitation génésique, tels que le
els qui n'auraient qu'une influence déprimante s'ajoutant simple- ment aux autres. Disons aussi qu'au Congrès de Greno
la masturbation. Quand il se décida à coïter, à son grand étonne- ment , il se trouva impuissant. Il fut navré et convain
de toute voie droite et longue se reproduisit et cessait immédiate- ment , si l'obsédé avait à côté de lui quelqu'un sur qu
s'il attendait jusqu'au lendemain matin, il n'urinerait certaine- ment pas. Et il en fut toujours ainsi depuis. Dans l
devint excessive. La miction s'en ressentit; il survint du bégaie- ment uréthral ; Y... s'arrêtait plusieurs fois en urin
sou- tenir que cette part est entière et'ensuite que c'est seule- ment l'accumulation incomplètement satisfaite de l'exc
es cas les plus légers de la constitution idéo-obsessive s'expri- ment dans l'existence d'un caractère scz·upulo-izzquie
vite ; au contraire, les mouvements lents aidaient à l'affaiblisse- ment de ce désir obsédant et de ces représentations ob
de saint, par exemple sur l'image d'une croix; tout cela le tour- mentait beaucoup et souvent il tâchait de retenir ses exc
e sa souffrance ; des associations plus ou moins bizarres se for- ment et le résultat en est un cauchemar plus ou moins
d'arrière en avant. Mais il n'existe aucun foyer, aucun ramollisse- ment dans l'écorce ou la substance blanche du cerveau
étaillé. Conclusions. 1. Les vaisseaux de la base du cerveau for- ment deux systèmes, un système antérieur et un système
. I. Lésions unilatérales. 1° Le trouble visuel disparaît totale- ment plus ou moins vite. 2° Toujours le trouble de la
paraît d'abord sur la ligne médiane et en bas, de sorte que finale- ment il ne reste qu'un endroit amblyopique en haut et
temps. Conclusions. La théorie de Munk d'après laquelle tout élé- ment de la rétine est directement uni à un élément de
nombre à peu près égal pour les deux côtés, et forment graduelle- ment le ruban de Reil latéral, aussi volumineux de cha
e courant d'induction ou par la muscarine provoque un ralentisse- ment des contractions cardiaques ainsi que l'arrêt du
. Les fibres inhibitrices du coeur dans le nerf vague sont égale- ment stimulables chez le chien nouveau-né. Elles le so
sexuelle; le malade indique qu'il est parfois envahi d'un senti- ment étrange ; il lui semble que, dans les rues qu'il
un coup de couteau à 1 centimètre de la suture sagittale, obhque- ment dirigé en dehors et en avant sur une étendue de 2
à ce que l'affection est survenue pendant la période de développe- ment du sujet. L'atrophie avec paralysie musculaire et
cutive. Cette combinaison d'un accès de migraine avec un épuise- ment neurasthénique du cerveau émanait d'énormes souci
des connaissances et perceptions, elles ne dérivent pas directe- ment du processus d'abêtissement ; le symptôme est la
. pupille, il y a lieu de supposer que ces dérnières sont simple- ment l'expression d'un processus pathologique d'excita
les parties supérieures du bulbe témoignent a un faible grossisse- ment de la coloration rouge des faisceaux pyramidaux e
inférieure à celle du corps restiforme droit. A un fort grossisse- ment , le raphé, les noyaux olivaires, les fibres arcif
1902.) Revue des travaux correspondants. L'auteur adopte le juge- mens que lui a transmis par lettre de Vincenti de Mila
n pancréatique défectueuse ou suspendue. Les résultats du traite- ment , l'administration d'un extrait glycérine de pancr
figures 1 et 2 de la planche XI, qui sont photographiées exacte- ment sur la même échelle. Rema q2ces. - Je suis d'av
mesure les expériences et les observations faites dans l'enseigne- ment spécial peuvent-elles profiter au développement d
durée de leur internat, toutes facilités pour se présenter aux exa- mens du doctorat auxquels ils seront astreints. Les av
iques, surtout sur un cerveau prédisposé et en voie de développe- ment et qui reçoit déjà d'autres excitences dont on co
gestifs sont assez fréquents chez la femme au moment de l'écoule- ment des règles et sur la plus grande fréquence des at
e de la prophylaxie doit nécessairement servir de base au traite- ment curatif, qu'il s'agisse d'un enfant, d'un adolesc
soir et matin, de douze en douze heures, et, bientôt, non seule- ment les grandes attaques d'épilepsie devenaient plus
lan- dulaires, qui, trop abondantes, ont une action particulière- ment nuisible sur le terrain épileptogène. J'ai fixé
r le sol une quantité plus ou moins grande d'aliments incomplète- ment digérés et dégageant une odeur désagréable, il es
t moyenne : alors l'utérus se contracte énergiquement, plus vive- ment que lorsqu'on excite l'écorce. Si l'on tient co
généralisation des convulsions quand les accès, procédant exacte- ment d'après les lois de l'épilepsie Jacksonienne, co-
l septuple pendant la vie extra-utérine son poids initial ; il aug- mente donc bien plus notablement de poids (et de volume
s dégénératifs (et non inflammatoires) portant plus particulière- ment sur certains systèmes de faisceaux. Par l'époque
et, dans un autre, où le faisceau sensitivo-moteur était complète- ment détruit. Il semble donc que les lésions du faisce
rentes formes, elle peut être complète, telle qu'on l'a classique- ment définie; « Un sentiment de resserrement à la régi
- tamment en contact avec leurs mères et peuvent ainsi plus aisé- ment mettre en action leur imitation inconsciente. Ce
En ce qui concerne le divorce, la question a été jugée différem- ment par les médecins, les juristes et les juges qui o
, Observation d'un homme de vingt-cinq ans, qui fut pris subite- ment de céphalalgie, de fièvre, de vomissements avec r
près de Cologne) ; par le De de 1)1 ? RE. (Bull, de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1903, n° 113). Situé sur un plate
portes et fenêtres ouvertes et les malades peuvent circuler libre- ment dans le jardin. Uanstes pavillons fermés (40 ma
vière et Autriche; par le Dr de ÎIlAEIOE. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1902, n" 106.) Les établissements
pendant l'année 1901; par le De Deperon. (Bzzll. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, juin 1902).- "" « Le régime famil
doit déjà tant de fructueux efforts, mais de la-considérer simple- ment comme une auxiliaire dans l'accomplissement d'une
n savoir, d'une expérience, d'un dévouement auquel aura été rare- ment fournie une plus belle occasian de servir l'human
mère infortunée a succombé elle-même ces jours derniers, probable- ment aux suites de ses couches, et son enterrement a e
aurait naturellement pour devoir de se renseigner aussi complète- ment que possible . auprès des familles, des municipal
1885) en vertu duquel un condamné peut être dispensé provisoire- ment ou définitivement de la relégation pour cause d'i
colonie n'étant pas à proprement parler un, instrument de traite- ment .-Lorsque ces malades viennent à s'agiter, on les
s'agit, d'après ce que montre le père, de trépidation avec frappe- ment du talon sur le sol; le bras ne tremblait pas. A
ure. - Cerveau. - A l'examen du cerveau, ce qui frappe immédiate- ment , c'est l'atrophie très considérable de l'hémisphè
dans la flexion pour le coude et la main, s'oppose presqu'absolu- ment aux mouvements provoqués. La température y est
ètre. de 1880 à 1903, passim. 476 RECUEIL DE FAITS. Hémiplégie. - Mens ! l1'((tions. ÉTAT DE MAL EPILEPTIQUE, TEMPÉRAT
tudinale, d'où le résultat que les lobes frontaux étaient anormale- ment grands. Environ 3/8 seulement de la scissure pari
bien marquée, tandis que le reste du lobe était à peu près nette- ment différencié, (par les'sillons pré-rolandique, fro
apports avec les lobes pariétal et temporo-sphénoïdal, très claire- ment , par les différents sillons annexés. Remarques.
manifestation nerveuse organique systématisée. Il est essentielle- ment différent des manifestations motrices psycho-ment
lobe temporal. A l'autopsie, on trouva, en effet, un ramollisse- ment de l'hémisphère gauche qui expliquait l'hémiplégi
généralement un accident de la grossesse ou surtout un accouche- ment laborieux, ce qui existait dans le cas publié par
rimitif et atteignant ultéiieui'e- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. *- 499 ment d'abord d'une façon dynamique puis créant des lés
rbides. Observation résumée : paraplégie ayant débuté insidieuse- ment , sans cause étiologique connue, devenue totale en
à quarante-cinq ans, 75 environ en état de grossesse, d'accouche- ment , de puerpéralité ou de lactation. Proportion parm
coce, ont noté chez la grande majorité de leurs malades, l'abaisse- ment habituel de la tension artérielle qui oscillait e
déchéance organique vers laquelle évoluent plus ou moins rapide- ment les sujets atteints de démence précoce. Leur en
ytique, admettent qu'à la fin des vésanies, il n'y a pas véritable- ment démence, mais confusion, c'est-à-dire impossibili
louse une ligne de démarcation entre la démence et l'affaiblisse- ment intellectuel. ' M. DtNY. Je veux tâcher de conc
rateur atteint d'accès de confusion mentale; il sortait complète- ment de son état de confusion après une demi-heure de
qui, s'en rapportant aux conclusions de l'autopsie, exigent seule- ment une sanction disciplinaire exemplaire à l'égard d
portière pour lui hurler un conseil, une demande, un applaudisse- ment , n'importe quoi. Mais celui-ci sans vouloir enten
dence en la matière. L'affaire a été en délibéré mardi et le juge- ment intervenu jeudi a condamné Latcha à 200 francs d'
vitreux. LT, lobe temporal, dont les circonvolutions sont extrême- ment atrophiées, P', lobule pariétal supérieur. - P'-
399. Entants Anormaux. Les au point de vue mental; leur traite- ment et leur éducation, par Shut- tleworth; traduite
sée par des états toxémiques, par Holl, 50. Pathologie et traite- ment de l ? par W. Thomson. 70 Les résultats de la c
s vertigineux. Contribution à l'étude du diagnostic et du traite- ment de quelques - -, par Hoyet, 281. Sur les associ
ques réflexions sur l'étiologie de la - générale dans le départe- ment de l'Orne, par Coulonjou, 2-i2. Relations clini
29 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e de ces observations en cherchant à établir qu'il s'agit réelle- ment de sujets atteints de sciatique et que la défor-
t incliné du côté gauche. Elle assure qu'elle se tenait parfaite- ment droite avant le début de l'affection. Elle garde
he) le tronc est incliné à droite et il est en même temps légère- ment fléchi sur le bassin. Au-dessus de la crête ili
LOGIE NERVEUSE. Cette déformation peut-elle disparaître complète- ment ? Il y a tout lieu de croire que, dans certains
mais ces ma- lades sont atteints en même temps, le plus générale- ment , de torticolis spasmodique, et les deux membres
n sautant à cloche-pied, est possible. Le pronostic est générale- ment favorable, le trouble disparaît lentement ou brus
ut ou à genoux, l'absence de coordination se manifeste immédiate- ment . La malade tombe alors d'un côté, cherche à se
s deux flancs. Quelques troubles visuels seraient survenus récem- ment , caractérisés par une sorte de brouillard gênant
à retrouver son équilibre. Les secousses ne consistent pas seule- ment en des mouvements d abaissement du corps; si on c
ette. D... a remarqué que l'éphidrose ne se produisait pas seule- ment sous l'influence de l'alimentation; quelquefois,
rvation de M. Riehl, et, comme dans celle-ci, on se trouve égale- ment en présence d'une mydriase qu'il faut bien rap-
r toute la partie droite de la figure. Cette hémidrose est nette- ment localisée à droite et atteint principalement la r
ont pas remarqué qu'il ait fait avant de mourir le moindre mouve- ment . 68 CLINIQUE NERVEUSE. Autopsie. A l'ouvertur
autre des intervalles de trois à quatre jours, et une fois seule- ment de trois ou quatre mois. Les accès avaient lieu a
des deux côtés. On dégage les jambes de dessous le lit. A ce mo- ment , la tête se met dans l'extension, la bouche s'ouv
s'est congestionné ; les yeux étaient convulsés en haut directe- ment , d'abord à droite, puis enfin à gauche. 78 CLIN
s l'honneur d'adresser à M. le Ministre de l'Intérieur, conformé- ment au désir qu'il en a manifesté, les résultats de l
p d'attention. Sans rien faire d'indécent, Mistral manque absolu- ment de pudeur; il satisfait sans honte ses besoins su
Qui sait, même, si, comme le fait s'est présenté dans le départe- ment du Rhône, Mistral, rendu à son tuteur, par un arr
eux apparaissent dans leur situation normale, la pupille moyenne- ment contractée, mais le plus léger contact, l'impress
les muscles du cou sont le siège. La malade est du reste éminem- ment contracturable. Si on soulève un des bras on le v
lade et celles-ci lui apprennent que le sujet souffre ordinaire- ment d'attaques convulsives dont la description le met
ité des phénomènes observés avec ceux que nous décrivons. Evidem- ment , il existe là comme partout ailleurs des question
e le lobe temporal gauche est réduit en bouillie : ce ramollisse- ment commence à l'extrémité antéro-inférieure des Il e
de l'oreille droite que de l'oreille gauche. Il ne s'abuse nulle- ment sur leur nature et s'est toujours rendu compte qu
ue. Troisième séance. M. le Dr n.\RTELS, directeur de l'enseigne- ment scolaire municipal de Gera, communique le résulta
e du sens de la forme que dépendront les progrès dans l'enseigne- ment visuel et le travail manuel. L'enseignement des i
es matérielles. En combinant ces diverses branches de l'enseigne- ment , on prépare l'enseignement du travail manuel qui
. étendue et très profonde des deux lobes occipitaux; anéantisse- ment eomplet des deux zones visuelles; et cependant il
oite, parésiée, on lui attachait l'autre; ce procédé réussit égale- ment chez un chien qui présentait après la mort une de
larités spéciales, quand les faisceaux pyramidaux ont concurrem- ment dégénéré ? Prenons parallèlement le cas de Zacher
tif, et dans le parenchyme nerveux, des altérations intenses égale- ment , tandis qu'une excitation faible porte seulement
est fatalement la lésion de la dyslexie. Il convient donc simple- ment d'appeler l'attention sur le fait en question, et
i, dans tous les cas observés, est passager, car il ne dure généra- ment pas plus de quatre semaines environ, est tout sim
table que tels de ces malades conviennent plutôt à un établisse- ment fermé, tels autres à un établissement ouvert. Il
? M. BARDOUX. C'est bien entendu, et il n'en peut pas être autre- ment . Dans la plupart des départements, il n'y a qu'un
Les malades jouissant d'une certaine liberté dans cet établisse- ment sont moins portés à des actes de violence, de tap
uméro, de bien vouloir nous adresser le montant de leur réabonne- ment . Le rédacteur-gérant, Bourneville. EHCU1, Lu.
- térieures ; les parties antérieures et moyennes ont été légère- ment atteintes (surtout à gauche); le muscle trapèze e
étendus; à droite, l'extension et la flexion de la main est légère- ment limitée ; sa flexion radiale est assez considérab
al du malade s'améliora peu. Le traitement consistait principale- ment dans la galvanisation de la moelle épinière et de
de la nuque et de tous les nerfs moteurs crâniens sont complète- ment normales. Les réflexes du genou sont conservés
la partie supérieure de la moelle épinière du côté droit, nette- ment limitée par la ligne moyenne (fig. 4). En haut
douleur très pénible à la nuque. Il vient de terminer un traite- ment énergique antisyphilitique, entrepris selon le co
leur générale, mais on ne réussit pas à déterminer l'endolorisse- ment local de tel ou tel autre organe. Sensibilité.
doigt, tantôt dans l'autre, rarement dans deux doigts simultané- ment , pour ne durer qu'une minute ; elle était due à u
s dans la direction longitudinale et ne sent qu'un seul attouche- ment si on le touche avec les pointes du compas écarté
s les pointes du compas étant écartées de 7 centim., pris séparé- ment , il localise les deux attouchements consécutifs d
remiers doigts et la ra- diale du quatrième; sa limite va exacte- ment au milieu de la paume de la main et de la face
erve point de faiblesse, mais le malade se plaint d'un affaiblisse- ment du pouce et de la main. 28 février. L'affaiblis
avec ses mains en la faisant progresser par petits sauts, mouve- ment dont nous sommes coutumiers pour, étant assis,
chez nos ma- lades, et que souvent aussi l'occasion du développe- ment de l'affection porte à croire à une paralysie p
dès sa nais- sance, c'est vraisemblablement à cause du développe- ment incomplet de ses centres nerveux. « Si l'en- fa
le épinière sont acquises par l'éducation. « L'enfant a certaine- ment la faculté d'apprendre à marcher, mais le pro-
mpe autour de la baguette en rampant '. Il s'agit bien là évidem- ment de mouvements dont le mécanisme est dans la moe
es excito- sudorales et irido-dilatatrices paraissent donc nette- ment séparées. De même., il y a des observations où
utour de lui ; il a dit distincte- DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 233 ment : « J'ai soif.» La parole est assez correcte, mai
d'hui. 15 au 19. La température normale s'abaisse progressive- ment jusqu'à 36°,8. - Le 17 et jours suivants, le mala
ire. Cyanose très prononcée des mains. Il a été soumis au traite- ment par l'élaxir polyb/'omu7'é. 1886. 9 mars. Le ma
t par Sem- mola, qui se rapporte à l'épilepsie procursive propre- ment dite. Nous n'y voyons, pour notre part, qu'un de
ars que. Ordinairement le début se fait lentement et progressive- ment ; puis la Catatonie arrive à un stade d'acmé et r
Le pronostic de cette affection est assez favorable contraire- - z ment à celui de la paralysie générale; les habitudes d
du processus; la rétraction et l'atrophie arrivent très tardive- ment , ce qui empêche l'agrandissement des cavités céré
ie et qui passe souvent alors à la guérison est nommée ordinaire- ment manie, et en opposition aux formes maniaques mul-
ires de l'attaque. Mais, par ce fait même que le cadre est large- ment tracé, nous donnerons surtout la description d'un
es. Il faudrait donc s'astreindre à sonder les malades régulière- ment pour ne pas perdre d'urine, à recueillir les sell
dents plus ou moins tenaces; mais, pas plus que les autres égale- ment , elle ne semble par elle-même entrainer la mort.
thésie sensitivo-sensorielle et de légère contracture principale- ment au bras, paralysie hémiaciale incomplète du même
s'occupe avec raison et gaité, ne se plaint de nulle part, s'ali- mente bien et cause avec intelligence. Le 41, après u
rences pleurales et pleuro-costales au sommet gauche principale- ment . Il existe aux deux sommets quelques amas superfi
; de même chez le sujet de Timermans. Toutefois, il en fut autre- ment chez cet individu observé par Semelaigne', qui re
pé- ration, le malade ne manifesta aucun signe de douleur; seule- ment il soupira d'une manière presque inappréciable lo
faut donc laisser les malades dormir et l'on attendra tranquille- ment leur réveil ; tout au plus faudrait-il appliquer
t en lui disant : « Vous sentez de la chaleur, cette chaleur aug- mente , etc... « Si le sujet est hypnotisable, il répond
ente, etc... « Si le sujet est hypnotisable, il répond affirmative- ment et se trouve dès lors apte à subir les effets de
résulte la nécessité de faire traiter le malade dans un établisse- ment d'aliénés et de l'y tenir enfermé. « Ce rapport
sivement du chef responsable, pu du propriétaire de l'établisse- ment , ou des médecins qui y sont attachés, ou de la pe
D'autres colonies construites sur ce modèle ont été créées récem- ment dans plusieurs provinces de Prusse, dans la Saxe,
iélé de médecine et de chirurgie de Bordeaux, revu et considérable- ment augmenté. Précédé d'une notice sur les asiles « J
coup à souffrir du froid. Néanmoins, sa santé ne fut pas sérieuse- ment ébranlée, puisqu'aussitôt qu'il fut licencié il e
qu'un instant, moins d'une seconde assurément, mais c'est atroce- ment douloureux. Et puis cela se reproduit toutes les
rmés, il chancelé et est incapable de progresser. Il lui est égale- ment impossible de marcher à reculons que les yeux soi
ébuté cette atrophie testiculaire, mais il assure très catégorique- ment qu'elle n'existait pas avant le début de sa malad
conclure que l'ataxie locomotrice soit une névrose ? Non, assuré- ment . Mais il faut admettre qu'il existe, dans certain
e nerveux en parfaite connexion avec le passé du sujet et intime- ment lié aux maladies de ses ascendants et de ses co
s à des périodes irrégulières; ces douleurs ont disparu complète- ment depuis deux mois. Il y a quinze jours, le 27 juin
paralysie date de deux mois environ ; elle est survenue brusque- ment sans raison apparente pour le malade. Tous les mu
ans, D... u un engourdissement dans la main droite et particulière- ment limité dans la région innervée par le nerf cubita
quinze ans, a toujours été très nerveuse ; elle souffre habituelle- ment de migraines. Il y a douze ans, elle a été prise
bservés chez des membres de la même famille. Ce n'est plus seule- ment , comme dans les autres cas relatés jusqu'à pré-
'étude des conditions étiologiques qui président à son développe- ment nous montre une fois de plus qu'en pathologie n
ze ans la mémoire a commencé à faiblir; il tombait alors fréquem- ment de nuit et de jour jusqu'à cinq fois dans les mêm
- 20 décembre. -Pupilles égales; un peu dilatées; parfois grince- ment de dents, ou encore il ouvre et ferme alternative
e.) Du côté de l'appareil respiratoire mêmes signes que précédem- ment et, de plus, râles, assez fins à la base du poumo
cé une demi- minute après le début des mouvements, et le tremble- ment après la première minute. Au début de l'expé- r
t en repos sur la table '. Fig. ? }. Tracé au début du balance- ment . Le chien se trouve dans les mêmes conditions.
E PATHOLOGIQUE. provoquer l'anémie cérébrale. Pendant le balance- ment nous avons voulu étudier l'influence de l'anémie
g. 25. - Suite du balancement. Fig. `3vi. - tracé pris immédiate- ment après le balancement, le chien étant en repos.
achée, que nous avons alors bien liée. Les mouvements de balance- ment ont donné des tracés diaphragmatiques avec des
oreilles dressées; les pupilles dilatées, les membres en tremble- ment . Après le balancement, leur démarche est lente
eur, repré- sente la respiration diaphragmatique prise indirecte- ment sur la peau. A gauche du tracé, on voit une cou
manger : leurs pupilles se dilatent; ils ont souvent le tremble- ment des membres. La température rectale descend de
/t)'e' ! Mpa</t : 'M, 1852. ' 8 Griesinger, - Traité des malade. ment . (trad. franc, de Doumic, 1865.) 9 More). - E
que d'ailleurs les autres énumérés ci-dessus sont-ils véritable- ment caractéristiques d'une forme mentale spéciale ? C
nçons par les plus importants, les symptômes catatoniques propre- ment dits. A. - Comme on peut le voir par la descrip
nes que nous étudions (Morel3, Micl1éa 1). ' Morel. Traité des mal, ment ., 1860. Note de la page 191 et Etudes cliniques
. Cependant nous rappellerons ici un inté- 4 Morel. Traité des mal. ment ., p. 712. 1 Kralft. Ebing. - Loc. cit" Bd. I.
pes; que l'on rencontre en dehors de l'aliénation mentale propre- ment dite, les désordres moteurs eux-mêmes, qui sont p
on de ces phénomènes, et en les considérant au point de vue pure- ment clinique, ils n'ont pas, à notre avis, l'importan
pléance avec une période maniaque d'un accès de catatonie propre- ment dite, sans compter que ce n'est pas toujours cett
mbre 1887.) , 3 Morel. - Eludes cliniques, t. 1, et Traité des mal. ment ., p. 713. à Tanzi et Riva. - La Parazzoia, cont
s. D'un autre côté, le cycle de la maladie n'a rien de véritable- ment régulier. On remarque plutôt simplement, comme le
e de la catatonie ' Hammond. Loc. cit. ' More). - Traité des mat. ment ., p. 489, et Études cliniques, t. II, p. 257.
ations assez grandes, avec conservation de la direction du mouve- ment , l'objet est saisi énergiquement et porté presque
la gymnastique. Les facultés intellectuelles peuvent être égale- ment cultivées dans une mesure qui varie avec l'intens
que l'athétose double était au contraire susceptible d'un amende- ment d'autant plus sérieux que le traitement était ins
ds plus qu'il ne convient, l'athétosique ne projette pas brusque- ment ses jambes de côté à l'instar d'un polichinelle e
forme, à divers moments; elles sont dans leur ensemble générale- ment statiounaires, mais ne durent que dans quelques c
étendue. La vue est toujours atteinte en même temps (rétrécisse- ment concentrique du champ visuel ordinaire et coloré)
aussi, d'ailleurs, l'avis de M. A. Voisin qui la soigne, en ce mo- ment , et dont elle rétorque, m'a dit notre collègue, t
persécutés persécuteurs, chcz lesquels ou peut trouver passagère- ment des hallucinations de l'ouïe qui rendent le diagn
ail, d'ailleurs fort intéressant, de M. Gérente. Je n'admets nulle- ment et je n'ai jamais admis un délire chronique à bas
ces malades persécutées deviendraient ambitieuses. C'est précisé- ment parce que la clinique nous permet de reconnaître
t aux idées de persécution, puis aux idées ambitieuses et finalo- ment à la dissolution mentale ; c'est parce que dès le
nt pas s'engager dans cette route sans fin ou qui peuvent impuné- ment être tour à tour persécutés, ambitieux, hypochond
évolution ultérieure. Ils n'offrent jamais la marche systématique- ment méthodique du délire chronique. Une seconde ass
n- sidère comme des exemples types et qui s'appliquent manifeste- ment à des dégénérés. Ni l'un ni l'autre des cas ne re
t la grande autorité de More], ajoute M. Magnan, a pesé certaine- ment sur quelques-unes des opinions présentées dans no
automatiques. Anesthésie associée à de l'hypéralgésie. Ralentisse- ment de la conductibilité des impressions. Paresthésie
agit d'une femme de vingt ans ayant graduellement et progressive- ment présenté une atrophie des petits muscles de la ma
plan oblique très escarpé, tête trigonocéphale, à base relative- ment courte et large. Une seule cavité orbitaire ronde
allons essayer d'analyser les parties principales sera certaine- ment accueilli avec joie par tous ceux qui s'intéresse
neux, les membres se contracturent dans la flexion, et très rare- ment dans l'extension. Les arthralgies ou contractures
à la substitution. Je demanderai à M. le commissaire du Gouverne- ment , -car c'est Je texte du Gouvernement qui est en q
) M. le Président. Je mets aux voix l'article 16, avec le change- ment proposé par M. Paris. (L'article 16 ainsi modifié
sante. Si elle ne sait pas écrire, la demande est reçue conformé- ment aux prescriptions du paragraphe 3 de l'article 16
cée " soit ainsi rédigé : « Le préfet en donne avis au Gouverne- ment , qui prévient le représentant diplomatique du pay
t, non pas par ces déclarations générales qui ne prouvent absolu- ment rien, mais par des faits précis, quels sont les i
révélés par l'application de la loi de 1838 relativement au place- ment d'aliénés en pays étranger. Comment ! vous voulez
é ! M. Scusunsa-hrsrrrca. C'est bien, monsieur ! ... Malheureuse- ment , on ne vous trouve pas dans ces cas-là. M. DE G
pé- rience dans l'aménagement et le traitement, comme nécessaire- ment cela se produit pour toutes les entreprises nouve
30 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
catégorie des névropathes, mariée à l'un de mes confrères. Récem- ment un vieil ami de sa famille a succombé à un cancer
esoin de peindre ou d'exprimer ce qui se passe en elle, sans autre- ment se préoccuper des contradictions ou des invraisem
son récit. Dans sa jeunesse, cette malade avait eu vraisemblable- ment des accès de mélancolie qu'elle appelle des attaq
e accusait de l'anesthésie des lèvres; cette anesthésie était pure- ment imaginaire. Il en était de même de la non-sécréti
SE. douleur revient lorsque j'y songe, ou que je comprime légère- ment le maxillaire inférieur avec l'extrémité des doig
sens, est celle qui établit un rapport direct entre le développe- ment de chaleur dans le cerveau et l'activité intellec
, sen- timents, pensées, volitions \ aboutissent toujours finale- ment à une réaction motrice, volontaire ou automatique
une désin- tégration fonctionnelle portée au maximum, réchauffe- ment le plus considérable des centres nerveux. Les f
veux sont trop rapides et trop diffus, où les images se transfor- ment aussitôt en réactions motrices, la désintégration
'une fin, et qui se reproduisent toujours les mêmes, consécutive- ment à l'excitation de leurs centres respectifs. On
du groupe musculaire sur lequel un courant nerveux est primitive- ment dirigé, l'affaiblissement des notions du plus vul
de persé- cution. Il s'agit donc bien d'images motrices morbide- ment intenses, telles que le sont celles des hallucina
te que des produits de désassimilation de l'élément nerveux vrai- ment actif ? Cette « partie de la substance nerveuse o
génie. II. - Pour la clarté de mon exposé, je rappellerai briève- ment l'historique de cette question. La première publi
motrice des membres inférieurs 1. » Weir Mittchell décrit égale- ment les mêmes troubles sous le nom d'Ataxie motrice h
titude dans la station. La malade a été perdue de vue ultérieure- ment . t. La seconde observation*, prise aussi en 188
donné. Tout, au contraire, s'exécutait à sa volonté, et le tremble- ment épileptoïde ne l'empêchait pas de se tenir debout
u- matisme, le trouble s'établit soit d'emblée, soit progressive- ment en l'espace de vingt-quatre heures. Il n'est pas
ositifs des lésions des plis courbes et sur les résultats uniformé- ment négatifs de la destruction des deux lobes occipit
exactement le siège et l'étendue des lésions avant le développe- ment de lésions inflammatoires secondaires. Elles avai
(1 un cellalll dcglé delevation de l'angle de la bouche et IIIOU\C- ment en et et en ,maut de l'nrctlle. - 9, QU\Clturc de
que le lobe occipital seul est intéressé, nos observations confir- ment l'opinion de Munck que cette lésion produit un tr
t que la lésion a atteint toutes les radiations optiques car autre- ment , d'après l'hypothèse de Schiifer, elle aurait cau
eux-mêmes que l'animal pouvait toujours voir quoique imparfaite- ment , d'un côté. Dans une autre expérience, ils trouve
tion du danger a distance. Il admet aussi l'absence de clignote- ment comme caractéristique de cécité, mais il dit que
mal ne pouvait pas être aveugle, le lobe occipital étant probable- ment intact, l'absence de clignotement pouvait être dû
rcément de troubles dans l'idéation visuelle. Ce serait là un argu- ment contre sa nature corticale. Ce fait, que l'idéati
spécialement au lobe occipital, rapport qu'il a admis plus récem- ment . Le trouble en question était, à son avis, non pa
e. Voici le mode opératoire que j'ai adopté et décrit antérieure- ment : Préparation. Dans un ballon en verre, placé a
is- paraît aussitôt que l'on supprime l'administration du médica- ment , et résulte de l'action que l'acétanilide exerce
microscope révèle que les fibres intrci corticales sont excessive- ment fines surtout dans la couche zonulaire, et que, d
ale ; l'auteur rappelle les principales maladies observées à ce mo- ment , mais il ne précise pas les rapports qui existent
serait peut-être pas toujours sans utilité comme moyen de traiter ment 1, - Dans un autre cas, c'est un autre agent pert
rveau avec accompagnement des lésions que l'on rencontre communé- ment dans la paralysie générale. Il est possible toute
. i quences chez un morphinomane, de l'excès de sulfonal, exacte- ment comme chez les animaux intoxiqués (karst). La sup
me semble pas que cette femme ait pu apporter dans l'accomplisse- ment des actes qui lui sont reprochés cette lucidité e
pui de ce que nous savons, c'est-à-dire du lôle important de l'élé- ment congestif dans la paralysie générale des aliénés.
de Basedow. Aux symptômes déjà connus ils ajoutent le rétrécisse- ment plus ou moins accentué du champ visuel. Il n'y av
première de ces deux catégories, par l'entreprise privée. Le senti- ment populaire, aussi bien que les efforts de la légis
au traitement des Iualades riches, et à limiter, sinon éventuelle- ment à supprimer, les asiles privés. 4° En Amérique,
bâtiments des asiles, variété qui permet de catégoriser effective- ment les malades, mérite d'être imité, à la condition
admis qu'après avoir signé l'engagement de se soumettre aveuglé- ment au régime de la maison, quelles que puissent en ê
s mis en liberté), Le jury a égale- Bulletin bibliographique. 159 ment a blâmé les agents officiels de l'asile d'aliénés
mais complètement disparu; elle se reproduit encore très fréquem- ment la nuit, moins intense qu'elle ne l'avait été au
atrophié. De ce côté d'ailleurs, le reflexe rotulien est totale- ment aboli, tandis qu'il persiste, quoique dépourvu d'
. » Nous ajouterons que cette petite particularité n'a pas seule- ment une valeur physiologique. Le repli sus-rotulien d
lles avaient même présenté un caractère d'intensité particulière- ment remarquable. Mais il n'y a pas à en tirer, dans n
culaires peuvent être encore plus étroite- 172 CLINIQUE NERVEUSE. ment circonscrites entre la deuxième paire lombaire et
u-- paient dans la moelle une étendue correspondant assez exacte- ment aux origines nerveuses des territoires musculaire
rite parenchymateuse. Que faut-il conclure de ces faits ? Evidem- ment que l'atrophie avait succédé à la névrite. Mais q
lles de l'alcoolisme chronique, peuvent et doivent être légitime- ment rapportées à l'influence directe de la substance
e sur cette analogie, il y a lieu de remarquer qu'il y a balance- ment entre le volume de la formation de Lancisi et cel
ation bien tranchée par sa configuration à part et par son isole- ment , et bien caractérisée par sa structure histolo-
a delle funzioni cerebrali, et perlui nell' ammalata non era menoma mente a dubitarsi d'un yin ! 0 nella det erminatione
te au travail mécanique considérable. » Chez le chien, l'abaisse- ment de la température a paru plus marqué encore; il
e la Soc. de biologie, 14 mai 1887. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 22S ment du corps de l'animal, par l'effet de la contrac-
chaleur ab- sorbée dans la décomposition d'un corps-est précisé- ment égale à la chaleur développée pour sa formation
e suite dans le même groupe moléculaire, ou se répète successive- ment dans un certain nombre de groupes voisins, on c
ent à leur tour des souvenirs et des concepts qui, très probable- ment , se représentaient encore à' l'esprit des sujets
sur toute la vie psychique de l'animal et modifieraient profondé- ment son caractère (Luciani). 111. L'écorce du cerve
gue (fg. 14) chez les animaux dont la sécurité dépend habituelle- ment de l'acuité de l'ouie. La région en question est
s. Même quand toutes ces précautions sont prises, il est extrême- ment difficile d'éviter toute cause d'erreur. D'où il
les deux circonvolutions temporales supérieures étaient effective- ment ou potentiellement détruites par le cautère. Où l
sur le parquet (bruit auquel les singes normaux prêtent très vive- ment l'oreille). Parfois cependant, il semblait tressa
tous les six cas, le résultat fut le même. L'ouïe ne fut pas seule- ment abolie d'une façon permanente, mais elle ne fut p
ation unilatérale, et dans les premiers jours, quoique indubitable- ment il entendit, il semblait entendre moins distincte
ec un intervalle d'un mois entre les deux opérations, fut spéciale- ment préparé pour l'expérimentation sur son sens de l'
ements de satisfaction quand il est assis auprès du feu tranquille- ment . Il crie aussi quand il a besoin de nourriture, m
e la localisation de l'ouïe dans le lobe temporal et plus spéciale- ment dans la circonvolution supérieure de ce lobe. L
n antéro-latéral, et comme le cordon pyramidal peut être entière- ment sclérosé sans trouble de la sensibilité, nous som
. ainsi qu'une gomme volumineuse de la pie-mère au niveau du seg- ment moyen de la moelle. Nombreuses figures à l'appui.
obule pariétal inférieur s'accompagne toujours, au moins passagère- ment , de déviation conjuguée des yeux ; elle est on ra
es recherches entreprises sur le système sympathique comparative- ment chez les animaux et sur l'homme. Dans le présent
la commissure antérieure du corps calleux. L'arrêt de développe- ment de ce grand système d'association transverse est
S PARIÉTAL ET FRONTAL DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL GAUCHE CHEZ UN DÉ- MENT , SANS QUE PENDANT La VIE L'ON AIT CONSTATÉ DE TRO
.) Jusqu'au voisinage de l'extrémité supérieure de l'entrecroise- ment des pyramides, le noyau du spinal témoigne d'un p
des cellules de la substance blanche du cerveau, qui sont évidem- ment de nature conjonctive. En tout cas, jamais il ne
loppa chez une femme des idées délirantes hypocondriaques, notam- ment des idées d'empoisonnement et des craintes de pht
patellaires sont exagérés ; le phénomène du pied existerait seule- ment du côté gauche. Au bout d'un mois de séjour à l
a été donné d'observer, s'est proposé d'interpréter psychologique- ment les cas analogues. Procédant par déduction, il ét
nièrement de conseiller l'emploi de 75.000 souverains, en supplé- ment , -[pour l'érection de bâtiments sur la propriété
de Rodez en date du 6 février, demeurant à Colombie, pris subite- ment d'un accès de folie, s'est levé hier au milieu de
travers les rues, toujours droit devant lui et répétant invariable- ment le même mot, un terme scientifique. Il se promène
considérer les évadés comme des mis en liberté). Le jury a égale- ment blâmé les agents officiels de l'asile d'aliénés d
mittentes. Influence de la première menstruation après l'accouche- ment sur la production de la folie (1856). - De la diè
e ces pa- ralysies partielles, considérer, d'une part, le groupe- ment des divers noyaux qui constituent l'origine réell
comprendrez aisément comment la lésion peut atteindre simultané- ment le nerf de la septième paire et le faisceau pyra-
le donc en jeu ? Eh bien, non. Pour échapper à ce verdict, le mo- ment est venu de vous montrer d'abord que, en dépit
était pas abaissé du côté paralysé, mais il était encore notable- ment plus élevé que du côté sain. En outre, les plis
a jambe encore en octobre 1889. Lorsqu'on lui dit de montrer com- ment elle marchait à cette époque, elle mime assez bie
qu'on ordonne à la malade de fermer les yeux, elle le fait facile- ment et avec énergie. Si on lui commande d'ouvrir ses
nesthésie sensitivo-sensorielle droite complète, double rétrécisse- ment du champ visuel, point hystérogène au vertex, hys
s. Quant aux causes du bégayement ordinaire, elles sont parfaite- ment connues : des convulsions, l'imitation volontaire
J'ai indiqué quels étaient les cinq signes principaux du bégaye- ment . Mais j'écarte tout de suite l'étiologie et l'ind
atoire d'ordre purement fonctionnel que nous rencontrons commune- ment chez les bègues. En effet, 1\1. Ballet a rangé aj
ayement ? On vient de comparer son trouble de la parole au tremble- ment de la paralysie générale. Peut-être pourrait-on t
sons simples qu'en les faisant précéder d'une consonne habituelle- ment la même pour toutes voyelles (Observ. 2) » : A =m
i donc, rien d'extraordinaire. Mais M. Pitres a trouvé concurrem- ment chez l'enfant des troubles de sensibilité qu'il r
père a été tué sous ses yeux ait suffi pour provoquer le bégaie- ment . Il fait appel à la faculté d'imitation si dévelo
atteint de bégaiement n'est pour rien dans la production du bégaie- ment du jeune T. Il est devenu bègue à la suite de l'é
e zézaiement n'a aucun rapport avec le bégaiement ou le bredouille- ment et ne peut être compris dans la catégorie des déf
dépendant de contraction spasmodique. Le zézaiement est dû simple- ment à une manoeuvre vicieuse de la langue dans la pro
e qu'on peut appeler un procès de tendance. ne suffit plus seule- ment de rechercher les stigmates hystériques, mais de
. M. Pitres voit encore dans la rapidité avec laquelle le bégaye- ment est guéri par des exercices de gymnastique vocale
avisé de faire intervenir l'hystérie dans tous les cas de bégaie- ment . NOTE A L'OCCASION DU MÉMOIRE DE M. CHER VIN
hystériques un trouble spécial de la parole, se reliant étroite- ment à l'hystérie, et consistant dans une difficulté t
pas l'importance qu'il y a, au point de vue du diagnostic notam- ment , à en bien étudier les diverses manifestations.
L'animal pouvait bouger ses jambes librement et saisissait solide- ment les objets avec la main droite, mais il tombait c
ment les objets avec la main droite, mais il tombait continuelle- ment du côté droit à cause de la manière maladroite et
e plcnus choroïde se plaçait dans la corne descendante immédiate- ment à la partie interne du toenia de l'hippocampe. La
missnrales réunissant les hippocampes. C'est ce qu'on voit claire- ment sur le cerveau du kangouroo, chez lequel les hipp
é- pendant ou plutôt associé, dépend, comme le démontrent claire- ment les expériences de Goltz, de l'intégrité des cent
la langue dans le cas d'extirpation unilatérale se meuve normale- ment . L'animal peut, comme nous l'avons dit plus haut,
celante. Tous les mouvements des pattes comme mains sont entière- ment impossibles* * ». L'impuissance dépend de la dest
superficiels, disent-ils, ainsi obtenue nous n'avons obtenu seule- ment qu'une paralysie musculaire, incomplète comme rés
sulte qu'un examen des observations cliniques puisées indistincte- ment à toutes les sources en acceptant les tumeurs et
capables de produire des troubles à distance n'est pas certaine- ment en faveur des conclusions que les auteurs ci-dess
uleur était ' Cas. de S. H. Brain, vol. X, p. 95. * Tripier. Rev. mens . 1880, Cas. 4. 5 Bramwell's Case journal, 28 ao
. Nous n'avons. je crois, aucun sens de l'innervation indépendam- ment des impressions sensitives venant des parties en
. Ces faits et d'autres semblables montrent que le sens du mouve- ment n'est nécessaire ni à la coordination, ni à la pu
t pas nécessairement liée aux sensations actionnées par le mouve- ment lui-même. On peut concevoir que les idées de mo
- dant de l'autre ou que les idées musculo-sensorielles de mouve- ment soient les excitants nécessaires ou immédiats du
tale la sphère sensorielle du tronc, quoiqu'il dise très distincte- ment qu'il n'a pu découvrir aucune preuve d'anesthésie
inale et si là où il n'y avait qu'un chef il n'y en aura pas forcé- ment deux. Pour M. S. Garnier, il n'y a, en définitive
« me ni délit lorsque le prévenu était en étal de démence au mo- c ment de l'action... » En matière de crime et de delits
fondamentale du crime et de la folie n'entraîneraient pas seule- ment la négation de la justice, mais elles compromettr
ité est limitée, n'a pas paru suffisante au législateur italien qui ment d'é- dicter que : « quand l'état d'esprit indiq
rantes, ambitieuses et de persécution se sont montrées simultané- ment , dès le début. Il cite encore deux observations
que les persécutés génitaux, y compris ceux dont le délire s'ali- mente presque exclusivement d'hallucinations génésiques
ant de cet état d'esprit spécial du malade qui se rapproche, au mo- ment de la vision, de celui que M. Baillarger appelait
l'exception de cet tains cas de délire de colapsus, sont générale- ment bénignes. Les autres affections mentales, dont
ladie. Ce n'est donc plus une folie morale. 4° C'est essentielle- ment une maladie de l'enfance ou de la jeunesse; il fa
de lésions cérébrales ou cérébelleuses, mais de phénomènes pure- ment fonctionnels : la procursion doit être rattachée
ce travail se rencontrent avec une certaine fréquence non seule- ment chez les épileptiques, mais dans presque toutes l
chez les individus sains et après les accès elle disparait fréquem- ment ou diminue d'un côté.- La sensibilité olfactive,
l'aisselle, de l'abdomen, crémastérien et plantaire sont générale- ment moins prompts que chez les individus sains durant
en outre l'avantage de maintenir l'expert sur un terrain exclusive- ment scientifique et de lui permettre par là de parler
d'amentia. Quant à la prédisposition héréditaire, il pense égale- ment qu'elle n'a pas un rôle prépondérant; l'influence
et c'est pourquoi M. Féré n'a pas hésité à s'étendre assez longue- ment sur les localisations fonctionnelles de l'écorce
E. Il existe dans les environs d Helsingfors une maison spéciale- ment consacrée au traitement des alcooliques et qui po
nés, dits criminels, par \Iaran- don de Montyel, 459; - (interne- ment des), par 1\IouilevUSCh, \68; (service des) en
31 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, tout jeune, de devenir assez instruit pour se livrer efficace- ment à l'étude des régions inconnues, il a une idée fi
rumine, sans trouble, la base même ; il les vérifie méthodique- ' ? ment , et, s'appuyant sur des motifs plausibles, il les
grandes que fussent les difficultés à vaincre. Il se mit patiem- ment au contraire et énergiquement en quête des voies
aussi, chez les gens normaux, toujours de l'intervention du juge- ment qui, par un mécanisme naturel, inévitable, s'inte
er les éléments qui lui manquent, ou de les appliquer pour le mo- ment . L'inventeur est simplement dans Y erreur, mais l
ue c'étaient là des inventions futiles auxquelles avait certaine- ment présidé un sens critique défectueux ; le mobile e
sente au malade que sa personne est menacée. Il éprouve un senti- ment d'inquiétude et de perplexité comparable au senti
de semblable ne se passe ; toutau contraire, il éprouve un senti- ment de vide dans le champ de la conscience ; une agit
ent ame- née par des combinaisons de raisonnements. C'est évidem- ment une lacune, un trouble dans le fonctionnement de
rap- proche des connaissances intérieures du cerveau, et un juge- ment est rendu sur cette idée. Si elle est reconnue fa
ient ex ab1'upto, sans aucune opération préparatoire du raisonne- ment . Ferme et stable comme un roc, dès le début, elle
se devra référer. Les processifs, par exemple, le sont fréquem- . ment devenus il la suite d'une réelle injustice. Et
odui- sent un soulagement psychique, en satisfaisant le raisonne- ment . l'idée fixe. 19 La conception délirante pass
r- rompre le cours régulier de la vie ; c'est un acte définitive- ment psychopalhique, revenant par paroxysmes avec une
sans que le malade en ait conscience, par suite de l'affaiblisse- ment du jugement, et dominant toutes les pensées,-abse
Le malade a le crâne normal, il n'a pas de lièvre; il est visible- ment épuisé, peut à peine se tenir sur ses jambes. Pou
ée. L'intelligence et la vigueur physique de Il ... n'ont aucune- ment diminué. Depuis son jeune âge jusqu'à ce jour, il
lles schismatiques, la conception monothéique prévaut définitive- ment . Nous trouvons le reflet de cette évolution menta
vite. Ces malades se complaisent aux lecLures de l'ancien testa- ment ; leur imagination est surtout frappée par les pa
t politique, soit enfin, mais dans des cas plus rares, exclusive- ment politique, suivant leur caractère et le milieu am
suppléée petit à petit par d'autres lésions qui diminuèrent notam- ment le mauvais pronostic et les crises douloureuses d
développe moins souvent que l'autre ; l'angine apparaît générale- ment à l'âge où les artères deviennent athéromateuses,
e congénital), ou ne devenant insuffisant que plus tard, à un mo- ment où les besoins de l'organisme en thyroïdine augme
es mouvements nerveux consistaient au début, en un simple cligne- ment convulsif des paupières; puis la malade se mit à
telligence et de la mémoire. La situation s'aggrava progressive- ment ; les troubles visuels surtout s'accentuèrent : p
(thèse de Montpellier) a consacré sa thèse à la question du traite- ment chirurgical de la folie sympathique. M. le prof
cas aboutir à des résultats inespérés, en faisant cesser brusque- ment des troubles organiques graves, survenus à la sui
repose sur un piédestal tout simple. La place définitive du monu- ment sera dans la salle de la Commission, dans laquell
ne manière spéciale de raisonner dont l'esprit se défait difficile- ment ». « Je ne serais pas étonné, pour ma part, dit M
présent, dans une certaine mesure, aux descriptions, à l'établisse- ment des types cliniques de la syphilis médullaire, »
traitement, ne vous bornez pas, ainsi qu'on le fait très générale- ment , à inspecter leur gorge ou leur tégument cutané,
ui ne peuvent la guérir. A côté de cela, c'est une femme extrême- ment intelligente, très lettrée et instruite, raisonna
te sa vie à des idées fixes ; il mettait, en tout cas, de l'entête- ment à atteindre les buts qu'il se proposait. C'est un
yens quelconques appartenant aux D... ont été donnés au gouverne- ment de la République sans leur assentiment, il me sem
une clochette qu'il entend sonner à chaque mouvement. Voici com- ment il raconte les différents troubles qu'il éprouve
à des attentions déplacées : ses rapports avec lui étaient évidem- ment connus, car toutes les fois qu'il était question
précédente. Cette demoiselle, bien élevée, affinée, déclare carré- ment qu'elle avait bien le droit de se conduire comme
plait par son activité et sa diligence. Elle a cependant complète- ment rompu avec tous ses parents qu'elle accuse en par
s petits garçons). Elle a des complices. « J'aurais honte de vous mentir . Ce n'est point une exagération, mes souffrance
ur ses couches, elle s'alite), habite avec un interne dans le bâti- ment d'administration. Les dimanches et fêles, je suis
elle voulait lui remettre, avait disparu. Ce pouvait être un testa- ment annulant celui de son oncle deux ou trois jours a
mettre des actes marqués au sceau de la folie et qui vont rapide- ment amener son internement. 11 demande une enquête au
psy- chologiques, qui, une fois constitués, persistent indéfini- ment et ne se modifient plus suffisamment pour s'adapt
eaucoup du reste et a fait appeler le médecin par peur d'un avorte- ment . Cependant l'accouchement s'est fait à terme et s
tuosités de la musculature ont pour conséquence un affaiblisse- ment relatif dont le malade a le sentiment très net
peau : quelques noevi pigmentaires très clairsemés. Le fonctionne- ment des appareils digestifs, circulatoire, urinaire,
est atteint presque seul, l'intégrité des muscles étant relative- ment respectée. La participation de la face dans les a
d'idées mauvaises (tentatives de suicide, d'homicide), ni d'énerve- ment . Il sort de la Conception, sept mois après. Rentr
insi toutes les provinces de l'écorce que Cajal formulera son juge- ment définitif sur la question. En attendant, ce n'est
à axones ascendants ; 2° couches des cellules polymorplies propre- ment dites ou couche des éléments fusiformes de IEYNEl
L la disposition du malade, et en cesser l'emploi le plus rapide- ment possible. Ilitzig, attribuant à l'hyperacidité du
u par un corps qui existe dans les liquides de l'organisme au mo- ment de l'accès et qui agit sur l'écorce cérébrale, co
légale de l'alcoolisme; par le D' Lent ? (Il«ll. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, mars 1899.) Il faut distinguer, d
ar Rossolimo. les troncs nerveux se comportent quelque peu autre- ment à la palpation : chez ceux-là notamment ils sont
oit des vacuoles apparaitre à l'intérieur des cellules, principale- ment il la périphérie, vacuoles de volume et de nombre
certains caractères différents de ceux que l'on observe habituelle- ment dans les cas de ce genre. L'exhibitionniste, vo
de temps à autre il recommence ces pratiques étranges. Non seule- ment il va s'exhiber au dehors, mais deux fois, il n'a
lui inspirerait plus de retenue ; il ne se montre pas habituelle- ment aux petites filles, mais parfois il s'adresse aus
le phénomène unique consiste en une douleur superficielle stricte- ment cantonnée dans le domaine du fémoro-cutané. 11.
5. De la valeur thérapeutique des courants continus dans le traite- ment de la névralgie du trijumeau; par le Dr MIAS. D
consiste à amasser et à classer judicieusement des faits exacte- ment relevés et décrits. Du nombre et du caractère de
ses annexes est-elle en même temps motrice ? S'il en était autre- ment , cette région échapperait à la loi générale citée
nante à l'hémisphère du côté opposé; aussi u sont-ils pas absolu- ment intacts dans l'hémiplégie (Féré ef Lépine). Les
om- bre d'individus n'ont pas la faculté de fermer un oeil isolé- ment . Pugliese (Revista di Patologia Méiose et mentale
us lui ordonnions d'ouvrir les deux yeux, nous sentons manifeste- ment que le mouvement s'exécute avec moins de force du
légers, puisque ceux du côté opposé continuent à agir bilatérale- ment . Mais chez certains individus ayant une synergie
menl. Dans le sommeil les paupières sont aussi fermées parfaite- ment ; les mouvements de l'iris sont intacts. La malad
la figure renfrognée. Sans rien dire, elle va se coucher directe- ment , ne répondant pas aux questions de ses voisines.
assez prononcé. La malade fume la pipe des deux côtés, affaisse- ment des- deux commissures, paralysie flasque à gauche
nfin une hémiplégie totale. Au lieu d'une marche aussi régulière- ment progressive on peut voir, trois jours pan exemple
est complètement disséqué de la capsule externe et rejeté forte- ment en dedans; il peut toutefois être un peu entamé p
crâne dans la paralysie générale, les hyperostoses, le ramollisse- ment et les abcès chroniques des os, etc. Plusieurs il
ent uniforme nous parait être Je repos. Nous perdons même rapide- ment la sensation de ce mouvement circulaire accéléré,
réseau bleu sombre; le noyau bleu pâle occupe le milieu de l'élé- ment anatomique ou est rejeté au dehors, les parties p
cherché arrive. Il y a lieu, si la suggestion n'agit pas suffisam- ment . d'employer concurremment, les bains, le KBr et a
Chez les enfants nés avant terme, le cerveau n'est pas suffisam- ment développé, les parties motrices se développent pl
du mois de mars l'aphasie diminue, mais on observe le développe- ment progressif de la démence, en même temps que de l'
e- ment progressif de la démence, en même temps que de l'abaisse- ment de la vue (des deux côtés) avec décoloration des
goût du travail est revenu, le caractère a été modifié heureuse- ment ; c'est le malade lui-même qui, tout reconnaissan
le faire croire. Il faut ensuite le féliciter de continuer brillam- ment son rôle de vulgarisateur scientifique. Je remarq
ds dans les paralysies alcooliques. Gauthier (Ernest). Des mouve- ment : ; automatiques rythmiques. Gayzal (André). De l
un accès d'alcoolisme, essayé de tuer diverses personnes, notam- ment sa soeur, un garde des bois de M. D. Abdadie et l
ade : c'est la confusion des idées. C... parle presque continuelle- ment ; ses propos ne sont qu'une suite de divagations
il se couche à la place d'un autre malade. En un mot, il a absolu- ment les allures d'un automate. 11 parait, d'une faç
l'état général tend à s'améliorer; C... recouvre ses forces lente- ment , mais d'une façon régulière; il est toujours très
onnu jadis; C... n'a reconnu son erreur que le jour où il a réelle- ment revu son ancien camarade. « En général, dit-il,
». Au point de vue physique, l'état de notre malade est actuelle- ment aussi satisfaisant que pos-ible; mais l'impotence
décalqué la lésion sur un papier transparent, le cerveau préalable- ment durci dans le formol et nous l'avons rapportée su
: le segment rétro-lenticulaire et le tiers postérieur du seg- ment lenticulo-optique de la capsule interne (fit/
ques. Nous laissons de côté l'hystérie, qui entraîne si fréquem- ment des troubles inexpliqués de la menstruation, comm
e un rôle dans l'hémorragie menstruelle. Comment expliquer autre- ment les cas si fréquents de déviation des règles ou d
tion assez bonne. A toujours été pn peu nerveuse, réagissait vive- ment à toutes les impressions morales; cet état paraît
résultat; Le traitement de la maladie mentale a consisté unique- ment dans la balnéation journalière prolongée, et l'al
e et qui donne à la peau, au point où devrait se trouver normale- ment le méat, une coloration bleuâtre, au moins sur le
dit Debierre, qui n'ait entendu parler de filles devenant subite- ment garçons au moment où elles franchissaient un foss
iciente ayant simultanément produit un double arrêt de développe- ment ? Cette dernière interprétation semble au premier
pro- pos de l'état physique; mais ici le problème est singulière- ment plus ardu. L'idiotie congénitale est une lésion
vue intellectuel, étaient des débiles. Moreau (de Tours) a égale- ment observé un être âgé de douze ans, réputé fille, g
arrêt de développement des organes génitaux se trouvent fréquem- ment associés chez le même individu, et relèvent d'une
améliorer et peut-être le guérir, et puis il le soumit à un traite- ment électrique par les bains statiques biquotidiens.
tériser les formes par un symptôme dominant, et résultant nette- ment d'une lésion métamérique bien déterminée. Le symp
débuts. Puis sous notre oeil, l'amélioration progresse graduelle- ment ; sous l'influence des encouiagements, la voilà q
croire à une contraction tandis qu'on déplace presque inévitable- ment l'électrode. Mais on peut conserverie manche ordi
les cas de moyenne gravité, l'excitabilité diminue très prompte- ment avec l'apparition de la guérison. Dans les cas gr
e peut vaincre la tonicité des muscles sains. Cela serait probable- ment possible si le sujet était plongé dans une profon
privé de connaissance. il y devient très agité. Pupilles extrême- ment dilatées et insensibles à la lumière, langue tout
éclectique d'après laquelle la syphilis peut conserver non seule- ment la pseudo-paralysie générale, mais encore la para
ncapable d'apprécier la gravité de son crime qu'il était non compos mentis . A la suite du rapport médico-légal rédigé par
e d'embolie doit faire penser à une hémorragie médullaire, notam- ment sur l'étendue du cinquième segment cervical jusqu
plus excentriques s'observent dans des cellules dont un prolonge- ment ou plusieurs a été le siège d'une rupture, cellul
asma où il est situé a été le siège d'un remaniement. Ce remanie- ment peut consister en une simple diminution de densit
pendantes de notre volonté, être faites qu'un mois après l'isole- ment de ce microbe, c'est-à-dire avec des cultures pro
cellules épendymaires sont fréquemment notées. On voit que, rare- ment , une systématisation, une élection des lésions po
ndry ! D'autres auteurs se sont au contraire rattachés exclusive- ment à la pathogénie médullaire. Pour Senator notamm
ns de polynévrites. Aussi l'opinion de Krewer nous paraît légère- ment paradoxale à l'heure- actuelle. Les quatre faits
cillaire, à vingt-sept ans; l'autre d'une méningite, très probable- ment tuberculeuse. Quant à notre malade, elle n'a eu
retourne souvent à sa consolation. Elle continue ainsi journelle- ment à s'intoxiquer, soit avec du cognac, soit avec de
Ces hallucinations ont des alternatives d'intensité et d'apaise- ment suivant la quantité de boissons alcooliques ingér
lent. C'est bien une hallucination motrice verbale apparue au mo- ment du délire alcoolique, et qui disparait avec la su
rieux). « Les deux phénomènes musculaires (expiration volontaire- ment réglée et mouvements phonateurs du larynx) qui pr
notre observation I, certains malades croient parler automatique- ment . L'éréthisme du centre cortical moteur verbal pro
A la fin du mois de mars le malade est capable de faire correcte- ment la suspension à l'échelle convexe et horizontale,
il se conduit bien, et travaille régulière- 398 RECUEIL DE FAITS. ment . Lui-même nous a écrit en mai dernier, et sa lett
s on ne peut attribuer cette transmission au ruban de Reil seule- ment ; il est nécessaire de faire entrer en ligne de c
opposé (faisceaux commissuraux) et qui sont les faisceaux propre- ment dits du cervelet on constate la dégérescence d'un
s voisins; 4° les lésions des racines postérieures sont, contraire- ment aux prétentions de Tooth, Déjerine et Sottas, Gom
n'importe quelle grande cellule et ses dendrites qu'on peut aisé- ment suivre, montrent qu'il faut, dans les éléments qu
ur les dendrites centripètes et récepteurs de l'excitation. Assuré- ment les fonctions du système nerveux prennent, chez l
brale. Cette gibbosité disparaissait complètement par un change- ment de position, de sorte qu'il était difficile de lu
pendant deux mois, s'accrut cependant jusqu'à sa mort. Parallèle- ment à l'amaigrissement, survint une hyperexcitabilité
t par subsister chez deux de ces animaux. On put constater nette- ment également chez deux patients un état de stupidité
é le prix de l'eau-de-vie, que la consommation en a considérable- ment accru. L'alcool qui sert à la fabrication de l'ét
ventre de la momie dépouillée par M. Fouquet, ne serait pas pure- ment ornemental comme les tatouages observés de nos jo
s de Virchow, de Charcot et de. leurs élèves ont bien définitive- ment fixé la pathogénie du ramollissement, ce mot ne p
sée ; aucun d'eux ne présentait un véritable foyer de ramollisse- ment . Au cours de ces dernières années, nous avons r
état dysplégique plus accentué à droite. Gémissements. Mâchonne- ment . Gâtisme. Coma et mort, quatorze jours après l'ad
s terrains cultivables où ils pussent s'occuper. « Après l'isole- ment , disaient-ils, la loi d'un travail mécanique, d'u
apeu- tique, la clinothérapie offre comme avantage d'être facile- ment applicable, aussi bien dans la clientèle privée q
cerveau. Deux mots encore avant d'aborder l'historique du traite- ment par le lit : il n'est jamais entré dans notre esp
en ne m'a fourni des résultats plus satisfaisants dans le traite- ment de la mélancolie. » En 1801" un aliéniste angla
le repos au lit (Rest cure, Rest treatmenl) combiné avec l'isole- ment , le massage, la suralimentation et l'électrothéra
tante pour amener la guérison. Les travaux ayant trait à l'alite- ment se multiplient. Citons la thèse de rlerslieim3, l
is partiels de Guislain et de Falret, : ou peut dire qu'actuelle- ment , ce mode de traitement n'est même plus discuté da
cation ; seul le traitement par le lit en assurera le développe- ment intégral. On ne se contentera plus d'interner les
seule dans la conscience sans que l'esprit ait à intervenir active- ment . Il n'y a donc pas jugement si l'on admet qu'un j
. Claparède fait de plus justement observer, et ceci est un argu- ment contre la théorie de Cherchewski que la notion de
- puissante à nous révéler autre chose qu'une sensation de mouve- ment ; elle ne peut en déterminer les sources. Wundt a
concevoir que la perception d'une résistance plus élevée est seule- ment le fait d'une variation quantitative de la sensat
a 33 centimètres de circonférence et le bras gauche 28 1/2 seule- ment . D'autre part, la force dynamométrique donne 32 d
quence et le rythme de la respiration ne dépendent pas exclusive- ment de l'activité des centres bulbaires ; le cerveau
r pauvreté de substances fibrinogènes. En réalité, le sang récem- ment tiré de la veine est très dillicile il défibriner
n'y a guère que le rouge que l'oeil gauche perçoive bien distincte- ment . Six mois après le commencement de la maladie, hy
et en même temps apathique, muette, immobile. se nourrit extrême- ment mal et s'amaigrit. Le 6 juillet elle se met au li
, de plus en plus, les deux jours suivants, parle moins spontané- ment , tronque parfois les mots ou les dénature. Visage
ar l'hémiplégie droite varie en étendue et en intensité, parallèle- ment au degré de l'obtusion intellectuelle (ce n'est q
2 ou 3 centimètres en arrière du pôle frontal, s'amincit prompte- ment en arrière, et, dans la partie postérieure du lob
s nerveux supérieurs étant, à cette époque, en voie de développe- ment , la toxine a, dans l'espèce, agi sur ces centres
e développent que plus tard et possèdent des fonctions exclusive- ment psychiques. Les faisceaux conducteurs et le systè
duelles. D'ailleurs quand progresse l'atrophie, la pointe propre- ment dite de la langue c'est-à-dire la partie proémine
malade peut élever le bras gauche en avant et latéralement, seule- ment l'omoplate exécute une forte rotation lui faisant
rondes au niveau des zones d'entrée des racines. Ces foyers aug- mentent en nombre et en dimension du renflement cervical
La tumeur, originaire de la fosse moyenne du crâne, plus exacte- ment de la glande pituitaire, est un sarcome; par suit
obéir au commandement du professeur de gymnastique ie sera égale- ment à tout autre ordre; c'est une habitude que l'enfa
on. Le Républicain Orléanais a rendu compte en son temps du juge- ment du tribunal correctionnel de Gien en date du 19ju
la suggestion, par Féron.426. Torticolis mental. Sur le traite- ment du et des tics similaires, par Ilrissaud et Fei
32 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
médecin en face : il devenait alors inquiet, oppressé par un senti- ment pénible, il pàli-sait : ses pupilles s'élargissai
and on le regarde, le malade « est entièrement emparé d'un senti- ment désagréable « ce qui ajoute » une expression épou
" A l'âge de ans j'ai commence a bégayer après av oir été forle- ment , effrayé. Le bégaiement esl resté jusqu'à présent
« Il y avait pourtant des cas uniques d'onanisme, mais actuelle- ment il est complètement abandonné. Le sentiment sexue
'avais décrit (t) et la crainte « de rougir ». décrite simultané- ment par Pitres et Régis (2) ; celle-ci apparaît dans
ntion sur quelque chose, mais c'est impossible 11 cause du senti- ment désagréable qui s'empare de l'âme et qui donne au
ant pres- que absolument de toute société, les exposant un isole- ment pénible. La plupart des cas de phobie du regard
nés. 33 à voir avec la loi du 30 juin 1838 ; nous voulons simple- ment examiner un moyen de traiter les aliénés d'une ma
ner ? M. le D, Bourneville, dont nous connaissons tous le dévoue- ment à la cause des pauvres, a eu l'heureuse inspirati
ous. * ' D'ailleurs un assez grand nombre d'articles de ce règlc- ment répète simplement les instructions contenues dans
S'appuyant, sur l'identité des lois qui président au fonctionne- ment du cerveau et à celui de la moelle, l'auteur dist
- gèrement supiné. La pronation qui se manifeste dépend certaine- ment de la contraction du carré pronateur. On peut l'o
a sen- sation erronée. L'ensemble de ce complexus, son développe- ment par poussées entrecoupées de quelques rémissions,
extérieure des cellules de Purkinje. Enfin les phases de développe- ment des cellules de Purkinje éclairent le fait de la
ur- kinje acquièrent dans le cervelet un rôle prépondérant au mo- ment où l'activité nerveuse se centralise en les éléme
. Lavez à l'eau distillée, puis différenciez chaque coupe séparé- ment dans une solution aqueuse de tannin aussi vieille
remplaçaient dans la ration alimentaire la part prise habituelle- ment par l'azote. Les enfants qui avant ce régime hy
le contracte pour fermer les yeux, ce qui gêne ce dernier mouve- ment . Tabès et maux perforants. M. P. Marie présen
111 et IV coupant le faisceau facial au-dessus de son entrecroise- ment . h. BOISSIER. SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCIIOLOGIQUE.
e favorable; l'intervention chirurgicale consécutive etaitdoubte- ment CUL coup sur urgente pour l'élimination d'élément
tout qu'en 1903 le nombre des aliénés a augmenté dans le déparle- ment du Finistère, et que l'alcoolisme continue d'y fa
les résultats curatifs et préventifs s'accentueront progressive- ment . « En particulier pour ce qui concerne L'Asile
ant entre la consommation alcoolique de la Savoie etle développe- ment de l'aliénation de ce pays depuis l'annexion (186
viendra où des conseils généraux se refuseront à assurer le traite- ment de ces fonctionnaires sur les bases actuelles, et
depuis peu : la température du côté gauche de la tête est nette- ment supérieure à celle du côté droit. Il serait intér
s internes provisoires remplacent, en cas d'absence ou d'empêche- ment , les titulaires avec tous leurs avantages. Les de
: année, nous prions instamment nos souscripteurs, dont l'abonne- ment cesse à cette date, de nous envoyer le plus tôt p
cupant la partie antérieure de l'espace épidural faisant légère- ment adhérer la dure-mère à la partie postérieure des
re- mère est un tissu lardacé, dur, pas caséeux, adhérant intime- ment à la dure-mère. Cetaspect est surtout marqué au n
sont montrées, au lJarclti,encure assez récentes, ainsi incomplète- ment décelahlesavecles autres méthodes de coloration e
ous les cas d'hypocondrie ou de mélancolie, d'examiner attentive- ment le foie, CF (2), à propos d'une mélancolique st
OLIE. 101 Parmi les premiers se trouvent les altérations du tégu- ment , qui se modifie sous l'action de la bile. La peau
llatéraux, ils ont définitivement consacré l'évidence du tempéra- ment névropathique dégénératif. Une parenthèse théor
urs avec les mêmes avantages que les médecins des asiles (traite- ment , retraite, logement, etc.) Il a été adopté par
alyti- que ayant beaucoup d'albumine et une lymphocytose extrême- ment forte. L'augmentation de la pression du liquide a
a été surtout rencontré dans l'épilepsie mais quelquefois égale- ment dans la paralysie générale. P. Keraval. 11. -Re
u su- de la liqueur de Muller (ligure). Des recherches ont égale- ment été faites à l'aide d'un mélange d'acide lactique
- tance chromatophile, est le produit duquel, par graduel accole- ment de nouvelles masses, se forme la motte chromatoph
us musculaire et nervew qui dépend de causes générales, l'épuise- ment de l'économie, et la surchage de ces tisssuspar l
tion (évidement pôtro-masfoidion). Cette jeune tille, héréditaire- ment prédisposée, avait eu déjà unpremieracces assez s
. M. Paul,loIRE (de Lille). -.l'ai montré, l'année dernière, com- ment on constate au moyen du thermomètre l'extériorisa
e sensiblement égale. Au contraire, tel peintre usera supérieure- ment des images visuelles, mais sera fermé aux images
nes germaines, paternelle et maternelle, deux imbéciles. Deux dé- mentes séniles avaient également des parents ayant prése
port. L'alcoolisme y sévit, il est vrai, avec une proportion égale- ment très élevée, mais la paralysie générale y est rel
es ou non. A ceux-là, le traitement médico-pédagogique est égale- ment appliqué, mais sur des bases moins rudimentaires.
, ébouillantcment des linges, etc., tous ces moyens sont constam- ment mis en couvre. · « Le nombre des sorlies a été
e- couer la torpeur des centres sidérés en entraînant méthodique- ment le malade à reproduire les articulations des sons
le plus grand mal qui puisse affliger l'humanité : l'affaiblisse- ment des facultés mentales. « Nous sommes heureux de
e à la santé physique. Mais c'est précisément la question longue- ment discutée par les vieux auteurs de savoir si cette
tions produites par l'activité anormale des viscères qui normale- ment restaient au bord ou tout à faiten dehors de la c
ôté de l'élément spécifique, propre à la vie de relation, un élé- ment organique qui prend part à la synthèsecoenesthési
c.) Même dans ces cas, où le rôle de la mentalité apparaît nette- ment prédominant, il importe de ne pas négliger néanmo
n- tivement sa langue, ses urines ou ses garde-robes, a certaine- ment une préoccupation exagérée et injustifiée de sa s
'ouïe, la quatrième à une malade qui me paraît ne rentrer exacte- ment dans aucun des cadres classiques, quoiqu'elle se
dical. Toute autre intervention serait suivie, à peu près fatale- ment , ou d'échec complet, ou de récidive douloureuse à
les accidents du travail. Voilà une maladie qui aboutit générale- ment , soit au suicide, soif au morphinismo le plus dép
40 ans, avec chancre, roséole, plaques muqueuses, etc. ; traite- ment au mercure pendant 4 mois seulement. Excès alcool
veu, z) (1), permet, dans les cas types, d'assister au développe- ment progressif d'un syndrome- tout d'abord exclusivem
< >1 A l'excitation maniaque chronique semble particulière- ment approprié le bain en pluie des Américains, si sus
réchauffe- 210 CONCRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. ment tarde à se produire ou ne s'accompagne pas d'un s
STES. ment tarde à se produire ou ne s'accompagne pas d'un senti- ment de bien-être. Contre la dépression on utilisera
s de l'excitation et de l'agitation. C'est dans ces cas d'épuise- ment organique que l'on évitera, avec le plus de soin,
donnent plus souvent que dans beaucoup d'hôpitaux, mais certaine- ment dans une proportion trop restreinte. «Les applica
(1). Nos confrères de l'armée paraissent s'intéresser au traile- ment hydrothérapique et à son application scientifique
tation et la fait disparaître. Mais son application est horrible- ment coûteuse ; il faut équipes de jour, équipes de nu
dai- res de cette région les troubles mentaux le plus habituelle- ment observés au cours des maladies du cerveau et du n
'une sé- rie comme il en avait souvent, étais accompagné précisé- ment du 1)'' Dide et de notre interne, M Durocher.Le m
tc. Enfin, ce malade avait plusieurs tics sphinctériens ; cligne- ment des paupières, pincement des lèvres, bruits glott
li- que, il n'est pas possible de faire apparaître expérimentale- ment un ou plusieurs accès épileptiques qui remplacera
énucléés. Nous venons tout récemment de rencontrer un cas absolu- ment superposable : il s'agit encore d'une jeune idiot
es femmes. Il doit savoir traiter leur délire, rectifier leur juge- ment sans les surexciter. ' Chaque catégorie de mala
- zaine de mars 190G au Ministère de l'Intérieur pour le recrute- ment des médecins-adjoints des asiles, et que tous les
. Ces nouvelles dispositions ne pouvant que faciliter le recrute- ment d'un personnel méritant et digne du plus grand in
de paille, contenant 600 bottes et valant 200 fr., a été entière- ment consumée. (Bonhomme Normand du G juillet.) -Après
cour où se trouvaient en ce moment ses parents,il ajusta rapide- ment et lit feu à deux reprises. Le père Dijon, attein
poitrine, s'affaissa sans mot dire. 11 avait été frappé mortelle- ment . Sa femme lit quelques pas et tomba à son tour sa
é- tliencourt, M. Favrel (Auguste), âgé de 52 ans, a, dans un mo- ment d'aliénation mentale, tenté de tuer son beau-frèr
rère, qui se tenait seul dans sa chambre, le reçut froidement. « Tu Mens , lui dit-il, boire mon vin et manger mon lard »
.. D'au- tres fois, le délire métabolique correspond à un change- ment dans la personnalité individuelle du sujet (délir
e sujet, elle répond qu'elle ne sait pas comment elle mange, com- ment elle digère, que son estomac est peut-être bouché
. Nous croyons toutefois que ce « sens de l'espace » est étroite- ment lié à l'intégrité des sensations organiques, mus-
infec- tieuses aiguës offrent ceci de particulier que non seule- ment elles ressemblent à toutes les psychoses toxiques
natoires, se lèvent brusquement de leur lit et cherchent fébrile- ment à se cacher ou à s'enfuir par la première issue
e l'est t encore et sa conséquence presque obligée est l'interne- ment regrettable, dans un asile d'aliénés, d'un malade
pareil cas. Traitement. Au point de vue thérapeutique, le traite- ment an ti-infectieux, antiseptique, général ou local,
e, peut faire croire à une folie commençante et amener l'interne- ment . Nous avons vu plus haut, aux généralités, commen
e ménin- gite et en psychoses proprement dites, débutant brusque- ment à l'apogée de la fièvre, se traduisant par des as
dans la convalescence, soit enfin à la dénutrition et à l'épuise- ment . Quant aux lésions anatomiques, sur lesquelles
. 277 7 que la pneumonie débute par du délire, délire habituelle- ment brusque, agité, hallucinatoire, violent. « Il peu
ments his- tologiques du cortex n'ont pas atteint leur développe- ment nécessaire. Les voies scnsitives sont, il est vra
rations du système nerveux de son anencéphale. 294 PSYCHOLOGIE. ment d'expansion..., » (1). Le reste du système nerveu
is en- suite tantôt profonde, tantôt légère ; ce n'est que lente- ment que s'établit le type respiratoire qui prédomine
peut réagir aux excitations externes ou internes. A partir du mot ment où l'enfanta des réactions morphologiquement su-
ères. Dr CuLLERRE. M. Brousse dit que les asiles de la Seine for- ment un groupe d'asiles spécialisés. Y aura-t-il un ju
y. 7° Si les concurrents ont à proposer des récusations, ils for- ment immédiatement une demande motivée, par écrit et c
ù les aliénistes dits do province n'a- vaient rien à voir (1). le mentirais cependant si je ne disais pas avoir été surpris p
nous heurtons infailliblementàlastatistique. Il existe actuelle- ment , y compris notre cas, 9 observations de poliomyél
ré plus accusé de l'état morbide, ne faisant donc pas nécessaire- ment partie intégrante de la maladie ;et par conséquen
ticaux, le travail des additions il venir est assuré.- C'est juste- ment parce que la puissance de persévérance des opérat
de moins d'un an. Les familles ont donc intérêt à placer rapide- ment leurs malades. C'est une notion, dit 51. Sizaret,
grands bains prolongés de 3, 4, (j et 10 heures retiennent égale- ment mon attention. A noter que les bains prolongés do
ins. M. le 1)1' Dubourdieu paraît être décidé à faire cet enseigne- ment : nous l'approuvons vivement. BOURNEVILLE. XIV.
d'autres accidents. Mouvements du foetus il 4 mois 1/2. Accouche- ment a terme, par le siège, avec beaucoup de liquide a
ar sur- croît, elle a eu deux lièvres typhoïdes qui ont certaine- ment achevé 1' (ouvre de la dégénérescence. Ses misère
sécution, excitation, insomnie. » Au bout de 20 jours d'interne- ment , elle s'améliore et est remise en liberté le <
r. Elle pense qu'elle est « très anémique ; elle souffre constam- ment dans le ventre, sa mélrile n'est pas guérie et se
est trop malheureuse avec son mari absent, qui pourtant la tour- mente et la maltraite constamment u. Elle a eu aussi de
est ce qui arrive. Les aliénistcsproscrivcntles aliments qui aug- mentent les fermentations gastriques ou intestinales. Ils
estera aux premiers, le groupe des hésitants inclinant manifeste- ment vers eux. On a encore écouté avec intérêt une c
pourrons dire avec certitude jusqu'où s'étend son action et com- ment elle s'exerce, que le jour où nous serons fixés d
ment elle s'exerce, que le jour où nous serons fixés définitive- ment sur l'existence et les caractères des paralysies
- niers temps; actuellement elle se traîne plus lentement, molle- ment , s'accompagnant d'attaques congeslives et de rémi
aheIH'(' 11l01l)('ntalll'p rut caup appal'enlllH'utqlW le ll'aill'. ment ne fut pas exécuté. C'("lail h idemmenl. un cas
attribuée 1res probablement à quelque déraul dan 1p dl"\('l°l'Iw- ment du tissu nerveux, .le pense que ces quelques brèv
·nllal ncl'ton, cyclcm. Im Il. Sachs. (The journ. of ner- tous and. ment , diseuse, l ! 103, p. Il. - IX. Un cas d'idiolie
s. [)t"huL appal'ellt il J a 3 ans et demi, Bmtlycal'di¡' acluelle- ment . L'intérêt de cette uhservation réside dansée fai
aplatissement antéro-postérieur de la diaphyse fémorale, écarte- ment des condyles fémoraux internes, les talons étant
leur a permis de distinguer les uns des autres trois types nette- ment caractérisés : Les géants infantiles ; Les géan
AIRES. 419 lente et progressive, comme cela s'observe habituelle- ment dans le mal de Pott, nous affirmons, dit Michaud,
nerveuse. matoire : lui aussi admet que la compression est rare- ment osseuse ; le facteur le plus important des parapl
s dits par compression directe, un facteur important et certaine- ment le premier en date des lésions médullaires consis
peut jouer, à lui seul, ou, dans la majorité des cas, avec l'élé- ment mécanique, un rôle dans la production de l'oedème
le cir- culatoire est simplement l'effet mécanique du rétrécisse- ment d'espace ». Pour CHIPAULT (Le), « l'hypothèse de
grande partie par le fait que les granulations épidurales compri- ment la dure-mère contre' l'arachnoïde et la pie-mère
on. 11 paraît, en effci, ne pas s'agir ici d'une conception pure- ment théorique, car les chirurgiens ont pu constaterpl
prouvé ; depuis les travaux de Schmaus, j'ai pu en relever seule- ment deux cas, un de Chipault (/. c.), l'autre de Phil
les par les techniques histologiques que nous possédons actuelle- ment . '' , .. On doit toutefois convenir aussi, et l
ifficulté de décider si une lésion nerveuse, comme le ramollisse- ment , est produite par des troubles circulatoires méca
et la raideur dans les membres inférieurs augmentent progressive- ment , ainsi que la faiblesse générale. Juillet. Impo
éolaire, à mailles très larges, dans lequel on distingue difficile- ment quelques rares libres isolées : il y a des points
lle du fais- ceau de Turk qui descend jusqu'au niveau du 1"' seg- ment lombaire. Au-dessus, les dégénérescences typiques
rant très mal au Pal. Dans les mailles nv rugliclues moins forte- ment dilatées on \Uilnnl' gaine myelinique tuméfiée, p
ésions des cordons postérieures, qu'on les interprète comme vrai- ment tabétiques ou comme dues aux toxines tubercu- l
quelques tubercules nefs, Ly ltillucs : les vaisseaux sont large- ment perméables, pleins de sang, à parois légèrement é
ningite sont bien conservées; dans quelques rares cellules seule- ment les prolongements manquent et il existe une légèr
s segments sous-jacents et sus-jacents,pour disparaître complète- ment : ne disparaissent pas, au contraire, les lésions
inlillralion embrvonnaire limitée autour de leurs parois faible- ment épaissies : leurliunière contient beaucoup de ido
périphérique, dans quelques cellules seulement il esl peu nette- ment distinct du corps de la cellule, tandis tiue le n
'01'1' hien évident. Beaucoup de cellules sonL très riches en pig-- ment : pas d'atrophie vraie cellulaire. Au niveau du
es quantités et ce mode d'injection, il ne pouvait en être autre- ment ),quoiqu'on put constater la présence de ce parasi
' ( '1">. 1 La figure schématique ci-dessus rend assez exacte- ment compte de ce que l'on rencontre le plus ordinaire
z exacte- ment compte de ce que l'on rencontre le plus ordinaire- ment dans le sang des épileptiques. Comme je l'ai fa
une hypertrophie des pupilles fongiformes ; elle est habituelle- ment longue mais ne présente pas d'épaississement part
ont d'ordinaire incurvés en dedans par suite du peu de développe- ment (le la phalangine. (Fig. `5.) Assez 011\ enton
viennent à assurer à leurs établissements une clientèle constam- ment renouvelée. Que leur importe, du moment où ils so
Caisse des Pen- sions ; par le Dr MAERE. (Bull, de la Soc. de méd. ment .de Bel- gique, 19(n, ne 118.) , VI. Maisons d
D Ehrenwald à Ahrweiler; par le Dr IAERE. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1904, n° 118.) SOCIÉTÉS SAVANTES
gère mais accusée des douleurs périphériques et guérit complète- ment celles du troisième groupe. Jean ABADIF. 1X1.-
presque toutes in extenso, traduites pour la plupart personnelle- ment par l'auteur, ne permettent pas encore de juger e
dedoct,curenmedecineaStrasi)f)ur(;nl8.7.),ii il l'ut successive- ment interne de ilorel à ilaréville, sous-aide à l'hôp
U. riz PAILHAS (B.). Balnéation et hydrothérapie dans le traite- ment des maladies mentales. Rapport présenté au Congrè
l'année, nous prions instamment nos souscripteurs, dont l'abonne- ment cesse à cette date, de nous envoyer le plus tôt p
nation des muscles de la respiration chez les pl .son Il'1111 ? ment , par Faure, p. 235. ' Atiiéromateux. Voir Parés
tinuation des -, par Vogt, p. 324. Ophtalmoplégie et tremble- ment , par Brissaud et Mou- tier, p. 5 : 5, Ostéopa
'un côté et déformations Osseuses multiples d'origine probable- ment hérédo-syphilitique tar- dive, par Rose, p. 314
d'une lésion de la portion cervi- cale ,le la moello et du 5Pg- ment inférieur du bulbe, par Ustanknw, p. 43. - - sy
33 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
s la même explication qu'aux accidents et de les rattacher égale- ment à des idées fixes.' Certains malades semblent, en
ALE. remarqué assez vite, ne présentent leurs stigmates qu'au mo- ment où ils paraissent y faire attention et ne les pré
peut les considérer évidemment comme la preuve d'un amoindrisse- ment des fonctions nerveuses, d'un épuisement des orga
, s'accompagne d'accidents de toute espèce, s'épuise très rapide- ment et ne donne que des résultats très minimes, elle
même la vie normale, la pensée ordinaire qui demande continuelle- ment un certain effort d'attention. Le malade distingu
ctes et ses mouvements : elle ne fait volontairement qu'un mouve- ment à la fois et cesse de pouvoir le faire dès qu'ell
tactile totale, le rétrécissement du champ visuel augmente telle- ment que le sujet devient momentanément aveugle, ainsi
ations dans les mouvements du diaphragme sont d'ailleurs extrême- ment fréquentes et jouent probablement un grand rôle d
s- sance dans les ongles des mains et des pieds, et particulière- ment dans les membres qui sont le plus atteint de para
har- cot. En montrant l'importance de l'isolement dans le traite- ment de l'anorexie hystérique, M. Charcot montrait que
te- ment de l'anorexie hystérique, M. Charcot montrait que l'élé- ment psychique joue dans cette maladie un rôle prédomi
es. Une deuxième catégorie de faits pourront s'interpréter autre- ment : les hystériques n'ont pas seulement des idées f
iques ne pouvant plus être complètement réunis se séparent nette- ment en plusieurs groupes à peu près indépendants l'un
SE. organique, elle reproduit l'aphasie motrice à l'état d'isole- ment , et ce qui est chose inouïe dans l'aphasie organi
r- cot et de ses élèves y découvrent, on pourrait dire journelle- ment , des symptômes nouveaux qu'on n'avait point soupç
ive pour la main que pour toute autre partie du corps. Si le seg- ment périphérique d'une extrémité souffre plus de la p
on- cluons que les centres moteurs surl'écorce ne sont pas nette- ment séparés les uns des autres par des territoires ne
es caractères cliniques des paralysies cérébrales, il est évidem- ment impossible que cette anatomie puisse expliquer le
; elle ne connaît pas le chiasma des nerfs optiques et conséquem- ment elle ne produit pas l'hémaniopsie. Elle prend les
santes pour apercevoir l'ensemble des dispositions, ou bien telle- ment grandes qu'il ne reste plus grand'chose de ce que
e- Fig. 1. 46 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ment ; les derniers orifices sont ceux des canaux de su
Ceux-là conduisent dans des canaux obliques qui rejoignent égale- ment la citerne. l'ig. ? 48 REVUE D'ANATOMIE ET DE
urtout des lobes frontaux, vaisseaux scléreux, foyer de ramollisse- ment des deux noyaux lenticulaires, cirrhose hépatique
S. central un rapport de dépendance ? Pick a répondu affirmative- ment (Berlin. Klin Wochenschrift, 1890, n° 47.) Etud
sultats, cependant pour quelques éléments particuliers, et notam- ment pour les leucocytes amassés autour des parois vas
n certain nombre de cerveaux des paralytiques morts accidentelle- ment tout à fait au début de la maladie. J. Roubinovit
. XIV. DE la réparation DE certains MUSCLES QUI ONT ÉTÉ COMPLÈTE- MENT paralysés A la SUITE du polio-myélite ; par GJAÈI
istent aumo- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 57 ment de la cessation des relations nutritives entre l'
Le terme kinestésique renferme plus que ce qu'on entend stricte- ment par « sens musculaire » : il signifie toute sensa
des hallucinations du sens musculaire (membres amputés) et récem- ment dans un mémoire de Tamburini sur les hallucinatio
.) L'auteur, s'appuyant sur des recherches personnelles précédem- ment publiées, prétend que la chorée infantile est ana
buer une nature hystérique et s'arrête longuement sur le traite- ment prophylactique, sur la lutte contre la prédisposi
l'unissent avec le quadrijumeau postérieur. Il n'y a vraisemblable- ment pas lieu de nier l'existence de fibres semblables
ans une profession de foi qu'il adressait aux électeurs du départe- ment de l'Eure en 1849, il disait : « Sorti du peuple,
dont tous les articles sartaient de sa plume ou étaient soigneuse- ment revus par lui. Ces articles, réunis, formeraient
M. Allbutt termine en rappelant une fois de plus que si le traite- ment médical ne doit pas être négligé, si les recherch
amilles qui sont atteintes par une telle affliction sont naturelle- ment désireuses de cacher le fait autant que possible.
isme, avaient, il y a deux ans, remarqué qu'un soldat de leur régi- ment , C..., était un merveilleux sujet, se prêtant adm
du n° 14. La vérité, une fois connue, produisit chez tous un senti- ment de tristesse. - Celui qui causait tout ce bruit
froid dans les jambes; il lui semblait, dit-il, les avoir constam- ment dans l'eau. Il ne parvenait à vaincre celte sensa
peut fléchir le bras, mais l'extension complète n'est pas spontané- ment possible. Légère rétraction de l'extrémité du pet
nou droit. Crampes fréquentes des mollets, bien plus rares égale- ment du côté droit. Le malade ressent des fourmillem
1 cr janvier. Matin, T. 39°,5. Soir, 40°,2. P. 115,120. Un lave- ment ; selles abondantes, sulfate de quinine 1 gramme
, et l'hyperthermie présentée par le malade était de nature pure- ment nerveuse. Il n'y a pas d'épanchement notable da
r- dâtre, qui a une forme arrondie et qui occupe presque entière- ment la place réservée aux cordons postérieurs; au cen
pris à ce niveau. A l'endroit de la section, les tissus sont forte- ment infiltrés de globules rouges encore intacts. Un
lièrement au voismage de l'excavation où le tissu est presque pure- ment fibrillaire. Souvent les noyaux se disposent par
ifs. Les fibrilles névrogliques viennent s'insérer perpendiculaire- ment à la face externe de cette membrane ; les faiscea
èse récente de Critzman. La conclusion naturelle de ce rapproche- ment est que, dans bon nombre de cas de syringomélie,
qui les constituent sont très fins et possèdent très vraisemblable- ment une gaine de Schwann, ils sont disposés parallèle
entamée à droite. Quant au faisceau de Gowers, il participe large- ment à cette sclérose, surtout dans sa portion postéri
qui nous occupe. L'étude de la régénération de la moelle a vive- ment intéressé de nombreux observateurs depuis Brown-
e la tumeur, pourraient retrouver leur chemin et aboutir précisé- ment aux organes centraux auxquels étaient destinées l
aussi'elle accompagne. un état de' malldont'elle ne dépend nulle- ! ment .*1- Elle s'observe fsurtout"chéz `les'hystéro-épi
l s'élève. En somme la paupière supérieure ne suit pas l'abaisse- ment du globe de l'oeil. Ce n'est donc pas, comme le d
t tomie linéaire comme le seul moyen qui pût procurer un soulage- ment . On fil une incision partant de l'éminence fronta
ation marquée dans l'état général du malade. 11 est naturelle;- . 1 ment trop tôt pour se prononcer au sujet des améliorat
uis les mouvements déterminent des tensions douloureuses, finale- ment la plupart d'entre eux sont douloureux. Tantôt, l
hautes DOSES; lpai, le D ? DAGONET. (li2lll. Cle,iC6 Soc. de métl., ment . de,Beliqûe, mars 1893.) l ,l'if. , Il '1'1 ' 1
ANCO- LIQUE ; par le D'J, TOULOUSE. (Bzill. de,, la Soc.l,de ,11Ud. ment . de. Belgique, mars 1893.) , ? 1, 4 , ti,n î-i
e synostose prématurée, en disant que l'état est dû au développe- ment vicieux du cerveau, et que les changements surven
ynos- tose prématurée, ces cas sont une exception ; 2° contraire- ment aux dires de M. le Dr Clyton Parkyle, la première
la suite d'une attaque congestive grave, alternatives mathématique- ment exactes de mélancolie et de manie durant chacune
on a tout lieu de craindre quand le poids du corps du malade aug- mente tandis que l'état mental, qui s'était d'abord amé
a disposition. ' Après la guerre, M. Charcot reprit son enseigne- ment . Il nous avait confié la publication du premier
ie patholo- gique à la Faculté de médecine de Paris, en remplace- ment de son ami Vulpian devant lequel il s'était effac
J.-M. CHARCOT. possible, parce que sa compagne, pleine de dévoue- ment et d'affection, « d'esprit élevé, l'intelligence
liberté de travailler, il a pu accomplir, dans une vie prématuré- ment interrompue, l'oeuvre qu'admirent tous ceux qui
nte et réser- vée. Peu préoccupé du scepticisme, d'ailleurs pure- ment arbitraire, familier à ceux qui, sous le prétexte
ise foi, sinon les deux, que M. Charcot ne se préoccupait aucune- ment de guérir ses malades. Assertion absurde, car s
rendu justice à tout ce personnel qui, modestement mais constam- ment , nuit et jour, l'aidait scrupuleusement. Cette
ont leur histoire : ce sont des souvenirs de voyages, des spéci- mens intéressants à divers titres ; mieux que cela, ce
ond de son magnifique cabinet de travail à Paris ont été entière- ment exécutées par Mme Charcot sur les indications de
1 J.-M. Charcot... qui novam doctrinam de curatione atque experi- mentis pathologix nervorum adhibendis admirabili ingenio
es aigus graves à déplorer, et cependant il m'est arrivé fréquem- ment de prescrire, cela durant plusieurs semaines cons
e avec ou sans diminution réelle des forces, puis très irréguliè- ment , une sieste plus ou moins longue; du côté de la v
deuxième prise et pendant trente-deux jours apportent régulière- ment , sans sommeil, de huit à douze heures de tranquil
pendant deux jours restent à peu près sans effets sédatifs; rare- ment une sieste d'une heure. La médication a duré ving
sauf deux mauvaises journées, la quatorzième et la seizième; rare- ment sieste d'une heure. Aucune accoutumance ne s'étai
avec sensation de faiblesse, vomituritions aux repas et immédiate- ment après. Observation XXXIII. - Léon Guid..., ving
troubles passagers de la vue. Le malade a toujours protesté vive- ment contre les piqûres qu'il déclarait douloureuses e
scandée, démarche plus normale, réflexes moins exagérés. Traite- ment : septième injection de quinine 0 gr. 80 et quini
en- ter la méthode opératoire que M. Lannelongue a tout dernière- ment préconisée contre la microcéphalie et l'idiotie '
chaudes et froides sur.la tête. Les cheveux avaient été préalable- ment rasés. L'auteur expérimente actuellement le même
le- ment rasés. L'auteur expérimente actuellement le même traite- ment dans un cas de mélancolie rebelle datant de trois
er si l'amélioration obtenue dans les cas légers était bien réelle- ment due à l'agent pharmaceutique. En tout cas, M. Dun
tive à des fatigues physiques et morales, les urines ont été nette- ment (légèrement dans un cas) plus toxiques qu'à l'éta
e bien des objections. C'est d'abord la difficulté de fixer exacte- ment le degré de toxicité de l'urine normale; la dose
conditions, en quantité plus que triple n'a pas produit un abaisse- ment plus sensible de la température centrale. L'injec
- chard sous le nom d'oxaluriques. L'indican est rencontré égale- ment souvent chez ces malades, indice de troubles gast
ro- teste contre une objection de M. Pons qui, comparant incidem- ment le patronage à l'organisation de la protection de
tions bleues ou rouges en rapport avec les pôles aimantés égale- ment teintés de couleurs homologues ou inverses. Ent
observe presque depuis sa naissance et sur laquelle le développe- ment de la tête semble s'arrêter. Cet enfant a toutes
théories sur l'hérédité en général n'occupent qu'une place absolu- ment insuffisante, si on songe qu'elles sont traitées
s ans, un prix de 2.000 fr. à titre de récompense ou d'encourage- ment à tout travail inédit, comme ouvrage spécial, sur
juger; l'ouïe parait absolu- UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 37S ment intacte. La sensibilité générale semble normale à
és avec congestion étendue à la base et un léger degré d'épanche- ment dans les plèvres, les autres organes ne présenten
. Ces cellules à type médullaire siègent plutôt dans le prolonge- ment que la tumeur envoie dans la circonvolution de l'
i` occupe'le" contre du ganglion semble formée par simple écarter ment des" tissus; ses' parois'' contiennent des"ee)iut
irconvolutions frontales; plus en arrière elle s'éloigne graduelle- ment de la substance grise, de telle sorte que le pied
is, avril '1890) n'a pas constaté d'autres troubles qu'un change- ment de caractère et d'humeur dans huit cas de lésions
fibres névrogliques (gliomes fibrillaires), mais qui ont exacte- ment la même origine. On voit quelle variété d'aspec
le et avide de carmin, à noyau volumineux, reproduisaient exacte- ment les formes intermédiaires entre les neuroblastes
- tion orale de Ferrus au conseil général de ce département, com- ment ils y étaient soignés. « Les aliénés de Fontena
chiffre un avertissement dont elle veut faire profiter le départe- ment de la Vendée. D Il ' , ; . "4 En ferait-on une
vec les alcools d'industrie; 2° parce que ses excès sont ordinaire- ment intermittents et restreints aux dimanches, fêtes,
est possible, d'une névrite des organes centraux. On peut égale- ment incriminer, dans l'espèce, les altérations vascul
crokinèse ; c'est le phénomène de l'attention; bientôt le mouve- ment recommence, cette fois en vue de saisir l'objet.
nerveux s'organisent en vue de l'action qui va suivre : mais com- ment s'accomplit cette organisation ? Si la microkinès
rtes que l'on sait; c'est parce que, dans les cas de sclérose pure- ment spinale en apparence, nous avons trouvé des sympt
oint celle qui consiste, comme le fait Flechsig, à se guider seule- ment d'après l'anatomie et non d'après la physiologie.
it maintenant un tout petit, foyer responsable de cet. affaiblisse- ment léger mais persistant du côté droit, tandis que l
M. GOLDSCHEIDER répond affirmativement. Il ajoute que, naturelle- ment , sa méthode n'est pas utilisable quand il y a ane
outes les fonctions ordinaires de la vie s'accomplissent naturelle- ment et, à'l'auscultation, bien que très faibles, les
ne pouvant qu'être artificielle,, devient nécessaire- 348 VARIA. ment insuffisante et le jour où la machine humaine, re
nage pour les aliénés nécessiteux sortant des asiles de ce départe- ment , autorisé l'emploi, au profit de ces indigents, d
lades décédés depuis le 4 mai 1893 jusqu'à ce jour sera immédiate- ment versé à cette caisse, dont le receveur des asiles
e énorme aie maintenir et à le ramener sur la route. Malheureuse- ment , les guides se brisèrent dans ses mains, et, bous
ont la flaccidité normale. Les réflexes rotuliens sont manifeste- ment exagérés, surtout à droite. Réflexes plantaire et
un objet à sa bouche. Les objets sont portés à peu près directe- ment au but avec quelques légères oscillations. Nyst
ements. Etat du malade en décembre 1891. Le malade reste constam- ment assis sur une chaise roulante. L'écoulement de l'
raît; on ne retrouve plus qu'une masse homogène, vitreuse, forte- ment teintée par le carmin, dans laquelle il est impos
. Les parolives sont représentées par deux petites masses, forte- ment colorées, ne contenant aucune cellule dans leur i
nt exception à la règle, mais dans la première il y avait simple- ment diminution de volume de l'organe, sa structure no
essives; Verdelli : son malade n'a commencé à parler que tardive- ment ; il bégaie ; Seppili : parole tremblante; Pi
és, des sons lentement émis et fait entendre presque continuelle- ment une sorte de grognement. Dans ce dernier cas, évi
rs persisté. Nous trouvons ici, comme dans notre cas, un tremble- ment , continu; il ne semble pas d'après la description
posé leurs organes sexuels. Parmi ces accusés, les uns manifeste- ment inconscients étaient acquittés, d'autres jouissan
autres congénères. L'action répréhensible est précédée pareille- ment de la pénible mais inutile lutte avec soi; elle e
aux. Vaincu enfin, le malade cède, rempli de honte, mais entière- ment et profondément soulagé. Tout le combat se livre
« ont pu être imputés, dit l'auteur, à des individus parfaite- « ment responsables, au premier abord, et qui pour toute
délire de grandeurs (qui amène surtout de l'annihilation du juge- ment ), du mécanisme de la forme dépressive. Quatre obs
1 Les réhabilitations des criminelles qui étaient aliénées au mo- ment de l'acte délictueux s'imposent. Ceci fait, on ag
nstrictives et vaso-dilatatrices, les premières excitables directe- ment par le stimulus électrique, les secondes par ce m
disséminées dans le corps calleux et dans les fibres qui probable- ment traversent le corps calleux pour aller à l'écorce
ES. L'induration de l'un ou des deux hippocampes n'a malheureuse- ment été recherchée que dans un nombre assez restreint
gers et se montraient surtout le matin, la mémoire était légère- ment atteinte, il y avait un peu d'amaigrissement. On
xistence et celle de ses parents, elle se croit immortelle; finale- ment elle s'imagine être une masse informe et monstrue
et demi, sans tare héréditaire et n'ayant pas souffert antérieure- ment de maladies graves. La maladie actuelle débuta à
3. Dr DOURDORPI : L'infection blennorrhagique envisagée comme mo- ment étiologiqzie dans les affections du système nerve
ue. M. Oppenheim. Quand le nerf optique n'a pas subi d'aplatisse- ment y a-t-il au microscope des altérations ? En 1887,
se gèle facilement. Evidemment c'est un cas d'anomalie, probable- ment congénitale, restée stationnaire, dont le patient
. Les idées de l'auteur sur la valeur des anomalies du développe- ment physique méritent également d'être mentionnées. 1
r- gueil. Le persécuté vrai, même lorsqu'il ne formule pas nette- ment d'idées orgueilleuses, est toujours disposé avoir
sans hésitation ; « C'est pour expier mes fautes. Elle prie instam- ment qu'on la reçoive à l'hôpital et déclare que si le
des phénomènes inverses d'inhibition (obstacles à l'accomplisse- ment de certains actes volontaires), des troubles de l
qu'elle a fait, car elle est venue elle-même demander son interne- ment . Pour une persécutée ce fait vaut, il nous semble
aliénés : l'attaque et la défense, le bien et le mal; le dédouble- ment de la personnalité. (Aitit. médic. psch., janv. 1
rie, mangeant d'un bon appétit et n'avait pas eu un seul vomisse- ment . , Observation II. G..., trente ans, mère trè
stion qui produit si bien les paralysies, contractures, peut égale- ment les faire disparaître. Je veux aussi me servir de
e si elle était porteur d'un volumineux kyste. Les épaules forte- ment projetées en arrière, ensellure considérable à la
à petite- dose (0 gr. 04 p. 1,000 chez le chien) abaissait visible- ment l'excitabilité de la substance corticale du cerve
evue historique et critique. Le traitement des aliénés par l'alite- ment est un moyen souverain qui n'est pas encore suffi
lations; 5° l'opération psychique des associations n'est pas seule- ment accélérée, le soir, comme les autres; les associa
e du segment postérieur de la circonvolution sigmoïde, immédiate- ment en arrière de' l'extrémité externe'du sillon cruc
combinaison 'avec'' l'àideiélilôrliÿdriqûëL'belladonëa·ést''éâle ment précieuse dans l'espèce.9jjP ? v. nu y'a" "on,lu
par les réactifs; çàiettia quelques cëllûlës="vésiculeuses. Evidem- ment il ya a là stase lymphatique. De plus, dans le ti
jusqu'au déjeuner de midi ; puis elle baisse soudain très notable- ment , on constate alors une abondance d'association d'
L'étude des troubles mentaux et des névroses y est particulière- ment écourtée. Aucune idée originale ne s'y trouve exp
analgésique, thermo-anesthésie, parésie des extrémités, rétrécisse- ment notable du champ visuel à droite. C'est de ce côt
d'emblée à des postes de chef de service, comme on l'a vu récem- ment , au mépris de tous les droits. Mes préoccupations
ce. Il est indispensable que l'on sache à quoi s'en tenir exacte- ment sur le mode de nomination des médecins des asiles
s digne par le concours, de faire à l'étranger un voyage extrême- ment profitable à nos malades, à lui-même et aussi à l
é, . 512 ? p uuln ,a ? 1 o i Cuir chevelu, un cas de;développe- ment , anormal, du' , , par Mac Uwval, ill. " Dégé
34 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IQUE. 3 Observation 1 - Intoxication saturnine. Hystérie. Bégaye- ment transitoire et récidivant. (Observation recueilli
- pisie. Un frère mort pendant la Commune. Aucun autre renseigne- ment précis sur les ascendants ou collatéraux. Antéc
les mouvements passifs communiqués au membre droit et réciproque- ment . Mais si l'on ordonne à C... de porter, après avo
1 Elle contribue certainement pour une très large part au bégaye- ment . Mais d'autres troubles de la motilité concourent
produire : en 'effet, si l'on examine attentivement Cab..., au mo- ment où il fait ellort pour prononcer une syllabe ou u
e nez, ce qui indique que les muscles du voile du palais à ce mo- ment ne se contractaient pas plus que les autres avec
férieur droits; des troubles de la motilité de la face (clignote- ment , rétrécissement de la fente palpébrale, accentua-
la guérison. Chez Cab..., dans une première atteinte, le bégaie- ment a succédé, au bout de quelques jours, à l'a- ph
propre. - Aussi, autant il est simple de reconnaître le bégaie- ment hystérique, lorsqu'on l'a entendu une fois, aut
éminemment variable et ne saurait être fixée même approximative- ment . Elle peut être assez longue. Les récidives ne
e s'était attaché à le reconstituer rétrospectivement. Le bégaie- ment en revanche tient par son importance et sa durée
core ces secousses se produire en apparence tout à fait spontané- ment ; mais pouvoir être provoquées artificiellement..
rieur. Un fait plus rare encore, et qui n'est même pas classique- ment signalé, c'est la paralysie consécutive du membre
s examiner, comme eux-mêmes de leur côté l'examinaient, discrète- ment des yeux, mais avec toutes sortes de curiosités e
r les effets des moyens mis en usage, car un beau matin, brutale- ment et sans cause, sans chercher à justifier ou à exp
'accès délirants dangereux, et c'est ce qui a nécessité le place- - ment du malade dans un asile d'aliénés. L'épilepsie
pilep- tique l'emportent sur celles du syndrome tétanique. - Com- ment la choe peut-elle se faire ? 1 On ne connaît pa
Pilules de phosphore (Dannecy). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 69 ment solubles dans l'acide chlorhydrique, avec dégagem
, vous provoquez l'extension brusque du masticateur, et générale- ment un claquement de dents convulsif s'ensuit. Cette
voquent des accès; non pas du reste le grand froid, mais simple- ment la sensation d'un morceau de bois à une températu
ême des trois autres groupes de malades, tous affaiblis psychi- que ment de la dernière catégorie notamment celle qui four
ts ; 3° Si les hématomes en question se rencontrent plus fréquem- ment dans la paralysie générale que dans toute autre f
Les exemples que l'on a rapportés jusqu'ici de cet entre-croise- ment physiologique sont loin d'être nombreux. Mevnert
son extrême agitation et de a résistance obstinée à tout traite- ment pendant toute la durée de la maladie : il n'y eut
onné. La fièvre' typhoïde, dit l'auteur en terminant, est actuelle- ment une maladie trop dangereuse pour qu'on puisse la
provoqué la production d'une épilepsie corticale, devenue actuelle- ment chronique. La folie chez ce malade a d'ailleurs i
ment chronique. La folie chez ce malade a d'ailleurs invariable- ment revêtu le caractère des phénomènes post-épileptiq
llement aggravés. R. M. C. VII. Sur UNE nouvelle forme de trouble ment \l présentant DES CARACTÈRES BIEN DEFINIS TANT A
, dans les affections cérébrales et mentales, étudier l'enchaîne- ment des symptômes et rechercher la syphilis dans les
deux moitiés de l'encéphale entier, le côté gauche étant notable- ment plus développé que le droit. Il existe de J'hypop
bilité de l'humeur si spéciale, les troubles de la parole et notam- ment les troubles de l'articulation des lèvres, de la
des circonvolutions frontales à la convexité et à la base, du seg- ment le plus inférieur des ascendantes, de la première
t scientifique, et n'en est pas moins imprégné d'une ironie fine- ment spirituelle. Somme toute, ouvrage remarquable à
depuis trois mois : amélioration notable dans la marche, apaise- ment des douleurs ; 4° tabes depuis quinze ans et demi
dical et sont pour ainsi dire classiques. Citons tout particulière- ment ses recherches sur la folie paralytique et les di
Les symptômes polymyélitiques antérieurs sont : 1° l'affaiblisse- ment musculaire et l'atrophie musculaire suivant la di
e l'ouverture du concours. Ils auront à justifier de l'accomplisse- ment d'un stage d'une année, au moins, comme internes
d'une autre région, à la condition que celui-ci déclarera expressé- ment renoncer au droit qui lui appartient d'obtenir so
que jamais la psychopathologie. Il convient donc de montrer com- ment la démonologie avec laquelle se confond l'aliénat
ale (sans jeux de mots) a évolué. M. Kirchhoff la décrit non seule- ment en Allemagne, mais en France, en Angleterre, en I
l quatre heures et demie. Deux de ses compagnons de préau, égale- ment dangereux, suivirent son exemple. Le personnel ay
il a ren- contré la réaction de dégénérescence limitée exclusive- ment aux muscles du mollet, sans qu'il y eût pour cela
manifestée -ultérieurement par des douleurs et de l'engourdisse- ment dans les deux membres inférieurs. Puis les trou-
plité ex- ' terne. Puis une paralysie survient portant exclusive- ment sur les extenseurs, c'est-à-dire sur les muscles
jusqu'au tiers inférieur de la jambe ; puis descendant verticale- ment en bas en laissant indemne le quart interne envir
es céphalalgies ont subitement cessé. Mais par contre, immédiate- ment après, le jour même, elle ressentit une douleur t
mois, puis elles se sont calmées, sans cependant cesser complète- ment . Trois ans plus lard (à trente-trois ans) survi
de douleurs vagues dans les membres inférieurs, et particulière- ment dans la cuisse droite. La sciatique actuelle a dé
ls l'anesthésie, qui existe à un haut degré, n'est plus exacte- ment connexe aux lésions des muscles. Mais auparav
ure. La démarche est assez particulière. La malade steppe évidem- ment de son pied droit dont la pointe tombe et frotter
lvani- quement répondent à un courant fort pour la cathode seule- ment . z 6 mai 1890. Inexcitabilité absolue directe e
cuisse s'exécute mieux que l'adduction; le malade croise difficile- ment la cuisse droite sur celle du côté opposé. 1 Le
. Le membre inférieur droit tout entier est atteint d'un tremble- ment léger, dont l'intensité augmente par instants.- S
. · La trépidation des membres ne se produit pas au repos propre- ment dit, c'est-à-dire quand le bras est appuyé le lon
et, à un moindre degré, dans la jambe gauche. Qu'est ce tremble- ment ? Comment le classer, et quelle est sa significat
.tionnel une augmentation graduelle et progressive du tremble- i ment mesure que le doigt approche du but déterminé com
quelque sorte une caractéristique' de la sénilité. « Le tremble- ment des vieillards, disait Axenfeld, faisait presque
es adolescents. » -Charcot établit la rareté relative du tremble- ment chez les, .vieillards ; dans les immenses dortoir
à vingt ans ; sur 300 vieillards, il l'a constatée six fois seule- ment . - - Les lésions anatomiques qui sont le point
, dans notre cas, d'un tremblement hystérique à forme de tremble- ment sénile. Nous pouvons affirmer, je le crois, que
voir qu'il s'agit d'un tremblement hystérique à forme de tremble- ment sénile. Ceci nous amène à une appréciation nouvel
s cas où le rapport du tremblement avec l'hystérie paraît absolu- ment incontestable. On peut dire, par conséquent, que,
, outre mesure la valeur de ce signe, que nous avons là un argu-, ment de plus à l'appui de la nature hystérique du trem
e fixe et permanente, doit-on toujours se demander si c'est vrai- ment la névrose pure, isolée, que l'on a devant les ye
ertu d'une généralisation hâtive, basée sur deux autopsies seule- ment , que le tremblement en général a son siège analom
e traitement de la lésion organique dispose de ressources infini- ment restreintes qu'on ne peut utiliser qu'en dernière
imer. - Loc. cit. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 221 ment touchée; quelquefois l'anesthésie subsistait aprè
vaisseaux dilatés. Une autre théorie expliquerait le ramollisse- ment par un processus analogue à celui de l'embo- li
s hémiplégies passagères et surtout certaines monoplégies rapide- ment guéries. Sur tous ces points, les hypothèses seul
odi- fication physiologique exploitée en quelque sorte, démesuré- ment amplifiée, par un cerveau prédisposé; « c'est le
Van Swieten, Thirion, et caractérisés par un état d'engourdisse- ment complet de la partie, qui est en même temps froid
ar la compression des troncs artériels et nerveux par un épanche- ment profond et disparaissent après un débridement.
erfs une vibration assez énergique pour anéantir leur fonctionne- ment d'une façon permanente ou passagère. Gûssenbauer
cutanée : la chaleur, le froid, la piqûre, le toucher sont normale- ment perçus, - pas de plaques d'hyperesthésie, pas d'a
allégations, c'est l'hystérie traumatique de Charcot, si éminem- ment distincte de l'hystérie ordinaire, une fois qu'el
céphalique, et à l'occasion de délits dont il est l'auteur. Finale- ment délire des perscéutions; prophétise, cultive la c
e maladie, une hémiplégie atteignant graduellement et successive- ment la main, le pied, la face du côté gauche ; accide
de comparaison, M. Kaufmann donne une observation de ramollisse- ment total du corps calleux par embolie issue d'un ané
colorations s'effectuent plus ou moins vite selon que le durcisse- ment antérieur a duré plus longtemps. SOCIÉTÉS savan
cas de syphilis cérébrale pour des paralysies générales. Le traite- ment , lorsqu'il est employé au début des accidenls, pe
rs spéciaux qu'il demande mettraient précisément en jeu ce senti- ment de crainte qui les maintient dans la discipline.
dérable d'individus qui doivent être classés entre les fous propre- ment dits et les sains d'esprit. Ces individus qu'on p
qu'elle va rougir est pour elle une obsession permanente qui aug- mente particulièrement à celte époque où elle est encei
pas ou n'avons que très peu de malades affectés de delÏ1'Útm tre- mens . Nous ne constatons que peu de causes occasionnel
paysans calmes et terre à terre peuvent être influencés plus vive- ment par des incidents de moindre importance. M. Ric
c aucun noyau nerveux, avec aucune racine, il se distingue nette- ment du faisceau solitaire lui-même très apparent. Il
t les séances publiques d'hypnotisme. Nous ne sommes malheureuse- ment pas aussi avancés en ce sens que le croit le jour
decins arrié- rés, comme un état morbide caractérisé essentielle- ment par un besoin continu de simulation, de super-
, que le trouble de la sensibilité relève de l'hystérie ? Assuré- ment , non, car il est établi que l'hémianesthésie peut
ogie; 4° à l'influence que peut avoir sur elle tel ou tel traite- ment ; 5° aux renseignements fournis par l'expéri- m
manente ne s'observe pas dans l'hystérie, tandis que le rétrécisse- ment du champ visuel est un des stigmates les plus com
te le scotome de Prudh (OBs. I), on voit qu'il correspond exacte- ment à toutes les descriptions et à toutes les figures
que la dimi- nution du champ visuel ne semble atteindre que rare- ment le point central et qu'il s'agit par conséquent
NATOMIE. grise. Cet appareil excitateur est d'abord relié au seg- ment médullaire dont il émane : arc rachidien : A ce
iaire ; 5° Arc cérébral; - 6° Arc direct, comprenant un rattache- ment du carrefour avec : a, le noyau cortical ; b, l'a
diagonale est plus ou moins large. Remplissant quelquefois, rare- ment il est vrai, tout l'espace perforé, elle est, d'a
de la por- tion horizontale de la bande diagonale. Superficielle- ment , les extrémités de la demi-circonférence sont,
cs auxquels on ne donnait comme origine que deux racines extrême- ment grêles et nullement en rapport, par suite, avec l
détaillée de chaque malade sous différents rapports; pour le mo- ment , nous nous contenterons de déterminer la percepti
onctionnels de la vue comme diplopie, dyschromatopsie rétrécisse- ment du champ visuel, diminution de l'acuité visuelle,
oser ici les résultats des recherches suivantes faites exclusive- ment sur nos propres yeux normaux. Ces résultats se
s'élève d'a- bord très rapidement, ensuite de plus en plus lente- ment pour devenir presque parallèle à l'abscisse. La
PHYSIOLOGIE. l'ombre un léger mouvement; or, l'excitant en mouve- ment agit plus énergiquement que l'excitant en repos;
n repos; 2° dans la méthode des tableaux, il ne s'agit pas seule- ment de percevoir une ombre donnée, il faut encore d
tipliées, nous nous proposons de revenir sur ce sujet ultérieure- ment . Nous croyons utile de donner ici quelques résu
our le noir sur fond blanc décroît souvent elle-même plus rapide- ment que la perceptibilité différentielle, on peut con
mais ne fut suivie d'aucun accident. Elle vendit alors l'établisse- ment d'épicerie de son mari pour liquider les créances
bord médium écrivain, c'est-à-dire qu'elle écrivait automatique- ment et sans avoir l'intuition préalable des révélatio
était son fils elle a été très surprise et elle a dit : « Mais com- ment , je vais donc perdre la mémoire que je ne reconna
prendre la caisse « non pas pour écrire ou calculer, mais seule- ment pour rendre la monnaie. » Mais peu après elle fut
ne façon générale, la malade est très impressionnable et extrême- ment émotive. Elle semble également très accessible à
entrée chez elle, d'avoir repris ses fonctions de caissière, seule- ment pour rendre la monnaie, et qu'on était obligé del
de la sensibilité tactile aux membres inférieurs, a perdu totale- ment la notion de position de ses extrémités inférieur
et chez laquelle, d'un autre côté, les images sensorielles égale- ment atteintes ne peuvent suppléer à la défectuosité d
c- tuelle. Pour se rappeler un événement, il faut être immédiate- ment sûr de trois choses : 1° que quelque chose est bi
ment sûr de trois choses : 1° que quelque chose est bien réelle- ment arrivé ; 2° que cela est arrivé comme on le pense
ntes. Nous ne pouvons entrer ici dans tous les détails du traite- ment , nous nous contentons de rapporter quelques exemp
) étant intact, les modes habituels d'activité, régis principale- ment par les yeux, restent sans modifications appare
l'oeil dont l'hémisphère opposé n'avait pas été extirpé complète- ment . Cependant, dans des cas où on n'a pas pu trouver
lère. Les symptômes présentés par ce chien et un autre semblable- ment opéré étaient ainsi résumés par Goltz : « Les deu
fibres nerveuses et des cellules. Aussi les organes de la base aug- ment -ils de volume. Mais l'écorce, à cause de sa forme
pilles bien mobiles quand on éclaire alternativement et diverse- ment les deux yeux, mais immobiles quand on éclaire se
pariétal inférieur et le commencement du pli courbe; ramollisse- ment de la moitié postérieure de la première temporale
, t. XX. 28 434 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ment par les relations psychiques entre l'intention vo
nie simples c'est-à-dire sans conceptions délirantes, qui, brutale- ment , sous l'influence ou non d'hallucinations sensori
hallucinations qui engendrent des idées délirantes et consécutive- ment un type de folie systématique. P. K. XLIX. De l
3 janvier 1890 par des douleurs dans la cuisse gauche ; ultérieure- ment , le membre s'cedématie et devient douloureux à la
r du sang en hémoglobine baisse, c'est-à-dire que t'hydrémie aug- mente , si la nutrition générale s'altère. P. B. VARIA
ne des classes spéciales pour ces enfants. On se préoccupe égale- ment de cette question en Angleterre, ainsi que l'indi
à prendre part au prochain concours en seront prévenus officielle- ment et recevront également les indications nécessaire
z les -. par Kowalenski, 109 ; assistance des -, 143; - traite- ment consécutif des - trépanés, par Erluniger. 249.
35 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
s à ce niveau. Pour MM. Sappey et Mathias Duval ', l'entrecroise- ment sensitif commence lorsque l'entrecroisement mot
ns altérées mesure environ un millimètre. C'est-à-dire qu'un seg- ment interannulaire tout entier se trouve intéressé.
bout infé- rieur des nerfs sectionnés, celle-ci est devenue fine- ment granuleuse, comme émulsionnée, et elle masque d
altéré; on observe alors les aspects que nous allons successive- ment décrire. Tout d'abord (figure 3) la gaine de my
PERI-AXILE. 19 9 myéline granuleuse le cylindre d'axe, complète- ment mis à nu cette fois, coloré par le carmin et net-
de cette pre- mière série de modifications que peut subir le seg- ment interannulaire et qui se rapportent toutes à ce
rative du processus », il convient d'en décrire une autre intime- ment liée à la première, comme nous le montrerons to
n segment en voie de dégénération granuleuse ou représenté seule- ment par un cylindre d'axe à nu pour ainsi dire dans
nous avons constaté l'existence de lésions segmentaires parfaite- ment caractérisées dans les racines antérieures spinal
re de' fais- ceaux de tubes nerveux. Ces coupes permettent égale- ment de constater fréquemment la présence de tubes m
ôté;de 'la névrite' segmentaire périaxile, se montrée habituelle- ment la névrite destructive dû cylindre- d'axe,' comme
en R par un étranglement annulaire nettement reconnaissable du seg- ment B. " Fig. 14. Portion d'une fibre nerveuse prés
1 H '' PATHOLOGIE. ' ''1 . .' l\.Jf f ...J.I'T ) HId ? ..1 -tl ment â l'extrémité du fil pourra amener progressive-
Id ? ..1 -tl ment â l'extrémité du fil pourra amener progressive- ment l'élévation du levier; si ? '.x.t il' ë ment l'
amener progressive- ment l'élévation du levier; si ? '.x.t il' ë ment l'élévation du levier; si le fil est détendu, il'
sibilité cutanée, et il est bien démontré qu'elles ne sont nulle- ment parallèles à celles du mouvement. Il y a même e
e muscle dont le tonus est diminué, se contracte moins énergique- ment que le muscle normal, mais sous l'influence d'une
ements incoor- donnés de l'ataxique c'est la brusquerie de mouve- ment et surtout l'exagération du mouvement voulu.1 » »
Magnan. Des diverses formes du délire alcoolique et de son traite- ment , p. 255 et suiv. Paris', 1874. Comptes-rendus et
se déshabillait tout à faitinconsciente, oufroissait automatique- ment son tablier, sa robe; quelquefois elle sortait, a
E MENTALE. facile de nous rendre compte de l'influence du traite- ment , en particulier de l'éducation spéciale et, à l'o
s les autres, scènes avec son mari qui rentrait ivre. - Accouche- ment naturel; on s'aperçut, dès la naissance, que l'en
est aussi claire que d'habitude. Peau légèrement sèche et modéré- ment chaude malgré l'élévation de la température centr
gauche, les sensibilités spéciales sont toujours aussi profondé- ment atteintes. Puis, après ces constatations, nous ap
a langue n'est plus déviée, la face seule reste peut-être légère- ment contournée. Il restait un peu d'anesthésie plan
té sain. Sinapismes aux jambes et aux cuisses. - Purgation.-Lave- ment à la glycérine. Le soir l'état est à peu près l
par Gray. (New-York àled. Journ., août 4 878, et Chicago Journ. of ment , and nel'V. disease. Janvier 4879).-De la tempéra
ial températures ; par Mmo MARY PuTNAM JACOBI. (Journ. of nerv. and ment , diseuse, Janv. 4880. V. N° 1, p. 51). - Thermo
n pas la paralysie des muscles de l'omoplate contrarier un mouve- ment aussi éloigné que celui de la main qui écrit ? No
s ; 4.° La branche linguale de la cinquième paire préside unique- ment à la sensibilité générale. L'isolement de la cord
ie seulement le sens du goût, cette modification étant exclusive- ment due aux branches venues de la corde du tympan ;
d'abord noté les filets d'origine, le goût sera presque entière- ment détruit. Si le nerf de Wrisberg est coupé dans l'
d, que : 1° L'hémisection de la protubérance annulaire immédiate- ment en avant d'un des pédoncules cérébelleux moyens p
rès régulièrement; mais la patte droite, quoique raide et légère- ment placée dans l'adduction, peut exécuter également
de la motilité s'effectue au bout de 25 jours chez l'un et seule- ment au bout de 41 jours chez l'autre. Alors il fait u
nes chiens, les phénomènes consécutifs avaient toujours complète- ment disparu après cinq ou six semaines. 2° Après la
s, par l'excitation électrique de l'écorce, à provoquer le mouve- ment des parties isolées. Mais il y a souvent des seco
a femme remarqua que sa main gauche était faible. Pas de vomisse- ment à aucun moment ; pupilles inégales. Le malade mou
itérée à son origine. Le territoire de cette artère était complète- ment ramolli. Après durcissement dans l'alcool, on con
samment quel en serait l'intérêt, si le diagnostic porté primitive- ment (manie dégénérant en démence) doit être accepté.
ur marchande de son travail, trouve que la nourriture et le vête- ment n'en sont qu'une bien mince rémunération. Ce fait
iée à l'altération consécu- tive de l'écorce cérébrale. (Journal of ment . Science, janvier 1880.) H. D'O. REVUE DE THÉ
uer la population incessamment croissante des asiles. (Journ. nI' ment , science, janv. )880. Il. d'O. REVUE DE THÉRAPE
HIE. L'auteur a une telle confiance dans le succès de son traite- ment « des paralysies fonctionnelles par l'éducation d
de se mesurer avec ce nouveau sujet, qu'il examine plus spéciale- ment au point de vue médico-psychologique et légal. D'
s ne ferons qu'une simple réserve. L'impulsion génitale est véhé- mente , tyrannique. On sait aussi sur elle le pouvoir de
à leur « sortie de l'asile pour les tirer d'embarras. » (Journ. of. ment , science, 1880, janv.) H. D'O. VISITE A QUELQ
de la Salpêtrière seront astreints à la résidence dans l'établisse- ment , lorsqu'elle n'aura été acceptée par aucun des mé
e la sec- tion des nerfs, ce n'est pas ici le protoplasma du seg- ment interannulaire qui est l'agent de cette rupture.
orte, à'une section de la fibre nerveuse portant sur le prolonge- ment du cylindre axe de la cellule à laquelle elle ap-
'ils com- portent. Conclusions. On peut produire expérimentale- ment une névrite de cause interne dont les deux carac-
tres spinaux. La névrite segmentaire péri-axile se produit égale- ment chez l'homme et paraît jouer un rôle important
quer le trem- blement sur un sujet quelconque, et que le tremble- ment morbide s'observera toutes les fois que la maladi
peut être mû par l'un d'eux sans que l'autre subisse un allonge- ment égal au raccourcissement du premier. Pour produ
légiques ou les paraplégiques contracturés est encore un tremble- ment qui reconnaît la même origine. La main de l'opé-
ez des sujets atteints de contracture ; celle-ci n'est pas'forcé- ment ' permanente ; elle peut se montrer, ou plus vr
t- un ans, tremble depuis l'âge de soixante-cinq ans. Le tremble- ment n'existe pas au repos ; il prend par accès, et po
;- : J Le malade raconte que' lorsqu'il veut arrêter son tremble- ment de la main droite, par exemple, il n'a qu'à soule
uis , aussi que cette triste complication [survient plus.prompte- ment lorsque lés accidents vertigineux," autrement dit
là sans doute d'une paralysie, infantile. De 2 à 10 ans, traite- ! ment par l'éleptrisation et amélioration; à 3 ans, vio
côtés., Néanmoins," les, doi-ts" de là main gauche sont notable- ment moins volumineux que ceux de la main droite. it
mort à 52 ans, en mars 1875, d'une bronchite chronique, probable- ment tuberculeuse. Pas d'excès de boisson,, de migrain
même parve- nue à sa dernière période, ne se traduit anatomique- ment par aucune lésion des méninges ni de la substance
usée par une frayeur; le premier accès se serait produit brusque- ment et aurait été suivi d'une perte de connaissance d
al. Ventricules latéraux très dilatés des deux côtés, principale- ment à droite. Cornes d'Ammon saines. Cervelet et is
ces. Décortication difficile. - La substance corticale, générale- ment ramollie, surtout à la convexcité des hémisphères
. S'il est assis, il ne tombe pas, mais il exécute le même mouve- ment machinal. Lorsqu'on l'interpelle à ce moment, il
lorsqu'il entend parler de sa mère, il tourne la tête. L'affaisse- ment intellectuel est tel que l'enfant semble impuissa
! pcm1ï.q vénients au point de vue du pronostic et, du traite-,] ment : en effet, tandis que l'idiot 'et l'imbécile son
hère gauche, le plus petit, qui présente le plus grand développe- ment du lobe frontal. ? 't'Les'circônvolutÍons occipit
suicide. Puis, les facultés intellectuelles se sont progressive- ment affaiblies. La démence, toutefois, n'était' pas
s de globules sanguins. Si l'on examine une région plus profondé- ment affectée, il devient difficile de distinguer la p
1 ' l ' ? i'1 1);"> J11 1r-11 '''À. ? In / 'o ? > : t, ruz ment constaté. On reconnaît d abord 1 existence de '
l'I J9 : . ll'J ? ) ! Iid-1( ? }1 , ¿ J' lî",\ " ,JI Pt... '\1 i, . ment , c'est précisément que ces cellules, entourées de
? « t ? tement réfringents ont en moyenne 9 a 11 millièmes de te ment rin gents ont en 1 -noyeiine 1 9 a , ni me mill
légère- r If J ,4 'I b t ... t "'1 r J ' 1 lf ) l '\ no " l' ? w ment supérieures (il a 13 |A Les uns et les autres I
sque, absolu- II¡ ^ -, 4" ; \r1(} lJ,\\{lltl'l II t, III Il 1 y - ment celles de 11 ? Lubi,mo'ff et de lLIlllIierzejewsl
tre part, ceLté\périencépha11te' des-lobes frontaux^ 'rend'égale- ment compte de la déchéance1'intellectuelle ? )lctnJ"
- q'uàtf Í1s.u ? ? ,ùl) l'objet^de" nombreux travaux. -- Ils,for- ment maintenant un ensemble théorique et pratique, ass
,11' arsenal créé par-M. Burq pour ses recherches. C'est certaine- ment le plus exact et le plus commode des instruments
la métallotherapie a été, entre les mains de M. Burq, le traite- ment du choléra par le cuivre et l'emploi de ce métal
l'énu- mération complète ; pour l'instant, nous donne rons seule- ment quelques détails sur les principaux, au point de
produit.' Le courant d'induction possède, mais à un degré évidem- ment . moindre,' une action1 anâlogue"àecelle du 'coura
avoir rappelé la vogue des aimants il y a cent ans, nie formelle- ment que le magnétisme fut pour quelque chose dans l'e
réimprimé à part en,,l 78le, avec des additions). On y verra com- ment l'électricité fut appliquée pour la première fois
eilleur agent anesthésique semblent en ce moment préoccuper vive- ment l'attention. Ni le chloroforme, ni l'éther ne son
t de vue de la physiologie des circonvolutions cérébrales. Du mo- ment où une même lésion produit à la fois des troubles
te. Le microscope ne montrait pas trace d'altération et spéciale- ment de dégénérescence atrophique de la fibre musculai
ce, aucun changement quantitatif. Ce résultat était dû] probable- ment à l'instabilité de l'acétate de plomb. En conséqu
t du corps, elle n'avait appris à marcher que tard et incomplète- ment . Du reste, son développement s'était assez bien e
e endroit (Ibid. n° vu, p. 25), se fondant sur deux faits, expri- ment l'opinion que, dans la chorée grave, la substance
que' la' s¿issure (Yà'êcipitaliP iÍitèrnë : sPè'ôntifii1àÍt 'diféte ment avec la scissure1 occipitale9 externe ; le'lob'è
ni "' le"'ur les orteils dés deux,pieds ;, sinon, ,cela esV seule- ment marqué du côté gauche., Couchée,, le pied gauche
mières attaques de névralgie faciale à la suite d'un refroidisse- ! ment ; à la suite de quoi, crises, repetees'iusqu'enil8
s, après, l'accident. Ces hypothermies s'accompagnent "géiérale-' ment d'un 1'alenlz"ssemerilJ dupouls qui devient petit
fortune et la position sociale 'de leurs auteurs. C'est' unique- ment de cette'classe particulière de'vols'que traite l
ce qu'elles convoitent, et celle du paralytique faisant brutale- ment main-basse sur l'objet qui a frappé ses regards,
disparu. L'auteur conclut de cette observation qu'on peut facile- ment triompher de la contracture des muscles dans l'hé
XII. EMPLOI DU protoxyde d'azote mélangé A l'air dans LE traite- MENT DE la mélancolie ; par MM. J. ELLIS BLAKE et liac
té à même de constater que, dans son ensemble, elle est parfaite- ment correcte; il y a de l'exagération à prétendre que
a- mollissement et d'hémorrhagie du cerveau ; pour le ramollisse- ment , M. Blaise arrive à la conclusion suivante : « Da
cur- rents ont à proposer des récusations, ils forment immédiate- ment une demande motivée par écrit et cachetée qu'ils
decin-adjoint de l'asile de Braqueville,,à Toulouse, en remplace- ment de Ai. Ma.ra.ndon de Montyel, promu à l'asile, de
tobler, directeur du pensionnat des sourds-muets pour l'enseigne- ment par la parole. (Lyon médical.) . Statue DE PINE
poste que l'état de sa santé l'avait contraint à abandonner récem- ment . École d'anthropologie. M. le Dr Mathias DUVAL,
acquis, de par la physiologie normale et pathologique, relative- ment auxII6ca]isati6ns cérébrales. , - z De toutes c
ais immédiat. Or, sur quoi repose une telle conclusion ? Précisé- ment , sur divers cas de lésions anatomo-pathologiques
ais on sait que la substance des hémisphères cérébraux, et notam- ment l'écorce grise, ne commence à se former qu'à un
t défaut. Enfin, le sillon calloso-marginal, qui court parallèle- ment entre le bord supérieur et interne de l'hémisphèr
des circonvolutions frontales et centrales, apparaît un enfonce- ment très remarquable (PL. XI, n). Cet entonnoir s'exp
la commissure labiale; il n'y avait ni expectoration, ni vomisse- ment , ni diarrhée, ni sueurs. MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPIN
eu quelques heures de sommeil tranquille. Nous avions, dès ce mo- ment , supposé qu'il s'agissait d'une méningite et même
t, on saisit ses membres à pleines mains, il paraît particulière- ment souffrir. 6 ventouses scarifiées à la nuque. 5.
II (Voir PL. ,VIII et IX) ; dans l'autre cas, des lésions absolu- ment semblables à celles de la Planche IV (Voir PL.
ter- valles variables. La 1r° dent a percé à 8 mois. C'est seule- ment à deux ans que B... a commencé un peu à marcher.
- meil agité. L'enfant se réveille quelquefois en criant. Traite- ment anti-scrofuleux; exercer l'enfant à marcher. 21
plus. Les oreilles, la langue, les mains et les pieds sont forte- ment cyanosés. Il y a un érythème très prononcé des bo
à midi. Autopsie faite 40 heures après la mort. Cadavre extrême- ment maigre. Ventre en bateau, nulle trace de rigidité
- culo-ventriculaire droit de 57 millimètres. On aperçoit facile- ment , en relevant la valve droite de la mitrale, l'éch
ion de la surface du cerveau qu'une affection de l'écorce propre- ment dite. Nous n'avons pas pu, à notre grand regret
sté sur ce fait que l'anesthésie hystérique atteint très fréquem- ment les sensibilités spéciales et que, dans une hémia
. Cette action à distance peut être considérée comme un commence- ment de transfert complet de l'hémianesthésie. Celui-c
mode. Quant à la force musculaire, en faisant serrer alternative- ment par les deux mains le dynamomètre de Burq, on obt
les (on verra bientôt la raison de cette dénomination). Relative- ment aux autres couleurs, les malades peuvent se divis
i consiste le transfert pour l'oeil. Nous en parlerons ici seule- ment en ce qui concerne la perception des couleurs. Po
qu'elle existait avant l'expérience, ou qu'il soit le rétablisse- ment complet de la sensibilité, cela dépend de l'activ
ible. On a donc obtenu indirectement un effet qu'on aurait vaine- ment attendu de l'action directe sur le côté de l'hémi
e, il reste à considérer l'anesthésie généralisée ou plus exacte- ment l'hémianesthésie double. Chez les malades qui pré
e à chaque reprise du traitement, et la dernière fois définitive- ment . Dans un cas d'hémianesthésie chez une jeune fi
e convaincre, qu'outre les barbes du calamûs scriptorius qui for- ment sa racine postérieure et superficielle, le nerf a
si- vement par une série indéfinie d'états intermédiaires. Du mo- ment que l'auteur admet que la rigidité n'est qu'un mo
la disparition de la contracture s'effectue à peu près exclusive- ment dans le membre inférieur, c'est-à-dire là où les
ninges médullaires modérément vasculaires; absence d'épaississe- ment . Moelle cervicale assez ferme, anémiée; substance
le cordon latéral gauche jaunâtre, ferme et atrophié postérieure- ment . Fracture ancienne des 3e et 7° côtes gauches; fr
t à l'autopsie desquels la moelle fut cependant trouvée parfaite- ment saine; il n'existait de lésions que dans l'encéph
ur- ner l'attention des phénomènes thoraciques ; il appuie égale- ment sur ce fait que les symptômes présentés par son m
, une égale prédisposition. De plus, l'anémie viscérale précédem- ment indiquée doit subir quelques restrictions : ainsi
le chloroforme, la rigidité des membres ne s'effaçait que lente- ment ou persistait même à un degré prononcé. » C. T.
un voyage entrepris par sa cliente, la maladie disparut brusque- ment .) H. D'O. LXII. Danse DE SAINT-VITU ET affectio
Fros- ches. Ferrier, Fonctions du cerveau), expliquent parfaite- ment la genèse des symptômes objectifs décrits. Les dé
que, durant la fièvre, le sang qui irrigue le cerveau préalable- ment anémié, afflue avec plus d'abondance; soit que, c
eu dans la plupart des Universités allemandes, ne tend pas seule- ment à faire des spécialistes. La psychiatrie est tout
un notable affaissement de l'intelligence et une sorte de bégaie- ment . A 40 ans, accès de mélancolie durant trois mois;
iodure de potassium dont les doses furent augmentées progressive- ment . Au bout d'un mois de ce traitement, le malade ve
r, enthousiaste de nos premiers résultats, nous avait singulière- ment distancés. M. Vallée a fondé à Gentilly, pour les
a-uhere- j)rt;rr'm ', ir-jMihqqB'i 4 t3HBJ9u 81.' 'UHjiiJiPbtU a3 ment cuboïde. , '' 1 1 . Pgb e Oll'ï'rrp î>». ( ?
tifie pleme- & ' -, ? i^oo ~'o 9bil'd Rt ilI'uho', 9)tr ? n90 ment cette affirmation. Il ne faut pas chercher ailleu
ob at'i. inrjAirr'ac" R1 e*'1 *.r ? frrisii r.I -thinr» .<c o ° ment est confondu .avec le centre ovale, on ne peut
d'abord à des intervalles de 8 jours, puis a 3 ou 4 joints seule- ment de distance. Il.se rappelle avoir, éprouvé en mêm
,ol ^^k Etat actuel (mars.) L'incoordination motrice est extrême- ment accus malàde gàrde le-lit`coristâmment, -ou ' pas
à la suite de violentes crises douloureuses, il voyait habituelle- ment apparaître, sur ses jambes, des taches ecchymotiq
i Ûies JO^ouyAient ,êtrJej<l18' résultai- (de coiïps^Ile m3q z ment ; mais a cote de ces .petites taches se distingua
peu forte (appelés vulsaire- rr 17 3lf : llfr ''r'j ? i .j'riKfn ment ) des loleus) ou-d un fort pincement de la peau.
le membr.e,,et le, s,ee- u ? u ? uu Yt.'u ? Tt.) ur 0 i tlia liel ment du membre qui esttle.sièse-principaL.des, dour
, active, ou de nature vaso-paralytique, résultant du retentisse- ment , par voie réflexe, de l'irritation des faisceaux
- giste. ' ' La question cependant n'est pas encore définitive- ment jugée, et Stricker, dans une communication plus
o- lue. Il faut toujours tenir compte, en appréciant comparative- ment les oesthésiogènes, de la disposition individuell
, que l'on se trouvera le plus sûrement exempt de tout tâtonne- , ment préalable.. oc Il y aurait encore à signaler qu
- tricité statique. Dans des circonstances exceptionnelles seule- ment , on trouvera quelque avantage à lui substituer l'
sation, localisée sur une région quelconque, rétablit très rapide- ment le mouvement et la sensibilité dans tout le côté
a qui remplit la gaîne, les noyaux, eux, disparaissant graduelle- ment ; quant à la gaine, elle demeure telle quelle. Ri
e, des zones radiculaires.ne s'y étant produites que consécutive- ment et autour des foyers disséminés. Enfin la thérape
ie. P., K ? XXI. Dans QUELLES MESURES LES anomalies DE DÉVELOPPE- ment DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL PEUVENT-ELLES SERVIR
és. - La théorie de l'embolie graisseuse par la destruction pure- ment mécanique du tissu adipeux' sous-cutané sans supp
oston (Med. and. sîiig. journ., mai 1878) ; de Clouston (Journ. of. ment , science, juillet 1879), cette dernière ayant t
ystique de paresthésie (fourmillements, picotements, engourdisse- ment , sensation de brûlure) occupe les membres inférie
sation de grande impotence musculaire incompatible avec le mouve- ment volontaire. Chaque attaque dure quelques instants
plus de 30 années ; en général la folie puerpérale, celle notam- ment qui se montre chez les femmes de 31 à 35 ans, est
a respiration fut plus profonde, les yeux se fermèrent naturelle- ment et tous les signes de dépression commencèrent à d
si était-on obligé de placer la malade dans une chambre complète- ment dépourvue de ces objets, et si, par suite de circ
- lepsie partielle, et l'ensemble de ces tableaux, fort heureuse- ment exécutés, permet de voir pour ainsi dire la succe
térie et de l'épilepsie, appuyée sur des observations minutieuse- ment prises. I. Le premier volume contient l'histoir
627 pointillé ccchymotique), les troubles des sens et principale- ment l'amaurose hystérique. Deux observations montre
is, le, délire manque^J'hébétude consécutive disparait ordinaire- ment ,en quelques minutes et les malades reprennent le
- l Dans nombre de cas, nous avons les accès disparaître complète- ment ; les malades sortent de ia section des épileptiqu
nscients. Elles s'inspireront des législations étrangères et notam- ment de la loi belge : celle-ci nous a emprunté notre
, dans cette branche de la médecine, et traduisant ainsi, à un mo- , ment donné, l'état sans cesse progressif de la science
rFreyetHeiligenthal, 620. 654 Bégaiement (du) et du bredouille- ment , par Butterfield, 592. Bulbe (entrecroisement s
n li par un étranglement annulaire nettement rcconnaissable du seg- ment B. Fig. 14. Portion d'une fibre nerveuse présen
36 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pour plonger dans le nerf. La figure 6 représente très exacte- ment ces dispositions constantes. Sur l'autre face
ès petites et qu'on a souvent niées, mais qu'on retrouve constam- ment , après injection, à côté des artères collatérales
chez notre malade, avec l'institution d'un régime et d'un traite- ment antidiabétique et avec l'amélioration du diabète,
a eu un eczéma .variqueux à la jambe gauche où on voit actuelle- ment des varices et une pigmentation accusée. Début
eux examens pratiqués à la Salpêtrière en septembre 1891, confir- ment la guérison de la glycosurie diabétique et l'in-
l'auteur fait de prudentes réserves, que nous partageons entière- ment . Voici comme spécimen le résumé d'un de ces tro
, peuvent être appli- qués aux cas de bê- lement, de mugisse- ment , d'aboiement hystérique enfin, à peu près san
IQUES, ETC. 75 peuvent cesser de même brusquement, soit spontané- ment ,' soit à la suite encore d'une attaque hystérique
e la malade ne veuille courir. Pas de douleur, pas de chatouille- ment à la gorge. Ici le fonds hystérique est représe
e le cou- teau, car les-actes en pareil'cas suivent involontaire- ment les paroles involontairement produites. Remar-
, proférer son bruit du matin au soir, sans en être particulière- ment impressionnée; mais dans l'état somnambulique c
n d'idées associées qu'on appelle le moi est obnubilée. Or juste- ment ce cas se présente à un haut degré dans l'état
n des mem- bres du groupe, d'uae affection reproduisant un aboie- ment , un miaulement, pourra être l'occasion, d'une 8
face que sur le côté sain. Les deux pupilles sont égales, moyenne- ment dilatées et réagissent régulièrement à la lumière
normale. Tous les organes sensoriels fonctionnent très régulière- ment . Cet ensemble clinique met l'hémiatrophie facia
Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, d'après l'enseigne- ment de la Salpêtrière; par M. le Dr Gilles de n TUUnE
seurs et essayèrent de reprendre MIle Dourches. Il y eut, à ce mo- ment , une mêlée indescriptible, car les soixante-quatr
de Villejuif. Il y a eu dimanche quinze jours, un premier enlève- ment d'aliénée avait eu lieu dans les mêmes circonstan
aliénées s'écria : « Tiens, une voiture arrêtée, encore un enlève- ment ! » Cette réflexion avait éveillé l'attention des
la- cement de celle nature sera fait dans une commune du départe- ment du Cher dont les conditions climatériques ont sem
montrent une fois de plus la nécessité d'un large approvisionne- ment d'eau et d'installations de postes d'incendie dan
se passe sans délai, dès que la folie est constatée. Malheureuse- ment , la plupart de* préfets ont peu de connaissance d
on la voit t se produire après soixante ans. Exceptionnels égale- ment sont ceux où la maladie fait son apparition ava
dans son lit. Il n'a présenté aucune anomalie dans son développe- ment physique, aucun accident névropathique. CAS DE
aire apparaitre de placer les bras du sujet dans l'attitude du ser- ment , la main ouverte et les doigts écartés. L'écrit
ci : Parfois il éprouve tout à coup une sensation d'engourdisse - ment , de fourmillements dans la jambe droite. Ces four
alysie géné- rale sans immixtion d'aucune lésion de nature.nette- ment spécifique. En somme, la syphilis semble agir ici
empêchait de dormir en ronflant trop bruyam- 158 MÉDECINE LÉGALE. ment . Il existe aussi d'autres cas analogues, dans l
t comme les déductions logiques de conceptions délirantes longue- ment pesées et commentées. 160 MÉDECINE LÉGALE. Ce
personnes sous l'influence de son délire. Il en voulait spéciale- ment aux curés, qu'il accusait de le persécuter. Encor
en dans une période assez avancée et lorsque le délire est nette- ment systématisé. Enfin il est la conséquence logique
soupçon- neux, orgueilleux. Ils arrivent à la folie progressive- ment et par suite, pour ainsi dire, de l'exagération
d'une impul-. sion brusque, mais sous l'influence d'un raisonne- ment Jogique. Chez d'autres aliénés homicides, il y a
ve à' leur portée. Tantôt Ils accomplissent leur homicide froide- ment et sans bruit,- tantôt, et c'est le plus ordinair
ordinaires qui les font agir, car, par suite du peu de développe- ment de leur sens moral et de l'imperfection de leur
cet ordre sont étrangères à notre sujet, qui doit rester absolu- ment pratique, puisqu'il s'agit de médecine légale.
a .nui- sance seule qu'il est possible- d'étudier scientifique; 1 ment . Il faut surtout tâcher d'en établir la genèse. E
on des symp- itômes physiques. -, L'accès débute assez . brusque- ment , mais il est ordinairement précédé de prodromes
issent pro- gressivement, et le dernier terme de cet affaiblisse- ment est la démence dite alcoolique. Dans le cours de
, quelques irrégularités, quelques troubles'dans leur fonctionne- ment psychique. Les allemands disent : aliénés à cer-
te des mo- difications apportées à la longue dans son fonctionne- ment par l'affection dont il est le siège. Cette obser
nfluence produite par le traitement antidiabétique. Si ce traite- ment faisait disparaître ou amendait notablement les
rs de l'oeil, car, ajoutent-ils, elles ont un caractère générale- ment bénin et guérissent facilement même sans inter-
jouter que, chez des diabétiques avérés, le sucre peut momentané- ment faire défaut ou être représenté par un chiffre
autre trouble de santé générale. Sa descendance est particulière- ment intéressante à étudier. Sa fille ainée, névropath
oup plus d'importance que les autres hallucinations et contraire- ment à ce qui se passe dans le délire des persécutions
lle est obligée de parler sa pensée, » ou bien elle remue simple- ment les lèvres ou bien elle sent une voix au coeur. L
- pendante et si inconsciente pour le sujet, qu'elle peut facile- ment passer à un examen superficiel pour une véritable
ée. Il lui arrive de parler toute seule; elle se sent alors réelle- ment forcée de parler. « Si je reste comme ça, je ne p
l'ouïe. Examen physique. Pas de troubles vaso-moteurs. Dédouble- ment du deuxième bruit à la base. Un certain degré d'a
remarque que les malades qui en sont atteints posent habituelle- ment des questions qui n'ont aucun caractère pratique
respondre divers degrés de responsabilité. Mais en pratique, com- ment délimiter les divers degrés de conscience ? En rè
e, de sa nature, démontre clairement la possibilité du développe- ment direct d'un accès épileptique sous l'action exclu
lus abstrait et le plus large, serait l'expression d'un bouleverse- ment fonctionnel, partiel ou général, du système nerve
. Le bromure de potassium reste toujours pour l'auteur le médica- ment le plus efficace dans le traitement de l'épilepsi
d'individus paresseux et illettrés qui, par suite d'un développe- ment nul ou partiel des facultés et d'habitudes vicieu
al et moral endormi. Après quelques variations sur le vieil adage : mens sana in colore sano, l'auteur reconnaît qu'il n
. M. Schultze. Nous sommes en réalité d'accord sur le rétrécisse- ment du champ visuel dans la névrose traumatique. Que
s. I. - Le Conseil émet le voeu qu'il existe dans chaque départe- ment une ou plusieurs sociétés de patronage, chargées
e cette étude que je vous prie de me communiquer le plus prompte- ment possible, en y joignant les observations personne
- teurs de service ont été mandés hier au parquet et très longue- ment interrogés. On ne sait si, après instruction, l
On ne sait si, après instruction, les poursuites seront définitive- ment décidées, mais vu la condition des personnes mise
comté de York, et que d'ailleurs le mode d'assistance et de place- ment des aliénés pauvres en Angleterre est trop différ
onces de laudanum par jour et qui, sans avoir recours à l'interne- ment dans un asile qui avait été conseillé, a réussi,
l'asile de Villejuif, dont quelques-unes auraient été assez griève- ment blessées, et trois pensionnaires de l'asile. Voic
Je n'ai pas cogné, dit-il. C'est moi qui ai reçu des coups telle- ment violents qu'il m'en est résulté des abcès. ;. M
parvint le 20 novembre entre les mains de M. Lozé qui, immédiate- ment , prit un arrêté ordonnant le transfert de 1\plue
nvoyée à l'Asile de Villejuif. Aussitôt arrivée dans cet établisse- ment , la malade y fut examinée par M. le Dr Briand qui
e témoin seulement et non comme prévenue, parce que, personnelle- ment , vous n'avez pas usé de violences. Mu. Dourches
on lui a repris sa fille, Louise n'a donné aucun signe de dérange- ment mental... ' ' Elle travaillait comme une négres
est efforcé d'apporter de la précision dans l'expression de bégaie- ment qui a des acceptions aussi élastiques que possibl
é- senté pour la première fois quelques troubles nerveux, assuré- ment de nature hystérique, bien qu'elle n'ait point de
, habituellement triste et peu communicative, se modifie brusque- ment ; elle se trouve mieux, se dit très heureuse, est
crise; elle se tord les bras, en répétant qu'elle souffre cruelle- ment ; elle a, dit-elle, une boule de feu dans la tête
e moment une finesse du toucher qui suppléait à la vue, complète- ment absente. Quelqu'un à ce moment sort de la chamb
fiance, soit que pendant ses crises il s'efforçât d'agir directe- ment sur l'accès en le transformant, toutes ses tenta-
efforts, et ridiculisait très spirituelle- 298 CLINIQUE MENTALE. ment leurs personnes. Son médecin lui-même,- qu'elle
ès de somnam- bulisme spontané commence et se termine invariable- ment par une crise léthargique, dont il semble n'être
les formes vésaniques : qui dit. psychoses, dit maladies éminem- ment héréditaires, mais cependant l'hérédité s'exerce
diverses, des foyers hémorrhagiques ou des foyers de ramollisse- ment , des méningo-encéphalites, de l'épendymite.ven-
ale (sentiments, volonté, attention, mémoire, jugement, raisonne- ment , etc.), qui constituent les facultés des psycho-
des psycho- logues, se développent, se perfectionnent successive- ment par le concours harmonieux de toutes les parties
on pour un ouvrier avec qui elle voudrait se marier, et ce senti- ment nouveau la rapproche de la normale et en fait u
fet, des troubles fonctionnels distincts, désignaient successive- ment les différents segments de la moelle, du méso-
n coup de ciseaux, il détachait de son bras gauche un large frag- ment de peau. Interrogé sur les motifs de cette muti-
nt .étudiée dans tous ses détails. Nous allons voir, malheureuse- ment , par les difficultés que présente l'étude psychol
orat, l'ouïe même et la vue peuvent être séparément ou simultané- ment affectés. Je n'ai pas besoin non plus de vous rap
ines questions psychologiques sont traitées avec plus de développe- ment qu'il n'est possible de le faire dans une leçon.
qui s'exécute. C'est bien aussi mon avis, mais je voudrais seule- ment savoir comment cette malade qui avait toute la pe
E. un tampon à tenir et avecl'autre tampon, je lui touche légère- ment la peau de l'avant-bras gauche sans qu'elle puiss
es deux petites jeunes filles que je viens de vous montrer ? Com- ment dans tous les pays civilisés les hystériques se s
emble d'une manière générale assez satisfaisante. Mais immédiate- ment la plupart des psychologues ajoutent une autre fo
être ainsi pour les mots « je, moi », ce sont des termes éuormé- ment complexes. C'est l'idée de la personnalité, c'est
i sans avoir conscience des bruits environnants. Au troisième mo- ment , il écrira sous la dictée, ayant la perception du
surprise, le patient constate qu'il ne sait plus sentir consciem- ment , qu'il ne peut plus, si j'ose ainsi dire, rattrap
é- sies déjà existantes, la distraction devra produire momentané- ment des insensibilités nouvelles, analogues aux anest
. Ce procédé a d'ailleurs, autrefois, été considéré comme relati- ment satisfaisant par le professeur Potain. Nous divis
s. Urines non albumineuses : Bieuv..., 3 examens; Goii ... 3 exa- mens ; Chai ... , 2 examens. Les restrictions que no
d'examens d'urines recueillies à la suite des vertiges. Ces exa- mens ne sont pas de nature à entraîner des convictions
Vill... et de Rou..., avaient été recueillies la nuit immédiate- ment après les accès on aurait pu y constater des trac
ons affirmer, c'est que depuis que nous recherchons systématique- ment l'albuminurie chez des épileptiques en état de ma
sie véritable, ni amnésie simulée. Le malade ne peut fixer rapide- ment son attention sur ce que je lui demande, il lui f
il lui arrive assez souvent de dire froide- 378 MÉDECINE LÉGALE. ment « que c'est M... qu'il aurait dû tuer, qu'il reco
TS. questionner sa mère pour savoir qu'elle se parle continuelle- ment à elle-même et qu'elle s'y sent forcée. Si l'ét
ci- nations sensorielles dans la mélancolie ; nous croyons seule- ment qu'il est nécessaire de bien préciser le phénomèn
motrices. Dans les cas où elles prennent un plus grand développe- ment chez les mélancoliques, et l'on doit se demander
al soient accessoires; elles peuvent alors modifier considérable- ment le tableau clinique de la mélancolie. Peut-être b
l'autre côté est moins développé et vice verset. On constate égale- ment des variations de position quant au faisceau pyra
sins. Dans les segments de moelle sous-jacents, plus bas (renfle- ment lombaire) la région qui représentera plus tard la
daux ont au contraire, pour caractère, d'occuper assez uniformé- ment toute la coupe de la zone pyramidate. Les autres
HOMME ET LEUR ÉVOLUTION DANS LA PREMIÈRE ENFANCE; ÉTUDE DU MOUVE- MENT CHEZ L'HOMME ET DE SON ÉVOLUTION, AVEC QUELQUES
qui constituent la base matérielle nécessaire pour le développe- ment de tous les processus physico-chimiques. Il impor
prétendues séquestrations arbitraires qui reviennent périodique- ment dans la presse politique, je demande à la société
intitulé : Observations and suggestions on the Lunàcy acts. Amende- ment Bill, de tels dispositifs sont plus propres à nui
quant des conceptions représentatives qui sont souvent suffisam- ment claires sans qu'elles se formulent sous forme de
altérations corticales se distinguent cliniquement et anatomique ment de celles de la paralysie générale. La prochain
'assaut qu'elles ont subi, en attendant qu'elles récupèrent pleine- ment leur vigueur définitive. Est-ce dans sa propre fa
le. Nous n'avons rien eu à modifier dans les conditions d'agence- ment de l'assistance familiale, non plus qu'à l'instru
l'impulsion à la satisfaction immorale d'appétits jusque là pure- ment psychiques, ou que celle-ci ne se montre qu'à la
médecin de la pension, l'inspecteur des études, de lui en vouloir, ment à plaisir, et monte ses camarades contre le perso
L'état mental se résume ainsi : depuis l'âge de dix-huit ans seule- ment , dégénérescence intellectuelle et morale, paresse
a Salpétrière en 1863, il y aura bientôt trente ans. Ce fut assuré- ment , de mes années d'apprentissage de la vie et de la
. Pour celles qui étaient déjà connues, vous en avez si profondé- ment remanié l'étude qu'on est tenté de croire que vou
droit aux secours dans mon département pour un enfant âgé seule- ment de sept ans, je désire avoir communication des do
: ..... La loi du 30 juin 1838, dit le ministre, n'est pas seule- ment uue loi de police, c'est aussi une LOI DE bienfai
e quinze ans, s'adonnait à la boisson et était presque continuelle- ment ivre. Torturé enfin par la terrible maladie qui l
nt ivre. Torturé enfin par la terrible maladie qui le minait lente- ment et par toutes sortes de souvenirs fantasques et l
tion de 400 fr., en vue de l'érection, à la Salpêtrière, d'un monu- ment au D1' Duchenne (DE BoULOGNE). INSTITUT municip
refit la même déclaration, précisant les faits, donnant un signale- ment minutieux des deux agresseurs. Les voisins, le co
des aliénés -, par Sollier, 419. Phalangettes des doigts (gonfle- ment des), par Rosenbach, 100. Pie-mère, altérations
37 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on le sait, d'un sentiment de trouble et de confusion. Ce senti- ment est parfois très pénible, surtout chez les hommes
ui non seulement rougissent très fréquemment, mais qui s'en tour- mentent plus ou moins. Chez les uns, l'aptitude à rougir
de plusieurs personnes, notamment d'étrangers. Seul, rougit rare- ment , et alors.c'est au souvenir d'une commission non
sion d'un incident fortuit, d'une crise de rougeur particulière- ment désagréable. A dater de ce moment, leur facilité
Un autre éprouve d'abord des palpitations. Son coeur bat violem- ment . Puis sa respiration devient oppressée, haletante
- complir-les actes qui coûtaient le plus à sa timidité. A ce mo- ment , un peu étourdi', il aurait-parlé, chanté, joué l
je suis l'objet d'une attention malveillante. Presque continuelle- ment , je ressens dans la région précordiale une douleu
urs ne font jamais défaut, à côté du phénomène émotionnel propre- ment dit. C'est à ce point de vue, c'est-à-dire au p
ssante. Nous n'avons pu, l'attention n'étant pas encore suffisam- ment attirée sur ce point au moment où nous recueillio
is l'enfance, alors qu'ils ne commencent à s'en inquiéter réelle- ment qu'à dater de la puberté, c'est-à-dire de l'éveil
ues vrais ou mélancoliques chroniques ; on observe assez fréquem- ment des tentatives de suicide ou de mutilation, réact
n se servant de mes organes, c'est à lui que j'abandonne entière- ment le gouvernement de ma langue... n'occupant mon es
ue parce qu'elle a germé sur un terrain pathologique, antérieure- ment préparé; il faut donc aussi s'occuper de celui-ci
e : si les actes commis, tout pervers qu'ils soient, sont relative- ment inoffensifs, la famille, quand elle est riche, pr
e minimum d'acide, 0,91. A partir du troisième jour, l'acide aug- mente mais irrégulièrement; il arrive enfin, avant la f
prendre au nègre aucun médica- 48 ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment lorsque les symptômes visibles ont disparu ? (Tit
quer le mécanisme et la pathologie infantile l'a éclairé clinique- ment . On peut diviser les complications nerveuses des
ouls 70, petit contracté. Traitement : injection de morphine, lave- ment de chloral. A midi tout est rentré dans l'ordre.
formes intermédiaires qu'il ne faut pas oublier. On ne doit nulle- ment se fier à la bénignité du début et il faut tenir
nt en constituer la partie principale et être faits très régulière- ment . Ou doit redoubler d'activité en cas de menaces d
e et nystagmus) sans qu'on puisse se prononcer; on ne sait notam- ment à quelle époque de la vie les faire remonter, car
polyèdres, sont souvent percés à jour d'espèces de vacuoles nette- ment limitées, à peu près incolores (vacuves des corpu
ion. Dans le premier cas je ne l'aurais dévoilée qu'avec l'assenti- ment du sujet; dans le second j'aurais sacrifié la cur
depuis l'arrivée de M. Déricq, qui tient ces malades très propre- ment et les fait lever tous les jours. M. CHRISTUN a
e criminel des facultés répressives. Que l'asile soit un établisse- ment de sûreté, dont il sera malaisé de sortir, la cho
stiné à garder ses malades, il doit encore se prêter à leur traite- ment , lorsque, par exception, leur folie est curable.
§ 8. L'admission d'un malade doit être signifiée confidentielle- ment dans les vingt-quatre heures aux autorités de pol
xcéder quinze jours, et ne peuvent être accordés qu'avec l'assenti- ment de la police si le malade a été interné à la dema
V. Surveillance. - 20. Les établissements privés sont régulière- ment inspectés par le « physicus » du district ou par
donc que l'affaire, si mauvaise qu'elle fût avant midi, fnt grande- ment améliorée par ce message, et qu'en une heure tout
tique était l'isolement, pris dans le sens, non pas d'un change- ment de milieu, mais dans le sens rigoureux du mot, da
er au point de vue de l'ordre et de la discipline de l'établisse- ment , et montrant que l'isolement confirmait le lypéma
du 20 mars 1857, il est bien difficile de les condamner complète- ment . Où toute discussion est impossible c'est sur l
en est ainsi il n'y a qu'à soumettre égale- 90 ASILES D'ALIÉNÉS. ment à son visa les prescriptions médicales car il y a
rection analogue à celle des cellules fusiformes, d'ailleurs nulle- ment bipolaires, parallèle aussi à la surface de l'éco
pure topographie corticale, en particulier par le degré d'éloigne- ment où ces cellules se trouvent de la surface de l'éc
les nerveuses sont donc unipolaires ; ce n'est que morphologique- ment qu'elles sont multipolaires. Quel est le mode de
'autant plus de netteté que les tissus sont plus jeunes. Voilà com- ment Golgi découvrit que les cellules des cornes antér
énérale ou spéciale, déterminer des réactions motrices et, inverse- ment , l'excitation ou les lésions des zones motrices,
rieures et postérieures sont rigoureusement distinctes anatomique- ment . «Cependant, ajoutait-il, même pour la moelle, il
la fonction de chacun des centres du manteau résulterait simple- ment de ses connexions avec un appareil périphérique d
en émettant quelques ramuscules latéraux, vont constituer directe- ment un tube nerveux, ou bien encore ils perdent leur
tout son parcours, nombre de fibres collatérales destinées évidem- ment à contracter les rapports et les connexions les p
possèdent des destinations et probablement des fonctions entière- ment différentes (p. 21). » Relativement à la distribu
longements, surtout protoplasmiques 2. L'existence de ce revête- ment , s'il était véritablement de nature neurokératini
les « dépendances cérébrales » qui ont été plus ou moins profondé- ment atteintes à la suite de ces lésions. Le signe -
riques, transmettent l'excitation de l'agent extérieur, non seule- ment ils préserventles éléments nerveux conducteurs de
6.) Les faisceaux de la couronne rayonnante s'échappent générale- ment par le plus court chemin pour rayonner de la caps
moelle dorsale, le nombre des fibres dégénérés décroit graduelle- ment mais progressivement de bas en haut, de sorte que
radiculaires au sein de la substance de la moelle et portait seule- ment sur celles des fibres qui participent à la format
i- nale du cône terminal, le nombre de ces fibres diminue rapide- ment , parceque, les unes le long de la cloison, les au
, pour atteindre ce but, il faut pratiquer un grand nombre d'exa- mens isolés, pratiquer un grand nombre d'expériences e
entend prononcer le mot maintenant, elle doit énoncer successive- ment d'affilée les nombres 1, 3, 5, 7, 9 ou 2, 4, 6, 8
extirpation de l'écorce du cervean d'un côté, il se produit réelle- ment une dégénérescence du cordon latéral dans les pyr
stingue dans la grossesse nerveuse : 1° la pseudo-grossesse propre- ment dite, dans laquelle on ne peut invoquer, comme ag
. L'éclampsie puerpérale est une maladie infectieuse et probable- ment contagieuse. L'intoxication est d'origine gastro-
epsie, par les affections mentales et encore par des troubles pure- ment dynamiques, en particulier par ceux résultant d'a
chirurgicale chez un d'eux, de la paresse musculaire, du tremble- ment . La neurofibromatose est une affection congénital
soit ajouté quoi que ce soit à l'arrêté de 1880 ; je demande seule- ment un retour à son application rigoureuse. Telles
ers, 1897. , GONNRLLI-CIONI (A. p.) Educhiamo i fanciulli daboli di mentez Milano, 1896. - Tipographia del Commercio. In
eron. Les antécédents de sa famille sont inconnus. Son développe- ment physique s'opéra bien et il démontra, pendant l'a
en conditions pathologiques fonctionne et reproduit automatique- ment les images verbales avec une intensité suffisante
diés au commencement de ces notes. Au lieu d'un antagonisme pure- ment cérebral, il y a un antagonisme que l'on pourrait
s qui duraient d'une demi-heure à une heure, et portaient unique- ment sur le côté droit. Il passa ces trois mois presqu
ment sur le côté droit. Il passa ces trois mois presque complète- ment au lit, sans bouger, sans parler, paraissant souf
- même, avait considérablement diminué ; le caractère, primitive- ment doux,, s'était modifié : D... était devenu colère
- à droite, 17 à gauche. SCLÉROSE cérébrale hémisphérique. 201 ment assez grande sur les circonvolutions très grêles
soutenir cette opinion sur des données d'ordre et d'origine pure- ment scientifiques, mais dont la clinique est venue co
Toutefois, dès à présent, l'auteur estime que les faits actuelle- ment connus ne plaident pas en faveur de la craniectom
gie ou athétose par hémorragie intra-cranienne durant l'accouche- ment . Il convient toutefois de se souvenir que l'insuf
but de l'opération peut être soit d'évacuer un liquide anormale- ment accumulé dans la cavité de l'arachnoïde ou des ve
ration ralentit l'écoulement, l'expiration l'accélère et contraire- ment à certaines assertions l'auteur l'a vu s'accélére
lysie consécutive, enfin l'observation ultérieure du malade confir- ment pleinement cette manière de voir. service des e
intellectuel, et sa santé mentale et sa santé physique sont égale- ment parfaites. R. M. C. XXXVII. Rapports DE L'AUTO-
res qui caractérisent les cerveaux mal développés; microscopique- ment , anomalies de structure cellulaire, sans aucune l
troubles psychiques élémentaires des malades (mémoire, enchaîne- ment des idées, jugement, actions, expression de la ph
e crâne en forme de tour n'est pas dû au mécanisme de l'accouche- ment , mais à des modifications des noyaux d'ossificati
troite, des intérêts communs : aussi se rencontrent-ils habituelle- ment chez des parents. Pour qu'il y ait folie induite,
ation MÉDICO-PSYCHOLOGIQUE; par T. OUTTERSON WooD. (The JOU1'n. of. Ment . Se, avril 1896.) Cette Association a célébré s
tements dans la narine gauche et terminée par un accès d'éternue- ment . Cette crise n'est sans doute pas sans présente
de la langue, en un trouble trophique de la langue, qui précisé- ment ont fait naître les troubles du goût, non pas tou
s aussi bien que leurs cellules ganglionnaires se montrent égale- ment lésées. De sorte que la question de localisation
épinière, la rétine. Les branches collatérales de chaque prolonge- ment nerveux se terminent aussi librement que l'arbori
orme et la position seraient constantes, assume, dans le développe- ment ultérieur, selon Veratti, le caractère de prolong
es. Chez d'autres animaux, cette différenciation entre le prolonge- ment nerveux et les prolongements protoplasmiques exis
cours des collatérales dont l'arborisation ultime se termine libre- ment , se bifurque souvent en arrivant à la substance b
deux ou trois grosses branches qui vont se ramifiant horizontale- ment et « constituant une arborisation finale d'une tr
minent dans l'écorce du cerveau, proviennent peut-être indirecte- ment de la moelle épinière, du cervelet, etc. Ces long
de ces cellules par un si grand nombre de filaments paraît absolu- ment inextricable. En tout cas, ce serait une prétenti
dantes les unes des autres avec des éléments nerveux fonctionnelle- ment différents. De même pour les cellules de Purkinje
s expansions protoplasmiques, ou dendrites, ne sont point simple- ment un appareil trophique du neurone, sortes de radic
abondantes, plus longues, plus ramifiées. Le degré de développe- ment de la cellule nerveuse est souvent en rapport ave
'extension et la richesse des arborisations terminales du prolonge- ment nerveux, ou, en d'autres termes, que plus une cel
tées. Mais, quel que soit ce nombre d'éléments des sens directe- ment impressionnés, l'excitation qui en part et qui se
cellules, y compris ceux des cellules de névroglie, et éventuelle- ment les corpuscules rouges du sang dans les vaisseaux
lulaire protoplasmique d'origine. Dès 1861, Mauthner avait nette- ment aperçu l'origine et la fonction de la névroglie;
tème nerveux de l'homme adulte, telles qu'elles existent présente- ment : elles ont la même valeur, jusqu'à un certain po
apparaissent en jaune, les fibres de la névroglie s'enlèvent nette- ment en bleu. Les rapports admis par Golgi entre les p
le sera, toujours avec le contrôle d'autres méthodes, particulière- ment précieuse pour l'histologie pathologique. Mais on
mesure. L'association de la raison et de la sensation est évidem- ment la condition idéale de l'accomplissement, d'un ac
rigoureuse, et les témoignages médicaux en demeurent singulière- ment discrédités. Un autre tort des médecins en justic
méthode simple qui consiste à regarder les faits en face, sincère- ment et carrément. R. DE l\1USGRA.\1 ! : CLAY. Il. S
devait entraîner une prolonguation de l'internement et du traite- ment . M. Yellowlees espère et souhaite ardemment que
rpyrexie sont rattachés à l'intoxication du sang. Telle est évidem- ment l'étiologie du cas rapporté par l'auteur, le seul
diagnostic GO myxoedème de la gorge » n'est peut-être pas suffisam- ment justifié. R. DE MUSGRAVE CLAY. XLVIII. Sur l'Ep
es. Conclusions : les goitres exophtalmiques échappent au traite- ment médical, leur cure doit être laissée au chirurgie
rie contemporaine neurologique, fondée sur les faits reçus récem- ment , jette une nouvelle lumière sur l'activité variée
indraxe atteint les prolongements protoplasmiques d'un autre élé- ment nerveux, il ne s'opère jamais de continuité d'un
Ce pa- nache de la cellule pyramidale apparaît comme son supplé- ment , qui se développe et se perfectionne plus tard qu
utour de tiges en caoutchouc également peintes en vert ; fréquem- ment elle porte le coin d'une des feuilles de papier à
pas au même niveau physiologique. Celte conception du fonctionne- ment des centres moteurs s'accorde avec les faits clin
que nous la connaissons, est une démence paralytique, essentielle- ment constituée par de la démence et par de la paralys
ules : le résultat n'est pas heureux, car il est presque immédiate- ment -atteint de mélancolie hystérique. Il écrit au D'
pplicables. L'hydrothérapie, telle qu'elle est ordonnée habituelle- ment aux neurasthéniques, a une influence des plus fâc
oppose, en tant que maladie des facultés intellectuelles propre- ment dites, aux troubles de la sphère affective. Ziehe
e série de psychoses différentes. Le mode de début, le développe- ment , l'évolution d'une psychose sont des symptômes qu
séparer de l'épilepsie les psychoses épileptiques et plus spéciale- ment le petit mal. * Parmi les divers troubles dits
psychoses et tous les états de faiblesse intellectuelle. Contraire- ment à la remarque du rapporteur, Siemerling considère
aractéristiques chez des patients de dix à seize ans. Il est égale- ment convaincu de l'inefficacité du bromure chez ces s
- tant. Le procédé thérapeutique souverain consiste dans l'isole- ment . Dans les cas d'épilepsie tardive qu'il a observé
ces. M. Kraepelin. Il ne nous est pas possible de congédier pure- ment et simplement les vieux infirmiers. Il faut leur
colie. Trois semaines avant l'entrée, la malade se plaint d'abatte- ment , s'accuse elle-même, manifeste des idées^d'empois
des événements récents. Les premières acquisitions étaient solide- ment conservées et une conservation plus prolongée mon
tion ne se distinguent des apoplexies avec hémiplégie habituelle- ment observées (lésions de la capsule interne), que pa
nde mammaire droite et un an après s'est manifesté un amaigrisse- ment du membre inférieur droit. Depuis quatre ans la m
ts, soit au total 48 places. Or, dans le quartier affecté actuelle- ment aux agitées, il y a aujourd'hui, d'après le rense
tées, la question n'est plus entière; car il y a déjà un établisse- ment complet, élevé selon certains principes qu'il imp
construction nouvelle. Enfin, il ne faut pas oublier que le traite- ment cellulaire exige l'installation de services très
s altérés donnent encore lieu à des troubles variés d'empoisonne- ment aigu qui portent le nom de botulisme. M. Charri
mystagogues, les théosophistes et les myologistes qui, non seule- ment dégradent le mot de psychologie, mais peuvent enc
est nommé avec le même grade à l'asile de Villejuif, en remplace- ment de M. le D'' Sérieux (23 mars); - ici. leur Brune
ur lit. Lorsque la mort n'arrive qu'au dernier terme de l'épuise- ment , les talons, les hanches, le siège se couvrent pr
es trophiques et de dégénérescence divers, tels que : amaigrisse- ment cachectique, tendance aux fractures et aux luxati
de côté tout ce qui concerne l'état mental pour m'occuper seule- ment de l'état général des malades et, plus particuliè
aient plus ou moins embarrassés, mais la marche restait relative- ment aisée. Cinq autres malades, plus affaiblis que
nombre d'eschares superficielles, limitées au point où le frotte- ment était le plus accentué, et elles ont toutes guéri
orment deux catégories. La première comprend ceux qui sont égale- ment morts debout; ils sont au nombre de 12. Chez eux,
es parloirs, dans une pièce attenante à la section, où contraire- ment au règlement on autorisait la visite de quelques
ne peuvent ni autoriser, ni empêcher. Nous estimons que le règle- ment du 20 mars 1857 n'a rien perdu de son actualité e
455 mère dans la seconde moité de la grossesse sur le développe- ment de l'infirmité avec laquelle Guadalupe est venu a
. La faculté d'écrire spontané- 458 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment est également très troublée. Si on lui dit : « Ec
la rue que vous habitez, » se bornant ainsi à reproduire textuelle- ment l'ordre donné : il s'aperçoit alors qu'il n'a pas
e la langue et des muscles de la face. Il ne parait y avoir évidem- ment aucune lésion importante del'écorce, mais plutôt
io-bicipital ; par le D'' X. FR.11\COTTE. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, mars 1896.) L'auteur de ce travai
les maladies des parties génitales de la femme ne peuvent que rare- ment être censées avoir causé la neurasthénie, il est
. Les cas de syndrome de Weber, suivis d'autopsie, sont relative- ment rares : d'où l'intérêt de l'observation rapportée
néologismes de leur invention : 2° bien que percevant très nette- ment les sons, ils étaient incapables, à des degrés di
sie dans la sclérose latérale amyotrophique indique l'envahisse- ment des cornes antérieures. Il en est de même dans la
sont pas atteintes par la tumeur. La moelle épinière est complète- ment ramollie au niveau de la compression maxima sur u
éveloppe- Archives, 2° série, t. III. 31 482 SOCIÉTÉS savantes. ment du canal central. Dans le premier cas (myélite pa
qu'elle n'était pas atteinte d'imbécillité, mais que son développe- ment intellectuel n'avait pas été poussé très loin fau
toujours, entre les idées et le- jugement, une désharmonie éminem- ment propre à la naissance d'interprétations erronées,
ies nerveuses ET mentales. Le repos et l'exercice dans le traite- ment des -, par Clouston et Tuke, 207 ; par Mayer. 2
38 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ux. Nous n'avons jamais observe de cas d'hémiplégie ; il est seule- ment possible de trouver, rarement d'ailleurs, des cas
nse que clans, les cas bénins, les mouvements anormaux, principale- ment athétosiformes, sont fréquents. Quelquefois, chez
abdominaux des deux côtés, supérieurs et inférieurs, considérable- ment exagérés. L'excitation des régions respectives pr
le, malgré leur fréquence, ne nous semblent pas avoir été suffisam- ment étudiées. Nous pensons que les .notions classique
xion de la cuisse, de la jambe et du pied. Ces mouvements relative- ment faibles au moment de l'entrée à l'hôpital se sont
s circulatoire,respiratoire,urinaire et digestif ont un fonctionne- ment parfait. Il n'y a, dans les urines, ni albumine,
rieur de la cavité buccale, la langue, au repos, a sa pointe nette- ment dirigée et même incurvée vers la commissure labia
s troubles de la motilité de la langue, la déglutition n'est nulle- ment gênée. Quant à la parole, en dehors du « chuintem
fficile de mettre toutes ces améliorations sur le compte du traite- ment biiodure; certaines d'entre elles, notamment l'am
ique par la physiologie : les deux moitiés ont à exécuter un mouve- ment croisé, chaque côté doit porter la langue en avan
upart des hémiatrophies linguales et dont le rôle a été ultérieure- ment démontré par Cu(ier, Grasset, Ross, Vestph111, Ba
dème et une accumulation de liquide céphalo-rachidien causés notam- ment par l'engorgement des libres amenant la sensibili
rieure de la cage thoracique. Vers la fin de mai, les douleurs aug- mentent ; plus prononcées pendant la marche, elles appara
maladie,surviennent successivement des troubles dans le fonctionne- ment de la vessie, l'affaiblissement du mouvement dans
diqué dans la description de l'étatactuel, doit être mise probable- ment sous la dépendance de l'affection transversale co
se), augmentation de la' parésie des extrémités inférieures, notam- ment de la droite. La malade cesse de marcher, ne quit
dominaux faibles. Toubles de la sensibilité ; disparition du senti- ment de la douleur et de la chaleur aux membres inféri
et sur l'intensité des douleurs en particulier, contribua notable- ment à faciliter le diagnostic. Oppenheim a attiré l'a
u attire surtout l'attention dans sa monographie sur l'affaiblisse- ment prédominant d'une extrémité et justement du côté
hidien dans son conduit un peu changé ne s'équilibre pas immédiate- ment et définitivement, mais au contraire est sujette,
L'un de nous (1) a récemment fixé les limites d'un nouveau groupe- ment clinique où l'interprétation passionnée, opposée
té de tendance. On ne note jamais ni hallucinations ni alfaiblisse- ment intellectuel, et si l'exagération de la personnal
é dirigeante qui obtiendra le pardon de l'humanité coupable, au mo- ment où la sévérité de l'être suprême proclamera un so
anes des sens : Odorat. Différents parfums usuels ont été parfaite- ment reconnus, donc normal. Goût. -Le sucre, le sel,
s frontal non exagéré, mais que la selle turcique est très notable- ment élargie (PI. XV).. VII. Phénomènes vaso-moteurs
là donc un cas dans lequel l'arrêt de la croissance est indéniable- ment subordonné au développement de la tumeur hypophys
ble de résoudre d'une façon formelle. Nous ferons remarquer simple- ment qu'une conception pathogénique pluriglandulaire p
phie optique due à une tumeur de l'hypophyse. Journ. of. nerv. and. ment , diseases, novembre 1906. PAULESco. - L'hypophy
le sens de l'axe longitudinal de ce pied, avec tendance au change- ment du sens de la marche. N'oublions pas que la mar
lien Dubini, pour désigner le symptôme d'une maladie très probable- ment infectieuse, avec localisations cérébrales, d'apr
malade était éveillé, les secousses étaient constantes. Elles aug- mentaient dans le décubitus, dans l'immobilité et surtout a
jà adopté, en 1881, le nom de chorée électrique proposé antérieure- ment par Hennit. avait observé à cette époque-là dix c
é la différence entre les mouvements de cette maladie et les mouve- ment choréiques. Ils étaient comme produits par des «
e modifications ; l'état mental persiste intact ou est très légère- ment affecté. Les deux observations qui suivent sont
s à la face. Quand la malade était debout on constatait un déplace- ment et l'entraînement du pied gauche. , . Aujourd'h
sur le tronc, et tout revient, de suite, à l'état normal probable- ment par l'action adjuvante des extenseurs. A la fac
s (comme chez notre seconde malade) les secousses sont au commence- ment localisées à quelques muscles de la face, et se g
mouvements n'ont pas la même pathogénie, ils se compliquent rapide- ment et il n'y a pas la coordination et la systématisa
ues des maladies du Syst. nerveux. LucAno. - Rev. di pat. nerv. o ment ., 1896, fasc. 10. Scrute. Neurol. Centralbl., 1
ent (Préface de Brissaud), Paris, 1902. Uwn. - Journ. of. nerv. and ment . desease, 1903. FtsCHEH. Gaz. des hôpitaux, 190
gelram. Echo méd. du Nord, 1903. RAMSAY Hun-t. Journ. of. nerv. and ment . disease, juillet 1903. J. VAL013RA. - Il Morga
. R. de méd., 1905, n° 10. Edoardo Poggio. - Rev. di Pat. nervosa e ment ., 1905, fasc. 4 do vol. XIX. Henry Meige. Tics,
ès-midi, une abondante hémorragie se produit, et traverse le panse- ment ; les infirmières s'affolent, envoient chercher i
r exemple comment il se présente : la fuite des idées est générale- ment très marquée. Il est impossible de diriger l'inte
eux central, et que l'on avait désignés (1) Rivista di pat. nerv. e ment ., 1910, fasc. 9, formol 10 p. c. (plusieurs jours
EL-LAVASTINE et P. MERSEY. « La pathologie historique est propre- ment l'explication des données que nous fournissent
Santa-Clara, où elle peut l'apercevoir des fenêtres de son apparte- ment (3). Certains documents prouvent qu'à Tordesill
r lieu, le corps de sa femme, Louise d'Orléans. Il embrassa longue- ment la morte et on l'entendit s'écrier : « Je serai b
nteur, mais, ces caractéristiques, plutôt qu'un arrêt de développe- ment , me semblent celles d'une déviation. Voilà pourqu
ointains. Cependant Frassi peut supporter, sans le moindre dérange- ment , un travail pénible quelconque. Estomac, foie,
supérieur à 100. Les mains au contraire ont une longueur sensible- ment normale ; les doigts surtout, bien que gros, sont
orteil apparaît beaucoup plus court que les autres. Tous les mouve- ment sont normaux aux membres supérieurs aussi bien qu
près ces considérations qui, bien que bornées à un champ exclusive- ment morphologique, n'ont pas été tout à fait sans rés
ésormais quel rôle jouent les glandes endocrines dans le développe- ment harmonique de l'organisme animal. Parmi les faits
re jumeau jusqu'à 4 ans (opinion sur laquelle il faut faire évidem- ment toutes les réserves).. Ce qui frappe chez G. 0.
la radiographie du genou de ce cas (Pl. XXIX) on remarque l'évase - ment des surfaces articulaires surtout du fémur. La
sion d'une consistance moindre que la normale. La colloïde franche- ment éosinophile et d'apparence normale manque ou est
laint d'éprouver parfois des palpitations; une sensation d'étouffe- ment les accompagne et oblige le sujet à courir à la f
e est vivante : elle a eu deux accouchements à terme, aucun avorte- ment . Elle a deux soeurs en bonne santé, mais cependan
s passifs du cou et l'enfant ne réussit cependant à faire spontané- ment aucun mouvement avec la tête. Le malade n'accom
ants. C'est d'autant plus vrai, qu'en ce qui concerne le développe- ment des symptômes, il existe une forme à évolution su
tant plus que la fièvre peut aussi manquer, bien qu'exceptionnelle- ment , dans les formes dénommées larvées. Ces symptômes
La mère a eu encore quelques accès éclamptiques, après l'accouche- ment , et de la liévrejusrlu'à 3)° 3 pendant 3 ou 4 jou
bien absorbée par la peau (1) ; en outre elle l'est aussi parfaite- ment par le poumon et nul doule que le malade n'en ait
de paralysie alrophique isolée du nerf musculo-cutané, très exacte- ment limitée à ce nerf. Malheureusement l'examen élect
rvée ; la fonction parait devoir ne se rétablir jamais ; le traite- ment électrique est resté sans effet ; la paralysie, a
e la main ni le poignet n'ont rien. Avant-bras, coude, bras, égale- ment normaux. Mais en recherchant les mouvements de l'
ment localisées - surtout dans la partie périphérique - sont égale- ment notées dans les racines postérieures. Ici aussi n
Mais les problèmes pathogéniques ne se solutionnent que graduelle- ment , et à vouloir être trop précis, on serait tenté d
al individualisés, perdus dans le chaos de l'infantilisme et notam- ment un grand nombre de cas de gigantisme. L'accepti
si brusquement. Rapidement d'ailleurs on se rend compte que le seg- ment jambier est particulièrement développé, et la pho
tion du corps thyroïde montre d'ailleurs des lobes latéraux absolu- ment normaux, et on sent bien l'isthme thyroïdien. : i
1° Un gigantisme de même morphologie avec exagération du développe- ment des os longs, surtout du segment distal des membr
u'elle peut réaliser présente un aspect caractéristique, soigneuse- ment décrit par II. Meige. Nous n'en trouvons aucun de
chez les animaux castrés expérimentalement, se distinguent précisé- ment par les caractères que l'on retrouve dans nos deu
l'autre, au contraire, après avoir fait pendant longtemps complète- ment défaut, elle a rapidement acquis son développemen
dans la convalescence de certaines pyrexies. Elles sont habituelle- ment attribuées à une irritation toxinique des cartila
s secondaires s'est faite tardivement, mais aucun ne fait actuelle- ment défaut et la vie génitale est tout à fait normale
ilhyroïdeclomie, il obtient une amélioration manifeste : engraisse- ment , euphorie, reprise des occupations ; mais, deux m
rée. Claude, Rose et Touchard (6) se demandent si l'hypofonclionne- ment des surrénales ne joue pas un rôle dans les phéno
es d'une constipation opiniâtre. La malade est soumise à un traite- ment par les comprimés de thyroïdine pendant un mois s
rotule à la grosse tubérosité du tibia et qui correspond parfaite- ment à l'existence d'une tendinite calciliante du tend
n plus de l'examen radiographique, on soumit la malade à un traite- ment par les rayons X en lui faisant des applications
herbe, Chenautais, Reverdin, Poiiier et Derville ont signalé isolé- ment quelques cas de calcification delà peau, mais ce
ion est diffuse.Dans la région mastoïdienne gauche on trouve égale- ment une tache achromique. Enfin une autre tache se tr
ruption franchement spécifique qui guérit d'ailleurs par un traite- ment approprié. P. Marie et Guillain (12) sur six ma
part, il convient aussi de rappeler queStern (13) a insisté récem- ment sur le fait que le terrain d'insuffisance testicu
du jour de l'intervention, les douleurs, sans disparaître complète- ment , s'atténuent beaucoup. Dès le 10 avril, des dou
8 mai. - Il ressent quelques secousses qui disparaissent spontané- ment . Quelques jours après, les contractions doulour
ce a été divisée en différents fragments comprenant chacun un frag- ment de nerf sciatique et des nodules fibreux y attena
su conjonctif néoformé est richement vascularisé et parcouru notam- ment pas de grosses artères dont la tunique moyenne es
ntant en une multitude de petits corpuscules annulaires très forte- ment argentophiles ; après la destruction de ce pseudo
remière névrectomie. Un petit faisceau nerveux prolifère énergique- ment ; ses cylindraxes s'accroissent et envahissent le
ngues sont saisies dans tous leurs détails. - Elle évoque spontané- ment les images auditives verbales, mais avec une lent
t, sauf son extrémité antérieure ; la plus grande partie du 2e seg- ment , et l'extrémité supérieure du premier. Du noyau
avec les voyelles. Elle aurait pu sans doute prononcer plus rapide- ment les syllabes mais il valait mieux procéder lentem
auche ; tiraillement de l'ouverture buccale vers la droite, efface- ment des traits du côté gauche; bout du nez rejeté à d
ar contre la substance blanche de cette'circonvolution a été grave- ment endommagée. Dans les mêmes plans la capsule exter
itudinal inférieur et les radiations thalamiques ont été partielle- ment coupés par deux petits foyers, qui ont déterminé
e horizontale passant par le corps calleux. Le foyer de ramollisse- ment a détruit la couronne rayonnante, l'extrémité sup
Cas Fourn. (J. Déjeril1e et et Thomas). MANIE ET IDIOTIE 359 ment : « c'est un gars bien planté », dit assez justem
olongé de tonalité basse ; enfin, pas toujours, il souffle brusque- ment avec le nez dans ses mains. Puis la scène recomme
ervalles, le malade reste immobile. Euphorie. Il a croisé sponlané- ment ses jambes. Il se gratte l'oreille droite. Nettet
mouvements associés involontaires, que Ilitzig a plus particulière- ment étudiés et qui, depuis, sont abondamment signalés
t ensemble donne à la physionomie du côté gauche un aspect franche- ment pleurard. , L'occlusion des paupières est possi
s apparaissent au front du côté gauche, le sourcil s'élève notable- ment mais sans perdre sa courbure régulière, l'oeil se
s secondes par exemple, les secousses apparaissent à chaque cligne- ment et ne se produisent pas dans l'intervalle. Si on
oubles trophiques ou vaso-moteurs, pas de sudation, pas de larmoie- ment de l'oeil gauche. La sensibilité de toute la face
ession psychique, tout mouvement de la face qui entraîne le cligne- ment palpébral provoque par cela même leur apparition.
res, sont en réalité toujours synergiques des mouvements de cligne- ment physiologique des paupières (2). Pour distingue
ès légère contraction de l'orbiculaire, celle qui suffit au cligne- ment physiologique, pour provoquer, dans certains cas
lignement était léger, tantôt du labio-blépharospasme si le cligne- ment était plus fort. Chez les quatre autres, le moind
at actuel le 17 mai 1905. En regardant la malade, on est immédiate- ment frappé par l'asymétrie de son visage dont tous le
illon labio-mentonnier transverse n'est plus horizontal mais nette- ment oblique en haut et à gauche ; au niveau du menton
ture de la bouche grande ouverte, l'orifice buccal est très légère- ment oblique ovalaire : les dents sont plus découverte
tirée hors de la bouche, n'est pas déviée ; elle se meut parfaite- ment en tous sens. Le voile du palais, la luette, le
ct du globe oculaire avec la tête d'une épingle provoque un cligne- ment réflexe que l'on peut graduer pour ainsi dire par
s répétés, d'aspect ondulatoire. En règle générale, plus le cligne- ment volontaire ou provoqué est fort, plus les secouss
ais de secousses analogues dans la moitié gauche, et plus générale- ment le malade n'a jamais de secousses musculaires con
du point marqué 3 ; il n'existe pas à proprement parler de plisse- ment de la peau, mais d'un déplacement cutané en masse
musculaires de l'hémiface droite apparaissent au moment du cligne- ment physiologique : on ne les observe jamais en dehor
gique des paupières. Leur fréquence et leur intensité sont directe- ment proportionnelles à la fréquence et à l'intensité
énomène moteur, toute impression psychique qui modifient le cligne- ment les modifient aussi : inversement, toute cause sa
recevoir de cette manière une explication suffisante. Malheureuse- ment ,contre l'origine rénale des accidents, nous avons
est en considération de ce point anatomique et embryologique récem- ment discuté que nous publions aujourd'hui l'observati
y avait en réalité qu'une absence de la commissure calleuse propre- ment dite. Ajoutons que l'examen en série de la prot
ouvent plusieurs glandes à sécrétion interne sont prises simultané- ment : celle conception des syndromes pluriglandulaire
que ses membres ont un aspect fuselé féminin. Malgré le développe- ment de la graisse en certaines régions, la peau n'est
se rend bien compte de ce qui lui manque, mais n'en est pas autre- ment affecté. Il exerce la profession de comptable et
autre une acromégalie typique ; mais ce sont deux cas d'ordre pure- ment clinique qui appellent par conséquent quelques ré
amen du Dr Degouy. Les radiographies ci-contre montrent un abaisse- ment de la selle turcique tel que la fosse cérébrale m
Elles sont aidées en cela par le gliaspongium intercellulaire fine- ment réticulé qui forme par exemple les membranes névr
hatiques et aussi, grâce ci sa contractilité, dans le perfectionne- ment de la circulation lymphatique (voir plus loin), f
. Nous ne pouvons pas passer en silence la question du développe- ment du réseau fibrillaire que nous avons étudié, quoi
Hypertrophie. - Les os de la base sont hypertrophiés. L'épaississe- ment osseux se constate avec la plus grande facilité a
externe ; le canal carotidien lui-même n'échappe pas au rétrécisse- ment , ainsi qu'on le voit d'une façon tout à fait mani
petites et surtout grosses molaires, être pour ainsi dire complète- ment extériorisées (1). Celle constatation nous a fait
as grande valeur, parce que les crânes n'ont pas été coupés exacte- ment au même niveau : on pourra pourtant juger approxi
ect ouateux est plus net sur les os des membres, sans doute simple- ment parce que, sur une base du crâne vue de profil, l
t récemDlentFélix Regnault(1) ; elles avaient été déjà remarquable- ment décrites en 1862, 14 ans avant la première descri
i dans l'ensemble on regarde un crâne de pagétique coupé sagitlale- ment sur la ligne médiane, on est frappé de la similit
tion, parce qu'elles déterminent un rétrécissement parfois extrême- ment prononcé du trou occipital et des différents trou
tions réciproques ? Voilà qui est difficile de trancher pour le mo- ment . Je dois, d'ailleurs, signaler que j'ai trouvé au
ind the spiiial curd ln a case of acro- megaly. Journ. of nerv. and ment . dis.. 1898, p. 42. 472 ALOYSIO DE CASTRO ren
normal, la longueur des 1ro et 2e phalanges réunies est respective- ment de 35 et de 31 millimètres sur les orteils envisa
xième existe des deux côtés une hydrocèle du testicule et probable- ment les deux testicules sont agrandis. Pourtant on ne
les jambes. Sensibilité tactile, douloureuse et thermique profondé- ment altérée. Les douleurs intenses des membres inféri
a commencé peu à peu à se rétablir, de sorte qu'il était complète- ment guéri après 3 mois. Au point de vue clinique, n
cas de Froin, de Babinski, de Cestan et Ravaut ont été rigoureuse- ment attribués à la syphilis. De même dans plusieurs o
la moelle.qu'elle comprimait au niveau des VIl", VIIIe et IXe seg- ment dorsaux. Il s'agissait d'un sarcome cellules rond
La coloration jaunâtre des liquides xantocllromiques est certaine- ment l'expression du même phénomène, c'est ce qui prou
dien peut faire apparaître le syndrome dont il s'agit, et spéciale- ment la coagulation, Aubry considère comme facteurs dé
39 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
être avec exagération, les phénomènes de contracture à l'épanche- ment secondaire intra-arachnoïdien. Il est possible en
t véritable de leur virilité étaient exacts. De même il est rare- ment arrivé que ceux fournis sur l'état inverse, l'éta
j'en doute fort. Tout d'abord il est un point important complète- ment omis par tous les auteurs : le coït; or nous avon
é de réaliser cette possession ne paraît non plus avoir suffisam- ment préoccupé les observateurs. Ensuite à entendre le
e l'altération en plus avec les expansives agitées qui, certaine- ment , a beaucoup contribué à donner naissance à l'opin
Un oncle maternel serait mort relativement jeune d'un ramollisse- ment cérébral. Il avait deux enfants dont l'un a succo
fait autour de lui mais' ne s'en occupe pas. Il tressaille légère- ment lorsqu'on l'appelle ou qu'on hausse la voix. Le
avortements; 6° les faits qui s'écartent de ce type sont probable- ment dus, dans beaucoup de cas, à des oscillations dan
us de nicutre et dont la plupart ont été analysés dans le Journ. of ment . Science. (iL). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
es fonctions sexuelles, sur la nature exacte duquel on n'est nulle- ment fixé. A. Fenayrou. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 1.
est complètement privé de boissons alcooliques et nourri abondam- ment . Une fois le calme et la raison revenus, on occup
crainte que l'efficacité du sérum antialcoolique découvert récem- ment par MM. Sappelier, Thébault et Broca, pharmacien,
tumance et le besoin, est bien loin d'être la règle comme l'affir- ment MM. Sappelier, Thébault et Broca. Les seuls vrais
résider que dans le dégoût de l'alcool. mais dans un dégoût forte- ment voulu et raisonné par une population éclairée et
u lit; par les 1)"8 Scmvus et Farnarier. (73u11. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, mars 1900.) (Voir Comptes rendus
er par écrit à rester à l'asile tout le temps fixé pour son traite- ment par le comité du Conseil d'administration : le te
dérer ce chiffre comme une donnée absolue, mais non comme un élé- ment de comparaison, pour les raisons qui viennent d'ê
es pensionnaires de cet asile étaient au nombre de 178, actuelle- ment ils sont plus de 200. De 1892 à 1899, le mouvemen
ptée par un ménage sans enfants, se montrait fort vicieuse ; elle mentait , volait et avait la manie de couper les robes de
s- tion. L'expérience montre au contraire que cette dernière aug- mente le pouvoir idéoréflexe. 72 BIBLIOGRAPHIE. L'e
re moyenne devrait être traité en conséquence. (Jour, ofnervous and ment . disCltse, fév. 1899.) Idiots : traitement T }I
rive à ces conclusions que la méthode de Flechsig diminue énormé- ment l'excitabilité corticale; que le bromure seul pro
plan d'exercices méthodiques, de ramener les capacités de mouve- ment à leur ancien degré de perfection. Il y a peu de
é des poids; ajoutons que c'est, pour le malade, un grand relève- ment moral de pouvoir, à l'aide des augmentations de p
main droite soulevaieut, tendus, 900 grammes, c'est-à-dire, exacte- ment autant que les doigts de la main bien portante.
le ma- lade est d'une très grande importance dans tout ce traite- ment de mouvements gymnastiques, il me semble que nos
quelques jours. Dans la suite l'état de la malade redevint exacte- ment ce qu'il avait été pendant toute l'année qui avai
que la forme et le caractère de ses attaques devaient nécessaire- ment faire penser à des accès jacksonniens; et certain
e d'Argyll- Robertson, mais uniquement du myosis avec rétrécisse- ment de la fente palpébrale et rétraction du globe ocu
111 tion des reflexes tendineux ; bientôt les réflexes se suppri- ment , créant ainsi le tableau d'un tabes légitime. A l
e attaque hystérique, surdité. » En octobre, elle était suffisam- ment améliorée pour être rendue à sa famille. Le certi
Le troisième frère aurait été longtemns affaibli intellectuelle- ment ; il va mieux et travaille comme tailleur. Une so
e particulier. L'acuité visuelle semble normale, pas de rétrécisse- ment du champ visuel. Le nez est long, droit, un peu
tre l'origine. Le palais est très ogival, le voile du palais égale- ment . Les amygdales sont.volumineuses, cryptiques; que
disant : « Tiens ! qu'est-ce que cela veut dire, vous causez drôle- ment aujourd'hui, je ne vous comprends pas ». L'appéti
gué ; par les U1'5 de l3oecR et GUVZDURG. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de - Belgique, 1899, n° 94 ) Pour étudier le
cellules d'où émanent ce faisceau qu'il considère comme probable- ment destiné aux réflexes des organes inférieurs. F. B
e pyramidale ou voie motrice cortico-médullaire était anatomique- ment intacte. Les troubles moteurs ne peuvent donc étr
t plus de 1 infirmier par six malades. On tâtonna pour le groupe- ment convenable des malades de chambre en chambre ; be
espèces de malades prédominent ; c'est aussi chez eux que l'alite- ment a agi le plus favorablement'. L'alitement est c
des procès, pour ceux qui durent des années, assombrit générale- ment le pronostic. Tous les symptômes sont passés en r
.) Dégénérescence tabétique des cordons postérieurs ; rétrécisse- ment et insuffisance des valvules aortiques; dilatatio
t d'une seule cause. L'effet est générale- 160 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment engendré par des causes multiples qui ont collabo
savoir si l'alcoolisme est alors exclusivement exogène ou simple- ment endogène ; même réflexion pour la tuberculose. Ce
de maladie familiale, parce que la famille ne comprend pas seule- ment une génération. M. Magnan persiste à croire que
en maintenant les paupières écartées, comme je le fais actuelle- ment avec ce malade, se rencontre chez 75 p. 100 des p
ensuite sur un sujet qu'il avait déjà longue- 174 bibliographie. ment traité l'an dernier : le rapport des polynévrites
vient encore plus délicat chez un syphilitique soumis au traite- ment mercuriel, si bien'que l'on peut incriminer la sy
apport de la Société de patronage pour les aliénés de l'arrondisse- ment de Diisseldorf (1893). La Société a pour but de
tion. Thérapeutique. De l'alitement (repos au lit) dans le traite- ment des formes aiguës de la folie et des modification
on « truc » était découvert, il a pris la fuite. On ne sait ni com- ment il a fait pour s'évader, ni où il est. (Le Temps,
dans la soirée à la maison d'arrêt de Rochefort. Il parait absolu- ment irresponsable. (Le Temps du 4 mars 1900.) Un je
rant 1, impasse Letort, qui était rentré à son domicile complète- ment ivre, a répandu du pétrole sur le parquet de la c
1894 et 189fui, d'étudier de près l'organisation et le fonctionne- ment de ces établissements, nous avons pensé que ceux
V liand, 1894 (avec un plan). LES CLINIQUES -PSYCHIATRIQUES. J97 ment modèle, donnons-en brièvement les caractères prin
du patient dans une cellule dont parois et parquet sont soigneuse- ment capitonnés. Le malade est conduit aux closets à h
- seignement psychiatrique ; 2° Multiplicité des salles spéciale- ment aménagées pour la surveillance continue; - 3° Pro
de Rlankenhain (260 malades). Les admissions se font très facile- ment , même pour les aliénés « étrangers » n'ayant pas
prendre : 1° La diminution ou la cessation temporaire du tremble- ment alcoolique par suite d'une absorption d'alcool ;
te machine, et par le seul fait de son architecture, de l'agence- ment de ses rouages, et ici, de la disposition de ses
rares. Si en amont d'un diélectrique, la pression électrique aug- mente , les décharges électriques augmentent de fréquenc
irjlW la pression nerveuse augmente, les décharges nerveuses aug- mentent de fréquence. La pression nerveuse augmente en
sification; par E. W. Tayloh et J.-L;. CLAHK. (Jour, of IICI-V. and ment . Diseuse, avril 1900.) La paralysie de Landry
s les noyaux gris de la base et la moelle allongée sont profondé- ment altérés mais uniquement du fait de la décapitatio
l- laud, Piorry et Beau. M. Marie reproduit textuellement et com- mente les principaux passages de la communication de Tr
manifestement à la compétence des magistrats, qui restent forcé- ment étrangers aux connaissances spéciales de la médec
uée. La malade n'ayant pas présenté de troubles délirants propre- ment dits, on ne pouvait conclure a l'irresponsabilité
pe de stupeur mentale. 11 eut plusieurs intervalles lucides, nette- ment constatés par le médecin, pendant l'un desquels i
mois, s'est tiré trois coups de revolver. Deux projectiles seule- ment ont pu être extraits. Cependant l'étet du blessé
it au groupe de déments dont la santé physique, le gâtisme récla- ment des soins particuliers plus efficacement donnés p
n même centre pour y recevoir les soins hygiéniques et le traite- ment médico-pédagogique dont ils ont besoin. Là encore
- qu'à la mort. Sur ce nombre, neuf ayant été emportés prématuré- ment par une affection intercurrente, ne peuvent entre
hique, les symptômes des deux névroses se trouvent réimis-clinique- ment , comme se rencontrent d'ailleurs associées la neu
e du réseau de Gerlach a régné, sans opposition, jusqu'à l'avène- ment de la doctrine du neurone, et elle compte encore
os semblables de tout ce qui peut compromettre le bon fonctionne- ment et l'intégrité de leur système nerveux. Et c'est
en travaillant ainsi parallèlement dans un même esprit de dévoue- ment à la science les deux Sections contribuent effica
s, ouvrier cordonnier à Pont-1'Evêque, s'est pendu dans son loge- ment . Le désespéré, qui était un alcoolique invétéré,
e résidence. Elle éprouva un tel ennui qu'elle manifesta fréquem- ment à sa mère le désir de revenir à Calais ou qu'elle
deux repas; la durée du séjour hors du lit est fixée très exacte- ment ; Si Le repos au lit jusqu'à la visite du matin
elles et n'entre nullement comme élément dans le système d'alite- ment , comme n'entre pas non plus dans le système de No
on pas dans un ou deux pavillons d'observation. Je suis complète- ment d'accord avec ceux qui croient que l'entassement
e des cellules comme un élément indispensable du système d'alite- ment . Le système du repos au lit bien organisé a des
complexus symptomatique de «-delirium acutum » ou « delirium tre- mens fébrile » sont devenues sous ce régime presque to
nfé- rence du cou mesurée dans les mêmes conditions que précédem- ment , était de 41,5 centimètres. Le coeur, légèrement
soldat d'artillerie qu'il faisait correctement auparavant, notam- ment à cause de la tachycardie et des crises de palpit
'un acte mnésique, je me suis attaché à montrer que chaque événe- ment de cet acte pouvait être reproduit par des appare
. Plus tard, nous trouvons des observations relatives, non seule- ment à la conformation, mais encore à la structure du
ylunz (1837) et 16 pouces 3/142,6 (cas du Dr Shuttleworth .1ollrll. Menti . Science, oct. 1878). Les caractères anatomo-pa
il était à la base. Le contenu était formé de protoplasma faible- ment coloré. 2° L'hydrocéphalie comprend à la fois l
l'autopsie, une insuffisance de la valvule tricuspide due probable- ment à une endocardite intra-utérine. Pour ce qui est
rieure à la naissance, ou survenant dans le premier âge. Fréquem- ment . on relève une atrophie de l'un des hémisphères,
e, et est généralement confondue avec l'hydrocéphalie. Non seule- ment elle est causée par une augmentation de la névrog
elle est composée d'éléments ganglionnaires, les auteurs la nom- ment l'hétérotopie de la substance grise, quoique cett
cerveaux de microcéphales, type représentant l'arrêt de développe- ment de la substance blanche des hémisphères cérébraux
de la maladie et sa terminaison, enfin par les résultats du traite- ment . La simulation du mutisme est infiniment plus rar
'attribuer aussi il ce trouble de la représentation. Expérimentale- ment , on peut reproduire toutes les particularités rel
la suite de mouvements répétés : il existe, en somme, un épuise- ment assez rapide des muscles. Cet ensemble symptomati
myélogénétir¡uc, méthode qui nous retrace l'histoire du développe- ment des fibres, dans leur trajet à travers les centre
tion, tandis que les zones périphériques ne présentent que faible- ment ces caractères. Les territoires centraux sont des
e trai- tement des hémiplégiques, peu d'importance et, contraire- ment à ce que dit M. Courtade 3, nous massons l'hémipl
membre paralysé. Souvent l'hémiplégique hésite à faire le mouve- ment dont il possède des éléments nécessaires : la for
remonta à deux ans, nous sommes arrivé après deux mois de traite- ment à permettre au malade d'allonger son pouce et de
l- pêtrière de la clinique Charcot. Si les bons effets du traite- ment étaient plus lents à venir dans ce cas, c'est par
es contractures. Par contre, le massage léger agit parfois utile- ment sur les contractures musculaires. Au début nous é
. Le prix de revient du lit a dépassé 10 000 francs. L'établisse- ment tout entier a, en effet, coûté 1 475 000 francs (
groupes de trois. Spacieuses. cimentées, peintes à l'huile, solide- ment construites, elles sont munies de doubles portes
nt en trois segments. Le seg- LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 381 ment moyen, plus large que les deux autres, est immobi
possible. Les cas d'hystérie, de neurasthénie sont assez fréquem- ment observés à la clinique, le professeur Hilzig étan
ment observés à la clinique, le professeur Hilzig étant habituelle- ment désigné comme expert par les tribunaux prussiens
former lui-même son personnel. C'est dans le pavillon de traite- ment que les infirmiers nouvellement admis apprennent
faites par les auteurs leur ont prouvé que ce régime était ample- ment suffisant '. En 1898, la situation de la cliniq
atrophie musculaire au point qu'elle disparaît à peu près totale- ment lorsque les muscles sont réduits à tel point que
les animaux la sensibilité et la respiration semblent plus forte- ment atteinte par les courants continus. Les convulsio
trois ans. Trois améliorations. Une malade a abandonné le traite- ment après quelques séances Chez la sixième malade, qu
ogt. Sur les différentes méthodes qui peuvent servir à l'établisse- ment de l'homologie des différentes régions de l'écorc
possèdent des libres de projection en grand nombre ; 8° contraire- ment à l'opinion de M. Flechsig, nous avons constaté c
sur l'anatomie des fibres, nos connaissances avancent très lente- ment . Le seul moyen capable de changer la situation ac
river à une très grande exactitude. Ces dessins faits soit directe- ment à l'encre de Chine, soit d'abord au crayon, puis
doigts). La sensation éprouvée par le sujet est donc, bien réelle- ment et exclusivement, la sensation de l'innervation m
e repos, il se produit un mouvement qui consiste dans un déplace- ment de la chair et de la peau qui la recouvre. M. l
adiations optiques de Gratiolet. Mais l'étude devient particulière- ment aisée dès qu'on pousse à l'ex,lréme la différenci
sont manifestement altérées, et cette altération présente exacte- ment les mêmes caractères dans tous les cas. Nous avon
que de perversion sexuelle ne peut être considérée préliminaire- ment que comme l'indice d'une dégénération psychique.
ent avoir une existence à part. De plus, socialement et judiciaire- ment , il s'en faut que le terme obsession ait la même
s. III. Si les syndromes obsession el impulsion sont essentielle- ment des stigmates moraux de la dégénérescence mentale
les éléments des deux perversions sexuelles se combinent fréquem- ment pour former un composé hybride qu'il est permis d
ordonné qu'nn réfectoire serait établi pour les aliénés en traite- ment . Comme, alors, j'étais déjà seul chargé du servic
tous à la classe pauvre et malheureusement ignorante, l'établisse- ment d'une pareille école a, pour eux, une double util
xemplaire d'un même livre, tantôt lisent alternative- 44 i VARIA. ment les phrases d'une histoire, tantôt lisent des pas
n ont suivi et secondé les progrès. M. Wilhem, qui a si heureuse- ment institué des écoles de chant, dans tous les quart
n'iraient pas, quelques faveurs à ceux qui s'y rendraient exacte- ment , auraient bientôt peuplé vos ateliers. (Ibid., p.
ent avec une abolition complète des réflexes cutanés et spéciale- ment du réflexe plantaire. , Quelques années plus ta
t il ne faut pas oublier que les recherches ont porté principale- ment sur des hémiplégiques organiques. L'extension d
uteur doit agir, et non pas comme le veut la Ligue de l'Enseigne- ment , l'instituteur maître de l'établissement faisant
on était en droit d'attendre d'un traitement approprié, et notam- ment au Congrès d'assistance publique tenu en 1894 à L
: Viraux. - Le X.,11 Congrès de la Ligue française de l'Enseigne- ment , réuni à Paris, émet le voeu : Qu'une commissio
ablissements spéciaux ou des sections spéciales destinés au traite- ment et à l'éducation des enfants idiots, imbéciles, A
blissements spéciaux ou des sections spéciales destinées au traite- ment ci à l'éducation dCS E.\FANTS IDIOTS, 11113lsCILE
Le non-restreint, introduit par Griesinger en 186, et le traite- ment par le lit sont appliques à la clinique de Berlin
psychiatrie, située à proximité de la ville, à vingt minutes seule- ment des autres instituts universitaires. Le nombre de
e continue, aux agités. On y applique depuis longtemps le traite- ment par le lit. Dans ces pavillons de traitement, les
son organisation physique affiche. C'est malgré lui et instinctive- ment , tout en violant l'instinct naturel, qu'il va ver
consciemment accompli. Il serait désirable de s'entendre exacte- ment à cet égard, et de déterminer si l'impulsion est
De la suggestion hypnotique et de la psychothérapie dans le traite- ment de la morphinomanie, de la dipsomanie ; par le Dr
ion mentale psycbo-primitive. Les deux cas se terminèrent rapide- ment par la mort. Au point de vue anatomo-pathologiq
igations. Dans sept cas, au contraire, les cellules sont manifeste- ment altérées, et cette altération présente exactement
duits héréditaires. Cette diminution va en s'accentuant graduelle- ment des familles saines aux familles d'aliénés, de ps
lules motrices des extenseurs est alors pai tiellement ou complète- ment inhibée..L'inhibition peut être particulièrement
t intégrité relative des libres rubro-spinales : or, c'est précisé- ment dans ces deux états que l'on observe l'exagératio
de paralysie et d'anesthésie et dans lesquels le moindre attouche- ment de la peau est suivi de mouvements réflexes étend
aire au voisinage du sillon pédonculo-protubérantiel, les unes for- ment le pes lemnicus profond et s'adossent à la partie
es individus tout à fait en démence, presque incapables de mouve- ment , atteints d'atrophie musculaire, des accidents ga
j' quelques prolongements protoplasmiques isolés manquent totale- ment d'appendices latéraux pyriformes. P. Keraval. X
nerfs des cordons postérieurs tonificateurs qui l'incitent directe- ment , mais encore du système pyramidal qui la réprime.
onus. Les formules mathématiques correspondantes indiquent nette- ment que la décroissance progressive de la force du sy
robuste, qui en tombant dans un escalier, s'est rattrapée violem- ment à la rampe, de la main droite. L'effort a été tel
injectés de sang, l'écume aux lèvres, allait et venait furieuse- . ment , criant de temps à autre : « Je suis Robespierre
. Le brigadier appela plusieurs personnes qui constatèrent égale- ment ce fait. Puis tous, ils se rendirent à la maison
Placement des dans les famil- les, par Shuterland, 487. Traite- ment , des - par le travail, par Lapointe, 493. Colon
40 (1934) Oeuvre scientifique
gence est ébranlée, qu'il n'est plus en état de suivre un raisonne- ment , que sa mémoire est affaiblie et qu'en un mot, ou
tifs qui caractérisent la névrite oedémateuse, vous êtes immédiate- ment fixés d'une manière définitive, car ces signes, a
iminution unilatérale de la sensibilité de la main, un affaiblisse- ment du sens stéréognostique rendant malaisé l'accompl
ses bras, le remet dans son lit; inquiet, il fait venir immédiate- ment le médecin. Celui-ci, bien qu'ayant constaté la c
ir des personnes de leur entourage. C'est ainsi qu'on voit fréquem- ment des sujets qui se croient atteints d'une angine d
e ce genre, renouveler l'excitation en la pratiquant superficielle- ment . Il y a encore une cause d'erreur d'observation
ion secondaire. Le second sujet était une femme atteinte manifeste- ment de tabes, caractérisé par des douleurs fulgurante
ule fois ce signe chez un sujet dont le système pyramidal fut sûre- ment en état d'intégrité. Mes observations montrent
, vous dire un mot de ce réflexe chez le nouveau-né. Le chatouille- ment de la plante du pied provoque normalement l'exten
ène des orteils est en relation avec un trouble dans le fonctionne- ment du système pyramidal. 111 DE L'ABDUCTION DES
) Chez le premier sujet, avec une même intensité de choc, le mouve- ment réflexe a une vitesse et une brusquerie plus gran
exemple, beaucoup plus fort que le réflexe d'extension, ou inverse- ment . Il importe de connaître ces diflérences indivi
ubir quelques corrections, paraissent tout à fait exactes relative- ment à l'ordre de succession en hauteur des centres de
de l'un d'eux est nettement constatée, on peut affirmer immédiate- ment qu'on a affaire à un état anormal ; cela ressort
uter que la régression de l'irréflectivité est précédée habituelle- ment par la disparition des autres troubles caractéris
ar de la subréflectivité qui, elle-même, n'apparaît pas nécessaire- ment dès le début de l'affection dont l'amyotrophie pe
re progressive. Elle peut être transitoire, mais le plus ordinaire- ment elle demeure, sujette parfois à des alternatives
est à noter que dans l'hémiplégie par compression lente, contraire- ment à ce que l'on observe dans les autres formes d'hé
un symptôme extrêmement commun ; ce qui se conçoit d'ailleurs aisé- ment en raison de la place importante occupée par les
miques, chez les tuberculeux, les réflexes tendineux sont générale- ment forts. Dans la tuberculose ils peuvent même deven
Ces données établies, nous sommes en mesure de faire le rapproche- ment que nous avions en vue. Comment se comportent l
te et parfois très forte, les réflexes de défense ne sont générale- ment que légèrement exagérés et peuvent même être norm
ndant, quand elle atteint un degré élevé, elle est suivie générale- ment de contracture. Le lien entre la surréflectivit
urologie, 1906, 1). O7O. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 8t ment son nom. Elle consiste à sectionner quelques-unes
centrales atteignant les faisceaux pyramidaux, et pourtant absolu- ment indépendante de la surréflectivité tendineuse. En
te des oscillations plus nombreuses et ne revient que plus tardive- ment au repos. d) Le malade étant assis ou debout, s
e la commissure comme dans la paralysie organique, mais, contraire- ment à ce qui a lieu là, quand on saisit, entre les do
e la Soc. méd. des hôpit., 1892, p. 'yo6, 738, 867. 96 SÉMIOLOGIE ment de la commissure n'est qu'une apparence qui résul
t de la commissure n'est qu'une apparence qui résulte d'un soulève- ment d'origine spasmodique de la commissure opposée, s
paralysie faciale hystérique l'abaissement du sourcil ni l'efface- ment des plis du front qui dépendent dans la paralysie
er et de s'aggraver à plusieurs reprises et de se modifier notable- ment dans leur intensité ainsi que dans leur forme, no
; c'est ainsi qu'on pourra affirmer dans certains cas qu'un mouve- ment consécutif à la percussion d'un tendon n'est pas
que, quand il est réellement exagéré, il se manifeste par un mouve- ment d'une intensité et surtout d'une brusquerie parti
mois et qu'en définitive l'épilepsie spinale n'était qu'indirecte- ment liée à la contracture hystérique. Quoi qu'il en
èrement à la paralysie de la face, où les troubles sont générale- ment bilatéraux. 2° La paralysie est parfois systéma
ion épileptoïde du pied. 7° Les réflexes cutanés sont générale- ment troublés. Le réflexe abdominal et le réflexe cr
os, ou encore qu'elle souffrait de sa phlébite ancienne (effective- ment , elle avait eu autrefois une phlébite), mais elle
elle est réelle, les troubles de sensibilité jouent vraisemblable- ment un rôle important dans leur genèse. Quelle que
rs des réflexes de défense en flexion qui s'effectueront simultané- ment , et chez tel autre on verra se produire, à l'occa
s ; ils consistent également en mouvements de retrait ou d'allonge- ment , souvent combinés à de la pronation de l'avant-br
mme les muscles intestinaux et les muscles vésicaux, peuvent égale- ment entrer en contraction en même temps que les muscl
qui a lieu dans le précédent, la motilité volontaire est profondé- ment troublée et chez beaucoup de malades elle est com
à des excitations profondes. Pour commencer, j'envisagerai unique- ment les réactions observées aux membres inférieurs du
ition primitive; en outre, chez ces derniers, l'amplitude du mouve- ment est bien plus marquée d'habitude. Ces différences
on, collaborateur de Sherrington, mérite aussi d'être particulière- ment retenu. ' Après ce court historique, reprenons
qui est plus frappant, c'est la disposition inverse : affaiblisse- ment ou abolition des réflexes tendineux avec exagérat
rs en flexion avec mictions réflexes et forte sudation dans le seg- ment inférieur du corps. J'ai eu l'occasion de décri
mme les muscles intestinaux et les muscles vésicaux, peuvent égale- ment entrer en contraction en même temps que les muscl
si on saisit entre deux doigts la cuisse et si on imprime à ce seg- ment un mouvement de flexion ou d'extension, on consta
s affections du système pyramidal, ils peuvent se manifester égale- ment dans les cas où les troubles de la motilité ont u
éflexe cutané plantaire normal n'a pas nécessaire- 164 SÉMIOLOGIE ment disparu, que sa manifestation est simplement entr
des phénomènes subjectifs, dont l'appréciation se fonde principale- ment sur les renseignements fournis par le sujet en ob
, qui, ainsi que l'un de nous vient de le montrer, exagère notable- ment ces réflexes. Voici une malade atteinte d'une p
tient sans doute à la grande quantité de lumière utilisée générale- ment dans cette exploration. Quoi qu'il en soit, il s'
nt ordinairement plus vifs de ce côté ; on crée ainsi artificielle- ment une inégalité pupillaire plus ou moins prononcée,
opie ; la vessie fonctionne bien ; le signe de Romberg fait totale- ment défaut; il n'y a jamais eu de douleurs. (1) MM.
ues. Mais elle a eu une grossesse qui s'est terminée par un avorte- ment ; de plus, elle a depuis l'enfance une déformatio
ons du système nerveux d'origine syphilitique, elle sera naturelle- ment d'autant plus efficace que ces lésions sont à leu
mouvements de pronation et de supidation. ils se comportent exacte- ment de la même manière que le sujet précédent. Cett
ou gauche) au bout de son nez. Tandis qu'un sujet sain arrive aisé- ment , quelle que soit la vitesse du mouvement, à appli
ntales partant d'un point quelconque, mais devant s'arrêter exacte- ment à la verticale : la main franchit la limite fixée
est seulement après l'avoir atteint qu'il dévie. Répétant un mouve- ment lent, il arrive plus ou moins à se corriger et à
imprime presque dès le début une fausse orientation, que le mouve- ment soit rapide ou lent. Dans ce dernier cas, il est
et qui, étant donné la netteté des troubles, se prêtait favorable- ment à l'étude des phénomènes dans leur forme type.
our que le malade puisse avancer, il faut donc que les aides impri- ment à la partie supérieure de son tronc une légère im
n, et les talons s'élèvent notablement au-dessus du sol, contraire- ment à ce que l'on observe chez un sujet normal et vig
cuisse se fléchit sur le bassin et la jambe ne s'étend que légère- ment sur la cuisse, puis l'extension de la jambe devie
les malades un pareil degré de développement; elle peut être nette- ment caractérisée ou fruste. : En décrivant en 1899 l'
ommence seulement ou ne devient très apparent que lorsque le mouve- ment précédent est terminé ; en un mot, la flexion de
t. D'autres, au contraire, estiment qu'elle se distingue véritable- ment de l'ataxie tabétique, mais ils n'indiquent pas d
qui auraient été précieux ne nous renseignent que fort imparfaite- ment . Il est à désirer qu'à l'avenir les description
désirer qu'à l'avenir les descriptions cliniques, et particulière- ment en ce qui concerne ladite ataxie cérébelleuse, so
ativement correcte et l'occlusion des yeux n'accentue pas sensible- ment le trouble. Si donc l'on y regarde de près, le di
ces faits semblent découler des conséquences que nous avons égale- ment fait ressortir et que nous croyons à propos de ra
e mouvement de retour est faible et fait parfois défaut, contraire- ment à ce qu'on observe quand le pôle positif est plac
uand le galvanomètre est au o° le corps peut même se porter légère- ment et pour peu de temps en sens inverse. Sur un co
mort, les muscles ou tout au moins certains muscles, particulière- ment ceux de la face, avant de perdre leur contractili
it est la conséquence de la lenteur des secousses. On conçoit aisé- ment que la réalisation du tétanos faradique, conséque
e du courant de la batterie 2, nous avons une contraction sensible- ment plus forte si le circuit de la batterie 1 est fer
i, en juillet 1898, fit une chute de bicyclette et se heurta forte- ment la partie postérieure de la tête contre le sol. U
olent, mais son intelligence semble intacte, et il répond correcte- ment aux questions qu'on lui adresse. Il faut noter ce
t presque complète à gauche. A droite, il y a un grand affaiblisse- ment de la vue ; toutefois le malade est en mesure de
un prolongement dans la fosse nasale droite, et aussi un prolonge- ment dans l'orbite du côté droit. Exophtalmie droite
me papillaire a diminué à gauche. M. Chaillous constate très nette- ment deux taches blanches qui semblent dues à la prése
ce sujet, surtout au point de vue histologique, paraitra prochaine- ment dans l'Iconographie de la Salpêtrière. ' IV D
ut être sûr d'éviter. Lorsqu'on considère les échecs subis fréquem- ment par les neurologistes disposant d'opérateurs expe
ubilation intellectuelle, il est indiqué d'intervenir chirurgicale- ment sans tarder davantage. Admettons que l'état ophta
eille les mouvements spasmodiques ne disparaissant jamais complète- ment , même quand le malade est couché. Ils ne cèdent q
e que l'orteil est en extension sur le métatarse, et le chatouille- ment de la plante du pied accentue encore l'extension
st à l'hôpital, et que les phénomènes spasmodiques se sont notable- ment atténués. Il s'agit d'un hémispasme gauche préd
cause apparente, sans que la monotonie de sa vie ait été préalable- ment troublée par quelque incident saillant. Il est
nt tous les caractères du torticolis dit mental, qui s'est notable- ment atténué depuis lors. On constatait en outre, chez
r. Mais on observe à leur occasion autre chose encore : tout mouve- ment commandé ne s'exécute qu'en s'accompagnant d'un m
à plusieurs reprises, et actuellement le torticolis a très notable- ment diminué. Mais c'est là un argument qui est loin d
complète. Ils sont volumineux. Ils peuvent se contracter énergique- ment sous l'influence de la volonté et leur contractur
intenir dans cette position, il oppose de la résistance au mouve- ment passif que l'on s'efforce d'im- primer en sens
tre les oscillations de la tête déjà signalées, un léger tremble- ment des membres supérieurs, mais il y a des attitudes
, on constate que le côté gauche des lèvres fonctionne plus active- ment que le côté droit. Quand il ouvre la bouche, la d
rté en avant et le tronc étendu sur le bassin ne suit pas le mouve- ment du membre inférieur et reste en arrière (voir fig
ement affaiblie et la sensibilité au froid est à peu près complète- ment abolie. La sensibilité générale de la muqueuse ol
divers de ces associations, il était intéressant de savoir exacte- ment comment étaient disposées les lésions dans le cas
limentation artificielle, en attendant de le soumettre à un traite- ment hydrargyrique qui, en raison de ses antécédents,
à une attaque apoplectiforme ; elle peut se développer progressive- ment . L'hémiplégie constitue parfois dans la sclérose
les étendre, même avec des tractions énergiques ; on arrive simple- ment à atténuer un peu la flexion, mais ces tractions
eur droit a été atteint d'une certaine raideur et d'un affaiblisse- ment qui a augmenté progressivement. A cinquante-tro
es mouvements de latéralité à la jambe gauche; mais on peut facile- ment et sans provoquer de douleurs faire mouvoir les u
ns l'observation I, la contracture de la main droite était extrême- ment forte. Je crois donc pouvoir conclure que la fo
t repris et je dois dire que les améliorations coïncident générale- ment avec les reprises de la médication. Dans cette pé
te, depuis les premières inhalations jusqu'à la période de relâche- ment musculaire complet ; j'ai pu simplement obtenir,
entiels de la paraplégie spinale spastique font défaut du commence- ment jusqu'à la fin ; je rappelle à ce propos que dans
si que ces mêmes troubles pouvaient se voir, et non exceptionnelle- ment , dans certaines hémiplégies ou paraplégies organi
ui précède, il ressort qu'il y a intérêt à rechercher systématique- ment dans la clinique des maladies nerveuses le réflex
système nerveux l'hypothèse d'un tabes, d'intervenir chirurgicale- ment , alors même qu'il n'existe pas de signes suffisam
s bien caractérisé, associé à des troubles qui dépendent manifeste- ment de la syphilis. Voici les observations de ces deu
s avaient et de leur disparition rapide sous l'influence du traite- ment mixte, doivent être considérés comme liés à une l
dans l'atrophie tabétique sans lésion surajoutée semble excessive- ment rare. Cette rareté semble encore plus significati
Au cours d'une série de recherches que nous poursuivons actuelle- ment sur la sensibilité, il nous a été donné d'observe
ous avons alors recherché, chez deux autres malades atteints égale- ment de paraplégie avec anesthésie, s'il existait une
toire des onzièmes racines dorsales (D" n'est cependant pas absolu- ment épargné ; voir le schéma). L'anesthésie est presq
ps amenant un déplacement passif des membres inférieurs, un frotte- ment de leurs téguments sur le lit, qui a pour conséqu
uleurs, autrefois légères, deviennent très violentes, particulière- ment la nuit ; elles occupent non seulement l'hypochon
squ'à la partie inférieure du 4e segment cervical ; on peut facile- ment se rendre compte de cet aspect sur les photograph
. Les éléments cellulaires y sont presque absents; par place seule- ment on aperçoit un noyau allongé accolé à une fibre.
e une quantité considérable de vaisseaux aux parois altérées forte- ment épaisses : toutes ces lésions ont le caractère de
certains côtés de cette observation qui nous ont paru particulière- ment intéressants et sur lesquels nous tenons à insist
Et tout d'abord, pour établir un terme de comparaison, voyons com- ment se présente l'anesthésie dans les lésions transve
Fig. 55. Tumeur intra-duremé- rienne au niveau du 4 et 5e seg- ment dorsal. Fig. 56. Tumeur intra-duremé- rienne
n et l'évolution de l'affection conduisirent au diagnostic extrême- ment probable de compression de la moelle. Nous avons
ient à peu près les mêmes caractères et atteignaient approximative- ment le même niveau qu'à l'époque de notre premier exa
rquée. La contracture est telle qu'elle rend impossible tout mouve- ment de la jambe ; toutefois la malade arrive à la flé
nomènes du côté droit de ceux du côté gauche, on les étudie séparé- ment , on s'aperçoit sans peine qu'il n'y a pas là d'an
i Il y a dans cette observation quelques faits qui sont rigoureuse- ment établis et qui nous ont paru assez intéressants p
e inclinaison du tronc du côté opposé à la sciatique, sans soulève- ment du pied du côté malade; de là, une attitude toute
ours identique, et qu'un muscle dont le développement est générale- ment rapide se développe parfois un peu plus tardiveme
l'émettons que sous toutes réserves, car nous n'avons pas actuelle- ment , pour l'étayer, de faits précis.' En résumé, en
s électriquement, mais la réaction de dégénérescence fait complète- ment défaut. Les réflexes tendineux des biceps brach
manifeste principalement par des troubles primitifs et accessoire- ment par quelques troubles secondaires. Ce qui carac
édecine de Charcot-Bouchard-Brissaud, elles sont ignorées générale- ment des médecins qui ne se sont pas spécialisés dans
signer d'un mot nouveau et la définition de ce mot consiste simple- ment dans l'énonciation des attributs qui semblent app
un assemblage particulier de symptômes dont aucun ne serait absolu- ment caractéristique, et il ne serait possible de la d
pie ou polyopie monoculaire, et une dyschromatopsie qui, contraire- ment à celle qu'on observe dans le tabès et dans l'alc
nfin, la fièvre hystérique a été décrite depuis longtemps et récem- ment encore on en a relaté des cas qui ont été considé
ntre eux qui, jusque-là, n'avaient pas encore été soumis à des exa- mens oculaires. Nous n'avons jamais non plus observé c
'une exagération de ces réflexes. Cette opinion a été d'abord vive- ment combattue, mais petit à petit ses adversaires son
contact avec d'autres malades et dont la première crise, immédiate- ment consécutive à une émotion, a présenté les caractè
'une manière inconsciente ou subsconciente, il est vrai, car autre- ment il ne serait qu'un vulgaire simulateur ; il a bes
se comportent plutôt comme de simples spectateurs, capables seule- ment de contempler et d'analyser, parfois très finemen
Convaincu que les troubles pithiatiques vrais doivent céder rapide- ment à une psychothérapie habilement pratiquée, le méd
thologiques, nullement simulés, sans qu'ils s'associent nécessaire- ment à des signes objectifs. Soutenir une idée contrai
nécessite une étude approfondie, se trouvent reproduites spontané- ment par des sujets dépourvus de toute notion médicale
terez ordinairement à une opposition irréductible. Cherchez simple- ment , par suggestion, à faire adopter par une femme, e
pas, comme un syringomyélique, exposé il se brûler; un rétrécisse- ment du champ visuel, quelque prononcé fût-il, ne l'em
et jamais l'hémianesthésie en question n'a cessé, lors de nos exa- mens souvent répétés, d'être présente. Le rétrécisseme
qu'on ne trouve pas d'hémianesthésie hystérique, ni de rétrécisse- ment du champ visuel lorsqu'on explore l'état de la se
orielle partielle ou généralisée, anesthésie pharyngée, rétrécisse- ment concentrique du champ visuel ; et à ces stigmates
lieraient de nouveau si les conditions favorables à leur développe- ment se reproduisaient. La guerre a-t-elle réalisé d
he, sont' particulière- Babinski. 3a 53o . HYSTÉRIE-PITHIATISME ment intéressantes pour qui veut apprécier le rôle de
echerchons maintenant par quel mécanisme les traumatismes et notam- ment les traumatismes de guerre peuvent déterminer des
stable en tout cas qu'à l'heure actuelle ces stigmates sont infini- ment plus rares qu'autrefois, car les médecins, plus a
nification clinique convient-il de leur attribuer ? Ils ont exacte- ment le même sens et la même valeur que tous les autre
nce d'une écume sanguinolente aux lèvres, émission d'urine, abatte- ment consécutif, tout en étant des éléments précieux d
t les anesthésies du type périphérique que l'on observe si fréquem- ment à l'heure actuelle. Cette dernière disposition ne
ns l'analyse dans la Revue neurologique, ont établi la nature pure- ment névropathique d'un nombre important de paraplégie
uvent encore des troubles moteurs simulant plus ou moins grossière- ment des paralysies du plexus brachial ou des paralysi
nt plus fréquentes et plus accentuées que la fatigue du malade aug- mentait sous l'influence des exercices auxquels il était
ervation de G. Ballet, la contracture s'est développée consécutive- ment à une opération ayant porté sur le premier métaca
s le domaine des troubles oculaires hystériques, qui sont relative- ment rares, on a constaté aussi l'efficacité remarquab
massage et l'électricité peuvent aggraver, qui ne cèdent que lente- ment et partiellement à la suite de manoeuvres très do
Examinant de nouveau les malades dont il a été question précédem- ment et chez lesquels l'observation pendant la narcose
ne est le plus commun et le plus net, toutefois on l'observe égale- ment dans les muscles de la jambe, dans ceux de l'avan
vec flexion de la première phalange (adducteur) combiné à un mouve- ment de flexion des 4e et 5e doigts au niveau de la pr
ade pend et oscille comme un corps inerte, elle se déplace passive- ment en tous sens, semble obéir uniquement aux lois de
tions fibreuses sont le plus marquées. Elles se développent rapide- ment et expliquent pour une part la limitation et la g
reconnaître qu'il y a association et, celle-ci étant établie, com- ment déterminer la part qui revient à chacun des éléme
a contre-suggestion ; il n'est susceptible de s'atténuer que lente- ment , progressivement, sous l'influence de la physioth
t Vincent, tous ces troubles sont attaqués avec énergie. Immédiate- ment les béquilles sont supprimées, le genou est amené
ntinuent à augmenter en durée alors qu'elles diminuent progressive- ment d'étendue. Ainsi donc, dans les faits cliniques
longé dans un Centre neurologique et de mettre en oeuvre simultané- ment tous les moyens psychothérapiques et physiothérap
et que l'arrêt dans l'évolution de l'atrophie papillaire a simple- ment coïncidé avec la mise en oeuvre du traitement mer
tisme, troubles de compression vraisemblablement dus à un épanche- ment intra-crânien. Dans les cinq observations suivant
hode de traitement curatif des névrites optiques dues à un épanche- ment intra-crânien(épanchement post-traumatique et d'o
der si la ponction lombaire ne serait pas capable d'agir favorable- ment sur des troubles ayant des lésions labyrinthiques
as. Chez une malade (tumeur à la région dorsale) opérée ultérieure- ment , le traitement a été suivi d'une atténuation très
iothérapie, les troubles moteurs et sensitifs se sont très notable- ment atténués ; plus tard, la radiothérapie « profonde
bdominale en provoquant une sensation extrêmement pénible de serre- ment comme par une ceinture de fer. En même temps, app
es constatations faites par moi et Jarkowski, dans une série d'exa- mens auxquels la malade fut soumise pendant une quinza
fet ? C'est là que gît tout l'intérêt de cette observation, simple- ment curieuse dans la première hypothèse, d'une grande
nt à ce qu'à gauche, ou les troubles de motilité ont été exclusive- ment localisés pendant les deux premiers mois de la ma
les huit séances, la scoliose avait disparu ; la malade, complète- ment guérie, reprenait ses occupations. Il serait di
de douleurs dans les reins, dans les deux jambes et plus spéciale- ment dans le membre inférieur gauche. Les troubles de
41 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
Voici cette pauvre femme devant vous (PI. I). Vous êtes immédiate- ment frappés par sa maigreur, presque squelettique, pa
lit. Rien de semblable aux membres inférieurs ; parfois le tremble- ment est manifeste au maxillaire, lorsque la malade ou
sible d'étendre complètement ses avant-bras, ses jambes ; le mouve- ment est aussitôt arrêté par une véritable rétraction
ies sous la peau ; la rigidité est, dans ces muscles, particulière- ment marquée; aussi éprouve-t-il une grande gêne pour
blement syphilitique, étant donné que le malade présente, actuelle- ment , le signe d'Argyll-Robertson. Ni le malade, ni au
erre qu'il essaie de porter sa bouche; il peut l'arrêter momentané- ment en raidissant son bras ou en lui imprimant une vi
bituelle, il a remarqué, il y a deux ans environ, un léger tremble- ment de la main gauche, survenu sans cause apparente,
r, elles ont bien été constatées par M. Ballet (3) qui, accessoire- ment signale des lésions des prolongements cellulaires
e alterazione della cellula nervosa, etc. Rivista di pathol nerv. e ment ., 1899, t. III. (6) DANA, Paralysis agitans and
n état pathologique, sa densité et son épaisseur varient non seule- ment suivant les niveaux, mais encore au même niveau s
mbaire. L'arrivée de la première racine saine modifie considérable- ment l'aspect; cette racine forme un triangle rectangl
l, on voit qu'il est moins fourni de fibres ; cette lésion extrême- ment légère et diffuse ne gêne en rien pour l'étude de
Dorsale. Le bord interne de la bandelette externe devient extrême- ment net et est constitué par une ligne de sclérose do
urrait se demander si la dégénérescence tertiaire fait bien réelle- ment défaut, d'une façon absolue dans mon cas, et s'il
elles qu'elles apparaissent dans l'observation I, après l'effondre- ment des fibres radiculaires, je dois indiquer pour qu
acines supérieures, elles devraient aller en diminuant progressive- ment de densité à mesure que l'on descend. Or, il n'en
s fibres, provenant des racines supérieures et destinées au renfle- ment lombo-sacré, n'ont pas leur analogue dans les rac
u niveau des racines saines, la zone de Lissauer ne diffère absolu- ment pas de ce qu'elle est dans une moelle normale.
es à confondre avec elles ; la confusion se produit presque fatale- ment en certains points, d'où l'on voit ces fibres, qu
ortion externe comme de la portion interne sont encore remarquable- ment nombreuses, si bien que ces zones qui à l'état no
l est probable qu'il faut ranger parmi elles toutes celles qui for- ment une traînée de plus en plus dense au centre de ch
ui sont les unes grosses, les autres fines. Les fibres grosses for- ment des fascicules qui contournent la substance gélat
niveau de la région dorsale inférieure, qui reproduit très exacte- ment la disposition démon observation II et l'on retro
périphérie de la moelle. Les cordons latéraux sont presqne entière- ment respectés ; on constate cependant en dehors de la
s deux angles latéraux de ce triangle sont constitués par l'effile- ment des cordons latéraux. Le cordon postérieur est sc
es deux observations qui précèdent ne me paraissent donc pas nette- ment systématiques. Je crois qu'elles seraient mieux à
et la répartition pseudo-systématique de leurs lésions est un argu- ment en faveur des théories qui n'admettent pas dans l
segments du membre au moyen de tambours manipulateurs convenable- ment disposés. Mais on constate aisément qu'aucun de c
ter chez des paralytiques hypotoniques, aucun allongement ou seule- ment un allongement de quelques millimètres. LA SYPH
arines est verticale, et la partie moyenne du dos du nez est nette- ment affaissée. L'autre planche, la 44e, portant en
t abdominale et diaphragmatique; l'obliquité des côtes n'est nulle- ment modifiée. Les veines superficielles du thorax s
la sensation de pénétrer dans le ligament; puis, presque immédiate- ment , on butte contre une saillie osseuse : la tentati
ent où les douleurs se sont aggravées, et qu'elle a disparu rapide- ment en même temps que celles-ci, un mois après la 2e
flexes rotuliens sont très nettement exagérés des deux côtés égale- ment ; pas de trépidation de la rotule ou du pied. B
lésion en foyer. Cette analogie clinique totale et non plus seule- ment la ressemblance des troubles mentaux est à rappro
e cérébelleux supérieur après lésion du cervelet : cet entrecroise- ment serait total et se ferait au-dessous des T. Q. P.
t que les parties inférieures du névraxe subissaient un retentisse- ment dégénératif. UN CAS DE MALADIE DE FR] EDREICH
n certain nombre dé cylindraxes, mais la plupart sont considérable- ment réduits de volume. Sur leur extrémité interne, ve
sceau cérébelleux latéral. Enfin les cornes postérieures sont nette ment altérées, elles sont comme recoquevillées sur ell
vent, de même que l'atrophie des zones postérieures. On voit égale- ment il ce niveau une légère sclérose des colonnes de
e prolongées dans le temps et évoluant dans des proportions absolu- ment exagérées par comparaison avec leurs moments effi
ison où il est injustement renfermé » ; un hébéphénique lit couram- ment le journal, apprend des faits nouveaux ; un paran
Kahlbaum (1) a appelé héboidophréniques et qui ont été tout récem- ment bien illustrées par Diem (2) sous le nom de forme
dans seize Asiles d'Italie. ERGOTHÉRAPIE ET PSYCHOTHÉRAPIE 155 ment , le chiffre p1'ocentuel des malades travailleurs
e, selon M. Berteaux, la modification étonnante survenue à ce mo- - ment dans le mode de décoration des manuscrits. Avant
qu'il se vante encore, lorsqu'il affirme qu'il est devenu complète- ment sobre depuis cette époque. Il a fait tous les m
e pas avoir été retardé. Il n'a été à l'école que très irrégulière- ment et seulement jusqu'à l'âge de sept ans, et cepend
ts furent traités par le corps thyroïde. On vit diminuer parallèle- ment les symptômes de myxoedème et de diabète. De l'in
à la face l'abaissement de la commissure labiale droite ; l'efface- ment du'pli nasogénien droit. La malade ne peut fermer
té à la piqûre est diminuée à droite, mais la sensibilité au pince- ment est conservée. La malade est aphasique. Pour ré
illaires, sur les cellules nobles des organes une action véritable- ment trophique. Les troubles de l'influx nerveux reten
En résumé, pour nous, l'oedème du membre hémiplégie est fréquem- ment d'origine mixte; l'hémiplégie, incapable par elle
travail fondamental : « Le pseudo-eedéme catatonique , paru récem- ment dans l'Iconographie de la Salpêtrière. J'ai donné
contraire., une véritable instabilité motrice ; le besoin de mouve- ment était tellement impérieux qu'il a abandonné l'alê
ies au moindre effort intellectuel; migraines fréquentes. Zéglie- ^ ment léger, sans embarras de la parole. Très nerveux,
et les capsules cellulaires, les noyaux sont bien colorés, le pig- ment est généralement coloré intensivement en noir, en
su fibreux ou hyalin. La paroi des vaisseaux est elle-même extrême- ment épaissie et hyaline. La capsule ganglionnaire n'e
dans les deux ganglions lombaires, quelques cellules ont complète- ment disparu et on ne trouve à leur place que des débr
aisseaux sont normaux. La capsule ganglionnaire n'est pas sensible- ment augmentée. Le ganglion dorsal présente les même
iphérique du ganglion. Malgré cela, quelques cellules sont extrême- ment petites, quelques capsules sont épaissies, fibreu
est qui le sont modérément, d'autres qui le sont beaucoup : le pig- ment n'a pas toujours, d'après lui,le même aspect ; il
njonctif. Dinkler (2) n'a constaté dans un cas que de l'épaississe- ment et de la prolifération du tissu interstitiel, mai
contrôlé plus d'une fois le fait, sur lequel Kosler a encore récem- ment insisté : il est en effet assez rare d'examiner u
as la même signification, la racine postérieure serait un prolonge- ment cylindraxile, le nerf périphérique un prolongemen
oins grand nombre de cylindres-axes, même dans des fibres complète- ment démyélinisées. Les méthodes que nous avons empl
cervical de la moelle. - On voit un gros foyer hémorrhagique nette- ment limité dans la moitié antérieure du cordon postér
e Sagher (Liège, 1896). LA PROCESSION DANSANTE D'ECHTERNACH 249 ment , et doucement s'approcher d'elle. Avant même qu'e
emblables capotes informes et lugubres viennent s'apesantir lourde- ment sur les coiffes de-dentelle précieuse, sur les ri
n. La précoce disparition de Gilles de la Tourette a douloureuse- ment ému tous ceux qui ont collaboré avec lui au succè
bulbaire sans lésions anatomiques », est un état morbide, clinique- ment défini, dont nous sommes redevables aux recherche
raita par la galvanisation locale, et le malaise disparut complète- ment en six jours. Les maux de tête continuèrent à se
ervés par le facial, des deux côtés, ne fonctionnent pas normale- ment : les orbiculaires palpébraux ne ferment pas les
t nasonnante et la déglutition cause une grande fatigue. Un traite- ment de pulvérisations et d'attouchements pharyngés ag
caractère particulier de l'asthénie, provoquée ou aggravée rapide- ment par l'exercice et améliorée par le repos, est d'u
e pas de paralysie de la langue, mais son côté droit est manifeste- ment atrophié. Le sterno-cléido-mastoïdien et le trapè
tement par la liqueur Van Swieten, qui a fait disparaître complète- ment les céphalées, nous fait incliner vers le diagnos
e façon à lui donner une étendue suffisante pour qu'après redresse- ment forcé nous puissions amener le membre dans la rec
hrose, l'impotence musculaire n'ont que momentanément et partielle- ment compromis le succès de l'intervention. HOSPICE
moelle, du bulbe, de la protubérance et du cervelet. Un épaisisse- ment des méninges spinales et du cervelet. Les racines
olaires ou ganglionnaires, cellules nerveuses d'où partent directe- ment les fibres optiques. Cette couche est très peu ép
s fibres optiques. Cette couche est très peu épaisse, formée seule- ment de quelques rangées de cellules : c'est ainsi que
eaux de la choroïde paraissent épaissis, et certains sont complète- ment obturés. En somme, dans la rétine, nous avons t
des fibres à myéline dans le nerf oplique. Nous avons trouvé égale- ment souvent la diminution marquée du nombre des neuro
mentale ayant graduellement progressé, la malade présente actuelle- ment un degré profond de débilité mentale consécutive.
Dans certains cas elle est précédée d'une sensation de chatouille- ment dans la région de la nuque et entre les épaules.
s tuberculeuses dis- séminées. L'encéphale présente macroscopique ment déjà des lésions très accentuées d'encéphalite
ts, présentât des lésions prédominantes ; de même, dans chaque seg- ment il n'existait pas de noyau dont les cellules fuss
parfaitement reconnaissables comme si elles en étaient le prolonge- ment . Dans la zone de transition entre les bandes fibr
lonnés le long des vaisseaux capillaires et en reproduisent exacte- ment le parcours et les anastomoses ; parfois, au cont
ifficulté, l'existence de la calcification limitée presque constam- ment à l'adventice et l'intégrité plus ou moins absolu
est représenté de l'état du tis.su nerveux qui se trouve immédiate- ment autour des vaisseaux calcifiés. En effet, si épai
ent. Les rares constatations qui ont été faites ne répondent nulle- ment toutes à ces remarques. Leber (1) a examiné his
ence débute dans les nerfs optiques soit isolément, soit simultané- ment avec.le cliiasma et le tractus optique. Elle n'a
ts, dans l'amaurose tabétique l'arachnoïde épaissie forme générale- ment un voile blanchâtre, opaque, à surface un peu cha
vaisseaux qui traversent l'espace intervaginal et de ceux qui for- ment le réseau pie-mérien. Non seulement elles remplis
s, on ne voit plus qu'une couche à peu près uniforme de tissu fine- ment granuleux, parfois finement vacuolaire, parsemée
es ; à ce niveau les travées intervasculaires ont presque complète- ment disparu et les nodules vasculaires sont complètem
as seulement relative, et le tissu conjonctif ne revient pas seule- ment sur lui-même par suite de la disparition des fibr
s rencontre-t-on que dans le nerf optique et dans le tabes ? Nulle- ment , ce nous semble ; ces lésions sont celles de tout
. Quelques rares fibres nerveuses éparses. Lymphocytes, épaississe- ment de la gaine piale. PLANCHE LI g, h, i) Divers
urés ou ne contiennent plus qu'un ou deux globules rouges, ils for- ment des nodules isolés. Tout le centre au contraire a
ace. La véritable lésion syphilitique des fins vaisseux est unique- ment la sclérose périvasculaire et endo-vasculaire : e
t une forme spéciale d'amaurose syphilitique curable par le traite- ment spécifique ; nous n'avons pas observé de cas de c
l est bien probable que dans ce cas la lésion avait évolué entière- ment dans une partie plus périphérique du nerf et que
lé et comme détaché de la lésion de la corne. Les coupes du 2e seg- ment dorsal montrent la lésion atteignant et pénétrant
ent vasculaire des formations. C'est ainsi qu'au niveau du 106 seg- ment dorsal on voit la bande conjonctive qui parcourt
ais on peut reconnaître qu'en tous cas ces deux feuillets n'en for- ment qu'un seul continu, mais replié sur lui-même et q
-être n'y a-t-il là qu'une des causes de formation et d'agrandisse- ment des cavités. Il se peut encore que la zone qui en
oduction l'accumulation de lymphe pouvant résulter de l'épaississe- ment de la gaîne lymphatique et de l'obstacle à sa cir
la base l'une des cornes postérieures se poursuit par un prolonge- ment allongé et étroit dans toute la longueur de cette
s, au contraire, le canal central est sur toute la hauteur entière- ment indépendant des lésions, et si à la région cervic
des foyers de nécrose plus étendus et autre- 392 THOMAS ET HAUSER ment disposés, et nous les rapportions plutôt à un. oe
tions (diverticules, dédoublements, etc.) ou d'arrêts de développe- ment (Hoffmann) du canal central l'origine du processu
énéré d'aspect hyalin. Bien que nous ne puissions admettre précisé- ment ce mécanisme pathogénique, il n'en est pas moins
ot que le rôle pathologique du vaisseau ne puisse être conçu autre- ment que dans les troubles de sa fonction circulatoire
n regardant de plus près sa figure on distingue aisément un empâte- ment de la joue, du menton et du cou : les tissus sont
rès souvent le trouble physique traduit du même coup un fonctionne- ment défectueux des appareils moteurs et intellectuels
u moment où le malade commence à parler, vous constatez un tremble- ment fibrillaire de la face et de la langue très accus
l'aphasie motrice et l'aphasie sensorielle. Examinons d'abord com- ment les choses se passent pour l'aphasie motrice. A
ngage analogue, à la suite d'un petit ictus, d'un léger étourdisse- ment : L'hémorrhagie cérébrale en revanche ne donne
on de troubles calligraphiques sont la conséquence d'un fonctionne- ment défectueux du système musculaire. Lorsque nous av
rtout si vous comparez le spécimen actuel à cet autre, écrit égale- ment par lui avant le début de son affection. - Vous
tait atteint d'aphasie transitoire avec agraphie, et sur ces spéci- mens vous pouvez constater un oubli de la mémoire grap
nous publierons ici, sans commentaires, la lettre suivante d'un dé- ment précoce dont l'état est depuis très longtemps sta
PSIE.- 1.-MOELLE ET BULBE.- On remarque que la moelle est sensible- ment plus aplatie qu'une moelle normale, surtout dans
uelques fibres, variqueuses et très mal colorées. En arrière seule- ment le rebord de ce ramollissement tranche nettement
ns étendue, mais on constate de plus une grosse lésion, incomplète- ment séparée de la précédente, qui occupe toute la par
ntérieures sont encore un peu effilées ; les cellules out sensible- ment le même état et le même nombre que sur la coupe p
e-2e lombaire (Planche L1X bis, F). Volume normal. Léger aplatisse- ment transversal des cornes antérieures. Cellules très
e point de départ des lésions en foyers nous a paru être manifeste- ment dans les vaisseaux, nous n'en voulons pour démons
l est facile de se convaincre qu'il s'agit seulement d'un frémisse- ment musculaire allant jusqu'à la crampe. On sait d'ai
e grande difficulté à le laisser aller. De même s'il fléchit forte- ment les doigts dans la main, il ne peut les ouvrir qu
qu'il a commencé à s'apercevoir qu'il ne pouvait se relever facile- ment quand il avait travaillé dans la mine : il était
q aus, un nouveau phénomène est apparu et persiste encore actuelle- ment . Lorsque le malade descend du lit, lé poids du co
aux. A peine est-elle en voie de cicatrisation que d'autres se for- ment , de la même manière, de l'autre côté du ventre, s
ur la face externe de la même jambe : tache livide d'abord, légère- ment soulevée, puis d'aspect cyanotique ; trois jours
décembre. Même état de stupeur complète avec négativisme. Il s'ali- mente très difficilement et urine au lit. 24. Déprimé
é en avant : vu de profil, son corps figure un Z. Il tient constam- ment une main près de sa bouche, l'autre dans sa poche
) l'acte de fumer la pipe (cheval qui tient sans faire aucun mouve- ment quelques brins de fourrage entre les lèvres), act
oolique ou aromatique (4), mais ils relèvent parfois, et exclusive- ment , de psychoses ou de névroses et, il ce titre, con
'isolenl difficilement d'une colonne, d'autres fléchissent brusque- ment sur leurs membres sous le coup d'une émotion vive
rmittente du caractère. On cite comme exemple Gantelet (par Tourna- mente et Garenne), superbe cheval qui, après avoir galo
Air, avait aussi un caractère diabolique qui influa désavantageuse- ment sur toute sa carrière de course. On retrouve plus
stable, (antaisiste,chez tous lesdesceudants de Pa7,tleil,célèbrej ti ment de pur sang (Partisan, Perle, Plutus, Mercédès,
mobile sans jamais pouvoir se corriger, tel autre s'arrête brusque- ment et constamment devant un objet blanc, un troisièm
où les églises sont nues, où l'architecture n'a laissé aucun docu- ment , dont la philosophie et les sciences, en dehors d
le vêtement de dessous, qui transparaît par une déchirure du vête- ment susjacent, ce qui semble indiquer, de toutes faço
42 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en général plus accentués; de ce côté, les sensations sont longue- ment interprétées et le malade répond avec beaucoup pl
érées. Au-dessous du point maximum de compression, la moelle aug- mente de volume, mais surtout par sa partie antérieure.
dorsale), contiennent des cellules normales et en nombre sensible- ment normal. On voit des cellules rondes à la base des
para- lysés ». Peut-être M. Van Gehuchten laisse-t-il volontaire- ment de côté les compressions légères dans lesquelles
axe nerveux ; mais la moelle elle-même n'est pas faite exclusive- ment de substance grise et de faisceaux blancs; chaque
ÉRAPEUTIQUE. De l'extension et de son application dans le traite- ment des maladies, nerveuses; Par le D' P. KOULSDJY.
lon- gues courses sans avoir besoin d'appui ' ». Telle est égale- ment l'opinion du professeur Erb, d'après qui, « la su
rôle prépondérant. Le professeur Bernheim, de Nancy, est absolu- ment contraire à la suspension, dont il compare l'acti
aison, nous ont montré que l'action de la suspension n'est nulle- ment fictive et que, si elle agit par la suggestion, c
5 à 40 p. 1001. L'autorité de Charcot et le pourcentage relative- ment élevé des améliorations attirèrent l'attention du
onservée comme moyen thérapeutique par excellence dans le traite- ment du tabes à longue évolution. Parmi les autres par
us le nom de pendaison. C'est l'appareil de Sayre modifié légère- ment par M. Chazal sous les indications du professeur
pièce mentonnière. Lorsqu'elles sont trop courtes, elles compri- ment le plexus brachial, tirent les épaules très haut
prend les arbres pour des pyramides d'hommes. Il s'éteint douce- ment le 12 février, vingt jours après son entrée à l'h
et des membres supérieurs, et qui fut très améliorée par le traite- ment thyroïdien et l'iodure de potassium. G. D. VII.
Il s'agit d'une femme de trente ans qui, à la suite d'un allaite- ment l'ayant beaucoup affaiblie, commença à éprouver d
- dineux étaient différemment modifiés : l'achilléen était forte- ment diminué à gauche et aboli à droite, tandis que le
e tout jeune âge aux membres inférieurs et s'étendant successive- ment au thorax et aux membres supérieurs, avec réactio
oint de \ue clinique « non seule- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 51 ment par la localisation alterne des deux syndromes :
dissociés quant au moment de leur apparition, mais unis clinique- ment par des symptômes oculaires communs et qui peuven
V11. Le rôle de la syphilis dans l'étiologie du tabes et le traite- ment antisyphilitique de celui-ci; pari. A. ANPHIMOW.
les mêmes conditions, il ressentit à la gorge une espèce de gratte- ment , de piqûre de mouche, accompagnée de soulèvement
elle rentre alors immédiatement. Parfois cela va jusqu'au vomisse- ment . Rentrée chez elle, elle se calme, tout cesse.
901). Observation clinique d'nn syndrome bulbaire apparu brusque- ment chez une jeune fille de cinq ans à la suite d'une
non de développement parfait.Les termes constitution et tempéra- ment désignent la synthèse des phénomènes psychophysiq
tempérament et le caractère ; tantôt des névropathes à développe- ment anormal. Entre les deux, des individus à tares pr
Les illusions ne sont pas un signe plus ferme. Elles sont seule- ment une marque de défectuosité mentale ; mais de foli
hropologie criminelle; par A. Zuccarelli. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, juin 1901.) L'anthropologie crimi
esquelles il est resté trois ans confiné au lit; à partir de ce mo- ment on a pu le lever; mais les mouvements de presque
d'une altération des centres nerveux qui président au développe- ment et à la nutrition du tissu cellulaire. La réparti
des chirurgiens auxquels est due cette série la rend particulière- ment intéressante. Sur ces quinzes observations, onz
parfois fort longtemps, jusqu'à des années. Elle s'est bien nette- ment limitée au territoire du nerf ou des nerfs élongé
droits à la retraite et nommé directeur honoraire de cet Etablisse- ment ; M. DRUON, directeur de l'inststution nationale
emples typiques de paralysies hystériques à distribution franche- ment segmentaire, portant à la fois sur la sensibilité
3). Les sensibilités à la température et au contact sont normale- ment conservées, ainsi que le sens stéréognostique. La
pables d'imprimer à leurs doigts et à leur main le moindre mouve- ment volontaire. · Dans la majorité des cas (cinq fo
a été trouvé quatre fois concentriquement rétréci. Le rétrécisse- ment portait à peu près également sur les deux yeux; i
ÉRAPEUTIQUE. De l'extension et de son application dans le traite- ment des maladies nerveuses' ; Par le D' Il. KOUINUJ
ement. , L'amélioration des douleurs fulgurantes se produit rare- ment d'une façon brusque : elles deviennent d'abord mo
cris et empêchèrent de dormir. Dernièrement, à la suite du traite- ment indiqué plus bas, elles sont devenues plus atténu
conserve d'une façon discontinue une raideur et un engourdisse-^ ment du petit doigt gauche et des fourmillements le lo
réapparaissent régulièrement pendant les époques ; parfois égale- ment entre les menstruations. - Le 17 septembre 1901
ion, que dans certains cas la suspension, appliquée systématique- ment , agit utilement sur des lésions atrophiques et d'
sion 1. Desnos, Mendel, Eulenbourg et Vocothynski notèrent égale- ment l'amélioration des troubles oculaires. Ainsi, nou
- raissaient à vue d'oeil. Nous fimes à cette malade au commence- ment l'extension six fois par semaine ; [ensuite nous
ives dans le dos. Elle marchait sans hésitation et voyait parfaite- ment bien. ' Nous avons déjà dit plus haut, qu'au co
détruit la totalité de cette substance; elle avait épargné notam- ment invariablement les zones des cornes antérieures e
ntes : 1° On réussit extrêmement rarement, en pinçant temporaire- ment l'aorte abdominale du chien, à produire une destr
. trième segment dorsal. Cet amas dessine un bouton transversale- ment et une sphère par rapport à la direction longitud
u suc gastrique qui se produit chez les animaux à la vue des ali- mentes . Si l'on enlève cette zone des deux côtés. (exp.
festonnés colorés en bleu pâle. Un ou deux nucléoles, vigoureuse- ment colorés piquent le corps nucléaire; celui-ci appa
'atrophie parenchymateuse primitive du cervelet existe-t-elle vrai- ment ? Ils se demandent, en effet, pourquoi l'atrophie
topographie de quelques centres sensitifs n'a pas été rigoureuse- ment déterminée, nous ne connaissons pas du tout la co
.) Expériences de forcipressure de l'aorte abdominale, immédiate- ment au-dessous de l'origine des artères rénales, chez
pour monter au cerveau. Ces fibres ne sauraient encore être sûre- ment distinguées de celles qui proviennent des cellule
, siège des mouvements perfectionnés de la parole, est immédiate- ment en avant du centre des mouvements communs des lèv
qui utilise les produits des travaux de tous les membres du parle- ment , au bénéfice de la personnalité. P. KKRAVAL. No
s cordons postérieurs très caractérisés. En somme un long traite- ment agit, on peut considérer le tabès comme moins gra
èces dans un genre unique dénommé névrose trémulante. Ce tremble- ment , dit sénile, parait devoir être, comme ses deux c
t une paramnésie vraie consécutive à un commencement de dédouble- ment ; cette paramnésie vraie doit être fréquente chez
ry n'est qu'une hystérique, comme Marie Martel, jouant admirable- ment la comédie, buvant et mangeant très bien la nuit,
l'Union américaine s'organise à New-York. Il s'agit tout simple- ment d'une société d'ataxiques qui vont souscrire un f
hanger encore aujourd'hui, mais pour signaler, à titre de complé- ment , les travaux qui ont suivi notre étude et les pri
d'an- goisse, et les phénomènes neuro-vasculaires ne sont nulle- ment la source de ces changements intellectuels émotif
le après ce bouillonnement intérieur. Je suis vacciné pour un mo- ment . Je sens (idée ? sensation ? probablement les deu
quinze jours. Je sors, je me promène, la rougeur se produit rare- ment , l'idée, la crainte de rougir est absente de ma p
il il que tandis que les altérations en plus ou dermographie aug- mentent de fréquence de vingt à quarante ans pour décroît
ici au nombre de 29. Il me semble qu'il y a encore là un argu- ment en faveur de la nature névropathique des phéno-
dement la restauration de la sensibilité récupérée très \ite égale- ment pour les lèvres, les joues, les mâchoires, la Jan
s. A ce moment, je réveille Louis : il est plongé dans un étonne- ment considérable, regarde tout autour de lui, prétend
aliénés criminels; par le D1' Lentz. (bill. de la S'oc. de ' Jléd. ment , de Be1gique, mars 1901.) Etude statistique et
ducation des anormaux de l'intelligence. (l3ull. de la Soc. de Méd. ment , de Belgique, mars 1901.) Cet article n'est qu'
Extrait d'un traité des maladies mentales de l'auteur, actuelle- ment sous presse. Idées générales sur les deux grands
ALE. d'une même maladie; il en sera de même sans doute prochaine- ment du tabes dorsal et de la démence paralytique (sym
ions, qui montrent la paralysie générale s'insinuant imperceptible- ment , et ne devenant manifeste que parles désordres ps
destinés à exciter à paepostera ses désirs qu'il satisfait normale- ment avec ses femmes. Par contre, il est des batcha
élires par introspection somatique, délires par introspection pure- ment mentais, délires d'exlrospection (analyse du mond
s par introspection somatique, délires par introspection pure- ment mentais , délires d'exlrospection (analyse du monde extéri
e et sa conception du Surhomme. Sa philosophie paraît être seule- ment l'expression de son tempérament morbide. L'auteur
M. Marie n'est pas convaincu que le cas fruste soit bien réelle- ment un tabes. Il a observé à Bicêtre trois malades qu
osseuses vertébrales, ainsi que permettent de l'affirmer non seule- ment ses caractères propres, mais encore le long espac
à la vulgarisation ce ^que l'on sait sur une morale basée unique- ment sur la connaissance des faits psychologiques. Dan
te vers la démence. Pas de paralysies des bras. Nystagmus légère- ment marqué. Incontinence d'urine. Pas de troubles ocu
qui appartient, en réalité, à l'élément organique, c'est unique- ment par un besoin de logique. D'après la théorie, pou
ence des attitudes et des habitudes organiques sur le développe-' ment et la durée des émotions ; les gestes de la colèr
duire en l'absence ou avecunminimum d'émotion, ce n'estpas seule- ment au théâtre que cela se rencontre ! Dans d'autres
on met enjeu ; enfinla lutte de la conscience contre l'envahisse- ment de l'idée obsédante aggrave les effets de l'angoi
d'intéressant, je fus repris par ma timidité. C'est avec un senti- ment d'angoisse, que je parcourus pendant les premiers
aine n'est pas mariée, elle est très frêle et chétive, continuelle- ment souffrante et lorsque je la vis il y a deux ans e
ALE. celle d'une manie enfantine couvant sous la cendre, secrète- ment nourrie et entretenue d'une façon ininterrompue
l lui est impossible de manifester la vérité. Avec ses camarades il ment pour se donner de l'impor- tance ; il a tout vu
il a tout vu, tout fait, il renchérit sur tout; avec ses maîtres il ment encore pour se disculper d'une faute et pour se
amais, d'une surveillance rigoureuse, et nous constatons qu'A... ne ment pas cette fois. Il est en effet des choses qu'o
pré- senté de troubles mentaux, l'hérédité paternelle est forte- ment chargée, puisque nous relevons parmi les ascendan
o- logiques différentes et même physiologiquement ; plus fréquem- ment au cours d'hémorrhagies du tube digestif ou de co
de constater si le malade compte une semaine au minimum d'alite- ment , M. Kothe prescrit la b2-oinil)i ? ze de Wititern
, en plaçant les électrodes au même point, on obtient invariable- ment la formule inverse, AnSZ > KaSZ. Quant à la ré
une meilleure diffusion de ce dernier dans les parties immédiate- ment adjacentes.- Notre homme, qui s'était blessé à
ce de la fermeture énergique et volontaire des yeux est un mouve- ment associé de l'iris qui accompagne la contraction d
ndis que le patient essaie de fermer l'oeil lentement- et complète- ment (myosis à l'effort de l'orbiculaire) ; 4° ce dern
u- vent, par leur prédominance plus ou moins exclusive, au détri- ment des troubles sensoriels, constituer un syndrome c
sclérose acquise à un âge déjà avancé. Cette sclérose est inégale- ment répartie sur divers points des hémisphères, il s'
. .AI. Butzke fait remarquer que la paralysie générale est telle- ment rare dans les cas de la syphilis avérée, qu'on a
Dans les divers états vésaniques le cyto-diagnostic est constam- ment négatif : ce fait est en rapport avec le néant an
qu : correspond la formation de composés azotés anormaux extrême- ment toxiques quoique très voisins par leur constituti
observations données dans le mémoire nous recherchons l'abaisse- ment du taux de l'acide urique que l'auteur signale co
t chi1' ! l1'gicaux et des exercices orthophoniques dans le traite- ment de certains vices de prononciation, in-8° de 12 p
gauche ont disparu, pour faire place à deux petites taches faible- ment violacées. Hier, toute la journée, vertiges et bo
de l'avant-bras droit. Hier après-midi, la malade ressentit subite- ment deux ou trois légères secousses dans les bras ; p
e l'incision de la saignée du 17 (remarquée en enlevant le panse- ment qui recouvrait celle-ci). 26. La malade, qui s'
e pendant quelques secondes sur le ventre, avec les genoux forte- ment fléchis; elle recommence ensuite à se rouler par
t la coexsistence d'attaques épileptiques et de crises manifeste- ment hystériques. Comparons par exemple l'accès du 8
malade pouvait bêcher et piocher son jardin, il écrivait correcte^ ment de la main gauche. Il n'a aucun signe de dégénére
iques, non syphilitiques, mariés et vivant par conséquent séparé- ment , qui ont fait à huit années d'intervalle, l'un à
t de vue de la nature de cette lésion, M. Lannois admet un mouve- ment fluxionnaire brusque avec épanchement séreux, sér
que péniblement. Quelques troubles de la sensibilité, exclusive- ment limités au nerf musculo-cutané, montrent que lors
myotonique. L'excitabilité mécanique des muscles n'est pas nette- ment exagérée. Il s'agit d'un individu frêle chez lequ
au niveau de la bouche. Çà et là la face rougit, les yeux se fer- ment , les joues se gonflent et se contractent par sacc
indécis, détaché, les suivants sont corrects. Toujours, invariable- ment , cette gène a lieu'au début d'une séance, raremen
4° Vaisseaux : Endartérite oblitérante : Noter aussi un épaississe- ment et une disposilion tortueuse de la radiale et des
901.) Le paramyoclonus multiple (ou spasme convulsif, ou tremble- ment convulsif, ou spasme musculaire) est un spasme de
cinq et cinquante contractions par minute. La nature du tremble- ment , la variabilité de forme de la contraction renden
rdi- nairement mal des grandes altitudes, qui augmentent communé- ment leurs insomnies, peut-être par une augmentation d
u virus syphilitique, à la période exsudative, d'affecter spéciale- ment les parties latérales et antérieures^ de la moell
son suffisante d'admettre que l'épilepsie psychique pure, entière- ment et absolument indépendante de l'attaque caractéri
us variés. Depuis Beccaria et Bentham, on a soutenu que le châti- ment est efficace, - c'est-à-dire préservateur de la f
tilitaire ; et c'est pour empêcher que, dans la pratique, ce senti- ment d'adaptation de la peine à la faute soit faussé p
sa chute des lésions graves. Or, il vient d'être guéri, non seule- ment de ses blessures, mais encore de son idée fixe. L
\ sium. Une certaine amélioration a suivi cet essai de traite- ment mixte. Donc, chez une femme de quarante-un ans,
' Ainsi, d'après Foerster, si la vision centrale est habituelle- ment conservée dans les cas d'hémianopsie d'origine co
me reste à fixer votre attention, relèvent purement et simple- .... ment de l'aphasie. Vous remarquerez d'abord que les
t au prix d'efforts considérables ; de plus, il se trompe facile- ment . Ainsi, il croira reconnaître son nom dans un aut
upture de l'artère sylvienne, peut donc nous rendre compte égale- ment de l'hémianopsie présentée par notre troisième
sons pas encore exactement leur rôle ; mais nous savons pertinem- ment que les unes et les autres dégénèrent, dans les c
emble des phénomènes et des conditions, auxquelles il est intime- ment et indissolublement lié, pour les éludiei à part
s la ma- jorité extrême des cas n'arrive pas à ébaucher un mouve- ment articulé accentué. Le langage intérieur est, pour
a vie mentale, à moins des condititions voulues, ignore complète- ment ce phénomène du langage intérieur, qui implique d
héréditaires connus, non alcoolique, restée seule après l'interne- ment de son mari, avec sa fille âgée de dix ans, est t
état s'est aggravé ces temps derniers, au point que sou interne- ment est devenu nécessaire. A l'entrée à l'asile, so
érale. Dans les cinq cas l'affection évolua à peu près simultané- ment chez les conjoints. Elle débuta chez le mari dans
rale, est un phénomène plus ou moins constant; 1° ce rétrécisse- ment s'étend à toutes les qualités de la sensation lum
it Mendel (Progressive Paralyse de ? , lrren, 1880), le rétrécisse- ment du champ visuel chez les paralytiques généraux es
denèe très accentuée de la vision (obs. III). Mais il en est autre- ment si l'on accorde que la campiinétrie suffit pour d
e la droite y est insensible. L'éclairage intense diminue si forte- ment la pupille gauche qu'elle devient plus étroite qu
première qualité tous les jours gras), à ce qu'ils soient chaude- ment vêtus, à ce qu'ils aient un cube d'air suffisant
de revient des indigents, des pensionnaires, enfin sur le mouve- ment de la population, et termine par des observations
collocation des aliénés ; par le Dr CLIUS. (BxM. de la Soc. de Méd. ment , de Belgique, décembre 1900.) Tout en admettant
I. Les prisons-asiles ; par le De HEGER. (ull. de la Soc. de tlléd. ment , de Belgique, déc. 1901.) Ce travail est un pla
x faces, suivant que le corps est en repos ou qu'il est en mouve- ment ; dans le premier cas il est statique, il est cin
en tenant compte de l'évolution des maladies. C'est ainsi seule- ment qu'on arrivera à établir des diagnostics comparab
Apert, 84. -, par Apeit, 157 Anormaux de l'intelligence, Mouve- ment italien moderne en faveur du traitement et de l
pai FI. -J. Beildey, 221. - men- tales. Voir Imagination. Traite- ment moral dans les - et men- tales, parB.Dewey,301.
43 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tion intermittente est aux membres inférieurs dans le rétrécisse- ment de l'aorte abdominale, ce que l'angine de poitrin
t être atteintes, soit simultanément, soit séparément. Contraire- ment à ce qui s'observe dans les lésions organiques, i
de semblable aux membres supérieurs ni à la face. Pas de tremble- ment . La rétention d'urine, qui s'est montrée il y a
paires droites. L'auteur invoque un foyer pathologique, probable- ment de nature gommeuse, comprenant la pyramide droite
temps mangent beaucoup, engraissent, puis tout à coup et rapide- ment maigrissent; c'est « la fonte » des paralytiques
è- rement notre sujet. Ces névrites sont-elles fréquentes, autre- ment dit, les troubles trophiques sont-ils fréquents d
- De Crozant. Revue médicale, 1846. " Griesinger. Traité des mal. ment ., trad. Douncie, 1865, p. 405. 4 Vulpian. Vaso.
er t' d'une défectueuse articulation des mâchoires, ou du frotte- ment direct des dents les unes contre les autres. Nous
n'avait pas et n'a jamais eu de douleurs névralgiques. Actuelle- ment , nous ne trouvons qu'une alopécie prononcée sur t
perforant a disparu. Sur le gros orteil du pied droit, symétrique- ment placé, nous constatons un épaississement de l'épi
Les cellules de cette région de la couche optique sont indubitable- ment reliées à la pariétale ascendante, car elles dégé
n cas d'inégale lésion des deux régions, il n'y aura pas simultané- ment les deux symptômes. Cliniquement le phénomène r
E l'homme ; par V. ACQUISTO et E. PUSATERI. (Riv. di. pat. nerv. et ment ., fasc. 7, 1896.) SUI. Modifications DU NUCLÉOL
T CHLOROFORMUJUË ; par GiUOppe Mana- sERi. (Riv. di. part. nerv. et ment ., fasc. 7, 1896.) XIV. SUR UNE forme SURTOUT at
SPASME fonction- NELS ; par E. BELYOI'iDS. (Riv. di. pat. nerv. et ment ., fasc. 8, 1896.) 56 REVUE d'anatomie ET DE PHY
la moelle épinière ; par RaflaCle Gurrieri. (Riv. di. pat. nerv. et ment ., fasc. 8, 1896.) XVI. Nouvelles données ET nou
ologie DE la cellule nerveuse ; par E. LUG.1R0. (Riv. di. 7at. et ment ., fasc. 8, 1896.) XVII. Recherches expérimental
ette du même côté; toutes les fibres colorées en noir vont oblique- ment à la bandelette optique du côté op'posé : en un m
Les faits de torticolis mental présentent toujours et invariable- ment le même tableau clinique. Ils sont presque tous m
neurasthénique ou de volonté débile, ne peut se soustraire autre- ment que par un subterfuge qui devient servitude à son
i- mètres du tronc nerveux sous-jacent des deux côtés. Immédiate- ment après l'opération, l'exophthalmie a déjà diminué
extension prise et l'intérêt éveillé dans ces derniers temps seule- ment de quelques-unes de ces recherches morphologiques
liquide alimentaire, offre la faculté do se rendre compte exacte- ment de la température du liquide à injecter. Enfin
le D1' Sollier, l'un des secrétaires, lit le rapport sur le classe- ment des candidats au titre de membres titulaires, et
Pendant cinq jours la vue du malade s'affaiblissait progressive- ment , et bientôt apparut une cécité complète, de sorte
auparavant à un très haut degré. Le muscle frontal agissait faible- ment ; l'excitabilité électrique dans ce muscle, ainsi
e la substance cérébrale : dans ce cas la méningite vient simple- ment donner sa note symptomatique dans le syndrome pré
oi est à peu près intacte, qu'il n'y a souvent pas d'affaiblisse- ment intellectuel, que les processus d'idéation sont n
re d'une grosse artère, doit toujours faire penser à l'envahisse- ment de l'écorce par l'encéphalite spécifique. Dans le
convexité. A. Méningite aiguë syphilitique. Céphalalgie extrême- ment intense, vomissements répétés, température quelqu
que- fois élevée, tels sont les symptômes qui ouvrent habituelle- ment la scène. Si le processus se localise ci la base,
cette époque la céphalée n'a fait qu'augmenter ; elle est extrême- ment vive, continue, généralisée; de temps en temps il
très vives. Les douleurs dans les membres et le tronc ont complète- ment disparu. Pendant son séjour à Saint-Martiu il y a
la réflexion du miroir ophtalmoscopique. La pupille est moyenne- ment dilatée et immobile. L'oeil droit est un peu mo
l'axe visuel ; elle ne réagit plus à une lumière placée latérale- ment . A l'examen ophtalmoscopique, on voit à la plac
de a pu être amélioré très notablement, voir rétrocéder complète- ment tous les phénomènes irritatifs, simplement par le
avec les résultats de l'examen ophtalmoscopique qui révèle simyle- ment de l'oedème papillaire- Amélioration par le trait
s se contractent d'abord énergiquement. puis se dilatent brusque- ment et d'une façon considérable ( ? ) L'acuité est re
et les symptômes concomitants disparurent spontanément et subite- ment . Tous les mouvements de la tête et du cou redevin
'intoxi- cations, et qui, par conséquent, ne peuvent pas logique- ment être prises comme unités cliniques, ainsi que je
ie , par exemple, et un terrain préparé, un organe plus spéciale- ment fragile par hérédité ou maladie foetale ou par co
tion de l'étude de la paralysie générale sur un terrain sensible- ment différent de celui qui sert depuis si longtemps d
n point et sont des cas mixtes, comme on en rencontre si fréquem- ment en clinique : persécuteurs raisonnants au début,
l'ombre d'une apparente tranquillité, veille parfois un tempéra- ment mélancolique, un dégoût de la vie, un étrange dés
ONNELLES DE L'AMENDA ; par Nicolo BUCCELLI. (Riv. di. pal. nerv. et ment ., fasc. 7, 1896.) L'auteur, tout en reconnaissa
e DE nature 1,NIIIBITOIRF; par E. BELMONDO. (Rio. di. pat. neru. et ment ., fasc. 9, 1896.) XIV. EPHIDROSE unilatérale
OSE unilatérale DE la face ; par Pellizzi. (Riv. Cti. pal. nerv. et ment ., fasc. 9, 1896.) XV. Délireparanoiaquechezun F
it visuelles ; l'auteur ne l'a jamais vu se manifester consécutive- ment à des sensations du goût ou de l'odorat. La durée
ances, produit soit un vif sentiment de plaisir, soit un vif senti- ment de déplaisir. Il existe du reste des nuances dans
isé (verwirrtheitf confusion mentale) est caractérisée essentielle- ment par l'abolition ou l'obnubilation de la conscienc
saient en 4891, lorsqu'il institua pour la première fois le traite- ment de myxoedème par l'extrait thyroïdien. Le myxoedè
il augmenta progressivement la dose. Après douze mois de traite- ment l'amélioration physique et mentale était manifest
mains et faiblesse des jambes. Dans les autres cas aucun change- ment durable ne s'est manifesté. Les extraits de gland
La discussion a été limitée à ces différents points : quel traite- ment doit subir le paralytique général pendant la péri
la partie centrale de la moelle où elle forme une colonne nette- ment délimitée, pourvue d'une cavité centrale, tapissé
travers la même fistule. Les deux branches furent trouvées^forte- ment entamées et usées; la charnière n'existait pas et
disant victimes d'attentats à la pudeur ! Et que de gens injuste- ment condamnés sur la dénonciation de gamines perverse
igts est lisse, brillante; les poils du dos des mains ont complète- ment disparu. Les ongles des doigts ont une coloration
érale : idées puériles de richesse et de satisfaction, affaiblisse- ment des sentiments moraux et intellectuels, perte de
ssive et peut notamment se limiter à un seul côté . C'est exacte- ment le cas de la malade dont nous rapportons l'observ
expérimentale ; par ACQUISTO et PUSATERI. (Riv. di. pftt.KCt't). et ment ., fasc. 10, 1896.) Les lésoins se rencontrent d
DE la CELLULE nerveuse; par Giuseppe LEvi. (Biv. di. part. nerv. et ment ., fasc. 10, 1896.) . XXXVIII. Contribution A
ELLE DU PROLONGEMENT NERVEUX ; par E. LuGARO. (Riv. di pat. nerv. e ment ., vol. I, fase. 2, 1898. REVUE D'ANATOMIE ET DE
tive et préventive. Les uns sont de purs automates, guidés seule- ment par l'instinct, les autres des êtres intelligents
signes distinctifs du sexe que l'individu avait acquis. Parallèle- ment les anomalies du développement sexuel nous montre
les granulations y sont ordonnées en séries, celles d'un prolonge- ment étant parallèles à celles du prolongement voisin.
résistance à la douleur, allant jusqu'à émousser presque complète- ment ou complètement ce mode de la sensibilité. Rien d
observations, pour établir qu'il n'y a aucune différence clinique- ment appréciable entre le degré d'excitabilité des ner
larité que l'encéphalopathie saturnine, accident rare et générale- ment tardif du saturnisme chronique, est apparue fréqu
mal connues. A l'appui l'auteur cite des cas répondant clinique- ment à des types des lésions fonctionnelles, hystérie
térieures. Dans la maladie de Friedreich la moelle est invariable- ment plus petite, et cette défectuosité congénitale s'
plicables aux aliénés; par le D''SoMMER. (Bull. de la Soc. de.lléd. ment . de Belgique, juin 1897.) Pour fixer d'une fa
- tout quand en matière de psychoses on aura substitué un traite- ment individuel rationnel aux routines des grands mani
éalisa, en Suisse, le système de la cure des buveurs par l'interne- ment dans un asile. Les résultats obtenus n'ont pas be
pratiquée selon certaines conditions qui sont d'abord : l'interne- ment pendant six mois au moins, dans un asile de buveu
notre esprit et à nos préjugés nationaux. 250 HYGIÈNE SOCIALE. ment , il faut l'alcool. On pourrait déjà lui répondre
s interné au compte de la justice, mais au compte de son départe- ment , l'Isère. Et comme l'Isère renferme un asile, cel
ement. M. Bourneville. Je remercie M. le directeur de l'empresse- ment qu'il a mis à essayer de faire réaliser le voeu d
Nouvelle-Calédonie. Des transportés à la Guyane, un quart, absolu- ment rebelle, est tenu enfermé et sans aucune occupati
e médecine légale, de psychologie et de psychiatrie, et ce mouve- ment local, qui semble aller s'accentuant, n'a pas été
indienne. Les accidents psychiques deviennent d'autant plus facile- ment l'apanage des créoles qu'ils présentent à l'état
de conditions intrinsèques auxquelles l'individu ne peut entière- ment soustraire son impulsivité. Aussi doit-on supprim
ation fondamentale de leur éducation. Les tentatives de redresse- ment de l'instinct sexuel ne peuvent aboutir qu'à fair
lition bien plutôt qu'anomalie de la fonction. On donne impropre- ment le nom de perversions sexuelles aux perversions d
s'adressa à son confesseur, qui était ami de la famille. Non seule- ment il lui ordonna de cesser toute relation avec son
conditions les plus favorables. Elle refusa d'abord systématique- ment , disant qu'elle ne se marierait jamais; mais comm
qui a duré cinq mois. Il était sanguin, puissant, calme et nulle- ment nerveux. Mère, morte à quarante-sept ans, probabl
- tères mais avec moins de violence. Elle venaient approximative- ment deux à quatre fois par mois. Parfois des crises p
et aux associations qui en dérivent. Elle appartient secondaire- ment à l'initiative des gouvernements qui n'intervienn
voit se développer tout autour une zone où les douleurs sont telle- ment aiguës qu'une intervention chirurgicale est rendu
nation, démarche cérébelleuse caractéristique (ébrieuse) ; tremble- ment pendant les mouvements. Pas de signe de Romberg ;
Robertson, vision bonne; station debout difficile, genoux légère- ment fléchis, jambes écartées, tendance à tomber, chut
.) Ayant dans un précédent travail étudié la localisation simple- ment topographique des douleurs et hyperesthésies supe
dura d'une façon permanente pendant neuf mois et guérit spontané- ment . G. D. LVII. Des relations entre les psychoses,
. On peut cependant avancer, en possédant bien l'oeuvre générale- ment mal connue de Braid, que depuis ses derniers trav
t en rien ces influences, les effets produits étant d'origine pure- ment suggestive, les objets en question n'ayant pas pl
tal chez LES aliénés ; par Arvigo GIANNONE. (Riv. di. pat. Hen'. et ment ., fasc. 7. 1896.) L'analgésie du nerf cubital n
forme n'est le plus souvent autre chose qu'un arrêt de développe- ment de la première ; 1 3° Enfin, dans 32 p. 100 des
suggestion, par des démonstrations rationnellement et rigoureuse- ment scientifiques. On connaît fort mal l'oeuvre de Br
ment scientifiques. On connaît fort mal l'oeuvre de Braid et seule- ment par ses premiers ouvrages encore imparfaits notam
. Dans beaucoup d'écoles professionnelles, la base de l'enseigne- ment a consisté jusqu'à présent dans des lectures; c'e
'identitédes délires infectieux etdes délires toxiques est un argu- ment déplus et un argument puissant en faveur de l'ori
nous rappelons celle que Cabanis tire de la comparaison du senti- ment général de notre individualité avec la perception
int de sentir des diables, par exemple, dans son corps ou simple- ment des animaux, comme les malades de Calmeil (l'un
fs dont ils auraient pu se rendre coupables, ils passent mentale- ment en revue tous les les méfaits que la religion pou
mais aux collatérales qui, chez les vertébrés, partent du proroger ment nerveux ou cylindraxile, parce que, chez les inve
t, très rapproché de leur naissance, où ils émettent un prolonge- ment . Mais d'autres cellules, même après leur développ
ux unique ou monaxone; ce prolongement se termine toujours libre- ment , soit sans se bifurquer (corpuscules de Vater, fi
la cellule sur les autres neurones associés diminuerait naturelle- ment aussi. Ainsi la fonction trophique parait bien en
extérieur. Toute cellule nerveuse qui ne possède qu'un prolonge- ment nerveux (iiioncixone) propage toujours l'excitati
e nerveux ne résulte-t-il pas de la transformation d'un prolonge- ment protoplasmique ? La comparaison de ce qui existe
e, ce n'est rien de moins qu'une « révolution », disait expressé- ment Golgi, dans la manière de considérer la significa
n matin la malade fut avertie que son état nécessitera son place- ment dans le pavillon des malades excitées. A partir
guliers, principalement au mo- PERTE DE LA VISION BILATÉRALE. 391 ment des époques, et des périodes d'excitation cérébra
i la paraplégie, qui succèdent aux crises, disparaissent brusque- ment . L'état d'anorexie avec vomissements répétés se
sies diverses et les troubles aphasiques dont elle a été fréquem- ment atteinte 1. 1 BourneviUe. Recherches cliniques
et, depuis plusieurs années, ce genre de plaie a presque totale- ment disparu de mon service. REVUE D'ANATOMIE ET DE
à eau. Je crois, en face des résultats que m'a donnés ce panse- ment , que les liquides stercoraux et urinaire exercent
forme contraste avec la partie antérieure en demeurant profondé- ment teintée. Le foyer non dégénéré se trouve immédi
xpérimenté ; aussi est-il à supposer que, dans l'avenir, le traite- ment de l'ataxie se fera dans des établissements spéci
n'y a pas de maladie chronique du cerveau qui n'ait pu, à un mo- ment , simuler cliniquement la paralysie générale . La
it, sont agitées de momements athétosiques qui augmentent facile- ment d'étendue avec les mouvements volontaires de faço
Les sensibilités profondes sont conservées, le malade a parfaite- ment la notion de la position imprimée à ses membres.
paralysie du diaphragme. Il y a de l'incontinence de l'urine seule- ment la nuit : le besoin d'urmer n'est plus perçu. M
détruit par la néoplasie mollasse que l'on voit prédominer nette- ment comme saillie du côté gauche de la moelle. Sur le
sentie et même douloureuse; la notion de position était parfaite- ment conservée ; les mouvements passifs imprimés aux m
- nérer ou se ramollir ; elle est partout d'une structure absolu- ment uniforme. Dans d'autres cas (de Raymond', de Moel
Dans les délires religieux à systématisation primitive le dédouble- ment n'entame en rien la personnalité primitive, la pe
la per- sonnalité, son dédoublement. Le démonophobe s'est finale- ment transformé d'une façon insensible, mais le plus s
ALE. tique aux réactions motrices qui font articuler automatique- ment des blasphèmes par exemple, aux mélancoliques à
de est morte à l'asile après plusieurs années d'un délire absolu- ment semblable, disent les certificats qui la concerne
s'imaginait fréquenter le sabbat ; son intelligence était telle- ment renversée dans certains moments qu'il lui devenai
eux : prenant la forme d'un papillon, il me brouillait l'entende- ment et je me sentais contraint de prier à la manière
sie ; car la plupart de ces prétendues localisations sont unique- ment basées sur le pur schéma ou sur des données anato
le langage parlé et dont l'usage, pour chaque individu pris isolé- ment est tout à fait récent, il ne saurait y avoir que
tion, violences, hallucinations de la vue, migrations, affaiblisse- ment de la mémoire, confusion dans les idées, obtusiou
XCI. Remarques sur LES illusions microscopiques DUES A UN écrase- MENT POSTMORTEM DE la moelle ET sur la formation DU né
de la même cuisse jusqu'au genou, pour se continuer par un senti- ment de contention marqué. La jambe gauche est, à son
de la rotule, réapparition de la tension, avec point particulière- ment sensible à dix centimètres au-dessus de la rotule
rasser de ces aliénés les établissements où on les place actuelle- ment , pour lesquels ils sont une cause permanente de d
en dehors de toute affection médullaire. Beaucoup d'auteurs affir- ment même que toute syphilis médullaire débute par une
tistique de Gilbert et Lion donne encore [un tiers de cas rapide- ment mortels. Le^traitement sera instinctif et mixte
tons encore que la mousse lavée ne devra être employée, précisé- ment parce qu'elle est moins douce, que pour des malad
dans d'autres pays ; par le Dr PEETEps. (Bitll. de la Soc. de inéd. ment , de Belgique, décembre 1897.) . Ce travail co
Berlin, où ils étaient primitivement soignés. Au même établisse- ment le patronage familial a paru moins convenir aux i
SI9 Ce fait démontre une fois de plus la nécessité de l'interne- ment aussitôt que la folie est bien constatée. Quelle
n pense, les chiens et les chats : tout cela se trouve scrupuleuse- ment rapporté dans l'étude de M. Walsh. Mais qu'il nou
eutophobie, par Régnier, 346. Extrvits organiques dans le traite- ment des maladies nemeuses, par Itobortson, 161 .
mensuelles, par Hospital, 340. Noyau lenticulaire. Ramollisse- ment du - et de la capsule interne, par Pehu, 400.
ique. Entrecroisement du nerf - , par Jacobsohn, 67. Entrecroise- ment incomplet des nerfs - dans le chiasma chez les
22. Appareils orthopédiques dans le -, par Grcbener, 406. Traite- ment du -, pdr Haïchime, 407 838 TABLE DES AUTEURS E
44 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
nne ne conteste plus l'authenticité de cet infantilisme. Les spéci- mens en sont nombreux et frappants. En elfet, à qui n'
en l'état les aptitudes psychiques du nouveau-né. Il en est exacte- ment de même chez les infantiles : leur intelligence,
, les années s'écoulaient et ne comptaient pas pour lui. Il faisait mentir le proverbe éternel et uni- versel : « Tout n'a
irilité confirmée, celle du visage, il a épousé une femme sensible- ment plus grande que lui, use de toutes la prérogative
ultiplicité des fonctions de la glande thyroïde explique non seule- ment la multiplicité des formes de l'infantilisme, mai
a au roi du Danemarck : entre deux tétées il lui adressa un compli- ment . Parmi les enfants prodiges, Heinecken détient
s cet ordre d'idées nous nous rallions absolument à la thèse récem- ment soutenue par notre collègue Magalhaes Lemos (de P
sont jamais que des petits vieux. La cause du retard du développe- ment ne laisse pas persister les attributs de l'enfanc
itation modérée avec optimisme, bavardage incohérent ; affaiblisse- ment intellectuel considérable, embarras de la parole,
ctère plutôt sombre ;' intelligence moyenne : apprenait convenable- ment en classe : bon ouvrier; pas de maladies antérieu
r des mouvements donnés devant lui pour qu'il les répète immédiate- ment (échopraxie). De même il a une tendance à répéter
bles nets de la parole ; pas de signes pupillaires, pas de tremble- ment des mains ; tremblement de la langue très manifes
la tuberculose et le cancer. Les classiques décrivaient minutieuse- ment les caractères anatomiques et cliniques du mal de
est contenue dans une gangue cellulaire dont les travées, extrême- ment fibreuses et épaisses, contiennent des vestiges d
iste une zone fortement pigmentée, assez épaisse, faisant régulière ment le tour de l'organe : cette zone, examinée à un g
seaux sanguins sont moins nombreux et moins volumineux que normale- ment . Le corps thyroïde présente des lésions multipl
écorce, examinée au Nissl, au Marchi, et au Weigert, paraît absolu- ment saine ; les grandes cellules pyramidales ont un n
28 juillet 1904. SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTÉBRAL 39 ment vertébral commun antérieur, avec ossification par
constamment immobile, de telle sorte que la respiration est unique- ment abdominale. Pour garder la station verticale, les
égion cervicale, s'accompagne de craquements, se complique fréquem- ment d'exostoses ; elle peut rétrocéder, comme M. P. M
ur à la normale. Celles qui sont encore visibles ne sont pas égale- ment réparties ; certains fascicules en effet sont ass
ns lequel les éléments interstitiels, non imprégnés, sont générale- ment laissés de côté au cours de la dissociation. Des
gmentation de volume de la paroi des vasa nervorum avec rétrécisse- ment du calibre interne, anomalie de structure qui n'a
sions sont au maximum dans les troncs nerveux ; elles sont notable- ment moins marquées au niveau des racines rachidiennes
i fait porter l'index sur le nez on note que la direction du mouve- ment est juste, mais que le mouvement est un peu sacca
nt du tremblement et de l'ataxie, peut-être plus encore du tremble- ment . Les mêmes oscillations peu marquées existent qua
des pour les extrémités inférieures dans l'épreuve de l'agenouille- ment , et pour les supérieures dans celle de la diadoco
sée dans les parties centrales de ces cordons. A un fort grossisse- ment on voit que cette raréfaction est due à la plus g
lle est la pathogénie de cette atrophie ? Nous ne pouvons certaine- ment pas la considérer comme une atrophie secondaire d
açon générale elle ne paraît pas sensible 86 CHARTIER ET DESCOMPS ment diminuée ; si l'on tient compte en outre de l'ama
e l'on est convenu d'appeler la maladie de Paget, et plus spéciale- ment à cette forme décrite par Paget et les auteurs an
lleurs cet auteur a observé lui-même que si dans son cas le traite- ment thyroïdien a été suivi d'une diminution très acce
ir lire. Et, reconnaissons-le, l'enseignement de l'anatomie, juste- ment sévère sur les rudiments et les exercices prépara
saillies et des creux extérieurs peut fournir des indices extrême- ment précieux sur la situation et l'état des parties p
Cette recherche de la forme extérieure dans le mouvement, générale- ment négligée par les physiologistes, n'a pas trouvé s
ncore, il faut bien le dire, on retrouve l'empreinte d'un enseigne- ment un peu dédaigneux de ses applications au vivant.
humaine; il suffit d'ouvrir l'un quelconque des ouvrages spéciale- ment composés pour les peintres et les sculpteurs. .
le domaine du facial et du trijumeau moteur sont le plus ordinaire- ment épargnés; et inversement dans la poliencéphalite
Il existe en outre, dans les racines antérieures gauches de ce seg- ment une atrophie et une perte de fibres qui bien que
opsies de paraplégie cérébrale infantile, du moins des cas stricte- ment limités aux membres inférieurs sont fort rares. I
t une partie du territoire de l'artère cérébrale antérieure, notam- ment la face interne des deux lobules paracentraux, mé
le membre gauche atteint de paralysie infantile, presque complète- ment ^ paralysé, en état de flaccidité complète et prés
On objecta en effet à Strümpell, de ne pas avoir prouvé anatomique- ment cette poliencéphalite avec des pièces recueillies
stique de la poliencéphalite, selon Strümpell, s'observait fréquem- ment dans d'autres régions de la corticalité, en dehor
klin. Med., 1880, Bd. 26, p. 557. (4) AMHAMBAULT-DAHAScniso, Revue mens . des mal. de l'enfance, 1885. (5) DRUMMOND, Bra
b. f. Kinderh., 1901, p. 125. (18) T.IYLOIi, The journ. of Nerv.and ment . Dis. August., 1902. (19) Paaerontos, Zur Path.
, The Lancet, 26/3, 1898, p. 847. (15) Packard, Journ. of nerv. and ment . dis., 1899, n° 4, p. 210. (16) AuERBACH, Jahrb
gastrique, etc.) pendant quelques jours, furent presque simultané- ment atteints, la soeur de paralysie atrophique spinal
ion prépondérante dans la région motrice du cerveau, qui ordinaire- ment ne menace pas la vie, mais aussi ne guérit pas co
les circonférences comparées des deux membres supérieurs soigneuse ment repérées : 148 ' fi;fimrrc ' ,,Il n'existe au
rtance au point de vue du diagnostic et qu'elle ne nous fera nulle- ment hésiter dans le diagnostic de trophoedème chroniq
et dans plusieurs générations n'avait relevé la nature essentielle- ment différente du mal. . La malade de Mabille prése
ne imperfection congénitale des centres qui président au développe- ment et à la nutrition du tissu cellulo-cutané. Noto
un sujet revêtu de peau et de graisse, mais ne correspondent nulle- ment à des reliefs musculaires. En résumé, « c'est l
Concluons : il est temps que les médecins, tout en demeurant juste- ment respectueux du cadavre, se décident à accorder pl
l'affection. Pendant ce temps la paupière gauche s'était complète- ment fermée et dans tout le côté droit, y compris la f
orps genouillés interne et externe ; la bandelette optique entière- ment , à sa pénétration dans le corps genouillé externe
it enfin dans le locus niger où elles sont coupées par le prolonge- ment interne du foyer ci-dessus décrit. Plus bas au
il doit s'agir d'une lésion du pédoncule gauche faite par l'instru- ment tranchant à l'endroit où le pédoncule est entouré
t être enfin d'origine vasculaire. Cette modalité est particulière- ment intéressante parce qu'ici la symptomatologie peut
n le sait, sont extrêmement rares ; on comprend en outre difficile- ment qu'une hémorragie due à la rupture d'artères de p
nde partie du lobe temporal et au lobe occipital. On comprend aisé- ment que l'oblitération isolée de la première portion
ommodation. Nous avons vu d'autre part, que le foyer de ramollisse- ment intéressait le groupe des fibres externes du mote
en présence dans notre cas, d'un syndrome de Weber par ramollisse- ment pédonculaire ; le fait que le ptosis gauche est s
iques, des cavités, etc.) ; dans le second les lésions se transfor- ment en scléroses, c'est-à-dire en cicatrices médullai
ducteur indiquaient une amélioration ; ils se contractaient faible- ment à l'excitation faradique. En cet état, au mois
leur histoire l'ophtalmoplégie externe avec conservation du mouve- ment pupillaire. La tendance à plus d'intensité de la
ue la fesse gauche est arrondie et saillante comme on le voit rare- ment chez les garçons. ' La force musculaire est dim
ION. - lVlél... (Antoinette), née le 5 janvier 1891, âgée actuelle- ment de seize ans, est entrée à la Salpêtrière en 1903
elés sur leurs bords ; ils présentent même quelques points inégale- ment teintés ; et il semble bien qu'on puisse apercevo
corps thyroïde, il était naturel de rapporter l'arrêt de développe- ment physique et psychique à un trouble de la fonction
la pupille est moyennement dilatée ; elle est régulière et légère- ment décentrée en haut et en dedans, ce qui peut être
ar quelques Etats européens qui ne reconnaissaient pas au gouverne- ment égyptien le droit de recherche dans les magasins
ont des dégénérés acquis passant de la prison à l'asile et inverse- ment . Parmi eux, certains seraient, des haschichomanes
douleurs atroces à la nuque. Toute pression sur la tête, le mouve- ment de S'asseoir dans son lit lui étaient extrêmement
piqueté d'une multitude de petites hémorragies. Ce n'est là évidem- ment qu'un des modes de production de ces épanchements
embres et surtout le bras et la jambe droits présentent un tremble- ment qui s'accentue toujours davantage. Lorsque le mal
rachidien ? Certes il a pu y avoir intoxication aussi, mais simple- ment du fait que les produits des échanges nutritifs n
i a des insertions supérieures analogues à celles qui sont normale- ment celles du muscle deuxième radial externe : même i
é par 2 petits tubercules. L'articulation du coude existait évidem- ment , car ce petit moignon était susceptible de mouvem
propre du pouce, qui n'offre de spécial qu'un faisceau de renforce- ment qui lui vient du muscle fléchisseur commun profon
l'os et c'est la seule trace de la composition qu'affecte normale- ment le carpe. Le 3e os est le plus'gros des trois ; p
uve également les deux branches de bifurcation du radial, et notam- ment la branche postérieure qui contourne radius, pour
ses musculaires épitrochléennes et épicondyliennes sont respective- ment représentées. Le muscle rond pronateur est asse
le facette elliptique et oblique s'articulant avec le radius seule- ment ; apophyse styloïde bien marquée. Sur le radius
mité inférieure est très déformée ; elle est allongée transversale- ment , aplatie de haut en bas, pyramidale à base extern
cet os. Les os du poignet et de la main font défaut ; notons seule- ment sur l'épreuve une petite ombre, à leur niveau, re
grossesse cependant fut un peu pénible ; 15 jours avant l'accouche- ment , les urines auraient renfermé une légère quantité
a première période donne seulement 3 cas d'aliénation, car à ce mo- ment du siège, la vie à Port-Arthur suivait son cours
tion. Dans les deux derniers cas, il n'y en eut aucune jusqu'au mo- ment du départ. La psychose périodique sous forme de
ique. Dans 22 cas sur 37, les malades ressentaient presque constam- ment : la souffrance, le chagrin, la tristesse, l'ango
nsion nerveuse si longtemps prolongée provoquait un extrême épuise- ment du système nerveux n'arrivant pas jusqu'à la psyc
Le problème de la déchéance sénile du système nerveux est, assuré- ment , trop bien posé pour qu'il soit nécessaire d'insi
Au contraire, par les méthodes de Weigert et d'Anglade rigoureuse- ment électives pour la névroglie, le réseau de soutien
rtement elle refoulement des hémisphères cérébraux qui [sont forte- ment comprimés et extraordinairement déformés. 370 S
mpte. Tous les réflxes tendineux sont, aux quatre membres, notable- ment exagérés ; le clonus du pied, le signe de Babinsk
hors de ces troubles trophiques, il en est d'autres, moins fréquem- ment observés, qui atteignent un segment de membre ou
ns l'acromégalie, les hypertrophies des membres évoluent parallèle- ment et dans le même temps tandis que la plus grande i
Les ongles, très incurvés dans le sens transversal, étaient forte- ment striés longitudinalement. Les pieds étaient gros,
fs du bras (médian, cubital), l'examen histologique montrait seule- ment une abondance de fibres grêles et une diminution
a lésion déborde légèrement la région du nerf lésé, par retentisse- ment vers les anastomoses : d'où l'extension limitée v
spatule (PI. LXXII) ; la malléole interne manque. Il paraît unique- ment constitué par du tissu spongieux, si l'on s'en ra
lati lui aussi, mais suivant un plan perpendiculaire à l'aplatisse- ment du tibia. Son extrémité inférieure a une configur
e d'admettre qu'il y a arrêt de développe- 400 KLIPPEL ET BOUCHET ment de la portion terminale du membre, qui est la cau
plète chez certaines espèces de vertébrés à sang froid, soit seule- ment pendant les premières périodes de l'existence, so
uite. Ainsi même dans l'avant-bras il y avait des muscles relative- ment développés et très actifs. Enfin, il est possib
particulier les différentes époques d'apparition, de perfectionne- ment , d'isolement de chacun des muscles de ce membre,
de la main ; c'est il ce moment seulement que se distinguent nette- ment les différents muscles qui composent les deux cou
nce d'un petit tubercule cutanéo-fibreux, surtout cutané et légère- ment graisseux. ' Les tendons des autres muscles des
voit donc de par les faits précédents que les arrêts de développe- ment et les anomalies que nous a montrés la dissection
emple de cette atrophie numérique marqué par un arrêt de développe- ment consécutif à de multiples lésions survenant avant
is, juin 1889, p. 453-454. Collineau. Cas curieux d'hémimélie. Rev. mens . de l'école d'anthropol. Paris, 1897, VII, 60-6
il sur les vices de conformation produits par l'arrêt de développe- ment des membres. Mém. Soc. chirurgie, t. VI, 1863. -
taient nullement pénibles. Mais ils étaient, on le comprendra aisé- ment , pour cette jeune fille, plus qu'une infirmité pé
es de la première. Du troisième au quatrième jour, elle a eu seule- ment un peu de mal de tête, mais sans toux, ni oppress
oquer les règles, lorsqu'elles sont venues spontanément. Dès ce mo- ment tout s'est calmé. La plaie était complètement cic
e une porencéphalie vraie due à une lésion d'origine vraisemblable- ment vasculaire, dans le domaine des 2" et 3e branches
ne de laquelle ou ne fournit aucune indication et qui est probable- ment contemporaine du développement. D9an gauche cou
couches osseuses de formation plus récente. D'autres exostoses for- ment autour de l'os un véritable manchon à point de dé
membres. La micromélie est rendue plus frappante par le développe- ment normal du tronc. « ... Bien singulière apparition
nelle de PARAMORE où l'ingestion d'acide oxalique ne modifia nulle- ment le temps de coagulation. L'observation personnell
e était légère, quoique déjà permanente. Mais bientôt, progressive- ment , la déviation s'exagère et atteint au bout de 2 m
gauche, involontaire- LES PERIPETIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 463' ment . Pour y remédier, Taurone relevait la tête en tou
Au premier coup d'oeil le sterno-masloïdien droit apparaît notable- ment plus développé que le gauche ; et cetle hypertrop
avec correction, mais il ne peut obtenir qu'avec peine le relâche- ment musculaire complet. Le phénomène de la chute des
Les mouvements respiratoires ne lui apportent plus le même soulage- ment que les premiers jours. Mais les nuits ont été
Un nouvel examen électrique a été pratiqué. On constate un change- ment notable de la contractilité électrique ; la diffé
L'effet correcteur et reposant du miroir peut s'atténuer passagère- ment , s'il y a abus de ce moyen de contrôle. Il ne fau
rno-mastoïdien droit s'est à peu près décontracté ; je sens nette - ment encore lorsque je ramène la tête de gauche à droi
des contractions des muscles de la nuque, le trapèze gauche notam- ment , et aussi probablement un des muscles voisins du
a lutte avec l'espoir que les progrès assez stationnaires en ce mo- ment reprendront sous peu. Remarques. 1° Lorsqu'il a
tempestifs ont pris une amplitude plus grande, surtout le renverse- ment de la tête en arrière. La douleur de l'épaule gau
Mais je n'ai pas gagné du terrain : les contractions sont extrême- ment violentes et franchement douloureuses, surtout da
903. - Je reste au lit aussi longtemps que je le puis et voici com- ment mon état m'oblige à procéder : Si, lorsque je m
s revenir lentement en face : la tête repart brusquement et violem- ment à gauche et en arrière. Après quelques mouvements
intolérable. Ils ne savent qu'imaginer pour se procurer un soulage- ment . Les contractions deviennent douloureuses par l
intensité même. Plus de sommeil, plus de repos. Le nervosisme aug- mente ,et avec lui le découragement. C'est alors qu'u
n, j'ai commencé les exercices ; ils se sont exécutés assez facile- ment pour les mouvements de rotation et pour l'immobil
rti et rélro-colis ; je m'efforce de les remplacer par un affaisse- ment général, je n'y réussis pas toujours. J'attends
rotations sont en majeure partie satisfaisantes ; à signaler seule- ment que les muscles intéressés,et notamment le sterno
age ; je n'ai pas retrouvé au lit la bonne position ; il y a seule- ment un léger changement d'orientation, la rotation à
ue ces désordres s'accentuent. J'essaye bien d'enrayer l'envahisse- ment des contractions de la face, mais je ne puis les
ence déjà longue, hélas ! J'attends donc, avec confiance le relève- ment de la courbe ; la patience et la persévérance ne
miroir un auxiliaire précieux agissait en sens inverse; le croise- ment des lignes au lieu d'exercer une sorte d'attracti
nt pendant huit jours de paraître devant le miroir ; pas de change- ment . Une seule bonne chose me restait : c'était l'amé
reprenais la bicyclette et m'en tirais fort bien ; enfin, actuelle- ment je puis me livrer sans difficulté à toutes sortes
motrices et les perdant difficilement. Il a un caractère complète- ment différent de celui que, de l'avis de tous, j'avai
nique du tarse). Ce même auteur observa qu'on obtenait plus facile- ment le phénomène chez des personnes qui n'étaient pas
avec l'oeil libre, la tète de l'observateur se courbait inconsciem- ment jusqu'à ce que )'oei) libre se trouvai dans la mê
e nous l'avons décrit ci-dessus. En culte, on peut noter manifeste- ment ce phénomène dans le sommeil très profond ou dans
45 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
dans l'intérieur, elle arrive aux corpora striata, et que là seule- ment a lieu la perceptio sive senslts internus sension
la formation de la conscience, pendant que la matière croît seule- ment après son extension en espace. Si l'on prend en
MM. Ch. Renouvier et L. Prat (1) appartient, comme déjà précédem- ment dit, dans sa nouvelle forme au Mag. phil. J. S. P
tention à l'objet duquel le son sortait. Par contre le même instru- ment sonore provoquait, si on le tenait au niveau de l
loin du bord extérieur de la szcbstaztia perf. anal. dex. l'instru- ment avait touché l'os. Presque tout le corpus forni
ions de douleur du côté droit Au corps, mais il ne savait visible : ment pas quel avait été l'endroit exposé à l'irritatio
le montrent (2) (PI. I et II, lig. 3, 4, 5, 6 et 7), que l'instru- ment , qui était passé un peu en arrière de l'extrémité
son assistant M. le D' Owen. Je remercie ces Messieurs chaleureuse- ment . Fig. b. - Crus anl. fornicis. - Dessin schémat
érieure, restait intact ; les ventricules du cerveau étaient égale- ment libres. Nous avions réussi conséquent à obtenir
la gauche et enfin, qu'il avait détruit le corpus fornicis exacte- ment au milieu de son axe longitudinal un peu à gauche
un autre côté ces mouvements associés peuvent être renforcés égale- ment par l'emploi des impulsions volontaires plus fort
en flexion parce que les fléchisseurs sont plus forts même normale- ment que les extenseurs, et au membre inférieur la con
tance blanche ou grise. Plus tard, lorsque la myéline est complète- ment résorbée, on ne peut employer que les méthodes qu
ontanément. Les accidents gangreneux s'annoncent par un épaississe- ment de l'épiderme qui devient blanchâtre, insensible,
ans la moindre rémission. Le Dr J... a remarqué que la douleur aug- mente lorsque la main est sèche et ne transpire pas ; l
ôme de névrite. Il faudrait d'ailleurs admettre une névrite unique- ment trophique des petits ramuscules nerveux des doigt
s besoin de se mouvoir, de travailler, de faire,de défaire ; dû dé- ment , désireux de paraître solennel ; le militarisme r
mme des dates sémiologiques, plutôt que de les analyser minutieuse- ment dans leur déterminisme et de chercher probablemen
ois dans la maladie de Pierre Marie ; le menton enfin est suffisam- ment développé pour qu'on puisse affirmer le diagnosti
ongée ou plus exactement soulevée de façon à dépasser considérable- ment le plan du jugum sphénoïdal. Par suite de cette
ce détail est très caractéristique de la dysostose) : le développe- ment des différents sinus du crâne et des cellules aér
nt. Chez tous mes sujets vivants, il en était ainsi ; mais 3 seule- ment des 9 crânes présentaient une voûte palatine haut
2° Absence totale ou réduction considérable des os nasaux, fréquem- ment soudés aux frontaux. 3° Absence des lacrymaux o
partir de 22 ans, il est devenu sobre, en apprenant que le tremble- ment qu'il présentait aux mains relevait de l'alcool.
i nystagmus. Les pupilles sont en mydriase, presque égaies, légère- ment ovalaires, à grand axe vertical; elles ne réagiss
en étier, occupé par un énorme sarcome, celui-ci avait secondaire- ment envahi les deux surrénales,qui pesaient, ensemble
rapide que le 13 novembre, c'est-à-dire 40 jours après son interne- ment , elle fût renvoyée chez elle complètement guérie
re la main dans une telle position qu'ils puissent agir convenable- ment sur les doigts. En d'autres termes, on a affaire
, elle aussi, est très facile à mettre hors de cause car non seule- ment elle a une évolution chronique, mais ordinairemen
it, put observer des petites boules noires disséminées irrégulière- ment dans toute la substance blanche médullaire, boule
Steinert (1904), en étudiant deux cas du même genre,observa unique- ment un certain degré de dégénérescence des cordons po
ornées, d'ordinaire, à un seul système de fibres. Les plus fréquem- ment et les plus intensément frappés en étaient les co
er des critériums, adoptéspar certains auteurs, pour séparer nette- ment l'histologie des dégénérations de nature toxique,
ues il nous semble que dans le cas actuel elles ne différent nulle- ment des altérations de la dégénérescence wallérienne.
éflexe osseux de l'apophyse styloïde du radius représente le mouve- ment de flexion du coude. Le réflexe osseux de l'épico
é en haut qu'en bas. De plus si les muscles correspondant à un seg- ment médullaire se sont contractés, leur contraction p
surtout ceux qui sont trop faibles, ou trop contracturés. Dernière- ment en étudiant ces mouvements chez une malade, attei
assin, seigneur faussaire, etc. De là la conception et le commence- ment d'un groupe, du reste assez fidèlement rendu d'ap
ication de l'ébauche de la page 9 te cahier) où, très accidentelle- ment ,s'était traduite une vision délirante quelque peu
.. a. voulu saisir l'inspiration au vol. Et, pour se rappeler sûre- ment , en le revoyant plus tard, la psychologie particu
duisant une façon de fresque dont notre malade (Pl. XXX), actuelle- ment en crise,a décoré l'une des murailles de sa cour.
et continue dans sa cuisse et dans sa jambe du côté droit, du liga- ment de Poupard jusqu'à la cheville. Sa température ét
s qui en résultaient pour les orteils et la cheville fussent seule- ment légers. Ces muscles également donnaient une légèr
gmentées de volume, l'oedème s'étendant jusqu'à la hauteur du liga- ment de Poupart des deux côtés,et là il cesse brusquem
pas dues à l'infection ou du moins qu'elles ne sont pas primitive- ment dues à des micro-organismes, mais qu'il s'agit pl
e. Un observateur a obtenu des avantages dans un cas par le traite- ment électrique, et un ou deux autres ont recommandé l
s. (René Desplats). , HYPERTROPHIE SEGMENTAIRE CONSIDÉRABLE 201 ment . Ces brûlures et ces coupures siégeaient d'ailleu
ade accuse un simple contact. Le sens stéréognostique est complète- ment aboli, si l'on met dans la main droite du sujet d
ation de volume du bras et de l'avant-bras ne correspond pas seule- ment à un oedème des téguments, mais que les tissus pr
et complète ou partielle et incomplète, retentit sur le développe- ment et le fonctionnement du cerveau dans des proporti
gne chronique, comme elle est parfois une manifestation du tempéra- ment hypothyroïdien. 4 ('-laisse, en 1899, en a rapp
e et trouve dans l'état d'esprit particulier des basedowiens l'élé- ment secondaire indispensable à l'hallucination pour a
fois de céphalées, de gastralgies. L'intestin fonctionne régulière- ment . Il aime l'eau froide. Il a toujours une soif viv
cil, rhumes faciles, asthénie, nerveuse qui, prenant expérimentale- ment 0,03 centigrammes de thyroïde, deviennent actifs,
t Filo- sofia, dedicati al prof. Morselli, 19G6. Maudi. Journ. of ment . se, 1896. NOETEL. Goitre exophtalmique et alié
l de méd. vétérinaire, 15 mars 1899, p. 145. ROBERTSOx. Journ. of ment . se, janvier 1875. Roi31-,soN (L.-N.). Eludes s
1903. STEEN. - Maladie mentale avec goitre exophtalmique. Journ. of ment . se, janv. 1905. STOIGESCO et B.1C.1LOGLU. -Deu
sta di patol. nervosa e mentale, avril 1899. p. 145. TIIAON. Rev. mens . de méd. et de chir., 1880, III, p. 614. TIIIBI
taine Marie-Anne Couronneau, laquelle atteinte d'hémiplégie évidem- ment hystérique, jugée incurable par les plus grands m
raissent, et il accomplit dans cette position des mouvements égale- ment actifs avec ses jambes. En le faisant reculer, il
était alors de 45 centimètres, le pas droit de 9 centimètres seule- ment . De plus, la malade, au lieu de se pencher en ava
emblèmes et le rituel religieux, ils n'avaient ni temple, ni sacre- ment , ni prières, s'assemblant pour chanter les psaume
er de force dans les trains malgré leur résistance acharnée qu'aug- mentait encore leur soif du martyre. Plusieurs enfants on
ale sous le n° 6866. Il est accompagné de nombreux dessins extrême- ment intéressants attribués à Jean Santorinos et au Pr
s autres planches (il y en a 200) ne le cèdent en rien à ces spéci- mens pour l'élégance et l'ingéniosité du dessin comme
ssifs en juin et octobre 1902 et 1903 à la mairie du XA arrondisse- ment dans le but de « perpétrer sa canaillerie contre
il réplique qu'il demande à retourner en prison, à passer en juge- ment , « pour savoir à quoi s'en tenir définitivement »
reste immobile, figé ; mais il entend, comprend et exécute rapide- ment certains ordres. Pas de raideur ni de catalepsie.
au 30. Tous les troubles persistent; la diplopie s'atténue légère- ment . Les douleurs disparaissent, mais l'impotence des
e buccale ne paraît pas horizontale, mais suivant une ligne légère- ment oblique en bas et à gauche. Par contre, la mobili
m d'excitation, le premier mouvement réflexe ne portera plus seule- ment sur les muscles de la région excitée : il y aura
aments costo-transversaires étaient presque tous ossifiés. Le liga- ment sus-épineux formait par place des ponts osseux en
la région lombaire qu'au niveau de la région cervicale, contraire- ment à la 21 pièce de P. Marie et Léri. ÉTUDE D'UNE
e la 5e cervicale et sa brieveté est encore accentuée par le tasse- ment des vertèbres cervicales sur lequel je reviendrai
enne est entièrement soudée et les ligaments qui la recouvrent for- ment un véritable étui osseux. La colonne cervicale pr
ité. Cette soudure costo-vertébrale supprime tout mouve- 286 ODDO ment de la cage thoracique, rendant impossible toute r
de violentes douleurs dans la hanche droite, survenues progressive- ment , empêchant le malade de marcher, ces douleurs néc
ants et normaux. La glande thyroïde est bien développée. Régulière- ment réglée à 14 ans, elle se maria à 20 et eut un enf
ilos et sa taille mesurait 130 centimètres ; elle était complète- j ment impubère. Je ne publie pas ici in extenso l'obser
ive (surtout si l'on considère sa cécité absolue), prenant normale- ment part la vie de famille. Etat actuel (18 mai 190
ement des seins est nul. Les organes génitaux ont le type nette- Il ment infantile. Température axillaire : 3G'{i. Respi
pprises il y a plusieurs années. Elle est capable de faire mentale- ment de petites opérations arithmétiques ; mais en rev
x et cornéens sont très vifs des deux côtés. Les pupilles parfaite- ment rondes et égales présentent, comme en 1907, les r
éflexe pharyngé est vif ; on ne provoque pas facilement le vomisse- ment . Le réflexe massétérin est un peu exagéré. Le
auscultation on remarque que le premier ton à la pointe est légère- ment soufflant, mais le deuxième à la base n'est pas r
nes génitaux externes sont typiquement infantiles ; tout développe- ment des seins fait défaut ; les aréoles sont normalem
eures du crâne et les pyramides marquent entre' les deux un change- ment de niveau très évident. L'implantation dentaire
ment excessif des tissus osseux spongieux, tandis que le développe- ment de la partie corticale compacte (en comparaison a
te. Tous les os de la main et de l'avant-bras apparaissent extrême- ment petits et menus (1). Le tissu osseux compact es
ns 1/2) avec celle de la soeur normale Ida plus âgée d'un an seule- ment ; cette jeune fille, qui est forte, de taille car
ossification des métatarsiens et des phalanges correspond parfaite- ment à celui des mêmes os de la main ; on remarque le
si nous essayons de tirer de tout ce matériel une conclusion seule- ment même de probabilité sur la véritable cause de l'a
me d'ordinaire, de l'ergographe de Mosso et d'un appareil à glisse- ment de Du Bois Reymond. On sait qu'avec des sujets no
en, sans cependant que les symptômes acromégaliques et l'accroisse- ment du squelette eussent été modifiés. Et contre l'av
xamen du troisième cas a montré la selle turcique peut-être légère- ment augmentée de dimension, les sinus frontaux très v
ont pas la valeur d'une recherche systématique conduite méthodique- ment . Peut-être a-t-on pensé que telle investigation
moins accusé. Le frontal est plus bombé, mais de façon assez nette- ment asymétrique. La bosse frontale droite est plus sa
un jet de liquide sous pression, mais cette stase n'était certaine- ment pas de vieille date, car les ventricules ne sout
la face inférieure du corps calleux ; le néoplasme atteint finale- ment le volume d'une noix dans la partie la plus front
te par la production de pinceaux névrogliques et par un épaississe- ment général. Ce n'est guère que dans la région de l
e atteinte d'abord dans sa partie motrice, finit par être complète- ment abolie aussi du côté sensoriel. Dès le mois d'o
ssement d'une certaine partie du cerveau peut masquer le développe- ment d'une tumeur dans une autre. En effet, dans ces c
sont bien conservées, alors que la substance blanche est grossière- ment lésée. On a pris l'habitude d'identifier en que
litent la compréhension des déductions, en même temps qu'elles aug- mentent la valeur de l'hypothèse, en multipliant ses preu
aison telle que la molécule se décompose et se reconstruit constam- ment , voilà la vie. Ces changements perpétuels de l'éd
fois démontrée, contrôlée sans cesse par l'expérience, est absolu- ment certaine. Sans cette propriété de la matière viva
e, l'est aussi dans ses propriétés. Il continuera à vivre certaine- ment , puisque l'effet s'est exercé dans les limites vi
ganisme élémentaire réagit à l'excitation en se modifiant conformé- ment à la nature de celle-ci ; il s'y adapte et s'y pl
pas d'une manière passagère ou faible, mais puissamment ou longue- ment , il va sans dire que, toutes choses égales d'aill
ave des idées, ne mérite pas ce nom. L'exécution d'un simple mouve- ment fournit une somme considérable d'excitations qui
symptômes. Un mouvement habituel n'est qu'une répétition du mouve- ment originel devenu d'une exécution plus facile et, e
qui s'harmonise avec la coloration des terrains sablonneux qui for- ment leur habitat. Dans tous les cas de mimétisme, je
de ces manifestations sentimentales prouve bien leur origine pure- ment mécanique. Cette instabilité de caractère est à s
tion morbide extérieure pour que l'organisme reproduise biologique- ment une symptomatologie pathologique et qu'il suffit,
dance les détails de ses multiples maladies; il souffre successive- ment , dit-il, de la tête, de la poitrine, du ventre et
laissait conduire avec une grande docilité et il obéissait passive- ment à toutes les sollicitations ; on ne constata jama
trième et cinquième métatarsiens offrent un développement sensible- ment normal. Ils s'articulent l'un et l'autre avec la
, de dégénérés. Aussi ne voulons-nous pas généraliser, mais simple- ment appeler de façon plus précise l'attention des fut
interne), son extrémité inférieure est plus globuleuse que normale- ment , son apophyse styloïde arrondie et surbaissée.
auf une incurvation moins grande du cubitus, la présence d'un rudi- ment de cupule radiale, et l'absence de l'index. Mai
u moins ankylosées, il y a fusion de plusieurs os du carpe normale- ment séparés, la musculature est altérée non seulement
sujets atteints d'une juvénilité persistante qui retarde indéfini- ment chez eux l'établissement intégral de la puberté »
arrêté ni dévié, mais est 1 imité et exigu; il se fait mais pauvre- ment . Pour Ferranini aussi l'ossification des cartilag
du pouce faisait défaut. Ce dernier os est visible radiographique- ment chez les individus normaux à )'age de 12 à 13 ans
rguerite) nous avons remarqué des malformations dentaires certaine- ment suspectes d'hérédo-syphilis mais qui pourraient ê
minution ou l'altération de la sécrétion thyroïdienne est certaine- ment la cause prévalente, sinon exclusive, de l'infant
e consiste surtout à ne vouloir pas trop définir ni borner un argu- ment qui ne peut l'être pour le moment avec toute la r
re que d'autres glandes à sécrétion interne doivent être primitive- ment ou secondairement lésées. M. Halmagrand admet e
ire des infantilismes mais veut attribuer forcément un rôle absolu- ment prépondérant à la thyroïde et veut expliquer de q
elief ses caractères d'infantilisme psychique partiel qui probable- ment sont beaucoup plus répandus que nous ne croyons c
s le deuxième cas, l'atrophie optique fut primitive ; le développe- ment sexuel était très exigu (infantilisme sexuel); le
Quincke a publié plusieurs observations d'individus tombés brusque- ment malades avec les symptômes d'une grave affection
tilisme de Lorain : cette forme d'infantilisme a été très probable- ment déterminée chez elles par l'influenceoe la syphil
e infanlilismo mixedematoso da eredo-pellagra. Riv. di'pat. nerv. e ment ., 1902. AII ! .FELD. (Jebee, infantiles Recken.
ophie optique dÛ à une tumeur de l'hypo- physe. Journ. of nerv. and ment . diseases, nov. 1906, no 11. 1 D'AsTnos. - Hydr
con. 1° Febbr. 1901. DBSANCTis. /t 39ongolismo. Riv. di Pat. nerv e ment ., anno XII, jan. 10. Gli Infanlilismi. Rivista
ciii. Il sono patologico nei tumori cerebrali. Riv. di patol. nerv. e ment ., 1904. FROHf.ICIi. Ein Fall von Tumor der Hy
me posl-opéraloire et fonction de l'hypophyse. Riv. di pat. nerv. e ment . (10), fasc. 12, décembre 1906. Gaspero (H. di)
linica ; geroderma genilo-distrofico di Rummo. Riv. di Pat. nerv. e ment ., vol. III, p. 363. Gros. - Seelenleben des Kin
in t'apposa all'elu e ad alcuni stali morbosi. Riv. di Pat. nerv. e ment ., vol. III, 9- Sett., 1898. NAZARI, Conlributo
RONI e LAMBRAKZt. Unavarietà di miredema frusta. Riv. di pat. nerv. e ment ., 1899, p. 216. TANDLSR. - 7H/aH<i7MmM. Wi
i7MmM. Wiener med. Presse, n° 15, 1907. Tanzi. Riv. di pat. nerv. e ment ., aprile 1899, fasc. IV. TSNNESON. - Ann. de De
te (tiers inférieur.) J'enlève le pansement et je voie avec étonne- ment une ulcération d'une largeur de 4 centimètres, lo
la moindre trace'a'acide ou bien d'alcali ; la plaque était absolu- ment aseptique ; seulement à la période de l'ulcératio
lle est mon observation clinique. Malheureusement, il s'agit seule- ment d'observation clinique : nous n'avons pas d'exame
La même malade a présenté de petites plaques gangreneuses parfaite- ment égales aux plaques de la peau, sur le repli gloss
», Mais je doute beaucoup qu'elle puisse se pratiquer artificielle- ment une lésion limitée de la membrane du tympan qui e
gestion médicale. Avec son talent clinique merveilleux, M. Babinski ment un blépharospasme très intense à l'oeil droit J'a
propre des aptitudes de négociateur où la prudence s'alliail utile- ment à la ténacité LE PROFESSEUR .10FFROY . 513 S'
pl.), par New, 231. Démence précoce, accessoires de l'habille- ment (4 pl ? par Boschi, 15. Dément précoce dégénéré
46 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la syncope à l'asphyxie s'annonce par une sensation de picote- ment qui disparait lorsque les doigts reprennent leur
la parole, par l'écriture/ sous forme de lettres écrites spontané- ment ou sous dictée à son médecin habituel, la lecture
vie et crient de grossières sottises dans le grenier, ils l'endor- ment et Roger sert de médium. Ils lui versent de l'aci
25 dégénérés, c'est-à-dire des sujets que l'hérédité a cérébrale- ment tarés. Mais tout d'abord, et pour comprendre plus
irantes, en conservant la netteté de son juge- DE LA PARANOÏA. 33 ment et l'intégrité de son intelligence, il ne saurait
définis que les zones des racines, qui, elles, empiètent générale- ment les unes sur les autres. Il donne un certain nomb
de constater d'une façon expérimentale que celle-ci a, non seule- ment une action excitatrice, mais aussi une action inh
au- coup moins graves qu'auparavant ; 5° cette méthode de traite- ment est surtout profitable dans les cas anciens et in
er du ventricule latéral. Le cerveau sera examiné après durcisse- ment . On décrira la lésion en détail dans un mémoire q
lle persiste à dire qu'elle se mariera bientôt, et se plaint amère- ment que les médecins avec ses parents sont cachés sou
- tions, d'autres encore où les patients se plaignent d'un senti- ment de malheur, ou bien les faits de précipitation de
hesses de l'automne, alors que ses frères etsoeurss'adonnaientgaie- ment à toutes les occupations de la famille, à la surv
devoirs de son service, aux soins qu'ilprodiguait, avec un dévoue- ment sans bornes, à ses malades et aux travaux qui ont
Il. LE nombre DE CELLULES nécessaire aux asiles publics DE traite- ment ET d'hospitalisation; DISPOSITION ET installation
nous croyons que la substitution du mot hôpital aurait non seule- ment un intérêt de sentiment, mais aussi une importanc
d'être infidèle. C'est une accusation absolument dénuée de fonde- ment . Mais cela devient chez lui une idée fixe. Il dev
ce seul point il est privé de son libre arbitre, il perd son juge- ment . En toute autre chose il perçoit et raisonne just
vacante à l'asile d'Evreux. Traitement : 1,200 francs par an, loge- ment , nourriture, blanchissage, chauffage et éclairage
eau. Depuis l'âge de 28 ans j'ai beaucoup travaillé, plus probla- ment que ne le permettaient mes forces; c'est ce qui a
où cette exagération est plus manifeste, on note aussi le tremble- ment épileptoïde du pied. Aucune sensation anormale
, sont normales; la force musculaire elle-même n'est pas notable- ment diminuée. Les artères, en particulier la pédieuse
rare, dans la paranoïa, d'observer des phénomènes dus à l'épuise- ment nerveux et qui sont de l'amentia. Quant à la Pa
tif (primoerer hallucinatoriscfier Wahnsinn). c Le délirium tre- mens , surtout dans sa forme prolongée, doit être tenu
a décharge des idées représentatives est surtout accélérée, rare- ment ralentie. M. Ziehen examine ensuite la rapide suc
sehe acutepai-anoia), dans laquelle on ne constate occasionnelle- ment de conceptions délirantes primitives. Même dans l
rveux ? L'influence exclusive des émotions apparaît encore nette- ment dans d'autres observations. M. Delta, externe du
devant rester seuls juges de l'opportunité de l'internement propre- ment dit comme de la déclaration de l'état d'aliénatio
DE criminels; par le D** van DE- venter. (Bull. de la Soc. de inéd. ment , de Belgique, sept. 1895.) Les considérations d
Cette fois, M. Naoumoff chargé d'examiner A..., a prouvé facile- ment qu'il s'agissait d'un délirant persécuté mégaloma
Le membre supérieur droit était parésié, et ses muscles profondé- ment atrophiés. Les masses musculaires des deux membre
fections extérieures et antérieures, auto-infections, particulière- ment d'origine gastro-intestinale, et l'hystérie consé
E MÉNING01fYÉLITE aiguë limitée A la partie INFÉRIEURE DU RENFLE- ment cervical. Hématomyélie ; par le professeur RAYMON
encore aujourd'hui, qu'il n'y a pas, pour un débutant, d'enseigne- ment meilleur. Il apprend à apprendre, et c'est bien q
s par tous les genres de traumatismes moraux, enfin par l'épuise- ment physique. L'intimité des relations entretenues av
st assurée par des conférences, des brochures, etc. (Soc. de illéd. ment , de Belgique, sept. 1894.) S. A. PEETERS. UNE N
folie peut se développer dans les premiers temps de l'emprisonne- ment et à l'occasion de l'acte qui l'a provoqué, alors
ire. C'est à huit ans que les premiers phénomènes de son tempéra- ment nerveux se manifestent. Au cours d'une dispute av
issait devant les yeux de la malade. Elle était prise de tremble- " ment généralisé et éprouvait des sensations comparable
va mourir dans quelques instants et rentre chez elle précipitam- ment pour ne pas mourir dans la rue. Dans ces circon
devenue gaie. Elle ne pense plus à sa soeur. Elle dort complète- ment la nuit. L'appétit est meilleur. Elle a engraissé
e con- tracte un rhumatisme polyarticulaire aigu, et consécutive- ment à la mort de sa soeur, débute son érythromélalgie
ous l'influence d'un choc moral. C'est le lendemain de l'enterre- ment de sa soeur, après avoir passé la nuit dans une c
xie c disséminée ». Le trouble asphyxique a diminué considérable- ment depuis que les accès ont disparu. Dans la paral
e. 13. - 6° Il est certaine forme d'érythromélalgie qui est pure- ment hystérique. Elle est en rapport avec une vive émo
des variétés d'aliénation mentale, sans lésions, ayant pour élé- ment symptomatique principal l'idée délirante en passe
élires systématisés plus ou moins cohérents qui ont été précédem- ment signalés et qui en réalité sont bien difficiles à
E NÉVROSE traumatique; par le Dr DERODE. (l3ull. de la Soc. de Méd. ment , de Belgique, sept. 1894.) Une jeune fille, san
RE DES négations; par le Dr X. FRINCOTTE. (Bull. de la Soc. de Méd. ment . de Belgique, sept. 1894.) - Cette observatio
fétichisme DE souliers; par le Dr NACRE. (Bull. de la Soc. de Méd. ment , de Belgique, sept. 1894.) Le sujet dont l'obse
ie PROGRESSIVE; par le Dr P. Kovalewsky. (Bull. de lit Soc. de Med. ment ., de Belgique, 1894, n°74.) On sait que le pr
maladies MIEN- tales; par le Dr TouLousE. (Bull. de la Soc. de Med. ment , de Belgique, sept. 1894. S'appuyant sur un c
il revendique en outre pour les causes considérées comme simple- ment occasionnelles et non efficientes de ces psychose
ments ultérieurs ; résultat incertain pour un autre; pas de change- ment pour 7 ; léger changement pour 8 autres, et améli
, quelle qu'en soit la forme; ceux que la police ramasse fréquem- ment dans les rues et que reçoivent pour quelques sema
iatrie EN Ecosse ; par le Dr URGUHARDT. (l3ull. de la Soc. de méti. ment , de Belgique, sept. 1894.) On peut considérer
choc moral CHEZ LES enfants ;- par Ch. Féré. (Bull. de la Soc. méd. ment , de Belgique, septem- bre 1894.) L'auteur rel
nalité ne font que s'accentuer. Sous l'influence de ce dédouble- ment de la personnalité, les idées de persécution pren
seraient plus humainement à leur place dans les asiles de traite- ment ; mais au moins, on en rencontrera peut-être moin
30 p. 100 et même davantage pour les asiles des villes. Naturelle- ment on se guidera sur les chiffres des admissions. 3.
tre que l'asile marchait parfaitement sans lui; l'asile a actuelle- ment 500 malades et en reçoit 170 chaque année. Cette
t de quelques jours seulement. En quelques cas, il fut immédiate- ment ou peu de temps après suivi de délire fébrile vra
Gehuchten, etc., ont apportées aux conceptions anciennes et com- ment on en est arrivé à la notion du neurone constitué
n- draxiles ramifiés. L'exposé de ces recherches est remarquable- ment fait et fournit les données les plus exactes sur
Ces articles de la Constitution n'avaient pas institué formelle- ' ment le monopole. La loi établissant le monopole de fa
nommé sénateur de la Haute-Vienne, son départ fut-il universelle- ment regretté : il devait être définitif, car Donnet,
et, plusieurs' expérimentateurs apportaient des résultats absolu- ment contradictoires.' Les conclusions de cette longue
Il s'ensuit que le délire chronique de Magnan doit être extrême- ment rare et qu'on ne saurait faire de la dégénérescen
b- oservateur àj'aide des, termes, qui lui'conyiendronttconformé- ment à. ce que nous avons expose- précédemment. 11 1
és de folie systématique révèlent toujours une anomalie du senti- ment , l'état de gaîté avec exaltation cadrant avec les
ait avertie de l'arrivée de l'attaque par une sensation de tremble- ment du bras droit. Immédiatement après, le bras droit
cale. A l'autopsie on a constaté une plaque jaune de ramollisse- ment cortical occupant toute la zone motrice de l'hémi
- risées par une série de spasmes cloniques, affectant primitive- ment les muscles du côté droit de la face et du cou ai
écoulement continu de salive, troubles de déglutition, affaiblisse- ment de la respiration. A l'autopsie, l'examen de la
é paracentral parait, envisagée dans l'ensemble de son développe- ment , être à l'âge de dix-huit ans presque aussi riche
VAL. XXVII. Observation DE totale destruction traumatique DU SEG- ment DE moelle intermédiaire a la moelle cervicale ET
transverse totale de la moelle siégeant si haut. C'était précisé- ment ce qu'avait annoncé Bastian quand il disait : ,
nant du rappel des images intellectuelles, excitations immédiate- ment suivies des'réactions générales de réponse dont l
son état mental, nerveux ou moral; il pourra devenir plus facile- ment , parait-il, malade de l'esprit, des nerfs ou bien
S. dant lesquels on a donné chaque soir 1 gramme et demi. Rapide- ment se montrèrent des symptômes donnant l'illusion co
ion de l'liématoporpbyrine. On supprime le médicament; graduelle- ment en trois semaines, ces symptômes inquiétants disp
etc. M. AsCHIFFENBunG. La volée des idées (Ideenflucht). Communé- ment en usage, cette expression indique que le mécanis
le passage d'un cercle d'idées à un autre, mais le plus générale- ment le thème change rapidement. Bien des bonds de l'i
n pareils cas, les unes sont le siège d'une prolifération relative- ment minime-de la névroglie, chez les autres, dès le h
vant par association ou sans rapport avec elle. Il semblait vrai- ment que cet esprit affaibli par l'idée fixe primitive
. * Quoi qu'il en soit, ces hémorragies amenèrent un affaiblisse- ment considérable à la suite duquel les troubles ^nerv
s, csl Quant au sens visuel qui nous intéresse plus particulière- ment il a présenté et il- présente à un haut degré les
n animale, tandis que la vision binoculaire est la vision propre- ment humaine.et que chez les dégénérés celle-ci dispar
voyons 'l'hémianopsie leur, succéder et-iles'remplacer 'exacte-; ment dans cette même moitié droite du-champ visuel de
à un épuisement particulier de l'un des lobes occipitaux, épuise- ment fonctionel qui ne supprimerait pas la sensation é
e le champ, visuel du blanc-, est fortement rétréci concentrique- ment , tandis que le champ visuel' du rouge'est beaucou
' ? x11 ii' v "' '^" ' / .i ? 1" '" , .,il -il' <tU ? t ? P ? 1 ment altérées, le ne lais que vous rappeler l'anesthés
naire rare- té tltl;,rr3utr ? · J| ,1· uuu ..U Jllf». 'lW, J- ? . ment réunies,, ont. prépare cette maladeia cette idée,
également et elle put marcher sans qu'on observât de raccourcisse- ment notable. En mars 1892, -nouvelle fracture en tout
d un appareil plâtre. Elle a guerpavec' un très'faible rMcourciss ? ment ? 8 ? ZsJSJEfiuo 9b$™1 8Bq Quna re mois après,
ues à l'arrêt de développe- 366 Ï-À PHYSIOLOGIE 'PATHOLOGIQUE. 11 ment de'ces'organes'pendant'les manifestations ? épile
vrll..· f;r. ! (rlltf tt"t'f)tt )'4 .V4s v I.t "1`,n ·1 .. \- ; ? » ment puis portent les veux sur le papier et ainsi d,e,
'on touche la malade la contracture spasmodique s'accuse notable- ment . Les réflexes patellaires sont très exagérés. Tré
mue par la détente d'un ressort. L'intonation a presque complète- ment disparu. Mart..., vingt-six ans. Epilepsie. A
. plus la marche devient difficile; elle finit par être complète- ment impossible. Tous les phénomènes que nous relation
spas- modique, on fait mouvoir le membre de plus en plus facile- ment sans que jamais il y ait de manifestations doulou
surtout occupé par des restes de bronchite. Le malade parle lente- ment et difficilement quand on l'interroge; certaines
d'iode sur les articulations, d'enveloppement ouaté et d'un traite- ment interne par le salicylate de soude, les douleurs
du pharynx et du larynx sont toujours aussi accentués. Le traite- ment est continué tous les jours. Le 21 novembre la
iques soient possibles, la paralysie du grand dentelé est certaine- ment une des moins fréquentes. (Revue neurologique, 18
r- vention de la magistrature dans le placement. Demandons seule- ment ] que tous les inculpés soupçonnés de troubles int
amine successivement les griefs articulés ou déguisés. Tels l'agré- ment de la police locale, la surveillance des asiles d
prié. L'hypnotisme peut aussi être utilisé conjointement à l'isole- ment . L'hypnotisme à lui seul guérit parfois très bien
s types qui se rapprochent de telle ou telle affection ; non seule- ment il faudra distinguer, dans les cas très intenses,
LES asiles d'aliénés; par le Dr S. MOREL. (Bull. de la Soc. de méd. ment . de Belgique, sept. lrt9'1.) La nécessité d'u
f. L'entrée en fonctions est pour le 1er juillet 1895. Le traite- ment sera de 6,000 francs au début, et s'élèvera à 8,0
s prix extraordinaires de bon marché, et avec une somme relative- ment minime on arrivera à donner à cette pièce un cach
x sont d'usage courant. Au pensionnat de Ville-Evrard, très sage- ment , à mon avis, on a rompu avec cette tradition et c
fles. Les dortoirs de l'asile de Ville-Evrard sont incontestable- ment ce qu'il y a de plus hygiénique et de meilleur da
ent de ces commodités sera tout trouvé sous l'escalier; complète- ment cachées par celui-ci elles auront leur entrée dan
ses croissantes et sans cesse renouvelées d'excitant, est éminem- ment propre à déterminer un véritable épuisement du sy
tes. On a également accusé certaines circonstances de l'accouche- ment . Les accouchements difficiles, l'arrêt prolongé d
fin que ces troubles digestifs commencent à diminuer progressive- ment , et leur diminution est justement l'indice certai
dérée comme la première manifestation extérieure de l'empoisonne- ment . Le produit toxique s'accumule, la quantité absor
nstante. En opérant de cette façon, nous sommes arrivés sensible- ment aux mêmes conclusions que dans nos expériences av
du même nerf dont le fonctionnement est aboli soit par l'écrase- ment , soit par la cocaïnisalion, il sera facile de con
ourant, on n'y devra pas placer l'électrode indifférente contraire- ment à ce qu'on a écrit dans les traités d'électrothér
est appliquée sur l'oeil et maintenue à l'aide d'une bande légère- ment élastique. Le circuit comprend un interrupteur, u
L'autre malade resta à l'asile six mois après le début du traite- ment et elle alla constamment s'améliorant; puis elle
le danger n'est pas définitivement passé, ni la guérison radicale- ment complète : il serait peu rationnel de supposer qu
dres qui ont mis des années à se produire pussent être intégrale- ment réparés en quelques mois. L'auteur a observé ré
à mon avis des raisons légitimes pour se départir exceptionnelle- ment de cette règle; mais je ne saurais protester ici
rison apparente. Il ne faut pas oublier que lorsque par un traite- ment quelconque on libère de ses attaques un épileptiq
inutilement les malades et de les empêcher d'obtenir le soulage- ment qui est à leur portée et que les verres prismatiq
l'ophtalmologiste ; et que, dans les cas où l'on obtient simultané- ment la correction de ces deux anomalies, il est légit
à laquelle conception M. Friedmann fait le reproche d'être unique- ment métaphysique. Lorsque la pensée revêt cette forme
spécial dans l'hôpital du chef-lieu. On voit par là que contraire- ment , une fois de plus, à ce qui s'est passé dans l'Eu
gées d'une façon légère. Il écrivit dernièrement sur le développe- ment de cette idée un petit ouvrage édité par Prielsar
cune fatigue pour qu'elle fût exacte et parfaite. Il a non seule- ment mené à bien le travail ordinaire, mais encore il
« Dictionnaire de Médecine psychologique » et, connaissant exacte- ment ceux qui pouvaient être ses auxiliaires, il produ
sujets médico-psycboloniques. La vie du Dr Tuke ne fut pas seule- ment consacrée à la rédaction d'ouvrages ; il n'oublia
fluence de ces idées ou de ces hallucinations se traduit brusque- ment et brutalement par un acte de violence ou même pa
d'autres encore, plaident, énergiquement en faveur de l'interne- ment et même de l'internement précoce des aliénés dans
ésulter des conditions dans lesquelles a lieu parfois le transfère- ment des aliénés des deux sexes d'un asile dans un aut
nuit. Supprimons en tout cas les cellules et multiplions le traite- ment au lit. Disséminons les éléments de perturbation
oïdien, par Clous- ton, 463. Narcotiques et psychoses, par Sie- mens , 18. Nécrose multiple en îlots, parKens- hait
inale, par Polita- kis, 121. Paludisme, hystérie et -, par Clé- ment , 68. Paralysies consécutives aux infec- tions
moelle,. par Gehrardt, 318. Responsabilité, liberté, discerne- ment , par P..., 116. Sclérose latérale amvotronluque
47 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atrie, et rendu d'éminents services à la science et à l'enseigne- ment : MM. A. JOFFROY, V. Magnan et F. Raymond. 11 A
premiers temps de son mariage, il y a dix ans, il buvait énormé- '. ment ; il était presque toujours pris de boisson'et on
il en est resuite une lésion intérieure qui s'est traduite immédia- ment par une'hémorrhagie du canal, et plus tard,"par u
.....^ ? ? I ,;iJi ., , ,j . Jlt n.;tj ? t ? f)<; a (|l ,ri h ,, ment , mais sans .vider sa vessie môme à moitié. Le res
r Des diverses causes auxquelles on peut attribuer légitime : ; " ment la ! , production1 de" cette maladie"mentale^,deû
saire que ce fut une villageoise. Devant l'official, l'accouche- ment avait eu lieu près de la cheminée; devant le comm
u'elle n'étoit point agitée, que le diable obéissoit au commande- ment de l'exorciste de ne pas les tourmenter, mais qu'
en effet, privée de barreaux, et la seconde en avait de si récem- ment scellés dans du plâtre qu'on pouvait facilement l
électrique des muscles sans réaction de 'dégénérescence. Le traite- ment spécifique est efficace........ , Les auteurs d
d'un incendiaire, par le Dr Dérobe. s ,. ? Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belg., juin'1893.)1 ' ) L'étude des faculté
De la responsabilité du médecin ou chirurgien traitant, relative- ment aux dommages pouvant résulter d'un traitement int
tites'doses d'alcool' avant et après les bains^ On obtient fréquem- ment ainsi un calme de plusieurs heures ! M. Stark pré
stic et traitement; Luxations de l'épaule. ''diagnostic "et traite- ment ; Hernie étranglée, diagnostic et traitement'; - I
poste d'interne en médecine est vacant dans cet hospice. Traite- ment : 400 à 500 francs. I;IANCIII (Fr.). Dos casos
ments. Une fois cette gaine formée, c'est-à-dire après développe- ment complet des centres nerveux, les imprégnations pa
ca- tions dans les transmissions des impressions nerveuses d'élé- ment à élément, c'est-à-dire un retard, un trouble ou
larvé. Depuis que ma conviction fut arrêtée sur la nature simple- ment palustre de cette neurasthénie, dans l'espace de
cale (quarante-trois fois sur cinquante). En comprimant profondé- ment la région ombilicale un peu à gauche, on provoque
ssion. Les courbatures générales, les fourmillements, le tremble- ment , les palpitations, les oppressions, les vertiges,
s de quinine ont réduit le volume du foie avec une rapidité vrai- ment merveilleuse. Nous insérons quelques observatio
faiblesse musculaire, qui parfois s'accentue subitement. Par mo- ment , elle a des palpitations et de légères oppression
la pression, la plaque ombilicale et cervicale persiste sensible- ment . Après trois mois, récidive et guérison prompte
oie légèrement engorgé. Rate normale. Sang : plasmodies sans pig- ment , hémoglobine 0,70, urines et règles normales. A
pri- son de Dijon et les autres conséquences de l'arrêt du parle- ment , en date du 18 mars 1661, redoublèrent l'appréhen
pas à demi; s'il veut le faire, qu'il le fasse tout à fait. Autre- ment il n'y a rien à faire, qu'il fasse enfin ce qu'il
être se faisant ressentir dans l'étendue de ses rigueurs, si j'ai menti ou fallacié. m Tels étaient les discours prépar
aver- sion des choses sainctes, particulièrement dans les Sacre- mens de Pénitence, et de la très saincte Eucharistie,
ens au démon; et dans la Communion, les convulsions et les mouve- mens involontaires apparemment, dont elles estoient sa
te, sans faire néant-moins aucune injure ou irrévérence au Sacre- ment , quelquefois l'espace d'une demie heure plus ou m
e toutes (Monseigneur ayant quelquefois imposé les mains secrète- ment , et sans qu'elles peussent le connoistre) ont tém
rait prétendre que cette thérapeutique puisse aller sans un traite- ment pédagogique spécial; l'expérience ultérieure perm
3 démontrent que les régions psychomotrices peuvent être directe- ment excitées à produire, non des mouvements brusques,
- Les vergetures sont le plus souvent en rapport avec un change- ment de volume rapide des parties sur lesquelles on le
Sous quelles influences se montrent chez les aliénés un abaisse- ment de la température ? Une des causes les plus impor
réflexes tendineux, une scoliose se produit ; enfin un amaigrisse- ment sans contractions fibrillaires se manifeste, une
M. MENDEL.-La question scientifique que l'on pourrait simultané- ment traiter est celle qui a trait à la paranoïa en di
ent traiter est celle qui a trait à la paranoïa en discutant juste- ment les deux rapports d'aujourd'hui. Adopté. (Allg. Z
us de thé, café et tabac. Il y a trois ans séjour à Vienne, traite- ment de Benedikt : des pointes de feu dans le dos font
idées de persécution ne peuvent plus être redressées par le juge- ment et subsistent malgré la disparition delà mélancol
rendre la parole s'il le juge utile pour la science; il aura égale- ment droit aux réceptions offertes par les autorités e
le défautd'exiger un dispositif plus compliqué, d'être d'unmanie- ment plus délicat que le procédé graphique ordinaire &
u- ché ou assis, se servir de l'appareil comme pour l'enregistre- ment du tremblement de la langue (fig. 3). > Tous
es grandes commot. polit. et sociales sur le développement des mal. ment . A ? in. méd.-psycla., 1874, t. XI, p. 350. ' R
1893). De la dynamométrie chez les aliénés. (Bull. de la Soc. méd. ment , de Belgique, 1893, p. 161.) , 172 G), CLINIQUE
ci- lement, quoique lentement et les yeux bandés, certains mouve- ment , tels que ceux de porter un de ses doigts dans so
de l'accident, ni combien de temps il s'est écoulé depuis, ni com- ment elle était vêtue quand elle s'est sauvée de chez
, D'abord elle ne se rappelle aucun fait qui a précédé immédiate- ment l'incendie. Les souvenirs de la période antérieur
cice. D'une façon générale les mots évoquent les objets et rare- ment leurs images verbales. Je l'interroge sur le ca
du genou,' elle refusa de revenir causer,avec moi, parlant vague- ment de vilaines choses que je lui avais faites..11 me
passent autour d'elle. , La démence ne consiste donc pas simple- ment ± dans l'affaiblissement de la mémoire et demande
intense, les excitations arriveraient à' la conscience plus' lente- ment et plus faiblement, et il en résulterait en défin
diminution de la iétentivité de ces sensations *. Il y a certaine- ment une condition particulière des cellules qui doit
a été fait a. l'asile depuis sa création, on a eu en vue exclusive- ment l'aliéné, son hygiène, son bien-être et son trait
s dortoirs sont trop petits aussi, en revanche ils sont très large- ment aérés parce qu'ils possèdent plusieurs grandes fe
, il devenait de plus en plus évident que, malgré ce fameux juge- ment du 20 janvier 1662. la cause de la réalité de la
humain. Après plusieurs délais successifs d'ajournement le parle- ment rendit enfin le 4 août 1662, l'arrêt suivant, don
si facile à réaliser pour l'homme normal, on voit qu'il est absolu- ment impossible au malade de détacher du sol la pointe
eait encore il y a vingt ans à peine, on y voit l'hystérie fréquem- ment mentionnée bien qu'il nous soit souvent difficile
de l'inconscient par rapport à celui du conscient est singulière- , ment réduit. Mais il n'en est pas de même dans l'hysté
raison, il peut y avoir simple dédoublement mais aussi morcelle- ment du moi en plusieurs individualités successives et
is- cutables de la dégénérescence mentale se rencontrent fréquem- ment chez le même malade ; 2° l'hystérie et la dégénér
s il pourrait en outre provoquer en même temps d'une façon égale- ment directe l'altération d'autres organes, tels que l
ériphériques, celles qui sont les plus voisines des centres (notam- ment les racines antérieures) restant en apparence int
e dite sensitive est en quelque chose motrice. Elle l'est du mouve- ment nerveux qui va exciter la cellule motrice, laquel
t nerveux qui va exciter la cellule motrice, laquelle est l'instru- ment de la réaction de l'être vivant déterminée par se
. Comme moi-même, il remarque que toujours les nerfs qui renfler- ment des nodules fibro-hyalins renferment des fibres d
cafés de tempérance, bien organisés, bien dirigés et convenable- ment situés, sont les meilleurs antidotes contre l'abu
suivant les indications. Occupation, travail, récréation. Change- ment de régime et régularité de la vie. Les ivrognes s
a- lement et matériellement abandonnée, à l'amélioration du loge- ment des ouvriers et à l'alimentation populaire, ainsi
A la moindre menace de récidive, il doit pouvoir être immédiate- ment réintégré dans l'asile. 16. Les buveurs aliénés
e après avoir été ramassés sur la voie publique sont très rapide- ment guéris. Au bout de quelques jours leur délire a d
rs spontanées du bras de ce côté, exagérées par le moindre mouve- ment , enfin une hyperaigesie au toucher du nerf cubita
ouloureux. 11 y a aussi quelques troubles de la sensibilité, notam- ment de l'hypo-esthésie symétrique au niveau des épaul
moindre cause occasionnelle. Quoi qu'il en soit et s'il y a réelle- ment ici un début de polynévrite, je tiens à faire rem
s que ce malade, aliéné, dit-on, sur un seul point, son raisonne- ment étant sain sur tout autre objet, c'est ainsi que
, par elle-même, a pourtant des caractères spécifiques si éminem- ment personnels. Ils ont bien sous les yeux un tubercu
e, il y a déjà longtemps que la fermentation est créée; pénible-, ment impressionné par une série de circonstances fâche
on succèdent les idées de grandeur. Le dégénéré, être originelle- ment taré, peut entrer d'emblée dans le délire ambitie
existe cependant un certain nombre d'employés d'ordre exclusive- ment administratif. Ici, le nombre de ces derniers, qu
aux vannes et les déjections de l'établissement et conduit directe- ment le tout au Loir. C'est donc, en réalité, le tout
portes de tous les cabinets d'aisances, et d'arrêter le fonctionne- ment de l'égout collecteur. ' ` ASILE DE BONNEVAL. 2
entre, le nombre de ces maiades et la population de ce départe- 1 = ment ? ., , On ne peut répondre que par les chiffres
vue pourtant, est venue démontrer que ces malades étaient réelle- ment dangereux. Les municipalités reculent tant qu'ell
297 disait possédée, vint à mourir presque subitement. Le Parle- ment ayant eu avis qu'elle était morte empoisonnée, or
mais le rapport du médecin et du chirurgien commis par le Parle- ment déclarait qu'elle était déflorée et que, selon to
ésenta. Quoique les faits du même ordre aient déjà été lumineuse- ment éclaircis, il nous reste à montrer rapidement que
, resta plus de cinq quarts d'heure dans une espèce d'assoupisse- ment , sans parole, sans connaissance, les bras contrac
ion vaso-motrice les faits multiples signalés d'absence d'écoule- ment de sang, aux piqûres faites à lapeau des possédée
nce parfois assez complète, leur état mental ne fut pas profondé- ment troublé, car c'est là le côté le plus intéressant
orsque les conditions dans lesquelles ils se produisent invariable- ment sont nettement et mathématiquement déterminées. P
la substance blanche semblent être restées à un état de développe- ment antérieur; les cellules-araignées notamment corre
tements des médecins' fonctionnaires, et les associent corrélative- ment pour leurs pensions de retraite aux charges et bé
adjoints des asiles publics et comme conséquence de ce rattache- ment futur, ils expriment le désir d'un relèvement des
e cette affection rend compte d'une série de symptômes difficile- ment explicables en dehors d'elle, comme la fièvre, le
d'anesthésie hystérique : c'est là, sans contredit, un nouvel argu- ment , et non des moindres, en faveur de la nature tout
IES. M. Henry àlEIGE. Les conceptions des neurologistes relative- ment aux amyotrophies primitives ont subi des modifica
même elle reconnaît les personnes du service plus ou moins aisé- ment , mais toujours sans comprendre ce qu'elles font l
ente. Mais dans ces expériences, que la malade soit privée isolé- ment de ses sensations soit optiques, soit auditives,
dans les membres, puis la malade fait quelques mouvements simple- ment désordonnés, s'agite, secoue la tête, se frotte l
ents symptômes anesthésiques nous indique donc déjà un élargisse- ment du champ de la conscience permettant à M... de pe
ée fixe du gendarme, elle ne la juge plus de la même façon au mo- ment actuel. Alors que dans le somnambulisme des expé-
x de l'urine n'ont donc rien donné de bien net, rien établi sûre- ment ; nous allons voir que l'étude des substances ano
de l'urée est la règle, et cette urée peut être même assez forte- ment diminuée ; la conservation du chiffre normal est
nt on ne possède point de critérium permettant de dire immédiate- ment : Voici une urine de paralytique ou permettant de
ser et de gérer les laboratoires de cette espèce. Ce sont évidem- ment là des leçons destinées aux futurs professeurs et
IATY'. Au Congrès d'Assistance publique qui a eu lieu tout récem- ment à Lyon, M. le professeur Pierret a soulevé une qu
oici : Le propriétaire de la maison, en général, ou, plus exacte- ment , dans notre région du moins, le régisseur d'immeu
ticle 31 de la loi du 30 juin 1848, dans la caisse de l'établisse- ment et tout est dit. Je m'arrête intentionnellement
· Le procédé indiqué par l'auteur a l'avantage, après le rabatte- ment du lambeau ostéo-périostéo-cutané, de conserver,
mènes d'excitation des nerfs cervicaux et dorsaux qui, progressive- ment , entraînent'de la parésie avec atrophie légère de
E. gauche (48 p. 100) surtout au moment des émotions, le tremble- ment des mains et de la langue. Observation de 125 h
dans l'ordre où elles ont été enchaînées par la perception au mo- ment de leurs relations avec l'extérieur. Le jugement
e le mouvement consécutif à la sensation organique sera un mouve- ment de préhension, de rapprochement de l'objet ou du
tique générale ; par le Dr P. Sérieux. (112111. de la Soc. de mccl. ment , debelgiqzie, juin 1894.) @ Observation d'une f
son état mental; par le Dr P. Kowalewsky. (liull. de la Soc. deméd. ment , de Belgique, mars etjuin 1894.) De cette étu
- vent se comporter pour aider par leur manière d'être au traite- ment de l'aliéné . M. SCHUELE traite des indications
a fugue neurasthénique, dont M. Géhin s'occupe plus particulière- ment et dont il relate plusieurs observations intéress
assure à presque tous les internes des asiles d'aliénés du départe- ment de la Seine un séjour d'au moins une année sur tr
à un stage fait dans les pharmacies hors de Paris devront égale- ment , sous peine de nullité, être visés par les maires
délire chronique est formé d'une succession de délires parfaite- ment systématisés ; il rapproche, en sa lente et fatal
te peuvent avoir des antécédents héréditaires; ils sont certaine- ment des prédisposés ; mais tout leur passé intellectu
ipe de plus en plus ; il fonctionne en quelque sorte automatique- ment , et le sujet assiste en auditeur étranger à des c
des hallucinations agréables. Ici chaque hémisphère agit séparé- ment pour son propre compte. A côté de ces modalités
ers trois heures du matin à la fontaine de la cour qui était égale- ment gelée. Alors, le voilà parti vers les Halles où i
heures ont été ponctuellement mesurées ; les aliments et les excré- ment rigoureusement pesés. ' Pendant un mois D... es
. Mais sa polyurie est-elle aussi de nature hystérique ? Un argu- ment péremptoire, la guérison par suggestion, permet d
ère de voir, nous ferons remarquer que M. A. Mathieu a explicite- ment noté l'influence des excès alcooliques aigus dans
- rieuses diurnes, croit en réalité qu'il urine plus que normale- ment . L'enchaînement logique des choses doit le condui
e est, au contraire, tout hypothétique. Il ne peut en être autre- ment , puisque la physiologie de la sécrétion urinaire
ana- tomo-pathologique de ces myélites s'est constituée si lente- ment . Les formes graves rapidement fatales sont l'exce
mu- ler, même en présence de cas qui l'embarrassaient singulière- ment , fut couramment porté dans la pratique médicale.
l'interprétation du la nouvelle expression impressionne pénible- ment les Allemands eux-mêmes, qui ne sont pas plus cap
cas au moins et dans des conditions qui se préciseront ultérieure- ment . On peut encore admettre un délire systématique m
cale et fut trouvé à l'autopsie dans la lame vertébrale immédiate- ment susjacente à celle réséquée. Dans l'autre cas rap
Dans toutes les expériences qui ont porté sur les chiens faible- ment curarisés, la parotide était soumise à un examen
mplies d'une substance se colorant très faihlement; 1es uoyaux au; mentent de volume, deviennent plus transparents et pren
su- bordonnée et dépendant, dans la folio systématique, générale- ment du texte des conceptions, du délire sensoriel. Po
3 les gestes ou les mouvements d'une autre personne qui générale- ment occupe une position supérieure à la sienne, il vo
t plusieurs mois, jusqu'à ce que s'effectue la guérison qui finale- ment et le plus fréquemment arrive. En d'autres cas, i
se transformer en délire systématique, mais qui le plus fréquem- ment du commencement jusqu'à la fin restent du délire
tardent pas à se mélanger. Les hallucinations jouent ici fréquem- ment un rôle, mais pas toujours un rôle considérable.
se produire non seulement chez des individus atteints préalable- ment de faiblesse d'esprit (Schwaclcsiznige) mais auss
accompagnent, les précèdent, mais aussi qui peuvent exister isolé- ment . Mais ni la polynévrite, ni la psychose ne se com
s phénomènes paralytiques et atrophiques ne guérissent que lente- ment . D'autre part les phénomènes psychiques mettent u
7.) Les accidents de pseudo-méningite hystérique existent réelle- ment , mais le petit nombre d'observations montre aussi
névropathique, on trouve des maladies qui ne sont point, à propre- ment parler, des névroses ; la diabète, le rhumatisme
théorie, n'existe souvent qu'en apparence, la maladie presque sûre- ment existant déjà à l'état latent. Théories bulbair
el ils' ne sont appelés que lorsque l'âge leur a enlevé définitive- ment toute la souplesse et l'énergie voulues pour entr
lonté en laissant inutilisées des forces jeunes que cet anéantisse- ment exaspère et révolte. Une enquête déjà ancienne
48 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cupée de commettre un péché. Après son mariage ses scrupules aug- mentent et le moindre incident devient un motif de craint
mille non seulement pour le déplacement mais même pour le change- ment du personnel habitué à obéir sans réplique, tous
diatement la tête, et son visage exprime un profond désappointe- ment . Pressé de répondre, il dit que c'est une grossiè
peu actif. La nuit elle s'efforçait de ne pas dormir trop profondé- ment , afin de pouvoir surveiller ce qu'elle* appelait
qu'il éprouve la sensation du besoin. C'est l'émission par regorge- ment . Quant au sphincter anal, le malade questionné à
emble que le malade, à certains intervalles, était pris d'un agace- ment général qui le forçait à se remuer, à s'étirer et
usqu'à la période de maladie confirmée, s'est faite assez rapide- ment pour qu'on soit autorisé à,la caractériser de su-
r ; il est vrai qu'il se contredit souvent dans ses récits et qu'il ment peut- être quelquefois. Mais il faut tenir comp
en- sations et les souvenirs de ces sensations seront matérielle- ment détruits d'une façon irréparable. En est-il ainsi
etc., etc.2... » Le souvenir des trois mois oubliés était totale- ment revenu ainsi que je pus le vérifier. Mais dès que
e type alternatif; car elles passent naturellement ou artificielle- ment d'un type à un autre; elles sont, par exemple, de
lades n'ayant dans leur somnambulisme que des modifications pure- ment morales, c'est que M. Charcot les a vus et m'a de
. venue près d'elle, que son père l'a embrassée, etc. Réciproque- ment , si je lui dis maintenant quelque chose, elle pou
a eu une très bonne santé jusqu'à l'âge de quatorze ans. A ce mo- ment , étant domestique de ferme, il reçut un violent c
à la partie antérieure et latérale. Cette plaie guérit très rapide- ment , mais trois mois après Ser... avait sa première a
existait des saillies osseuses internes très prononcées qui évidem- ment devaient comprimer les portions sous-jacentes du
cinq ans, d'un cancer de l'estomac était un homme sobre et nulle- ment nerveux. Sa mère vit encore; c'est une femme d'hu
nt à d'autres égards. De toute manière, la fugue est liée intime- ment aux paroxysmes dipsomaniaques; elle en relève dir
onclut à la nécessité de séquestrer un tel individu, félicite vive- ment les médecins qui le soignaient, et proteste énerg
il se complique, chez quelques-uns de ces malades, d'un tremble- ment intentionnel qui affecte surtout les mains; la ma
d'un manche à balai. le bras devient de plus en plus raide, finale- ment , la plume s'échappe de ses mains. La dyslexie a p
s. M. MARANDON DE MONTYEL. J'ai été chargé d'examiner V... au mo- ment où il venait d'allumer sept incendies. J'affirme
la seule action judiciaire; la procédure continue. Un second juge- ment ordonne que la famille paiera les frais de l'exam
qui servirait simultanément d'asile de convalescence. Ce complé- ment indispensable de l'hôpital permettrait du même co
autorités. Cette possibilité de l'interne- 106 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment dans un asile spécial doit être admise dans les c
és tous les ans. L'inspecteur d'hygiène les surveillera périodique- ment et y fera dresser des statistiques ; 9° La procéd
rapport médico-légal d'un médecin fonctionnaire, un affaiblisse- ment considérable de la volonté, seront internés dans
pendant longtemps, car l'alcoolisme chronique se développe lente- ment et son développement exige le concours d'années.
de l'enseignement pédagogique, du travail manuel, de l'entraîne- ment agricole. Les épileptiques aisés doivent, par sui
incts et éloignés les idiots et les déments. L'école sera séparé- - ment ouverte aux enfants épileptiques et aux enfants i
Il est démontré aujourd'hui qu'ils voudraient éliminer complète- ment les médecins des asiles en question. On les tolèr
éléments qui sont en rapport avec le son des mots entrent égale- 1 ment en jeu dans les mouvements que ceux-ci nécessiten
sont intimement liés. La paraphasie est, à cet égard, particulière- ment intéressante. On ne saurait méconnaître que, lors
La conductibilité des tractus d'association présente bien évidem- ment des variétés suivant leur mode d'utilisation dans
diagnostics formulés nous permet de penser qu'il s'agissait simple- ment de vésanies aiguës dans quinze de ces observation
valeur sont aujourd'hui devenues classiques et il semble véritable- ment oiseux d'en parler. Nous croyons cependant qu'on
es du maître, ses procédés de diagnostic, ses méthodes de traite- ment . A cette époque, il s'agissait de la première édi
clinicien, il faut que la science de l'observation soit méthodique- ment développée, et qu'au centre de l'observation (emp
Cette analyse succincte donne à peine l'idée des difficultés vrai- ment considérables, que M., Séglas a dû surmonter pour
145 ART. 10. - La comptabilité de la Société est tenue conformé- ment aux principes suivis pour les établissements publ
prit du public sous des formes variées. Elle revient continuelle- ment devant les assemblées sociales et économiques de
21, rue Paul-Lelong ; au moment où on allait fermer l'établisse- ment et le prier de rentrer chez lui, il entra dans un
droit de domicile à Paris. Réclamés légalement par leur départe- ment d'origine, ces malheureux sont transportés dans d
ments t. Nous répondrons à M. le préfet du Loiret que le départe- ment de la Seine a maintenu sa décision et qu'il ne ré
de Chicago), de juin, a été pratiquée fréquemment dans le traite- ment de la nymphomanie. Au point de vue de la psychiat
r Psychiatrie qui jouit d'un si légitime succès. » (Bull. Soc. Méd. Ment . de l3elilue.) J.-B. CHARCOT et Georges GmNON.
tantes. Elle va passer l'été au Tréporl, mais au retour, non seule- ment elle ne veut plus rentrer dans son appartement où
roit du corps. Chez cette dégénérée se sont développés non seule- ment des accès de délire mélancolique, mais aussi de
des vingt-quatre heures, les ont empêché de multiplier suffisam- ment leurs expériences pour conclure. Ils inclinent
ort rapidement avec de fortes convulsions; la seconde plus lente- ment et avec peu de convulsions.' Aussi l'auteur con
nes psy- chiques. Dans la même communication, M. Féré note égale- ment que les épileptiques ont des crises de polyurie d
spi- ration de M. Mairet, de Montpellier, on a étudié successive- ment la toxicité des urines des aliénés et des hystéri
a toxicité d'urine augmente après un accès isolé, c'est que vrai- ment le malade est atteint d'accès isolé et non de sér
exem- ples de Wilmb..., par comparaison, nous paraissent absolu- ment démonstratifs. Nous insistons sur la donnée de
membres et le tronc, qui paraissent agités d'une sorte de tremble- ment vibratoire. Exorbitisme très prononcé. Mort. Au
lcr avril, jour de l'injection, elle se trouve bien, répond nette- ment . Pas de troubles gastriques. . A 4 heures de l'
s. Autopsie. - Le coeur continue à battre. Les reins sont légère- ment congestionnés. Les poumons sont légèrement conges
enue. Lapin de 1,600 grammes. Myosis intense vers 25 c. c. seule- ment . La respiration n'est nettement accélérée qu'à ce
minée ultérieurement. Le foie, dans certains points est très nette- ment cirrhose surtout au voisinage de son bord libre à
heure. - Totalité, affirmée par la surveillante : 780 c. c. seule- ment . Lapin de 3 kilogrammes. Myosis tardif vers 40
ne heure, à une heure et demie et plus. D'ordinaire le scintille- ment survient peu après le trouble de l'acuité visuell
demi- heure, à une heure, rarement plus. Elle commence ordinaire- ment dans la région de la tempe ou dans le pourtour de
asale l, L'hémiopie transitoire survient graduellement ou subite- ment , et dans la plupart des cas elle est suivie par l
ien voir à droite et à gauche du champ visuel. Jamais de scintille- ment . Engourdissement de la main droite, et quelquefoi
aractérisées par de l'obscurcissement de la vision et du scintille- ment , allant parfois jusqu'à la cécité absolue dans le
es. Une autre observation, que je n'ai pas pu recueillir directe- ment et qui m'a été communiquée par M. Parinaud, conce
tonnera pas si nous songeons que même les gens nerveux ou simple- ment névropathes (selon la classification proposée par
quand on le fait parler, on le voit quelquefois s'arrêter brusque- ment pour chercher un mot qu'il trouve très difficilem
est la pointe; il se prolonge vers l'aisselle et on l'entend nette- ment systolique dans le dos. A la base le claquement d
. Nous n'avons pu encore réussir à localiser les régions directe- ment ou indirectement en relation avec les fonctions o
catégorie de faits par l'autre ? Non certainement. Des faits égale- ment bien établis, ne sont pas susceptibles de réfutat
l'irritation est diffuse et prolongée, et si on la fait primitive- ment partir des centres sensoriels, les phénomènes qui
ont unis, taillés en biseau et bien cicatrisés. Ils ont été évidem- ment faits pendant la vie et apparemment à un âge préc
formes de lésions traumatiques puissent sembler guérir spontané- ment ou sous l'influence du traitement dit antiphlogis
le au moyen des mêmes méthodes barbares la trépanation fut seule- ment employée en vue de remédier aux résultats primair
L'épilepsie et les convulsions épileptiformes ne sont pas seule- ment les affections cérébrales importantes avec lesque
. XV. UN cas d'anomalie dans LE trajet DES FIBRES ET DE redouble- ment partiel DE la MOELLE chez UN paralytique général
certain degré d'incertitude sur la nature, l'étendue et l'emplace- ment exact des néoplasmes intracraniens. S'ils sont
Mort par lésion organique du coeur (artérios-cléroses, rétrécisse- ment aortique. Nécropsie. Hypertrophie cardiaque excen
Au bout de ce temps, les idées mélancoliques s'évanouissent totale- ment , mais lacunes de la mémoire pour tout le temps pa
r M. Séglas. De l'ensemble de ces travaux se dégagent très nette- ment certaines données qui peuvent être résumées ainsi
Cotard, s'observer encore dans d'autres maladies mentales, notam- ment dans la paralysie générale, l'hystérie et certain
d'autres viendront certainement les confirmer. En voici une absolu- ment typique. M. Régis communique ici une observatio
res paralytiques. De plus, ce délire spécial débute alors soudaine- ment et l'indifférence des malades contraste avec leur
viennent en général qu'assez tard. Il en est de même du dédouble- ment de la personnalité. ' Les idées de négation son
thétiques. des impulsions de toute espèce, signes d'un dédouble- ment de la personnalité et très voisins de l'idée de p
s dans deux circonstances : 1° lorsque vous êtes accusé publique- ment par le malade de séquestration arbitraire et que
Anne. Quant aux mesures les plus propres à remédier à l'encombre- ment des asiles par les sujets incurables, elles ont é
L'expérience seule pourra décider, quand elle aura été suffisam- ment prolongée, lequel de ces trois modes d'assistance
troubles mentaux chez ces malades. Leur évolution parait intime- ment liée d'ailleurs à celle du trouble fondamental (h
même que la confusion mentale est justiciable d'un état d'épuise- ment rapide et brusque du système nerveux. Je répond
IDIOTIE'. Nous avons donné quelques renseignements sur le traite- ment chirurgical de l'idiotie hydrocéphalique dans le
t s'étendait de la fontanelle antérieure à la postérieure fut aisé- ment enlevée. Il y avait de chaque côté du morceau e
ariétaux restant; de sorte que l'espace enlevé ressemblait entière- ment à une croix dont les bras étaient de longueur et
et d'autres mots encore, mais depuis'lors elle a perdu complète- ment l'usage de la parole. Il y a deux ans, elle eut v
durent deux ou trois secondes. Son intelligence varie considérable- ment ; parfois elle est plus éveillée que dans d'autre
L'incision de Lannelongue fut faite dans le cuir chevelu parallèle- ment à la ligne de la suture sagittale, commençant en
sommet de la tête s'était fermé par ossification et que ce dérange- ment physique était dû à la compression du cerveau. Au
24 mars. - Le soir de l'opération sa température s'éleva subite- ment à 40°,3', tombant en quatre jours à une températu
considérablement diminué dans ces derniers temps. Il était égale- ment sujet à des accès de mélancolie apparente et d'ag
a quelques soupirs convulsifs et mourut instantanément, probable- ment d'une affection cardiaque. Il n'avait pas repris
oublia son petit vocabulaire, devint instable, maussade et facile- ment irritable ; dormait peu. Les fontanelles avaient
ns faites en Amérique, en excluant deux qui n'étaient pas réelle- ment des opérations de craniotomie. Sur ce nombre, deu
émie aiguë. Je suis d'avis que la bande d'Esmarch servira grande- ment à limiter la fatalité de l'une de ces sources, pu
ntier développement du cerveau. Or il ne se produit aucun écarte- ment ; dès le lendemain de l'opération, il se fait un
t de la tête plus rapide que celui des idiots soumis à un traite- ment médico-pédagogique convenable et méthodique. Cet
l'oblitération des sutures du crâne ne se fait pas plus prématuré- ment chez les idiots que chez les sujets sains; que l'
te voulu rivaliser avec certains chirurgiens américains heureuse- ment rares qui excusent leurs décès dans les cas de cr
sainte, protégez-moi ». Ces mots, qu'elle accompagne habituelle- ment d'un mouvement en cercle de la main, ont pour ver
d'années, à des syndromes épisodiques multiples. Elle a actuelle- ment , surtout la crainte du mot exprimant une idée de
d fortement le cuir chevelu. Cette contraction énergique fréquem- ment répétée n'est pas, à son tour, sans douleur. Tout
mental de Mme Gi... était notablement troublé. Elle avait fréquem- ment des cauchemars parfois elle croyait être transpor
lesquelles se manifestent deux ou trois fois par semaine séparé- ment . Examen objectif (pratiqué le 1°r avril 1892).
plus à ^présent (13 août) que les vagues sensations de fourmille- ment qu'elle éprouvait depuis son enfance, et qui ont
rares (une fois tous les dix jours). La paraplégie s'est légère- ment améliorée. - 11 est à remarquer que, dès le comme
tatique. Diagnostic. L'observation de ce cas nous paraît extrême- ment intéressante; on y trouve à une certaine période
ments s'accompagnèrent de faiblesses qui lui survenaient subite- ment , il avait la sensation de la défaillance, il étai
nt à l'autre, sa non-modificabilité par le repos et par le mouve- ment , son apparition et disparition pour des causes in
lle-ci fut l'interprétation plus juste au commencement; mais com- ment expliquer leur persistance depuis que Cha... eut
e le rétrécissement suit immédiatement les accès, exceptionnelle- ment il peut les précéder comme une aura; jamais il n'
e et n'urina pas sous lui. Lorsqu'il revint à lui, il était simple- ment un peu étourdi; son étourdissement se dissipa bie
la façon suivante. Une nuit, tandis qu'il dormait très profondé- ment , la scène de la foudre se représenta à son esprit
is tous les huit ou dix jours, en se présentant le matin ordinaire- ment vers les 5 heures; après, ils survinrent même pen
mais les affaires allaient mal pour la petite troupe; B... s'ali- mente mal et dort peu; ainsi après quatre mois d'accalm
la série qui s'est présentée à la fin de mai, disparut complète- ment après la seizième attaque survenue le même jour.
après l'entrée de Bar... dans les hôpitaux, à la suite du traite- ment hydrothérapique ou hypnotique. 6° Nous devons e
souffrent d'une céphalée très forte ; en effet, l'on voit fréquem- ment ces individus avec. les coudes appuyés sur une ta
ns le centre cilio-spinal ? Ou bien est-elle produite secondaire- ment par une névralgie du trijumeau ? » Evidemment,
ar retentissement à distance, des centres visuels corticaux. Seule- ment lorsque la lésion d'une hémisphère est profonde,
er). Telle est la description que M. Baralt nous donne, relative- ment à ces accès, tels sont les faits mis en évidence
part des cas, comme la migraine, parmi les troubles nerveux pure- ment dynamiques. Même dans les cas où les accès d'am
parlais dernière- Archives, t. XXIV. 29 450 CLINIQUE NERVEUSE. ment , a vu, une fois dans sa vie, un homme caché derri
vo- lonté, la faculté d'attention. L'attention est très profondé- ment modifiée chez toutes les hystériques et d'une man
ont des malades complexes chez qui se sont développées simultané- ment et indépendamment l'une de l'autre deux maladies;
les abouliques que la suggestion prend son plus grand développe- ment . . J'ai étudié, il y a quelques années, chez mo
à sa personnalité. A1 ? D..., de même, avait conservé inconsciem- ment tous les souvenirs. Vous voyez bien, d'après ces
sonnelle. Je crois que nous pouvons maintenant comprendre facile- ment le pouvoir énorme que la suggestion exerce sur de
taines hystériques que personne n'a touchées, qui n'ont certaine- ment pas d'idées fixes, deviennent peu à peu de moins
ins états anormaux que l'on provoque ou qui surviennent spontané- ment , les malades se trouvent momentanément transformé
arlé, elle ne présente plus le phénomène de la suggestion propre- ment dite. Les faits précédents me semblent constitu
Le il avril, on a recours à l'hypnotisme. Le malade est assez faci- ment endormi par la fixation d'un objet brillant. On l
L'EXPERTISE MÉDI- cale ; par le Dr SEV AL (Bldl, de la Soc. de Méd. ment . de Bel- gique, 1891.) Il résutte des considé
atténuations ou aggravations de peine, dont l'action est exclusive- ment l'apanage du juge. Il convient même que les concl
besoin vous complétez votre cure par l'administration d'un médica- ment (Obs. II), donc vous avez le droit de les exposer
petit grumeau coloré contenant, en son milieu, un nucléole simple- ment indiqué. Dans l'intoxication phosphorée on assi
forcément du tronc, parce que le muscle trapèze peut, par son seg- ment inférieur maintenir cet os, tandis que par sa par
des mains, les oscillations prononcées des extrémités, un mouve- ment de propulsion peu marqué du corps, mais un mouvem
sortissant à la maladie de Basedow, ou bien il se présentait isolé- ment de la tachycardie, des crises laryngées, de la dy
Bulletin bibliographique, 159. CELLULES nerveuses, dans le seg- ment le plus inférieur du canal vertébral, par Hoche
49 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ointe. L'atrophie de l'éminence thénar droite se prononce rapide- ment ; elle se dessine également à gauche ; les muscle
EUSE. L'orbiculaire des lèvres répond à 100 millimètres d'écarte- ment pour la lèvre inférieure, et à 90 pour la supérie
ans d'autres. Quant à leur disposition, elle coïncide très nette- ment avec la direction des fibres du faisceau pyrami-
ecousse de la moelle. Cependant, l'effet de cette secousse n'aug- mente pas proportionnellement à la puissance de la trac
Hayem. Sur les altérations de la moelle consécutives à l'ai-i-ache- ment et à la résection du nerf sciatique chez le lapin
t, depuis la région cervicale jusqu'à la région sacrée inclusive- ment . Dans l'espace de trois ans, qu'ont duré ces re
LLE ÉPINIÈRE. 57 sèment de volume de 15 millimètres, comparative- ment au côté non opéré. Cette différence est de 11 mil
erniers, à côté de l'atrophie du cordon postérieur un rétrécisse- ment notable de la corne postérieure correspondante.
e nous ve- nons d'énumérer se manifestent surtout dans le renfle- ment lombaire, dans toute la région lombaire et en 6
s dans la région lombaire de la moelle, se localisent principale- ment dans les cornes et les cordons postérieurs du c
c nerveux, à l'arrachement d'un nerf avec ses racines ! Certaine- ment ; mais, en considérant l'arrachement d'un nerf
rfs. Or, une opération qui est constamment suivie d'un envahisse- ment du tissu conjonctif qui comprime les éléments n
érieurs est moins marquée que dans la figure précédente. Envahisse- ment du tissu conjonctif qui remplace les éléments ner
i rendait la marche un peu titubante. D'ailleurs, pas de tremble- ment , pas de mouvements involontaires, pas de traces d
allait lui aider, sous peine de jeter tout par terre ). Ce tremble- ment , si bien décrit par sa mère, a continué pendant à
de chercher quelque chose partout sans pouvoir nous dire précisé- ment quelle était la chose cherchée, bien qu'il eût pl
sa maladie, car aujourd'hui il n'a plus son caractère habituelle- ment mélancolique, que nous avons décrit dans ses anté
ion des neuropathologistes et des physiologistes. Je dirai seule- ment que, parmi les conditions inconnues qui ont facil
nces de succès. On se rappelle que nous sommes intervenus active- ment au dixième mois de la maladie. M. Wilson est inte
ide phosphorique uni aux terres se produirait toujours conjointe- ment à la diminution de l'acide phosphorique uni aux a
e chez un individu à l'état de travail intellectuel, comparative- ment à ce qu'il est chez ce même individu à l'état de
on dégénérative absolue des muscles paralysés et de l'amaigrisse- ment . La mort a lieu, malgré une alimentation suffisan
nous, n'enlève rien au mémoire que nous venons d'analyser briève- ment ; les questions se tranchent non avec des mots, m
- conque (action irrégulière ou trop forte de l'alcool, durcisse- ment irrégulier, pression avec le couvre-objet) peut r
. des nerfs périphériques, la moelle étant restée indemne, notam- ment dans les cornes antérieures, Erb invoque l'hypoth
) et névrite multiple vraie, c'est-à-dire inflammatoire; car com- ment distinguer l'élément dégénératif, de l'élément in
énétique peut parfaitement engendrer simultanément ou successive- ment ou exclusivement des lésions spinales ou névritiq
); atteinte de quelques branches de la Il paire cervicale, notam- ment de rameaux sus-claviculaires postérieurs qui comp
84.) Les anesthésies et hémianesthésies sensorielles (rétrécisse- ment concentrique du champ visuel, troubles de l'ouïe,
s vaisseaux. Le courant faradique dilate les vaisseaux spasmodique- ment contractés ; inversement le courant galvanique ré
ques uns de ces cas cèdent à l'action de l'électrisation du revête- ment cutané, c'est-a dire à l'action réflexe du couran
e cinq ans, retour une fois ou deux par an (mai-octobre), finale- ment paralysie complète. L'accès est précédé de céphal
lysie de l'oculo-moteur commun. Les accès rétrocèdent invariable- ment en quatorze jours. Depuis trois ou quatre ans, il
de son élève le Dr Gaube (Bordeaux, 1882). On rencontre fréquem- ment des zones hystérogènes dans l'hystérie vulgaire,
peuvent se rencontrer sur des régions cutanées qui sont complète- ment anesthésiques. 2° Les zones sous-cutanées, qui so
médi- caux, des demandes d'admission et du bulletin de renseigne- ment , ou questionnaire à remplir à propos de ces deman
et celle d'un certain nombre de troubles mentaux envisagés isolé- ment , et enfin son Anatomie pathologique et son Traite
cet ouvrage que nous allons essayer maintenant d'analyser rapide- ment . Au sujet du sommeil, l'auteur se borne à prése
the question of oop/t0)'e ? <om ? par WALLON. (Joum. ofnerv. and ment , diseuse). Crural symptoms occuring in hysteria
cise à la même question. Il compare la pensée à un certain mouve- ment défini, il la considère comme la manifestation
YSIOLOGIE. -Par conséquent, il s'agit, dans le cas donné, propre- ment dit, non pas de deviner la personne ou l'objet
exige que les impulsions locomotrices (préparées pour le déplace- ment vers l'endroit indiqué) entrent dans la compo-
t d'équilibre musculaire, prêt à tout moment à passer à un mouve- ment déterminé, et que le lecteur, par ses mouve- me
sieurs semaines. Quand il lui arrive de ne pas retrouver prompte- ment ces mots, elle gémit, se lamente, elle est prise
ait inquiet, effrayé et dormait mal. Tout a disparu assez rapide- ment . Il buvait à ce moment du viri blanc le matin' et
s, à mettre en saillie ce syndrome bizarre qui pousse impérieuse- ment à la recherche du mot effacé du souvenir. Exami-
NERVEUSE. il est vrai que là les corps granuleux étaient infini- ment moins abondants qu'au siège d'élection, il n'y en
myélite dif- fuse ? Loin de, là, et nous nous rattachons entière- ment à l'opinion, émise par MM. Debove etGombault, q
ion avec leur volumineux cylindre-axe, elles ont presque entière- ment disparu : .C'est donc bien là une preuve que dans
iol., 1883, 11° 6.) CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 181 t ment des cas de sclérose latérale amyotrophique dont
est, d'après Charcot, une maladie à début successif, continuelle- ment progressive, et à marche relativement rapide ;
ent à ce que l'on pourrait croire, le début bulbaire n'est nulle- ment l'indice d'une marche fatalement rapide; dans n
OPHIQUE. 183 mandé moins de deux ans, et nous observons actuelle- ment des cas dans lesquels la durée paraît devoir être
intelligence peu développée; cependant, elle renseigne passable- ment . Pas d'excès de boisson. De quinze à vingt et un
devinrent régulières qu'après le mariage; elle ont cessé brusque- ment al quarante-cinq ans, lorsqu'on lui a apporté le
ans. D'une santé délicate, d'une figure pâle, elle est manifeste- ment anémique. 'Elle est bien musclée, ses membres son
re les doigts, et la main reste serrée pendant un temps relative- ment fort long. Mieux encore que l'observation dir
tième deux, la dix-huitième une, etc. On y voit aussi très nette- ment que la période de raccourcissement du muscle est
cultés à se mouvoir qu'il a un plus grand désir de le faire rapide- ment et avec précision. La crainte d'être remarqué aug
échauffé, il sent ses membres très libres et très forts. Le senti- ment de gêne ne se manifeste que lorsqu'il faut commen
poumons, l'appareil digestif et ses annexes ne présentent absolu- ment rien d'anormal. Les urines ont été analysées par
, retour à l'état prime, amnésie des douze derniers mois, change- ment du caractère. " Durant les deux années qui suiv
cique du côté gauche; le malade ne supporte pas le moindre frôle- ment à ce niveau. A l'auscultation, on a la sensatio
malade. z Limitation de la contracture à droite, comme précédem- ment . Mars, avril. V... garde toujours le lit avec s
- pébrale de'l'oeil droit et non de l'oeil gauche comme précédem- ment , détermine de nouveau l'arrêt de la parole. Que s
quatreheures. L'âgede la malade n'estpas indiqué; il estdit seule- ment qu'elle avait eu, deux ans avant, une attaque de
884.) , Observation prouvant qu'un' adulte bien portant physique- ment peut supporter une abstinence absolue, même sans
° sclérose et atrophie cellulaires : disparition du contenu fine- ment granuleux, aspect rayé, consistance plus ferme, c
la hpuche même. Cette mauiprp de faire s'appjique non pas seule- ment aux cas de parajysip pu de parère hystérique, HH
s ) priment^ d'ailleursqleüid; Jtiôris b;içhtqûé ? 51.·till : aasse ment «moral consiste, à gagner, la malade profondément
STE,R ? Ces...an ! m ! quJc¡'jslJHs ! 1t,IP,9.SIPH.(.t ! l ! l (.U- ment , : leur : tangue Æ, XyI,v\lc,ljnúI'I ? B ! e&
types morbides. C'est chez les maniaques et dans le delirium tre- mens qu'il a obtenu les meilleurs effets '. M. STARK
reprendre ses fonctions, de l'addition d'excitations qui normale- ment agissent d'une façon continue. Il peut aussi arri
)J M. WiTKOwsKL J'ai simplement vu des- épilepliquesl temporaire- ment irritables ; les plus dangereux tpendaiit leurs a
e. - M. \VThowshl. Evidemment il est difficile de constater sûre- ment des troubles du mouvement. Il existe aussi fréque
chede, Nasse, von Gudden, Scllül ? 11ltZlg" l\Iendel,¡Sandel', Sie- mens .' On décide'qu'on ne volera pas sur celte conclus
meublées seulement d'un lit de paille, que l'on renouvelaitrare- « ment , et qui bientôt devenait infecte : repaire affreu
d'alarme qui se propage à près d'une lieue, produit un saisisse- ment horrible. » « Notre grande Révolution arrive en
Pinel avait reçu une puissante éducation scientifique, et notam- ment celle qui est la hase de toutes, une éducation ma
cette place ? Chaque statue a son histoire, et je tiens à dire com- ment naquitle projet concernant le héros de celte fête
caractère n'était pas le moindre obstacle à son succès. Heureuse- ment , le hasard, qui fait quelquefois bien les choses,
es grains d'ellébore ou quelque antispasmodique. On conçoit aisé- ment les résultats déplorables d'un traitement aussi u
modèle en bois de l'exposition d'hygiène de Berlin 1. L'établisse- ment peut entretenir 500 malades. Ces chambres d'isole
e très bons résultats pendant cette année. L'ensemble du remanie- ment architectural a coûté à peu près 10,000 marks (12
8. Guérisons : 66,66 p. 100. Cet établissement sert à l'enseigne- ment de la psychiatrie. Allenberg. L'agencement de l
2,68 p. 100. Rareté extrême des maladies intercurrentes et notam- ment de la phthisie pulmonaire. Neustadt. Ouverture
16 femmes avec leurs gardiennes et la gardienne en chef spéciale- ment attachées au lessivage; les quelques femmes occup
outre, on voit le gonflement des cellules nerveuses et le change- ment de la névroglie. Là les symptômes paraissent êt
le processus pathologique atteint aussi le plus grand développe- ment . De tout ce qui précède, on voit que quoique le
ie, de rigi- dité et de contractures des muscles et d'agrandisse- ment des réflexes des tendons. A la compression de l
décident à parler, sont incapables de fournir le moindre rensei- ment sur une modification quelconque de leur être ph
de prison, mais prétend avoir été faussement dénoncée et injuste- ment condamnée). Quoi qu'il en soit, elle a eu. avant
1870; transfert Li l'asile de Suint-llLcan, en août 1870. Place- ment à la colonie de Vaucluse, en '< 877 ; transfer
e son mariage, qui ne s'est fait que deux jours avant l'accouche- ment . L'accouchement, naturel, aurait en lieu à terme;
. 26 octobre. La roséole commence à s'éteindre; c'est principale- ment sur le ventre et à la partie postérieure des cuis
uve de nombreuses connexions avec l'épilepsie. On peut donc aisé- ment admettre qu'un père atteint d'asthme transmette à
. 16 octobre. Depuis l'entrée, l'enfant est resté couché constam- ment . Depuis son admission, les jambes sont fléchies s
deux bases. Les jambes ont plus de tendance à se fléchir; gonfle- ment oedémateux du prépuce avec quelques petites ulcér
aine que Morel a si consciencieusement étudiées et si magistrale- ment décrites. RECUEIL DE FAITS FAIT POUR SERVIR A
xemple, peut, à un moment donné, susciter des idées d'empoisonne- ment . Tel trouble de la sensibilité générale et viscér
- présentée que par des secousses tétaniformes suivant immédiate' ment la perte de-connaissance et affectant tout le cor
surtout le côté gauche; la phase de résolution qui suit immédiate- ment est peu nette et interrompue de temps en temps pa
hallucinées : elle supplie qu'on lui dise que son père est simple- ment en voyage. - L'après-midi, à trois henres, contra
malade, depuis deux mois, suit un traite- 3 ! H RECUEIL DE FAITS. ment hydrothérapiqne qu'elle a accepté sous l'influenc
et la situation qui en résulte pour elle. Elle ne se plaint simple- ment que d'être un peu apathique et incertaine au suje
en lui-même n'en est bas moins réel, et l'on constate habituelle- ment , disséminés dans les différentes parties de l'axe
inte. Les malades de nos Observations ne sentaient qu'imparfaite- ment les objets qu'elles prenaient à la main. Elles av
II). Ces troubles si variés de la sensibilité coexistent fréquem- ment chez le même sujet. Il n'est pas rare d'observer
chez la malade de notre Observation XI. Il existe assez fréquem- ment des chauchemars. Le caractère est souvent modif
aque épileptiforme avec hémiparésie gauche passagère, ultérieure- ment suivie d'attaques semblables avec trouble dans .l
et coloration grisâtre des nerfs saphènes, altération excessive- ment nette au microscope portant sur tous les nerfs pé
avant son entrée, il est allé dans un champ écarté et s'est nette- ment et complètement amputé la verge avec un canif; il
ue les autres affections mentales ; en revanche, on note fréquem- ment l'action concurrente de l'ivresse, du surmenage i
parfois divisé en deux, il est rare que l'on constate concurrem- ment la destruction moléculaire; deuxième stade : issu
8 Il résulte de tout ceci que l'intelligence n'est pas uniformé- ment atteinte dans ces dégénérescences; au milieu d'un
tances, elles peuvent être acquises, et chacun de vous a certaine- ment observé, à la suite d'affections aiguës chez les
te des affections fébriles sur le cerveau; c'est plus particulière- ment les cas de paralysie ou de dégradation intellectu
L'intelligence, les facultés affectives, la mémoire sont exacte- ment telles que nous les avons décrites dans le deuxiè
mi ces cas se trouvait un para- lytique général. Campbell (Joum. of ment , science) a publié vingt- deux faits du même ge
447 des dangers inhérents à la surveillance; chez la femme notam- ment , il se pourrait commettre des abus génésiques. Il
générales. En ce qui a trait aux classes sociales relevées, on ne ment que trop souvent sur le chapitre syphilis. M. H
t l'après-midi de ce jour. Tout indique en effet que ce criminel ne mentait pas. Discussion : M. Nasse. Ces cas n'apparti
vient, à son tour, défendre avec talent. en s'appuyant principale- ment sur l'hypnotisme expérimental. Cet important tr
lisatrices les plus récentes, toutes ces particularités sont utile- ment rappelées et judicieusement appréciées dans le bu
stérie (notesurun cas de grande. 'c))cx ! 'bom ! ne,avecdedoubie- ment de la personnalité et arrêt de l'attaque par la
érieurs est moins marquée que dans la ligure précédente. Envahisse- ment du tissu conjonctif qui remplace les éléments ner
50 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
s ses « Leçons de la Salpêtrière » (1893-94), M. Brissaud a longue- ment insisté sur l'importance de la compression des ra
dinaire, aux douleurs en ceinture s'ajoutent, plus ou moins rapide- ment une paraplégie spasmodique, avec rétention des ré
, ces douleurs augmentent, consistant tantôt en sensation d'écrase- ment , de déchirure aux reins, revenant par crises, tan
rieurs; fréquemment apparaissent des eschares au sacrum, plus rare- ment , aux talons, malléoles, etc. L'eschare sacrée peu
ostiquer une lésion intra-rachidienne siégeant au-dessus du rentle- ment lombaire, ou à la partie supérieure de celui-ci.
as fait mention de troubles sensitifs). Amélioration par un traite- ment tonique. Mort 15 mois après le début. A l'autopsi
rs. Or. dans le mal de Poil, la ponction lombaire donne habituelle- ment , et sauf, bien entendu, le cas d'infection second
ns un assez grand nombre d'observations, elle a été commise, notam- ment , dans quatre de nos faits personnels ; en particu
pas douloureuse et ne détermine pas de troubles vésicaux contraire- ment au mal de Pott. b) En cas de spasmodicité des m
ri rien d'impossible à ce qu'avec le temps un trouble d'abord pure- ment musculaire s'adjoigne des lésions d'autres tissus
on moins nettement des autres formes d'ankylose rachidienne, notam- ment de celles dont Bechterew a rapporté plusieurs cas
e celles dont Bechterew a rapporté plusieurs cas et que j'ai récem- ment étudiée sous le nom de cyphose hérédo-traumatique
a la région dorsale moyenne où l'on voit l'ossification du li,7.i- ment vertébral commun antérieur. Fie '2. Portion de
e bord postérieur du détroit supérieur est plus aplati que normale- ment , le détroit est plus triangulaire que circulaire
de papier solide, sa transparence était parfaite. La loge du liga- ment rond subsistait intacte. Le reste de la cavité co
La spondylose rhizomélique est une ossification tout particulière- ment localisée aux ligaments, aux bourrelets et aux mé
e les ankyloses, que le processus raréfiant primitif est préalable- ment éteint ; or nous ne savons encore quelle peut êtr
ultats favorables par ce procédé qui doit être employé progressive- ment , car il est souvent assez pénible au début : On
le plus souvent mal décrits ». Nous n'apercevons pas encore nette- ment les limites qu'il convient de lui assigner, et qu
ce point de repère, tel qu'il est, il faut préciser le plus nette- ment possible les caractères fondamentaux de l'enfance
l'hérédité neuro-pathologique, et l'infantilisme vrai sont étroite- ment associés, formant, comme nous allons voir, une dé
hies que nous donnons avec beaucoup d'autres, et tout particulière- ment avec celles publiées par MM- Marfan et Louis Guin
dus dont l'appareil sexuel a subi, congénitalement ou accidentelle- ment , un arrêt dans son évolution ». C'est justement
l'hystérie dont les sujets sont fréquemment atteints. » (1) Revue mens . des mal. de l'enfance, 1893, p. 481. 64 MAGALH
rès bonne heure, dès les premières années. L'harmonie du développe- ment physique a été de la sorte troublée chez notre ma
ophie des ongles et l'état mental n'ont pas subi le moindre change- ment . Tel est le bilan des modifications médicamente
large mesure, à la libre circulation du sang, qu'on appelle couram- ment , non sans raison, liquide nourricier. » C'est i
la matière, apportée par la circulation du sang, dans le développe- ment individuel, qui modèle l'individu dans son ensemb
aut, donc, tenir'grand compte de cette cause accidentelle, notoire- ment dégénératrice et la rapprocher de l'hérédité prop
aît comme un trouble spécial, anatomique et psychique du développe- ment individuel, dont les causes lointaines sont varia
n, elle pourra encore agir sur le développement individuel directe- ment et indirectement, et par des processus multiples,
efforts musculaires, et les mains et les pieds grandissaient-telle- ment , qu'il lui fallait toujours des sabots spécialeme
adie de coeur congénitale, dont on ne pouvait pas faire pour le mo- ment un diagnostic exact. ' Le médecin s'étant aussi
stamment que les douleurs augmentent toujours après un refroidisse- ment , et je me rappelle encore vivement, comme il se p
, ni névrite optique, ni rétrécissement du champ visuel ; spéciale- ment l'hémianopsie n'existe pas. J'appuie sur ces fait
ou pervertie. Et dans les maladies nerveuses il n'en est pas autre- ment (tabès, neuritis, syringomyélie, sclérose en plaq
dir les enfants autour de nous, l'un plus vite, l'autre plus lente- ment , tant que le cartilage épiphysaire fonctionne, et
pieds de mY,Toedérnateuses : même bourrelet énorme, même étrangle- ment aux malléoles. L'analogie est bien plus frappante
e grand honneur de nous confier 'ce travail et c'est avec empresse- ment et reconnaissance que uous nous sommes livré à de
ie de la main droite, nous voyons qu'en notre cas, il reste unique- ment ^ la cypho-scoliose. Mentionnons qu'il fut impossi
terme d'atrophie numérique est significatif. Il implique,non seule- ment qu'il y a diminution du nombre des éléments qui c
jambes, tombant constamment en avant parce qu'elle appuyait unique- ment sur le bord externe du pied. De 4 à 10 ans la mar
intéressants sont le 4e et le 5e par suite d'un arrêt de développe- ment . Bien que présentant les 3 phalanges, ce qu'il es
ni trace d'ongle ni trace d'aucune cicatrice-. Globuleux par étale- ment de leur base ils semblent accolés l'un à l'autre,
s que nous avons déjà décrites, la malade présente encore actuelle- ment des phénomènes nerveux accentués. Actuellement
s productions, j'ai incisé plusieurs tumeurs des pattes et un frag- ment de la tumeur de l'oreille. Toutes présentent la m
ue de la paralysie saturnine : avant-bras fléchi sur le bras, légè- ment en pronation ; main en flexion forcée, autrement
goureuse exactitude du diagnostic «paralysie des béquilles ». Vrai- ment , le diagnostic est si peu douteux qu'à ce point d
et sous-épineux, muscles, qui reçoivent leurs innervation directe- ment des 5° et 6e racines cervicales. Les phénomènes o
odus agendi de cette paralysie doit donc être tout autre et absolu- ment distinct. Pour le faire comprendre, il nous suffi
stinct. Pour le faire comprendre, il nous suffira d'étudier briève- ment le mécanisme de quelques paralysies radiculaires
e partie normal, excepté au niveau du pli courbe où il est directe- ment touché par la lésion ; il est aussi dégénéré le l
ondeur et n'est pas directement atteint par la lésion dans son seg- ment externe, c'est le faisceau optique central, la co
de faits dont l'analyse est extrêmement délicate ; il s'agit pure- ment d'une coïncidence ; la dégénérescence provenant d
fondeur et sectionne sur une courte étendue (environ 1 cm.) le seg- ment horizontal de la couche sagittale externe, ce ram
pe suivante (Planche XXX, 9)'passe au niveau du pulvinar et du seg- ment rétro-lenticulaire de la capsule interne ; elle i
tudierons que certaines particularités qui rendept ce cas spéciale- ment intéressant. La première coupe (Planche XXXI, 1
ien cependant la pâleur appréciable de la partie inférieure du seg- ment vertical, mais il faut tenir compte et de l'infil
ns ainsi le contingent corticipète de la couronne rayonnante nette- ment isolé ; la majeure partie des fibres dont il est
de faisceaux d'association propres au lobe occipital. Personnelle- ment nous admettons que ces faisceaux, surtout par l'i
s devons donc nous éloigner momentanément de notre sujet et briève- ment exposer quelques idées personnelles sur les fibre
celui des faisceaux voisins. C'est ainsi que l'on reconnaît facile- ment le stratum calcarinum et que le faisceau perpendi
ale externe. Ce segment horizontal semble se continuer avec le seg- ment vertical, mais il n'en fait nullement partie.11 c
sidérable qu'à l'état normal ; on peut estimer à 1/5 approximative- ment la diminution de la surface de section et par con
s est un bel exemple de névrite radiculaire banale sans retentisse- ment sur l'élément noble ; il doit être mis en regard
le tabes incipiens (obs. III) les fibres nouvelles naissent isolé- ment et ne paraissent pas se ramifier beaucoup (Pl. XX
dis que dans la régénération terminale la repousse se fait directe- ment au point lésé, dans la régénération collatérale l
ouveaux prolongements cylindraxiles. Un de ces facteurs est évidem- ment la suppression du cylindraxe primitif, comme nous
rocessus de régénération collatérale normale, qui s'observe facile- ment dans les ganglions rachidiens et sympathiques de
tion au lobe frontal gauche fait supposer qu'il s'agit d'un gonfle- ment oedémateux des cellules névrogliques, dû à la pre
pas considéré comme une cause efficiente et suffisante, mais seule- ment comme « une condition d'aptitude », suivant son e
éro-latéral dans la moelle dorsale et lombaire ; il existait seule- ment dans une région très limitée de la moelle cervica
complète des membres inférieurs, ils s'alimentaient très suffisam- ment , ne maigrissaient pas et pouvaient s'occuper à l'
L'abduction et l'extension surtout ne peuvent s'accomplir complète- ment , la jambe forme un angle obtus avec la cuisse, le
lades restent immobiles tout le jour, craignant le moindre déplace- ment de leurs membres. Si les douleurs subjectives son
nt de rétractions est en général assez facile; on le comprend aisé- ment si l'on se souvient de ce que nous avons dit au s
vrotiques. Le manchon fibreux qui constitue l'aponévrose d'engaine- ment de la jambe est augmenté d'épaisseur. Sa section
ches, des genoux, les tibio-tarsiennes avaient leur synoviale légè- ment dépolie, la capsule articulaire était épaisse mai
me les gros vaisseaux, les artères spinales peuvent être manifeste- ment athéromateuses ou au contraire n'offrir ni endart
tif, fibres musculaires) avec une prédominance au début pour l'élé- ment le plus différencié, par conséquent le plus fragi
aissement des deux testicules et des bourses qui sont particulière- ment pendantes. Le foie est sensiblement abaissé sur
ent ontogénique, qui dans la suite s'accuse et s'étend progressive- ment par des manifestations nouvelles et successives (
a »... ; ou bien avec le médius de sa main gauche il fait un mouve- ment rapide de frottement sur le front ou sur le mento
enclin à voir tout en noir...Or, mesure que ces inquiétudes augmen- mentent , ses tics se multiplient et s'aggravent. L... est
rrésistible de se « détendre les nerfs » et sont suivis d'un senti- ment de repos, de satisfaction ; ils disparaissent pen
r » à une belle situation, se refuse à tout repos et à tout traite- ment régulier qu'il considère comme une perte de temps
réelle. Ne cherchons pas à la définir davantage. Constatons seule- ment qu'elle est fort douloureuse, témoin la grimace d
chwerin ; et, chose curieuse, le patient, lui, rappelle singulière- ment par son attitude et par son costume celui qu'opèr
x : telle était autrefois l'opinion de Babinski (1), reprise récem- ment par Brissaud et de Massary (2), qui placent à la
des lésions importantes des nerfs périphériques, localisées exacte- ment dans le domaine des racines sectionnées. Cette pr
ibreuse que les racines postérieures correspondantes. Après écoule- ment d'une quantité, d'ailleurs modérée, de liquide cé
et du bord dorsal. Les cellules disparues appartenaient principale- ment à cette catégorie que Kleist décrit comme cellule
luant, Küster déclare que ces lésions ne peuvent s'expliquer autre- ment que par l'atrophie des cellules à la suite de la
upes du chat VII (suivies 77 jours), nous avons pu constater égale- ment , des deux côtés, quelques cellules très fortement
bées en grande partie et les fibres indemnes apparaissent relative- ment plus nombreuses grâce au tassement des gaînes vid
phérique, de leur rôle physiologique, nombre de questions actuelle- ment sans réponses. Nous avons voulu simplement ici do
escence de leurs deux prolongements. La dégénérescence du prolonge- ment périphérique prend le type wallérien et reste loc
és attenant à la moelle des racines seetionnées. Ils sont complète- ment adhérents à la face profonde de la dure-mère, d'o
fibres présentaient l'aspect frangé, rétréci et dilaté alternative- ment , que nous leur avons vu dans l'intimité des coupe
nnées. Les racines antérieures étaient intactes. Enfin, symétrique- ment , nous relevons les nerfs cutanés des fesses, de l
niveau de la base du thorax. En même temps se manifesta un tremble- ment qui était assez marqué sous l'influence des émoti
oi des petits vaisseaux avec augmentation des noyaux et rétrécisse- ment de la lumière vasculaire. En général les espace
s elles se trouvent déplacées et situées plus ou moins irrégulière- ment . Parmi les noyaux de névroglie il y en a un grand
n : 1902. Rien de particulier aux yeux. Membres inférieurs extrême- ment amaigris. Ils sont le siège de tiraillements spas
e que l'aphasie, à laquelle, d'ailleurs, elle s'associe habituelle- ment ». L'étude de ces troubles est récente, parce q
les partitions de « Sigurd » et d' « Ascanio » parues postérieure- ment à sa cécité verbale. La pathogénie de ce cas est
rès amaigris, et par contre être très marquée sur des doigts nulle- ment émaciés. ' Cette forme sénile ne comporte nulle
un enfant de 5 à 6 ans. La radiographie de la tête montrait égale- ment que les os du crâne étaient très développés, et l
té, il ne me sembla pas opportun de cesser immédiatement ce traite- ment ; mais je me proposai de le combiner avec l'actio
cessus physiologique de l'ossification et ainsi empêcher mécanique- ment la croissance des os. Si le succès de la médicati
e avec l'iodure) : mais s'est effectué seulement pendant le traite- ment ovarien. Or, si le ralentissement de l'ossifica
urs, toutau moinsen iii)t (Iti'el les ,(ius concernent personnelle- ment el qu'elles niellent en cause le savanl, le profe
es Beaux-Arls et de vous offrir, à l'occasion de cet heureux événe- ment , un souvenir qui pût vous rappeler tout à la fois
rtistique ; en 1895, la Physiologie artistique de l'Homme en mouve- ment ; en 1902, l'Introduction à l'étude de la figure
un animal âgé d'une semaine auquel on a sectionné presque complète- ment la moelle lombaire. Cicatrisation sans suppuratio
dans la cicatrice et à la face interne de la pie-mère, mais égale- ment en dehors de cette dernière. Les fibres de nouvel
aux situés tout près de la périphérie de la moelle et particulière- ment dans les régions où ils possèdent une paroi épais
ent (Fig. 9). Ces cordons sont bien visibles à un faible grossisse- ment à cause de la présence de corps granuleux (les vr
également des espèces de globes granuleux pâles provenant probable- ment de la dégénérescence des cylindraxes en partie di
muscles intercostaux le sont également, la respiration est unique- ment diaphragmatique, la contraction du diaphragme se
is les quatre membres et même la tête, ne peuvent se mouvoir libre- ment . Il existe une paralysie flasque, diffuse, qui re
cage et mis debout, son état de stupeur ne disparaît pas complète- ment . Son équilibre est instable, .il titube, steppe l
e part, le foyer de cicatrice où sont compris les filets primitive- ment distribués aux organes génitaux supprimés pourrai
douleurs est de quelques secondes, elles surviennent assez fréquem- ment , deux à trois fois par semaine. Pas de douleurs c
avenue d'Italie, en s'aidant d'une canne et en regardant attentive- ment le sol. Les yeux fermés, il ne peut se tenir debo
té qu'autrefois. Lorsqu'il ressent ces douleurs, il tombe générale- ment à terre. La cypho-scoliose a un peu augmenté.
ent d'une surdité assez prononcée qui s'est développée progressive- ment . L'examen des yeux pratiqué par M. Viallet, le 16
la paraffine, colorées à l'hématoxyline-éosine, sont particulière- ment favorables pour suivre le processus histologique
ors que les fibres radiculaires antérieures sont devenues complète- ment scléreuses, les fibres radiculaires postérieures
e la hauteur de la moelle, les cordons antéro-latéraux sont absolu- ment sains. Dans leur trajet intra-médullaire les ra
e le cordon de Burdach et le cordon de Goll, celui-ci est relative- ment moins dégénéré en avant, et en arrière il est sép
pour être examiné par la méthode de Nissl. En outre un autre frag- ment a été examiné par la méthode de Weigert pour la n
raphie que ceux de la sensibilité tactile et diminuent progressive- ment et régulièrement de bas en haut. Sur la face palm
rs orteils, dont la première phalange est en flexion dorsale égale- ment forcée, tandis que la deuxième phalange est en fl
ès analogue à celui de la sclérose en plaques ; nous ferons simple- ment remarquer à ce sujet qu'il est quelquefois diffic
aucun vestige de cette affection, qui dans le cas présent est pure- ment familiale et non héréditaire. xix . 31 HOSPIC
eaux des méninges molles et de la moelle : en plus de l'épaississe- ment fibreux que peuvent présenter les méninges molles
gaînes myéliniques,avec tuméfaction des cylindres-axes, épaississe- ment de la névroglie,' lésions qui paraissent pouvoir
rgement perméables, pleins de sang, présentent un léger épaississe- ment de leurs^parois. Canal épendymaire oblitéré. Sclé
ssous, dégénérescence très légère du pyramidal croisé particulière- ment nette dans la partie inférieure (lombo-sacrée) du
t à la syphilis ou à la tuberculose : le problème est particulière- ment complexe, pour le dernier cas, où les troubles ne
dire, dans un cinquième de nos cas, est loin de représenter un élé- ment négligeable. ' Dans les autres cas, il ne saura
archi. Aussi le cervelet, sectionné lors de l'autopsie horizontale- ment , comme l'indique le schéma précédemment publié (1
gittales pour son fragment supérieur et horizontales pour son frag- ment inférieur. De ces tranches numérotées les unes on
mbre des fibres et des cellules nerveuses. Quelques cellules seule- ment ont des vacuoles et du pigment jaune. On remarque
ain et sur les deux côtés il y a des taches ecchymotiques parfaite- ment symétriques et grandes comme un écu. Les espace
blir entre eux un certain rapport. Le rapport apparaît plus claire- ment si on peut établir une analogie avec d'autres fai
réelles objections contre cette origine, parce qu'on dit, et juste- ment , que pour la production des lésions trophiques, i
plication nous a paru nécessaire, car il est fait mention de « seg- ment postérieur » dans la note additionnelle (p. 1112,
premier cas (cas Cogery) une lésion centrale circonscrite a totale- ment détruit entre autres centres, le corps genouillé
t donc très nettement de cet exposé que la lésion n'est pas unique- ment occipitale, mais également et franchement tempora
n (que nous croyons digne d'être individualisé) se cantonne au seg- ment horizontal (coupe frontale), et à la partie infér
l direct et pyramidal croisé. La démonstration de la nature unique- ment corticale du pied du pédoncule cérébral et de la
rincipes. C'est pourquoi, le faisceau longitudinal inférieur, pure- ment d'association en 4Z;95, mais ayant acquis un cont
de l'unité de la pyramide bulbaire. En effet, l'origine exclusive- ment corticale de la pyramide bulbaire est devenue en
secondaire avait triées, rapprochées et enfin réunies indissoluble- ment en un tout « occipital ». Il s'était produit en
rne où il est (à l'exemple de toutes les fibres du cerveau) grande- ment dissocié. - C'est la partie antérieure (un peu
aux arborisations périphériques. La cellule bipolaire est certaine- ment l'analogue des cellules des ganglions acoustiques
us revenons à notre idée première, que bien qu'elle ne soit aucune- ment périphérique dans le sens propre du mot, elle doi
l au noyau acoustique ventral (nerf cochléaire) dont il a certaine- ment l'aspect. Comme les noyaux sensitifs des nerfs cr
rect ? La physiologie et la clinique nous enseignent que contraire- ment à ce qui se passe dans la moelle, il n'y a pas d'
nous revenons à notre idée première, à savoir, l'origine exclusive- ment genouillée du neurone visuel intra-cérébral, que
et à l'autre des lèvres calcariniennes ; il ne s'agissait certaine- ment pas d'une dégénérescence du stratum calcarinum.
51 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
est augmentée ou modifiée (contraction paresseuse, tonique, longue- ment persistante). L'excitabilité faradique des nerf
qualitative : P F agit aussi fortement, parfois même plus forte- - ment que N F. Toutes les secousses sont paresseuses, t
l'exercice du fusil, il avait de la peine à faire les premiers mou- ment d'après les notes qui nous ont été communiquées p
rsiste un temps très appréciable, qui pour certains muscles, notam- ment à la cuisse, dépasse parfois une minute. L'excita
vers un membre tout entier (bras, cuisse, jambe) on produit facile- ment l'apparition de mouvements rythmiques, ondulatoir
que ces réflexes rotuliens sont conservés, mais toutefois notable- ment diminués. Le sens musculaire ne parait pas trou
, et après quelques secondes (5, 10, 15) le muscle paraît complète- ment libéré du spasme myotonique, qui l'empêchait préc
rtir de ce mo- ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 15 ment le muscle se comporter d'une façon entièrement co
hémie, à part les causes que nous venons d'énumérer, est due égale- ment à l'irritation produite par la distension de la n
al et sur les nerfs optiques atrophiés en particulier est parfaite- ment expliquée. J'ajouterai encore que l'hyperhémie de
des ventricules nous suggère l'idée de l'application de ce traite- ment aux maladies où les noyaux des nerfs crâniens son
les résultats thérapeutiques quand il s'agit du tabes sont infini- ment supérieurs à ceux obtenus dans les paralysies spa
ids de ce corps. Avec un appareil de ce genre, on pourra non seule- ment éviter des accidents plus ou moins graves, mais i
n seulement du poids du corps et savoir approximativement, à un mo- ment donné, si c'est le quart, le tiers ou la moitié d
le début, quoique à un degré moindre de celui que donne un traite- ment plus énergique. Les essais préparatoires une fo
électricité que celui du côté gauche. La malade ayant été complète- ment sourde de l'oreille droite depuis sa première jeu
ies' mentales, p. 84. 46 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. ment hystériques se produisirent donnant lieu plus tar
de la malade une brosse au moyen de laquelle elle s'était probable- ment frictionnée, ce qui contribua peut-être à rendre
que ne permettait pas de confirmer les diagnostics formulés. Au mo- ment où l'on craignait le plus pour la vie de la malad
ature élevée, les doutes n'en étaient pas moins grands au commence- ment . Le malaise que la malade éprouvait six ou sept j
avec des petits instruments légers pour le distraire. Comme traite- ment il eut des bains froids, mais sans résultat. Au b
xtension. Ces mouvements comme ceux des orteils, ne sont ordinaire- ment qu'une image atténuée de ceux de la main ou plutô
s que nous avons déjà décrits. Le tronc également rigide est forte- ment cambré et les épaules sont, rejetées en arrière ;
atteints d'athétose double, cambrent leur région lombaire et forcé- ment présentent une lordose comparable à celle des fem
et des autres muscles de la face dans lesquels on reconnaît facile- ment l'état spasmodique. « Les troubles de la parole
augmentés par l'émotion, celle-ci développant à peu près régulière- ment des convulsions et dos spasmes musculaires plus m
s faits et surtout dans les cas un peu accusés, la parole est vrai- ment « tirée hors de la bouche », comme s'il fallait u
serrés et trop mal habiles pour le maintenir et le diriger propre- ment et suffisamment. L'écriture est d'autant plus d
u'elle est émue, c'est toute autre chose, le crayon heurte brusque- ment le papier d'une façon presque informes, et se con
rare de voir les objets dirigés fort adroitement, assez convenable- ment et sans aucune hésitation vers le but voulu. ,
médiocre; d'autres fois le malade est imbécile, quelquefois absolu- ment idiot. On trouve de plus dans ces dernières circo
Tous les muscles de la face se contractent simultanément et égale- ment des deux côtés, les frontaux, les orbiculaires, l
ouvements de flexion des phalangettes des deux pouces sont extrême- ment limités. Mais l'anomalie la plus intéressante e
Après les autres excitations la décontraction se fait plus rapide- ment , elle est presque totale après la ae excitation (
enregistreur. On constate, en effet, dans ces conditions, qu'au mo- ment où cesse l'excitation le muscle est gonllé, dur,
vite dans une première partie, très lentement ensuite et graduelle- ment dans une deuxième. Pour les dernières excitatio
se rendre facilement compte des causes qui produisent cet abaisse- ment puis ce relèvement de la courbe. L'abaissement es
pendant l'excitation, puis aussitôt après il se décontracte lente- ment et de la façon que nous avons déjà indiquée. Ces
u l'occasion de diriger nos recherches dans ce sens. Lorsqu'on aug- mente la force du courant excitateur et qu'au lieu de c
Notre malade a ce masque, mais d'une façon incomplète. C'est seule- ment au front qu'il accuse la sensation pénible que vo
Il a subi en outre, autour de son axe transversal, un léger mouve- ment de rotation en vertu duquel la face postérieure d
ée de celle des fractures de même nature qui se produisent fréquem- ment dans l'affection spinale dont il s'agit. La modif
moléculaire et alors l'épiphyse s'effrite et s'émiette insensible- ment , et l'on a alors ces os aux extrémités effilées e
é, il mesure exacte- 134 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment 3 têtes. Je n'insisterai pas ici sur les subdivis
les rapports du bassin avec les tôles fémorales sont considérable- ment modifiées. Le bassin est descendu il la manière d
hie musculaire des muscles spinaux. L'atrophie a envahi successive- ment la main, le membre supérieur, l'épaule et le thor
ions nombreuses et qui ne saurait être acceptée qu'après un supplé- ment d'enquête. Observation I (personnelle). Syrin
r ce sujet, et, réexaminant 12 des 18 malades qu'il avait antérieu- ment observés, trouva la scoliose chez six d'entre eux
sente une configuration anormale. Dans la région cervicale, efface- ment de la lordose physiologique ; les saillies épineu
e large surface dirigée en bas et en arrière ; c'est vraisemblable- ment le disque intermédiaire il la 5 vertèbre lombaire
s étudierons dans ce chapitre les déviations vertébrales manifeste- ment et exclusivement liées à la paralysie ou à la con
tes passe il une certaine distance en arrière du sacrum, contraire- ment à ce qu'on observe dans la paralysie des fléchiss
upérieur, de telle sorte que l'angle inférieur s'était porté forte- ment en dehors et en arrière. La portion cervicale du
ur une scoliose des plus sévères ; mais la maladie, apparue rapide- ment il la suite d'une émotion morale, guérit tout à c
ions et ses oscillations quelques secondes après, y' ; c'est seule- ment pendant le second tour du cylindre en «qu'il rega
it parce qu'on voit les muscles se tendre lentement et progressive- ment , soit parce qu'il se forme sous l'électrode excit
e rapport de la quantité l'excitabilité galvanique était manifeste- ment augmentée chez Boul...; avec des courants de faib
ment. Chez un de nos malades la respiration était gênée principale- ment pendant les efforts, on entendait l'inspiration b
ainsi il porte brusquement la tète de tous côtés, grimace étrange- ment ;aune ou ferme convulsivement la bouche avec une
inent sous la peau, mais sont insuffisantes pour produire un mouve- ment . Marie croit que la symétrie peut être considér
entionnels mais alors leurs mouvements involontaires sont complète- ment suspendus, il n'en est pas absolument de même dan
Sclérose en plaques. L'athétose double se confondrai ! plus facile- ment encore avec la sclérose en plaques. Massalongo, B
elles peuvent entraîner, surtout chez les sujets demeurés relative- ment actifs, des déviations permanentes du rachis. Mai
urs gauches. Ainsi se trouve assurée la fixité du (1) Terrier, Rev. mens , de méd. et de chier., 1819, t. 111, p. 169. 21
. Dans le premier type, « le Ironc, dit-il, est parfois imparfaite- ment développé du côté malade, la cage thoracique plus
endant l'adolescence que pendant l'enfance, d'une manière sensible- ment symétrique. C'est dire que le rôle des attitudes
part il n'est pas rare de rencontrer chez les aliénés, et spéciale- ment chez les paralytiques généraux, des scléroses méd
On observe dans plusieurs variétés de myopathies primitives, notam- ment dans le type paralysie pseudo-hypertrophique de D
en histologique de la moelle, qui nous a paru altérée. Le durcisse- ment des pièces est encore insuffisant, et nous ajourn
eurésie, demeurée complètement inaperçue ; c'est à partir de ce mo- ment qu'elle est devenue gênante. Ses pieds ont touj
ation impliquerait en effet une conception pathogénique insuffisam- ment justifiée. HALLION, Ancien interne de la Clin
à étendre complète- 228 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment la main et les doigts, qui après quelques mouveme
ant cette position. La main droite est cyanosée et presque constam- ment couverte de sueur. Le membre supérieur gauche e
tes, ainsi que les excitations minimales avec les courants fréquem- ment interrompus, ne produisent, au contraire, que des
connaît cependant qu'avec des èourants forts il reparait régulière- ment à l'ouverture une contraction tonique, qui se pro
ns mécaniques, faradiques ou galvaniques; elle consiste principale- ment dans la lenteur, la paresse, la tonicité et surto
la majorité des cas il n'existe pas de perte de connaissance au mo- ment de l'attaque de chorée rhythmée. Cependant l'atta
à un commencement de vertige et qui chez d'autres détermine rapide- ment un besoin très marqué de sommeil. « Dans les ca
lier de la névralgie faciale seraient remarquables, Mais le traite- ment est surtout recommandable dans la neurasthénie à
rvice, et plusieurs, pour des causes diverses, ont suivi le traite- ment irrégulièrement. Sans chercher à analyser un à
, d'où la nécessité de faire des séances quotidiennes. Malheureuse- ment cela est difficile à la Salpêtrière. Le mécanisme
es psychopathies accompagnées de symptômes localisés, particulière- ment chez les aliénés atteints de névralgies. (1) E.
ersistance et son aggravation lorsqu'on n'intervient pas énergique- ment , l'entêtement dont ces malades font preuve et l'é
sont très grands et très gros (PI. XXXIII) ; ils présentent égale- ment des troubles vasomoteurs caractérisés par de la c
ascendante, et sur une circonvolution occipitale n'a décélé égale- ment aucune modification. Sur la coupe de Flechsig les
), pas d'oedème des pieds, pas d'attaque, pas de syncope. Accouche- ment à terme naturel, sans chloroforme, en une heure,
nfance, 1889. Julius Dreschfeld. Sur quelques cas d'athétose (Revue mens . de méd. et de chier., 1878). Von Krafft. Ebing
can Net1'olog. Assoc. of Washington, 1891. The Journal of Nerv. and ment . Diseuse N.-Y.). - P. Oulmont. Étude clinique sur
linique sur l'athétose (Thèse de Paris, 1878). De l'athétose (Revue mens . de méd. et de chier., 1878). Ladislas Pollak.
nam. Child with double athetosis, autopsy (The journal of Nerv. and ment . Disease, N.-Y., 1891). Raymond. Étude anat., p
cephalitis, followed by athetosic symptoms (Journ. of the Nerf, and ment . Diseases. Chicago, 1879). Warner. Cases of ath
lois mathématiques de l'anthropologie en général, et plus spéciale- ment du signalement anthropométrique » encore inédit,
Le canon de son compatriote Chrysostome Martinez, qui mesure égale- ment sept têtes et demie, nous semble de beaucoup préf
nt à l'enseignement des sciences ou qui s'intéressent au développe- ment du mouvement scientifique. On s'abonne sans fra
rait qu'un temps viendrait où « le mot hystérie serait tout simple- ment un nom propre, comme or, fer, plomb ». Le vrai mo
e tendance à faire de l'hystérie, même infantile, une maladie pure- ment psychique, se remarque en effet chez presque tous
e l'hystérie féminine; pareille démonstration ressorl assez claire- ment pour l'hystérie infantile de plusieurs de nos obs
ar sa mère, a marché vers un an, a parlé de bonne heure. Développe- ment normal du corps et de l'intelligence ; mais carac
ènes pourrait acquérir une grande importance et contribuer puissam- ment à découvrir l'hystérie dans un cas de diagnostic
s de l'ouie, de l'odorat, du goût et de la vue qui affectent égale- ment le côté gauche et qui se présentent accompagnés d
mme vous le voyez, l'hypothèse du professeur Charcot est non seule- ment brillante, mais repose également sur une hase exp
mènes par lesquels celui-ci se traduit; on ne voit pas bien claire- ment pourquoi le choc produit l'idée d'une paralysie.
ence, produit l'impression de la terreur, impression qui naturelle- ment surgit dans des circonstances analogues. Cette im
ale donnait dans ces cas un résultat des plus brillants; non seule- ment elle calmait immédiatement la douleur qui siégeai
Chez une de mes malades la contracture disparut comme par enchante- ment , à la suite de la seconde attaque apoplectique; l
laviculaire. Mais je dois dire d'abord quelques mots sur le traite- ment de la phthisie par le même procédé, parce que mes
fermés quelques instants, quelquefois même sans le moindre balance- ment , qui n'apparaît qu'après quelque temps ; ce temps
al est au fond une myélite, tandis qu'en Allemagne on dit actuelle- ment que c'est une dégénération primitive. Je partage
piée plus ou moins servilement ? L'exemple que nous avons en ce mo- ment sous les yeux pourrait donner quelque vraisemblan
inin réclame. C'est ainsi que bien qu'âgé de 27 ans, il est absolu- ment imberbe. La surface de tout le corps est glabre s
52 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
OTS complets. incurables. La plupart d'entre eux sont, contraire- ment l'opinion courante, susceptibles d'amélioration,
e). - Ces enfants fréquentent la petite école, confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 163 e
iée. L'écholalie, très prononcée au début, a diminué progressive- ment pour faire place à une certaine spontanéité. Actu
ge d'un chien, d'un chat, etc.. Cet exercice facilite ultérieure- ment celui de la lecture pour les enfants qui ne saven
e instruc- tion primaire ont été acquises, l'âge et le développe- ment physique venant, les enfants passent it la grande
troisième exécuté les mains libres et qui consiste en un hausse- ment d'épaules pour l'inspiration, et en un abaissemen
aidé pour préparer l'éducation de la parole et corriger le bégaie- ment . Notion du '\0)1 BilE. xxv Pour donner aux id
il bien s'appliquer, il arrivera sûrement il bientôt lire couram- ment . L'écriture s'améliore et le malade peut faire
hyoscine (en injections). Dix enfants ont été soumis à ce traite- ment . La dose de un demi-milligramme au début de la
aisse tant à désirer, et à l'amélioration du matériel d'enseigne- ment . Pour permettre à tous d'apprécier les résultat
atteints d'épilepsie passsent, à 18 ans, s'ils ont un développe- ment physique normal, dans les sections des aliénés
llègues de la division des aliénés, en ont aussi créé successive- ment . En 1903, 71 1 personnes se sont présentées : 1
tance de ces précautions. Et, si nous pouvons constater actuelle- ment une diminution considérable, peut-être un arrêt
ne faisait présager de grands progrès, cependant un grand change- ment s'est opéré dans l'état général de l'enfant. Le v
la parole, mais son air timide, l'empêchait de répondre directe- ment aux questions. Elle parvenait avec beaucoup de di
ue ses mouvements opposaient de grandes difficultés a son avance- ment ; rien ne faisait présager une sérieuse modificat
semble les lettres. Tout porte a croire que l'enfant lira couram- ment dans le courant de l'année. La mémoire n'est pas
posée de jeunes débutantes, que nous espérons amener progressive- ment au niveau de leurs aînées. Les cours sont faits
e-ci, d'une utilité incontestable, nous ne disposons malheureuse- ment pas d'un local approprié. Cette lacune sera com
uites de b1·oncho-lm2ec11zoni.e. L'enfant lIuy.... y a été égale- ment soignée pour un érysipèle de la face. Maladies
es jusqu'à 18 ou 20 ans, on ne diminuerait beaucoup le développe- ment de la tuberculose. (1) l l3ournevillc. - Mémoir
DAGOGIQUE, membres supérieurs. On élève et on abaisse simultané- ment les bras, et afin que le maître n'ait pas à quitt
e faible de l'organe. Si les sons gutturaux ne sont pas correcte- ment donnés, nous ferons venir à notre aide le toucher
ment dite. i Si l'enfant ne prononce aucun mot, passer immédiate- ment aux syllabes simples en les redoublant pour en fa
ur Saint-l'on, ainsi que le dit M. le Directeur de cet établisse- ment ? Go Quelle pourrait être la durée du stage ?
ourant de tous les procédés qui constituent ma méthode de traite- ment médico-pédagogique. Retiendrais beaucoup, je le
enfants seraient groupés en deux séries selon que leur développe- ment intellectuel est tout à fait nul ou simplement ru
ons de couture, broderie, etc., données par Mmc Champy, actuelle- ment sous-surveillante, on pourrait, comme cela* se fa
llée, afin de bien étudier et comprendre les méthodes d'enseigne- ment de M. Bourneville1. Elles devront, durant leur sé
ositions. La dépense occasionnée par ce séjour consistera unique- ment dans les frais de voyage, aller et retour, et de
d'une petite école ainsi qu'il le préconise pournotre établisse- ment occasionnerait donc, en ce qui concerne le person
s ou idiots, âgés de moins de 18 ans, peuvent avoir lieu directe- ment dans les établissements où il existe des quartier
ral en date du 29 décembre isba6, il n'est plus admis provisoire- ment d'enfants, dans les quartiers spéciaux qui leur s
75 lu seconde, 1 gr. ensuite jusqu'à la fin de ce premier traite- ment (18 mars). A ce moment : taille : 1 m. 24; poids
e, 21 en partie découvert. Méat un peu étroit ; léger rétrécisse- ment de la verge à la base du. gland. Quelques poils a
87. 189\1. - Poids : 25 kg. 700; Taille 1 m ? >;1. 1 ? Traite- ment duler avril au 5 août. (I gr. 50, 1 o,r. Poids :
5 mm. 1903. Poids : 24 kg. ; Taille : 1 m. 225. Troisième traite- ment du 1er janvier au 31 mars, 0 gr. 25 à 1 gr. Poids
cent, transversalement sur 2 verticalement. Les aréoles, légère- ment rosées, ont 8 cent. de diamètre ; les mamelons, s
u corps. L'infantilisme, on le sait, est caractérisé essentielle- ment par la persistance,chez un adulte,ou un adolescen
me, 47 du père. Père mort du choléra, à Lyon en 1804, habituelle- ment bien portant.- Mère morte à 78 ans, après huit jo
corps, sauf un duvet naissant à la lèvre supérieure. Duvet égale- ment sur les jambes. Pénil, deux touffes, médiocrement
our (il. w Ce malade, atteint d'imbécillité il un degré relative- ment peu prononcé, qu'on pourrait ranger dans le group
ospitalisé. Son obésité s'estatténuée sous l'influence du traite- ment thyroïdien, et a reparu, mais proportionnellement
reurs nocturnes. Elle n'a jamais eu d'hallucinations, de tremble- ment , ni de céphalalgie. Première dent à 9 mois; den
dants, châtain foncé. Implantation régulière. Tourbillon normale- ment situé. Pas de cicatrices. Pas de ganglions. Crâ
z de volume : 17 cm, diamètre tr3nsyersalement, tü cm" verticale- ment . Le ventre est saillanl, proéminent. Même état de
s tibias le sont encore incomplètement. Durant le dernier traite- ment (10 décembre 1903- 10 mars 19(M), lhie... a maigr
en haut et en avant, proémine devant l'inférieure que est égale- ment mince et courte. - Voûte palatine ogivale ainsi q
er au point de vue anatomique et physiologique : ils sont simple- ment assez gros, les segments en sont courts. La pcau
ne manière régulière, progressive et notable ; dès que le traite- ment est suspendu, le poids augmente aussi d'une façon
stibule profond. L'un des malades dont nous avons parlé précédem- ment (OBS. XL11 et dont l'on trouvera l'histoire compl
fants n'a eu de convulsions ni de chorée. 1° une fille, actuelle- ment âgée de 31 ans, toujours très bien portante depui
s. Le visage est de forme ovale. Les yeux présentent assez nette- ment la forme en amande, qui se rencontre dans la race
nisme. ne présentent pas d'écoulement, le cérumen existe normale- ment . Elles sont très-petites, trés-écartées du crâne
et commence à faire des bâtons sur l'ardoise. Elle semble nette- ment susceptible d'amélioration. 20 août. - On cesse
roïde est très visible, non chromatolysée, moins abondante seule- ment que chez les sujets sains. Nulle part il n'y a d'
sa marche physiologique; l'adipose, exagérée, s'est considérable- ment atténuée ou a disparu. De là est venue naturelle-
sidérable- ment atténuée ou a disparu. De là est venue naturelle- ment l'idée que nous avons largement propagée de rec
minute environ, elle reprend son biberon. - Les urines ne renfer- ment ni sucre ni albumine. - Poids ; 10 k. gr. - Taill
agité, elle se réveille constamment et se rendort très difficile- ment . Elle gâte nuit et jour. - Traitement : lait, oeu
d'une légère fétidité. Il y a du météorisme abdominal. - Traité' ment : bismuth, cataplasmes sur le ventre, Todd, lait.
HALIE. 93 7 septembre. Même état que la veille. L'abattement aug- mente . - 8 septembre. La diarrhée persiste. L'enfant
ant qu'elle était enceinte de la malade ; puis, après l'accouche- ment , furent à peu près 2 mois sans se montrer, après
aveurs acides ou sucrées. - Elle mange de la main gauche, propre- ment en se servant de la cuiller et de la fourchette.
sont glabres. - L'état de l'enfant est stationnaire. Même traite- ment . Juillet. - Le nombre des vertiges a encore dim
ace externe, la pie-mère est mince. Partout elle s'enlève facile- ment . - Au niveau de l'union du tiers supérieur de la
généralisée de l'hémisphère gauche : les circonvolutions, nette- ment dessinées, sont blanchâtres, indurées, moitié p
s ne soient synostosées, le cerveau pourra acquérir un développe- ment normal. Les circonvolutions seront tassées les un
t être rare, car ainsi que nous le faisions remarquer antérieure- ment dans un mémoire sur Le crâne dans les idioties* »
ation. Quelle que soit la cause première de l'arrêt de développe- ment des centres nerveux, le forme cranienne n'est-ell
brale. Ce qui est vrai pour les cas de microcéphalie l'est égale- ment pour les cas où le cerveau est atteint d'un retar
Ledouble (Traité des variations des os du crâne), rattachent égale- ment la déviation de l'apophyse à l'inégalité de volum
, l'orifice interne du conduit auditif n'est pas aussi régulière- ment arrondi du côté sain. Nous avons d'ailleurs noté
sez curieuse, l'agrandisse- Fig. 63. 240 Anatomie pathologique. ment des trous pariétaux. Nous la signalons non seulem
s'agit, d'après ce que montre le père, de trépidation avec frappe- ment du talon sur ie sol ; le bras ne tremblait pas. A
dure. Cerveau. - A l'examen du cerveau, ce qui frappe immédiate- ment , c'est l'atrophie très considérable de l'hémisphè
leur configuration réguliers, tandis qu'à droite ils sont notable- ment atrophiés et irréguliers . - Le ventricule latéra
dans la flexion pour le coude et la main, s'oppose presqu'absolu- ment aux mouvements provoqués. La température y est
t symétriques, toutefois l'artère vertébrale droite est sensible- ment plus petite que la gauche. Protubérance, bulbe et
ule biliaire est remplie d'une bile verdâtre qui s'écoule facile- ment dans le duodénum; rate, rien de particulier; rein
le tableau). Après un relèvement passager, il tombe irrémédiable- ment en démence et s'affaiblit physiquement. IV. Les
t, avoue au maximum cinq ou six absinthes par mois. D'un tempéra- ment assez nerveux, il se dit sujet à des accès de col
ie nécessitée par un étranglement interne ( ? ) Aucun, renseigne- ment à noter sur les grands-parents paternels. Le gmnd
fai- sant, le visage est coloré, l'air éveillé. Pas d'amaigrisse- ment . La peau est blanche, les cheveux longs, blonds e
sa corne frontale. La circonvolution qui fait suite et est nette- ment ascendante, est fort large mais aussi mince et co
ion du 4° ventricule, nidel'acqucducde Sylvius. Constatonssimple- ment que l'hémisphère ceréhelhux g;¡ttd¡( ! est d'un q
sans examen histologique que les voies optiques étaient suffisam- ment lésés pour expliquer la cécité. Du reste les tr
Paris. Le Roux (Henri). - De l'emploi des verres dans le traite- ment du strabisme. Thèse de Paris. \ RENOULT (P. L.)
53 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
Paris, 1850, p. 159. Explication de l'hémiplégie croisée du senti- ment . Comples-rendus de la Société de biologie, 1850,
autre part, le malade s'était aperçu d'une perte complète du senti- ment , dans la moitié du tronc et dans le membre inféri
inférieur gauche, pour le faire avancer d'un pas. Pendant ce mouve- ment en arc de cercle, la pointe du pied gauche se dét
éflexe plantaire, aboli à droite, ne se produisait que très faible- ment à gauche. De même, le réflexe crémastérien était
d la malade hanchait à gauche, tandis qu'elle s'accentuait notable- ment si le hanchement se produisait à droite. On com
une attitude peut être conseillée autant l'autre doit être sévère- ment proscrite. On peut également se faire une idée de
mois, il avait gagné près d'un l;ilo. A ce moment survint brusque- ment une infection bronchique avec fièvre intense (4.1
u aucune solution satisfaisante et les théories qui ont été timide- ment proposées ne sont en somme que de pures hypothèse
s. Cette théorie est plausible pour les cas où les moignons renfer- ment des os dont la diaphyse est brusquement interromp
atteints d'ectromélie abdominale, Serres a remarqué que le renfle- ment lombaire n'existait pas ; la même constatation fu
oit que la main droite n'existe pas ou qu'elle est du moins absolu- ment rudimentaire. Thér... s'est élevé facilement, i
n'est encore aussi obscur que l'origine de ces vices de développe- ment . On a incriminé la pression exercée par l'amnios,
illeurs, puisse empêcher la formation ou le développement d'un seg- ment de membre. , Une doctrine plus récente attribue
légère infirmité ne l'incommode aucunement. Il fait fort correcte- ment oeuvre de ses douze doigts et marche sur ses douz
colement de deux métacarpiens, intime- 42 A. LONDE ET HENRY MEIGE ment soudés du côté du carpe, s'écartant en forme de f
in, les Emplâtres ont toujours joué un rôle capital dans le traite- ment des cors aux pieds. w La composition de ces emp
ux artistes où se rencontrent de surprenantes analogies, non seule- ment dans le choix des sujets, mais dans l'agencement
dicales de l'époque. Nul écrit ne peut nous renseigner plus exacte- ment . L'intervention en elle-même parait simple et b
bier retire un vieil emplâtre posé sur une pluie,du pied, probable- ment occasionnée par le frottement d'une chaussure gro
in, les analogies ne sont pas moins frappantes, tant dans l'agence- ment des personnages que dans la figuration des détail
il vint plusieurs fois à la consultation nous demander un soulage- ment ; il prenait toujours du bromure. On lui prescriv
.. se vit encore forcé d'entrer a Si-Antoine. Il souffrait cruelle- ment , nuit et jour, ne connaissant plus le repos. Auss
à une membrane anhiste ; en dehors de cette membrane et immédiate- ment contre, se trouvent les cellules sarcomateuses. D
attention, on pourrait penser que cette tuméfaction est due unique- ment à des lésions osseuses de l'articulation métacarp
âgé de 20 ans, l'extrémité supérieure du cubitus droit est légère- ment hypertrophiée, et dans les mouvements on perçoit
e s'est brûlée sans ressentir aucune douleur. Plus tard, un gonfle- ment a envahi la main gauche et s'est même propagé il
iée et la main succulente. Les doigts et le poignet étaient légère- ment fléchis ; l'oedème très développé à la face dorsa
ez nos malades les troubles vaso-moteurs sont localisés principale- ment à la main et chez Corr..., l'atrophie musculaire
t. Il essayait de temps en temps de se redresser, mais ce redresse- ment réveillait les douleurs et restait incomplet. De
même temps la douleur dorsale et le redressement est rendu totale- ment impossible par la contracture des muscles de l'ab
nes et des phalanges ont conservé toute leur étendue et leur mouve- ment . Du côté gauche c'est surtout au niveau du coud
volutions cérébrales ne sont point le siège de foyer de ramollisse- ment . Il n'existe pas d'hémorrhagie au niveau des noya
vicale, dorsale ou lombaire, la pie-mère est légèrement mais nette- ment épaissie surtout il sa face postérieure. Les vais
saillie de la gibbosité. Je n'avais donc qu'à continuer le traite- ment immobilisateur institué par M. Redard. A plusieur
ce d'un symptôme qui cède d'ordinaire à l'immobilisation soigneuse- ment faite, fis-je trois jours plus tard l'examen le p
ontre, la vieille commère qui, derrière sa table, étale tranquille- ment le contenu de ses pots d'onguents, reste entièrem
s demain, n'a- vaient-ils pas aussi pour eux le proverbe : « A beau mentir qui vient de loin » ? ...' ` (1) Franklin, l.
iers-Pédicures. Au surplus, l'intérieur, les accessoires, l'agence- ment et les costumes des personnages sont copiés sut'
tre second sujet, sur 3 cent. 5,1'allongement avait été respective- ment de 6.6, 14 et 15 millimètres; chez notre troisièm
à l'occasion l'associer, sous cette forme particulière, au traite- ment principal de l'affection médullaire. Celui-ci,
'apologiste de la méthode de Bonuzzi, dit que cet auteur a expert-' mente sur le cadavre l'action mécanique de la flexion r
ile devenu moniliforme. Les ganglions rachidiens sont particulière- ment altérés. D'après M. Letinois (2), dont la thèse
que est granuleuse et même quelquefois presque incolore. Très rare- ment , on voit une couche mince de corpuscules chromati
roite de l'apophyse épineuse de la 12° vertèbre dorsale. Immédiate- ment après l'attentat, il présentait de l'anesthésie s
s une observation relatée par un auteur danois Kjaer (1), l'instru- ment tranchant a pénétré dans la région des 6e et 7e a
ontait jusqu'au niveau du mamelon. Au début, le patient a eu égale- ment une paralysie motrice incomplète du membre inféri
interdigital n'en occupe plus que la moitié en raison de l'empiéte- ment de la partie qu'on pourrait appeler membraneuse d
, dont l'aspect général est celui de la main que creuse volontaire- ment un homme qui veut y recueillir un liquide, sont t
orme là une espèce de pont. Les extrémités se terminent insensible- ment du côté du doigt, à la hauteur de la seconde phal
sens de l'extension. Il n'y a pourtant d'autre obstacle à ce mouve- ment que la corde située sur la face palmaire des doig
de voir, on a le droit de se demander si, chez M. S..., le change- ment de direction des surfaces articulaires n'a pas ét
es cenlres des mouvements de la main n'ont pu encore être suffisam- ment dissociés. Cependant David Ferrier a isolé chez l
ogénie du rhumatisme chronique et de ses déviations. Je veux seule- ment constater que personne n'a encore donné de cette
on n'exige qu'un effort minime, et le plus souvent nul, tout mouve- ment d'extension nécessite un effort plus grand, une v
rbillon des cheveux coïncident à une certaine période du développe- ment et correspondent à l'extrémité antérieure du sill
20 centimètres. Le temps de pose a été de 10 minutes. Le développe- ment s'est fait à l'acide pyrogallique. Avant d'étud
l'atrophie musculaire, trois types principaux. Voici du reste com- ment il s'exprime à ce sujet. Dans l'un, dit Blocq (
lle présentait l'état suivant : membre supérieur droit, amaigrisse- ment général des muscles de la main, de l'avant-bras e
s formes d'atrophie musculaire, elle n'en fournit pas moins un élé- ment intéressant pour le diagnostic et vous savez du'i
ndre sur le mot segmentaire, car je n'entends pas par là qu'un seg- ment de membre soit pris dans sa totalité à l'exclusio
maladie est caractérisée dans sa forme bénigne par des tics propre- ment dits (grimaces de la face, mouvements brusques et
elconque d'un point des centres nerveux. Et Gauliez conclut simple- ment : « celte interprétation (théorie centrale de Duc
Comment notre homme a-t-il pu prendre l'habitude de faire le mouve- ment bizarre que vous lui avez vu faire et que représe
, dans le spasme intraprofessionnel on NE peut plus faire le moule- ment professionnel voulu; dans le spasme post-professi
éveloppement intellectuel ne sont nullement compromises. Non seule- ment la taille ne reste pas au-dessous de la moyenne,
ntilisme telle que je viens de la reproduire, s'applique admirahle- ment à l'infantilisme myxoedémateux, mais à celui-là e
lles et le pubis complètement glabres, et elle n'a aucun développe- ment mammaire. La définition de M. Henry Meiee lui con
s de tout poil, la voix grêle, la verge minuscule ». Malheureuse- ment il l'époque où fut observé ce fait remarquable,
e (1) THIDIERGE, Gazette des hôpitaux, 31 janvier 1891. (2) Revue mens . des maladies de l'enfance, 1893, p. 481. 252 ?
ppression de la fonction thyroïdienne produit l'arrêt du développe- ment . Tout ceci revient à dire que l'infantilisme es
hyréoprive », il devait venir à l'esprit que le défaut d'accroisse- ment en longueur du squelette est une sorte d'infantil
ilité, gracilité et petitesse du corps, sorte d'arrêt de développe- ment qui porte plutôt sur la masse de l'individu que s
des soudures est relative elle-même, c'est-à-dire que le développe- ment s'achève en un temps plus court, le sujet devant
sme qui avaient été jusqu'à présent confondues,et dont l'une seule- ment constitue réellement un état d'enfance permanent;
u parathyroïdien, l'étal morbide qui s'ensuivra différera sensible- ment de celui que produirait la perte de la fonction t
nt recouvertes de poils noirs, assez fins, soyeux, tranchant nette- ment sur la peau glabre voisine, développés, ayant une
peuvent exister des deux côtés du corps ; ou bien déborder légère- ment la ligne médiane, comme dans notre observation II
idermique, une prolifération plus active déterminant le bourgeonne- ment des crêtes épithéliales,et ces modifications de l
our une cause ou une autre, il existe un trouble dans le développe- ment normal de ces formations, trouble aboutissant à l
fantile ne portant souvent que sur quelques muscles. On a actuelle- ment tendance à admettre la systématisation illtra-méd
nt en soi l'ensemble des propriétés de l'être achevé ; il a, notam- ment , un appareil nerveux central, le neurotome, pourv
. Camuset (3) a insisté sur la fréquence de l'absence de chevauche- ment normal de l'arcade dentaire supérieure chez les a
centimètre, en moyenne, la circonférence du membre. Cet amaigrisse- ment diffère complètement de l'amyotrophie que nous al
res de l'atrophie avec la généralisation constante de l'amaigrisse- ment . L'amyotrophie est donc, nous le répétons, cons
rieur. L'arthrite presque constante de l'épaule exagère singulière- ment cette impotence. (A suivre.) LE GOITRE DANS L
ts esthétiques importants. Ce sont des colliers de Vénus grossière- ment indiqués qui prennent ainsi des apparences de goi
l'hémorrhagie n'est pas trop profuse, laissez saigner. Agir autre- ment , barrer la voie au sang qui s'écoule, en suturant
urplus il y aura lieu de tenir compte de l'âge de la victime au mo- ment de l'attentat. Il est clair que plus la victime e
resthésie à gauche. De plus, le membre inférieur droit était forte- ment amaigri. En raison de cette atrophie, le malade f
u'de l'apophyse épineuse de la sixième vertèbre dorsale. Immédiate- ment après l'accident on a constaté une paralysie motr
nts de temps. La vessie et le gros intestin fonctionnaient normale- ment . Les mouvements des membres supérieurs et du tron
répète, est très ingénieux. A première vue, il explique admirable- ment l'hémianesthésie croisée et la présence d'une étr
morbides dans les mêmes conditions. Les émotions peuvent non seule- ment provoquer des sueurs profuses, mais même une tend
bservation sur la coloration noire de la peau d'un homme naturelle- ment blanc. Bull. de la faculté de médecine, 1814, t.
t plus attaquées, d'autres moins. Bien des cellules restent évidem- ment intactes. On peut juger du degré des lésions ce
t le séjour qu'il fit en prison, Kowalioff, après avoir minutieuse- ment raconté tous ses actes, exprima à plusieurs repri
tte malformation n'est pas la seule qu'elle présente, elle a égale- ment les deux pieds ma) formés,quoique moins que les m
Ces déformations des doigts en forme de pinces de homard ou simple- ment avec soudure de certains doigts sont très fréquem
dualité de ces deux états, soutenue encore aujourd'hui principale- ment par P. Marie et Sternberg. Dans un travail publ
que soit le nom dont on le désigne, ce type complexe existe réelle- ment . Nous en avons déjà rappelé plusieurs exemples au
lement une semblable arthropathie. Cette arthropathie évolue isolé- ment , indépendamment d'autres troubles trophiques mème
une affection articulaire généralisée qui se rattachait au froisse- ment des nerfs du bras par une luxation de l'humérus.
ltant de la paralysie ou de la contracture, la favorise singulière- ment ; aussi n'apparaît-elle qu'assez tardivement cont
nt plus que des syndromes, mais bien des entités morbides parfaite- ment distinctes. La ressemblance est seulement pathogé
mot. Sans doute un trouble trophique d'origine centrale mais pure- ment fonctionnel d'abord, explique la localisation sym
tenu par lésions du pédoncule cérébral des hémorrhagies, non seule; ment dans les viscères, mais aussi dans les articulati
o-cleido-mastoïdien se contracte. Mais d'autres muscles sont égale- ment spasmodiques, trapèze, pectoraux, muscles des bra
lus synonyme de men- tal «.Ainsi voilà qui est décidé : '¥1JX'Í¡ et mens ne signifient plus la même chose, comme aux tem
ès, préoccupations morales) entraînent un état névrotique. A ce mo- ment le polygone du malade est tout imprégné du souven
ation sera déjà très notable. Alors, il aura compris que ce traite- ment qui l'avait surpris par sa simplicité enfantine e
, depuis près de 25 ans, le bacille pathogène de la lèpre, a nette- ment formulé les mesures prophylactiques qui s'imposen
la Lèpre tuberculeuse ou phyrnatode, qui se manifeste sur les tégu- ment cutanés et muqueux et qui correspond assez bien à
, les avant-bras, les pieds, les jambes, et face tout particulière- ment . Dès lors les malades ont un facies vraiment ca
que toujours perdue à jamais. Les Lépreux ont alors un facies vrai- ment horrible et presque pathognomonique. Les modifi
l'air son bras au bout duquel la main retombe inerte, -- probable- ment un exemple de paralysie radiale (Charcot et Paul
es ces difformités sont reproduites avec un souci de réalisme vrai- ment surprenant. Il se pourrait que plusieurs ait été
deux frères Pietro et POLITO DoNZEL.I, nés à Florence, au commence- ment du XV° siècle, passèrent la plus grande partie de
s une église, près de Sierrentz, a été trouvé un tableau, actuelle- ment au musée de Bâle, et représentant Saint Martin pa
al blanc, accompagné d'un personnage vêtu de noir, il cheval égale- ment . Le Saint, jeune encore, avec de longs cheveux
« En outre d'un homme barbu, dit-il, dont le visage, et principale- ment le front et tenez, sont couverts de pustules part
l est inerte et la fibre musculaire est bien près d'avoir complète- ment disparu, si ce n'est déjà fait. Mais, à gauche, l
t c'est ce dernier personnage qui nous intéresse tout particulière- ment . « Il est à genoux, tournant le dos au spectate
On peut se rendre compte, d'après ce que nous avons dit précédem- ment , que les exemples de Lèpre mutilante sont beaucou
Saint,on voit le bord spinal de l'os s'abaisser et saillir exagéré- ment . ' ' . . x 32 466 HENRY MEIGE Que l'artiste
54 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les petites cellules pyramidales disparaissent presque complète- ment (c. feg. 2). 4° Rien de particulier pour la couch
te couche se teint énergiquement par le carminé et il décrit com- ment elle coiffe, sur une coupe, le stratum cellulosum
reli- qiiis (listiligutur. » (Op. citat., p. 22.) 21 ANATOMIE. ment de l'écorce, à peu près comme tous les auteurs
ammonique (voy. ci-dessus page 23), il l'a, au point de vue pure- ment embryologique, exprimé avec une telle clarté qu
constater : les couches transversales du nerf auditif, préalable- ment durci dans du bichromate de potasse, avec addi-
'on avance vers le méat auditif interne, en procédant successive- ment aux coupes du tronc nerveux, on trouve une cloi
osco- pique. Ces îlots de substance grise se perçoivent facile- ment , même à l'aide d'un petit grossissement. Avec le
uditif. (Revue nensuelle, n Q, 177, p. 103.) 4 . 50 ANATOMIE. ment en reconnaissant pour noyau du nerf intermé- di
sont là, sans doute, que les dégradantes conséquences du relâche- ment des moeurs dans une société profondément viciée.
t état. Les phénomènes intellectuels sont accompagnés d'un batte- ment continu des paupières. Ces troubles se montrent d
s femmes à l'état adulte. L'auteur se borne à décrire très nette- ment ce qu'il a observé, laissant à d'autres le soin d
ébuté vers l'âge de quarante ans... La description répond exacte- ment à celle que donne sir W. Gull. Les faits iden-
clarer que la lecture de cette observation ne nous a pas entière- ment convaincu en ce qui concerne l'existence du myx
ble, visage rond et sans expression, mains déformées, particuliè- ment au niveau des éminences thénar et hypothénar ;
on. Cachexie pachydermique (oedème crétinoide, myxoedème), in Revue mens , de Dlérl. et de Chir., août 1880.) DE LA CACHE
s Médical, 20 août 1880, n° 35.) DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 69 ment renversée (état dû en partie à une rétraction c
n'a présenté ni glycose, ni albumine. Partout la peau est absolu- ment glabre; la sensibilité générale paraît émoussée;
s lésions du cerveau qui entraînent souvent, mais non nécessaire- ment , des troubles intellectuels. Inglis considère le
portante jusqu'à l'âge de 42 ans, la maladie avait évolué lente- ment . Il n'existait aucune prédisposition héréditaire.
ux sensations. La malade a ressenti au début des douleurs unique- ment localisées à divers points de la tête. Il lui sem
lution frontale, une plaque jaune formant un foyer de ramollisse- ment superficiel, bien circonscrit, en voie de cicatri
yspnée intense, précèdent, puis accompagnent la marche graduelle- ment croissante des troubles moteurs; dans leur interv
faisait d'abord avec du lait tiède, plus tard avec de l'eau faible- ment salée. L'auteur suggère, pour les cas qui pourrai
s traumatiques sont loin de se limiter ré-ulièrement àl'étran-le- ment le plus voisin. P. K. XIII. DE l'amaurose consé
dont,,l'état paraissait 1 désespéré, Ont été sauvés par ce traite- ment ; faute d'y avoir recours au contraire, beaucoup
es vaisseaux du cerveau en général, ou par les vaisseaux directe- ment intéressés ! dans l'hémorrhagie. Quant aux anévry
lus ou moins régulièrement combinées entre elles; ce sont les morbi mentis ? nixti de Heinroth. Il n'existe pas de monoman
a en la maifon du pré de Longchamois, où il la conneut charnelle- ment , & puis la r'apporta au lieu mefme où il l'au
ux caractères du phénomène dans son plus haut degré de développe- ment , il nous paraît utile d'insister un peu sur les
catalepsie. Les réflexes tendineux aux deux bras sont manifeste- ment exagérés. Le même état persiste un quart d'heure
chaleur du soleil et le froid vif l'impressionnaient plus lente- ment que par le passé. Elle avait aussi constaté que l
UE. 1 19 usage, a donné d'excellents résultats. Il existe évidem- ment ici plus qu'une simple coïncidence. Des effets
yant toujours joui d'une bonne santé. Enfin on ne connaît absolu- ment rien de l'influence des diathcses, des climats et
au des membres. Sur le tronc, on observe toujours ce même gonfle- ment , plus ou moins marqué. Les téguments sont ten-
expliquer la majeure partie des troubles nerveux et particulière- ment les troubles psychiques. les immenses progrès r
de calme, être pris tout à coup d'idées délirantes, particulière- ment d'idées de persécution, à l'occasion d'un embar-
ence ré- ciproque et intime qu'exercent l'un sur l'autre le tégu- ment et les centres nerveux, et qui reste comme le s
èce nosolo- gique nettement définie et que l'on distingue facile- ment des états morbides tels que les affections car-
tats très satisfaisants. » Notre observation semble particulière- ment remarquable sous ce rapport. En dehors du fer,
à la limite des régions dorsale et lombaire, s'étendant latérale- ment le long des dernières côtes pour aller se confond
rations. Le plus souvent elle recommence immédiatement son mouve- ment de roulis sans passer parla phase épileptoïde du
s la peau est restée insensible, on peut la transpercer complète- ment au niveau des articulations les plus atteintes sa
il existe encore du gonflement. On peut s'assurer que non seule- ment la sensibilité de la peau, mais encore la sensibi
est la cause de cette modification; ce n'est pas non plus l'élé- ment douleur, cette cause reste à cherclier. (A suivre
ous publions à titre de document la lésion avait détruit entière- ment toutes les digitations du lobule de l'insula. O
c'est la simulation instinctive, le besoin invétéré et incessant de mentir sans cesse, sans objet, uniquement pour mentir,
téré et incessant de mentir sans cesse, sans objet, uniquement pour mentir , cela non seulement en paroles, mais encore en
M 99 convulsivement ses voiles palpébraux, et se refusant absolu- ment à les ouvrir. On pourrait citer un grand nombrecd
e. , Mais cette quiétude ne provient pas toujours d'un (raisonne- ment plus ou moins inconscient que les hystériques peu
ficiel des circonvolutions et des sillons confirme plus parfaite- ment la remarque que c'est là un volumineux cerveau d'
per d'interdiction légale les aliénés. Il s'agit en réalité simple- ment de la substitution d'un mécanisme à un autre, et
on absente. Cette opinion est d'autant plus légitime que ce rudi- ment d'organe rejoint par une de ses extrémités le tro
, p.l.) L'auteur développe ce thème bien connu que le développe- ment des maladies du système nerveux est en rapport di
ques comme dans l'épilepsie vraie; à la suite des accès, abaisse- ment de la tension et dicrotisnie prononcé. Le poids d
à l'exclusion des faisceaux de Goll, mais atteignant principale- ment les racines postérieures dans la région lombaire'
. Quant à déterminer le principe de l'ergot qui agirait spéciale- ment en pareille occurrence, et la part qui doit incom
arac- tères qu'elle revêt aujourd'hui. Par conséquent, concurrem- ment avec la première publication faite par l'orateur
ue disparue), mais la parésie accommodative de l'oeil gauche aug- mente , l'organe étant limité dans sa motilité interne.
contractions convulsives de la moitié droite du visage et notam- ment des contractures de la paupière. Les trois enfant
ut, fcelon que nous auons dift : or le Sabbat qui se fia nuietam- ment dure iufques à tant que le coq chante, mais depui
il ne s'eftoit point efueiglé, encore que l'on l'euft pouffé rude- ment plufieurs fois. En quatriefme lieu il se recong
ze ans, dépose qu'elle a veu tout le monde se méfier inceftueufe- ment & contre tout ordre de nature,... s'accufant
ediens naturellement refrigerans. Enfin en procurant le refferre- ment & coarctation extrefme des parties de la femm
u 25 janvier 1 882, M. Llanta, adjoint au maire du XIV° arrondisse- ment , est nommé directeur de l'asile Sainte-Anne, en r
st nommé directeur de l'asile de la Charité (Nièvre), en remplace-' ment de M. le Dl Hildenbrand. Asile d'aliénés D'ORLÉ
oelle épinière : « Du côté correspondant : 1° paralysie du mouve- ment volontaire ; 2° hyperesthésie au toucher, au cha-
ires. Comme dans tous les cas où la lésion médullaire est exacte- ment unilatérale et siège au-dessous de l'émergence
elle s'est rapide- UN CAS D'HEMILESION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 279 ment atténuée, si bien qu'on a pu croire un moment à
cessivement de 300, 250, puis 700 grammes. Le premier jour seule- ment l'urine avait conservé la réaction acide, dès le
; et en général il y a corrélation entre le degré du rétrécisse- ment du champ visuel et le degré de l'achromatopsie.
lement des troubles visuels, soit achromatopsie, soit rétrécisse- ment concentrique ou rétrécissement latéral '. Certa
un nombre suffisant de fois, il m'a été permis, à un certain mo- ment , dans chaque période et pour chaque malade, de
ant tout en haut dans les airs, la pupille se dilate progressive- ment jusqu'à doubler, ou peu s'en faut, son diamètre
ge est celui de l'ovaire au moment de l'accouchement, a pu seule- ment être sentie à gauche. A sept heures et demie, l
ligne ilio-ombilicale prise pour point de repère se soit notable- ment inclinée vers l'horizontale, les points ovariens
a ma- lade quelques gouttes de chloroforme et, à partir de ce mo- ment , les douleurs ne se' sont plus accompagnées d'auc
uer comme celui d'un bandage herniaire; il peut se placer facile- ment au-dessous de la crête iliaque, de sorte que les
les paupières d'une malade léthargique pour la rendre immédiate- ment cataleptique. Les caractères de cet état catalep-
les malades chez lesquelles on l'observe ne présentent générale- ment ni l'hyperexcitabilité neuro-musculaire dans son
possibles, mais très limités. La force musculaire est considérable- ment diminuée; mesurée au dynamomètre, elle est de cin
saillante que du côté opposé. Il n'y a plus de claudication, seule- ment le malade ressent encore de la faiblesse dans la
douloureux. L'axis présentait surtout du côté droit un épaississe- ment très appréciable à la palpation, sans empalement
ntervalle (18 mois-2 ans); il parlait bien et prononçait distincte- ment tous les mots; il apprenait convenablement à lire
29 avril On sonde la plaie avec un stylet ; il existe un décolle- ment considérable à gauche du périnée s'étendant en av
facultés intellectuelles, parait-il, n'auraient été que médiocre- ment affaiblies. c) La troisième phase commence en j
e, nous sommes amenés à porter le diagnostic : idiotie, probable- ment consécutive à une méningo-encéphalile, plus avanc
à conclure que non seulement l'hémianopsie n'était pas exclusive- ment la conséquence d'une lésion cérébrale, mais encor
rales. L'auteur ajoute que l'étude des variations dans l'arrange- ment de l'écorce cérébrale ne doit pas porter seulemen
, se- raient beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croit générale- ment . Le caractère général des troubles laryngés tabét
ies : faibles, moyennes, fortes. Elles surviennent tantôt subite- ment , soit au milieu d'une conversation, interrompant
don- née par son élève Chevallereau, M. Panas étudia minutieuse- ment le trajet intra-crànien du nerf. Dans la fosse
re (Westphal, Erb, Erlenmeyer). Le réflexe patellaire fait égale- ment défaut dans les polyomyélites antérieures aiguës
n abolit bien le réflexe de ce côté, mais sans détruire le mouve- ment du côté opposé. Celui-ci serait produit par la tr
faisaient Esquirol, Griesinger, Lowens,bien différent de l'isole- ment par séquestration dans un établissement fermé. -A
i- tuent généralement l'atrophie du cervelet sont : le développe- ment considérable du tissu conjonctif interstitiel et
M. Faluet. J'ai observé autrefois, dit-il, ce malade qui m'a vive- ment intéressé : c'était un véritable aliéne à forme m
ux de Ferrier, quoique Sommer, en r111emagne, admette un rayonne- ment de l'excitation de la corne sur le centre épiiept
à administrer le bromure de zinc; au bout d'une année de traite- ment , on note au lieu de trois cent quatre-vingt-six,
la thérapeutique des malidies des centres nerveux et principale- ment de l'épilepsie. Prix : 8 000 francs. Clôture du c
vert en séance publique par le président, qui proclame immédiate- ment le lauréat. Lorsqu'une récompense seulement est a
8. Cloree dite électrique, 213. Choroidien (altérations du pig- ment ) chez les aliénés, 361. Circomolutions cérébral
55 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
uite remarquer que le syndrome oxycéphalique a été envisagé unique- ment par le côté le plus saillant de ses altérations,
st en t873 que, pour la première fois, Michel établit un rapproche- ment entre la déformation crânienne et la lésion des n
hors des paroxysmes, les maux de tête ne cessaient jamais complète- ment , mais ils se faisaient supportables; cependant il
de l'enfance (rougeole, coqueluche, etc.), cependant son développe- ment physique resta assez régulier, voire même que, da
périeures sont épaisses et bourrelées, les inférieures sont légère- ment éversées. Les deux paupières supérieures et inf
néralement, la lame quadrilatère apparaît allongée ou, plus exacte- ment , soulevée de façon il. dépasser considérablement
iographique de la base du crâne ou lordose basilaire, par l'écrase- ment du corps central du sphénoïde, par les déviations
que l'hyperostose des crânes en question, de même que l'aplatisse- ment global de la gouttière basilaire que l'on retrouv
tat de prostration est beaucoup plus intense, il gémit continuelle- ment et il ne répond plus aux interrogations. Le membr
es injectées. Il n'a pas présenté de convulsions et reste complète- ment immobile. Le malade revient à lui après une inj
tumeur cérébrale et dans de tels cas il peut être question égale-, ment de la syphilis cérébrale,de la thrombose des sinu
i sulla morfologia délie pl'1smacellllie. Revista di patol. nerv. e ment , 1910, n- il, p. 670.. 58 MARINESCO ET GOLDSTEI
oila del diencelalo in alettni ver- tebrali. Riv. di patol. nerv. e ment ., 1891. - (4) STUD\ICti4· Anatomische Ilefte. H
ollàrtis (2) : sur 1.000 individus sains, il a constaté invariable- ment la présence des réflexes patellaires, achilléens,
.ruc, Lyon médical, 1901, p. 1008. 80 CHALIER 1·.T NOVJ-JOSSERAND ment que dans certaines circonstances le signe de West
était intacte dans la moelle de notre malade, on ne peut véritable- ment rien conclure, car la lésion de la bandelette ext
tigation clinique ne nous donnent pas la mesure exacte, mais seule- ment approximative, du fonctionnement d'une organisati
nsuffisantes à empêcher à jamais et définitivement tout fonctionne- ment . La voie anatomique n'étant pas coupée complèteme
omme étendue et localisations des lésions, ne présentent pas égale- ment ces troubles gastriques ; et inversement, on obse
If. - La présence ou l'absence des signes de Westplial est unique- ment subordonnée à la localisation anatomique de la lé
hémiplégie, après le développement d'une amaurose, après un traite- ment spécifique, hygiénique et tonique. Le mécanisme
nants. Sa figure est calme et ne révèle aucune inquiétude relative- ment au pansement qu'il va subir. Il s'agit en effet
t ce mot. L'ordre dans lequel revenaient ses souvenirs était nette- ment antérograde : ainsi, les idées plus anciennes del
térieure. Les effets de compression et de commotion produits au mo- ment de l'accident ont été passagers, et, comme la sci
analogue : aussitôt que le malade a réussi à rattacher un assemble- ment de sons à des perceptions visuelles préexistantes
e que les nombres sont pour B... des objets d'association relative- ment favorisés, au même titre que les images verbales
bien qu'il ne soit pas en état de le déchiffrer,il le copie lente- ment certes, mais avec une facilité relative, et il pa
iner les formes ; les chevelures toujours se montrent particulière- ment opulentes. Dans d'autres productions le malade
d'acromégalie chez une imbécile. Bulletin de la Soc, clin. de Méd. ment ., n° G, juin 1911. (2) f anscnc et lI.El3S, Le
e, dit la soeur. A noter que les premières règles apparurent seule- ment il y a quatre mois, qu'elles s'installèrent diffi
ce. - Khéroufa n'a pas le type arabe pur ; elle ne ressemble nulle- ment à sa soeur, seule personne de la famille que nous
rognathisme inférieur est à signaler ; la voûte palatine est nette- ment ogivale. La dentition présente des modifications
e rachitisme par contre doit être discuté beaucoup-plus minutieuse- ment . S'il n'y a ni les lésions costales (chapelet) ni
thèse défendable (dans l'achondrôplasie), mais jusqu'ici sans argu- ment à l'appui. Il n'en est pas de même des organes gé
, une cause unique (trouble des glandes endocrines) étant parfaite- ment capable de se traduire par des malformations osse
sité de )'hyperpigmentation et de l'achromie lépreuses soient rare- ment poussée à un degré aussi accentué que chez notre
L'absence monosymptomatique du réflexe achilléen est donc relative- ment fréquente; elle ne peut pas être négligée en prat
réflexe achilléen (4 fois sur 2304 sujets) et plus exceptionnelle- ment encore avec intégrité du réflexe achilléen (2 foi
t obligé l'homme à quitter la caserne provisoirement ou définitive- ment (hôpital, réforme, etc.). On conçoit aisément que
ans le crâne, les organes les plus précocement et les plus fréquem- ment atteints à la suite des états méningés sont les n
ubles nerveux. Elle existe dès la 25e année. Le nombre des cas aug- mente progressivement avec l'âge. Dans le domaine achil
l'exposé le plus complet et le plus détaillé, et c'est principale- ment de cet ouvrage que nous nous servirons pour l'étu
ssection des léthargiques, car elle se corrompt aussi fort prompte- ment en tous les aulres, et la voulant voir à Leyde, i
ne femme qu'on anatomisoit, quoyque je la cherchasse fort curieuse- ment , et sceusse fort bien où elle devoit estre, comme
t simple pensée d'une même chose en même temps, il faut nécessaire- ment qu'il y ait quelque lieu où les deux images qui v
nt tendent chacun autant qu'il est possible à continuer leur mouve- ment en 1 igne droi te » (1). Quelle va être l'action
st facile à entendre, que le tuyau a par exemple sera ouvert autre- ment par l'action que j'ay dit causer le sentiment de
rouverai seulement ici par un exemple. Si quelqu'un avance prompte- ment sa main contre nos yeux, comme pour nous frapper,
cissent tellement les orifices du coeur, ou bien qui agitent telle- ment les autres parties d'où le sang lui est envoyé, q
ous appliquons à tort quand nous voulons nous représenter le mouve- ment imprimé aux corps par les qualités soi-disant rée
e à sécrétion interne qui joue un rôle important dans le développe- ment physique et intellectuel de l'homme. En effet, ré
ns du couvre-objet de cire ou de paraffine, afin d'éviter l'écrase- ment de la gouttelette. ' On obtient ainsi, au micro
pas sous la dépendance des agents fixateurs. Hardy s'occupe égale- ment des structures réticulées qu'on constate après la
bitude celle des granulations du cytoplasma. L'axone montre facile- ment des granulations colloïdales; le cylindraxe,au co
neurofibrilles de la cellule vivante seraient liquides, mais seule- ment que leur consistance est différente de celle que
ications d'un autre genre. En effet, elles sont plus pâles, légère- ment granuleuses, et si le traumatisme est plus violen
opriétés acidophiles, c'est-à-dire qu'elle serait chargée positive- ment . Mais alors comment expliquer sa précipitation pa
des cellules hydrophiles dans lesquelles l'eau pénètre très facile- ment et des cellules hydrophobes qui résistent pendant
ma de celui que nous avons décrit dans celles traitées tout simple- ment par le chlorure de calcium. Mais en dehors de ces
nerveuses réalisées par tous leurs- éléments constitutifs et notam- ment par les granulations colloïdales : gonflement, di
e malade dont nous rapportons l'observation est un exemple extrême- ment rare, peut-être unique, des variations du squelet
s ihnercostaux. - Les espaces qui séparent les côtes sont générale- ment d'autant plus larges qu'on s'éloigne davantage de
es 4 vertèbres dorsales ; c'est dans cette partie inférieure seule- ment que nous trouvons les 4 paires de côtes et les ap
plus de brièveté dans la région du cou, et par suite un rapproche- ment trop considérable du cou et du cerveau. » Nous ne
és dans l'observation de et ultérieure- 260 MALDARESCO El' PARHON ment au travail des auteurs français par Hultkrantz, S
ieur en collaboration avec MM. Marinesco et Minea (42). Plus récem- ment encore Josephson (43) ainsi que Peter Kranz (44)
velle, elle eut une violente crise de larmes sans manifester autre- ment ses sentiments. Durant la période qui précéda i
outes mes questions, Caroline répondit sans hésitation, judicieuse- ment , mais avec une certaine nonchalance et une certai
elle se rappela qui avait alors été le pasteur de la paroisse, com- ment il était, ce qu'elle avait fait à la maison et co
sur la glace, elle avait eu mal aux dents et s'était sentie légère- ment souffrante; chemin faisant, elle ne s'était fait
ble que Caroline s'est trouvée dans un état très prononcé d'épuise- ment psychique et d'inhibition associative ; les souve
s différences qu'elles présentent au point de vue clinique ; seule- ment , le tableau des symptômes de l'un aussi bien que
énar, les interosseux, les extenseurs des doigts sont considérable- ment atrophiés. Sur la face postérieure de l'avant-bra
on : quelques fascicules sont grisâtres et vitreux. Après durcisse- ment par le formol ou le liquide de Müller, cette part
ur circonférence ; le plus souvent, l'épaississement est régulière- ment concentrique, formé de lames conjonctives imbriqu
trophiée contienne une fibre normale on à peine modifiée ; inverse- ment , on trouve des fibres arrivées à un degré avancé
jonctive ait des dimensions anormales ; ceci est encore plus nette- ment démontré par la discontinuité possible de l'épais
ig. 3). On voit aussi cette dernière rester volumineuse, régulière- ment cylindrique, alors que l'élément conducteur qu'el
zones où les fibres musculaires, de volume normal, sont régulière- ment groupées, sans autre anomalie qu'une légère augme
rt. Les racines antérieures sont aplaties et grisâtres, très nette- ment atrophiées, les postérieures semblent presque nor
peu dégénérés, les cordons antéro-latéraux sont au contraire forte- ment dégénérés. Sur cette coupe, on note l'atténuation
e ; au niveau du 3e segment sacré, il ne subsiste qu'un petit frag- ment de la moitié gauche de la moelle. Le schéma que r
ographie et la distribution des lésions correspondent assez exacte- ment à ce que la symptomatologie permettait d'imaginer
Examen morphologique. Le crâne se présente sous une forme sensible- ment régulière. La bosse pariétale de droite est un pe
che. Il en est de même de la moitié droite du front qui est légère- ment plus saillante qu'à l'ordinaire. Le diamètre fron
s en haut. Quant à la partie droite du visage, elle reste complète- ment inerte (PI. XLV). Le sujet peut tirer la langue
roite la force dégagée par les muscles de l'avant-bras est notable- ment moindre qu'à gauche. L'examen radiographique de
(au point de vue de l'évolution et de la sypptomatolorie) complète- ment au type hémilatéral de la variété facio-scapulo-h
e (nerf facial, muscle cucullaire, muscles zygoma tiques, Ilocculus menti , biceps brachial et triceps brachial, extenseur
des ptérygoïdiens, fait rare, mais que quelques auteurs ont égale- ment signalé dans la forme facio-scapulo-humérale de l
(1) a donc raison quand il pense que si l'on examinait méthodique- ment les os de tous les myopathiques, on trouverait qu
e Paget localisée à la jambe droite. Comme l'affection était nette- ment d'origine traumatique et comme, à côté de grosses
'augmentation de volume de ce segment de membre ne tient pas seule- ment à son accroissement d'avant en arrière, mais auss
subi ; c'est de cette saillie que serait parti ensuite l'accroisse- ment progressif de l'os, d'une part en hauteur le long
, l'os s'effile a ce niveau. TRAUMATISME ET SYNDROME DE PAGET 337 ment celles de la couche sous-périostée, qui caractéri
e notre malade, nous pouvons dire que nous ne voyons plus actuelle- ment aucune différence entre sa structure et celle d'u
ure du fémur en même temps que celle du tibia. Le brusque redresse- ment du genou par un traumatisme portant sur sa partie
. J'étais puni dans l'éternité... Les morts me piquaient quand je « mentais : Dis la vérité, on va te sauver. C'était affreux
R. Rien, parce que... « Alléluia ! ! alléluia ! ! « Glas... glas... mentir ... le pain n'est pas pur... il est poussière (il
hallucination dont il ne nous avait jamais parlé. Il était à ce mo- ment « en place », c'est-à-dire au début de son délire
enl touchée, la moitié supérieure relativement indemne. Le Ipr seg- ment dorsal, fortement atteint dans un cas, l'est beau
us grand nombre puisque, la lésion prédominant au niveau du 81 seg- ment , déborde celui-ci en haut et en bas. D'aulre pa
ingomyélie reste toujours très obscure. Si on fait du gliome l'élé- ment capital et primitif du processus anatomique de la
adiede Morvan ; il avait perdu tous ses doigts, très vraisemblable- ment par un processus de nécrose et de résorption, car
oient des pointes dans le tissu névroglique plus ou moins profondé- ment ; elles tendent à se rejoindre et à former ainsi
e progressivement au reste de la corticalité et a provoqué tardive- ment , après une longue période de latence et peut-être
tié droite des faisceaux postérieurs une transparence de développe- ment identique et localisée au même endroit. Dans les
t conservé leurs cylindraxes. Ces fibres sans gaine myéiiuique aug- mentent vers la périphérie. La commissure antérieure est
ent par-ci par-là des corpuscules amylacés que l'on aperçoit égale- ment isolés dans les faisceaux antérieurs, antéro-laté
émités lésées commence à revenir et l'on voit s'affermir graduelle- ment la jonction normale des vois sensibles comprimées
omplète et les voies de la sensibilité tactile se trouvèrent égale- ment soumises à la compression. Les troubles des sphin
sence de douleurs dans la première période de la maladie conjointe- ment avec l'absence continue de gibbosité, ont mis en
ard, ses membres du côté droit ont commencé à trembler, mais seule- ment à l'occasion des mouvements, de la marche, après
il tous ces symptômes et nous n'y revenons pas. Nous voulons seule- ment ajouter qu'au premier examen du malade, le nouvea
'accompagner jusqu'au terme de ses souffrances; elle avait à ce mo- ment 38 ans d'âge et 23 ans de maladie. Des cuisses
bruit incessant dans l'oreille droite, de laquelle il est entière- ment sourd. Au commencement de sa maladie il a souff
côté, une atrophie modérée des muscles interosseux avec amaigrisse- ment et dépression au niveau des espaces. Les mouvemen
re, pas d'autre atrophie musculaire. Le réflexe radial est extrême- ment faible des deux côtés, mais on peut l'obtenir. Il
ire infiltrée de cellules rondes (du côté sain l'on reconnaît aisé- ment les cellules normales de la corne) ; 3" la corne
ns force, surtout l'opposition du pouce et les mouvements d'écarte- ment des doigts. A droite la main est un peu amaigrie,
er l'origine syphilitique de la lésion. Peut-être s'agit-il simple- ment d'artério-sclérose sénile. L'absence des lésion
la main est remplacée par une dépression permettant de suivre aisé- ment le 5e métacarpien. Amyotrophie thénarienne et hyp
ition sont très mal exécutées. Celle-ci est remplacée par un mouve- ment de flexion-adduction. ' Ces données sont confir
se. L'opposition complète est impossible et remplacée par un mouve- ment d'adduction. L'adduction se fait relativement bie
oigts, qui sont cependant possibles. Les mouvements du pouce notam- ment l'opposition sont possibles, mais exécutés sans f
e, un peu dans le quatrième. En même temps sensation d'engourdisse- ment et de faiblesse dans le pouce. L'atrophie muscu
ie musculaire fut remarquée par son médecin. Elle est très stricte- ment limitée au côté externe de l'éminence thénar, où
otées dans deux de nos cas anatomo-cliniques. Elles existent égale- ment dans 4 sur 6 de nos cas purement cliniques. Qua
Qu'ils étaient abolis ou du moins extrêmement diminués bilatérale- ment et sans différence d'un côté à l'autre dans un ca
évidemment inutile de faire ai ce sujet des hypothèses sans fonde- ment , mais le fait est en lui-même indéniable, et méri
jours suivants. Ces crises commençaient du côté gauche, et rapide- ment du membre supérieur se généralisaient à tout le c
n lombaire droite. L'atmosphère graisseuse péri-rénale est extrême- ment abondante. La capsule fibreuse lui est unie par d
Nous n'avons pas l'intention d'entrer dans la discussion du traite- ment opératoire de ces épisodes aigus. L'un de nous, q
t cette question n'a pas été l'objet des études lui étant spéciale- ment consacrées, bien qu'elle mérite une attention par
ont noté la possibilité de l'obésité ou par contre d'un amaigrisse- ment prononcé dans la paralysie générale. Pourtant le
le voit sur les photographies, l'anatomie des formes est profondé- ment modifiée. De face (Fig. 1) on remarque le contr
erne anormalement développée. Les régions delLoïdiennes sont égale- ment envahies par la lipomatose qui se continue, insen
56 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ception du sens articulaire et du sens stéréognostique sont absolu- ment normales. Pas de troubles trophiques; rien à note
ous arrivons là au coeur de la discussion, et sans préjuger aucune- ment de la solution du problème, qu'il me soit permis,
nt tantôt trop froids ou trop chauds. Elle cherche alors naturelle- ment le contact d'objets froids lorsqu'elle a trop cha
croire, avec la distance parcourue de la partie blessée à son seg- ment médullaire. 3° Par sa marche. Elle a un commenc
e lit. Je constate qu'elle est incapable de faire le moindre mouve- ment ; elle est paralysée des deux membres inférieurs,
le droit qui s'est développé le premier, mais, poussant plus lente- ment , le gauche a fini par le rattraper. En resumé,
idée de tumeur, néoplasme, dégénérescence et le reporter sur l'élé- ment étiologique, pathogénique, dynamique, il sera plu
ifficulté à marcher sans se tenir après les murs. Il tombe fréquem- ment et uniquement en avant. Il ne peut se tenir debou
e en disant qu'il marche avec ses bras. L'occlusion des yeux n'aug- mente pas ses troubles. Il n'a jamais eu de sensation v
rofond de l'équilibre cyiiétiqite {station debout et marche) égale- ment 'réparti aux deux moitiés du corps. Je pense qu
nte n'est pas constante. Mais une thrombose de ce tronc a pu ample- ment suffire pour réaliser un ramollissement limité du
pportaient spécialement. Fig. 1. Station droite avec relâche- ment des spi- aux (schéma du losange dorso-lomba
ion au milieu de l'oscillation de la jambe correspondante. Inverse- ment il s'abaisse du côté portant, et le point déclive
, qu'il tend à se porter légèrement en avant. Ce serait donc seule- ment à ce moment qu'une contraction frénatrice des ext
n aplatissement latéral très marqué du thorax, lié à l'amoindrisse- ment de ses dimensions transversales. La courbure de
té que chez l'homme. Nous avons plusieurs fois observé l'aplatisse- ment des faces latérales du thorax et la dépression en
des condyles fémoraux que nous avons vu manquer dans un cas seule- ment . Enfin il nous faut signaler un certain nombre
tant à part les déformations liées à un processus morbide actuelle- ment classé comme le rhumatisme chronique progressif,
n deuxième groupe, nous rangeons les cyphoses dues à l'affaiblisse- ment musculaire portant surtout sur les muscles extens
ailleurs toute la ressemblance ; il y a loin en effet de l'enfonce- ment du Trichterbrust à la dépression que nous avons s
u fonds primitif de la Personnalité, mis au jour par le bouleverse- ment des couches supérieures de notre stratification p
au niveau des premières vertèbres dorsales, sa tête était constam- ment oscillante ou retombait sur l'une ou l'autre épau
ngite. B. Ecorce cérébelleuse. - L'atrophie constatée macroscopique ment est bien plus manifeste au microscope, c'est un
ubérance) sont atrophiés, sans grosse sclérose. Très vraisemblable- ment , il s'agit encore d'une dégénération secondaire à
'une dégénération assez diffuse et ayant une localisation sensible- ment identique du haut en bas de l'axe médullaire. En
mble donc bien difficile, à l'heure actuelle, d'accepter intégrale- ment l'idée de la première heure émise par M. P. Marie
remplissent son lit, la piquent et lui font ressentir un fourmille- ment dans les membres. Ils sont de couleur brunâtre ou
. La parole est absolument celle d'un paralytique général. Tremble- ment des bords de la langue. Pupilles presque toujou
es et les ventricules dilatés. Le manteau cérébral n'a malheureuse- ment pas été conservé. L'examen miscroscopique de la m
rie, nous avons constaté partout les altérations décrites précédem- ment . Dans la substance grise des vacuoles autour des
ance (fig. 10) et de la moelle allongée, jusqu'au niveau du croise- ment des pyramides ; il s'est fait place dans l'hémisp
t ta force motrice et se manifestant, au contraire, par du tremble- ment , de l'incoordination, des mouvements athétosiform
amen des divers organes : poumons, coeur, viscères, reste complète- ment négatif. Ni sucre ni albumine dans les urines.
uche, les réflexes à la lumière et à l'accommodation sont complète- ment abolis. - Examen de la vue : très diminuée, rét
ville, Duval, Laborde, Parinaud, Sauvinaud, Teillais et plus récem- ment encore ceux de Raymond, Cestan et Babinski. En
Dans nos deux observations on pouvait constater un syndrome absolu- ment identique dans les deux cas,et constitué par une
ur ce qui est des mouvements associés de l'élévation, de l'abaisse- ment et de la convergence, Parinaud, Sauvinaud et d'au
ique ; alors tous les muscles des yeux étant paralysés, le relâche- ment des muscles droits peut entraîner un certain degr
entend un souffle systolique, rude et intense, précédé d'un claque- ment des valvules sigmoïdes. Ce souffle s'entend en au
ond, plat, épais, mince, hexagonal, quadrilatère, etc. Malheureuse- ment , la gêne dans les doigts ne tarde pas à revenir e
de cette opération ont été nuls et il n'en pouvait pas être autre- ment . L'élongation du tronc nerveux n'a aucune raison
ns nos travaux sur le massage chez les tabétiques et sur le traite- ment des hémiplégiques, à savoir : masser les muscles
Au sur et à mesure que notre patient commence à se servir relative- ment bien de cette plume, nous la remplaçons par la pl
ix, en indiquant le carré et en priant de l'inscrire sous commande- ment et dans un temps, plus ou moins long indiqué par
ure agit dans le traitement des crampes professionnelles non seule- ment par son action réelle, mais aussi par la suggesti
cices, que nous engageons à continuer à faire même après ce traite- ment , mettent les malades à l'abri de ces rechutes ; n
ou tel ses- SCLÉROSE ALTERNANTE AVEC LOi11B0-SCIATIQUE DROITE 237 ment du corps demeure immobile pendant divers mouvemen
aire, on s'expliquerait la scoliose d'un côté, mais plus difficile- ment celle du côté opposé. En tout cas, il ne faut pas
alysie générale ; c'est plutôt une altération développée primitive- ment dans les faisceaux blancs delà moelle épinière. H
envahir depuis la région lombo-sacrée jusqu'au bulbe. Histologique- ment le tube nerveux s'atrophie graduellement, avec pe
il était syphilitique. Alité et gâteux, il s'affaiblit progressive- ment et rapidement succombe le 24 février 1903 après a
lombaire. Hématoxyline-éosine. L'infiltration cellulaire est nette- ment marquée au niveau de l'émergence des racines post
les signes de méningo-encéphalite, embarras de la parole, tremble- ment , etc., ainsi que les symptômes tabétiques. Six
eigert-Pal, le plexus d'Exner est perceptible à un petit grossisse- ment ; à un plus fort grossissement on voit qu'un gran
Étude clinique. Il s'agit d'un chien cocker âgé de 2 ans 1/2 au mo- ment où nous l'observons. Ce chien, abandonné à lui-mê
ainsi, quand on pique la face de l'animal, il ne fait aucun mouve- ment pour mordre ; il éloigne simplement la tête. Le
l ne voit pas. Un obstacle placé devant lui n'arrête pas son mouve- ment de manège et il ne change de direction qu'après a
ique montre quels sont les symptômes d'une lésion survenue brusque- ment , et non pas la succession des symptômes provoqués
nde à répéter les mots qu'on lui dit, chose dont elle était absolu- ment incapable au début. Elle a dû apprendre à nouveau
es. Les reins (320 grammes pour les deux) se décortiquaient facile- ment ; pas de diminution de la substance corticale.
vant s'appliquer qu'à un certain nombre de faits, ne peut certaine- ment être invoquée dans notre cas. Sans doute, nous av
l'oedème revient et dure deux mois et demi, puis un jour soudaine- ment disparaît. La malade observée pendant un an encor
ne soit un élément étiologique de l'éléphantiasis : très probable- ment au contraire avec le perfectionnement des moyens
et à présent de reconnaître aussi une pathogénie identique. Un élé- ment commun aux trois formes est précisément l'excito-
après (décembre 1900), le Dr Breton consulté, conseille un traite- ment électrique qui amène une sédation manifeste des d
jours à ramener par la volonté la tête dans la rectitude. Le mouve- ment est lent. Elle dit avoir de la raideur à droite,
rant 13 centimètres de longueur ; elle possède une courbure légère- ment exagérée en avant. La clavicule droite présente d
et se continue par un cordon fibreux souple et élastique. Le frag- ment externe, atrophié, de dimensions peu appréciables
ments et des renseignements précieux dont nous les remercions vive- ment . C'est d'ailleurs dans les deux communications de
P. Marie, la'plupart des auteurs étrangers semblent ignorer totale ment ses conclusions ; quelques-uns même paraissent dé
rès nette dans tous nos cas. Nous n'avons pas constaté l'élargisse- ment et le déjètement en dehors du pavillon de l'oreil
e dernière pouvant n'exister qu'en partie ou même manquer complète- ment . 40 Il ne nous a pas semblé dans ces différents
visible par rapport à celle des os avoisinants est celle d'un seg- ment cartilagineux ou ligamenteux. Les rayons X nous o
disposition du crâne et du canal rachidien, on le retrouve exacte- ment semblable des deux parts : c'est l'absence de la
l'anencéphalie consiste essentiellement dans un arrêt de développe- ment » (1). Comme conséquence du retard de fermeture,
és par M. le professeur Prenant. Ce sujet ne présentait ni engonce- ment de la tête, ni projection des épaules ; le cou ét
c à pédicule sessile long d'environ 3 centimètres, à paroi extrême- ment mince, transparente, qui n'est guère autre chose,
gouttière. Les deux pariétaux, dont l'aspect diffère très sensible- ment de celui que nous avons précédemment décrit, sont
ale avec la colonne dorsale est assez variable; il atteint fréquem- ment 90 degrés, mais peut être plus ouvert. Dans l'uni
ens de la déviation, l'apophyse basilaire se place perpendiculaire- ment au plan horizontal et devient parallèle à la dire
rsales un tissu nerveux ayant au centre un canal épendymaire nette- ment limité par des cellules dont les cils sont plus o
Sur les coupes pratiquées dans ces conditions, on distingue nette- ment , à une certaine distance de la tumeur, l'assise g
n liquide séro-sanguinolent. De ces lacunes, les unes sont extrême- ment petites, les autres, au contraire, très larges, a
mblablement dues les formations kystiques que l'on observe constam- ment dans la tumeur cérébrale. L'intérêt gît principal
et tende à envahir les enveloppes même de )'oeil Il doit certaine- ment se rencontrer des cas où, soit que les processus
une bouillie informe, dans laquelle on ne distingue plus aucun élé- ment cellulaire. Ce n'est que tout à fait en haut, dan
eux cas nous montrent, en somme, une dégénérescence extraordinaire- ment avancée ; c'est une dégénérescence simple, non su
t du tissu médullaire par le processus inflammatoire prenant nette- ment le pas sur tout autre processus dans les cas ordi
ge d'éléments nerveux ; celle où, au-dessus des tissus de remplace- ment , sont disposées des fibres nerveuses en nombre va
se colorent bien à l'éosine, fibrilles peu marquées, mais suffisam- ment nettes toutefois. Le réseau englobe également de
donc d'un processus général, grâce auquel la tumeur perd graduelle- ment son volume initial, jusqu'à n'être plus qu'une tr
de bas en haut et c'est, non pas un segment inférieur, mais un seg- ment supérieur qui devrait résister le plus longtemps.
Ces fibrilles convergent en certains points vers des noyaux, y for- ment des plexus, et se portent ensuite plus loin.' D
E ACHARD et FRESSON. - Gaz. hebd., 1896. ALLAN STAR. - Journ. of. ment . et nerv. Dis., 1898. Ballet et RosE. Rev. Neur
émispasme facial identique à celui dont je m'occupe. J'ai eu récem- ment l'occasion d'examiner une femme qui était sujette
sé ; de telle sorte que le nerf de l'orbiculaire commande actuelle- ment au muscle frontal et aux zygomatiques. La nature
des membres supérieurs chez l'un des frères et chez l'autre seule- ment trois ans après le début de la maladie, donnait à
end que ces douleurs articulaires étaient accompagnées d'un gonfle- ment des jointures, de telle sorte que, d'après ses in
elles persistent pendant trois mois, elles ont disparu définitive- ment par la suite. Il est à remarquer que chez le cade
tion à peu près complète des fessiers, le bassin réduit extérieure- ment àsa surface squelettique; les muscles postérieurs
la forme de cylindres très fins, constitués presque partout seule- ment par l'os et la peau qui l'entoure. Le muscle de
un mouvement d'extension, de flexion et d'opposition. Le rapproche- ment et l'écartement des doigts sont impossibles. Cepe
et les extenseurs sont très atrophiés, les premiers sont relative- ment mieux conservés. Les muscles fessiers sont pris é
al, on remarque que, à la face et au cou il n'existe' aucun change- ment de l'excitabilité, tandis qu'aux membres supérieu
psychique des enfants. Plus que de coutume, les enfants hystériques mentent , jouent la comédie. Ils sont fantasques, capric
le est d'ordinaire mono -symptomatique et que les stigmates propre- ment dits sont, nous le répétons, remplacés par la sym
, un petit point d'ostéite tuberculeux épiphysaire, avec envahisse- ment insignifiant de la synoviale, puisse provoquer, a
ce membre. Sur l'enfant couchée, nous voyons un pied plat, légère- ment valgus, immobilisé à angle droit sur la jambe. Le
eulement dans le cou, toujours à l'occasion de tentatives de mouve- ment . La mère nous apprend en outre que la nuit la d
e qu'il lui semble pouvoir tourner la tête. Deux jours après seule- ment l'appareil est enlevé, la tête est parfaitement d
abord, l'enfant ne paraît pas nerveuse. Elle rit et pleure facile- ment , est très distraite à la pension. Sa sensibilité-
ic de scoliose névropathique est posé par élimination et le traite- ment vient d'ailleurs confirmer cette opinion. On soum
l en est d'autres où l'impression générale est celle d'un affaisse- ment plutôt que d'une raideur, où la rectitude se réta
'état normal, l'homme debout ne se tient pas volontiers symétrique- ment sur les deux jambes, mais bien plutôt il se met e
pour cela, constater qu'en quelques jours, sans traitement propre- ment dit, l'enfant était tout à fait guérie. Mais tout
rtain point réservé dans ces cas où le diagnostic est fait tardive- ment : ce n'est pas impunément qu'un sujet, surtout s'
prêtant ainsi le flanc à l'accusation du curé qui déclare publique- ment : « Il n'y a que ce coquin de.C.. qui, pour me jo
prématurée des os cartilagineux de la base du crâne, avec enfonce- ment de la racine du nez, qui contrastent avec une voû
avec aspect boudiné des membres généralement déviés, et un enfonce- ment de la racine du nez, contrastant avec un développ
c celui de leurs diaphyses, l'effort de croissance se fait oblique- ment , les surfaces articulaires possèdent un aplomb im
rs de proportion avec la petite taille de l'individu, est générale- ment plus volumineuse que celle d'un adulte normal ; e
ent séparée de la diaphyse et que l'ossification n'est pas notable- ment plus avancée que chez un enfant à la naissance ;
dehors et le péroné, un angle ouvert en dedans, d'où [un élargisse- ment de l'espace interosseux, qui est plus rare au niv
oudée à ses condyles, est épaissie mais arrêtée dans son développe- ment . « Au contraire, les deux points d'ossification s
l'état normal ces dimensions sont à peu près égales. L'épaississe- ment de l'occipital inférieur contraste avec la minceu
'étroitesse du bassin d'une façon absolue. Mais ils sont, relative- ment aux diamètres du détroit supérieur, plus grands à
i, descend à G ou 7 centimètres et rend, conséqnemment, l'accouche- ment a terme impossible par les voies naturelles. Sur
nées de la ligne d'ossification sont petites, grêles, essentielle- ment irrégulières et représentent un semis de petites
lasique ne sont pas constantes. Elles sont, du reste, très inégale- ment réparties sur les différents points de l'os. Il n
rrait donc que ce trouble dans le modelage diaphysaire soit unique- ment la conséquence mécanique des coudures juxta-épiph
mêmes lésions d'ordre congestif et inflammatoire existaient égale- ment plus ou moins intenses dans les autres organes et
le sont dans les foetus â terme bien conformés. Ils étaient égale- ment plus ou moins courbes sur leur longueur et tons p
e uniquement par quelques lames périphériques, minces, irrégulière- ment disposées sous le périoste et ne constituent qu'u
plasie périostale l'absence de tissu compact rend les os excessive- ment fragiles, aussi les fractures sont-elles, en géné
h, Wyss, Neumann, Schmith, Lessing, Urtel, se basant sur l'enfonce- ment de la racine du nez, considéraient l'achondroplas
sme congénital demande d'autant plus à être vérifié histologique- 1 ment qu'il ne donne pas toujours le tableau clinique c
onc pas dans le début acquis ou congénital que l'on trouvera l'élé- ment essentiel du diagnostic, mais dans les caractères
ombien souvent la tuberculose est-elle étiquetée cancer ou inverse- ment ? Bref, l'achondroplasie peut et doit rester dist
'insisterons pas davantage sur ce point. Nous avons cherché unique- ment ai indiquer le sens dans lequel, croyons-nous, la
Qu'elles affectent toute l'économie ou touchent plus particulière- ment un organe ou un autre par suite de curieux phénom
us semble donc, en résumé, que l'achond2oplasie ne relève probable- ment pas d'un microbe ou d'une toxine unique, spécifiq
ns plutôt le résultat d'agents pathogènes divers, plus probable- ** ment infectieux que glandulaires, ayant comme seul car
développé et guéri avant la naissance (Soc. de Chir., 1883, et Rev. mens . des mal. de t'enfance, 1884). GuÉRiK. Rech. su
out le raccourcissement des membres avec microrizomélie, l'enfonce- ment de la racine du nez, la grosseur de la tête ainsi
) (1875). On voit que l'achondroplasie est une dystrophie relative- ment rare et pas assez connue du pub.ic médical. SUR
démesurément tandis que là ils se sont arrêtés dans leur développe- ment . On sait d'autre part que dans le gigantisme ce s
i nous admettons que l'amnios ait subi un arrêt dans son développe- ment pendant les premières périodes de la vie embryonn
Mais nous trouvons les anomalies plus profondes au niveau du seg- ment suivant. Ce fait s'explique facilement si nous so
la vie foetale, le membre inférieur n'a pas encore subi son mouve- ment de torsion ; le tibia qui se trouve du côté exter
ance de cet os, alors que le tibia ne se différenciant pas normale- ment de la masse des cellules indifférentes qui représ
qui borde le sillon supérieur de Vicq d'Azyr j'ai pu compter seule- ment une dizaine de ces cellules, tandis que la même l
e il avait présenté un cas à la Société Médicale du IXO arrondisse- ment et dit qu'il s'agissait d'une méningo-myélite com
seignements précis sur ses antécédents héréditaires. Il sait seule- ment que sa mère est morte à 23 ans de fièvre puerpéra
soit dans la disposition du squelette, soit dans l'état du revête- ment cutané. Il n'y a aucune raison pour que le squele
iolente des inflammations. Celle-ci peut alors se développer libre- ment et évoluer jusqu'à son terme logique. Dans un c
estruction de la voûte du crâne a une autre conséquence bien autre- ment intéressante que cet exorbitisme apparent. Le rem
dive- PATIIOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'A1VENCÉPHAL1E 609 ment les parties déclives du crâne, tandis que dès son
mais ceux-ci, éloignés encore de toute lésion, et par suite forte- ment reliés les uns aux autres, résistent à la tractio
mmet du crâne. Si la propagation est suffisamment lente, non seule- ment les masses latérales de l'occipital résistent à l
ina-bilida de l'anencéphalie n'est point provoqué par un développe- ment insuffisant de système nerveux ; ce spina-bifida
quemment constaté une déviation des pieds en dedans. Mais, constam- ment , il m'a semblé que cette déviation répandait plut
gétante ; son extrémité inférieure s'épanouit pour déborder légère- ment à la face externe du cou-de-pied. Le pied gauche
artie profonde, elle se présente avec des contours assez régulière- ment dentelés et se trouve remplacée, sans transition,
lagineuse et apport d'éléments conjonctifs provenant vraisemblable- ment du périoste voisin. * * A. Pic (1) a, sur le
is, c'est-à-dire depuis dix ans, elle n'a souffert d'aucun dérange- ment grave; maintenant elle présente un pannicule adip
xostoses ostéogéniques, exostoses d'accroissement ; leur développe- ment peut s'arrêter en même temps que s'arrête le déve
liaque, la cavité pelvienne, le triangle de Scarpa ; fixe et forte- ment adhérent dès l'origine, il conserve une dureté tr
ssu osseux de nouvelle formation à plusieurs périodes de développe- ment . Le point de départ de la transformation réside
E. Launois et Pierre Roy néanmoins concluent leur ouvrage en affir- ment que bien que la pathogénie de la maladie exostosi
théorie des états irritatifs chroniques m'a fait me demander un mo- ment si, dans le cas spécial, l'affection en question
et la lumière du vaisseau sont nettes ; l'infiltration est stricte- ment périvasculaire. b) Lorsque l'infiltration augme
a largement contribué à le produire ; cela nous explique immédiate- ment sa localisation au cervelet et à proximité des fo
ies et une attitude absolument particuliers. L'oeil droit complète- ment fermé, l'oeil gauche peine entr'ouvert et découvr
dehors et en dedans. On ne peut provoquer ni élévation, ni abaisse- ment . A droite le globe est complètement immobilisé da
mère et de sa soeur, est atteinte d'ophtalmoplégie externe absolu- ment identique à celle de sa soeur ; elle présenterait
quelques autopsies que l'affection relève d'un arrêt de développe- ment , d'une aplasie des noyaux moteurs de l'oeil. A ne
nomène. L'anomalie fonctionnelle du brigadier M.... réside entière- ment , selon nous, dans la rupture de l'antagonisme qui
au système nerveux, déforment les ébauches squelettiques et impri- ment à l'individu une attitude spéciale, il apparaît b
me foetal qu'il acquiert toute sa virulence; c'est donc nécessaire- ment dans cet organisme qu'il se développe. Si nous ne
part une erreur de technique, c'est, ou bien qu'il a disparu au mo- ment où nous effectuions nos recherches,ou qu'il a éch
ois d'un accident de très petite importance pour modifier profondé- ment l'organisme foetal : un léger obstacle apporté à
eudencéphalie présente au contraire une morphologie générale nette- ment caractérisée. Une distinction s'impose donc néc
emarquerons, en effet, que la tumeur décrite par Andrieu est nette- ment exclue du crâne. Il est probable que la non-propa
foule sont arrachés de leurs montures et poignardés dans un mouve- ment saisissant qui évoque à la fois la furie des cour
ro- lières), LXVI à LXXI. Exostoses ostéogéniques de développe- ment (SIMON[1\'[), LXXII À,LXXIV. Extension des orte
57 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
1911, l'index depuis l'été 1910, le médius depuis trois mois seule- ment (printemps 1912). Tous sont terminés en baguette
ement ou presque exclusivement lésée et les parties molles lui for- ment une gangue épaisse. Mais outre les ostéophytes
n l'affection peut s'installer insidieusement par un simple gonfle- ment des extrémités des doigts (2). Nous distinguerons
sendocrinie sur l'organogénèse embryonnaire est démontrée suffisam- ment pour l'appareil génital. , Dans le présent trav
basilaire du crâne est très restreint en comparaison du développe- ment de la calotte. Les parois osseuses de la voûte mo
stence d'une atrophie typique du système pileux caractérisée notam- ment pour sa distribution très espacée (V. fig. 1). A
maurose hystérique. Le fait que le patient, à la suite d'un traite- ment psychothérapique, est guéri en peu de jours,prouv
ique et exceptionnellement du neurone central du facial. Car juste- ment , dans ces cas, la cause irritative étant presque
: hôpital. Je lui montre une pièce de monnaie, il reconnaît égale- ment . Les deux ou trois mots que je peux tirer de lui,
rition des cellules nerveuses,dont quelques-unes sont encore vague- ment reconnaissables. Les fibres à myéline sont plus c
une violente douleur dans la région sacrée, semblable à un déchire- ment , il eut des bourdonnements et des éblouissements
volume; son pôle inférieur est situé.dans la partie moyenne du seg- ment C7 où il occupe la substance grise intermédiaire
n'est cependant qu'une explication insuffisante puisque ce déplace- ment , d'ailleurs inconstant, ne porte que sur une part
s, in un caso di compressione del midollo. Rivista di pat. nerv. e. ment ., décembre 1900, p. 529. ANDRÊ-TnoMAS. Le cer
isement des pédoncules cérébelleux supérieurs. - x Py, entrecroise- ment pyramidal. ' TRAVAIL DO SERVICE DU D' FAISANS
un membre inférieur s'étend tandis que l'autre se fléchit. Rapide- ment les membres retrouvent le repos, en flexion, mais
incement de la peau du dos du pied suffit à provoquer un vif mouve- ment de flexion de tout le membre inférieur ; la manoe
ordinaire de petit faisceaux de fibres fines, coupées transversale- ment , mais nous n'accordons pas à cet état une signifi
presque complètement occupés par un nombre variable (2 à 8) d'élé- ment arrondis entourés d'une fine capsule, et qui ress
emmal (Tunisie), Brahim Ben-Bakri, âgé de 25 ans. Il suit actuelle- ment le traitement antirabique à l'Institut Pasteur de
e; les périmètres médio-tarsiens et bimalléolaires sont respective- ment 32 et 29 à gauche, 23 et 22 à droite. Le gros ort
. G., âgé de 35 ans. Malade de pellagre une année, et d'un dérange- ment psychique un mois ; se trouve depuis deux semaine
infiltration et il n'existe aucune démangeaison, ce qui est un élé- ment de diagnostic important. Au commencement de 191
tous les instants où ils exercent leurs fonctions et non pas seule- ment pendant les actes professionnels. Toutefois, bi
ois, bien que les toxines ou la fatigue ne participent pas directe- ment à la genèse des psychoses d'employés, elles peuve
iblissant l'activité physiologique du système nerveux et conséquem- ment la tension psychologique. . L'état physique de
les insuffisances professionnelles, car on les observe plus facile- ment que lorsque le processus est purement mental et n
mptômes Elle ne peut se servitude son bras droit, car chaque mouve- ment fait tourner la tête à droite. « Je suis, dit-e
Les faits suivants n'étaient pas moins significatifs : le tremble- ment était plus prononcé si on s'en occupait pendant l
ffaires de la vie ordinaire, qui, même si elles ne sont pas réelle- ment insignifiantes le deviennent dans son esprit, et
ent ou qu'il a imaginée par la suite. Le malade se trompe délibéré- ment lui-même et il fait des efforts désespérés pour c
ents n'avaient rien à faire éliologiquement avec le travail propre- ment dit. Cas VI. Epuisement intellectuel. Un étud
st des plus rares. En général les deux côtés sont pris asymétrique- ment . La paralysie frappe tels muscles, respeclant lel
es muscles du facial inférieur. La fig. 10 le démontre bien claire- ment . En plus de l'insuffisance qu'il y a de la part d
hmique, sont très diminués et disparaissent, même parfois complète- ment , si une personne prête son appui au malade, et ce
érence dans les articulations les plus distales. Elles sont éminem- ment chroniques et lorsqu'elles apparaissent dans les
e ce malade se trouve dans la figure 46, qui en laisse voir claire- ment à droite la boursoufflure. Cet oedème chronique q
re les membres supérieurs. En général, les mains se prennent au mo- ment où les jambes sont atteintes. Le début eslessen
Vous allez voir que, chez nos malades, nous retrouverons intégrale- ment ces symptômes capitaux. Prenons d'abord F..., âgé
onnaître l'existence d'une amyotrophie Charcot-Marie est ordinaire- ment chose facile. Il n'y a de sérieuses difficultés q
ous nous demandons pourquoi l'auteur n'en tient aucun compte etcom- ment il est conduit à n'envisager que la lésion pariét
éléments cellulaires de moindre volume. On constate assez fréquem- ment , toutefois, la dégénérescence et l'atrophie d'un
la méthode de Weigert-Pal, et tous ont fourni des résultats absolu- ment concordants. Nous avons, en effet, constaté la dé
ne marginale sous-capsulaire supérieure, où un petit lobule totale- ment incolore se détache avec une rare netteté. La zou
e cas sauf un petit foyer de ramollisse- 208 LA SALLE ARCHAMBAULT ment de la substance profonde du lobe pariétal, lequel
très bien,- en effet, que cette dégénérescence occupe tout le seg- ment médian du champ dit des radiations de la calotte,
st plus accentuée au niveau de son seg- 212 LA SALLE ARCHAMBAUJLT ment inférieur. La lésion sous-corticale de la face mé
a majeure partie du noyau latéral et une décoloration particulière- ment intense du stratum zonale et du tubercule antérie
ore très marquée mais la couche optique reprend un aspect relative- ment normal. Au niveau du bord inféra-interne du corps
du noyau rouge. A cet endroit, le ramollissement détruit complète- ment la première circonvolution temporale.la circonvol
considérable et forme un foyer rectangulaire, lequel détruit large- ment la substance profonde de l'opercule rolandique et
observations personnelles de ce genre. D'autre part, on a fréquem- ment attribué l'hémi-alllétose et 1'li6mi-clioi-ée à d
s jusqu'ici dans les cas d'hémi-chorée, d'hémiathétose, de tremble- ment post.h6n,iplégique, etc., malgré la diversité de
ie considérable : le malade se traîne péniblement ; il est constam- ment assis ou couché et à toute heure du jour, quand s
ette hypertrophie ait été suflisante pour provoque ! un agrandisse- ment squelettique D'autre part, même en cas de néoplas
glande, d'après les tendances actuelles, présiderait au développe- ment de l'organisme ; son fonctionnement excessif abou
de d'état, quand la glycosurie atteint son maximum, il y a abaisse- ment du coefficient azoturique du sérum sanguin et que
ide céplialo-racliidien, étudié il plusieurs reprises, a constant-, ment fourni des indications sur lesquelles nous désiro
iquide, nous ayons considéré le précipité qui se formait immédiate- ment et qui en quelques minutes donnait un « trouble v
cipaux qui manifestent cliniquement le passage de la période d'aug- ment à la période de déclin, qui contre-indiquent l'em
ondant au 5" orteil, présente, surtout à droite, un volume notable- ment supérieur ;i celui des autres orteils. Ainsi, à
bles sensitifs. Sensibilité subjective : Jamais de douleurs propre- ment dites dans le membre supérieur gauche depuis l'ap
ctères qui constituent la nature d'une chose doit être le couronne- ment et non point le fondement de l'étude de toute aff
si l'on admet, par exemple, que l'hystérie est due à un rétrécisse- ment du champ de la conscience, quelle est la cause pr
uction somatique des émotions éprouvées parles sujets; c'est seule- ment par leur permanence qu'ils se distinguent des phé
tuer les mouvements automatiques en question sans les avoir aucune- ment ébauchés auparavant. J'ai constaté l'absence de c
s de psy- ohologie, t. VU. (2) Bianchi (L.), Trallalo di malattie mentait . Edilore Pasquale, Napoli. (3) JANET, Les névro
, cette réactivité vaso-motrice exagérée qu'on remarque si fréquem- ment chez les hystériques, cette plasticité, celle doc
sthésique, en effet, que les idées suggérées se traduisent prompte- ment par les images cénesthésiques correspondantes, do
emple l'influence qu'ont la menstruation, la grossesse, l'accouche- ment , les maladies génitales en général, dans la déter
nt représentées par les points de Valleix d'une sciatique précédem- ment guérie. On remarque souvent dans l'hystérie traum
ur le bras, c'est encore la position suivante qui est involontaire- ment occupée ; le membre est pressé contre le thorax,
lentement, par secousses. La palpation nous apprend que le relâche- ment des antagonistes est irrégulier, entrecoupé par d
hémorragiques et de ramollissements. Les dimensions ne sont nulle- ment au-dessous du volume normal. Les corps quadrijume
nce pigmentaire extrême : parfois ce n'est qu'un petit amas de pig- ment qui reste. Plusieurs d'entre elles ont pourtant c
iées. Les cellules pyramidales contiennent, en général, peu de pig- ment . Parmi les cellules géantes de Betz, présentes en
ellement, ne veut pas dire que le mouvement est exécuté inconsciem- ment ). La vitesse avec laquelle le chemin est parcouru
u moins long, le membre est jeté en avant. L'amplitude de ce mouve- ment est, en général, fort restreinte ; bientôt le mem
Ainsi nous constatons que l'élément pathologique surgit immédiate- ment après l'impulsion psych'que Noire malade est inca
ils en flexion plantaire ; c'est à peine si une ébauche d'un mouve- ment dans la bonne direction fut constatée. Plus le ma
ions confirmatives se sont multipliées. Nous citerons particulière- ment celles de M. A. Léri. L'un de nous a eu l'occasio
arriver cependant à mettre la main sur la tète, mais très pénible- ment . Le deltoïde paraît complètement atrophié et l'ar
he, sont légère- xxvii 20 306 SOUQUES, BAUDOUIN ET LANTUÉJOUL . ment irrégulières ; la pupille droite est beaucoup plu
ains et non des pieds ; cette sensation n'est pas perçue objective- ment . Enfin la main gauche présente une légère tendanc
ure et me semble avoir le courage nécessaire pour s'exercer patiem- ment à reprendre la vie normale. Je crois que notre se
és générale et spéciales, sans modifier le travail digestif propre- ment dit. Anatomiquement on peul se représenter les
e et les rapports avec le radius ; le plus volumineux tient évidem- ment la place du semi-lunaire, du pyramidal et du pisi
ace supérieure de cette pyramide, elle est, en conséquence, légère- ment relevée vers le haut et maintenue plus éloignée q
e de l'anomalie médullaire, de sorte que le problème serait simple- ment déplacé sans aucun avantage appréciable. Il en
ous avons publié en 9cJ06 (1) l'histoire d'un hémimèle essentielle- ment caractérisé par un bras réduit à un moignon porta
l'aspect du squelette, si comparable à celui qui existe concurrem- ment avec un rudiment de main, contredit l'hypothèse m
sement amniotique valent donc aussi contre l'hypothèse d'enveloppe- ment par une bride très large, faisant office de bande
ditions sont remplies par une membrane élastique qui revient forte- ment sur elle-même et réduit au minimum le volume des
normal, il ne s'est produit aucune atrophie sensible, mais simple- ment des déformations intenses et fort irrégulières.
, l'augmentation constante de l'excrétion d'acide urique immédiate- ment avant l'attaque n'est rien moins que constante, d
ne base purement clinique, de séparer ces deux groupes. Voyons com- ment et par quels moyens la susdite division pourrait
onneau, est resté quelques minutes sans connaissance et, immédiate- ment après, a été pris d'une longue attaque. Admis à l
bral opposé ; s'ils sont alternatifs et ne se montrent alors seule- ment que pendant la décharge (l'attaque), tantôt l'un,
égulièrement tous les mois ou tous les deux mois ; évolution lente- ment progressive, intelligence assez bonne; les attaqu
ourtant erroné - que d'épilepsie essentielle, il s'en trouve seule- ment 30, peut-être encore moins, pour lesquels le diag
n de foyer déterminée, la « ReaktionfahigheitM » épileptique n'aug- mente que dans des parties déterminées de l'écorce, et
métabolisme intermédiaire et des ferments proléolytiques est égale- ment diminuée, car la désintégration des albuminoïdes
tonus dans le nerf sympathique est diminué, ce qui exerce probable- ment un contre-coup fâcheux sur l'état fonctionnel de
e des organes absolument séparés (les glandes parathyroïdes se for- ment , tout a fait indépendamment de la glande thyroïde
2-este seulement que l'ablation de la glande thyroïde, respective- ment des glandes parathyroïdes, comme facteur étiologi
). L'opolhérapie uni 'ou pluriglandulaire comme aljuuant du traite- ment bromure dans l'épilepsie. La Clinique, 26 avril 1
s sont la conséquence de l'irritabilité, qui accompagne habituelle- ment l'intoxication et la fatigue de l'écorce cérébral
ibilité de l'appareil digestif. - L'appareil digestif est probable- ment celui qui a le plus de contact avec la débilité n
tivement rares, ils méritent cependant d'être bien connus pratique- ment et médico-lénalement. En voici un exemple très dé
le Paradis ? ... Tout ce que je dis est la vérité... Je n'ai jamais menti et ne mentirai jamais... Je suis juste... Vous
... Tout ce que je dis est la vérité... Je n'ai jamais menti et ne mentirai jamais... Je suis juste... Vous êtes un ami, je
upeur. -- Brusquement, semble-t-il, ou en quelques heures certaine- ment , la mauie a été remplacée par un état de stupeur
adie de-) transitoire,, loca- lisations peu communes chez une dé- mente , par Marchand et Usse, 52. Sang dans la pellagr
58 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
sage des gâteux. La seconde catégorie comprend les idiots absolu- ment incurables, en beaucoup plus petit nombre qu'on
en train depuis deux ans et ne s'achève pas, nous servira égale- ment pour d'autres enfants, qui nous arrivent tardi-
e école. V enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 231 y
matières du programme du brevet de capacité et ont suhi les exa- mens avec succès. Elles ont donné la un hel exemple.
e ac- quis il la suite (le convulsions ; alors il faut non-seule- ment traiter l'onanisme proprement dit, mais la mala-
Ecole d'infirmières de la Salpetriero (28 juillet). Elle a égale- ment accompagné la Société de gymnastique aux con- c
ier dont le travail de ses apprentis et le sien dépassent assuré- ment le salaire - sont payés à raison de 6 fr. 50 par
iles du département, ce que n'autorise pas le règlement actuelle- ment en vigueur pour les pensions de repos de nos sous
nt de l'année. Maladies intercurrentes. - Elles ont été relative- ment nombreuses : 9 enfants sont entrés il l'infirmeri
r chaque année quelques bons résultats au point de vue du traite- ment . Nous continuons à avoir recours aux moyens et
et enseignement professionnel. Les procédés employés sont égale- ment les mêmes la section de Bicêtre. Les amélio- ra
me de l'éco- nome de Bicêtre, puis ils ont été faits irrégulière- ment en raison d'une grossesse de la maîtresse de des-
itement parla glande thyroïde, leur timbre cle voix s'est totale- ment modifié et retendue s'est accrue progressive- m
s'est totale- ment modifié et retendue s'est accrue progressive- ment (Voir p. IG;} et 1 i ii. Enfin les progrès d'en-
Ù suivre les anciennes dans la lecture des notes et l'accompagne- ment des choeurs. » Danse. - Les exercices de danse
Vallée. cepté dans les asiles d'aliénés. Cet escalier est libre- ment ouvert, au lieu d'être inaccessible en dehors du
és aux alié- nés, de ne laisser à leur disposition le fonctionne- ment d'aucun appareil. Or, clans les cabinets d'ai-
llance. Malgré les sacrifices considérables faits par le départe- ment de la Seine qui assiste, traite et instruit, a l'
réel intérêt à savoir ce qu'ils deviennent, ce que, personnelle- ment , nous aurions voulu connaître si le temps et les
ardent sans voir, entendent ce qui leur plaît et semblent absolu- ment sourds pour les bruits ou les appels qui ne les i
peu- vent comparer, combiner; toutefois ils s'élèvent difficile- ment à des notions générales et abstraites. Ils ont de
aptitu- des spéciales. Leur intelligence se manifeste principale- ment pour tout ce qui est relatif à ces penchants ou à
taux et hos- pices de Paris institua le concours pour le recrute- ment des médecins des services d'aliénés de Bicêtre
en date du 28 mai 1818; vu le mémoire présenté au sujet du règle- ment de la dite question, par le directeur de l'Admini
qu'ils sont soumis aux mêmes charges, et en particulier au règle- ment sur la limite c1 ;îrte. J'ujonterai que Monsieur
de la vie où cette mutation devrait se faire, il recule indéfini- ment l'entrée on fonction des médecins suppléants. Le
ois : c'était le PREMIER PANARIS WaLCnsye : . Sauf une tendance à mentir , 13... n'a pas de mauvais instincts, il n'est n
re inférieure sont fortement accentués. Bouche d'habitude légère- ment entr'ouverte, lèvres assez épaisses. Langue, amyg
le bassin tout entier sont notablement arrêtés dans leur développe- ment par rapport à là moitié supérieure du tronc. -
maire. B... a conservé la notion déposition et se rend compte qu'on ment ses jointures, qu'on les tord mais sans éprouve
e le bien du mal. Il est toutefois facile il entraîner à mal faire, ment quelquefois en classe pour évi- ter des réprima
inférieure persiste, et il en est de même de l'arrêt de développe- ment du reste du tronc (fig. 29). Les mesures suivante
mbres frappés de paralysie. - Rappelons que l'arrèt de développe- ment qui atteint les membres inférieurs, le droit plus
iode, de nombreux travaux. Elles ont d'abord été étudiées séparé- ment . Puis, divers auteurs ont soutenu que cette sépar
- fert bien qu'il n'y eut pas de circulaire du cordon. - Allaite- ment au biberon avec du lait de vache. - Première dent
chez cette enfant, une véritable transformation, après le traite- ment thyroïdien. Fig. il. l. Médication thyroïdien
;"t 380, 4. Dans la journée, alternatives d'agitation et d'abatte- ment , plaintes, pleurs, déglutition difficile, bouche
était précédée d'une aura ovarienne aboutissant à un étourdisse- ment . Depuis le mariage, elle n'a eu qu'une crise, qui
rêté dans son développement est sur- monté d'une tête relative- ment énorme (Fig. 11). L'habitus extérieur décèle
anés sont lents. Les mouvements pro- voqués s'exécutent facile- ment . Il n'y a pas de contrac- ture. - La sensibilit
Dans l'après-midi, l'oppression aug- médication THYROIDIENNE. 71 mente . Un second vomitif ne donne, comme le premier, au
rché ; pas d'envies, pas d'excès, pas de traumatisme. - Accouche- ment rapide, à terme et normal. - l'as d'asphyxie à la
ou- vements de totalité ; si on l'engage à remuer tel ou tel seg- ment , il secoue tout le membre, et les mouvements se p
ement hydrothérapique à diverses reprises, mais très irrégulière- ment , aussi, pas d'amélioration notable. Le seul bénéf
e connait pas tous les chiffres. Pas de mémoire. Pas de discerne- ment . - Gymnastique : sans aucune notion, mauvaise v
sions céré- brales - encéphalite - qui s'était traduite clinique- ment par l'état de mal convulsif, débuté l'épilepsie.
de scarlatine. Réglée à 10 ans, elle l'a toujours été régulière- ment depuis. Mariée à 19 ans, elle a eu 4 enfants. Ass
ressemble physiquement plus à son père qu'à sa mère et psychique- ment plus à sa mère qu'à son père. Tendance invincible
aississement des os du crâne, de la dure-mère qui adhérait forte- ment à la calotte, et de la pie-mère. Mais les lésions
s accidents très graves : température à t0 degrés, pouls extrême- ment fréquent, facies toxique ; puis disparition du m3
était à tel point transformé que j'en fus moi-même très agréable- ment surpris. Du mois d'août au mois d'octobre, il ava
ême 40 dans une minute. Il ne faudrait donc pas attribuer unique- ment à l'intoxication thyroïdienne une accélération du
édecin. M. Bourneville. J'ai fait examiner et peser aussi exacte- ment que possible les quantités de glande thyroïdie do
interdentaire sur la large étendue du bord alvéolaire et légère- ment tournées sur leur axe. Le plus grand espace inter
ui ne remuait jamais et qu'on ne pouvait faire rire. » - Tremble- ment de la tète et des membres « comme une petite viei
Elle est caressante et veut toujours être câlinée, mise en mouve- ment , faire du bruit. Elle est contente d'entendre la
est de plus en plus solide sur les jambes, veut être continuelle- ment debout, se tient bien le long d'un banc, d'une ta
appétit. 30 septembre. Peu à peu depuis la suspension du traite- ment , nous avons vu reparaître la plupart des symptôme
que le montre le tahleau ci-après. 162 IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE, ment de la dentition qui a été, ici, très remarquable.
dater de cette époque, en effet, l'enfant a bénéficié d'un mouve- ment de surnutrition générale extrêmement marqué, même
: Danis (C). De l'influence de la glande thyroïde sur le développe- ment du squelette. Tit. de Lymt; 18HO. 164 IDIOTIE M
hori- zontales. - Lèvres saillantes, épaisses. Bouche habituelle- ment eHt)''OMue)'te ! aissant apercevoir la pointe del
et leur aspect normaux. L'évolution dentaire progresse manifeste- ment , car les secondes molaires temporaires sont en vo
lorsque le chiffre des globules augmente sous l'effet du traite- ment . Elle ne tient pas non plus à une surcharge anor-
etc. Urine du 2-3 novembre 1895. (1re analyse, avant tout traite- ment .) Volume : 530 cm3. Aspect : louche avec dépô
ui pourront être rapprochés d'analyses ultérieures. Notons seule- ment l'absence d'albumine, contrairement à l'opi- ni
nalogues à ceux qu'on avait enregistrés durant le premier traite- ment . § III. Idiots et imbéciles avec arrêt de dével
0.] OBS. IV. - Gautr... (Louis), né le 17 septembre 1872. Traite- ment du 8 février au 30 juin 1896 (Tablettes de glande
leu- rale droite. Le poumon de ce côté (260 gr.) présente simple- ment de la congestion à la base. - CoeuJ', aucune lési
es (2). Ni traumatisme, ni émotion, ni alcoolisme, etc. Accouche- ment à terme, naturel (3). -A la naissance, l'enfant a
gissent bien. Il n'y a pas de lésion de l'oeil, ni de rétrécisse- ment du champ visuel. L'acuité visuelle est normale. L
le. Le maxillaire inférieur est normal. Les dents sont régulière- ment implantées. Elles ne présentent aucune anomalie d
s, et, pour les membres, parce qu'il peut survenir un amaigrisse- ment occasionné par -Lino maladie intercurrente, sans
59 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
ents ont toujours joui d'une bonne santé ; le père est mort subite- ment , encore jeune, la mère eut une vie très longue. I
izem que elle governo és mau . Qne os quer abatir . En digo que é mentira , Que o gastam em vestjr ? Nem tem culpa o gove
forts. A la région épigastrique on voit, et on sent très distincte- ment au palper, un lipome. Le système veineux se dessi
lle aurait eu de « petites crises » (4) qui ont disparu définitive- ment depuis l'âge de 22 ans ; à la même époque elle a
Un an après, on remarque que la pupille de l'oeil droit est forte- ment dilatée. A 26 ans (juin 1905), la vue de l'oeil g
veau (Pl. IX). Poids : 1.200 grammes. Dure-mère très mince, légère- ment tendue, surtout à la partie postérieure. Pie-mère
, que nous avons eu l'occasion d'examiner et de suivre personnelle- ment pendant plusieurs mois à l'hospice Paul Brousse (
tate que les masses musculaires lombaires en forte contraction for- ment une saillie des deux côtés de la colonne vertébra
muscles abdominaux sont contractés et leur relief se dessine nette- ment sous la peau. Les plis transversaux très accentué
alade de cette catégorie n'a jamais été atteint de blessure propre- ment dite. Il s'agit le plus souvent de soldats qui on
ment d'obus tout près d'eux et qui ont été ensevelis par un éboule- ment de terre ou projetés par le vent d'obus et ontreç
, '1'. " 1 ? CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA CAMPTOCORMIE S,ss33 ment une place prépondérante et peut persister, meme'a
psychique initiateur qui, pour le développement ultérieur du mouve- ment volontaire, a la plus grande signification. Com
ximum de vitesse, quant à l'amplitude, caractérisant son développe- ment ultérieur. Nous le considérons comme une unité
nsations visuelles, auditives, etc., l'acte se poursuit plus lente- ment , le temps de réaction s'accroît, l'amplitude dimi
passifs se heurtent à' des spasmes musculaires, je l'ai noté égale- ment dans des cas de flaccidité musculaire prononcée :
rièonsciêllllnent la fonction des muscles intéressés ; automatique- ment 'l'état dès"muscles change'continuellemenl, provo
des difficultés parfois insurmontables en initiant un simple mouve- ment actif. En faisant répéter ces mouvements, nous re
n mouve- DE LA DYSTONIE DANS LA DÉSORGANISATION DES MOUVEMENTS 40 ment vif de flexion dans un coude ; ils pouvaient jete
antagonistes dès le début jusqu'à la fin du mouvement. Automatique- ment ,. la fonction frénatrice des antagonistes es.t au
ournons à nos malades et nous constatons la signification de l'élé- ment tonique dans la désorganisation des mouvements ac
la fonction musculaire est un facteur favorable dans l'accomplisse- ment de l'acte. Jamais nous ne constatons ces fautes d
conlranalurelles et involontaires quand il veut exécuter un mouve- ment . Pendant l'exécution d'un acte musculaire, l'équi
tale sur la pression des carotides chez les épileptiques, dernière- ment même chez les hystériques ; j'ai obtenu des résul
iologie de penser que l'anémie est à même de provoquer plus'facile- ment des altérations trophiques et par conséquent fonc
était accompagnée d'aucune convulsion, mais seulement d'un relâche- ment complet de tout le système musculaire et d'une ch
avant la perte instantanée de conscience, commençait l'engourdisse- ment de la moitié du corps malade tout comme dans les
tats de mes expérimentations, assez intéressants à mon avis. Egale- ment je cite deux observations (nos 9 et 10) de malade
vait du vertige. Depuis deux ans environ, brusque- 56 TSIMINASKIS ment il est pris de vertige suivi immédiatement de cép
vent il rêve à haute voix. Depuis des années il souffre périodique- ment de céphalées survenant brusquement. Depuis deux a
durant une demi-heure environ. Après, difficulté du langage seule- ment , durant parfois toute la journée, et légère lourd
gère mélancolie pour la raison exposée plus haut et une fois seule- ment s'est plaint d'une céphalée intense survenue le m
uche de bonne heure, le matin ne peut se réveiller sans être forte- ment secoué. Etat actuel. Il ne présente rien de pat
ésenté pour la première fois des accès épileptiques, d'abord seule- ment la nuit, puis le jour aussi assez fréquemment ; c
après, il commence à revenir à lui et répond à nos questions douce- ment , se plaint de lourdeur de tête, de vertige et de
antôt quelques minutes, tantôt une heure entière. Trois fois seule- ment , jusque maintenant, a présenté des accès épilepti
omme le but principal de nos recherches expérimentales était seule- ment la provocation de l'accès, nous n'avons pas étend
rison ; mais d'une manière générale, leur restauration est extrême- ment lente. - L'étude des circonstances qui ont acco
, on peut observer un léger déplace- 70 MADAME ATHANASSIO-BEN18TY ment de la main vers le côté radial ; par la palpation
toutes les phalanges des quatre autres doigts s'exécute, complète- ment , mais avec-effort et comme par crans successifs ;
. Influence du refroidissement et du réchauffement. a) Refroidisse- ment : exagération notable de l'hyperexcitabilité qui
, les doigts sout fléchis tandis que le pouce pend perpendiculaire- ment à la deuxième phalange de l'index et en affleure
hésie marquée à la chaleur. Le malade se plaint d'éprouver constam- ment la sensation d'une électrisation continue dans la
une hyperesthésie de la main malade pour la chaleur. Le réchauffe- ment ne diminue en rien la raideur. 11. Pression :
ment les doigts peuvent être presque complètement étendus ; active- ment ils peuvent s'étendre et se fléchir légèrement.
e du médian persista, on intervint et l'on trouva le nerf complète- ment sectionné et ses deux'bouts écartés : or on peut
te qu'à la plante, et à la condition d'avoir l'attention soigneuse- ment attirée et d'avoir affaire à un cas où la déforma
enses, notamment la phalangine. La première phalange affecte vague- ment la forme d'un pisiforme ; elle a la dimension du
outer à la nôtre, on vit si elles infirment ou au contraire confir- ment les divers points qui ressortent de celle-ci : et
es malformations transmises héréditairement ne sont pas nécessaire- ment , au cours des générations, croissantes ou décrois
dactylie, in Dermatol. pratique, Il, 453 : « Les régions primitive- ment atteintes sont d'ordinaire les deux dernières pha
ne musculature puissante avec un système vasculaire cutané extrême- ment développé. Il existe soit au niveau de la face an
e de toute cruauté inutile. Si le captif ne travaille pas suffisam- ment , au lieu de le cribler de coups, ce qui pourrait
ns, mais ayant du Coran une notion confuse. Défense de tuer, voler, mentir , faire du mal, manger du cochon, boire de l'alc
patriotisme régional est très vivace. Ils ont mis une trêve fidèle- ment observée par tous aux dissensions de tribu à trib
événements heureux ou malheureux pour le sujet, exprime admirable- ment la conception que leur âme fataliste se fait de l
hée ennemie dans laquelle il s'est enfin lancé en saisissant le mo- ment favorable. Y fait 130 prisonniers dont 7 officier
maladie doit, désormais, être étudiée parmi les affections propre- ment endocrines et non parmi les processus de la nutri
ion de la densité, l'urine devenant, en 15 jours environ, complète- ment normale. Voir le tableau suivant : LÉSION TRAUM
ion des pieds indéfinie. Réflexes des orteils en extension (légère- ment ). Réflexe cubital normal. Réflexe du poignet norm
nt ; élévation de la jambe droite à xi centimètres, plus difficile- ment . La sensibilité à la piqûre existe, bien atténu
aspect spastique, traînant le pied qui ne se décolle que difficile- ment du sol. Réflexe du genou' un peu accentué, surtou
léger état fébrile pendant une quinzaine de jours, précéda directe- ment l'éclosion delà phase d'invasion. Le même fait a
nérale grave ; mais apparurent les troubles des réflexes, et au mo- ment des premiers levers, on constata la démarche cane
d'astréognosie. Au 1 le jour, une ponction rachidienne est totale- ment indolore. Dans l'observation VI, l'hypoesthésie
rablement, et limiter au minimum ou supprimer à peu près complète- ment les séquelles de la maladie, si souvent indélébil
un an après l'infection syphilitique. Les cas suivent, tous briève- ment cités. . Observations. Temps écoulé entre l'inf
ficile, mastication troublée. Les symptômes sont apparus immédiate- ment après 10 injections de salicylate de mercure (0 0
u'une affection des méninges spinales développée surtout au renfle- ment cervical pourrait donner les symptômes observés d
e contre le traitement mercuriel. Dans le cas de Cestan, le traite- ment par le mercure n'a pas amélioré les symptômes d'u
tic est évidem- DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 243 ment incertain, je n'ose pas dire plus, bien qu'une po
que puisse faire naître une polynévrite, peut-être localisée seule- ment aux membres supérieurs (quand ils ont travaillé m
d'intoxication mercurielle. La malade bientôt guérit, sans traite- ment mercuriel. En tout cas, une intoxication mercurie
edica, t. 25, I, p. 6, 1909. Frit (R.) FRANK. - Journ. of nerv. and ment dis., vol. 25, p. 594, 1898. Gilles DE la TOURE
syphilis. L'amyotrophie Charcot-Marie est caractérisée anatomique- ment , comme on le sait par les autopsies de Pierre Mar
ue l'infection causale soit apte à produire la déviation du complé- ment (on sait par exemple que la réaction de Wasserman
ation des omoplates. Leurs bords internes sont écartés et si forte- ment détachés de la paroi thoracique, que l'on peut tr
atérale de l'orbiculaire des lèvres. Impossibilité de fermer forte- ment les lèvres, de souffler ou d'appointer [l'orbicul
etentir facilement sur le facial. Ce dernier semblerait lésé seule- ment après avoir émis toutes ses collatérales intra-pé
tite, autrement dit en annihilant ou sectionnant le trijumeau pure- ment moteur, on obtenait les mêmes effets. Dans ces co
férieur. En se- contractant ils agissent, les peauciers principale- ment , sur l'aponévrose buccinatrice, voire même sur le
maxillaire inférieur est de 13 centimètres du côté droit et seule- ment de 10 centimètres du côté'opposé. La commissure l
trent d'une façon comparative le rôle du terrain dans le développe- ment des différents tissus, etc. C'est, ainsi que dans
la faiblesse mentale, de l'anidéation, c'est-à-dire du ralentisse- ment idéatif et de la difficulté d'évocation des souve
e longueur, elle ne pesait que 2.870 grammes et malgré un accouche- ment normal est née en état d'asphyxie blanche ; elle
t soustractions. Quoiqu'elle ne parle pour ainsi dire pas spontané- ment , il est évident qu'elle n'est pas aphasique, mais
venue pendant les cinq ans séparant nos deux examens ; malheureuse- ment , il est peu probable que les mouvements anormaux
Le cas de la malade dont je m'occupe mérite d'être connu non seule- ment pour son évolution et sa symptomatologie complexe
it des faisceaux coupés longitudinalement et d'autres transversale- ment ou obliquement, donnant des vrais tourbillons qui
rocard pendant la ponction, ou y avait-il réelle- 314 jl , INGVAR ment auparavant une hémorragie causée par une rupture
n le secouait. Au-dessus du culot le liquide surnageant est absolu- ment incolore. Il ne présente pas de coagulum fibrineu
ent généralement du déplacement des os du crâne pendant l'accouche- ment . Les cas, qui ont été décrits, de rupture de vais
calotte a été enlevée, on a trouvé la dure-mère fortement et égale- ment étendue. A gauche, on observe à travers la dure-m
antérieure du lobe temporal. Quand ces coagulations ont été prudem- ment écartées, on a trouvé en dessous une importante i
aucune altération dans les artères cérébraies. Non plus d'épanche- ment sanguin dans d'autres endroits. Les observation
quée avec précaution, peut dans tous ces cas fournir des renseigne- ment importants. Dans la plupart des maladies infect
t étonnant toutefois que les hémorragies méningées soient relative- ment assez fréquentes chez les jeunes individus dans u
ujet en raison de son exophtalmie congénitale, mais apparaît nette- ment par comparaison, surtout quand on fait coucher le
de la peau et des os et que tout ce syndrome contraste singulière- ment avec l'absence de toute modification des réaction
arré (1) sous le nom de névrite irradiante. Ils sont vraisemblable- ment de même nature. Mais dans la névrite irradiante d
igts sont en extension permanente et ne peuvent se plier ni active- ment ni passivement. La limitation du mouvement est du
nfluence des centres nombreux et voisins les uns des autres, notam- ment les origines du vague et du sympathique dont l'ir
le même jour. La compression de l'oeil gauche donne un ralentisse- ment très net, alors que celle de l'oeil droit montre
. Si, du côté malade, le réJ1exe est nul (après s'être préalable- - ment assuré qu'il existe du côté sain) ou légèrement a
ment progressive demeure encore obscure. Nous travaillons actuelle- ment à une élude plus complète de la question avec des
Un semblable état des organes génitaux fait comprendre immédiate- ment que les fonctions sexuelles sont complètement sup
n relation aux effets des troubles du métabolisme sur le développe- mens somatique, on compte en première ligne ceux qui p
eurs manifestations quant au tégument, où l'on n'observe pas seule- ment l'absence des poils, ou leur imparfaite formation
taient les caractères de l'état rapporté, 13 avaient un rétrécisse- ment de l'aorte, 11 des tumeurs diverses et 9 des malf
s une autre publication sur le même sujet, c'est ainsi que s'expri- ment Cordier et Rebattu : « Mais ce qui est certain, c
ntané, primaire. Il peut débuter à n'importe quel âge du développe- ment progressif, et ses caractères en grande partie so
t de la peau est typique dans l'espèce, et concourt extraordinaire- ment pour la physionomie spéciale de ces individus. La
s phénomènes se déclarent dans l'âge mûr, et qui pour cela précisé- ment se distingue de la forme commune : c'est l'eunuel
: celui-ci provoque le gigantisme et l'excès proportionnel du seg- ment inférieur, en regard du segment supérieur ; l'aut
linique (qui montre que, dans le décubitus horizontal, le redresse- ment du tronc est généralement impossible) combiné ave
mplètement. On lui fait aussitôt faire des exercices d'assouplisse- ment (flexion et extension du tronc) ; il les exécute
erait utile, non seulement d'écrire au médecin du dépôt ou du régi- ment une lettre confidentielle qui le mettrait au cour
second client est traité par une méthode toute différente, évidem- ment inspirée par le procédé de la paracentèse. Il est
60 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
'écrire et il ne trace sur le papier que des lignes brisées absolu- ment illisibles, au milieu desquelles on reconnaît à p
endante du trijumeau. .1'Rm, fibres sectionnées de l'entrecroise- ment sensitif ou du ruban de Reil médian il ses débu
ps restiforme (Gudden). cR, corps restiforme, atrophié partielle- ment , mais inégalement à droite el à gauche. Vils,
même du faisceau cérébelleux direct gauche qui est presque entière- ment détruit. Le faisceau de (jokers est plus petit qu
'à droite. Les fibres transversales du pont sont du reste générale- ment plus développées à gauche dans les parties antéri
enouillé externe il gauche est un peu comprimé, aplati et probable- ment aussi un peu atrophié par la compression. Le corp
de septembre il fit une chute de son lit qui aggrava considérable- ment son étal. Le délire augmenta et la mort arriva le
he). On pouvait supposer qu'il s'agissait d'un foyer de ramollisse- ment produit par l'artério-sclérose dans le cervelet o
e vertige et l'ataxie cérébelleuse. Au début, celle-ci était égale- ment prononcée des deux côtés du corps, et se manifest
e furent seuls troublés dans leurs fonctions, et cela très tardive- ment (insuffisance du muscle droit externe gauche, pto
st ainsi que les deux corps restiformes étaient atteints simultané- ment d'atrophie, celui de gauche d'une manière primair
oraciques à peine ébauchées en 1895, vont s'accentuant progressive- ment . Il se voûte, se tasse de plus en plus, sa colonn
est asymétrique et aplati : sa partie supérieure est particulière- ment affaissée ; c'est dans cette partie, limitée en a
e est constituée par de belles fibrilles conjonctives concentrique- ment tassées entre lesquelles sont interposées des élé
s nombreux. Ce sont des cellules conjonctives à noyaux irrégulière- ment fusiformes. D'assez nombreux capillaires sillonne
ue l'affection est arrivée à une certaine période de son développe- ment , est tout à fait caractéristique. S'il existe ent
. La face se trouve alors encadrée par un bourrelet adipeux, nette- ment demi-circulaire ou bilobé à sa partie antérieure.
certains cas, « le volume du cou et de la tête allant progressive- ment en décroissant de bas en haut, il en résulte que
é. Il insiste souvent sur ses antécédents vénériens, sur le traite- ment suivi, s'alarme de ce que ce traitement a été int
il s'absorbe dans la méditation de ses malaises ou de leur traite- ment : il est très ennuyé qu'on n'oppose pas une théra
e d'exhalations gazeuses bruyantes par l'anus aumoment du dégonfle- ment . Des militaires ont aussi allégué pour tromper le
; pendre le malade par les mains, lui faire faire un profond mouve- ment d'inspiration ou, au contraire, le faire souffler
descendant au niveau des fesses; depuis lors, elle augmenta, lente- ment , à mesure que l'enfant grandissait. Enfin, dans l
toute locale, susceptible de récidive in sitn, mais vraisemblable- ment pas de généralisation. TUMEUR CONGÉNITALE DE LA
int du corps. Or que peut être une tumeur congénitale, à accroisse- ment lent et progressif, arrivant à être aussi volumin
ens à leur en exprjmer ici mes vifs remerciements. 84 HENRY MEIGE ment plats, à l'horizon linéaire, chers au maître van
tout le temps également profond. Par moments elle semblait simple- ment engourdie, comme somnolente et alors elle se réve
de 32 surina première série de ces cas, c'est-à-dire approximative- ment 8 0/0. MM. Bail et Krissabcr avaient trouvé 34 ca
Le sommeil à proprement parler s'est trouvé un phénomène excessive- ment rare dans ma première série de cas. On peut dire
le. Il est évident que la consistance de la tumeur n'est qu'un élé- ment dans la circonstance, car la même tumeur dans des
transversale de un centimètre de profondeur, elle s'amincit rapide- ment formant aiusi une sorte de coin qui vient se loge
du côté droit, l'écrasement vertébral correspondant diminue légère- ment sans l'obstruer le trou de conjugaison formé par
tions sont les résultats de lésions nombreuses qui sont successive- ment les suivantes : Le sacrum a une face supérieure
atre ans, après une crise nocturne de douleurs fulgurantes extrême- ment violentes siégeant surtuut dans la hanche droite
: dans cette dernière position, elle est obligée de fléchir forte- ment le tronc sur les membres inférieurs. Le corps fai
te sous le doigt. Les apophyses sacrées ne sont pas extraordinaire- ment développées. Les surfaces articulaires sacro-ilia
es. Traitement pendant 2 mois en 1897. En août 1897 nouveau traite- ment par 10 frictions mercurielles et iodure de potass
t analgésie du dos des mains, s'étendant au coude malgré le traite- ment spécifique : douleurs, élancements. En février 18
système osseux n'a subi aucune modification et ne contribue nulle- ment à l'hypertrophie du membre. La photographie ci-
affection est congénitale.Notre malade est née à terme.L'accouche- ment fut normal, sans application de forceps. Depuis s
Elles ne présentent aucun battement, aucun souffle, aucun frémisse- ment , aucune vibration. En dehors de cette symptomatol
r à la messe, lorsqu'elle ressentit tout à coup un fort étourdisse- ment , perdit l'équilibre et s'appuya sur son lit pour
Les grands appareils organiques fonctionnent régulièrement, notam- ment le coeur et les-poumons ne présentent rien d'anor
mouvements du torse sont très caractéristiques depuis le commence- ment du pas postérieur, il se penche en avant de plus
tait oscillante, qu'au moment de la verticale le tronc était forte- ment penché de côté, par contre, lorsque la jambe norm
Pierre Delbet, la tuméfaction de l'aine droite était « essentielle- ment composée de tissus graisseux renfermant de petits
trecoupée de quelques libations, le frère du patron de l'établisse- ment proposa un assaut. Aussitôt dit aussitôt fait. De
endre. Alors il allait et venait dans la chambre et pensait longue- ment à ce que voulait dire « sortir » jusqu'au moment
ette correspondant à une perte de substance du cerveau. Au même mo- ment , il se fait une hémorrbagie assez abondante, l'ar
est le siège d'une vive sensibilité, la malade y porte automatique- ment la main gauche à chaque instant. Pas de paralysie
observation prise par M. le Dr Mathieu en 1888 et où le développe- ment ultérieur à une hémiplégie spasmodique infantile
endus et écartés. (La ressemblance avec l'observation III est vrai- ment remarquable en cet endroit.) Il peut du reste ram
s portant sur le caractère, des troubles de la mémoire et spéciale- ment de la mémoire des dates. Noire malade pouvait rac
ent. Au contraire les hémiplégies hystériques s'installent brusque- ment , elles sont rarement flasques ; elles s'accompagn
égion dorso-lombaire au niveau des dernières côtes (à gauche seule- ment ), au niveau du rebord des crêtes iliaques. Aux br
ADÉNO-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE 247 248 P., E. LAUNOIS ET R. BENSAUDE ment augmenté. Les veines jugulaires antérieures sont
est partout molle, souple, sans adhérence. Il existe un développe- ment veineux assez prononcé à la partie supérieure du
assez développée. Les métacarpiens intermédiaires sont imparfaite- ment formés, le deuxième court et trappu, les deux aut
une seconde fois à trente-trois ans. A trente-quatre ans, accouche- ment prématuré, à six mois et demi d'une grossesse gém
une disproportion très marquée entre le bas du visage considérable- ment ratatiné et le haut du visage normalement conform
s marches avec sa jambe gauche : à ce moment, il ressentit nette- ment , paraît-il, un craquement dans sa colonne lomba
ertèbre lombaire. Voici d'ailleurs le résumé de son état à ce mo- ment : Homme de taille moyenne, non amaigri, solid
deux plis profonds de la peau à ce niveau, indiquant un rapproche- ment considérable du thorax et du bassin. La distance
n s'aperçoit que la colonne lombaire peut aisément subir un glisse- ment de va-et-vient. Ces mouvements, même exagérés, ne
de chaque côté sont accompagnés d'un bruit qui ressemble au craque- ment d'une articulation luxée. La réaction électrique
bras et du tronc. De temps en temps, le corps est agité convulsive- ment , généralement des deux côtés, mais quelquefois au
osition à sa colonne vertébrale, en mettant un poing très profondé- ment dans la fosse iliaque gauche; on ohtient le même
er avec peine, mais dans tous ces mouvements, on entend très nette- ment au niveau des articulations vertébrales des craqu
émithoracique droite, surtout appréciable en arrière. Raccourcisse- ment de l'abdomen. Rebord costal rapproché de la crête
a syphilis à vingt-cinq ans et ne suivit, à son dire, aucun traite- ment spécifique. Les accidents qu'il présenta, à la su
mois environ, J. Pas..., a vu son genou droit grossir progressive- ment sans la moindre douleur et acquérir un volume inq
nférieure du tronc offre une direction inverse et fait avec le seg- ment supérieur un angle de 75 à 80°. Le ventre est tom
de l'angle, ainsi formé, est saillant en arrière et répond évidem- ment au point culminant de la cyphose dorsale. La lign
outes les cellules d'une même préparation sont rétractées uniformé- ment , elles conservent la même grandeur relative les u
hui. Les méthodes d'investigation devronL être encore considérable- ment perfectionnées pour que l'on arrive à mettre en é
en est de même dans le ganglion en réparation. On y voit simultané- ment des cellules ayant heureusement franchi l'étal de
Dans son rapport au Congrès de Moscou, Van Gehuchten dit textuelle- ment : « Cette cellule (la cellule sensitive) parcourt
us avons eu soin de .nous assurer que les animaux étaient parfaite- ment sains et vigoureux avant toute intervention opéra
périphérie ; dans un grand nombre de cellules, il fait même forte- ment hernie ; sa membrane est devenue nettement visibl
ne rechercherons pas pour le moment quelle est la cause du déplace- ment du noyau, nous en avons dit un mot plus haut, mai
qui marquent la place jadis occupée par un élément nerveux totale- ment disparu. Ces cellules paraissent être des élément
cles correspondants agissent puissant ,^ J. DEJERINE ET A. THOMAS ment et surmontent facilement la résistance qu'on oppo
gré cela, les mouvements qu'exécute la tête, en dehors du commande- ment , sont lents comme tous les autres mouvements du c
-unes méconnaissables et ces caractères sont pourtant écrits lente- ment , la malade a mis beaucoup de soin à les tracer.
t malgré cela les sillons peu marqués, sans doute à cause du tasse- ment de l'organe. Il n'existe nulle part ni méningite,
aux paraissent normaux : ni prolifération vasculaire,ni épaississe- ment des parois, ni hémorrhagie. Si on considère qu'
les du corps dentelé ; le bouchon et le noyau sphérique sont égale- ment plus petits dans tous leurs diamètres ; bien qu'u
doute, à cause du tassement du cervelet, mais elles sont certaine- ment diminuées de nombre dans une très forte proportio
t profondes ont disparu, le pédoncule cérébelleux moyen est totale- ment dégénéré, de sorte que les fibres de la voie pédo
n se plaçant derrière lui sur l'appareil et en appliquant délicate- ment la pulpe des index sur les paupières supérieures,
lpe des index sur les paupières supérieures, on perçoit très nette- ment les oscillations horizontales des globes oculaire
lésions cérébelleuses, bulbaires et protubérantielles sont exacte- ment superposables à celles de notre nouvelle observat
s inférieurs n'étaient pas libres, ils s'accompagnaient de balance- ment et d'oscillations qui, suivant la description de
ou explosive, saccadée, sourde, gutturale et monotone. Le tremble- ment de la tête s'exagère pendant les mouvements, pend
de moitié, les lamelles plus étroites et plus serrées que normale- ment , les cellules de Purkinje sont moins nombreuses e
Londe avait déjà essayé de différencier cliniquement et anatomique- ment l'hérédo-ataxie cérébelleuse des atrophies du cer
bservations en font foi, la sclérose du cervelet peut faire absolu- ment défaut dans les atrophies non familiales ; et il
dons postérieurs et surtout les racines postérieures sont relative- ment moins malades que dans le tabes, mais les faiscea
grité relative des mouvements isolés des membres sont particulière- ment favorables à la théorie qui fait du cervelet un c
mment se produit l'hémiplégie dans le cas de fracture avec enfonce- ment ou par contusion ? Ainsi qu'on peut le constate
le voisinage très proche de la lésion et le seul fait de l'enfonce- ment d'un fragment d'os explique la paralysie par comp
pyramidales sont resserrées en un petit espace et pressées étroite- ment les unes contre les autres, on s'explique facilem
instruments piquants et nous sommes amené à parler ici, simultané- ment et des hémiplégies à la suite de plaies pénétrant
elle L... (Obs.III) qui appartient à i\I.Ie Dr Marie, un cas égale- ment déjà cité dû à Bramwell, un cas de Bergmann et un
semaines à l'hôpital, puis il est parti, se croyant guéri complète- ment , mais conservant une grande faiblesse et quelques
gré une perte de substance cérébrale très nette- 394 RENÉ MARTIAL ment accusée. M. Bouclier ajoute que : « C'est un exem
bservations groupées à la fin de cette thèse, qu'ils sont suffisam- ment nombreux. Ils concernent principalement des.maçon
vé « en galoche ». De face, ce qui frappe surtout, c'est l'enfonce- ment des fosses temporales et la saillie exagérée des
uis 4 ans, il n'a, d'ailleurs, pas d'enfant. Il éprouve assez rare- ment de la céphalalgie, n'a pas de troubles visuels ;
enant, il semble en effet que le bras reprenne un peu de développe- ment depuis quelque, temps. Mais pendant cette pério
n'y a guère que six mois que le malade a remarqué le raccourcisse- ment des doigts et le tassement de la main raccourcie
L'avant-bras immédiatement au-dessous du coude qui présente forcé- ment une certaine épaisseur s'amincit considérablement
upérieure et carpienne est brusquement rélrécie, ]a-,tête complète- ment disparu, on voit seulement un vague prolongement
en haut. Le sourcil est ravagé dans son tiers externe. Le grisonne- ment est bien visible. L'expérience que j'ai en mati
u moins lui-5. Les traits sont fatigués. Cette femme est littérale- ment épuisée. Les paupières supérieures retombent en s
rt, il ressort un craquement lombaire : une douleur légère, rapide- ment dissipée, l'accompagne. Aussitôt se montrent une
umineuse, unique, qui se détache du groupe des voisines, manifeste- ment déplacée d'avant en arrière. . Dans une excavat
diamètre pubo-sacré devient plus court. La concavité du sacrum aug- mente , le bassin est en totalité incliné en arrière, le
un Pédicure, la composition de la scène demeure presque invariable- ment la même : un groupe principal composé de l'opérat
à l'intérieur. Et par dessus le tout, un vaste manteau plus riche- ment fourré encore. Ce bon vieillard ne doit pas avoir
dans les poumons. Les Acta EI'l¿dito1'l¿m de Leipzig (1715) renfer- ment un cas curieux de polype de l'oesophage dû à l'ab
était rétréci dans sa partie supérieure, au point d'admettre seule- ment le passage d'un pois. L'incision montra de plus q
e livre de .1. H. Cohausen, maintenant oeuvre morte, mais il ce mo- ment en pleine actualité, a dû jouer un rôle dans la s
remarqua la déviation de son oeil gauche qui se développait lente- ment , le globe gauche tourna peu à peu vers la gauche,
bles dans les mouvements de l'oeil droit ; à gauche, ce sont seule- ment les mouvements produits par les muscles droit ext
d'atrophie dans le domaine des nerfs atteints, pas de DR, et seule- ment fort peu de secousses fibrillaires dans la paupiè
épourvus de nucléoles ; ces cellules sans nucléoles sont non seule- ment isolées, mais on en rencontre des groupes entiers
nts : premièrement, la rapidité du cours de la maladie et, seconde- ment , l'exacerbation du procès paralytique dans la moe
orte à l'étude de la question un document radiographique, relative- ment nouveau, dont les résultats et l'interprétation s
rsien, au delà des limites physiologiques : ces manoeuvres, absolu- ment indolores, s'accompagnent de craquements. Le ma
n'est pas étonnant par suite de penser une dystrophie comparative- ment plus grande des vertèbres lombaires. C'est vraise
rtain nombre de cellules (PI. LXXVILa) sont déjà revenues complète- ment à l'état normal ; d'autres (PI. LXXVII, b) ont ég
mbre s'agitent et se fléchissent à l'occasion d'un simple attouche- ment . Trismus Guérison au bout du douzième jour. La co
arrivé à un tournant un peu brusque, il ne put maîtriser complète- ment l'animal et la voiture versa. B... fut précipité
la paupière supérieure gauche.... Il rit ou pleure plus que facile- ment , il saisit rapidement une plaisanterie. Il y a un
s dans toute leur intégrité. Le sujet marche bien, se tient facile- ment debout sur la jambe droite et n'oscille pas les y
nte présentent sur leur face dorsale une coloration d'abord légère- ment cyanique, mais qui devient franchement bleu rosé
un prolongement inférieur dans le tesritoire duquel on voit nette- ment l'os enfoncé on peut facilement introduire une so
e .... il n'a plus eu de convulsions En avril 1897, il a eu subite- ment la sensation des doigts morts et pendant dix minu
l Jean, 27 ans, maçon, reçut dans une bataille un coup d'un instru- ment en fer, sur la tête. Il tomba sans connaissance,
he lefl caused by penet9·ating wound of brain. Journ. of. nerv. and ment . dis. XVII. ICONOGRAPHIE DES ARRACHEURS DE
amollissement hémorrhagique et même Oppenheim classe le ramollisse- ment delà moelle parmi les myélites. La moelle est tum
re de l'agent myélitogène, du siège que ce dernier occupe relative- ment aux éléments nerveux ; enfin les altérations des
éline hypertrophiées; mais la myéline est comme gonflée, excessive- ment pâle et presque sans structure ; c'est en raison
nodules interstitiels sont relativement rares, une autre lésion qui mente une attention paru- culière est celle qui a été
use altérée se trouve dans les mêmes conditions qu'après l'arrache- ment d'un nerf. Je viens de trouver dans un cas de m
vancé un peu à la légère que celui-ci avait pris sur le tard seule- ment l'habitude d'écrire de la main gauche, à la suite
- Pour l'imprimé, Rose le lit assez couramment à l'endroit ; lente- ment et plus péniblement à l'envers. Il parait qu'étan
de notre petite gauchère : elle aurait continué à écrire exclusive- ment en écriture centrifuge de la main gauche, à lire
Vogt, écrivent avec la main droite et aucun n'a jamais écrit autre- ment , pas même les anciens sémites, comme on l'a préte
ous devons soulever une question incidente qui ne vise pas directe- ment celle dont nous nous occupons, mais dont il ne no
us suffise d'avoir montré que l'écriture en miroir n'est pas seule- ment une transformation accidentelle et accessoire de
gmenta nettement de volume et la malade fut gênée par le développe- ment de la jambe gauche à laquelle elle n'avait pas pr
, sans déformations ; les doigts frappent par leur aspect relative- ment gracile, les ongles sont hippocratiques. Le mem
nque du prolongement cylindraxile, soit qu'elle retentisse directe- ment sur le corps de la cellule nerveuse (1). » D'ap
xus brachial sur un trajet plus ou moins long, tantôt leur arrache- ment (1). » Dans un travail récent Van Gehuchten con
on, d'intoxication et d'autres troubles généraux. Or c'est précisé- ment le cas dans les expériences que nous venons de ci
lule d'un ganglion spinal réagissent à la section de leur prolonge- ment périphérique. « La cellule motriceréagit par la
uble cellulaire dure environ 1D jours, puis tout rentre insensible- ment dans l'ordre et la cellule non seulement reconsti
e la simple présence du bout périphérique dans le voisinage du seg- ment central suffit à ses yeux pour faciliter la répar
ement, car il a vu les cellules motrices lésées revenir insensible- ment à l'état normal. Marinesco a fait des observati
Augsbourg : J. van Ilelmont se serait contenté de;le copier exacte- ment . Le Dentiste de Dresde ne serait alors qu'un frag
e se servir du pélican. D'après lui, l'opérateur se place générale- ment derrière son malade, tient son instrument de la m
dans les officines clauses. C'est une manière de diplôme démesuré- ment agrandi. Un édit de Charles V publié en 13G ? a
r le client, tire de ses fontes une pince martiale, la plonge vive- ment dans la bouche du malheureux, puis, piquant des d
est pas que Sainte Apollonie se soit, ma connaissance.particulière- ment distinguée dans l'exercice de l'art dentaire. Mai
61 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
ots complets. incurables. La plupart d'entre eux sont, contrairc- mentit l'opinion courante, susceptibles d'amélioration,
des gâteux (3). La seconde catégorie comprend les idiots absolu- ment incurables, en beaucoup plus petit nombre qu'on
et au grand détriment des enfants éducabics. Ces malades absolu- ment incurables sont au nombre de quinze. Nous les e
ole). Ces enfants fréquentent la petite école, confiée exclusive- ment il des femmes. Dans le courant de l'année, 174
éden- tes comme rendus propres le jour, urinaient encore fréquem- ment au lit, ils sont maintenant tout à fait propres n
marche qui devient moins titubante, l'enfant tombe moins fréquem- ment . En 1900, nous signalons u't progrès notable pour
chariot, etc.) et à lui apprendre à devenir propre par le place- ment sur le siège à des heures fixes. La seconde pér
classe de solfège et de théorie musicale est instituée spéciale- ment pour former les élèves de l'Orphéon et de la Fa
neco, de 1 ? uerto-Pico ; Professeur L. Bianchi, député au parle- ment italien ; fy Bomfini, directeur de l'Institut Méd
à terre et se salit rare- LXXX Enseignement pratique ET primaire. ment . Le gâtisme a complètement disparu. En un mot l'a
e-ci, d'une utilité incontestable, nous ne disposons malheureuse- ment pas d'un local approprié. Peut-être arriverons-
t été avertis de la condamnation de Bellanger que fort indirecte- ment par son avocat qui leur réclamait ses honoraires.
Cétl'e pour 1'Jul, p. CXÀ711). - C'est une excellente pratique qui. mente d'être appliquée* chez nous. ' BOURNEVILLE., Bi
on est obligé de lui redonner du pain deux ou trois fois. Finale- ment au bout de deux ou trois heures, il se calme. G
dans sou lit, et s'endort ainsi. - Description de la malade. 7 ment en avant. Sillon naso-labial assez accentué. Lèvr
es médianes sont plus élevées que les incisives latérales et for- ment avec elles un arc de cercle à peine prononcé. Les
, sont souvent dilatés, présentant des tuniques externes franche- ment épaissies, mais sans que les tuniques, interne ou
éphalo- rachidien. De plus, les mailles formées par l'enchevêtre- ment de ces travées sclérosées, contiennent fréquemmen
augmentent certainement, mais tout en restant de nombre sensible- ment inférieur à la normale. Dans les circonvolutions
te que les altérations précédentes paraissent plus vraisemblable- ment être sous la dépendance de processus aigus et ter
ombé. Bassin large, ventre assez gros. Colonne vertébrale légère- ment déviée à gauche clans la région dorsale, et adroi
borné la ; le 15 juillet, même indisposition suivie d'un écoule- ment aussi restreint. (Voir p. 34). La parole est li
eloppent pas, les organes génitaux évoluent à peu près régulière- ment chez les mongoliens. Marcelle, à cet égard, a été
noter. A la naissance, bon aspect de l'enfant qui est immédiate- ment envoyé en nourrice, et nourri au sein. La premièr
ique. et du sang coulait par sa narine droite. On le porta douce- ment à l'infirmerie pour lui faire une injection de ca
ul. » . Si tous ceux qui ont voté le voeu qui précède s'y confor- ment et font une active propagande contre l'alcoolisme
ement considérable, toux. Dyspnée. Diarrhée qui disparait rapide- ment . Les poumons sont remplis de gros râles ronflants
fron- tal ne présente pas de sclérose mais un arrêt de développe- ment . Le lobule de l'insula a quatre digitations ; ses
) sont à peu près tout à fait libres. En les exerçant passive- ment , on constate au début un peu de raideur qui d
ire est absolu- Fig. 6. - Main droite. Idiotie : main BOTTE. 73 ment semblable à celui de la main gauche. Il y a un vi
xe, on passe la main sous la cuisse du malade, on soulève légère- ment celle-ci en laissant cependant le membre dans le
nés. Réflexe plantaire. - On le recherche en chatouillant légère- ment la plante du pied, (sur son bord externe de préfé
acun des réflexes. On peut les provoquer aussi en serrant violem- ment avec la main, de façon à comprimer les masses mus
bonne heu- re. Arrêt de développement, bouffissure et épaississe- ment Ù partir de trois ans. Etat du malade au 1er févr
mort a vingt-sept ans d'une affection pulmonaire aiguë, probable- ment de nature tuberculeuse. Il s'était marié et avait
Erythème des aines dû aux poussées sudorales. 12 juin. Tremble- ment de tout le corps sans sueurs, affaiblisse- me
juin. Tremble- ment de tout le corps sans sueurs, affaiblisse- ment , persistance des douleurs s stomacales. Urine
taires. La faiblesse des jambes est moins prononcée. Le médica- ment est suspendu jus- qu'au 5 juillet. L'éry- thè
5 juillet. L'éry- thème inguinal adisparu. 14 juin. - Tremble- ment des jambes qui oblige de maintenir le malade
néité. Diar- rhée, douleurs du ventre et du dos, affaiblisse- ment des jam- bes. Pouls : 120. .17a< ? M : T.
e moite et devient souple ; les ongles poussent bien plus rapide- ment et sont plus brillants. Les mouvements sont plus
d'ap- précier les changements de la physionomie et l'amaigrisse- ment général. [Depuis notre communication (1), nous
al. [Depuis notre communication (1), nous avons repris le traite- ment à la date du 13 août, le malade ayant gagné 500 g
odi- fication n'est survenue. La dentition a acquis un développe- ment complet. Les dents permanentes ont achevé leur ér
113 Fifl. 17. - Squelette de Deb... 114 IDIOTIE myxoedémateuse. ment bornés à apprécier à vue d'oeil le degré d'atroph
de la base crânienne tel que le trou auditif A correspond exacte- ment au basion B (bord antérieur du trou occipital). O
nos chiffres il se dégage un fait absolument particulier. Relative- ment à leur épaisseur, la longueur des os est extrêmem
it uniquement de 7cptoméIlÍIl ! lite. avec participation, sensible- ment égale, des deux membranes molles, arachnoïde et p
u niveau des tubes nerveux la dysgénésie ou l'arrêt de développe- ment si évident pour les cellules nerveuses. Scléros
rtout s'il est seul ; quand on est près de lui, il se tait brusque- ment . Peau blanche, glabre; aucune cicatrice de vaccin
s degrés de l'escabeau. Caressant, gai, joueur. Pleure très rare- ment . Pas d'onanisme. Ni voleur, ni gourmand; Tenue gé
les bourses, du volume d'un haricot, prépuce recouvrant entière- ment le gland ; région anale normale. Parole amélior
is par an, de 1890 à 1902, montre qu'elle a toujours été notable- ment au-dessous de la moyenne. A la fin de 19002, elle
que nous avons cru devoir rapporter son histoire qui a naturelle- ment sa place dans une discussion sur les tics. Somm
Le cuir chevelu glisse en arrière, le front se plisse transversale- ment et verticalement. Les paupières des deux côtés cl
temps que la tête s'incline vers l'une des épaules avec un mouve- ment de rotation, comme si elle voulait y essuyer sa j
et en haussant les épaules. Ces faits se reproduisaient journelle- ment . , Ses tics ne se présentent pas toujours isolé
tus à 4 mots et demi comme les autres et de même force. Accouche- ment à terme, naturel, travail très long (toute une jo
ture, il y a une zone cutanée large de 3 il i centimètres, forte- ment pigmentée, sans gradation. La pigmentation exa-
l, alors que la plaie, était découverte pour renouveler le panse- ment . le malade a eu un fort accès. Dès le début de la
r. R.. n'a pas eu ses règles ce mois-ci, c'est il peu près le mo- ment où elles doivent venir. (Elle les a eues pour la
mie n'est plus la même, l'expression est plus vive; son raisonne- ment est bon, elle est même devenue bavarde, à toutes
on. » Il juin. - Suzanne va tout-à-fait bien, elle paraît absolu- ment normale, le mutisme a disparu et fait place au ba
lus inégal, moins aimable, elle a moins travaillé intellectuelle- ment . Son caractère naturel, dit sa mère, a repris le
is, ont été régulières. En pareil cas, nous continuons le traite- ment hydrolhérapique afin d'affermir la guérison et
utes, pas d'émotions, pas d'idées noires, pas d'alcool. Accouche- ment à terme, naturel en 7 heures. Présentation de la
de lin. 12 juillet. Organes génitaux. Corps, aisselles, absolu- ment glabres. Verge : longueur 3 cent. z2 ; circonfére
er des mots dans l'espace de quelques mois. Il est parvenu égale- ment à tracer tous les chiffres. Il apporte non moins
pied, mais ces colères n'ont pas de durée, elles tombent subite- ment , il demande alors pardon, promet de ne plus recom
es des diplé- gies cérébrales publié en 1893, on a vu successive- ment paraître en 1896 le travail de Sachs sur l'idioti
e des dents, seulement depuis sa rou- geole ; se cogne fréquem- ment le derrière de la tôle. Se met souvent en colèr
n ti bio-tarsienne sont très limités. Les réflexes sont légère- ment exasrérés. . La sensibilité n'a pu être étudi
ononcée des épaules et des coudes qu'on ne peut étendre complète- ment . La contracture du poignet peut être vaincue ains
upières. Quant aux membres inférieurs, les cuisses sont compléte- ment fléchies sur le tronc, et le genou est collé sur
mier malade serait aussi constatée il celle du deuxième. L'événe- ment nous a donné raison. Notre deuxième malade est
de Paris. LE Roux (Henri). De l'emploi des verres dans le traite- ment du strabisme. Thèse de Paris. RENOULT (P. L.) -
62 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
a-t-elle toujours une « Unipaget », ou bien fera-t-elle ultérieure- ment des lésions de môme ordre du côté gauche du corps
aire, infirment absolument ce diagnostic ; notre malade est simple- ment une pagétique qui a lésé les diaphyses de ses pha
t, elle perçoit une sensation de « tiède », et une sensation nette- ment « chaude » lorsqu'on la place sur l'exostose en q
donc une amélioration légère des symptômes, obtenue par le traite- ment syphilitique, ne plaide pas d'une façon absolue p
dont les artères périphériques étaient très indurées et voit nette- ment dessinées, (lexueuses, annelées, les artères des
s le cas de Guillet, il s'agit d'une femme de 38 ans, qui, brusque- ment , en marchant dans la rue, ressentit comme un coup
tuel. La malade est de petite taille, 1 m. 25, ce qui tient assuré- ment à la déformation rachidienne. Les téguments sont
sale et se continue jusqu'au commence- xxn 3 34 PARHON ET JIANO ment de la région lombaire. La moitié gauche du thorax
on, Nantes, 1901. 8. Cownnc and BnOOKL1'N, - Journal of nervous and ment . disease. In Presse médi- cale, no 12, 1903.
uite comment on peut expliquer ce trouble fonctionnel de l'abaisse- ment de la mâchoire inférieure, bien que la branche di
e. Le cou est incliné en avant et le larynx est déplacé antérieure- ment d'une façon anormale chez une femme. (1) Si l'h
assez bien. La flexion directe en avant peut s'accomplir non seule- ment avec le muscle sterno-cléido-mastoïdien qui est a
voit tout de suite que la chaîne des corps vertébraux est parfaite- ment en place (1). Au surplus, du côté purement radiog
ire le mouvement d'élévation du bras est gèné, la malade difficile- ment peut maintenir ses bras dans la position horizont
qu'avec difficulté par l'atrophie des muscles pectoraux. Le mouve- ment d'élévation et d'abaissement des épaules est limi
chez notre malade la XIIe comme la Xe et la IX. paires sont absolu- ment indemnes et nous nous trouvons en présence d'une
ens, je crois qu'il est permis dans mon cas d'attribuer, contraire- ment aux données plus récentes des physiologistes, un
facial, notre femme présentait une anomalie étrange dans l'abaisse- ment de la mâchoire inférieure. - ÉTUDE SUR LES CRAM
premiers symptômes on peut dire que la crampe des écrivains notam- ment se présente avec tous les caractères d'un manque
(198), pensent qu'il existe dans ces cas un trouble de fonctionne- ment de la substance grise cérébrale : à un premier sl
onctions, arrêtées dans leur évolution, dans leur adaptation au mo- ment présent, et par l'absence de détérioration des pa
de la thérapeutique, car, comme nous le verrons, à côté d'un trai- ment commun qui est la psychothérapie, il y aura, dans
sa douleur rétro-sternale, se mita dormir mal, à digérer difficile- ment , à devenir irritable à l'excès. Il remarqua que s
ension artérielle était de 10 à gauche. On continua le même traite- ment : trinitrine et sérum de Trunecek. Le malade fu
osition. Il est à noter que le malade pourrait garder assez facile- ment le bras élevé s'il n'écrivait pas dans cette atti
ns ; puis les douleurs en crampes, avec paroxysme, survenant au mo- ment de l'exécution rapide de certains mouvements. Ces
membre inférieur, avait déjà fait ressortir l'importance de l'élé- ment psychique dans la production du spasme artériel ;
de ces mouvements d'écriture, le malade pouvait se servir parfaite- ment de sa main pour tenir un objet, faire sa toilette
'écartait, l'émotion se calmait et le malade pouvait écrire indéfi- ment . t. 2° Crampes professionnelles associées à des
apier ; et en même temps la main droite, agitée d'un léger tremble- ment se met à tracer irrégulièrement les lettres qui d
Arena, à Padoue. Certains détails de cette image ont été manifeste- ment inspirés par l'observation d'aliénés contemporain
05, p. 86-104. L'ACTION DU RADIUM SUR LES TISSUS DU NÉVRAXE 111 1 ment avec les résultats de la clinique : on a fait sou
oplégie totale gauche ajoutée au syndrome de Weber, et c'est juste- ment par cette particularité que notre cas constitue u
elle ne présente le moindre symptôme d'achondroplasie ; somatique- ment normale, elle est d'intelligence très au-dessous
la tête vis-à-vis des extrémités se maintint et sa taille extrême- ment petite le rendit l'objet de la curiosité de ceux
ractères déjà observés par les auteurs : c'est-à-dire le grossisse- ment des épiphyses, la brièveté des diaphyses, la sail
nains achondroplasiques sont souvent vantards et fanfarons, et ai- ment à raconter leurs prouesses sexuelles surtout. Rie
mme telle, n'est pas acceptée par nombre d'auteurs éminents. Seule- ment , de solides données anatomiques pourront résoudre
p. 1130. LuGApo. Sul crettnismo spora-tico. Riv. di. Pat. nerv, e. ment ., no 1, 1905. Lunn. - Achondroplasie. Ref. Revu
lutins, des farfadets, des dieux. On peut observer encore actuelle- ment ce même niveau de pensée, ces mêmes adaptations s
sique de l'esprit commence à opérer sa conversion et glisse timide- ment et lentement sur un terrain plus positif, celui d
gie ou devenir elle-même une science positive ? Bien minime assuré- ment , mais peut-être pas tout à fait nulle. Quelques-u
nachronisme, que la solide position qu'elle occupe encore en ce mo- ment soit, si pas ruinée immédiatement, au moins forte
iologique connu ou seulement concevable, mais au moyen d'un agence- ment nerveux dont on pourra nier l'existence peut-être
ies de la nature et dans l'isolement d'abord puis dans l'accroisse- ment successif des faits, il découvre des rapports d'a
stade plus avancé de développement et de différenciation, le mouve- ment se localise dans un organe qui y est particulière
en une certaine somme, une certaine complexité d'excitations pure- ment mécaniques. Un spectacle, une audition musicale,
niques. Un spectacle, une audition musicale, une lecture, un serre- ment de mains, un bouquet odorant, la joie et la trist
inhabitée. Le pouvoir de raisonner existe donc déjà bien certaine- ment , à l'état d'ébauche, chez les animaux, mais attei
n'aurait rien pu ajouter dans les conditions données de développe- ment du cerveau. i Tous les rouages du corps humain
s'arrêter quand elles le veulent. Il faut, pour obtenir un change- ment de direction dans la statique humaine, que la nat
ésume toutes les mémoires : visuelle, uuuitive, etc., que i eurume- ment sensitif provienne du monde extérieur du corps
propre, il devient plus facile de comprendre le fâcheux retentisse- ment qu'elle exerce parfois sur les facultés intellect
gies qui l'excitent. La pensée ou la vue même distraite d'un mouve- ment tend à le produire. Un cri tend à provoquer un cr
tion qui est si répandue dans l'espèce humaine s'explique parfaite- ment par le moyen du réflexe intellectuel. C'est un su
euve. C'est en émouvant leur auditoire que les grands orateurs for- ment les convictions et triomphent des résistances. Il
ncore qu'il semble, lui aussi, être la conséquence d'un fonctionne- ment réflexe, puisqu'il s'agit d'un transport et d'une
de l'homme, mais de son organe intellectuel, on remarque immédiate- ment que celui-ci ne peut jouer qu'un rôle passif dans
facteurs de la cérébration, quand l'un des deux n'est pas complète- ment annihilé dans ses effets, doit aboutir à la const
un écrit, un événement etc. arrive au contact d'un cerveau à un mo- ment quelconque de son développement, leurs effets pou
de la science moderne qui ne progresse qu'en agrandissant indéfini- ment le domaine de la physique et de la chimie. La phy
s (Jaccoud), contracture par abus fonctionnel (Woi 1 lez), tremble- ment oscillatoire (Cazenave), bégaiement des muscles d
de contraction particulière des muscles fléchisseurs, ou plus rare- ment des extenseurs des doigts, quoique la main, en gé
nt vers le troisième ou quatrième doigt, soit au contraire étroite- ment serré entre les trois premiers doigts qui se cont
mais été malade ; il n'est point syphilitique, mais il est notoire- ment éthylique ; autrefois il prenait de l'absinthe et
utes il « se dérouillait » et pouvait écrire plus facilement. Rapid ment l'impotence fonctionnelle se pré- cisa et augme
les lettres se défor- ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 203 ment tout à fait et deviennent illisibles. Un malade,
un verre à la bouche, etc. Au début le tremblement a atteint égale- ment le membre supérieur gauche, mais actuellement le
bilité pour le malade de remplacer momentané- 212 MACÉ DE LÉPINAY ment un de ces modes d'écriture par l'autre, assombrit
es ouvriers qui dans l'exercice de leur profession mettent constam- ment une pédale en mouvement présentent assez souvent
aux manuels. L'atrophie des muscles de la cuisse n'est pas extrême- ment marquée, et l'on peut obtenir un léger réflexe ro
le bras droit. Puis, jambe gauche et les autres membres. Actuelle- ment , il travaille toujours debout,étant donnée la dif
sont très atrophiées, surtout la gauche, dont le volume est nette- ment moins considérable que la droite. Les réflexes ne
Coude. Dans une radiographie de coude normal, on reconnaît facile- ment le relief assez compliqué des diverses épiphyses
cement qui existent chez les sujets sains; le tissu compact, seule- ment visible au contour de l'os et réduit parfois à un
l se rejette alors en arrière tout d'une masse pour tomber brusque- ment sur le siège. Veut-il se relever, nouvelle flex
du thorax est déformé de haut en bas, d'avant en arrière, latérale- ment . De haut en bas et en avant le tronc semble plo
endue pour que la crête antérieure du tibia se prolonge insensible- ment avec le rebord dorsal du pied. Troubles moteurs
sont squameux au niveau du genou ; les poils ont presque complète- ment disparu. Il n'y a pas de troubles trophiques plus
L'attention est tout d'abord attirée du côté des mollets anormale- ment développés ; le développement exagéré est limité
est très affirmatif à cet égard, et tout porte à croire que réelle- ment notre malade n'ait jamais eu aucune infection syp
directions différentes toutefois, ils apparaissent encore exagéré- ment longs en proportion du tronc. Dans le tronc en ef
inale gauche. Au contraire on ne peut ni voir ni entendre le batte- ment de la pointe. A la percussion, l'aire absolue d
ire chronique. En général, dans la maladie de Paget il s'agitseule- ment de quelques troubles articulaires qui sont second
par des douleurs très vives, par des paresthésies et l'affaiblisse- ment de la force motrice de l'extrémité supérieure dro
n'est point de cet avis : « le repos prolongé, dit-il, a été rare- ment utile»; Kouindjy de son côté compare les effets d
ulières. En dehors de ces quelques cas très spéciaux, aucun médica- ment interne ne pourra venir à bout d'une crampe profe
ront sans doute ; mais les muscles en hypertonie profileront égale- ment ; l'équilibre ne sera pas rétabli, tout au contra
es. Lanel (Fr, méd., 27 janvier 1909) l'emploie avec succès, notam- ment dans la crampe des écrivains. Comme ces manoeuvre
Ces exercices préparatoires sont suivis de la rééducation à propre- ment parler de l'écriture. Voici comment on procède.
r avant d'aller chercher de l'encre, puis deux lettres consécutive- ment , ensuite trois lettres, un mot, deux mots et ains
urtout il faut qu'il se défende, car le malade doit être immédiate- ment prévenu que sa collaboration est indispensable :
XII. - Le traitement psychique, complément nécessaire du traite- ment physique, comportera la rééducation motrice lente
rch. des mal. du coeur, mars 1909. 96. l\IASSAUT, - Bull. Soc. méd. ment . Belgique, 1901, ne 102. 97. 111EIGE ET Feindel
sb., 1885. il 1. Putnam. - Two cases of writer's cramp. J. Nerv. et ment . N. Y. 1895. 112. RAYMOND, - Spasmes psychiques
Cincin. Lancet Clinic., 1886, p. 207. 162. ZERNEp. J. of nerv. and ment . diseases, 1886, nos 9 et 10. 163. Zuber. - Spa
nvier 1908. 238. MORTON. - Trealment ol writer's cramp. J. nerv. et ment . Dis. N. Y., 1883. 239. NEFTEL. - Ueber die ele
nce. - A neto apparalus for the relief o/ writer's cramp. J. Nerv. et Ment . N. Y : , 1893. 242. Ppz[BRAM. - Schreibkramp
supérieur droit. La sensibilité reste normale. Interrogé attentive- ment , le malade se rappelle que, depuis un an, il a eu
e du nystagmus transversal intermittent. Les pupilles sont moyenne- ment dilatées des deux côtés et assez paresseuses à l'
ion d'un enfant de six mois mort et non macéré. Elle nie énergique- ment la syphilis et, de fait, on n'en trouve aucun sig
nisme très marqué par rétraction du tendon d'Achille ; le redresse- ment du pied droit est impossible. ' Tous les muscle
fférente à tout ce qui l'entoure et ne peut donner aucun renseigne- ment . Le pouls est à 27 pulsations au 1/4 de minute
relève pendant les jours suivants ; les douleurs diminuent légère- ment dans les jambes ; l'incontinence urinaire et féca
st à la lumière qui se dégage des faits mis en évidence tout récem- ment par ces méthodes, que nous voudrions examiner la
uelle a fait suite un début de régénération, démontre indiscutable- ment l'existence d'une lésion de l'élément noble, par
x viscères, pas d'autre trouble mental qu'un sentiment de contente- ment de soi-même très développé. Au 8e jour de l'hos
uë du tissu nerveux qu'il nous a été donné d'examiner histologique- ment . Le fait est signalé à proposducas de méningo-enc
n évident qu'il ne l'a pas lui-même essayé (car il aurait certaine- ment trouvé que ce signe existait réellement, étant do
e beaucoup plus grandes. Il est vrai que ces erreurs sont relative- ment beaucoup plus grandes par exemple que les erreurs
ésumer une augmentation des éléments cellulaires, constitue évidem- ment un moyen de contrôler la méthode. Nous groupons c
un mouvement considérable. La masse des muscles n'est pas sensible- ment réduite. Quand nous essayons de faire s'asseoir
cinq jours suivants, pendant lesquels le malade a été alternative- ment sur pied et au lit, Ensuite il a éprouvé une diff
nus.et partout décrits : sensation générale de malaise et d'abatte- ment , fièvre, mal de tôle (le phénomène le plus consta
une paralysie complète des deux membres inférieurs qui sont absolu- ment flasques ; les réflexes rotulieus ont disparu. Il
ur conclure sur la localisation de la lésion qui a causé ce change- ment des troubles de la sensibilité, nous nous reporte
les douleurs persistent, on peut les voir se localiser, non seule- ment dans le dos, mais dans une partie périphérique qu
e épidémique ne fait pas trop de difficultés, il en est tout autre- ment pour le diagnostic entre la poliomyélite et la mé
mies de cette maladie qu'ils ne l'ont été antérieurement. Certaine- ment il y a deux manières possibles d'expliquer cette
immédiatement sur son lit, elle se débat quelques instants, forte- ment cyanosée ; elle se plaint d'étouffer et demande q
des sens. L'ouïe est normale. Du côté de l'odorat il existe nette- ment de l'hyperosmie douloureuse ; le malade ne peut s
ntaient cependant une pigmentation un peu plus marquée que normale- ment . L'étude de la moelle a été faite sur des fragm
n'en est pas de même de son accroissement en largeur : c'est seule- ment vers l'âge de 30 ans qu'il a commencé à enforcir,
nsversal, surtout à droite. Les autres ongles sont convexes unique- ment dans le sens transversal, et en forme de Lente.
ne sait pas nous dire à quel âge prit terme cet anormal accroisse- ment de sa taille ni quelle fut la hauteur maxima qu'i
usions de ces auteurs sont à présent acceptées presque universelle- ment . Notre géant a été probablement dans son jeune âg
montre encore actuellement les faits suivants qui répondent pleine- ment aux conclusions de Papillault : NOUVELLE Iconog
e que le caractère acromégalique est donné plutôt par le développer ment exagéré des parties molles vis-à-vis du squelette
portions de ses organes génitaux nous font mettre de côté actuelle- ment le diagnostic de gigantisme infantile. Nous avo
us savons d'ailleurs que chez notre patient la déviation du compté- ment pour la syphilis (selon Wassermann) a été netteme
n, Lloyd, Messedaglia, etc.) ont noté dans leurs cas l'affaiblisse- ment ou l'abolition totale des réflexes tendineux aux
aphie radiculo-métamerique. Même les observations de naevi apparem- ment distribués suivant les trajets nerveux mériteraie
abdomen, au niveau et au-dessous de l'ombilic qu'il déborde légère- ment en haut ; il s'arrête sur ligne médiane. L'autre,
otum est ratatiné. Chaque attouchement du corps provoque non seule- ment les mouvements des extrémités, mais aussi ceux de
de la moelle épinière. L'examen microscopique montre un épaississe- ment de la pie-mère et son infiltration diffuse par de
épaisseur une petite quantité de pigment brun ferrugineux. Ce pig- ment est tantôt intracellulaire, tantôt forme de petit
ents costo-vertébraux sont absents ; la portion inférieure du liga- ment long antérieur est complètement atrophiée; le lig
suivante. Le malade atteint de syphilis prend un fort refroidisse- ment localisé la colonne vertébrale, a la suite de quo
, il s'est déplacé du côté externe et est situé en dehors relative- ment à la côte iliaque. L'atrophie du membre inférie
excroissances d'un tissu qui ne se laisse traverser que partielle- ment par les rayons (ostéophytes) et qui en certains p
luxées,les corps vertébraux étaient plus transparents que normale- ment (ostéoporose). 7° Le cas étudié par moi, dont j
nde qui s'étend de la ligne médiane presque 3 centimètres latérale- ment et en haut sur 8 centimètres. A cause de cela la
'âge auquel surviennent les premières manifestations est classique- ment vers 40 ans ; ici c'est précisément à 43 ans que
inactif et manifestant à tout propos une irascibilité et un entête- ment opiniâtres, II suffisait de lui donner un ordre o
'entourait, passait son temps à fureter dans tous les coins. Au mo- ment où il s'y attendait le moins, son père le voyait
ouvements extrême- érodes CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 549 ment faibles dans les membres inférieurs. La motilité
respirer commençait. Cette difficulté a aussi augmenté très rapide- ment . Vers 9 heures du matin il a été transporté à l'h
arrêt complet de la respiration entraînant la mort, soit immédiate- ment , soit au bout de quelques heures, si l'on pratiqu
rande dans la récente épidémie suédoise qu'elle ne l'est ordinaire- ment . Reste la question de savoir quel est le pronos
sacs de glace le long du rachis. Mes raisons d'instituer ce traite- ment ont été la grande fréquence des symptômes méningi
dans les affections qui nous intéressent, on a remarqué non seule- ment des altérations des tissus mous, mais des os auss
rophie optique dû à une tumeur de l'hypophyse. Journal of nerv. and ment . disease, 1906, n° H. EISELSDRRG, - Operazioni
all' analomia ed alla fisiologia deltipofisi. Riv. di Pat. nerv. e ment ., 1908, p. 518. Sainton et RTHERY. lIl ! /xoedè
lindrer » (battre). Apprenti maçon de 12 à 16 ans, il suit assidue- ment les réunions de la Bourse du travail où il est co
e que le porteur de ce tatouage avait un ami qui fut vraisemblable- ment l'artiste tatoueur lui-même. Ce dernier mit tous
ncorporation, il a vécu à Marseille, ne travaillant qu'irrégulière- ment et fréquentant assiduement les bars et les tripot
ue possible. C'est ainsi qu'il aime la vue du sang et que l'égorge- ment d'un mouton l'emplit de joie. Dans les chantiers
juxta-velltl'icutaire. - La partie ventriculaire est considérable- ment amincie, réduite à un millimètre d'épaisseur et l
ombaire, et sacrée, elle occupe la zone que l'on assigne classique- ment au faisceau pyramidal croisé. L'examen anatomiq
rtie inférieure du bulbe, immédiatement au-dessus de l'entrecroise- ment des pyramides, devant la pyramide gauche, se trou
pement extraordinaire de la tumeur. Le cervelet se trouve complète- ment refoulé vers le haut ; les pédoncules cérébelleux
nférieurs en flexion et croisés. Les membres supérieurs sont égale- ment en flexion et appliqués au thorax. On ne parvient
ans le cas que l'un de nous a publié avec Parhon, nous avons égale- ment noté l'absence delà menstruation , ainsi qu'un ar
age de nervins et de reconstituants, la santé du patient non seule- ment ne s'est pas améliorée, mais le sens de faiblesse
'une quinzaine d'années, car le patient ne se souvenait pas exacte- ment l'époque précise de l'attaque de poliomyélite. On
esse a augmenté. Pas de douleurs. Pas de symptômes généraux (seule- ment un peu de céphalalgie le matin du 8 octobre). Pas
es deux premières semaines passées à la clinique, la faiblesse aug- mente encore un peu et les réflexes patellaires sont en
toires de ces malades, on a seulement à remarquer que le développe- ment de la maladie dans le cas XXXVI a été très lent e
ures (et, dans le bulbe, au moins la substance grise) sont constam- ment le siège préféré de l'inflammation, même quand on
parle en faveur d'une voie lymphatique. La question de savoir com- ment l'infection vient d'abord au système nerveux est
métamères brachiaux. Cette coïncidence sera remarquée particulière- ment si l'on songe que, phylogéniquement, le squelette
physico-chimique. Ainsi, il se rencontre des cellules qui transfor- ment le sucre en alcool ; d'autres qui changent l'alco
que maintenant, je ne suis pas parvenu à établir sur une base vrai- ment scientifique la distinction des actes instinctifs
es espèces pour les mêmes manifestations instinctives. C'est seule- ment en envisageant le résultat final de tant d'opérat
ive, telle la digestion, mais il en existe d'autres qui, primitive- ment inconscients, font ultérieurement partie de ceux
sous l'influence de conditions physiques qui ne sont plus actuelle- ment réalisées ou que nous ne sommes pas encore parven
n'ai envisagé ici que le fonctionnement humain dans l'accomplisse- ment de ses fins naturelles. Affirmons en passant, san
e la pensée et, par conséquent, à celle de l'excitant. Action pure- ment physique, puisque les vibrations de l'élher lumin
opération s'accompagne de pensée, tant mieux,c'est un perfectionne- ment , mais la pensée est le plus souvent concomitante
63 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'est lui-même qui le dit dans ses Mémoires), ne dut le développe- ment de son génie pour la musique qu'à une violente
les effets produits varient singulière- 12 9 PATHOLOGIE MENTALE. ment , suivant la nature et le mode d'action de l'agent
rs, et qui, à lui seul, prouve combien le cerveau a été profondé- ment ébranlé, c'est l'amnésie traumatique. On a souv
lui jusqu'à une assez grande distance. Mais elle avait complète- ment oublié pourquoi elle était venue à Versailles, et
- gement mental, puis paralysie générale qui nécessite son place- ment dans un asile. Observation IX. V..., marchand d
onde circonvo- lution externe, de la région frontale au commence- ment de la région occipitale. Ils niaient par conséque
le lobe occi- "pital, comme l'enseignait Munk. Frappés du change- ment de caractère et des façons d'être et d'agir des
Nous fûmes les premiers à 'démontrer, disent-ils, que, non seule- ment chez les singes, mais aussi chez le chien, la L
eu d'être incomplète, avait été complète ? Il faudrait « logique- ment » admettre que cette restitution a lieu par les
destruc- tion partielle bilatérale de l'écorce, serait naturelle- ment permanente. A ces thèses, les auteurs italiens
7eer. - Arch. sur Psych., XIII, 1882.) David Ferrier a fait exacte- ment la même remarque dans la seconde édition des Func
localizzazioni motrici nella corteccia cérébrale, studiate special- mente dal lato clinico. Ric. serina, di frenialria, 187
CERVEAU. 53 de la maladie, ne permet guère de renseigner exacte- ment le médecin sur les fonctions de la sensibilité ni
n des cas de cécité verbale où l'examen de la vue a été convenable- ment pratiqué. » P. 133. · 84 PHYSIOLOGIE. Modène,
e hémisphère déterminait une surdité presque absolue et sensible- ment égale des deux côtés. Cette surdité allait d'aill
soit, de la constitution élémentaire de l'écorce, devait précisé- ment trouver en Italie une base scientifique dans les
ent observés (aphasie) dérivent de l'abolition ou de l'affaiblisse- ment de la mémoire, et que les altérations de la sensi
ientifique de ce genre, a fait longtemps défaut. On doit précisé- ment à Seppilli une bonne étude de deux cerveaux de
a première fois par MM. Pol et Watelle eux-mêmes. Or, ce refoule- ment du sang, d'après cette théorie, ayant lieu aussi
urio- sité : « Rasori pensait que les congestions sont constam- ment veineuses, et cela est hors de doute quand c'est
DRES. 87 I libre soit partout rétabli. A chaque nouvel accroisse- ment de pression; il se produit un effet analogue; une
sera le sang emmagasiné dans leur intérieur et le lancera subite- ment vers les autres organes dont les vaisseaux qui on
ur les chiens, qui ont ceci d'original d'avoir été faites exacte- ment dans les mêmes conditions de compression et de
in; quand je réfléchis que (comme je l'ai démontré expérimentale- ment ailleurs) la pression de l'atmosphère et l'élasti
les amphi- bies. » Non seulement cet auteur a confirmé le dégage- ment de gaz de sang, mais c'est à l'obstruction du vai
partie, à la gêne de la respiration qu'il éprouve, d'être constam- ment en rapport avec les pompeurs, au moyen des signau
a conclusion : « Dans la décompression brusque, il y a développe- ment de bulles gazeuses et dans le système veineux et
rès irrégulièrement. A l'auscultation, on entend un fort gazouille- ment à la région cardiaque; on peut d'ailleurs aisémen
si c'est le dégagement de gaz dans le système artériel, si juste- ment appelé injection physiologique ou spontanée, qu
si colossale. 2° Quand on injecte de l'air dans les veines lente- ment et progressivement, on peut arriver à des quantit
l'immense majorité des cas, elle diminue. Cela se conçoit facile- ment quand on songe que la production de ce gaz ne pro
e depuis 4 ans (lypémame avec hallucinations, idées d'empoisonne- ment ). Cette femme a un fils jusqu'ici bien portant. U
t revenu seul le 5 à une heure. 17. - Aujourdhui il avoue qu'il a menti , qu'il n'est pas allé chez son père, mais est r
assé son verre à boire, puis trois carreaux et s'est blessé légère- ment à l'avant-bras. Consigné pour deux mois; huit jou
us. 14. - Fièvre. Etat général mauvais. Douleurs vives et empâte- ment au niveau du creux poplité. 15. - On chloroform
. 15. - On chloroformise le malade, le sommeil se produit facile- ment sans période d'excitation. On constate qu'il exis
ultiples que nous nous bornerons à énumérer : Nystagmus, tremble- ment des paupières et des mains, irrégularité de la vo
Voir Dict. encyclopédique art. Tabès et Compte rendu de l'enseigne' ment dans les universités de médecine russes {Archives
en effet que pendant l'élévation, la traction ne porte pas unique- ment sur la tête et sur le cou, car en pareil cas la s
de tirer sur la corde qui passe sur la poulie de la moufle, douce- ment , progressivement, sans secousses, évitant une élé
jà mentionné par M. Charcot, c'est que : la sensation de soulage- ment et le retour de la coordination motrice se font s
re- mière lombaire, avec myélite et hématomyélio, presque absolu- ment limitée au cône médullaire; le renflement lombair
administratives d'ordre local, le nouvel asile contient actuelle- ment de la place pour 200 aliénés. Cent cinquante appa
1 1° Environ 60 incurables attendant pendant six mois l'emplace- ment dans les hospices d'aliénés de la province; 2°
Il aborde enfin, désormais sans crainte de s'égarer, méthodique- ment , l'étude des cordons médullaires, des nerfs crani
rieurs dont nous nous rendons compte et, cependant, c'est juste- ment l'ensemble de ces excitations venues du dehors qu
s. Au premier étage, il existe sur le palier une chambre d'isole- ment ou de surveillance, deux dortoirs de huit à dix l
ux criminels en observation. Enfin, deux autres chambres d'isole- ment se trouvent encore à l'extrémité du bâtiment. I
- tement, avec la manivelle de la tribune, on imprime un mouve- ment à la plaque tournante, le malade surpris, ne bo
pour le malade que pour ceux qui lo reçoivent. (The. joitri ? . of. ment , se., janv. 1889.) Ouverture nu premier asile d
les entre eux. Il est donc bien entendu que nous parlerons seule- ment des encéphalites chroniques à petits signes ma·
e l'encéphale. Il ne nous reste plus maintenant qu'à exposer com- ment on arrive à lire une coupe de l'écorce grise, et
e de muscles peuvent rester paralysés et s'atrophier consécutive- ment . Dans les observations qui précèdent, il y a des
e, para- lysies, atrophies,, etc.) ? 3° Y a-t-il eu, consécutive- ment , une altération dans le fonctionnement du cer-
spécial, - qu'il n'intervient qu'en lésant, plus ou moins grave- ment , le cerveau dont il fait l'organe nzinoris resis-
iges, éclipses de mémoire. Ces symptômes s'aggravent progressive- ment , se compliquent de délire, et il faut placer le
nt : « Un des éléments les plus importants à considérer relative- ment à l'apparition des phénomènes morbides consécutif
le nombre des immersions successives comme le seul et unique élé- ment étiologique, car le degré de compression, 20 à 22
amenés par la voie d'exclusion à nous demander si le refroidisse- ment n'a pas été la cause de cet accident, c'est ce
s travaux, il y en a deux qui admettent comme seul et unique élé- ment étiologique, la fatigue, ce sont les accidents de
enus libres lors de la décompression par l'entrave au fonctionne- ment régulier de la peau, des poumons et des voies d
sans accident. De l'analyse de ces deux accidents ressort évidem- ment la conclusion suivante : toutes les conditions du
ents d'ai- guille. De 6 à 7 heures le plongeur se porte parfaite- ment bien, quand au bout de ce temps la paralysie co
con- centration pour que le médicament puisse être ingéré facile- ment et supporté par l'estomac, encore est-il utile de
veaux crimes, si l'on ne parvient à l'en empêcher par un interne- ment opportun. On nous permettra de faire remarquer
er procédé; ayant appliqué le clou sur la tempe, perpendiculaire- ment , il réussit à le faire pénétrer dans le crâne en
a- tion maniaque et de dépression mélancolique. Il y a là évidem- ment deux espèces de délires bien distincts, coexistan
n'est pas le sommeil, mais un état psychique particulier qui aug- mente la suggestibilité. Plus le sujet dort profondémen
de la Tourette, M. Liégeois pense qu'un hypnotique peut parfaite- ment mettre en oeuvre une suggestion criminelle pour l
hique. M. BxouanDEL met les anomalies sur le compte du développe- ment . Certaines autres, les troubles de la sensibilité
. M. Vibert répondant à 111. Gilles de la Tourette, nie formelle- ment l'influence de la prédisposition et cite à l'appu
graves en ce sens que la lucidité intervallaire s'est considérable- ment obscurcie. Cet homme vigoureux est porteur d'une
l'hospice et, nous devons le déclarer, c'est avec un profond senti- ment de tristesse que nous avons constaté l'état pitoy
administratives sont en général pleines de bon vouloir. Mais com- ment ne pas reconnaître que quelquefois elles sont ign
ie. Interdiction des séances publiques d'hypnotisme. Le gouverne- ment portugais, considérant que la vulgarisation des p
de la situ ation, du chauffage, de la ventilation d'un établisse- ment modèle de ce genre. Un chapitre particulier est c
le lendemain matin. Les corps portés à l'amphithéâtre sont telle- ment sales et couverts de vermine qu'on ne peut s'en s
. Elle répond assez précisément, mais comprend souvent difficile- ment . Elle nous dit s'appliquer avec beaucoup de diffi
res. Sur des fragments du biceps gauche, on voit de l'épaississe- ment des grosses travées conjonctives qui cloisonnent
e des altérations dans le nombre de ces éléments qui est extrême- ment diminué et dans leur disposition réciproque. Au
s ces deux couches sont ramifiés et dilatés, mais leur développe- ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de
terstitielle etlésions des cellules pyramidales, évoluantparallèle- ment . c). Moelle cervico-dorsale. Les cordons blancs
la convexité des hémisphères, nous trouvons une moelle relative- ment saine; donc on peut supposer que les lésions di
. Ces lésions expliquent l'état chagriné qui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l'é
parties latérales, on voit que les couches se perdent successive- ment dans la couche externe névroglique de la substanc
des cellules. La trame conjonctive des cordons blancs est notable- ment épaissie, le nombre des tubes diminué, mais la lé
les cellules nerveuses du bulbe et de la moelle. « Psychologique- ment , a écrit M. Gley, ces organes de l'écorce appa-
s troubles de la sensibilité cutanée. Nothnagel incline certaine- ment à localiser ceux-ci dans les « lobes pariétaux »,
x; 2° celle des faisceaux blancs qui, sans aucun doute (indubitu- mente ), relient les « centres de l'idéation », comme
mesure les centres supérieurs, il n'y a là que « le perfectionne- ment d'une propriété préexistante, tandis que la ' C
la moelle, dont l'importance est en raison inverse du développe- ment des centres moteurs corticaux, et par conséquent
a pas jusqu'à la réparation des mouvements compliqués, véritable- ment volontaires'. » En regard du grand nombre des p
es impres- sions sensibles de la périphérie. « L'âme n'est nulle- ment , comme le pensait Flourens, une manière de fonc
périphéri- ques des sens, parvenues à ces centres, s'y transfor- ment en impulsions motrices volontaires des muscles
ments des membres, alors que celle des centres moteurs difficile- ment excitables demeure encore sans effet. Les mouve-
bleus. Nez aquilin. Bouche petite, lèvres épaisses. Menton légère- ment pointu. Visage ovale. Pas d'asymétrie faciale. Or
tomber les objets qu'il tient, mais continue à marcher machinale- ment . Durée de moins d'une minute. Il a de un à trois
s et en conséquence la peau pend en gros plis. Mais un développe- ment aussi intense de la maladie est bien rare, habitu
e lenteur et la perte du désir de se mouvoir. En plein développe- ment de cette maladie, la parole des malades présente
re que la fonction de la glande thyroïde sont soumis à un change- ment ; néanmoins, autant que je sache, on n'y a jamais
male, elle ressentait une fatigue telle qu'elle ne pouvait décidé- ment ni travailler, ni marcher. Avec cela, il lui étai
dème et ces symptômes peuvent s'accentuer ou s'atténuer conformé- ment aux modifications de la maladie. De même la malad
s gen. de méd., p. 7G9. ' Bartolow.-Chicago, Journal of neroous and ment discase, 1875. * BuUdey.C ? aoyoM)'nn/o/ ? tee,
s and ment discase, 1875. * BuUdey.C ? aoyoM)'nn/o/ ? tee,vous. and ment discases, (87. 432 RECUEIL DE FAITS. produits
résistante des gros vaisseaux du cou, donnant ainsi lieu au gonfle- ment circonscrit qui fut observé pendant la vie; mais
s à la sonde oesophagienne. Le régime de l'eau réussit admirable- ment aux alcooliques de l'asile d'aliénés de Burhoezli
elle ne peut elle-même trouver l'explication; ils sont probable- ment la résultante d'une ? 'éS011na11ce hallucinatoire
antérieur de ce nerf; mais ces deux ganglions servent non seule- ment à cette racine, mais encore au corps trapézoide,
son. Anthropologie criminelle. - A la suite d'un voeu émis récem- ment par le Congrès d'anthropologie criminelle, l'admi
r la), par Gilles de la Tou- relte et Lagoudakis, 126 ; (ti alte- ment de l'ataxie locomotrice et de quelques autres m
64 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il est gaucher), et cette atrophie a été en s'accentuant rapide- ment ; elle a été suivie par le médecin au moyen de me
n due l'état pathologique actuel ou s'il ne s'agit pas là simple- ment d'une asymétrie ancienne non imputable à l'affect
eur, en particulier la main et les doigts, présentent un tremble- ment à oscillations assez étendues et assez fréquentes
La sensibilité va sans cesse en diminuant, et disparait complète- ment vers quatre heures du soir. La motilité persiste.
il pousse des sanglots, et qu'enfin, il revient presque brusque- ment à lui, reprend connaissance sans éprouver la mo
ur- tant ses désirs sexuels étaient normaux autrefois ; actuelle- ment , ils sont très affaiblis; le testicule gauche rem
plète et que les limites de cette anesthésie absolue sont exacte- ment semblables à celles que nous avons notées dans
si généra- lement admise qu'il y a quelques années et tout récem- ment Raymond écrivait 1 : « Tous ces faits démontrent
ns latéraux. On ne peut considérer cette lésion ni comme entière- ment systématisée ni comme entièrement diffuse. Elle
constante, l'irritabilité du système nerveux diminue successive- ment . Puisque toute fonction cérébrale du médium est
elle a à l'état de veille, et de là la spontanéité manque absolu- ment . En attribuant ainsi à la même cause les symptô
e paralysie d'un membre sans mot dire, par quelques passés seule- ment ; - on la peut aussi faire disparaître par le m
s il tombe dans l'état particulier que nous observons habituelle- ment chez lui lorsque le terme d'une suggestion approc
-bras gauche se congestionner; il se produit une sorte de gonfle- ment à l'endroit où bientôt vont apparaître des goutte
é cérébrale est par conséquent seule en jeu. On interroge finale- ment le malade sur le texte, le sens qu'il lui donne,
rare de renconlrer dans les asiles d'aliénés. Elle était manifeste- ment choréique, mais la chorée se présente sous des fo
me articulaire, en sorte qu'on trouvait ici la diathèse habituelle- ment concomitante de la chorée; de plus si les émotion
s de la façon suivante. Un stade hallucinatoire précède générale- ment les autres, assez souvent tout se borne à ce stad
activité musculaire, après l'inhalation d'amylnitrite était réelle- ment due à ce corps, et que cette influence s'exerçait
Dans la manie, quelqu'en fût le mode, l'électricité exerça réelle- ment une influence favorable sur les symptômes, notamm
évapore à siccité, la poudre rouge-brun qui résulte de ce traite- ment contient 25 p. 100 d'oxyde; on la fait bouillir d
t à droite; en même temps, il existe une sensation d'engourdisse- ment sur le bord cubital de la face dorsale des avant-
. Ce sont en particulier les connexions du noyau réticulaire teg- menti pontis qui sont envisagées ici ; ce noyau reçoit
, de Gudden) : ces derniers tractus aboutissent peut-être finale- ment par l'intermédiare de la substance noire de Semme
ion récente) ? Il serait bien difficile de rattacher le ralentisse- ment du poids qu'il signalait au nerf vague; on eût dû
emblable à celui de la névrite. Quant au pouls, il a insisté égale- ment sur son accélération dans quelques cas; du reste,
nt dans toutes les formes de paralysie générale, mais principale- ment dans les formes expansives, et au début. Elles du
n phlegmon considérable de la cuisse, phlegmon qui suppura forte- ment durant plusieurs semaines, elle fut de nouveau at
s l'anneau (hernie inguinale). - La verge ne semble pas anormale- ment conformée; toutefois, il est impossible de découv
demie, frisson assez violent; en arrivant à l'infirmerie vomisse- ment de glaires, de'lait coagulé, etc., il n'a pas man
de trois ans après son début : le membre inférieur est complète- ment paralysé; le membre supérieur est très affaibli;
mais ceux-ci sont très limités. Le membre inférieur est complète- ment paralysé dans tous ses segments; pour marcher, le
omplet, il est vrai, sous l'influence de l'aimant, le rétrécisse- ment du champ visuel, les plaques d'hyperesthésie, l
uée , et les caractères de cette atrophie musculaire sont exacte- ment semblables à ceux que nous avons relevés dans l
t 12.) Lorsqu on tord l'épaule, le malade ne sent qu'un tiraille- ment au niveau de l'extrémité interne de la clavicule
de cette réaction, le résultat a été, dans tous les cas, absolu- ment négatif. Il s'agit donc là d'une atrophie simple
phie dans un membre paralysé peut prédominer dans tel ou tel seg- ment du membre, mais que dans chaque segment, cette
accentuée. Le facies de cette atrophie diffère donc essentielle- ment de celui de certaines atrophies musculaires, de
laire était encore notable. En plus, et ce caractère fait absolu- ment défaut dans nos observations, en raison des con-
eints de cette atrophie ne pourrait-elle pas être mise exclusive- ment sur le compte du hasard ? Nous ne croyons pas q
pas coûté le moindre effort. Nous savons, en effet, péremptoire- ment aujourd'hui, depuis les travaux de M. Charcot',
épinière, sur l'étendue de 4 centimètres, présente un ramollisse- ment blanc. ' La cavité crânienne présente les adhér
plus, on remarque encore dans les cellules, des granules de pig- ment , qui tantôt remplit toute la cellule de façon que
étendu. Les formes pures de convulsions statiques sont relative- ment rares. L'exemple détaillé par l'auteur concerne u
, la participation de la face ne permet pas de se prononcer sûre- ment sur la nature de la maladie. ' P. K. REVUE DE P
. XXIV. Des troubles nerveux observés A la suite DE l'empoisonne- MENT par l'oxyde de carbone; par le Dr W. SARDINE. IVF
t atteint brusquement d'hémiplégie droite, rebelle à tout traite- ment spécifique ou électrique. Six mois plus tard, il
ues épileptiformes; pas de vomissements, de fièvre, d'amaigrisse- ment ; rien du côté de la vessie et du rectum. On tue
nom- breux symptômes; néanmoins le diagnostic se trouve relative- ment facilité par l'association de certains phénomènes
caux (constipation), de l'ataxie dans les jambes, du ralentisse- ment dans laperceplion des impressions sensibles, de l
dus sains ou malades (non névropathes) indique qu'il est extrême- ment probable que le phénomène du genou apparaîtrait c
USE. doigts du côté gauche accompagnées de sensations de tremble- ment dans le bras et la jambe, du même côté. Aux diver
par la moelle cervicale s'était probablement étendue inférieure- ment , puis elle avait monté, avait gagné le faisceau r
rs du malade sont sans cesse en danger, et qui réclame un traite- ment actif. PILLIET. LUI. CONTRIBUTION A la symptoma
vent effilée en forme de groin, va et vient en reniflant bruyam- ment , port du bras gauche fléchi à angle droit; souven
- cation. Après une durée de quatre ans, il se produisit brusque- ment chez le premier aliéné un ictus apoplectiforme gr
amer et racle la gorge; insoluble dans l'eau, elle se dissout aisé- ment dans l'alcool, J'éther, le chloroforme, l'huile,
plusieurs jours de l'huile pure. La cannabinone n'a comparative- ment rien produit chez une anxieuse mélancolique, pleu
atin de bonne heure, il avait plu forte- SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 7 ment pendant la nuit et les chemins étaient boueux , c
moins pour résultat, au prix de l'autre, de rendre votre avance- ment plus difficile. C'est à vous de %ous prémunir con
ucune douleur; les réflexes tendineux du genou sont considérable- ment exagérés des deux côtés. Couché, il peut relever
on des jambes. Après quatorze séances, on observa un mieux telle- ment évident, qu'il étonna les personnes qui supposaie
de la jambe droite. La maladie actuelle s'était déclarée subite- ment : en revenant d'une revue, il perdit l'usage des
de tête, de reins et de l'insomnie. Le 23 mars, il marche facile. ment ; le bras au coude et la main fléchissent, ce n'es
devint très irritable, se mit à haïr sa femme, la battit constam- ment , et puis s'adonna à l'alcool, bien que, jusque-là
nrôlé. Etat actuel du malade. - D... est de haute taille, solide- ment bâti; un beau brun ; mais la pâleur de la face ,
des deux jambes est bien affaiblie, celle de douleur a complète- ment disparu ; en même temps, la répartition de l'anes
le malade ne touche le lit que par les reins; la tète est telle- ment rejetée en arrière qu'il touche le cou de l'occip
r, excepté une seule amélioration, qu'il marche tout àfaitfacile- ment les yeux ouverts et fermés. Il peut même courir.
muscles de tout le corps qu'interrompent des mouvements extrême- ment violents, sous la forme d'opisthotonus ou de pl
trouve tou- jours assez de données, lorsqu'on examine attentive- ment le malade. Ajoutons quelques mots sur la thérap
ent le malade. Ajoutons quelques mots sur la thérapie. Le traite- ment des accès d'hystéro-épilepsie a toujours été sans
agnan. Observation VI. Idiotie et crétinisme. Arrêt de développe- ment . Etat oedém,¡teux et rénilent de la peau (cachexi
insensible et l'excrétion de la matière sébacée parait complète- ment suspendue. Au niveau des régions sus-claviculai
supérieur et est partout très oedématié. Les bronches sont légère- ment hyperémiées, on les poursuit très facilement jusq
s l'étiologie de la maladie son séjour jusqu'à un an,danswn loge- ment humide, les convulsions ( ? ) et la chute qu'il a
e entendre par moment un bruit inarticulé, une espèce de gémisse- ment (heen..., rarement il profère quelques mots facil
le avec broncho- pneumonie double. L'autopsie n'a pu malheureuse- ment qu'être faite d'une façon imparfaite par suite de
poils. Le gland est énorme, il est en forme de massue et entière- ment découvert ; le testicule droit est plus fort que
encore à Bicêtre qui l'ont connu, ce malade était un type absolu- ment semblable au Pacha. Les différents certificats
s; les corpuscules de Malpighi petits. Rein gauche (1 gr.) forte- ment entouré de graisse, de grandeur normale ; capsule
tes au point de vue du myxoedème, ce qui ne permet que difficile- ment dese rendre un compte exact de l'état du cou, des
buminurie, paralysie de la glotte et aphonie qui cède à un traite- ment électrique ; cachexie pachydermique considérable.
s opératoires. Pour M. Rogowitsch ', dont les expériences confir- ment celles de M. Schiff en ce qui concerne les résul-
dos tourné en dehors, puis s'était laissé glisser. Dans ce glisse- ment , elle s'etait portée du côté gauche, de sorte que
t le sang à cette portion du cuir chevelu. Ceci peut être facile- ment fait sans toucher au drainage des vingt-quatre pr
s à qui nous avons le plus affaire) sont dirigés perpendiculaire- ment à la surface. Celui qui a l'habitude d'opérer sur
le cerveau était d'une couleur un peu plus jaunâtre que normale- ment . La cicatrice à peu près à un demi centimètre de
centre du membre supérieur, parce qu'elles traversaient directe- ment la cicatrice. La plaie a complètement guéri en un
. La pression du sérum fut deux fois relâchée (une fois probable- ment sans nécessité). Après l'opération, le malade fut
eurs. M. FALRET demande que cette discussion soit mise prochaine- ment à l'ordre du jour. ' MARCEL BRIAND. CONGRÈS DES
, dissocié. Presque toujours en outre, ces éléments sont exagéré- ment pigmentés, plus qu'à l'état normal. Le cerveau de
occipital ne s'effectue pas directement et dans la rétine; autre- ment dit si l'on incite un méridien déterminé de la ré
combinaisons dues à ce que toute perception éveille irrésistible- ment les suppositions, et les idées délirantes les plu
idées, parce que leur volonté ne se transmet plus physiologique- ment sur les conducteurs moteurs (paraphasie, paragrap
des impressions et des impressions sensorielles), n'est pas un élé- ment morbide. M. KRPEL1N. Evidemment, il résulte d'u
s, froides avant son emploi, récupérer, sous l'influence du traite- ment , leur chaleur normale et la conserver. Discussi
il s'agit d'étudier les altérations pathologiques, il faut constam- ment comparer avec les mêmes régions d'une écorce sain
faculté de percevoir le froid, tandis qu'il distingue encore nette- ment la chaleur et les impressions douloureuses. Cette
ve de manifestations morbides n'a pas seule- 414 4 bibliographie. ment un intérêt historique. On peut dire qu'elle appor
n; le pronostic et le traitement correspondants y trouvent égale- ment droit de cité. Aussi M. Schuele, après avoir co
ans, la maladie de l'illustre aliéné a pris un caractère manifeste- ment chronique, surtout à cause du genre de vie du roi
u, peu après l'arrivée à l' « asile », se délivrer de l'emprisonne- ment par la violence, mais aucun d'eux ne J'a fait, ce
65 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
en les fléchissant et les étendant alternative-- m Petite école. ment , en leur faisant des frictions stimulantes. En
ole). Ces enfants fréquentent, la petite Ecole confiée exclusive- ment à des femmes. 213 enfants ont été inscrits dans
seignement professionnel rend des services d'un ordre bien autre- ment supérieur. Il permet de donner à un certain nom
égiques, c'est- à-dire des malheureux condamnés presque certaine- ment à passer toute leur existence à l'hospice ; la pl
'il remplit bien les conditions d'un véritable maître, non seule- ment les enfants qui désirent apprendre le métier de
la profes- sion que nous leur avons fait enseigner, l'établisse- ment n'ayant pas d'ateliers similaires. Nous avons d
Siégel, sous-surveillant; do Mille Bié, sous-surveillante (bâti- ment des gâteux) ; de DI"° Ath. Bohain, sous-surveil-
nt de grouper les enfants et comprenant une salle pour le traite- ment du gâtisme et des préaux multiples afin d'en rése
r au parloir, qui a sa place naturelle à l'entrée de l'établisse- ment , ils seront obligés de passer entre les cellules
adop- tion du projet de construction immédiate d'un premier bâti- ment pour 100 de ces jeunes filles. Ne pensez-vous p
crit, que la construction de ce bâtiment, y compris l'agrandisse- ment des services généraux ne coûterait pas plus de 22
cation, à l'endroit où se trouvent les ateliers, d'un grand bâti- ment semblable aux grands bâtiments des trois sectio
ration, le parloir des familles et la loge du concierge. Le bâti- ment devra-t-il comprendre les appartements des méde
rvice central, soit 4 lits cle plus que dans le pavillon d'isole- ment de la section des garçons à Bicêtre. L'expérience
es entre eux. VIII. Considérations générales. - Partout, notam- ment aux classes et aux réfectoires, les vestibules d'
obligés à cause de la pente du sol d'envoyer leurs eaux directe- ment dans le ruisseau qui contourne l'hospice. Les e
prompt remède. En ce qui concerne la Fondation Vallée, actuelle- ment , les eaux-vannes des bâtiments, des dortoirs, r
tuits. Les placements payants pouvaient être effectués directe- ment dans chaque asile. Les placements gratuits devaie
inaire de Seine-et-Marne, dont les parents habitaient le départe- ment de la Seine depuis deux ans au moins. Cette délib
s. choisir leur asile, les familles signent une demande de place- ment ; payent le premier, quelquefois le deuxième mois
yer. En résumé, l'expérience faite cles deux catégories de place- ment , instituées par le règlement de 1877, démontre qu
lté puisque des garçons et des tilles seraient dans un établisse- ment exclusivement réservé aux femmes (1). . Mais s'
de lui. La sous-commission propose l'adoption du projet de règle- ment sur les placements volontaires tel qu'il a été pr
lace- ments d'aliénés épileptiques ne peuvent avoir lieu directe- ment que dans les asiles où il existe des quartiers sp
énés placés volontairement, que le prix de journée fixé annuelle- ment par le Conseil général pour les aliénés placés d'
l ? C'est que ces malades, une fois placés, guérissent difficile- ment , si même ils guérissent. Par suite, ils restent p
vaut le chaudron. II. Nous n'avons pu recueillir aucun renseigne- ment sérieux sur les antécédents personnels de l'enf
Pas de hernies, matité hépatique normale. Matité splénique vague- ment perceptible. Pas de courbures anormales du rachis
mais le tubercule mamillaire gauche parait faire défaut complète- ment . Le tubercule mamillaire droit a environ 5 millim
sur- venant le jour aussi bien que la nuit. Il y avait ordinaire- ment une aura; l'enfant criait : « maman, maman ! » pu
vres éruptives, mais quelques accidents scrofuleux. Comme traite- ment antérieur, il a pris seulement du bromure de pota
nde. Dyspnée intense, battements des ailes du nez. Visage légère- ment cyanosé. Râles muqueux abondants dans toute l'éte
. Etal actuel (l 1 avril). - L'enfant est pâle et reste constam- ment couché. - Le crâne est petit, aplati transversale
première. Membre supérieur gauche dans le môme état d'amaigrisse- ment que le droit. Les deux os de l'avant-bras sont ab
isse- ment que le droit. Les deux os de l'avant-bras sont absolu- ment parallèles à l'humérus et l'articulation du coude
calca- néum. Le calcanéum et l'astragale ont à peu près complète- ment perdu leurs rapports. Puberté. - Quelques poils
côté paternel que du côté maternel, nous n'avons aucun renseigne- ment . - Trois oncles paternels : 2 sont morts et on ne
s n'étaient pas généralisées et le côté droit était particulièrf- ment atteint. A 2 ans, ces convulsions augmentèrent de
soit de l'oeil gauche seul, soit des deux yeux. Dans aucun mouve- ment , la pupille de l'un ou de l'autre côté n'atteint
imensions réduites, a une grande légèreté et est presque entière- ment transparente. Nous avons dit plus haut (p. 95)
grossesse, aucune syncope ou autre phénomène nerveux. L'accouche- ment eut lieu à 7 mois, sans qu'on puisse donner de ca
a des gargouillements très étendus dans les poumons, principale- ment dans le poumon gaucho. Le murmure vésiculaire est
e la temporale, la suture ne laisse voir sa place que très vague- ment , au moins en dehors. En effet, elle est encore tr
s, surtout les sillons frontaux. Cette remarque s'applique égale- ment à l'hémisphère gauche. Les circonvolutions sont
ro- postérieure où les cheveux manquent et qui s'étend parallèle- ment à la suture sagittale du front à l'occiput; une d
février 1891. Pendant son séjour à l'hôpital, il a été naturelle- ment l'objet des soins les plus attentifs. Chirurgien,
sait lorsqu'il était énervé. Ce tic parait être survenu spontané- ment , personnne ne lui aurait appris à imiter ces gest
elle a gagné la face interne des cuisses où elle est actuelle- '; ment très développée. Elle a ensuite envahi tout le po
hé- misphère gauche atrophié. Les nerfs de la base sont sensible- ment égaux. La bandelette optique gauche est notableme
de la famille tant du côté du porc que de la mère sont suffisam- ment nettes pour expliquer la prédisposition aux acc
limitée d'un hémisphère, la sclérose atrophique, non moins nette- ment circonscrite il l'autre, constituent une véritabl
nfant ait eu des convulsions. La mère a constaté deux fois seule- ment des convulsions : « leur durée maximum n'a jamais
bleu, pupilles égales ayant des réactions normales. - Nez légère- ment aquilin ; ailes minces ; lobule gros ; narines ou
n présenté de particulier. Il n'en est pas de même de l'accouche- ment : la tête est restée trois heures au passage et
s 'et gémissements contiuuels. Il repousse et attire alternative- ment ses couvertures vers lui. Sa physionomie exprime
urrie ensuite au biberon avec du lait de vache. A deux ans seule- ment elle a commencé à manger. - Trois jours après sa
tion. Narines assez grandes. L'enfant semble respirer habituelle- ment par le nez. Pas de signes d'odorat. - Pommettes n
. Ce matin, elle est d'une pâleur exsangue. Les yeux sont légère- ment voilés. Le pouls est assez bon. Pas de paralysie.
et était complètement nettoyée, les sutures restaient très nette- ment accentuées par des dentelures rouges ; les partie
père : « Quand il avait bu, il était très porté là-dessus, autre- ment il y pensait bien moins. Pour mes deux autres e
mbés. Membres inférieurs : rien de particulier, pas d'amaigrisse- ment , pas de déviation rachitique, pas de p : ed plat.
192 État DE MAL épileptique. Etat DE mal épileptique. .193 ment la bouche et la tient ainsi ouverte pendant toute
souche ner- veuse : son père est un violent dont la vie passable- ment agitée dénote une certaine dose d'instabilité m
l'entrée à Bicêtre le mal caduc n'avait pas retenti défavorable- ment sur l'intelligence de March.. C'est seulement en
avait des convulsions des yeux, se frottait le front continuelle- ment avec le dos de la main droite, « poussait des cri
Pas de renseignements exacts sur l'odorat. Il parait désagréable- ment impressionné par l'ammoniaque. La bouche petite,
à l'é- gard de la mère, la misère du ménage, la rendaient absolu- ment malheureuse. Pendant la grossesse, forte émotio
hies. La tête est arrondie, symétrique, de volume moyen relative- ment au corps. On ne constate plus de traces des fonta
à la demande d'exécution. A cette occasion, elle se met fréquem- ment en colère lorsqu'on veut lui faire faire ce qu'el
de -e la malléole externe, l'une au-dessous de l'autre. - .Panse- ment humide phéniqué des pieds et des deux jambes. 2
boire son lait et qu'elle ne le peut plus aujourd'hui. Les batte- ment du coeur sont extrêmement fréquents : HO par minu
nt est réduite à une émaciation extrême et s'affaiblit graduelle- ment . Les yeux sont ternes, à-demi fermés. Le pouls es
éphalie. 253 on peut constater que la famille, nombreuse à un mo- ment donné, puisque le père avait douze oncles ou ta
e. D'ail- leurs, l'enfant vient très-bien jusqu'à 6 ans. A ce mo- ment surviennent des douleurs cle tête, à forme de m
ni aux vomissements, ni aux frayeurs, ni aux envies. L'accouche- ment eut lieu prématurément, à 7 mois. Il fut long, di
rceps. La rupture de la poche des eaux s'accompagna d'un épanche- ment de sérosité considérable. L'enfant, à la naissanc
il court constamment, ne peut rester en place et tourne fréquem- ment sur lui-même. Il reconnaît ses parents, mais est
569 dont il abaisse les commissures en poussant un petit grogne- ment avec les lèvres et la langue. Lorsqu'il est en co
à- coup volte-face. Nous l'interpellons : il obéit, vient rapide- ment auprès de nous en tournant deux fois sur lui-même
sur la voyelle finale et comparable aux mugissements et aux bêle- ment des animaux : \Ia-a- : L- : t, Be-e-e-e. Marche
éplai- sir. II végète sans aucune volonté, obéissant automatique- ment sans chercher à se rendre le moindre compte de la
constamment la même série de mouve- 280 Des tics chez les idiots. mentis , l'absence pins ou moins complète de la parole,
ait faci- liter l'expansion du cerveau et par suite le développe- ment des facultés intellectuelles (2). Suivant M. La
ces malades, les sutures du crâne ne sont pas ossifiés prématuré- ment . (1) Voir aussi mes remarques sur le Traitement
effilés, ongles longs, un peu bombés. - Membres inférieurs égale- ment peu développés ; leur peau présente quelques bout
ritoine. 25 octobre. - T.R. 37°, 2. -' Soir : 39°, 3. Amaigrisse- ment assez considérable. Pourtant l'enfant mange relat
ce le carreau ? ' ! 5 Les accidents se sont aggravés progressive- ment et l'enfant a succombé aujourd'hui. T.R. aussitôt
nti- mètres d'avant en arrière, et de 4 centimètres transversale- ment (Fig. 32). En arrière de cette membrane, il exist
entelures comme précédemment, mais elle n'est pas aussi complète- ment effectuée. Enfin durant 30 millimètres la brèche
66 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
rotuliens très exagérés : le relèvement du pied produit immédiate- ment de la trépidation spinale. Celle-ci survient pres
t : et il est possible que cette première période ait passé totale- ment inaperçue chez notre malade, ce qui expliquerait
sensitivo-sensoriel, la paralysie semblait avoir débuté insidieuse- ment ; de plus les troubles vésicaux et rectaux sont r
é comme absolument indispensable pour pouvoir affirmer l'envahisse- ment de la face. II présente, c'est certain, une immen
t à la conclusion qu'on en peut tirer, elle découle tout naturelle- ment des quelques considérations que nous avons émises
étranges dans leur marche et dans leurs caractères. C'est précisé- ment cette étrangeté qui fit porter il M. Charcot le d
dans la paralysie du petit malade. Son examen dut intéresser vive- ment l'éminent professeur, puisqu'il le fil durer plus
ons de l'hémiplégie spasmodique infantile. A l'hémiplégie du mouve- ment s'ajoutaient dans l'observation I l'hémichorée et
'est à M. G. Ballet (4) que revient l'honneur d'avoir établi nette- ment l'existence d' « accidents hystériques simulant l
qui n'est pas moins important à constater pour comprendre parfaite- ment les diverses modalités cliniques de l'aphasie, c'
. 1889. (3) Pitres, in op. cit., t. I, p. 310. (4) NATIEti, lieu. mens , de largng., 1888, nez 4, 5, 8 et 9. 42 NOUVELL
animal sauvage. Ces cris étaient tellement violents que ce rugisse- ment l'expression n'est pas trop forle fut entendu à p
s eu aucun résultat, mais notre confiance s'était accrue si grande- ment que nous avions l'espérance de chasser l'esprit i
il était en enfer, il partait. Antérieurement il m'avait tou- jours menti . C'est du reste le père du mensonge. Je fis alors
u bleu des extrémités des doigts. Il en résulte des lésions absolu- ment analogues au panaris analgésique de Morvan. Que
iels du nerf, et au nombre de trois ou quatre. Ces fils d'affronte- ment empêchent les déplacements latéraux (Fig. 2). L
tit pansement ouaté pour protéger la main et le 13 août tout panse- ment est supprimé. Quanta la sensibilité, complèteme
emme petite, cheveux châtains, yeux gris, a toujours eu un tempéra- ment nerveux et une intelligence peu développée. Les
malade à son. entrée. -Les membres inférieurs sont presque absolu- ment impotents. Soulevés ils retombent en masse. La pa
n'offrent pas de lésions apparentes. Les poumons présentent seule- ment un peu de congestion à leur base ; pas traces de
iole normale, plusieurs veinules dont les parois sont considérable- ment infiltrées. Mais ici, les parois ont une épaisseu
ous-jacent : dans l'intervalle des deux cercles, on reconnaît aisé- ment avec un grossissement suffisant les éléments conj
nce grise, dans les cornes antérieures et la commissure principale- ment : on en voit également quelques-unes au niveau de
ubstance grise, l'attention est attirée même à un faible grossisse- ment par la présence sur les coupes transversales colo
colloide dans la substance grise. En A, cet exsudat occupe visible- ment la gaine lymphatique d'un vaisseau. B, B', B" -
ins d'importance ici ; les fibres dégénérées sont en nombre infini- ment moins grand ; elles ne sont pas groupées par foye
ieures de la moelle allongée, pour disparaître à peu près complète- ment au niveau du sillon bulbo-protubérantiel. Nous n'
t de Knies. Enfin, dans l'écorce cérébrale, existent vraisemblable- ment d'autres centres commandant aussi aux mouvements
ocalisation des lésions, la meilleure base que nous ayons actuelle- ment . Ce sont là, pensons-nous, des données suffisante
s jours, Léon Ch..... est atteint de crises convulsives avec aboie- ment qui se répètent très souvent dans la journée, jus
ez les adultes, elle peut revêtir des for- (I) J. Simon. Voir Revue mens , des maladies de l'enf. (déc. 1SS3, janv. 1884) e
mposition de l'artiste, expression naïve d'idées alors universelle- ment admises comme articles de foi, a surtout le mérit
admises comme articles de foi, a surtout le mérite d'être parfaite- ment claire. Un certain nombre d'hommes et de femmes,
collés, cornés ; fond rouge et sanguinolent. Cet ulcère est absolu- ment anestbésique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FOR
sont abolies. Les troubles sensitifs ne sont d'ailleurs pas exacte- ment limités par les contours des plaques ; ils empièt
t ordinairement liée. Il semble que chez notre malade le développe- ment anormal des poils soit dû à un trouble d'évolutio
s par rapport à celle-ci, de telle sorte qu'il faut déprimer forte- ment les téguments pour arriver sur la crête iliaque.
Moneg marche avec peine, il se déhanche ; la fatigue vient rapide- ment . Il est obligé de s'aider de cannes et cela est à
part le contact de la lèvre ou de la moustache cause un chatouille- ment qui n'existe pas à gauche. Un peu de retard aux j
En résumé, un homme de 50 ans, syphilitique depuis un an, actuelle- ment encore sous l'influence manifeste de l'infection
inflammation. Comme Greiff, et conformément à l'opinion anlérieure- ment émise par Koester (4), il incline à admeltre que
térite syphilitique cérébrale (1874) la discussion s'est immédiate- ment engagée sur ce sujet, et elle n'est certes pas cl
pour Heubner, la lésion débute vers l'endartére, et plus spéciale- ment entre les lames élastiques de la membrane interne
. On pouvait constater tous les degrés, depuis un léger épaississe- ment de l'endartère jusqu'à l'oblitération complète; l
aint de se recoucher. L'affaiblissement va en augmentant graduelle- ment , si bien que le 7e jour, la paralysie est absolue
urtout médullaires . La pie-mère est peu touchée ; elle est modéré- ment épaissie ; en outre elle paraît plus adhérente qu
it l'artère spinale antérieure présenter tout à coup un épaississc- ment très marqué de ses parois ; sa lumière est réduit
nt coloré ; les autres, ovoïdes, plus volumineux, à noyau relative- ment moins important et teinté plus faiblement. En plu
eux la gaîne lym- phatique est apparente, distendue par des élé- ment cellulaires. A la partie inférieure du foyer ma
e; le lac lacrymal se présente alors sous formé d'un golfe visible- ment détaché de l'ouverture des paupières par sa parti
et de l'aile du nez. L'affaiblissement de ces muscles est générale- ment bien caractéristique et donne au visage une forme
jusqu'à la commissure des lèvres, on pourra constater un affaisse- ment de quelques millimètres de l'ouverture de la bouc
aiblissement des muscles de la face et le degré de cet affaiblisse- ment peuvent être observés aisément dans la région orb
ssus des noyaux sous-corticaux. Le caractère même de l'affaiblisse- ment des muscles confirme le fait ci-dessus. J'ai évit
table signification de ces parésies peut être expliquée principale- ment par les phénomènes mêmes que nous présente ce mus
ssinée d'après nature et que l'artiste ait cherché à rendre fidèle- ment et naïvement l'expression de son modèle (fig. 3).
approche d'une façon frappante de celle de nos malades, principale- ment de celui de l'observation III. Un portrait anal
rvicales reparaissent (1), la faiblesse des membres inférieurs aug- mente , et la malade entre dans le service de M. Brissau
s noyaux paraissent peu nombreuses et diminuées de volume relative- ment il celles du côté opposé, bien que toutes celles
nsversale du nerf optique droit à sa sortie du chiasma. Épaississe- ment et infiltration du périnèvre; dégénérescence des
.IÜrgens (1) se fondant exclusivement sur un certain nombre d'exa- mens anatomiques, avait émis l'opinion que les lésions
tefois ici, les symptômes cérébraux du début peuvent être relative- ment bénins, disparaître sans laisser de traces; et le
e institué avant l'apparition de tout symptôme médullaire à propre- ment parler ; et la guérison complète a été obtenue (1
'a fatigué beaucoup, dit-il, d'autant plus qu'il n'est pas extrême- ment robuste. Ajoutons que le malade n'est pas buveur.
ieu plus fréquemment dans les formes graves, qui évoluent clinique- ment avec les allures de la myélite centrale aiguë. Le
de l'esquisse correspond au groupe gauche de la gravure et inverse- ment . Mais à côté de ces ressemblances que de différ
n timide, avait été vaincu sur ce que j'appellerai irrévérencieuse- ment en médecine le terrain du discours français. Mais
et traités comme tels. Les efforts de Charcot tendirent dès ce mo- ment à trouver une thérapeutique rationnelle de la gra
que est alors typique. Mais, règle générale, la paralysie à propre- ment parler reste peu accentuée : on peut constater qu
xus plus ou moins analogues une des formes cliniques incontestable- ment les plus fréquentes de paralysie médullaire syphi
de paraplégie syphilitique, indépendamment de tout autre renseigne- ment . Quant aux symptômes actuels, seule l'exagération
les réactions électriques sont normales. La sensibilité est absolu- ment intacte, sous tous ses modes, dans toute l'étendu
gale des deux côtés. Pas d'atrophie. Les muscles répondent normale- ment aux excitations électriques. Il n'existe pas de
uand il veut se retenir de pisser, il laisse échapper involontaire- ment quelques gouttes d'urine dans son pantalon. Le ma
pointe des pieds sur le sol. Il a de la peine à s'asseoir précisé- ment à cause de cette raideur, et se laisse tomber bru
de ; mais il n'y a pas il proprement parler de production de mouve- ment réflexe, car l'extension complète du membre ne le
elte paraplégie grave se montre comme une complication essentielle- ment précoce de la syphilis. La plupart des faits obse
es réflexes rotuliens. Le diagnostic de tabes fut alors définitive- ment écarté. Il est hors de doute que ces particular
ut ahuri, il présentait vraiment l'image poignante du complet dénû- ment . Il avait les pieds meurtris, et pendant plusieur
halte était trop longue il son gré et le besoin de voyager le tour- mentait sans cesse. Il conduisit alors sa famille à Jér
vagues le long de la colonne vertébrale, se montrant particulière- ment marquée entre les deux épaules et à la région sac
uement. Il les décrit avec une loquacité et une mimique singulière- ment expressives. Quand il commence le récit détaillé
diable est cependant resté près d'un an à Paris, venant régulière- ment tous les jours à la Salpêtrière où il suivait un
senta il plusieurs consultations d'hôpitaux, dans un état de dénue- ment extrême, espérant être admis et soigné. Mais jama
il alla consulter le professeur Benedicld qui l'examina soigneuse- ment et fit même une leçon sur lui, portant le diagnos
répanation ont peu varié. Du reste, les divergences seraient égale- ment bien minimes si nous comparions aux instruments d
Fig 37. Fig. 38 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment était obtenu, soit en faisant rouler le manche de
dité telle, que le sujet n'entendait pas le diapason vibrant forte- ment , et, comme preuve, je constatais que la contractu
me. Ce phénomène compliqué trouvera son interprétation ultérieure- ment . Enfin j'ai étudié les hallucinations positives
croisé et non-croisé de l'opticus ? Nous le constatons très simple- ment , en déterminant avec le campimètre les contractur
des troubles psychiques, elle eut une grossesse suivie d'un avorte- ment . L'apparition des troubles psychiques eut lieuen
muscles sous forme d'atrophie ou de tumeur sanguine, le ramollisse- ment ou l'ossification des cartilages, le ramollisseme
uence non moins considérable. L'idée que le trauma doit nécessaire- ment exister dans leur pathogénie prend le caractère d
sur ce phénomène, le malade dit qu'il est forcé de faire ce mouve- ment , parce que quoique chose l'oppresse, le sert à la
odique qui la fait éternellement riches, tout en restant éternelle- ment pauvres. Ce n'est pas d'ailleurs en frais de co
ides et à celte barbe proverbiale qu'ils laissent croître indéfini- ment . 346 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
et se confondant avec les cheveux, bouclés eux aussi. Malheureuse- ment de nos jours, l'imagination des artistes les a en
'examen révèle la présence de points hystérogènes, d'un rétrécisse- ment concentrique du champ visuel ; dyschromatopsie, m
émoire est souvent touchée, soit dans son ensemble, soit partielle- ment . Témoin le cas de S. qui a oublié trois langues s
au premier chef, au point de vue social, et qui méritera certaine- ment quelque jour d'être l'objet d'une étude approfond
ment le nombre des vagabonds. Il y aurait bien des vagabonds nulle- ment neurasthéniques tentés d'exploiter la neurasthéni
67 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
Charcot, si on avait pris l'habitude de faire déshabiller complè- ment les malades qui se plaignent d'une sciatique. O
après que la sciatique est guérie. Nous y reviendrons ultérieure- ment . Pour le moment, nous n'ajouterons qu'un dé- ta
sard lui avait présentés; et, dans un cas, évidemment, le hanche- ment rendait encore très manifeste la déviation rachi-
l'inclinaison du tronc vers le côté sain est toujours le déplace- ment du centre de gravité vers la verticale passant
usqu'à ce jour. Une de ses tantes (du côté paternel) a été fréquem- ment atteinte de névralgies sciatiques. Voici ce qu'
aladie. D'abord il insiste sur ce fait qu'il a été élevé très dure- ment . Son père le mettait à la porte de chez lui à tou
s. Immédiatement la douleur le reprit, plus intense que précédem- ment , mais non accompagnée de boiterie. Elle variait d
u'elle est en tous cas de courte durée et qu'elle apparaît seule- ment au début de la crise rhumatismale pendant la pé
oint malléolaire. Étant donné que la sciatique est assez communé- ment une névralgie du plexus lombo-sacré, il sera fa
de dite hanchée. Le rapprochement costo-iliaque se produit forcé- ment , dans l'attitude hanchée du côté du membre sur
omotion, et cependant il lui était impossible de marcher normale- ment . Pas trace deparésie des jambes ni d'ataxie loco·
diens. Il put alors continuer son voyage à pied, marchant facile- ment et rapidement. Ce voyage, qui dura encore cinq jo
e essentiellement psychique de l'affection dont souffre actuelle- ment notre malade. On peut dire que depuis ce premier
cès, mais la description qu'il nous en a faite correspond exacte- ment à celle du mutisme hystérique, qui se caracté-
ose, la mort locale. On rencontre alors des foyers de ramollisse- ment : comme preuve, nous rapportons une observa- ti
ique, 5 p. 100 m'a été envoyé pour l'examen détaillé au commence- ment de novembre 1878. L'examen anatomique des autres
au delà. Les cordons latéraux surtout sont décolorés.irrégulière- ment en îlots blanchâtres ; la substance grise en appa
ait un peu sensible ; néanmoins le malade avait parfois spontané- ment une sensation de brûlure à ses membres paralytiqu
même de la mer. En cas d'accidents permanents, la base du traite- ment doit être la compression systématique dans l'air
oté et d'une hygiène appropriée. Sous l'influence du même traite- ment , nous avons obtenu un amendement considé- rable
n du syndrome tabétoïde du malade de ]'OBSERVATION XXI, l'amende- ment considérable qui équivaut presque à la guérison
rsqu'on excite par l'électricité l'écorce cérébrale, et spéciale- ment la zone motrice, le cervelet n'a point de part
Lombroso estime cependant que ces phénomènes représentent unique- ment l'exagération d'un processus physiologique com-
es troubles fonctionnels à des lésions correspondantes et exacte- ment localisées de la zone corticale sensitive ? S'il
1er avril. Il est tranquille dans le jour. Le soir, ses peurs aug- mentent . S'il est assis, par exemple, en train de travail
ns. 1885. 1er octobre. - Le soir en mangeant il a perdu complète- ment connaissance. On l'a porté sur un lit et il a eu
grenouille décapitée, mais il disparaît quand on sectionne absolu- ment le sciatique ou tout l'appareil musculaire de la
nerveuse est unipolaire, c'est-à-dire qu'elle possède un prolonge- ment , mais un seul prolongement fibrillaire ou autreme
. L'auteur, après une étude soigneuse de ce cas, d'après des exa- mens microscopiques des cheveux à différentes périodes
est l'explication qu'on a offerte pour expliquer les cas de change- ment permanent et soudain du noir au gris ou au blanc,
po- raire des symptômes mentaux ayant coïncidé avec le développe- ment d'inflammations locales, et suivie de rechute lor
Enfin l'auteur est convaincu que, dans certains cas, principale- ment dans la manie ou la mélancolie aiguë, les fonctio
e verbigération qui n'a rien à voir avec la verbigération propre- ment dite; on ne saurait nier cependant que les parai)
te à annexer une colonie à un établisse- li.J2 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment fermé '. Ainsi a-t-on procédé à l'asile de Goeppi
aujourd'hui; mais je trouve cela tellement grave, que, véritable- ment , il m'est impossible de ne pas présenter quelques
n'avait osé accomplir : vous allez, lorsqu'est intervenu un juge- ment ou un arrêt solennel sous la protection duquel et
perpétuelle - et ici vous la faites plus saisissante entre l'élé- ment judiciaire et l'élément administratif. Vous n'en
t que la magistrature se vengeait en quelque sorte de l'acquitte- ment , qu'elle prenait une revanche de la décision du j
t procédé au scrutin. - MM. les secrétaires opèrent le dépouille- ment des voles.) M. le Président. Voici le résultat
énoncées en l'article précédent, il y est pourvu par le départe- ment , sans préjudice du concours de la commune du domi
tien était à leur charge, et qui seraient placés dans un établisse- ment spécial d'aliénés. En cas de contestation, il est
a ! M. LE président. Personne ne demande la parole sur le change- ment de rédaction qui vient d'être indiqué ? ... Je me
l'encontre de l'opinion de Kolliker, ne peuvent être rationnelle- ment attribuées à leur adaptation à des'conditions d'e
mille). Ligue patriotique belge contre l'alcoolisme. Le gouverne- ment , continuant la série des mesures destinées à arrê
bserve, au niveau de la commissure grise, une cavité irrégulière- ment triangulaire, limitée par des parois qui se colo-
ls occupent presque toujours les cordons postérieurs et spéciale- ment la partie antérieure de ces cordons : ils sont
de l'ori- gine des fibres nerveuses de la substance grise ? Com- ment s'établit entre les cellules, considérées individ
ment diffé- rente ; elle nous semble être tout-entière et unique- ment dans la proportion relative, dans le mode de ré
endons), probablement un tiraille- LES FONCTIONS DU CERVEAU. '199 ment plus ou moins considérable, en rapport avec l'i
cnaniense rispelto alla sua capacilà in 40 sani e in 350 infermi di mente . Arch. ital. per le mal. nerv., 1887, XXIV. 130
. Côté gauche. L'incisive centrale est placée sur un plan légère- ment antérieur par rapport à la dent correspondante du
ts. Après avoir été, à plusieurs reprises, vantée dans le traite- ment de l'épilepsie, elle est aujourd'hui abandonnée,
- plète, de généraliser, sans devenir vague, et je sais parfaite- ment que ce que je désire exprimer ne peut pas paraîtr
ix-huit ans, ayant présenté soi-disant à la suite d'un refroidisse- ment successivement : une ataxie très prononcée des ja
générale que simulent les tumeurs cérébrales. Il confirme égale- ment l'opinion du Dr Cloustou qui a fait remarquer l'é
e et diminué de consistance. Il existe aussi un peu de ramolisse- ment de la protubérance et du bulbe dont les limites s
toutes les parties du corps sont douloureuses, il existe un senti- ment de faiblesse dans les extrémités supérieures ou i
motrices. L'affection ayant guéri au bout de huit mois de traite- ment , la première hypothèse était la vraié. La guériso
vrai qu'il s'agit ici surtout de tabes récents, à marche relative- ment rapide, et que les malades considérés étaient d'u
lite aiguë non suppurée, il fallait faire une place au ramollisse- ment du cerveau suppuré, aussi bien qu'au ramollisseme
on a sur le porte-objet éclairci la préparation, on détache douce- ment la bande de papier dont l'adhérence à la coupe se
mence par lui injecter 18 centigrammes et l'on diminue graduelle- ment , de telle sorte que cinq semaines plus tard, on n
de la sensibilité et de la motilité; il ne reste que l'affaiblisse- ment psychique. L'état général se reconstitue à son to
de la malade se réparent; elle s'en va après huit mois de traite- ment ne conservant plus que de fréquents accès de migr
usses. Ses doutes, s'il en avait en, auraient du reste été prompte- ment dissipés à la lecture d'une lettre que l'enfant,
siologie expérimentale soient à dédaigner : il s'en faut ! Seule- ment , ces résultats ne doivent pas se superposer aux
sucre dans les urines. Ces cas-là existent d'une façon parfaite- ment authentique ; j'en ai moi-même cité plusieurs.
goutte. Tous ces faits sont bien connus aujourd'hui et parfaite- ment bien interprétés pour la plupart. L'interprétatio
ne quantité considérable de sucre, qui n'est pas toujours un élé- ment essentiel de gravité. On sait, et Bouchardat et
s'ac- compagnèrent que de peu de réaction générale. Il eut égale- ment de fréquentes débâcles, restant sans aller à la g
la douleur. Faiblesse générale extrêmement prononcée. Amaigrisse- ment considérable, portant surtout sur la graisse sous
re, d'une quantité énorme de sucre, ne disparaissant pas entière- ment sous l'influence du régime. Je n'insiste pas su
sous vos yeux un bel exemple de paraplégie diabétique, probable- ment parvenue à un haut degré de développement. 324
d'abrutis- sement où il était plongé, il répond mieux, plus vive- ment , plus nettement, sans hésitation et rend mieux
t guérie au' point de vue fonctionnel, elle est du moins notable- ment améliorée. Cette amélioration considérable nous
ne se rappelle pas être sujette à avoir des rêves. Elle a fréquem- ment des maux de tête (céphalagie frontale). Du côté d
hypoesthésie du membre inférieur à partir du pli fessier, le seg- ment supérieur, y compris le bras possédant sa sensibi
one marginale externe de Lissauer (Z L e, 8) qui forme un revête- ment triangulaire à la corne postérieure. Le faisceau
ère. Autopsie VIII. (Newton Pitt.) - La moelle épinière, extrême- ment mince, présente une sclérose considérable des col
lonnes de Clarke dans la région dorsale supérieure sont visible- ment atrophiées. Les fibres fines ont disparu pour l
effet que plusieurs lésions s'observent pour ainsi dire constam- ment dans la maladie de Friedreich, et lui constituent
t la totalité des faisceaux postérieurs, sauf une bande relative- ment saine, très étroite, qui borde toute la corne pos
t, les zones de Lissauer, tant interne qu'externe, sont complète- ment respectées. La zone marginale externe est saine
ites supérieures. 3. Les lésions histologiques portent non seule- ment sur les parties qui sont réellement altérées, mai
ent par les nerfs périphériques vers les centres réflexes propre- ment dits; de là, transformées, coordonnées, les exci-
ue de la per- ception consciente est constitué, même si le mouve- ment n'est pas réalisé ou extérioré. Sous le nom de
onde sait que cet élément existe dans la sensation du chatouille- ment . La dissociation de la sensibilité dans l'hysté
st plus court. Dans l'emblyopie hystérique ou dans le rétrécisse- ment du champ visuel, l'objet, pour être aperçu, doit
partant du sillon collatéral postérieur et se dirigeant oblique- ment en dedans, pour atteindre le sillon médian postér
égénérescence entreprend une zone étroite correspondant générale- ment au faisceau cérébelleux ou s'étendant un peu pl
de 141 p. 100 (ou de 76 p. ic0, en lenant compte de l'accroisse- ment delà population) le nombre de ces mêmes aliénés e
r subi de multiples divisions cylindraxiles, en fibrilles excessive ment fines; ces fibrilles semblent chez la grenouilles
mportant d'aliénés et les confier à des familles et si l'établisse- ment , trouvait dans ce mode d'assistance un avantage.
leur état psychique a paru passagèrement s'aggraver. Ce sont notam- ment trois déments ; la démence était consécutive à l'
et l'assistance familiale du village, puis dans le village, finale- ment en congé. En congé, il peut être surveillé par le
qu'il se fût écoulé peu de temps entre l'injection et le vomisse- ment , les matières vomies contenaient déjà une certain
s paralytiques. M. Grashey analyse la rapidité de la main (mouve- ment de gauche à droite), et la rapidité des doigts (d
ces deux états qu'avec l'aide du temps et par les effets du traite- ment . On peut considérer l'accès primitif de manie com
lui-même, avec les seules ressources inhérentes à son fonctionne- ment un pareil stimulus. 15. On ne peut pas considér
iénés curables des aliénés incurables; 2° la nécessité d'un traite- ment hospitalier pour les aliénés curables ; 3° la néc
à Litre de proposition émanant de l'initiative privée. Le gouverne- ment semble donc disposé à faire sien le projet voté p
68 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
acide, 33° jour. La sensibilité tactile est à peu près complète- ment revenue partout. La sensibilité thermique est enc
gements habituels; quelques-unes cependant ne sont qu'incomplète- ment colorées en rose et présentent une partie jaune,
ur elle et pour les auditeurs, l'expression toute crue d'un jure- ment ou d'une opinion peu favorable à quelques-unes de
tte longue affection convulsive, comme le prouvent un amaigrisse- ment croissant et la pâleur du teint, bien que les fon
phéno- mènes : involontairement et conjointement avec ces mouve- ment , S... poussait un léger cri d'abord inarticulé, s
es de balancement et d'élévation des bras, de même que simultané- ment les jambes, surtout la droite, se fléchissent et
ramène : le sommeil, qui est très bon, les fait cesser complète- ment . Il ne se passe jamais un jour ni même une demi-h
ale de l'enfant qui grandit beaucoup en ce moment, et est parfai- ment conformé : il nous faut appeler l'attention sur u
s or- ganes génitaux sont bien conformés et fonctionnent normale- ment . A l'âge de six ans il a eu la rougeole; à treize
du 27 octobre : « M"° de M... n'a pas, parait-il, présenté nette- ment les phénomènes de l'écholalie. Il est vrai qu'on
ieu de l'aura, saupoudré de un demi centigramme de cérat. Traite- ment : un peu plus d'un mois. Guérison. Mort l'année s
La contractilité électro-musculaire, normale au début du traite- ment , diminua passagèrement pendant la durée de celui-
De treize épileptiques, six ne tirèrent aucun bénéfice du médica- ment ou ne furent améliorés que passagèrement, trois v
on de presque tous les symptômes. Le malade est encore en traite- ment . Suit l'appréciation critique. P. K. XI. Sur la
s plus élevés, et accroissement d'activité des groupes immédiate- ment inférieurs; dans l'ordre psychique, il y a perte
oie de comparaison, dans l'esprit des autres infirmières, le senti- ment très net de l'insuffisance de leur éducation prof
modification aux travaux de Kroepelin '. L'auteur insiste simple- ment sur l'acuité des symptômes et la rapidité de leur
ne déposèrent pas de plainte; à partir du moment où cet arrange- ment fut conclu, le malade revint à la santé. R. M. C.
uant à déterminer s'il s'agit d'une lésion corticale, d'un épanche- ment dans les membranes, ou d'une dégénérescence affec
Il faut ajouter que la faculté d'associer les idées n'est aucune- ment troublée, et que la notion d'un grand nombre de f
ou faradique ne produit rien de semblable; elle augmente simple- ment l'excitabilité des muscles en état de catalepsie
des sensations pénibles intra ou extra-céphaliques qui ifs tour- mentent , à faire disparaître les troubles de la sensibili
respiration reprend son amplitude normale, de sorte que l'instru- ment permet non seulement l'ingestion alimentaire, mai
sement muqueux (formation de cavités), en d'autres, l'épaississe- ment fibroïde (au pourtour et à l'intérieur des cavité
d'après les observations connues jusqu'ici, on a presque exclusive- ment affaire à des idiots dedegrés différents. Un seul
ersistent quelque temps après l'ouverture du circuit et, parallèle- ment , sur la partie correspondante de l'autre moitié d
acquise ; la paralysie rétrocède lentement, mais assez uniformé- ment (c'est la paralysie de l'iris qui cède la premièr
qu'avec quelque prudence on arrive à régler nettement et facile- ment les allures des réflexes tendineux d'un homme, il
pas de méningite suppurée. A l'oeil nu, on dirait d'un ramollisse- ment rouge, et l'orateur ne croit pas que les cellules
e. M. REUM conteste l'utilité de l'oplitlialmoscope comme instru- ment de diagnostic, dans l'espèce. M. LAXGREUTEK. De
les perturbations asthéniques, et celles qui résultent d'un épuise- ment somatique. M. 0. Millier ajoute les états de dépr
M. SNELL appelle l'attention sur la maladie toute spéciale récem- ment décrite (Virchow's Archiv, mars 1883) sous le nom
tratum alcoolique. Ce sont les propriétés principales du médica- ment qu'il importe d'utiliser. Il agit comme anesthési
des médecins ont expérimenté très largement l'activité du médica- ment en question. M. 11-sse présente à la Société le
ar il n'est pas douteux que la clinique doive servir très efficace- ment la physiologie dans l'étude de la vision. Les n
membres. Il y eut une insomnie presque complète, du refroidisse- ment et de l'engourdissement des jambes et, par mo-
ête et un léger" saignement de nez; mais perte complète de mouve- ment et de sensibilité' aux extrémités supérieures et
ent, .dans l'éminence thénar droite et Le malade succomba finale- ment à l'envahissement des muscles, de, la respiration
s les trau- matismes que nous étudions, l'influence de l'ébranle- ment se fasse sentir différemment sur les divers élé
puis tout rentre dans l'ordre. Mais, bientôt après, car générale- ment les intervalles sont très rapprochés les uns des
lieu, nous en avons pour témoins les parents qui ont scrupuleuse- ment observé leurs enfants, mais encore, tous nos ma-
temps que cette projection, il survenait des contractions telle- ment brusques des masséters, qu'à plusieurs reprises
à la fin des secousses musculaires si particulières qui le tour- mentaient . » Ce récit d'un malade intelligent en dit plus
manière et sur le même côté ; si un bruit se produisait inopiné- ment ou avec intention, le pilote semblait forcé contr
apprend Ham- mond, tout en battant des mains butta accidentelle- ment et tomba pesamment sur le pont. Le pilote, sans
nous pos- sédons l'histoire, à différentes époques du développe- ment de l'affection, ce symptôme existait cinq fois
cas, ceux- ci sont représentés par des mots qui ne sont fréquem- ment que la répétition de mots semblables prononcés
us annonce ce qu'il est à même d'exécuter ». Ce ne sont certaine- ment pas là les caractères de la chorée vraie, de la
rs qui ont surtout régné au Moyen Age, outre qu'il est bien rare- ment donné maintenant d'en constater des exemples, m
RVEUSE. amener ces périodes de rémission si favorables : l'isole- ment , combiné avec les reconstituants de toutes sort
s. 4 juillet. A fait assez de progrès à l'école; lit demi-couram- ment ; est plus intelligent. Gymnastique : peu de prog
e; son mari la serra dans une porte; pas d'alcoolisme. -Accouche- ment à terme, naturel, sans chloroforme ; la tête est
01,4. Physionomie égarée : joues rouges ; pupilles dilatées, égale- ment ; excitation au moindre attouchement. Mutisme. Bai
t plus froid que le gauche. L'insensibilité tactile existe égale- ment au conduit auditif externe, à la narine du côté d
blie. « L'existence de l'amblyopie d'origine cérébrale est nette- ment établie par des faits cliniques et anatumo-pathol
pine ont bien vu augmenter le chillre de cet acide proportionnelle- ment au chiffre de l'azote; mais celte augmentation pr
phorique. Ainsi, tandis qu'àl'état de repos, Byasson, qui expéri- mentait sur lui-même, rendait par vingt-quatre heures 1 g
à dire que, pour un même travail, si l'alimentation est suffisam- ment riche en ces sels pour réparer les pertes faites
tion était notoire, ni sur celles chez lesquelles elle était seule. ment probable. 234 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. S
interstitielle, les travées de nouvelle formation ayant graduelle- ment atrophié les faisceaux contractiles; la substitut
articulaiies. Puis les extrémités supérieures s'atrophient rapide- ment . Quatre semaines après le début des accidents, ré
terminale, nous devons noter que l'auteur a toujours invariable- ment observé 1'unilaLéralité des phénomènes parétiques
tade préalable de mélancolie ou de m.me, elle se transforme rapide- ment en démence qui revêt la plupart du temps le carac
psie consécutive du des lésions céphaliques obscurcit considérable- ment le pronostic par suite de la possibilité des tran
plètes à cet égard; nous n'avons fait que les observer passagère- ment . Ces sujets appartiennent aux deux sexes, mais su
l'à,e, mûr; si ce n'est pas un mort-né, le produit meurt ordinaire- ment pendant l'enfance. L'idiot microcéphale deRandati
jusqu'à son émergence et amena, à sa grande surprise, un enraie- ment des contractures ainsi que des douleurs. Ces de
878) guérit une sciatique contractée à la suite d'un refroidisse- ment , en opérant une traction du nerf sciatique. lli
pied. Téta- nos ; la traction du nerf sciatique amena un soulage- ment de courte durée; mort. Golding-Bird3 : Névralgie
inférieure ; l'élongation du nerf sciatique produisit du soulage- ment . Gillette' (1881) constata également'de l'amélio-
ibution to the szibject of ? zei-ve slrelching. (Joura. ofnerv. and ment , clisease, 1882, p. 133.) 1 Simon lt. AI. Nerve
f sciatique et au crural pour une paralysie spasmodique. Soulage- ment momentané. En somme, résultat nul. (A suivre.)
ai si court. . La marche des troubles fonctionnels est graduelle- ment décroissante. Nous voyons le rétablissement des
L'absence de déformation n'a pas une valeur absolue, un déplace- ment produit par une fracture peut exister un moment,
ut exis- ter dans la commotion, et être due à un simple tiraille- ment , une sorte d'entorse. Si, en outre, nous rattacho
nt retrou- vées, car la durée de la maladie nous paraît relative- ment bien courte pour en avoir effacé toute trace; j
a cherché l'explication dans des lésions qu'on rencontre réelle- ment quelquefois, mais dont il a augmenté systémati-
extérieure. L'observation que j'ai rapportée réfute péremptoire- ment cette critique. La pathogénie des lésions consé
es plus légers qui ne se traduisent que par un léger engourdisse- ment , une douleur obtuse qui disparaissent assez rapi-
e violences extérieures dont la gravité ne se révèle que tardive- ment . Ce mode d'influence des traumatismes n'est pas
un foyer ancien d'encéphalite très étendu, ayant presque entière- ment séparé l'hémisphère en deux portions. Lef... (G
cès vers douze ans et demi. Affaiblissement intellectuel. Change- ment de caractère. Traitements divers; insuccès. - Agi
er novembre 1882 et du 4°r avril au 15 octobre488r).-Af'viblisse- ment des facultés intellectuelles. Injections hypoderm
883 (8 mois=233 jours). TOTAUX DU CURARE DANS 1, PILEPSIE. 351 ment nulle, car déjà, depuis quelques mois, les accès
ient en diminuant progressivement, les vertiges avaient complète- ment disparu ; pendant le traitement par le curare, le
er. 23 mars. Elle est plus calme, mais sa faiblesse physique aug- mente ; elle passe presque toute la journée aulit, parl
nce. Nous verrons en effet que si cette maladie modifie ce rende- ment , elle ne le modifie pas dans des proportions tell
dividus sains qui font le sujet du tableau qui précède, le rende- ment de l'acide phosphorique est augmenté ou diminué.
a solution. Toutefois, pour qu'on ne puisse attribuer qu'à l'élé- ment maladie les modifications dans l'élimination des
ne certaine intensité ; différemment, nous l'avons dit, le rende- ment de l'azote et de l'acide phosphorique n'est pas m
pine et Jacquin. Sur l'excrétion de l'acide phosphorique etc. (Rev. mens , de méd. et de chir., juin, septembre et décembre
e et l'acide phosphorique uni aux alcalis, nous sommes naturelle- ment amené à rattacher au système musculaire l'augment
n- fluence des maladies fonctionnelles de ce système, retentisse- ment de l'activité cérébrale sur la nutrition générale
Gou- jon vient d'être élu sénateur et que M. Briand a été récem- ment nommé médecin en chef à l'asile de Villejuif. Il
avaient chacun les leurs. M. Miraglia nous montre Inisdea absolu- ment indifférent à toutes les recherches faites sur lu
s prononcé ; sensation de piqûres dans le côté gauche et vomisse- ment d'un sang épais foncé; rien dans la poitrine ni d
facultés mentales baissent de plus en plus ; la mémoire est telle- ment obtuse qu'il ne se rappelle plus les noms de ses
. Au début du siècle, il y avait, à Gheel, 400 malades, actuelle- ment il en existe 1,600. Au 4 el septembre 1882, le re
les hôtes versent à l'Etat Il p. 100 dont 10 p. 100 pour le traite- ment médical, 1 p. 100 pour l'administration. Le taux
instrument. Il a cependant un inconvénient : c'est que l'amortisse- ment des oscillations de l'aiguille magnétique n'est p
e la réaction pupillaire dans l'atrophie spinale ont été soigneuse- ment étudiées ; l'orateur en présente divers tracés. L
- nétique, la lésion du système nerveux se manifesta essentielle- ment sous la forme de tabes dorsal, mais l'autopsie ré
rd on nota le complet tableau du tabes. Ou observe aussi fréquem- ment chez les tabétiques non syphilitiques que chez le
lades d'accidents syphilitiques et de refroidissements. Le traite- ment antisyphilitique ne lui a jamais donné de résulta
nerveuse subite chez une soeur de neuf ans), 9 avaient probable- ment subi un refroidissement, 8 avaient été affectés d
mier était jadis un animal très éveillé, fringant, d'un tempéra- ment sanguin, l'autre était extrêmement méchant; tel e
a toujours reconnu que la vivisection était nécessaire à l'avance- ment de la science médicale, il a toujours résisté aux
69 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
decin de l'hôpital de Pont-Saint-Esprit le prit dans son établisse- ment , où il resta six mois etfit, dit-il, une fièvre t
n de la partie postérieure de la capsule interne ne paraît nulle- ment justifié. Rien dans* l'histoire du malade ne prêt
peau dans la plus grande partie de son étendue et y adhère intime- ment . Lorsque la peau se déplace, c'est cette dernière
'est à M. Rendu i que revient le mérite d'avoir, le premier, nette- ment appelé l'attention des cliniciens sur la pluralit
u lieu de se montrer à la suite d'une attaque vulgaire, le tremble- ment débute quelquefois de la façon suivante : sous le
nimés s'effectuent dans le sens vertical ; elles consistent unique- ment , à ce qu'il nous a semblé, en de légers mouvement
ns l'accomplisse- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 37 ment des autres actes de la vie ordinaire ; ils peuven
ait aussitôt difficile, les genoux du malade fléchissaient fréquem- ment par un mouvement brusque dans lequel il perdait p
cartait les jambes comme pour assurer son attitude, mais le dérobe- ment des genoux continuait à se produire et le sujet d
ez les tabétiques, chez les hystériques, en dehors de tout tremble- ment des membres inférieurs (astasie choréiforme) et t
e procédé d'exploration, nous avons obtenu, tantôt un tracé exacte- ment rectiligne, tantôt une ligne irrégulièrement ondu
Les faunesontdes membres postérieurs d'homme, quelquefois seule- ment des jambes et des pieds de bouc. Leur tête est pl
Legrand du Saullc. En 1882, la mise au point en a été remarquable- ment faite par M. Huchard 6 qui lui a apporté le préci
parle pas ici de ces hallucinations que l'on communique volontaire- ment à une somnambule, je parle de faits journaliers q
ns, avec bien des difficultés, à lui enlever cette conviction vrai- ment délirante et je n'cus plus de peine à supprimer l
nt combien de ces cas ne sont-ils pas étiquetés purement et simple- ment hystériques 1 - . V L'état mental de l'hystér
monte il la figure et'Il est tout somnolent. Il est faible, facile- ment fatigué, pas assez cependant pour ne pas continue
cit., p. 2J6), que les hystériques et les personnes du même genre mentent continuellement et plus d'un répète cette formule
éhabiliter leur réputation, mais je crois juste de dire qu'elles ne mentent pas beaucoup plus que le commun des mortels. Su
cet érotisme de la ménopause dont on nous semble avoir singulière- ment abusé pour en faire l'apanage des hystériques fem
lle ne s'accompagna jamais de douleurs bien violentes, mais simple- ment d'élancements pas très intenses. Il y a trois a
un peu plus grande que sa fille et aujourd'hui elle est notable- ment plus petite qu'elle. Celle-ci mesure la taille de
trouble de la démarche que nous allons décrire plus bas et la tour- mentent également quand ,elle est assise ou couchée. Elle
de troubles de la sensibilité. La piqûre, le contact sont parfaite- ment perçus dans toute l'étendue de la moitié inférieu
vertébraux au plus, mais tassement de plusieurs vertèbres, efface- ment des courbures normales. Et cela sans parler de la
taques. Jusqu'au moment de son entrée il avait presque quotidienne- ment des attaques ou des vertiges. Pendant les premier
et le pied prend la direction de l'équin varus. Les orteils s'ani- ment de temps en temps de mouvements lents de flexion
res se contracter pendant que les faisceaux voisins sont' complète- ment immobiles; quelquefois deux faisceaux éloignés se
jours où il devenait très violent. Alors, à la sensation de serre- ment , venaient s'ajouter des battements, des élancemen
, des attaques spontanées ou provoquées et lorsqu'on excite légère- ment l'une des zones hystéro5ènes qui existent chez le
aissent générale- ÉTUDE CLiNIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 91 ment le soir, et deux ou trois fois par mois, comme l'
embres inférieurs ; le tremblement qui ne s'efface jamais complète- ment s'atténue et les choses vont ainsi jusqu'à l'atta
de ne put pas quitter le lit. Au bout de cette période, le tremble- ment des membres s'étant amendé, mais sans disparaître
pieds avaient-ils touché le sol, qu'il s'affaissa et tomba lourdé- ment sur les genoux. Il était abasique et astasique et
dessin, nous le croyons inédit, et son histoire paraît être intime- ment liée aux deux toiles de Brauwer, l'Opération chir
ai de cette année elle fut prise, sans cause appréciable, d'enroue- ment en môme temps que d'une toux quinteuse et continu
est bon de dire que les attaques ne sont pas-toujours aussi nette- ment séparées que leur description, telle que nous l'a
ttaque d'hystérie caractérisée par un phénomène inusité, le bâille- ment , mais d'un mouvement involontaire presque continu
- Dans le premier, la malade, - car nos cas se rapportent unique- ment à des femmes - se met tout à coup à bâiller, et l
tants et se rasseoir aussitôt. Le passage de l'immobilité au mouve- ment , aussi bien pourlesmembresquepourlaface, et récip
grande suite dans les idées. Il parait d'ailleurs suivre parfaite- ment ce qui se passe et ce qui se dit autour de lui, c
te de la rupture d'une corde. En tout cas, cette méthode de traite- ment paraît donner de meilleurs résultats dans le tabè
d'une vive appréhension. Dans ces cas, on devra procéder graduelle- ment , n'augmenter le temps de suspension que très lent
En octobre, cette petite rémission disparaît, et les troubles aug- mentent . Elle accuse quelques douleurs aux membres inféri
ion n'attirant d'ordinaire l'attention que lorsqu'elle est notable- ment accentuée et ne se manifestant au début, pour le
ujours de malades présentant l'affection dans son entier développe- ment . Le cas que nous allons rapporter ici nous semble
nt, après avoir observé la malade en z1890, de la suivre régulière- ment pendant deux, trois ou quatre ans et de reprendre
e son père et son père lui-même lui sont inconnus. Elle sait seule- ment qu'il était israélite. Sa mère était atteinte d
probablement d'origine rachitique. L'histoire du premier accouche- ment de la malade, qu'on a lue plus haut, ainsi que le
R 1 : .T BaBK EDITEUR* UN CAS D'AGROMÉGALIE A DÉBUT RÉCENT. 105 ment épaissis, mous au toucher. La circonférence du pi
naissance plus exacte des choses, et on n'en compte guère actuelle- ment , si ce n'est des cas tout à fait exceptionnels. C
tteindre le but, ces deux causes se réunissent pour agir simultané- ment . Hâtons-nous d'ajouter que ces vieux fumeurs, q
n autre exemple d'ophthalmoplégie externe, d'origine vraisemblable- ment périphérique. Dans ce cas, c'est à la suite d'un
(Bulletin médical, 1888). ' DE L'OPIiTIIAL1V10PLÉGIE EXTERNE. 189 ment par l'état cachectique du sujet, ayant frappé tou
ent. Dans certains cas, la motilité des globes oculaires est telle- ment abolie que a les yeux semblent figés dans de la c
e, la diplopie avait disparu. En même temps, la malade scrupuleuse- ment étudiée accusait un léger fourmillement aux extré
ontractilité électrique, -A gauche. - Deltoïde se contracte facile- ment . Pectoraux se contractent bien. Triceps, contract
'abaissement de la température du côté droit a disparu très rapide- ment sous l'influence de ce bain. Dans la nuit, un nou
e, tout en y restant cantonné, a progressivement mais très lente- ment augmenté aux pieds et aux mains. Les muscles du t
er); qu'il est exceptionnel enfin de les voir apparaître simultané- ment aux membres supérieurs, d'une part, aux membres i
U MÊME COTÉ V Dem... Berthe, ? s,. - x. ? âlée dans le départe- ment de la Meuse. - ? . Ses antécédents hérédt ? ne
e côté. Les douleurs de têtes ne se manifestèrent pas particulière- ment la nuit. Elles survenaient par crises durant sept
ralysie du droit interne du côté opposé et se caractérise clinique- ment par la déviation conjuguée des yeux. Ce phénomène
Mais autre chose est voir, autre chose regarder, décrire complète- ment et rapporter les faits à leur véritable cause.
Dans le membre inférieur proprement dit, l'amyotrophie est nette- ment appréciable par la mensuration : T)EUX CAS DE G
e2r du flanc, suivant l'expression de M. Faut Richer, est complète- ment effacé. On peut s'en convaincre facilement par la
11 août, le malade revient à la Salpêtrière. Il est guéri complète- ment (pl. XXXVI) quant à son attitude vicieuse. Par co
ette position. C'est du reste le procédé qu'il emploie instinctive- ment pour se baisser ou pour ramasser un objet à terre
1° La déformation du tronc dans la sciatique peut guérir complète- ment , d'une façon temporaire sinon permanente ; 20 E
oir établir de parallèle entre les deux artistes, de constater com- ment le peintre flamand, du moins en ce qui concerne l
ntes et vertiges. Au commencement de l'année 1887, il est complète- ment incapable de travailler, répond à peine aux quest
ont normaux, que l'état général est excellent, la nutrition aucune- ment troublée, nous aurons pleinement justifié pour ce
-de-pied et à une partie de la jambe. Cette localisation régulière- ment circonscrite est du reste la règle dans l'éléphan
installer définitivement. Et puis il a progressé sourdement, lente- ment , avec une préférence très marquée pour le côté dr
ue dans nos pays l'adénopathie est d'ordinaire peu marquée. « Rare- ment , dit M. Besnier, vous rencontrerez dans nos clima
forgeron. Au premier aspect, à cette attitude décrite si soigneuse- ment par Giraud-Teulon, je reconnus une paralysie du m
ut-être égaré davantage, puisque le traitement révulsif rigoureuse- ment institué nous a donné une amélioration telle de l
mai 1866 sans qu'elle puisse en soupçonner la cause. Disons seule- ment qu'elle était très impressionnable et qu'elle ava
ent douloureuse que la malade préférait souvent se passer complète- ment de nourriture plutôt que subir les angoisses résu
rte et très faible. L'effort, quel qu'en soit le but, est complète- ment impossible. Mort quelques jours après la communic
70 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'écorce cérébrale. Cette lésion est-elle différente anatomique- ment suivant qu'elle est syphilitique ou non ? je n'en
ysie générale est une lésion histologique- 4 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment syphilitique ; qu'elle est à la gomme ménihgo-enc
ans mon service d'une attaque épileptiforme causée vraisemblable- ment par une hémorrhagie de la base du cerveau. Elle p
est tombante; la face, congestionnée, porte une impression d'égare- ment et de souffrance profonde; l'attitude est affaiss
laisse voir en ces points le réticulum névrotique bien plus nette- ment qu'ailleurs ; la substance interstitielle amorphe
rain de se résorber. Les autres nerfs des deux orbites sont absolu- ment sains. Les muscles de l'oeil ont peu réagi ; c'es
et en dehors par la zone marginale de Westphal qui est parfaite- ment intacte; en dedans parle centre ovale de Flechsi,
ue la démence est complète," incomplète ou légère ? . Non assuré- ment . Pourquoi donc se contenter du diagnostic d'idiot
lectuelle : ' '.Tantôt c'est l'épilepsie qui empêché le développe- ment intellectuel et amène la déchéance mentale ; il s
, s'accompagnant de troubles du développe- rou " s y .j ? mpa, qu ment physique^ général, de troubles moteurs ou sensori
EC ÉPILEPSIE ; par Ch. FÉRE et-SCHM16T.' (Btlll. de la Soc. de-méd. ment , de Belgique, 1893.) Il résulte de ce travail q
rapporté par M. Man; l'internement s'imposa peu après 'le' juge- ment . (The Alienist and Neurologist, n° 3,' juillet 18
pour qu'il'devienne criminel ou'fou, qu'intervienne un second élé- ment . Cet élément il le puisé dans les conditions soci
des malades atteintes de celte affection pour le simple plaisir de mentir ou'pour se faire" remarquer. A l'appui de son d
XXIV. Rapport médico-légal A l'occasion DE lacération d'un testa- ment ; LYPÉMAMM,AVEC délire DE ruine;, par, le profess
6 pour 100 environ; 20 morts étaient imputables au delirium tre- mens , les autres à la pneumonie et à la méningite. S
er situé entre la gaine lamelleuse et le faisceau nerveux propre- ment dit, enveloppant ce dernier comme d'un manchon co
Au milieu de ce tissu; 'et toujours en dehors des foyers propre- ment dits, se dessinent les coupes des vaisseaux qui t
ôt assez irréguliers, dont le plan principal est presque constam- ment parallèle à la direction des lames. D'habitude ce
l). Je me hâte d'ajouter que ces constatations négatives n'infir- ment en rien la valeur objective des observations préc
à démontrer que de tous les tissus névriculaires, c'est précisé- ment l'endonèvre qui prend la part la moins active à l
diale de cette distribution, notam- la mésoneurite'noduleuse. 103 ment de l'orientation unilatérale des foyers. En' fait
utre à' se' renouveler fréquemment et il en'résultera inévitable- ment un certain degré d'irritation .dans les milieux s
r- mer qu'il en soit de même pour les foyers secondaires qui for- ment comme un front de bandière sur un des côtés du sy
ment- tation de la masse primitive. Le phénomène s'explique aisé- ment en effet par la systématisation transversale qu'a
'une façon quelque peu permanente, puis de rechercher éventuelle- ment sur les cadavres de ces mêmes individus s'il exis
e, d'une inflammation chronique systématisée atteignant spéciale- ment l'appareil mésoneurial. De là le nom dé mésoneuri
n rencontre d'autres à caractères moins constants'et moins nette- ment définis. Ces' de'rnibres modalités histologiques'
insi dire irréductible, est unique- LA MÉSONEURITE NODULEUSE. 111 ment constitué par du tissu fibreux condensé; le corps
et des plaques muqueuses; sorti de l'hôpital, il cessa tout traite- ment . Il a toujours bu beaucoup : quatre ou cinq lit
entre 'alors à- Bicêtre dans le 'service de M. Déjerine. Le traite- ment spécifique est de nouveau1 institué; la sensibili
faisceau pyramidal croisé, constituant une sclérose très régulière- ment répartie ; cette sclérose disparaît progressiveme
, 25 nov. 1892.) . , 132 ' '-J' PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 0 ·str - - ment fructueuse;- voilà un 'syphilitique, qui avait !
tique qu'il a décrits avec une si, parfaite exactitude. Actuelle- ment , l'anatomiei pathologique d'une part, les statist
aines odeurs, obsessions qui lui font éprouver une jouissance pure- ment spirituelle et provoquent, en lui l'idée de l'ass
elles de ses conceptions qui procèdent d'associations d'idées pure- ment internes (dix points de repère); comment il spéci
antôt exagérément, tantôt tour- 150 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mente sans motif (hypérémie corticale ou anémie cortica
. Quatre observations de paralysie aiguë de Brown-Sequard, autre- ment dit hématomyélie,' mais avec des symptômes spécia
l'aphasie et l'alexie même. Le malade, capable d'écrire spontané- ment et sous la dictée, capable de reconnaître, en les
tées, mais quelques-unes présentent un bord irrégulier et légère- ment crénelé. Les organes génitaux sont peu développés
nçu l'idée (obsession). Quelques jours après, il les avoue franche- ment , et selon toute vraisemblance, s'il ne l'a pasfai
et que je suis le seul à savoir; eh bien- ! la France est directe- ment menacée, je le sais de source certaine. Les Angla
r- ler des divers syndromes épisodiques qu'il présente manifeste- ment , et en particulier de la folie du doute, qui n'es
r- tains de ses centres, les plus inférieurs, d'une'manière pure- ment réflexe, sans' que le cerveau intervienne '.aucun
' 14 1 Le nommé A..., jeune{homme de trente-deux ans/très forte-, ment constitué, sans aucun stigmate de dégénérescence,
à se ( iisil)ilité 'uf.'cet Ld"aniblyo pie 1 droite., Quand subite- ment , iaiisE4ue"rienne l'aitv.faitprévoir, ? tnotre ma
rnes antérieures, ce qui, cause plus tard la dégénératiou ; finale- ment lésion des'cellules sécrétoires'et'vaô=motrices.
ées de persécution,' tendance au suicide,' insomnie, affaiblisse-* - ment consécutif'des facultés ? 1- Lalma ? -che est sur
hémorrhagies punctiformeSiOu étendues, des foyers de ramollisse- ment et des liémorrha-ies) dans le, cerveau. Au micros
principalement responsables. Nous ne^savons ausurpluspas exacte- ment les points atteints 'du'centre de la vue et 'du c
par un travail manuel. L'électrisation méthodique est le traite- ment eonvenable . Les, suites ? he nraves, avée hémorr
aite- ment eonvenable . Les, suites ? he nraves, avée hémorra-ies ment convenable . Les suites de couches graves, avec h
explication; se compose des fibres des racines postérieures du seg- ment de moelle en question qui affectent, dans lazone
que, en outre,'la théorie hémorrhagique ne rend que très difficile- ment compte des lésions observées dans le deuxième cas
orps genouillé interne; ils se dirigent 'latéralement et verticale- ment vers la capsule interne. Là, à l'extrémité la plu
-Les 1 dé--é-néreséenèes,l secondaires' trè*s étendues sont exacte- ment réparties comme chez les animaux auxquels on a en
peuvent être classées en deux, genres; -renflement étroit,t renfle- ment large. La forme étroite est un peuiplustfréquente
t ? Cailalis et' montrent que le chat.ou le chien, à qui préalable- ment on5 a" fait la splénectomie succombent constammen
l'affection articulaire des hémiplégiques influe sur le développe- ment de l'atrophie musculaire. En effet, c'est,I l'art
s courbes médullaires, une fois l'organe extrait, étaient complète- ment normales pour la' formé, la position et 'l'amplit
de vue spécial dela«foiie'myxoedémateuse»ÏLes cas de folie propre- ment "dite] au^cours'dù^myxoedèmé"' sont ^relativement
borne rend hommage , ? t.L, ? gJLt). .ttUt-<U-")i'' .r -. ° au mente , trop peu° connu hors du. royaume de Grèce -du
trois grandes classes et une quatrième classes se forme actuelle- ment . 37ela 3M ? 1 ! UH Les cas de folie aiguë et cu
égion rolandique. Auburtin avait pu, auparavant, arrêter brusque- ment la parole par la compression des lobes frontaux d
s modernes soient en défaut ? Ou bien Cruveilhier, si rigoureuse- ment précis d'ordinaire dans ses descriptions anatomo-
e. 2° Toutes les observations bien recueillies ne sont pas égale- ment favorables à l'étude des localisations cérébrales
e et si nous savons l'exploiter, avec méthode, nous serons ample- ment rémunérés de, nos peines ? ' .. , , ., z .. ? z
lire dés persécutions C'est une exagération" Elle y est certaine- ment fort rare; mais elle peut s'y niorïîrer,'et, comm
Du'moment'qu'Ll fde-mÎiFrê-étâbli,4-u-e'l'o'n-p'eùt'no'n-séule ? ment être hallücine,.mais en'ôrè'êrôir-c a la'réalité'
'bien autre- LU. ? "t vtt -rtnv y ? tv· t1r'vy f ws.v.cr if ? r. ment redoutables; elle suppose admis et démontres, une
ent la coïncidence,, est, imaginée, ou,inventée,(bien inconsciem- ment ! ) après coup. Mais, au lieu de discuter, je mé
â fénine)-sôit"sôûfi'rante;réiier'féé;flé"i : etàTdn qtü gériéralê- ment ,là ]aisseindifrérente,8cevretard,rinquiétera;fsoh
lés deux, couches opftiques 4Lequatrlëme,ventriculenest complète- ' ment déformé, distendu, ses pârois ? sônt, tâpissées,;
tête,et la largeur relative.de.la, figure. Le corps est générale- ! ment rtéas mais fiasque. La . mensuration,- de^la. têt
chez les'aliénés ;. par Ie.D''6ToULOUSE. (Bitll. de la Soc. deméd. ment , de l3elgique, juin 1893.) Il e Il a r 9b £ '--
21, à 31 p. 100. L'étude de.ces causes contient en soi son traite- ment prophylactique et âptiséptique ? 91, fto P. K.
récédée9 9 Mr'Althaus' estime1 qu'on 'doit "rattacher 'étiolo,i4ue' ment à" la pyrexie : loltoute psychose'' su rvenaiit
privée d'un groupe^ de ^nombreux, médecins^ parisiens, tous égale- ment dévoués auximêmésidées liüinrirtârieV ? Çetté9 rè
· l'hospice' de liicêtre;exercicesndestatiomdebout au commande-.) ment , -'exercice de -l'escalier; pourlesrimpotentsi ?
,é[3b ,»< M ">o.t ft' .'t . 'LES'SOItCIÈRESFAU'glTe siËCLE ? Ment .ionnons,"dit le Petit Pro- veizeal du 3 mars ?
dit intérieurement que son mari travaillait. D'ordinaire le grince- ment des dents et les hallucinations motrices sont sim
seule pour8 me faire du mal., «Parfois, ''pour empêcher'te grince- - ment , elle ? mord 'ses draps,' ses' bras, 'ou sôulève`
raux, hésitation, de la parole, troubles,, pupillaires,- tremble- , ment des'doigts et , de la ^langue, exagération des ré
1 . « Les'deux phénomènes musculaires, (expiration volontaire- . ment réglée et mouvements phonateurs dû larynx) qui pr
ait pas avoir) été accompagnée, comme la) choses arrivei fréquem- ment de mouvements d'articulation,de la langue) qui, c
la paralysie générale, ni enfin dans les travaux cités'précédem- ment de M., Séglas survies hallucinationspsycho-motric
? - - i 1"' r(l'IrrVn ')' 7 ' *< 1î ? l*i" " ? j-1,fi ? K ' 0 , ment des dentsctenait a une lésion 'des centres moteur
intéresse tout, particulière- dllPA j 1111- t : I., particulière- ment en raison de I.a'co'ntigu'ité "de l'ce centre ave
e z ascendante et du pied des F' et F2);. , de.Verneuil (enfonce- ment des os du crâne; spasmes de la langue et des mâch
e masticateur, qu'on a cru devoir admettre, sans raison suffisam- ment ^ demontrative'à à notré avis, què ce centre corti
ir oublier, de parti pris,, le rôle protecteur joué par le parle- ment de Dijon dans cette affaire, et ignorer. les effo
e- ' X ' , t l<*r - X ,I,ZJ *l .nIJ *) ' *t.J 1 IJ-J X *r.l WJ ment délicaty et.difficilejau milieu., de ses, compagn
forges; d autres'enfin jetés vifs dans les précipices; le parle- ment ,sùr'ravis'qui'lui fut donne de ces cruautés, comm
toutes les lettres du livre lub paraissaient) tantôt' en'" mouve- ment , tantôt renversées. Il ajouta qu'il avait peine à
mort était une punition de'ce' qu'il avait contribué à l'éloigne- ment de Nouvelet.0 Au -surplus,'1 pendant sa courte' m
nt pas voulu^être dudé plus longtemps , avaiï, quitté définitive- ment . le, couvent, en. confiant .à une religieuse, que
a9t7oqq&V2o'r-cs ? Nous,avons,vu comment,Nouvelet avait déjà ment en circulation le : bruit%,de l'existence;de sort
ur- geot"ne;luiseûtsuggéré'les déclarations qu'elle-fit ultérieu- ment . peq 31s-3aom 33 an zip alqiisq ub i-tsq ni .'b ï
vaisseaux superficiels du cerveau et de la dure-mère sont physique- ment soumis à des conditions qui rappellent l'action d
ulaire. Et, cette, dilatation, cet engorgement, ce n'est pas seule- ment la théorie qui conduit à les admettre; on les obs
e puissance se réalise lorsque les deux causes agissent( simultané- ment : 'or' il se trouve précisément que leur 'combina
ntprédisposerà>lapacliyméuingitè; et' nou7fliote'- rons 1 seule* ment ? d'après Ilui,r que la 'paralysie générale' en é
ide. cérébro-spinal..Si 'le liquider cérébro-spinalétait ? brusqüe- ment ,soustrait ? cettersoustrâctiondounerait,lieu à (d
typiques de kleptomanes. L'une et l'autre se ressemblent étrange- ment . Sur les deux malades, déséquilibrées dès leur en
propose d'étudier ultérieurement.' Les- chromâtes' sont générale- ment les plus 'utilisés, mais'ils ont l'inconvénient'
demeure sans action surfît nombre infini de cellules et peut aisé- ment induire en* erreur ? La période contemporaine fou
tumé. Quand on a affaire à une tumeur on se guide sur l'empiéte- ment , de ces néoplasmes et leur implantation probable.
eval ; lelbord.concave,de.laligne limitante vers'-le .- prolonge- z ment )consiste, ! a. satpartie centrale,; en une sul)sL
e-' H j... ,i t . *n uu. , i.j...... * *V *, , l ? l,Wv^ - J ? ,* ment isolés dans la folié simple. 11 y a, chezun, cert
u d'originalité dans les écrits; période dej'igueur dans le traite- ment de la ragé, : les'.malades sont,liés,et isolés; t
gés,'et s'était marié à la campagne, où il vivait très sobre-'<L ment , quand," sans cause appréciabte ? son caractère.'
la malade distingue' encore le'-tjour derilànuit I«reconnait vague- ment un objet'de fortes' dimensions'/ si la ;pièce est
ment un objet'de fortes' dimensions'/ si la ;pièce est-convenable- ment éclairée"' mais ! ' en ? apprécie .très imparfait
du tremblement vermiculaire. Le tremblement des mains est égale- ment plus accentué ; aux avant- bras, la peau dessine
e habituelle ; aussi,i soit 1 manqueldeTSommeil, ! soili affaisse- ~ ment ; V..V passe 'la1 plus grande partie de la journée
ir se systématiser, est devenu ! général ; ce n'est.plus que rare-, ment qu'elle parle des prétendues tentatives d'empoiso
nous, voyons la miction, se faire sans difficulté,.suivie seule- ment d'un peu de ténesme.qui.oblige la malàdé 1à se pr
verture, pupillaire sensiblement égale des deux cotes;La es muse es mens et e jdumus,cleciliair e e ? .ol. 0') r Rbert's
tres majuscules de l'alphabet, que deux experts reconnurent aisé- ment comme ayant été-écrites,.non'de la main .du .diab
abbé Bretin, un des plus jeunes exorcistes, avait déjà préalable- ment sollicité» Paris, l'évocation du procès devant le
gique, la gymnastique électrique a pour conséquences l'entraine- ment ou le surmenage. Les expériences ont porté sur'un
suffit d'habitude dans la pratique courante quand il s'agit seule- ment d'établir le- diagnostic (Ce fait a été démontré
ue,^ l'excitabilité faradique peut être conservée, il faut seule- = ment pour obtenir des contractions musculaires des int
chez les élèves de mauvaise conduite et il diminue proportionnel- ment chez les disciplinés et les peu disciplinés. - .,
s : 14,3 p. lOO.'Du irioins; àl'asile d'Hildeshéirri : Comparative- ment dans'le-s mêmes réions; 141. Hller trouvait la pr
tents, pour'diriger'de tels services, à'même d'être personnelle- ment très au'courant de tout ce qui leur est nécessair
dévouement de ceux. qui se consacrent à l'éducation, et tau traite- ment des enfants idiots et arriérés. C'est aussi, pour
liquides organiques, et qu'il prétendait s'en trouver merveilleuse- ment . L'élixir de longue vie, auquel il avait donné so
» -K' Brown-Séquard a collaboré à de nombreux journaux et notam- ment au Journal de la physiologie' de' l'homme et des.
fenêtres ne joignent pas; aussi l'hiver, pendant les grandes tour- mentes de neige, celle-ci pénètre-t-elle, et le froid es
portaient \fill.` Bodelsehmagh,"Hafner et'ëôiïsôrls~ Fort heureuse- ment il n'y a, pas d'inimitié irréconciliable entre l'
aucoup plus volumineux et pour ainsi dire irréductible, est unique- ment constitué par du tissu fibreux condensé ; le corp
466. ' <'*''>' 1 .' ' Neurasthénie, la" et -"son traite- ment par l'électricité, par Dou- iner;443; considéra
71 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
ons décrits (5). La seconde catégorie comprend les idiots absolu- ment incurables, en beaucoup plus petit nombre qu'on
surveillés durant le jour. Cette installation nous servira égale- ment pour d'autres enfants dont l'incurabilité est r
.. (5) Voir Compte rendu de 1887, /ili. et 1 l, PETITE ÉCOLE. v ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 258 e
ommen- çant 11 peine à marcher, ne parlant pas et gâtant constam- ment . Aujourd'hui il ne gâte plus, parle, exprime ses
t des en- fants réputés idiots. Ces résultats sont dus au dévoue- ment et aux aptitudes éducatrices de Mmes Bonnet et
nnés de suc- cès ; il a pu former un groupe d'enfants convenable- ment instruits au point de vue musical pour prendre
895àGentillyet obtenir une palme en vermeil, luttant avantageuse- ment avec des enfants des écoles ordinaires, mieux d
III Distractions. Nous avons chargé M. Sutter de s'occuper égale- ment de la fanfare et, depuis qu'il en a pris la direc
ier dont le travail de ses apprentis et le sien dépassent assuré- ment le salaire - sont payés à raison de 6 fr. 50 par
e de nuit; de deux suppléants, M. Malençon attaché plus spéciale- ment au musée et chargé du service de distribution d
0 enfants, divisées en trois séries, ont profité de cet enseigne- ment . Enseignement professionnel. - A mesure que les
urs espèces, suivant les degrés d'idiotie : 1° les idiots propre- ment dits - les plus malades ; - les imbéciles; les
s les enfants anormaux exigent que leur éducation et leur traite- ment soient confiés à des personnes compétentes, exp
teigne Crâne. Voûte asymétrique. - Petites ecchymoses exclusive- ment po'tostfques. Base symétrique. Calotte. Les os
hée conti- nue, les caractères des selles nous auraient certaine- ment retenus si nous n'avions eu affaire à un enfant
; un peu nerveuse, jamais d'attaques de nerfs. - Aucun renseigne- ment sur les grand-père et grand'mère paternels; en to
t soir durant le rubéole confirme ce que nous avons dit précédem- ment dans un mémoire spécial (1). V. Le tableau de l
r.) nor- male. - Reins très congestionnés se décortiquant facile- ment ; le droit pèse 180 gr., le gauche 140 gr. Tête
eigne- ments insuffisants sur lui et sa famille. - Mère probable- ment syphilitique (traitement spécifique à Saint-Louis
lle a eu des croûtes dans les cheveux, qui ont guéri sans traite- ment .- Pas de convulsions. Faiblesse de la vue. Elle r
du lobe frontal, au niveau de la bandelette optique, est légère- ment grisâtre. - Les circonvolutions sont presque part
es, il pèse 15 gr. Les annexes pèsent 10 gr. et paraissent forte- ment vascularisées, Escarrhes. - Les escarrhes que l
tion de la malade, un premier accouche- 40 .Syphilis héréditaire. ment avant terme permet au moins de le supposer. II.
il y avait des mouvements de la tête qui se portait alternative- ment à droite, puis à gauche ; de plus, des mouvements
st rela- tivement normal. - La Il présente un arrêt de développe- ment , ainsi que la partie supérieure de la P.A. ; mais
e lésion. Face externe. - Scissure de Rolando bien nette, légère- ment contournée en S italique, limitée à chacune de se
llèles. En résumé il existe un foyer d'atrophie étendu, probable- ment d'origine artérielle et une diminution très notab
porencpbalie vraie qui, elle, a pour cause un arrêt de développe- ment antérieur à la naissance. Cette lésion en foyer a
de syphilis, ni d'alcoolisme. Il ne fume pas, mais chique énormé- ment . Caractère gai, doux. Pendant la Commune, il étai
s, pas d'albuminurie, pas de tpntative d'avortement. - Accouche-, ment à terme, sans intervention, ni chloroforme; prése
A deux heures et demie on s'aperçut qu'elle pâlissait. Immédiate- ment , elle est mise dans le décubitus dorsal, on lui f
et de la suture lambdoïde, on est obligé delà couper circulaire- ment . La pie-mère est fortement vascularisée à la part
turelle. L'enfant comprend toutes les questions et répond claire- ment . Son instruction est assez développée. 11 accuse
usqu'à 5 ans 4 ? A cet il a eu le croup et a été opéré. Il a rapide ment guéri. Ni rougeole, ni scarlatine, ni va- ricel
tion thérapeutique des injections de suc testiculairc. Ce traite- ment , commencé le 13 février 1893, a été appliqué de l
reux consiste essentiellement en une trame névroglique excessive- ment dense. Dans ce tissu scléreux, les noyaux ne sont
entiques. - La vascularisation de ce tissu morbide est excessive- ment restreinte (1). VII. Dans le cas de ce genre, a
en arrière, d'environ 12 centim. de longueur et presque entière- ment cachée par les cheveux. Cicatrices et dépressions
anifeste. Septembre. - Conjonctivite pblycténulaire. - Le traite- ment hydrothérapique et bromure est continué pendant l
opération ont parfaite- IDIOTIE par arrêt DE développement.. 125 ment réussi, mais les résultats consécutifs sous le
ie comblée et que la brèche de la seconde craniectomie est égale- ment , quoique à un moindre degré, en voie d'ossifica-
à la grossesse et aux monstruosités l'aurait impressionnée vive- ment . - L'accouchement aurait été normal et à terme. -
l rangées, mâchoire laté- ralement déprimée et préominant anguleuse ment sur la ligne médiane. Mâchoire inférieure : Dou
quel- ques poils. Pas de changements notables dans le développe- ment des organes génitaux et du système pileux, si ce
rel- lement entr'ouvertes. La lèvre supérieure laisse habituelle- ment à découvert les incisives. La commissure gauche e
siège le supportant seul. Il parvient ainsi àse balancer violem- ment des heures entières. R... parle d'une façon traîn
février, 1 en avril, 2 en juillet et 1 en août, ce dernier seule- ment durant le traitement thyroïdien. Ces accès n'ont
minations et sans méfaits mille petits services. Il est relative- ment propre et bien tenu. Lorsqu'on le met à l'école
e. Ce trai- tement néanmoins ne parait pas avoir modifié notable- ment son état psychique (Voir p. 200). (1) J. Noir.
e malade maigrit. Nous donnons un lobe. 7 juin. - Amaigrisse- ment notable (2 k. 300). Apparition de la fièvre (
.,300). [Depuis notre communication, nous avons repris le traite- ment à la date du 13 août, le malade ayant gagné 500 g
u- rel. L'ozène dont elle est atteinte s'est améliorée, l'écoule- ment nasal a diminué et l'odeur est de moins en moins
erge. Pas de convulsions de l'enfance, pas de migraines, tempéra- ment assez nerveux, sans crises ; physionomie régulièr
les pieds tournés. Pas de consanguinité : le père est du départe- ment de la Seine;- la mère est de Saint-Avold près Met
entra six semaines avant terme dans un asile de Nancy. Accouche- ment à terme, naturel, sans chloroforme, présentation
se sont succé- dé ainsi : dégonflement des paupières, amaigrisse- ment , élévation de la température rectale qui, au li
ettent de se ren- dre compte de la croissance et de l'amaigrisse- ment .) III. Imbécillité prononcée probablement con
rite. Emotion vive au cinquième mois de la grossesse : tremble- ment , douleurs abdominales pendant huit jours. Pre-
aser et lorsque la voilure passe près d'elle, elle fait un mouve- ment , aussitôt réprimé, pour se précipiter sous les ro
: dimi- nution considérable des vertiges ; suppression du médica- ment . Élixir polybromuré en 1891 : augmentation de*
ges, en 1890 nous avons prescrit l'élixir polybromuré. Ce médica- ment étant demeuré sans effet, nous avons essayé, du m
. 233 1)1.etlx-il nous semble très utile d'administrer simultané- ment l'élixir polybromuré et le bromure de camphre.
iotes gâteuses xliv Enfants idiotes, imbéciles, etc., : enseigne- ment pratique XLV Enseignement du dessin............
72 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
On peut, en pratique, enfermer dans une boite de carton hermétique- ment close l'ampoule cathodique et exposer à courte di
îtra mieux le mode de production des rayons z on arrivera certaine- ment il préparer des sources beaucoup plus intenses et
s membres supérieurs, dans toute leur étendue, le tronc, et finale- ment les membres inférieurs. La sensibilité n'était co
oubles de la motilité. La malade marche sans jeter les pieds folle- ment et sans talonner. Cependant elle a remarqué qu'el
oire. Elle ne présente aucun trouble de la parole, elle lit facile- ment . Son écriture n'est pas tremblée. Elle a remarq
aru 6 jours après un coït unique, le malade se trouvant : '1 ce mo- ment dans un léger état d'ébriété). Cette bjennorrhagi
, et une vingtaine de mictions au moins dans la journée. Le traite- ment fut des plus simples et consista seulement en inf
eu dans sa jeunesse deux pneumonies, en outre, il s'enrhume facile- ment l'hiver et tousse souvent, enfin il transpire que
nant les articulations malades, on constate que la peau est légère- ment épaissie à leur niveau; profondément, il est diff
périeurs), il le mettait naturellement sur le compte de son écoule- ment , qui l'épuisait, dit-il, quoique le tronc ne maig
bourses séreuses -- quant à l'inégalité pupillaire, au rétrécisse- ment de la fente palpébrale du côté droit, l'interprét
ce interne de la cuisse droite, à mi-hauteur de celle-ci. Heureuse- ment , elle empiète sur la région antérieure, laissant
en 1892, c'est-à-dire il y a trois ans, qu'il contracta simultané- ment une blennorrhagie et la syphilis; le chancre, dûm
lles nous ont permis, par leur examen d'ensemble, d'établir exacte- ment la topographie des lésions macroscopiques. La m
mètres; cette aire est par conséquent supérieure à celle du renfle- ment cervical. La forme de la coupe est elliptique à
, sont dans le prolongement l'nr de l'autre et leur axe est exacte- ment antéro-poslérieur. Ainsi disposées, les cornes dr
la totalité de cette corne, à laquelle elle se substitue complète- ment . L'extension du processus aux parties centrales p
nes, leur noyau est normalement coloré, leur protoplasma régulière- ment granuleux, sans vacuoles. Plus près du foyer, ces
s l'avions supposé, d'une hématomyélie centrale ni d'un ramollïsse- ment transverse : l'erreur était excusable en raison d
cure et de l'iodure de potassium ; l'enfant gâte, sa stupidité aug- mente ; c'est dans cet état qu'elle quitte l'hôpital.
De l'étiologie de la sclérose en plaques chez les enfants et notam- ment de l'influence de l'hérédo-syphilis. Revue mensue
(note de la p. I), H. Jackson note un cas de paraplégie, probable- ment congénitale, chez un enfant de 8 ans. La famille
ace dorsale, au niveau du cinquième métacarpien, a cheminé oblique- ment en éraflant le bord externe de cet os, a fracturé
cture sur le tibia, il y en a deux sur le péroné détachant un frag- ment intermédiaire long de 15 à -zig centimètres. Ce f
de premier ordre et un observateur ayant le souci de rester sincère, ment fidèle à la nature. ' (1) Voy. Les Démoniaques
uée .par M. A. Duverger-Boghaert (Bruxelles), lequel signale égale- ment des guérisons de possédés reproduites par l'image
ous ajouterons môme que,depuis 1893, un traitement mixte régulière- ment suivi a amené une notable amélioration de la para
stème dentaire présente des lésions qui méritent d'être minutieuse- ment décrites. Mâchoire M)' ! M<)'e.Asymétrique,
nson et IL Jackson (1) rapportent, en 1861, l'observation passable- ment confuse d'un enfant syphilitique âgé de 4 mois, c
a vérole qui sommeillait. « La paralysie,dit-il,n'était pas simple- ment infantile, mais très vraisemblablement causée par
mais qui, d'après le récit qu'en l'ait la mère, sont très probable- ment d'ordre épileptique. Son front est déformé par de
uparavant, il ressentit dans l'extrémité des doigts un engourdisse- ment qui envahit graduellement les bras. A la même épo
tre, détérioration de l'état général : affaiblissement, amaigrisse- ment . Hémoptysies, toux, diarrhée ; réapparition de l'
le mois d'août 1894, il s'est presque constamment soumis au traite- ment mixte qu'il n'a cessé qu'en juin 1895. ' . Actu
x besoins d'uriner. Si le malade ne les satisfaisait pas immédiate- ment il courrait le risque de souiller ses vêtements.
, bien que la marche soit toujours bonne; l'engourdissement du seg- ment inférieur du corps tend à reparaître. On prescrit
sparaissent nouveau, la marche redevient très bonne, l'engourdisse- ment tend à disparaître complètement. Le 10 décembre
s faite sur la nature de l'affection ; il s'agissait incontestable- ment de syphilis. Des renseignements ultérieurs, rec
L'articulation, : '1 cette époque, aurait été le siège d'un gonfle- ment oedémateux il la suite duquel on perçut des craqu
ille pour ainsi dire ; celles qui restent sont implantées vicieuse- ment , plusieurs sont petites, atrophiées ; celles de l
gé. De plus, il se joint probablement à l'artérite gommeuse propre- ment dite, l'artério et la phlébo-sclérose de la syphi
que la déformation présentée par notre malade est due essentielle- ment à une diminution considérable de longueur du deux
'ordinaire la modification de longueur consiste en un raccourcisse- ment . Ce raccourcissement peut porter sur une phalan
a pointe du pied gauche tournée en dedans. Les orteils sont légère- ment rétractés. Les deux membres sont atteints de pa
s anomalies évolutives sont fort nombreuses et s'associent fréquem- ment les unes aux autres, se compliquent en outre des
des représentations de ce genre nous font voir des êtres horrible- ment contrefaits, à grosses tètes, à jambes cagneuses,
donne le nom de nains à tous les êtres organisés, et plus spéciale- ment aux individus de l'espèce humaine, dont la taille
s, enfin dans leur facies rabougri et vieillot de foetus prématuré- ment séniles. Cette coïncidence du nanisme et du rac
'une dystrophie cutanée qui imprime à tout leur corps, et spéciale- ment à leur visage, un habitus vraiment caractéristiqu
ologie, janvier 1896. 170 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE ment graisseux des polysarciques et de l'infiltration
que leur a jeté une petite fille en robe jaune, occupée pour le mo- ment à faire boire une tasse de lait à un agneau. Un
et l'autre sont dans leurs plus beaux atours et portent gaillarde- ment l'habit broché, le rabbat de dentelles, les manch
emblée, le patient atteint spontanément la limite extrême du mouve- ment , et les efforts de l'opérateur ne pèsent l'augmen
ent réalisées, nous n'avons pu obtenir des attitudes aussi constam- ment remarquables que celles qui nous étaient fournies
endant les trois mois qui suivirent, le horax fut porté successive- ment de 4 à 5 et 6 grammes par jour, sans aucun résult
s de la vessie de Geneviève et que chacun déclare reconnaître sûre- ment , comme en témoignent, sur ces procès-verbaux, leu
res aigre-douces : « Ils ne doutaient pas que Dieu rendit incessam- ment justice à qui il appartient, et craignaient pieus
cris, qui duraient quelquefois plusieurs heures en laissant seule- ment des interruptions réglées et momentanées ; après
autres ; elle me fut remise avec trois autres petites le 21, au mo- ment que j'allais partir. , DISCUSSION ET DIAGNOSTIC
lupart des femmes qui, de ce fait, évacuent facilement et spontané- ment les calculs vésicaux; elle a pu devenir excessive
n ne saurait être plus affirmatif et se prononcer plus catégorique- ment en faveur du diagnostic d'hystérie pour lequel no
début « les vomissements de sang se renouvelaient assez régulière- ment à tous les derniers quartiers de la lune ». . A
e ses voies et de ses produits d'évacuation. Elle rendit non seule- ment des pierres, mais des morceaux de fer et de verre
it; les ailes sont réduites au minimum, ne jouissent d'aucun mouve- ment . Les paupières, très grêles, repliées en dedans,
raphies, le sujet est représenté en tout ou en partie, comparative- ment à son Barnum qui est un homme de son âge. (2) P
sorte que le sujet, bien qu'ayant une démarche raide, se meut aisé- ment , se courbe, monte un escalier sans trop de diffic
rents; enfin au niveau des extrémités on trouve une teinte franche- ment rosée' qui n'est pas de l'acrocyanose. La peau ne
l'un à 10 ans de variole, l'autre à 36 ans, sans avoir à aucun mo- ment présenté rien de particulier. Cette femme a tou
même temps une telle hypcresthésie cutanée que le moindre attouche- ment au niveau des membres inférieurs ne pouvait être
liniquement, une paralysie même localisée, mais localisée à un seg- ment de membre (obs. iVlortoll Prince), doit plutôt êt
'a le malade de maintenir sa langue en position fixe..C'est propre- ment parler de l'ataxie statique mais dans un état sta
e luxation iliaque avec raccourcissement du membre et léger empale- ment de la fosse iliaque. Quelques jours plus tard, su
'un jaune Glair ; parfois, il contient des flocons fibrineux, rare- ment du pus. » Sérosité et pus sont, en effet, les d
e liquide peul être onctueux, filant, brunâtre ; on y trouve égale- ment des caillots cruoriclues'`ou fibrincux. '(1) Ch
sible de distinguer la substance blanche de la grise et réciproque- ment . On voit de très rares fibres dégénérées avec des
terminale ne présente qu'un étroit anneau de ces masses elles aug- mentent considérablement à la hauteur du renflement lomba
es fibres isolées sont atrophiées. Ce n'est qu'au niveau du renfle- ment lombaire et de la queue de cheval et aussi au niv
s. Notons ici que la gaine conjonctive qui les entoure est normale- ment épaisse, de même que les prolongemen ts qu'elle e
postérieure du canal. Lorsque la coupe rencontre les racines au mo- ment où elles traversent la dure-mère celle-ci s'inflé
t le système nerveux mais bien tous les organes et elle est absolu- ment comparable à l'hépatite interstitielle diffuse dé
aux lésions du placenta foetal décrites par Sclvvab (2) tout récem- ment , et elle contribue à diminuer encore le nombre de
ntice considérablement épaissie, infiltrée de noyaux et principale- ment de noyaux réunis en amas et non uniformément disp
minces, réduites pour ainsi dire à l'endothélium appliqué directe- ment sur le tissu conjonctif voisin. Au niveau du si
opère pas sans douleur. L'attitude du patient le prouve surabondam- ment . C'est bien d'ailleurs ce quepensé unevieille f
ez vous assurer de visu que cette eschare est aujourd'hui complète- ment cicatrisée. Messieurs, la cause de la paralysie
ajoute que les paralysies arsenicales consécutives à un empoisonne- ment aigu s'accompagnent assez souvent de troubles tro
rigine vraisemblablement alimentaire, consécutives à un empoisonne- ment criminel et ayant simulé une sorte d'épidémie de
s analogies avec le cas de notre jeune malade. Il s'agissait égale- ment d'une fillette, âgée de dix ans, affectée de la c
e exception doit être faite cependant pour les cas où l'empoisonne- ment est la conséquence de l'application externe d'une
vous rappelle ensuite que dans certaines contrées, en Styrie notam- ment , il se rencontre des arsenicophages, des mangeurs
Quelles que soient les circonstances qui président à son développe- ment , elle a de la tendance à se généraliser, à envahi
ère confondue en avant avec le grand ligament postérieur est telle- ment refoulée par la tumeur qui est comprise dans sa c
on lombaire. Il faudrait répéter la même description. Disons seule- ment due la moelle paraît encore plus atteinte, il est
es noyaux embryonnaires qui l'infiltrent et la débordent non seule- ment en dedans du côté de l'espace sous-arachnoïdien,
s sont infiltrées de cellules rondes ou épaissies par le développe- ment du tissu fibreux, la périvascularite est plus fré
dant on peut à peu près affirmer qu'il n'y a pas de parties absolu- ment saines dans une moelle touchée en un point quelco
n'est pas tout, et dans une même région, la moelle n'est pas égale- ment altérée dans toutes ses parties ; la prédominance
pouce présentent deux zones de coloration très distinctes et nette- ment tranchées. , A l'annulaire, la zone postérieure
exode en France et en Angleterre. On retrouverait sans doute aisé- ment sa trace dans les divers pays. Il a depuis lors
73 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
QUE NERVEUSE. probablement depuis son enfance, et qui tout récem- ment est venu du Caire à Paris, consulter M. Charcot.
s; la secousse ainsi obtenue ne nous a pas paru différer notable- ment ni par la hauteur, ni par la durée, ni par la for
me enchaînés, ce qui l'empêche d'exécuter immédiatement le mouve- ment qu'il veut faire ; c'est une crampe tonique de
celle de la chanteuse de Scéligmüller. La mère aurait été légère- ment atteinte de troubles moteurs analogues. Dans le
ique de certains muscles survenant au moment d'exécuter un mouve- ment ou plutôt pendant l'exécution même du mouve- me
cuter un mouve- ment ou plutôt pendant l'exécution même du mouve- ment ; ce phénomène est accompagné d'une sensation s
accompli cinq ou six fois, et disparaissent alors assez complète- ment pour permettre une marche de plusieurs heures s
MUSCULAIRE. 21 mentation de la consistance du muscle sans change- ment appréciable à la vue, ou même, comme sur ses ju
malaises, leurs vertiges apparaissent tantôt à la suite du mouve- ment d'avaler, tantôt après un éternuement, ou un 28
; abcès de la cuisse il y a quatre mois ; l'oreille siffle seule- ment depuis trois semaines en se mouchant ; dès qu'ell
tari, les vertiges spontanés et provoqués cessent. On voit nette- ment ici le rôle du contenu de la caisse du tympan com
vait être surtout causé par refoulement du liquide dont l'écoule- ment était incomplet, vu le siège de la perforation. S
ossédait une amplitude de mouvements insolites, grâce au relâche- ment de son tissu, les pressions dépassant les limites
ion encé- phalique comme le veut M. Dagonet; ils seraient absolu- ment incompréhensibles quand l'affection évolue de t
ique que je n'ai pas à approfondir dans ces recherches exclusive- ment cliniques. Les délires sont généralement divisé
y a une petite pause ; mais le malade arrive IL prononcer correcte- ment les mots. La vue, qui était bonne autrefois, es
parole. Les accidents oculaires sont caractérisés par le développe- ment d'un brouillard du côté droit, au milieu duquel a
s, dans l'état actuel. Cependant, puisqu'il y a un lien générale- ment admis entre ces deux états, nous pouvons faire re
La circonvolution pariétale ascendante (PA, PA') présente égale- ment deux incisures dont l'une très profonde (8) placé
forte pression de la région des ovaires ne parvenait pas générale- ment à arrêter les convulsions. On pouvait toulefoisy
et phases de l'attaque ne paraissent pas pouvoir être aussi-nette- ment précisées. L'apnée jouait un rôle prédominant et
inter- médiaire des rameaux cruciaux, la communication est large- ment assurée. Ces données unastomotiquesperinetteut de
eure et postérieure de la moelle explique comment on peut facile- ment l'injecter tout entier. Les veines inlra-médullai
ale du jambier antérieur, quand on fléchit brusquement et violem- ment le pied sur la jambe; enfin des accès périodiques
se groupent autour du sillon de Rolando et de l'insula et notam- ment les centres oro-lingaux de Ferrier, avec les fibr
i- mentateurs qui l'ont précédé dans cette voie, c'est qu'évidem- ment la région touchée est bien exactement un centre e
nues dans le segment antérieur, mais correspondrait à un départe- ment sensible indépendant du district de perception se
nal central. On les a considérées comme des foyers de ramollisse- ment de néoplasies inflammatoires : Leyden, au contrai
ti- cules s'étendent presque toujours de côté; ce n'est que rare- ment que l'on trouve un court prolongement par en haut
huit jours la réaction dégénérative est complète dans le départe- ment du radial gauche, dans celui du sciatique proplit
M. S. formule ainsi la nature de la lésion : foyer de ramollisse- ment aigu, par obstruction vasculaire (thrombose) ou i
us montrer très circonspects; c'est l'âge du mensonge. Ce besoin de mentir me semble devoir être rattaché à ce que j'ai dé
dont l'histoire est cependant assez peu ordinaire pour être facile- ment remarquée, parmi celles des nombreux malades qui
résulte est tellement irrésistible que l'organe se vide complète- ment . . Le Dr Waurendorif termine la séance par une
le, tant de la personne qui la formera, que de celle dont le place- ment sera réclamé, et l'indication du degré de parenté
placer. Ces rapports seront circonstanciés ; ils indiqueront notam- ment : la date de la dernière visite faite un malade p
re spécial à l'effet d'empêcher qu'elles ne sortent de l'établisse- ment , sans son autorisation, si ce n'est pour être pla
le des personnes soumises au placement, qui en donnera immédiate- ment avis aux familles. ART. 29.- Les prescriptions
partement ou avec lequel il aura traité, les aliénés dont le place- ment aura été ordonné par le préfet, à moins que la fa
énoncées en l'article précédent, il y sera pourvu par le départe- ment , sans préjudice du concours de la commune du domi
nés. ART. 41. Toute personne placée ou retenue dans un établisse- ment d'aliénés, son tuteur, si elle est mineure, son c
le devra être précédée de l'avis du conseil de famille, mais seule- ment lorsqu'elle sera demandée par les parents, les co
affaires qui intéresseront les personnes placées dans un établisse- ment d'aliénés, lors même qu'elles ne seraient pas int
UE NERVEUSE. don nerveux dans son trajet intra-cérébral, fréquem- ment elle atteint soit les noyaux d'origine groupés au
ien. L'acuité visuelle est égale dans chaque oeil examiné séparé- ment . Il n'y a pas de lésion au fond de l'oeil. Je ne
te à ce moment aucune modification de la sensibilité ou du mouve- ment dans les autres parties du corps. Le malade qui e
C'est surtout le voile du palais qui est intéressé ; il est forte- ment dévié à gauche. Les mouvements de la langue s'exé
borné à la recherche de la diplopie, laquelle signifiait simple- ment : paralysie incomplète de la sixième paire gauche
très défec- tueuse. 0 G. S = 5 0 D. S = Champ visuel irrégulière- ment rétréci, vision chromatique normale. Décoloration
x qui sont emmétropes. La sensibilité pour la lumière est légère- ment affaiblie à la vision centrale. Pas de dyschromat
5 quatre 'ou cinq faisceaux ; son tronc ne paraît du reste nulle- ment dégénéré à l'oeil nu. « (L'examen histologique
lysie du mouve- PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX. 167 Î ment de divergence, j'ai surtout pour but de les oppo-
ne émotion, mais surtout pendant les crises de vertige. Actuelle- ment elle est plus persistante, mais toujours moins pr
e va- riable sans perte de connaissance ni vomissements. Tremble- ment des membres plus prononcé à certaines époques, ne
e. 11 y a deux ans, sans cause, elle a éprouvé un violent siffle- ment à l'oreille droite; en même temps elle était étou
t l'extinc- tion du son transmis par les os, tantôt le bourdonne- ment , tantôt le vertige; dans ce dernier cas, le sujet
on semble assurer la production du vertige; ce sont : le relâche- ment tympanique, l'obstruction des trompes, et un état
os observa- tions avec ou sans vertige, annoncent déjà que l'élé- ment nerveux entre pour quelque chose dans cette évo
0. Puis ils étaient lavés à l'eau distillée, dissociés grossière- ment et immergés pendant quarante-huit heures au moi
sentent avec des aspects très différents selon l'âge et probable- ment aussi selon la nature de la cause de la névrite.
boules de myéline (types 1 et 2) ; mais ces tubes sont relative- ment rares. 11 n'y a pas une seule fibre présentant le
ns le centre de l'hémisphère, où ils détruisent presque complète- ment l'avant-mur, le noyau lenticulaire, la capsule in
et placé au-dessus de la dure-mère. Ce caillot presque régulière- ment arrondi, n'adhérant à l'os ou à la membrane fibre
droit. Elle est représentée .par des cicatrices blanches, légère- ment déprimées au centre, un peu pigmentées à la périp
si mai. Agitation ; Pipa... veut quitter son lit ; rejette constam- ment ses couvertures; saisit d'une façon inconsciente
ccipitaux et dans les fosses sp lié ii oïdal es; ils'nesoiilniille- ment adhérents. Les méninges ont un aspect gélatineux
phase elorzique n'est représentée que par un très léger tremble- ment des avant-bras à oscillations lentes et très peu
est une substance albuminoïde, formée par les cellules de revête- ment de la rétine et dont la production n'est pas infl
que l'exagération de la pression coupe un accès. La nature pure- ment nerveuse de l'hyperesthésie ovarienne aurait au r
her la question si ditréreiii- 2tf) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment comprise en Allemagne et en France, de l'aphasie
variés sous l'influence desquels se développent, soit primitive- ment , soit secondairement les différentes phases de l'
ur la rendre manifeste; la contracture produite cède très facile- ment à l'excitation des antagonistes. La catalepsie n'
y montre que lorsqu'on les prive de tout point d'appui. Le mouve- ment automatique de la marche ne saurait le provoquer,
e. L'hémiplégie et l'aphasie permanentes dépendent vraisemblable- ment d'une complication ou de la cause première de la
ug- mentation de volume des endothéliums, témoignant que normale- ment la charpente du névrilemne en est revêtue. 11 est
que l'on emploie soit à la cuisine, soit à des travaux de terrasse- ment , de jardinage, de menuiserie ou de charronnage. I
laisse rien à désirer. Le malade est placé dans une salle suffisam- ment vaste. Le baigneur se tient dans le corridor deva
. Elles sont limitées à la superficie de l'organe, et parfaite- z ment circonscrites à sa région moyenne au niveau et un
r la convexité, les deux, circonvolutions ascendantes sont égale- ment altérées dans l'étendue de deux centimètres envir
e congestion veineuse intense. La capsule se détaclie faciler,4> ment au niveau des dépressions', mais' adhère aux gran
oiséssont conservés ! 'La synoviale' est- rouge et très notable'-1' ment épaissie. Les surfaces articulaires du fémur para
rssjsensi- tifs, le). nerf,, optique, -.par ieyple,; ,sont, fréduen, ment altérés -chez (les tout récemment t,des, lés
és 'don- nées physiologiques que nous avons rappelées sont vrai-' ment irop'-vagues pour' eiiifou'V'irl'e,plié'citidii'.
qu'un muscle,tuh tendon jà, -un nerf,I\létè'rminerihîiiîédiale~' ment la production'de la 'contracture' localisée ''d'a
e de' 'le' soutenir'; là'de ? pe,âe1t] imprimer ]e moindre mouve- mentez " Jtr,,iiir,q on v2y'lu a1L il il) -il Jncj ub fup
Une montre, placée près de 1 oreille et éloignée ensuite graduelle- ment , est, entendue ! également, des, deux cotes, , pe
veuse. D'autre part, un certain nombre de névralgies, principale- ment du membre sup.61eur,'s'acco- p- 7 ilciïfd& do
un'môuve- 1·tfiti 't`tt1' I ih ·ITtt« tntrqtr 19 .I ? v rv r" - i ment combine correspondant, mais non pas nécessairemen
n- quième. Dans un- autre cas, le musculo-cutané était exclusive- ment fourni par la sixième. On peut donc supposer'que
e foyer qui préside à une moitié du cerveau : d'où le rétrécisse- ment vasculaire de tout un hémisphère, entraînant la c
nte émotion, surexcitation psychique, et l'action du même médica- ment (compensation), l'action sur les vaso-moteurs du
s larmes. De ce jour, la dacryorrhée sanglante revient quotidienne- ment à heure fixe, comme jadis les hémoptvsies. Hémian
Avec ce symptôme essentiellement intermittent, et exceptionelle- ment isolé, on constate soit des hémorrhagies partiell
le an- térieure subaiguë., Gomment la reconnaître avant l'amende- ment caractéristique des symptômes ? Jusqu'à présent,
crise. Les vomissements non douloureux surviennent plus fréquem- ment à l'état isolé ou par petites crises, alors que l
symptôme de la syphilis, de, son malade, favorisée occasionnelle- ment par l'accident, les efforts et l'émotion qui en s
nférieur, du tremblement de la langue; parole trébuchante, tremble- ment des doigts, démarche incertaine à pas écartés; af
ment des doigts, démarche incertaine à pas écartés; affaiblisse- ment dynamométriquc, démence, délire des grandeurs. Us
la présence des cellules pyramidales bien développées, et probable- ment du fait d'un trouble dans l'apport sanguin, à l'é
re morale- - 'r ? t ? 211. : tWtt;' .·,1 ? )'t"i ? untt.uj : W 41 ment de cette anomalie; 2° cas, ou inconscience absolu
» , "' 5' 1 , I ·1(InN'I,)1. f ry (llle UOiJ anomalies1 psychiques; mente plus ample examen; , ', L ut t ...)...')rff ? i
M. Scliüle connaisse un seul cas concluant par sa réussite (médica- ment vaso-moteur dangereux, mais ne s'accumulant pas).
uestion à l'égard des descendants du malade. N '' - '. lit < « Mentir est toujours laid, dit M. Lelient (de Nice), dans
la' folie, qui vient nous, faire part de ses craintes,' nous devons mentir ; ' 1 c'est, de la bonne) thérapeutique. libn-i
les méritent l'attention des psychiatres comme représentant fidèle- ment les multiples transitions qui existent entre l'ép
Critiques. -Bien des formes d'idiotie s'améliorent parle traite- ment médical et l'instruction pédagogique. La curabili
Lismes de ce fait chez l'aliéné ou chez l'employé. Aussi, M. Sie- mens a-t-il donné comme règle de conduite, à ses admin
ux phases, l'une de dépression, l'autre d'excitation ou réciproque- ment . La longue série de dénominations qui lui ont é
par l'extrémité des doigts. On conçoit que, pour maintenir solide- ment l'anneau sur lequel est fixé, la plume, le malade
multiples : la fausse idée d'économie qui règne dans l'établisse- ment et la gestion des asiles, ce préjugé que la folie
stigateur, il a publié plusieurs travaux de vulgarisation, notant-. ment sur des questions d'hygiène. M. le Dr BERTILLON
74 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion dans la zone psychique du cerveau. Mais ce n'est que tardive- ment que les troubles moteurs ont apparu : d'abord int
paralysie, mais la tête était non pas déviée, mais portée latérale- ment à gauche et restait toujours dans cette position.
tance n'est pas complètement uniforme; à côté de points relative- ment ramollis se trouvent des parties indurées, lardac
de la substance cérébrale par une zone assez large de ramollisse- ment (fig. 3). 1% i,g. 2. Quatrième coupe passant à
re fait que bien des fois ces sarcomes ont eu un début primitive- ment dure-mérien. Quoi qu'il en soit, nous voyons que
d'ori- gine réflexe et non d'origine symptomatique d'empoisonne- ment . Si cette épilepsie réflexe revêt à un certain mo
face. Mais ce qui doit surtout occuper le médecin dans le traite- ment de l'épilepsie, c'est l'hygiène de son malade. Av
des idée ? , il découle qu'il y a une pensée sans mots non seule- ment dans le domaine sensoriel mais aussi dans le doma
- lisée à la hanche gauche qui dure dix ans. Au moindre attouche- ment , douleur angoissante presque syncopale, alors que
ment, douleur angoissante presque syncopale, alors que le frotte- ment des vêtements n'est pas perçu. Jeune fille intell
r les rayons lumineux qu'envoie le corps en mouvement et inverse- ment de l'alternance des rayons lumineux du fond de l'
on commit le Dr Sieraccini comme expert et le chargea principale- ment de répondre à ces deux questions : 1° S... était-
on. Les troubles nerveux sont très variés et ne réalisent que rare- ment l'aspect clinique d'une maladie déterminée (neura
e l'épaule est aplatie, l'extrémité claviculaire et l'acromion for- ment une saillie au-dessous de laquelle on peut, en dé
bras, réflexes conservés aux coudes et aux poignets. Engourdisse- ment vague dans les deux régions deltoïdiennes qui s'e
sensibilité est conservée, les réflexes sont normaux. Même traite- ment que dans le cas précédent. Amélioration. Dans c
variété anthropologique. Avec lui je considère les natures pure- ment asociales comme devant entrer dans la catégorie d
e demeure réelle alors même que l'on tient compte de l'accroisse- ment de la population, ne prouve pas que le nombre des
les hommes, même les détenus. Une autre fois elle menace subite- ment , sous un prétexte futile, de frapper ses compagne
elle le gourmande, lui donne des ordres. Parfois, mais plus rare- ment elle rêve à ce qui s'est passé dans la journée et
e commençant à l'angle externe de l'oeil gauche, coupant oblique- ment la paupière et le sourcil pour gagner le milieu d
nous négligeons pour ne pas allonger ce rapport établissent nette- ment l'existence de l'hystérie et d'une hystérie grave
u- matisme dont elle a été victime peu de temps avant l'accouche- ment , elle n'eût pas trouvé en elle-même la force de r
les per- sonnes, tous les animaux même qui entourent quotidienne- ment l'enfant. C'est par le nom des diverses parties d
7 une cause physiologique, paralysie, atrophie de tel ou tel élé- ment d'organe. La langue trop épaisse, emprisonnée dan
ous a fournis son emploi. C'est un adjuvant puissant, mais seule- ment un adjuvant. Lavages de l'estomac. A côté de ce
17 août les accès ont disparu, l'intelligence revient progressive- ment , la température est normale. En janvier 1894 elle
survenue de l'amblyopie du côté anesthésique et de l'affaiblisse- ment de la fonction des autres sens du même côlé. L'af
ment de la fonction des autres sens du même côlé. L'affaiblisse- ment des sens spéciaux est donc bien la résultante de
e la bouche reste fermée. Ajoutons que quand la bouche est large- ment ouverte le malade peut non seulement ouvrir l'oei
c., etc. Quant aux caractères morphologiques, le ventre est légère- ment tendu, les muscles spinaux, aux reins, forment un
t saillante. Le jarret est tendu, les muscles du mollet sont nette- ment marqués. La ligne de gravité tombe dans l'espace
trouvé une formule dont l'application donne des résultats suffisam- ment exacts pour la pratique. A la région cervicale,
cile de reconnaître leur véritable sexe. De tels sujets, ordinaire- ment porteurs d'autres tares physiques, n'ont guère dû
et les ovaires n'avaient pas dépassé, au point de vue du développe- ment , la période infantile, et que les règles n'avaien
champ visuel serait un symptôme presque constant et l'accroisse- ment de ce symptôme pourrait servir de mesure aux prog
re. On doit considérer l'hébéphrénie comme un arrêt du développe- ment mental survenant au moment critique où l'individu
- viendrait que chez ceux dont le système moteur est cungénitale- ment débile. On peut donc arriver ainsi à donner une s
pécial; à la grossesse, l'auto-intoxication qui se manifeste notam- ment par l'urémie, à l'accouchement. D'où vient que da
médecine, place d'Aquitaine, où le secrétariat se trouvera égale- ment transporté pendant la durée du Congrès. Le progra
pas désirable à présent de faire une maison distincte, mais seule- ment d'arriver au but ci-dessus, en essayant de traite
quelles on lit au recto : « Je promets : 1° de m'abstenir entière- ment , sauf prescription médicale, d'eau-de-vie et de l
tubercules de la moelle sont rares; il les a trouvés principale- ment dans la partie lombaire et cervicale. Il décrit d
grains un peu allongés. Dans quelques endroits les leucocytes for- ment de petits îlots. Dans les endroits où les traclus
d'une tumeur de la moelle à marche lente. Les cas subaigus seule- ment se ressemblent au point de vue clinique. Le mal
malade cachectique, amaigri, pâle. Extrémités inférieures légère- ment oedémateuses. Sensibilité exagérée aux extrémités
et dans l'hypochondre gauche. Au contraire, tout léger attouche- ment est à peine senti et mal localisé surtout à la pl
facultés intellectuelles pour devenir difficiles à classer exacte- ment , surtout si les données qu'on possède sur les ant
sieurs années. Mais depuis trois mois cela se produit très fréquem- ment , tous les jours même, et, finalement, à coté de c
elle discute avec ses voix : «Ah ! non, ça n'est pas possible vous mentez 1 » Au bout de six mois le curé de la paroisse,
trouvons des faits bien particuliers. Le délire a débuté subite- ment après une assez longue période de dépression méla
nnent au premier plan ; chez la seconde même, le délire est pure- ment hallucinatoire. Il y a là une grande similitude a
des autres organes, coeur, reins, poumons ou tube digestif. Evidem- ment cela ne peut être contesté et cependant il n'est
ces causes supprimées permettent un complet et prompt rétablisse- ment . M. VERGELY (de Bordeaux) cite six observations
4° Le délire des persécutions, pur de tous mélanges, est relative- ment très rare chez le vieillard non dément; on y trou
. La preuve de cette explication se fera peut-être physiologique- ment . Mais la clinique et l'anatomie pathologique sont
thyroïdiens». J'ai à vous faire connaître et à préciser mon senti- ment sur la question, car je suis à vos yeux, je le pe
le même traitement. Même contradiction dans les effets du traite- ment chirurgical. Ainsi la maladie de Basedow ne peu
l'attention du Congrès sur un cas clinique que j'ai observé récem- ment . 11 s'agit d'une malade qui a présenté à la fois
soit fait aux conseils de revision afin qu'on n'envoie pas au régi- ment des malades dont les manifestations nerveuses son
tères constants permettant d'établir cliniquement et irréfutable- ment la nature .épileptique des troubles mentaux impul
on de la faiblesse de la mémoire ainsi que la diminution du juge- ment . Les conceptions délirantes font habituellement d
ux; ces lésions diffuses, considérées indépendamment de leur élé- ment causal, ont une physionomie très spéciale; enfin
n'existe de corps granuleux nulle part. Les capillaires sont forte- ment surchargés de noyaux arrondis en beaucoup de poin
ière. En un mot il y a là un état tout spécial, qui n'est certaine- ment pas artificiel, et qui rentre dans la classe si v
l faudrait peut-être comparer cette dégénérescence, si régulière- ment répartie sur un espace considérable, à la dégénér
et les doigts sont le siège de crampes douloureuses particulière- ment dans le territoire du cubital. L'état mental est
la mémoire reste fidèle et le raisonnement correct. Au commence- ment de 1893 la situation du malade est lamentable et
ronds, disséminés enlre les faisceaux conjonctifs et particulière- ment autour des vaisseaux. Les veines sont extrêmement
ades et émergent d'une méninge enflammée, mais ne sont pas autre- ment altérés. Les noyaux d'origine de tous ces nerfs s
ont amené la mort. L'aspect des lésions, leur tendance manifeste- ment nodulaire, leur nature plastique et non pas suppu
versée par deux volumineuses artérioles dont les parois sont forte- ment lésées au point de passage, sans que l'infiltrati
diffuse embryonnaire de 11\i. Gilbert et Lion ; il serait absolu- ment impossible de l'en distinger au microscope ; faut
ne coupe colorée à l'hématoxyline pour voir qu'on laissera forcé- ment échapper les'détails les plus caractéristiques de
sorte, la sclérose, l'autre actif, mais capable d'évoluer égale- ment vers la sclérose; de là vient leur variabilité co
é historique du traitement du myxoedème, en s'attachant spéciale- ment à l'histoire des divers modes sous lesquels on a
le bras gauche et le tronc. Des phénomènes bulbaires et probable- ment une paralysie du diaphragme terminèrent la scène.
ectuelle. Son état général est mauvais. Elle est soumise au traite- ment mixte. L'amélioration, soit physique, soit intell
rée. A partir de 1890, l'état mental s'est transformé, et actuelle- ment la malade démente est devenue enfantine dans la p
Ces quatre observations se complètent les unes les autres et for- ment une sorte de gradation dans l'état mélancolique q
mouvements brusques de la tête, des flexions et extensions égale- ment brusques des membres, en un mot tous les mouvemen
de l'excitation, de l'amnésie, du délire comme j'en ai eu notam- ment un cas ayant duré vingt-quatre heures. D'autres m
it allusion n'intervient point ou n'intervient que très accessoire- ment la pensée d'un accaparement illicite. Le besoin d
ement ducal. A Rockwinkel, près Brème, des tentatives sont égale- ment faites pour améliorer la situation des aliénés (1
des sujets curables et incurables. En 1798, un quartier spéciale- ment consacré aux aliénés est organisé à l'hôpital de
3's'qii'alors, les sujets atteints de folie avaient été générale- " ment considérés comme incurables : sauf quelques excep
cité galvanique, la musique étaient parmi les procédés de traite- ment . Les aliénés incurables furent hospitalisés dans
ergi- quement contre l'abus des moyens de contention et spéciale- ment des chaînes et des fauteuils de force. Mais ce ne
. 365 moderne, pour appliquer ce traitement individuel que récla- ment , au même titre que les autres malades, les sujets
n Allemagne et en Autriche, 47 asiles mixtes, 8 asiles de traite- ment , et 27 hospices d'aliénés chroniques. Les établis
ur Kraepelin se base sur les exigences bien distinctes du traite- ment médical des psychoses aiguës et de la colonisatio
gmen- tation des asiles en un grand nombre de pavillons complète- ment indépendants, ne renfermant chacun qu'un nombre t
'éclat, il subit graduellement la dissociation en une matière fine- ment grenue. Non seulement les cellules de la névrog
ébrales; par les Drs 111,,CER et de 13OEK. (Bull. de la Soc.de Méd. ment . de Belgique, sept. 1891.) - Les conclusions ti
ions, tant locales que générales qui peuvent avoir leur retentisse- ment sur la pupille. (1'lve, alienist and 71eurologist
e de iG,7 p. 100. De même pour les officiers qui se marient rare- ment avant trente-cinq ans. Les données fournies par l
vie et des liqueurs. Il n'y a pas une forme unique de delirium tre- mens . Il existe des variétés fort différentes, entre a
onné d'excellents résultats à la clinique de Heidelberg, non seule- ment dans l'épilepsie alcoolique, mais chez les dipsom
mauvais instincts : leur excitation ps3cho-motrice doit être autre- ment réprimée. Ils doivent être placés dans des sectio
après trois mois dé séjour et jusqu'ici s'est conduit convenable-, ment au dehors. Sa femme, âgée de'sbixanLe-six ans,
imposée des Français). La fille, une héréditaire, collabore active- ment au délire de la mère, le développe : chez elle se
e W..., alors qu'il était sous les drapeaux a été sans doute égale- ment simulée. Le crime qui lui est imputé n'est pas l'
on psychique anormale, mais que cet étal anormal soit nécessaire- ment d'ordre pathologique; c'est ce qui n'est pas prou
leur physionomie d'hallucinés et leurs yeux hagards ont pénible- ment impressionnée. Pour l'un d'eux l'accomplissement
évitées dans le nouvel établissement. Un asile d'aliénés propre- ment dit comprend de toute nécessité six sections diff
. Telles sont les principales particularités à signaler relative- ment aux éléments communs à toutes les divisions en ce
ection soit abondam- quartiers spéciaux D'UN asile d'aliénés. 443 ment pourvue de linge de toute nature et que le dépôt
veillants et surveillantes de se consulter et de s'aider facile- ment ; le voisinage est une arme à deux tranchants, do
ne pas trop rapprocher le personnel féminin du masculin ; fatale- ment , ils arrivent à trop s'aimer ou à trop se déteste
ont que ce grave accident s'est produit dans une chambre d'isole- ment deux fois environ sur trois. Jamais, ni jour, ni
ent normale- IMBÉCILLITÉ PRONONCÉE; SPASMES MUSCULAIRES, ETC. 453 ment . Organes des sens : vue, assez bonne, distingue l
tique, ses mouvements sont réguliers, elle travaille au commande- ment et commande elle-même. Mars. - Même traitement,
la forme d'un nouveau cri c pia D qu'elle accompagne d'un mouve- ment particulier : elle projette brusquement le ventre
exe et de son âge (travaux de ménage et de couture). Personnelle- ment , nous estimons que la famille aurait mieux fait d
s. Le 15, état général satisfaisant; mais le malade essaie vaine- ment de marcher. Même état des réflexes tendineux. Les
ttre que le complexus des symptômes psychiques dépend principale- ment de troubles fonctionnels du système de fibres ner
lement pour ainsi dire l'existence qu'il y avait menée précédem- ment . Des séries de souvenirs se présentent il sa cons
les nerfs radiculaires, on trouve du haut en bas une lésion légère- ment ébauchée qui subitement s'exagère au niveau des r
vec des altérations importantes des parois vasculaires (épaississe- ment , infiltration calcaire) ; il existait en outre de
s des centres nerveux eux-mêmes, le shock émotif produit fréquem- ment des troubles psychiques. Les causes pathologiques
. z Le 14 novembre 1894 a été posée la première pierre d'un bâti- ment , destiné à recevoir des épileptiques, et qui sera
la fenêtre. M. Dnltroff, commissaire de police, avait essayé vaine- ment de pénétrer chez elle. Force lui avait été de req
ulée par S. Garnier, 57. 250 cas d ? par Macalester, 156. Traite- ment médical de l'- chronique, par Bondurant, 376. e
épineuses, par Chipault, 150. Neurasthénie. Pathogénie et traite- ment de la -, par de Fleury, 32f, -, et son traiteme
75 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
du nerf moteur ocu- laire externe ou de son noyau, amènera égale- ment une paralysie avec atropine uegeneraLive uu musci
cule ou coupé dans son trajet intra-pédonculaire, et que simultané- ment la cause compressive ou destructive atteigne dans
Je lui dis alors : « C'est de la craie » et elle répète immédiate- ment sans hésitation, sans difficulté et plusieurs rep
'une particularité assez intéressante que nous ont révélée les exa- mens successifs du champ visuel faits par M. Sauvineau
asiques, et en outre on aura d'autres symptômes liés au ralentisse- ment de la circulation dans la communicante postérieur
rale en foyer (qu'il s'agisse d'une hémorrhagie ou d'un ramollisse- ment ) s'améliorent progressivement dans la plupart des
tre part, on ne doit pas oublier que si l'on peut concevoir facile- ment , qu'un traitement aiiti-sypliilitique institué dè
édecine, en collaboration avec M. Chipault, une note sur le traite- ment de l'ataxie locomotrice par l'élongation vraie de
préciable, sous les méninges ; vers sa partie profonde, il a égale- ment comprimé la substance blanche, dont les faisceaux
urs corticaux ; ils pensent que la zone rolandique est tout simple- ment constituée par des centres sensitifs, qui gardent
tion clinique, permet d'élucider aujourd'hui, rapidement et exacte- ment , le rôle que les pièces squelettiques jouent dans
tions nécessaires, aura généralement pour résultat un perfectionne- ment pratique doublé d'un avantage esthétique. Mais
ne présente aucune déformation importante. L'anomalie porte unique- ment sur le cinquième métacarpien, au niveau de son ex
surnuméraire; cette dernière est plus saillante et dépasse notable- ment la précédente en se dirigeant obliquement vers le
is, de l'étoffe, du papier que la main droite reconnaît instantané- ment , le malade ne peut dire ce que tient sa main gauc
différenciés du centre ovale des hémisphères ne sont pas exclusive- ment formés par une seule variété de fibres (de projec
centres sensoriels étant les premiers à se couvrir de myéline for- ment dans le cerveau du foetus ou du nouveau-né des il
ement s'isoler cliniquement doit pouvoir aussi s'isoler anatomique- ment . Quoi qu'il en soit, nos observations prouvent qu
riginalité : c'est un imitateur consciencieux, qui s'assimile aisé- ment la manière de ses modèles préférés, mais auquel i
sur la marche en avant. Dans la marche à reculons (Fig. 4), au mo- ment où le pied se porte en arrière, le torse se pen
ète et du haut corps en avant, ne semblent pas différer sensible- ment de celles que nous venons de signaler. Il n'en
ol, le genou en avant. Le pied prend contact avec le sol bien rare- ment par le talon, le plus souvent par la plante, d'au
endre sa victime (Fig. 18). Fig. 17. Démarche enthousiaste. Mo- ment du double appui (diaprés une phot. inst. de M.
flexion. A ce moment le même muscle, au lieu d'être comme précédem- ment dans un état de relâchement complet accentue enco
telles altérations dans l'état du système nerveux. Je cite briève- ment les cas les plus typiques de ce genre. 1. - Lic
symétriquement. La maladie a commencé il y a 17 ans, et simultané- ment se montrèrent le lichen sur les extrémités inféri
corps. L'étude du système nerveux de ce malade nous montre claire- ment , que nous avons devant nous une maladie nerveuse
neris,lacouleur des plaques est d'un rouge plus foncé et l'écaille- ment sur leur surface se fait voir plus clairement que
tri. Or, avant deux ans, ce nourrisson devra tirer au sort. Assuré- ment il sera ajourné, peut-être indéfiniment, car il n
ètre thoracique 12 centimètres, tandis que la taille atteint seule- ment 1 ni. 14. (2) Soc. méd. des hôp , 26 mars 1897.
ns de nourriture et d'hygiène, contribuent, isolément ou simultané- ment , à cet arrêt de la croissance qui porte sur toute
étif jusqu'à Page de 19 ans, puis se serait alors développé rapide- ment pour atteindre la taille et la corpulence normale
propos d'un autre cas, Furstner s'exprime ainsi : « Après durcisse- ment et double coloration (éosine, hématoxyline), le m
es os du pubis et les ischions, les rotules offrent un tissu telle- ment tendre qu'une épingle les pénètre facilement. »
s généraux fébriles et de signes locaux parfois assez marqués, com- ment se forme la tumeur d'abord pâteuse, presque molle
ntinue ses ravages, elle attaque les muscles du bassin, principale- ment ceux de la région fessière, les muscles antérieur
e a permis de contrôler. A l'arrivée du petit malade, le développe- ment osseux n'était guère plus avancé que celui d'un e
connaissance. Lorsqu'il révint à lui, K... avait la parole légère- ment embarrassée. Il reprend son travail. Au bout de8j
e une saillie irrégulièrement ovalaire, à grand axe dirigé oblique- ment d'arrière en avant, et de devant en dehors, mesur
s chez la plupart des sujets atteints de cette affection. Dernière- ment encore, M. Brissaud, exposant la pathogénie du pr
ne ferme pas davantage l'oeil gauche. Quand elle ferme volontaire- ment les deux yeux, la paupière supérieure droite est
ne montre pas de différences latérales. Il n'y a pas de rétrécisse- ment du champ visuel droite. Sous l'influence d'un t
jambes et les pieds, comme les avant-bras et les mains, sont rare- ment touchés ; Minkewitsch a noté l'ossification du ti
Parfois il y a cyphose lombaire ou cervicale, indépendante évidem- ment des pseudo-cyphoses causées par les tumeurs osseu
e. - Les enfants mâles ont le triste privilège d'être plus fréquem- ment atteints. Gerber avait établi, d'après s'a stat
c'est la présence de lésions dans les nerfs périphériques ; com- 1 ment comprendre en effet que les symptômes de phlogose
rlrophiques, surtout celle des membres inférieurs, est monstrueuse- ment développée; les régions conservent cependant leur
s. Les yeux fermés, la marche est impossible, l'incoordination aug- mente . Vacillation de la tête. Réflexe rotulien aboli.
nt défigurées. Il n'est presque rien resté des hémisphères ; seule- ment , dans le le'' cas, le cerveau était un peu plus d
e la voûte crânienne et une partie de la base, passaient immédiate- ment dans le cerveau : c'est dans ce sac que s'amassa
st visible des deux côtés du noyau et l'entoure presque complète- ment . 196 N. SOLOVTZOFF à paraître dans les cellul
chromatine, et quand l'enfant est à terme les cellules sont totale- ment formées, elles ont une forme polygonale et contie
peu de grains de chromatine, et le protoplasme consiste principale- ment en une substance achromatique ayant l'aspect d'un
tal. Somof. 1895, ici. 66, L. Si. La photographie m'a été obligeam- ment envoyée par M. le directeur Somof que je suis heu
l joint les mains au lieu de croiser les bras, il grimace horrible- ment au lieu de se mordre les lèvres, enfin les détail
la tète, tient entre ses hras l'un des deux bambins qui, sérieuse- ment , tête son pouce. L'autre gamin, plus âgé, accroch
père qu'elle aimait énorme- SUR UN cas DE TUMEUR DU CERVELET 215 ment . Elle en éprouva un vif chagrin et son caractère
mier lieu. Toujours est-il que la surdité se développa plus rapide- ment que la cécité. En quelques mois du reste, l'aboli
uellement (4 décembre 189G), l'état de X... n'a pas subi de change- ment bien notable. On ne peut plus semettre en communi
'existence des plaques de sclérose peu nombreuses, siège exclusive- ment encéphalique, qui auraient détruit à la fois les
là le programme général des accidents qui traduisent le retentisse- ment des tumeurs intra-craniennes sur l'encéphale. Mai
nt le stationnement que pendant la marche. La titubation est telle- ment prononcée qu'a différentes reprises elle a valu à
pourrais presque dire qu'une troisième période s'inaugure actuelle- ment , dans laquelle on commence à catégoriser les dive
ement à faibles doses, a eu pour résultai de diminuer considérable- ment le nombre des accès, qui sont tombés à trois, deu
entr'ouvertes. A cette époque, le Dr Spillmann institua un traite- ment mixte ; il put constater, an bout de peu de temps
mmence ;i se développer anormalement. Sous l'influence d'un traite- ment spécifique, institué en raison de renseignements
ations sous forme de psoriasis palmaire. Il se soumit ci un traite- ment spécifique énergique. Depuis cette époque, sa f
lations qui unissent l'atrophie médullaire et l'arrêt du développe- ment des membres. En ce qui concerne la constatation
sur la nutrition des membres, en ont également sur leur développe- ment , pendant la période de croissance. On peut rappro
rande, se montre dans la région dorsale gauche, moins dure, légère- ment douloureuse à la pression ; elle couvre les trois
eau crasseuse, sécrétion sébacée abondante. L'affection est évidem- ment inflammatoire à cause de la douleur, du gonflemen
late, et siégeant dans le grand rond. L'omoplate gauche est solide- ment fixée par ces différentes plaques. Petite exost
i permet de se nourrir lui-même avec difficulté. Depuis, développe- ment de différentes masses dans différentes parties du
a face très développés, l'épaisseur des os du nez est particulière- ment choquante ; ils sont également garnis de petites
disparaissent sans laisser de trace. Au printemps 1874, développe- ment sur l'épaule et les paupières d'une large tuméfac
'épine de l'omoplate gauche. Ankylose de la colonne dorsale légère- ment en cypho-scoliose. Les omoplates sont fixées ; at
ntérieure; dans sa partie inférieure au contraire, il est légère- ment convexe en avant (Fig. 5). Les côtes sont peu s
r que rien ne soit perdu de l'équilibre), il se produit instantané- ment la « douleurde reins », qui est très étendue; ell
ebout Duf... veut croiser une jambe sur l'autre, il exécute facile- ment de la jambe droite les mouvements de flexion et d
peut mettre son pied droit sur une chaise, mais la fin de ce mouve- ment est difficile et provoque des douleurs dans l'ain
ankylose des hanches s'est faite avec les cuisses dans le prolonge- ment du corps immobilisé. Au deuxième temps (cervical)
st le siège d'une hypertrophie avec hyperpigmentation et développe- ment exagéré de l'appareil pilo-sébacé (enduit sébacé
géré de l'appareil pilo-sébacé (enduit sébacé abondant sur le tégu- ment ). Le rebord alvéolaire du maxillaire supérieur
de meurt de fièvre typhoïde. L'autopsie est faite, mais incomplète- ment . Elle permet de constater que le rocher droit est
he de la lèvre était relevée, la moitié droite de la langue énormé- ment hypertrophiée au point que la moitié gauche se pr
ccipitale. Salivation. Pas de troubles moteurs. Sensibilité légère- ment émoussée sur la joue considérablement épaissie. L
e, ce qui lui causa une émotion très vive. Malgré tout, l'accouche- ment fut normal ; l'enfant naquit avec sa malformation
de ce côté plus épaisse qu'à gauche. L'hypertrophie atteint égale- ment le côté droit de la lèvre supérieure qui se conti
se continue en arrière sons la lèvre supérieure qui se tend forte- ment au-dessus d'elle, quand le patient rit. Cette p
s à de grands amas de cellules épithéliales disposées concentrique- ment , en dégénérescence hyaline, gonflant les glandes
ue six frères ou soeurs, sont sains. Cet homme, qui a considérable- ment grandi, présente une taille de sept pieds quatre
le anomalie de cerveau nous avons déjà dit qu'il s'agissait assuré- ment d'une hydrocéphalie congénitale interne. Nous v
aussi de toutes les enveloppes dont elle était recouverte. Evidem- ment ,elles n'ont pas pu résistera la force de la press
voir traité la moelle par le procédé de Pal, on pouvait voir nette- ment , comme dans le cas précédent, les cordons postéri
èse que nous avons faite antérieurement, à savoir que le développe- ment des cellules nerveuses de la corne antérieure de
, le dos (grand dorsal 1) étaient atteints fréquemment, symétrique- ment ; un peu de scoliose. Traces d'albumine dans les
et la portion tendineuse qui va de ce point à l'humérus est égale- ment ossifiée. Le bras droit n'atteint pas l'horizon
ut de huit jours, la tumeur en question disparaît presque complète- ment . Pendant le séjour de l'enfant à l'hôpital, des
ion a passé inaperçue jusqu'à l'époque contemporaine. Il y a seule- ment un demi-siècle, la moelle était considérée comme
naces, pour lesquelles les malades et surtout leur entourage récla- ment une guérison rapide ;nous la leur procurons souve
impressions par certains mouvements, par certains actes ; il un mo- ment donné, la réaction, si compliquée qu'elle soit, v
l'infatigable ardeur qu'il mit à créer et à développer l'enseigne- ment des maladies du système nerveux. Le succès de c
latérale du thorax en S allongée est aussi accentuée que précédem z ment . AU niveau du cou, même saillie du trapèze et d
mouvement de rotation, l'élève en masse et lui communique un mouve- ment de totalité en avant et en dehors. Il s'ensuit qu
antérieur du grand dorsal, reste encore visible, mais considérable- ment diminuée d'étendue. L'asymétrie de la paroi tho
eille au bout d'un temps variable avec de la céphalée, de l'abatte- ment ; on n'a jamais remarqué d'émission involontaire
enne (1 m. z); poids : 37 kilog. 1/2. Mais ce qui attire immédiate- ment l'attention quand on l'examine, c'est cette énorm
aler, sinon qu'ils descendent en avant un peu plus bas que normale- ment , recouvrant en partie les côtés du front. Mais
vec l'abstinence relative. En même temps elle présentait un change- ment frappant de caractère, elle était irritable, s'em
alade a repris de l'embonpoint. Le 3 mai, elle paraissait complète- ment guérie : néanmoins on lui conseilla un traitement
uand il est élevé dans une direction, on l'en voit changer brusque- ment ; c'est alors qu'on entend un craquement dans l'a
s elle est sujette. De ces attaques elle ne sait d'ailleurs absolu- ment rien, sauf quelques rares détails qu'elle tient d
ide n'était pas tout à fait sain. Au-dessus du niveau de l'épanche- ment il existait une légère submatité jusqu'au sommet,
nute. La respiration est régulière. La malade au point de vue pure- ment respiratoire présente l'aspect d'un chien haletan
as quittée encore à l'heure de notre visite. Nous comptons à ce mo- ment de 140 à 160 respirations par minute. Comme aupar
paraître absolument dans les dernières crises de dyspnée. Et juste- ment le premier jour la respiration de notre malade ne
manière réelle- SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 471 ment suggestive. Sa première phase est une attaque d'h
lité ont considérablement diminué. Plus tard formation d'un gonfle- ment semblable dans le bif" droit avec. les mêmes phén
anvier 1896. -- Fièvre 38°2 C le matin, perte de l'appétit, gonfle- ment à. la région inférieure du sterno-mastoïdien droi
région inférieure du sterno-mastoïdien droit, extension du gonfle- ment à tout le muscle les jours suivants, oedème dans
grossiers d(\nallll'c1l1 le souvenir d'une main il l'élégance vrai- ment patricienne ? . - On se demande enlin si la pom
ct combien le même homme qui dédaignait l'apparat était profondé- ment épris du décor, dans le sens le plus esthétique d
extérioriser ses rêveries, bien qua vrai dire il s'abandonnât rare- ment aux rêves. Son travail absorbait tout son temps,
Les plus nombreuses et les plus curieuses datent du temps des cxa- mens d'agrégation, où, tout en écoutant d'une oreille
vision de 498 l'ensemble; peu lui importait -de figurer exacte- ment un caillou, une fleur, un brin d'herbe. pourvu
oire visuelle..Mais son choix élail toujours dicté par un sûr juge- ment . Il coopéra plus directement encore à l'urllcll
l IUI', de son premier voyage en fiu.ssic. )ja('('ttccti)t0)t est ment curieuse. Tous son I d'une iu- conlestable véri
n ne sait ce qu'il faut louer davantage, du réalisme de l'accoutre- ment ou de l'exactitude pathologique mis en valeur sur
revoit, d'ailleurs, dégrossi par la capitale, étriqué dans un vête- ment trop étroit, essayant d'harmoniser avec les houcl
76 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
'a pas beaucoup dé sagacité et d'expérience, il se trompera aisé- « ment et attribuera à une maladie essentielle et propre
uleuse, des tumeurs syphilitiques, de l'hémorrhagie, du ramollisse- ment cérébral, etc., et que le diagnostic offre parfoi
nts hystériques. 1 : ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S ALPÊT1U ÈRE. ment publiée. Il donnaitdes Lremblemenlshystériquesune
du flanc gauche remontait jusqu'aux creux épigastrique. Le tremble- ment qu'il présentait à celte époque aurait été intent
sie de la conjonctive gauche. Les sens sont touchés. Le chatouille- ment du nez ne produit aucun réflexe ni à droite ni à
paralysé, ce qui éloigne l'idée d'une lésion organique. Le tremble- ment a débuté brusquement, un matin, sans cause connue
tat actuel. Ce qui frappe d'abord chez ce malade, c'est un tremble- ment qui agite tout le corps. Ce tremblement n'est pas
t traitée par les courants interrompus quotidiens et tout dernière- ment par les douches en pluie et le massage. Durant so
nt l'emploi de ce moyen. Et le malade se loue d'autant plus chaude- ment de cette médication qu'auparavant rien ne l'avait
oir parler. Le lendemain à son réveil, il fut tout à coup complète- ment paralysé; perte absolue du mouvement ; abolition
ès, douleurs articulaires et en ceinture. Miction pénible. Tremble- ment dans les jambes et les bras des deux côlés. Cépha
onvulsives. Il agitait les bras et les jambes, et renversait forte- ment la tête en arrière. Il ne perdait pas connaissanc
més d'un tremblement rhythmique dès que le malade exécute un mouve- ment . Les membres inférieurs ne tremblent pas. Réflexe
rier, le malade quitte l'hôpital ne conservant qu'un léger tremble- ment des mains et de la langue. L'évolution seule ju
ues, animés de secousses fibrillaires et peu excitables électrique- ment , quel que soit le genre du courant employé; la ré
s et s'étend de même, sans résistance. Le bras s'écarte incomplète- ment du tronc, ne peut se porter ni en avant ni en arr
e-cinq jours. Au bout de ce temps, la consolidation était suffisam- ment effectuée pour qu'on pût enlever l'appareil. Pend
clut qu'il ne s'agit pas d'une contracture, mais d'un raccourcisse- ment des tendons fléchisseurs, dû sans doute à ses pré
les meilleures conditions pour éviter toute suggestion inconsciem- ment fournie au sujet par nous ou les autres malades.
ns ce bruit léger et sourd que l'on obtient en frappant très douce- ment sur un tam-tam. Immédiatement, la malade tombe da
r le désigner, « pleine de contentement et de plaisir. Puis subite- ment elle a vu la mer et il lui a semblé qu'elle desce
lpêtrière, le jour de la mi-carême. Mais la scène changeait subite- ment et elle se voyait dans une espèce de charnier, en
tions étaient perçues nettement et pour ce qu'elles étaient réelle- ment , à moins d'un trouble morbide quelconque tel que
L'eau de Cologne amène sur le visage une expression de contente- ment . Puis elle se baisse pour cueillir une fleur, la
nné de résultat bien net. Elle se recule et se défend pas un mouve- ment banal qui ne dit rien sur ce qui se passe dans so
r être modifiés par la craniectomie sont nombreux et très certaine- ment différents les uns des autres. Ce sont des lésion
durée moyenne de mes opérations à été de quarante minutes, panse- ment fait; elle est moindre actuellement. Le crâne e
tracture et se maintient dès lors sans effort. Le faible développe- ment des muscles des bras ne lui permettrait certainem
es) pour provoquer la contracture, mais elle disparaissait brusque- ment . L'auto-suggestion semble certainement entrer, en
du serment, le tremblement prend aussitôt une amplitude notable- ment plus grande dans les membres soulevés. Mais si
ferme et assurée. Si l'on invite le malade il s'étendre tranquille- ment sur son lit, dans une attitude abandonnée, comme
ont plus fréquentes. Il n'a pas cet air de va et vient, de balance- ment un peu lent que présente le tremblement de la scl
ontestable que fous ces caractères sont exactement ceux du tremble- ment hystérique rémittent-intentionnel, que nous venon
ois de porter légitimement le nom d'hystérique. En quoi ce tremble- ment -ci différera-t-il cliniquement du premier ? Cela
OBs. III. - Hystérie provoquée par une émotion violente. - Tremble- ment hystérique (type Rendu). Le nommé BIumberg..., £
art d'heure environ. Quand il revint à lui, il tremblait non seule- ment des jambes mais de tout le corps, ses dents claqu
L'amplitude des secousses est assez grande, et l'on pourrait aisé- ment les compter si elles se succédaient avec un peu m
omplit un morve- ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 121 ment volontaire, lorsqu'il porte un verre à sa bouche;
ce fait divisant attentivement un point fixe situé sur le prolonge- ment d'une ligne passant par le sommet de l'une ou l'a
et des mains redouble. L'attitude qui favorise le mieux le tremble- ment des membres inférieurs est celle que présente le
n rapport avec l'aimant; après une demi-heure de séance le tremble- ment avait diminué d'au moins la moilié. Le malade a p
s, du reste, convaincu que sans le secours de l'hypnose ce tremble- ment aurait disparu sous l'influence (le tout autre tr
ètement, mais alors, à leur défaut, vous aurez à signaler probable- ment la coexistence de quelque autre signe univoque de
e paraît amaigri. La mastication est longue, s'accomplit difficile- ment ; il en est souvent de même de la déglutition. La
qu'il se rasseura tout aussi-tost, et qu'il toucha bien et diligem- ment après cela'. » Son médecin Héroard raconte qu'il
naissance de la précédente. La lecture comparée de ce second docu- ment ne fait que confirmer les détails du premier et m
se et de la jambe. Quand la malade est assise, elle trépide exacte- ment à la façon des paraplégiques spasmodiques; cette
u plutôt elle reprend assez lentement sa position première, absolu- ment comme la peau du cadavre. Lorsqu'on la pince entr
exprime en ces termes : « Les individus atteints le sont non seule- ment dans leur système cutané, sécheresse et teinte te
ù le choc se produisit. Il fut projeté contre la paroi du comparti- ment et perdit immédiatement connaissance. Quand il re
cés photographiques que nous avons recueillis. La ligne du tremble- ment est constituée par des traits obliques(et non plu
e rendent incertaine la légitimité de certaines espèces de tremble- ment jusqu'ici admises ; tels sont le tremblement satu
ps en temps de souffrir de la moitié droite de la tête, mais seule- ment pendant une ou deux heures. Elle avait des battem
'un tremble- 198 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S1L1'$l'IIIl;ltl : . ment qui présente les caractères suivants : ce tremble
on développe la trépidation, le redressement brusque du pied égale- ment , mais ces manoeuvres ne sonl efficaces qu'à la co
uvements de la main qui sont gênés. Elle ne peut pas saisir solide- ment un verre et le porter à sa bouche. Elle a beaucou
trace des lettres très grandes; les traits sont irréguliers, fine- ment tremblés. La compression de la zone hystérogène
oscillations rhythmées du membre supérieur n'existent pas constam- ment . Parfois, que la malade soit assise, debout, ou b
et d'extension alternantes, le poignet oscille tantôt transversale- ment , dans le sens abduction-adduction, tantôt dans le
u'on lui prescrit. Les mouvements de force surtout, car le tremble- ment entre en scène dès qu'on lui commande un acte ne
ant près d'eux que c'était là un agent infaillible, que le tremble- ment allait cesser, etc.. La suggestion, l'aimant et l
L'un des malades est très sensible au froid; au moindre abaisse- ment de température il éprouve une sensation de refroi
stic. Nous disons l'habitus extérieur tout entier el non pas seule- ment le facies. On a vu, au cours de notre description
rable le pronostic de l'atrophie musculaire progressive et inverse- ment ; dans un cas comme dans l'autre, il y a des chan
ium à petites doses doivent être prescrits. Est-ce effet du traite- ment ? est-ce tendance naturelle de la maladie ? Mais
trecroisement des pathétiques. Le locus coeruleus est encore nette- ment visible; sur leur trajet inlra-médullaire, les ne
eux ou trois ans avant son entrée à la clinique. Il eut successive- ment un ptosis droit et gauche, et en 1886 une série d
es, dépourvues de prolongements; le réseau fascicule fait complète- ment défaut. Les faisceaux radiculaires qui en parlent
ui du côté gauche; ensuite, il s'est propagé à peu près symétrique- ment vers le haut, intéressant toujours le côlé droit
dans la suite complètement modifié par le peintre et-il est infini- ment curieux de passer par le chemin qu'a parcouru son
is, l'uniforme et le sabre bientôt consulaires; la nature, franche- ment attaquée jusqu'en ses altérations, s'offrait à de
es demeuraient fléchies sur les cuisses et celles-ci étaient telle- ment pliées sur le bassin que les genoux touchaient le
ns; la troisième phalange, nécrosée, était dénudée presque entière- ment , et M. Tuffier, qui me remplaçait alors, en prati
s sûre. De plus, quand on applique un morceau de glace alternative- ment sur l'un ou l'autre avant-bras, l'une et l'autre
en de la sensibilité. - Pour la sensibilité au contact, l'effleure- ment , le frôlement très léger d'un pinceau promené sur
e à gesticuler. Le plus souvent le malade délire; il a indubitable- ment des hallucinations, car il dit voir du feu, diver
egré peu avancé de son intelligence, toutes circonstances, extrême- ment importantes au point de vue étiologique et pathog
ux parties osseuses. Ces dernières asymétries dues à un développe-, ment anormal des os de la face ou à des synostoses pré
le ; pour les narines, la déviation de la cloison et le rétrécisse- ment ou même l'oblitération congénitale des narines.
u côté de la langue, outre les déviations paralytiques, le tremble- ment , vous pourrez trouver des cicatrices par traumati
molaires, telles que l'absence d'une ou plusieurs dents, générale- ment l'incisive latérale ou la dent de sagesse en haut
ère dentition persistent avec celles de la première dont elles aug- mentent le nombre, et constituent alors de fausses dents
on des vertèbres. Dans ce temps-là, se montra un peu d'affaiblisse- ment des membres supérieur et inférieur gauches, avec
oute leur étendue. La moelle fut retirée et examinée macroscopique- ment . A l'oeil nu, on ne constata aucune altération ap
is, telle qu'elle est, il nous semble qu'elle comporte un enseigne- ment précieux. La malade était morte de fièvre typhoïd
de longueur avec lequel s'articule l'index. Celui-ci, considérable- ment atrophié, est moins volumineux que le petit doigt
costal. Ebstein signale comme un phénomène constant le développe- ment plus considérable du thorax dans le sens transver
répare le terrain à la contracture spontanée qui se montre fréquem- ment et constitue en quelque sorte un phénomène avant-
. Après avoir duré une quinzaine de jours ils disparurent spontané- ment pour ne plus reparaître. Leur disparition aurait
ut à fait spécial chez le nouveau-né de la nuque, et plus générale- ment des régions vertébrales; 2u les anomalies morphol
« Pour moi, disait M. le professeur Sée, cette malade est probable- ment atteinte de paraplégie hystérique. Je sais que nu
aveuglément nos anciens maitres. Du reste la marche et le traite- ment décideront de quel côté se trouve la vérité et je
égies par compression lente de la moelle n'appartiennent pas direc- ment à la famille névropathique, et on ne retrouve pas
ait plusieurs fois dans ce chapitre, nous arriverons très certaine- ment au diagnostic pur et simple de syndrome hystériqu
ve qui puissent entraîner la mort, nous pensons qu'il est actuelle- ment impossible de répondre par l'affirmative. Il no
grande majorité des cas, l'étude d'un syndrome morbide est simple- ment esquissée du premier coup. Bientôt, les faits se
C'est en 1880 que M. le professeur Charcot a démontré, contraire- ment à l'opinion à laquelle il s'était jûsquc-là ratta
'examen électrique pratiqué par M. Vigouroux a démontré très nette- ment l'existence de la réaction de dégénérescence. z
al., 1887), et la preuve expérimentale en a été fournie tout récem- ment par MM. Raymond, Onanoff et Déroche°. En sectionn
sation et des troubles électriques, ces divers faits ne sont nulle- ment comparables entre eux. En ne tenant compte que de
sans cesse enveloppées dans l'ouate, elle ne peut préciser exacte- ment le jour. C'est, dit-elle, quand la main s'ouvrait
fonds, les mouvements de la main et des doigts perdus. Progressive- ment , sous l'influence de l'électricité, des bains sul
le membre supérieur et le membre inférieur droits étaient complète- ment paralysés. Le malade ne se souvient pas si la fac
) Membre supérieur gauche. - Dans ce membre la motilité est faible- ment conservée. L'atrophie a fait disparaître l'action
re souffrance, et, cependant, il sent le contact el se plaint vive- ment si on le pince ou si on le pique'. » 2° L'autre
ouleur, de l'éclairage, du fond et de l'élat de repos ou de- mouve- ment de l'objet coloré. » C'est donc vraisemblablement
périoptométriques assez notables. Nous avons fait progresser lente- ment le papier coloré de la périphérie au centre, et c
initivement fixées et, pour dire toute notre pensée, le rétrécisse- ment chromatique du champ visuel ne nous semble pas po
iel plus sérieux : elle évolue, nous l'avons déjà dit, très rapide- ment , frappe souvent d'emblée un membre entier, un seg
issements ou de secousses. Plus rarement, il éprouve un chatouille- ment du côté droit de la colonne vertébrale suivi de s
l'opinion que la suspension n'est qu'une chimère, et quece traite- ment est condamné d'avance à disparaître sous peu. M
Erb rapporte un cas analogue : le malade tabétique mourut subite- ment le cinquième jour du traitement, après la onzième
Le signe de Romberg et les paresthésies s'amendent considérable- ment et peuvent même disparaître. Presque tous les mal
L'amélioration des symptômes céphaliques se rencontre très rare- ment ; pour s'en convaincre, il suffira de se rappeler
symptômes médullaires. Les symptômes céphaliques cédentàce traite- ment moins souvent et à un degré plus faible. Si mêm
ois côtés les vertèbres qui en bas et en haut limitaient immédiate- ment la dure-mère mise à nu. Ensuite avec de la cire f
formation de l'espace vide, conséquence immédiate de cet allonge- ment , était parfaitement établi. Il s'agissait de savo
- pension doit agir comme une ventouse sèche appliquée immédiate- ment sur la surface du cerveau et de ses enveloppes, o
on et de résistance, la pression négative s'exercerait plus facile- ment sur les parois vasculaires que sur la dure-mère.
vait que quand l'ouverture du manomètre était débouchée immédiate- ment après avoir mis le chien dans la position vertica
vaisseaux. A priori, on devait attribuer ce phénomène à un gonfle- ment du tissu cérébral produit par une cause quelconqu
77 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ire. « Cela veut dire que chacun des groupes cellulaires du renfle- ment cervical en connexion avec le membre supérieur et
urs lancinantes au niveau de l'épaule. L'affection progresse lente- ment . En janvier 1902, la main droite est très amaigri
e aurait entraîné une atrophie segmentaire de la main. Ce raisonne- ment est spécieux. Les recherches de Marinesco ont mon
sition radiculaire. La main en effet ne constitue-t-ellepas un seg- ment , et ce segment n'est-il pas innervé par la Virile
xclusion des groupements voisins. Or nous avons voulu faire simple- ment oeuvre clinique et pratique. On a pu croire à un
îné des frères Meulen... vu de dos. Cette figure montre très nette- ment la déformation « en taille de guêpe » décrite che
te étant particulièrement maladroite ; ces troubles se sont rapide- ment accentués, et, après un repos au lit de quinze jo
Zimmerlin, Eichhorst, etc. ; à présent on les interprète différem- ment . On observe en effet fréquemment des cas qui retr
exclusivement provoquée par les rétractions musculaires. Le mouve- ment actif d'extension a perdu une grande partie de sa
bliquité des dernières côtes très saillantes sous la peau, enfonce- ment prononcé de la partie inférieure du sternum et ta
us équin. Démarche en flexion forcée, démarche de crapaud. « Au mo- ment où le poids du corps se porte d'une jambe sur l'a
ester debout, immobile, elle s'affaissait immédiatement et brutale- ment : elle ne pouvait rester debout un quart de secon
te énorme force qui la portait à s'affaisser brutalement et subite- ment ? Non, sans doute, ce n'est pas la force matériel
triceps après une tension volontaire revient au repos plus facile- ment . Ce phénomène est surtout marqué aux fléchisseurs
itudinale, for- Fig. 3 Fig. 4 DE LA DIYOTONIG ATIIOPRIIQUE 71 ment des ilots épais, ce qui, grâce à leur grande tend
ion des médecins et des chirurgiens, dans le cours de mon enseigne- ment à la Salpêtrière, Il s'agit des affections qui in
es du plexus lombaire, sont habituellement indemnes. C'est précisé- ment ce que nous observons chez notre malade. b) Des
int le rachis au-dessous de ce niveau, ne peut avoir de retentisse- ment direct sur la moelle. c) Quand il n'y a pas eu
FLECHSIG) (/. Faraud) . LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 103 ment des coupes frontales d'avant en arrière, et nous
che, semifluide n'adhérant pas aux parois. Ce liquide est certaine- ment d'origine lymphatique, il n'est autre que celui q
emière elle n'est pas constituée à proprement parler, il y a seule- ment préparation de lacune : c'est la lacune miliaire.
gment externedu noyau lenticulaire par exemple, on voit très nette- ment qu'elle se compose de trois parties très différen
un peu plus confuse ; mais quand il est coupé bien perpendiculaire- ment a son axe, ce qui est le cas le plus fréquent, on
et qu'elles aient à peu près disparu laissant peu de traces au mo- ment où il nous a été permis d'examiner l'artère, mais
protoplasma prend les couleurs acides : on n'y distingue pas nette- ment de granulations. Il est du reste souvent réduit à
tissu atteint d'autres vaisseaux et la cavité s'augmentant inégale- ment on ne voit plus d'artère centrale. On observe alo
examen pratiqué, le 22, après douze jours de suspension du traite- ment , révèle 10 grammes d'urée, 0, 90 de phosphates, 0
tion de la partie antérieure du thorax, les bras tombant naturelle- ment le long du corps, on est frappé par une asymétrie
erticalement en l'air, le mamelon droit monte peu et reste notable- ment au-dessous du mamelon gauche. Il y a là un contra
sous-jacent. Les récidives, d'après les statistiques, sont infini- ment plus rares et les mouvements du bras n'en sont pa
e et les mouvements passifs, sans toutefois faire intervenir l'élé- ment nerveux dans l'origine de ces affections. Erb e
teurs antérieurs en faisaient des affections médullaires. Actuelle- ment , le faisceau pyramidal serait surtout atteint, ma
es formes variées de la maladie sont souvent des distinctions pure- ment théoriques : pour Little il y aurait une forme sp
distribution dans l'espace, leurs attitudes sont toujours consciem- ment représentées. Par le jeu de nos articulations,
réaction de l'organisme montre que le contact a été topographique- ment localisé, consciemment perçu, en entendant par co
rtie de notre corps susceptible de déplacements en masse ou simple- ment considérée en elle-même. Cette solidarité relativ
sens musculaire à un ensemble de sensations qui ne nous font nulle- ment connaître... nos muscles. « Savons-nous, subjecti
le même mode de mise en tension, et que ce phénomène est sensible- ment le même dans tous les points où nous éveillons l'
canaux de même nom, à droite et à gauche, ne sont pas plus exacte- ment symétriques que toutes les parties de la boîte cr
st de nous fournir les notions d'attitudes et de mouvements du seg- ment céphalique, et son rôle est énorme dans l'exercic
res, plusieurs cantons psychiques ayant chacun leur étendue et for- ment ensemble un complexus physiologique forcément sup
e ou de sa localisation dans l'espace éveillent la notion de mouve- ment . Toute variation de localisation dans l'espace
rme d'espace, et devient un quelque chose dans notre milieu, forcé- ment le milieu de notre milieu. Le monde subjectif est
re examen devenu superflu. Or, l'imagination du peuple a été telle- ment frappée de l'importance que les médecins accordai
des jeunes colériques, enfin alors que la pharmacopée usait large- ment de ce produit excrémentitiel et lui attribuait le
significative ne laissent aucun doute sur les sentiments qui l'ani- ment ? Le peintre lui-même a pris soin de nous l'indiq
voie de prolifération plus riche dans les points qui sont directe- ment en contact avec les gaines des vaisseaux. En ce
iétale a débuté ; depuis la même époque il aurait eu assez fréquem- ment des vomissements. Depuis un mois, il est devenu
il semble y avoir des modifications atrophiques dans le développe- ment des os de la voûte crânienne de cette région ; l'
la céphalée, la stase papillaire, ne sont apparus que très tardive- ment . La céphalée, d'ailleurs, ne s'est jamais montrée
e, pendant tout ce temps,reste dans un état de torpeur progressive- ment croissante, il y a en outre de l'amaigrissement e
de la salle par la lumière du jour, mais elles réagissent normale- ment . Cet état se prolonge pendant le début de décem
qu'à la suite la névroglie, tissu de soutien, antagoniste de l'élé- ment noble, ait rapidement proliféré et étouffé les ce
oindres causes, la transparence de l'extrémité diminuant graduelle- ment jusqu'à l'opacité au niveau du pédicule, le diagn
ar le pédicule de l'encéphalocèle qui la masque et la ferme absolu- ment , la fente palpébrale gauche ne se laisse entr'ouv
et à gauche part de chacun des deux bourgeons latéraux (immédiate- ment au-dessus d'eux, ou mieux de l'intervalle séparan
re horizontale,séparée de la première par une faille dirigée égale- ment d'avant en arrière. La Ire partie (droite), d'u
hode de Kaiserling, et quelques jours après, avant que le durcisse- ment ne soit trop accentué, nous avons injecté par l'o
s formations interhémisphériques, nous voyons que, perpendiculaire- ment à cette commissure à faces supérieure et inférieu
naissance, et qui ayant'évolué et s'étant développés nécessaire- ' ment dans un même milieu ont subi en conséquence des i
eurs sujets au point de vue chirurgical, notant et relevant simple- ment quelques observations cliniques. Le côtéanatomo-c
fait de voir cette anomalie biologique pouvant évoluer si curieuse- ment dans la vie sociale a dû tenter sans doute certai
ntourage ne peut le dire. En tout cas, il ne présente pas actuelle- ment de traces visibles de cette affection. Un exame
tion révèle deux bruits bien frappés dont l'intensité est sensible- ment la même, que l'on pratique l'auscultation à droit
jambe et le pied sont très raccourcis, mais on ne dit pas ordinaire ment l'état de la cuisse. 1 Le tibia présente à son
mélange sublimé-osmique, indiquée plus haut peut être avantageuse- ment suivie d'une immersion de la pièce durant une vin
. (Observ. I). - Il- Racine dorsale. Coupe transversale, immédiate- ment au-dessous du cul-de-sac arachnoïdien. Colorat.
diculaire de Nageotte, les altérations inflammatoires sont extrême- ment intenses, les vaisseaux sont nombreux et dilatés,
nes antérieures sont dans leur parcours juxta-ganglionnaire absolu- ment normales. Région dorsale moyenne. - L'atrophie
nales les fibres ont l'aspect de filaments à paroi épaissie, forte- ment teintée en rouge. Les fibres altérées se dispos
t comparables dans leur nature et leur intensité. Disons immédiate- ment que la plupart des cellules ganglionnaires présen
sont normales, dans d'autres ganglions les capsules sont extrème- ment épaissies, les cellules capsulaires sont prolif
alement, on remarque que la dure-mère et l'arachnoïde sont extrême- ment épaissies et donnent insertion par place à des vé
te les fibres par petits groupes, ou même les engaine individuelle- ment . En un mot, la périnévrite s'accompagne à ce nive
gaines de myéline sont également moins nombreuses et moins franche- ment colorées dans le segment sus-ganglionnaire des ra
tc... La différence ne se montrait que dans l'issue qui, ordinaire- ment favorable dans la catatonie, aboutit inévitableme
nsi qu'une excitation cutanée légère provoque simplement un fronce- ment de sourcils un peu plus marqué, tandis qu'une exc
toute l'année suivante, l'état du malade reste le même, avec seule- ment des alternatives dans lesquelles prédominent tant
trent bien qu'une pathogénie univoque ne peut être admise actuelle- ment . La première observation de ces auteurs concern
e exostose sous-unguéale du gros orteil droit et présentant, au mo- ment où ils l'ont examinée, plus de 150 exostoses diss
faits cliniques bien connus tendent à établir qu'il existe réelle- ment un rapport entre les lésions des os et certaines
de ceux qui se noient, il se dressa sur la plante des pieds, au mo- ment où la mer commença à les mouiller. Lorsque la mer
effet, s'efface totalement devant ses idées délirantes. A aucun mo- ment , elle n'apparaît sur la scène. Une bande de broca
, mangea et se mit au lit ; vers minuit, comme il dormait profondé- ment , une jeune fille de quinze ans,merveilleusementbe
notre maison ; mes vieux parents sont tombés dans la misère ; com- ment les soutenir ? J'ai vendu ce misérable corps, pou
trices et dissociation du « moi » (1) SCHULE, Traité clin, des mal. ment . ; trad. franc. Dagonet et Duhamel, 1888 p. 469
'état mental des paysans. Le simple d'esprit s'y rencontre fréquem- ment et il est possible que le saké joue un certain rô
divers (cyphoses, scolioses, lordoses simples ou combinées diverse- ment entre elles) apparaissant en même temps que la ra
servée, et cependant la station debout et la marche amènent rapide- ment une lassitude extrême et une sensation de briseme
cédents personnels.- Né à terme, d'une grossesse normale, accouche- ment sans forceps, nourri au sein, pas de convulsions.
supérieurs ; le chatouillement de la plante n'amène aucun déplace- ment des orteils, ni en flexion, ni en extension. Le
tion du bulbe,necal;hezpasvoscraintessurla possibi 1 itéd'undénoue- ment fatal. » M. Raymond admet donc la relation possib
e deFriedreicb, et c'est le cervelet qui, directement ou indirecte- ment , parait devoir être mis en cause. Si on analyse
'épaississement de la gaine piale commune, qui dans le dernier seg- ment des racines se confond avec la dure-mère (épsttév
'importance : les variations quantitatives du pigment sont extrême- ment grandes à l'état normal ; et dans le tabès, nous
rte sur le noyau et le protoplasma cellulaire d'une façon sensible- ment proportionnelle et peut réduire la cellule au cin
simple, la gaine de myéline et le cylindre-axe disparaissent lente- ment et progressivement, la dégénération wallérienne e
s, lorsque le centre trophique est atteint. Est-il détruit brusque- ment , c'est la dégénérescence wallérienne que l'on obs
; il est rare qu'elles soient une cause de compression ou d'écrase- ment des racines, il y a d'autre part souvent une disp
Les arguments que nous venons d'indiquer nous paraissent suffisam- ment décisifs pour refuser à la lésion de Nageotte une
perdre de vue, en effet, que dans le tabes ce ne sont pas seule- z ment les racines postérieures et les nerfs cutanés qui
n peut peser la capacité de travail volontaire d'un individu notam- ment avec l'ergographe deMosso, et comparer cette capa
radiculaire de la queue de cheval, qu'il s'agit très vraisemblable- ment chez le malade qu'on vient d'installer devant vou
nombre de racines spinales ou au voisinage d'un plexus. Effective- ment cette interprétation a été adoptée par certains n
Quand le malade se met à genoux sur une chaise, à droite le mouve- ment est normal, à gauche il s'accomplit avec brusquer
qué. Mais cinq jours après, dans l'après-midi, il succombe brusque- ment dans une syncope. Examen anatomique. A l'oeil n
, la formation de foyers de mortification dont dépendent exclusive- ment les troubles cliniques qui ont été observés, et c
ant reste habituellement assis dans une chaise et au moindre mouve- ment présente les oscillations latérales décrites plus
moins coloré et se contourne à son extrémité sous forme de renfle- ment avec le ruban du côté opposé. Ces altérations se
ccipital, soit du côté de la base du crâne. L'atrophie porte égale- ment sur les pédoncules cérébelleux issus du lobe gauc
m que la couche innominée des cellules atteint son plein développe- ment , est le mieux isolée, paraît le plus fournie en c
, reconnu apte au service militaire, il fut incorporé dans un régi- ment d'artillerie, en garnison à Givet (PI. LXII). A
loppé.- La voix n'est ni particulièrement grave, ni particulière- ment aiguë; et le grand Charles module avec une voix
aient avoir atteint leur stature définitive; et, comme l'accroisse- ment en longueur des os se fait au niveau des cartilag
s longue et moins grosse; la diaphyse des phalanges était uniformé- ment allongée et l'on n'observait pas de productions o
e genu valgum, si accusé chez notre sujet, s'est développé tardive- ment : nous possédons en effet une photographie prise
: nous possédons en effet une photographie prise au sortir du régi- ment , qui le représente sous l'uniforme d'un grand cui
ôté gauche (voir planche LXVIII). « Le condyle interne est extrême- ment long, tandis que l'externe est très court. Cette
tronc est proportionnellement (4.) à peu près normal et l'allonge- ment porte surtout sur les membres ; 2° Les membres
le de l'ongle d'un doigt, adhérentes à la face postérieure du liga- ment large. LE SQUELETTE.- Après avoir enlevé les pa
ue de 10 pour 100. Le squelette. GIGANTISME ET INFANTILISME 563 ment des dents sont également très visibles. Les deux
aureau (4). » Poncet a obtenu de même par la castration un allonge- ment des membres .postérieurs chez le lapin f5). , . ,
us ces exemples d'atrophie génitale chez des géants et d'accroisse- ment du squelette chez des infantiles ou des castrés p
a suivi les korrigans, on est complète- LES PAOTRED AR ZABAT 385 ment à la merci de leur volonté; malgré soi, on est fo
des géants, la coiffure et les pieds dépassent le filet d'encadre- ment . On remarquera également que les géants portent t
berg (de Copenhague) a eu l'amabilité, dont je le remercie sincère- ment de me signaler l'existence, dans la cathédrale de
., 3 dessins), 222. Brissaud. Cécité verbale pure ; ramollisse- ment de la région calcarine gauche; dé- générescence
78 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
Les genoux ne semblent pas déformés : les fémurs sont considérable- ment augmentés de volume. Le bassin paraît intact auta
r offre au niveau de sa portion^ horizontale droite -un épaississe- ment très considérable qui empiète particulièrement su
me ; leurs articulations semblent ankylosées. Le sternum est égale- ment hypertrophié, surtout dans sa moitié supérieure.
hites répétées. La respiration est courte; expectoration ordinaire- ment .abondante. Aspect du malade (PI : VI). Ce qui f
au- ni veau des deux maxillaires, mais la déformation est extrême- ment marquée au niveau du maxillaire supérieur. De plu
ont saillantes, ce qui fait paraître l'aeil plus petit que normale- ment au milieu de cette hypertrophie généralisée. Le
ns vu que la suggestion de la cécité droite a retardé le développe- ment du réflexe acoustique droit, de même qu'une surdi
. Mais l'artiste a introduit dans ses compositions une note légère- ment caricaturale, qui contraste d'une façon saisissan
s monuments figurés et les monuments écrits s'éclairent réciproque- ment . Et l'on doit d'autant moins négliger de comparer
soumis le projet de ce travail à M. le Dr Charcot qui m'avait vive- ment encouragé à le poursuivre. A son approbation de m
pas, dans ses gestes ni dans son attitude, de caractères suffisam- ment indiqués pour qu'on puisse les rapporter iiiie ma
. Elle est le point de départ qui nous permettra d'élucider facile- ment le mécanisme des autres modes de station. Mécan
ransmet aux membres inférieurs. Nous avons déjà fait remarquer com- ment la forme de coin du sacrum avait pour résultat de
ion que prennent alors les membres inférieurs diffère considérable- ment de celle qui est propre à ce mode de station. D
la station verticale droite les deux parties du corps sont absolu- ment symétriques. La verticale passe exactement par la
s segments du corps formaient une succession de lignes alternative- ment obliques en sens contraire. Dans la station sur
rien de nécessaire et disparaissent lorsque celui-ci est parfaite- ment établi. Fig. 20. t 1 86 NOUVELLE ICONOGRAPH
où il suit que l'extension de ces deux articles est presque unique- ment maintenue par le poids même des parties situées a
peut s'infléchir latéralement, sans qu'il s'y adjoigne aucun mouve- ment de torsion ; mais il n'en est pas de même pour la
rait se laisser distendre davantage, et met obstacle au redresse- ment du bassin. Si le torse penche trop en arrière la
ement par le contraste des deux membres inférieurs, et est fréquem- ment employée par les artistes chaque fois qu'un perso
e relève, enveloppe ainsi le noyau et la bandelette ; puis, finale- ment , redevenue horizontale, mais marchant en sens inv
tré en France il passa quelque temps chez lui sans faire de traite- ment . Il ressentit alors à la nuque des douleurs d'une
Membres inférieurs. Rien d'anormal, ils participent à l'amaigrisse- ment et à la faiblesse générale, mais ils n'offrent pa
peut être dû à la faiblesse et à la diplopie qui gène considérable- ment le malade, pas d'incoordination, pas de signe de
ses parties », l'autre ayant trait « à la méthode curative propre- ment dite de ses plaies et fractures ». Ambroise Par
t muscle se meust en maschant et en parlant, et partant, difficile- ment est consolidé ». Tel est, en quelques mots, le
tude serait ici tout il fait déplacée : nous les notons donc seule- ment . Ajoutons du reste que notre analyse, où nous a
u trousseau ligamenteux de la hanche (en particulier celle du liga- ment de Berlin) qui s'oppose il la chute du corps entr
Il est un moment, dans la marche, comme le démontrent très nette- ment nos photographies instantanées, où les deux jambe
ce n'est pas tout. Le bassin pendant la marche reste-t-il parfaite- ment horizontal ? N'incline-t-il pas à certain moment
Quand au mouvement du torse, il est la conséquence directe du mowe- ment anormal du bassin. C'est une action de compensati
uve toujours une atrophie atteignant plusieurs muscles, principale- ment ceux de la moitié supérieure du corps, de la cein
. « La localisation de cette atrophie, dit Erb, est partout exacte- ment la même, atteignant toujours les mêmes muscles de
malade dont nous publions aujourd'hui l'observation rentre assuré- ment dans le cadre des myopathies primitives progressi
de face, semble élargie en ce point; il en résulte un raccourcisse- ment apparent de ce segment du membre inférieur. (Fig.
uvements du pied sont également très faibles. Les extenseurs notam- ment sont assez atteints pour qu'il y ait chute du pie
e façon générale, l'intérêt de cette observation réside principale- ment dans ce fait que la dystrophie musculaire a envah
es conditions. Les réactions s'étant montrées à peu près identique- ment semblables des deux côtés, nous ne rapporterons q
Nerf péronier : A 75 ? C. minima (C. dans l'extenseur commun seule- ment ) ; à 70mm idem; à 65 des C. apparaissent aussi da
eux : n'est pas sensiblement atrophié; C. m. à 65, C. avec déplace- ment à 60"'m, à peu près de même des deux côtés. Gra
sseur profond. Cubital antérieur : C. m. vers 70 ; C. avec déplace- ment à 55 ; Rond pronateur : C. m. vers 65 léger dép
rès maigre, assure la mère. Tous ces symptômes se sont progressive- ment accentués dans la suite. Jamais d'attaques, sau
règles ont apparu à 11 ans, et se sont continuées depuis régulière- ment . La malade était clans l'impossibilité de march
L. BATTAILLE ET CI. ÉDITEURS UN CAS D'AMYOTROPHIE PRIMITIVE 193 ment ; aujourd'hui en effet (février 1894) la malade es
plète de lésions du système nerveux, et, pendant la vie, un change- ment très léger ou transitoire des propriétés électriq
n'insistons pas sur les troubles de la mimique bien décrits égale-~ ment : le rire triste, en travers et en bas, ou rire j
idiopath. compliquée de névrite multiple. The Journ. of. Nerv. and. Ment . Discases, Avril 1893, n° 4, p. 252. F. Raymond
c, progr. associée à l'ataxie locomotrice. The Journ. of. nerv. aud ment . diescases, fév. 1894, p. 93. FR. COLEY. - Pseu
on secondaire. Sans doute, un traumatisme qui offenserait sérieuse- ment une articulation frappée d'artliropathie pourrait
éjà le genou lui semblait déformé. - Le 21 janvier 1889, le gonfle- ment envahit sans cause appareille la totalité du memb
ncore lisse, tendue et sillonnée de veines nombreuses. Non seule- ment la douleur est nulle. sauf par périodes d'une t
ue normale, puis dans une supination et dans une pronation égale- ment invraisemblables (Fig. 60. 1, 2, 3). Par la spo
plusieurs années. Or voici que depuis deux mois, un oedème absolu- ment semblable s'est montré au membre inférieur droit
lte statistique, l'épaule esl prise 27 fois et six fois bilatérale- ment , le genou GO fois et 13 fois des deux côtés. C'es
usieurs jours de suite avant de disparaître pour reparaître rapide- ment . Douleurs de broiement et de morsure d'une grande
rogressif de J'arthropathie. Il se développa chez elle progressive- ment un hydarthrose de l'épaule qui fut ponctionnée pl
arqué par un traumatisme, le plus souvent ce gonflement est absolu- ment indolore : il n'y a ni douleur spontanée, ni doul
es fois (J. B. Charcot) c'est petit à petit que se forme l'épanche- ment articulaire, c'est peu à peu qu'il atteint un vol
e supposer ici une amputation congénitale qu'un arrêt de développe- ment , tout en faisant quelques réserves sur celle path
cuper chaque racine. 250 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment , avec la précaution d'y conserver leurs courbures
Démoniaques dans l'arl. passim. LES POSSÉDÉS DE P. BRONZET 261 ment dessinés, les plis des draperies sont élégants et
s mains. L BATTAILLE ET C" UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE ATYPIQUE 2G9 ment diminuée du côté droit ; sonlinge est toujours so
'apprécie généralement la meilleure photographie que comme un docu- ment inintelligent et brutal. En résumé, qu'il s'agi
our le malade. Jamais du moins les observateurs n'ont particulière- ment signalé de douleurs dans ces opérations. Nous ver
imètres. Dans le 2e cas de Nissen la tète de l'humérus était égale- ment atrophiée. On trouve de nombreux exemples de la f
Complications. L'évolution essentiellement chronique, ou passagère- ment coupée de poussées aiguës, des arthropathies syri
lles sont si rarement symétriques parce que le gliôme est générale- ment très asymétrique dans son développement. Doit-on
on de Graf où cette thermoanesthésie cutanée n'existait certai - ne ment pas il y avait cependant des troubles subjectifs
s. Charcot rejetait celle hypothèse. M. Brissaud émettait dernière- ment la même opinion dans nne de ses leçons à la Salpê
u'avec une arthrite déformante ou avec une lésion articulaire pure- ment traumatique. L'arthrite déformante n'a ni le dé
occasion chirurgicale presque sûre par l'adjonction de quelque élé- ment connexe : traumatisme à son début ou pendant son
suppuré à l'exclusion de l'articulation du coude, contenant seule- ment du liquide sanguinolent et sans doute non infecté
nt dominées par une seule loi : la ténacité et la durée habituelle- ment plus grandes pour la lésion articulaire que pour
n'exigent du reste, dans l'immense majorité des cas, qu'un traite- ment non sanglant : les palliatifs médiaux sont seuls
tension du genou s'arrêtait il mi-chemin pour se compléter brusque- ment au bout de quelques instants : les béquilles n'em
devant mourir prochainement. Les vomissements sont devenus absolu- ment incoercibles ; l'estomac ne supporte pas le moind
couvre. Les cheveux sont secs et raréfiés par places, particulière- ment derrière les oreilles où se voient deux plaques a
onc inutile de manger. Elle se laissera mourir de faim tout simple- ment , lentement, mais n'attentera pas directement à se
diagnostic du médecin, ses questions, son exploration, son traite- ment , etc., n'ont pas été sans inlluence. Malheureusem
ques quolibets touchant son léger embonpoint. Dans l'état d'épuise- ment nerveux où elle se trouvait et [qu'entretenaient
nrique des organes latéraux, Arch. de Zool. exp., 1891. Voir égale- ment . Notice sur ses travaux scientifiques, Paris, 189
a pupille est un peu dilatée mais réagit normalement. Il y a égale- ment atrophie .par névrite delà papille et même aspect
re ; il a progressé. Dès le début, la malade fût soumise au traite- ment .antisyphiiitiquè intensif : frictions et iodure d
marche devient de plus en plus difficile et le malade perd facile- ment l'équilibre. Actuellement il n'existe pas de trou
n I. Fracture de la Vie dorsale ; déplacement en arrière d'un frag- ment osseux demi-circulaire comprimant la moelle. Abla
rotome médullaire, ganglion auriculaire neuro-latéral etépaississe- ment auriculaire branchial ont au début un aspect iden
vont fournir les pinceaux des cellules sensorielles et de soutène- ment , ces derniers se laissant détacher en masse pour
e. Elle donne spécialement la bande vasculaire du limaçon, le liga- ment spiral et une partie de l'épaisseur de la protubé
d'où partent des prolongements centraux qui gagnent plus spéciale- ment le cervelet. a') Le nerf labyrinthique possède ég
masse qui correspond véritablement au ganglion auriculaire se frag- mente pour former le ganglion vestibulaire, le ganglion
ontant de la moelle à la protubérance, les colonnes grises qui for- ment les cornes postérieures ont subi dans le bulbe d'
ent. L'état vésico-rectal est stationnaire ; la polyurie a brusque- ment diminué depuis vingt-quatre heures : le malade a
de tout travail : l'inclinaison de la tête sur l'épaule, partielle- ment atténuée par une scoliose compensatrice, était en
transverses. Après un tamponnement de quelques minutes, le suinte- ment veineux qui se faisait sur les parois de cette pl
79 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
x. (1887, p. v.) La seconde catégorie comprend les idiots absolu- ment inczcoables, en beaucoup plus petit nombre qu'o
etite ÉCOLE. v depuis trois ans et qui va être achevée prochaine- ment , nous servira également pour d'autres enfants,
le). - Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes, sous la conduite de Melles Blanche
d'exécution consistant en une couronne en vermeil. Elle a égale- ment pris part au concours de Villejuif où elle a rem-
Michel (J.), architecte; D1' Mello-Reis, en mission du gouverne- ment de la République du Brésil ; D'' Meyer (1-I.) (de
officiers de marine, chargé de mission spéciale par le gouverne- ment royal de Danemark; M. Pottié, instituteur aux s
te. En nous imposant la fatigue très grande de montrer non seule- ment la disposition du service des enfants, mais enc
RCURRENTES. XLII Maladies intercurrentes. Elles ont été relative- ment nombreuses : 15 enfants sont entrés à l'infirme-
et enseignement professionnel. Les procédés employés sont égale- ment les mêmes qu'à la section de Bicêtre. Les amé-
rave sans être fausse. Quant aux myxoedemateuscs mises au traite- ment par la glande thyroïde, on a observé les mêmes
on asymétrique. Transformation des carreaux des fenêtres du bâti- ment neuf. Réparation du parquet du gymnase et réfle
donne- rait la haute mission de surveiller et d'aider, non seule- ment les enfants devenus adultes, ayant quitté sa sect
ce des morts d'une part et la Chapelle d'autre part. Cet éloigne- ment motive les mêmes critiques que pour le Projet N°
mis- sion difficile qui incombera à l'architecte de l'établisse- ment . i Projet N° 5 Avec le projet 1T° 5 nous arri
isième rang. Les considérations qui, précèdent motivent suffisam- ment ces propositions, sans qu'il soit besoin de répét
ult pré- sente deux innovations qui le différencient avantageuse- ment des Asiles existants et lui donnent un caractère
rticulier. Nous voulons parler de l'adjonction il l'Asile propre- ment dit et au Pensionnat, qu'on trouve déjà réunis da
visiter leurs malades, doivent être vastes, placés dans le bâti- ment d'administration, ou contigus, afin d'éviter la p
des malades; 7° Les Services généraux doivent être conçus ample- ment , de manière il faire face non seulement aux besoi
uc- tions à leur but, tel doit être le rôle d'un architecte vrai- ment habile, soucieux de sa réputation. M. Morin-Gous-
assez bon camarade. La tenue est mauvaise. Il exécute convenable- ment tous les exercices de gymnastique. A l'atelier il
ne certaine mesure. Sa ¡Hère, étant domestique, ne peut certaine- ment pas s'en occuper. Au commencement de cette année
etrouvé que deux, que nous insérons dans ce Compte-rendu, simple- ment à titre de document. Nous le regrettons d'autant
nfin joueur d'orgue. Intelligence à peine moyenne ; léger bégaie- ment , sobre, calme ; un peu rhumatisant ; s'est « démo
. - Cette nuit la diarrhée a aug- 32 Diarrhée; BRONCHO-PNEUMONIE. mente ; selles séreuses, jaunâtres, glaireuses ; foie n
ation s'embarrasse davantage, le malade se refroidit progressive- ment et meurt dans la nuit. Autopsie le 18 janvier.
ses attouchements répétés. Au début, les accès furent régulière- ment nocturnes. Le malade ne prévenait pour ainsi dire
rrégu- lièrement implantés. - Arcades orbitaires longues, légère- ment fuyantes en bas et en dehors ; sourcils longs, pe
elon de la grosseur d'une tête d'épingle; le thorax est complète- ment glabre. Auscultation : quelques râles de bronchit
us ancien pathologique, et non pas d'un simple vice de développe- ment . . RÉFLEXIONS. I. Nous devons relever chez le p
i de l'hémisphère gauche se dévie en dehors, ouvrant ainsi large- ment la scissure interhémisphérique; plus en arrière,
occi- pital droit. Toutes les sutures persistent et sont moyenne- ment dentelées. Il y a deux os wormiens sur la suture
nt le jour, qu'il existe à la partie supérieure de notre enfonce- ment un trou ovalaire d'un centimètre de diamètre vert
r- mer la deuxième circonvolution frontale (Pr,. IV, F2), nette-. ment séparée de la première par le premier sillon fron
la première occipitale, P1; - 2° la deuxième se dirige parallèle- ment à elle en arrière ; elle en est séparée par un si
ième enfin se dirige en arrière et en bas, et, presque immédiate- ment après sa naissance, se divise en trois branches q
al jusqu'au bord inférieur de l'hémisphère où elle atteint égale- ment trois cent, de largeur, tu ; un sillon très net l
La grande scissure calloso-mal'ginale se distingue assez facile- ment avec son trajet habituel, commençant au-dessus du
ons la ventricule latéral, qui présente des dimensions manifeste- ment plus grandes qu'à l'état normal dans ses trois co
agnée d'une vive émotion au cinquième mois et suivie d'un écoule- ment sanguin, léger il est vrai mais qui a persisté
rencéphalie : un processus pathologique ou un arrêt de développe- ment . C'est sur ce point que diffèrent nos idées. Po
ement moteur. - De même, on a étudié la moelle sur plusieurs seg- mens , prélevés à la hauteur des renflements, cervical
u occuper surtout la moelle dorsale et la moelle lombaire, notam- ment dans les cordons postérieurs de chaque côté du
néo- formés qui s'intriquent les uns clans les autres et renfer- ment ,dans leur masse des vaisseaux assez nombreux, plu
copique. rencontre une bordure plus étendue, qui se colore forte- ment en rouge par le picro-carmin ; elle se compose
nte, profondé- . Méningo-encéphalite ; examen MICROSCOPIQUE. - 85 ment altérée comme nous le verrons plus loin; le résul
es cellules pyramidales; mais le maximum des lésions siège nette- ment au niveau des fibres tangentielles ou fibres d'as
se. facies inintelligent. Cheveux châtain clair, assez régulière- ment plantés. Le volume du crâne est moyen, pas de pré
cule du môme côté. Souffle rude dans la même région ; retentisse- ment de la toux; pectoriloquie. - Traitement : potion
ale du maxillaire inférieur. - Amygdales normales. Larynx légère- ment saillant, mais le corps thyroïde ne paraît pas tr
éral est bien mauvais, la température s'abaisse, remonte brusque- ment de 1° (37,6) le 3 septembre au soir, retombe à 36
hyxie à la naissance malgré trois circulaires du cordon. Allaite- ment maternel. Première dent à 14 mois. - Parole il
(1893-18Ç) ! ¡),. mais beaucoup moins nombreux. Un second traite- ment ne détermina qu'une cessation momentanée du pet
ir et au réfectoire. Il est devenu glouton et mange moins propre- ment . 140 Accès; température. ' Température des 6
manifes- tations diverses de la syphilis héréditaire, mais rare- ment des lésions cérébrales aboutissant à l'idiotie ou
réfectoire, ni au dortoir, il mange avec gloutonnerie, malpropre- ment , devient gâteux. Les mains tremblent, la mar- e
hydrothérapie et les médicaments reconstituants, employés exacte- ment , y ont largement contribué. VI. Lors de l'admis
80 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tait à la campagne, où il passait ordinaire- G CLINIQUE NERVEUSE. ment huit mois de l'année, lorsqu'un beau matin il acc
t est d'un tempérament lymphatique; les oreilles sont habituelle- ment congestionnées; il est sujet aux engelures et a t
e, le Dr Blache jugea à propos de lui faire reprendre son traite- ment bydrothérapique et me le renvoya. Nous donnâmes a
. L'enfant resta environ trois mois à Paris et suivit son traite- ment pendant tout ce temps. 11 était à peu près affran
doute un peu' jeune, mais elle se trouve confirmée par le senti- ment de More), un de ceux qui ont le. mieux vécu avec
maniaques » au sens vulgaire; et l'on passe. Mais. que, précisé- ment , il survienne, quelque douleur, cette hypochondri
effet, le patient, souffre, «est déprimé, set concentre- pénible- ment sur lui-même, et-réagit de .diverses -façons., Qu
ndances ,qui persisteront, en dernier lieu, taudis que graduelle- ment i s'atténueront lés autres ? / j, ., ? 1 f .. 1
- commenca à s'obscurcir, et aujourd'liuielle se vôile complète- ment quand l'agitation,, est à son^ apogée. Cette ^obs
ien qu'elle'ait des intervalles relatifs de tranquillité, t Au mo- , ment même des paroxysmes la malade ne perd pas conscie
., lui'était permis de satisfaire largement ses besoins de mouve- ment et ses tendances au vol. Elle dit éprouver, quand
t morbides sans.les pouvoir vaincre,' augmentaient considérable- ment et absorbèrent toute ^existence de, l ? malade.,i
- f ? ) ? '' (,N,. I ? J'-ff ? ) : ? ( y. r' moins intéressantes mentent de fixer 1 attention. Jus- , i r-,%$1*1 ul ? il
11 ,¡JI'II ! Í'aI'I ? Il te' .'P""IJY'I ';J'1111'J'I"'I2111' ; rr, ment /ils retr.ouventc 1,' équilibre, cérébral '(IC ? (
irantes de gran- deurs, le paralytique. n'a.que des représentations ment 64 'gOYat'I1`,a,·/0 P4 : r\iOLQ}.E rll ! E1"TM.
i;ccommeajer.lo disaiplus;haut, laoonceptionsdéurantefestlunijuge ment , pile exige- ^complicité de d'intelligence, etd'j
rolJe,la lqul;deu>i ? Lll;lii;Létemeut : ll;éstpresqûo constant ment en mouvement, faisant des gesticulations incohére
er. Connaissant son genre Ü'in1pressionnllbilité' ii" réussit aisé- ment à captiver son intérêt par les modulations variée
'ej\(lu, sillon 1 prérolandique; ,ù. droite, elle, gagne, .oblique- ment en arrière, le bord sagittal de l'hémislylière,sa
x i i cocrcibles ; accès d angoisse précordiale"revêtant àbsolu- ment l'aspect du'syndrôme a ? ? y : He epo/< ? He;
mais quand on les,\ voit exister chez le même malade -'simultané- ment , quand on les voit coïncider avec des troubles ps
convulsifs, hémiplégie,' hémianesthésie; glycosurie; etc.);[ coin'- ment pourrait-on s'arrêter'à'cette idée qu'une, altéra
ar'-la ''cautérisation du - " 1 " t*formes' à produire simultané- ment la tachycardie'le'goitre ot'1'exophthalmie (celle
, "- ' u Ajoutons que la panse et le bonnet communiquent directe- ment avec 1 aesophaâé, qui se continue ensuite sous la
J "1 HIJI '.JUld ¡II t; ! fJt t l '1ft. ¡fi )11.1'1 ...fl 1 Ii Ill' ment JrJJ 1 il "y \jlf : Hq.¡rf(l .,f' '11 zon1' , ? .
la moelle, par sa racine ascendante, au niveau de l'entrecroise- ment des pyramides, dans.le. renflement latéral de la
s, au cas même où les faisceaux en question contiendraient égale- ment des fibres centripètes*. ' 1 l" ,i, " 1 *" '' ' P
aucune attitude vicieuse, taÍ1t1fVaLrophie : ¡ seYréparti tHgale-' ment . La comparaison avec un malade atteint d'atroplii
. certains groupes,musçulaires,··Land;slducll;lucllct porte, égale- ment et symétriquement) surdons les Il1usclcs.i'wv 09D
servatiolfl anatomique une notion que F. Terrier avai.ç¡Î1,V.qujb ment établie déjà. La ressemblance existant entre le p
alors en catalepsie, soit en, les fermant et en comprimant légère- ment les globes oculaires pour plonger le sujet dans l
ions sont plus intenses, l'excitation la plus faible est immédiate- ment suivie d'une réaction dont la rapidité exclut l'i
[Archives de Neurologie, t. V, p. 400. - 140 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment physique et psychique, semblables aux prisons d'i
bnubilation, de la connaissance de l'épileptique, difl'èrent,éga]e- ment .'L'hypnotisé ne, fait rien de lui-même; il n'est
Discussion : Nasse. De semblables états se voient aussi,passaeere-; ment en d'autres modalités. psychopathiques., Ils ne c
1°' Les nausées et. les, vomissements se rencontrent très fréquem- ment dans les, maladies de l'utérus; ces .troubles son
sions dessY,mpt1es'1110ntrl}l ! e ! lr union intime, leur enchaîne- ment logique ? , leur dépendance fatale, illustrant le
ou' prématurés qui impriment à ces prétendus arrêts de développe- ment spontanés, un type particulier ; suivant ce type,
innée, quasi mystérieuse de l'individu' à se développer normale- ment ; elle peut, comme dans' la forme acquise/être la
sitif des circonvolutions et indirectement un arrêt de développe- ment qui se manifeste d'habitude sous le masque de l'i
on camarade et lui écrit une lettre très affectueuse. Il est telle- ment troublé et malade qu'on arrive à lui cacher penda
ans, de qua- rante ans ou même plus, arrive le calme plat. Seule- ment , avec l'activité délirante s'en est allée aussi l
ces subdivisions de la démence n'ont par elles-mêmes, noologique- ment , aucune existence propre : ce sont simplement d
la solution peut s'en trouver, du moins en apparence, singulière- ment modifiée ; tel ordre de phénomènes pourra être
aux collatéraux palmaires de l'index renferment proportionnelle- ment moins de fibres saines que les branches terminale
s transversales du nerf faites pour vérification, après durcisse- ment par le bichromate de potasse, n'ont décelé aucune
monstration absolue, car, dans ces examens rapides et nécessaire- ment incomplets, quelques fibres, malades auraient pu
brale, une des formes de cet état. Grâce à M. Charcot principale- ment ,' nous avons eu l'occasion d'étudier bien des foi
avec la crois- sance, elle a chance de guérir spontanément au mo- ment où l'organisme a parfait son développement, ou
uement sur les détails, dans l'exposé des faits, c'était précisé- ment pour bien mettre en lumière cette grande analogie
plus, et le corps de la cellule était formé par un entrecroise- ' ment de lignes courbes, vivement colorées par les réac
re, cette altération des parois se présente sous forme de gonfle- ment des noyaux longitudinaux et transversaux des tuni
avec de nombreux prolongements très déliés et se colorant égale- ment bien par l'hématoxyline. Nous n'avons jamais cons
uée de la tuméfaction des cellules, que nous nous croyons pleine- ment autorisé à considérer les cellules nerveuses comm
la téphro-myélite antérieure. Il remarqua, en outre, qu'actuelle- ment , on ne connaissait encore rien d'analogue pour le
ormes de myélites, les cellules nerveuses peuvent subir spontané- ment une altération qui ne rappelle en rien les donnée
acement du noyau à la périphérie, atrophie des prolongements forte- ment tuméfiés à leur origine. (Verick 3/7 ) Fig. 4.
but d'un voyage enter; mais elle avait persisté après le débarque- ment . La rumination s'opérait environ une demi-heure a
en soit, nous ne nous appesantirons pas plus longtemps, actuelle- ment , sur cette partie de notre sujet et nous rapporte
faire dans l'estomac, les divers aliments, pour s'y digérer complé- ment . Dans ce but, il reproduisait sur lui-même les ex
physiologique leur est particulier, et on les étonnerait assuré- ment beaucoup si on leur apprenait que cette fonction
oublier que derrière l'accusé il y a un homme qui l'écoute avide- ment . Dans les cas auxquels il est fait allusion en ce
ou ne dépend pas de la tonicité musculaire (Wernicke). Immédiate- ment après les attaques d'épilepsie grave, les muscles
matologie. L'orateur croit que le processus pathologique (probable- ment une tumeur) occupe l'angle antérieur du chiasma.
asile une cellule de prison qui ne serait plus favorable au traite- ment médical des malades, au parfait. développement de
Pour se prononcer entre ces deux théories, il faudrait préalable- ment savoir si la mucine est réellement la cause du my
tribution à l'étude de la périencéphalile diffuse et de son traite- ment ; par 'l'mLxe. Thèse de Paris, 4 883. Étude sur
n'a pas moins de vertu à faire dormir longuement & profonde- ment . Prenez de la graine d'yuraye, d'hyofcyame, ou ha
queur, laquelle fait dormir incontinent qu'elle est prife feule- ment à la quantité d'vne goute ou deux : & qui mef
chofes naturelles : comme l'yuraye, l'herbe que les Italiens nom- ment Belle-done, l'opium, l'hyofcyame, la ciguë, les e
lef- quelles l'entendement eu : ofté, ou du tout troublé : telle- ment que celuy qui en vfera, femblera eftre fol en par
est pas encore de même à Bicêtre où l'Administration tolère seule- ment la délivrance de bons de bains ou de douches. A
même ville, une exposition fréniatrique, d'un caractère exclusive- ment technique et scientifique, destinée à faire conna
ntinence d'urine est très va- riable suivant les jours; elle aug- mente quand la malade est sou- mise à une émotion. Or
- mente quand la malade est sou- mise à une émotion. Ordinaire- ment il y a constipation ; mais on observe de temps
es lésions dont les caractères très spéciaux frappent nécessaire- ment à première vue. Les surfaces articulaires infé-
, nia, ml, etc. Ces syllabes sont, à ce moment là, encore absolu- ment dénuées de tout sens symbolique, de tout rap- p
occupe le milieu entre ou et iou. En outre, on retrouve fréquem- ment dans la langue des enfants des voyelles tron- q
angage le procédé syllabique, les sons se substituent indifférem- ment les uns aux autres ; son attention est visiblemen
abique, est assez ardue ; toutefois les enfants se mettent hardi- ment à parler à l'aide de la provision de sons la plus
'est que par la suite que ces tendances se dégageront définitive- ment . Nous terminerons ici toute interprétation de f
oint du centre du soleil et voit à travers, à l'aide d'un instru- ment de sa composition. De plus en plus orgueilleux,
lisations spéciales qui ont pour siège l'organe faible plus vive- ment impressionné par l'agent toxique; de là des hal-
rquable mé- moire, il combattit avec succès la théorie exclusive- ment périphérique qui place dans l'organe lui-même l
tion, ni par leurs caractères généraux. Elles marchent parallèle- ment au délire lui-même; 3° Elles sont une nouvelle
sser un certain temps avant de pouvoir exécuter un nouveau mouve- ment . De temps en temps, même pendant le repos, il se
e, il ne se produisit aucun changement essentiel dans le dérange- ment du système nerveux; seul, l'amaigrissement des mu
ts. et se présentait de même sous la forme d'un triangle ; seule- ment ses dimensions en avant étaient moindres que dans
- cules, la p'ace occupée par les corps granuleux était parfaite- ment symétrique. Malheureusement nous n'avons pu dét
ITS. phères et de la moelle épinière offraient le même développe- ment et étaient de même ancienneté. Donc, si les fib
ts que chez l'autre. En même temps le haut du corps est générale- ment incliné en avant et la tête portée en avant et en
qui remontaient en produisant en plus cette espèce de gargouille- ment déjà signalé ci-dessus. Si l'on ajoute à cela une
ela nous fait penser que ces aliments ne sont pas rejetés violem- ment en masse, ce qui s'explique bien par la faiblesse
oo- lisme, pas d'émotions vives, pas de traumatismes. - Accouche- ment à terme, lent (quatorze heures) : la tête resta l
eux- mêmes n'ont jamais une grande intensité. Le plus ordinaire- ment , il pousse un cri, penche le dos en arrière, tend
après le repas que la première régurgitation se produit. A ce mo- ment , il allonge le cou, penche un peu la tête, provoq
il reste au surplus indéterminé '. Au lobe occipital serait égale- ment dévolu l'hémianopsie croisée (obs. VI et VII), se
presque dicrote, la température marquant 31°,5 à 31°,6. Inverse- ment , la phase de mélancolie s'annonçait par 60 à 68 b
ut Wolff (Allg. Zeitschr. f. Psych., t. XXIV à XXVI). 11 l'a notam- ment observé chez 71 hommes dont 9,8 p. 100 guérissent
de la quatrième semaine, après la dernière rechute. (Malheureuse- ment , l'auteur [ne nous donne pas l'autopsie des autre
- près les symptômes énumérés, M. Charpentier élimine successive- ment la démence avec stupeur mélancolique, la démence
c'est déjà un renseignement précieux que la lenteur et l'empâte- ment de la parole. L'hésitation du paralytique génér
le monde a remarqué le jeu de trombone qu'elle présente à ce mo- ment , quand on invite le paralytique à la sortir hors
arrogant, perdra le soir toute prétention et répondra convenable- ment aux questions qu'on iui pose. Pour obtenir un cal
lupart du temps les effets du collapsus. Ces trois jours de traite- ment , dans un cas de démence paralytique récente, eure
des hallucinations évidentes de l'ouïe n'entraînent pas nécessaire- ment une psychose. M Jorr.v rappelle à ce sujet les
asthéniques); la vésanie, qui coïncida dans l'un des cas brusque- ment avec la défervescence subite de la température, d
particulier celle de M. Bouchard, qui le rattache à un ralentisse- ment de la nutrition, reposent sur des données cliniqu
nés des différents pays ; -3. Le rôle des colonies dans le traite- ment des aliénés ; i. La valeur des exercices dans le
te- ment des aliénés ; i. La valeur des exercices dans le traite- ment des maladies mentales ; 5. Le rôle des écoles pou
r Marie, 79. Béribéri, 288. Blepitarospasme douloureux (traite- ment du), 103. Bromure d'éthyle, 154. Buveurs (a11
Cerveau (sur un faisceau de subs- tauce blanche jusqu'alors rare- ment observé à la base du), 96 ; (circulation dans l
acement du noyau à la périphérie, atrophie des prolongements forte- ment tuméfiés à leur origine. (Verick 3/7.) Fig. 4.
81 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
(1). Les maitres et les maitresses en profitent pour l'enseigne- ment des enfants. Jamais, et nous tenons à le répéter,
nt suffisant pour m'occuper, vous n'en doutez pas et personnelle- ment , comme chef de service, je puis fonctionner ainsi
al dont la session touchait à sa fin. Nous intervînmes immédiate- ment auprès de nos anciens collègues et amis, pour qu'
eure mes félicitations et à qui je tiens à les renouveler publique- ment . » Le président du Conseil général, M. Jacques,
« Sans fausse modestie, je déclare que le Conseil général a vrai- ment mérité l'hommage qu'on lui a rendu ; mais je tien
s, le Conseil général de la Seine, l'Administration ont parfaite- ment compris la nécessité d'QI'ganisersérieusement l'A
r général de la Seine, il est en mesure de connaître très exacte- ment dans tous leurs détails. Ces détails les voici :
dressa les plans et devis détaillés des ateliers pour l'enseigne- ment professionnel. Le Conseil de surveillance, puis l
nous tous, à tous les degrés, plus qu'un souvenir, un encourage- ment . Espérons que vous-même n'oublierez pas votre p
s travaux de Séguin, « le fondateur et le père de ce grand mouve- ment philanthropique, » pour employer les expressions
ils ne peuvent recevoir aucune instruction, ni suivre aucun traite- ment efficace, est une source de graves inconvénients,
enceintes, produisent des enfants que la société doit nécessaire- ment assister après avoir refusé do protéger et d'aide
. « Je viens de visiter, dans tous les détails, ce bel établisse- ment , qui fait honneur à tous : A M. le Dr Bourneville
Conseil général et le Conseil municipal, animés d'un même senti- ment démocratique, s'émeuvent et n'hésitent pas il con
SIE PROCURSIVE. 3 I. Historique. II. Epilepsie procursive propre- ment dite, ou accès épileptiques essentiellement const
tions, auxquelles il répondit avec beaucoup de netteté et de juge- ment . Il m'apprit qu'il n'avait éprouvé la première in
de l'oeil, disait-elle, roulait dans son orbite, agité d'un mouve- ment convulsif, la tète se penchait du côté gauche, le
t en fut bon, et, finalement, la malade est aujourd'hui parfaite- ment guérie. Les phénomènes observés ne permettent p
ses ouvriers, porter la main à la tête et prendre ensuite subite- ment sa course vers une haie, au-dessus de laquelle il
es par des mouvements ambulatoires et des courses », cite briève- ment un cas d'épilepsie procursive : « J'ai eu moi-
ccès duraient ordinairement de 3 : ) secondes à une minute, rare- ment de 5 à 12 minutes ( ? ). Le 24 août 1886 l'un d
dans le dortoir pour s'assurer que tous les malades étaient réelle- ment couchés, qu'il aurait dû s'assurer de visu des ac
grave et qui, comme vous le verrez, mérite d'attirer très sérieuse- ment votre attention. Un malade aliéné, Grand ? fCha
t nocturnes; il a, en outre, quelques accès ordinaires exclusive- ment nocturnes etse mord fréquemment la langue. - Deux
core rendue plus probable par ce fait que, parfois, quoique rare- ment , Grand... urinerait sous lui pendant les accès de
erte de connaissance, rigidité, convulsions du côté gauche seule- ment , ni stertor, ni écume, ni urination involontaire.
uche, il tombe lentement en arrière sans cri. La face est légère- ment congestionnée. Les secousses débutent par le bras
rses persistaient encore après l'admission. Il a travaillé seule- ment jusqu'à vingt-cinq ans. Les facultés intellectuel
- gnait de rien, il ne pouvait d'ailleurs donner aucun renseigne- ment , en raison de son état d'imbécillité. - Durant l'
n- volution frontale est sinueuse, plissée, dédoublée incomplète- ment en avant; insertion de niveau; pas de plis de pas
des deux côtés. On dégage les jambes de dessous le lit. A ce mo- ment , la tête se met dans l'extension, la bouche s'ouv
e s'est congestionné; les yeux étaient convulsés en haut directe- ment , d'abord à droite, puis enfin à gauche. Période
s'intéressait à ce qui passait autour de lui ; il a dit distincte- ment : « J'ai soif.» La parole est assez correcte, mai
d'hui. la au 19. - La température normale s'abaisse progressive- ment jusqu'à 36,8. - Le 17 et jours suivants, le malad
ire. Cyanose très prononcée des mains. Il a été soumis au traite- ment par l'élixi¡' polyúl'01nlU'ú. 1886. 9 mars. - L
t par Sem- mola, qui se rapporte à l'épilepsie procursive propre- ment dite. Nous n'y voyons, pour notre part, qu'un de
e ans la mémoire a commencé à faiblir ; il tombait alors fréquem- ment de nuit et de jour jusqu'à cinq fois dans les mêm
. 20 décembre. -Pupilles égales, un peu dilatées; parfois grince- ment de dents, ou encore il ouvre et ferme alternative
e.) Du côté de l'appareil respiratoire mêmes signes que précédem- ment et, de plus, râles, assez fins à la base du poumo
blant beaucoup; il sait épeler, sait encore écrire, mais illisible- ment ; il connaît les chiffres. L'enfant mange assez p
- galité pupillaire et blépharite ciliaire. - Pas de tremble- ment de la langue ni des lèvres. Parole réduite au
maux, iris bleu ; nez petit, bouche, 4 centimètres, lèvres moyenne- ment épaisses; oreilles bien développées, détachées; l
au début. - Les coupes du cervelet droit, examinées comparative- ment avec celles du côté gauche n'ont pas paru présent
- phie cérébelleuse trouvé la protubérance et le bulbe concurrem- ment intéressés et, à part cela, nous savons que tels
puis jusqu'à vingt fois. Ces crises s'accompagnaient d'un mouve- ment de rotation de droite à gauche, mais quelquefois
che et la moitié correspondante cle la protubérance étaient légère- ment atrophiés ainsi que la pyramide et l'olive droite
mouvement de manège du côté opposé à la lésion. « Dans ce mouve- ment de manège, l'animal décrit un cercle de rayon v
nt plus difficile que les altérations du cervelet peuvent facile- ment retentir sur les organes du voisinage (bulbe, m
comprise entre le vertex et l'occipital; bosses pariétales moyenne- ment saillantes. Front assez élevé, légèrement fuyant,
pain préparées par l'infirmier; ses doigts les serrent énergique- ment . Lorsqu'il porte le pain à sa bouche, la bouche v
Poids, 49 kilogr. 20. Notes Sommeil bou, il s'endort assez lente- ment : « Deux... ou trois... heures... après que... je
ace entrent en jeu d'une façon exagérée, la bouche s'ouvre large- ment , les sillons naso-labiaux se creusent profondémen
servation II. - Père très nerveux, sujet ci des accidents probable- ment épileptiques (vertiges procursifs ? ) ; fréquents
testicules peu volumineux. Pas d'onanisme : il proteste énergique- ment contre cette allégation : et dit non, non, avec d
ations assez grandes, avec conservation de la direction du mouve- ment , l'objet est saisi énergiquement et porté presque
la gymnastique. Les facultés intellectuelles peuvent être égale- ment cultivées dans une mesure qui varie avec l'intens
que l'athétose double était au contraire susceptible d'un amende- ment d'autant plus sérieux que le traitement était ins
ds plus qu'il ne convient, l'athétosique ne projette pas brusque- ment ses jambes de côté à l'instar d'un polichinelle e
to... Faut-il considérer ces faits comme des exceptions ou seule- ment , de môme que ceux du précédent tableau, comme des
ons 55 frappés d'anomalies, soit 31,97 0/0, proportion véritable- ment considérable. Au point de vue de leur fréquence
n'est pas étonnant de rencontrer chez eux un retard de développe- ment considérable, surtout pour des organes qui, nor-
nt le type le plus complet des dégénérés avec arrêt de développe- ment . Il n'est donc pas surprenant de rencontrer aussi
rsqu'elle survient dans l'adolescence, et cet arrêt de développe- ment appréciable sur l'ensemble de l'individu, est des
e voyait du sang, puis on ne pouvait plus lui maintenir de panse- ment . Actuellement, au contraire, à la moindre piqûre,
tomie. 217 VI. De l'épiploon cystico-colique (variétés du liga- ment hépato-duodénal); Par M. le D' p. nRico,-i. L
YPOTHERMIE. VII. Un cas d'asphyxie par strangulation : abaisse- ment considérable de la température; gué- rison ;
r niveau. C'est simplement la persistance de ce qui existe au mo- ment de l'éruption des dents. (Fig. 18 et 22). Jamais
st seulement accompagnée de fréquents vomissements. - L'accouche- ment a eu lieu à terme, et s'est fait sans chloroforme
rait à lui pour calmer ses nerfs à clle. Son père était probable- ment d'accord avec sa mère. De temps en temps il paraî
st la morphine » (cette dernière phrase était répétée intérieure- ment par moi). J'approuvai. Je voulus encore qu'on all
ache cependant une grande importance. Je vous le déclare franche- ment , la morphine est un abus, et la justice en pareil
ade, regarde dans le lointain et se met à courir. Il est extrême- ment soigneux et même minutieux de sa personne. 12 n
82 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
t des roses. En 1893, vue par le Dr Meyer qui constate : du gonfle- ment de la main et une augmentation considérable du vo
ir été toujours nerveux, d'un caractère emporté : il se met facile- ment en colère. Il n'a jamais eu de crises nerveuses,
à devenir un peu plus douce, les phénomènes disparaissent complète- ment . Le malade ne remarque plus rien d'anormal du côt
ent, pas été gêné par sa chaussure. Comme les mains, les pieds aug- mentent de volume sous l'influence du froid. Une marche p
nt rouge, puis violette. Cette coloration ne disparaît pas complète ment , même lorsque le malade est dans une atmosphère c
t et il est obligé de lâcher prise. En même temps les douleurs aug- mentent , les transpirations aussi ; il a toujours les mai
ire le tableau de l'acro-cyanose hypertrophiante. Tel le cas récem- ment publié par M. Souques (4); s'agit dans cette obse
rficiel, peuvent en imposer pour une maladie similaire. Tout récem- ment en effet M.Hirchsfeld (2) publiait trois cas de d
ur. La succession des phénomènes est la même qu'aux mains. A ce mo- ment le malade songe à solliciter son admission à l'hô
vec leur teinte et leur forme particulières. La coloration du tégu- ment est, en général, bleu violacé, avec un reflet ard
nce de petits nodules enchaînés dans le derme, répandus principale- ment autour des articulations et sur la signification
est, en général, très augmentée : les malades disent avoir constam- ment les mains humides. Fréquemment les sujets accus
hypertrophiante est une affection chronique, qui s'installe lente- ment et ne disparaît que rarement. Quant à fixer sa du
première théorie peut être facilement éliminée : il apparaît nette- ment au simple aspect de cette affection exactement hé
r poussées subaigues, et se fixe à demeure pour gagner progressive- ment , et par étapes circulaires, la jambe, la cuisse d
our certains animaux - qu'un sens puisse nous renseigner immédiate- ment sur cette distance, immédiatement, c'est-à-dire a
Forme. - « La perception de forme est immédiate et résulte directe- ment de la mise en activité du milieu sensoriel anatom
té publiées sont encore trop rares pour fournir des données absolu- ment précises sur la question qui nous occupe ; mais t
! Sensation de mouvement. La question de la perception du mouve- ment , telle qu'elle est posée par M. Bonnier (p. 146)
ri (4). Cela ne semble-t-il pas indiquer que la sensation de mouve- ment est une donnée sensorielle primitive ? C'est cett
s Physiologie des Muskelsinnes, Leipzig, 1898, p.97-200. Cf. notam- ment , p. 195-198, (3) Exner, Biol. Centralblatt, 188
ttention : l'articulation scapulo-humérale gauche est considérable- ment augmentée de volume et déformée. L'humérus est lu
auteur de la VIIIe dorsale les lésions ont presque disparu ; seule- ment quelques petites lacunes dans la racine postérieu
aisseaux nombreux, beaucoup de vaisseaux de calibre moyen, entière- ment thromboses et ayant subi la dégénérescence hyalin
rties adossées de deux circonvolutions voisines, quand le prolonge- ment pie-mérien pénétrant dans le sillon esl épaissi e
localisation exacte des centres visuels n'est pas encore complète- ment déterminée. Certains auteurs leur accorde une gra
préciser les symptômes déterminés par une lésion envahissant lente- ment et progressivement les sphères visuelles et about
tait complète pour toutes les images visuelles acquises antérieure- ment à la maladie. Ce point particulier nous permet de
, courait comme les autres enfants, fréquentait l'école. Développe- ment physique et intellectuel normal. Jamais de conv
jours (chute dans une cave). Mais n'eut dans cette période d'alite- ment aucun trouble de la motilité et de la sensibilité
men radioscopique montre l'extrême opacité du tibia, son développe- ment dans le sens antéro-postérieur, son inflexion cor
ontre, une longueur égale à la moitié de celle du droit. Non seule- ment il est plus court, mais il est complètement diffo
oblique ovalaire, avec aplatissement du côté droit, côté relative- ment normal et sur lequel s'exerce naturellement la pr
re musculaire adulte. Les muscles sont bien proportionnés et nulle- ment atrophiés. Nerfs crâniens. Les nerfs crâniens
mement au ganglion ophtalmique et de là vont se distribuer normale- ment . Le moteur oculaire externe a une disposition par
buste. Elle ne présente aucun trouble intellectuel et répond nette- ment aux questions qui lui sont posées. Aucun trouble
ont été colorées selon les méthodes usuelles, et plus particulière- ment avec l'hématoxyline-éosine, et l'hémalun fuchsine
n. Lorsque cette section est transversale, les cellules sont égale- ment coupées transversalement et paraissent arrondies;
s le cas particulier il est impossible de se prononcer catégorique- ment , pour l'un ou pour l'autre mécanisme, mais ce que
du processus, l'extension de la lésion. Au début de leur développe- ment , ces deux types peuvent présenter les mêmes carac
des doigts, que s'observe la tumeur avec son maximum de développe- ment . C'est au même point également que nous avons ren
uoi qu'il en soit, le tableau des symptômes nerveux constaté au mo- ment de l'entrée à l'hôpital concorde bien avec la dis
me épaisseur que chez un homme adulte. Sa musculature est relative- ment à la taille du corps proportionnellement développ
ien proportionné, présente un degré si extraordinaire de développe- ment physique, qu'on peut décidément le qualifier de g
. Enfin nous rappellerons que Sacchi trouve chez son sujet précisé- ment la cause du gigantisme dans une tumeur des testic
ion organique du système nerveux et avons-nous. été tout naturelle- ment conduits à songer à un trouble névropathique et t
ont parfaits, la sensibilité au tact et à la douleur ne sont nulle- ment modifiées sur aucun point du corps. Le sens muscu
suivant la définition de Trousseau éveille l'idée d'un petit mouve- ment bref, rapide, et que ce petit mouvement doit être
ne électrode placée sur le sternum et l'autre appliquée successive- ment sur les muscles de l'épaule, du bras et de l'avan
sition du soldat au port d'arme, l'épaule droite s'élève manifeste- ment ; quand le malade a conservé le mousqueton un cer
uellement ce froncement du front, assez fréquent, se fait spontané- ment , à son insu. Rien d'anormal dans les muscles de
proprement dite des doigts différence dans l'amplitude du mouve- ment suivant que le sujet écrit sur une table basse ou
ces moyens de correction mécanique, et sous l'influence du traite- ment , le balancement des bras tend à devenir régulier,
ier de près les cas observés, de sorte que l'on se trouve actuelle- ment en présence d'un assez grand nombre d'observation
de la radiographie. Seule, l'éminence thénar fait presque complète- ment défaut ; elle est remplacée par un méplat qui con
séquences que l'un de nous sepropose d'examiner ailleurs. Présente- ment , elle nous conduit à rapprocher l'absence de l'ex
lie, quelle qu'en soit la forme (1), n'est pas d'ordinaire stricte- ment limitée au tissu osseux. Bien au contraire, elle
ation, et rechercher s'ils sont intéressés séparément ou simullané- ment (1). Dans le cas actuel, la déterminatien du si
car, autant que l'on puisse en juger, ce cordon s'attache directe- ment à l'extrémité supérieure de l'os et fait corps av
ication au sens vrai du mot. C'est, dans tous les cas, un commence- ment d'explication; c'est l'indication de la voie dans
d gauche; il eut là une sorte de tuméfaction qui s'ouvrit spontané- ment et laissa s'éliminer un séquestre ; il n'y eut à
de vue fonctionnel, l'état est parfait; le malade marche parfaite- ment avec un soulier dont la semelle est épaisse ; il
; il n'y a plus de suppuration. La sensibilité qui était profondé- ment modifiée est devenue normale. Le résultat peut
on se produisit au niveau de l'article sans cause connue ; brusque- ment , la région se tuméfia, et on vit apparaître, en q
et penaud ! Quant au jésuite assis près de lui et lisant attentive- ment une lettre, il semble bien détaché des joies ou p
e-t-il une pseudo-paralysie générale tabétique différente clinique- ment et anatomo-pathologiquement de la paralysie génér
à l'âge de 37 ans, à la suite de son troisième et dernier accouche- ment , qui fut suivi de douleurs abdominales persistant
lpitations du coeur, le désir de se soulever seulement, le soulage- ment et le calme dans la position debout. Le cas de Ra
nt un immense brasier; de laitages, d'herbes sauvages, et probable- ment aussi de poisson. (1) 1 Stade, longueur de 184
colonisation familiale des aliénés de la Seine nous amène fréquem- ment depuis plus de dix ans. Par une bizarre coïncid
rêtres consignaient également dans leurs Archives, et particulière- ment dans le Liber innocentium, quelques détails sur l
n idiot ou un dément, « était atteint de grande simplicité, totale- ment dépourvu d'intelligence, ne sachant ni prier, ni
et formelle de l'Evêque. Elle s'accordait d'ailleurs assez facile. ment ; mais cette démarche était cependant absolument
rlant d'une personne qui a l'esprit un peu singulier, on dit égale- ment : «elle est toquée », ou « elleporte un bonnet de
aux digitaux ayant le double de leur volume normal, mais régulière- ment cylindriques et sans bosselures (Voy. pl. LXII, f
niveau de chaque segment par une cellule mésodermique. Chaque seg- ment interannulaire nous parait 1 eprésenter, dans son
iés au centre des fibres. Toutefois, ils nesontpas toujours exacte- ment cylindriques et présentent souvent de petits épai
sur les coupes longitudinales, caries fibres sans myéline, extrême- ment nombreuses, disséminées entre les fibres larges o
renferme. Elle est parfois régulière, mais le plus souvent inégale- ment disposée sous forme de taches ou de bandes transv
e protoplasmique reconnaissable seulement à un très fort grossisse- ment . Tantôt ils paraissent nettement indépendants et
ès Bechterew, Capobianco et Fraguito, etc., le produit du fusionne- ment de plusieurs cellules embryonnaires. En histolo
e cylindraxe elle prolongement de Deiters ont des réactions absolu- ment différentes et ne sont pas la simple continuation
gnalée chez l'homme; nous en apportons ici un exemple particulière- ment démonstratif par suite de la distance considérabl
une série de petits postes intercalés se transmettant individuelle- ment l'influx nerveux. Ainsi qu'on le voit, la loi d
eory affect the conception of nervous diseases (Journ. of nerv. and ment , diseases, 1900). Sano. - Voor en tagen de neur
différentes médications tentées n'ont eu qu'une influence extrême- ment douteuse et notamment le traitement thyroïdien. I
on. La photographie de myxoedème que je publie rend très manifeste- ment le degré intense d'infiltration du dos du pied do
t primordiaux. Les altérations thyroïdiennes pourraient ultérieure- ment devenir définitives. En admettant d'ailleurs que
° Pour l'adipose douloureuse, d'une dystrophie atteignant probable- ment d'emblée plusieurs glandes vasculaires sanguines
Pour le pseudo-oedème catatonique. d'un trouble cérébral probable- ment primitif et atteignant ultérieurement d'abord d'u
alé dans beaucoup d'observations et l'un de nous l'a observé récem- ment chez un sujet atteint de tic tonique du membre su
ymétries faciales, ou corporelles légères, consistant en l'abaisse- ment d'un oeil, la déviation du nez, la déformation d'
s ou moins érodées), de forme (surdents), de direction; indépendam- ment de ces stigmates, beaucoup de dents sont cariées.
itude de lécher les poils ou autres objets constitue-t-elle réelle- ment un acte pathologique ? Si oui, est-elle un vérita
mouvements stéréotypés des chevaux lécheurs (stéréotypies du mouve- ment , dits parakiiétiques), et les accidents de même n
il existe des tics équins et des stéréotypies de léchage, de hoche- ment , de mâchonnement tout à fait comparables aux même
et le tact de la langue sont sinon abolis, du m'oins considérable- ment diminués. Anesthésie de la muqueuse gingivale au
, réponse musculaire parfaitement voulue, réfléchie, incontestable- ment dérivée d'une intervention de l'écorce » (1). Apr
rapport de la conscience aux hallucinations auditives est générale- ment critique; le malade les envisage ordinairement co
phénomènes ressemblant à ceux qui s'observent dans le delirium tre- mens , alors il est bien entendu qu'au commencement de
dies mentales, d'origine alcoolique, qui sont provoquées exclusive- ment par l'alcool, telles que la mélancolie alcoolique
are. Si nous prenons les hommes (3110) et les femmes (1703) séparé- ment , nous verrons, que la fréquence du délire alcooli
hallucinose aiguë des alcooliques », contrairement au delirium tre- mens , s'observe principalement chez les personnes de p
bonnet, que jamais l'on ne voit représenté, et qui, vraisemblable- ment , était à peu près ignoré. Un très joli tableau
les doigts crispés sur la paume, la bouche tirée, les yeux légère- ment convulsés en haut, le cou très saillant. Sur un
racté une dette de reconnaissance dont elle tient à affirmer haute- ment l'étendue. Son oeuvre médico-artistique représe
83 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
partout sur les parties sclérosées des petits foyers de ramollisse- ment autour desquels on remarque la formation de tissu
u lobe fusiforme est conser- vée. En outre on voit un ramollisse- ment dans la région des fibres de la couche sagittal
et temporaux fonctionnent bien, la malade ne peut ni tourner aisé- ment les aliments dans sa bouche, ni les,porter en arr
que la maladie débuta par un état fébrile, somnolent, plaide égale- ment en faveur de cette opinion. Comme la^ localisatio
ions fibrillaires et sans réaction de dégénérescence. Le développe- ment du bras droit fut arrêté. Il n'y avait pas de tro
utre. Il est logique de penser que les cellules altérées chronique- ment siègent au point où la compression a été la plus
ncore inachevée du parasite, l'hydatide pouvant croître très lente- ment et devant attendre une taille assez considérable
te hydatique du cerveau, il y eut 9 morts et 7 guérisons ou amende- ment notable des symptômes. D'après Flammarion, la tré
éralisés, du stertor avec écume aux lèvres et parfois avec relâche- ment des sphincters. Consécutivement à ces accès qui s
atées, inégales (pupille gauche plus large) réagissant incomplète-1 ment à la lumière. Le 16, l'amélioration de l'état m
nion du 1/3 antérieur et des 2/3 postérieurs de Ti, ayant profondé- ment creusé la circonvolution, kyste du volume d'un gr
ogique à ceux où l'exagération de la mobilité relève d'un entraîne- ment professionnel (danseuses, acrobates), ou d'une di
ser que les phénomènes de laxité articulaire, constatés si fréquem- ment par M. Campenon au cours de la coxalgie, favorise
emander : Comment vous portez-vous ? on s'abordait en disant : Com- ment suez-vous ? Le moyen âge fut une époque fertile
à se mettre en équilibre avec tout ce qui l'entoure, que conséquem- ment par le contact d'un sexe comme d'un autre il doit
le dernier chapitre de son livre, Cohausen nous dévoile très nette- ment sa pensée. Une vie comme celle d'Hermippus ne con
ameux Nicolas Flamel et dé sa femme Pernelle, racontée plus longue- ment encore n'est pas pour nous déplaire, mais elle ne
opération d'esprit dont seuls sont capables, des cerveaux spéciale- ment doués. Ce que la science moderne ne devait arrive
). Charcot et P. Richer (1) ont signalé toute la valeur de ce docu- ment . La femme a une attitude en arc de cercle, très c
ur le mur du bas-côté ouest, nous trouvons représentés, successive- ment placés devant une figure de Christ qui les bénit
droit est en extension, légèrement écarté du corps, le poing forte- ment contracturé en demi-pronation. Les membres inféri
Ces dernières seulement nous arrêteront. Ce sont d'ailleurs assuré- ment les plus belles et les mieux conservées. La riche
arquera qu'il porte à la main gauche des menottes d'un modèle vrai- ment redoutable : deux solides bracelets de fer fixés
gauche est altérée et la colonne de Clarke y est presque complète- ment détruite. Fig. 7. - Partie inférieure du 5° s
souvent que la simple périartérite. C'est également dans le 6° seg- ment dorsal, et pas ailleurs, que l'ou voit fréquemmen
sseaux de la substance blanche des corps globuleux, remplis de pig- ment ocreux, vestiges de petites hémorrhagies capillai
trouve le maximum des lésions dans la partie supérieure du 5° seg- ment dorsal, d'où est partie la dégénérescence seconda
e reliquat de petits foyers de ramollissement ischémique, ou seule- ment d'un ramollissement inflammatoire produit par les
n rôle, mais cette explication serait insuffisante car le ratatine- ment de la moelle s'étend uniformément sur une grande
le fond du ventricule est visible ; il s'est abaissé considérable- ment et a la forme de triangle, un angle tourné vers l
le allongée s'amincit subitement ; celles-ci sont conservées seule- ment dans la moelle allongée et de chaque côté en form
constituent la continuation des cordons postérieurs et le commence- ment du pédoncule cérébelleux inférieur. En avant, exi
côté externe, de sorte que l'avant-bras, la main et les doigts for- ment comme un Z allongé. Les doigts, d'ailleurs, se li
ive au contraire est très faible et n'arrive pas à mettre complète- ment la deuxième phalange dans l'axe longitudinal du d
oigts et avec les différents os du métacarpe et du carpe. Générale- ment , surtout dans les deux premières variétés, le car
s quatre membres parfois, font complètement ou à peu près complète- ment défaut, ou ne sont représentés que par un court m
ssez rare, est particulièrement intéressante, car elle dénote sûre- ment , dans ce cas, des lésions dégénératives des nerfs
, elle apprend alors à écrire de la main gauche, mais, malheureuse- ment , le spasme commence à se produire dans cette main
pasme commence à se produire dans cette main, de sorte qu'actuelle- ment elle est atteinte, des deux côtés, de la crampe d
vomique et de gelsémium ainsi que du bromure d'ammonium. Ce traite- ment n'est suivi que depuis peu de temps, mais la rapi
efois facile d'expliquer comment la simple prolongation d'un mouve- ment peut causer des lésions cellulaires ; on pourrait
ente chez les hommes que chez les femmes et cela précisément au mo- ment de la plus grande vigueur et de la plus grande ac
réussir dans les cas où la crampe des écrivains semble principale- ment provenir d'un défaut de synergie dans la force mu
Parmi ces nombreuses compositions, trois nous intéressent spéciale- ment . Elles représentent une série de guérisons de dém
s, logis délabré transformé pour l'instant en officine fort pauvre- ment achalandée. Une cloison de planches vermoulues, u
mais bien cette manoeuvre préparatoire, assez délicate et relative- ment compliquée, qui précède l'incision. Le réalisme d
à se troubler, d'abord à droite, puis à gauche ; à partir de ce mo- ment , l'amblyopie fit d'assez notables progrès, et, en
s qu'ils croisent un aveugle. G... avait donc conservé remarquable- ment le sens de l'équilibre et de l'orientation. Il év
aux dont les parois, formées par des cellules accolées parallèle- ment , renferment de nombreux globes. Le vaisseau inf
de laquelle les cellules com- mencent à s'orienter concentrique- ment . (Obj. DD oc. 4 Zeiss). Fio. 3. - Globes ou cor
ou corps concentriques à différentes périodes de leur développe- ment . (Obj. DD; oc. 4 Zeiss.) Fic. 4. Cellule nerveu
ellule nerveuse de l'écorce en chromatolyse périphérique. Gonfle- ment et vacuolisation du noyau. Un leucocyte intra-p
e amblyopie, dont les progrès s'accentuaient lentement : immédiate- ment après le coup reçu sur la région orbito-nasale, l
rale antérieure ; à la face supérieure on la distinguait difficile- ment a cause de sa minceur., Tous ses caractères sont
en étages le long des canaux vasculaires, quelques-uns même absolu- ment inclus dans la paroi de ces derniers. Par opposit
u gonflement des cellules les plus voisines. Ce bourgeonnement aug- mente de volume et arrive à ne laisser qu'une légère fe
llules mères fibroplastiques qui peuvent adhérer entre elles lâche- ment ou au contraire être intimement liées les unes au
e avoisinant le chiasma. Quoique n'ayant pas été comprimés directe- ment par la tumeur ils n'en présentent pas moins tous
érations duprotoplasma attirent de suite l'attention par le gonfle- ment qu'elles impriment aux cellules, et par les modif
ilité de la partie achromatique vis-à-vis du bleu de méthylène aug- mente au sur et à mesure que les éléments cliromatophil
e terme deneuronophagie est appliqué par Marinesco (4) à l'englobe- ment des cellules nerveuses par la névroglie. Cet aute
sidérer comme des leucocytes des cellules névrogliques qui normale- ment sont groupées autour des neurones, comme Cajal (3
parasites dans son nouveau logement. Elle put se convaincre rapide- ment que les démangeaisons étaient spontanées et que l
ndiquées par Barthélémy (2) comme les plus favorables au développe- ment du dermographisme : d'une part, un système nerveu
se, une fatigue quelconque. Nous n'avons point constaté ce tremble- ment . II Diagnostic ET interprétation (l31aet-Satg
diminution de la sensibilité auditive à gauche me paraît due égale- ment à une lésion, peut-être purement fonctionnelle (h
eur obéissait pas immédiate- DÉLIRE PAR INTROSPECTION MENTALE 241 ment , elle regrettait plus tard pendant longtemps de n
de discernement elle juge les idées à qui elle refuse son consente- ment et celles à qui elle l'accorde, de même que les a
nsée, l'idée d'insulter quelqu'un, cette personne en est immédiate- ment informée. » Elle veut écrire à ces personnes, leu
minces fibres myéliniques nettement indiquées ; c'est le commence- ment de la racine spinale du nerf trijumeau et des fib
37. - Coupe transversale de la moelle cervicale avant le commence- ment du bulbe rachidien. Les cordons antérieurs et lat
approche déjà parfaitement de la moelle normale. Grâce à l'abaisse- ment de la moelle allongée, ces parties, lesquelles da
plus marqué le long de la colonne vertébrale et plus particulière- ment au niveau des vertèbres lombaires et du sacrum.
, la plus franche. Dans l'exécution de son démoniaque, il a simple- ment copié, sans omettre aucun trait, ce qui se passai
eulement de neuf ans ; nous avons établi avec grand soin le traite- ment thyroïdien par des glandes fraîches de mouton pen
ées aux noyaux cartilagineux, symétriques, et évoluant très rapide- ment .On appliquerait ainsi à l'achondroplasie la théor
ujets achondroplases. Le D' Henry Lacaille m'a communiqué obligeam- ment une photographie qu'il a prise en Espagne d'un na
achondroplase, né à 8 mois de vie intra-utérine et mort immédiate- ment , en est la preuve (Pl. XL, D). Il est facile de
aille, mais même d'une façon absolue ; si Sicard a une tête simple- ment volumineuse (57 centimètres de circonférence maxi
ralentie ; c'est en effet par ce cartilage que se fait l'accroisse- ment de l'os en longueur. On peut donc conclure que
alade est né à terme, il la suite d'une grossesse et d'un accouche- ment tout il fait normaux. Aussitôt après sa naissan
r conséquent, la phalangette aurait, elle aussi, contribué notable- ment à l'accroissement de longueur de ces deux doigts.
s possible de préciser quels muscles interviennent dans ce tremble- ment , on constate seulement d'une manière générale que
icule gauche, sont des phénomènes dont il ne faut pas faire totale- ment abstraction. Il nous paraît certain que certains
e le problème pathogénique de l'action à distance et du retentisse- ment général de ces lésions circonscrites et localisée
on régiment, à ouvrir l'endroit frappé ; le malade guérit heureuse- ment de cette blessure, et jouit d'une fort bonne sant
is retard de la perception des sensations. Sensation d'endolorisse- ment le long de la colonne vertébrale, surtout dans la
tion de la force du triceps crural, on trouve qu'il cède difficile- ment dans l'extension à gauche, pas à droite. Pas de
aisceau cérébelleux où, par place, les fibres ont disparu complète- ment . Substance grise de la moelle. Elle aussi est a
dimensions du bulbe sont très réduites au-dessus de l'entrecroise- ment des faisceaux pyramidaux. Diamètre sagittal : 7 m
t un aspect régulièrement arrondi et globuleux sans aucun prolonge- ment . D'autres présentent à leur intérieur des vacuole
ordons antérieurs peuvent être considérés comme à peu près normale- ment développés, mais les cordons latéraux sont réduit
oissant, lorsque l'on avance vers la moelle ; elles semblent égale- ment moins nombreuses à la région lombaire qu'à la rég
ancs. Les méninges sont épaissies, l'espace sous-méningé est large- ment distendu par une épaisse couche d'éléments embryo
nantes très violentes, en même temps qu'il augmentait considérable- ment de volume de telle sorte que se croyant atteinte
lant à la chorée. La superposition de zones hyslérogènes au gonfle- ment de la glande est en somme la règle générale. Bi
des hémorrhagies auriculaires. La malade de P. Sainton avait égale- ment des hémorrhagies multiples. Chipault dit n'avoi
es seins, qui subissaient d'ailleurs des alternatives de grossisse- ment et de diminution rapides, tranchaient par leur vo
t de la malade, il nous a été impossible d'obtenir aucun renseigne- ment sur la date du début de l'affection, ainsi que su
physes inférieures des os des deux jambes sont d'ailleurs parfaite- ment conservées, de forme et de volume. Les pieds ne p
à concavité antérieure et surtout interne. La diaphyse, immédiate- ment au-dessous de l'épiphyse supérieure a environ 8 c
érieure et le cordon latéral. Cette raréfaction se prolonge légère- ment dans l'angle postéro-interne de ce cordon latéral
ux contenus dans l'intérieur du faisceau nerveux sont tous notable- ment épaissis, certains imperméables. La gaine lamelle
, augmentation du tissu conjonctif intra-fasciculaire, état légère- ment clairsemé des fibres nerveuses. L. Lévi (2) a éga
uivantes. Les rapports du travail des séries sont établis relative- ment au travail de la première série à 100, pour le mé
z la dernière, les deux membres supérieurs sont atteints simultané- ment . Bien plus, ce cas se rapproche des exemples d'ee
essivement, et ce n'est qu'arrivée à un certain degré de développe- ment qu'elle a attiré l'attention. L'on ne saurait con
ctures, aux névralgies, aux lésions cérébrales, (1) LANnouzv, Revue mens . de méd. et chir., 1878. (2) J. VERGNES, De l'a
tre cas, nous donnent là une preuve de plus en faveur du rapproche- ment que nous cherchons. Nous avons parlé déjà de l'im
êtent pas toutes deux la même apparence ; elles diffèrent sensible- ment dans leur physionomie et leur évolution, comme si
son état il y a un an. La médication thyroïdienne fut infructueuse- ment tentée. La direction médicale de l'enfant me fut
ées très notablement, et pour certaines parties elles ont complète- ment disparu. Comment interpréter ce phénomène ? Les p
es côtes et du sternum ne se fait plus, la respiration est entière- ment diaphragmatique. Les .mouvements spontanés de l
grâce à un déplacement en bascule de l'omoplate, qui suit constam- ment les mouvements de l'humérus, en sorte que l'ankyl
en est très irrégulière, toutefois on peut la comparer grossière- . ment à un cône tronqué dont la base se confondrait ave
en est ainsi toutes les fois que la tête articulaire fait directe- ment suite à l'axe de l'os. Quand cette tête articulai
jet de cette note, représente des scènes très spéciales qui en aug- mentent à nos yeux l'intérêt. Parmi les quatre sujets qui
trois « de trois onces » chacune. Tout cet attirail est soigneuse- ment placé derrière la patiente. Une servante apport
84 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
lité; et, d'autre part, la cellule multipolaire, destinée probable- ment aux muscles. Chacun de ces deux éléments, constit
du lombric. Coupe transversale d'un lombric passant par un renfle- ment ganglionnaire et deux nerfs périphériques latérau
econdaires, qui naissent soit du corps cellulaire, soit du prolongé ment principal. Les prolongements principaux se groupe
ion blanche qu'ils auront plus tard. Foville avait même très nette- ment constaté chez les nouveau-nés, au niveau de la pa
s ciseaux, on incise sous le liquide la dure-mère, soit circulaire- ment , soit en croix. Dans ces conditions, il devient f
ne de la dure-mère, puis on incise cette membrane, soit circulaire- ment , soit crucialement; ce dernier procédé nous parai
ervicale supérieure et bulbaire inférieure pourront après durcisse- ment être débitées en coupes sériées. Il est souvent
ins rapprochées. Ce sont là des procédés qui doivent être complète- ment abandonnés. Différents procédés ont été proposé
marginal supérieur de l'insula, tandis que la pointe chemine libre- ment dans l'intérieur du ventricule latéral et rase la
Importance de cette modilication pouruh- tenir, après durcisse- ment , des coupes sé. riches. Durcissement on hlo
urs dans le sens horizontal. A l'aide de ce procédé, non seule- ment on arrive à localiser une lésion corticale avec
état de la température influe beaucoup sur la rapidité du durcisse- ment : on sait, en effet, depuis longtemps, que les pi
prendre pour éviter des déformations au cours du durcisse- s™ ment . Technique à suivre pour ^durcissement de l
autre chose que l'inclusion des pièces dans un collodion chimique- ment pur. Voici la façon de pratiquer l'inclusion av
des pièces de petites dimcll- ! sious. t Méthode d'enrobe- L ment il la cire et i\ * la paraffine. ! i Procéd
i Procédé mixte. ! Imprégnation au I collodion et enrobe- | ment à la paraffine J pour les pièces des- ' tinéc
er à filtre, suffisamment colle pour ne pas être trop poreux autre- ment il concentrerait trop les solutions colorantes da
Dans certains cas cependant il est nécessaire, pour établir nette- ment les différences, d'avoir recours au procédé de Ma
trument d'acier, puis on les plonge dans le mélange suivant, récem- ment préparé : MÉTHODES USITÉES DANS L'ETUDE DES CEN
ètres, la surface embrassée est de 18 millimètres. Avec cet instru- ment on peut examiner aussi les préparations avec de f
Coupes microscopiques. La chambre claire est l'instrument générale- ment employé pour dessiner les préparations microscopi
ent les faisceaux de fibres à myéline, fournissent une image autre- ment nette, que celle que l'on obtient par la méthode
r dessiner nos préparations. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. bî ment nettes et qu'il est très facile de dessiner à la
que, à une époque où le canal mé- dullaire est encore complète- ment ouvert (fig. 13); lorsque l'occlusion s'effectu
éphalique primitive anté- Rôle des vésicules dans le développe- ment du système uer- veux central. FiG. 12. - Coup
FI, vésicule cérébrale. Cet embryon a six proto-vertèbres nette- ment délimitées. 62 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
vésicule close, l'ectoderme du côté droit se continue directe- ment avec celui du côté gau- che. A la place de la f
ste a particulièrement appelé l'attention, sur le mode d'accroisse- ment en largeur de la vésicule encéphalique antérieure
, 24). Etroite à sa base d'implantation, qui 'est située immédiate- ment en avant de la vésicule oculaire primitive, la vé
x du cerveau. Elles prendront par la suite un très grand développe- ment et recouvriront à la façon d'un capuchon le cerve
ve en général une dépression large mais peu profonde, premier rudi- ment de la fosse Sylvienne (FS). Un léger sillon prolo
te plus la forme d'une fente antéro-postérieure aplatie latérale- ment ig. 2t», mais celle d'un fer de lance. La cav
s. La moelle cervicale est donc toujours, il un stade de développe- ment plus avancé que la moelle lombaire, laquelle cons
ème mois, elle s'étend encore jus- qu'au canal sacré, et au mo- ment de la naissance jusqu'à la troisième vertèbre l
n latéral s'élargit dans la partie protubérantielle, immédiate- ment au-dessus de la courbure pontique pour former l
oyau d'origine du nerf grand-hypoglosse, est situé sur le prolonge- ment de la colonne grise de la corne antérieure de la
X. Lèvre rhomboïdale. Soudure de la lèvre rhomboïdale au set. ment jugal de la lame alaire. émigration descel
e l'angle inférieur du quatrième ventricule, elle s'élargit rapide- ment à la partie moyenne du bulbe, diminue de nouveau
rvelet.- 1Y4,4veutricule. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NE 11 VEUX. 91 ment du recessus latéral du quatrième ventricule, la m
és chez les oiseaux, ils prennent chez les mammifères un développe- ment considérable et débordent de chaque côté le vermi
nd à la lame alaire, et donne naissance à la couche optique propre- ment dite ou à la région tlzalaziq2ce; la saillie infé
t manquer dans certains cas, ou être dédoublée, ou bien encore com- ment , dans certaines malformations congénitales, les d
èvre antérieure de la fente en forme de selle (fst) et dont le seg- ment , antérieur, presque horizontal, est en rapport av
e e.xtnu-ventoiczclaioe du corps strié, comprend plus particulière- ment le pzctanzera ou segment externe du noyau lenticu
au cérébral, se portent en bas et en dedans, et constituent le seg- ment postérieur ou lezztic2clo-oyliue de la capsule in
fois pour la scissure de Sylvius, dont le développement est intime- ment lié à celui des ganglions de la base du ccrveau a
scissure de Sylvius. Vers la fin du neuviè- me ou au commence- ment du dixième mois, l'insula est complète- ment
me ou au commence- ment du dixième mois, l'insula est complète- ment caché dans la profondeur de la scissure de Sylviu
FS, prolongement antérieur de la fosse sylvienne. - piFS, prolonge- ment interne de la fosse sylvienne. - Su), branche ant
s épithéliales, les corps cel- lulaires s'allongent et se compri- ment latéralement (fig. 72) ; les noyaux, plus petit
t et son réseau d'autant plus serré, que le stade de développe- ment est plus jeune. Ce voile marginal, qui formera
que le corps protoplas- mique (fig. 83). Le protoplasma, extrême- ment mince et à peine visible autour de la moitié in
éveloppement du cylindre- axe au début tient à un simple déplace- ment du protoplasma, qui se déjette en s'eflilant sur
ouches profondes est fort ob- scur et semble dépendre, non seule- ment des propriétés élastiques de la couche des colo
se trouve en présence d'une cellule unipolaire, dont le prolonge- ment se divise en 1 après un certain trajet (llg. si),
uelques cellules présentent à l'un de leurs pôles un long prolonge- ment unique, tandis que le pôle opposé est couvert d'u
olfactive; elle est bipolaire, et donne naissance à un prolonge- ment périphérique qui se. termine par une extrémité
qu'elles appartiennent aux variétés des cellules nerveuses propre- ment dites ou aux variétés des grains ou myélocytes de
1 ques des dendrites et cylindres-axes en voie de développe- ment . l Fic.. 99. - Neurones sensitifs des Inverté
sinon la constance de la division en T du cylindre-axe, non seule- ment de celui des cellules ganglionnaires, mais encore
s résidus, sous forme de cellules ratatinées se colorant intensive- ment par le carmin et présentant l'aspect de cellules
u il peu. Mais cette atrophie indirecte n'est jamais du'exce.ssivc- ment lente, surtout si on la compare à la rapidité d'é
s probables des atrophies indi- rectes. i Marche excessive- ment lente Uc l'atro- phicindirectc. 180 ANATOMIE
stème du grand sympathique. Cette structure est commune, non seule- ment à toutes les cellules des ganglions rachidiens, m
ébut, la myéline est à peine différenciée du protoplasma, probable- ment d'origine centrale, qui entoure le cylindre-axe e
"qu'un certain degré d'élongation progressive sont très certaine- ment , ainsi que Ranvier le fit remarquer en 1871, la
en effet, dans le protoplasma qui recou- vre la portion légère- ment accrue du cylin- dre-axe, des gouttelettes de
. D'abord peu nombreuses; elles se fu- sionnent bientôt et for- ment au cylindre-axe, au niveau du petit seg- ment
t bientôt et for- ment au cylindre-axe, au niveau du petit seg- ment intercalaire, un manchon complet qui n'a plus
mation, Segmonts interca- laires de Vignal. Mode d'accroisse- ment des segments % intercalaires d'après Vignal.
trémité des deux segments inter-annulaires qui limitent l'étrangle- ment . - c et d, deux étranglements annulaires plus all
loppée dans la cellule connective pour qu'elle forme un petit seg-. ment inter-annulaire (segment intercalaire). Les ligne
tubes ner- veux inclus, indiquant une régénération par développe- ment centrifuge, analogue à celle que l'on observe dan
ère, la substance blanche occupe la périphérie et entoure complète- ment la substance grise. Dans l'encéphale, la substanc
à leurs innombrables prolongements, le véritable tissu de soutène- ment des centres nerveux. Elles entourent d'un feutrag
ec la couche protoplasmique qui entoure les fibrillesdu prolonge- ment cylindre-axile et contient un nombre plus ou mo
e/'uleus par exemple, les gra- nulations pigmentaires sont forte- ment colorées en brun ou d'aspect rouillé; elles rem
ng, renferme un nucléole arrondi, fortement réfringent, très nette- ment délimité, riche en chromatine et se colorant par
imité, riche en chromatine et se colorant par conséquent intensive- ment par les réactifs colorants; il est pourvu en géné
t réservée dans la substance grise et s'imprègne en général faible- ment par les réactifs colorants. Lorsqu'au contraire l
llule auditive, dont le prolongement périphérique s'arborise libre- ment entre les cellules ciliées de la macule auditive
s Invertébrés. Ces fibrilles variqueuses se terminent toutes libre- ment , soit par un petit bouton terminal, soit par deux
voie dans son intérieur de nombreuses travées conjonctives extrême- ment résistantes. Les capillaires qui entourent les ce
s tubes nerveux, qui constituent par leur réunion les nerfs propre- ment dits, présentent une structure très différente su
ses sans myéline ou fibres de Remak, ainsi que le tissu de soutène- ment et les vaisseaux des nerfs. A. tubes nerveux A
'à son arborisa- tion périphérique, aussi s'imprègne-t-il facile- ment au niveau des étranglements annulaires par les
imitent un ménisque bi-concave, dans lequel, à un fort grossisse- ment , on reconnaît le cylindre-axe, traversé perpendi-
ire, entre la membrane de Schwann et le cylindre-axe, est parfaite- ment homogène et transparente sur le nerf vivant; mais
s incisures un système de filaments enroulés en spirale et qui for- ment par leur ensemble un long cône creux (inalzcti),
raire, veut voir dans ces entonnoirs un véritable tissu de soutène- ment pour la myéline, et c'est cette hypothèse que rev
les du corps muqueux de Malpighi, par des extrémités libres légère- ment rentlées, qui ne dépassent jamais le stratum gr
pulpe dentaire, ainsi que Retzius vient de le 'démontrer récem- ment chez le lézard et chez l'anguille (fig. 143).
ouve beaucoup plus grand chez la femme que chez l'homme, contraire- ment a l'opinion classique. » Chez le foetus et chez
les individus de petite taille ont un poids encéphalique relative- ment élevé, parce que le nombre, la variété, la comple
extrémité inférieure en est sé- parée de 71 millimètres seule- . ment (Variations de 64 à 82). Son extrémité supérieu
e réduit à une simple encoche, qui entaille plus ou moins profondé- ment le bord inter-hémisphérique. Chez le singe et che
pli anastomotique plus ou moins mince, situé quelquefois profondé- ment dans la scissure sylvienne, pli qui n'est autre q
e plutôt sous la forme d'un lobule que d'une circonvolution propre- ment dite, et se trouve généralement dédoublée dans sa
e (pri) (fig. 155] 160).. Quelquefois même, il est si profondé- ment situé, que le sillon prérolandique semble , ,.
ral et pariétal, dont il n'est pour ainsi dire que le prolonge- ment . Sa face inférieu- re se confond, sans li- gn
court toute la face convexe de l'hémi- sphère, et sépare nette- ment le lohe occipital du lobe pariétal et du lobe
Heschl. Le sillon marginal postérieur (mp) sépare l'insula propre- ment dit, de la région rétro -insulaire qui appartient
du lobe ]imbique (fig. 182, 183). Le pli supérieur, constant égale- ment , relie la partie moyenne de la face profonde du p
de la circonvolution frontale ascendante (Fa). Ce lobule, générale- ment déprimé en fossette à sa partie moyenne, est limi
oujours uni par un pli de passage constant, plus ou moins profondé- ment entaillé .'par incisure temporale de Schwalbe (it
son trajet pédonculaire, chaque bandelette est aplatie latérale- . ment et présente une face externe libre, recouverte pa
de jeunes animaux, les fibres visuelles s'atrophient rapide- ment , et la commis- sure de Gudden se présente sou
ui- tairc dérive du cer- Yeau et présente un grand développe- ment chez les pois- sons. Structure du lobe post
latérales obliques en arrière et en dedans. Ce triangle est légère- ment déprimé à son sommet, sur la ligne médiane, par u
esquels elle se confond, et dont elle est séparée artificielle- ment par une ligne trans- versale passant par l'aque
Face inférieure Concave d'avant en arrière, convexe transversale- ment , celle face présente comme la face supérieure un
au antérieur est en général le plus grêle (fige02); exceptionnelle- ment il est plus volumineux que le faisceau postérieur
en dedans du pilier antérieur du trigone, se porte ensuite oblique- ment en dehors et en haut et se termine dans le tuberc
dc substancenerveuse, translucide, et qui se déchire facile- ment sur les cer- veaux frais (lig. 207). Ses face
ourne le pédoncule cérébral et la couche optique, se porte oblique- ment en bas, en avant et en dedans, et se termine à 15
diculés ou disposés en grappe. Les vaisseaux qui constituent l'élé- ment principal des plexus choroïdes, sont dépourvus de
ties latérales de la fente cérébrale de Bichat ne donnent nulle- '. ment accès dans les ventricules latéraux, car la mince
millimètres au niveau du trou de Monro, il diminue ensuite rapide- ment au niveau de la queue, et n'atteint guère plus de
épare du noyau lenticulaire. Au niveau de la tête, elle est légère- ment concave et dirigée obliquement de haut en bas et
caudé, mais qu'il est formé de trois segments concentriques, nette- ment délimités par deux lames de substance blanche, le
érieure. Les faces externe et inférieure sont adhérentes et intime- ment unies à la capsule interne, à la région sous-opti
La face supérieure, convexe dans le sens antéro-postérieur, légère- ment convexe dans le sens transversal, est revêtue d'u
ur du noyau lenticulaire, puis divergent dans tous les sens, for- . ment la couronne rayonnante ou le grand soleil de Reil
bord supérieur de l'hémisphère. 388 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ment à la profondeur propre du sillon, mais encore il
cta. - VI, ventricule latéral. 39 ? ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. mente considérablement, et forme une couche épaisse, qu
sule externe (Ce), qui lui forment une bordure foncée et nette- ' - ment délimitée; en avant elle se perd insensiblement d
alleux par la direction de ses libres; sectionnées perpendiculaire- ment a leur axe; son extrémité antérieure s'effile et
écorce du sinus du corps calleux (sec) et qui se différencie nette- ment par sa coloration foncée d'avec les fibres d'asso
la couche optique (Th). Il se compose en effet, presque exclusive- ment , défibres cortico-thalamiques, et constitue le pé
couche optique présente en outre ici deux nouveaux noyaux profondé- ment enclavés dans son épaisseur, le centre médian de
ents. La tête du noyau caudé (NC) se confond avec le troisième seg- ment du noyau lenticulaire (NL3), et n'en est qu'incom
et présente à sa partie interne un faisceau sectionné transversale- ment , nettement délimité, le faisceau 9-et ? ,oflexus
t supérieur n'est plus reconnaissable qu'au microscope. Le seg- ment inférieur (Sge') assez net au niveau de l'extré
esure que la tête de ce noyau gran- dit, et disparaît complète- ment au niveau du bec du corps calleux (Ce'), c'est-
)ti(liies (11), de l'extrémité antérieure du thalamus (Th), du seg- ment interne du nayaulellticulai/'e(NL1) et de l'extré
nt les mêmes connexions que précédemment. Le noyau caudé est seule- ment plus petit; il est intéressé en effet au niveau d
triculaires. -Il n'y a rien il ajouter il ce qui a été ditprécédem- ment pour le ventricule latéral (VI) et la corne sphén
e (NR) et du locus niger (Ln). Le noyau rouge (NR) a diminué égale- ment . A sa partie inféro-interne on trouve la section
RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce dernier nette- ment délimité en bas et en dehors, au niveau du lobule
n foncée, duc à ce que ses fibres sont sectionnées perpendiculaire- ment à leur longueur. Ces trois dernières coupes (fig.
situation extra-ventriculaire du pulvinar (Pul) se comprend facile- ment à l'inspection de la coupe n° 93 (fig. 257). Le p
- périeure du lobule lingual. La scissure calcarine extrême - ment profonde, dé- prime la paroi de la corne occi
s (itcl etC), au sur et il mesure que cette circonvolution aug- mente de volume (coupes nos 116 et 122, fig. 263,264)
remière cir- convolution frontale , est incisée assez profondé- ment par le sillon olfactif (fez ). A la face antéri
ivre donc pas accès dans le ventricule latéral; elle permet simple- ment la pénétration de la toile choroïdienne entre le
a tête du noyau caudé qui est restée en dedans de la coupe. Le seg- ment externe du globus pallidus (NL2) est situé dans l
ronnée. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, seg- ment rétro-lenticulaire de la capsule interne.- CO, ce
V La quatrième série, enfin, comprend 13 coupes horizontales égale- ment , mais obliques en avant et en bas, et parallèles
rbitaire de la troisième circonvolution frontale (oF,,), immédiate- ment en arrière de la branche transversale de l' incis
arties de l'écorce cérébrale. Outre les fibres radiaires qui impri- ment au noyau externe l'aspect caractéristique qu'il p
R) qui se rendent, soit dans la couche optique (Th) dont elles for- ment les fibres radiaires, soit dans le pied du pédonc
où elles se présentent sous la forme d'une couche de fibres forte- ment colorées, formée de fibres sectionnées très obliq
st formé de fibres enchevêtrées, sectionnées plus ou moins oblique- ment , limitées en dedans par le locus niger (Ln).Ces l
peron, particularité due au fait, que la coupe sectionne parallèle- ment il leur longueur les fibres qui lui viennent du c
·, lame médullaire interne supplémentaire, divisant en deux le seg- ment interne du noyau lenticulaire (NI,). ll, lame ter
constituent les radiations du corps calleux(RCc); elles sont nette- ment délimitées en dedans, par le ci7guluia.(Cing) et
rmées par de gros fascicules de fibres, correspondent assez exacte- ment à une ligne droite antéro-postérieure, limitant e
es en arrière et en dedans, et sectionnées d'autant plus parallèle- ment , que l'on considère des régions plus antérieures.
nce d'aspect des deux segments de la capsule interne, déjà extrême- ment nette sur la coupe précédente n" 6 (Hg. 305), dev
unes s'étendent de la queue du noyau caudé (NC') au troisième seg- ment du noyau lenticulaire (NL,), les autres provienne
s, claires, peu colorées par l'hématoxyline et sectionnées oblique- ment . Aucune de ses fibres n'entre dans la constitutio
et s'accolent au pédoncule antérieur de la couche, optique ou seg- ment antérieur de la capsule interne (Cia), dont elles
limité du noyau interne (Ni) dont il se distingue cependant facile- ment , grâce à sa richesse en fibres. Le centre médian
sectionne la partie supérieure du corps de Luys (CL). Quant au seg- ment rétro-lenticulaire de la capsule (Cirl), il n'exi
partie supérieure du noyau rouge (NR), puis disparait progressive- ment , et la concavité de l'étage inférieur du pédoncul
la circonvolution postérieure de l'insula (Ip). Le troisième serr- ment du noyau lenticulaire (NLJ)' intimement uni au no
l, en dedans et successive- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 621 ment en allant d'avant en arrière, avec le faisceau le
et deuxième segments du noyau lenticulaire. - NL,(Al), premier seg- ment du noyaù lenticulaire et anse du noyau lenticulai
avec la capsule du noyau rouge, et on y reconnaît déjà très nette- ment , au moins deux ordres de fibres : les unes, fibre
s-thalamique. Le pédoncule cérébral n'est donc pas encore complète- ment constitué ici, et ne le sera définitivement que s
orrespond a sa partie supérieure du centre médian de, Ato/.s'nette- ment apparent sur la coupe suivante n° 2 x (fig. 317),
l (Fth). L'extrémité postérieure de ce noyau se termine insensible- ment dans le noyau externe du thalamus (Ne). Le segm
tre médian de Luys (ThNm), dans lequel les fibres ont considérable- ment augmenté de nombre. Ces fibres appartiennent déjà
dehors par la commissure antérieure (coa), sectionnée transversale- ment et qui la sépare du pulamen (NL3), en avant par V
aigu avec celles du côté opposé, en formant l'élégant entre-croise- ment de la calotte de Meynert (Fontaineartige Haubenkr
dans la partie supérieure de la région sous-optique, sépare ce seg- ment postérieur du segment rétro-lenticulaire (Cirl) e
mztr,·'oin.zcr (Qa) se disperse pour former l'élégant entre-croise- ment de la calotte de Meynert (Fontaineartige Ilaubcnk
microscope une coupe de circonvolution pratiquée après durcisse- ment perpendiculairement à sa longueur et colorée so
nt chacun du coude des dendrites polaires, se dirigent horizontale- ment , parcourent de très grandes étendues, en abandonn
que les cellules pyramidales des batraciens ressemblent singulière- ment aux cellules pyramidales plus ou moins modifiées,
1E DES CENTRES NERVEUX. Couche des fibres tangentielles propre- ment dites ou plexus externe do l'écorce (1"' plex
trie externe conserve sa situation dans la partie Leur accroisse- ment avec 1 ? Strie de ncchte- rew. L'apparition
s géantes;$, les collatérales des cellules polymorphes, principale- ment dans sa partie profonde; y, les arborisations ter
ieure et la plus dense du feutrage inter-radiaire d'Edinger. Nette- ment délimités chez les jeunes individus de la strie e
cependant rien affirmer sur leur origine, comme se terminant libre- ment dans les nerfs de Lancisi, à la manière des cylin
or- mer les fibres fines de l'al- véus, et entre très probable- ment dans la constitution des fibres transversales o
l,illl,e olfactif est celle de l'écorce (',énhrale pro1'oll1l0- ment modifiée. Les cinq couches du bulbe olfactif.
r Schalfer. Les fibres de gros calibre appartiennent vraisemblable- ment aux cellules pluripolaires du type de Cajal. 2°
bien peu de régions où l'on ne puisse constater nette- ! j ! ) ! j ment , par la direction des fibres, la prédominance de
Cajal, que sur l'animal nouveau-né. Cet auteur, qui les a spéciale- ment étudiées chez les petits mammifères, les décrit c
hs émet l'hypothèse qu'il s'agit dans les cas d'arrêt de développe- ment du corps calleux, non d'une agénésie, mais d'une
ur fournit des fibres à la capsule externe. Son entre-croise- ment avec les fibres de la commissure intérieure e
de projection et des fibres d'association ne peut se faire unique- ment il l'aide de l'anatomie normale. L'intrication de
xyline n'a rien qui doive étonner, étant donné le peu de développe- ment que présentent chez le singe la masse blanche des
'on l'admet généralement; il n'est pas formé de lamelles régulière- ment stratifiées et par conséquent plus ou moins facil
mmissure antérieure est formée de libres fines, se colorant faible- ment par l'hématoxyline et présentant sur les coupes t
ert, est très petite chez l'homme, mais atteint un grand développe- ment chez les animaux osmatiques. Elle appartient à la
en, sont très analogues au point de vue de l'étendue du ramollisse- ment cortical, à ceux de Popoff et de Flechsig. Dans u
85 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
tapisse le fond des scissures devront retentir, bien plus facile- ment que celles de la convexité proprement dite, sur
en- gourdissement dans les membres du côté droit, puis graduelle- ment hémiplégie droite complète, embarras, perte de la
ssent qu'un cerveau qui délire n'est pas un cerveau accidentelle- ment malade, mais un cerveau profondément mo- difié
en sort souvent fortifiée et occassionnera d'autant plus facile- ment d'autres troubles qu'elle en a déjà produit. Ce
entrée dans l'asile ; d'un autre côté, il lui survient périodique- ment des accès, pendant lesquels les actes incohérents
ux central, conséquence immédiate de la grossesse; 2° empoisonne- ment du sang exagérant cette irritabilité; 3° excita-
ise, c'est une condition particulièrement favorable au développe- ment de l'éclampsie : « Thus it may be said that pre-
nt trois heures à peu près sans interruption, jusqu'à l'accouche- ment qui ne setermina que par le forceps. Les accident
r manqué des chagrins assez violents, mais sans aucun retentisse- ment sur l'intelligence. En 1877, elle eut un accouche
de ces pensées, elle devint très triste, plongée dans un abatte- ment excessif qui ne lui permettait aucun travail; et
ns cesse, se désole de souffrir toute l'éternité, demande instam- ment un poison qui la délivre, et réclame à grands cri
de cas semblables du côté de Yakutsk, durant les hivers extrême- ment froids qu'on y observe. Cette maladie est connue
nt subitement réveillé, commet des actes de violence et spéciale- ment des assassinats. Dans certains cas, il semble sor
n de quinze ans bien constitué, intelligent, raisonnant parfaite- ment , qui est affecté d'un hyperexcitabilité extrême,
laires de Clarke, qui, d'après lui, s'étendent jusqu'au commence- ment dufilum terminale; mais les groupes cellulaires s
résultats du traitementautisyphilitique sont, dans l'espèce, rare- ment grands. L'auteur en rapporte cependant un cas bie
ême comme une pomme, est entourée d'une large zone de ramollisse- ment qui s'étend dans tous les sens. l'. Ii. V. Cont
re l'issue delà matière cérébrale, ce qui les fit cesser immédiate- ment . Néanmoins le malade guérit très vite et put repr
r en un établissement d'aliénés complet, aménagé pour l'enseigne- ment de la clinique ; le terrain et les plans sont déj
psychique préside à de prétendus aveux. Tantôt il s'agit réelle- ment d'un délit commis par le personnage, mais que, da
chacun le croyait volontiers, et cela d'autant plus que l'enchaîne- ment des faits participait d'une logique que refuse l'
ux électrodes, soit de les combiner, soit de les intervertir isolé- ment ou tous deux ensemble. Ne voulant, au reste, ptéj
pour la société ou pour eux-mêmes ; 2° par la pratique, le traite- ment et la séquestration des aliénés à domicile présen
l'eau froide étant fournie par la conduite générale de l'établisse- ment . On a dû, il y a douze ans, se défaire des premie
llons, à l'occasion du plus récent de.ces volumes, rappeler briève- ment le contenu de ceux qui t'ont précédé. Mais avan
est loin de s'attendre, d'après l'idée que l'on se l'ait générale- ment d'un service d'épileptiques et d'enfants idiots o
cles de la face se convulsent, surtout à droite; la bouche large- ment ouverte laisse quelquefois sortir la langue. L
'au 18 octobre, époque à laquelle les phénomènes de nature nette- ment hystérique, viennent se surajouter aux manifestat
1'liys- térie (anesthésie et autres), soit qu'on eût insuffisam- ment recherché ces. signes, soit- qu'ils n'existassent
- tative de viol. Peu de temps après, une attaque survint subite- ment , et sans avoir été annoncée par aucun phénomène p
ie et hémi- I)Iégie, survenues soudainement et presque simultané- ment , l'aphasie disparaisse radicalement, et que de
nt, et que de son côté, l'hémiplégie persiste non moins radicale- ment ? , , ..Pour, légitimer ce. contraste, il faudr
ste permanente. Les réflexions qui précèdent s'appliquent absolu- ment à l'observation XXXIX de la thèse de M. Pitres,
utre côté. » Un nombre respectable de faits a déjà donné un dé- menti à ce que cette opinion avait de trop absolu. II
Sr 1lllUil située assez en ayant pour.n'exercer, aucun retentisse ment .surîtes irradiations'motrices; supérieure'en=cela
ui, grâce au-fait de Rochoux, on peut affirmer la chose clinique- ment ? en ajoutant que les artères nourricières delà p
fil; Le tubercule, était arrondi, du volume d'une noisette, facile- ment énueléale, siégeant sous la substance grise dans
's'elioses.1 La fréquence' peut ne dépendrei'que de3raisonspurei ment . secondaires : ' Ce qu,,i 1) nous- i ni porte) de
aternel, très vif, disposé à la congestion, se faisait continuutle- ment saigner; la grand'mère paternelle est morte de fl
l'autre, une amélioration fort sensible est venue pareillement dé- mentir un très fâcheux pronostic. S'il était permis de
sibilité soit reconnue, pour que le législateur y trouve un argu- ment bien puissant contre la peine capitale. Et l'aute
mot f 1; n11^ .Q^i o ? oosf.. ff 4r.foT.-T ? l c, J-mi ? i ? f,t ment de la peau il est pas nécessairement en rapport^a
degré moindre ? La substance^ grise a-gauche,. étaiti assez, forte- ment injectée ? mais 'ne présentait pasrdautre anomali
ux écartes; elles sont extreme- 1 ? 1 1 n·yl .,b 1 1 u Vlli t b J ment rares dans, les villes, les conditions de logemen
1 iJ, .i- m ? 1 ,Il, Il Il Il 1` -lil ta JI l' lJU b rl Jl J al.n3 ment ne voulant assumer les frais d entretien ! Que vo
diate .avec )echioraii<me,chronique z stade s'y rattache directe ment . Lé deuxième est l'etTet`éouçui·reüt`et de l'in
tres processus) pathologiques, qui ne, se- traduisent pas fatale- a ment , forcément, par le tableau de l'atrophie dégénéra
l'espèce, l'existence d'une affection infectieuse. Il n'est aucune- ment impossible que la matière infectieuse spécifique
al possède beaucoup plus de cellules qu'on ne l'acceple générale- ment . Mais il va trop loin en rattachant tout ce qui e
jugement, général à notre époque, sur l'opportunité d'un traite- ment approprié, on est cependant obligé de reconnaître
e d'une branche quelconque de connaissances. Voici du reste, com- ment 1lI. IialiILaum comprend la Pédagogie médicale de
e. Tel est le système scolaire, académique, applicable non seule- ment aux jeunes aliénés, mais aussi à des malades plus
mais cette fois, aphasie sensorielle (surdité verbale). Graduelle- ment l'intelligence s'altère, plusieurs accès convulsi
mme dans'1 le fait de ill" liàl)ow. se suicida. Ici aussi l'empâte- ment , le pathos du style et' l'indignation morale sont
gonce (absence presque totale de la parole, etc.), un développe- ment somatique extrêmement restreint, une paralysie to
es nombreux gardiens particuliers pour lesquels on paie annuelle- ment 160 couronnes (524 fr.), plus 60 oeres par jour,
. Bnnxerr (A.-H.). - A slatislical inquiry lhe nature and 11-eai, ment of cpilcpsq. Brochure in-8" de 47 pages. Loudon,
pourrait croire normale, pour le courant faradique, est notable- ment diminuée pour le galvanique. On ne peut obtenir d
s la malade se plaint d'éprouver entre les deux épaules un senti- ment de fatigue. Le système vaso-moteur est un peu aff
ènes paralytiques. Les faits qui précèdent démontrent surabondam- ment , croyons-nous , la réalité du type nouveau d'at
ommuniquée par son mari et pour laquelle elle est restée en traite- ment huit mois à l'hôpital Lourcine, salle Astruc; ell
lé. 18 mai. Le malade raconte de lui-même qu'après le renouvelle- ment du bracelet, il aurait éprouvé pendant quelques i
s bordé (fimbria), et donne le nom d'incisura tenzporalis au seg- ment antérieur du crochet. Ce qui permet de s'orienter
motrice, exerce une influence des plus délétères sur le développe- ment de cette zone. La lésion porte spécialement sur l
sultent des diversités dans la réussite des procédés de durcisse- ment ; que les lamelles cartilagineuses que l'on renco
aduelle de la motilité et de la sensibilité. La sensibilité finale- ment récupéra son intégrité avec ses qualités et ses a
à myéline, puis elles se montrent dans l'écorce. Leur développe- ment marche, sans désemparer, du centre de la périphér
suspension de la respiration ; troisième faradisation aussi lente- ment fructueuse, mais cette fois à jamais efficace. P.
solution de chlorure de sodium à 4/2 ? ), en des conditions facile- ment mensurables, qui seront l'objet d'une mention pos
vel interrupteur de Gaaffe se plie à ce genre d'expériences, seule- ment il faut remarquer qu'à mesure qu'on augmenteles i
de degré dans les altérations histologiques et chimiques principa- ment du muscle, sans qu'il soit possible de préciser d
dies du système nerveux, t. 111, fascia. i, p. 135, et comparative- ment Archives de Neurologie, t. I, p. 575. 2 Voy. Ar
51 dans un certain nombre de cas, les extrémités paralysées, notam- ment les jambes, sont capables de déployer plus de for
icile, aboutit à une faible proportion de guérisons; cet accroisse- ment n'influe pas, d'une façon bien nette, sur la prop
ades) le prix de construction par lit, le prix d'entretien du bâti- ment et du matériel, enfin le prix d'entretien même de
moyens possibles à la construction des grands asiles, non seule- ment au point de vue pécuniaire, mais encore au point
;LL. On ne peut guère résumer cette observation, qui est extrême- ment longue et intéressante surtout par ses détails. s
cessaire, tant que la folie existera telle qu'elle existe actuelle- ment ; 2° il faut en limiter l'application autantque c
potion huileuse menthée, fait le plus souvent dormir très rapide- ment (généralementen cinq minutes, rarement en un quart
s diurnes, l'auteur a obtenu : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 361 ment : de la paralysie de l'oculomoteur externe gauche
ter- minée. De cette recherche minutieuse ne dépendent pas seule- ment l'exacte interprétation seméiologique et la sûret
lequel l'hémisphère cérébelleux droit est réduit à un mince rudi- ment . Ce rudiment se compose de deux petits lobules do
mesure, de toute proportion, qui passent et se succèdent rapide- ment . Jamais l'intoxiqué ne perd connaissance; il se r
érébraux, soit dès son installation soit au cours de son développe- ment , permettent d'en rapporter, selon toutes probabil
éris; 20 la répétition de l'excitation électrique décèle un épuise- ment de l'excitabilité, qui souvent revêt la forme de
ulations, et non des champs normale- SOCIÉTÉS SAVANTES. 37'.) 11) ment dépourvus de ces éléments. L'homme posséderait do
l'extrémité supérieure gauche. Céphalalgie violente. Amaigrisse- ment . Battements du coeur faibles. Etats de collapsus
u'elles affectent avec l'attaque un rapport traduisant bien réelle- ment une loi, mais seulement en certaines conditions d
nerf simplement fatigué, c'est-à-dire de l'organe psychique légère- ment fatigué ; puis, un stade de manie, qui forme la p
sile. Laïcisation DE l'Asile d'aliénés DE V1LLE-EVRARD. Conformé- ment aux voeux réitérés du conseil général de la Seine
erveuse, par Kesteven, 206. Occupation (de l'), dans le traite- ment des maladies mentales dans les classes supérieu
sain avec l'hémisphère malade et de se rendre compte du retentisse- ment de la lésion sur les circonvolutions non lésées.
86 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alade. Encore une fois je ne le vous présente pas comme un événe- ment . C'est à tout prendre, jevous l'ai dit, un cas ba
ire cumul des agents provocateurs, ainsi que l'a fait fort juste- ment remarquer M. Georges Guinon, mon chef de cli- n
ci dépasse le domaine de l'hystérie et rentre plus vraisemblable- ment dans celui de l'alcoolisme. '12 CLINIQUE NERVEU
degré d'asy- métrie. La commissure labiale gauche paraît légère- ment tirée en haut et en dehors, tandis que la droite
(petit zygomatique) et pour l'occlusion des lèvres et le siffle- ment (orbiculaire des lèvres). Mais le mouvement d'é-
me reste au moins la satisfaction d'avoir posé la question carré- ment et d'avoir, par mon attitude décidée, appelé des
l- sions verbales, par suite de l'élément moteur qu'elles renfer- ment et qui, en en faisant de véritables exemples d'au
est mort ! » Après chacune des crises, la malade revient rapide- ment et entièrement à elle. Point de troubles de la mo
eurs antérieurement récupérés. En novembre et décembre le traite- ment est interrompu, l'état reste stationnaire. Le 2
ents des troubles sensoriels et convulsifs qui avaient si bruyam- ment occupé la scène ; ce furent d'une part des rêves
ment quelques mouvements, peut-être par contre-coup de l'ébranle- ment général. La face restait indemne de toute contrac
nimaux opérés et soumettre - dans les premiers temps journalière- ment , puis avec de certains intervalles - à un examen
ro- noncée, et une hémisection incomplète du côté droit, précisé- ment de son cordon antérieur. En nous appuyant sur ces
du côté gauche, est plus vive, et du côté droit, elle est complète- ment invisible aux piqûres et aux pincements, Les réfl
Foville. BROCA insiste beaucoup dans son mémoire sur le rattache- ment de l'appareil olfactif aux faisceaux inférieurs d
7 minime-. très de largeur, et qui est souvent d'un blanc absolu- ment pur, ne soit pas signalé par les auteurs ? Aujour
drijumeau supérieur, ils rejoignent un faiseau profond de raccorde- ment de ce tubercule avec la partie antérieure et exte
ité pos- térieure ; d'autres fois, l'entre-croisement est unique- ment représenté par un faisceau plus ou moins large
ois piliers, je rattache la cloison transparente comme autre élé- ment de l'appareil olfactif. Cette connexité saute aux
à la lace inférieure du corps calleux et que l'on décrit communé- ment sous le nom de lyre. » Cloison transparente. Fo
s phé- nomènes convulsifs et paralytiques apparaissent simultané- ment dans des régions différentes du corps. Une lésion
e localizzazioni motrici nelta corleccia cérébrale... - Riv. speri- ment . di frenialria, 1878, p. 25. DE l'épilepsie cor
au du cingulum. Quoique les lobes frontaux et préfrontaux renfer- ment des centres d'innervation des muscles du tronc, e
traire, les muscles de la face et du tronc y participaient pleine- ment , ce qui s'accorde avec l'absence d'atrophie corti
et des doigts. Anesthésie limitée à un côté, qui a guéri complète- ment en peu de temps. P. K. VIII. Des noyaux ARC1POR
ivers établissements pénitentiaires, dont 15 p. 100 étaient évidem- ment aliénées à l'époque du crime ou du délit, plus de
n- colique. Quant aux hallucinations, on ne comprendrait pas com- ment les images motrices de la parole inférieure engen
ossibilité de l'influence nuisible sur laquelle on attire actuelle- ment l'attention si souvent, ne peut servir de raison
n'exclut nullement l'usage simultané des autres moyens de traite- ment ; aussi, il est inadmissible de laisser créer une
- tué en comité d'organisation de la nouvelle session. Immédiate- ment après l'ouverture de la séance, on procédera à la
ar le ministre de l'intérieur, afin qu'on puisse avoir plus rapide- ment la consultation sur la question des aliénés. La c
nts vaso- moteurs, qui suivent d'autres voies ; il fournit égale- ment l'innervation du muscle de Millier dont la para-
ite, plutôt que sur la gauche : aussi remarquons-nous, contraire- ment au cas précédent, que l'hémiplégie a lieu à gauch
l'ac- cident, ont empêché la formation des vers appelés vulgaire- ment asticots, qui s'étaient formés dans la plaie du p
mètres. Les cheveux coupés, la plaie nettoyée, on aperçoit nette- ment le battement d'une artère, qu'on sent facilement
at, regrette même », dit-il, de s'être manqué. On place un panse- ment antiseptique. La température est prise une heure
avec la dure-mère des adhérences intimes. Celle-ci adhère égale- ment à la voûte crânienne intérieure avec autant de so
que se produit la crise d'épilepsie essentielle, c'est-à-dire pure- ment nerveuse, sans cause matérielle apparente. La fra
u, les signes correspondants observés pendant la maladie, confir- ment : 1° Que la partie la plus reculée du lobule qu
opération, les os et les téguments de la vertèbre sont complète- ment rétablis. En ouvrant la colonne vertébrale, on
colonne vertébrale, on voit que la moelle présente un étrangle- ment marqué au ni- veau de la première hémisection
e trouve à 1 milli- mètre plus bas que la fin de rentre-croise- ment des pyramides. La plaie laite la veille est dan
tivement l'hypo- thèse de l'auteur nommé celle de l'entre-croise- ment immédiat des voies de sensibilité dans la moell
it une hémi- section gauche au niveau de la XIe vertèbre. Evidem- ment , la section a atteint légèrement le côté droit de
veuses pour l'extrémité postérieure, oit elles passent immédiate- ment du côté de la lésion. Moscou, juin 1889. DE L
on pas seulement en vue du traitement, mais en vue de l'avance- « ment de la science et de l'amélioration du sort de l'h
progression géométrique. L'usage de l'hyoscine doit être absolu- ment proscrit chez les individus atteints de troubles
sur l'écorce, puisqu'il diminue les accès d'épilepsie. Malheureuse- ment il produit à la longue une sorte de paralysie gén
responsabilité mitigée ou autre; il y a lieu de se demander seule- ment , en présence de cas semblables, si le malade a ag
asiles, des coquins qui eussent été mieux placés dans un établisse- ment pénitencier. Folie, vice et passion peuvent condu
à attaques à ceux sans attaques, où la température n'est générale- ment pas modifiée ; cependant, dans quelques cas, les
de tous les moyens d'informations », le tribunal ne fera pas autre- ment ; or, ces moyens se ramènent aux renseignements m
face sur lequel tranchent plusieurs plaques où la peau est absolu- ment dépigmentée ; le àos des mains est atteint d'un é
qu'il en existe à Paris. La tenue du personnel a paru particulière- ment correcte et le costume sévère des gardiens ainsi
cité statique ne provoque sur eux aucune réaction. C'est évidem- ment une dystrophie musculaire progressive généralisée
ue les fait disparaître; les plus petits s'évanouissent instantané- ment , les plus gros ne sont dissous qu'après s'être di
térie), tandis que l'automatisme impératif et la catalepsie propre- ment dite relève principalement d'obnubilatiuns profon
de l'influenza, celles principalement qui avaient été antérieure- ment affaiblies par d'autres facteurs. Ce sont les mél
nte. M. Kreuser. Les aliénés tranquilles ont été proportionnelle- ment plus atteints que les agités. M. FUERSTNER, - E
d'origine du nerf en même temps; elles se disséminent irrégulière- ment . Elles atteignent d'abord les parties latérales d
sieurs semaines, périodes après lesquelles tout disparaît complète- ment , mais les rechutes sont fréquentes sous l'influen
Officiel du 11) autorise le département de Loir-et-Cher, conformé- ment à la demande du conseil général, à emprunter une
ue trois fois du sucre dans les urines. Et encore n'est-il nulle- ment démontré qu'il se soit agi vraiment dans tous ces
Calvi) 2 a vu le fils d'un père diabétique présenter un tremble- ment des mains, entre autres accidents nerveux. Il a
ribuer ce fait, si simple, aux progrès de l'âge, il m'écrit longue- ment pour me signaler cette nouvelle manoeuvre de ses
et généralement 'acceptée après lui, fait dériver, par raisonne- ment syllogistique, le délire des grandeurs du délire
termine par un long post-scriptum dans lequel R..., se plaint vive- ment que le duc d'Aumale fasse bon marché de ses oeuvr
ivait seul, brouillé avec sa famille, se nourrissant mal, probable- ment hanté par des craintes d'empoisonnement. Un scand
à même tiré un coup de revolver sur son frère qu'il a dangereuse- ment blessé. Ce malade prétend être le fils de Victor-
moitié droite de la face s'est amaigrie, et depuis lors l'enfonce- ment de la tempe droite persiste. La malade est d'une
peau mince, lisse, sèche et privée de cheveux recouvre immédiate- ment l'os. Le sillon naso-labial fait défaut. Le bucci
it est très plate relative- HÉMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE. 349 ment à celle du côté gauche '. La réaction des muscles
e la joue gauche; et ce dernier phénomène se produisit si rapide- ment qu'à peine huit jours depuis le début du mal, il
tremblement de la mâchoire inférieure, auquel succède du grince- ment de dents; agitation de tout le corps, le malade r
par semaine. Jamais il ne parlait du suicidé, ni de son embourbe- ment . Il ne lisait pas de romans, mais seulement.des l
droite et à gauche, se dresse sur son séant et se relève complète- ment . Il arrange le désordre de ses vêtements, se rapp
pas chez lui et elles auraient apparu depuis quinze jours seule- ment . Elles n'auraient d'après lui aucun lien avec les
à se précipiter : on filtre chaud, on évapore et par refroidisse- ment le sulfonal se dépose. , Le sulfonal se présent
OGIQUE. l'acide pyrogallique au cyanure de potassium. Plus récem- ment , M. Wefers Bettink a conseillé de mélanger le sul
fe et il se manifeste une odeur alliacée : si, après refroidisse- ment , on traite le culot par l'acide chlorhydrique, il
de la paraldéhyde et même du chloral. Elle se produit plus lente- ment , mais elle se prolonge davantage; enfin il n'y a
firmé les faits annoncés par Kast, a même constaté expérimentale- ment que le sulfonal n'influençait en aucune façon la
igeon; par le Dr DE 13oECE et L. LE l3ur. (Bull. de la Soc. de méd. ment , de Belgique, 1890.) L'intérêt de cette obser
rale; parles Dr de BOECK et I. WERUOOGEX. (Bull. de la Soc. de méd. ment . - de Belgique, 1890.) Les auteurs de ce trav
ie générale A Gucrr.; par le Dr PEETERS. (Bztll. de la Soc. de méd. ment , de Belgiqtie, 18J0.)" ' ' ? ,. ' Il résulte de
de 8 p. 100 du total des admissions. Pour les hommes pris séparé- z ment , la proportion des paralytiques est de 12 p. 100,
ET paralysie générale; par le Dr CUYLITS. (BüLi. de la Soc. de méd. ment . de Belgique, 1890.) III. Surmenage ET folie pa
. M. Bouchaud, au lieu de relever, comme cela se fait habituelle- ment les circonstances qui favorisent le développement
s trois facteurs qui contribuent le plus efficacement au développe- ment de la paralysie générale. E. B. VIII. Observati
quelconque; le chloroforme et le shock traumatique n'ont évidem- ment rien à faire dans l'espèce. L'auteur incrimine l'
Le suicide n'est pas si volontaire qu'il le peut paraître, notam- ment quand la vie dure. Il existe des causes prédispos
consécutive à l'influenza; dans trois cas, l'influenza joua simple- ment le rôle d'une cause occasionnelle. L'action réell
s avaient des états de mal à certaines époques déterminées notam- ment à l'époque des règles. La plupart étaient aussi a
sont réunies; confiance du malade, première condition du traite- ment , obtenue à la seule condition que le médecin soit
lus acharné encore que vous-même à demander la réunion. Heureuse- ment , il n'en est rien. Avec le projet Bourneville, to
ls pourraient assister, ainsi que les médecins adjoints. Et finale- ment , la rédaction suivante a été adoptée.à l'unanimit
raison d'être de l'aliémste étant l'accomplissement consciencieuse- ment rigoureux des devoirs professionnels. Tout au plu
médicale assurée par la suppression du directeur et son remplace- ment par un simple administrateur placé sous le contrô
; 3° Deux corps de médecins aliénistes : l'un spécial au départe- ment de la Seine, le second pour les autres départemen
. Quant au traitement qu'il expose sous le titre de « Mon traite- ment de la morphinomanie » il ne présente rien de nouv
e dans une grande ville étrangère, gousset bien garni, désoeuvre- ment , attente d'un départ pour un lointain voyage, ava
s. Aux enquêtes sommaires, hâtivement, quelque fois inintelligem- ment exécutées, il faudrait subsistuer de véritables i
divorce, rendit exprès sa femme morphinomane et de là tira argu- ment pour faire prononcer un jugement contre elle. » N
prendre part en seront prévenus officiellement et recevront égale- ment les indications nécessaires au sujet de l'endroit
87 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
, je suis pris d'angoisse, de palpitations et je me mets immédiate- ment à trembler. C'est plus fort que moi. » On sait
à la palpation, n'est pas plus grand que celui d'un homme normale- ment développé ; il parait même au-dessous du normal.
rtants troubles oculaires, la céphalalgie, et surtout le développe- ment disproportionné des mains et des pieds, par rappo
athologiques « absolument différents l'un de l'autre : « contraire- ment au gigantisme qui n'est, le plus souvent, que l'e
e l'autre, représentent deux formes d'un même trouble du développe- ment de l'individu, le premier survenant au moment de
d'elles est détruite, partiellement ou totale- 2G MAGALHAES LEMOS ment . Cette suppléance est, naturellement, d'autant pl
e consécutive à la castration, s'atlache à démontrer expérimentale- ment et à bien mettre en relief la réalité des rapport
ur tire la conclusion que dans la castration la cause du développe- ment exagéré des os est également l'hyperfectionnement
s cet ordre d'idées nous nous rallions absolument à la thèse récem- ment soutenue par noire collègue Magalhaes Lemos (de P
gauche (paralysé) ces mêmes mouvements passifs s'exécutent facile- ment . - La marche est impossible. La sensibilité d
tion des os est rougeâtre, ce qui tient probablement à l'amincisse- ment de la substance compacte qui est devenue transluc
cette dernière en substance spongieuse et ensuite en un élargisse- ment notable des espaces médullaires ainsi que du cana
second cas la glande ne pesait que 15 grammes et présentait égale- ment des altérations scléreuses. Dans un autre cas p
Basedow et partage l'opinion de von Reklinghausen que le ramollis- ment osseux était en rapport avec la vaso-dilatation d
à ce qu'il semble, plus abondantes que d'habitude dès le commence- ment , à l'âge de 13 ans. A la nécropsie le squelette
llement des épiphyses,qui n'étaient pourtant pas localisées exacte- ment au niveau de l'ancien cartilage de conjugaison.
e dans l'urine et les fèces des femelles châtrées ont obtenu égale- ment des résultats négatifs. La question réclame de
et de discussion. Au point de vue historique, je rappellerai seule- ment qu'aux époques d'ignorance et de superstition ces
oigts à chaque main et à chaque pied ; Johnson (4.) rapporte égale- ment une observation de dix doigts à chaque main et à
u cinq. Le fait même que la polydaclylie se manifeste plus fréquem- ment aux membres supérieurs qu'aux membres inférieurs
et a pu conclure qu'elle est due à un simple phénomène de dédouble- ment (2). Boas lui-même avait du reste déjà démontré q
nt son entourage des brutalités les plus extraordinaires. Probable- ment ,il il s'agissait de confabulation reposant sur le
de la suite dans les idées, et, jusqu'à un certain point, du juge- ment , malgré les altérations profondes de la mémoire d
rientation dans l'espace et dans le temps qui est le plus profondé- ment altérée. Après des mois de séjour, les malades ig
oquent des impressions sensorielles, mais ils protestent immédiate- ment .dès qu'on fait appel à des notions générales. Par
dissociation, au profit de la démence, et il l'exclusion de l'élé- ment confusionnel, Kraepelin éliminait du cadre de l'a
lution même de l'affection ne permet guère de l'assimiler complète- ment aux démences, puisque,dans certaius cas, la presb
épète, à très peu de chose près, les mêmes propos à différents exa- mens , pratiqués à plusieurs mois d'intervalle. Dans le
ce qu'il a fait le matin ou la veille : il peut répondre négative- ment et alléguer qu'il ne se souvient de rien ; mais s
i l'activité de l'esprit continue à s'exercer, elle estessentielle- ment d'ordre hallucinatoire : c'est le rêve. Dans le s
l'empreinte de l'élément onirique dont il procède ; il est fréquem- ment de caractère professionnel, mouvementé, fantastiq
niteuse ou malicieuse, parfois mythomanie de défense, et,plus rare- ment enfin, simulation. Les conditions psychologique
'ordinaire progressivement quand l'activité mentale, trop profondé- ment déchue, ne peut plus faire les frais de la fabula
gistes et des aliénistes de Moscou. xxiv '' IJ2 r ? W aH0lo . ment au Professeur Pierre Marie qui a fait, en 1898, u
ns les formes aiguës (5 fois sur 14) la maladie commence immédiate- ment ou bien une ou quelques années après le moment fu
ns les formes subaiguës, le début de la maladie est le même, seule- ment les douleurs sont moins aiguës. b) Dans les for
Pathogénie. Philadelphie Soc.Neu- rol., 1908. The journal nerv. and ment . disease, mars 1909. (7) MAC Carthy, Philadelph
l y a un bouleversement total des cellules épithéliales. Non seule- ment les vésicules ont perdu leur caractère régulier,
ne. Si l'on tient compte du fait que les tumeurs refoulent fréquem- ment les faisceaux nerveux, en altérant la disposition
parler se plaisent et font feste, aussi leur a-t-on faict nouvelle- ment mettre en pourtraict le triumphe de celle qui les
ous ne croyons pas qne l'interprétation de Montaiglon soit entière- ment exacte. Sur l'estampe de Blois, les plus grandes
tique. Nous n'avons pu reconnaître quelle Heur, médicinale évidem- ment , est là représentée. Le l'ourpoinct cite maintes
parésie droite est nette : les membres de ce côté retombent lourde- ment sur le lit ; il n'en et pas ainsi à gauche. Il y
ivante, la céphalée sembla s'atténuer sous l'influence d'un traite- ment mercuriel : elle est nettement moins forte depuis
Med., no 23), p. 655. (3) Gordixier et CARREY, Journ. of nerv. and ment . Dis., 1906. (4) A. Stehn, Uber Cyslicci-keiz i
avons déjà rapporté que le malade se brûle fréquemment et profondé- ment sans s'en apercevoir. ' Cette thermo-anesthésie
'épaisseur de la peau est très peu augmentée; la peau est parfaite- ment mobile. La couleur est normale. Le phénomène qu
s caractères saillants, à savoir : carrés assez luisants et légère- ment boursouflés de l'épiderme, larges el limités par
z embarrassante ; ces taches pigmentées n'occupent pas tout un seg- ment de membre, et ne semblent pas correspondre par co
comme creusées dans la substance fondamentale; les capsules renfer- ment chacune de 20 à 30 cellules cartilagineuses; cett
s droit do la spond. rhiz (coupe verticale : A, cartilage relative- ment conservé ; B, absence absolue du cartilage ; C, f
s endroits, le cartilage est corrodé, les fibres fines se transfor- ment en fibres plus épaisses et la matière hyaloïde n'
quelette, l'intégrité du cartilage intervertébral et un rétrécisse- ment inégal des trous intervertébraux. La spondylose r
iale, mais il reste à trouver la cause de cette ostéoporose, autre- ment dit, la vraie cause de toute la maladie. Il s'agi
fuchsine acide et vert lumière selon Alzheimer, on voit ordinaire- ment que les boules sont colorées avec la couleur basi
, Anglade et Ducos écrivent, il est vrai, qu'il y a aussi probable- ment des éléments cellulaires d'autre nature que névro
es îlots réguliers de parenchyme surplombés par des septa relative- ment minces. .' le 1 t\'" ` SUR LA GLANDE PINÉAL
au est beaucoup plus grand ; le protoplasma est coloré plus faible- ment ; les granules sont en partie plus grandes, mais
rullura del nucleo della c. nervosa. Rivisla de pathologie nerv. e. ment ., 1898. (2) G. Marinesco, Journal sur psycholog
semble qu'elle ne joue aucun rôle dans le processus de bourgeonne- ment nucléolaire, mais comme sur bon nombre de coupes
és sans aucun ordre dans tout le noyau mais de tout cet enchevêtre- ment se dégagent deux, trois ou même quatre filaments
peut même, à la façon d'une lame de caoutchouc, s'ouvrir momentané- ment pour laisser passer des granulations chromatiques
la membrane. Dans les cellules à substance chromatophile partielle- ment altérée, on voit le segment de la membrane modifi
peu près deux fois plus grand que dans le noyau et, comme probable- ment , ce travail d'hypertrophie n'a pas lieu sur toute
ocessus de migration et consistant en un amincissement et ratatine- ment de la membrane sur une portion limitée. Le reste
se ramifier comme dans le cas précédent en plusieurs branches, aug- mentent d'épaisseur au sur et à mesure' qu'ils s'éloignen
ces parties : 1° la capsule fibreuse du ganglion est considérable- ment épaissie et sillonnée d'un grand nombre de vaisse
jorité des cellules se trouve très atrophiée et envahie par le pig- ment , leurs noyaux sont atrophiés et déplacés vers la
aire a disparu. Le nucléole émigré se trouve en etat de bourgeonne- ment très manifeste. Dans le reste du corps cellulaire
ré son âge elle travaillait encore, elle ne se sentit pas suffisam- ment malade pour interrompre ses occupations et se ren
d'ailleurs ancienne et stationnaire. Elle avance lente- 304 FOIX ment , comme une sénile, mais ne présente aucun trouble
es états corporels sont encore peu connus et mal classés. Clinique- ment , faut-il les rattacher à l'acromégalie ? Faut-il
côtés on constate des cicatrices brunâtres, bronzées, irrégulière- ment disséminées survenues d'après lui à la suite de l
raître les symptômes tertiaires qui furent très tenaces. Un traite- ment énergique et le séjour à Iwonicz plusieurs saison
t, le crâne n'a paspu être radiographié, le ma lade s'étant violem- ment opposé à cet examen ; pour la. même cause, on n'a
iens et des phalanges, surtout du pouce (macrodactylie) ; dédouble- ment de la dernière phalange de ce doigt (polydactylie
ver qu'un détail de bien peu d'importance, un développement légère- ment anormal du système pilifère. L'intelligencedemon
on des lésions sphénoïdales que je viens de rappeler, mais directe- ment , en exerçant une influence sur la fonction de la
t évident que l'anomalie du tabès dorsal spasmodique était précisé- ment la contracture en flexion du type Babinski avec a
n a disparu complètement,en lui laissant une main déformée, absolu- ment comme une main de rhumatisant chronique, etqui fa
pieds, quand le malade, par exemple, reste debout ; mais certaine- ment , ce sont les premiers surtout qui,par leurs contr
de l'incoordination musculaire, que le malade oscille très légère- ment , sans qu'il en ait conscience ; et l'on peut cons
voir s'asseoir ou, étant assis, pouvoir se relever, comme un mouve- ment coordonné ? Certes, pour que l'homme sain ou le
même cause, c'est-à-dire que la tête du fémur est remuée latérale- ment et le tronc aussi, par des contractions musculair
mparfaitement, à cause des oscillations qui troublent involontaire- ment l'équilibre statique et cinétique du membre. Rega
ux et chez les achondroplasiques fournirait un argument singulière- ment probant en faveur de l'achondroplasie dite physio
d'achondroplasique; voici les données anthropométriques qui confir- ment cette première impression (1). NOUVELLE ICONOGR
as par le même facteur que les déformations, mais dérivant directe- ment de ces déformations mêmes. Cette façon peut-être
ette de chat polydactyle qu'ils ont étudié récemment peuvent égale- ment être invoquées ici. EXPLICATION DES FIGURES P
elèvent et il ne reste' plus qu'une escarre qui se détache entière- ment en laissant à nu la peau reformée, encore fine et
ndy lui-mêmeabordait,à propos desonsecond cas une discussion autre- ment intéressante sur le terrain de la pathogénie; des
être utilisées. Le nombre des observations retrouvées est actuelle- ment de vingt. On les retrouvera reproduites et résumé
nt les infantiles réversifs se distinguent le mieux, c'est précisé- ment des infantiles ordinaires, qu'il s'agisse de l'in
ccupé de les étudier médicalement que de les pourchasser politique- ment . Les castrés chirurgicaux ne reparaissent guère
leurs désirs et leur instinct. Du côlé féminin, quoique plus rare- ment observé, ce retour à l'état neutre se traduirait
miner avec certitude si l'un de ces organes a été touché primitive- ment . Il existe donc des cas d'orchite atrophique sy
leur évolution normale. Chez l'adulte au contraire, leur développe- ment est complet ; leur fonctionnement peut rester nor
ez l'enfant apparaît la conservation du type infantile, un allonge- ment insolite des membres, une légère infériorité inte
s. Il peut se produire un épaississement des formes avec développe- ment des seins, constituant un certain degré de fémini
asionne la privation des testicules, de la sensation d'amoindrisse- ment qui tourmente le sujet. Ces faits sont très bien
des caractères sexuels secondaires : c'est ce qui avait lieu notam- ment dans un cas de MM. Widal et Lutier, ayant trait à
une manière graduée, et paraissent se dessécher. Le plus ordinaire- ment l'altération commence par l'un d'eux. « Le mala
ns plusieurs articulations. La convalescence s'éternisa, et rapide- ment il perdit sa barbe, ses cheveux, les poils du pub
ue : nous n'avons pu examiner le liquide rejeté. Les désirs propre- ment dits ont disparu. Il est difficile au premier abo
presque complètement à la partie médiane. Le malade fait spontané- ment remarquer que sa barbe rasée ue repousse que très
ons raccourcies par rapport au reste du corps ; et le raccourcisse- ment affecte les deux segments du membre supérieur ; d
ature du sujet est basse. Les humérus présentent leur raccourcisse- ment typique. Les mains sont plutôt en forme de bêche.
s enquêtes pratiquées dans les familles de nos sujets ont uniformé- ment donné des réponses négatives ; mais comme il fut
a micromélie humérale est bien, on le sait, un des faits ordinaire- ment relevés dans l'achondroplasie typique, bien que n
roit reçoit le choc principal, le bras ayant été porté instinctive- ment en avant. Le médecin traitant ne constate aucune
. Il n'y a pas d'oedème. L'augmentation de volume porte principale- ment sur le massif osseux, plus spécialement au niveau
araison des deux radiographies côté sain et côté blessé est absolu- ment démonstrative (Notons en passant que les deux mai
er le contact de la peau. Observons ce qu'il fait : il part résolu- ment dans la bonne direction, mais une fois qu'il a dé
et plier les autres seule- LE MÉCANISME DE L'ATAXIE TABÉTIQUE 487 ment . Par exemple, s'il ferme le poing, et si nous dés
emple, s'il ferme le poing, et si nous désirons lui ouvrir passive- ment un doigt du milieu, pendant que les autres resten
d le malade fléchit un doigt, même de ceux qu'il peut remuer isolé- ment , il ne peut pas le faire à une seule main, car ce
plier et étendre le coude de chaque côté, sans faire le même mouve- ment du côté opposé ; mais si nous lui résistons un pe
ou, en tenant le pied renversé. Il ne réussissait à faire ce mouve- ment , ainsi que le mouvement précédent, que s'il relâc
du membre avec lequel il veut toucher le genou opposé, si brusque- ment et si fort, que le talon est porté alors beaucoup
and il veut s'asseoir ou se lever, ce mouvement se fait si brusque- ment , que dans le premier cas il fait du bruit eu s'as
des fléchisseurs. A gauche elle est encore bien conservée relative- ment , car nous ne pouvons pas plier son genou, si le m
manqueront,ou bien qu'on les exécutera très imparfaitement. Autre- ment dit, on reviendra de nouveau à notre état antérie
88 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
cole). Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes. 213 enfants y ont été inscrits Cl
SSIONNEL. XV ques. C'est cette pratique qui explique l'enrichisse ment rapide de notre musée depuis février 1887. Le m
ires (Fig. 1.) Le troisième bâtiment a été élevé sur le prolonge- ment du bâtiment des Écoles, sans solution de conti-
lle il a été promu maire. C'est au mois de septembre 1870, au mo- ment de la proclamation de la République, qu'il a qu
à ma' soeur, sous réserve des dispositions énoncées en mon testa- ment . Il me parait d'ailleurs indiqué que ma soeur soi
. » « Codicille à joindre à mon testament : « Je confie le règle- ment de ma succession à M. Renard, mon notaire, rue du
our les aveugles qui composent en ce moment un fonds essentielle- ment charitable et pédagogique. » Autre codicille (E
embre 1886, le Conseil général a accepté le legs fait au départe- ment de la Seine et a autorisé le préfet de ce départe
départe- ment de la Seine et a autorisé le préfet de ce départe- ment à poursuivre par tous les moyens de droit la déli
t dudit asile. ' , Durant ce temps, le procès intenté au départe- ment suivait son cours. Le tribunal civil de la Seine
n- fants dits arriérés et appartenant à Ilippolyte Vallée, au mo- ment du bail, qu'il est dit dans ce bail que bailleur
e la Seine, en date du 7 décembre 1888, qui a reconnu au départe- ment la qualité de légataire de ce dernier; 2° Qu'el
était possible de compter sur quatre-vingts places approximative- ment .' Ce nombre étant réduit à quarante-quatre à la
me, sont con- sidérés comme un simple dépôt des effets d'habille- ment tenu toujours en état d'entretien et renvoyés par
être pris, non d'emblée, mais progressivement, d'après le moule- ment de la population. Il pourrait être recruté en par
des vête- ments des décédées ; une infirmerie, une salle d'isole- ment pour les maladies contagieuses, enfin deux ou t
bâtiments et le domaine dont elle se compose ; nous avons égale- ment ; indiqué son organisation intérieure. -Sur notre
ue nous avons fait conduire les enfants dans le pavillon d'isole- ment pour les maladies contagieuses de la section de B
des impres- sions maternelles. -Autre peur au 6° mois. Accouche- ment au 7° mois. Maigreur à la naissance, bassin peu
uth. 13 mars. La diarrhée a cessé, soif continuelle. Refroidisse- ment . Thé au rhum. 14 mars. La diarrhée recommence d
de l'abdomen, masse dans la fosse iliaque droite et consécutive- ment purpura, font admettre le diagnostic d'entérite e
ées et on ne lui a pas dit que ce fut de l'éclampsie. L'accouche- ment a duré 14 heures mais on n'a eu recours ni au for
géni- taux. Testicules descendus dans les bourses. Verge normale- ment conformée. Prépuce normal. Pas de phimosis. Anus
. sa partie interne elle se trouve en rapport avec un épanche- .. ment sanguin siégeant entre la dure-mère et le pariéta
ne contracte que de faibles adhérences avec elle et n'est nulle- ment épaissie. D'autre part la tumeur se moule exacte-
est nulle- ment épaissie. D'autre part la tumeur se moule exacte- ment sur la surface du cervelet ou du bulbe sans pénét
ur au niveau de son 1/3 supérieur, mais sa structure n'est nulle- ment altérée. Les pyramides ainsi que les noyaux bulba
à 8 mois. Notre malade. Les parents étaient bien portants au mo- ment de la conception qui n'aurait pas eu lieu durant
La base du prisme est constituée par la région occipitale forte- ment aplatie. L'arête antérieure répond à la région fr
ma- tion. Les altérations de l'écorce cérébrale sont essentielle- ment des lésions de congestion chronique. Ce qui frapp
des pa- rois desvaisseaux de l'écorce cérébrale sont essentielle- ment dégénératives. Enfin la dégénérescence des cellu-
spect jaunâtre. Sur les coupes, on voit la pie-mère considérable- ment épaissie englober les filets rachidiens. Dans son
diées par M. II. Liouville (Progrès médical, 1874) et plus récem- ment par MM. Raymond et Arthaud [Revue de Médecine 1S8
ns. Y a-t-il eu crises nerveuses, perte de connaissance, tremble- ment ? Combien ont-ils duré' ? . La nuit suivante a-t-
yé à la suite d'une attaque, sur la voie publique. C'est à ce mo- ment (1876) que sa mère a su réellement que c'était de
pris de convulsions qui durèrent deux heures. Il aurait eu ce mo- ment (Avant ou après ? ) une peur très grande, parce q
faut bien 2 ou 3 heures avant de reprendre 'conscience complète- ment et alors il souffre d'une céphalalgie persistante
rmaux. Sensibilité spéciale : pas d'achromatopsie, de rétrécisse- ment du champ visuel ; l'acuité visuelle parait bonne,
alade qui depuis 3 jours souffrait de maux de tête, tomba subite- ment en traversant le boulevard de l'Hôpital et perdit
miplé- gique, ]ajambe étendue. En même temps se montra un bégaie- ment très fort qui depuis est allé en s'atténuant; ava
rocéphalique) ; 3° Idiotie symptomatique d'un arrêt de développe- ment des circonvolutions ; 4° ldiotic symptomatique
anomalies res- semblant à des caractères morphologiques parfaite- ment connus chez des animaux moins élevés dans l'éch
doute grandira. Carl Vogt dit peu de chose au sujet du développe- ment des organes génitaux et de leur fonctionnement
déchi- rée incomplètement sur sa face antérieure, et a probable- ment obturé la canule, ce qui peut expliquer la mort r
pouvant per- mettre au cerveau de se développer, si ce développe- ment avait été possible. D'où il suit encore que l'apl
vivantes, chenilles, etc.); au réfectoire il mange assez propre- ment . En somme, on note quelques progrès pourl'instruc
e soupe; je me suis envoyé tout le plat de légumes à moi seul. » Il ment pour le plaisir de mentir, aime beaucoup dire d
yé tout le plat de légumes à moi seul. » Il ment pour le plaisir de mentir , aime beaucoup dire des choses extravagantes. I
ssez propre sur sa personne et ses vêtements. Il mange gloutonne- ment . Enfin, il a fait quelques progrès à l'atelier de
- cerne le goût, il est de même dilficile d'obtenir un renseigne- ment précis : la coloquinte lui fait faire la grimace
plus pendant à gauche qu'à droite; les testicules égaux, normale- ment situés, ont le volume d'un petit noyau de pèche.
15. La parole est à peu près nulle : on parvient très difficile- ment à lui faire prononcer un mot et plus facilement l
de recon- naître toujours pour cause le même arrêt de développe- ment dans l'évolution du cerveau. L'examen de lacalott
un peu plus faible que la droite. On notait chez lui du tournoie- ment de la tête, des grincements de dents et un balanc
ine un peu en forme de massue. Le ventricule latéral n'est nulle- ment dilaté ; il est plutôt étroit. La couche optique
est irrégulière, séparée par un sillon presque rectiligne, seule- ment dans son tiers supérieur. Dans leur moitié inféri
rne sphénoïdale ; la partie moyenne de l'hémisphère est profondé- ment dégénérée, surtout à son centre qui parait formée
s pariétales peu saillantes. Arcades orbitaires saillantes seule- ment dans leur partie externe. 1- eu : \ : g'l'is; pup
elle. Les circonvolutions sont simples, peu sinueuses, peu nette- ment séparées par des sillons très superficiels. Le lo
eu séparée en avant de la circonvolution .supérieure, très nette- ment au contraire en arrière par un sillon creux, bifi
te ascendante est très étroite en bas, elle est presque complète- ment divisée au milieu par le sillon dont nous avons p
e pachydermi- que (rnyxoedème des auteurs anglais) étaient nette- ment mis en relief. Il s'agissait d'un malade connu
z éloignés jusqu'à l'âge d'environ 3 ans. Elles étaient probable- ment dues à la dentition. Les parents s'aperçurent gra
le- ment dues à la dentition. Les parents s'aperçurent graduelle; ment que l'enfant avait quelque chose d'étrange, mais
89 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
eux (Fig. et 6). La seconde catégorie comprend les idiots absolu- ment incurables, en beaucoup plus petit nombre qu'on
le). - Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 197 i
oite un bou- ton jaune. Les trous où ils devront être respective- ment placés sont entourés d'un anneau de couleur cor
lant. xxxvii permet, si l'enfant a une attention et un développe- ment intellectuel suffisants, d'enseigner en même te
coles ordinaires. Ces méthodes, en effet, que nous n'avons nulle- ment l'intention de critiquer d'autant plus que nous n
Ht en cela on n'a pas tort, car il est matérielle- Lecture. XLII ment impossible, même en s'en tenant à une énumération
un arc en haut, 10° carré dont les côtés soustendent respective- ment un arc extérieur, 11° circonférence, 12° schéma
e s'est jamais démenti, M"10 Bonnet, et qui s'est mise généreuse- ment à notre disposition. Elle est aidée par une sup
mpul- sions violentes. - Cet enfant, dont la parole était absolu- ment nulle à son arrivée en novembre 1898, a réalisé d
exercice où l'on se sert simultanément de deux barres d'entraîne- ment . On arrive, dans un temps relativement court, à
rlons à nos élèves de leur famille et leur présentons successive- ment les mots : père, mère, frère. Enfin viennent le
ateliers par grande série. 21, ayant le certificat d'études, for- ment une division supérieure, ne vont à l'école qu'une
3. Confor- mément à nos instructions, il s'est occupé successive- ment de tous les enfants. Il a divisé ceux de la petit
fs qu'ils ont affaire il des enfants malades, relevant du traite- ment 7néclieo-hécla.coqlee, envers lesquels et comme
ier dont le travail de ses apprentis et le sien dépassent assuré- ment le salaire - sont payés à raison de 6 fr. 50 pa
l'Assistance publique, sur le prix de journée payé par le Départe- ment . Visites, congés. CXXV; C\SVI' VISITES, congé
cès. Suivant mes indications en pareil cas, on a fait un prélève- ment d'eau qui a été envoyé au laboratoire municipal.
me qui doit intéresser, non seulement la direction de l'enseigne- ment primaire mais aussi la direction des affaires d
, dis-jc, des établissements d'enseigne- Classes spéciales. CLIII ment pour les enfants faibles d'esprit, qui n'étant pa
armi les enfants qui ne sont pas assez développés intellectuelle- ment pour recevoir l'instruction normale, ne soient pa
e mérite des résultats obtenus doit revenir aux maîtres parfaite- ment préparés it ce travail. D'un autre côté, on ne pe
somme des notions scientifiques il leur inculquer a été notable- ment réduite, tandis qu'un temps beaucoup plus long-
ion de sur- veillance, de délégués de la Direction de l'enseigne- ment et de la Direction des affaires départementales.
u 2\1 décembre 18%, ceux-ci ne sont plus admis par voie de place- ment volontaire direct dans les quartiers spéciaux qui
n, et cette situation ne semble pas devoir se modifier favorable- ment à bief délai, le nombre de places dont mon admini
point sur lequel nous insistons parce qu'il se rattache directe- ment il la question qui nous est soumise, un certain
e, un certain nombre d'entants hospitalisés et qui sont suffisam- ment améliorés pour être rendus il leurs familles, a
et purgé. 57 avril. La rougeur de la face a diminué ; le gonfle- ment est toujours très marqué, il prédomine maintenant
nt à droite; plus rien aux mains. Sensations subjectives entière- ment disparues. Pouls régulier, bien frappé, à 86. 5
ains. La rougeur disparait au bout de quelques jours ; le gonfle- ment devenu symétrique persiste plus longtemps ; le tr
nfle- ment devenu symétrique persiste plus longtemps ; le traite- ment est définitivement arrêté le a0 mai. 10 juin. L
ment coloré. La face dorsale des mains et des doigts est notable- ment tuméfiée et présente même de petites ¡.hlyctène8
août. 9 juillet. - Coloration rouge vif de la face; léger gonfle- ment du front et des paupières inférieures. Légère rou
e nous avons revus six ou sept mois après la cessation du traite- ment , nous ont présenté ces cicatrices presque sans
es, alors que les autres doigts n'ont été atteints que plus rare- ment et d'une manière moins intense, et que les orteil
eptionnelle. Quant il la forme de l'éruption elle diffère absolu- ment de l'éruption bromurco : « Les manifestations c
asmodiques des extrémités relevant de l'asphyxie : il y a finale- ment arrêt de la respiration alors que le coeur bat
ns. Pour combattre la douleur, on fit des frictions avec un lini- ment calmant sur les régions douloureuses où, assure-t
ous pensons que cette adénopathie a dû influer souvent sur l'élé- ment douleur, d'autant plus que nous avons vu signaler
nfant devient de plus en plus énervé, on constate un affaiblisse- ment de la mémoire et de l'intelligence. - Le Dr Moufl
est conservée et égale des deux côtés. Sensibilité au chatouille- ment un peu exagérée. c) État psychologique. - L'int
ous les jours; gymnastique, travaux scolaires et manuels, traite- ment moral. Février. - Le 10, trois attaques. - Le 4
que la gauche, au contraire la bosse pariétale droite est légère- ment déprimée par rapport à la gauche; l'occiput est p
ents ; les mouvements volontaires paraissent s'accomplir normale- ment . lt... marche, court et saute facilement. Les fon
voir le temps de s'écarter d'un lieu dangereux. Il perçoit vague- ment le cri qu'il pousse et à certains instants de l'a
racher. En lui maintenant les jambe ? on sent comme un fourmille- ment sous la peau ; si on exerce une pression, on sont
d'une à trois par jour; le malade continue à prendre quotidienne- ment deux douches et à suivre : les autres prescriptio
t fatigué de l'effort qu'il vient de faire, se couche convenable- ment dans son lit et s'endort. Durant le sommeil somna
s géni- taux de 1882 à 18J9. - Caractères du tremblement : spéci- mens de l'écriture. - Amélioration de l'état intellect
s. la poitrine » avec hémoptysie et leurs enfants auraient égale- ment succombé à la tuberculose. - Il a trois frères, t
xagé- ration du tremblement des bras sans exagération du tremble- ment do la tète. Souvent il a, il quctqucs minutes d'i
e au but, mais aussitôt le doigt et le nez tremblent. Le tremble- ment est moins prononcé avec l'index gauche. Lorsque l
e le malade porte un verre d'eau à sa bouche, on note le tremble- ment caractéristique d.) la scléruse en plaques. Le tr
ÉROSE EN plaques disséminées. IX. La prédomi- nance du tremble- ment et de la paraly- sie à droite, jointe à l'app
is, disant : « Je vais être malade. » Il a été pris d'un tremble- ment tétaniforme de tout le corps qui l'empêchait de p
blent ; avec le manche du scalpel nous arrivions toujours facile- ment à séparer les quelques tractus celluleux qui réu-
colo 111<\ vertébrale s'incurve du côté gauche qui est évidem- ment plus faible. L'enfant ne change pas ses pieds de
tronc svlvien et cle presque toutes ses branches qui, ultérieure- ment , ne se sont plus développées et ont été trou- v
est nulle. Les membres inférieurs sont incapables de tout mouve- ment . Les cuisses sont fléchies sur le bassin, les jam
na- ler, elle avait des crises de temps en temps et particulière- ment au moment de ses règles. A cette époque, elle a é
e l'origine. Le palais est très ogival, le voile du palais égale- ment . Les amygdales sont volumineuses, cryptiques; que
uer avec les autres enfants, les reconnaît, parle; et joue genti- ment avec elles. Elle est redevenue raisonnable, propr
sté- rieure, aplatie latéralement au niveau des tempes, sensible- ment symétrique ; front étroit comparativement il la r
parait plus saillante que la droite, ce qui tient a l'épaississe- ment des téguments. Le reste de la face présente une c
omure de potassium. Depuis le mois d'octobre 188'i, aucun traite- ment . Depuis janvier 188'i, il ne travaille plus avec
t tous les deux ou ;i jours. Sa femme est accouchée, au commence- ment de janvier, d'une fille. Elle l'a mis au monde au
il l'hôpital St Antoine. Durant le trajet, il parla continuelle- ment d'une façon inintelligible. Cotte période de mani
90 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
lus, pareille erreur de diagnostic est commise encore très fréquem- ment par des médecins qui ne se sont pas tenus au cour
n appétit ; ses digestions étaient régulières. Il allaitcliflicile- ment à la garde-robe, on était obligé de lui administr
sque facial : vous voyez que le malade siffle et souffle difficile- ment . Cependant,du côté gauche, le front commence à se
is revêtu des allures inquiétantes ; ils se sont dissipés spontané- ment . Reste l'autre point de vue, celui qui est rela
démarche gnenl. blesse et tremble- marche vacillante, vacillante, ment des mains ; diplopie. Conditions de A toujour
20 ans. blement des mains. Il s'y ajouta égale- Le dernier temps ment une faiblesse elle ressent de la des membres su
. Symptôme de Peu prononcé. Allusion seule- Fait défaut. Romberg. ment . Démarche. En marchant Démarche assez Marche av
il tourne. en marchant le La titubation aug- corps s'écarte brus- mente d'une façon quement de la ligne très accusée qu
titude de Ne présente rien Léger tremble- Idem, la tête. d'anormal. ment , qui dans le Pas de tremble- temps était plus
te. d'anormal. ment, qui dans le Pas de tremble- temps était plus ment . prononcé. Expression de Apathique, peu La mimi
onférence est d'un développe- genou droit (ancien max. de la cuisse ment considérable. traumatisme ) ne droite est de f
lga). ' Le champ visuel, normal chez Olga et Nicolas, est légère- ment rétréci (concentriquement) chez Michel. Pas de tr
fillette présente un très grand intérêt et se distingue très nette- ment d'autres monstruosités de même genre. Chez les an
lade tire la langue, mais celle-ci ne se dégage que très difficile- ment de la lèvre inférieure saillante qu'elle pousse d
rs, les pieds en équerre surtout le pied droit. La jambe a constam- ment une tendance à fléchir sur la cuisse, aussi le ma
âta le pouls, lorgna l'urine, drogua, purgea, saigna, puis, finale- ment ,... se retira. Le mal n'était pas de sa compétenc
on de cet accessoire est parfois erronée. On le considère générale- ment comme une « corbeille à ouvrage » (loy. Lafekesti
de sureau son extrémité libre, ou exfolié et strié, parfois simple- ment piqueté de petites dépressions ; ces dernières al
stif permanent ? Il est bien facile de répondre à cela par un argu- ment péremptoire. Voici un cas d' eczéma rubrum (Fig.
eclasies verruqueuses ou de verrues teiangiectasiques, est constam- ment la suite d'engelures et, comme celles-ci, s'obser
e. Car les centres nerveux, pendant le temps que dure le développe- ment , n'exercent qu'un contrôle restreint sur les part
ns importants à retenir, je le signale et vous en dégage immédiate- ment la signification précise. Mais il est un autre
tre part, la moelle ayant été placée à l'étuve à 37°, son durcisse- ment s'est effectué régulièrement sans qu'aucune porti
s zones radiculaires des cordons postérieurs sont partout parfaite- ment intactes. 5) La substance grise présente dans l
st à elle seule une raison suffisante pour affirmer l'origine pure- ment médullaire de la sclérose constatée des faisceaux
'avant-bras, et quatre fois plus épais sur le bras. Cet épaississe- ment n'est pas dû à de l'oedème. De plus, la peau est
oude et imprimer une oscillation transversale à l'extrémité du seg- ment . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T.
sion du nerf du grand dentelé contre la paroi tboracique est égale- ment très pénible. La pression exercée sur tout le p
12 ans, une luxation de l'épaule droite a été suivie d'amaigrisse- ment et de diminution des forces du membre corresponda
vient se placer sur le rebord glénoïdien antérieur. Dans ce mouve- ment , le tendon du muscle sous-scapulaire (inséré sur
iendrait le comprimer directe- ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 123 ment contre la paroi thoracique. Or, notre malade n'a
contre la paroi thoracique. Or, notre malade n'a pas vraisemblable- ment présenté cette variété de déplacement, mais plutô
ompression au niveau de l'articulation a dû s'exercer particulière- ment sur les troncs nerveux les plus rapprochés de la
e ; car le bras, encore court, se serait arrêté dans son développe- ment en longueur tout comme en épaisseur. On est donc
n processus d'irritation plutôt que de destruction avec retentisse- ment probable dans les ganglions rachidiens et dans le
tude du repos ; la traction sur le plexus brachial cesse momentané- ment . De plus, ce malade a une tendance à porter la ma
ique en dehors du tabes, ne sont pas quelquefois, et même fréquem- ` ment , aussi bien labyrinthiques dans leur origine quan
atomie. De tous les ganglions crâniens, aucun n'affirme plus nette- ment sa parenté avec le système des ganglions rachidie
la moelle. De ces noyaux partent les impressions qui, soit directe- ment , soit après d'intéressants relais, vont vers les
e. De plus le centre du monde objectif révélé par la vue est égale- ment la tête, et la moindre variation d'attitude de la
. Si nous analysons une même attitude segmentaire, un même mouve- ment , selon qu'ils sont réalisés passivement ou active
d'activité musculaire qu'il faut dire ? Non, je sens que mon mouve- ment est actif et voulu, mais je ne sens rien de muscu
variable dans les sensations de pression au contact ou de tiraille- ment . Ces sensations sont plus extramusculaires que mu
Ces sensations sont plus extramusculaires que musculaires à propre- ment parler. Au niveau du segment ou des segments ac
is quand il s'agit d'une attitude maintenue activement, volontaire- ment , avec une variation active d'attitude, la sensati
pond à un certain groupement d'activités musculaires; chaque mouve- ment , chaque variation d'attitude répond à une variati
e vertige stomacal le vertige est parfois remplacé par l'éblouisse- ment , c'est-à-dire par un réflexe oculomoteur irradié
us percevoir, par la saillie de la cornée, et en y appuyant légère- ment le doigt, un nystagmus très actif, avec spasme ab
sante de l'abducteur de ce côté, indépendam- . 164 PIERRE BONNIER ment du nystagmus vertical, spasme des élévateurs. Buz
phie de la Salpêtrière, novembre 159, n" 6, p. 3jo. 168 P. RAVAUT ment jusqu'au moment où il vint, à la consul talion ;
tte bousculade opératoire jette une note nouvelle que rendent vrai- ment comique, le sérieux, la ténacité du chirurgien et
ar la porte de l'officine, porte à vitraux qui s'entr'ouvre bruyam- ment , entre avec grand fracas une foule de malades et
e fonctionnement de ces muscles. 186 A. SOUQUES ET J. CASTAIGNE ment dans l'action de soutenir un fardeau sur l'épaule
à un effort brusque et violent ou à un surmenage musculaire propre- ment dit, le mécanisme intime nous parait analogue et
mment sur la situation de l'angle inférieur et du bord spinal. Com- ment expliquer ces divergences ? Sans faire intervenir
moyen du trapèze fait ainsi exécuter à cet os un assez grand mouve- ment de rotation sur son angle interne pour produire,
a peau sur un territoire nerveux déterminé, indique bien que l'élé- ment nerveux joue un rôle important, mais ne prouve pa
'aspect d'une plaque de vitiligo, mais au palper on constate nette- ment qu'à ce niveau sans qu'il y ait. de dépression cu
ces fibres en voie d'atrophie se trouvent à côté de fibres absolu- ment saines : le tissu interfasciculaire est certainem
ilis est encore mieux étudiée et connue, et surtout plus énergique- ment attaquée par les méthodes nouvelles. J'ajoutera
rement pendant un peu plus d'un an. Son mari suivit le même traite- ment , et se garda bien de dire à sa femme de quelle ma
nous appartient pas d'apprécier la valeur de cette théorie, assuré- ment trop exclusive, mais contre laquelle on s'est ins
sposition des lignes et les oppositions des couleurs jouent assuré- ment un rôle dans l'expression de ce facies, triste et
s passés que de nos jours. Mais, nouvelle venue, elle devait forcé- ment retenir l'attention davantage. Il en est ainsi de
ns van Mieris, Vletzu,'lerborch, Netscher, Schalken, ont,parallèle- ment ou postérieurement, traité le même sujet, que des
s deux artistes n'explique qu'à demi ces similitudes. On peut aisé- ment supposer que Brackenburgh s'est laissé entraînera
un faible éclairage. A droite, un grand lit rideaux v erts légère- ment entrebâillés laisse voir la blancheur des draps e
ers l'obésité. » Il propose de juger les cas douteux par le traite- ment . l. Thibierge a publié, le 10 novembre 1898, un
nt un peu exagéré, sans qu'on puisse parler d'infiltration du tégu- ment , tels sont les symptômes, dit-il, qui peuvent fai
hyroïdienne. Elles disparurent cependant, lentement et progressive- ment , en même temps que l'oppression très pénible à la
ce temps, Mme C... suit son traitement et l'abandonne alternative- ment . Son état s'améliore et parfois il y a récidive.
de 39 ans. Elle a l'air beaucoup plus vieille. La face est légère- ment infiltrée, ambrée, plaquée de rouge aux pommettes
à l'approche des règles. Chez d'autres, le plus léger refroidisse- ment se traduit tout de suite par le nasonnement. Les
ns l'hypothyroïdie, est due, d'après moi, à un manque de développe- ment de la paroi postérieure de l'utérus, laquelle s'i
rencontre d'autant plus de crédit que la température est sensible- ment subnormale. Malgré une charge incroyable de couve
tains infantiles, surtout ceux du type Lorain, se rendent parfaite- ment compte de leur étal. Notons encore - et ce déta
eipp », pour se rendre compte des souffrances qu'on leur a inutile- ment imposées. Toutes ont été forcées d'abandonner cet
a digestion est en général laborieuse ; le ventre se gonfle rapide- ment pendant qu'elle est en cours. Le traitement consi
matisme épicrânien, cause de ses douleurs de tète. Elle est facile- ment oppressée en gravissant un escalier et elle est s
minima pour la milice est de 1 m. 55. Les testicules sont extrême- ment petits, appendus à des cordons très minces et trè
manifestation fréquente de la période d'état du tabes et J'émousse- ment de la sensibilité farado-musculaire une manifesta
jambe droite, en avant, le chaud est perçu comme froid et inverse- ment ; la véritable sensation ne s'établit qu'à la lon
fut soignée par la suspension. Elle en éprouva un certain soulage- ment , mais les crises de diarrhée persistèrent et la m
vère van Hoogstraaten et le distingué Gérard Dow n'auraient assuré- ment pas approuvé cette fantaisie libertine de leur él
'est nullement question de la maladie de Varandal ; c'est tout crû- ment le prologue du mal d'enfant. Cependant, nous n'
dées fixes, II, 381. XII 24 il 354 ' F. RAYMOND ET PIERRE JANET ment en dedans dans l'attitude du varus ; en même temp
, nous les avons soumis à une gymnastique portant, non pas précisé- ment sur le mouvement de la jambe, mais sur l'attentio
membres supérieurs la résistance aux mouvements passifs est absolu- ment nulle. Circonférence au niveau du poignet droit
de la nuque considérablement atrophiés. La tête est fléchie forte- ment sur le sternum (Pl. LX, fig. A et B), toutefois l
es trapèzes, les pectoraux, les sous-épineux sont presque complète- ment atrophiés. Les grands dentelés et les muscles du
me les yeux fermés. Il marche encore assez facilement, mais lourde- ment , et il peut se retourner avec rapidité. Craquem
peu nombreux, courts, ratatinés ; quelques cellules en sont totale- ment dépourvues. Parmi ces cellules plus ou moins al
sculaire progressive, myélopathique, vérifié d'ailleurs ultérieure- ment par l'autopsie et les recherches histologiques. S
8. ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 385 ment ces cas l'un de l'autre ; si, par exemple, l'atro
cette maladie n'est pas isolée dans la pathologie ; assez fréquem- ment la lésion s'étend aux cellules des noyaux antérie
igrissement de la région scapulo-humérale droite persistent et aug- mentent ; il travaille, mais le travail lui est pénible,
aisselle est très amaigrie à droite, ce que l'on perçoit non seule- ment par la simple inspection, mais en palpant avec la
s médical, 1893, p. 227. (2) Charcot, loC. cit. 392 G. GUILLAIN ment dans les muscles de la jambe. Atrophie simple, sa
pondent à la substance interfibrillaire sont amincies considérable- ment , les fibrilles viennent presque en contact immédi
lésion articulaire est de nature réflexe elle dépend du retentisse- ment de la lésion locale sur la moelle qui devient le
sont énormes, et l'inférieure, repoussée en avant par le développe- ment du rebord alvéolaire, laisse constamment la bouch
gnaler dans l'enfance. Réglée à 11 ans elle l'est encore régulière- ment . Elle est mariée, son mari est en bonne santé ; e
une disposition segmentaire par rapport à la disposition générale- ment radiculaire des troubles de la sensibilité au tac
costume de la malade est traité avec une élégance et un fini vrai- ment hors de pair ; et l'on ne sait ce qu'il faut loue
a jeune personne qui, dans le fond de la pièce, semble si profondé- ment affligée, pourra bientôt sécher ses larmes et la
cherchons donc pas le nom de la maladie ; mais admirons l'art vrai- ment supérieur avec lequel le peintre a rendu le table
esthétique se tient dans l'ombre et se contente d'appuyer discrète- ment sa main sur l'épaule de sa cliente. Personne ne
er. - C'est pour mettre (elle plonge le porte plume qu'elle a vive- ment saisi)... je pourrais tout dire, je ne peux rien
Cette figure n'est qu'approximative. Une coupe reproduisant réelle- ment la lésion n'aurait pu être faite d'après nature q
n'ai pas pu, regardez là (son oeil couvert d'une taie). Je n'ai pas menti . » Quand elle est bien disposée, elle plaisante
et suffirait à mettre hors de cause les oedèmes les plus générale- ment connus. Nous rappellerons cependant, pour mémoi
ne s'en faut guère que la répartition de la dystrophie soit exacte- ment comparable. On s'accorde à considérer tantôt le
Main droite. - Elle se différencie de la main gauche par un gonfle- ment et un aspect succulent moins marqués, par sa dévi
rtie antérieure des cuisses est notablement amaigrie, particulière- ment à droite ; la mensuration pratiquée à 10 centimèt
91 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
sage des gâteux. La seconde catégorie comprend les idiots absolu- ment incurables, en beaucoup plus petit nombre qu'on
le). - Ces enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment a des femmes. Dans le courant de l'année, 16 y
t y répondait d'une façon absolu- Petite école complémentaire. vu ment incohérente. De nature paresseuse, il ne se bouge
pris il écrire avec beaucoup de difficulté sans se rendre aucune- ment compte de ce qu'il écrivait. Nous désespérions d'
». La parole a été aussi très améliorée, l'écholalie a complète- ment disparu. - Très borné pour le calcul, Hur.. comme
ateliers par grande série. 17 ayant le certificat d'études, for- ment une division supérieure, ne vont à l'école qu'une
5. Confor- mément à nos instructions, il s'est occupé successive- ment de tous les enfants. Il a divisé ceux de la petit
ionnel. XXI travail de ses apprentis et le sien dépassent assuré- ment le salaire sont payés à raison de 6 fr. 50 par
, épileptiques, etc., valides. Enseignement primaire et enseigne- ment professionnel. Les procédés employés sont les m
stallation semblable il la Fondation Vallée. Le sous-sol du bâti- ment neuf pourra être en partie utilisé dans ce but,
l'al1lH'e 1898. Maladies intercurrentes. Elles ont été relative- ment nombreuses comparativement à l'effectif; G tube
té la question devant la Délégation cantonale du V"10 arrondisse- ment , le Congrès national d'assistance de Lyon, la C
e, l'ancien directeur de l'enseignement primaire dans le départe- ment de la Seine, M. Carriot, devait, en se servant
i ont été créés dès lors en Europe et en Amérique (2). L'écroule- ment de l'Abendberg eut des conséquences fatales sur l
s pour les enfants arriérés et que les résultats de cet enseigne- ment spécial ont été très satisfaisants, parfois surpr
int-Gall les classes spéciales furent créés en 1888 par un règle- ment dont voici les principales dispositions : « La cl
défec- tuosités corporelles ou mentales, ont besoin d'un traite- ment individuel et ne peuvent pas, pour cette raison,
es parents contre les décisions de cette commission est formelle- ment réservé; la classe spéciale n'est pas obligatoire
25 dans une classe. Le règlement de Zurich insiste sur le traite- ment individuel de chaque enfant, dont l'éducation doi
ales. esprit de système ou de classification ne guidait le place- ment des enfants dans ces classes et aucun régime spéc
ome- nades, le jeu libre, le chant, etc. Le reste de l'établisse- ment comprend deux sections bien distinctes, la sectio
s. LXXXI allures psychiques particulières sont pris individuelle- ment ou par petits groupes et reçoivent ainsi l'enseig
duelle- ment ou par petits groupes et reçoivent ainsi l'enseigne- ment général, et les soins spéciaux exigés par leur ét
les enfants anormaux. En ce qui concerne les aveugles, voici com- ment s'exprime Dufau : « C'est lorsqu'il est enfant qu
(6 mars). 7 mars. Impossibilité de prendre sa température, telle- ment II... est agitée ; préhension impossible ; écritu
ans, a été sujette à des crises de colère, indices d'un tempéra- ment nerveux. Sans cause connue, elle est devenue pl
ant un centimètre de longueur antero-posterieure et transversale- ment , un centimètre et demi. Face presque carrée ; a
rement. Pas de déviation de la cloison. L'enfant respire normale- ment par le nez. Odorat : ? . Pommettes non saillantes
nce- ments de dents fréquents. -Oreilles petites, minces, légère- ment écartées du crâne, bien ourlées, lobule petit mai
isolement. 1897. Janvier. L'état des organes génitaux est absolu- ment stationnaire. 8 mars. Le G... mange peu, est pr
s deux membres supérieurs ; les deux mains s'agitent continuelle- ment , les doigts s'écartant et se rapprochant ; ces mo
llement agitée de mouvements choréiformes. Le goût est partielle- ment conservé. Les gencives sont en assez bon état ; o
ctère. Juin. - Progrès sensibles eu classe : lit et écrit couram- ment . Commence à faire la division. Caractère toujours
èvre typhoïde. Réglée sans accidents à Il ans et demi, régulière- ment ; depuis 3 ans, elle a, au moment des règles, des
à la suite d'une chute sous les roues d'une charrette, fut telle- ment impressionné qu'il devint triste, et 15 jours apr
l'abcès. 30 juin. - C... est plus tranquille. Elle mange propre- ment et avec un appétit exagéré ; elle craint toujours
mesure transversalement quinze centimètres et demi et verticale- ment , onze et demi ; le gauche, quatorze centimètres e
mèralopie. Description du malade. Marche de la maladie. - Traite- ment médico-pédagogique. Amélioration progressive ;
s'est écrié : « Je vais mourir » ; il ouvrait les yeux démesuré- ment , se penchait en arrière et serait tombé si on ne
lle avec goût ; tout ce qu'il fait est propre- - ? Guérison. 91 t ment fait. En classe, travaille régulièrement, a fait
cle plu- sieurs jours la période d'excitation s'est progressive- ment atténuée. L'état mélancolique intermittent a di
solement et qu'on applique avec méthode et avec suite le Irai te- ment 111é(lico-pé(/;¡fjofjÎljue. IX. Idiotie compl
ie. Sommaire. Père, r intermittentes, e.vcès de boisson, tremble- ment des mains,- Grand-père paternel alcoolique. Arriè
e de la submatité aux deux bases en même temps que l'affaiblisse- ment du murmure respiratoire à ce niveau et quelques r
ps calleux et la circonvolution frontale ont un aspect grossière- ment chagriné a gauche qu'on ne trouve pas à droite.
ommencé à décroître, en même temps que le malade prend régulière- ment un gramme de sulfate de quinine. La convalescence
. Sur l'abdomen les taches rosées ont réapparu ; pas de ballonne- ment ni de sensibilité spéciale. - Respiration voilée
gauche (105 gr.), congestion en foyers disséminés. Pas d'épanche- ment ni d'adhérences pleurales. Pas d'épanchement péri
et, chez lui, le traitement médico-pédagogique, malgré le dévoue- ment et l'habileté de sa mère qui s'en est occupée a
s normal. 18 ! 16. - Le nombre des accès a augmenté considérable- ment , la déchéance s'accentue ; elle porte principalem
albumine. ' 1897. Janvier. - Puberté. - Corps et visage complète- ment glabres. Phimosis. Verge : longueur 5 cm., circon
bli- térées par des fausses membranes qui ont déterminé l'accole- ment des deux lèvres de l'orifice. Ces perforations, a
actère à la puberté. - Diminution des sentiments affectifs. Vive- ment impressionné par la cérémonie funèbre de Carnot
parait présenter aucune perversion d'instincts. Il est franc ; s'il ment quelquefois, c'est inconsciemment. Avoue ses es
pres- que aussitôt. Les idées qu'il exprime ne sont pas à propre- ment parler incohérentes, mais elles présentent des co
assez fortement incurvés en dedans, L'enfant se tient convenable- ment sur ses jambes et met cle la bonne volonté à se t
92 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
ils ne con- courent que d'une manière presque nulle à l'enseigne- ment . Peut-être parviendrons-nous un jour à les fixer
obtenons des résultats encourageants, grâce au zèle et au dévoue- ment de l'instituteur, M. Boutillier qui s'efforce d'e
us l'avons eu pour la coupe des chaussures, outre que l'enseigne- ment professionnel sera meilleur, les enfants auront
de l\1rce Jolliot, sous-surveillante de l'infirmerie et du bâti- ment des gâteux invalides ; de Mlle Carmouin, sup- p
mplir prompte- BOURNEVILLE, 1886. ? XXXIV PAVILLON D'ISOLEMENT, ment les formalités administratives et donner les auto
e divise, comme le fait voir la figure 1, en deux moitiés absolu- ment distinctes et semblables, séparées par une partie
n phlegmon considérable de la cuisse, phlegmon qui suppura forte- ment durant plusieurs semaines, elle fut de nouveau at
s l'anneau (hernie inguinale). - La verge ne semble pas anormale- ment conformée; toutefois, il est impossible de découv
demie, frisson assez violent; en arrivant à l'infirmerie vomisse- ment de glaires, de lait coagulé, etc., il n'a pas man
E. Observation VI. - Idiotie et crétinisme. - Arrêt de développe- ment . - Etat oedémateux et rénitent de la peau (cachex
en, mais était toujours très affectueux. La dentition se fit lente- ment ; elle n'était pas complète à sept ans. En 981 I,
insensible et l'excrétion de la matière sébacée paraît complète- ment suspendue. Au niveau des régions sus-claviculai
l'étiologie de la maladie son séjour jusqu'à un an dans un loge- ment humide, les convulsions ( ? ) et la chute qu'il a
e entendre par moment un bruit inarticulé, une espèce de gémisse- ment (heen...), rarement il profère quelques mots faci
le avec broncho- pneumonie double. L'autopsie n'a pu malheureuse- ment qu'être faite d'une façon imparfaite par suite de
poils. Le gland est énorme, il est en forme de massue et entière- ment découvert; le testicule droit est plus fort que s
encore à Bicêtre qui l'ont connu, ce malade était un type absolu- ment semblable au Pacha. Les différents certificats
les corpuscules de Malpighi petits. - Rein gauche (125 gr.) forte- ment entouré de graisse, de grandeur normale; capsule
tes au point de vue du myxoedème, ce qui ne permet que difficile- ment dese rendre un compte exact de l'état du cou, des
buminurie, paralysie de la glotte et aphonie qui cède à un traite- ment électrique ; cachexie pachydermique considérable.
s opératoires. Pour M. Rogowitsch ', dont les expériences confir- ment celles de M. Schiff en ce qui concerne les résul-
.... ni de syncopes. Depuis ses pertes, elle s'émotionne facile- ment , a des tremblements lorsqu'elle éprouve une contr
ent jaunâ- tre. Le foie ne déborde pas les fausses côtes. Traite- ment : Huile de ricin ; potion de Todd avec 2 gr. extr
. pousse- des cris. Raie méningitique. L'enfant pleurant constam- ment , il est impossible d'étudier avec soin la respira
mes.) 29 ? nai. L'état de Hoël... ne s'est pas modifié, l'abatte- ment persiste, l'amaigrissement augmente. Bouche cons-
ution du corps calleux. Le lobule paracentral, irrégulier, nette- ment séparé des parties environnantes est peu développ
ule. Cas. VIII (Ibid.). - Fille, 6 ans. Amaigrissement et change- ment de caractère, quelques vomissements. Six semaines
delà cornée et de la conjonctive diminuée à gauche. Affaiblisse- ment des muscles du cou et de la nuque, la tête tombe
erculose protubérantielle à marche intermittente, évoluant lente- ment et par poussées successives comme chez notre ma-
ste. La parole est développée, mais présente une sorte de bégaye- ment . Il connaît bien les lettres et les chiffres, com
s opti- tiques) est infiltrée de pseudo-pus fibrineux. Le dégage- ment des artères et des veines de la pie-mère est diff
atés. De cette description des circonvolutions, il ressort nette- ment que les deux hémisphères cérébraux, sur leurs deu
s pre- miers accidents seraient survenus. En quoi ont-ils exacte- ment consisté ? nous l'ignorons. Ce que nous savons, c
aires, délire léger et transitoire, vomissements, fièvre, abatte- ment , somnolence, etc.). C'est seulement dans les dern
es du côté droit, ayant laissé des traces sérieuses, affaiblisse- ment de la jambe droite et amaigrissement du bras. I
de 4 ans. Premières convulsions à 4 ans (mai 1885) : affaiblisse- ment consécutif de l'intelligence ; irritabilité. De
es se sont manifestés un peu avant l'apparition de l'affaiblisse- ment paralytique. La mère a repris son enfant en jan
saillantes, la droite un peu plus que la gauche; front, moyenne- ment élevé ; bosses frontales assez saillantes, dépres
face, des oreilles. - Poids : 9 kil. 500. Taille : 0°'82. Traite- ment : huile de foie de morue, sirop d'iodure de fer,
ventricule latéral, normal en avant, communique en arriére large- ment avec la poche du grand pseudo-kyste dont il forme
ha- grinés ; la partie du lobule pariétal inférieur située direc- ment en arrière de la pariétale ascendante parait cepe
nor- male. La quantité de liquide céphalo-rachiclien est légère- ment augmentée. L'encéphale pèse 1.145 gr. La pie- m
our pouvoir rendre compte des phénomènes observés et sont évidem- ment consécutives aux désordres de la substance grise.
ssif; mort. Autopsie. - Foyers petits et multiples de ramollisse- ment de couleur ocreuse sur les circonvolutions ; lé-
eux, secoue fortement la tête ; il élève les bras et tourne vive- ment les mains; il roule les yeux en haut et,en même t
nfé- rieur. Ils ont l'aspect de très petits foyers de ramollisse- ment et semblent correspondre à une lésion plus avancé
usqu'au contact de la frontale ascendante, où elle cesse brusque- ment ; puis elle se relève pour s'insérer sur la fron-
s coupes, malgré le soin apporté au montage. A un fort grossisse- ment , on constate que les capillaires sont très nombre
, clair, nucléolé, remplit presque toute la cellule. Le prolonge- ment inférieur est le plus distinct. Dans la couche
en gris de lin et leur réfringence apparaît beaucoup plus nette- ment . Même aspect des cornes postérieures. Le canal de
à la racine du membre, sont mollasses, ont une coloration légère- ment bleuâtre, rappelant l'aspect de certaines phlyc-
dicales, 38 série, t. III, p. 154, 1876. TUMEUR SARCOMATEUSE. 205 ment être examinés. La constatation, par Mme Forino, d
vée d'un grand nombre des poils des sourcils, mais glisse facile- ment sur l'os. Bourrelet cutané, saillant, verticaleme
la gauche. Pas d'onanisme constaté. Membres supérieurs ordinaire- ment fixés dans la demi-flexion (contracture cédant à
ne traction faible); il est plus difficile d'étendre horizontale- ment le bras. Muscles grêles : deux cicatrices de vacc
sse, surtout à la pointe et en arrière ; normal, on trouve seule- ment un peu d'athérome autour des orifices des artères
n pli de passage sur la frontale ascendante, est séparée oblique- ment de son tiers postérieur par une scissure irréguli
1 cen- tim. et demi à 2 centim. sur le fragment sternal conformé- ment à la loi Delpech-Malgaigne. Comme dans la plupart
eur : « Or, dit-il, non seulement chaque accès pris individuelle- ment n'exerce généralement aucune action sur la tempér
à 5 jours au maximum. La règle dans les formes graves et absolu- ment pures est une durée de 2 à 3 jours. On y relève a
coutume de se répartir en plusieurs heures et jours.... Invariable- ment la défervescence fébrile se fait sentir entièreme
tte- ments du coeur un peu vibrants. Abdomen normal. Peau modéré- ment chaude, sans sécheresse. Extrémités froides et cy
onfon- dues. - La troisième circonvolution frontale est médiocre- ment développée. - La circonvolution frontale ascendan
t-être possible d'attribuer, dans une certaine mesure, au traite- ment employé. Quoi qu'il en soit, le tracé considéré d
93 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
, je le dirai dans la description générale de la scapulalgie, fréquem¬ ment on trouve les ganglions axillaires engorgés. Je c
¬sible, il faut qu'il me soit démontré qu'il ne pourrait guérir autre¬ ment , ou que la guérison serait si longue, qu'elle aur
ono¬mie syphilitique. Les ostéites de cette nature paraissent brusque¬ ment , et puis elles s'arrêtent, elles restent un temps
lotte et les cartilages aryténoïdiens : cette rougeur s'arrête subite¬ ment au niveau de la muqueuse œsophagienne, dont la bl
rté et à l'époque de la grossesse. Elles ont augmenté proportionnelle¬ ment de volume dans le premier cas ; à la même époque,
se. » La suppuration est-elle trop considérable, on enlève le panse¬ ment et on le remplace par un linge huilé. Si la suppu
e du rhumatisme; enfin, il expose, dans une dernière leçon, le traite¬ ment de la goutte, et celui du rhumatisme articulaire
'écoule presque continuellement au dehors ; elle sort surtout abondam¬ ment lorsqu'on introduit le doigt dans la cavité bucca
, et n'occupent pas tout à fait la périphérie de la tumeur; immédiate¬ ment au-dessous, le tissu présente les caractères du t
vait produire l'abaissement de ce reste de mâchoire inférieure, forte¬ ment attiré en haut, et maintenu appliqué contre l'arc
st l'organe qui, par sa large surface, recueille et accumule le mouve¬ ment ; celui-ci se communique à la masse du mercure qui
ande que le tube de verre n'a que 2 millimètres de diamètre. Le mouve¬ ment , accumulé d'abord en surface, se trouve ainsi exp
ucta¬tions. Coliques sourdes depuis longtemps ; se calmant habituelle¬ ment sans qu'il aille à la garde-robe, quelquefois apr
et la physiologie, à ce propos ? C'est une question souvent et longue¬ ment traitée par beaucoup d'auteurs, sous les appellat
et roidir le linge qu'il imprégnait. La guérison se fit moins rapide¬ ment que la première fois, et, malgré toutes sortes de
866, époque à laquelle il retomba dans la même situation que précédem¬ ment . Dès que l'état aigu fut apaisé, que les croûte
ai¬tement ne fut supprimé, si ce n'est que le malade prit alternative¬ ment un bain de vapeur et un bain d'amidon à huit jour
la forme de l'épilepsie. Les accès se renouvelèrent alors si fréquem¬ ment que la pauvre enfant tomba dans un état absolu d'
it corps avec son appareil, ne peut remuer aucun membre, est complète¬ ment ankylosé ; la cuisse est en demi-flexion sur le b
à l'air, de le baigner, que la compression des vaisseaux poplités aug¬ mente sans cesse cette tuméfaction monstrueuse des pied
onc complètement indépendante de la gaine du pouce ; elle l'est égale¬ ment de la synoviale des autres doigts, sauf de celle
erl, » Oxyde de cuivre. — M. Thilemann procure, dit-il, infaillible¬ ment l'évacuation du tœnia, en administrant l'oxyde de
er plusieurs conclusions : Io 11 nous semble hors de doute, contraire¬ ment à l'opinion de quelques auteurs, que le tœnia est
s de forme particulière, comme les côtes, les clavicules; 4°l'enclave¬ ment des fragments; 5° la suture osseuse ; 6°la ligatu
ien-nes. Les essais de conservation des parties séparées accidentelle¬ ment du corps, au moyen de l'immobilisation directe de
es qui était restée constamment en contact avec les liquides du panse¬ ment et avec le pus, était encore un peu molle. Les os
tie supérieure de l'ovaire jusqu'au point qui correspond assez exacte¬ ment à l'extrémité inférieure du rein du même côté.
s, les cas d'hermaphrodisme véritable. Cette conclusion peut parfaite¬ ment être formulée comme l'expression d'un fait scient
e, ils sont connus de tout le monde ; mais nous allons résumer briève¬ ment ceux qu'a publiés l'auteur allemand. f. Empoiso
lemand. f. Empoisonnement de quatre hommes par l'atropine. — Traite¬ ment de l'un d'eux par la fève de Calabar5. Des déte
ance cérébrale ferme, saine. —Moelle, rien à l'œil nu. —Poumons forte¬ ment congestionnés, noirs, non-seulement au centre, ma
. nous n'en pourrons tirer aucune lumière pour la nature et le traite¬ ment des maladies. Signalons seulement la gastrite,
le diagnostic difficile. La cirrhose de l'estomac diffère essentielle¬ ment de la gastrite chronique en ce sens que la muqueu
de la région latérale gauche du cou, abcès qui s'est ouvert spontané¬ ment , a suppuré longtemps et s'est terminé par une cic
ue, une suppuration très-abondante, augmentaient encore l'affaiblisse¬ ment des forces. Grâce à un traitement tonique et re
lu. Vif. jiKSüiiE des temps du cœur. — C'est à un résultat complète¬ ment semblable que nous arrivons avec le pulsographe ;
au¬teur, il y a souvent un abaissement de la température. Cet abaisse¬ ment est d'autant plus considérable que la chaleur a é
ou¬leurs légères, le 17 décembre, vives à partir de minuit ; accouche¬ ment le 18 décembre à 5 heures du matin (présentation
assez abondantes. P. 120; T. V. 40°. — Cataplasmes laudanisés ; lave¬ ment simple. — Soir : Les douleurs abdominales ont dim
tre savant maître institua un traitement local émollient et un traite¬ ment général tonique, dont les effets ne tardèrent pas
es douleurs abdominales. Appétit ; pas de selles depuis l'accouche¬ ment . Une petite portion; lavement simple. P. 80; T. V
ns vo¬lumineuses et moins dures ; sécrétion lactée , blanche, moyenne¬ ment abondante. Appétit ; venlre souple, indolore ; se
t affirmer que le chloral est un agent des plus utiles dans le traite¬ ment du tétanos. — La fin au prochain numéro. — BI
i¬tiques chez un scrofuleux, chez un arthritique, etc., et réciproque¬ ment ; souvent l'observateur sera embarrassé pour assi
. Les yeux sont un peu saillants, les pupilles dilatées, principale¬ ment la gauche. Strabisme externe à droite, plus marqu
vue. Août. Depuis trois mois, pertes utérines qui ont considérable¬ ment affaibli la malade. Octobre. Les hémorrhagies o
t à en dire quelques mots. — Le volume des calculs rénaux est extrême¬ ment variable : souvent ils ne sont pas plus gros qu'u
le faire, nous avons cherché à pénétrer les mystères de son développe¬ ment . Suivant nous, toutes les causes que nous avons b
la dose de chloral est portée à 16 grammes. — Le 4 avril, affaiblisse¬ ment du malade ; on prescrit 2 grammes de morphine, qu
pour rendre compte de ces phénomènes, rien autre chose que le gonfle¬ ment des seins, la montée du lait. Cette élévation de
paisse, solide, complète dans toute sa longueur, commençant immédiate¬ ment en arrière du méat urinaire, et s'étendant jusqu'
les il y a un défaut d'union des deux moiliés qui composent primitive¬ ment l'utérus. L'absence d'union du corps de l'utérus
hystériques, les courants continus sont plus efficaces dans le traite¬ ment de quelques affections, telles que l'atrophie mus
s n'ont été précédées d'aucune sensation douloureuse ni d'aucun mouve¬ ment fébrile. Le pouls était fréquent, il est vrai; ma
altérées ; l'appétit a diminué, puis a disparu ; la soif est extrême¬ ment vive; la malade n'a pas eu, dans ces derniers moi
de belladone aient été donnés simultané- 1 Voir pages 184 et 210. ment avec l'hydrate de chloral, nous devons penser cep
ur. La malade reste 14 heures dans un état de sommeil et d'assoupisse¬ ment . 6 février.— Spasmes assez violents; 1 drachme
ours produit une amélioration notable. Pourquoi l'insuccès ? Probable¬ ment parce que des doses trop faibles ont été administ
la température baisse peu à peu, en présentant toutefois un accroisse¬ ment relatif tous les soirs. Nous ne dirons qu'un mot
leur intense, mordicante. La langue est saburrale, le ventre médiocre¬ ment ballonné et douloureux. Il n'y a pas eu de vomiss
94 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
le). - Ces mfants fréquentent la petite école, confiée exclusive- ment à des femmes. Dans le courant de l'année, 220 e
ous voudrions bien lui confier. Nous avons accepté avec empresse- ment cotte offre inspirée par les sentiments les plus
Le mal s'est empiré durant l'année 1893 dans une proportion vrai- ment démesurée. En effet, au 31 décembre de cotte an
nastique Pichery. Enseignement primaire. Il est confié exclusive- ment à des femmes, sous l'habile et intelligente direc
lixir poly- bromuré d'Yvon ont continué à être la base du traite- ment pendant l'année 1893. Les bains sont donnés à la
Le Roux le bâtiment prévu est à 13 m. 66 de l'extrémité du bâti- ment principal de la fondation Vallée. Nous deman- d
té du sol. Ces sous-sols, dont l'aménage-^ z Agrandissement. LVII ment pourrait-être retardé, serviraient soit de salle
tie infé- rieure de la section des enfants de Bicêtre, établisse- ment municipal, et celles des habitations de la com-
rrait pour- suivre parallèlement la construction du premier bâti- ment de l'asile et la construction de l'égout. Relativ
er bâti- ment de l'asile et la construction de l'égout. Relative- ment à cette dernière opération, nous estimons qu'une
és de toutes les manières seront régénérés et transformés subite- ment ? » » Et il terminait ainsi : « Mes opérés so
tal droit. ORS. V. Idiotie symptomatique D'UN arrêt DE DÉVELOPPE- ment DES CIRCONVOLUTIONS. SOI\I : 11RE. - Père, plag
de 2 à 4 m/m. (plagiocéphalie). La suture métopique est complète- ment fermée. Toutes les autres sutures persistent, exa
Mort. Autopsie. Absence de synostose, aspect chagriné, plisse- , ment des circonvolutions, sclérose cérébrale, la subst
ti- mètres d'avant en arrière, et de Il centimètres transversale- ment (Fig. 31). En arrière de cette membrane, il exist
entelures comme précédemment, mais elle n'est pas aussi complète- ment effectuée. Enfin, durant 30 millimètres la brèche
r et à se déshabiller. Ne sait pas à se laver seul, tape constam- ment ses yeux (tic). Caractère sournois, frappe ses ca
s : cc fl son entrée (3 décembre 1887), Mazi... était complète- a ment gâteux ; il lui était impossible de se tenir debo
Elevé au sein par sa mère jusqu'à deux ans. On a aucun renseigne- ment sur la dentition et sur l'âge auquel il a marché.
. 7 98 Urémie. comme on dit, qne l'on doit commencer le traite- ment spécial. IV. Le malade a été atteint d'une néph
u caractère. - Accès de colère. - Grincements de dents. - Bégaie- ment . Déchéance physique. - Broncho-pneulnonie. - El
pétit est médiocre; D... ne mange que contraint, mâche difficile- ment , digestion assez bonne, ne bave pas, gâte la nuit
toutes les modifications, qui pourraient survenir et, tout récem- ment encore, avant de venir faire ici notre communi-
Les sutures coronale, interpariétale et lambdoïde sont très fine- ment dentelées ; la suture interpariétale se termine p
tionné et, même après être lavés, restent il peu près uiiiforiné- ment violacés. Les diverses fosses de la base sont sym
d'une paralysie probable- INJECTIONS DU LIQUIDE testiculaire. 127 ment due à un ramolissement cérébral. -, Un frère, auj
urelle. Hémisphère cérébral gauche,- La pte-mere s'enlève facile- ment , sans aucune adhérence de la face interne ; sur l
her et on le trouve mort, couché sur le ventre, la face profondé- ment enfoncée dans la terre qu'il venait de remuer.
iplégie chez la grand'mère paternelle, hémorrhagie et ramollisse- ment du cerveau, convulsions du côté maternel. Ajou-
- rête à sa base. Celle-ci est très large et se continue directe- ment avec la substance cérébrale. Elle est presque qua
épilep- sie -et à l'idiotie dans ce cas. Il s'agit vraisemblable- ment d'une affection intra-utérine puisque les con-
ne; absence de synostose. Hydrocéphalie ventriculaire. Amincisse- ment des parois ventriculaires. - Description du cerve
ieurs sont flasques, fléchis, le membre gauche retombe immédiate- ment tandis que le côté droit se maintient. Mort à 11
- mence à grossir et l'on constate que l'enfant a les yeux forte- ment portés en haut, de sorte que l'on n'en voit que l
du matin. Ces accès se sont répétés sept fois ; ils ont eu nette- ment le caractère des accès épileptiformes. 18 juin.
nthes par jour, mais ne s'enivre jamais. Bien constitué physique- ment , il est d'ordinaire vif et emporté. [Père, boulan
été un grand buveur. Deux oncles paternels seraient morts subite- ment . Deux oncles maternels sont morts : l'un ivrogne,
e fut prise vers 29 ans d'hémoptysies avec aphonie et amaigrisse- ment considérable. Cet appareil symptomatique a dispar
marquée. 1893. 2 février. Aggravation de l'état général. Abatte- ment , cris plaintifs. Augmentation de la contracture d
iron. La région sphéno-lcmporale est plus épaisse et offre vague- ment l'aspect de circonvolutions. Elle est lisse néanm
A ce moment, les fontanelles rapprochées n'étaient pas complète- ment fermées, Quinze jours environ après (fin février)
-, que de chocolat qu'il n'a pas quittée depuis 35 ans, actuelle- ment assez grand et fort, a été cependant réformé comm
ques mots « marna, papa, à boire » et pousse presque continuelle- ment des cris plaintifs analogues aux cris hydrencépha
d'hui il ne fait plus d'excès. Fort et vigoureux il est actuelle- ment atteint de gravelle. [Famille du père. Père, mort
de 24 ans. Trois enfants. Nous ne pouvons donner aucun renseigne- ment sur ces enfants, ni sur les antécédents immédiats
sorte que le cervelet n'est représenté que par le vermis, légère- ment renflé sur ses parties latérales. Le bulbe et la
ant est placé.) - Parole à peu près nulle, pas de mots distincte- ment prononcés. Ne semble pas comprendre les questions
, Il va la tête baissée, se tenant les mains et avançant pénible- ment en écartant les jambes. Traitement. Exercice pa
con- ception qui eut lieu les premiers jours du mariage. Absolu- ment aucun accident durant la grossesse. - Accouchemen
eigni- rent les membres; les mouvements convulsifs étaient nette- ment exagérés du côté droit. L'enfant remuait sa langu
. 303 la lèvre supérieure. Aisselles glabres, mais léger engorge- ment ganglionnaire. Duvet fin avec quelques poils très
aillant. Autopsie (9 juin). L'autopsie étant faite assez tardive- ment et vu la saison, les viscères sont en voie de put
on con- tusionnée. - La pie-mère est mince et s'enlève difficile- ment , bien qu'il n'existe pas d'adhérences proprement
raissent et se solidifient chez les plus âgés. Il en est fréquem- ment de même pour les sutures, nous reviendrons du r
me 6 ans. Pet... un de nos malades les mieux constitués physique- ment , qui a 21 ans et est parfaitement musclé et déve-
es malades dont l'hydrocéphalie est énorme, il y a un ralentisse- ment considérable de la nutrition. Anémiés, lymphati-
Ù la den- tition, elle est généralement retardée, mais l'épanche- ment hydrocéphalique ne semble réagir en rien sur la
jeune homme reproche à sa famille la prolongation de son interne- ment . Les sentiments sociaux et moraux existent chez
raineuse. - Pas de consanguinité. Conception, grossesse, accouche ment : rien de particulier. Tête petite à la naissan
ernier et se maria ensuite. Elle mourut d'une affection probable- ment hépatique ou ovarienne caractérisée par de l'asci
e son corps, etc. En gymnastique, elle ne peut faire aucun mouve- ment . A l'ouvroir, elle tient bien son aiguille et par
anque pas de bonne volonté. Sa mémoire est faible, mais son juge- ment est assez développé; il sait lire, écrire et comp
t une grosse molaire gauche. La fontanelle antérieure à actuelle- ment 72 millimètres de longueur sur 110 de largeur.
sa soeur, Marie), à (le de mois. Observation : fontanelles. 365 ment 16 dents. Son intelligence se développe; V... tir
95 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
rales. - Ln, locus niger, - XC, noyau caudé. - XL, troisième seg- ment du noyau lenticulaire.- Xl', noyaux pontiques.
ion frontale (oF,), (Fig. 5 et Fig. 279, p. 522, T. le") ; son seg- ment interne, mince et court, tapisse le fond du sillo
co-transversales montrent que ces fibres se continuent avec le seg- ment sous-lenticulaire de la capsule interne (Fig. 7)
o-transversales intéressent par conséquent ces dernières parallèle- ment à leur direction, tandis que les coupes horizonta
genou. Ce. capsule externe - Cia, segment antérieur; Cip, seg- ment postérieur ; Cirl, segment r6lrolcnLiculuirc dc
on frontale. - NC, noyau caudé ; Ni sa queue. L3 troisième seg- ment du noyau lenticulaire. O, première circonvoluti
ion entre la région thalamique et la région sous-thalamique du seg- ment postérieur de la capsule interne est comprise ent
'irradient dans le thalamus. Leurs rapports. Leur enchevêtre- ment avec les fibres lenticulo-caudées. noyau lent
on du crochet. l'l, ventricule latéral. - II, bandelette optique. ment d'une même ligne, oblique en arrière et en dehors
eur de la capsule interne (Cip), sectionnées plus ou moins oblique- ment , n'offrent pas encore les caractères qui leur son
a- lamique inférieure. Il occupe la partie antérieure du seg- ment postérieur de la région sous-thala- mique et
7, 13, 1 li., 15,16, po, 21, 22, 24, 26,28, 41, 43, /¡.7. - Le seg- ment postérieur ou lenliculo-optique de la capsule int
corps genouillés externe et interne, les couches sagittales du seg- ment inférieur de la couronne rayonnante et le faiscea
st en rapport d'arrière en avant avec la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (Cip), puis avec
sième ventricule et le corps de Luys, appartient en réalité au seg- ment postérieur (Cip) de la région sous-thalamique de
r un certain nombre de gros fascicules qui se portent très oblique- ment en bas et un peu en arrière, traversent le locus
° Les autres longues passent par le pied du pédoncule cérébral for- ment la voie pédonculaire et réunissent la corlicalité
re, des fibres radiées du lobe temporal par l'intermédiaire du seg- ment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl).
ert-Pal. - 2/1 grandeur naturelle. Détails dessinés à un grossisse- ment de 12 diamètres. (\'oy. description de cette coup
ostérieur de la couronne rayonnante et la région thalamique du seg- ment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Elles a
stratum intermedium, de fibres d'origine striée. Il est exclusive- ment formé de libres de projection corticales et dégén
lenticulaire (Cisl) de la capsule interne et s'enchevêtrent intime- ment dans cette région avec les fibres de projection c
antérieure du seg- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 16 ment postérieur de la capsule inlerne (Cip), situées i
mporal du secteur moyen (coloré en rouge foncé) passent par le seg- ment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl), s
segment rétro-lenticulaire (Cirl) et la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (Cip), descenden
pent, dans la région thalamique de la capsule interne, tout le seg- ment postérieur, depuis le genou (non compris) jusqu'a
s que Vicq d'Azyr, Reil, Burdach, Foville, Arnold, fut implicite- ment acceptée et l'on admit, avec j\)eynert, que le
e de la pyramide du bulbe (coupes 2, 3, 4) et forme l'entre-croise- ment supérieur ou sensitif du bulbe (coupe 5), - CR, c
rdraient de leur importance et finiraient pai disparaître complète- ment au sur et à mesure que l'on descend dans l'échell
té cérébrale contient des fibres de projection, y compris probable- ment l'insula. L'un de nous, en 1897, a montré que l'e
e sujet a été frappé à un âge plus jeune; mais elle survient égale- ment chez l'adulte dès que la lésion est un peu ancien
e distincte, mais une diminution de volume en masse de tout le seg- ment postérieur de la capsule interne, surtout dans sa
eur de la capsule interne une zone de dégénérescence qui, certaine- ment , n'est pas seulement constituée par les fibres de
tre dans ce cas de petits foyers lacunaires disséminés dans le seg- ment interne du noyau lenticulaire. L'un d'eux (Fig. 9
é t rolen t iculaire (Cirl) et de la partie postérieure du seg- ment postérieur(Cip), de la capsule interne, du pu
rétrolenticulairc (Cirl) et de la partie postérieure du seg- ment postérICUr(Clp), de la capsule interne- du pu
ne du faisceau occipito-frontal (OF + Pl' et OF). Intégrité du seg- ment postérieur de la capsule interne (Méthode de Weig
e du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral relève unique- ment de la lésion du lobe temporal, en particulier de
du faisceau longitudinal inférieur (Fli). Ce cas est particulière- ment démonstratif pour l'étude du trajet du faisceau d
à troisièm circonvolution frontale gauche avec section du ses £ ! ment antérieur de la couronne rayonnante. (Voy Fig.
ie la couronne rayonnante du lobe irontal, il n atteint pas le seg- ment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl);do
x pyramidaux croisé ou direct; le cordon latéral croisé est simple- ment plus petit que du côté opposé, la corne antérieur
races pour ainsi dire--l'él at de la pyramide le démontre suffisam- ment . -]Dans les cas d'agénésie par malformations des
. Ces dernières libres, assez peu nombreuses il l'élat normal, for- ment ici un véritable faisceau compact qui se porte en
yonnante. Dégénérescence complète des deux tiers antérieurs du seg- ment postérieur (Cip) de la capsule interne. Dégénéres
Rei- médian. Dégénéres- cence des couches sagittales du seg- ment postérieur do la couronne rayon- nante. 174
eil mé- dian. Dégénéres- cence des couches sagittales du seg- ment postérieur de la couronne rayon- nante. - L
egment sous-lenticulaire (Cisl) et la partie inférieure du seg- ment rélro - lenticulaire (Cirl) de la capsule inter
e, dans la région thalamique supérieure, le quart antérieur du seg- ment postérieur de la capsule inlerne (Cip); l'autre o
yau externe du tha- lamus sectionnant le quart postérieur du seg- ment postérieur de la capsule interne. Dégéné- resce
g. 189 et 190). Dégé- nérescence de la partie postérieure du seg- ment postérieur (Cip) delà capsule interne immédiate
enne du segment postérieur de la capsule interne. 2° Lésion du seg- ment rétrolenticulaire de la capsule interne. Dégénére
nante, la porencéphalie empêchant la pénétration des fibres du seg- ment supérieur de la couronne rayonnante dans la capsu
cérébrale. Que l'on admette, avec Mihalkovicz et His, le développe- ment du septum lucidum, du corps du trigone et du corp
anté- rieures du bulbe. Agénésie du corps calleux. Développe- ment normal du rhi- nencéphale et du trigone céréb
manteau aux corps opto-striés, laquelle s'ell'ectue vraisemblable- ment vers le 2e mois de la vie intra-utérine. Ce cas,
la porencéphalie. La membrane (ou ses débris) qui ferme incomplète- ment ce vaste orifice recouvre, en outre, la partie re
yonnante augmente; le crochet contient plus de libres que précédem- ment , bien que le pied de la couronne rayonnante reste
be orbitaire (pCR). Le nombre de ces dernières fibres est é11deIll- ment disproportionné à la petitesse de ce lobe; les fi
. - 11-YEM. Des altérations de la moelle consécutives tc l'arrache- ment du nerf sciatique chez le lapin. Arc. de Phys., 1
nfcriore. Il Pisani, fasc. 1-2, 1898, et Rivista di Patologia nerv. e ment ., 1898, p. 508. - PROBST. Zu den fortsclareiten
eux tiers supérieurs du sillon de Roland,, on obtient assez exacte- ment la disposition de l'arrangement antéro-postérieur
eu prononcée, il peut avec le membre malade reproduire très exacte- ment l'attitude imprimée passivement au membre sain. L
opsie peut être partielle et n'intéresser qu'un secteur ou un frag- ment de secteur du champ visuel. D'autres fois, on obs
e l'a montré l'un de nous dans différentes publications, non seule- ment l'hypothèse d'un centre graphique n'a jamais été
s circonscrite. Enfin, une lésion sous-corticale détruit non seule- ment les fibres de projection et commissurales de la r
la zone rolandique, que les zones dégénérées occupent dans le seg- ment postérieur de la capsule interne (Cip) une situat
opposé. C'est en effet par le genou et la partie adjacente du seg- ment postérieur de la capsule que passent les fibres p
ord pour reconnaître qu'une lésion de la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (Cip) se traduit
conditions sur lesquelles nous allons revenir - une lésion du seg- ment postérieur de Cip se traduit par une hémianesthés
localisat. motrices dans l'écorce des hémisphères du cerveau. Rev. Mens . llléd. et Chir., 1878-1879. - Des mêmes. Étude c
aneous and mus- cular sensations and memorics. Journ. of nerv. and. ment . Dis., 1894. - Dejerine. Sur un cas d'hémianest
hemiplegia with loss of tactile pain and muscular sensé. Journ. of ment . and nerv. diseases, 1893. Mirallié. De l'Aphasie
ésie produite par les lestons de circon- volutions cérébrales. Rev. mens . de lléd. et de Chirurg., 1880. Vetter. Ueber die
convolution godronnée; la plupart de ces fibres se rendent directe- ment dans la fimbria en formant sur les coupes vertico
blement différente de celle de l'homme. On y distingue un petit sè- ment inférieur ou ventral qui occupe la corne sphénoïd
épais arrondi et compact (Fig. 2(j2). Il se dirige ensuite oblique- ment en haut, en dehors et en arrière, et traverse la
au thalamique de Forci avec lequel il semble se confondre complète- ment . Il s'en dégage très rapidement (Fig. 310), trave
lames médullaires supplémentaires affectent une direction sensible- ment parallèle à ceux de la lame médullaire interne qu
nt ou contournent en fascicules si nombreuses et si serrées le seg- ment postérieur de la capsule interne qu'elles masquen
tués à rencontrer à la suite des dégénérescences partielles du seg- ment postérieur de la capsule interne. Ce surcroît de
la couronne rayonnante. Dégénérescence de la partie moyenne du seg- ment postérieur de la capsule interne; 2° ramollisseme
ticale sont en effet resserrées et tassées dans un espace relative- ment restreint. ' BIBLIOGRAPHIE. Bernheimer. Ueber d
t à la fois sur les dimensions des cellules nerveuses, leur groupe- ment et les connexions des différents groupes cellulai
ral. Le noyau accessoire interne (ant. c.), situé dans un dédouble- ment du stratum zonale, est caractérisé par ses cellul
CENTRES NERVEUX. Les cellules ner- veuses du noyau ex- terne. ment interne du noyau lenticulaire (ATi). - Lms, lame
de lésions corticales récentes la dégénérescence occupe non seule- ment les fibres radiées du thalamus, mais encore toute
xterne, le centre médian de Luys (Nm), et occupe plus particulière- ment la région du ruban de Reil médian (rgRm) et celle
ns l'aqueduc de Sylvius (Fig. 317), rétrécit sa cavité immédiate- ment en avant de son embouchure dans le 3e ventricul
is à quatre et sont entourées d'un feutrage cylindre-axile extrême- ment dense et enchevêtré, fourni par les fibres intern
ganglion interpédonculaire un système de fibres parallèles légère- ment curvilignes, très serrées les unes contre les aut
à angle droit, se portent en haut et en bas et se ramifient libre- ment entre les cellules. Quant au cylindre-axe, il se
e tout en conservant ses rapports avec la partie antérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne, dans laquelle i
ons optiques de Gratiolet, passent par la partie supérieure du seg- ment rétro-lenticulaire de la capsule interne et par l
aire (fm, Fig. 328 et mn, mt, Fig. 329), qui se porte transversale- ment en dehors, aboutit au secteur externe et inférieu
ndes variétés individuelles, elle peut ne s'effectuer qu'immédiate- ment en avant du chiasma (Schmidt-Rimpler, Delbruck, H
imites d'une zone même complètement dégénérée ne sont jamais nette- ment tranchées et qu'il existe toujours une région de
tinuent directement avec la bandelette optique homolatérale et for- ment le faisceau optique direct. Si les faisceaux nasa
ndelette. Il semble exister en outre dans la bandelette, un groupe- ment spécial des fibres directes et croisées en rappor
et s'effilent; on trouve les lamelles qui se divisent dichotomique ment ou tricholomiquement, une lamelle large donnant
DES CENTRES NERVEUX. Homologie em- bryogénique. Mode d'agence ment des lamelle; propres à chaque lobe. Mode pr
s trois derniers lobes restent indivis ; le lobe supérieur se frag- mente en quatre lobes secondaires, le lobe postérieur e
mis dans chacun de ces cinq lobes primordiaux; 2° le mode d'agence- ment spécial de leurs lamelles dans la région vermienn
. 335). Les trois lobes inférieurs (LL) (lobe inférieur propre- ment dit, lobe inféro-interne, lobe inféro-autérieur
c) plus ou moins étendue et formée de substance blanche incomplète- ment revêtue par l'écorce cérébelleuse (Fig. 31 ? ). L
rtout dans la région du vermis, et qui apparaissent exceptionnelle- ment à la surface du cervelet dans la région hémisphér
postérieur est limité en avant parle sillon post-pyramidal extrême- ment profond dans la région du vermis, plus superficie
e la plus postérieure du vermis et se trouve situé sur le prolonge- ment de la branche horizontale de l'arbre de vie média
alement en dehors, puis s'infléchissent en bas, descendent oblique- ment vers le nerf facial et le flocculus, el croisent
ères cérébelleux ; lorsque ceux-ci subissent un arrêt de développe- ment , les fibres transversales n'existent. pas ou sont
mates, et en particulier chez l'homme, leur maximum de développe- ment . Chez les mammifères autres que les primates, che
ngueur sur 3 à 5 millimètres de lar- geur et se dirige oblique- ment en bas et en dedans. Son extrémité supérieure
pect crénelé. Tantôt, la lingula très développée recouvre complète- ment la valvule de Vieussens, et pour apercevoir cette
par l'obex, mais par un repli pie-mérien constant, à bord générale- ment concave, tranchant et lisse (Fig. 354), et tapiss
nissant, ces deux segments forment une arète transversale sensible- ment rectiligne, saillante dans la cavité ventriculair
culaires de l'encéphale avec les espaces sous-arachnoi- diens. Rev. mens . de méd. et de chirurgie, 1878, p. 424, et 1879,
t des pédon- cules cérébelleux supérieurs. PetIt entre-croise ment supérieur. Grand entre-croisé ment Infériour.
rieurs. PetIt entre-croise ment supérieur. Grand entre-croisé ment Infériour. Noyaux blancs d( Stillin ? Conne
on irrégulièrement ovalaire. Sa face postérieure et externe, nette- ment convexe, est en rapport avec le pédoncule du floc
la hauteur du noyau de Burdach, le corps restiforme, considérable- ment diminué de volume après le départ des fibres arci
commissure en fer à cheval de Wernekink, formée par l'entre-croise- ment des pédoncules cérébelleux supérieurs. Méthode de
la pyramide antérieure aux différentes hauteurs du bulbe, ou seule- ment au niveau de sa décussation (Fig. 379, 383 et 3S&
n'est qu'une modalité anatomique de ces fibres (voy. Entre-croise- ment pyramidal, Moelle épinière, IVe partie). 2. ÉTA
mation spéciale, la formation ou substance réticulée, essentielle- ment constituée par une série de colonnettes de substa
la traversent, puis pénètrent, pour la plupart après entre-croise- ment , dans le hile de l'olive bulbaire contra-latérale
, ne méritent pas le nom de noyaux sous lequel elles sont générale- ment désignées. Dans le cerveau moyen, les amas gris
f, noyau circonflexe. - Ncs, noyau central supérieur; Ncs' son seg- ment externe. NUI, noyau du ruban de Reil latéral. - l
able suivant les individus : tantôt il s'agit d'amas irrégulière- ' ment étoilés; tantôt d'une lame grise plus ou moins co
nce grise centrale (Fig. 404), et en liauteur,del'entre-croise- ment pyramidal à la partie moyenne de l'olive bulbai
re, large et épaisse, se fusionne si bien avec l'entre- croise- ment moteur qu'elle semble en provenir (coupe H19,
nsinue très en avant entre les deux noyaux rouges : l'entre-croise- ment dorsal de la calotte de Meynert (xM) (fontaineart
l'entre-croisement pyramidal (xPy), appartiennent à Ventre-croise- ment piniforme (xpin) et aux fibres arciformes interne
ure de l'aqueduc de Sylvius (Aq) est constituée par l'entre-croise- ment des nerfs pathétiques (xIV) dont les fibres radic
une racine directe, cérébelleuse, du trijumeau se rendant directe- ment dans le tronc de ce nerf. Il est probable qu'il s
e de cette disposition, que la moitié droite du bulbe est complète- ment séparée sur cette coupe de la substance blanche c
ronc encéphalique dans la région bulbo-protubérantielle, immédiate- ment au-dessus des diverticules latéraux du quatrième
rrégulièrement ovalaire; c'est un faisceau volumineux, essentielle- ment constitué par des fibres longitudinales, mais qui
laquelle apparaissent des fascicules de fibres sectionnées oblique- ment ou perpendiculairement, qui se fusionnentplus ou
triangulaire et possédait des plexus choroïdes, s'est considérable- ment rétrécie. La coupe est voisine de l'extrémité fer
l'apport des fibres ( ? ci(ormes cérébello-olivaires est relative- ment faible. Ces fibres, qui n'existent que dans la pa
es gris de la formation réticulée grise (SRg) se sont considérable- ment accrus ; toute la région présente un aspect plus
pyramide, se sont infléchies et se trouvent sectionnées parallèle- ment à leur axe; elles se portent en arrière et en ded
upe H 18 (Fig. 448). Cette coupe passe au-dessus de l'entre-croise- ment des pyramides antérieures du bulbe et intéresse l
p) et la corne antérieure (Coa), mais se distingue toujours facile- ment , grâce il son aspect grossièrement fasciculé, du
isparu, le noyau de Goll (NG) forme un îlot gris, aplati, complète- ment indépendant du reste de la substance grise. Le fa
Chez l'embryon, celle arborisation dondrilique se développe lente- ment , elle atteint à peine chez le nouveau-né la parti
de myéline (I)e- nissenko), traverse en ligne droite ou légère- ment courbe la couche e granuleuse ou interne, puis
la périphérie de la couche moléculaire où elles s'arborisent libre- ment (Fig. 459). Cajal (1895) a signalé enfin dans la
-axe est fin, se détache du corps cellulaire et ne peut générale- ment être suivi que sur une courte distance. Chez
urs entre-croise- ments dans le ver- mis. Petit entre-croise- ment commissural postérieur Grand entre-croi- se
ssous de l'entre-croisement commissural, en formant l'enlre-croise- ment des noyaux du toit. Ces deux entre-croisements
smi). I. Fibres semi-circulaires externes (fsme) et entre-croise- ment commissural (Eca). Les fibres semi-circulaires ex
ale du vermis avec celle du côté opposé, en formant l'entre-croise- ment commissural (Eca). Sur les coupes qui intéresse
ouchon (Nem'), à la base de la branche verticale (bv) considérable- ment élargie de l'arbre de vie. Les fibres semi-circul
96 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cette lacune. Pour la commodité de l'étude et tout artificielle- ment , nous diviserons la famille névropathique en deux
iques coïnci- dentes, ces maladies n'en seraient pas moins nette- ment liées par l'hérédité aux maladies mentales, aux
famille né- vropathique par les mêmes liens. Elles sont fréquem- ment associées aux affections nerveuses, à l'hystérie,
n macrosco- pique ou de l'étude microscopique à faible grossisse- ment des lésions chez notre malade. Nous avons eu af
cher du fait de M. Prévost, celui que M. Raymond' a publié récem- ment , et qui, nous le verrons, a été particulièrement
eux); ou bien qu'il s'agit d'une myélite diffuse simulant simple- ment sur certains points une double myélite systéma-
n jette les yeux sur nos diverses coupes de moelle, particulière- ment sur la figure 10 (PL. II), du nombre très grand
si l'affec- tion des cordons postérieurs s'étend jusqu'au renfle- ment lombaire et si les zones radiculaires de ces pa
Fig. l ? Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordon
parole présente chez elle, comme caractère particulier, un zézaie- ment très prononcé. Cette jeune fille est hystérique;
ise, il raconte qu'elle s'est annoncée par une sorte de chatouille- ment qui s'est manifesté au niveau de l'ombilic et qui
flexion et d'extension des membres inférieurs qui frappent bruyam- ment le parquet. - Dans le Procès-verbal fait pour d
s; si on les place dans le décubitus dorsal, on arrête momentané- ment la rumination qui reprend plus tard, et l'on conc
e couche dans les diverses espèces animales démontre l'accroisse- ment progressif du tissu connectif dans la substance n
tenir debout; mais toujours, ces animaux étaient évidemment] compos mentis et cela même après. des lésions qui allaient ju
commotion. Seulement le coma ne se rencontrait jamais, et juste- ment ce coma, coma traumatique, semblait le symptôme e
dans cette maladie. C'est pour cela que le, coma semblait décidé- ment causé par une affection' directe de la. substance
nce du I novembre, l'Académie des sciences a procédé au remplace- ment de \[..I. Cloyuet, décédé. La commission, par qua
nant en considération un'vaeu par lequel le conseil d'arrondisse- ment de Bordeaux demandait un accroissement de garanti
rtée sur le bout de la langue pouvait alors être déglutie facile- ment . Aucune paralysie appréciable dans les membres.
rgie; les labiales mêmes peuvent être articulées assez distincte- ment . La malade parle toujours sur le même ton monoton
ps granuleux. Cerveau. Hémisphère droit. Circonvolutions entière- ment saines à la surface. Ventricule latéral un peu di
ée, pas de vertiges ; vue, ouïe, goût et odorat normaux. Larmoie- ment , surtout du côté droit; écoulement de la salive.
, etc. Etat actuel. - Mouvements de la jambe intacts. Affaiblisse ment du bras droit et de la jambe gauche. Le bras gauc
e. Du côté des membres, rien à noter, si ce n'est un affaiblisse- ment général ; mais il n'y a pas de paralysie propreme
er- vice de M. Hillairet, où il resta environ quatre mois. Au mo- ment de sa sortie, la face n'était plus déviée, le mem
pour le dessin et il a quitté le métier qu'il exerçait primitive- ment pour se faire peintre en éventail. Il réussit bie
t relatés MM. Cuffer et Vidal, constituent un total de cas large- ment suffisant pour nous autoriser à considérer, avec
, Fauv ? n'a cessé de proférer des paroles incohérentes. A ce mo- ment , il s'est endormi et nous le retrouvons ce matin
laté'plus haut : De plus, durant son sommeil il a éprouvé fréquem- ment des sensations vertigineuses. Il tombe dans un pr
urines étaient tombées à 300 grammes et augmentèrent progressive- ment à mesure que la paraplégie diminuait. Enfin, M. L
r, un peu plus ou un peu moins, elle se vide d'unefoisetcomplète- ment par une contraction réflexe' : c'est une miction
es. Si les affections de la moelle épinière retentissent fréquem- ment sur les fonctions urinaires ; il n'est Pas inutil
e rasoir, d'une série rapide d'étincelles électriques. Plus rare- ment la douleur siège exclusivement à l'extrémité de l
111. boum, au-dessousdu bord inférieur du prandfessier, ce tremble- ment disparut au bout de quelques jours.- La sensibili
s heures, emportés par une faiblesse générale qui va progressive- ment jusqu'à la somnolence et enfin la perte complète
antizymotiques (acide carbonique, acide salicylique) furent égale- ment inefficaces. Et c'est encore en vain que Frerichs
n'ont présenté aucunes manifestations délirantes, retombent fatale- ment dès qu'ils se trouvent dans les conditions ordina
: Messieurs, dans un livre récent qui a eu un légitime retentisse ment , M. le professeur Fournier, faisant allusion à l'
étiologique n'a été réellement mis à l'ordre du jour et n'a forte- ment sollicité l'attention médicale que du moment où M
nne en citant, par exemple, le cas de telle malade, exempte absolu- ment de toute parenté nerveuse, au dire de son mari et
x. Chacun de nous certainement pourrait citer des cas où le juge- ment favorable que nous avions porté concernant des al
pour traitement 2,300 couronnes (3,500 francs) ; il fait naturelle- ment de la clientèle. Les médicaments sont fournis par
. Vers le mois de février 1873, cet état s'améliora considérable- ment , et M. P... put retourner dans sa famille. Un n
e de sa femme lui apparaît encore par moments, mais très confusé- ment . Tantôt M. P... nous dit qu'il en retrouve quelqu
ladie qu'il a traversée et surtout si j'avais pu voir intérieure- ment l'effet produit par cette mort prématurée sur les
raverse la capsule interne dans son seg- 300 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment antérieur, en avant du faisceau géniculé, en arri
uste. A l'AUTOPSIE, un petit foyer hémorrhagique avec ramollisse- ment de la substance environnante, au milieu du côté d
de la parole, fourmillements et douleurs dans les jambes, change- ment de caractère. Il y a trois mois, en novembre 18
motrice droite; -'dans l'Observation III, un foyer de ramollisse- ment situé dans la moitié postérieure de la pyramide
tinue avec les sinus latéraux ; sa lumière s'élargit progressive- ment d'avant en arrière, de 1,5 jusqu'à 11 millimètres
veau, une stagnation du sang. Ce phénomène se traduit anatomique- ment par l'oedème et un désordre dénutrition des parti
tain degré ; il est diminué, mais jamais il ne peut être complète- ment évité. Quand M. C... fume ou quand il prend du ca
rence des fibres émanées des cornes postérieures. On trouve égale- ment de très bonne heure, dans la moelle dorsale, une
d'assez bonne heure atteinte dans les cordons de Goll dont le seg- ment postérieur se trouve constamment lésé avant le se
le deux d'entre eux actuellement en traitement, ayant successive- ment eu la syphilis, une ataxie évidente et, de plus,
d'ordre irritatif du paralytique dans les cas de ce genre, notam- ment avant l'agonie. Leur intensité dépend du plus ou
r constance, leur identité de nature et de siège, justifient large- ment l'emploi d'une terminologie unique. En somme, l
n C'est en ces termes que le Dr Glatz formule le mode de traite- ment qu'il a institué à Champel. Il recommande d'appli
Quelles solzt les professions capables de contribuer au développe- ment de l'aliénation mentale ? Quel est leur rôle dans
ent de l'aliénation mentale ? Quel est leur rôle dans ce développe- ment ? C'est après nous être posés ces questions et av
ces matières soient manipulées ou soient les produits de dégage- ment des manipulations. Ce sont des professions exposa
suivant lesquels les professions interviennent dans le développe- ment de l'aliénation mentale, d'autant qu'en tenant co
de fixité de la pupille. D'autres nerfs crâniens se trouvent égale- ment pris, comme le démontre la paralysie des muscles
que le procédé d'Exner détruise sur la même coupe les autres élé- ment ; ! corticaux ; celui de Weigert (traitement par u
bien l'examen des cellules, mais on ne saurait s'y fier complète- ment . L'auteur tend à croire que la déchéance des fibr
avance. Des investigations multiples, méthodiquement et abondam- ment dirigées sur toute la surface du cerveau, en des
de tintements, de vertiges, d'anéantisse- 372 SOCIETES SAVANTES. ment moral; les impressions ordinaires sont modifiées,
de l'eau marquera + 27 degrés au début, on l'abaissera graduelle- ment à + 23 degrés). Frictions consécutives ou envelop
é lomine. Les destructions du noyau lenticulaire sont très fréquem- ment liées à l'aphasie. M, Meynert pense que les hémip
processus inflammatoires. Les liquides durcissants, et principale- ment l'alcool, en provoquant l'issue du liquide de l'o
légendes de séquestration arbitraire ont été accueillies favorable- ment dans les sphères les plus élevées de la société e
Or, les alcooliques seuls sont susceptibles de guérir aussi rapide- ment , et ce sont peut-être les malades qui souffrent l
re partager à l'autorité judiciaire la responsabilité de l'interne- ment , ce qui lui semble de toute justice. M. B.1LL,
proposées, soit pour permettre aux interdits de présenter directe- ment à la justice leurs requêtes à fin de mise en libe
tenant que les Facultés de médecine sont pourvues d'un enseigne- ment officiel de l'aliénation mentale, et que, de plus
est d'autant plus importante qu'elle nous montre à l'état d'isole- ment les phénomènes qui devaient se reproduire cinquan
sont représentés. On tient compte de l'éducation dans l'ameuble- ment et la décoration des chambres des pensionnaires d
médecins-adjoints. Six élèves en médecine sont en outre annuelle- ment admis à faire un service d'interne pendant quatre
les concours, d'un élément important, et on encouragera sérieuse- ment les jeunes gens à se livrer aux recherches cliniq
rade. Asile DE Boozaar ? 111. le Dr Paul Gérente, nommé précédem- ment par M. le gouverneur général de l'Algérie directe
Fig. 14. Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordon
97 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
. (C) qui, d'ordinaire, recouvrent ces parties. Tout le prolonge- ment sphénoïdal est, en effet, aplati et offre des sai
ui du côté droit. Les tubercules quadrijumeaux ont approximative- ment le même volume. L'étage inférieur du pédoncule cé
en in- diquer que l'élévation de la température n'est pas unique- ment due aux convulsions. ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE. -
RE. 29 existent rarement, et ne se rencontrent qu'exceptionnelle- ment sous les séreuses qui revêtent les intestins, les
; puis calciné et recommencé plusieurs fois l'opération. Finale- ment , j'ai eu environ 60 . grammes de charbon que j'ai
à siccité ; j'ai recommencé plusieurs fois l'opération et finale- ment j'ai repris par l'eau contenant quelques gouttes
s. Nous en avons retranché 525 grammes qui ont permis, dès ce mo- ment , de constater la présence du cuivre dont la quant
u distillée et par l'ammoniaque, a donné une liqueur très-faible- ment colorée en bleue. La coloration de cette liqueur
lanc. Or, des essais comparatifs avec une liqueur. contenant seule- ment 1 cent-millième de cuivre dissout à la faveur de
olution très-étendue de sulfure de sodium, ces liqueurs ont légère- ment bruni. D'autres essais comparatifs m'ont fait voi
ments. En 1873, on a compté 72 accès et 483 vertiges. Le traite- ment a été institué le 22 avril. , MONOBROMURE de ca
do- cile. Il s'agit de Th. L... En dehors de ses attaques, pure- ment hystériques d'ailleurs, elle a des palpitations c
ouvements épileptiformes, surtout marqués à la face, avec change- ment de coloration du visage, écume à la bouche, etc.
eux heures le matin et d'une heure et demie le soir. - Le traite- ment a été continué sans inconvénients aux époques men
se transforme en nausée ; puis l'accès éclate, suivi, mais rare- ment de vomissement. Le nitrite d'amyle arrête instant
rare- ment de vomissement. Le nitrite d'amyle arrête instantané- ment et la nausée et l'accès. Malgré cet heureux résul
vier : de 6 heures du matin à 6 heures du soir 50 accès. A ce mo- ment (6 heures du soir) : T It. 3f3; les accès se succ
chaque fois aux attaques. Les phénomènes produits par le médica- ment n'ont offert rien de particulier. La rougeur a. e
s, elle s'assied sur son lit et a encore des mouvements de lappe- ment et de déglutition. Dix minutes après l'inhalation
cette malade, de temps en temps nous la laissons respirer libre- ment . Durant cette première inhalation, on voit avorte
boire, - Les mâchoires, un peu contracturées empêchent l'allonge- ment de la langue. La face est d'une pâleur plombée. -
nous avons remarqué des mnnvamenl,S2 déglutition et des efforts de ment sans évacuations. ! rn=mMe7rAt).aquH ; , y e. Les
e, si l'inhalation n'a pas déterminé soit des efforts de vomisse- ment , soit même des vomissements. 4° Des phénomènes
des séries d'attaques d'une violence extrême, qu'aucun avertisse- ment ( ? ) ne précédait et qui obligeaient à la camiso
i- vaient. Souvent dans ses courses effrénées, elle s'est griève- ment blessée. . Soumise à divers traitements (saigné
n secours, voit des brigands, des voleurs, etc. Puis, elle se la- mente , se plaint de ne plus voir clair, de sentir une b
enant un point d'appui sur la couche. M. le curé se rappelle égale- ment l'avoir vue dans cette position pendant quelques
rès- marquée de la commissure labiale droite et enfin à l'écarte- ment des mâchoires dont le rapprochement est impossibl
nt tout ce qu'on dit; mais il lui est impossible de parler autre- ment que par signes. La langue est contracturée, dure
con- tracture de la langue. La température rectale, prise au mo- ment du stertor, était de 37°,4. fer tct·s. ? L... e
plus importantes consistent en des contractures affectant isolé- ment ou simultanément les muscles des mâchoires (tris-
va- riées, erz(cilie;7e)it). Toutes ces contractures, contraire- ment à ce que nous verrons dans la seconde observation
e qu'il avait dit, se mordait au bras et se contournait horrible- ment ... » A la Salpétrière, on emploie la compressio
voir - aux exorcismes : Bientôt « le Père, répétant le commande- ment (exorcisme) qu'il avait déjà fait, mit le corps d
- b) OEil droit. La papille et le fond de l'oeil sont identique- ment dans le même état que lors de la première inspect
l'oeil. Au contraire, l'objet éloigné parait unique, mais telle- ment confus qu'il est presque impossible de déterminer
coude et de l'épaule, et ne s'accompagnent pas du moindre gontle- ment . - Douleur à la nuque, entre les deux oreilles. -
. Le bras droit est rigide, accolé au tronc ; Lavant-bras légère- ment fléchi en pronation; la main et les doigts sont d
de vin, 250 grammes de café et 100 grammes de rhum. L'amaigrisse- ment est de moins en moins prononcé. - Les vertiges so
gidité. 19 mai. Les crises névralgiques reviennent approximative- ment tous les trois quarts d'heure. - La contraction e
qu'elle but d'un seul trait. La figure avait repris progressive- ment sa physionomie habituelle. 1';6 6 HYSTÉRO-ÉPILE
ne sont douloureuses que si elles sont profondes ; le chatouille- ment de la plante des pieds ne produit aucun mouvement
orte : il me semblait, dit la malade, (qu'on vie saisissait violem- ment le cou pour m'étrangler. Puis, la tète a été enva
iolet sont vus en noir. Le champ visuel est rétréci concentrique- ment jusqu'à moins de 5 degrés du point de fixation. I
es. 1, a. Les attaques se sont montrées d'abord sans avertisse- ment ; puis, elles ont été régulièrement précédées d'u
con- servait toutes les apparences de la santé. Et ce fut seule- ment lorsque l'on fut obligé de recourir aux lavements
98 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
reproduc- tion des plans. A la fin de 1883, trois ateliers seule- ment fonctionnaient régulièrement, ceux de menuise-
il en est encore ainsi, l'habillement des enfants a laissé énormé- ment à désirer. Très souvent les enfants n'avaient pas
ir 160 lits d'enfants, 16 lits d'infirmerie et 8 lits pour l'isole- ment des affections contagieuses. Ce nombre de lits se
s grands serait de- 80; la division des petits compterait égale-. ment 80 lits; l'infirmerie générale, 16 lits, et les c
es en- fants infirmes dans les dortoirs de l'infirmerie, précisé- ment en raison du surcroit de travail qu'entraînait la
z pensé qu'il n'y avait pas lieu de l'imiter, mais que, conformé- ment à vos votes antérieurs, il fallait créer une orga
nature, sont peu aptes aux soins multiples de propreté que récla- ment les jeunes malades ; ils n'ont pas ce dévouement
s et des mois, confondus avec les adultes, sans effets d'habille- ment , sans aucun aménagement pour le traitement physiq
d'une façon plus largo et que les fenêtres pourraient être entière- ment ouvertes d'un seul cote, pendant une partie de la
« Nous ne parlons de l'atelier que pour mémoire, puisqu'un bâti- ment s'édifie, en ce moment, pour remplacer le trou qu
e de jours. D'une façon générale, on peut entreprendre immédiate- ment tous les travaux de la surface, sauf ceux du bâti
PAVILLONS. Un autre motif nous y engageait : c'était l'encombre- ment de plus en plus considérable des salles de la vie
soir dans les couloirs. De là une gêne énorme dans le fonctionne- ment du service, une promiscuité fâcheuse pour les en-
se pour eux. L'Administration départementale comprenait parfaite- ment que cette mesure ne constituait qu'un palliatif e
62). « M. le Dr BOURNEVILLE rappelle qu'en raison de l'encombre- ment qui existe dans les quartiers d'enfants idiots, t
au clirec- de Bicêtre, de faire dresser un devis pour l'aménage- ment intérieur du corps de bâtiment dont il s'agit ; j
ommuniquée par son mari et pour laquelle elle est restée en traite- ment huit mois à l'hôpital Lourcine, satteAstruc; elle
lé. 18 mai. Le malade raconte de lui-même qu'après le renouvelle- ment du bracelet, il aurait éprouvé pendant quelques i
u de l'aura, saupoudré de un demi centigramme de cérat. - Traite- ment : un peu plus d'un mois. - Guérison. - Mort l'ann
La contractilité électro-musculaire, normale au début du traite- ment , diminua passagèrement pendant la durée de celui-
De treize épileptiques, six ne tirèrent aucun bénéfice du médica- ment ou ne furent améliorés que passagèrement, trois v
s. 4 juillet. A fait assez de progrès à l'école; lit demi-couram- ment ; est plus intelligent. Gymnastique : peu de prog
e; son mari la serra dans une porte; pas d'alcoolisme. -Accouche- ment à terme, naturel, sans chloroforme; la tête est r
30°,4. Physionomie égarée; joues rouges ; pupilles dilatées, égale- ment ; excitation au moindre attouchement. Mutisme. Ba
un foyer ancien d'encéphalite très étendu, ayant presque entière- ment séparé l'hémisphère en deux portions. Lef... (G
vers douze ans et demi. - Affaiblissement intellectuel. - Change- ment de-caractère. Traitements divers; insuccès. Agita
noter que depuis que Duché, .. n'est plus soumis à aucun traite- ment , les accès d'abord, puis les accès et les vertige
novembre 1882 et du ter avril au la octobre '1884). -Affaiblisse- ment des facultés intellectuelles. - Injections hypode
re 1882 au 30 juin 1883 (8 mois=233 jours). TOTAUX 80 DU CURARE ment nulle, car déjà, depuis quelques mois, les accès
ient en diminuant progressivement, les vertiges avaient complète- ment disparu ; pendant le traitement par le curare, le
des (Dur... et Div...) qui furent alors soumis à un autre traite- ment , jusqu'au 1er juillet pour un autre, Rob..., qui
45) nous trouvons les lignes suivantes qui se rapportent évidem- ment à la rubéole : « Le second jour, l'exanthème de
devient ensuite d'un rouge moins vif et peut disparaître complète- ment dès le troisième jour. Cependant d'autres taches
18G9, p 51l). Or rien n'est plus contraire allx thérories actuelle- ment régnantes au sujet de la roséole idiopathique ou
térisée ainsi que ses deux frères qui habitaient le même apparte- ment et qui l'avaient contractée à la même époque. Ces
a durée en est très courte et il est rare qu'elle n'ait complète- ment disparu dès le troisième ou quatrième jour (voir
lymphatiques du cou et de la nuque; selon Thierfoldcr, l'engorge- ment des « ganglions lymphatiques subauriculaires et
eu profonde. Homme bien constitué (tronc et membres), vigoureuse- ment musclé. - La force musculaire est conservée. Hern
de nouveau. Les sterno-mastoidiens se contractent à chaque mouve- ment inspiratoire, le diaphragme n'est point paralysé.
out de 3 heures et demie. A partir de là, elle monte progressive- ment à 38°,2 (8 heures après le début). A ce moment, e
ni ne suce ; balancement de la tête seulement ; fréquent grince- ment des dents. Assas... est sujet à des accès de colè
ne forme générale quadrangulaire. Le nez est petit, à dos légère- ment concave. Les régions orbitaires sont amaigries, c
serré, ne permet pas même de découvrir le méat. On dilate facile- ment l'orifice préputial. mais on n'arrive que le soir
du lait; il ne vomit pas, est constipé. 11 se plaint continuelle- ment , grince des dents, ne tousse pas. La bouche est s
ir : 37°,8. 12 mai. Percussion et auscultation normales ; grince- ment continu des dents (non usés). Haleine un peu féti
te nuit. 27 juin. L'enfant est complètement remis. L'affaiblisse- ment des jambes qui existait à la suite de sa rougeole
fron- tale ascendante est sinueuse, rétrécie par places, légère- ment oblique de bas en haut et d'avant en arrière. - L
peu d'é- cume non sanglante à la bouche. Il paraissait complète- ment insensible. On put passer une petite cuiller entr
sa mère là où il le désirerait, afin de lui éviter tout dérange- ment . 7 mai. La conduite de S... continue à être bon
jeune S... s'est notablement améliorée, qu'il travaille régulière- ment et que, depuis son départ de l'asile, il n'a épro
eur qu'elle perdit connaissance pendant trois heures. L'accouche- ment se fit à terme et fut naturel. L'enfant, qui ne p
t une fissure à l'anus (dilatation brusque) ; enfin, au commence- ment du mois d'août, il entra chez M. Dumontpallier à
e, que le malade compare à la sensation causée par le chatouille- ment de la plante du pied et qui lui répond dans la tê
aison aux penchants ? Que devient la terrible uniformité du juge- ment en face de l'aptitude infiniment inégale des indi
99 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
nue avec les trois étages du pédoncule cérébral, mais principale- ment avec l'inférieur. Le locus niger de Soemmering
ns les secondes. L'axe ou diamètre transversal de la capsule aug- mente d'avant en arrière proportionnellement à l'aug-
ignent et dès lors on s'explique naturellement la masse relative- ment petite de la capsule interne. De quelle façon s
épaisseur nota- blement plus grande que les autres, et conséquem- ment , doitrenfermer une plus grande quantité de fibres
ces irra- diations qui se trouvent le plus en avant, passe égale- ment sur l'extrémité antérieure de la couche optique.
de fibres propres ou de Gratiolet. On en voit provenir distincte- ment , en avant, de la première frontale; en arrière, d
hémisphère. Le faisceau longitudinal supérieur externe, sensible- ment plus volumineux que l'interne, commence à l'é-
udinal inférieur. Les coupes horizontales (Pl. VI et VII) confir- ment pleinement les données fournies par les coupes
é de flexion des articulations métacaipo-phalangiennes. Le mouve- ment d'adduction ou d'abduction des interosseux ne p
s d'exposer. L'avant-bras se met en pronation forcée et ce mouve- ment de pronation est tellement intense que la flexion
(Fig. 12) - Si l'excitation a été intense ou prolongée, le mouve- ment de pronation forcée de l'avant-bras tend à s'exa-
THOLOGIQUE. et par le court supinateur qui seul préside efficace- ment au mouvement de supination. Les autres muscles
tion s'est étendue au sein gauche et cela depuis la veille seule- ment . Nous constatons qu'il existe sous le grand pec-
père. La première enfance de P... ne semble pas avoir été autre- ment maladive; il n'a jamais eu, au dire de la mère, d
QUE. saire et que les autres conditions du phénomène sont unique- ment subjectives. L'expérimentation la plus superficie
e théorie ? Nous ne l'avons pas pensé. M. Schiff en a jugé autre- ment . Dans un travail postérieur de deux ans à notre p
e, des causes d'erreur provenant des malades. Un support, solide- ment fixé sur le bord d'une table, soutient un axe hor
isme de ce phénomène est donc, selon toute vraisemblance, absolu- ment original et diffère de ce qui s'observe dans les
né. M. Waller ne se croit pas autorisé à se prononcer définitive- ment ; il est porté à croire que le phénomène est surt
d'idiots, que l'habitude de se servir de la main gauche préférable- ment àladroiten'expliquenullementune infériorité physi
fit examinerle malade par un médecin et ordonna ensuite un place- ment d'office. Quelques jours après, sous l'influence
on. , M. FALRET. Des faits de ce genre s'observent assez fréquem- ment . Je pense qu'on doit toujours demander un certifi
, l'autre raisonnable ; elle a donc en elle tout ce qu'il faut pour mentir et en faire accroire. La moitié folle inventera
. Certaines conditions de la vie humaine se prêtent particulière- ment à ce compromis : les hystériques et les enfants l
questions et convaincu de mensonge, finit par avouer qu'il n'avait menti d'a- bord que dans la craints d'être battu, en
e et l'imbécillité. Beaucoup de formes d'aliénation sont entière- ment passées sous silence ; d'autre part, la folie pue
s professions sédentaires la favorisent. Les marins sont fréquem- ment atteints, et quelquefois quelque temps après être
ffection, ne peut être que psychique. Ceux qui reconnaissent nette- ment les divers types distincts d'hystérie, la forme n
te la question portait sur l'interprétation de l'art. 4 3 du règle- ment de la caisse des retraites. Suivant le départemen
ement le lauréat. Lorsqu'une récompense seule- 15(5 FAITS DIVERS. ment est accordée à un mémoire de concours, le pli qui
celui des infirmiers et infirmières ; du meilleur mode de recrute- ment des médecins ; elle devra étudier les différents
t dite corps godronné. Ce corps godronné et le corps bordant for- ment la limite externe de la fente (partie latérale de
t en défini- tive le corps bordant et le corps godronné complète- ment dans la cavité ventriculaire, comme la saillie de
es. Nous devons seulement indiquer par quel moyen on peut facile- ment obtenir des coupes dans lesquelles soient con-
out l'éther qu'il renfermait, forme une masse solide, mais nulle- ment sèche,'c'est-à-dire qu'il ne s'est nullement rétr
que ce muscle entre en contracture, imprimant à la tête le mouve- ment de rotation prévu d'après les données de la phy-
ction bien limitée ; ces points étaient marqués. Puis, immédiate- ment ou le lendemain, quelques jours après même, alo
un mouvement de flexion de la phalangette dû vraisemblable- ment à l'excita- tion communi- quée au tendon du
muscles; b) De la possibilité d'exciter un muscle, soit directe- ment , en portant l'excitation sur sa fibre elle-même,
ntracte alors toujours plus faible- 188 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. ment . C'est ce qu'on peut constater sur la Figure 1 de
ienne en même temps et imprime à la paupière inférieure un mouve- ment particulier, c'est le muscle orbiculaire palpébra
HOLOGIQUE. dilatation une fois produite ne persiste pas uniformé- ment , bien que l'excitation soit maintenue égale; il s
jr ? ' ' "' ' L'orbiculaire, des lèvres répond'aussi fort nette- ment à l'excitation mécanique' portée sur' différents'
à plusieurs muscles à la fois., En beaucoup de points égale- ,, ment , l'excitateur rencontrera à la fois des .fibres
mus- clés et les Figures 1 et 2 de, la PLANCIIEXIII sont pleine- ment - confirmatives des expériences de Duchenne. Ma
t lésion de l'organe de l'ouïe, l'état intellectuel étant suffisam- ment conservé pour que le malade soit à même de compre
constituant une vraie main de polichinelle. Le malade peut seule- ment augmenter un peu le mouvement de flexion, et sa m
ême pathogénie (passage du sang pendant les règles, etc.), seule- ment elle coïncide plus souvent avec des affections ut
indiqué, de. s'adresser fà la .région, dorsale inférieure, précisé- ment à propos des. hystériques qui supportent,mal les
nt le côté que l'on examine. On n'a d'ailleurs pas encore exacte- ment saisi l'évolution des phénomènes histologiques ;
- daire des tumeurs basilaires est bien authentique sont extrême- ment rares, il en est de même pour les tumeurs dévelop
- continence des matières, d'irrégularité du pouls, d'amaigrisse- ment et de marasme, la mort arrive dans le sopor au mi
qu'ils sont soustraits à l'activité qui a assuré leur développe- ment , ! ces faits, dit l'auteur, doiventjnous pénétrer
lle gauche (écorne-. 1*1 *. -iu...f,.l ? 11. ., ,, .ia.ll -' . "t ment ,, bourdonnements, etc.. il il démontre en outre q
,, n avoir point pense au diagnostic d hallucinations. Un traite- ment convenable de l'oreille (lavages astringents) ,'J
e la'tendance aux accidents du décubitus, de l'albuminurie égale- ment notée, de lâ mârclïépernicieuse"le,professeur, Fü
et riiêlrié dûréé dû sInmeil,·'règlementrdë'1 alimentatiôn exâte= ment pondérée en, quantités égales pour chacun, suppre
e , M.-E. Wooton s'est aidé'de l'étude'comparative'du développé ? ment ,,du système» nervëuxïdans la'érie aniin- ale ? et
tions, il se produit une spécialisation des propriétés, primitive- ment combinées, du protoplasma, lesquelles passent à l
ses côtés l'affaire de 1-0 Eyben dont on parle beaucoup en ce mo- ment . Il s'agit du gardien du passage des Panoramas où
part quelques perturbations digestives, d'une bonne santé : Récem- ment , en même temps que s'exagéraient les phénomènes g
.11 Cette perte de calorique pourrait s'expliquer parle.rayonne- - ment . Un corps plus chaud perd plus de chaleur qu'un c
onnés, sont plutôt mornes' et taciturnes. Les aortiques'sont''aiséz ment , atteints de fatigue intellectuelle avec diminuti
se sont d'ailleurs fait entendre, et Henry de Boyer a été digne- ' ment loué; mais l'amitié de dix années qui nous unissa
100 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
mais après la disparition du scotome scintillant et le rétablisse- ment partiel de la vision, survient tout à coup à son
vulsions él71leptoïdes, des troubles de la sensibilité et du mouve- ment d'un côté du corps dont la nature sera méconnue,
Je dois vous prévenir qu'à cet égard, nous n'avons guère actuelle- ment que des hypothèses à sous offrir, mais, ces hypot
onduit à penser que' le bromure de potassium administré méthodique- ment et à doses suffisantes pourrait dans la migraine
écartement du bras gauche. C'est vous dire qu'il ne pouvait aucune- ment élever ses membres supérieurs. Ainsi, quand on lu
arc de cercle, le col chirurgical de 1'litiiiiéiuis.'In(lépeii dam- ment , de ses branches motrices terminales, qui s'épuis
t, sont mal nourris, striés transversalement, et se cassent facile- ment . Les deux pieds sont d'ailleurs toujours froids.
écrit : « le traitement, lorsqu'on le renouvelle, produit constam- ment et sûrement une détente dans la raideur des membr
ssociation de tabes dorsalis et de paralysie générale, mais simple- ment d'une paralysie générale ayant débuté par la moel
incident n'est pas seulement intéressant, mais il est particulière- ment important dans le cas actuel parce qu'il éveilla
jours suivants l'agitation persista, la température s'éleva rapide- ment , il se produisit de la sécheresse de la langue av
ines ne paraissent pas altérées ; il n'y a nulle part d'épaississe- ment de la gaine, ni de dilatation des vaisseaux. Le
g. Dans le nombre des méthodes malheureusement inexactes des exa- mens cliniques, rentrent également les méthodes d'exam
couverte par la surface du bouton subit égale- UN ALGÉSIMÈTRE 45 ment la pression. Par conséquent, quel que soit le deg
le soir. Du 3 au 9 septembre la température s'est élevée graduelle- ment jusqu'à 39°4 ; puis elle a baissé progressivement
ctéristiques de la maladie. La partie centrale du noyau fixe forte- ment la couleur ; mais la périphérie reste claire et s
deltoïde postérieur, très développés chez ce malade qui est forte- ment musclé. 25 novembre 1894. L'amélioration, au po
ent dans un sens ou dans l'autre lorsque l'individu évolue normale- ment vers l'un ou l'autre sexe. Les différences qui en
roites. Le tronc est arrondi. Les seins extrêmement développés for- ment un relief tout à fait anormal, très apparent sur
vons acquis la preuve que l'anesthésie n'était pas limitée au tégu- ment externe, qu'elle s'étendait à la muqueuse de l'ur
te,, les mouvements actifs du pi dsont très limités; le redresse- ment actif est presque impossible. Au contraire, la
he qu'à droite aux efforts que l'on fait pour s'opposer à ce mouve- ment d'élévation. i Les mouvements d'extension et de
Fig. 6. l'1â. Î. , 68 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE ment même léger de la peau, de la palpation du 1 uscle
ente une forme particulière de polynévrite, d'origine indiscutable- ment alcoolique. Cet homme avoue qu'il a fait des excè
dans le canal lombo-sacré, et quelle est sa nature ? Ainsi, seule- ment , nous serons à même de nous prononcer sur la ques
aresthésies : Dans l'un ou l'autre cas, on a noté de l'engourdisse- ment , des fourmillements aux pieds, ou encore des sens
dullaire. La tumeur, longue de 6 centimètres, comprimait exclusive- ment les nerfs destinés à la vessie. ' SUR LES AFFEC
nt, de la rétention d'urine. La paralysie motrice et l'engourdisse- ment se sont dissipés au bout de très.peu de temps ; p
soient des produits directs ou indirects de la syphilis. Le traite- ment spécifique ne me paraît avoir des chances sérieus
le sein de véritables tumeurs susceptibles d'en imposer singulière- ment au point de vue du diagnostic différentiel. Lan
Il va sans dire que le paroxysme convulsif n'est pas un accompagne- ment obligé de l'exaltation de la zone hystérogène mam
'affection hystérique du sein, en tenant compte des périodes d'aug- ment et de déclin, est presque toujours fort tenace et
e muscle. Ils dépendent de la longueur des fibres charnues, et aug- mentent avec celle-ci. Plus le muscle est long, plus il
outre du simple relâchement et de la contraction avec raccourcisse- ment dont nous venons de parler, il y a encore un autr
d'une forme extérieure tout a fait différente de celle du relâche- ment . Le relief musculaire est moindre. Il se produit
rgique du triceps nullement entravé par le biceps qui est complète- ment relâché (ce qui n'a pas lieu dans le mouvement le
iciels. La douleur était conlinuelle et consistait en un fourmille- ment extrêmement pénible, localisé au petit doigt et à
er un livre placé sur son lit et qui allait tomber, lendit brusque- ment les bras en avant : la cicatrice cutanée se rompi
dernier. Nous l'avons examiné, à diverses reprises, très soigneuse- ment . Voici les résultats de notre examen. z Tout le
s.) Illélrie parfaite de la région sous-scapulaire, elle esl égale- ment fort rare. Nous ne l'avons observée d'une façon i
ne quantité né- gligeable.. Celle déformation est particulière- ment frappante. La différence de ni- veau est souven
du côté de la jambe qui supporte tout le poids du corps. Le hanche- ment il droite reproduit donc ou exagère l'incurvation
(2)] montrent que les centres trophiques de la peau sont effective- ment situés dans les ganglions, par conséquent avec le
L'éruption était, jusqu'à un certain point, répartie symétrique- ment entre le côté droit elle côté gauchedn corps. (
mbreuses esl variées de l'hystérie qui peut attaquer, tantôt isolé- ment , tantôt il la fois, différents centres et conséqu
l'aspect d'enduits croûtelleux de diamètre et d'importance extrême- ment variables. Quelques-unes ne. dépassent guère le v
couvre la partie affaissée semble légèrement épaissie et est forte- ment hyperémiéc. Par le loucher on a distinctement l'i
se. Sur la coupe, la substance corticale est assez large, relative- ment pâle, trouble, traversée par des nombreuses strie
le Dr Tilger. Fin. 49 UN NOUVEAU TYPE D'HÉMIPLÉGIE ALTERNE 185 ment reconnaître à l'oeil nu du côté du cordon latéral
lles-ci sont oblitérées par des thrombus rouges contenant du pig- ment brunâtre. Enfin les capillaires sont aussi en p
es cordons postérieurs que nous avons trouvé altérée macroscopique- ment , qu'une raréfaction légère des fibresinerveuses a
fantilisme a été surtout décrit chez l'homme où il est plus facile- ment reconnaissable. Il existe aussi chez la femme.
bservation précédente montre que l'infantilisme peut exister isolé- ment chez la femme, comme on l'observe chez l'homme, e
rvue de ses attributs sexuels primordiaux, normalement ou anormale- ment constitués. Il est caractérisé par la présence
maphrodites vulgaires, car, en outre d'un léger arrêt de développe- ment , il existe une malformation des organes génitaux.
aut-il y voir la reproduction authentique d'une opération sérieuse- ment faite pour extirper un corps étranger ayant pénét
curieuse gravure d'après Pierre Bruegel le Vieux m'a été obligeam- ment communiquée par M. Obreen, directeur général du R
des bourdonnements d'oreilles ;"c'était, dit-èllc, comme un roule- ment de voitures.. . ' * \ Tout lui sautait dans'la
d'un garçon qui a 14 mois 1/2 et est en nourrice. Après l'accouche- ment , pour la première fois, elle.adeux crises, l'une
e traitement psychique est ordonné. La cicatrisation marche rapide- ment et est complète au bout de 15 jours; le malade qu
e précipite, on s'écrase; les derniers venus se lamentent et récla- ment à grands cris qu'on ne les oublie pas. Car l'heur
st une gravure sur cuivre de 50 centimètres sur 30, au trait, fine- ment exécutée. (1) Voy. Iconographie de la Salpêtriè
ebande une petite clochette assez significative. C'est lui apparem- ment qui a servi à répandre dans le village le bruit d
La main droite, armée d'un bistouri, incise plus ou moins profondé- ment la peau du front, tandis que la main gauche, muni
leur passage. Là commença leur oeuvre de collaboration, véritable- ment touchante. Jan peignait les paysages, Andries les
a fille Grietje van Goyen en 4Gh9, l'ayant, parait-il, assez forte- ment compromise. Jan Steen était fils d'un brasseur
Des lésions diffuses des méninges qui reconnaissent vraisemblable- ment la môme cause que le foyer lui-même, et qui sont
érable dans l'ensemble des lésions, il existe des arguments absolu- ment probants pour classer la première de nos observat
les de l'épaule gauche et sur ceux de la jambe droite, face légère- ment atteinte, hypertrophie de certains muscles, réfle
mou il droite, de consistance plus fibreuse à gauche permet facile- ment à l'un et à l'autre côté de fléchir l'avant-bras
rs le bord cubital, les doigts se fléchissent et s'étendent facile- ment , mais le dynamomètre ne marque que 32 ; de même l
qu'après avoir fléchi l'avant-bras sur le bras et en portant forte- ment le coude en dedans, le grand supinateur dessine d
roubles vaso-moteurs. La salivation est très abondante avec écoule- ment dé salive par la bouche. Il y a de l'hyperhyclros
« piquer une tête ». C'est d'ailleurs ce qui leur arrive fréquem- ment lorsqu'ils se mettent en marche, et la festi- n
ons et de la fatigue. Elle peut cesser sous le plus léger attouche- ment , sous l'influence des mouvements communiqués ou d
ous regrettons de ne pouvoir, à cause de sa longueur, donner égale- ment le curieux dialogue qui se trouve à la fin des «
traitement des fractures du crâne est général et local. Le traite- ment général consiste, d'après Bérenger, dans toute un
et là, par rotation, perfore l'os. On agira d'abord avec un instru- ment étroit et mince, puis avec un plus large, et enfi
ui est de l'abaissement de l'épaule droite nos observations confir- ment celles du Dr Clozier. Elles en diffèrent pour le
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